exactement et représentent la continuité de la trame des tissus de la
région
. Ce travail, qui n'a pas été fait jusqu'à ce jour
rontales; on le distingue moins aisément dans les circonvolutions des
régions
moyennes; mais, dans la région occipitale, surtou
aisément dans les circonvolutions des régions moyennes; mais, dans la
région
occipitale, surtout sur les circonvolutions de la
vers la substance médullaire des circonvolutions. Les cellules des
régions
profondes, les grandes cellules, ont une forme ne
dans toutes les circonvolutions de la sur-face du cerveau. Certaines
régions
présentent des différences très notables, qui mé-
ibre nerveuse. Ces cellules géantes sont des cellules motrices; les
régions
dans lesquelles on les rencontre sont indiquées p
deux premières circonvolutions sphénoïdales, et les plis de passage,
régions
considérées comme le siège de la sensibilité, on
es sont en plus faible proportion que dans la substance corticale des
régions
antérieures du cerveau, tandis qu'on voit prédomi
La substance grise forme, dans la masse médullaire du cerveau vers la
région
médiane et centrale de la face interne de chaque
vues d'un noyau et de prolon-gements. Il occupe toute l'étendue des
régions
antérieure et externe de la couche optique, dont
eure s'effile progressivement en arrière en forme de queue jusqu'à la
région
posté-rieure de la couche optique, ce qui a fait
difficile d'affirmer qu'elles atteignent cette couche. Les diverses
régions
de la substance grise périphérique sont en rappor
ort immédiat l'une avec l'autre dans chaque hémisphère et reliées aux
régions
correspondantes de l'hémisphère opposé ; elles so
ses curvilignes à concavité dirigée en dehors, embrassant la base des
régions
qu'elles relient. Ces anses sont généralement s
existe plusieurs autres groupes de fibres arciformes, qui relient des
régions
éloignées dans le même hémisphère. A la région
es, qui relient des régions éloignées dans le même hémisphère. A la
région
antérieure d'un hémisphère cérébral, on trouve un
viligne, le faisceau arciforme frontal (Pl. XII, 1), qui se porte des
régions
inférieures et antérieures de ce lobe aux régio
qui se porte des régions inférieures et antérieures de ce lobe aux
régions
pariétales supérieures; à la région postérieure,
et antérieures de ce lobe aux régions pariétales supérieures; à la
région
postérieure, un autre faisceau, le faisceau arcif
l vers le lobe pariétal supérieur ; un troisième faisceau, situé à la
région
médiane, le faisceau longitudinal supérieur (Pl.
on médiane, le faisceau longitudinal supérieur (Pl. VI, 1), réunit la
région
infé-rieure du lobe frontal au lobule paracentral
(Pl. XII, 4), pénètre dans le lobe sphénoïdal, et s'épanouit dans la
région
arrondie de l'extrémité antérieure, en reliant le
des points de la substance corticale qu'elles conjuguent. Celles des
régions
situées au-dessus de la scissure de Sylvius, oper
posent la convexité de leur courbe à celle des fibres qui relient les
régions
placées au-dessus de cette scissure. Les fibres d
lient les régions placées au-dessus de cette scissure. Les fibres des
régions
anté-rieures décrivent une courbe à concavité ant
anté-rieures décrivent une courbe à concavité antérieure ; celles des
régions
postérieures présentent une direction inverse. Le
ssurantes conjugue les deux lobes sphé-noïdaux. Les fibres issues des
régions
antérieures de ces lobes se portent vers le haut
ergent immédiatement en arrière et en dedans; celles qui viennent des
régions
supérieures se dirigent obliquement de haut en ba
vergente d'arrière en avant et en dedans. Les fibres convergentes des
régions
infé-rieures ont une direction curviligne de bas
il appelle couronne rayonnante l'en-semble des faisceaux irradiés des
régions
moyennes ; le groupe des fibres issues des région
ceaux irradiés des régions moyennes ; le groupe des fibres issues des
régions
postérieures décrit par Kôlliker est quelquefois
om de radiations optiques de Gratiolet. Les fibres convergentes des
régions
antérieures et inférieures se dirigent vers le co
stratifiés (PL VIII, 9; XXVI, 3; LU, 4). Les fibres convergentes des
régions
antérieures et supérieures se portent vers le bor
e fascicules spiroïdes (Pl. XI, XLIV, 3). Les fibres convergentes des
régions
moyennes supérieures et internes se juxtaposent e
XVI, 4; XVII; XV11I, 6). Les fibres convergentes qui proviennent des
régions
inférieures se dirigent en haut : les unes vers l
upes de fibres de la capsule interne (PL IV, 7), et pénètrent dans la
région
antérieure et supérieure de la couche optique. Me
dedans à peu près transversalement ; elle est désignée sous le nom de
région
lenticulo-striée. L'autre portion de ce faisceau
faisceau se dirige d'arrière en avant et en dedans; elle est appelée
région
lenticulo-optique. M. Charcot a donné le nom de g
om de genou de la capsule interne au point d'intersection de ces deux
régions
(Pl. XX, 8, 9). Ces dénominations ont une valeu
l'ordre de fibres qui entrent dans la constitution de chacune de ces
régions
(1). On verra plus loin, en effet, qu'une partie
sule interne, avec un mode spécial de distribution relativement à ces
régions
. Les divers groupes de fibres convergentes, iss
se en plusieurs segments (Pl. XLIÏ, 2). Les fibres convergentes des
régions
frontales moyennes et de Pinsula se dirigent dire
lement énucléée sur des pièces durcies. Les fibres convergentes des
régions
postérieures se détachent de tous les points de l
ction successive de fibres nouvelles, à mesure qu'il se rapproche des
régions
postérieures de la couche optique. Arrivées à c
nstitution et de groupement des faisceaux de fibres conver-gentes des
régions
postérieures, il semble que les fibres convergent
s des régions postérieures, il semble que les fibres convergentes des
régions
internes seulement du lobe occipital vont s'amort
t s'amortir dans le pulvinar (Pl. XX, 9; XXII, 8), que les fibres des
régions
externes se portent dans la profondeur de la couc
en ; que les fibres externes et inférieures de ce faisceau gagnent la
région
externe du pédoncule cérébral. Le système de fi
ui suit un trajet différent de ce plan général. Ce faisceau relie aux
régions
centrales la masse de substance corticale des cir
absolument pareilles à celles de la couche optique. Au niveau de la
région
antérieure de la couche optique, les faisceaux cy
Le cervelet est la portion de l'encéphale qui occupe, au-dessous des
régions
postérieures du cerveau, la loge constituée par l
te une disposition arborescente, ramifiée dichotomiquement jusqu'à la
région
centrale de chaque circon-volution cérébelleuse,
folioles voisins d'un même lobe, les autres unissent entre elles les
régions
homologues des deux lobes, un troisième groupe me
des groupes de fibres, qui se détachent de la substance corticale des
régions
supérieures au grand sillon circonférenciel, pass
dal et se portent vers le lobe médian. Les fibres qui proviennent des
régions
inférieures au grand sillon se dirigent Gavoy.
s sortent du lobe médian et se répandent dans le lobe opposé vers les
régions
homologues à celles dont elles dérivent (Pl. XXVI
le lieu d'arrivée au corps rhomboïdal. Les fibres qui proviennent des
régions
supérieures se dirigent en bas, celles des région
ui proviennent des régions supérieures se dirigent en bas, celles des
régions
inférieures se portent en haut, celles des région
en bas, celles des régions inférieures se portent en haut, celles des
régions
latérales vont vers le centre ; toutes ces fibres
dans leur marche et prennent un trajet curviligne pour atteindre les
régions
centrales qui leur sont propres (Pl. XXXIV, 9).
éments nerveux groupés depuis la base du ventricule moyen, jusqu'à la
région
lombaire. La portion intra-crânienne constitue
ubstance blanche. Ces éléments nerveux présentent dans les diverses
régions
du névraxe un aspect-particulier, une disposition
st disposée à l'intérieur du névraxe suivant l'axe commun, de-puis la
région
antérieure du cerveau jusqu'à la région terminale
vant l'axe commun, de-puis la région antérieure du cerveau jusqu'à la
région
terminale de la moelle épinière. Dans la moelle
substance grise, que ces cordons entourent comme une coque, occupe la
région
centrale de la moelle et se prolonge, dans toute
près prismatiques, irré- gulièrement développées dans les diverses
régions
de leur parcours et juxtaposées par leur sommet.
n branches ramifiées (Microphotographie, Pl. C, fig. II et III). La
région
intermédiaire aux cornes antérieures et postérieu
eures et postérieures renferme un groupe de cellules, réunies vers la
région
interne et médiane, qu'on désigne sous le nom de
la corne postérieure est fortement rejetée en dehors, atteint même la
région
superficielle des parties latérales du bulbe où e
t externe. Ces deux petits amas de substance grise sont situés à la
région
postéro-inférieure des couches optiques sur les b
aux. La substance grise du névraxe forme par conséquent, depuis les
régions
les plus inférieures de la moelle jusqu'aux régio
quent, depuis les régions les plus inférieures de la moelle jusqu'aux
régions
les plus antérieures du cerveau, une série en par
ctement en connexion le corps strié et le noyau lenticulaire avec les
régions
antérieures de la moelle épinière (Pl. XXVI, 9; X
en haut et en dehors, atteint le centre médullaire et va aboutir aux
régions
latérales et postérieures du lobe frontal. Ce fai
de la couche optique, pénètrent à travers la substance grise de cette
région
et vont se distribuer aux cellules nerveuses des
u s'incline en dehors, se recourbe en arrière et en bas, et gagne les
régions
postérieures et inférieures du lobe occipital (Pl
la couche optique, et s'épanouit dans les cellules nerveuses de cette
région
. Dans ce trajet ascendant, le faisceau longitud
supérieurs établissent par conséquent une connexion intime entre les
régions
motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le
niculus cuneatus et gracilis), qui relient les cellules nerveuses des
régions
postérieures de la moelle avec le cervelet (Pl. X
ées dans la névroglie. b. Vaisseaux capillaires nombreux dans cette
région
. c. Faisceau médullaire central de la circonvol
e G. ¦* Fig. I. — Substance grise centrale de la moelle épinière (
région
dorsale). a. Corne postérieure. b. Canal cent
de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de la
région
inférieure des olives bulbaires). a. Canal cent
de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de la
région
moyenne de F olive bulbaire), a. Canal central du
de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe au niveau de la
région
supérieure de Volive bulbaire). a. Raphé médian
tissu cellulaire lamelleux, le crâne et les méninges. La peau de la
région
occipito-frontale, ou cuir chevelu, est très dens
Chacun des hémisphères repose en avant sur la voûte orbitaire; leur
région
moyenne est logée dans la fosse zygomato-maxillai
leur région moyenne est logée dans la fosse zygomato-maxillaire ; la
région
postérieure appuie sur latente du cervelet, tendu
, la substance grise centrale du bulbe (18) et un faisceau blanc à la
région
pos-térieure, les pyramides postérieures (19).
sur un même cerveau frais, du plan médian antéro-postérieur vers la
région
externe de l'hémisphère.) La substance grise co
ule quadrilatère que limite la scissure perpendiculaire interne. A la
région
postérieure est le lobule triangulaire ou cunéifo
e, dû à la dissociation des faisceaux des fibres commissurantes. A la
région
postérieure, ces fibres sont unies avec la bandel
ncule cérébral (pes, crusta) ou Xétage inférieur, par opposition à la
région
située en arrière du locus niger, qui est appelée
an de Vicq-d'Azyr. Les scissures délimitent parfaitement les diverses
régions
de la face interne de l'hémisphère décrites dans
t le mode de péné-tration du faisceau (7) des fibres convergentes des
régions
inférieures et internes du cerveau. Au-dessous es
les cérébelleux moyens et par les fibres verticales (22) venant de la
région
supérieure et antérieure du bulbe rachidien. En a
elle montre en outre les sillons qui forment les limites des diverses
régions
. La première circonvolution temporo-occipitale, l
irconvolution temporo-occipitale, lobulus lingualis, acquiè-rent à la
région
occipitale un plus grand développement ; leur ext
n aperçoit la queue de ce noyau se diriger en arrière, en enlaçant la
région
supérieure et externe de la couche optique. Dans
térieure (5) et reçoit en avant et en bas les fibres convergentes des
régions
inférieures et antérieures (6-6'), qui se relèven
es presque en totalité, et les scissures mises à découvert dans leurs
régions
profondes. La coupe des fibres commissurantes por
e supérieure du corps strié, puis de la couche optique, passe dans la
région
in-férieure en se dirigeant en bas et en dehors,
rme de queue, d'où le nom de noyau caudé. Les fibres convergentes des
régions
anté-rieures et inférieures (9) traversent sa mas
billonné, constitué par les divers groupes de fibres convergentes des
régions
supérieures, antérieures et moyennes (capsule int
int sa limite externe; la corne occipitale s'étend moins loin vers la
région
postérieure; à son extrémité antérieure est la co
ance grise corticale des circonvolutions. Les fibres convergentes des
régions
antérieures, supérieures et postérieures ont une
le nom de couronne rayonnante de Reil. 2. — Fibres convergentes des
régions
antérieures et inférieures redressées, concourant
Ensemble de la capsule interne, formé par les fibres convergentes des
régions
antérieures, les fibres convergentes des régions
res convergentes des régions antérieures, les fibres convergentes des
régions
supérieures et moyennes, et, en arrière, parles r
segment moyen et le segment interne (7) appelés noyaux jaunes. 8. —
Régions
postérieure et externe de la couche optique (pulv
née sous le nom de couronne rayonnante. Cette planche représente la
région
postérieure et la région moyenne de la capsule in
ne rayonnante. Cette planche représente la région postérieure et la
région
moyenne de la capsule interne. Les planches VIH,
e. Les planches VIH, IX, X ont montré que les fibres convergentes des
régions
antérieure et inférieure affectent une dispositio
elà de la face externe du putamen. Les corps genouillés occupent la
région
postérieure de la masse ganglionnaire centrale. L
e, qui semble au premier abord recevoir les fibres convergentes de la
région
postérieure, comme on l'a dit à tort, est plus vo
. XII. — Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la
région
moyenne du noyau lenticulaire. I. — Substance
'ensemble des fibres convergentes et commissurantes. Les fibres de la
région
antérieure (2) se portent directement en bas, cel
de la région antérieure (2) se portent directement en bas, celles des
régions
moyennes, en bas et en dedans; les fibres des rég
bas, celles des régions moyennes, en bas et en dedans; les fibres des
régions
postérieures (4) suivent une direction antéro-pos
rt de l'extrémité postérieure du lobe occipital et s'étend jusqu'à la
région
antérieure du lobe sphénoïdal. Il passe au-dessou
des traînées grises dans la substance médullaire. Elles sont dues aux
régions
profondes de scissures ou de sillons, atteintes p
itaire par le faisceau arciforme frontal; les fibres convergentes des
régions
supérieures et moyennes plongent verticalement ve
erticalement vers le noyau lenticulaire ; les fibres convergentes des
régions
postérieures se dirigent directement en avant; le
plan de la section horizontale porte sur un point plus éloigné de la
région
supérieure des hémisphères. Ces diverses sections
ntes de chaque lobe s'isolent des fibres convergentes, passent sur la
région
médiane inter-hémisphérique, pour atteindre dans
n médiane inter-hémisphérique, pour atteindre dans le lobe opposé les
régions
homologues à celles d'où elles dérivent. 3. — C
— Corps calleux constitué par l'entrelacement et la condensation à la
région
médiane des fibres commissurantes des deux hémisp
es commissurantes des deux hémisphères. Les fibres commissurantes des
régions
supérieures sont sectionnées au point où elles to
ctus longitudinaux ou nerfs de Lancisi. Les fibres commissurantes des
régions
antérieures et des régions posté-rieures de chaqu
de Lancisi. Les fibres commissurantes des régions antérieures et des
régions
posté-rieures de chaque hémisphère se groupent en
de corne sphénoïdale, ou tapetum. La substance grise corticale des
régions
postérieures et internes est parcourue par un lis
le. il XV. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la
région
moyenne du corps calleux. 1. — Fibres commiss
a région moyenne du corps calleux. 1. — Fibres commissurantes des
régions
antérieures formant la partie réfléchie du corps
vent une anse à concavité antérieure. 2. — Fibrescommissurantesd.es
régions
moyennes se séparant des fibres conver-gentes sur
ur le bord externe du corps calleux. 3. — Fibres commissurantes des
régions
postérieures formant le bourrelet du corps calleu
orps calleux. Leur trajet est curviligne, à concavité dirigée vers la
région
postérieure. 4. — Ensemble des fibres convergen
pas à proprement parler une cavité. La section ayant enlevé dans la
région
antérieure et externe toute l'épaisseur du corps
XVI. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
moyenne du noyau caudé. 1. — Partie antérieur
réfléchie du corps calleux formée par les fibres commis-surantes des
régions
antérieures des hémisphères. 2. — Partie postér
bourrelet du corps calleux formée par les fibres com-missurantes des
régions
postérieures des hémisphères. 3. — Portion cavi
a voûte, constituée par l'entrelacement des fibres commissurantes des
régions
moyennes, recouvrant l'intervalle compris entre l
yaux opto-striés des deux hémisphères. 4. — Fibres convergentes des
régions
moyennes du cerveau pénétrant dans la substance g
9. — Plexus choroïde. 10. — Faisceau de fibres commissurantes des
régions
postérieures, appartenante la corne occipitale
ure, constitué par le groupement des fibres convergentes de ces mêmes
régions
. 11. — Liséré blanc de la substance grise corti
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. La substan
artent de la base des circonvolutions. Les fibres commis-surantes des
régions
antérieures forment la portion réfléchie du corps
ntérieures forment la portion réfléchie du corps calleux ; celles des
régions
postérieures occupent la portion appelée bourrele
rémité postérieure ou caudale et la tête. Les fibres convergentes des
régions
postérieures sont groupées en un gros faisceau qu
VIII. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
supérieure de la couche optique. 1. — Portion
e ou genou du corps calleux formée par les fibres commissu-rantes des
régions
antérieures. 2. — Bourrelet ou splenium du corp
plenium du corps calleux constitué par les fibres commissu-rantes des
régions
postérieures. 3. — Fibres convergentes des régi
missu-rantes des régions postérieures. 3. — Fibres convergentes des
régions
antérieures. 4. — Point de dissociation des fib
du noyau lenticulaire du corps strié. 7. — Fibres convergentes des
régions
postérieures groupées en un faisceau conique, se
ns postérieures groupées en un faisceau conique, se dirigeant vers la
région
postérieure de la couche optique. 8. — Substanc
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. La multipl
s les cellules nerveuses qu'elle renferme, se dirigent toutes vers la
région
centrale ; les fibres commissurantes passent sur
s commissurantes passent sur la ligne médiane pour se rendre dans les
régions
homologues du côté opposé, les fibres convergente
tique (6, Pl. XVIII), l'autre vertical et transverse qui aboutit à la
région
antérieure et externe de la couche optique (6, Pl
Le faisceau des fibres convergentes postérieures vient abou-tir à la
région
postérieure de la couche optique, en passant entr
té postérieure du noyau lenticulaire ; il correspond en ce point à la
région
postérieure de la capsule interne. Entre la sub
XX. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
supérieure du noyau lenticulaire. 1. — Portio
n réfléchie du corps calleux formée par les fibres commissurantes des
régions
antérieures. 2. — Fibres commissurantes des rég
missurantes des régions antérieures. 2. — Fibres commissurantes des
régions
postérieures ou bourrelet du corps calleux. En av
nétrer ou contracter aucune adhérence avec elle, et se dirige vers la
région
postérieure de la couche optique; il porte le nom
ibres blanches, intermédiaire aux deux substances grises, est appelée
région
lenticulo-thalamique de la capsule interne. La po
la capsule interne. La portion antérieure est désignée sous le nom de
région
lenticulo-striée de la capsule interne. La région
gnée sous le nom de région lenticulo-striée de la capsule interne. La
région
postérieure de la capsule interne est occupée par
le gros faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des
régions
postérieures (9), et le fascicule des fibres conv
angle postérieur du noyau lenticulaire; le point d'intersection de la
région
lenticulo-optique avec la région lenticulo-striée
laire; le point d'intersection de la région lenticulo-optique avec la
région
lenticulo-striée est désigné par M. Charcot sous
u vermis superior montrant la disposition des deux substances dans la
région
supérieure du cervelet. XXI. — Encéphale dont o
ne section antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. Substance
tre les bords internes des lobes occipitaux apparaît la section de la
région
supérieure et médiane du cervelet. Les fibres méd
ale des fibres convergentes sur le bord externe de la couche optique (
Région
moyenne de la capsule interne). 8. — Faisceau f
. 8. — Faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des
régions
postérieures. Ce faisceau suit la direction de l'
ipital, contourne la cavité sphénoïdale et se jette en partie dans la
région
postérieure de la couche optique. Son fascicule a
imensions sont beaucoup moins grandes que sur la planche XIX. 15. —
Région
inférieure et interne du centre moyen de la couch
i forment la cavité de la cloison transparente. 24. — Section de la
région
supérieure et médiane du cervelet. Les fibres méd
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. La substan
dans les noyaux opto-striés. Le faisceau des fibres convergentes des
régions
pos-térieures se jette en partie dans la région p
res convergentes des régions pos-térieures se jette en partie dans la
région
postérieure de la couche optique; le fascicule an
roi du ventri-cule moyen. 11 semble par conséquent que les fibres des
régions
internes seulement du lobe occipital soient en co
ions internes seulement du lobe occipital soient en connexion avec la
région
postérieure de la couche optique. Le noyau lent
moins grande de fibres nerveuses qui se distribuent à chacune de ces
régions
du noyau lenticulaire. Ils sont séparés l'un de l
uis toutes ses dimensions; il reçoit des filaments très déliés par sa
région
externe, et par son bord interne un petit fascicu
ns. Un faisceau blanc relie la commissure blanche postérieure avec la
région
postérieure des couches optiques ou pulvinar. G
e sous le nom de corps godronné ou fascia dentata. La section de la
région
supérieure et médiane du cervelet représente la d
'réfléchie du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des
régions
antérieures. 2. — Point de dissociation des fib
rsale des fibres convergentes au bord externe de la couche optique. —
Région
lenticulo-optique de la capsule interne. 6. — F
. 6. — Faisceau formé par le contingent des fibres convergentes des
régions
posté-rieures. 11 s'étend, en arrière du centre m
es blanches, formées par l'épanouissement des fibres convergentes des
régions
antérieures et supérieures. 11. — Dernier vesti
de la couche optique sous l'aspect de fibrilles extrêmement fines. La
région
postérieure de la couche optique (13) est parcour
ant au faisceau convergent postérieur, issues des circonvolutions des
régions
internes du lobe occipital. 14. — En dedans du
et la cavité de la cloison transpa-rente (21). 22. — Section de la
région
supérieure des lobes latéraux du cervelet. Les fi
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur\ faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. Substance
la substance grise de Y espace perforé antérieur, correspondant à la
région
inférieure du ventricule de la cloison ; en arriè
ntérieure limite cette substance grise. Les fibres convergentes des
régions
antérieures et des régions inférieures forment qu
tance grise. Les fibres convergentes des régions antérieures et des
régions
inférieures forment quelques fascicules isolés, s
tement la substance grise du corps strié. Les fibres convergentes des
régions
postérieures semblent se continuer avec les fais-
s convergentes qui formait sur la planche précédente (5, Pl. XXIV) la
région
lenticulo-optique de la capsule interne, est déta
ur immersion dans la substance grise. Le corps strié occupe seul la
région
centrale des hémisphères. Sa tête plonge dans la
es (corps calleux). Quelques fibres convergentes abordent encore à sa
région
antéro-postérieure ; il reçoit principalement les
la commissure blanche antérieure. 1. — Fibres commissurantes des
régions
antérieures et inférieures. 2. — Point de disso
fibres convergentes et commissurantes. 3. — Fibres convergentes des
régions
antérieures et inférieures se dirigeant vers la s
ubstance grise du corps strié. Quelques fascicules isolés occupent la
région
lenti-culo-striée. Le fascicule qui forme la caps
ne du noyau lenticulaire. 5. — Faisceau des fibres convergentes des
régions
postérieures. Ce faisceau croise la bandelette op
le. 11. — Section transversale des fibres spinales au-dessous de la
région
inférieure de la couche optique. 12. — Corpus L
rdant). 23. — Cavité du quatrième ventricule. 24. — Section de la
région
moyenne du cervelet. Les fibres médullaires conve
horizontale antéro-postérieure d'un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. Substance
Substance grise corticale circonscrivant la substance médullaire. La
région
posté-rieure présente encore le ruban de Vicq-d'A
us apparent sur les coupes suivantes. Les fibres commissurantes des
régions
antérieures et inférieures se portent en arrière
xterne du noyau lenticulaire. Le faisceau des fibres convergentes des
régions
postérieures est sectionné sur le bord externe de
de la commissure blanche antérieure. 1. — Fibres commissurantes des
régions
antérieures et inférieures. 2. — Point de disso
fibres commissurantes et convergentes. 3. — Fibres convergentes des
régions
antérieures et inférieures envoyant dans la subst
lobe sphénoïdal, sectionné au niveau de la bandelette optique. 6. —
Région
inférieure du noyau intra-ventriculaire. 7. — R
ptique. 6. — Région inférieure du noyau intra-ventriculaire. 7. —
Région
inférieure du noyau extra-ventriculaire. 8. — R
ulaire. 7. — Région inférieure du noyau extra-ventriculaire. 8. —
Région
inférieure des noyaux jaunes. Le segment externe
pparaissent deux saillies, les eminentia teres. 21. — Section de la
région
moyenne du cervelet. 22. — Section du corps rho
horizontale antéro-postérieure d'un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. Substance
éduites à un ou deux plis seu-lement. Les fibres commissurantes des
régions
antérieure et inférieure se portent en arrière et
l'homme dans la portion arrondie du lobe sphénoïdal; il reçoit par sa
région
antérieure les fibres radiculaires du nerf olfact
n arrière est l'ouverture du quatrième ventricule. La section de la
région
moyenne du cervelet montre la disposition central
la. 3. — Fibres convergentes du lobule orbitaire se portant vers la
région
de la cap-sule interne. Cette direction est nette
des fibres convergentes et commissurantes du lobe sphénoïdal. 5. —
Région
inférieure du noyau intra-ventriculaire du corps
ès fines, qui s'entre-croisent sur la ligne médiane, appartenant à la
région
antérieure des pédoncules cérébraux. 18. — Subs
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. La substan
let montre la disposition convergente des fibres mé-dullaires vers la
région
qu'occupait le corps rhomboïdal qui a été détaché
tion horizontale de un millimètre dépaisseur, passant au niveau de la
région
supérieure de la protubérance annulaire, puis cet
(fibres commissurantes) ; un second faisceau, médian, croise, sur la
région
centrale du chiasma, son homologue de la bandelet
rrelet vers le genou du corps calleux.) Les lobes occipitaux et les
régions
postérieures du cervelet sont détachés par la sec
rantes et convergentes qui partent de la base des circonvolutions des
régions
supé-rieures, moyennes et inférieures. Ces divers
ennes et inférieures. Ces divers ordres de fibres se dirigent vers la
région
centrale, puis se dissocient. Les fibres converge
e portent dans la substance grise des noyaux opto-striés ; celles des
régions
postérieures ont été sectionnées perpendicu-laire
t occipital des ventricules latéraux. Les fibres commissurantes des
régions
supérieures décrivent un trajet curviligne à conc
périeures décrivent un trajet curviligne à concavité tournée vers les
régions
supérieures ; les fibres commissurantes des régio
tournée vers les régions supérieures ; les fibres commissurantes des
régions
inférieures forment une courbe à concavité tourné
une courbe à concavité tournée en bas. Les fibres commissurantes des
régions
moyennes ont un trajet à peu près direct. La se
ou splénium du corps calleux formé par les fibres commissurantes des
régions
supérieures moyennes et postérieures. En haut, ce
tue un raphé sur la ligne médiane (2). 3. — Fibres convergentes des
régions
supérieures et postérieures (fibres de Kólliker)
s et postérieures (fibres de Kólliker) 4. — Fibres convergentes des
régions
moyennes et inférieures. 5. — Section perpendic
laire du faisceau formé par le groupement de fibres con-vergentes des
régions
postérieures (voir ce faisceau sur la série de pl
pédoncules cérébelleux supérieurs (11). La section ayant enlevé la
région
médiane et inférieure du cervelet, le quatrième v
manifeste, nommé eminentia ter es (15) ou fasciculus ter es, vers la
région
moyenne, formé par le genou du nerf facial. En de
es cordons postérieures de la moelle vers la portion inférieure de la
région
cervicale. 18. — Artère vertébrale du côté droi
ction verticale transverse de un millimètre d1 épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
cune la direction qui leur est propre. Les fibres commissu-rantes des
régions
supérieures et postérieures décrivent un trajet c
médiane, le bourrelet du corps calleux. Les fibres commissurantes des
régions
moyennes et inférieures sont sectionnées sur les
, on aperçoit la section des bandelettes géminées. Une partie de la
région
postérieure de la couche optique est enlevée; cet
le mode de pénétration dans sa substance des fibres convergentes des
régions
postérieures. En avant et en dehors de la couche
ostérieure du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des
régions
supérieures, moyennes et postérieures. 2. — Ens
fibres convergentes constituant le centre médullaire. Les fibres des
régions
interne, supérieure, moyenne et inférieure prenne
pilier postérieur du trigone dans le diverticulum sphénoïdal. 6. —
Région
postérieure de la couche optique. Les fibres conv
Région postérieure de la couche optique. Les fibres convergentes des
régions
postérieures de l'hémisphère plongent sous l'aspe
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
tion des circonvolutions de l'insula. Les fibres commissurantes des
régions
postérieures supérieures forment la portion posté
rps calleux. L'ensemble des fibres convergentes et commissurantes des
régions
postérieures à celle de la coupe, sont sectionnée
, PL XXXVI). Le centre postérieur occupe la partie interne de cette
région
de la couche optique; les fibres convergentes pén
ersale-ment d'un côté à l'autre et semble émettre un faisceau dans la
région
inférieure des couches optiques. Au-dessus de cet
n moyenne du corps calleux, formée par les fibres comrnissurantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Les fibres conver
régions supérieures et moyennes. 2. — Les fibres convergentes de la
région
supérieure et celles de la région moyenne (3) se
2. — Les fibres convergentes de la région supérieure et celles de la
région
moyenne (3) se dirigent vers la couche optique ;
uxtaposent aux fibres précédentes et constituent par leur ensemble la
région
postérieure de la capsule interne. Ces divers sys
téralement et en haut à la rencontre des fibres convergentes, vers la
région
postérieure de la capsule interne. 23. —Faiscea
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
l'insula, dans le centre médullaire. Les fibres commissurantes des
régions
supérieures forment la voûte du corps calleux; le
ieures forment la voûte du corps calleux; les fibres convergentes des
régions
supérieures passent entre le noyau caudé et le no
yau lenticulaire (8 et 9 ; Pl. XXXVIII) ; les fibres convergentes des
régions
moyennes se portent en dedans et laissent apercev
cheval. Par conséquent, sur une section transversale, les fibres des
régions
latérales ne sont pas en continuité avec celle de
bres des régions latérales ne sont pas en continuité avec celle de la
région
médiane, ainsi qu'on pourrait le supposer au prem
du centre médullaire de chacun des lobes céré-belleux, proviennent de
régions
déjà détachées par les coupes précédentes. XL.
ou voûte du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
issurantes et des fibres convergentes. 3. — Fibres convergentes des
régions
supérieures et des régions moyennes. 4. — Fibre
nvergentes. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et des
régions
moyennes. 4. — Fibres convergentes des lobes sp
tes des lobes sphénoïdaux. Ces fibres forment avec les précédentes la
région
lenticulo-optique delà capsule interne. 5. —Sub
r dans la substance grise de la couche optique. 24. — Section de la
région
antérieure du cervelet. Le centre médullaire est
est formé parles fibres des pédoncules cérébelleux moyens, issues des
régions
détachées par les coupes précédentes. Ces fibres
ection verticale transverse de un millimètre $ épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
eure dans le diverticulum sphénoïdal. Les fibres commissurantes des
régions
supérieures, forment la région moyenne ou voûte d
ïdal. Les fibres commissurantes des régions supérieures, forment la
région
moyenne ou voûte du corps calleux, séparée de la
le de la commissure blanche antérieure. Les fibres convergentes des
régions
externes et des régions inférieures se jux-tapose
che antérieure. Les fibres convergentes des régions externes et des
régions
inférieures se jux-taposent dans la capsule inter
ou voûte du corps calleux, formée par les fibres commissu-rantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Fibres convergent
s des régions supérieures et moyennes. 2. — Fibres convergentes des
régions
externes et supérieures, plongeant dans la substa
tion verticale transverse de un millimètre cl 'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
ibres nerveuses du centre médullaire. Les fibres commissurantes des
régions
supérieures se portent d'un lobe à l'autre dans l
antes des régions supérieures se portent d'un lobe à l'autre dans les
régions
homologues, en formant, dans la scissure inter-hé
e d'Ammon est épuisée par les coupes successives ; on trouve, dans la
région
du lobe sphénoïdal qu'elle occupait, la substance
olfactif. Les fibres olfactives radiculaires externes contournent sa
région
externe et se dispersent dans sa masse. En haut e
voûte du corps calleux, constituée par les fibres commis-surantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
s fibres convergentes et commissurantes. 3. Fibres convergentes des
régions
supérieures et externes se portant dans la capsul
ue. 4. — Fibres convergentes du lobe sphénoïdalse dirigeant vers la
région
inférieure de la capsule interne. h\ — Substanc
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
aire une sorte d'écorce périphérique. Les fibres commissurantes des
régions
supérieures et moyennes constituent la voûte du c
erne du noyau lenticulaire (9 PL XLIV). Les fibres convergentes des
régions
supérieures et moyennes n'atteignent plus la cap-
cap-sule interne. Celle-ci est formée par les fibres convergentes des
régions
antérieures et par les fibres spinales antérieure
ouissement des fibres olfactives radiculaires externes, traversent la
région
externe de la substance grise des ganglions olfac
du lobe sphénoïdal. XLVI, Coupe verticale transverse passant par la
région
moyenne du chiasma des nerfs optiques. 1. — P
ou voûte du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Point de séparati
fibres commissurantes et convergentes. 3. — Fibres convergentes des
régions
supérieures et moyennes, interrompues à l'entrée
pues à l'entrée de la capsule interne. 4. — Fibres convergentes des
régions
antérieures (6; Pl. XX), croisant la direction de
ction verticale transverse de un millimètre a" épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
tion crêtée (Sinus corporis callosi). Les fibres commissurantes des
régions
supérieures et moyennes passent d'un lobe à l'aut
régions supérieures et moyennes passent d'un lobe à l'autre dans les
régions
homologues et constituent sur la ligne médiane la
rantes du lobe sphénoïdal se portent en haut et en dedans; celles des
régions
postérieures de ce lobe se sont groupées en un fa
moyen des noyaux jaunes (8, Pl. XLVI). Les fibres convergentes des
régions
supérieures et externes ne dépassent pas l'entrée
rne contourne la face externe du putamen. Les fibres convergentes des
régions
antérieures émergent entre le noyau caudé et le n
enticulaire ; leur direction croise celle des fibres convergentes des
régions
supérieures. La couche optique est réduite à la
antérieure du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
ergentes et des fibres commissurantes. 3. — Fibres convergentes des
régions
supérieures et moyennes s'étendant jusqu'à l'entr
usqu'à l'entrée de la capsule interne. 4. — Fibres convergentes des
régions
antérieures, croisant la direction des fibres pré
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vei^s le genou du corps calleux. L
la portion antérieure du corps calleux. Les fibres commissurantes des
régions
inférieures se portent en dedans, puis se relèven
interne, constituée en majeure partie par les fibres convergentes des
régions
antérieures, par le contingent des fibres des rég
onvergentes des régions antérieures, par le contingent des fibres des
régions
inférieures et internes (7; Pl. IV) et par les fi
s médullaires de leur extrémité antérieure; leurs connexions avec les
régions
centrales ne sont plus apparentes. La section é
ou genou du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
ans la capsule interne. 4. — Fascicules des fibres convergentes des
régions
antérieures et des régions inférieures et interne
. — Fascicules des fibres convergentes des régions antérieures et des
régions
inférieures et internes. 5. — Fascicule qui fór
. 6. —Substance grise de l'avant-mur. 7. — Fibres médullaires des
régions
antérieures du lobe sphénoïdal. 8. — Fibres com
ions antérieures du lobe sphénoïdal. 8. — Fibres commissurantes des
régions
inférieures et antérieures se relevant en haut et
section verticale trans-verse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. La
niers vestiges des lobes sphénoïdaux. Les fibres commissurantes des
régions
supérieures et moyennes se détachent de la base d
oyennes se détachent de la base des circonvolutions, passent dans les
régions
homologues du lobe du côté opposé, en formant sur
réfléchie ou genou du corps calleux. Les fibres commissurantes des
régions
inférieures ou lobules orbitaires, contour-nent l
rps strié, se dirigent en dedans et en haut vers leurs congénères des
régions
supérieures, auxquelles la lamelle de la cloison
bec du corps calleux (voir Pl. II). Les fascicules convergents des
régions
antérieures traversent, dans presque toute sa hau
latéraux et plus bas avec les faisceaux des fibres commissurantes des
régions
inférieures ou orbitaires. Cette section des hé
onc des nerfs olfactifs; on remarque que la substance grise occupe la
région
centrale et l'angle supérieur, tandis que la subs
e gaine à ce tronc. LU. — Coupe verticale transverse passant par la
région
antérieure du noyau lenticulaire. 1. — Portion
du genou du corps calleux, formée par les fibres commissu-rantes des
régions
supérieures et moyennes. !. — Point de dissocia
Point de dissociation des fibres convergentes et commissurantes de la
région
supérieure. 3. — Fibres convergentes des région
ommissurantes de la région supérieure. 3. — Fibres convergentes des
régions
supérieures et moyennes, plongeant dans la substa
ans la substance grise du corps strié. 4. — Fibres convergentes des
régions
antérieures, séparées en fascicules isolés et str
é plus bas avec les fascicules formés par les fibres convergentes des
régions
inférieures et internes. 5. — Fascicule qui for
ociée par l'ensemble des fibres conver-gentes et commissurantes de la
région
moyenne. 7. — Point de séparation des fibres co
— Point de séparation des fibres convergentes et commissurantes de la
région
inférieure. 8. — Fibres commissurantes des régi
missurantes de la région inférieure. 8. — Fibres commissurantes des
régions
inférieures se rendant dans les régions homologue
. — Fibres commissurantes des régions inférieures se rendant dans les
régions
homologues des lobules orbitaires. Elles forment,
e, une lame épaisse, qui tend à rejoindre les fibres congénères de la
région
supérieure. 9. — Section des lamelles de la clo
ques groupes sont coupés perpendiculairement à leur direction. H. —
Région
antérieure du segment externe du noyau lenticulai
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. Ce
grise qui forme la couche corticale est moins abondante que dans les
régions
postérieures des hémisphères cérébraux ; cependan
s. Le centre médullaire est formé par les fibres commissurantes des
régions
supé-rieures et moyennes qui constituent la porti
tion réfléchie du corps calleux, et par les fibres commissurantes des
régions
inférieures ou orbitaires qui forment la portion
tance grise centrale qui s'étale, depuis l'aqueduc de Sylvius, sur la
région
médiane de l'encéphale ; chacune de ces couches d
du corps strié. Les fascicules stratifiés des fibres convergentes des
régions
antérieures dissocient cette masse de substance g
ssocient cette masse de substance grise ; les fibres convergentes des
régions
infé-rieures et internes complètent l'isolement d
ou genou du corps calleux, formée par les libres commissu-rantes des
régions
supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
s fibres commissurantes. 3 — Fascicules des fibres convergentes des
régions
antérieure, moyenne et infé-rieure pénétrant dans
ibres conver-gentes et commissurantes. 5. — Fibres convergentes des
régions
inférieures ou orbitaires. 6. — Fibres commissu
s régions inférieures ou orbitaires. 6. — Fibres commissurantes des
régions
inférieures ou orbitaires constituant, avec leurs
ions inférieures ou orbitaires constituant, avec leurs congénères des
régions
supérieures, la portion réfléchie ou genou du cor
tif, montrant la forme triangulaire et la substance grise située à la
région
centrale. LV. — Coupe verticale transverse pass
du corps calleux, formé par l'ensemble des libres commissurantes des
régions
supérieure, moyenne et infé-rieure ou orbitaire.
émisphérique, qu'elles contournent et gagnent dans le lobe opposé les
régions
homologues à celles dont elles dérivent. Ces fibr
curviligne, à concavité supérieure pour les fibres commissurantes des
régions
supérieures, à concavité tournée en bas pour les
s régions supérieures, à concavité tournée en bas pour les fibres des
régions
inférieures. Ces faisceaux curvilignes s'adossent
hement progressif de la portion médiane des fibres commissurantes des
régions
supérieures et inférieures. 3. — Fibres arcifor
75 XII. Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la
région
moyenne du noyau lenticulaire..................
....... 80 XV. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la
région
moyenne du corps calleux. 82 XVI. Coupe horizon
XVI. Coupe horizontale antéro-postérieure passant au niveau "de" la
région
moyenne "du noyau caudé........................
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau..............
XVIII. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
supérieure de la couche optique................
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau............
9 XX. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
supérieure du noyau lenticulaire...............
section antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. . . 93 XXI
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau,.............
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau..............
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau......¦.......
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau..............
zontale antéro- postérieure de un millimèlre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau............
ion horizontale de un millimètre d'épaisseur, passant au niveau de la
région
supérieure de la protubérance annulaire, puis c
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 121
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 125
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 130
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 134
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 139
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 143
corps calleux. 143 XLVI. Coupe verticale transverse passant par la
région
moyenne du chiasma des nerfs optiques. 144 XLVI
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 146
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 149
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 152
du corps calleux. 152 LU. Coupe verticale transverse passant par la
région
antérieure du noyau lenticulaire. . . 153 LUI.
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. 154
les deux tiers anté- rieurs de l'hémisphère droit et sectionnant la
région
thalamique de la capsule interne et le trou de
sceau occipito-frontal vus sur une coupe horizontale passant par la
région
Lhalamique supérieure de la capsule interne (déta
x couches sagit- tales vus sur une coupe vertico-transversale de la
région
du genou du corps calleux. Méthode de Weigert (
zone dégénérée occupe la substance blanche non diffé- renciée de la
région
, le faisceau compact de la couronne rayonnante (C
lale, mais il s'en distingue par la longueur de ses fibres. Dans la
région
du carrefour ventriculaire, le segment postérie
triculaire et se réfléchit autour de son plancher (Fig. 9). Dans la
région
occipitale (Fig. 8), il forme un cône creux qui
rtiennent toutes, par contre, aux fibres de pro- jection. Dans la
région
occipitale et dans la partie postérieure du carre
onnante et ses deux couches sagit- tales externe et interne dans la
région
occipitale. Coupe vertico-transversale passant
postérieure du segment supérieur de la couronne rayonnante dans la
région
du carrefour ven- triculaire, au voisinage du s
calleux. - Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulul11, dans la
région
adjacente au tronc du corps calleux. - Cing (p)
e affectent sur les coupes horizontales sériées, qui intéressent la
région
du noyau amygdalien : on les voit se recourber
rieur et postérieur de la couronne rayonnante et passant par la
région
de transition entre la cap- sule interne et l
. - Coupe hori- zontale de l'hémi- sphère gauche passant par la
région
thalamique moyenne de la capsule interne et s
ES CENTRES NERVEUX. Fig. 1 ? - Coupe horizon- tale passant par la
région
sous-thalamique de la capsule interne, et sec
L'ECORCE CÉRÉBRALE. 23 Fic,. 46.-Coupe horizontale passant par la
région
sous- thalamique de la capsule interne, au vo
. Division do la cap - suie interne en ré- gion thalamique et
région
sous-thala- mique. Aspect coudé de la régio
on thalamique et région sous-thala- mique. Aspect coudé de la
région
thalamique de lacapsulc interne sur les coupe
4 ï). Cette inclinaison de la capsule interne variable suivant les
régions
, dépend essentiellement de la forme du noyau le
ersales (Fig. 17), permettent de diviser la capsule interne en deux
régions
, l'une supérieure en rapport avec la couche opt
en deux régions, l'une supérieure en rapport avec la couche optique
région
thalamique de la capsule interne Cip(th), l'aut
gion thalamique de la capsule interne Cip(th), l'autre inférieure -
région
sous-thalamique de la cap- sule interne Cip(sth
us-thalamique de la cap- sule interne Cip(sth) en connexion avec la
région
sous-optique de Forel et en continuité directe
versales qui passent en arrière de la circonvolution du crochet, la
région
sous-thalamique de la capsule in- terne reçoit
ule cérébral (P) (Fig. -17). La division de la capsule interne en
région
thalamique et sous-thala- mique paraît de peu d
sur les coupes vertico-transversales, où la couronne rayonnante, la
région
thalamique de la capsule, la région sous- thala
, où la couronne rayonnante, la région thalamique de la capsule, la
région
sous- thalamique et le pied du pédoncule cérébr
(Fig. 18). Sur toutes les coupes horizontales qui passent par la
région
thala- mique, la capsule interne affecte la for
om de genou de la capsule interne Ci (g). Dans le tiers moyen de la
région
thalamique, lorsque apparaissent les deux segment
t, que les coupes se rapprochent davantage du tiers inférieur de la
région
thalamique de la capsule interne. FIBRES DE PRO
par rapport au plan sagittal médian. La zone de transition entre la
région
thalamique et la région sous-thalamique du seg-
ttal médian. La zone de transition entre la région thalamique et la
région
sous-thalamique du seg- ment postérieur de la c
ntillée passant sur la bandelette optique établit les limites de la
région
sous-optique de la capsule interne et du pied du
pédoncule cérébral. Cia, segment antérieur; Ci(g), genou; Ci])[th),
région
thalamique; Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE
ment antérieur; Ci(g), genou; Ci])[th), région thalamique; Cip(slle),
région
sous- 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dans l
Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dans la
région
sous-thalaml(jue, la capsule interne se réd
re. thalamique du segment postérieur de la capsule interne. - Cirl,
région
rétro-lenticulaire; Cisl, région sous-lenticula
eur de la capsule interne. - Cirl, région rétro-lenticulaire; Cisl,
région
sous-lenticulaire de la capsule interne. - pCR, l
te. - P, pied du pédoncule cérébral. - l'y, sa continuation dans la
région
protubérantielle (Po). - CL, corps de Luys. - coa
. - Th, thalamus. - Pul, pulvinar. - fiv, zone de Wernicke. Dans la
région
sous-thalamique de la capsule interne, le segment
inée à montrer les différents aspects de la capsule interne dans la
région
de transition entre le pied de la couronne rayonn
e pied de la couronne rayonnante et la capsule interne (1); dans la
région
thalamique (2, 3, 4, : i); dans la région sous-
apsule interne (1); dans la région thalamique (2, 3, 4, : i); dans la
région
sous-thalamique (6, 7, 8) et dans le pied du pé
et sectionne le fais- ceau géniculé dans la partie inférieure de la
région
thalamique (i, i>, 6). Ci, capsule interne;
NU, noyau rouge. - Qa, tu- bercule quadrijumeau antérieur. - RsTh,
région
sous-optique de Foret. - Tga, pilier anté- rieu
ant au segment sous-lenticulaire (Cisl) qui appartient à cette même
région
, il s'insinue entre les segments rétro-lenticul
raduellement et sur les coupes horizontales sériées on constate une
région
de transition très nette entre les régions thal
s sériées on constate une région de transition très nette entre les
régions
thalamique et sous-thalamique de la capsule int
tail que, bien que le segment antérieur (Cia) n'appartienne qu'à la
région
thalamique de la capsule interne, on trouve néa
é- rieur de la capsule interne (Cia) croisent d'avant en arrière la
région
an- térieure et basale de la tête du noyau caud
triées (fibres rr.ç7.P- FIG. 20. Coupe horizontale intéressant la
région
de transition entre le pied de la couronne rayo
région de transition entre le pied de la couronne rayonnante et la
région
thalamique de la capsule interne. Cette coupe sec
NTRES NERVEUX. Aspect du genou aux différentes hau- teurs de la
région
thalamique. tionne le stratum zonale du thala
capsule interne présente, suivant les différentes hau- teurs de la
région
thalamique, un aspect et une constitution variabl
cap- sule interne proprement dite, et appartiennent à une véritable
région
de transition, dans laquelle les fibres de segm
JECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 31 ne. 21. - Coupe horizontale dû la
région
thalamique moyenne intéressant le segment antér
CENTRES NERVEUX. Lo faisceau géni- culé n'apparaît qui dans la
région
t6a- lamique inférieure. Il occupe la partie
Il occupe la partie antérieure du seg- ment postérieur de la
région
sous-thala- mique et la partie interne du pie
(Cip) en formant le genou de la capsule interne. C'est donc dans la
région
thalamique infé- rieure seulement,. qu'il exist
le du genou de la capsule interne et du faisceau géniculé · dans la
région
thalamique inférieure. Méthode Weigert. bcl, ba
bandelette optique. postérieure du segment antérieur (Cia). Dans la
région
sous-thalamique, ce faisceau occupe le cinquièm
étude montre en outre que le faisceau géniculé est renforcé dans la
région
thalamique inférieure par quelques fibres qui,
s'épuisent chemin faisant dans le locus niger et peut-être dans la
région
sous-thalamique, mais n'atteignent pas le sillon
de la capsule interne et les rapports de ce dernier segment dans la
région
sous-thalamique avec la zona incerta, le corps
ressant la base du noyau lenticulaire et la partie supérieure de la
région
sous-thalamique et sectionnant les commissures an
tudinal 36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Leurs rapports dans la
région
ttta- lamique de la cap- sule. Leurs rappor
région ttta- lamique de la cap- sule. Leurs rapports dans la
région
sous- thalamique. inférieur. - P.1[, faisceau
e optique. Les fibres du segment postérieur (Cip) appartiennent aux
régions
tha- lamique et sous-thalamique de la capsule i
s tha- lamique et sous-thalamique de la capsule interne : Dans la
région
thalamique, elles passent d'abord entre le tronc
i passent par ses tiers moyen et inférieur (Fig. 21, 43). Dans la
région
sous-thalamique (Fig. 21.), le segment postérieur
a capsule de ce noyau (CNU) (Fig. 28). Dans la partie moyenne de la
région
sous-thalamique (Fig. 24), le faisceau lenticul
ona incerta à son tiers postérieur. Dans la partie inférieure de la
région
sous- thalamique, le faisceau lenticulaire de F
ect sur les coupes horizontales. Les segments pos- térieurs des
régions
thalamique et sous- thalamique de la capsul
radiations strio- thalamiques et strio- sous-thalamiqucs. de la
région
sous-thalamique : ses fibres s'insinuent d'abord
nettement des fibres du segment postérieur (Cip) qui traversent la
région
thalamique de la capsule interne (Fig. 24, 28, 47
ins obliquement et gardent cette direction oblique, jusque dans les
régions
supérieures du pied du pédoncule cérébral (Fig.
u de Turck. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) de la
région
sous- thalamique (Fig. 25) n'est donc pas l'équ
. 25) n'est donc pas l'équivalent du segment postérieur (Cip) de la
région
thalamique (Fig. 21). Il représente ce dernier se
egment, plus le faisceau de Turck. Dans leur trajet à travers les
régions
thalamique et sous-thalamique de la capsule int
ne et qui appartiennent aux radiations strio- thalamiques : dans la
région
thalamique (Fig. 21), elles proviennent en gran
llidus, et s'irra- dient dans le noyau externe du lhalamus. Dans la
région
.so2.v-tlalazziqztc (Fig. 24) elles sont fourni
Il, scissure de Rolando. - IiC, radiations de la calotte. - Rgltm,
région
du ruban de Reil médian. - 11Tlc, radiations th
Le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne appartient aux
régions
thalamique et sous-thalamique. Il se présente sur
e. Il se présente sur les coupes hori- zontales sous l'aspect d'une
région
rectangulaire, que la queue du noyau caudé et l
es coupes passant par le tiers inférieur de la couche optique et la
région
sous-thalamique (Fig. 24), le segment rétro-len
rde la partie pos- térieure du segment pos- térieur (Cip) dans la
région
sous - thalamique et des- cend ensuite dans l
au voisinage du pied du pédoncule cérébral et ses rapports dans la
région
sous-optique avec le corps de Luys, l'anse lentic
n évidence sur les coupes vertico-transversales et sagittales de la
région
(Fig. 29, 30 et 281) : la couche supérieure com
nnant le segment rétro-lenlicu- laire de la capsule interne dans la
région
adjacente au segment postérieur. Méthode de Wei
ecourbée et extrémité antérieure de la queue du noyau caudé dans la
région
où il se fusionne avec le pédoncule du putamen (V
rieur. -RC, radiations de ta calotte. 7 ? ruban de Reil médian; 7 ?
région
de la couche optique située immé- diatement en
ncule cérébral (P, Fig. 12, 25, 33, 34, 35, 36, i) fait suite il la
région
sous-thalamique de la capsule interne; ses libres
le interne, qui ne se sont arrêtées ni dans le thalamus, ni dans la
région
sous-thalamique, ainsi que les fibres du segmen
de Luys, appartient en réalité au seg- ment postérieur (Cip) de la
région
sous-thalamique de lacapsule interne, la partie
nticulaire (Al), (Fig. 33 et 44) qui se portent en arrière, dans la
région
sous-optique, pénètrent en partie dans la capsule
trent en partie dans la capsule du noyau rouge et en partie dans la
région
anléro-ventrale du thalamus, mais n'entrent pas
psule interne, le segment inférieur de la couronne rayonnante et la
région
de transition entre le segment sous-thalamique
es et strio-luysiennes qui sillon- nent la capsule interne dans ses
régions
thalamiques et sous-thalamiques. Les coupes hor
rsent le locus niger et s'accolent au ruban de Reil médian dans les
régions
inférieures du pied du pédon- cule cérébral. Il
doncule cérébral, puis s'infléchissent en dedans au voisinage de la
région
sous-optique, passent en avant du corps genouil
ied du pédoncule cérébral, on trou- vera toujours aux confins de la
région
sous-optique (cas Schweigoffer, Fig. 120, p. 13
tro- lenticulaire de la capsule interne et qui, sectionnant dans la
région
thalamique, les deux tiers postérieurs du segme
la couronne rayon- nante et entraîné une hémiplégie gauche. Dans la
région
pédonculaire supérieure (Fig. 39), la zone dégé
ne dégénérée occupe la partie moyenne du pied du pédoncule; dans la
région
pédonculaire inférieure (Fig. 40), elle s'étale à
ne dégénérée est colorée en jaune. - Remarquer l'atrophie extrême des
régions
non dégénérées du pied du pédoncule cérébral et
ule quadriju- meau antérieur. - Riel, ruban de Reil médian. - RgRm.
région
du ruban de Reil médian. - SgAq, substance gris
ig. 39 et 40). Dans ce cas, la zone dégénérée (P(cl) occupe dans la
région
pédonculaire supérieure la partie moyenne du pi
e, la couronne rayonnante du thalamus, et proviennent de toutes les
régions
du manteau cérébral, puisqu'une lésion corticale
es. Leur origine. Leur trajet. FIG. 41. Coupe horizontale de la
région
thalamique de la capsule interne. Méthode de We
ux et se rendent dans le septum lucidum; fp, fibres perforantes des
régions
antérieures du corps calleux se rendant dans le
faisceaux distincts, que d'un groupement de fibres des différentes
régions
corticales. Aussi diviscrons-nous les radiation
l'élude des dégénérescences secondaires (voy. p. 90 et suiv.), une
région
déterminée de la couche optique. Les lésions du
avec le thalamus. A chaque territoire cor- tical correspond une
région
déterminée de la couche optique. 60 ANATOMIE
du thalamus, et la zone dégénérée occupe dans la couche optique une
région
qui correspond très exactement à la zone capsulai
e interne. - Coupe horizontale passant par la partie inférieure de la
région
thalamique et intéressant le centre médian de L
; l'obli- quité des fibres radiées est, en effet, minime dans cette
région
qui reçoit, en outre, des fibres radiées du lob
oyau rouge. - Coupe horizontale oblique en bas et en dehors de la
région
sous-optique et du pied du pédon- cule cérébral
culaire (Al) et la partie inlerne du segment postérieur (Cip) de la
région
sous-thalamique de la capsule interne, passent
, et, dans le segment rétro- lenliculaire de la capsule interne, la
région
sous-thalamique supérieure. C'est dans cette de
ne, la région sous-thalamique supérieure. C'est dans cette dernière
région
que les radiations du corps genouillé externe e
ubercule quadrijumeau antérieur. - Coupe horizontale passant par la
région
inférieure du thalamus aux confins de la région
tale passant par la région inférieure du thalamus aux confins de la
région
sous-optique. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur na
- 11111, pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - rgRm,
région
du ruban de Reil médian. - RTh, radiations opti
s du tubercule quadrijumeau antérieur. Les unes appartiennent à des
régions
plus élevées du segment rétro-lenticulaire de l
e et abordent le tubercule quadrijumeau antérieur aux confins de la
région
sous-optique en passant en avant du corps genouil
sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), suivent dans cette
région
le trajet du faisceau de Turck et traversent av
re médian de Luys (Nm), champ que nous avons désigné sous le nom de
région
du ruban de Reil; il s'accole ensuite à la part
ie supérieure du segment postérieur de la couronne rayonnante et la
région
thalamique du seg- ment rétro-lenticulaire de l
sl) de la capsule interne et s'enchevêtrent intime- ment dans cette
région
avec les fibres de projection corticale à trajet
trice facio-I)ha-y21go-Ici,yiègée (Fig. 236). Elles passent dans la
région
thalamique supérieure par la partie postérieure
térieure du segment antérieur de la capsule interne (Cia), dans les
régions
thalamiques moyenne et inférieure, par le faisc
(Ci(g) et la partie antérieure du segment postérieur (Cip); dans la
région
sous-thalamique, elles occupent la partie antérie
interne du pied du pédoncule est croisé en haut (au voisinage de la
région
sous-optique), par les fibres de l'anse du noya
ne du pied du pédoncule cérébral et la distance qui sépare, dans la
région
sous-tha- lamique, le faisceau dégénéré du bord
ue et de l'opercule frontal, ne reçoit pas quelques libres d'autres
régions
corticales, en particulier du lobe frontal. Ces
ni de la face externe et moyenne de F3, puisque les lésions de ces
régions
s'accompagnent d'une intégrité parfaite du pied
rieur de la capsule interne (Cip) et occupent, dans ce segment, une
région
d'autant plus antérieure et d'autant plus rappr
du genou de la capsule (Ci[g]) et, dans le pied du pédon- cule, une
région
d'autant plus voisine du faisceau interne, qu'ell
'autant plus voisine du faisceau interne, qu'elles pro- viennent de
régions
rolandiques plus inférieures et plus antérieures.
rieure du segment pos- térieur de la capsule interne (Cip); dans la
région
thalamique de la capsule interne, ces fibres so
ère par le segment rélro-lenliculaire de la capsule (Cirl); dans la
région
sous-thalamique, elles sont séparées du segment
occipital; la partie postérieure du noyau externe du thalamus et la
région
sous-optique, en particulier le noyau rouge reçoi
s fibres du segment supérieur ou sus-sylvien du secteur moyen et la
région
orbitaire du lobe frontal (colorées en rose) occu
région orbitaire du lobe frontal (colorées en rose) occupent dans la
région
tha- lamique le genou et le segment postérieur
ique le genou et le segment postérieur de la capsule interne, dans la
région
sous-thalamique les cinq sixièmes antérieurs, d
rne (Cisl), s'irradient dans le corps genouillé interne (Cgi) et la
région
ventrale du thalamus, et occupent dans la région
interne (Cgi) et la région ventrale du thalamus, et occupent dans la
région
sous-thalamique le sixième postérieur du segmen
du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge. - Il pul- vinar. - RsTh,
région
sous-thalamique. - Th, couche optique. - Qa, tube
abordent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans la
région
sous-thalamique. Elles s'insinuent entre la parti
e (méthode de Marchi). Pusateri (1898) en extirpant chez le chat la
région
temporale moyenne (zone auditive de Munck) cons
ence de ce faisceau et sa terminaison dans la substance grise de la
région
supé- rieure de la protubérance. Quant aux fonc
le faisceau moyen, cela lient uniquement à ce que les lésions de la
région
temporale, en particulier de la partie moyenne de
ons temporales, sont sensiblement moins com- munes que celles de la
région
rolandique. S'il dégénère plus rarement encore
oyau lenticulaire, il ne peu aborder la capsule inlerne que dans la
région
sous-optique. C'est aujourd'hui un fait bien conn
gion sous-optique. C'est aujourd'hui un fait bien connu que dans la
région
thalamique les lésions de la partie postérieure d
par une éventualité que je crois très rare, la lésion porte dans la
région
sous-thalamiquo sur la partie postérieure du se
re du segment postérieur de la capsule interne, c'est-à-dire sur la
région
où le faisceau de Tiirck aborde la capsule in-
férieur de la cou- ronne rayonnante. Dans ces cas il existe dans la
région
sous-optique, ainsi que nous avons pu le consta
stérieur de la capsule interne, mais cette zone fait défaut dans la
région
thalamique de la capsule. En RÉSUMÉ : Les fibre
pyramidal. Les radiations du locus niger tirent leur origine de la
région
rolan- dique. La dégénérescence du locus niger
onclure que les radiations du locus niger proviennent sur- tout des
régions
rolandiques supérieures. Parmi les fibres qui s
n particulier de ses trois quarts supérieurs; ils occupent, dans la
région
thalamique de la capsule interne, tout le seg-
compris) jusqu'au segment rétro- lenticulaire. Ils passent dans la
région
sous-thalamique par les trois cin- quièmes moye
dien; 6, par l'entre-croisement inférieur des pyramides; 7, par la
région
supérieure de la moelle cervicale. - Les voies
e de la pyramide (coupe 5) et le cordon antérieur homolatéral. - Cbr,
région
moyenne du pied du pédoncule cérébral dans laqu
1). - La, (coupe 4), la partie antérieure du ruban de Reil dans la
région
bulbaire, ses rapports avec l'olive bulbaire et
de prennent leur origine dans le gyrus sigmoïde (c'est-à-dire dans la
région
désignée sous le nom de zone motrice par Hitzig
sous le nom de zone motrice par Hitzig) et que l'extirpation de cette
région
, sans lésions concomitantes des corps striés, p
que le pied du pédoncule cérébral contenait à côté de FiG. 52. - La
région
pyrami- dale du pied du pédon- cule cérébral,
deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne (
région
pyramidale de la capsule); Un faisceau externe
e du noyau lenticulaire et avec le faisceau d'Arnold. Fig. 53. - La
région
pyramidale de la capsule interne et du pied du
du pied du pédoncule, d'après Flechsig. 1, coupe horizontale de la
région
thalamique de la capsule interne; 2, coupe ^hor
ion thalamique de la capsule interne; 2, coupe ^horizontale de la
région
sous-optique de la capsule interne; 3, coupe tran
orale; 2° Le faisceau moyen (p), faisceau pyramidal, occupe dans la
région
pédonculaire infé- rieure le tiers moyen et dan
dans la région pédonculaire infé- rieure le tiers moyen et dans la
région
pédonculaire supérieure, le troisième quart ext
ron- tale ascendante; elles dégénèrent à la suite de lésions de ces
régions
, occupent le bord interne du pied du pédoncule
me le croyaient Meynert, Flechsig, etc., un faisceau venant de la
région
occipito-temporale, mais qu'il vient delapartie
ion aux centres inférieurs du nevraxe; elles comprendraient : 1° la
région
rolandique, le lobule paracenlral,la partie adj
unes aux autres les sphères sensorielles et la sphère 1 ic. 34. La
région
pyramidale du pied du pédon- cule cérébral, d'a
de projection dans le pied du pédoncule cérébral, et de là dans les
régions
inférieures du névraxe. Les secteurs antérieur
sensoriels et sensitivo-moteurs se développent plus vite que d'autres
régions
de l'écorce, puisqu'ils sont d'ordre phylogénét
as en haut; elle peut être suivie avec beaucoup de facilité dans la
région
sous-thalamique de la capsule interne; dans la
ilité dans la région sous-thalamique de la capsule interne; dans la
région
thalamique inférieure et moyenne il n'existe plus
yer de ramollissement du noyau lenticulaire ayant sectionné dans la
région
thalamique moyenne la partie antérieure du segmen
du carrefour ventriculaire, et une atrophie des circonvolutions des
régions
pariéto- occipito-temporales dans les régions l
s circonvolutions des régions pariéto- occipito-temporales dans les
régions
légèrement teintées de la figure 5G qui ne mesu
es libres qui prennent leur origine ou qui se terminent dans la
région
lésée. région inférieure du bulbe. Dégénérescen
prennent leur origine ou qui se terminent dans la région lésée.
région
inférieure du bulbe. Dégénérescence de la pyramid
corticales récentes, étudiées au Marchi, montrent en effet, dans ces
régions
, l'existence d'un grand nombre de fibres saines
re en relation intime, directe et étroite avec un certain nombre de
régions
du névraxe qui dégénèrent toujours et très rapi
aphasie. Vaste lésion cor- ticale. Coupe horizontale passant par la
région
thalamique inférieure. - Dégénéres- cence compl
e c'est par cette couche que passent les fibres de projection de la
région
occipitale (faces interne et externe), ce cas cor
Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la partie supérieure de la
région
sous-thalamique de la capsule interne. - Dégéné
e en grande partie à la disparition du feu- trage des fibres de ces
régions
. 2° Il existe : une dégénérescence complète des
ys (\m), le FiG. 69. - Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la
région
sous-optique. Dégéné- rescence complète du segm
(CNR,), de la commissure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la
région
du mban de Reil médian (rgRm). - Méthode de Weige
tes, tandis que les systèmes de fibres qui relient le thalamus à la
région
de la calotte, et ceux qui relient le corps slrié
iqucs slrio-Luysiennes, etc. (Voy. p. 321), qui'traversent dans les
régions
thalamique et sous-thalamique le segment postér
ence directe de sa dégénérescence (Fig. 78). FiG. 70. - Cas Pradel.
Région
sous-thalamique. - Dégénérescence totale du pied
xterne, au noyau rouge de Stilling,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel.
Région
pédonculaire supérieure. - Dégénérescence totale
s s'épuisent dans le locus niger et la Fic. 73 et 74. - Cas Pradel.
Région
pédonculaire moyenne et inférieure. - Dégéné- r
'absence ou le FiG. 77. - Cas Pradel. Quatre coupes de moelle des
régions
cervicale, dorsale moyenne, dorsale inférieur
upe horizontale du segment postérieur de la capsule interne dans la
région
sous-optique. Les fibres horizontales saines ma
dinales sont totalement dégénérées. -Com- parez cette coupe avec la
région
sous-optique du côté sain (Fig. 67), et avec la
une) irrigue l'extrémité an- térieure de la couche optique et de la
région
sous-optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
n particulier le faisceau longitudinal inférieur) et le tapetum de la
région
(Fig. 8G). Cette lésion a entraîné les dégéné
lleux occupe toute la paroi interne de la corne occipitale. Dans la
région
du bourrelet ces fibres sont renforcées par les f
ent la face inférieure du lobe occipital à la face supérieure de la
région
pariéto-occihilale est en partie masquée par le
ourrière. - Cécité verbale pure. - Coupe horizontale passant par la
région
thalamique moyenne, intéressant le segment antéri
Courrière. Cécité veibale pure. Coupes horizontales passant par la
région
sous-optique (Fig. 82) et par la partie inférieur
la région sous-optique (Fig. 82) et par la partie inférieure de cette
région
au voisi- nage de la bandelette optique (Fig. 8
le pure. Coupes horizontales passant par la partie inférieure de la
région
sous-optique au voisinage de la bandelette opti
artie antérieure du foyer ancien datant de quatre ans (Fpa). Dans les
régions
postérieures au plan par lequel passe celte cou
l'écorce du fond de la scissure calcarine (K) et rejoint dans celle
région
la vaste plaque jaune qui a détruit le lobule lin
Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe horizontale de la
région
thalamique inférieure de la capsule interne droit
Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe horizontale de la
région
sous-thalamique de la capsule interne. - Dégénére
p), dégénérescence de la substance blanche non diffé- renciée de la
région
temporo-pariétale. Dégénérescence du forceps majo
segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante dans la
région
correspondant à la deuxième circonvolution tempor
obliques en bas et en dehors passant par le thalamus (Fig. 91), la
région
sous-optique (Fig. 95), le pied du pédoncule cé
ieiicéplitilique du LI PI, courbe. Coupe horizontale passant par la
région
thalamique moyenne. Dégénérescence des couches sa
l'écorce du pli courbe, et la substance blanche sous-jacente de la
région
, de telle sorte que l'on voit intacte, dans le
Coupe horizontale un peu oblique en bas et en dehors passant par la
région
thalamique moyenne de la capsule interne : 1° dég
capsule interne (Cip). Cette dernière dégénérescence occupe dans la
région
thalamique la partie postérieure du segment posté
postérieur de la capsule interne (Cip, Fig. 102 et 103). Dans la
région
sous-thalamique (Fig. 10) elle est refoulée en av
ndante et de l'opercule pariétal, et ne s'observe que lorsque cette
région
est lésée. . Dans les vastes lésions du lobe pa
du lobule pariétal inférieur. - Coupes horizontales passant par la
région
thalamique moyenne de la capsule interne (Fig. 10
oyenne de la capsule interne (Fig. 102), la partie inférieure de la
région
jthalamique (Fig. 103) et la région sous-thalamiq
02), la partie inférieure de la région jthalamique (Fig. 103) et la
région
sous-thalamique (Fig. 104). Méthode de Weigert.
rs une dégénérescence : 1° des courtes fibres d'asso- ciation de la
région
et du faisceau occipital vertical (Ov), qui recou
scendantes (Pa) (cas Scheule, Fig.100 à 112), elle occupera dans la
région
thalamique la partie posté- rieure du segment p
lamiques abandonnent la capsule interne dans toute la hauteur de la
région
thalamique et s'ir- radient dans les tiers supé
et cortico-médullaires descendent dans le segment postérieur de la
région
sous-thalamique de la capsule interne et dans le
one rolandique ne paraît pas posséder de fibres de projection pour la
région
tome II. 9 FIG. 106. - Cas Scheule (Bicêtre 1
partie supérieure (Fig. 107) et la partie moyenne (Fig. 108) de la
région
tlialamique de la capsule interne. Méthode de Wei
110, 111, 112.-Cas Scheule. Hémiplégie gauche. Coupes passant par la
région
sous-optique de la capsule interne (fin.109), l
e- tentissent en outre sur les courtes fibies d'association de la
région
, sur le faisceau arqué ou longitudinal supérieu
acente du noyau externe du thalamus (Ne) (Fig. 108), puis aborde la
région
sous-thalamique delà cap- sule interne (Cip (d)
ore plus en avant que dans les cas précédents. Elle occupe, dans la
région
thalamique moyenne (Cig.4), la partie du segment
nticulo-optique située en airière du genou (Ci[g]) et siège dans la
région
sous- thalamique (Fig. 126) et dans le pied du
escence des fibres radiées du thalamus et du locus niger (Ln) dans la
région
adja- cente à la zone capsulaire ou pédonculair
zontales obliques en bas et en dehors section- nant (Fig. 119) la
région
thalamique et (Fig. 120) la région sous-thala
section- nant (Fig. 119) la région thalamique et (Fig. 120) la
région
sous-thalami- que de la capsule in- terne. Dé
radiées del'extrémité antérieure de la couche optique. Dans la
région
sous- thalamique de la capsule interne (Fig.
abandonne le segment antérieur de la capsule interne (Cia) dans la
région
thalamique moyenne forme le faisceau géniculé e
aux ex- terne et interne du thalamus (Ne, Ni) (Fig. 119). Dans la
région
sous-thala- mique (Fig. 120,, le faisceau dégén
ution postérieure de l'insula par l'artère pariétale inférieure, la
région
rétro-insulaire par l'artère du pli courbe. Le
G. 125, 126, 127. -Cas Heudebert. Coupes horizontales passant par les
régions
tha- lamique (Fig.i2a) et sous-thalamique de la
la capsule interne (Cip) et des fibres radiées du thalamus dans la
région
adjacente à la dégénérescence capsulaire (Fig. 12
riculaire et détruisent plus ou moins complètement les fibres de la
région
. Aux dégénérescences secondaires propres au lob
iculaire de la capsule interne ne contient en particulier dans la
région
sous-thalamique que quelques rares fibres faibl
xyline qui s'irradient dans le thalamus. Il est croisé dans cette
région
, comme dans les régions thalamiques de la capsu
t dans le thalamus. Il est croisé dans cette région, comme dans les
régions
thalamiques de la capsule (Fig. 9 2 et 126), pa
s dégénérés et ne contiennent que de rares fibres saines. Dans la
région
thalamique de la capsule interne (Fig. 123), le s
on du 2° quart inférieur de la frontale ascendante) ; mais, dans la
région
sous-thalamique de la capsule interne apparaît un
tions du corps genouillé FiG. 1` ? 8.- Cas Heudebert. Coupe de la
région
pédonculaire inférieure. Dégénérescence du deux
volution postérieure del'insula. Cettelésion a sectionné dans la
région
thalamique su- périeure les couches sagittales
dans la région thalamique su- périeure les couches sagittales de la
région
, mais n'atteint pas l'épendyme du carrefour v
ulaire. La dégénérescence occupe dans ce cas (Fig. 130 et 131) la
région
rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl)
131) et l'extrémité supérieure de la zone de Wernicke (W). Dans la
région
sous-optique (Fig. 132) le segment rétro-lenticul
onne entre le pulvinar et le centre médian de Luys (Nm), dans cette
région
ventrale du thalamus qui correspond à la partie p
auche avec contrac- ture. Coupes horizon- tales passant par les
régions
thalamiques supérieure (fin.130) et moyenne (
gment rétro -lenticulaire de la capsule in terne (Cirl) dans la
région
adja- cente au faisceau de Tiirck : dégénéres
ude du trajet du faisceau de Türck. Il démontre que lorsque dans la
région
thalamique supérieure et moyenne la zone dégénéré
la partie adjacente du segment postérieur elle est divisée dans la
région
sous-thalamique en deux parties pour l'arrivée du
l. Ce cas présente en outre une particularité intéressante. Dans la
région
thalamique moyenne (Fig. 131) on voit, en effet
lobe temporal, mais ne sectionnait pas les couches sagittales de la
région
. Dans deux autres cas, à topo- graphie analogue
us-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), puis se placent dans la
région
sous-thala- mique entre le segment postérieur (
136, coupe des pyramides anté- rieures du bulbe passant par la
région
moyenne des olives bulbaires. Méthode de Weiger
outre, une dégé- nérescence des courtes fihres d'association de la
région
, ainsi que des faisceaux longitu-- dinal inféri
rticipètes); il reçoit du lobe temporal des fibres qui relient la
région
temporale moyenne les unes, à la pointe tempora
ntal retentissent encore sur les courtes fibres d'association de la
région
et sur les longs faisceaux d'association : faisce
ne (cas Cogery, Fig. 174 à 180), intéressent en même temps, dans la
région
thalamique inférieure, le faisceau geniculé. Da
ule cérébral et du segment postérieur de la capsule interne dans la
région
sous-thalamique. Lorsque le faisceau du genou e
la partie interne du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (
région
sous-thalamique) et la partie interne du pied d
on, Fig. 181 et 182; cas James Fig. 183 à 185) déterminent, dans la
région
sous-tha- lamique de la capsule interne et dans
taire de la troisième circonvolution frontale (oFj), l'insula et la
région
rétro-insulaire (Fig. 142). Dans la profondeur, e
érébrale infantile gauche. o. Plaque jaune de l'in- sula, de la
région
rétro-insulairo et de l'opercule sylvion se
ion corticale et sous-corti- cale. Plaque jaune de l'insula de la
région
rétro-insulaire et de l'opercule sylvien droit
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, do la
région
rétro-insulaire et do l'opercule sylvien se
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la
région
rétro-insulaire et de l'opercule sylvien se
il. 145et 146.-Cas Rivaud. Coupes horizontales pas- sant par la
région
thalamique supé- lieur. La plaque jaune de
ivaud. Coupes horizontales passant par la partie inférieure de la
région
tha- lamique (Fig. lié7) et par la région sou
partie inférieure de la région tha- lamique (Fig. lié7) et par la
région
sous-thalamique (Fig. 148 et 149) de la capsu
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de 1 in- sula, do la
région
rétro-insulaire et de l'opercule syh ien se
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la
région
rétro-insulaire et de l'opercule sylvien se
ie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'm- sula, de la
région
rétro-insulaire et do l'opercule sylvien se
FIG. 152. - Cas Rivaud. Coupe transversale du bulbe passant par la
région
moyenne des olives bulbaires. Agénésie complète
ie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune dcl'in- sula, de la
région
rétro-insulaire et do l'opercule sylvien se
ie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune del'in- sula, de la
région
rétro-insulaire et de l'opercule sylvien se
ssant la partie inférieure de l'en- tre-croisement moteur et la
région
supérieure de la moelle au niveau de l'émerge
cas avec le cas Pradel, Fig. 77). Ce n'est que sur les coupes do la
région
cervicale inférieure, traitée par le carmin ou
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la
région
rétro-insulaire et do l'operculo sylvien se
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la
région
rétro-insulaire et de l'opercule s3 Ivicii
fragment grossi de la partie antérieure du segment postérieur de la
région
thalamique de la capsule in- terne de la Fig. 1
ie antérieure du segment pos- térieur de la partie inférieure de la
région
thalamique de la capsule interne. Les radiation
cérébrale infantile gattelie Plaque jaune de 1"111 sula, do la
région
l'étro-lI1sulalfc et du l'opercule sylvien
ule interne représentée sur deux coupes horizontales passant par la
région
thalamique et la ré- gion sous-thalamique de la
E DES CENTRES NERVEUX. cules mamillaires, la bandelette optique, la
région
du genou et de la partie adjacente e du segment
du trigone, ;'extré- mité antérieure de la couche optique et de la
région
sous-optique. - L'arlère cho- roïdienne antérie
supérieure (Fig. 165) et la partie moyenne (Fig. 166 et 167) de la
région
thalamique de la capsule interne; la partie antér
men (Fig. 169 et 170), irriguée par l'artère cérébrale antérieure, la
région
du faisceau géniculé et de l'extrémité antérieu
iées (Fig. iG5-1G7), qui atteint la cortica- lité cérébrale dans la
région
de la circonvo- lution postérieure de l'insula
170 et 171.-Cas Racle. Coupes passant par la partie inférieure de la
région
thalamique et par la région sous-optique. La dé
passant par la partie inférieure de la région thalamique et par la
région
sous-optique. La dégénérescence du segment postér
rio-tlialamidues et strio-sous-Ilialamiques, des fibres radiées des
régions
antérieure et ventrale du thalamus (Fig. 169), du
tubercule quadrijumeau antérieur (RQa) à travers le pulvinar et la
région
rétro-lenticulaire de la capsule interne. Dégénér
sule interne (Cip) dans les parties supérieure el moyenne de la
région
thalamique; une dégé- nérescence de la lame
ne du thalamus (Ne, Ni). Dans la partie moyenne et inférieure de la
région
thalamique, de gros fascicules de fibres saines
s saines, le faisceau géniculé (Ci(g)). Dans toute la hauteur de la
région
sous-thalamique, la partie antérieure du segment
es qu'à l'état normal (Fig. 172), s'épuisent chemin faisant dans la
région
sous-thalamique, dans le locus niger, de sorte qu
u serment antérieur de la capsule interne et s'enchevêtrent dans la
région
sous-optique et le fais- Fin. 172. - Cas Racle.
rigone et le sillon pédonculo- protubérantiel. Dégénérescence de la
région
moyenne du pied du pédoncule cérébral, conserva
pédoncule (Voy. p. 73). Dans les parties moyenne et inférieure de la
région
thalamique, de nombreuses fibres radiées saines
ieure de la couche optique (Fig. 167); il existe néanmoins dans ces
régions
une dégénérescence très intense de la zone réti
des fibres radiées du noyau externe (Ne) du thalamus, dans toute la
région
adjacente à la dégénérescence des deux tiers an
ieur de la capsule interne. Cette dernière peut être suivie dans la
région
sous-optique et le pied du pédoncule cérébral où
tions stnio-thalamiques et sous-thalamiques, du corps de Luys et des
régions
antérieures et ventrales du thalamus (Fig. 167,
ne dégénérée du segment pos- térieur de la capsule interne. Dans la
région
sous-oplique elles sont si denses et serrées qu
Robertson. Topogra- phie (sur une coupe horizontale passant par la
région
thalamique) de la lésion capsu- laire qui a sec
culé et de la partie interne du pied du pédoncule. Lésion de la
région
sous-lentICulaire de la capsule interne et
culé et de la partie interne du pied du pédoncule. Lésion de la
région
sous-lenticulaire de la capsule interne et
iculé et do la partie interne du pied du pédoncule Lésion do la
région
sous-lenticulaire de la capsule interne et
- La dégénérescence consécutive à la lésion corticale occupe dans la
région
tlialami- que et sous-thalamique la partie anté
nterne (Cia) a entraîné une dégénéres- cence qui occupe dans la
région
thalamique le ge- nou de la capsule interne C
nou de la capsule interne Ci(g)J (Fig. 175) et, plus bas, dans la
région
sous- thalamique, le cinquième interne du seg
state, en effet, jusque surles coupes horizontales qui intéressent la
région
thalamique du segment rétrolenticulaire de la c
isceaux pyramidaux directs et croisés et peut être subie jusqu'à la
région
lombaire inférieure. Il existe dans ce cas : 1°
e droit présente deux lésions cen- trales. L'une sectionne, dans la
région
thalamique supérieure, le quart antérieur du seg-
(Cip); l'autre occupe le thalamus (Fig. 186) et sectionne, dans la
région
thalamique moyenne, la partie postérieure du segm
r de la capsule interne (Cip), et la zone dégénérée occupe, dans la
région
sous-oplique (Fig. 187) et dans le pied du pédonc
térieur de Cip est refoulée en avant par le faisceau de Turck dans la
région
sous- thalamique, et occupe dans le pied du péd
égénérescence des fibres radiées du noyau externe du thalamus dans la
région
adjacente à la dégénérescence capsulaire; dégén
t postérieur du segment postérieur de la capsule interne. Dans la
région
sous-thalamique (Fig. 187), cette zone dégénéré
externe (Ne), la partie profonde du corps genouillé interne, et la
région
dite région du ruban de Reil médian; il sec-
la partie profonde du corps genouillé interne, et la région dite
région
du ruban de Reil médian; il sec- tionne (Fig. 1
ques en arrière et en dehors de la partie inférieure (Fig. 190) de la
région
thalamique de la capsule interne et du pied du
lée (Zr) et de la lame médullaire externe (Lme) du thalamus dans la
région
du noyau externe située immédiatement en avant du
ence du segment postérieur de la capsule interne qui se place dans la
région
sous- thalamique immédiatement en avant du fais
'artère choroidiennt antérieure. Coupes horizontales passant par la
région
sous-thalamique de la capsulE interne (Fig. 193
rne (Fig. 193) et la partie supérieure du pédoncule aux confins de la
région
sous optique. Cas Dautricho. Hémiplégie gau
ège dans la partie postérieure du globus pallidus sectionne dans la
région
sous-optique, le segment postérieur de la capsu
eurs qui en ont rapporté des exemples s'étant bornés à l'examen des
régions
infé- rieures du névraxe, moelle, bulbe quelque
al (Fig. 213, 214, 216) presque complètement développé sauf dans la
région
de l'insula et la partie adjacente de l'opercule
onnaire a fait communiquer les cavités des deux hémisphères dans la
région
qui, à l'état normal, correspond au sep- tum lu
ns dans ses segments antérieur et posté- rieur, et contient dans la
région
thalamiqne de nombreuses fibres myéli- nisées q
cales sont des fibres ascendantes, qu'elles n'appartiennent qu'à la
région
thalamique de la capsule interne; 2° que ni le
'envoient de libres descendantes dans la capsule interne, et que la
région
sous-thalamique de la capsule inlerne, le pied
. Il n'existe de circonvolutions cérébrales véritables que dans des
régions
très limi- tées de la face inféro-interne des d
est toujours facile de suivre à sa surface, et en particulier dans la
région
de l'insula et de la pointe temporale, les arbo
en est de même des lnc. 197 et 198. - Cas Longery. Topographie des
régions
agénésiées du manteau cérébral chez un hydrocép
développées que dans les zones blanches des schémas; au niveau des
régions
teintées, l'écorce cérébrale était réduite à une
plat interolivaire. L'écorce cérébrale n'est développée que dans la
région
teintée en gris. (Dessin fait d'après une photo
um lucidum. Ab- scnco complète de fibres longitudinales dans la
région
sous- optique (le lacapsule interne et lo pie
ticidiiiii. Ab- sence complète de libres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interne et le pie
, on Irouve la face interne ventriculaire des circonvolutions de la
région
sphéno-occipitale correspondant à gauche au pla
in lucidum. Absen- ce complète do fibres longitudinales dans la
région
sous-optyue de la capsule interne et le pied
ant vu de la cavité ventriculaire que de l'extérieur. Dans toute la
région
de la convexité et de la face interne des hémis
cette membrane est mince, bien que d'épaisseur variable suivant les
régions
, et présente un aspect finement grenu. Le corps
aux arqués appliqués sur l'olive bulbaire (Narc, Fig. 210). Dans la
région
bulbaire inférieure, au niveau de l'entre-croisem
ones presque complètement dépourvues de fibres à myé- line dans les
régions
correspondant aux faisceaux pyramidaux directs et
um lucidum. Absence complète do fibres longitudinales dans la
région
sous-opti- quc do la capsule in- terne et le
postérieur de la capsule interne. Mais elles n'existent que dans la
région
thalamique de la capsule, on ne les rencontre que
interne : la moitié inférieure de la capsule interne, à savoir les
régions
thalamique inférieure et sous-thalamique (Fi=.20r
traversent la capsule interne pour se rendre du corps stri( à la
région
antéro-ventrale du thalamus, ar corps de Luys,
calotte pédonculaire L'espace occupé dans un cerveau norma par la
région
sous-thalamique de la capsul( interne est envah
mal forint par la zona incerta (Zi, Fig. 20 el 205) qu sépare la
région
ventrale du thalamus du globus pallidus et du c
um lucidum. Absence complète do fibres longitudinales dans la
région
sous-opti- 1- que do la capsule in- terne et
lucide, a donné naissance à des circonvolutions cérébrales dans les
régions
interne supérieure, inférieure, antérieure et p
sie du septum lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interne et le pie
en outre, la partie repliée de l'écorce et la masque en Fic. 215. -
Régions
de la corticalité détruite par la porencéphalie d
Fig. 222 à 227, 229 et 230.) Cette disposition n'existe pas dans la
région
occipitale où l'on distingue une pointe, une fa
ieure et une face externe ou convexe, mais elle se retrouve dans la
région
pariéto-temporale où l'écorce du gyrus supramargi
hérique devient alors superficielle pour redevenir profonde dans la
région
orbitaire des lobes frontaux (Fig. 216). Par suit
cerveau. En arrière de lui, on trouve, en effet, de chaque côté, la
région
orbitaire du lobe frontal avec sou sillon cruci
sie du septum lucidum. Absence de libres longitudinales dans la
région
sous- optiquo de la capsule interne et le pie
cavité ventriculaire la sépare de la lame (lih), qui occupe dans la
région
orbitaire le fond de la scissure jnterhémisphériq
s la soudure du manteau céré- bral aux ganglions de la base dans la
région
où la capsule interne se continue avec le FiG.
s vertico-transver- sales sériées, les ganglions de la base avec la
région
oibitaire du lobe frontal et la partie adjacent
du ventricule (VJ). Elles s'y concentrent encore davantage dans la
région
pariétale, lorsque la cavité ven- triculaire, d
e du septum 1 ucidum..A bscncc de fibres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interno et le pie
sie du septum lucidum. Absence de libres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule intorno et le pie
e du ventricule en une couche infiniment plus épaisse que celle des
régions
pariéto-occipitale, puis se continuent en une trè
al passant en avant de la ligne de repère 4 de la figure 213, dans la
région
de la cavité ventriculaire commune qui correspo
lleux. Cette coupe intéresse la circonvolution godronnée (Cg) dans la
région
où elle se continue avec le toenia tecta. Le fa
la plupart des coupes (Fig. 224, 225). Lorsque l'on s'approche des
régions
antérieures du manteau, le faisceau supérieur d
ns de la base au centre ovale - elles changent de direction dans la
région
du pied de la couronne rayonnante, deviennent s
de chaque côté la base de la circonvolution du corps calleux dans la
région
où le Fig. 22 - Cas Richard. Coupe vertico-tran
io du septum 111cidum. Absence de fibres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interne et le pie
let et le tronc du corps calleux font défaut (Fc, Fig. 223). Dans les
régions
anté- rieures de l'hémisphère, on voit de chaqu
stitue, le faisceau sagittal dimi- nue, puis disparaît, et dans les
régions
antérieures du manteau, les fibres calleuses fo
la coupe intéresse, l'écorce située immédiatement en arrière de la
région
étranglée du lobe frontal (voy. Fig. 2H et 21G).
s'épanouissent dans l'épaisse membrane épendymaire (Ep), dans une ,
région
où il existe de nombreux îlots hétérotopiques de
sie du septum lucidum..\Lsence de fibres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interne et le pie
. Fig. 227. - Cas Richard. Coupe horizontale oblique passant par la
région
thalamique ' de la capsule interne, et sectionn
tion godronnée (Cg), et le pilier postérieur du trigone (Tgp) dans la
région
où il s'infléchit en avant pour se continuer av
. - Cas Richard. Le segment postérieur de la capsule interne 'dans la
région
sous-thalamique. La partie antérieure du segmen
nique; il fait complètement défaut dans la moitié postérieure de la
région
thalamique, où la zone réticulée (Zr) anormalemen
la couronne rayonnante et s'irradient dans le pulvinar (Pul); cette
région
contient un certain nombre d'amas hétéroto- piq
sio du septum lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interne et le pie
ie du septum lucidum. Absence de .il)res longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interne et le pie
segment postérieur de la capsule interne (Cip) n'existe que dans la
région
correspondant au segment interne du globus pallid
firmer que le segment antérieur de la capsule interne (Cia) dans la
région
thalamique inférieure (Fig. 226 à 228) contient d
etit faisceau, faisceau géniculé (Cig), Fig. 227), occupent dans la
région
sous-thalamique la partie antérieure du segment p
doncule cérébral (Fi, Fig. 231), puis s'épuisent rapidement dans la
région
protubérantielle supérieure. Quelle est l'origi
- Inc. 230. - Cas Richard. Loupe horizontale oblique passant par la
région
sous- optique, le corps de Luys (CL), le noyau
irmeraient l'existence de fibres cortico protubérantielles dans les
régions
antérieures (face orbitaire) de l'hémisphère. La
al, il contient néanmoins un grand nombre de fibres dans toute la
région
thalamique de la capsule. Il ne peut exister au
nterne pré- sente du l'ente une disposilion diffé- rente dans les
régions
thalamique (Fig. 227) et sous-thalamique de la
us, -le segment postérieur de la capsule s'étend néanmoins dans cette
région
du genou de la capsule à la queue du noyau caud
tion un peu plus antérieure qu'à l'état normal (Fig. 227). Dans les
régions
thalamique inférieure et sous-thalamique (Fig.
faisceau lenticulaire de Forel qui le cloisonnent. Mais dans toute la
région
qui s'étend de la lame médullaire interne du no
sie du septum lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la
région
sous- optique de la capsule interne et le pie
56. - Vulpian. Influence de l'abolition des fondions des nerfs sur la
région
de la moelle épinière qui leur donne origine. A
u il des mouvements des membres du côté opposé. Ils désignèrent ces
régions
sous le nom de cen- tres psycho-moleurs. Les
'une lésion du obule paracentral uu de l'extrémité supérieure de la
région
rolandique (tu- meur, plaques de méningite, foy
u nez - et dépendent d'une lésion occupant le quart inférieur de la
région
rolandique. Dans ces cas le facial supérieur n'es
dique, et remontant' en s'atténuant jusqu'à la partie moyenne de la
région
rolandique. Dans les derniers mois de sa vie, ce
rucial. Pour Masini (1888), cette zone s'étendait en arrière sur la
région
motrice proprement dite. En 1889 et 1890, Semon e
'extrémité infé- rieure du sillon précentral. L'excitation de cette
région
produit chez l'animal en expérience une contrac
en en avant et au-dessus du centre phonateur. L'excitation de cette
région
détermine une contraction bilatérale des abduct
chez l'homme. Chez le macaque (Fig. 239), la zone motrice occupe la
région
rolandique, empiète zono motrice du en avant su
progression est : épaule, coude,poignet, main, lorsqu'on excite les
régions
élevées de la zone; elle suit un ordre inverse, -
se, - pouce, doigts, poignet, coude, épaule, - lorsqu'on excite les
régions
inférieures. Dans les régions moyennes, le mouv
coude, épaule, - lorsqu'on excite les régions inférieures. Dans les
régions
moyennes, le mouvement commence par une des ai ti
on ou plus souvent l'extension des orteils. Lorsqu'on électrise les
régions
antérieures de la zone, à la flexion du pied et
ENTRES NERVEUX. Zone de la face. Sa division chez le macaque.
Région
faciale su- périeure. Région faciale in- fé
. Sa division chez le macaque. Région faciale su- périeure.
Région
faciale in- férieure. chez le macaque. L'exci
aux. Horsley et Schafer divisent cette zone chez le macaque en deux
régions
: l'une supé- rieure, la région faciale supérie
cette zone chez le macaque en deux régions : l'une supé- rieure, la
région
faciale supérieure dont l'excitation entraîne le
et l'élévation de la commissure la- biale ; l'autre inférieure, la
région
faciale inférieure, dont l'excitation détermine d
langue et des mâchoires analogues à ceux de la mastication. Dans la
région
faciale supérieure, on trouve contigu au centre d
ral de l'élévation de la commissure labiale du calé opposé. Dans la
région
faciale inférieure, on trouve échelonnés d'avant
contraction bilaté- rale des adducteurs de la glotte. Dans toute la
région
faciale inférieure, on obtient en outre des mou
, ainsi que Ferrier l'a signalé, l'excitation de la FiG. 241. - Les
régions
sensitivo-motrices de l'écorce cérébrale du singe
es, l'ouverture de la bouche, la moue des deux lèvres. FiG. 242. La
région
motrice de la corticalité cérébrale de l'orang (s
yeux. Son siège chez le macaque. Son siège chez l'orang. La
région
exci- table de la capsule interne chez le ma-
sillon prérolandique. Ferrier a montré que l'exci- tation de cette
région
est suivie d'une déviation conjuguée des yeux et
attention et de l'étonnement, - et que la destruction de cette même
région
détermine une dévia- tion conjuguée de la tête
encore être obtenus, ainsi que Ferrier l'a montré, en excitant des
régions
postérieures de l'hémisphère, le pli courbe, la p
hau- teurs. - Dans la Fig. 243 empruntée aux auteurs précédents, la
région
excitable de la capsule interne est inscrite su
horizontales, étagées de haut en bas. - Ces coupes montrent que la
région
excitable de la capsule occupe dans la région tha
coupes montrent que la région excitable de la capsule occupe dans la
région
thala- mique supérieure (I) la presque totalité
I et III), la partie inexcitable du segment antérieur augmente, une
région
inexcitable apparaît à la partie postérieure du s
e partie de son segment postérieur. Sur les coupes qui intéressent la
région
thalamique moyenne et le globus pallidus, la zo
s IV et V), puis elle se ramasse sur elle-même et n'occupe dans les
régions
thalamique inférieure et sous-thalamique que le g
ste donc une zone inexcitable qui apparaît à peu près à l'union des
régions
thalamiques supérieure et moyenne, s'ac- croît
mesure que l'on descend et acquiert sa plus grande étendue dans la
région
sous-thalamique aux confins du pied du pédoncule
ont montré que lorsque, sur la Fig. 2H représentant les différentes
régions
excitables de l'écorce du macaque, on tire des
vaux de Tripier (1877), que les lésions partielles ou totales de la
région
rolandique, - c'est-à-dire de la zone dite motr
rémité supérieure ils sont d'autant plus accusés que l'on examine des
régions
plus éloignées de la racine du membre; la main,
ar- tielles ou totales dues à des lésions nettement localisées à la
région
rolandique, s'accompagnent toujours de troubles
troubles sensitifs jouent un rôle si prépondérant, qu'il désigne la
région
rolandique sous le nom de zone sensible (1 ! ihls
que des troubles moteurs et sensitifs consécutifs aux lésions de la
région
rolandique. Mais tandis que Tripier, Wernicke, Pe
t, Schafer identifient la zone motrice et la zone sensitive dans la
région
rolandique; d'autres auteurs, tels que Charcot,
thnagel, Ferrier, v. Monakow, localisent la zone sensitive dans une
région
distincte de la zone motrice. Ferrier place la zo
it suffit donc pour affirmer les fonctions sensitivo-motrices de la
région
rolandique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉ
us n'avons constaté de troubles de la sen- sibilité, bien que cette
région
, ainsi que le pli courbe du reste, fussent lésés
les du sens musculaire s'observent à la fois dans les lésions de la
région
rolandique et dans celle de la partie antérieure
roite entre les différents segments de la rétine et les différentes
régions
de la sphère visuelle corticale, c'est-à-dire une
degrés en dehors, respectant ainsi l'intégrité fonctionnelle de la
région
maculaire. Ce fait, qui explique comment l'hémi
erçue, a reçu diverses interprétations. - Wilbrand admet que chaque
région
maculaire rétinienne est en connexion à la fois a
eut plus être admise aujourd'hui. Pour v. llonal : ow enfin, aucune
région
corticale du lobe occipital et de la partie posté
le sensitivo-motrice et la zone corticale auditive de l'homme. Mai,
région
sensitivo-motrice corticale du membre inférieur.
Mai, région sensitivo-motrice corticale du membre inférieur. - .VS,
région
sensitivo- motrice corticale des membres supéri
S, région sensitivo- motrice corticale des membres supérieurs. - F,
région
sensitivo-motrice de la face. - Jf centre corti
ces, auditives, visuelles, sont bilatérales et représentées dans deux
régions
symétriques des hémisphères, la zone du langage
es des mots occupe, comme l'un de nous a contribué à le montrer, la
région
du pli courbe. Chacun de ces centres tire sa sp
s d'articulation est immédiatement accolé à l'opercule rolandique, -
région
des centres moteurs de la face, du larynx, du p
Pathologie générale du professeur Bouchard, Paris, 1900. 2. Cette
région
correspond du reste, ainsi qu'on l'a vu plus haut
uit non seule- ment les fibres de projection et commissurales de la
région
, mais encore les fibres d'association qui relie
e du centre, elle sectionne les longs faisceaux d'association de la
région
. C'est lorsque l'on étudie des cerveaux patholo
e situation d'autant plus en arrière du genou qu'ils proviennent de
régions
plus supérieures de la zone rolandique. Lorsq
expérimen- tale que le deuxième quart moyen de Cip correspond à la
région
rolandique moyenne, - centre du membre supérieu
membre supérieur, - et que le troisième quart moyen correspond à la
région
rolandique supérieure, - centre du membre inférie
ne relèvent pas de la localisation d'une lésion dans telle ou telle
région
de l'hémisphère. Charcot localisait l'hémichoré
miplégie cérébrale infantile à la suite de lésions corticales de la
région
rolandique, tout comme à la suit( de lésions du
ologi e pathologique, et non d'une localisation anatomique. Dans la
région
sous-thalamique de la capsule interne, les locali
nte déjà il cette hauteur le pie( du pédoncule cérébral. Dans cette
région
, les fibres de projection de la régioi motrice
t elles sont refoulées en avan par le faisceau de Tiirck venu de la
région
temporale. Une lésion des fibres mo trices dans
de la région temporale. Une lésion des fibres mo trices dans celte
région
ne donnera jamais naissance à une monoplégie, mai
issement du champ visuel du côté opposé. Si la lésion siège dans la
région
thalamique infé- rieure et, détruisant le segme
- le tiers postérieur du segment postérieur (Cip) est lésé dans la
région
thalamique moyenne de la capsule interne, il n'ex
S CENTRES NERVEUX. Kilo relève d'une lésion du thalamus dans la
région
du ruban de Reil. fraîches. D'un autre côté,
une lésion en foyer, il faut encore que cette lésion siège dans une
région
spé- ciale de ce ganglion, à savoir, en avant d
s la partie postérieure et inférieure du noyau externe du thalamus (
région
du ruban de Reil). Nom- breuses en effet sont l
postérieur de la capsule interne et du thalamus, siégeant dans les
régions
thalamiques supérieure ou moyenne de la capsule
rieur de la capsule interne et la couche optique sont lésés dans la
région
thalamique de la capsule, il existait ! une hém
l'on observe lorsque la partie postérieure de Cip est lésée dans la
région
thalamique inférieure ou dans la région sous- tha
re de Cip est lésée dans la région thalamique inférieure ou dans la
région
sous- thalamique, sont-ils la conséquence de la
rtie postérieure de Cip, les lésions de cette partie de Cip dans la
région
thalamique supérieure devraient produire de l'a
arions movements produced by stil1wlating in the iiioiiliey différent
régions
ofthe cortical centre for the zippe, limb as de
the ocular muscles on excitation of the frontal and occipito-temporal
régions
of the brain. Brain, 1888. - G. S. SCHERRINGTON
e cérébral. Quant à la première circonvolution limbique - véritable
région
de transition entre le rhinencéphale et le mant
idales petites et moyennes du tubercule olfactif, relieraient celle
région
à la formation ammonique par l'intermé- diaire
versent d'avant en arrière J'aire olfactive (Aol), c'est-à-dire les
régions
basales du cerveau antérieur (partie inférieure
trajet, entrent dans la constitution des fibres longitudinales de la
région
sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
'aire olfactive. Les fibres commis- surales relient les différentes
régions
d'un lobe olfactif à celles du côté opposé par
ant l'aire olfactive, la partie antéro-interne du thalamus et de la
région
sous-thalamique et sectionnant les radiations o
les de la corne frontale et correspond assez exactement, dans cette
région
, au genou de la capsule interne. A la hauteur d
érieur du trigone. FiG. 255. Les radiations strio-thalamiques de la
région
thalamique moyenne et le contingent thalamique
e de la circonvolution du corps calleux, soit entre elles, soit aux
régions
basales du cerveau anté- rieur : septum lucidum
fibres de projeclion, enfin, unissent ces mêmes circonvolutions aux
régions
basales des cerveaux intermédiaire et moyen (tu
basales des cerveaux intermédiaire et moyen (tubercule mamillaire,
région
sous-optique, calotte protubérantielle). Étant
entée par les cylindres-axes des cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne d'Ammon et par les cylind
ulaire (Alv) reçoit les cylindres-axes des cellules pyramidales de la
région
hippocampique de la corne d'Ammon et du subicul
émisphère un aspect et une surface de section variables suivant les
régions
. L'(ilvezi.9 existe seul sur les coupes (Fig. 2
inférieure en deux parties droite et gauche, qui, accolées dans la
région
du corps du trigone (Fig. 227) par une mince
. - Fol, faisceau olfactif du trigone ; fol, fascicules olfactifs des
régions
antérieurs du septum lucidum. - fTc, faisceau d
nale de Broca) et se terminent finalement autour des cellules de la
région
. Les fibres les plus longues atteignent la circ
et Fig. 263), s'en- foncent dans la substance grise centrale de la
région
sous-optique, puis du tuber cinereum, pour se d
re intimement adhérente au septum lucidum (Fig. 41, p. 58). Dans la
région
sous-optique (Fig. 263), chaque pilier antérieu
e la partie anté- rieure de la couche optique. Il croise dans cette
région
(Fig. 25 i) : 1° le lænia semicircularis (tsc),
i en abandonne. Les rapports du pilier antérieur du trigone dans la
région
sous-optique et du tuber cinereum se voient ave
thode de Weigert.) 12/1 Gran- deur nature. Ses rapportsÇdans la
région
sous-opti- que. Dans l'espaco`,op- to-pédon
tum lucidum (PSI). Dégénérescence partielle du taenia thalami dans la
région
adjacente au pilier antérieur du trigone. Dégén
rieure de la paroi externe de la corne sphénoïdale, et occupent une
région
d'autant plus supérieure et voisine de la voûte d
posé et représentent de simples fibres com- missurales reliant deux
régions
symétriques des cornes d'Ammon. D'autres devienne
ar l'intermédiaire du fornix longus, la corne d'Ammon d'un côté aux
régions
antérieures du rhinencé- phale du côté opposé o
oisinage de la substance perforée posté- rieure, puis entre dans la
région
sous-thalamique de Forel (Fig. 277). Situé d'ab
suite en dedans de l'anse lenticulaire et du corps de Luys. Dans la
région
sous-thalamique, à la hauteur du corps de Luys
s collatérales du faisceau. - E, commis- sure intermamillaire. - F,
région
intérieure du noyau interne du tubercule mamill
et serré, formé de fines fibres parallèles. A son origine dans la
région
sous-thalamique de Forel, au niveau du point de
le antérieur de la couche optique (Fig. 253 et 254). Arrivé dans la
région
thalamique supérieure (Fig. 3 I 0), le faisceau d
t ensuite au-dessous et en dehors du noyau rouge (Fig. 277) vers la
région
du ruban de Reil médian (Fig. 3 ? lui., 23), au d
uhan de Reil médian, une autre enfin s'épanouit en éventail dans la
région
du ganglion interpédon- culaire, entoure le fai
eitsch. f. m-isseiiscliaftl. Zoologie, Bd. XXXVIII, 1883. Cvllkja. La
région
olfatoria. Madrid, 1893. - C.\JIL. Apuntes para
PITRE VII GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE,
RÉGION
SOUS-OPTIQUE I. - STRUCTURE ET CONNEXIONS DU CO
e possèdent pas de cou- ronne rayonnante couche optique et à la
région
sous-optique, en particulier au corps de Luys.
me des fibres de projection corticale envoie au corps strié et à la
région
de la calotte, qu'à l'inactivité fonctionnelle de
région de la calotte, qu'à l'inactivité fonctionnelle de ces mêmes
régions
. Le cas Rivaud (p. Cil, Fig. 142 à t62) en est
r du pes lemniscus profond (PLp), dont les fibres s'accolent dans les
régions
pédonculaires inférieures au ruban de Reil médi
férieures au ruban de Reil médian, mais s'en séparent déjà dans les
régions
protubérantielles supérieures, de telle sorte que
l'intégrité du ruban de Reil médian est absolument parfaite dans la
région
protubérantielle inférieure et dans son trajet
artie profonde du noyau externe que nous avons désignée sur le nom de
Région
du ruban de Reil médian (Hg Rm, Fig. 284). Elle
médullaire externe (Lme), du centre médian de Luys (Nm) et de la
région
du ruban de Reil médian (RgRm). Intégrité du ru
médian (RgRm). Intégrité du ruban de Reil médian (Fig.28S) dans la
région
pé- donculaire supérieure. - Dégénérescence p
interne, mais intéresse également quelques fibres radiées. Dans la
région
sous-thalamique (Fig. 284) on voit ces libres d
térieure du segment poslérieur (Cip) de la capsule interne dans ses
régions
thalamique (Fig. 287) et sous-thalamique (Fig.
lobus pal- lidus et du corps de Luys. ;oupes qui passent par la
région
thalamique supérieure la dégénérescence intéresse
es rois noyaux thalamiques, externe, interne et antérieur. Dans les
régions
thalamiques moyenne.(Fig. 287) et inférieure (F
du noyau externe, en particulier sa couche ventrale, au niveau de la
région
du 'uban de Reil médian et s'étend au centre mé
des radiations strio-luysiennes. Coupes horizontales passant par la
région
thalamique moyenne (Fig. 287), la région thalamiq
orizontales passant par la région thalamique moyenne (Fig. 287), la
région
thalamique inférieure aux confins de la région
yenne (Fig. 287), la région thalamique inférieure aux confins de la
région
sous-optique (Fig. 288) et le pied du pédoncule c
e grise de toute la moitié posté- rieure du globus pallidus dans la
région
adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dans
us dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dans la
région
thalamique (Fig. 287), la dégénérescence n'occupe
ence n'occupe que la moitié postérieure du globus pallidus; dans la
région
sous-thalamique (Fig. 288), une partie des fibres
rtico-sous-thalamiques), le corps strié à la couche optique et à la
région
sous-optique, en particulier au corps de Luys et
fascicules ou radiations du noyau caudé ne présentent, suivant les
régions
, ni la même direction ni la même longueur. Ceux
e globus pal- lidus. FIG. 290. - Coupe horizontale intéressant la
région
de transition entre le pied de la couronne rayo
région de transition entre le pied de la couronne rayonnante et la
région
thalamique delà capsule interne. Cette coupesec-
t postérieur de la capsule interne (Cip) qu'ils traversent dans les
régions
thalamique inférieure et sous-thalamique. Ils s
au segment rélro-lenliculaire (Cirl) et dans le sens vertical de la
région
thalamique moyenne à la limite inférieure de la r
rtical de la région thalamique moyenne à la limite inférieure de la
région
sous-tha- lamique. Plus étendue que les autres
intl'a-Icl1tlCulall cs. Fie. 291. Coupe horizontale passant par la
région
thalamique de la capsule interne Cette coupe in
se rendent dans le septum lucidum. - /)>, fibres perforantes des
régions
antérieures du corps calleux se rendant dans le s
s de projection corlicale. Elles abordent ensuite le thalamus et la
région
sous-thalamique, et peu- vent, suivant leur hau
e la capsule interne dans les par- tics moyenne el inférieure de la
région
thalamique et s'irradient dans luc. 292. - Coup
luc. 292. - Coupe horizontale passant par la partie intérieure de la
région
thalamique et intéressant le genou de la capsul
t plus nombreuses que l'on s'approche de la partie inférieure de la
région
thalamique de la capsule interne en particulier d
psule interne en particulier de la zone de transition qui sépare la
région
thalamique de la région sous-thalamique (Fig. 2
lier de la zone de transition qui sépare la région thalamique de la
région
sous-thalamique (Fig. 292). Cet aspect, très ap
ud est très démonstrative à cet égard. Dans la partie moyenne de la
région
thalamique (Fig. 293), les radiations strio-tha
circularis (tsc) et les radia- tions strio-thalamiques (Rsth) de la
région
thalamique moyenne, dans un cas d'hé- miplégie
ion des fibres radiées du thalamus. Dans la partie inférieure de la
région
thalamique (Fig. 294), les radiations strio-thala
s strio-luy- siennes (RsL); les troisièmes contournent en dehors la
région
sous-thala- mique de la capsule interne à sa li
e et s'ir- radient dans l'extrémité antérieure du thalamus et de la
région
sous- optique, en formant l'anse du noyau lenti
oyazc len- tuc. 294. Les radiations strio-thalamiques (ttstn) de la
région
thalamique intérieure dans un cas d'hémiplégie
. 3° L'anse lenticu- laire. FiG. 295. - Coupe horizontale de la
région
sous-thalamique de la capsule interne inté- tér
q d'Azyr (VA) (Fig. 45 et T. le', Fig. 319 et 320, p. 639). Dans la
région
sous-optique, une partie des fibres de l'anse len
posté- ' rieur do la capsulo ; interne. Ses rapports dans la
région
sous-op- tique. Son irradiation dans le tha
orps strié, tandis que l'anse lenticulaire relèverait surtout de la
région
ventrale et antérieure. Lorsqu'on examine au po
ions strio-luysienncs un grand nombre de fibres saines qui, dans la
région
sous-thalamique, tra- versent ou contournent en
ou moins dégénérées et s'irradier dans le corps de Luys (CL) et les
régions
ventrales du tha- lamus. La pénétration en pinc
par- ties moyenne (Fig. ? 9G) et inférieure (Fig. 297 et 298) de la
région
thalamique : 1° Dégé- nérescence du segment pos
u thalamus. Dégéné- rescence du centre médian de Luys (Nm) et de la
région
dite du ruban de Reil médian. 2° Lésion du puta
. Dégénérescence de la partie antéro-inférieure du thalamus dans la
région
du faisceau thalamique (Fth) et du champ de For
e oblique, paral- lèle à la bandelette e optique passant par la
région
sous-thalamique. Dégénérescence de la partie
la zone de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Dégénérescence cle la
région
du ruban de Reil médian (RgRm) et de la commissur
de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral, qui, dans la
région
pédonculaire inférieure, 'envoie par le pes lem
dégénérescence de toutes les catégories de fibres striées. Dans la
région
thalamique de la capsule interne (NL3, Fig. 296),
rne et qui s'irradient dans le noyau externe du thalamus et dans la
région
occupée par le faisceau thalamique de Forel (Ft
ntérieure du thalamus (Fig. 296). Dans la partie inférieure de la
région
thalamique (Fig. 297), au voisinage de la sub-
que dans le noyau lenticulaire du côté opposé (Fig. 301). Dans la
région
sous-optique (Fig. 299), il existe : 1° en avant
: 1° en avant du corps genouillé interne, une dégénérescence de la
région
du ruban de Reil médian (Rg Rm), qui fait suite s
générées diminuent rapidement d'intensité de haut en bas et dans la
région
du pédoncule cérébral (Fig. 300), le noyau roug
nt que quelques grains isolés qui disparaissent rapidement. Dans la
région
sous-optique (Fig. 299), il existe, en outre, u
lésions extra-striées par lésion directe de ces faisceaux clans la
région
antéro-ventrale du thalamus. Les lésions de cet
x clans la région antéro-ventrale du thalamus. Les lésions de cette
région
dont l'irrigation esl assurée par l'artère comm
n bas, en dehors et en avant, passant par le foyer thalamique et la
région
sous-thala- mique. Dégénérescence de la partie
. La dégénérescence est en effet particulièrement manifeste dans la
région
du globus pallidus adjacente à la zone capsulaire
de corpuscules granuleux de Glugge. Dans la partie inférieure de la
région
sous-thalamique, cette dégénérescence s'étend au
uise très rapi- dement (Fig. 309) et disparaît complètement dans la
région
pédonculaire inférieure, lorsque le pédoncule c
o et de la capsule de ce noyau pouvant être suivie jusqu'à la
région
pédonculairo inférieure. Intégrité du ruban d
rajet pédonculaire (Fig. 308 et 309). Ce n'est en effet que dans la
région
protubérantielle supérieure, lorsque les fibres
yau rouge sont des fibres de court trajet qui ne dépassent guère la
région
pédonculaire inférieure. D'après Edinger, le sy
er est en connexion étroite avec la corticalité, qu'il reçoit de la
région
rolandique un grand nombre de fibres de projectio
e du thalamus ; v. Tschisch et Flechsig décrivirent dans cette même
région
ventrale un noyau aplati et arqué, d'aspect semil
graduelle et insensible, et il s'agit plutôt dans l'espèce de deux
régions
d'un seul et même noyau, que de deux noyaux dis
s du thalamus avec la corticalité cérébrale, d'une part, et avec la
région
de la calotte, d'autre part. Pour v. Kôl- liker
rattache, chez le lapin, à la face interne de l'hémi- sphère, à la
région
qui correspondrait au lobule paracentral, à la ci
rontale interne et à la circonvolution limbique, et considère cette
région
comme la zone corticale du noyau antérieur. Nos r
ent sans ligne de démarcation appréciable (Fig. 21, p. 31). Dans la
région
thalamique moyenne (Fig. t3, p. 63), la limite
éline. Ces cellules sont d'autant plus petites que l'on examine des
régions
plus rapprochées de la substance grise centrale
centrale (v. Monakow). Le noyau interne reçoit, surtout dans ses
régions
antérieures, de nombreuses fibres radiées qui l
ainsi que le noyau interne, à la suite de lésion destructive de ces
régions
(Voy. cas Moriceau, p. 147). Pour v. Monakow, l
postérieur de la capsule et le noyau externe du thalamus, dans les
régions
thalamiques moyenne et inférieure. Centre média
an de Luys, que nous avons désignées sur nos figures sous le nom de
région
du ruban de Reil médian, et à laquelle font sui
région du ruban de Reil médian, et à laquelle font suite, dans les
régions
inférieures, les radiations de la calotte (RC)
des connexions importantes avec la corticalité cérébrale et avec la
région
de la calotte. Dans sa partie supérieure et moy
s fibres cortico-protuhérantielles et cortico-médullaires. Par la
région
de la calotte et par la région sous-optique, le c
les et cortico-médullaires. Par la région de la calotte et par la
région
sous-optique, le centre médian de Luys reçoit u
o-lim- bique. - II, bandelette optique. Ses connexions av ec la
région
de la calotte, en particu- lier avec le ruban
e (com)à laquelle elle envoie de nombreuses fibres. Dans cette même
région
, la courbe de la partie postérieure de la lame mé
re interne s'accentue et sépare le centre médian de Luys (Nm) de la
région
du ruban de Reil médian (rgRm), du bras du tube
en dehors du faisceau tlialamique de Forel (Fth). Aux confins de la
région
sous-optique enfin (Fig. 312), la lamc médullai
s fibres dans GANGLIONS tNFRACOR'HCAUX : COUCHE OPTIQUE 3 : i3 la
région
sous-optique : les antérieures se joignent au fai
es situées au voisinage du centre médian de Luys se rendent dans la
région
du ruban de Reil médian. La lame médullaire i
ames médullaires internes, les autres se recourbent en bas dans les
régions
ventrales de la couche optique et se joignent aux
verticales et sagittales sont croisées par les faisceaux radiés des
régions
antéro-externes du thalamus (Fig. 310), qui trave
ale ; d'autres représentent des libres terminales pro- venant de la
région
sous-optique ou de la calotte du pédoncule cérébr
a lame médullaire interne est en effet en connexion étroite avec la
région
sous-optique et elle contient, à côté de fibres q
et sagittales, il occupe toute la hauteur du thalamus, repose sur la
région
sous-thalamique de Forel et décrit une courbe a
oupes vertico-transversales. Tant que ces dernières passent par les
régions
antérieures du thalamus, elles n'intéressent que
216, p. 378). Par sa face inférieure le noyau externe repose sur la
région
sous- optique de Forel (Fig. 310, 311, 312 et 2
n éperon d'autant plus saillant, que l'on s'approclie davantage des
régions
ventrales du noyau externe (Fig. 21, p. 31 et u
s ventrales du noyau externe (Fig. 21, p. 31 et u3 p. 63). Dans ces
régions
, le noyau externe est séparé du pul- vinar par
de projection corticale il la suite de lésions destructives de ces
régions
(p. 91 et suiv.). .Ses fibres radiées. Consti
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 2° a^ ce le corps strié ; : ! avec la
région
de la calotte. Le secteur moyen de l'hémisphè
eutrage d'autant plus dense et plus serré que l'on s'approche de la
région
sous- optique. Les fibres externes appartiennen
les deux quarts moyens du noyau externe, et qui se continue dans la
région
sous-optique avec le champ de Forel et Biblioth
médian de Luys et le corps genouillé interne; elles occupent cette
région
que nous avons désignée sur nos coupes sous le
cette région que nous avons désignée sur nos coupes sous le nom de
région
du ruban de Reil médian (RgRm) (Fig. 47, p. 69 et
médian (RgRm) (Fig. 47, p. 69 et Fig. 312) et se continuent dans la
région
sous-optique et dans la calotte pédo nculaire a
adiations de la calotte. Le ruban de Reil médian est formé dans ces
régions
par un dense feutrage de fibres qui entoure la
médullaire externe s'épaissit en bas et surtout en arrière, dans la
région
du pulvinar, où elle concourt à former la zone
ncée au niveau du noyau externe, mais beaucoup plus accusée dans la
région
du pulvinar. Ici elle refoule en dehors la zone r
prolongement du segment postérieur (Cip) (Fig. 21, p. 31). Dans la
région
du noyau externe, la lame médullaire externe est
es delà lame médullaire externe. Elles sont peu nombreuses dans les
régions
supérieures du tha- lamus, mais augmentent rapi
ieures du tha- lamus, mais augmentent rapidement de nombre dans les
régions
infé- rieures ou ventrales où elles s'unissent
ue de Forel (Flh) qu'elles concourent en partie à former. Dans la
région
du pulvinar (Pul), la lame médullaire externe s'é
. Lame médullaire externe. Son étendue. Son a'-pect dans la
région
du no) au externe. Son aspect dans la régio
a'-pect dans la région du no) au externe. Son aspect dans la
région
du pnh lI1ar. 358 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ant ou d'une faux. Pauvre en fibres à myéline, mais entouré par des
régions
qui en sont abondamment pourvues, le noyau semi
au thalamique de Forel (Fth); en arrière, il ebt en rapport avec la
région
du ruban de Reil médian (RgRm) (Fig. 47 et 312);
an de Reil médian (RgRm) (Fig. 47 et 312); en bas, il repose sur la
région
sous-optique et en particulier sur les radiations
dehors en décrivant une légère courbe à convexité externe. Dans les
régions
ventrales du noyau externe, elle se place en de
dernier un angle obtus ouvert en dehors (Fig. 43, p. 63). Dans les
régions
thalamiques inférieures, cet angle se ferme peu
té- GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 359 Fic. 312. - La
région
ventrale du thalamus, le noyau semi-lunaire de Fl
re de la capsule interne. Coupe horizontale passant aux confins des
régions
thalamique et sous-thalamique et sectionnant les
s. - 7 ? pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - rg Rm,
région
du ruban de Reil médian. - RTh, radiations optiqu
eur. Elles sont étoilées, multipolaires, et présentent, suivant les
régions
, un groupement un peu spécial. Dans la zone rét
mé- dullaire interne. Du côté de la lame médullaire externe et des
régions
ventrales du noyau externe, les cellules devien
très serré d'autant plus dense que l'on se rapproche davantage des
régions
ventrales du noyau externe et du faisceau thala
et correspond à cette partie que nous avons désignée sous le nom de
région
du ruban de Reil médian (RgRm). Le troi- sième,
en grande partie au développement considérable que prend dans cetle
région
la lame médullaire externe du pulvinar qui consti
an de Luys (Nm). Plus bas encore (Fig. 47, p. 69), aux confins delà
région
sous-optique, le corps genouillé interne (Cgi)
trigone et son insertion sur le bourrelet du corps calleux, dans la
région
où il fait suite au pilier postérieur. - Tgp, le
toilées, de dimensions variables. Les petites cellules occupent les
régions
internes du pulvinar et se disposent en petits
ital, et en particulier de la zone visuelle et s'irradient dans les
régions
inférieures et moyenne du pulvinar. Comme le stra
optiques de Gratiolet). Il résulte de cet entre-croisement que les
régions
inférieures du pulvinar dégénèrent, soit à la s
rapport avec la substance grise du pulvinar (Fig. 313), et dans les
régions
inférieures (Fig. 312 et 47, p. 69)avec le bras d
orizontales (Fig. 28, p. 43 et 47, p. 69), apparaît aux confins des
régions
thalamique et sous- thalamique. Il se présente
ique de Forci (FLh), du noyau semilunaire de Flechsig (NF) et de la
région
du ruban de Reil mé- clian (rgRm) (Fig. 47, p.
'écorce de la première circonvolution temporale (T,). De celte même
région
corticale parlent des fibres de projection cortic
n. 24 Il Ses connexions cor- ticales. Ses connexions avec la
région
de la calotte et le ruhan do Reil latéral.
aris et le ganglion de l'habenula, assurent ses connexions avec les
régions
antérieures et postérieures du rhinencéphale .
t sur le thalamus, si elles nous ont montré également que certaines
régions
de la corticalité sont en rapports plus in- tim
cas Hilaire, Fig. 286 p. 313) la dégéné- * rescence occupe, dans la
région
thalamique dorsale ou supérieure, les noyaux exte
e), interne (Ni), antérieur (Na) et la zone réticulée (Zr) ; dans les
régions
thalamiques moyennes et inférieures la dégénére
le centre médian de Luys (Nm), et occupe plus particulière- ment la
région
du ruban de Reil médian (rgRm) et celle du faisce
(CNR), mais elle ne s'étend ni au ruban de Reil médian (Rm) dans la
région
pédoncu- laire supérieure, ni au pédoncule céré
ond, etc.) que la voie pédonculaire envoie au ruban de Reil dans la
région
pédonculo-protubérantielle et qui abandonnent à
e optique traitées par la méthode de Marchi, on ne constate dans la
région
sous-optique et pédonculaire supé- rieure qu'un
égère quoique manifeste du ruban de Reil médian, renforcée dans les
régions
protubérantielles par la dégénérescence du pes le
dégénérescences secondaires. Dans les lésions sous-corticales de la
région
rolandique ou dans celles qui section- nent les
faisceau thalamique de Forel, des radia- lions de la calotte, de la
région
du ruban de Reil médian, s'irradient dans toute
te, de la région du ruban de Reil médian, s'irradient dans toute la
région
ventrale du thalamus située en avant du pulvinar
t y forment le dense feutrage de libres si caractéristique de celle
région
. Le faisceau thalamique de Forel (1 tlc), qui n
abordent le thalamus en arrière du faisceau thalamique de Fore). La
région
du ruban de Reil médian (rgRm) comprend enfin c
eau tim- lamique de Forel, les radiations de la ca- lotte et la
région
du ruban de Reil mé- dian, et relient le th
ntre que le ruban de Reil médian forme la majorité des fibres de la
région
du ruban de Reil médian, qu'il se termine surtout
faisceau thalamique de Forel, des radiations de la calotte et de la
région
du ruban de Reil médian. Il s'irradie principal
e et dans le centre médian de Luys et établit les connexions de ces
régions
avec l'hémisphère cérébelleux croisé, en partic
escence ne peut guère être suivie (méthode de Marchi) au delà de la
région
des tubercules quadrijumeaux antérieurs et de l
éanmoins certain que ces connexions s'établissent uniquement par la
région
de la calolle. Nos recherches, basées sur l'étu
s de dendrites diver- gentes très étendues, et occupent surtout les
régions
inférieures du gan- glion de l'habenula. Leur c
t peut-être avec le taenia thalami du côté opposé et se rendent aux
régions
olfactives du cerveau. Mais le plus grand nombre
millaire. - Plit, pulvinar. - RC, radiations de la calotte. - RrIR,
région
du ruban de Reil médian ? Sgc, substance grise
elle und pat1wlogisch-allatomische Untersuchungen ùbei die llauben-
région
, rien Sehhztgel und die Regio subthalamica, nebst
angen, 1881, p. 471-474. 392 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. III. -
RÉGION
SOUS-OPTIQUE La région sous- optique. Elle
392 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. III. - RÉGION SOUS-OPTIQUE La
région
sous- optique. Elle représente la partie an
e. Elle représente la partie antérieure sous-thalamiquo de la
région
de la ca- lotte. Sa direction. Sa limite ét
e établie par le plan du fais- ceau de Jteynert. Sa forme. La
région
sous-optique ou sous-thalamique (Fig. 21" 28, 33,
311, 323, 324, 325), bien décrite par Forel en 1877, est une petite
région
aplatie, située au-dessous de la couche optique,
'extrémité antérieure, terminale, sous-thalamique de l'im- portante
région
de la calotte, région qui s'étend de la substance
terminale, sous-thalamique de l'im- portante région de la calotte,
région
qui s'étend de la substance perforée antérieure
laris de la moelle cervicale et qui comprend de haut en bas : 1° La
région
sous-optique; 2° L'étage moyen ou calotte du pé
protubé- rance ; 1° La plus grande partie du bulbe rachidien. La
région
sous-optique n'est pas située dans l'axe de la ca
sagittales (Fig. 310) que les faisceaux sagittaux qui traversent la
région
sous-optique et se continuent dans la calotte p
lotte pédonculaire, n'affectent pas la même direction dans ces deux
régions
. Horizontaux ou légèrement obliques en bas et e
ontaux ou légèrement obliques en bas et en arrière dans la première
région
, ils deviennent presque verticaux dans la secon
dans la seconde. La limite artificielle établie par Forel entre la
région
sous-thalamique et la calotte pédonculaire corr
Meynert. Tout ce qui est situé en avant de ce plan appartient à la
région
sous-optique; tout ce qui est en arrière, à la
sectionne le noyau rouge qui se trouve ainsi à cheval sur les deux
régions
, son tiers antéro-supérieur appartenant à la ré
l sur les deux régions, son tiers antéro-supérieur appartenant à la
région
sous-optique, ses deux tiers posléro-inféricurs à
ncule cérébral (Fig. 310, p. 348). Considérée dans son ensemble, la
région
sous-optique constitue une pyramide horizontale
coupes horizontales, qui passent par la GANGLIONS INFRACORTICAUX :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 39 : 3 partie inférieure du globu
u'à la commissure molle) sectionnent dans leur partie supérieure la
région
sous-thalamique, et dans leur partie inférieure l
on- culaire. Ce sont là les conséquences forcées de la fusion de la
région
sous-optique avec la calotte pédonculaire, ains
que de la courbure du tronc encéphalique. On peut considérer à la
région
sous-optique quatre faces, un sommet et une bas
e, interne et externe : La face supérieure, située au-dessous de la
région
ventrale du thalamus, s'étend depuis le tajnia
ntale (Fig. 312, p. 359) qui passe à la limite du thalamus et de la
région
sous-thalamique. Elle est en rapport d'avant en
le faisceau de Vicq d'Azyr qui traverse la partie antérieure de la
région
sous-optique; 3° avec la partie inférieure de l
yau interne et le faisceau rétroflexe de Meynert; 6° enfin, avec la
région
du ruban de Reil médian situé en arrière et au-
troisième ventricule une excellente limite entre le thalamus et la
région
sous-thalamique; en bas, le plancher du troisiè
tubercules mamillaires, et l'espace intcr-pédonculaire séparent la
région
sous-optique droite de la gauche (Fig. 323, 324
e droite de la gauche (Fig. 323, 324, 325). La face externe de la
région
sous-optique, oblique en bas et en dehors, form
en bas. Elle est recouverte par la capsule interne réduite dans la
région
sous- thalamique, ainsi que nous l'avons vu plu
NTRES NERVEUX. Son sommet et sa base. La couche dorsale de la
région
sous- optique. Son étendue. Son aspect et s
pied du pédoncule cérébral qui affectent seuls des rapports avec la
région
sous-optique. Le segment rétro-lenticulaire (Cirl
occupe en effet une situation plus postérieure, il est séparé de la
région
sous- optique et de la région de la calotte par
plus postérieure, il est séparé de la région sous- optique et de la
région
de la calotte par les corps genouillés externe et
s corps genouillés externe et interne (Fig. 312). Le sommet de la
région
sous-optique correspond au pilier antérieur du
la base, en continuité directe avec la calotte pédonculaire el les
régions
du ruban de Reil médian, n'affecte que des rappor
nar, dont il est toujours séparé par le corps genouillé interne. La
région
sous-optique ne correspond en effet qu'aux deux t
ux deux tiers anté- rieurs de la couche optique. Constitution. La
région
sous-optique est essentiellement consti- tuée :
tuée : 1° par une couche de fibres à myéline, la couche dorsale de la
région
sous-optique ; 2° par un petit amas ganglionnai
petit amas ganglionnaire, le corps de Luys. 1. COUCHE DORSALE DE LA
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. (Fig. 24, 28, 46, 47, 7, 253, 310
10, 323, 321r, 325.) La couche dorsale occupe foute l'étendue de la
région
sous-optique. Elle s'étale au-dessous de la moiti
otte pédonculaire, et forme à elle seule (Fig. 323) la partie de la
région
sous-optique située en avant du plan vertico-tr
310, 323, 324, 325, et Fig. 318, T. Ie') large et épais, limite la
région
sous-optique en bas et tapisse la face interne
Les faisceaux thalamique et lenticu- GANGLIONS 1\rR.ICOR'l'ICAU\ :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 393 laire de Forel sont nettement
al et la substance innominée sous- lenticulaire de Reichert dans la
région
où elle unit le globus pallidus au noyau amygda
mygdalien et à l'extrémité recourbée de la queue du noyau caudé. La
région
sous-optique, très étroite, est réduite aux faisc
s sagittales du segment inférieur de la couronne rayonnante dans la
région
où elles s'inlléchissent en dedans pour se cont
nchevêtrées. Dans le plan des tubercules mamillaires (Fig. 324), la
région
sous-optique change d'aspect : le corps de Luys
rale du troisième ventricule, la partie supérieure et interne de la
région
sous- optique, et qui représente le champ de Fo
. L'origine et la terminaison des fibres de la couche dorsale de la
région
sous-optique est fort complexe. Elle contient d
Internes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS IFRACOUTfCAUX :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 397 ceau thalamique, ni le faisce
aire de Forel n'abandonnent de fibres au ruban de Reil médian (Voy.
Région
de la calotte, IIIe partie). 2. CORPS DE LUYS (
Le corps de Luys (CL) occupe la partie postérieure et externe de la
région
sous-optique; il a la forme d'une lentille biconv
du noyau externe du thalamus, en dedans du segment postérieur de la
région
sous-thala- mique de la capsule interne et du s
de Luys, Sa situation à 1a la partie postéro - ex- terne de' la
région
sous-optique. Sa forme. Surlescoupesver-
psule interne et l'extrémité anté- rieure de la corne d'Ammon. La
région
sous-optique comprend le corps de Luys et la couc
zone réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS 1NII1ACORTICAU1 :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 399 p. 35). Plus bas il augmente
ire de Reichert, à la limite du pied du pédoncule cérébral et de la
région
sous-optique. Il diminue (Fig. 44, p. 64) ensuite
ne est enclavée dans le segment posté- rieur de la capsule interne (
région
sous-thalamique) et dans la partie adjacente du
temps supérieur, il est en rapport avec le segment postérieur de la
région
sous-thalamique de la capsule interne et corres
ions strio-luysiennes (p. 327) qui perforent et cloisonnent dans la
région
sous-thalamique le segment postérieur de la capsu
es, puis abordent le corps de Luys, dans GANGLIONS INFRACORTICAUX :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 401 lequel elles s'irradient (Déj
ger, Henschen et d'autres, le ruban de Reil médian, arrivé dans les
régions
supérieures du noyau rouge,se porte- rait en de
de coupes microscopiques sériées on ne peut, vu la complexité de la
région
de la calolte et de la région sous- optique réf
es on ne peut, vu la complexité de la région de la calolte et de la
région
sous- optique réfuter celte hypothèse, les résu
UX. Avec la bande- lette optique et le chiasma. traversent la
région
sous-thalamique de la capsule interne, une partie
dans quelques cas de lésions destructives GANGLIONS INFRACORTICAU :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 403 du noyau lenticulaire, en par
rie de coupes ininterrompue on voyait à la partie postérieure de la
région
sous-optique les fascicules dégénérés de la com
o et s'unit à la zona incerta en - recouvrant la face interne de la
région
sous-optique. La substance grise du plancher du
le occupe le osange opto-pédonculairc et relie entre elles les deux
régions
sous-op- iques et la partie adjacente des régio
re elles les deux régions sous-op- iques et la partie adjacente des
régions
de la calotte. Elle forme le tuber ;ine°eun et
out la même : mince sur la ligne médiane GANGLIONS INFRACORTICAUX :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 403 de la lame inter-pédonculaire
e, entre la bandelette optique et le pédoncule cérébral, une petite
région
recouverte partiellement par la bandelette optiqu
laires internes en formant une sorte de commis- sure ; celles de la
région
sous-optique qui appartiennent au champ de Fore
y. Nerf optique 419), une série de commissures qui relient les deux
régions
sous-optiques soit entre elles, soit avec des rég
elient les deux régions sous-optiques soit entre elles, soit avec des
régions
avoisinantes. Ce sont, d'arrière en avant : dan
par Honegger (1890). Elle appartient, comme son nom l'indique, à la
région
sous-optique, est située au-dessus et en arrièr
re et occupe la partie postérieure et ventrale du noyau rouge (Voy.
Région
de la calotte, IIIe partie). La commissure sous
pare de la partie interne du pied du pédoncule, à sa limite avec la
région
sous-thalamique de la capsule interne. Chez l'h
Internes en Médecine de la Salpêtrièr, GANGLIONS INFRACORTICAUX :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 407 contiennent probablement des
e sous-thala- mique postérieure de Forel (Méthode de Weigert). La
région
sous-optique comprise entre la couche optique, le
rt. mique et lenticulaire du même auteur, et semblent unir les deux
régions
homologues; plus en arrière, on trouve des fibr
er, soit dans le corps de Luys, soit en arrière de ce corps dans la
région
du ruban de Reil médian. Les dégénérescences même
désigné sous le nom de commissure de Forel. Dans son travail sur la
région
sous-optique, Forel ne fait pas mention du fais
chat, la bandelette optique et la partie GANGLIONS INFRACORTICAUX :
RÉGION
SOUS-OPTIQUE. 411 adjacente du tuber cinereum a
d'une dégénérescence de la commissure de Meynert. BIBLIOGRAPHIE. -
Région
sous-optique. - BERIOEEDlER. Ueber die Sehnei-vei
trale. - D, pédoncule olfactif. - E, grains du bulbe olfactif. - G,
région
de la strie olfactive externe. - F, cellules py
que du même côté. Les cellules pyramidales géantes du hile et de la
région
godronnée de la corne d'Ammon et les cellules p
), et le faisceau de la calolte de Gudden (FG) qui se rend dans des
régions
encore indéterminées de la calotte pédonculaire;
n du crochet et de la partie adjacente de l'hippocampe, relient ces
régions
, soit au centre olfactif primaire du côté oppos
l'homme) au noyau len- ticulaire du côté opposé. Les différentes
régions
des centres olfactifs corticaux sont encore TOM
ratum lacunosum qui unissent les cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne d'Ammon aux cellules du str
onnée de la corne d'Ammon aux cellules du stratum lacunosum et à la
région
hippocampique de la corne d'Ammon. Les centres
. Les centres olfactifs corticaux sont enfin reliés aux différentes
régions
du manteau cérébral par des libres courtes et l
nous savons encore peu de chose sur la valeur physiologique de ces
régions
. D'après Ferrier, l'excitation électrique de la
dans la zone visuelle corlicale qui occupe plus particulièrement la
région
de la scissure calca- rine (K) et qui s'étend a
tie inféro-externe du nerf optique (Fig. 329, 3) et entoure dans la
région
intra-cranienne le faisceau maculaire d'une sor
oculaire ; la coupe 2 sectionne la partie vasculaire ; la coupe 3, la
région
non vascu- laire ; la coupe 4, enfin, intéresse
e ne sont jamais nette- ment tranchées et qu'il existe toujours une
région
de transition, où les fibres dégénérées sont en
sure de Meynert un petit faisceau qu'il n'a pu suivre au delà de la
région
du chiasma et qui évidemment n'est autre que le
oir : le bulbe rachidien, la protubérance annulaire et cette petite
région
située au-dessous des tubercules quadrijumeaux, f
er le rhom- bencéphale en deux parties : le cervelet d'une part, la
région
bulbo-protu- béranlielle et l'isthme postérieur
s du ventricule latéral, et leur glomérule (Gll'lclz) situé dans la
région
du carrefour ventriculaire. - ssl', sillon supéri
rière, le recouvrent en dedans et en avant et se rendent dans cette
région
en une saillie ovalaire, oblique en arrière et en
ut manifeste à la face supérieure du cervelet (Fig. 338) et dans la
région
postéro-externe de la face inférieure (Fig. 333
la région postéro-externe de la face inférieure (Fig. 333). Dans la
région
antéro-interne de cette face, la courbe des sil
ue côté du vermis par un sillon sagittal profond, ou encore dans la
région
postérieure du cervelet où les lobes très dével
es dans la profondeur du sillon : c'est ce que l'on observe dans la
région
postérieure du cervelet; ici, grâce au développ
ancrure marsupiale : il s'ensuit forcément que les sillons de cette
région
sont plus profonds dans les hémisphères que dans
quatre sillons principaux divisaient le vermis en cinq segments ou
régions
pri- mitives qui sont : 1° le vermis supérieur;
et du côté des hémisphères, la subdivision du lobe quadrilatère en
régions
antérieure et postérieure et celle du lobe post
: 1° la disposition particulière, caractéristique, que présente la
région
du vermis dans chacun de ces cinq lobes primord
rdiaux; 2° le mode d'agence- ment spécial de leurs lamelles dans la
région
vermienne et dans la région hémisphérique (Fig.
ment spécial de leurs lamelles dans la région vermienne et dans la
région
hémisphérique (Fig. 335). Dans le lobe supéri
région hémisphérique (Fig. 335). Dans le lobe supérieur (LS), la
région
moyenne ou vermienne (V) est intimement soudée
ne ou vermienne (V) est intimement soudée dans toute sa largeur aux
régions
hémisphériques (Il) et forme avec cette dernièr
ntrale du cervelet, se continuent directement avec celles de la
région
du vermis (Fig. 335). Les trois lobes inférieur
ur les parties latérales, mais se comportent dans' l'une et l'autre
région
comme celles de la région hémisphérique du lobe
mais se comportent dans' l'une et l'autre région comme celles de la
région
hémisphérique du lobe postérieur. Les lamelles hé
nférieurs, le vermis est toujours situé à une certaine distance des
régions
hémisphériques, la fusion de ces lamelles commu
LS, lobe supérieur. - LP, lobe postérieur. - Ll, lobe inférieur- ?
région
hémisphérique. V, région vermienne. - c, crête
lobe postérieur. - Ll, lobe inférieur- ? région hémisphérique. V,
région
vermienne. - c, crête d'union qui relie dans le
c, crête d'union qui relie dans les lobes inférieurs du cervelet la
région
vermienne à la région hémisphérique. MORPHOLO
ie dans les lobes inférieurs du cervelet la région vermienne à la
région
hémisphérique. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 4
sse principale du vermis et les différencie nettement des lobes des
régions
inférieure et postérieure du cervelet. Sillons
l antérieur, immédiatement en arrière du sillon précentral. Dans la
région
du vermis, il atteint généralement la masse bla
antérieur (Fig. 334). Il atteint sa plus grande profondeur dans la
région
du vermis où il sépare, comme le montrent les c
che horizontale (bh), puis diminue rapidement de profondeur dans la
région
hémisphérique. Les deux lèvres de ce sillon son
base d'implantation de ce lobe est étroite; elle est située dans la
région
du vermis en avant de la branche verticale (bv, F
arbre de vie médian qu'elle contribue quelquefois à former; dans la
région
des hémisphères, elle se place entre l'étroite
erte de lobules secondaires plus ou moins détachés, surtout dans la
région
du vermis, et qui apparaissent exceptionnelle-
apparaissent exceptionnelle- ment à la surface du cervelet dans la
région
hémisphérique. Ces lobules profonds se jettent
s, ', lamelles et lobules du culmen se fusionnent en effet, dans la
région
ver- mienne, en une branche commune qui forme l
t seule la substance blanche centrale du vermis (Fig. 336). Dans la
région
des hémisphères, les sillons interlobulaires ga
obes du culmen et du déclive formaient le lobe du monticule dans la
région
du vermis, el le lobe quadrilatère dans la région
monticule dans la région du vermis, el le lobe quadrilatère dans la
région
hémi- sphérique. Sa base d'implan- tation e
rique du lobe. La face supérieure est irrégulière de forme. Dans la
région
du vermis, le déclive s'enfonce dans le fond de
dian (Fig. 336). La base d'inser- tion de ce lobe est large dans la
région
du vermis; elle diminue dans la MORPHOLOGIE DU
de la base d'insertion du lobe du culmen, laquelle, étroite dans la
région
du vermis, s'élargit considérablement au voisin
en avant parle sillon post-pyramidal extrême- ment profond dans la
région
du vermis, plus superficiel dans la région des
me- ment profond dans la région du vermis, plus superficiel dans la
région
des hémisphères, sillon qui sépare le lobe post
périeur, le lobe semi-lunaire inférieur et le lobe grêle. Dans la
région
du vermis,lc lobe postérieur se réduit parfois à
t-pyramidal. Les lobes semi-lunaires supérieurs sont réunis dans la
région
du verrais par le folium cacuminis; les lobes s
), sépare le lobe supérieur du lobe postérieur. Superficiel dans la
région
du vermis où il est loin d'alteindre la profondeu
, 359, 3G0), le sillon supérieur devient rapidement profond dans la
région
des hémisphères, grâce au développement considéra
ercule quadrijumeau antérieur. - RI, ruban de Reil latéral. - RsTh,
région
sous-optique. sel, grand sillon circonférentiel
u bourgeon terminal constitue une masse excessivement mince dans la
région
du vermis, développée en forme d'aile dans la r
mince dans la région du vermis, développée en forme d'aile dans la
région
des hémisphères, qui forme le bord pos- térieur
et le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf). Dans la
région
du vermis, il se réduit au bourgeon terminal ou f
mis, il se réduit au bourgeon terminal ou folium cacuminis. Dans la
région
des hémisphères, le lobe du bourgeon terminal f
upérieur et mfc- rieur. Lame de concen- tration commune de la
région
hémil'hé- rique de ce lobe Lobe du tubercul
cervelet et se rencontre chaque fois qu'un profond sillon sépare la
région
vermienne de la région hémisphérique. Elle fait
e chaque fois qu'un profond sillon sépare la région vermienne de la
région
hémisphérique. Elle fait défaut au lobe supérieur
(scf) et le sillon post-pyramidal (spup), lobe qui comporte dans la
région
hémisphérique les deux tiers posté- rieurs de l
ique, il est équivalent à chacun de ces lobes. Il comprend, dans la
région
du vermis, la pyramide de Malacarne (Pyc), et,
ns la région du vermis, la pyramide de Malacarne (Pyc), et, dans la
région
hémisphérique, le lobe digastrique (Ldg) ou cunéi
gastrique. Le sillon post-pyramidal (spop) est très profond dans la
région
du ver- mis, où il sépare la pyramide du tuberc
occulus (Floc). Le sillon pré-pyramidal (sprp), transversal dans la
région
du vermis, où il sépare la pyramide de la luett
et de la mince couche de fibres blanches qui la recouvre dans celte
région
. Les amygdales (Amg, Fig. 344, 313, 34G, 348 et
elle intéressée sur toutes les coupes pratiquées au voisinage de la
région
bulbo-protubérantielle. Les coupes sagittales (
de l'amygdale et reçoit à angle plus ou moins aigu les lobules des
régions
antérieure, postérieure et infé- rieure de l'am
le nom de sommet, de faite du 4" ventricule, ec qui correspond à la
région
du hile de l'olive cérébel- leuse (Voy. plus lo
CENTRES NERVEUX. Configuration exté- rieure. Face antérieure.
Région
pontine. Limites. Trou borgne supé- rieur.
el ou sillon prolll- béranliel inférieur, divise cette face en deux
régions
: l'une supérieure ou pontine, très saillante e
qué et qui est remarquable par ses reliefs longitu- dinaux. 1° La
région
supérieure ou pontine constitue la protubérance
l. 1 1 l 1 482 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Aspect de la
région
pontine. StDaLiontransver- sale. Faisceau
ulus ou lobule du nerf vague (Floc). Toute la face antérieure de la
région
pontine est striée transversalement par de gros
cicule détaché, aberrant, des libres transvcr- sales du pont.
Région
bulbaire. Sillon médian an- térieur. 484 .A
postérieure. La face postérieure du rhombencéphale pré- sente deux
régions
bien distinctes : l'isthme postérieur en haut, la
thme postérieur en haut, la face ' postérieure du bulbe en bas. Ces
régions
sont reliées l'une il l'autre par le cervelet;
ieur (Fig. 331, 3 : 1 ). L'isthme postérieur représente une étroite
région
rectangulaire formée par la valvule de Vieussens
e, en avant du cer- velet dont la face antérieure se moule sur la
région
, mais en est séparée par un double feuillet pie
raux de l'isthme qui logent le toenia pontis (Tpo) limitent cette
région
de chaque côté et la sépa- rent des pédoncules
rébelleux supérieurs (Pes) occupent les parties exler- nes de cette
région
et forment deux gros et courts cordons aplatis qu
ces cas, l'isthme postérieur parait com- plètement fusionné avec la
région
du ruban de Reil latéral. Ces fibres arquées de
obliquement, en bas et en arrière, puis devient ver- tical dans la
région
cylindrique du bulbe et se continue avec le sillo
ligne du spinal se porte petit à petit en avant et se place dans la
région
cervicale inférieure, immédiatement en arrière du
492 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Epaisseur variable suivant les
régions
et les individus. un repli pie-mérien, la toi
rence de profondeur de ce diverticule sur la ligne médiane et dans la
région
des valvules de Tarin. (Voy. à ce point de vue
, Fig. 3 : 5 et 335), puis se rétrécit, devient superficiel dans la
région
bulbaire où il constitue la lige du cala- mus
nom d'aile blanche interne (apl, Fig. 355), s'élargissent dans la
région
moyenne du plancher où ils sont le plus souvent
sensitifs (lame alaire, voy. T. 1er, p. 86), s'élargissent dans la
région
bulbaire et dans la région protubérantielle en
voy. T. 1er, p. 86), s'élargissent dans la région bulbaire et dans la
région
protubérantielle en y formant deux dépressions
ème ventricule (Fig. 352). L'extrémité inférieure appar- tient à la
région
bulbaire du plancher, elle est située en dehors d
nom d'aile blanche externe. L'extrémité supérieure appartient à la
région
protubérantielle; Charpy l'appelle tubercule acou
dans le sens plus restreint de Charpy, c'est-à-dire appliqué à une
région
qui contient les noyaux de terminaison du nerf ve
. De leur ligne d'émergence qui peut occuper toute la hauteur de la
région
moyenne du plancher, le plus grand nombre des s
er du le ventricule 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les trois
régions
du jnlanchcr. Région supérieure. HCglOll bu
0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les trois régions du jnlanchcr.
Région
supérieure. HCglOll bulbaire ou inférieure.
s acoustiques divisent le plancher du quatrième ventricule en trois
régions
transversales : 1° une région intermédiaire ou mo
her du quatrième ventricule en trois régions transversales : 1° une
région
intermédiaire ou moyenne, ou région des stries
régions transversales : 1° une région intermédiaire ou moyenne, ou
région
des stries acoustiques; 2° une région supérieure
intermédiaire ou moyenne, ou région des stries acoustiques; 2° une
région
supérieure ou protubéran- tielle; 3° une région
acoustiques; 2° une région supérieure ou protubéran- tielle; 3° une
région
inférieure ou bulbaire. La région supérieure ou
e ou protubéran- tielle; 3° une région inférieure ou bulbaire. La
région
supérieure ou protubérantielle est étroite, allon
e, allongée et beau- coup plus étendue dans le sens vertical que la
région
inférieure ou bul- baire : elle contient l'emil
fossette médiane (fm), et le locus cærltlelts (Le, Fig. 352). La
région
inférieure ou bulbaire est beaucoup plus court qu
angulaire du quatrième ventricule, diverticule peu profond dans la
région
du vermis, où il présente de chaque coté de la
du vermis, où il présente de chaque coté de la Topographie de ces
régions
sur les cou- pcs : transv('rsalc ? Voûte du 4
te que la substance blanche centrale du cervelet atteint dans cette
région
la surface exté- rieure du cervelet. Ce fait es
position si particulière qu'affectent sur les coupes sagittales les
régions
du hile de l'olive cérébelleuse et du nid d'hiron
ve encore interrompue par place sur de courts trajets, soit dans la
région
du vcrmis, soit dans celle des hémisphères. Sur c
me dans l'intérieur du cervelet une masse compacte, renflée dans la
région
des hémisphères, réduite dans la région du vermis
e compacte, renflée dans la région des hémisphères, réduite dans la
région
du vermis à un mince pont transversal jeté d'un
ration de Reil, la substance blanche centrale est concave dans la
région
du vermis, convexe dans la région des hé- m
centrale est concave dans la région du vermis, convexe dans la
région
des hé- misphères ; et présente à ce niveau d
en dedans dans les pé- doncules cérébelleux. En dedans, dans la
région
du vermis, les libres a direction sagittale pré-
lle ne nous renseigne nullement sur son épaisseur dans les diverses
régions
du cervelet. Pour compléter son étude, il faut
us le nom d'arbre de vie des lobes latérazcx du ce1't'elel. Dans la
région
du vermis, la substance blanche centrale (coupe S
. Arbre do vie du lobe médian. Modifications su- bies dans la
région
de transition. Aspect de la sub- stance bla
de vie des lobes latéraux du cervelet (coupe S9, Fig. z8). Dans la
région
du vermis, les altérations sont d'abord toutes
édiatement en dehors du sillon longitudinal supérieur une véritable
région
de transi- tion, dans laquelle la figure de la
yau sphé- rique ou globule, et le bouchon ou embole, situés dans la
région
de tran- sition entre le vermis et les hémisphè
lés accessoires. - Les noyaux dentelés accessoires occupent dans la
région
de transition la parlie supérieure et interne de
telés accessoires. Il est situé en FIG. 360. - L'arbre de vie de la
région
de transition entre le vermis et l'hémisphère c
Les plis sont plus nombreux, plus étendus, plus profonds, dans les
régions
supérieure et inférieure du corps dentelé où l'on
ecouvre le groupe externe des fibres semi-circu- laires et toute la
région
postérieure et inférieure de la toison; elle est
trent que le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) ne forme pas dans la
région
protubérantielle un faisceau fermé, mais qu'il se
s. Coupe horizontale un peu oblique en bas et en avant passant par la
région
protubérantielle moyenne, un peu au-dessous de
t le ruban de Reil médian (Rm) qui forme la limite antérieure de la
région
de la calotte; elle est cloisonnée par la subst
elles moyennes [FPom]) appartient aux deux liers supé- rieurs de la
région
protubérantielle. Elle cloisonne, segmente, subdi
Reil médian (Fig. 381, 382), puis les fait rentrer plus bas dans la
région
protubéran- tielle antérieure. Les fibres pro
ntre-croisement qui occupe toute l'étendue antéro-poslérieure de la
région
protubérantielle antérieure, et qui s'effectue
postérieurs et se portent peu à peu, en avant et en dedans, dans la
région
antérieure de la CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RH
choroïdes du 4e ventricule. - RC, radiations de la calotte. - RgRm,
région
du ruban de Reil médian. - Rm, ruban de Heil médi
tement distinct que sur les coupes horizontales qui passent dans la
région
du hile du noyau dentelé, où il présente une su
à leur axe. Au-dessus de l'émergence des nerfs pathétiques, dans la
région
des tuber- cules quadrijumeaux postérieurs, les
n plan oblique en haut et en arrière. Il en résulte que si dans les
régions
moyennes et supérieures (coupe P.2, Fig. 393), l'
s toute l'étendue anléro-postérieure du raphé, il n'occupe dans les
régions
inférieures (coupes P3, P4, Fig. 368, 369) que
e antérieure du raphé, voisine du ruban de Reil médian, et dans les
régions
supérieures que la partie postérieure du raphé, c
eux supérieur). Il occupe la calotte pédonculaire aux confins de la
région
sous-optique, présente, à l'état frais , une co
- dian (Fig. 12, p. 61), et se prolonge en avant et en haut dans la
région
sous-optique où elle constitue le champ et le f
par Forel; ils se portent en haut et en dehors, s'irradient dans la
région
ventrale du thalamus (Fig. 321, p. 385) en avan
de ce changement de direction que sur les coupes horizon- tales des
régions
protubérantielles moyennes (coupe H6, Fig. 3gaz),
e leur trajet. Le pédoncule cérébelleux inférieur se divise dans la
région
protubé- rantielle inférieure en deux segments
lu- férieure coudee. 534 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les deux
régions
longitudinales du tronc encéphalique. Limit
NTÉRIEURE DU TRONC ENCÉPHALIQUE Le tronc encéphalique comprend deux
régions
longitudinales bien dis- tinctes : l'une fail s
r, basal ou ventral du tronc encépha- lique ; l'autre s'étend de la
région
sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
c'est l'étage postérieur ou dorsal du tronc encé- 1- pllalique, la
région
de la calotle. La limile entre ces deux étages
alique, la région de la calotle. La limile entre ces deux étages ou
régions
est établie dans le cerveau moyen par le locus
se sont arrêtées ni dans le thalamus et ses gan- glions, ni dans la
région
sous-optique (voy. p. 73); 2° Par un système de
GURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 535 se prépare aeja aans les
régions
moyenne et intérieure uu pieu uu peuon- cule cé
le faisceau pyramidal, et les noyaux pontiques l'appliquent sur la
région
de la calotte, en particulier sur le ruban de R
d'autant plus que le faisceau pyramidal reçoit sou- vent dans celle
région
les fibres aberrantes de la voie pédonculaire qui
, protubérantiel et bulbaire, la voie pédon- culaire abandonne à la
région
de la calotte un nombre variable de fasci- cule
t dans le cordon latéral homolatéral de la moelle épinière. Dans la
région
pédonculaire les fibres aberrantes forment, ain
ent au ruban de Reil médian (Dejerine et Long)ou s'épuisent dans la
région
avoisinante de la calotte, les autres traversen
375, 37G, 377. -- Les fibres aberrantes de la voie pédonculaire de la
région
du pédoncule cérébral : Pes lemniscus profond (
u- laire consécutive à un foyer capsulaire, ayant sectionné dans la
région
thalamique la partie postérieure du segment pos
laire, consécutive à un foyer lenticulaire sectionnant, dans la
région
thalamique, la moi- Lié postérieure du segment
terne. De la voie pédoncu- laire dégénérée, se détachent dans la
région
protubéran- tielle super cure les fibres aber
inter-olivaire, puis réintègrent la voie pédoncu- laire dans les
régions
bul- baires supérieure (Fig. 379) et moyenne
consta- ter cle visu le point où elles s'en détachent. Dans la
région
protuhé- rantielle, le pes lemniscus superfic
de Reil (Rm, Fig. 381), sont particulièrement abondantes dans la
région
pro- tubéranlielle inférieure (Fig. 382), occ
t la partie antéro- interne de la'couche inter-oli- vaire dans la
région
bulbaire moyenne](Fig.383), puisréintè- grent
moyenne](Fig.383), puisréintè- grent la voie pédonculaire dans la
région
bulbaire inférieure; aucune fibre ne participe
culaire fournit en outre à ce faisceau, dans toule la hauteur de la
région
protubérantielle, un certain nombre de libres, le
ielles (f Pyhs), fusionnées avec le faisceau pyramidal (Py) dans la
région
moyenne de l'olive bulbaire (Fig. 385), s'en di
moyenne de l'olive bulbaire (Fig. 385), s'en différencient dans la
région
inférieure de l'olive bulbaire (Fig 386) sous f
éunissent en petits fas- cicules arrondis et sont refoulées dans la
région
de la calotte par les fibres transversales prof
uelles : tantôt elles se détachent de la voie pédonculaire dans les
régions
protubérantielles supérieure ou moyenne (Fig. 375
supérieure ou moyenne (Fig. 375, 381, 382), tantôt seulementdans la
région
protubérantielle inférieure- plus rarement au-d
et pédonculaires, les unes réintègrent la voie pédonculaire dans la
région
protubérantielle inférieure et sont ramenées en
une partie de leur trajet et c'est là leur caractéristique. Dans la
région
bulbaire moyenne et inférieure, la voie pédoncula
IVe partie). 2. ÉTAGE POSTÉRIEUR OU DORSAL DU TRONC ENCÉPHALIQUE,
RÉGION
DE LA CALOTTE La région de la calotte appartien
STÉRIEUR OU DORSAL DU TRONC ENCÉPHALIQUE, RÉGION DE LA CALOTTE La
région
de la calotte appartient à la fois au rhombencéph
e l'aspect d'un long fuseau, atteint sa plus grande largeur dans la
région
bulbo-protu- bérantielle, s'effile en haut où e
bulbo-protu- bérantielle, s'effile en haut où elle fait suite à la
région
sous-optique, et en bas où elle se prolonge dan
Elle est limitée en dedans par le raphé médian qui la sépare de la
région
homologue du côté opposé; en dehors, elle atteint
eau moyen et du bulbe rachidien, tandis qu'elle est limitée dans la
région
protubérantielle par les pédoncules cérébelleux i
omplètement le canal épendymaire dans la partie fermée du bulbe. La
région
de la calotte est occupée dans toute sa hauteur p
sont d'origines très variées; elles proviennent presque toutes des
régions
postérieures du tronc encéphalique, se portent
'autres encore occupent la partie postérieure de la calotte dans la
région
bulbo-protubérantielle, el se détachent du corps
nes cellulaires longitudinales. La colonne interne fournit, dans la
région
pro- tubérantielle supérieure, le noyau d'origi
rigine de la porlion motrice du nerf trijumeau (Ve paire) ; dans la
région
protubérantielle inférieure, le noyau d'origine
inférieure, le noyau d'origine du nerf facial (VIle paire); dans la
région
bulbaire, les noyaux d'origine de la ortiozz mo
x gris de la formation réticulée. Dans son long trajet étendu de la
région
sous-optique a la moelle cervicale supérieure,
able. Les trabécules s'épaississent et s'élargissent dans certaines
régions
, s'amincissent et disparaissent dans d'autres,
réticulé (Nrt, coupes H3,H6,Fig. 362, p. 518; 365, p. 527); dans la
région
postéro-cxternc, le noyau circonflexe (Nef, cou
cxternc, le noyau circonflexe (Nef, coupe H 2, Fig. 395) et dans la
région
antéro-externc, l'olive supé- Pleure ou protubé
ion réticulée commence en haut, à l'union du cerveau moyen et de la
région
sous-optique, par une extré- mité mincc et effi
au champ de Forel, aux fibres de la commissure postérieure et v la
région
du ruban de Reil médian; elle est traversée par
quadrijumeaux, la formation réticulée occupe » sur les coupes de la
région
un petit champ triangulaire compris entre le noya
supérieur J' de Bechterew(Ncs, hig. 39, coupeHl). Cenoyau occupe la
région
protu- bérantielle supérieure, existe sur toute
central de la calotle (Fcc, FiG. 3%. - La formation réticulée de la
région
protubérantielle supérieure au-dessous de la co
parai ! élargi et mal délimité en dehors; il est adossé clans celle
région
à une zone parti- Fig. 395. - La formation réti
e région à une zone parti- Fig. 395. - La formation réticulée de la
région
protubérantielle supérieure. - Les noyaux centr
ro-interne et noyau central supéro-externe de Bechterew). Dans la
région
protubérantielle supérieure (coupe H2, Fig. 395),
noyau central supérieur en dehors (coupe H2, Fig. 395). 3° Dans la
région
protubérantielle moyenne (coupes H 3 ct H 4, Fi
), la formation Le noyau circon- flexe, c. Son aspect dans la
région
protubéran- tiille moyenne. Le Ifoyau réticul
béran- tiille moyenne. Le Ifoyau réticulé. Son aspect dans la
région
lorotubbran- tielle inférieure. 500 ANATOMIE
le pédoncule cérébelleux FiG. 396. - La formation réticulée dans la
région
prolubéranl ielle moyenne, le noyau réticulé et
se déforme tome il. 36 1 c. 397. - La formation réticulée dans la
région
protubérantielle inférieure. -- Le noyau centra
cial et moteur oculaire externe. - Coupe horizontale passant par la
région
protubérantielle inférieure au voisinage du sil
ation réti- culée du segment h)t)h : U[-C. Son aspect dans la
région
bulbaire su- périeure de même, s'allonge dans
(Nci), mieux délimité que le noyau réticulé el qui appartient à la
région
bulbo-protubérantielle. Adossé de chaque côté au
re une capsule de fibres d'autant plus mince que l'on considère des
régions
Imlbai l'es. plus inférieures. Le faisceau cent
RE DU RHOMBENCÉPHALE. 563 Fic.. 398. - La formation réticulée de la
région
bulbaire supérieure. Le noyau central inférieur
/v, branche vestibulaire du nerf auditif. malion réticulée. Dans la
région
bulbaire supérieure (coupe H8, Fig. 398), le no
er -réticulé. C'est dans ce dernier segment que l'on trouve dans la
région
inférieure du bulbe (Fig. 399), un amas gris, é
rise Fig. 399. - La formation réticulée du segment bulbaire dans la
région
moyenne de l'olive bulbaire. La formation rétic
oglosse. ! ;66 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la
région
bulhalro moyenne. Les noyaux du cordon laté
ules de fibres arciformes provenant du corps restiforme. 2° Dans la
région
qui correspond au tiers moyen de l'olive bulbaiie
ach, Foville, Cruveilhier, Longet, ce terme s'appliquait à toute la
région
connue aujourd'hui sous le nom de formation rétic
ure et inférieure du noyau externe de la couche optique, dans celle
région
située au-dessous el en dehors du centre médian
du centre médian de Luys, et que nous avons désignée sous le nom de
région
du ruban de Reil médian. Noyaux des cordons pos
ERVEUX. Le ruban de Roll se de la formalion réticulée dans la
région
hulbo- protubérantielle. La couche ruba- li
an de Reil (Rm) s'étale dans le sens transversal; il occupe dans la
région
protubéranlielle moyenne toute la largeur de la
. 31 Fit. 403. - Le ruban de Reil et la formation réticulée dans la
région
moyenne de la protuhéiance. L'olive cérébelleus
ruban de Reil médian. Ils sont particulièrement nom- breux dans les
régions
protubérantielles supérieure et moyenne, mais f
aux triangulaires de l'isthme. Sur les coupes horizontales de cette
région
(coupe Hl, Fig. 391), le ruban de Reil latéral
latéral. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 579 Dans les
régions
voisines du pédoncule cérébral (coupes P3, P4,
rieurs (x Pcs). Le ruban de Jteil latéral (RI), présente dans cette
région
un aspect piriforme ou triangulaire, à sommet p
tubercule quadrijumeau postérieur croisé ; sa terminaison dans les
régions
inférieures du pédoncule cérébral lui a encore
nlerc Schleife) (Voy. Synonymie et Historique, p. 569). · Dans la
région
des tubercules quadrijumeaux antérieurs (coupes
hleife); les autres -mi de beaucoup les plus nombreuses abordent la
région
sous-optique et la couche optique; elles sont q
de ruban de Reil thalamique (Thalamus Schleife). , , i , Dans la
région
sous-optique (coupes n° 9 x à n° 7 x, Fig. 23, p.
eau devient très irrégulière au voisinage du,, thalamus, dan; celte
région
située au-dessous et en dehors du centre médian d
s du centre médian de Luys c Lo ruban de Reil aux confins du la
région
pédonculairo. Lo ruban de Reil dans la région
aux confins du la région pédonculairo. Lo ruban de Reil dans la
région
pé- donculaire. Le ruban de Heil dans la ré
Reil dans la région pé- donculaire. Le ruban de Heil dans la
région
tous- optiquc 80 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
DES CENTRES NERVEUX. Fibres croisant le ruban de Reil dans les
régions
pédoncu- laire et sous-opti- que. Le faisce
l postéiieur. Son étendue. que nous avons désignée sous le nom de
région
du ruban de Reil médian (Ilg lim, Fig. 47, p. 6
eur de Stieda; Hinteres LangsbÜndel de Meynert; fibres spinales des
régions
postérieures (Luys); bord supérieur de la subst
des variations de forme et de volume très appréciables suivant les
régions
. Il est néanmoins facile à reconnaître sur tout
re. Dans toute celle étendue qui cor- respond assez exactement à la
région
des tubercules quadrijumeaux antérieurs, le fai
aisé de le délimiter. Le pont angulaire si accusé, qui unit dans la
région
des tubercules quadrijumeaux antérieurs les deux
fait place à l'entre-croisement des pédoncules Son aspect dans la
région
sous-optt- que. Son aspect dans la région d
Son aspect dans la région sous-optt- que. Son aspect dans la
région
du noyau du Il moteur oculaire com- mun. So
athétique. 582 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la
région
protubéran- ticlle supérieure. ' 1 Son aspect
au ni- \ eau du noyau du nerf masticateur. Son aspect dans la
région
protubéran- tielle intérieure cérébelleux sup
térieurs. Il conserve cette apparence dans toute la hau- teur de la
région
des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Avec
que hématoxylinique. Il con- serve cette forme d'aile dans toute la
région
protubérantielle supérieure qui correspond à l'
paraît ainsi que le pont d'union, et le faisceau se réduit, dans la
région
du noyau masticateur (NVm), du noyau sensitif d
de la formation réticulée; comme cette Fic. 406. - La calotte de la
région
protubérantielle moyenne : ruban de Reil, faiscea
trijumeau. z84 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la
région
bulbaire. sa fusion avec la iorinationrcttcul
(Tr) qui se rendent dans le ruban de Reil latéral (111). Dans les
régions
protubérantielles moyenne et inférieure (coupes H
ue, les transformations qu'ils subis- sent et les connexions de ces
régions
si importantes avec le cervelet. COUPES SAGITTA
longueur des axes principaux du vermis et la fusion des axes de la
région
postérieure du vermis en une branche commune, l
immédiatement au-dessous du trou borgne bulbo-protubérantiel. Dans la
région
protubérantielle, elle est formée par les fibre
. Sur la coupe S 1 (Fig. 408), la division du tronc encéphalique en
région
anté- rieure et région postérieure est encore p
. 408), la division du tronc encéphalique en région anté- rieure et
région
postérieure est encore plus nette. Dans les traîn
pent toute la hauteur de la calotle et s'étendent directement de la
région
protubérantielle à la région bulbaire. Ils formen
alotle et s'étendent directement de la région protubérantielle à la
région
bulbaire. Ils forment en s'enchevêtrant un rése
oyau gris allongé, le noyau central inférieur (Nci), sépare dans la
région
protubérantielle le ruban de Rcil médian (fim) ad
essivement intimes, d'épais fascicules s'étendant directement de la
région
protubérantielle à la région bulbaire; les troi
fascicules s'étendant directement de la région protubérantielle à la
région
bulbaire; les trois couches, superficielle, int
est surtout constitué par la formation réticulée grise, et dans la
région
protubérantielle par le faisceau central de la
aux fortement colorés par l'hématoxyline que l'on trouve dans cette
région
, appar- tiennent au faisceau solitaire ou racin
s au-dessus du noyau, tandis qu'elles sont plus clairsemées dans la
région
bulbaire où la formation réticulée grise (SRg)
u facial. G00 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. COUPES INTÉRESSANT LA
RÉGION
DE TRANSITION DU CERVELET ET LES PARTIES LATÉRA
eur. La substance blanche du vermis s'accroît rapidement dans cette
région
et subit des modifications importantes, qui tra
nglionnaires qui sont : dans le vermis, les noyaux du toit, dans la
région
de transition, les noyaux accessoires cle l'oli
oyau sphérique ou globule et le noyau du bouchon ou embole, dans la
région
des hémisphères enfin, la volumineuse olive cér
formations subies par les branches de l'arbre de vie médian dans la
région
de transition et dans la région des hémisphères c
es de l'arbre de vie médian dans la région de transition et dans la
région
des hémisphères cérébelleux sont les suivantes
'arbre de vie médian s'épaissit, s'élargit et se raccourcit dans la
région
de transition (coupes S 3 et S4, Fig. 412. et 4
ansition (coupes S 3 et S4, Fig. 412. et 413), puis s'étale dans la
région
des hémisphères (coupes S 6 et S 7, Fig. 414, 4
le de l'arbre de vie médian (coupe S 1, Fig.408), s'étalent dans la
région
des hémisphères sur une très large base d'implant
, et ne se distingue guère des premiers par sa pro- fondeur dans la
région
des hémisphères (comparer entre elles les coupes
ian subit des modifi- cations tout aussi importantes. Dans toute la
région
du vermis, elle est remarquable par sa longueur
e tubercule valvulaire. Elle perd rapidement ses caractères dans la
région
de transition, où elle s'épaissit un peu et se
ement (Coupes S 4 et S 5), puis elle disparaît complètement dans la
région
des hémisphères en fusionnant avec la subslance
lingula diminue rapidement, n'atteint guère la moitié externe de la
région
de transition; la lingula se réduit ainsi à une s
du lobe central s'épaissil et se raccourcit, semble n'être, dans la
région
de transition, qu'une ramification de la branche
odifiée (coupe S4, Fig. 412), puis reprend son indépendance dans la
région
hémisphérique en s'implantant en avant des lobule
que (Coupe S 6, Fig. 414). Ce dernier, long, grêle et mince dans la
région
de transition, c'est-à-dire dans toute la régio
e et mince dans la région de transition, c'est-à-dire dans toute la
région
correspondant au nid d'hirondelle, se raccourci
au nid d'hirondelle, se raccourcit et s'épaissit rapidement dans la
région
des hémisphères, et s'implante par une base dis
Quantàl'<M'e du nodule, il diminue rapidement et n'atteint pas la
région
de transition, où il se continue avec la valvul
414). Entre la pyramide et le tubercule valvulaire apparaît dans la
région
de transition un lobe hémisphérique, le lobe gr
ndis que la moitié antérieure du lobe grêle représente, dans toute la
région
de transition, un petit lobule séparé, sans con
le (slg, coupes S 5 et S 6, Fig. 413 et 4'l4) sépare, dans toute la
région
de transition, l'axe commun au tubercule valvulai
apparence accidentée tout à fait spéciale et caractéristique de la
région
de transition. Sur les confins de la région de
t caractéristique de la région de transition. Sur les confins de la
région
de transition et de la région hémisphé- rique (
de transition. Sur les confins de la région de transition et de la
région
hémisphé- rique (coupe S7, Fig. 415), l'axe de
anche centrale, elle s'accroit du centre à la péri- phérie. Dans la
région
du vermis, l'accroissement est assez régulier et
cissent à mesure que la substance blanche centrale grandit. Dans la
région
de transition (Coupes S 4, S 5, S 6, Fig. 412 à 4
qu'un contingent très faible, ce qui tient indubitablement dans cette
région
à la présence du nid d'hirondelle et à la profo
d'hirondelle et à la profondeur du sillon du lobe grêle. Dès que la
région
des hémisphères est intéressée, dès que le nid d'
oyen. Coupes S4etS5 (Fig. 412 et 413.) Ces coupes appartienent la
région
de transition du cervelet. La coupe S4 intéresse
OGRAPHIQUE DU RHOMBEINCÉPHALE. 603 Fic. 412. - L'arbre de vie de la
région
de transition entre le vermis et les hémi- sphè
parties latérales du tronc encéphalique. Coupe sagittale S 4, de la
région
de transition, entre le vermis et les hémisphèr
gion de transition, entre le vermis et les hémisphères cérébelleux (
région
du nid d'hirondelle) passant par la ligne de re
versales qui sillonnent la calotte FiG. 413. - L'arbre de vie de la
région
de transition du cervelet, le nid d'hirondelle,
ine sensitive descendante du trijumeau. - Coupe sagittale S 5 de la
région
de transition passant par la ligne de repère S
08 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fic. 414. - L'arbre de vie de la
région
de transition du cervelet, le pédicule d'inser-
ule de Tarin, le noyau du bou- chon et l'olive cérébelleuse dans la
région
du hile de l'olive. Le pédoncule cérébelleux in
nférieur et'le noyau moteur du trijumeau.- Coupe sagittale S 6, de la
région
de transition, passant par la ligne de repère S
orps restiforme. - Pes(le), pédoncule cérébelleux supérieur dans la
région
du hile de l'olive, les fibres les plus externes
eur, le lobe semi- TOME II. 39 Fig. 415. - L'arbre de vie dans la
région
de transition du cervelet. Le pédicule d'inser-
- Coupe sagittale S 7, de l'hémisphère cérébral au voisinage de la
région
de transi- tion, passant parla ligne S 7 de la
nh, nid d'hirondelle. - Oc, olive cérébelleuse, sectionnée dans la
région
de son hile (hOc). - Ici, pédoncule cérébelleux
bas, au niveau du hile de l'olive) (hOc), et qui limite dans cette
région
le nid d'hirondelle (n1).En outre, l'olive ne p
résente un aspect spécial et tout à fait caractéristique dans trois
régions
bien distinctes : Dans la région du vermis, ell
à fait caractéristique dans trois régions bien distinctes : Dans la
région
du vermis, elle présente la figure caractéristiqu
ente la figure caractéristique de l'arbre de vie médian ; Dans la
région
de transition que l'on peut encore désigner sous
a région de transition que l'on peut encore désigner sous le nom de
région
du nid d'hirondelle, elle est allongée dans le se
t avec les pédoncules cérébelleux supérieur et inférieur; Dans la
région
des hémisphères, elle est plus ou moins régulière
ébral. Nous avons vu : 1° que la calotte procède du thalamus, de la
région
sous-thalamique, des tubercules quadrijumeaux ant
NCÉPHALE. 612 avant, et sectionnent le tronc encéphalique dans la
région
protubéran- tielle, perpendiculairement à son a
horizon- tales, et partant un peu obliques, en particulier dans la
région
bulbaire, par rapport au grand axe longitudinal
DES CENTRES NERVEUX. COUPES HORIZONTALES OBLIQUES INTÉRESSANT LA
RÉGION
PÉDONCULO-PROTUBÉRANTIELLE Coupes PI, P 2, P3,
eurs.-Coupe P2, coupe horizontale oblique en haut et en avant de la
région
pédonculo-protubérantielle, passant par la lign
Fl'oa, fibres protubérantielles antérieures appa- raissant dans la
région
du trou borgne pédonculo-proLubérantiel. - Gih, g
ie entre les deux faisceaux longitudinaux postérieurs dans toute la
région
corres- pondant aux noyaux d'origine du nerf de
r. - Coupe P 3, coupe horizontale oblique en haut et en avant de la
région
pédonculo-protubérantielle, passant par la ligne
visé par de nombreuses cloisons névrogliques. Très denses, dans les
régions
antérieures de la calotte, au voisinage du ruban
ire. -Coupe P4, coupe horizontale oblique en haut et en avant de la
région
pédonculo-protubérantielle, pas- sant par la li
le ruban de Reil médian se déplace en dedans. COUPES INTÉRESSANT LA
RÉGION
PROTUBÉRANTIELLE ET LA PARTIE ADJACENTE DU CERV
uches stratifiées FIG. 123. - L'étage antérieur et la calotte de la
région
protubérantielle supérieure; la voie pédonculai
rouve, a quelques mo- difications près, dans toute la hauteur de la
région
protubérantielle. Cet aspect tient d'une part à
s (Le) en arrière. FiG. 424. -La calotte et l'étage antérieur de la
région
protubérantielle supéiieure. La voie pédonculai
CENTRES NERVEUX. FiG. 423. - La calotte et l'étage antérieur do la
région
protubéranlielle moyenne. La voie pédonculaire,
an du quatrième ventricule; sur d'autres préparations de cette même
région
, on voit des fibres sagittales émerger de l'épa
ment instructive et facilite singulièrement l'interprétation de cette
région
. La moitié gauche de la coupe H 3 est située à
a coupe H 4 est empruntée à une autre série et correspond aux mêmes
régions
que la coupe H 3 qu'elle sectionne suivant un p
upe H3 (Fig. 425), tandis que sa partie posté- rieure sectionne des
régions
plus inférieures du cervelet. Elle est parallèle
OMBENCÉPHALE. G33 Fig. 127. - La calotte et l'étage antérieur de la
région
protubérantielle moyenne. La voie pédonculaire
accessoires, et intéresse les trois pédoncules cérébelleux dans la
région
du hile du cervelet. Le pédoncule cérébelleux s
en dedans, s'enchevêtrent les unes avec les autres au niveau de la
région
de transition, entre le vermis et les hémisphères
em), les méandres supérieurs de l'olive cérébelleuse Fig. 428. - La
région
protubérantielle moyenne et ses .connexions avec
- Les pédoncules cérébelleux supérieur, inférieur et moyen dans la
région
du hile du cervelet, les fibres semi-circulaires
rmation réticulée (SR) est pauvre en fibres et présente, dans cette
région
, la partie supérieure de la colonne d'origine d
grosse extrémité du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Dans la
région
du vermis, la coupe passe par la substance blan
laires externes (fsme) du cervelet; ils ne dépassent pas en dedans la
région
de transition, mais divergent en dehors et se p
sur cette coupe la partie antérieure de ce faisceau. FiG. 429. - La
région
protubérantielle inférieure et ses connexions ave
ut être suivi. Les fibres du corps trapézoïde se coudent dans cette
région
en bas, vers le noyau antérieur du nerf cochléair
? 6, p. 630) intercalée dans cette série de coupes. FIG. 430. - La
région
protubérantielle inférieure au voisinage du sillo
641 L'olive supérieure ou protubéranlielle (Os) atteint dans cette
région
son plus haut degré de développement. Elle n'es
Ie paire (Nvi). Les fibres radiculaires du facial décrivent dans la
région
inférieure de la protubérance un trajet très co
ingula, le lobe central, le culmen et le déclive et intéresse dans la
région
des hémisphères les lobes quadrilatères antérie
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. filent en arrière au voisinage de la
région
de transition entre l'hémisphère céré- bral et
noyau du bouchon (Nem), noyau triangulaire dont la base regarde la
région
de transition entre le vermis et l'hémisphère c
adjacente des libres semi-circu- laires externes correspondant à la
région
de transition qui, de chaque côté, est refoulée
ante du trijumeau. - T'a, quatrième ventricule. produits dans cette
région
en grande partie par le segment vertical ou genou
la cavité du quatrième ventricule et correspond à peu près, dans la
région
protubéranticllc, à la coupe H 7 (Fig. 430).
béranticllc, à la coupe H 7 (Fig. 430). La coupe intéresse, dans la
région
des hémisphères, le lobe qitud7-ilalè ? ,e ÉTUD
sphérique, l'olive cérébelleuse, les connexions du cervelet avec la
région
protubérantielle inférieure. Coupe horizontale C
inage de la protubérance appartiennent au flocculus (Floc). Dans la
région
du vermis, la coupe sectionne : 1° les lamelles d
érébelleuse et du bouchon. En dedans de l'olive cérébelleuse, dans la
région
de transition, on trouve, entre l'olive et l'éc
OGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 653 FiG. 137. - Le cervelet dans la
région
du vermis inférieur, du nid d'hirondelle et de la
ond du grand sillon circonférentiel de Vicq d'A4yr (scf). Dans la
région
du vermis, on trouve, entre les deux lobes semi-l
s des fibres semi-circulaires externes du cervelet (fsme). Dans cette
région
elles ne contiennent presque que des fibres d'a
rtie supérieure des pyramides antérieures du bulbe, et intéresse la
région
de transition entre la protu- bérance et le bul
tion entre la protu- bérance et le bulbe rachidien, c'est-à-dire la
région
du sillon bulboT»·ottr- bérantiel. La coupe éta
DU RHOMBENCÉPHALE. 657 Fig. 438. - Le tronc encéphalique dans la
région
bulbo-protubérantielle, immédiate- ment au-dess
u- laire. Ce faisceau n'est plus arrondi comme sur les coupes de la
région
protubé- ranlielle inférieure, mais a une forme
MBENCÉPHALE. 659 ou légèrement concave, s'adossant directement à la
région
de la calotte et n'en étant plus séparée comme
à la région de la calotte et n'en étant plus séparée comme dans la
région
protubérantielle par les fibres du stratum prof
e. Si ces dernières fibres paraissent être si nombreuses dans cette
région
, cela tient à ce que cette coupe intéresse l'extr
et mal délimité qui fait suite à ce groupe de fibres situé dans la
région
protubéranlielle, en avant de l'olive protubérant
rtie par un faisceau médullaire, le faisceau de G'oM6 ? 's; dans la
région
protubérantielle, il est renforcé par des fibres
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sur cette coupe que sur celles de la
région
protubérantielle; elles sont ren- forcées en ef
ymaire obturatrice du quatrième ventricule qui constitue dans cette
région
les bandelettes, toenia et lingula du quatrième v
du raphé. On peut de ce fait considérer à la formation réticulée deux
régions
ou zones : la région interne, longue et étroite
fait considérer à la formation réticulée deux régions ou zones : la
région
interne, longue et étroite, située le long du rap
de formation réticulée blanche (formatio reticularis alba, SRa). La
région
externe, large et irrégulièrement quadrilatère, e
de la /'or- ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. FIG. 439. - La
région
bulbaire supérieure au niveau des diverticules la
z voisine de la précédente; comme cette dernière, elle intéresse la
région
des stries acoustiques, reconnaissable à la prése
ière ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 667 occupée par cette
région
des stries est du reste très nettement mise en év
bscure et qui se confondent en dedans avec la couche L c. 440. - La
région
bulbaire supérieure au-dessous des diverticules l
rétrotrigéminales (frt) sont particulièrement nombreuses dans cette
région
. Cette coupe intéresse les fibres radiculaires
Ra) sont plus courtes et plus grêles, elles semblent Fig. 441. - La
région
bulbaire supérieure au niveau de l'émergence du n
sse (XII) disposées en trois fasci- cules, dont l'un décrit dans la
région
du hile de l'olive un trajet sinueux. Le corps
s suivantes, ces modifications du corps juxta-resti- Fic. 442. - La
région
bulbaire moyenne. L'olive bulbaire et les noyaux
ième ventricule, on trouve les saillies si caractéris- tiques de la
région
: l'aile blanche interne, déterminée par la saill
ction, qui se concentre surtout à sa partie postéro-externe dans la
région
adjacente il la grosse racine sensitive descendan
versent la formation réticulée grise (SRg), le noyau Floc. 443.- La
région
bulbaire moyenne au niveau du trou de Magendie. -
geur du raphé, augmente rapidement d'étendue et de largeur dans les
régions
olivaires inférieures et sous-olivaires. Il rep
réticulée grise (SRg) se sont considérable- ment accrus ; toute la
région
présente un aspect plus clair et le noyau laté2.a
vec la périphérie du cordon latéral de la moelle, com- FIG. 44 - La
région
bulbaire inférieure. L'obex et le ventricule d'Ar
des corps olivaires. Cette disposition existe non seulement dans la
région
antéro-externe qui appartient au noyau de Burdach
n noyau de Goll (NG) et noyau de l3uwlaclc (NB). FIG. \,4,5. - La
région
bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons posté
a périphérie du bulbe occupé ici encore par les der- FiG. zig. - La
région
bulbaire inférieure au-dessous de l'olive bulbair
es pré-pyramidales. Coupe H17 (Fig. 447). Cette coupe passe dans la
région
inférieure du bulbe; au-dessous de l'olive bulb
côté opposé par le sillon médian antérieur, qui atteint dans cette
région
une grande profondeur. On con- state sur cette
néanmoins, toujours dans cette 082 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
région
, des amas irréguliers de substance grise mal déli
ur cette coupe une surface de section irrégulière. Fir. il ? - La
région
bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons posté
de la formation réticulée blanche a laquelle fait suite dans cette
région
, le cordon antérieur de la moelle (Ca). Toute
Les coupes H 18, H 19, H20(Fig. .ls à 450) intéressent en effet la
région
du bulbe connue sous le nom de tubercule cendré
H20, Fig. 450). Fig. 119 et 1 : )0. L'entre-croisement moteur et la
région
du collet du bulbe. Les noyaux des cordons post
mal délimitée en dehors, surtout sur la coupe H 19 (Fig.449) et une
région
intermédiaire (SRg), adjacente à la corne posté
icité d'aspects, que revêt le faisceau pyramidal croisé suivant les
régions
, et dont quelques types sont représentés sur le
Fig. 431. - La partie inférieure de l'entre-croisement moteur et la
région
du collet du bulbe. - Coupe transversale H21 pa
et présente l'aspect fasciculé et enchevêtré, caractéristique de la
région
où s'effectue la décussation de ce faisceau.
3, Fui-. 453). A mesure que l'on envisagerades coupes intéressant les
régions
cervicales supérieure et moyenne de la moelle é
elle épinière, la distance qui sépare TOME II. 44 't Fig. 433. La
région
cervicale supérieure de la moelle au niveau de l'
s s'arborisent en partie dans la couche interne, en partie dans les
régions
inférieures de la couche molé- culaire, puis se
es de l'écorce du cervelet, et qu'on ne rencontre dans aucune autre
région
du névraxe. Les grains (Fig. 457) représentent
nombre de 20 à 30, occupent de grandes étendues, s'effilent dans la
région
des cellules de Purkinje et se prolongent en pa
anche mlraciliaire, s'y couder et se continuer avec une fibre de la
région
(Fig. 4 fil); mais nous n'avons jamais pu les s
ermis. Les fibres dendritiques se rendent, les unes aux différentes
régions
de l'écorce du vermis ou des hémisphères, les a
elleux et assurent les connexions de l'écorce cérébelleuse avec des
régions
plus ou moins éloignées du névraxe. Les fibres
. 3). STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉPHALE. 709. Dans certaines
régions
bien déterminées toutefois, telles que la branche
trage sous-lobaire présente une épaisseur fort variable suivant les
régions
. Mince au niveau du verrais et dans la zone de tr
ses dans la partie antéro-exlerne des hémisphères. C'est dans celle
région
que Stilling, il tort à notre avis, a décrit de
et aussi intime, aussi inextricable que dans n'importe quelle autre
région
du feutrage sous-lobaire et nulle part il ne pe
ion comparables à ceux des hémisphères cérébraux, les diffé- rentes
régions
du cervelet sont néanmoins en connexion intime le
e, à l'aide de la méthode de Marchi, des fibres dégénérées dans des
régions
souvent fort éloignées des foyers primitifs.
les des fibres semi-circulaires. La toison ne se dislingue dans ces
régions
du feutrage sous-lobaire que par la coloration
tié infé- rieure de l'olive cérébelleuse, celle qui correspond à la
région
du nid d'hi- rondelle, où une mince lame de sub
et 648) ; en arrière, il reçoit quelques fibres dendritiques de la
région
de transition ou du vermis (Coupe H5, Fig. 428, p
on avec le pédoncule cérébelleux inférieur. . Coupe sagittale de la
région
de transition du cervelet intéressant l'olive cér
- nh, nid d'hirondelle. - Oc, olive cérébelleuse sectionnée dans la
région
de son hile (l : Oc). - l'ci, pédoncule cérébel
à 436 et Coupe H6, Fig. 429). Ils ne sont plus représentés, dans la
région
de transition, que par un petit fascicule de libr
ui contournent la face externe du corps den- telé. Arrivées dans la
région
de transition, entre le vermis et les hémisphères
quement qui se perdent en avant dans le feu- trage sous-lobaire des
régions
anléro-externes de l'hémisphère. Si la coupe inté
rrière de 1 olive cl'rélJcl- leuse. Leur disposition dans les
régions
in- férieures de l'olive cérébelleuse. Le p
S NERVEUX. (fsme) qui se présentent sur les coupes sagittales de la
région
de transition (coupe S5, Fig. rut3, p. 606) sou
GANGLIONS SIN F H AC 0 1\ T J C A U X : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE
RÉGION
SOUS-OPTIQUE TABLE DES .MATIÈRES. TABLE DES M
T. débordant au delà de leur foyer primitif, elles se propagent aux
régions
voisines ou se communiquent même à des régions
les se propagent aux régions voisines ou se communiquent même à des
régions
éloignées. » « On doit, si je ne me trompe, à c
ière, il n'existe, pour ne parler que des faisceaux blancs, plusieurs
régions
répondant en quelque sorte à autant d'organes d
tude des lésions systématiques, avaient été décomposés déjà en deux
régions
distinctes : les faisceaux de Goll et les zones
ntéro-latéraux des auteurs avaient été à leur tour divisés en trois
régions
: faisceaux pyramidaux, faisceaux de Turck, zones
g, etc., etc. Et cette multiplication des zones, des faisceaux, des
régions
plus ou moins autonomes qu'on vient de dénommer
ommaires relatives à la nature des lésions, à leur distribution, à la
région
de la moelle qu'elles occupent ; enfin, lorsque
. Centre ovale de Flechsig. PLANCHE I FIGURE 1. MOELLE NORMALE.
RÉGION
cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la r
OELLE NORMALE. RÉGION cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale supérieure à / millimètre au-dessous de
la substance grise de la corne antérieure. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par le picro-carmin. Les c
ngement de Deiters d'une autre cellule. F. Réseau fibrillaire de la
région
. G. Coupe transversale d'un tube nerveux. H.
e 3. MOELLE NORMALE. Renflement cervical. Coupe pratiquée dans la
région
du renflement cervical, et colorée par la méthode
Figure 4. MOELLE NORMALE. Canal central. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale supérieure, et colorée par la méthode d
es cellules. F. Vaisseau. PLANCHE III FIGURE 5. MOELLE NORMALE.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
FIGURE 5. MOELLE NORMALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
au. F. Tissu névrotique. PLANCHE IV Figure 7. MOELLE NORMALE.
Région
lombaire supérieure. Coupe pratiquée dans la ré
MOELLE NORMALE. Région lombaire supérieure. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire supérieure et colorée par la méthode de
ure 8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
e 9. MOELLE NORMALE. Renflement lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
du renflement lombaire et colorée par la méthode
Cellules nerveuses de la colonne de Clarke. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par le picro-carmin. Les ce
et de coloration qu'ont été obtenues les préparations des diverses
régions
: les figures sont également faites à un grossiss
issement identique. PLANCHE VI Figure 1' . MOELLE D'AMPUTÉ. -
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
1' . MOELLE D'AMPUTÉ. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale inférieure et colorée par la méthode de
ne antérieure de substance grise atrophiée. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale inférieure et colorée par le picro-carm
tiers supérieur. PLANCHE VII FIGURE 13. MYÉLITE AIGUË DIFFUSE.
Région
cEpvico-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région
LITE AIGUË DIFFUSE. Région cEpvico-DORSALE. Coupe pratiquée dans la
région
cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
e 1889, n° 5, p. 6fHi. PLANCHE VIII Figure 15. MYÉLITE DIFFUSE.
Région
dorsale inférieure. - Coupe pratiquée dans la r
ÉLITE DIFFUSE. Région dorsale inférieure. - Coupe pratiquée dans la
région
dorsale inférieure et colorée par la méthode de P
rne postérieure gauche altérée. Figure 16. - MYÉLITE CAVITAIRE.
Région
cervicale inférieure. ' Coupe pratiquée dans la
E CAVITAIRE. Région cervicale inférieure. ' Coupe pratiquée dans la
région
cervicale inférieure, et colorée par la méthode d
Commissure antérieure. PLANCHE IX Figure 17. MYÉLITE CAVITAIRE.
Région
lombaire inférieure. Coupe pratiquée dans la ré
LITE CAVITAIRE. Région lombaire inférieure. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire supérieure et colorée par la méthode de
diffuse avec désintégration et formation d'une petite cavité. ri.
Région
non altérée de la corne antérieure. B. Groupe
droite. ,Il. Faisceau latéral. Figure 18. MYÉLITE CAVITAIRE. --
Région
lombaire supérieure. La figure représente une p
e M. le pl' Charcot). PLANCHE X Figure 19. SCLÉROSE EN PLAQUES.
Région
cervicale lombaire. Coupe pratiquée dans la rég
ROSE EN PLAQUES. Région cervicale lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale supérieure et colorée par la méthode de
clérose de la zone radiculaire. Figure 20. SCLÉROSE EN PLAQUES.
Région
cervicale. La figure représente un point delà r
SE EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représente un point delà
région
peu sclérosée, du cordon latéral droit de la pr
de M. le Pr Charcot PLANCHE XI Figure 21. SCLÉROSE EN PLAQUES.
RÉGION
cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région
CLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
J. Cordons postérieurs sclérosés. Figure 22. SCLÉROSE EN PLAQUES.
Région
cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la r
SE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale inférieure et colorée par la méthode de
i la planche X. , PLANCHE XII FIGURE 23. . SCLÉROSE EN PLAQUES.
Région
cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la r
SE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale inférieure et colorée par la méthode de
osée du faisceau latéral droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQUES.
Région
cervicale. La figure représente un point de la
E EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représente un point de la
région
très sclérosée du cordon latéral gauche de la p
té. E. Vaisseau. PLANCHE XIII FIGURE 25. SCLÉROSE EN PLAQUES.
RÉGION
dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la rég
ROSE EN PLAQUES. RÉGION dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale supérieure et colorée par la méthode de P
l. Les plaques de sclérose sont disséminées dans presque toutes les
régions
de la moelle qu'elles affectent avec une intens
rosée du cordon latéral gauche. FIGURE 26. SCLÉROSE EN PLAQUES.
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
6. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale (pièce provenant d'un autre sujet que l
es sujets différents. PLANCHE XIV FIGURE 27. LÉSION COMBINÉE.
Région
cervicale. Coupe 1"dtICLIÉB dans la région cerv
E 27. LÉSION COMBINÉE. Région cervicale. Coupe 1"dtICLIÉB dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Pall. Il
ersement alté- rées. PLANCHE XV . Figure 29. LÉSION COMBINÉE.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
gure 29. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale, et colorée par la méthode de Pall. La
est encore inédit. PLANCHE XVI Figure 31 . SCLÉROSE COMBINÉE. -
RÉGION
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
31 . SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale et colorée par la méthode de Pall. La s
0. Faisceau pyramidal sclérosé. FIGURE 32. SCLÉROSE COMBINÉE. -
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
32. SCLÉROSE COMBINÉE. - Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
GURE 33. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. -
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
TE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode au carmin.
FIGURE 34. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE.
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
DANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. On
. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE DOUBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. -
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cer
D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
it peu affecté. Figure 36. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE. -
Région
cervicale. La figure représente un point du fai
37. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE DOUBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsa
UBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale et colorée par la méthode de Weigert. L
it peu atteint. FIGURE 38. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE.
Région
dorsale. La préparation montre un point du fais
Figure 39. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. -
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
ANTE D'ORIGINE SPINALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
FIGURE 40. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE SPINALE.
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
ENDANTE D'ORIGINE SPINALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Weigert.
Figure 41. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE.
Région
dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la rég
ORIGINE SPINALE. Région dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale supérieure et colorée par la méthode de W
Figure 42. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. -
Région
dorsale supérieure. La figure représente un poi
tteint de Mal de Pott avec compression de la moelle au niveau de la
région
dorsale inférieure, et dégénération ascen- dant
FIGURE 43. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE).
Région
cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région
LTE (POLIOMYÉLITE). Région cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
Figure 44. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE).
Région
cervico-dorsale. La figure représente l'un des
Figure 45. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE).
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Pall. On
secondaire des faisceaux pyramidaux. A. Région peu altérée. A'.
Région
peu altérée de la corne antérieure. B. Corne
no6 4, 5 et 6). - FIGURE mi. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE).
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
PLANCHE XXIV - - FIGURE 47. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE;. -
Région
lombaire. Coupe pratiquée au niveau du renfleme
ose. PLANCHE XXV Figure 49. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE).
Région
lombaire. - Coupe pratiquée dans la région lomb
NFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région lombaire. - Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Weigert.
sée de la Salpêlrière. FIGURE 50. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
RÉGION
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
E LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée n<r la méthode de Pall.
1891). PLANCHE XXVI Ffnu)OE51. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
externe de Westphal. Figure 52. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
IE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale et colorée par la méthode de Weigert. C
érosé. PLANCHE XXVII FIGURE 53. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
E LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
adie. PLANCHE XXVIII Figure 55. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
it d'un cas où les lésions étaient particulièrement intenses dans les
régions
lombaire et dorsale, aussi cette préparation mo
ombose. PLANCHE XXIX Figure 57. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
E LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. On
issaüer altérée. -(a FIGURE 58. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
RÉGION
cervicale. Coupe pratiquée au niveau du renflem
érents. PLANCHE XXX IGU131J 59. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
RÉGION
cervicale. La figure représente à un grossissem
Figure 60. SCLÉROSE LATÉRALE, AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT).
Région
cervicale SUPÉRIEURE. Coupe pratiquée dans la
DE CHARCOT). Région cervicale SUPÉRIEURE. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale supérieure et colorée par la méthode de
CHARCOT). Faisceaux pyramidaux. La figure représente un point de la
région
sclérosée des faisceaux latéraux colorée au pic
Figure 63. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT).
Région
dorsale moyenne. Coupe pratiquée dans la région
ALADIE DE CHARCOT). Région dorsale moyenne. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
ADIE DE CHARCOT). Corne antérieure. La figure montre un point de la
région
de la corne antérieure colorée au picrocarmin e
Figure 65. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT).
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
IQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
rs la zone des faisceaux pyramidaux, elle se remarque aussi dans la
région
des cornes antérieures de la substance grise. A
(MALADIE DE CHARCOT). Faisceau pyramidal. Coupe longitudinale de la
région
sclérosée colorée par le picrocarmin et vue il un
nédite. PLANCHE XXXIV Figure 67. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS.
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
LE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pâli. On
rieur. ]J, Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1.
Région
du faisceau pyramidal. FIGURE 68. MOELLE DE F
du faisceau pyramidal. FIGURE 68. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS.
Région
cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
E DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
des exemples. PLANCHE XXXV Figure 69. MALADIE DE FRIEDREICH.
Région
cervicale. 1 Coupe pratiquée dans la région c
ALADIE DE FRIEDREICH. Région cervicale. 1 Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée par la méthode de Pall. La
nerveux sain. PLANCHE XXXVI . Figure 71. MALADIE DE FRIEDREICH.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
1. MALADIE DE FRIEDREICH. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale supérieure et colorée par la méthode de P
D. Vaisseau. PLANCHE XXXVII FIGURE 73. MALADIE DE FRIEDREICH.
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
. MALADIE DE FRIEDREICH. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
ARKE. La figure représente la zone de la colonne de Clarke, dans la
région
dorsale, colorée au carmin et vue à un fort gro
n° 57). , PLANCHE XXXVIII FIGURE 75. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE.
Région
lombaire Coupe pratiquée dans la région lombair
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par la méthode de Pall. On
sceau pyramidal dégénéré. FIGURE 76. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. -
Région
dorsale inférieure. Coupe pratiquée dans la rég
E GLIOMATEUSE. - Région dorsale inférieure. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale et colorée par la méthode de Pall. Même
l dégénéré. PLANCHE XXXIX Figure 77. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
F. Vaisseau. PLANCHE XL FIGURE 79. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE.
Région
CERVICO-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région
MYÉLIE GLIOMATEUSE. Région CERVICO-DORSALE. Coupe pratiquée dans la
région
cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
core inédits. PLANCHE XLI Figure 81. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale et colorée par la méthode de Pall. Cavi
de l'examen nécroscopique. Figure 82. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE.
Région
cervicale. . Coupe pratiquée dans la région cer
INGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région cervicale. . Coupe pratiquée dans la
région
cervicale et colorée au carmin. Ici la cavité n
ésentée ici. PLANCHE XLII Figure 83. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE.
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale et colorée a I'llclllal0r'lllle. Il exi
utopsie. Syringomyélie. » Figure 84. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE.
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire et colorée par le noir d'aniline et le c
ce. Octobre 1880. » PLANCHE XLIII Figure 85. SYRINGOMYÉLIE. -
Région
cervicale supérieure. Coupe pratiquée au niveau
édits. PLANCHE XLIV Figure 87. TUMEUR DE LA MOELLE ,FIBROME). -
Région
cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la r
E ,FIBROME). - Région cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la
région
de l'entrecroisement des pyramides et colorée par
e est déca- pitée par le passage du cordon latéral 1 qui gagne la
région
antérieure gauche. B-B. Cornes postérieures déc
Vaisseau. PLANCHE XLV Figure 89. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME).
Région
dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
EUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région dorsale. Coupe pratiquée dans la
région
dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
ont la substance tassée est considérablement réduite ; les diverses
régions
sont à peine reconnais- sables. A. Corne anté
al gauche. G. Tumeur. FIGURE 90. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME).
Région
lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
UR DE LA MOELLE (FIBROME). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la
région
lombaire supérieure et colorée par la méthode de
lcéreuse (Soc. anat., oct. 1885). Du phlegmon sous-péritonéal de la
région
hépatique (Progrès médical, 1885). D'une variét
urs. — Diffé-rences dans la composition de l'écorce grîsTdës diverses
régions
de l'encé-phale. I. Messieurs, Nous consacr
talent d'arrière en avant, et, quand ils ont franchi le détroit de la
région
ganglionnaire, s'épanouissent en rayonnant dans t
s les sens: en avant, vers l'extrémité frontale ; au centre, vers les
régions
pa-riétales ; en arrière vers l'extrémité occipit
alisation exacte des lésions. Qui oserait affirmer que telle ou telle
région
, qui n'a pas d'appellation dans la nomenclature u
e physiologique de premier ordre ? D'ailleurs, comment désigner cette
région
sur le protocole d'autopsie si elle n'est pas dén
troisième circonvolution ? Comment encore retrouver chez l'homme les
régions
dites psycho-motrices, découvertes chez les anima
in (Analomie des centres nerveux), par Keller et M. Duval. diverses
régions
désignées par l'anatomie descriptive, n'est pas d
re des différences dans la composition de l'écorce grise, suivant les
régions
de l'encéphale que l'on envisage. Considérons, pa
n'a pas l'aspect à peu près uniforme qui lui est propre dans d'autres
régions
du cerveau, les lobes antérieurs, si vous voulez.
'aspect, de l'écorce grise des circonvolutions appartenant aux autres
régions
des hémisphères. Pour bien apprécier la valeur
— Division au point de vue de la structure de l'écorce grise en deux
régions
. Travaux de Betz. 1. Messieurs, La structur
eurs, La structure de l'écorce grise du cerveau, quelle que soit la
région
des hémisphères où on l'étudié, présente des cara
ns doute, chacun de ces éléments constitutifs peut offrir, suivant la
région
où l'on observe, des déviations im-portantes du t
nerveuses, qui forment en définitive l'élément caractéristique de la
région
; on les désigne d'habitude sous le nom de cellul
spèce, moins multipliées que les précédentes, occupent d'ordinaire la
région
la plus inférieure de la couche des cellules pyra
Betz (1) (de Kiew) et-par M. Mierzejewski. On les rencontre dans des
régions
spé- (i; M, Betz vient de publier une note déta
ier l'existence de cellules rameuses, à l'état normal, dans certaines
régions
(cellules de Deiters), je me bornerai à dire que,
rap-port de la constitution des éléments eux-mêmes, dans cha-cune des
régions
que dessinent les sillons fondamentaux à la surfa
ment des cel-lules et de l'abondance des vaisseaux capillaires, cette
région
de l'écorce des circonvolutions présente à l'œil
ar circonvolutions. On sait d'ailleurs depuis longtemps que certaines
régions
de l'écorce grise diffèrent d'une manière très no
ellules globuleuses des cellules pyra-midales de grande dimension. La
région
orbitaire est com-prise dans cette circonscriptio
orbitaire est com-prise dans cette circonscription. En arrière, la
région
comprend tout le lobe sphénoïdal, l'occipital et
ui sont relativement rares. 11 y a, d'ailleurs, dans chacune de ces
régions
, un départe-ment spécial qui mérite de nous arrêt
ial qui mérite de nous arrêter. Occupons-nous d'a-bord de celui de la
région
postérieure. 1° Les éléments nerveux, bien déve
convolutions sphénoïdales et le pli de pas-sage. Selon M. Betz, cette
région
serait destinée aux fonctions de sensibilité. Il
mité des circonvolutions fron-tale et pariétale (ascendantes dans ces
régions
). C'estlàqu'exis-tent à peu près exclusivement le
e chien, les cellules géantes pyramidales n'existeraient que dans les
régions
dites psycho-motrices. 11 ne vous a pas échappé
de stratification en cinq coaches des éléments cellulaires nerveux. —
Régions
où existe ce type de stratification. — Départemen
t des cellules pyramidales géantes. Structure de 1 ecorce grise des
régions
postérieures de l'encéphale. Messieurs, Avant
différences très prononcées encore, sinon aussi tranchées, suivant la
région
des hémisphères qu'on exa-mine ; mais je dois rev
de d'arrangement, ainsi désigné, se retrouve dans toute l'étendue des
régions
de l'hémisphère, situées en avant du sillon de Ro
mité postérieure du lobe et par un sillon qui délimite en arrière une
région
parfaitement distincte que nous allons décrire to
é, de reven'r sur un point que j'ai relevé déjà : c'est que, dans les
régions
des hémisphères où règne sans partage le type à c
ant la forme pyramidale propre aux éléments cellulaires nerveux de la
région
, ces cellules, vous le savez, se différencient no
erveuses motrices des cornes antérieures de la moelle épinière. Les
régions
où se rencontre cette importante particularité so
rencontre cette importante particularité sont à proprement parler les
régions
centrales de la surface externe de l'hémisphère,
es grandes cellules dans l'écorce grise et leur localisation dans les
régions
indi-quées ci-dessus ont été pour la première foi
, p. Wèà. Je me suis efforcé de faire ressortir devant vous que ces
régions
, remarquables par une particularité de structure,
s-prit. b) Ces faits donnent évidemment un intérêt tout spécial aux
régions
de l'hémisphère où se rencontre cette particula-r
anatomique. Je pense donc qu'il est. fort utile de bien connaître ces
régions
topo graphiquement afin de pouvoir les désigner a
elle de décrire la configura-tion de la face médiane des hémisphères,
région
qui, jusqu'à, ce jour, est demeurée, à mon avis,
e, aurait remarqué que, chez les chiens nouveau-nés, l'excitation des
régions
répondant au siège des points psycho-moteurs ne p
inerai ce qui a trait au sujet spécial qui vient de nous arrêter. Les
régions
à grandes cellules^appar-tiennent au type à cinq
nts très sommaires sur les particularités de cette structure dans les
régions
postérieures de l'encéphale. Les régions où se
e cette structure dans les régions postérieures de l'encéphale. Les
régions
où se rencontrent ces particularités compren-nent
lobe quadrilatère. Le caractère général de l'écorce grise, dans ces
régions
, c'est que les cellules nerveuses pyramidales y s
propriée — se circonscrivent sans en dépasser les limites à certaines
régions
nettement déter-minées de cet organe complexe. Je
.pas que les faisceaux de Goll peuvent être lésés isolément et que la
région
des bandelettes externes (Fig. 7, B, B), dans l'a
re; — E, cordons de Goll. Aux lésions systématiques de ces diverses
régions
répon-dent autant d'ensembles symptomatiques ou s
res du polygone de Willis, et l'entourant complètement, limiterait la
région
d'origine des artères ganglionnaires. On décrirai
aire, dans lequel serait compris le cercle de Willis. (Fig. 8). Les
régions
corticales (circonvolutions des deux hémis-phères
l. Mais auparavant, elle adéjàfburni, par son bord supérieur dans une
région
qu'on appelle V espace per foré antérieur, une sé
e-mère. — b, Réseau à mailles polygonales plu? serrées, situé dans la
région
de la couche grise. — c, Réseau de transition à m
uns aux autres vers les parties centrales comme autant de rayons. La
région
blanche et la région grise de l'écorce peuvent do
les parties centrales comme autant de rayons. La région blanche et la
région
grise de l'écorce peuvent donc, en tant que dépar
amifications artérielles de deuxième ou de troisième ordre. Entre ces
régions
de second ordre, de même qu'entre les grands terr
et aura souvent pour conséquence de déterminer la mortification d'une
région
très limitée de l'écorce. C'est là un point capit
ez aisément, dans le domaine de la sylvienne. C'est dans cette grande
région
, en effet, que l'expérimentation tend à Fig. 12
eur mode de distribution dans les circonvolutions fondamentales de la
région
. L'artère sylvienne se partage en quatre branch
occipito-tcmporalis-medialis (lobulus lingualis). — Artères. — 1° Les
régions
circonscrites par la ligne (...) représentent le
ntérieure. — II. Artères fronta-les, interne et postérieure. — 2° Les
régions
circonscrites par la ligne (.—.—.) représentent l
altérations du système artériel cortical. Nous retrouverons dans les
régions
centrales du cerveau qui vont nous occuper, les a
épété en commençant, prennent tous une part à la vascula-risation des
régions
centrales, mais cette part est fort inégale. La c
scendante qui pouvait être suivie à travers l'isthme, jusque dans les
régions
les plus in- Fig. 18. — N C, noyau caudé. — C 0
ement à la sensibilité. — Preuves fournies : 1° par les lésions de la
région
posté-rieure lenticulo-optique de la capsule inte
laires, etc., fournit, en ce qui concerne les masses centrales, aux
régions
suivantes : Io à la partie externe et postérieure
dans l'épaisseur du noyau caudé. Elle se continue ensuite jus-qu'aux
régions
les plus antérieures de ce noyau, en se diri-gean
alique. Celle-ci est, vous le savez, fréquente, prédominante dans ces
régions
; les artères striées sont, en effet, très sujette
ralysies motrices qui résultent quelquefois de la lésion de certaines
régions
superficielles et que, par opposition j'appellera
cupe un point quelconque des deux tiers anté- rieurs de la capsule,
région
où ce tractus blanc sépare l'extré-mité antérieur
atéraux. —G, G, couches optiques. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE,
région
postérieure ou lenticulo-optique de la capsule in
ques, la lésion porte sur le tiers postérieur de la cap-sule, dans la
région
où celle-ci passe entre l'extrémité pos-térieure
où, par suite de la résorption de l'épanchement, la compression de la
région
postérieure ou lenticulo-optique de la capsule in
s du cerveau, c'est la participation ou la non-participation des deux
régions
de la capsule interne qui domine la situation.
loin et rechercher ce que présente de particulier, anatomiquement, la
région
anté-rieure ou lenticulo-striée de la capsule, pa
on anté-rieure ou lenticulo-striée de la capsule, par opposition à la
région
postérieure ou lenticulo-optique dont la lésion d
l'étage inférieur du pédoncule (pes, crustà), et, plus haut, dans la
région
de la capsule interne, le faisceau des fibres péd
res centripètes, ayant pour fonction de trans-porter à la surface des
régions
postérieures du cerveau les impressions sensitive
ser-vations, il résulte unanimement: 1° que les lésionsportant sur la
région
postérieure lenticulo-optique de la capsule inter
riques ; 2° que, au contraire, dans tous les cas où, respectant cette
région
, les lésions intéressent seulement la partie de l
— Ch, chiasma des nerfs optiques. — x, section de la capsule interne (
région
antérieure ou lenticu-lo-striée), produisant l'hé
montrant qu'une lésion située plus haut que ce point, dans certaines
régions
du cerveau lui-même, détermine constam-ment une h
ne. Si, dans les expériences ainsi instituées, la lésion atteint la
région
postérieure de la capsule, l'hémianesthésie du cô
yaux caudés. — L, L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne,
région
postérieure ou lenticulo-optique. — A, A, corne
hésie est une conséquence néces-saire des lésions qui portent, sur la
région
postérieure de la capsule interne ou son émanatio
s mon service. Je vous rappellerai que, à l'état normal, toutes les
région
; du champ visuel ne sont pas, tant s'en faut, éga
ure de la couche optique (Vordere Stiel) ; elles se dirigent vers les
régions
frontales ; 2° d'autres sont moyennes ou laté-ral
ansion particulière du splenium du corps cal-leux. C'est dans cette
région
même, mais sur un plan plus profond, que se répan
relation avec les tubercules postérieurs. On voit encore dans la même
région
, lorsqu'on soulève l'extrémité postérieure des co
he du cerveau du Cercocebus cinomolgus. F, extrémité frontale. — 0,
région
occipitale. — F S, entrée de la scissure de Sylvi
ment partie intégrante du syndrome hémianesthésie cérébrale (1). La
région
de l'encéphale que je signale à votre attention e
é rapportés à une lésion du cerveau, celle-ci, ou n'oc-cupait pas les
régions
profondes de l'hémisphère, ou bien s'étendait jus
ique. DOUZIÈME LEÇON Des dégénérations secondaires. Sommaire. —
Région
antérieure ou lenticulo-striée des masses central
, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces
régions
sur la production de l'hémiplégie motrice. — Fait
Nous devons actuellement porter de nouveau notre atten-tion sur la
région
antérieure des masses centrales, afin d'étudier d
ie pathologiques, les effets des lésions qui s'y pro-duisent. Cette
région
qu'on pourrait désigner sous le nom de lenti-culo
urrait désigner sous le nom de lenti-culo-striée, par opposition à la
région
postérieure ou lenticulo-optique, comprend, vous
nticulaire, laissera subsister l'action du noyau caudé, de cer-taines
régions
de l'écorce grise, des deux noyaux gris à la fois
C/i, chiasma des nerfs optiques. — x, section de la cap-sule interne (
région
antérieure ou lenticulo-striée), produisant l'hém
yaux caudés. — L. L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne,
région
postérieure ou lcnticulo-oplique. — A, A, corne
othèse proposée, comment le noyau lenticulaire, le noyau caudé et les
régions
dites motrices de l'écorce grise des hémisphères,
corps strié, que les lésions destructives par-tielles portant sur les
régions
les plus diverses de ce noyau, se traduisent unif
nsécutives aussi prononcées que celles qui dépendent d'une lésion des
régions
antérieures de la capsule interne. Parmi ces co
rieures du lobe temporal ou encore le lobe sphénoïdal, soit enfin les
régions
antérieures du lobe frontal ne sont pas suivis de
ntinuité. C'est pourquoi elles peuvent se rencontrer, même dans les
régions
de l'écorce signalées plus haut comme des lieux d
faisceau laté-ral, que l'altération scléreuse doit être cherchée ; la
région
lésée apparaît sous la forme d'un espace triangul
'amoindrit progressivement à mesure que les sections por-tent sur des
régions
delà moelle, de plus en plus inférieures. 3° L'
lobes opto-striés et la capsule interne dans l'hémisphère droit. A,
région
cervicale. — B, région dorsale. — G, région lomba
capsule interne dans l'hémisphère droit. A, région cervicale. — B,
région
dorsale. — G, région lombaire. On voit la scléros
l'hémisphère droit. A, région cervicale. — B, région dorsale. — G,
région
lombaire. On voit la sclérose descendante occuper
la partie cervicale du faisceau latéral et devenir superficielle à la
région
lombaire. tères d'une induration grise, d'une s
enne par le milieu de la milieu du renflement du renflement cervical.
région
dorsale. lombaire. qu'elle occupe le système de
nfin, la sclérose primitive a une grande tendance à en-vahir dans les
régions
spinales voisines, soit les faisceaux blancs, soi
re, la lésion n'occupe, dans le faisceau latéral de la moelle, qu'une
région
relativement étroite. Celle-ci se présente, sur u
ge le bord antéro-externe de la corne postérieure. (Fig. 39.) Dans la
région
dorsale, la partie sclérosée diminue progressivem
ans le renflement lombaire [Fig. 41), c'est de nouveau, comme dans la
région
cervicale, un espace triangulaire, mais dont la b
ale primitive, la zone scléreusc occupe d'une façon gé-nérale la même
région
que dans le cas précédent, mais ses limites sont
côté, ayant amené la destruction des grandes cellules nerveuses de la
région
. L'en-vahissement des cornes grises postérieures
ronne rayonnante, se répandent-elles indis-tinctement dans toutes les
régions
de l'hémisphère? sont-elles, au contraire, affect
u moins profondément la substance blanche subjacente, et occupant les
régions
les plus diverses de la surface des hé-misphères.
es, étaient restées indemnes. Les plaques jaunes occupaient l'une des
régions
suivantes, savoir : une partie quelconque des lo-
oin, un lobe occipital ou les deux lobes occipitaux tout entiers, une
région
quelconque des deux tiers antérieurs des lobes fr
à la fois ; il y avait, en outre, le plus souvent, parti-cipation des
régions
les plus voisines des circonvolutions fron-tales
l, qu'une constitution relativement simple. La coupe transverse de la
région
cervicale inférieure fait voir un axe de substanc
erveux à direction presque partout longitudinale, on y distingue deux
régions
: 1° les faisceaux antéro-latéraux, limités par l
en bloc (1), celle des faisceaux pos-térieurs, celle des deux grandes
régions
de la substance grise, et elle n'est pas allée be
an, les lésions qui se cantonnent et se circonscrivent dans certaines
régions
bien déterminées de l'organe sans inté-resser les
s certaines régions bien déterminées de l'organe sans inté-resser les
régions
voisines. Je place sous vos yeux une sorte de p
sous vos yeux une sorte de plan topographique qui montre les diverses
régions
que peuvent occuper les lésions systématiques jus
peuvent être seuls lésés. — D'autres fois, les lésions intéressent la
région
des cordons postérieurs la plus voisine des corne
upe la partie postérieure du faisceau latéral du côté opposé dans une
région
toujours la même et dont nous aurons à étudier le
te de chaque côté, un espace en pareil cas respecté (au moins dans la
région
cervi-cale) : cet espace correspond à la surface
On ne connaît pas, jusqu'ici, d'exemples de lésions portant sur la
région
qui entoure les cornes antérieures et qui seule
ction opérée parla maladie, dans les faisceaux antéro-latéraux. Cette
région
a reçu les noms de zone radiculaire antérieure (P
région a reçu les noms de zone radiculaire antérieure (Pierret) et de
région
fondamentale des faisceaux latéraux (Flechsig).
solément, comme par une sorte de sélection, répondent-ils à autant de
régions
, de systèmes anatomiques distincts, et en même te
errons plus tard, ces faisceaux seraient en relation directe avec les
régions
motrices de l'écorce du cerveau. Or, ces régions
ion directe avec les régions motrices de l'écorce du cerveau. Or, ces
régions
elles-mêmes, chez les animaux qui, de même que l'
pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses
régions
de la moelle épinière. — Leur trajet dans le bulb
attachent, se fixe et se cantonne, pour ainsi dire, dans de certaines
régions
bien circonscrites du cordon nerveux ; que ces ma
de parties distinctes, anatomiquement et physiologiquement, ces mêmes
régions
que l'anatomie pathologique et la clinique ont dé
Billard, la vie du système nerveux est en quelque sorte Fig. 48. —
Région
cervicale. —F. p. d., Faisceau pyramidal direct.
ents de h physiologie d'il y a dix ans, l'excitation électrique des
régions
dites psychomotrices détermine des mouvements dan
s autres parties du côté opposé du corps ; et l'ablation de ces mêmes
régions
produit un état parétique plus ou moins prononcé
gles et, comme ceux de l'homme, privés de déterminations Fig. 49. —
Région
lombaire. — F. p. c., Faisceau pyramidal croisé.
olontaires : tels, le lapin, le chien; tandis que, par contraste, ces
régions
excitables ou centres moteurs existent déjà, d'ap
x pyramidaux croisés. Et précisément ces faisceaux corres-pondent aux
régions
occupées par la lésion, dans une des formes les p
occupeque la moitié supérieure du cordon médullaire; au-dessous de la
région
dorsale, les faisceaux cérébelleux s'épuisent, et
la région dorsale, les faisceaux cérébelleux s'épuisent, et, dans la
région
lombaire, où il n'en reste plus trace, les faisce
on souffre de nombreuses exceptions ; tantôt, ils ne dépassent pas la
région
cervicale, tantôt, au contraire, ils descendent j
la région cervicale, tantôt, au contraire, ils descendent jusqu'à la
région
lombaire. Ces quatre faisceaux sont composés de
tre ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal au-dessus de la
région
bulbaire. — Trajet dans la protubérance. — Traj
yramidal dans le pédoncule. Division de la capsule interne en trois
régions
sur les coupes horizontales. — Segment antérieu
ogi-ques de Parrot. — Formation de l'anse rolandique. — De toutes les
régions
du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions d
ique. — De toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les
régions
dites motrices qui se dévelop-pent les premières.
econnaître la topographie des fais-ceaux pyramidaux dans les diverses
régions
de la moelle épi-nière et indiquer les rapports q
cette figure et surtout dans la précédente, on peut remarquer que la
région
du faisceau pyraminal n'occupe que la quatrième p
au par M. Flechsig. Je dois dire qu'un certain nombre d'examens de la
région
pédonculaire chez le nouveau-né me laissent à sup
gion pédonculaire chez le nouveau-né me laissent à supposer que cette
région
est plus étendue que M. Flechsig ne le fait enten
re l'ensemble, c'était afin de mieux détermi-ner la topographie de la
région
dans laquelle nous devons nous orienter. Dès main
s pouvons en faire abs-traction. Fig. 53. — Coupe horizontale de la
région
pédonculaire dans un cas de de-génération seconda
tre que le locus niger de Sœmmering. Les cellules nerveuses de cette
région
ne sont pas encore pénétrées de matière pig-menta
qu'il en soit, c'est au-dessous de cette bandelette que se trouve la
région
àupied; et c'est-là qu'il nous faut rechercher la
sa présence au milieu des masses ganglionnaires opto-striées, dans la
région
qu'on appelle la capsule interne et qui, en somme
vous partagez cette partie postérieure de la capsule interne en trois
régions
d'égale étendue, c'est la ré-gion moyenne qui occ
t sur-montée par la section de la queue du corps strié. Voilà bien la
région
où passe, suivant M. Flechsig, le faisceau pyrami
ités terminales du faisceau pyramidal appartient, vous le voyez, à la
région
que l'on dési-gne sous le nom de zone motrice. (L
mble du trajet que nous avons successivement étudié dans les diverses
régions
du névraxe. L'hypothèse à laquelle l'auteur en qu
à l'œil nu, les différences de couleur qui correspondent aux diverses
régions
de la masse cérébrale suivant l'âge de ces nouvea
. Il s'agit d'un enfant de 17 jours. Vous voyez qu'à cette époque les
régions
antérieures et postérieures ont une coloration gr
quatre mois après seulement, c'est-à-dire vers le cinquième mois, les
régions
antérieures commenceront à se développer ; encore
à présent, conclure des recherches de M. Flechsig, que de toutes les
régions
du manteau de l'hémisphère, ce sont 'les régions
g, que de toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont 'les
régions
dites motrices qui se développent les premières,
du pédoncule. — Divi-sion de l'étage inférieur du pédoncule en trois
régions
Sommaire. — Introduction à l'étude des dégénéra
ion consécutive du pédon-cule; elle divise l'étage inférieur en trois
régions
. — Dégénération dans la protubérance, dans le bul
la moelle épinière. Localisation de la lésion degenerative dans la
région
opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le faisce
cerveau proprement dit, b) soit de lésions siégeant dans les diverses
régions
de l'isthme (a les pédoncules, 6 la protubérance,
de l'hémisphère. En d'autres termes, il y a dans les hémisphères des
régions
très-étendues où les lésions en foyer sont impuis
te dans la protubérance, puis dans le 1 ulbe, enfin dans les diverses
régions
de la moelle épinièrc. Remarquez d'abord, Messi
face du pied du pédoncule se trouve en quelque sorte divisée en trois
régions
; a) une région médiane représentée par le fais
édoncule se trouve en quelque sorte divisée en trois régions ; a) une
région
médiane représentée par le faisceau pyramidal d
nce fort remarquable sur laquelle nous revien-drons ; — g) enfin, une
région
interne qui, parfois, mais exceptionnellement et
on du faisceau médian. Lorsqu'on a pratiqué des coupes minces de la
région
pé-donculaire, on peut s'assurer immédiatement qu
ficile à reconnaître au milieu des fibres transver-sales propres à la
région
. Cependant on distingue encore assez facilement l
ires dégénérés, surtout par comparaison avec le côté sain, dans les
régions
inférieu-res ou bulbaires de la protubérance, là
sion se reconnaît Tig. 58. —Coupe transversale de la moelle dans la
région
cervicale. - A, dé-génération du faisceau pyramid
ace de subs-tance blanche correspondant au faisceau cérébelleux. — D,
région
intermé-diaire entre la corne postérieure et le f
mé-diaire entre la corne postérieure et le faisceau pyramidal ; cette
région
est toujours respectée dans la dégénration descen
perpendiculairement au grand axe du bulbe rachidien et passant par la
région
moyenne des olives. La lésion bulbaire est exac
rémité inférieure de la moelle lombaire, et comment dans les diverses
régions
spinales, ses rapports se modifient conformément
er lieu aux masses grises centra-les. Une analyse très sommaire de la
région
y fait reconnaître (sur une coupe transversale pa
pe dans le tractus blanc. Le problème consiste donc à délimiter les
régions
capsulaires où la lésion destructive est suivie d
-térieur, ces deux segments s'unissant l'un à l'autre au niveau de la
région
que M. Flechsig propose d'appeler le genou de la
e s'étendait par en bas dans la bulbe et la moelle épinière (1). La
région
de la capsule qui nous intéresse quant à présent,
urait en pareille matière prétendre à la précision mathé-matique — la
région
de la capsule qui répond aux deux tiers antérieur
scendante du fais-ceau pyramidal correspondant. On pourrait l'appeler
région
pyramidale de la capsule, puisque les fibres nerv
des dégénérations pédonculaires. quel j'aurai à revenir), que celte
région
paraît contenir seule-ment des fibres centripètes
dées aujourd'hui sur un assez grand nombre de bonnes observations, la
région
en question pourrait être consi-dérée comme une s
ipètes, prolongeant les fibres sensitives spinales et les reliant aux
régions
postérieures de l'hémisphère. Les fibres de ce se
s ultérieures d'être prise en considération. D'après cela les trois
régions
de la capsule sont représen- (l) Voy. p. m, f
minent la dégénération descendante des faisceaux pyramidaux. Or cette
région
de la capsule est précisément celle dont il s'agi
Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral, —
Région
rolandique du manteau. Lésions en foyer de cette
e cérébral, — Région rolandique du manteau. Lésions en foyer de cette
région
; elles-donnont lieu à des dégénérations secondai
sition aux lésions qu'on appelle centrales parce qu'elles occupent la
région
opto-striée, déterminent, elles aussi, dans de ce
vous le voyez, de déterminer topo gra-phiquement dans le manteau, la
région
que les lésions en foyer doivent intéresser pour
bas; elles sont plus allongées, moins contournées que dans les autres
régions
du cerveau. » Ces deux circonvolutions ont été dé
les deux circonvolutions prolongées se con-fondent. Or, Messieurs, la
région
de l'écorce grise de l'hé-misphère sur laquelle j
ne se voient pas indifférem- (1) Voy, p. 22. ment dans toutes les
régions
de l'écorce ; elles affectent au contraire de se
chien (lac©supérieure).— S.Cr, sillon crucial. —G. S, gyrus sygmoïde (
région
des circonvolutions à grandes cellules pyramidale
à disposées en groupes, en îlots, en nids comme dit M. Betz. Aussi la
région
des circonvolutions mé-dianes pourrait-elle être
ent fait voir que ces cellules se ren-contrent chez le chien dans les
régions
désignées depuis les travaux de Hitzig et Férrier
omo-clinique pour ce qui a trait à l'homme, a permis de localiser les
régions
dites psycho-motrices ou plus simplement motrices
à j'entends seulement désigner, par opposition aux autres, celles des
régions
de l'écorce du cerveau dont la lésion occasionne
res morphologiques, histologiques et physio-logiques, appartient à la
région
dont nous nous sommes pro-posé de déterminer les
te. — G, sillon de Rolando — H, segment antérieur de la capsule. — K,
région
pyramidale de la capsule interne dans le segment
s'éloigne pas beaucoup de la réalité concrète.Géométriquement, notre
région
peut être représentée ainsi qu'il suit : c'est un
bien cependant à peu près dans ces limites que se trouve renfermée la
région
qu'on pourrait appeler rolancli-que, du manteau,
ons secondaires du faiceau pyramidal que lors-qu'elles intéressent la
région
centrale ou rolandique du man-teau de l'hémisphèr
entrale ou rolandique du man-teau de l'hémisphère. En dehors de cette
région
, les lésions destructives en foyer, quelle que so
es lésions destructives limitées à la substance grise corticale de la
région
rolandique produisent des dégéné-rationssecondair
yramidaux. Les lésions en foyer intéressant le centre ovale dans la
région
rolandique, sans participation de l'écorce grise,
s plus ou moins directes avec les grandes cellules pyra-midales de la
région
. Mais en bas, dans la moelle épiniôre, où et comm
eu dans le parcours descendant de ce faisceau à travers les di-verses
régions
spinales. D'un autre côté, certaines observa-tion
artielle des cel-lules de la corne antérieure gauche, au niveau de la
région
cervieomrachiale, L'examen microscopique fait ave
une hauteur de 2 à 3 centi-mètres, on constatait dans la corne de la
région
antérieure une disparition complète de la plupart
plupart des groupes cellulai-res qui se voient normalement dans cette
région
(groupes postérieur et antéro-externe). De plus,
érieur et antéro-externe). De plus, les racines antérieures, dans les
régions
correspondantes du renflement cervico-bra-chial,
, tant ascendantes que descendantes, qui se produisent dans certaines
régions
de la moelle comme conséquence de Js formation d'
t, il se développe en cet endroit une lésion destructive qui, dans la
région
lésée, porte indistinctement sur la substance gri
particularités, suivant que la lésion initiale occupe telle ou telle
région
de la moelle épinière ; il en est de même dans le
ion transverse totale, et nous supposerons que celle-ci siège dans la
région
dorsale supérieure. Il y a à considérer, vous l
Cette lésion, déjà connue de Turek, peut être suivie jusque dans les
régions
les plus supérieures de la moelle. On la retrouve
Les fibres qui le composent paraissent prendre leur origine dans les
régions
les plus supérieures de la moelle dorsale. En con
ébelleux direct, augmente Fig. 63.— A, Coupe de la moelle épinière (
région
dorsale supérieure). — B, Région cervicale. — F c
63.— A, Coupe de la moelle épinière (région dorsale supérieure). — B,
Région
cervicale. — F c, Faisceau cérébelleux dégénéré a
emble s'effiler et n'occupe plus que la partie médiane, qui, dans les
régions
supérieures delà moelle épinière (renflement cerv
aux postérieurs. Au-dessus de ce foyer, circonscrit nettement dans la
région
que nous venons d'indiquer, on constate une dégén
d'entre elles passent dans la commissure anté-rieure, surtout dans la
région
dorsale et gagnent le faisceau la-téral du côté o
le faisceau la-téral du côté opposé, pour descendre avec lui dans la
région
lombaire. Il existerait donc pour ces fibres un d
et l'au-tre dans divers points disséminés sur toute la hauteur de la
région
dorsale ; si j'insiste sur cette particularité, c
r les progrès du développement, les faisceaux de Goll, dans certaines
régions
, se fusionnent avec les faisceaux de Burdach, san
ceaux de Burdach, sans toutefois se confondre avec eux. Mais, dans la
région
cervicale, ils restent distincts, même au point d
es postérieures ; les autres n'atteignent la substance grise que dans
région
du cou (cerviœ cornu posterioris), après avoir tr
sceau se dessiner net-tement dans toute la hauteur de la moelle. A la
région
lombaire, il se montre sur les coupes transversal
faisceaux de Burdach. Ces deux faisceaux ont, en effet, dans cette
région
,une importance majeure,en raison surtout du grand
nd nombre des fibres radiculaires postérieures qu'ils reçoivent. A la
région
dorsale, au contraire, les faisceaux médians l'em
r-tentpar leurs dimensions sur les faisceaux de Burdacli. Enfin, à la
région
cervicale, les faisceaux de Burdacli deviennent d
neux, et il est même très important de remarquer que c'est dans cette
région
qu'ils sont le plus nettement isolés des parties
1° elle occupe exclu-sivement les faisceaux postérieurs ; 2° dans la
région
lom-baire, le faisceau postérieur est envahi tota
i totalement dans son étendue transverse ; 3° mais au-dessus de cette
région
, le faisceau de Goll est seul affecté, et il l'es
ales courtes du faisceau, et, de proche en proche, elle gagne dans la
région
lombaire le faisceau de Goll, qui, suivant la règ
rophique serait dans les cellules pyramidales de l'écorce grise de la
région
rolandique ; 2° les fibres courtes des faisceaux
sceaux de Goll dont le centre trophique occupe la substance grise des
régions
inférieures de la moelle et dont les centres de t
dont les centres de terminaison répondent à la substance grise de la
région
bulbaire. Enfin, la même interprétation s'appliqu
rassemblent de manière à former un groupe un peuplus compact dans la
région
pyra-midale du cordon latéral, et, sur ce point,
tions motrices de cet animal. Quelles sont les parties homologues des
régions
rolandiques de l'homme? C'est là, Messieurs, un p
, l'expéri-mentation a reconnu, à la surface du cerveau du chien, des
régions
excitables et motrices qui, fonctionnellement, on
t, ont la même signification que les circonvolutions rolandiques. Ces
régions
motrices du chien sont, en quelque sorte, groupée
que les résultats seraient conformes si les lésions intéressaient les
régions
correspondantes de la capsule interne. Bref, qu
me s'il s'agissait chez l'homme d'une lésion portant sur un point des
régions
motrices. A cet égard il me suffira de vous citer
ines lésions se dévelop-per spontanément chez le chien sur cette même
région
sig-moïde'et, plusieurs fois enpareilcas,on a rem
grise de l'écorce à la capsule interne, et qui, au même titre que la
région
de l'écorce d'où elle dérive, répond aux excitati
véritable commissure établissant des rapports directs entre certaines
régions
du cerveau proprement dit et les cellules ki-néso
uisent successivement dans leur trajet descen-dant, dans les diverses
régions
de la moelle où elles entrent en connexion avec l
fortiori chez les mammifères), la section des faisceaux latéraux à la
région
dorsale — les faisceaux posté-rieurs et la substa
dissipés. La fièvre, les contractures dites précoces, l'érythème des
régions
fessières, tous ces symptômes de fâcheux augure,
uelques-unes des particularités anatomi-ques qu'offre à considérer la
région
des masses centrales, car c'est dans cette région
fre à considérer la région des masses centrales, car c'est dans cette
région
que se fait l'épanchement, dans la très grande ma
a capsule externe, qui le sépare de l'avant-mur {claustruni) et de la
région
de Yinsula. Or, Messieurs, sur des'pièces conve
point comme une sorte de ventricule virtuel ; et si c'est dans cette
région
, ainsi que l'a depuis longtemps fait remarquer Ge
dinaires, la raison n'en est pas difficile à comprendre. A cette même
région
appartiennent, en effet, les artères nourricières
'exis-tence du phénomène est surbordonnée à l'intégrité de cer-taines
régions
médullaires. Il faut ajouter encore que, d'aprè
, avec une grande précision, les conditions de ce phénomène (2). La
région
de la moelle dont l'intégrité est nécessaire pour
se entre la cinquième et la sixième vertèbres lom-baires. Quand cette
région
delà moelle est détruite, le phéno-mène ne se pro
us ou au-dessus de ce niveau n'ont pas cet effet. Or, c'est dans la
région
indiquée que prennent origine les ra-cines de la
réticulum nerveux, jusqu'aux autres éléments ganglionaires de la même
région
et, en particulier, aux cel-lules œsthésodiques.
i, lorsque le malade frappe un peu fort, avec la paume de la main, la
région
hyperesthésiée, la jambe se rétracte convulsi-
riable suivant les cas et suivant les sujets, ainsi que l'étendue des
régions
sur lesquelles elle se propagera. Ceci fait compr
Il s'étendrait par diffusion aux autres éléments ganglionnaires de la
région
, avec lesquels il affecte d'ailleurs des connexio
bulbe rachidiem, et elle se fait sui-vant deux modes. Dans certaines
régions
, c'est une lésion destructive des éléments cellul
st alors une atrophie des muscles où se rendent les nerfs émanant des
régions
ainsi lésées de la substance grise. Dans d'autres
ons systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la
région
des cornes antérieures. — Elles sont presque tout
fois déjà, parfaitement ap-propriée. En effet, ces départements, ces
régions
que la ma-ladie peut affecter isolément, sans par
gions que la ma-ladie peut affecter isolément, sans participation des
régions
limitrophes, représentent autant de systèmes dist
rd'hui, Messieurs, je voudrais diriger toute votre atten-tion sur une
région
que nous avons déjà rencontrée plusieurs fois, in
limité, il y a lieu, en effet, d'établir physiologiquement plusieurs
régions
bien distinctes. Ainsi, à ce point de vue, la sub
, que l'on con-naisse aujourd'hui, affectent de se cantonner dans une
région
toujours la même, et cette région est celle des c
affectent de se cantonner dans une région toujours la même, et cette
région
est celle des cornes anté-rieures. Les affectio
ns l'acceptation rigoureuse du. mot, c'est-à-dire emprisonnée dans la
région
, sans participa-tion (sinon accidentelle) des rég
risonnée dans la région, sans participa-tion (sinon accidentelle) des
régions
, voisines. Les lésions qui reconnaissent cette
ocalisation, et aussi en raison de la spécificité physiologique de la
région
intéressée, les affec-tions de ce groupe, ainsi q
ginelle est en dehors de la substance grise, en dehors du moins de la
région
des cornes antérieures qui ne se trouvent affecté
lement quelques points relatifs à l'anatomie et à la physio-logie des
régions
que vous aurez à explorer. Non seulement vous dev
nque veut aborder avec fruit la topographie pathologique des diverses
régions
de la substance grise. APPENDICE Sclérose lat
és, et particulièrement les sillons naso-labiaux, ainsi que ceux delà
région
frontale, les commissures tiraillées, les yeux gr
, tels que contractures partielles, contractures de la totalité d'une
région
musculaire, soubre-sauts, trépidation spinale, et
fléchis-seurs des doigts, par la percussion de certains points de la
région
anti-brachiale antérieure. Charcot. Œuvres comp
uée d'endocardite et nécessitant l'application de vésicatoires sur la
région
précordiale. Cette maladie dura six semaines. A
s. — Diffé-rences dans la composition de l'écot'ce grise des diverses
régions
de l'encé-• phale................................
— Division au point de vue de la structure de l'écorcc grise en deux
régions
. Travaux de Betz.................................
de stratification en cinq couches des éléments cellulaires nerveux. —
Régions
où existe ce type de stratification. — Départemen
t des cellules pyramidales géantes. Structure de l'ecorce grise des
régions
postérieures de l'encéphale........ o'I QUATRIÈ
ement à la sensibilité. — Preuves fournies : 1° par les lésions de la
région
posté-rieure lenticulo-optique de la capsule inte
DOUZIÈME LEÇON. ¦ Des degenerations secondaires. Sommaire. —
Région
antérieure ou lenticule—striée des masses central
, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces
régions
sur la production de l'hémiplégie motrice. — Fait
pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses
régions
de la moelle épinière. — Leur trajet dans le bulb
tre ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal au-dessus de la
région
bulbaire. — Trajet dans la protubérance. — Traj
yramidal dans le pédoncule. Division de la capsule interne en trois
régions
sur les coupes horizontales# — Segment antérieu
logi-ques de Parrot. —Formation de l'anse rolandique. — De toutes les
régions
du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions d
ique. — De toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les
régions
dites motrices qui se dévelop-pent les premières.
u pédoncule. —. Division de l'étage inférieur du pédoncule en trois
régions
. Sommaire. — Introduction à l'étude des dégénér
on consécutive du pédon-cule ; elle divise l'étage inférieur en trois
régions
. — Dégénération dans la protubérance, dans le bul
la moelle épinière. Localisation de la lésion degenerative dans la
région
opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le faisce
Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral. —
Région
rolandique du manteau. — Lésions en foyer de cett
cérébral. — Région rolandique du manteau. — Lésions en foyer de cette
région
; elles-donnent lieu à des dégénérations secondai
ons systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la
région
des cornes antérieures. — Elles sont presque tout
Variétés des symptômes suivant le siège de ces lésions, 104, 108 ; —
Régions
de la —, 109,229 ; — Influence des lé-sions de la
e continuité avec la cap-sule interne, 153 ; — leur division en trois
régions
, 206 ; — Dégénéra-tion systématique dans les —. 2
hat; T3, circonvolutions temporales; S, vallée de Sylvius séparant la
région
orbitaire de la région temporale; PP, pédoncules
s temporales; S, vallée de Sylvius séparant la région orbitaire de la
région
temporale; PP, pédoncules cérébraux; OLB, bulbe o
u du tuber cinereum il présente une petite convexité qui répond à une
région
de l'écorce appelée lobule de l'hippocampe (I1L).
la bandelette diagonale ne divise pas le quadrilatère perforé en deux
régions
distinctes : elle est située tout à fait en arriè
, va se jeter, non loin du tubercule quadrijumeau antérieur, dans une
région
où ses fibres deviennent difficiles à suivre. L
très grande majorité des cas, le tractus transversus paraît reher la
région
des corps genouillés à la région interpédonculair
tractus transversus paraît reher la région des corps genouillés à la
région
interpédonculaire. Nous n'avons pas à entrer, pou
aite de la boîte du crâne, on la place sur la convexité cérébrale. La
région
postérieure des hémisphères est cachée par le cer
ux et le cervelet tout entier peuvent ainsi être mis à part; toute la
région
du ventricule est intacte. Il ny a guère que dans
nculaire. Mais ces repères n'assurent une section exacte que pour des
régions
relativement peu profondes (au-dessus de la face
ral a la forme d'un demi-ovoïde, dont la grosse extrémité répond à la
région
frontale et la petite extrémité à la région occ
sse extrémité répond à la région frontale et la petite extrémité à la
région
occipitale. Chaque demi-ovoïde présente une sur
ne face externe ou convexe et une ace interne ou plane. En réalité la
région
orbitaire représente seule la 'ace inférieure de
ampullaire régulière ( VF), s'avançant à une faible distance dans la
région
frontale : c'est la corne frontale du ventricule
celle-ci est la corne temporale ou sphénoïdale du ventricule (VS). La
région
où ces trois cornes du ventricule latéral se conf
l ou limen. Pour étudier les nombreuses parties constituantes de la
région
arbitraire à laquelle on a donné le nom de limen
AQ). L'aqueduc de Sylvius (AQ), [qui traverse d'arrière en avant la
région
supérieure de la masse protubérantielle (PV), a p
lors il se porte obliquement en bas, en dehors et en arrière, dans la
région
postérieure de l'espace perforé antérieur, où il
ma 4). Nous avons dit que celle-ci occupe, dans l'espace perforé, une
région
plus antérieure. Elle est séparée du pied du sept
ais dont on conçoit facilement la forme et les rapports. Partie de la
région
postérieure du chiasma optique, où elle semble fa
r Schéma 12. — Seuil ou limen de l'hémisphère, après ablation de la
région
protubérantielle. PP, pédoncule cérébral ; GE,
ment les circonvolutions du lobe temporal. Le schéma 12 représente la
région
du seuil après cette préparation. On voit sur c
our chaque cas particulier. Lorsqu'il s'agissait de localiser dans la
région
supérieure des circonvolutions centrales la fonct
utions centrales la fonction motrice du membre inférieur, ou, dans la
région
moyenne des mêmes circonvolutions, la fonction mo
la scissure calcarine (K, schéma 15). Cette petite scissure sépare la
région
pariétale (P) de la région temporale (T). Mais il
chéma 15). Cette petite scissure sépare la région pariétale (P) de la
région
temporale (T). Mais il n'y a pas encore à parler
ion temporale (T). Mais il n'y a pas encore à parler ici de lobes. La
région
frontale (F) se confond avec la région pariétale.
core à parler ici de lobes. La région frontale (F) se confond avec la
région
pariétale. (P). Quant à la région occipitale, ell
ion frontale (F) se confond avec la région pariétale. (P). Quant à la
région
occipitale, elle n'existe que virtuellement, en a
rtuellement, en arrière de la scissure calcarine (/{) au niveau où la
région
pariétale (P), se confond avec la région temporal
lcarine (/{) au niveau où la région pariétale (P), se confond avec la
région
temporale (T). Entre la région frontale (F) et la
gion pariétale (P), se confond avec la région temporale (T). Entre la
région
frontale (F) et la région temporale (T), on voit
fond avec la région temporale (T). Entre la région frontale (F) et la
région
temporale (T), on voit s'enfoncer d'avant briss
rt un prolongement de substance blanche qui s'avance au-dessous de la
région
frontale (F) et qui présente, à son extrémité ant
antéro-inférieure, large en arrière, mince en avast. Cette bor- F,
région
frontale ; P, région pariétale ; T, région te
ge en arrière, mince en avast. Cette bor- F, région frontale ; P,
région
pariétale ; T, région temporale ; S', scissur
avast. Cette bor- F, région frontale ; P, région pariétale ; T,
région
temporale ; S', scissure de Sylvius ; OLB, bu
re, se recourbe en arrière, formant une sorte de crochet (Une). Les
régions
frontale (F) et pariétale (P) se confondent encor
déjà K, scissure calcarine Oi, scissure occipitale interne ; F,
région
frontale; P, région pariétale; T, région temp
carine Oi, scissure occipitale interne ; F, région frontale; P,
région
pariétale; T, région temporale; Une, crochet;
ccipitale interne ; F, région frontale; P, région pariétale; T,
région
temporale; Une, crochet; L, scissure limbique
tK) qui sépare en deux étages ou en deux grands plis longitudinaux la
région
temporale. On remarquera (schéma 15) qu'il n'y a
indre démarcation entre les circonvolutions temporales (T4, T3) et la
région
occipitale. La partie la plus reculée de la cinqu
initive. Il y a peu de modificji-tions à signaler (schéma 16) dans la
région
occipitale et dans la région temporale. On remarq
cji-tions à signaler (schéma 16) dans la région occipitale et dans la
région
temporale. On remarquera seulement que la scissur
rieurement. Les modifications les plus importantes se passent dans la
région
antérieure ou frontale. La scissure limbique (L
sous-frontal (sF). 11 ne garde le nom de sillon métopique que dans la
région
sus-jacente au genou nu corps calleux. Le pli qui
mbre de leurs subdivisions. C'est ainsi qu'on voit apparaître dans la
région
temporale un nouveau sillon (o^) ou troisième sil
n (o^) ou troisième sillon occi-pito-temporal ; la face interne de la
région
temporale présente, de ce fait, trois phs longitu
avant et au-dessus de la fosse de Sylvius se trouve l'extrémité F,
région
frontale; P, région pariétale; T, région sphé
la fosse de Sylvius se trouve l'extrémité F, région frontale; P,
région
pariétale; T, région sphénoïdale ou temporale.
trouve l'extrémité F, région frontale; P, région pariétale; T,
région
sphénoïdale ou temporale. Schéma 18. — Face ext
andeur naturelle). frontale (F), directement au-dessus se trouve la
région
pariétale (P) ; au-dessous et en arrière se trouv
rouve la région pariétale (P) ; au-dessous et en arrière se trouve la
région
sphénoïdale ou temporale (T). Pas plus qu'à la fa
. Pas plus qu'à la face interne, il n'est possible de reconnaître une
région
occipitale distincte. Dans le courant du cinqui
u cinquième mois, l'anfractuosité (S1) qui s'enfonce au-dessous de la
région
frontale (F) s'allonge en arrière en s'amincissan
héma 19). Au-dessus de la fosse de Sylvius {S'), à la surface de la
région
moyenne, commence à se dessiner une incisure obli
s plis parallèles, qui seront les trois circonvolutions frontales; la
région
commune à ces trois circonvolutions, en arrière,
lutions, en arrière, sera la circonvolution frontale ascendante. La
région
pariétale ne présente aucun sillon. Mais dans la
endante. La région pariétale ne présente aucun sillon. Mais dans la
région
temporale, parallèlement à la direction de la fos
me sillon (f2), deuxième sillon temporal, apparaît au voisinage de la
région
occipitale (0). Le lobe temporal est donc, lui au
on- S', fosse de Sylvius ; OLD, nerf olfactif et son bulbe ; f,
région
frontale ; P, région pariétale ; fi, premier
ius ; OLD, nerf olfactif et son bulbe ; f, région frontale ; P,
région
pariétale ; fi, premier sillon frontal ; /"j,
tal; premier sillon temporal; tt,, deuxième sillon temporal; 0,
région
occipitale. Schéma 19. — Face externe d'un hémi
valle de ces sillons. En arrière, le lobe temporal se confond avec la
région
occipitale et avec la région pariétale. Dans le
ère, le lobe temporal se confond avec la région occipitale et avec la
région
pariétale. Dans le courant du sixième mois, de
siège est à peu près fixe. Il en est deux, en tout cas, situées à la
région
antérieure de l'opercule supérieur, dont l'appari
it l'extrémité postérieure du deuxième sillon frontal (/8). Dans la
région
temporale il n'y a guère de transformations à sig
uxième circonvolution temporale (T2) et la troisième (T3). Ainsi la
région
frontale et la région temporale n'ont pas subi de
temporale (T2) et la troisième (T3). Ainsi la région frontale et la
région
temporale n'ont pas subi de changements très nota
le n'ont pas subi de changements très notables. Au contraire, dans la
région
pariétale on constate de grandes modifications.
d'avant en arrière, divise, en deux étages la partie supérieure de la
région
pariétale. Ce sillon, appelé interpariétal ou tou
landique supérieur en arrière et ne se prolonge pas en avant. Dans la
région
antéro-inférieure du lobe frontal, apparaît une i
ncisure isolée (soe), qui sera le sillon orhiiaire externe. Dans la
région
temporale et dans la région pariétale, il n'y a r
ra le sillon orhiiaire externe. Dans la région temporale et dans la
région
pariétale, il n'y a rien à signaler; c'est dans l
et dans la région pariétale, il n'y a rien à signaler; c'est dans la
région
occipitale (celle dont le développement est certa
est un triangle à base supérieure. La base répond à l'opercule de la
région
frontale (OF) et de la région sous-rolandique (OR
eure. La base répond à l'opercule de la région frontale (OF) et de la
région
sous-rolandique (OR). Le sommet, mousse, mamelonn
avant dans toute la hauteur de la fosse ; ils partent, en haut, de la
région
profonde de la fosse, au-dessous de l'opercule pa
postérieur (INP). Enfin une rigole supérieure (1RS), cachée sous les
régions
frontale, rolandique et pariétale de l'opercule (
atrième circonvolution occipitale (O1), ou gyrus fusiforme, occupe la
région
temporale bien plus que la région occipitale. L
(O1), ou gyrus fusiforme, occupe la région temporale bien plus que la
région
occipitale. Les circonvolutions orbitaires, en
avant de la vallée de Sylvius (S), constituent dans leur ensemble une
région
parfaitement limitée. La surface orbitaire présen
sert olfactif (DO), ainsi nommé parce que la substance grise de cette
région
, dépourvue d'accidents de terrain, reçoit un cert
tre sur le schéma 25. On aperçoit en effet, à la partie externe de la
région
orbitaire, le pied de la troisième frontale (pF^)
eprésentée fréquemment que par une incisure à fleur d'écorce, dans la
région
postéro-inférieure de la troisième circonvolution
ue ou scissure d'Arnold, qui divise dans presque toute sa longueur la
région
supérieure de la face interne de l'hémisphère, es
re (pro), peut être subdivisée en deux territoires correspondant à la
région
frontale proprement dite, et auxquels on peut, po
per-posable au type schématique. On n'observe d'anomalies que dans la
région
frontale inférieure ou sous-frontale, à l'origine
), et des premier et deuxième sillons sous-frontaux (sF et sf). Cette
région
, Schéma 27. — Face interne d'un hémisphère gauc
erne d'un hémisphère gauclie qui ne présente d'anomalies que .dans la
région
du carrefour. L, scissure limbique; C, circonvo
première a une certaine importance, elle se répercute jusque dans des
régions
éloignées; si elle est insignifiante, la répercus
t pas servir d'origine au grand sillon métopique, est isolé dans la
région
sous-frontale, où il se compose de deux tronçons.
pas leur situation normale, elles sont toutes représentées dans cette
région
, avec des variations de longueur qui compensent l
limbique entraîne, par compensation, une complication évidente de la
région
frontale antérieure. Sur cette figure schématiq
n peu plus loin pour contourner le genou et venir se terminer dans la
région
du carrefour, au-dessus du premier gyrus sous-fro
lon de la première circonvolution frontale (fi), occupe en général la
région
postérieure de cette circonvolution. On trouve un
ale de l'homme comme une circonvolution toujours dédoublée. Dans la
région
pariétale, trois incisures verticales méritent ég
senté sur le schéma 55. Ici, une seule anomalie est à relever dans la
région
frontale; mais cette anomalie est de telle nature
d'attention, s'orienter et reconnaître les traits fondamentaux de la
région
. La scissure de Sylvius (6V) n'émet qu'une branch
tions (agraphie) dont le foyer semble précisément circonscrit dans la
région
du pied de la deuxième frontale (F2). Or le mode
nctionnelles ne doivent pas être systématiquement cantonnées dans des
régions
qui n'ont qu'une signification morphologique, et
il émet des branches ascendantes qui pénètrent verticalement dans la
région
pariétale, où elles se.continuent avec l'incisure
iétal se jette dans un sillon post-rolandique unique (p^, et alors la
région
pariétale est occupée par une anfractuosité étoil
niveau passe une coupe verticale, il est très simple de rapporter la
région
sectionnée à la région correspondante de la série
verticale, il est très simple de rapporter la région sectionnée à la
région
correspondante de la série horizontale ou de la s
sible de faire passer une coupe verticale ou transver sale dans une
région
profonde du cerveau, déterminée d'avance grâce au
reproduisent la série des coupes verticales de l'hémisphère depuis la
région
occipitale jusqu'à la région frontale. Quiconque
pes verticales de l'hémisphère depuis la région occipitale jusqu'à la
région
frontale. Quiconque voudra pratiquer la même séri
uer la même série de coupes pourra constater que les repères, dans la
région
du seuil, permettent ce, corps calleux ; GC,
ondes représentées sur chaque figure. Au contraire, les repères de la
région
occipitale ou de la région frontale, qui ne corre
ue figure. Au contraire, les repères de la région occipitale ou de la
région
frontale, qui ne correspondent qu'à des circonvol
ure antérieure et par la commissure postérieure, en commençant par la
région
inférieure de l'hémisphère. La dernière planche
, triangle sous-calleux. Schéma 48. — Face interne de l'hémisphère (
région
du splenium). trigone, qui sous le nom d'alveus
ssi les fibres qui réunissent les noyaux de l'hémisphère à ceux de la
région
bulbo - prolubéran-tielle. L'ensemble de ces fibr
u noyau lenticulaire (schéma 49), dont la base répond exactement à la
région
de l'insula, on voit s'insinuer une lame grise en
et de sept centimètres environ, la scissure de Sylvius (S') sépare la
région
fronto-parié-tale de la région temporale. Sur son
la scissure de Sylvius (S') sépare la région fronto-parié-tale de la
région
temporale. Sur son bord supérieur on remarque une
ante (GPs, GPi). Nous voyons un avantage sérieux à désigner ainsi ces
régions
des deux circonvolutions centrales, qui sont fréq
u'à un tronçon de la scissure occipitale externe (Oe). Il sépare deux
régions
bien distinctes qui appartiennent l'une et l'autr
n distinctes qui appartiennent l'une et l'autre au lobe pariétal : la
région
supérieure est formée par le pli supérieur du lob
eur (P*i), parle premier pli de passage pariéto-occipital (tu 0) ; la
région
inférieure est formée par le pied du lobule parié
), par le lobule du pli courbe (GP), parle pli courbe (PC). Dans la
région
supérieure, le sillon pariétal envoie une branche
ranche (pf) qui est le deuxième sillon pariétal transverse. Dans la
région
inférieure, il envoie deux branches, l'une qui sé
haut par le sillon orbitaire externe (soe) ; on l'appelle, dans cette
région
, deuxième circonvolution fronto-orbitaire (FO2).
p (ica). De cette division résulte la nécessité de distinguer dans la
région
du cap deux segments, parfaitement reconnaissante
emporal (£t), Ce sillon (sillon parallèle) se prolonge jusque dans la
région
postérieure du lobule pariétal; il laisse au-dess
lieu de provenir du sillon pariétal (p), reste isolée au milieu de la
région
pariétale, entre le lobule du pli courbe (GP) et
. Le pont de Varole coupé par le milieu, et recouvert du tegmentum ou
région
de la calotte (TEG) cache la fente de Bichat Hmit
Elle arrive alors, après un trajet à peu près horizontal, jusqu'à une
région
de la face interne de l'hémisphère qui est située
au-dessus du cap du lobe carré (CQ). Dans tout ce trajet, depuis la
région
frontale jusque dans la région pariétale postérie
(CQ). Dans tout ce trajet, depuis la région frontale jusque dans la
région
pariétale postérieure, la scissure limbique sert
lle n'est séparée que par le sillon prse-uncique {PRU). Revenons à la
région
frontale. GSF. La première circonvolution sous-
de ces deux plis sous-frontaux est commune; elle se trouve dans cette
région
que Broca appelait le carrefour de l'hémisphère e
de la face interne. Le couteau a donc séparé de l'hémisphère toute la
région
pédonculo-protubéran-tielle ; il a pénétré dans l
llon pariétal transverse (pt). Elle sépare donc complètement toute la
région
sous-frontale et frontale de la région pariétale;
are donc complètement toute la région sous-frontale et frontale de la
région
pariétale; d'autre part, elle sépare complètement
ale de la région pariétale; d'autre part, elle sépare complètement la
région
frontale de la région limbique. Mais elle ne sépa
tale; d'autre part, elle sépare complètement la région frontale de la
région
limbique. Mais elle ne sépare pas la région parié
la région frontale de la région limbique. Mais elle ne sépare pas la
région
pariétale de la région limbique, attendu qu'elle
la région limbique. Mais elle ne sépare pas la région pariétale de la
région
limbique, attendu qu'elle n'envoie pas de branche
vant du genou du corps calleux ; il passe, sans interruption, dans la
région
métopique et ne se termine qu'au devant du lobe p
ce de la deuxième circonvolution occipitale (0^). Les sillons de la
région
temporale ne présentent rien qui les différencie
quatrième temporale (T*). TJ. Le tubercule de jonction est, dans la
région
du carrefour, le heu d'origine de la circonvoluti
sion occupant, par exemple, une étendue d'un centimètre carré dans la
région
occipito-temporale moyenne (OT^), il devient indi
nt indispensable de reproduire exactement la véritable forme de cette
région
, dont aucune figure schématique faite à l'avance
emier sillon frontal se recourbe en arrière et va se terminer dans la
région
externe du lobule orbitaire, au-dessous et en ded
externe (soe). Cette pénétration du premier sillon Irontal (Q dans la
région
orbitaire entraîne, par compensation, une grande
de la deuxième frontale n'est parallèle au premier sillon que dans la
région
antérieure. — Dans la région moyenne, il est remp
parallèle au premier sillon que dans la région antérieure. — Dans la
région
moyenne, il est remplacé soit par de profondes in
périeur (P's). Ce pli mamelonné s'observe très fréquemment dans cette
région
du sillon pariétal, qui présente une forme étoilé
se rapproche le plus du type normal. On remarquera cependant que la
région
frontale antérieure est très compliquée, tandis q
que la région frontale antérieure est très compliquée, tandis que la
région
frontale supérieure ou métopique est très simple.
e (GSF), puis elle disparaît. On ne la. voit réapparaître que dans la
région
du pentagone sous-ovalaire (PSO), où elle se conf
s le grand pli de passage fronto-limbique naît presque toujours d'une
région
corticale commune à la circonvolution limbique et
la scissure sous-pariétale présente un développement excessif dans la
région
antérieure du lobe carré. PSO. Le pentagone sou
pement du grand pli de passage fronto-limbique (xF), du moins dans la
région
antérieure. Mais, en revanche, le petit pli de pa
disposition élémentaire du cerveau fœtal, qui consiste, pour toute la
région
fronto-pariétale, en deux 1. Cerveau de TourRue
to-pariétale, en deux 1. Cerveau de TourRueuelF. On notera que la
région
frontale est absolument typique. Il n'y a à relev
es lobules cunéiformes ont une conformation absolument classique ; la
région
du carrefour frontal présente une disposition pre
mporte certaines difficultés d'interprétation. l'hypertrophie de la
région
frontale, ne présente qu'un tout petit volume; to
épaisse en avant. Ce développement antérieur empiète fortement sur la
région
métopique, dont les plis sont comme comprimés et
quera d'ailleurs que, si la circonvolution limbique occupait toute la
région
comprise entre le genou du corps calleux (GC) et
termine dans le gyrus métopique postérieur (GMP) au lieu d'aborder la
région
antéro-inférieure du lobe paracentral (Pa). sP.
moyen d'étude que nous indiquons est indispensable pour l'étude de la
région
du lobe carré, du cuneus et surtout de la scissur
le est l'extrémité postérieure du fascia dentata (Fd) qui vient de la
région
antérieure du lobe sphénoïdal, où il prend insert
nous avons indiquée. Il est maintenant facile de s'orienter ' dans la
région
de l'écorce du lobe sphénoïdal. 0^ Le lobule li
tion occipitale, appartient, d'une façon évidente, beaucoup plus à la
région
temporale qu'à la région occipitale. Comme, d'aut
nt, d'une façon évidente, beaucoup plus à la région temporale qu'à la
région
occipitale. Comme, d'autre part, il se continue e
font saillie dans le carrefour venticulaire, c'est-à-dire dans cette
région
vide où la fente de Bichat communique virtuelleme
ie du lobe temporal et du lobe occipital. Les circonvolutions de la
région
occipito-temporale présentent ici une disposition
ou moins profondément, selon les cas, l'aspect général de toute la
région
temporale inférieure. 0^ Le gyrus lingual, limi
re la bifurcation postérieure de la scissure calcarine (K). Dans la
région
frontale, la détermination des circonvolutions es
de Sylvius soient à ce point rudimentaires. Il s'ensuit que toute la
région
orbitaire devient méconnaissable. En efl'et, en
ution fronto-orbitaire externe (FO'") est un petit sillon, perdu à la
région
externe du lobule orbitaire, parallèle à la branc
au contraire, un grand sillon profond, qui, loin d'être perdu dans la
région
orbitaire externe, sépare nettement le lobule orb
pinion très judicieusement soutenue par Hervé, toute la portion de la
région
orbitaire qui est située au devant et en dedans d
i réunit l'extrémité de la deuxième circonvolution frontale (F-) à la
région
du désert olfactif (DO). 5" Le lobule orbitaire
ne incisure étoilée. L'hypertrophie de la ti'oisième frontale dans la
région
du cap refoule en quelque sorte, de dehors en ded
médullaire interne du thalamus. Cette lame n'existe guère que dans la
région
supérieure du thalamus. Elle est formée en partie
venues de la face inférieure de la couche optique, c'est-à-dire de la
région
de l'étage supérieur de la calotte; elle se compo
xterne, le plus étendu, légèrement convexe en dehors, occupe toute la
région
profonde de l'insula, dont il est séparé par troi
e de l'hémisphère proprement dit. A sa partie moyenne on reconnaît la
région
du noyau rouge de la calotte (NR), et, à son extr
e confondre de tous côtés avec la substance grise du crochet et de la
région
antérieure de l'hippocampe. Il semble môme se pro
nné ce nom parce qu'il apparaît très souvent sur les coupes comme une
région
de substance grise dont les connexions avec les p
rès fréquente d'ailleurs, pour la différentiation des faisceaux de la
région
cérébrale postérieure. Il est donc de beaucoup
donc de beaucoup préférable d'étudier les coupes verticales de cette
région
sur des cerveaux dont le ventricule occipital se
cas où le vide cesse d'exister en arrière du sommet du cuneus. Cette
région
nous paraît être en tout cas la limite extrême ;
lanche (ces faisceaux seront étudiés un peu plus loin). Dans quelle
région
de l'écorce du lobe occipital s'effectuent cette
étroite fusion de fibres qui étaient distinctes et séparées dans une
région
plus antérieure, donne aux coupes verticales du p
nd nombre de cerveaux au même niveau que celles-ci, démontrent que la
région
postérieure de l'hémisphère est plus variable que
t de repère précieux dans la détermination des faisceaux blancs de la
région
occipito-temporale. Il limite en bas et en dehors
ant en relation les unes avec les autres les circonvolutions de cette
région
. Elles sont blanches sur le plan de section, c'es
au antéro-postérieur, nettement représenté ici (FCF), qui vient de la
région
antéro-inférieure du cerveau : c'est le faisceau
u gyrus fusiforme (0''). Ces deux circonvolutions fondamentales de la
région
occipito-temporale sont presque toujours distinct
disposition a de l'importance ; nous la verrons se modifier dans une
région
plus antérieure, voisine de celle-ci. Le faisce
upérieure et inférieure se mêleut avec des fibres d'association de la
région
pariétale et de la région temporale. FLI. Le fa
mêleut avec des fibres d'association de la région pariétale et de la
région
temporale. FLI. Le faisceau longitudinal inféri
ensitif FS. Cette disposition en trois couches n'existe que dans la
région
la plus postérieure du plancher de la cavité vent
(linal inférieur, sont des fibres qui s'incurvent seulement dans la
région
postérieure du cerveau. Si cette couche manque da
ans la région postérieure du cerveau. Si cette couche manque dans une
région
plus anhîrieunî, c'est qu'elles ont continué, san
les fibres de la coucihe la plus interne du faisceau sensitif (FS).
région
, et il n'est pas rare que l'on confonde l'incisur
partie du faisceau inférieur du forceps arrive et se termine dans une
région
plus antérieure, celle de la corne d'Ammon. Les f
aire est aplatie, cela devient tout à fait impossible. Mais, dans une
région
plus antérieure (voy. fig. 15), leur différentiat
endymaire et le faisceau sensitif (FS). Mais leur présence dans cette
région
ne s'observe pas tout à fait en arrière; plus en
m de cingulum. Les fibres de la lame festonnée (LFE) sont, dans cette
région
antérieure du cuiunis, assez intimement méhuigées
es' en haut, en avant et en dehors, devenant plus compactes dans la '
région
pariétale supérieure. Le plus grand nombre d'entr
née sous le nom de lame des faisceaux optiques, car elle aboutit à la
région
analomique où se terminent les bandelettes optiqu
, il s'ensuit que cette coupe, et toutes celles qu'on fait dans cette
région
sur tous les hémisphères, offrent un aspect carac
ent sur une coupe plus postérieure, ne s'incurvent pas encore dans la
région
plus antérieure que nous examinons. On les distin
cissure sous-pariétalo, puis la scissure limbique (L) jusque clans la
région
la plus antérieure de l'hémisphère. Cin. Le cin
isse la substance blanche du lobe carré derrière lui ; il vient d'une
région
plus antérieure. 11 est, sur la coupe 15, peu iso
au diffus du fornix (FDF) que nous n'avons étudié encore que dans une
région
supérieure, et seulement sur la figure précédente
du faisceau supérieur du forceps (FOs). On ne le retrouve pas dans la
région
sous-jacente au forceps ; par conséquent, son ext
rne d'Ammon, située immédiatement en avant. Ce faisceau, venu d'une
région
antérieure au plan de la coupe, se dirige donc d'
aisseur surtout dans sa couche inférieure et particulièrement dans la
région
du gyrus fusiforme (T4). A ce niveau, il n'est pl
r de la cavité ventriculaire et du faisceau moyen. C'est dans cette
région
, sur les coupes verticales tangentes au splenium,
ême planche, fig. 14) sous la forme d'un mince fuseau (FLi), dans une
région
correspondante. Cette fusion des fibres du faisce
sceau sensitif qui la composaient ne se réfléchissent pas, dans cette
région
, sous le ventricule. Elles continuent leur chemin
postérieure (BCP), bulbus cornu poster'ioris (voy. fig. suiv.). Cette
région
est celle où le ventricule atteint son maximum de
. FOs. Le faisceau supérieur du forceps se jette en dedans, dans la
région
supérieure du splenium. LFE. La lame festonnée
s dans leur ensemble sur chaque planche de six figures. D'ailleurs la
région
intéressée par les prochaines coupes verticales n
circonvolution Iimbique, dont le pentagone du lobe carré n'est que la
région
postérieure, est séparée du corps calleux (ce) pa
eure. Le faisceau moyen du forceps s'épuise à mesure qu'on entame des
régions
plus antérieures. On voit donc diminuer peu à peu
ix représentent donc trois systèmes de fibres d'association, pour des
régions
corticales dont les trois faisceaux du forceps re
toujours au-dessus de la base de la corne d'Ammon; il occupe donc la
région
interne de la cavité ventricu laire, mais non l
ment à sa face postérieure. À mesure que les coupes intéressent des
régions
plus antérieures, la scissure limbique (L) s'enfo
és par le couteau au fur et à mesure que les sections intéressent des
régions
plus antérieures. Substance blanche. ce. Le c
us verrons, à propos des rapports du forceps et du tapetum dans cette
région
, les particularités relatives à la réflexion des
est formé de fibres transversales du corps calleux appartenant à une
région
plus antérieure que celle du plan de la coupe, ma
e tapetum (TAP, fig. 54), dont les faisceaux se comportent dans cette
région
comme se sont comportés ceux du forceps supérieur
n comme se sont comportés ceux du forceps supérieur et moyen dans des
régions
plus postérieures. Arrivés à l'angle inféro-exter
dal s'abaisse. Une coupe pratiquée en arrière (A, Schéma 64) dans une
région
où les trois couches sous-ventriculaires sont net
Le faisceau diffus du fornix est visible (fig. 52 et suiv.) dans deux
régions
très éloignées l'une de Fautre : la région de la
g. 52 et suiv.) dans deux régions très éloignées l'une de Fautre : la
région
de la scissure limbique (L) et de la circonvoluti
n de la scissure limbique (L) et de la circonvolution limbique, et la
région
du gyrus fusiforme T*. Dans la région limbique, a
circonvolution limbique, et la région du gyrus fusiforme T*. Dans la
région
limbique, aplati entre la substance corticale et
fond insensiblement avec le faisceau compact du fornix (FCF). Dans la
région
du gyrus fusiforme (T4), il fait suite au faiscea
ajet arqué à concavité antérieure établissant une anastomose entre la
région
antéro-supérieure et la région postéro-inférieure
re établissant une anastomose entre la région antéro-supérieure et la
région
postéro-inférieure de la circonvolution limbique
cette partie de l'écorce sphénoïdale. On peut remarquer que dans la
région
du splenium d'où émane le faisceau inférieur du f
t, assez mal déterminée sur les coupes verticales, s'effectue dans la
région
du centre ovale. Nous appellerons faisceau sensit
au milieu du lobule pariétal inférieur, et plus spécialement dans la
région
désignée sous le nom de lobule du pli courbe (GP)
nt à ce qu'elle était sur les coupes précédentes, si ce n'est dans sa
région
inférieure, où le plancher et ses deux angles con
s deux angles conservent la même forme et les mêmes rapports. Dans la
région
supérieure, elle s'incurve de plus en plus vers l
de l'hippocampe d'autre part (Hip, fig. 40). Sa communication avec la
région
sous-calleuse est interrompue; le fasciola cinere
autre repli de la substance grise de la corne d'Ammon, situé sur une
région
antérieure. Par conséquent, une coupe encore plus
toujours leur trajet d'arrière en avant. L'examen des coupes sur des
régions
plus antérieures nous montrera que le pilier post
ceau sensitif ne se mélangent jamais. Il n'en est pas de même dans la
région
supérieure et externe du tapetum, où les fibres d
e dedans en dehors, horizontalement. Nous approchons, en effet, de la
région
du corps opto-strié, et nous allons voir (pl. IX,
Le faisceau diffus du fornix se reconnaît toujours facilement dans la
région
limbique (fig. 59, 41). Ses rapports et sa forme
omme un faisceau antéro-postérieur du corps calleux (du moins dans la
région
du splenium), entoure en dedans le faisceau infér
s dimensions de la lumière ventriculaire. Les coupes approchent de la
région
où le ventricule latéral sera divisé en deux étag
toujours, en dedans et en dehors du taenia tecta, quelle que soit la
région
où on l'examine et quel que soit le nom qu'on lui
le lieu d'insertion du faisceau diffus du fornix, aussi bien dans la
région
pariétale interne que dans la région temporale in
us du fornix, aussi bien dans la région pariétale interne que dans la
région
temporale interne. Toutes ces raisons suffisent,
ia f o Schéma représentant sur une coupe vertico-transversale la
région
du tu-hercule quadrijumeau antérieur(QA). Th. tha
ont la majeure partie forme le tapetum. Il en est ainsi dans toute la
région
occipitale. Un peu plus en avant les fibres du co
certain, en tout cas, que le tapetum renferme des fibres venues d'une
région
supérieure à celles du corps calleux ; il suffit
et 45), puis se renforcer (fig. 46 et 47), puis se réduire encore. La
région
de l'hippocampe (Uip) représentée ici est en effe
sensitif (FSe, FSi) dans la circonvolution de l'hippocampe occupe une
région
de cette circonvolution d'autant plus antérieure
n bas et en avant; elles ne passeront sous le ventricule que dans une
région
plus antérieure. FDF. Le faisceau diffus du for
ement par le couteau ; elle est comme ébarbée. Nous touchons ici à la
région
où le faisceau inférieur du forceps va disparaîtr
devenu tout à fait profond (fig. 51). Cela explique comment, dans la
région
représentée sur cette planche, la hauteur delà ci
eus a disparu, et le ventricule s'ouvre, par sa face interne, dans la
région
sous-thalamiquc. Cette communication n'est qu'app
clioroïdicnnc a disparu, la cavité ventriculaire se fait jour dans la
région
sous-thalamique. Cette région sous-thalamique n'e
vité ventriculaire se fait jour dans la région sous-thalamique. Cette
région
sous-thalamique n'est autre chose que la fente de
t il s'agit acquiert parfois une complexité extrême, surtout dans les
régions
antérieures du corps godronné, et cela, malgré la
spéciale, plus ou moins simple ou plus ou moins complexe, suivant la
région
où a été pratiquée la section du canal nerveux.
e partie. Mais nous le verrons réapparaître un peu plus loin vers les
régions
antérieures. Cm. Le cingulum, dans la circonvol
faisceaux s'accuser davantage à mesure que les coupes intéressent des
régions
plus antérieures. FPF. Le faisceau pariéto-fron
enter ses inégalités de coloration, suivant les coupes et suivant les
régions
, c'est-à-dire suivant le degré d'obliquité de la
qui se portent d'arrière en avant, n'existent plus guère que dans la
région
de la circonvolution pariétale ascendante (F). To
tion pariétale inférieure (P2) est assez uniformément clair. De cette
région
les fibres se portent transversalement dans le ce
BSO. La bandelette sous-optique est un faisceau en éventail venu des
régions
postérieures et latérales de l'écorce sphénoïdale
n ne le distinguait pas encore sur les coupes Face inférieure de la
région
pédonculo-protubérantielle, où l'on voit, à la pa
nsversales dirigées de dehors en dedans et aboutissant toutes à cette
région
interne et postérieure qui s'appelle le pulvinar
), un inférieur, la queue du noyau caudé (NCC). Celle-ci aboutit à la
région
la plus antérieure du ventricule sphénoïdal (VS,
t ce qui est au-dessus du pont de Varole (fig. 57-60) appartient à la
région
dite de la calotte et des tubercules quadrijumeau
es passe exactement par le raphé médian ; le bord rectiligne de cette
région
inférieure et interne, situé en bas et à droite,
paisseur considérable à sa partie inférieure, lorsqu'elle passe de la
région
bulbaire dans la région de la protubérance. Or
sa partie inférieure, lorsqu'elle passe de la région bulbaire dans la
région
de la protubérance. Or ce sont toujours les fib
cette portion de la couche de Reil, parvenue à la face externe de la
région
protubérantielle (fig. 58), qui constitue ce qu'o
, c'est-à-dire qu'on peut le suivre bien loin en avant jusque dans la
région
antérieure du troisième ventricule; en arrière il
doncules cérébelleux supérieurs. Il provient, comme on le sait, de la
région
bulbo-protubérantielle, toujours au-dessus de la
rovient non seulement du stratum zonale du pulvinar, mais aussi de la
région
supérieure de la couche optique. — Sur les coupes
aisceau diffus du fornix (fig. 57, 60) n'est plus visible que dans la
région
limbique. Encore y est-il réduit à une simple lam
nnaître, pour cette raison, l'existence de substance grise dans cette
région
et dans d'autres encore ; mais la comparaison a
s en haut par des fibres blanches très délicates, toutes issues de la
région
du faisceau sensitif interne (FSi). Le plus grand
on peut constater même qu'elles contribuent à former, en dehors de la
région
protubérantielle (fig. 65), la partie visible à l
d'une façon générale; mais, comme il reçoit des filets nombreux de la
région
latérale de la substance grise de l'aqueduc (SG),
le faisceau inférieur, qui, au fur et à mesure qu'il avance vers les
régions
antérieures de l'isthme de l'encéphale, abandonne
ouche de Reil et ruban de Reil sont une seule et même chose dans deux
régions
différentes. Déjà nous avons indiqué (pl. XX) l
t que les fibres du ruban de Reil, vues de l'extérieur, partent de la
région
latérale de la protubérance, d'où elles émergent
réliminaires permettent de comprendre maintenant la topographie de la
région
de la calotte telle qu'elle apparaît sur les coup
couches, plus profondes, les remplacent (RR) figure 63, venues de la
région
supérieure du pont de Varole (PV). Laq. Le laqu
illé externe ; c'est précisément parce qu'elles se terminent dans une
région
plus antérieure qu'on ne les suit pas jusqu'à leu
es proviennent du laqueus du côté opposé. Elles sont descendues de la
région
de la commissure postérieure; elles ont passé en
zonale du corps genouillé interne (ZGI). TEG. Le tegmentum est une
région
, encore très confuse à certains égards, mais dont
t connues. Dans le voisinage de l'aqueduc de Sylvius, le tegmentum ou
région
de la calotte se présente toujours, sur les coupe
du système du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 70). Dans cette
région
le thalamus ne forme donc d'abord qu'un seul noya
minaison, avec le stratum zonale ZS, fig. 71). (Quoique, dans cette
région
postérieure du thalamus, toute la substance gri
fibres, des faisceaux longitudinaux (FM) qui ne proviennent pas de la
région
de la calotte. Ces faisceaux, situés tout à fait
nt des fibres nerveuses parties de la calotte (TEG) et destinées à la
région
sous-optique. CMT. Commissure de Meynert (voy.
); mais il est impossible de lui attribuer des fibres destinées à une
région
déterminée; on peut en tout cas affirmer qu'il em
oupe 69, le faisceau du tegmentum se détache plus manifestement de la
région
proprement dite de la calotte; et de celle-ci on
uche de Reil succède au faisceau de la commissure postérieure dans la
région
antéro-externe du laqueus (fig. 67). Sur cette co
ïc entre le thalamus et le corps genouillé interne, d'une part, et la
région
de la calotte, d'autj'c part. Elle est surtout en
n de la protubérance, on constate que la lamina lateralis émane d'une
région
intermédiaire à la protubérance et à la calotte.
ultérieurement. TRO. Le tractus opticus zonalis (68) envoie dans la
région
antérieure du corps genouillé interne des fibres
nouillé interne. FRF. Fasciculus retroflexus. Si nous revenons à la
région
de la calotte que nous avons momentanément abando
, en dehors de la substance grise de l'aqueduc, un nou- Profd de la
région
postérieure du ventricule moyen. Schéma destiné
evient ensuite directement en bas et en arrière et se termine dans la
région
interpédonculaire. Ici (fig. 71, 72) on ne distin
en avant à une si grande distance qu'il ne rejoint plus en arrière la
région
iritcrpédonculaire qu'au-dessous du noyau rouge d
nterne, c'est le faisceau de Turck-Meyncrt qui forme la surface de la
région
du pont. A partir de cette coupe, le bord externe
faisceau sensitif interne. Il en est de même des fibres sorties de la
région
moyenne du thalamus (fig. 72), qui toutes vont se
ne l'explication de cette transformation de la corne d'Ammon dans ses
régions
antérieures. 11 va sans dire que ces trois sectio
tour de cette fissure ; et c'est là ce qui donne aux coupes de cette
région
une apparence un peu compliquée. Le schéma MO ren
ant à la commissure. 2° En haut et en dehors : les trois noyaux de la
région
postérieure du thalamus (noyau externe XeC; noyau
l postérieur (FLP, fig. 73), réunit au niveau de la ligne médiane les
régions
de la calotte de l'un et l'autre côtés. Elle est
e du corps genouillé externe (GE) ; c'est au niveau de cette dernière
région
qu'il se confond avec la lamina lateralis. exac
antérieurs prennent naissance dans le tegmentum : ils viennent de la
région
opposée, après avoir subi leur décussation au-des
stéro-antérieure. Nous verrons que cette direction se modifie dans la
région
du puta-men, au-dessus duquel le faisceau arqué é
st la même; et elle bira plus de modifications importantes jusqu'à la
région
fr et elle ne su-ontale. Écorce. A la face
cérébraux dont ils sont séparés par la Projection horizontale de la
région
de la calotte pour montrer la situation exacte du
ing. Une très faible distance sépare donc leur entre-croisement de la
région
de l'étage supérieur, où ils abordent le noyau ro
yau rouge (NR), ainsi qu'on peut le voir sur le schéma 118, occupe la
région
moyenne de l'étage supérieur du pédoncule. Il est
le passe au-dessus de la lamina tegmenti (LTE) et va se jeter dans la
région
inféro-externe du thalamus (schéma 123). Là elle
îirck-Meynert. Le faisceau de Tiirck-Meynert arrive du pédoncule à la
région
optique, au contact du corps genouillé externe (G
s cette diflérenciation n'est jamais très apparente, du moins dans la
région
du pédoncule attenante au corps genouillé externe
te au corps genouillé externe. Elle présente plus de netteté dans les
régions
antérieures à celle-ci. BSO. La bandelette sous
vont former le faisceau pyramidal (FP, fig. 84), et qui, venues de la
région
pariéto-frontale, en dehors du thalamus, s'accole
latérale du thalamus comme un faisceau lamellaire homogène. C'est une
région
, et non un appareil de fibres ayant même provenan
0, on les voit former un faisceau très isolé, qui va se jeter dans la
région
inférieure du thalamus au contact de la capsule i
dirigée en haut et en dehors ; elle s'étend de la ligne médiane à la
région
inférieure de la couche optique. Elle est située
g. 89, 90) au travers de ses fibres. Sur la coupe 90, qui traverse la
région
antérieure du corps genouillé externe (GE) et où
tsenia semi-circularis. Mais la lame latérale n'est pas seulement la
région
où convergent tous ces fais- Coupe schématique
. 85) qui sortent de la capsule interne et vont gagner l'écorce de la
région
de l'opercule (OP). PAR. Le faisceau parallèle
t les étudier séparément. La capsule externe, en eflet, dans toute sa
région
postérieure, n'est pas autre chose qu'une expansi
e de les suivre bien loin sur les coupes vertico-transversales. Cette
région
est de beaucoup la plus obscure de tout l'hémisph
bres cérébrales présentent l'intrication la plus compliquée. C'est la
région
qui se ramollit le plus facilement sous l'influen
la gouttière de Monro (M). Enfin, plus bas encore (fig. 96), entre la
région
de l'étage supérieur occupée par le noyau rouge (
la région de l'étage supérieur occupée par le noyau rouge (NR) et la
région
du pont de Varole (PV), on reconnaît la dépressio
e grise de la calotte, et va se jeter dans la couche optique dans une
région
plus antérieure : nous le décrirons un peu plus l
hale, réapparaît ici (fig. 96); il est tout à fait à la surface de la
région
pédonculo-protubérantielle; obliquement dirigé de
es du pied. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique, qui s'étend de la
région
de la calotte à la partie inférieure de la couche
férieure et externe. On voit qu'il provient, en haut, à la fois de la
région
du putamen (PUT) et de la capsule interne elle-mê
s, formant toujours une masse homogène et suffisamment isolée. Dans
Région
pédonculaire où l'on voit le passage des coupes 9
nte la surface pédonculaire elle-même. En dedans, il est séparé de la
région
de la calotte par une petite bande foncée que nou
gmenti (LTE, fig. 95, 96) après que celle-ci, venue obliquement de la
région
de la calotte, a commencé son trajet direct d'arr
isceau pariéto-frontal; mais on remarquera quil y occupe toujours une
région
plus profonde que ce dernier. Les figures suivant
en et de l'écorce de l'insula, devient toujours plus apparent vers la
région
moyenne du noyau lenticulaire. DL. Le discus le
perdu au milieu des faisceaux de la calotte et du pédoncule. La seule
région
de substance grise avec laquelle il puisse avoir
ndre bien compte qu'après avoir pratiqué des coupes méthodiques de la
région
subthalamique dans les trois directions. C'est un
du disque, et va rejoindre, sous le nom de lamina tegmenti (LTE), la
région
de la calotte, où il s'entre-croise en formant un
de là, le faisceau cérébello-thalamique n'a plus de rapports avec la
région
de la calotte; il est passé tout entier dans la r
pports avec la région de la calotte; il est passé tout entier dans la
région
externe du thalamus. On remarquera seulement qu'i
ngitudinal postérieur, il s'épuise, au-dessus du noyau rouge, dans la
région
inférieure du thalamus. Profil du faisceau long
omme il est indubitable que le faisceau d'Arnold réunit l'écorce à la
région
supérieure et interne du pédoncule, c'est en quel
ons signalé déjà précédemment ses connexions avec les faisceaux de la
région
. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique (fig. 98,
des libres issues du noyau rouge et non pas d'une autre partie de la
région
de la calotte. Lorsque le faisceau cérébello-thal
en arrière et de dehors en dedans, dans le disais lentiformis (DL,
Région
pédonculo-protubé-rantielle, où l'on voit que la
les connexions du faisceau et du ganglion (nous venons de dire que la
région
supérieure du discus lentiformis a été appelée pa
et du noyau amygdalien. La racine inférieure du thalamus, venue de la
région
du centre ovale qui est sous-jacente au ventricul
horizontales. Nous dirons d'abord que ce faisceau appartient à trois
régions
bien distinctes : 1° le centre ovale du lobe sphé
la couche optique, où elle contribue à former le slratum zonalc de la
région
la plus antérieure du ventricule moyen. C'est à M
ie. Sur toutes les coupes vertico-transversaies qu'on fait dans cette
région
, on reconnaît l'aspect très caractéristique repré
plus en avant, poursuivant leur trajet postéro-antérieur, donner à la
région
postérieure de la capsule externe une coloration
s medialis), les faisceaux capsulaires sectionnés appartiennent à une
région
de la capsule très voisine du genou, mais qui peu
de la commissure anté- Points Ae repère pour la détermination ;des
régions
capsulaires sur les coupes vertico-transversales
le ce sillon. ARC. Le faisceau arqué (fig. 98) est dédoublé dans la
région
du centre ovale. Nous savons que son faisceau acc
. 107) que nous avons déjà étudiée (voy. Introd., p. lxvi). Dans la
région
de l'hippocampe (fîg. 105) on voit que le sillon
est un pont de substance grise qui réunit la crête de l'uncus avec la
région
sous-optique. Or, sur les coupes suivantes, on s'
gion sous-optique. Or, sur les coupes suivantes, on s'aperçoit que la
région
sous-optique, située immédiatement au-dessus du c
amygdalien (NA, fig. 105), ce fait que le ventricule latéral, dans sa
région
la plus antérieure, est séparé de la fente de Bic
partie externe, au contraire, est occupée par les fibres venues de la
région
de la calotte, en particulier par les fibres du f
es à concentrer sur un point limité les conducteurs venus de diverses
régions
; mais ceux-ci ne pénètrent que très rarement d'em
) et à la capsula extrema (LFS, fig. 104), occupe ici encore toute la
région
du fond de l'insula (voy. pl. XXIX). Substance
xternes du noyau rouge de Stilling, que nous avons vues émerger de la
région
de la calotte à la partie antéro-externe du noyau
(fig. 108). En effet, à ce niveau le faisceau géniculé descend d'une
région
assez élevée de la capsule interne ; mais à mesur
c (MF). Si le faisceau capsulairc vient au discus lentiformis de la
région
externe du thalamus, il ne nous a pas paru possib
'arrière en avant tous les faisceaux que nous avons vus émerger de la
région
de la calotte : la lame latérale (Lind); les fibr
e externe ne s'arrête pas là. Au niveau Section horizontale dans la
région
thalamique inférieure montrant la pénétration des
tion de la lame médullaire externe du thalamus, sont tous issus de la
région
de la calotte. 11 est indispensable de remarquer
(CIF, fig. 105). Au fur cl à mesure que les coupes iriléressent des
régions
plus antérieures, la commissure antérieure devien
artie les cloisons verticales du noyau lenticulaire, du moins dans la
région
antérieure de ce noyau. Elles ne semblent pourtan
sceau des fibres pédonculaircs se portera presque directement vers la
région
frontale, les fibres lenticulo-caudées se détache
troisième frontale (F5) que par un sillon de faible importance. Cette
région
de l'écorce est celle où les deux circonvolutions
ns une preuve plus évidente en étudiant les faisceaux blancs de cette
région
(voy. BSO, pl. XXIX). Substance grise. CAM. L
11, 112), commence à décroître (114) à mesure que la coupe entame des
régions
plus antérieures. Lorsque le ventricule latéral (
présentent leur plus grande netteté ; la série des coupes arrive à la
région
du genou de la capsule. Souvent le globus mediali
sque le cervelet est détaché avec précaution, c'est-à-dire lorsque la
région
pédonculaire n'a pas Hypothèse de Vicq-d'Azyr.
11, faisceau du tubercule antérieur du thalamus se terminant dans la
région
antérieure de la calotte; — 12, faisceau du noyau
petit faisceau dirigé d'avant en arrière (5) qui se perdrait dans la
région
la plus antérieure et inférieure de la calotte. U
ption de ce noyau, il est indispensable de dire qu'il appartient à la
région
tout artificielle qu'on a appelée Yanse pédoncula
a lame supérieure ou anse du noyau lenticulaire (ANL) appartient à la
région
du pédoncule ; la lame inférieure, ou racine infé
la lame inférieure, ou racine inférieure du thalamus, appartient à la
région
de l'espace perforé antérieur (schéma 172). Qua
nt dite, et lorsqu'on la fait intervenir dans la description de cette
région
, on embrouille inutilement un problème anatomique
tricule, c'est-à-dire au-dessus et en dedans de l'anse. Toute cette
région
de l'anse pédonculaire a été désignée par les All
nous avons vu que le faisceau géniculé se confond en partie, dans la
région
interne du pédoncule, avec l'anse du noyau lentic
ine antérieure de la couche optique. La section intéresse en effet la
région
de la capsule qui est située en avant du genou, r
se en effet la région de la capsule qui est située en avant du genou,
région
où tous les faisceaux que nous venons d'énumérer
croisement de fibres résulte la confusion extrême des fibres de cette
région
sur les coupes vertico-transversales (lîg. 114).
re (CA) et de la racine inférieure du thalamus (ThI) sont, dans cette
région
, en contact intime; et même elles suivent la même
t à l'accroissement des fibres du centre ovale (CO, fig. 114) dans la
région
frontale de l'hémisphère. C'est là que le centre
dit, mais aussi dans la substance grise qui prolonge ce noyau vers la
région
basilaire et que nous avons appris à connaître so
frontal où il pénètre, sous-jacent à la capsule externe (CE). Dans la
région
frontale, la capsule externe est elle-même sous-j
, faisceau pyramidal; Lra, lamina medialis de la couche de Reil; RFP,
région
de l'espace perforé postérieur où commence l'irra
coupes précédentes, se portent plus en arrière et vont jusque dans la
région
sus-jacente au discus lentiformis, où elles accom
d. On voit sur toutes les coupes de cette planche que, à partir de la
région
du thalamus où le faisceau de Vicq d'Azyr n'exist
e du thalamus au niveau de sa terminaison (ou de son origine) dans la
région
antérieure de la couche optique. NC, noyau caud
du thalamus et qui fait partie intégrante du stratum zonale de cette
région
. On conçoit aisément que la lame profonde est for
au noyau caudé du côté opposé, elles vont d'arrière en avant vers la
région
frontale interne, plus spécialement vers la circo
re; et si l'on se reporte, par Coupe vertico - transversale dans la
région
antérieure du noyau caudé (NC). ce, corps calleux
AP), situé en dehors et au-dessous du noyau caudé, comme destiné à la
région
la plus postérieure de ce noyau, peut-être môme à
ig. 118,120), plus nombreuses à mesure que les coupes intéressent des
régions
plus voisines de la grosse extrémité du corps str
du thalamus, el toujours en dehors de celte racine. Dans toute cette
région
antérieure du lobe sphénoïdal où elles prennent n
nt fournies par la substance grise de la tête du noyau caudé, dans la
région
inférieure de ce centre, qui fait suite au putame
ent en bas et en dedans ; elles forment ainsi le stratum zonale de la
région
thala-mique la plus antérieure (ZS, fig. 121) et
rême de ses rapports. Mais ce n'est pas seulement à la totalité de la
région
occipito-sphénoïdalc que la commissure antérieure
lle suit la direction. Mais elle abandonne aussi quelques fibres à la
région
occipitale : ce sont les fibres qui suivent le tr
it presque tout entière de haut en Las et de dehors en dedans vers la
région
amygdalienne. Si quelques fibres gagnent la cap
125), proviennent non-seulement du noyau caudé (NC), mais aussi d'une
région
intermédiaire entre le noyau caudé (NC) et le pil
e le noyau caudé (NC) et le pilier descendant de la voûte (DF). Cette
région
intermédiaire (GSL, fîg. 125) est la substance gr
ame terminale et la partie postérieure du rostrum Écorce, Dans la
région
frontale, le pli de communication entre la troisi
lorsqu'on veut étudier sur les coupes vertico-transversales de cette
région
le trajet des faisceaux profonds. La face infér
lte que la capsule interne a perdu l'épaisseur qu'elle avait dans les
régions
plus postérieures. La racine antérieure du thalam
ux nerfs de Lancisi). Mais ce qu'il faut constater surtout dans cette
région
, comme un fait d'importance capitale pour la comp
cidum (psp), et à peu }irès confondu avec ce dernier, Pi'olil de la
région
du rostrum au niveau de la coui)C vertico-trans-v
132), ni môme de la capsula extrema (LES). Toutes les fibres de cette
région
sont en efïet dirigées de dehors en dedans. Toute
nnent de moins en moins nombreuses à mesure que la coupe traverse des
régions
plus antérieures du putamen (PUT, fig. 151). Puis
se du lobule orbi-taire; les plus internes vont gagner, en dedans, la
région
du sillon olfactif interne (soi, fig. 129, 130);
C. Le faisceau arqué (fig. 127, 128, 130, 132) garde, jusque dans les
régions
antérieures de l'hémisphère, sa forme caractérist
tal. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 127) reste limité à la
région
du manteau limbique (L). Il ne se réfléchit pas s
rayonnante du noyau caudé (RNC). Sur la coupe (154), intéressant une
région
plus antérieure, le rostrum est encore plus obliq
n, sur la figure 138, on ne distingue plus sa véritable direction, la
région
frontale du centre Profil du corps calleux de
rrière en avant et que nous avons déjà étudiées. Elles viennent d'une
région
de la tête du noyau caudé postérieure au plan de
second lieu, parce qu'elles s'éparpillent en rayonnant dans toute la
région
de l'écorce du carrefour, ainsi que le représente
ns le manteau du gyrus vestibuli (GVE, fig. 137). Mais Profil de la
région
du carrefour où l'on voit le cinguhun (Cin) ac-co
termes, la première coupe doit toujours être la plus rapprochée de la
région
de la calotte. PLANCHE XXXIV COUPES HORIZONTA
de l'hémisphère, les coupes intéressent ici une notable portion de la
région
protubérantielle. L'hémisphère est relié à la p
ance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte occupe le milieu de la
région
protubérantielle, au voisinage de la ligne médian
à partir de la coupe 3 (FRF). TM. Le tubercule mamillaire occupe la
région
interpédonculaire. On voit le faisceau de Yicq-d'
antérieure (CA) se porte de haut en bas et d'arrière en avant vers la
région
sphénoïdale (T*). Sur les coupes supérieures (1
evant du corps genouillé interne (GI, fig. 1 et 2) se termine dans la
région
inférieure du thalamus. 11 est en rapport, en ded
s. Thl. La racine inférieure du thalamus (fig. 2 et 3), venue de la
région
sphénoïdale où elle a pris naissance entre le noy
du segment antérieur de la capsule interne (CIA, fig. 1). Venu de la
région
frontale, il se perd dans le thalamus en passant
Thl). FS. Le faisceau sensitif parcourt d'avant en arrière toute la
région
temporo-occipitale, depuis la partie postérieure
sensitif interne prend naissance, en avant, dans BlUSSACD. 28 la
région
postérieure et externe du puhinar (Pul, fig. 5);
du pied du pédoncule (PP, fig. 3) et qui arrive à l'hémisphère de la
région
protubéranliellc, se réfléchit en arrière, immédi
: il est encore horizontal ; il ne s'est pas encore réfléchi dans la
région
temporale de l'hémisphère. Il est donc presque im
xterne du faisceau scnsilif (FSe), n'est que la continuation, dans la
région
pariétale, du faisceau occipital vertical (FOV, f
NCHE XXXV COUPES HORIZONTALES PASSANT IMMÉDIATEMENT AU-DESSUS DE LA
RÉGION
DE LA CALOTTE Substance grise. NR. Le noyau r
oncule cérébelleux supérieur, devenues horizontales pour passer de la
région
de la calotte dans celle des noyaux gris centraux
grand nombre des fibres de l'anse du noyau caudé (ANC) pour gagner la
région
pédonculaire, en avant du faisceau géniculé (FG).
(NC)., Thl. La racine inférieure du thalamus arrive (fig. 5) de la
région
sous-lenticulaire, remonte et se porte en dehors,
térieure (ThA).. ïliA. La racine antérieure du thalamus vient de la
région
frontale (fig. 5) à travers le segment antérieur
à l'habénule. NpC. Le noyau postérieur du thalamus appartient à la
région
inférieure de la couche optique (fig. 7). Il n'es
planche XXXVIll. Thl. La racine inférieure du thalamus, venue de la
région
antéro-inférieure du troisième ventricule, s'épui
res longues, d'un seul tenant, sans faire escale dans les différentes
régions
de la masse opto-slriée qu'il parcourt. LMf. La
e aussi, au système rayonnant du thalamus. Seulement elle vient de la
région
postérieure du pulvinar ; c'est pourquoi la direc
e rayonnante. . PLANCHE XXXVll COUPES HORIZONTALES PASSANT PAR LA
RÉGION
SUPÉRIEURE DE LA MASSE OPTO-STRIÉE. Les deux pr
première fois sur la coupe 10, c'est-à-dire qu'il occupe seulement la
région
supérieure de la couche optique. D'abord allongé,
e la queue du noyau. Mais on remarquera qu'elle n'appartient pas à la
région
temporale du ventricule latéral, ni même exclusiv
ffet que les fibres du faisceau sensitif externe ne répondent qu'à la
région
du putamen. Ici ce noyau a disparu; le faisceau s
tres. PLANCHE XXXVILI COUPES HORIZONTALES DE l'hÉMISPHÈRE DANS LA
RÉGION
OPTO STRIÉE Los trois ligures de cette planche
e aussi grande tietteté sur toutes les coupes pratiquées dans la môme
région
. Tel cerveau présente des faisceaux remarquableme
che XXXIV pour constater, sur une coupe faite exactement dans la môme
région
, que le fasciola cinerea est rectiligne. Cavité
est limité en avant par le bras du pulvinar (BP) qui s'épuise dans sa
région
antérieure. Les autres parties du thalamus qu'o
Le faisceau d'Arnold qui, presque à lui seul, constitue dans cette
région
le segment antérieur de la capsule interne, s'enf
la couche grillagée de certains auteurs*. Cin. Le cingulum, dans la
région
frontale, est sectionné perpendiculairement à sa
pes liorizontales que dans un l'égion très limitée. frontal et à la
région
antérieure de la face interne de l'hémisphère.
lan de section. La section du corps calleux intéresse cependant une
région
très voisine des circonvolutions sous-frontales,
sont situés au-dessus de la coupe. La section n'intéresse ici que la
région
inférieure, où l'on reconnaît la convexité supéri
HE XXXIX COUPES HORIZONTALES PASSANT PAR LA PARTIE INFÉRIEURE DE LA
RÉGION
OPTO-STRiÉE Ces quatre coupes, bien qu'apparten
te planche sont destinées à faire voir les rapports réciproques de la
région
basilaire. du noyau amygdalien et de l'espace per
le lohe frontal a été respecté. Cependant l'incision, traversant une
région
un peu plus élevée, on distingue, au fond de la v
trois premières figures représentaient les coupes horizontales de la
région
corticale de l'uncus, au-dessus, au milieu et au-
lisse au devant de la branche relevée de la scissure limbique dans la
région
poslé rieure du lobe paracentral; la quatrième (4
aracentral; la quatrième (4), qui est la plus antérieure, traverse la
région
antérieure du lobe paracentral. La figure 1 de
ola cinerea est situé ici, juste au-dessous du corps calleux, dans la
région
du faisceau inférieur du forceps (FOi). 11 passe
xiste aucun point de repère assez fixe pour attaquer par ce moyen une
région
pi'ofonde déterminée, avec quelque chance de tomb
les multipolaires, avec les nombreuses fibres musculaires des mêmes
régions
. Dans l'endoderme on trouve en outre, au sein d
ès cette description, pour ainsi dire analytique, des diffé- rentes
régions
du cerveau, nous en exposerons la synthèse. Nous
nts faisceaux du cerveau : faisceaux d'association qui relient deux
régions
plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale, fa
psule interne et du pied du pédon- cule et seront étudiées avec ces
régions
. Le second assure les connexions entre les gang
e l'encéphale, moelle épi- nière), il concourt à la formation de la
région
sous-optique de Fore/ et de la calotte du pédon
médullaire, se détachent des fibres, qui vont se terminer dans une
région
plus ou moins éloignée. Or, la dégénérescence de
ifférence d'épaisseur que présente la calotte crânienne suivant les
régions
. La scie ne doit être employée que lorsqu'il ex
xe, au niveau de l'arc postérieur de l'atlas et, par ce procédé, la
région
cervicale supérieure et bulbaire inférieure pourr
ique, car, comme elle passe très près de la partie supérieure de la
région
sous-optique, elle n'est pas à employer, s'il s
au mode de formation de tous les faisceaux de cette dernière
région
. Du reste, quand on se pro- posed'étudierl'
obe frontal; un moyen plus volumineux que les autres, comprenant la
région
rolandique, la partie moyenne des circon- volut
à étudier, sont celles des faisceaux de la capsule interne et de la
région
de la calotte. Lorsqu'il n'existe pas de lésion
re le plus souvent son existence - asymétrie et aplatissement de la
région
, etc., - Sens dans lequel on doit couper au
pratiquera sur le hulbe rachidien une coupe analogue passant par la
région
moyenne des olives. Quanta la moelle épinière,
ériées du bulbe et de la protubérance, de la moelle épinière, de la
région
sous-optique et même de la capsule interne. cou
indre. Lorsqu'on fait de l'anatomie normale il faut, dans certaines
régions
la région sous- optique entre autres, colorer e
qu'on fait de l'anatomie normale il faut, dans certaines régions la
région
sous- optique entre autres, colorer et monter e
ences secondaires, il faut également pro- portionner le nombre à la
région
que l'on étudie. D'une manière générale, il fau
faut rapprocher les numéros, dès que les faisceaux approchent d'une
région
où ils changent de direction. PROCÉDÉ DE CONSER
e possible après la mort, les nerfs cutanés et musculaires dans les
régions
où on veut les étudier. Il est préférable, au p
côté opposé. - 2, limite externe de cette même lame neurale. - 3,
région
où la lame neurale est très peu soulevée et ne so
et ne so rapproche pas encore de sa congénère du côté opposé. - 4,
région
où la lame neurale non soulevée délimite une la
rge et peu profonde gouttière neurale. - 5, limites latérales de la
région
céphalique de l'embryon. - pp, ligne primitive.
endant que s'effectue l'occlu- sion de la gouttière neurale dans la
région
céphalique, et que son extrémité antérieure pré
dire aux hémisphères cérébraux, aux corps opta-striés et à toute la
région
qui entoure le troisième ventricule; la vésic
es cérébraux et aux tubercules qua- ? ? M : < ? c'est-à-dire, à la
région
de l'aqueduc de Sylvius. La vésicule encé- ph
t encadrant la partie antérieure de la ligne primitive pp. Fig. 15.
Région
céphalique de ce même embryon vue par la face i
naissance aux couches optiques dans leur moitié supérieure, et aux
régions
sous-thalamiques de Forel dans leur moitié infé-
pect globuleux, les vésicules hémisphériques proprement dites ou la
région
du manteau cérébral (Mantclgebiet de His, Pallium
- rif, diverticule de l'infundibulum. - ro, recessus optique. - STh,
région
sous- ' thalamique de Forel. Te.tubercinereum.
âne de Küllikcr. La lèvre antérieure de la fente, est formée par la
région
des futurs tubercules mamillaires et par l'infund
et au trigone; le cerveau intermédiaire aux couches optiques, à la
région
sous- optique et à toutes les parties qui const
ance. 4' Lame fondamentale. Ftc. 2b. - Coupe transversale de la
région
dorsale supérieure de la moelle d'un em- bryo
e postérieure du cordon latéral (IIinterseitenstrang). Dans celte
région
apparaîtront plus tard le faisceau pyramidal cr
tandis que les cornes et les cordons sont à peine ébauchés dans les
régions
médullaires infé- rieures. La moelle cervicale
ments cer- vicaux et lombaires. Fio. 28. Coupe transversale de la
région
dor- sale supérieure de la moelle d'un embryon
bres corres- pondantes ; elles conservent cette direction dans la
région
cervicale, et deviennent légè- rement oblique
, et deviennent légè- rement obliques en bas et en dehors dans la
région
dorsale. Dans les régions lombaire et sacrée,
ent obliques en bas et en dehors dans la région dorsale. Dans les
régions
lombaire et sacrée, les racines s'allongent a
une direction d'au- tant plus oblique qu'elles appartiennent à des
régions
plus inférieures. Les racines lombo-sacrées, qu
un canal tapissé d'une membrane Fie. 29. - Coupe transversale de la
région
dorsale supérieure de la moelle d'un embryon hu
ningée, on trouve les vais- seaux méningés, qui proviennent dans la
région
rachidienne, des vaisseaux inter-costaux et dan
dans la région rachidienne, des vaisseaux inter-costaux et dans la
région
crânienne, de l'aorte. Dans l'une et l'autre ré
taux et dans la région crânienne, de l'aorte. Dans l'une et l'autre
région
ils apparaissent, vers la quatrième semaine de la
es eu une seule. FiG. 30. Coupe transversale de la moelle de la
région
dorsale supérieure d'un foetus humain de 3 mois
rne antérieure de la moelle. Cette colonne fournit en outre dans la
région
protubérantielle le noyau du nerf moteur Format
nne grise de la corne latérale de la moelle, on voit naître dans la
région
bulbaire, les noyaux d'origine des fibres mo- t
nerfs spinal, pneumo-gastrique et glosso pJtcrzz,/iezz; et dans là
région
protubérantielle, le noyau d'origine du facial et
uent dans la protubérance que des îlots séparés, tandis que dans la
région
bulbaire, ils forment une colonne nucléaire ini
l'homologue du faisceau de Burdach de la moelle épinière. Dans la
région
du quatrième ventricule, la lame alaire subit d'i
nt jugal on vertical de la lame alaire donne naissance : a) Dans la
région
bulbaire du quatrième ventricule, au noyau du cor
ostérieure correspond assez exactement à l'aile grise. b) Dans la
région
protubérantielle, le segment jugal de la lame ala
e, se renfle encore pour atteindre sa plus grande dimension dans la
région
protubérantielle, et se termine enfin en pointe
postérieur. Le sillon labial externe ne représente au niveau de la
région
bulbaire qu'un sillon transitoire; il disparaît
udure de la lèvre rhomboïdale au segment jugal, les cellules de ces
régions
émigrent et se portent en avant et en dedans; ell
du grand-hypoglosse (fig. 33). Elles donnent naissance : a) dans la
région
bulbaire à l'olive bulbaire, ou olive inférieur
oïde, la couche inter-olivaire et le corps restiforme. . b) Dans la
région
protubérantielle, la lèvre rhomboïdale fournil l'
ides, que recouvrent les fibres arquées les plus superficielles. La
région
de la calotte précède donc dans son développement
cupent en même temps les couches les plus superficielles. Dans la
région
protubérantielle, la lame alaire donne naissanc
ivisent, ainsi que K1111;,er l'a montré, sa surface en cinq grandes
régions
primaires : la première région correspond à la fa
montré, sa surface en cinq grandes régions primaires : la première
région
correspond à la face supé- rieure des hémisphèr
phères et au vcrmis superior; les troisième, quatrième et cinquième
régions
appartiennent il leur face inférieure et au vermi
nnent il leur face inférieure et au vermis infe- rior ; la deuxième
région
enfin, à cheval sur les deux faces, correspond à
s et des vermis. Au niveau des hémisphères cérébelleux, la première
région
donne nais- sance aux ailes du lobule central e
lobule central et au lobe cunéiforme ou quadrilatère ; la deuxième
région
fournit les lobes semi-lullaires, qu'un sillon se
i-lunaire supérieur et en lobe semi-lunaire inférieur. La troisième
région
correspond au lobe digastrique, lequel se subdi
e il son tour en lobule grêle et en lobule cunéiforme. La quatrième
région
fournit le lobe tOJlsiUail'1 ! ou amygdalien ; la
région fournit le lobe tOJlsiUail'1 ! ou amygdalien ; la cinquième
région
enfin, le petit lobule clu puetcozo-cc.strirl2t
tcozo-cc.strirl2te ou (lacclllus, Au niveau des vermis, la première
région
fournit : la lingula couchée sur la valvule de
et qui relie entre eux les deux lobes quadrilatères. A la deuxième
région
, correspond le bourgeon terminal ou folium cacl
), qui relie les deux lobes semi- lunaires inférieurs. La troisième
région
fournit la pyramide, qui relie les lobes cunéif
pyramide, qui relie les lobes cunéiformes inférieurs; la quatrième
région
, la luette ou uvzcla, qui relie les amygdales ;
. l'o, protubérance. ri VI, recessus latéral du 4' ventricule. 8Th,
région
sous-thalamique. siCSl1'. surface suturale opto-s
a couche optique; à la plus grande convexité de l'arc correspond la
région
du corps genouillé externe; l'extrémité inférie
médiaire que nous apprendrons à connaître plus tard, sous le nom de
région
sous-thalamique de Forel ou de région du corps de
tre plus tard, sous le nom de région sous-thalamique de Forel ou de
région
du corps de Luys; elle forme la future bandelet
continue avec la crête latérale du pédicule oculaire (fig. 18). La
région
du corps genouillé externe est reliée au tuberc
face supé- 7 Surface suturale pto-striéc. Arc thalamiqlle.
Région
sous-thala- mique de Forci. llalldclctlc opti
e, et donne naissance à la couche optique propre- ment dite ou à la
région
tlzalaziq2ce; la saillie inférieure correspond à
tique. - saa, sillon arqué antérieur. - s11, sillou de Monro. - Suit,
région
sous- thalamique. - Tc. tuber cinereum. TAf, tr
n, tubercule mamillaire. lame fondamentale, et donne naissance à la
région
sous-thalamique de Forel. Ces régions s'épaissi
ntale, et donne naissance à la région sous-thalamique de Forel. Ces
régions
s'épaississent bientôt considérablement, de telle
ventricule, qu'elle réduit iL l'état d'une mince fente. Quant il la
région
sous-thalamique développée aux dépens de la lame
épens de la lame fondamentale; elle se continue en arrière, avec la
région
de la calotte du cerveau moyen. L'extrémité ant
calotte du cerveau moyen. L'extrémité antérieure de cette dernière
région
s'unit à celle du côté opposé, immédiatement au
mmédiatement au-dessous de l'aqueduc de Sylvius et au- dessus de la
région
des tubercules mamillaires, par une lame transver
enula. s.11, sillon de Monro. - sp, diverticulo sous-pinéal. - $tu,
région
sous-optique. - Th, thalamus. - Tlll, trou de Mon
re, elle est en rapport avec un diverticule profond qui occupe la
région
rétro-thalamique et cor- respond à la partie la
artie la plus sail- lante de l'arc thalamique, c'est-à- dire à la
région
, du corps genouillé externe. Ce diverticule por
antérieure de la calotte du cerveau moyen, et refoule en dehors la
région
rétrothala- mique (pulvinar, corps genouillé ex
érieur. sM, sillon de Monro. -7 sp, diverticule sous-pinéal. - Sïh,
région
sous-thalamique. - Te, tuber cinereum. -.Th,tha-
ires à la commissure antérieure. Il s'insère de chaque côté, sur la
région
sous-thalamique qui le sépare du sillon de Monro;
aissent de bonne heure, et relient la couche optique d'un côté à la
région
de la calotte du côté opposé, de là le nom de f
RES NERVEUX. Paroi interne de la yésicule hémisphé- rique. Sa
région
anté- rieure. Sa région posté- rieure. Na
de la yésicule hémisphé- rique. Sa région anté- rieure. Sa
région
posté- rieure. Naissance de la corne il'Ani
ère. La lame terminale embryonnaire divise la paroi interne en deux
régions
, l'une antérieure, l'autre postérieure; la régi
interne en deux régions, l'une antérieure, l'autre postérieure; la
région
antérieure ou préthalamique est verticale, elle e
au antérieur située enlavant du trou de Monro (fig. 41, 42, 44). La
région
postérieure ou thalazizique correspond à la lame
de la toile choroïdienne, la sépare du cerveau intermédiaire. Cette
région
thalamique de la paroi interne subit d'importante
Schmidt (Randbogen), sur lequel nous re- viendrons plus loin. La
région
préthalamique de la paroi interne présente un sil
ec ce dernier que beaucoup plus tardivement (fig. 44). Il divise la
région
préthalamique de la paroi interne, en deux part
lus étendue, donnera naissance aux circonvolutions cérébrales de la
région
. La partie postérieure, plus étroite, est compris
surface suturale opto-striée. - saa, sillon arqué antérieur. - STh,
région
sous- -thalamique. - TM, trou de Monro. - VU, v
qu'il limite en avant, et atteint en bas la limite supérieure de la
région
infundibulaire. Le segment moyen, le plus large,
u corps strié entoure en dehors la fosse sylvienne, c'est-à-dire la
région
du futur, irsûla et le lobe olfactif posté- rie
ibulum. - sol, sillon de Monro. - sost, sillon opto-strié. - Stria,
région
sous-thalamique. - Th, thalamus. VU, vésicule des
tie externe de l'arc lhalamique et avec la surface extérieure de la
région
sous-optique, au voisinage de la bandelette optiq
ches. Ces fibres relient le corps strié à la couche optique et à la
région
sous-optique; d'autres fibres beaucoup plus nombr
couronne rayonnante de Reil, et se rendent à la couche optique, à la
région
sous-optique, ou encore à des régions plus infé
dent à la couche optique, à la région sous-optique, ou encore à des
régions
plus inférieures, telles que la protu- bérance
, lame cornée. Ll'(STh), lame fon- damentale donnant naissance à la
région
sous-optique de Forel. - MB, masse blanche sous-
iée secondaire. Ssp, surface suturale opto-striée primitive. - STh,
région
sous-thalamique. - Ti, première circonvolution te
ral (demi-schématique). Le cer- veau intermédiaire (couche optique,
région
sous-optique de Forel, bandelette optique) est
RVEUX. Noyau lenticulaire. Capsule externe. Serment antérieur
Région
rétro-len- ticulaire de la cap- sl1le interne
en dedans, abordent la partie externe du pulvinar et constituent la
région
rétro-lenticulaire de la capsule interne (Girl.
e secondaire : les unes pénètrent dans la couche optique et dans la
région
sous-optique, les autres dans le globus pallidu
oviennent du lobe temporal n'entrent pas dans la constitution de la
région
thalamique . de la capsule interne; elles se po
ure du noyau lenticulaire, et atteignent la partie inférieure de la
région
sous-optique de la capsule interne, en dedans de
inue en avant avec les tænia tecta et les nerfs de Lancisi. Dans la
région
temporale, le trigone n'est séparé de la circon
la circonvolution godronnée que par un sillon peu profond. Dans la
région
fronto-pariétale, ces deux formations sont séparé
igone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - ? 7t+7'A, thalamus et
région
sous-thalamique. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU S
du corps calleux et qui loge l'artère cérébrale antérieure. Dans la
région
temporale, le sillon anuno- nique déprime forte
la saillie s'eflace,gràce au développement que prennent dans celte
région
, les fibres de la couronne rayonnante et celles
'étend du lobe sphé- noïdal au lobe occipital; elle sépare, dans la
région
sphénoïdale, la circon- volution de l'hippocamp
- volution de l'hippocampe (H) du lobule fusiforme (Fus) et dans la
région
occipitale, le lobule fusiforme du lobule lingu
recessus optique. - SI, septum lucidum. - sM, sillon de Monro. STh,
région
sous-thalamique. - T, lobe temporal. - T'q, tri
, chiasma des nerfs-optiques. 126 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Région
centrale de la face interne ou lobe limbique
volutions de la lace interne peuvent, en résume, se diviser en deux
régions
: une région centrale ou interne, qui entoure le
a lace interne peuvent, en résume, se diviser en deux régions : une
région
centrale ou interne, qui entoure le sillon ammo-
mo- nique foetal et qui constitue le lobe limbique de Broca, et une
région
péri- phérique ou externe, qui représente la fa
interne des lobes frontal, parié- tal, occipital et temporal. La
région
externe comme la région interne, décrivent autour
al, parié- tal, occipital et temporal. La région externe comme la
région
interne, décrivent autour du limbe de l'hémisph
illon ammonique, c'est-à-dire par le sinus du corps calleux dans la
région
fronto-pariétale, et par le sillon de l'hippoca
a région fronto-pariétale, et par le sillon de l'hippocampe dans la
région
occipito-temporale, et ce sillon sépare le lobe
Uv OLM1L iJCILHJUp 111V1llJ 11GLLGD. Elles sont constituées dans la
région
frontale par le sillon calloso-marqinal, Elles
tale par le sillon calloso-marqinal, Elles sont constituées dans la
région
frontale par le sillon calloso-marginal, dans l
ées dans la région frontale par le sillon calloso-marginal, dans la
région
pariétale par un petit sillon qui apparaît vers l
sous-pariétal et qui sépare le praecuneus du lobe limbique; dans la
région
occipitale, par la branche commune ci la scissure
la scissure calcarine et à la scissure pariéto-occipitale; dans la
région
sphénoïdale enfin, par la partie temporale de l
ale enfin, par la partie temporale de la scissure collatérale. La
région
périphérique, représente la partie interne des lo
qui représente le véritable limbe de l'hémisphère, c'est-à-dire la
région
de l'hémisphère où s'arrête l'écorce grise. Acc
du crochet, circonvolution dont le développement est considérable.
Région
périphé- rique de la face interne. Circonvo
nglion volumineux qui occupe la base du cerveau, et envoie dans les
régions
encéphaliques inférieures un volumineux faiscea
tiles et en particulier il la face interne de l'hémisphère, dans la
région
de la formation ammonique, que l'on trouve le pre
libres postérieures des cordons latéraux cylindre-axe dans les
régions
antérieures de la moelle; une partie de ces der
bifurque, pour former les fibres des cor- dons longitudinaux de la
région
postéro-latérale de la moelle. Les fibres arqué
bres des racines antérieures. Fia. 85. - Coupe transversale de la
région
dorsale inférieure do - la moelle d'un embryon
corne latérale. Nerfs naissant de la colonne nucléaire dans la
région
cer- vicale supérieure. Branche motrice du
Ce cône épendymaire arrête dans leur migration les neuroblastes des
régions
avoisinantes, les refoule sur les côtés, où ils f
ntérieur et son rôle. 1 r , Fis. 90. - Coupe transversale de la
région
cervicale de la moelle d'un embryon humain de Ow,
s racines postérieures (fig. 90). Les cellules épendymaires de la
région
fusionnée, région qui correspond à celle des fu
ieures (fig. 90). Les cellules épendymaires de la région fusionnée,
région
qui correspond à celle des futures cornes et co
ure se distinguent par leur disposition caractéristique. Dans cette
région
, la charpente épendymaire fait défaut, comme nous
es superficielles présentent des aspects très variables suivant les
régions
. Dans la substance blanche de la moelle, un pet
on y Cajal a montré en effet, que les dendrites existaient dans des
régions
où il n'y a pas de capillaires, par exemple dan
les glomérules olfactifs des Vertébrés inférieurs, etc.; que toute
région
de substance grise pourvue de fibres nerveuses
d'origine siège dans le cerveau et qu'elle envoie sa fibre dans des
régions
inférieures, telles que la protubérance, le bul
la moelle, du bulbe, etc., lors- qu'on fait l'ablation de certaines
régions
de l'écorce cérébrale ou cérébel- . leuse, ou d
férences de co- loration de la sulls- tance grise suivant t les
régions
. Ili Substance blan- che, sa coloration et
. Conception moderne. blanche, comme la formation réticulée de la
région
de la calotte, les noyaux gris de l'étage antér
le nom de gaine lymphatique, bien qu'une injection poussée dans ces
régions
n'arrive pas dans les ganglions voisins. l'our
petit diamètre, s'ils sont situés super- liciellement. ou dans des
régions
soumises, soit à des pressions, soit à des frot
current (fig. 138) ; quelquefois cependant, en particulier dans la
région
res- piratoire des cavités nasales, les rameaux
e col- latérale d'un nerf cutané voisin, destiné à in- nerver une
région
plus ou moins étendue de la peau. La sensibilité
. - Terminaisons ner- veuses sensitives dans l'épi- thélium de la
région
sus- glottique du larynx d'un chat : g de six s
vo- cales inférieures et dans l'épithélium à cils vibratiles de la
région
sous-glottique du larynx d'un chat âgé de 4 sem
Terminaisons nerveuses sensitives dans l'épithélium vibratile de la
région
respiratoire des cavités nasales. (D'après G. R
un disque tactile. . f) Dans le groin du cochon et dans différentes
régions
de la peau de l'homme, on rencontre dans les co
à-dire par les hémi- sphères cérébraux, les corps oplo-slriés et la
région
sous- thalami que de Forel. Pour la facilité de
ées aux dépens de la vésicule encéphalique moyenne, c'est-à-dire la
région
des pédoncules cérébraux et des tubercules quad
inus longitudinal supérieur. Le bord inféro-externe, mousse dans la
région
temporo-occipitale, plus accentué dans la régio
ne, mousse dans la région temporo-occipitale, plus accentué dans la
région
frontale, sépare la face externe de la face infé-
bitaires. - Sp, septum lucidum. sp, scissure sous-pariétale. - STh,
région
sous-optique. - 7's, deuxième circonvolution te
u'il s'agit MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 243 bien plus dans l'espèce de
régions
, que de masses lobulées nettement circon- scrit
ond de la scissure, en arrière du lobule de l'insula, et constitue la
région
rétro- insulaire de Broca (Tp) (fig. 100.173).
: G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Leur origine au ni- veau de la
région
orbitaire (lobulo or- bitaire). ' ! Lobule
volution frontale. toutes un foyer d'origine commun au niveau de la
région
orbitaire, qu'elles concourent à former. Celte
niveau de la région orbitaire, qu'elles concourent à former. Celte
région
, il peu près triangulaire, forme la face inféri
emière circonvolution frontale (oF,) occupe la partie interne de la
région
, elle est dédoublée par un sillon rectiligne, a
. Les trois circonvolutions frontales naissent donc au niveau de la
région
orbitaire, dans un foyer d'origine commune, par
e de la troisième cir- convolution frontale (F3)' Elle naît dans la
région
orbitaire par deux ou trois racines grêles et f
le désert olfac- tif de Èroca. " . 160 à 162). Elle naît dans la
région
ôrbitaire, au niveau de l'extrémité pos- : téri
sula (ma) (fig. 1 î : 3). Le pied recouvre la face supérieure de la
région
insulaire antérieure (la), dont il est séparé par
ième contourne le sillon parallèle en formant lepli courbe (Pc). La
région
de la deuxième circonvolution pariétale, si compl
encore, si possible, l'étude des localisations de cette importante
région
. A notre avis, le meilleur moyen pour détermine
e temporal et constitue avec ce der- nier le lobe ou mieux . la
région
temporo-oc- cipitale. La délimita- tion de ce
marcation avec la face inférieure du lobe occipital, pour former la
région
temporo-occipitale (lig. 1r91. Les limites de la
la lèvre infé- rieure de la scissure de Sylvius et limite en bas la
région
de l'insula qu'elle recouvre en partie. La fa
ge profonds, les plis de passage temporo-pariétaux profonds (Tp) ou
région
, rétro-insulaire de Broca, connus encore sous l
on marginal postérieur (mp) sépare l'insula propre- ment dit, de la
région
rétro -insulaire qui appartient a la première cir
llon temporal profond (tp) ou sillon temporal transverse, sépare la
région
rétro-insulaire d'avec la circonvolution margin
mière circonvolution temporale (T,) se continue directement avec la
région
rétro-insulaire (fig. 158, 160). La région rétr
ue directement avec la région rétro-insulaire (fig. 158, 160). La
région
rétro-insulaire comprend une, quelquefois deux, v
on marginal supérieur; son segment postérieur sépare l'insula de la
région
rétro-insulaire de Broca, que nous avons étudié
se souder. Mais, la partie inférieure du sillon sépare toujours la
région
anté- rieure de l'insula qui appartient au lobe
gion anté- rieure de l'insula qui appartient au lobe frontal, de la
région
postérieure, laquelle se termine dans le lobe t
n avant. La scissure collatérale est souvent interrompue dans cette
région
par un pli de passage, le pli temporo-limbique de
ui est due au développement considérable, que pren- nent dans cette
région
les fibres tangentielles de l'écorce cérébrale (v
de Monro. so, sillon sus-orbitaire. - sp, sinus sous-pariétal. - sTh,
région
sous-optique. - T ? troisième circonvolution te
ibuli ou de tubercule de jonc/ion (Brissaud), représente une petite
région
, située à la face interne de l'hémisphère céréb
ns), le trigone olfactif fait défaut, et à sa place on constate une
région
absolument lisse, qui occupe la partie postérie
.... T2 3. Troisième circonvolutiontem- porale.......... T3- 4.
Région
rétro-insulaire ou circonvolution temporale t
elettes optiques subdivisent la commissure grise de la base en deux
régions
: 1° Une petite région antérieure, triangulaire
nt la commissure grise de la base en deux régions : 1° Une petite
région
antérieure, triangulaire, connue sous le nom de
le chiasma des nerfs optiques et le bec du corps calleux. 2° Une
région
postérieure losangique, le losange ohlohécloucolc
3/1, bandelette optique. Ca, étage supérieur ou calotte du pédoncule (
région
du faisceau triangulaire de l'isthme do l'encép
tous une direc- tion parallèle et longitudinale. Les cavités de la
région
spongieuse du lobe antérieur sont tapissées d'u
au faisceau de ? i ? z,yr, se porte en arrière vers la calotte et la
région
des tuber- ? \Ug¡'-ifuai{¡'3jumeaux, et se perd d
etit faisceau qui se porte en arrière et en bas pour gagner dans la
région
de la calotte le ruban de Reil; c'est le pédonc
e l'étage su- périeur. lant, qui appartient au bord interne de la
région
sous-optique et de la ré- gion de la calotte ou
cule mamillaire médian au ganglion inter-pédonculaire (fig. 184).
Région
des pédoncules cérébraux. En arrière du losange
ion extérieure peut être faite avec celle de la base du cerveau. La
région
des pédoncules cérébraux, connue encore sous le
u. La région des pédoncules cérébraux, connue encore sous le nom de
région
de l'aqueduc de Sylvius, occupe, chez l'embryon,
ingula du cervelet. Vue en section transversale (fig. 183, 189), la
région
des pédoncules cérébraux affecte, dans son ense
'l/Cf'phali) (si), qui sépare en dehors, le pied du pédoncule de la
région
de la calotte (fig. -189, 19° ? , 19 ! ). Qua
r l'aqueduc de Sylvius, divisent chaque pédoncule cérébral en trois
régions
: l'une postérieure, la, région des tubercules qu
chaque pédoncule cérébral en trois régions : l'une postérieure, la,
région
des tubercules quadrijumeaux; l'autre antérieur
re, la, région des tubercules quadrijumeaux; l'autre antérieure, la
région
du pied du pédoncule ; la troisième, externe et
région du pied du pédoncule ; la troisième, externe et centrale, la
région
, de la calotte du pédoncule. 1° Le pied ou l'ét
Socmmeriniri. ? t i Division du pédon- cule cérébral en trois
régions
. ' - - i Etage intérieur ou , pied du pédoncu
tablit la ligne de démarcation entre le pied du pédoncule et la
région
sous- thalamique do la cap- sule interne. ;
ÉRÉBRALE. 327 de fibres arciformes, qui apparaissent toutes dans la
région
postérieure du cerveau moyen, au voisinage des
ous étudierons son trajet. (Voy. t. II, Protzc- bérance). 2° La
région
de la calotte ou de l'étage su- périeur dupéd
hme. L'étage supérieur, ou calotte du pédoncule, constitue donc une
région
irrégulière, limitée par le locus niger (Ln) en
n arrière, le raphé et la substance perforée postérieure en dedans,
région
dont la face supérieure ou ventriculaire forme, a
édoncule se continue, sans ligne de démarcation bien nette, avec la
région
soît.y-lh(ilti211qi(e de Forel; du côté de la p
otte du pédoncule n'est donc, en somme, qu'une par- tie d'une vaste
région
que nous apprendrons à connaître plus loin, sous
e région que nous apprendrons à connaître plus loin, sous le nom de
région
de la calotte, région étendue du bulbe à l'extrém
endrons à connaître plus loin, sous le nom de région de la calotte,
région
étendue du bulbe à l'extrémité anté- rieure de
de Stilling (NR, fig. 193) situé de chaque côté du raphé, dans les
régions
supérieures de la calotte du pédoncule et entou
du pédoncule et entouré d'une capsule de fibres blanches. Dans les
régions
inférieures de la calotte du pédoncule, on trou
ngitudinal postérieur (Flp), au voisinage duquel on trouve, dans la
région
pédonculaire inférieure, le noyau d'origine du ne
'origine du nerf pa- thétique (4e paire) (NI\" fin. 189) et dans la
région
pédonculaire supé- rieure les noyaux d'origine
e quadrijumeau posté- rieur. Ruban do Reil. Ses limites. La
région
de la calotte s'étend du bulbe à la couche
- ral, de faisceau triangulaire de l'isthme (RI, fig. 189). Dans la
région
Fig. 193. Coupe transversale de la partie supér
ibres du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r(p). 3° La
région
des tubercules quadrijumeaux occupe la partie pos
i appartient à la valvule de Vieussens et qui est connu sous le nom
Région
des tuber- cules quadrijumeaux. Sillon longit
n de Monro divise la paroi latérale du troisième ventricule en deux
régions
, l'une supé- rieure formée par la couche optiqu
ée par la couche optique, l'autre inférieure, connue sous le nom de
région
sous-optique ou .sous-tlzcclanzi yue de Forel.
nt sur sa face infé- rieure. Son épaisseur est variable suivant les
régions
; très épais à son extrémité postérieure, où il
n du lobe olfactif et de l'extrémité antérieure du lobe temporal, W
régions
desservies par le système de la commissure antéri
blanche antérieure (coa), plongent ensuite d'avant en arrière dans la
région
sous-optique correspondante, se portent oblique
e sus-optique. - SI, septum luci- dnm.- sM, sillon de Monro. - STh,
région
sous-optique. - Teh, toile choroïdienne et plexus
Fin. 20 : i· Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la
région
sous- ' optique, passant par le corps genouillé
. 35t représente, un véritable faisceau d'association, reliant deux
régions
du rhi- nencéphalon. FiG. ? ou. Coupe vertico
FiG. ? ou. Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la
région
sous optique passant en arrière du velum termin
o. SI', septum lucidum. - Spp, substance perforée postérieure. STh,
région
sous-optique. Tch, toile choroïdienne. - T,g, t
. 1 Êpcndyme Ventri- claire. Son épaisseur varie suivant les [
régions
. Vélum terminale. les autres, et réunies en p
o (sM), divise les parois latérales du troisième ventricule en deux
régions
: l'une supérieure, l'autre inférieure. La régi
ntricule en deux régions : l'une supérieure, l'autre inférieure. La
région
supérieure ou thalamique, ou région de la couche
érieure, l'autre inférieure. La région supérieure ou thalamique, ou
région
de la couche optique, est formée par la face in
ce couche de substance grise, la substance grise centrale (Sgc); la
région
inférieure, ou région de l'infulldi- bulum ou d
grise, la substance grise centrale (Sgc); la région inférieure, ou
région
de l'infulldi- bulum ou du plancher du troisièm
bstance perforée postérieure, etc.), en arrière et en dehors par la
région
sous-optique. Une lamelle de substance grise, l
édiatement au-dessus du sillon de Monro, relie entre elles les deux
régions
thalamiques. Horizontale et quadrilatère, à bords
légè- rement oblique en bas et en avant; il est formé : 1° dans la
région
de l'infundibulum (fig. 211), par la partie ant
en haut, le cul-de-sac optique (recessus optique) (ro); 2° dans la
région
thalamique, par la commissure blanche antérieur
et en avant, présente successivement et de haut en bas : 1° dans la
région
thalamique (fig. 211), la base de la glande pin
orifice antérieur ou anus de l'aqueduc de Sylvius (AqS); 2° dans la
région
, de l'in- fundibulum, une rainure profonde, méd
cordons latéraux appartenant à la partie intra-ventriculaire de la
région
sous-optique (STh) et de la calotte des pédoncu
de la couche optique. si, sillon opto-strié. SZ,septumlucidum.S7'A,
région
sous-optique. Tch, toile choroïdienne. Tga, pilie
tiers inférieur de cette ligure, divise la capsule interne en doux
régions
: la région supérieure ou thalamique de l'a cap
eur de cette ligure, divise la capsule interne en doux régions : la
région
supérieure ou thalamique de l'a capsule interne
e comprend les trois segments de cette capsule (Cia, Cip, Cirl); la
région
inférieure ou sous-llialamiquc est formée du segm
egment rétro- lenticulaire (Cip, Cirl). Le segment postérieur de la
région
sous-thalamitluc comprend non seulement les lib
la région sous-thalamitluc comprend non seulement les libres de la
région
thalamique de ce segment, mais encore des libres
genou de la capsule interne (fig. 226). On rencontre enfin dans la
région
sous-optique de la capsule interne un quatrième
ient le corps strié à la couche optique, d'autres se ren- dent à la
région
sous-optique et, traversant horizontalement le se
re sont adhérentes et intime- ment unies à la capsule interne, à la
région
sous-optique et au pédoncule cérébral. La fac
queduc de Sylvius, constitue sa limite inférieure et la sépare de la
région
sous-optique. Lès faces internes des deux couch
couche optique. - si, sillon opto-strié. SI, septum lucidum. - STh,
région
sous-optique. - Tcle, toile choroïdienne. - 7;qa,
n effet sur l'étage supérieur du pédoncule, qui porte ici le nom de
région
sous-optique; le pulvinar embrasse son bord pos
IE DES CENTRES NERVEUX. Anse pédonculaire. Ses rapports avec la
région
sous-optique de Forel. Sa t'aco externe. Co
ntérieur de l'étage supé- rieure du pédoncule, connu sous le nom de
région
sous-optique ou sous- thalamique de Forel (fig.
sous-optique ou sous- thalamique de Forel (fig. 247 à 252). Cette
région
s'étend de la substance innominée de Reichcrt au
us la forme d'une lentille biconvexe, logée dans la concavité de la
région
sous-thalamiquede la capsule interne (fig. 229, 2
représente un petit corps sphérique, qui appartient à la fois à la
région
sous-thalamique et à l'étage supérieur du pédoncu
reçoit un nombre considérable de libres, prove- nant de toutes les
régions
de l'écorce et dont l'ensemble constitue les ra
antérieur, près de la face supérieure de la couche optique, dans la
région
du faisceau de Vicq d'Azyr, où ces deux noyaux
de Luys et au-dessous du noyau externe, au voisinage immédiat de la
région
sous- optique, un petit noyau aplati de haut en
nticulaire, en dehors du noyau caudé, de la couche optique et de la
région
sous-optique (fig. 248 à 252). On peut par cons
Sur les coupes horizontales (fig. 224 à 226) elle se présente dans la
région
thalamique, sous l'aspect d'une ligne brisée, a
t sur les coupes vertico-trans- versales et sa division : jï en
région
thalamique J et sous-thalamique. p Sou aspect
384 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX. Segment rétro- lenticulaire.
Région
sous-thala- mique de la capsule interne. Fa
ue dont elles contribuent à former le pédoncule postérieur. Dans la
région
sous-thalamique (de Forel) (fig. 228-230, 309-312
bre de fibres horizontales qui t'Clientr,2J le globus pallidus à la
région
sous-optique. (Voy. Chap. m et t. IL) w T' On s
t insuffi- santes. En effet, l'étude de la capsule interne et de la
région
sous-optique, de même que celle des faisceaux c
s choisi dans chaque série, pour les faire dessiner, les coupes des
régions
les plus importantes. Chaque coupe pete un numé
ns- toute la série des coupes horizon- tales, jusqu'au niveau de la
région
sous-optique et du plancher du ventricule lui(,-
limbique postérieur (-plp), puis le lobe limbique sectionné dans la
région
de l'isthme aulécalcarinicta (Li[i]). Comme sur
e par un seul ordre de fibres, à trajet antéro-postérieur. Dans les
régions
inférieures ainsi que sur les préparations micr
e de Sylvius (S) ainsi que les circonvolutions de l'insu la (I). La
région
de l'insu la peut être divisée en deux parties
la facilité avec laquelle les hémorrhagies se collectent dans cette
région
. L'iii- sula est formé par quatre, quelquefois
volution insulaire postérieure (Ip) des trois circonvolutions de la
région
insulaire antérieure (la). Ce sont ces dernière
érieure de la couche optique qui correspond il la corticalité de la
région
rétro-insulaire ; il contient surtout, il cette
Cette coupe passe au-dessous du bourrelet du corps calleux, dans la
région
du trou de Monro (NIo); elle intéresse la partie
o); elle intéresse la partie moyenne de la rouclie optique (Th), la
région
thalamique de la capsule interne, et les deuxiè
ui est sillonné comme lui par des fibres radiaires, provenant de la
région
, rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl).
de, les parois ventricu- laires sont simplement accolées dans cette
région
, et entourées par la substance grise sous-épend
parée du fond de la scissure cal- carine (K) que par l'écorce de la
région
, entourée d'une couche mince mais complexe de s
son origine dans le lobe occi- pital ; il se divise au niveau de la
région
rétro-insulaire en deux parties, une partie ext
inférieur (Fli) et qui s'irradient presque toutes, au niveau de la
région
rétrolenticulaire de la capsule interne, dans le
plus grande étendue de sa partie l/tal(t7jtlq,te. C'est dans cette
région
qu'elle affecte le plus nettement la forme d'un
la couche optique (PaTh). Les préparations microscopiques de cette
région
montrent que les fibres </i6[a ? )M<jf :
e (Cip) du segment postérieur de la capsule interne en constitue la
région
la plus importante et la plus intéressante. Elle
re-croisent au niveau de la zone réticulée (Zr) avec les fibres des
régions
voisines et pénètrent dans le noyau externe de
Cip), et se rendent dans la couche optique (Th) et les noyaux de la
région
sous-thalamique. Coupe n° 63 (fig. 227), passan
. La subs- tance grise centrale (Sgc) tapisse la face interne de la
région
sous-optique, et recouvre en avant le pilier an
s antérieure (coa) et postérieure (cop), la partie supérieure de la
région
sous- optique de la capsule interne et la parti
n constant et assez profond, le sillon insulaire (i) divise en deux
régions
, l'une postérieure, la circonvolution, postérie
tème de la capsule du noyau rouge. Ce faisceau appartient déjà à la
région
sous-thalamique de Forel. Coupe n° 68 (fig. 229
et la partie profonde du sillon collatéral (ot). Elle passe par la
région
sous-optique, intéresse le corps de Luys (CL), le
st sec- tionné au niveau du pôle de l'insula; il est divisé en deux
régions
par le sillon insulaire (i). La circonvolution
u. 330); elle siège à la face inférieure du globus pallidus dans la
région
désignée sous le nom de substance innominée de Il
segment postérieur de la capsule interne (Cip) pour se rendre dans la
région
de la calotte, mais le plus grand nombre le con
21 appartient au système visuel.- Cette coupe intéresse en effet la
région
sous- optique de Forel, qui représente une des
e en effet la région sous- optique de Forel, qui représente une des
régions
les plus importantes du tronc encéphalique, par
, ainsi que par la variété et la disposition des noyaux gris. Cette
région
représente en effet une région de transition entr
a disposition des noyaux gris. Cette région représente en effet une
région
de transition entre la capsule interne et le pé
apsule interne et le pédoncule cérébral. , . On trouve dans cette
région
limitée en dedans par la substance grise centrale
noyau rouge (NR) est arrondi, occupe la partie postéro-interne de la
région
: sous-optique et présente à sa partie interne un
ps genouillé interne (Cgi) fait saillie à la partie postérieure de la
région
sous-optique. Il se présente sous l'aspect d'un
r. (Qa) et de son bras connectif (BrQa). Les faisceaux blancs de la
région
sous-optique de Forel sont constitués sur cette
Azyr y naît. - Le tubercule quadrijumeau anté7'ieu7' (Qa) limite la
région
sous-optique en arrière et en dedans. Il est ne
e interne (Cip) est un pe,u moins long, mais plus épais que dans la
région
thalamique, et se rapproche déjà par son aspect
ale. - IV, zone de Wernicke. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La
région
sous-optique contient déjà tous les éléments du p
sceau longitudinal postérieur (Flp). La partie antéro-externe de la
région
sous-optique est constituée par le segment posté-
nouillé externe, partie qui répond à sa face dorsale, on trouve une
région
triangulaire, la zone de 11%ernicl,w (W), dont
du noyau lenticulaire (Al) ne peut guère être suivie au delà de la
région
pédonculaire supérieure, où ses libres entrent,
ourent il former les fibres parallèles. Elles se confondent dans la
région
du noyau supérieur de la troisième paire, avec
perforée antérieure. Dans le pédoncule (P) on reconnaît les trois
régions
qui le constituent : la région postérieure ou r
édoncule (P) on reconnaît les trois régions qui le constituent : la
région
postérieure ou région des tubercules quadrij umea
aît les trois régions qui le constituent : la région postérieure ou
région
des tubercules quadrij umeaux (Qa), située en arr
rij umeaux (Qa), située en arrière de l'aqueduc de Sylvius (Aq), la
région
moyenne ou région de la calotte conte- nant le
ituée en arrière de l'aqueduc de Sylvius (Aq), la région moyenne ou
région
de la calotte conte- nant le noyau rouge (NR),
lcil médian (Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ; la
région
inférieure ou pied du pédoncule (P) séparée de
du pédoncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la
région
précédente par une bande de substance grise très
e ne sont indiquées sur ces dessins que dans leurs rapports avec la
région
sous-optique et la base du cerveau anté- rieur.
étage inférieur ou le pied du pédoncule (P); 20 l'étage moyen ou la
région
du noyau rouge (NR), séparé du précédent par le
ux radiculaires de la 3° paire (III); 3° l'étage supérieur enfin ou
région
des tubercules quadrijumeaux (qu), limitée en ava
trigone et celles du faisceau postérieur du cingulum.. Dans cette
région
, la surface de section du cingulum est caractéris
mince lamelle blanche qui appartient aux fibres tangentielles de la
région
. En arrière de celte lamelle, l'écorce de l'insul
IQUES DU CERVEAU. 43S FiG. 236. Coupe horizontale, passant par la
région
thalamique de la capsule interne, destinée au r
au occipito-frontal (OF) est refoulé en haut, et il double dans cette
région
le bord externe du ventricule latéral (VL), don
d des sillons, et d'autant plus longues, qu'elles appartiennent à des
régions
de la substance blanche plus rapprochées du cen
ent dans la substance grise centrale (Sge) et se terminent dans les
régions
inférieures et internes de la couche optique (Th)
ontales microscopiques, fig. 296) en arrière du locus niger dans la
région
de la calotte, dont elles occupent la partie la
oïdes du troisième ventricule. La partie inférieure appartient à la
région
sous-thalamique. Dans la sub- stance grise cent
e horizontale passant par le sillon de Monro (sM), elle repose sur la
région
sous-optique dans laquelle on trouve les deux f
e (Zr). Limitée en dedans par la substance grise centrale (Sgc), la
région
sous-optique est en rapport : en dehors avec le
tricule (V3) (fig. 250) est limité en bas par l'adossement des deux
régions
sous-optiques. Noyaux opto-striés. - Sur toutes
s (fig. 301.) et sagittales, t. IL) La couche optique repose sur la
région
sous-optique. Cette région intéresse le corps d
, t. IL) La couche optique repose sur la région sous-optique. Cette
région
intéresse le corps de Luys (CL) sur la coupe n°
édoncule (P) et qui atteint en dedans la face libre de ce dernier. La
région
sous- optique n'est en effet pas autre chose qu
hauteur de la bandelette optique (II), c'est-à-dire au niveau de la
région
sous-t/lI1lamique, le pied du pédon- cule (P) s
erne (Cge), la partie externe du pied du pédoncule cérébral (P) et la
région
de la calotte du pédoncule cérébral. Écorce.
d01'écÔr¿e : 'L'illsula a disparu, ces coupes intéressent en effet la
région
rétro-insulaire (Tp) et le pli marginal supérie
-il- dire la surface exlra-veniriculaire de la couche optique et la
région
du pédoncule. Noyaux opto-striés. Le noyau caud
. Sur la coupe n° 83 (fig. 252), la couche optique (Th) repose sur la
région
de la calotte du pédoncule cérébral; les radiat
sente, dans son segment externe, un aspect fusiforme; épaisse dans la
région
qui correspond au sillon parallèle (t,) et il l
que subdivise la partie verticale du sillon parallèle (t',) dans la
région
du pli courbe (Pc); puis la deuxième circonvo-
ture- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. ,. 479 cUv l'écorce de la
région
. On voit en effet apparaître un ruban blanc (V),
trémité interne du corps strié (NC+NL3), la couche optique (Th), la
région
sous-optique (F, NR), le pied du pédoncule céré
région sous-optique (F, NR), le pied du pédoncule cérébral (P), la
région
des tubercules qzccccloi- iumoazcax (Qa, Qp), l
- convolution limbique (L¡). Son écorce grise forme dans cette
région
le gyrus rectus (oFj [Gr]), qui .en arrière s
pect tout particulier que présentent les coupes horizontales de ces
régions
et qui intéres- sent à la fois le cunéus et le
are la face interne de la face inférieure. L'écorce de toutes ces
régions
ne présente, en dehors du ruban de Vicq d'Azyr
les différences d'épais- seur du tronc du corps calleux suivant les
régions
. Ventricule latéral (VI). Le ventricule latéral
r (Na), se voit un faisceau de fibres (PiTh) qui semble venir de la
région
du tubercule mamillaire (Tm). Ce faisceau s'irr
la toile choroïdienne. L'insertion des plexus 'choroïdes dans cette
région
de la couche optique a lieu de surprendre au pr
os 5, 7 et 10, fig. 268, 269, 270). La couche optique repose sur la
région
sous-optique, constituée parle noyau- rouge (NR
lus considérable, forme les tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) et la
région
de la calotte du pédoncule. La couche optique (
l aborde le ganglion, de l'habénula situé en dedans de la coupe. La
région
de la calotte comprend le noyau rouge (NR) situé
n de la calotte comprend le noyau rouge (NR) situé iL cheval sur la
région
de la, calotte et sur la région sous-optique. Il
u rouge (NR) situé iL cheval sur la région de la, calotte et sur la
région
sous-optique. Il est entouré de sa capsule de f
oyen et du cerveau postérieur. Cet angle correspond il peu près il la
région
sous- optique, en particulier au noyau rouge (n
nce (Po), qui concourent il former le faisceau ]JY- mmidal (Py). La
région
de la calotte se continue de môme avec l'étage po
deux parties : l'une intra, l'autre extra-venlri- culaire. Dans la
région
intra-ventriculaire, nous trouvons le noyau antér
médian du thalamus. Les noyaux de la couche optique reposent sur la
région
sous-optique. Celle-ci présente le noyau rouge
de Vicq d'Azur (V) se présente avec beaucoup de netteté dans cette
région
. La masse blanche du cunéus et du lobule lingua
L) et le faisceau thalamique de Foret (Fth) qui appartiennent il la
région
sous-optique. Le pied du pédoncule (P) est sect
mmune aux scissures calcarine el pariéto-occipitale (K+po). Dans la
région
, occipitale de l'hémisphère, nous trou- vons en
ale, qui appartiennent il la zone de Wernicke (W). C'est dans cette
région
que nous verrons s'irradier sur la coupe suivan
ui traver- sent le globus pallidus (NL ? ), pour se porter dans les
régions
infra-corticales, mais il n'en reçoit pas par s
irl); elles contiennent le faisceau de Turc (fur) qui passe dans la
région
sous-optique supérieure, entre le noyau lenticula
e recourbée de la queue du noyau caudé (NC') pour se rendre dans la
région
des première, deuxième et troisième circonvolut
du sillon marginal postérieur de l'insula (mp) avec l'écorce de la
région
rétro-insulaire (Tp), et d'autre part au niveau d
profonde de Heschl (Tp). Cette circonvolution forme il elle seule la
région
rétro-insulaire de Broca; elle représente un pl
ous-épendymaire (SgVsph) et entourée par les trois couches de cette
région
, à savoir : immédiatement en dehors du ventricu
e circonvolution pariétale (OpP 2)' En comparant l'opercule avec la
région
insulaire de la coupe n° 37 (fig. 276), on voit
li de passage ]JaJ'iélÓ-l1'Ontal inférieur, sont en rapport avec la
région
insulaire proprement dite, tandis que l'opercul
la deuxième circonvolution pariétale (OpP2) est en rapport avec la
région
rétro-insulaire. 516 ANATOMIE DES CENTRES NER
opos de l'étude synthétique des fibres de la capsule interne, de la
région
sous-optique, du pédoncule cérébral, du cerve-
. 4° La constitution des noyaux gris centraux -corps opto-striés et
région
sous-optique. 50 La constitution de la capsul
gments antérieur, pos- léoieur, et rétro-lenticulaire , et dans ses
régions
thalamique et sous-thala- nzique. 6° La façon
6° La façon dont la couronne rayonnante du lobe temporal aborde la
région
sous-thalamique de la capsule interne et le pied
de coupes horizontales, particuliè- rement destinées à l'étude des
régions
thalamique et sous-thalamique de la capsule int
II, et à propos de l'étude synthétique de la capsule interne, de la
région
sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
ittales, destinées à montrer une partie du trajet des fibres de ces
régions
, qui comptent parmi les régions les plus comple
partie du trajet des fibres de ces régions, qui comptent parmi les
régions
les plus complexes de l'encéphale. , II. La deu
hère (voy. fig. de repérage 291) et sectionnent l'une (coupe A), la
région
thalamique, l'autre (coupe B), la région sous-tha
onnent l'une (coupe A), la région thalamique, l'autre (coupe B), la
région
sous-tha- lamique de la capsule interne. Elles
hémisphère céré- bral (voy. fig. de repérage 294) et intéressent la
région
thalamique (coupe C), la région sous-thalamique
de repérage 294) et intéressent la région thalamique (coupe C), la
région
sous-thalamique de la capsule interne (coupe D),
voit contourner la partie antérieure du segment posté- rieur de la
région
sous-optique de la capsule interne, pour entrer d
coupes intéressent les noyaux gris centraux, la capsule interne, la
région
sous-optique et la partie supérieure du pédoncule
te, sans transition brusque, à la transformation du centre ovale en
région
thalamique de la capsule interne, à la constitu
thalamique de la capsule interne, à la constitution graduelle de la
région
sous-thalamique de Forci, de la calotte et du p
andelette optique (Voy. fig. de.repérage 315). Elles intéressent la
région
sous-optique elle pé- doncule cérébral. L'obliq
que, lorsqu'on se reporte aux coupes horizontales passant par celte
région
(Voy. fig. 9). Le FiG. 279. Coupe vertico-trans
on, olfactif et représentent les fibres d'association propres de la
région
; 2° une couche de fibres plus foncées qui appar
fibres qui se portent d'arrière en avant, pour s'irradier dans des
régions
anté- rieures au plan de cette coupe, à savoir,
orce du lobe limbique (LJ par les fibres d'association propres à la
région
. Les fibres d'association sont particulièrement
des circonvolutions frontales. Elles sont entre-croisées dans cette
région
par des fais- ceaux de fibres assez espacés, qu
ne rayonnante, on trouve la masse des fibres d'association de cette
région
, formée de fibres s'entre-croi- sant dans tous
calleux (sec), dont il est séparé par quelques fibres propres il la
région
, et repose par sa base sur les fibres calleuses.
ion, et repose par sa base sur les fibres calleuses. L'écorce de la
région
limbique (L,) présente quelques particularités in
interne et s'épuisent pour la plu- part dans la couche optique, la
région
sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Ys, noyau rouge) et
as. Les fibres inférieures répondent aux fibres tangentielles de la
région
et appartiennent il la bandelette diagonale de Br
D, fig. 296 et Coupes microscopiques de la capsule interne et de la
région
sous-optique, séries III et IV), montre qu'elles
ec les fibres du genou de la capsule (Ci [g]) et forment dans cette
région
un petit faisceau assez isolé, situé au-dessus de
ar- ties par le sillon de Monro (sM). Dans la partie inférieure, ou
région
sous-optique, on trouve, en dedans de l'anse du
la partie du pilier antérieur du trigone (Tga) qui s'enfonce dans la
région
sous-optique pour se rendre au tubercule mamill
rayonnante du lobe temporal. Dès que la coupe intéresse en effet la
région
située en arrière de la circonvolution du, cro-
ys (CL). L'intérêt de cette coupe réside dans la couche optique, la
région
sous-optique et le segment postérieur de la cap
e inférieure de la couche, optique est mal délimitée et repose sur la
région
sous- optique, représentée sur cette coupe par
où elles se réunissent pour former un faisceau qui descend dans la
région
sous-optique, où il constitue le faisceau thalami
ombre de fibres de la lame médullaire interne du thalamus (Lmi). La
région
sous-optique, située au-dessous des noyaux intern
ît le locus lIif71'I' (Ln) et la substance perforée postérieure. La
région
sous-optique se continue en bas et en dedans av
ure. La région sous-optique se continue en bas et en dedans avec la
région
de la calotte du pédoncule à laquelle appartien
e appartient déjà le locus niger (Ln) intéressé sur cette coupe. La
région
sous- optique comprend sur cette coupe un noyau
'entre-croisent dans tous les sens. Il appar- tient il la fois ù la
région
de la calotte du pédoncule cérébral et il la régi
t il la fois ù la région de la calotte du pédoncule cérébral et il la
région
sous- optique et il est entouré d'une capsule d
'une supérieure, l'autre inférieure. La supérieure correspond il la
région
lhalamique du segment postérieur de la capsule in
egment postérieur de la capsule interne, la partie inférieure iL la
région
sous-thalamique de ce segment postérieur. La caps
segment postérieur. La capsule interne dans l'une et l'autre de ces
régions
présente un aspect différent. Dans la région tl
une et l'autre de ces régions présente un aspect différent. Dans la
région
tlwlll1oÎlll/e, la capsule est formée de gros fas
présentent une direction d'autant plus oblique, qu'elles abordent des
régions
plus inférieures du noyau externe (Ne) de la co
bral (P). Ce sont les fibres de projection directes de l'écorce de la
région
rolandique, dont un grand nombre va constituer
uer le faisceau pyramidal du bulbe. Dans la partie supérieure de la
région
thalamique de la capsule, ces fibres sont crois
noyau caudé et du stratum zonale cesse complètement au niveau de la
région
, sous-thalamique de la capsule, où les dernière
mus et les fibres de projection directes de l'écorce rolandique, la
région
thalamique de la capsule interne contient encore
res, car elles sont faiblement colorées par l'hématoxyline. Dans la
région
sous-thalamique de la capsule interne, les fibres
colorées, qui traversent le globus pallidus pour se rendre dans la
région
sous-optique de la capsule interne. Ces fibres in
terne. Ces fibres indiquent que nous sommes déjà au voisinage de la
région
rétro-lenticulaire de la capsule interne. Le no
du thalamus. Le noyau rouge (NR) occupe la plus grande partie de la
région
sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
sule interne (Cip) ne présente rien de particulier il noter dans sa
région
thalamique. Sa région sous-thalamique est carac-
présente rien de particulier il noter dans sa région thalamique. Sa
région
sous-thalamique est carac- térisée ici, comme s
UES DU CERVEAU. 549 interne au niveau de la partie supérieure de la
région
sous-thalamique, les supé- rieures, obliques en
les supé- rieures, obliques en bas et en dedans, l'abordent dans la
région
lhalamique. Les deux noyaux de la couche optiqu
t du stratum zonale (strz)'. La couche optique (Th) repose sur la
région
sous-optique, en particulier sur le noyau rouge
troisième paire. 50 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. dier. Dans la
région
lhalamique il reçoit toutes les fibres du pied de
de la tête du noyau caudé (NC) et au niveau du putamen (nul.,). La
région
, thala- mique de la capsule interne contient en
férieure et se portent en dedans vers le locus nigel' (Ln). Dans la
région
sous-thalamique, le segment postérieur de la caps
M.s' s'enchevêtrent avec celles du faisceau de Tùrck, traversent la
région
thalamique de la capsule interne et se rendent
ontraire en bas et en dedans, abordent la capsule in- terne dans la
région
sous-thalamique et entrent dans la constitution d
fibres du pied du pédoncule cérébral (P), qu'elles proviennent de la
région
lhalamique ou sous-thalamique de la capsule int
e du lobe pariétal, en bas avec celle du lobe temporal. Quoique cette
région
soit surtout formée de fibres sectionnées perpe
us^ (Aq) et la substance grise centrale de l'aqueduc divisent cette
région
en deux parties : la partie antérieure est surt
ise de l'aqueduc et forment dans les couches plus inférieures de la
région
de la calotte la couche blanche profonde du tub
la paroi externe du ventricule latéral et disparait au-dessus de la
région
du pli coMe(Pc), où se perd dans les fibres de
bres de la couronne rayonnante et dans les fibres d'association de la
région
. Dans la première circonvolution du lobe limbiq
us de cette couche, on trouve un court faisceau d'association de la
région
, le faisceau transverse du lobule lingual, de V
rieure de l'important système d'association, qui met en relation la
région
calcarinienne avec la convexité du lobe occipit
ier faisceau n'intéressent que les fibres d'association courtes de la
région
, entre-croisées par les fibres du tapetum, des
e fibres d'association inlra-hémisphérique, mettant en connexion la
région
occipitale avec la région frontale (Voy. faisce
ra-hémisphérique, mettant en connexion la région occipitale avec la
région
frontale (Voy. faisceau occ ? ) ! '<o-/<'0)
ngual (Lg), les trois circonvolutions temporales (T,,T=,T ? ) et la
région
sous-optique de la capsule interne. Elle sectio
orne sphénoïdale. - Qa, tubercule quadrijumeau anté- rieur. - rgRm,
région
du ruban de Reil médian. - Rm + Brqp, union du ru
NERVEUX. nuer avec les fibres du tapetum (Tap). Pour l'étude de la
région
sous-optique de la capsule interne, nous renvoy
au, sectionne la face orbitaire des circonvolu- tions frontales, la
région
sous-optique et l'anse du noyau lenticulaire (Al)
térieur de la capsule ill- terne (Cip), qui affecte déjà dans cette
région
les apparences du pied du pédoncule cérébral. L
clael (U) : ces fibres correspondent aux fibres d'association de la
région
, en particulier au faisceau postérieur du cingu
ée LA PARTIE SUPERIEURE DU TRONC ENCEPHALIQUE (CAP- SULE INTERNE,
RÉGION
SOUS-OPTIQUE ET PÉDONCULE CÉRÉBRAL). Les 1 5
ons et la partie pro- fonde de la plupart des circonvolutions de la
région
moyenne de la face externe de l'hémisphère. D'a
tricule latéral au niveau de son angle externe. Lorsqu'on étudie la
région
sur des coupes verlico- transversales (voy. fig
ros fascicules de fibres du pied de la couronne rayonnante de cette
région
, et les refoule en dehors, où elles s'entre-crois
arées des fibres de projection , qui appartiennent déjà, dans celte
région
, aux couches sagittales du lobe occipito-pariélal
suivante (fi. 304) peuvent être considérées comme appartenant à des
régions
de transition entre le pied de la couronne rayo
tes, et appartiennent au système de projection qui se rend soit aux
régions
thalamiques inférieures, soit aux régions pédoncu
tion qui se rend soit aux régions thalamiques inférieures, soit aux
régions
pédonculaires; or, ces dernières fibres apparti
t sectionnées d'autant plus parallèle- ment, que l'on considère des
régions
plus antérieures. Dans le segment postérieur de
e la capsule (Ci[g]), de sorte que le genou (Ci[g]), représente une
région
de transition entre les fibres du segment antr-
niveau de ses extrémités antérieure et postérieure. Dans ces mêmes
régions
, la zone réticulée est beaucoup plus large; on y
ur longueur et aucune fibre radiai re ne paraît pénétrer dans cette
région
de la couche optique. Il serait cependant inexa
tro-lenticulaire de la capsule appartient à la couche optique, à la
région
sous-optique et au pied du pédoncule cérébral, to
au pied du pédoncule cérébral, toute la partie enfin située dans la
région
rétro-lenticulaire (Cirl) appartient de nouveau e
d interne du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL.,), dans la
région
qui donnera naissance sur les coupes suivantes à
rent dans la partie postérieure de la couche optique, dans toute la
région
qui appartient au pulvinar (Pul). Dans ce segme
s'effile, et se continue avec la lame médullaire externe (Lme) des
régions
post(ro-externes de la couche optique, en bas il
dres de fibres : des fibres horizontales, qui appartiennent dans la
région
thalamique aux radiations posté- COUPES MICROSC
QUES DU CERVEAU. 5fl9 rieures de la couche optique (RTh) et dans la
région
sous-thallimique aux radiations du corps genoui
aux radiations du corps genouillé externe (RCge) (voy. Coupes de la
région
sous-optique, lig. 308,309)- p. Des fibres vert
Iys (Nm), encore mal délimité sur cette coupe et qui appartient aux
régions
thalamiques inférieures. Il occupe une situatio
s, ou que sur les coupes qui vont suivre et qui appartiennent à des
régions
plus inférieures. Les trois parties qui constitue
pulvinar. Les fibres moyennes, très obliquement sectionnées dans la
région
comprise entre le putamen (NL3) et la queue du
rande hauteur. En examinant une série ininterrompue de coupes de la
région
, traitées par la méthode de Weigert, on voit appa
la capsule, ne dépasse guère en hauteur la partie inférieure de la
région
, thalaniique. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU.
e de coupes sériées traitées par la mé- thode de Weigert, depuis la
région
thalamique de la capsule interne, jusqu'à l'ent
couche optique (Th) et se trouve situé immédiatement au-dessus de la
région
dite sous-thalamique de Forel. Le pulvinar (Pul
fibres, et qui se continue sur les coupes plus inférieures, avec la
région
dans laquelle nous verrons apparaître le ruban de
ig. 299). Cette coupe intéresse la couche optique à la limite de la
région
sous- thalamique de Forel; elle passe par les t
cule quadrijumeau antérieur (Qa.) Sur cette coupe, l'écorce de la
région
insulaire postérieure (Ip) commence à s'unir fv
e. - pus, pulvinar. Qa, tu- bercule quadrijullleau antérieur. rgRm,
région
du ruban de Reil médian. RTh· radia- tions opti
pour la première fois, et qui relie la couche optique (Th) avec la
région
de la Cll- lotte. Ce faisceau découvert par For
e du thalamus (Ne). Un champ irrégulier, riche en fibres, la future
région
du ruban de lieil médian (rg Rm), le sépare du
laire interne du thalamus (Lmi). Ces formations appartiennent à la -
région
sous-optique. La capsule interne est encore for
de 7'ürcl : , par contre, dégénère dans toute sa longueur, depuis la
région
sous-ojilique de la capsule interne jusqu'il la
piques sériées dans cinq cas de lésions corticales, limitées à cette
région
; la dégénérescence occupe alors le cinquième ex
passant par la ligne 10 de la figure 299. Cette coupe passe par la
région
sous-thalamique supérieure, au- dessus du corps
ent du segment interne du globus pallidus (NL,), traversent dans la
région
sous-thalamique supérieure les 2/3 antérieurs d
ible, ne se rencontre plus au-dessous de la présente coupe. Dans la
région
sous-thalamique supérieure, la capsule interne se
ouillé interne (Cgi) devient apparent à la surface extérieure de la
région
; il est recouvert sur cette coupe par un fais-
mplacé par un champ défibres qui entrent dans la constitution de la
région
du ruban de Reil médian (rg Rm). Le noyau externe
t facile de le constater, soit en étudiant les coupes sériées de la
région
, soit en étudiant les coupes vertico-transversa
es coupes vertico-transversales (iig. 28S). La face interne de la
région
sous-thalamique concourt à former la paroi laté
cule quadrijumeau antérieur (BrQa), la zone moyenne se rend vers la
région
du ruban de lfeil (rgRm), la zone profonde, encor
passant par la ligne Il de la figure 299. Cette coupe intéresse la
région
sous-thalamique de Forel et passe par la partie
roïdes. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. rglim.
région
du ruban de Reil ntdiau. - R1·h· raclialinns opti
gnent l'extrémité antérieure de la couche optique, au niveau de la
région
sous- thalamique. Le segment postérieur de la
augmente de volume, au sur et il mesure que l'on des- cend dans la
région
sous-optique ; il atteint son plus grand développ
récédentes, arrivent des circonvolutions temporales au niveau de la
région
rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl). Le s
la capsule interne à la suite de lésions corticales portant sur la
région
rolandique, on constate des. particularités int
ue de Forel (Fth) d'autre part. Il est surtout constitué dans cette
région
, par des fibres il direction horizontale apparten
postérieure du ruban de Reil, et ce dernier présente alors dans la
région
sous-thalamique inférieure et dans la région pé
présente alors dans la région sous-thalamique inférieure et dans la
région
pédonculaire , une forme curviligne, semi-lunaire
i appartiennent, ainsi que le montre l'étude des coupes sériées de la
région
, aux radiations de la calotte (RC) et à la caps
rijumeau antérieur (BrQa), qui apparaît à la surface extérieure de la
région
sous-thalamique. La plupart de ces fibres ne fo
t rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl), formé surtout dans cette
région
par des fibres apparte- nant aux radiations tha
er (Ln) appartient au pédoncule cérébral (P), le corps de Luys a la
région
sous-thalamique. Le pédoncule cérébral n'est donc
fibres faiblement colorées par la méthode de Weigert. Dans cette
région
, la bandelette optique (II) adhère encore il la s
ntéresse le seuil de l'insula, ['espace perforé antérieur (Epa), la
région
du tuber cinereum (Te), la partie supérieure du t
ap), très réduites comme nombre, sur les coupes qui intéressent les
régions
inférieures de l'hémisphère, apparaissent immédia
NATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gentielles, très abondantes dans cette
région
(Voy. Ecorce du )'/«HeHcj/<a/0)), p. 703). L
sillon olfactif (fi), par des fibres propres appar- tenant à cette
région
. En avant, le corps strié est en contact avec la
Vêlage infé- rieur ou pied Au pédoncule (P) de l'étage supérieur ou
région
de la calotte. Le noyau rouge (NR) a encore aug
Meynert (FM) s'est porté en avant. La substance réticulée (SR) de la
région
de la calotte est constituée. La partie postéri
ivantes font partie d'une série de coupes destinées à l'étude de la
région
sous-optique de Forel. Horizontales comme celles
as perdre de vue que les coupes supérieures intéressent en avant la
région
sous-thalamique de la capsule interne et en arr
nt la région sous-thalamique de la capsule interne et en arrière sa
région
thalamique, et que, sur les coupes inférieures,
rétro-lenticulaire de la capsule interne est encore intéressé dans sa
région
thalamique ou sous-thalamique . G32 . . ANATO
ure molle (com) et le tænia thalami (tth.) Cette coupe intéresse la
région
thalamique de la capsule, interne au niveau de
thalamique de la capsule, interne au niveau de ses limites avec la
région
sous-thalamique. Elle correspond, en arrière, à l
, avec lignes de repère pour les coupes horizontales obliques de la
région
sous-optique (Grandeur naturelle). COUPES MICRO
(NL3) l'aspect de la capsule change assez brusquement : dans celte
région
qui répond au segment rétro-lenticulaire de la
ibres de la capsule ont un aspect ondulé; les unes traversent cette
région
un peu obliquement en avant et en dehors, relie
assant par la ligne 2 x de la ligure 31 S. Celle coupe intéresse la
région
sous-thalamique supérieure, le ganglion COUPES
constitue un des carac- tères anatomiques les plus importants de la
région
sous-thalamique. Le pulvinar (Pul) et le noyau
elette diagonale (bd), et ce fait indique que nous touchons ici aux
régions
supérieures de l'espace per foré antérieur. Cou
rne (Cgi). Nous abordons sur celte coupe la partie inférieure de la
région
sous- optique. Le centre médian de Luys a dispa
nt du noyau lenli- culaire (NL.j), et traversent en diagonale cette
région
de la capsule; elles font partie des fibres len
s cas, ces fibres dégénèrent ri la suite des lésions corticales des
régions
rolandiques supé- rieures et des parties antéri
e lobe COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 647 el passent par les
régions
antérieures des couches sagittales du carre four
ent à l'étage inférieur ou pied du pédon- cule, tandis que toute la
région
qui est située en arrière de cette dernière appar
sous-thalamique de la capsule interne. La séparation entre ces deux
régions
est formée par les fibres de la commissure de Mey
que de la capsule pour aborder le corps de Luys (CL). En dehors, la
région
sous-thalamique de la capsule est limitée par l
la forme en corne d'abondance ou en croissant, caractéristique des
régions
pédonculaires supérieures. Le corps de Luys a d
e segment postérieur de. la capsule dans la partie supérieure de la
région
sous-optique, sépare ce seg- ment postérieur du
qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) du postérieur. La
région
des tubercules quadrijumeaux se ressent un peu
er augmente de volume au sur et il mesure que l'on descend dans les
régions
inférieures, présente un aspect semi- lunaire c
ule en dehors le noyau rouge (NR), dont il occupe la place dans les
régions
pédonculaires inférieures. Cette disparition gr
ère à l'état frais, ont fait dire à Stilling que le noyau rouge des
régions
supérieures Au pédoncule fait place a un noyau
gions supérieures Au pédoncule fait place a un noyau blanc dans les
régions
pédonculaires inférieures. En arrière et en ded
e-croisement de la calotte de Meynert prennent leur origine dans la
région
des tubercules quadri jumeaux antérieurs, passent
a constitution du cordon antIYro-lall'l'at de la moelle. Toute la
région
de l'étage supérieur ou calotte du pédoncule, est
i prend une part de. plus en plus évidente dans la constitution des
régions
pédonculaires infé- rieures, et qui refoule le
eil lalé2-al ([il) et le ruban de Reil médian (Rm) affectent dans les
régions
pédon- culaires inférieures la forme d'un large
ne se présente plus ici, sous l'aspect qui le caractérise dans les
régions
pédonculaires supérieures. Comme le raphé est o
édoncule cérébral. Obersteiner désigne ces fibres, qui viennent des
régions
protubérantielles , sous le nom de pai-lie pédonc
à 4 millimètres, son épais- seur varie selon les sujets, selon les
régions
et selon l'àge. En règle géné- rale elle est pl
aisseur égale. Elle atteint enfin son maximum d'épaisseur, dans les
régions
supérieures des circonvolutions rolandiques et da
eaux, donne un aspect tout spécial aux coupes pratiquées dans cette
région
des hémisphères; connue sous le nom - de ruban
). Ces différences de coloration de la substance grise, suivant les
régions
que l'on examine, montrent déjà, à l'oeil nu, que
sième couche de lleynert; cet auteur subdivisa en outre, dans cette
région
, la 2° couche ou couche des petites cellules pyra
n font en réalité qu'une seule, distingue avec . Schwalbe dans la
région
psycho-motrice de l'écorce du cerveau des mammi
ral présente des modifications structurales qui varient suivant les
régions
. Nous étudierons ici trois régions princi- pale
cturales qui varient suivant les régions. Nous étudierons ici trois
régions
princi- pales : la région rolandique, la région
t les régions. Nous étudierons ici trois régions princi- pales : la
région
rolandique, la région de l'insula et la région oc
udierons ici trois régions princi- pales : la région rolandique, la
région
de l'insula et la région occipitale. Région rol
s princi- pales : la région rolandique, la région de l'insula et la
région
occipitale. Région rolandique (zone psycho-motr
a région rolandique, la région de l'insula et la région occipitale.
Région
rolandique (zone psycho-motrice).-Les cellules de
on rolandique (zone psycho-motrice).-Les cellules de l'écorce de la
région
rolandique se disposent d'après Cajal en quatre c
e sont pour la plupart de très fines fibres à myéline, sauf dans la
région
rolandique où on en trouve d'assez volumineuses (
(fig. 338, A) et par les nombreuses cellules névro- gliques de la
région
. Cette 'structure de la couche moléculaire es
Il'ic. 339. Coupe transversale de l'écorce de la souris d'un mois (
Région
supra- ventriculaire). Méthode de Golgi. Object
che jusqu'au corps strié, et il admet avec v. Monakow, que dans les
régions
de l'écorce situées au-dessus des ventricules lat
zone externe sous le nom de feu- FiG. 343. Coupe transversale de la
région
supra-ventriculaire du cerveau de la souris âgé
exus). Origine de ces fibres. Son épaisseur va- rie selon les
régions
et selon l'âge. Feutrage super- radiaire d'
s. Son épaisseur est du reste très variable non seulement selon les
régions
mais encore selon l'âge. En règle générale, l
e l'état de cette couche, dans tel ou tel cas, il devra comparer la
région
qu'il étudie, avec la même région prise au même p
ou tel cas, il devra comparer la région qu'il étudie, avec la même
région
prise au même point, chez un individu du même â
e croyait Bechterew, IL mais apparaît d'après Kaes, dans toutes les
régions
riches en fibres transver- sales intra-cortical
ème semaine après la naissance, elle est très nette au niveau de la
région
rolandique, de la couronne rayonnante et de la ca
inisation des fibres tangentielles varie, non seulement suivant les
régions
, mais encore suivant les différentes couches d'
les régions, mais encore suivant les différentes couches d'une même
région
. Les premières fibres tangentielles apparaissen
description de l'écorce que nous venons de donner s'applique il la
région
rolandique ; si partant de cette région, on exami
de donner s'applique il la région rolandique ; si partant de cette
région
, on examine l'écorce en se rapprochant du pôle
les pyramidales diminuent de volume. C'est en effet au niveau de la
région
rolandique que ces cellules présentent leurs plus
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. <t9t 1 Iules pyramidales, correspondant aux
régions
motrices établies par Ferrier, seraient disposé
s pyramidales petites et grandes contiennent, comme dans les autres
régions
de l'écorce, des cellules pyramidales, d'au- ta
i que présente, chez l'enfant, le feutrage interradiaire des autres
régions
de l'écorce. La strie de Baillarger fait défaut
l d'après Cajal. avec l'opercule sylvien, l'opercule temporal ou la
région
rétro-insulaire de Broca. Ces fibres forment la
ns : 1° La couche moléculaire, plus étroite ici que dans les autres
régions
de l'écorce; 2° la couche des petites cellules
ogue à celle que l'on rencontre dans les circonvolutions des autres
régions
; 3° la couche granuleuse externe formée par de
ifférences dans la struc- ture de l'écorce qui existent entre cette
région
et les autres régions de la corticalité, ne por
ruc- ture de l'écorce qui existent entre cette région et les autres
régions
de la corticalité, ne portent que sur la couche
Cajal, qui correspond il la strie externe de Baillarger des autres
régions
de l'écorce. Cette couche qui représente, Dans
, la couche des petites cellules pyramidales (2° couche) des autres
régions
de l'écorce cérébrale, est constituée par des c
couche se présente ici avec les mêmes caractères que dans les autres
régions
de l'écorce. La dendrite ascendante ou principa
s fibres se comportent dans le lobe occipital comme dans les autres
régions
de l'écorce; sur les lèvres de la scissure calc
t toutefois moins dense en fibres tangentielles que dans les autres
régions
de l'écorce. La troisième couche (couche des gr
es polymorphes, pré- sente les mêmes caractères que dans les autres
régions
de l'écorce. L'écorce de la première circonvolu
interne de Baillarger, sont également plus lâches que dans d'autres
régions
de l'écorce. Large de 3 millimètres au niveau d
tero-postéricures des nerfs de Lancisi. - c, grosses cellules de la
région
profonde. - d, couche moléculaire ou superficiell
sure collatérale. 702 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les autres
régions
de l'écorce, les quatre couches décrites par Caja
La couche moléculaire est beaucoup plus large que dans les autres
régions
de l'écorce, grâce au développement considérable
hes, elle ne se dis- tingue guère de la couche semblable des autres
régions
de l'écorce. La. substance blanche du subiculum
s des cylindres-axes des cellules pyramidales du subiculum et de la
région
adjacente de la corne d'Ammon; par la voie du t
corne d'Ammon avec la circonvolution de l'hip- pocampe et avec des
régions
plus ou moins éloignées du manteau cérébral. 2°
que, lorsque l'on pratique une coupe vertico-t.ransversale de cette
région
, la couche moléculaire de la corne d'Ammon et l
it ici une seconde difficulté qui complique encore l'étude de cette
région
. L'extrémité supérieure de la corne d'Ammon pén
n constitue le centre (fig. 351). La structure si complexe de cette
région
se trouve donc expliquée : 1° par l'adhérence d
campe ; 2° par la superposition des deux écorces cérébrales dans la
région
du hile , de la circonvolution (fig. 353). Il d
u pilier postérieur du trigone, sont obligées de traverser, dans la
région
du hile, l'écorce de la corne d'Ammon avant d'a
nvolution (fig. 351). La corne d'Ammon comprend par conséquent deux
régions
qui ont chacune des connexions et une structure d
es, chez lesquels elle est très développée, désigne, sous le nom de
région
supérieure de la corne d'Ammon, la région en re
, désigne, sous le nom de région supérieure de la corne d'Ammon, la
région
en relation avec le subiculum, et sous le nom d
d'Ammon, la région en relation avec le subiculum, et sous le nom de
région
inférieure, celle qui est en rapport avec la circ
corne d'Ammon adjacente à la circonvolution godronnée constitue la
région
supérieure, et la partie en connexion avec le sub
a région supérieure, et la partie en connexion avec le subiculum la
région
inférieure. Pour éviter la confusion que pourrait
l'emploi des termes supérieur et inférieur, nous décrirons ces deux ?
régions
de la corne d'Ammon sous le nom de : région godro
ous décrirons ces deux ? régions de la corne d'Ammon sous le nom de :
région
godronnée (région inférieure de Cajal) et de ré
deux ? régions de la corne d'Ammon sous le nom de : région godronnée (
région
inférieure de Cajal) et de région hippocampique
ous le nom de : région godronnée (région inférieure de Cajal) et de
région
hippocampique (région supérieure de Cajal). C'e
godronnée (région inférieure de Cajal) et de région hippocampique (
région
supérieure de Cajal). C'est l'extrémité supéro-
région supérieure de Cajal). C'est l'extrémité supéro-interne de la
région
godronnée de la corne d'Am- mon, qui pénètre da
dronnée présente la même struc- ture et les mêmes connexions que la
région
godronnée proprement dite. Les différentes couc
Golgi, Sala, puis Schaitfcr et Cajal ont appliqué à l'étude de cette
région
la méthode par l'imprégnation d'argent. Les d
de deux écorces cérébrales. Limites de la corne d'Ammon. i
Région
godronnée et région hippocam- pique de la cor
ébrales. Limites de la corne d'Ammon. i Région godronnée et
région
hippocam- pique de la corne d'.\mmon. Struc
rne d'Ammou. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 707 d'Ammon : 1° La
région
inférieure ou hippocampique est comprise entre la
l'écorce du subiculum et de la circonvolution de l'hippocampe; 2° La
région
Slip ? rieure ou godronnée est située au-dessus
G. 352 et 353. Schémas représentant la structure de .l'écorce dans la
région
hippo- campique de la corne d'Ammon et dans la
corce dans la région hippo- campique de la corne d'Ammon et dans la
région
du hile de la circonvolution godronnée. ' ' .
igez11.) . , ric. 352. Schéma de la struc- ture de l'écorce de la
région
hippocampique de la corne d'Ammon. 1, couch
e blanche. FiG. 353. Schéma de la struc- ture de l'écorce dans la
région
, du hile de la circonvolution godronnée. '
irconvolution godronnée et les cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE
. Caractères qui dis- tinguent les cellules pyramidales de la
région
hippocampi- que de la corne d'Am- mon. Leur
Sala, Schaiffer, Cajal, présentent une morphologie spéciale dans la
région
hippocampique et dans la région godronnée de la
nt une morphologie spéciale dans la région hippocampique et dans la
région
godronnée de la corne d'Ammon (fig. 311). Dans
et dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 311). Dans la
région
hippocampique de la corne d'Ammon (fig. 356, CA),
ns et entre en connexion avec le feutrage des collatérales de cette
région
. La lige ou dendrite ascendante est lisse comme
borisent toutes dans l'épaisseur de cette couche (fig 356). Dans la
région
godronnée de la corne d'Ammon (fig. 365, RCg), le
(D'tipre'stfliï61 y Cajal.) CA, petites cellules pyramidales de la
région
hippo- campique delà corne cl' : lmmon. -RCg, c
delà corne cl' : lmmon. -RCg, cellules pyra- midales géantes de la
région
godronnée dela corne d'Am- mon.-a, épaisses col
moussues en relation avec les cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne d'Ammon. : 1, alvéus. B,
F, stratum moleculare. FiG. 3li7. - Cellule pyramidale géante de la
région
godronnée de la corne d'Ammon, - provenant de l
olution godronnée (Cajal). Les cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne d'Ammon sont en effet int
nvolu-- tion godronnée, tandis que les cellules pyramidales de la
région
hippocam- pique n'affectent aucune connexion
. Caractères qui dis- tinguent les cellules pyramidales do la
région
godronnée de la corne d'Ammon. Ce sont des ce
us- sues de Cajal. Fie.. 338. - Cellule pyramidale géante de la
région
godronnée de la corne d'Am- mon et appartenant
NTRES NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules pyrami- dales de la
région
go- dronnéo de la corno d'Ammon, se conti-
ascen- dantdecescylindres- axes. Les cellules pyramidales de la
région
godronnée de là corne d'Ammon envoient leur cyl
lacunosum et se continue avec une fibre nerveuse à myéline de cette
région
(fig. 359). Ces fibres se portent vers le subicul
t ainsi les connexions entre les grandes cellules pyramidales de la
région
godronnée et un nombre considérable de panaches d
n nombre considérable de panaches dendri- tiques des cellules de la
région
hippocampique de la corne d'Ammon. 1"IG. 3 : !
les rapports existant entre les cellules pyramidales géantes de la «
région
inférieure » de la corne d'Ammon et les fibres
mi- dales égarées dans le stratum oriens et sont nombreuses dans la
région
hippocampique de la corne d'Ammon. i Les cell
nombreuses cellules de la névroglie, analogues à celles des autres
régions
de l'écorce. La direction radiaire, très manife
e la couche moléculaire, par un cône terminal comme dans les autres
régions
du névraxe, mais se termine par des arborisatio
s nerveuses de l'alvéus affectent une direction variable suivant la
région
à laquelle elles appartiennent. Les fibres de la
suivant la région à laquelle elles appartiennent. Les fibres de la
région
godronnée de la corne d'Ammon pénètrent dans la
imbria et le pilier postérieur du trigone (Cajal). Les fibres de la
région
hippocampique de la corne d'Ammon contournent l
ellules pyramidales. Les fibres fines, nombreuses sur- tout dans la
région
hippocampique de la corne d'Ammon, sont situées s
cellules pyramidales, et se voient avec beaucoup de netteté dans la
région
godronnée de la corne d'Ammon (fig. 359). La
corne d'Ammon. Le cylindre-axe des cellules pyramidales (soit de la
région
hippocam- pique, soit de la région godronnée) n
cellules pyramidales (soit de la région hippocam- pique, soit de la
région
godronnée) ne se revêt en général de sa gaine de
'il émet, - qu'il s'agisse des grosses collatérales ascendantes de la
région
godronnée qui vont concourir à former le stratu
ourir à former le stratum lacunosum on des fines collatérales de la
région
hippocampique qui forment les filtres fines de
des différentes parties constituantes des cellules pyramidales des
régions
godronnée et hippocampique de la corne d'Ammon.
tre eux les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales de la
région
godronnée et de la région hippocampique, et peut
plasmiques des cellules pyramidales de la région godronnée et de la
région
hippocampique, et peut être comparé à la strie
breuses et disposées en fascicules parallèles, qui s'étendent de la
région
godronnée de la corne d'Ammon au subiculum, où
et 351). Ces libres ne forment une couche indépendante que dans la
région
hip- pocampique de la corne d'Ammon. Dans la ré
nte que dans la région hip- pocampique de la corne d'Ammon. Dans la
région
godronnée de la corne d'Ammon et dans sa portio
ascendantes du cylindre-axe des cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne d'Ammon ; ces collatérales
des fines fibres de l'alvéus, particulièrement nom- breuses dans la
région
godronnée de la corne d'Ammon (fig. 359). 4. Le
lle sorte, que son hile reçoit l'ex- . trémité supéro-interne de la
région
godronnée de la corne d'Ammon (Voy. fig. 351).
t une couche de cellules poly- morphes, écorce qui appartient à la.
région
godronnée de la corne d'Ammon. Il résulte de la
rébrale avortée. Son écorce est su- prpo,rée : l·dconn· de la
région
go- dronnée de la corne d'Ammon. '1 1 i
eau du sillon de l'hippocampe à la couche mo- ... léculaire de la
région
hippocampique de la corne (l'Am\l1on. 2° Couc
étudié plus haut (p. 715) les caractères spéciaux à l'écorce de la
région
godronnée de la corne d'Ammon, caractérisée surto
Fis. 361 et 362. Schéma représentant la structure de l'écorce dans la
région
hippocam- pique de la corne d'Ammon et dans la
corce dans la région hippocam- pique de la corne d'Ammon et dans la
région
du hile de la circonvolution godronnée. . En ré
3tH.) , . l'c. 361. Schéma de la struc- ture de l'écorce de la
région
hippocampique de la corne d'Ammon. T, couch
blanche. Fig. 362. Schéma de la struc- ture de l'écorce dans, la
région
du hile de la circonvolution godronnée. Il
géantes (Py) et à la couche des cellules polymor- phes (Pm) de la
région
godronnée de la corne d'Ammon (CA). Les cylin
irconvolution godronnée et les cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne d'Ammon. 1 726 ANATOMIE
ulaire de la cir- convolution godronnée, qu'après avoir traversé la
région
godronnée de la corne d'Ammon. 2° Stratum gra
ranulosum se terminent aux confins de la zone moléculaire, dans des
régions
riches en vaisseaux et en névroglie, et c'est au
se distinguent encore nettement des cellules pyramidales des autres
régions
de l'écorce cérébrale. Le cylindre-axe de ces c
-axes pénètrent, au niveau du hile de cette circonvolution, dans la
région
godronnée de la corne d'Ammon dont ils traversent
nsforment en Fin. 363. Coupe de la circonvolution godronnée dans la
région
du hile de la corne d'Ammon. Méthode de Golgi.
gine des dendrites radiaires des cellules pyramidales géantes de la
région
godronnée de la corne d'Ammon (fig. 356 RCg, p. 7
horizontal, signalé par Sala et Scbaiffer, et qui traverse toute la
région
godron- née de la corne d'Ammon. D'après Sala,
la corne d'Ammon. D'après Sala, ce faisceau, arrivé au niveau de la
région
hippocampique de la corne d'Ammon, se bifurque en
medullaris involuta. Pour Sclniffer, ce faisceau traverse toute la
région
hip- pocampique de la corne d'Ammon au-dessus d
orne d'Ammon au-dessus des grandes cellules pyrami- dales, dans une
région
riche en vacuoles, et qui constitue le stratum lu
Pour Cajal enfin, ce faisceau de fibres moussues ne dépasse pas la
région
godronnée de la corne d'Ammon (fig. 366) et repré
les rapports existant entre les grandes cellules pyramidales de la
région
inférieure de la corne d'Ammon et les fibres mo
stratum granulosum et en bas par la couche molécu- laire de la
région
godron- née de la corne d'Am- mon. Cajal dist
la couche moléculaire et la couche des cellules pyrami- dales de la
région
godronnée de la corne d'Ammon, et se continue ave
d'une nodosité. Dans la couche des cellules polymorphes et dans la
région
godronnée de la corne d'Ammon, on trouve en gén
es, que Broca le premier rapprocha des cellules pyramidales de la
région
rolandique. Mais la structure intime du bulbe o
cellule initiale. - D, tractus ou pédicule olfactif. E, grains.- G,
région
de la racine blanche externe du nerf olfactif.-
ule olfactif, reçoivent les fibres des cel- lules pyramidales de la
région
, et traversent la partie inférieure du corps st
et de l'hippocampe. Les 4. panaches des cellules pyramidales de la
région
(3° neurone) les trans- mettent à leur tour à d
de la région (3° neurone) les trans- mettent à leur tour à d'autres
régions
corticales ou infra-corticales. Mais les cellul
basilaires des cellules mitrales (fig. 371). Tubercule olfactif. La
région
du tubercule olfactif représente, ainsi que Cal
isement des panaches protoplasmiques des cellules pyramidales de la
région
, avec un nombre con- sidérable de fibres nerveu
idum présente il peu près la même épaisseur que l'écorce des autres
régions
de l'hémisphère. Elle contient un très grand nomb
brés. Traduit de l'espagnol par Azoulay. Paris, 1894. - CALLEJA. La
région
olfatoria del ce1'ebro. Thèse de Madrid, 1849. -D
de fibres à savoir : 1° Des fibres et association qui relient deux
régions
plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale;
jection qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions centraux, à la
région
sous-optique, à la protubérance, au bulbe, à la
ntripètes ou terminales, qui comprennent : a, des fibres nées d'une
région
quelconque de l'écorce cérébrale et qui se term
écorce cérébrale et qui se terminent en s'arborisant dans une autre
région
fibres d'association, fibres commissurales , coll
térales des fibres de projection - b, des libres provenant d'autres
régions
que celles de l'écorce, par exemple des corps o
de l'écorce, par exemple des corps opto-striés, du cervelet, de la
région
de la ca- lotte, etc., etc., fibres sensitives
és par d'autres fibres, il n'existe jMl^ par contre que bien peu de
régions
où l'on ne puisse constater nette- ! j ! ) ! j
stème d'association inter-hémisphérique, met- tant en connexion des
régions
symétriques et asymétriques de l'écorce des deu
aissent de tous les points de la corticalité et convergent vers les
régions
centrales de l'hémisphère, trajet que met en év
nt les ramifications de fibres nerveuses, provenant des différentes
régions
du système nerveux central. D'après Golgi, les
nt dos fibres do projection. 1 m. 372. - Coupe transversale de la
région
supra-ventriculaire du cerveau de la souris âgé
nastomotiques reçoivent néanmoins un nombre va- riable, suivant les
régions
et suivant l'importance du pli, de fibres com-
e des fibres en U est en rapport avec la masse blanche propre de la
région
, formée par l'enchevêtrement des fibres de proj
e, dont elle est séparée par les courtes fibres d'association de la
région
; sa face externe ou convexe est en rapport avec
qu'elles représentent les fibres tangen- tielles de l'écorce de la
région
(p. 699 à 701). En arrière du bourrelet du corp
u arqué ne se présente sous forme de faisceau [compact, que dans la
région
pariétale de l'opercule; parallèles au bord sup
en arrière avec la couche des fibres verticales de la convexité des
régions
occipitale et pariéto-tempo- Le faisceau u'lJu
la scissure de Sylvius ont été écarlés pour montrer l'insula et la
région
rétro-insulaire. Les faisceaux uncina- lus, arq
constituerait un faisceau d'association reliant la face externe des
régions
temporo-occi- pitales à la convexité du lobe fr
. L'épaisseur du faisceau longitudinal inférieur varie suivant, les
régions
; mince en arrière, où il entoure d'un anneau co
aisceau ne se dispose en couche net- tement distincte, que dans les
régions
situées en arrière et au-dessous de- la partie
ntriculaire, et sont d'autant plus obliques qu'elles proviennent de
régions
plus supérieures. Les fibres qui naissent de l'
ue. Les plus antérieurs de ces fascicules onduleux abordent dans la
région
sous-thalamique le segment postérieur de la capsu
rps genouillés interne et externe, le noyau externe du thalamus, la
région
sous-optique, le segment postérieur de la capsule
sous le troisième segment du noyau lenticulaire et aborder dans la
région
sous-thalamique supérieure le segment postérieu
un cerveau de singe macaque, passant par la partie supérieure de la
région
sous-thalamique. Méthode de l'al. Agrandissement
e couche des radiations thalamiques. Sur les coupes intéressant les
régions
temporales inférieures, ses fibres s'irradient
'hippocampe) au pli rétro-limbique de Broca, et renforce dans cette
région
le faisceau postérieur du cingulum. Elle repré-
terminer le trajet d'un faisceau ; ici comme dans toutes les autres
régions
de l'écorce, on voit les fibres radiées de l'écor
ue le cunéus possède des fibres de projection tout comme les autres
régions
de l'écorce cérébrale, et que ces fibres arrivent
- tion occipitale et avec le lobule fusiforme. Très épaisse dans la
région
occipitale, cette couche s'amincit en avant; el
al transverse du lobule lingual de Vialet. Ce faisceau met la
région
calcarinienne en communication avec la convex
du lobe occipital et à son bord inféro-externe ; il appartient à la
région
du cunéus, ne dépasse pas en avant la scissure
ement aux fibres commissurales de projection et d'association de la
région
, et s'irradient très probablement dans l'écorce
moitié inférieure du système d'associa- tion qui met en relation la
région
calcarinienne avec la convexité occipitale, se
lobe occipital, persister intact, parmi les libres dégénérées de la
région
, et ces cas sont particulièrement FAISCEAUX D'A
fet avec les nombreuses fibres de projection et commissurales de la
région
. En avant de la substance grise sous-épendymair
ion du lobe olfactif et de l'extrémité antérieure du lobe temporal,
régions
desservies par le système de la commissure anté
ennent profonds de l'autre côté de la ligne médiane, les fibres des
régions
antérieures d'un hémisphère s'irradient, après
s'irradient, après entre-croisement sur la ligne médiane, dans les
régions
plus postérieures de l'hémisphère du côté oppos
mmissurales qui relient et associent dans leur fonction- nement les
régions
homologues et symétriques des deux hémisphères,
'association inter-hémi- sphériques, qui assurent les connexions de
régions
asymétriques des deux hémisphères. Le corps cal
mieux circonscrit des faisceaux d'association et, « en reliant les
régions
asymétriques des deux hémisphères, il ramène il l
tal, l'autre supérieur, beaucoup plus volumi- neux, qui dessert les
régions
externe et supérieure de ce lobe. Ces deux 1
lution occipitale, ce faisceau se porte en avant et reçoit dans les
régions
antérieures les fibres du précu- néus (PrC), de
cipitale d'un anneau dégénéré complet et sous-épendymaire. Dans les
régions
plus antérieures (fig. 394), la situation des fib
la partie antérieure du foyer ancien datant de quatre ans. Sur des
régions
posté- rieures au plan par lequel passe cette c
orizontale microscopique passant par la commissure antérieure et la
région
sous-optique inférieure. Méthode de Weigert. 2/1
ui intéressent la circon- volution postérieure de l'insula (Ip), la
région
rétro-insulaire (Tp), la pre- mière circonvolut
mporales du faisceau uncinatus. Ce dernier faisceau occupe toute la
région
de la capsule externe située au-dessous du pôle
giques, l'induration grise, dans l'ataxie sont plus prononcées à la
région
cervicale lorsque les symptômes prédominent aux:
le lorsque les symptômes prédominent aux: membres supérieurs, et à la
région
lombaire dans la forme commune, c'est-à-dire quan
que, débordant au delà de leur foyer primitif, elles se propagent aux
régions
voisines ou se communiquent même à des régions él
elles se propagent aux régions voisines ou se communiquent même à des
régions
éloignées. On doit, si je ne me trompe, à ce mo
ans un tout petit département de la substance grise de la moelle : la
région
des cornes antérieures. On sait encore que la maj
ts Sclérose limitée aux cordons médians ou cordons de Goll. Fig. 1.
Région
cervicale. — Fig. 2. Région dorsale. tômes de l
rdons médians ou cordons de Goll. Fig. 1. Région cervicale. — Fig. 2.
Région
dorsale. tômes de l'ataxie locomotrice, n'affec
s les parties de ces faisceaux, mais occupe nécessai-rement certaines
régions
qu'il s'agit de déterminer à pré-sent. On avait
cervical, dans les cas où la moelle est comprimée sur un point de la
région
dor- 1 Pierret. — Notes sur la sclérose des cor
ssi Planche I, Fig. 1). L'examen attentif des lésions que présente la
région
Sclérose limitée aux cordons de Goll. Fig- 3. C
endant la lésion scléreuse n'était représentée, à l'autopsie, dans la
région
dorso-cervicale de la moelle, que par les deux mi
s ; d'après cela, la lésion des cordons de Goll ne se produirait à la
région
cervicale, chez les alaxiques, que dans les cas o
e dans les cas où la sclérose se montre chez eux très pro-noncée à la
région
dorso-lombaire. Je me rattache pleinement à cette
s, et cependant la lésion des cordons médians faisait défaut ici à la
région
lombaire, tout autant qu'au renflement cervical ;
es, au voisinage des mé-ninges, celle-ci débute, au contraire, par la
région
des ban-delettes latérales. Nous devons ajouter q
oit de dehors en dedans, et à déterminer, du même coup, les di-verses
régions
d'où dérivent les symptômes qui apparaissent succ
te localisation des lésions sclé-reuses, chez les ataxiques, dans une
région
déterminée des cordons postérieurs, qu'on pourrai
une région déterminée des cordons postérieurs, qu'on pourrait appeler
région
des ban- celle-ci. S'il a existé une anesthésie
nd progressivement, du moins dans les circonstances ordinaires, de la
région
dorso-lombaire vers la région cervicale, en conse
ans les circonstances ordinaires, de la région dorso-lombaire vers la
région
cervicale, en conservant la disposition de bandel
u-vent être d'ailleurs suivis jusque dans le bulbe où ils occupent la
région
des corps restiformes. IX. Mettes externes, n
que, en outre des faisceaux radiculaires internes, il existe en cette
région
des cordons postérieurs, des faisceaux de fibres,
ercurrente, l'autopsie vint justifier pleinement mes prévisions. A la
région
dorsale, comme à la région cervicale de la moelle
justifier pleinement mes prévisions. A la région dorsale, comme à la
région
cervicale de la moelle, la corne grise du côté dr
es, bien que la lésion spinale primitive occupe un point limité de la
région
dorsale delà moelle, on observe, en outre de la p
moelle épinière, peuvent retentir, par une action à distance sur les
régions
supérieures de ce cordon nerveux. C'est ce que me
ment cervical par exemple, une sclérose plus ou moins prononcée de la
région
postérieure des cordons latéraux. Cette sclérose
ue la lésion partielle primitive occupe les parties supérieures de la
région
dorsale. Or, la paralysie des membres supérieurs,
emblent remonter de chaque côté de l'abdomen pour venir se fixer à la
région
épigastrique. Simultanément, ils accusent des dou
t souvent, non seulement diverses parties des membres, mais encore la
région
occipitale et la nuque. Les crises cardialgiques
em Lrspvung der Arthristis défor-mons. {Note de la i" édition.) les
régions
supérieures de la moelle, alors qu'elle est déjà
upérieures de la moelle, alors qu'elle est déjà très ancienne dans la
région
dorso-lombaire. Notez, Messieurs, la date de cett
éveloppement de ces arthro-pathies, et quelle est, en particulier, la
région
de la moelle épinière dont l'altération détermine
tération détermine la lésion articulaire ; car, évidemment toutes les
régions
du centre spinal ne sauraient être indistinctemen
nes antérieures de la substance grise, j'avais supposé que cette même
région
de substance grise pouvait être encore le point d
on lente sur le centre nerveux spinal ne varient guère que suivant la
région
de ce centre qui est intéressée et, en dehors de
ans le canal rachidien, canal osseux plus ou moins flexible selon les
régions
. La dure-mère ne touche nulle part à ce canal, si
iveau des trous de conju-gaison qui servent d'issue aux nerfs et à la
région
cervicale, sur un point qui correspond à la face
parce qu'il s'agit là d'une production pour ainsi dire spéciale à la
région
: en effet, le cerveau et la moelle sont surtout
ant la dure-mère. J'ai vu plusieurs fois le carcinome occuper cette
région
dans certains cas de cancer du sein; d'autres tum
extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie topographique de la
région
vertébrale. Des symptômes extrinsèques: pseudo-
ment, tantôt une induration avec ou sans chan-gement de couleur de la
région
malade de la moelle. Mais l'examen microscopique,
n de la surface de section d'une moelle normale examinée dans la même
région
. Sa consistance était très ferme, sa couleur gris
ndre leur raison d'être, reportons-nous à l'étude topographique de la
région
où se produisent tous les accidents que nous allo
egré de la compression et suivant qu'elle s'exerce sur telle ou telle
région
de la moelle. Ce n'est donc pas de ce côté, vous
uelques va-riétés : tantôt la douleur se montre circonscrite dans une
région
plus ou moins limitée ; tantôt, au contraire, le
e irri-tante. En pareille occurrence, la douleur occupe souvent une
région
très limitée : c'est un point, une ligne qui sont
rprétation 2. Elle s'applique avec exactitude seu-lement au cas où la
région
vertébrale lombaire est atteinte dans une certain
exus blachial ou le plexus cervical, lorsque la lésion portera sur la
région
verté-brale cervicale. D'autres fois, enfin, le
plus vulgaire, celui où la lésion siège sur un point quelconque de la
région
dorsale de la moelle épinière. Il y a dès maint
ussi dans la myélite par compression, lorsqu'il s'agit du moins de la
région
dorsale f, que la vessie conserve en grande parti
à établir. Si la compression siège trop haut, vers le milieu de la
région
dorsale, par exemple, on observe, en général, de
traire, si la lésion siège très bas, vers la partie supé-rieure de la
région
lombaire, il peut arriver que les sphincters soie
éger symétriquement dans un point du membre opposé correspondant à la
région
primitivement excitée. Cela rentre dans l'histoir
sthésie croisée, quand la lésion dont il s'agit occupe un point de la
région
cervicale. Si c'est au contraire un point de la
point de la région cervicale. Si c'est au contraire un point de la
région
dorsale ou lom-baire qui est affecté de cette faç
le cas d'une tumeur méningée, comprimant vers la partie moyenne de la
région
dorsale, une moitié latérale de la moelle épinièr
9, 1869, pl. XIII. — La tumeur appliquée sur la face antérieure de la
région
dor-sale de la moelle, qu'elle comprime fortement
'être question. Si la compression hémilatérale au lieu de siéger à la
région
dorsale de la moelle, occupait centimètres et d
ssi un fait publié dans The Lancet (1856, p. 406), par M. Ogle. une
région
plus élevée, la partie supérieure du renflement b
étendant dans le sens antéro-postérieur, déterminé sur un point de la
région
dorsale, une compression à peu près exactement li
ncé delà moelle, a pour effet nécessaire, lorsqu'elle s'exerce sur la
région
cervico-brachiale, de paralyser les quatre membre
un autre côté, qu'une pression moins forte, s'exerçant sur cette même
région
, peut dans de cer-taines conditions, avoir pour r
encore, Messieurs, un autre mode suivant lequel une altération de la
région
cervico-brachiale de la moelle épi-nière pourrait
emples de compression lente s'exerçant sur la partie antérieure de la
région
cervicale de la moelle épi-nière, et ayant déterm
i dire fatale à un instant donné, soit aux faisceaux blancs, soit aux
régions
postérieures de la substance grise, l'aspect des
stent parfois, en conséquence des lésions par compres-sion soit de la
région
cervicale, soit de la partie supérieure de la rég
-sion soit de la région cervicale, soit de la partie supérieure de la
région
dorsale de la moelle. Les symptômes en question
e c'est que la mydriase, résultant d'une irrita-tion permanente de la
région
cilio-spinale, déterminée par une cause traumatiq
e pupillaire peuvent se montrer liées aux lésions par compression des
régions
supé-rieures de la moelle. M. Ogle les a signalée
miné par compression un ramollissement des cordons antérieurs dans la
région
correspondante de la moelle épinière. Il serait f
resb., 1864, t. III, p. 30. la dyspnée qui, dans la compression des
régions
supérieures de la moelle épinière, peuvent existe
usqu'au niveau de la 3° côte. Une vaste escarre s'étant déclarée à la
région
sacrée le malade succomba, quatre mois environ ap
aut4, et qui présentait un tubercule solitaire développé dans la même
région
de la moelle. Il convient de mettre ces troubles
300 cas de fracture des vertèbres cervicales sur-venues dans diverses
régions
K d) Une gêne de la déglutition, plus ou moins
portait plutôt sur le bulbe. Pour l'épilepsie liée aux lésions des
régions
dorsale et lombaire de la moelle épinière, consul
s. Dans la règle, le ralentissement du pouls, lié aux fractures de la
région
cervicale, est un phénomène essentiellement tran-
né plus haut: Un enfant de 15 ans reçut un coup qui le frappa dans la
région
de la 6e vertèbre cervicale. Les symp-tômes d'une
t tout à l'heure des effets produits par l'irritation traumatique des
régions
su-périeures de la moelle, mais encore sur la con
mais il pourrait se former des escarres à développement rapide, à la
région
sacrée et sur d'autres parties des membres infé-r
rise au centre de la moelle épinière, il y a lieu d'établir plusieurs
régions
, plusieurs dépar-tements bien distincts. C'est ai
produit parfois des altérations qui affectent isolément les diverses
régions
de la substance grise. C'est là justement le ca
flammatoire porte indistinctement sur tous les points, sur toutes les
régions
de la substance grise, d'où il résulte que la sen
s quelques muscles, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'une
région
d'un membre, dans lesquels les lé-sions continuen
de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans la
région
de la moelle d'où émanaient les nerfs se rendant
r. Tramact., t. II. London, 1868. Fig. 8. — Coupe de la moelle à la
région
cervicale dans un cas de para-lysie infantile spi
es cornes antérieures de la substance grise (Fig. 8). Dans toutes les
régions
de la moelle, les grandes cel- c'est là un fait
prononcée des racines antérieures, remarquable surtout au niveau des
régions
de la moelle le plus profondé-ment atteintes, alt
novembre et décembre 187i.) Fig. 9. — Coupe de la moelle faite à la
région
lombaire. — A, corne anté-rieure gauche, saine. —
ose près, tous les caractères de la structure nor-male. Dans d'autres
régions
, les lésions de la névroglie pour-ront se montrer
rrotet Joffroy ont bien mis en lumière, — ne présentent au niveau des
régions
altérées de la moelle épinière, dans les cas réce
condairement la névroglie et s'étend de proche en proche aux diverses
régions
des cornes antérieures, mais cela n'est nullement
ses mem-bres. Une heure après, elle se plaignait de douleurs dans la
région
cervicale postérieure, de fourmillements et d'irr
ignit d'une grande fatigue, de courba-ture, surtout prononcée dans la
région
lombaire et souffrit de sueurs abondantes. Le l
ogique. Les cellules mo-trices étaient profondément altérées dans les
régions
de la moelle épinière, correspondantes aux muscle
ornes antérieures de la substance grise et, plus précisément, dans la
région
de ces cornes qu'occupent les grandes cellules ga
eçon que M. Gharcot a faite a la Salpêtrière, en juin 1868. dans la
région
où la corne grise est aussi profondément at-teint
centuée. Les élé-ments ganglionnaires de tout un groupe, de toute une
région
, lorsque l'altération est portée au plus haut deg
naires de la moelle. Mais il importe de remarquer que, dans certaines
régions
de l'encéphale et dans le système du grand sympat
ans avoir subi de dissocia-tion2. Quoi qu'il en soit, elle occupe les
régions
centrales de la moelle épinière, la substance gri
de la hauteur du cordon nerveux, de telle sorte que, par exemple, la
région
dorsale et la région lombaire seront atteintes si
don nerveux, de telle sorte que, par exemple, la région dorsale et la
région
lombaire seront atteintes simultanément dans tout
rtenant qu'à la myélite diffuse, révèlent la participation des autres
régions
delà moelle. Ce sont des altérations plus ou moin
calines, purulentes, enfin la formation d'escarres non seulement à la
région
sacrée, mais encore sur tous les points des membr
ement lom-baire, par exemple, si la lésion a porté sur un point de la
région
dorsale ; la propagation en question se fait dans
ne lésion spinale, en apparence limitée à un point circon-scrit de la
région
dorsale, peut déterminer dans les membres inférie
us expli-citement l'altération atrophique des cellules molrices de la
région
. Nous trouvons en quelque sorte ici la reproducti
hies spinales chroniques. En effet, une lésion exactement limitée aux
régions
antérieures de la substance grise et laissant par
ble, pouvait môme être suivi jusqu'au niveau du tiers inférieur de la
région
dorsale. Dans lapins grande partie de son trajet,
u sarcomes), qui, développés au centre de la substance grise, dans la
région
cervicale, ont été le point de départ de symptôme
ance grise, et plus particulièrement sur les cellules nerveuses de la
région
, en conséquence de quoi les symptômes amyotrophiq
ompression s'exerçant sur un point limité de la moelle épi-nière à la
région
dorsale ; l'inertie motrice occasionnée dans les
tent les traces manifes- Fig. 11. — Coupe delà moelle épinière à la
région
cervicale dans un cas d'atrophie musculaire proto
ur des coupes. — Dans toute l'étendue de la moelle, mais surtout ù la
région
cervicale, un grand nombre de cellules nerveuses
l petit groupe {Fig. Il, b). — Les racines antérieures, émanant de la
région
cervicale, sont atrophiées ; on y trouve quelques
e, une atrophie destructive. Sans doute, dans les racines émanant des
régions
de la substance grise et plus pro-fondément altér
cette lésion circonscrite en quelque sorte géomé-triquement dans une
région
des faisceaux blancs qui à l'état normal, du moin
ologiques qui accusentun développement relati-vement moins avancé, la
région
qui appartient aux faisceaux latéraux proprement
a région qui appartient aux faisceaux latéraux proprement dits. Cette
région
se voit en arrière d'une ligne fictive transversa
tubérance et dans l'étage inférieur des pédoncules cérébraux. Or, ces
régions
de l'isthme de l'en-céphale et du bulbe qui sont
ions que présente le système des faisceaux latéraux dans les diverses
régions
de la moelle, dans le bulbe et dans Charcot. Œu
cervical. Fig. 17. — Coupe transversale passant par le milieu de la
région
dorsale. Fig. 18. — Coupe transversale passant
renflement lombaire. moelle. —a) Sur des coupes transversales, à la
région
du renflement cervical, l'altération symétrique c
nd une plus grande étendue en largeur que partout ailleurs. Ainsi, la
région
envahie par la sclérose s'étend en avant jusqu'au
sent appartenir au même système que les faisceaux latéraux. b) A la
région
dorsale, la lésion est plus circonscrite. [Fig. 1
languette très mince de substance blanche in-tacte. c) Enfin, à la
région
lombaire, la lésion est moins étendue encore. Ell
is constatée, des groupes cellulaires de la colonne de Clarke dans la
région
dorsale. a) L'altération de la substance grise
ce grise spinale, dans tous les cas que j'ai observés, prédomine à la
région
cervicale de la moelle épinière; elle est souvent
le de la moelle épinière; elle est souvent très prononcée encore à la
région
dorsale ; mais elle tend à s'atténuer à mesure qu
hie des cellules nerveuses motrices dans les cor-nes antérieures à la
région
cervicale de la moelle et dans les noyaux d'origi
ci, non plus que la parésie, n'est pas d'ordinaire circonscrite à une
région
limitée du membre, à quelques muscles de la main
tubes nerveux qui établissent, à l'état physiologique, entre les deux
régions
, une communication plus ou moins directe. Quelque
iverses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à des
régions
très circonscrites ; au pied, par exemple (Friedr
es cas, l'envahissement Fig. 26. — Coupe de la moelle épinicre u la
région
lombaire dans un cas d'ataxie locomotrice compliq
ont été très multipliées et prises sur les points les plus divers des
régions
cervicale et dorsale de la moelle. Je dois faire
çon tout à fait acces-soire, pour ainsi dire accidentelle, cell s des
régions
de la moelle (cornes grisés antérieures et faisce
périeure du renflement cervical, jusqu'à l'extrémité inférieure de la
région
lombaire. Les cornes antérieures de la substanc
à établir que la moelle épinière est composée d'un certain nombre de
régions
, répon-dant, en quelque sorte, à autant d'organes
s longtemps, tracé la voie et déterminé même un certain nombre de ces
régions
fonda-mentales auxquelles je faisais allusion tou
la. Vous voyez les anciens faisceaux postérieurs décomposés en deux
régions
bien distinctes: 1° les faisceaux deGoil (Fig. 29
lopographique où se trouvent indiquées, par des feintes diverses, les
régions
de la moelle épinière, jusqu'ici explorées par le
'ro-latéraux des auteurs doivent à leur tour être décomposés en trois
régions
: 1° les faisceaux laté-raux proprement dits, A,
celle des faisceaux latéraux ; Fig. 30. — Coupe transversale de la
région
lom-baire de la moelle provenant d'un sujet chez
par une paralysie avec amyotrophie dans le membre correspondant à la
région
lésée de la moelle épinière. Pour ce qui est de
s la moelle épinière, sur certains points, les faisceaux postérieurs (
région
cervicale), sur d'autres les faisceaux latéraux '
es cas graves, il est assez habituel que des escarres se forment à la
région
sacrée, et décident la terminaison fatale. La m
racines du nerf, près de leur émergence. La moelle épi-nière, dans la
région
correspondante, était ramollie et infiltrée de co
t détruit, chez une grenouille, on irrite la moelle épinière, dans sa
région
inférieure, par l'application d'un caustique, les
, je proposai faute de mieux, l'appli-cation de pointes de feu sur la
région
mastoïdienne gauche. Les applications furent répé
s. Les cicatrices en question occupaient dans l'hémis-phère droit une
région
toujours la même, à peu de chose près, et voici l
rviendra peut-être quelque jour à circonscrire d'une façon exacte les
régions
limitrophes qui cor-respondent à ces deux ordres
un jour déterminé avec préci-sion, on connaîtrait au moins l'une des
régions
de l'encéphale où devraient être cherchées les al
de la contracture per-manente. Relations entre la céphalalgie et la
région
motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gomm
te, et localisée comme je le dirai, sur un espace circonscrit dans la
région
du pariétal droit, les in-tervalles des accès éta
n de la céphalalgie localisée, comme il a été dit, sur un point de la
région
pariétale droite. La douleur, à ce moment, prend
., le développement de l'accès, occupait un espace circonscrit sur la
région
du pariétal droit, tandis que les con-vulsions po
s de la surface des hémisphères cérébraux qui sont en rapport avec la
région
pariétale du crâne, et plus particulièrement les
comme représentant la zone motrice, ou, autrement dit, comme la seule
région
de l'écorce cérébrale dont l'irrita-tion peut dét
ès était localisée sur deux points à la fois : l'un sié-geant dans la
région
pariétale d'un côté, l'autre sur la région tempor
s : l'un sié-geant dans la région pariétale d'un côté, l'autre sur la
région
temporale de l'autre côté. La douleur pariétale o
en ar-rière de lui, non loin delà scissure médiane, c'est-à-dire une
région
appartenant, pour une part, au domaine de la zone
s pharyngées au nitrate d'argent, les applications irri-tantes sur la
région
antérieure du cou, et à l'intérieur l'emploi du b
sium à doses élevées et l'application de vésica-toires volants sur la
région
du larynx ; après trois semaines de traitement, l
ment, de brûlure, la toux, ayant pour siège apparent le larynx ou les
régions
supérieures de la trachée, ont dans tous les cas
mptômes prémonitoires de l'attaque semblent désigner le larynx ou les
régions
supérieures de la trachée, comme étant le point d
ions banales. Quoi qu'il en soit l'application des révulsifs sur la
région
laryngée, les cautérisations pharyngées, l'admini
la moelle entièrement divisée au niveau de la partie supérieure de la
région
dorsale; un lambeau de la dure-mère rattachait se
espaces où les cylindres d'axe ont augmenté de vo-lume, que dans les
régions
où les tubes nerveux ont conservé tous les caract
orsales, en diminuant progressivement d'étendue et en se limitant aux
régions
centrales de la moelle. Au-dessous, il descend, é
entrales de la moelle. Au-dessous, il descend, également limité à ces
régions
, jusque vers le com-mencement du renflement lomba
ar lacide chromique et colorées par le carmin; coupes transversales ;
région
dorsale. — Toutes les par-ties qui avaient été ra
valaires. Ils se retrouvent encore soit isolés, soit agrégés dans les
régions
cervi-cale et lombaire de la moelle épinière où l
re qu'un bon nombre de cellules nerveuses motrices, dans les diverses
régions
de la moelle, ont augmenté de volume. Quoi qu'il
ique dilué, font reconnaître, dans la moitié latérale gauche, dans la
région
cervicale, un foyer sanguin de forme ovalaire, me
lite descendante consécutive), à peu près dans toute la hauteur de la
région
dorsale l. On sait d'ail-leurs, d'après les reche
paces intercos-taux sont profondément excavés ; il en est de même des
régions
sus et sous-épineuses ; dans toutes les parties s
et état des racines antérieures se rencontre seu-lement au niveau des
régions
cervicale et dorsale. Il cesse à peu près entière
ent manifeste des méninges. Sur une coupe transversale pratiquée à la
région
cervicale, on remarque l'aspect gélatineux des co
ui se rapprochent de l'état normal ; tous les autres muscles de cette
région
sont plus ou moins atrophiés et décolorés. Ils so
and palmaire et le rond pronateu;"' sont un peu moins atrophiés. A la
région
postérieure, tous les muscles sont profondément a
pouce qui est encore rouge et assez volumi-neux. — Les muscles de la
région
externe sont également atteints. A la main, les l
mas-toïdiens paraissent à peu près sains, de même que les muscles des
régions
sus et sous-hyoïdiennes. — Les muscles du pharynx
e. — Les différents viscères ont paru sains. Examen hislologique. —
Région
cervicale. — La disseclion de petits fragments de
essus qui préside ici à la destruction des cellules nerveuses. A la
région
lombaire, la substance des cornes antérieures est
nom-bre, il est vrai, aussi complètement atrophiées que celles de la
région
cervicale. Les parois des vaisseaux ne sont pas a
rtions de substance blanche prise au centre des cordons latéraux à la
région
cervicale et à la région lombaire ne conte-naient
he prise au centre des cordons latéraux à la région cervicale et à la
région
lombaire ne conte-naient, à l'état frais, aucun c
tance grise des cornes antérieures est pro-fondément altérée dans les
régions
cervicale et dorsale. Le maxi-mum des altérations
loppement véritablement énorme qu'a pris le sys-tème capillaire de la
région
. Dans les parties supérieures de la région cerv
ys-tème capillaire de la région. Dans les parties supérieures de la
région
cervicale, la vasculari-sation diminue, les tubes
dans chaque préparation, ont môme des dimensions quasi-normales. A la
région
dorsale, la lésion va également en s'atténuant à
la lésion va également en s'atténuant à mesure qu'on s'approche de la
région
lombaire. Au niveau du renflement lombaire, la
is-seaux ont leurs parois épaissies, beaucoup moins toutefois qu'à la
région
cervicale. Cet état des vaisseaux se retrouve de
à la zone radiculaire antérieure, elle est atteinte de sclé-rose à la
région
cervicale et à la région dorsale. L'étendue de ce
érieure, elle est atteinte de sclé-rose à la région cervicale et à la
région
dorsale. L'étendue de cette sclérose est manifest
qui envoie vers la périphérie de larges prolongements tandis qu'à la
région
dorsale elle est limitée au trajet des faisceaux
ntérieurs, allant en s'atténuant sur les cordons posté-rieurs. — A la
région
lombaire, ces diverses lésions disparaissent la c
ment vascularisé. Racines spinales, — Les racines antérieures, à la
région
cervicale sont à peu près complètement détruites.
i. Cet état est exactement le même pour les racines antérieures de la
région
dorsale. A. la région lombaire, on rencontre à pe
ment le même pour les racines antérieures de la région dorsale. A. la
région
lombaire, on rencontre à peine quelques tubes atr
antérieure atteint son maximum d'intensité ; tous les éléments de la
région
sont à ce niveau altérés, et on peut admettre, so
tance, on retrouve des cellules nerveuses en voie de destruction à la
région
lombaire, alors que les zones radiculaires antéri
alors que les zones radiculaires antérieures se retrouvent dans cette
région
parfaitement normales. Quant au léger degré de
us considérons que dans certains points, à la partie supérieure de la
région
cervicale, par exemple, de même qu'à la région do
artie supérieure de la région cervicale, par exemple, de même qu'à la
région
dorsale, les cellules nerveuses sont en-core prof
hie ou disparition des cellules nerveuses des cornes anté-rieures aux
régions
cervicale et dorsale. — Au bulbe, atrophie et des
elques jours, Catherine éprouve une sensation de constriction dans la
région
pharyngienne, sans que l'examen direct fasse déco
ont également marché que fort lentement du côté de la face et de la
région
sus-hyoï-dienne. Néanmoins la difficulté de la pr
ou. Les sterno-cléïdo-mastoïdiens paraissent sains. Les muscles de la
région
sus-hyoïdienne sont très-petits. Ils présen-tent
rvé leur volume normal et leur coloration blanche. C'est surtout à la
région
cervicale que ces lésions sont le plus ac-cusées
; cependant on les observe encore dans presque toute la hauteur de la
région
dorsale ; mais elles tendent à s'effacera me-sure
rsale ; mais elles tendent à s'effacera me-sure qu'on s'éloigne de la
région
cervicale. A la région lombaire, les racines anté
ent à s'effacera me-sure qu'on s'éloigne de la région cervicale. A la
région
lombaire, les racines antérieures ont repris le v
ations graisseuses. Ce qui vient d'être dit est relatif sur-tout à la
région
cervicale de la moelle ; à la région dorsale, les
re dit est relatif sur-tout à la région cervicale de la moelle ; à la
région
dorsale, les lésions atrophiques se montraient mo
aient moins prononcées, surtout dans les parties inférieures de cette
région
et, au niveau du renflement lombaire, elles faisa
préparations durcies par l'acide chromique et colorées par le carmin.
Région
cervicale. L'examen des coupes transversa-les min
es et qui se montrent à peu près les mômes dans toute l'étendue de la
région
. Sur tous les points des cordons antéro-latérau
s postérieure de ces derniers faisceaux et dans toute l'étendue d'une
région
qui, en dedans, confine aux cornes postérieures t
ce grise nous ont paru offrir toutes les conditions de l'état sain.
Région
dorsale. L'examen n'a pu porter que sur les 2/3 s
dorsale. L'examen n'a pu porter que sur les 2/3 supé-rieurs de cette
région
. La sclérose des faisceaux latéraux se mon-trait
cornes antérieures étaient atrophiées, réduites à un petit nombre.
Région
lombaire. L'altération scléreuse symétrique des c
s nettement accusée, mais moins étendue toutefois que dans les autres
régions
de la moelle ; elle occupe d'ailleurs le même siè
es seulement présentent des lésions alrophiques bien caractérisées.
Région
du bulbe. — Coupes faites au-dessus du calamus. —
s. — A l'aide découpes transversales faites à diverses hauteurs de la
région
des olives et au-dessous, nous avons pu constater
gnalée à propos des cellules des cornes antérieures de la moelle, aux
régions
cervicale et dorsale. Nous avons pris pour point
al, on pouvait compter' dans le noyau de l'hypoglosse, qui dans cette
région
est volumineux et bien limité de toutes parts, de
contre, sur les coupes provenant de notre malade et montrant la même
région
, on ne pouvait reconnaître que 3 ou 4, au plus, d
es groupes cellulaires, appartenant aux différents autres nerfs de la
région
, sont moins profondément atteints. Les cellules y
rappante avec l'atrophie très prononcée de leur noyau d'origine. La
région
de l'entre-croisement offre un intérêt particulie
a sclérose s'avancer en figurant un coin à base postérieure dans la
région
de l'entre-croisement, et aller envahir, en passa
rdons antéro-latéraux. Il est de plus à remarquer, que, du moins à la
région
cervicale, les lésions paraissent être arrivées à
ns quelques endroits, au contraire, ils sont comme hypertrophiés. Les
régions
altérées se colorent vivement par le carmin. Si
bien qu'elle en diffère par certaines particularités. Dans toute la
région
cervicale, elle occupe, à la partie la plus inter
à droite qu'à gauche, cesse d'exister vers la partie inférieure de la
région
. Dans les cordons latéraux, commençant en avant
r une bande étroite de tissu resté sain. La partie supérieure de la
région
, celle qui est située immédia-tement au-dessous d
e de tissu sclérosé. Si, des parties supérieures, on descend vers les
régions
dorsale et lombaire, on voit la sclérose abandonn
t diminuer pro-gressivement d'étendue dans le cordon latéral. Dans la
région
dorsale le cercle de tissu sain périphérique s'él
is que la sclérose abandonne le contour de la corne anté-rieure. A la
région
lombaire, elle s'est éloignée de la corne pos-tér
nes, elle diminue graduellement d'étendue, à mesure qu'elle gagne les
régions
inférieures de la moelle. Tandis qu'au niveau du
uer à un cinquième du nombre total celui des cellules épargnées, à la
région
lombaire, plus de la moitié a consérveles caractè
, été désorganisée dans son ensemble, et l'on peut constater dans les
régions
supérieures de la moelle, la pré-sence de véritab
squ'on demande à la malade si elle souffre, elle porte les mains à la
région
précordiale et fait comprendre qu'elle éprouve là
bord antérieur du trapèze. On remarque que le ventre s'affaisse à la
région
épigastrique dans le temps même où les côtes et l
. Etat des muscles. Les muscles extrinsèques de la langue et ceux des
régions
sus et sous-hyoïdiennes, présentent une belle col
du périmysium et du sarcolemme se rencontrent sur toutes les au-tres
régions
de la langue, mais à un moindre degré qu'au nivea
l'aide de bonnes pré-parations provenant des mêmes points, de la même
région
d'une moelle saine, ont montré ce qui suit : Le
éole est visible, il consérvele volume normal. Coupes provenant des
régions
dorsale et cervicale. — Les altéra-tions des cell
et cervicale. — Les altéra-tions des cellules sont les mêmes qu'à la
région
lombaire, plus accentuées seulement, surtout au r
gré que celles qui composent les groupes des cornes antérieures. 2°
Région
bulbaire. — a) Coupe faite immédiatement au-desso
és, l'altération pigmentaire décrite plus haut, à propos des diverses
régions
de la moelle épinière. Les cellules altérées sont
ubi à divers degrés l'altération pig-mentaire, principalement vers la
région
externe du noyau. On sait qu'à l'état normal il e
oyau de l'hypoglosse et celui du pneumogastrique se trouve dans cette
région
le petit groupe cellulaire que L. Clarke rattache
s ne paraissent pas être affectées. On la rencontre dans toutes les
régions
de la moelle, mais elle prédomine certainement au
les sont disséminées un peu partout, et l'on trouve toujours dans les
régions
les plus variées, des fibres malades entremêlées
ltérations que présentaient les cellules nerveu-ses dans les diverses
régions
de la moelle et du bulbe, on re-marquera qu'il ex
ro-lombaire ; 2° le renflement cervical et la moitié supérieure de la
région
dorsale de la moelle épiniôre ; 3° di-vers tronço
anées ont per-mis, on le sait, de rattacher à une lésion de certaines
régions
déterminées de la moelle épinière un bon nombre d
n effet, que les mus-cles qui reçoivent leurs nerfs de cette dernière
région
de la moelle étaient, pour la plupart, affectés,
ont élé très multipliées et prises sur lespoints les plus divers des
régions
cervicale et dorsale de la moelle. Or, le résulta
périeure du renflement cervical jusqu'à l'extré-mité inférieure de la
région
lombaire ; les cornes antérieures de la substance
cordon intermédiaire. Fig. 1 (à droite). — Coupe transversale de la
région
cervicale. «, a, Rubans externes des cordons post
sclérose. Fig. 2 (à gauche). — Coupe transversale de la moelle à la
région
cervicale. Les rubans externes, a, a, le cordon m
nvahis totale-ment parla sclérose. Fig. 2 (à droite). — Coupe de la
région
dorsale de la moelle. La sclérose a envahi les mê
uche). — Coupe transversale de la moelle à la partie inférieure de la
région
dorsale. — a, a, Ilots de sclérose, situés dans l
droite). — Coupe transversale de la moelle à la partie moyenne de la
région
cervicale. a, a, Rubans externes envahis par la
ondaires. — d, Point comprimé représenté, grossi, sur la fig. 2. — c,
Région
dorsale. Sclérose latérale et postérieure. — h, R
a fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose latérale et postérieure. — h,
Région
cervicale inférieure. Sclérose limitée aux cordon
érose limitée aux cordons de Goll. — a, Renflement cervical, id. — e,
Région
dorsale inférieure. Sclérose diffuse des cordons
égion dorsale inférieure. Sclérose diffuse des cordons latéraux. — f,
Région
lombaire. Sclérose latérale marquée surtout à dro
ure des cordons latéraux. Fjg. 2. — Coupe de la moelle ëpinièrea la
région
dorsale (au niveau du point comprimé) chez un adu
iges delà partie latérale droite de la moelle. Fig. 3. — Coupe à la
région
cervicale dans un cas de mal de Pott dorsal. Sclé
Coupe transversale de la moelle épinière à la partie inférieure de la
région
cervicale, a, a, c, c, p, p, comme dans la figure
— Coupe transversale de la moelle épinière à la partie moyenne de la
région
dorsale, a, a, Cordons latéraux, c, c, Cornes ant
OTOPATH1QUE Fig. 1. — Coupe transversale de la moelle épinière à la
région
cervicale. — A, Zone radiculaire antérieure sclér
fait sains. Fig. 2. — Coupe transversale de la moelle épinière à la
région
lombaire. — Les lettres ont la même signification
e la zone radiculaire antérieure, T. Fig. 3. — Partie moyenne de la
région
dorsale. — A, Zone radiculaire anté-rieure scléro
yau d'une cellule endotbéliale. Fig. 7. — Vaisseau pris dam la même
région
et dont les parois sont cou-vertes de nombreux le
extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie topographique de la
région
vertébrale. Des symptômes extrinsèques : pseudo
de la contracture per-manente. Relation entre la céphalalgie et la
région
motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gomm
Il, sillon antérieur de la moelle épinière. D, saillie en olive de la
région
antérieure du renflement lombaire. FIGURE 2e.
ijumeaux postérieurs. + +, lieux d'origine des nerfs pathéti-ques. Y,
régions
postérieures du tronçon pédonculaire du cerveau.
édiane en un petit faisceau distinct qu'on peut suivre jusque dans la
région
lombaire de la moelle. ZZZZ, lignes d'origine des
le nerf auditif. R, faisceau externe du pédoncule céré-belleux. Cette
région
du pédoncule cérébelleux a été dépouillée d'un ru
torius. Depuis le niveau de cette section jusqu'à l'extrémité de la
région
lom-baire de la moelle, ces faisceaux postérieurs
drijumeaux. + +, origine des pathétiques. B, valvule de Vieussens. Y,
région
postérieure; N, région antérieure du tronçon pédo
e des pathétiques. B, valvule de Vieussens. Y, région postérieure; N,
région
antérieure du tronçon pédonculaire du cerveau. U,
tiforme de la moelle allongée ; la continuation de ce dernier dans la
région
postérieure ou supérieure du tronçon pédonculaire
culaire du cerveau. Pour montrer .clairement la continuité de cette
région
postérieure du tronçon pédonculaire avec le faisc
e partie de la masse cérébelleuse. F, sommet de l'insula. C, petite
région
de la circonvolution de l'ourlet. +, surface corr
ventriculaire de la couche optique. D, tubercules quadrijumeaux. Y',
région
postérieure du tronçon pédoncu-laire du cerveau.
eaux. Y', région postérieure du tronçon pédoncu-laire du cerveau. N ,
région
antérieure ou fasciculée du même tronçon pédoncul
re. U U, coupe des prolongements de cette protubérance qui forment la
région
externe du pédoncule cérébelleux. U', coupe des f
ontrer les prolongements du fais-ceau postérieur de la moelle dans la
région
postérieure du tronçon pédon-culaire du cerveau ,
sverses supérieurs de la protubérance annulaire. Y, E, U', diverses
régions
du faisceau postérieur. H, fascicules pas-sant du
ligne médiane. J, aqueduc de Sylvius ouvert sur la ligne médiane.NN,
Région
fasciculée du pédoncule. UU' U", faisceau interne
ente, sur la moitié gauche de la moelle allongée, la dissection de la
région
fasciculée du pédoncule cérébral. Tous les fais-c
région fasciculée du pédoncule cérébral. Tous les fais-ceaux de cette
région
du pédoncule, au lieu de converger vers le sommet
ique, corps géniculés. M, éminences mamillaires. NN', faisceaux de la
région
fasciculée du pédoncule. W, pyramide antérieure.
e l'ourlet qui appartient à l'hémisphère. FIGURE 1re. BBB, grande
région
du cercle fibreux de l'ourlet. I, olfactif. CJC',
vec le cercle fibreux de l'orifice ventriculaire. L, RVV'V", diverses
régions
du cercle fibreux de l'orifice ventriculaire. B',
U', faisceau postérieur de la moelle épinière. P, faisceau moyen. N,
région
fasciculée du pédon-cule cérébral faisant suite a
nt suite au faisceau antérieur de la moelle. E, e, divi-sion de cette
région
fasciculée dans la protubérance. F, olive. W, pyr
et commissure molle de la couche optique. M, éminence mamillaire. N,
région
fasciculée du pédoncule. S, glande pi-néale. D, t
ent la coupe de faisceaux assez gros qui s'entrecroisaient dans cette
région
. FIGURE 3e. Cette figure est destinée, avec l
amillaire. N, ré-gion fasciculée du pédoncule gauche. N', coupe de la
région
fasciculée du pédoncule droit au niveau du tractu
faisceau moyen. Ces fibres, qui procèdent par en-trecroisement de la
région
fasciculée, de l'autre côté se portent de la lign
ion qui a servi de modèle à cette figure on a enlevé en arrière de la
région
fasciculée du pédoncule le faisceau moyen et le f
u calamus. On a laissé une partie de l'éventail fibreux par lequel la
région
fasciculée du pédon-cule se prolonge dans le noya
nge dans le noyau cérébral. bbbbN', prolongements en éventail de la
région
fasciculée dans le noyau cérébral. N 0, face prof
la région fasciculée dans le noyau cérébral. N 0, face profonde de la
région
fasciculée en contact avec le corps noir de Sœmme
ec le corps noir de Sœmmering. N'', coupe de quelques faisceaux de la
région
fasciculée qui s'entrecroisaient sur la ligne méd
'entrecroisaient sur la ligne médiane, d d', convexité ex-terne de la
région
fasciculée. m, bord supérieur de la protubérance,
a protubérance, n. partie profonde de la protubérance procédant de la
région
fasciculée du pédoncule. C, raphé postérieur de l
ieur de la protubérance dans lequel s'entre-croisent des fibres de la
région
fasciculée. On voit à droite et à gauche, en deho
ec le faisceau postérieur, dont les lettres YYSD marquent différentes
régions
, cette figure fait voir en A' des fibres du faisc
détournées dans la protubérance et for-mant un plan profond de cette
région
. NP V W, ut supra. FIGURE 6e. On voit dans ce
inaison dans l'épaisseur de la protubé-rance des faisceaux W N" de la
région
fasciculée du pédoncule cérébral N, avec les fais
a région fasciculée du pédoncule cérébral N, avec les faisceaux de la
région
fasciculée du pédoncule cérébelleux UU'. La signi
ne partie médiane, l'éminence vermiforme, à laquelle on distingue une
région
infé-rieure et une région supérieure; et de parti
nce vermiforme, à laquelle on distingue une région infé-rieure et une
région
supérieure; et de parties latérales, les hémisphè
es, les hémisphères cérébelleux, dans lesquels on distingue aussi une
région
supérieure et une région inférieure. Les parties
elleux, dans lesquels on distingue aussi une région supérieure et une
région
inférieure. Les parties médianes du cervelet comm
belleux réunis sur la partie externe du pédoncule du cervelet. N N,
région
fasciculée du pédoncule cérébral. P, protubérance
oublure fibreuse avec une membrane fibreuse émanée de l'auditif. N,
région
fasciculée. Y, région postérieure du tronçon pédo
une membrane fibreuse émanée de l'auditif. N, région fasciculée. Y,
région
postérieure du tronçon pédonculaire du cerveau. H
e externe de la protubérance annulaire. P, protubérance annulaire. N,
région
fasciculée du pédoncule cérébral. M, éminences ma
ilatère perforé antérieure à la diagonale blanche. Les trous de cette
région
grise ont leur grand diamètre dirigé d'arrière en
grise ont leur grand diamètre dirigé d'arrière en avant. D C, petite
région
de la circonvolution de l'ourlet formant la marge
en C la racine blanche externe de l'olfactif. B, origine de la grande
région
, région verticale de la circonvolution de l'ourl
acine blanche externe de l'olfactif. B, origine de la grande région ,
région
verticale de la circonvolution de l'ourlet. C, te
ticale de la circonvolution de l'ourlet. C, terminaison de cette même
région
de la circonvolution de l'ourlet. Cette terminais
e la circonvo-lution de l'ourlet est sa tubérosité temporale, b b, sa
région
temporale. B', son crochet. D D', principe de la
volution d'en-ceinte de la scissure de Sylvius. x x, cul-de-sac de la
région
temporale du ventricule, o o , cul-de-sac occipit
origine du cer-cle fibreux de l'ourlet sont unis. B b b b b' B/ D',
région
verticale de la circonvolution de l'ourlet. B, pr
férence excentrique de la face interne de l'hémisphère dont la grande
région
de la circonvolution de l'ourlet forme la circonf
couche noire de Sœmmerring indiquée par le signe + de la coupe de la
région
fasciculée du pédoncule N. M, éminence mamillai
rdre, formant le bord interne du triangle orbitaire. B, origine de la
région
ver-ticale de la circonvolution de l'ourlet. E e
er la zone cérébello-temporale du côté gau-che. De P' en 6 on voit la
région
temporale de la circonvolution de l'our-let. \y d
ion de deuxième ordre. Cette circonvolution, très-épaisse en quelques
régions
du cerveau que nous avons pris pour modèle, tend
L, tractus optiques. K', tuber cinereum. M, éminences mamillaires. N,
région
fasciculée du, pédoncule. E, sommet du lobe tempo
tronçon pédonculaire. P, protubérance. V W y , bulbe rachidien. S I,
région
supérieure de l'hémisphère cérébelleux. C, sa rég
rachidien. S I, région supérieure de l'hémisphère cérébelleux. C, sa
région
infé-rieure. E, scissure horizontale. H , nerf tr
le montre aussi différents éléments du cer-velet. P, protubérance. N,
région
fasciculée du pédoncule. Y, faisceau moyen. X X',
nce. N, région fasciculée du pédoncule. Y, faisceau moyen. X X', deux
régions
distinctes du faisceau postérieur. Y, couche blan
tinctes du faisceau postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux
régions
du faisceau postérieur l'une de l'au-tre, et la p
elli ad testes. R, valvule de Vieussens. Du côté gauche, on voit la
région
externe Q du pédoncule cérébelleux entièrement dé
des prolongements du corps restiforme qui passent eu dedans de cette
région
du pédoncule. R indique un débris de la mem-brane
a mem-brane nerveuse émanée de l'auditif et du trijumeau qui revêt la
région
externe Q du pédoncule cérébelleux. II H', grande
nervpuse émanée du trijumeau, au-dessous de laquelle on voit en Q la
région
externe du pédoncule céré-belleux. La lettre H/ m
ntre la petite portion du trijumeau naissant par des dentelures de la
région
externe Q du pédoncule cérébelleux. H, grande por
ane du corps calleux, en dehors de laquelle on voit de chaque côté la
région
transversale J de ce corps. K O Q K' R, parties
t à la corne temporale du ventricule. Q Q, fibres prolongées de cette
région
tem-porale dans le cône postérieur. FIGURE 2«.
déjà connues delà protubérance et du bulbe rachidien. N, M, L, K, K',
région
fasciculée du pédoncule , éminences mamillaires,
a, tubé-rosité antérieure, a', pointe du cône postérieur du noyau. 6,
région
de ce noyau répondant à la corne temporale du ven
au pos-térieur et du faisceau antérieur de la moelle avec différentes
régions
du cerveau. Le corps calleux a été coupé sur la
rconvolutions de la face interne du cerveau. N, face profonde de la
région
fasciculée du pédoncule. N', éventail tibreux se
gion fasciculée du pédoncule. N', éventail tibreux se rendant à cette
région
fasciculée et compris dans l'intervalle des cotyl
optique et du corps strié. N'' n n, prolongement des radiations de la
région
fasciculée dans la moitié externe de la grande ci
sité temporale de la cir-convolution de l'ourlet. B', son crochet, x,
région
temporale de la même circonvolution. R, corps god
été excisée la circonvolution de l'ourlet. C C C E E F H P, diverses
régions
des circonvolutions de la face interne du cerveau
et de l'espace perforé ; en N', les parties fibreuses blanches de la
région
verti-cale delà circonvolution de l'ourlet. Ces p
misphère. F' montre les parties fibreuses de l'insula F émanées de la
région
adhérente du ruban fibreux de l'ourlet. L, sail
noyau cérébral. On voit en H' le tronc fibreux qui fait suite à la
région
fasciculée du pédoncule et qui se trouve compris
re perforé. V V, fibres de cette saillie centrale qui se portent à la
région
supérieure du corps calleux en croisant le tronc-
ses du nerf olfactif marquées r r. L'on voit en I le principe de la
région
verticale du ruban fibreux de l'ourlet qui se ter
ule, et des prolongements de ces faisceaux avec le quadrilatère. N,
région
fasciculée du pédoncule. M, son faisceau moyen re
des prolongements du faisceau postérieur et du faisceau moyen dans la
région
de l'espace perforé, se portent dans la tubérosit
tte figure une partie des mêmes éléments que dans la précédente. N,
région
fasciculée. M, faisceau moyen. P, faisceau postér
GURE 4e. Dans cette figure comme dans les précédentes, N désigne la
région
fas-ciculée du pédoncule; M, son faisceau moyen;
ulaire du corps strié. + -f-, débris des fibres de l'éventail de la
région
fasciculée à leur sortie du corps strié. FIGURE
la région fasciculée à leur sortie du corps strié. FIGURE 7e. N,
région
fasciculée. M, faisceau moyen. P P, faisceau post
t jours à la campagne avec son amant (Alphonse) qui lui comprimait la
région
ovarienne droite lorsqu'elle avait ses attaques.
evons en passant que le cloivnisme s'accentue. La compression de la
région
ovarienne droite est pratiquée ; bientôt, les pau
e débat, riant toujours : « Ah ! mon cœur ! » Elle porte la main à la
région
précordiale. « Ah! Gl..., s'il te demande quelque
acture le membre supérieur droit dans la demi-flexion, on comprime la
région
ovarienne. La malade se réveille en conservant sa
en quoi ils consistent : 1° exagération de la douleur permanente des
régions
ovariennes, principalement de la gauche: — 2° sen
ns ses mains, et de marcher avec assurance. W... présente plusieurs
régions
hystérogènes : 1° Sur le bord externe de chaque
de différence entre les deux côtés ; la pression sur une seule de ces
régions
ne détermine pas d'attaques, mais la « fait avale
mais n'occasionne pas de phénomènes rappelant Y aura ; 3° Les deux
régions
ovariennes sont hyperesthésiées. La pression donn
, impuissante à faire naître une attaque. Au niveau de ces diverses
régions
, l'anesthésie cutanée est absolue. — Il n'y a pas
omposée, c'est-à-dire au moment où elle voit le lion : on comprime la
région
ovarienne gauche ; la conscience revenue, on susp
et à enfoncer la main au fond du bassin, c'est-à-dire à comprimer la
région
ovarienne, à sentir battre l'artère iliaque. Depu
grâce au chloroforme, après avoir résisté à diverses manœuvres. DES
RÉGIONS
HYSTÉROGÈNES Nous désignons sous le nom de régi
manœuvres. DES RÉGIONS HYSTÉROGÈNES Nous désignons sous le nom de
régions
hystérogènes des régions du corps, en général trè
HYSTÉROGÈNES Nous désignons sous le nom de régions hystérogènes des
régions
du corps, en général très circonscrites, au nivea
dans la dermalgie, la sensibilité cutanée est exaltée, au niveau des
régions
hysté-rogènes la peau a généralement perdu toute
u toute sensibilité au toucher, au pincement, à la piqûre, etc. Les
régions
hystérogènes ont une étendue qui varie entre un à
les ou leurs gouttières; — 9° la partie centrale des flancs; — 10° la
région
des ovaires; — et enfin, 11° le pli de l'aine, à
s de la crête de l'os iliaque. (Fig. I et 3): Nous avons décrit les
régions
hystérogènes de W. . . et indiqué leur siège (p.
gauche, puis la sensation « d'une grosseur » qui va et vient de celte
région
au creux de l'estomac amenant une cons-triction p
de l'épigastre au cou, il survient des élancements qui, partant de la
région
hystérogène latéro-mammaire gauche, forment en
reille, etc. W... assure qu'elle n'a aucune douleur au niveau de la
région
hystérogène latéro-mammaire gauche quand l'attaqu
rogène latéro-mammaire gauche quand l'attaque avorte et que, si cette
région
est prise, l'attaque est fatale. Les régions hy
avorte et que, si cette région est prise, l'attaque est fatale. Les
régions
hystérogènes sont plus ou moins nombreuses : il e
sion ovarienne gauche, par l'éther, etc. Attaques de contracture. —
Régions
hystérogènes. — Sommeil. — Somnambulisme. Pil..
s indiqués dans le sommaire pour ne décrire ici, avec détails que les
régions
hystérogènes (Fig. 1), leur relation avec l'aura,
uit pas de crise con-vulsive, ni aucun des phénomènes de l'aura. 2°
Région
hystérogène sus-mammaire gauche, au niveau du 4e
ques. La pression développe très promptement une grande attaque. 3°
Région
ovarienne gauche, où l'anesthésie est complète. I
s dans l'intervalle des attaques. Avant les crises convulsives, cette
région
, est le point de départ d'une sensation douloureu
arynx même. — qui dure habituellement 10 minutes — qu'intervient la
région
hystérogène sus-mammaire : elle est la source d'u
. 30). Ainsi, dans Je cas qui précède, il n'existe qu'une véritable
région
hystérogène, placée au-dessus du sein gauche. Che
gauche. Chez d'autres malades — et ce sont les plus nombreuses — les
régions
hystérogènes sont multiples. Alors, leur activité
ues épileptiformes, puis attaques complètes, suivies de catalepsie. —
Régions
hystérogènes ; leur relation avec l'aura. — Somme
bles des sens spéciaux du côté correspondant. On trouve chez elle les
régions
hystérogènes suivantes : 1° Rachialgie au nivea
friction même modérée détermine aussitôt une attaque. (Fig. 2). 2°
Région
sous-mammaire. Elle siège à 2 centimètres à peine
s du mamelon. La peau correspondante est insensible. (Fig. 1). . 3°
Région
hystérogène sus-inguinale. — Elle occupe sur le p
e, située à égale distance du milieu du pli de l'aine gauche et de la
région
ovarienne. A ce niveau, l'anesthésie est complète
atre membres (A. médiate). —Puis survient une douleur au niveau de la
région
hystérogène sus-inguinale gauche, laquelle gagne
hystérogène sus-inguinale gauche, laquelle gagne presque aussitôt la
région
ovarienne correspondante, d'où, part la sensation
ne au-devant du larynx. C'est pendant cette phase (5 minutes), que la
région
hystérogène sous-mammaire, — qui auparavant était
éclatent que 10 à 15 minutes après l'excitation. La pression sur la
région
sous-mammaire agit plus vite ; mais la zone hysté
ire agit plus vite ; mais la zone hystérogène par excellence c'est la
région
sus- Fiff. S. inguinale : là, une pression mo
ndition d'être très énergique et prolongée, et de porter sur les deux
régions
ovariennes ; elle est difficile à pratiquer, en r
et de la tension des muscles abdominaux. — Une forte pression sur la
région
sous-mammaire donne les mêmes résultats. Sommei
es, les bras durant 8 minutes. On voit que, chez M..., il y a trois
régions
où une pression, plus ou moins intense, détermine
s ou moins long, une attaque hystéro-épileptique ; en un mot, que ces
régions
ont une intensité variable. Chez elle, de même qu
es attaques pendant 5 mois après une inhalation de nitrite d'amyle.
Régions
hystérogènes ; leur rôle dans l'aura. — Sommeil ;
ous ne prendrons de son observation que les parties qui ont trait aux
régions
hystérogènes et au sommeil. Dr... est hémianesthé
bilité de la peau au toucher, à la piqûre, etc., est détruite dans la
région
correspondante à la rachialgie. C'est là où la pr
re fin aux crises convul-sives. — Nous n'avons pas découvert d'autres
régions
hystéro-gènes. Aura. — Pendant un jour, quelque
hystéro-gènes. Aura. — Pendant un jour, quelquefois deux jours, la
région
ovarienne gauche est le siège de douleurs lancina
dans l'oreille du même côté et finalement perte de connaissance. La
région
hystérogène rachidienne ne manquerait jamais de j
uvent être considérées comme nous fournissant des types réguliers des
régions
hystérogènes multiples, en ce sens que ces région
ypes réguliers des régions hystérogènes multiples, en ce sens que ces
régions
occupent exclusivement le côté de l'hémianes- 8
s hystérogènes sont doubles et symétriques ; — dans certains cas, une
région
hystérogène siège du côté de rhémianesthésie et o
posé ; — dans d'autres cas, également exceptionnels, il est vrai, les
régions
hystérogènes occupent toutes le côté où la sensib
de la sensibilité cutanée, de la notion des couleurs. — Transfert.
Régions
hystérogènes : ovaralgie, rachialgie, région laté
ouleurs. — Transfert. Régions hystérogènes : ovaralgie, rachialgie,
région
latéro-mammaire droite. — Influence de la pressio
région latéro-mammaire droite. — Influence de la pression. — Rôle des
régions
hystérogènes dans Y aura. Du sommeil en dehors
utes seulement avant les attaques. P... a une douleur au niveau de la
région
ovarienne droite, qu'elle compare à des tiraillem
hauteur de 6 centimètres. — La sensibilité n'est pas revenue dans la
région
symétrique gauche. 11 janvier. — L'anesthésie p
s'est opéré : à droite (côté sain), la sensibilité est abolie dans la
région
qui correspond à celle où la sensibilité a reparu
ibilité dans une hauteur de 5 centimètres environ, anesthésie dans la
région
symétrique droite (Transfert.) 16 janvier. La s
t et en arrière, jusqu'à la ceinture, à la face et au cou. — Dans les
régions
qui ont recouvré la sensibilité, les différente
des cheveux jusqu'à la clavicule gauche, mais elle est abolie sur la
région
similaire droite. Il n'y a eu aucune modification
,6. Application de 12 éléments de la pile de Graiffe : un pôle sur la
région
frontale, l'autre sur la région ovarienne. La mal
e la pile de Graiffe : un pôle sur la région frontale, l'autre sur la
région
ovarienne. La malade a des mouvements de déglutit
ication de l'un des tampons sur le cou, le second restant posé sur la
région
ovarienne ne donne pas de résultats aussi avantag
yeux et le nez sont appliqués sur l'oreiller. La compression sur les
régions
hystérogènes (région ovarienne droite, — région
ppliqués sur l'oreiller. La compression sur les régions hystérogènes (
région
ovarienne droite, — région sous-mammaire droite
ompression sur les régions hystérogènes (région ovarienne droite, —
région
sous-mammaire droite, — au niveau des 6, 7 et. 8e
u des flancs ou du rebord des fausses côtes. Io Hyperesthésie de la
région
ovarienne gauche. — A ce niveau, la peau est abso
ue ; puis, elle a la sensation de « quelque chose » qui part de cette
région
et monte au creux de l'estomac où elle a la sensa
otés du côté de la tempe droite. Une pression, même modérée, sur la
région
ovarienne gauche, détermine aussitôt une attaque
maintes fois donné des attaques en appuyant à l'improviste sur cette
région
. Dans notre examen, malgré l'attention que nous a
anée est abolie dans la partie correspondante et, de plus, occupe une
région
circonscrite en haut par la clavicule droite, en
one latéro-mammaire ; mais, avant les attaques, elle a, dans ces deux
régions
, des tiraillements, des élancements, qui vont du
vements de soulèvement accompagnés de bruits faciles à entendre. La
région
ovarienne gauche devient douloureuse; P... sent «
l'estomac au cou; elle a « comme des fils électriques qui vont de la
région
ovarienne gauche, à la région hystérogène dorsale
mme des fils électriques qui vont de la région ovarienne gauche, à la
région
hystérogène dorsale, laquelle est le siège de « t
on artificielle de l'attaque est la plus rapide par la pression de la
région
hystérogène vertébrale, puis par celle de l'ovair
rogène vertébrale, puis par celle de l'ovaire ; enfin par celle de la
région
latéro-mammaire droite. 1 Sommeil. —P... s'endo
llucinations provoquées. On essaie de la réveiller en appuyant sur la
région
ovarienne gauche, il survient une attaque qu'on a
s des attaques de P... nous obligent à interrompre la description des
régions
hystérogènes, pour signaler au lecteur, comme ils
tat de mal épileptique). En troisième lieu, lorsqu'on comprimait la
région
ovarienne gauche, on provoquait aussitôt une nouv
r la réalité de l'hystérie : Hémianesthésie, hyperesthésie ovarienne,
régions
hys-térogènes, aura, caractère, habitudes, etc.
-térogènes, aura, caractère, habitudes, etc. En ce qui concerne les
régions
hystérogènes qui sont au nombre de trois chez P..
té différente : La plus active est la zone rachidienne, puis vient la
région
ovarienne, enfin la zone latéro-mammaire droite.
ce cas, la règle, c'est-à-dire qu'elle existe du côté anesthésié. La
région
hystérogène latéro-mammaire siège, au contraire,
it. Toutefois, il convient de faire remarquer que, au niveau de cette
région
hystérogène et tout autour, dans une certaine lar
orme, etc. Idées mélancoliques. — Tentatives répétées de suicide.
Régions
hystérogènes, anomalie. — Rôle de ces régions dan
répétées de suicide. Régions hystérogènes, anomalie. — Rôle de ces
régions
dans l'aura. — Sommeil. B... Evelina, lingère,
quelquefois de deux heures, qu'arrive la perte de connaissance. 2°
Régions
hystérogènes des flancs. — Elles sont situées ent
gauche, c'est-à-dire, nous le répétons, du côté sensible et, dans la
région
correspondante à l'ovaire (3 centimètres sur 3),
ant deux jours, B... a la sensation d'une chose qui va et vient de la
région
ovarienne au creux de l'estomac. Puis, elle a des
tes. La rachialgie ne subit aucune modification. La pression sur la
région
ovarienne ne provoque pas d'attaque. — La compres
s tracée, il ressort 41 que, chez B... E..., deux des principales
régions
hystérogènes, celle du flanc gauche et celle qui
s. — Leur intensité n'est pas la même : tandis que la pression sur la
région
rachidienne n'est suivie d'attaques qu'après un m
se qui se prolonge une trentaine de minutes, la même manœuvre sur les
régions
hystérogènes des flancs produit immédiatement une
diatement une attaque. État de la sensibilité cutanée au niveau des
régions
hystérogènes. — Dans beaucoup de cas, et en parti
sensibilité de la peau est abolie dans les points qui répondent à la
région
hysté-rogène. L'un des cas (Obs. V), irrégulier q
est correct sous le rapport qui nous occupe, puisque, au niveau de la
région
hystérogène, il existe une anesthésie absolue.
ité était pour ainsi dire plus vive, sans être exaltée, au niveau des
régions
hystérogènes siégeant sur la moitié saine du corp
têrogènes. — Certaines attitudes peuvent empêcher la pression sur les
régions
hystêrogènes de produire une attaque et c'est à l
ue des malades empêchent, ou mieux,, retardent la découverte de cette
région
. C'est ainsi que Geneviève 1 dont la zone hystéro
i prolongé du bromure de potassium diminue quelquefois l'activité des
régions
hystêrogènes, particulièrement quand l'administra
ésie ovarienne) s'atténuer peu à peu ; eh bien, il en est de même des
régions
hystêrogènes qui, elles aussi, appartiennent à la
taques classiques, mais légères : arrêt par la compression ovarienne.
Régions
hystérogènes. F.-Eug. Cl..., était âgée de 17 a
admission à la Salpêtrière (service de M. Gharcot) le 15 mars 1876.
Régions
hystérogènes. — 1° Rachialgie au niveau des apoph
as d'attaques ; il n'y a pas de douleurs spontanées, au niveau de ces
régions
, sauf pour la région ovarienne. — Pas de clou hys
a pas de douleurs spontanées, au niveau de ces régions, sauf pour la
région
ovarienne. — Pas de clou hystérique. —L'hémianest
temporairement sous l'action d'une émotion morale vive'2. Rôle des
régions
hystérogènes dans les attaques. — L'existence des
Rôle des régions hystérogènes dans les attaques. — L'existence des
régions
hystérogènes chez les hystéro-épileptiques et che
es attaques, une fois que l'on a constaté le siège et l'intensité des
régions
hystérogènes. Cette connaissance, d'ailleurs, est
aitement autorisé à provoquer une crise convulsive en pressant sur la
région
hystérogène principale. Dans toutes les observa
les que nous possédons, où la constatation a pu être faite, l'une des
régions
hystérogènes, la plus active, joue un rôle dans Y
lusieurs de nos malades. Mais, à partir de l'instant où la principale
région
hystérogène intervient, les phénomènes de l'aura,
ts jusqu'alors, précipitent leur marche et l'attaque est fatale. La
région
ovarienne, la plus commune des régions hystérogèn
e et l'attaque est fatale. La région ovarienne, la plus commune des
régions
hystérogènes, jouit d'une double propriété : souv
s attaques en cours, en exerçant une forte pression sur la principale
région
hystéro-gène2. Nous rappellerons encore que la
la principale région hystéro-gène2. Nous rappellerons encore que la
région
hystérogène la plus puissante semble être la régi
ons encore que la région hystérogène la plus puissante semble être la
région
ovarienne, ainsi que l'a dit M. Charcot dans les
expérience, maintes fois répétée par M. Charcot : si l'on comprime la
région
ovarienne d'une hystérique, l'excitation de la zo
taque. Disons enfin que les attaques déterminées par l'excitation des
régions
hystérogènes, outre qu'elles peuvent être général
ressort, à notre avis, que les phénomènes qui naissent au niveau des
régions
hystérogènes doivent être rangées à côté 1 Char
s'évanouissent en quelques instants. —La peau est insensible dans la
région
de l'ovaire. — Rien à droite. Sommeil. — V... e
catalepsie. Elle est réveillée, sans attaques, par la pression de la
région
sous-mammaire; elle est mécontente, agacée. 2\
rexcitabilité musculaire. Les zones hystérogènes sont : Io les deux
régions
ovariennes, surtout la droite ; 2° la partie du s
; 3° les gouttières vertébrales de la dixième vertèbre dorsale; 4° la
région
sous-mammaire droite. La pression sur ces différe
bruyamment, est sans cesse en mouvement, se plaint d'une douleur à la
région
cardiaque. — Le 15 juillet, elle a eu, après une
s, durent 4 jours, s'accompagnent de souffrances dans le ventre et la
région
lombaire, principalement à gauche, et rendent les
mais pas de sang; elle souffre beaucoup dans le ventre au niveau des
régions
ovariennes, où, dit-elle, elle sent une boule qui
à l'estomac, puis à la gorge. La pression sur l'une ou l'autre de ces
régions
est douloureuse et rappelle la sensation de boule
énomènes paraissent plus intenses lorsque la pression s'exerce sur la
région
ovarienne gauche. — Par moments, le ventre prend
, etc., c. de sangsues sur le ventre, c. de vésica-toires en diverses
régions
, c. de morsure de chien (treize ou quatorze ans)
s'étendant sur les parties latérales en s'effilant et comprenant les
régions
ovariennes. Au niveau de cette zone, la malade pe
mais non le simple contact et le chatouillement. La pression sur les
régions
ovariennes détermine une vive douleur : « Ça m'ét
us générale. Nous constatons le retour de la sensibilité en plusieurs
régions
: 1° Au niveau et au-dessus des ovaires (4 à 5 ce
ce ; de toute la moitié droite du cou, du tronc, sauf au niveau de la
région
ovarienne droite où la sensibilité persiste dans
excepté entre l'omoplate et les apophyses épineuses, au niveau de la
région
ovarienne, et d'une partie de la fesse. Avant d
r mettre fin aux attaques de sommeil. Telles sont la pression sur une
région
hystérogène (alors le sommeil survient ou sans at
s quoi, vous étendez vos deux mains à quelques pouces du front et des
régions
pariétales, et demeurez ainsi pendant quelques mi
de l'aura, comprenant les phénomènes qui surviennent au niveau de la
région
ovarienne et à l'épigas-tre, dure de 15 à 30 minu
e, à Véther, au compresseur, aux applications locales de glace sur la
région
ovarienne douloureuse. 1880. Janvier.— On fait
ses.) — Les zones hystérogènes n'existent plus ; la compression de la
région
ovarienne ne déterminerait plus la sensation de b
. Nous notons, de plus, une douleur au niveau du vertex, occupant une
région
d'un centimètre et demi de diamètre, distincte de
» Cette zone, comme intensité, vient immédiatement après celle de la
région
ovarienne. c) Zone intercostale gauche. — Elle
tale gauche, et elle est tombée en attaques. d) Hyperesthésie de la
région
ovarienne gauche. — L'anesthésie est complète dan
de la région ovarienne gauche. — L'anesthésie est complète dans cette
région
. — Il n'y a pas de zones sus ou sous-claviculaire
roprement dite. Elle éprouve la sensation d'une boule qui monte de la
région
ovarienne gauche à l'épigastre et descend. Ces mo
x pas qu'il me touche... » Arrêt de l'attaque. — Nous comprimons la
région
ovarienne gauche, et, au bout de 8 à 10 secondes,
.. n'avait plus qu'une hémianesthésie gauche et Y hyperesthésie de la
région
ovarienne qui, aune époque, avait existé des deux
es permanents de l'hystérie: Vhémianesthésie et Y hyperesthesia de la
région
ovarienne, tantôt limitées à l'un des côtés du co
pérature centrale. Elles étaient justiciables de la compression de la
région
ovarienne, de Yéther, du chloroforme et surtout d
chez les hystériques. \ Observation I..................... 4 Des
régions
ou zones hystérogènes............. 36 Descripti
.............. 83 Observation VII.................... 84 Rôle des
régions
hystérogènes dans les attaques. ... 85 Du somme
miede communication inter-organique, et anatomie topographique ou des
régions
. Les détails de l'anatomie graphique étant supp
pensable de tracer d'abord, dans un exposé général, une anatoinie des
régions
, donnant rémunération, par plans superposés,des p
cialis. D'abord on ne s'était servi de cette dénomination que pour la
région
inguinale, M. Cruveilher l'a étendue à toute la s
bre de points , la surface du crâne, la face postérieure du bras, les
régions
dorsales de la main et du pied. Partout ailleurs
s deux grands canaux aérien et alimentaire et leurs annexes, des deux
régions
latérales antérieures. Le groupe antérieur moye
se pharyngienne postérieure, renferme, d'avant en arrière, i° Dans la
région
sus-hyoïdienne, au-devant du pharynx, 1 Planche
sseaux, et, à la partie inférieure du cou , les lobes thyroïdes ; ces
régions
sont bornées de chaque côté par la loge du muscle
n avant et dans les creux axillaires, épaisse sur les épaules et à la
région
dorsale. 2° La couche vasculaire et adipeuse sous
fascia superficialis, assez dense en arrière, lâche et abondant à la
région
antérieure et sur les flancs, où il se charge fré
s, où il se charge fréquemment d'une énorme quantité de graisse; à la
région
inguinale la couche cellulo-vasculaire sous-cutan
oppe du grand pectoral, la seule ligne réelle de démarcation entre la
région
sous-claviculaire et le creux de l'aisselle. Infé
l'aponévrose d'enveloppe, dans toute la hauteur du membre. C'est à la
région
inguinale,où ce fascia est le plus développé, qu'
, flanqué de l'adducteur et de l'abducteur des orteils extrêmes. A la
région
métatarsienne les loges musculaires forment quatr
res, ils seront presque toujours circonscrits entre les limites d'une
région
du corps ou d'une fraction des membres. A l'appui
s de la cavité abdominale par des ouvertures normales. A partir de la
région
pré-vertébrale, siège des grands courans sanguins
aisseaux, avant de parvenir au membre thoracique, parcourent les deux
régions
sus et sous-claviculaires, isolés par les adhéren
, en d'autres termes, de tracer, dans un rapide exposé, l'anatomie de
régions
. En nous reportant à l'anatomie descriptive, no
ision, nous avons pu classer, d'une manière générale, la myologie par
régions
, les muscles, qui, par leur volume, forment la ma
perpositions dans chaque lieu déterminé, que se compose l'anatomie de
régions
. Ainsi une région quelle qu'elle soit se compos
que lieu déterminé, que se compose l'anatomie de régions. Ainsi une
région
quelle qu'elle soit se compose nécessairement de
e tout recouvert par une fraction de l'enveloppe commune. Pour que la
région
soit nettement déterminée, il importe que ses dél
leur totalité. Une telle organisation étant donnée, on conçoit que la
région
aurait une signification nette en anatomie et en
joute que, pour les vaisseaux, aqueducs ou conducteurs, l'anatomie de
région
ne peut jamais les considérer que par fractions,
n'offre que des inconvéniens, en présentant, contre toute logique, la
région
chirurgicale comme un petit organisme à part, tan
ale. De cet énoncé il résulte que l'étude artificielle du corps par
régions
, isolant les diverses parties de l'ensemble et fo
aîne dans la texture et les rapports des parties voisines. Ainsi, une
région
étant déterminée, l'aîne ou l'aisselle, par exemp
. CRANE. Le crâne se partage de chaque côté du plan moyen en cinq
régions
: frontale;, occipitale, pariétale, temporale, et
ons : frontale;, occipitale, pariétale, temporale, et mastoïdienne.
RÉGION
FRONTALE. Situation, délimitation. Située de ch
ÉGION FRONTALE. Situation, délimitation. Située de chaque côté à la
région
antérieure du crâne, limitée sur le plan moyen pa
aire externe, que sa situation expose fréquemment à être fracturée.
RÉGION
OCCIPITALE. Situation, délimitation, configurat
its et obliques postérieurs. 4° Vaisseaux sanguins. L'artère de cette
région
est l'occipitale, d'un trajet très flexueux, diri
ng des attaches des muscles extenseurs. 6° Nerfs. Nombreux dans cette
région
, ils sont fournis: par la branche auriculaire du
e étant masquée par les attaches des muscles extenseurs de la tête.
RÉGION
TEMPORALE. Situation, configuration, délimitati
e, elle en est revêtue dans le reste de son étendue. C'est dans cette
région
qu'ils commencent surtout à blanchir, d'où le nom
ion les fragmens. 4° Vaisseaux sanguins. L'artère principale de cette
région
est la temporale superficielle, qui monte à trois
nastomoses explique l'intensité des douleurs névraL giques dont cette
région
est le siège, et l'étendue de leurs irradiations.
pture des vaisseaux sphéno-épineux encastrés sur sa face crânienne.
RÉGION
PARIÉTALE. Situation, configuration, délimitati
GION PARIÉTALE. Situation, configuration, délimitation. Située à la
région
moyenne, latérale et supérieure du crâne, dans l'
ipital et frontal. 3° Faisseaux. Disposés sur trois plans, comme à la
région
temporale à laquelle elle fait su ite. Les artère
l et du sous-mastoïdien; S0 Le squelette est formé par le pariétal.
RÉGION
MASTOÏDIENNE. Située à la partie inférieure, la
oint d'acquérir une épaisseur énorme. FACE. La face comprend huit
régions
: trois médianes et impaires, les régions nasale,
CE. La face comprend huit régions : trois médianes et impaires, les
régions
nasale, labiale et mentonnière; et cinq latérales
ions nasale, labiale et mentonnière; et cinq latérales ou paires, les
régions
orbitaire, zygomato-maxillaire, génienne, auricul
itaire, zygomato-maxillaire, génienne, auriculaire et parotidienne.
RÉGION
NASALE. Situation, configuration , délimitation
e et moyenne de la face, constituée par l'appareil de l'olfaction, la
région
nasale, qu'il faut appeler ainsi malgré sa profon
opérations les plus graves et les plus difficiles de la chirurgie.
RÉGION
LARIALE. Situation, configuration, délimitation
aires, garnies de leurs dents et renfermées dans la cavité buccale.
RÉGION
MENTONNIÈRE. Située à la partie médiane inférie
érieur, derrière laquelle sont les muscles de la base de la langue.
RÉGION
ORBITAIRE. Situation, configuration, délimitati
en traitant des nombreuses opérations dont cet organe est le siège.
RÉGION
ZYGOMATO-MAXILLAIRE. Situation, configuration,
ATO-MAXILLAIRE. Situation, configuration, délimitation. Située à la
région
moyenne et latérale de la face, formée par la sai
imitée en haut par la fosse temporale, l'angle externe de l'œil et la
région
orbitaire ; en avant par le nez ; en bas et en ar
région orbitaire ; en avant par le nez ; en bas et en arrière par les
régions
génienne et auriculaire. Elle est remarquable par
eurs adhèrent fortement à la peau. 3° Muscles. Les peauciers de cette
région
sont : l'ellipse inférieure de l'orbiculaire palp
rbitaire du maxillaire supérieur, qui renferme le sinus maxillaire.
RÉGION
GÉNIENNE. Situation, configuration, délimitatio
le de la face, de forme quadrilatère, elle est limitée en haut par la
région
zygomato-maxillaire, en bas par la mâchoire infér
gomato-maxillaire, en bas par la mâchoire inférieure, en avant par la
région
labiale, en arrière par la région massétérine et
âchoire inférieure, en avant par la région labiale, en arrière par la
région
massétérine et parotidienne. Parties composante
e buccinateur. Ce muscle forme à lui seul la moitié postérieure de la
région
génienne. Il est traversé horizontalement par le
l'orifice du canal salivaire de Sténon. La muqueuse tapisse toute la
région
génienne ; elle se réfléchit en haut au-dessous d
lesquelles sont implantées les dents molaires pour l'étendue de cette
région
. RÉGION PAROTIDIENNE ET MASSÉTÉRINE. Situatio
sont implantées les dents molaires pour l'étendue de cette région.
RÉGION
PAROTIDIENNE ET MASSÉTÉRINE. Situation, configu
, elle est limitée en haut par l'arcade zygomatique, en avant par les
régions
génienne et mentonnière, en arrière par les régio
en avant par les régions génienne et mentonnière, en arrière par les
régions
auriculaire et mastoïdienne, en bas par le bord l
e face par ses pro-longemens. Gomme appendice de la parotide et de la
région
à laquelle elle donne son nom, il convient de sig
ions qui leur sont communs. 4° Vaisseaux sanguins et lymphatiques. La
région
parotidienne loge, clans le sillon vertical sous-
gros vaisseaux . 50 Nerfs. Ils ne sont pas moins nombreux pour cette
région
. Dans l'épaisseur de la glande parotide s'épanoui
lus profondément les branches du maxillaire inférieur. C'est sur la
région
massétérine et génienne que s'exercent plus parti
opérations qui ont pour but de remédier aux fistules salivaires. La
région
parotidienne est le siège de nombreux abcès; la g
maxillaire supérieur qui sépare le masseter des ptérygoïdiens, et la
région
superficielle massétérine, du pharynx et de l'ist
ion superficielle massétérine, du pharynx et de l'isthme du gosier.
RÉGION
AURICULAIRE. Situation, configuration, délimita
ormée par l'oreille externe, limitée en son contour : en haut, par la
région
temporale; en avant, par les régions temporale, z
en son contour : en haut, par la région temporale; en avant, par les
régions
temporale, zygomatique et massétérine ; en arrièr
es régions temporale, zygomatique et massétérine ; en arrière, par la
région
mastoïdienne ; et en bas, par la région parotidie
sétérine ; en arrière, par la région mastoïdienne ; et en bas, par la
région
parotidienne. Parties composantes. Ce sont cell
s'y sont introduits accidentellement. COU. Le cou comprend quatre
régions
paires : trois antérieures : sus-hyoïdienne, sous
dienne, sous-hyoïdienne, etsus-claviculaire ; et une postérieure : la
région
de la nuque. RÉGION SUS-HYOÏDIENNE1. Situatio
e, etsus-claviculaire ; et une postérieure : la région de la nuque.
RÉGION
SUS-HYOÏDIENNE1. Situation, configuration, déli
'os hyoïde et le prolongement de ses grandes cornes, en dehors par la
région
postérieure et le bord antérieur du sterno-mastoï
upérieure de l'aponévrose antérieure commune, circonscrite dans cette
région
entre la base de l'os maxillaire, l'os hyoïde, et
haryngien et stylo-glosse. 6° Vaisseaux. Latéralement, en arrière, la
région
sus-hyoïdienne est bornée par le sillon dans lequ
s troncs veineux qui les accompagnent. Les vaisseaux propres de cette
région
sont les artères et veine sub-mentales, l'origine
emens de la parotide, recouverts par le peaucier. o° Squelette. Cette
région
ne renferme, 1 Planche i, n° i4; planche 2, fig
ses mylo-hyoï-dienne et cérato-glosse. Dans leur ensemble, les deux
régions
sus-hyoïdiennes, confondues sur le plan moyen, fo
s glandes salivaires, de la langue et du corps même de la mâchoire.
RÉGION
SOUS-HYOÏDIENNE 1. Situation, configuration, dé
primitive et veine jugulaire interne. Les vaisseaux propres de cette
région
sont les artères et veines thyroïdiennes ; les su
inférieures en arrière. Une particularité très importante dans cette
région
, c'est le lacis veineux très abondant que forment
pathique, et le nerf cardiaque supérieur. 6° Squelette. Comme dans la
région
précédente, la portion osseuse proprement dite es
hyoïde et le sternum ; la fraction de squelette particulière à cette
région
est constituée par la cage fibro-cartilagineuse d
cès, les engorgemens ganglionaires, et les ligatures des vaisseaux.
RÉGION
SUS-CLAVICULAIRE1. Situation, configuration, dé
angles, modifie les procédés opératoires qui se pratiquent dans cette
région
, suivant que le muscle doit être relevé, abaissé
isseaux. Le triangle sus-claviculaire est, sous ce rapport, l'une des
régions
les plus intéressantes, et où s'exercent le plus
souvent clans les incisions. Les lymphatiques très nombreux de cette
région
se composent de la réunion des chapelets jugulair
par la clavicule jusqu'à sa jonction avec la jugulaire interne. La
région
sus-claviculaire peut être le siège de lipomes ou
anévrisme ou de lésions traumatiques. A la limite inférieure de cette
région
la clavicule est sujette aux fractures et aux lux
tte région la clavicule est sujette aux fractures et aux luxations.
RÉGION
CERVICALE POSTÉRIEURE '. Situation, configurati
eure, en bas par le bord supérieur de l'omoplate, latéralement par la
région
sus-claviculaire et la ligne osseuse en fer à che
pophyse odontoïde de l'axis. THORAX. Au thorax se rapportent cinq
régions
: deux médianes, les régions sternale et diaphrag
THORAX. Au thorax se rapportent cinq régions : deux médianes, les
régions
sternale et diaphragmatique; et trois latérales,
nes, les régions sternale et diaphragmatique; et trois latérales, les
régions
mammaire, dorsale et costale. RÉGION STERNALE'.
ique; et trois latérales, les régions mammaire, dorsale et costale.
RÉGION
STERNALE'. Situation, configuration, délimitati
par le sternum et son appendice, et par les cartilages costaux. La
région
sternale n'offre en général d'autre opération que
'os dans le cas de carie ou d'abcès profond du médiastin antérieur.
RÉGION
DIAPHRAGMATIQUE '. Situation, configuration, dé
'. Situation, configuration, délimitation. Sous la dénomination de
région
diaphragmatique se trouve comprise la zone horizo
cartement en voûte, qui circonscrit l'épigastre. Supérieurement cette
région
ne peut être déterminée que par une ligne fictive
l'extérieur la double voussure du diaphragme au-dedans. En arrière la
région
diaphragmatique est indiquée par la ligne des deu
par la ligne des deux dernières côtes. Parties constituantes. Cette
région
n'étant constituée qu'au point de vue de la clois
tante est l'existence à l'intérieur de la cloison du diaphragme. La
région
diaphragmatique, à part les fractures des cartila
r une issue au-dehors aux corps étrangers et aux produits morbides.
RÉGION
MAMMAIRE1. Situation, configuration, délimitati
eure de la poitrine, inscrite de haut en bas entre la clavicule et la
région
diaphragmatique, et de dedans en dehors entre les
vicule et la région diaphragmatique, et de dedans en dehors entre les
régions
sternale et sous-claviculaire, son étendue est re
t aux ganglions de l'aisselle. 6° Squelette. Il est formé, pour cette
région
, par l'arc osseux antérieur des côtes, de la seco
a seconde à la sixième. 1 Planche 1, n° 19; et planche 6. iu La
région
mammaire peut être le siège d'une multitude de pe
, dans la femme, par les nombreuses maladies de la glande mammaire.
RÉGION
DORSALE'. Situation, configuration, délimitatio
d duquel se distingue la saillie des apophyses épineuses, chacune des
régions
dorsales, convexe de haut en bas et en travers, e
rfs sont fournis par les branches postérieures des intercostaux. La
région
dorsale ne se distingue au point de vue chirurgic
u coussin protecteur épais que forment les muscles tendineux de cette
région
, appliqués eux-mêmes sur la carapace ostéo-fibreu
urs des vertèbres et des côtes, et par leurs appareils ligamenteux.
RÉGION
COSTALE2. Situation, configuration, délimitatio
E2. Situation, configuration, délimitation. Sous la dénomination de
région
costale on a coutume de décrire cette vaste étend
ette vaste étendue latérale du thorax située de haut en bas entre les
régions
axillaire et dia-phragmatique, et d'avant en arri
égions axillaire et dia-phragmatique, et d'avant en arrière entre les
régions
mammaire et dorsale. Entre les sillons du grand p
la plèvre pariétale. 1 Planche i, n° 21. a Planche i , n° 22. La
région
costale, dans les divers points de son étendue, a
s. ABDOMEN. Aux parois de la cavité abdominale se rapportent sept
régions
, dont, en avant, trois impaires, les régions épig
inale se rapportent sept régions, dont, en avant, trois impaires, les
régions
épigastrique, ombilicale et hypogastrique; et qua
ilicale et hypogastrique; et quatre qui sont paires ou latérales, les
régions
hypochondrale, ilio-costale et inguino-abdominale
hypochondrale, ilio-costale et inguino-abdominale, et, en arrière, la
région
lombaire. La surface abdominale est disposée en t
sales, supérieure, moyenne et inférieure, dont chacune renferme trois
régions
, une médiane et deux latérales. i° Zone supérie
staux ; en bas par la ligne transversale de flexion sus-ombilicale.
RÉGION
ÉPIGASTRIQUE '. Situation, configuration, délim
ligne oblique du rebord cartilagineux des côtes. A l'extérieur cette
région
forme deux saillies latérales, comprises entre tr
end irréductible. 4° Vaisseaux. Les artères et veines de cette double
région
sont les branches terminales des mammaires intern
ombre ne semble pas en proportion avec l'extrême sensibilité de cette
région
. 6° Squelette. Il n'existe rien qui puisse le rep
sse le représenter que l'appendice xiphoïde et la ligne blanche. La
région
épigastrique est le lieu le plus habituel où vien
coup d'obscurité. Les plaies accidentelles, assez communes dans cette
région
, sont difficiles à réunir, en raison de la sailli
ges costaux, de la dépression et de la mobilité des parties molles.
RÉGION
HYPOCHONDRALE'. Situation, configuration, délim
rs cartilages , dans les deux voussures du diaphragme, chacune de ces
régions
constitue la cavité de l'hypocondre droit ou gauc
minés dans leurs limites à l'extérieur, où ils se confondent avec les
régions
costale et diaphragmatique. A l'intérieur, c'est-
n bas, il n'y a plus de délimitation possible. Les parois formant les
régions
hypocondrales nous sont déjà connues ; elles se c
ignes est celle indiquée par la flexion du tronc. 1 Planche i, n°
RÉGION
OMBILICALE '. Situation, configuration, délimit
considérable de graisse. La couche musculaire est formée, comme à la
région
épigastrique, par le muscle sterno-pu-bien, encas
eu aux hernies dites ventrales, moins communes que les précédentes.
RÉGION
ILIO-GOSTALE2. Situation, configuration, délimi
haut en bas entre la ligne sous-ombilicale et la crête iliaque, cette
région
, qui constitue le flanc, est limitée transversale
gumens de la ceinture pelvienne. Le squelette est représenté, dans la
région
ilio-costale, à ses extrémités, par les deux dern
ulement en arrière, par la suture des aponévroses du transverse. La
région
ilio-costale, comme toute la surface des parois a
chez les nouveaux-nés, dont le rectum est imperforé ( Galliseli ).
RÉGION
LOMRAIRE '. Situation, configuration, délimitat
n deux moitiés par le sillon lombaire médian. A l'extérieur, les deux
régions
lombaires latérales, concaves de haut en bas, for
u, très épaisse, est coupée de rides transversales au milieu de cette
région
, correspondant au pli de l'extension du tronc. La
e d'une grande quantité de graisse, à mesure qu'elle s'approche de la
région
ilio-costale. La couche musculaire et aponévrotiq
e. Limitée en haut par la ligne sus-ombilicale, elle comprend trois
régions
appartenant à la paroi antérieure de l'abdomen :
égions appartenant à la paroi antérieure de l'abdomen : au milieu, la
région
hypogastrique, et de chaque côté la région in-gui
l'abdomen : au milieu, la région hypogastrique, et de chaque côté la
région
in-guino-abdominale. RÉGION HYPOGASTRIQUE'. S
ion hypogastrique, et de chaque côté la région in-guino-abdominale.
RÉGION
HYPOGASTRIQUE'. Situation, configuration, délim
z la femme, à cette paroi correspond aussi médiatement l'utérus. La
région
hypogastrique est le siège de la cystotomie sus-p
l'épi ploon, ou même par la vessie ou l'utérus. (Rousset, Ruysch.)
RÉGION
1NGUINO-ABDOMINALE '. Situation, configuration,
e, nous considérerons plus loin le pli inguinal en lui-même comme une
région
particulière. Parties constituantes. i° Peau. L
anée : ses caractères sont les mêmes et encore plus prononcés qu'à la
région
précédente. Le pannicule adipeux y est très abond
es épigastriques. 5o Vaisseaux lymphatiques. Très nombreux dans cette
région
, ils descendent dans le fascia superficialis, reç
o-crurale, qui font partie du cordon des vaisseaux spermatiques. La
région
inguino-abdorninale est certainement l'une des pl
ambule du manuel opératoire. RASSIN. Au bassin se rapportent cinq
régions
, dont trois sont paires et deux impaires. En avan
t cinq régions, dont trois sont paires et deux impaires. En avant, la
région
pubienne au milieu, et de chaque côté, le pli ing
ubienne au milieu, et de chaque côté, le pli inguinal; en arrière, la
région
médiane sacro-coccygienne, flanquée de l'une et l
re, la région médiane sacro-coccygienne, flanquée de l'une et l'autre
région
fessière; en bas et sur le plan moyen, la région
de l'une et l'autre région fessière; en bas et sur le plan moyen, la
région
ano-périnéale, plancher inférieur de la grande ca
rinéale, plancher inférieur de la grande cavité abdomino-pelvienne.
RÉGION
PUBIENNE '. Situation, configuration, délimitat
li de l'aine, et se réunissent en arrière en un sommet où commence la
région
ano-périnéale. La région pubienne, dont le pénil
ssent en arrière en un sommet où commence la région ano-périnéale. La
région
pubienne, dont le pénil occupe la partie supérieu
e supérieure de la vulve, dont la moitié inférieure fait partie de la
région
ano-périnéale. pénil. Situé au-devant de la s
nt et au-dessus du scrotum, et se prolonge en arrière au milieu de la
région
ano -périnéale. La peau en est fine, très extensi
r situation plus en arrière, appartiennent plus particulièrement à la
région
ano-périnéale : c'est à l'occasion de celle-ci qu
inéale : c'est à l'occasion de celle-ci qu'il en sera fait mention.
RÉGION
ANO-PÈRINÉALE 1. Situation, configuration, déli
ications croisent le plan moyen par des anastomoses multipliées. i°
Région
ano-périnéale chez l'homme. Dans l'homme adulte
point de vue chirurgical, doit être considéré comme appartenant à la
région
ano-périnéale. Dirigé obliquement de haut en bas,
use fréquente d'engorgeinens, d'infiltrations et d'hémorrhagies. La
région
ano-périnéale, en raison des canaux et des orific
érations qui se pratiquent sur les voies urinaires et le rectum. 2°
région
ano-périnéale chez la femme. Composée de partie
alogues plutôt qu'identiques avec celles du périnée de l'homme, cette
région
, modifiée chez la femme par la présence des organ
que dessine la tête du fémur dans la luxation en bas et en dedans.
RÉGION
SACRO-COCCYG1ENNE'. Situation, configuration, d
coccyx qui en composent le squelette; elle continue en bas la double
région
lombaire sans autres limites déterminées qu'une l
les grands fessiers, et se réunissent inférieurement en arrière de la
région
ano-périnéale, en un sommet aigu formé parle cocc
rinéale, en un sommet aigu formé parle coccyx. Au milieu cette double
région
est partagée par les terminaisons du sillon verti
euses des fausses vertèbres sacrées. Dans sa direction générale cette
région
forme un plan incliné de haut en bas et d'avant e
voisinage des os, sont les causes des gangrènes de la peau dont cette
région
est si fréquemment le siège chez des malades affa
fluide cérébro-spinal, donne lieu à la maladie nommée spina-bifida.
RÉGION
FESSIÈRE '. Situation, configuration, délimitat
nsion, et pour ne pas trop multiplier les divisions, on rapporte à la
région
fessière deux sous-régions susceptibles déconsidé
différentes, la hanche et le grand trochanter. Ainsi à l'extérieur la
région
fessière dans son ensemble se compose d'une grand
e des vaisseaux fessiers et ischiatiques ; et aux nerfs propres de la
région
s'ajoutent le grand et le petit sciatiques, qui s
os coxal, moins le pubis, et des deux ligamens sacro-sciatiques. La
région
fessière, prise dans l'acception indiquée plus ha
le dans les plaies d'armes à feu. Enfin à la portion externe de cette
région
s'observent les luxations en haut en dehors ou en
l du fémur. ÉPAULE. A la section de l'épaule appartiennent quatre
régions
: une antérieure clavi-inter-axillaire ou sous-cl
capulo-humè-rale; et une postérieure ou scapulaire proprement dite.
RÉGION
SOUS-CLAVICULAIRE ou CLAVI-INTER-AXILLAIRE '. S
VI-INTER-AXILLAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Cette
région
très importante en chirurgie, et dont nous séparo
sculaires, les muscles intercostaux et les côtes, sépare nettement la
région
sous-claviculaire du creux de l'aisselle. En trav
sente seul au milieu le petit pectoral qui coupe cliagonalement cette
région
; en haut est le sous-clavier contenu dans sa gai
re et fibreux est constitué par la cage thoracique, formée pour cette
région
, d'une portion de l'arc antérieur des quatre ou c
x et les nerfs du plexus brachial. En raison de l'importance de cette
région
, il est utile de tenir compte des délimitations t
t principalement au point de vue des vaisseaux et des nerfs que cette
région
est importante à étudier Les troncs principaux so
point, l'extrémité supérieure de l'humérus comme faisant limite. La
région
sous-claviculaire peut être affectée comme toute
scapulo-hunié-rale par le procédé de M. M. Champesmes et Lisfranc.
RÉGION
AXILLAIRE '. Situation, configuration, délimita
tendue et la structure anatomique suffisent pour constituer l'une des
régions
les plus intéressantes en chirurgie. A l'extérieu
e. Elle est formée par un fascia superficialis analogue à celui de la
région
inguinale, c'est-à-dire à longues mailles ellipso
° Vaisseaux et Nerfs. Les vaisseaux et les nerfs particuliers à cette
région
sont : les artères, les veines et les nerfs thora
tension du muscle grand pectoral isole le plus souvent de ceux de la
région
sous-claviculaire. Parmi les incisions nombreuses
irurgical de l'humérus, et la luxation en bas de la tête de cet os.
RÉGION
SCAPULO-HUMÉRALE \ Situation, configuration, dé
, délimitation. Formée spécialement par le moignon de l'épaule, cette
région
, qui correspond au plan fessier du bassin, est as
o-musculaire. C'est de la disposition des os et des muscles que cette
région
emprunte tout son intérêt. La couche superficiell
ies de l'articulation et aux opérations qui s'y rapportent, que cette
région
offre quelque intérêt. Parmi les maladies, se dis
ts bien déterminés des os avec les parties molles et les vaisseaux.
RÉGION
SCAPULAIRE '. Situation, configuration, délimit
ar la masse triangulaire de l'omoplate, revêtue de ses muscles, cette
région
qui n'offre en elle-même d'intérêt que par rappor
planchée). MEMBRE ÏHORACIQUE. bras. Le bras se divise en quatre
régions
, deux qui affectent toute sa longueur, les région
e divise en quatre régions, deux qui affectent toute sa longueur, les
régions
antérieure et postérieure dans lesquelles, pour n
s en qualité d'annexé, est généralement considérée comme formant deux
régions
, l'une antérieure, ou le pli du coude, et l'autre
rale étant établie, reste à circonscrire et à motiver les limites des
régions
brachiales. En anatomie,le bras comprend la total
, toute la partie scapulo-thoracique du membre se trouvant divisée en
régions
spéciales, celles qui appartiennent au bras, limi
fléchisseurs de la main. Cette ligne fictive intermédiaire sépare les
régions
brachiales de celles du coude. RÉGION RRACHIALE
ive intermédiaire sépare les régions brachiales de celles du coude.
RÉGION
RRACHIALE INTERNE ET ANTÉRIEURE'. Situation, co
est ' Planche i, n" 38 ; et planche 9. t. vi. formé, pour cette
région
et la suivante, par la moitié inférieure du corps
e numérale, peut-être la plus fréquente de toutes dans la pratique.
RÉGION
BRACHIALE EXTERNE ET POSTÉRIEURE2. Limitée en h
et de l'artère collatérale externe à la naissance des supinateurs.
RÉGION
DU PLI DU COUDE 2. Situation, configuration, dé
iguration, délimitation. Quoique d'une étendue très restreinte, cette
région
est néanmoins l'une des plus importantes à bien c
our l'externe les supinateurs. 4° Squelette. Il est formé, pour cette
région
et celle qui lui est opposée sur l'autre face , p
opposée sur l'autre face , par l'articulation hurnéro-cubitale. La
région
du pli du coude est surtout à considérer en chiru
, on y pratique fréquemment des désarticulations ou des résections.
RÉGION
ULNAIRE '. Situation, configuration, délimitati
de vue des opérations qui se pratiquent sur les os. A l'extérieur, la
région
du coude présente au milieu la saillie de l'olécr
milieu et en travers, qui en trace les divisions chirurgicales : Une
région
antérieure, une postérieure et une externe, compo
avant-bras doit être considéré à la fois dans sa totalité et dans ses
régions
: en totalité, eu égard aux maladies générales de
x maladies générales de l'avant-bras et aux amputations ; dans chaque
région
, par rapport aux maladies partielles et aux résec
t à des opérations toutes spéciales, on considère isolément comme des
régions
distinctes les deux faces antérieure et postérieu
faces antérieure et postérieure de l'articulation radio-carpicune.
RÉGION
ANTI-BRACHIALE ANTÉRIEURE. 1 Formée par le grou
le ligament inter-osseux sont les vaisseaux antérieurs du même nom.
RÉGION
ANTI-BRACHIALE EXTERNE.1 Constituée parle group
teur, cpii lui-même environne la moitié supérieure du radius. A cette
région
appartiennent l'artère et les veines radiales, cô
du même nom et protégées en commun parle tendon du long supinateur.
RÉGION
ANTI-BRACHIALE POSTÉRIEURE. ' Divisée verticale
ont que des filets spéciaux émanés des deux grands troncs latéraux.
RÉGIONS
DU POIGNET. 3 Le poignet est formé par le squel
ieur et postérieur, et les ligamens latéraux externe et interne. La
région
radio-carpienne antérieure (Pl. I, n° 45 ), dans
s vaisseaux radiaux qui se portent sur la face dorsale du carpe. La
région
radio-carpienne postérieure (Pl. I, n° 46) est mo
ion est presque toujours funeste. main. On divise la main en deux
régions
: palmaire et dorsale. Cette définition semble ci
ns : palmaire et dorsale. Cette définition semble circonscrire chaque
région
à la portion métacarpienne de la main. Toutefois
osition sur la première, et composée du pouce avec son métacarpien.
RÉGION
PALMAIRE'. Portion métacarpienne. Elle se compo
tres clans le tissu pulpeux terminal constitue l'organe du toucher.
RÉGION
DORSALE'. Beaucoup moins compliquée que la préc
acarpien. MEMRRE ARDOMINAL. cuisse. La cuisse se divise en cinq
régions
, dont une sur chaque face, antérieure, postérieur
d'une étendue considérable en raison de la longueur du membre. De la
région
antérieure se sépare, en haut, la région inguino-
la longueur du membre. De la région antérieure se sépare, en haut, la
région
inguino-fémorale, vu les considérations spéciales
s deux faces de l'articulation fémoro-tibiale composant, en avant, la
région
du genou, et en arrière la région poplitée. Ainsi
oro-tibiale composant, en avant, la région du genou, et en arrière la
région
poplitée. Ainsi considérée dans ses limites chiru
ligne horizontale passant au sommet du triangle supérieur poplité.
RÉGION
INGUINO-FÉMORALE 1. Situation, configuration, d
tuation, configuration, délimitation. Portion inférieure de la grande
région
de faîne, située à la partie antérieure et supéri
rural accidentel. 4° Squelette. Il est formé, pour l'étendue de cette
région
, par la face antérieure de l'articulation coxo-fé
atiques des vaisseaux, les maladies principales , communes dans cette
région
sont : les engorgemens lymphatiques de la rangée
ique l'incision pour la ligature de l'artère à sa sortie du bassin.
RÉGION
FÉMORALE ANTÉRIEURE Situation, configuration, d
ou le corps du fémur, auquel elle s'implante. Les vaisseaux de cette
région
, peu importans, se composent en plan superficiel
x vastes et les branches du nerf crural qui les accompagnent. Cette
région
offre peu d'intérêt en chirurgie, n'étant le sièg
s directs en ce sens que s'opèrent les fractures du corps du fémur.
RÉGION
FÉMORALE POSTÉRIEURE '. Intermédiaire de haut e
intermédiaire aux muscles fléchisseurs et au grand adducteur. Cette
région
est assez fréquemment affectée de furoncles et d'
cine que de la chirurgie. 'Planch e l, n" Il ; et planche 5. •4
RÉGION
FÉMORALE INTERNE1. Situation, configuration, dé
ion, délimitation. Étendue à toute la face interne delà cuisse, cette
région
est limitée, en haut, par le pli de flexion fémor
teurs de la cuisse des fléchisseurs de la jambe. Extérieurement cette
région
est parcourue en diagonale, de haut en bas et d'a
est formé par le corps du fémur, enveloppé par le vaste interne. La
région
fémorale interne est le siège d'un assez grand no
ent à diverses hauteurs les incisions pour la ligature de l'artère.
RÉGION
FÉMORALE EXTERNE '. Formée par la face externe
vrose fémorale, très épaisse, est constituée, spécialement dans cette
région
, par la bandelette fascia-lata, tendon membraneux
an sous-cutané, des rameaux de l'inguinal et du petit sciatique. La
région
fémorale externe prend un double intérêt, en chir
s de fractures comminutives, de résections et de nécroses du fémur.
RÉGION
DU GENOU \ Partie antérieure de l'articulation
ulaire de rétrécissement, la naissance des muscles de la jambe, cette
région
, dont la surface est très inégale, est caractéris
t, qu'on doit, eu général, leur préférer l'amputation de la cuisse.
RÉGION
POPLITÉE Situation, configuration, délimitation
nus par la double capsule condylienne et le ligament postérieur. La
région
poplitée est sur-tout intéressante au point de vu
tère poplitée qu'elle est recommandée en anatomie chirurgicale. Cette
région
, en outre, est le siège de nombreux phlegmons et
rticulation fémoro-tibiale, elle s'isole néanmoins, en théorie, de la
région
du genou, la partie antérieure, vu la position su
ier par les moyens chirurgicaux, jambe, La jambe se divise en six
régions
, dont deux constituées par les parties molles, le
ise en six régions, dont deux constituées par les parties molles, les
régions
antérieure externe et postérieure, et une antérie
e à la jambe l'articulation tibio-tarsienne, que l'on divise en trois
régions
: au milieu le coude-pied, et sur les côtés les r
vise en trois régions : au milieu le coude-pied, et sur les côtés les
régions
malléolaires externe et interne. Dans son ensembl
ière à la saillie d'insertion du tendon d'Achille sur le calcanéum.
RÉGION
JAMBIÈRE ANTÉRIEURE EXTERNE'. Situation, config
né, en profondeur, et, à la surface, par l'aponévrose jambière, cette
région
, assez large en haut et au milieu, se rétrécit en
te l'aponévrose d'insertion commune aux trois grands muscles de cette
région
. 4° Muscles. Ce sont : le jambier antérieur, le l
ces externe et antérieure du péroné et le ligament inter-osseux. La
région
jambière antérieure externe est fréquemment affec
laie, très profonde, sur-tout quand on agit à la partie supérieure.
RÉGION
JAMBIÈRE POSTÉRIEURE1. Situation, configuration
eure du tibia et du péroné, réunis par le ligament inter-osseux. La
région
jambière postérieure présente, comme maladie spéc
ication générale éventuelle, mais qui n'a pas été mise en pratique.
RÉGION
JAMBIÈRE INTERNE OU TIBIALE '• Correspondant à
nstitué par la face antérieure interne sous-cutanée du tibia. Cette
région
, quoique de peu d'étendue et très simple dans sa
mettre l'os à découvert sans intéresser un grand nombre de parties.
RÉGION
DU COUDE-PIED'. Comprise entre les deux malléol
léoles, sur les côtés, sans limites déterminées de haut en bas, cette
région
, formée par le pli de flexion articulaire de la j
qui s'y pratiquent sont les résections complètes ou partielles. A la
région
du coude-pied se rapporte également l'amputation
s le plan articulaire de l'astragale et de l'apophyse du calcanéum.
RÉGIONS
MALLÉOLAIRES \ Au nombre de deux, externe et in
ituées sur les faces latérales de l'articulation tibio-tarsienne, les
régions
malléolaires sembleraient devoir être con- 1 Pl
et aux opérations spéciales dont elles sont le siège. Chacune de ces
régions
se distingue à l'extérieur par la saillie sous-cu
ression verticale triangulaire, qui les sépare du tendon d'Achille.
Région
malléolaire interne. Limitée en avant par la sail
ent de la veine et du nerf saphènes, qui parcourent obliquement cette
région
du haut en bas. La veine se compose ordinairement
ues lignes la poulie astragalienne, qu'elle enchâsse de ce côté. La
région
malléolaire interne est remarquable, en chirurgie
ion, comme nous le verrons en son lieu, ne supportant pas l'examen.
Région
malléolaire externe. Rornéc enavant par la sailli
s ultérieurs de celle du tibia. pied. Le pied se partage en trois
régions
, calcanienne, dorsale et plantaire, auxquelles se
plus ou moins les maladies des bords externe et interne. Chacune des
régions
dorsale et plantaire se divise en deux portions i
e par les cinq orteils, séparés et mobiles, en commun ou isolément.
RÉGION
CALCANIENNE '. Formée parle talon, elle est lim
osée en vue d'une forte pression habituelle, elle présente dans cette
région
une disposition toute spéciale, qui se continue d
e l'articulation tibio-tarsienne, au-devant du tendon d'Achille. La
région
du talon n'est pas sans intérêt en chirurgie. La
cée, à une section devenue assez commune dans la chirurgie moderne.
RÉGION
DORSALE '. Limitée en arrière par les régions d
a chirurgie moderne. RÉGION DORSALE '. Limitée en arrière par les
régions
du coude-pied et des malléoles, elle comprend au-
seuse qui comprend le dos du pied et ses côtés comme appartenant à la
région
dorsale, tandis que toute la portion charnue form
t à la région dorsale, tandis que toute la portion charnue formera la
région
plantaire. A l'extérieur, le pied forme une doubl
ale et ne supporte qu'une pression légère, est beaucoup plus mince.
RÉGION
PLANTAIRE Étendue à toute la face inférieure du
oute la face inférieure du pied, elle se confond, en arrière, avec la
région
calcanienne, et sur les côtés du pied avec sa rég
arrière, avec la région calcanienne, et sur les côtés du pied avec sa
région
dorsale, au-dessus de la saillie des muscles laté
nent la demi-voûte transversale. PORTION DIGITALE (commune aux deux
régions
). Elle se compose des cinq orteils, dont le pre
es secousses sur la paroi thoracique, et plus particulièrement sur la
région
précordiale , comme on l'a déjà fait en pareil ca
s le même sujet, les qualités de la peau varient suivant les diverses
régions
, depuis l'extrême délicatesse de celle qui revêt
utuelle du tronc et de la cuisse, l'aorte peut être comprimée, sur la
région
lombaire, ou par le dos de la main en travers, ou
nt communément que sur certains lieux déterminés : \°\esynciputet les
régions
mastoïdienne et occipitale dans les affections co
ons mastoïdienne et occipitale dans les affections comateuses ; 2° la
région
auriculaire postérieure, dans les maladies de l'o
itions donnant lieu à quelques préceptes généraux. i0 La peau de la
région
à laquelle on emprunte le lambeau doit être un pe
offre anatomiquement une garantie très supérieure à celle des autres
régions
. 3° La taille du lambeau exige plusieurs condit
sont plus particulièrement les pertes de substance à la face, et les
régions
dont ou emprunte le lambeau sont les faces antéri
sitée. Ajoutons à ce que nous avons dit concernant l'anatomie de la
région
(t. IV, p. 58-59) une considération qui appartien
de la paume de la main; 2° les brides partielles limitées à l'une des
régions
, et nuisant au mouvement des doigts correspondans
anatomique. Branche orbitaire de la cinquième paire, accessible à la
région
frontale, après sa sortie de l'échancrure sourcil
i tenu comme une plume à écrire, l'éminence hypothénar appuyée sur la
région
temporo-pariétale droite, l'opérateur fait, à qua
1 Voy. pl. 29, fi};'. 1, 2, 3; et pour VAnatomie topoyraphtqtie de la
région
du rollile, page /|)-:"". saignée du pied. Co
ont : que l'ar- 1 Pl. 3o; et pour le texte, Ancttomie chirurgicale,
région
temporale, pl. 3o. T. vi. tère soit superfici
Considérations an atomiques. On peut saigner la temporale sur deux
régions
. i° Au-dessus de l'arcade zygomatique où elle mon
indre, doit traverser la peau et l'aponévrose sous-cutanée. i° Sur la
région
temporo-frontale après sa bifurcation. La branche
t de tumeurs sanguines. Ruysch cite un cas d'ané-vrisme spontané à la
région
malléolaire, Dorsay un autre cas de varice anévri
irs ; couper également à plat l'aponévrose jambière, mince dans cette
région
. Le fond de la plaie alors est formé, dans sa moi
érence de rapport du faisceau vasculaire avec le couturier dans cette
région
qui est certainement la cause de la divergence d'
gt-cinq millimètres. Ainsi, à l'extérieur, le trajet de l'artère à la
région
antibrachiale est assez exactement déterminé par
n pratiquer la ligature du vaisseau. 1 Vov. Anatomie topographique,
région
axillaire, pag. /17 et Artère axillaire (pl. 4
r les doigts des aides, ou des cro- 1 Voy. Anatoinie topographique,
région
sous-clavirulaire ou clavi-iiiter-axillaire, pag.
ie en travers; 5° eniin les nerfs 1 Voy. A nato m ie topographique,
région
sus-clavieulaire, ^pag. 85,36, et pl. v. et (i.
. Cette opération ne peut convenir que dans les cas d'hémorragie à la
région
mentonnière ou au pourtour de la commissure des l
ARTÈRES DU COU '. Hors les cas d'opération spéciale sur l'une des
régions
quelconques du cou , on est dans la nécessité de
s de dénuder l'artère et de la lier. 1 Voy. Anatomie topographique,
régions
sus- et sous- hyoïdiennes, l.ig. 34, 35, et pl. 2
la guérison des tumeurs érectiles ou des fongus hématodes à diverses
régions
de la tête : l'orbite (Travers, Dalrymplc, Arendt
onque auriculaire ( Dupuytren ), la fosse zygomatique ( Pâtisson), la
région
temporale ( Willaume), le crâne (Mussey ), la jou
a même tentative. A partir de cette * Voy. Anatoinie topographique,
région
inguino-alxliinina!e, page 41 et pl. 4 , 7 t't 8.
uisses légèrement fléchies sur le tronc, ce grand chirurgien fit à la
région
ombilicale, le long de la ligne blanche, une inci
que son décollement dans une grande étendue, surtout en arrière à la
région
lombaire, où, comme je l'ai démontré (tout, v, pl
ipps, ce procédé aurait fait obtenir la guérisond'un ané-vrisme de la
région
parotidienne. Récemment on a eu l'idée de travers
ppliquent indistinctement pour toutes les maladies et dans toutes les
régions
du corps, cette petite opération importée en Euro
il a été dit précédemment, aux deux extrémités de la partie ou de la
région
que l'on veut faire traverser par un courant élec
ur éviter tout danger, sur les données anatomi-ques qui concernent la
région
où l'on agit. Parvenu sur le corps étranger, on d
leur, et cpie du reste sa situation et'la composition organique de la
région
soient telles qu'il y ait du danger à l'extraire,
certains qui paraissent y être plus particulièrement disposés. Aucune
région
du corps n'en est exempte; toutefois elles se ren
muns et les plus considérables. On peut en rencontrer dans toutes les
régions
du corps, mais, en suivant toujours les condition
ls doivent être d'autant plus fréquens et plus volumineux, dans telle
région
déterminée, que le tissu adipeux y est plus abond
r la peau saine pénètre au delà du siège présumablc des artères de la
région
. A mesure qu'elles sont coupées on en fait la lig
q autres cas ont fourni les résultats suivans. i° A Xorbite et à la
région
temporale quatre tumeurs ont guéri (cas de MM. Tr
a mémoire ces règles géné raies, simples, basées sur l'anatomie des
régions
, qu'on parviendra à improviser, suivant l'exigenc
us les cas, cle ne pas perdre cle vue la disposition anatomique de la
région
affectée et de savoir que l'opération est d'autan
uelque soitle siège cle la maladie, lors même qu elle est placée à la
région
postérieure de la joue, cet auteur prescrit d'att
plètement les parties d'os réséquées; que les glandes du cou et de la
région
submaxillaire soient exemptes d'engorgement, et q
re de l'avant-bras sur le bras étendu. Il n'en est pas de même à la
région
deltoïdienne; mais comme, d'une part, il n'est gu
s haut c'est l'artère axillaire, enfin la sous-clavière si c'est à la
région
dcltoïdiennc. Un aide est chargé de retirer les p
mal. Ces considérations nous permettent encore d'établir qu'à chaque
région
du pied les procédés pour les désarticulations et
ueur, et enfin l'abondance et la vitalité des parties molles de cette
région
,font une règle bien positive d'y ménager autant q
e du tibia enfoncer la pointe du couteau, traverser les muscles de la
région
antérieure et externe, contourner le péroné et fa
nie aux fascias de la cuisse, ne présente d'adhérence marquée qu'à la
région
poplitée : elle est quelquefois doublée d'un tiss
dérément au dehors, afin de ne pas intéresser les muscles de diverses
régions
, qui reprennent leur place naturelle après l'opér
nterne et postérieure étant plus retráctiles que ceux des deux autres
régions
, il faut, pour avoir une surface égale, les coupe
enant garde toutefois cle mettre en regard, pour chacune d'elles, les
régions
analogues; on rapprochera donc sous le même point
écrite. Arrêtant par la pensée une ligne horizontale qui traverse la
région
tarsienne sur le plan des articulations cunéo-sca
et partout environnée de chairs, n'est accessible au toucher qu'à la
région
antérieure, où la tête du fémur, revêtue par le p
Cou et tête, 27, 28. —Membres, 28. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE. CRANE.
Région
frontale, 29, 30.—Région occipitale, région tempo
bres, 28. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région frontale, 29, 30.—
Région
occipitale, région temporale, 30. — Région pariét
E TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région frontale, 29, 30.—Région occipitale,
région
temporale, 30. — Région pariétale, région mastoïd
. Région frontale, 29, 30.—Région occipitale, région temporale, 30. —
Région
pariétale, région mastoïdienne, 31. — Con- T. V
29, 30.—Région occipitale, région temporale, 30. — Région pariétale,
région
mastoïdienne, 31. — Con- T. VI. sidérations a
T. VI. sidérations anatomiques sur le crâne en général, 31. = Face.
Région
nasale, 31, 32.—Région labiale, région mentonnièr
atomiques sur le crâne en général, 31. = Face. Région nasale, 31, 32.—
Région
labiale, région mentonnière, 32. — Région orbitai
crâne en général, 31. = Face. Région nasale, 31, 32.—Région labiale,
région
mentonnière, 32. — Région orbitaire, 32, 33. — Ré
ace. Région nasale, 31, 32.—Région labiale, région mentonnière, 32. —
Région
orbitaire, 32, 33. — Région zygomato-maxillaire,
Région labiale, région mentonnière, 32. — Région orbitaire, 32, 33. —
Région
zygomato-maxillaire, région génienne, 33. — Régio
nnière, 32. — Région orbitaire, 32, 33. — Région zygomato-maxillaire,
région
génienne, 33. — Région parotidienne et massétérin
bitaire, 32, 33. — Région zygomato-maxillaire, région génienne, 33. —
Région
parotidienne et massétérine, région auriculaire,
axillaire, région génienne, 33. — Région parotidienne et massétérine,
région
auriculaire, 34. COU. Région sus-hyoïdienne, 34
— Région parotidienne et massétérine, région auriculaire, 34. COU.
Région
sus-hyoïdienne, 34. — Région sous-hyoïdienne, rég
sétérine, région auriculaire, 34. COU. Région sus-hyoïdienne, 34. —
Région
sous-hyoïdienne, région sus-claviculaire, 35.—Rég
aire, 34. COU. Région sus-hyoïdienne, 34. — Région sous-hyoïdienne,
région
sus-claviculaire, 35.—Région cervicale postérieur
yoïdienne, 34. — Région sous-hyoïdienne, région sus-claviculaire, 35.—
Région
cervicale postérieure, 36. THORAX. Région stern
ion sus-claviculaire, 35.—Région cervicale postérieure, 36. THORAX.
Région
sternale, 36. — Région diaphragma tique, région m
5.—Région cervicale postérieure, 36. THORAX. Région sternale, 36. —
Région
diaphragma tique, région mammaire, 37, — Région d
rieure, 36. THORAX. Région sternale, 36. — Région diaphragma tique,
région
mammaire, 37, — Région dorsale, région costale, 3
égion sternale, 36. — Région diaphragma tique, région mammaire, 37, —
Région
dorsale, région costale, 38. ABDOMEN. Région ép
36. — Région diaphragma tique, région mammaire, 37, — Région dorsale,
région
costale, 38. ABDOMEN. Région épigastrique, 38.
région mammaire, 37, — Région dorsale, région costale, 38. ABDOMEN.
Région
épigastrique, 38. — Région hypocondrale, région o
on dorsale, région costale, 38. ABDOMEN. Région épigastrique, 38. —
Région
hypocondrale, région ombilicale, région iléo-cost
stale, 38. ABDOMEN. Région épigastrique, 38. — Région hypocondrale,
région
ombilicale, région iléo-costale, 39. — Région lom
N. Région épigastrique, 38. — Région hypocondrale, région ombilicale,
région
iléo-costale, 39. — Région lombaire, région hypog
— Région hypocondrale, région ombilicale, région iléo-costale, 39. —
Région
lombaire, région hypogastrique, 40. — Région ingu
drale, région ombilicale, région iléo-costale, 39. — Région lombaire,
région
hypogastrique, 40. — Région inguino-abdominale, 4
gion iléo-costale, 39. — Région lombaire, région hypogastrique, 40. —
Région
inguino-abdominale, 41. BASSIN. Région pubienne
région hypogastrique, 40. — Région inguino-abdominale, 41. BASSIN.
Région
pubienne, 41,42.—Région ano-périnéale, 43—4;5'.
0. — Région inguino-abdominale, 41. BASSIN. Région pubienne, 41,42.—
Région
ano-périnéale, 43—4;5'. — Pli inguinal, région
ion pubienne, 41,42.—Région ano-périnéale, 43—4;5'. — Pli inguinal,
région
sacro-coccygienne, 45. — Région fes-sière, 46.
périnéale, 43—4;5'. — Pli inguinal, région sacro-coccygienne, 45. —
Région
fes-sière, 46. ÉPAULE. Région sous-claviculaire
inal, région sacro-coccygienne, 45. — Région fes-sière, 46. ÉPAULE.
Région
sous-claviculaire, 46, 47. — Région axillaire, 47
— Région fes-sière, 46. ÉPAULE. Région sous-claviculaire, 46, 47. —
Région
axillaire, 47. — Région scapulo-humérale, régio
ÉPAULE. Région sous-claviculaire, 46, 47. — Région axillaire, 47. —
Région
scapulo-humérale, région scapulaire, 48. MEMBRE
culaire, 46, 47. — Région axillaire, 47. — Région scapulo-humérale,
région
scapulaire, 48. MEMBRE THORACIQUE. Région brach
Région scapulo-humérale, région scapulaire, 48. MEMBRE THORACIQUE.
Région
brachiale interne et antérieure, région brachiale
ire, 48. MEMBRE THORACIQUE. Région brachiale interne et antérieure,
région
brachiale externe et postérieure, région du pli d
hiale interne et antérieure, région brachiale externe et postérieure,
région
du pli du coude, 49. — Région ulnaire, région a
ion brachiale externe et postérieure, région du pli du coude, 49. —
Région
ulnaire, région antibrachiale antérieure, 50. —Ré
terne et postérieure, région du pli du coude, 49. — Région ulnaire,
région
antibrachiale antérieure, 50. —Région antibrachia
coude, 49. — Région ulnaire, région antibrachiale antérieure, 50. —
Région
antibrachiale externe, région antibrachiale posté
, région antibrachiale antérieure, 50. —Région antibrachiale externe,
région
antibrachiale postérieure, région du poignet, rég
50. —Région antibrachiale externe, région antibrachiale postérieure,
région
du poignet, région palmaire, 51. — Région dorsale
achiale externe, région antibrachiale postérieure, région du poignet,
région
palmaire, 51. — Région dorsale, 52. MEMBRE ABDO
antibrachiale postérieure, région du poignet, région palmaire, 51. —
Région
dorsale, 52. MEMBRE ABDOMINAL. Région inguino-f
ignet, région palmaire, 51. — Région dorsale, 52. MEMBRE ABDOMINAL.
Région
inguino-fémorale, 52, 53.—Région fémorale antérie
ion dorsale, 52. MEMBRE ABDOMINAL. Région inguino-fémorale, 52, 53.—
Région
fémorale antérieure, région fémorale postérieure,
DOMINAL. Région inguino-fémorale, 52, 53.—Région fémorale antérieure,
région
fémorale postérieure, 53. — Région fémorale inter
2, 53.—Région fémorale antérieure, région fémorale postérieure, 53. —
Région
fémorale interne, région fémorale externe, 54. —
térieure, région fémorale postérieure, 53. — Région fémorale interne,
région
fémorale externe, 54. — Région du genou, région p
rieure, 53. — Région fémorale interne, région fémorale externe, 54. —
Région
du genou, région poplitée, 55. — Région jambière
ion fémorale interne, région fémorale externe, 54. — Région du genou,
région
poplitée, 55. — Région jambière antérieure extern
égion fémorale externe, 54. — Région du genou, région poplitée, 55. —
Région
jambière antérieure externe, région jambière post
du genou, région poplitée, 55. — Région jambière antérieure externe,
région
jambière postérieure, 56. —Région jambière intern
Région jambière antérieure externe, région jambière postérieure, 56. —
Région
jambière interne, région du cou-de-pied, 57. — Ré
e externe, région jambière postérieure, 56. —Région jambière interne,
région
du cou-de-pied, 57. — Région malléolaire, 57, 58.
stérieure, 56. —Région jambière interne, région du cou-de-pied, 57. —
Région
malléolaire, 57, 58. — Région calcanéenne, 58.
interne, région du cou-de-pied, 57. — Région malléolaire, 57, 58. —
Région
calcanéenne, 58. — Région dorsale du pied, 59. —
pied, 57. — Région malléolaire, 57, 58. — Région calcanéenne, 58. —
Région
dorsale du pied, 59. — Région plantaire, 59, 60.
, 57, 58. — Région calcanéenne, 58. — Région dorsale du pied, 59. —
Région
plantaire, 59, 60. MÉDECINE OPÉRATOIRE. PROLÉ
ANATOMIE CHIRURGICALE. DIVISION TOPOGRAPHIQUE DU CORPS HUMAIN PAR
RÉGIONS
. Figure i. Plan antérieur.—Figure 2. Plan posté
à la division générale, et surtout à la délimitation chirurgicale des
régions
, en les circonscrivant dans des espaces motivés e
synergiques ou antagonistes. INDICATION DES CHIFFRES. CRANE. 1.
Région
frontale. 2. Région occipitale. 3. Région tem
istes. INDICATION DES CHIFFRES. CRANE. 1. Région frontale. 2.
Région
occipitale. 3. Région temporale. 4. Région pa
CHIFFRES. CRANE. 1. Région frontale. 2. Région occipitale. 3.
Région
temporale. 4. Région pariétale. 5. Région mas
Région frontale. 2. Région occipitale. 3. Région temporale. 4.
Région
pariétale. 5. Région mastoïdienne. FACE. 6.
Région occipitale. 3. Région temporale. 4. Région pariétale. 5.
Région
mastoïdienne. FACE. 6. Région nasale. 7. Ré
porale. 4. Région pariétale. 5. Région mastoïdienne. FACE. 6.
Région
nasale. 7. Région labiale. 8. Région mentonni
pariétale. 5. Région mastoïdienne. FACE. 6. Région nasale. 7.
Région
labiale. 8. Région mentonnière. 9. Région orb
n mastoïdienne. FACE. 6. Région nasale. 7. Région labiale. 8.
Région
mentonnière. 9. Région orbitaire. 10. Région
6. Région nasale. 7. Région labiale. 8. Région mentonnière. 9.
Région
orbitaire. 10. Région zygomato-maxillaire. 11
Région labiale. 8. Région mentonnière. 9. Région orbitaire. 10.
Région
zygomato-maxillaire. 11. Région génienne. 12.
nière. 9. Région orbitaire. 10. Région zygomato-maxillaire. 11.
Région
génienne. 12. Région auriculaire. 13. Région
taire. 10. Région zygomato-maxillaire. 11. Région génienne. 12.
Région
auriculaire. 13. Région parotidienne. COU.
to-maxillaire. 11. Région génienne. 12. Région auriculaire. 13.
Région
parotidienne. COU. 14. Région sus-hyoïdienne.
ne. 12. Région auriculaire. 13. Région parotidienne. COU. 14.
Région
sus-hyoïdienne. 15. Région sous-hyoïdienne. 1
13. Région parotidienne. COU. 14. Région sus-hyoïdienne. 15.
Région
sous-hyoïdienne. 16. Région sous-claviculaire.
COU. 14. Région sus-hyoïdienne. 15. Région sous-hyoïdienne. 16.
Région
sous-claviculaire. 17. Région cervicale postéri
. 15. Région sous-hyoïdienne. 16. Région sous-claviculaire. 17.
Région
cervicale postérieure. THORAX. 18. Région ste
ous-claviculaire. 17. Région cervicale postérieure. THORAX. 18.
Région
sternale. 19. Région mammaire. 20. Région cho
Région cervicale postérieure. THORAX. 18. Région sternale. 19.
Région
mammaire. 20. Région chondro-costale ou diapbra
rieure. THORAX. 18. Région sternale. 19. Région mammaire. 20.
Région
chondro-costale ou diapbragmatique. 21. Région
gion mammaire. 20. Région chondro-costale ou diapbragmatique. 21.
Région
dorsale. 22. Région costale. ABDOMEN. 23. R
égion chondro-costale ou diapbragmatique. 21. Région dorsale. 22.
Région
costale. ABDOMEN. 23. Région épigastrique.
matique. 21. Région dorsale. 22. Région costale. ABDOMEN. 23.
Région
épigastrique. 24. Région hypochondrale. 25. R
le. 22. Région costale. ABDOMEN. 23. Région épigastrique. 24.
Région
hypochondrale. 25. Région ombilicale. 26. Rég
ABDOMEN. 23. Région épigastrique. 24. Région hypochondrale. 25.
Région
ombilicale. 26. Région ilio-costale. 27. Régi
gastrique. 24. Région hypochondrale. 25. Région ombilicale. 26.
Région
ilio-costale. 27. Région lombaire. 28. Région
ochondrale. 25. Région ombilicale. 26. Région ilio-costale. 27.
Région
lombaire. 28. Région hypogastrique. 29. Régio
n ombilicale. 26. Région ilio-costale. 27. Région lombaire. 28.
Région
hypogastrique. 29. Région inguino-abdominale.
lio-costale. 27. Région lombaire. 28. Région hypogastrique. 29.
Région
inguino-abdominale. BASSIN. 30. Région pubien
égion hypogastrique. 29. Région inguino-abdominale. BASSIN. 30.
Région
pubienne. 31. Pli inguinal. 32. Région sacro-
bdominale. BASSIN. 30. Région pubienne. 31. Pli inguinal. 32.
Région
sacro-coccygïenne. 33. Région fessière. ÉPAUL
n pubienne. 31. Pli inguinal. 32. Région sacro-coccygïenne. 33.
Région
fessière. ÉPAULE. 34. Région clavi-inter-axil
32. Région sacro-coccygïenne. 33. Région fessière. ÉPAULE. 34.
Région
clavi-inter-axillaire ou sous-claviculaire. 35.
PAULE. 34. Région clavi-inter-axillaire ou sous-claviculaire. 35.
Région
axillaire. 36. Région scapulo-humérale. 37. R
i-inter-axillaire ou sous-claviculaire. 35. Région axillaire. 36.
Région
scapulo-humérale. 37. Région scapulaire. MEMB
culaire. 35. Région axillaire. 36. Région scapulo-humérale. 37.
Région
scapulaire. MEMBRE THORACIQUE. BRAS. 38. Ré
humérale. 37. Région scapulaire. MEMBRE THORACIQUE. BRAS. 38.
Région
brachiale antérieure. 39. Région brachiale post
MEMBRE THORACIQUE. BRAS. 38. Région brachiale antérieure. 39.
Région
brachiale postérieure. 40. Région du pli du cou
égion brachiale antérieure. 39. Région brachiale postérieure. 40.
Région
du pli du coude. 41. Région ulnaire. AVANT-BR
39. Région brachiale postérieure. 40. Région du pli du coude. 41.
Région
ulnaire. AVANT-BRAS. 42. Région antibrachiale
40. Région du pli du coude. 41. Région ulnaire. AVANT-BRAS. 42.
Région
antibrachiale antérieure. 43. Région antibrachi
n ulnaire. AVANT-BRAS. 42. Région antibrachiale antérieure. 43.
Région
antibrachiale postérieure. 44. Région antibrach
tibrachiale antérieure. 43. Région antibrachiale postérieure. 44.
Région
antibrachiale externe. 45. Région radio-carpien
antibrachiale postérieure. 44. Région antibrachiale externe. 45.
Région
radio-carpienne antérieure. 46. Région radio-ca
antibrachiale externe. 45. Région radio-carpienne antérieure. 46.
Région
radio-carpienne postérieure. MAIN. 47. Région
e antérieure. 46. Région radio-carpienne postérieure. MAIN. 47.
Région
palmaire. 48. Région dorsale. MEMBRE ABDOMINA
ion radio-carpienne postérieure. MAIN. 47. Région palmaire. 48.
Région
dorsale. MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE. 49. Régi
n palmaire. 48. Région dorsale. MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE. 49.
Région
inguino-fémorale. 50. Région fémorale antérieur
e. MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE. 49. Région inguino-fémorale. 50.
Région
fémorale antérieure. 51. Région fémorale postér
49. Région inguino-fémorale. 50. Région fémorale antérieure. 51.
Région
fémorale postérieure. 52. Région fémorale inter
Région fémorale antérieure. 51. Région fémorale postérieure. 52.
Région
fémorale interne. 53. Région fémorale externe.
51. Région fémorale postérieure. 52. Région fémorale interne. 53.
Région
fémorale externe. 54. Région du genou. 55. Ré
. 52. Région fémorale interne. 53. Région fémorale externe. 54.
Région
du genou. 55. Région poplitée. JAMBE. 56. R
interne. 53. Région fémorale externe. 54. Région du genou. 55.
Région
poplitée. JAMBE. 56. Région jambière antérieu
externe. 54. Région du genou. 55. Région poplitée. JAMBE. 56.
Région
jambière antérieure externe. 57. Région jambièr
on poplitée. JAMBE. 56. Région jambière antérieure externe. 57.
Région
jambière postérieure. 58. Région tibiale. 59.
jambière antérieure externe. 57. Région jambière postérieure. 58.
Région
tibiale. 59. Région du coude-pied. 60. Région
terne. 57. Région jambière postérieure. 58. Région tibiale. 59.
Région
du coude-pied. 60. Région malléolaire interne.
postérieure. 58. Région tibiale. 59. Région du coude-pied. 60.
Région
malléolaire interne. 61. Région malléolaire ext
. 59. Région du coude-pied. 60. Région malléolaire interne. 61.
Région
malléolaire externe. pie d. 62. Région dorsal
malléolaire interne. 61. Région malléolaire externe. pie d. 62.
Région
dorsale. 63. Région plantaire. Tome 6. dess
61. Région malléolaire externe. pie d. 62. Région dorsale. 63.
Région
plantaire. Tome 6. dessiné d'après nature par
RGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DES
RÉGIONS
LOMBAIRE, FESSIÈRE ET FÉMORALE POSTÉRIEURE. A
DES COUCHES DIFFÉRENTES. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES.
RÉGION
LOMBAIRE. Côté gauche. A. Loge de la masse co
blique ; ce muscle et le grand oblique sont vus coupés au profil.
RÉGION
FESSIÈRE. Côté gauche. D. Loge musculaire du
erfs grand et petit sciatiques, enveloppés en haut dans leur gaîne.
RÉGION
FÉMORALE POSTÉRIEURE. Côté gauche. M. Loge de
DEUR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. COU. 1°
région
sus-hyoïdienne. A. Glande parotide. B. Glande
ïdien. C. Loge musculaire du ventre maxillaire du digastrique. 2°
région
sous-hyoïdienne. D. Loge du sterno-hyoïdien, au
ectoral en avant, du grand rond et du grand dorsal en arrière ; 2° la
région
des vaisseaux axillaires , aperçus derrière la ga
x axillaires , aperçus derrière la gaîne des muscles pectoraux; 3° la
région
brachiale interne et supérieure. 1° Creux de l'
e est isolée par le feuillet de dédoublement du grand pectoral, de la
région
des vaisseaux axillaires. Le creux de l'aisselle
ose brachiale, et forme la seule ligne réelle de démarcation entre la
région
sous-claviculaire et la région brachiale interne
e ligne réelle de démarcation entre la région sous-claviculaire et la
région
brachiale interne supérieure. A son extrémité il
les vaisseaux sortans, et limite le fond de l'aisselle en haut. 2°
région
sous-claviculaire. Elle montre la loge de récep
adhère, par un contour en infundibulum, avec les gros vaisseaux. 3°
Région
brachiale interne supérieure. M. Portion de la
GICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS. DES
RÉGIONS
INGUINALE ET FEMORALE ANTÉRIEURE. ADULTE, GRA
E, GRANDEUR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. 1°
RÉGION
INGUINALE. Préparation. Le fascia superfîcialis
. D. Portion des tégumens et du pannicule adipeux sous-cutané. 2°
région
fémorale. E. Feuillet aponévrotique qui recouvr
RGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DES
RÉGIONS
INGUINALE, ABDOMINALE INFÉRIEURE ET FÉMORALE SU
E, GRANDEUR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. 1°
RÉGION
INGUINALE. Préparation. L'arcade crurale est so
sseaux spermatiques, coupé à sa sortie de l'an- neau inguinal. 2°
RÉGION
INGUINO-ABDOMINALE. C. Aponévrose du grand obli
7) et par les branches antérieures des nerfs lombaires (18, 18). 3°
RÉGION
INGUINO - FEMORALE. F. Vaisseaux fémoraux renfe
fs, au-devant des tendons fléchisseurs et des muscles lombricaux à la
région
métacarpienne, et les branches collatérales, le l
férieure. Il n'existe, des jumeaux, que leurs insertions fémorales.
Région
fémoro-poplitée. H. Extrémité inférieure du tro
ancette qui fait la ponction. Figure 5. Anatomie chirurgicale de la
région
malléolaire interne au point de vue de la saignée
re à éclairer le fond des plaies. Figure 2. Détails anatomiques des
régions
sus et sous-claviculaires. Cette figure explicati
lairer le fond des plaies. (Voyez, pour l'anatomie chirurgicale des
régions
sus et sous-claviculaires, pl. 43, fig. 2). OPÉ
ndue, une incision cruciale a mis à découvert une large portion de la
région
fronto-pariétale. Quatre couronnes de trépan ont
nde qui soulève et détache en masse toutes les parties molles de la
région
antérieure. B. Anse postérieure qui écarte et i
de la jambe, du plan horizontal de section des os et des chairs de la
région
interne et, en dehors, d'un vaste lambeau dermo-m
iliter la locomotion après l'amputation de la jambe, sur-tout dans la
région
malléolaire. L'appareil se compose d'un pied arti
itations cardiaques, angoisse et douleurs irradiantes partant de la
région
précordiale. On le soigna pour une maladie de coe
ige ce qui incommode le plus le malade ce sont des douleurs dans la
région
précordiale, qui l'angoissent beaucoup et qui par
l- heureusement pas ausculté sur les apophyses mastoïdes et dans la
région
occi- pitale, ce qui nous aurait révélé peut-êt
auche du pont et du bulbe. Mais nulle part on n'a constaté dans ces
régions
des endroits ramollis, de consistance amoindrie
rt une différence dans la con- sistance des circonvolutions, aucune
région
indurée ou ramollie. Les hémi- sphères furent d
st fortement aplatie dans toute son éten- due, mais surtout dans la
région
où le bulbe passe dans la protubérance, son apl
bulbe passe dans la protubérance, son aplatissement diminue dans la
région
caudale, du côté de la moelle épinière ; elle e
aplatie comme la pyramide et les autres parties du bulbe dans cette
région
, et présente une diminution très sensible de se
longée en remontant vers la protubérance, on découvre dans diverses
régions
du bulbe à gauche des modifications pathologiques
érable des cellules nerveuses et leur disparition en masse, dans la
région
où se continue le noyau de Monakow, ainsi que dan
s à la partie médiane du corps restiforme) (Voir PI. I, B). Cette
région
de substance grise que Gudden et Mingazzini ont a
coupes du côté cérébral jusqu'à la terminaison de ce noyau, dans la
région
où le noyau de Deiters commence ai apparaître.
la partie dorso-latérale de ce noyau qui est- surtout dégénérée. La
région
correspondante du noyau dorsal du corps restifo
ut être constatée dans les coupes de toute la série, jusque dans la
région
supérieure du pont de Ya- role, à la hauteur de
Reil sont encore moins nombreux à gauche qu'à droite. C'est dans la
région
antérieure de la protubérance que la compression
ssion de l'iinévrysme surtout dans sa partie caudale (PI. I, B). Sa
région
ventrale est seule conservée, mais elle est déf
u central de la calotte de Bechterew qui prend naissance dans cette
région
, pour les fibres circum-oli- 1'aires et pour le
es du bulbe (PI. II, D). Protubérance. - La partie inférieure de la
région
du pont de Varole à gau- che près de la ligne m
culée est comprimée dans toute sa longueur à droite, jusque dans la
région
de la calotte. On constate partout une diminu-
leux gauche est dans un état de nécrose intense par compression. La
région
tout entière des vermis supérieur et inférieur
r substance médullaire cependant se trouve en grande partie dans la
région
nécrosée. Il n'y a de vraiment conservé que la
belleux moyen, qui est en partie dégénéré, et qui existe il côté de
régions
atrophiques du llocon et du lobe semi-lunaire su-
1, C). Le pédoncule cérébelleux supérieur est aussi détruit dans la
région
du toit du quatrième ventricule et de l'aqueduc d
ut être poursuivi jusque dans le côté opposé, de sorte que, dans la
région
de la décussation, on ne voit s'entrecroiser que
sa structure ; il est seulement refoulé et déformé, surtout dans la
région
des voies pyramidales. Le pédoncule cérébral ga
de Soemmering est égale des deux côtés. On ne voit pas nettement de
région
nettement dégénérée dans le pied du pédoncule c
éré- bral droit sont plus pauvres en fibres nerveuses que les mêmes
régions
à ga'uche. Les libres qui restent sont ondulées
normal, un peu moins développé cependant qu'il gauche. Thalamus ET
région
sous-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans
mus ET région sous-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans les
régions
les plus postérieures du corps de Luys, le thalam
La différence entre les deux côtés n'est plus autant marquée dans les
régions
antérieures du corps de Luys, surtout dans la s
le voisinage se voient jres très dilatées et remplies de sang. Les
régions
voisines dans le noyau ral du thalamus font aus
eur étaient irréguliers, mais on n'entendait pas de souffle dans la
région
précordiale. Le second bruit de l'aorte était ren
ollisse- ment produit par l'artério-sclérose dans le cervelet ou la
région
protubé- rautielle, en raison de l'habitus géné
'encé- phale, de la moitié gauche presque totale du cervelet et des
régions
de la protubérance et du pédoncule cérébelleux
cations produites dans le bulbe, le cervelet, la protubérance et la
région
sous-optique. Lorsqu'il ne s'agit pas d'artério
es troubles des mouvements des yeux, ceux de la sensibilité dans la
région
du trijumeau, au visage, etc. Dans notre cas ce
latentes les graves lé- sions, suites de la compression intense de
régions
cérébrales très impor- tantes. Malgré les gross
n'était que partielle, et les libres arci- formes internes de cette
région
étaient bien conservées dans leur majeure parti
tement à la place de la flèche moyenne qu'il y a une lacune dans la
région
indiquée. On sait que Edinger désigne sous le n
ans le ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 23 3 cervelet » la
région
où se trouve le noyau dorsal du corps restiforme
firmée par de nouvelles observations. La première flèche indique la
région
du soi-disant noyau terminal du pneumogastrique
minal deIilli- ker). On constate assurément qu'il existe dans cette
région
une diminu- tion sensible des fibres nerveuses.
la moindre trace d'une modification secondaire quelconque dans cette
région
. Il serait bien à désirer qu'Mdinger donnât des
seignements plus circonstanciés sur le groupe des cellules de cette
région
interne du corps restiforme qui ont disparu, dans
nes douloureux : douleurs lombo-sacrées que le malade localise à la
région
comprise entre la 5° vertèbre dorsale et le coc
prise entre la 5° vertèbre dorsale et le coccyx ; douleurs dans les
régions
lombo-costales, sur les parties latérales de ba
bres supérieurs il y en a quelques-unes extrêmement petites dans la
région
deltoïdienne et à la partie postéro-externe du
et à la partie postéro-externe du bras gauche. Dans cette dernière
région
se trouve une cicatrice légère, répondant à l'e
mement nombreuses surtout à la partie antérieure du thorax, dans la
région
épigastrique, dans les régions dor- sales. Sur
partie antérieure du thorax, dans la région épigastrique, dans les
régions
dor- sales. Sur la paroi abdominale il y en a u
ternale. Le dbs d'âne proémine de 7 centi- mètres sur le plan de la
région
sternale supérieure qui paraît normale. Le ver-
oliose très accentuée à concavité droite dont le sommet répond à la
région
dorsale inférieure, et une cyphose à long rayon
on dorsale inférieure, et une cyphose à long rayon s'étendant de la
région
cervicale à la région lombaire, Les os des memb
et une cyphose à long rayon s'étendant de la région cervicale à la
région
lombaire, Les os des membres restent normaux.
nées dont les sièges de prédilection sont les triangles de Scarpa,les
régions
sous-claviculaires, la face interne des bras, l
d'une pliure angulaire saillante en avant siégeant au niveau de la
région
de l'épine pu- bienne gauche. Viscères. - Le
laire avec ramuscules nerveux 5. Coupe F Coupe de la peau de la
région
sous-clavi- culaire au niveau d'nn fibrome der-
tions appréciables. Moelle. Au niveau de la moelle examinée dans la
région
cervicale dorsale et lombaire nous n'avons trou
eaux pie-mé- riens. Peau. * Des fragments de peau appartenant aux
régions
thoracique anté- rieure et crurale antérieure,a
sébacée dont l'intégrité histolo- gique est conservée. En certaines
régions
on ne trouve même plus de blocs fibreux constit
ment dans les différents points du corps, et en particulier dans la
région
cervicale, où elles pro- duisent des déformatio
et être remplacée par deux tumeurs siégeant symétriquement dans les
régions
sous-maxillaires. Sur les parties latérales de
latérales de la face apparaissent des déformations simi- laires aux
régions
parotidiennes et préauriculaires. Ces dernières s
s, tantôt allongées sous forme d'une amande, tantôt plaquées sur la
région
périauriculaire n la manière des prolongements
euses peuvent atteindre de telles proportions qu'elles débordent la
région
cervicale où elles ont pris naissance et tombent
cette hypertrophie monstrueuse. Les diverses tuméfactions dans les
régions
cervico-faciales, au lieu de rester indépendant
productions lipomateuses peuvent rester localisées uniquement il la
région
cervico-faciale. Le plus souvent une inspection m
périeures et internes des membres, tant au bras qu'à la cuisse, les
régions
pectorale, épigastrique, suspubienne, enfin, da
e, les régions pectorale, épigastrique, suspubienne, enfin, dans la
région
dorso-lombaire, les parties latérales de la col
raisseuse généralisée dans le cas de Virchow-SclIOLLmuller. La même
région
, moins le périnée, est envahie dans le cas de Buc
s tuméfactions est plus grand encore : on les voit envahir d'autres
régions
et devenir confluentes : elles mamelonnent la p
nguer trois variétés de tumeurs : les plus molles sont celles de la
région
sous-men- tonnière qui donnent souvent lieu à u
des autour des nombreux ganglions lymphatiques accumulés dans cette
région
. Ils consistent généralement en troubles respir
factions lipomateuses, diffuses, distribuées symétriquement au cou (
région
sus- hyoïdienne),. la face (région préauriculai
stribuées symétriquement au cou (région sus- hyoïdienne),. la face (
région
préauriculaire), à la tête (régions rétro- mast
gion sus- hyoïdienne),. la face (région préauriculaire), à la tête (
régions
rétro- mastoïdiennes), à la nuque-et aux aines.
de la face interne du bras, du côté interne de l'avant-bras, de la
région
lombaire, de la ligne blanche et de la cuisse.
st rouge et assez sensible. Aucune tumeur semblable dans les autres
régions
du corps. Le gros lipome diffus situé au mili
E (Launois et Brrrsrtrrde.) L'ADÉNO-LIPOMATOSE symétrique 49 La
région
sous-maxillaire est occupée par une tuméfaction l
. D'autres tumeurs graisseuses se trouvent sous le menton, dans les
régions
parotidiennes, au creux sus-ternal, au sommet d
ace dorsale de la main, de chaque côté de la ligne blanche, dans la
région
inguino-scrotale et dans l'aine. Perle de la mé
de trouble de la sensibilité de la paroi abdominale au niveau de la
région
gastrique ; on sait que l'anesthésie ou l'hyper
on gastrique ; on sait que l'anesthésie ou l'hyperesthésie de cette
région
ac- compagne en effet souvent les troubles sens
l'ombilic, on pourrait croire à une zone pseudo-ovarienne, mais la
région
douloureuse est située un peu haut. Son centre
ue du rein ne permet pas d'atteindre son extrémité inférieure et la
région
lombaire n'est pas douloureuse. Au cours de ces
de diarrhée et de constipation, ballonnement localisé en certaines
régions
de l'abdomen, renvois gazeux sans goût ni odeur
Josserand, chirurgien des hôpitaux,uncasde tumeur congénitale de la
région
lombaire qui nous a semblé digne d'être relaté, d
distingue nettement de ceux qu'on ob- serve ordinairement dans ces
régions
; on trouve, en effet, soit des tumeurs congéni
régions ; on trouve, en effet, soit des tumeurs congénitales de la
région
sacro-coccygienne étudiées notamment par Cal- b
(Paris, 1893), soit desspina-bifida ; soit enfin des lipomes de la
région
lombaire. Or notre cas ne rentre dans aucune ces
le sens antéro-postérieur. Le pédi- cule s'étend en bailleur, de la
région
sacrée à la neuvième ou dixième vertèbre dorsal
run, cette pigmen- tation continuant au pourtour du pédicule sur la
région
lombaire et s'ar- rêtant à une ligne nette, irr
phie DE la Salpêtrière. T. XIII. Pl. XIV TUMEUR CONGÉNITALE DE LA
RÉGION
LOMBAIRE 73 nexions de la tumeur avec le canal
e 25 centimètres de longueur, verticale et médiane, au niveau de la
région
lombaire. La peau présente de nombreux plis hor
aisemblable- ment pas de généralisation. TUMEUR CONGÉNITALE DE LA
RÉGION
LOMBAIRE 75 Voilà le fait : comment l'interprét
de sa consistance inégale, à une tumeur à tissus multi- ples de la
région
sacro-coccygienne; mais il était facile de se con
sertion de la tumeur se faisait beaucoup plus haut, au niveau de la
région
lombaire, et ultérieurement l'examen histologique
eure. Nous sommes donc amenés à éliminer les tumeurs spéciales à la
région
: nous avons affaire à un néoplasme qu'on pourr
vrons-nous dire : fibro-myxome d'origine congé- nitale, inséré à la
région
lombaire sur l'arc postérieur des vertèbres, se
ques, FiG. 1. - Face inférieure de l'encéphale (la tumeur occupe la
région
ombrée). UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEP
ecte les rapports indiqués nettement par la figure 1.11 repose sur la
région
de la base du 3e ventricule depuis l'espace per
ve de la tumeur dans notre cas portait au maximum exactement sur la
région
qu'on a trou- vée altérée dans les cas de Gayet
qu'on a trou- vée altérée dans les cas de Gayet et Wernicke. Cette
région
était comme l'on sait dans ces derniers cas, la
istence d'un centre du sommeil dont le siège dèvrait se placer à la
région
lésée par la polioencéphalite supérieure. Mais je
t, virent apparaître à la suite une déformation vertébrale de cette
région
. L'examen méthodiquement pratiqué de ces malade
hez laquelle on avait remarqué une légère gibbosilé angulaire de la
région
lombaire. On crut tout d'abord à une altération
- lombaire avec scoliose à concavité tournée à gauche à l'union des
régions
dorsale et lombaire. Nodosités volumineuses indol
appé par l'existence d'une gibbosité très accentuée au niveau de la
région
dorso-lombaire et d'une voussure située à la part
baire et d'une voussure située à la partie postéro-inférieure de la
région
latérale droite du thorax..Les doigts, promenés d
t les bosselures, on constate une forte scoliose à l'union des deux
régions
dorsale et lombaire, à concavité tournée à droite
s et des trois lombaires et ayant sa convexité tournée à droite. La
région
lombaire forme un angle à sommet dirigé en arri
rieurs en totalité dans la moitié inférieure de la moelle. Dans la
région
cervi- cale, les cordons de Goll sont seuls scl
une antéro- postêrieure, cyphose lombaire sans gibbosité angulaire.
Région
sacrée plane, en- foncée. Apophyses épineuses s
augmentée en masse, régulièrement par ailleurs, sauf cependant à la
région
postérieure. Les condyles du fémur, les plateaux
t épaissies, en volumineuses saillies sous la peau. Au- dessous, la
région
sacrée est plane et paraît enfoncée. 'Au-dessus,
rachidiennes sont saines. Au niveau des vertèbres altérées ! dans la
région
lombaire, la dure-mère est un peu épaissie. l L
t de netteté et paraissent le siège d'altérations qui ont atteint les
régions
voisines. Sur le bord interne du fémur appara
t séparées du corps du fémur; l'opacité en est variable suivant les
régions
, mais en général assez peu marquée, ce qui indiqu
e, on constate des exostoses con- sidérables qui déforment assez la
région
pour que le diagnostic entre la luxa- tion et l
d'une hypertrophie de tout le membre supérieur droit et aussi de la
région
latérale et postérieure du thorax du même côté
nt partiellement réductibles et sur le thorax en particulier clans la
région
rétro-axillaire et au niveau du gril costal son
r les tumeurs que nous étudions ; la plus volumineuse siège dans la
région
dor- sale postérieure droite au niveau de la po
ré- sente une ectasie vasculaire du membre supérieur droit et de la
région
thoracique latérale. Cette ectasie se traduit p
ET GEORGES GUILLAIN . giome.Ces derniers siègent rarement dans ces
régions
et la présence du sang dans le contenu des lymp
vasculaires développées sur le membre su- périeur droit et dans la
région
supérieure et latérale du thorax. C'est un l'ai
ous la forme simple, consécutivement à une lésion unilatérale de la
région
pédonculo-protubé- rantielle. Il s'ensuit qu'un
o-protubé- rantielle. Il s'ensuit qu'une lésion bilatérale de cette
région
pourra déter- miner une double paralysie altern
s de céphalée très vive, plus marquée du côté droit au niveau de la
région
temporale, céphalée continue, persistant le jou
rasme. L'autopsie montra l'existence de lésions bilatérales dans la
région
pérlon- culaire. Une coupe tranversale(PI. 1VII
s régulier, l'appétit est bon,mais elle souffre de constipation. La
région
ovarienne gauche est sensible à la pression.
où les premières masses lipomateuses diffuses apparaissent dans des
régions
autres que le cou ou la nuque. Les lipomes co
ou L'ADÉIVO-LIP011ATOSE SYMÉTRIQUE 185 moins volumineux dans les
régions
cervicales antérieure et postérieure; « mais ce
distinctifs sont les suivants : ils siègent primitivement dans les
régions
sus-claviculaires, ils apparaissent souvent d'une
e possible avec d'autres masses graisseuses siégeant en différentes
régions
du corps. M. Potain a signalé,chez certains de
rneville et d'Ollier on trouve même signalées non seulement dans la
région
sus-ciavicuiaires, mais au-dessous des aisselle
crétantes de la peau. En général, la fréquence des lipomes dans une
région
est en rai- son inverse de la richesse de cette
ans une région est en rai- son inverse de la richesse de cette même
région
en glandes sébacées et su- L'ADÉNO-LIPOMATOSE S
système nerveux dans la production des tumeurs. Si les muscles des
régions
atteintes subissent parfois une diminution de leu
évolution. Le siège de prédilection des tuméfactions au niveau des
régions
où .existe normalement de nombreux ganglions ly
doit reconnaître néanmoins que les tumeurs peuvent siéger dans des
régions
(épaule, région scapulaire, colonne ver- tébral
néanmoins que les tumeurs peuvent siéger dans des régions (épaule,
région
scapulaire, colonne ver- tébrale, épigastre, pu
bras, au niveau du pli du coude (Allas de Sappey), sur les diverses
régions
du thorax (Atlas de Cloquet). D'un autre côté, le
it pas habituellement des ganglions normaux : au cuir chevelu, à la
région
cla- viculaire, au dos, près de l'omoplate, aux
rices lymphatiques du derme à la jambe gauche, sans oedème, dans la
région
du triangle de Scarpa du même côté, une tumé- f
au niveau du cou et de la nuque, des creux axillaires et inguinaux,
régions
si riches en ganglions et en ré- seaux lymphati
aines. Les tumeurs sont bilatérales et symétriques et occupent : la
région
mas- toïdienne, la partie inférieure et postéri
gion mas- toïdienne, la partie inférieure et postérieure du cou, la
région
sus-ma- xillaire, la région lombaire, la région
ie inférieure et postérieure du cou, la région sus-ma- xillaire, la
région
lombaire, la région sus-ombilicale, sous-ombilica
térieure du cou, la région sus-ma- xillaire, la région lombaire, la
région
sus-ombilicale, sous-ombilicale et le pli du co
bilicale, sous-ombilicale et le pli du coude. Les 2 tumeurs de la
région
mastoïdienne ont été enlevées. (1) Depuis notre
no-li- pomateux typique, quoique peu développé (bosselures dans les
régions
sus-hyoïdienne, sous-maxillaires, rétromasloïdi
x aines. Actuellement il présente des lipomes symétriques, dans les
régions
sous-maxillaires, rétro-mastoï- dienne, pectora
rne et supérieure des deux bras. Les tuméfactions globuleuses de la
région
pec- torale ressemblent aux seins d'une jeune f
ier lipomateux et présente d'autres tuméfactions graisseu- ses à la
région
préauriculaire, à la région mammaire, à la paroi
'autres tuméfactions graisseu- ses à la région préauriculaire, à la
région
mammaire, à la paroi interne du creux axillaire
abdominale, de chaque côté de la colonne lombaire, aux aines, à la
région
poplitée et au-dessus des poi- gnets. Il existe
ans par une grosseur lombaire. Tumeurs lipomateuses à la nuque, aux
régions
pa- rotidiennes, mastoïdiennes, sus-acromiale,
ie du gaz. Début assez brusque y a 5 ans par des tuméfactions de la
région
parotidienne. Tuméfaction dif- fuse de la régio
tuméfactions de la région parotidienne. Tuméfaction dif- fuse de la
région
cervico-faciale. Tumeurs lipomateuses dans les fo
située derrière les oreilles. Lipomes diffus et symétriques dans la
région
sous-occipitale, sous le menton, au niveau des
sous le menton, au niveau des premières vertèbres dorsales dans les
régions
mammaires et pubienne ; dos capitonné de masses
s à des instruments péné- trants et 1 il une brûlure profonde de la
région
temporale chez un enfant. Considérés au point d
bâton, de manche à balai,un autre reçoit un coup de couteau dans la
région
pariéto-temporale et on retrouve un fragment de
ant qu'à droite. y a une atrophie considérable des muscles de cette
région
, les ré- gions sus et sous-épineuses sont excav
ennent ensuite en contracture. Le côté gauche du thorax depuis la
région
claviculaire jusqu'à l'arcade crurale DE L'HÉMI
lessent le plus souvent le voi- sin. Quelles sont les différentes
régions
du crâne le plus souvent atteintes dans l'hémip
tteintes dans l'hémiplégie traumatique ? C'est en première ligne la
région
du parié- 216 RENÉ MARTIAL tal gauche, jusqu'
pour expliquer cette prédominance et d'une manière plus générale la
région
des pariétaux, y compris leur ligne de suture, pu
le la région des pariétaux, y compris leur ligne de suture, puis la
région
tem- porale droite, puis la région orbitaire, l
is leur ligne de suture, puis la région tem- porale droite, puis la
région
orbitaire, la région malaire et en dernier lieu
re, puis la région tem- porale droite, puis la région orbitaire, la
région
malaire et en dernier lieu les régions occipita
puis la région orbitaire, la région malaire et en dernier lieu les
régions
occipitale, frontale et palatine. Il y a bien un
orrespondant à la fréquence re- lative des traumatismes suivant les
régions
du crâne. Mais tous les coups appliqués sur les
suivant les régions du crâne. Mais tous les coups appliqués sur les
régions
mêmes les plus exposées, ne sontpas suivis d'hé
qué. Le len- demain je trouve la blessée dans l'état suivant : à la
région
temporale gauche à deux travers de doigt en arr
de sang soit par le nez ou la bouche, soit par les oreilles, toute la
région
temporale est le siège d'une vive sensibilité,
l'aphasie n'a pas lieu de surprendre. Nous avons cité, en effet, la
région
temporale comme la plus fréquemment atteinte pa
ions du caractère de l'homme à la suite de lésions du crâne pour la
région
frontale » Leonore IVelt rapporte de expérience
hapeau et, poursuivi, il prit la fuite. Il avait été frappé dans la
région
du pariétal droit. En saisissant sa canne et son
ier cervico-facial ; 2 tumeurs symétriques à la nuque ; une dans la
région
dorsale interscapulaire, une sur chaque épaule de
cale, derrière l'oreille droite, au creux sus-claviculaire, dans la
région
dorso-lombaire au niveau des dernières côtes (à g
la face laté- rale droite du cou. Progressivement, elle a gagné la
région
sus-hyoïdienne et enfin elle a envahi la face l
ntinue en arrière avec une autre tumeur bi- lobée qui siège dans la
région
de la nuque. De telle sorte que la tumeur a env
qu'en arrière et dé- primé sur les parties latérales. Au niveau des
régions
parotidiennes elle déborde de chaque côté, en a
est plus ferme, comme celle des fibro-lipomes. Les tumeurs de la
région
postérieure du cou sont un peu plus tendues, à
et tout près de la ligne verticale des apophyses épineuses, dans la
région
lombaire. Une petite tumeur assez profonde, sur l
Une petite tumeur grosse aussi comme une noix sous-cutanée, dans la
région
de l'hypocondre droit, toujours avec la même co
d'éviter la lésion des gros ^aisseaux et des nerfs importants de la
région
, englobés de toutes parts par le tissu graisseu
avec tumeur. Un sillon à la sur- face de celle-ci parait séparer la
région
sous-maxillaire de la région sus- claviculaire.
ur- face de celle-ci parait séparer la région sous-maxillaire de la
région
sus- claviculaire. De chaque côté, on trouve
énuer l'in- tensité de ses douleurs par la compression manuelle des
régions
endolories; ce- pendant les gencives paraissaie
nnière qui est proéminente. La mâchoire inférieure, surtout dans la
région
du menton, est comme enclavée dans la mâ- 256 S
en soule- vant un sac, douleur violente mais vite disparue dans la
région
sacrée. En 1881, apparition de mouvements vacil
x épaules, à la face, au cuir chevelu. Douleurs térébrantes dans la
région
lombaire. Douleurs constrictives dans la région
térébrantes dans la région lombaire. Douleurs constrictives dans la
région
lombaire, la région épigastrique, le front et la
région lombaire. Douleurs constrictives dans la région lombaire, la
région
épigastrique, le front et la tète. Crises vési-
voix, avec dyspnée et sensation de déchirement de la gorge et de la
région
sous-sternale. Dans l'intervalle des accès, la
re et se termine à la dernière vertèbre lombaire. En même temps, la
région
dorsale inférieure trouve une lordose très marq
n dorsale inférieure trouve une lordose très marquée, tandis que la
région
lombaire présente une cyphose mo- dérée. Dans
hose mo- dérée. Dans le fond de cette excavation lordotique de la
région
dorsale, on arrive il palper très facilement la
gauche se montrent plus facilement encore, les modifications de la
région
dorsale inférieure et de la région lombaire resso
encore, les modifications de la région dorsale inférieure et de la
région
lombaire ressortent encore davantage. Plusieurs
phose lombaire. La palpation un peu forte ou la pression dans cette
région
ne détermine pas de la douleur mais fait naitre
la douleur mais fait naitre une sensation désagréable. Quant à la
région
dorsale, on sent nettement une cavité entre les a
ient entassées à cet endroit. Il n'existe point non plus dans cette
région
de point douloureux cons- tant. Dans le décub
ction ni épaississement anormaux. D'autre part, on remarque dans la
région
lombaire droite une foule de plis cutanés en diag
ophyses épineuses sont sur- tout saillantes et volumineuses dans la
région
dorsale supérieure et dorso-Iom- baire. La co
six à sept gros plis cutanés qui vont s'épanouir en éventail dans la
région
dorsale postéro-inférieure. Enfin le bassin p
ns sa partie supérieure sans gibbosité angulaire. Enfoncement de la
région
omëo-sacrëe. Apophyses épineuses dorsales infér
surface. Pas d'anesthésie épigastrique profonde. Insensibilité des
régions
ovariennes. Pas de douleur à la pression de la
illie sous la peau; elles sont espacées et laissent entre elles des
régions
dépressibles au fond desquelles on sent les corps
ru de très gros bruits de craquements articulaires, au niveau de la
région
lombaire et dans les mouvements de flexion et d'e
autant plus accusée qu'elle se rappro- che du sacrum. Au-dessus, la
région
cervico-dorsale présente une courbure de compen
igri laisse voir la saillie des apophyses épineuses surtout dans la
région
lombaire. L'hémithorax gauche est plus développ
ni douleur localisée, ni douleurs irra- diées, et en particulier la
région
lombaire est absolument indolore. Jamais non pl
arquée, accompagnée d'une scoliose à convexité tournée à gauche. La
région
lombaire ne présente aucune modification dans l
uit une déformation lente de la colonne vertébrale. La courbe de la
région
dorsale supérieure est très augmentée. Les apop
a sixième ou septième vertèbre dorsale et vient se terminer dans la
région
lombaire. L'hémithorax gauche est aplati, diminué
animaux auxquels nous avons réséqué le nerf pneumogastrique dans la
région
du cou, avec son aide et sous sa haute directio
et la descrip- tion des coupes des ganglions plexi formes et de la
région
bulbaire en connexion avec le pneumogastrique r
ppliquer indif- féremment à toutes les cellules de n'importe quelle
région
du 'névraxe. Grâce à son procédé spécial de col
orme, nous avons réséqué le nerf pneumogastrique chez tous, dans la
région
cervicale, sur une longueur variant de un à deux
ue cas. ' Expérience I. Lapin adulte auquel on a réséqué, daus la
région
du cou, le pneumogastri- que droit sur une long
Jeune chat auquel on a réséqué le nerf pneumogastrique droit dans la
région
cervicale, avec les précautions ordinaires, sur
e. - Les lames et les lamelles sont très atrophiées dans toutes les
régions
du cervelet et l'atrophie porte sur les trois cou
le vermis que dans les hémis- phères. Dans le vermis, ce sont les
régions
centrales qui sont les moins atrophiées ; c'est
eu nets, obscurs, leur noyau irrégulier ou mal coloré. Dans cette
région
il n'existe ni hyperplasie névrogliqne, ni épaiss
onsidéré dans son ensemble, qui sont plus réduites. Les festons de la
région
postéro-interne du corps dentelé sont toutefois
XLVII, A, B, C). a) Moelle. - L'examen des fragments prélevés à la
région
dorsale et à la région lombaire, et examinés so
elle. - L'examen des fragments prélevés à la région dorsale et à la
région
lombaire, et examinés soit par la méthode de Pal,
les et colorées au carmin ne laisse aucun doute à cet égard. A la
région
cervicale, il y a deux particularités à relever :
avec les parties adjacentes du lobe semi- lunaire supérieur (cette
région
hémisphérique contient en effet plus de fibres à
consulter, à 4 ans. A cette époque, il a souffert de douleurs ;i la
région
précordiale, de pal- pitations, les digestions
des racines antérieures et des racines postérieures montre qu'à la
région
cervicale et à la région lombaire, il existe be
et des racines postérieures montre qu'à la région cervicale et à la
région
lombaire, il existe beaucoup plus de libres fin
lésions dans toute sa hauteur, particulièrement prononcées dans la
région
cer- vicale ; elles intéressent le faisceau de
al limitée, légèrement voilée. Léger degré de cyphbscoliose de la
région
dorsale il concavité dirigée à gauche Lorsqu'il
iculièrement dans la moelle dorsale, paraissent atrophiées. Dans la
région
moyenne de la moelle dorsale la petitesse de la
tégrité relative des noyaux centraux ou la conservation de quelques
régions
de l'écorce dans la plupart des cas et d'autre
servés nous-même, nous avons relevé 43 fois la mention exacte de la
région
du crâne atteinte par le coup. En voici la liste
iste par ordre de fré- quence : 372 RENÉ MARTIAL . choc sur les
régions
temporale et pariétale, ou plus généralement sur
sur les régions temporale et pariétale, ou plus généralement sur la
région
temporo-pariétale. Dans ces plaies, le cuir che
nné ci-dessus au sujet de la fréquence des traumatismes suivant les
régions
qu'ils affectent, la partie de la calotte crâni
ection accompagne l'hémiplé- gie. Il s'agit là d'une lésion de la
région
calcarine qui est considérée comme une sphère v
laquelle les radiations visuelles peuvent être atteintes dans cette
région
. La lésion peut d'ailleurs être produite par l'
orce, ne pénétrant cette dernière qu'en un point trop éloigné de la
région
calca- rine. Les traumatismes portant sur la
r une paralysie. D'habitude cette dernière survient par lésion delà
région
temporo-pariétale, l'os tem- poral n'étant guèr
ant guère plus souvent atteint que le pariétal. Lorsque, dans cette
région
, survient une fracture avec enfoncement, la paral
dernières se 374 RENÉ MARTIAL produisent le plus souvent dans la
région
temporo-pariétale, il est plus rare qu'elles af
ro-pariétale, il est plus rare qu'elles affectent principalement la
région
pariéto-occipitale ou la région fronto-temporal
u'elles affectent principalement la région pariéto-occipitale ou la
région
fronto-temporale. En tout cas il résulte de la lé
Foc. XV. La coucho optique est atteinte, le trauma a porté dans la
région
temporo-coronale. Fie. XVI. Le corps strié, l'e
couche optique, dupédoncule) oucompliquée : de troubles psychiques (
région
antérieure de la capsule), de paralysie du mote
direction de coups frappés aussi normalement que pos- sible sur la
région
temporale,sur une ligne si tuée 7 centimètres au-
nte, le sont aussi par simple contusion. Ainsi les vaisseaux de ces
régions
profondes peuvent céder et s'ouvrir, sans que c
ette optique, et finalement fut retrouvée dans l'hémisphère droite,
région
pariétale à peu de distance de la faux du cerve
in, le quatrième sujet qui s'était tiré un coup de revolver dans la
région
temporale droite dut être trépané. On ouvrit au d
l présente ceci de commun que ce sont toujours à peu près les mêmes
régions
cérébrales qui sont blessées. N'avons-nous pas vu
t la même et que le plus grand nombre des traumatismes porte sur la
région
temporo-pariétale. Mais il y a un fait à remarq
e 24 ans, reçut, il y a sept ans, un coup d'un long couteau dans la
région
temporale gauche. Il eut une abondante hémorrha-
onyme droite qu'il ne soupçonnait pas lui-même. Il y avait, dans la
région
temporale une cicatrice linéaire longue de 2 cent
difier davantage une fois la barrière franchie. Néanmoins certaines
régions
cérébrales sont plus exposées au trauma- tisme.
le ; NC, noyau caudé, portion postérieure du ventricule latéral; C,
région
calcarimene. 1o'1G. Y. - Face externe dun cerve
e cerveau en laissant les broches en place et, disséquant un peu la
région
, nous avons constaté que d'un côté comme de l'a
on IX) le tube perforant a dû passer de l'os malaire droit, sous la
région
zygomatique et est arrivé à la base du FiG. 10.
u en arrière. La zone motrice est donc touchée, précisément dans la
région
des monoplégies crurales. Chez un malade de Gra
ération, résultat d'une propagation de voisinage, et siéger dans la
région
du pédoncule ou du mésocéphale adjacents : méning
e altération, il s'est développé un foyer de ramollissement dans la
région
de la sylvienne gauche. Ce foyer se propageant de
ble au niveau de la corne sphénoïdale. A la face ex- terne de cette
région
existe une énorme. saillie fluctuante dont nous s
it moins accentuée qu'au- jourd'hui. 402 ACHARD ET LCKPER et la
région
lombaire, et d'une certaine lassitude générale. I
puisqu'aucun trouble concomitant ni de la santé générale, ni de la
région
atteinte n'a pu être décelé. Il est ce- pendant
inguinale droite. Mis en nourrice, il dépérit rapidement ; dans la
région
lombaire, au-dessus de la crète iliaque gauche
eau du scro- tum pas de testicules. A droite hernie inguinale. La
région
lombaire présente une pigmentation brune sensible
n d'eux à l'exclusion des autres et se montre alors surtout dans la
région
dorsale. Elle crée aussi une cyphose dorsale co
r maintenir l'équilibre du thorax. Son siège de prédilection est la
région
lombaire; elle est ordinai- rement à connexité
ses épineuses, tuméfiées, dures, espacées, laissant entre elles des
régions
dépressibles, au fond desquelles on sent les corp
ement installée. Les lésions ont leur siège de prédilection dans la
région
lombaire. 11 nous faut donc examiner les déform
occupe un segment limité de la colonne dorsale el se montre dans la
région
dorso-lombaire (obs. I), dans la région lombaire
orsale el se montre dans la région dorso-lombaire (obs. I), dans la
région
lombaire seule (obs. IV et VI). Une troisième v
anales : leur seule carac- téristique est leur prédominance dans la
région
lombaire. Banales seront aussi par suite les dé
er dans le notnei espace inler-apophysaire et palper ai- sément les
régions
sous-jacentes. Ailleurs on seul une apophyse épin
opathies vertébrales tabétiques se localisent dé préférence dans la
région
lombaire et une loi de pathologie générale ver-
autour de l'ombilic en avant; i, ils se perdent en arrière dans la
région
lombaire. La taille paraît petite, le corps dis
n doux cathartique, - Pour chasser l'humeur plileginatique, De la
région
céphalique; etc. Au XVIIe siècle, la tabatièr
e d'appendices collatéraux et même de leur disparition totale. 2.
Région
occipitale. - La quantité d'appendices collatérau
uantité d'appendices collatéraux qui couvrent les dendrites dans la
région
occipitale comparativement avec les lobes frontau
a surface de l'écorce cérébrale. 3. Zone motrice du côté gauche. a)
Région
supérieure. - Sur bien des préparations on reçu
ui peut être observé assez souvent sur les dendrites basilaires. b)
Région
médiane. Le tableau microscopique a été approxi
ue a été approximativement le même que sur les prépa- rations de la
région
supérieure. L'examen des préparations de l'écor
ne déformation bien plus marquée dans les lobes frontaux et dans la
région
motrice gauche, que dans les lobes occipitaux. Da
ant les dendrites,a été bien moins grand comparativement à d'autres
régions
. L'état variqueux des prolongements protoplasma
es, comme, par exemple, sur celles du lobe frontal et surtout de la
région
motrice, on voyait une imprégnation d'un nombre
modifications sont les mêmes que celles dans le lobe frontal. C)
Région
motrice. - a) Partie supérieure. - Pour l'examen
ais seulement il y a ici bien moins de foyers de ramollissement. C)
Région
motrice (médiane et inférieure). - A l'examen sou
cérébrale et de la substance blanche sous-jacente de diffé- rentes
régions
des deux hémisphères, nous voyons que les prépara
égions des deux hémisphères, nous voyons que les préparations de la
région
motrice gauche diffèrent le plus des autres prépa
primaire; en outre il faut encore remarquer que par places dans la
région
motrice gauche nous avons rencontrer assez souven
voquaient l'apparition d'une masse de glo- bules granuleux. Dans la
région
motrice droite il y avait comparativement peu d
avec dégénérescence et désagrégation de la myéline. Dans les autres
régions
de l'écorce cérébrale on n'en observe que par pla
ut être suivi à travers la capsule interne gauche. En outre dans la
région
postérieure du genou postérieur on rencontre de
formation d'une masse de globules granuleux saute aux yeux dans la
région
du pied du pédon- cule du côté gauche. On voit
cellules'nerveuses sont rem- plies ici de pigment noir. V. De la
région
du pont de Varole a été prise la moitié gauche et
ssibilité de nous assurer, que les fibres dégé- nérées allant de la
région
motrice de l'hémisphère gauche descendent par les
aussi des blocs noirs de myéline modifiée. Moelle épinière. - I.
Région
cervicale. - a) Plus haut de l'intumiscence cervi
rations à l'oeil nu on voit une dégénérescence très marquée dans la
région
du cordon pyramidal du faisceau latéral ; l'endro
roit le plus dégénéré nous voyons que la dégénérescence approche la
région
externe de la corne postérieure où la limite inte
on rencontre plus de blocs noirs menus sur la péri- phérie dans la
région
du faisceau droit de B1t1'dach,du faisceau cérébe
radiculairees on ne rencontre qu'une dégénérescence disséminée. La
région
du canal central présente à de petits grossisse
ainsi que de la corne postérieure. b) Inlumiscence cervicale. - La
région
, où la dégénérescence est la plus marquée, a ap
ure ; l'angle postérieur du champ de dégénération, visible, dans la
région
située plus haut, apparaît ici comme coupé. L'e
e Türck est un peu plus rapproché du canal central. Dans les autres
régions
on observe appro- ximativement le même tableau,
régions on observe appro- ximativement le même tableau, que dans la
région
située plus haut de l'intu- miscence cervicale.
ans la région située plus haut de l'intu- miscence cervicale. Il.
Région
dorsale. - L'endroit de la plus grande dégénéresc
de la corne postérieure et la base au niveau du canal central ; la
région
de dégénérescence, en se raréfiant un peu, atte
moins rem- bourrées que les cellules de la corne antérieure. III.
Région
lombaire. - Plus bas que l'intuntiscence lombaire
tiscence lombaire à l'aeil nu on voit quoique pas très nettement la
région
dégénérative, située ventralement de la corne p
les racines postérieures a augmenté de beaucoup, surtout dans leur
région
intramédullaire. Les cellules de la corne antérie
les noirs. IV. Cône médullaire. - Même à l'oeil on aperçoit déjà la
région
dégénéra- tive dans les cordons postérieurs de
fibres dégénérées, parsemées çà et là, restent aussi dans d'autres
régions
de la substance blanche. V. Au niveau de la que
en contiennent plus. d'autres moins. VI. Coupe longitudinale de la
région
dorsale de la. moelle épinière,- Nous nous assu
ous avons déjà vu la dégé- nérescence à l'examen des morceaux de la
région
motrice de l'écorce cérébrale et de la substanc
côté opposé est plus dégénéré que celui du côté gauche. Déjà dans la
région
dorsale la dégénérescence des faisceaux de Tùrc
rnant l'endroit, occupé par le faisceau pyramidal dégénéré dans les
régions
dorsale et cervicale de la moelle épinière. il
inière. il faut remarquer, que son bord interne est contigu avec la
région
externe de la corne postérieure presque sur toute
les enveloppes spinales. La lésion des cordons postérieurs dans les
régions
infé- rieures de la moelle épinière est plus pr
nfé- rieures de la moelle épinière est plus prononcée, que dans les
régions
supé- rieures, ce qui dépend de cela que les fi
pend de cela que les fibres radiculaires sont plus altérées dans la
région
lombaire, que dans la région cervicale ; la parti
adiculaires sont plus altérées dans la région lombaire, que dans la
région
cervicale ; la partie intra-médullaire des raci
; la partie intra-médullaire des racines est plus altérée, que leur
région
extra-médullaire. Les cellules de la corne anté
E GÉNÉRALE 487 Coloration par les couleurs basiques d'aniline. I.
Région
cervicale (coloration par le bleu de méthylène et
s les blocs chromophiles se sont bien conservés (Pl. LXXII, F). II.
Région
dorsale (coloration par le bleu de polychrome). -
ets ; par places on voit une position excentrique du noyau. .111.
Région
lombaire (coloration par le bleu de toluidine,le
onserve une position centrale et assez souvent passe aussi dans les
régions
périphériques du corps cellulaire ; assez souvent
sont diminués en volume. Coloration par l'hématoxyline d'Apathy.
Région
lombaire. Puisque nous avons déjà parlé en détail
a paralysie générale. Procédé DE BUSCH. I. Hémisphère rauclte.-a)
Région
frontale.- Les cellules nerveuses con- tiennent
osés en groupes, auprès de la périphérie de l'écorce cérébrale.- b)
Région
occipitale.- On observe appro- ximativement le
uvent ressortant sur un fond plus clair d'une forme irrégulière.-c)
Région
motrice.- Pour l'examen furent pris six morceau
xprimé dans un degré bien plus faible. Là, sur les préparations de la
région
motrice de l'écorce cérébrale et de la substanc
bres dégénérées disséminées s'accumulent en grande quantité dans la
région
médiane du pied du pédoncule des deux côtés. Le
la moelle épinière, et aussi à un degré moins grand dans les autres
régions
de la substance blanche et çà et là dans la subst
s ; quelques-unes des cellules en sont pleinement rem- plies. - b).
Région
dorscrle.'llacroscopiguement on voit la dégénéres
voit la dégénérescence dans les mêmes systèmes comme aussi dans les
régions
décrites plus haut, quoique la figure de la dég
un peu changé ; on voit aussi à l'oeil nu la dégénérescence dans la
région
antérieure des cordons postérieurs. A l'examen
x pyramidaux latéraux, dans les cordons de Türck et dans les autres
régions
de' la substance blanche porte approximativemen
e approximativement le même caractère que la dégé- nérescence de la
région
cervicale. La dégénérescence dans la région antér
dégé- nérescence de la région cervicale. La dégénérescence dans la
région
antérieure des cordons postérieurs se trouve, à
ordons de Clarke contiennent aussi beaucoup de globules noirs. - c)
Région
lombaire supérieure. - On voit macroscopiquemen
tère disséminé. On observe une dégénérescence assez accusée dans la
région
postérieure des cordons postérieurs, dans les rac
scence, quoique à un de- gré bien plus faible, existe dans d'autres
régions
de la substance blanche. La dégénérescence des
ccusée. Une accumulation très marquée des fibres dégénérées dans la
région
ma- trice du pied du pédoncule peut être envisa
eut être envisagée comme la continuation de la dégénérescence de la
région
motrice de l'écorce cérébrale. Dans ce cas aussi
surtout des racines postérieures, est bien plus accentuée dans les
régions
inférieures de la moelle épinière que dans les ré
uée dans les régions inférieures de la moelle épinière que dans les
régions
supérieures de la moelle épinière; et ce fait à
donne une dégénérescence plus mar- quée des cordons postérieurs des
régions
inférieures de la moelle épinière si- tuées plu
centuée des fibres radiculaires et des cordons postérieurs dans les
régions
inférieures de la moelle épinière, que dans les p
SOUKUAKOFF ET GEIER res) a été envahie par la lésion plus que leur
région
extramédullaire, in- volontairement surgit l'id
supérieure droite suit plus lentement le mouvement de l'oeil. La
région
cervicale antérieure ne présente aucun changement
a face inférieure sont irrégulières, rugueuses, d'aspect poreux. La
région
malade ressemble à une lame de pierre ponce. Qu
par cette chute et par cette inclinaison du siège, surtout dans sa
région
lombaire ; elle sera dans l'incapacité désormai
ssus dystrophique. L'affection va se localiser : une vertèbre de la
région
lombaire présente LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉ
rces inverses, constantes, de grande intensité l'une et l'autre. La
région
lombaire est de plus la région la plus mobile de
rande intensité l'une et l'autre. La région lombaire est de plus la
région
la plus mobile de la colonne ver- tébrale ; c'e
tions banales, aux entorses vertébrales, plus fréquentes dans cette
région
que partout ailleurs, au lumbago, aux ostéo-art
ec des signes plus nets. L'ostéo-arthropathie est localisée dans la
région
lombaire : à ce niveau, existe une gibbosité, a
e IV. Chien adulte. On a réséqué le vago-sympathique droit, dans la
région
cervi- cale, avec les précautions ordinaires, s
du pneumogastrique droit, avec les précautions habituelles, dans la
région
du cou, sur une longueur de deux centimètres.
... La suppuration était tarie derrière l'oreille et la peau de cette
région
était dure et sèche. Le second jour, diminution
marquer un état paralytique et spasmodique alternativement dans les
régions
qui se succèdent à droite depuis la tête jusqu'
sorte que la face méningée regardait en dehors. Le cerveau, dans la
région
lésée, était réduit en bouillie on retira en ou
r l'arrêter. En saisissant l'animal, il éprouve une douleur dans la
région
occipi- tale gauche. Cette douleur persista, ma
ntre la moitié gauche de la face, y compris le nez, le men- ton, la
région
fronto-temporale, n'est pas aussi facilement perç
t pas aussi facilement perçu qu'à sa droite. L'esthésiomètre sur la
région
du facial droit, a donné 3 centimètres, à gau-
é 3 centimètres, à gau- che 6 centimètres. La localisation dans ces
régions
est bonne, mais imparfaite. La sensibilité à la
de paralysie provenant d'une blessure à la base du crâneou dans la
région
cervicale supérieure. Il mourutbientôt.En examina
1896, il était occupé à ramasser des copeaux lorsqu'il reçut sur la
région
Lemporo-pariétale gauche la flèche d'un fardier d
d'étendue. Une bosse sanguine énorme occupait une grande partie des
régions
temporale et pariétale gauches, elle dépassait la
épassait la ligne mé- diane en avant du vertex et s'étendait sur la
région
pariétale droite. Du côté gauche du crâne on se
la face, dépression crânienne. Thorax. - Il existe un méplat à la
région
supérieure de la moitié du thorax droit, immédi
ite restent complètement immobiles. Dans la partie supérieure de la
région
du sommet de la tête à gauche, se trouve une ét
aille avec des camarades et reçut un coup de morceau de fer dans la
région
gauche du crâne. Il s'ensuivit immédiatement la
culaires' Fic. 13. Une cellule nerveuse radiculaire provenant de la
région
lombaire, à l'état d'achromatose relative avec
rale, j'ai rencontré une légère méningite exsudalive localisée à la
région
lombaire. On peut con- clure, je pense, de ces
côté droit le foyer présente une topo- graphie différente. Dans les
régions
occupées par tous ces foyers les cellules ner-
onction d'une myélite diffuse qui a son maximum d'intensité dans la
région
dorso-lombaire et vers les régions supérieures
a son maximum d'intensité dans la région dorso-lombaire et vers les
régions
supérieures et se localise dans le domaine de la
p- parition subitement. Comme la lé- sion s'est localisée dans la
région
dorsale inférieure, le malade a pu vivre pend
B. Sic 17 C. - Coupe transversale de la moelle épinière d'un lapin (
région
lombaire). Injection d'une culture de streptoco
duit une destruction systématisée de la surface du cytoplasma et la
région
altérée constitue une espèce de croûte qui adhè
E ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 593 elle est circonscrite à une
région
de la moelle postérieure ou antérieure. . Un be
la présence de foyers de myélite centraux autour de ce canal à une
région
supérieure à celle où on a injecté le microbe. Je
ête à une certaine distance et on ne le trouve pas toujours dans la
région
dorsale et cervicale lorsque l'injection de mic
ien colorables et on ne voit pas bien leur noyau. Au niveau de la
région
lombaire ces microbes siègent au pourtour de la
ns la paroi de la spinale antérieure. La lésion se présente dans la
région
dorsale inférieure avec les mêmes carac- tères,
ervations des cas d'amyo- trophie étudiés pour des muscles d'autres
régions
du corps par Lan- douzy, Déjerine, etc. Enfin
ectative, ainsi que des massages quotidiens sur les paupières et la
région
frontale. Il semble que, dans nos derniers examen
de Gourfein), entourée d'un croissant staphylomateux situé dans la
région
temporale dans 3 cas (Schenkl, Cabannes, 1er de
enveloppant tout le contour de la papille mais plus marqué dans la
région
externe (cas de Gast). La couleur de la papille
ombaire ; il existe en même temps une incurvation scoliotique de la
région
dorsale à convexité droite, d'où résulte une vous
mbres inférieurs, sur l'abdomen, jusqu'à la ceinture ; en certaines
régions
sur la jambe droite, à par- tir du genou en par
t étant con- servée et la thermanesthésie diminuée ou supprimée par
régions
d'ailleurs variables, suivant les moments. Av
ux ; et comme les troubles sensitifs prenaient parfois en certaines
régions
, la;for- me d'une dissociation relative de la s
ire, par LANNOIS (2 photocollogr.), 631. Tumeur congénitale de la
région
lombaire, par PIOLLET (3 photocollogr.), 71.
upes en 3 pl. photollogr.). 1. PIOf.LET. Tumeur congénitale de la
région
lombaire (3 photocollogr.), il. Sabrues et Fa
dème chronique héréditaire (Lan- Nos), LXXX, LXXXI. Tumeur de .la
région
sacro-coccygienne (PlOLMT), XIV. Tympanisme h
r est peu accentué : dans son ensemble, l'aspect infantile de cette
région
est tout à fait particulier. De même l'abdome
nt-bras est un peu plus lourd, mais les masses musculaires de cette
région
sont molles et flasques et ne présentent pas de
oigts sont élargis et épais, ils sont carrés à leur extrémité. La
région
métacarpienne est exagérément développée et très
est fine, lisse et tout à fait glabre : on observe enfin que cette
région
est ridée d'une façon exagérée et qu'elle est t
z bien proportionnées, toutefois elles se présentent en- flées à la
région
malléolaire à cause de varices anciennes qui se s
e Paris, 1907. Bergmanx ET STEU.mus. Tumeur de l'hypophyse et de la
région
hypophysaire. Journal de neurol., 1907, n· 16-1
, 64 centimètres. Sa colonne vertébrale (V. PI. V) présente dans la
région
dorsale une sco- liose avec la convexité du côt
e n'existe pas, l'espace entre les omoplates est aplatie. Dans la
région
lombaire, surtout quand on regarde de profil, on
d'une mobilité normale; il existe une très petite scoliose dans la
région
dorsale à convexité gauche ; l'ensellure lombai
rts, l'extrémité des doigts, les bras pendants, arrive à peine à la
région
de l'épine iliaque antéro-supérieure, tandis qu
re (Pierre Marie), ce qui crée un certain trouble de la forme de la
région
de l'articulation du genou. L'aulre cause de ce
re 1906). Malade d'une bonne taille, état général médiocre. Dans la
région
de la mamelle gauche, on voit une cicatrice. Au
Il est malade depuis 7 moi. Il a de fortes douleurs, surtout dans la
région
de la XIe côte. Elles débutent sur la face anté
A COLONNE VERTEBHALE 51 il avait le sentiment de courbature dans la
région
dorsale de la colonne ver- tébrale. Dans ces de
bile sous la peau. Elle n'est pas douloureuse au palper. Mais cette
région
, en de- hors de la tumeur et en bas, est doulou
uloureuse. Sur la face antérieure du corps,sur la poitrine, dans la
région
du muscle del- toïde il y a de nombreuses tache
0 Il iyin. Pendant 4 jours, le malade souffrait de douleurs dans la
région
supérieure de l'abdomen, sous les côtes, et sur
qui nota (le 25 août 1908) les choses suivantes : douleurs dans la
région
dorsale inférieure, le dernier temps aussi dans
é- sente une lordose lombaire tandis que la partie supérieure de la
région
dorsale présente une cyphose. La lordose lombai
cussion, le sang est plus mat de ce côté qu'à droite. La peau de la
région
fessière est tout à fait flasque. Les mouvements
st tout à fait flasque. Les mouvements de tous les muscles de celte
région
sont affaiblis. L'excitabilité mécanique est augm
périnée et des organes gé- nitaux est normale. La palpation de la
région
gauche de l'abdomen est douloureuse, on sent des
injection de morphine. Les douleurs ne sont pas bien localisées. La
région
la plus douloureuse est la partie inférieure de l
à droite. Météorisme. Membres inférieurs atrophiés surtout dans la
région
des fesses. Les réflexes tendineux sont conservés
de fortes douleurs des deux côtés, sous les côtes, dans différentes
régions
de l'abdomen (de même que des douleurs en ceint
c : tumeur de la colonne vertébrale dans la partie inférieure de la
région
dorsale et dans la partie supérieure de la ,rég
inférieure de la région dorsale et dans la partie supérieure de la ,
région
lombaire. Le malade retourne à Varsovie. Un mois
ement le point sui- vant : une gibbosité accentuée existait dans la
région
dorsale inférieure. Jusqu'à la mort, celle cyph
avant la mort que la douleur a atteint son point culminant dans la
région
de la XIIe vertèbre dorsale. De ce point aussi le
RTÉBRALE 55 Il y a 15 mois, la malade ressentit une douleur dans la
région
lombaire et des douleurs en ceinture dans le ve
sont égaux des deux côtés, inférieur droit aboli, la gauche faible.
Région
lombaire doulou- reuse, à un degré plus considé
ide sa colonne vertébrale. Quand elle se penche, la douleur dans la
région
lombo-sacrée augmente. La pression exercée sur
ans éprouve pour la première fois des douleurs persistantes dans la
région
sacrée qui s'irra- diaient vers la région abdom
eurs persistantes dans la région sacrée qui s'irra- diaient vers la
région
abdominale. Les douleurs envahissaient peu à peu
La douleur de la colonne vertébrale commence à se localiser dans la
région
entre les Ile et IVe vertèbres dorsales. Les ré
ganique grave dans la moelle épinière. II est possible que dans une
région
de la moelle (la a dorsale supérieure peut-être
thyroïde était augmenté de volume peu à peu apparaissait dans cette
région
une tumeur. Elle croissait audébntassez vite, p
he. Le malade se plaint encore d'une sensation de pesanteur dans la
région
précordiale, et de la respi- ration difficile.
exercée sur la XIIe dor- sale et la I''8 lombaire vertèbre. Dans la
région
supérieure des vertèbres dorsales du côté droit
bles. 26. - Le 'malade gémit sans cesse à cause de douleurs dans la
région
de la nuque et du dos. Autour de l'appendice ty
vertébrale (6, dans sa partie cervicale, 3 dans la lom- baire). La
région
de XIIe dorsale est douloureuse et empâtée. Quand
t il s'y forme une tumeur. Depuis deux ans, une autre tumeur sur la
région
supérieure du sternum. Douleurs de la nuque, un
e, une certaine immobilité de la colonne, fortes dou- leurs dans la
région
moyenne de la colonne vertébrale, douleurs en cei
umeur dure dans le lobe droit du corps thyroïde. Une tumeur dans la
région
supérieure du sternum. Les vertèbres XII° dorsa
la Ve côte à droite. Les rayons de Roentgen restent sans effet. La
région
de la XIIe vertèbre dorsale est très douloureus
rveux on peut les expliquer facilement. Les fortes douleurs dans la
région
de la nuque, l'immobilisation de la colonne 60
'a pas été constatée et le malade n'a pas eu de douleurs dans cette
région
(l'examen par la voie anale n'était pas fait).
la cuisse. Depuis deux mois ces douleurs se sont propagées dans la
région
de la jambe gauche le long de sa face autérieure.
bientôt après. RÉSUMÉ,- Dans ce cas,les symptômes débutèrent par la
région
sacrée et la face antérieure delà cuisse droite
de troubles sensitifs sur la face postérieure des jambes et dans la
région
du périnée. En résumant toutes ces données, nou
e de la cuisse. La douleur a atteint le maximum d'intensité dans la
région
de la fesse gauche et sur la face postéro-inter
et thermique, et le sens musculaire) est conservée excepté dans la
région
de l'anus, des fesses (5 travers de doigt de l'
ostérieure de la hanche gauche. Le maximum de douleur siège dans la
région
de la fesse gauche et sur le côté postéro-interne
s pouvoir atteindre sa limite supérieure). Anesthésie typique de la
région
anale fessière et des organes génitaux. En deho
de la face postérieure de la hanche gauche, le plus fortes dans sa
région
supérieure et de la fesse gauche non loin du pé-
quelquefois celle du genou et de la hanche. Escarre sacrée dans la
région
sacrée. Les réllexes abdominaux supérieurs sont
x segments suivants : un enfoncement considérable se trouve dans la
région
des Ve, VIe et VILe racines cervicales (compres
ne large zone autour de la racine antérieure; presque aussi bien la
région
des faisceaux pyramidaux et celle de Gowers ; le
ppeler que les fortes douleurs de la colonne verté- brale (ou de la
région
des nerfs sciratlryees comme on le verra plus loi
(Charcot). Minor et d'autres font remarquer que la douleur dans la
région
sciatique peut être le premier symptôme d'une m
cas rares surviennent surtout au cours des tumeurs siégeant dans la
région
lombaire ou cervicale, on note alors l'appariti
laires localisées sans réac- tion de dégénérescence (par exemple la
région
fessière d'un côté, les mus- cles du bras, etc.
que les symptômes cliniques et l'existence de tumeurs dans d'autres
régions
du corps indiquent la possi- bilité de métastas
r. Les 80 O FLATAU ' douleurs apparaissant à la compression de la
région
voisine de la colonne vertébrale sans douleurs
ssissement et la dilatation des vaisseaux et cloisons dans d'autres
régions
de la moelle). Quant à cette vascularisation de
égions de la moelle). Quant à cette vascularisation des différentes
régions
médullaires, il faut dire que dans un cas de ca
s de Dresde) que les moin- dres chances sont pour les tumeurs de la
région
inférieure (la queue de cheval). Parmi les au
'index est très accusé en raison de l'atrophie des muscles de cette
région
. Les ongles sont profondément rongés ; ils prés
ex. Elle réa- lise de cette façon une véritable main en pince. La
région
du poignet se présente aussi très atrophiée. Cett
scles de la ceinture scapulo-humérale.11 existe en effet dans cette
région
une très grande diminution de l'excitatihilité
t complètement abolie sur les nerfs et sur les mus- cles. Dans la
région
des cuisses, sur le droit interne et le droit ext
antérieur est à peu près 'inexcitable. Sur les autres muscles de la
région
supérieure des cuisses, 'il existe une diminution
iminution globale de l'excitabilité électrique. Les muscles de la
région
pelvienne ont donné des réactions électriques à
eur, mais on ne relève aucun signe d'atrophie musculaire dans cette
région
. Le cou est un peu amaigri, mais parfaitement m
ait normale. Il n'existe aucune trace d'atrophie musculaire sous la
région
scapulo-humérale. Les deltoïdes, les biceps son
pieds qui sont réduits dans un état d'atrophie extrême. Dans cette
région
, les parties molles sont réduites à la peau, au
on aux plus forts courants dont nous disposons (30 m A.). Dans la
région
des cuisses,on peut relever les mêmes altérations
s des contrac- ,' tions électriques : bien que les muscles de cette
région
soient encore valides : dans leur contraction vol
- ment abolie sur les uerfs et sur les muscles. Les muscles de la
région
pelvienne donnent des réactions inférieures à la
n des réactions électriques. Les muscles du cou, de la nuque, de la
région
cervicale et de la ceinture scapulo-humérale démo
anique, soit avec le courant faradique. De même les muscles de la
région
pelvienne sont doués d'une excitabilité électri
ne sont doués d'une excitabilité électrique normale. -- - Dans la
région
lombaire et dans l'abdomen, l'examen électrique d
hevelu situées l'une, au niveau du lobe frontal droit, l'autre à la
région
pariétale supérieure gauche ; pas de fracture du
eau du bras droit permet de conclure à une lésion localisée dans la
région
m.otrice gauche, à la partie supérieure de la f
Au mois de février 1903 elle a éprouvé des crises pénibles dans la
région
précordiale et des douleurs entre les omoplates
s abdominaux abolis, colonne vertébrale douloureuse surtout dans la
région
des IV et Ve vertèbres dorsales. La malade avait
llules rondes. Dans la moelle même on constate des lésions dans une
région
qui correspond à la tumeur extravertébrale, c'e
Dans les coupes colorées par la mé- thode de Marchi on voit que la
région
correspondant à la tumeurprésente une dégénér
dans le canal rachidien à travers les trous de conjugaison dans la
région
des IULE et Vie racines dorsales droites. La
'hôpital le 7 septembre 1905. Il y a dix semaines, douleurs dans la
région
occipitale. En même temps, gon- flement de la f
s inférieurs et sur l'abdomen jusqu'aux côtes inférieures. Dans ces
régions
la sensibilité douloureuse a dis- paru ; depuis
111° et IVe segments cervicaux. Ni au-dessus ni au-dessous de cette
région
on n'a décelé de modifications dans la structur
s certaines cellules, le noyau est excentrique. Au-dessous de cette
région
, par exemple au niveau du Vle segment cervical,
malade fait trois jours avant sa mort on constate une tumeur de la
région
supérieure du thorax envahissant le bas du cou
s peu modifiés. Pas de prolifération de la névroglie. Dans d'autres
régions
de la moelle, pas de lésion. Nulle part de dégé-
s récidive. 1 mois 1/2 plus tard, fortes douleurs brûlantes dans la
région
du sein droit. Les douleurs au début n'ont pas
ski) montre une tumeur au-dessous de la clavicule droite et dans la
région
des IVe-Vle vertèbres dorsales. Le malade se pl
Le malade se plaignait constamment de douleurs très fortes dans les
régions
mentionnées. Injections d'arsenic et de morphin
cembre 1906. Résumé. Dans ce cas il s'agit d'une tumeur occupant la
région
des vertèbres dorsales moyennes et pénétrant da
mphosarcome ? ) provoquait des douleurs localisées au début dans la
région
mammaire droite, instables, qui peu à peu se pro-
ible. 27 juin. - Pouls 120. Le malade se plaint de douleurs dans la
région
lom- baire. Affaiblissement général. L'urine es
oisées. Deux foyers distincts se voient préci- sément dans ces deux
régions
et le foyer gauche est plus considérable que le
droit et latéral droit voisin du précédent.) Au-dessous de cette
région
les foyers de lésion changent de place. Déjà da
rvons les noyaux de la névroglie. Dans un endroit seulement,dans la
région
d'un petit foyer situé dans le cordon anté- rie
loration du Nissl montre les cellules nerveuses dégénérées dans une
région
qui correspond à la tumeur. Il y a précisément la
tébrales. Pendant qu'on faisait sortir la moelle on a vu dans cette
région
un liquide laiteux s'écouler. Les masses néopla
e (il n'y a que des traces des fibres fines). Au-dessous de cette
région
la coupe de toute la moelle est comme dessinée
par la méthode de v. Gieson montrent les lésions suivantes dans la
région
de la moelle cervicale : lit où la coloration d
liquer l'apparition de petits foyers irréguliers dans dif- férentes
régions
de la moelle. Leur structure rappelle tout à fait
dent à ceux qu'on rencontre ordinairement dans les tumeurs de cette
région
.Les phénomènes nerveux peuvent être de deux sorte
s douleurs de la nuque et de l'occiput entre les omoplates, dans la
région
de l'un ou l'autre sein. Bientôt l'affaiblissem
ophies musculaires et des troubles sensitifs diffus ou limités à la
région
de certains nerfs, le cubital par exemple, peuven
os observations XII et XIII les masses néoplasiques sortaient de la
région
cervicale et du tronc (de l'angle formé par les
eurs peuvent persister longtemps et don- ner des déformations de la
région
correspondante (par exemple du cou, de la nuque
ints d'une affection du bulbe (par exemple le cas de tumeur dans la
région
du IVe ventricule, la mort rapide des tabétique
sthme de l'encéphale et l'augmentation du nombre des noyaux dans la
région
de l'a- queduc de Sylvius. Oppenheim ajoute que
qui correspondent topographiquement aux masses néoplasiques (ou aux
régions
voisines), d'autres peuvent naître en partie so
ure-mère. Dans le cas cité (obs. X) les foyers médullaires (dans la
région
cervicale) correspondaient à la localisation des
uer également. Il attire l'attention sur le fait que dans certaines
régions
médullaires (nous pouvons dire vertébrales), et
à travers les trous de conjugaison. Eh bien, la compression de ces
régions
peut provoquer l'arrêt de la circulation et san
core par ce procédé que l'on sera a même de déterminer dans quelles
régions
et dans quelles couches évoluent les processus pa
mptôme ? Il est évident que la lésion delà même couche dans la même
région
doit L constamment produire le même symptôme :
s diagnostiques fixes. Par un examen méthodique complet de toute la
région
et de chaque tissu, il faudra éliminer successive
mouvements rythmiques, ont chez la femme une prédilec- tion pour la
région
du bassin et imitent d'une façon parfaite les mou
HÉRÉDITAIllE 249 athlétique, particulièrement aux extrémités et aux
régions
fessières. Les mus- cles sont toniques. Le tiss
l'abdomen. Il existe une hernie inguinale gauche. Bassin ample, les
régions
fessières sont très développées. Les organes géni
supérieure à la moyenne, elles sont inégales, particulièrement à la
région
occipitale. Visage. La mâchoire inférieure est
es omoplates sont petites et raccourcies. La colonne vertébrale aux
régions
cervicales et dorsales ne présente rien de remarq
gions cervicales et dorsales ne présente rien de remarquable ; à la
région
lombaire au contraire il y a une forte lordose. S
ité il l'extérieur. Le système musculaire est très développé et aux
régions
fessières il forme des proéminences très accent
des portions cervicale et dorsale de la co- lonne vertébrale.' A la
région
lombaire il y a une forte lordose, ainsi qu'on
actuel. -La malade a le dos rond, légèrement voûté au niveau de la
région
cervico-dorsale et marche à petits pas. Dès qu'on
tés, des troubles de la vue et une hypoesthé- sie partielle dans la
région
du trijumeau. Ces symptômes s'améliorèrent tous
à se manifester la paralysie du facial dedroite, l'anesthésie dans la
région
correspondant à la première et à la deuxième br
la capsule interne droite, une endo-artérite oblité- rante dans la
région
de l'artère de Sylvius de droite et une méningite
ement qui affectait le noyau lenticulaire, la capsule externe et la
région
pyramidale de la capsule interne. Le même auteu
de la capsule interne droite, une hémorragie des deux côtés dans la
région
de la circonvolution angulaire à la suite d'une
nvier 1899. A la section, on trouva une méningite basilaire dans la
région
du pont de Varole et un ramollissement de la pa
he (janvier 1901), 290 COSTANT1N t dont l'état s'améliora dans la
région
de la branche supérieure, après une cure énergi
artérite ; un processus de méningite de la base du cerveau, dans la
région
des circonvolutions frontales de droite et de la
n, pendant qu'il travaillait, il fut frappé par un pieu de fer à la
région
fronto-pariétale droite. Il tomba à terre sans
s et de la céphalée, le soir, ayant son maximum d'intensité dans-la
région
temporo-pariétale droite. Les premiers jours de j
le crâne éveille de la douleur, surtout en correspon- dance avec la
région
pariéto-temporale droite. Vue normale, le fond mê
gite basilaire gommeuse, qui s'étendait en guise de bouchon vers la
région
de la capsule interne droite. Bailey, lui aussi,
une hauteur de 11 mètres, avait fait une cyphose progressive, de la
région
dorsale moyenne; 10 à 11 mois avant la mort, ét
s des membres inférieurs, et signe de Babinski bilaté- ral. Dans la
région
dorsale moyenne, existait une gibbosité arrondie,
. Au mois de février 1899, il a eu des très fortes douleurs dans la
région
lombaire. Elles ont duré six semaines. Puis ell
énormément. Depuis quelques.semaines, douleurs en ceinture dans la
région
inférieure de l'abdomen et sensation d'engourdi
ion inférieure de l'abdomen et sensation d'engourdissement de cette
région
et des membres infé- rieurs. Depuis quelques se
ublée. Constipation. Il urine avec difficulté. Les douleurs dans la
région
lombaire supérieure sont très fortes (elles se
ression. Quand on le secoue, il ressent une douleur modérée dans la
région
lombaire supé- rieure. L'état général est bon.
ELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 315 IXe. Dans la dernière
région
, la dure-mère semblait être plus vascularisée et
ologiques des méninges molles sont in- signifiantes à ce niveau (la
région
postérieure). En descendant (du niveau de la tu
x (Ilots de noyaux nombreux). Des hémorragies existent même dans la
région
sacrée, surtout au centre, dans la substance gris
DE LA COLONNE VERTÉBRALE 317 î étaient vives et localisées dans la
région
lombaire. Elles sont apparues pourla première f
ois avant l'opération ont apparu les dou- leurs en ceinture dans la
région
abdominale inférieure et l'engourdis- sement de
aut supposer que la moelle épinière se trouvait ramollie dans cette
région
avant l'opération et que le trauma opératoire p
nerveuse normale dans toute la moelle lombo-sacrée. Au-dessus de la
région
correspondant à la tumeur, la substance grise r
de cellules nerveuses normales, mais déplus on constate dans cette
région
, très éloignée du niveau du néoplasme, des foye
tion au niveau de la tumeur. Les méninges molles démontrent dans la
région
de la tumeur et à une grande distance d'elle une
ère est très amincie (fig. 14). L'examen mi- 1 croscopique de cette
région
prouve que le nombre des vaisseaux est augmenté,
tion du froid aux pieds, de douleurs dans le côté gauche et dans la
région
gastrique. Les contrac- tions douloureuses spon
emps en temps aussi apparais- sent des douleurs en ceinture dans la
région
ombilicale et des crampes douloureuses des moll
inférieur gauche; on constata de la douleur à la pression, dans la
région
des vertèbres dor- sales moyennes. On a hésit
re. Les coupes colorées par la méthode de Weigert montrent, dans la
région
du VIIIe segment dorsal (là où la tumeur attein
rivasculaires. Pas de signes histologiques d'une stase sanguine. La
région
postérieure de la tumeur adhère en un point à la
eaux plus larges que normalement. Pas de signes de stase. Dans la
région
du pôle inférieur de la tumeur, la moelle reprend
pinière à point de départ à la face externe de la dure-mère dans la
région
cervicale. J'ai eu l'occasion d'examiner ce cas
Y- et VI' racines cervicales postérieures la moelle épinière, dans la
région
des cordons postérieurs, présente un enfoncemen
suffisant (les zones périphériques des cordons antéro-latéraux, la
région
de faisceau pyramidal croisé, et la zone périph
ostérieurs le long de la cloison longitudinale postérieure. Dans la
région
des lire et lie segments cervicaux, on constate u
une manière pathologique ? ). En descendant, on voit déjà dans la
région
du pôle inférieur de la tumeur la figure bien d
ical (les lésions plus considérables sont-elles localisées dans les
régions
plus éloi- gnées des voies longues ? ). En outr
1907. Il y a 2 ans 1/2, la malade a ressenti une douleur dans la
région
inférieure et externe de la moitié gauche de l'
n inférieure et externe de la moitié gauche de l'abdomen et dans la
région
de la crête - iliaque gauche. Cette douleur n'é
t la malade com- mençait à souffrir de douleurs assez vives dans la
région
de l'articulation du TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINI
la face postérieure de la jambe gauche, trois plus petites dans la
région
de la malléole externe droite (toutes sont assez
dans les jambes et sensation de cons- triction en ceinture dans la
région
abdominale. L'anesthésie atteint la ligne ombil
re on a aperçu une tumeur fu- siforme longue de 3 cent. 1/2 dans la
région
des Xe,XI" et XIIe segments dorsaux et en parti
le. Examen microscopique. On a fait des coupes en série de toute la
région
de la moelle qui correspondait à la tumeur. Il
MEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 343 Dans la
région
qui correspond au pôle inférieur de la tumeur (XI
t dans la partie postérieure du faisceau cérébelleux gauche dans la
région
dorsale et cervicale. Le nombre de masses à gau
es douleurs ont débuté par la moitié gauche du bas-ventre et par la
région
de la crête iliaque. La douleur n'était pas for
Réflexes des muscles triceps abolis. La colonne vertébrale dans la
région
cervicale inférieure et dorsale supérieure est
. Analgésie complète des membres inférieurs et supérieurs dans leur
région
du coude. 16. Les douleurs des bras diminuent.
, situées en dehors de la dure-mère et recouvrant la moelle dans sa
région
cervicale inférieure. Le bout supérieur de la t
es rondes. On constate les foyers de lésions principalement dans la
région
du 181, segment dorsal. Les masses néoplasiques
es, de fibres myéliniques (gonflées ? ), surtout distinctes dans la
région
des cordons latéraux. Bien évidente est la dégé
colorées par la méthode de Weigert et de V. Gieson, on voit dans la
région
ci-dessus mentionnée(dans le premier dorsal) des
s cordons latéraux d'autres situés dans les cordons postérieurs (la
région
de commissure et des zones radiculai- .res) et
saient, tantôt dimi- nuaient. Anesthésie complète des jambes et des
régions
du coude. Incon- tinence de l'urine. Paralysie
s également les lésions de la moelle même étaient minimes. Dans les
régions
correspondantes à la tumeur,la moelle conservait
aines, douleurs dans le membre supérieur gauche. Dou- leurs dans la
région
lombaire et du côté gauche. Elles durent jour et
oelle : elle était comme gonflée par place. C'était surtout dans sa
région
dorsale. De plus on sentait à travers la dure-m
t ne font dans la moelle que des enfoncements peu profonds. Dans la
région
dorsale moyenne et supérieure, il y a des tumeurs
n voit une gomme partant de la face interne de la dure-mère dans la
région
du cordon latéral droit. Cette gomme ne change
érieure de la moelle. La dure-mère est notablement épaissie dans la
région
des cordons antéro-latéraux (par place elle est s
est soudée avec les méninges molles). La pie-mère épaissie dans la
région
des cordons postérieurs et par place ses cloiso
or- dons postérieurs sont un peu moins bien colorés, par exemple la
région
de la zone radiculaire gauche. Pas de gommes sy
a dure-mère et pénètrent dans la moitié droite de la moelle dans la
région
du cordon latéral (fig. 30). A un fort grossis-
ésentait des mouve- ments athétoïdes à la main gauche, enlève cette
région
de l'écorce cérébrale dans toute l'étendue et t
soumis à la volonté, je dirai quelques mots sur la structure de la
région
où se trouvent ces cellules. Les recherches de
qu'au sillon calloso-marginal par- tage également ce lobule en deux
régions
histologiquement distinctes, l'une antérieure,
ernière. Brodmann décrit encore d'autres différences entre ces deux
régions
, à savoir : la région située en avant de la sci
t encore d'autres différences entre ces deux régions, à savoir : la
région
située en avant de la scissure de liolando présen
ieur de la pariétale ascen- dante pour s'effacer à peu près dans la
région
du sommet et qui réappa- raît, un peu moins acc
XVIII) on peut voir facilement que ce lobule'est constitué par deux
régions
dis- tinctes : l'une antérieure, l'autre postér
identique comme structure à la pariétale ascendante. Donc, ces deux
régions
sont distinctes au point de vue histologique et l
ns sont distinctes au point de vue histologique et le passage d'une
région
à l'autre qui se fait assez brusquement se caract
5 . Ce qui achève encore de trancher ces différences entre les deux
régions
c'est que la partie antérieure est beaucoup plu
u 26 mai 1900. Journal de Neurologie, 1900, p. 221. 380 MARINESCO
région
inférieure de la moelle, des lésions dans les cel
s se proposent de répondre aux questions suivantes : 1° De quelle
région
de l'écorce cérébrale naît le faisceau pyramidal
ébrale naît le faisceau pyramidal ? 2° De quelles cellules de cette
région
prend-il son origine ? 3° Cette zone d'origine
respectivement 108 et 229 jours à une section de la moelle dans la
région
cervicale. Chez les animaux (chats, chiens, lém
des et superfi- cielles de la pariétale ascendante et de toutes les
régions
examinées. Les auteurs remarquent que ces.lésio
e d'une lésion du système pyramidal qui s'arrêterait à une certaine
région
de l'écorce et plus encore à certaines cellules
le nombre des cellules altérées ou disparues, de même, que entre la
région
plus ou moins atteinte par celte paralysie et la
lésions de la capsule interne les grosses pyramides profondes de la
région
postérieure du lobule paracen- tral réagissent,
harge pigmentaire de la même manière que les cellules de Betz de la
région
antérieure. Par consé- quent les deux ordres de
ans l'hémisphère gauche un foyer cortical de ramollissement dans la
région
temporale ; de petits foyers dans le noyau lenti-
ue. Aux membres supérieurs atrophie des muscles des avant-bras, des
régions
scapulo-humérales et thénars et hypothénars, les
ture de la colonne vertébrale qui avait sectionné la moelle dans la
région
lombaire inférieure. Durée de la maladie : 3 mois
4 mois. Examen macroscopique. Foyers myélitiques multiples dans la
région
dorsale inférieure. Examen microsco- pique. Dan
aladie anis et demi. Examen macroscopique. Foyer de myélite dans la
région
lombaire. Arté- rio-sclérose intense des centre
ant un défaut de superposition entre les troubles trophiques et les
régions
nerveuses, ainsi que Brissaud et Achard venaien
il y a défaut de superposition entre les troubles trophiques et les
régions
nerveuses. Ici, semble que l'on puisse faire inte
u pli du coude. Ce groupe de taches est particulièrement foncé à la
région
interne et médiane, où les macules sont cohéren
érieure de la face posté- rieure de la cuisse gauche, partant de la
région
interne sous forme d'une bande fortement pigmen
le présentée par notre naevus. Ce naevus recouvre donc toutes les
régions
innervées par les rameaux sen- sitifs cutanés d
vus sur la face interne du bras. Le nævus occupe donc en avant la
région
antérieure du 3e espace intercostal, du niveau
rcostal, du niveau de la 3 côte jusqu'à celui du 4° intercostal, la
région
mammaire, le creux de l'aisselle jusqu'à la lig
forcée, de façon à présenter la partie postéro-interne du bras, la
région
anté- rieure étant reportée en haut et en arriè
pour étaler ses branches terminales perforantes antérieures, sur la
région
antérieure du 3° espace intercostal, avec irrad
a sensibilité à la partie postéro- interne du bras (Morel), et à la
région
latérale de la cage thora- cique, partie supéri
u antérieur, allant horizontalement en avant, innerve la peau de la
région
antéro-latérale du 3° espace intercostal,puis v
u 3° espace intercostal,puis vient se distribuer dans la peau de la
région
mammaire où convergent également ses homonymes
érieure, elle devient nettement descendante (fig. 9) pour gagner la
région
péri-ombilicale sur la ligne médiane, la dépassan
masculin pesant 2.900 grammes, bien constitué. L'enfant porte à la
région
interscapulaire un vaste naevus pigmentaire plan,
ésion médullaire foetale plutôt qu'à une névrite simple. Dans cette
région
thoracique supérieure, où les trajets des nerfs s
E la face (PI. XXLII), depuis la naissance des che- veux jusqu'à la
région
hyoïdienne, suivant toute la ligne médiane fronta
de Voigt. * .... Sur 7 observations, 6 intéressent surtout les
régions
intercostales; 5 recouvrent manifestement les z
entimètres de hauteur environ, siégeant précisément au niveau de la
région
cervicale inférieure et dorsale supérieure. O
taire, dont la direction croise celle des nerfs périphériques de sa
région
, par lésion du prolongement radiculaire dans so
ulletin médical, 1896. 412 ÉTIENNE paires spinales intéressant la
région
cutanée lésée, naevus-myélite que uous avons dé
s noevi sur les 'lignes de Voigt. Ces lignes ne constituent pas des
régions
neutres mais au contraire des territoires sur l
ment normal de ces formations. Or il est logique d'admettre que ces
régions
intermédiaires de Voigt, qui sont déjà le point
er d909, à la suite d'un effort, elle ressentit une douleur dans la
région
lombaire. Deux jours après, elle tomba deux fois
ids l'eut entrai- née vers le sol. En même temps les douleurs de la
région
lombaire se firent plus intenses, et prirent le
, sauf dans la colonne vertébrale où l'on observe une scoliose à la
région
lombaire, scoliose dont la convexité est tourné
é à la base du thorax postérieur droit ; à l'auscultation sur cette
région
, on perçoit de nom- breux râles demi-bulleux. L
ution de la 8c racine cervicale et première dorsale des deux côtés (
région
ulnaire des avant-bras), en correspondance du t
), en correspondance du territoire de la 6° et 70 vertèbre dorsale (
région
sous mamellaire) et de la 3e, 4e et 5° vertèbre
le (région sous mamellaire) et de la 3e, 4e et 5° vertèbre sacrale (
région
parianale). La sensibilité thermique, barique e
ux, soit par une incomplète forma- tion de ce tissu dans toutes ses
régions
, les corps vertébraux ne perdent jamais leurs r
ires contraste avec la pilosité excessive du front, de la face. des
régions
dorso-lombaire et anale. Les cheveux sont noirs ;
est beaucoup moins accentuée : elle est à concavité gauche dans la
région
cervico-dorsale, à concavité droite dans la rég
é gauche dans la région cervico-dorsale, à concavité droite dans la
région
cervicale supérieure. L'allas et l'axis sont so
tend il se rapprocher de la corde de l'arc scoliotique. Dans les
régions
cervicale et dorsale supérieure le ligament verté
ercostal, de la sensibilité douloureuse et thermique dans les mêmes
régions
et en outre sur le membre supérieur droit et au-d
opération, les douleurs ont passé dans l'hypochondre droit et dans la
région
droite du sacrum. Contractions spontanées de la
ampe dans la jambe gauche et de douleurs intenses nocturnes dans la
région
de la nuque. Ces douleurs siégeaient aussi au cou
elons vers le bas. La sensibilité tactile était émoussée dans cette
région
d'une façon moins prononcée sur la jambe et le
pied gauche. La sensibilité douloureuse est affaiblie dans les mêmes
régions
(1) Ce cas rare de chromatophorome de la moelle
érieur gauche. La sensibilité thermique est atteinte dans les mêmes
régions
que la douloureuse (en arrière, elle envahissait
Pas de douleurs. On pose comme diagnostic probable : tumeur dans la
région
cervicale. Le 15 mars, le Dr Czarkowski pratiqu
es membres inférieurs et sur le tronc. La limite supérieure pour la
région
hypoesthésique est en avant une ligne passant au-
abo- lis. Enorme escarre sacrée. L'anesthésie est complète dans les
régions
décri- tes plus haut. -" La malade affirme qu
s présente une consistance et une colo- ration différentes. Dans la
région
correspondante à la partie centrale de la subst
. La coupe passant à travers le VIe segment cervical décèle dans la
région
ceu- trale de la substance grise une masse brun
moelle. On y voit dis- tinctement une fente syringomyélique dans la
région
centrale qui de là, en zig-zag, se rend on arri
sous forme d'une masse brunâtre molle que l'on trouve aussi dans la
région
de la corne antérieure droite. Au niveau du VIl
e segment dorsal on voit seulement la fente syringomyélique dans la
région
de la corne postérieure gauche. Il n'y a plus de
s. Il y a des lieux d'électicn pour ces douleurs, parmi lesquels la
région
de l'hypochondre. Outre ces régions les douleur
ces douleurs, parmi lesquels la région de l'hypochondre. Outre ces
régions
les douleurs peuvent siéger partout ; dans les
s en ceinture. Dans cer- tains cas les douleurs siégeaient dans des
régions
tout à fait imprévues, ainsi par exemple dans l
t dans des régions tout à fait imprévues, ainsi par exemple dans la
région
du caecum (dans le cas de Quanté où la tumeur e
dans la moelle dorsale supérieure), les douleurs siégeaient dans la
région
du coeur ! Les douleurs dans l'hy- pochondre s'
s sont pour ainsi dire distales, c'est-à-dire apparaissent dans les
régions
éloignées aussi bien des racines que des segments
Dans notre XXIE observation égale- ment,les douleurs frappaient la
région
de l'occiput (tumeur dans la moelle cervicale i
t dans le ven- tre, de courbature dans l'hypochondre et différentes
régions
des membres inférieurs. Les douleurs s'exacerba
. Cette dernière est surtout évidente dans les cas de tumeurs de la
région
cervico-dorsale ou lombo- sacrée. Oppenheim att
en question. Il est très important de constater une tumeur dans une
région
quelcon- que du corps. Ainsi, par exemple, dans
la moelle cervicale supé- rieure peuvent naître des douleurs de la
région
occipitale (Pulnam- Krauss-Park, Saenger), des
ique peut rester intact malgré la localisation de la tumeur dans la
région
correspondante de la moelle (Oppenheim-Krause).
lombaire les douleurs sont la plupart du temps unilatérales dans la
région
du plexus lombaire. Elles irradient généralemen
re. Les tumeurs de la moelle sacrée provoquent des douleurs dans la
région
sacrée, dans l'os du sacrum, dans le périnée et
irradient vers les pieds. Puis apparaissent des anesthésies dans la
région
recto-génitale et celle innervée parles racines
ement lent de la maladie, des accès de très fortes douleurs dans la
région
de la vessie et du plexus sciatique, des anesth
bilatérales depuis le début de la maladie, leur persistance dans la
région
de l'os sacral et du coccyx, une réaction de dé-
n de dé- générescence bien prononcée dans les muscles paralysés, la
région
lom- haire restant intacte tandis que la sacrée
genogramme a démontré une tache plus claire que normalement dans la
région
des ne-Ille vertèbres lomhaires, et la ponction
ns croit que, dans les cas où la tumeur intra-médullaire occupe une
région
de la moelle bien voisine de la mé- ninge molle
à la croissance graduelle de la tumeur le long de la moelle vers la
région
supérieure ou inférieure (le cerveau ou la queu
ns sa gaine cutanée, une pesanteur des jambes, la faiblesse dans la
région
sacrée, un engour- dissement des membres et des
esse dans la région sacrée, un engour- dissement des membres et des
régions
génitales, etc. De temps en temps les malades s
ose en plaques peut également provoquer l'anesthésie de cer- taines
régions
. Nous avons pu observer des cas où elle frappait
s et au-dessus de la tumeur. Dans les . 486 . .- . - FLATAU , " ,
régions
assez, éloignées de la tumeur, des lésions un peu
t rares. Dans notre XIXé observation par 'exemple (le sarcome de la
région
cervicale inférieure et dorsale) on constatait au
e certaine distance de la tumeur. Dans le XVIIe cas (tumeur dans la
région
cervicale inférieure) on pouvait constater la d
leure preuve en est que les plus grandes lésions correspondent à la
région
la plus, comprimée. Il est fort- difficile de s
a lecture ne sont pas nécessairement liés avec la destruction de la
région
de la surdité verbale (Ti T2, et insula). En géné
ale soit de l'organe entier, soit d'un de ses lobes ou d'une de ses
régions
, dans les cas d'agénésie du corps calleux au co
AUtT ventricule sont hypertrophiées, les circonvolutions des auties
régions
sont souvent le siège d'une microgyrie accentué
s fibres constituantes servent à relier entre elles les différentes
régions
corticales d'un même hémisphère. Toutes ces fib
l'égarddu corpscalleux.LesGbres calleuses relient non seulement les
régions
symétriques des deux hémi- sphères,mais aussi l
ement les régions symétriques des deux hémi- sphères,mais aussi les
régions
asymétriques. Les connexions les plus symé- tri
LLEUX 511 Í un liquide séreux, se trouvait à comprimer fortement la
région
pariétale sous-jacente. Le cerveau paraissait q
ours. Le fais- ceau dérivé du genou du corps calleux et destiné aux
régions
postérieures, s'engage profondément entre la pr
émerger du rudiment calleux, affectent un trajet sagittal vers les
régions
plus postérieures et vont s'étaler au-dessus de
au persiste, démontre bien que celui-ci sert également à relier les
régions
intermédiaires. Pour lui, ce faisceau existe da
mière circonvolution limbique fait souvent défaut et l'écorce de la
région
correspondante est traversée par de nombreux sill
ils main- AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 519 tiennent que l'écorce des
régions
atteintes de microgyrie est normale à l'examen
limbique et le sillon calloso-marginal font également défaut, et la
région
correspondante de la face médiane des hémisphères
endant un document du fait qu'en toute-époque on a observé dans nos
régions
des exemples sporadiques de nanisme caractérisé
te mesurait 53 centimètres, il pesait 19 kilos; à bras étendus, les
régions
carpiennes arrivaient aux grands trochanters. I
irconférence de sa tête mesurait 48 centimètres. Chez lui aussi les
régions
carpiennes arrivaient aux grands trochanters ;
II) Magro Santo, âgé de 19 ans né liandazzo (Sicile), village de la
région
montagneuse de l'Etna. Hauteur de la taille : 1
ujet, il n'y a jamais eu aucun cas analogue de microsomie ; dans la
région
où notre patient est né, on ne connaît non plus
plus aucun cas analogue ; il faut cependant mentionner que dans la
région
montagneuse de l'Etna on observe, de temps, eu te
éoles brunes sont entourées de poils ; les poils sont abondants aux
régions
axillaires. L'examen systématique des poumons e
réflexes abdominaux et crémastériens sontvifs. Organes génitaux. La
région
pubienne et le scrotum sont CO\1Vi'rts de poils
rondi, mais à peine proéminent; la ligne qui sépare le ventre de la
région
inguinale est très nettement dessinée. Les orga-
peu. Les réflexes abdominaux sont normaux. Organes sexuels. - La
région
pubienne est complètement glabre et plutôt rich
de notre sujet ; nous devons cependant faire remarquer que dans la
région
de Cuneo, région alpestre, le crétinisme myxoed
nous devons cependant faire remarquer que dans la région de Cuneo,
région
alpestre, le crétinisme myxoedémateux est endém
famille, cependant qu'ils proviennent de familles différentes et de
régions
italiennes très éloignées entre elles. Mensurat
t constater un état parfaitement physiologique. La percussion de la
région
sternale supérieure et l'inspection radioscopiq
ion sternale supérieure et l'inspection radioscopique de cette même
région
ne donnent aucun symptôme qui dépose pour la pe
cifiques ou tl'HU- matiques), « qu'il existe à la base du crâne une
région
dont le déran- gement foetal... détermine la tr
sque muette. Le cartilage diaépiphysaire, c'est- à-dire toute cette
région
dont l'activité formatrice est considérable, se
essent au moment actuel, 21 concernent les tumeurs siégeant dans la
région
cervicale de la moelle, 57 dans la ré- gioi1 do
cervicale de la moelle, 57 dans la ré- gioi1 dorsale et 18 dans la
région
lombo-sacrée et coccygienne. Sur ces 96 cas, da
ue ces opérations furent exécutées à tous les niveaux. même dans la
région
des premières vertèbres cervicales. Dans le cas d
fut heureux. Krause dit franchement qu'il est prêt à opérer dans la
région
du 1er segment cervical. Quant aux détails conc
gnes (sarcome) ! Si au contraire on ne trouve pas la tumeur dans la
région
correspondant à l'incision de la dure-mère;' il
ordons postérieurs. Ils ont fait une incision longitudinale dans la
région
de la cloison longitudi- nale postérieure (mort
sion de la moelle épinière par pénétration dans le canal vertébral (
région
dorsale) d'un kyste hydatique. Arch. gén. de méd.
89 p. 184. COLLINS. - A case of intraspinal tumor of the cervical
région
mistaken /or hypertrophical cervical pachymenin
mer. Journ. of Med. Sc., 1893, p. 613 ; Fibroma o/ the upper dorsal
région
ol the spinal cord. Philad. med..louru., 9, 190
s de la sclérose périventriculaire dans son ensemble. En dehors des
régions
périventriculaires, il existe plusieurs plaques d
Au-dessus de la plaque de sclérose, l'épithélium épendymaire et la
région
immédiatement sous-jacente sont très nettement
le, le réseau des cylindraxes est tout à fait identique à celui des
régions
voisines non démyélinisées. La différence d'aspec
nombreuses plaques de sclérose à tous les éta- ges. Certaines, à la
région
cervicale et à la région dorsale en particulier s
érose à tous les éta- ges. Certaines, à la région cervicale et à la
région
dorsale en particulier sont très étendues et oc
très étendues et occupent presque toute la surface des coupes. A la
région
lom- baire et à la région sacrée, elles sont mo
presque toute la surface des coupes. A la région lom- baire et à la
région
sacrée, elles sont moins étendues et occupent sur
r (2) signale comme lieu d'élection pour les plaques de sclérose la
région
péri-épendymaire de l'aqueduc de Sylvius. En ex
isation péri-ventriculaire était due à la richesse vasculaire de la
région
. Dans leur cas existait, en outre, autour de l'
localisation périventriculaire à la ri- chesse vasculaire de cette
région
a été surtout soutenue par Borst (2). L'altérat
des cas, sans solution de continuité, ce qui contribue à donner aux
régions
atteintes une coloration particulière, qui tranch
inflammation de- puis l'adventice jusque dans la média. Certaines
régions
de la tunique moyenne ont moins bien pris la colo
x petits foyers produit une rétraction plus ou moins marquée de ces
régions
. Les parois qui les recouvrent, l'in- time en p
conformées. On note toutefois un léger degré de microgyrie dans la
région
fronto-pariétale. Le cunéus est inéga- lement d
l'aspect est nettement cicatriciel. La pie-mère qui recouvre cette
région
est tendue, adhérente et très épaissie. La face
t de beaucoup plus large qu'à l'é- tat normal, ce qui donne à cette
région
l'aspect de l'atrophie corticale sénile. La cir
Au niveau de la face interne de cet hémisphère, on retrouve dans la
région
pariétale la même configuration atypique que dans
es fascicules de fibres nerveuses, ce qui donne aux coupes de cette
région
l'aspect d'une mosaïque. On dirait que le centr
peuvent être que des fibres calles. Les radiations qui naissent des
régions
inférieures de la convexité se rassemblent en p
ubstance grise hétérotopique, encore abondamment distribuée dans la
région
latérale de l'hémisphère. La capsule externe est
la couronne rayonnante fronto-pariétale se rend d'une pièce dans la
région
sous-corticale de la circonvo- lution limbique.
LLEUX G37 Lobe pariéto-temporal. Dans la partie antérieure de cette
région
et correspondant à la moitié antérieure de la c
que l'on peut t suivre avec la plus grande facilité jusque dans la
région
sous-corticale de la circonvolution limbique. C
bres de projection bien colorées. Les faisceaux d'association de la
région
latérale de l'hémisphère, le faisceau arqué de Bu
e le reliquat d'un processus inflammatoire intense dont toute cette
région
a été le siège. On trouve, en effet, dans le voi-
faisceau arqué de Burdach se dessine plus nette- ment que dans les
régions
antérieures. On note une fusion corticale passez
obules de l'insula et la première circonvolution temporale. Dans la
région
comprise entre l'extrémité postérieure de la couc
t de former de véritables excrois- sances. Dès que l'on aborde la
région
où le carrefour ventriculaire atteint son maxi-
et l'autre de ces deux systèmes, grâce à ce fait que dans toute la
région
du carrefour ventriculaire, les fibres du trigone
i en- tièrement conformes aux faits que nous avons observés dans la
région
pariéto- temporale. Nous avons vu en effet qu'à
e anomalie du tapétum, les couches sagittales péri-ventriculaires des
régions
correspondantes présentent un aspect assez curi
très marquées et très étendues. Le tapétum s'étend peu à peu vers la
région
occipitale, mais ne dépasse pas encore en arriè
u'au pôle frontal. En dedans du faisceau sagittal médian et dans la
région
sous-corticale de la circonvolution limbique, o
interne de la couche optique suffisent à démontrer que toute cette
région
a été le siège d'un processus destructif extrêm
les fibres poursuivent un trajet parallèle au sien, au niveau de la
région
immédiatement sous-corticale de la circonvo- lu
st elle-même le siège d'une symphyse plus étendue. Dans toute cette
région
, la corne AGÉNÉRIE DU CORPS CALLEUX 653 tem
ns avec ceux de la couche sagittale interne, dont le trajet vers la
région
sous-corticale de la circonvolution limbique rest
rgit de plus en plus constitue à ce niveau le seul fais- ceau de la
région
interne de l'hémisphère, et, s'unissant au tapétu
'absence de la majeure partie d'un hémi- sphère, d'un lobe ou d'une
région
quelconque,quel que soit le mécanisme en jeu, q
rans- met certainement les fibres de projection qui se rendent à la
région
de l'insula ou qui en proviennent, elle renferm
ïdal. 660 AItCIlAnI l3AULT La structure de l'écorce au niveau des
régions
atteintes de microgyrie ne nous a pas paru diff
és; les « dérangements » d'origine infectieuse ou traumatique de la
région
centro-basale du crâne seraient alors à incrimi
ébauche,1 ré- sulte en grande partie d'une flexion latérale de la
région
lombaire. Il est donc possible que la scoliose
in (fig. 7). Mais la courbure de compensation, au lieu d'occuper la
région
dorsale, peut occuper la ré- gion cervicale. Al
acro-vertébrale serait irréalisable. Toutes les articulations de la
région
lom- baire entrent en jeu, et souvent même auss
ire entrent en jeu, et souvent même aussi les arti- culations de la
région
dorsale. Donc au sur et à mesure que la colonne
synoviale. Quelques tremblements fibrillaires apparaissent dans la
région
du jambier antérieur et des péroniers latéraux.
uses, le spasme musculaire correspond d'une manière générale à la
région
endolorie. De même, dans la sciatique spasmo- d
ureux peuvent occuper, du côté opposé à la névralgie sciatique, des
régions
indépendantes de la distribution du nerf sciati
très souvent d'autres points doulou- reux, principalement dans les
régions
lombaire et périnéale, qui accusent évidemment
dite, l'incli- naison rachidienne croisée est plus prononcée à la
région
dorso-lombaire ; et elle est souvent associée à
ombaire ; et elle est souvent associée à une courbure inverse de la
région
cervico-dorsale, courbure compensatrice, destin
aux muscles innervés par le nerf sciatique ; elle s'étend, dans la
région
laté- ralè du tronc, aux muscles innervés par l
aux muscles du membre inférieur et ne s'étend pas aux muscles de la
région
lombaire, la scoliose est croisée, comme dans l
pas constamment, des dou- eurs au dos, douleurs rongeantes dans la
région
lombaire supé- 44 CLINIQUE NERVEUSE. rieure,
à l'hypogastre, s'exas- pérant par la pression; matité dans la même
région
; n'a pas uriné depuis l'accident. T. 38°,2 ; me
montrent au cordon latéral de la moitié gauche du tiers moyen de la
région
dorsale un grand foyer légèrement coloré en gri
jaunâtre ; il n'y a pas trace d'hé- morrhagie. Au-dessous de cette
région
, on voit une dégénérescence descendante du cord
a régression granulo-graisseuse des éléments histologiques de cette
région
de la moelle. Au centre de ces foyers, on trouv
ès propre à l'examen. Le maximum d'altération avait pour siège la
région
dorsale infé- rieure ; elle commençait un doigt
on au-dessus du renflement lombaire et allait jusqu'au milieu de la
région
dorsale et un peu au delà. Les cordons latéraux
nce nor- male est nettement délimitée. Dans quelques endroits de la
région
54 CLINIQUE NERVEUSE. dégénérée, dans les cor
e et leur substance paraît fragile. Les coupes transverses de cette
région
montrent des foyers de dégénérescence décolorés
le tableau d'une dégénérescence disséminée des cordons blancs de la
région
dorsale de la moelle ou d'une leucomyélite dors
dégénérescence typique des cordons pyramidaux ; en haut, vers la
région
cervicale, il y avait une dégénérescence descenda
nde partie endurcis à un degré très élevé. La substance grise de la
région
cervicale et lombaire est intacte. A la région
ubstance grise de la région cervicale et lombaire est intacte. A la
région
dorsale seulement et même d'un côté, un endroit
CAPHANDRES. 57 tébrale n'était pas douloureuse. On voyait déjà à la
région
dor- sale une plaque rouge douloureuse, c'était
e, émanant sans doute des plexus veineux nombreux situés dans cette
région
. La surface externe de la dure-mère humectée pa
e épinière dans ses diffé- rentes parties, nous avons trouvé que sa
région
lombaire en grande partie et le tiers supérieur
que sa région lombaire en grande partie et le tiers supérieur de la
région
dorsale avaient subi le ramollissement blanc à
uand on pratique des coupes transversales de la moelle surtout à la
région
dorsale, on voit la substance blanche faire saill
lombaire tout à fait à l'état normal. Au contraire, l'aspect de la
région
dorsale est tacheté : on distingue des points p
montrer que chacune de ces mémoires par- tielles a son siège à une
région
déterminée de 1-'écorce de l'hémisphère gauche
de l'hémisphère gauche du cerveau. L'anatomie nous enseigne que les
régions
auxquelles se rattachent ces spécialisations fo
cial inférieur et du membre supérieur peut, par l'ischémie de ces
régions
et la suppression des incitations motrices vo-
ite éten- due de la partie supérieure de la pariétale ascendante,
régions
ou siège le centre psycho-moteur du membre infé
entralespi- nale postéro-latérale, avec les syndromes propres aux
régions
lésées de la moelle. Le siège des lésions au ce
correspondant à peu près aux territoires deDHG de Munk; 2° sur ! a
région
pariétale et angu- laire (à peu près F de Munk)
a région pariétale et angu- laire (à peu près F de Munk); 3° sur la
région
occipi- tale (A de Munk). Dans la première séri
ndait bien au delà, et qu'il rayonnait en tous sens vers les autres
régions
motrices. Voilà une nouvelle preuve de cette to
ci en quelles pro- portions les lésions affectaient les différentes
régions
du cerveau dans les 47 cas cliniques recueillis
les circonvolutions voisines, telles que celles du lobe frontal (
régions
antérieures des trois frontales), du lobule pcc
née et musculaire, à moins que le processus morbide ne s'étende aux
régions
ro- landiques. Peut-être cependant cela n'est-i
t-être cependant cela n'est-il déjà plus tout à fait exact pour les
régions
antérieures du lobe frontal, pas plus que pour
1, observé un fait qui permettrait d'é- tendre la zone motrice à la
région
préfrontale de la face interne delà F,, ainsi q
a- quelle le centre de la sensibilité générale siégerait dans les
régions
de l'hippocampe, « l'observation cli- nique, di
corti- cale de la sensibilité générale apparaîtra divisée en deux
régions
: la première serait localisée dans les lo- bes
hy- pothèse de Lisso, les lésions superficielles de l'écorce des
régions
motrices détermineraient des troubles de la sen
fois les grandes cellules pyramidales de Betz subsistaient dans les
régions
motrices atrophiées de l'écorce. Ces auteurs en c
ngrenage », qu'une lésion limitée de l'aire sensitivo-motrice d'une
région
cor- respondante du corps, a des effets beaucou
des effets beaucoup plus étendus, et retentit souvent sur d'autres
régions
plus ou moins éloignées, voire sur toute la moi
e. Odorat et goût, normaux des deux côtés. 26. La pression sur la
région
ovarienne droite détermine une sensation de bou
uement. Appétit ré"ulier. Travaille bien. Zo ne hystérogène dans la
région
ovarienne droite. La sensibilité parait normale d
Ces tressaillements dureraient presque toute la nuit, passant d'une
région
aune autre. Pas de peurs, pas de cauchemars, pa
us systématiques et épileptiques, la paroi pos- térieure de la même
région
semble altérée dans sa couche con- jonctive. Ce
ué pendant un temps assez long sur des points différents d'une même
région
. L'auteur est con- vaincu que par l'emploi de c
, avant son entrée, s'était plaint fréquemment de souffrir de cette
région
, et pendant la vie, ce rein était senti profond
région, et pendant la vie, ce rein était senti profondément dans la
région
iliaque gauche, où on l'avait pris pour une mas
ervé la formation cavitaire que je vais décrire. Elle siégeait à la
région
cervicale supérieure et s'étendait vers le bas,
uche. La moitié droite de la branche horizontale se porte dans la
région
de la commissure grise, au-devant des cordons p
exion vers le côté opposé. Lorsqu'on arrive dans le voisinage de la
région
où la lésion disparaît, la forme de cette derni
abituel de la néoplasie glioma- teuse est la commissure grise et la
région
du canal central. C'est également dans cette
-à-dire que les fonctions du cerveau varient avec les différentes
régions
de cet organe. L'anatomie non seulement ne LES
urait même dire si cette hétéro- généité fonctionnelle des diverses
régions
du cerveau correspond à des variétés de forme e
s variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces
régions
. La physiologie ne met pas en doute qu'entre le
u et de la moelle, et les rapports fonctionnels des diffé- rentes
régions
du système nerveux. Malheureusement, les plus c
re les cellules, considérées individuel- lement, et les différentes
régions
de l'écorce, ces rap- ports fonctionnels dont i
fonctionnels qui relient les éléments cellulaires des différentes
régions
de l'écorce cérébrale. Les fibres de la 11C cat
les. Quant au consensus physiologique que l'on constate entre les
régions
sensitives, ou sensitivo - motrices, et les rég
ate entre les régions sensitives, ou sensitivo - motrices, et les
régions
sensorielles de l'écorce cérébrale, Golgi l'ex-
présenteraient seules les conditions d'une transmission directe des
régions
centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quan
u cerveau, une indication physiologique quelconque. Dans toutes les
régions
des centres nerveux, les deux types de cellules
, qui existent bien dans toute l'écorce, elles occupent surtout les
régions
supérieure et moyenne de l'écorce. J'avoue qu
lobuleuses et des cellules fusiformes, plus nombreuses qu'en aucune
région
de l'écorce, qui dominent. Cette division des
tion du lobe occipital, Golgi, qui nie que les divisions de cette
région
en sept ou huit couches (Clarke, Meynert, Hugue
problème de la structure et de la nature fonctionnelle des diverses
régions
de l'écorce cérébrale ne peut sans doute être p
fonctions que la physiologie et la clinique ont attribuées à ces
régions
. Toutefois, nous ne saurions aller plus loin, e
perflue que celle de Jean 3111ller, qui attribuait aux différentes
régions
du cerveau des énergies fonction- nelles spécif
finiment, si bien que la possiblité de ces suppléances des diverses
régions
du cerveau rendrait inutile l'hypothèse de tout
s détruire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres
régions
cérébrales. C'est ce qu'avait cru ob- server Gu
(hémiopie, etc.). Quand les excitations optiques ont atteint cette
région
de l'é- corce,'elles y sont sans doute conservé
ries de cellules nerveuses l'emportent en ' nombre dans certaines
régions
déterminées; qu'elles y affectent un mode spéci
nt toujours insisté sur la structure des éléments histologiques des
régions
mo- trices et sensorielles de l'écorce. Dans so
rce cérébrale, qui oscille entre 2 et 3 millimètres, varie avec les
régions
d'un même hémis- phère, avec l'âge et le sexe.
les régions d'un même hémis- phère, avec l'âge et le sexe. Dans la
région
jJ7'él'olan- dique, l'écorce croît en épaisseur
met des circonvolutions, le minimum au fond des scissures.. Dans la
région
olaitcli jue, tandis que la face de la FA qui l
t à la paroi postérieure de la FA. Les recher- ches de Conti sur la
région
postrolandique ne sont pas moins intéressantes.
l'épaisseur de l'écorce diminue; elle est à son minimum dans cette
région
où existe le type à huit couches de Meynert. Ce
aites à la distance d'en- viron 1 centimètre, elle atteint, dans la
région
postro- landique, , 0 , 6111111 alors que, dans
, dans la région postro- landique, , 0 , 6111111 alors que, dans la
région
préro- landique, la différence n'est que [de 0,
o- landique, la différence n'est que [de 0,1 à 013111111. Dans la
région
du ruban rayé de Vicq d'Azyr, qui correspond au
divisé chaque hémisphère en trois sections transversales. Ces trois
régions
, en rapports définis avec les ganglions de la b
finis avec les ganglions de la base, sont appelées par Corti : 1°
région
jw< ? y< ? o6M ? 'e, en avant d'une secti
arrière d'une coupe passant par l'extrémité interne de la PA; 3°
région
ganglionnaire, correspondant à la région compri
émité interne de la PA; 3° région ganglionnaire, correspondant à la
région
comprise entre les deux régions précédentes. Da
on ganglionnaire, correspondant à la région comprise entre les deux
régions
précédentes. Dans la première de ces régions, l
omprise entre les deux régions précédentes. Dans la première de ces
régions
, les différences quantitatives de volume de la
stance grise diminue naturellement sur toute l'écorce. Mais dans la
région
préganglionnaire, après avoir dépassé la valeur
substance blanche chez les adultes et chez les vieillards. Dans la
région
postganglionnaire, elle augmente, relativement
e scissure, jusqu'à l'extrémité du lobe occipital. Enfin, dans la
région
intermédiaire, Conti a trouvé une sorte d'équi-
l ne suffit pas de con- naître l'épaisseur relative des différentes
régions
de l'écorce cérébrale : il faudrait déterminer
erveuses ne laissent pas de se rencontrer en particulier dans les
régions
inférieures de l'écorce qui confinent à la subs-
corce de tous points comparable à ceux qui existent déjà pour cette
région
du cerveau ? ' ! L'étude d'anatomie pathologiqu
ues, le maximum de diminution de l'écorce s'observe, dit-il, sur la
région
rolandique, et notamment sur la PA. La région p
serve, dit-il, sur la région rolandique, et notamment sur la PA. La
région
prérolandique vient en seconde ligne à cet égar
La région prérolandique vient en seconde ligne à cet égard, puis la
région
postro- landique. On peut rapprocher de cet ess
et qui situe le siège principal de la pa- ralysie générale dans la
région
fronto-pariétale. Les troubles de la sensibilit
ensibilité générale dans la zone dite motrice, c'est-à-dire dans la
région
fronto-pariétale, - hypo- thèse qui a reçu de G
. 800. Tête. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la
région
occipitale, saillie prononcée des bosses pariétal
jaunâtres, squames, etc.). IDIOTIE l\IYXOED1'I¡\ TEUSE. 22't Les
régions
malairessont saillantes. Lus, joues sont volumine
la peau est d'une blancheur cireuse, comme translucide en certaines
régions
, notamment aux oreilles et aux paupières, au po
posté- rieure des joues, sur le cou et sur le ventre. Sur d'autres
régions
, elle est rugueuse et donne au toucher la sensa
énéralisé et accompagnées de vices dans la circulation veineuse des
régions
abdominales devraient céder à de telles applica
des plis auriculaires libres (cauda helicis de His), tandis que la
région
du promontoire auriculaire (hélice ascen- dante
e l'enroulement inégal du bord de l'hélix suivant les dif- férentes
régions
de l'organe, - Si nous nous reportons à l'oreille
'ensemble du règne animal (lapins -chiens - hommes) entre certaines
régions
du cerveau et les segments correspondants du ce
istait une lésion organique des centres, une tumeur par exemple des
régions
motrices. L'affection ayant guéri au bout de hu
e a diminué de volume. On constate aussi une hémianesthésie dans la
région
de la moitiédroite de la tête et de toute l'ext
ro-sphénoïdal. - La pie-mère était épaissie surtout au niveau de la
région
frontale où elle était rugueuse et hyperhémiée.
lancher du quatrième ventricule, une tumeur comprimant cette même
région
, un coup sur la tête, ne puisse devenir le point
inution de l'excitabilité faradique et galvanique des muscles de la
région
antéro-externe des jambes, qui, bien qu'assez c
lit. En réalité, la tem- pérature n'est nullement augmentée dans la
région
à 330 CLINIQUE NERVEUSE. ces moments et même
ensibilité profonde articulaire n'est pas moins inléressée dans les
régions
correspondantes que la sensibilité superficielle
pathologique, et cela, au point qu'on ne compte pas moins de douze
régions
fasciculaires dans chacun des hémisphères figur
pensable de s'entendre sur la nomenclature déjà compliquée de celle
région
, avant que de discuter les particularités aiuil
latérale antérieure mixte de Flechsig, faisceau périphérique de la
région
antérieure de Bechterew, situé à la périphérie
n de l'apparence qu'il offre, juxtaposé à son symé- trique (dans la
région
lombaire inférieure, le cordon de Goll n'est pl
table d'exiger très peu de temps. Examen de la moelle épinière. -
Région
lombaire. - Eu examinant les coupes avec un fai
rémiés. Cette altération se voit dans la partie inférieure de la
région
sacrée, là même où n'existent pas encore de lésio
s du cordon postérieur : elle est beaucoup plus prononcée dans la
région
lombaire moyenne, et elle tend à disparaître au s
et elle tend à disparaître au sur et à mesure qu'on s'élève dans la
région
dorsale. Toutefois, cette lésion n'est pas très
oi épaissie et leur lumière se trouve oblitérée. Transition de la
région
lombaire à la région dorsale. - Les fibrilles d
lumière se trouve oblitérée. Transition de la région lombaire à la
région
dorsale. - Les fibrilles de la zone marginale d
postérieures sont moins altérées qu'à la partie inférieure de la
région
lombaire. Le triangle formé par le faisceau pyram
eures contient un plus grand nombre de fibres nerveuses que dans la
région
lombaire. Il existe de mème une augmen- tation
nuées de volume et se colorent mal sous l'influence des réactifs.
Région
dorsale moyenne. - La sclérose porte ici sur les
s cordons de Goll sont plus pauvres en fibres nerveuses que dans la
région
lombaire. La partie des cordons de Burdach qui
a corne postérieure et le cordon latéral est plus mince que dans la
région
lombaire. Le cordon pyramidal et le cordon de F
est tournée vers la péri- phérie et dont le sommet s'avance vers la
région
intermédiaire des cornes antérieures et postéri
trois cellules nerveuses pâles, atrophiées et sans prolongements.
Région
dorsale supérieure. La zone antéro-externe de W
ules sans prolongements et plus petites qu'à l'état normal. Dans la
région
dorsale moyenne et supérieure, on voit avant et
à la ma- nière d'un coin. (PI. I, fig. 1 - a.) . Transition de la
région
dorsale à la région cervicale. La dégénérescenc
n coin. (PI. I, fig. 1 - a.) . Transition de la région dorsale à la
région
cervicale. La dégénérescence persiste avec les
s accru. Quant au cordon de Burdach. on peut constater que toute la
région
des cornes postérieures est limitée par une ban
e la plus riche en fibres nerveuses est celle du tiers antérieur.
Région
cervicale inférieure. Les racines postérieures so
ntactes. La zone qui les limite de chaque côté est normale. Dans la
région
postérieure du cordon de Burdach on trouve une
cée. Le champ du faisceau pyramidal est moins atteint que dans la
région
dorsale supérieure. Le cordon de Flechsig, séparé
é. La lésion empiète en avant sur la limite normale de ce cordon.
Région
cervicale moyenne. - Il n'y a pas grande différen
ne. - Il n'y a pas grande différence entre les altérations de cette
région
et celles de la précédente. Le faisceau cérébel
est intacte ainsi que les racines antérieures et posté- rieures.
Région
cervicale supérieure . - On peut dire en général
sion. Il en est de même des noyaux des nerfs bul- baires. Dans la
région
supérieure du bulbe, on voit immédiatement au-d
rdons postérieurs dans leur'totalité plus accentuée an niveau de la
région
lombaire. Cordons latéraux altérés en grande pa
Atrophie des racines postérieures. Dans la moitié inférieure de la
région
cervicale, on trouve deux canaux longitudinaux
platissement antéro-potérieur de la moelle, surtout au niveau de la
région
cervicale. Epaississement de la pie-mère. Dans
ne les ré-uttats suivants : épaississement de l'arachnoïde dans les
régions
cervicale et dorsale. Adhérences circonscrites
Adhérences circonscrites de la dure-mère et de la pie-mère dans la
région
dorsale. Pie-mère épaissie, et dans la région c
e la pie-mère dans la région dorsale. Pie-mère épaissie, et dans la
région
cervicale constituée par une grande quantité de c
ère est plus mince ; la diminution de volume existe surtout dans la
région
postérieure et porte spécialement sur les cordo
re et porte spécialement sur les cordons postérieurs. Néanmoins, la
région
antérieure et la substance grise sont également
l'on ne peut croire que le processus morbide se soit propagé des
régions
postérieures vers les cordons latéraux ; d'ailleu
ne variant pas beau- coup pour l'intensité, mais plus marquée à la
région
dorsale. On ne peut s'apercevoir de cette modif
coupes des cornes postérieures. Friabilité et rétrécissement des
régions
affectées. A l'oeil nu, la chose la plus digne de
remarque aussi bien aux renflements cervicaux et lombaires qu'à la
région
dorsale ; les parties posté- rieures étant en p
t en proportion plus petites que les antérieures, on voit aussi des
régions
symétriques bien marquées de sclérose affec- ta
artout. Epaississement et adhérence des méninges, surtout dans la
région
lombaire, Les préparations ont été faites par le
lus marquée dans la périphérie et dans les parlies mé- dianes. La
région
antéro-externe des cordons prismatiques est intac
l. Dans le cordon latéral, la lésion est plus avancée que dans la
région
supérieure. Atrophie des racines postérieures. Le
Atrophie des racines postérieures. Les co- lonnes de Clarke dans la
région
dorsale supérieure sont visible- ment atrophiée
cellules ner- veuses sont réduites de nombre et de volume. Dans la
région
dor- sale inférieure, la disparition des élémen
ue un peu. Les racines postérieures sont tout à fait atrophiées. La
région
lombaire présente les altérations suivantes : la
antérieur. Les racines postérieures sont tout à fait dégénérées.
Région
sacrée. Aux deux tiers postérieurs des cordons po
rise on ne voit plus de dégénérescence. La surface de section de la
région
cervicale est de 14 millimètres de diamètre tra
La dégénérescence des cordons latéraux est plus prononcée dans la
région
cervicale. Les racines postérieures sont atrophié
sont de x 5 et tom- bent à 5 x 5 dans la partie moyenne de la même
région
. Normalement, les différences analogues ne sont
cas dans les limites générales suivantes (PL. I, fig. 1) : Dans la
région
lombaire, elle occupe les faisceaux pyramidaux
DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 353 rieures (fi ? 7, 8, 29). Dans la
région
dorsale, les fais- ceaux pyramidaux, cérébelleu
borde toute la corne pos- térieure (iiq. 30, 31, 32, 33). Dans la
région
cervicale, elle atteint les faisceaux pyramidau
cordon de Goll est atteint d'une sclérose uni- forme à partir de la
région
lombaire inférieure jus- qu'au bec du calamus s
. Dans le faisceau de Burdach, la lésion apparaît au niveau de la
région
lombaire inférieure, mais ne s'é- tend pas unif
mides. Elle présente du reste de très grandes variations. Dans la
région
lombaire, la zone antéro-externe de Westphal es
la partie posté- rieure du cordon de Burdach est altérée. Dans la
région
dorsale, la zone antéro-externe, n'est pas tout
cte, tandis que la partie postérieure est moins altérée que dans la
région
lombaire. Dans la zone de transition entre la r
ée que dans la région lombaire. Dans la zone de transition entre la
région
dorsale et la région cervicale (/ ? . 30) la lé
ombaire. Dans la zone de transition entre la région dorsale et la
région
cervicale (/ ? . 30) la lésion commence à dimin
eure du bulbe. Les faisceaux cérébelleux sont pris à partir de la
région
dorsale inférieure. La lésion augmente dans r l
tir de la région dorsale inférieure. La lésion augmente dans r la
région
dorsale supérieure, et ne diminue que dans la r
te dans r la région dorsale supérieure, et ne diminue que dans la
région
inférieure du bulbe. A ce niveau la région occu
ne diminue que dans la région inférieure du bulbe. A ce niveau la
région
occupée par ce faisceau contient quelques fibre
résente une lésion de dégénérescence ascendante. Toutefois, dans la
région
cervicale infé- rieure et moyenne fait importan
s limites normales (/if), 34). La partie de la moelle qui dans la
région
lombaire Fig. 38. 356 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
one de Lissauer (on sait que cette zone n'a été étudiée que dans la
région
lombaire), est atteinte, mais cette lésion dimi
n lombaire), est atteinte, mais cette lésion diminue dans la même
région
à mesure que l'on se rapproche des parties supé
rties supérieures, de sorte que dans la zone de transition entre la
région
lombaire et la région dor- sale, elle est déjà
sorte que dans la zone de transition entre la région lombaire et la
région
dor- sale, elle est déjà intacte (/ ? . 28). Pl
ofondément altérées dans presque toute leur étendue, à partir de la
région
dorsale inférieure jus- qu'à ses limites supéri
idérable du volume de l'axe spinal, que nous avons signalée dans la
région
dorsale. Dans les parties sclérosées elles-même
qu'ont noté les auteurs qui nous ont précédés; ainsi, taudis que la
région
dorsale dans le cas de Rùtimeyer offrait dans s
de 9x6, elle n'atteignait que celui de 5 x 5, et G x G 1/2 dans les
régions
corres- pondantes de notre cas. 2. Au point d
fère-t-il en ce que la zone marginale de Lissauer, du moins dans la
région
lombaire inférieure et moyenne, est tout à fait
nous le remercions infiniment. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 361
régions
de la moelle, on ne trouve jamais que la dégé-
r une sclérose d'ori- gine vasculaire occupant systématiquement des
régions
exactement déterminées de la moelle épinière.
Burdach ; canal épeud\maire ; g, faisceau pyrnnmhl. PI. I, fig. 3.
Région
de la colonne de Clarke dans la moelle dorsale
ieure du renflement cervical, les deux bandes intactes situées à la
région
externe des cordons de Goll ont disparu et la z
e des faisceaux de Burdach est devenue un peu moins étendue. A la
région
dorsale supérieure, la partie postérieure des c
Dans les cordons latéraux, on observe à lapartie postérieure, une
région
légèrement décolorée en forme de coin dont la b
le procédé de Weigert. Fit, 40. Coupe à la partie inférieure de la
région
dorsale. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 381 v
de Burdach diminue de plus en plus. A l'extrémité inférieure de la
région
dorsale, cette portion dégénérée a presque comp
, on observe à la partie postérieure, la zone déjà signalée dans la
région
dorsale. A la partie inférieure de la moelle lo
ostérieurs étaient sclérosés dans toute leur étendue; cependant, la
région
cervicale et à la région lombaire, il existait
sés dans toute leur étendue; cependant, la région cervicale et à la
région
lombaire, il existait une zone intacte, située
es postérieures. La dégénérescence était la moins prononcée dans la
région
lombaire. Dans le faisceau alltéro-latéral, il
base- périphérique. Cette bande était particu- lièrement nette à la
région
dorsale : à ce niveau, la lésion allait de chaq
jusqu'aux racines postérieures. Au-dessus et au-dessous de cette
région
, il restait, entre les cornes postérieures et la
sceaux de Türck présentait son maximum à la partie supérieure de la
région
dorsale et au voisinage du renflement cervical
ou s'étendant un peu plus en avant; à un niveau inférieur, vers la
région
dorsale, la dégénérescence gagne l'intérieur de
DES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. ? 7 gnait les cordous de Goll que de la
région
cervicale à la région dorsale; à la région lomb
RE. ? 7 gnait les cordous de Goll que de la région cervicale à la
région
dorsale; à la région lombaire, les cordons post
ordous de Goll que de la région cervicale à la région dorsale; à la
région
lombaire, les cordons postérieurs étaient sains
ce point de vue les résultats de notre examen et prenons d'abord la
région
cervicale supé- rieure. , Nous constatons qu'
nd on examine des coupes de la moelle, à la partie supérieure de la
région
cervicale, chez le nou- ' Parmi les nombreuses
tement indiquées dans la ligure a, planche IV. qui correspond il la
région
cervicale supérieure : elles sont encore bien évi
es, dans la ligure b qui correspond à une partie moins élevée de la
région
cervicale. 388 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. veau-né
ision des cordons posté Flg, 42. Coupe à la partie supérieure de la
région
cervicale che z un foetus de 8 mois. Les partie
t aux cordons de Burdach en sont encore presque dénués. Or, cette
région
externe des cordons de Goll dont les fibres n'a
Pol)off a pu suivre la subdivision des cordons de fioll jusqu'il la
région
dorsale supérieure ; toutefois, il déclare qu'e
outefois, il déclare qu'elle y est beaucoup moins nette que dans la
région
cervicale supérieure. 1 Ueber die lleslandtheil
diffuse. Pour terminer l'examen des coupes faites au niveau de la
région
cervicale supérieure, il nous reste à signaler
'au niveau du tiers inférieur de la moelle : elle affecte les mêmes
régions
, c'est-à-dire les parties in- ternes, sur toute
ente sur tout le trajet de ces faisceaux. Seulement, à partir de la
région
supérieure de la ETUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE.
ser jusqu'à un certain point les centres corticaux des membres. Les
régions
atrophiées présentent à l'examen hosto- logique
ch ; f, canal épendymaire ; g, faisceau pyramidal. Pl. I, fig. 3. -
Région
de la colonne de Clarke dans la moelle dorsale
émentaires du cerveau, on n'est plus tenté de la localiser dans une
région
dé- terminée de l'encéphale comme un produit st
des centres nerveux cérébro-spinaux. Les élé- ments moteurs de ces
régions
conservent encore la trace des réactions par le
des appareils périphériques des mouvements avec lesquels toutes les
régions
de l'écorce sont en rapport anatomique et fonct
le siège de l'hallucination ver- bale motrice est localisé dans la
région
inférieure de la FA et dans le pied de la F3; v
ales, n'y détermine des hallucinations motrices de n'importe quelle
région
correspondante du corps. Et il en est bien ains
omme qui présentait une large perte de substance du crâne dans la
région
temporo-pariétale gauche 2. En général, toute p
suivant, l'en- fant perd connaissance, aussitôt qu'elle détache la
région
dorso- lombaire du dossier de son siège ou qu'o
. On avait constaté, le 6 novembre 1889 : Douleur au niveau de la
région
lombaire ; parésie ; dysesthésie du membre infé
tions minima des points indiqués dans leur diagramme (fig. 4). La
région
correspondante sur le cerveau du chien se trouve
la circonvolution marginale ou du lobule paracentral, se trouve une
région
dont l'excitation pro- duit des mouvements de l
utôt les deux quarts des circonvolu- tions centrales, se trouve une
région
dont l'excitation produit les mouvements du mem
nts « proximaux » sont représentés dans la partie, supérieure de la
région
, les mouvements « distants » c'est-à-dire ceux
tal peut mettre individuellement en mouvement le pouce (fig. 4). La
région
correspondante du cerveau du chien est celle in
érieure de la circonvolution pariétale ascendante chez le singe. La
région
correspondante chez le lapin est indiquée par l
ant le tiers inférieur des circonvolutions centrales, se trouve une
région
dont l'excitation produit des mouvements de la
ace, de la bouche, de la langue. Dans la partie supérieure de cette
région
, on peut différencier des centres pour les musc
t pour les inférieurs, en arrière du sillon de Roiando (fig..7). La
région
correspondante dans le cerveau du chien, relative
omène a d'abord été démontré chez le chien par l'exci- tation de la
région
présigmoïde, d'une façon visuelle par Krause 1 ;
souvent 1 aboiement et des effets semblables par l'excitation de la
région
homologue chez le chat (miaulement). J'ai aussi
aussi montré que les mouvements produits par l'excitation de cette
région
étaient dislinctementbilatéraux, ce que Krause,Se
remières expériences, mais une exploration plus méthodique de cette
région
a été faite pour la première fois par llorsley et
upilles n'est pas constant; par- fois, elles sont contractées. La
région
correspondante dans le cerveau du chien est indi-
quée par 13 (fig. 5) sur la deuxième circonvolution externe et la
région
homologue chez le chat (fig. 6) et chez le lapin
après l'excitation des différentes parties du lobe occipital et des
régions
avoisinantes. Mes expériences sur plusieurs sin
lusieurs occasions de faradiser l'écorce pour définir avec soin les
régions
qu'ils désiraient enlever pour guérir l'épilepsie
s reprises, les doigts étaient- étendus et séparés. Au-dessus de la
région
dans laquelle ces mou- vements furent obtenus,
e l'épaule qui fut portée en haut et en adduction. Au-dessous de la
région
, où les mouvements de la main avaient été obten
jà définis. Dans un autre cas de Lloyd et Deaver 2, on mit à nu une
région
de l'hémisphère droit, correspondant à l'union
Nancréde , on obtint des mouvements du pouce par l'excitation d'une
région
correspondant au second quart inférieur de la p
e différencier complètement les limites des centres respectifs. Les
régions
qui sont le plus près les unes des autres anato
motrices qui ré- sultent de l'excitation électrique des différentes
régions
corticales. Quelle que soit l'évidence de certa
t obtenir des mouvements semblables par l'excitation de différentes
régions
corticales en certains cas, m'ont conduit à cro
tte hypothèse, que quelques-uns peuvent être dus à l'excitation des
régions
motrices proprement dites, tandis que d'autres
fs sont plutôt des erreurs d'omission que d'exagération, et que les
régions
où j'avais d'abord,, placé les centres sensitif
votre attention sur les réactions produites par l'excitation de la
région
occipito-angulaire chez les singes et de son ho
, Torsion de la narine du même côté. 80 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE.
régions
frontale et occipito-temporale 1. Le résultat de
n obtient toujours les » mouvements des yeux par l'excitation de la
région
occipito-angu- laire, après l'ablation complète
on de la région occipito-angu- laire, après l'ablation complète des
régions
frontales, montrent qu'ils n'indiquent pas néce
e l'excitation des centres avec lesquels ils sont en relation. La
région
occipito-angulaire est la zone visuelle de l'écor
res. Les autres sens spéciaux sont intacts. Si la destruction de la
région
angulaire oc- cipitale est incomplète, unie ou
point a été con- firmé jusqu'à l'évidence par des lésions de cette
région
, observées avec som etstriclemeut focalisées.
esquels on observait les mêmes symptômes, les lésions occupaient la
région
de la scissure pariéto-occipitale et le pli cou
ou bilatérales empiétaient sur la scissure panéto-occipitale et la
région
du pli courbe, et dans aucun cas, on n'a eu ni
leurs propres termes sont les suivantes : « Nos expériences sur la
région
occipitale, quoique peu nombreuses, semblent com-
rapport avec les perceptions visuelles de telle manière que chaque
région
occipitale est en rapport avec la moitié latéra
dante de chaque rétine et qu'une partie seulement de l'écorce de la
région
peut prendre en grande partie (comment détermin
l où on note de l'hémiopie temporaire il la suite de lésions de la
région
' Eleclrical excitation of the fMKa ! area. (Br
e externe est destinée à léser toutes les radiations optiques de la
région
occipito-angu- aire qui émergent des noyaux pri
ncision transverse de peu de millimètres de profondeur à travers la
région
occipitu-temporale. Comme résultat on eut une h
ceptible le troisième jour. Quinze jours après, on opéra de même la
région
occipito-temporale droite, l'incision, cette fo
l'incision était superficielle et non continue, interrompue dans la
région
du lobule lingual. Du côté droit, l'incision s'ét
le lingual. Du côté droit, l'incision s'étendait à travers toute la
région
occipito-temporale et pénétrait de plusieurs mi
ance cérébrale divisant les fibres médul- laires qui émergent de la
région
des centres optiques primaires. Brown elTbompso
'e O1nterlCUt. - C, iiienibie postérieur. - E, zone de la tête - F,
région
de l'oeil. - C, région de l'oreille. - H, légion
enibie postérieur. - E, zone de la tête - F, région de l'oeil. - C,
région
de l'oreille. - H, légion du cou. - S. région du
région de l'oeil. - C, région de l'oreille. - H, légion du cou. - S.
région
du tronc. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 0))
faits pathologiques chez l'homme nous obligent à sup- poser que la
région
de la tache jaune est représentée dans chaque h
n claire, chacun surtout pour l'oeil du côté opposé. Que les autres
régions
de la rétine supérieure, inférieure externe et
érieure externe et interne soient spécialement représentés dans des
régions
correspondantes du lobe occipital, suivant les hy
t lésés ; on a trouvé des lésions dans les fibres médullaires de la
région
postérieure vaguement ou sans raison dénommes l
QUE. lésions ont été multiples et diffuses et non confinées dans la
région
occipitale. Et en plus de l'hémiopie, il y a eu
s dus aux lésions des tractus cérébraux et des centres dépassent la
région
occipitale. Sous ma direction, mon ami et élève
cérébrales telles qu'elles n'ont pas certainement compris d'autres
régions
. De ces 41 cas d'hémiopie, 13 étaient dus à des
gions. De ces 41 cas d'hémiopie, 13 étaient dus à des lésions de la
région
occipito-angulaire, 2 à des lésions des circon-
kyste, ni abcès, ni ramollissement de la substance médullaire de la
région
occipitale ni une autre lésion atteignant le th
s les autres cas, les lésions étaient diffuses, 6 des lésions de la
région
occipito-temporale, 3 des lésions des circonvolut
sions du coin et l'hémiopie est due à la tendance spéciale de cette
région
à être affectée par les troubles vasculaires coïn
culaires coïncident avec des lésions, des radiations optiques de la
région
temporo-occlpitale. Dans le cas de Sé¡ ! l1Ïn',
sensations visuelles, quoique dans quelques cas où la lésion de la
région
oc- cipito-angulaire était plus étendus il y av
premier, a noté la cécité de l'oeil opposé par la destruction do la
région
occipitale chez les chiens, et en 1881 Goltz dé
arence d'une façon permanente quand l'écorce était détruite dans la
région
de la division postérieure de la seconde circon
deux centres dans l'écorce en rapport avec la vision : l'un dans la
région
occipito-pariétate, en rapport avec les deux mo
respondantes des deux rétines, et l'autre plus spécialement dans la
région
pariétale, en rapport avec l'oeil du côté oppos
e et d'une profondeur suffisantes, dans la partie postérieure de la
région
occipitale chez les chats et les chiens, produi
blit que la destruction de chaque portion produit la cécité dans la
région
correspondante de luit du côté opposé ou du mêm
effets de l'extirpation d'une zone circu- laire de l'écorce dans la
région
A, mesurant à peu près 1 milli- mètres de diamè
parait être une hypothèse un peu in- forme, que l'extirpation delà
région
en question a enlevé toutes les images visuelle
s différentes portions de la rétine étaient représen- tées dans les
régions
indiquées du centre visuel, il est peu proba- b
cune situation excentrique ou anormale du globe oculaire, quand les
régions
spéciales indiquées par Munk sont détruites, co
isuel, suivant l'homologie des réactions électriques, occuperait la
région
pai iéto-occipilale, de l'hémisphère. Les limit
quoique certaines expériences de Moeli' indiquent les lésions de la
région
indiquée comme produisant au moins la cécité tem-
d'autres recherches. Chez les pigeons et les oiseaux en général, la
région
homologue au centre \isuel des animaux supérieu
du corps strié. Me Kendrick 3 a trouvé que la destruction de cetle
région
produit la cécité dans l'oeil opposé; tandis que
<'f)[,August., 1878. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 107 dans la
région
indiquée, et Munk conclut que quoique la vision
plus de la fovea cenlrdlis, une autre fovea située plus près de la
région
tem- porale de la rétine. Ces foveas externes s
ences de Goltz, les troubles de la vision à la suite de lésions des
régions
occipitales paraissent avoir été presque invari
rticipation des tractus sensitifs de la capsule interne ou d'autres
régions
sen- sorielles de l'écorce. La question de savo
cependant que le centre visuel de l'écorce n'est pas seulement une
région
ditfé- renciée fonctionnellement capable de rem
onnellement capable de remplacer ou d'être rem- placée par d'autres
régions
corticales d'autant que la destruction des cenl
des réactions optiques amène une atrophie strictement confinée aux
régions
comprises dans la zone visuelle. La différen- c
res facultés sensorielles sont aussi séparément localisées dans des
régions
corticales définies. (A suivre.) REVUE PHARMA
met en évidence que tous les trousseaux défibres qui partant des
régions
antérieures du cerveau traversent toute la capsul
rce, elles se sont montrées, en l'espèce, très peu accusées dans la
région
la plus atro- phiée, celle des ascendantes; de
oculaire. La lame criblée étant demeurée normale, le nerf occupe la
région
externe et supérieure de l'infun- dibulum, son
sa structure est restée normale, aussi normale qu'en arrière de la
région
qui nous occupe, mais on n'y trouve ni artère n
les libres des nerfs optiques viennent d'arrière en avant gagner la
région
anté- rieure du cerveau moyen et descendent à l
des trousseaux de fibres qui se rendent en bataillons compactes aux
régions
supérieures et antérieures; on les retrouve dans
le interne. Pour cela, il faut pratiquer une coupe transverse de la
région
du genou ; ces trousseaux y occupent le segment l
lité aux emplois DE médecins adjoints DES asiles publics d'aliénés (
Région
de Paris). Ce concours s'est ter- miné par l'ad
douleur atroce, occupant la face interne du pied gauche dans une
région
parfaitement délimitée, représentée par des hachu
ifs il se pro- duisit, sur la partie postérieure dn tronc et sur la
région
anté- rieure de l'abdomen une éruption dont la
S CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE 171 vésicules isolées occupent la
région
de l'articulation sacro- vertébrale. En avant,
nes, des deuxième et troi- sième paires sacrées, c'est-à-dire d'une
région
du plexus sacré, située au-dessous de l'origine
e bien limitée du plexus, peut- être même encore plus haut, dans la
région
de la moelle d'où cette partie de plexus tire s
les fibres nerveuses du petit sciatique, qui naissent dans la même
région
, subissent un faible degré d'atrophie simple »
on de l'hip- pocampe, je ne décrirai la partie godronnée de cette
région
qu'au point de vue macroscopique. Je crains bie
e côté simple du sujet. Lorsqu'on fait une coupe transversale de la
région
, au niveau de la partie moyenne de la corne d'A
istes. J'ai pensé cependant qu'il n'était pas inutile de décrire la
région
telle qu'on la voit à l'oeil nu ou aidé d'une s
grise va se confondre avec celle de l'espace perforé. Dans la même
région
, on trouve d'un seul côté seulement une large l
ndance à localiser l'olfaction du côté de la corne d'Ammon, dans la
région
de cette circonvolution. Si je me suis cru auto
que le centre de l'olfaction est dans la corne d'Ammon ou dans une
région
avoisinante. FERRÉ. - c La dysosmie qui figure
; Malgré cette tendance qu'ont de nombreux auteurs à voir dans la
région
de la corne d'Ammon un centre olfactif, rien n'
Sous le nom de carrefour interne de l'hémisphère, il décrit : « Une
région
plane qui communique en avant avec la face inte
idées de Broca; et l'on revient à tourner les yeux du côté de la
région
de la corne d'Ammon. MATHIAS DUVAL (Al'chiveg d
toute particulière ». Plus loin, il est très précis : « Si donc la
région
de l'écorce conserve chez tous les mammifères u
adopté par les anciens anatomistes pour indiquer les parties de la
région
que nous étudions, nous pourrions vraiment dire
de l'hippocampe ne s'arrêtent pas à la partie postérieure de cette
région
, mais qu'elles se conti- nuent toutes plus ou m
ntérieure du nerfs de Lancisi. Mais, dans tous les examens de cette
région
, que j'ai faits sur des cerveaux frais, j'ai to
e jusqu'au bourrelet postérieur, derrière lequel il s'accole à la
région
correspondante du cercle fibreux de l'orifice v
établir exactement la manière différente de . se présenter de cette
région
, qui mériterait d'être , examinée plus attentiv
que qu'elle soit, l'affection n'en occuperait pas moins certaines
régions
dans les centres nerveux, qui détermineraient cli
détermine nécessairement un trouble local plus ou moins grave de la
région
explorée, si bien que la déviation galvanomélri
fs vasculaires de la peau avaient été préalablement coupés dans les
régions
considérées, ce phénomène aurait une origine lo
e, l'autre extrémité était fixée sur la peau du sujet,, soit sur la
région
occipitale, pariétale ou fron- tale, soit sur l
e observées durant les émotions ne se sont manifestées que sur la
région
frontale (17 expériences). Dans 25 expériences
5 expériences où une extrémité de la pile était appliquée sur les
régions
pariétale, occipitale, etc., de la tête, le galva
uoi ces variations thermi- ques se sont trouvées localisées dans la
région
frontale de la tête. Voici l'interprétation de
s de pareilles condi- tions, il n'est pas absurde de croire que des
régions
étendues de l'écorce participent au développeme
simultané de leurs représentations. Or, le travail nerveux de ces
régions
de l'écorce s'accompagne certainement d'un accr
entale des émotions, ces phéno- mènes sont surtout sensibles sur la
région
frontale, la raison en serait que, faites sous
ux, il n'existe à cet égard aucune différence entre les différentes
régions
du cerveau : c'est que des émo- tions provoquée
tions de température, surtout au front, sinon uniquement dans cette
région
de la tête ; ces oscillations thermiques du crâ
ats sont tou- jours' plus caractéristiques après l'excitation de la
région
liomolo- i Voy. Arei. de Neurolog., n° 60, p. 4
dont la sécurité dépend habituelle- ment de l'acuité de l'ouie. La
région
en question est la division postérieure de la t
varient en intensité. Chez le lapin oreillard l'excitation de cette
région
produit une élévation soudaine de l'oreille, et
observé une ou deux fois que l'application des électrodes sur cette
région
fait bondir l'animal, dresser ses deux oreilles
considérer les mouvements des yeux à la suite de l'excitation de la
région
occipito-angulaire comme un indice d'une sensat
endemain de l'opération, détruisant les radiations optiques dans la
région
occipito- angulaire. Le 5 novembre, on découv
a repris les sens des sons et revint à son état normal. Dans cette
région
, suivant lui, des images audi- tives comme les
vant lui, des images audi- tives comme les images visuelles dans la
région
A (fig. 19), sont emmagasinées. Fréquemment, ce
ité inférieure de la circouvolution temporale moyenne (B, fig. 19),
région
que j'ai complètement extirpée sans causer le F
lsphrcre) de Iunk. centres psychomoteurs des autres auteurs. - z D.
Région
du membre antérieur. C. Région du membre postérie
homoteurs des autres auteurs. - z D. Région du membre antérieur. C.
Région
du membre postérieur. - E. Région de la tète. -
bre postérieur. - E. Région de la tète. - F. Région de l'oeil. - G,
Région
de l'oieille. -Il. Région du cou. - J. Région d
n de la tète. - F. Région de l'oeil. - G, Région de l'oieille. -Il.
Région
du cou. - J. Région du tronc. - B est placé sur
r aucune preuve, car après l'extirpation uni ou bilatérale de cette
région
je n'ai pu trouver aucun trouble de la sensibil
sance auditive des deux côtés fut revenue la même, l'ablation de la
région
correspondante de l'autre hémisphère a produit
du même côté. Lu- ciani dit : « Les effets de l'extirpation dans la
région
du lobe pa- riétal confirment ce qui avait été
'irradie de son point central dans le lobe temporal en haut vers la
région
parié- tale, en avant vers la région frontale,
lobe temporal en haut vers la région parié- tale, en avant vers la
région
frontale, en arrière vers la région de l'hippoc
n parié- tale, en avant vers la région frontale, en arrière vers la
région
de l'hippocampe, en dedans vers la corne d'Ammo
es deux hémis- phères. (Voir fig. 20 et 21). La substance grise des
régions
atro- phiées avait entièrement disparu, laisant
semblent le mon- trer, provient'surtout des racines postérieures de
régions
dorsales supérieure et cervicale et non de cell
itié convexe ou externe de la colonne latérale vers le milieu de la
région
dorsale (fig. 24). Malgré une légère paralysie
é de diviser avec soin les cordons postérieurs dans le milieu de la
région
dorsale; j'ai fait la section en plongeant un k
- 1,'îg. 24, 25, 26. LES LOCALISATIONS 'CÉRÉBRALES. 261 dans la
région
cervicale chez les chiens ne produit aucune perle
- dante. L'autopsie révèle : une lésion (ramollissement) de cette
région
qui atteint surtout le pli courbe. La discussion
lmonaire avec eschare, un an après l'accident. Atrophie de toute la
région
antérieure des deux hémisphères cérébraux jusqu
le sacrum. Incontinence de l'urine et des matières ; anesthésie des
régions
innervées par le plexus honteux et hémor- rhoïd
ccu- paient la limite postérieure de la substance réticulaire et la
région
280 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
UES. antérieure de la tête des cornes postérieures, au milieu de la
région
moins tassée des faisceaux longitudinaux postér
teignent presque sans exception toutes les cellules nerveuses de la
région
; elles acquièrent leur plus haute intensité dan
tralbl. 1890.) Les auteurs enregistrent les mouvements : 1° De la
région
cardiaque, par un ballon assujetti à l'extrémité
d'une sonde oesophagienne en gutta-percha, résistante; - 2° de la
région
pylorique, par un ballon assujetti à un tuyau de
stait aussi un anévrisme traumatique de l'artère humérale. Toute la
région
innervée par le médian et le cubital du côté ét
antres systèmes, notamment dans la substance grise; au niveau de la
région
supérieure de la moelle dorsale, toute la coupe
ntentionnel très net à la fin, envahissant en dernier lieu les deux
régions
faciales; démarche ataxospasmodique; à aucun mo
trophiée; vais- seaux en nombre modéré, non épaissis. Du côté où la
région
de ? ascendants a subi le maximum d'amincisseme
isaient croire à l'existence d'autres foyers pathologiques dans les
régions
telles que la base du cerveau, par exemple, où
ndue. Supposez en effet une tumeur, un tubercule placé dans cette
région
de la protubérance, vous comprendrez aisément c
loca- liser la lésion qui a donné naissance à ce syndrome dans la
région
pédonculo-protubérantielle. Je vous ai déjà déc
t pas tout : elle pré- sente encore des points douloureux, dans les
régions
des lombes et des mamelles, dont la pression ré
hyperesthésie. Elle avait en outre un point très douloureux dans la
région
sacro-lombaire, sur la ligne rachidienne. Au bout
ux sus-mammaires en des points symétriques et une médiane dans la
région
lombaire; la pression au niveau de ces zones réve
aires, par des attouchements sur le vertex, par la pression dans la
région
do la fosse iliaque des deux côtés. Au début, o
l, point hystérogène au vertex, hystéro-phré- nateurs dans les deux
régions
ovariennes. Elle a eu autrefois des attaques de
ui la coupe profitant de ce qu'elle est toute seule. ' Piqûres la
région
p ! 'eco)'dtft<e.Monsieur, laissez-moi, s'il v
ehors, sui- vant Flechsig, et se distribuent dans l'écorce, dans la
région
située entre la scissure de Rolando et le lobe
infléchissent en bas et en dehors pour s'irradier dans l'écorce des
régions
tempo- rale et occipitale. On suppose qu'elles
régions tempo- rale et occipitale. On suppose qu'elles unissent ces
régions
au cer- velet par l'intermédiaire de la substan
t voir le pédoncule après l'ablation de la portion inférieure de la
région
temporale. - Chez les trois animaux on créa d'u
écorce (comme le pensent quelques-uns) ou se distribuent à quelques
régions
spéciales. Dans mes premières expériences, j'ai
du corps. Une autopsie soigneuse a montré que dans tous les cas la
région
de l'hippocampe (corne d'Ammon et circonvolutio
l'hippo- campe) était plus ou moins atteinte. Ces faits montrent la
région
de l'hippocampe comme le centre do la sensibili
s expériences par lesquelles je pouvais atteindre et détruire cette
région
. Cependant, à cause de sa situation pro- fonde
CÉRÉBRALES. 379 moins grande destruction du lobe occipital ou de la
région
tem- porale inférieure. - On peut cependant ten
ut cependant tenir compte et éliminer les ellets des lésions de ces
régions
et tout symptôme en plus de ceux que l'on peut
peut leur attribuer peut être considéré comme dû à la lésion de la
région
de l'hippocampe. La méthode que j'ai suivie dan
ans mes premières expériences consistait à enlever et dé- truire la
région
de l'hippocampe par un cautère enfoncé a travers
e manière j'ai réussi primitivement et secondairement à détruire la
région
de l'hippocampe et ses connections médullaires
époque. Les lésions dans ce cas 2 étaient sirictement limitées aux
régions
de l'hippocampe et occipito-temporale, et sans
permanence des symptôme ? mais elies ont suffi- samment indiqué une
région
, sinon toute la région, en rapport avec la sens
? mais elies ont suffi- samment indiqué une région, sinon toute la
région
, en rapport avec la sensibilé commune, tactile
à-dire la destruction, par le cautère et en partie la section de la
région
de l'hippocampe par la partie convexe du lohe t
HOLOGIQUE. atteinte ou abolie en proportion de la destruction de la
région
de l'hyppocampe et temporale inférieure. Malheu
pouvait produire une lésion assez étendue dans une ou dans les deux
régions
de l'hippocampe sans produire une anesthésie per-
he fut exposé et toute la circonvolution temporale inférieure et la
région
de l'hippocampe furent grattés; la lésion ne la
r ce qui regarde la production de l'hémipiopie par une lésion de la
région
temporo-occipitale discutée plus haut). Il y av
t montré qu'à l'exception des blessures décrites ci- dessus dans la
région
temporale inférieure et de l'hippocampe, les ga
blable opération, produi- sant un arrachement presque compfet de la
région
de l'hippo- campe et de la région temporale inf
arrachement presque compfet de la région de l'hippo- campe et de la
région
temporale inférieure du reste de l'hémis- phère
s étaient limitées soigneusement au lobe temporal inférieur et à la
région
de l'hippo- campe de l'hémisphère gauche sans l
abolis, momentanément au moins, par des lésions destructives de la
région
de l'hippocampe et le degré et la durée de l'an
durée de l'anesthésie varient avec l'étendue de la destruction des
régions
en question. Ce sujet a été ensuite repris par
s poursuivirent ensuite parfaitement. Chez un animal chez lequel la
région
de l'hippocampe fut enlevée il y avait le jour
ure quant t à la durée. Dans une seconde expérience, on enleva la
région
de l'hippo- campe et les incisions furent faite
inution graduelle de l'anes- thésie produite par une ablation de la
région
de l'hippocampe m'a amené a suggérer de semblab
ne pourrait pas s'étendre dans le reste du lobe falciforme dont la
région
de l'hippocampe n'est qu'une partie. Telle est
des symptômes semblables a ceux observés après la destruction de la
région
de l'hippocampe et peut- être même plus intense
nt suivi la première opération, on exposa le même hémisphère, et la
région
de la scissure longitudinale et on excisa le gy
it des parties du lobe falciforme spécialement en relation avec des
régions
particulières du côté opposé. Ils con- cluent d
'anesthésie graduellement guérissait ou plutôt se localisait en des
régions
définies. - Dans tous les cas cependant, dans l
e peuvent représenter plus spécialement la sensibilité de certaines
régions
. Mais quoique j'ai à l'occasion noté dans mes e
. Mais quoique j'ai à l'occasion noté dans mes expériences sur la
région
de l'hippocampe, comme Seha3fer et Horsley dans l
leurs expé- riences sur le gyrus fornicatus, qu'il semblait qu'une
région
avait ' Op. cil. op. cit. ' ' Op. cit. 38
isation peut être établi par les fibres associés qui unissent cette
région
aux contres moteurs de l'écorce. On n'a pas p
eux et de l'hippocampe. Quoique le gyrus fornicatus paraît être une
région
purement sensitive et que par suite sa destructio
tte cause-France, cependant, croit que la dégénérescence occupe une
région
différente du cordon pyramidal de celle résultant
une région différente du cordon pyramidal de celle résultant de la
région
de la circonvolution marginale seule, la dégénére
rne du cordon pyramidal croisé et dans le premier cas toute la même
région
. Ces explications ne sont pas cependant suffisa
nts animaux varie la structure de la totalité ou d'une partie de la
région
ci-dessus déciile. Broca divise tous les animau
à croire qu'il y avait un rapport entre le déve- Joppement de cette
région
et le sens de l'odorat, mais le fait qu'il adme
nt très claires, mais, la grandeur du ' Dans mes expériences sur la
région
de l'hippocampe, je ne pouvais distinguer des l
pyramidal. - rn, noyau rouge. - ral, racines du nerf olfactf. - rs,
région
subtha- lamique. - s, septum lucidum. - sa, sub
du cerveau du singe il angle droit des pédoncules cérébraux dans la
région
de la commissure antérieure (grandeur naturelle
ile de déterminer si l'odorat est perdu par l'a- blation de la même
région
. - Chez quelques animaux, c'est cepen- dant plu
s coupé ou détruit par une inflammation primitive ou secondaire les
régions
temporales inférieures d'un côté'ou des deux cô
les autres expériences, je pense qu'on a laissé suffisamment de la
région
de l'hippocampe des deux côtés, pour permettre
nne des limites de la sphère olfactive il l'étend cependant dans la
région
pariétale jusqu'à la scissure longitudinale et
ents produits par l'électricité dans les différents points de cette
région
. L'interprétation de ces mouvements, a donné li
e dans les cordons pyramidaux du côté droit de la moelle jusqu'à la
région
lombaire. Dans le cas représenté fig. 37, la
e et des cordons pyramidaux du côté opposé de la moelle, jusqu'à la
région
lombaire, ou émergeait les nerfs de l'extrémité
nt représentés bilatéralement dans chaque hémisphère : ceux de la
région
faciale supérieure et ceux du larynx. Donc une ex
gicale des centres corticaux. Non seulement des lésions de toute la
région
rolandique amènent une hémiplégie, mais des lés
. En plus, j'ai des notes sur 20 cas d'a- trophie de l'écorce de la
région
rolandique en rapport avec une hémiplégie congé
s les deux hémisphères; car si les centres moteurs d'un côté et les
régions
occipitales de l'autre côté sont détruits, le c
r les doigts. Dans un cinquième cas', l'ablation d'une tumeur de la
région
pariétale inférieure droite qui occasionnait de
émiopie droite que j'ai diagnostiqué comme due à une tumeur dans la
région
du pli courbe. Pas de paralysie du mouvement, m
membres a été quelquefois observée dans le cas de lésions de cette
région
, quelquefois compliquée d'hémiopie où la lésion
sensitifs de la capsule interne qui est située au-dessous de cette
région
et non la lésion de l'écorce elle-même ; car le
centres de sensation générale et spéciale. CENTRES FRONTAUX. La
région
ducerveau qui estsituéeen al'il11tde IdlOue de il
plolubérance. - Les lésions destructives des centres frontaux, des
régions
postfroutales et préfrontales, comme je l'ai démo
ut être prise comme une preuve de la signification motrice de ces
régions
. De semblables dégénérescences ont été décrites p
, 1880. Archives, t. XXI 27 418 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les
régions
frontales avec les noyaux moteurs de la moelle. L
combinés avec ceux de la destruction, plus particuliè- rement de la
région
postfrontale, indiquent que cette partie est en
isaient, ils remuaient le tronc et la tête en masse. L'ablation des
régions
préfrontales seules, ne produit au- cun symptôm
s n'étaient plus perceptibles. Un mois après, l'extirpation de la
région
préfronlale en avant de la précédente lésion, p
de découvrir à nouveau ces altérations. Ces faits indiquent que les
régions
préfrontales ont les mêmes relations fonctionne
lessés plus à gauche qu'à droite. J'ai récemment extirpé toute la
région
frontale de l'hémisphère gauche (voir fig. 38).
, du lobe frontal. Cette expérience montre que la destruction de la
région
fron- tale produit non seulement la déviation c
alysés d'une façon permanente, à moins que toutes les parties de la
région
frontale ne soient com- plètement détruites.
. Hitzigi, cependant dit qu'on en observe après l'extirpation de la
région
préfrontale, chez les chiens. Je ne puis corrob
de la vision du côté opposé, après l'extirpation unilatérale de la
région
frontale, est dû à la déviation conjuguée des y
p visuel est autrement normal. Munk trouve que la destruction de la
région
frontale chez les chiens produit une paralysie
chiens produit une paralysie des muscles du tronc et il appelle la
région
fron- tale la sphère sensorielle du tronc, quoi
ncontrés chez les chiens et les singes. Des bî cas de lésions de la
région
frontale réunis de différentes sources, dans de
mais dans la majorité de cas il faut incrimi- ner une lésion de la
région
motrice de l'écorce cérébrale. Au point de vue
bituellement plus pro- noncés dans les extrémités inférieures ; les
régions
plus éloignées des centres sont lésées avant et
s éloignées des centres sont lésées avant et plus fortement que les
régions
situées plus près de ces mêmes centres; les ext
mpérature locale au niveau de la main droite, qu'une eschare sur la
région
trochantérienne droite. Celle eschare a débuté
lard, de petites ulcérations escharotiques se sont développées à la
région
trochantérienne gauche : elles n'ont pas tardé
erne, à l'exception do la tête, de la partie droite du cou et de la
région
pectorale. -Vous savez,,je suppose, ce qu'on ente
ANESTUÉSIE TOTALE 9 nent lieu à des erreurs de localisation. t1 la
région
périnéale et ano-vulvaire, il y avait de l'hypo
yringomyélie, Schlesinger (1), a montré que dans ces cordons, trois
régions
surtout étaient envahies par la gliomatose, à sa-
é qui embroche en quelque sorte la moelle de part en part depuis la
région
dorsale supérieure à droite etcervicale supé- r
e supérieure à droite etcervicale supé- rieure à gauche, jusqu'à la
région
lombo-sacrée, ou bien d'une cavité, qui, à la b
la région lombo-sacrée, ou bien d'une cavité, qui, à la base de la
région
cervicale, a sectionné à peu près complètement le
n, à l'oeil nu, de la moelle : La coupe est normale au niveau de la
région
inférieure du bulbe et de la ire racine cervica
flement cervical et de la 3e racine dorsale ; mais à par- tir de la
région
dorsale moyenne, la moelle présente, à la coupe,
gauche. Il existerait encore quelques douleurs à type fulgurant. La
région
cubitale n'est plus douloureuse. Depuis un mois
bumine dans les urines. Appareil ganglionnaire. On constate dans la
région
cervicale posté- rieure, surtout du côté gauche
ruption cutanée, par de syphilides pigmentaires du- cou. Les autres
régions
ganglionnaires ne sont pas atteintes. Décembre
berculose : Gomme ou plaque de méningite basilaire siégeant dans la
région
pédonculaire, au niveau de l'émergence des nerfs
La lésion siège ici sans aucun doute, dans les bourses séreuses de la
région
interne du pied, ou, comme le disait Charcot, l
oite, à mi-hauteur de celle-ci. Heureuse- ment, elle empiète sur la
région
antérieure, laissant en arrière les gros troncs
e. Decllbitus acutus. Autopsie : Double gomme intramédullaire de la
région
cervico-dorsale. Symphyse duro-médullaire. (1
de brûlure qu'il ressent entre les deux épaules ; les musclos de la
région
cervicale postérieure sont contracturés et cet
ns les groupés musculaires des membres inférieurs, du pelvis, de la
région
clorso-lombaire. (Fig. 10.) Les deux jambes sont
corres- pond à la 3e côte et qui suit cet arc osseux jusque dans la
région
postérieu- 1'13; immédiatement au-dessus de cet
are sacrée, ni fessière ; la peau est seulement plus rouge dans ces
régions
. Les masses musculaires ne paraissent pas atrop
s sa con 1 illuité( dissociation syringomyélique), siégeant dans la
région
ceriico-clorsule, vraisemblablement entre la 8° r
s de tuméfaction ni d'induration remarquables ; cepen- dant dans la
région
cervico-dorsale, il semble que le névraxe soit un
aux vasculaires de surface sont très congestionnés, surtout dans la
région
supérieure de la moelle. A la hauteur des premi
racine dorsale : coupe n° lui. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA MOELLE
RÉGION
CER·1C0-OORSALE. ETAGE SUPÉRIEUR (COLORAT, 1o\É
quement placées par rapport au plan médian ; elles occupent,dans la
région
antéro-latérale du névraxe, des niveaux un peu di
s- tantes l'une de l'autre, pour que, sur certaines coupes, dans la
région
inter- médiaire, elles apparaissent toutes deux
ées, les cornes droites sont contiguës à la tumeur, au niveau de la
région
qui correspondrait normalement à la commissure
0 racine dorsale : coupe ne 16. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA MOELLE
RÉGION
CERVICO-DORSALE. ETAGE INFERIEUR (DESSIN. A la
ningés, cesse d'adhérer aux en- veloppes, puis se concentre dans la
région
delà corne antérieure (P1.1,8, ' coupe 119) pou
filtrée de cellules embryonnai- res ; à une certaine distance de la
région
tumorale, principalement dans GOMME SYPIIILITIQ
environ au-dessous de la tumeur la plus basse, on retrouve dans la
région
postérieure, un épaississement et une infiltrat
avec les prolongements de la méninge. Au-dessus et au-dessous de la
région
des tumeurs, même à une assez longue distance d
ns laquelle on' aperçoit t quelques globules sanguins. - Dans les
régions
supérieures, situées au-dessus de la gomme, l'art
on jaune sur le fond noirâtre de la préparation et occupant dans la
région
de son diamètre GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
sur les faisceaux blancs voisins, sa limite est moins nette dans la
région
de la substance grise, vers la commissure par exe
sa phase récente, dans son mode d'envahissement : on voit dans ces
régions
le tissu médullaire, quel qu'il soit, substance
e supérieur à celui de la tumeur elle- même, indique bien que cette
région
a été rendue particulièrement vulné- rable par
, étant donnée l'épaisseur verticale des deux noyaux, il existe une
région
où la coupe les intéresse tous deux, le gauche
e sa congénère. Tandis que la première se termine en pointe vers la
région
centrale de la moelle, s'éloignant par conséquent
e qui suit la partie centrale de la moelle et qui désorganise cette
région
jusqu'à une distance relativement considérable,
s colorées par les méthodes de Fic,. 16. Coupe de la moelle dans la
région
commune aux deux gommes (voir fig. 13) : A ce
les observations de Sottas. Ces dernières lésions indiquent que ces
régions
de la moelle, soumises sans doute à une ischémi
crivant la topographie de nos tumeurs, que celles-ci occupaient les
régions
antérieures de la moelle et qu'elles s'étaient
auteur de nos coupes; nous savons en effet que l'infiltration de la
région
commissurale s'étend bien au delà des tumeurs g
rose interstitielle embryonnaire, dont le foyer principal occupe la
région
antérieure de la moelle. z Les lésions varient
elques-unes seulement renferment quelques tubes décolorés, dans les
régions
les plus envahies par la sclérose embryonnaire.
e petites cellules, aussi ser- rées, aussi confluentes que dans les
régions
les plus infiltrées de la tumeur médullaire. Ic
escence caséeuse des zones centrales, etc. Par contre, l'examen des
régions
voisines du foyer gommeux nous ap- porte des ar
étape dans la substance grise de ta cptpnneposténeure, gagnent les
régions
supéneures de la moelle et l'encéphale, par des s
on de Goll, l'étage des tumeurs; en revanche, si on exami- nait les
régions
supérieures du domaine paraplégie, les surfaces c
son explication dans ce fait que les filets sensitifs émanés de ces
régions
aboutissaient et l'étage de la lésion, et que l
arquable qu'avait prise l'infil- tration embryonnaire dans toute la
région
centrale de la moelle, même en deçà et au delà
729. 81 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE veloppées dans la
région
cervicale et disparaissant dans la partie inférie
les cloisons interstitielles de la moelle, particulièrement dans la
région
des cordons et des racines postérieurs. Près du s
es de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la
région
cervicale de la moelle. Di- verses lésions syph
es se prolonge sur la protubérance. La pie-mère spinale, dans les
régions
cervicale et thoracique, est très épaissie, uni
ée d'éléments cellulaires. Le sillon longitudinal antérieur dans la
région
dorsale, au niveau de la commissure blan- che a
Cadavre en état de putréfaction (marasmo) avancée. Il existe, dans la
région
dorso-lombaire de la colonne vertébrale,une pet
. La moelle est de volume à peu près normal. Elle présente, dans la
région
lombaire,un dédoublement d'une étendue,en longu
, les fibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la
région
dorsale, la moelle est aplatie suivant son diam
divisé en 2 parties par un tractus de substance nerveuse. Dans la
région
lombaire, sur une longueur d'un centimètre et dem
terne. , Pas de lésions vertébrales. La dure-mère spinale, dans les
régions
cervi- cale et thoracique,est unie par de nombr
moelle, le processus morbide s'efface peu à peu. Cependant, dans la
région
lom- baire, il existe une induration fibreuse i
s centimètres de hauteur. L'examen microscopique montre, clans la
région
cervicale, une coloration diffuse des cordons p
ne coloration diffuse des cordons postérieurs de la moelle. Dans la
région
thoracique, seuls sont envahis les cordons cuné
ion thoracique, seuls sont envahis les cordons cunéiformes. Dans la
région
lombaire, les cordons postérieurs sont sains. D
baire, les cordons postérieurs sont sains. De plus, on note dans la
région
cervicale une petite gomme de la grosseur d'un
nt être découverts par les photo- graphies de Roentgen que dans les
régions
extrêmes du corps ; les membres et surtout les
ient une chute des che- veux dont il reste encore des traces sur la
région
antérieure du cuir chevelu. De 18 il 26 ans,mic
. - - En même temps qu'il ressentait des douleurs en ceinture de la
région
lom- baire, plus marquées à gauche, il s'aperçu
est traité par l'iodurc de potassium et des pointes de feu dans la
région
lombaire. Il en sort très amélioré après 4 mois.
antile, mais très vraisemblablement causée par quelque dépôt sur la
région
supérieure de la moelle et ses membranes. La lési
e comme un bâton dans toute son étendue, particu- lièrement dans la
région
cervicale. . Des coupes (non microscopiques) mo
étendue. Surtoutau niveau de la partie moyenne et inférieure de la
région
dorsale, la pie-mère présentait un fort épaissi
cependant une atrophie de quelques fibres nerveuses,surtout dans la
région
de la queue de cheval. Telle est cette instru
t'age de 6 ans, elle a commencé à se plaindre de douleurs dans les
régions
dorsale. et épigastrique qui la forcèrent, dit-
phénomènes généraux il cette époque. , La courbure vertébrale de la
région
dorsale qu'elle présente aujourd'hui, ne se ser
le est restée chez elle sans traitement, toutefois elle porte dans la
région
dorsale 2 cicatrices attribuables à des cautère
véritable arrêt de développement. Tronc. Cyphose très marquée à la
région
dorsale supérieure, arrondie, sans saillie ou p
rge. ' L'abdomen bombe également et est fortement saillant. Dans la
région
inter- capsulaire dépression marquée surmontant
rale est modérément douloureuse. Cicatrices cutanées. La peau de la
région
postérieure du tronc est parse- mée de cicatric
la région postérieure du tronc est parse- mée de cicatrices. A la
région
dorsale supérieure, 2 cicatrices étoilées de caut
dorsale supérieure, 2 cicatrices étoilées de cautères anciens. A la
région
sacrée, il existe une cicatrice blanche de la lar
ême ordre se seraient montrés au mois de janvier 1895 dans les môme
régions
. Ils auraient guéri, puis auraient récidivé en av
erses sensations au contact, à la piqûre, à la température, dans la
région
hypoesthésique, Il semble bien qu'il existe une
r couché pendant 7 à 8 jours, Il avait des four- millements dans la
région
lomhaire surtout lorsqu'il fléchissait fortement
ur (janvier 1896) il a toujours ressenti des fourmillements dans la
région
lombaire et dans les membres inférieurs, chaque
on de la syphilis héréditaire sur la base du cerveau, le bulbeêt la
région
cervi- cale de la moelle épinière. ' On remar
bilité élec- trique conservée. Zone hyperesthésique cutanée dans la
région
mammaire droite. Pas de troubles sensoriels.
trophiques si ce n'est un durillon situé la par- tie interne de la
région
métatarso-phalangienne du gros orteil, lequel est
ier, la malade se plaint de douleurs dans la nuque et aussi dans la
région
frontale au niveau de la racine du nez entre le
a piqûre. En même temps, se montraient des douleurs sourdes dans la
région
lombo-sacrée. Elle avait déjà ressenti ces doul
durèrent pas plus de 8'jours. Le 11 mars 1895, les douleurs de la
région
lombo-sacrée revinrent plus vives et avec elles
phénomènes s'aggravèrent rapidement ; toutefois les douleurs de la
région
lombo-sacrée s'amoindrirent sous l'influence des
d'onguent mercuriel double. Ap- plication de pointes de feu dans la
région
lombaire renouvelées tous les 10 jours. Hydroth
assied elle n'a plus qu'une vague sensation d'engourdissement de la
région
inférieure des fesses et de la région périnéo-v
ation d'engourdissement de la région inférieure des fesses et de la
région
périnéo-vulvaire. Ces régions ont leur sensibilit
région inférieure des fesses et de la région périnéo-vulvaire. Ces
régions
ont leur sensibilité normale à la pi- qûre. L
e de la rétine. Quelques-unes néanmoins existent au voisinage de la
région
vasculaire ». Il n'existe, à la face ou sur le
u personnage. - Le torse est la partie la plus intéressante. La
région
supérieure présente une double gibbosité, dorsale
ale et thora- cique ; elle forme un angle ouvert en arrière avec la
région
lombaire qui, elle, est inclinée presque horizo
ux par son milieu. Il en résulte une ensellure considérable dans la
région
dorso-lombaire, et une saillie énorme des fesse
nne vertébrale rendue fragile par le mal de Pott, les muscles de la
région
dorso-lombaire qui contribuent au maintien de l
es par la pression. Pas de douleurs, pas d'éruption dans les autres
régions
, intégrité des muqueuses; pas de réaction génér
ure de l'hémisphère gauche ne présente aucune ano- malie. Dans la
région
motrice gauche (y compris le lobe frontal et la c
'il ne reste que le lobe pa- riétal qui puisse être considéré comme
région
de contact pour le faisceau latéral. Cette inte
devinrent douloureuses. L'anasarque fut surtout considérable il la
région
lombaire, la malade parut menacée de devenir hy
coliques néphré- tiques. - Les douleurs qu'elle accusait dans la
région
lombaire et dans l'abdomen 244 NOUVELLE ICONOGR
ait il la suite des vomissements sanguins, aux hypocondres, dans la
région
hypogastrique, sur la région antérieure des cui
nts sanguins, aux hypocondres, dans la région hypogastrique, sur la
région
antérieure des cuisses, des jambes, sur le visa
èrent successivement et devinrent douloureuses », principalement la
région
(1) LOUYEII- VILLE1UIAY, Traité des maladies ne
e comme un bâton dans toute son étendue, particu- lièrement dans la
région
cervicale. Des coupes montrèrent une altération
pachyméningite et arachnite spinales, surtout dévelolo pées dans la
région
cervicale et disparaissant dans la partie inférie
les cloisons interstitielles de la moelle, particulièrement dans la
région
des cordons et des racines postérieures. Près d
es de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la
région
cervicale de la moelle. Diverses lésions syphilit
se prolonge sur la protubérance. ' « La pie-mère spinale, dans les
régions
cervicale et thoracique est très épais- sie, un
isseux intra-rachidien sont intacts. La dure-mère spinale, dans les
régions
cervicale et. thoracique est unie par de nombreus
re de la moelle, l'affection s'efface peu à peu; cependant, dans la
région
lombaire on trouve une induration fibreuse, isolé
e 3 centimètres. « Sur les coupes de la moelle, on constate dans la
région
cervicale une colo- ration diffuse dos cordons
ervicale une colo- ration diffuse dos cordons postérieurs ; dans la
région
thoracique, les cordons cunéiformes seuls sont
la région thoracique, les cordons cunéiformes seuls sont pris. A la
région
lombaire, les cordons postérieurs sont intacts.
re, les cordons postérieurs sont intacts. Il existe de plus dans la
région
cervicale une petite gomme de la gros- seur d'u
lle sacrée. Le point où le processus atteint son maximum est non la
région
cervicale mais la région moyenne et in- férieur
e processus atteint son maximum est non la région cervicale mais la
région
moyenne et in- férieure de la moelle dorsale.
s antérieures. L'artère spinale antérieure présente au niveau de la
région
cervicale une LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPH
e vers l'intérieur, saus cesser totalement toutefois. Dans d'autres
régions
la veine a conservé sa structure normale, la lumi
es plus haut à la périphérie de la corne postérieure droite dans la
région
dorsale moyenne et lombaire. Les cellules gangl
tifs ou dans les vaisseaux des cellules rondes. Cependant dans la
région
sacrée, une partie des filets radiculaires appart
d'éléments cellulaires. Le sil- lon longitudinal antérieur dans la
région
dorsale au niveau de la commissure blanche, for
portera à la syphilis héréditaire. « Il existe, en effet, dans la
région
dorso-lombaire de la colonne vertébrale une pet
l. La moelle est de volume à peu près normal. Elle présente dans la
région
lombaire un dédoublement d'une étendue en longu
, les fibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la
région
dorsale, la moelle est aplatie suivant son diam
isé en deux parties par un tractus de substance nerveuse. Dans la
région
lombaire, sur une longeur d'un centimètre et demi
is il est remarquable que fréquemment des vaisseaux au milieu d'une
région
relativement favorable présentent de graves chang
ssée, nécrosée a fini par disparaître presque entièrement ; dans la
région
cervicale moyenne ce n'est plus qu'un alfias de d
éments constitutifs de la moelle, plus bas il faut aller jusqu'à la
région
lombaire avant que les coupes montrent nettemen
l'aeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope :
Région
cervicale : cordons blancs, cellules de l'axe gri
vaisseaux de calibre moindre, ne présentent rien à si- .. gnaler.
Régions
dorsale, lombaire, DE la queue DE cheval, se prés
, lombaire, DE la queue DE cheval, se présentent également comme la
région
cervicale avec leurs aspects normaux. Observati
ral est rempli par un tissu rougeâtre consistant. Au microscope :
RÉGION
cervicale. A un faible grossissement on est frapp
rme de larges travées fibreuses rayonnant autour des vaisseaux. ,
Région
dorsale. Ce qui frappe encore à un faible grossis
sseaux spinaux antérieurs paraissent ici moins atteints que dans la
région
cervicale, on peut les reconnaître facilement au
sif et se confondent avec les tissus voisins sans limites nettes.
Région
lombaire. On trouve exactement les mêmes caractèr
Cette distension est telle que dans certaines coupes du n° III bis (
région
lombaire) il y a eu déchirure et hémorrhagie. L
isses, tandis que les artères restent peu développées. Moelle :
Région
cervicale. La moelle proprement dite est normale
masse grenue contenant peu de noyaux colorés par l'hématoxyline.
Région
dorsale. L'aspect est le même sur les premières c
ex- pliquer bientôt. En effet, peu à peu apparaît au niveau de la
région
dorsale moyenne, à la face postérieure de la mo
pillaires sont remarquables seulement par leur distension énorme.
RÉGION
lombaire. L'infiltration des méninges et de l'esp
l'oeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope :
Région
cervicale. Tout est normal. , , Région dorsale.
eloppes. Au microscope : Région cervicale. Tout est normal. , ,
Région
dorsale. Sans qu'on ait il relever d'autres lésio
entre les racines nerveuses, sans que le sang s'échappe cependant.
Région
lombaire. L'arachnoïde a cédé en quelques points,
ste des altérations assez évidentes pour être décrites avec soin.
Région
CERVICALE.- La moelle est petite, très aplatie da
istinctes, creusées dans l'épaississement fibreux de la pie-mère.
Région
DORSALE.- L'aspect est très semblable à celui de
ie-mère. Région DORSALE.- L'aspect est très semblable à celui de la
région
cervicale. Cependant ici les racines sont plus
reux que nous venons de signaler dissociant les fascicules nerveux.
Région
lombaire. -- La moelle est très altérée dans sa f
re distinctes. Les racines présentent le même caractère que dans la
région
dorsale. Les méninges sont également très épais
sont le centre des tractus conjonctifs qui vont se perdre dans les
régions
voisines en refoulant le tissu nerveux. A la pl
ques. Cerveau. Hémorrhagie sous-dure-mérienne diffusée sur toute la
région
motrice de l'hémisphère droit. Moelle. Les pi
i infiltrent leurs parois. Les racines paraissent normales dans les
régions
cervicale et dorsale, les vaisseaux qui les acc
agnent sont entourés d'un manchon cellulaire. Mais il n'y a qu'à la
région
lombaire que les cellules embryonnaires s'infiltr
te la hauteur de la moelle, mais certainement plus marquées dans la
région
lombaire. Ce sont les gros vaisseaux spinaux an
nombre atteignent leurs dimensions les plus considérables; vers la
région
lombaire, -les parois vasculaires ont cédé et tou
raitement, et nous avons divisé les scènes de chirurgie d'après les
régions
du corps où sont figurées les opérations. Nous
gauche appliquée sur l'épaule du client pour' tendre la peau de la
région
où il opère ; de la droite, il tient un petit ins
l'extenseur propre du gros orteil. Dans les autres mus- cles de la
région
antéro-externe de la jambe l'excitabilité électri
., p. 4G2. 336 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE clos de la
région
de la jambe, jambier antérieur, exten- seur pro
injection, finit par disparaître absolument méconnaissable dans la
région
cervicale inférieure, elle reparait ensuite déf
ure, elle reparait ensuite déformée, disjointe, irrégulière dans la
région
dorsale, elle re- prend une forme il peu près n
égion dorsale, elle re- prend une forme il peu près normale dans la
région
lombaire mais pour dispa- raître encore au mili
x qui remplit le canal vertébral dans toute sa partie inférieure.
Région
cervicale. On peut reconnaître au milieu du tissu
rose clair sans aucun noyau violet. Un peu plus bas dans cette même
région
cervicale, la prolifération conjonc- tive est t
es irrégulières représentant des vaisseaux de nouvelle formation.
Région
dorsale supérieure. - Même aspect que *ci-dessus.
nuosités de la pie-mère épaissie, avec ses vaisseaux irréguliers.
Région
dorsale inférieure. Ou reconnaît la présence de t
ur contenu en est aussi presque uniquement formé, tbrombus blanc.
Région
lombaire supérieure. On reconnaît assez nettement
aux béants, et le tissu de soutien pa- raît beaucoup moins dense.
Région
lombaire inférieure. Enfin la moelle a repris un
s points il y a du sang épanché entre l'arachnoïde et la dure-mère (
région
lombaire). Cependant la pie-mère est épaissie,
rganes viscéraux, d'aspect normal. Encéphale paraît sain. Moelle,
région
cervicale : distension de tous les vaisseaux par
les méninges mal conservées ne montrent pas bien leurs lésions. '
Région
cervicale. Ce qui frappe d'abord, c'est une hémor
nte entre la pie-mère et l'arachnoïde, l'hémorrhagie est limitée à la
région
postérieure, elle ne dépasse pas en avant les l
endo- théliales, desquamées.'qui obstruent leur lumière. Dans les
régions
dorsale et lombaire, les vaisseaux sont évidemmen
capil- laires distendus ; hémorrhagie de l'espace sus-arachnoïdien (
région
lombaire). Observation XVI, 9 avril 1896 (Broca
nt elle a à peu près les dimensions par une ligne plus foncée. A la
région
dorsale supérieure la cavité du canal rachidien e
re les parois du canal ra- ctidien. A mesure qu'on s'approche de la
région
dorsale inférieure la tumeur augmente,- la moel
se montre, rempli il est vrai par un tissu conjonctif dense. A la
région
lombaire la mqelle n'a pas encore repris sa place
ugeàtre parsemé de vaisseaux béants visibles à l'aeil nu. Dans la
région
de la queue de cheval, à l'oeil nu on ne voit plu
vertébral. Au microscope, voici comment se présentent les coupes.
Région
cervicale. On distingue assez nettement la substa
eaux de tubes nerveux ne se voient plus avec la netteté habituelle.
Région
doosccle. T Il y a peu de différence au point de
ns vu, considérable; elle présente la même struc- ture que 'dans la
région
précédente, les places dégénérées où les éléments
celles- ci conservent leur structure, elles ne sont pas cachées.
Région
lombaire. Il faudrait répéter la même description
vasculaire exagérée dans toutes les parties de la moelle. Vers la
région
de la queue de cheval, la pic-mère adhère si inti
a cependant une ac- centuation très notable de ces lésions dans la
région
dorsale moyenne, par rap- port aux régions cerv
le de ces lésions dans la région dorsale moyenne, par rap- port aux
régions
cervicale la moins atteinte et lombaire où le pro
secondaire, chancre buccal au 2e mois de la grossesse. Moelle.
Région
cervicale. La moelle proprement dite est normale,
ation embryonnaire remarquable. Arachnoïde et dure-mère normales.
Région
dorsale. Ici les lésions sont beaucoup plus marqu
sont facilement reconnaissables, ils ne paraissent pas mala- des.
Région
lombaire. Le processus s'atténue beaucoup. Il res
t cepen- dant très touchée au moins dans ses parties accessoires.
Région
cervicale. La moelle proprement dite est saine, l
fil- tration cellulaire. L'espace extradural paraît presque sain.
Région
dorsale. L'aspect est sensiblement le même, mais
les lésions sont plus marquées, l'espace extradural est fibreux.
Région
lombaire. A mesure qu'on descend la moelle semble
oie. La moelle a dû être étudiée en dehors du canal vertébral. La
région
cervicale donne des coupes où la moelle est très
ui les infiltrent sem- blent avoir il l'égard de l'llématoxylinc.
Région
dorsale. Ici la moelle a repris des caractères ab
onnaires, disséminés du reste et sans tendance à former des amas.
Région
lombaire. Les mêmes considérations s'appliquent i
as. Région lombaire. Les mêmes considérations s'appliquent il cette
région
où les processus semblent encore moins marqués,
re ici une périartérite intense, qui soit plus atteinte que dans la
région
dorsale. - Observation XXVIII, 28 septembre 189
ération abondante de cellules embryonnaires qui com- blent ainsi la
région
laissée libre entre l'arachnoïde et la pie-mère,
lent ainsi la région laissée libre entre l'arachnoïde et la pie-mère,
région
qui sert surtout de passage aux vaisseaux et au
ALPÊTRIÈRE T. IX, PL. XLIV i. (OBS. XXII. Non spécifique.) Moelle :
Région
dorsale inférieure. Pie-mère et arachnoïde minc
t racines nerveuses bien isolé ? 2. (OBS. II. Spécifique.) Moelle :
Région
dorsale inférieure. l'ie-mere et arachnoïde réu
CONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE T. IX, PL. XLV 3. - (Ons. XVII.) Moelle :
Région
cervicale. Tout l'espace compris entre la pie-m
oelle est envahie par le même processus. 4. - (Obs. XVII.) Moelle :
Région
dorsale. Énorme gomme méningée ayant refoulé la
ONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE- - T. IX, PL.-XLVI 5. (013s. IX.) Moelle
Région
cervicale. La moelle a complètement disparu, ré
ie-mère l'est beaucoup également. 6. (Otss. VI.) Une racine de la
région
dorsale. Développement anormal du tissu conjonc
NOUV, ICONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE T, 1X PL. XLVII 9. - (Orts.' VL)
Région
de la queue de cheval. Néoplasie gommeuse ayant
aspects des coupes sont très variés pour une même moelle suivant la
région
à laquelle elles correspondent. Cependant on pe
que nous venons de pas- ser en revue, il résulte qu'il n'y a pas de
région
particulièrement prédis- posée à la localisatio
emerling, Bottiger .in- sistent sur la prédominance des lésions aux
régions
dorsales moyenne et inférieure dans leurs cas,
sieurs reprises noté chez les foetus le maximum des lésions dans la
région
dorsale ou dans la région lombaire, mais on peu
les foetus le maximum des lésions dans la région dorsale ou dans la
région
lombaire, mais on peut dire que selon les vues de
mais on peut dire que selon les vues de Jùr- gens, c'est surtout la
région
cervicale qui est atteinte par la syphilis médu
hilis médullaire héréditaire. Ce n'est pas tout, et dans une même
région
, la moelle n'est pas égale- ment altérée dans t
toutes ses parties ; la prédominance des lésions au ni- veau de la
région
postérieure, qu'il s'agisse de lésions médullaire
ente une anestliésie complète (tact, douleur, température) dans les
régions
suivantes : 1° Faces antérieure et postérieure
te : 1" une zone d'anesthésie tactile et d'analgésie localisée à la
région
thénarienne et au pouce de la main gauche ; 2° un
n de l'ouverture d'un furoncle où d'un anthrax fréquents dans cette
région
et nécessitant un assez large débridement. Nous s
arlerai pas des lésions macroscopiques, constatées, surtout dans la
région
bulbo-protubérantielle, les pédoncules ou les cor
yau, destruc- tion partielle des dendrites, principalement dans les
régions
cervicales supérieure et dorsale inférieure. Lé
cas, il trouve des épaississements de l'arachnoïde, au niveau de la
région
dorsale postérieure, et des faisceaux pyramidaux;
de fragments du cerveau et de la moelle, pris dans les principales
régions
et étudiées par les méthodes de Marchi, de Wei-
aires à l'étude anatomique des cordons postérieurs ; la carte de la
région
est d'autant moins faite que nous ne connaissons
aire antérieure de Flechsig ; c'est, ainsi que nous le verrons, une
région
où les fibres de di- verses origines sont mêlée
moelle foetale on aperçoit, au centre des cordons postérieurs à la
région
lombaire, à cheval sur le septum médian, une régi
ostérieurs à la région lombaire, à cheval sur le septum médian, une
région
ovoïde dont le développement est tardif et qui
rie dans la zone de transi- tion entre le renflement lombaire et la
région
dorsale. Le faisceau médio-périphérique, faisce
est un faisceau endogène descendant à fibres longues, qui, dans la
région
lombaire, passe au travers du centre ovale de Fle
QUE DES CORDONS POSIÉRIEURS ' . 19 développés que les racines de la
région
sont elles-mêmes plus volumi- neuses. Ce sont l
très courte ; mais elle for- me un long trajet rectiligne dans les
régions
où la tête de la corne posté- rieure est située
e long de la portion élargie du septum. Les fibres conservées de la
région
cornu-commissurale ont augmenté de nombre; elle
er dans l'angle formé par la commissure et la corne, si bien que la
région
commissurale moyenne est devenue très pâle. Les
née à contours vagues qui part de la zone commissurale, oc- cupe la
région
moyenne de chaque cordon et se perd lorsqu'elle a
ne façon diffuse la branche transversale de l'équerre formée par la
région
sclérosée. En avant les fibres radiculaires rec
qui sont vraisemblablement d'origine radicu- laire. Les bords de la
région
sclérosée deviennent moins nets et cette région
aire. Les bords de la région sclérosée deviennent moins nets et cette
région
est envahie, surtout en avant, par des fibres s
ie, surtout en avant, par des fibres saines éparses. 8e Dorsale. La
région
sclérosée, déjà cordon de Goll, se rétrécit beau-
externe du cordon de Goll. Dans le reste des cordons de Goll- à la
région
cervicale il existe un semis très discret de gr
également des fibres fines, mais en moins grand nombre que dans les
régions
inférieures ; ces fibres verticales semblent êt
de la zone de Lissauer et du réticulum des colonnes de Clarke à la
région
lombaire supérieure. La méthode de Nissl montre
lles qui ont été colorées au carmin permettent de constater dans la
région
sclérosée, une légère réaction névroglique. - A
la corne postérieure. Son bord interne est rectiligne et limite une
région
médiane saine au même degré que les champs post
on médiane saine au même degré que les champs postéro-externes à la
région
lombaire; cette région se rétrécit progressivem
e degré que les champs postéro-externes à la région lombaire; cette
région
se rétrécit progressivement à mesure que l'on rem
le long de la moelle et finit par constituer le cordon de Goll à la
région
cervicale Ses deux bords externes sont curvilig
diculaires, très peu abondantes dans les cordons pos- térieurs à la
région
lombo-sacrée, et encore plus rares dans le cordon
le même trajet et les recouvrent en partie. Le septum médian,'à la
région
sacrée, contient un grand nombre de fibres semb
lables, qui paraissent provenir de la commissure postérieure ; à la
région
cervicale il en contient encore, mais beaucoup mo
et assez serré dans toute l'étendue des cordons posté- rieurs à la
région
sacrée (fig. 2). Elles deviennent plus rares dans
es dans la portion antérieure des cordons lorsqu'on remonte dans la
région
lombaire. A la région cervicale il en existe en
érieure des cordons lorsqu'on remonte dans la région lombaire. A la
région
cervicale il en existe encore, mais fort peu, dan
Fibres endogènes fines horizontales et verticales disséminées à la
région
moyenne des cordons postérieurs, au niveau de la
ent la structure fine de la corne postérieure et donna de la petite
région
qui porte actuellement son nom, une description
à, suivant toute vraisemblance, qu'une apparence. Dans cette petite
région
fort compliquée et souvent altérée par des tirail
dans les zones de Lissauer. Si l'on ajoute à cela que souvent cette
région
est tiraillée pendant l'autopsie comme je viens
n nom est prise dans le tabes plus tardivement que certaines autres
régions
(1) K. ScneFFen,Anatorroisch-Kliuische Vorlrage
se des cordons et des racines postérieurs portée à son maximum à la
région
sacrée, les fibres fines de la portion externe
térieure. 2° Fibres ENDOGÈNES GROSSES. Ces fibres constituent, à la
région
lom- bo-sacrée, deux formations particulières,
, ou triangle de Gombault et Philippe, et un faisceau situé dans la
région
cornu- commissurale ou zone marginale de Vestph
tre un plus grand nombre, ne sont séparées l'une de l'autre qu'à la
région
lombaire ; à la région sacrée elles se continue
e, ne sont séparées l'une de l'autre qu'à la région lombaire ; à la
région
sacrée elles se continuent l'une avec l'autre dan
ériphérie de la moelle, en arrière de la virgule de Schulze dans la
région
dorsale, changent de situation à la région lombai
rgule de Schulze dans la région dorsale, changent de situation à la
région
lombaire, se rappro- (1) NAGBOTTE et ETTLINGER,
res endogènes descendants des cordons postérieurs de la moelle â la
région
lombo-sacrée. Journal de Physiologie et de Patho-
STÉRIEURS 37 client du septum médian, y pénètrent et dessinent à la
région
lombaire la forme d'un fuseau, à la région sacr
ètrent et dessinent à la région lombaire la forme d'un fuseau, à la
région
sacrée celle d'un triangle le plus sou- Fia. 4.
ne fracture de la colonne vertébrale au niveau de la limite entre les
régions
dorsale et lombaire (durée un an). Comparer ave
G. 5. ive lombaire. Il ne reste qu'une très légère dégénération de la
région
ven- trale des cordons postérieurs. ' Fio. 6.
on excellent ami Ch. Ettlin- ger(l), nous avons montré que, dans la
région
de transition entre la partie dorsale et la par
atégorie des moelles où le passage des fibres de la périphérie à la
région
médiane se fait, en totalité ou en partie, par
aisceau médio-périphérique qui est plus ou moins congloméré dans sa
région
de transition,qui prend plus ou moins bas sa situ
bas sa situation médiane, et qui affecte une forme variable dans la
région
sacrée. Mais il me faut dis- cuter les rapports
ivante : le faisceau de Hoche devient centre ovale de Flechsig à la
région
lombaire et triangle de Gombault et Philippe à
chsig à la région lombaire et triangle de Gombault et Philippe à la
région
sacrée. Or, rien n'est moins exact; tout en adm
diane de la périphérie postérieure de la moelle, exactement dans la
région
qui atteint à l'extrémité postérieure de la clo
pliquer par un passage de fibres radiculaires postérieures dans ces
régions
; de plus, ils mentionnent l'existence d'une dé
diculaire. Dans l'observation I on peut constater que, sauf dans la
région
sacrée, ce faisceau est constitué par des fihre
ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 41 s'éparpiller dans la
région
antérieure des cordons postérieurs de la moelle
antérieure de la substance gélatineuse de Rolando, et dans toute la
région
lombaire elles restent cantonnées à la moitié o
pu recueillir sur les fibres endogènes des cordons postérieurs à la
région
lombo-sacrée, au cours de l'étude anato- mique
er, dans son mémoire cité plus haut. Cet auteur distingue plusieurs
régions
qui sont d'arrière en avant, la région spongieu
auteur distingue plusieurs régions qui sont d'arrière en avant, la
région
spongieuse postérieure, au contact de la zone de
act de la zone de Lissauer, la substance gélatineuse de Rolando, la
région
spongieuse antérieure, divi- sée elle-même en d
rieure, divi- sée elle-même en deux subdivisions. Dans toutes ces
régions
il existe à l'état normal un réseau de fibres à
essive de volume de la zone sclérosée dans son passage à travers la
région
dorsale.sur les variations de forme du cordon d
variations de forme du cordon de Goll aux différents niveaux de la
région
cervicale, sur l'encoche que ce cordon porte en
mble, en effet, que les opinions qui règnent actuellement sur cette
région
sont contraires à la réalité. A. FORME, VOLUME
ndelette externe affecte successivement la forme d'un triangle à la
région
lombo-sacrée, d'un tractus allongé à la région do
e d'un triangle à la région lombo-sacrée, d'un tractus allongé à la
région
dorsale el de nouveau d'un triangle à la région
ractus allongé à la région dorsale el de nouveau d'un triangle à la
région
cervicale. C'est là un fait connu. Ce qui est moi
qui est moins bien établi, c'est la forme de la bandelette dans la
région
de transition en hauteur, un tabes dans lequel
MIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 45 entre le renflement lombaire et la
région
dorsale. Dans l'observation II (PL VI, 1 1., 12
rvation II (PL VI, 1 1., 12 d., 11 d.), la bandelette prend à cette
région
une forme très compliquée; elle constitue de ch
(2) la photographie d'une moelle de tabétique prise au niveau de la
région
dorsale inférieure, qui reproduit très exacte-
la figure 2 d'un mémoire de Joffroy et Gombault, re- présentant la
région
dorsale inférieure de la moelle d'un paralytique
2° cas de tabès où la sclérose prend encore la même forme à la même
région
; malheureusement dans ce cas, il existe en out
est exclusivement limitée ci la zone de transition située entre la
région
dorsale et la région lombaire ; en second lieu, q
mitée ci la zone de transition située entre la région dorsale et la
région
lombaire ; en second lieu, que la figure en que
n dans chaque cordon. Le volume de la bandelette varie, suivant les
régions
, en raison directe du volume des racines postér
on de Goll et le septum médian (loi de Kahler) de sorte que si à la
région
cervicale [lombo-sacrée ? ] les bande- lettes e
ntiennent les fibres qui occupent les bandelettes externes dans les
régions
lombo-sacrée et dorsale inférieure ». L'observa
trouver, sur une même moelle des lésions de tabes incipiens en une
région
et des lésions de tabes avancé dans une autre r
cipiens en une région et des lésions de tabes avancé dans une autre
région
. La moelle représentée (pl. VII, moelle D) est da
La moelle représentée (pl. VII, moelle D) est dans ce cas ; dans la
région
cervicale c'est un tabes incipiens, cordon de Gol
vicale c'est un tabes incipiens, cordon de Goll mis à part, dans la
région
sacrée c'est un tabes avancé. , Le fait que dan
ndemne, malgré une altération intense de la bandelette externe à la
région
lombo-sacrée, prouve que les fibres détruites s
t il y ci un rapport très exact entre l'état du cordon de Goll à la
région
cervicale et celui des champs postéro-externes à
Goll à la région cervicale et celui des champs postéro-externes à la
région
lombo-sacrée ; lorsque ces champs sont presque
iminution de volume du cordon de Goll dans son passage à travers la
région
dorsale. Les champs postéro-externes ne contien
du cordon de Goll. Toutefois il ne faut pas oublier qu'il y a, à la
région
dorsale inférieure un remaniement des cordons p
Conclusions. A. Les fibres endogènes des cordons postérieurs à la
région
lombo- sacrée doivent être divisées en deux cla
descendant médio-périphérique, dont le trajet supérieur forme à la
région
dorsale le faisceau de Hoche. C. Le triangle mé
dach ; il en existe aussi quelques-unes dans le cordon de Goll à la
région
cervicale. E. Les zones de Lissauer sont consti
r des fibres endogènes fines verticales qui sont condensées à cette
région
. Elles ne sont pas de nature radiculaire, comme
e ne touche en aucun point la corne posté- rieure ; elle prend à la
région
dorsale inférieure une forme compliquée qui rep
formation pendant tout leur trajet intra-médullaire et celles de la
région
lombo-sacrée n'a- boutissent pas au cordon de G
l. Altération de moyenne intensité des champs postéro-externes à la
région
lombaire et des cordons de Goll à la région cervi
s postéro-externes à la région lombaire et des cordons de Goll à la
région
cervicale. 7 et 8. Moelle D. Tabes avancé. 1re
thode de Pal. Altéra- tion intense des champs postéro-externes à la
région
lombaire et des cordons de Goll à la région cer
s postéro-externes à la région lombaire et des cordons de Goll à la
région
cervicale. Conservation des champs postéro-extern
à la région cervicale. Conservation des champs postéro-externes à la
région
cervicale. HOSPICE DE 131CTRE TRAVAIL DU LA
de l'apparence grêle que présente la moelle en particulier dans la
région
dorsale, son calibre a diminué dans d'assez gra
e normale; sa forme est modifiée : il existe un aplatissement de la
région
postérieure qui semble atrophiée dans le sens a
elle est petite ; elle présente un épaississement pie-mé- rien à la
région
dorsale et à la région cervicale. Nous avons pu f
présente un épaississement pie-mé- rien à la région dorsale et à la
région
cervicale. Nous avons pu faire son examen micro
est encore plus accentuée. La sclérose du cordon latéral occupe la
région
du faisceau cérébelleux direct et une partie de l
rieure est très épaissie. Latéralement, la sclérose occupe toute la
région
du faisceau cérébelleux direct et s'étend jusqu'a
ment aplatie. La sclérose des cordons postérieurs occupe surtout la
région
marginale. Plus bas, dans la région lombaire, o
postérieurs occupe surtout la région marginale. Plus bas, dans la
région
lombaire, on [retrouve les lésions combinées des
de la moelle lombaire. La pie-mère est épaissie. Au niveau de la
région
dorsale : le cordon postérieur présente les mêmes
ons les plus marquées du cordon latéral. A la partie supérieure de la
région
dorsale, on retrouve les mêmes lésions du cordo
paraison avec les lésions du cor- don postérieur. Au niveau de la
région
cervicale, la sclérose reste limitée au cordon de
pyramides. Le faisceau pyramidal lui a paru un peu dégénéré dans la
région
bulbaire. Les pédoncules étaient normaux. Il n'
ceau cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé. Au niveau de la
région
dorsale, la moelle présente un calibre extrêmemen
ons postérieurs SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 61 Au niveau de la
région
cervicale, la moelle a de nouveau un volume norma
au, des bourses et delà verge. Examen histologique. Au niveau de la
région
sacrée, la moelle présente une sclérose diffuse
téral est dégénéré suivant une zone triangulaire. Au niveau de la
région
lombaire, le cordon de Goll est sclérosé ; la zon
ée ; mêmes lésions du cordon latéral (Voir fig. 7). Au niveau de la
région
dorsale, la sclérose occupe un triangle dont la b
e ; la colonne de Clarke est normale (Voir fig. 6). Au niveau de la
région
cervicale, le cordon de Goll est dégénéré seuleme
nge postérieure de la moelle est épaissie, à partir seulement de la
région
dorsale inférieure ; il n'existe pas d'épaississe
suivant une zone triangulaire occupant la plus grande partie de la
région
postérieure de ce faisceau et englobant le fais-
près diffuse, uu peu plus marquée dans le cordon de Goll et dans la
région
ventrale. La sclérose des faisceaux pyramidaux
ette et beau- coup plus accentuée que cclle du cordon postérieur.
Région
dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclérose du fai
se du cordon postérieur est diffuse, un peu moins accentuée dans la
région
ventrale (Voir fig. 2). Région lombaire. La moe
se, un peu moins accentuée dans la région ventrale (Voir fig. 2).
Région
lombaire. La moelle a été examinée à trois hauteu
ire. La moelle a été examinée à trois hauteurs différentes de cette
région
. Le cordon postérieur est sclérosé, sauf dans l
de cette région. Le cordon postérieur est sclérosé, sauf dans les
régions
ventrales où les fibres sont presque complèteme
trois mouvements segmentaires. Dans certains cas pathologiques, la
région
plantaire n'est pas seule effi- cace, comme à l
provoquer l'ex- tension du gros orteil par l'excitation cutanée de
régions
quelconques du membre inférieur.A cette donnée
; ces douleurs, exaspérées par le moindre mouvement, siégeaient à la
région
lombaire et avaient leur maximum en une zone de
ieu de la colonne dorsale jusqu'au sacrum et le bas du dos aplati, la
région
lombo-sacrée se continuant sans ligne de démarc
est un peu fléchi et projette la tête en avant. Le bas du dos, les
régions
lombo-sacrée et fessière sont aplaties dans leur
ti, les genoux fléchis. . Cet aplatissement que le bas du dos, la
région
lombo-sacrée et les deux fesses atrophiées prés
ppelant l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des
régions
plus souvent étudiées par la méthode Golgi-Ramo
struction ; quelques-unes sont remplacées par des amas de noyaux.
Région
motrice droite (partie moyenne). Mêmes lésions
s constatons en effet des lésions in- flammatoires marquées dans la
région
de la tumeur (zone temporale et face interne du
lissement disproportionné qui l'accompa- gnait et qui, englobant la
région
motrice, avait fait porter le diagnostic de tum
sclérose des racines postérieures également marquée dans toutes les
régions
médullaires. Coeur. - Myocardite interstitielle
intures des quelques basiliques bénédictines encore debout dans ces
régions
présentent, d'après les critiques, des dé- tail
ralement au niveau de la ceinture. Il n'y a pas du tout de poils à la
région
présternale. L'abdomen est très volumineux, t
s ; il n'y a aucun poil à l'hypogastre ; le système pileux de cette
région
est en somme disposé selon le type féminin. Les
ème anémique persistait. 11. En frottant légèrement la peau dans la
région
où nous avions écrit : « Démence précoce » 48 h
café au lait » grandes comme la paume de la main, siégeant dans la
région
dorsale, symétriquement flan- quées de chaque c
récier l'état des cellules nerveuses, suivant qu'elles occupent les
régions
circonférentielle ou médiane, le pôle central o
rentielle ou médiane, le pôle central ou le pôle périphérique : par
région
circon- férentielle nous entendons la région oc
ôle périphérique : par région circon- férentielle nous entendons la
région
occupée par les cellules situées immédiatement
s situées immédiatement au-dessous de la capsule ganglionnaire; par
région
mé- diane celle occupée par les cellules qui so
ieurs ganglions sont prélevés, sans être exac- tement repérés, à la
région
lombaire, à la région dorsale et à la région cerv
rélevés, sans être exac- tement repérés, à la région lombaire, à la
région
dorsale et à la région cervi- cale et fixés par
- tement repérés, à la région lombaire, à la région dorsale et à la
région
cervi- cale et fixés par le sublimé osmique, pu
Les cellules ganglionnaires sont moins nombreuses, surtout dans les
régions
circonférentielles, les cellules ont disparu pa
de la face interne des cuisses et la partie toute supérieure dé la
région
anale dans un rayon de quelques centimètres. Le v
aires au trajet des racines, les autres en coupes longitudinales.
Région
sacrée. Comme type de ganglion malade nous prendr
n très grand nombre de cellules ont com- plètement disparu, dans la
région
circonférencielle et dans la région médiane du
com- plètement disparu, dans la région circonférencielle et dans la
région
médiane du ganglion, mais surtout dans la premi
les capsules occu- pées auparavant par les cellules (PI. XXXI-B).
Région
lombaire. Les altérations sont moins marquées que
s nerveuses contiennent des boules de graisse colorées en noir. "
Région
dorsale. ? Le ganglion examiné est beaucoup moins
anatomique. - La plupart des ganglions examinés appartiennent à la
région
lombaire et à la région sacrée. Ils ont tous été
t des ganglions examinés appartiennent à la région lombaire et à la
région
sacrée. Ils ont tous été examinés après fixa- t
xa- tion par le sublimé osmique et coloration par le picrocarmin.
Région
lombaire. Sont examinés les 1er, 2e, 3e lombaires
dé- rable, plus marquée à la circonférence du ganglion que dans les
régions
mé- dianes. Quelques cellules sont très atrophi
trophie cellulaire et la prolifération capsulaire. De même dans les
régions
216 THOMAS ET HAUSER dévastées les cellules d
e est plus appréciable à la circonférence qu'au centre de l'organe.
Région
sacrée (ter sacré droit, 2° sacré gauche). On tro
uche les lésions sont un peu moins accusées, mais très analogues.
Région
dorsale. Les ganglions (9° dorsal gauche, 5° dors
é, les altérations sont en quelque sorte réduites à leur minimum.
Région
cervicale. Il y a peu de chose à signaler dans le
03. Examen anatomique. Quatre ganglions ont été examinés, deux à la
région
dorsale, deux à la région lombaire. Les lésions
tre ganglions ont été examinés, deux à la région dorsale, deux à la
région
lombaire. Les lésions sont ici minimes : on disti
par le sublimé,osmique et coloration en masse par le picrocarmin.
Région
lombaire. Les ganglions examinés sont inégalement
s, les lésions sont très comparables, mais un peu moins accusées.
Région
sacrée. Les racines se présentent sous le même as
jonctif n'est pas très proliféré, les vaisseaux sont peu malades.
Région
dorsale. Le 12" ganglion dorsal gauche est le plu
atrophie . Celles-ci sont disséminées et ne correspondent pas à des
régions
distinctes, elles ne sont. pas plus nombreuses
lésions cellulaires sont en quelque sorte réduites à leur minimum.
Région
cervicale. L'examen du Se ganglion cervical droit
cellules ne disparaissent pas indifféremment dans l'une ou l'autre
région
; cette raréfaction se produit souvent en effet
qu'elles soient associées sur le même gan- glion et dans les mêmes
régions
. L'hypertrophie capsulaire avec transfor- LES A
reuse ou Iibro-lyaline est plus rare; elle se voit surtout dans les
régions
circonférentielles du ganglion et dans ce cas la
; à côté on voit des cellules hypercolorées et ratatinées, puis des
régions
dans lesquelles toutes les cellules ont disparu e
andes blanches parallèles. La même épreuve, faite au niveau de la
région
abdominale un peu ballon- née, produit la raie
la fracture et au niveau de la face antérieure de la moelle dans la
région
dorsale supérieure. Les viscères abdominaux son
très accentuée des cellules nerveuses des cornes antérieures de la
région
trau- (1) V. la remarquable thèse de M. Jean Lé
nale qui contraste avec l'intégrité des réactions vaso-motrices des
régions
paraplégiques. En particulier, au ni- veau des
-moteurs dont elle a touché les centres, et n'entraîne pas dans les
régions
sous-jacentes une paraplé- gie vaso-motrice sup
re elle est accompagnée d'hy- poanesthésie ou d'anesthésie dans les
régions
innervées par la branche ophtalmique et maxilla
névroglie. Cordons postérieurs : une diminution des fibres dans la
région
lombaire et sacrée, qui augmente et se localise e
se localise exclusivement dans les cordons de Goll au niveau de la
région
supérieure dorsale et de la région cervicale. U
es cordons de Goll au niveau de la région supérieure dorsale et de la
région
cervicale. Une sclérose du cordon de Gowers et
RÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 291 Douleurs extrêmement violentes dans la
région
lombaire et les fesses. Troubles de la sensibil
paroi est épaissie. Faisceau cérébelleux direct dégénéré dans la
région
cervicale supérieure. Faisceau de Gowers dégéné
on cervicale supérieure. Faisceau de Gowers dégénéré à partir de la
région
lombaire. Dans les parties inférieures on trouv
292 RYDEL laire des yeux; mêmes secousses dans la cuisse, dans la
région
lombaire et dans les éminences thénar. Tremblem
t plus marquée dans les racines antérieures, de sorte que- dans les
régions
dorsales supérieures et cervicales elles présente
mier coup d'oeil dans la substance blanche, c'est que même dans les
régions
qui paraissent tout à fait respectées par la dé
LEUSE 9Q5 Cordons postérieurs. La zone de Lissauer présente dans la
région
lom- baire une dégénérescence bien marquée surt
raréfiée et au-dessus il n'y a pas de lésion. Dans les coupes de la
région
sacrée supérieure et lombaire infé- rieure on c
tout à fait défaut dans le voisinage de la substance grise. - La
région
D5 ne présente aucune lésion du côté du cordon de
on, tout en devenant plus intense, ne change pas d'étendue dans les
régions
plus élevées, mais dans les segments Dz3 a pparaî
lles deviennent de plus en plus nom- breuses, de sorte que dans les
régions
cervicales les plus élevées on trouve outre la
s fibres du faisceau de Burdach, que nous avons rencontrées dans la
région
dorsale moyenne indemne de toute lésion. Cord
sale moyenne indemne de toute lésion. Cordons antéro-laidi-aux. -
Région
sacrée supérieure : on trouve ici une raréfacti
ont le sommet est dirigé vers le centre de la substance grise. La
région
lombaire inférieure ne présente aucune différence
ombaire inférieure ne présente aucune différence en comparaison des
régions
sacrées, sauf que la raréfaction devient de plus
us en plus intense, surtout dans les parties antérieures. Dans la
région
lombaire supérieure elle envahit aussi l'espace j
al de la dégénérescence est situé un peu plus en avant que dans les
régions
précédentes, de sorte que son sommet vise l'ang
artie postérieure de la dégénération diminue d'intensité. Dans la
région
dorsale inférieure on peut remarquer très distinc
us de la substance et de la commissure grise, de sorte que dans les
régions
dorsales les plus élevées elle occupe tout le cor
e occupe tout le cordon anté- rieur, sauf la partie périphérique.
Région
cervicale inférieure. - La raréfaction est devenu
sque tout à fait disparu au niveau de Ci devient au-dessus de cette
région
de nouveau plus intense. C'est ainsi que nous tro
ten t. Début vers la 30e année, douleurs localisées surtout dans la
région
lombaire, secousses fibrillaires dans la même r
urtout dans la région lombaire, secousses fibrillaires dans la même
région
, la localisation de troubles de la sensibilité
amincissement du réticulum nerveux avec atrophie des cellules : la
région
dorsale est la plus touchée. Une atrophie des cel
s cas elle est précédée d'une sensation de chatouille- ment dans la
région
de la nuque et entre les épaules. La durée des
n voit la périphérie atteinte réunie par une bande de sclérose à la
région
centrale péri-vascu- laire également atteinte ;
oigts en arrière. En 1895. - Môme état. Cyphose très marquée à la
région
cervicale. Trou- bles de la sensibilité plus ét
entent plus qu'une légère (1) hypops- thésie qui s'étend jusqu'à la
région
abdominale. La mort survint en 1903. AUTOPSIE
l'existence d'une lésion à tendance cavitaire, s'étendant depuis la
région
lombaire supérieure jusqu'à la partie in- férie
es niveaux plus élevés de la moelle. Cette lésion se limite dans la
région
lombaire et dorsale, a la corne postérieure du
du côté gauche qu'elle détruit presque entièrement. A partir de la
région
cervicale, elle atteint la base de la corne antér
tude des coupes de chaque niveau, son aspect dans les prin- cipales
régions
: A la région lombaire on la voit débuter au ni
e chaque niveau, son aspect dans les prin- cipales régions : A la
région
lombaire on la voit débuter au niveau de la 2e ra
te rectiligne et se poursuit à peu près avec le même aspect dans la
région
dorsale inférieure. A la région dorsale inférie
eu près avec le même aspect dans la région dorsale inférieure. A la
région
dorsale inférieure (10e dorsale), on la voit oc-
..... Schémas destinés à montrer la topographie des fentes dans les
régions
principales de la moelle (Ve C, Ille D, IVeD, XeD
partie du cordon latéral se trouvant reportée derrière elle. A la
région
cervicale l'aspect se modifie en ce sens que le c
plus ou moins rapprochés, par- fois même au contact. Dans toute la
région
cervicale supérieure c'est ainsi que se présent
e, en effet, outre la destruc- tion de la corne postérieure dans la
région
cervicale, dorsale et même lombaire supérieure,
e jusqu'au ganglion. À droite, la sensibilité est atteinte dans les
régions
correspondantes aux seg- ments de la moelle où
culaire. D'autre part, la conservation de la sensibilité dans les
régions
innervées par les segments de la moelle sous-ja
t même appartenir à un stade évolutif antérieur. En effet, dans les
régions
inférieures où l'on peut, croyons-nous, considére
sque la lésion a perdu son activité, et tel semble être le cas à la
région
cervicale, il est probable que l'inflammation n
.. je Cervicale (Grossiss. : 8u D). Coloration à la fuchsine acide.
Région
de la commissure antérieure. La fente extrêmeme
avons décrites et avec lesquels il est en connexion directe. A la
région
cervicale, et surtout à partir du 5e segment cerv
. Le canal de l'épendyme est partout normal et indépendant, et à la
région
cervicale la cavité n'est nulle part tapissée de
issée de cellules épendymaires. L'état des vaisseaux, au milieu des
régions
les plus saines en apparence, est loin d'être n
nt épaisses ; les artères du sillon médian antérieur , surtout à la
région
cervicale présentent une adventice extrêmement
aît acquis que la lésion fondamentale, malgré les dissemblances des
régions
, est partout identique. C'est, au début, une mu
es festonnées (Pl. LV, fig. B et C). Corré- lativement autour de la
région
atteinte, la névroglie prolifère et les libres
figures montrent des détails de la coupe représentée figure 7. (a)
Région
centrale rétro-épendymaire. Fente à bords végétan
ent leurs connexions avec les vaisseaux et les fibres nerveuses des
régions
saines, car leur nutrition en souffrirait imméd
u doit se morceler le parenchyme ner- veux et doivent s'excaver les
régions
où cette transformation se produit. C'est proba
écanisme de la formation des pertes de substance assez vastes de la
région
cervicale, les végétations qui les comblaient aya
V. ICONOGRAPHIE DE LA. SALPÊTRIÈRE. T. XVII, PL. LVI. A. - Fag...
Région
cervicale. Coloration par la méthode de Weigert-P
e structure évoquent nettement une origine vasculo-conjonctive. Les
régions
voisines de la cavité principale sont remarquab
il existe une zone assez étendue de démyélinisation. B. - Fag...
Région
cervicale inférieure. La cavité centrale de la
ésultats de ces examens. , I. - Dans le cas de F..., il existe à la
région
cervicale une vaste cavité occupant la substanc
de cette corne jusqu'à la péri- phérie (PI. LVI, fig. A). Or à la
région
cervicale inférieure la cavité centrale fait défa
ochement de- ces coupes on peut conclure que la grande cavité de la
région
cervicale paraît n'être que l'épanouissement d'un
e dirigée d'arrière en avant se termine en cul-de-sac. En certaines
régions
elle devient sinueuse, ses bords sont végétants
nstitution des feuillets limitants. 390 THOMAS ET UAUSEK Dans ces
régions
malades les fibres nerveuses ont disparu (méth. d
'éliminer entièrement et à reculer les limites de la cavité. " A la
région
dorsale, point intéressant, il n'y a pas de cavit
rane conjonctive. L'épendyme est normal. La comparaison de ces deux
régions
montre que la lésion prend naissance à ia périp
ine vasculaire (fig. 8). Les vaisseaux voisins sont malades. A la
région
cervicale, une cavité arrondie, centrale, tapissé
toute la hauteur entière- ment indépendant des lésions, et si à la
région
cervicale on pourrait à la ri- gueur penser une
s d'épithélium que l'on rencontre dans la paroi des cavités, en des
régions
parfois très éloignées du canal central. A ces lé
à l'heure actuelle, n'est plus guère intégralement soutenue. Que la
région
épendymaire soit envisagée comme un point faibl
sensible- ment plus aplatie qu'une moelle normale, surtout dans les
régions
cervicale et dorsale. Les racines paraissent av
d une atrophie considérable des cornes antérieures, surtout dans la
région
cervicale, un apla- tissement de toute la moiti
racines ont peu de gaines colorées. lor-2° dorsale. Même aspect des
régions
antérieures grise et blanche, même dépression t
LIX bis, G). - Grosses lésions en foyers, semblables à celles de la
région
cervicale, dans les deux cornes antérieures, surt
vical, d'autre part au niveau du renflement lombaire. Dans ces deux
régions
, la lésion de gauche était plus marquée que celle
t devenue saillante par l'atrophie très apparente des muscles de la
région
antéro-externe. Ceci frappe d'autant plus que c
t les extenseurs de l'avant-bras droit, soit dans les muscles de la
région
antéro-externe de la jambe. Avec le courant int
également quelques petites plaques de sphacèle se produire dans la
région
para-ombi- licale. Obligée de rentrer chez sa m
icatri- ser, mais on en constate de nouveaux et de même nature à la
région
fessière, au coude droit dont nous suivons l'év
s et à la face interne de la jambe gauche ; les autres existent aux
régions
suivantes : une à chaque trochanter, une à chaque
o- lume d'une pièce de 2 francs ou de 1 franc et se composent d'une
région
cen- trale déprimée, à fond plat, suppurant et
; nous en comptons 23 aux jambes, 5 à la ceinture pelvienne, o à la
région
scapulaire, 8 à la face dorsale des mains, 1 au
nce ; asymétrie de la face, nez dévié à gauche, aplatissement de la
région
temporale gauche. 6 décembre. Il est apathique,
es deux côtés, par comparaison, et peuvent t s'appliquer à d'autres
régions
du corps (pieds, articulations, longueur de cro
par les reliques de saint Etienne, m'a conduit à rechercher dans la
région
d'autres tapis- series religieuses ayant quelqu
ns de l'an passé, que certaines lésions locali- sées dans certaines
régions
du cerveau et qui n'ont rien à faire avec la mi
rs de cette maladie redoutable, si iaiésionditecongestiveportosuria
région
de l'écorce qui détermine l'héiniopie corticale
lnique doit répondre à une localisation spéciale. Or, quelle est la
région
du cerveau dont la lésion pourra produire si- m
épileptiformes ? Dans l'étal actuel de nos connaissances, la. seule
région
qui puisse répondre à toutes ces nécessités est
ste lettre morte, on ne le comprend pas ; la branche qui irrigue la
région
du pli courbe dont la lé- sion produit l'hémiop
la lé- sion produit l'hémiopie et peut-être le scotome scintillant,
région
qu'on a trouvé lésée dans les quelques cas de c
l ressentit en même temps, dans ce même côté droit, au niveau de la
région
deltoïdienne, une douleur conlusive et cons- ta
gion deltoïdienne, une douleur conlusive et cons- tata, dans 'cette
région
, des secousses musculaires superficielles et asse
on, des secousses musculaires superficielles et assez violentes. La
région
delloïdienne du côté gauche était également le si
te la nuit suivante. Le lendemain, 15 septembre, les douleurs de la
région
del- toïdienne s'atténuèrent, mais reparurent,
mal, c'est-à-dire ni secousses fibrillaires ni affaissement dans la
région
des del- toïdes, en rapport avec une atrophie d
cerne l'état de la sensibilité, notre malade accusait dans les deux
régions
deltoïdiennes un endolorissement vague durant le
latéraux ou postérieurs, si ce n'est un peu pour ces derniers il la
région
dorso-lombaire. Le coeur est normal. L'aorte pr
ÉPINIÈRE ET DU CERVEAU. Coupe faite ait niveau du tiers moyen de la
région
cervicale (l'l. IV, 1). Les cordons de Goll son
es sur tout le pourtour de la moelle. , Coupe faite au niveau de la
région
cervicale inférieure (PI. IV, 2). - Les cordons
niveau de l'artère spinale antérieure. Coupe faite au niveau de la
région
dorsale moyenne (PI. IV, 3 et 3 biS). 38 ' NOUV
ure. ` Les faisceaux antéro-latéraux ne présentent plus, comme à la
région
cervicale, une sclérose limitée à certaines par
sions que dans la coupe précé- dente. Coupe faite au niveau de la
région
dorso-lombaire (Pl. IV, 4). Les fais- ceaux pos
es veines et des artères (l'l. IV, 6). Coupe faite au niveau de la ^
région
lombaire (Pl. IV, 5). -.Les lésions ici sont be
sous-pie-mérienne est moins épaissie. Coupe faite au niveau de la
région
inférieure du bulbe. Les méninges sont épaissie
sont altérées et en voie d'atrophie dans le lobe frontal et dans la
région
temporo-pariétale, tandis qu'elles parais- sent
e, presque au môme degré dans le lobe occipital que dans les autres
régions
examinées. Les vaisseaux sont très altérés, ils
rsqu'on examine la moelle non sur une seule coupe ou dans une seule
région
, mais dans son ensemble et aux divers étages; d
aux divers étages; de plus les cellules des cornes antérieures à la
région
dorso-lombaire, et à la région inférieure du bu
cellules des cornes antérieures à la région dorso-lombaire, et à la
région
inférieure du bulbe et même, en certains points
fine. Le centre de la sensibilité douloureuse la plus faible est la
région
du bassin. De ce centre vers les bouts des doig
it graduellement à tout le corps ; le 23 août, il n'y avait pas une
région
de la tête, du tronc ou des membres qui n'ait été
eut plus lever son bras droit. Il a éprouvé, en même temps, dans la
région
deltoïdienne correspondante, une douleur contus
u réveil ressenti une douleur analogue, moins vive toutefois, dans la
région
deltoïdienne gauche ; il pouvait cependant leve
complètement respectés. : Les phénomènes douloureux, dans les deux
régions
deltoïdiennes, ont persisté toute la journée et
s musclé, d'as- pect très vigoureux. - Tout le mal siège dans les
régions
deltoïdiennes et consiste dans une paraly- sie
ite qu'a gauche, des deux muscles deltoïdes. La morphologie de la
région
intéressée n'est pas visiblement changée. On n'y
le. 62 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE La graisse de la
région
prépubienne est répartie suivant un triangle cur-
lant de la racine à l'extrémité, répartition de la graisse dans les
régions
.lombaire, fessière et abdominale suivant le ty
d'un homme. Enfin la disposition des poils el de la graisse dans la
région
pubienne, et plus que tout cela, le développeme
lancinantes, elle éprouve des douleurs en ceinture, au niveau de la
région
lombaire. En outre de ces douleurs spontanées,
thésie qui se ma- nifeste au moindre attouchement de la peau de ces
régions
. Celte hyperes- thésie se retrouve avec une moi
intensité le long de la colonne verté- brale, mais surtout dans la
région
lombaire. Enfin, la pression des muscles de la
che est atrophié. Celte atrophie est plus prononcée au niveau de la
région
antéro-exterpe, où existe un méplat très appare
ai attiré voire attention sur une eschare unilatérale, située il la
région
sacrée gauche, près de la ligne médiane, de forme
thésie et des douleurs spontanées du membre inférieur gauche, de la
région
sacrée et de la colonne vertébrale; c'estpourquoi
u mois de janvier 1892, survinrent quelques douleurs vagues dans la
région
lombaire et dans le membre inférieur gauche, ce q
Lévi. Rétention d'urine avec incontinence par regorgement. Sur la
région
fessière du côté gauche, près; de la ligne médian
à la llexion de la jambe sur la cuisse. Hyperesthésie cutanée à la
région
fessière, sous la plante du pied, à la partie inf
caractère fulgurant et, en outre, des douleurs en ceinture dans la
région
lombaire, surtout à gauche. Ces douleurs semblent
ne façon très nette, l'existence d'un point douloureux profond à la
région
sacrée, de chaque côté de la ligne médiane, dan
diminution de la sensibilité à la face externe de la jambe, clans la
région
péron iére. 1 Enfin, à la partie supérieure d
é anté- rieure. A 17 ans, elle avait fait une chute violente sur la
région
des reins, le lendemain même de l'établissement
ute sur lecoc- cyx. Elle ressentit des douleurs assez vives dans la
région
des fesses, pen- dant une huitaine de jours. La
sité des douleurs siégeant dans un seul membre inférieur-et dans la
région
sacro-coccygienne; l'anesthésie du périnée, et de
de l'atrophie musculaire ayant pour siège le membre inférieur et la
région
sacro-lombaire ? Dans le groupe des affections
ne erreur de diagnostic. Avec une autre affection douloureuse de la
région
sacro-fémorale, cette question de diagnostic di
z notre malade, l'atrophie musculaire prédomine précisément dans la
région
innervée par ce nerf. Mais vous trouverez des é
i éprouvait des douleurs très vives dans la partie inférieure de la
région
dorsale et dans la région lombaire ; il avait e
rès vives dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la
région
lombaire ; il avait en outre une démarche traîn
asser en revue ont comme trait commun des douleurs siégeant dans la
région
lombo-sacrée ou dans l'un des membres inférieur
Toulon, il fut pris pendant la nuit d'une violente douleur dans la
région
des lombes, et d'une fièvre assez forte (39°). En
t complète des deux côtés; l'eschare est bilatérale et elle occupe la
région
sacrée ; c'est plus qu'il n'en faut pour différ
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pant l'un des membres inférieurs et la
région
sacro-lombaire, nous n'en trouvons pas qui réal
ne affection périphérique et d'une affection centrale ; dans' cette
région
seulement, en effet, la moelle épinière et les
re de ces notions d'anatomie. Territoires des nerfs cutanés de la
région
plantaire (d'ap. Testut). 13, Saphène externe.
douleurs, le plus souvent, sont localisées par les malades dans la
région
du sacrum ; presque toujours elles s'irradient da
la femme, le pour- tour de l'anus dans les deux sexes, ainsi que la
région
fessière inférieure. Elle peut être limitée à c
nsi que la région fessière inférieure. Elle peut être limitée à ces
régions
qui, soit dit en passant, représentent le domai
ours, la paralysie est limitée aux muscles fessiers et à ceux de la
région
postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-
comme, d'autre part, il éprouvait des souffrances violentes clans la
région
des reins et qu'il était dans un état de marasm
nostic auxquelles exposent les lésions qui intéressent isolément la
région
des centres de l'innervation réflexe de la vessie
ême façon chez un malade d'Oppenheim. A la suite d'une chute sur la
région
du sa- crum s'est montrée une paralysie motrice
érieurs; elle envahit les organes génitaux externes, le périnée, la
région
fessière. Enfin, il peut se faire que le malade s
s inférieurs, et elle re- monte jusqu'au pubis en avant, jusqu'à la
région
des lombes en arrière. Les malades ont de l'inc
um, pénis, grandes lèvres), au périnée, au pourtour de l'anus, à la
région
fessière inférieure, à la face postérieure de la
g du bord interne). La paralysie motrice respecte les muscles de la
région
antérieure et des régions externe et interne de
ralysie motrice respecte les muscles de la région antérieure et des
régions
externe et interne de la cuisse; elle est limitée
la cuisse; elle est limitée aux muscles fes- siers et à ceux de la
région
postérieure de la cuisse, aux muscles des jam-
anatomistes, les branches du sciatique, destinées aux muscles de la
région
postérieure de la cuisse et à ceux de la face p
n nette : scrotum ou grandes lèvres, péri- née, pourtour de l'anus,
région
fessière inférieure. Cette éventualité, à en ju
core les accidents se sont développés à la suite d'une chute sur la
région
du sacrum (fracture de la première vertèbre lom
n . nette : scrotum ou grandes lèvres, périnée, pourtour de l'anus,
région
fes- sière inférieure (lésion en foyer ayant dé
o-ano-fessi8re, et, en outre, une paralysie sensitivo-motrice de la
région
cutanée et des muscles innervés par le péronier (
t le domaine innervé par le sciatique : paralysie des muscles de la
région
postérieure de la cuisse, de tous les muscles d
nesthésie de la face postérieure de la cuisse et de la jambe, de la
région
plantaire, ou de toute la surface du pied, moin
ralysie motrice se limite aux muscles fes- siers, aux muscles de la
région
postérieure de la cuisse, et à la totalité des
crite au pénis, au scrotum (aux grandes lèvres chez la femme), à la
région
fessière, à la partie postérieure de la cuisse, i
l, et, en plus, par une parésie des adducteurs et des muscles de la
région
antérieure de la cuisse, avec anesthésie incomplè
ntérieure de la cuisse, avec anesthésie incomplète, dans cette même
région
(catégorie f). 4° Lorsqu'une lésion siège au ni
nnes et le cône terminal. Je rejette l'existence d'une tumeur de la
région
, à cause de la marche de la maladie, à cause su
tats, a été la révulsion, à l'aide de pointes de feu au niveau de la
région
sacrée, celles-ci étant appliquées tous les dix
s, ne diffère pas des hyperesthésies du tégument externe des autres
régions
du corps. Elle est beaucoup plus marquée lors d
nt où, sous l'action de ces diverses causes, s'exalte la zone de la
région
mammaire, le ou les seins, nous savons combien la
le sein se gonflait t en masse, et le mamelon s'érigeait. Toute la
région
était devenue le siège d'une sensation de cuiss
dépendance d'une zone hyperesthésique-hystérogène de la peau de la
région
mammaire, et d'un oedème du tissu conjonctif de l
re élément d'appréciation qui consiste dans le modelé spécial de la
région
. Contraction musculaire PHYSIOLOGIQUE. D'aprè
quelques jours après l'o- pération et situées très en dehors de la
région
qu'occupaient les bandes d'hyperes- thésie préo
arbre, lorsqu'il ressentit brusquement une violente douleur dans la
région
.lombaire. Il tombe presque aussitôt, se (raine u
du début avait disparu et les douleurs s'étaient circonscrites à la
région
des lombes. J'avais oublié de vous dire que, dè
juger. Cet homme se plaint de douleurs subjectives, localisées à la
région
lombaire et provoquées soit par la pression soi
la percussion. Elles s'irradient sous forme de cein- ture dans les
régions
des aines et de t'hypogastre. Mais je me hâte- d'
ésie sont nettes et régulières. Elles encla- vent symétriquement la
région
fessière inférieure et la partie moyenne de la
andes lèvres chez la femme), au périnée, à la marge de l'anus, à la
région
cruro-fessière. Ce tableau a été vu dans un cas
er le fait suivant d'Oppenheim : consécutivement à une chute sur la
région
sacrée, un individu est frappé de paralysie mot
perte de l'érection et enfin d'une anesthésie cutanée localisée aux
régions
cruro- fessière et ano-perineo-g6nita)e. Les ch
ne parle pas du grand dorsal uniformément- ' .' étendu sur toute la
région
et qui ne fait que se modeler sur les formes pr
st 1res nettement accusée. Quant à la s.) Illélrie parfaite de la
région
sous-scapulaire, elle esl égale- ment fort rare
il existe une voussure thoracique ayant pour effet d'uniformiser la
région
el de la rendre plus saillante. Ces par- ticula
t toute autre que celle que nous venons de décrire. Elle siège à la
région
dorsale, ]a con- vexité est tournée à droite, e
plus évidents et les plus faciles à constater sont l'asymétrie de la
région
sous-scapulaire et l'inégalité de hauteur des é
formée par un vésicatoire, a été plus grande et plus tendue sur la
région
ancs- tbésiée que sur la région sensible. De pr
é plus grande et plus tendue sur la région ancs- tbésiée que sur la
région
sensible. De profondes piqûres, faites dans la pe
agie. Les précautions les plus minutieuses prises pour défendre les
régions
affectées contre toute irritation extérieure pe
is parfois aussi cérébral (cas 1 et IItet périphérique (III dans la
région
musculo-cutallée), mais ces deux caractères n'é
maines, 3 mois). Dans la plupart des cas, l'ec-- zéma affectait les
régions
anesthésiées de la peau (8 cas) ; dans les autres
la peau (8 cas) ; dans les autres, il s'étendait aussi bien sur les
régions
anesthésiées que sur celles où la sen- sibilité
elopper, ainsi qu'on l'a vu dans les cas cités, aussi-bien dans les
régions
où la sensibilité est normale, et que, d'autre
ent clairement que les soins les' plus minutieux pour préserver les
régions
affectées de toute irritation extérieure, et ce
scoliose très accentuée à convexité gauche, portant surtout sur la
région
dorsale et produisant une élévation considérabl
e l'hémi-lhorax gauche, et cela en avant et en arrière; 2° toute la
région
de l'abdomen des lomhes et de la hanche du même
u- dessous du pli du coude (PI..XXVI et XXYI1.)' ? ? . Toutes les
régions
précitées sont le siège d'une'éruption intense, q
ination, de véritables placards croùtefleux, qui couvrent certaines
régions
; ainsi les 2/3 de la région mam- maire environ
s croùtefleux, qui couvrent certaines régions ; ainsi les 2/3 de la
région
mam- maire environ sont le siège cle placards c
nce éruptive sont : 1° le sein, comme nous venons de le dire; 2° la
région
axillaire; 3° la région scapulaire externe; 4°
e sein, comme nous venons de le dire; 2° la région axillaire; 3° la
région
scapulaire externe; 4° la région dorsale corres
ire; 2° la région axillaire; 3° la région scapulaire externe; 4° la
région
dorsale correspondant à la gibbosité dé- termin
moins l'étendue de toute la paume de la main. f Toutes les autres
régions
de la moitié gauche du tronc sont le siège d'é-
la lésion siégeait au noyau ou au-dessous, par conséquent, dans, la
région
hnlhaire. De ces données topographiques découla
centi- mètres de hauteur : un du renflement cervical (a), un de la
région
/dorsale (b) et un du renflement lomlnire(c)(I i
du cordon latéral droit et du faisceau de Turk du côté gauche, une
région
blanchâtre, tranchant nettement sur les par- ti
était surtout manifeste dans les coupes prises sur les morceaux des
régions
cervicales et dorsales, tandis qu'elle était beau
uche, depuis et y compris des noyaux jusqu'à l'olive, tandis que la
région
représentée par l'olive gauche, la pyramide ant
és. Cette raréfaction est par endroits très forte car il existe des
régions
où l'os l'orme une très fine dentelle à mailles t
eur de tlIüller). Une fois durcie, on constate il l'oeil nu dans la
région
des cordons postérieurs, une coloration jaune pâl
blanche. Celle altération existe surtout dans tout le trajet de la
région
dorsale; elle est très peu accusée au niveau de
jet de la région dorsale; elle est très peu accusée au niveau de la
région
lombaire où il est même difficile d'affirmer so
e iconographie DE La SALPÊTRIÈRE suivant le niveau des coupes de la
région
dorsale. La zone radiculaire moyenne est partou
u picro-carmin ou par la méthode de Weigert-Pal on constate que les
régions
si altérées à l'oeil nu le sont beaucoup moins an
l est vrai que les fibres à il]3,Cli4 soi plus clairsemées dans les
régions
des cordons postérieurs qui avoisinent l"sil- l
Notons ensuite qu'un bon nombre des fibres nerveuses à myéline, des
régions
qui paraissent malades à l'oeil nu, ne fixant pas
n des libres il myéline qui se traduit par une teinte pâle de cette
région
, constatable également à l'oeil nu sur des 1 co
gion, constatable également à l'oeil nu sur des 1 coupes. Dans la
région
lombaire, on constate à l'oeil nu, mais très atté
a séance du 1 juin 1894. Ils appelaient de nouvelles recherches, la
région
cervicale 'de la moelle n'ayant pas été examiné
graphie DE la SALPÊTRIÈRE T. VIII. PL. XXXV. COUPES DE LA MOELLE (
RÉGION
DORSALE) DANS UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PA
es de la moelle que nous avons rencontrées ont leur maximum dans la
région
dorsale particulièrement dans la région moyenne
es ont leur maximum dans la région dorsale particulièrement dans la
région
moyenne et inférieure (Pl. XXXV). Ces lésions
nent même immédiatement une idée très nette de la topographie de la
région
envahie. ' Dans les préparations traitées par l
enclature de Flechsig) tran- chent par leur coloration pâle sur les
régions
précédentes. Ces différences de coloration dans
ion dans les cordons postérieurs existent sur toute l'étendue de la
région
dorsale inférieure et moyenne et sont encore plus
a fuchsine (ancienne méthode de Weigert) on constate que dans cette
région
pâle le nombre des fibres fines comparativement a
fines comparativement aux fibres grosses est plus grand que dans la
région
radiculaire moyenne et que le tissu interstitie
isine la corne postérieure affecte une topographie variable dans la
région
lombaire supérieure et dans la région dorsale.
topographie variable dans la région lombaire supérieure et dans la
région
dorsale. l Dans la région lombaire supérieure e
a région lombaire supérieure et dans la région dorsale. l Dans la
région
lombaire supérieure et moyenne où la lésion n'est
ieure et moyenne où la lésion n'est pas aussi prononcée que dans la
région
dorsale inférieure et moyenne, les deux triangl
ce saine s'avancent vers le sillon postérieur, tan- dis que dans la
région
dorsale inférieure et moyenne ces triangles de
ffère de celle du labes dont la lésion porte essentiellement sur la
région
radicu- laire moyenne. Les racines postérieur
systématique, intéressant les cordons portérieurs, surtout dans la
région
dorsale. Il était bien difficile d'admettre que l
émangeaison. Ces plaques étaient au nombre de quatre, trois dans la
région
pariéto-occipi- tale gauche et une plus grande,
ées, mais dont la forme circulaire est bien reconnaissable : sur la
région
fronto-pariétale vers la droite de la ligne média
pâles d'abord puis plus foncés. Le 20 mai toutes les plaques des
régions
postérieures et latérale sont disparu, et il es
de façon à ne pas laisser échapper une différence de nuance sur une
région
limitée. On n'y voit que des traces linéaires d'a
jours un relief notable qui contri- bue à élargir le contour de ces
régions
suivant un type facile à reconnaî- tre. Ici, il
-dessous de l'ombilic par une cica- trice large et profonde dans la
région
de l'aine gauche. Le bassin est large, ainsi qu
féminines ; les fesses sont très développées et arrondies ; sur la
région
sacrée se trouvent les fossettes qu'on observe
t par la circoncision. En examinant cependant plus attentivement la
région
, on voit que la peau de la face antérieure de l
représentent des interventions chirur- gicales portant sur la même
région
du corps. On distinguera ainsi les opérations s
l'opérateur tantôt son front, tantôt le sommet du crâne, tantôt la
région
mastoïdienne. Le chirurgien, armé d'un bistouri
é sur le ventre. Et le siège de l'opération est presque toujours la
région
frontale, plus rarement la ré- gion mastoïdienn
l n'est pas le seul qui justifie une intervention opératoire sur la
région
crânienne^ Les plaies de tête, les fractures du
rations se faisaient encore sur la tète, et en particulier dans les
régions
frontale,. temporale et mastoï- dienne. C'éta
de de traitement, il déclare avoir été complètement guéri (3). La
région
frontale n'était pas seule exposée aux interventi
re. Un autre siège de prédilection des incisions vasculaires fut la
région
mas- toïdienne. Paul d'Egine y coupait et cau
». % Plusieurs documents figurés représentent des opérations sur la
région
mastoïdienne. Il faudra se rappeler ces pratiqu
lque kyste sébacé, facile à énuclécr, et sans danger aucun, dans la
région
où il opère. Il faut.le souhaiter pour le patient
u- sale. Et d'abord, quel est son siège ? Très probablement dans la
région
protubérantielle supérieure. Mais ceci demande
le diagnostic topographique. Imaginez un foyer morbide, occupant la
région
protubérantielle et situé au-dessous de l'aqueduc
ipation par suite du facial inférieur, parce que le foyer occupe la
région
supérieure de la protubérance et qu'il siège, par
bres cortico- bulbaires du nerf facial. C'est, en effet, dans cette
région
, comme vous le savez, que se fait cet entrecroi
2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE de Varole, intéressant la
région
de l'aqueduc et la moitié gauche de la protubér
iées dans le sang soient venues exercer leur action délétère sur la
région
prolubérantielle. Il se peut que cette action se
artérite ayant déterminé des altérations protuhérantielles dans une
région
que j'ai es- sayé de préciser. 1 Vous n'ignor
tons seulement sur les élé- ments éruptifs situés au pourtour de la
région
oedématiée et gangreneuse que M. Gilles de la T
as gauche. Côté droit. Simple diminution de la sensibilité dans les
régions
symétri- ques aux zones d'anesthésie du côté ga
es faces postérieures droite et gauche du tronc, sur la nuque et la
région
occipitale. Pas de zones hystérogènes. Point do
la forme de celles, bien réelles, qu'on observe souvent dans cette
région
. Derrière ce lamentable bonhomme, arrive en clo
e la main gauche, il tend, entre le pouce et l'index, la peau de la
région
parotidienne où est pratiquée l'opération. En
une simple saignée, peut-être opère-t-il un ganglion enl1ammé de la
région
parotidienne. II ne faut pas oublier en effet q
chirurgien avec son bistouri, lui gratte fort désa- gréablement la
région
parotidienne.' Le mal ne serait pas grand, si, en
e la tète. Le lieu d'élection de l'opération était de préférence la
région
frontale, parfois aussi-la-ré71on mastoïdienne.
a moelle est normale ; à peine note-t-on une légère diminution à la
région
dorsale supérieure. Sur les coupes transversales,
gion dorsale supérieure. Sur les coupes transversales, dans la même
région
, la substance grise tranche moins nettement qu'à
érique des muscles des membres supérieurs ; seuls les muscles de la
région
anté- rieure de la jambe, les péroniers, les mu
a région anté- rieure de la jambe, les péroniers, les muscles de la
région
postérieure de la cuisse, le tenseur du fascia
ostérieur au renflement cervical et dans la partie supérieure de la
région
lésée; les leucocytes forment là de vérita- ble
s il faut em- ployer de forts grossissements pour voir que dans les
régions
appro- priées, un certain nombre de tubes nerve
expli- que peut-être par la vascularisation plus abondante de cette
région
; mais on peut se demander aussi si cette dispo
té, a provoqué une perturbation complète dans le fonctionnement des
régions
de la moelle situées au- dessous d'elle. Le ton
toute son étendue et une certaine diminution de consistance dans sa
région
dorsale supérieure. Sur une coupe pratiquée dan
ns sa région dorsale supérieure. Sur une coupe pratiquée dans cette
région
on voit sourdre des gouttelettes de sang noir d
e. ' Les racines antérieures ont perdu leur teinte nacrée depuis la
région
cervicale inférieure jusque vers le milieu de l
e depuis la région cervicale inférieure jusque vers le milieu de la
région
dorsale; elles n'ont pourtant pas diminué de vo
océdé de Pal, montre qu'il existe un grand foyer de myélite dans la
région
dor- sale ; la configuration de ce foyer varie
l tentait de se suicider en se tirant une balle de revolver dans la
région
frontale droite. Le projectile glissa sur l'os et
anger. z Le 13 avril 1895, il se tire une balle de revolver dans la
région
frontale droite : on trouve sur lui une lettre
que le montre le schéma ci-contre (Fig. 67 et 68). Dans toutes les
régions
teintées le malade ne perçoit ni le frôlement,
la pression à ce niveau était d'autant plus frappante que toute la
région
était le siège d'une anesthésie totale. , . Ava
autant sur les muscles de la partie postérieure que sur ceux de la
région
antéro- latérale, cependant la flexion du pied
ntaire, montre que l'atrophie a surtout porté sur les muscles de la
région
antéro-externe de la jambe. Nous pensons qu'i
malade accusa seulement une légère sensation au niveau du méat, la
région
membraneuse n'était le siège d'aucune sensibili
la vessie mais d'une paralysie du sphincter, l'anesthésie de cette
région
superposée à la paralysie, le fait que l'incont
en sont la conséquence et qu'on observe tout particulièrement à la
région
abdominale où les attaches profondes de la peau à
au à l'ombilic leur impriment une direction toute spéciale, et à la
région
fessière vers la partie inférieure. Les appar
ent disparu sur tout le corps. Les dernières traces en restent à la
région
fessière, point d'élection chez la femme pour l
e. M. Clozier place l'incurvation latérale convexité gauche « il la
région
moyenne du dos ». Elle est dorsale selon lui. C
rsale selon lui. Celle que nous avons vue se trouve à cheval sur la
région
dorsale et la région lombaire ; elle est dorso-
e que nous avons vue se trouve à cheval sur la région dorsale et la
région
lombaire ; elle est dorso- lombaire. Enfin no
les 9e, joe et Il,, paires. rie. 1. Face antéro-inférieure de la
région
bulbo-protubérantielle. 4 A. JOFFROY Le nerf
lement schématique. La lésion siégeait dans ce cas, au niveau de la
région
oli- vaire gauche qui était affaissée, et- nota
e section expérimentale et que vous Foyer de ramollissement dans la
région
olivaire gauche, intéressant le faisceau pyrami
tration. Supposons maintenant que la lésion, au lieu de siéger à la
région
oli- vaire du bulbe rachidien. soit placée plus
e à cette attaque d'apoplexie dépasse de beaucoup les limites de la
région
du pédoncule cérébral. J'attirerai aussi votre
qu'elles adhéraient au cortex du lobule pariétal supérieur dans une
région
très limitée. En pro- menant le doigt sur cette
eur dans une région très limitée. En pro- menant le doigt sur cette
région
j'ai rencontré un changement de consis- tance q
tre la photographie. (PI. II.) Les méninges coupées autour de cette
région
furent conservées adhé- rentes au cerveau. Ap
aie, parce que la tumeur, de formation ancienne, n'agissait sur les
régions
voisines ni par compres- sion, grâce à son peti
Pitres admettaient en 1879, dans leurs travaux sur ce sujet, que la
région
motrice s'étendait peut-être aux parties immédi
scussion, ne s'accordent guère avec les fonctions motrices de cette
région
de l'écorce. Aussi Charcot limite-t-il dans sa
l dans sa publication posthume, en collaboration avec M. Pitres, la
région
motrice à la zone rolandique (1) ; et Nothnagel
bulbe et la moelle. Ils affirment aussi que la destruction de cette
région
donne tou- jours lieu à des anesthésies, qui, à
. Aussi, pour ce physiologiste et pour ses élèves les lésions de la
région
« motrice » affectent non seulement la motilité
core être la plus juste. Mais, dans quels territoires proches de la
région
psycho-motrice siègent ces centres sensitifs ?
upérieur étaient très étendues et empiétaient plus ou moins sur les
régions
voisines comme dans la remarquable observation
ant que le tu- bercule de notre malade atteignit par irradiation la
région
rolandique, déterminant les décharges de la sub
olandique, déterminant les décharges de la substance grise de cette
région
, dont le résultat est la convulsion épileptique
dans la structure de l'écorce grise des différences sensibles d'une
région
à une autre, les observations anatomo-cliniques,
reste que loin de localiser les troubles de sensibi- lité dans les
régions
atteintes par le processus destructeur, l'auteur
cubital. Depuis plusieurs mois, existent des douleurs vagues dans la
région
cervicale de la colonne vertébrale. Enfin, il y
sensibilité objective est conservée à tous les modes sur toutes les
régions
du corps, sauf une légère hypoesthésie au niveau
x. Ons. VI. Malade de 53 ans, se plaint de douleurs au niveau de la
région
céphalique et de troubles vésicaux. Il offre de
semaines avant la mort. Westphal (3) a eu le mérite de préciser la
région
de la moelle par où passe le réflexe rotulien.
rieures et sur les cor- dons postérieurs. Elles varient suivant les
régions
, plus marquées au niveau de la région sacrée, d
s. Elles varient suivant les régions, plus marquées au niveau de la
région
sacrée, de la région lombaire inférieure, elles d
ant les régions, plus marquées au niveau de la région sacrée, de la
région
lombaire inférieure, elles diminuent dans la ré
n sacrée, de la région lombaire inférieure, elles diminuent dans la
région
lombaire supérieure, pour devenir accentuées à la
re supérieure, pour devenir accentuées à la partie supérieure de la
région
dorsale et à la région cervicale. 4 Région sacr
enir accentuées à la partie supérieure de la région dorsale et à la
région
cervicale. 4 Région sacrée inférieure (6°, 5e,
artie supérieure de la région dorsale et à la région cervicale. 4
Région
sacrée inférieure (6°, 5e, 4e sacrées). Les lésio
s. Peu de fibres sillonnent les cornes postérieures. (Pl. X, A.) 2°
Région
sacrée supérieure (1'0 sacrée). Les lésions exist
érieures montre également plus de fibres dans leur intérieur. Trois
régions
sont essentiellement intactes ou peu touchées : l
e un territoire de sclérose de moyenne inten- sité. (Pl. X, B.) 3
Région
lombaire (5e, 4e lombaires). La description ci-de
baire (5e, 4e lombaires). La description ci-dessus s'applique à ces
régions
: pénétration en quantité moyenne de fibres posté
clérosé a la forme d'un triangle à sommet inférieur. (Pl. X, C.) 4°
Région
lombaire moyenne (3° lombaire). Les racines posté
les du centre de la corne sont à peu près intactes. (Pl. XI, C.) 7°
Région
dorsale inférieure. On note un léger aplatissemen
ce niveau, les lésions sont assez peu accentuées. (Pl. XII, B.) 9°
Région
cervicale inférieure. Les lésions plus manifestes
uche de fibres limitant la périphérie de la moelle, juxtaposée à la
région
de Goll sclérosée. On voit nettement certaines
uteur de la moelle, mais elles ont une prédominance au niveau de la
région
sacrée et de la région cervicale. Elles sont pa
s elles ont une prédominance au niveau de la région sacrée et de la
région
cervicale. Elles sont particulièrement discrète
TION DES REFLEXES (Achard et Léopold-Lévi) .-1. (Méthode de Pal.)
Région
dorsale inféi ieiue. Sclérose des zones de Lissau
e interne et moyenne du faisceau de Burdach. C. (Méthode de Pal.)
Région
cervicale iiifèrieuie. Sclérose des zones de Liss
du 5' postérieur du cordon de Goll, des bandelettes externes. Mêmes
régions
conservées que sur la figure précédente. MASSON
nt la lésion détermine l'abolition du réflexe. Placée à l'union des
régions
lombaire et dorsale, celte zone est limitée : en
nt exagérés. On observe sur les deux extrémités supérieures dans la
région
de l'avant-bras, dans les endroits non couverts
lichen planus sur les membres inférieurs et principalement dans les
régions
surales. L'éruption est distri- buée symétrique
corps, savoir : la sur- face interne de l'extrémité supérieure, la
région
pectorale, le côté, la fesse, et la plante du p
e long du bord interne de l'avant-bras et du bras gauche jusqu'à la
région
pectorale et s'enchaînent en une série de stries
n une série de stries étroites longitudi- nales. En passant dans la
région
du creux de l'aisselle, les dimensions des papu
mensions des papules deviennent distinctement plus grandes; dans la
région
pectorale elles se rapetissent et pâlissent. Ic
e de l'avant-bras et du bras gauche, d'où l'éruption s'étend sur la
région
pectorale ; elle poursuit le bord de sa partie
caillent ; plus loin on voit l'éruption sur le côté gauche, dans la
région
de l'épigastre, sur le 111011S ueueris et sur l
iphériques une couche abondante de masses cornées, tandis que leurs
régions
centrales ont une surface rouge asséz lisse. Sur
t sur leur surface se fait voir plus clairement que dans les autres
régions
du corps. La grandeur des plaques est variée : de
tout entière .est formée par du tissu osseux solide (tumeurs de la
région
fessière dans notre cas). , Du reste en tenan
solidement réunis par un pont de substance osseuse, siégeant il la
région
poplitée, en dedans du paquet vasculo-nerveux e
es cas. Un nouveau ligament très puissant s'était développé dans la
région
sous-clavière gauche, il s'étendait du tendon du
lus, suivant l'intensité du processus et l'étendue de la lésion. La
région
envahie est sensible, d'autres fois très douloure
cas d'Henry, d'après Munchmeyer. Les ganglions correspondants à la
région
malade sont gros, tuméfiés, douloureux ; cet en
stinctes ; parce que souvent plu- sieurs muscles voisins, plusieurs
régions
voisines sont envahies successi- vement et il a
deux ou trois vertèbres lombaires et une autre plus grande, dans la
région
dorsale gauche, moins dure, douloureuse et para
tation variqueuse étaient très étendus, ils envahissaient toute une
région
, tout un segment de membre; dans le cas de Pinc
on d'une circulation collatérale, la stase veineuse et l'oedème des
régions
sous-jacentes. Les nouvelles ossifications sont
es, elle attaque les muscles du bassin, principale- ment ceux de la
région
fessière, les muscles antérieurs et postérieurs d
des tumeurs est net- tement spécifié, elle s'est localisée à cette
région
; dans 6 autres la nuque seule a été atteinte p
s 5 autres les épaules; mais elle peut débuter sur n'importe quelle
région
de l'organisme. A la nuque elle s'attaque tantô
omboïdes (Uhde), au grand dorsal; soit à la partie inférieure, à la
région
lombo-sacrée (Hawkins). Sympson l'a vu débuter
des bourrelets au niveau des plis cutanés ; 'autour du cou, sur la
région
pré- pubienne, au-dessus des fesses et sur les
e N° 3 Mai-Juin 1898 SCLÉRODERMIE LARDACÉE EN COUP DE SABRE DE LA
RÉGION
FRONTALE CRISES ÉPILEPTIFORMES CONCOMITANTES
lisée et un cas de morphée scléreuse, avec plaques lardacées, de la
région
dorsale chez un homme de 32 ans, atteint de rhu
e de 1881 (4 ), une observation de dermato-sclérose partielle de la
région
dorsale et des membres supérieurs et inférieurs
appareils ne fait découvrir rien d'anormal. Lésions cutanées. -- La
région
frontale droite présente deux bandes claires s'
égion frontale droite présente deux bandes claires s'étendant de la
région
sourcilière au sommet du crâne. Une pre- mière
nausées, une sensation douloureuse au creux épigastrique et dans la
région
lom- baire. Il ne se souvient pas de son accès
émiplégie de l'enfance s'étendent à la face et en particulier il la
région
supérieure de la face, à l'orbiculaire des paupiè
nne DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE IM z vertébrale et de la
région
lombaire (ossifications qui suivent presque tou-
iable, tantôt il y a une ou deux tumeurs discrètes, situées sur les
régions
lombaire ou dorsale, près des 156 A. WEILL ET J
ramifications de corail (Copping) ou de la carte géographique d'une
région
montagneuse (Brensohn) ; enfin plus rarement on
le bassin. Cette flexion des cuisses jointe à celle du tronc, à la
région
lom- haire et à celle de la tète en avant, fait
on du tenseur du fascia lata, d'un des muscles postérieurs ou de la
région
interne de la cuisse, par l'ossification de la
do-cyphoses causées par les tumeurs osseuses si fréquentes dans ces
régions
. Une question se pose maintenant. Quelle est la
x et le larynx des désordres graves peuvent en résulter : ainsi, la
région
sous-maxillaire est- elle prise, l'induration e
des premières vertèbres cervicales, l'absence de déformation de la
région
, ou une déformation légère particulière, suffiron
édé en général d'autres manifestations de la maladie, dans d'autres
régions
de l'économie; il s'ins- tale avec son cortège
celle des membres inférieurs, est monstrueuse- ment développée; les
régions
conservent cependant leur modèle habituel ; la
allant jusqu'à 37° et 38°, au dire du malade ; le gonflement de la
région
temporo-maxillaire, s'étendait assez loin, il é
on entourage purent re- marquer, après l'orage, la présence sur les
régions
envahies, de masses osseu- ses de nouvelle form
ent, ils s'attaquèrent à l'articulation coxo-fémorale droite et aux
régions
environnantes laissant, comme vestiges de leur
l'article et les formations osseu- ses qui l'entourent. Il eut la
région
fessière droite atteinte en. 1887; la partie moye
petit et grand ronds, en 1888; enfin en 1889, l'épaule, le bras, la
région
poplitée, le mollet, le cou-de- pied et la face
berté de son bras gauche, Albert Schwartz, en explorant souvent les
régions
malades, a pu se rendre compte que les masses o
ayant en- vahi en partie les puissants paquets musculaires de cette
région
. Les régions antérieures du cou ont été au cont
hi en partie les puissants paquets musculaires de cette région. Les
régions
antérieures du cou ont été au contraire complètem
fortement éprouvé. L'articulation coxo-fémorale est ankylosée. La
région
poplitée présente une grosse travée s'élevant en
e. Foie et rate normaux. La respiration est très obscure dans les
régions
supérieures duhorax, très exagérée au contraire
dans les mem- bres inférieurs ; douleurs extrêmement vives dans la
région
fessière, s'irra- diant jusqu'aux orteils et pl
rêle dans son ensemble ; mais cette gracilité est plus marquée à la
région
dorsale inférieure. Les racines antérieures sont
qué. A la coupe, on voit à l'oeil nu avant tout durcissement : à la
région
cervi- cale, une teinte grise de sclérose dans
o-cutané. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICn A DÉBUT TARDIF 181 A la
région
dorsale, la même teinte grisâtre se montre dans l
dans les cordons pos- térieurs qui paraissent plus atteints. A la
région
lombaire, la teinte grise translucide occupe tout
ar les procédés de Nissl et de Marcbi. Le côpe terminal est sain.
Région
sacrée. Il y a une sclérose assez marquée des cor
Dans les cordons latéraux existe une légère sclérose au niveau de la
région
qu'occuperait le faisceau pyramidal croisé, mai
idal croisé, mais là la sclérose est moins accen- tuée que dans les
régions
plus élevées et l'on rencontre encore une assez
l'on rencontre encore une assez grande quantité de fibres saines.
Région
lombaire. Sclérose des cordons postérieurs, symét
existe une sclérose du faisceau pyramidal croisé. (PI. XXII, D.)
Région
dorsale. - La dégénérescence occupe la topographi
r une moelle normale. Les fibres pa- raissent aussi atrophiées. '
Région
cervicale. - Même topographie des lésions. Dans l
ent respectés. Dans les cordons latéraux, la sclérose s'étend de la
région
sacrée la région cervicale supérieure, occupant
Dans les cordons latéraux, la sclérose s'étend de la région sacrée la
région
cervicale supérieure, occupant les territoires
érébelleux direct et faisceau pyramidal direct : peut-être même, à la
région
cervicale, atteint-elle le faisceau de Gowers ?
eux moitiés par un prolongement falciforme de la dure-mère. Dans la
région
de la fosse postérieure du crâne le prolongemen
ôta les enveloppes du crâne, il se produisit une hémorrhagie dans la
région
de l'os occipital. A la section de la tète il s
eur de la moelle (Fig. 1), celte fissure était plus accusée dans la
région
cervicale; (1) Mme LÉOVOr, Cas d'anencéphalie.
côtés et la voie pyramide manque (Pi. XXIV. B). Plus haut dans la
région
de l'aqueduc de S)lvius et dans le troisième ve
ment de toutes les voies qui Fio. 1. Coupe de la moelle épinière (
région
cervicale) (cas III). Fie 2. - Coupe du bulbe a
y associa u e céphalalgie tellement violente qu't... se serrait les
régions
pariétale ? ire lesmains, en criant : « ma tèle
ns pariétale ? ire lesmains, en criant : « ma tèle, mi tète ». Puis
régions
diiis lltlléïéll.itible mains, en criant : « ma
tumeur continue de s'accroître, elle agira par compres- sion sur la
région
encéphalique adjacente, d'abord en l'irritant et
e des- truction locale, ces derniers traduisant la souffrance de la
région
encépha- lique qui doit subir les atteintes dir
e ventricule est formée par une portion delà face postérieure de la
région
bulbo-pro- tubérantiette. Rappelez-vous aussi q
eux inférieur et la racine descendante ou bul- Fm, 1. - Coupe de la
région
hulbo-protubérautielle au niveau de l'émergence
t située à la base du crâne, à la face antérieure ou ventrale de la
région
protubéran- tielle. S'il en était ainsi, il fau
ncules cérébelleux émergent du cervelet. Une tumeur enserrant cette
région
doit détruire une parlie ou la totalité des deux
- meur du cervelet, elle n'a pas un ou plusieurs tubercules dans la
région
frontale. Ainsi s'expliqueraient, de la façon l
par tailler un lambeau en ellipse, à convexité supérieure, dans la
région
temporo-pariélale droite (fig. 2) ; puis il a ra-
ilement; la tumeur parait s'être développée surtout au niveau de la
région
des pédoncules. Les nerfs crâniens bulbaires so
térisée par des néo-membranes qui recouvrent tous les organes de la
région
(protubérance, bulbe, filets nerveux et vaissea
. Peut-être, en rapport avec leurs relations quantitatives dans une
région
donnée de la peau, se trouve le caractère de la d
t anéan- tie par une action violente et mécanique, au moins dans la
région
sur laquelle agit l'irritation. Quel que soit l
Le centre de la moindre sensibilité douloureuse de la peau c'est la
région
du bassin ; de là vers la tète et vers les doigts
al- maire des doigts. 234 MOCZUTKOWSKY La moins sensible est la
région
du siège et les plantes des pieds, surtout les
es lèvres) ont une plus grande sensibilité douloureuse que dans les
régions
voisines. La sensibilité douloureuse des muqueu
au la sensibilité douloureuse est toujours plus grande que dans les
régions
voisines. Autour des articulations et au-dessus
t mince, plus la sensibilité douloureuse est grande (les plis de la
région
palmaire des mains qui recouvrent les articulatio
nts importants de la sensibilité doulou- reuse dans les différentes
régions
de la peau en même temps que A. de Wattewitte e
e en deux moitiés globuleuses par une amplification sphéroïde de la
région
occipito-parié- tale ; 2° C'est un crâne parc
'une otite suppurée et de syphilides papulo-hypertrophi- ques de la
région
anale et du scrotum. Malformation thoracique :
aplatie latéralement et présentant un énorme dévelop- pement de la
région
occipitale ». Erosions dentaires. Une seconde
dix-huit mois, la tète mesurait 1 m. 20 de circonférence ( ! ) Les
régions
frontales étaient surtout très développées, et il
ches au niveau des (feux tiers antérieurs du crâne. Si bien que les
régions
frontale, sincipilale et tem- porale se trouvai
ulaires, également développées, couvraient de leurs anastomoses les
régions
antérieure et postérieure du crâne (pli. XXXII).
tudiée d'une façon systématique, racine par racine, au niveau de la
région
lombaire et sacrée. Des coupes ont été faites a
e au 1/1000. D'autres coupes portant, en outre, sur les différentes
régions
de la moelle, après inclusion au collodion, ont
ode de Pal, faible grossissement) 1. Moelle de paralysie infantile (
région
cervic.ile). Foyer de sclérose au niveau de la co
simple, saite d'atrophie du genou, qui fait l'objet de ce mémoire (
région
lombaire). Diminution notable de la corne droite
pas visible sur la préparation. 3. Moelle de paralysie iiifititile (
région
lombaire inférieure). On voit un loyer de scléros
e les cor- dons blancs pris en masse d'un côté à l'autre. En aucune
région
(postérieure, antéro-latérale), nous n'avons co
s d'un côté que de l'autre ; elles existaient aussi au niveau de la
région
cervicale moyenne, et ce n'est que par comparai
oeil nu sur les coupes, elle est unilatérale, elle est limitée à la
région
lombo-sacrée. Par la numéralion des cellules, on
férieurs avec prédomi- nance à gauche, on reconnaît au niveau de la
région
lombaire (méthode de Pal) un foyer arrondi de s
soudée aux côtes. A l'autopsie, il s'ouvrit un grand abcès aux deux
régions
pectorales contenant 150 à 180 gr. de pus. Les
il est très maigre seulement. La sensibilité cutanée au niveau des
régions
: ossifiées est normale. Il mourut à l'âge de 3
14 juin 1843. A la suite de refroi- dissement, gonflement dans les
régions
mouillées lombaires et dorsale qui a DE LA MYOS
acro-lombaires en dehors. Une autre, plus grande, se montre dans la
région
dorsale gauche, moins dure, légère- ment doulou
le semble faire partie au bord inférieur du grand dorsal. Dans la
région
loinbiîre, des deux côtés, des masses osseuses. U
oute la surface du nerf; au bord interne du nerf optique et dans la
région
de la macula lutea on constate des apoplexies en
1 juin. - Ganglions poplités et cruraux sensibles. Infiltration de la
région
inguinale, du biceps, du demi-tendineux et du d
u de 3 grammes à 3,50 on n'en trouve que 1 gr. 319. Le 4 août. La
région
des adducteurs et la moitié inférieure de la cuis
la mastication et formation de noyaux indurés, avec de l'oedème, à la
région
sus-hyoïdienne.. Le J. Transformation de tout
me, à la région sus-hyoïdienne.. Le J. Transformation de toute la
région
sus-hyoïdienne en une tumeur pâ- teuse, accompa
t longue, de 8 centimètres, large de 3. Le 12.- Le gonflement de la
région
sous maxillaire a gagné en fermeté; gon- flemen
es seuls passaient. En même temps durcissement des masséters, de la
région
sous-maxillaire et des triangulaires du menton.
normaux. Dureté et raideur des muscles de la cuisse gauche et de la
région
ischiatique ; les muscles ischiatiques, de la cui
se comme un oeuf de cane, douloureuse ;i la pression, apparaît à la
région
ingui- nale droite, et disparaît de nouveau spo
omme une amande. Résistance osseuse dans la moitié inférieure de la
région
fessière ci épaississement du fémur à largeur d
e du gros orteil. - Membre inférieur droit. Mêmes anomalies dans la
région
fessière, le fémur et le gros orteil, mais la h
ès, incisé le 7 mai, était guéri le 14 juin. z On sent alors a la
région
inguinale, immédiatement sous la peau saine, une
bientôt, mais laisse il sa place une consistance plus grande de la
région
droite du cou. En môme temps que le DE LA MYOSI
i se voient dans les scalènes, réunies au squelette. Rigidité de la
région
hyoïdienne. Le larynx se déplace normalement. Exo
tale du pouce analogue à celle du côté opposé. Lame osseuse dans la
région
lombaire, plus large à gauche qu'à droite ; ell
tout près de l'os iliaque, en un appendice bifurqué. Muscles de la
région
lom- baire, muscles fessiers et abdominaux inta
u fascia lata droit est plus raide que le gauche. Les muscles de la
région
externe et postérieure de la cuisse gauche, avant
action faradique. Le sacro- lombaire réagit bien. Les muscles de la
région
interne et postérieure de la uisse gauche montr
ec uu léger mouvement fébrile, d'une tuméfaction correspondant à la
région
du muscle trapèze et aux muscles sous-jacents ;
uche au tronc. Peu de temps après, le même processus se montra à la
région
correspondante du côté droit; les sus et sous-épi
antérieure du thorax, quelques exostoses aplaties. La musculature des
régions
citées a la consistance de l'os, le grand dorsa
llie comme une corde fibreuse. Les muscles profonds du cou et de la
région
hyoïdienne sont durs, mais sans noyaux osseux.
douleurs à la nuque, au bras et à l'avant- bras ; en examinant ces
régions
, on y trouve des gonflements diffus, rouges, do
isparaître ; elle cessait complètement au repos. Son siège était la
région
externe de la cuisse, depuis la partie moyenne ju
parurent ; mais tout mouvement provoquait de vives douleurs dans les
régions
coccygienne, sacrée et lombaire. La flexion du
vient une ligne droite qui s'étend jusqu'à la partie moyenne de la
région
dorsale ; le rachis dorsal supérieur et cervical
pas reconnu d'exustoses, sur les points accessibles des différentes
régions
du rachis. Le thorax est aplati d'avant en arri
inférieurs (genoux, cuisses). Puis les douleurs se portent dans la
région
loiiil)o7-,acro-coccygieniie. Elles sont surtout
ccompagner de douleurs com- parables à celles qui- siègent dans les
régions
inférieures de la colonne vertébrale. L'ankyl
s aux autres depuis le sacrum jusqu'à la première dorsale ; dans la
région
lombaire se montrent des tubérosités osseuses trè
continuent d'une vertèbre à la vertèbre voisine; plus haut, dans la
région
dorsale, les tubérosités font défaut, mais la r
onstatation que M. Marie a faite de la rareté des exostoses dans la
région
dorsale de la pièce du musée Dupuytren. Patiiog
lic et l'état permanent de tension des muscles de la paroi en cette
région
. Cette contracture est peut- être réflexe et pr
s bas. La végétation osseuse a d'ailleurs très probablement dans la
région
in- férieure de la colonne vertébrale une exubé
ère ; du moins, l'intensité et la persistance des.douleurs en cette
région
, la « dou- leur de reins » de Duf... permet de
mihypertrophie faciale droite congé- nitale intéressant surtout les
régions
placées au-dessous du rebord inférieur de l'orb
dont la face et les membres sont hypertrophiés du côté droit ; ces
régions
sont couvertes de taches naeviformes et le temp
gauche est plus long que le droit de 2 cent. 1/2. Enfin toute cette
région
du corps est atteinte d'hyperémie et d'hyperhyd
ant non sur la longueur mais sur l'épais- seur de ceux-ci. Dans les
régions
augmentées de volume le tissu adipeux est très
figure ci-dessous : En examinant le cuir chevelu, on voit, dans la
région
occipitale, une petite bande en forme de fer à
Du côté des épaules rien à noter. Il semble, à première vue, que la
région
du coude et de l'avant-bras soit plus développé
risottés en une traînée avec hy- perchromie du cuir chevelu dans la
région
occipitale. Dans 7 cas, les os participent comp
que sur les parties molles (Boeck). Les dents correspondant à la
région
hypertrophiée sont souvent plus volumineuses, p
cours des anévrysmes artério-veineux, influant sur la nutrition des
régions
hypertrophiées. On a également cherché la clé d
périeure et la paupière inférieure gauches à un moindre degré ; ces
régions
sont molles, oedémateuses ; la pommette gauche
u'à droite. Les os de la face, le corps du maxillaire supérieur, la
région
alvéolaire participent à l'hypertrophie. Le max
e là son point de départ. L'hypertrophie porte spécialement sur les
régions
supra-orbitaire, ma- laire et mentonnière intér
au qui recouvre le côté gauche de la face est partout, sauf dans la
région
massétérine, irrégulière, épaissie, un peu plus b
st le siège de deux saillies plus marquées; l'une d'elles occupe la
région
de l'apophyse orbitaire externe ; elle est ronde
a été fait sur des lambeaux cutanés en- levés par le Dr Hund, à la
région
malaire, à la lèvre supérieure et au menton. Au
vertébral est ouverte et la moelle épi- nière n'existe que dans les
régions
dorsale et lombaire (PI. XLII, M). L'oeil surto
e f.tte ; K, de profil ; M, de dos, le causal vertébral fendu dans la
région
cervicale supérieure ; N, face du cyclope avec
des parties lombaire et dorsale de la moelle cérébrale,mais dans la
région
cervicale les particularités pathologiques sui-
E NERVEUX CENTRAL (N. Solovtzoff) O. - Cas ? Coupe de la moelle ;
région
cervicale ; atrophie des cordons latéraux des deu
prolongeant vers la moelle épinière. A l'examen microscopique de la
région
lombaire par le procédé de Pal, nous avons trou
faisceau pyramidal du cordon latéral n'était pas développé. Dans la
région
cervicale supérieure, l'aspect est presque le m
gion cervicale supérieure, l'aspect est presque le même que dans la
région
lombaire ; seulement, les cordons postérieurs s
ope (Cas VI), chez qui la colonne vertébrale était L fendue dans la
région
cervicale supérieure, la moelle épinière existait
vicale supérieure, la moelle épinière existait L seulement dans les
régions
dorsale et lombaire; elle était encore plus min
s d'une couche très fine des fibres myéliniques. Plus haut, dans la
région
où la colonne vertébrale était fendue, il l'exa
NERVEUX CENTRAL (N. SoloYtzoff) a. - Cas III. Coupe de la moelle,
région
cervicale. Absence des voies pyramidales, cérébel
eures. c. - Cas Il'. Moelle épinière; par suite de l'hydromyélie la
région
ventrale est réduite l une membrane ; la région
de l'hydromyélie la région ventrale est réduite l une membrane ; la
région
postérieure est e ? ti ornement atrophiée. d. C
es enfoncés qui lui donnent l'aspect de la carte géographique d'une
région
montagneuse. A la palpation, on sent partout un
remière fois que l'enfant avait des noyaux indurés au dos, dans les
régions
scapulaires, et que les mouvements des bras étaie
x autres sur la moitié inférieure de l'omoplate gauche, et une sur la
région
lombaire gauche. Toutes ces tumeurs siègent dan
auche. Toutes ces tumeurs siègent dans les muscles. Les muscles des
régions
sus et sous-épineuses, ceux des régions inter-sca
es muscles. Les muscles des régions sus et sous-épineuses, ceux des
régions
inter-scapulaire et lombaire sont durs, mais pa
apulaire et lombaire sont durs, mais pas ossifiés. Tumeur dure à la
région
du biceps brachial droit, allongée, très large
nt les bras. A la suite d'une chute qui porte on ne sait sur quelle
région
la tête de l'enfant se penche à droite. En janv
ras droit n'atteint pas l'horizontale, les doigts arrivent jusqu'à la
région
temporale. Mêmes modifications à gauche, mais m
ns la marche. Variole, rougeole et coqueluche ; pas de douleurs aux
région
» maldes. Antécédents héréditaires. - Rien de
du brachial antérieur. Colonne vertébrale rigide, plus mobile à la
région
lombaire. A gauche des 5e et 6e vertèbres dorsa
ertions musculaires qui en partent. A droite de la colonne, dans la
région
lombaire, une masse plate très mobile. Elle s'é
eux plus petit, mobile. Pas d'ossifications «dans les muscles de la
région
abdominale antérieure. Mouvements de la hanche
s de paralysie du grand denlelé, associée à celle d'un muscle de la
région
scapulo-lmmérale : du deltoïde par exemple, du
uement une douleur assez vive, qu'il lo- calise exactement dans les
régions
suivantes : espace inter pectoro-deltoïdien et
pèze, du côté droit. Voici d'abord les détails des déformations de la
région
sca- pulo-humérale. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUS
les mains sur les genoux. Il y a une déformation appréciable de la
région
scapulo-humérale droite, caractérisée dans son
ombant naturellement le long du tronc. Déformation très nette de la
région
scapulo-humérale, qui rappelle celle de la stat
ailleurs, quoique moins marquée. Telles sont les déformations de la
région
scapulo-humérale dans les diverses attitudes et
qu'il n'y a pas de troubles de la sensibilité objective dans cette
région
. Les douleurs spontanées ont disparu ; notre ma
Il n'y a rien à noter, en dehors des troubles morphologiques de la
région
scapulo-humérale déjà signalés. Le thorax propr
presque aussi rétrécie au niveau de i'omo- plate qu'au niveau de la
région
lombaire. Au niveau du cou, on voit une saillie
- tagoniste (grand dentelé). Enfin, dans les autres muscles de la
région
scapulo-humérale : angulaire de l'omoplate omob
il nous semble, en raison de l'in- tégrité des autres muscles de la
région
scapulo-humérale, considérer dans l'espèce ce f
il. - L'atrophie n'avait pas encore envahi les « muscles des autres
régions
. » Les figures 2, 5, 11, 12 et 13 de la « Phy-
UVAL principale, pour ne pas dire exclusive, des déformations de la
région
sca- pulaire que l'on constate à l'état de repo
u niveau de la paroi antéro-tatérate, au-dessous et en dehors de la
région
bimammaire. Faut-il faire une part, dans le m
x. Si le bras s'élève volontairement, les principaux troubles de la
région
scapulo-humérale sont très accusés et consisten
nsidérable et seulement au niveau de la joue, c'est-à- dire dans la
région
occupée par le naevus. Ce défaut de symétrie cont
rédominance latérale mar- quée ; mais du côté gauche, la peau de la
région
naso-orbitaire est d'une sensi- bilité exquise
i- bilité exquise bien que l'ancien spasme ait disparu et que cette
région
ne soit pas le siège de mouvements particulière
ble de la sensibilité de la peau. Pas de points douloureux dans les
régions
mammaires ou ovariennes. La malade a été traité
us ni anesthésie, ni dysesthésie,ni douleurs à la pression dans les
régions
désignées. Mais les troubles du sommeil qui exi
oyons l'affection se manifester d'abord par un spasme localisé à la
région
de l'irritation provocatrice; spasme qui survit
pleural, épanchement exclusivement postérieur at- tendu que dans la
région
antérieure la sonorité tout au moins relative se
le malade se plaignait incessamment d'une douleur fort vive dans la
région
de l'ovaire droit on procéda alors à un examen mi
ême de l'ouïe, de l'odorat et du goût. Si l'on vient à comprimer la
région
de l'ovaire droit on y dé- termine une douleur
n physique révèle seulement une hyperesthésie diffuse dans toute la
région
épigastrique. Le poumon et la plèvre se sont be
ssion, et de là, de violentes douleurs s'irradient le soir. Dans la
région
du fascia lombo-dorsal, saillie ver- ticale, du
tirée vers la gauche ; quelques mois après raideur tïlz grande à la
région
sacrée, il trébuchait souvent ; la raideur augmen
on affection s'ag- gravait. Extension de l'affection au dos et la
région
sacrée avec les mêmes phéno- mènes de douleur e
Bras dans l'adduction. On voit des masses osseuses tout autour de la
région
axillaire, surtout dans le grand dorsal. L'abdu
bandelette avec la plaque interne. Une bande mince, dure, occupe la
région
bicipitale et se prolonge dans le creux axillaire
. -- Fièvre 38°2 C le matin, perte de l'appétit, gonfle- ment à. la
région
inférieure du sterno-mastoïdien droit, extension
fle- ment à tout le muscle les jours suivants, oedème dans toute la
région
du ster- num à la mâchoire. Rougeur de la peau.
Dans ses derniers jours, ankylose du genou droit et des douleurs à la
région
fessière du même côté. - Examen microscopique
douleur au niveau de la mâchoire inférieure, sous les oreilles. Ces
régions
étaient tuméfiées, le malade croyait avoir les or
IGE (1 phot.), 59. Sclérodermie lardacée en coup de sabre de la
région
frontale, crises épilepti- formes concomitantes
. Spillmann (Louis). Sclérodermie lardacée en coup de sabre de la
région
frontale ; crises épileptiformes concomitantes
rtement engourdis et certainement parésiés. La prédominance dans la
région
lombaire n'en est pas moins incontestable. C'es
r qui parait exclu- sivement intéressé et qu'elle occupe plutôt une
région
non motrice de l'é- corce. Il y a donc une gr
a moelle épinière. On peut donc distinguer à la protubé- rance deux
régions
: une région supérieure ou pédonculo-protubéranti
ère. On peut donc distinguer à la protubé- rance deux régions : une
région
supérieure ou pédonculo-protubérantielle, une r
régions : une région supérieure ou pédonculo-protubérantielle, une
région
inférieure ou bulboprotubéranGielle, toutes deux
avec la pathologie de la protubérance. En effet, les lésions de la
région
pédonczsloprot2cbéz°azatielle donnent lieu au syn
en cli- nique sous le nom de syndrome de Weber ; les lésions de la
région
bulbo- protubérantielle donnent lieu au contrai
prin- cipalement avec Tamburini et Luciani, les étendent à ces deux
régions
. Quoiqu'il en soit, on est certainement autoris
it nombre des tabétiques que j'ai traités par la faradisation de la
région
claviculaire. Dans quelques cas, la maladie a fai
ient plus pour la période parétique du tabès. La faradisation de la
région
claviculaire au contraire n'irrite pas du tout
Je dois dire en outre que je ne me contente jamais de faradiser la-
région
claviculaire ; suivant les indications, j'admin
urs très bien trouvé. Il me reste à parler de la faradisation de la
région
claviculaire dans la névrite des membres supéri
nastomoses, mon attente ne fut pas trompée. La faradisa- tion de la
région
claviculaire calme les douleurs de la névrite bra
te dans cette maladie si fréquente chez nous. La faradisation de la
région
inférieure du cou n'a pas d'influence sur LA FA
force des contractions du coeur sont augmentées, quelle que soit la
région
du cou où porte l'excitation en haut ou en bas.
faradisation du pneumogastrique est faite après la faradisation de la
région
claviculaire, le pouls radial présente une ondu
articulation sterno-claviculaire et ne glisse ni en haut ni vers la
région
claviculaire ; il doit être renversé et ne touc
gréables, il faut se garder d'exciter pendant la faradisation de la
région
supérieure du cou, les nerfs accessoires de Wil
res de Willis et le facial tandis que pendant la faradisation de la
région
claviculaire c'est la contraction brusque du trap
plus haut que je ne fais ordinairement dans la fa- radisation de la
région
claviculaire si le bras est soulevé par une contr
s éviter chez les personnes irritables. Je pose, en faradisant la
région
claviculaire, le second rhéophore au-des- sous
s'agit d'une affection de la moelle épinière, je faradise les deux
régions
claviculaires l'une après l'autre. Il faut en gén
servant le pouls de la radiale s'il s'agit de la faradisation de la
région
claviculaire, le pouls de la carotide s'il s'ag
laire, le pouls de la carotide s'il s'agit de la faradisation de la
région
supérieure du cou. Le pouls de ces artères devi
Aurélian. La Gazette de Cologne envoya un de ses rédacteurs dans la
région
pour s'enquérir de ces événements. Le rédacteur
u profonde mais assez étendue en longueur à la partie interne de la
région
antérieure de l'avant-bras gauche, en pleine ré
e interne de la région antérieure de l'avant-bras gauche, en pleine
région
des vaisseaux et nerf cubitaux. En outre, on co
re lésé. Mais la plaie causée par l'éclat de verre siégeait dans la
région
des vaisseaux et nerfs cubitaux, notablement en
n un point quelconque. Or deux traumatismes avaient porté sur cette
région
et avaient pu at- teindre le médian. L'un était
ire et les suites de l'intervention. Le malade étant anesthésié, la
région
lavée et aseptisée par précautions convenables,
s méninges spi- nales, et envahissement limité de la moelle dans la
région
dorsale infé- rieure, un 3e enfin dû àMoxon (1)
e complète des artères spinales. Envahissement de la moelle dans la
région
dorsale supérieure. IL, 50 ans, marchand des qu
la substance grise et une légère diminution de consistance dans la
région
dorsale. La colonne vertébrale et la dure-mère so
ns le liquide de Mûller ; des fragments prélevés dans les différentes
régions
ont été inclus dans la celloïdine. Les coupes o
faible éten- due, dans la hauteur de 2 à 3 racines, au niveau de la
région
dorsale supé- rieure. Nous décrirons ces lésion
e. Nous décrirons ces lésions de bas en haut avec quelques détails.
Région
lombaire inférieure. Les méninges et les vaisseau
a tunique moyenne. La moelle elle-même n'est pas touchée dans cette
région
. En de certains points, il existe seulement sou
gert montre qu'il n'y a pas de dégénération. Renflement lombaire et
région
dorsale inférieure. Même répartition des lé- si
es devient de plus en plus compacte à mesure que l'on s'élève vers la
région
dorsale inférieure : les parois sont 5 ou 6 foi
réduite d'autant. Sur les coupes transversales qui intéressent les
régions
lombaire supérieure et dorsale inférieure (jusqu'
ur les préparations traitées par la méthode de Weigert ou de Pal.
Région
dorsale moyenne. Les coupes ont été pratiquées au
Se, 6e racines). Le processus est sensiblement le même que dans la
région
précédente. Là encore les lésions sont limitées à
complète. Bien que la moelle soit relativement saine dans toute la
région
dorsale moyenne, on y voit apparaître quelques
amorphe, mais composée de très fines granulations réfringentes. -
Région
dorsale supérieure. Ici non seulement les lésions
éningées et vas- culaires se poursuivent dans toute l'étendue de la
région
, mais les éléments de moelle elle-même sont le
granuleux, ni de cylindre-axes hy- Fia. 4. Coupe transversale de la
région
dorsale supérieure. Une partie de la cir- confé
n- che que les petits vaisseaux soûl altérés partout, même dans les
régions
où le tissu lui-même est sain ; leurs parois ou
'existe de sclérose névroglique. Par place seu- VI. 7 F1G 5. Même
région
que la précédente. - Ici l'infiltration est limit
mitée au septum smp. Le tissu médullaire est respecté sauf dans une
région
peu étendue sous la pie- mère il droite de la f
s antérieures et dans la commissure grise. Les tubes nerveux dans les
régions
où cette matière colloide s'est infiltrée, para
apillaire et péri veineuse. Mais nulle part ailleurs que dans cette
région
ces néoformations péri-capillaires ne prennent da
ne, ainsi que nous l'avons déjà observé plus bas. Dans aucune autre
région
de la moelle, les veines périphériques oblitéré
grand nom- bre de racines aux différentes hauteurs de la moelle.
Région
cervicale. L'importance des lésions diminue dans
A PLANCHE XIII, XIV, XV. Fra. 1. Coupe DE la moelle au niveau DE la
RÉGION
DORSALE SUPÉRIEURE. (Coloration au picro-carmin
it la coupe de volumineux cylindres-axes (voir fig. 6). FiG. 2. -
Région
lombaire. (Coloration au picro-carmin et à l'héma
groupent autour des capillaires (B). FiG. 3. Renflement cervical,
RÉGION
du sillon médian antérieur. (Double coloration,
DE la VEINE ET DE l'artère spinales antérieures, au NI- veau DE la
région
lombaire SUPÉRIEURE. (Double coloration, grossiss
le embryonnaire formé autour D'UN capillaire dans la PIE-MÈRE DE la
RÉGION
dorsale SUPÉRIEURE (hématoxyline, grossissement 9
IÈRE. bien que dans les méninges, à mesure que l'on s'éloigne de la
région
dorsale. Jusque dans la partie moyenne du renfl
dégénération, semblables à ceux que nous venons de décrire dans la
région
dorsale supérieure. Mais la lésion a beaucoup m
rçoit l'artère spinale antérieure aussi intacte que dans les autres
régions
de la moelle (fig. 3, B, de la planche XIII, XIV,
e (loc. cit., C). Sur un certain nombre de préparations, dans cette
région
, on peut constater un léger degré de périartérite
que les lésions dont il vient d'être question s'atténuent vers les
régions
supérieures de la moelle allongée, pour disparaît
roubles moteurs hystériques et des troubles de la sensibilité de la
région
oculo-palpébrale, depuis la conjonc- tive jusqu
entit, comme à l'état normal, sur le petit doigt. Dans ces diverses
régions
, pas de lésions cutanées ni de troubles de pigmen
situées au devant de chacun des coudes, à contours diffus. Dans la
région
épitrochléenne gauche, surface large com- me la
Les ganglions inguinaux sont hypertrophiés. Sur-le bas-ventre et la
région
lombaire, desquamation furfuracée avec démangea
ons mentionnés plus haut. Au milieu de la plante et au niveau de la
région
métatarsienne, large ulcère anesthésique, arron
on est rouge, anfractueux et paraît constitué par les muscles de la
région
plantaire. Le stylet n'atteint pas d'os dénudé. L
ette analgésie est superficielle ; si on enfonce l'épingle dans les
régions
sous- cutanées, la douleur est réveillée par la
éro-interne de la jambe, l'autre en arrière, un peu au-dessus de la
région
rotulienne. La sensibilité des muqueuses est no
10 heures du matin, nous faisons, le long du bord radial, dans une
région
analgésique, une incision de six centimètres, Le
ace étaient épar- gnés, mais la dissociation sensitive occupait les
régions
sus-orbitaire et frontale. Sans doute ces tro
localisation, dans la netteté de ses limites qui tranchent sur les
régions
voisines. Cependant, en dehors des noevi qui para
u corps qui est tout il fait frap- pante sur le sujet. En avant, la
région
velue se prolonge des aines vers l'ombilic en d
s deux côtés du ventre au-dessus de l'aine « pour venir se fixer à la
région
épigastrique » suivant la description de Charco
tion de la taille et élargissement des hanches. Quand on palpe la
région
on se rend facilement compte que le bord su- pé
ressée que sur une étendue relativement restreinte, au niveau de la
région
dor- sale supérieure. 2° Ces altérations cons
e s'accompagne d'endophlébite oblitérante. Enfin à la hauteur de la
région
dorso-lombaire, dans l'épais- seur même de la p
le elle-même, intéressée ainsi que nous l'avons vu, au niveau de la
région
dorsale supérieure, les lésions sont de deux ordr
èrement dé- truites (nous avons vu au contraire que dans les autres
régions
de la moelle ces éléments avaient conservé leur
r parcours, et que d'autre part le nombre des tubes malades dans la
région
supérieure de la moelle est beaucoup plus consi
moelle présentait dans ce cas à l'oeil nu un ramollissement dans la
région
(1) IIonou.E, Progrès médical, 1816. 1G0 NOUV
uteur ; la moelle n'étant intéressée que secondairement et dans une
région
limitée du renflement cervical. En 1891 Siemerl
microscope révéla l'existence d'un foyer de méningo-myélite dans la
région
dorsale inférieure. Un foyer gommeux microscopi
s notre ob- servation I, et qu'elles se retrouvaient jusque dans la
région
cervicale, avec le même contraste entre les lés
, et succombe le 12 mai 1891 à la suite d'un nouvel érysipèle de la
région
sacro-coccygienne. Autopsie. - Du côté des cent
vait constater à l'oeil nu, une déformation de l'organe occupant la
région
dorsale supérieure, depuis la 2e jusqu'à la 5e
n dorsale supérieure, depuis la 2e jusqu'à la 5e racine. Dans cette
région
, la moelle présente une forme obli- que ovalair
due à toute la surface de la coupe, mais surtout prononcée dans la'
région
postérieure. La moelle reprend peu à peu sa con
prend peu à peu sa configuration et sa consistance normales dans la
région
dorsale inférieure. A partir de ce point, ou cons
jusqu'à la partie inférieure du renflement lombaire. Cette dernière
région
paraît absolument saine, à part la double dégén
copique a porté sur ce foyer malade, à diverses hauteurs et sur les
régions
cervicale, dorsale inférieure et lombaire. Le bul
aru. b) Petit foyer de sclérose occupant le cordon latéral gauche. c)
Région
des cordons antérieurs restée saine (colorée en
ations vacuo- vi. 42 Fig. 17. Coupe d'une veinule de la pie-mère (
région
dorsale supérieure). On voit qe- la tunique adv
ndent à la partie périphérique d'une part (sous-ménin- gée) et à la
région
du septum médian postérieur d'autre part. Les par
insérer directement sur la paroi du vaisseau. Nulle part dans cette
région
il n'existe de DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQ
les parois vasculaires se touchent en plu- sieurs points. Dans ces
régions
il existe alors de véritables nappes de sclérose
les parties où la sclérose est moins avaucée, c'est-à-dire vers la
région
profonde des cordons postérieurs, au voisinage de
n peut voir la lésion au premier degré, pour ainsi dire, dans celte
région
, La névroglie se condense autour des petits vai
bordure colorée en rouge sur les préparations au carmin. Dans les
régions
antéro-latérales de la subs- tance blanche, les
usqu'au niveau de la 4e racine dorsale. Au- dessous, dans la même
région
, c'est-à- dire dans le cordon latéral gauche, l
'intérieur d'un certain nombre de gaines vasculaires dans la même
région
. Racines rachidiennes. Elles pré- sentent des
ents. Fig. 19. - Coupe transversale d'une racine antérieure de la
région
dorsale. On voit, autour des vaisseaux, et prin
r précédent. Les lésions vont en diminuant graduellement jusqu'à la
région
dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la
t jusqu'à la région dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la
région
postérieure de la moelle s'atténue, au point qu
qui est épaissie et infiltrée en ce point. Elle pré- sente en cette
région
un gros vaisseau qui chemine dans son épaisseur,
antes. Coupes pratiquées au-dessus du foyer de la lésion. Dans la
région
cervicale, la lésion importante est la sclérose s
hémorrhagies semblables à celles que nous avons rencontrées dans la
région
dorsale (surtout dans la corne antérieure gauch
ne étendue en hau- teur bien plus grande que la moelle ; et dans la
région
cervicale, où celle- ci est relativement saine,
gré de cet affaiblisse- ment peuvent être observés aisément dans la
région
orbitaire et dans la région frontale, par cette
peuvent être observés aisément dans la région orbitaire et dans la
région
frontale, par cette raison que, d'une part, le pl
iolentes céphalées spécifiques, puis douleurs très intenses dans la
région
cervicale du rachis. Plusieurs ictus apopleclifor
urent d'abord des céphalées d'une grande violence, localisées dans la
région
oc- cipitale principalement. Puis elle a eu des
ale principalement. Puis elle a eu des douleurs très intenses dans la
région
delà nuque. Ou voit encore aujourd'hui la trace
ace des nombreuses pointes de feu qui ont été appliquées dans cette
région
. A plusieurs reprises, depuis la même époque, e
té gauche. La malade se plaint surtout de douleurs spontanées dans la
région
de la nuque, avec irradiations dans l'épaule dr
rachis est douloureux dans toute la hauteur, non seulement dans la
région
cervicale, mais jusque dans la région dorsale inf
auteur, non seulement dans la région cervicale, mais jusque dans la
région
dorsale inférieure. , Raideur marquée de la nuq
copique du cerveau il n'existe d'altérations qu'à la base. En cette
région
, la pie-mère offre un épaississement fibreux mani
ns le mésocéphale. Examen macroscopique de la moelle. Dans toute la
région
cervicale, la moelle est entourée d'une épaisse
. Il n'y a pas d'adhérences avec le périoste des vertèbres. Dans la
région
cervicale supérieure, le diamètre de l'organe est
u est diminué de consistance. La même lésion se poursuit jusqu'à la
région
dorsale supérieure. Dans la ré- gion dorsale mo
es pa- raissent seulement un peu épaissies. Rien d'anormal dans les
régions
dorsale, inférieure et lombaire. de la MÉN 1
matoxyline y colore vi 15 Fig. 26. Méningite spinale limitée à la
région
postérieure de la moelle : symphyse méningo-méd
celle qui existe autour des capillaires des méninges. Dans cette
région
dégénérée, la coupe est, pour ainsi dire, couvert
abondance que le tissu semble devoir sa grande fragilité dans cette
région
. Les fibres^ nerveuses sont gravement-lésées, p
ement. Mais on ne voit pas, sous le microscope, un seul point de la
région
qui en soit totalement dépourvu. Dans le rest
aux ne présentent pas d'hypertrophie de leurs parois, comme dans la
région
dégénérée. Les méninges sont un peu épaissies s
d'une façon comparable à l'hypertrophie qu'elles présentent dans la
région
postérieure. Au niveau du cordon antéro-latéral d
issi ; elles pré- sentent de nombreux petits vaisseaux oblitérés.
Région
dorsale supérieure. Comme lésion importante dan
és. Région dorsale supérieure. Comme lésion importante dans cette
région
, il n'existe qu'une double dégéné-- ration pyra
ébelleux direct. Du côlé des méninges, léger épaississement dans la
région
postérieure, mais sans envahissement de la moel
elles con- trastent avec les racines antérieures qui sont saines.
Région
dorsale moyenne (6e, 7" racines). La méningite
ble dégénération pyramidale signalée plus haut, n'atteint pas cette
région
. Dans le renflement lombaire, il n'existe aucun
cations importantes. Cepen- dant, dans la moitié gauche do toute la
région
, les cellules nerveuses qui com- posent ces noy
ormée d'un amas de petites cellules rondes à gros noyau. Toute la
région
périphérique du nerf est dégénérée ; un grand nom
AL). DE LA 11GNINGO-llLYi : LITE SYPHILITIQUE 213 moelle, dans la
région
cervicale, est entourée d'une épaisse virole comp
dans l'étendue de sa demi-circonférence postérieure. A partir de la
région
cervicale, la lésion va en diminuant vers le haut
eau, au niveau de l'espace inter-pé- donculaire. Les nerfs de cette
région
, le chiasma, sont intimement adhé- rents à la p
base du cerveau, et spécia- lement l'espace inter-pédonculaire, la
région
du chiasma, comme un lieu de prédilection des m
uées ; les lésions prédominent d'une façon il peu près constante à la
région
cervicale, el, dans cette forme plus que dans t
uleurs céphaliques très atténuées commencent à s'ir- radier vers la
région
cervicale du rachis, et au bout de quelques jours
rv.V), la rachialgie, après avoir occupé d'une façon transitoire la
région
intersca- pulaire, se cantonna définitivement d
ire la région intersca- pulaire, se cantonna définitivement dans la
région
lombaire sur une lar- geur à peu près égale à c
diant vers les deux flancs, surtout du côté droit. Localisée à la
région
cervicale, la rachialgie s'accompagne de raideur
jusque dans l'extrémité des doigts (observ. VII). Si elle occupe la
région
dorso-lombaire du rachis, elle peut se propager a
ccupe la région dorso-lombaire du rachis, elle peut se propager aux
régions
correspondantes du tronc sous forme de douleurs e
a nuque, le long de la colonne vertébrale, particulièrement dans la
région
lombaire. Ces douleurs irradiaient dans les deux
nt où le membre inférieur droit se paralyse, l'inférieur gauche, la
région
abdominale du côté gauche deviennent insensible
riode de 4 à 5 semaines. La douleur siégeait principalement dans la
région
occipitale, et de là, s'irradiait en arrière ju
et de là, s'irradiait en arrière jusque dans les épaules et dans la
région
inlerscapalaire. Pondant le mois de janvier 189
lasmes, de prendre de l'antipy- rine. Leur siège principal étail la
région
dorso-lombaire médiane, sur une sur- face à peu
t nuit et jour, mais plus forts la nuit, occupant principalement la
région
occipitale. A la même épo- que il eut de la dip
'avaient jamais été, elles se localisaient principalement dans deux
régions
; au niveau des reins et entre les deux épau- l
1, nouvelles douleurs, cette fois-ci partant très net- tement de la
région
cervicale. Les mouvements de flexion et de torsio
etentissements douloureux qui se produisaient à chaque pas clans la
région
sternale. Jamais la malade n'a éprouvé la moindre
bres supérieurs avec atrophie légère du côté gauche. Examen de la
région
du cou. Pas de déformation ni de déviation ; mais
mités. Il est impossible il la malade de rapprocher le menton de la
région
sternalc. Si l'on veut lui faire exécuter ce mo
que. De plus on provoque des douleurs vives qui s'irradient dans la
région
sternalc, dans les deux régions claviculaires e
uleurs vives qui s'irradient dans la région sternalc, dans les deux
régions
claviculaires et la racine des membres supérieurs
ieurs. La pression, la percussion sur les apophyses épineuses de la
région
cervicale est douloureuse. Il en est de même su
de vives douleurs. Elles s'irradient aussi vers les bras et vers la
région
sternale. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 22
a lui retentit dans le cou et dans la poitrine » et elle indique la
région
sternalc. Pas de signe de Romberg. Face. L'oe
s une période d'accalmie, apparaissent des douleurs sourdes dans la
région
lombaire et dans les membres inférieurs, précé-
oureuse d'ailleurs. L'hyperesthésie cutanée existe toujours dans la
région
indiquée plus haut. Sur le bas-ventre, elle est
et en particulier d'un point doulou- reux permanent au niveau de la
région
épigastrique. La maladie a évolué depuis le déb
enseignement. Ayant à traiter parfois des sujets où il abordait les
régions
les plus élevées de la médecine et de la philos
élève. - En janvier 1893, il ressentit un point douloureux dans la
région
intersca- pulaire. Deux jours plus tard, la dou
rs plus tard, la douleur augmentait d'intensité et gagnait toute la
région
cervicale du rachis. Les mouvements de la tête ét
s douleurs de tête firent place à des douleurs rachidiennes dans la
région
dorsale et lombaire inférieure. Ces douleurs ét
e inférieure. Ces douleurs étaient aussi violentes que celles de la
région
cervicale l'avaient été : le malade ne pouvait
ectoral princi- palement). Le malade a beaucoup souffert dans celte
région
au début de sa ma- ladie, en même temps qu'il r
e, à fond violacé, ardoisé, recouvert de croûtes. En outre, dans la
région
inguinale gauche et à la partie postérieure du
éprouvé à cette époque qu'un sentiment do pesanteur, de gêne dans la
région
(1) Semaine médicale, 1891, p. 413. DE LA lIi
l existe aussi une légère hyperesthésie à la piqûre au niveau de la
région
in- guinale gauche. Du côté des sphincters, o
iacale. Prescription : un grand bain, 10 ventouses scarifiées il la
région
lombaire. 3. A la suite d'un interrogatoire pre
E. rieurs et les racines de la moelle, ctspécialement au niveau des
régions
qui tiennent sous leur dépendance les symptômes
e altération du canal rachidien, se rencontre plus fréquemment à la
région
cervicale (sans que l'on soit en me- sure de do
de l'encéphale et plus spécialement de méningite de la base, de la
région
interpédonculaire et du chiasma. IV. Les lésion
tête et prédominant ;i la partie postérieure, un peu au-dessus de la
région
occipitale. Douleurs vagues le long de la col
montrant particulière- ment marquée entre les deux épaules et à la
région
sacrée. Dans les membres, aux jointures et dans
tie dépasse la moitié nasale de la rétine, mais occupe seulement la
région
centrale de celle-ci. b) Le faisceau croisé de
épasse la moitié temporale de la rétine où elle occupe seulement la
région
centrale. c) Le passage réciproque du faisceau
avant et il est impossible de lui faire changer de position ; dans la
région
de la glabelle la peau forme des rides profonde
ser les doigts causent à la malade une dou- leur très vive. Dans la
région
du cou et de la poitrine, la colonne verlé- bra
des jambes et des pieds sont plus pâles et plus froids que dans les
régions
supérieures du corps. Les gencives sont ramol-
érature de la peau sur la face interne de l'articulation et dans la
région
inférieure de l'épaule est relativement plus él
; l'articulation est fusiforme ; en haut, le gonflement envahit la
région
inférieure de l'épaule, les tenta- tives faites
soir 37, 7°. 9. - OEdème du côté externe de l'articulation et de la
région
inférieure 326 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
intestin commence à fonctionner librement du 3° au 4° jour; dans la
région
fémorale les lâches bleu-pourpre ont dis- paru.
- pétit sont bons. 31. - Apparition de périostite limitée dans la
région
moyenne de la jambe gauche. 2 août. Le volume
uide purulent, et segment supérieur rempli de sé- rosités; clans la
région
de l'apophyse styloïde, c) pustule avec eschare,
ntation à l'entour. 18-29. Desquamation de l'épiderme dans toute la
région
qu'occu- pait le phlegmon. Dans le courant du m
ion, avec phénomènes morbides spéciaux pour chacune d'elles dans la
région
psychomotrice ; en outre le complexus symptomat
ante des deux pieds, taches violacées des tissus de la peau dans la
région
située au- dessus du genou, abaissement de la t
intenant à l'examen des troubles observés chez notre malade dans la
région
de l'articulation cubi- tale gauche. En analysa
ouleur sourde le long de la colonne vertébrale avec maximum dans la
région
lombo-sacrée. Douleurs vagues dans les membres,
che de la face, et sur les membres du côté droit (correspondant aux
régions
où s'accu- sent les plus vives douleurs). Les
4 mois. Puis, surviennent des douleurs qualifiées de sciatique, la
région
lombaire est faible et douloureuse (surtout pen
eux ; douleur à la pression au niveau des apophyses épineuses de la
région
dorso-lombaire, surtout XIIe dorsale et Ire lomba
récoce, très important chez l'enfant, et qui est la flexibilité des
régions
saines du rachis. A plus forte rai- son le diag
ai- son le diagnostic est-il malaisé lorsque la lésion siège en une
région
pres- que immobile à l'état normal, comme l'est
ge en une région pres- que immobile à l'état normal, comme l'est la
région
dorsale moyenne. En somme, dans les cas où les
par congestion double aux aines, provenant vraisemblablement de la
région
lombaire (ce cas marque la transition entre not
bilatérale : dé- formation et douleur à la pression au niveau de la
région
sacrée. Atrophie mus- culaire très marquée aux
un tissu lardacé, contenant des tubercules, et remontant jusqu'à la
région
lombaire infé- rieure, englobant les racines lo
brusque mouvement d'extension de la tête de vives douleurs dans la
région
occipitale et la nuque : puis survint une parap
douleurs sur le trajet des nerfs dont les racines naissent dans la
région
comprimée, en particulier sur le trajet des ner
u début, nous l'avons vu dans toutes les formes, et pour toutes les
régions
du rachis, le malade vient, le plus, souvent, se
tude des mouvements provoqués. Difficile à mettre en évidence, à la
région
dorsale, dont les mouvements sont presque nuls
nt et remplacés par une rotation du tronc tout entier, autour de la
région
lombaire, « d'où, suivant l'expression classiqu
ns toutes les tuberculoses osseuses, quel que soit leur siège. A la
région
dorsale, on ne peut explorer que les apophyses ép
ent. La cyphose est toujours continue et toujours prédominante à la
région
dor- sale moyenne. On constate encore une doule
thorax, pas d'éversion notamment du rebord des fausses côtes, et la
région
épigastrique est barrée de ou 3 plis profonds com
lus pénibles et plus fatigants qu'autrefois. Peut-être en certaines
régions
y a-t-il quelque lésion ligamentaire ou articul
e de P Marie et Astié). Remarquer l'énorme gibbosité, limitée ,¡ la
région
dorsale. LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 37 jouaie
, est à peu près régulière, seulement plus acccusée au niveau de la
région
cervico-dorsale comme si la partie supérieure du
s qui précède, et souvent de longtemps, l'ankylose, d'abord dans la
région
coccygo-sacro-lombaire, plus tard dans la régio
e, d'abord dans la région coccygo-sacro-lombaire, plus tard dans la
région
cervico-dorsale. Le processus pathologique est
orsale. Le processus pathologique est donc en évolution dans chaque
région
bien avant que l'ankylose n'appa- raisse. Ata
la lordose lombaire ; le rayon de la courbe est plus petit dans la
région
cervicale, et la lordose cervicale normale n'exis
regardant ses genoux. Latéralement il y a une légère scoliose de la
région
dorsale moyenne avec convexité à droite. La rég
cyphose la courbure brusque, angulaire, mais tout à fait limitée a la
région
dorsale moyenne où l'on voit l'ossification du li
res, sans exostoses, le bourrelet osseux coxo- fémoral. Fin. 2.
Région
lombo-iliaque droite (vue pos- térieme). - Item
antérieur paraît presque sain ;.il existe ce- pendant dans toute la
région
dorso-lombaire de très minces ponts osseux, iné-
térieur et non pas plutôt de la partie antérieure des disques. A la
région
cervicale il existe aussi quelques minces ponts o
LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 45 (partie antérieure des disques à la
région
lombaire, ligament surépineux à la région dorsa
térieure des disques à la région lombaire, ligament surépineux à la
région
dorsale, etc.) comme pour limiter les déformation
nsparente à un tel degré. Sur la coupe oblique de la tête fémorale,
région
où normalement il n'existe que peu de tissu com
um était presque en dentelle. Certaines apophyses transverses de la
région
lombaire se laissaient comprimer entre les doig
, et pli XI)'. On remarque une'cyphose très marquée au niveau de la
région
dorsale moyenne,avec maximum au niveau des 7e et
pineux. Toutes ces ossifications, localisées dans une seule et même
région
paraissaient bien être la conséquence de ruptur
Teissier). Remarquer la rectitude de cette colonne vertébrale. La
région
cervicale manque sur la figure, mais ne formait a
vec la fig. 3, B de la planche). Fig. b. Rhumatisme chronique de la
région
cervicale (Pièce et cliché du prolesseur Teissi
156 kilos. Aspect féminin : volumineuses masses lipomateuscs de la
région
poplibée. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHI
artie antérieure et latérale de l'abdomen : lombes,fesses,mamelles,
régions
cervicale et sous-mentonnière, joues, régions axi
mbes,fesses,mamelles, régions cervicale et sous-mentonnière, joues,
régions
axillaires, inguinales poplitées et à la face d
e menton se continue avec une boursouflure graisseuse qui couvre la
région
antéro-latérale du cou, et qui, prenant la forme
es fossettes; et il y a de volumineuses masses lipomateuses dans la
région
poplitée interne. Bref, l'adipose sous-cutané
méthode de Weigert ou de Pal, huit cas de ramollissement étendu des
régions
postérieures de l'hémisphère cérébral ; le plus s
che optique. Les plus antérieurs de ces fascicules abordent dans la
région
sous- thalamique le segment postérieur de la ca
des fibres allant dans les deux sens. , A la suite de lésions de la
région
calcarine et du lobe occipital on observe une d
res seraient moins nombreuses que celles qui proviennent des autres
régions
. Dans d'autres de ces travaux, Probst (3) (d, e
st'd'autres que l'écorce cérébrale enverrait aux noyaux moteurs des
régions
inférieures du névraxe. Ainsi serait constitué un
ution du crochet et des trois circonvolutions temporales. Dans la
région
des noyaux centraux, un bon nombre de fibres se d
le. La malade présente une cypho-scoliose extrêmement marquée de la
région
dorsale supérieure. Cette scoliose est à convex
dessous se dessine une scoliose à con- vexité gauche intéressant la
région
dorsale inférieure et la région lombaire. Le ra
à con- vexité gauche intéressant la région dorsale inférieure et la
région
lombaire. Le rachis est extrêmement cambré à ce
e environ. En même temps, par suite de cette concavité droite de la
région
dorso-lombaire, les côtes forment une gibbosité
néeàgauche dans la régioncervicaleetdorsalesupérieure, puis dans la
région
dorsale inférieure et lombaire une deuxième courb
es habituelles ; en même temps elle ressentait des douleurs dans la
région
lombaire et surtout dans les membres inférieurs
centaine sur ces derniers. Il n'en existait pas sur les différentes
régions
du tronc. Excepté la tumeur ulcérée de l'oreill
éalable ; j'ai déja signalé un paralytique général qui s'épilait la
région
génitale sans avouer aucune sensation (2). Cett
is sujets dans le même mois, l'épilation s'est montrée dans la même
région
, et au- cun n'a laissé soupçonner une sensation
de plus en fait d'explications ; mais depuis il se gratte dans des
régions
multiples du corps exemptes de lésions et il s'
les branches du plexus brachial. C'est ainsi que les muscles de la
région
antérieure des bras (sphères du médian et du cubi
lexus avant qu'elles se joignent pour le former. Par conséquent, la
région
radiculaire, si on peut la dénommer ainsi, s'ét
tate leur ininterruption. Au sur et à mesure que l'on considère les
régions
postérieures, de multiples prolongements s'éten
cales. Le faisceau optique central (couche sagittale externe de cette
région
) est en grande partie normal, excepté au niveau
lte d'une lésion restreinte du cuneus, située un peu en avant de la
région
que représente cette coupe, et comprend des fibre
fusiforme et la circonvolution de l'hippo- campe. Nous abordons la
région
du segment rétrolenticulaire de la capsule in-
érée contient un bon nombre de radiations thalamiques provenant des
régions
occipitale et pariéto-lemporale postérieure, enfi
fibres situées au niveau de la scissure calcarine, parce que cette
région
est elle-même envahie par le ramollissement.
lieu à aucune dégénérescence appré- ciable de la couche externe des
régions
antérieures. C'est donc qu'il existe autre chos
la substance profonde des circonvolutions latérales. L'examen des
régions
antérieures ne révèle rien de particulier. La dég
tical de la deuxième circonvolution temporale, qui commence dans la
région
du carrefour ventriculaire, qui n'augmente guère
xième circonvolution temporale. Malgré les lésions destructives des
régions
postérieures, on voit que le segment horizon- t
gment horizon- tal et la partie inférieure du segment vertical (les
régions
destinées aux fibres corticipètes de la couronn
RIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 195 fibres d'association de la
région
. Elles ont également retenti sur'la couche sa-
ouche sagittale interne. Il est certain que, dès que l'on aborde la
région
des ganglions de la base et des divers segments
e « radiations thalamiques » toutes les fibres provenant des autres
régions
. Les radiations optiques vraies se rendent au p
ne de la couche optique. Mais toutes ces radiations thalamiques des
régions
postérieures de l'hémisphère n'ont pas la même
ite bien enteudu, des nombreuses fibres cal- leuses qui relient des
régions
asymétriques des deux hémisphères et qui, par l
la commissure antérieure et les courtes fibres d'association de la
région
, puis elles se coudent et se dirigent horizonta
es sont extrêmement dissociées par les radiations thala- miques des
régions
occipitale, pariétale et temporale qui, à ce nive
effet dissocié par toutes les fibres qui se rencontrent dans cette
région
. Cette irrégularité est con- forme à la règle g
cale. e) Le tiers inférieur renferme les radiations thalamiques des
régions
posté- rieures de l'hémisphère en général,mais
e l'on se rapproche des ganglions de la base. Peu appréciable dans la
région
temporale postérieure, puisque les fibres affec
partie moyenne du lobe temporal,cela est indubitable; mais dans la
région
du carrefour ventriculaire, on arrive à établir (
ainsi que sur leurs relations avec les fibres d'as- sociation de la
région
. En parlant de ce faisceau optique au niveau du l
l'hippocampe, les deux parties du cingulum,occupant exactement les
régions
sous-corticales qui se sont fusionnées, s'enche
nous accorder à ces fibres, puisque la substance profonde de cette
région
leur refuse le vaste champ qu'elles avaient dan
la partie supérieure de la couche verticale peu différenciée de la
région
. De pair avec le déplacement du faisceau optique,
res à for- mer la couche sagittale externe fort compliquée de cette
région
. Il est donc évi- dent que sur des coupes norma
t décelables qu'en raison de la configuration particulière de cette
région
. 6) Le faisceau perpendiculaire ou vertical de
asse dans le pied du pédoncule cérébral ; toutes les fibres que les
régions
postéro-inférieures de l'hémisphère envoient au
ennes. Cette étude préalable servira à établir la topographie de la
région
en cause et à préciser les concordances qui exist
es avancé classique ; la dégénération des racines postérieures à la
région
lombo- sacrée est très considérable, c'est à pe
es lésions inflammatoires des vaisseaux ; en un mot l'état de cette
région
est très compa- rable à celui qui a été décrit
hie et les mêmes caractères dans les trois nerfs radiculaires de la
région
lombo- sacrée qui ont été étudiés dans ce cas.
oison qui anesthésie et paralyse les massues ; en effet, dans cette
région
les massues, sur lesquelles on n'aperçoit d'aille
approximative et de la forme d'une orange, creusé aux dépens de la
région
pa- riéto-occipitale des centres de l'hémisphèr
moelle : foie gras. Coeur, quelques plaques athéromateuses dans la
région
sus-sigmoïdienne. Léger degré de sclérose rénal
s âgés, sont ici plus nombreux qu'à l'état normal, surtout dans les
régions
frontales et motrices. Une deuxième forme d'alt
ution anatomique des lésions. Aux lésions centra- les et lentes des
régions
tolérantes correspond le syndrome insidieux et
rs à l'existence d'une tumeur, de préférence un tubercule ' dans la
région
des corps quadrijumeaux. Autopsie. - Tuberculos
r un aplatissement apparent et par une proéminence très nette de la
région
du corps calleux. Le trigoue est repoussé à dro
ières, traversée de faisceaux qui prennent encore le Weigert. Cette
région
est riche en grosses cellules à 1 ou 2 noyaux, ch
encontre d'antres encore bien conservées. Jusque bien avant dans la
région
frontale on peut constater l'existence de la co
ns la moelle dorsale et lombaire ; il existait seule- ment dans une
région
très limitée de la moelle cervicale une sclérose
PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CUEZ LES VIEILLARDS 263 de pied) dans la
région
lombaire. Dans ces différents cas le' traumatisme
cet événement que, n'étant plus accepté dans aucun atelier de cette
région
, X... est venu il y a douze ans à Nancy où il a
cer- taine influence ; il a fait des conférences à Nancy et dans la
région
; nous n'a- vons pu savoir comment elles étaien
u d'atrophie musculaire de la cuisse (38 à droite, 40 à gauche à la
région
moyenne) et de la jambe : il résulte de celle-c
bras droit, une grande tache lisse et sans relief, s'étendant de la
région
du coude à l'épaule et descendant très légèrement
s : on en voit encore les contours aujourd'hui, malgré que toute la
région
ait changé d'aspect. A l'âge de 18 ans, 4 ou
meurs, sous-cutanées qui s'étaient développées en même temps que la
région
se déformait et qui siégeaient l'une sur la face
Des fumeurs : la plus importante est cette énorme déformation de la
région
scapulo-humérale droite qui consiste,au moment
e. Lorsque l'on fait tousser le malade, on voit se produire dans la
région
sus-claviculaire droite une énorme intumescence
t aucun ori- fice latéral. Donc pas de trachéocèle dans toute cette
région
cervicale ; le diagnostic de hernie du poumon s
s téguments de l'épaule et de la partie supérieure du bras vers les
régions
les plus déclives par laxité des plans sus-aponév
s qui deviennent à leur tour deux tics nou- veaux : il se frotte la
région
épigastrique avec le poignet de la main gauche en
nt ; les deux armes se rencontrent sur le champ opératoire, dans la
région
temporale, au-dessus de l'oreille droite. De qu
triompher le plus souvent que par le tamponnement prolongé. A la
région
thoracique, nous avons pratiqué chez 3 chats, la
anière à conserver les racines symétriques comme contrôle. 1 A la
région
lombo-sacrée, nous avons abordé la dure-mère par
pérations sacrées, nous sommes restés toujours, plus encore qu'à la
région
thoracique, très loin du ganglion spinal. Les s
des racines sectionnées. Aucun d'eux non plus n'a présenté dans la
région
cutanée correspondant aux racines sectionnées,
Examens des nerfs périphériques. Avant d'aborder pour chacune des
régions
du système nerveux, l'exposé de nos propres con
men des nerfs cutanés des 3 pre- miers chats : le chat 1 opéré à la
région
thoracique, section extradurale, ayant survécu
rale, ayant survécu 247 jours; le chat Ilot le chat III opérés à la
région
lombo-sacrée; section intradurale, ayant survéc
.étaient sains. Chez le chat III enfin, opéré comme le chat II à la
région
sacrée, de nom- breuses fibres dégénérées se vo
.-Ch. Roux sec- tionna un certain nombre de racines postérieures la
région
thoracique, du côté gauche. Les animaux furent
t adulte, la racine postérieure correspondante est restée normale).
Région
du ganglion à peu près analogue à celle représe
ervation, la racine postérieure correspondante est restée normale),
région
ganglionnaire ré- pondait à peu près à celle de
ulaire et la 2e cervicale, puis en 1887, Joseph (4), dans les mêmes
régions
, trouvèrent tous deux les gan- glions intacts a
nous avons sectionné les racines dans leur trajet intradural (à la
région
lombo-sacrée), très loin par suite des gan- gli
ent ici donner les preuves de leur existence, au moins en certaines
régions
radiculaires. Ce point éclairci, il nous nous s
eures du matin. Aucune ulcération, aucun trouble trophique dans les
régions
correspondant aux racines coupées. La brèche os-
à la queue, aux faces postérieures des cuisses et des jambes, à la
région
plantaire. Examens iustologiques. - Les ganglio
un certain nombre de filets nerveux cutanés symétri- ques, dans les
régions
de la queue, de la croupe et du périnée, de la fa
côté gauche ni du côté droit, en aucun des filets des dif- férentes
régions
(plante, cuisse, périnée, queue). En une préparat
(plante, cuisse, périnée, queue). En une préparation sur six de la
région
de la croupe, il a pu être déterminé cependant un
planche XLIX). Les nerfs cutanés ont été examinés seulement dans la
région
de la queue. 336 ROUX ET HEITZ L'un des filet
à 1891. A cette époque il éprouva de fortes douleurs dans toute la
région
du dos. Ces douleurs sur- venaient surtout la n
nne et la dure-mère sont normales. La pie-mère est épaissie dans la
région
opto-pédouculaire. Les hémisphères cérébraux et l
tout au niveau de sa partie dorso-lombaire. Examen microscopique.
Région
protubéranlielle supérieure. Mé- thode de Weige
grise du pont sont presque complètement conservées des deux côtés.
Région
protubérantielle inférieure (fig. 2). La moitié g
e et des noyaux du pont sont pres- que complètement conservées. '
Région
bulbaire supérieure. La zone de sclérose occupe l
èmes des fibres arquées. Toutes les lésions sont symé- triques. '
Région
bulbaire moyenne. - Dans la moitié gauche, la pyr
des colorations opportunes, toutes leurs cellules encore intactes.
Région
olivaire inférieure du bulbe au-dessous de l'oliv
ée aux faisceaux pyramidaux (fig. 9). En conclusion, à partir de la
région
bulbaire immédiatement sous-olivaire, jusqu'à l
complète. L'examen histologique du cervelet a mis en relief que les
régions
des noyaux dentés sont envahies par une gliose
très nombreux (fig. 13). Les vaisseaux du cervelet dans cette même
région
et un peu dans toute la substance blanche extra
va- riable. Cette constatation d'une sclérose assez prononcée des
régions
des noyaux dentés nous semble fort intéressante
EN résumé : Epaississement de la pie-mère cérébrale au niveau de la
région
opto-pédonculaire et de la pie-mère spinale. In
be et la moelle sont les parties les plus atteintes. A partir de la
région
bulbaire inférieure jusqu'à la 88 racine dor- s
A. Zeiss. Fig. 13. - Augmentation des noyaux de névroglie dans la
région
des noyaux dentés ' du cervelet. Coloration : h
Ob. DD. Z&ss. FiG. 15. Une espèce de formation lacunaire. Même
région
et même coloration. Grossissement : Ocul. 4 com
e sur un rein scléreux. Prescriptions : ventouses scarifiées sur la
région
lombaire, eupnine, régime lacté. L'améliorati
à se lever. Examiné debout, il présente en outre une cyphose de la
région
dorsale su- périeure qui le fait marcher légère
phalangette qui est renflée en baguette de tambour ; elle laisse la
région
carpo-métacarpienne à peu près normale au lieu de
etit calibre tirée à 1.000 mè- tres environ. Entrée au milieu de la
région
frontale. Trajet oblique en haut, en arrière et
tions complètes ou partielles de la moelle du lapin adulte entre la
région
dorsale et la région lombaire. Les animaux ont
rtielles de la moelle du lapin adulte entre la région dorsale et la
région
lombaire. Les animaux ont été sacrifiés de 1 à
cordons, mais elles sont plus abondan- tes dans les faisceaux de la
région
antérieure des cordons postérieurs. Il s'agit l
enses, mais leur nombre diminue à me- sure qu'on se rapproche de la
région
moyenne de la cicatrice. En dehors de ces fibre
l'intérieur ou dans les interstices de ces cellules. Il n'y a qu'à la
région
immédiatement avoisinante de la ligne de sectio
ées dans la cicatrice. Certaines de ces massues possèdent dans leur
région
centrale un réseau noir, bien indiqué, à maille
ines en continuation avec des fibres. Certaines massues offrent une
région
centrale colorée en orange et une région périphé-
taines massues offrent une région centrale colorée en orange et une
région
périphé- rique jaune.Puis, y a des fibres dégén
ule. L'extré- mité des deux bouts est vascularisée et sur certaines
régions
, elle est consti- tuée par un réseau vasculaire
dans son épaisseur. Les cellules nerveuses situées tout près de la
région
traumatisée présentent différents degrés de lés
ir : abo- lition des réflexes cutanés et tendineux au-dessous de la
région
lésée, de la paraplégie flasque et de l'anesthé
sont chargées de granulations noires. De dif- férents points de la
région
de la substance blanche partent des faisceaux et
phie et le trajet des fibres de nouvelle formation varient suivant la
région
considérée. Les vaisseaux situés tout près de
t près de la périphérie de la moelle et particulière- ment dans les
régions
où ils possèdent une paroi épaisse, sont entourés
es ni de faisceaux nerveux de nouvelle formation. Il y a d'autres
régions
vasculaires, probablement d'origine plus récente
veuses, épaisses, à rendements fusiformes sur leur trajet. Une autre,
région
est formée de détritus, où se trouvent aussi de
t, fibre finissant à son tour par un cône de croissance. Dans cette
région
de la cicatrice, comme dans la précédente, les
s avec des épaississements de distance en distance. Dans d'autres
régions
, .et même là où il y a des corps granuleux, on co
rencontrent dans leur progression. La densité du plexus varie d'une
région
à l'autre ; fait important : ce plexus existe là
e trajet des vaisseaux. A l'autre extrémité inférieure, on voit des
régions
où les vaisseaux de uuu- velle formation sont e
es peuvent être ou non garnies de cellules-satellites. Souvent.leur
région
centrale est uniforme, tandis qu'u la périphérie,
velle formation pour la paroi vasculaire. Sur toute l'étendue de la
région
comprimée, mais surtout à ses extrémités, il ex
la substance grise et blanche située immédiatement au-dessus de la
région
comprimée on voit par ci par là des zones de nécr
(fm, fin'). RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 439 La
région
des cordons postérieurs, au-dessus de la compress
ation. Dans la substance grise située immédiatement au-dessus de la
région
comprimée nous avons trouvé des signes de régén
une vif des autres fibres. Muscles des gouttières vertébrales de la
région
dorsale moyenne. - On constate également sur ce
ais avec une intensité crois- sante à mesure que l'on descend de la
région
cervicale vers la région sacrée, une atrophie t
ois- sante à mesure que l'on descend de la région cervicale vers la
région
sacrée, une atrophie très intense des cellules
des crises nerveuses paraissant avoir leur point de départ dans la
région
du bulbe ; en outre, deux autres enfants de la
malade présente sur le tronc, la face posté- rieure des cuisses, la
région
deltoïdienne, la région maxillaire inférieure d
ronc, la face posté- rieure des cuisses, la région deltoïdienne, la
région
maxillaire inférieure des placards qui tranchen
velu du sujet. Ce placard n'est pas symétrique, sauf un peu dans la
région
du dos. Il existe d'autres plaques présentant l
ganes. Examen histologique. L'examen a porté sur la tumeur, sur les
régions
motrices droite et gauche, sur le bulbe. Les mé
ain et à l'avant-bras droits, et il intéresse en outre, en diverses
régions
, le côté droit du corps (Pl. LXV). Si nous comp
u de 33 du côté gauche. La circonférence de ce bras au niveau de sa
région
la plus saillante est de 19 centimètres, au lie
e un très léger degré de flexion dorsale, et avec les muscles de la
région
postérieure de la jambe, un très léger degré de f
déformée, il existé une cypho- scoliose à concavité gauche dans la
région
dorsale moyenne, avec saillie de NÉVRITE INTERS
me pour les autres, sont d'autant plus prononcés, qu'on examine des
régions
plus éloignées de la racine des membres. . ,
les racines médullaires. Le sympathique n'a été examiné que dans la
région
cervicale. Il est plus du double d'un sympathiq
pare les nerfs du plexus brachial aux racines correspondantes de la
région
cervicale, on remarque que l'hypertrophie est bea
deltoïde, biceps, etc... aux' membres supé- rieurs ; muscles de la
région
antéro-externe de la'jambe, triceps fémoral...
légèrement épaissie. z Les coupes longitudinales des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe montrent encore plus
moins avancé sur les nerfs crâniens. Sur le pneumogastrique à la
région
cervicale, les lésions se présentent avec une i
moelle ; c'est pourquoi nous étudierons successivement les diverses
régions
. A l'extrémité inférieure de la moelle, au nive
; en somme les fibres y sont beaucoup plus nombreuses que dans les
régions
sous-jacentes. Les cornes pos- térieures et leu
E INTERSTITIELLE HYPERTROPIIIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 493 la
région
dorsale ; la zone radiculaire moyenne est toujour
t presque complètement défaut. Dans les segments inférieurs de la
région
cervicale ( VIlle, VIle et VIe cervi- cales), l
atérales réflexes sont absentes. Dans les segments supérieurs de la
région
cervicale (Ve, IVe, IIIe) la dégéné- rescence d
e et de son réseau, de la zone de Lissauer, est le même que dans la
région
cervicale infé- rieure. Un fragment de la moe
rvicale infé- rieure. Un fragment de la moelle a été prélevé à la
région
cervicale et à la région lombaire pour être exa
Un fragment de la moelle a été prélevé à la région cervicale et à la
région
lombaire pour être examiné par la méthode de Ni
nt pour redevenir normale sur la face antérieure de l'abdomen et la
région
fessière supérieure. A gauche la sensibi- lité
a voûte plantaire et se comporte ensuite comme à droite. ' Dans les
régions
totalement analgésiques et dans celles où la sens
un retard dans la transmission, atteignant 4 à 5 secondes pour les
régions
plantaire et dorsale des pieds et diminuant de
é est intacte dans tous ses modes sur les deux tiers supérieurs des
régions
antérieure et postérieure du tronc, ainsi que sur
, des racines antérieures et des racines postérieures (sauf dans la
région
dorsale,où elles présentent peut-être une diminut
des dégénérescences com- parables à celles du tabes au-dessus de la
région
lombaire inférieure. Nulle part il n'existait d
asée contre la paroi postérieure du rachis, si la lésion siège à la
région
dorsale, où le canal rachidien est moins large
des coupes longitudinales : elles prédominent, d'ordinaire, dans la
région
centrale des cordons latéraux et postérieurs. A l
urs ni à la face ; examen ophtalmoscopique négatif. Gibbosité de la
région
dorsale moyenne. Mort 9 mois après l'admissio
e oblitéré. Sclérose des racines. Au- dessus et au-dessous de cette
région
, on trouve seulement les dégénérations ascendan
ntro l'ombilic et l'appendice xyphoïde. Réflexes abdominaux nul. La
région
dor- sale moyenne présente une convexité réguli
es autres vaisseaux et des méninges. Pas de lésions dans les autres
régions
de la moelle. Les cellules nerveuses présentent
ns de la moelle. Les cellules nerveuses présentent, dans toutes les
régions
du névràxe, des lésions de chromatolyse avec pi
maines plus tard, par des crises d'écrasement, de déchirure dans la
région
lombaire. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT Chez
ouvrant dans l'espace épidural. A partir de ce point jusque dans la
région
sacro-lombaire, la face externe de la dure-mère
eur épaisseur maxima n'atteint pas 1/2 centimètre. Au-dessous de la
région
dor- sale moyenne, on trouve des adhérences nom
moelle et les méninges molles deux ordres de lésions. 1° Dans la
région
lombaire (de il ! ' à Ve L) de nombreuses gaines
évrogliques et oblitération du canal épendymaire. A partir de cette
région
, dégénérations ascendantes et descendantes légè
nuant à mesure qu'on remonte, et, comme elle, disparaissent dans la
région
dorsale moyenne. Les cellules nerveuses présent
membres supérieurs et à la tête. Rachis : mouvements gênés dans la
région
dorso-lombaire qui est douloureuse an palper,su
e 5 a 6 centimètres. Constipation complète : les jours suivants, la
région
lombaire droite devient douloureuse, en même te
n peu de pàleur et quelques granulations noires par le Marchi de la
région
centrale des cordons postérieurs ; cellules ner
t 4 mois,puis surviennent des douleurs qualifiées de sciatique ; la
région
lombaire est faible et doulou- reuse surtout pe
s (cordons de Goll, cérébelleux direct, py- ramidal). A distance (
région
lombaire), les cellules nerveuses présentent à pe
épaissis mais encore perméables. Dans la moelle, au-dessus de la
région
lombaire, pas d'autre altération qu'un peu de p
ue des symptômes radiculaires. 1 Dans l'obs. VII, existait, dans la
région
lombo-sacrée, une dilatation du canal central e
lle-ci est, surtout à gauche, aplatie d'avant en arrière, depuis la
région
cervicale moyenne, jusqu'au le, segment dorsal,
Histologiquement l'aplatissement de la moelle est évident; dans la
région
cervicale inférieure, les cornes, absolument ap
s sont saines : pas de lésions d'au- cune sorte ; cependant dans la
région
lombaire supérieure, les gaines lympha- tiques
entre la dure-mère et les méninges molles, princi- palement dans la
région
lombo-sacrée ; ici encore, les méninges molles
a) Des lésions probablement syphilitiques : épaississement dans la
région
lombo-sacrée des méninges postérieures, avec sc
bement des racines. Quelques fibres des cordons postérieurs dans la
région
sacrée prennent le Marchi un peu plus intensément
dorsal chez une syphilitique probable, lésions tabétiformes dans la
région
lombo-sacrée. Femme présentant depuis t'age de
globuleuses ; ébauche de chromatolyse avec pigmentation. Dans la
région
sacrée, lésions dégénératives des cordons postéri
Tuberculose vertébrale dorsale ancienne : tubercule épidural de la
région
cervicale. Tabès incipiens lombo-sacr, probable.
atés. Lésions dégénératives diffuses au Pal et au Marchi. Dans la
région
lombaire, légères lésions dégénératives au Pal et
ommissurale et la partie marginale des cordons postérieurs. Dans la
région
cervicale supérieure, on trouve, au niveau des co
auteur de plusieurs segments au niveau des cordons postérieurs à la
région
dorsale moyenne. ' Tels sont les faits : leur i
ous avons noté une zone d'anesthésie radiculaire, isolée entre deux
régions
où la sensibilité était normale ; cette zone d'an
otubérantiel (fig. 9'H) a son maximum d'étendue sur une coupe de la
région
protubérantielle supérieure, perpendiculaire à l'
ion. En hauteur, ce foyer s'étend depuis la partie inférieure de la
région
pédon- culaire, où il cesse brusquement, jusqu'
re de la région pédon- culaire, où il cesse brusquement, jusqu'à la
région
protubérantielle inférieure, où il n'est plus i
tion plus ou moins mas- sive tranchant sur l'aspect bleu violet des
régions
voisines au Pal, permettent d'affirmer une dégé
ment choisies, on constate les faits suivants : Sur une coupe de la
région
de transition entre le vermis et l'hémisphère c
es coupes S. 5 et S. 6 de Dejerine (2) on voit l'arbre de vie de la
région
de transition du cervelet, le pédoncule céré- b
tronc cérébral et passant par l'étage antérieur et la calotte de la
région
protubérantielle supérieure, on FIG. 7 Fia. 8
ment les 4e et e S54 JARDIN ! espaces. La partie extérieure de la
région
hypothénar est aplanie et l'éminence thénar a l
ur et par le Ier et le IIe radiaux qui sont les seuls muscles de la
région
postéro-externe. La région épitrochléenne est a
e radiaux qui sont les seuls muscles de la région postéro-externe. La
région
épitrochléenne est aplanie dans sa partie la pl
rs doigts et des deux métacarpiens correspondants et dans les mêmes
régions
la sensibilité thermique est distinctement diminu
cond radial, se contractent normalement ainsi que les muscles de la
région
antérieure, ceux de l'éminence thénar et le pre-
natomi- que du phénomène clinique. Sans doute, lorsqu'il s'agit des
régions
dont on connait peu la structure et les fonctio
uoi ne pourra- t-on pas dire que celle-ci peut déterminer, dans ces
régions
, des troubles fonctionnels, lors même qu'elle n
scissure calcarine (pointe, faces externe et inféro-interne), ou de
régions
thalamiques autres que le corps genouillé ex- t
laire de la capsule interne, peut être suivie non seulement dans la
région
calcarine mais encore dans toute la convexité o
lobes pariétal et temporal. Nous n'en avons jamais retrouvé dans la
région
occipitale. Pour nous, les seu- les fibres qui
es circonvolutions temporales aux ganglions infra- corticaux (de la
région
sous-optique du rhombencéphale, etc.) LE FAISCE
s dit pas où s'épuise cette dégénérescence. Se cantonne-t elle à la
région
calcarine (qui, elle aussi, atteint la pointe occ
reux qui occupe la circonvo- lution limbique ? provient-il de cette
région
même ? Ce serait accorder à ce faisceau une ori
sous-jacente, mais ne sectionnait pas les couches sagittales de la
région
. » Ce cas nous paraît fort précieux et nous rap
rès limitée, elle se porte en dedans et s'épuise rapidement dans la
région
sous-corticale du lobule lingual, et cela, bien
ne lésion des ganglions infracorticaux, soit d'un foyer profond des
régions
cor- ticales antérieures, c'est-à-dire du lobe
couche sagittale externe ». S'il s'agit d'un foyer profond de la
région
temporale postérieure, et surtout si cette lési
ouche interne. Mais cette dernière s'épuise assez rapidement, et en
région
franchement occipitale on ne retrouve guère de
escence rétrograde. Ce phénomène encore mal compris dans les autres
régions
, devient presque indémontrable au niveau de l'h
lipète des radiations corti- cales, pour que la grosse réaction des
régions
postérieures trouve une expli- cation logique.
la nature rétrograde de telle, ou de telle autre dégénérescence des
régions
postérieures. Les planches qui se rapportent au
e antiquité. Suivons maintenant le faisceau optique central d'une
région
à l'autre et voyons jusqu'à quel point l'analog
socié dans cette partie de son trajet : par les fibres calleuses de
régions
antérieures qui se rendent à la partie postérie
à la zone rolandique. Comme cette dernière, elle est' subdivisée en
régions
fonctionnelles (nasale, temporale et maculaire),
éré- brale, étaler sur une certaine étendue de l'une et l'autre des
régions
symétri- ques qu'il dessert, les impressions qu
one visuel sont très éloignés l'un de l'autre, ils siègent dans des
régions
embryologiquement distinctes et sont séparés pa
e postérieure. Or, ce centre optique primaire ne siège pas dans les
régions
inférieures du tronc encéphalique, mais au nive
dans la couche optique et se rendent à la partie postérieure de la
région
rolandique, ce sont de véritables fibres tllalamo
ce ro- landique mais dans une mesure beaucoup moindre. Ainsi que la
région
mo- trice est stimulée par des impressions sens
eux est avant tout un système interhémisphérique d'association ; la
région
rolandique possède certainement son contingent co
I3AUL'C Le corps genouillé externe entre aussi en relation avec des
régions
fonc- tionnelles autres que la corticalité occi
e, mais nous croyons que la majorité de ses fibres passent dans les
régions
inférieures du tronc encéphalique ou entre en rel
e d'insister sur ce fait, que la configuration d'un niveau ou d'une
région
y est pour beaucoup dans l'explication des anomal
halique; la voie sensitive' se cantonne presque exclusi- vement aux
régions
inférieures du névraxe (moelle et rhombencéphale)
ux » des têtes mal conformées chez lesquelles il faut considérer la
région
du palais situé dans la bouche, car vous trouve
te est donné par la surélévation bregmatique anté- rieure (PL I) La
région
temporale est plutôt bombée et les veines dans le
(PL I) La région temporale est plutôt bombée et les veines dans les
régions
frontale et temporale sont exagérément développée
re H du ptérygion ne sont pas synostosées. Enfin, en examinant la
région
frontale, on peut nettement palper un rebord os
sagittale et coronaire sont complètement synostosées, sauf dans la
région
temporo-frontafe, où l'on sent une encoche assez
ts bilieux. Cette céphalée aurait été principalement localisée à la
région
frontale. En- dehors des paroxysmes, les maux d
ties nettement séparées par une dépres- sion existant au niveau des
régions
temporales. En regardant l'enfant de profil on
s orbitaires, de même, ont peu de relief sauf du côté externe où la
région
temporale est plutôt bombée. Les apophyses sont
De profil, on s'aperçoit que le front est fuyant en arrière et que la
région
bregmatique présente une surélévation assez net
ieurement dans le point d'union du frontal avec l'ethmoïde, dans la
région
sous-orbitaire, nous voyons un' espace vacuolai
ïde et de la branche ho- rizontale du sphénoïde. J'ai donné à cette
région
le nom de ligne ethmoïdo- sldaénoïdale. Tout de
rieures. Après ce tubercule, le plan régulier et i-ectiligiie de la
région
ethmoïdo- sphénoïdale vient s'arrêter brusqueme
que peuvent avoir les altérations du profil radiographique de cette
région
centrale du sphé- noïde. Avant de poursuivre
rêtons-nous un instant à étudier la conformation particulière de la
région
placée en des- sous de la selle turcique. Ici o
tué par le rocher qui, comme nous le verrons ailleurs, est la seule
région
du plancher basal qui puisse résister à l'hy- p
ne; enfoncement de la selle turcique; impressions digitales dans la
région
fronto-ethmoïdale; inversion de l'angle sphénoida
rence en moins, ce qui montre un raccourcissement très net de cette
région
de la base du crâne. L'orifice orbitaire extern
ur les os de la calotte en les sutures des os et en élargissant les
régions
Fig. 4 ÉTUDE DU SYNDHOME OXÏCÉPIIALIQUE 35
quer le fait de la sy- nostose anormale, précisément localisée à la
région
antérieure du crâne. Il est certain que dans un
ait que chez plusieurs de ces sujets l'on a pu constater, soit à la
région
temporale, soit à la région frontale, des dilat
s sujets l'on a pu constater, soit à la région temporale, soit à la
région
frontale, des dilatations veineuses très prononcé
e suite le retentissement qui peut produire une altération de cette
région
, principalement dans l'en- 40 BERTOLOTT1 fanc
res, mais il n'y avait pas parallélisme entre la pigmentation d'une
région
et le nombre et le volume des tumeurs. 1) 46
ntenses et des vertiges. La céphalalgie augmente, localisée dans la
région
fronto-pariétale gauche. Des analgésiques (un m
c la même violence, sans avoir un siège fixe. Elle occupe tantôt la
région
frontale, tantôt la région occipitale. Il survien
oir un siège fixe. Elle occupe tantôt la région frontale, tantôt la
région
occipitale. Il survient en outre, une sensation
elle est également fréquente dans la légion frontale, comme dans la
région
occipitale. Par la percussion, on ne constate p
peut pas garder pendant longtemps l'équilibre, cela lui fatigue la
région
lombaire et il tombe sur le dos. Quand on lui dem
p, plexus DEUX CAS DE PSEUDO-TUMRUR CEREBRALE 57 pie-mère de ces
régions
n'est pas infiltrée sensiblement et les cellules
ale et bulbaire prend aussi part à l'inflammation, surtout dans les
régions
où la méningite et l'épendymite sont plus inten
euse ventriculaire, quand les lésions se cantonnent seulement à ces
régions
. Mais dans ces cas la substance épendymaire est
termédiaires, la méningite ne se limitant pas seulement à une seule
région
et qu'elle peut s'étendre à la fois à la convex
'entrée des racines (2), « une zone placée en hauteur à l'union des
régions
lombaire et dorsale et limitée : en dedans par
lue de la muqueuse et de la tunique péritonéale, tandis que dans la
région
intermédiaire, la tunique py- torique est consi
s stomacales ont fait l'objet d'un examen spécial (1). a) Dans la
région
pylorique, à distance de la néoproduction, il exi
lent ; l'hypertrophie de la musculeuse est manifeste. b) Dans la
région
pylorique, au niveau de la néoproduction, deux fa
issu néoformé. La séreuse ne présente rien à signaler. c) Dans la
région
prépylorique et du fond, les parois gastriques ne
; elles varient, d'ailleurs, d'une manière considérable suivant les
régions
. , / 1" Région sacrée inférieure (6°, 5e, 4° sa
'ailleurs, d'une manière considérable suivant les régions. , / 1"
Région
sacrée inférieure (6°, 5e, 4° sacrées). Les lésio
n gaines myé- liniques ; cette différence est des plus nettes. 2°
Région
sacrée supérieure (Ve sacrée). - Les cordons post
ssauer n'est pas sclérosée ; on voit les racines postérieures de la
région
pénétrer sous forme de groupes de fibres serrée
de fibres serrées et bien colorées dans la corne postérieure et la
région
adjacente des cor- dons postérieurs. On note se
la majorité les ont conservées intactes et en nappe compacte. 3°
Région
lombaire te el 4e lombaires). - On voit apparaîtr
ès loiu de la commissure grise, pos- térieure ; elle occupe Lien la
région
de la bandelette externe de Pierre, appe- Ire e
ès de la surface de la moelle et tranchent sur leurs voisine ? . 4°
Région
lombaire (3e lombaire). La lésion scléreuse précé
nt et sa forme devient imprécise ; elle occupe sensiblement la même
région
; elle est traduite par une raréfaction des tub
aré il celui des parties voisines du cordon postérieur droit et des
régions
similaires du cordon posté- rieur gauche où les
té- rieur gauche où les tubes nerveux sont serrés et compacts. 5°
Régions
lombaire supérieure et dorsale inférieure (1'E lo
n de- dans et en avant à mesure qu'on remonte dans la moelle. gaz
Régions
dorsale moyenne, supérieure, cervicale. Elles son
males. - 11 ' En somme, la lésion est strictement limitée à la
région
lombaire de la moelle, et là, elle occupe étroi
rginale de Wesiplial, le réseau fin de la corne postérieure, toutes
régions
considérées comme endogènes, sont indemnes. Le
occupée par des fibres endogènes fines verticales. De ce -que cette
région
était intacte dans la moelle de notre malade, on
nes ; la lésion occupait électivement la bandelette externe dans la
région
lombaire, ce qui semble bien établir l'indépend
tomiques, nous attirons l'attention sur le voisinage étroit, dans la
région
lombaire, de cette sclérose de la bandelette ex
Ce sont aussi des tabès qui, tout en présentant des lésions dans la
région
do ? ,so-loiîibaii-e,ol7e ? îi une intégrité plus
onducteurs altérés, trop imparfaitement sans doute pour arriver aux
régions
de la moelle où l'influx centripète est transfo
trop peu éten- dues, t ! 0p localisées, et trop confinées dans des
régions
basses d'où, vrai- semblablement, il ne part au
bien localisées en hauteur et en largeur, et de préférence dans la
région
iombo-sacrée. Quel serait alors l'état du sympa
ique de la lésion. Quand ce signe existe, la lésion intéresse, à la
région
dorso-lombai re de la moelle, une zone exacteme
sembla- ble. En tout cas des lésions portant ailleurs que sur cette
région
pourraient aussi entrer en ligne de compte pour
culté. On ne constate aucune paralysie des nerfs crâniens. Dans la
région
tem- porale gauche, à environ 4 centimètres au-
pénétré dans la partie sous-jacente du cerveau. La dure-mère de cette
région
était complètement déchirée. Tous les fragments
ique de l'abdomen (opistotonus) et des contractures cloniques dans la
région
faciale droite inférieure. La crise dura quelqu
our à I'Ilùpital, aucun trouble n'a été constaté au cou, ni dans la
région
scapulaire. Ni la motilité, ni l'état général du
ption chirurgicale, la lésion crânio- cérébrale est localisée à une
région
dont l'importance dans la topographie cérébrale
émorragies collatérales ne provoquassent des troubles dans d'autres
régions
de l'hémisphère intéressé. Cependant, le tablea
logue du côté gauche. De légers coups de marteau à percuter dans la
région
du sinus droit (sur le nerf facial) occasionnent
che était bien conservée, trouva un abcès isolé précisément dans la
région
désignée par Exner. Par contre, la supposition de
ais ce centre se trouve plus probablement derrière et non devant la
région
locomotrice. Bien que, par suite de la lésion c
dans le pli interfessier, on voit très nettement à l'exa- men de la
région
anale une sorte de vestibule spacieux décrit autr
se signalent aussi par la présence de vergetures réparties dans les
régions
pectoro-aaillaires, abdomino-crurales, qui semble
ais il y a aussi une couche assez épaisse de ce tissu dans les autres
régions
du corps, uotamment au tronc et à l'abdomen. Le
ez variable. La peau est généralement blanc pâle, mais en certaines
régions
et plus spécialement sur la crâne, le pourtour de
n général symétrique. Cette symétrie s'affirme quand on examine les
régions
décolorées. Elle est particulièrement évidente
lent gantées de blanc ; pour le plan postérieur il faut signaler la
région
des hanches et du creux poplité et tout spécial
es cheveux tombés. La peau est décolorée régulièrement sur toute la
région
jadis chevelue et l'on trouve sur l'occiput une
, pas de crampes, pas de signes de brightisme. La compression de la
région
rénale et surrénale est indolore. L'analyse des u
'on peut encore plisser l'hypoesthésie est moins marquée que daus les
régions
pacbydermisées où la sensibilité est fort attén
agies diverses, les microbes eux-mêmes, s'accumulent ainsi dans les
régions
les plus inférieures où ils ne peuvent que déte
de l'homme : par suite, les particules solides, qui glis- sent à la
région
lombaire, se déposent dans toute la région sacrée
des, qui glis- sent à la région lombaire, se déposent dans toute la
région
sacrée qui forme fond. La longueur plus grande
re diffusées dans le protoplasma ou bien condensées en amas sur une
région
plus ou moins considérable de la cellule, tout en
state la précipitation des granulations, le noyau se déplace, et la
région
péri nucléaire change d'as- pect et de luminosi
brane nucléaire, de sorte que dans ces conditions on distingue deux
régions
, l'une, celle du noyau qui change de forme, la
laisser entre elle et la face interne de la membrane nucléaire une
région
vide. La précipitation due au sulfate de magnés
progressivement avec la dilution du cytoplasma, on observe dans la
région
cytolysée et périphérique des granulations animée
rique et mouvements browniens. La cytolyse peul être partielle, une
région
de la cellule de- vient plus diaphane (fit. 21,
aspect diaphane soit au niveau de la périphérie, soit sur une autre
région
ou bien encore sur une moitié de la cellule et en
ches lumineuses de grandeur et de topographie variables. Parfois la
région
lumineuse intéresse la moitié de la cellule, d'
our de cette sphère, on voit dans presque toutes les cel- lules une
région
circulaire vide. Fic.. 10. Cellule d'un ganglio
rière. Ces 12 vertèbres qui forment le segment vertébral, depuis la
région
lom- baire jusqu'au crâne, sont toutes munies d
our rejoindre le manubrium du sternum, et limite alors en avant une
région
cervicale qui n'existe pas à la partie postérie
rales, la colonne vertébrale a une concavité dorsale exagérée. La
région
, qui doit normalement correspondre aux vertèbres
nt une et indivisible de la tête à l'extrémité de la queue ; et les
régions
qu'on a pris l'habitude d'y distinguer n'ont des
e diminution ou une augmentation dans le nombre des vertèbres de la
région
voisine. Les anomalies compensées sont les plus
vertèbres cervicales, mais il y avait une vertèbre de plus dans la
région
lombaire, nous avons déjà dit que cette sorte d
de l'apoplexie,, attendu qu'elle détermine plus de brièveté dans la
région
du cou, et par suite un rapproche- ment trop co
par les recherches poursuivies dans la série animale. De toutes les
régions
du rachis, la région cervicale est celle dont le
rsuivies dans la série animale. De toutes les régions du rachis, la
région
cervicale est celle dont le nombre des vertèbre
'on rencontre des modifications nombreuses des vertèbres des autres
régions
: dorsales, lombaires, etc. Cependant, chez les
qui se caractérisent par une ver- tèbre en plus ou en moins dans la
région
sus-sacrée ou présacrée et qui se retrouve en m
-sacrée ou présacrée et qui se retrouve en moins ou en plus dans la
région
sacro-coccygienne ; il faut, pour que la théori
ce à se produire aux deux extrémités de la colonne vertébrale, à la
région
cervicale et aux régions sacra-coccygiennes. Ma
x extrémités de la colonne vertébrale, à la région cervicale et aux
régions
sacra-coccygiennes. Mais, ce qui est intéressant
baires en sacrées. Les vertèbres sacrées en coccygiennes. Dans la
région
supérieure, au contraire, le processus de transfo
, les caractères que l'on peut constater sur deux vertèbres de deux
régions
différentes. Et l'on comprend de cette façon
va encore en s'accentuant au sur et à mesure qu'on remonte vers la
région
de la fontanelle antérieure. A ce niveau, on ob
des cheveux) est plus petite (75 mm.) que la gauche (8 cent.). A la
région
occipitale on retrouve un sillon moins accentué
on retrouve un sillon moins accentué, se continuant en haut vers la
région
lambdoïde; cir- conférence crânienne : 54 centi
cheveux sont bien développés avec un seul vertex correspondant à la
région
pariétale droite. Les oreilles ne sont pas écar
te. Périmètre thoracique au niveau des mamelons : 85 c. 5. Sur la
région
intermamelonnaire, on observe un développement mo
os, on remarque une scoliose assez apparente intéressant surtout la
région
dorsale moyenne. La concavité de cette scoliose r
un des malades des auteurs français précités, l'aplatissement de la
région
occipitale. Les deux clavicules ne sont représe
de décrire l'état des clavicules, des insertions musculaires de la
région
, l'étal du crâne, celui i du cerveau et de la m
ment inconnue, et ses connaissances géographiques se bornaient à la
région
immédiatement voisine, elle ne savait même pas
trajet du sciatique droit est douloureux à la pression, et c'est à la
région
mal- léolaire que siègent les douleurs les plus
sont pas atro- phiés. . Dans l'estomac, néoplasme végétant de la
région
pylorique. Métastases gan- glionnaires locales.
x, des troncs nerveux périphériques et des muscles choisis dans les
régions
les plus atrophiées (1). 1 Bulbe HACIIIDlEN ET
). Les modifications pathologiques qui apparaissent dans les autres
régions
portent à la fois, mais dans des proportions tr
forment une gangue interstitielle plus ou moins compacte. Quant aux
régions
claires, d'as- pect vitreux à l'oeil nu, elles
nt la Ire racine dorsale est des- tinée, comme la racine C 8, à une
région
où l'atrophie musculaire a débuté et a atteint
cines S 1, et S 2, sont indemnes bien qu'elles se distribuent à une
région
encore plus atrophiée. Il est à remarquer enfin
er l'impotence presque absolue dont était frappé le malade dans les
régions
examinées. La désintégration est très irréguliè
yaux du sarcolenime et une striation moins régulière. Dans d'autres
régions
, le Nouvelle Iconographie DE la SALPLTRILRr.
omérés en pelotons. Le tissu conjonctif interstitiel en certaines
régions
parait anormalement t développé, indépendamment
men histologique, on trouve une moelle intacte ; dans les nerfs des
régions
malades, une atrophie des fibres nerveuses et une
que montra l'intégrité de la moelle épinière et, dans les nerfs des
régions
arrophiées, des enveloppes fibreuses remplissant
lonne de Clarke ; les cornes antérieures, presque intactes dans les
régions
lombaire et dorsale, montrent dans la région cerv
que intactes dans les régions lombaire et dorsale, montrent dans la
région
cervicale des cellules (1) Klinische und anatom
générescence scléreuse des cordons postérieurs plus marquée dans la
région
cervico-dorsale ; altérations d'une partie des
; hétérotopie de substance grise dans les cordons postérieurs à la
région
lombaire ; racines antérieures et postérieures
a prolifération des tissus interstitiels, prédominante en certaines
régions
(Friedreich avait déjà insisté sur ces processu
est détruite (fig. 11) ; ces lésions s'accentuent en approchant de la
région
lombaire inférieure et sur la figure 12, où la
érieures, les fascicules radiculaires les plus externes (provenant de
régions
plus élevées) sont relativement bien conservés,
vés, alors que les internes, qui pren- nent leur origine dans cette
région
, sont complètement détruits. Les colorations au
G0-MYÉL1TE CHRONIQUE DE LÉPICONE AVEC LIPOMATOSE 315 5 niveau de la
région
cervicale supérieure, il existe encore une grande
le long du septum. Cette atropgiedes cordons de Goll,manifeste à la
région
dorsale, devient plus apparente la région cervi
ns de Goll,manifeste à la région dorsale, devient plus apparente la
région
cervicale et se poursuit jusqu'à la partie [infér
soit à une véritable myélomala- cie. La moelle est envahie dans les
régions
détruites par du tissu fibreux dis- socié par l
es de régénération. Les'méninges molles présentent dans toute cette
région
et surtout au niveau de L5 et S' de grosses lésio
s lipomateux analogues à ceux que l'on voit se former dans d'autres
régions
anatomiques à la suite des lésions irritatives
agit des antérieures ou des postérieures ; les premières, venant de
régions
où la substance grise est détruite, sont complète
dant celle des réflexes patellaires, faisaient penserà une lésion des
régions
lombaire inférieure et sacrée supérieure, autre
n grande partie,sans doute, par les troubles circulatoires dans les
régions
correspondantes. La disposition des cellules adip
sse aucun doute à cet égard. La méuingo- myélite chronique de cette
région
est déjà rare ; associée à une lipomatose secon
édente, elle dévient une véritable curiosité pathologique. (1) La
région
de l'épicbne est limitée en haut, par le IVE segm
nts sacrés (Minor). Dans les cas typiques de lésion limitée à cette
région
, les réflexes rotuliens sont conservés, l'intégri
du fait de la destruction ou,de la compression, les limites de cette
région
ont été franchies. 318 i THOMAS ET JUMENHH
rès, le malade est très affirmatif sur ce point, il se forma sur la
région
qui avait été plus particulièrement contusionné
compacte de l'os peut-être épaissie ou raréfiée, mais en général la
région
sous-périostée est particulièrement claire, ce
en quelque peu attentif de la moelle. On constate en effet, dans la
région
cervicale infé- ) rieure, un aplatissement de l
à expliquer le pourquoi de cette prédilection singulière pour cette
région
limitée de la moelle cervicale inférieure. Ce n'e
éson, la méthode de Lhermitte, etc Sur deux fragments prélevés à la
région
dorsale et inclus à la paraffine, nous avons ch
ct de la moelle. -La moelle est extrêmement aplatie au niveau de la
région
cervicale, comme le montrent les coupes empruntée
les qui ont le plus souf- fert. Les lésions occupent constamment la
région
périépendymaire, en arrière des cornes antérieu
la ré- gion cervicale, mais elles réapparaissent peu à peu dans la
région
dorsale. En Du on aperçoit déjà la partie la pl
déviations des sillons antérieurs et postérieurs. Au niveau de la
région
cervicale, elles tendent à déborder latéralement
isposée suivant une courbe à concavité postérieure et détruisant la
région
centrale, la base des cornes, les zones adjacen
ome et les zones de dégénérescence est assez mal établie ; dans ces
régions
les fibrilles névrogliques sont assez fréquemme
s intermédiaire, par le tissu ner- veux ; cela se voit surtout à la
région
cervicale au niveau des cornes an- térieures, e
z loin du gliome jusque dans les cordons latéraux. Dans plusieurs
régions
, les petits vaisseaux, même les capillaires, ont
e l'arachnoïde et la pie-mère ne sont pas rares. . ' Dans plusieurs
régions
, les éléments conjonctifs tendent à pénétrer dans
bailleur de la moelle depuis Civ jusqu'à Dxl, il existe en diverses
régions
des fibres musculai- res striées. Ces élément
a lions gl iomiteu- ses ; dans la précédente observation il y a des
régions
où les fentes et les cavités sont tapissées par
conjonctif qui parcourt sous forme de bandes ou de membra- nes les
régions
centrales de la moelle, se continue en diverses r
ra- nes les régions centrales de la moelle, se continue en diverses
régions
avec l'adventice des vaisseaux ou les méninges
atisme crâ- nien : un violent coup de pied de cheval l'atteint à la
région
frontale. Voici les constatations du certificat
tranché la voûte crânienne. J'ai constaté à la partie moyenne de la
région
frontale une plaie de 6 centimètres environ de
s : Le facies est hébété, le regard fixe. A la partie moyenne de la
région
frontale, on remarque un enfoncement transversa
er segment dorsal. A la surface postérieure de la dure-mère dans la
région
correspondante au 8e segment cervical, on aperçoi
oelle sous forme d'anneau complet; au-dessus et au-dessous de cette
région
à l'oeil nu on ne constate pas la présence de mas
diquent peu de masses dégénérées ; on en constate davantage dans la
région
correspondant aux racines postérieures. La subs
té) ; là encore des douleurs dans tout le thorax et surtout dans la
région
de l'omoplate gauche, durant nuit et jour, ont
faiblesse s'est jointe une constriction assez forte au niveau de la
région
lombo-sacrée, qui s'étendait latéralement, à la
niveau de la région lombo-sacrée, qui s'étendait latéralement, à la
région
hypogastrique, à la région périnéale, aux membr
acrée, qui s'étendait latéralement, à la région hypogastrique, à la
région
périnéale, aux membres inférieurs (sensation de
gue. Les trois doigts internes (III, IV, V) de sa main gauche et la
région
anté- rieure de la plante des pieds se sont eng
rnain tombante en pronation complète, on percute un peu fort sur la
région
supérieure de la face dorsale de l'avant-bras,
s on obtient la même chose, au-dessous de celle-ci jusqu'à toute la
région
métacar- pienne, on provoque la seule flexion d
onservée dans le domaine des nerfs crâniens et dans les différentes
régions
du cou. Aux membres supérieurs, il existe une t
est très, chaude ou glacée, mais il les perçoit moins bien dans les
régions
indiquées. Une semblable diminution, toujours trè
diminution, toujours très faible, existe en arrière au niveau de la
région
lombo-sacrée et en avant sur la face antérieure
ambes. Ici, on dirait qu'elle est plus manifeste à gauche. Dans les
régions
postérieurs des membres inférieurs et dans le p
ité superficielle semble conservée. Elle l'est encore mieux dans la
région
des fesses. La discrimination tactile (compas d
entimètres. OSTÉOARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS (Pastille) . I. -
Région
cervicale, projection antéro-postérieure ; grossi
ciable, nulle part. Examen radiographique de la colonne vertébrale.
Région
cervicale. a) Projection antéro-postérieure (PI
rieur des corps vertébraux, surtout au niveau de la IVe vertèbre.
Région
dorsale. - Aspect normal. Région lombaire. - Pr
au niveau de la IVe vertèbre. Région dorsale. - Aspect normal.
Région
lombaire. - Projection antéro-postérieure (PI. LV
vertébraux semblent normaux. Enfin, on peut encore noter dans cette
région
une très légère déviation du rachis, à convexit
e région une très légère déviation du rachis, à convexité droite.
Région
lombo-sacrée. Entre la dernière vertèbre lombaire
mbres ne sont pasatteintes, parceque les altérations osseuses de la
région
lombaire, révélées par la radiographie (Pl. LVI
LVI11 III OSTÉOARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS (Pastille). III.
Région
lombaire, projection antéro-postérieure ; à gauch
emière vue. L'hyperossification est surtout marquée au niveau de la
région
lombaire, et des saillies osseuses, irrégulières,
'appelle : Syndesmistis ossificans. Notre première radio- graphie -
région
cervicale, projection antéro-postérieure nous mon
cation de ce ligament tout à fait au début. La radiographie de la
région
lombaire (Pl. LVIII) nous montre qu'ici l'altér
orps vertébraux et les disques intervertébraux semblent, dans cette
région
aussi, respectés. Il s'agit donc, nous semble-t
des petites articulations des extrémités, sans participation de la
région
dorsale, avec des caractères propres à la varié
cause appréciable, elle commença à souffrir de fortes douleurs à la
région
lombaire ; elles se prolongeaient vers les fesses
e les premières, mais toujours exagérées par les mouvements; de ces
régions
elles ont bientôt disparu, pour rester cantonné
ts les augmentent et surtout le coït. Elles sont localisées dans la
région
occipitale. Aujourd'hui il lPS trouve aussi forte
nski. Sensibilité. La sensibilité totale est diminuée dans toute la
région
du triju- meau droit, mais la diminution est pl
du triju- meau droit, mais la diminution est plus accentuée dans la
région
de l'ophtal- mique. La sensibilité des muqueu
ones de l'ophtalmique et du maxillaire supé- rieur, moindre dans la
région
du maxillaire inférieur. La sensibilité conjonc
Grasset à l'état d'ébauche. Sensibilité. -Elle est affectée dans la
région
du Ve nerf. Anesthésie tactile dans la région d
est affectée dans la région du Ve nerf. Anesthésie tactile dans la
région
de l'ophtalmique et du maxillaire supérieur : hyp
le premier cas, au commencement elle a été localisée à droite de la
région
occipitale et ensuite aux deux côtés de la, même
roite de la région occipitale et ensuite aux deux côtés de la, même
région
. Les céphalées ont eu lieu avec des intermitten
es efforts des malades. La percussion de la tête n'a pas précisé la
région
douloureuse. Vomissements. Ils ont existé dans
acllyméningite hypertrophique débutent ou prédominent en cette même
région
. C'est encore en ce point que débu- tent et pré
asse a laissé son empreinte,et modifie l'aspect du chiasma et de la
région
infundibulaire. L'infundibulum est soulevé, pro
u côté droit où se trouve le pédicule, si bien que l'ensemble de la
région
est dissy- métrique, comme si la tumeur avait e
férence abdominale maxima = 1 m. 17. La graisse infiltre surtout la
région
abdominale qui est distendue, proémi- nente et
tombante au devant du pubis. Les mamelles tombent également. A la
région
dorsale l'infiltration graisseuse détermine la fo
autre au-dessus des crêtes iliaques, et les deux autres occupent la
région
postéro-latérale du thorax un peu au-dessous du
u mésentère. Le système pileux richement dé- veloppé surtout sur la
région
thoracique. Encéphale 1370 grammes. Epaississem
vec opa- cifité et petites hémorragies méningées dont l'une dans la
région
motrice du côté droit. Le péricarde est couve
colloide dans les alvéoles est peu abondante, excepté toutefois la
région
d'union du lobe épithélial et nerveux. Notons e
lations lipoïdes comme les cellules de la couche glomérulaire de la
région
correspondante. On trouve pourtant aussi des ré-
poïdes sont assez abondantes. Dans la portion la plus interne de la
région
fasciculée et dans la réticulée les lipoïdes, e
tion des granulations - par le Schariach - est rouge franche dans la
région
fasciculée et rouge châtain dans la région rétr
st rouge franche dans la région fasciculée et rouge châtain dans la
région
rétractée. La zone médullaire est bien représen
) ont publié sous le nom d'atrophie généralisée de la face et de la
région
sus-ombilicale du corps avec yM'eMo-A6r'op ? e de
t de la région sus-ombilicale du corps avec yM'eMo-A6r'op ? e de la
région
pelvienne et des membres inférieurs un cas qui pa
de ces amas graisseux qui donnent à la femme sa plastique spéciale (
région
des flancs, face supéro-externe des cuisses, pour
face supéro-externe des cuisses, pourtour du genou). C'est dans ces
régions
que normalement la graisse s'accumule et c'est
u corps des lieux de prédi- lection pour les développement adipeux (
région
du cou, région deltoï- dienne, région mammaire,
ux de prédi- lection pour les développement adipeux (région du cou,
région
deltoï- dienne, région mammaire, pour ne ciler
ur les développement adipeux (région du cou, région deltoï- dienne,
région
mammaire, pour ne ciler que les principales). Et
EURS 481 m'a paru que l'épaississement adipeux remontait jusqu'à la
région
ombi- licale, le haut du corps et les bras rest
le cou et la nuque, pour se propager successivement aux reins, à la
région
épigastrique, et, en dernier lieu, aux deux aines
s après ; un chirurgien de l'hôpital Lariboisière intervient sur la
région
cervico-scapulaire. Après 4 mois de séjour, D..
ipomatose symétrique à prédominance cervicale, très marquée dans la
région
dorso-lombaire, épigastrique, et commençant à é
gion dorso-lombaire, épigastrique, et commençant à évoluer dans les
régions
inguinales (Pl. LXVI). Dans la région ceraico-f
mençant à évoluer dans les régions inguinales (Pl. LXVI). Dans la
région
ceraico-faciale, l'affection est constituée par d
ée lors de la deuxième opération, laquelle a également intéressé la
région
dorso-lombaire droite. La limite supérieure -de
ro-mas- toïdiennes sont occupées par du tissu graisseux. Les deux
régions
scapulaires paraissent notablement hypertrophiées
constituent une paroi postéro- externe anormalement développée. Les
régions
delLoïdiennes sont égale- ment envahies par la
iblement, avec les parties du bras demeurées normales. Dans cette
région
axillo-brachiale, notons la présence, dans l'aiss
sez grosse et une Lu- sus-épilrochléenne petite et plus dure. Les
régions
dorsale et surtout lombaire présentent, principal
ns superficiels. Tout l'espace compris entre le rebord costal et la
région
fessière gauches est rempli par de nombreuses mas
masses lipomateuses, mamelonnées, se prolongeant en pointe dans la
région
sacrée pour se terminer à 5 centimètres au-dess
aut pas moins reconnaître, dans notre cas particulier, que dans les
régions
épigastrique et surtout dorso- lombaire, les tu
s, et cependant, les ganglions lymphatiques n'existent pas dans ces
régions
. 1 Faut-il mettre, comme le voudrait Poncet, l'
ils font remarquer d'ailleurs, que souvent les masses occupent des
régions
du corps où normalement il n'y a pas de ganglions
e de segmentation, sinon peut-être, suivant M. de Blainville, dans la
région
cervicale des oiseaux. Mais il suffit d'envisager
re des « articulés, tandis que la moelle épinière est toujours à la «
région
dorsale ou supérieure des animaux à vertèbres. Ce
r exemple un segment vertébral complet choisi dans cette partie de la
région
caudale qui porte des os en V, on pourra se faire
de quelle importance est en anatomie comparée la considération de la
région
caudale. Lorsqu'il aborde l'étude de ce grand pro
dale déjeune Plie qui lui sert de point de départ. Je crois que cette
région
n'est pas moins intéressante, quand il s'agit du
rapports avec la vertèbre. La seconde Fig. 2. représente dans la
région
caudale d'un crocodilien la succession et l'encha
stème nerveux propre à un segment complet d'animal vertébré ; dans la
région
caudale, l'anneau est fermé par une commissure qu
n postérieur. Suivant quelques autres, il est oblitéré dans certaines
régions
. Rien, toutefois, n'est mieux établi que son exis
is par une membrane fibreuse intermédiaire dans toute l'étendue de la
région
cervicale, qu'au premier abord on pourrait nier l
ns postérieurs présentent une particularité remarquable. En certaines
régions
ils semblent ne point border immédiatement le sil
ts plus intelligible, je distinguerai dans l'axe médullaire plusieurs
régions
, savoir : 1° la région caudale; 2° la région lomb
distinguerai dans l'axe médullaire plusieurs régions, savoir : 1° la
région
caudale; 2° la région lombaire; 3° la dorsale ; 4
xe médullaire plusieurs régions, savoir : 1° la région caudale; 2° la
région
lombaire; 3° la dorsale ; 4° la cervicale ; 5° la
ombaire; 3° la dorsale ; 4° la cervicale ; 5° la bulbaire. Les autres
régions
, plongées dans le crâne, y subissent des modifica
un paragraphe séparé. Suivons donc notre description h partir de la
région
caudale; l'axe médullaire est dans cette région u
iption h partir de la région caudale; l'axe médullaire est dans cette
région
une tige extrêmement grêle que composent cependan
es cordons postérieurs sont remarquables. Plus ils s'avancent vers la
région
lombaire, plus ils s'atténuent, et vers le sommet
la région lombaire, plus ils s'atténuent, et vers le sommet de cette
région
ils ont complètement disparu. Cette atténuation g
disparu. Cette atténuation graduelle des faisceaux postérieurs de la
région
caudale donne l'idée d'un épuisement successif.
rveuses se groupent sur leurs côtés, et constituent au niveau de la
région
lombaire, des cordons postérieurs nouveaux. Ces c
d'abord l'un de l'autre par l'extrémité des cordons postérieurs de la
région
caudale, se rapprochent de plus en plus et borden
et bordent immédiatement le sillon médian postérieur au niveau de la
région
dorsale. Mais à leur tour, ils s'atténuent de plu
on dorsale. Mais à leur tour, ils s'atténuent de plus en plus vers la
région
cervicale, et leurs tiactus singulièrement amoind
: 1° Le système caudal qui s'épuise et disparaît vers le sommet de la
région
lombaire où les funicules ont reçu le nom impropr
o-dorsal qui s'épuise graduellement à mesure qu'on se rapproche de la
région
cervicale où ses extrémités atténuées reçoivent e
rvations, les cordons médians postérieurs sont évidemment dans chaque
région
, Vextrémité atténuée des cordons postérieurs gui
région, Vextrémité atténuée des cordons postérieurs gui viennent des
régions
situées en arrière. Ces faits peu apparents dans
éments à l'histoire de la force excito-motrice considérée dans chaque
région
de la moelle épinière. Nous reviendrons d'ailleur
ceaux disséminés. Ces petits faisceaux sont surtout abondants dans la
région
cervicale et sousbulbaire. Les deux moelles qui
eurs centimètres. On en démontre aisément l'existence dans toutes les
régions
. Ce canal est le ventricule de la moelle épinière
vaisseau dans son intérieur. Souvent, il est vrai, et surtout dans la
région
cervicale, il est flanqué de deux autres canaux,
stante dans les animaux à tous les âges de la vie, et dans toutes les
régions
de la moelle; elle est également constante dans l
ulement quand on considère différents animaux ou même les différentes
régions
d'une même moelle, mais encore dans une seule tra
mposée de la taille de l'animal et du volume relatif de l'axe dans la
région
qu'on étudie. Cet accroissement porte sur toutes
parvenu à voir sur des coupes transverses de la moelle du chat, à la
région
lombaire des fibres qui, des faisceaux et des rac
i sur le paragraphe suivant. § 4. De la moelle dans ses différentes
régions
. La moelle épinière dans les animaux mammifères
i. Les diamètres de la moelle varient beaucoup dans ses différentes
régions
; renflée vers la région lombaire, singulièrement
moelle varient beaucoup dans ses différentes régions; renflée vers la
région
lombaire, singulièrement rétrécie à la région dor
égions; renflée vers la région lombaire, singulièrement rétrécie à la
région
dorsale, elle se renfle de nouveau à la région ce
ièrement rétrécie à la région dorsale, elle se renfle de nouveau à la
région
cervicale, et s'atténue au-dessous du trou occipi
rd à la substance blanche, dans les mêmes proportions dans toutes les
régions
de la moelle. Ainsi, le plus souvent, il y a plus
dans les animaux, les faisceaux blancs s'atténuent d'autant plus à la
région
dorsale que l'axe gris du renflement lombaire est
t plus considérable, ce qui semble indiquer qu'à mesure que certaines
régions
de la moelle prennent plus d'importance, elles re
des coupes transversales de lamoelle faites dans le milieu de chaque
région
. Je ne regretterai pas le temps que ces recherche
ris Renflement lombaire. 1054 449 4413 1421 1636 2399
Région
dorsale. 1082 475 3915 1115 328 564
1 1314 Celte réduction des faisceaux blancs et des axes gris à la
région
dorsale de l'adulte est d'autant plus significati
ificative, qu'un grand nombre de paires nerveuses s'attachent à cette
région
de la moelle, et devraient accroître la somme de
accroître la somme de ses fibres, dans le cas où toutes celles de la
région
lombaire remonteraient vers le cerveau. On remarq
era aussi quelle importance acquièrent les faisceaux postérieurs à la
région
cervicale en regard des racines nerveuses de memb
la sensibilité intelligente? La réduction des faisceaux blancs à la
région
dorsale est beaucoup moindre dans l'homme que dan
j'ai plus haut soutenue, savoir, que toutes les fibres nerveuses des
régions
postérieures du corps ne remontent pas jusqu'au c
res relatives des aires des (ranches delà moelle prisesdans les trois
régions
indiquées chez le chat domestique. a- t„i.i» j„
mestique. a- t„i.i» j„. Aire des fais- faâ^r^cs. «-x^r Axesgns-
Région
lombaire. 2104 601 1563 Région dorsale. 1156 18
s fais- faâ^r^cs. «-x^r Axesgns- Région lombaire. 2104 601 1563
Région
dorsale. 1156 186 164 Région cervicale. 2273 67
ns- Région lombaire. 2104 601 1563 Région dorsale. 1156 186 164
Région
cervicale. 2273 676 1142 40 DE LA. MOELLE DANS
MOELLE DANS SES DIFFERENTES RÉGIONS. relative des axes gris dans la
région
lombaire de la moelle. Ces axes sont en effet réd
s que dans les animaux, mais en revanche les faisceaux blancs dans la
région
sous-bulbaire subissent une réduction beaucoup mo
u'il en soit, le ventricule enroulé dont nous parlons est propre à la
région
des couches optiques. La commissure molle qui uni
dilaté en un pavillon très-large, qui recouvre toute l'étendue de la
région
supérieure des couches optiques. Nous lui donnero
rane fibreuse intermédiaire, recouvre, à la manière d'un opercule, la
région
vestibulaire du ventricule médian. Au delà de Y o
escription de cet ensemble, en étudiant en particulier chacune de ses
régions
. § S. Description du noyau cérébral. Ce noyau
cérébral. Ce noyau est dès à présent divisé pour nous en plusieurs
régions
, savoir : 1° La région du bulbe ; 2° la région de
t dès à présent divisé pour nous en plusieurs régions, savoir : 1° La
région
du bulbe ; 2° la région de la protubérance annula
our nous en plusieurs régions, savoir : 1° La région du bulbe ; 2° la
région
de la protubérance annulaire ; 3° la région du pé
a région du bulbe ; 2° la région de la protubérance annulaire ; 3° la
région
du pédoncule ; 4° la région du bouton terminal. C
gion de la protubérance annulaire ; 3° la région du pédoncule ; 4° la
région
du bouton terminal. Comme ces différentes régions
du pédoncule ; 4° la région du bouton terminal. Comme ces différentes
régions
sont surtout distinctes à la face inférieure du n
t été soigneusement énu-cléées (1). A. Face inférieure du noyau. 1°
Région
du bulbe. Le bulbe semble, au premier abord, n'
déterminée par un plan imaginaire qui répond au bord postérieur de la
région
de la protubérance annulaire. Un sillon médian
conçue dans son ensemble, nous allons passer à l'examen de la seconde
région
, qui apparaît immédiatement au-devant du bulbe à
devant du bulbe à la face inférieure du noyau cérébral. 2a Deuxième
région
, ou région de la protubérance annulaire. La pro
ulbe à la face inférieure du noyau cérébral. 2a Deuxième région, ou
région
de la protubérance annulaire. La protubérance a
érieures s'engagent derrière les fibres moyennes, on remarque, sur la
région
pédonculaire de la protubérance, une ouverture co
à ce sujet, les belles figures publiées par M. Arnold (2). 3° De la
région
des pédoncules. Passons à la troisième région.
rnold (2). 3° De la région des pédoncules. Passons à la troisième
région
. Au delà du bord antérieur de (1) Anatomie path
orme le bouton terminal de chacune des moitiés de l'axe nerveux. 4°
Région
du bouton terminal. Le noyau gris d'enroulement
laire, nous la décrirons dans un des paragraphes suivants. 1° et 2°
Région
du bulbe et de la protubérance. La face postéri
e par l'écartement que les faisceaux postérieurs subissent dans cette
région
, après s'être un peu renflés. De cet écartement r
ue ces faisceaux recouvraient en arrière. C'est ce qui a lieu dans la
région
du bulbe. Le ventricule énormément dilaté s'y mon
ture intime de ces parties justifie cette comparaison. 3° Troisième
région
, ou région du pédoncule. Au niveau de la région
de ces parties justifie cette comparaison. 3° Troisième région, ou
région
du pédoncule. Au niveau de la région du pédoncu
son. 3° Troisième région, ou région du pédoncule. Au niveau de la
région
du pédoncule, le ventricule médian s'atténue en u
mencent à se distinguer de la masse de ces faisceaux latéraux vers la
région
des olives, mais ils ne sont point une émanation
rmant avec lui un angle aigu. Cette bande fibreuse limite en avant la
région
superficielle du faisceau olivaire. Au point où e
moyen d'une relation dont nous établirons ailleurs l'importance. 4°
Région
du boulon terminal. Au devant des tubercules qu
, la seconde à Au-devant de cette commissure, du bord interne de la
région
fasciculée du pédoncule, naissent, dans le voisin
s générales, les relations des parties fondamentales qui composent la
région
intermédiaire du noyau encéphalique. Ce ventricul
périeure du cervelet entre les deux pédoncules moyens, distingue deux
régions
dans le cœur. L'une, antérieure, comprend la poin
rajet, ce bord ceint fort exactement les parties qu'il embrasse. La
région
de la poche qui recouvre la corne antérieure du v
a poche qui recouvre la corne antérieure du ventricule latéral est la
région
fronto-pariétale que nous distinguerons en deux l
boursouflés autour de l'ensemble du ventricule latéral entourent une
région
centrale qui recouvre le noyau d'enroulement. Cet
ourent une région centrale qui recouvre le noyau d'enroulement. Cette
région
porte le nom de lobe central ou d1Insula. L'ensem
es singes où elle présente sur le milieu une arête fort saillante. La
région
intermédiaire est remarquable par la grande saill
ystème de collines et de vallées. Aussi, toute distinction absolue de
régions
est-elle artificielle. L'hémisphère est un, il n'
nts de tous, peuvent être ainsi distingués : (a) Les uns occupent les
régions
situées au-dessus de la scissure de Sylvius; (b)
ions situées au-dessus de la scissure de Sylvius; (b) les autres, les
régions
situées au-dessous; (c) d'autres, enfin, occupent
es, les régions situées au-dessous; (c) d'autres, enfin, occupent les
régions
postérieures de l'hémisphère. a. La région, sit
es, enfin, occupent les régions postérieures de l'hémisphère. a. La
région
, située au-dessus de la scissure de Sylvius, comp
postérieur, à cause de ses rapports, est nommé lobe pariétal. b. La
région
, située au-dessous de la scissure de Sylvius, ne
e sépare, derrière la scissure de Sylvius, le lobe pariétal d'avec la
région
qui occupe l'extrémité postérieure de l'hémisphèr
émisphère. Cette scissure est la scissure perpendiculaire externe. La
région
qu'elle limite, en avant, est le lobe postérieur
mi les primates. Mais entre les autres parties du crâne et les autres
régions
des hémisphères, il n'y a aucun rapport nécessair
lobe occipital dépasse de beaucoup l'os de ce nom et anticipe sur la
région
des os pariétaux. Dans l'homme, au contraire, le
crits sous le nom de plis de passage, anticipent, à leur tour, sur la
région
occipitale. Ce n'est pas tout. Dans les singes
tèbres crâniennes postérieures, et le développement de telle ou telle
région
des hémisphères. J'irai plus loin; sans doute l
e qu'on a appelé le bulbe du nerf olfactif; elle est logée dans une
région
particulière du crâne, c'est-à-dire dans les foss
croscope des tranches minces de la moelle, pratiquées au niveau de la
région
qu'occupe cet entrecroisement problématique. On v
ommissure des pyramides supplée à cette absence de commissure dans la
région
du tuber cinereum? Telle est la question que je s
u ou cordon latéral, qui forme, à la surface du groupe précédent, une
région
distincte par l'épaisseur de ses fascicules. (é
leurs observations. § «. Structure du noyau de l'encéphale dans la
région
de la protubérance et du pédoncule. Les faiscea
Les faisceaux qui constituent l'axe du bulbe se continuent dans la
région
de la protubérance et dans la région pédonculaire
e du bulbe se continuent dans la région de la protubérance et dans la
région
pédonculaire, et ces deux régions, sauf quelques
région de la protubérance et dans la région pédonculaire, et ces deux
régions
, sauf quelques particularités, ont en général la
ulter d'une accumulation considérable de fibres arciformes dans cette
région
. Elle est formée de deux plans, l'un superficie
es fibres qui composent ces deux plans sont en rapport avec certaines
régions
déterminées du cervelet dans lesquelles elles s'é
nce est propor lionne! à celui du cervelet et en particulier de ses
régions
latérales. Les épanouissements des plans profonds
uissements des plans profonds et des plans superficiels ont, dans ces
régions
, des lieux d'élection que j'indiquerai en parlant
ide antérieure est comprise entre deux plans de ces fibres. Dans la
région
de la protubérance la même chose a heu; mais avec
ostérieur, il se divise de la même manière et se p#rte dans les mêmes
régions
. C'est ainsi qu'il donne trois divisions, la prem
s deux rubans de Reil. Toutes ces choses répondent, en partie, à la
région
de la protubérance, en partie à celle des pédoncu
de la protubérance, en partie à celle des pédoncules. Cette dernière
région
est encore remarquable par l'épaisseur de la comm
ie moyenne de son corps et à son vermis. Elles appartiennent donc aux
régions
médianes du cervelet, aussi leur nombre est-il en
t, aussi leur nombre est-il en raison directe du développement de ces
régions
. Ceci posé, la description du noyau blanc sera
ce système forment un faisceau distinct qui marche parallèlement à la
région
postérieure de la scissure des Hippocampes, dans
es qui, du pédoncule, se porte immédiatement dans toute l'étendue des
régions
postérieures des hémisphères. Ce plan provient
fibres qui, de l'anneau pédonculaire, se portent dans les plis de la
région
orbitaire du lobe frontal. Il forme une tige ar
celte commissure antérieure est dans chacun d'eux destinée à unir les
régions
prédominantes de leurs hémisphères, et s'il y a d
ur du corps calleux, ou au-dessous de la scissure de Sylvius. Dans la
région
fronto-pa-riétale les entre-croisements sont si f
cule, c'est-à-dire jusqu'aux axes gris à cellules multipolaires de la
région
du bulbe. (b) Nerf pathétique. Quatrième paire
ues, comme j'avais pu le faire quant aux nerfs de la vision, dans une
région
déterminée de l'écorce du cerveau, et quelle qu'a
dernier mode de multiplication est à coup sûr possible dans quelques
régions
du système nerveux. Dans le second cas, le nomb
re encore si obscure de ce qu'on a appelé les sensations subjectives?
région
intermédiaire à la sphère des sens et à celle de
t-à-dire en procédant d'arrière en avant. La première comprend deux
régions
: l'une postérieure, est Y arrière-cerveau; l'aut
ordiforme. Ces deux lobes, de plus en plus distincts, constituent une
région
spéciale désignée sous le nom de cerveau antérieu
le cerveau intermédiaire; 5° le cerveau antérieur, c'est-à-dire cinq
régions
groupées en trois dilatations successives. On p
s. On peut dès à présent dire ce que seront un jour ces différentes
régions
. L'arrière-cerveau correspond à ce qui sera plus
alamus, c'est-à-dire à l'angle postérieur du quatrième ventricule. La
région
qui s'étend de B en C, est dans l'embryon Y arriè
s deux corps restiformes— de C en D, est le cerveau postérieur. Cette
région
correspond chez l'adulte à l'angle antérieur du q
de la vie embryonnaire, le quatrième ventricule est composé de deux
régions
qui comprennent entre elles un angle presque droi
angle presque droit — de D en E est le cerveau moyen, c'est-à-dire la
région
des lobes optiques ou tubercules quadrijumeaux. L
dont le grand diamètre est vertical, ils ne recouvrent encore, ni la
région
des lobes optiques, ni celle du cerveau intermédi
tendant ainsi d'avant en arrière, finira par recouvrir l'ensemble des
régions
postérieures de la masse encéphalique. Ces réflex
des pédoncules supérieurs du cervelet, n'existait point encore. La
région
du bulbe, bien que fort développée et démesurémen
en sorte que le plancher du quatrième ventricule était divisé en deux
régions
secondaires: l'une postérieure horizontale, l'aut
ure horizontale, l'autre antérieure presque verticale. Cette dernière
région
était recouverte par le cervelet étendu transvers
rieure du tube médullaire avait une grande épaisseur, surtout dans la
région
de la commissure des pédoncules ; les lobes optiq
lus, en même temps que sa courbe antéro-postérieure se développe. Les
régions
occipito-sphônoïdales s'étendent par degrés et fo
ptième mois elle est à peine indiquée, surtout à gauche, bien que les
régions
qui sont au-dessus de la scissure de Sylvius soie
parents des plis futurs; des lobes olfactifs énormes naissent de leur
région
inférieure ; ce n'est pas tout, le système du cor
s olfactifs, et s'accumulent souvent en quantité considérable dans la
région
cervicale de la pie-mère (1). Elle contient, av
transforment en un canal complet, ce qui a lieu, par exemple, dans la
région
cervicale de la moelle du Chat. Outre ces prolong
paux. L'un de ces replis est horizontal, il sépare dans le crâne la
région
cérébrale d'avec la région cérébelleuse. M. Cruve
est horizontal, il sépare dans le crâne la région cérébrale d'avec la
région
cérébelleuse. M. Cruveilher l'a fort bien décrit
n quelque sorte suspendu dans le canal rachidien. Ce sac, renflé à la
région
cervicale, rétréci vers le dos, renflé de nouveau
à la région cervicale, rétréci vers le dos, renflé de nouveau dans la
région
lombaire et enfin terminé en pointe vers le coccy
s sont fort abondantes au cou, à peu près nulles vers le sommet de la
région
dorsale, et deviennent peu à peu plus nombreuses
viennent peu à peu plus nombreuses vers la partie inférieure de cette
région
. Ces brides, fixées d'une part à la dure-mère et
llet viscéral, que certains filaments unissent à là dure-mère dans la
région
cervicale, mais qui partout ailleurs est libre à
es quadrijumeaux. Tels sont, en effet, les rapports des différentes
régions
du crâne avec les parties fondamentales de l'encé
u à peu. Enfin, les masses ethmoïdales qu'enveloppaient en partie les
régions
antérieures du frontal, sont à la fin complètemen
s s'abaisse, et l'œil est complètement refoulé par le cerveau dans la
région
moyenne de la face (2). Ainsi la saillie des yeux
es carnassiers didelphes, par exemple, le cerveau est confiné dans la
région
pariétale; mais chez les monodelphes, il s'empare
elui de leurs arcs inférieurs la même opposition dont les différentes
régions
du tronc nous offrent un exemple. Les arcs crânie
laires de la Nouvelle-Calédonie, à un crâne réduit à la fois dans ses
régions
frontale et pariétale correspond une proclivité s
ommandées par des dilférences corrélatives, dans le développement des
régions
fondamentales du cerveau. En général, la suture m
e par un léger mouvement de bascule ; il en résulte d'une part que la
région
pariétale s'étend davantage sur le derrière de la
davantage sur le derrière de la tête et anticipe sur le domaine de la
région
occipitale, et d'autre part que le bord antérieur
s appuyer en outre sur les résultats que nous a fournis l'étude des
régions
caractéristiques de l'encéphale humain. § 3. De
ains crânes où Y occipital et le frontal ont peu de développement, la
région
pariétale prédomine, dans d'autres c'est la régio
développement, la région pariétale prédomine, dans d'autres c'est la
région
occipitale; dans d'autres enfin, c'est la frontal
occipitales et races frontales. Une prédominance trop marquée de la
région
pariétale exprime un développement incomplet de l
èbre ajoute peu de chose à l'ampliation du crâne en général, et de sa
région
cérébrale en particulier. Au contraire, l'ampliat
e blanche, cette largeur maximum correspond au bord postérieur de ses
régions
temporales, en sorte que ces régions elles-mêmes
espond au bord postérieur de ses régions temporales, en sorte que ces
régions
elles-mêmes semblent faire partie de la face. Ce
haut et d'avant en arrière. Ce n'est pas tout; chez l'enfant blanc la
région
cérébrale de l'occiput l'emporte beaucoup sur ses
en tant qu'elle peut donner une idée fort exacte du développement des
régions
cérébrales comprises entre le sommet de la scissu
et la grande scissure médiane qui sépare les deux hémisphères. Cette
région
est fort étroite dans la plupart des Pithèques, p
t également des caractères importants, en tant que l'étendue de cette
région
indique un grand développement du système de ces
if de l'homme. J'ai donné une grande attention à la détermination des
régions
de la surface cérébrale, qui caractérisent plus p
cendant et loe doux plis supérieurs de passage, comme constituant les
régions
caractéristiques du cerveau humain, leur longueur
esquels nous sommes entrés touchant l'excellence typique de certaines
régions
cérébrales ne permettent point d'accepter celte m
assez aisément résumée : le front loge les organes intellectuels; la
région
pariétale du crâne, les facultés affectives ; qua
fectives ; quant aux facultés instinctives, leurs organes occupent la
région
postérieure et inférieure de la tête. Chacune de
inférieure de la tête. Chacune de ces facultés a d'ailleurs, dans la
région
qu'elle occupe, un département défini. Elle répon
al ne loge pas tout le cerveau, loin de là, et dans l'homme certaines
régions
de la vertèbre pariétale s'accroissent au moins a
le moment à l'expliquer. Toutefois, l'antagonisme qui existe entre la
région
frontale et l'occipitale, et qui ne leur permet p
activité supérieure? A cela je répondrai que certaines parties de la
région
pariétale du cerveau caractérisent aussi bien l'e
outefois, avons-nous dit, au milieu de ce développement général trois
régions
se distinguent plus particulièrement par leur gra
convolu-tionnaire qui longe la grande scissure cérébrale. Ainsi cette
région
nous paraît-elle mériter de fixer plus particuliè
e sont difficilement conciliates avec un grand développement de cette
région
, dont une grande réduction de la vertèbre frontal
e côté opposé. La section transversale des cordons postérieurs à la
région
dorsale donna lieu à des résultats différents. Le
nt notée. Le cordon postérieur gauche de la moelle fut divisé dans la
région
cervicale entre la deuxième et la troisième vertè
t y fut conservé. Cet effet croisé des lésions de la moelle dans la
région
cer- (1) Fodera. Recherches expérimentales sur
x-ci. Ainsi, après la section des deux cordons postérieurs dans cette
région
, la sensibilité des extrémités antérieures est dé
timent fut détruit et le mouvement affaibli. Il coupe enfin vers la
région
dorsale l'un des cordons postérieurs, la sensibil
dans le cas de la section d'un seul de ces cordons pratiquée dans la
région
dorsale ou cervicale, l'hypéresthésie du côté lés
train de derrière, après la section des deux cordons postérieurs à la
région
cervicale, l'hypothèse la plus probable est donc
. Si l'on tranche, par exemple, la moitié droite de la moelle vers la
région
lombaire, il y aura hypéresthésie dans le membre
à Fodera (1) vient en aide à cette manière de voir. La division de la
région
lombaire de la moelle en deux moitiés symétriques
dit Van Deen, l'une des moitiés de la moelle d'une grenouille dans la
région
de la deuxième vertèbre et l'autre moitié dans la
ille dans la région de la deuxième vertèbre et l'autre moitié dans la
région
de la cinquième, l'animal perd tout mouvement dan
Fodera. Loc. cit. Exp. 10. Il divisa longitudinalement la moelle à la
région
lombaire de manière à la partager en deux moitiés
des cordons postérieurs s'atténuent de plus en plus en passant de la
région
dorsale à la région cervicale, mais cette réducti
eurs s'atténuent de plus en plus en passant de la région dorsale à la
région
cervicale, mais cette réduction ne va jamais jusq
est intact, l'harmonie des mouvements.respiratoires se maintient. Une
région
est plus particulièrement active dans le bulbe, c
orps a toute sa grandeur et toute sa puissance ; aussi la forme de la
région
occipitale du crâne subit-elle des variations sin
nce. Chargeons d'un plus grand poids l'aiguille appliquée à, ces deux
régions
de la peau. Eh bien! cette peau si sensible de l'
gnalerons plus particulièrement l'existence des papilles en certaines
régions
où le toucher est plus délicat. On sait que l'imp
ales du cou et du tronc, surtout chez les enfants, et enfin certaines
régions
pilifères, comme les arcades sourcilières, quand
lent les chatouillements se développent surtout dans le voisinage des
régions
excitées; ainsi les chatouillements du tronc évei
r de rappeler que les chatouillements sont surtout ressentis dans les
régions
qu'animent ces branches cutanées des nerfs interc
pour bien comprendre ces résultats merveilleux, il faut concevoir la
région
automatique du système nerveux comme étant jusqu'
utres affections nerveuses, la mémoire peut illuminer tout à coup les
régions
les plus obscures du passé. Ces souvenirs, ou plu
ndormie, il lui demanda doucement, « en dirigeant ses paroles vers la
région
épigastrique, de lui « donner des détails sur sa
danses tourbillonnantes, des convulsions frénétiques; dans toutes les
régions
de la terre les procédés sont les mêmes. D'autr
es commissures compliquées qui unissent en un même système toutes les
régions
d'un même hémisphère, ont été jusqu'ici oubliées
des hémisphères. L'analogie ne permet-elle pas de supposer que cette
région
privilégiée a avec l'organe de la vision un rap
l'autre et relient en un même système toutes les parties, toutes les
régions
d'un même hémisphère. Par elles, toute la puissan
nière........... 28 § 4. De la moelle épinière dans ses différentes
régions
...... 36 CHAPITRE II.—»u bulbe et du noyau de l
................ ib. g 2. Structure du noyau de l'encéphale dans la
région
de la protubérance et du pédoncule.............
on au fait général de l'affaissement; mais, à cause de la forme de la
région
, il a d'abord pour seul effet le redressement de
relle et une rectitude anormale. On remarque au début, dans ces mêmes
régions
, des inflexions arrondies, en forme d'arcs réguli
gueur et d'une obliquité des apophyses épineuses moindres que dans la
région
dorsale et chez les adultes. A la fin de la malad
agissent alors pour soutenir la tête ; ils la relèvent, redressent la
région
dorsale. En voici plusieurs exemples fournis par
redressement d'une convexité antérieure ou la rectitude anormale des
régions
cervicale et lombaire, le premier effet du rappro
s vertèbres du cou, et qui est, au fond, semblable à celui des autres
régions
; 2° l'affection des deux premières vertèbres et
s malades que vous avez sous les yeux, et dont l'affection occupe les
régions
dorsale ou lombaire, nous pourrons établir les va
ulière, courte, d'un rayon variable. Cette forme se voit surtout à la
région
lombaire. h° La gibbosité présente également un
and l'enfant se tient droit, vous ne voyez qu'une légère arqûre de la
région
dorsale ; mais en faisant courber le dos et en ra
tielle ; aussi n'existe-t-il pas alors de gibbosité latérale. Ici, la
région
dorso-lombaire est bien un peu bombée d'un côté,
ne manière générale, je vous dirai que les lames aponévrotiques de la
région
, l'influence de la pesanteur, les pressions extér
moraux. Je les appelle ainsi parce qu'ils commencent par aboutir à la
région
iliaque, et vont en dernier lieu occuper la régio
t par aboutir à la région iliaque, et vont en dernier lieu occuper la
région
fémorale. Leur source est ordinairement la portio
e. Leur source est ordinairement la portion lombaire de l'épine ou la
région
dorsale inférieure. Je distingue trois degrés dan
ans la fosse iliaque, mais même renvoyer le flot de la cuisse dans la
région
de l'ilium. On peut considérer comme un quatriè
e sciatique, suit quelquefois les vaisseaux fessiers et apparaît à la
région
fessière, qu'il soulève; plus souvent il descend
enir directement des vertèbres inférieures malades. IV. abcès de la
région
postérieure du tronc. — Ils siègent dans les régi
IV. abcès de la région postérieure du tronc. — Ils siègent dans les
régions
cervicale, dorsale ou lombaire. Ordinairement des
abandonnant le lieu où ils ont pris naissance, parvenir dans d'autres
régions
. Le pus franchit la paroi thoracique, soit en arr
o-cervicaux antérieurs. — Ces abcès sont rares; ils proviennent de la
région
dorsale, remontent sur les côtés de la colonne
J'ai été consulté pour un jeune homme qui avait un mal de Pott de la
région
dorsale. Après avoir été traité pendant plusieurs
cuisse, caractère à peu près constant des abcès par congestion de la
région
iliaque, peut être prise pour un effet du psoïtis
suivant la hauteur du mal vertébral. Lorsque ce point réside dans la
région
cervicale, il y a ordinairement paralysie des mem
stait point de gibbosité. Le mal avait son siège vers le milieu de la
région
dorsale ; mais la douleur étant rapportée aux lom
arties. Vous le comprenez facilement. Si l'extrémité inférieure de la
région
lombaire se trouve atteinte, comme la moelle n'ex
miers symptômes d'un mal de Pott. On a d'abord fixé une latte dans la
région
dorsale pour la redresser; mais l'éclisse, devena
huit ans, nommé Morin, atteint de mal vertébral siégeant au bas de la
région
cervicale, et ayant éprouvé à trois reprises, dep
ERTÉBRAL SUPÉRIEUR OU SOUS-OCCIPITAL. Nous avons laissé de côté une
région
de la colonne vertébrale pour en examiner les aff
avec les condyles de l'occipital. L'anatomie nous montre dans cette
région
, des conditions organiques très-différentes de ce
e l'affection diarthrodiale. Une première classe d'affections de la
région
sous-occipitale comprend l'arthrite des surfaces
du temps détruits avec les os. Suivant le siège de l'altération , la
région
occipito-vertébrale revêt des aspects divers ; ta
déterminent des effets analogues à ceux que produit le mal des autres
régions
, des affaissements, qui se distinguent toutefois
e mal des deux premières vertèbres, on observe, comme dans les autres
régions
de la colonne vertébrale, des destructions plus é
ir ou mourir sans abcès, comme la chose a lieu dans le mal des autres
régions
. Les abcès peuvent également s'accroître et appar
La collection, quand elle existe, vient faire saillie dans plusieurs
régions
: à la nuque, sur les côtés du cou, en avant, der
, derrière le pharynx. Ce caractère lui est commun avec les abcès des
régions
du rachis les plus voisines. Le pus peut aussi s'
ion osseuse sous-occipitale guérit, comme le mal vertébral des autres
régions
, par le rapprochement, la réunion des restes osse
partielle ou générale entre deux os ou dans les trois que comprend la
région
occipito-vertébrale. Une autre forme d'ankylose
t pas à produire seulement les effets dont je viens de parler dans la
région
qu'elles occupent; elles en produisent de fort re
ut a lieu brusquement. Elle siège à la nuque et latéralement vers les
régions
mastoïdiennes, mais ne se borne pas à ces points
à l'hôpital Sainte-Eugénie. Huit jours après sa sortie, douleur à la
région
mastoïdienne gauche; la tête s'incline du côté ga
particulièrement à la nuque. Vous en avez vu déjà des exemples. Cette
région
présente ordinairement, dans les deux formes de l
ugmentation de la convexité antérieure de la colonne cervicale. Cette
région
est quelquefois encore déformée par des tumeurs f
s souvent les membres supérieurs que dans le mal vertébral des autres
régions
; quelquefois elle les affecte seuls. L'hémiplégie
x articulations et qu'elle porte à la fois sur tous les organes de la
région
, tels que les nerfs, les muscles, etc. Mais les t
itale? Recourir aux mêmes moyens révulsifs que dans le mal des autres
régions
: vésicatoires, applications de teinture d'iode,
ai présenté la pièce, éviter un affaissement aussi considérable de la
région
sous-occipitale droite. Le traitement interne a
roses, qui consistent en des articulations nouvelles formées dans une
région
plus ou moins éloignée du siège de l'articulation
Deux luxations sont antérieures : le pubis partage en deux parties la
région
qui est au-devant du colyle; dans un cas, la tête
ordinairement très-forte de l'épine, qui constitue l'ensellure de la
région
lombaire. Cette conformation est due à l'action d
ors avec le bassin un angle aigu d'un côté, obtus de l'autre côté. La
région
lombaire, et même dans certains cas presque tout
règle de l'ensellure ; elle a un autre mode de station. Vous voyez sa
région
dorsale ; elle est à peine excavée ; le bassin pr
parence semblable à celle des luxations congeniales : ensellure de la
région
lombaire, incurvation du fémur, inclinaison et ab
quilibre. On voit dans ce cas, au lieu de la concavité générale de la
région
lombaire qui caractérise la luxation fémorale, un
la luxation fémorale, une sorte de flexion brusque, en arrière, de la
région
inférieure du rachis. La seconde catégorie de p
: la luxation était iliaque; Humbert a fait descendre la tête dans la
région
ischiatique ; il y a là une amélioration. Sur deu
te nature qui va faire l'objet de nos études. Je la prends dans une
région
formant à elle seule tout un appareil locomoteur,
antérieure du calcanéum et à la tête de l'astragale. La peau de cette
région
devient épaisse, calleuse ; le tissu cellulaire s
varus sur son côté interne ; le bord interne ne pose plus que dans sa
région
tarsienne. Examinons le déplacement qu'éprouven
rtie du pied participe aussi, quoique légèrement, à la courbure de la
région
tarso-métatarsienne. Passons aux changements de
pression du sol; ils se renversent plus ou moins sur le métatarse; la
région
métatarso-phalangienne est donc courbée en sens i
sien supplée au talon normal. La peau et le tissu cellulaire de celte
région
s'organisent en conséquence. Les orteils, posan
la seconde disposition des orteils, qui est exceptionnel'e, toute la
région
métatarso-phalangienne est courbée vers la plante
t reste en partie à découvert sous les ligaments et les tendons de la
région
postérieure. Ce déplacement peut aller jusqu'à co
ochée de la jambe ; elle peut être plus ou moins déviée en dehors. La
région
du talon est aplatie; à peine sent on le tendon d
édio-tarsien, ou du long péronier, sont ceux du talus commun, dans la
région
du talon, et du pied creux, dans la région antéri
x du talus commun, dans la région du talon, et du pied creux, dans la
région
antérieure du pied. Cette dernière déformation es
u aujourd'hui que cette opération est très-praticable dans toutes tes
régions
où des tendons s'opposent à l'attitude naturelle
u l'autre point. Le long péronier peut être divisé seul dans les deux
régions
, tandis que le court ne peut être coupé isolément
p profondément placés pour qu'il convienne de les chercher dans cette
région
. Ce n'est qu'au pied, principalement sur les prem
trition et de leur accroissement normal. Rachitisme des différentes
régions
. — Suivons maintenant ces effets dans les différe
érentes régions. — Suivons maintenant ces effets dans les différentes
régions
du squelette. Pour plus de clarté, j'examinerai
tte, bien qu'on se soit servi de son nom pour désigner la maladie. La
région
lombaire est celle qui est le plus souvent déform
reste que deux millimètres d'intervalle entre la base du sacrum et la
région
cotyloïdienne gauche. L'influence mécanique des
ontraire sur ces autres figures qui représentent des déviations de la
région
lombaire. Il y a rétrécissement oblique du détroi
hitisme affecte principalement, à son début et pendant sa durée , les
régions
qui offrent la plus grande activité de développem
es du crâne et de lû face propres à l'enfance, outre le contraste des
régions
frontale et orbitaire, très-développées, avec les
ntraste des régions frontale et orbitaire, très-développées, avec les
régions
maxillaires, qui le sont beaucoup moins, l'expres
ques du rachis, et notamment la courbure à convexité antérieure de sa
région
lombaire, qui est surtout déterminée par la situa
ient de plus en plus manifeste. La courbure en sens contraire de la
région
dorsale augmente d'ailleurs manifestement la cour
les et des ligaments intervertébraux. L'action musculaire courbe la
région
cervicale dans le même sens que la région lombair
action musculaire courbe la région cervicale dans le même sens que la
région
lombaire, et par une raison semblable, pour ramen
bes, ce sont eux principalement qui maintiennent les vertèbres de ces
régions
inclinées en arrière les unes sur les autres. Sép
. Le siège spécial de cette cyphose rachitique est à la réunion des
régions
dorsale et lombaire. Cela tient à plusieurs cause
rsale et lombaire. Cela tient à plusieurs causes : 1° c'est, après la
région
cervicale, le point le plus mobile du ra-chis; 2°
'adulte ; U° les courbures physiologiques sont alors peu marquées; la
région
dorsale n'a pas la même tendance que chez l'adult
pas la même tendance que chez l'adulte à s'infléchir en avant, et la
région
lombaire ne présente pas, parsa configuration, la
cette flexion antérieure du cou et du dos, ou seulement d'une de ces
régions
, est une attitude qu'une foule de causes tendent
cyphose ne porte qu'accessoirement sur les vertèbres cervicales ; la
région
lombaire y participe rarement ; sa courbure physi
e inférieur des omoplates; elles sont, comme l'on dit, ailées. A la
région
antérieure, le cou est tendu obliquement en avant
st reporté en arrière ou en avant, suivant la direction qu'affecte la
région
lombaire. On voit des enfants rejeter le tronc en
st encore plus considérable , et forme presque un angle droit dans la
région
dorsale supérieure. Voici un exemple d'une défo
omatique. Je considérerai la première, en particulier, dans les trois
régions
du rachis , mais surtout au cou et aux lombes ; c
r direction normale, de même la lordose se voit bien plus souvent aux
régions
cervicale et lombaire, à cause de leur (1) Orlh
sensibles avec les variétés individuelles de cambrure que présente la
région
lombaire, de sorte qu'il est difficile de dire qu
partie postérieure s'élève en arrière, tandis que l'antérieure ou la
région
pubienne s'abaisse. Le mécanisme de cette incli
entre les lombes et le plan qui supporte le corps. Cela donne à celte
région
l'apparence d'une selle ; de là le nom à'ensellur
vêler trop jeunes, contractent un excès de concavité supérieure de la
région
lombaire, et même dorsale, du rachis, que l'on at
entivement l'attitude du sujet pendant les exercices, en examinant la
région
postérieure du tronc, afin de reconnaître la form
ur un lit mou, où il tend à décrire une courbe inverse de celle de la
région
lombaire ; on élève la tête, et surtout le bassin
le ou de peau sur l'abdomen et le bas du thorax, en même temps que la
région
des épaules et le bassin sont relevés et appliqué
ux extrémités de l'arc , du côté de sa concavié , c'est-à-dire sur la
région
dorsale et les épaules d'une part, et sur la part
ez les femmes. III. Lordose dorsale. — Il n'est pas démontré que la
région
dorsale soit jamais atteinte primitivement de lor
autre point du rachis une déformation qui aurait précédé celle de la
région
dorsale, et qui en serait la cause déterminante.
chis peuvent être déterminées par cette cause, fréquente surtout à la
région
cervicale. Mais leur histoire se rattache dans ce
inclinaison du squelette pour la conservation de l'équilibre. A la
région
cervicale , cette lordose symptomatique est ordin
cervicale se produit dans le mal vertébral avec cyphose du haut de la
région
dorsale. Le renversement de la tête est alors d
s jugulaires externes sont gonflées ; toutes les parties molles de la
région
antérieure du cou sont tendues ; l'allongement, l
change brusquement la direction du rachis, fortement incliné dans la
région
dorsale. Il faut souvent quelque attention pour
niquement dans les cas de cette espèce, lorsque la cyphose occupe les
régions
cervicale ou (1) Œuvres d'Hippocrate, trad. par
ins fréquemment que dans la cyphose. La lordose symptomatique de la
région
lombaire se produit dans la cyphose sacrée, dorsa
sorption du pus. Aujourd'hui il présente un nouvel abcès dans la même
région
, dans la fosse iliaque droite ; mais je ne désesp
supérieure du dos; chez l'autre, c'est la partie inférieure de cette
région
qui a été primitivement affectée. IVe cas. — Ch
occupe les lombes et le sacrum, et la lordose est à la hauteur de la
région
des reins. Ve cas. — Cet autre présente la disp
de Montpellier, t. I et II. (6) hoc cit., p. 333. l'occiput et la
région
du dos, des lombes et du sacrum. Cependant quelqu
rnée à droite ou à gauche. Je n'en excepterai que les courbures de la
région
cervicale avec (1) Loc. cit. (2) Loc. cit., p
e vous le voyez sur ces dessins et sur cette pièce anatomique (1). La
région
cervicale s'infléchit le plus, puis vient la régi
natomique (1). La région cervicale s'infléchit le plus, puis vient la
région
lombaire ou plutôt dorso-lombaire ; car, suivant
es et sur le sacrum est pour le moins aussi prononcée que celle de la
région
dorso-lombaire, de sorte qu'il y a comme deux ang
(4) Pl. 2, fig. 5. En raison de la différence de mobilité des trois
régions
* c'est surtout, comme Shaw (1) en a déjà fait la
portion intermédiaire, presque droite, qui répond à une partie de la
région
dorsale. La forme du tronc tient à la fois, dan
u prolongée d'une épaule, suivie de flexion latérale habituelle de la
région
dorsale; le port de fardeaux d'un même bras, prod
membres inférieurs, vous l'avez vu, exercent la même influence sur la
région
lombaire* Tout ce que nous savons maintenant des
cture. — Commune au cou , mais accompagnée de rotation; très-rare aux
régions
dorsale et lombaire. 2° Flexion latérale par pa
nsation, qui n'est longtemps qu'une simple flexion, s'établit dans la
région
cervico-dorsale. Dans toute claudication, quell
à droite due à une synovite cervicale , probablement rhumatismale. La
région
dorsale s'infléchit à gauche avec le bas de la ré
humatismale. La région dorsale s'infléchit à gauche avec le bas de la
région
cervicale; c'est une scoliose de compensation.
ets aux jeunes filles, « le thorax devient proéminent en avant, ou la
région
opposée, celle du rachis, devient gibbeuse ; qu'i
dans chacune d'elles. Les plus courtes, qui se voient surtout dans la
région
dorsale supérieure, ne comprennent que trois ou q
en jugerez en jetant les yeux sur tous ces rachis. C'est surtout à la
région
dorsale que l'on observe le plus d'irrégularités,
montre déjà dans les premières dorsales, quelquefois dès le bas de la
région
cervicale , et on la retrouve jusque dans les der
près certain, si elle est accompagnée d'une saillie opposée dans une
région
voisine. On a quelquefois pris cette saillie pour
his en générai. — Le siège le plus fréquent de ces courbures est à la
région
dorsale supérieure ou moyenne ; leur concavité es
t se porte de nouveau à gauche pour regagner la ligne médiane vers la
région
cervicale, qui ne participe que fort peu à ces ch
lement et passe à gauche, comme vous avez vu la cyphose normale de la
région
dorsale se changer en lordose par la seule action
péciales, avec rotation, comprises sous le nom de torticolis. Mais la
région
cervicale est souvent affectée de cyphose ou de l
le sont tombés les anciens. La concavité antérieure naturelle de la
région
dorsale favorise cette inclinaison en avant du ra
noncées, conservent et exagèrent même la convexité naturelle de cette
région
, en la portant seulement un peu sur le côté. Mais
ose naturelle s'efface et la convexité devient postérieure comme à la
région
du dos : c'est ce que l'on voit sur ces beaux exe
caractères particuliers à son ensemble. Dans les fortes courbures, la
région
antérieure de la colonne est formée par le côté a
rochées, serrées, quelquefois articulées ou soudées entre elles. A la
région
postérieure se voient : Io la série des apophyses
s importe le plus de connaître, c'est la configuration nouvelle de la
région
postérieure du thorax. La petite différence de vo
e du thorax. La petite différence de voussure des deux côtés de celte
région
, dont je vous ai montré des exemples dans la cour
scoliose. Un grand nombre sont des gibbosités latérales droites de la
région
dorsale. En voici une d'une espèce assez rare, en
lombaire, nous avons vu quels désordres la scoliose entraîne dans îa
région
postérieure du thorax. Il nous reste à examiner l
postérieure du thorax. Il nous reste à examiner la conformation de sa
région
antérieure et la disposition de sa cavité. Les
Remarquez que l'aplatissement antéro-latéral répond dans ce cas à la
région
précordiale, dilatée au contraire dans les courbu
ation du bassin. Le sacrum participe parfois aux déformations de la
région
lom- (1) Voy. pl. 3, fig. 8, et pl. 6, lig. 1 e
cles extrinsèques eux-mêmes, les muscles larges et superficiels de la
région
dorsale, participent à la longue à ce défaut de n
on de revenir. c. Cœur. — Le cœur échappe, par sa situation dans la
région
tho-racique antérieure, à la pression directe des
t, si le rétrécissement du thorax est considérable, si le sternum, la
région
précordiale, sont particulièrement déprimés, si l
replie en sens contraire comme le rachis, et suit la direction de la
région
lombaire. 2° S'il s'agit, comme dans les deux aut
dans les déviations dorsales, réduit, en outre, la circonférence des
régions
abdominales supérieures. L'inclinaison du tronc e
ngent néanmoins à la longue ; l'estomac descend plus bas et occupe la
région
ombilicale. J'ai vu les* intestins grêles ramassé
érieures sont très-peu affectées; la courbure est presque bornée à la
région
dorsale. Les reins restent en général parallèle
laire. Fleischmann (2) cite un cas de courbure double, dans lequel la
région
cervicale était ainsi tordue sur elle-même. La
si elle était exacte, la courbure à droite ne serait pas bornée à une
région
du rachis, et l'on ne verrait pas non plus la réd
s eblorotiques ou dont la menstrua- (1) Loc. cit. (2) Voyage a,ux
régions
êquinoxiales. Paris, 1814. lion est difficile,
eur des dernières côtes. On voit même assez fréquemment, au bas de la
région
cervicale gauche et visrà-vis la partie supérieur
assez souvent à voir, dans cette période, des dé- « formations de la
région
antérieure de la poitrine, notamment une saillie
ui distinguent celte période de la suivante. Les déformations de la
région
thoracique antérieure sont plus constantes et plu
prononcées dans cette deuxième période que dans la première. Toute la
région
antéro-gauche, dans la scoliose commune, est plus
ulève le sein et le rend plus saillant. La partie inférieure de cette
région
est quelquefois saillante à droite, du côlé de la
lors d'aspect : l'inégalité des deux côtés du tronc s'accroît dans la
région
dorsale et diminue aux lombes; la région lombaire
s du tronc s'accroît dans la région dorsale et diminue aux lombes; la
région
lombaire, en s'inclinant à droite, se porte sur l
té gauche des lombes et de la dépression de leur côté droit. Toute la
région
inférieure du tronc, obliquement dirigée comme le
sur le bassin , et l'équilibre n'est rétabli que par le retour de la
région
dorsale supérieure vers le côté gauche, par l'inc
égion dorsale supérieure vers le côté gauche, par l'inclinaison de la
région
cervicale dans le même sens, et par l'abaissement
ée sur son côté externe. Cette bosse monte plus ou moins haut vers la
région
cervicale, qui peut s'y trouver en partie compris
. Il n'y a pas de troisième courbure appréciable. Les muscles de la
région
dorso-lombaire gauche sont déprimés dans leur por
'inverse : la saillie est en haut; l'aplatissement siège en bas, à la
région
lombaire. Celte alternative de saillies et de dép
e; c'est la disposition habituelle. Le bassin ne correspond plus à la
région
moyenne du dos, il semble reporté à gauche. La
lévation de l'épaule, ce qui indique que la courbure s'étend peu à la
région
cervicale. L'omoplate gauche est oblique; l'angle
nclinée à droite peut bien se fléchir davantage dans ce sens; mais la
région
dorsale, concave à gauche, ne fait que se redress
e courbe à concavité droite. Si la flexion se fait à gauche, c'est la
région
lombaire qui ne peut obéira ce mouvement, et la r
uche, c'est la région lombaire qui ne peut obéira ce mouvement, et la
région
dorsale seule qui l'exécute. Remarquez que, tandi
des lombes, en même temps que les fléchisseurs latéraux opposés de la
région
dorsale augmentent la courbure dorsale. L'effort
y est plus absolue. La poitrine est sonore partout ailleurs dans les
régions
occupées par les poumons. Le souffle respiratoi
e rencontre la matité ; il est normal ou peu affaibli dans les autres
régions
. La percussion et l'auscultation du cœur le mon
rtique exagérée, c'est à peine si l'on peut trouver une courbure à la
région
dorsale du rachis. Cependant nous trouvons les si
Le bas du sternum est très-saillant et avance en pointe au delà de la
région
épigastrique. Les cartilages costaux sont à peu p
num , et la respiration s'entend dans une plus grande étendue de la
région
sternale ; la percussion y rend un son plus clair
llie ou de volume est toujours légère, générale, et non limitée à des
régions
spéciales. La cause de cette flexion se révèle so
e produit des saillies, des dépressions circonscrites, dans certaines
régions
déterminées du tronc. Conserve-t-on des doutes
rbure latérale permanente. c. Si une courbure par déformation de la
région
dorso-lombaire était le produit de la rétraction
produites par d'autres causes, comme une voussure circonscrite de la
région
postérieure du thorax, indépendante du rachis, un
ces cas, on ne voit la saillie alterner à droite et à gauche dans les
régions
dorsale et lombaire. Cette disposition, lorsqu'el
qui accompagne la courbure de l'épine. Les saillies partielles de la
région
antérieure sont plus communes; on reconnaît aisém
antérieure sont plus communes; on reconnaît aisément, en explorant la
région
dorsale, si elles dépendent ou non de la scoliose
e primordiale ou acquise d'une moitié du corps, n'est pas borné à une
région
comme la saillie musculaire de la scoliose; il s'
le à droite et à (J) Douzième leçon, 7 août 1857. gauche dans une
région
de la colonne vertébrale. Les moyens dont nous di
ina , les frictions stimulantes le long du dos, le massage de la même
région
, etc. Il faut placer sur la même ligne que ces
Si la flexion du rachis, dans ce cas, ne se produisait que dans la
région
incurvée, elle aurait pour effet de comprimer son
, puisque la tête, le cou, le sommet du thorax , pèsent encore sur la
région
dorsale ; mais, d'un autre côté, elle fait plus e
r beaucoup trop sur le cou pour que cet effet fût très-marqué dans la
région
dorsale. Nous étions obligés de faire la contre-e
assin. Elles diminuent, en conséquence, l'effet de l'extension sur la
région
cervicale et sur le haut de la région dorsale, et
, l'effet de l'extension sur la région cervicale et sur le haut de la
région
dorsale, et elles parent aux inconvénients d'une
se de son milieu au moyen d'une bande pelvienne et de la pelote de la
région
dorsale ou d'une bande qui en remplit l'office.
, appareils d'ailleurs très-gênants, ne sont-ils en usage que pour la
région
cervicale ou dans des cas exceptionnels de courbu
e ou assez élastique pour ne pas froisser les parties molles de cette
région
. Les tuteurs sont ordinairement composés de deu
. Il corrige assez bien l'inclinaison, mais il ne fait pas pencher la
région
lombaire en sens inverse; dès qu'on ôte l'apparei
des vertèbres est démontré par les saillies latérales alternes de la
région
dorso-lombaire , il reste toujours quelque chose,
.... III. Abcès ilio-abdominaux.................. IV. Abcès de la
région
postérieure du tronc.......... 30 V. Abcès thor
Troisième période................... 277 Rachitisme des différentes
régions
............... 280 a. Rachitisme de la tête....
mort à t'age de 59 ans d'une maladie indéterminée. Vivant dans une
région
marécageuse, où sévit le paludisme, qui frappe
s, est pourtant plus grande que celle de son frère, surtout dans sa
région
antéro- inférieure, la face; la partie crânienn
eu foncée, est sèche, froide et glabre, et trop large dans quelques
régions
. Les ongles ne sont pas striés et n'offrent rie
utres blancs. Les cheveux sont assez denses bien que dans certaines
régions
ils soient plus rares. Le front de moyennes d
enfoncée entre les épaules. Les téguments sont ridés dans toute la
région
du cou. (1) Nous ignorons complètement ses anté
ble plutôt portée en avant. La colonne vertébrale présente dans la
région
dorsale inférieure une légère scoliose dont la
n, ce qui détermine un plis- sement très accusé des téguments de la
région
antérieure et latérale de l'abdo- men. La palpa
. Le tissu adipeux du mont de Vénus est disparu. Les poils de cette
région
sont rares et très minces. Les membres supéri
ée surtout par des cellules cromophobes, mais on remarque aussi des
régions
où les cyanophiles sont assez nombreuses. Les é
tion. Mais sur des frottis ou des coupes de la moelle provenant des
régions
en contact immédiat avec l'os, il ne nous a pas
bule inférieur gauche est congestionné, mais' on ne constate pas de
régions
atélectasiées. Il semble exister un petit reste
ésentent des altérations très accentuées mais variables suivant les
régions
. C'est ainsi que la calotte crânienne est épais
il s'agit des cellules éosinophiles. Le colloïde s'observe dans une
région
limitée contenant des follicules dilatés, au vo
adipeux. Dans le tissu glandulaire lui-même, on observe à côté des
régions
dont les acini présentent leur structure normal
lésions nécrotiques 'et atrophies marquées de cellules. Dans les
régions
normales, ou constate des îlots de Langerhans pré
s restes de leucocytes ou d'au- tres substances. Il y a aussi des
régions
où on observe une quantité très marquée de bulles
pochrome, mais en rouge brun. Mais il est vrai que, même dans cette
région
, il existe aussi des cellules infiltrées de lyp
anneau de tissu conjonctif. Sur d'autres coupes provenant d'autres
régions
, on peut voir par ci par là la disposition en c
dénomateuse du corps thyroïde, transformation qui, dans cer- taines
régions
, était si prononcée, qu'un observateur non préven
dire de quel organe il s'agit. La substance colloïde était dans ces
régions
complètement absente, et en gé- néral les folli
tuée. A son entrée à l'hôpital on observe une cyphose marquée de la
région
dor- sale moyenne avec lordose compensatrice da
e de la région dor- sale moyenne avec lordose compensatrice dans la
région
cervicale supérieure, thorax projeté en avant,
acie avec le syndrome de Basedow, cet auteur remarque que certaines
régions
où l'ostéomalacie est en quel- quesorte endémiq
Tolat et Sarvonat en citant l'opinion de lIoenicke,ajoutent(lUe la
région
lyonnaise, que les travaux de Poncet et Jayet (
ue les travaux de Poncet et Jayet (25) ont fait connaître comme une
région
goitreuse, semble être aussi un pays à ostéomalac
re. Le malade assure qu'il eut toujours celle saillie anormale à la
région
dorsale des deux poignets. Ses parents interrogés
ente de la main en avant et dans un raccourcissement apparent de la
région
carpienne, de façon que les mains sont séparées d
e face palmaire- extrémité supérieure droite. L'élargissement de la
région
du poignet apparaît évident, l'espace interosse
té cubital {extrémité supé- rieure droite). La radiographie de la
région
radiocarpienne, vue dans son ensemble, nous lai
explique parfaitement l'altération des rapports photographiques. La
région
radio-carpienne reste normale. Les diapbyses du r
u dessiner. Il représente exactement les altérations osseuses de la
région
radio-carpienne observées dans notre cas (V. fig.
s poslérieures tournées vers le haut. A cause de cette rotation, la
région
carpo-métacarpienne en totalité reste dans un p
s- sant à étudier de la question. Par un examen très attentif de la
région
, il est très possible de s'engager dans des con
et une difficulté des mouvements de la colonne verté- brale dans la
région
du cou. La propagation de l'ankylose, qui descend
endit avec les douleurs amena, en un mois, l'ankylose de toutes les
régions
de la colonne ver- tébrale. Deux semaines après
olue de toute la colonne vertébrale et de la tête, cyphose dans les
régions
cervicale inférieure et dorsale supérieure en for
cifiques, mais des douleurs intenses au moindre mouvement ; dans la
région
lombaire surtout, il y a des douleurs qui irradie
y a des douleurs qui irradient dans la cuisse droite, et, il la la
région
de la nuque, des douleurs semblables, qui se po
semaines et ressentit des douleurs au cou ; une immobilité de cette
région
se développa rapidement. L'évolution de l'ankylos
aules. Etat au moment de l'ecamen. - Cyphose peu accentuée dans les
régions
cervicale inférieure et dorsale supérieure. La
1 centimètre par comparaison avec l'extrémité gauche. Douleurs à la
région
lombaire, à la poi- trine et aux grandes articu
ouleurs aiguës le long de toute la colonne ver- tébrale, surtout la
région
lombaire ; ces douleurs, plus ou moins accentuées
alade est pâle et amaigri. Les viscères sont intacts. Cyphose de la
région
dorsale supérieure et cervi- cale inférieure :
paississpment des muscles longs du dos et de quelques muscles de la
région
de l'épaule. Absence complète de douleurs spont
commerçant, se plaint de douleurs aux articulations des genoux, aux
régions
lombaire et dorsale, de l'impossibilité de redres
urs et une propagation lente de l'ankylose se manifestèrent dans la
région
lombaire et dans les articulations de l'épaule.
urtout la musculature sont bien développés. Cyphose et ankylose des
régions
dorsale et lombaire de la colonne vertébrale. L
es arti- culations sont intactes. Pas de dépôt osseux. Douleurs aux
régions
lombaire et dorsale, aux articulations coxo-fém
sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs aux diverses
régions
du corps, surtout à la région lombaire et aux c
ressentit des douleurs aux diverses régions du corps, surtout à la
région
lombaire et aux cuisses; en même temps, sans qu
nt de l'examen. Les viscères sont intacts. Cyphose uniforme dans la
région
thoracique. La lordose lombaire physiologi- que
ue. La lordose lombaire physiologi- que est aplatie. Immobilité des
régions
lombaire et thoracique. Le tronc se meut comme
ées, les douleurs n'apparaissent ([n'il l'occasion des mouvements aux
régions
lombaire, dorsale, aux omoplates, aux cuisses e
ux ans, sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs à la
région
lombaire et aux articulations fémorales et une
e a l'air épuisé, il ne peut redresser le dos. Cypho-scoliose dans la
région
dorsale, immobilité complète de toute la colonn
logique le 21 septembre 1906. Le malade se plaignait de douleurs à la
région
lombaire et au cou ; ces douleurs irradiaient d
apparente, il ressentit, à chaque mouvement, des douleurs aiguës à la
région
lombaire, 5 mois après au cou et plus tard des
oncée, ce qui fait avancer les épaules. Immobilité com- plète de la
région
lombaire et thoracique. Le cou reste libre. Absen
s un mois de séjour à l'hôpital. Atrophie de quelques muscles de la
région
de l'épaule et de toute l'extrémité supérieure
pparente, apparaissent de faibles dou- leurs aux mouvements dans la
région
du sacrum ; deux ans après, dans la région lomb
s aux mouvements dans la région du sacrum ; deux ans après, dans la
région
lombaire et, plus tard, dans les articulations de
, il n'est pas alcoolique. Etat du malade au moment de l'examen. La
région
cervicale de la colonne vertébrale est libre; l
examen. La région cervicale de la colonne vertébrale est libre; les
régions
dorsale et lombaire de la colonne vertébrale se
dorsale et la lordose lombaire sont aplaties ; faible scoliose de la
région
dorsale inférieure ; aucune vertèbre n'est sail
respiration. Immobilité absolue de la colonne ver- tébrale dans les
régions
dorsale et lombaire. Limitation des mouvements et
a gymnastique, il tomba à terre en sautant et se donna un coup à la
région
lombaire : pendant deux semaines il eut de l'inco
u près, sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs à la
région
lombaire et aux articulations des hanches. Les do
le ; il a un teint pâle Les viscères sont intacts. La cyphose de la
région
dorsale pré- sente une courbe régulière à grand
a région dorsale pré- sente une courbe régulière à grand rayon ; la
région
loml)aire et le sacrum sont sur le même plan. L
tés inférieures sont épaissis ; il existe une faible tumeur dans la
région
des métatarsiens gauches. Absence d'autres défo
ans les articulations des genoux. Faible atrophie des muscles de la
région
des épaules et des muscles sous-cutanés du dos
s le ser- vice neuro-pathologique. Il se plaignait de douleurs à la
région
lombaire qui irra- diaient dans les jambes. Il
Depuis trois mois il ressent des dou- leurs dans les jambes et à la
région
lombaire et, depuis un mois, il ne peut plus re
e de la colonne vertébrale et immobilité de cette deruière dans les
régions
dorsale et lombaire. Les deux bras ne peuvent se
s, des douleurs et une difficulté des mouvements apparurent dans la
région
lombaire. Le malade passa trois mois à l'infirmer
trition. La courbe de la déviation de la colonne vertébrale dans la
région
dorsale est à grand rayon. La lordose de la régio
vertébrale dans la région dorsale est à grand rayon. La lordose de la
région
lombaire est aplatie. Laçage thoracique est enf
xiste une immobilité absolue de la colonne vertébrale, sauf dans la
région
cervicale. L'amplitude des mouvements n'est pas l
ont intactes. Absence d'osléophytes et de déformations osseuses. La
région
du pharynx est diminuée dans son diamètre antéro-
mois plus tard se manifesta une difficultés des mouvements dans la
région
loin- haire, qui se propagea, dans l'espace de
loin- haire, qui se propagea, dans l'espace de deux années, sur la
région
du thorax ; les trois derniers mois, il ressent
co- lonne vertébrale est d'une configuration normale, sauf dans la
région
lombaire où la lordose est aplatie. Les mouveme
éformation des os ainsi que d'alnjjnhïe musculaire. Dou- leurs à la
région
lombaire, au cou, dans les arlîcalafions des épau
et du cou-de-pied gauche. Puis, un an plus tard, les douleurs de la
région
lombaire s'accentuent et nue lente propagation de
uleurs à leur occasion dans les articulations temporo-maxillaires. La
région
des petites articulations des deux pieds est en
eux pieds est enflée. Atrophie ou tension de quelques muscles de la
région
de l'épaule. Douleurs aux mouvements dans les a
émorales, le corps penché en avant et du côté droit. Scoliose de la
région
dorsale. Immobilité de la région dorsale et lom
t et du côté droit. Scoliose de la région dorsale. Immobilité de la
région
dorsale et lombaire du rachis ; le cou reste libr
ent dans une 136 ELDAROFF de ses parties, le plus souvent dans la
région
sacro-lombaire avec irradia- lion des douleurs
lations coxo-fémorales ; les douleurs com- mencent rarement dans la
région
du cou (obs. I, IV), dans les grandes articulat
ade tenait immobiles à cause des douleurs (c'est le plus souvent la
région
sacro-lombaire avec les arti- culations coxo-fé
f et les douleurs ne sont qu'un symp- tôme de ce processus. 9° La
région
principale de l'ossification dans la spondylose r
ent de bas en haut (onze cas) ces dou- leurs se manifestent dans la
région
sacro-lombaire et dans les articulations des ha
ro-lombaire et dans les articulations des hanches. Du moment où ces
régions
sont ankytoséesjeprocessusd'ossi fication se pr
e », le long de la co- lonne vertébrale, et, après avoir atteint la
région
dorsale, s'arrête pour longtemps. C'est à ce mo
rs années, les douleurs aiguës et l'immobilité apparaissent dans la
région
des épaules, comme elles sont apparues déjà dan
dans la région des épaules, comme elles sont apparues déjà dans la
région
du bassin. La colonne ver- tébrale dans ses par
rarement, dans une direction opposée (trois cas) : il commence à la
région
du cou et des articulations des épaules, descend
ns des épaules, descend le long de la colonne vertébrale jusqu'à la
région
sacro-lombaire, s'arrête dans celle-ci pour que
rrête dans celle-ci pour quelques années souvent, et soude enfin la
région
du bassin et les articulations des hanches. 1
e jusqu'au sacrum (dans 8 cas), ou bien elle n'est immobile qu'à la
région
dorso-lombaire (dans 6 cas). 11° La cyphose d
la respiration ; le type de la respiration est abdominal. 14° La
région
de l'abdomen est divisée par un pli horizontal, q
-XII[, il existe une saillie du corps des vertèbres cervicales à la
région
du pharynx et un dépôt d'ostéophytes sur la sur
ères disparaissent. Les douleurs ont leur maximum d'acuité dans les
régions
de la colonne vertébrale qui ne sont pas encore
sont de faibles atrophies simples et une rigidité des muscles de la
région
des épaules, du bassin et des muscles qui entou
le malade pousse des cris à cause des douleurs provoquées. Toute la
région
autour de l'articu- lation coxo-fémorale est oe
la crête iliaque correspondante. Au devant de l'articulation, à la
région
inguinale, on trouve une proéminence, au lieu d
uinale, on trouve une proéminence, au lieu du creux normal de cette
région
. Le membre droit est beaucoup plus court que le
e son existence, le malade s'est plaint d'une forte douleur dans la
région
cervicale de la colonne vertébrale, de sorte que
adipeuse, le cou est énorme, la poitrine et l'abdomen ainsi que la
région
fessière présentent une li- pomatose diffuse.
s et aux chevilles. Les pieds et les mains sont normaux. Toutes les
régions
adipeuses sont très douloureuses à la pression.
uxième ciconvolution frontale droite, sur les circonvolutions de la
région
motrice gauche. La pie- mère est adhérente au c
épithéliales ont conservé leur ordination régulière. Dans d'autres
régions
, il y a un bouleversement total des cellules épit
revêt la constitution et la physionomie de l'adénome. Dans d'autres
régions
de la Adénome de la glande thyroïde. 1, Tissu
les unes des autres par un tissu scléreux très dense. Il s'agit de
régions
présentant les caractères du goître folliculair
a matière colloïde qu'elles sont situées davantage au centre de ces
régions
enkystées. En résumé, chez une femme atteinte d
es éléments épithéliaux, en un mot d'un véritable adénome. D'autres
régions
de la glande, divisées en ilots, présentent les l
anopsie. En examinant de plus près les deux dessins donnés de cette
région
, on remarque que sur l'un l'angle inféro-extern
servés. Sur la figure suivante et plus rapprochée du pôle, c'est la
région
calcarine qui est relativement indemne. Si l'on
tata en outre qu'une tumeur de la grosseur d'une fève, sise dans la
région
de l'hypophyse, se continuait dans la substance o
s ; l'opération eut lieu en mars 1901. A travers la dure-mère de la
région
rolandique, on ne sentit rien d'anormal ; c'est p
sont hors de fonction. Gâtisme périodique. Hernie cérébrale dans la
région
pariétale droite. J. est un dément ; cependant
s. En dehors de cela, le cerveau paraît peu comprimé, sauf dans les
régions
occipitales. ' Il s'agit donc probablement d'al
cupe avant tout : Cc., Li, Fi, Fa, Pa, Thaï, opt., C. i., N. R., la
région
de l'insula et jusqu'au lobe temporal, c. g. e,
culaire du Thal. opt. Sauf au point de départ du néoplasme, dans la
région
centrale droite, où le tissu nerveux fut repous
gement dans la C. A. à droite, et nous la retrouvons encore dans la
région
protubérantielle (1/3 sup.). Le trigone droit e
° Dans des cas de tumeur spécifique, le ramollissement de certaines
régions
« compense » le développement de gommes dans d'au
o-rachidien a pour tâche d'emporler les déchets de la nutrition des
régions
profondes des hémisphères. S'il ne la remplit p
êmes, la perturbation des actes nutritifs semble prédominer sur les
régions
réputées saines. Charmeil et Tibierge (5) ont vu
ure partie de la face externe, c'est-à-dire le lobe temporal et les
régions
adjacentes des lobes frontal, pariétal et occipit
genou et du bec du corps calleux montre une petite hémorragie dans la
région
pariétale postérieure. Une coupe à un centimètr
la précédente révèle un foyer d'hémorragie très ancien, jaune ocre (
région
frontale) et quatre foyers récents dont l'un est
araclmoïdienne, née sur place, occupant la moitié inférieure de la
région
dor- sale et la partie voisine de la région lom
moitié inférieure de la région dor- sale et la partie voisine de la
région
lombaire. Les région cervico-dorsale et lombo-s
la région dor- sale et la partie voisine de la région lombaire. Les
région
cervico-dorsale et lombo-sacrée sont indemnes.
MULTIPLES FOYERS (A. Souques). 6. - Obs. II. Coupe passant par la
région
pédonculo-protubérantielle. o - 01ç IT rnnnr VP
t homme. Incontinence des sphincters et commencement d'eschare à la
région
sacrée. Le coeur est gros, le deuxième bruit vi
XVII, V) montre deux foyers du volume d'une noisette : l'un dans la
région
pariétale inféro- externe, l'autre dans le noya
et occupent la partie inférieure des pédoncules cérébraux, dans la
région
de la calotte, mais l'une située latéralement, re
aroxys- mes, violente surtout la nuit, localisée habituellement aux
régions
frontale et occipitale droites. Presque au même
du réflexe cornéen. La percussion crânienne est douloureuse dans la
région
fronto-pariétale droite. L'examen ophtalmoscopi
ur, mais une méningite localisée, pa- raissant avoir débuté dans la
région
protubérantielle puis pénètre le IVRE ventricul
2, p. 389. TUMEUR 013L1'l'ÉHA\l' L'AQUEDUC DE SYLVIUS 205 dans la
région
dorso-lombaire. Araclmoïdite productive, dégénéra
qui, lui faisant, comme d'habitude, ses vêtements, constata que la
région
scapulaire droite était plus proéminente que la g
ax est antérieurement bien développé. En arrière on constate que la
région
papillaire droite est un peu plus saillante et pl
altération est plus manifeste sur les membres supérieurs et sur la
région
de l'épaule. Dans ces régions le malade ne fait p
e sur les membres supérieurs et sur la région de l'épaule. Dans ces
régions
le malade ne fait pas de distinc- tion entre le
e simple sensation de contact. - Parfois, sur la poitrine ou sur la
région
scapulaire une température très éle- vée (90°)
par- tie supérieure de la poitrine et la partie supérieure du dos (
région
de l'é- paule et région scapulaire). La notio
la poitrine et la partie supérieure du dos (région de l'é- paule et
région
scapulaire). La notion de position, la percepti
ur plus foncée. Ces taches occupent en avant et à gauche : l'une la
région
correspondant à la partie interne de la clavicu
sterno-cléido-mastoïdien; en arrière et toujours du côté gauche, la
région
temporale postérieure, occipitale, et plus bas la
a Fin. 1 '117. 2 A PROPOS DE LA SYSTÉMATISATION DES NOEYI 231
région
de la nuque correspondant au bord externe du trap
in la ligne médiane au niveau de la 3° côte et gagne obliquement la
région
sus;claviculaire, notre point de départ. Tout l
ce processus toxi-infectieux. Quant aux trois petites lâches de la
région
dorso-lombaire, nous devons avouer qu'elles sembl
ties anté- rieures ; pour l'analyse microscopique, une partie de la
région
dorsale de la colonne vertébrale a été sciée en
s des corps des vertèbres, ni la pente de l'articulation ; toute la
région
où se trouvait l'articulation est envahie par u
XVIII). Le tissu osseux-médullaire qui remplit les mailles de cette
région
où se trouvait d'abord l'articulation normale e
ues, ce qui distinguesur les pièces micros- copiques colorées cette
région
des parties connexes de la côte et du corps de
ernière, ces fibres qui partent de la membrane périphérique vers la
région
médullaire, contiennent quelquefois dans leur épa
ette dernière dégénérescence est partout également faible : dans la
région
sacrée, lombaire et dorsale, cette dégénérescen
que ; elle est un peu plus intense dans les faisceaux de Goll de la
région
cervi- cale. Une dégénérescence aussi faible et
, avec la seule différence que la mala- die, après avoir atteint la
région
lombaire de la colonne vertébrale et les articu
able qu'après quel- ques années les articulations des épaules et la
région
dorso-cervicale du rachis auraient pu être atte
eurs, hypoesthésie, parésie, légères atrophies des muscles dans les
régions
occipitale, dorsale et lombaire, des soubresauts
ne verticale et dans le troisième il présentait une cyphose dans la
région
cervicale supérieure, tandis que sa lordose phy
tatation des symptômes produits par les tumeurs qui siègent dans la
région
de la glande pinéale. Le résultat des examens de
de paralysie spinale à type monopiégique, seuls les ganglions de la
région
cervicale du côté correspondant au membre atrophi
me cas de paralysie spinale à type paraplégique les ganglions de la
région
lombo-sacrée sont les seuls altérés. Dans ce tr
contrées dans les cellules nerveuses des ganglions rachidiens de la
région
malade portent sur l'appareil nucléolaire, les
chromatophile et, au lieu de trou- ver le nucléole dans cette même
région
, on le voit presque toujours dans l'amas pigmen
et dans le pigment jaune sans que le nucléole se trouve dans cette
région
; 2° Il y a certaines différences morphologiques
description de cet auteur dans une position déterminée...« Dans la
région
d'origine de l'axone, un peu latéralement ? » Tan
l est facile de constater que la capsule fibreuse du ganglion de la
région
paralysée est trois ou quatre fois plus épaisse e
ce vacuolaire ou fenêtrée. Enfin nous devons ajouter que dans cette
région
nous n'avons jamais pu constater de phénomènes d'
ste immobile (paralysie de l'abiuceus) B, B' Différence entre les
régions
sus-claviculaires droite et gauche. HOSPICE DEL
a pour elle la fréquence aujourd'hui démontrée des tumeurs de cette
région
el en particulier de l'angle ponto-cérébelleux.
Enfin la malade se plaint de douleurs de tête qui prédominent il la
région
occipitale si bien que l'on pourrait penser à l
ur parait jusqu'à un certain point un symptôme des affections de la
région
et elle est notée dans plusieurs observations où
pas de sucre. Les organes génitaux paraissent bien développés : la
région
sus-pubienne est recouverte de poils ; la verge
aux de tête reviennent presque tous les 8 jours ; ils siègent dans la
région
frontale et s'accompagnent de sensation doulour
ur les épaules, sur les membres supérieurs, sur le thorax et sur la
région
sacro- lombaire. Le squelette du bassin et des
ou traumatiques), il supposa « qu'il existe à la base du crâne une
région
dont le dérangement foetal.... détermine la trans
s, mérite d'être de nouveau prise en considération. Cette prétendue
région
de la base du crâne, laquelle, lésée, devrait d
ur la selle turci- que. Or, il n'est pas absurde de supposer que la
région
de la base du crâne dont parle Babès (2) et cap
ouffrir beaucoup. Après deux semaines, l'oedème limité seulement à la
région
de la main a disparu complètement,en lui laissa
nt dans la substance blanche. y avait des ramol- lissements dans la
région
des capsules internes ; sous le microscope, on
s nerveuses et une certaine multiplication des vaisseaux. Dans la
région
du tronc cérébral, il existait u ne leptoméningit
allongée dans sa partie droite, et à peu près tous les noyaux de la
région
étaient plus on moins intéressés par le process
' c' d', coupes d'une moelle nor- mole, - aa' moelle cervicale. bb'
région
dorsale ; La moelle dorsale atrophiée est doubl
La moelle dorsale atrophiée est doublée d'une pachyméningile. - ce'
région
lombaire. - dd' Cône terminal. ATROPHIE CURIEUS
ns la moelle allongée. Si on considère l'atrophie dans les diverses
régions
médullaires, on note qu'elle est très forte dans
iverses régions médullaires, on note qu'elle est très forte dans la
région
cervicale; dans la région dorsale, elle est extrê
s, on note qu'elle est très forte dans la région cervicale; dans la
région
dorsale, elle est extrême, mais ici il y a il c
a il compter avec l'existence de la pachyméningite ; enfin, dans la
région
lombaire, elle se trouve un peu moins accentuée
région lombaire, elle se trouve un peu moins accentuée que dans la
région
cervi- cale. Nous croyons utile de reproduire
tous les faisceaux. Or cela n'existe pas dans notre cas. Dans la
région
dorsale de noire moelle, c'est-à-dire là où l'épa
plus épaisses. La pachyméningite en effet ne se trouve que dans la
région
dorsale; dans la région lombaire, il n'existe pas
méningite en effet ne se trouve que dans la région dorsale; dans la
région
lombaire, il n'existe pas trace de méningite et
vaisseaux du fait de la méningite; on ne saurait invoquer en celte
région
la possibilité d'un étranglement des vais- seau
les circulatoires, quels qu'ils soient, de l'axe nerveux. Dans la
région
lombaire, l'atrophie existe d'une façon bien nett
RE 367 au processus J.1aclJ)'tJléniugiti,]ue très développé dans la
région
dorsale en ce qui concerne la détermination d'u
la détermination d'une diminution du diamètre de la moelle en cette
région
. Sur toute la hauteur de la moelle dorsale, en
ie, a provoqué la diminution maximale de la moelle épinière dans la
région
dorsale. Il ne semble pas utile de prolonger ce
rtout dans son lobe droit et moyen. La circonférence du cou dans la
région
moyenne du corps thyroïde est de : in cm. Au-de
glande elle est de 31 cm. et au-dessous de 3' cm. Les poils de la
région
pubienne et axillaire sont bien fournis. Les de
aspect terne et flétri ; sa coloration permet de la diviser en deux
régions
très tranchées : la zone centrale, qui est arrond
squ'à devenir confluents. Parallèlement à ces modifications de la
région
centrale, on voit la zone péri- phérique deveni
'aller à l'école. En somme, à cette période, la coloration des deux
régions
est très foncée ; cependant elles se distinguen
e processus que les mains, mais à un degré moindre. En dehors des
régions
atteintes, les téguments ont leurs caractères nor
guer cliniquement; or, les châtrés adultes sont mal connus dans nos
régions
; les castrations chirurgicales doubles restent
ntheaucoup moins accusées; l'épiderme blanchit, la barbe tombe, les
régions
velues s'éclaircissent ou deviennent glabres. I
més à la lèvre supérieure et au menton. Absence presque totale à la
région
axillaire et au pubis. Pénis normal. Scrotum di
s'est accentué. Pâleur du visage sans albuminurie; état glabre des
régions
sus-pubienne, axillaire ; disparition partielle
gu- ments, mais apathie. Dépigmentation de l'aréole du sein ; les
régions
périnéale et génitales sont dépigmentées. Pas
sance et frigidité absolue depuis 2 ans. Les réflexes cutanés de la
région
génitale sont abolis. Aucun trouble psychique.
. Pas d'infiltration des téguments. Les mamelons sont petits. Les
régions
normalement pigmentées sont décolorées. La voix
ais tandis qu'il parait ainsi le coup de couteau, il reçut, dans la
région
scrotale, un violent coup de pied qui l'étendit
les se dégarnirent de poils, et s'étant amusé un jour à se raser la
région
pubienne (divertissement très en honneur chez l
e sur tout le visage, créant un masque foncé qui ne respecte que la
région
orbitaire, mais que la photographie a difficile
une émission de liquide prostati- que ou séminal : le massage de la
région
des vésicules séminales n'a rien fait sourdre e
thie marquée; frilosité. Les mamelons sont dépigmentés ainsi que la
région
génitale ; le pouls à 68, la tension 12 (au Pot
re d'un sabot. Le cou est amaigri et l'exploration minutieuse de la
région
thyroïdienne ne permet pas de sentir l'itlrsme
tre de la peau s'accroît particulièrement aux pommettes et dans les
régions
sus-orbitaires. Les taches pigmentées ressortent
tent des alvéoles où sont amassées les cellules nobles. Suivant les
régions
, la sclérose est inégale ; au centre et ? une d
ls, de la desquamation et de la consistance de la peau, il palpe la
région
thyroïdienne et trouve la glande atrophiée, que p
nous en sommes redevables au Dr Murray; un autre cas, dans la même
région
, a été mentionné par le Dr J.-B. Davey ; un troi-
ns toute l'étendue de la main, du bras, de l'épaule, jusque dans la
région
du grand pectoral et la région scapulaire. La p
du bras, de l'épaule, jusque dans la région du grand pectoral et la
région
scapulaire. La peau est légèrement cyanosée. La c
métacarpiens en particulier sont indéniables. L'absence dans celte
région
de toute modifica- tion des parties molles perm
nerveux, une décalcification, véritable dystro- phie osseuse, de la
région
blessée et des os voisins. Cette altération peut
fection quel- conque pouvant produire aussi des déformations de ces
régions
, la sclérodermie, la lèpre mutilante, la maladi
jours mal ». Cet affaiblissement général, cet état douloureux de la
région
dorsale et de l'épaule persils- tèrent encore l
ers troubles, faiblesse des membres du côté droit, douleurs dans la
région
dorsale et l'épaule droite, crises névralgiques a
latérale supérieure se rattache une proéminence très accusée de la
région
scapulaire droite, et à la déviation inférieure u
. Les seins sensiblement développés et l'abondance des poils sur la
région
pubienne, tout en faisant un contraste étrange
issu spécial, le pannicule adi- peux, dont la présence, suivant les
régions
, modifie complètement les formes de l'écorché.
nicule adipeux est d'ailleurs d'épaisseur fort inégale, suivant les
régions
et suivant les individus.' Il existe chez tous le
iations que présente la couche graisseuse sous-cutanée, suivant les
régions
chez un même individu, sont encore plus intéres-
(8 millimètres en moyenne et jusqu'à 1 centimètre et demi); puis la
région
mammaire, dans sa moitié infé- rieure, aux envi
e 6 millimètres et demi an- dessus, 4 millimètres au-dessous). A la
région
sous-mammaire, il est peu abondant (en moyenne
age les plis cutanés ainsi formés successivement dans les {diverses
régions
du corps. En divisant par moitié les chiffres ain
lantaire du pied, à cause des adhérences étroites de la peau de ces
régions
avec les surfaces aponévrotiques. DU-* ROLE DE
jà chezi'écorché, ou même à en créer de nouvelles. Il est certaines
régions
du corps où, par sa constance et son abondance
criptions détaillées dont seront l'objet dans la suite les diverses
régions
du corps, je crois bon de signaler ici celles d
- blement un rôle morphologique spécial. En premier lieu vient la
région
de la fesse. La graisse y est accu- mulée surto
le entre pour beaucoup, surtout chez la femme, dans le volume de la
région
. Elle contribue à lui donner la fermeté de consis
à crête iliaque. Je signalerai également le tissu graisseux de la
région
mammaire. Chez la femme, en outre de la présenc
le tissu graisseux joue un rôle important dans la morphologie de la
région
. Il en augmente la saillie dans toute la partie
du sillon sous-mammaire. Si bien qu'en cet endroit, le relief de la
région
pectorale n'est point uniquement dû à Fic. 15.
des gens peu musclés présenter une saillie assez considérable de la
région
mam- maire, qui constitue pour ainsi dire un li
extérieure, il joue un rôle qui mérite d'être signalé en plusieurs
régions
. Il comble le creux de l'aisselle et le creux p
efs latéraux, très importants à connaître pour la morphologie de la
région
. Enfin, à la face, la « boule graisseuse de Bic
du système nerveux. 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUËRE.
région
est-il douteux, tant il est minime. Le soulèvemen
raphique soit sur la face postérieure de l'avant- bras, soit sur la
région
antérieure de la cuisse. Pour évaluer le nombre
pas la direction du sacrum et du coccyx; elle est implantée dans la
région
lombaire, et prend une direc- tion à peu près p
nthropologie, 1885, p. 443). FtG.28. Configuration anormale de la
région
. sacro-coccygienne. Fila. 29. Plaque velue
de la région . sacro-coccygienne. Fila. 29. Plaque velue de la
région
lombaire. LA QUEUE DES SATYRES. 47 verticale,
e superficielle coïncident souvent avec une forme particulière delà
région
sacrée. Le sillon inter- fessier est ouvert à s
ité pelvienne; utérus et vagin doubles; infun- dibulum cutané de la
région
sacroococcygienne (Bull. Soc. anatomique, pp. 309
p. 483). 48 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D 14 LA StlLl'1'l'lill.lal : .
région
lombaire. Cette plaque velue qui a souvent la for
nte donc aucun des caractères d'hyper- tricbose localisée, dans une
région
qui permet de soupçonner, un rapport entre l'ex
. 1. Ohmann-Dumcsnil, Circumscribed hyperlrichosis in the llllllbar
région
, (Journal oj culaneous and genito-urinrtry dise
eurs spontanées qu'on observe parfois chez les hystériques dans les
région
anesthésiées. A quelles causes fallait-il attri
pour faire pièce à l'hystérie masculine, comme on a dans les mêmes
régions
discuté et ergoté sur l'hémianesthésie et sur l
nt l'abdomen du thorax, au-dessous de l'appendice xyphoïde, dans la
région
épigastrique. En même temps les douleurs contin
bature, à ce moment c'étaient des élancements très violents dans la
région
lombaire, a à crier », qui nécessitèrent l'emploi
un autre médecin lui fit des applications de pointes de feu sur la
région
lombaire de la colonne vertébrale. Mais aucun d
urs. Elles sont absolument continuelles, occupant principalement la
région
lombaire de la colonne vertébrale, lancinantes,
icieuse caractérisée par ce fait que, de la partie supérieure de la
région
dorsale à la pointe du sacrum, elle suit dans s
re à concavité dirigée en avant et à peine atténuée au niveau de la
région
lombaire. ? ? « Enfin, au point de vue de la fo
éformation osseuse a pour effet la suppression presque totale de la
région
des reins et complète de la région du flanc, sa
suppression presque totale de la région des reins et complète de la
région
du flanc, sans parler de la diminution de hauteur
membres inférieurs. On provoque une douleur vive en percutant la
région
lombaire de la colonne vertébrale, en appuyant
eux faisceaux éloignés se 'contractent 1. ensemble, de sorte que la
région
est animée d'ondulations lentes. Les réactions
té soumis àdes cautérisations superficielles du cuir chevelu sur la
région
pariéto-frontale droite, cautérisations répétée
ur insuppor- table dans le bas du dos, à la partie inférieure de la
région
lombaire et sur la ligne médiane ; cette sensat
on de l'ouïe du côté droit; douleur provoquée par la pression de la
région
ovarienne gauche. , La malade a été réglée pour
éristiques, l'un dans la fosse iliaque droite, l'autre dans la même
région
à gauche. Il existe aussi un point sous-mammair
constate la présence de deux points hyperesthésiques, l'un dans la
région
ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La
e dans l'atténuation des angles et des saillies qui se forment à la
région
dorsale d'une main normale fléchie, -de telle sor
, -de telle sorte que la main-bote dont il s'agit présente, dans sa
région
dorsale, une surface régulièrement convexe se c
. Les cordons latéraux depuis le renflement cervical jusque dans la
région
dorsale ont une coloration grisâtre, et présenten
grise. Les racines antérieures sont minces et grises dans ces deux
régions
. Il n'y a rien au bulbe ni dans l'encéphale. Ex
e sclérose type. Sur les coupes (après durcissement) on voit : à la
région
lombaire, une alté- ration considérable des deu
ornes posté- rieures et la substance blanche sont intactes. Dans la
région
dorsale et dans la région cervicale, il existe
substance blanche sont intactes. Dans la région dorsale et dans la
région
cervicale, il existe des lésions analogues de la
bstance grise de la moelle épinière, sclérose plus accusée dans les
régions
du névraxé correspondant aux membres atteints pen
s infiniment. Voici le résultat de l'examen que nous avons fait des
régions
cervicale, dorsale, et lombaire de la moelle ép
. De là sans doute le peu d'intensité des déformations en certaines
régions
et leur développement caractéristique en certai
e droite et aussi un peu de diminution de la sensibilité dans cette
région
, l'acuité visuelle n'était pas modifiée, l'amé-
otons spécialement que la moelle allongée, le pont de Varole et la'
région
des tubercules quadrijumcaux furent examinés su
intéressant à la fois les noyaux moteurs de la moelle et ceux de la
région
bulbo-protubérantielle. C'est ainsi qu'on peut
tion systématique limitée aux noyaux moteurs de l'une ou de l'autre
région
. Les observations que nous rapportons prouvent
M. le professeur Charcot (Suite') 1) Examen histologique. Moelle.
Région
cervicale. -On est frappé tout d'abord de l'app
s anté- rieures correspondantau groupe cellulaire antérieur.' Cette
région
est constituée par une substance homogène presq
erveuses des cornes antérieures, très raréfiées dans le reste de la
région
, ont tout à fait disparu à ce niveau. De même l
éro- externes. Fig. 3. - Coupe du nerf médian de polynévrite à la
région
inférieure de l'avant-bras, colorée à l'acide o
le interosseux de polynévrite colorée parla méthode de Weigert : a,
région
du muscle sclérosé, où les fibres persistent avec
s; a", presque normales, et entourées d'un tissu conjonctif dense; d,
région
du muscle extrêmement dégénéré où les fibres ne
bres musculaires; /., sa gaine lamelleuse ; i, artériole. Fig. 5. -
Région
dégénérée de la corne antérieure de la moelle de
tement colorées. Des cellules analogues se remarquent dans toute la
région
, et malgré cette prolifération on ne constate p
bres nerveuses ont disparu. La sclérose est exactement limitée à la
région
qui correspond à Kys du schéma de Flechsig. Les
indemnes. Les méninges ne présentent non plus aucune altération.
Région
dorsale. -Les lésions ont .ici la même distributi
à peine reste-t-il une bande péri- phérique de tissu sain. Dans la
région
la plus lésée, on observe au niveau du tissu fi
entent soit des débris de tubes nerveux, soit de la fibrine. z La
région
externe de la corne présente un petit foyer hémor
d'une zone hémor- rhagique. Du reste, on trouve disséminés dans la
région
sclérosée des globules rouges au milieu d'une s
d'une substance granuleuse claire qui paraît être de la fibrine.
Région
lombaire. Bien que très évidente encore, la lésio
rès évidente encore, la lésion n'est pas aussi accusée que dans les
régions
supérieures. Les cellules des cornes antérieure
rnes antérieures de la moelle. Le maximum d'altérations siège il la
région
dorsale, ce qui explique assez bien la paralysie
des cornes. Ces dernières altérations présentent dans les diverses
régions
la topographie clas- sique du schéma de Flechsi
ume de la main offre l'aspect d'une surface plane, la peau de cette
région
est lisse et tendue. Sur le dos de la main, on
ès affaiblie et les courants électriques sont peu sentis dans cette
région
. Aucune douleur, aucune crampe ne se fait senti
te région. Aucune douleur, aucune crampe ne se fait sentir dans les
régions
atrophiées; malgré toutes les excitations de la
enseurs. La sensibilité cutanée électrique est très vive dans cette
région
. Dans les autres régions du corps, les muscles
cutanée électrique est très vive dans cette région. Dans les autres
régions
du corps, les muscles sont intacts comme volume
t minutes avec la pile d'Onimus ; le pôle positif est appliqué à la
région
cervicale, le pôle négatif alternativement sur
t la colonne vertébrale, on réveille une douleur assez vive dans la
région
cervico-dorsale (irritation spinale). La températ
ise se dessine très bien et paraît un peu injectée, en les diverses
régions
de l'organe. Au membre supérieur, l'atrophie po
a cello'idine. Des coupes ont été pratiquées méthodiquement dans la
région
cervicale supérieure, moyenne et inférieure, da
dans la région cervicale supérieure, moyenne et inférieure, dans la
région
dorsale moyenne et inférieure, et dans la régio
nférieure, dans la région dorsale moyenne et inférieure, et dans la
région
lombaire supérieure et moyenne. Elles ont été tra
s la substance grise des cornes antérieures, principalement dans la
région
du renflement lombaire, il existe une diminution
il éprouva également des douleurs en coups d'épingle dans les mêmes
régions
. La sensation de froid aux jambes, de glace sou
ns vu que le cou-de-pied était gonflé ; or, il existe dans toute la
région
tibio-tarsienneune certaine chaleur très apprécia
mbes et du dos du pied sur une faible étendue. Sur la limite de ces
régions
et au niveau des mains le frôlement du pinceau
ûre, ne déterminent aucune dou- leur. Sur la zone limitrophe de ces
régions
la piqûre produite par l'épingle est de mieux e
otubérance. Les tubercules ne sont pas extrêmement rares dans cette
région
, et ce sont même les plus fréquents relativemen
blement un autre, situé non plus dans la protubérance, mais dans la
région
mo- trice de l'écorce du cerveau, du côté gauch
ule, l'un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la
région
motrice corticale ou sous-corticale du côté gau
rès avoirfait le même diagnostic, huit ventouses scarifiées dans la
région
fessière droite. Le 6 novembre, souffrant davan
groupe musculaire que dans un autre. Elle est très visible dans la
région
fessière,où, derrière le grand trochanter, règne
xcavée, large de trois ou quatre travers de doigt et qui donne à la
région
un aspect qui contraste singulièrement, avec le r
n constate ordinairement dans les moelles séniles. D'autre part, la
région
des cornes ne présentait en aucun point de sclé
dans lesquels on ne peut déceler d'altérations fondamentales de la
région
motrice de la moelle. Il ne serait donc pas l
veuse motrice et de la fibre musculaire, mais encore et surtout des
régions
correspondantes de l'écorce cérébrale, qui en re-
ied droit : c'est à peine si le pied gauche présentait dans la même
région
une légère tuméfaction. Depuis cette époque, c'
uellement au pied et à la jambe, ou plus rigoureusement à certaines
régions
de ces deux seg- ments qu'il nous faut préciser
sans atteindre le genou, qui est tout à fait normal. Au niveau des
régions
hypertrophiées la peau est lisse et unie (élé-
flammation ancienne, d'ulcération, etc. , Par contre, au niveau des
régions
oedématiées, la sensibilité est alté- rée. Le c
IE DE LA SALPÈTRIÈRE.. inaperçue, aussi bien que l'inflammation des
régions
affectées, dont la malade ne semble pas avoir g
de trente-sept ans, frappée d'une grosse pierre à l'occiput et à la
région
pariétale, perd connaissance. Elle a une hémorrha
un symptôme caractéristique quoique non constant d'une lésion de la
région
nu- cléaire. L'observation de Lichtheim compl
endre plus tard, et finit dans les cas exceptionnels par envahir la
région
de l'oculo-moteur. Parmi les noyaux nerveux éta
aralysie infantile (PI. XLIII). 11 s'agit d'une coupe faite dans la
région
cervicale de la moelle d'un adulte ayant subi une
à la sclérose en plaques. La planche XLIV reproduit une coupe de la
région
cervicale supérieure de la moelle, relativement
e suivante XLVI reproduit une coupe de sclérose en plaques dans une
région
extrêmement altérée : seules les zones margi- n
usée dans la dernière. La moelle n'est guère reconnaissable dans la
région
cervico-dorsale, presque complètement détruite
substance médullaire forme les parois aplaties de cette cavité. La
région
dorsale inférieure est, elle aussi, un peu élar
y remarque la sclérose descendante des cordons laté- raux. Dans la
région
lombaire enfin, la cavité centrale et le gliome q
nt entourés d'une gaine d'une épaisseur considérable, même dans les
régions
où le tissu conjonctif est peu abondant, ainsi
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T III PL XLI11 PARALYSIE INFANTILE (
RÉGION
CERVICALE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETR
EXPLICATION DES PLANCHES Planche .lGlll. - Paralysie infantile ;
Région
cervicale, a, Corne antérieure normale ; b, Cor
éral; f, Cordon postérieur. Planche 1 LIV. - Sclérose en plaques.
Région
pou altérée ; a, Cordon antérieur sain; b, Cord
RAPHIE DE LA SALPÊTRIËRË. Planche 1L1'I. - Sclérose en ]>laques.
Région
très altérée; a, Partie saine; b, Zone mar- gin
r- ginale peu sclérosée; c, c', Faisceaux latéraux très altérés; d,
Région
du faisceau de Turck sclérosée; e, Partie posté
oison postérieure très épaissie. Plarlclae 1G1'll. - Sringomélie.
Région
cervicale : », Corne antérieure; b, Cavité du g
Faisceau pyramidal dégénéré. , Planche \G1'lll. - Syringomijélie.
Région
CI'41C0-dUl'SaIC : a, Corne antérieure; b, Ca-
stérieure; g, Racines postérieures. Planche 1Gl1. - Syringomijélie.
Région
dorsale inférieure : a, Corne antérieure; b, Ca-
Corne postérieure. Planche LI. - Myélite (fort grossissement) : a,
Région
peu altérée; b, Région très altérée : c, c', Va
lanche LI. - Myélite (fort grossissement) : a, Région peu altérée; b,
Région
très altérée : c, c', Vaisseaux à gaines épaiss
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T Ili PL XLVI SCLÉROSE EN PLAQUES (
Région
TRÈS ALTERÉE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE . T 111 PL XLVIT SYRINGOMYELIE (
RÉGION
CERVICALE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE £ T. III PL XLVIII SYRINGOMYELIE (
RÉGION
CERVICO-DORSALE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE T 111 PL XLIX SYRINGOMYÉLIE (
RÉGION
DORSALE INFÉRIEURE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
7. Bâillements hystériques, 18; état normal, 17. Carcinose de la
région
lombaire de la co- lonne vertébrale, 10, 11, 12
7. z Poliomyélites et polynévrites, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63.
Région
lombaire (Plaque velue de la -), 29. Région sac
59, 60, 61, 62, 63. Région lombaire (Plaque velue de la -), 29.
Région
sacro-coccygienne (Configuration anormale de la
ite. Il y a bien eu, dès le dé- but, une certaine pesanteur dans la
région
lombaire, mais jamais de douleurs vives, rien a
classique de la spondylose rhizomélique ; couchée, le bassin et la
région
lom- baire reposant sur le plan du lit, les gen
de la redresser, impossible de la fléchir davantage ; par contre la
région
cervicale est absolument libre; la tête se tour
- pation n'a fait reconnaître aucune hyperostose en aucun point des
régions
malades. La malade d'ailleurs ne présente auc
morales en flexion, adduction et rotation interne ; elle atteint la
région
cervicale, s'accompagne de craquements, se compli
ne ; aucun craquement, aucune exostose ; in- tégrité complète de la
région
cervicale ; régression spontanée des acci- dent
rares. Le tissu conjonctîf intrafasciculaire ne forme plus dans ces
régions
une gangue interstitielle continue et dense ; il
urront se reconnaître par leur persistance et leur localisation aux
régions
attein- tes par l'atrophie musculaire. Il y a l
ltérations des nerfs périphériques\* sans savoir à partir de quelle
région
el les se sont établies ni où elles avaient \ l
ais il y a une légère augmentation de la névroglie qui en certaines
régions
envahit la totalité des cordons postérieurs. ,
cines rachidiennes antérieures ne sont pas hypertro- phiées dans la
région
cervicale; les racines postérieures le sont du ha
eures sont hypertrophiées également, mais notablement plus dans les
régions
inférieures que dans la partie supé- rieure de
un aspect tout à fait normal. Au niveau de Ll et des coupes de la
région
dorsale les cellules de la colonne de Clarke so
par l'hydrothérapie et par l'ap- plication de pointes de feu sur la
région
vertébrale. Au bout d'un mois les phénomènes cé
face externe de l'os,si bien que celle-ci en avant des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe est anormalement acc
ement accessible sur une étendue de 2 à 3 centimètres environ. La
région
de l'épiphyse tibiale inférieure ne participe pas
i com- mence. Le teint du visage est rose et frais. Les différentes
régions
de la face sont proportionnées. On n'observe pa
double menton. Le tronc est très riche en tissu adipeux et dans la
région
mammaire les téguments font un pli extrêmement ma
êmement marqué. Les mamelons sont enfoncés et par la palpation dela
région
mammaire on ne parvient pas à découvrir des nod
L'abdomen, rond et saillant à cause de l'obésité, présente dans la
région
de la ligne blanche un développement modéré « d
t, en passant en revue la morphologie squelettique de chaque grande
région
. Dans la myologie, chaque muscle se trouvait dé
ent déjà une note de Paul Richer sur L'anatomie morphologique de la
région
lombaire. Je me souviens encore de l'épisode qu
nu à la Salpêtrière, souffrant depuis longtemps de douleurs dans la
région
lombaire. L'examen fit rapidement reconnaitre q
sion brutale ? Parce ce qu'un médecin avait conclu une tumeur de la
région
: il avait pris les saillies normales des apoph
sur la Morphologie du cou, à propos du prétendu gonflement de cette
région
dans la crise d'hystérie. Puis, une Note sur le p
a saillie qui le surmonte est due à la graisse accumulée dans cette
région
, et non pas à une masse musculai- re (1). Ici e
. Eu outre, ce pan- nicule est d'épaisseur fort inégale suivant les
régions
. Dans certaines par- ties du corps il s'accumul
rphosent les contours osseux ou musculaires sous-jacents. Témoin la
région
du flanc avec les fossettes lombaires qui en dé
rficielles et visibles que profondes et invisibles, en comparant la
région
normale et la région déformée. « La méthode d
s que profondes et invisibles, en comparant la région normale et la
région
déformée. « La méthode dermographique, dit Lann
qui se confient à ses soins. Il doit répéter très souvent dans les
régions
UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 111 saines la reche
e à tous les muscles de la jambe et surtout accusée dans ceux de la
région
antérn-externe ; le biceps sural est le moins a
sur plusieurs autres fragments prélevés à différentes hauteurs des
régions
dorsale et cervicale,sur le bulbe et la protubéra
e, Weigert. Moelle.- A l'oeil nu on voit déjà qu'il existe, dans la
région
sacro-lombaire sur les coupes de S 1,S et des 4
moins accusées, à celles décrites dans la racine gauche. Dans la
région
dorso-cervicale de la moelle il n'existe ni dans
oliomyélite (PI. XXVIII). La corne gauche cependant semble, dans la
région
dorsale, un peu plus petite que la droite, mais
Méninges normales, sauf un léger épaississement de la pie-mère à la
région
sacro-lombaire de la moelle. Bulbe. - Protubé
opsies montreraient en effet des lésions poren- céphaliques dans la
région
motrice de la corticalité qui, selon Strümpell,
céphalite, selon Strümpell, s'observait fréquem- ment dans d'autres
régions
de la corticalité, en dehors de la zone motrice.
peut aussi se localiser dans la substance blanche et dans d'autres
régions
du cerveau. Il maintient cependant l'en- céphal
e une forme d'encéphalite avec locali- sation prépondérante dans la
région
motrice du cerveau, qui ordinaire- ment ne mena
loureux. Après plu- sieurs heures de ce travail, il éprouva dans la
région
palmaire de la main gauche une douleur vive qui
oche en proche, le poignet,la partie inférieure de l'avant-bras, la
région
du coude, partie inférieure du bras, puis se perd
strueux, d'aspect éléphantiasique, dans toutes ses parties, sauf la
région
supérieure du bras. La couleur est blanchâtre,
a région supérieure du bras. La couleur est blanchâtre, sauf sur la
région
dorsale de l'avant-bras qui est rou-' geâtre, r
ouflement par empâtement effaçant tous les reliefs du membre ; à la
région
dorsale de la main, l'oedème donne l'aspect à p
ou la section du tronc ner- veux d'où partent les vasomoteurs de la
région
enflammée, font rapi- dement apparaître- l'oedè
e but on a prélevé dans la ligne d'amputation, c'est-à-dire dans la
région
du coude des fragments des nerfs médian et cubi
ir. Pour mieux étudier cette disposition un petit fragment de cette
région
a été débité en coupes pa- rallèles à la direct
es divers éléments des tissus conjonctifs depuis le derme jusqu'aux
régions
profondes. Mais il est né- cessaire de faire re
l'oedème est localisé à l'extrémité inférieure. Comme d'habitude la
région
fessière ne participe pas à l'oedème. Il n'inté
ns. Dans l'autre cas de Hertoghe,où le trophoedème localisé dans la
région
faciale est congénital, il a été noté également
op/t6Bdéme hystérique, Journal des méd. praticiens de Lyon et de la
région
, 31 déc. 1903. LANNOIS. - Trophoedème chez une
ais constitue une épaisse pèlerine qui presque sans pli passe de la
région
cervicale à la région dorsale. L'infiltration p
sse pèlerine qui presque sans pli passe de la région cervicale à la
région
dorsale. L'infiltration par son abondance ne pe
nfé- rieure de l'abdomen et de la poitrine est moins épais dans les
régions
supé- rieures du thorax et dans la zone sous-cl
âtement qui est peut-être le stade de début de l'adipose. Dans la
région
poplitée un sillon transversal profond, allant d'
umulation maxima au niveau de la face supéro- externe de la cuisse,
région
qui est normalement chez la femme le siège de d
Z UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE ET AVEUGLE 171 breuses squames. Dans les
régions
à adipose dense elle est lisse, adhérente sans
ge. On ne voit point de poils sous les aisselles et presque point aux
régions
génitales. - Les troubles vaso-moteurs et tro
violet foncé à son centre, moins asphyxique à la périphérie. Cette
région
est froide, indurée, des tractus fibreux plisse
lle et des taches ecchymotiques se rencontrent tout autour de cette
région
, Point de dermographisme. Les différents appa
des aponévroses superficielles, ni de la graisse, qui, en certaines
régions
, joue un si grand rôle dans la forme extérieure.
insèrent, aussi bien que la fantaisie des saillies qui meublent la
région
sous-scapulaire. Enfin, dans la région du flanc
des saillies qui meublent la région sous-scapulaire. Enfin, dans la
région
du flanc, les replis que l'on voit seraient peut-
actitude de la muscula- ture du dos est incontestable. Mais dans la
région
fessière où le moulage est très difficile à fai
n sait combien la sta- tion hanchée modifie la morphologie de cette
région
. « Les plus grosses fautes apparaissent dans la
gie de cette région. « Les plus grosses fautes apparaissent dans la
région
du genou. En ar- rière, la partie inférieure du
se. En effet, en rendant impossible la comparaison entre deux mêmes
régions
de chaque côté du corps, ruina du coup la démon
i rend difficile et même impossible la dé- monstration de certaines
régions
. , 1 UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 179 « 2° La fa
que des aponévroses superficielles dont l'importance dans certaines
régions
n'est pas moindre. « Sur aucune, la comparaison
es du nu. La comparaison serait ainsi facilement établie entre deux
régions
analogues dont l'une,disséquée, donnerait l'exp
explication dans l'ostéologie et la musculature, puisqu'il est des
régions
où la graisse et les aponévroses . jouent un rô
és les muscles qui jouent un rôle dans la forme extérieure de cette
région
, le masséter et le temporal. Les pau- ciers de
res est d'une grande exactitude. On remarque en particulier dans la
région
thoracique, la forme du grand pectoral au repos
érieure, et, par comparaison avec le côté op- posé, le modelé de la
région
mammaire où la graisse joue un rote qui n'est p
s droits de l'abdo- men légèrement distendus. Par contre, dans la
région
scapulaire, les muscles apparaissent contrac- t
écorché à gauche et du nu à droite permet d'apprécier pour une même
région
l'importance du rôle morphologique de la graiss
ortance du rôle morphologique de la graisse, en particulier dans la
région
du flanc et de la fesse. Inutile ' d'ajouter qu
tales, la partie supérieure du tronc encéphalique (capsule interne,
région
sous-optique et pédoncule cérébral) ; de même l
a coupe représentée (fig. 1) passant par la partie supérieure de la
région
sous-optique, et intéressant les tubercules qua-
e Reil médian (exception faite de sa portion la plus interne) et la
région
avoisinante de la substance réticulée. Elle s'a
de partie dégénérés. ' Le foyer primitif enfin se termine dans la
région
inférieure du pédoncule, au niveau de l'apparit
cupe la partie externe du tronc encéphalique gauche, s'étend, de la
région
sous-thalamique supérieure la région pédon- cul
halique gauche, s'étend, de la région sous-thalamique supérieure la
région
pédon- culaire inférieure et s'arrête là, au ni
es fibres trans- 192 nossr ET ROUSSY versales du pont. 1° dans la
région
sous-optique, le foyer détruit la moitié postér
tie tout il fait postéro-inférieure du pulvinar. 2° Au niveau de la
région
pédonculaire supérieure, il détruit la plus grand
niveau du noyau rouge, elle occupe toujours avec prédilec- tion la
région
externe de celle-ci et détruit le ruban de Reil l
verrons ensuite les dégénérations ascendantes sur les coupes de la
région
capsulaire moyenne et supérieure et enfin les dég
entre la limite supérieure du foyer et le thalamus et intéressant la
région
sous- optique, on voit en dehors du centre médi
sous- optique, on voit en dehors du centre médian de Luys, dans la
région
du ru- ban de Reil médian, qu'il n'y a pas de d
an, qu'il n'y a pas de dégénération à proprement parler. Dans cette
région
cependant, il semble exister une certaine raréfac
e montre la figure 11, on voit que les fibres trans- versales de la
région
sont bien colorées et nombreuses mais que les fib
n foyer de ramollissement ancien, occu- pant avec prédilection , la
région
externe du tronc encéphalique gauche et s'étend
la région externe du tronc encéphalique gauche et s'étendant de la
région
sous-optique à la partie inférieure du pé- donc
le prouver. A la suite d'une blessure faite avec un couteau dans la
région
temporale gauche, le malade de Wernicke avait pré
ic, 1882. SYNDROME DE WEBER AVEC HEMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 203
régions
internes et antérieures du pédoncule, tandis que
ant sous leur- dépendance presque exclusive la circulation de cette
région
; au contraire, les collatérales de la même por
ait en effet, que dans les cas de lésions pédonculaires, lorsque la
région
de la calotte participe à la lésion, on peut ob
calotte (surtout sa partie externe) soit intéressée et qu'ainsi la
région
occupée par les fibres du ruban de Reil médian
sans pertes séminales. Le 8" jour, tache sombre de décubi- tus à la
région
sacrée. Fièvre 38° 8. Les phénomènes continuèrent
hes ou des bandes sombres et bleu-noires (coudes, omoplates, côtes,
région
sacrée, épine iliaque, jambes, talons). Pen- da
artères. Voici les résultats de l'examen histologique : (Pl. XL.)
Région
cervicale. Dans la partie supérieure juxlabulbair
égère des fibres nerveuses. Dans des segments plus inférieurs de la
région
cervicale on voit des nécroses dans le domaine
liques libres en abondance et des lymphocytes. En descendant à la
région
cervicale les altérations deviennent plus in- t
méninges molles présentent de la congestion et de la diapédèse. .
Région
dorsale. -A la région supérieure on trouve les mê
tent de la congestion et de la diapédèse. . Région dorsale. -A la
région
supérieure on trouve les mêmes lésions, mais pl
iveaux de la moelle dorsale ; elles dimi- nuent d'intensité vers la
région
lombaire. Région lombaire. Les lésions sont moi
dorsale ; elles dimi- nuent d'intensité vers la région lombaire.
Région
lombaire. Les lésions sont moins intenses. Les ce
te secondaire des faisceaux pyramidaux croisés. Les lésions dans la
région
sacrée vont en s'atténuant jusqu'au filum termina
vé aucun auparavant et d'autant plus qu'ils se sont déclarés en des
régions
très éloignées les unes des autres. Il me sembl
avant-bras ne participe pas au processus d'hypertrophie ; selon les
régions
il présente du côté droit un demi-centimètre à 1
e de C2 et un peu de C3, en arrière ca tout entier, c'est-à-dire la
région
du cou et de la nuque ; la sensibilité à la piqûr
de sensibilité ont une disposition ra- diculaire, variable avec les
régions
: dans une zone comprenant les 2° et 3e racines
i donc bien établie l'existence de lésions syringomyéliques dans la
région
cervicale. Mais la constatation de symptômes se
i se propagerait sur toute l'étendue de la moelle. Une lésion de la
région
cervicale parait suffire à expliquer l'hémianes-
hésie droite qui diminue légèrement à mesure que l'on considère une
région
plus inférieure. La paraplégie spasmodique bila
indique une irritation pyrami- dale qui peut fort bien siéger à la
région
cervicale dorsale. La parésie du bras droit ave
confirmation de l'atteinte importante de la moelle au niveau de la
région
cervicale droite et il faut donner la même sign
entes, paroxystiques. En no- vembre 1903 apparut une tumeur dans la
région
pariétale droite; A... fut tré- pané et l'exame
dit qu'elle lui fait mal. Cicatrice semi-circulaire récente dans la
région
pariétale droite. Fond de l'oeil gauche apparem
on cérébrale par augmen- tation de volume de l'encéphale. Dans la
région
de la F. S. à droite, la dure-mère est adhérente
bis). Le ventricule latéral gauche est tout à fait analogue dans la
région
occipitale ; un peu dilaté dans la partie front
morragies et fibres variqueuses au cervelet et dans l'oblongala. La
région
de la protubérance est déformée par pression ag
blir exac- tement les relations éventuelles avec les nerfs de cette
région
, entr'autres le VIII. Le bord médian du néoplas
ipitales et frontales qui sont le plus dilatées, soit parce qu'en ces
régions
le nombre et la profondeur des sillons sont rel
cette position, la tumeur, faisant en quelque sorte bouchon dans la
région
du foramen occi- pital et augmentant ainsi,la g
des fléchisseurs. Le nerf cubital est à sa place. Au niveau de la
région
du pli du coude, on constate que le réseau veineu
urt supinateur, très dé- veloppé ici, normalement inséré, occupe la
région
profonde et externe. L'avant-bras, dans l'ensem
l'avant-bras. Du côte interne de la face antérieure, partant de la
région
épitrochléenue, on voit deux muscles superficie
antérieure de l'extrémité infé- rieure du radius en dehors, vers la
région
correspondante du cubitus en de- dans et en bas
e profonde. HÉMIMÉL1E AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 297 A la
région
profonde et externe, on trouve le court supinateu
KLIPPEL ET BOUCUET supinateur pour arriver à la face dorsale de la
région
représentant le carpe, où elle devient extrêmem
nt par quelques branches les muscles superficiels et profonds de la
région
interne, puis les deux artères interosseuses, t
rajet vertical et aborde le bord externe et la face postérieure de la
région
correspondante au carpe et au métacarpe, où il
ù il s'étale sans limites précises sur le tissu fibreux dense de la
région
; entre ces deux tendons passe l'artère radiale
açon suffisamment exacte une phase connue du développement de cette
région
du corps ; que, de même, la majeure partie de l'a
ste une articulation radio-cubitale inférieure. Les muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras peuvent être divisés e
ux se font à la peau de l'ex- trémité du moignon. Les muscles de la
région
postérieure confondent en partie leurs insertio
n partie leurs insertions inférieures avec celles des muscles de la
région
externe. L'artère humérale se divise, au niveau
e est moindre dans les parties supérieures et n'existe plus dans la
région
sous-bulbaire ; elle s'atténue également de haut
le inséré sur le radius. Dissection du moignon. - Les muscles de la
région
externe de l'avant-bras existent, mais avec des
mmet du cône à la face profonde de la peau. Parmi les muscles de la
région
antérieure on ne distingue que le cubital antér
des doigts, insérés tous deux à la face pro- fonde de la peau. A la
région
postérieure, on trouve l'extenseur des doigts in-
main qui soit atteinte par la malformation. Cette main comprend une
région
carpienne et deux appen- dices qui rappellent a
zu mé- tacarpien ; le cubital s'insère sur un os pisiforme. A la
région
profonde de l'avant-bras, le fléchisseur commun s
reste, n'est pas constant à l'état normal. L'anomalie commence à la
région
profonde et antérieure de l'avant-bras qui offre
ches aponévrotiques intermédiaires aux deux branches de la pince.
Région
externe. - Rien d'anormal si ce n'est la gracilit
on métacar- pien ; elles interceptent entre elles un angle droit.
Région
postérieure. Extenseur commun des doigts. - Il es
ente le tibia (seul os do la jambe ici). Jambe. Pas de muscles à la
région
antérieure. En arrière, le triceps 312 KLIPPEL
u bourgeon cutané et se perd à la face profonde de la peau de cette
région
. Membre inférieur gauche. Cuisse. Tout est norm
ré- mité supérieure du tibia. Jambe. Il n'y a pas de muscles à la
région
antérieure. En arrière, les deux jumeaux existe
tre, interne, croise le tendon d'Achille et vient s'épuiser dans la
région
interne et inférieure de ces moignons. Les vein
du bras ne paraissent qu'ébauchés. Le biceps qui était le seul à la
région
interne, était très mince. Les deux tendons supér
selle pour se perdre dans les parties molles qui avoisi- nent cette
région
. Le second descendait obliquement en dehors en pa
vers la partie moyenne et ex- terne, pour se perdre ensuite sur la
région
externe du tronçon. Le 3e cordon, peu après sa
ndon du grand pectoral, et se perdait dans les parties molles de la
région
interne et antérieure de cette ébauche de bras.
e bord interne de l'olécrâne, plonge dans la masse musculaire de la
région
interne du moignon et disparaît au contactd'un
plati, mince, cartilagineux, est concave en arrière. Enfin, dans la
région
du talon, sur le prolongement du squelette du g
s os du tarse et se perd dans le tissu cellulaire sous-cutané de la
région
du talon, présentant la situation, la direction e
on s'approche du bord inférieur. Muscles. - Tous' les muscles de la
région
offrent un caractère commun , ils sont diminués
Court supinateur très bien développé ; insertions normales. C. -
Région
postérieure. Cubital postérieur. Son insertion se
use qui a duré cinq mois. A 16 ans, tuméfaction douloureuse de la
région
sous-maxillaire droite avec fièvre et rougeur d
t âge la malade commença à ressentir une sensation de lourdeur à la
région
inférieure du sternum et notamment à l'épigastr
suivent une déglutition difficile, on peut voir le côté droit de la
région
cervicale antérieure se gonfler con- sidérablem
di- verticule de la première portion de l'oesophage au niveau de la
région
sous- claviculaire droite. Voici, à présent,
i ne se fait plus chez nous que très exceptionnellement et dans des
régions
arriérées, mi- sérables et déshéritées. ' Il
n est pas de même en Espagne ou le maïdisme persiste en cer- taines
régions
et atteint 20 0/0 de la population. En Italie,
lgré la lutte vaillante menée par Lombroso durant toute sa vie, les
régions
de Bergame, Brescia, Venise, Padoue, comptent enc
t de saisir ce processus, incon- testablement néoformatif, dans une
région
normalement si pauvre en né- vroglie que Weiger
en préparation). , (3) ANGLAOE, loc. eu. ' TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA
RÉGION
DES CIRCONVOLU- TIONS PARIÉTALES SUPÉRIEURES. H
rition d'unesaillie extra-cranienne, d'une «bosse » révélatrice. La
région
frontale pouvait être soupçonnée aussi bien que l
. Le malade est incapable de dire si la douleur commen- çait par la
région
frontale, occipitale, etc., du côté droit ou du c
en flexion de chaque côté. Les réflexes cré- TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA
RÉGION
DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉTALES 367 mastériens e
euse sur tout le som- met de la tète, est plus douloureuse en cette
région
. 9 octobre 1906. - La tuméfaction, due à un sou
s amincie dans sa totalité, sauf au niveau de la partie médiane de la
région
frontale. Au niveau de la tumeur elle est, au c
effet, une tumeur infra-crânienne, très volumineuse, qui occupe la
région
des lobules pariétaux supérieurs et la partie adj
matisme crânien de l'enfance. yeut, il quatre ans, un abcès dans la
région
du vertex, qui dura longtemps et nécessita l'em
rmet de soulever le siège de cet abcès, qui occupait précisément la
région
enva- hie plus tard par la tumeur. Mais le laps
TTE ET ARTOM On notait une cyphose de la colonne vertébrale dans la
région
dorsale. Au point de vue de la sensibilité, sur
e et la dure-mère sur la face posté- rieure de la moelle ; dans les
régions
cervicale et dorsale, les méninges parais- sent
jusqu'à s'ouvrir directement à la périphé- rie du côté droit. A la
région
dorsale, la cavité s'agrandit encore, et la moell
rapidement et se termine par une prolifération névrogtique dans la
région
juxta-épendymaire. Canal épendymaire. - Au-dess
exercée par la cavité et à la pro- lifération épithéliale. Dans la
région
dorsale supérieure, le canal s'ouvre dans la ca
des cordons postérieurs affectent la même topographie que dans les
régions
sus-jacentes. La dégénération des faisceaux ant
s faisceaux antérieurs et latéraux augmente de haut en bas, et à la
région
dorsale, il ne persiste au niveau des cordons lat
e la III" cervicale, occupant la corne postérieure gauche. Dans les
régions
sous-jacentes la cavité dé- truit les cornes po
étaient plus abondantes que les cellules basophiles ; dans d'autres
régions
la proportion de ces éléments était inversée; que
oportion de ces éléments était inversée; quelques vésicules dans la
région
hilaire contenaient de la substance colloïde. L
con- tusiformes, groupés sur le côté droit du front, jusque vers la
région
malaire en dehors ; en dedans débordant légèrem
n de la cornée ni de l'iris. Les douleurs spontanées, au niveau des
régions
occupées par les ecchymoses, sont extrêmement v
ée »,dit la malade. Le contact du doigt explorant très doucemeut la
région
est intolérable ; et la malade recule et se dér
clémosis diminue. Il n'y a plus trace d'ecchymose le avril, mais la
région
reste sensible à une pression légère. Le 6 ma
. Le 6 mai, au retour d'une permission passée hors de l'hôpital, la
région
est complètement normale. Le premier point à
de même encore que dans les zonas, la lésion déborde légèrement la
région
du nerf lésé, par retentisse- ment vers les ana
tisse- ment vers les anastomoses : d'où l'extension limitée vers la
région
gauche symétrique; etd'autre part le placard no
ade (1re observation), une ecchymose analogue s'étendait à toute la
région
externe de la jambe, surtout foncée dans le cre
it également si l'action de la compres- sion se fait sentir sur des
régions
similaires de l'embryon. La multiplicité des lé
ent sur la 'substance grise. Déjà à l'oeil nu on constatait dans la
région
cervicale in- férieure une diminution de volume
coupes histologiques, ces modifications apparaissent. déjà dans la
région
cervicale moyenne, et se poursuivent jusque dans
dans la région cervicale moyenne, et se poursuivent jusque dans la
région
dor- sale. Les cellules de la corne du côté d
s quarts à droite, velue d'une chemise, entr'ouverte au niveau delà
région
mammaire. L'artiste a tracé le visage avec une im
diagnostic possible de porencéphalie de l'hémisphère droit dans la
région
motrice chez un enfant épileptique, d'intellige
claviculaires sont exagérées, le thorax est déprimé au niveau de la
région
mammaire. La circonférence de la poitrine au ni
urs aux membres, mais une céphalée, localisée particulièrement à la
région
pariétale droite et ayant un caractère pulsatil,
colonne vertébrale présente une grande courbure cyphotique dans la
région
cervicale et dorsale. Le genou droit est très g
tabilité des muscles de la jambe, particulièrement remarquable à la
région
postérieure ; aux cuisses, au quadriceps ; seul
re a son explication'simplement dans le siège de la lésion dans les
régions
médullaires en rapport avec le grand sympa- thi
d'une altération de la sécrétion,lymphatique, qui peut frapper une
région
plus ou moins étendue, plus ou moins profonde d
'être que celle de déterminer la prépondérance du processus sur une
région
déterminée ou peut-être aussi,au moins dans cer
ns certains cas,de le créer de toutes pièces mais seulement dans la
région
atteinte par l'oedème. Mais en tout cas rien ne p
position de deux doigts de la main gauche derrière la tête, dans la
région
occipitale, suffit à faire disparaître le spasm
alvanique que pour le courant faradi- que. Les autres muscles de la
région
(trapèzes, deltoïdes, pectoraux), ne présentent
s 4 jours, il se plaint d'une douleur dans l'épaule gauche, dans la
région
du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements
a tête en arrière. La douleur de l'épaule gauche, qui partait de la
région
postérieure de l'omoplate, semblait avoir passé s
xtrême- ment violentes et franchement douloureuses, surtout dans la
région
de l'épaule gauche ; la douleur prend même dans
gion de l'épaule gauche ; la douleur prend même dans cette dernière
région
une acuité des plus pénibles ; tout exercice de
ont à peu près disparu ; il reste seulement des soubresauts dans la
région
du larynx et des arrêts des mouvements respiratoi
e-ci encore in- complète, si on pense exécuter un mouvement dans la
région
atteinte ou à l'immobiliser, il est rare que ne
uque presse violemment sur la partie voisine du trapèze et toute la
région
de ce côté est tendue et souvent douloureuse. 4
tion dorsale du faisceau longitu- dinal postérieur, au niveau de la
région
pédonculaire dans le côté droit, et on trouva t
ement chirur- gical (1 pi.), 459. Souques. Tumeur cérébrale de la
région
des clcnuvolutious pariétales supérieu- res(2
dont il s'agit, peuvent frapper la plupart des tissus et occuper les
régions
du corps les plus diverses : \apeau, par exemple,
chat, qui survécut près de trois mois à la destruction complète de la
région
lombaire de la moelle épinière, se développèrent
e la moelle épi-nière, on peut voir se former, principalement sur les
régions
soumises à la pression, des ulcérations, voire mê
du système nerveux, n'ont pas le pouvoir de l'aire naître dans les
régions
éloignées d'autres troubles de la nutrition que c
dé propreté les plus minutieux; elles se développent surtout sur les
régions
du corps soumises à la pression, au frottement, a
vu, en pareil cas, une éruption de zona occuper, à droite, toutes les
régions
de la peau où se distribuent les branches du plex
e-même, était épaissie et dédoublée en deux lamelles, surtout dans la
région
des 9e, 10e et 11e racines dorsales. Bien que les
cas de méningo-névrite spinale localisée à la partie inférieure de la
région
cervicale. L'érythème, le zona, l'atrophie musc
qui peut être quelquefois aisément reconnue, pendant la vie, dans les
régions
où ils sont superficiels, au coude, par exemple,
e blanche, et si, parfois, l'axe gris est envahi, elles respectent la
région
des cornes antérieures, ou épargnent tout au moin
s les grandes cellules nerveuses multipolaires qui siègent dans cette
région
. Telles sontles diverses formes de la sclérose fa
nées, l'une des plaques scléreuses avait envahi, vers le milieu de la
région
cervicale, la presque totalité de la substance gr
arque suivante : Elles siè-gent le plus communément sur unpoint de la
région
dorsale de la moelle épinière qu'elles occupent d
de cette participation de l'axe gris, resteront limitées à certaines
régions
très circonscrites du thorax ou de l'abdomen même
, loc. cit. : Fracture de la co-lonne vertébrale vers le milieu de la
région
dorsale. — Moelle épinière ramollie dans l'étendu
épinière ramollie dans l'étendue de plusieurs pouces, au niveau de la
région
dorso-lombaire. — Affaiblissement de la contracti
ue, plus dense, parsemée de Fig. 2, — Coupe de la moelle faite à la
région
lombaire. — G, corne anté-rieure gauche, saine, a
condaire-ment, lanévroglie et s'étend deproche en proche aux diverses
régions
des cornes antérieures; mais cela n'est nullement
altéra-tion profonde d'un grand nombre de cellules motrices, dans les
régions
de la moelle d'où émanent les nerfs qui se renden
pro-gressive ; bon nombre d'entre elles sont épargnées, même dans les
régions
les plus profondément atteintes, jusque vers les
e manifeste sur les membres frappés de paralysie, principalement à la
région
fessière ; son importance au point de vue du pron
gu dans les maladies de la moelle épinière : il siège en général à la
région
sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésio
où siègent les douleurs les plus vives. Chez une autre, la peau de la
région
fessiôre droite s'est couverte d'une éruption de
derme dans la presque totalité de son épaisseur, se produisit sur la
région
sacrée du côté droit, àquelques centimètres de la
auche, et une éruption pustuleuse se développa bientôtsur la peau des
régions
où se distribue ce nerf. Un caractère commun à
de chromique et examinée à l'aide de coupes minces, dans ces diverses
régions
, ne présente aucune altération appréciable. — A l
hlegmo-neuse, qui peut s'accompagner parfois de douleurs vives, si la
région
n'était pas au préalable frappée d'anestliésie.
sieurs fois, rester limitée aux lobes antérieurs du cerveau, dans les
régions
correspondant au fond de l'ulcère. A ces compli
d. Il affecte d'ailleurs un siège tout particulier. Ce n'est pas à la
région
sacrée, ainsi que cela a lieu si communément dans
e érythé-mateuse. parties médianes, mais bien vers le centre de. la
région
fessière, et, le plus souvent, s'il s'agit d'une
isait issue sous forme de champignon à travers ce dernier orifice. La
région
temporale et la paupière supérieure du côté droit
plus vraisemblable qu'il faut invoquer ici l'irritation de certaines
régions
de l'encéphale, qui auraient, dans l'état normal,
épi-nière, il se manifeste dans la très grande majorité des cas, à la
région
sacrée —par conséquent au-dessus et en dedans du
titudes joue ici un rôle important. Ainsi, il Fig. 4.—Eschare de la
région
sacrée dans un cas de myélite partielle sié-geant
e de la région sacrée dans un cas de myélite partielle sié-geant à la
région
dorsale de la moelle épinière. — a, Partie mortif
'eschare sacrée, de vastes ulcérations nécrosiques se déve-lopper aux
régions
trochantériennes. Il esf assez commun d'ailleurs,
vérité trèsrarement, au niveau de lapointc des omo-plates, ou sur les
régions
olécrâniennes (1). D'une manière très générale,
rès l'accident. Dès Je deuxième jour, il exis-tait de la rougeur à la
région
sacrée, et une bulle s'était formée au niveau du
de la quatrième vertèbre dorsale ; une eschare confirmée occupait la
région
sacrée, dès le quatrième jour. — L'eschare survin
lendemain, érections continuelles ; « il survint des phlyetènes à la
région
du sacrum », et, ce même jour, « le malade recouv
eschares n'ont été notées que trois fois à la suite des lésions de la
région
cer-vicale (1/41 p. 100), 12 ibis (9,23 p. 100) p
de la région cer-vicale (1/41 p. 100), 12 ibis (9,23 p. 100) pour la
région
dor- 1. Cité par Ollivier (d'Angers), loc. cit.
rlt, loc. cit., p. 94, analyse de 270 cas. sale, tandis que pour la
région
lombaire la proportion s'est élevée à 12/100 (7 c
hie, 1867. 2. Dans un cas de fracture de lacolonne vertébrale, à la
région
dorsale, ob-servé par J. Ilutchinson, dès le seco
s fait remarquer déjà, sur le membre du côté opposé où elle occupe la
région
sacrée et la fesse dans le voisinage immédiat de
cupe la région sacrée et la fesse dans le voisinage immédiat de cette
région
. Cette dis-position particulière de l'eschare par
aumatique por-tant sur une moitié latérale de la moelle épinière à la
région
dorsale, la paralysie du mouvement survenir dans
loppe dans le genou du membre paralysé, tandis que, au voisinage delà
région
sacrée,, la fesse du membre, privé de sensibilité
normale. Le onzième jour, il s'est produit une eschare qui oc-cupe la
région
sacrée et s'étend sur la fesse du côté droit. Ce
se, suivant toute apparence ,n'est autre que l'extension, à certaines
régions
du segment inférieur de la moelle, du travail phl
e jours après l'accident, une escharé avait commencé à se former à la
région
sacrée, et l'urine qui s'écou-lait de la vessie é
e^ témoin le cas cité plus haut, de Duriau, où la mortification de la
région
sacrée était déjà prononcée quatre jours seulemen
On peut voir survenir encore la mortification rapide du derme de la
région
sacrée, même dans les maladies spinales à évolu-t
me, le fait dominant, toujours présent, c'est l'irritation vive d'une
région
plus ou moins étendue de la moelle épinière, se t
s cas d'hématomyélite aiguë, centrale, où lalésion occupe surtout les
régions
centrales de la moelle épinière, semble désigner
nt de vue particulier, il y a lieu de reconnaître dans la moelle deux
régions
douées de propriétés très distinctes. Or, comme c
elle deux régions douées de propriétés très distinctes. Or, comme ces
régions
peuvent être affectées soit séparément, soit simu
breux de myélite traumatique occupant un point élevé de la moelle,—la
région
cervicale, par 1. Loc. cit. p. 252. exemple,
, par 1. Loc. cit. p. 252. exemple, ou la partie supérieure de la
région
dorsale, —faits dans lesquels le déeubitus aigu s
région dorsale, —faits dans lesquels le déeubitus aigu survient à la
région
sacrée, et assurément sans participation directe
s'était développée rapidement sur la partie gauche, au voisinagede la
région
sacrée. Déplus, laface interne du genou gauche, d
érieure de la moelle et s'étend de-puis la queue de cheval jusqu'à la
région
cervicale. La moelle elle-même, exa-minée d'abord
tait devenue complète le 9 février. Le 23 du même mois, la peau de la
région
sacrée présentait une plaque érythémateuse qui, l
yant pris origine au voisinage d'un tubercule solitaire siégeant à la
région
cervicale de la moelle, M. Gull signale la format
u côté du corps où siégeait la lésion arti-culaire. Elle affectait la
région
cervicale dans le premier cas où l'arthropathie o
arthropathie occupait l'épaule ; elle siégeait un peu au-dessus de la
région
lombaire dans le second cas qui présentait un exe
-semblable que, en s'étendant de proche en proche, jusqu'à cer-taines
régions
des cornes antérieures de la substance grise, le
t du cerveau, résultent, elles aussi, de l'envahissement de ces mêmes
régions
de la substance grise de la moelle épinière. Dans
feste souvent dans le temps môme où les eschares se dé-veloppent à la
région
sacrée ; elle se rattache aux lésions des voies u
purulentes, dans le temps môme où les es-chares se développaient à la
région
sacrée, où la contractilité électrique commençait
rent de bonne heure qu'on voit les eschares se former rapidement à la
région
sacrée (Loc. cit., t. II, p. 37). 2. Traube. —M
tion marquée de la température a été plusieurs fois constatée sur les
régions
du corps où se développait une éruption de zona c
ia, 1872, p. 175. Dans deux cas de plaie du nerf avec glossy skin, la
région
occupée par la lésion trophique était de 1 à 2 de
upée par la lésion trophique était de 1 à 2 degrés plus chaude que la
région
correspondante du membre sain. Mais au-dessus de
duire la dilatation des vaisseaux et conséquemment l'iiypérémie de la
région
dans laquelle ces nerfs se distribuent. Tandis qu
ou névralgiques, parfois des plus vives, et occupant le membre ou les
régions
du membre, qui bientôt seront pris, mais secondai
Chargot. Œuvres complètes, t. i. 12 fait spécialement sentir à la
région
épigastrique et sur le dos, Toutefois les membres
. —Coupes transversales: zone périphérique ; — zone de transition : —
région
centrale. — Coupes lon-gitudinales. — Altérations
sept uni lucidum, le corps calleux (Pl. VII) et enfin dans certaines
régions
de la substance grise (Couches optiques, corps st
simultanément les olives, les pyramides, les corps restiformes et la
région
posté-rieure où sont étages les noyaux d'origine
ne, que l'on aperçoit bien les lé-sions. Elles intéressent toutes les
régions
de la moelle (cervi-cale, dorsale, et lombaire) ;
êt qui s'y at-tache. Vous voyez, en effet, les plaques siéger sur des
régions
très diverses des centres nerveux, suivant les ca
e, dans la substance grise, un rôle important ; il est, en effet, des
régions
de celle-ci qu'elle constitue d'une manière presq
ilées se montrent plus nombreuses que partout ailleurs dans certaines
régions
de la substance grise et qu'elles sont parfois te
ment de veux ne s'éloigne guère de la structure de celui des autres
régions
. (Ranvier. — Sur les éléments conjonctifs de la m
nt progressivement, de plus en plus, à mesure que l'on approche de la
région
centrale de la plaque, région où elles acquièrent
plus, à mesure que l'on approche de la région centrale de la plaque,
région
où elles acquièrent leur plus haut degré de dével
à s'effacer de plus en plus (1). c) C'est — vous le savez — dans la
région
centrale de la plaque scléreuse que l'on observe
ent jamais au centre de la plaque de sclérose, c'est-à-dire flans les
régions
où la métamorphose fibrillaire et fe travail de d
clérose en plaques, quand les îlots scléreux occupent, dans certaines
régions
de lamoelle, une assezgrande étendue, en hauteur,
partie de l'épaisseur de ces cordons, clans toute l'étendue d'une des
régions
de la moelle épinière, de la région lombaire, par
clans toute l'étendue d'une des régions de la moelle épinière, de la
région
lombaire, par exemple. Or, dans tous les cas du d
plaques de sclérose. B). le siège, s'était communiqué, en certaines
régions
de la moelle, aux cellules nerveuses des cornes a
cérébrale et le ramollissement dit cerveau, lorsqu'ils ont occupé les
régions
de l'encéphale dont la lésion a pour efï'ef de dé
fois les pédoncules cérébraux, la protubérance, le bulbe et certaines
régions
de la moelle épinière. Or, ces lésions cérébro-sp
découvrir, soif dans les centres nerveux, soit dans les viscères, une
région
récente congestive, œdémateuse ou autre, pouvant
e-ci s'annonce en général par le développement rapide (ïesckares à la
région
sacrée. Si, au contraire, le malade doit survivre
centaine de fois par jour. Des eschares se formèrent rapidement à la
région
sacrée et la mort survint le sixième jour. L'expl
iège d'une in-flammation ulcéreuse. C'est alors que se montrent, à la
région
sacrée et sur tous les points des membres inférie
ose en plaques disséminées a débuté à 23 ans et demi: faiblesse de la
région
lombaire, fatigue très grande des membres inférie
ans la moitié uauche coupe pratiquée à la partie la plus élevée de la
région
' ' ' , lombaire : on voit que les cordons post
partout, mais principalement à partir de l'extrémité inférieure de la
région
dorsale. La Figure 15 représente les lésions obse
ns observées sur une coupe pratiquée à la partie la plus élevée de la
région
lombaire. A ce niveau, les cordons postérieurs
, sont en réalité, subordonnées à des lésions siégeant dans certaines
régions
bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce group
sensations irradiées, toutes spéciales. Ces sensa-tions partent delà
région
ovarienne et gagnent successivement : 1° l'épigas
successivement : 1° l'épigastre, 2° le cou, en se traduisant dans ces
régions
par une oppression plus ou moins considérable, la
ignalée autrefois et, plus tard, mis en doute, de la pression de la
région
ovarienne sur la production des phénomènes de l'a
êmes les plus intenses. Il s'agit de la com-pression méthodique de la
région
ovarienne. M.Briquet nie la réalité des effets de
superficielles (tégumentexterne), elle envahit quelquefois aussi les
régions
profondes (muscles, os, articulations). L''hémi
nt si profondément la motilité—en particulier quand elles occupent la
région
de la couche optique et du corps strié—restent à
oyau caudé (noyau intra-ventriculaire du corps strié), qui, danscette
région
,n'estplus réprésenté que par une toute petite m
ulaire du corps strié ,1a partie supérieure de la capsule interne, la
région
correspondante de la couronne rayonnante et la su
ns complexes ; mais elles permettent tout au moins de circonscrire la
région
dans laquelle devront être dirigées les recherche
de ce qui précède que, dans les hémisphères cérébraux, il existe une
région
complexe dont la lésion détermine l'hémianesthési
l'hémianesthésie ; on connaît approxi-mativement les limites de cette
région
; mais, actuellement, la 1. The disease was not
ussée plus loin, et personne n'est en droit de dire si c'est, dans la
région
indiquée, la couche optique qui doit être incrimi
aits analogues que j'ai recueillis dans les auteurs, elle occupait la
région
postérieure de la couche optique et les parties a
ngueur, atteignant dans la substance blanche jusqu'à deux pouces. Les
régions
lésées étaient : la partie supérieure et extrême
nche du lobe supérieur qui lui est opposée. Toujours plusieurs de ces
régions
étaient atï'ectées en même temps. Les fibres qui
is qui peut occuper aussi les deux flancs, aux limites extrêmes de la
région
hypogastrique. Je fais allusion à la douleur ovar
il les appelle, décrit avec complaisance la douleur ilia-que ou delà
région
ovarienne, très commune à son avis, et qui, suiva
en partie dans la fosse iliaque, et répondrait, selon cetauteur, à la
région
de l'ovaire. 2° D'autres fois, la douleur n'est
doigt, met d'ailleurs en évidence. L'exploration profonde de cette
région
fait reconnaître aisé-ment la portion du détroit
d'un chemin de fer, une sensation de coups de marteau frappés sur la
région
temporale gauche, puis, en dernier lieu, une obnu
aître, avec cet éminent observateur, que la pression du flanc dans la
région
ovarienne ne fait que reproduire artifi-ciellemen
orte et large pression, exercée par l'intermédiaire de la main sur la
région
ovarienne, suffit, dit Négrier, dans plusieurs ca
ment compte de cette influence, car elle-même essaie de com-primer la
région
qui donne naissance à l'aura ou, lorsqu'elle n'y
d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la
région
ovarienne gauche, douleur d'un caractère spécial,
s'accompagnant de sensations particulières qui s'irra-diaient vers la
région
épigastrique et que la malade reconnais-sait comm
n,Messieurs,ce ballonnement considérable duventre, ces douleurs de la
région
ovarienne cette rétention des urines, constituent
risme ; c) elle présente un ballonnement énorme de l'abdomen;—cl) les
régions
ovariennes sont douloureuses à la pression, et, e
es attaques semble prendre origine pour remonter vers l'épigastre, la
région
précordiale, le 1. Voir entre au 1res, sur ce s
oret à rétain, c'est-à-dire que si, chez elle, vous appliquez sur une
région
quelconque des parties anesthésiées, soit une pla
re, à mon sens, de premier ordre, que la compression méthodique de la
région
ovarienne droite, pourvu, bien entendu, qu'elle s
llez le constater vous-mêmes de visu, la compression méthodique de la
région
ovarienne droite a pour résultat certain, constan
ue la manœuvre en question : quelques plaintes, une tuméfaction de la
région
antérieure du cou, plusieurs mouve-ments bruyants
ù nous nous trouvons. D'après nos observations, l'application dans la
région
ovarienne d'un sac de glace, prolongée pendant un
pper, que chez elle, comme chez G..., la compression méthodique de la
région
ovarienne qui, dans le cas particulier, doit être
fléchis, sont disposés do telle sorte que les mains reposent sur la
région
ombilicale et que les coudes sont un peu éloignés
om-pare à des piqûres, plus intenses dans les coudes, au niveau de la
région
occipitale, à la partie postérieure du cou et dan
ens spéciaux, vision et odorat y compris. On reconnaît aussi, dans la
région
ovarienne droite, l'existence d'une douleur très
ce de suffocation; un autre jour, ce sont des douleurs par-tant de la
région
précordiale et s'irradiant vers l'épaule gauche,
delà cause trau-matique. Ces symptômes restent raremenl limités à la
région
où celle-ci s'est exercée ; ils s'étendent rapi
a région où celle-ci s'est exercée ; ils s'étendent rapidement, aux
régions
voisines et peuvent même occupertoute l'étendue d
rizontalement et laissant voir des îlots de sclérose dans différentes
régions
(substance blanche et substance grise). a, Plaq
anche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les
régions
antérieures (commissure an-térieure, partie avois
ots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des
régions
cérébrales postérieures ; quelques-uns sont très
ontalement et. per-mettant devoir des îlots de sclérose dans d'autres
régions
(substance blanche et substance grise). a, Plaq
anche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les
régions
antérieures (commissure an-térieure). b, Plaque
ots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des
régions
cérébrales postérieures. Quelques-uns sont très p
exions visibles à la superficie. Elles dominent, ici, surtout dans la
région
dorsale. v. Vascularisation méningée (pic-mère)
diverses hauteurs de la moelle épi-nière et montrant, dans toutes les
régions
, la profondeur des îlots scléreux, leur répartiti
et même sur la substance grise centrale. I, Partie supérieure de la
région
cervicale, immédiatement au-dessous du. bulbe.
artie inférieure du renflement cervical, 4, Partie supérieure de la
région
dorsale. 5, Deux centimètres plus bas, région d
rtie supérieure de la région dorsale. 5, Deux centimètres plus bas,
région
dorsale supérieure. 6, Un centimètre et demi pl
bas, région dorsale supérieure. 6, Un centimètre et demi plus bas,
région
dorsale supérieure. 7, Deux centimètres plus ba
s supérieur avec le tiers moyen. 8, Un centimètre et demi plus bas,
région
dorsale. 9, Un centimètre et demi plus bas. 1
mètre et demi plus bas. 10, Deux centimètres plus bas, milieu de la
région
dorsale. II, Un centimètre plus bas. 12, Un c
faites à diverses hauteurs de la moelle et montrant, dans toutes les
régions
, la profondeur des îlots scléreux, lew ré-partiti
nt cervical). 4, Deux centimètres plus bas (partie supérieure de la
région
dorsale). 5, Un centimètre et demi plus bas.
e manifeste sur les membres frappés de paralysie, principalement à la
région
fessière ; son importance au point de vue du pron
gu dans les maladies de la moelle épinière : il siège en général à la
région
sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion
feste souvent dans le temps même où les eschares se dé-veloppent à la
région
sacrée ; elle se rattache aux lésions des voies u
— Coupes transversales : zone périphérique ; — zone de transition ; —
région
centrale.— Coupes lon-gitudinales. — Altérations
rent sans change- ment. L'anesthésie thermique occupa peu à peu une
région
plus grande, quoique son degré variât sur ces e
es plantes des pieds ne perçoivent que la différence de 7°. Mais la
région
du plexus sacré est quand même celle qui sent
lle est plus faible. Par moments, il y a une douleur intense à la
région
analgésique de la nuque. Un sentiment presque c
périeurs et inférieurs droits ; une délimitation très accusée des
régions
normales et anesthésiées du thorax par la ligne
ès d'oppression thoracique, une sen- sation de constricLion dans la
région
précordiale, par moments, une angoisse indéfini
ntent relativement bien, l'avant-bras moins bien. Dans les autres
régions
de la sphère thermanes- thésique, le malade ne
main gauche et un certain aplatissement du the- nar surtout dans la
région
du muscle adducteur du pouce. Les muscles et le
ères sur les membres inférieurs. Sur le thorax, par devant dans les
régions
thoracique et abdominale, on observe un abaisse
idérables pour un attouchement. Cela s'observe plus souvent dans la
région
des épaules et des bras et ne se voit presque pas
mains et l'épaule droite ne sentent que la différence de 3-4" ; la
région
sus et sous-claviculaire à droite : 4-5°; les a
4" ; la région sus et sous-claviculaire à droite : 4-5°; les autres
régions
du dos, de la poitrine et des membres supérieur
est améliorée ; une certaine analgésie seulement est restée dans la
région
des épaules. Le sens de température s'est égaleme
tenir compte, car elle vient bien souvent aussi individualiser la
région
, que ses fonctions spéciales déterminées par l'ex
t par l'étude anatomo-clinique, faisaient déjà une et distincte des
régions
voisines 2. Dans cet ordre d'idées, nous donner
t Hilzig, par Ferrier, ont tenté la trépanation et l'ablation de la
région
malade dans six cas de lésions cérébrales chez
Le centre cortical des mouvements du membre inférieur occupe une
région
plus étendue d'après Hallopeau et Giro- deail q
après Charcot et Pitres 3. Les premiers donnent pour centre à cette
région
de l'écorce, le tiers supérieur de la pariétale
qu'avec sept ou huit observations'. Il occupe à peu près la même
région
que le centre cortical de la cécité verbale, le l
e cortical sur notre dessin. Nous signalons sans plus y insister la
région
présumée que doit occuper la lésion corticale,
araît jusqu'à l'heure actuelle, du facial supérieur inscrit dans la
région
du pli courbe sur le schéma de Charcot et Pitre
e (-Meynert) par crampes vaso-motrices ou de cram- pes de certaines
régions
cérébrales (Kalhbaum, Neisser), varia- bles, mu
de rétrécissement du champ visuel. Les deux fosses iliaques et les
régions
sous-mammaires sont douloureuses à la pression.
ofesseur de Berlin, la partie externe des cor- dons postérieurs des
régions
dorsale inférieure et lombaire supé- rieure de
ensitifs et des nerfs moteurs du plexus brachial émanent de la même
région
de la moelle. Le pronostic des paralysies radic
plus utile consiste dans l'application de révulsifs répétés sur la
région
cer- vicale et le moignon de l'épaule et plus t
IE NERVEUSE. 73 sivement pressés les uns contre les autres, dans la
région
thora- cique moyenne de la moelle, se dissémina
é des altérations caractéristiques du tube, offrait au niveau de la
région
dorso-lombaire un étranglement marqué. Il reste
iffuses, peu manifestes, siégeant surtout dans l'écorce grise de la
région
fronto-pariétale. OBS. III. Destruction locale
position forcée d'une fête dolichocéphale à front fuyant, toute la
région
postérieure devient saillante ». D'abord, cette
la supposant aussi exagérée que possible, pourrait faire que « la
région
postérieure devienne saillante o. Car cette 'incl
s oxycéphales, têtes à front plus ou moins droit et élevées dans la
région
bregmatique. M. BALL s'excuse de prolonger les
est généralement qu'après l'accouchement qu'il se développe dans la
région
des manchons de myéline (séries de coupes relat
u- mine, ni sucre; abondance d'acides biliaires. Douleurs dans la
région
des reins. Cette combinaison de deux maladies a d
leur atroce, accompagnée d'une sensation de brûlure et de soif à la
région
précordiale : la respiration est gênée, car le
ilée (douleur, température contact) au membre droit, surtout à la
région
du dos du pied qui est presque complètement anest
efois il pressent l'incontinence par un malaise indéfinissable à la
région
lombaire. Aussitôt que le malade sent le besoin
on lui enlève le casque, le malade est pris de fortes douleurs à la
région
gastrique, qui était si gonflée, qu'elle faisai
d'une très forte douleur au-dessous de l'apophyse xiphoïde et à la
région
lombaire, sans gonflement de l'estomac, au moins
itter l'échelle du bateau pour se plonger, il sent une douleur à la
région
hypogastrique, et il penche le corps en avant p
entre les omoplates. Bientôt après, il a senti un grand poids à la
région
épigastrique, avec gêne de la respiration. Pas
respiratoires sont gênés par le grand poids que le malade sent à la
région
épigastrique. La deuxième catégorie est celle d
signaler cette particularité que la douleur, ayant commencé par la
région
hypogastrique, vient s'installer aussitôt après
douleurs, pas de gonflement. Le malade res- sentait seulement à la
région
épigastrique un grand poids gênant la liberté d
s du genou. Dans tout le reste, les membres inférieurs ainsi que la
région
des nerfs crâniens sont normaux. Sensibilité :
gauche, en occupant la moitié de la nuque et de la tête jusqu'à la
région
du nerf trijumeau. La sensibilité tactile est p
La sensibilité à la douleur est abolie ou diminuée dans différentes
régions
isolées de toute la moitié gauche du corps, et
de la sensibilité ; 3). Troubles moteurs, paré- sies limitées à des
régions
peu étendues, des mouve- ments convulsifs, etc.
ie s'était accompagnée d'une analgésie plus étendue ; deux fois les
régions
d'anesthésies partielles de ces deux espèces de
d'autres, cette coïncidence n'était pas complète ; dans certaines
régions
, il n'y avait que de la thermanes- thésie ; dan
'analgésie partielle. DE LA- GL10MAT0SE MEDULLAIRE. 199- néral la
région
de la thermanesthésie occupe habituel-- lement
bservation d'Oppenheim, la sensibilité était diminuée dans toute la
région
à limites caractéristiques, atteinte d'analgési
avons pu suivre l'extension graduelle de la thermanesthésie d'une
région
peu considérable à la totalité du corps. Nous n
ut constater ce trouble, distribué d'une manière asymétrique, par
régions
, en zones, non seulement dans le stade initial
c le segment adjacent de l'avant-bras peut-être. Du reste, dans ces
régions
-là, nous n'observons pas d'ordinaire une délimi
VI ! ) avait une zone thermanesthétique nettement limitée dans la
région
de la distribution des racines inférieures thor
. Chez M. B. (Cas. III), à une certaine période de la maladie, la
région
anesthésiée se dessinait du côté droit du corps
ire, il arrive que dans d'autres, elle est située au-dessus de la
région
immersée parle renflement cervical, ou bien occ
lement cervical, ou bien occupe aussi la partie supérieure de cette
région
(rayon du nerf axillaire). Mais en remontant à
de la face sont atteints, tantôt que l'anesthésie n'arrive qu'à la
région
du nerf trijumeau et paraît être comme distribu
les limites de la distribution des nerfs cutanés correspondent aux
régions
innervées par certains segments de la moelle ép
ur le thorax également. Tandis que si la thermanesthésie occupe une
région
où cette coïn- 202 PATHOLOGIE NERVEUSE. ciden
ment cervical supérieur de la moelle épinière. Dans le cas où cette
région
n'est pas atteinte tout entière l'anesthésie ne
elu (OBs. III), etc. Sur les extrémités, il y a des ! endroits ou des
régions
qui peuvent avoir la forme ; de taches ou de ra
nt; habituellement c'est un seul membre qui est atteint, ensuite la
région
adjacente du thorax est éga- lement envahie jus
bre inférieur correspondant peut se prendre ensuite et parfois la
région
du nerf trijumeau ; pourtant cette hémianesthés
est pas régulière, mais elle est com- posée de zones séparées et de
régions
tantôt non net- tement délimitées et ne différa
seule moitié et envahit le membre supérieur ou inférieur ou bien la
région
du nerf trijumeau ou une certaine région du tho
ou inférieur ou bien la région du nerf trijumeau ou une certaine
région
du thorax du côté opposé. Nous n'avons jamais o
cas où il y avait une cer- taine symétrie, l'anesthésie occupait la
région
des troisième et quatrième racines sensitives d
e de l'asymétrie dans les différents degrés de lésion de diverses
régions
isolées ; de sorte qu'un des membres présentera
que l'autre- des par- ties centrales. En parlant des limites des
régions
anesthésiées, nous supposons, bien entendu, un
un certain moment sont ordinairement très différents dans diverses
régions
. La même disposition en zones, en segments, s'o
arties environnantes. Il n'est pourtant pas facile de délimiter les
régions
dans lesquelles le malade distingue, par exempl
s d'autres endroits de même que chez d'autres malades que, dans les
régions
de la therma- nesthésie, non seulement les limi
e qu'elle se caractérise aussi par une distribution en ceinture, en
région
qu'elle prédo- mine d'un côté, qu'elle est nett
ôté, qu'elle est nettement délimitée par la ligne moyenne, là où la
région
analgésique d'un côté ne conflue pas avec la zo
sécutive ne constitue pas la règle. La relation existant entre les
régions
des anesthésies partielles parle en faveur de c
ie d'observations, il peut exister une analgésie partielle dans les
régions
, non occupées par la thermanesthésie ; cela fai
'observe pas du tout, tantôt paraît par-ci, par-là, en occupant une
région
peu considérable et en suivant DE LA GLIOMATOSE
le, innervée cependant par trois nerfs. Dans d'autres cas, toute la
région
therma- nesthétique sent les attouchements d'un
NERVEUSE. ce dernier. Il avait été excessivement abaissé dans la
région
de l'anesthésie générale de notre neuvième cas.
t, l'atrophie musculaire et la faiblesse se localisent dans la même
région
que l'anesthésie (OBS. II, III, IV, VI, VIII, I
isse la tête d'un animal, le liquide céphalo-rachidien s'élève à la
région
céphalique et réciproquement. En tempête, le
la formation de bandes de tissu scléreux par pla- ques dans la même
région
ne sont que les deux premiers degrés de l'altér
érimentale, nous sommes tenté de diviser l'écorce cérébrale en deux
régions
: une pre- mière région, dont les lésions produ
enté de diviser l'écorce cérébrale en deux régions : une pre- mière
région
, dont les lésions produisent manifestement des
roduisent manifestement des troubles moteurs variés et une deuxième
région
, dont la lésion reste à peu près silencieuse, a
olutions occipitales, sans détermination plus exacte. C'est à cette
région
de l'écorce encore mal définie, que Meynert. fait
rs de la sensibilité » ; des lésions de la plus grande partie de la
région
fronto-pariétale avec «. paralysie des mouvemen
trent que la zone sensitive corticale doit certainement dépasser la
région
occipitale. En somme, rien de précis sur les li
figure de la face externe de l'hémisphère gauche pour l'étude de la
région
corticale, quelques-unes des coupes de Pitres p
une coupe de la moelle, en un point d'élection, pour l'étude des
régions
pédonculaire, protubérantielle et médullaire. Ces
es et protubéran- tiels, parvenus dans l'axe spinal, est prise à la
région
dorsale supérieur immédiatement au-dessous du r
nal, nous risquerions de ne pas ren- contrer sur la coupe, dans une
région
trop élevée, la trace de la colonne de Clarke,
op élevée, la trace de la colonne de Clarke, par exemple, dans une'
région
trop infé- rieure, la coupe de cette même colon
ale, ou au centre ovale ou àla capsule interne porte dans ces trois
régions
aux points assignés plus haut au trajet du fais
ent proposés de montrer le mode de disso- ciation terminale dans la
région
bulbo-protubérantielle des trois groupes de fib
eur, fibres de la branche masticatrice du trijumeau. Unique dans la
région
pédonculaire, le faisceau se divise dans la pro-
n de ces incitations motrices. L'auteur ne retire pas pour cela aux
régions
corticales motrices la propriété possible de co
e à l'écorce des influences modératrices dont il s'agit, comme à la
région
cortico-frontale. ' C'est à Pitres (Thèse citée
ar imagination l'é- cheveau de fibres blanches rayonnantes de cette
région
du cerveau et concevoir le trajet respectif des
ostérieur de la capsule, lieu de passage du faisceau moteur dans la
région
, la pyra- mide motrice se trouve en quelque sor
ulé qui est en dedans et le faisceau sen- sitif qui occupe toute la
région
externe. Au pédoncule, le faisceau pyramidal co
ricable de fibres entremêlées avec les fibres trans- versales de la
région
. Il est toutefois assez facile de distin- guer
ux direct, disons-le en passant, occupe une étroite portion de la
région
périphérique postérieure du cordon latéral et s'é
observateur, sur des coupes transversales de la moelle, faites à la
région
cervicale, sous l'aspect d'un disque de petite
gion cervicale, sous l'aspect d'un disque de petite dimension; à la
région
dorsale, c'est un triangle à sommet interne et
arée de la pie-mère par le faisceau cérébelleux direct; enfin, à la
région
lombaire, c'est encore un triangle à angles arr
res. Sur des coupes de la moelle, faites à divers étages, depuis la
région
cervicale, ils représentent ordinairement un pe
e de fibres en dégénérescence et appliquée au sillon antérieur. Des
régions
supérieures les faisceaux pyramidaux directs vo
s faisceaux DE l'axe cérébro-spinal. 263 pyramidaux croisés, à la
région
dorsale moyenne, tantôt au- dessus, tantôt au-d
. Méthode expérimentale. Sur l'écorce et au centre ovale, dans la
région
dite excitable (région rolandique), ces lésions
le. Sur l'écorce et au centre ovale, dans la région dite excitable (
région
rolandique), ces lésions destructives expérimen
t. Avec ses données expéri- mentales établies par l'exploration des
régions
corticale, centre ovalaire et capsulaire, les o
pression de la fonction répond bien à la suppression complète de la
région
motrice, ancienne (la plaque jaune type), afin
. DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 265 Au centre ovale, les lésions de la
région
intermédiaire aux deux coupes préfrontale et oc
istante, hémiplégie totale ordinairement, vu le peu d'étendue de la
région
motrice capsu- laire facilement détruite dans s
s, lorsque les tractus cortico-brachial (portion antérieure de la
région
motrice capsulaire), ou cortico-crural (portion p
motrice capsulaire), ou cortico-crural (portion posté- rieure de la
région
motrice capsulaire), étaient isolément atteints
ancs. Le lieu de passage du faisceau pyramidal dans les différentes
régions
de l'axe cérébro-spinal se trouve ainsi révélé
lissement du volume d'un haricot situé à la partie supérieure de la
région
moyenne de la capsule droite. (Sem. nzéd. 22 avri
e descendante secondaire à des lésions du couronnement cortical des
régions
centre-ovalaire ou capsu- laire du faisceau pyr
térieures (trajet intra-spinal des racines antérieures), les seules
régions
de la moelle épinière qui correspondent à la nu
s et dont ils représenteraient les divers éléments. Ces différentes
régions
du cordon postérieur sont en effet généralement
ouver accom- pagnée dans la suite par la sclérose et l'atrophie des
régions
voisines. Aux douleurs fulgurantes, expression
ux cérébro-spinaux, qu'unmême faisceau partant en aboutissant à une
région
de l'écorce cérébrale d'autant plus antérieure,
tie d'autant plus interne. Ainsi, le faisceau intellectuel, né à la
région
cortico-frontale, se place au segment interne d
interne du pied du pédoncule; le faisceau sensitif aboutissant à la
région
cor- tico-occipitale, se place au segment exter
Le cadavre est d'une taille et d'une constitution moyennes. Sur la
région
dorsale, on aperçoit des taches pourpres cada-
en réalité les libres du trousseau non entre-croisé occupent la ..
région
latérale du tronc du nerf optique; la plupart d'e
SAKDER, FALK examinent les lois et les modes de procédés selon les
régions
. AI. MENDEL. Nous avons le devoir de veiller à
liénés. ART. 2. - Le concours sera régional : il y aura autant de
régions
que de facultés de médecine de l'Etat. La circons
e de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque
région
sera composée comme il est indiqué dans le tabl
seront libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des
régions
. Au sur et à mesure des vacances d'emplois qui
vacances d'emplois qui se produiront dans les asiles publics de la
région
où ils auront passé le'concours, les candidats
xamens. Anv.4.- Un premierconcourssera ouvert en 1888 dans chaque
région
pour l'application du présent arrêté, à une date
concours aura lieu en vue de l'admission de trois candidats dans la
région
de la Faculté de médecine de Paris et de deux c
de médecine de Paris et de deux candidats dans chacune des autres
régions
. Un nouveau concours n'aura lieu ensuite dans cha
tres régions. Un nouveau concours n'aura lieu ensuite dans chaque
région
que lorsque la liste des candidats déclarés admis
il des Actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque
région
. Tout admissible qui n'aurait pas été pourvu d'
il y aurait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une
région
où la liste des admis- sibles se trouverait épu
r- vera la facullé d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre
région
à la condition que celui-ci déclarera expressémen
au droit qui lui appartient d'obtenir son poste de début dans la
région
où il a subi le concours. A titre exceptionnel
re disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la
région
où il aura concouru, pourra être ensuite envoyé
envoyé avec ses mêmes fonc- tions dans un asile situé hors de cette
région
. ART. 5. Les médecins adjoints pourront être no
chargé de juger les résultais du concours sera composé, dans chaque
région
: 10 de trois directeurs-médecins ou médecins e
région : 10 de trois directeurs-médecins ou médecins en chef de la
région
; 2° d'un inspecteur général des établissements
ance '; 3° d'un professeur désigné par la Faculté de médecine de la
région
. Les directeurs-médecins et les médecins en che
l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles publics de la
région
. Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d
. 317 Tableau déterminant la circonscription de chacune des six
régions
où aura lieu un concours' : FAITS DIVERS. AQI
ait précédée et suivie, pendant un certain temps, d'un malaise à la
région
lombaire. Pour être complet, n'oublions pas que
es. Le 22 janvier est venu s'ajouter une sensation désagréable à la
région
sacrée, sur laquelle ses campagnons ont constat
ES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 379 q deux cautères à la
région
lombaire. Le 25 mars, jour que le malade, dit-i
ère isolée. Nous lui faisons une application de pointes de feu à la
région
lombaire et dorsale de la colonne vertébrale et
amen de la sensibilité a relevé des plaques d'anesthésie à diverses
régions
des membres paralysés. Le sens musculaire est 3
rrégulier. Le 10 novembre, rougeur avec une petite excoriation à la
région
sacrée. Le 9 décembre, possibilité de marcher M
. Xanthos a constaté de la rougeur avec une petite excoriation à la
région
sacrée, pas d'escarres. Le malade a commencé à
ce, à l'aide d'un instrument piquant, par exemple une aiguille, une
région
quel- conque de ce membre, le malade ressent la
t combattue par Jespurgatifs. Le 10 juin, une escarre se forme à la
région
sacrée, très étendue, accompagnée de fièvre. Le
(cas de Krauss) quelques troubles de sensibilité marqués dans les
régions
innervées par les parties situées plus bas ou p
ence fréquente au début avec une atrophie musculaire dans les mêmes
régions
, nous fait supposer l'altération également segm
des impressions thermiques suivant la moelle épinière et venant des
régions
in- nervées par toutes les racines situées plus
les moteurs dans lesquels l'atro- phie des muscles est bornée à une
région
limitée au membre supérieur par exemple (OBSERV
bution d'un certain nerf, et dans la gliomatose par une certaine
région
(celle de la main, de l'avant-bras, delà partie
é- sie partielle à disposition caractéristique segmentaire ou par
région
occupant en cas de localisation mono- plégique,
le ventre d'un côté ou des deux, avec extension du processus sur la
région
du nerf trijumeau; ou bien si t'anesthésie part
ue (moitié supérieure du corps, forme hémiplégique, disposition par
région
, etc.) manque de symptômes, nécessaires au diag
éduites à une simple raie hypérémiée, délimitant les plaques ou les
régions
anesthétiques. Cependant l'a- nesthésie elle-mê
ns dans le livre de M. Le- loir) ; 3) il y a transition brusque des
régions
avec analgésie et thermanesthésie, à peu près c
u abondants en arrière et sur le bas des tempes, très rares sur les
régions
pariétales et tem- porales supérieures. Crasses
z·oux ou blonds-roux, gros, rudes et rares, principale- ment sur la
région
moyenne de la moitié antérieure de la tête ; 2°
lectriques de la substance blanche con- firment cet exposé, car une
région
corticale envisagée une fois enlevée, on produi
licitation des centres mo- teurs inférieurs correspondant à la même
région
, et, par l'inter- médiaire des fibres d'associa
lète que pos- sible sauf la lingula (extrémité antérieure) de celle
région
; les hémisphères cérébelleux étaient demeurés i
tuée là où il y a abondance de filels nerveux ; de plus, il y a des
régions
du corps plus sensibles ou exclusivement sensib
tenu une gamme qu'il a mise ensuite à l'épreuve sur les différentes
régions
du corps de beaucoup d'au- tres personnes. Il a
qui regarde la chaleur, et pu établir la carte du corps humain par
régions
à l'aide de hachures conventionnelles et de chi
bérance. Dégénérescence grise et atrophie 111·LologiIue de toute la
région
des oculo-moteurs communs (troncs, fibres radic
s. Atrophie des racines et des noyaux des oculo-moteurs externes.
Région
d'origine dos pathétiques : intégrité de leurs gr
Dégénérescence et sclérose grise des cordons postérieurs depuis la
région
cervicale jusqu'en bas. P. K. XXIV. Contribut
unilaté- rales à droite, sans abolition de la sensibilité dans les
régions
affectées. L'auteur rappelle que d'autres fai
ie par la variété de fré- quence des suicides, suivant les diverses
régions
. 4o2 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. IIUBERTY. Des trou
é .de leucocytes; sclérose sous-épeudymaire allant jusque dans la
région
des noyaux gris sur le plancher du quatrième vent
ique général. Il n'y a plus ici d'agent désorganisant localisé à la
région
lésée, mais tantôt la dystrophie est la conséquen
x avec distribution élective au cou, aux seins, à l'abdomen et à la
région
malléolaire (PI. IV). Il suffit de regarder cet
contrer à l'exa- men radiographique une destruction imposante de la
région
sellaire qui correspond à la destruction même s
pitnitaire ne cor- respond pas à une altération volumétrique de la
région
sellaire. Ces cas sont extrêmement intéressants
effet à la question extrêmement importante de l'ossification de la
région
centrale de l'os sphénoïde : nous la développer
particulière du tissu adipeux avec localisation élective au cou, à la
région
mammaire, à l'abdomen, au mont de Vénus et enfi
térine quand les mains repliées au devant du thorax,ont comprimé la
région
pectorale (1). On voit alors coïncider des malf
n centre trophique hypothéti- que placé à la base du crâne dans une
région
où les altérations survenues pendant la période
consistant en des applications faradiques un peu douloureuses à la
région
périorbitaire. Le malade eut une rapide amélior
et l'appari- tion de rides en correspondance des paupières et de la
région
péripalpé- brale. Ces faits nous démontrent que
s même aspect, même température, même souplesse et tonicité que les
régions
avoisinantes : il n'y eut ni trophedème ni scléro
z il est tombé sur le dos, a ressenti ensuite des douleurs dans la
région
sa- crée qui le forcèrent à marcher courbé pend
'un vagon de marchandises il ressentit une violente douleur dans la
région
sacrée, semblable à un déchire- ment, il eut de
il allait tomber et son corps se couvrit de sueur. Les douleurs de la
région
sa- crée persistèrent, elles s'accroissaient pe
uchée et 102 dans la posi- sition debout. Pendant la pression ur la
région
sacrée ou quand on force le malade à se redress
ng, remontent jusqu'au cer- velet et par la protubérance jusqu'à la
région
des tubercules quadriju- meaux ; ceux de v. Sol
an, Choroschko, K. Golstein, suivent les dégénérescences jusqu'à la
région
sous-optique et au thalamus (1). Dans notre obs
cile. Cette difficulté d'interprétation ne se retrouve que dans une
région
très limitée, au-dessous de la lésion seulement
dorsale inférieure. Nous n'insistons pas davantage sur l'état des
régions
sous-jacentes à la lésion, ce travail étant plu
photographie du segment C7 (PI. XV, fig. B). En partant de celle
région
, nous étudierons le trajet des fibres dégéné- r
passent par le corps restiforme (fig. 14) ; il se disperse dans une
région
qui con- tient, à la fois la substance grise an
Thiele et Horsley à remonter dans la calotte pédonculaire jusqu'à la
région
sous-optique. - Il existe d'autres descriptio
cules à long trajet qu'on retrouve plus haut et qui vont jusqu'à la
région
sous-optique. Les deux groupes postérieurs répond
part en reçoit le noyau de Deiters. Mais nous avons noté que cette
région
postéro-interne du bulbe, où se termine aussi u
e quadrijumeau postérieur (fin. 21)."D"n le retrouve encore dans la
région
sous-optique (fig. 22) en contact avec le corps
t préférable à celui de fibres spino-quadrigéminales) ; . avec la
région
sous-optique et la partie ventrale du noyau exter
bres inférieurs ; en même temps il avait souffert fortement dans la
région
rachi- dienne, vers les 9e ou 10* vertèbres dor
11e ne donne liau à aucune contraction réflexe visible dans la même
région
, mais on observe à chaque trait de l'aiguille d'u
. . La sensibilité est altérée, sur le domaine paralysé, jusqu'à la
région
ingui- nale ; on note une hypoesthésie au tact
t être d'autaut plus intenses qu'on se rapproche davantage de cette
région
. Il nous a été impossible de produire le moindre
indre mouvement réflexe du membre inférieur eu excitant la peau des
régions
abdominale et thoracique. Les réflexes cutané
n de juillet. Mais entre temps plusieurs des tumeurs cutanées de la
région
sacrée et des régions fessières, se sont ulcéré
tre temps plusieurs des tumeurs cutanées de la région sacrée et des
régions
fessières, se sont ulcérées ; en ces zones la pea
ère on remarque que la moelle,au niveau de la partie supérieure de la
région
dorsale et sur une faible hauteur, est légèreme
te du groupe cellulaire de la co- lonne de Clarke droite. ' Dans la
région
du canal de l'épendyme se trouve un assez grand
t, sont beaucoup plus légères que sur les D2 et D3. Les différentes
régions
occupées par les fibres endogènes sont normales ;
ie du type gigantique est inégalement répartie au niveau d'une même
région
. S'agit-il d'une syphilis héréditaire ayant pu,
guisés par lui pour cet usage. Si bien qu'il présentait en diverses
régions
du té- gument, de larges placards donnant, à pr
qûres dont elle fut le siège. El pourtant le tatouage, en certaines
régions
tégumentaires, était si net que le D° Tissot (1
cembre. Je me sens assez bien depuis, sauf les maux de tête dans la
région
temporale gauche (Dans cette même région, lorsq
f les maux de tête dans la région temporale gauche (Dans cette même
région
, lorsque j'avais il peu près dix ans j'ai reçu
s reliefs d'une musculature sou- ple et robuste, agrémentés dans la
région
lombaire de deux fossettes s symétriques; au-de
e étroite, petits seins, larges hanches, ventre et pubis saillants,
région
sacrée presque verticale, plis fessiers profonds,
en con- tact avec rien. Parfois même l'hyperalgésie existe dans la
région
des fesses et des cuisses. On voit alors les ma
es qu'on rencontre dans les autres affections nerveuses. Si dans la
région
douloureuse il n'y a pas d'hyperalgésie, la peau
t des cas où l'hyperalgésie etsurtout la douleur se fixent dans une
région
où elles persistent pendant des années avec que
es, le nez, dans une étendue plus ou moins grande et une partie des
régions
massé- térines et temporales. Une frange sinueu
ne frange sinueuse de quelques centimètres de transition sépare les
régions
sensibles de celles qui sont aneslhésiées. Les
e la figure qui garde relation avec celle qu'elle a dans les autres
régions
. Il est évident que ce n'est pas la forme névri
des qui avaientprésenté tel groupe de symptômes dans telle ou telle
région
souffrent ultérieurement de ré- cidives à sympl
autres tissus profonds. Les spasmes peuvent être limités à quelque
région
ou bien généralisés à tout le corps, au point q
11 appartient à un type jambier atrophique non paralytique. Dans la
région
des jambiers on observe très clairement la goutti
l, le biceps, le pectoral ; le processus laisse, entre les diverses
régions
frappées, des por- tions intermédiaires qui ne
pas non plus, dans la lèpre nerveuse, l'atrophie des muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras correspondant aux seg-
pre, l'atrophie musculaire d'origine arthritique. Les muscles de la
région
postérieure de l'avant-bras de la figure 29 son
les douleurs névritiques coexistent chez les lépreux dans ces mêmes
régions
de supriréllectivité. Mais ces réflexes tendine
tabilité, Cette modification quan- titative existe parfois dans ces
régions
dont le volume musculaire et dont l'action motr
ve aussi ou plus fréquemment le type normal d'excitabilité dans les
régions
dont les muscles se trouvent dans des articles
ve les plus graves signes de dégénération neuro-musculaire dans les
régions
où il y a atrophie paralytique. Dans ces muscle
eschares. Il n'y a pas de réaction faradique pour les muscles de la
région
anté- rieure dans la jambe du malade de la figu
imitivement SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX 167 dans certaines
régions
, mais spécialement aux mains parce que ce sont
ertaines régions, mais spécialement aux mains parce que ce sont des
régions
distales el, par conséquent, celles où les nerfs
tent de l'expérimentation. Si nous interceptons l'innervation d'une
région
, il peut survenir, outre la paralysie de la mot
peau, ainsi que des phlegmons consécutifs sui- vant l'étendue de la
région
frappée et la relation que, consécutivement, el
ans présenter d'autre modification apparente que t'anesthésie de la
région
correspondante, compensée bien des fois après un
ite d'un panaris à l'ex- trémité du doigt, dont la cicatrice et les
régions
adjacentes se sont conser- vées longtemps si do
ophiques, sont limités pendanl longtemps à une partie réduite d'une
région
, et, par con- séquent, la limitation des douleu
e région, et, par con- séquent, la limitation des douleurs dans une
région
réduite, la contrac- ture de tel ou tel faiscea
extrême de cette amyotrophie. Celle-ci porte peut-être plus sur la
région
antérieure et péronière que sur la région posté
rte peut-être plus sur la région antérieure et péronière que sur la
région
postérieure. Fait très singulier, la cuisse n'est
ie supérieure du segment postérieur de la couronne rayonnante et la
région
thalamique du segment rétro lenticulaire de la
e c'est par cette couche que passent les fihres de projection de la
région
occipitale (faces interne et externe), ce cas c
t le lobe pariétal ou le lobe frontal, soit l'une et l'autre de ces
régions
, ou alors le lobe temporal. Dans un de ces cas,
NOYAU ROUGE 193 domaine des circonvolutions centrales, y compris la
région
opercu- laire; dans quatre autres, les circonvo
; dans quatre autres, également, les circonvolu- tions occipitales (
région
calcarinienne et 0, à 03) ; dans deux enfin, les
s lésions siégeaient surtout au niveau du lobe temporal (Fi à F3 et
région
occipito-temporale). Il s'agissait, le plus sou
, elles siégeaient au niveau des circonvolutions centrales et de la
région
operculâire; dans les trois autres, elles s'étend
e ces cas prouve nettement que ce noyau ne reçoit pas de libres des
régions
situées en arrière du sillon de Rolando, c'est-
que lors- qu'il s'agissait de lésions intéressant le lobe frontal (
région
préfrontale) ou la région rolandique operculair
t de lésions intéressant le lobe frontal (région préfrontale) ou la
région
rolandique operculaire, il devient évident que c'
andique operculaire, il devient évident que c'est bien de ces mêmes
régions
que proviennent les radiations corticales du noya
corticales du noyau rouge. Quant à la part que prend chacune de ces
régions
dans la constitu- lion de la voie cortico-rubri
ue (noyau antérieur, noyau ventral antérieur et noyau médian b), la
région
sous-thalamique et le noyau rouge. La dégénéresce
aracenlral mais atteignant toutefois la couronne rayon- nante de la
région
operculaire ; dans les deux autres, le lobule par
inférieur des circonvolutions centrales et intéressaient surtout la
région
operculaire, y compris le pied de la troisième
e localisation commune à chacun de ces quatre cas, on doit noter la
région
operculaire de la circonvolution centrale antérie
la lésion, l'auteur considère que c'est surtout au niveau de cette
région
que siège le centre cortical du noyau rouge. Que
sa résulte de la lésion isolée, soit du lobe préfrontal, soit de la
région
oper- cuio-cenlrale. Von Monakow est donc condu
'une siégeant au niveau du lobe préfrontal, l'autre au niveau de la
région
cenlro-operculaire. ' Von Monakow termine son r
'atrophie d'un certain nombre de cellules principales. Les seules
régions
dont la lésion détermine la dégénérescence du noy
la lésion détermine la dégénérescence du noyau rouge sont : a) la
région
préfronlale, et, en particulier, la connexité ant
, et, en particulier, la connexité antérieure de F2 et F3 ; b) la
région
centro-operculaire, laquelle s'étend peut-être au
tre au lobule- paracentral. , Dans les cas de lésion isolée de la
région
préfrontale, la dégénérescence secondaire abord
le noyau médian de la couche optique, puis, après avoir traversé la
région
sous-thalamique et la zone capsulaire frontale du
ise dorso-médiane. 1 Lorsque la lésion est strictement limitée à la
région
operculo-centrale, la dégénérescence secondaire
al de la couche optique, et, gagnant alors la partie latérale de la
région
sous-thalamique en passant par la lame médullaire
s cellules principales (cellules de première grandeur) de ces mêmes
régions
envoient leurs prolongements cylindraxiles en sen
ptique et peut-être même de la zona incerla.. En effet, lorsque ces
régions
se trouvent atteintes par les lésions frontales
orticale. La voie operculo-rubrique prend naissance au niveau de la
région
operculaire, y compris le pied de la troisième
volution frontale, et, se dégageant de la couronne rayonnante de la
région
rolandique, elle traverse le segment lent iculo
rla. On a pu suivre, en effet, à la suite d'une lésion limitée à la
région
thalamique ventrale, et même au noyau ventral a
proportionnellement à l'étendue plus considérable que prennent les
régions
préfrontaleetcentro-operculaire, et c'est ainsi q
ulaire médiane. Pour ce qui en est des fibres qui proviennent de la
région
operculaire et du noyau ventral de la couche opti
e comporte le noyau rouge lorsque les lésions siègent en d'au- tres
régions
de l'hémisphère cérébral, nous avons soumis à l'é
érie d'observations com- prend dix cas de ramollissement étendu des
régions
postérieures de l'hé= misphëre ; d'une façon gé
d de la troisième circon- volution frontale, en détruisant toute la
région
de l'insula sans toutefois léser le noyau lenti
face inféro-interne du lobe temporal ; b) du lobe frontal etc)de la
région
operculo-centrale (pied de la troisième frontal
ffet, une décoloration assez nette de la subs- tance profonde de la
région
médiane du lobe temporal, dans le domaine du ci
temporo-thalamique d'Arnold. La décoloration intense de toute cette
région
est trop évidente sur la coupe actuelle pour qu
lhalamique d'Arnold. Uu mince fascicule dégénéré se dégage de cette
région
, et, se portant en dedans, traverse la capsule in
de ses tiers postérieur et moyeu. De par son siège au niveau de la
région
sous-corticale du Schéma Ne IV. - Quatrième obs
rayonnante. Il en résulte une décoloration très notable de toute la
région
sous-corticale du lobe pariétal et une dégénéresc
e bord antéro-supéro-interne de l'hémisphère (1 observation), ou la
région
operculo-cenlrale (2 observations). Nos trois pre
face médiane. Quant aux lésions limitées au lobe occipital ou à la
région
rétro-rolandique du lobe pariétal, nous sommes
gnement de von Monakow à.l·égard des rapports qui existent entre la
région
operculo-centrale et le noyau rouge, nous devon
rer sensiblement de cet auteur lorsqu'il main- tient que les autres
régions
de l'hémisphère, à l'exception de la pointe fro
que le noyau rouge reçoit des radiations corticales de différentes
régions
de l'hémisphère cérébral ; nous avons pu nous c
eure du bord supéro-interne de l'hémisphère, d'autres, enfin, de la
région
operculo-cenlrale. Nous ne saurions soutenir que
ouve très notablement dégénérée. Quant aux lésions intéressant la
région
operculo-centrale, c'est-à-dire la région de l'
ux lésions intéressant la région operculo-centrale, c'est-à-dire la
région
de l'insula, le pied de la troisième circonvoluti
les gri- ses dorso-latérale et ventro-latérale. Les lésions de la
région
operculo-cenlrale retentissent sur les deux tiers
ei- leux supérieur (Bnulnl'fer), soit la calotte pédonculaire ou la
région
sous- lhalamique. Il ressort donc très neltemeu
épinière (voie rubro-spinale), et d'autre part avec l'écorce de la
région
rolandique( voies opercuio-rubrique et ru bro -bu
IONS Le noyau ronge reçoil des radiations corlicales de différentes
régions
de l'hémisphère cérébral. Certaines de ces radi
ines de ces radiations proviennent du lobe frontal, d'autres, de la
région
operculo-cenliale, d'autres, enfin, de la face
ge en passant par le bras antérieur de la capsule interne et par la
région
sous-thalamique. Elles se terminent dans le segme
t dorso-lalérale. Les fibres qui prennent naissance au niveau de la
région
operculo- cenlrale se rendent au noyau rouge en
pour une céphalée très vio- lente et persistante, localisée dans la
région
pariéto-frontalegauclie. accompa- gnée d'une hy
evient à peu près permanente et se localise surtout au niveau de la
région
pariéto- temporale gauche. En 1912, le malade
bles génitaux, à l'exclusion toutefois de l'obésité, en lésant L la
région
parahypophysaire. Ils admettent dès lors que cert
L la région parahypophysaire. Ils admettent dès lors que certaines
régions
de la base du cerveau avoisinant l'hypophyse po
ité. Dans deux cas de dystrophie adiposo-génitale avec tumeur de la
région
hypophysaire, W. Falia et Nowaczmski ont trouvé u
ternativement sur le côté droit et sur le côté gauche au niveau des
régions
temporales. Le malade a reçu en tout 40 Il. du
au avait subi un arrêt de croissance, spécialement accentué dans la
région
terminale. Le fait que la main normale quant au
ssons bien les symptômes provoqués par les lésions de ces dernières
régions
et qu'ainsi notre pensée physiologique suit une
ès Pal l'aspect 284 VAN WOERKOM : normal. C'est le même cas avec la
région
sublenticulaire, contenant les fibres transvers
très évident de la couche optique est expliqué par l'atrophie de la
région
sous-thalamique. Microscopi- quement la coupe d
bien appréciable à la base de la couche optique, aux confins de la
région
sous- thalamique En étudiant le réseau de fibre
re un vaisseau montrant quelques lymphocytes. Il n'y a qu'une seule
région
où le processus a pris un caractère très aigu :
tate une atrophie très accentuée et surtout marquée au niveau Je la
région
postérieure; encore faut-il remarquer qu'une ad
possibles, de même que tous les mouvements du bras. Au niveau de la
région
scapulo-humérale, l'atrophie est extrême, le delt
sur le bras, mouvement qui s'effectue avec vigueur. Au niveau de la
région
sca- ,éulo-liumérale, on note du côté droit une
l se plaint surtout de crises anorectales ; les douleurs dans cette
région
sont continuelles, mais avec des paroxysmes pen
aille moyenne, avec forte obésité générale. La peau est lnle. 11 la
région
sacro-coccygienne existe un ulcère décubital très
st atteinte d'une atrophie lipomateuse intéressant spécialement les
régions
inférieures. Après l'ouverture du canal vertébr
i- nence circonscrite de la moelle épinière, située au niveau de la
région
dorsale entr.e la 9° et la 10 côtes. Le sac dur
la rate, témoin des poussées infectieuses dues aux es- carres de la
région
sacrée. La vessie, qui contenait un peu d'urine
inière, on a enrobé des morceaux pris au-dessus et au-dessous de la
région
étranglée par le néoplasme. Les coupes ont été
nt après leur entre- croisement les nerfs sensitifs remontant de la
région
blessée. Ce processus sclérogène se serait prop
diminue (insuffisance glandulaire) par manque d'irritation dans la
région
sous-thalamique. E. MuNer prétend que dans ces
(6-7 pl.); à l'examen radiologique on avait trouvé la balle dans la
région
hypophysaire. Mais la polyurie peut exister a
mais qui restent cependant dans son voisi- nage : chiasma optique,
région
sous-thalamique, etc. Oppenheim est le premier
cipices, de scènes terrifiantes. Les douleurs siègent aussi dans la
région
thoracique médiane, dans la région lombaire, da
Les douleurs siègent aussi dans la région thoracique médiane, dans la
région
lombaire, dans les membres, douleurs peu intens
laques plus larges d'aspect. Il existe aussi quelques noevi sur les
régions
mammaires et dorsales. Sur ces plaques la sensi
meur on constate la présence d'une collerette pileuse. Sur diverses
régions
, en particu- lier aux lombes et aux cuisses, on
syringomyélique, pas même d'erreurs de reconnaissance. Seules les
régions
pigmentées présentent de l'hypo ou hyperesthésie.
n diffuse le tronc, les membres, prédomine au cou et au dos. Sur la
région
dorsale, environ huit taches plus larges s'étalen
pertro- phie. La main n'est pas allongée, mais très élargie. La
région
dorsale du carpe est régulièrement tuméfiée. La
éressante, car elle fait ressortir un remaniement très accusé de la
région
carpo-métacarpienne, y compris l'extrémité infé
e par un léger épaississement cutané fort peu marqué. La peau de la
région
est normale, sillonnée de plis transversaux. A
onctif embryonnaire est progressivement devenu du tissu fibreux. La
région
tout entière de la main a subi pareille-transform
marque aucune particularité notable sur la peau des jambes. Dans la
région
des cuisses, on ne constate aucune disposition an
rocessus général portant sur l'organisme entier et localisé dans la
région
de la jambe et du pied. Car il est inadmissible q
ail. Il y a quelques jours, dans une chute, il a frappé de la tête (
région
temporale droite) contre PATHOGÉNIE DE QUELQUES
s à l'hôpital, il montre une grande sensibilité à la pression de la
région
temporale droite atteinte et de nombreuses atta
, on pense qu'il s'agit d'un épanchement sanguin sub- dural dans la
région
temporale droite et on se décide à la trépanation
ux avec accumulation des produits du métabolisme défectueux dans la
région
atteinte. 5° Dans toutes les formes d'épilepsie
ssus du sourcil gauche et latéralement du même côté au niveau de la
région
parié- tale moyenne (cette dernière longue de 8
auche est plus grande que la droite. La peau est moite et en toutes
régions
liyperestliésiée une pression légère au niveau
e désirs erotiques. Il n'a jamais eu de barbe, ni de poils dans les
régions
décrites plus loin. Ses cheveux, roussâ- tres d
remière vue. Les rides sont très nombreuses sur le cou, autant à la
région
antérieure qu'à la région postérieure. Les yeux
t très nombreuses sur le cou, autant à la région antérieure qu'à la
région
postérieure. Les yeux sont petits et éteints ; la
révaut en hauteur sur la supérieure. Adipose manifeste en certaines
régions
: à la poitrine, qui, très augmentée de volume,
s augmentée de volume, offre de véritables seins, pendants, et à la
région
inférieure du ventre. Les cuisses sont rondes e
te de poils aux aisselles, sur la poitrine et sur les membres. A la
région
pubienne ils sont très clairsemés et décolorés.
aux aisselles, au thorax et sur les membres ; un simple duvet à la
région
sus-pubienne. A première vue, les organes génitau
de fausset parfaitement caractéristique. Adipose bien manifeste aux
régions
mammaire et abdominale. Organes génitaux : péni
pparu. Mauvais système dentaire. Voix normale. Absence de poils aux
régions
axillaire et pubienne, ainsi que sur les membre
ne, ainsi que sur les membres. Adipose très prononcée, surtout à la
région
inférieure de l'abdomen, qui tombe en se plissant
a région inférieure de l'abdomen, qui tombe en se plissant, et à la
région
mam- maire. Seins forts. A la région épigastriq
tombe en se plissant, et à la région mam- maire. Seins forts. A la
région
épigastrique on voit, et on sent très distincte-
assin large, les membres arrondis. Poils rares à l'aisselle et à la
région
pubienne. Le volume des seins n'est pas très pr
atiné ; n'a jamais eu de barbe. Che- veux noirs, secs. Aisselles et
région
pubienne glabres. Glandes mammaires prononcées.
cs. Poils rares aux aisselles. Un certain développement pileux à la
région
pubienne, terminé supérieurement par une ligne ho
membres. Dents cariées, beaucoup manquent. Adipose prononcée de la
région
mammaire, aréoles hypertrophiées. Néanmoins, les
s. Peu de développement des poils aux aisselles ; quelques-uns à la
région
pubienne. Voix normale un peu aiguë. Dents mauvai
e, très prononcée sur différents points du corps : au cou, dans les
régions
inguinales et axillaires. Les ganglions sont du
euxième dentition. Bassin large. Un certain degré d'adipose dans la
région
abdominale. Intelligence normale. Observation
de genu valgum. Pénis de 3 centimètres. Le scrotum s'insère dans la
région
pu- bienne, à la partie supérieure de la racine
ces ; quelques adhérences entre la dure-mère et la pie-mère.Dans la
région
frontale, on voit très nettement le dessin des ci
lobes temporaux et des gyri recti. Hyperplasie pie-mérienne dans la
région
du chiasma. Légère injection sur les deux pôles
ement contre la base. Plus en avant, les coupes transversales de la
région
moyenne de l'hémis- phère sont trop hautes par
r du 3' ventricule, à l'entrée de l'aqueduc de Sylvius ; dans cette
région
elle intéresse la partie antérieure du noyau de
: c'est la différence d'épais- seur du manteau cérébral suivant les
régions
. L'augmentation de pres- sion, si elle est d'or
diamètre h, qui dépasse pourtant 30 millimè- tres. Mais dans cette
région
du crâne, constituée par l'écaille du temporal,
re ou projetés par le vent d'obus et ontreçu un traumatisme dans la
région
dorso-lombaire. Le traumatisme a été suivi de per
le, exagérée par le moindre mouvement. Elle siégait au niveau de la
région
dorso-lombaire, occupait les masses mus- culair
us-co'rticnux,'parrÓis'ëlles Ú lirlliie'nf'âú'x corps striés'et aux
régions
sous-Lhalai111qùes ? les' noyaux' rouges étant
optiques, dans les corps striés ; hyperémiè c'o'nsidérablê"dàns les
régions
sôus-thalamiques ; lésions' moins graves dans )
ans les coupes, d'après Weigert-Pal, l'aspect normal. Par contre la
région
sous-thalamique à droite est^en forte atrophie; l
xaminé anatomiquement : atrophie très forte des corps striés et des
régions
sous-thalamiques (1). 4° Deux cas de raideur mu
u cervelet. Les altérations peuvent se limiter aux corps striés, à la
région
sous-tlialamique, respectant cependant les noya
ni macrosco- piques, ni microscopiques, l'atrophie se limitant à la
région
sous-thalami- que (corps de Luys) (3). Dans les
, 1913. xxvni . XXVIII - 4 . 50 WOERKOM - corps striés et des
régions
sous-thalamiques, peut être encadré dans le sys
siège d'un mécanisme d'innervation sympathique. Les lésions de ces
régions
chez l'homme (Schrottenbach, Zeitschrift sur d.
sion anatomique se limite aux atro- phies des corps striés et de la
région
à la base des couches optiques (sur- tout des c
primitif de l'altération épileptique soit situé ailleurs que sur la
région
nourrie par les carotides ou bien que l'altéra-
r avoir autant que possible la brusque altération circulatoire à la
région
cérébrale nourrie par les carotides. Chez les é
oup sur le front et sa céphalée commence très intense sur- tout aux
régions
temporales accompagnées de vertige. La céphalée e
stinées aux fléchisseurs des quatrième et cinquième doigts, dans la
région
postéro-externe, celles du muscle cubital antér
eur par hypertonie n'avait pas un point de départ irritatif dans la
région
du pli du coude en dedans du biceps. Depuis ce
ilité. - Hypoesthésie tactile très marquée de tout le membre, de la
région
sus-scapulaire du cou et de la face droite. Hypoe
ver constam- ment la sensation d'une électrisation continue dans la
région
sous-jacente aux deux cicatrices, surtout à cel
itudes est possible, mais en provoquant une douleur surtout dans la
région
du premier métacar- pien, du premier espace int
s laisser de trouble fonctionnel ; mais cela à la condition que les
régions
où se règle le tonus du muscle ne soient pas ef
s où se règle le tonus du muscle ne soient pas effleurées. Or ces
régions
semblent, d'après les études d'Alquier (1), être
LES BLESSÉS NERVEUX 127 maire, sur les quatre derniers doigts et la
région
palmaire moyenne. Cubital hypoexcitable, médian
blessé le 12 février 1915 : balle de shrap- nell ayant traversé la
région
antéro-interne du bras gauche au quart supérieur.
atrice d'entrée de la balle provoque une douleur qui s'irradie à la
région
dorsale de l'avant-bras, de la main et des doigts
erden à un « rhumatisme aoutteux ». CENTRE NEUROLOGIQUE DE LA XV.
RÉGION
(MARSEILLE) MACRODACTYLIE CHEZ UN BLESSÉ DE GUE
aso- motrice incomplète apportant un excès de nutrition à certaines
régions
digitales et provoquant ainsi leur hypertrophie
nogr., 1914-1915, p. 246. xxvm 11 centre Neurologique DE la XV-
région
ANKYLOSE OSSEUSE DES ARTICULATIONS PHALANGINO-
. (1) BxocQ, Sclérudactylie, in Dermatol. pratique, Il, 453 : « Les
régions
primitive- ment atteintes sont d'ordinaire les
en France six mois après. Un cal osseux exubérant occupait toute la
région
du coude. L'articulation était ankylosée en môme
d'extension, de rotation et de pronation. La main peut atteindre la
région
occipitale et même le vertex. Elle est d'abord
mène un nombre de kilogrammètres très suffisant, surtout lorsque la
région
du coude peutprendre un point d'appui sur un pl
, persiste le même caractère : celui d'un homme ayant vécu dans des
régions
tropicales peu fertiles, ignorant tout d'une ci
pénétra, en direction presque sagittale, par la ligne moyenne de la
région
fron- tale supérieure. Il ne sentit pas la moin
érent de celui d'un jeune garçon normal. Le tissu sous-cutané de la
région
épigastrique est fortement infiltré de graisse
la lésion expérimentale de la ré- gion hypophysaire, surtout de la
région
du lobe postérieur (Cus- hing) (9), ou par la l
ophyse, mais dans un centre nerveux situé à la base de l'encéphale (
région
opto-pédonculaire), Mais cette théorie, malgré
e de 14 centimètres transversal sur 18 centimètres vertical dans la
région
pariéto- temporo-occipitaie. Ouverture osseuse
après l'opération. Autopsie (DI HmTEs). Incision opératoire dans la
région
occipitale et ou- verture du crâne au même nive
ont douloureux. Soir : Malade affaissé. Céphalée violente. Dans les
régions
épigastrique et hypogastrique droites, douleurs
rieurs ; diminution de la sensibilité à la piqûre ; dans les autres
régions
, sensibilité musculaire conservée. Pas de doule
Masses musculaires très douloureuses. Douleurs musculaires dans la
région
fessière. , En raison de ces douleurs, on ne
périeurs. Quand le malade s'asseoit, il éprouve une douleur dans la
région
lombaire. 22. Epistaxis peu abondant. L'excit
montre aucune 11 '['ration des articulations coxo-fémorales, ni des
régions
glutéales, ni du fémur gauche et pas de dépôts
uleurs très fortes, localisées au côté postérieur des cuisses, à la
région
sacrée, au creux poplité et aux mollets. Ces dern
é- rieure ; elle porte d'une façon très nette sur les muscles de la
région
anté- rieure ; les tendons fléchisseurs sont bi
des lésions méningo-vasculaires en pleine évolution active dans la
région
cervico-dorsale (abondante lymphocytose méningée
on d'ordinaire si atténuée sur les cornes antérieures au niveau des
régions
inférieures de la moelle, alors qu'elles ont au
si précoce et si prépondérante quand elles portent, dans les mêmes
régions
, sur les cordons latéraux ou postérieurs (parap
de sorte que la ligne des apophyses épi- neuses s'enfonce en cette
région
en dépression linéaire entre les masses sacro-
ertainement d'une méningo-myélite vasculaire diffuse, analogue à la
région
dorso-lombaire à celle qui, quand elle porte su
gue à la région dorso-lombaire à celle qui, quand elle porte sur la
région
cervico-dorsale, détermine l'amyotrophie syphil
sans doute identique. C'est en somme la simple extension à d'autres
régions
médullaires de ce que, en nous basant sur des a
il quelques anastomoses entre les divers-territoires nerveux de ces
régions
? Charles Bell admettait qu'une partie du trijume
ous n'avons aucun fait semblable. Presque tous les muscles de cette
région
sont tributaires de la VIle paire. La paralysie
me chose, bien que moins prononcée, au niveau des tégu- ments de la
région
mentonière. La température locale au niveau des
tteint d'hyperhémie et d'hyper- hydrose. Il y avait en outre sur la
région
cervicale des noevi mélanoïdes. L'hypertrophie
remarque une grande adiposité du tronc, plus prononcée au ventre et
régions
fessières ; elle s'étend aux membres se terminant
iculations du poignet dans les membres supérieurs. Les plis de la
région
fessière et du thorax sont remarquables. Remarqua
. La peau est sèche. Il n'y a pas de poils à l'aisselle et peu à la
région
pubienne. A la face ou trouve deux taches rouges.
un grand développement du tissu-cellulaire adi- peux dans certains
régions
, et la présence de douleurs dans ces régions, d
di- peux dans certains régions, et la présence de douleurs dans ces
régions
, douleurs qui sont spontanées ou provoquées. '
atteint à gauche le pied de la troisième circonvolution frontale ou
région
de Broca. / ' L'enfant a été transférée dans
ngsues aux apophyses mastoïdes. Quatre ventouses scarifiées dans la
région
lombaire. 25. - Même état pendant toute la jour
stic pathologique anatomique : Hémorragie sous-arachnoïdienne de la
région
de la bandelette optique droite. E. R..., domes
paraissait intacte. L'hémorragie ne paraissait pas avoir dépassé la
région
de la bandelette optique droite, pour s'étendre d
a substance cérébrale. Aux coupes transversales, pratiquées dans la
région
frontale du cerveau, on a découvert dans le sil
que la source de l'épanchement sanguin devaitètre cherchée dans la
région
de l'espace perforé antérieur droit. Là, les mass
orragie sous-arachnoïdienne décrits dans la litté- rature ; mais la
région
du cratère dans l'espace perforé droit, que nous
descendant 'vers la fusse de Sylvius et s'étend, eu partie dans la
région
derrière le chiasma, en partie au-dessus de la
iat du lobe central gauche, doit prédisposer à une irritation de la
région
motrice, se manifestant en une épilepsie typique.
oma- teuses rupturées ; dans le troisième, une petite artèredans la
région
lom- baire avait éclaté. Ces rares trouvailles
agers d'irritation ou de perte de fonction, si elle atteint une des
régions
cérébrales non sourdes. Ainsi, il est permis de
roximative et trop basse de la partie inférieure de ce territoire, la
région
frontière entre les zones de sueur et de sécher
onc une image qui exagère un peu la zone terminale inférieure de la
région
anidrosique. Il n'y a pas eu de réaction vaso-m
olonne latérale de la moelle, jusqu'au centre cilio- spinal dans la
région
cervicale inférieure. Elles sortent de la moelle
encore que ce chevauchement des nerfs sudoraux fût spécial à cette
région
du thorax qui répond à la frontière du sympathiqu
s éléments du plexus brachial. Ils prédominent fréquemment dans la.
région
de l'épaule, plus rarement à l'avant-bras et à la
ROGER . Observation IL V ? Pierre Marie. Lésion par balle dans la
région
du plexus brachial. Paralysie et atrophie prédo
minant à t'épaule et à la main. Troubles trophiques cutanés dans la
région
de l'épaule et du bras' (sclérodermie). Troubles
ion. Ils sont spécialement marqués au niveau de la main, et dans la
région
de l'épaule, où prédominent les troubles moteur
outre qu'il était douloureux, déterminait un véritable oedème de la
région
. Les poils, très développés chez ce sujet, se d
La voix a été prise instantanément. Il présente une vaste plaie de la
région
faciale et sinusale gauches avec écrasemeut du
Beaucoup d'éclats minus- cules ont pénétré sur le côté gauche de la
région
cervicale et la radiographie en montre au nivea
UE - 369 M. Collet le 25 juillet. 1916. Il y a eu transfixion de la
région
cervicale, l'orifice d'entrée à la pointe de la
llet. Blessé le 19 mars 1919 à S... Plaie par éclat de grenade à la
région
latérale droite du cou. Troubles de la respirat
corde vocale droite rouge, même position de l'aTyténoïde gauche. La
région
cervicale présente deux cicatrices, l'une de tr
'une de trachéotomie, l'autre de 1 centimètre 1/2 de large, dans la
région
thyroïdienne, commençant à 2 centimètres de la
séton de la face externe de la cuisse droite, plaie en séton de la
région
scapulaire postérieure droite, plaie pénétrante
de la région scapulaire postérieure droite, plaie pénétrante de la
région
latérale du cou, volumineux hématome, syndrome
ces observations, il s'agit de sujets portant, des blessures de la
région
cervicale, sur le trajet anatomique du vague et
estriction aux^différents travaux de culture qu'il pratiquait dans la
région
de Marmande. Il est marié et père d'un enfant
ur le trajet de tous les troncs nerveux, avec prédilection pour les
régions
atteintes par les troubles trophiques et moteurs.
lles, scrotum et périnée, ils sont clairsemés sur les membres et la
région
pubienne. Système veineux développé aux membres
e de l'examen. Cheveux abondants. Absence complète de poils dans la
région
pubienne et aux aisselles. ' Examen radiograp
plus ou moins absolue de poils sur le visage, aux aisselles et à la
région
pubienne, au périnée, sur le scrotum, le tronc
scrotum, le tronc et les membres. Quand les poils existent dans la
région
pubienne, ils sont épars et disposés selon la c
exuelle. La même anomalie, l'absence de poils aux aisselles et à la
région
pubienne se vérifie quand le sujet atteint est
on, donnant l'air d'une vieille femme (obs. I). Aux aisselles, à la
région
pubienne, au scrotum et au périnée, l'absence de
, XIV, XVII, XVIII). Dans d'autres cas les poils n'existent qu'à la
région
pubienne, et manquent aux aisselles, aux scrotu
ure horizon- tale (obs. VI et IX). Il n'existe jamais de poils à la
région
antérieure du thorax et sur les membres leur dé
ce que Tandler et Grosz. appellent ['adiposité ennu- choïde ; à la
région
mammaire, abdominale, aux régions itraques. C'est
nt ['adiposité ennu- choïde ; à la région mammaire, abdominale, aux
régions
itraques. C'est ainsi que dans ces types et d'a
ir complètement ou partiellement les organes génitaux (obs. V) ; la
région
sub-pubienne, élevée, se détache sous forme d'un
du diabète insipide, syndrome si souvent associé aux lésions de la
région
hypophysaire ; et il devient alors plus que lég
chute de la barbe, des poils axillaires, de ceux du tronc et de la
région
pubienne, le tout accompagné d'adipose et de modi
traumatisme a été prouvée par des observations faites en certaines
régions
du Mexique, sur des indigènes auxquels on donne l
u moins généralisée, dominant cependant aux seins, fesses, cuisses,
région
inférieure de l'abdomen et région sub-pu- bienn
ndant aux seins, fesses, cuisses, région inférieure de l'abdomen et
région
sub-pu- bienne, et obéit ainsi au caractère de
peur de la douleur. Un blessé qui, dès le débul, a souffert dans la
région
dorso-lombaire, qui a courbé et immobilisé son
, très rapprochés et tenus d'une seule main, sont appliqués dans la
région
dorso-lombaire, le long de la masse commune ou
on lui projette de l'air chaud, qui lui est très agréable, dans la
région
dorso-lombaire. Ensuite, on reprend la séance,
il éprouva des maux de tête, et une douleur si vive, au niveau de la
région
inguinale gauche, que, pour la soulager, il se
enu par des infirmiers : le tronc était toujours plié en deux et la
région
lombaire douloureuse. ' Le 9 avril, son état
x longues attelles, allant du haut en bas, et de chaque côté, de la
région
mammaire au genou, et maintenu par des bandes r
deux cannes. Il est un peu moins courbé, mais les douleurs dans la
région
lombaire et dans la Iranche persistent. Il ne met
che. Le sujet se plaint de quelques douleurs intermittentes dans la
région
lombaire , lorsqu'il est couché ou pendant la m
[ - Bra. a été blessé le 25 septembre 1915 par un éclat d'obus à la
région
dorsale, entre la 41e et la 12e côte, à deux trav
percussion des vertèbres réveille une petite douleur au niveau des
régions
cervicale et lombaire. Au contraire, la percuss
, les deux talons au même niveau, la tète repose normalement sur la
région
occipitale. Tous les mouvements de la tête s'ex
ont normaux. Le blessé se plaint de douleurs dans le rachis, à la
région
lombaire, et de quelques rares céphalées. Il se
lètement. Vu de dos et debout, le malade présente un voussure de la
région
dorsale supérieure. La colonne verlébrale offre
nne verlébrale offre une légère scoliose à convexité droite dans la
région
dorsale, due à l'inclinaison latérale droite du t
s. Le sujet se plaint de faiblesse des reins et de douleurs dans la
région
sacro-lombaire. Il dit qu'il y souffre constammen
s de temps. Il se plaint aussi de souffrir de temps à autre dans la
région
abdominale sus-pubienne. Les réflexes sont norm
e se redresser, mais n'a pas pu, à cause d'une vive douleur dans la
région
lombaire. Soutenu par ses camarades, il a pu al
urbée. Aussitôt après l'accident, il a ressenti une douleur dans la
région
lombaire gauche. Cette douleur a persisté pendant
ts de temps. Il n'avait pas de plaie, mais une ecchymose de cette
région
lombaire gauche. Il n'a présenté d'autres phéno
ine marqué; au-dessous, un second pli très accentué passant par les
régions
inguinales et pubienne. L'extension volontaire
troubles de la sensibilité subjective, pas de douleurs sauf dans la
région
dorso- lombaire, où de temps en temps le malade
rme d'applications rapides et intermittentes des électrodes dans la
région
dorso-lombaire, accompagné de douches d'air chaud
nt 10 à 15 minutes. Revenu lui, il ressent une vive douleur dans la
région
lombaire, et ne peut redresser son tronc. Il es
essé. On le lui enlève à cause des douleurs qu'il éprouvait dans la
région
lombaire. A peine est-il enlevé qu'il se courbe
des membres inférieurs. Ici cependant il accuse une douleur dans la
région
lombaire, à chaque mouvement. Les réflexes rotu
pas se redresser. Il avait à ce moment de fortes dou- leurs dans la
région
lombaire et ses jambes fléchissaient. Il avait en
ville. A Trouville, il a encore vomi du sang ; ses douleurs dans la
région
lombaire étaient si vives qu'on a dû lui faire
e sur le dos. Il dit qu'on aurait constaté des ecchy- moses à la la
région
lombaire. Le leur octobre 1914, il fut dirigé sur
uf quelques céphalées très rares et quelques va- gues douleurs à la
région
lombaire, aux changements de temps seulement. T
is n'a pu le faire, à cause des violentes douleurs ressenties dans la
région
lombaire et de tremblements dans les membres in
l est resté un mois. On lui a dit qu'il avait une ecchymose dans la
région
lombaire droite. Les trois premiers jours qui s
l se leva, son tronc était toujours incurvé et il souffrait dans la
région
lombaire; ces douleurs lombaires persistèrent a
dorso-lombaire. La percussion du rachis provoque une douleur dans la
région
~ dorso-lombaire; la masse commune, dans la mêm
eur dans la région ~ dorso-lombaire; la masse commune, dans la même
région
, est également douloureuse à la percussion, plu
OUQUES ET MÉGEVAND, Miles NAIDITCH ET RATHAUS sujet éprouve dans la
région
dorso-lombairé une douleur qu'il compare à un t
font également bien et pro- voquent aussi une douleur dans la même
région
. La motilité des membres inférieurs et supérieu
redresser, mais n'a pas pu, à cause des douleurs éprouvées dans la
région
lombaire : il avait du reste des douleurs un peu
é les dix premiers jours, se plaignant beaucoup de douleurs dans la
région
lombaire et de céphalées. Il était obligé d'être
ouvement s'accompagne d'une douleur dans le rachis, au niveau de la
région
lombo-sacrée. La colonne vertébrale ne présente
ENT DE LA CAMPTOCORMIE PAR f ? LEC1'HOt'H$RAPJE 435 douleur dans la
région
lombaire et sacrée : de même la masse musculaire
dans la ré- gion lombaire pendant la marche et de souffrir dans la
région
sacrée. Le 30 septembre, séance d'électricité f
'est qu'au bout de ce temps qu'il se met à souffrir davantage de la
région
lombaire, et qu'il s'aperçoit qu'il ne se tient
ouplesse parfaite, en accusant cependant quelques douleurs^ dans la
région
lombaire. Ce malade va être soumis tous les jou
t. Il ressentait en même temps de fortes douleurs dans le dos et la
région
lombaire. Il n'avait pas de plaie, mais une ecchy
à part quelques vagues douleurs, aux changements de temps, dans la
région
lombaire. La réflectivité est normale. On arrive
AMEN IIISTOLOGIQUE DU CERVEAU DANS DEUX CAS DE RAMOLLISSEMENT DE LA
RÉGION
DU CENTRE CORTICAL VISUEL, PAR JOUKOWSKY. D
git de deux cas d'hémianopsie déter- minés par la destruction de la
région
cortico-visuelle. Ces cas ont été mis à ma disp
le domaine de l'artère cérébrale postérieure, qui avait détruit la
région
de la scis- sure calcarine et la partie voisine
ôle occipital ; en outre un petit ramollis- sement existait dans la
région
des circonvolutions 01 et 0. Dans l'hémisphère
sitorme et la partie intérieure de la circonvolu- tion limbique. La
région
du ramollissement ne se sépare que par une mince
capsule externe et déterminent la disparition des fibres dans cette
région
, sur- tout dans la région qui se trouve vis-à-v
nent la disparition des fibres dans cette région, sur- tout dans la
région
qui se trouve vis-à-vis l'insula de Reil. Dans la
rme est conser- vée. En outre on voit un ramollisse- ment dans la
région
des fibres de la couche sagittale, qui passe pr
rieure des couches optiques, on voit de nombreuses lacunes dans la
région
de la capsule interne rétro-lenticulaire et dan
Dans l'hémisphère gauche les coupes frontales furent faites dans la
région
du ramollissement et en outre on fit des coupes
ganglions centraux. 1° Sur les coupes frontales, qui passent par la
région
du pli courbe, on voit : La substance blanche d
ie du faisceau longi- tudinal inférieur, qui se trouve dans la même
région
, est conservée, mais sclé- rosée dans la partie
ani à un centimètre, on peut voir que le ramollissement occupe la
région
de la deuxième pariétale, envahissant en ou-
e (Fig.8). . 3° Sur les coupes horizontales, qui passent par la
région
des ganglions centraux, on voit près du foyer d
e que ses autres parues, sous le microscope on distingue dans cette
région
la rareiaction des fibres à myéline et une légè
part d'un ramollissement, qui a détruit dans l'hémisphère droit la
région
du centre visuel cortical, d'autre part d'un fo
anatomique arrêté dans son évolution après avoir détruit certaines
régions
, qu'on peut comprendre l'arrêt complet d'un dé-
point où la compression a été la plus forte. Quant aux différentes
régions
de la moelle épinière, nous n'y avons rien trou
ite, difficulté beaucoup plus grande que pour les kystes des autres
régions
. En 1891, Pierre Janet trouve au microscope sur
servations cependant il vit la douleur siéger principa- lement à la
région
occipitale. La durée en est variable ; dans un ca
s d'après Guérineau. Cependant si l'on a pas, comme dans les autres
régions
, trouvé des observations analogues à celles de
ruption peut t être localisée à un côté du corps (Dieulafoy), à une
région
, face, cou, bras, hypochondres (Thomas et Graha
cas d'hydatides du cerveau n'en a trouvé que 11 fois dans d'autres
régions
du corps. 28 MONSSEAUX, DE GOTIIARD ET RICHE
e supprimant, peuvent contribuer à augmenter l'état congestif de la
région
déjà irritée par la présence du parasite qui agit
ésence dans les hémisphères cérébraux (à l'exclusion de toute autre
région
du corps) de plus de vingt hydatides,' dont six d
re reprises (trois fois en 1899, une fois en 1900), douleur dans la
région
lombaire droite, que notre homme attribue au refr
constant avec l'Orient et Byzance. Toute la péninsule et surtout la
région
de Naples et de Salerne était dans sa dépendanc
es inférieurs, surtout depuis la cheville jusqu'au genou. Aux mêmes
régions
analgésie presque com- plète, allant en diminua
ème sous-arachnoï- dien. La moelle est diminuée de volume dans la
région
dorsale. Examen microscopique de la moelle épin
, on pré- lève un ou plusieurs fragments suivant l'importance de la
région
. Les uns sont inclus à la celloïdine et les cou
che les fibres normales reparaissent en grand nombre, surtout dans la
région
sulco-marginale. Par contre les cordons antéro-
e dans le 6° segment dorsal. 9e Segment dorsal (fig. 12). - Dans la
région
dorsale inférieure, bien qu'il y ait encore une
degré d'épaississement, d'aspect uniforme sur toute la longueur des
régions
supérieure et moyenne de la moelle dorsale. On re
3 s'observent déjà dans le renflement cervical, s'étendent dans les
régions
supé- rieure et moyenne de la moelle dorsale, p
croisé droit dans le 6e segment dorsal (fig. 9). Au- dessus de ces
régions
les faisceaux pyramidaux croisés sont éclaircis p
inution de volume de la moelle dans les deux tiers supérieurs de la
région
dorsale. Remarques. - i° Les lésions vasculaire
t surtout manifeste depuis le ter segment jusqu'au 7" segment de la
région
dorsale; au-dessus et au- dessous elle s'atténu
rophique de la moelle (maximum dans les deux tiers supérieurs de la
région
dorsale, atténuation progressive au-dessus et a
e par derrière la vue des hémisphères cérébraux, du cervelet, de la
région
cervicale de la moelle et de la partie du bulbe
d'avant en arrière, ar- rondi à la fin et suspendu au-dessus de la
région
cervicale de la moelle épi- fière ; c'est seule
re, il existe seulement un fort épaississement de la moelle dans la
région
cervicale, dans sa partie postérieure. Pareil épa
llongée, comme dans le cas précédent, et pourtant la moelle dans la
région
cervicale est très épaissie, ce qui saute aux y
ssement de la moelle dans la partie cervicale, de sorte que dans la
région
cervicale on ne trouve pas la moelle épinière, ma
par une blanche et étroite lamelle, sont réunies seulement dans la
région
de la commissure antérieure, dans laquelle la q
L'examen microscopique démontre que cette partie suspendue dans sa
région
inférieure possède la struc- ture des cordons p
nstater que les difformités ob- servées en même temps dans d'autres
régions
du corps, pour un certain nombre de ces cas, se
çoit également si l'action de la compression se fait sentir sur des
régions
similaires de l'embryon. La multiplicité des lési
e des lésions du système nerveux dans les parties correspondant aux
régions
de la périphérie malformée, est-il vraisemblabl
. En plus de cette douleur spéciale, la malade ressent dans la même
région
une douleur névralgique, plus ou moins constant
mps, mais la rapide apparition des mêmes symptômes dans différentes
régions
ne présage rien de bon.Cela semble indiquer xiv
ge contre la barre d'appui : il reçut ainsi un fort traumatisme de la
région
naso-orbitaire. A la suite de cet accident, bru
s'insèrent en dehors sur la pie-mère épaissie et vascularisée de la
région
fronto-temporale inférieure. Au niveau de la pa
ale sur des fragments prélevés loin de la tumeur (lobe occipital et
région
paracentrale) et au voisinage médiat(pôle fron-
le temporal, le lobule de l'in- TUMEUR CÉRÉBRALE 179 sula, et les
régions
inféro-externes du lobe frontal, notamment la cir
ernes du lobe frontal, notamment la circon- volution de Broca et la
région
operculaire. Mais il s'explique par trois raiso
la tumeur, qui, placée n la base du lobe frontal, occupait une des
régions
de relative indifférence de l'encéphale ; enfin e
'accentuaient lentement : immédiate- ment après le coup reçu sur la
région
orbito-nasale, le malade, jusqu'alors (1) Bruns
ement plus marquée sur le lobe temporo-sphé- noïdal gauche, dans la
région
juxta-néoplasillue. A cet endroit, l'extrémité an
tous leurs caractères, cependant nous avons pu constater dans cette
région
l'abondance de la troisième variété dans l'inté
9, brachycéphalie marquée que l'on rencontre fréquemment dans notre
région
. Comme stigmates dits de dégénérescence, on not
régulière de peau saine. Face externe : quelques taches couvrant la
région
deltoïdienne. Face pos- térieure : tache s'arrê
. - Coloration identique occupant tout le bras, à l'exception d'une
région
de peau saine située à la face antérieure et s'ét
interposition de peau saine. La coloration est plus accusée dans la
région
postéro-externe. Avant-bras gauche. - Coloratio
marquée, surtout à droite. Caractères des taches. - Dans toutes les
régions
la coloration anormale disparaît à la pression
isées. En même temps on voit apparaître une légère marbrure sur les
régions
indemnes du tronc, en avant il droite, et en arri
ure de la peau entre le côté gauche et le côté droit. A la main les
régions
thoracique et scapulo-humérale paraissent plus
sultats inverses à ceux que fournit la palpa- tion. A la main cette
région
semble plus chaude à gauche qu'à droite. | 2. T
: au début : 16° ; à la fin : 16°. § 4. Températures prises à la
région
thoracique. A gauche : 31° 3. Temps employé : 1
alle : au début : 14° ; à la fin : 14°. 3. Température prise à la
région
thoracique gauche. Au niveau de la tache : 30°.
égère hypertro- phie. Légère accentuation du deuxième bruit dans la
région
du troisième es- pace intercostal droit. NOEV
é générale. 1° Douleurs. Le malade n'accuse des dou- leurs dans les
régions
anormalement colorées que lorsqu'il est fatigué.
jets employés, deux poids de 100 grammes et deux de 2 grammes. i°
Région
thoracique antérieure. Poids de 100 grammes : mêm
rvateurs, est perçu froid par le malade : 1° A gauche. - Dans une
région
occupant la partie postérieure de la tête et li
ntoire jusqu'à la queue du sourcil gauche. 2° A droite. 1° Dans une
région
de la face limitée : en haut par une ligne hori
l'oreille va aboutir la sixième vertèbre cer- vicale. 2° Dans une
région
du tronc limitée : en haut par une ligne à peu pr
tres au-dessus de la pointe de la malléole interne. Dans toutes ces
régions
, quand on élève suffisamment la température de l'
ambe dans toute l'étendue d'un bas ayant pour limite supérieure une
Régions
hyperesthésiques pour le froid ou anesthésiques p
ère, nous avons remarqué toutefois que, lorsque nous explorions les
régions
occupées auparavant par ces plaques, le malade
la sensation chaude ou froide qu'après un moment d'hési- xiv ' 16
Régions
hyperesthésiques pour le chaud ou anesthésiques p
hromélalgi- ques,une coloration rose, rouge ou pourpre de certaines
régions
de la peau (face dorsale des mains et du poigne
la main, qu'il est le plus souvent unilatéral, qu'il siège dans une
région
anesthésique (or ici la sensibilité tactile est
l'oedème bleu ; elle est congénitale et constante. 4.0 Certaines
régions
, surtout les doigts, ont l'aspect qu'on observe à
intoxications ancestrales. Seulement, au lieu d'être localisée à la
région
innervée par un nerf déterminé, elle est systémat
tactile. En effet, la sensibilité tactile est, pour la plupart des
régions
, diminuée à gauche; mais c'est là une hypoesthé
> tion de la sensibilité tactile se produisit à la fois dans la
région
cation fut faite et dans la région symétrique.
e se produisit à la fois dans la région cation fut faite et dans la
région
symétrique. Cela montre de pi neurones de sensa
urvu d'intérêt pour les physiologistes. Voici en effet les diverses
régions
de sa 230 BINET-SANGLÉ ET VANNIER peau rangée
oient sous la dépendance unique de l'éducation motrice des diverses
régions
considérées, et j'estime que la fréquence des h
les neurones du froid, l'impression de froid l'emportait, dans les
régions
de la peau correspondantes à ces groupes, sur l
les neurones du chaud, l'impression de chaud l'emportait, dans les
régions
de la peau correspondantes à ces groupes, sur l
ET UYSTÉRIE 231 lion des neurones des sensations de chaud dans les
régions
de l'écorce cor- respondant aux régions de la p
ensations de chaud dans les régions de l'écorce cor- respondant aux
régions
de la peau hyperesthésiques pour le froid, et par
et par la rétraction des neurones des sensations de froid dans les
régions
de l'é- corce correspondant aux régions de la p
ensations de froid dans les régions de l'é- corce correspondant aux
régions
de la peau hyperesthésiques pour le chaud. To
s de sensation et les neurones de mouvement qui commandent une même
région
du corps, sont situés dans les mêmes centres (c
ne partie des neurones qui président au tonus vaso-constricteur des
régions
attein- tes ne se sont pas développés. - On n
altération des fibres musculaires vaso-constrictrices dans toute la
région
occupée par le noevus. Les artérioles (angle st
ond cas le 4c ventricule est bien moins élargi et seulement dans la
région
supérieure, mais dans celui-ci comme dans l'aut
ndu en bas, que nous ren- controns son extrémité inférieure dans la
région
dorsale; la valvule de Tarin, couvrant en haut
spina-bifida. Comme en général l'hydromyélie peut exister dans deux
régions
différentes, par exemple dans la région cervicale
lie peut exister dans deux régions différentes, par exemple dans la
région
cervicale et la région lombaire et en même temp
eux régions différentes, par exemple dans la région cervicale et la
région
lombaire et en même temps, elle peut se trouver d
et la région lombaire et en même temps, elle peut se trouver dans la
région
dorsale, en même temps que l'hydropisie dans la
uver dans la région dorsale, en même temps que l'hydropisie dans la
région
lombaire. Pour cela l'ouverture de la colonne v
ls implantés sur une plus ou moins grande étendue du tégument de la
région
dorsale, lombaire, sacrée. L'analogie de cette
ésidait surtout dans la présence de poils implantés au niveau de la
région
lombo-sacrée de façon à former une touffe assez
t indemne de toute malformation autre qu'une scoliose marquée de la
région
dorsale. Mais s'il n'y avait pas de spina bifid
at hel- lène présentant une épaisse touffe de poils au niveau de la
région
lombaire. Ces poils s'implantaient sur une zone
une fille âgée de 16 ans qui présentait implantés sur la peau de la
région
lombaire de longs poils lisses et noirs. taires
Fille âgée de 9 ans présentant une remarquable hypertrichose de la
région
lom- baire et une petite fissure rachidienne au
Un cas de spina bifida. Femme de 45 ans, présentant au niveau de la
région
lombo-sacrée une zone de 15 centimètres de diam
ure regarde presque en de- hors. Le fémur gauche est aplati dans la
région
trochantérienne. A priori, on pourrait croire à
vertébrale amène un peu d'ensellure vers la partie supérieure de la
région
lombaire. 3° Du côté des membres supérieurs, pe
2e et 3e espa- ces intercostaux gauches, une zone de battements. La
région
du coeur est en- dolorie (sensation subjective)
uche. Lorsqu'on examine la main gauche, on voit que le poignet, les
régions
dor- sale et palmaire de la main sont normaux,
es au pourtour de la tumeur, et on a vu que, tout au contraire, les
régions
antérieures du cerveau étaient peut-être plus p
Paris, 10 janvier 1901. 364 DUPRÉ ET DEVAUX de l'écorce dans des
régions
soustraites à toute action directe de la tu- me
ien des encéphalopathies, a été jus- qu'ici peu recherchée dans les
régions
corticales éloignées des tumeurs (1) Ossipoff,
s vertige bien accusé. - En 1899, à la suite d'un traumatisme de la
région
occipitale suivie de perte de connaissance, les
endolorisse- ment le long de la colonne vertébrale, surtout dans la
région
lombaire ; douleur constrictive abdominale, mai
es inter-métacarpienues. Il y a de l'atrophie moins marquée dans la
région
antéro-externe des jambes. 2 mars. - Mort du ma
us marquée dans le faisceau de Flechsig que dans celui de Gowers.
Région
dorsale moyenne. La zone de sclérose du cordon po
tteint ; par endroits ces fibres ont disparu complètement (Fig. 1).
Région
dorsale supérieure et cervicale inférieure. Dans
jusque dans le voisinage du faisceau de Turck (Fig. 2). Dans les
régions
cervicales supérieures la zone de sclérose occupe
modification de leur forme, surtout dans tous les seg- ments de la
région
dorsale. Tandis que dans une moelle normale, le d
forme la moins altérée des cornes antérieures est encore celle des
régions
sacrée et lombaire de la moelle. Au microscope
Toutes sont petites. Le canal central est large et double dans les
régions
inférieures de la moelle, ses parois sont revêt
upérieures il est obturé. Les vaisseaux delà moelle dans toutes les
régions
sont altérés. Leurs pa- rois sont épaissies et
un cervelet en miniature ». La moelle et le bulbe étaient petits.
Région
cervicale 15 -- 9 millimètres. Région dorsale 11
e et le bulbe étaient petits. Région cervicale 15 -- 9 millimètres.
Région
dorsale 11 - 8 millimè- très. Région lombaire 1
cervicale 15 -- 9 millimètres. Région dorsale 11 - 8 millimè- très.
Région
lombaire 11 - 8, 5 millimètres. Au microscope o
et le cervelet étaient petits. Les dimensions de la moelle dans la
région
lombaire étaient de 87 65 millimètres dorsale, in
taient de 87 65 millimètres dorsale, inférieure 77 - 6 millimètres,
région
du renflement cervical 12,2, région cervicale s
inférieure 77 - 6 millimètres, région du renflement cervical 12,2,
région
cervicale supérieure 10 - 77 millimètres. Au
its. La longueur de la moelle 35,5 centimètres, l'épaisseur dans la
région
cervicale (IVe racine) 12 - 7 m/m dorsale (VI
EME NERVEUX D'UN ANENCEPHALE (Vaschide et Vurpas) 1), Coupe de la
région
cervicale. E, Coupe de la légion dorsale. P, Co
la région cervicale. E, Coupe de la légion dorsale. P, Coupe de la
région
lombaire - G. Coupe d'un ganglion rachidien (lomb
e ici des cellules motrices. La seconde coupe porte au niveau de la
région
moyenne du bulbe (Pl. L, B, C). Les cellules, à
iode de cicatrisation définitive. La troisième coupe intéresse la
région
cervicale (PI. LI, D). Quoique très dégénérées
disparu. Les troisième et quatrième coupes portent au niveau de la
région
dorsale et de la région lombaire. Les lésions s
et quatrième coupes portent au niveau de la région dorsale et de la
région
lombaire. Les lésions sont peu près les mêmes en
s courtes d'association). La première coupe porte au niveau de la
région
prolubéranlielle supérieure. Nous remarquons le
ceau sensitif. B. Entrecroisement des fibres nerveuses. Fig. 2. -
Région
moyenne du bulbe. A. Faisceau sensitif. Racine
ement a disparu. La seconde coupe intéresse la parlie moyenne de la
région
bulbo-prolubé- rantielle (Fig. 2). Nous remarqu
fibres fines forme la bordure antérieure et antéro-interne de cette
région
bulbaire. Elle constitue le ruban de Reil médian.
ian. Ici les fibres sensitives forment (la bordure antérieure de la
région
bulbaire. Ce qui semble Fig. 3. - Région inféri
a bordure antérieure de la région bulbaire. Ce qui semble Fig. 3. -
Région
inférieure du bulbe. A. Faisceau sensitif. B.
. A. Faisceau sensitif. B. Fibres sensitives s'entrecroisant à la
région
médiane. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau
ensitives. Ici, l'épendyme qui occupe ordinairement le centre de la
région
est situé à la partie antérieure à très peu de di
pas question, ce dernier semble avoir été ex- tirpé ou plutôt cette
région
s'être formée et achevée en son absence complète.
bsence complète. La quatrième coupe a été pratiquée au niveau de la
région
cervicale (I'iâ.4). Ce qui frappe ici c'est la
s chacun de ces cordons en particulier, voici ce que nous Fig. 4. -
Région
cervicale. D. Racine postérieure. E. Entrecro
ieures et postérieures est normale. La cinquième coupe intéresse la
région
dorsale. A ce niveau les cordons postérieurs se
latéraux sont plus développés et mieux conservés qu'au niveau de la
région
cervicale. La bandelette qui les constitue va en
d'une façon très nette et très évidente il n'existe pas. Fig. 5. -
Région
dorsale. E. Entrecroisement moteur. F. Faisce
VEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 395 La sixième coupe porte au niveau de la
région
lombaire. Ici les cordons postérieurs sont de v
r trajet. Il nous faut maintenant remonter le névraxe, revenir à la
région
bulbaire pour signaler certains détails de morp
es propres au bulbe normalement font ici complètement dé- Fig. 6. -
Région
lombaire. E. Entrecroisement moteur. F. Faisc
lent largement sur la face dorsale puisqu'arrivées au niveau de la
région
supéro- latérale, ces formations semblent se di
et monstruosités. Qu'il nous suffise de rap- peler qu'en certaines
régions
supérieures du névraxe de cet anencéphale les f
bondants qu'ils forment un véritable collier engainant par places les
régions
bulbo-protubérantielle ou médullaire. Cette abo
ur destruction. Ces ilots sont extrêmement nombreux au niveau de la
région
bulbo-protubé- rantielle. Les régions supérieur
ement nombreux au niveau de la région bulbo-protubé- rantielle. Les
régions
supérieures du névraxe semblent de la sorte détru
e vers la moelle ; elles semblent égale- ment moins nombreuses à la
région
lombaire qu'à la région dorsale, et moins nombr
semblent égale- ment moins nombreuses à la région lombaire qu'à la
région
dorsale, et moins nombreuses à la région dorsal
la région lombaire qu'à la région dorsale, et moins nombreuses à la
région
dorsale qu'à la région cervicale. Les méninges
la région dorsale, et moins nombreuses à la région dorsale qu'à la
région
cervicale. Les méninges sont également infiltré
blent indiquer l'existence à une certaine période embryologique des
régions
hémisphériques qui auraient disparu, transformées
hyperesthésiques et hystérogènes au niveau des deux ovaires et des
régions
sus et sous-mammaires. Clou hystérique. Les pup
s crises correspondaient avec une douleur analogue siégeant dans la
région
ovarienne et tout le côté gauche ; elle avait aus
pianiste, nerveuse et fille de mère nerveuse, avec douleurs dans la
région
du cubital depuis la main jusqu'à l'aisselle. S
chement, ce qui accusait clairement une atrophie des muscles de ces
régions
; sur l'éminence hypothénar on remar- quait aus
e tronc, les bras et les membres inférieurs. La peau était dans ces
régions
d'un brun foncé, presque noir.Seules, les parties
, de chaque côté, et dans l'aisselle droite. Rien de semblable à la
région
cervicale, ni dans l'aisselle gauche. Le crân
travail de néoformation osseuse, constitué de minces lamelles à la
région
moyenne, mais au niveau des épiphyses inférieures
r la méthode de Nissl. Les résultats ont été compa- rables aux deux
régions
. Les cellules radiculaires des cornes antérieur
ulaires, ni hérnot'rl13- gies, ni foyers de ramollissements. A la
région
cervicale, les coupes au Pal ne montrent pas de z
se sur le bord du cordon latéral et dans le cordon postérieur. A la
région
lombaire, on retrouve exactement le même aspect.
aspect. Ou note cependant, à partir de la portion inférieure de la
région
dorsale, et jusqu'aux dernières sa- crées.une l
vaient rencontrées dans deux autopsies successives. Au niveau de la
région
dorsale inférieure et moins prononcée dans la rég
u niveau de la région dorsale inférieure et moins prononcée dans la
région
lombaire, ils ont noté une raréfaction notable
osition de la main gauche dont le pouce semble tendre la peau de la
région
cubitale, peuvent être interprétées dans ce sens.
rits. La malade de M. Mabille présente en ontre de l'anesthésie des
régions
oedématiées (sauf pour les agents thermiques).
érieure est sillonnée par un réseau veineux très apparent ; dans la
région
cervico-pectorale existe une grosse veine super-
du tissu cellulaire sous-cutané s'ob- . serve souvent même dans les
régions
où l'interposition du tissu adipeux ne s'est fa
cas où l'épaississement adipeux s'ob- serve souvent, même dans les
régions
où la transformation graisseuse des muscles ne
que, en cas d'éruption générale à la peau, rien ne se montre dans les
régions
para- lysées. Il présente, par projection, un h
hui l'existence des réseaux veineux très apparents du bras et de la
région
cervico-peclorale. L'épaississement du pannicul
r la radiographie de l'intégrité du squelette, fit l'ablation de la
région
malade, sans se dissimuler le mauvais état du t
ne chute sur le siège, ayant amené une ecchymose très étendue de la
région
fessière, a coïncidé avec le début du mal. Actu
e. Au début du mariage, le ventre a été souvent douloureux, dans la
région
des ovaires, sensible à la moindre pression. La
aux idées noires. Les palpitations de coeur sont fréquentes. La
région
du foie est douloureuse, surtout la nuit, dans la
Pl. LXVII). A l'âge de huit ans, elle fut mordue par un cheval à la
région
fronto- pariétale droite. A la suite de ce tr
beaucoup moins déformées, et les inflexions de la colonne dans ces
régions
tiennent à ce que l'axe de la vertèbre est obli
fauteuil, tendant son bras droit au barbier qui palpe avec soin la
région
du pli du coude avant d'opérer; un lac enserre
ssister à un enterrement. En descendant de wagon, elle tombe sur la
région
fessière, est étourdie un instant, mais se relè
de la mâchoire du patient, traversa net le sommet du crâne, dans la
région
frontale, près de la suture sagittale, et fut r
cules, qui répercute la violence subie en un point, dans toutes les
régions
des centres ner- veux... » (p. 153). C'est au
ces très étendues de la dure- mère au crâne, principalement dans la
région
fronto-pariétale. Ces adhérences indiquent évid
balle qui pénétra au-dessous de l'oeil gauche et ressortit dans la
région
temporale; oeil perdu. A la suite de cette bles
it atrophié par suite d'une blessure reçue à l'âge de trois ans, la
région
pariéto- occipitale de l'hémisphère droit et le
nk. Le centre cor- tical de la vision, loin d'être circonscrit à la
région
moyenne ou pariétale de la deuxième circonvolut
orce qui s'étendait, sur la seconde circonvo- lution externe, de la
région
frontale au commence- ment de la région occipit
vo- lution externe, de la région frontale au commence- ment de la
région
occipitale. Ils niaient par conséquent que la s
de caractère et des façons d'être et d'agir des chiens opérés de la
région
occipitale, ces auteurs italiens inclinaient à
de viande pour s'en emparer; sinon, c'est qu'il ne le voit pas : la
région
correspondante de la rétine est aveugle. Enfin
Trois questions ont été surtout ici bien étudiées : Dans quelles
régions
du cerveau doit-on localiser les centres de la
t-elle étrangère à cette fonction, se demandait Luciani, car ces
régions
n'avaient guère été explorées par l'ex- périmen
lobe frontal, on ne peut arguer de la proximité de ce lobe avec les
régions
occipito-pariétales. D'autre part, chez la chie
tres centres de l'écorce, supprime toute limite précise entre ces
régions
. Ces centres se confondent aux vagues confins d
- rale, chez les animaux, le centre cortical de la vision dans la
région
pariéto-occipitale. Il a vu d'ailleurs la 1 Mun
dent sur une aire considérable de l'écorce, et s'irradient dans les
régions
pariéto-frontales et temporo- sphénoïdales. L
ns de la tache jaune, par exemple, ne seraient associés qu'avec une
région
distincte de l'écorce du lobe occipital (le poi
segment externe de la rétine de tau corres- pondant, avec les mêmes
régions
centrales. On conçoit ainsi comment l'extirpati
e lobe occipital (Munk), considérés isolément, mais dans ces deux
régions
. « Nous ne pouvons dissimuler, ajoutaient-ils,
ces quand la lésion a évolué lentement, suppléances dues soit aux
régions
symétriques de l'hémisphère opposé, soit aux ce
cette époque, indi- quaient nettement l'importance des lésions des
régions
occipitales dans la production des troubles de
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 49 logiques et fonctionnels de ces deux
régions
du cer- veau, en d'autres termes, que les centr
ci admet que, chez l'homme, ce centre est surtout localisé dans les
régions
occipitales du cerveau. Archives, t. XVIII. 4
ribué à une action exercée à distance sur le lobe occipital par les
régions
encéphaliques malades. Puis, comme on rencontre
ue le parcours des fais- ceaux nerveux a pu être suivi dans tant de
régions
du système nerveux central et que le trajet int
tres psycho-sensoriels de l'écorce ont été découverts, bref,~où les
régions
des transfor- mations des sensations en percept
sse être circonscrit, il devient possible également de délimiter la
région
cérébrale des lésions, soit irritatives, soit d
e centre cortical de l'audition, c'est-à-dire, d'après eux, sur les
régions
pariéto-occipitales de la troisième circonvolut
jours après l'opération. Une lésion destructive sem- blable sur la
région
homonyme de l'autre hémisphère déterminait une
exercée sur le lobe temporal gauche par un processus morbide d'une
région
quelconque du cerveau : il peut exister alors u
moire, et que les altérations de la sensibilité spécifique de celte
région
, qui ne sont rien moins que constantes, sont loin
n arrêt de développement des lobes temporaux au regard des autres
régions
cérébrales, en particulier une atrophie marquée
nts noirs, moins nombreux, ceux du faisceau croisé avec les mêmes
régions
. Giuseppe Fasola a fait récemment, au laboratoi
au direct; 3° de même pour les fibres acoustiques issues de la même
région
; 4° enfin, les fibres olfactives issues des rég
ssues de la même région; 4° enfin, les fibres olfactives issues des
régions
ammoniques ne subiraient pas d'entre-croisement
érale qui, selon Ferrier, seraient consécutives aux lésions de la
région
hippocampale, Fasola non plus que Lu- ciani n'e
sperinaeol, di /'reniatria, 1885, 'r3É suiv. 78 PHYSIOLOGIE. une
région
en rapport avec l'odorat. Cela résulte des cas
ne gauche (Ogle, Notta). Ces faits prouvent l'im- portance de cette
région
comme partie de la sphère olfactive ; ils sembl
t les rapports fonctionnels du lobe et du bulbe olfactif avec ces
régions
. Au congrès des médecins italiens de Pavie, de
rculation pulmonaire, anémier et amener au ramollissement certaines
régions
des centres nerveux et particu- lièrement le re
lièrement. A l'auscultation, on entend un fort gazouille- ment à la
région
cardiaque; on peut d'ailleurs aisément s'en ape
. - Nous trouvons un ramollissement très. avancé de cet organe à la
région
du renflement lombaire. Les cordons antéro-laté
s droits, sont colorés en gris jaunâtre. Un peu au-dessous de cette
région
, les coupes transversales nous montrent la subs
ntillé rouge à lacorne grise postérieure gauche. Au-dessus de cette
région
on voit un aspect uniformément rouge de la substa
ide, de la loupe on aperçoit quelques bulles de gaz au milieu de la
région
ramollie. Il sort de l'air aussi des vaisseaux,
u myélitique. On n'en voit que très peu à la moitié droite de cette
région
. Nous n'en avons pu trouver aux autres régions de
oitié droite de cette région. Nous n'en avons pu trouver aux autres
régions
de la moelle. Expérience IV (6 juillet 1886).
les veines. Moelle. - Oblitérations gazeuses intravasculaires à la
région
lombaire. Dans les mailles du tissu myélitique,
e à tel ou tel territoire vasculaire, et par suite à telle ou telle
région
, ces accidents revêtent telle ou telle forme cl
elle s'est engagée, fait arrêter tout à coup la circulation de la
région
correspondante. Une ischémie subite con- sécuti
dont la gravité varie, selon l'importance physiologique de cette
région
. Nous aurons lieu plus tard, au chapitre de la
e assez forte, haute, en forme de toit, sans saillies exagérées. La
région
occipitale est aplatie. Inclinaison très rapide
; iris brun, pupilles égales; cils longs, pas de lésions oculaires.
Régions
malaires symétriques, cependant la joue gauche
ls ont dû être commis déjà aupara- vant, car l'enfant présente à la
région
anale une exulcération de la largeur d'une pièc
omatite mercurielle. Grandes plaques de roséole sur les lèvres, les
régions
scapulaires ; aspect marbré de la poitrine; que
les aisselles et dans les aines,-et quelques taches pigmentées à la
région
lombaire gauche. Taille : 4 m 67 ; poids : 60 k
GIQUE I. ETUDE analytique au MOYEN DE l'excitation ÉLECTRIQUE DES
RÉGIONS
MOTRICES DU CERVEAU DU SINGE (MACACUS SINICUS);
à les expériences de Luciani, Tamburini, Ferrier et d'autres sur la
région
de la sphère optique de Munk chez les animaux a
de l'excitation doivent être beaucoup plus considérables pour cette
région
que pour la zone psychomotrice. Pour la substan
égale. Mais on pouvait se demander si la substance corticale de la
région
psychomotrice ne joue pas un rôle important dan
ux : Dans ce but, l'expérimentateur excise la substance grise de la
région
psychomotrice et excite ensuite la substance bl
hémisphérique. Enfin , quand on met à nu la substance blanche de la
région
psychomo- trice et quand on l'excite par des co
s occipitaux paraissent dépourvus de centres analogues à ceux de la
région
psychomotrice. L'opi- nion de Ferrier d'après l
la déviation conjuguée des yeux doivent se trouver non pas dans les
régions
psychomotrice et occipitale, mais plus bas. Enf
plus bas. Enfin, chez les animaux âgés de moins de cinq mois, la
région
psychomotrice est dépourvue de la zone des mouvem
nt servis à la fois de l'excitation électrique et de l'ablation des
régions
cérébrales dans leurs recherches. Les expériences
ient à la suppuration par défaut d'antisepsie. L'excitation de la
région
motrice leur a donné les mêmes résul- tats que
leur a donné les mêmes résul- tats que ceux de Ferrier; mais cette
région
motrice peut être divisée en un certain nombre
lus grande que celle des aires marginales. Leurs expériences sur la
région
occipitale, quoique peu nom- breuses, concorden
n rapport avec les perceptions visuelles, de telle sorte que chaque
région
occipitale est en rapport avec la moitié corres
es. C'est une extension des vues de Ferrier qui les limitaient à la
région
de l'hippocampe. P. S. VI. Des racines du tri
tion d'un endroit élevé. On constatait en outre de l'anesthésie des
régions
innervées par le plexus honteux et hémorrhoidal
double pendant l'été de 1886) une sensation d'op- pression dans la
région
stomacale, des nausées, de temps à autre des vo
capable dejeter une vraie lumière sur les fibres latérales de cette
région
. 11 s'agit d'un homme de quarante trois ans, suc-
roit qui, à première vue, portait sur les ascendants l'insula et la
région
qui entoure la scissure de Sylvius. La base des
ral contient des trousseaux de fibres issue du lobe temporal et des
régions
du lobe pariétal, en arrière de circonvolutions
182 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. pyramidales; visibles surtout dans les
régions
motrices et dans la corne d'Ammon où elles sont
ar le liquide de Muller; des coupes ont été faites en di/ré- rentes
régions
, tant à gauche qu'à droite, sur chaque hémisphère
sont groupées par nids comme on les trouve à l'état normal dans les
régions
motrices, ainsi que l'a indiqué Betz; elles son
bles de corps granuleux dans la blanche. Les cellules géantes de la
région
sont éparses au milieu de la névroglie, leurs d
araissent abondantes; à part cela l'aspect est le même que dans les
régions
motrices gauches. La première frontale et le lo
rtain nombre de gaz à un des rameaux que la sylvienne fournit aux
régions
psycho-motrices. (3). Accident de /'Observation
duire par embolies capillaires l'ischémie et la nécrobiose de ces
régions
de la moelle. C'est donc le hasard de la locali
ne trouva décrite nulle part et qui s'exprimait surtout dans deux
régions
: la peau et les fonctions psychiques. L'état mor
de myxoedème chez un homme, accompagné de dépression visible de la
région
psychique. Cet auteur suppose le point de dépar
pérature cutanée abaissée. L'auteur suppose'que les anomalies de la
région
psy- chique proviennent de l'accumulation de la
iron, s'accompagnant de celle des cils et des poils dans toutes les
régions
qui en sont pourvues. En même temps, elle souff
is ansérina, absence presque totale de transpiration. La peau de la
région
inférieure de l'abdomen prit une teinte bronzée
elque temps après, ce malade réussit à s'introduire un clou dans la
région
temporale par un singulier procédé; ayant appli
ntre le mur. On constata bien à cette époque une petite plaie de la
région
, suivie d'un gonflement assez considérable; mai
é conservateurs. Ce fait est facile à constater suivant cer- taines
régions
où des races à type connu dominent. A un autre
a vessie et du rectum avec anesthésie de ces organes et de toute la
région
inner- vée par les troisième, quatrième et cinq
européenne qui était coupable des progrès de l'alcoolisme dans ces
régions
, en venant se substituer à une religion qui déf
s plus acceptables, ses signes dépendraient de la lésion de cette
région
déterminée des centres nerveux quelle que soit
ou deux, puis un violent mal de tête leur succède, siégeant dans la
région
frontale sus-orbitaire : des vomissements bilieux
cali- sation, et qui par eux-mêmes ne nous renseignent que sur la
région
des centres nerveux qui est touchée, ' et nulle
res nerveux qui est touchée, ' et nullement sur la façon dont cette
région
est atteinte. Ainsi, si pour une raison que nou
conservées. En résumé, les lésions paraissent plus marquées sur les
régions
postérieures de l'hémis- LÉSIONS DE LA SUBSTANC
on rameuse assez développée; les grandes cellules pyramidales de la
région
sont petites et entourées de myélocytes. La moe
artir d'un certain volume. On retrouve les mêmes désordres dans les
régions
motrices, dans le lobe occipital. Là toutefois,
t la formation de bandes de tissu scléreux par plaques dans la même
région
ne sont que les deux premiers degrés de l'altérat
erminé, avec une admirable précision, la topographie des diverses
régions
, fonctionnellement différentes, des centres de
natu- rellement se contenter de ces données empiriques. Certaines
régions
du cerveau sont en rapport avec les fonctions m
ni Munk ne les ont jamais vus s'amender et disparaître quand les
régions
motrices avaient été exactement enlevées sur le
es nées des sensations cutanées, musculaires et d'innervation des
régions
correspondantes du corps, ne détermine des mouv
erveau, 299. 1 Après la section circulaire ou circonvallation d'une
région
limitée, éprouvée comme motrice, F. Franck et P
conscrite, et la paralysie motrice succéder à l'ablation de la même
région
, si bien que « les points dits centres moteurs
des fibres d'association qui rattachent ce territoire mo- teur aux
régions
voisines (frontale, temporale et pariéto-occipita
ue leur mise en activité est subordonnée aux excitations venant des
régions
sensorielles voisines, surtout de la région par
excitations venant des régions sensorielles voisines, surtout de la
région
pariéto-occipitale, par un mécanisme analogue à
t bien, sous l'influence du stimulus électrique porté sur certaines
régions
de l'écorce, déterminer l'activité volontaire d
e sans abolition du sens musculaire '. Pour localiser dans d'autres
régions
que D. Ferrier les centres du sens musculaire e
« des fibres intercen- trales relient les corps striés aux diverses
régions
de l'activité cérébrale ». Une excitation parti
te), relient les « centres de l'idéation », comme toutes les autres
régions
corticales, aux ganglions sous-corticaux. Les a
les rapports anatomiques de la tête du noyau caudé avec diverses
régions
de l'écorce. Tout ce qu'il est permis d'affirmer,
ent aussi à la moelle épinière. 384 PHYSIOLOGIE. suppléance des
régions
corticales enlevées, par d'autres régions de l'
IOLOGIE. suppléance des régions corticales enlevées, par d'autres
régions
de l'écorce, n'a pour elle aucune vraisemblance
e durée du retard des réactions déterminées par l'excitation de ces
régions
de l'écorce, ce qui permet de- les assimiler à
éoriques il se fait de la disposition des partiesdu cerveau dans la
région
de la zone excitable. Cf. encore XXXIII (188î), p
t différenciés des différents groupes musculaires de telle ou telle
région
'. » Pour Bechterew, l'aire corticale dont l'ex
glais que sont venues à Schiff les 1 Bechterew. - Physiologie de la
région
motrice de la substance corticale du cerveau. (
ion des cordons postérieurs, c'est que la ' ' Selon Herzen, la même
région
du cerveau (gyrus sigmoïde chez le 'chien) cont
it donc dû admettre la nature mixte ou sensitivo-motrice de cette
région
. Mais on chercherait en vain dans l'oeuvre du p
ce des mouvements localisés produits par l'excitation électrique de
régions
déterminées de l'écorce, l'inexcitabilité des z
nt être en grand nombre et en rapport spécial 'avec les différentes
régions
du corps. Tamburini admet- tait donc, comme trè
s confinée à la zone motrice. Car les effets de l'électrisation des
régions
sensoreilles de l'ouïe et de la vue « ne diffèr
ette zone n'est pas exclusivement motrice. Toutes les différentes
régions
de l'écorce sont, à des degrés divers, semées d
ice proprement dite, des points aussi constants que ceux de cette
région
, dont l'excitation provoque toujours des mouvem
minent ne sont point dus non plus à la propagation du courant aux
régions
motrices, car si on isole ces centres par la mé
faut employer des courants plus intenses que pour les centres de la
région
motrice, prouverait qu'ils ne sont pas, comme c
de s t'to) : ? ob ? ce df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la
région
motrice de la substance .co1,ticale du cerveau.
oire cutané correspondant à ce centre : elles s'étendent à d'autres
régions
du même côté. Ainsi, après l'ablation du centre
ation d'aire psycho-motrice appliquée, d'une manière spéciale, à la
région
rolan- dique, si elle est utile en clinique, ne
ique, car le cerveau tout entier, et non pas seulement une certaine
région
, participe plus ou moins à la production des mo
'écorce, l'impulsion motrice volontaire devait passer par certaines
régions
plus particulièrement considérées comme psycho-
n rapport avec les noyaux gris moteurs de la moelle épinière. Ces
régions
corticales « psycho-motrices ne seraient don qu
e la sensibilité générale, consécutifs aux lésions destructives des
régions
motrices de l'écorce, nous mènerait trop loin,-
la sensibilité générale et la motilité volontaire, c'est que les
régions
postérieures du cerveau, demeurées indemnes, su
à Goltz qu'il a lui-même reconnu et confessé que les fonctions des
régions
occipitales diffèrent de celles des régions ant
que les fonctions des régions occipitales diffèrent de celles des
régions
antérieures. Mais c'est pour retomber dans son
'quoique les phénomènes soient plus nets et plus intenses dans la
région
dont le centre cortical a été détruit en tout o
ste, pour que l'exten- sion des phénomènes de déficit au delà de la
région
du corps dont le centre cortical a été détruit
leur hypothèse de l'identité des fonctions des corps striés et des
régions
motrices de l'écorce, Luciani, Tamburini et Sep
ucial, et la moitié antérieure du lobe pariétal, représentée par la
région
postcruciale du gyrus sigmoïde et par les segme
ce qui a trait aux impressions tactiles, n'est pas circonscrite aux
régions
antérieures du cerveau : elle rayonne et s'irra
aux régions antérieures du cerveau : elle rayonne et s'irradie aux
régions
postérieures, elle s'unit et s'engrène avec les
ndent sûrement jusqu'aux parties postérieures du lobe parié- tal (
région
F. de Munk). ' Voici d'ailleurs la représentati
vec irradiation vers la base du cou ; - 4° point douloureux dans la
région
correspon- dant aux ovaires chez la femme ; la
us les points hystérogènes, la sensibilité est la même qi e sur les
régions
voisines, sauf au niveau des points iliaques où e
morphose du tissu graisseux en masse colloïde, par exemple dans les
régions
des reins, du coeur, etc. En faisant attention
iffi- culté de mouvoir la langue, en partie des altérations de la
région
mentale. Du côté sensoriel, on observe parfois de
yxoedème, de môme que la maladie de Basedow, altère très souvent la
région
psy- chique ; Eulenburâ 1, en décrivant la mala
depuis quel- ques jours leur cours régulier, lorsqu'il observa à la
région
interne des deux cuisses, depuis le pli de l'ai
ses, depuis le pli de l'aine presque jusqu'à la che- ville, et à la
région
externe des mêmes membres, depuis l'épine- ilia
Teissier. (Lyon méd., 1888, t. LVIII.) Tout en admettant que les
régions
protubérantielles sont cer- tainement intéressé
ans les points qu'on est disposé à considérer aujourd'hui comme les
régions
d'origine spinale du grand sympathique (Pierrel
ur place, qui figurent la marche et la course. Par conséquent, la
région
des couches optiques et des tubercules quadriju
ore au corps trapézoide, au moins comme station de renforcement. La
région
qn'occupe la couche inférieure du noyau de Deil
ordons postérieurs. Atrophie des racines. Sclérose très nette de la
région
pyramidale croisée. FIG. 6. - 111° paire sacrée
ctif et les vaisseaux y prennent part également, quelle que soit la
région
examinée (Pl. I, II et III). Unpointencore cont
es cutanés de la zone hyperesthésique de la limite supérieure de la
région
anesthésiqup, etc. ; mais nous tenonscomme certai
ent ni le froid, ni le chaud. 20 RÉVILLIOD Intacte aussi est la
région
cervico-dorsale qui n'a donné lieu à aucun troubl
ilité, à droite pour la sensibilité, sans remonter plus haut que la
région
dorso-lombaire. L'intégrité des sphincters, l'exa
la respiration, déglutition, etc. indique aussi l'état normal de la
région
cervico- dorsale. En résumé, les éléments du
o- lombaire primitivement unilatérale gauche, puis diffusée dans la
région
pos- térieure. Une lésion transverse unilatér
l côté, donnant lieu naturellement des symptômes en rapport avec la
région
intéressée. C'est ainsi que lorsque les faisc
rticale ancienne constituée par un foyer celluleux siégeant dans la
région
pariéto-occipitale (PI. V, A) (1). Le foyer par
rizontale de l'hémisphère droit, montrant le ramollissement dans la
région
de la 3c frontale. Masson et Cie, Editeurs Ph
l'écorce. Coupe de Brissaud. Ramollisement sous-cortical dans la
région
postérieure de la 3e frontale. Le foyer se trou
oyons- nous, quelque troublante que soit cette localisation dans la
région
de la 3e frontale droite, qu'il n'y a pas lieu
eu de paraphasie. Morte à la suite d'une hémorragie cérébrale de la
région
capsulo-striée du côté droit. Du côté gauche on
u. Elles siègent sur l'écorce de l'hémisphère gauche, au niveau des
régions
pariétale ou temporale,dans l'aire ou sur les con
res en se servant d'un tambour explorateur de Marey appliqué sur la
région
spinale et maintenu par une ceinture de gymnase,
ce phénomène en appliquant pendant la marche les deux poings sur la
région
lombaire au-dessus de la crête iliaque. A chaqu
. ROLE DES MUSCLES SPINAUX DANS LA MARCHE NORMALE CHEZ L'HOMME 53
région
à ce moment, ni l'inspection du nu sur les sujets
en arrière, en attitude très cambrée, avec ensellure profonde de la
région
lombaire, où il m'a semblé qu'elle était suppléée
très 54 LAMY Y a) Chez les individus maigres el musclés, dans la
région
dorso-lombaire, les renetsmuscuiafresuessment.
'oscillation delà jambe dans le pas antérieur; le même aspect de la
région
lombaire se maintient jusqu'à la chute du talon s
ion que le sujet d'expérience soit maigre et bien musclé, el que la
région
dorsale soit favorablement éclairée (vuir PI. V
. Acad. des sciences, 5 janvier 1903. 60 LAMY difficile qu'à la
région
lombaire, en raison de la multiplicité des muscle
la région lombaire, en raison de la multiplicité des muscles de la
région
. Mais il semble bien que les contractions muscula
s- culaires du dos : à tel point qu'à la simple inspection de cette
région
, chez les individus maigres et musclés, on peut
étroit pour le recevoir. Des plis transversaux profonds barrent la
région
ombilicale, traduisant le tas sèment général du
core cet aspect si particulier, le crâne èst augmenté de volume, la
région
frontale plus haute que normalement ; l'architect
t. Ce qui frappe tout d'abord, c'est la diminution de hauteur de la
région
abdominale ; elle paraît se produire surtout au
lement situé au niveau de l'ombilic et se perd latéralement dans la
région
du flanc ; les autres, moins marqués, séparés p
au-dessus de lui ; le plus élevé se termine de chaqne côté dans la
région
de l'hypochondre an-dessus du rebord inférieur
ment des dernières côtes. A la partie supérieure de l'abdomen, la
région
épigastrique forme une vous- sure transversale
orax prend quelquefois l'aspect d'une vallée ouverte en bas vers la
région
épigastrique plane. Dans ces cas, les plis tran
ssion ainsi formée viennent se perdre les plis trans- versaux. La
région
du flanc n'existe pour ainsi dire plus puisque, s
direction devient paral- lèle à celle des côtes. Souvent enfin, la
région
hypogastrique est projetée en avant. En résum
ition de l'es- pace ilio-costal, telles sont les déformations de la
région
abdominale, déforma- tions qui nous semblent tr
côté du rachis et du bassin. La colonne vertébrale présente dans la
région
dorso-lombaire une courbure unique à convexité
artie supérieure du dos prend une direction presque horizontale. A la
région
inférieure de la colonne vertébrale, le sacrum
voussure du dos est très accusée, la face postérieure du cou comme la
région
dorsale supérieure se rapproche de l'horizontal
ue le malade veut redresser la tête, la concavité postérieure de la
région
cervicale s'exagère. La mobilité des différents
inuée, les mouvements de flexion se font assez bien surtout dans la
région
cervicale et lombaire, la région dorsale reste
se font assez bien surtout dans la région cervicale et lombaire, la
région
dorsale reste presque immobile. Mais l'extension
quilibre, il est obligé de porter le bassin en avant et d'amener la
région
lombaire en retrait sur la région dorsale. Le r
le bassin en avant et d'amener la région lombaire en retrait sur la
région
dorsale. Le rachis, sauf dans la colonne cervic
ement une légère dépression des hypochondres. L'aplatissement de la
région
épigastri- que contribue à rendre difficile ape
singes anthropomorphes » (Pozzi)........ Le rachis est immobile, la
région
dorsale présente une courbure à convexité posté
convexité postérieure, exceptionnellement une déviation latérale, la
région
lombaire est rectiligne. «.... Le thorax est
s sur les cuisses, l'an- kylose faible n'existant guère qne dans la
région
lombaire, et permettant au malade de se redress
ient nullement ossifiés. Sur des coupes pratiquées dans différentes
régions
du fémur (trochanter, col, tête, diaphyse, cond
u de Goll et le faisceau cérébelleux direct, principalement dans la
région
cervicale. L'évolution clinique des malades de
s cordons postérieurs, localisée dans les faisceaux de Burdach à la
région
lombo-sacrée, et dans les faisceaux de Goll dan
ach à la région lombo-sacrée, et dans les faisceaux de Goll dans la
région
cervicale - dégénération partielle de tout le fai
au du pôle occipital gauche. La moelle est très grêle, aplatie à la
région
cervico-dorsale ; il y a, à la ré- gion postéri
oute la hauteur, petites et translucides. A la coupe, on voit, à la
région
dorsale et cervicale, un cordon postérieur tran
a) Diminution de nombre partout, avec prédomi- nance pour certaines
régions
irrégulièrement distribuées. Ces cellules ne 13
partout (sauf au niveau des noyaux dentelés ; ceux-ci ainsi que la
région
adjacente paraissent sains et riches en fibres
ints dans toute leur hauteur, avec prédominance des lésions dans la
région
lombaire et dorsale. Il s'agit ici d'une dégéné
sont surtout les portions centrales des ' cordons postérieurs ; les
régions
cornu-commissurales et cornu-radiculaires sont
racines postérieures sont au contraire entièrement dégénérées à la
région
lombaire et dorsale infé- rieure et deviennent
irect et assez légèrement le faisceau de Gowers, et s'étendant à la
région
cervicale et dorsale sur le territoire du faisc
du bulbe, on trouve, sur une hauteur d'un centi- mètre environ à la
région
cervicale moyenne, une tache scléreuse à gauche,
sont épaissis et sclérosés. Les méninges postérieures, surtout à la
région
dorso-lombaire, sont épaissies et adhérentes. /
une même coupe le ventricule se dilate encore inégalement. Dans la
région
frontale par exemple c'estsurtout la partie latér
N. L.) présentent le même aspect que l'écorce, et cela dans la même
région
. Là où l'écorce est le plus altérée, il en est
asme) présente au carmin une tache rou- ge irrégulière, occupant la
région
de Fli. ; au Weigert elle se manifeste par la d
la tumeur. -Aspect particulièrement dense de l'écorce dans la même
région
. OBS. III. Mlle L. M..., décédée à l'âge de 51
itus en mai 1901. L'autopsie confirma le diagnostic de tumeur de la
région
frontale. La pl. XXIV montre les rapports du né
rarement l'image caractéristique de la fibre nerveuse. Mais déjà la
région
des corps genouillés externes apparaît normale,
PI. XXV TUMEUR CÉREBRALE (Weber et PI1Padaki) 11. Coupe de 1.\
région
frontale et coupe de la tumeur (Obs. 111). 13.
res sont partout for- tement élargis, peut être un peu plus dans la
région
frontale que dans les autres parties du cerveau
t fendillé particulier aux coupes que l'on a laissé sécher. Dans la
région
voisine de la tumeur on remarque d'énormes « cell
tauungs-papille) tout à fait prononcée. Le diagnostic de tumeur de la
région
des corps quadrijumeaux n'est plus douteux. Y
mmissure moyenne est réduite à une mince lamelle. Le pourtour de la
région
des corps quadri- jumeaux est de in 5 centimètr
i l'on peut dire ainsi. RÉSUMÉ. Tumeur gliomateuse s'étendant de la
région
interpédonculaÍ1'1J au IVe ventricule ; obstruc
qu'à distance, car la tumeur n'intéresse la Ille paire que dans la
région
des noyaux et des racines. L'hypertension muscu
ide de la maladie. Il n'est guère admissible qu'une tumeur de cette
région
puisse rester longtemps latente. Or c'est en 1901
t de vue et pour des raisons purement mécaniques, les tumeurs de la
région
de la tente du cervelet et du foramen occipital
recroisement de vVernicke, au-dessus du genou du facial, dans cette
région
qui s'étend entre les noyaux de la IIIe et delà V
A 22 ans, en pleine santé, il est pris d'une violente douleur dans la
région
cervico-dorsale, bientôt une tuméfaction se fai
région cervico-dorsale, bientôt une tuméfaction se fait dans cette
région
, le malade va à l'hôpital à Biella et ici on lu
moteurs et sensitifs du trijumeau qui sont bien conservés. Dans la
région
ventrale de la protubé- 168 GRUNER ET BERTOLOTT
entres sous-corticaux, et il est d'avis qu'il faut admettre dans la
région
des tuber- cules quadrijumeaux, non seulement d
- bles vaso-moteurs apparaissent dans les lésions qui affectent les
régions
sensitives du pédoncule. Reinhold (2) place l
* En arrière, il existe une cyphose à grand rayon s'étendant de la
région
cer- vicale à la région sacrée. La partie dorso
une cyphose à grand rayon s'étendant de la région cer- vicale à la
région
sacrée. La partie dorso-lombaire présente une sco
e avec insuffisance des sigmoïdes. On entend un bruit de galop à la
région
précordiale. Les sous-clavières sont un peu sur
rs nets. Les petits vaisseaux, dilatés, s'avancent beaucoup dans la
région
maculaire qui partage la teinte bleuâtre du res
rs prix à l'école. A l'âge de 5 6 ans il subit un traumatisme de la
région
sourcilière gauche où actuellement on note à 1
présente, sans cause apparente, des accès de douleur très vive à la
région
précordiale. Cette douleur ne dure que quel- qu
yeux, la teinte générale du fond de l'oeil est un peu bleuâtre, la
région
maculaire est foncée. La papille présente une exc
es, diversement localisées sans ordre et sans symétrie. La peau des
régions
tuméfiées était pâle; elle ne conservait pas l'em
momètre à bulbe plat, était un 4/5 de degré plus basse que dans les
régions
voisines. Le malade ne présenta ja- mais de phé
maximum de courbure se trouvant vers la fi° et la 68 dorsale. La
région
scapulaire droite abaissée, déjettée en arrière e
énué jusqu'à trois travers de doigt de la base. En avant et dans la
région
axillaire, silence respira- toire au-dessus de
, musculaires, et autres. Ce centre peut se trouver ou dans la même
région
que le centre d'a- graphie, ou dans son voisina
fait en somme la rééducation de l'écriture, combinée au massage de la
région
atteinte. Son traitement est extrêmement variab
inclinaison à gauche (côté sain). La cour- bure vertébrale dans. la
région
. lombaire est peu accusée dans les deux cas. Et
nverse est presque nulle. La compen- sation se fait surtout dans la
région
cervicale. L'épaule n'est que très légèrement a
la dou- leur sciatique a été précédée d'une brusque douleur dans la
région
lom- baire, et d'une sorte de lumbago. Dans le
te portion des cordons postérieurs. Toujours elle prédomine dans la
région
dorsale, diminuant à mesure qu'on se rapproche
e se limite aux cordons postérieurs, qu'elle peut envahir depuis la
région
lombo-sacrée jusqu'au bulbe. Histologique- ment
gite, sans myélite. Elle se continue en haut avec la méningite de la
région
cer- vicale et est maxima au niveau du 6e segme
ans les aires des deux faisceaux pyramidaux croisés. Dans ces mêmes
régions
, le Pal met en évidence une grande raréfaction
ux n'est pas infiltré, mais la vascularite est intense. Moelle.- La
région
cervicale est atteinte de myélite très accentuée,
XXIII, fig. ). Les cellules nerveuses paraissent normales. A la
région
dorsale, on ne trouve les fibres dégénérées que d
é à la partie antéro-externe des faisceaux pyramidaux croisés. La
région
lombaire paraît normale. Les vaisseaux des racine
se périlobulaire. Infiltration pigmentaire hématique dans les mêmes
régions
. Rein. - Aspect vaso-paralytique typique. Pas
sale. Les préparations à l'hématoxyline-éosine montrent, comme à la
région
lombaire, une leptoméningite manifeste. Quelques
ées (pl. XXXIII, fig. 7). Les racines postérieures sont, comme à la
région
lombaire, nettement altérées. 3° Moelle cervi
la main droite est froide ainsi qu'une partie de l'avant-bras. Ces
régions
sont d'une teinte livide, la sensibilité y paraît
on à peu près complètement dé- générée), on peut le diviser en deux
régions
également : 1° Une région externe où l'on aperç
- générée), on peut le diviser en deux régions également : 1° Une
région
externe où l'on aperçoit, coupées obliquement, le
égénératif, ainsi que la zone de Lissauer. 2° Plus en dedans, une
région
où les fibres dégénérées sont sectionnées per*
lace de cellules embryonnaires. Cette infiltra- tion prédomine à la
région
postérieure, formant autour des veines comme des
t rempli de cellules en amas. 3° Moelle cervicale. Comme dans les
régions
précédentes, la pie-mère est épaissie et infilt
rieure de la moelle en arrière des cornes latérales. Dans les mômes
régions
, PLANCHE XXXIV. 1. Obs. IX. Partie inférieure
s- tème pyramidal (direct et croisé), foyer de méningomyélite de la
région
dorsale. Pasd... Paul; âgé de 45 ans, entre à
es de cellules rondes et sont entourées de ces mêmes cellules. A la
région
dorsale dans le faisceau latéral se trouve un foy
rouve un foyer de méningo- myélite surajouté. Au Weigert, dans la
région
cervicale, on constate la dégénérescence du fai
ines postérieures sont très altérées (pl. XXXIV, fig. 2). Dans la
région
dorsale on constate les mêmes lésions de sclérose
n gros foyer récent de méningo-myélite (pi. XXXIV, fig. 3). Dans la
région
lombaire, en plus de la sclérose des bandelettes
toxyline-éosine, méningite intense, quoique moins prononcée qu'à la
région
dorsale, avec périphlébite, congestion énorme des
ierret et de la partie médiane antérieure du cordon de Goll. A la
région
sacrée et lombaire, les racines postérieures sont
idérablement. En janvier 1904, apparaît une légère excoriation à la
région
sacrée ;. l'eschare s'agrandit progressivement,
par des cellules rondes et du pigment sanguin est plus marquée à la
région
postérieure qu'à l'antérieure. Il existe de la
cordons latéraux, ceux-ci sur une surface moins étendue que dans les
régions
cervicale et surtout dorsale. Nissl. Les lési
st sous la dépendance d'un pelit foyer de rnéliingo-myé- lite de la
région
dorsale, nettement appréciable, quoique beaucoup
bandelettes externes et le bord interne du cordon de Goll dans les
régions
lombaires, dorsale et cervicale. III Si nous
orticoméningée qui a intéressé et détruit les circonvolutions de la
région
périrolandique gauche et la partie postérieure
le cas de M. Dejerine, d'une lésion corticale pla- que jaune de la
région
rolandique moyenne et de la partie postérieure
l'acide osmique, sont sains. La protubérance, le bulbe, en trois
régions
différentes, supérieure, moyenne et inférieure,
es, après avoir disparu nombre de fois en plusieurs accès, dans une
région
de la peau sur laquelle il était revenu très so
d'ur- ticaire. L'oedème passager montre quelque préférence pour une
région
déterminée. Sur cette région un jour s'établit
ger montre quelque préférence pour une région déterminée. Sur cette
région
un jour s'établit un oedème qui ne disparaît pl
, à une moitié de la figure [Her- toghe (63), Meige (54)], dans les
régions
supraclaviculaires (Potain) (67), sur la peau d
e passager est la conséquence d'une altération passagère de la même
région
dont la lésion définitive produit l'oedème nerveu
s, on pourrait observer l'augmentation de la lymphe dans toutes les
régions
du corps dans le même temps, et sa production ser
c cliniquement d'une affection qui peut se présenter dans plusieurs
régions
du corps. L'éléphantiasis préfère les membres, ma
s'arrête à une ligne de démarcation supérieure qui le sépare d'une
région
parfaitement saine. Il suffit d'ailleurs de com-
les premiers temps les oedèmes passa- gers ou bien l'oedème sur une
région
déterminée. Lorsque cet oedème se répète toujou
région déterminée. Lorsque cet oedème se répète toujours dans cette
région
, ou bien lorsque l'altération trophique s'établ
ès une longue répétition d'accès d'oedèmes passagers dans les mêmes
régions
. On comprend aussi que l'éléphantiasis peut, dans
tière dit corps, l'urticaire syringomyélique est localisée dans les
régions
anesthé- tiques [Schlesinger (47). Le même aute
ns d'urticaire générale à toute la surface du corps, tandis que les
régions
anesthésiques étaient indemnes d'éruption. Il s
plus excitables. Il faut à ce propos se souvenir aussi que dans les
régions
anesthésiques des syringomyéliques peuvent se p
s : d'autant plus que lorsque la syringomyélie se localise dans les
régions
inférieures de la' moelle nous pouvons observer l
lant que forment les angles antéro-supérieurs des pariétaux ; cette
région
des pariétaux est à un niveau plus élevé que le b
e les bras relevés. La colonne vertébrale n'est pas déviée dans les
régions
dorsale et cervicale. Il y a dans la région lom
st pas déviée dans les régions dorsale et cervicale. Il y a dans la
région
lombaire une ensellure assez prononcée qui s'acco
e qu'elle est suffisamment par les musclés et les aponévroses de la
région
. « Dans l'histoire du développement des clavicu
'est-ce qu'un anencéphale ? Un être dans lequel ne s'opère pas à la
région
rachi- dienne la transformation du premier vers
trêmement réduite, on distingue le Dérencéphale dont le crâne et la
région
cervicale sont seuls intéressés et l'Anencéphal
erne, en arrière elle envahit d'une façon presque générale toute la
région
de l'occipital, gagne sur le cou et tend à empi
a région de l'occipital, gagne sur le cou et tend à empiéter sur la
région
dorsale. Il est à noter que, comme conséquence
ujets (fig. 2), la tumeur correspondait, extérieurement, à la seule
région
de l'écaille occipitale. A ce niveau, la peau sem
u crânienne saine s'étendait assez loin en arrière, recou- vrant la
région
frontale et une partie de la région pariétale. El
oin en arrière, recou- vrant la région frontale et une partie de la
région
pariétale. Elle s'arrêtait brusquement suivant
crânienne est beaucoup plus restreinte, elle recou- vre à peine la
région
correspondant à l'os frontal ; la tumeur qui lui
Tumeur pseudencéphalique postérieure. 0. S. Limite supérieure de la
région
occipitale. T. Tumeur. 356 RABAUD d'aspect
pitale. T. Tumeur. 356 RABAUD d'aspect graisseux qui remplit la
région
frontale, en arrière par une produc- tion occup
région frontale, en arrière par une produc- tion occupant toute la
région
médio-dorsale, dans le canal rachidien, et qui
ine et de la décoller de ses attaches profondes en gagnant vers les
régions
intéressées par la tumeur cérébrale, on constate
. Il va sans dire que la continuité de la peau existe aussi dans la
région
dorsale lorsque le canal rachidien est ouvert.
s, qui ne sont autres que des troncs nerveux. Tout en haut, dans la
région
cer- , vicale, ces troncs nerveux se perdent da
ac à paroi mince dont j'ai déjà parlé (PI. XLIV-C). En bas, vers la
région
lombaire, le spina bifida cesse et les troncs n
homme que chez les animaux, la colonne vertébrale présente, dans la
région
cervicale, une courbure plus ou moins marquée.T
ncéphale et Thlipsencéphale. Lorsque la fissure spinale dépasse les
régions
supérieures de la colonne, elle peut néanmoins s'
e la colonne, elle peut néanmoins s'arrêter .encore au niveau de la
région
lombaire, ainsi que je l'ai très nettement consta
imensions sont très variables et leurs parois assez minces. Dans la
région
du sillon antérieur existe un paquet vasculaire
ressant un segment un peu plus élevé, mais appartenant encore à la
région
lombaire, on observe les mêmes dispositions, lé
rable ; ils sont serrés les uns contre les autres. C'est dans cette
région
postérieure que se marque surtout la prolifératio
tié postérieure que porte principalement l'accentuation. Dans cette
région
, il n'y a plus seulement une seule rangée, mais
eure du système nerveux. b) Hémorragies et exsudation. - Dans cette
région
même de la moelle, com- mence à apparaître un p
sillon antérieur ; il se pro- duit également en dehors de ces deux
régions
. Chaque vaisseau pénétrant dans Fic. 9. Coupe t
; il reconnaît qu'ils sont plus nom- breux et plus étendus vers la
région
céphalique. Parmi ces hémorragies les unes sont
ressivement d'intensité à partir de l'extrémité inférieure jusqu'à la
région
cervicale sont peut-être les plus fréquents, ma
extrême de la moelle, y affectant une très grande intensité. Dès la
région
la plus inférieure de la moelle, on observe un ti
vaisseaux souligne encore l'intensité de l'inflammation dans cette
région
(PI. XLV ter-M). Les processus sont donc ici tr
t, l'inflammation se propage à la pie-mère rachidienne, descend des
régions
cervicales aux régions sacro-lombaires où nous
opage à la pie-mère rachidienne, descend des régions cervicales aux
régions
sacro-lombaires où nous la retrouvons effective
es segments inférieurs, et qu'il est possible de discerner, dans la
région
cervicale, une vague apparence du canal épendym
ent déterminé la dégénérescence totale de la moelle. Les coupes des
régions
cervicales mettent en évidence un autre fait qui
e en dehors du système central, sont moins atteintes ; que, dans la
région
lombaire, en particulier, nous les discernons ave
ts, les vaisseaux sont particulièrement abondants et serrés dans la
région
superficielle correspondant à la pie-mère; au-d
s les noms de pseudencéphaliens et anencéphaliens. Ajoutons que les
régions
profondes sont beaucoup plus conjonctives que v
à celle qui remplit l'encéphale. Cette néo- formation présente deux
régions
assez nettement séparées : l'une superficielle
intra-rachidiens (méninges ou moelle) appartiennent les différentes
régions
que l'on a sous les yeux, la chose est tout à f
achis. Cette épaisseur est sensiblement plus grande au niveau de la
région
lombaire qu'au niveau des régions dorso-cervi-
lement plus grande au niveau de la région lombaire qu'au niveau des
régions
dorso-cervi- cales ; tout à fait en haut même,
son extrémité terminale correspondant à la ré-ior lombo-sacrée. La
région
ouverte renferme un tissu mince, résistant, sur l
à la tumeur pseudencéphalienne, il faut remonter très haut, dans la
région
cervicale du canal rachidien qui a subi la flexio
vasculo-conjonctif. Le segment médullaire que l'on observe dans la
région
lombaire présente, en effet,les mêmes caractère
e tumeur soit très peu développée, elle existe spécialement dans la
région
lombaire. Mais elle n'existe pas dans les régio
écialement dans la région lombaire. Mais elle n'existe pas dans les
régions
supérieures de la colonne vertébrale. La moelle
ue de néoformation vascu- laire. Ces dispositions sont celles de la
région
inférieure de la moelle; il con- vient d'ajoute
es normales. Ce sac est également sessile, il est continué, dans la
région
intra-crânienne, par une masse de substance compa
lérose latérale combinée à une sclérose des cordons de Goll dans la
région
cervicale. Les lésions ne dépassèrent guère la mo
traction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la
région
où elle se produit et, si l'on veut, la déforme
a partie interne du muscle frontal se contracte et la peau de cette
région
se porte de bas en haut; c'est là une variété d
tière vertébrale de chaque côté. Les frères J... présentent dans la
région
occipitale un aplatissement de la moitié latéra
e conformation brachicéphalique, présente un petit front,et dans la
région
occipitale droite on voit et l'on sent un aplatis
ation brachi-céphalique, il présente un front peu bombé, et dans la
région
occipitale droite existe un aplatissement des os,
la coxalgie sont, en ce genre, les plus connus, mais en toutes les
régions
on peut en observer d'identiques, et nous relaton
n déviée. Quant aux particularités diagnostiques propres à cha- que
région
, et même à chaque cas, on ne peut s'en rendre com
. De même, pour un léger degré d'hyperesthésie à la pression sur la
région
ovarienne droite. Le père est mort de cause i
faux mouvement, est tombé d'une voiture, et ce furent la tête et la
région
du cou qui portèrent sur le sol. Il présente de c
sibles, ceux de rotation et d'extension ne peuvent s'exécuter. La
région
supérieure du cou ne présente aucune particularit
euls quelques points d'hyperesthésie très marqués au ni- veau de la
région
occipitale. La pression des testicules est partic
s rachi- diennes de même ordre puissent se produire dans la seconde
région
où la colonne vertébrale possède une mobilité d
la colonne vertébrale possède une mobilité de quelque étendue : la
région
lombaire. D'où résulte un tableau symptomatique
uelques points très nets d'hyperes- thésie au niveau de la tête, la
région
ovarienne est particulièrement sensible à la pr
ltation du Dr Broca le 21 mai 1904 pour douleurs très vives dans la
région
des reins et impossibilité pour l'enfant de se
ète, en particulier à la plante du pied droit; par contre, quelques
régions
où la simple pression réveille dé grandes douleur
sie au niveau de la nuque, des mamelons, et surtout au niveau de la
région
ovarienne. Aucun signe sensoriel. Etat psychique
De plus, l'enfant étant couchée sur le ventre, nous avons vu que la
région
lombaire était souple ; quand on soulevait les
n'y avait pas de mal de Pott lom- baire. C'était moins sûr pour la
région
dorsale, où toujours la rigidité est plus -diff
arqué est encore accentué par le déve- loppement des muscles de la
région
externe de la cuisse et de la jambe qui exagère
Dans le cas de Klinger existait également une soudure des os de la
région
antérieure de la base. Ces soudures prématuré
moustaches. Même malade vu de profil. Remarquer la cyphose de la
région
dorsale inférieure ainsi que l'ensellure lombaire
nter. Les membres sont très courts. La main n'arrive que jusqu'à la
région
trochantérienne. Au membre su- périeur il exist
tébrale présente une lordo-scoliose dans la moitié supérieure de la
région
dorsale et par contre une cyphose très prononcé
une cyphose très prononcée dans la moitié inférieure de cette même
région
; ceci est très apparent sur la photographie qu
. Il présente encore une ensellure lombaire très manifeste. Dans la
région
ano- fessière on remarque une cicatrice que le
notées certaines défor- mations telles que des rétractions dans la
région
inférieure des côtes (Joa- chimsthal), formatio
e la moitié supérieure et une cyphose de la moitié inférieure de la
région
dorsale, en plus de l'ensellure lombaire caract
raccourcis- sement des membres, les supérieurs n'atteignant que la
région
trochantérienne ; la microrizomélie des membres
décolorée dans les fascicules les plus postérieurs. Au niveau de la
région
protubérantielle supé- rieure on retrouve les m
tude qu'en laissant tomber le bras le long du corps. Si on pince la
région
postérieure du bras, c'est à peine si on a la sen
fre aucune ré- sistance dans les mouvements de flexion forcée. La
région
antérieure du bras est également très atrophiée,
t le long supinateur sont atrophiés légèrement et les muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras sont relativement inde
note une même cicatrice, large comme une pièce de cinq francs, à la
région
moyenne et externe de la jambe. Des cicatrices de
enté de volume, irrégulier, raboteux, avec une grosse exostose à la
région
moyenne et postérieure. Même lésion, mais encore
strictement localisée dans le tissu de la pie-mère, débute dans la
région
correspondant au sillon postérieur. De cela, nous
rière ; lecou se trouve ainsi supprimé etla tête se rapproche de la
région
dorsale. Cette flexion cervicale dérive immédia
nvexe du cerveau, elle s'y développe et negagne que tardivement les
régions
inférieures. De là, elle tend à se propager en de
rencontre aucune trace d'envahissement dans ce sens, même dans les
régions
où les processus sont le plus intenses. Ce n'est
plusieurs pièces, ils sont susceptibles de se couvrir, en certaines
régions
déterminées, de sail- lies, de tubérosités, tan
ciale des lésions pour les extrémités des os, c'est-à-dire pour les
régions
des pièces du squelette qui correspondent aux car
plus grande et plus prolongée du cartilage et du périoste dans ces
régions
explique cette prédilection, que vient d'ail- l
d au cartilage de conjugaison, soit dans le voisinage même de cette
région
(V. PI. LXVII et LVIII). L'étude macroscopique
e pied droit, 8 sur le pied gauche. En groupant ces exostoses par
régions
, on obtient un total de 66 exos- toses pour le
xos- toses. Son action peut se localiser plus spécialement dans les
régions
où les manifestations évolutives sont et demeur
f mois, pendant lesquels s'établirent des trajets fistuleux dans la
région
du genou malade et de la hanche correspon- dant
r d'un gros enchondrome. Nous savons, en effet, que dans toutes les
régions
où de coutume se développent des exostoses, peuve
onvolutions aplaties. La pie-mère est épaissie et adhérente dans la
région
du chiasma et de l'in- fundibulum. Celui-ci app
CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE (.\1u(quiu.) A. Aspect de la
région
infiltrée à un grossissement plus fort. Les diver
. Lésion de l'épendyme à gauche. Pus intraventriculaire. 20/1. C.
Région
occipitale. Gros bouchon de pus intrav·cntriculai
a essayé sa perméabilité à l'aide d'une corde à Fig. 2. Coupe de la
région
frontale. Foyers d'infiltration périventriculaire
ulent ; cette infection va en diminuant vers le Fig. 3. Coupe de la
région
du noyau rouge. Infiltration péri ventriculaire.
certains points est tel que le tissu prend le type « adipeux ». La
région
vacuolée atteint une profondeur de 6-10 milimèt
sont fortement dilatés (5 : 3) ; cela est surtout évident dans les
régions
frontale et temporale. Le 30 ventricule est égale
i plissé horizontalement dans ses parties latérales, est lisse à la
région
médiane. Les mouvements de froncement et d'élévat
S 669 muscles scapulaires et de certains muscles superficiels de la
région
lombo- dorso-cervicale, en particulier du trapè
les 'ramène, fléchis à angle droit, en les fixant fortement sur la
région
lom- baire, l'omoplate subit tout à coup, avec
int une complexité très grande, la répercussion des processus d'une
région
à l'autre n'est peut-être pas assurée d'une faç
du crâne et trouble profondément la circulation sanguiue dans cette
région
. Cette action immédiate est d'ailleurs localisé
us d'arrêt que nous observons se trouve strictement localisé en une
région
très circonscrite de l'organisme. Cette localisat
ressort de la description de l'auteur que de tous les tissus de la
région
, le tissu des méninges est celui qui a le moins
généralité, s'établit un peu au hasard, intéressant telle ou telle
région
au gré des circonstances ; les mal- formations
. De plus, il éprouva des douleurs vagues avec prédominance dans la
région
lombaire. On remarqua qu'il portait un ecchymose
re. On remarqua qu'il portait un ecchymose assez étendue dans cette
région
, ainsi qu'au niveau de la partie supéro-extcrne d
s du même côté sont aussi hyperesthésiques.Zone hystérogène dans la
région
dorso-lombaire. La sensibilité générale est con
l,nlis du système nerveux NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE DE LA
RÉGION
LOMBAIRE SILLON LOMBAIRE MEDIAN I Dans une
porteur d'une prétendue défor- mation de la colonne vertébrale à la
région
lombaire, insistait avec toute l'autorité qui s
t offerte de préciser, sur un point de détail, la morphologie de la
région
lombaire, dont l'intérêt sera mis en valeur par
urd'hui, en insistant sur quelques points de la morpho- logie de la
région
lombaire. Dans la station verticale, la partie
raversée de haut en bas par un sillon médian, large et profond à la
région
lom- baire et qui correspond, sur le squelette,
neuses ne se voient pas. Cependant, vers la partie inférieure de la
région
dorsale, la crête épinière se relève parfois et f
rme alors une saillie allongée de quelques centimètres. Enfin, à la
région
des lombes qui est ici notre principal objectif
nt au nombre de quatre : une convexité au cou, une concavité à la
région
dorsale, une convexité à la région lombaire, un
ité au cou, une concavité à la région dorsale, une convexité à la
région
lombaire, une concavité à la région sacro-coccy
n dorsale, une convexité à la région lombaire, une concavité à la
région
sacro-coccygienne. Mais la ligne formée en arri
pas été relevé comme il con- vient, surtout en ce qui concerne la
région
lombaire. Au cou et au dos, les courbures décri
appartenant à des circonférences de rayon différent. Ainsi, à la
région
cervicale, la courbe décrite par les apophyse
lus fermée que celle des corps verté- braux. C'est l'inverse à la
région
dorsale où la courbe postérieure est la plus
IE MORPHOLOGIQUE. 17 7 épineuses à atténuer leur saillie. Mais à la
région
lombaire la dissem- blance est plus accusée. En
s accusée. En raison du développementqu'elles acquièrent dans cette
région
, les apophyses épineuses ne suivent que très-impa
physe épineuse, fait qu'il n'est pas rare d'ob- server surtout à la
région
lombaire. La station verticale (fig. 13) est la
ue le mouvement de flexion 'du tronc apporte à la morphologie de la
région
. La saillie médiane qui se pro- duit alors n'es
ason, qui représente un éphèbe remettant ses sandales, on voit à la
région
lombaire, très-nettement circonscrite, la saillie
tions que nous venons de présenter sur les formes extérieures de la
région
lombaire trouvent leur application dans l'histo
violentes dou- leurs de reins, lorsque son médecin constata dans la
région
lombaire une saillie des apophyses, fort doulou
insi que cela se voit fréquemment. La pré- tendue déformation de la
région
lombaire était donc tout simplement une conform
ophyses mastoïdes et de l'occipital. Les maxillaires inférieurs et la
région
lombaire sont aussi le siège de douleurs intens
iennes exos- loses syphilitiques. La colonne vertébrale fait à la
région
lombaire une légère saillie d'ail- leurs normal
lus légère friction de la peau détermine une vive douleur; toute la
région
de la colonne vertébrale estdu reste notablemen
lons encore un point très douloureux à la pression, au niveau de la
région
précordiale : la céphalée nocturne existe toujour
Dès le mois de novembre suivant elles reparaissent; à ce moment la
région
du genou est le siège d'une affection inflammat
mations. Tronc. - Il existe une scoliose â convexité gauche dans la
région
dorsale et une courbure de compensation dans la
uche dans la région dorsale et une courbure de compensation dans la
région
lombaire. La hanche gauche est plus haute que l
aussi que ses pieds se déformaient, la saillie physiologique de la
région
dorsale s'accentuait suivant les dispositions q
, se trahissant dans la circonstance par une saillie exagérée de la
région
dorsale qui paraît bombée, surtout lorsqu'on la
tion de la colonne vertébrale : sco. liose à convexité droite de la
région
dorsale. Membres supérieurs. -Au repos, les mem
ment qui a surtout consisté en application de pointes de feu sur la
région
spinale, ou spontanément, il s'est fait une rés
e interne du genou et en pressant légèrement avec les doigts sur la
région
externe, 1. Hamilton et Puiusot, Traité pratiqu
e sous forme de bande de 5 à 6 centimètres de largeur le long de la
région
antéro-externe de la jambe et s'arrête au niveau
la prédominance des muscles postérieurs de la jambe sur ceux de la
région
antérieure. Lorsque la contracture occupe les m
s collé contre le tronc, dans les contractures des muscles de cette
région
. , Telles sont les déformations ordinairement o
arier suivant certaines circonstances et occuper également d'autres
régions
. z La contracture spasmodique est un phénomène
rois ans; à cette époque il a reçu un coup de pied de cheval sur la
région
frontale (sa soeur ne sait pas s'il a été malad
généralement abolie dans le pied, mais d'une façon particulière. La
région
dorsale du pied est complètement insensible, ta
u gauche est le siège d'une athropalhic considérable qui déforme la
région
: celte tuméfaction est surtout le fait d'un épan
pes transversales, la sclérose des cordons postérieurs affecte à la
région
lombaire toute l'étendue de ces cordons : aux rég
s affecte à la région lombaire toute l'étendue de ces cordons : aux
régions
dorsale et cervicale, les cordons de Goll sembl
tru1l\"c-t-un quelques vestiges. On rencontre, disséminés dans les
régions
sclérosées, un grand nombre de corps amyloïdes.
ns sclérosées, un grand nombre de corps amyloïdes. ' A celle môme
région
, la plus grande partie des lubes nerveux des raci
e l'est aux racines postérieures. Par contre, intégrité absolue des
régions
antéro-latérales et notamment des cornes antéri
des cornes antérieures; les racines antérieures ne sont pas lésées.
Région
dorsale. - L'altération est il peu près localisée
nes antérieures; intégrité absolue des faisceaux antéro-tateraux.
Région
cervicale. La lésion se présente avec des caractè
es muscles de la jambe avec prédominance d'action des muscles de la
région
postérieure, était entretenue, depuis la guérison
des douleurs extrêmement violentes dans les bras, les jambes et la
région
dorso-lombaire. En même temps, les deux jambes
. Il y a six ans, il a fait une chute qui lui a valu une plaie à la
région
temporale, suivie, d'après lui, d'une forte hém
e malade présente une scoliose à courbure convexe à droite, dans la
région
dorsale supérieure, avec une petite courbure de c
orsale supérieure, avec une petite courbure de compensation dans la
région
lombaire et près des dernières vertèbres dorsales
dorsales. Il y a, en plus, une lordose légère dont le centre est la
région
lombaire. Le malade ne peut pré- ciser le momen
pression existe partout ; cependant, elle est très émoussée dans la
région
des plaques anesthésiques, et, à ce niveau, il
le lom- baire, lire : coupe longitudinale des cordons de Goll, à la
région
dorsale. Le gérant : Emile Lecrosnier. MOTTMO
(013S. 1) t.[ : CnOSNtt;n fît DABE, ÉDITEURS L'ACROMÉGALIE. 177
région
pectorale droite, lipome siégeant à la hauteur du
, latéralement, existe une dépression qui fait un peu ressembler la
région
frontale de ce malade à celle d'une vache. Les
enter un aspect réellement anormal. Le crâne ne présente (à part la
région
frontale) aucune déformation mar- quée ; cepend
s lignes qui en partent font une saillie considérable, ainsi que la
région
mastoïdienne. Les cheveux sont abondants, un pe
Je n'ai pas noté de différence dans la sensibilité thermique entre la
région
des plaques ciuesthésiqucs et le reste des jamb
lle de tous points, la coloration spéciale que l'on trouve dans les
régions
qui sont le siège de cette altération trophique p
veiller malgré sa terrible infirmité. F. Socca. DÉFORMATION DE LA
RÉGION
LOMBAIRE DE NATURE NEURO-MUSCULAIRE (CYPHO-SCOL
IOSE HYSTÉRIQUE). Les déformations de la colonne vertébrale dans la
région
lombaire sont nombreuses et de causes variées.
ous avons observé récemment une déformation pathologique de la même
région
, que nous croyons avoir été rarement signalée à
vésicatoires 1.I'. Richer. Note sur l'anatomie morphologique de la
région
lombaire (Nouvelle Icono- grQ]Jhie de la Salpêt
rminée : nous fîmes quelques applications de pointes de feu dans la
région
lombaire. (Nous eûmes l'occasion de constater q
onstater qu'à cette époque il n'existait aucune déforma- tion de la
région
.) Ce traitement n'améliora guère son état : lestr
RTHAUD 1 : 1 I LECROSNIER A BASÉ, "ÉDITEURS . DÉFORMATION DE LA
RÉGION
LOMBAIRE. '193 était apparue dans la région lom
S . DÉFORMATION DE LA RÉGION LOMBAIRE. '193 était apparue dans la
région
lombaire, entre les cicatrices laissées par les
sses (Pl. XXXIX). La saillie postérieure correspond exactement à la
région
lombaire; elle est à grande courbure, polytuber
la colonne vertébrale est de 2 centimètres et demi environ. Dans la
région
dorsale, la crête des apophyses épineuses s'enf
ôté, dans une étendue plus considérable (qui n'est pas limitée à la
région
lombaire); elle s'accompagne d'une rotation des v
ise en relief, chez notre patient, par l'attitude DÉFORMATION DE LA
RÉGION
LOMBAIRE. 195 en demi-flexion et en rotation en
sait d'une contracture hystérique des muscles du plan profond de la
région
abdominale postérieure, c'est-à-dire du carré des
déformés, principalement le pied droits. 11 existe au niveau de la
région
dorsale du pied droit, une saillie surtout marqué
ongles. La sensibilité à la piqûre et au froid fait défaut dans les
régions
antéro- externe et antéro-interne des jambes, t
e et antéro-interne des jambes, tandis que le tiers supérieur de la
région
postérieure est sensible. Insensibilité absolue
lantaire. - Anesthésie complète au froid et à la piqûre de toute la
région
mammaire. Sur toutes les autres parties du corp
d'avant en arrière de 4 centi- mètres 1/2. Mais la palpation de la
région
permet de reconnaître que la sail- lie est form
maschino a observé la grande prédominance des lésions spinales à la
région
lombaire. Le premier fait avait trait à une art
rthropathie du genou et du pied gauches : dans ces deux faits, à la
région
lombaire, les cordons de Goll et de Burdach éta
ment lésés, mais non dans la tota- lité de leurs tubes nerveux; aux
régions
dorsale et cervicale, les cor- dons de Goll éta
DE LA SALPÊTRIÈRE. comme suivant immédiatement les fractures de la
région
dorso-lombaire du rachis. Pour ne parler que
ant le membre de haut en bas. Hyperesthésie du môme membre et de la
région
lombaire correspon- dante ; cette hyperesthésie
gulier, comme on pratiquait de temps en temps un badigeonnage de la
région
dorso-lombaire avec une plume imbibée d'un topi
e malade s'affaiblit consi- dérablement. Douleur assez vive dans la
région
lombaire, à droite de la ligne médiane. En ma
mbre inférieur gauche. OBS. II - Fracture du rachis au niveau de la
région
dorso-lombaire datant de dix ans. -Parésie des
uteur de 12 mètres, sur les pieds, et se fracture le rachis dans la
région
dorso-lombaire. Coma pendant trois jours. Séjou
esterait sous forme d'élancement. En outre, endolorissement de la
région
dorso-lombaire quand survient la fatigue, et en
bsolument précis. L'anesthésie à la piqûre est variable suivant les
régions
. Aux cuisses, elle est surtout accentuée sur le
la différence est accentuée surtout à la partie inférieure de celle
région
. A la partie moyenne des cuisses, la mensuration
sur la face postérieure de la cuisse gauche, par rapport à la même
région
du côté droit. Sens spéciaux. La vue a baissé d
nant rapporter l'observation. OBS. III. -Fracture du rachis dans la
région
dorsale datant de onze ans. Troubles trophiques
a chute dç 1877, et qui est due, suivant lui, à une contusion de la
région
. Le rachis présente une déviation importante au n
éprouve pendant le travail une sensation de fatigue au niveau de la
région
dorsale, sensation qu'il soulage en se tenant c
ent; or on sait qu'un choc sur la tête, et particulièrement dans la
région
occipi- tale,-a pu assez souvent être incriminé
accident, des abcès appa- rurent dans différents endroits, dans les
régions
axillaire et sous-maxillaire et aux grandes lèv
égère courbure latérale il concavité gauche surtout au niveau de la
région
dorsale ; cette courbure est d'ailleurs réguliè
angle brusque, et, en somme, pas très accentuée ; il y a aussi à la
région
cervicale une certaine courbure à concavité antér
ouve une' profonde dépression qui rappelle assez l'aspect- de cette
région
chez la vache; le nez est volumineux et proémin
eu près normale. Il en est de même des jumeaux et des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe. Le corps thyroïde e
s noirs comme de l'encre à peine ça. et là tachetés de blanc. Cette
région
, regardée généralement comme un miroir de la vi
ement développé. L'élargissement de la face est considérable; d'une
région
parotidienne à l'autre, on constate au moins 6
la tumeur qu'on a sous la main; ces tumeurs, qui ont développé les
régions
parotidicnncs et sous-maxillaires d'une façon uni
itude. L'accroissement anormal de la peau est surtout visible il la
région
occipitale. Au niveau de la protu- bérance occi
d'environ 3 centimètres de long et d'un centimètre de haut dans sa
région
moyenne (vraisemblablement congénitale). Au dessu
cou qui est tout il fait libre, ne peut être démontrée que dans la
région
lombaire et y est fort limitée. : L'incurvation
de doigt en dehors du mamelon. Large impulsion de la pointe dans la
région
du mamelon jusqu'à deux travers de doigt en deh
e en terre cuite, 16. Lépreux (le - d'Albert Durer), 8. Lombaire (
région
) (cautères autour d'une saillie de la colonne),
iculier dans les fractures du -), par Tuffier et llallion, 217.
Région
lombaire (anatomie morphologique de la), par Pa
ée. Les jambes se sont mises à faiblir ; les membres inférieurs, la
région
des lombes, les tempes et les mâchoires ont été
e crâne parait un peu volumineux par rapport au reste du corps ; la
région
occipitale au-dessus du tubercule de même nom ne
la forme et de la largeur d'une pièce d'un centime au milieu de la
région
externe de la cuisse gauche, et une autre oblon
és, les fontanelles agrandies, la tète molle et fluctuante. Dans la
région
dorsale et lombaire le canal rachi- dien est pr
s III. Moelle disséquée et cervelet. La moelle, très épaissie dans la
région
cervicale, est de grosseur normale au-dessus de
l les particularités pathologiques sautent aux yeux surtout dans la
région
cervicale. Nous trouvons ici ce qui suit (PI. V
TÈME NERVEUX CENTRAL (N. Solovizoff) Coupa .1" Cas Il. Il Moelle,
région
cervicale ; - I Bulbe au niveau de l'entrecroisem
cette difformité de la moelle. Mais si le spina bifida est dans la
région
sacrée de la colonne, alors nous observons seul
trémité du vermis inférieur ; dans ce cas le spina bifida occupe la
région
sacrée. En cequi concerne les changements obser
ves à la racine du cou et qu'on dut lui appliquer des sangsues à la
région
cervicale et des vésicatoires sur les jambes ;
eux, des éminences thénar et hypothénar. Membres INFÉRIEURS.- Les
régions
fessières sont affaissées. Les cuisses sont ama
é. Pas de hernies ombilicale, inguinales ou crurales. Le long de la
région
cervicale la corde formée par le slerno-cléïdo-ma
des muqueuses est intacte sous ses divers modes et dans toutes les
régions
de l'organisme. Trophicité DES téguments. On re
igestif on note simplement de l'inappétence et de la diarrhée. La
région
du foie est endolorie. Pas d'hypertrophie de la r
ins altérés qui ont encore échappé à la sclérose. Les vaisseaux des
régions
du muscle complètement sclérosés sont nom- breu
e toute la hauteur des espaces intercostaux, et principalement à la
région
supérieure de la cage thoracique, les étages sp
us sains est mal déterminée ; et il serait abusif de considérer les
régions
sclérosées comme des tronçons comparables à Fig
tacarpiens, c'est parce que la cir- culation sanguine est, dans ces
régions
, plus lente que partout ailleurs ; ou parce que
étrie avec laquelle se produisent les poussées dans les différentes
régions
atteintes plaideraient en faveur de cette opinion
se devinent en quelque sorte à travers l'éruption. Par contre, les
régions
découvertes, le visage et les mains, qui sont m
s l'origine, privé des éléments capables d'accumuler le pigment. La
région
externe de l'avant-bras était recouverte d'un é
nvariablement la même. Les parties malades sont la tête, le cou, la
région
supérieure du buste, les membres supérieurs dep
ons retrouvé qu'un seul point lésé artificiellement au niveau de la
région
cervicale inférieure; toutes les autres portion
ES DE LA TOURETTE ET G. DURANTE renient disséminées dans toutes les
régions
, de nombreuses fibres larges dont la myéline se
pathologique. On retrouve, irrégulièrement disséminés comme dans la
région
lom- baire, des tubes à myéline tuméfiée. Ils s
petites gommes périvasculaires irré- gulièrement disséminées. C.
Région
dorsale moyenne. 1) Les colorations myéliniques
e (Coloration pur la méthode de 'Pal) A. Reninndnrsjte moyenne. 13.
Région
cenicate inférieure SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
quelques-uns persistent encore, quoique moins nombreux que dans les
régions
sous-jacentes. Parmi ceux-ci, un certain nombre
missure grise où les tubes nerveux à myéline n'exis- tent pas. D.
Région
dorsale supérieure. l)Par les colorants myélini
l ils ne se distinguent en rien des faisceaux normaux. Dans cette
région
, l'infiltration périvasculaire autour des artério
ire, l'endo-périartérite, est notablement plus accentuée dans cette
région
que dans les régions précédentes. , F. Renfleme
rite, est notablement plus accentuée dans cette région que dans les
régions
précédentes. , F. Renflement cervical. Les al
rébelleux directs de Gowers sont plus fortement altérés que dans la
région
sous-jacente. Dans les cordons postérieurs, la
oupés, les su- perficielles ne se sont montrées malades que dans la
région
occipitale. C'est du reste dans cette région qu
es malades que dans la région occipitale. C'est du reste dans cette
région
que les altérations cérébrales semblent avoir a
ite qu'à gauche. Le maximum de cette dégénérescence siège dans la
région
dorsale su- périeure, plus haut elle s'atténue
uche qu'ai droite. 4) Cordons postérieurs absolument sains dans les
régions
lombaire et dorsale. ? ' Dans la région cervi
bsolument sains dans les régions lombaire et dorsale. ? ' Dans la
région
cervicale seulement : dégénérescence (ou plutôt a
t parfaite- ment intactes. 5) La substance grise présente dans la
région
dorsale, une légère atro- phie de la corne anté
eur attribuer les altérations des cordons postérieurs limitées à la
région
cervicale seulement. Du reste, comme nous le fa
ite assez marquée. Cette périartérite qui est à son maximum dans la
région
cervi- cale, et forme de véritables petites gom
ons, existent d'une façon assez diffuse, sont plus marquées dans la
région
occipitale, mais nulle part très accen- tuées,
nt pas avec une dégénérescence des cordons postérieurs limitée à la
région
cervicale seulement. L'un de nous a, il est vra
hauteurs nous montre que le maximum des lésions siège à l'union des
régions
dorsale et cervicale. C'est à ce niveau qu'a dû
xistence de ce foyer et le localiser assez exactement à l'union des
région
cervicale et dorsale. Au-dessous s'étend une dé
ée. Quant à l'atrophie légère de la corne antérieure gauche dans la
région
dorsale elle paraît être d'origine ancienne pui
ever avant tout d'un ancien foyer de myélite siégeant à l'union des
régions
cervicale et dorsale et accessoirement d'une alté
é- rieure gauche dorsale, mais occasionnant ailleurs, à l'union des
régions
dorsale et cervicale, des altérations plus prof
us élevé que le gauche. Légère scoliose et concavité droite dans la
région
dorsale. Hyperesthésie lt la piqûre de V hémithor
ba sur l'épaule et le bras droits ; quand il se releva, toute cette
région
était considéra- blement tuméfiée et un médecin
t jusque dans l'extrémité des doigts, mais ne remontent pas dans la
région
sus-claviculaire. Lorsqu'on enlève l'appareil, la
e. Application d'une écharpe. Dou- leurs très vives surtout dans la
région
rétro-scapulaire. Fourmillements de la main. La
e sensiblement diminuée de volume. Portant la main plus bas, sur la
région
du grand dorsal, on voit que le thorax est nota
squ'on met l'avant-bras en flexion sur le bras. Les muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras (rond pronateur, grand
eur commun profond semblent à peu près intacts. Les muscles de la
région
postéro-externe de l'avant-bras sont atteints plu
n postéro-externe de l'avant-bras sont atteints plus que ceux de la
région
antérieure mais moins que le long supinateur. A
muscles thénariens moins l'adducteur du pouce. 7° Les muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras. 8° Le cubital antér
nservée et ne semble pas exagérée sauf au chatouil- lement, dans la
région
de l'omoplate droite. La sensation du mouillé e
uche. La sensation au contact d'un corps froid est exagérée dans la
région
postéro- externe de l'épaule et du bras (zone d
xterne de l'épaule et du bras (zone du circonflexe) ainsi que dans la
région
antéro-externe de l'avant-bras (zone du musculo
ce palmaire des 10e, 2°, 3° et moitié externe du 4° doigts et de la
région
correspondante du carpe et du métacarpe). Pas
respondante du carpe et du métacarpe). Pas d'hyperalgésie dans la
région
antérieure de l'épaule qui reçoit la sensi- bil
ROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 1 117 i Le pincement des muscles de la
région
postéro-exterlle de l'avant-bras est assez doul
lle de l'avant-bras est assez douloureux. Celui des muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras et de l'éminence tbé
supinateur et aussi dans le point où la branche sensitive quitte la
région
antérieure (à 7 ou 8 centim. au-dessus de l'apoph
membre su- périeur gauche que sur le droit. Sur le thorax, dans les
régions
pectorale et sus-mammaire, quand on trace des r
fibrillaires des muscles dans le membre supérieur droit, ni dans la
région
pectorale et postérieure de l'épaule. Pas de tr
ron que le gauche. En dehors de la déformation et de l'atrophie de la
région
pectorale droite, on n'est frappé que par l'exi
mplement une légère inclinaison latérale à concavité droite dans la
région
dorsale. Pas de cyphose. Pas de coudure angulaire
sait dire si c'est de cette époque que date cette irritabilité de la
région
. Le 2 août, V... quitte Bordeaux et reprend sa
ne fracture de la clavicule par cause directe avec gonflement de la
région
claviculaire, fourmillements dans la main, dou-
ngation, les tiraillements que subissent les troncs nerveux dans la
région
de l'épaule, siège de la luxation, peuvent se r
cier l'écorce en attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle
région
cérébrale semble toute différente de telle autre,
x images d'attitudes et de mouve- ments. Seulement l'image de telle
région
représente une attitude et c'est naturellement
e telle région représente une attitude et c'est naturellement cette
région
qui commande à la motricité médullaire appro- p
é médullaire appro- priée à cette attitude ; l'image de telle autre
région
représente telle sensa- tion, telle faculté psy
nt rapport avec la motricité. Mais la mise en tension de toutes ces
régions
est sentie de même, parce qu'elles offrent le m
h provoquait le nystagmus eu comprimant chez un de ses ma- lades la
région
mastoïdienne tuméfiée; Pllüger le vit pendant l'a
tion debout les bras tombant le long du corps, on s'aperçoit que la
région
scapulo-humérale droite ne présente pas de défo
en avant jusqu'à l'horizontale (PI. XXIII, D), la déformation de la
région
scapulaire devient très évidente : l'omoplate e
rizontale (PI. XXIV, F), d'une façon générale, la déformation de la
région
scapulaire est la même que dans l'attitude préc
utons que, d'ailleurs, dans l'élévation du bras vers la verticale, la
région
scapulaire présente la même morphologie que dan
n. Dans cette attitude, il n'y a pas de déformation appréciable de la
région
scapulo-humérale. L'acte de porter les épaule
le. Dans ce mouvement, il n'y a pas de déformation évi- dente de la
région
scapulaire droite, sauf que l'angle inférieur est
peut supporter le malade ne don- nent rien. Il est vrai que dans la
région
du thorax ces excitations sont assez vite doulo
pommes de terre sur son épaule et ressent une vive douleur dans la
région
scapulaire droite. Presque immédiatement après,
âgé de 27 ans, qui éprouva un jour des douleurs assez vives dans la
région
de l'épaule droite et du côté correspondant du th
ès violentes, l'ayant empêché de dormir pendant quatre nuits, dans la
région
du bras droit. Quelque temps après, on lui fit
s de paralysie du grand dentelé, accom- pagnés de déformation de la
région
scapulaire, au repos du bras, sont des faits co
elé entraîne une déformation, peut-être légère, mais certaine de la
région
scapulaire, au repos du bras : l'angle inférieu
que le déplacement est minime, et trouble peu la morphologie de la
région
sca- pulaire. On conçoit dès lors qu'il puisse
(1) ». Il se produit, dans ces condi- tions, une déformation de la
région
scapulaire, due à ce fait que le mem- bre supér
iellement caractérisée par une asymétrie manifeste qui porte sur la
région
axillaire et sur la paroi thoracique proprement
la peau est livide, dure, Jar- dacée, adhérente à l'os. La peau des
régions
malléolaires est épaisse et donne au palper l'i
catesse de palpation pour y percevoir tout d'abord l'induration. La
région
sous-claviculaire, les espaces inguinaux, la face
igmentée, quelques- unes ont la largeur de la main et parlent de la
région
antérieure pour gagner la région postérieure du
argeur de la main et parlent de la région antérieure pour gagner la
région
postérieure du thorax. (1) NEUMANN, Arch. sur K
s-épineux sont normaux. Membre inférieur droit. - Les muscles de la
région
antéro-externe et postérieurs sont un peu atrop
e, les lésions sont plus avancées à mesure qu'on se rapproche de la
région
cervicale inférieure ; à la région lombaire, el
mesure qu'on se rapproche de la région cervicale inférieure ; à la
région
lombaire, elles sont moins accusées dans le seg
dans le segment supérieur que dans le segment inférieur et dans la
région
sacrée. D'une façon générale, les lésions se ré
s les racines posté- rieures. 3° Méthode de WEIGEIIT et de PAL. -
Région
cervicale supérieure. Coupe entre la V0 et 2e c
ure, elle en est séparée par une bande de fibres saines. De même la
région
voisine des racines est respectée. A la partie po
nquième cervicale, les lésions sont les mêmes (PI. XXIX, fig. L).
Région
cervicale inférieure. Coupe entre la cinquième et
beaucoup moins marquées que dans les coupes de l'étage précédent.
Région
dorsale supérieure. - Sur une coupe entre la prem
upe précé- dente. 212 PAUL SAINTON Sur une coupe passant par la
région
dorsale inférieure, la lésion des cordons posté
rieure, la lésion des cordons postérieurs est toujours marquée ; la
région
la plus atteinte cor- respond aux cordons de Bu
sont intactes, mais le réseau des fibres est nettement dégénéré.
Région
lombail'e.- Coupe passant par la première lombair
existe à peine. Muscles. - Aspect macroscopique. Les muscles de la
région
postérieure et de la région antérieure delà cui
Aspect macroscopique. Les muscles de la région postérieure et de la
région
antérieure delà cuisse ont une coloration presque
e biceps crural droit, le couturier, les jumeaux, les muscles de la
région
antéro-exteme du même côté. Muscle biceps cru
ibres ; les autres au contraire paraissent dégénérés. Muscles de la
région
antp1'o-exteJ'/le de la jambe gauche. - Sur des c
s dans le bas-ventre, se portent ensuite au coeur et fument vers la
région
du cerveau... 11 faudrait être un maître sot po
ibles. La bouffissure, peu accentuée au visage, est très forte à la
région
sous-mentonnière, les céphalées sont fréquen- t
refroidisse- ment se traduit tout de suite par le nasonnement. Les
régions
supérieures semblent s'engorger d'abord. Les ma
profuses, et leur apparition est précédée de douleurs ives dans la
région
sacrée et lombaire. On sera étonné, si l'on se
oitrine montre (dilatation de la base thoracique, soulèvement de la
région
sus-claviculaire) qu'il s'a- git plutôt d'un de
tations du coeur, le plus souvent mais pas toujours indolo- res. La
région
cardiaque est assez souvent le siège de douleurs
a sénilité précoce du système veineux s'accuse du reste en d'autres
régions
, soustraites à l'action cle la pesanteur et de la
manière intermittente. Des frissons parcourent le corps, surtout la
région
dorsale, à certains moments de la journée, géné
'on désire combattre. Citons la céphalalgie, la douleur du dos à la
région
des reins, les douleurs musculaires et articulair
istrée à un sujet sain, tels que la douleur excruciante du dos à la
région
rénale ou les symptômes angini- formes du coeur
abi- tuellement constipée. Elle présente aussi des douleurs dans la
région
du foie, tant à droite qu'à gauche, et dans le
ours. Elles sont précédées de vives douleurs dans le dos et dans la
région
sacrée. La malade souffre beaucoup de la tête et
a toujours les pieds froids. Elle ressent de vives douleurs dans la
région
ovarienne droite. L'examen local démontre une r
s sont réellement intolé- rables et siègent tant aux tempes qu'à la
région
occipitale, également au-dessus des yeux. La do
Elle souffre beaucoup de céphalalgie et de dou- leurs du dos il la
région
rénale. Ces souffrances sont plus fortes le matin
gastrique. Elles ont disparu, mais il reste de l'anesthésie sur ces
régions
. Dans ce fait, la plaque fémorale rappelait d'aut
iens sont conservés. Il existe quelques plaques d'anesthésie sur la
région
thoracique où il se plaint de douleurs par séri
es sur la partie antérieure du thorax, 4 naevi pigmentaires dans la
région
dorsale, dont un très saillant du côté droit. Il
ucune trace d'irritation des organes génitaux, ni de l'anus, ni des
régions
inguinales. Les évacuations étaient régulières
La photographie qui fut faite le 13 février montre un pubis et une
région
génitale tout à fait glabres. On constata alors
r était obtenu très facilement sur les ré- gions dorsales et sur la
région
pectorale mais pas du tout sur l'abdomen, le pu
bres inférieurs les muscles de la jambe et du pied, les muscles des
régions
antéro-externe et postérieure de la cuisse. A
peu près la même intensité dans toute l'étendue de la moelle de la
région
cervicale jusqu'à la région lombaire. Elles con
dans toute l'étendue de la moelle de la région cervicale jusqu'à la
région
lombaire. Elles consistent en une dégénératiou
marquée du cordon de Goll avec intégrité à peu près complète de la
région
cornu-marginale (obs. personnelle), avec lésion
onnelle), avec lésion de celle-ci dans le cas de Marinesco. Dans la
région
lombaire, les zones de Lissauer sont un peu touch
de la hauteur de la moelle. Sur une coupe faite au niveau de cette
région
, les altérations rappellent com- plètement cell
nes présentent des altérations dégénératives assez marquées dans Ta
région
dorsale et clans la région lombaire, mais aucune
ons dégénératives assez marquées dans Ta région dorsale et clans la
région
lombaire, mais aucune lésion dans la région cer
ion dorsale et clans la région lombaire, mais aucune lésion dans la
région
cervicale. Fig. 1. - Coupe du nerf péronier (lé
le atteint les mus- cles de l'avant-bras, surtout les muscles de la
région
antérieure ; les mus- cles du bras et de la rac
e expose à ces erreurs, elle est plus ou moins exagérée suivant les
régions
; en une même région elle peut être émoussée ou r
, elle est plus ou moins exagérée suivant les régions ; en une même
région
elle peut être émoussée ou rendue plus exquise
art, des sensations plus exquises que donnent les contacts dans les
régions
recouvertes de poils, le déplacement de ceux-ci t
leur. - A. Face antérieure. - Hyperalgésie à la cuisse gauche, à la
région
sus-claviculaire et à toute la main droite, seule
mbe droite hypoesthé- sie à la chaleur et à la jambe gauche dans la
région
périmalléolaire. A la cuisse droite hyperesthés
peresthésie à tout le tronc avec exagération plus prononcée dans la
région
sus-claviculaire des deux côtés. Hyperesthésie au
à gauche. La malade ressent encore des douleurs dans les genoux, la
région
inguinale des deux côtés, les régions lombaires
s douleurs dans les genoux, la région inguinale des deux côtés, les
régions
lombaires et scapulaire. Ces douleurs irradient l
x heures. Pen- dant les règles elle a des douleurs sourdes da ns la
région
ovarienne et dans les parties du thorax jusqu'à
ital. B. Face postérieure. - Anesthésie depuis les pieds jusqu'à la
région
sa- crée ; la sensation tactile est toutefois c
ts, surtout à la main gauche, une sensation d'engourdissement. La
région
lombaire est vaguement douloureuse. Sensibilité
membre. II. Douleur. - A. Face antérieure. - Hyperesthésie dans la
région
ombili- cale aux bras, à la face, au cou et il
ns la zone d'anesthésie ; elle s'étend atout le thorax à partir de la
région
lombaire. III. Température. - A. Face antérie
es s'y sont.recuites et ont acquis cette malignité qui fume vers la
région
du cer- veau... ». Voilà le mal. C'est celui
ns cherché à montrer que de tels tics pouvaient affecter toutes les
régions
du corps et prendre les formes les plus diverse
ns les deux tiers supérieurs, ils disparaissent brusquement dans la
région
prétendineuse, d'où la forme d'avant-bras en fuse
paraissent pas atrophiés. Pas d'atrophie musculaire dans les autres
régions
. Les autres appareils sont normaux. ' Le mala
'il existe un peu de rétraction du biceps droit ; les muscles de la
région
postérieure du bras sont très diminués surtout
lat valgus. Pied droit normal ; applatissement des mollets et des
régions
musculaires antéro-internes des deux jambes.
de l'avant-bras sont atrophiés en grande partie, surtout ceux de la
région
antéro-externe. Il en est de même des muscles du
ont maigri. Cette impotence fonctionnelle, cet amaigrissement de la
région
scapulo-humérale droite persistent et aug- ment
dans ses membres atrophiés, mais il a des douleurs parfois dans les
régions
scapulaires. A droite et a gauche, la sen- sibi
personnels qui, en 1898 au mois de juin, reçoit une contusion à la
région
humérale droite. II n'a aucun accident immédiat
de longueur, elle était située exactement à la paroi moyenne de la
région
antérieure de la jambe gauche, elle n'était nul
au-dessous de la malléole interne. Le gon- flement survint dans la
région
contusionnée, et les médecins qui l'obser- vère
sont larges et épaisses, le développement maximum correspondant la
région
des articulationsmtacarpo-phalangiennes; néan-
roïde est normal et il n'existe pas de matité rétrosternale dans la
région
thymique. Nous avons dit que le malade était su
ns de fourmillement, d'arrachement que calme la compres- sion de la
région
. Dans les pieds, elle éprouve des douleurs constr
e ; hyperesthésie à tout le tronc. Au froid, hyperesthésie dans les
régions
axillaires. B. Face postérieure. - A la chaleur
mois après, elle éprouva des douleurs très fortes et continues à la
région
épigastrique sans vomissements, mais d'une intens
x derniers doigts. Ces sensations se retrouvent à l'épigastre et à la
région
mammaire, elle ressent également des douleurs e
ement des douleurs en corset très pénibles, parti- culièrement à la
région
dorsale. - 1.- Sensibilité objective superficie
ACT. - A. Face antérieure. - Anesthésie dans une zone comprenant la
région
ombilicale et les trois quarts du thorax depuis l
ute la zone du cubital et aux deux derniers doigts ; enfin, dans la
région
frontale gauche. Analgésie en corset. Hyperalgési
ein droit : une autre plaque existe au sein gauche et dans les deux
régions
axillaires d'où elle s'étend dans les territoires
irconscrits, ils se fondent les uns dans les autres, la plupart des
régions
cutanées reçoivent ainsi des filets nerveux prove
ment d'où émane la 4° paire cervicale entraîne une anesthésie de la
région
deltoïdienne etc. Si l'on compare sur nos schém
trouver enseigne seulement que les lésions siègent « au niveau des
régions
pariétale et temporale, dans l'aire ou sur les co
té du ventri- cule, ou plutôt du carrefour ventriculaire existe une
région
bordant le ventricule que l'hémorrhagie a disso
ère. 444 TRÉNEL interne est détruite à la partie supérieure de sa
région
postérieure rétro- lenticulaire. Le genou et le
es bosselures insolites qui dénaturent les reliefs ordinaires de la
région
. Quant à la cuisse, c'est un énorme cylindre à pe
pa- rents nerveux. Tous les 15 jours, un oedème dur, indolore de la
région
gauche du cou, apparaissait au lever, pour disp
MMAIRE Homme, 66 ans, charretier et Bordeaux ; n'a jamais quitté la
région
. Début à 18 ans : paralysie progressive avec at
n des grandes cellules pyramidales qui existent normalement dans la
région
de l'écorce située au niveau du lobe paracentra
se plaint d'avoir ressenti des tremblements fibrillaires dans les
régions
thénar des deux côtés. Ces mouvements n'ont pu êt
r rapport au tronc, la malade accuse une certaine douleur dans la
région
de l'épaule. Les pectoraux sont assez bien cons
ence thénar sont un peu moins rouges qu'à l'état normal, ceux de la
région
hypothénar semblent en- core encore moins affec
e de celles dont nous allons parler, quelques circonvolutions des
régions
frontale et occipitale ont été examinées, de faço
ain que les lésions que nous constations étaient bien spéciales aux
régions
où on les trouvait et ne dépendaient pas d'une
u cinq des faisceaux de fibres nerveuses qui se trouvent dans cette
région
et dont la coupe affecte une forme ovalaire à g
s à la partie moyenne de la face an- térieure du pédoncule, dans la
région
qui est considérée comme donnant passage aux fi
s du pédoncule par les travées fibro-vasculaires qui occupent cette
région
. Ces corps gra- nuleux sont, d'ailleurs, plus a
CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 17 plus que dans les autres
régions
de l'étage supérieur du pé- doncule. Protubér
les. Moelle. Les racines antérieures des 4 premières paires de la
région
cervicale sont manifestement atrophiées, celles
es cervicales. Coloration par le carmin des coupes de la moelle :
Région
cervicale. Outre la sclérose du faisceau pyramida
ale s'étendant presque jusqu'à la périphérie de la moelle ; dans la
région
de substance blanche qui s'étend au-devant de l
les parois des vaisseaux que dans le tissu de la substance grise.
Région
dorsale. Mêmes lésions que pour la région cervi-
su de la substance grise. Région dorsale. Mêmes lésions que pour la
région
cervi- cale : -la bande de sclérose s'étend en
coup diminué de nombre,, surtout dans la partie supérieure de cette
région
. Les colonnes de Clarke sont bien conservées.
ure de cette région. Les colonnes de Clarke sont bien conservées.
Région
Lombaire.- Dans la substance blanche, la sclérose
bstance blanche, la sclérose est presque localisée étroitement à la
région
occupée par le faisceau pyramidal dans ce segme
iminué que pouvait le faire supposer la coloration intense de cette
région
par le carmin; les fibres nerveuses existent enco
comparaison. Ces caractères sont surtout nets sur des coupes de la
région
cervi- cale au niveau d'une zone siégeant à l'u
partie antérieure. Mais ces coupes n'ont été pratiquées que dans la
région
cervicale. Quant aux organes périphériques, par
se portant du noyau lenticulaire à la couche optique. Quant à la
région
de la capsule interne dans laquelle siège cette
côté gauche qu'ils sont en réa- lité beaucoup moins nombreux. La
région
de la capsule interne où siège cette lésion est
le, en avant; au contraire, il n'y en a pour ainsi dire pas dans la
région
qui correspondrait aux faisceaux de Tilrck. D
l'état normal, mais cela est beaucoup moins net que dans les autres
régions
. Sur les coupes par congélation colorées avec l
rès peu dans la substance grise, beaucoup moins que dans les autres
régions
de la moelle; un très petit nombre seulement de
onstata une hémorrhagie sous la pie-mère dans toute l'étendue de la
région
dorsale jusqu'à la région lombaire. Dégénéresce
la pie-mère dans toute l'étendue de la région dorsale jusqu'à la
région
lombaire. Dégénérescence grise des cordons post
durcie, examinée au microscope par le Dr Rosenstein, présenta à la
région
lombaire un léger épaississement des méninges ;
s les cellules nerveuses des cornes antérieures. Pas de vacuoles.
Région
dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la s
re contenait par place un développement du tissu conjonctif. . La
région
cervicale, au niveau du cinquième nerf cervical
le sous-orbitaire 5 gr. et demi. Le plexus brachial supporte, à la
région
cervicale, de 22 à 29 kilogr.; dans le creux ax
nerf sciatique et constatait le retour de la sensibilité dans la
région
du cubital. M. Quinquand explique ce phénomène
que la traction d'un nerf mixte amène toujours des parésies dans la
région
du nerf élongé; que les parésies intéressent la
mois. Examinée au microscope, la moelle épinière présenta, dans la
région
qui correspond aux origines du sciatique, une a
dont voici en deux mots le procédé technique : fi" Le poil de la
région
lombaire ainsi que celui de l'extrémité postéri
e-six ont été l'objet d'un examen histologique complet, depuis la
région
cervicale jusqu'à la région sacrée inclusive- m
examen histologique complet, depuis la région cervicale jusqu'à la
région
sacrée inclusive- ment. Dans l'espace de trois
e processus morbide débute toujours dans le cordon postérieur de la
région
lombaire du côté de la traction, et se manifest
ieur et la partie intra-médullaire des racines postérieures de la
région
lombaire. Continuant à gagner du terrain, le ti
l'accroissement du tissu conjonctif trouvé en abon- dance dans la
région
lombaire de la moelle des lapins qui ont survéc
une traction du sciatique (de 4 à 5 5 kilos), non seulement dans la
région
lombaire, mais quelquefois aussi dans la région
n seulement dans la région lombaire, mais quelquefois aussi dans la
région
cervicale, nous croyons plus plausible d'en che
se manifestent surtout dans le renfle- ment lombaire, dans toute la
région
lombaire et en 60 PATHOLOGIE EXPERIMENTALE. p
région lombaire et en 60 PATHOLOGIE EXPERIMENTALE. partie dans la
région
sacrée. A mesure qu'on remonte vers la région d
ALE. partie dans la région sacrée. A mesure qu'on remonte vers la
région
dorsale, ces lésions cessent d'être aussi dis-
r la moelle épinière ; elle exerce son action principalement sur la
région
lom- baire et y produit : 1° Une irritation t
s antérieures, les altérations, que nous avons constatées dans la
région
lombaire de la moelle, se localisent principale-
lacé les éléments nerveux ; ces derniers font absolument défaut. La
région
lésée apparaît sous une forme moins nette et mo
myélite diffuse qui produisit une dégénérescence grise de toute la
région
dorsale; et, en outre, une lésion de nature tou
en outre, une lésion de nature toute différente qui occu- pait la
région
lombaire, et présentait des lésions cir- conscr
eureux résultat. Les applications des pointes de feu répétés sur la
région
spinale, l'hydrothérapie, l'ergotine, et pendan
) sur une partie limitée de la peau, provoque de l'hyperthermie des
régions
voisines; l'application d'un morceau de glace a
la capsule interne de nombreux faisceaux, jusqu'aux ganglions de la
région
subthalamique ; d'autres, sans entrer en rappor
parce que, à l'époque où ils reçoivent de la substance blanche, la
région
subthalamique contient déjà d'autres tractus à
, et de là, avec les fibres suhrà, atteignent les gan- glions de la
région
subthalamique, puis elles s'infléchissent entre
é d'abord de la constipation et des sensations désagréables dans la
région
anale, puis de l'affaiblissement de la motilité
une tuméfaction des cylindraxes en question, principalement dans la
région
dorsale et à la partie inférieure du renflement
répétées, sont leur cause déterminante ordinaire. Observées sur les
régions
du corps les plus diverses, sur la lèvre inféri
sous-jacente tuméfiée par la diathèse). P. K. XV. LE réflexe DE la
RÉGION
DE L'HYPOCHONDRE ; par C. Reinhard. (Cenlralbl.
lle d'avant en arrière et de bas en haut; on exerce alors dans la
région
indiquée une pression rapide et élastique sur la
la moelle la dégénéres- cence grise des cordons postérieurs (de la
région
cervicale à la région lombaire) ; ce sont les p
cence grise des cordons postérieurs (de la région cervicale à la
région
lombaire) ; ce sont les parties externes des cord
Les zones hystérogènes sont, selon la définition de l'auteur, des
régions
circonscrites du corps, douloureuses ou non, d'où
e sujet qu'elles 126 bibliographie. peuvent se rencontrer sur des
régions
cutanées qui sont complète- ment anesthésiques.
cas, presser latéralement les masses musculaires qui traversent les
régions
hystérogènes ou les tétaniser à J'aide de coura
ion sur les zones situées au-dessus). Les zones hypnogènes sont des
régions
circonscrites du corps, dont la pression a pour
s, comme par exemple la racine du nez, le pavillon de l'oreille, la
région
mammaire, le sommet du triangle de Scarpa, la m
lobule paracentral, et non dans le reste de ces circonvolutions, la
région
dans laquelle on les trouvait ne s'étendait guè
ans la plus grande partie des faisceaux antéro-latéraux sauf à la
région
antéro-interne de ceux-ci, c'est-à-dire partout
région antéro-interne de ceux-ci, c'est-à-dire partout sauf dans la
région
correspondant aux fais- ceaux de Tùrck. Comment
r l'étude du trajet du faisceau pyramidal dans la moelle. Dans la
région
lombaire, les corps granuleux siégeaient au niv
on peut considérer ce fait comme le vestige de ce qui existait à la
région
dorsale Chez nos deux malades nous avons observ
en considérant seulement les résultats fournis par l'examen de la
région
dorsale penser que cette extension de la sclérose
oit qu'il n'en est rien, si l'on "veut bien se rappeler que dans la
région
cervicale cette extension existe d'une façon tr
e, bien que les fibres des faisceaux pyramidaux soient dans cette
région
presque toutes situées dans des territoires bien
certain nombre de corps granuleux indiquant les relations de ces
régions
avec la substance grise enflammée; enfin à la r
ions de ces régions avec la substance grise enflammée; enfin à la
région
lombaire où la substance grise (grandes cellule
méthode de Weigert) est beaucoup moins altérée que dans les autres
régions
de la moelle, cette extension de la sclérose au
aux faisceaux antéro- latéraux est infiniment moins marquée qu'à la
région
dorsale. Cette opinion d'après laquelle l'ext
fibres qui sur une moelle normale se voient si nettement dans leur
région
avec leur volumineux cylindre-axe, elles ont pr
ation II ; dans celle-ci elle existait nettement non seulement à la
région
cervicale, mais aussi à la région D , , ü 174
tait nettement non seulement à la région cervicale, mais aussi à la
région
D , , ü 174 Il PATHOLOGIE NERVEUSE. dorsale
rdach, où elle avait l'apparence en- N que nous avons décrite; à la
région
lombaire "on en trouvait encore quelques vestig
sions, de réussir à observer aussi nettement que dans les autres
régions
les corps granuleux, quoiqu'au 1 0 Vierordt. Zw
iane du cou, et qui disparut en un mois à la suite d'un abcès de la
région
sus-sternale survenu dans la convalescence d'une
e. Disparition à peu près complète de la polypnée. Large plaie à la
région
malaire gauche ; elle résulte de ce que le mala
inflammatoire spécial) qui exercent une compression locale sur les
régions
corticales sous-jacentes (circonvolutions ascen-
es régions corticales sous-jacentes (circonvolutions ascen- dantes,
région
frontale, pli courbe et organes voisins). P. K.
bés frontaux, dès lôliês occipitaux et sociétés savantes. 213 des
régions
pàriélo-lëiriporales. II rappelle, en débutant qu
ant que la, délimitation entre les différents lobés, est : polir la
région
frbn- talé, la^scissure de Rôlàndd; poUr, la. r
est : polir la région frbn- talé, la^scissure de Rôlàndd; poUr, la.
région
occipitale, la scissure perpendiculaire. Lès ré
àndd; poUr, la. région occipitale, la scissure perpendiculaire. Lès
régions
pariétale et temporale sont réunies dans une se
ns marquée pour les cerveaux d'un poids inférieur. Dans les autres;
régions
cérébrales, c'est lé droit qui l'emporté sur le
roit qui l'emporté sur le gauche; mais cette fois, surtout pour lés
régions
pài·iëio-téiïi- p6ra)eS) la différence entre lé
aux plus pesants que ceux dés hommes. Oh observe l'inversé pour les
régions
occi- pitales et pàriéto-têmporalës. L'influe
con- traire à lieu. D'une manière absolue, le poids de toutes les
régions
cérébrales diminue avec l'âge; les variations les
minue avec l'âge; les variations les plus sensibles portent sur les
régions
pariéto-temporales. Le dévelop- pement maximum
ions pariéto-temporales. Le dévelop- pement maximum des différentes
régions
est atteint. Pour les lobes intérieurs, à trent
est atteint. Pour les lobes intérieurs, à trente-cinq ans, pour les
régions
occipito- pâriéto-temporâlës, dès vingt-cinq an
t que les variations pondérales les plds sén- sibles portent sur là
région
pariêto-tëmporalë. Cette région pré- senté donc
les plds sén- sibles portent sur là région pariêto-tëmporalë. Cette
région
pré- senté donc un intérêt particulier dans l'é
lberg, de même que \\'f}stp \/¡ ! la Charge, Le. badigégnnags de la
région
épigastrique chasse'des troubles gastriques int
¡il i I ? ne ps, dans , d.ul.fa,ci.I. dmit qY./t P ? lI).S ,i môme'
région
: à ? auche) : : tn '1¡I1l'J HI ul, ltmm ,¡Judlhu
là scissure 'de Sylvius est également long; aucune lésion1 dans la
région
dé là parole, là froiilalë âs= cendaitté ne des
halie interne considé- dérable ; aucune anomalie d'ailleurs dans la
région
dé l'insula, ni dans les parties environnantes.
evanche, en un cas on trouvait un développement défectueux de celte
région
. . i - ' Séance du 19 octobre. ' . l' f - '
x( pendant leurs paroxysmes sont reçus dans l'asile d'aliénés de la
région
. 1 ? M. l UERST\IsR. Cette question comporte qu
fait par nous mêmes, nous donne : a) Substance blanche. Dans la
région
de l'origine apparente de la première paire cer
a bord extérieur elle n'atteint pas la racine antérieure. Dans la
région
de l'origine apparente des racines de la second
parties anté rieures, mais non encore la substance grise. Dans la
région
de l'origine apparente des racines des qua- tri
nd développement et va jusqu'à la commissure postérieure. Dans la
région
de l'origine apparente des racines des sixième
patho- logiques conservent le caractère décrit plus haut. Dans la
région
de l'origine apparente des racines de la huitiè
atéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 311 Dans la
région
de l'origine apparente des racines de la premiè
é- rieurs où elle se distribue avec la même irrégularité. Dans la
région
de l'origine des racines de la troisième paire
ériphérie des cordons latéraux, où elle s'étend graduellement à une
région
plus large; de sorte que dans la moitié postéri
lérose embrasse comme auparavant les faisceaux de Goll. , Dans la
région
de la sortie des racines de la quatrième et cin
érieurs elle s'affaiblit tout en res- tant peu régulière. Dans la
région
de la sortie des racines de la sixième paire do
tout le long du bord antérieur de la fente longitudinale. Dans la
région
de la sortie des racines de la septième et de l
côté gauche est relativement moins atteint que le droit. Dans la
région
de la sortie des racines de la neuvième et de l
s antérieurs nous trouvons l'augmentation de la sclérose. Dans la
région
de la sortie des racines de la onzième et de la
é, seulement ses dimen- sions se rétrécissent peu à peu et dans les
régions
des racines de la quatrième paire lombaire, les
SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉIMNIÈKE. 313 b) Substance grise. Dans la
région
cervicale de la moelle épinière on ne remarque
des changements visibles, même aux grands grossissements. Dans la
région
de l'origine apparente des racines de la premiè
ent loin dans les parties voisines de la substance grise. Dans la
région
lombaire de la moelle épinière, les phéno- mène
oit que le processus pathologique a plus de développement dans la
région
dorsale de la moelle en diminuant peu à peu 314
ue dans toute leur étendue. Outre cela le processus embrassait la
région
« der granzlichen Schieht, der grauen substanz »
à peu, plus qu'elle s'approche de la substance grise. b) Dans la
région
où la sclérose n'atteint pas encore son plus gr
ompression de la colonne dorsale on remarqua un état maladif à la
région
lombaire. Le malade mourut de la thrombose 1 Id
ique nous voyons que la sclérose quoique em- brassant à peu près la
région
des faisceaux pyrami- daux latéraux, atteignit
le- ment sur le ventre et à la partie postérieure des cuisses, à la
région
lombaire que l'éruption a été conlluente. Adéni
postérieur du thorax, de la submatité qui se prolonge dans toute la
région
du foie jusqu'à l'épigastre. Cette région est t
se prolonge dans toute la région du foie jusqu'à l'épigastre. Cette
région
est très sensible, ne présente pas de dé- forma
obéis- sant, s'habille, seul. Eruption papuleuse confluente à la
région
lombaire, discrète sur les membres et le tronc;
aint d'un point de côté à droite et au niveau de l'épigastre. Cette
région
est le siège d'une voussure' très douloureuse à
edlitz ; extrait de quinquina. 13 avril. Douleurs au niveau de la
région
hépatique, qui est bombée et saillante. A la pa
régu- lières, toux fréquente par quinte, expectoration verdâtre. La
région
thoracique semble déprimée du côté droit qui pr
e migraine ophlhalmique très-net : douleur dans l'oeil gauche et la
région
sus-orbilaire s'arradiant de là à droite , scot
ute la nuit. Au matin, dou- leurs de tête sus-orbitaires et dans la
région
pariétale à gauche 6 centimètres sur une vertic
tôt les malades accusent une sensation de pesanteur au niveau de la
région
postérieure ou antérieure de la tête; il leur s
bète et qui attestent évidemment la mauvaise nutrition des diverses
régions
de l'encéphale, changement de caractère, triste
anatomique de l'organe cen- tral, les phénomènes d'excitation de la
région
motrice ayant absolument coïncidé avec elle. L'
à la base du lot e occipital droit, n'empiétant aucunement sur;les
régions
en relation avec les fonctions motrices, deux p
avec autopsie, mettant en lumière un foyer de ramollissement de ces
régions
consécutif à une obturation thrombosique de la
lli- mètre carré est comparativement fort intéressante. Comme les
régions
où il y avait l'atrophie la plus prononcée ont ét
de deux pieds, on obtient un myosis douteux; faradise-t-on alors la
région
cervicale d'un côté, on voit se produire un myo
roite, bien qu'à la vérité on en ren- contrât quelques-uns dans les
régions
alimentées par les branches pariétales antérieu
accentuées du centre cortical de l'audition du côté droit et des
régions
contiguës au centre du loucher du même côté; d'au
es les formes possibles de neurasthénie cérébro-spinale, dans les
régions
seules où il y a des cellules ganglionnaires (ina
s les points où l'évolution a été la plus tardive et c'est dans ces
régions
que l'atrophie se manifeste tout d'abord. Qua
ver un grave accident. Notre confrère a en effet été frappé dans la
région
orbitaire par un aliéné qui l'a fort maltraité.
sur la zone des centres sensoriels et des instincts. Cette vaste
région
, située en arrière de la pariétale ascendante,
lle, à la formation des idées; ces images passant en avant, dans la
région
frontale, deviennent des schémas, les signes repr
ennent des schémas, les signes repré- sentatifs de la pensée. Cette
région
postérieure est le siège des appétits et des in
eure est le siège des appétits et des instincts; aussi, tant que la
région
frontale reste fermée, le sujet est voué à l'id
s sens, mais sans le contrôle ni le pouvoir modérateur qu'exerce la
région
antérieure (les centres supérieurs); il se mont
ral postérieur, en un mot, il est purement instinc- tif. Dès que la
région
frontale devient libre, le sujet franchit cette
ains, l'harmonie des mouvements, ne peuvent s'obtenir qu'avec une
région
psycho-motrice entièrement libre. i 8 Il résult
x foyers que ne règle' aucune systématisation. Par suite, plusieurs
régions
de l'encé- phale peuvent être atteintes sans qu
sieurs régions de l'encé- phale peuvent être atteintes sans que les
régions
voisines soient altérées; delà, cette variété s
n membre ou dans tout un membre, ne paraissant mettre en jeu qu'une
région
limitée de la moelle : tels sont les mouvements
» Plus tard, la situation se complique; la 438 SOCIÉTÉS SAVANTES.
région
antérieure intervient à son tour, mais sans rétab
; il en résultait un eiichâloiiiieineiit, plus prononcé de ces deux
régions
au cerveau; de là, des excitations inégales de la
ntrer, par de nombreuses expériences, qu'une légère pression sur la
région
médiane du vertex a une action réflexe simultan
. Hypnotisme, par Finkelbul'g, 1,t.5. Ihpoehondre (réflexe de la
région
de l'J, 97. Hypertrophie musculaire vraie, pa
l'une centrale, 'très étroite et très sensible, correspondant à la
région
maculaire, l'autre périphérique, bien plus étendu
le, en pratique, d'explorer séparément l'une et l'autre de ces deux
régions
. La vue donnant à la fois des sensations de lum
p visuel en dehors du point de fixation. Les éléments nerveux de la
région
maculaire, si sensibles à l'état nor- mal, sont
Dans ce cas, le .. scotome central est absolu. Il y a cécité de la
région
maculaire pour toute lumière (blanche ou monoch
existence d'une lacune dans l'étendue du champ visuel prouve que la
région
de la rétine chargée de percevoir les objets plac
acilité. Ils sont variables suivant le siège de la lésion dans la
région
pédonculo-protubéran- tielle. Ces variations ré
res (fig. 51). Les libres du M. 0. C. s'entrecroi- sent dans la
région
pédonculaire, les fibres du facial et du M. 0.
n pédonculaire) : paralysie du M. 0. C. d'un 1 i ? 51. - Schéma des
régions
pédon- culaire A, protubérantielle B et bul-
ncs m,1 ? )Il, ils III. Nerf M. 0. C. déjà entre-croisé dans , la
région
pédonculaire en I ? 'I et VU, nerfs M. 0. E. et
E. et facial dont les libres viennent de s'entre-croiser dans la
région
protubérantielle, en Eg. La, lésion L, (pédoncu
ianopsie puissent se produire dans les lésions du pli courbe, cette
région
ne con- stitue pas un troisième centre des mouv
e fait dans la PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 1 7 ! 1
région
protubérantielle supérieure, avant celui des fibr
htalmique; 2" Des filets irido-dilatateurs, qui proviennent de deux
régions
diffe- rentes : ' a) Des origines bulbaires d
sis. Elle serait due, d'après Cestan, a une lésion bulbaire dans la
région
du noyau du pneumogastrique et de la colonne so
ue, et voyons ce que produit leur interruption dans les différentes
régions
qu'elles traversent. Une lésion périphérique to
'étude anatomo-clinique ne nous a rien appris sur le trajet, en ces
régions
, des fibres élévatrices de la paupière. Cependant
On explore le champ visuel il la périphérie, au centre et dans les
régions
intermédiaires il l'aide d'index colorés, comme
estations douloureuses dans le domaine du triju- meau, surtout à la
région
temporale (D,iéulafoy), qui s'expliquent par les
autre phénomène général ou local qu'une douleur assez vive dans la
région
temporale; elle guérit peu à peu sans laisser de
uqueuse des cornets inférieurs et du tubercule de la cloison, « les
régions
génitales du ncx H. tu versement la cocaïnisation
H. tu versement la cocaïnisation ou la cautérisa- tion de ces mômes
régions
feraient parfois disparaître les douleurs de la
i qu'un des éléments d'une maladie spéciale, localisée il certaines
régions
des environs du lac Léman (Gerlicr, Ladame) et
s . [A. LÉRL] 1 iO VERTIGES. siègent dans le lobe frontal ou la
région
rolamlique. Elles s'accompa- gnent de troubles
passagère déterminerait Je vertige sur- tout par son action sur la
région
lmllto-lrratuluranlicllc. Peut-être cependant f
iègent non plus sur la fesse, mais tout au moins de préférence à la
région
sacrée. Le rétablissement se fait en d'autres cas
es malades observés en Europe ont séjourné au Sl'l11'gal ou dans la
région
des grands Lacs. On peut déceler des trypanosom
consistant dans l'absence d'une portion plus ou moins grande d'une
région
de circonvolutions; il en résulte une cavité ou
ncule), la transmission de la sen- sibilité générale se fait par la
région
de la calotte, en partie par le ruban de Reil,
bilité et la motricité, la même localisation corticale, à savoir la
région
rolan- rliqlle (circonvolutions frontale et par
itive dépassait, les limites de la zone motrice, en arrière dans la
région
du lobe parié- tal. JIais, pour les uns comme p
rps, on aura soin de comparer avec le côté opposé sain, ou avec une
région
supposée saine, puis de marquer sur la peau, av
ne anesthésique s'étend légèrement quand on l'explore en allant des
régions
malades vers les régions saines, et qu'elle se
égèrement quand on l'explore en allant des régions malades vers les
régions
saines, et qu'elle se rétrécit dans le cas contra
ire l'épreuve dans les deux sens, et prendre une moyenne. ' , Les
régions
pileuses sont douées d'une sensibilité tactile pl
ileuses sont douées d'une sensibilité tactile plus délicate que les
régions
glabres. La présence du système pileux donne aux
te que les régions glabres. La présence du système pileux donne aux
régions
de la peau qu'elle occupe une sensibilité parti
ne le poil qnand on le touche. Cette sensibilité particu- lière des
régions
pileuses, qui diffère de la sensibilité tactile o
est une sensation,» sui eneris », la plus exquise de la peau. Les
régions
calleuses (plante des pieds, paume des mains) et
Les régions calleuses (plante des pieds, paume des mains) et les
régions
cicatricielles sont ordinairement anesthesi- qu
sensitives ne sont plus perçues, tituitc très variable suivant les
régions
; quelques-unes, comme la pulpe des doigts, ont un
re, augmenter notablement la pression et agir plus fortement sur la
région
qui présente des troubles, pour obtenir de son
ception tactile. - On demande au malade' d indiquer tout d'abord la
région
excitée, le plus exactement possible (pied, jam
que. Les cercles de sensations à l'état normal varient, suivant les
régions
, de 1 à 65 millimètres; c'est au niveau des rég
nt, suivant les régions, de 1 à 65 millimètres; c'est au niveau des
régions
les plus mobiles, où l'innervation est la plus
eber, un tableau de l'état normal du seuil extensif des principales
régions
que l'on peut être appelée étudier. , xovssr.7
t l'usage est peu fréquent en clinique. Lorsqu on constate en une
région
du corps une diminution de la sensi- bilité dou
hypoalyésie. On doit toujours avoir contrôlé préalablement avec une
région
voisine supposée saine, comme on le rail pour l
térées ou même restent intactes. 11 arrive enfin quelquefois qu'une
région
anesthésique pour le tact présente une exagé- r
hésie Ir y- pe1'esthésique; - .. A l'état normal, les différentes
régions
de la surface cutanée sont plus ou moins sensib
gré. On ap- plique alors les tubes pendant quelques secondes sur la
région
il explo- rer, en évitant de passer trop rapide
t pas uniformément à la tempé- rature : il l'état normal, certaines
régions
sont capables de discerner des différences mini
es comparatifs de la sensibilité électrique cutanée des différentes
régions
du corps à l'état normal. Dans la première colonn
pratique la sensibilité des troncs nerveux, de préférence dans les
régions
où ils sont superficiels, et où ils reposent su
ec l'index, avec un dé à coudre ou tout autre instrument mousse, la
région
à explorer; cette méthode élémentaire suffit or
apprécient des différences de 1/20-1/10, alors que pour les autres
régions
, comme le dos du pied ou la face postérieure de
llement bilatéraux et symétriques, ils peuvent également occuper la
région
nammaire et dorsale sous la forme E.1.lui pla
).. TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 507 ration, ce sont les
régions
les moins atteintes qui recupèrent les pre- miè
ncomplète ou fruste. Incom- plète, elle n'intéresse que certaines
régions
des téguments, la main ou le pied; fruste, elle
veau de la partie postérieure et inférieure de la couche optique (
région
où aboutissent les voies sensitives), aux confi
essous du genou et du bourrelet du corps calleux. Elle intéresse la
région
thalamique inférieure et montre en ? ? / le foyer
re. J Dans les hémianesthésies par lésions du pédoncule (calotte et
région
sous-optique), de la protubérance et du bulbe,
raplégie avec anesthésie croisée. » On note dans ce syndrome, aux
régions
sous-jacentes à la lésion : 10 ° Du côté de la
, enfin des troubles respiratoires, lorsque la lésion siège dans la
région
cervicale. 2° Du côté opposé à la lésion : y
esthésie superficielle totale (tact, douleur, température) dans les
régions
correspondant aux parties paralysées de l'autre c
paralysie est flasque, totale et persistante, l'anesthésie dans les
régions
homologues est ordinai- rement absolue. L'ane
érieure de l'anes- thésie correspond à peu près au niveau de la
région
compri- mée, dans les régions dorsales inféri
respond à peu près au niveau de la région compri- mée, dans les
régions
dorsales inférieures et lombaires l'anes- t
au numéro de la vertèbre correspondante : chez l'adulte 1 dans la
région
cervicale, 2 dans la région dorsale, ;) dans la
orrespondante : chez l'adulte 1 dans la région cervicale, 2 dans la
région
dorsale, ;) dans la région dorsale inférieure
1 dans la région cervicale, 2 dans la région dorsale, ;) dans la
région
dorsale inférieure (de la 6e à la- 11e ver- t
te la surface cutanée des membres inférieurs et du tronc jusqu'à la
région
mammaire.. Dans les cas exceptionnels de tabcs
nal, les troubles sensitifs se cantonnent au périnée, à l'anus, aux
régions
fes- sières, aux organes génitaux (5e et 4e sac
chirurgicales, les paralysies obstétricales, les traumatismes de la
région
; non traumaliques : ce sont les tumeurs de la
atismes de la région ; non traumaliques : ce sont les tumeurs de la
région
, les exostoses, les anévrismes, les névrites infe
ents : A) Type supérieur (Duchenne, Erb). L'anesthésie occupe les
régions
d'innervation cutanée des 5e et 6e racines cervic
inique ; l'anesthésie, de même que la paralysie motrice, occupe des
régions
appartenant à la fois au segment supérieur et a
s du canal lombo-sacré. Habituellement dans les cas de lésion de la
région
lombaire supérieure, la moelle épinière (qui de
lombaire. L'anesthésie occupe les membres inférieurs en entier, les
régions
périnéales et génitales, et s'arrête en avant au
iculo-ségmentaire du -cône terminal. On noté une anes- thésie de la
région
sacrée, de la plus grande partie des fesses en fo
e la moelle sacrée : dans ce cas l'anesthésie comprend, en plus des
régions
ci-dessus mentionnées, la face postérieure du tie
2° sa- crée; mais la 5° envoie aussi des rameaux importants à cette
région
, ce qui explique - l'anesthésie de la cuisse pa
SIBILITÉ. gion du tendon d Achille. la plante du pied (S2 + SI); la
région
antéro- externe de la jambe et le dos du pied (
porte sur le trajet extra-médullaire de la racine, surtout dans les
régions
lombaires et sacrées, par suite de l'obliquité de
s à la réveiller en appliquant un courant faradique intense sur une
région
très sensible (Babinski). Leur allure et leurs
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 561 cutanés sensitifs d'une
région
déterminée. Dans les cas de douleurs viscérales
lisée, sous la forme de point ou de plaque, il l'occiput ou dans la
région
fronto-parietate. Souvent elle s'accompagne d'hyp
lgie est très intense; le plus souvent unilatérale, elle occupe la'
région
orbilo-leinporale et peut s'étendre à la région
le, elle occupe la' région orbilo-leinporale et peut s'étendre à la
région
occipitale. La céphalalgie, connue les autres sym
raplégie. On donne le nom de rachialgie il la douleur diffuse de la
région
rachidienne. En dehors des affections générales
tissus su- perficiels, des muscles ou des os. Les nerfs mêmes de la
région
ne sont pas douloureux. . Internes. Localisée
o- mènes sont évidemment dus à l'insuffisance de l'irrigation d'une
région
de la moelle, insuffisance qui devient apparent
prodromes tels que fourmillements, picotements, élancements dans la
région
qui sera le siège des douleurs. Celles-ci, très
re mouvement et souvent diminuées par une compression énergique des
régions
atteintes. Les douleurs névralgiques irradient
atiquées pendant les paroxysmes douloureux, soit sous la peau de la
région
endolorie, soit le long du trajet des troncs ne
rovenant d'une irritation des extrémités terminales des nerfs de la
région
endolorie, la douleur se calme aussitôt après l'i
mais elles la calment très rapidement si elles sont faites dans la
région
où se trouve le foyer d'irritation qui, par voi
tion qui, par voie réflexe, entretient la névralgie, bien que cette
région
ne soit pas ou soit à peine douloureuse. Ainsi,
tions de cocaïne dans le canal rachidien ou le long des nerfs de la
région
endolorie. Pratique seuhol. 25 [GUILLAIN.]
tent de parler et de manger. La douleur irradie fréquemment vers la
région
cer- vicale postérieure, le domaine du plexus b
veau de la paupière inférieure, des parties latérales du nez, de la
région
malaire, de la région temporale antérieure, de
férieure, des parties latérales du nez, de la région malaire, de la
région
temporale antérieure, de la face cutanée et muq
r des dou- leurs au niveau de la lèvre inférieures du menton, de la
région
posté- rieure de la joue, de la région temporal
inférieures du menton, de la région posté- rieure de la joue, de la
région
temporale, de la partie antérieure du pavillon
sommet de la tête et jusqu'au front (grand nerf occipital), dans la
région
parotidienne et le pavillon de l'oreille (branc
iculaire), sur.l'apo- physe mastoïdc (branche mastoïdienne), sur la
région
inférieure de la face et la région antéro-latér
c (branche mastoïdienne), sur la région inférieure de la face et la
région
antéro-latérale du cou (branche cervicale transve
es- sioiiiielles. Lorsque la cause de la névralgie siège dans la.
région
cervicale ou axillaire, les douleurs existent d
erait par eles douleurs violentes, lancinantes, prédominant dans la
région
postérieure du bras, par un affaiblissement du tr
s douleurs irradient fréquemment aux parties latérales du cou, à la
région
mastoï- dienne, à la fosse sus-épineuse, dans t
ies inguinales. Les douleurs de cette névralgie se montrent dans la
région
lombaire, la paroi antérieure de l'abdomen, la
trent dans la région lombaire, la paroi antérieure de l'abdomen, la
région
fessière, les organes génitaux externes, la par
la cuisse; la douleur est localisée a la partie supé- rieure de la
région
externe et de la région postérieure de la cuisse
st localisée a la partie supé- rieure de la région externe et de la
région
postérieure de la cuisse et se prolonge jusqu'a
ée par les lésions de l'utérus et de ses annexes, les fumeurs de la
région
crurale, les affections osseuses du bassin, les
fécation, l'eter- nuement. Les douleurs de la sciatique occupent la
région
lombaire, la fesse, la partie postérieure de la
le plus souvent . (GÜ1LLA1N.J 598 NEVRALGIES ET ALGIES. dans la
région
frontale; certaines céphalées, au contraire, sont
ànic) ou la tète entière et se localisant princi- palement dans les
régions
sus-orbitaires ou la région crânienne latérale.
e localisant princi- palement dans les régions sus-orbitaires ou la
région
crânienne latérale. La lumière, le bruit semble
actérise par des sensations d'engourdissement ou de compression des
régions
latérales et frontale de la tête (sensation de
ois des céphalées même violentes qui se localisent généralement aux
régions
temporale, sourcil- liere et frontale; les doul
céphalée peut devenir très intense. RACHIALGIE Les douleurs de la
région
rachidienne, les rachialgics, s'observent dans
la cuisse à demi repliée sur le bassin présentant à l'opérateur la
région
fessière ischio-trochalltérienne. Il existe trois
u maxil- laire intérieur (Levy et Bau- douin). C'est dans cette
région
cutanée que l'aiguille doit être introduite dan
cture seraient l'indice d'une compression cérébrale au niveau de la
région
rolandique, compression produite par une tumeur
le cas des névrites ou de plaies des nerfs. Elle est limitée il la
région
énervée par le nerf lésé. 2° Abolition générali
ncter de l'anus sous l'influence du chatouillement de la peau de la
région
anale avec une épingle. Il importe de donner au
u malade une des positions qui permette l'exci- tation facile de la
région
anale, par exemple la position couchée sur le d
et Comte ont pu, à la suite d'excitations cutanées portant sur une
région
quelconque, provoquer une vaso-constriction se
tte excitation n'est pas suivie du réflexe quand elle porte sur une
région
atteinte d'anesthésie par cause organique. Au c
bserve surtout dans les lésions centrales et, parmi elles, dans les
régions
médullaires et cérébrales, dans les régions ménin
, parmi elles, dans les régions médullaires et cérébrales, dans les
régions
méningées. L'hyperréflectibilité cutanée généra
par la percussion du périoste (réflexe périostique) dans certaines
régions
, notamment au niveau du poignet. Dans ces point
chez l'adulte ou le vieillard doit faire soupçonner une lésion des
régions
pédonculaire ou sous-optique. Quant aux mouveme
a plus typique. c) Pédoncule. Protubérance. Bulbe. -Dans toutes ces
régions
, l'hé- miplégie se produit toujours, de même qu
e valeur sémiologique spéciale. La D. R. manque le plus souvent. La
région
dorso-lornl]aire étant le siège ordinaire des lés
la température, hypereslhésie prononcée surtout vers le haut de la
région
. Au-dessus de cette zone d'hypcresthésie se déc
e tendance à la spasticité, mais sans contracture. La peau de celle
région
est anesthésique. La zone insensible remonte mo
phique, et d'une façon générale, les compressions médullaires de la
région
cervicale, présentent également, l'exagération
plus haut degré; l'anesthésie s'étend aux membres inférieurs et aux
régions
les plus basses du tronc qui furent au début le
en chaussettes, en caleçon, dessinant des lignes de vêtement ou des
régions
du corps, suivant par exemple les crêtes iliaqu
facile, la shina bifida se révélant par de grosses déformations de la
région
rachidienne. Cependant, il peut exister des cas
t bon également de tenir compte d'une hyperlrichose localisée de la
région
sacrée. Cette exubérance pilaire se produit au
eau est presque tou- jours nécessaire. Une asepsie minutieuse de la
région
génito-urinaire et de, la région sacrée évitera
aire. Une asepsie minutieuse de la région génito-urinaire et de, la
région
sacrée évitera t'intertrigo, les infections cutan
ut ajouter au numéro de la vertèbre corres- pondante : z1 dans la
région
cervicale; 2 dans la région dorsale supérieure
tèbre corres- pondante : z1 dans la région cervicale; 2 dans la
région
dorsale supérieure ; 5 dans la région dorsale i
région cervicale; 2 dans la région dorsale supérieure ; 5 dans la
région
dorsale inférieure (6 ? H" vertèbre). La partie
ux proprement dits passent souvent inaperçus, les lésions de la
région
étu- diée intéressant souvent le bulbe adjace
me sciatique. c'est-à-dire par des troubles de la sensibi- lité des
régions
externe et postérieure du membre inférieur avec p
En revanche, il existe de l'anesthésie en selle ou en garniture des
régions
sacrée, ano-périnéalc, fessière, de la verge ou
ant que leurs antagonistes sont normaux. MUSCLES DE LAVANT-BRAS
Région
antérieure de l'avant-bras. Dans la région anté
MUSCLES DE LAVANT-BRAS Région antérieure de l'avant-bras. Dans la
région
antérieure de l'avant-bras, on trouve huit muscle
glissent dans la gouttière du carpe, traversent, en divergeant. la
région
palmaire où ils donnent insertion aux muscles tom
imentation que l'opinion soutenue par Ilyrtl n'était pas justifiée.
Région
externe de l'avant-bras. La région externe de l
Ilyrtl n'était pas justifiée. Région externe de l'avant-bras. La
région
externe de l'avant-bras comprend quatre muscles :
ar un tendon qui lui est commun avec les muscles superficiels de la
région
postérieure de l'avant- bras, sur une forte apo
ant- bras.* las." .^H| Région postérieure de l'avant-bras. La
région
postérieure de l'avant-bras comprend huit muscles
en, il rapproche aussi ce doigt du médius. - MUSCLES DE LA MAIN
Région
palmaire externe. Muscles de l'éminence thénar.
é, le malade peut encore opposcr le pouce à l'index et au médius.
Région
palmaire interne. Muscle de l'éminence hypothénar
oigt en avant et eu dehors, il ébauche un mouvement d'opposition.
Région
palmaire moyenne. Lombricaux. Insertions. Il ex
IN.] a43 ' . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. MUSCLES DE LA CUISSE . *
Région
antéro-externe. Tenseur du fascia lata. Inserti
eut se produire. [G. GUILLAIN.] 3H Il . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
Région
postéro-interne. , Droit interne. Insertions. L
t plus limiter l'extension de la jambe. ' MUSCLES DE LA JAMBE .
Région
antérieure. Jambier antérieur. Insertions. Le j
des orteils est fléchisseur, abducteur, rotateur en dehors du pied.
Région
externe. Long péronier latéral. Insertions. Le
'extension forcée, alors il le ramène dans la position moyenne. I
Région
postérieure. Triceps sural. Insertions. Le tric
à côté de lui, parfois il se perd dans le tissu cellu- laire de la
région
du talon. Innervation. Sciatique poplité intern
reuse qui le sépare du jambier postérieur. Le tendon du muscle à la
région
plan- taire reçoit sur son côté externe le musc
trémité postérieure de la deuxième phalange du gros orteil. Dans la
région
plantaire, le fléchisseur propre du gros orteil
érieur a pour con- séquence un pied bot valgus. MUSCLES DU PIED
Région
dorsale. Pédieux. - Insertions. Le pédieux ou c
es tendons du pédieux, est surtout marqué pour le premier orteil.
Région
plantaire interne. Adducteur du gros orteil. In
fibres métatarsiennes lorsque le poids du corps appuie sur elles.
Région
plantaire externe. Abducteur du petit orteil. I
e. - L'opposant du petit orteil est un fléchisseur de cet orteil.
Région
plantaire moyenne. Court fléchisseur plantaire.
ie antérieure de la plante du pied. , 111. - MUSCLES DU COU W l
Région
latérale. Sterno-cléïdo-mastoïdien. Insertions.
ysiologie. Le droit latéral de la tête incline la tête de son côté.
Région
de l'os hyoïde. Sterno-cléïdo-hyoïdien. Inserti
n prenant son point fixe sur l'os hyoïde abaisse le maxillaire. -
Région
prévertébrale. Grand droit antérieur de la tête
ie du grand dentelé n'amène pas de déformations persis- tantes delà
région
scapulaire. Souques (Soc. méd. des Hôpitaux de
llement carac- térisée par une asymétrie manifeste qui porte sur la
région
axillaire et sur la paroi thoracique proprement
des digitations du grand dentelé et de l'aspect lisse et uni de la
région
, le thorax présente les changements suivants :
d supérieur de la face externe de la côte située au-dessous dans la
région
séparant la tubérosité de l'angle. On voit parf
sur la côte suivanle. Ces longs surcostaux sont fré- quents dans la
région
comprise entre la neuvième et la douzième côte.
diaphragme, on constate il chaque inspiration une dépression de la
région
épigastrique et il chaque expiration un soulève
région épigastrique et il chaque expiration un soulèvement de celte
région
. L'inspiration estgênée el celte gène est surto
est dirigé en sens contraire au précédent muscle, il s'étend de la
région
lombo-iliaque aux dernières côtes, à la ligne b
' [G. GUILLAIN.] S70 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. VI. MUSCLES DE LA
RÉGION
POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU MUSCLES SUPERF
RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU MUSCLES SUPERFICIELS DE LA
RÉGION
C £ RVICD-DORSO-LOMBAIRE Trapèze. Insertions. -
Quand le trapèze se contracte bitatératement, la tête MUSCLES DE LA
RÉGION
POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 571 est portée
cle recevrait un rameau de la branche du rhomboïde. MUSCLES DE LA
RÉGION
POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 373 Physiologie
postérieur de la tête est un extenseur de la tète. MUSCLES DE LA
RÉGION
POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 575 Grand obliq
existent trois formations musculaires qui s'étendent du sacrum à la
région
cervicale : le muscle ilio-costal ou scccro-lomba
t des trois muscles des gouttières vertébrales ne s'observe qu'à la
région
dorsale et à la partie supérieure de la région
ne s'observe qu'à la région dorsale et à la partie supérieure de la
région
lombaire, au-dessous les trois muscles fusionnés
La masse commune, qui occupe au bassin la gouttière sacrée et à la
région
lombaire l'espace compris entre les apophyses épi
s'étend en hauteur du sommet du sacrum à la partie supérieure de la
région
dorsale ; de sa face antérieure naissent la plupa
en haut, atteint la douzième côte, croise toutes les côtes dans la
région
de l'angle, pénètre dans la région de la nuque ci
croise toutes les côtes dans la région de l'angle, pénètre dans la
région
de la nuque ci s'élève jusqu'à la hauteur de la
rose spi- nale. Il s'élève verticalement en haut, parcourt toute la
région
dorsale et s'arrête à la région cervicale sans
calement en haut, parcourt toute la région dorsale et s'arrête à la
région
cervicale sans y pénétrer. Il croise seize il dix
e de la côte, entre l'angle et la tubérosité, faisceau costal. A la
région
lombaire les inser- tions du long dorsal se mod
au tubercule apophysaire, homologue de l'apophyse transverse de la
région
dorsale : les faisceaux costaux s'insèrent au s
oppement aux lombes, s'atténue au thorax et grossit de nouveau à la
région
cervicale. Le muscle est constitué par une séri
dos ou sous- multifide. Il existe deux demi-épineux, l'un pour la
région
dorsale, l'autre pour la région cervicale. Le d
ste deux demi-épineux, l'un pour la région dorsale, l'autre pour la
région
cervicale. Le demi-épineux du dos comprend six fa
qui s'insèrent sur le sommet et le bord supérieur des MUSCLES DE LA
RÉGION
POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 577 apophyses t
st constitué par une série de faisceaux qui prennent naissance à la
région
sacrée dans la gouttière sacrée et sur la face
ière sacrée et sur la face antérieure de l'aponévrose spinale, à la
région
lombaire sur les tubercules apophysaires homolo
tubercules apophysaires homologues des apophyses Iransverses, à la
région
dorsale sur la face postérieure des apophyses tra
ion dorsale sur la face postérieure des apophyses transverses, à la
région
cervicale sur les apophyses transverses et les ap
bre située au-dessus. D'après Theile ces muscles n'existent qu'a la
région
dorsale, il n'en décrit que onze. Hughes a sign
ces faisceaux musculaires ne sont véritable- ment rotateurs qu à la
région
dorsale et à la région cervicale. Innervation.
es ne sont véritable- ment rotateurs qu à la région dorsale et à la
région
cervicale. Innervation. Les muscles des gouttiè
rtions. Le peaucier du cou naît en bas dans le tissu cellulaire des
régions
sous-claviculaire et acro- miale. Les faisceaux
s autres se portent en haut et en dedans, traversent obliquement la
région
du cou et atteignent le bord inférieur du maxil
é opposé et viennent s'attacher à la face profonde de la peau de la
région
mentonnière; 2° les faisceaux moyens s'insèrent
Le muscle temporal super- ficiel occupe la partie antérieure de la
région
temporale entre le muscle frontal et le muscle
avant vers l'orbite. Les faisceaux internes ou médians vont vers la
région
intersonrcitière et ta semblent se confondre av
ite et s'y entre- croisent avec les deux muscles qui occupent celte
région
, l'orbiculaire et le sourcilier. Tons les faisc
isceaux du frontal s'attachent à la face pEpfonde de la peau de ces
régions
. " Innervation. L'occipital est innervé par le,
Le pyramidal est un petit muscle situé sur le dos du nez et dans la
région
intersourcilière. Il naît en bas en partie sur
liez. De la ses faisceaux se portent verticalement en haut vers la
région
intcrsonrciliere où aboutissent aussi les faisc
point fixe en bas il exerce une traction verticale qui porte sur la
région
intersourcilière et sur la queue du sourcil, il
qui répond aux paupières. L'orbiculaire des paupières nait dans la
région
de l'angle interne de l'oeil et se termine sur
isceaux antérieurs se fixent à la face profonde des téguments de la
région
, ses faisceaux postérieurs se continuent avec l
- rini s'insère en arrière dans le tissu cellulaire qui recouvre la
région
parotidienne, il se termine en avant sur la pea
se termine il la face profonde, de la peau et dé la muqueuse de, la
région
des commissures. Innervation. Nerf facial. Ph
muqueuse des lèvres, se dirigent en dehors et se terminent dans la
région
des commissures sur la peau et la muqueuse en s'e
e terminent W MUSCLES PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÈTE. 589 dans la
région
des commissures sur la peau de la muqueuse en s'e
es musculaires correspondant aux aires corticales motrices sont les
régions
articulaires; les nerfs corticaux des membres,
tion respective des groupes musculaires. Chaque racine commande une
région
donnée; elle s'y distribue dans des territoires
5e et 6° nerfs cervicaux. Le professeur d'I-Ieidelher décrit dans la
région
sus-claviculaire un point précis dont l'excitat
correspond à l'apophyse transverse de la quatrième lombaire. A la
région
dorsale,- il n'existe -pas de points de repère
tte coutracture'du muscle trapèze qui amène donc t'ir- vation de la
région
de l'épaule. Si l'on poursuit l'examen du malade,
aralysie totale du deltoïde a pour conséquence une immobilité de la
région
scapulaire. L'abduction de l'épaule, ce mouvement
é pour le malade de porter la main à la bouche, de l'amener vers la
région
dorsale, impos- sibilité pour lui de s'habiller
dorsal, grand rond, tout mouvement sera presque impossible dans la
région
scapulaire, aucune suppléance ne pouvant se fai
ertains cas, on peut observer une bande hypo-estlié- sique médiane,
région
qui est innervée par la sixième et la septième ce
rrégulière (De- jcrme). L anesthésie peut remonter plus haut sur la
région
externe et postérieure du bras, mais, il la rég
plus haut sur la région externe et postérieure du bras, mais, il la
région
interne, la sensibilité est conservée la où 1 i
qui souffrent beaucoup. Les douleurs spontanées irradient depuis la
région
cervicale, depuis le creux sus-claviculaire jus
n cervicale, depuis le creux sus-claviculaire jusqu'au niveau de la
région
. LES PARALYSIES RADICULAIRES, 617 deltoïdicn
et donner une paralysie des muscles de la nuque, ou en bas dans la
région
lombaire et produire des paralysies des extrémi
rticales localisées an centre du membre supérieur, au niveau de. la
région
rolandique, peuvent amener une monoplégie; les ca
même quand l'ancsthesic brachiale, est absolue, est conservée à la
région
interne du bras la où l'innervation se fait par
es de la para- lysie du pneumogastrique sont les traumatismes de la
région
cervicale, les compressions, les névrites infec
traduit par la paralysie du muscle dia- phragme (voir p. 505). Les
régions
de l'hypocondre s'affaissent pen- dant l'inspir
s de la paralysie du nerf circonflexe sont : les traumatismes de la
région
scapulaire, les luxations de l'épaule et les te
sthesie. qui est assez fré- quente, occupe une grande partie de. la
région
postérieure de l'épaule et le bord externe du b
elle existe on observe les troubles de la sensibilité au niveau de la
région
de l'éminence hypothénar, à la face palmaire du
n on observe une grille spéciale de la main, la griffe médiane : la
région
de l'éminence thénar est atrophiée, la paume de
la jambe. Le sciatique poplité externe innerve les muscles de la
région
antéro- externe de la jambe et les péroniers. Q
poplité interne a pour conséquence la para- lysie des muscles de la
région
postérieure de la jambe et des muscles de la pl
uites d'excitation et d'ablation delà corticalité, le localisa à la
région
antérieure du girus prdrontalis chez le chien.
n. Il faut ajouter toutefois que Masini a soutenu qu'il y avait une
région
qui pouvait provoquer des mouvements localisés
est partielle elle est le plus souvent limitée au vestibule ou à la
région
sus-gtottique. Presque toujours la sensibilité
certains traumatismes du larynx : un coup porté sur le larynx à la
région
antérieure du cou peut déterminer chez les anim
é l'observation d'un médecin chez lequel on enleva une tumeur de la
région
où est situé le centre cortical du larynx, mais
lHann parce qu'elle évolue rapidement, frap- pant les muscles d'une
région
en masse et non individuellement, tout en début
eut être atteint dans son tiers inférieur, mais les muscles de la
région
postérieure restent indemnes et l'atrophie ne r
ies secondaires sont localisées soit aux muscles qui avoisinent une
région
malade, soit à des muscles déterminés il l'avan
hie plus ou moins étendue qui débute dans les muscles voisins de la
région
irritée. Cette amyotrophie est dite « réflexe »
main, de l'avant-bras et généralement du bras, à l'exception de la
région
interne innervée par les 2e et 5e inter- costau
sacré dans In domaine du nerf scia- tique, fessiers, muscles de la
région
postérieure de la cuisse et tous les muscles de
eur, aux doigts. La cicatrisation se fait mal ou incomplètement, la
région
reste sensible, un oedème rougeàtre, des traîné
es fonctionnels; parfois elle porte avec prédilection sur certaines
régions
(éminence thé- nar ou hypothénar, muscles de l'
en revanche, elles nécessitent une immobilisation pro- longée de la
région
qui favorise l'atrophie. Des corsets divers peuve
préférence indirecte, une électrode, large, étant appliquée sur la
région
dorsale, l'autre, plus étroite, sur le muscle à é
ssez marqué pour frapper l'observateur à la simple inspection de la
région
; la mensuration peut servir de confirmation. De p
rotubérantielles; cette fréquence tient certainement à ce que cette
région
est le carrefour des voies sensitives, cérébelleu
ffections des voies cérébelleuses, en particulier au ni- veau de la
région
lmlho-[rrotuluSr;mtiolle; mais, comme nous l'avon
serrés dans une aire étroite, les centres et les faisceaux de cette
région
sont fréquemment frappés en masse. Fréquemment au
nes n'atteignent point le bulbe isolément, mais lèsent également la
région
pontique, d'où la fréquence des syndromes asso-
de complications ou de syn- dromes associés) sont indemnes; et les
régions
supérieures du visage trahissent une vivacité i
belleux. Cette asynergie homolatérale est due à quelque foyer de la
région
supérieure du bulbe intéressant les faisceaux o
ophiques tiennent-ils une grande place dans la séméiologie de celle
région
de l'encéphale. La respiration peut être des pl
citer chez l'ani- mal la zone motrice du cerveau d'un côté, dans la
région
rolandique. on obtient des mouvements simples d
re pernicieuse il forme convulsive que connaissent les médecins des
régions
à paludisme, ainsi que les convulsions de la ra
aire- ment, dans les portions du corps qui avoisinent les premières
régions
affectées. En tout cas, les muscles nouvellemen
pie ; c'est en s'adressant au territoire musculaire convulsé, il la
région
objectivement malade, qu'on agit le plus sur l'
raquelés, . l'riahles; enfin, il existe assez souvent au niveau des
régions
atteintes des sensations subjectives de brûlure
it, et najvi pigmentaires assez développés sur la l'esse el dans la
région
trocliantériennc (d'après Pierre Marie). TROUBL
ns des membres. Les ulcères ou maux perforants s'observent en toute
région
; on en a signalé de typiques au pied, à la mai
processus d'escarrifi- cation étant la lace interne des genoux, la
région
au grand trocnamer et par-dessus tout le sacrum
en quelques heures parfois. Eviter le trauma- tisme incessant de la
région
menacée, prévenir l'infection, tels doivent êtr
lippel), un arrêt de développement por- tant non seulement sur la
région
ou le membre atteint, mais également à. distanc
produit une élévation de température par des piqûres répétées de la
région
protubérantielle chez le lapin. Wood a répété c
des se sont bien trouvés d'une certaine constriction exercée sur la
région
doulou- reuse au moyen d'une ceinture élastique
, y exposent rarement : l'alrésie du méat, les végétations de celle
région
, un polype (surtout chez la femme), l'étroi- te
ètre, la prostate, la vessie, les reins surtout et les uretères, la
région
scrotale; les divers viscères abdominaux; faire d
- tive intra-vésicalc ou intra-cervicale, la plaque positive sur la
région
lombaire. Il est. préférable de se tenir en deh
rs de la vessie et d'appli- quer (Courtade) les électrodes- sur les
régions
lombaires et hypogas- triques, en augmentant pr
n-être; cataplasmes sinapisés, ventouses ou autres révulsifs sur la
région
rénale; le lendemain de l'accès, purgatifs lége
nue dans les autres, les révulsifs, les dérivatifs appliqués sur la
région
rénale, sont d'une certaine utilité. On n'emploie
prisonné et comprimé entre le sphincter de la vessie et celui de la
région
membra- neuse, trouve subitement une issue par
du massage des testicules et de la prostate, et du tapotement de la
région
dorso-lolll- )laire. Enfin on ne négligera pas
on devra songer à une tumeur du médiastin, au cancer de l'estomac (
région
du cardia), enfin, et d'une façon générale, il
lade. Ce spasme psychopathique ne reste pas toujours localise, à la
région
inférieure de l'oesophage; il peut être total,
malade de subir sans collapsus les chocs les plus violents dans la
région
du plexus solaire. Troubles centraux attribué
phagie (Mathieu). Quelquefois, la voussure se localise en une seule
région
de l'abdomen, ou bien la contracture des grands
la substance grise de la moelle (10" segment dorsal au 2" lombaire,
région
tatero-poste- rieurc). D'autres fois (syndrome
sagittal, on cherchera le point le plus éloigné du crâne,. dans la
région
occipitale par conséquent. Mais il est admis qu
- sion. La peau sèche, épaisse et foncée, descend de la tète sur la
région
cervicale où la soulève parfois la saillie d'un
as oxcep- tiul11ll'lI ? quelque hernie t'accompagne fréquemment. La
région
pubienne est bombée comme chez la femme. Enfin
la langue énorme, Les lèvres sont, grosses, les dents mauvaises. La
région
cervicale est sou- vent chargée de masses tipom
eu de par- ticularités intéres- santes : le dos est plat, et la
région
lombaire montre une ensellure exa- gérée. Q
lié à la soudure métopique,. ce qui détermine un élargissement des
régions
occipito-pariétales. D'autres synostoses déter-'
pondantes. On appelle oreille de Motel, ces organes déplissés où la
région
de l'hélix est STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1 o
n faible entonnoir, une fistule, de l'hypertrichose localisée il la
région
lombaire. Scolioses. Il semble y avoir hérédité
e noisette. On peut retrouver les adénopathies : c'est surtout à la
région
cervicale postérieure, au niveau de l'aine, au
lombaire est une ponction des méninges rachidiennes au niveau de la
région
lombaire, dont le but est l'extraction d'une peti
ra pratiquée la ponction. 4" Asepsie et anesthésie de la peau. - La
région
lombaire, autour du point choisi, sera savonnée
après avoir fait cette toilette de la peau, on pourra placer sur la
région
lombo-iliaque une large compresse stérilisée, u
n est terminée. On retirera brusquement l'aiguille, on nettoiera la
région
au sublimé ou à l'alcool, on pourra y appliquer u
t d'introduire un médicament dans l'espace épidural du canal sacré,
région
qui communique avec le tissu ccllulo-adi- peux,
muni terminal et les veines qui siègent dans le canal sacré. Cette
région
est fermée en bas par la double membrane obtura
sera prise ensuite, car elle permet l'examen de grandes étendues de
régions
ou de grands segments de membres; elle élimine
-à-dire donnant des images déformées ou voilées, déformées pour les
régions
éloignées du point d'incidence du rayon normal, v
compas sur trois points osseux saillants et faciles à repérer de la
région
envisagée, indiquer avec une quatrième branche
le côté sain. la paralysie infantile portant sur un des côtés de la
région
S11C1'O-1O1171);111'(' une scoliose il directio
non fragiles et non fracturés, parfois angulairement coudés dans la
région
jnxta-épiphysaire, enfin le volume exa- géré de
lecerveau; il subsistait une difficulié, celle de la profondeur des
régions
à traiter et des obstacles osseux qui s'opposen
loi d'i1'1'itation. convergentes dirigées de points variables de la
région
fronto-temporale ; celle-ci, représentant à peu
ant facilement 1000 ohms ou davantage. Parl'ois même, sur certaines
régions
du corps et dans certaines conditions, elle est b
est im- bibée et elle s'applique intimement à là surface de la
région
sur laquelle elle est placée. Elle a l'inconv
e plus généralement sur la ligne médiane (par exemple sur l'une des
régions
suivantes : slernale, cervi- cale postérieure,
parlé. Une électrode d'assez grandes dimensions est placée loin des
régions
à examiner et de préférence sur la ligne médiane
ps e); 1. Lorsque l'électrode indifférente est placée sur l'une des
régions
suivantes, ster- nale, dorsale, lombaire ou sac
t assez élevée, il vaut mieux placer cetle électrode sur les autres
régions
que sur la nuque. [E HOET.] 1220'è.\ ; APPLIC
17. Serf Il ? racique antérieur cl muscle grand pectoral : 18.
Région
des circonvolutions cen- trales ; 19. Terni-
vertébrale à une hauteur qui correspond à l'origine des nerfs de la
région
à électriser. L'autre électrode constituée, soi
oins grandes d'intensité provenant des variations de résistance des
régions
de la peau rencontrées par l'électrode. On voit
rouve en même temps des muscles plus ou moins altérés dans d'autres
régions
. Le mode d'évolution de la DR fournit de son cô
n la trouve à des périodes différentes de son évolution suivant les
régions
et les muscles examinés. Dans la poliomyélite a
à intervalles rapprochés ; en faisant glisser les électrodes sur la
région
ou elles sont appliquées, en répétant fréquemme
sonnes bien portantes ; des tables de cette sensibilité en diverses
régions
du corps établies antérieurement avec le même a
ne intensité assez faible, un courant galvanique continu entre deux
régions
du corps il l'aide de deux électrodes spongieus
oissants. . La résistance ne se montre pas la même sur les diverses
régions
du corps. Relativement faible sur la face et le
forte sur le tronc, plus forte encore sur les membres. Suivant les
régions
, la résis- tance initiale se montre donc plus o
s, la résistance initiale est souvent moins élevée que sur d'autres
régions
, mais la résistance ne présente pas un régime d
de dans 1 épidémie. Si, après avoir évalué la résistance entre deux
régions
du corps, on enlève l'épidémie a l'aide de vési
autres tissus, par conséquent 150 l'ois plus forte pour chacune des
régions
de la peau en contact avec les électrodes. \'ci
at physiolo- gique des différences de résistance entre les diverses
régions
du corps d'un même individu ou entre les région
entre les diverses régions du corps d'un même individu ou entre les
régions
semblables chez des individus différents. On a
ôle important pour les différences de résistance entre les diverses
régions
; mais, comme l'ont fait remarquer Silva et Pes
utre, plus petite, de 9cm2 par exemple (le côté) sera placée sur la
région
de la peau dont on veut rechercher particulièreme
es. Ces particularités se retrouvent plus ou moins sur les diverses
régions
du corps ; elles sont généralement moins accent
r la moelle. On place une large électrode, de 100 à 200cl11" sur la
région
cervico-dorsale et une autre électrode semblabl
r la région cervico-dorsale et une autre électrode semblable sur la
région
lombaire; on établit lentement et progressiveme
ge électrode en rapport avec le pote négatif sur le front ou sur la
région
temporo-mastoïdienne du côté de la lésion et un
t avec le pote positif sur la colonne vertébrale à la hauteur de la
région
dorso-lombaire ou de la région dor- sale. En ra
olonne vertébrale à la hauteur de la région dorso-lombaire ou de la
région
dor- sale. En raison de l'action que ce mode d'
n autre main qui représente l'électrode excitatrice sur la peau des
régions
qu'il veut soumettre à l'électrisation : il se
00 à 500 centimètres carrés, constituant l'anode, est placée sur la
région
dorsale; la cathode est représentée par une élect
voisine du grand pectoral, l'autre en arrière sur le deltoïde et la
région
sous-épineuse. Un courant continu est établi pend
n place une large cathode sur la colonne vertébrale au niveau de la
région
dorso- lombaire et une large anode il la région
ale au niveau de la région dorso- lombaire et une large anode il la
région
dorsale supérieure, ou encore sur la paroi abdo
st localisée sur les membres supérieurs, on place la cathode sur la
région
cervico-dorsale de la colonne vertébrale et l'a
a région cervico-dorsale de la colonne vertébrale et l'anode sur la
région
dorso-lombaire ou au devant de la poitrine sur
ode sur la région dorso-lombaire ou au devant de la poitrine sur la
région
sternale. On établit, lentement et sans secouss
ntérieure du corps, mais de placer les deux électrodes l'une sur la
région
cervico-dorsale, l'autre sur la région dorso-lo
deux électrodes l'une sur la région cervico-dorsale, l'autre sur la
région
dorso-lombaire. On peut cependant, si l'on veut s
sur la face antérieure du corps et la cathode successivement sur la
région
cervico-dorsale et sur la région lombaire. On peu
t la cathode successivement sur la région cervico-dorsale et sur la
région
lombaire. On peut encore opérer simultanément s
a région lombaire. On peut encore opérer simultanément sur ces deux
régions
en appliquant sur chacune d'elles une électrode
e électrode, sous la forme dune, large plaque, est appliquée sur la
région
dorso-lombaire de la colonne vertébrale. Lorsqu
[E. HUET .] 1 298 . ELECTROTHÉRAPIE. électrode est placée sur la
région
cervico-dorsale. On fait passer pendant 10 à 20
s soit sur le même membre, soit sur l'autre membre. Sur chacune des
régions
choisies on prolonge le passage du courant de f
e courant continu seulement. Une large anode, sera appliquée sur la
région
dorsale supé- rieure ou de préférence sur la nu
ysies du larynx en plaçant l'une des électrodes, la cathode, sur la
région
sus-hyoï- dienne. Les applications portées dire
nte : une large électrode de 150 à 500 ou 400 cm2 est placée sur la
région
lombaire il la hauteur de l'émergence des racines
sur un autre point. Au lieu de placer l'électrode supérieure sur la
région
lombaire de la colonne, vertébrale, on la place
n la place quelquefois au niveau de l'échancrure scia- lique, il la
région
fessière ou ischiatique ; elle s'y trouve mainten
it couché ou qu'il soit assis. La posi- tion de celle plaque sur la
région
lombaire nous parait en général pré- l'oral]le.
re agir. Celle-ci est placée du côté de la périphérie au niveau des
régions
les plus douloureuses sur un seul point, ou le
rable. L'autre électrode, reliée à l'autre pôle, est placée sur une
région
indifférente, généralement sur le dos; elle doit
électrodes plus petites, de forme et de dimensions appropriées aux
régions
qui sont le siège des douleurs. Guilloz a obten
s électrodes sont appliquées sur la colonne vertébrale, l'une il la
région
cervico-dorsale, l'autre à la région dorso-lomb
colonne vertébrale, l'une il la région cervico-dorsale, l'autre à la
région
dorso-lombaire; puis on établit un courant cont
ent l'anode, est placée, sur la colonne vertébrale, au niveau de la
région
dorso-lombaire, ou de la légion dorsale, ou enc
la région dorso-lombaire, ou de la légion dorsale, ou encore de la
région
cervico-dorsale. L'autre électrode, la cathode,
ation le long de la colonne vertébrale et sur les membres, dans les
régions
qui sont plus particulièrement le siège des doule
ant une [E. HUET.] 1524 1 : ;LICTHOTIIIIL\PIE, électrode sur la
région
dorsale ou dorso-tondtaire et l'autre électrode s
ur la région dorsale ou dorso-tondtaire et l'autre électrode sur la
région
épigastrique dans le cas de crises gastriques, et
la région épigastrique dans le cas de crises gastriques, et sur la
région
hypogastrique dans le cas de crises vésicules o
1'1"- ([uence on les dirigera sur la colonne vertébrale, et sur les
régions
épi- gastrique ou hypogastrique. Dans ces der
rises vésicales ou rec- tales sur le plexus hypogastrique et sur la
région
dorso-lombaire de la colonne vertébrale. De mêm
es racines nerveuses et des centres d'innervation correspondant aux
régions
périphériques où se manifestent les douleurs. C
iques, par exemple, on placera une grande électrode positive sur la
région
lorso-lombaire de la colonne vertébrale, une él
opriées; on a vu aussi des troubles hystériques disparaître sur des
régions
trop éloignées de celles soumises au traitement
les étincelles dirigées plus particulièrement selon les cas sur la
région
de l'estomac ou sur l'abdomen en suivant le tra
plus localisé on fera reparaître aussi la sensibilité sur d'autres
régions
en les soumettant également à l'électrisation.
arge électrode, en rap- port avec le pôle négatif est placée sur la
région
épigastrique ; deux autres électrodes, en forme
sée par Apostoti pourra donner de bons résultais. On place sur la
région
épigastrique, comme nous venons de l'indiquer p
endant quelque temps, de haut en bas, sur toute la lon- gueur de la
région
rachidienne où, suivant les indications particuli
sym- pathique, pneumo-gastrique, phrénique : on faradisc ensuite la
région
antérieure de la poitrine, surtout la région pr
on faradisc ensuite la région antérieure de la poitrine, surtout la
région
précordiale : puis avec des courants plus énerg
s l'abdomen : on insiste plus spécialement, suivant les cas, sur la
région
épigastrique ou sur les parois ahdominales eu s
efois on termine en électrisant de nouveau pendant quelque temps la
région
rachidienne. La durée totale de la faradisation g
ciales, la durée et l'intensité de l'excitation sur telle ou telle
région
. D'après Dard et la faradisation généralisée au
i- mètres carrés en rapport avec le pôle négatif, est placée sur la
région
lombaire ; une électrode semblable, en rapport
100 il 150 centimètres carrés est appliquée sur la nuque ou sur la
région
cer- vico-dorsale, et l'on fait passer un coura
ion électrique le long de la colonne vertébrale en insistant sur la
région
lombaire et la région sacrée; ou bien on emploi
de la colonne vertébrale en insistant sur la région lombaire et la
région
sacrée; ou bien on emploiera l'ef'f1mation de h
fausse angine de poitrine, on agira avec le souffle statique sur la
région
précordiale, ou bien avec la galvanisation contin
r le trajet du pnemuo-gastrique gauche, et l'autre électrode sur la
région
dorsale ou sur la région épigastrique, courant
trique gauche, et l'autre électrode sur la région dorsale ou sur la
région
épigastrique, courant de 5 10 ni. A. pendant 10
ique on ajoutera des effluves et des étincelles sur l'abdomen et la
région
épigastrique; ou bien on pourra employer la gal
ien on pourra employer la galvanisation continue, électrodes sur la
région
dorso-lom- haire et sur la région épigastrique,
ation continue, électrodes sur la région dorso-lom- haire et sur la
région
épigastrique, courant de 10 à 20 m. A. ou courant
des étincelles sur la colonne verté- brale plus spécialement sur la
région
dorso-lombaire, et la friction électrique sur l
, soit par la friction et les étincelles de haute fréquence sur les
régions
dorsale et lombaire. On pourra employer aussi les
alvaniques : large électrode, en rapport avec le pôle positif, sur la
région
lombaire; électrode en forme de tampon de 5 Ü 4
n des exci- tations faradiques ou galvano-faradiques portant sur la
région
périnéale au niveau des muscles bulbo-caverncux
50 il 100 centimètres carrés est appliquée sur la nuque, ou sur la
région
cervico-dorsale; elle est reliée à la borne pos
a été pratiquée sur le cou, employer aussi la galvanisation sur la
région
précordiale. Nous nous sommes bien trouvé parfo
n statique avec souffle dirigé sur la colonne vertébrale et sur les
régions
qui sont le siège des contractures a donné parfoi
anisation continue avec électrode néga- tive sur la nuque ou sur la
région
lombaire, électrode positive recouvrant les mus
e façon analogue, on placerait une grande électrode négative sur la
région
lombaire, une électrode positive assez grande sur
upe horizontale passant au même niveau à droite et il gauche par la
région
pédonculaire supérieure. Ainsi l'on peut ultérieu
loin, les atrophies globales, qui sont loin d'être rares dans cette
région
. Les deux hémisphères cérébraux sont séparés l'
ue, car, comme elle passe très près de la « partie supérieure de la
région
sous-optique, elle n'est pas à employer « s'il
ion située entre la partie thalamique de la « capsule interne et la
région
sous-thalainique. On peut, par conséquent, « as
ster au mode de formation de tous les faisceaux de celte dernière «
région
. » Les coupes z1 pratiquer sur le cerveau dans
possible après la mort, les nerfs cutanés et « musculaires dans les
régions
où on veut les étudier. II est préférable, « au
1575 surfaces n'ont pas de valeur en eux-mêmes; ils dépendent de la
région
examinée, du grossissement employé pour faire.
hotographie; mais, quels que soient les chiffres en eux-mêmes, deux
régions
, symétriques peuvent toujours être comparées. P
comparées. Par cette méthode on peut dire très facilement que telle
région
du névraxe examinée avec un grossissement N off
cette méthode déterminer indirectement les connexions de certaines
régions
du système nerveux entre elles. [G. GVILLAWl
exion de l'avant-bras sur le bras, la contraction des muscles de la
région
antérieure du bras et celle du long supinateur
MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE Une femme se plaignant de douleurs vives à la
région
occipitale était entrée dans le service. L'exam
suite d'une chute sur le genou droit, des douleurs très vives dans la
région
affec- tée ; il se développe une hydarthrose qu
Pour éviter cette cause d'erreur, il faut avoir soin d'examiner la
région
de l'articulation métatarso- phalangienne du gr
ïde du pied, qui me parait due à une plaque de sclérose occupant la
région
dorso- lombaire de la moelle. Le phénomène des
ott avec gibbosité occupant la partie moyenne de 3a SÉMIOLOGIE la
région
dorsale. Il est entré dans notre service il y a u
une hémisection traumatique de la moelle, à la partie moyenne de la
région
dorsale, quinze heures après l'accident ; le côté
différentes parties de l'avant-bras, sauf le tiers inférieur de la
région
cubitale dont il vient d'être question à propos
lle des différentes parties de l'avant- bras et même parcelle de la
région
carpienne. L'étendue de la zone ré- flexogène e
boli : c'est la percussion plusieurs fois répétée des muscles de la
région
explorée. Lorsque l'absence des réflexes précéd
actérisée par des douleurs violentes, lancinantes, prédominant à la
région
postérieure du bras, une légère amyotrophiedu t
u membre supérieur, la cavité médullaire peut avoir envahi toute la
région
cervicale. L'interprétation de ce fait est d'ai
e une solution de continuité totale de la moelle, notamment dans la
région
cervicale ou cer- vico-dorsale, donne lieu à un
une action excitatrice sur les centres médullaires des réflexes, la
région
psycho-motrice du cerveau exerçant sur eux, par
rnberg, etc. Chez le lapin, le chien, une section de la moelle à la
région
dorsale ou à la région cervicale peut, il est v
pin, le chien, une section de la moelle à la région dorsale ou à la
région
cervicale peut, il est vrai, déterminer un affaib
aurait réalisée : la moelle étant sectionnée chez le chien, dans la
région
cervicale, avec un instrument bien tranchant, on
fin, on pratique une nouvelle section de la moelle au-dessous de la
région
comprimée : à la suite de cette troisième opéra
ce cérébrale ou immédiatement au-dessous; en effet, sauf dans cette
région
, les fibres du faisceau pyra- midal sont partou
tion d'un malade atteint d'une tumeur intra-crânienne comprimant la
région
psycho-motrice sans la détruire où, malgré la p
s fondé pour affirmer qu'il s'agissait là d'une compres- sion de la
région
rolandique sans dégénération secondaire. Il res
articulation. La surréflectivité, en pareil cas, prédomine dans la
région
avoisinant la lésion qui en est le point de dép
j'en juge par mes observations, la méningo-myélite syphilitique de la
région
cervicale est assez commune. RÉFLEXES TENDINE
ié l'observation d'un malade atteint d'une lésion traumatique de la
région
cervicale de la colonne ver- tébrale ayant déte
extension du gros orteil ou de la flexion, suivant que l'on excite la
région
plantaire à sa partie externe ou à sa partie in
onsiste à sectionner quelques-unes des racines pos- térieures de la
région
lombo-sacrée. Afin d'éviter l'anesthésie qui sera
s territoires dont il importe de respecter la sensibilité, comme la
région
plantaire. Babinski. G th SEMIOLOGIE lesten
qu'un mouvement analogue peut être obtenu par la percussion d'une
région
qui avoisine le tendon, soit encore parce que l'é
ues à celles qui sont le résultat d'une altération organique de ces
régions
. C'est, sans doute, en partie à cause de cette
le à l'un ou l'autre d'entre eux, suivant le jour de l'examen ou la
région
qu'on excite. Il y a donc lieu de les employer
e excitation faible ou forte, portant sur le tégument ou venant des
régions
profondes ; chez certains malades, la réplétion d
ssi à l'état physiologique ? Chez l'individu normal, en excitant la
région
plantaire on peut obtenir, entre autres mouveme
la surréflectivité ne franchit jamais la limite supérieure de cette
région
. Ces deux données, limité de l'anesthésie et li
'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la
région
lombaire ou sacrée. Enfin, je rappelle que les
e la plante du pied avec une épingle, le pincement de la peau de la
région
dorsale du pied ou de la jambe, notamment à sa
thologique est le suivant : chez l'homme normal, l'excitation d'une
région
quelconque du membre, hors de la plante du pied
u problème. La flexion du pied obtenue par l'excitation d'une autre
région
que la plante du pied permet d'affirmer qu'on a
ression, réflexe plantaire toujours en extension quelle que soit la
région
de la plante que l'on excite ; après la compres-
'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la
région
lom- baire ou sacrée. « Enfin, je rappelle qu
une hémisection traumatique de la moelle, à la partie moyenne de la
région
dorsale, et dans lequel 15 heures après l'acciden
dité et ne se produisent que lorsque les excitations portent sur la
région
plantaire. Il me semble intéressant de rappeler
la période de shock, lorsque les réflexes cutanés reparaissent, la
région
plantaire est seule réflexogène pendant un certai
rmal (flexion des orteils sans aucune abduction, quelle que soit la
région
de la plante du pied sur laquelle porte l'excit
froid et un corps chaud ; si les deux excitants sont placés dans la
région
hypoesthésiée, une seule des deux excitations est
s excitations sur des territoires à sensibilité normale, soit dans la
région
des racines sacrées droites, soit au-dessus de
ne paraplégie crurale liée à une compres- sion de la moelle dans la
région
cervicale ; les mouvements des membres inférieu
jambe et de la cuisse, d'abduction et d'adduction de la cuisse. La
région
du genou n'est pas d'ailleurs la seule dont la
ans la position horizontale. A l'inspection et à la palpation de la
région
précordiale, rien d'anormal. La pointe bat dans
d jusqu'au niveau de l'appendice xyphoïde. L'index, placé dans la
région
de la fourchette sternale, est soulevé par l'aort
e gauche, et qui est animée de battements systoliques. Sur toute la
région
précordiale on constate une circulation veineuse
irculation veineuse collatérale très marquée. L'index placé dans la
région
de ,la fourchette sternale est soulevé par l'ao
on admet, en effet, que la paralysie du nerf sympathique dans cette
région
produit un rétrécissement pupil- laire. Mais si
ions, les unes frappant le cervelet, les autres atteignant d'autres
régions
du système nerveux et en particulier les organes
t le cervelet ou ses dépendances de foyers occupant diverses autres
régions
du névraxe peut être la raison de l'intensité d
que souvent une rotation de la tête et parfois aussi du tronc. La
région
qui me semble la plus excitable est celle qui se
citabilité voltaïque, l'électrode indiffé- rente est appliquée à la
région
sternale. (') Archives de Physiologie, tri. 1
. Avec 25 volts et 20 milliampères. P. F, C. forte. Muscles de la
région
antéro-externe de la jambe gauche. Avec 35 volts
xcitabilité galvanique, l'électrode indifférente est appliquée à la
région
cervico-dorsale. Muscle de la face du côté droi
t de la contraction voltaïque. 220 , ' SÉMIOLOGIE Muscles de la
région
postérieure de lavant-bras droil. Contraction far
faible. Pas de différence entre. P. F. C. et N. F. C. Muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras droit. Contraction far
de l'observation I sont sous la dépendance d'une lésion occupant la
région
bulbo-protùbérantielle droite. La lésion bulbo-
venue intolérable, occupe le front, l'occiput des deux côtés, et la
région
pariétale à gauche, qu'elle ne reste pas 24 heu
ie, qui est faite du côté gauche, pour cet unique motif que dans la
région
pariétale c'est à gauche que la malade accuse d
n avait supposé, la lésion occupait le lobe frontal au devant de la
région
motrice, mais dans l'un, on n'avait pas pensé q
ar une douleur très violente à la racine du nez et irradient dans les
régions
sus et sous-orbitaires, surtout à gauche. j'i
des douleurs térébrantes, martelantes, siégeant exclusivement à la
région
frontale et prédominant à gauche. Elles sont co
, à droite l'acuité visuelle est 1/10. La céphalée occupe toujours la
région
frontale et prédomine à gauche. Malgré la gra
troubles oculaires du côté gauche je propose une cràniectomie à la
région
frontale du côté gauche. L'opération est prat
cision de la dure-mère, montre qu'il n'y a pas de tumeur dans cette
région
. Le 25 février, M. Chaillous constate que du cô
e la possibilité d'une tumeur siégeant à la partie antérieure de la
région
frontale. La localisation de la céphalée à la r
térieure de la région frontale. La localisation de la céphalée à la
région
frontale m'avait semblé un argument important à
iü 242 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES limitée à la
région
frontale. L'examen post mortem semble montrer que
almie gauche. L'examen du crâne montre à la partie antérieure de la
région
tempo-pariétale droite, une exostose très appré
ique d'un néoplasme, il est indiqué de pratiquer une ouverture à la
région
temporale, à droite chez un droitier (Cushing).
ision de la dure-mère constitue une difformité fort gênante dans la
région
frontale ; dans la région rolan- dique elle a s
titue une difformité fort gênante dans la région frontale ; dans la
région
rolan- dique elle a souvent une hémiplégie pour
lan- dique elle a souvent une hémiplégie pour conséquence ; dans la
région
occipitale elle peut donner lieu à de l'hémiano
ais l'opération dans la fosse cérébelleuse est assez laborieuse. La
région
temporale est peut-être la plus tolérante ; l'o
faire des réserves. Il serait permis de supposer qu'elle occupe une
région
des centres nerveux avoisinant ces faisceaux, par
signi- fierait que la lésion n'est pas restée cantonnée dans cette
région
et qu'elle a intéressé les fibres de la voie py
ervenant en pleine crise, quelques instants après avoir faradisé la
région
cervicale et voir affirmer qu'il s'agissait là d'
aine du trijumeau et en particulier au front et à la tempe, dans la
région
orbitaire et à la pommette. Dans ces parties, la
et, quand celles-ci s'associent à des altérations occupant d'autres
régions
du névraxe, des modes divers de ces association
granuleux. Il sectionne la moitié postérieure du ruban de Reil, les
régions
internes de la substance réticulée, quelques fasc
nt ; elles ne forment plus de faisceau compact et occupent toute la
région
désignée par 298 ~ AFFECTIONS DU CERVELET. .
sente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément à la
région
épargnée dans le ruban de Reil gauche et qui prov
élevé qui ont été ainsi atteintes. Au-dessous des foyers, dans la
région
de la substance réticulée qui avoisine le ruban
isceau de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de nombre dans la
région
cervicale, mais nous avons pu les suivre jusque
s la région cervicale, mais nous avons pu les suivre jusque dans la
région
sacrée. Le faisceau répond à la description du fa
utre, d'autres fibres dégénérées qui se rencontrent jusque dans les
régions
supérieures de la calotte. Le faisceau longitud
à l'autre, évoluent de la même façon, quels que soient d'ailleurs la
région
et le côté sur lesquels a porté l'impression du
de sont liés à une lésion occupant le côté gauche du bulbe ou de la
région
bulbo-protubérantielle, qui seule peut donner l
e 316 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE le front ainsi que la
région
occipitale et rend le sommeil difficile. L'intell
1896. . Examen anatomique ? ). - Il existe sur le côté droit de la
région
bulbo-protubéran- tielle une tumeur grosse comm
face du pédoncule céré- belleux moyen. Les différents nerfs de la
région
ont été écartés et déviés sans subir dans leur
ine et des matières fécales ; il existe des eschares profondes à la
région
sacrée, à la face interne des genoux qui sont p
ont rétractées. A l'ouverture du canal rachidien, on trouve dans la
région
dorsale supé- rieure une tumeur ovoïde, grosse
endant huit jours pour des dou- leurs vives, continues, occupant la
région
lombo-sacrée et s'irradiant en avant; depuis ce
cette époque, elle a toujours' ressenti une légère douleur dans cette
région
. En même temps, le membre inférieur droit a été
lade ressent, quand elle cherche à se mouvoir, des douleurs dans la
région
dorso-lombaire ; elle est sujette aussi à des cri
ct de la cuisse. Au mois d'avril 1897, il se forme une eschare à la
région
sacrée. Le 20 mai, la malade est frappée d'une
caséeuses au sommet droit du poumon. Au microscope les coupes des
régions
cervicale inférieure et dorsale supérieure mont
ient imperceptible. La dure-mère mise à nu, on constate que dans la
région
visée elle a un autre aspect que dans les parti
alpation l'opérateur a l'impression qu'il y a une tumeur dans cette
région
. Pour éviter une nouvelle chloroformisation à l
é dans tous ses détails ; il s'agit bien d'une tumeur comprimant la
région
psycho-motrice sans pénétrer dans la substance
ette paralysie occupait le territoire correspondant exactement à la
région
de l'écorce cérébrale dont la perturbation était
uisses et même du tronc, par l'application d'un corps froid sur ces
régions
ou encore par l'excita- tion électrique des tég
eau du réflexe pilomoteur encéphalique abso- lument normal dans les
régions
sus-jacentes (cervico-brachiale et thora- cique
qu'il s'agit d'une syringomyélie occupant une grande étendue de la
région
cervicale : l'abolition de tous les réflexes de
amidaux correspondant au membre supérieur étaient atteintes dans la
région
cervicale, celles qui se rendent à la région lo
ient atteintes dans la région cervicale, celles qui se rendent à la
région
lombaire seraient presque inévitablement touchées
- trale. Il existe parfois des encoches siégeant aussi bien dans la
région
nasale que dans la région temporale, et aussi i
des encoches siégeant aussi bien dans la région nasale que dans la
région
temporale, et aussi indifféremment dans la moi-
resque sur la ligne ombilico-xyphoïdienne, s'écartent en gagnant la
région
postérieure du thorax en délimitant entre elles u
tion I), atteint de paraplégie avec anesthésie remontant jusqu'à la
région
mamelonnaire, nous avons vu que la sensibilité
jours, le malade s'étant baissé pour prendre un objet, ressentit à la
région
lombaire une douleur vive irradiant vers l'abdo
s, à la face postérieure des cuisses et de la jambe droite, et à la
région
plantaire. En même temps. le niveau supérieur d
ssi bien à la périphérie des membres qu'à leur racine, aussi bien aux
régions
où la sensibilité superficielle est peu troublé
n ; mais cette contraction existe très nettement si l'on excite une
région
plus rapprochée de la rainure interfessière (te
ous('). Mais dans les cas les plus communs, où la lésion siège à la
région
dorsale, les réflexes tendineux ne sont d'aucun s
uit ; elles occupent non seulement l'hypochondre droit; mais aussi la
région
lombaire et irradient sur le trajet des abdomir
t le territoire des XIIes racines dorsales est libre. Dans toute la
région
anesthésiée, le pincement finit par être perçu
nsation douloureuse qu'elle éprouve à la limite supérieure de cette
région
. A noter que certaines régions sont presque compl
rouve à la limite supérieure de cette région. A noter que certaines
régions
sont presque complètement respectées : dans le
iqûre, la sensibilité thermique est normale; il en est de même à la
région
plantaire et au bord externe du pied des deux côt
d) Point douloureux. « Fig. (¡2. a) Anesthésie complète. , e)
Régions
où la sensibilité ost conservée. COMPRESSIONS M
du 25 janvier igi2. Les lésions hypertrophiques des méninges de la
région
cervicale de la moelle, malgré leur fréquence,
sie à la douleur au niveau de la partie supérieure du tronc dans la
région
mammaire et à la face interne des bras ; leur b
ntrée à l'hôpital. La peau est cyanosée et froide ; au niveau de la
région
sacrée elle est macérée par le contact des urin
aît intacte. La malade se plaint de douleurs dans les épaules et la
région
cervicale de la 382 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS' D
ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux bras et la
région
thoracique correspondant aux 2'' et 3e dorsales
ieure; à l'incision de la dure-mère on constate en approchant de la
région
cervicale des adhérences surtout marquées à la
e sur toute sa hauteur. L'anneau fibreux se prolonge en haut sur la
région
cervicale supérieure et, entre les 2e et 3'' segm
à un degré moindre que l'arachnoïde. En examinant les coupes de la
région
cervicale de bas en haut (fig. ll7, 48, 49, 50) o
de notre diagnostic. Il s'agissait en effet d'une compression de la
région
cervicale de la moelle par un anneau méningé fi
en plus, il y a une conservation relative de la sensibilité dans la
région
des racines sacrées lombaires, disposition que no
s sont faites, l'une après injection intradurale de lipiodol à la
région
cervicale, 1 autre après injection à la région
e de lipiodol à la région cervicale, 1 autre après injection à la
région
lombaire. Voici ce qu'on observe sur les épreuves
de cette affection qu'elle a commencé à ressentir des douleurs à la
région
sous-ombilicale droite, et que serait apparue u
: o,4o. Voici les résultats de l'épreuve du lipiodol : injecté à la
région
cervicale il descend sans entrave jusqu'au mili
cisif. L'image de la bille de lipiodol obtenue après injection à la
région
cervicale se présentait à la partie inférieure so
FECTIONS DE LA MOELLE Mais, de plus, une autre injection faite à la
région
lombaire avait fourni, de son côté, une figure
ril 1924, p. 374. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4o5 jection faite à la
région
cervicale nous avons pratiqué une seconde injec-
a région cervicale nous avons pratiqué une seconde injec- tion à la
région
lombaire, nous avons constaté sur la radiographie
x membres inférieurs et des douleurs. Ces douleurs occupent : 1° la
région
lombaire, irradiant vers la partie supérieure d
De temps à autre, étant assise, elle ressent comme un spasme dans la
région
lom- baire et son tronc se renverse en arrière.
use en dehors et un peu en bas de chaque côté. Au-dessus de cette
région
, la sensibilité est tout à fait normale. Quant
bilité ne sont pas répartis d'une ma- nière égale dans les diverses
régions
et pour tous les modes. Aux membres inférieurs,
s régions et pour tous les modes. Aux membres inférieurs, sauf à la
région
péri-anale et la plante des pieds, l'anes- thés
a position d'extension et d'adduction. Les muscles du ventre et de la
région
lombaire sont également contracturés. 4o8 PAR
XVII PARAPLÉGIE CRURALE PAR TUMEUR EXTRA-DURE-fr/ÉRIENNE A LA
RÉGION
DORSALE. OPÉRATION. GUÉRISON (SUR L'ÉPREUVE DU
7e cervicale. Notons aussi l'existence de deux petites gouttes à la
région
médiane inférieure de la COMPRESSIONS MÉDULLAIR
ns acquise sur les tumeurs de la moelle, notamment sur celles de la
région
dorsale, avant que l'épreuve du lipio- dol fut
IS'l'IIGSlls' H01110LA%'lslPALls'. TUMEUR lNTllAiJ1ÉDULLAIllE DE LA
RÉGION
LOiJIBO-SAC1Ui'E [J. BABINSKI et J. Jarkowski.
it : quatre jours plus tard, ces sensations douloureuses gagnent la
région
postérieure de la cuisse des deux côtés ; elles
segment sacrés, on conçoit aisément qu'une lésion prédominant à la
région
lombaire ait pour conséquence, dans la recherch
e de cas, on a cru devoir localiser la tumeur bien au-dessous de la
région
qu'elle occupait réellement. Nos observations n
endance d'une affection organique spinale qui devait siéger dans la
région
dorsale ou la région dorso-lombaire. Mais quell
on organique spinale qui devait siéger dans la région dorsale ou la
région
dorso-lombaire. Mais quelle est la nature de cett
ivant qu'elle se localise plus particulièrement dans telle ou telle
région
et qu'elle s'accom- pagne ou non d'un exsudat m
ocalisées à la partie postérieure du bras, prédo- minent dans cette
région
; légère atrophie et diminution de la contracti-
traction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la
région
où elle se produit et, si l'on veut, la déforme ;
a partie interne du muscle frontal se contracte et la peau de cette
région
se porte de bas en haut ; c'est là une variété
et qui ont trait à la localisation de l'affection dans telle ou telle
région
, dans tel ou tel muscle ou groupe musculaire.
ité sont, à la cuisse : le triceps ; à la jambe : les muscles de la
région
antéro-externe. L'affection peut envahir ensuit
nt atteints sont, à l'épaule : parmi les muscles intrinsèques de la
région
, le deltoïde; parmi les muscles extrinsèques, l
nomie qui est le plus souvent atteint. Par contre, il y a certaines
régions
qui ne sont envahies que très rarement. (') Il
st la prédominance et le début de l'amyotrophie dans telle ou telle
région
; mais quelle que soit la forme que l'on considèr
gion ; mais quelle que soit la forme que l'on considère, lorsqu'une
région
est envahie, que l'invasion soit initiale ou term
yrie pseudo-hypertrophique, et inversement. Ainsi donc, dans chaque
région
et dans chaque segment de membre, il y a entre
sont intacts ; mais chez aucun malade on ne peut constater dans une
région
quelconque l'altération d'un muscle réfractaire
ond pronateur, le chiffre 3. Passons maintenant en revue les autres
régions
, en employant aussi les chiffres pour donner un
-t-elle et prédomine-t-elle chez les divers malades tantôt dans une
région
, tantôt dans une autre ? Il est possible que le
sous sa dépendance la localisation de la myopa- thie dans certaines
régions
. Mais ce n'est là qu'une hypothèse. 2° Quelle e
enseurs de la main et des doigts, dans les muscles du mollet et de la
région
antérieure de la jambe. Tous les muscles dont
citabilité idio-musculaire des mus- cles des mollets, de ceux de la
région
antérieure des avant-bras et du tri- ceps brach
nière suivante : j'applique à l'improviste sur la pulpe des doigts,
région
parti- culièrement sensible, les deux électrode
té brûlée au bras et qu'il se développerait infailliblement, sur la
région
où la brûlure s'était produite, de la rougeur et
huit heures après, ayant défait l'appareil, je n'ai constaté sur la
région
en expérience ni le moindre soulèvement épidermiq
ganiques viscérales. L'hystérie peut provoquer des douleurs dans la
région
du coeur, mais il est difficile de les confondr
nsi dire les manifestations hystériques qui se can- tonnent dans la
région
traumatisée et qui survivent le plus souvent à le
ne le pensons pas. Une enquête faite récemment dans les différentes
régions
a montré qu'il y a encore dans les hôpitaux et da
ROUBLES PHYSIOPATHIQUES gourdissement plutôt qu'une douleur dans la
région
. » Vulpian insiste sur les troubles trophiques
un groupe assez hétéroclite de paralysies provoquées dans certaines
régions
du corps par l'affection d'un organe qui en est p
nte, les troubles nerveux s'étendent habituellement au-dessus de la
région
traumatisée. Ajoutons que l'intensité des troub
ns lequel la cuisse s'accole à la paroi abdominale et le talon à la
région
fessière. Étant donné les variations individuel
ontracture ou d'hypertonie réflexe de la main, la compression de la
région
métacarpienne ou des doigts, ou encore les essa
absence de réactions vis-à-vis d'excitants violents portant sur les
régions
qui étaient le siège de troubles de sensibilité
iés présentent une colo- ration rouge saumon. La température de ces
régions
est de 3° à 4° plus basse du côté malade que du
cadre. Il s'agit d'un sujet atteint, à la suite d'une blessure à la
région
du genou, d'une contracture en exten- sion de l
iS mai 1917 et Bulletin de la réunion médico-chirurgicale de la VIIe
région
, juin 1917. (3) Discussion générale sur les car
le j'ai eu recours dans plusieurs cas. Chez une malade (tumeur à la
région
dorsale) opérée ultérieure- ment, le traitement
5c1 toire des troubles moteurs ; chez un autre malade (tumeur à la
région
dorsale) opéré aussi plus tard, il y a eu sédat
ation passagère des douleurs ; dans un troisième cas de tumeur à la
région
dorsale, où il est vrai, il s'agissait probable
tion considérable de tous les troubles. I)ans un cas de tumeur à la
région
cervicale que je rapporterai plus loin, la radi
fection dataient de juillet 1916 et avaient consisté en douleurs à la
région
sus-épineuse droite auxquelles s'étaient associ
e ses nouvelles. Les 5 autres cas se rapportent à des tumeurs de la
région
dorsale. Dans un de ces 5 cas, on avait affaire
située au-dessous de l'ombilic et aux membres inférieurs sauf à la
région
sacrée, il y a une anesthésie presque complète et
e transition brusque entre cette zone d'hypoes- thésie légère et la
région
située au-dessus, où la sensibilité est tout à fa
Des excitations semblables portant sur les téguments au-dessus de la
région
précé- dente ne sont pas toujours suivies de mo
; mais ces spasmes seraient moins doulou- reux ; l'ulcération de la
région
sacrée est cicatrisée et cette région n'est plus
ou- reux ; l'ulcération de la région sacrée est cicatrisée et cette
région
n'est plus endolorie ; la sensibilité cutanée a
vue Neurologique, pr2, vol. XXIII, p. 1). (2) Tumeur méningée de la
région
dorsale supérieure. Paraplégie crurale par compre
on seulement au niveau du maxillaire inférieur, mais encore dans la
région
mallaire, avec maximum à l'émergence du nerf so
d'une épaisse couche de peau de chamois et d'ouate, fut placée sur la
région
malade et solidement fixée par des courroies, d
lherm, du 9 octobre au 20 novembre. On a fait 8 radiographies de la
région
cervicale, dont 3 ont été prises le patient éta
entimètres. On a pratiqué un examen radioscopique pendant lequel la
région
cervicale a été irradiée sur toutes ses faces ;
étaient à 15 centi- mètres environ de l'anticathode. En résumé, la
région
cervicale a été exposée du 9 octobre au 20 nove
es jours après que l'on a commencé à faire agir les rayons X sur la
région
cervicale. Huit jours environ après la première
orteils et une légère déformation de la colonne vertébrale dans la
région
dorsale. Les troubles très tenaces jusque-là on
effectua 22 séances d'une durée moyenne de 10 minutes chacune sur la
région
verté- brale qui a été divisée en deux zones.
n oeuvre six mois après le début de l'affection et appliquée sur la
région
cervicale avait été suivie rapidement d'une amé
sur le ventre ; une plaque de plomb mince protège les cheveux et la
région
cervicale. L'ampoule Millier, réglable, donnant d
ment la plus grande partie des tissus déjà traités, mais encore une
région
nouvelle pour que toute la moelle dorsale et lo
d'admettre que cette malade a reçu une dose de 12 H environ sur la
région
dorso- lombaire. Le 27 novembre, c'est-à-dire
à croire qu'entre la disparition des symptômes et l'exposition de la
région
lombo-sacrée aux rayons X, il y a mieux qu'une
r, la colonne vertébrale présentait une scoliose très marquée de la
région
lombaire. En fin janvier 1907, nouvelle crise a
à la radiothérapie. La première séance eut lieu le 18 mars 1907. La
région
lombo-sacrée de la colonne vertébrale fut expos
C'est ainsi que chaque segment particulièrement dou- loureux et la
région
lombo-sacrée reçurent, en trois séances, environ
a troisième séance de la deuxième série de trois séances sur chaque
région
. Le traitement par les rayons fut terminé le 18
s. La maladie débute en juillet 1906, par de vives douleurs dans la
région
postérieure du genou, douleurs qui s'irradient
de même manière que dans l'observation I. On fit tomber sur chaque
région
douloureuse, et aussi sur la région des racines d
ion I. On fit tomber sur chaque région douloureuse, et aussi sur la
région
des racines du sciatique, une quantité de rayon
ne. La radiothérapie est commencée le g décembre, uniquement sur la
région
lombo- sacrée. En trois séances ayant duré chac
tion IV. M. M..., âgé de 4o ans, souffrait depuis longtemps dans la
région
lombaire. Le début de la sciatiqne remonte au moi
égative. Le malade est soumis à la radiothérapie, uniquement sur la
région
lombo-sacrée, à partir du 5 décembre 19 10. La ma
hydatique du cerveau (Id.). Lt. Epithélioma tubulé de la peau de la
région
fessière développé aux dépens du corps muqueux
male et pathologique, mars-avril 19 12). 192. Tumeur méningée de la
région
dorsale supérieure. Paraplégie crurale par comp
QUE 633 285. Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la
région
dorsale. Opéra- tion. Guérison (Sur l'épreuve d
4o6 XVII. - Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la
région
dorsale 41a XVIII. Monoplégie crurale hypertoni
éraux et avec anesthésie homolatérale. Tumeur intramédullaire de la
région
lombo-sacrée.. 420 XIX. Sur le diagnostic des c
e, un rétrécissement du champ visuel, des points hysléro- gènes aux
régions
dorsale et précordiale. D... fut soumis à l'hydro
en existe trois : au niveau de chacune des fusses iliaques et de la
région
épigastrique. 5° Motilité de la face. A la face
où il fut soigné (hémianes- thésie droite, points hystérogènes, aux
régions
dorsale et précordiale, rétrécissement du champ
ypéresthésie au niveau des fosses iliaque droite et gauche et de la
région
épigastrique; 3° de ü In ü , la diminution de
rsistent encore en des points correspondant assez bien à ceux de la
région
dorsale supérieure ; mais ils sont beaucoup moins
qu'un certain degré de ramollissement de la partie supérieure de la
région
dorsale. Le foyer originaire de la myélite est
semble avoir eu son point de départ à la partie supérieure de la
région
dorsale; du moins, c'est à ce niveau que le pro
vants : Céphalalgie tenace, siégeant souvent mais non toujours à la
région
occipitale, vomissements, vertiges persistants
lésion centrale du centre commun des oculomoteurs communs, dans la
région
des tubercules quadrijumeaux, sans pou- voir pr
scles volontaires, mais pas d'une manière identique en toutes les
régions
. Dans certaines régions, prédomine la crampe, l
pas d'une manière identique en toutes les régions. Dans certaines
régions
, prédomine la crampe, la rigidité; en d'autres,
rié est au moyen de la couronne rayonnante intimement uni à la même
région
par un système spécial ; le centre cortical et
nction la parotide. Elle n'a rien à voir avec la zone motrice. La
région
de l'écorce plus en dedans de celle-là exerce aus
re des 2" et 3e circonvolutions originelles, pour gagner ensuite la
région
sous-sylvienne de la i" originelle. (Klle ne se c
nnexion directe, entre la zone corticale motrice, au moins des deux
régions
sus- énoncées, et le cordon latéral homonyme. I
l homonyme. Il est probable qu'il n'en existe pas davantage pour la
région
qui commande au mem- bre postérieur gauche ; -
ar l'intégrité des fibres intracor- ticales. Ce sont, en effet, les
régions
antérieures du cerveau où l'on rencontre l'atro
e qu'on n'arrive à s'y recon- naître que lorsqu'on est parvenu à la
région
qui siège un peu au- dessous de la première pai
l (ou à travers la substance de la corne postérieure), en de- hors (
région
de la première paire cervicale et territoire infé
sceau cantéro-latéral ascendant : 1° A la partie supérieure de la
région
cervicale, à la hauteur de Ja troisième paire,
ban très mince, presque jusqu'à la surface de la moelle ; 2° A la
région
lombaire, le faisceau antéru-latéral ascendant es
n du phénomène du genou ; pourvu naturellement qu'il s'agisse de la
région
de la moelle épi- nière qui va de la portion do
pendant absolument indemnes, même microscopiquement, de même que la
région
du facial dans la protubérance. Conclusion. Exc
t logique de supposer que le centre cérébral qui correspond à cette
région
présenterait les signes d'un développement dél'
époque, il s'est produit dans un des asiles publics d'aliénés de la
région
une vacance qui permette de pourvoir un des deux
des Actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque
région
, fera connaitre la date exacte d'ouverture de cha
Conditions du concours. Le concours est régional ; il y a autant de
régions
que de facultés de médecine de l'Etat. La circons
e de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque
région
est composée comme il est indiqué dans le table
s sont libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des
régions
. Au sur et à mesure des vacances d'emplois qui se
acances d'emplois qui se pro- duiront dans les asiles publics de la
région
où ils auront passé le concours, les candidats
'il y avait urgence à-nommer le médecin adjoint d'un asile dans une
région
où la liste des admissibles se trouverait épuis
e réserve la faculté d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre
région
, à la condition que celui-ci déclarera expressé-
er au droit qui lui appartient d'obtenir son poste de début dans la
région
où il a subi le concours. A titre exceptionnel
re disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la
région
où il aura concouru pourra être ensuite envoyé
te envoyé avec ses même fonctions dans un asile situé hors de cette
région
. Les médecins adjoints peuvent être nommés méde
chargé de juger les résultats du concours sera composé dans chaque
région
: 1° de trois directeurs médecins ou médecins e
région : 1° de trois directeurs médecins ou médecins en chef de la
région
; 2° d'un inspecteur général des établissements
ecine ; 3° d'un professeur désigné par la faculté de médecine de la
région
. Les directeurs médecins en chef appelés à fair
l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles publics de la
région
. Les médecins de la Maison nationale de Charent
iénés des hospices de Bicêtre et de la Salpêtrière peuvent, pour la
région
de Paris, être également appelés par la voie du
cteurs-médecins et les médecins en chef des asiles publics de cette
région
. Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d'u
froidissement de la jambe malade. L'électrisation des muscles de la
région
antéro-externe de la Jambe ne produit aucune co
s froid, comme engourdi. L'exploration électrique des muscles de la
région
antéro-externe (jambier antérieur, extenseurs^
alade avait encore son anesthésie et une atrophie des muscles de la
région
antéro- externe telle qu'il y avait une différe
extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la
région
antéro-externe de la jambe et anesthésie dans l
e à la région antéro-externe de la jambe et anesthésie dans la même
région
. Egalement anesthésie sur le dos du pied, moins
s. A la plante du pied, légère altération de la sensibilité dans la
région
des orteils ; le reste de la voûte plan- taire
te à la plante du pied et dans toute l'étendue de la jambe, sauf la
région
que nous avons indiquée ». Point douloureux pér
nsensibles; au contraire sous la même influence \ les muscles de la
région
postérieure et de la cuisse réagissent éner- gi
des jambes. Il n'a jamais subi d'opérations chirurgicales en aucune
région
du corps. Son état actuel est le suivant : Il p
du sciatique a complètement disparu. A la pression, dans les mêmes
régions
, la douleur est à peu près nulle, sauf peut-êtr
musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergique sur la
région
des muscles extenseurs n'éveille non plus aucun
douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette
région
. Ces douleurs ont duré six mois environ, sans qu'
urs du genou ont reparu et se sont pro- pagées à la cheville. Cette
région
était enflée et violacée. A ce moment, pas de d
tuellement, elle se plaint surtout de douleurs vives au mollet. Les
régions
douloureuses à la pression sont les points fessie
eur début). Elle se plaint également d'engourdissements de toute la
région
antéro-externe de la jambe gauche. A première
ble qu'il existe un certain degré d'atro- phie des muscles de celte
région
. Mais les dimensions de la jambe n'ont pas beau
ace externe de la jambe. Sensibilité au froid diminuée dans la même
région
. Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux :
ar M. Vigouroux : Pas d'anomalie de réaction dans les muscles de la
région
antéro-externe de lajambe. La malade ayant parl
0 PATHOLOGIE NERVEUSE. réaction de dégénérescence des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe. Mart..., cinquant
péronière et de l'acces- soire du saphène externe, à la pau de la
région
externe de la jambe, suivant une bande beau-
point fessier, le point trochan- térien ; un point au niveau de la
région
sacrée. Ces douleurs ont persisté, avec exacerb
irradiations douloureuses au mollet, et une douleur au niveau de la
région
sacrée. Elle se plaint de fourmillements, d'éla
fourmillements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la
région
postérieure de la cuisse. On constate un amaigr
e 1 centimètre et demi de moins à droite qu'à gauche. A la jambe la
région
antéro-externe surtout, mais aussi les muscles
une véritable paralysie des extenseurs et de tous les muscles de la
région
antéro-externe de la jambe, avec atrophie et ré
faitement sentis. Au niveau du membre inférieur droit, sauf dans la
région
que nous allons indiquer, le malade ne sent pas
s et de la piqûre, si on le pique légèrement. Enfin dans toute la
région
externe de la jambe, dans un terri- toire limit
ullaire d'origine artérielle, lorsqu'elle se localise sur certaines
régions
de la moelle, une cause fréquente du tremblemen
ordinaire. Notons, avec Brissaud, qu'elle est toujours limitée à la
région
paralysée. Dans toutes les observa- tions où la
s la blessure. Les troubles sensitifs n'occupent point seulement la
région
voisine de la blessure, ni même l'extrémité lés
un léger sen- timent d'engourdissement très passager et limité à la
région
contuse D. Ce phénomène physiologique peut être
es » situées à la partie supérieure des phalanges. Dans toute cette
région
, l'anesthésie est complète pour tous les modes de
dius, la veille encore sensibles. D'autre part, l'auriculaire et la
région
cor- respondante du cinquième métacarpien (face
spontané (peut-être consécutif à un anthrax ? ) occupant les mêmes
régions
mais à droite; on intervint de la même façon et
orte des deux articulations et courants intermittents sur les mêmes
régions
(application de l'anode à l'articulation même).
la fosse nasale qui semble bouchée. Une pression exercée sur cette
région
, un vent violent venant fouetter le visage déte
e, à part une diminution de la sensibilité dans tous ses modes à la
région
frontale et temporale gauche, surtout au voisi-
anesthésie correspondante ; le champ d'irritation correspond aux
régions
psychomotrices du cerveau et le développement des
- Excessivement fréalip-nte chez, l'adulte, elle ho1.re toqles les
régions
de la colonne vertébrale, mais surtout la eoiorme
olonne verté- brale entière : elle est bilatérale, excepté dans la -
région
dorsale. Elle se traduit par une tension doulou
traduit par une tension douloureuse avec raideur qui immobilise la
région
; il existe juste au niveau des apophyses en ques-
ne pièce de cinq francs en argent, Quelques taches bronzées dans la
région
axillaire; pigmentation diffuse sur la peau qui
ntinuer les derniers éléments du cordon latéral; on le suit dans la
région
de l'entrecroisement sen- sitif en avant et en
us ne connaissons pas de publication aussi frappante. Il y a peu de
régions
du système nerveux qui ne soient explorées, fouil
oque, il s'est produit dans l'un des asiles publics d'aliénés de la
région
une vacance qui permette de pourvoir un des deux
il des actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque
région
fera connaître la date exacte d'ouverture de ch
nditions du concours. - Le concours est régional ; il y a autant de
régions
que de facultés de médecine de l'Etat. La circons
e de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque
région
est composée comme il est indiqué dans le table
s sont libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des
régions
. Au sur et à mesure des vacances d'emplois qui
vacances d'emplois qui se produiront dans les asiles publics de la
région
où ils auront passé le concours, les candidats
'il y avait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une
région
où la liste des admissibles se trouverait épuis
e réserve la faculté d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre
région
, à la condi- tion que celui-ci déclarera expres
er au droit qui lui appartient d'obtenir son poste de début dans la
région
où il a subi le concours. A titre exceptionne
re disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la
région
où il aura concouru pourra être ensuite envoyé
envoyé avec ses mômes fonc- tions dans un asile situé hors de cette
région
. Les médecins adjoints peuvent être nommés méde
chargé de juger les résultats du concours sera composé dans chaque
région
: 1° De trois directeurs médecins ou médecin s
région : 1° De trois directeurs médecins ou médecin s en chef de la
région
. -2° D'un inspecteur général des établis- semen
ne. - 3° D'un profes- seur désigné par la faculté de médecine de la
région
. Les directeurs médecins et les médecins en che
l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles publics de la
région
. Les médecins de la Maison nationale de Charent
iénés des hospices de Bicêtre et de la Salpêtrière peuvent, pour la
région
de Paris, être également appelés par la voie du
cteurs médecins et les médecins en chef des asiles publics de cette
région
. Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d
re le trafic et la fabrication des bois- sons alcooliques, dans les
régions
de l'Afrique centrale où l'usage de ces boisson
tre ou de suspendre ces accès par la pression exercée sur certaines
régions
, l'absence d'élévation thermique, lorsque ces a
re ou disparaître à volonté, par une pression exercée sur certaines
régions
, à l'absence d'élévation thermique, peut être a
intillant et hémicrazzie droite, très violente. - Il existe dans la
région
verté- brale, au niveau de la sixième dorsale,
é droit de la 'tête et elles ont leur' maximum d'intensité dans les
régions
sus-orbitaire et temporale^ en dehors du trajet
'exagèrent par le bruit et diminuent par la pression exercée sur la
région
affectée. - Cette première période dure dix jou
épha- lalgie viennent s'ajouter alors des douleurs siégeant dans la
région
vertébrale, au niveau de la sixième dorsale, da
ans la région vertébrale, au niveau de la sixième dorsale, dans les
régions
sus et sous-mammaires; elles sont d'abord inter
s genoux, surtout du côté gauche, avec hémianesthésie cutanée de la
région
externe de la jambe. ' Enfin, après une nouve
les faire naître à volonté en comprimant le point doulourèux de la
région
dorsale, et la malade peut encore obtenir le mê
endant quel- ques instants d'une obnubilation de l'intelligence.-La
région
ova- rienne gauche est un peu hypéresthésiée, e
examen des yeux fait par M. Parinaud ne révèle rien d'anormal. - La
région
ovarienne gauche est sensible à la pression, qu
sance; des points hystérogènes sous les deux ma- melles et dans les
régions
ovariennes; on peut aussi en comprimant la régi
lles et dans les régions ovariennes; on peut aussi en comprimant la
région
ovarienne droite suspendre les attaques (voir fig
ssentit alors une douleur de tête diffuse, mais prédominant dans la
région
temporale droite; quelques instants après, dit-
peuvent apparaître sous l'influence de la pression, exercée sur la
région
de la sixième vertèbre dorsale qui représente a
N. 335 des vajsseaux sylviens avec anémie transitoire de toute la
région
qui comprend les diverses localisations du lang
rationnel de cher- cher le centre de l'olfaction cérébrale, dans la
région
où se trouvent certainement, quoique non précis
EUR 1° Carrefour olfactif. - Tous les auteurs admettent que cette
région
est constituée par une lamelle de substance gri
'espace quadrilatère 1 Broca désigne sous ce dernier nom une petite
région
située sur la face interne de l'hémisphère, au-
différents facteurs de l'intelligence ont leur substratum dans des
régions
définies précisément en rapport avec certaines
che : mais le rapport entre l'aphémie ou aphasie et la lésion d'une
région
plus particulièrement limitée de l'hémisphère g
ont dus à quelque influence dynamique exercée par la lésion sur des
régions
situées à distance (et probablement toujours en
ées à distance (et probablement toujours en dehors des recherches),
régions
sur le compte des- quelles on met la perte ou l
du membre supérieur soient groupées principalement dans une même
région
, cependant il y a à peine un point de la convexit
nt être produits par l'application directe de l'électricité sur des
régions
définies de l'écorce cérébrale d'un chien. Comm
t de la partie médiane de la circonvolution supra- sylvienne. Cette
région
a généralement une étendue de plus de cinq cent
ATIONS CÉRÉBRALES. 423 l'application des électrodes sur différentes
régions
produit des régions motrices avec une telle con
l'application des électrodes sur différentes régions produit des
régions
motrices avec une telle constance, qu'on peut pré
le constance, qu'on peut prévoir lorsque les limites d'une pareille
région
a été indiquée avec soin, Flg. 39, - Dispositio
'écorce par la méthode de l'excitation. Par suite les limites d'une
région
peuvent être indiquées différentes par les différ
s des réac- tions qui suivent l'application des électrodes dans des
régions
si voisines l'une de l'autre, ni de l'absence t
suit pas, parce que les fibres médullaires sont excitables, que les
régions
correspon- dautes corticales soient inexcitable
de trente-deux ans qui fut prise de dou- leurs lancinantes dans la
région
pariétale gauche, de troubles de la vue (hémian
IE PATHOLOGIQUES. L. La valeur anthropologique DU développement DES
RÉGIONS
FRON- tales DU cerveau, avec recherches SUR LE
ment dit la, hauteur, le renflement du crâne et du cerv eau dans la
région
frontale résulte du cube des parois de la sciss
oppement crânien frontal. Par consé- quent, c'est bien l'insula, la
région
operculaire, la première tem- porale et les env
sure de Sylvius qui représentent le centre du cerveau humain, et la
région
sylvienne doit être regardée comme le siège pri
Un appendice comprend des ta- bleaux. donnant le poids des diverses
régions
cérébrales et le calcul de leurs rapports pondé
dia- tions corticales. P. K. LV. Rapports topographiques ENTRE la
région
MOTRICE ET LE crâne d'après V. Horsley, par L.
symptômes qu'on a l'habitude de rattacher il la des- truction d'une
région
si importante, la multiplicité des accidents et
es actes administratifs des préfectures du chef-lieu de chacuhe des
régions
déterminées par l'arrêté ministériel du 18 juille
ccès, qui pourront être déclarés admissibles est fixé à six pour la
région
de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois p
on de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois pour chacune des
régions
de Lyon, Bordeaux, Nancy et Montpellier. Les do
concours devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre des
régions
, devront adresser leur demande, sur papier timb
res, dernier délai de rigueur. Cette demande, qui devra indiquer la
région
dans laquelle le candidat veut subir le concours,
veau diagramme du par Benédikt, 265; - rapports entre le -, et la
région
motrice, par Goldstem, 43'r. Criminels, séque
mentales, par Bianchi et d'A- brundo, 82; - après extirpation des
régions
motrices, par Ztcheu, 87; de la substance blanc
ous les symptômes de la fracture du col du fémur. Douleurs vives à la
région
trochantérienne; raccourcissement de 18 lignes du
assistans la saillie sphéroïdale formée du côté de la fracture par la
région
trochantérienne. J'aurais cru que l'intervalle qu
le à reconnaître que les fractures du col du fémur par l'examen de la
région
trochantérienne : la saillie sphéroïdale de cette
examen de la région trochantérienne : la saillie sphéroïdale de cette
région
, qui est notablement rapprochée de la crête iliaq
fracture du col du fémur, caractères oui résultent de l'examen par la
région
antérieure du corps, j'ai cru devoir ajouter ceux
ajouter ceux qu'on obtient par l'examen de cette même fracture par la
région
postérieure : les différences de conformation de
ure par la région postérieure : les différences de conformation de la
région
pelvi-trochantérienne sont, dans ce dernier sens,
eaucoup plus frappantes : ainsi, du côté de la fracture, on voit à la
région
fessière externe une tumeur sphéroïdale très pron
s facile à reconnaître à l'aide des signes fournis par l'examen de la
région
postérieure du membre inférieur qu'à l'aide de ce
re du membre inférieur qu'à l'aide de ceux fournis par l'examen de la
région
antérieure du même membre. Ce que je viens de d
un peu en avant ; ascension du grand trochanter, et déformation de la
région
fessière externe qui est soulevée par une tumeur
es. Parfois, la malade se plaint d'avoir la vue trouble. Du reste, la
région
cervicale n'est nullement endolorie; la malade po
t par la narine gauche. La tumeur conoide et bosselée qui occupe la
région
frontale est constituée par l'os frontal lui-même
mprendra aisément le développement de semblables tumeurs. Quand une
région
du système capillaire veineux de l'économie est s
les et observables de ce système un bruit de souffle fort intense. La
région
de la crosse aortique était surtout remarquable s
ns principales des artères temporales et occipitales. La tumeur de la
région
frontale droite en particulier semblait apparteni
de mars, où la malade le fit appeler pour une douleur très vive à la
région
du cœur, avec fièvre intense, douleur qui avait é
la planche /j. Les tumeurs crâniennes occupaient et la voûte et les
régions
latérales du crâne. La fig. 1 représente la voû
la manière d'une pince. La figure 2' représente la dissection de la
région
palmaire de la main gauche. On voit l'arcade palm
s anastomoses nerveuses remarquables, constituées par les nerfs de la
région
palmaire avec les nerfs de la région dorsale. Ces
constituées par les nerfs de la région palmaire avec les nerfs de la
région
dorsale. Ces anastomoses forment une anse. La f
e vingt-et-un pouces et demi. Le tronc, parfaitement conformé dans la
région
sus-ombilicale, va en se rétrécissant graduelleme
naturelle, représente la partie sous-ombilicale du tronc, vue par la
région
postérieure. On voit à la partie inférieure deux
iculations. A leur niveau, il y avait une assez grande mobilité. A la
région
lombaire, on voit l'intestin B, qui sort par une
eure est en avant ; ia l'articulation du fémur avec la jambe, dont la
région
postérieure est en avant ; 3° le tibia dont il n'
iput se continue sans interruption, sans ligne de démarcation avec la
région
fessière, que le menton est séparé du sternum par
n haut, l'œil cyclope en haut et en avant, la bouche en avant, que la
région
antérieure du col est très allongée, très saillan
ès saillante, semble continuer le menton, et donne assez bien à cette
région
l'aspect du col d'un goitreux. Du reste, la face
utanée. Le canal vertébral ne commence qu'à la partie inférieure delà
région
lombaire, et se continue sans interruption jusqu'
és les uns des autres qu'ils n'ont coutume de l'être, en sorte que la
région
métatarsienne présente une largeur beaucoup plus
résente les pieds vus par la face plantaire : on ne trouve dans cette
région
que les tendons des fléchisseurs, des nerfs et de
ètement. Je n'ai pas non plus rencontré de vestiges des muscles de la
région
pelvi-trochantérienne, savoir des pyramidaux, car
tenseurs , lesquels jambier antérieur et extenseur appartiennent à la
région
externe de la jambe. Les figures 6, 7, 8, repré
Fig. 6. Squelette du bassin et des membres inférieurs, vus par la
région
antérieure. Le bassin présente une disposition bi
asphyxie. A l'autopsie, je trouvai que la grande tuméfaction de la
région
parotidienne était due, en partie, à l'œdème, en
ie, et ces gonflemens si fréquens et presque toujours épidémiques des
régions
parotidiennes et sous-maxillaires, connues sous l
nt sèche et le siège d'une inflammation couenneuse. Bientôt après, la
région
parotidienne gauche devient douloureuse et proémi
u plutôt une mollesse un peu fluctuante, se manifeste au centre de la
région
parotidienne. Une incision est pratiquée. Un pus
dans mon service à la Salpêtrière,le 8 août i83y : elle portait à la
région
parotidienne gauche un énorme champignon fongueux
ant, comme d'un cratère, un ichor horriblement fétide. En outre, à la
région
sous-maxillaire correspondante, eschare gangreneu
nsidérable, débris d'une tumeur non moins volumineuse que celle de la
région
parotidienne. Quel était le siège de cette second
sclérotique^).Il est des cas dans lesquels ces bosselures occupent la
région
postérieure de l'œil, plus souvent elles se voien
n général moins de chance de repullulation que les cancers des autres
régions
, n'échappe pas à cette loi. M. Beauchène, ancien
al, je lui disque la chose n'était pas démontrée. L'exploration de la
région
épigastrique et de l'hypochondre gauche me permit
onsidérable mais inégale : ainsi la plus grande épaisseur répond à la
région
pylorique. A partir du pylore P, elle diminue pro
mide triangulaire. Des trois faces de la pyramide, deux répondent aux
régions
temporo-pariétales que sépare en arrière et sur l
e au niveau de l'ombilic est de 8 pouces moins quelques lignes; cette
région
est un peu aplatie d'avant en arrière, en sorte q
des grossesses répétées; cette dilatation porte principalement sur la
région
ombilicale, où j'ai vu la ligne blanche acquérir
is elle peut également porter d'une manière plus particulière sur les
régions
sous-ombilicale et sus-ombilicale, sur l'une de c
e sur les régions sous-ombilicale et sus-ombilicale, sur l'une de ces
régions
ou sur les deux régions à-la-fois. Alors la ligne
mbilicale et sus-ombilicale, sur l'une de ces régions ou sur les deux
régions
à-la-fois. Alors la ligne blanche se trouve conve
sous-ombilicale, suivant qu'elle occupe l'une ou l'autre de ces trois
régions
de la ligne blanche : elle peut également occuper
ns de la ligne blanche : elle peut également occuper l'une ou l'autre
région
iliaque, lorsque la ligne blanche et les muscles
oits ayant résisté, la portion des parois abdominales qui répond à la
région
iliaque a été portée au-delà de son extensibilité
e celui d'une vieille femme de la Salpêtrière, qui portait dans cette
région
une besace conoïde dont la base était étendue de
e la manière la moins équivoque : à côté de la femme qui portait à la
région
sous-ombilicale une éventration conoïde, était un
npoint, n'ayant jamais eu d'enfans, reçut, à l'âge de 20 ans, dans la
région
ombilicale, un coup de pied de cheval, qui fut bi
nstance établit qu'une incision avait été pratiquée au sac dans cette
région
, et milite en faveur de l'idée d'une opération an
urs après sa naissance, des suites d'une éventration ombilicale. A la
région
ombilicale était une ouverture, une sorte de perf
le aussi les accidens, La présence d'une tumeur dans telle ou telle
région
de l'abdomen coïncidant avec les accidens de l'ét
ue, la face d'un jaune paille, se plaignant d'une douleur atroce à la
région
lombaire, sans aucune douleur à l'abdomen. Depuis
cée. La fig. i représente le bourrelet tel qu'il se présentait à la
région
anale : il était d'un rouge violet et couvert de
lui causent beaucoup d'efforts et de douleurs. Douleur très vive à la
région
du sacrum que la malade frotte souvent pour se so
dont plusieurs étaient cachés dans les plis radiés que présente cette
région
. La muqueuse du rectum était détruite dans toute
cet intestin ou à la fin de l'S iliaque du colon; c'était en effet la
région
iliaque gauche qui était le centre des douleurs.
diagnostic était donc celui-ci: dégénération de l'utérus occupant la
région
postérieure du corps de cet organe, dégénération
l'ouverture. Quelque temps après, cette malade ayant souffert dans la
région
des reins, Dupuytren diagnostiqua un développemen
ans aucun sens : je veux parler de la percussion exercée sur toute la
région
qu'occupe cet organe. Cette percussion, pratiquée
eille une sensibilité caractéristique qui est exactement limitée à la
région
hépatique. J'ai en ce moment dans mon service à l
mais la percussion pratiquée de haut en bas ou de bas en haut, sur la
région
du foie, en avant, sur les côtés, mais surtout en
ression, exercée sous la dernière côte, aux limites supérieures de la
région
lombaire, comme si on voulait explorer le rein, m
terreur à laquelle conduit presque nécessairement l'exploration de la
région
occupée par le foie, et qui consiste à regarder c
egré de la maladie sur le degré de proéminence de cet organe dans les
régions
lombaire et ombilicale. Eh bien! il y a des foies
olée des voies biliaires. _ Sa perforation__Péritonite limitée a la
région
du foie. Madame Mazet, trente-quatre ans, d'une
une péritonite générale, point du tout : le péritoine était sain aux
régions
ombilicale, iliaque, hypogastrique. Nous rappelan
actement l'inflammation. Il y avait donc péritonite circonscrite à la
région
du foie. Après avoir suffisamment étudié les pa
rte que la péritonite diaphragmatique et hépatique était limitée à la
région
du lobe droit du foie. On peut se rendre compte d
nguines générales ; nous nous contentâmes de dix-huit sangsues sur la
région
douloureuse. Un état syncopal plus prononcé en fu
otion, et, en effet, toutes les fois que la percussion portait sur la
région
du foie, la malade éprouvait une douleur très pro
ostic fâcheux, et cependant la malade n'accuse aucune douleur dans la
région
du foie : l'exploration ordinaire ne développe au
dre ces diverses questions. Traitement. Ventouses scarifiées sur la
région
du foie : six onces de sang. Cataplasmes, bains,
ntiment de débilité extrême. Aucune douleur, aucune intumescence à la
région
du foie ; la pression la plus forte ne développe
u commencement d'avril, M. G. ressentit des douleurs assez vives à la
région
lombaire et à la cuisse droites. Il les considéra
r dans l'hypochondre et dans le flanc gauches. La sensibilité de la
région
du foie, vive d'abord et augmentant par la pressi
à la maladie du foie, redoublèrent d'intensité : elles occupaient la
région
lombaire et la cuisse droites, et remontaient sou
mployés avec tout aussi peu de succès. Dans les derniers temps, une
région
de la volumineuse tumeur formée par le foie offra
bien plus fréquente, si le goître occupait purement et simplement la
région
antérieure du larynx, et s'il ne se prolongeait p
lètement étranger, lors même que ces indurations et abcès occupent la
région
de ce corps. Ce fait bien positif ne me paraît
rand nombre de faits, qu'il existe une sympathie remarquable entre la
région
dorsale et les poumons, et que, appliqués sur cet
e entre la région dorsale et les poumons, et que, appliqués sur cette
région
dorsale, les moyens thérapeutiques exercent une i
u poumon de ce côté, la respiration et la voix tubaire dans les mêmes
régions
. La partie antérieure du poumon gauche avait seul
s concrétions des divisions secondaires ne s'observaient que dans les
régions
qui correspondaient à la pneumonie. L'altération
ire. Le trajet fistuleux était antérieur aux vaisseaux et nerfs de la
région
latérale du cou. Réflexions. Les seuls renseign
meurs de nature probablement cancéreuse: une première qui occupait la
région
frontale de l'hémisphère cérébral droit, une deux
frontale de l'hémisphère cérébral droit, une deuxième qui occupait la
région
occipitale de l'hémisphère gauche, une troisième
série de tumeurs variqueuses. A l'avant-bras, tous les muscles delà
région
antérieure sont confondus en un vaste réseau vari
gangrène s'étend rapidement au pied, au bas de la jambe , à toute la
région
antérieure et externe delà jambe. L'exploration d
aractérisée par une couleur noire, occupe le pied en entier, toute la
région
antérieure et externe de la jambe et la partie in
région antérieure et externe de la jambe et la partie inférieure des
régions
postérieure et interne. Elle est très exactement
accusait, sous le nom de crampes, des douleurs très fortes à la même
région
. La face était bonne, le teint naturel. Le poul
l'aorte et les artères iliaques primitives; c'est dans cette dernière
région
que j'ai rencontré généralement les altérations l
20 A la palpation, sensation de battement considérable dans toute la
région
antérieure droite du thorax; ce battement occupe
ieure droite du thorax; ce battement occupe toute la hauteur de cette
région
et va en augmentant de haut en bas. Ce battement
3° A l'auscultation, l'oreille ou plutôt la tête appliquée contre la
région
antérieure et droite du thorax est brusquement so
claquement, à mesure qu'on descend du côté du foie ; c'est même à la
région
du foie que l'impulsion est la plus forte : on di
urait pu se porter en bas et à droite, et envahir en quelque sorte la
région
du ioie. Quelques personnes avaient porté de ce
é gauche des vertèbres correspondantes. — Battemens appréciables a la
région
postérieure du thorax. — Paraplégie. — Hémoptisie
longueur, je reconnus à la partie supérieure et latérale gauche de la
région
dorsale, une tumeur fluctuante, pulsatile, qui so
et sur les côtes correspondantes ; la tumeur pulsatile observée à la
région
dorsale n'en était qu'un prolongement. Les vertèb
aint-Côme , n. 17, service de M. Breschet (1). Cet homme portait à la
région
latérale gauche du cou une tumeur ovoïde du volum
; les battemens de cœur étaient faibles et obscurs. Sonoréité dans la
région
du cœur. Rien de particulier jusqu'au i3 septembr
t suivant : Voussure bien manifeste de toute la moitié gauche de la
région
antérieure du thorax ; mouvement d'ondulation ext
que je lui demande quel était le siège du point de côté, il montre la
région
du cœur. Il est donc probable que cette prétendue
jour-là un peu de bouffissure à la face, à l'abdomen et surtout à la
région
lombaire, qui est le lieu le plus déclive dans le
e. Les évacuations sanguines locales, et surtout les ventouses sur la
région
du cœur, ou mieux sur la région dorsale, lui sont
ales, et surtout les ventouses sur la région du cœur, ou mieux sur la
région
dorsale, lui sont substituées avec grand avantage
e, de nouvelles crises, à l'aide d'un régime convenable. Du reste, la
région
du cœur présente toujours la même matité et le mê
pouls est vif, bref, régulier; matité très grande, très étendue à la
région
du cœur; battemens sourds: on entend un bruit de
onsentit à rester jusqu'au i5 août. Lorsqu'il sortit, la matité de la
région
du cœur était presque aussi considérable qu'à son
ute autre lésion ; on conçoit en effet que la pointe du cœur étant la
région
la moins résistante de l'organe, il arrive nue fo
Or, la transformation en tissu fibreux de la pointe ou de toute autre
région
du cœur une fois opérée, cette pointe n'opposera
on, se plaignait, depuis l'année 1809, d'un sentiment de gêne dans la
région
du cœur, pour lequel il consulta à plusieurs repr
de constriction au cœur : ce sentiment de constriction, de gêne à la
région
du cœur, était d'ailleurs permanent. Le malade ex
lée chez ce malade que par des accès d'asthme et par une gêne dans la
région
précordiale que provoquait le plus léger mouvemen
augmentant par accès à la manière de l'asthme; orthopnée, matité à la
région
du cœur; point d'impulsion notable; mouvemens tum
ement irréguliers, sans impulsion, avec claquement léger; matité à la
région
du cœur dans une grande étendue; infiltration et
prison, au cachot et à la salle de police. Il portait dans les deux
régions
parotidiennes jusqu'au larynx deux tumeurs de la
n arrière le muscle sterno-mastoïdien et comprimant les muscles de la
région
sus-hyoïdienne qui étaient durs, criant sous le s
profonds, obscurs, à peine perceptibles à l'oreille appliquée sur la
région
qu'il occupe. Le stéthoscope, promené sur les div
qu'il occupe. Le stéthoscope, promené sur les divers points de cette
région
, ne transmet aucun bruit. Il n'existe point de vo
re à la poitrine du côté gauche. Un peu d'épanchement dans l'abdomen.
Région
du foie un peu sensible à la pression. Point de s
le malade demande à manger. Traitement. Ventouses scarifiées sur la
région
du cœur : électuaire avec miel, jalap, séné, de c
ploration du thorax me démontre toujours et une énorme matité dans la
région
du cœur et l'absence de tout signe d'épanchement
itement : ponction aux malléoles. Quelques jours après, ponction à la
région
lombaire. Emulsion nitrée,lait. Le 17 juin, le
inaire. Le péricarde répondait à lui seul à la presque totalité de la
région
antérieure du thorax. La base du poumon gauche et
t qui ne m'avait donné jusqu'alors aucun signe de lésion. Matité à la
région
précordiale; bruit râpeux et comme ondulé, se fai
quelque chose d'analogue au bruit de rappel. Ce bruit occupe toute la
région
sternale. Je notai: Est-ce bruissement des valvul
t cessé complètement. L'état du cœur me préoccupe par la matité de la
région
qu'il occupe, et par la faiblesse de ses battemen
double bruit râpeux et comme ondulé n'occupe plus maintenant toute la
région
précordiale; mais il est limité à la région stern
plus maintenant toute la région précordiale; mais il est limité à la
région
sternale au niveau de la base du cœur. — Traiteme
niveau de la base du cœur. — Traitement: ventouses scarifiées sur la
région
du cœur; plusieurs vésicatoires sont promenés sur
es sur la région du cœur; plusieurs vésicatoires sont promenés sur la
région
latérale gauche du thorax/Purgatifs répétés, bois
ns la plèvre gauche a augmenté d'une manière notable. La matité de la
région
du cœur occupe une plus grande étendue, et, bien
o-membraneuses très multipliées. Ces adhérences occupaient surtout la
région
antérieure du cœur. En arrière, elles étaient rom
embres inférieurs sont dans une flexion permanente, à ce point que la
région
postérieure des jambes touche la région postérieu
permanente, à ce point que la région postérieure des jambes touche la
région
postérieure des cuisses. Les orteils sont constam
férieurs.—Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneuse aux
régions
trochantérienne et sacrée.— Tumeur cancéreuse sou
l'extrémité inférieure droite. Je fais appliquer deux moxas sur la
région
lombaire; mais d'antres moxas spontanés , je veux
chares d'un caractère fort grave, ne tardèrent pas à s'établir sur la
région
sacrée, et ces eschares firent de rapides progrès
eschares sont très étendues en largeur et en profondeur. On voit à la
région
fessière des espèces de foyers gangreneux. Réfl
uffisante pour intercepter le sentiment. La tumeur occupait, non la
région
lombaire, mais la partie supérieure de la région
eur occupait, non la région lombaire, mais la partie supérieure de la
région
dorsale. Dans les paraplégies parfaitement limité
ut bien se garder de croire que l'altération occupe nécessairement la
région
lombaire ; car on sait que l'origine apparente de
it conservée et le mouvement était détruit; or, la tumeur occupait la
région
antérieure de la moelle et par conséquent comprim
'autre tumeur, qui occupait la partie supérieure et postérieure de la
région
dorsale , était olivaire et d'un tissu tout-à-fai
moelle épinière était comprimée au niveau de la partie moyenne de la
région
dorsale par une tumeur olivaire de vingt lignes d
olidée sont extrêmement rares. Je n'en connais d'exemples que pour la
région
lombaire, soit que la fracture occupe le niveau d
iblis. Les membres supérieurs sont parfaitement sains. L'examen de la
région
lombaire fait découvrir la cause matérielle de ce
it, par suite duquel elle a éprouvé une douleur avec tuméfaction à la
région
lombaire. Bornée d'abord à la région lombaire, la
ne douleur avec tuméfaction à la région lombaire. Bornée d'abord à la
région
lombaire, la douleur s'étendit bientôt à la cuiss
volontairement. Pour traitement, moxas à la partie supérieure de la
région
dorsale, saignées répétées. Pendant huit à dix jo
salle Saint-Antoine, n° 5 , pour un point de côté assez intense à la
région
précordiale. Deux applications de sangsues enlevè
ent, lui donnait une secousse. Du reste, les membres supérieurs, la
région
cervicale, la tête, n'ont, en aucune façon, parti
cé ma principale espérance. Deux moxas sont appliqués au milieu de la
région
cervicale. 7 juin : la paralysie du sentiment d
i a redoublé le soir. Cette douleur occupe le sommet de la tête : les
régions
frontale et occipitale en sont entièrement exempt
énérale, est concentrée sur deux points : i° un point au milieu de la
région
dorsale; 20 un point au bas de la région cervical
i° un point au milieu de la région dorsale; 20 un point au bas de la
région
cervicale. La moindre pression sur ces deux point
uvent déterminer des contractions musculaires très prononcées dans la
région
où s'opère le grattement et le pincement, sans qu
au moment où je rédige cette observation. Quatre cautères, deux à la
région
lombaire, deux à la nuque. Le a5 décembre : fri
nt parfaitement sains. Abdomen. La tumeur que j'avais reconnue à la
région
ombilicale était formée par le rein droit, lequel
:autour de ce rein,le tissu cellulaire sous-péritonéal,qui occupe les
régions
lombaire et iliaque droites était purulent et gan
te d'être noté. Relativement à la situation du rein au niveau de la
région
ombilicale, ce déplacement n'était pas congénial,
ntre le foie que refoule le corset et le plan solide que lui offre la
région
costo-lombaire. Quelle est la cause de l'atroph
de l'épigastre et obliquement dirigée en arrière et en bas jusqu'à la
région
dorsale. La sensibilité était parfaite dans toute
de fièvre : les digestions ne laissaient rien à désirer. J'examine la
région
sacrée, et je trouve une énorme eschare, au fond
isposition enkystée. Au niveau de cette adhérence, qui répondait à la
région
dorsale, la moelle épinière est renflée, molle, f
t naturels. L'atrophie des racines est un peu moins considérable à la
région
cervicale qu'aux régions dorsale et lombaire. R
es racines est un peu moins considérable à la région cervicale qu'aux
régions
dorsale et lombaire. Réflexions. Les cordons mé
lète du sentiment dans toute la moitié inférieure du corps jusqu'à la
région
épigastrique. Cette insensibilité sous l'influenc
te dégénération gris jaunâtre occupe toute la largeur des cordons aux
régions
lombaire et dorsale ; elle se rétrécit et devient
dorsale ; elle se rétrécit et devient en quelque sorte linéaire à la
région
cervicale pour se terminer aux deux renflemens qu
qui bordent le bec du calamus. Il résulte de cette disposition qu'aux
régions
lombaire et dorsale, les cordons postérieurs et l
sillon médian postérieur de la moelle étaient affectés, mais qu'à la
région
cervicale, les cordons postérieurs étaient sains,
y a trois ans qu'elle a commencé à éprouver des douleurs sourdes à la
région
lombaire, et de la faiblesse dans les membres inf
mouillé et par conséquent très lourd, elle sentit un craquement à la
région
lombaire, et poussa un cri de douleur. C'est à ce
e et par les douleurs vives et continuelles, qui d'abord bornées à la
région
lombaire, s'étendirent peu-à-peu à toute la longu
ence de la pression et de l'action des urines. Chose remarquable! les
régions
qui sont le siège d'eschares sont extrêmement dou
cédé l'expression de la plus vive reconnaissance. Les douleurs à la
région
des eschares ont remplacé les douleurs des reins
ès son entrée à l'infirmerie. Ouverture. Nous examinâmes d'abord la
région
dorso-lombaire. Il fut facile de reconnaître, pré
it bien manifestement la nature de la lésion. Après avoir étudié la
région
postérieure de la colonne vertébrale et avant de
de procéder à l'ouverture du canal rachidien , nous avons examiné la
région
antérieure de cette colonne, laquelle n'offrait a
paraplégie par fracture de la colonne vertébrale, par luxation de la
région
cervicale, par carie ou ramollissement des vertèb
e leur opinion, attendu que la compression portait directement sur la
région
postérieure de la moelle ; mais en opposition ave
ement vives au membre supérieur gauche, et plus particulièrement à la
région
deltoïdienne; elle n'a pas perdu la faculté de mo
e pas de pression, je puis pincer violemment la peau, au niveau de la
région
douloureuse, sans causer la moindre douleur. C'es
nitis spinale resserrée dans de semblables limites, c'est-à-dire à la
région
cervicale et même à la moitié gauche de cette rég
'est-à-dire à la région cervicale et même à la moitié gauche de cette
région
. Quoi qu'il en soit, que nous ayons affaire à u
e occupant diverses hauteurs, quelquefois le bassin, d'autres fois la
région
ombilicale ; chez quelques-uns enfin, la région é
sin, d'autres fois la région ombilicale ; chez quelques-uns enfin, la
région
épigas-trique. Chez notre malade, c'est la sensat
rconférence de la moelle, mais qu'elle est bien plus considérableà la
région
postérieure, représentée fig. i', qu'à la région
lus considérableà la région postérieure, représentée fig. i', qu'à la
région
antérieure, représentée fig. i. Les colonnes anté
eur de cette dégénération grise, elle était très variable, suivant la
région
. La coupe fig. 1'', qui a été faite à la hauteur
re, et je ne puis comparer ce tissu à aucun autre tissu morbide. A la
région
cervicale, quelques fibres médullaires avaient éc
pied-bot avait subi la dégénération graisseuse dans les muscles de la
région
postérieure delà cuisse seulement, à savoir dans
1. ) La colonne vertébrale avait subi une très forte déviation à la
région
dorso-Ionibaire; sa concavité regardait à gauche,
altérée de la moelle n'ont pas notablement diminué de volume. A la
région
dorsale, an niveau des deuxième et troisième vert
égion dorsale, an niveau des deuxième et troisième vertèbres de cette
région
, la moelle paraît saine au premier abord ; mais,
istence d'un pied bot et la dégénération graisseuse des muscles de la
région
postérieure de la cuisse, et que démontrait physi
r qui occupait tous les points de l'abdomen, le ballonnement de cette
région
, me portaient à admettre une péritonite chronique
g de la colonne dorsale, un vésicatoire de six pouces sur deux sur la
région
dorsale, furent immédiatement conseillés. Les jou
vans, le vésicatoire fut remplacé par un cautère de chaque côté de la
région
cervicale, à son union avec la région dorsale. J'
un cautère de chaque côté de la région cervicale, à son union avec la
région
dorsale. J'avais d'abord prescrit un électuaire p
é. Déviation considérable de la colonne vertébrale, au niveau de la
région
dorsale. Cette déviation a lieu aux dépens de cin
lonté pour mouvoir le gros orteil. Le malade portait des moxas à la
région
lombaire, et pourtant la déviation existait à la
es moxas à la région lombaire, et pourtant la déviation existait à la
région
dorsale, ce qui suppose, ou bien que l'applicatio
déviation, ou bien que le malade se plaignait dans le principe de la
région
lombaire ; peut-être encore que les praticiens co
consultés avaient, suivant une pratique assez générale, choisi cette
région
comme lieu d'élection dans le traitement de la pa
o, il se plaint d'engourdissement ou de fourmillement douloureux à la
région
fessière: en quelquesjours, une paraplégie presqu
convaincu que la moelle était comprimée à la partie supérieure de la
région
dorsale, et je tâchais de faire passer ma convict
nt appliqués de chaque côté de la colonne vertébrale, au niveau de la
région
douloureuse: nous eûmes recours aux ventouses tan
le épinière. La colonne vertébrale ayant été ouverte, nous vîmes à la
région
dorsale, au niveau des quatre ou cinq premières v
le coccyx et la partie inférieure du sacrum sont à nu ; la peau de la
région
fessière et une partie des muscles fessiers sont
avement purgatif, eau de Sedlitz. Le 26 novembre, les muscles de la
région
postérieure du col sont rigides, douloureux et la
bondamment pourvu de cheveux, était plissé sur lui-même, surtout à la
région
occipitale, et paraissait avoir été destiné à rec
on de cette disposition, et on l'a trouvée, i° dans la brièveté de la
région
cervicale, dont les vertèbres sont comme pressées
les autres ; 2° dans l'exagération de la courbure naturelle de cette
région
. Réflexions. Ainsi, la microeéphalie peut prése
7 ans, fortement constituée, qui portait à la partie inférieure de la
région
lombaire , au niveau de la base du sacrum, une po
l'a avancé M. le docteur Gall. » (i) Œdème de la conjonctive et des
régions
p a Ipéb raie et malaire gauches. Céphalalgie lim
Ipéb raie et malaire gauches. Céphalalgie limitée a la tempe et à la
région
sus-orbitaire. — Mort au bout de trente-deux jour
se plaignait en même temps d'une douleur très vive à la tempe et à la
région
sus-orbitaire du même côté. Mouvement fébrile. L'
ingulièrement amaigri ; il se plaignait toujours de la tempe et de la
région
orbitaire gauches, et supportait difficilement la
même état, douze sangsues dont six à l'apophyse mastoïde et six à la
région
temporale gauche. Le 3, deuxième saignée très cop
eprésentent une tumeur carcinomateuse de la dure-mère, naissant de la
région
orbitaire gauche, et s'enfonçant dans l'épaisseur
— Cicatrice de deux foyers apoplectiques cérébraux, occupant la même
région
. — Mort par engouement du poumon. Femme Bode,âg
nviron s'était plaint pendant quatre mois d'une douleur violente à la
région
occipitale, de douleur avec rigidité des muscles
cles de la nuque, douleur qu'augmentait la pression exercée sur cette
région
. Au bout de ce temps, diminution de la vue de l'œ
'existait aucune autre altération dans le cerveau. Une douleur à la
région
occipitale, coïncidant avec une diminution dans l
les ont appartenu à un sujet de 45 ans, et étaient situées l'une à la
région
postérieure de la jambe gauche, l'autre à la régi
ituées l'une à la région postérieure de la jambe gauche, l'autre à la
région
fessière droite, au-dessous du grand tro-chanter.
vons déjà remarquée dans les fig. i' et 2'. Production cornée de la
région
lombaire gauche. Ablation de cette production et
. 4 et 4' représentent une production cornée qui a été extirpée de la
région
lombaire d'un Indien par M. Faget, médecin à Bord
à l'hôpital Saint-Michel de cette ville en mai i83i.—Il portait à la
région
lombaire gauche, 2 pouces au-dessus de la crête i
ur qui portait depuis plusieurs années une excroissance cornée sur la
région
fronto-pariétale droite. La tige que formait cett
a barbe et des cheveux. Trouillu était chauve antérieurement, mais la
région
occipitale était suffisamment pourvue de cheveux;
des cuisses, au-dessus du creux du jarret, que dans toutes les autres
régions
réunies, y compris même fa face et le crâne. Plus
istons pour ainsi dire tous les jours à de semblales productions à la
région
faciale, où rien n'est plus commun que la formati
Tel est le cas de Jacques Delpieu qui, en se rasant, s'écorcha sur la
région
temporale avec un rasoir mal affilé. Il survint u
our recherches d'anatomie pathologique. Pl. 3 ( demi-grandeur). —La
région
antérieure du tronc présente une multitude de tub
prononcée. Du reste, tous ces tubercules et tumeurs sont limités à la
région
antérieure du tronc; un certain nombre se voit à
ens du liquide prostatique, des calculs urinaires qui siègent dans la
région
prostatique, et qui peuvent acquérir un si grand
Urines purulentes. ¦— Tuméfaction considérable et douloureuse de la
région
lombaire droite. — Mort en quelques heures dans u
prise d'une céphalalgie extrêmement intense, qui occupait surtout la
région
occipitale. A cette céphalalgie se joignirent des
e la malade se décidait à venir à l'infirmerie. L'exploration de la
région
lombaire gauche faisait reconnaître une tumeur co
meur considérable, douloureuse, très facilement appréciable et par la
région
lombaire, au dessous de la dernière côte, et par
et par la région lombaire, au dessous de la dernière côte, et par la
région
antérieure et latérale moyenne de l'abdomen. La f
a plus exacte ne permettait de reconnaître aucune tuméfaction dans la
région
du rein, et que la pression ne réveillait aucune
dans toute son étendue, présentait, au niveau du flanc droit et de la
région
ombilicale, une proéminence remarquable. Cette pr
ormée par le rein , occupait le flanc droit et la moitié droite de la
région
ombilicale. Le colon ascendant longeait le côté g
la durée desquelles une tumeur très considérable se manifestait à la
région
lombaire et à la région du flanc droit, tumeur qu
tumeur très considérable se manifestait à la région lombaire et à la
région
du flanc droit, tumeur qui disparaissait subiteme
ssu cellulaire ambiant. Cet abcès peut s'ouvrir à l'extérieur dans la
région
lombaire, et c'est probablement ainsi que se sont
ade présentait une tumeur fluctuante extrêmement considérable dans la
région
du rein. Une ponction, jugée nécessaire, donna is
eux, longs, filamenteux, comme chevelus. Les coupes faites dans les
régions
de la tumeur autres que celles qui répondent au k
e n'ait pas accusé de douleur au genou. La fig. i qui représente la
région
antérieure du thorax, peut servir de type pour le
x à la peau de toutes les parties voisines et même en arrière dans la
région
de l'omoplate. Chose extraordinaire ! Un vésicato
er: pour toute altération, on voyait une péritonite circonscrite à la
région
du foie et une pleurésie diaphragmatique du même
qu'au 6 janvier i838. A cette époque, frisson, douleur très vive à la
région
du foie , oppression, toux très douloureuse. Mort
très douloureuse. Mort le 8 janvier. Ouverture du cadavre. Toute la
région
antérieure du thorax présente une surface ulcéreu
nde de la face. Interrogée sur le siège de la douleur, elle montre la
région
ombilicale. L'invasion subite et le caractère des
une femme de 43 ans, qui éprouvait des douleurs atroces, surtout à la
région
hypogastrique, douleurs sur lesquelles l'opium n'
espèce de cul-de-sac formé par la paroi antérieure du vagin et par la
région
antérieure de l'utérus : par le vagin qui se port
ssie n'est autre chose que le plexus veineux si considérable de cette
région
. J'ai vidé une partie de ces veines du suc cancér
très durs, ils étaient pénétrés de suc cancéreux. — En étudiant cette
région
sus-claviculaire, je vis qu'à la masse formée par
s ganglions lymphatiques carcinomateux, situés dans le bassin ou à la
région
lombaire, que j'ai pu déterminer le véritable car
e inférieur gauche. Cet oedème n'est véritablement douloureux qu'à la
région
inguinale et seulement sur le trajet de la veine.
s autres points. A ces signes, je reconnais une phlébite limitée à la
région
inguinale. Quelle en est la source? J'ose à peine
ves des lombes, du sacrum, de l'anus, des aines, de l'hypogastre, des
régions
antérieures et latérales, des régions postérieure
des aines, de l'hypogastre, des régions antérieures et latérales, des
régions
postérieures des cuisses? Mais si ces douleurs ré
plus locales, si je puis m'exprimer ainsi, ordinairement limitées aux
régions
de la vessie, et ne s'accompagnent pas des douleu
r le doigt introduit dans le rectum, l'exploration de son fond par la
région
hypogastrique, celle de sa face antérieure par un
circonstance dut faire choisir pour la ponction un point autre que la
région
occupée par les tumeurs; plongé dans le lieu d'él
La figure 4 représente le squelette disposé de telle manière, que la
région
postérieure qu'occupe le sommet de la tête regard
qu'occupe le sommet de la tête regarde en haut, la face en avant, la
région
antérieure ou sternale de la poitrine regarde en
ême position, c'est-à-dire le sommet de la tête dirigé en haut, et la
région
sternale de la poitrine dirigée en bas. XXXVIe
Les monstres par adhésion dorsale comprennent les adhésions par la
région
sacrée et les adhésions par le sommet de la tête.
antérieure comprennent les adhésions frontales, les adhésions par la
région
sus-ombilicale, les adhésions sus et sous-ombilic
par sa partie antérieure (demi-grandeur). L'adhésion a lieu par la
région
antérieure du tronc. Elle est limitée à la région
ésion a lieu par la région antérieure du tronc. Elle est limitée à la
région
sus-ombilicale de l'abdomen et à la partie inféri
la moitié gauche du fœtus droit, on concevra que le foie, fidèle à la
région
des parois abdominales qu'il occupe habituellemen
remarquable, qu'ils n'occupaient pas les hypo-chondres, mais bien les
régions
épigastriques, que leur ligne médiane répondait à
par une foule de points, du suc cancéreux, lequel est, dans certaines
régions
, assez consistant pour s'échapper à la manière d'
, maculée de sang, remplissait l'hypogastre, les fosses iliaques , la
région
ombilicale et les régions lombaires. Les intest
ssait l'hypogastre, les fosses iliaques , la région ombilicale et les
régions
lombaires. Les intestins grêles , excessivement
semé de plaques et de granulations de nature cancéreuse. Les diverses
régions
du péritoine, et surtout le mésentère, présentaie
aisseur du lobe antérieur du cerveau. OEdème de la conjonctive et des
régions
palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limité
palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limitée à la tempe et à la
région
sus-orbitaire. Mort au bout de trente-deux jours.
ôté gauche des vertèbres correspondantes. Baltemens appréciables à la
région
postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mo
té gauche des vertèbres correspondantes. Bat temens appréciables à la
région
postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mo
ôté gauche des vertèbres correspondantes. Battemens appréciables à la
région
postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mo
impossible. 33e liv., pl. 11, p. 2. — OEdème de la conjonctive et des
régions
palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limité
palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limitée à la tempe et à la
région
sus-01-bitaire. Mort au bout de trente-deux jours
é. Cicatrice de deux foyers apoplectiques cérébraux, occupant la même
région
. Mort par engouement du poumon. 37e liv., pl. v,
liv., pl. vi, p. 1 ; 24e liv., pl. m, p. y. — Production cornée à la
région
lombaire gauche. Ablation de celte production et
complète de parties. 38e liv., pl. 1, p. s. DOS. Sympathie entre la
région
dorsale et les poumons. 29e liv., pl. v, p. 3.
ul-de-sac de nouvelle formation, ou plutôt second estomac occupant la
région
du pylore; orifice pylorique double. 20e liv., pl
litération du canal cystique. Sa perforation. Péritonite limitée â la
région
du foie. 29e liv., pl. iv, p. 3. — Foie gras. 32«
iv., Avant-propos, p. iij. LARYNGITE. Laryngite sous-muqueuse de la
région
sus-glot-tique du larynx. 5e liv., pl. n, p. 4. —
et de ceux du croup. = Thérapeutique. = Laryngite sous-muqueuse de la
région
sous-gloltique du larynx. Mort par suffocation. 5
ésion pulmonaire. = Maladies du larynx: laryngite sous-muqueuse de la
région
sus-glottique du larynx (œdème de la glotte). 5e
e et de ceux du croup. Thérapeutique. = Laryngite sous-muqueuse de la
région
sous-glottique du larynx. Mort par suffocation. 5
férieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneuse aux
régions
trochanlérienne et sacrée. Tumeur cancéreuse sous
férieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneuse aux
régions
trochantérienne et sacrée. Tumeur cancéreuse sous
e liv., pl. vi, p. 4; 24eliv., pl. m, p. 7. — Production cornée de la
région
lombaire gauche. Ablation de celle production et
é du péritoine. 26e liv., pl. vi,p. /. — Péritonite circonscrite à la
région
du foie. 29e liv., pl. iv, p. 3. —Les abcès du ba
ion. Urines purulentes. Tuméfaction considérable et douloureuse de la
région
lombaire droite. Mort en quelques heures dans un
ul-de-sac de formation nouvelle, ou plutôt second estomac occupant la
région
du pylore ; orifice pylorique. 20e liv., pl. v, v
roupe À correspond au grand Pectoral, le groupe B aux muscles de la
région
antérieure du bras, le groupe C au nerf circonf
et B'. Profil des deux frères Meules montrant l'aplatissement de la
région
occipitale signalé chez les myopathiques par P. M
de coxalgie hystérique aurait été posé. On fit en juin 1894 sur la
région
trochantérienne droite une opération dont il rest
état ne s'améliorant pas, une seconde opération fut faite sur la même
région
en 1895 et d'après ce qui a été dit à la malade
e, du pharynx, du larynx, ne sont pas atteints. Les muscles de la
région
postérieure du tronc, qui d'après l'anamnèse ont
e) UNE VARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 35
Région
du colt. - Le muscle sterno-cléïdo-mastoïdien par
lésions pulmonaires constatées chez cette malade. Les muscles de la
région
hyoïdienne sont conservés, les mouvements d'as-
ais considérablement affaiblis. Les mouvements des muscles du bras,
région
antérieure et région postérieure, le sont égaleme
affaiblis. Les mouvements des muscles du bras, région antérieure et
région
postérieure, le sont également mais dans de moi
et mettre les jambes en demi-llexion. 36 LONG Les muscles de la
région
postérieure de la jambe et de la plante du pied
nière abaissée et tournée en dedans, mais les muscles exten- seurs (
région
antéro-externe de la jambe) ne peuvent relever ni
il l'âge de quinze ans environ, par les muscles de la nuque, de la
région
postérieure du tronc et de la ceinture pelvienn
te est fortement inclinée en avant, les apophyses épi- neuses de la
région
cervicale saillantes sous la peau par l'atrophie
tes les articulations quoique avec moins de force, surtout dans les
régions
périphéri- ques. Les mouvements de flexion et d
la face est affaibli, ce qui est caractérisé par l'enfoncement des
régions
temporales et par l'amaigrissement de la face,
ment de la face, sauf les lèvres. Les muscles des bras, surtout les
régions
périphériques et prin- cipalement les fléchisse
ation de cellules rondes et par l'hyperplasie du tissu conjonctif des
régions
atrophiées des muscles. L'excitabilité mécani
phie et l'hypertrophie des fibres musculaires), ainsi que certaines
régions
du système nerveux, correspondant probablement
; on peut observer, en outre, une paralysie sensitivo-motrice de la
région
cutanée et des muscles innervés par le péronier.
1° Une paralysie motrice, plus ou moins complète, des muscles de la
région
postérieure des cuisses, des muscles de la jambe
des résultats normaux. Aux membres inférieurs, les muscles de la
région
postérieure de la cuisse et tous les muscles de
un état cassant des poils et des ongles, une eschare profonde, à la
région
sacro-lombaire, sans compter l'atrophie muscula
la vulve, chez la femme, au périnée, au pour- tour de l'anus, il la
région
fessière inférieure. Assez souvent elle envahit.
r de l'anus, du périnée, du scrotum, aux par- ties adjacentes de la
région
fessière et de la face postérieure de la cuisse.
iolence traumatique s'est exercée sur la por- tion inférieure de la
région
lombaire ou sur la portion adjacente dit sacrum.
s à l'influence qu'une compression per- manente des téguments de la
région
lombo-sacrée exerce sur le dévelop- pement des
consistent, notamment, en douleurs intolérables qui, partant de la
région
sacro-lom- baire, irradient dans les membres in
ite que possible, et une sur- veillance assidue des téguments de la
région
sacro-lombaire. La moindre rougeur venant à se
n sacro-lombaire. La moindre rougeur venant à se montrer dans cette
région
sera traitée par les topi- ques appropriés. A
s cavités c'est là qu'on les rencontre de préférence. C'est dans la
région
interne et inférieure de l'hémisphère à peu prè
bulbe. Nous ne voulons pas nier qu'il ne puisse en exister dans ces
régions
, mais jamais il ne nous a été donné d'en consta
iques se colorent un peu moins bien. i Somme toute il semble que la
région
subisse un ralentissement dans sa vita- lité et
rsée elle- même par les leucocytes. Telles sont les lésions de la
région
centrale de la lacune : ce sont en somme celles
a subsisté. Les cellules nerveuses manquent complètement dans cette
région
: on ne les voit pas du reste dans toute la zon
hérie quand le tissu redevient absolument normal. Du reste dans cette
région
où les cellules nerveuses manquent complètement
et si l'on continue à s'éloigner on arrive insensiblement dans une
région
qui ne paraît pas altérée. Les cellules ner- ve
ux formations globulaires. Ces gros globes ont un siège électif, la
région
de la veine du corps strié et la paroi du ventric
la paroi même de la lacune que dans sa cavité. Ils siègent dans les
régions
les plus désintégrées du parenchyme céré- bral
cunes des noyaux gris reste vraie et entière pour celles des autres
régions
de l'encéphale. Nous ferons même remarquer en t
cellulaire sous-cutané au niveau du front, du cuir che- velu, de la
région
antérieure du thorax et du ventre. 126 DUPRÉ ET
i s'explique par ce fait que le pannicule adipeux sous-cutané de la
région
pectorale droite a presque entièrement disparu
lus adhérente aux plans sous- jacents, est moins mobile que dans la
région
pectorale opposée. En effet, la peau est adhére
PETIT PECTORAL 137 terminer dans le tissu sous-aponévrotique de la
région
pectorale. C'est là un fait en désaccord avec l
dégénérées, le nombre des cellules normales est moindre que dans la
région
cervicale. Les altérations cellulaires sontplus
lle cette vigilance et fournit des images de gênes locali- sées, de
régions
troublées, d'anxiétés dont l'étendue nous est rév
rs le pôle op- posé de la convexité cérébrale, c'est;à-dire dans la
région
rolandique ; celles des parties inférieures du
ale gauche ; le champ auditif droit se figure diamétralement sur la
région
temporale gauche, etc. C'est une disposition gé-
nous à notre pied droit sinon parce que c'est telle partie de notre
région
rolan- dique, et nulle autre, qui la perçoit ?
es sur les attitudes sont d'autant plus développées qu'il s'agit de
régions
plus mobiles, c'est-à-dire su- jettes à des var
cier l'écorce en attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle
région
cérébrale semble toute différente de telle autr
x images d'attitudes et de mou- vements. Seulement l'image de telle
région
représente une attitude et c'est naturellement
e telle région représente une attitude et c'est naturellement cette
région
qui commande la la motricité médullaire approprié
ité médullaire appropriée à cette attitude ; l'image de telle autre
région
représente telle sensation, telle faculté psych
nt rapport avec la motricité. Mais la mise en tension de toutes ces
régions
est sentie de même, parce qu'elles of- frent le
ck attribue les troubles de la motricité volontaire, par lésion des
régions
rolandiques, à la perte des' notions de la situat
motrice dont on peut délimiter les limites et qu'on peut diviser en
régions
par l'élude des excitations électriques, ne peu
les sensations à la surface cutanée, doivent être localisés dans la
région
des cen- tres corticaux des extrémités ». Cet
supérieur, le noyau rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette
région
s'unit aux zones pariétales. Il est en outre tr
que l'aptitude psychique en question est limitée dans l'espace aux
régions
susdites, qu'elle n'existe que là et pas autre
te combinaison psychique, quelle qu'elle soit, met eu jeu plusieurs
régions
élé- (1) Sens de l'oi-ientatio ? z,Soc. de Biol
é, puis céphalée avec troubles tro- phiques du cuir chevelu dans la
région
pariétale gauche et hémiparésie fa- ciale droit
aHet, pour des douleurs vives survenant par crises et siégeant à la
région
temporo-pariétale gauche. Antécédents héréditai
it qui frappe est l'alopécie en plaques disséminées au niveau de la
région
temporo- pariétale gauche, coïncidant avec le s
siège de la douleur. Le cuir chevelu est oedématié dans toute cette
région
; au niveau de la principale plaque d'alopécie,
iques dans le développe- ment des os de la voûte crânienne de cette
région
; l'oeil gauche paraît plus 208 BALLET ET ARMAN
ibilité objective,, à part une zone d'hyperes- thésie dans toute la
région
temporo-pariétale gauche. Les troubles de la se
spond au pied de la 2e frontale. En dehors de ce pédicule, toute la
région
rolandique est déprimée, en par- ticulier l'ope
AND DELILLE non plus de cécité, ni de surdité verbale, bien que les
régions
préposées à la vision et à l'audition verbale f
bien s'expliquer par la compression et les troubles trophiques de la
région
du cuir chevelu où se terminent quelques-unes d
rfaite de toutes les cellules pyramidales du cortex ; même dans les
régions
les plus comprimées, c'est-à dire l'opercule, l
mmencement de mars 1899, C... reçut un violent coup de poing sur la
région
temporale gauche. Le lendemain, il souffrait de
D DELILLE Ces cellules sont surtout extrêmement nombreuses dans les
régions
les plus superficielles de la couche corticale,
ors marquée que par l'accumulation des éléments néoformés. Dans les
régions
où les altérations sont le plus intenses et parai
s l'étiologie, car- c'est à la suite d'un coup violent porté sur la
région
temporale gauche que sont apparus les premiers
volumineuse tumeur presque de la grosseur du poing, implantée à la
région
frontale droite, rendue plus énorme par la peti
, présente dans son ensemble une forme étroite et très allongée. La
région
frontale gauche se termine par la grosse vésicu
ement avec toute sa netteté la face interne des hémisphères. A la
région
antérieure, entre l'encéphalocèle et l'extrémité
- sphère droit. La division en deux pédoncules ne se fait qu'en une
région
plus antérieure que d'ordinaire, et le gros cor
ostérieure, on pourrait songera homologuer à la commissure grise la
région
où les parois de la cavité unique sont rapprochée
point d'arrivée antéro-inférieur serait sur un plan antérieur la la
région
de la scissure de Sylvius ? On peut en somme im
cas d'encéphalocèle réunis par Houe), 16 seulement siégeaient à la
région
frontale, tandis que 68 existaient à la ré- gio
le, sans faire intervenir les adhérences, l'amnios appliqué sur une
région
peut amener un arrêt de développement de cette ré
liqué sur une région peut amener un arrêt de développement de cette
région
: le fait a pu se produire pour la face. En c
face. En contractant des adhérences avec les parties cutanées de la
région
frontale, avant l'ossification, l'amnios put, p
née N° 4. Juillet-Août CÉCITÉ VERBALE PURE RAMOLLISSEMENT DE LA
RÉGION
CALCARINE GAUCHE. DÉGÉNÉRESCENCE DU SPLENlUM ET
nium coïncidait avec une des- truction ischémique unilatérale de la
région
calcarine. Au Congrès de médecine de 1900, j'av
ation. Cécité verbale ; hémiopie - Ramollissement occipital gauche (
région
calcarine) ; dégénérescence du splenivm propagé
rque quelques adhérences superficielles et un peu diffuses dans les
régions
postérieures de la deuxième circonvolution pari
apparaît avec évidence, sur la coupe sagittale, que le foyer de la
région
calcarine est séparé du foyer de dégénérescence
oit. La lésion ischémique du lobule lingual, du cuneus, de toute la
région
calcarine de l'hémisphère gauche a donc pour co
, mais présentant des foyers nettement circonscrits au niveau de la
région
postérieure, avec une intégrité relative des ré
au niveau de la région postérieure, avec une intégrité relative des
régions
antérieures, donnèrent l'explication des symptô
che, outre quelques exulcérations peu étendues et peu profondes des
régions
frontale et temporale, le cerveau présente une pl
'intensité exceptionnelle, véritable lésion en foyer intéressant la
région
du centre de l'audition : tiers postérieur de l
rielle de la paralysie générale liée à l'existence, au niveau de la
région
postérieure, de foyers plus ou moins circonscrits
processus inflammatoire interstitiel que Nageotte a décrit en cette
région
, lui a paru être l'aug- mentation de nombre des
re. Elles permettent un examen comparatif rapide de ces différentes
régions
. Pour les pratiquer avecsuccès il est nécessair
éosine. Zeiss. Obj. : J.3. Oc. 2. 302 THOMAS ET HAUSER Dans cette
région
les vaisseaux sont malades pour la plupart, épais
sinage immé- diat du ganglion (fig. 3) ; au reste, dans toute cette
région
qui correspond au nerf radiculaire de Nageotte,
anatomique. Nous avons examiné environ 18 ganglions, dont 8 pour la
région
dorsale, 6 pour la région cervicale, 4 pour la ré
miné environ 18 ganglions, dont 8 pour la région dorsale, 6 pour la
région
cervicale, 4 pour la région lombaire. Tous les
ont 8 pour la région dorsale, 6 pour la région cervicale, 4 pour la
région
lombaire. Tous les ganglions de la région dorsa
gion cervicale, 4 pour la région lombaire. Tous les ganglions de la
région
dorsale ont été colorés en masse au picro- carm
rée et la sortie de la racine postérieure. Pour les ganglions de la
région
cervicale, la coloration en masse au carmin a é
parenchyme ganglionnaire. I. Topographie DES lésions radiculaires.
Région
dorsale infé- rieure. - L'atrophie des racines
ont dans leur parcours juxta-ganglionnaire absolu- ment normales.
Région
dorsale moyenne. - L'atrophie des racines postéri
se disséminent. Les racines antérieures restent partout intactes.
Région
dorsale supérieure. - Les coupes longitudinales d
s le ganglion ressort encore de l'examen des autres ganglions de la
région
. Les méninges sont généralement un peu épaissie
éparées par un tissu conjonctif plus abondant qu'à l'état normal.
Région
lombaire. - Les racines postérieures dans leur po
sculaires, etc. L'intégrité des racines antérieures est complète.
Région
cervicale. Il n'existe nulle part de lésion appré
ermet de déceler aucun corps granuleux. D'une façon générale, aux
régions
lombaire et dorsale, l'atrophie des racines pos
es. - Les altérations du parenchyme ganglionnaire n'existent qu'aux
régions
dorsale et lombaire. Elles sont aux différents ni
e de sa portion sus-ganglionnaire (portion intra- arachnoïdienne et
région
de Nageotte) la racine postérieure n'est pas mani
ôles du ganglion. Les méninges sont légèrement épaissies. Dans la
région
de Nageotte, le périnèvre des fascicules et le ti
ssissement du tissu- péri fascicu lai re et interfasciculaire dans la
région
de Nageotte; entre les fascicules et leur périn
oue dans sa profondeurde nombreuses traînées nucléaires. Dans la
région
de Nageotte, il existe des altérations intenses d
n n'y découvre guère de traces de lésions inflammatoires. Dans la
région
de Nageotte, les altérations de périnévrite font
yon- naires. Sur le trajet de la racine antérieure, au niveau de la
région
de Nageotte, xv 21 t 314 ' THOMAS ET IIAUSER
rtain nombre qui ont été respectées ; sur les coupes passant par la
région
de Nageotte et un peu au- dessus, les noyaux et
sont pas pénétrés par le tissu fibreux périfasciculaire. Dans la
région
de Nageotte chaque fascicule est entouré d'un pér
rv. V). - Racine sacrée postérieure coupée transversalement dans la
région
du nerf radiculaire. Colorat. hérnatéine-éosine
male ; leur taille et leur nombre ne semblent nullement diminués.
Région
lombaire. - Les 3 ganglions ont été coupés longit
minés, etc.. Rien à noter du côté du parenchyme ganglionnaire.
Région
dorsale. - Etudiés d'après les coupes longitudina
, les fibres ne présentent pas au-dessus trace de dégénérescence.
Région
cervicale. - Représentée seulement par le 6° gang
ment excessif du tissu conjonctif, particulièrement au niveau de la
région
de Nageotte ; aussi est-elle sinueuse, alternat
bès ayant débuté il y a 6 ans par des dou- leurs très vives dans la
région
épigastrique et dans la région lombaire; puis v
ar des dou- leurs très vives dans la région épigastrique et dans la
région
lombaire; puis vertiges, dérobement des jambes,
ie di- minue et disparaît en remontant vers le ganglion : sur la 2°
région
lombaire, au contraire, l'atrophie est plus net
ace à des végétations conjonctives. Dans les coupes passant par les
régions
atrophiées, quelques gaines de myé- line sont d
dense, aussi compact qu'à l'état normal. Dans le ganglion même, la
région
du pôle central est pauvre en fibres, tandis qu
postérieure du même côté gauche du corps. A la plante du pied, à la
région
lombaire, à la face postérieure de la cuisse, la
nt, on constate sur tout le corps, avec prédominance dans certaines
régions
, des contractions plutôt fasciculaires que fibr
réaction myotonique. En électrisant les muscles du mollet et de la
région
postérieure de la cuisse avec un fort courant e
tante se rencontre,précisément, dans ces muscles du mollet et de la
région
postérieure de la cuisse qui semblent se contra
la poursui- vre dans le parenchyme ganglionnaire, au moins dans la
région
du pôle central, où les fibres encore groupées
organe. Mais quelque profonde et intense que soit l'atrophie en ces
régions
, les fibres radiculaires reparaissent presque t
suit sur l'épinèvre du nerf radiculaire; elle ne revêt pas en cette
région
une intensité plus accentuée. Elle se traduit
jeune : ces faits prouvent tout simplement d'après Nageotte que la
région
qu'il a décrite présente des aptitudes pathologiq
ta-ganglionnaire n'est qu'une localisation de l'inflammation en une
région
particulièrement propre à son développement. En
s considérables. L'inflammation propagée des méninges trouve là une
région
éminemment favorable à son expansion ; elley ac
d'a- trophie des racines postérieures et dans l'inflammation de la
région
de Nageotte qui est en communication assez dire
é, par- tielle ou totale, des fonctions sensitivo-motrices dans les
régions
des mem- bres inférieurs, innervées par le plex
nt persisté pendant une quinzaine de jours. Localisées d'abord à la
région
du dos, elles ont envahi la région lombaire, en
de jours. Localisées d'abord à la région du dos, elles ont envahi la
région
lombaire, en irradiant vers les fesses. Elles n
is six mois, elle n'avait pas revu ses règles. A l'inspection de la
région
sacrale, on remarquait un commencement. d'escha
sacral, tes téguments du périnée et ceux de la partie médiane de la
région
fessière, des le et 5e segments sacraux. Ce der
g. 3. Coupe de la pie-mère spinale au niveau de la 2e racine dorsale (
région
antéro-latérale). Hématoxyline et éosine. Gross
a pièce à l'état frais.) Fig. 5. - Coupe du tronc basilaire dans sa
région
moyenne. Hématoxyline et éosine. El. i. - Ela
erticalement, c'est-à-dire parallèlement aux fibres nerveuses de la
région
et perpendiculairement au trajet des arté- riol
anu- leux. Il sectionne la moitié postérieure du ruban de Reil, les
régions
internes de la substance réticulée, quelques fa
-dessus des foyers, présente une dégéné- rescence intense; dans les
régions
où ce faisceau forme un triangle allongé d'avan
ce faisceau forme un triangle allongé d'avant en arrière (bulbe et
régions
inférieures de la protubérance), on dis- tingue
n avant; or, précisément L on remarquera que, dans notre cas, où la
région
postérieure de la couche interolivaire était pl
n postérieure de la couche interolivaire était plus atteinte que la
région
antérieure, les troubles sen- sitifs prédominai
oubles sen- sitifs prédominaient aux membres inférieurs.' go . La
région
antérieure du ruban de Reil n'est pas indemne de
ibres postérieures de la couche interolivaire occupent plus haut la
région
interne du ruban de Reil ; Long, dans sa thèse,
ins sujets, les fibres de différente origine se mé- langent dans la
région
protubérantielle ; c'est aussi l'avis de Scblesin
phérie ; en un mot il commence à se dissocier pour occuper toute la
région
désignée par M. et Mme Déjerine sous le nom de
me Déjerine sous le nom de zone du ruban de Reil médian. Dans cette
région
, les fibres cheminent au milieu d'amas irrégu-
nt dans le noyau médian ; en arrière et en dehors, elle répond à la
région
postérieure' (supérieure) du noyau externe. Dan
, les uns, comme Bech- terew, en ont conclu qu'il existe dans cette
région
des fibres descendantes ; les autres, comme Déj
sente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément à la
région
épargnée dans le ruban de Reil gauche et qui pr
ATÉROPULSION ET MYOSIS BULBAIRES 503 Au-dessous des foyers, dans la
région
de la substance'réticulée qui avoi- sine le rub
isceau de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de nombre dans la
région
cervicale, mais nous avons pu les suivre jusque d
e en outre d'autres fibres dégénérées qui remontent jusque dans les
régions
supérieures de la calotte. Ce sont : 1° des fibre
e des impressions tactiles, tandis que les fibres ascendantes de la
région
latérale transmet- traient les sensations de do
dégénérées dans les racines antérieures médullaires au niveau de la
région
dorsale supérieure, nous sommes amenés à conclu
ES 509 on n'en trouve aucune trace dans les racines antérieures des
régions
cer- vicales inférieure et dorsale supérieure,
ortance de la latéropulsion pour le diagnostic des lésions de cette
région
; nous avons eu plusieurs fois l'occasion d'obs
nt augmentée d'épaisseur. Corticalité cérébrale (prélevée dans la
région
motrice), recueillie dans l'al- cool. - Colorat
n que l'atrophie soit généralisée, elle a son maximum au niveau de la
région
pariétale : autour de celle-ci, les circonvolut
au couteau une résistance et une dureté anormalos, surtout dans la
région
des deux pariétales et de la pariétale ascen- d
été pris six heures après la mort. Cornes antérieures. - Dans la
région
de la corne antérieure a été ob- tenue l'imprég
s signes d'infanti- lisme. Si quelques rares poils existent dans la
région
sus-puLienue, les ais- (1) Lnonois, Castration
: Eunuque âgé de 24 à 25 ans probablement et paraissant venir de la
région
habitée par les Schillouks, peuplade occupant l
hémas), par FÉIIE, 435. Cécité verbale pure, ramollissement de la
région
calcarine gauche, dégénérescence du sptemuin du
ins), 222. Brissaud. Cécité verbale pure ; ramollisse- ment de la
région
calcarine gauche; dé- générescence du splenium
es qui l'occasionnent. Le trypanosome a été observé dans toutes les
régions
de l'encéphale, aussi bien dans la substance gr
ec les localisations du protozoaire dans le cortex et dans d'autres
régions
du cerveau, répar- ties dans les deux hémisphèr
bien apppréciahle de la glande thyroïde. Nombreux ganglions dans la
région
cervicale, quelques-uns volumineux. Ganglions v
uns volumineux. Ganglions volumineux sous les aisselles et dans les
régions
inguino-crurales. Petite infiltration mucoïde d
xagérés, la percussion déterminant la contraction des muscles de la
région
postérieure de la jambe et, quelquefois, de lég
rieurs et inférieurs, considérable- ment exagérés. L'excitation des
régions
respectives provoque de rapides et énergiques m
UMENTÉ, J. JARKOWSKI Les lésions hypertrophiques des méninges de la
région
cervicale de la moelle, malgré leur fréquence,
e à la douleur au niveau de la partie supé- rieure du tronc dans la
région
mammaire et à la face interne des bras ; leur b
'entrée à l'hôpital. La peau est cyanosée et froide ; au niveau de la
région
sacrée elle est macérée par le contact des urin
aît intacte. La malade se plaint de douleurs dans les épaules et la
région
cervicale de la colonne vertébrale, douleurs qu'e
ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux bras et la
région
thoracique correspondant aux 2e et 3e dorsales (V
eure; ;i l'incision de la dure-mère on constate en approchant de la
région
cervicale des adhérences surtout marquées à la
e sur toute sa hauteur. L'anneau fibreux se prolonge en haut sur la
région
cervicale supérieure et, entre les 2e et 3c seg
à un degré moindre que l'arach- noïde.En examinant les coupes de la
région
cervicale de bas en haut (fig. 4, 5, 6, 7) on s
de notre diagnostic. Il s'agissait en effet d'une compression de la
région
cervicale de la moelle par un anneau méningé fi
urgicale, et c'est ainsi que l'on trépana largement au niveau de la
région
rolandique gauche, dans l'espoir d'extirper un
a. Tout ce qu'il est permis d'affirmer, c'est que la lé- sion de la
région
lenticulaire suffit à elle seule à déterminer une
ermine pas nécessairement l'aphasie motrice; 2° Que la lésion de la
région
lenticulaire gauche chez un droitier suffit, z
la difficulté à projeter en avant la langue, qui dépasse à peine la
région
labiale et qui conserve sa déviation vers la gauc
raux,décrits par divers auteurs,et dont les lésions siègent dans la
région
inférieure du plancher du quatrième ventricule, l
sur les épaules et la tête; alors la douleur est plus forte dans la
région
au bas du mamelon droit ; les vertèbres dorsales
phénomène de Babinski. Dou- leurs dans le dos, aux côtés et dans la
région
des vertèbres lombaires ; le ma- lade ne peut r
notablement ; réapparition des douleurs dans le côté droit, dans la
région
sous-costale. En mouvement ou au repos, douleur
ipation ; incontinence d'urine à un faible degré ; douleurs dans la
région
cardiaque; symptômes de réapparition de la paré
entes an moindre mouvement du tronc et à la pres- sion sur toute la
région
du sternum (moins le manubrium sterni). Sensation
l'état de faiblesse générale ; douleur légèrement amoindrie dans la
région
du manubrium sterni ; médication. Comme nous le
nnent dans la cage thoracique, le long du manubrium sterni, dans la
région
de l'omoplate gauche, dans le dos (4 janvier 19
indiqués, on pouvait supposer malgré tout, que les douleurs dans la
région
du manubrium sterni et dans sa longueur, dans les
épétée le 30 juin 1911 par le Dr Krause. Par une incision dans la
région
des vertèbres dorsales 7, 8, 9, 10, la cica- tr
fondément ou fait un faux mouvement, il ressent une douleur dans la
région
du mamelon gauche ; absence de symptômes extéri
tion du pied disparait; les douleurs reparaissent cependant dans la
région
du coeur, au-dessus du mamelon gauche, près de
ien et de l'autre les symp- tômes douloureux dans les reins dans la
région
des vertèbres lombaires, 48 ij ROTSTADT aux c
paralysie des extrémités inférieures; escarre ex- térieure dans la
région
sacrée ; rétention complète de l'urine et des fèc
seins surtout sous le gauche et tressaillement des muscles dans la
région
lombo-sa- crée ; pas de douleurs ; constipation
ristiques, apparaissaient toujours des douleurs en ceinture dans la
région
sous-costale très violentes; la disparition de
es symptômes cardiaques en question, ainsi que des douleurs dans la
région
sous-costale, nous appliquions des prépara- tio
est-à-dire la pré- sence d'une vertèbre surnuméraire complète de la
région
lombaire. Nous donnons ici le cliché de la momi
l'on peut constater avec exacti- tude le nombre des vertèbres de la
région
dorsale et le nombre des côtes. Nous relevons d
êtres. Encore faut-il bien distinguer les cas où les segments d'une
région
ra- chidienne étant augmentés de nombre, il y a
de nombre, il y a compensation dans le nom- bre des vertèbres de la
région
voisine,qui sont diminuées en proportion. Les a
1BA1R1. SURNUMERAIRE COMPLETE CHEZ UNE MOMIE 65 surnuméraires de la
région
lombaire pourrait s'expliquer avec la théorie d
hénomènes sudoraux. Il transpire peu au niveau des aisselles et des
régions
plantaires. Il faut de très grandes, chaleurs pou
Léger degré d'adiposité. Autopsie : Epithélioma malpighien de la
région
hypophysaire, de la grosseur d'un oeuf de poule
ent par céphalées continues, douleurs à la nuque et, parfois, de la
région
lombaire. La fièvre existe toujours, mais elle ma
ires et exagérées quand les malades cher- chent à les éviter. Les
régions
du corps atteintes sont asymétriques. Nous extray
it antérieur. Du thorax : les pectoraux. Du cou : les muscles de la
région
postérieure et le sterno-cléido-mastoïdien. De
être confirmé par les expériences de Roncoroni (exci- tation de la
région
corticale motrice) ; mais il nous manque pour le
ormol, celloïdine, Gieson). sée. Marasme général. Décubitus dans la
région
sacrée. A l'autopsie : tuberculose pulmonaire s
pinière. L'épaississement des fibrilles intracellu- laires dans ces
régions
, sur lequel Marinesco insiste dans son traité La
te se trouve également dans le voisinage des vaisseaux en plusieurs
régions
de la glande. L'autre des deux inclusions situé
demi-circonférence mesurée entre les deux oreilles et passant par la
région
crânienne correspondante : 37 centimètre ? La
pées. La. barbe au contraire n'est développée que sur le bord de la
région
mentonnière. La région latérale de la face est pa
raire n'est développée que sur le bord de la région mentonnière. La
région
latérale de la face est par contre complètement
pule radiale à l'apophyse styloïde du même os : 135 millimètres. La
région
carpométacarpienne : 9 centimètres. Le médius : 8
mbilic et le pubis est couverte de poils. Il en est de même pour la
région
pubienne et les aisselles. Les omoplates sont b
aisselles. Les omoplates sont bien développées (1 cent.). Dans la
région
lombaire on constate l'ensellure caractéristique.
évelop- pées. Les poils de la barbe plus rares du côté droit sur la
région
massétériue et sur la joue. Dans la région ment
res du côté droit sur la région massétériue et sur la joue. Dans la
région
mentonnière ils sont assez abondants. La longue
moplate, et la tête de son apophyse épineuse : 14 centi- mètres. La
région
vertébrale interscapulaire est légèrement excavée
s. La région vertébrale interscapulaire est légèrement excavée. Les
régions
dorsale inférieure et lombaire forment une vérita
inférieure et lombaire forment une véritable cyphose. Par contre la
région
sacrée est excavée et les muscles de la masse lom
e courbure à concavité interne. Entre l'extrémité postérieure de la
région
calcanéenne et l'extrémité unguéale du gros ortei
ésente un calus consécutif à une fracture. Le dos' est plat dans sa
région
dorsale, mais présente l'ensellure lombaire car
: 123 centimètres. La moitié de la taille au lieu de tomber vers la
région
pubienne tombe au voisinage de l'ombilic (la dist
a- nulations pigmentaires. Leur volume semble réduit dans certaines
régions
bien que l'atrophie ne soit pas manifeste. On
ien que pas trop nombreuses. On trouve, dans ces organes aussi, des
régions
avec infiltration microcellulaire. Nous n'avons p
xamen des divers clichés radiographiques se rapportant à toutes les
régions
du squelette montre qu'il existe une exagératio
ien à une suite encépha- lytique, qui blesse symétriquement la même
région
en ces cas dans lesquels la symptomatologie se
nt-bras fléchi à angle droit en rotation interne et le fixât sur la
région
lombaire. Les auteurs décrivent la position des o
re considérée comme un état pathologique de la musculature de cette
région
. Dans cette position des extrémités supérieures,
en per- çues. Le sujet n'a point de paresthésie des membres; sur la
région
des omo- plates, il sent de temps en temps un f
en maintenant solidement avec la paume de la main, nous sentons la
région
reprendre sa forme normale Chose cu- rieuse, l'
présente une déviation à gauche. Avec le diagnostic, « tumeur de la
région
du Ville droit (Kleinhirnbrûcke- winkeltumor) s
et augmentation de la pression du liquide céré- bro-spinal dans la
région
lombaire ? Dans nos deux autres cas ainsi que d
nt, tuméfiées; dans quelques préparations on pouvait même noter des
régions
absolument privées de fibres. L'absence de dégé
la dégénérescence des faisceaux antérieurs et latéraux, et dans les
régions
isolées aussi la dégé- rescence des racines ant
égénérescence nette des racines postérieures, plus marquée dans les
régions
cervicale et lombaire. Ce même auteur a attiré
rtout marquée dans le premier cas sur les coupes appar- tenant à la
région
lombaire. Les lésions ci-dessus décrites présen
s au-dessus du niveau de la mer. Il est à remarquer que dans, cette
région
on trouve des goîtreux en grand nombre. Au reto
rrhée. Amaigrissement, pouls 88, goitre mou, transpiration dans les
régions
indemnes de sclérodermie. L'auteur est d'avis que
t devenues continuelles, la peau et même le tissu sous-cutané de la
région
prérotulienne se sont endurcis. La figure n'a
ches de vitiligo sont très visibles notamment sur le front, sur les
régions
temporales et sur le cou. Le nez est un peu effil
le gauche; les lèvres sont plutôt effilées et minces. La peau dé la
région
faciale est un peu épaissie et peu mobile, la muq
s et sans adhérences aux plans plus pro- fonds. Les muscles de la
région
cervicale antérieure sont tendus ; à la palpation
fosses sus-claviculaires, la saillie des acromions. On note dans la
région
sternale une plaque de sclérose en bande horizo
e ; cette bande sclé- reuse, qui siège justement à la hauteur de la
région
axillaire, atteint 20 centi- mètres de longueur
es semblent évoluer parallèlement (Voir Fig. 2, PI. XLIII). Dans la
région
dorsale du poignet il existe des deux côtés nne i
t deux grandes plaques à la face antérieure des deux genoux dans la
région
prérotulienne ; ces plaques ont une dimension d
tion. A leur niveau l'on sent que le tissu cutané est adhérent à la
région
sous-jacente, et aux pourtours de ces plaques sur
dans les formes myopathiques. En regardant toujours de profil cette
région
, l'on perçoit encore que les tendons achilléens s
la malléole interne. Cette sclérose du tendon achilléen donne à la
région
un as- pect tout spécial que l'on peut voir dan
tandis que la sensibilité au chaud est légèrement diminuée dans les
régions
sclérosées. L'aponévrose plantaire est rétracté
ons X. Avant-bras (position latérale côté cubital).-Au niveau de la
région
dorsale du poignet et encore tout au long du ti
gitudinal et qui correspond parfaitement à la bande scléreuse de la
région
dorsale du poignet que nous avons décrite plus ha
alie^ 298 BÉHTOLOTTI Genoux (position latérale). -Au niveau de la
région
prérotulienne l'on re- lève distinctement une t
ibio-tarsienne (position latérale). - Dans la radiographie de cette
région
l'on voit, nettement individualisé, tendon achill
s métatarsiens. Crâne (position latérale). La radiographie de cette
région
nous a montré l'existence d'une dilatation nett
e, jus- qu'à présent, il n'y ait pas disparition des rides de celte
région
. A propos du facies nous faisons remarquer l'ex
l est plus grand en avant (5 cm.) pour atteindre le maximum dans la
région
des flancs (8 cm.). Cette région est lisse comme
pour atteindre le maximum dans la région des flancs (8 cm.). Cette
région
est lisse comme le reste des tégu- ments. Sa co
le, thermique et à la douleur est diminuée dans cette zone. Dans la
région
verté- brale, à peu près au niveau de-la 3e ver
avec le tiers moyen. Une sem- blable tache s'observe aussi dans la
région
inférieure gauche de la nuque. On observe égale
ache est entourée d'une zone où la pigmentation est diffuse.Dans la
région
mastoïdienne gauche on trouve égale- ment une t
in une autre tache se trouve dans la partie antéro-supérieure de la
région
temporale. Celle région est couverte par des ch
ouve dans la partie antéro-supérieure de la région temporale. Celle
région
est couverte par des cheveux blancs. On trouv
che marbrée ayant les dimensions d'une pièce de deux francs dans la
région
su péro-i nterne de l'avant-bras gauche. Le liq
igo et dans la moelle duquel on trouva une tumeur névroglique de la
région
centrale. En outre, d'après Delmas et Roger, le v
ec une lésion bilatérale des groupes d'origine du sympathique à une
région
déterminée de la moelle épinière. Les trouble
vie foetale aurait pu peut-être favoriser cette topographie pour la
région
abdominale, mais cette explication ne pourrait
lui oppose la cicatrisation. Les images que l'on observe dans cette
région
du nerf sont d'un polymor- phisme qui défie tou
coupes les plus supérieures, l'écorce et la substance blanche de la
région
operculaire sont en grande partie détruites, dava
extrémité postérieure, et plus haut la lé- sion se prolonge dans la
région
intermédiaire au gyrus supramarginalis et au pl
La substance blanche de l'hémisphère a complètement disparu dans la
région
insulaire, elle ne persiste que dans les région
ent disparu dans la région insulaire, elle ne persiste que dans les
régions
de l'insula, dont l'écorce a été épargnée ; on
rontale, aussi bien au niveau du pied, qu'au niveau du cap et de la
région
orbitaire (PI. LI, d). Les fibres de la couronn
ceau longitudinal inférieur ont été partiellement atteintes en deux
régions
: 1° dans ses irradiations les plus antérieures e
e dans les coupes qui passent par 350 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS la
région
sons-thalamique, la cavité est limitée, dans la p
nt encore interrompues par la lésion. Sur les coupes passant par la
région
thalamique, le faisceau reste épargné et consti
ieure du noyau externe du tha- lamus (PI. L, A). Dans toute cette
région
les limites antérieure et postérieure de la cavit
celle-ci les foyers de ramollissement inté- ressaient à la fois la
région
motrice et la région sensorielle de la zone du
de ramollissement inté- ressaient à la fois la région motrice et la
région
sensorielle de la zone du langage comme nous l'
. a. Hémisphère gauche de Fourn... - Coupe horizontale passant par la
région
sous-thalamique. - Destruction de la plus grand
e est fine. La tête est un peu grosse et en pointe (acrocéphalie). La
région
mammaire est relativement développée. Les organ
es des muscles voisins et plus particuliè- rement des muscles de la
région
moyenne de la face. Mais comme tous ces muscles
pagnée d'une contraction synergique aussi brusque des muscles de la
région
naso-labiale du même côté : ainsi sera constitu
e, celle de la lèvre inférieure, an contraire, plus étendue que les
régions
homologues [du côté opposé. Le menton lui-même es
lle des autres muscles. Il en est de même si on percute à droite la
région
sus-orbitaireou l'apophyse zygomatique avec le
uscles de la face... En outre, l'application de l'électrode sur une
région
déterminée de l'apophyse zygomatique droite pro
arqué qui est suivi lui-même d'un frémissement très appréciable des
régions
marquées 4 et 5 sur la figure. Dans l'occlusion
ste en une contraction fibrillaire, plus ou moins évidente, dans la
région
mentonnière du côté correspondant à la lésion, co
toute l'étendue du peau- cier ; ils sont plus rares au niveau de la
région
inférieure et externe des joues; ils sont excep
r une dizaine de corps semblables, siégeant pour la plupart dans la
région
occipitale et quelques-uns (deux ou trois dont un
lisée. Cette poussée revêtait des caractères différents suivant les
régions
du corps.Sur le thorax et les mem- bres c'étaie
uselé féminin. Malgré le développe- ment de la graisse en certaines
régions
, la peau n'est nullement infiltrée com- me cell
du nez. La peau* du visage n'offre pas de rides anormales. Dans la
région
du front et des commissures palpébrales elle est
ésente à peine le volume d'un doigt. Il n'existe aucun poil dans la
région
pubienne. Le malade n'a jamais eu ni désirs sexue
ALPFTRILRE. T. XXVI. Pl. LVIII DIABÈTE INSIPIDE ET INFANTILISME
Région
de la selle turcique vue de profil par la région
DE ET INFANTILISME Région de la selle turcique vue de profil par la
région
temporo-faciale droite. (P. Lereboullet, M. Fau
s reste cantonné comme l'a montré Gudden (8). Quoi qu'il en soit la
région
ossifiée ne se développe plus parallèlement ave
læ alaise. On ne voit pas l'invasion de l'atrophie aux mains ni aux
régions
thénar, hypothénar, ni aux interosseux. Il semb
mble que l'atrophie ait commencé par la racine des membres, dans la
région
scapulo-humérale. Les muscles des mollets sont
s plus loin comment se modifie le tissu névroglique en allant de la
région
lésée vers la périphérie. Nous rencontrons d'abor
autonome et son développement en dehors du type de structure de la
région
donnée du cerveau; '1° le fait qu'il perd sa fo
n'obtenons ordinairement qu'une certaine partie de fibrilles de la
région
donnée revêtue de substance collagène (fibres col
traver la circulation lym- plraticluc. Mais si nous avons dans la
région
motrice comme dans le cas donné le développemen
ui suit : le gliaspongium en se contractant pompe la lymphe vers la
région
périphérique lésée où cette dernière, trouvant un
re (poids : 377 gr.) on avait au contraire enlevé une portion de la
région
fronto-temporale de la base. Re- marquons que m
tée il une vertèbre et une cyphose à large rayon étendue à toute la
région
dorsale. La selle turcique qui se lrouve juste
té elle- même. Cette dilatation transversale n'est pas limitée à la
région
pariétale : on trouve une dilatation peu près s
résentée par la base ; le centre de courbure serait au niveau de la
région
qui subit l'enfoncement absolu ou . relatif, c'
ues sans spasmodicité, parla flexion des orteils, les muscles de la
région
antéro- externe de la jambe restant flasques. M
de bien vouloir faire l'exploration élec- trique des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe : il n'existe à leur
ominance unilatérale, très localisée, portant sur les muscles de la
région
antéro-externe de la jambe. L'unilatéralité de ce
-dire du côté malade, une inexcitabilité complète des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe : l'existence de trace
phénomènes de paralysie qui, localisés au niveau des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe du côté gauche, auraie
inflamma- tion n'est pas suffisante pour réaliser ce syndrome. « La
région
enflammée, écrivent ces auteurs, doit être circ
14 mars 1912. Le malade vient à l'hôpital pour des douleurs dans la
région
lombaire et impotence fonctionnelle des membres
thermique et douloureuse, est abolie aux membres inférieurs et à la
région
abdominale inférieure jusqu'à deux travers de doi
e sens articulaire sont tout à fait abolis pour le squelette de ces
régions
. On constate de la part des réservoirs la parés
On constate deux eschares du diamètre d'une pièce de 5 francs à la
région
fessière. L'évolution de la maladie pendant l
e qui font un réel contraste avec la substance environnante. A la
région
médullaire terminale, on trouve les racines sacré
achectique. La motilité des membres supérieurs est normale. Dans la
région
lombaire gauche, on remarque une tuméfaction so
aire gauche, on remarque une tuméfaction solide, qui fait que cette
région
entière se trouve élevée de 3-4 centimètres au-
des douleurs intenses dans les membres inférieurs, surtout dans la
région
postérieure. Comme état général nous notons, à
légie - et l'examen indi- quait presque toujours une lésion dans la
région
inférieure de la moelle. Dans 20 cas, sur les 6
s on constate [ou-* jours des coagulums librineux occupant diverses
régions
delà surface- dû névraxe. Le liquide extrait pa
ière générale, comment elles sont disposées à la surface du corps. La
région
du crâne présente quatre ou cinq pustules, petite
oite des lè-vres; l'autre enfin au-dessous de la lèvre inférieure. La
région
de la nuque est entièrement couverte par une larg
s, dont quelques-unes sont ombili-quées, à la partie supérieure de la
région
du dos; quatre petites pustules non ombiliquées s
mbiliquées sur la fesse gauche; trois pustules non ombiliquées sur la
région
antérieure de la poitrine. Les membres inférieu
ge dans le grand cul-de-sac de l'estomac ; l'autre au voisinage de la
région
pylorique. — Vœsophage, le pharynx, le larynx, la
térieure de l'oreille gau-che. Le cou ne présente pas de pustules aux
régions
antérieure et postérieure; mais on en voit de-
stérieure; mais on en voit de- nombreuses et de volumi-neuses sur ses
régions
latérales, surtout au niveau du pavillon de l'ore
de l'oreille gauche; ces groupes occupent presque toute l'étendue des
régions
latérales du cou; mais ils sont plus rapprochés d
us rapprochés du pavillon de l'oreille que du moi-gnon de l'épaule.
Région
thoracique antérieure: deux volumineuses pustules
e: deux volumineuses pustules symétriquement disposées, au centre des
régions
pectorales, de chaque côté. Région abdominale ant
iquement disposées, au centre des régions pectorales, de chaque côté.
Région
abdominale antérieure : dix pustules dissé-minées
ustules dissé-minées irrégulièrement, dont trois très volumineuses.
Régions
thoracique et abdominale postérieures : cinq pust
de plusieurs pustules secondaires, et occupe la partie centrale de la
région
lombaire. Trois petites pustules existent sur la
entrale de la région lombaire. Trois petites pustules existent sur la
région
antérieure du scro-tum. Cinq grandes pustules son
on les méconnaisse. — Dans Ja néphrite avec phénomènes typhoïdes, les
régions
rénales sont doulou-reuses, au moins à la pressio
s douleurs vives de la nuque, une roideur prononcée des muscles de la
région
postérieure du cou (Forget, Tourdes (557) et Boud
iblement, son impulsion n'est pas perçue par la main appliquée sur la
région
précordiale, ou bien elle l'est à peine ; les bru
ure des extrémités s'abaisse. —Des escharres se forment, surtout à la
région
sacro-coccygienne, tout comme dans la fièvre typh
ïde (Jenner). On les a vues se produire à l'occiput, aux talons, à la
région
trochantérienne, à la région des omo-plates, aux
e produire à l'occiput, aux talons, à la région trochantérienne, à la
région
des omo-plates, aux parties du dos qui correspond
; puis, le murmure respi-ratoire s'affaiblit de plus en plus dans les
régions
qui corres-pondent aux parties les plus déclives
ons, et la percussion fait reconnaître alors qu'il y a dans ces mêmes
régions
une obscurité du son parfois très marquée. Tous c
Les taches, celles-là principalement qui occupent le pli du coude, la
région
de l'aine, le dos, éprouvent encore une transform
oit un simple sentiment de gêne, soit de véritables douleurs dans les
régions
des aines et des ais-selles, qui présentent en mê
la température du corps paraît à peu près naturelle, si ce n'est à la
région
précordiale, où la main du médecin perçoit un sen
s pestilentiels peuvent, à la ri-gueur, se développer dans toutes les
régions
du corps où il existe des ganglions lymphatiques
uemment aussi dans le creux axillaire ; ils se montrent rarement à la
région
cervicale, plus rarement en-core dans le creux po
bubons apparaissent à l'aine, dans le pli du flanc, au cou, dans les
régions
sous-glos-siennes et sous-parotidiennes ; des pét
de larges ecchymoses ; les ganglions lymphatiques du mésentère, de la
région
lom-baire, de l'entrée du bassin, ceux des membre
t apparemmeni les épidémies mobiles, celles qui se propagent dans les
régions
les plus éloignées du foyer primitif, malgré tout
, cette peste a dé-vasté, presque sans relâche, à peu près toutes les
régions
du monde alors connu. Les dénominations de Mordus
la peste par-courut toute l'Europe, et elle y pénétra jusque dans les
régions
les plus septentrionales. On la vit, dit-on, l'an
invasion, des douleurs plus ou moins vives sié-geant à la tête, à Ja
région
lombaire, dans les membres. Ils ont de l'inappéte
tes, r. vin, Maladies infectieuses. 9 colonne vertébrale jusqu'à la
région
du cou; la douleur arthritique occupe surtout les
s les cas légers, c'est de la bile qui est ainsi rendue. Cependant la
région
de l'estomac est comme disten-due, le malade y ép
c les mêmes caractères essentiels, en Europe et en Amérique, dans les
régions
tempérées et sous les tropiques. Mais à titre de
et anxieuse. La température du corps est naturelle, si ce n'est à la
région
précordiale où elle est très élevée, brû-lante. L
a langue est nette, la peau est fraîche ou obscurément chaude dans la
région
de l'estomac et du foie: l'esprit est libre, les
OGRAPHIE MÉDICALE. Le véritable foyer de la fièvre jaune, c'est une
région
du Nouveau-Monde -comprise entre le 3° et le 33°
déjà par M. Cazalis, occupent, comme on sait, le plus communément la
région
lombaire. Dans les cas où ils déterminent le ramo
ce genre, l'altération cancéreuse des vertèbres, à peine accusée à la
région
lombaire, portait spécia-lement sur les vertèbres
l'éruption de zona qui, aune certaine époque, s'est produite dans les
régions
de la peau auxquelles se distribuent les filets n
e la moitié droite du cou et de la nuque. — Erup-tion de zona sur les
régions
douloureuses, répondant au rameau du plexus cervi
rième vertèbre cervicale ; — alté-rations des ganglions spinaux de la
région
cervicale droite ; — exa-men histologique de ces
occupent l'épaule droite, la moitié droite du cou et de la nuque, la
région
sus-claviculaire du côté droit. Ces douleurs, qui
ssez uniformément répandus et très rappro-chés sur la nuque et sur la
région
sus-claviculaire ; quelques-uns se voient dissémi
oignon de l'épaule, sur la partie la plus inférieure de la joue et la
région
mastoïdienne, et enfin sur la région sous-clavicu
plus inférieure de la joue et la région mastoïdienne, et enfin sur la
région
sous-claviculaire même, au-delà du bord supérieur
minées dans le foie. Les corps des vertèbres ont subi dans diverses
régions
la dégé-néralion cancéreuse, mais l'altération es
égé-néralion cancéreuse, mais l'altération est surtout prononcée à la
région
cervicale. Ici la colonne vertébrale paraît tuméf
place dans le canal rachidien, avec le plus grand soin, surtout à la
région
cervicale. Les racines, ainsi que la moelle, n'on
mi-croscope. Les canaux de conjugaison ont ensuite été ouverts à la
région
cervicale, à droite et à gauche, de manière à per
douleur dont il puisse préciser le siège, si ce n'est au ni-veau delà
région
rénale gauche, où il éprouve depuis longtemps, di
disposée sous forme de grandes taches dont chacune recouvre toute une
région
du corps. L'une d'elles enveloppe le cou dan; tou
entent une cou-leur normale. La teinte bronzée est très foncée sur la
région
laté-rale du thorax ; elle l'est moins à la régio
très foncée sur la région laté-rale du thorax ; elle l'est moins à la
région
du dos. Ces plaque; brunes ne se limitent pas par
lement, les unes vers la partie antérieure du cou, les autres vers la
région
abdominale. Ils sont réunis entre eux par des sil
observée par M. Basset, interne à la Pitié, présenta une tumeur de la
région
hypogas-trique qui faisait aussi saillie par le v
es, situé entre le tégument externe et le péritoine, s'étendant de la
région
précordiale à l'om-bilic. A côté de ce kyste, tou
ic. A côté de ce kyste, toujours au-dessus de l'ombilic, mais dans la
région
du foie, on en trouve un autre du môme volume, to
ions sanguines locales, et avec elle la douleur à la pression dans la
région
du kyste, laquelle s'était de nouveau manifestée.
ons exercées sur l'abdomen, une tumeur persistait encore dans cette
région
. Enfin, nous assistons à une guérison incomplète,
; en effet, sur 43 cas de kystes hydatiques déve-loppés dans diverses
régions
du corps, et relatés dans les Bulle-tins delà Soc
tonéal du petit bassin que, suivant nous, les kystes hydatiques de la
région
pelvienne prennent le plus souvent naissance ; ch
t vers le bassin, ils diffèrent assez des véritables tumeurs de cette
région
pour qu'on les étudie à part. 3° Dans les kyste
le, en effet, ne se rencontre dans les divers kystes hydatiques de la
région
qui nous occupe. Quanta la voie par où s'élimin
yda-tiques du petit bassin et aux autres tumeurs enkystées de la même
région
. Nos tumeurs ont cependant quelques signes pathog
ladie sont de l'oppression et une douleur sourde et pro-fonde dans la
région
du foie. Cette douleur s'étend parfois vers l'épa
tre depuis deux jours ; douleur très vive à la pression dans toute la
région
de l'abdomen, mais bien plus prononcée à droite,
nte pas plus haut qu'à l'état normal, et qu'il existe au niveau de la
région
splénique une matité très étendue et très considé
Jamais, assuré le malade, il n'y a eu d'ictère, ni de douleur dans la
région
du foie. Lors de son entrée, on constate chez le
bdomen existe une tumeur considérable siégeant principalement dans la
région
du flanc droit et dont la partie supérieure, qui
onté à deux travers de doigt au-dessus de l'ombilic. En même temps la
région
de l'hypochondre droit s'affaissait assez rapide-
hondre droit s'affaissait assez rapide-ment, et il se formait dans la
région
correspondante, du côté gauche, une tuméfaction f
examen ultérieur et attentif des kystes hydatiques pris dans diverses
régions
, nous a permis de constater qu'il existait des éc
ie, commencèrent à se manifester des engorgements ganglion-naires aux
régions
sous-maxillaires. Jamais ces engorgements 1. Ex
pendant les repas, tantôt dans leur intervalle, une vive douleur à la
région
épigastrique, et cette douleur, semblable à celle
ement considérable ; engorgement ganglionnaire assez volu-mineux à la
région
sous-maxillaire du côté droit. Le malade tousse l
important à noter. L'abdomen est manifestement gonflé, surtout à la
région
de l'estomac. En cet endroit existe une sonorité
le vomissement. Par la palpation, prati-quée avec soin dans toute la
région
de l'estomac, on ne découvre aucune tumeur, et le
oite et en haut. On constate de nouveau l'absence de tumeur dans la
région
de l'estomac. La douleur fixe et spontanée épigas
jamais eu les caractères des selles san- glantes. La douleur de la
région
rachidienne, douleur que M. le professeur Cruveil
e. — Sérosité abondante dans la cavité abdominale. — Adhérences de la
région
pylorique de la face inférieure du foie. — Rétréc
endue, et, dans ce cas, la palpation fait reconnaître au niveau de la
région
de l'estomac un gargouillement stomacal très pron
ochondre gauche est très sonore, ainsi que la partie supérieure de la
région
épigastrique. La région ombilicale au contraire,
sonore, ainsi que la partie supérieure de la région épigastrique. La
région
ombilicale au contraire, ainsi que le flanc gauch
tefois, la grande courbure arrive à un pouce environ de l'ombilic. La
région
pylo-rique de ce viscère adhère intimement à la f
cause ailleurs. Peut-être avait-il existé autrefois, au niveau de la
région
du pylore, une ulcération de la membrane muqueuse
t l'existence d'un tissu cicatriciel. Ce n'est qu'avec peine que la
région
pylorique de l'estomac et que le commencement du
l'ampliation de l'estomac coïncidait avec une adhérence intime de sa
région
pylorique avec la face inférieure du foie. Sans d
diatement après la naissance qu'il présente sur le flanc gauche et la
région
supérieure de la cuisse du même côté, une large e
le aggrava-tion de l'état morbide : l'application des cautères sur la
région
dorso-lombaire et la faradisation elle-même parai
'était une douleur de brûlure qui se manifestait brusquement dans une
région
plus ou moins limitée et qui disparaissait presqu
titué à la Charité a consisté dans l'application de six cautères à la
région
dorso-lombaire et dans l'emploi de l'é-lectricité
t accompagné d'une rougeur sombre, qui s'est ma-nifesté au niveau des
régions
métacarpo-phalangiennes des deux mains ; ce gonfl
eurs, puis dans les membres inférieurs, et presque aussitôt, dans les
régions
cervi-cale et dorsale ; ces douleurs étaient très
n et la dé-glutition deviennent très embarrassées. La faiblesse de la
région
lombaire devient telle que la malade ne peut plus
tact est aussi très obtus sur le tronc. Les masses musculai-res de la
région
postérieure du tronc ont encore bien peu de vi-gu
sez vives, tantôt sur les bras, tantôt sur les jam-bes, tantôt sur la
région
dorsale où l'on voit une éruption lichénoïde disc
cette période dont la durée est de deux mois, a été : sangsues sur la
région
spinale, — frictions irritantes sur les membres i
ts debout, sans soutien. Hier, douleurs, comme coups de hache dans la
région
des reins ; jamais elle n'a ressenti de douleurs
le commença à éprouver des douleurs dans les membres inférieurs et la
région
lombaire, puisbientôt une faiblesse et une incoor
ié. Là elle subit trois applica-tions successives de cautères sur les
régions
latérales de la co-lonne vertébrale, et ce traite
g dans les crachats ; coliques, diarrhée ; violentes douleurs dans la
région
hypogastrique, dysurie, urines purulentes. Cette
culaire est conservée, mais elle est affaiblie dans les muscles de la
région
jambière antérieure. Sensibilité musculaire dimin
ersant verticalement l'abdomen; douleurs contusives violentes dans la
région
lombaire ; outre ces douleurs qui ont une certain
uis son admission à la Salpètrière. Les douleurs des membres et de la
région
lombaire ont presque entièrement disparu. De temp
hait une partie qu'elles ne pouvaient voir, par exemple la peau de la
région
lombaire. Nous sommes portés à penser que cette d
lement. Une sensation d'ardeur plus ou moins pénible, siégeant à la
région
épigastrique, s'est montrée, chez une malade, que
devinrent le siège de douleurs très violen-tes qui s'étendirent à la
région
lombo-dorsale. Outre des souffran-ces continues,
utres moyens, on employa pour la com-battre des cautérisations sur la
région
antérieure du thorax, à l'aide du marteau de Mayo
ru-rigo sur les membres supérieurs et inférieurs, principalement à la
région
antérieure des jambes, éruption accompagnée de tr
amelons, est de 53 centimètres. On note une légère dépression de la
région
sternale; il n'y a pas de chapelet rachitique.
, l'aréole est pâle et a près d'un centimètre de diamètre. Toute la
région
pecto- rale est infiltrée de graisse. Organes
onclusion la systématisation des lésions, z leur évolution dans une
région
définie, leur développement suivant une loi phy
ieure, il suffit maintenant d'exciter le bord du sillon de Rolando,
région
qui, antérieurement, était tout à fait insensib
ion sont- ils enlevés à leur tour, ils se reforment encore dans les
régions
voisines de l'écorce, jusque dans le territoire
ERVEUSE. symptômes infectieux, par de l'atrophie avec parésie de la
région
qui englobe le bassin, les lombes, la cuisse, e
substance blanche sous-corticale, avec constante loca- lisation aux
régions
motrices (hémiplégies, monoplégies, aphasies);
accompagnant les affections organiques du cerveau, affections de la
région
cortico-motrice, il appert que la lésion 58 REV
aires; à l'âge de neuf ans, il reçut un coup de pied de cheval à la
région
sus-orbitaire gauche; le crâne fut frac- turé,
ni du nerf optique. La céphalalgie était continue et siégeait à la
région
frontale gauche. L'hébétude mentale était très
is mois de suppuration. Quatre ans plus tard, douleur vive dans les
régions
pariétale et occipitale gauches : attaque de pe
tisme ancien, dont la trace demeure apparente, c'est-à-dire dans la
région
correspondante à la partie moyenne et supérieure
oreille malade. On fit des cautérisations ponctuées au niveau de la
région
mastoïdienne, on améliora enfin l'état local et
éjà à d'autres troubles hallucinatoires. En résumé, la lésion de la
région
du pli courbe aurait donné nais- sance à des se
ughes Bennett a a rapporté un fait intéressant de traumatisme de la
région
pariétale droite, ayant donné lieu à des attaqu
eur attribue les sensations lumineuses et la cécité à la lésion des
régions
pariéto-occipitales; en tout cas, la trépanatio
sation produite, mais aussi sur les phéno- mènes vaso-moteurs de la
région
soumise à son influence. Il se produit un abais
conclusions sui- vantes que nous traduisons textuellement : « La
région
cérébrale dans laquelle siègent le sentiment musi
l'encéphale. La question de savoir si son activité correspond à une
région
circonscrite du cerveau, demeure dou- teuse. Il
l'autopsie, en choisissant les plus saillants : légère atrophie des
régions
frontale et pariétale; sur le bord du lobe tempor
'audition. La longue dépression que l'on remarquait au niveau de la
région
pariétale gauche indiquait une lésion fort capa
il des actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque
région
fera connaître la date exacte d'ouverture de ch
ns son observation de la polyné- vrite alcoolique, remarqua dans la
région
dorsale de la moelle épinière une assez grande
atre cas de la polynévrite alcoolique. Dans le premier cas, dans la
région
du bulbe et de la protubérance, « aucun centre
ans sa seconde observation, Campbell remarqua la même chose dans la
région
du bulbe et de la protubérance ; quant à la.'mo
a sensibilité tactile, est amoindrie sur les pieds plus que dans la
région
de la jambe et de la cuisse. Certain mouvement
amen nous primes les nervi dorsalis pedis, peroneus, radialis (à la
région
du bras), ulnaris vagus et phrenicus et nous vî
ant de la névrite segmentaire. Examen microscopique de la moelle 1.
Région
lombaire. Sur les coupes transversales, sur les
rdons postérieurs a souffert le plus. Il faut dire que même dans la
région
, où le procès morbide est exprimé plus intensiv
rieurs, nous y trouvons beaucoup moins de fibres dégénérées qu'à la
région
de l'altération la plus intensive. Les fibres d
igure 15. DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. '185 La
région
dorsale présente les mêmes altérations que nous v
dire les cor- dons antérieurs et latéraux, il faut remarquer que la
région
dor- sale contient plus de fibres dégénérées, q
que la région dor- sale contient plus de fibres dégénérées, que la
région
lombaire ; surtout on voit la multiplication de
Renflement cervical '. Sur les préparations microscopiques de cette
région
, traitées par la méthode de Marchi et de Weigert,
colorées par le carmin, on voit 1 Voyez la figure 16. 1'iy. la.
Région
lombaire. Préparation, traitée par la méthode d
ont lésés dans le renflement cervical très peu comparativement à la
région
lombaire. Dans le faisceau de Burdach, la régio
mparativement à la région lombaire. Dans le faisceau de Burdach, la
région
qui est adjacente aux racines postérieures, don
. Sur les préparations microscopiques colorées par le carmin, de la
région
du renflement cervical, les faisceaux de Goll o
le reste de la substance blanche. Outre cela, nous voyons dans la
région
altérée une multiplication des vaisseaux et une c
servons ce tableau seulement dans les faisceaux de Goll, Fit. 16.
Région
cervicale. Préparation, traitée par la méthode
microscopiques colorées par la méthode de Marchi et prises de la
région
au-dessus du renflement cervical, les faisceaux d
ons postérieurs et les racines antérieures et postérieures. Dans la
région
lombaire le procès morbide a plus attaqué la po
rne des cordons postérieurs que la portion antéro-interne ; dans la
région
dorsale les faisceaux posté- rieurs sont altéré
Walther avait pratiqué la greffe thyroïdienne sous-cutanée dans la
région
sous-mam- maire avec un des lobes pris sur le m
nde thyroïde : ils in- troduisirent dans le tissu sous-cutané de la
région
mammaire, de chaque côté, la moitié d'une gland
anatomiques qui existent dans le cerveau de cellule à cellule et de
région
à région. R. M. C. IV. Dualité DE l'action céré
es qui existent dans le cerveau de cellule à cellule et de région à
région
. R. M. C. IV. Dualité DE l'action cérébrale; pa
nt conscient. Interrogé pour savoir s'il souffrait, il indiquait la
région
antérieure droite de la tête et répondait : « O
la cavité ventriculaire. Cet abcès n'intéressait pas directement la
région
motrice ; le pus était de couleur brun verdâtre
téressantes. Dans toute la substance blanche, mais surtout dans les
régions
qui sont le siège d'une sclérose par compressio
u côte gauche. Les circonvolutions de l'hémisphère gauche, dans les
régions
frontale et occipitale, sont très petites, flét
pitale, sont très petites, flétries et comme comprimées; celles des
régions
motrices, bien qu'atrophiées, ont un volume et
olutions de l'hémisphère droit sont plus volumineuses au niveau des
régions
motrices, mais légèrement atrophiées au niveau
un état pigmenté de la pie-mère qui revêt la moelle allongée et la
région
cervicale de la moelle, qui est assez commun ch
ase de l'apophyse mastoïde, tout le long des os de la face, dans la
région
du sinus frontal ; un second degré d'obscu- rit
ur augmentation de volume au contraire obnubilant le son dans cette
région
. P. Keraval. XXII. DE l'atrophie musculaire dég
forme fruste de paralysie générale. P. K. XXIII. UNE gomme dans la
RÉGION
DES tubercules quadrijumeaux; par G. ILllERG. (
hémisection produit une diminution bilatérale de la sensibilité des
régions
sous-jacentes; mais cette perturbation disparaît
- logiques du corps cellulaire. P. K. XXVI. DE la circulation DES
régions
DE la protubérance et DU pédoncule cérébral, ET
le cerveau. L'auteur étudie successivement les grosses artères des
régions
pé- donculaires et protubérantielles, les petit
laires et protubérantielles, les petites branches artérielles de la
région
pédonculaire occupant le côté externe, et pénètre
ensuite dans la profondeur. «Comme partout ailleurs, dit-il, les
régions
qui possèdent de la substance grise, sont bien
ffectant la direction perpendicu- laire. De ces rameaux-là, dans la
région
pédonculaire se détachent des branches médianes
rs, et, transversalement, aux noyaux rouges de la calotte ; 3° à la
région
du faisceau longitudinal posté- rieur ; 4° au n
eaux unissant les vaisseaux des parties latérales et médianes de la
région
des pédoncules cérébraux. La partie médiane du
s d'un côté à l'autre. Il est probable qu'entre les vaisseaux de la
région
médiane d'un côté et de la région médiane de l'
able qu'entre les vaisseaux de la région médiane d'un côté et de la
région
médiane de l'autre côté il y a des vaisseaux tr
édiane est donc un territoire autonome et isolé. On remarque que la
région
del'oczclo-n : otezar commun est celle qui est
visitée par un processus pathologique direct ou indirect. Or, cette
région
occupe à peu près la place du cerveau où les on
re cérébral opposé, mais elles s'en séparent avant d'entrer dans la
région
du tubercule bijumeau et se dirigent en dedans
ercule bijumeau et se dirigent en dedans pour gagner directement la
région
du noyau de l'oculo- moteur commun. Chez les ch
e du liquide céphalo-rachidien, pendant qu'on excite l'écorce de la
région
motrice du chien au courant induit ou à l'essence
es actes administratifs des préfectures du chef-lieu de chacune des
régions
déterminées par l'arrêté ministériel du 14 avril
cès, qui pourront être déclarés admissibles est fixé à six pour la
région
de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois p
on de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois pour chacune des
régions
de Lyon, Bordeaux, Nancy, Montpellier et Toulouse
ncours devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre de ces
régions
, devront adresser leur demande, sur papier timb
res, dernier délai de rigueur. Cette demande, qui devra indiquer la
région
dans laquelle le candidat veut subir le concour
des symptômes de pharyngite, et plus tard, de chaque côté, dans la
région
sterno- mastoïdienne, des engorgements ganglion
e est complètement dégénère à droite, tandis que, à gauche, dans la
région
du noyau de l'hypo- glosse, il n'est malade que
possibles, est amené à formuler les conclusions suivantes : 10 La
région
du noyau de l'hypoglosse donne naissance aux fi
cardiuaux, on rencontre 45 fois la douleur ou la sensibilité de la
région
occipitale : ce signe est douteux dans 30 cas; da
l'ataxie, l'asthénie musculaire, la douleur et la sensibilité de la
région
occipitale, la tendance de la démarche à inclin
ier cas, il s'agissait d'une méningo-encéphatite syphilitique de la
région
fronto-pariétale gauche. Le traitement dans ce
rébrale. Le chancellement vers la gauche indiquait un foyer dans la
région
des pédoncules cérébel- leux gauches ou dans le
re du malade. Il y a cinq mois, cet homme leçoit sur la tôle, il la
région
frontale, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. : 21ï -
nouveau, pour lequel le malade a consulté nombre de médecins de la
région
où il se trouvait, l'élé- ment psychique joue e
ère n'est pas la lésion primitive. - Il a trouvé les méninges des
régions
dorsale et lombaire atteintes par le processus
pathologique, et la dure-mère à ce niveau était intacte; si dans la
région
cervicale, là dure-mère participe aux lésions,
un coup de couteau reçu au niveau du segment postéro-inférieurdela
région
temporale droite, au point d'entre-croisement d
e façon symétrique en haut, atteignant le bras, et en bas jusqu'aux
régions
sacrée et lombaire. Ces régions présentent souv
ignant le bras, et en bas jusqu'aux régions sacrée et lombaire. Ces
régions
présentent souvent des plaques isolées à sensib
aisceau de Lissauer ; d). Légère sclérose du cordon de Goll dans la
région
cervicale; e). Disparition de la colonne de Cla
. droite. L'intégrité de la substance blanche correspondant à ces
régions
dans la capsule interne et le pédoncule laisse su
ons ascendantes et les scissures transversales centrales. Dans la
région
sus-sylvienne et pariéto-temporale, la seconde
inter-pariétale (ou scissure de Turner, selon M. Benedikt). Dans la
région
occipitale la seconde scissure de Leuret n'est pa
frontale. Elle manque dans la partie centrale et en général dans la
région
sus-sylvienne où elle est représentée par excepti
roisième scissure de Leuret, par exemple chez le chien. \ Dans la
région
temporo-occipitale, la troisième scissure de Leur
ée par Benedikt la scissure temporo-occi- pitale. Elle nait dans la
région
temporale et aboutit au pôle occi- pital (comme
e rudimentaire -chez les animaux. Les scissures transversales de la
région
centrale ne sont pas, selon Benedikt un privilè
rale par exemple chez les carnivores, en arrière et au milieu de la
région
dite « psycho-motrice », dont un bord antérieur
nt de l'endothélium (c). Fig. 3. Coupe verticale de la peau de la
région
oedématiée. Fentes lymphatiques dilatées (a) ;
(b) ; hémorragies (c). Fig. 4. Nerf de la peau dégénéré, pris à la
région
oedématlée. ' l'ill. 1, 2 et 3. - Grossissement
mes d'adénite, engorgement considérable 332 RECUEIL DE FAITS. des
régions
parotidiennes, fièvre intense; une vaste collecti
ion puru- lente se forme au côté gauche avec induration de toute la
région
du cou; après intervention chirurgicale, il s'é
d'une démence maniaque). Grave lésion inflammatoire intéressant les
régions
cervico-faciales. Suppuration abondante et de l
peut, chez l'animal adulte, provoquer des accès d'épilepsie. Les
régions
de la base, si tant est qu'elles participent à ce
contribuent surtout à en engendrer l'élément tonique. Ces dernières
régions
(protubérance et bulbe) pourront provoquer l'épil
n effet, le malade a perdu abondamment ses cheveux dans toute cette
région
qui, du reste, est hyperesthésiée, et il n'en r
e; mais, si on vientà comprimer plusieurs points douloureux dans la
région
du plexus lombaire, on exagère nettement cette
n, une sorte d'engourdissement en surface qui gagnait la peau de la
région
; bientôt survenait une sensation de brûlure, p
d'une poutre avec enfoncement de la boîte cranienne au niveau de la
région
frontale supérieure gauche. L'accès délirant su
xcepté), difficulté peu marquée de la déglutition, douleurs dans la
région
de la nuque et parfois dans ici ! gauche, tenda
des réflexes abdominaux, souffle systolique à l'auscultation de la
région
de l'apophyse mastoïde droite. - Après une long
sieurs foyers de ramollissement dans l'écorce; foyer étendu dans la
région
de l'ocu- lomoteur droit qui a détruit les cell
, le lobule lingual, les segments pos- térieurs des occipitales. La
région
située en arrière du pli courbe ne parait en re
de fibres myélogènes; les déchets finement grenus, épars en cette
région
, doivent tout naturellement être considérés comme
commissurales myélogènes dont les cellules originelles occupent les
régions
en dehors des surfaces section- nées, et aussi
la vient de ce que les fibres du corps calleux se rassemblent en la
région
dorsale de cet organe; puis, de là, gagnent ' V
la couche externe, aux parties homologues du segment inférieur. La
région
placée directement au-dessous de l'arc de cercl
oyau caudé. Le plus fort trousseau commun se trouve au-dessus de la
région
latéro-dorsale du ventri- cule latéral, point o
stituant un système d'association unissant entre elles les diverses
régions
du noyau caudé. Le faisceau subcalleux entoure
(Suivent des discussions de rapports et d'entre-croisements de ces
régions
.) L'auteur admet que le splenium fournit des fi
On obtient des ell'ets géné- raux et des effets gradués d'après les
régions
plus particulièrement L soumises à l'action vib
Nell1'olog, Ce)'c[/6 ? XIV, 1895.) L'écorce du cerveau contient des
régions
psychiques équivalentes entre elles de chacun d
externe, du trijumeau indiquant l'existence d'une tumeur dans la
région
protubérantielle qui donne naissance au noyau du
on constate des palpita- tions et des ondulations des muscles de la
région
, des adducteurs -.des cuisses, et véritable tum
x observations que l'interruption complète du ruban de Reil dans la
région
sublhalamique entraine une dégé- nérescence tot
du ruban de Reil. S'il y a complète interruption au-dessus de cette
région
(écorce, centre ovale), il n'y aura qu'atro- ph
d'où partent les fibres du ruban de Reil occupent lesenvirons de la
région
sublhalamique, et peut-être les zones basales de
Bern- hardt sur les paresthésies et sensations douloureuses dans la
région
du fémoro-culané. D'après sa clientèle, l'affec
e preuves certaines. Ltvoff. LVI. SUR la compression totale DE la
RÉGION
supérieure DE la MOELLE épinière; par EGGER, (A
e dorsale, la moelle a sa configuration nor- male. Sclérose dans la
région
des cordons postérieurs jusqu'au niveau de la d
om- baire et des segments antérieurs des cordons latéraux dans la
région
dorsale. Diminution du nombre de cellules dans le
s antérieures du renflement lombaire. Atrophie musculaire dans la
région
de l'éminence thénar droite. Atrophie et disparit
egrés seuls varient, attestant ainsi la sensibilité prévue de cette
région
et imputables à des affections antérieures ou a
, l'as- pect, les différences relatives de ces cellules suivant les
régions
de la moelle, du cervelet, de la substance cort
à laquelle se propage la lésion démontre qu'elle ne remonte pas aux
régions
corti- cales d'origine, et même qu'elle n'attei
mettant au contact avec les dendrites d'un autre neurone de cette
région
. Il en est de même de tous les neurones des com
ont volumi- neux ; leur bord inférieur forme un relief prononcé. La
région
pectorale droite est plus relevée que la gauche
large que la gauche. La partie comprise entre le bord inférieur des
régions
pectorales et le rebord des fausses côtes, nett
e à convexité dirigée à droite au niveau de la partie moyenne de la
région
dor- sale ; elle est rectiligne dans la partie
dor- sale ; elle est rectiligne dans la partie inférieure de cette
région
; enfin les deux dernières vertèbres dorsales et
de l'autre. 2° Côté droit. L'anesthésie occupe, à la main les mêmes
régions
sauf que l'éminence thénar a conservé la sensib
thésie avec conservation de la sensibilité tactile. Dans les mêmes
régions
, ci gauche, les différents modes de la sensibilit
coude à l'extrémité des doigts ; thermo- anesthésie dans les mêmes
régions
; analgésie depuis l'extrémité des doigts jusqu'
ne paralysie du membre inférieur gauche. Il semblerait donc que les
régions
motrices du cer- veau, correspondant aux membre
spondant aux membres inférieurs auraient été plus atteintes que les
régions
qui correspondent aux membres supérieurs. Les m
s, des avant-bras jusqu au voisinage du pli du coude. Toutefois, la
région
analgésique est un peu moins étendue, en ce sen
e, à la répion cervicale pour l'examen des membres supérieurs, à la
région
lombaire pour les membres inférieurs, l'électro
s de 2 centimètres de diamètre. Nous déterminons d'abord dans les
régions
saines la limite minima à laquelle le malade a la
. face dorsale, ainsi qu'à la plante du pied. Dans cette dernière
région
la diminution est surtout prononcée au niveau de
ut que : les fibres des pyramides qui, ne s'entre-croisant pas à la
région
de passage entre le cer- veau et la moelle, des
s olives. A la hauteur de l'entre-croisement des rubans de Reil, la
région
en 476 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
aversant la portion latérale du corps res- tiforme, se rendent à la
région
du noyau du cordon latéral. Et la section du co
ifs ou négatifs de l'excitation électrique ou de la destruction des
régions
qui contiennent des trousseaux dégénérés. Ainsi
cordons latéraux de la moelle. L'excitation de ce faisceau dans la
région
du vermis, et à l'extrémité centrale de la moel
s- sait voir un plan transverse lisse et poli de la moelle en celte
région
. Sur cette surface de section, plaçant légèreme
rv. et ment., n° 2, 1896.) - XC. SUR l'anatomie MICROSCOPIQUE DES
RÉGIONS
pédonculaires ET SUBTIIALAMIQUES chez l'homme;
rveux; il semble cependant que dans des cas particuliers, certaines
régions
soient atteintes de pré- férence. L'augmentatio
94. 504 TABLE DES MATIÈRES. Protubérance. De la circulation des
régions
de la - et du bulbe, par Shimamura, 229. Gliome
s, par Babcock, 1 il. TUBERCULES quadbijumeaux. Une gomme dans la
région
des -, par llberg, 228. Diagnostic entre les
t de l'endothélium (c). Firl. 3. Coupe verticale de la peau de la
région
oedématiée. Fentes lymphatiques dilatées (a); v
(b); hémorragies (c). Fig. 4. - Nerf de la peau dégénéré, pris à la
région
oedématiée. Fig. 1, 2 et 3. Grossissement de 75
os sous-jacents dessinant pour ainsi dire le squelette osseux de la
région
. Au niveau du menton, cet aspect est tout à fait
à peu près indemne. Nous emploierons dans ce but les révulsifs sur la
région
spinale, l'iodure, le bromure de potassium, le se
l'entrée, on constate à la vue une saillie en dos de fourchette de la
région
dorsale du poignet, d'ailleurs peu accentuée. En
paule en dehors et coupant environ par le milieu la tête numérale. La
région
interne du bras est insensible malgré les perfora
d'une simple compression d'un nerf, si l'on limitait son examen à la
région
de la main et du poignet. Cependant même en ces p
hystérogènes se voient, l'une sur le flanc droit, l'autre sur la même
région
du côté gauche. A l'occasion, notons l'absence du
par spasme vasculaire, suivie d'hyperémie, localisée surtout dans les
régions
pariétales, est la cause physiologique de la plup
èrement que cela ne se voit clans la migraine vulgaire, siégeant à la
région
temporale et, en outre, s'étendant tantôt à l'occ
u en février 1890. La douleur occupe d'abord la moitié droite de la
région
occipitale, dans l'étendue de la paume de la main
ression. Elle remonte bientôt, toujours limitée au côté droit, sur la
région
pariéto-temporale et pénètre enfin dans l'orbite.
ors d'un mal de tête qui se localise du côté droit, occupe d'abord la
région
occipitale, puis s'étend à la région pariétale et
du côté droit, occupe d'abord la région occipitale, puis s'étend à la
région
pariétale et enfin à la profondeur de l'orbite. C
grand accès. Violentes douleurs de tête localisées à droite dans les
régions
indiquées à propos des deux premières attaques. V
u'il conservât un peu, sur certains points, l'impression du doigt. La
région
était cyanosée, violacée, parsemée de marbrures d
violacée; le gonflement persistait ainsi que le refroidissement de la
région
malade. Mais un phénomène nouveau avait apparu :
in gauche, un autre au niveau du vertex, le troisième au niveau de la
région
ovarienne gauche. Vous voyez ici, Messieurs, l'
existe : chez notre homme, au lieu d'une anes-thésie complète dans la
région
de la main et de l'avant-bras, il y a conservatio
parente et due à l'augmentation considérable de la résistance dans la
région
anesthésique. Anesthésie complète pour le tact,
ssu sous-cutané consécutives à tous les mauvais traitements que cette
région
a subis depuis 7 mois. Il y a au-dessous de la ro
loin en arrière que de coutume, les condyles fémoraux. La peau de la
région
est fortement pigmentée, épaissie, couvertes de c
ont douloureux comme précédemment. Douleur vive à la pression dans la
région
de la cuisse. 19 février.— L'hypoesthésie a dis
à la jambe; à la cuisse elle s'est trans- formée, ainsi que dans la
région
du genou, en hyperesthésio cutanée très vive. 2
froidissement de la jambe malade. L'électrisation des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe ne produit aucune cont
plus probante peut-être, en ce que l'état de chacun des muscles de la
région
antéro-externe de la jambe est indiqué par l'expl
s froid, comme engourdi. L'exploration électrique des muscles de la
région
antéro-externe (jambier antérieur, extenseurs com
malade avait encore son anesthésie et une atrophie des muscles de la
région
antéro-externe telle qu'il y avait une différence
dans l'abduction. A la vue on remarque une dépression notable do la
région
correspondante aux muscles jambier antérieur et e
l'extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la
région
antéro-externe de la jambe et anesthésie dans la
ste à la région antéro-externe de la jambe et anesthésie dans la même
région
. Egalement anesthésie sur le dos du pied, moins u
ils. A la plante du pied, légère altération de la sensibilité dans la
région
des orteils; le reste de la voûte plantaire est u
acte à la plante du pied et dans toute l'étendue de la jambe, sauf la
région
que nous avons indiquée. » Point douloureux pér
t insensibles ; au contraire sous la même influence les muscles de la
région
postérieure et de la cuisse réagissent énergiquem
des jambes. Il n'a jamais subi d'opérations chirurgicales en aucune
région
du corps. Son état actuel est le suivant : Il p
t du sciatique, a complètement disparu. A la pression, dans les mêmes
régions
, la douleur est à peu près nulle, sauf peut-être
s musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergique sur la
région
des muscles extenseurs n'éveille non plus aucune
e douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette
région
. Ces douleurs ont duré six mois environ, sans qu'
ouleurs du genou ont reparu et se sont propagées à la cheville. Cette
région
était enflée et violacée. A ce moment pas de doul
tuellement, elle se plaint surtout de douleurs vives au mollet. Les
régions
douloureuses à la pression sont les points fessie
leur début). Elle se plaint également d'engourdissements de toute la
région
antéro-externe de la jambe gauche. A première v
semble qu'il existe un certain degré d'atrophie des muscles de cette
région
. Mais les dimensions de la jambe n'ont pas beauco
face externe de la jambe. Sensibilité du froid diminuée dans la même
région
. Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux :
M. Vigouroux : Pas d'ano- malie de réaction dans les muscles de la
région
antéro-externe de la jambe. La malade ayant par
droite. — Paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles de la
région
antèro-externe de la jambe. Mart..., cinquante
Nerf tibial antérieur (branche du poplité externe). à la peau de la
région
externe de la jambe, suivant une bande beaucoup p
, le point fessier, le point trochantérien ; un point au niveau de la
région
sacrée. Ces douleurs ont persisté, avecexacerbati
s irradiations douloureuses au mollet, et une douleur au niveau de la
région
sacrée. Elle se plaint de fourmillements, d'éla
de fourmillements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la
région
postérieure de la cuisse. On constate un amaigris
ure 1 centimètre et demi de moins à droite qu'à gauche. A la jambe la
région
antéro-ex-terne surtout, mais aussi les muscles d
d une véritable paralysie des extenseurs et de tous les muscles de la
région
antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réac
faitement sentis. Au niveau du membre inférieur droit, sauf dans la
région
que nous allons indiquer, le malade ne sent pas l
ids et de la piqûre, si on le pique légèrement. Enfin dans toute la
région
externe de la jambe, dans un territoire limité en
les deux jours. La douleur diminua peu à peu en quittant d'abord la
région
fessière. Elle a duré environ huit mois, mais le
inal et au bord supérieur de Fos coxal, se perdant en arrière dans la
région
moyenne de la fesse. Cette zone descend en bas ju
fesse. Cette zone descend en bas jusqu'au genou, dont elle occupe la
région
externe. La jambe et le pied malades semblent p
imètre du pied malade excède de 1 centimètre celui du pied sain (à la
région
médiotarsienne). JAMBE. DROITE. GAUCHE. 10 ce
s commençaient au niveau de la fesse, puis descendaient le long de la
région
postérieure de la cuisse et de la jambe et se mon
les lésions de la queue de cheval, fracture du rachis ou tumeur de la
région
. Ils varient, bien entendu, avec le territoire ne
res du moteur oculaire occupe, au-dessus du bulbe proprement dit, une
région
qu'on pourrait appeler le bulbe supérieur, ou pro
on pourrait appeler le bulbe supérieur, ou protubérantiel. En cette
région
se termine le quatrième ventricule et commence l'
s autopsies montre qu'il existe plusieurs catégories de faits : 1° La
région
cellulaire originelle de l'oculo-moteur est compr
n œuvre dans ce cas, comme dans le premier, sont les révulsifs sur la
région
spinale et à la nuque, l'hydrothérapie et l'élect
as au niveau de la face. Au cou elle prédomine pour les muscles de la
région
postérieure, qui ont en grande partie disparu (mu
r : pas de réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la
région
) ; réaction faradique à peu près normale. Muscles
cou. On ne constate cependant pas de déformation bien nette de cette
région
ni d'atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci rési
me dans une expérience analytique admirablement réussie, les diverses
régions
de la substance grise. Soit dit en passant, la fo
ssaire; c'est la destruction de l'élément nerveux dans telle ou telle
région
qui importe surtout; mais supposons qu'il y ait d
point de départ anatomique? On peut incriminer, par élimination, les
régions
commis-surales, les colonnes de Clarke ou encore
ure infectieuse ou toxique, spéciale vraisemblablement à de certaines
régions
de la Bretagne, par exemple, où M. Morvan en a, à
ne grise postérieure gauche dans une certaine étendue en hauteur à la
région
cervicale ; lésion légère et très limitée de la c
rès limitée de la corne antérieure correspondante ; lésions enfin des
régions
encore mal connues qui dans la substance grise ce
du plancher du quatrième ventricule, une tumeur comprimant cette même
région
, un coup sur la tête, ne puisse devenir le point
iminution de l'excitabilité faradique et galvanique des muscles de la
région
antéro-externe des jambes, qui, bien qu'assez con
du lit. En réalité, la température n'est nullement augmentée dans la
région
à ces moments et même bien souvent, il sent ses p
étendue. Supposez en effet une tumeur, un tubercule placé dans cette
région
de la protubérance, vous comprendrez aisément com
as de localiser la lésion qui a donné naissance à ce syndrome dans la
région
pédonculo-protubérantielle. Je vous ai déjà décla
n'est pas tout : elle présente encore des points douloureux, dans les
régions
des lombes et des mamelles, dont la pression réve
i-hyperesthésie. Elle avait en outre un point très douloureux dans la
région
sacro-lombaire, sur la ligne racbidienne. Au bout
, deux sus-mammaires en des points symétriques et une médiane dans la
région
lombaire; la pression au niveau de ces zones réve
s du côté droit, il constate avec élonnement l'insensibilité de cette
région
. Enfin, plus récemment, il apprend que la sensibi
agirait dans le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans la
région
dorso-lombaire. Le membre inférieur gauche et l
ble de la marche est accompagné de crampes douloureuses partant de la
région
lombaire, traversant l'abdomen dans la direction
oit que les températures très élevées ou très basses. Il porte sur la
région
lombaire gauche les cicatrices de brûlures étendu
es de brûlures étendues produites par un fer chaud appliqué sur cette
région
à l'occasion de crampes, il y a cinq ou six ans e
s seulement d'existence. Les cicatrices de brûlures constatées à la
région
lombaire gauche sont d'un blanc nacré, déprimées
le de faire remarquer ;que ce trouble trophique accidentel occupe une
région
qui depuis assez longtemps était le siège de cram
d'ailleurs, en dehors des articulations proprement dites, deux autres
régions
de la main où l'on remarque un gonflement considé
rd'hui, quoique plus faiblement, de douleurs siégeant au niveau de la
région
temporale, douleurs presque permanentes, s'exaspé
esque jamais lorsque des altérations de même nature existent dans les
régions
pariéto-tempo-rales. Une substance gélatineuse, t
ique partielle. Celle-ci ressortit aux lésions de la convexité, de la
région
fronto-pariétale. Il est vrai d'ajouter que ces l
surface des circonvolutions fronto-pariétalcs ascendantes et dans la
région
supérieure, le début des secousses épileptoïdes s
es se fera par le membre inférieur, par la face si elle siège dans la
région
inférieure et si elle occupe la région moyenne, p
la face si elle siège dans la région inférieure et si elle occupe la
région
moyenne, par la main et le membre supérieur, comm
epsy. New-York, 1870. sion syphilitique pachyméningée siège dans la
région
pariétale, au niveau de la partie moyenne des cir
e, de maux de tête affreux. La douleur, localisée à l'origine dans la
région
pariétale gauche, survenait le soir vers quatre o
de jours, cette douleur vespéro-nocturne ne resta pas localisée à la
région
pariétale gauche. Partie de ce point, qui restait
mme un enfant et qu'elle croyait avoir une plaie vive au niveau de la
région
pariétale du côté gauche. Après une nuit d'agitat
uleur vespérale et nocturne, atroce, locale d'abord, siégeant dans la
région
pariétale gauche, s'irradiant ensuite dans tout l
a largeur d'une pièce de cinq francs, zone qui siège à gauche dans la
région
pariétale, sur un point qui, d'après nos recherch
pas encore déterminé de lésion organique de l'écorce cérébrale de ces
régions
. En pareil cas, on (1) Leçon recueillie par M.
ritoires de ce département artériel ont échappé à la nécrobiose. lies
régions
irrémédiablement affectées sont en résumé : les c
plètement indemne. Mais ce n'est pas tout. Ce qui marque encore les
régions
corticales comme étant le siège des lésions, c'es
te, consacré par les résultats de l'autopsie. Fig. 48. — Coupe à la
région
cervicale supérieure . Fig. 49. — Coupe au nive
49. — Coupe au niveau du renflement cervical. Fig. 50. — Coupe à la
région
cervicale inférieure. Fig- Si. — Coupe à la rég
50. — Coupe à la région cervicale inférieure. Fig- Si. — Coupe à la
région
dorsale. Fig. Sï. — Coupe à la région lombaire
eure. Fig- Si. — Coupe à la région dorsale. Fig. Sï. — Coupe à la
région
lombaire supérieure. Fig. 47. En établissant,
protubérance. Les tubercules ne sont pas extrêmement rares dans cette
région
, et ce sont même les plus fréquents relativement
lablement un autre, situé non plus dans la protubérance, mais dans la
région
motrice de l'écorce du cerveau, du côté gauche. C
rcule, l'un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la
région
motrice corticale ou sous-corticale du côté gauch
ion de l'ouïe du côté droit ; douleur provoquée par la pression de la
région
ovarienne gauche. La malade a été réglée pour l
ctéristiques, l'un dans la fosse iliaque droite, l'autre dans la même
région
à gauche. Il existe aussi un point sous-mammaire
n constate la présence de deux points hyperesthé-siques, l'un dans la
région
ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La
ge Câtunu (Jalo mitza) en Roumanie. C'est un village situé loin des
régions
montagneuses des Carpathes où on trouve le goit
il y a quinze ans,donc à l'âge de 9 ans.La malade remarqua dans la
région
thyroïdienne du côté gauche une tumeur des dimen-
si le côté droit pour grandir progressi- vement et envahir toute la
région
thyroïdienne et sus-sternale. La tumeur était i
ion et la mastica- tion ainsi qu'une sensation de pesanteur dans la
région
sus-sternale. La colonne vertébrale au dire de
eil est un peu large. Les dents ne présentent pas d'altérations. La
région
cervicale antérieure est le siège d'une tumeur
sont : en haut le maxillaire inférieur, en bas les clavicules et la
région
sus-sternale, bien que dans certains endroits ces
diens on observe les pulsations carotidiennes. La tumeur adhère aux
régions
profondes,elle présente une consistance semi- f
semi- fluctuante et la palpation et même la simple inspection de la
région
nous mon- trent une espèce de lobulation second
continue jusqu'au commence- xxn 3 34 PARHON ET JIANO ment de la
région
lombaire. La moitié gauche du thorax proémine en
(34) appar- tient également au goitre basedowien. Dans certaines
régions
on ne distingue même plus de formations folli-
e qu'une quantité infime de petites cellules et la structure de ces
régions
ne rappelle nullement celle de la thyroïde nor-
lement celle de la thyroïde nor- male. On trouve pourtant aussi des
régions
dans lesquelles on constate un petit nombre de
(intervention opératoire comme dans notre cas,r6ntgénisation de la
région
thyroïdienne, sérum, sang ou lait d'animaux éth
igreur du cou et par la proéminence des apo- physes épineuses de la
région
cervicale postérieure, notamment de la septième
lva- nique. En effet, pendant l'examen électrique des muscles de la
région
cervicale postérieure, la toux galvanique appar
t Fic. 3. Schéma décalqué sur la radiographie latérale gauche de la
région
cervicale. 1. apophyse coronoïde 2. articulatio
e de l'oreille, 7. branche orizontale de la mâchoire inférieure, 8.
région
occipitale, 9. apophyse odontoide, 10. tubérole a
d'une façon tout à fait normale (1). L'électrodiagnostic de cette
région
est parfaitement négatif, de même que l'examen
e vue,ce sont les altérations morphologiques intervenues dans cette
région
. La malade vue de profil avec sa tête maintenue
guïté exagérées. On remarque tout de suite que les limites entre la
région
occipitale et la nuque sont accentuées par une
uque sont accentuées par une entaille anormale, de telle façon que la
région
occipitale semble enfoncée dans région cervical
rmale, de telle façon que la région occipitale semble enfoncée dans
région
cervicale postérieure comme par un coup de hach
à tous les muscles de la gouttière cer- vicale postérieure et à la
région
scapulo-humérale des deux côtés. En examinant l
région scapulo-humérale des deux côtés. En examinant le cou dans la
région
postérieure (V. PI. XII, 6), l'on voit que la f
es deux côtés. . Si à présent on veut examiner la motilité de cette
région
, on s'aperçoit qu'elle est réduite au prorata d
sons ici un de nos clichés de la radiographie latérale gauche de la
région
cervicale. 48 BERTOLOTTI Nous avons cherché à
ce tient simplement à l'atrophie profonde de lous les muscles de la
région
cervi- cale postérieure chez notre malade, de t
En avant le creux sus-claviculaire est très prononcée, de même que la
région
sons-claviculaire qui présente un méplat assez
sente une cyphose cervico-dorsale et une lordose très accusée de la
région
lombaire. Cette déviation anormale delà colonne v
'un syndrome partiel de la D. R. sur les nerfs et les muscles de la
région
cervicale postérieure et de la ceinture scapulo
u trapèze, du stel'l1o-cléido-mastoïdien, de tous les muscles de la
région
cervicale postérieure et des épaules. En plus i
ns ensuite la séméio- logie de l'atrophie cantonnée au muscle de la
région
cervicale postérieure et les troubles statiques
l'examen clinique on constate une amyotrophie énorme dans toute la
région
cervicale postérieure, les épaules et la ceinture
isceau horizontal qui réunit l'acromion aux apophyses épineuses. La
région
delà nuque a perdu sa configuration normale, la
ns intéressantes sur la fonction et l'innervation des muscles de la
région
cervicale postérieure. Il fait remarquer dans s
ulement à l'atrophie musculaire qui en réalité était cantonnée à la
région
cervico-dorsale, mais elles ont été déter- miné
n outre que ces spasmes fonctionnels peuvent siéger dans toutes les
régions
du corps et se manifester à l'oc- casion des ac
leur subite et angoissante, avec sensation d'élan, siégeant dans la
région
rétro-sternale, et irradiant dans la région cub
'élan, siégeant dans la région rétro-sternale, et irradiant dans la
région
cubitale des deux bras, surtout du bras gauche.
sont absolument les mêmes qu'en 1902, souffle fort systolique à la
région
endo-apexienne, second bruit normal. Les deux pou
qu'il se produisait' de temps en temps de petites secousses dans la
région
interne déjà paume de la main. Pendant toute la
métallique, dont le couvercle est perforé d'un trou, répondant à la
région
de la tête. Au-dessus, se trouve la source radifè
ndent assez bien la zone irra- diée ; on n'en rencontre pas dans la
région
lombaire. Sur toutes les coupes, ellessont stri
stance blanche. On les trouve également sur toutes les coupes de la
région
cervico-dorsale. Dans les régions cervicale et lo
lement sur toutes les coupes de la région cervico-dorsale. Dans les
régions
cervicale et lombaire, le canal de l'épendyme,
osine-orange). D - Exp. 2. Cellules pyramidales du cerveau, dans la
région
des hémorrhagies. Méthode de Ramon y Cajal. E -
eux n'apparaissent modifiés (Pl. XV, E) : c'est à peine si, dans la
région
lombaire, on trouve quelques rares cellules prése
eur gauche, les réflexes sont aussi exa, gérés : en frappant sur la
région
de l'apophyse coracoïde il se produit un mou- v
de 3 ou 4 ans survient une petite tumeur de la peau du cou dans la
région
prélaryn-ienne. Cette tumeur a été enlevée ; il r
e dans la photographie ; la prise progressi- ve et envahissante des
régions
musculaires. Avec Brissaud, Meige, Babinski, Fr
fatigue laryngée. Il faut donc pla- cer le point de départ dans la
région
laryngée (la déglutition peut agir aussi par pa
ect arqué est accentué par le développement énorme des muscles delà
région
externe de la jambe. A gauche il y a un faux as
mouvements actifs ou pas- sifs de la langue. Or on constata dans la
région
du plexus cervical et brachial du cou une régio
n constata dans la région du plexus cervical et brachial du cou une
région
douloureuse et endurcie et l'on expliqua les mo
dant à l'insertion des dernières fibres du deltoïde; c'est aussi la
région
où l'épaisseur de la couche musculaire autour de
al jusqu'à trois doigts au-dessus, elle envahit la zone externe de la
région
et dessine un relief sensible. On a l'impressio
ments forcés l'empâtement prend une consistance plus dure ; y) à la
région
antéro-externe de l'avant-bras où elle est légè
l'hypothermie manifeste : pas d'oedème. On retrouve ici encore des
régions
musculaires soit atrophiées soit hyper- trophié
terne du triceps, à la partie tout inféro-externe de la cuisse. Les
régions
musculaires frappées ont une consistance tantôt
fait ressortir d'autant la saillie de la crête iliaque. Pas d'autre
région
atrophiée. Le tendon d'Achille, les insertions te
une forme oblique ovalaire. L'ensel- lure lombaire a disparu. La
région
abdominale, très plissée, a conservé sa musculatu
t en plus ; il fut atteint par une gêne douloureuse au niveau de la
région
dorso-lombaire. Les médecins consultés à cette
eux, et par l'apparition d'un réseau artériel très prononcé dans la
région
temporale et pariétale. Le malade de soi-même s
trabécules osseuses sont un peu irrégulières et transversales à la
région
moyenne où d'habitude les travées sont seulement
t de suite que le coeur est déplacé à droite ; à l'inspection de la
région
cardiaque on peut remarquer la présence d'une pul
e le malade est placé dans le décubitus horizontal, en examinant la
région
du foie, on peut relever l'existence d'un sillon
on, Trophmdème hystérique. Journ. de méd. pratique de Lyon et de la
région
, 31 déc. 1903. (5) C. Parhon et S. FLORIAN, Sur
une douleur spontanée dans ses membres inférieurs ; la pression des
régions
cedématiées est douloureuse. 2 novembre. - Le
phère. Au niveau des malléoles internes, et externes, il existe une
région
triangulaire séparée des régions voisines par d
nternes, et externes, il existe une région triangulaire séparée des
régions
voisines par des sillons très profonds. A la ja
urrelet venant recouvrir comme une collerette une partie des autres
régions
oedématiées des pieds. La localisation de f'oedèm
s capillaires, des os ; aucune veine ne se dessine sous la peau des
régions
oedématiées ; pas de varices veineuses ou lymph
es ; M... se plaint surtout des parties de son corps autres que les
régions
oedématiées. La cicatrice du pied droit s'est e
impossible de rattacher à un type nosographique défini. La peau des
régions
oedématiées est rosée et non pâle comme dans le
pporté dernièrement un cas de ce genre ; chez son sujet la peau des
régions
oedématiées était rosée ;on obtenait un godet à l
s passifs très éten- dus sans provoquer la moindre douleur. Dans la
région
de l'extrémité supé- 284 STCHERBAK rieure dro
stéro-névritique. Pareillement, les secousses particulières dans la
région
des muscles atrophiés disparurent ; ces secousses
thorax est affaissé, aplati, rétracté en masse. Les ganglions de la
région
sus et sous-claviculaire gauche sont volumineux
Le 5 janvier, la cachexie fait de rapides progrès. On remarque, à la
région
antérieure du thorax, la présence de plusieurs
paisseur dn muscle grand pectoral. Les ganglions lymphati- ques des
régions
sous-claviculaire et axillaire gauches sont durs
eurs parois, la substance cérébrale de l'hémisphère surtout dans la
région
de l'insula gauche (PI. XXXVIII). Cette observa
me assez volumineux et douloureux s'est développé au ni- veau de la
région
latérale gauche du thorax, et partir de cette épo
x ; il existe des douleurs névralgiques intercostales dans toute la
région
sous-jacente. L'état général et local reste sta
e observation peut être rapprochée d'un cas de glio-sar- come de la
région
opto-striée développé chez une jeune tille de 19
es membres inférieurs est d'une pâleur cireuse. La pression de la
région
iliaque gauche et des masses musculaires des deux
tre sondée. Le 7 octobre se déclare un début d'escarrification à la
région
sacrée ; et une escarre étendue profonde, non d
étendue profonde, non douloureuse, à odeur fétide, se produit à la
région
malléolaire externe droite, mettant d'emblée à nu
fixat. alcool-ammoniacal. Gross. 600 d. II. - Nerf sciatique à la
région
crurale : ? c. jeunes cylindraxes ; g. s. ancienn
hidiens et les racines antérieures et postérieures de ces différentes
régions
; sur les nerfs crural et sciatique et leurs br
es subissent la chromolyse, les petites cellules funiculaires de la
région
médullaire présidant à l'innervation des membre
tre une prédilection marquée de l'agent morbide pour telle ou telle
région
du système nerveux, de même que nous voyons les
inges sont légèrement épaissies sur toute la hauteur, avec, dans la
région
dorso-lombaire, quelques adhé- rences interméni
en arrière, présentent un léger infil- trat lymphocylique, dans la
région
dorsale moyenne, l'un des feuillets de la clois
isseau nettement oblitéré ou sténose. La moelle présente, depuis la
région
cervicale inférieure jusqu'à la ré- 370 ALQUIER
re, ou, au contraire, tout en arrière, contre la pie- mère. Dans la
région
lombaire et sacrée supérieure, la partie centrale
ons latéraux montre des lésions analogues, qui, bien qu'occupant la
région
du pyramidal croisé, sont faciles à distinguer,
jeté sur nos photogra- phies montre que la forme et l'étendue de la
région
démyélinisée, d'une irrégularité qui défie tout
ltiplicité des lésions, etde leur diffusion. A divers niveaux de la
région
dorsale, le cordon anté- rieur présente, de cha
nt mé- connaissables, et ne reprennent leurs caractères que dans la
région
cervi- cale moyenne, et au-dessous des premiers
ous avons dit que les foyers myélomalaciques remontaient jusqu'à la
région
cervicale inférieure, et descendaient jusqu'à la
jusqu'à la région cervicale inférieure, et descendaient jusqu'à la
région
sacrée ; au- dessus et au-dessous de ces limite
est tombé malade le 2 novembre avec mal de tête et douleurs dans la
région
lom- baire,et dans les membres inférieurs. Il d
l est apparu en même temps plusieurs cas de la même maladie dans la
région
où elle demeure et aussi que quelques personnes e
droit, sur- tout de l'articulation coxo-fémorale. Les muscles de la
région
fessière se mon- trent un peu réduits. Le réfle
ui cependant n'est plus complète ; elle est plus développée dans la
région
des hanches et des cuisses. \ Les muscles abdom
mais à droite seulement des contractions presque insensibles. Dans la
région
des petits obliques située au-dessus du ligamen
e Pourpart, nous n'obte- nons que de faibles contractions. Dans les
régions
latérales du tronc entre la crête iliaque et le
l peut mouvoir librement le tronc sans s'aider des bras, mais cette
région
est encore très restreinte. Comme on le voit, c
, frissons et douleurs le long du dos, depuis la nuque jusque vers la
région
sacrée. Le 22 août une parésie du membre inféri
ût. Il' y a une raideur de la nuque, qui n'est pas intense. Dans la
région
cervicale de la colonne vertébrale il a des doule
nt conclure à une parésie de la mus- culature du tronc. , Dans la
région
où cette malade demeure, il y a eu presque en mêm
lie, s'é- tendant sans interruption dans toute la moelle, depuis la
région
sacrée jusqu'aux segments supérieurs de la moel
ligne médiane, passent dans les cordons latéraux et montent dans la
région
des faisceaux de Gowers. Pour ces sensibilités,
ègue existe des deux côtés ; il y a aussi douleurs, si l'on presse la
région
fessière. Etat le 17 août. La paralysie des m
male- ment. L'étude de la moelle a été faite sur des fragments de
régions
cervicale, dorsale et lombaire par les mêmes mé
mal. La présence des mastzellen n'était pas plus fréquente dans les
régions
voisines de la muqueuse que dans les parties plus
L'aspect général du sujet vu de face est des plus remarquables. Les
régions
mammaires sont saillantes ; Otto a de véritables
z, au menton, aux lèvres, et surtout au niveau des jam- bes dans la
région
malléolaire où l'épaisseur des parties molles est
hérent presque total de la cornée avec ectasie de la sclère dans la
région
ciliaire, partie interne. OEil gauche : Visus : 0
trait horizontal sur le troisième cartilage gauche 2 cent. 1/2. La
région
précordiale apparaît normale à la palpation ; on
t. Elles ont le type long plutôt que le type large. Le pouls est la
région
la plus épaisse. Les doigts sont gros, allongés
e la cuisse et la jambe qui sont toutes les deux très lon- gues. La
région
malléolaire est extrêmement épaissie quoique il n
ces forma- tions, trouble aboutissant à l'hyperfonclionnement, ces
régions
intermé- diaires qui sont déjà le point de dépa
oit, à peu près à égale distance dupubis et du bord inférieur de la
région
mammaire. Le naevus antérieur est situé sur un
met pulmonaire induré et l'autre ramolli. Il porte des naevi sur la
région
ab- dominale. Le premier, de forme quadrilatère
ne cirrhose alcoolique à type hypertrophique. Elle présente dans la
région
du flanc gauche un naevus pigmentaire congénita
i lui revient dans ce travail. Ce malade présente au niveau de la
région
pectorale et du membre su- périeur gauche un va
rale et du membre su- périeur gauche un vaste naevus : il occupe la
région
mammaire, confinant en dedans à la ligne médian
ce fer à cheval croise la face postérieure du bras au niveau de la
région
deltoïdienne, descend le long de son bord externe
une étendue de 3 centimètres environ sur la moelle, au niveau de la
région
cervicale inférieure et dorsale supérieure ; el
ntra-utérine; 2° Que par sa situation, à la partie inférieure de la
région
cervicale et à la partie supérieure de la régio
e inférieure de la région cervicale et à la partie supérieure de la
région
dorsale, elle est en quelque rapport avec la to
sion, siégeant précisément au point de la moelle qui est voisin des
régions
de l'innervation du membre supérieur et du thorax
d'un processus morbide qui à un moment donné a pu être étendu à des
régions
voisines, placées au même niveau : centres gris
e avec courbure postérieure, surtout de la portion supérieure de la
région
dorsale. Les muscles du cou et du corps sont atro
a sensibilité est émoussée au niveau de la division des nerfs de la
région
dorsale et de ceux de la région inférieure du cou
veau de la division des nerfs de la région dorsale et de ceux de la
région
inférieure du cou ; on constate de la paresttés
; il lève les jambes au lit ; la sensibilité est conservée dans la
région
fémorale droite. Lorsque le corps est baissé en
uvements de la colonne vertébrale, parurent des douleurs dans cette
région
. L'année dernière, des troubles psychiques l'on
épaississement est surtout marqué dans la portion supérieure de la
région
cervicale où la dure- mère atteint 3 millimètre
de fibres à myéline des faisceaux latéraux pyra- midaux et dans la
région
ventrale des faisceaux postérieurs, ainsi qu'une
. On constate une atrophie particulièrement intense au niveau de la
région
dorsale. Quelques racines postérieures de la régi
au niveau de la région dorsale. Quelques racines postérieures de la
région
dorsale supérieure ne renferment plus du tout d
est de beaucoup moins marquée. On ne la trouve pas du tout dans la
région
cervicale supérieure. A l'examen microscopiqu
cervicale supérieure. A l'examen microscopique du ganglion de la
région
lombaire, il a été trouvé beaucoup de cellules
e préparée par l'ébullition montre une cyphose très mar- quée de la
région
dorsale formant presque une courbe régulière d'un
rieure on voit qu'elle forme uue légère sco- liose à gauche dans la
région
dorsale. Notre pièce a conservé les vertèbres lom
baires, toutes les vertèbres dorsales, trois vertèbres et demie de la
région
sacrée et trois vertèbres cervicales. Nous al
icales. Nous allons décrire à part les lésions trouvées dans chaque
région
. Région cervicale. Les vertèbres se sont fusion
Nous allons décrire à part les lésions trouvées dans chaque région.
Région
cervicale. Les vertèbres se sont fusionnées les u
s et, confondues toutes ensemble, paraissent constituer un seul os.
Région
dorsale. La première vertèbre dorsale fait corps
me de la troisième vertèbre; mais cette fente est oblitérée dans sa
région
médiane par une tubérosité osseuse entre la trois
elles paraissent triangulaires et forment une scoliose. Quant à la
région
dorsale, les fentes intervertébrales n'existent p
nstaté également un épaississement de la dure -mère au niveau de la
région
cervicale de la moelle épinière ainsi que son adh
admettre une inflammation chronique de la pie-mère au niveau de la
région
dorsale de la moelle épinière. D'après Bechtere
ertébrale a amené l'atrophie des disques in- tervertébraux dans ses
régions
supérieures et inférieures ; les cartilages int
il avait perçu un craquement dans l'épine dorsale, au niveau de la
région
lombaire. La sensation que le malade éprouva en
e s'il y avait eu dislocation des vertèbres entre elles, dans cette
région
. Ni en ce moment ni dans la suite, il n'éprouva d
e région. Ni en ce moment ni dans la suite, il n'éprouva dans cette
région
aucune douleur, ni localisée, ni diffuse, ni spon
zones d'hypoesthésie au contact et à la douleur aux environs de la
région
mamillaire; 3° Hypoesthésie aux diverses formes
colonne cervicale jusqu'à la colonne lombaire : dans cette dernière
région
, elles atteignent dans tous les cas décrits, le
sion avec légère hypophonèse dans la fosse sus : claviculaire, cette
région
appa- raît en effet plus pleine que la région h
: claviculaire, cette région appa- raît en effet plus pleine que la
région
homologue du côté droit et on doit se souvenir
tanées. Abdomen enfoncé, assez compressible, indolent dans toutes ses
régions
. On ne provoque pas de bruits de remuement ou d
eine un centimètre de longueur. Sa largeur est un peu moindre. La
région
antéro-externe de la jambe droite est le siège de
on thoracique. Il s'agissait d'une compression de la moelle dans la
région
du renflement cervical avec paralysie et anesth
de laquelle S... blessa son adversaire d'un coup de couteau dans la
région
du coeur. Faisant pendant au poignard, on voit
une main qui tient un bouquet de fleurs dans la moitié droite de la
région
thoracique. Ce dessin symbolise un hommage que S
st pi- quée dans ses cheveux et sa main tient un éventail. Sur la
région
deltoïdienne, des fleurs sont parsemées et au mil
espaces vides dans lesquels ont été tatouées six figurines. Sur la
région
scapulaire, on voit, d'un côté, une femme dont la
un jour, on m'amena D... qui se plaignait de vives douleurs dans la
région
anale. L'examen me révéla les signes indiscutable
légitime. Une abeille est tatouée à la naissance du cou, et, sur la
région
scapulaire, se trouve représenté un bateau à de
retour prochain vers la France. Un mousquetaire occupe également la
région
scapulaire. Dans le cas présent, il s'agit d'un
s. Il porte sur la partie médiane du dos une tête de femme, sur les
régions
scapulaires un clown et un prêtre protant binoc
partis sur tout le corps. a) Sur le dos, on trouve, au niveau de la
région
scapulaire gauche, un matelot, quelques fleurs
s'agit de deux rivales qui se disputèrent les faveurs de S... Sur la
région
sca- pulaire droite, un mousquetaire. J'ai trou
reconnaissance pour les affiliés d'une association secrète. Sur la
région
thora- cique gauche, on voit uue femme décollet
« La raison du plus fort est toujours la meilleure. » Enfin, sur la
région
fessière gauche, une tête de femme ayant la mêm
emme ayant la même signification que celle que j'ai signalée sur la
région
thoracique gauche. - . b) Sur la partie antérie
antérieure du tronc, on voit une guirlande de fleurs orner les deux
régions
claviculaires. Sur la région sternale, un aigle a
ne guirlande de fleurs orner les deux régions claviculaires. Sur la
région
sternale, un aigle aux ailes dé- ployées porte
ale une inscription lubrique : liobinet d'amour. Enfin, dans chaque
région
inguinale, on note une tête de femme. c) Les de
eux cornes. « Un pauvre cocu de mes amis, » m'explique S.... Sur la
région
deltoidienne gauche, on voit un trèfle, signe de
s, mais ne passe pas pour un irréductible. Il porte sur chacune des
régions
pectorales deux silhouet- tes féminines qui rap
l'avant-bras. Une figure de femme mal ébauchée occupe le centre de la
région
abdominale. Observation XVIII. (Tatouage n° 1
le mousquetaire toulonnais que j'ai déjà signalé plus haut. Sur la
région
épigastrique, on voit deux mains unies dont l'une
e de fleurs remarquablement tatouée barre la poitrine au niveau des
régions
sous-claviculaires. Observations XIX et XX. (Ta
ster au désir de se faire tatouer le portrait de leurs amies sur la
région
abdominale. 598 BOIGEY Outre cette figurine,
eux et reçoit uu coup de revolver dans la poitrine, au niveau de la
région
claviculaire. Hos- pitalisé à Marseille, il gué
caractéristiques : une chaîne qui barre la poitrine au niveau de la
région
claviculaire et qui est l'indice d'un emprisonnem
randissant un éventail chevauche un porc. Deux femmes oc- cupent la
région
pectorale ; l'une d'elles porte la coiffure natio
se. C... m'apprend qu'il s'agit des portraits de deux amies. Sur la
région
deltoïdienne droite, on devine l'étoile déjà si
d'un signe de reconnaissance pour les affiliés d'une bande. Sur la
région
del- toïdienne gauche, un oiseau tient dans son
écis, très faible à entraîner au mal comme au bien. Il porte sur la
région
épigastrique le portrait de sa maîtresse. Des bra
ucoup près l'intensité qu'elle prend dans la partie interne. A la
région
dorsale du noyau dentelé droit, il existe un peti
bres sont régulières et ne présentent pas les lésions observées aux
régions
inférieures. Les bras de la commissure de Werne
e l'olive elle-même. Sur certaines coupes, particulièrement dans la
région
supérieure, l'olive ap- paraît comme une masse
on ne distingue plus les circonvolutions. Au microscope, dans les
régions
les moins altérées, à la partie moyenne surtout
myéline; quelques rares fibres transversales la traversent dans la
région
postérieure. Le hile est entièrement démyélinisé;
ibres, le feutrage extraciliaire est tout à fait raréfié. Dans la
région
inférieure on observe les mêmes lésions ; restent
au postérieur assez bien développé. Fibres cérébello-olivaires. -
Région
inférieure. Ces fibres sont en général diminuée
respecté, quoiqu'un grand nombre semble bien avoir disparu. A la
région
moyenne, il n'y a plus de fibres transversales pa
du côté droit; on peut les suivre jusqu'au corps restiforme. A la
région
supérieure, on trouve la même raréfaction, peut-ê
e Reil médian est atteint au niveau de son quart interne ; dans les
régions
supérieures on constate l'atrophie de la partie t
té droit, présente une dégénération des plus nettes, affectant à la
région
cervicale la forme d'une virgule renversée, étend
e s'arrêtant à quelque distance de la périphérie de la moelle. A la
région
dorsale la zone de dégénération est triangulair
e de dégénération est triangulaire à sommet externe ; au niveau des
régions
dorsale inférieure, lombaire, et sacrée, elle o
qu'elle en diffère par l'existence d'une sclérose manifeste dans les
régions
dégénérées. Plus récemment M. G. Holmes a pro
dulte (1), et d'autre part une coupe intéressant à peu près la même
région
chez notre petit malade. Nous attirerons dès ma
imites ne'sont pas aussi précises qu'à l'état normal. Autour de ces
régions
comprimées on voit les vaisseaux très dilatés. Da
granulations jaunes. Ces granulations sont plus abondantes dans la
région
qui regarde vers la cavité folliculaire. En som
tration de la substance glomérulaire n'est pas uniforme; à côté des
régions
presque intactes, on en trouve d'autres complètem
balle a pénétré par l'angle externe de l'oeil droit en blessant là
région
de l'hypophyse ou la glande même. - A la disc
auteur conclut que les tumeurs de l'hypophyse, ainsi que celles des
régions
basales voisines qui sont accompagnées d'une hydr
é de la voûte plantaire est augmentée et la tête des phalanges à la
région
plantaire est revêtue par un abondant tissu adi
aires normales aux bases, un peu diminuées au sommet droit. Dans la
région
du sommet droit, l'inspiration est un peu souffla
toute la moelle par exemple depuis les segments in- férieurs de la
région
sacrée jusqu'aux noyaux du bulbe sans aucune inte
pant une large bande de la moitié gau- che du thorax, au niveau des
régions
scapulaire et mammaire, et ne présentant du res
sons sous l'action de forces analogues à celles qui ont imposé à une
région
géographique donnée la configuration qui la car
pital commence à blanchir et, vers le cinquième mois seulement, les
régions
antérieures commencent a se développer ; la dif
ont gros, ses extrémités sont froides et cyanosées et il porte à la
région
cervicale et surtout sous la mâchoire, un chape
corps mousse, baguette de verre ou cylindre de papier roulé, sur la
région
sternale de R... une raie rectiligne. Nous voyo
ou six minutes plus tard, la bande rouge se soulève, pâlit dans sa
région
axiale, reste érythé- mateuse sur les bords et
bablement réflexe des vaso-moteurs cuta- nés au niveau précis de la
région
excitée. {Phase d'ischémie vaso- motrice.) 2°
t diffuse due à la dilatation neuro-paralytique des vaisseaux de la
région
excitée et même, par propagation, des régions m
ue des vaisseaux de la région excitée et même, par propagation, des
régions
marginales voisines. (Phase érythémateuse par c
neuro-paralytique.) 4° Presque en même temps, anémie relative des
régions
centrales ou axiales de la papule érythémateuse
s de quinze minutes, un thermomètre à tem- pérature locale aux deux
régions
symétriques du corps dont l'une était couverte
é les flancs et la face interne des cuisses de R..., nous vîmes les
régions
se couvrir d'une magnifique « roséole syphiliti
disparut rapidement. Les plaques étant placées de nouveau, sur une
région
cutanée très voisine, nous fîmes passer progres
r même avant tout examen microscopique. Ces placards, siégeantà)a
région
inguino-crurate, bien limités, d'un rouge brun
USE. formes ou de croûtes de l'intertrigo et de l'eczéma de cette
région
. Seul, l'érythème trichophytique pourrait en im
nce à l'aide d'un instrument piquant, par exemple une aiguille, une
région
quelconque du membre droit, le malade ressent l
et il souffre alors énormément. Mais c'est surtout au niveau de la
région
sacrée que ces douleurs sont les plus fortes, p
avec l'esprit camphré, l'application de ventouses scarifiées à la
région
lombaire et des purgatifs. ' Le J 5 juin, ce mé
uée. Toute la surface antérieure de la cuisse gauche, à savoir la
région
qui, à une époque antérieure, était le siège de l
étaient pris de vomissements accompagnés de douleurs violentes à la
région
gas- trique ; ils vomissaient jour et nuit et r
calisait, anesthésie. de la surface antérieure de la cuisse droite,
région
ayant été à une époque antérieure le siège de l
; on trouve des plaques d'anesthésie assez étendues aux différentes
régions
do ses membres inférieurs. A d'autres régions,
ndues aux différentes régions do ses membres inférieurs. A d'autres
régions
, nous avons conslalé des retards dans la sensib
on consécutive aux embolies et à l'infiltration gazeuse siège aux
régions
postérieures de la partie dorso- lombaire de la
t la partie postérieure du cou et surtout la moitié droite de cette
région
, s'étendant jusqu'à l'occiput et s'irradiant auss
e consulte un médecin qui lui applique deux vésicatoires à ces deux
régions
douloureuses; il lui donne aussi quelques médi-
traitement une vingtaine de jours; les douleurs qui occupaient les
régions
sus- mentionnées s'irradiaient rarement Je long
bilité. Le malade se plaint encore avec amertume de ses douleurs Ma
région
postérieure du cou, lesquels par moment s'exasp
n de petites pointes de feu tous les huit ou dix jours sur toute la
région
de l'axe spi- nal et surtout sur la région de l
u dix jours sur toute la région de l'axe spi- nal et surtout sur la
région
de la nuque et sur le moignon de l'épaule; 6),
xtra-myéli- tique. C'est le siège de la lésion aux méninges de la
région
cervicale de la moelle et surtout de sa partie
t, sous la peau, un pseudo-oedème plus ou moins abondant, selon les
régions
.' Cette couche sous-cutanée est très épaisse à
tout au niveau des aisselles. La colonne vertébrale est déviée à la
région
dorsale; la convexité tournée à droite fait une
de profit en la promenant dans les marchés et dans les foires de la
région
. Dans les fêtes de nos campagnes, comme dans ce
spaces péricellulaires très augmentés ; les petites fibres de cette
région
ont disparu. Dans les cornes posté- rieures, il
s et très courtes des muscles sous-cutanés, plus fréquentes dans la
région
du dos, qui donnaient au malade la sensation d'
contrôle et de la coordination. Ces lésions débute- raient par les
régions
inférieures de l'encéphale, se manifestant par
IOGRAPHIE. l'animal en un point du bulbe qui est le noeud vital. La
région
du noeud vital ne parait pas, pour l'homme, êtr
ez pensé avec moi, Messieurs, que l'établissement d'un Concours par
région
pou- vait résoudre le problème. On prendrait po
nard, j'émettrais le voeu que le département de la Seine formât une
région
à lui seul, tant en raison du nombre de ses asi
qu'on ne peut joindre aux asiles de ce département, pour former la
région
dont il sera le centre que les deux établisseme
cteurs, article ainsi conçu : « Le Concours devrait être établi par
régions
, en prenant pour centre de chacune d'elles soit
les préparatoires. Enfin, il estime que les médecins adjoints d'une
région
pourront être nommés médecins en chef ou médeci
mmés médecins en chef ou médecins directeurs dans toutes les autres
régions
. M. Giraud est partisan d'un concours uniqne po
l'avancement des médecins adjoints ne devrait pas être limité à la
région
dans laquelle ils ont été nommés. « Il n'y a pas
, si le hasard veut que des vacances aient lieu dans telle ou telle
région
, et l'on produirait ainsi du découragement. I
de la France. L'institution du con- cours et sa spécialisation par
régions
auront pour résultat d'éle- ver le niveau du co
ins adjoints des asiles d'alié- nés de France devra être établi par
régions
, en prenant pour centre de chacune, d'eues les
nationalité française. Ils seront admis à concourir dans toutes les
régions
, suivant leur convenance. Les médecins adjoints
pecteurs, « on ne devra joindre au département de la Seine, pour la
région
dont Paris sera le centre, que les deux établis
résolutions ci-après : Un concours sera ouvert, au chef-lieu de la
région
, toutes les fois que le nombre des places vacan
e jury sera composé : Il de trois médecins en chef des asiles de la
région
; 2° d'un inspecteur général, docteur en médecine;
ront tirés au sort parmi tous les médecins en chef des asiles de la
région
. L'avis des inspecteurs généraux indique qu'il
adjoints dans les asiles d'aliénés de France, devra être établi par
régions
, en pre- nant pour centre de chacune d'elles, l
nationalité française. Ils seront admis à concourir dans boutes les
régions
, suivant leur convenance. )).Les médecins adj
nommés au concours. IV. Un concours sera ouvert au chef-lieu de la
région
toutes les fois que le nombre des places vacant
e jury sera composé : 1° de trois médecins en chef des asiles de la
région
; 2° ,d'un inspecteur général, docteur en médec
uppléant seront tirés au sort parmi tous les médecins en chef de la
région
. VI. Les épreuves seront au nombre de quatre :
le 26 décembre prochain ; le concours sera ouvert dans chacune des
régions
indiquées par le tableau annexé audit arrêté. (
e, décembre prochain. Cette demande, qui devra indiquer dans quelle
région
le can- didat veut subir le concours, sera acco
t le 20 décembre. Voici les renseigne- ments que nous avons reçu.
Région
de la Faculté de médecine (le Lille. Jury : MM. l
ite, 2 : : sur 30; Ep. orale, 14 sur 20; Ep. clinique, 26 sur 30.
Région
delà Facultéde médecine de Paris.-Le concours s'e
té les candidats, au nom du jury, pour leurs brillantes épreuves.
Région
de la Faculté de médecine de Nancy. Deux candidat
arce que la liste des Directeurs-médecins et médecins en chef de la
région
était épuisée). jRë ? ode.Ft<c ! dfëdejBorde
directeur-médecin de l'asile public de Sainte-Catherine (Allier).
Région
de la Faculté de Montpellier. {Pas de Candidat.)
allopain, directeur-médecin de l'asile public de Pierrefeu (Var).
Région
de la Faculté de Lyon. Le concours est ouvert le
et BRTII01(CUi'. · Bien qu'il n'y ait pas eu de candidats dans la
région
des Fa- cultés de Bordeaux et de Montpellier, c
ordons postérieurs de la moelle épinière de l'homme, présentant une
région
nettement séparée des régions voisines, se divi
épinière de l'homme, présentant une région nettement séparée des
régions
voisines, se divisent, comme on le sait, en deu
82 ANATOMIE. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE. atteint ainsi la
région
des faisceaux de Goll ; la seconde partie de fi
it d'examen ophthalmoscopique) ; paralysie presque complète dans la
région
du nerf oculomoteur de l'oeil gauche; ptosis, s
.dans la droite, la sensibilité tactile a beaucoup diminué dans la
région
du nerf culaneus lateralis, du nerf ilio-inguinal
dans la jambe droite ; dans la gauche, anes- thésie tactile dans la
région
du nerf cutaneus posterior. Anes- thésie, mais
s les deux membres inférieurs et est presque réduite à zéro dans la
région
des nerfs sciatiques. Exagération marquée de la
l'un de ces accès; j'ai pu constater une anesthésie totale dans la
région
des deux nerfs trijumeaux et un trismus très vi
riane et une friction énergiqu e opérée sur les deux joues, dans la
région
des masséters. La malade craint exces- sivement
rrhe de la vessie en soit le résultat. Les accès de douleur dans la
région
de la vessie rappellent tout à fait les crises
urs traditions religieuses et nationales. Les Juifs qui habitent la
région
orientale de l'Allemagne et de l'Autriche offre
s contenter d'hypothèses pfus ou moins probables. Ainsi, quoique la
région
motrice de la couche corticale ait été dessinée
présentation des moitiés correspondantes des deux rétines dans la
région
ôccipito-angutaire correspondante, le pli courb
la région ôccipito-angutaire correspondante, le pli courbe est la
région
spéciale de la vision claire ou centrale de t'o
jeune homme reçoit de près un coup de fusil qui l'atteint dans la
région
occipitale; il est frappé de cécité subite. Il
rébrale, d'origine corticale, la lésion occupe à peu près la même
région
que celle qui a été indiquée comme étant le siè
attention. En même temps, le malade se plaignait d'une douleur à la
région
gastrique avec sensation d'angoisse. Cet état,
ancinantes, qui siégeaient aux différentes 2S0 CLINIQUE NERVEUSE.
régions
du côté paralysé. Cette scène morbide a duré au t
ait remarquables; par exemple, on peut développer une plaie sur une
région
de peau saine. Il était tout naturel que certai
autres Archives, t. XVII. iS 274 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
régions
. Les ganglions intervertébraux ne sont pas attein
28 centimètres de long ; à cette période, toutes les fibres de la
région
comprise entre le plancher du quatrième ventricul
évie un peu en dehors, et monte vers la moitié correspondante de la
région
moyenne du vermis supérieur. Le troisième faisc
isent en deux groupes : les unes, plus nombreuses pas- sent dans la
région
antéro-interne des cordons de Burdach et, après
s-unes de ces fibres entrent en con- nexion avec les cellules de la
région
moyenne de la substance grise; d'autres arriven
nflement lombaire, cette dernière partie de fibres grêles occupe la
région
la plus externe des cordons de Burdach. De la c
les dernières se dirigent en avant : une partie se continue dans la
région
correspond dante de la corne antérieure, l'autr
voie de conduction le faisceau cérébelleux direct; il reste donc la
région
périphérique des cordons de Burdach pour des-'
sensibilité cutanée est croisée. C'est donc le faisceau formant la
région
limitante du cordon antéro-latéral qui doit êtr
M. Bechterew pour les décou- vertes suivantes : A la naissance, la
région
antéro-interne des cordons de Burdach est seule
ceau cérébelleux direct. Il n'a pas observé la dégénérescence de la
région
dé- crite par Gowers et Bechterew. Les symptôme
ses époques de l'examen; des fluctuations se Firent sentir pour les
régions
considérées à des intervalles de temps très cou
ec formation de cavités dans la substance grise centrale de la même
région
. Pas d'autopsie. P. K. XII. De LA PARALYSIE SIM
la suture sagittale avec compen- sation en hauteur du crâne par la
région
de la fontanelle. Ce qui distingue ce crâne de
on lui, que « les graves désordres consécutifs à l'extirpation de
régions
déterminées du cerveau peuvent graduelle- ment
erveau. On a vu que les troubles consécutifs à la destruction d'une
région
du cerveau ne doivent pas être tous attribués à
On ne peut parvenir à déterminer ainsi la fonction véritable de la
région
détruite. Pour y arri- ver, considérons les fon
calisations cérébrales implique né- cessairement cette loi : chaque
région
déterminée du cerveau d'un animal quelconque po
nctions identiques chez tous les individus de la même espèce; les
régions
cérébrales homologues des autres espèces possèd
compte tou- jours du développement morphologique variable de ces
régions
). Théoriquement, les infractions à cette loi ne
isque les phénomènes de déficit consécutifs à l'ablation d'une même
région
du cerveau doivent être constants, tandis que l
é des suppléan- ces cérébrales. Une extirpation pratiquée sur une
région
déterminée de l'hémisphère gauche, amène à droi
ralysie par les aires " circonvoisines (Carville et Duret), par les
régions
symétriques de l'hé- misphère opposé (Soltmaun)
teintes plus LES FONCTIONS DU CERVEAU. 355 ou moins foncées, les
régions
les plus fréquemment lésées. A l'aide de cet ar
ce chromographique, une zone corticale assez étendue se détache des
régions
environnantes restées intactes : c'est dans cet
n cer- tain nombre de cas où il existait tel symptôme et où telle
région
de l'écorce cérébrale se trouvait lésée, quoiqu
à tous égards ; 2° les lésions rencontrées doivent occuper la même
région
de l'écorce, être superposables au moins en par
atteint de constipation et pour la première fois apparurent dans la
région
de la hanche et du genou droits, des douleurs t
temps il y eut une certaine enflure (la peau était rouge) dans la
région
de l'articulation tibio-tarsienne. Cependant, I..
t frappées d'anesthésie : dans le bras droit (depuis mars 1887j les
régions
des nerfs cutaneus, medialis, mé- dius, cutaucu
des îlots où la sensi- bilité est plus grande, par exemple, dans la
région
des nerfs saphènes, sur la face interne de la p
ets froids et peut tout de suite en indiquer la po- sition. Dans la
région
des nerfs peroniers de la jambe gauche une temp
s. La sensation de pression est excessivement affaiblie ; dans la
région
des deux crista* tibia;, le malade ne sent pas mê
tanée est sensiblement L affaiblie par places, par exemple, dans la
région
des nerfs saheni de la jambe droite où elle est
tacte, à la hanche droite, par exemple; à la hanche gauche, dans la
région
du nerf cutaneus lateralis, le seul attou- chem
e rend absolument pas compte de contractions très violentes dans la
région
du muscle vaste interne. Les réflexes cutanés s
ée et pour la première fois se produisit un engourdissement dans la
région
des quatrième et cinquième doigts de la main dr
pérature est normale. Il y a une dilatation énorme de l'estomac, la
région
gastrique formant une saillie con- sidérable ét
avait en même temps des douleurs liés fortes au bas-ventre et à la
région
lombaire. La rétention d'urines concomitante a
ravaux. Ces douleurs peuvent siéger partout et se lo- caliser à une
région
déterminée ou bien se généraliser, de manière à
i l'a fait vomir. Tous s'étaient mis à le frictionner, surtout à la
région
gastrique qui était gonflée. A 4 heures du soir
omprimé en 1877. i° Il a été atteint plusieurs fois aux différentes
régions
du corps d'accidents douloureux dont la durée v
fluence des variations atmos- phériques. Sensation désagréable à la
région
lombaire. Pas de troubles trophiques ou vasomot
ou- geur ni autre changement de la coloration de la peau de cette
région
. Il comprenait parfaitement la parole entendue. A
. Au bout d'une demi- heure, il est pris de fortes douleurs dans la
région
épigastrique, et en même temps s'aperçoit qu'il
les jambes, les cuisses, la vessie et le rectum, Aux douleurs de la
région
épigastrique s'ajoutait la tension du ventre ; il
tasien gauche et à la plante du même pied. Douleurs atroces dans la
région
de l'estomac ; constipation constante. Le malad
oin de son pays, il n'était pas convenablement soigné, la peau à la
région
du sacrum avait commencé à devenir rouge ; j'at
es, des changements fréquents de position et des lavements de cette
région
avec de l'eau de Goulard et avec de la décoctio
lavements. L'état du malade s'améliora par ces soins, la peau à la
région
du sacrum revint à son état normal et le malade
. 11 se plaignait d'avoir une gêne au thorax et une oppression à la
région
précordiale, mais il ne semblait pas avoir de l
u le froid frapper les éléments des plaques motrices de certaines
régions
dans un cas rapporté par M. Yulpian où les centre
- resthésies, douleurs fulgurantes, conservation du tact dans les
régions
complètement analgésiées). A l'hôpital militair
jiewsliy, 4° an., fasc. 1, 1886. Bechtérew. De l'excitabilité de la
région
psycho-motrice chez les chiens nouveau-nés. Le
onus multiplex. Le Médecin, n° 3, 1887. - De la physiologie de la
région
psycho-motrice de l'écorce cérébrale. At'c/t. d
pter dans l'appli- cation avec la compétence spécifique de diverses
régions
: moelle épinière, centres sensorio-moteurs, ce
e contact entre les processus physiologiques et psychiques sont ces
régions
du cerveau où la réception des excitations des or
opi- niâtre dans l'occiput ; les maladies du corpus callosum et des
régions
voi- sines seulement semblent être constamment
que, dans les environs du corpus callosum et vers l'intérieur delà
région
frontale du cerveau, se trouvent ces tissus, do
ements volontaires est en corrélation avec l'intégrité de certaines
régions
corticales et que les pertes de la subs- tance
dans les cas de lésion transversale complète de la moelle, dans la
région
cervicale ou dorsale supérieure, l'homme est atte
exes tendineux exagérés ; et si toute la moelle est sectionnée à la
région
cervicale, c'est-à-dire les deux voies qui cond
ALE . PAR LÉSION DU LOBULE PARA CENTRAL · 2° LÉSION ÉTENDUE DE LA
RÉGION
ROLANDIQUE, D'ORIGINE INTRA-UTÉRINE SANS HÉMI
coupes sériées montre dans ces deux cas la délimitation exacte des
régions
détruites et des anomalies intéressantes des dé
he. Autopsie. Le diagnostic posé, pendant la vie, de lésion de la
région
rolandique supérieure, est confirmé par la cons
ution Fi (PI. IV, B). Cette lésion respecte la forme générale de la
région
paracentrale, car elle est très' MONOPLÉGIE CRU
lanche pour couper les fibres de projection qui descendent de cette
région
externe ; ainsi s'explique l'intégrité des mouvem
supé- rieur. En suivant sur la série des coupes les lésions de la
région
paracentrale, en voit qu'elles se terminent en
res. Les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la
région
paracentrale portent : 1° sur les fibres courte
rale portent : 1° sur les fibres courtes d'association qui vont aux
régions
avoisinantes de écorce cere- brale ; 2° sur les
secteur postérieur qui correspond à la projection des fibres de la
région
rolandique supérieure. Mais déjà dans la partie s
se qui remplace habi- tuellement les fibres dégénérées ; et dans la
région
qu'ils devraient occuper, c'est-à-dire dans le
rrait conclure, si on arrêtait ici l'examen liistolo- gique, que la
région
du lobule paracentral n'envoie que très peu de fi
rès peu de fibres de projection cortico-médullaires. Mais dans la
région
cervicale de la moelle épinière (fig. 5) apparaît
a localisation corticale des mouvements du membre inférieur dans la
région
rolandique supérieure. Depuis longtemps d'aille
cises. Dans le cas particulier elle montre comment une lésion de la
région
du lobule paracentral peut déterminer une paral
cependant bien des cas antérieurs au nôtre ont prouvé que dans les
régions
corticales et sous-corticales les zones motrice
xplication du fait est la sui- vante : Une lésion corticale de la
région
rotandiquesnpérieure,en s'étendant dans la prof
légie crurale. On voit en effet sur la figure 2 qu'une lésion de la
région
du lobule paracen- tral n'a pas beaucoup de che
de chemin à parcourir pour atteindre les fibres de projection delà
région
rolandique moyenne ; cette dernière, au contraire
(1) En se reportant à un tableau de l'irrigation vasculaire de cette
région
(DEJEttINE, Anatomie des centres nerveux, t. II
ajet les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la
région
rolandique supérieure : bien visibles en effet av
e trouve en dernière analyse qu'une diminution simple du volume des
régions
que traversaient des fibres supprimées. Ce proces
énération secondaire, qui paraît peu impor- tante dans une certaine
région
, soit marquée plus loin par une zone de scléros
centimètres environ du pôle frontal. La lésion a détruit dans cette
région
le bord inférieur de la circonvolution Fa et la p
mprend la plus grande partie de la cavité porencéphalique, toute la
région
centrale (corps opto-striés et capsule interne)
e comme sur la face interne du cerveau. Mais, dès qu'on arrive à la
région
oc- cupée par la cavité kystique, il se fait un
comparant cette coupe avec celles d'un cerveau normal, dans la même
région
(v. Dejerine, Anatomie des centres nerveux, t. I,
que l'avant-mur et la capsule externe, détruits également dans les
régions
sus-jacentes. . La lésion destructive a limité
ts à l'écorce cérébrale et au centre ovale; elle ne s'étend pas aux
régions
centrales et basales du cerveau : sauf le putam
corps opto-striés, la capsule interne et les divers éléments de la
région
sous-optique sont indemnes de toute lésion prim
ien qu'on a sur une même coupe horizon- tale (fig. 8) : en avant la
région
thalamique supérieure, en arrière le com- mence
la région thalamique supérieure, en arrière le com- mencement de la
région
sous-optique. A la suite de ce tassement des part
externe et interne du cerveau. Plus bas quand on s'approche de la
région
évidée et que les circonvolutions de la face ex
Que les fibres de projection provenant de la partie supérieure de la
région
rolandique (lobule paracentral et circonvolutio
les devraient faire défaut FiG. 8. Coupe horizontale passant par la
région
thalamique moyenne. l'UItL\CL : L'll1L1E CONGÉN
antérieure de ce dernier, étant donnée la destruction complète delà
région
rolandique inférieure, qui y fait passer à l'état
nviron est encore plus évident dans la capsule interne (fig. 8). La
région
du genou et la partie antérieure du segment posté
ue d'un ré- seau de fibrilles bien myélinisées. Plus bas, dans la
région
sous-thalamique et jusque dans la partie supérieu
ur de la capsule interne Fig. 9. - Coupe horizontale passant par la
région
sous-thalamique. Fig. 10. 5 5 LONG se répar
colorées par la méthode de Weigert (fig. 9). On sait que dans cette
région
le segment postérieur de la capsule interne est t
glique sur le trajet de la voie motrice descendante ; sauf dans la
région
sous-thalamique où le réseau des fibres transve
interne de cet orteil ; les douleurs intenses irradient à toute la
région
métatarsienne et aux autres orteils avec sensat
douleurs très violentes. Celles-ci persistèrent dans l'épaule et la
région
du grand pectoral, assez inten- ses pour rendre
la chemise entr'ouverte, on distingue chaque détail du cou et de la
région
sternale. La masse in- testinale s'est échappée
après les quelques cas décrits par d'autres auteurs. La forme de la
région
occipitale est plus variable : le plus souvent,
n'ai trouvé que dans un seul cas le défaut d'ossification limité à la
région
de la fontanelle postérieure. Exception faite p
est la dépression en sillon de la su- ture médiane, surtout dans la
région
obélique. Elle a été observée dans 19 au moins
aisait jamais défaut. Moins apparentes sont les altérations dans la
région
des fontanelles laté- rales. Néanmoins j'ai tou
gion des fontanelles laté- rales. Néanmoins j'ai toujours trouvé la
région
astérique enfoncée chez mes sujets vivants et,
itale (v. Pl. XVI) ; et même, dans le crâne d'Helsingfors, toute la
région
pariétale de la voûte crânienne était composée'
racé ra- , diographique A de la pl. XVII montre une partie de cette
région
avec les osselets et les sutures ; on y voit au
la base du crâne, il faut d'abord remarquer que la dépression de la
région
auriculaire fait supposer un arrêt de croissance
qu'elle nous montre une ossification incomplète, également dans la
région
de la fontanelle astérique. 98 HULTKRANTZ que
nez, souvent en retrait sous le front saillant, et la forme -de la
région
occipitale pourraient faire supposer que la dimen
base du crâne que je viens de décrire. Seuls, le renfoncement de la
région
auriculaire et la position élevée de l'apo- phy
bombé, la proéminence et l'écartement des yeux, l'étroitesse de la
région
maxillaire, et nullement dans une protru- sion
orbitisme .assez souvent apparent et l'aplatissement constant de la
région
des joues sont les marques d'un développement i
s, il sen- tait comme une piqûre d'épingle en un point limité de la
région
pariétale droite. Ce point, d'après ce qu'il in
es veines ont gardé leurs dimensions. Il n'y a rien à signaler à la
région
maculaire. L'acuité visuelle est nulle, le mala
tumeur avait même été placé dans l'hémisphère droit au niveau de la
région
rolandique, en raison de la localisation de la cé
et au-dessous, jusqu'aux limites delà compression, dans les autres
régions
de la moelle,il n'y a que les dégénérescences asc
a moitié du côté gauche, la face interne du vagin, et en arrière la
région
péri-anale un peu moins anesthésiée à sa périphér
Slv ne subsiste que le triangle de Gombault et Philippe. Ainsi ces
régions
, zone marginale de Westphal, faisceau de Hoche et
angle de Gombault et Philippe et la zone cornu-commissu- rale de la
région
lombaire inférieure et de la région dorsale tout
zone cornu-commissu- rale de la région lombaire inférieure et de la
région
dorsale tout entière. Pour le triangle de Gomba
ant des racines postérieu- res dans le zone cornu-commissuralede la
région
lombaire inférieure et de la région dorsale, me
le zone cornu-commissuralede la région lombaire inférieure et de la
région
dorsale, mes coupes confirment tout à fait les ob
et la colonne vertébrale ne présente qu'une ébauche de lordose à la
région
lombaire. Rien de particulier du côté des nerfs
n lymphatique infiltré et hyper- trophié du creux axillaire ou delà
région
sus-claviculaire, par exemple), A PROPOS D'UN C
moelle cervicale (fig. 6). Moelle lombaire supérieure : Dans cette
région
le nombre des tubes nerveux colorés en noir est
protoplasme. ' Ces mêmes faits on les rencontre à n'importe quelle
région
de l'axe médul- laire. En présence des modifi
on du tendon du muscle correspondant, ou de la zone cutanée dans la
région
en général sus-jacente au muscle qui va se cont
fecté et l'enflure ne s'étendait pas sur le tronc. S'il y avait des
régions
des membres inférieurs moins affectés que le re
, et sans décoloration. L'enflure effaçait les contours normaux des
régions
, et les proéminences osseuses des malléoles, des
du quadriceps extenseur fémoral ou des muscles de la jambe dans sa
région
postérieure. Les muscles tibiaux anté- rieurs r
ougeur au-dessus du genou était disparue à l'exception d'une petite
région
à la partie supérieure du triangle de Scarpa. L
para- bles à l'érysipèle. Les frissons, la lièvre, la douleur de la
région
affectée, les vomissements qui peuvent se produ
st de les mettre au lit et d'appliquer des topiques anodins sur les
régions
affectées. L'état de notre propre malade ne pou
Après quelques sommations, il semble cependant qu'au niveau de la
région
olécranienne les piqûres profondes soient légèrem
ent de violents accès de céphalée et un gonflement oedémateux de la
région
prostato-périnéale. Stigmates hystériques : ane
d'anesthésie tégumentaire irrégulièrement réparties au niveau de la
région
mammaire, de la fosse iliaque droite et du membre
Exagération transitoire des réflexes rotuliens. Les téguments de la
région
périnéale sont insensibles à la piqûre, sensibles
rs religieuses. Plus tard,Nicolas 1er les exila au Caucase dans une
région
très insalubre où sévissait la malaria, croyant
qui n'existerait pas s'il existait une corde aponévrotique dans la
région
interne de la paume de la main.- Les mains numé
roite, et dans cet acte, des plis apparaissent plus marqués dans la
région
sous-orbitaire droite que gauche. Toute tentati
e. Ajoutons la présence d'une plaque érythémateuse survenue dans la
région
sacrée, de petites dimensions et ayant rapideme
ons. La sclé- rose névroglique est également très accentuée dans la
région
des cellules pyramidales profondes. NOUVELLE
mouvement réflexe ne portera plus seule- ment sur les muscles de la
région
excitée : il y aura irradiation du mou- vement,
eux, mettre ceux-là dans la corticalité (van Gehuchten), ou dans la
région
bulbo-cervico-spinale (Rosenthal et Mendelssohn
t vertébral antérieur paraît presque sain ; il existe dans toute la
région
dorso-lombaire de très minces ponts osseux inégal
avec la cordose cervicale. La cyphose com- prend donc : 1° toute la
région
lombaire ; 2» toute la région dorsale ; 30 la p
cyphose com- prend donc : 1° toute la région lombaire ; 2» toute la
région
dorsale ; 30 la partie inférieure de la région
mbaire ; 2» toute la région dorsale ; 30 la partie inférieure de la
région
cervicale. Il faut remarquer la parfaite régula-
ne présente aucun coude, aucune inflexion, pas plus au niveau de la
région
lombaire qu'au niveau de la région cervicale, con
lexion, pas plus au niveau de la région lombaire qu'au niveau de la
région
cervicale, contraire- ment à la 21 pièce de P.
rbe de compensation à convexité droite à la partie supérieure de la
région
dorsale ; c) une légère scoliose à grand rayon,
intervébraux disparus. Cette même disposition existe au niveau des
régions
cervicales et lombaires. Mais ici le tassement
nt et ne se traduit que par la courbe à grand rayon que présente la
région
dorsale ; il existe néanmoins, puisque cette co
r- vertébraux sont recouverts par une surface osseuse lisse dans sa
région
anté- rieure et présentant des aspérités sur se
pé par les disques intervertébraux. Mêmes caractères encore pour la
région
lombaire qui a une longueur de 12 centimètres a
. Les apophyses épineuses présentent une véritable imbrication à la
région
cervicale par le fait de la lordose. Elles so
e et la 8" où elles ont subi une fusion incomplète. Au niveau de la
région
dorsale et lombaire, les apophyses sont écartée
e lui forme l'ossification du ligament sus-épineux. Au niveau de la
région
dorsale, cette déformation se traduit par un al
filé vient se continuer avec l'apophyse sous-jacente. Au niveau de la
région
lombaire, les apophyses épineuses subissent au
partie ossifié. Cette ossification manque entièrement au niveau de la
région
cervicale : fait qui vient encore à l'appui des
es ponts osseux reliant les extrémités des apophyses épineuses à la
région
dorsale ; cette ossification était presque comp
tirée, une partie a disparu dans les manipulations. Au niveau de la
région
lombaire l'os- sification du ligament sus-épine
e rejoignent pas complètement. Il faut noter aussi, au niveau de la
région
lombaire, l'aplatissement de la ligne sus-épineus
ossification de ces ligaments est inégalement répar- tie suivant la
région
. Elle est totale à la région cervicale, à ce nive
est inégalement répar- tie suivant la région. Elle est totale à la
région
cervicale, à ce niveau les lames vertébrales se
es vertébrales pro- duite par la cordose facilite leur fusion. A la
région
dorsale, la soudure des lames est limitée aux p
alisées dans une ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE 287 seule et même
région
paraissant être la conséquence de ruptures ligame
e pièce, le ligament sus-épineux ossifié au maximum au niveau de la
région
dorsale supérieure, sommet de la'courbe, alors
de la'courbe, alors qu'il n'y a aucune trace d'ossification dans la
région
cervicale, au niveau de la concavité. On peut m
29, 1907. (5) Achard et Ctcnc, Ankylose spondylo-rhizomélique de la
région
cervicale et des épaules, avec amyotrophie syri
il a 3 ou 4 crises de douleurs dans les han- ches, et aussi dans la
région
cervicale et dans les épaules. On lui met des p
nne vertébrale présente une rigidité plus marquée, siégeant dans la
région
cervicale et dans la région lombaire. 11 se meu
rigidité plus marquée, siégeant dans la région cervicale et dans la
région
lombaire. 11 se meut tout d'une pièce, le tronc
ment de la colonne dor- sale, il n'y a plus d'ensellure normale. La
région
cervicale est aussi rectiligne, au niveau de la
normale. La région cervicale est aussi rectiligne, au niveau de la
région
cervicale il y a une saillie prononcée de la 7e c
portée en avant. Les mouvements sont entièrement supprimés dans la
région
lombaire; la région dorsale présente quelque mo
s mouvements sont entièrement supprimés dans la région lombaire; la
région
dorsale présente quelque mobilité limitée, permet
ésente quelque mobilité limitée, permettant une légère flexion ; la
région
cervicale est aussi rigide ; l'extension est tota
rcussion des apophyses épineuses est légèrement douloureuse dans la
région
cervicale et dans la région lombaire. Les douleur
uses est légèrement douloureuse dans la région cervicale et dans la
région
lombaire. Les douleurs éprouvées par le malade
s apophyses épineuses, surtout marquée à la partie inférieure de la
région
cervicale et au niveau de la région lombaire. L
ée à la partie inférieure de la région cervicale et au niveau de la
région
lombaire. Les 10, et 41e dorsales font une sailli
ction. Il y a eu autrefois des douleurs en ceinture au niveau de la
région
abdominale. Elle sont moins mar- quées aujourd'
mités déterminent des craquements articulaires. Les muscles de la
région
sont un peu atropliiés, notamment le sus et le
tème nerveux. T... éprouve des douleurs fulgurantes par- tant de la
région
lombaire et s'irradiant dans les membres inférieu
OMÉGALIE ? 2ylr " bure du rachis lombaire avec légère lordose de la
région
dorsale, plus marquée dans la station debout. E
peu à peu elle s'accentua, particulièrement au matin, localisée à la
région
fron- tale. Jamais de troubles de la vue ni de
la déformation du nez : il ne se souvient pas d'avoir reçu en cette
région
aucun traumatisme. Le nez, volumi- DEUX CAS D'O
upes sé- riées, il m'est impossible de grouper mes observations par
régions
céré- brales. Il ne me reste qu'à les publier à
ologiques devaient leur origine à une tumeur de l'hémisphère droit,
région
motrice. Soudée à la dure- mère, elle en était
nché cette question. Dirigée aussi exactement que pos- sille sur la
région
corticale du bras gauche, l'ouverture faite par l
Les voies optiques ont été lésées de 2 manières différentes. 1. La
région
du chiasma présente à sa partie supérieure une co
Résumé. -IL s'agit d'un sarcome, sis immédiatement en arrière de la
région
motrice du bras. Cela explique l'apparition préco
es et par un épaississe- ment général. Ce n'est guère que dans la
région
de la fig. 2 que la différence entre les deux h
nt que peu sur le courant céphalo-rachidien, par exemple celles des
régions
antérieures du cerveau, peuvent fort bien ne se
naire. Le néoplasme paraît avoir eu son point de départ la la base,
régions
de oFi et deLi. Il occupe la place de N. C. et
. L'aphasie doit relever de la destruction des fibres traversant la
région
de l'insula et des lésions générales de l'hémisph
vénérienne. A signaler simplement un traumatisme ayant porté sur la
région
lombaire, accident survenu après la naissance de
lies d'épaisseur, mais sa coloration varie, suivant les différentes
régions
du corps ; au tronc et aux membres infé- rieurs
it : il présente une dépression longitudinale assez marquée dans la
région
occipitale supérieure. Il est asymétrique, ainsi
les muscles qui s'y insèrent sont peu développés, en sorte que les
régions
pectorales et scapulaires n'ont pas leur conforma
r 1897. ' BRECMANN et STE11OEAUS. - Tumeurs de l'hypophyse et de la
région
hypophysaire. Journ. de Neur., 1907, nO, 16 et
s de homard ». Les déformations sont exclusivement localisées aux
régions
que repro- duisent les photographies ci-jointes
sphères. Cet aspect est particulièrement marqué à la convexité, aux
régions
frontales et le long des scissures de Sylvius. Le
érieures. Ses différents aspects sont des plus nets : triangle à la
région
lombo-sacrée,tractus allongea la région dorsale
des plus nets : triangle à la région lombo-sacrée,tractus allongea la
région
dorsale, de nouveau triangle à la région cervic
sacrée,tractus allongea la région dorsale, de nouveau triangle à la
région
cervicale. A noter à la partie su- périeure de
angle à la région cervicale. A noter à la partie su- périeure de la
région
dorsale une forme curieuse : l'extrémité antérieu
me endroit et qui se déversaient dans les artères capillaires de la
région
. Est-ce possible ? Les gangrènes culanées embol
ie crurale par lésion du lobule paracentral. Lésion étendue de la
région
rolandique d'origine intra-utérine sans hémiplé
ressive (4 pl.), par Boschi, 75. Hémiplégie (Lésion étendue de la
région
rolandique d'origine intra-utérine sans conse
aléral homogène et hétéro- gène, par Klippel et Pierre WEIL, 270.
Région
rolandique (Lésion étendue de la- 1 d'origine i
spasmo-frênatrice au niveau du pli de l'aine du côté droit, dans une
région
symétrique à la zone spasmogène du côté gauche.
he et s'arrêtant brusquement au menton; elle remonte un peu vers la
région
temporale, mais ne s'étend pas vers la branche
'sous des clavicules et autour de l'ombilic. Pas de douleur dans la
région
ova- rienne. Elle se plaint en outre d'éprouver
lesse et à la douleur qu'elle 'éprouvait dans le côté gauche de la-
région
dorsale. Cette amélioration se maintint dans la s
cles eux-mêmes, s'accentuait alors et s'étendait bientôt aux autres
régions
musculaires, au tronc, aux membres supérieurs e
sur laface interne. Le sens musculaire subsiste pourtant dans cette
région
, car une pression forte y est perçue. Les mains t
es, tenant à des troubles des nerfs vaso-moteurs, se voient sur les
régions
hypothénar et sur divers autres poinls du corps
d, il ressent de la faiblesse dans les jambes, des douleurs dans la
région
sacrée et les membres inférieurs avec sensation
hors d'usage. Elle se plaint de douleurs dans le côté gauche de la
région
sacrée, principalement quand elle pose le pied
au,niveau de la.face.'Au cou elle prédomine pour les muscles de la
région
postérieure, qui ont en grande partie disparu (
: pas de réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la
région
). Réaction faradique à peu près normale. Muscle
ns opposées, l'une déterminée par la paroi utérine, l'autre par une
région
foetale sur laquelle le crâne s'appuyait. Les
tale et à un centimètre environ en avant d'elle. J'ai tra- versé la
région
du sinus longitudinal en le décollant du crâne et
uis le supinateur et le brachial antérieur, enfin les muscles de la
région
postérieure. Il ne cesse pendant cet effort de fi
provoquer l'attaque en exerçant une pression assez forte, soit sur la
région
du flanc droit, soit dans le flanc gauche. La c
une douleur extrêmement vive, presque insupportable, partant dc la
région
cervicale et se'dirigeant en avant vers le sternu
a nuque. Il se plaignait aussi d'une gêne douloureuse siégeant à la
région
sacrée. Sa mémoire s'amoindrit : il avait, nous d
s, se nourrissant bien et ne faisant aucune espèce d'excès. Dans la
région
dorsale existe un point, douloureux superficiel
grand hypnotisme; il suffit de frapper modérément, avec la main, la
région
dorsale, pour déterminer une paralysie des memb
de quoi il pouvait bien s'agir, nous frappons un coup modéré sur la
région
dorsale de la colonne vertébrale. Elle se plaint
ue temps auparavant, en travaillant aux mines, il avait reçu sur la
région
dorsale un quartier de roc. Il tomba immédiatem
constata la légère saillie précédente avec un peu d'oedème dans la
région
lombaire. La pression à ce niveau n'est pas dou
ntaires, « mor- phologiques » respectant les organes génitaux et la
région
sacrée; elle est limitée supérieurement par une
embres inférieurs, mais encore les organes génitaux, l'abdomen, les
régions
sacrée et lombaire, dans une hauteur variable (
ou. On ne constate cependant pas de déformation bien nette de cette
région
ni d'atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci ré-
e de la sensibilité à la pression de la colonne vertébrale et de la
région
rachidienne qu'on rencontrait ce jour-là et qu'
eux côtés,' droite 'et à gauche, sur les confins de la joue et delà
région
sous-maxillaire des saillies irrégulières, mame-
maxillaire inférieur. Etant donné- la rareté comparative dans cette
région
des scrofulides cutanées avec les scrofulides g
utanée. C'est à la face qu'elle est le plus marquée ; la peau de la
région
est lisse, flasque, pendante, comme chez un vie
blanche comme de l'urticaire. Le 19 mai, quelques douleurs dans la
région
sous-maxillaire gauche. Sur la région temporale,
ai, quelques douleurs dans la région sous-maxillaire gauche. Sur la
région
temporale, du même côté, plaque rouge livide ér
de ses crises. Elle accuse aussi des douleurs sourdes au niveau des
régions
lombaire et hypogastrique, et une hyperesthésie d
son aspect lisse et uni. L'aspect ridé de la peau varie suivant les
régions
et suivant l'altitude- de la malade. ' A la tôl
plans sous-,jacents et. pen- .danté. Au niveau des lèvres et de la
région
mentonnière, ces caractères sont CONTRIBUTION A
TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M l'étouffé ; c'est vers le milieu de la
région
sternale qu'elle localise cette sen- sation.
ridée qui encadre celui-ci à la manière d'un double menton, dans la
région
sus-hyoïdienne médiane. Sur les parties latéral
onnent l'aspect et la consistance de masses ganglionnaires. Dans la
région
sous-hyoïdienne, la peau est également ridée, p
coup moins accusés, sauf à la partie inférieure, aux fesses et à la
région
sacrée. Sur les parties latérales l'aspect ridé e
peau y est très ridée ainsi qu'à la face interne des bras, et à la
région
olécranienne. A l'avant-bras l'aspect se rapproch
la 176 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cuisse, dans les
régions
exactement symétriques, la peau présente d'autres
er aisément. Elle en est pour ainsi dire détachée, surtout dans les
régions
où l'aspect ridé est le plus accusé. Elle semble
. Lorsqu'on la pince entre deux doigts, on fait apparaître dans des
régions
peu touchées une infinité de plis plus manifestes
toujours cette céphalée gravative incessante et prédominant dans la
région
occipitale qui est apparue dès la seconde semaine
out le crâne. Cette céphalée était particulièrement intense dans la
région
occipitale. En outre, il se plaignait d'une gên
'une gêne douloureuse siégeant à la partie inférieure du dos sur la
région
médiane, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui fai
ec sensation de pression à l'occiput, sensation de compression à la
région
sacrée, perte de l'appétit, digestions difficil
ant les accès qui suivirent ultérieurement, aucune douleur dans les
régions
ova- riennes, aucune sensation de boule, de con
: céphalée tenace, constrictive, généralisée, mais prédominant à la
région
occi- pitale ; sensation de gêne, de pression,
pitale ; sensation de gêne, de pression, permanente au niveau de la
région
sacrée; diminution des forces; inappétence; dig
ule et le creux de l'aisselle en empiétant un peu, en avant, sur la
région
antéro-latéralc droite du thorax. Pas d'anesthé
roite. Ces douleurs descendaient le long de la nuque jusque dans la
région
lombaire en suivant la colonne vertébrale. Ren-
rchant, mais cette boiterie est causée par un état douloureux de la
région
du cou-de-pied droit. En marchant, la malade ép
` ? 0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Par la pression des
régions
et. des points suivants, on détermine une sen-
cuir chevelu est un peu hyperesthésiquc. A la nuque. Dans toute la
région
la pression est douloureuse, mais il y a un poi
ule (côté de la flexion) sont particulièrement douloureux. Tronc.
Région
ovarienne gauche. Membres inférieurs. Les deux
eux. Tronc. Région ovarienne gauche. Membres inférieurs. Les deux
régions
inguino-crurales, le creux poplité droit, la fa
pendant plusieurs heures, un aimant puissant mis en contact avec la
région
malade. Souvent nous affirmions aux malades en po
ce. A. Crâne. Le crâne, tel que nous avons à l'étudier, est cette
région
de l'extrémité céphalique qui commence en avant a
a verticalis ou superior de Blumenbach, qui, permettant de voir les
régions
frontales, pariétales, une partie des régions t
ermettant de voir les régions frontales, pariétales, une partie des
régions
temporales et occipitales sert il découvrir déjà
e la hauteur et la largeur du front, la dépression laté- rale de la
région
fronto-pariétalc, l'asymétrie frontale, etc. L'
ontal minimum ont pour but de renseigner sur le développement de la
région
frontale. Mais ce sont des mensurations bien su
° Trigonocéphalie (-.pcyowcv, triangle), crâne à contour triangu- '
région
frontale en forme de coin, élargissement des boss
ernières, déjà étudiées par Gosse, ont été observées dans certaines
régions
de la France, telles que la Seine- Inférieure (
dé de 11'ei8crt, coupes 1'01 tant sur le bulbe, la protubérance, la
région
des noyaux des muscles oculaires. Les faisceaux
te leur étendue; altérations des zones radiculaires surtout dans la
région
dorsale, peu dans la région cervicale, très peu d
des zones radiculaires surtout dans la région dorsale, peu dans la
région
cervicale, très peu dans la région lombaire. Sc
ans la région dorsale, peu dans la région cervicale, très peu dans la
région
lombaire. Sclérose dans les cordons de Goll à l
peu dans la région lombaire. Sclérose dans les cordons de Goll à la
région
cervicale. ' Dans la substance grise, dégénérat
tés kys- tiques occupant la substance gélatineuse postérieure de la
région
lombaire. Corpuscules amyloïdes nombreux au sei
ralement jusqu'au voisinage de la zone radiculaire; il partir de la
région
dorsale la lésion était strictement limitée aux c
articulièrement atteint. L'hypérémie est considérable dans toute la
région
. Enfin les noyaux de Westphal présentent peu d'
c'est-à-dire du corps pituitaire et de la lame criblée, enfin de la
région
où pénètre le moteur oculaire commun, pour 2° l
s à la face postérieure de la pie-mère spécialement au niveau de la
région
lombaire. Le malade qui a présenté la dégénéres
e, puisqu'il touche non pas une partie quelconque du corps, mais la
région
où se concentre pour ainsi dire toute l'inten-
qui limitent le creux poplité étaient rigides comme des cordes. La
région
du genou présentait des altérations appréciables
âgée de quarante-sept ans, habile ordinairement le Pérou, dans une
région
marécageuse où régnent des fièvres paludéennes as
emaines. Bientôt la douleur s'étendit à la jambe gauche et gagna la
région
des reins. En même temps apparaissait une contr
cile de constater la tension des muscles formant sous la peau de la
région
postérieure de la cuisse des cordes très appréc
tout quand on examine le malade debout et par derrière; existe à la
région
inférieure une légère courbure scoliotique dont
médiaire où la douleur est perçue, mais moins vivement que dans les
régions
symétriques du côté opposé. Dans cette zone de
la moelle épinière, on fit une quantité de coupes dans les diverses
régions
de ces parties. En examinant les coupes frontal
undibulc. Des hémorrhagies semblables se rencontraient dans la même
région
de la partie postérieure des couches optiques e
ffet au niveau du bulbe et de la protubérance, spécialement dans la
région
de l'oculo-moteur, des hémorrhagies capillaires a
ancs et rouges disséminés; hémorrhagies capillaires au niveau de la
région
correspondant au noyau de l'oculo-moteur commun
orbide de notre cas; s'il en est ainsi, nous pouvons dire que cette
région
du cerveau est susceptible de lésion systématiq
t. Il existe deux zones douloureuses profondes, une au niveau de la
région
vertébrale dorso-lombaire; l'autre très étendue
rnières côtes du côté droit. Ces zones ne sont pas hystérogènes. La
région
lombaire présente, à l'état très accusé, cette sa
- vants (10 juin 1886) : la sensibilité culanée est abolie dans les
régions
symétriques des coudes et des genoux; l'anesthé
étriques des coudes et des genoux; l'anesthésie forme autour de ces
régions
un manchon très allongé. Le sens musculaire est c
tout en conservant une douleur fixe dans l'abdomen au niveau de la
région
ovarienne droite. Début de la maladie actHëe.
hyperesthésie, surtout prononcée dans le dos à gauche, s'étend à la
région
antérieure de la poitrine, à l'abdomen, à la part
men, on voit la trace de gros cautères qui ont été appliqués sur la
région
spinale et sur- le côté gauche du dos. La malad
rouvé de vives douleurs dans la colonne vertébrale, au niveau de la
région
lombaire et de la région dorsale. Ces douleurs
ans la colonne vertébrale, au niveau de la région lombaire et de la
région
dorsale. Ces douleurs duraient toute la journée;
ais avec difficulté; dans la marche, les membres infé- rieurs et la
région
lombaire étaient le siège de fortes douleurs; « e
ne chaise qu'elle pousse devant elle. Elle présente au niveau de la
région
lombaire une déformation de la colonne vertébra
n outre, plaques hyperes- thésiques très sensibles, au niveau de la
région
sternale et sur le sommet du vertex ; de plus,
Il existe encore une zone hystérogène dou- loureuse au niveau de la
région
ovarienne droite; la pression réveille des phén
quelque chose du côté des vertèbres. Un examen attentif de toute la
région
vertébrale ne me fait rien découvrir. » On le t
cas. C'est ainsi que parfois la contracture ne se localise pas à la
région
directement excitée, elle envahit le voisinage et
nt par la pression. Il y a une différence très nette dans les mêmes
régions
, dans la sensibilité de la peau considérée dans l
s mêmes régions, dans la sensibilité de la peau considérée dans les
régions
saines et dans les régions cyanosées; il y a à
nsibilité de la peau considérée dans les régions saines et dans les
régions
cyanosées; il y a à peu près partout une différen
prendre la température localesur les plaques asphyxiques et sur les
régions
voisines. Les thermomètres de surface dont on s
: plaque asphyxique, ` ? J°8; peau saine voisine, 31°. 29 avril,
région
lombaire droite : plaque asphyxique, 33°l.; peau
spécial chez le nouveau-né de la nuque, et plus générale- ment des
régions
vertébrales; 2u les anomalies morphologiques de l
it s'indiquer une concavité cervicale et une concavité lombaire, la
région
dorsale restant convexe. Il sem- blerait qu'alo
ernant l'épaule en arrière (Fig. G(i, 67). Au repos, le reste de la
région
dorsale et la région lombaire sont remarquablem
rière (Fig. G(i, 67). Au repos, le reste de la région dorsale et la
région
lombaire sont remarquablement uniformes : c'est
nt par les pieds l'enfant étendu sur le ventre, on détermine, il la
région
NOTE SUR LA MORPHOLOGIE DE LA NUQUE. 363 dors
ces plis se retrouvent plus petits, moins longs et moins larges la
région
lombaire, où ils cachent les seules saillies ap
t ici même, il y a plus de deux ans, l'anatomie morphologique de la
région
lombaire, et signalait à ce propos les erreurs
a saillie normale produite par la troisième apophyse épineuse de la
région
. Depuis cette époque, notre attention a été att
l avait diagnostiqué la tuberculose vertébrale ; or, la forme de la
région
est absolument normale; l'enfant depuis un an et
e et délire durant trois jours. - 2 octobre. Vives douleurs dans là
région
lombaire. Pointes de feu réclamées par la malade
ne siègent à la face, mais par contre elles sont très vives dans la
région
dorsale et autour de la taille. Ces crises dure
ie pharyngée. Il existe en outre une zone douloureuse au niveau des
régions
dorsale et lombaire du rachis, douleur déterminée
inutes; ces douleurs sont toujours exquises, surtout au niveau delà
région
lombaire et le feraient « tomber », dit-il, s'il
vives; autour de la taille, il se sent enserré et étouffe; dans la
région
dorsale, l'hyperesthésie est à son comble; elle
olue. La température (chaud, froid) n'est pas perçue dans les mêmes
régions
; la douleur à la pipûre est également très aff
eux zones hystérogènes : l'une dans le flanc droit, l'autre dans la
région
dorso-lombaire. En ce point la sensibilité est
édées d'une sensation bizarre dans le flanc droit qui monte dans la
région
sternale sous forme de constriction pénible, puis
Il ne semble pas y avoir dans l'abdomen de douleur localisée à une
région
; il est douloureux dans sa tota- lité. Cette z
tait alors 1G0 à la minute; il avait une douleur assez vive dans la
région
thyroïdienne avec sensation d'an- goisse el d'é
lutôt qu'osseuse occupant souvent deux points superposés du rachis (
région
dorso- lombaire, région dorsale supérieure). La
t souvent deux points superposés du rachis (région dorso- lombaire,
région
dorsale supérieure). La peau est sensible d'ordin
occupent cer- tains sièges d'élection : à la tête, les joues et les
régions
sous-orbi- laires; le cou est rarement atteint;
cette intéressante particularité qu'elle se trouve localisée à une
région
très limitée : l'union du quart supérieur et de
mari la frictionne avec de l'eau sédative; cette douleur quitte la
région
dorsale pour venir se localiser à la partie média
t maigri, que les mouvements du pouce étaient difficiles, et que la
région
de l'éminence thénar était parcourue par des se
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. - loureuses : l'une dans la
région
ovarienne gauche, l'autre dans la fosse sus- ép
remière enfance, elle a eu, vers l'âge de trois ans, un abcès de la
région
sus-hyoïdienne dont il reste encore une petite
des articulations, ce qui la priva de tout mouvement. Aucune autre
région
du corps ne fut touchée. ÉTUDE DES SYNDROMES HY
main. Autrement dit l'amyotrophie hystérique s'est greffée sur une
région
déjà un peu amaigrie et très rapidement l'a décha
liens se contractent avec seize éléments NFC > PFC. Groupe de la
région
posté- rieure de l'avant-bras. L'extenseur prop
un membre affecté de paralysie ou de contracture, tan- tôt sur une
région
anesthésique ou hypel'esthésiquc que se développe
oppe l'atrophie hystérique, sur sa localisation habituelle dans des
régions
marquées pour ainsi dire d'avance par d'autres
vraisemblablement la reproduire, pourvu qu'elle siège dans la même
région
spinale. Au dernier congrès de Berlin, M. Minor
occupant un segment de membre, un membre entier, et sé- parées des
régions
intactes par des lignes à contours nets. Jusqu'
. Nous ne parlons pas des saillies de la colonne verté- brale, à la
région
lombaire notamment, que des médecins ignorants
gomyélie. l. Il. nicher, Sole sur l'al1alolllie morphologique de la
région
lombaire (Nouvelle lcv- nographie, 1888, p. 13)
ouvelle lcv- nographie, 1888, p. 13). 2. Durci, Déformation de la
région
lombaire de nature neuro-musculaire, crllluscolio
riences, dit M. Landolt, relatives à la perception des couleurs aux
régions
concentriques de la rétine ont prouvé que l'impre
seraient mal tranchées et se continueraient graduellement avec les
régions
intactes. Il y aurait là une espèce de zone de
e ou semble s'arrêter dans une phase stationnaire. Elle atteint les
régions
paralysées, contracturées ou anesthésiées. Dans
me dur, cyanose, avec abaissement de la température locale dans les
régions
affectées. D'ordinaire, il apparaît et disparaî
plus grande évidence, grâce à une déformation consi- dérable de la
région
thoracique antérieure et de l'aisselle. Dans cett
és, ecz'éiiiatiforities par places, papuleux dans d'autres. Pour la
région
interscapulaire, rougeur diffuse et très prurig
xystique dont il vient d'être parlé; il est surtout intense dans la
région
supérieure du dos et de la poitrine; sur les me
ation collatérale avec amélioration consécutive de la nutrition des
régions
malades ne pourrait avoir lieu qu'au bout d'un
qui fait que les adhérences de la dure-mère sont détruites dans la
région
des cor- dons postérieurs; d'autre part, la név
é la même expérience sur quatre cadavres, opérant deux fois dans la
région
des vertèbres cervicales et deux fois dans cell
fléchisseurs y font saillie. L'éminence hypothénar est déprimée, la
région
thénar est moins accusée que normalement. Les d
e nutritif (névrite), à la suite de la lièvre typhoïde, limité à la
région
du nerf cubital. Si l'on fait abstraction de
ns du petit doigt. : , 1 ? ' ; , ' ,, ; " ; ' ., ! . L'examen de-la,
région
du coude- montre que l'articulation est augmentée
ue nous avons déjà présentées se rappor- taient à des fractures des
régions
dorsale inférieure et lombaire supérieure; auss
n'était pas assez fortement incliné; la voûte heurta violemment la
région
cervicale postérieure, puis le reste du dos pas
colonne vertébrale, la palpation était douloureuse, surtout dans la
région
lombaire et dans la région cervicale. Le malade
ation était douloureuse, surtout dans la région lombaire et dans la
région
cervicale. Le malade se tient fortement courbé en
marche, ne tarde pas à provoquer une sensation douloureuse dans la
région
dorso-lombaire; le malade se repose en s'asseya
plus épaisse, quand on la pince entre deux doigts, que la peau des
régions
correspondantes de la cuisse droite. Il n'y a
s la journée. Le rachis est un peu douloureux à la pression dans la
région
dorso-lombaire et surtout dans la région sacrée
reux à la pression dans la région dorso-lombaire et surtout dans la
région
sacrée. Il y aurait parfois des douleurs spontané
cture du sacrum. On remarquera que l'anesthésie n'occupe aucune des
régions
innervées par des branches du plexus lombaire,
les- sure par arme à feu. OBs. VII. Blessure par arme à feu de la
région
de la nuque. Syndrome de jSroM'K-SeMa'rd,/tëM&l
rvice de M. Théo- phile Anger. , Il a reçu le 20 novembre dans la
région
de la nuque, une charge de plomb n° 8; le coup
mbre, c'est-à-dire qualre jours après, on constate ce qui suit : La
région
de la nuque, à droite de la ligne médiane, est cr
ère l'oreille droite existe une large ecchymose qui s'étend vcrs la
région
slerno-mastoïdiennc. De vasles épanchements san-
les épanchements san- guins, profondément situés, occupent toute la
région
latérale du cou. - Le malade n'a pas présenté u
it des zones étendues d'anesthésie. La délimitation scrupuleuse des
régions
anesthésiées n'a pu être faite, le temps nous aya
lonne dorsale avait déterminé en outre des troubles sensitifs de la
région
antérieure de la cuisse, dont l'innervation ne
membres inférieurs dans les quatre cas où la fracture occupait les
régions
dorsale, lombaire et sacrée, les membres supéri
ne dans les mouvements du rachis, un léger endolorissement de- la
région
, que la moindre fatigue provoque ou exagère; mais
s n'étaient pas élargis. La circonférence de chaque main faite à la
région
moyenne est de 9 pouces; autrefois la malade fa
tir. La colonne vertébrale présente dans la partie supérieure de la
région
dor- sale une cyphose plane; la tête est fortem
et coloration (fig. 21). Cheveux et sourcils bien développés. La
région
malaire fait une saillie notable; les os malaires
a nuque et le dos sont très larges, ce dernier est cyphotique dans la
région
dorsale. ' Thorax grand, large, rigide. Circo
malade pour rechercher s'il trou- verait chez elle la matité de la
région
supérieure du sternum qu'il avait cons- tatée c
n, souffle systolique intense s'étendant de la partie moyenne de la
région
occupée par la matité cardiaque jusque vers les c
cipalement due à la cyphose arciforme de la partie supérieure de la
région
dorsale du rachis et à l'attitude particulière
ire inférieur qui fait saillie dans toutes les direc- tions,puis la
région
des tempes et des oreilles. La partie de la régio
c- tions,puis la région des tempes et des oreilles. La partie de la
région
du maxillaire supérieur proche du nez est égale
ment trop longues sont assez maigres, les mollets sont flasques. La
région
du bassin paraît plus large que normalement. Le
llie eu avant et en haut; les fesses sont flasques et pendantes. La
région
lombaire du rachis est anormalement aplatie ; l
ndantes. La région lombaire du rachis est anormalement aplatie ; la
région
sacrée se rapproche de la direc- tion verticale
, ceci d'intéres- sant que le magnétiseur appuie directement sur la
région
ovarienne, région qui, comme on le sait, estle
sant que le magnétiseur appuie directement sur la région ovarienne,
région
qui, comme on le sait, estle siège de la plus fré
jonctive, anesthésie qui envahissait également, en cercle, toute la
région
périorhitaire, y compris les paupières.- L'amau
e de l'orbiculaire', à tel point que la peau des paupières et de la
région
péripalpébrale est fortement plissée. Si l'on e
il existe une photophobie intense. De plus, les paupières et les
régions
périorhilaircs droites et gauches, sont le sièg
insistant sur le membre inférieur et le cou. De même effleurage des
régions
périorhitaires. Sous cette influence, il survie
urbure latérale à concavité gauche, courbure portant surtout sur la
région
dorsale. Cette déformation, d'ailleurs peu accu
V). Armée de la sonde cannelée, l'opérateur explore une plaie de la
région
du coude. Le patient qui pousse les hauts cris,
la partie antérieure de la jambe, la partie forte des épaules, à la
région
lombaire, les écailles ont des dimensions considé
tre, parcourue par des sillons et des plis nombreux donnant à cette
région
un aspect ridé (pl. XXVI). A la région planta
s nombreux donnant à cette région un aspect ridé (pl. XXVI). A la
région
plantaire la peau a le même aspect; mais, en outr
à la palpalion ni chaleur, ni fluctuation, mais un empâtement de la
région
. Cette augmentation de volume paraît porter sur
à bords plus irréguliers, haute d'environ G centimètres, occupe la
région
dorsale du poignet. La dispostion est la môme q
z celui-ci l'anesthésie envahit la totalité de la face ainsi que la
région
postérieure de la tête et du cou; pour interpré
ral, le frontal, l'occipital, en un mot les muscles peauciers de la
région
, à droite, étaient en contracture. Pour le prem
te un sen- timent de tension nettement accusé par la malade dans la
région
frontale gauche. L'examen minutieux de la sen
l'insertion du peaucier, en haut, sur les limites supérieures de la
région
fronto-pariétale; en dehors, le pavillon de l'ore
rd postérieur du sterno-cléido-mastoï- dien; en haut, elle gagne la
région
fronto-pariétale et se termine par une ligne el
transfert de la sensibilité il droite (côté anesthésique) dans les
régions
correspondantes. Guérison de la contracture par
horizontalement en bas au niveau de l'omoplate, et en haut, dans la
région
occipitale, au niveau des insertions du trapèze.
ons du trapèze. La sensibilité est- revenue à droite dans les mêmes
régions
. Une séance d'hypnotisation fait disparaître la
dantes de la distributions des filets nerveux qui sensibilisent la
région
contracturéc. - Dans les cas que nous avons d
îte cranienne qui, gênant à leur tour le développement de certaines
régions
céré- brales, occasionneraient les troubles int
bre inférieur droit, au bras droit, à la face. En pressant sur la
région
tuméfiée de la plante du pied on provoque une v
à le faire disparaître. Quelques mots d'abord sur les formes de la
région
. En arrière du bassin proémine la fesse limitée
surbaissée. Un sillon peu profond et oblique sépare quelquefois la
région
du grand fessier de celle du moyen. La graiss
r de celle du moyen. La graisse qui double toujours la peau de la
région
, joue un rôle morphologique important. Elle acq
ert son maximum d'épaisseur à la partie inférieure et interne de la
région
. Et la saillie de toute la région estbien souve
artie inférieure et interne de la région. Et la saillie de toute la
région
estbien souvent beaucoup plus due à l'accumulatio
ont le système musculaire est généralement peu développé et dont la
région
fessière est néanmoins fort saillante. Les fess
r une série d'amas graisseux volumineux qui donnent à la coupe delà
région
l'aspect d'un lipome. Il n'est pas sans intérêt d
autre conséquence de cette disposition, c'est que la graisse, de la
région
est en quelque sorte contenue dans une espèce de
qui descend vers la cuisse et ménage une transition entre les deux
régions
voisines. Ce plan incliné est vrai- ment dû au
longueur. Portion dorsale. - Le grand sympathique dans toute cette
région
forme un cordon présentant au niveau des gangli
. Ces cordons sont plus volumi- neux que le pneumogastrique dans la
région
cervicale, ne mesurant que 4 millimètres. Au li
les orbites, se relèvent inférieurement et sont saillants dans leur
région
alvéolaire, mais les fosses canines demeurent t
située au pli de l'aine du côté gauche et s'étendant un peu sur la
région
atte- nante de la paroi abdominale. Des attaque
signes d'une coxalgie hystérique avec zone hyperesthésique dans la
région
externe du pli de 1 aine empiétant sur la régio
esthésique dans la région externe du pli de 1 aine empiétant sur la
région
supéro-externe de la hanche. Le membre inférieu
froid, à la chaleur, dans toute l'étendue de ce côté, sauf dans la
région
mammaire et axillaire et sur v la face postérie
almaire des doigts.. ' ' ' Thermo-anesthésie absolue dans les mêmes
régions
au froid (glace), à ta chaleur (100°. et au-des
ue des deux côtés ; plaques d'anesthésie complète il gauche dans la
région
sous-mammaire dans une étendue de G à 7 centimè
ion sous-mammaire dans une étendue de G à 7 centimètres, et dans la
région
interne de la cuisse vers la moitié inférieure;
t dans la région interne de la cuisse vers la moitié inférieure; la
région
symétrique de droite présente également une gra
ÊTRIÈRE, son membre inférieur droit en même temps que la peau de la
région
tuméfiée prenait une teinte rougeatrc, bleutée.
t. Cette fois on se borna à exer- cer une compression élastique des
régions
gonflées et au bout d'une semaine la tuméfactio
chez le malade dont nous donnons ici la reproduction. Toutes les
régions
du tégument ne sont pas également favorables à
également favorables à l'expérience. Il faut choisir, dit Gull, une
région
riche en fibres lisses. C'est sur la peau du th
on réussit le mieux à produire le phénomène, principalement dans la
région
dorsale. Sur les membres, l'excitabilité va en
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE, a l'air si l'on considère que, dans la
région
sternale par exemple, une distance verticale lo
ditions, nous n'avons observé aucun changement de dimension dans la
région
excitée. Entre deux points distants de 8 cen- t
etrait du tégument. D'ailleurs la même expérience pratiquée dans la
région
sternale, le malade ayant gardé l'immobilité ab
ransversales avaient été tracées voisines l'une de l'autre, dans la
région
deltoïdienne droite; l'excitation n'avait pas été
que nos tentatives ont échoué pour obtenir une pigmentation dans la
région
symétrique, du côté gauche. Dans le but d'étu
inutes) une ligne tracée, partie sur la peau intacte, partie sur la
région
anesthésiée, devient saillante d'abord dans la
ions les plus fortes. Mais nous avons pu constater, en examinant la
région
au bout de deux heures, l'existence de reliefs
étendue. Cet épuisement s'est prolongé jusqu'au lendemain dans une
région
fortement irritée à plusieurs reprises, et nous a
tes3. 1 1. Zunker, loc. cit., p. 505. 2. Ce même malade dont la
région
dorsale est photographiée ici, présente sur les j
ns la même situation. Je ne retrouve plus la zone hystérogène de la
région
sternale. Les périodes de grands mouvements qui
musculaire à marche lente et progressive, abolition dans certaines
régions
des diverses sensibilités avec dissociation pou
Toutefois il faut remarquer encore que l'intégrité du tact dans les
régions
anesthésiées n'est pas absolue et qu'il est obtus
ras gauche avec secousses fibrillaires, mais sans douleurs dans les
régions
des muscles en voie d'atrophie. , UN CAS D1;
one, à l'inverse de ce qui existe surla fig.83. Dans celle dernière
région
(ombilic face antérieure de la cuisse droite) l
l'attaque maib on l'arrêtait, de même que par la compression de la
région
correspon- dant à l'ovaire chez la femme (n'imp
). Le sinus latéral droit est seul marqué sur l'oc- cipital; sur la
région
mastoïdienne, il est plus large que le gauche, ai
é antérieure et droite dont le sommet répond il la il dor- sale. La
région
dorsale inférieure et la lombaire formentuue cour
eaucoup p moins accentuée, à convexité droite. Des plus, comme à la
région
cervicale, .la convexité antérieure normale est
par compensation des parties supérieure et inférieure du rachis, la
région
dor- sale supérieure étant l'origine de la défo
Les facettes costales sont affaissées dans la portion concave de la
région
dorsale; les autres sont élargies, entourées de
yses transverses. Augmentation considérable de leur gouttière il la
région
cervicale; l'extrémité costale des dorsales est v
gieuse. Les apophyses articulaires ont leur surface élargie dans la
région
cer- vicale et dorsale (15 mill. de. diamètre);
t l'absence d'une comparaison minutieuse des coupes aux différentes
régions
de la moelle peut faire croire à un tabes légit
milieu du septum par une zone ovale à peu près saine. En ces deux
régions
, le processus scléreux est très accentué, il n'
niveau du quart inférieur environ du cordon postérieur. Dans cette
région
dégénérée, il existe encore quelques fibres sai
circonvolutions tem- porales et occipitales. En ces deux dernières
régions
de l'encéphale, les réseaux tangentiels profond
et irrégulière. D'une façon générale, elle atteint non seulement la
région
des fibres exogènes, mais aussi, tout au moins
aissance à une infection secondaire de la peau et à des abcès de la
région
parolidienne. Avant l'ouverture de ces abcès, la
devant l'aggravation de son état, on pratique la trépanation de la
région
temporo-parié- tale gauche et on découvre un va
aralysie du facial supérieur, et cependant la lésion intéressait la
région
rolandique tout entière. On peut, pour expliquer
nguale, ni pharyngée, ni laryngée, ni masticatrice, c'est-à-dire de
régions
pour lesquelles la bilaléralilé. d'action des c
de vingt-huit ans; à cette époque, chute et traumatisme grave de la
région
lombaire; deux ans plus tard, apparition des prem
itifs produits par la répétition d'ischémies fonctionnelles dans la
région
des noyaux, on à des lésions endartéritiques de
vestige d'mie ancienne inflammation des tissus profonds. Toute la
région
anesthésiée est le siège d'une éruption eczémateu
ace du corps à l'excep- SOCIÉTÉS SAVANTES. 73 lion d'une petite
région
quadrangulaire comprise entre les deux omoplate
La topographie varie non seulement avec les sujets, mais avec les
régions
d'un même organe. Elle atteint son maximum dans
avec les régions d'un même organe. Elle atteint son maximum dans la
région
dorsale supérieure ou cervicale inférieure; le
e du triangle que figure le cordon postérieur. Plus haut, dans la
région
dorsale, d'autres fibres échappent à l'altérati
de la circonférence. En sorte que, dans le cordon postérieur, à la
région
dor- sale, nous rencontrons successivement, en
u triangle de Gombault et Philippe sont demeurées saines. Dans la
région
cervicale, on retrouve bien quelquefois la suit
les lésions perdre de leur netteté, à mesure qu'on s'éloigne de la
région
dorsale. Et cela est vrai, non seulement pour l
, au contraire, est augmentée de volume. Il en résulte que, dans la
région
dorsale et cervicale inférieure, la substance g
'existe plus qu'une ou deux cellules. Elle est plus avancée dans la
région
lombaire que dans la région cervicale. Atrophie
cellules. Elle est plus avancée dans la région lombaire que dans la
région
cervicale. Atrophie et chromatolyse coexistent
ux sont toujours altérés. Généralement, ils sont plus atteints à la
région
postérieure. Il n'est pas rare, cepen- dant, de
ns la grande majorité des cas, cette lésion a son maximum dans la
région
dorsale, qu'elle s'atténue en bas et surtout en h
intense dans la LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. il 1
région
cervicale, y apparaît très peu distincte si elle
ralytiques, cette zone de dégénération souvent la plus accusée à la
région
dorsale. La preuve qu'il s'agit bien de la lési
s, c'est qu'elle ne se retrouve plus au-dessus et au- dessous de la
région
dorsale, c'est-à-dire partout où dispa- raissen
ostérieurs. La lésion du fais- ceau pyramidal a son maximum dans la
région
dorsale, celle du cordon postérieur, à la régio
on maximum dans la région dorsale, celle du cordon postérieur, à la
région
cervicale. Dans la subs- tance grise, il a noté
une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, s'étendant jusqu'à la
région
cervicale, une dégénérescence des cordons de Go
l et de Burdach, laquelle diminue à mesure qu'on se rapproche de la
région
cervicale où elle est can- tonnée dans le terri
musculaires. Les règles tracées par l'auteur : repos absolu de la
région
à analyser, emploi de l'intensité minima, sont au
l'écorce, produisant un paroxysme épileptique, en rapport avec les
régions
intéressées. R. Ciiaron. REVUE DE pathologie
bres, explique les douleurs de la nuque et du dos, s'irradiant à la
région
du foie, l'absence des réflexes cutanés et tend
eurs, surtout dans les faisceaux cunéiformes de Goll, au niveau des
régions
thoraciques et cervicales; épaississement des tra
quelques travers du doigt au-dessus du genou; quand il frotte cette
région
avec la main, il lui semble qu'il pro- mène de
e racine cervicale et de la première dorsale, et se dirige vers les
régions
supérieures, il s'ensuit que cette atrophie pré
us petits sont représentés par les étages les plus inférieurs de la
région
cervico-dorsale et les muscles fléchisseurs sont
suivie d'une courte période de subconscience; plaie peu grave de la
région
dorsale avec quelques contusions aux membres. A
oyenne du segment antérieur de la circonvolution si". moide, ou les
régions
adjacentes de la deuxième circonvolution origin
tonus vasculaire en excitant les parties moyennes de l'hémisphère (
région
pariétale). Par suite, le stimulus psychique ag
o dolenti; elle doit s'appliquer exactement sur les tégu- ments des
régions
appartenant au territoire du trijumeau ou à cel
de la cuisse, notablement diminuée dans les adducteurs et dans la
région
antéro-externe de la jambe; traces de réaction de
ntuée. Elle occupe la paroi abdominale jusqu'aux plis inguinaux, la
région
fessière, les organes génitaux, et continue sur
manques de substance artificiels, localisés exclusivement dans la
région
des cordons postérieurs. La tumeur méningée n'e
niveau des racines du plexus sacré (sensibilité conser- vée dans la
région
du nerf fémoro-cutané postérieur; aboli- tion d
éno- mènes prouvant une destruction complète de la moelle dans la
région
atteinte (paraplégie flasque avec abolition absol
t un oedème du tissu nerveux atteignant son plus haut degré dans la
région
cer- vicale, justement au-dessous de la cavité
nu. Telle est par exemple la face antérieure de la moelle dans la
région
dorsale supérieure. On y voit les éléments sarcom
t central implanté comme une tige dans la moelle dorsale. Dans la
région
cervicale la sarcomatose n'est pas plus limi- t
ntifique sont les cavités dont la moelle est creusée. Celle de la
région
dorsale est entourée de la néoformation sarcoma
rme, bien manifeste à l'heure actuelle; juste- ment au-dessus de la
région
détruite par la néoformation on voit dans la su
ais à faire une oeuvre digne des précédents congrès, digne de notre
région
, digne de vous, mes excellents confrères. En ap
'un membre correspond une anesthésie avec point douloureux dans une
région
du crâne, correspondant elle-même à une anesthé
ée du cerveau. L'expérience ayant démontré que, lorsque ce sont des
régions
périphériques, dont les centres sont aujourd'hu
i sont atteintes, ces points douloureux crâniens correspondent à la
région
céré- brale contenant leur centre fonctionnel,
ésente un aplatissement des bosses fron- tales et une saillie de la
région
occipitale. Cette observation montre que la mal
erveux a été étudié par les méthodes de Nissl et de Golgi. Dans les
régions
cervicale et lom- baire de la moelle, les cellu
Cette parésie était accom- pagnée d'une sensation de poids dans la
région
cervicale. A qua- torze ans, l'atrophie envahis
opposée reste froide et sèche. La sueur est très abondante dans la
région
fessière, dans le dos et à la cuisse, et à un d
odeplus ou moins aiguë, caractérisée par de fortes douleurs dans la
région
cervicale pouvant se pro- pager jusqu'aux artic
rvations : l'une d'affection médullaire traumatique au niveau de la
région
sacrée, suivie de paraplégie incomplète avec tr
ne paralysie vésicale subite, l'extension des troubles nerveux à la
région
dorsale. Il y a lieu, sans doute, de tenir comp
cordons postérieurs de la moelle, avec prédomi- nance au niveau des
régions
sacrée et cervicale; la lésion était particuliè
stérique artificiellement provoquée. Il croit qu'il existe bien une
région
frontière où l'hystérie empiète sur l'hypno- ti
s de myéline. Les racines antérieures extra- médullaires, depuis la
région
sacrée la plus inférieure, jusqu'à la région do
médullaires, depuis la région sacrée la plus inférieure, jusqu'à la
région
dorsale la plus supérieure, sont le siège des deu
cipalement marquées par une extrême raréfaction des fibres, dans la
région
la plus supérieure de la moelle thoracique. Les
, suggestion à l'état de veille ou de sommeil -une vésication d'une
région
limitée de l'épiderme ? Les expériences faites
oumise à l'expérience était gardée à vue par plusieurs médecins, la
région
où devait apparaître la vésication était protég
e la partie dorsale de la colonne vertébrale ; les mouvements de la
région
lombaire sont insignifiants; la mobilité de la
vements de la région lombaire sont insignifiants; la mobilité de la
région
cervicale est normale. Dou- leurs en ceinture.
se révèle actuellement sous forme de cyphose arrondie de toute la
région
dorsale et de la partie lombaire supérieure avec
ieure avec immobilité complète de ces parties. Les mouvements de la
région
cervicale sont limités. Les mouvements du tronc
s volontaires. L'examen révèle une cyphose de forme, arrondie de la
région
interscapulaire et cervicale de la colonne vert
apulaire et cervicale de la colonne vertébrale. Au-dessous de cette
région
la colonne vertébrale est raide et immobile. Les
be droite, en même temps qu'hyperesthésie à la douleur de la même
région
. Pas de réflexe plantaire. Rien qu'une allusion a
limitée ou absolue de la colonne vertébrale en totalité ou dans une
région
plus ou moins étendue. Concurremment on observe s
ps. L'immobi- lité est très souvent accompagnée de douleurs dans la
région
des articulations affectées, de même que de dif
obablement de l'affaiblissement précoce de la vitalité de certaines
régions
du squelette conjonctif et osseux, sur un terrain
moelle dans toute sou éten- due. Tumeur gliomateuse au niveau de la
région
cervicale. Hydro- céphalie interne. L'examen
bord de la moelle le tableau habituel du tabes, notamment (dans les
régions
lombaire et dorsale dela moelle) l'épaississeme
t de la pie-mère, l'atrophie des racines postérieures, etc. Dans la
région
cervicale le tableau est compliqué du fait de l
ure grise et le tiers antérieur des cordons postérieurs. Dans les
régions
dorsale et lombaire, le canal central est un peu
is qu'une autre partie se dirige à travers le ruban externe dans la
région
du corps quadrijumeau, où elle se joint aux fib
rajet, occupant toujours le sommet dorsal du ruban latéral. Dans la
région
des pédoncules cérébraux, au niveau des éminences
direction du côté médian. Les fibres disséminées s'amassent dans la
région
du bout anté- sociétés savantes. 345 rieur
l'autopsie, on trouve à l'intérieur de la moelle épinière, dans ses
régions
centrales, un abcès qui s'étend du cône médullair
5 à 6 ren- Rernents avec autant d'étranglements intermédiaires); la
région
lombaire et le cône médullaire sont au contrair
t de l'abcès. La plus grande épaisseur de l'abcès se trouve dans la
région
lombaire et dans celle du cône médullaire; les
ais on n'y remarque pas trace d'un processus inflammatoire. Dans la
région
dorsale de la moelle il y a myélite diffuse très
es inflammatoires et une infiltration de pus (insignifiante dans la
région
lombaire). On trouve de petits amas de pus dans
de pus dans la pie-mère cérébrale, à la base du cerveau, dans la
région
du tuber cinereum et des corps mammillaires. La s
foie ne paraît pas sensiblement augmenté de volume, mais toute la
région
est douloureuse au toucher et la malade ne se lai
rend leur lim- pidité ; elles ne contiennent ni sucre ni albumine.
Région
hépa- tique toujours sensible. La malade nous d
stion toutefois d'ajouter que quoique les statistiques des diverses
régions
d'Ecosse (que j'ai examinées plus complètement
tion de constriction et de boule à la gorge, hémianesthésie droite.
Région
stomacale normale. Petite tumeur de la rate. Ex
cide chlorydrique à 1 / 100 ; applications électrofaradiques sur la
région
épigastrique. Au bout d'un mois, [amélioration pr
e macroscopique et microscopique de la moelle. Il existe, depuis la
région
bulbaire jusqu'à la région sacrée infé- rieure,
pique de la moelle. Il existe, depuis la région bulbaire jusqu'à la
région
sacrée infé- rieure, une tumeur périépendidymai
rmation gliomateuse. Le canal central dilaté au niveau du bulbe des
régions
cervicale et lombaire envoie des diverticuies d
ERVEUSE; 407 . Les commémoratifs d'une collection purulente dans la
région
mastoïdienne gauche, l'analyse des troubles de
issure de Sylvius. L'atrophie est surtout prononcée au niveau de la
région
rolandique inférieure, au-dessus de l'opercule ro
convolution temporale. L'atrophie ici aussi est plus prononcée à la
région
rolandique inférieure. Les circonvolutions atro
éjà macrohcopiquement. Nous commençons d'abord par l'examen de la
région
rolandique inférieure des deux côtés. En examin
des circonvolutions atteintes. Faisons cet exa- men d'abord pour la
région
rolandique inférieure. Les vaisseaux jouent ici
ette dernière siègent dans la substance blanche de n'importe quelle
région
de l'encéphale. Depuis les travaux de ces deux
ent, nous avons affaire à une microgyrie intéressant une partie des
régions
rolandiques et des lobes frontaux des deux hémi
s deux hémisphères cérébraux. Mais c'est tout particulièrement la
région
rolandique inférieure immédiatement au-dessus de
. Il n'y a pas de lésion méningée. Par l'examen microscopique de la
région
rolandique infé- rieure, nous avons révélé l'ex
ité à mesure qu'on s'éloigne de ces foyers, de sorte que, dans la
région
rolandique moyenne par exemple, on ne constate
altération prononcée des vaisseaux san- guins, même en dehors de la
région
inflammatoire propre- ment dite. Les symptôme
ne image vient exciter notre rétine, voici ce qui se passe. Dans la
région
des cônes et des bâtonnets (en A, g. `3) il se
u du centre visuel (A) où par l'intermédiaire des cellules de cette
région
les contacts se perfectionnent, l'image devient
ur ses pas jusqu'en A, où par l'intermédiaire des cellules de cette
région
, il peifectionne les contacts et diminue les ré
s effets observés chez des malades atteints de maladie de ces mêmes
régions
. Une aulre preuve du changement d'opinion se tr
ns leur motilité rendent probable l'opinion de Wer- nicke que toute
région
corticale représente un territoire central de p
propagation peut s'étendre plus ou moins loin, s'ar- rêter dans la
région
cervicale ou descendre jusque dans la région lo
n, s'ar- rêter dans la région cervicale ou descendre jusque dans la
région
lombaire, intéresser tous les cordons postérieu
(lB2lTOLO(. Cent1'llIbl., XVI, 439 ï.) Extirpation étendue de la
région
motrice chez quatre chats ; extirpation bilatér
pyramidal dans la zone de celle-ci. Dégénérescence des fibres de la
région
du faisceau pyramidal, qui vont aux noyaux prol
tteinte parce qu'il existe une paralysie motrice et sensitive de la
région
vésico rectale et que le territoire du plexus s
t sur tout le canal vertébral sur la ligne médiane et épargnent les
régions
latérales; dans l'observation en question, en o
nement de la dégénérescence à l'aire de la pyramide gauche dans les
régions
élevée*, indiquent que les faisceaux antérieurs c
tubercule, quadrijumeau antérieur gagnent en rayonnant en dedans la
région
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
braux de Forel : les fibres dégénérées descendaient donc dans la
région
de la calotte, en arrière du ruban de Reil, et de
sig distingue, comme chacun sait, quatre centres sensoriels : 1° la
région
tactile, aboutissant des fibres émanées des racin
bule para- central, et de la circonvolution du corps calleux; 2° la
région
olfactive, située à la base du cerveau, et comp
ie du lobe frontal, et de la circonvolution de l'hippocampe ; 3° la
région
visuelle : c'est la zone du sillon de l'ergot d
, du lobule lingual et du pôle postérieur du lobe occipital ; 4° la
région
auditive : c'est la première temporale et ses deu
s centres d'association sont des champs corticaux, placés entre les
régions
précédentes, ne sont point en relation avec l'a
-moteurs. Tels : le centre d'associa- tion postérieur, sis entre la
région
tactile, la région auditive, la région visuelle
centre d'associa- tion postérieur, sis entre la région tactile, la
région
auditive, la région visuelle, et, en partie, en
ion postérieur, sis entre la région tactile, la région auditive, la
région
visuelle, et, en partie, entre la région visuelle
le, la région auditive, la région visuelle, et, en partie, entre la
région
visuelle, la région REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
ve, la région visuelle, et, en partie, entre la région visuelle, la
région
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
ntre en question renferme l'assemblage des diverses excitations des
régions
sensorielles et leurs images commémoratives; ce
sons laisse des traces dans le centre sensorio- moteur de l'écorce (
région
de Broca) et y forme la mémoire motrice d'artic
Cette répétition, en rapport avec de nombreuses associations de la
région
frontale sensorielle et mo- trice, laisse des t
rices dans le centre d'association moyen. Les aphasies. Bien que la
région
motrice de Broca contienne l'ensemble de la mém
ire sensorielle), il est très probable que les altérations de cette
région
ne produisent que la perte des mouvements d'art
en pour former la parole automatique. Ce qui n'empêche que diverses
régions
sensorielles de l'écorce se réunissent dans le
mot, dans le cent ! e d'association postérieur, comprenant toute la
région
du lobule pariétal inférieur de Charcot (gyrus
ne peut les nommer, n'en peut trouver le nom, que quand une autre
région
sensible de 1 écorce est excitée, telle que la zo
très méritants et leur permettront d'atteindre, en même temps, aux
régions
du suprême bonheur. » Evolution de la peine, pa
ent toujours pâles ; comme les mains et en même temps qu'elles, ces
régions
subissent des augmentations de volume par le froi
r persiste. Il n'y a pas de modification notable dans la teinte des
régions
atteintes, à la suite d'une émotion quelconque.
dans presque toute l'étendue de la face dorsale des doigts et de la
région
métacarpienne, on constate une teinte violacée
manque toujours : l'hypertro- phie des parties molles porte sur la
région
de l'articulation métacarpo- phalangienne, à la
ent étalée sur toute la main, sans prédominance pour telle ou telle
région
. Quelques places sont un peu plus rouges, sans
nt par plusieurs mani- festations symptomatiques. La limite de la
région
cyanotique est, en général, bien tranchée; la t
n ferme. L'ACROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE 21 Au niveau des
régions
atteintes, la température cutanée est. modifiée :
rçut d'un gonflement sans changement de coloration de la peau de la
région
malléolaire interne gauche. Ce gonflement, d'ab
volume de la jambe gauche s'arrêtant au genou et prédominant dans les
régions
sus-malléolaires. La peau de la jambe gauche, b
) un oedème douloureux localisé au niveau et un peu au-dessus de la
région
contusionnée. Cet oedème d'abord fugace, transi
, la cuisse du même côté. Il s'étend même par l'intermédiaire de la
région
dorsale inférieure, à la racine de la cuisse du
ère, 1900, n" 3, 4 5, 6). L'opération a lieu sur la tête, dans la
région
fronlale gauche. Le chirurgien, armé d'un fin b
est bien plus petite que l'insertion scapulaire, elle reste dans la
région
du col anatomique de l'humérus. Cette nouvell
ule cérébral (Plan- che XVII), la lésion est bien localisée dans la
région
du noyau rouge. Ce- lui-ci et sa capsule ont ét
ts. Le pied du pédoncule, le locus niger de Soenunering, les autres
régions
de la calotte sont absolument t normaux. Sur le
nt absolument t normaux. Sur les coupes sus-jacentes intéressant la
région
sous-optique, on voit que la lésion a disparu,e
n voit que la lésion a disparu,elle est donc nettement localisée à la
région
du noyau rouge du côté droit. C'est, pourrait-o
, pourrait-on dire, une véritable des- truction expérimentale de la
région
du noyau rouge. Sur les coupes colorées avec la
Sur les coupes colorées avec la méthode de Weigert, passant par la
région
de l'entrecroisement des pédoncules cérébelleux
ceau longitudinal postérieur droit se poursuivent sur les coupes des
régions
protubérantielles moyenne et inférieure. On v
lbaire, vers sa partie postérieure et externe. Sur les coupes de la
région
olivaire du bulbe (Planche XIX), on con- state
ion du nombre et du volume des cellules nerveuses. Les coupes de la
région
inférieure du bulbe et de l'entrecroisement py-
cordons de Goll. Nous avons reproduit (Planche XX) les coupes de la
région
du noyau dentelé du cervelet. Ainsi qu'on le vo
s'il existait une dégénération du faisceau de Von Monakow dans les
régions
où les auteurs figurent ce faisceau, nous ne l'av
lésion suppurative, qu'il porte depuis quel- ques semaines dans la
région
temporale gauche ; elle serait consécutive à un
de de Kaiserling, présente les particula- rités suivantes : dans la
région
de l'encéphalocèle la dure-mère est restée adhé
ant Face externe de 1 hémisphère gauche ; méningo-encéphalite de la
région
psycho- motrice ; malformation de la région pos
ningo-encéphalite de la région psycho- motrice ; malformation de la
région
postérieure de l'hémisphère (à droite de la ligur
t très peu distincts et ne permettent pas une limitation exacte des
régions
intéressées. L'encoche forme une saillie pronon
A l'ouverture, il s'écoule un liquide laiteux,surtout au niveau de la
région
dorsale. La moelle tout entière est engainée pa
acines qui en émanent. Il atteint sa plus grande épaisseur dans les
régions
cervicale et dorsale. Sur des coupes, à l'oeil
raffine ont été faites sur toute la moelle et sur les princi- pales
régions
du cerveau (placards méningés et région de la bas
e et sur les princi- pales régions du cerveau (placards méningés et
région
de la base, paroi du 88 RICHON ventricule dil
d'alun de chrome et l'inclusion celloïdinée, a servi pour certaines
régions
de la moelle. ' Etude microscopique des lésions
e de la lésion. En suivant la surface cérébrale du tissu sain vers la
région
atteinte, on voit la pie-mère infiltrée peu à p
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 89 étroitement tassés et se confondent avec la
région
des méninges, qui ne sont plus elles-mêmes qu'u
hyaline, trace d'un vaisseau oblitéré, comme il en existe dans les
régions
plus centrales, on peut rencontrer tous les inter
olées de l'endarlère avec intégrité des autres tuniques. Les autres
régions
du cerveau offrent des caractères analogues : par
pique de la moelle. Les coupes microscopiques diffèrent suivant les
régions
par des détails d'in- térêt secondaire; nous en
ible des parois. Les noyaux isolés peu nombreux se montrent dans la
région
périépendymaire, sans former d'amas. Sur le traje
latés, à parois modifiées. L'artère est peu atteinte et en quelques
régions
absolument intacte. La veine a ses parois profond
les plus superficiels, quelqu'intense que soit l'infiltration de la
région
qu'elles traversent. ' Une région particulière
e que soit l'infiltration de la région qu'elles traversent. ' Une
région
particulière de la moelle montre au plus haut deg
ment, comblé partiellement par une lame fibreuse, superposable à la
région
du cerveau atteinte de méningo- encéphalite fib
ts et de petites zones de ramollisseme.it se voient au centre de la
région
malade. La zone corticale sous-jacente est enva
ons s'ob- servent sur des fibres isolées aux environs immédiats des
régions
infiltrées, mais jamais sur un système fascicul
ie de la moelle, elles formaient une couronne peu épaisse ; en deux
régions
seulement, elles détruisaient un territoire ass
ils sont d'ailleurs peu étendus. Nous avons décrit précédemment une
région
périphérique de la moelle, particulièrement SYP
sain et cependant notre malade percevait encore la lumière dans la
région
de la vision centrale. Au contraire, la troisiè
lle est étendue à presque tout le corps, sauf cependant à certaines
régions
qui sont : pour les membres supérieurs la face an
partie inférieure du corps de la malade. laissant cependant à nu la
région
ombilicale. La jambe droite se perd en arrière da
médecin ou son aide auraient produites en appuyant le doigt sur la
région
Non. Il s'agit d'ulcérations profondes, sanguin
usement fait avec une espèce de chiastre au genou, laissant à nu la
région
rotulienne tuméfiée. Le pied nu est énorme, trè
des poils noirs abondants, et le chevelu se poursuit jusque vers la
région
lombaire. Le fond de la fosse est osseux et for
unis entre eux par de fortes anastomoses nerveuses (Schéma 3). A la
région
dorsale on ne trouve par côté que 4 ou S ganglion
n ne trouve par côté que 4 ou S ganglions, et 2 ou 3 seulement à la
région
cervicale. Les derniers ganglions sacrés et les
une augmentation de volume du cylindre méningo-médul- laire dans la
région
du renflement cervical ; on constate en outre qu'
dure-mère se détache facilement des parties sous-jacentes,sauf à la
région
cervicale au niveau d'une zone où le cylindre n
ndissement des coupes, qui est exactement de 2,5. ' Une coupe de la
région
cervicale au niveau de l'intervalle de C. VI et C
sur la plus grande partie de la périphérie, en particulier dans les
régions
antérieure droite, et postérieure. Avec un peu
bas est le vestige du sillon médian pos- térieur, on voit aussi les
régions
correspondant à l'origine des racines posté- ri
re on est autorisé à considérer la tumeur comme développée dans les
régions
centrales de la moelle et aux dépens surtout de l
orée sur laquelle nous reviendrons plus loin. Sur une coupe de la
région
voisine de D II, on reconnaît, malgré la lésion,
le se présente avec ses caractères habituels. Sur une coupe de la
région
de D. III, on remarque que la tumeur ne fait pl
nt dessinée sur tout le pourtour de la coupe. Sur uue coupe de la
région
dorsale vers D. IV, la moelle n'était plus le siè
'oeil nu, sauf peut-être une opacité plus grande correspondant à la
région
où la tumeur se rencontrait dans les coupes pré
siformes sont les plus nombreu- ses, les plus serrées, sauf dans la
région
centrale où la zone foncée contigue à deux vais
lement en avant de chaque côté du sillon médian antérieur, dans les
régions
correspondant aux cornes antérieures ; en arrière
asse presque homogène parsemée de globules blancs. Dans certaines
régions
de la tumeur on constate aussi des signes de stas
Malgré cette vascularisation intense, le tissu de la tumeur dans la
région
de coupe qui nous occupe est en grande partie o
essus de liquéfaction est d'autant plus marqué que l'on examine des
régions
plus inférieures de la tumeur, et en rapport pr
te en même temps que se montrait l'impotence des muscles de la même
région
. Cette constatation nous autorise à penser que
nt cervical, en ayant détruit complètement la moitié droite dans la
région
correspondante à l'origine des nerfs du bras. A
des palpitations qui s'accompagnent de sensations pénibles dans la
région
pré- cordiale supérieure. L'appétit est conserv
asse n'est autre qu'un prolongement de la tumeur qui, partant de la
région
antérieure de l'hy- pophyse et passant entre le
cense muqueuse. Le tissu conjonctif est relativement abondant dans la
région
corticale et, en ce point, il existe quelques p
nstate aucune lésion au niveau du bulbe ni de la protubérance. A la
région
cervicale de la moelle, il n'y a ni sclérose, ni
is cette diminution du nombre des cellules est surtout marquée à la
région
dorsale, où l'on en compte en moyenne 3 pour le
ithéliales libres. Sur certaines des préparations relatives à cette
région
on voit dans la substance blanche, en dehors de l
ées, arrondies, qui paraissent être des cellules névrogliques. A la
région
lombaire on trouve de la prolifération de l'épen-
, dans la moelle, on ne note de sclérose ; en quelques points de la
région
dorsale on voit seulement de la dilatation des va
LE. - L'examen histologique de cette tumeur a été pratiquée en deux
régions
distinctes : ' 10 Portion contenue dans la sell
andulaire. , Nous pouvons en effet nous résumer en disant que cette
région
de la tumeur montre un épithélioma encore typiq
eu à l'aisselle, mais extrê- mement développés sont les poils de la
région
pubienne où ils ont la même épaisseur que chez
sont très développés. Outre la croissance anormale des poils de la
région
pubienne, la verge, quand il n'y a pas érection,
us d'apparence chéloïdienne. En outre, on peut voir sur différentes
régions
du corps la double pig- mentation caractéristiq
hausen : 1° Le lentigo épargnant la face et plus serré en certaines
régions
, no- tamment au cou; INFANTILISME MYXOEDÉMATE
quelques centimètres carrés de surface, sur la peau qui recouvre la
région
de l'omoplate gauche. Il n'y a d'ailleurs sur l
ieu dans lequel évoluait l'embryon. Elle a porté son action sur une
région
déterminée de cet embryon à l'ex- clusion de to
ond. Celui-ci, qui naît directement de l'os hyoïde, marque, dans la
région
inférieure et postérieure de la langue, une div
e phimosis, il ne put remarquer s'il existait un chancre dans cette
région
; il semble bien qu'il ait eu, à ce moment-là,
: une ouverture se produisit spontanément sur le côté interne de la
région
tibio-tarsienne et laissa échapper le même liqu
u'il ne conserve pas bien son équilibre. A l'inspection, on voit la
région
du tarse postérieur et celle du cou-de-pied con
ente ; la peau est violacée sur son pourtour. Du côté externe, la
région
est gonflée, la peau est lisse, tendue. Le pied
plus : le pied parait comme tassé. La circonférence au niveau de la
région
tibio-tarsienne est de 39 centimètres du côté m
, contrairement à ce que ferait croire l'aspect inflammatoire de la
région
. En résumé : pas de troubles sensitifs nets en
a région. En résumé : pas de troubles sensitifs nets en dehors delà
région
tibio-tarsienne où il existe une superposition
e n'est pas aneslhésié. - M. Jaboulay agrandit de chaque côté de la
région
tibio-tarsienne les orifices pratiqués antérieure
n et la nécrose des parties molles périarticulaires. L'aspect de la
région
a été profondément modifié. Des abcès multiples
et celle de l'arti- culation du coude à la suite d'une plaie de la
région
olécranienne. Si le diagnostic de la lésion art
duisit au niveau de l'article sans cause connue ; brusque- ment, la
région
se tuméfia, et on vit apparaître, en quelques jou
ellu- laires, et tandis que Klippel les trouve spécialement dans la
région
cer- vicale, Berger les observe plus souvent da
dans la région cer- vicale, Berger les observe plus souvent dans la
région
lombaire, surtout dans la colonne de Clarke.
ans la paralysie générale légitime on rencontre des lésions dans la
région
pos- térieure du cerveau, quoique moins fréquen
sur toute la longueur de la moelle, plus accentuée au niveau de la
région
cervicale. Les vaisseaux de la pie- mère sont s
moelle dorsale, devient moins intense à mesure qu'on s'approche des
régions
cervicale et lombaire : dans ces mêmes 278 CURI
peau retombe comme un épais tablier sur la racine des cuisses, à la
région
des lombes et aux fesses, en un mot à toute la
IRE 281 postérieure des bras, la partie inférieure de l'abdomen, la
région
lonlbo- fessière, la face postérieure des cuiss
es doigts qui la saisissent varie de 6 à 12 centimètres suivant les
régions
. Au cou, au contraire,ainsi qu'aux épaules où l
bres inférieurs où elle est légèrement abaissée. La consistance des
régions
adipeuses est variable; molle et dé- pressible
re pratiquée en raison de l'épaisse couche de graisse recouvrant la
région
des lombes et de la difficulté d'établir les poin
mptômes précités s'aggravaient. Les compresses d'eau fraîche sur la
région
du coeur le calmaient. Ses pul- sations était q
laviculaires à la pression, dans les ré- gions mammaires et dans la
région
du coeur. La sensibilité cutanée était un peu a
outre, il souffrait de douleurs passagères dans les jambes et dans la
région
du sacrum. Il sentait une pression et un « trem
il s'agit dans celte tapisserie du transport sur les rivières de la
région
de reliques de saint Etienne, patron de l'église
l'inscription. A quelle époque remonte cette tapisserie et à quelle
région
se réfère sa fabrication ? Nous avons eu reco
quait l'absence de la graisse qui siège ha- bituellement dans cette
région
. Le nerf médian faisait complètement défaut dan
ziformes. Elle s'étendait de la partie moyenne de l'avant-bras à la
région
palmaire. Après anesthésie locale à la cocaïne,
colorante nette. Ainsi que le montrent les coupes intéressant une
région
plus éloignée, ces points représentant bien la
arité permet de reconnaître facilement les coupes portant sur cette
région
de celles portant sur le bout central. 4° Les d
sion, même prolongée, ne donne pas une empreinte persistante à la
région
déprimée, fÙt-elle allée jusqu'à sentit'Ie plan o
en histologique une dégénérescence graisseuse assez accentuée de la
région
corticale. Le cerveau n'offrait pas d'altération
pieds, les mains, la face sont toujours indemnes et ce sont là les
régions
qui étaient prises dans le myxoedème et le pseu
phie mus- culaire est, commel'aedéme, commandée par les lésions des
régions
tro- phiques de la moelle. Et, si l'on veut bie
un phénomène tout à fait analogue puisse se produire sans que cette
région
trophique médullaire entre en jeu. Ceci n'a d'a
xamen de la langue, des lèvres, des dents, des barres, de la barbe,
régions
susceptibles de coopérer à un tic de léchage, e
te d'asymétrie. Traces de cicatrices à la barbe, à la nuque et à la
région
temporale gauche ; engorgement parotidien à droit
ermique est conservée sur la muqueuse de la joue et dans les autres
régions
de la bouche. - Pas d'asymétrie crânienne. Asym
ues, et aussi, peut-être, de troubles endogènes quelconques dans la
région
des centres auditifs du cerveau. Concernant l
homme qui a reçu, il y a quelques mois, un coup de couteau dans la
région
dorsale, au voisinage du rachis ; à la suite de
et du mouvement; en d'autres termes, il avait démontré que dans les
régions
qui tirent leur innervation du segment de moell
il résidait à cette époque-là, reçut deux coups de couteau dans la
région
dorsale. D'après le dire du médecin qui l'a soi
n. Cette courbure siège généralement au niveau de la jonction de la
région
lombaire et de la région dorsale. Elle empiète
énéralement au niveau de la jonction de la région lombaire et de la
région
dorsale. Elle empiète sur les deux régions. E
région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète sur les deux
régions
. Elle a pour effet de rapprocher les côtes du c
bras et de jambes, mais présentant dans une ou plusieurs des quatre
régions
soit un moignon rudimentaire avec axe osseux, s
de et l'adaptation régulière et non cicatricielle des muscles de la
région
. Quant à la cicatrice cutanée, elle ressemble b
n des nerfs d'un membre est généralement suivie de l'atrophie de la
région
de la moelle qui leur donne origine, se demande
il disait ressentir continuellement une sorte de battement dans la
région
frontale et dans la région occipitale : c'était
uellement une sorte de battement dans la région frontale et dans la
région
occipitale : c'était une douleur profonde mais di
sions sont généralisées, nous ne savons, non seu- lement sur quelle
région
de l'hémisphère, mais encore sur quel hémis- ph
le. Ce phénomène'vaso-moleur ne se produisait pas seulement sur une
région
donnée, mais sur tout le corps. La nécropsie a
le bord interne du cubitus, il existe au-dessus et au-dessous de la
région
indiquée une néoforma- lion osseuse à contour t
'étendue du corps. La sensibi- lité douloureuse est abolie dans les
régions
suivantes : membres supérieurs, face antérieure
ronc et de l'abdomen, face antérieure de la cuisse gauche. Dans ces
régions
il existe également de la </Mnno/M/jooM</tM
modification dans le relief et le contour du membre dans les mêmes
régions
. Les avant-bras sont bien conformés et ne présent
out les interosseux sont touchés. En effet, les muscles, dans cette
région
, sont aplatis. Les trois derniers doigts sont l
t rouge violacé avec une nuance de cyanose, surtout au niveau de la
région
de l'articulation du pre- mier métacarpien avec
me. REMAK est le seul qui s'est préoccupé de préciser quelle est la
région
de la moelle qui entraîne l'oedème dans la syring
ivers troubles trophiques seraient de nature à prouver que pour une
région
donnée des membres supérieurs et inférieurs, il e
'une racine ne se dis- tribuent pas seulement au segment dont cette
région
fait partie, mais elle se met en rapport avec l
ngomyélie débute au niveau de la 8° cervicale et de la ire dorsale,
région
que je consi- dère comme siège principal des ce
e tronc en avant, pour atténuer la douleur qu'il ressentait dans la
région
de l'omo- plate gauche. Cette douleur était tan
nte. Le malade se plaint d'éprouver au niveau et au-dessus de cette
région
cicatricielle une sensation de froid et de doul
ez vive. Cette zone de douleurs subjectives occupe la cicatrice, la
région
de l'omoplate gauche, 112 PAUL RICHER ET A. SOU
ouloureux, sauf en un point très circonscrit, situé au milieu de la
région
dorsale. Le frô- lement sur ce point, grand com
près à la zone des douleurs spontanées. Si on pratique, dans cette
région
hyperesthésique, une pression même légère le ma
icatrices anciennes consécutives à un traumatisme. Elle oc- cupe la
région
cicatricielle et son pourtour. Elle est assez exq
interne du radius repose sur la face antérieure du cubitus. Dans la
région
déformée, le radius est considérablement élargi e
s, existent des kystes. La substance corti- cale offre en certaines
régions
une apparence jaunâtre. On ne note pas de tu- b
façon générale, qu'il s'agisse de coupes pratiquées au niveau do la
région
cervicale, dorsale ou lombaire, la pie-mère est l
ite et sont con- tenues dans des espaces élargis. Au niveau de la
région
cervicale, les lésions sont diffuses, à peine acc
volume, leur forme, ainsi que leurs prolongements normaux. Dans la
région
dorsale, les lésions sont diffuses aux cordons po
isceaux cérébelleux directs. La méninge est épaissie. Enfin dans la
région
lombaire, c'est encore de part et d'autre de la z
sseaux coupés transversalement. Les cylin- dres-axes, même dans les
régions
où les tubes de myéline disparaissent du fait d
e Pal, on note la disparition diffuse des fibres à myéline dans les
régions
que nous avons signalées. Les racines rachidien
loyer ici le même petit moyen. Après avoir désinfecté la peau de la
région
, je fis, après en avoir raccourci la pointe, péné
s autres apo- physes, une couche de coton hydrophile étendue sur la
région
et la malade replacée dans le décubitus dorsal.
e- sures millimétriques, qui, par suite de la variabilité, avec les
régions
, de l'intervalle entre deux paires radiculaires
es deux branches supérieures passent sous les bras. Au niveau de la
région
dorsale on les entre-croise à la façon d'une cr
. Le sujet, forcé de se courber en avant, éprouve en effet, dans la
région
dorso-lombaire, une sensation qui devient vite
façon prédominante, sur les symptômes imputables aux lésions de ces
régions
, par lesquelles débute du reste presque toujours
lasma des dendrites ou prolongements protoplasmiques et celui de la
région
périnucléaire et du cylindre-axe. Ces espaces c
ation. COUPES DE MOELLE RABIQUE. Microphotographies des lésions. (
Région
car vie île de la miellé. Méthode de \ ? 1. = f u
connaissable. Enfin on voit, dans un môme corps protoplasmique, des
régions
vacuolaires (Fig. 7) ou non, totalement dépourvue
tre cas, la plupart des cellules des cornes pos- térieures et de la
région
intermédiaire aux deux cornes sont pour ainsi d
ellulaires primitives ou secondaires à l'altération des nerfs de la
région
mordue ? M. Nissl et M. Marinesco ont montré qu
ation, Berne, 1889. (2) Viguès. Plaie de la moelle épinière dans la
région
dorsale. Moniteur des hôpitaux, 1855, no 105, p
ard s'établissant à la suite d'un coup d'épée qui a pénétré dans la
région
dorsale entre les 9e et 10e dorsales, à 3 centimè
auteur danois Kjaer (1), l'instru- ment tranchant a pénétré dans la
région
des 6e et 7e apophyses épineuses dorsales à gau
E LA MOELLE 179 26 ans, qui ayant reçu un coup de tranchant dans la
région
massétérine du côté gauche, était tombé comme u
s- tement due à l'insuffisance de longueur des parties molles de la
région
palmaire, et en particulier de la peau et de l'
o-postérieur de la tête, répond dans près de la moitié des cas à la
région
de l'obélion, région remarquable par le développe
te, répond dans près de la moitié des cas à la région de l'obélion,
région
remarquable par le développement tardif des fib
lution (atrophie sénile symétrique des pariétaux). L'histoire de la
région
de l'obélion semble indiquer une évolution tardiv
). La correspondance fréquente du tourbillon des cheveux avec cette
région
permettait de supposer un rapport d'évolution,
races supérieures chez les sujets qui n'ont point surchauffé leurs
régions
temporales par le travail intellectuel. Eschricht
7). 196 CH. FÉRÉ le tourbillon de poils qu'on trouve souvent à la
région
sacro-coccygienne et qu'on peut considérer comm
30 millimètres et même plus : on le voit quelquefois dévié dans la
région
pariétale vers l'oreille (Pl. XXII). Le tourbil
plus fréquentes les anomalies d'os- sification du pariétal dans la
région
de l'obélion (2). Le tourbillon des cheveux est
inot admet aussi (5) que la gout- tière commence à se fermer par la
région
cervicale. La persistance d'une lacune à l'extr
ur- billons erratiques situés plus ou moins loin du vertex, dans la
région
fron- tale par exemple peuvent s'expliquer par
ité pelvienne; utérus et vagin doubles; infun- dibulum cutané de la
région
sacro-coccygienne (Bull. Soc. Anat., 1878, p. 309
& cie, Editeurs. DEVIATION DU TOURBILLON DES CHEVEUX dans la
région
pariétale gauche. DEDOUBLEMENT DE LA FOSSETTE S
sion de son corps, il offre une vaste anfractuosité au niveau de la
région
de la torsion. En résumé la radiographie des os
ogistes et des cliniciens ont montré qu'il y a dans le cerveau, des
régions
en rapport avec l'innervation des divers segmen
e ou manque complètement, c'est parce que la gliose descend vers la
région
dorsale et laisse intacts ou presque intacts le
sale et laisse intacts ou presque intacts les divers segments de la
région
cervicale. Mais pour un même segment de la moel
cles innervés par le cubital. Si la lésion progresse et envahit des
régions
sus-jacentes, les muscles de la main innervés par
- à-dire sur les cordons latéraux, de même que si, au contraire, la
région
spinale radiale est prise, la substance blanche
ringomyélie. Gazette des hôpitaux, 1889. 208 G. MARINESCO dans la
région
cervicale inférieure et dorsale supérieure. Or, c
érieurs vers les étages supérieurs de la moelle, c'est-à-dire de la
région
cervico-dorsale vers la région cervicale supéri
urs de la moelle, c'est-à-dire de la région cervico-dorsale vers la
région
cervicale supérieure. Les premiers noyaux atteint
que la gliose mé- dullaire débutant habituellement au niveau de la
région
cervicale inférieure ou au nivcau de la lre dor
de la 8e racine cervicale et de la 1° dorsale et se dirige vers les
régions
supérieures, il s'ensuit que cette atrophie mus
plus petits sont représentés par les étages les plus inférieurs de la
région
cervico-dorale et les' muscles fléchisseurs son
ils rares, chez lesquels je n'ai pu résister au désir d'explorer la
région
thyroïdienne. Ce sont, je n'en doute pas un seu
x cicatrices qu'on voyait, il était facile de supposer que toute la
région
cervicale avait été le siège d'une poussée scro
xoedème apparut vers l'âge de sept ans, à la suite d'un abcès de la
région
sous- maxillaire, et il est à supposer que cet
supérieure du thorax, avec un as- pect un peu différent suivant ces
régions
. (PI. XXVII, À.) - Le centre de la lésion parai
résentant le même aspect que la précédente, venant occuper toute la
région
paroti- dienne; elle offre aussi quelques bouqu
t toute la partie périphérique du pavillon de l'oreille, surtout la
région
du lobule, et remontant sur l'hélix en atténuan
logiques pour se terminer en haut par un volumineux papillome. La
région
de la tempe est occupée par un placard moins colo
ières et, en arrière, allant se perdre dans le cuir chevelu vers la
région
pariétale. Enfin une dernière localisation sièg
nches du plexus ; que la branche qui part vers l'oreille et vers la
région
parotidienne suit rigoureusement la zone d'inne
n de la branche nerveuse auriculaire ; que le placard qui occupe la
région
de la tempe et le cuir chevelu corres- pond ? l
et aussi aux branches sus-sternales, que ressortit le placard de la
région
antérieure du cou et de la partie antéro-supéri
rieure de la poitrine. Enfin, la dernière localisation, située à la
région
supérieure de l'épaule, vers le trapèze, appart
d'une façon continue le côté droit de la face, recouvrant une vaste
région
s'étendant en avant sur toute la région paro- t
face, recouvrant une vaste région s'étendant en avant sur toute la
région
paro- tidienne jusque vers le milieu de la joue
En arrière, le noevus s'étend derrière l'oreille, occupant toute la
région
antéro-latérale du cuir chevelu ; un peu en ava
que est la même que celle de l'observation I, la lésion occupant la
région
du plexus cervical superficiel, ne suivant plus i
ement (Fig. 3) intéresse en haut l'espace intersourcilier droit, la
région
interne de la paupière DES N.EVI DANS LEURS RAP
EC LES TERRITOIRES NERVEUX 269 supérieure, le côté droit du nez, la
région
sous-palpébrale s'étendant en dehors du nez jus
autres Galewsky et Schlossmann, et il faut aussi tenir compte de la
région
des anastomoses. A cette théorie de Boerensprun
ue nous avons dans notre observation II un naevus occupant toute la
région
de la plupart des branches du plexus cervical sup
rmal de ces formations, trouble aboutissant à l'hyperformation, ces
régions
intermédiaires, qui sont déjà le point de départ
érence le siège électif de ces manifestations anormales. Mais ces
régions
au niveau desquelles se rencontrent, pendant le d
exe masculin, pesant 2900 gr., bien constitué. L'enfant porte, à la
région
interscapulaire un vaste noevus pigmen- taire p
Il y a défaut de superposition entre les troubles trophiques et les
régions
nerveuses. Ici, il semble que l'on puisse faire
e premier, comprenant 10 sujets, l'atrophie se limitait à certaines
régions
du membre supérieur paralysé; le membre inférieur
très marquée le long du trapèze, au niveau du grand pectoral, de la
région
deltoïdienne, s'étendant un peu sur la face ext
L'atrophie est en partie masquée par une adipose sous-cutanée dans la
région
deltoïdienne. On retrouve l'adipose à la partie
nt d'arborer cette parure. Il en manque au contraire dans certaines
régions
d'élection des tumeurs cutanées de la neurofibro-
Mais elles sont une reproduction fidèle d'un type fréquent dans les
régions
monta- gneuses du pays. Le goitre y est, para
ns profils féminins, le cou semble aussi augmenté de volume dans sa
région
antérieure. On y voit même l'indice de deux ou tr
s jeunes filles et chez les jeunes femmes, une saillie légère de la
région
thyroïdienne. Une minime augmentation de la gla
Leyde et peaux de chat ? ). A l'âge de 7 ans, il se forma, dans la
région
métatarsienne gauche, une large plaie qui persi
imètres à droite, 79 centimètres gauche. Transversalement, en des
régions
symétriques, on note : Au bras, 15 centimètres
'avant-bras, 16 centimètres à droite, 27 centimètres à gauche. A la
région
métacarpienne, 18 centimètres à droite, 25 centim
; elle présente une localisation constante,au cou,à la nuque, à la
région
anogénitaie, à l'ombilic dans l'aisselle, et elle
seule cause puisque les muqueuses peu- vent être atteintes dans des
régions
inaccessibles au grattage et qui ne sont le siè
e 3 jours, elle était passée au brun foncé. Elle occupait les mêmes
régions
que la première fois, plus foncée vers le tronc
e deltoïde ; à ce niveau adipose très marquée envahissant aussi les
régions
sus et sous-épineuses, sous-claviculaire. Avant-b
la contracture, le membre supérieur ou inférieur ou mieux certaines
régions
bien déterminées de ces membres. - Voyons ce
DE la MOELLE épinière. I. Préparations par la méthode de Marchi.
Région
lombaire. - Dans les cordons antérieurs et latéra
talement le long de la scissure longitudinale posté- rieure dans la
région
dorsale, à savoir : dans les parties internes des
s raci- nes postérieures ; lit aussi, elle est plus visible dans la
région
inlramédul- laire des racines, que dans leur pa
es est pénétrée dans toutes les direc- Fig. l. - Coupe delà moelle,
région
lombaire, traitée par la méthode de Marchi.
, traitée par la méthode de Marchi. Fig. 9. - Coupe de la moelle,
région
cervicale, traitée par la méthode de Alarchi.
dans les différentes cellules présente des figures très variées.
Région
cervicale. On s'aperçoit, même à l'oeil nu, que l
morbide dans les racines à ce niveau est moins marqué que dans les
régions
infé- rieures. II. Préparations par la méthod
ns notre cas de polyné- vrite- ont été observés par M. Sano dans la
région
lombaire de la moelle (1) Mabinesco, Pathologie
omposée de petits Russiens, de colons allemands ethulgares; dans la
région
voisine de la Bessarabie se trouvent des villages
alement dirigées. Diamètre bi-acromial : 48 centimètres. Toute la
région
dorsale est déformée par une voussure énorme de l
rmer une masse em- pâtée et mamelonnée qui rend méconnaissables les
régions
atteintes. Les extrémités du corps sont les siè
ic non douloureux de la face consécutif à une lésion probable de la
région
du pli courbe. (Bull, Soc. ltiol., 1876; arc. de
à nous, à différentes reprises, de vives dou- leurs au niveau de la
région
thoracique. Ces douleurs ont quel- quefois le c
ge comme la paume de la main, n'atteignant pas le squelette. Sur la
région
trochantérienne gauche, autre escharre de même
at frais de la moelle épinière, on cons- tate ce qui suit : 1° à la
région
cervicale, il existe de chaque côté un faisceau
faisceau de Goll ; 2° sur une coupe faite à la partie moyenne de la
région
dorsale, on ne voit plus à l'oeil nu que l'alté
moelle épinière. Ces lésions sont surtout marquées au niveau de la
région
dorsale et de la partie inférieure de la région
s au niveau de la région dorsale et de la partie inférieure de la
région
cervicale; elles s'atténuent ensuite soit au-dess
qu'elles affectent, à des degrés d'intensité divers, suivant les
régions
, à la fois les cordons postérieurs et les cordons
s postérieurs. - Ils sont indemnes dans la plus grande partie de la
région
lombaire (PL. I, fig. 1, 2 et 3). Au contraire,
I, fig. 1, 2 et 3). Au contraire, à l'extrémité supérieure de cette
région
(PL. I, fig. 4), ils sont sclérosés dans presqu
l. Sur la figure 5, qui correspond à l'extrémité inférieure de la
région
dorsale, la topographie des altérations est la mê
sentent des coupes pratiquées à différentes hauteurs sur cette même
région
dorsale. On peut constater que la teinte rosée,
DE LA MOELLE. 51 C'est au niveau de la partie la plus élevée de la
région
dor- sale et de la partie inférieure de la régi
plus élevée de la région dor- sale et de la partie inférieure de la
région
cervicale (PL. II, fig. 9 et 10) que la scléros
ire et s'arrête seulement à l'entrecroisement des pyramides. A la
région
lombaire (PL. I, fit. 1, 2 et 3), elle est dispos
us étendue et plus massive à partir de l'extrémité supérieure de la
région
lombaire. Depuis ce point jusqu'à la réunion de
ent le plus prononcées et le plus diffuses (partie supérieure de la
région
dorsale et inférieure de la région cervicale), la
iffuses (partie supérieure de la région dorsale et inférieure de la
région
cervicale), la partie la plus reculée des corne
oelle, tan- dis que le cordon de Goll est seul intéressé dans les
régions
élevées. Relevons cependant la prédominance rem
Relevons cependant la prédominance remarquable des altérations à la
région
dorsale, et l'intégrité des zones radiculaires
s dans les habitudes du tabes vulgaire qui affecte de préférence la
région
lom- baire. En ce qui concerne l'altération d
d'un refroidissement, l'existence d'un foyer de ramollissement à la
région
dorsale, portent mal- gré tout à songer à une m
re repousser l'idée d'une double lésion de système. Cependant, à la
région
cervicale supé- rieure, la sclérose des cordons
nornz. et patlaol., 1877, p. 764. 62 PATHOLOGIE NERVEUSE. dans la
région
dorsale et s'accompagnant à ce niveau d'une atr
érose postérieure va de là en diminuant, soit en haut du côté de la
région
cervicale, pour s'éteindre au niveau du bulbe,
cale, pour s'éteindre au niveau du bulbe, soit en bas du côté de la
région
lombaire ». Mais, d'autre part, il y avait, en
lle diffuse. Qu'un foyer de myélite diffuse chronique envahisse une
région
de la moelle, la région dorsale par exemple, on
de myélite diffuse chronique envahisse une région de la moelle, la
région
dorsale par exemple, on conçoit qu'il puisse jo
r, offrent leur maximum d'intensité vers la partie supérieure de la
région
dorsale et dans le cordon latéral. Ce qui frapp
'existence d'une dégénérescence ascendante, manifeste portant, à la
région
cervicale, sur la totalité du cordon de Goll. E
secondaire symétrique se poursuit jusqu'à la partie inférieure des
régions
dorsale et lombaire. Quant aux lésions qui occu
le malade de Westphal, comme chez la nôtre, c'est au niveau de la
région
dorsale supérieure et cervicale inférieure que
, tant en arrière que latéralement. Au-dessus et au-dessous de la
région
que nous venons de considérer, la lésion affect
ésions systématiques consécutives d'un foyer intra-médullaire. A la
région
cervicale, en effet, ' Nous Mgnalerons simpleme
ons de Goll et aux faisceaux cérébelleux, tandis qu'au niveau des
régions
dorsale inférieure et lombaire, à la hauteur de
le militer surtout en faveur de la nature diffuse des lésions de la
région
dorsale, dans le cas de Westphal, c'est l'irrég
ant à la sclérose des parties de la moelle sus et sous-jacentes aux
régions
dorsale supérieure et cer- vicale inférieure, e
ons pas éloigné de penser que, dans l'espèce, les altérations de la
région
moyenne de la moelle, ont joué le rôle d'un foy
faisceaux cérébelleux et pyramidaux. De plus, fait important, aux
régions
cervicale et dorsale le cordon de Tùrck était l
sur certains points, notamment dans la plus grande étendue de la
région
lombaire, et dans les deux tiers supérieurs de
ndue de la région lombaire, et dans les deux tiers supérieurs de la
région
cervicale, c'est-à-dire sur les points qui, trè
des bandelettes exter- nes s'étaient en quelque sorte sommées à la
région
dorsale et allaient de là, en s'atténuant au-de
et allaient de là, en s'atténuant au-dessus et au-dessous, vers la
région
lombaire. A l'inverse de ce que nous venons de
llaire. Fig. '-). - Coupe transversale à la partie inférieure de la
région
lombaire. a, Prolongement scléreux émané de l
la pie-mère Fig. 3. - Coupe transversale à la partie moyenne de la
région
lombaire. a, Prolongement scléreux émané de la
ux émané de la pie-mère. Fig. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la
région
dorsale. pLANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de
ales de la région dorsale. pLANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de la
région
dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la
région
dorsale. Nombreux vaisseaux coupés trans\ersale
seaux coupés trans\ersalemen.t. Fig. 10. Coupe transversale de la
région
cervicale inférieure. Fig. il, 12. - Coupes tra
PLANCHE 111 . Fig. 13. Moitié droite d'une coupe de la moelle il la
région
cervi- cale inférieure. a, Artère. Nombreux n
tère et dans la gaine lymphatique. Fig. l ? Coupe verticale de la
région
dorsale passant par le seg- ment postérieur de
ent conformé. La tête est assez développée, sans prédominance de la
région
occipitale; le front est saillant, élevé, avec
s attaques. Ces points hyperesthésiques ont été rencontrés dans les
régions
suivantes : 1° Une surface de l'étendue d'une p
auche (7ttchiÉilqie), la douleur est par- fois spontanée dans cette
région
; toujours elle est déterminée par la pression,
nt la pression s'accompagne d'anxiété respiratoire; - 8° et 9" deux
régions
situées à 3 centimètres de l'épine iliaque, en
entend des «ding... ding... ding... » et éprouve des douleurs à la
région
tempolale, le tout avec prédominance du côté ga
gauche et est 'en retrait en arrière sur cette dernière moitié. La
région
pariétale droite est arrondie, tandis que la gauc
e et d'anxiété générale. 11 y a de l'oppression, de la douleur à la
région
épigastrique, la face devient pâle, le pouls pe
evanche, du côte opposé à la lésion, une diminution de volume de la
région
cérébrale délimitée plus haut, surtout en son s
ner l'a consignée du côté lésé, sans que pour cela l'atrophie de la
région
corticale du côté susmentionné ait été en rien
'essais. On peut, en définitive, par la résection de telle ou telle
région
corticale, pratiquée chez le lapin nouveau-né, s'
orps genouillé externe correspond, à raison de sa situation dans la
région
occipitale, au centre visuel de Munk; sa résect
unk. Ces deux premières 126 REVUE D'.\N.1TUIlE et de PHYSIOLOGIE.
régions
de l'écorce sont en continuité avec le segment po
n de la couche optique en avant des deux précédentes et comprend la
région
motrice du lobe frontal. De sa destruction résu
ur la capsule. Ramollissement de la moelle, à l'oeil nu, jusqu'à la
région
lombaire. A l'examen microsco- pique, dégénérat
Ramollissement marqué de la substance blanche de la moelle, dans la
région
dorso-lombaire. A l'examen microsco- pique, pas
erses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à des
régions
très circonscrites, au pied, par exemple (Fried
ifs très marqués du côté droit. Ces troubles occupaient la joue, la
région
temporale et le côté gauche du crâne. Le malade
de cheval, ou en conséquence des compressions siégeant dans la même
région
. La miction se fait à mesure que l'urine arrive
festant qu'au moment du passage de l'urine. L'endolorissement de la
région
membraneuse peut rendre compte des spasmes doul
on membraneuse peut rendre compte des spasmes douloureux de cette
région
. Cette dysesthésie présente aussi les caractères
des douleurs d'intensité variable siégeant dans la profondeur de la
région
hypogastriquo ou au-dessus du pubis; elles s'ac
masser. - Les accidents restèrent localisés aux extenseurs de cette
région
et on ne constata aucun signe d'intoxication géné
ait pas due aux, com- plications bulbaires qui surviennent quand la
région
postérieure ou ganglionnaire est intéressée ; p
tés sont actuellement fort pauvres en documents de ce genre sur les
régions
Scandinaves. Aussi, tout en condensant le plus
venue à ses collègues, et montre comme la ville de Bordeaux et sa
région
étaient naturellement désignées pour être le sièg
a langue, du voile du palais), faisceau intellectuel. De même, la
région
pédonculaire a été divisée en quatre faisceaux
de veinules de la portion supérieure de la faux du cer- veau et des
régions
avoisinantes de la dure-mère; 3° les veines dip
inique, par des maux de tête et des troubles dans les fonctions des
régions
cérébrales corres- pondantes, c'est-à-dire des
parla distension des veines cérébrales antérieures etl'aedème des
régions
correspondantes, et je ne puis supposer qu'une ir
lquefois la rumination est précédée d'un sentiment de poids dans la
région
épigastrique qui dure quelquefois aussi longtem
econdes environ, contractions violentes visibles et tangibles de la
région
épigastrique. En frottant la région, il se forme,
tes visibles et tangibles de la région épigastrique. En frottant la
région
, il se forme, dans la li- mite où la percussion
spension qu'au prix d'une douleur sourde, mais très gênante dans la
région
épigastrique. M. C... n'éprouve jamais d'éructa
la zone radiculaire postérieure ; il est facile d'en distinguer les
régions
antérieures et postérieures indemn.'s à ce moment
antérieur. La zone radiculaire postérieure subit ensuite, en cette
région
, l'impression anatomo-pathologique. Les cordons p
de la selle turcique, sur la partie moyenne de la protubérance. La
région
supérieure de la moelle est fortement hyperémié
nges, un oedème ayant aplati les circonvolutions du côté gauche; la
région
corticale de la corne d'Ammon (ergot de Morand) e
agonie. Leur intensité dépend du plus ou moins d'infiltration de la
région
du cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE
cune compression de la moelle. Le microscope révéle au niveau de la
région
malade un semis de foyers de ramollissement mye
rontale et les limites de la seconde; elle parait enkystée vers les
régions
saines de l'organe. P. K. XXXII. SUR l'inflamma
ments dans les quatre extrémités, des sueurs, de l'anesthésie par
régions
; tous accidents d'origine médullaire (pas de pert
logique décèlent dans le cervelet, dans la protubérance, dans les
régions
supérieures de la moelle allongée, dans les régio
rance, dans les régions supérieures de la moelle allongée, dans les
régions
cervicales, dorsales et lombaires de la moelle,
procédé'. Quant à la moelle, on la galvanise de bas en haut, de la
région
lombaire inférieure à la nuque, en aug- mentant
la corne antérieure gauche des lésions analogues. Dans toutes ces
régions
il y a disparition des grandes cellules multipo
ntale et pariétale ascendantes, première temporale) constituent les
régions
qui recèlent ce genre d'altérations. Malheureus
carmin ou par d'autres systèmes montrait, sur d'autres coupes de
régions
identiques du même organe, l'intégrité des autres
ence paralytique, sur la lisière de la substance blanche. Les mêmes
régions
sont le terrain de ces altérations. L'écorce es
ns la couche externe. On en voit au contraire très peu dans la même
région
du cerveau d'une manie puerpérale, douze heures
semaines dans la liqueur de Mûller. On comparera naturellement des
régions
symétriques. L'hypostase ou l'oedème pie-mérien
e invariable qu'il les à soumises, c'est encore à la comparaison de
régions
identiques qu'il a eu recours, tant pour les ce
médullaire. Fig. 2. Coupe transversale à la partie inférieure de la
région
lombaire.. a, Prolongement scléreux émané de
la pie-mère. Fig. 3. - Coupe transversale à la partie moyenne de la
région
lombaire. a, Prolongement scléreux émané de la
ux émané de la pie-mère. Fig. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la
région
dorsale. 426 EXPLICATION DES PL4NCHES. PLANCH
426 EXPLICATION DES PL4NCHES. PLANCHE Il Fig. 7, 8. Coupe de la
région
dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la
région
dorsale Nombreux vaisseaux coupés transversalem
sseaux coupés transversalement. Fig. 10. Coupe transversale de la
région
cervicale inférieure. Fig. Il, 12. Coupes trans
PLANCHE lit Fig. 13. Moitié droite d'une coupe de la moelle à la
région
cervi- cale inférieure. a, Artère. Nombreux n
tère et dans la gaine lymphatique. Fig. 14. Coupe verticale de la
région
dorsale passant par le seg- ment postérieur de
lion mentale, puis il ajoute : a 11 y a dans ma poi- trine, dans la
région
de l'estomac, comme une langue qui arti- cule t
u mem- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 37 bre inférieur à la
région
antéro-interne des cuisses qui est insen- sible
e sensible, assez étroite ; c.) les aisselles ; d.) les seins et la
région
périphérique (à part le sillon). - Les membres
je l'ai déjà dit, dans les cas d'une hémisection complète dans la
région
dorsale, les phénomènes de la motilité consistaie
Dans la partie lombaire de la moelle épinière, c'est-à-dire dans la
région
postérieure de l'hémisection, une dégénérescence
e : elle se concentre en forme d'un petit îlot triangulaire dans la
région
postérieure du cordon latéral du côté gauche et
ines fibres, qui forment le faisceau pyramidal du côlé gauche. - La
région
correspondante du côté droit (florneu, l. c.),
'anesthésie de l'extrémité droite; en outre d'hyperesthésie dans la
région
postérieure du corps du côté gauche. - Trois jour
moelle épinière, se développa une dégéné- ration ascendante dans la
région
postérieure du cordon de Goll et dans le faisce
is chiens la résection d'un mor- ceau de la partie inférieure de la
région
dorsale de la moelle épinière, où au bout d'uu
ces chiens une complète hémisection de la moelle épinière dans la
région
dorsale, il ne se développa aucun signe de mouvem
ent presque- les mêmes résultats; la seule différence, c'est que la
région
régénérée de la moelle épinière n'avait pas l'a
dirigent vers l'ex- trémité, qui avait été paralysée, à travers une
région
intacte de la moelle épinière; dans ce cas, une
. Sous le nom de lyre, de psaltériuiii, les auteurs décrivent une
région
triangulaire limitée en dehors et de chaque côt
douleur assez vive le long de la` colonne vertébrale, surtout à la
région
lombaire. L'appétit est capricieux, le sommeil as
es convulsifs et paralytiques apparaissent simultané- ment dans des
régions
différentes du corps. Une lésion des- tructived
a localiser à la circonvolution postcruciale du chien ; là était la
région
de l'écorce dont l'excitation, même avec un cou
sur d'autres centres véritablement mo- teurs, situés dans d'autres
régions
du système nerveux central. » Non seulement l'é
u. ital. per le mal. ner. 1881, 206 sq. Cinquante chiens opérés des
régions
psycho-motrices ou psycho-sensorielles de l'éco
ion de la nutrition des tissus nerveux (Gowers). N'importe quelle
région
de l'écorce peut-elle provoquer, sous l'action
aussi qu'on peut provo- quer des accès d'épilepsie en excitant les
régions
postérieures du cerveau en rapport avec le cent
a vision. Récemment, il a repris ce sujet et émis l'opinion que ces
régions
possèdent des propriétés épileptogènes2. Franço
e lobe occipital. Pour être efficace, l'excitation portée sur cette
région
doit être plus intense que sur la zone motrice;
ue de Berlin, le 26 octobre 1883 : 1° l'exci- tation électrique des
régions
motrices suffisante pour provo- quer des convul
convulsions épileptiformes, ne suffit pas lorsqu'on l'applique aux
régions
occipitales; 2° ce n'est qu'avec des cou- rants
uelle ne met pas fin aux convul- sions. L'excitation portée sur les
régions
occipitales se propage horizontalement à traver
richt soutient que de pures affections locales (tumeurs, abcès) des
régions
postérieures du cerveau, peuvent naître, sans a
ion à distance, des accès convulsifs, et que l'excitation des mêmes
régions
peut même déterminer des accès d'épi- lepsie un
limi- tent, dans ce cas, aux groupes musculaires innervés par la
région
motrice laissée intacte, il ne peut toujours être
lation bilatérale des centres moteurs de l'écorce, l'excitation des
régions
postérieures du cerveau ne provoque pas de conv
Munk. En somme, Unverricht n'a pas démontré que l'excitation de ces
régions
puisse, sans irradiation aux éléments moteurs,
u côté opposé à l'hémisphère excité. L'inexcitabilité passagère des
régions
motrices après plusieurs attaques provoquées ex
nnement normal de l'intelligence 3. Par ceux-ci, Bianchi entend les
régions
du lobe frontal, que quel- ques auteurs ont con
atria, 1889, x, 28. L'accès débutait par un spasme musculaire d'une
région
, toujours circonscrite, du tronc, de la face ou
trémités, auquel succédait une vive sensation de chaleur qui, de la
région
intéressée, montait et enva- hissait la tète «
ns le cerveau moyen. L'excitabi- lité des centres réflexes de cette
région
déterminerait, sous l'influence de l'excitation
ut se rencontrer dans toutes les parties du manteau, a pourtant une
région
d'élection, et, à peu d'exception près, tous ce
e diversité de formes entre les accès convulsifs limités à quelques
régions
et les accès diffus ? » Ainsi, ce clinicien ita
l'écorce cérébrale. L'hypothèse la plus probable est donc que cette
région
est la seule qui soit douée de propriété épilep
psie avec l'ex- tirpation du manteau. Ainsi, chez un animal dont la
région
corticale d'une. extrémité a été enlevée, l'exc
comme fondamentalement différentes, ré- sultant de l'excitation de
régions
également distinctes du sys- tème nerveux centr
ne lésion de n'importe quel point du manteau cérébral ou des autres
régions
de l'encéphale (capsule interne, pédoncules, po
la paralysie, dans les phénomènes d'exagé- ration fonctionnelle des
régions
sensitivo-motrices du cerveau, comme dans ceux
ur. On trouve à l'autopsie un sarcome à cellules rondes occupant la
région
comprise entre le sillon de Rolando et la sciss
sions ont le caractère de celles qui succèdent à l'excitation de la
région
corticale motrice antérieure. Le noyau lenticulai
mouvements de course impétueux avec loco- motion et cris : c'est la
région
de la calotte et du corps genouillé interne qui
ntral de la cas lotte de Bechterew qui prend lin à la base, dans la
région
du troisième ventricule; 2° le trousseau cérébr
ent quatre différents trousseaux ; trois d'entre eux viennent de la
région
du noyau rouge de Stilling qui, de son côté, envo
gie. A l'autopsie, on a trouvé dans le lobe frontal gauche, dans la
région
des 2° et 3° circonvolutions frontales, une tum
jet, à côté d'une dégénérescence ta- bélique, d'une méningite de la
région
lombaire et d'une altération syphilitique des v
médecin; il ne faut pas perdre de vue que l'étendue de certaines
régions
peut compenser les anomalies de certaines autres
dent également une tendance, non seulement de se localiser dans les
régions
où se développent les légions systématiques (no-
é plus ou moins grande. Cette déformation peut aller dans certaines
régions
de la moelle grêle et libre comme au niveau du
ans les muscles. b° La rachialgie avec ses sièges de prédilection :
région
lombaire, cocydinie. 6° La dyspepsie par atonie
côté droit, il cons- tate avec étonnement l'insensibilité de cette
région
. Enfin, plus récemment, il apprend que la sensi
t dans - le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans la
région
dorso-lombaire. Le membre inférieur gauche et l
ant son élan d'avant en arrière, s'en donne un coup violent dans la
région
postérieure de la tête. Il tombe aussitôt sans
siège même de la fracture. La présence des nombreux sinus en cette
région
en rend l'application difficile. D'un autre côté,
ar suite de commotion du cerveau, comme le]coup de massue, en cette
région
, abat un boeuf à l'abattoir. Aucune portion du
pied qui reste tou- jours en arrière. Une légère hyperesthésie des
régions
désignées est restée au même degré. L'anesthési
dorsale au niveau de la dernière opération. Du côté droit, dans la
région
inférieure dorsale, sur l'abdomen et l'extrémité
ieures sont tout à fait annulés. Une certaine suppuration dans la
région
postérieure de la dernière plaie. Le cobaye est
vertèbre dorsale est rétablie. Dans la partie supé- rieure de la
région
dorsale de la moelle épinière, on remarque les
méfaction est plus marquée dans la troisième plaie. Au niveau de la
région
dorsale inférieure, on remarque un étranglement
prises dans la cicatrice de la moelle épinière, c'est-à-dire de la
région
de la pre- mière hémisection présentent quelque
la moitié droite le cordon latéral est le mieux conservé. Dans les
régions
supérieures et inférieures, on remarque facilem
cordon latéral du même côté. En ce qui concerne le caractère et la
région
de la dégénération, cette dernière ne présente
un peu touché (il-. 20).- Nous finies encore une préparation de la
région
dorsale supérieure de la moelle au niveau de la
n° 15 qui a subi une hémi- section du côté gauche de la moelle à la
région
dorsale inférieure, vécut jusqu'à la seconde op
érations est faite une section laté- rale de la moitié gauche de la
région
omise à nu de la moelle (fij. 22). Une hémorrha
oite postérieure et de toute la moitié du corps à l'exception de la
région
dorsale supérieure est tout à fait annulée. Sur
ence, ce résultat ne prove- nait point d'une particularité de cette
région
, parce que, ainsi que le démontre l'opération c
la disposi- tion des conduits sensitifs et moteurs, que dans les
régions
sous-jacentes de la partie dorsale de la moelle
te, nous au- rions pu conclure qu'à ce niveau, c'est-à-dire dans la
région
de la moelle épinière, les voies qui nous intér
ius » du quatrième ventricule, le bout inférieur du cervelet, et la
région
supérieure de la moelle épinière. Aussitôt sous
ns un état parfait. La sec- tion de la moelle durcie, faite dans la
région
de la deuxième opération, a [démontré que toute
ence, chez le cobaye, l'entre-croisement des voies motrices dans la
région
de la decus- salio pyramidum. OERVATtjN VHt.
'entre-croisement complet chez le cobaye des voies motrices dans la
région
de deettssatio pyramidum, on peut obtenir le ta
ration n° 28, lorsque après une hémisection secon- daire dans la
région
dorsale il n'y a eu que la para- lysie de l'ext
cobaye de taille moyenne. La colonne vertébrale est ouverte dans la
région
de la X° vertèbre dorsale; à cette région, on y
brale est ouverte dans la région de la X° vertèbre dorsale; à cette
région
, on y a fait une hémisection du côté gauche (fi
èbre lombaire, de sorte qu'on a mis a nu la partie inférieure de la
région
dorsale, tout près du renflement lombaire. C'es
ité des mouvements volontaires, passent à l'endroit destiné dans la
région
du renflement lombaire, c'est-à-dire au niveau
i cette supposition est juste, ces voies doivent se trouver dans la
région
commissurale du renflement lombaire, et alors l
èrent à l'aide des voies développées passant du côté sain dans la
région
atteinte du renflement lombaire par une partie
te du corps strié, puis se dirige en dehors et va se perdre dans la
région
correspondant à l'es- pace perforé antérieureme
nfirmées, il n'y aurait plus dans le cerveau humain de points ou de
régions
dont les fonctions seraient inconnues. Pour les
indice de l'envahissement par des gommes des méninges spinales à la
région
d'oùémergentles nerfs intercostaux ? Faut-ily voi
n constate le 26 mars 1888 : léger délire, oedème de la face, de la
région
de l'épaule gauche, du bras de ce côté et des d
le bord cervico-scapulaire parait déprimé, princi- palement dans la
région
des trousseaux moyens et inférieurs du trapèze,
ère un kyste du volume d'un oeuf de poule ; il occupait à droite la
région
de la scissure de Sylvius et s'étendait en avant
NiSSL font remarquer qu'il s'agit peut-être là d'une hypoplasie des
régions
cérébrales en ques- tion et que le kyste a pu s
angulaire d'un côté et localisèrent le centre de la vision dans la
région
pariéto-occipitale; les recherches cliniques de
iblement du côté droit que du gauche. Il y a quatre ans que dans la
région
temporale droite parut un enfoncement qui tantô
face suffit pour s'apercevoir qu'elle est grandement défigurée. La
région
temporale droite est très enfoncée. Quand la mala
fosse canine est très accentuée; lorsqu'on examine avec soin cette
région
, on cons- tate que les muscles et le tissu adip
e part, les cas où des phénomènes atrophiques étaient limités à une
région
isolée de la face, et, d'autre part, ceux dans
rdinaire, traumatisme) et où il a été limité rigou- reusement à une
région
innervée par une ou plusieurs bran- ches du ner
omberg a décrit une malade chez laquelle, après une contusion de la
région
pariétale gauche, se manifestèrent des douleurs
iatrophie de la face et de la langue accompagnée d'anesthésie de la
région
affectée et de paralysie des nerfs ocu- lomoteu
s phénomènes atrophiques, l'auteur admet ici une hémorragie dans la
région
du noyau gauche du nerf triju- meau. On peut
e d'examiner un forgeron qui avait reçu un coup très violent à la
région
de la fosse sus-claviculaire gauche. L'état imméd
u col de l'omoplate du côté gauche; aussitôt s'ensuivirent, dans la
région
du plexus brachial droit, des phénomènes de par
re attention, en l'expliquant par l'affluence diminuée du sang à la
région
affectée, et comme les grandes artères ne prése
doigts sont insensibles; c). Le sens musculaire est aboli dans la
région
de l'anesthésie superficielle ; 4° a). Troubles t
à constater des troubles du mouvement et de la sensibilité dans des
régions
autres que celles qui sont atteintes chez notre
tie interne du bras, mais avec plus d'attention on trouvait dans la
région
du nerf accessoire du brachial cutané interne (
e. Ces îlots d'anesthésie complète disséminés au milieu de vastes
régions
ayant conservé leur sensibilité, fait qui s'expli
passifs de l'avant-bras ; d'une part, parce qu'il existe dans cette
région
une languette de peau non anesthésiée, de l'aut
nous occupe, on a constaté un abaissement de la température dans la
région
de l'anesthésie superficielle, mais il est impo
dant lorsqu'il est mouillé. A droite elle est abolie dans les mêmes
régions
, mais l'abdomen est complètement insensible.
insensible. Puberté. Très léger duvet sur la lèvre supérieure. - La
région
pectorale est assez développée. Poils noirs ass
t voir tout tourner. Il a une sensation d'étouffement partant de la
région
épigastrique qui remonte à la gorge jusqu'au ni
s ou moins complet, disposées d'une façon symétrique dans plusieurs
régions
du corps. Les régions zygomatiques, mastoïdienn
sposées d'une façon symétrique dans plusieurs régions du corps. Les
régions
zygomatiques, mastoïdiennes, mentionnière, clav
rie : elles sont molles, difiluentes, dépres- sibles dans certaines
régions
, résistantes, lobulées dans d'autres; une de ce
tate à la surface du cerveau de fines tubérosités, surtout dans les
régions
frontale et pariétale; ces tubérosités sont pro
s de l'adjuvat a été jusqu'ici un fiasco lamentable. Dans certaines
régions
, le jury est revenu bredouille; dans les favori
ens de valeur de se présenter au concours de l'adjuvat même pour la
région
de la Seine. Dans tous les cas il serait équita
ts des pays marécageux très rarement. Par contre, les habitants des
régions
traversées par de grands fleuves, fournissent l
cès qui pourront être décla- rés admissibles est fixé à six pour la
région
de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois
on de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois pour chacune des
régions
de Lyon, Bor- deaux, Nancy et Montpellier. Les
épreuves devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre des
régions
, devront adresser leur demande, sur papier timb
mande, accompagnée de pièces énumérées. ci-dessus, doit indiquer la
région
dans laquelle le candidat veut subir le concours.
à 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈHË. l'eecléme, et celte
région
dont la peau est distendue par de gros bourrelets
ètres; aii niveau de la bosse pariétale droite, 15 millimètres ; la
région
la moins épaisse me- sure 13 millimètres. La
nsidérable de la face interne. On ne trouve pas d'exostose en celle
région
ni de traces de fracture. 8 NOUVELLE ICONOGRAPH
ont une véritable saillie sous la peau et déforment complètement la
région
. Le nez qui présente les traces de l'ancienne f
tre optique (cortical) gauche ; cette ex- citation se transmet à la
région
motrice de l'hémisphère gauche, et de la aux fa
t que la vérité réside dans une sorte d'éclectisme qui, suivant les
régions
et les circonstances, ferait intervenir la résist
ertébraux lombaires et constitue la résistance, pendant qu'en celle
région
la puissance qui fait L équilibre à la pesanteu
différences entre les deux parties latérales du corps. Ici, pas deux
régions
homologues qui n'aient la même conformation. Le
e. Cette courbure siège généralement au niveau de la jonction de la
région
lombaire et de la région dorsale. Elle empiète
énéralement au niveau de la jonction de la région lombaire et de la
région
dorsale. Elle empiète sur les deux régions. L'a
région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète sur les deux
régions
. L'anatomie nons apprend que la colonne lombair
aucun mouve- ment de torsion ; mais il n'en est pas de même pour la
région
dorsale qui ne peut s'infléchir sur le côté san
, de l'autre côté, la masse sacro-lombaire est molle et fuyante. La
région
sous-scapulaire, du côté portant, est déprimée, l
s est marqué d'un pli transversal, pendant que, de l'autre côté, la
région
sous-scapulaire est légèrement bombée, surmon-
vant, on observe une transformation complète des formes de toute la
région
. C'est la fesse opposée qui entre en contraction
e » (1) un faisceau épanoui en éventail, au-dessous de l'écorce des
régions
postérieu- res et latérales de la région sphéno
u-dessous de l'écorce des régions postérieu- res et latérales de la
région
sphénoïdale, et dont les fibres se portent en c
de ce fait que leur direction est courbe : c'est seulement dans la
région
inférieure du thalamus qu'elles forment un faisce
faut la prendre au plus près de son extrémité thala- mique, dans la
région
que nous venons d'indiquer, c'est-à-dire au nivea
up plus diffuse, puisqu'ellc's'étalc'e'n éventail dans une certaine
région
du' lobe sphénoïdal : Mais ces fibres, avant de d
complètement 'cette' extrémité de la bandelette sous-optique de la
région
opto-striée; deméme,'il nous.parait vraisemblable
du noyau amygdalien. La racine inférieure du thalamus, venue de la
région
du centre ovale qui est sous-jacente au ventric
itique (gomme périostique claviculaire, gomme sous- cutanée dans la
région
cervicale qui ont manifestement diminué de vo-
es intercostaux sont fortement déprimés. Le malade éprouve clans la
région
slernale supérieure des douleurs semblables à cel
es. Acuité visuelle normale, pas de dyschromatopsie. Examen de la
région
cervicale. Les apophyses épineuses de cette régio
ie. Examen de la région cervicale. Les apophyses épineuses de cette
région
sont douloureuses à la percussion. La raideur d
et à gauche. Le malade évite toujours de faire ces mouvements. La
région
cervicale n'est pas déformée, mais il existe une
a méningite syphi- litique se localise avec prédilection dans celte
région
. Si bien que lors- qu'on voit apparaître chez u
de la sensibilité thermique n'ont pas été absolument cons- tants la
région
antérieure et supérieure de la cuisse. Dans un pr
insignifiante, frissons légers ou plutôt sensation de froid dans la
région
dorsale; dans le membre anesthé- sique, sensati
ent que dans le mollet droit occupent maintenant tout le membre, la
région
fessière et l'hy- pogastre qui parait lourd, pe
re qui parait lourd, pesant. Depuis hier, la malade souffre dans la
région
lombaire gauche. La pres- sion sur les apophyse
crâne et le cerveau. Quelques chapitres sur les plaies des diverses
régions
de la face complètent l'ouvrage : leur étude se
fonctionnelle n'est pas, imputable à la faiblesse des muscles de la
région
antérieure de la jambe, mais bien à la rétraction
rieure de la jambe, mais bien à la rétraction qu'ont subie ceux de la
région
postérieure. Le fait-est confirmé par la résist
~s ? - Une autre conséquence du raccourcissement des muscles de la
région
postérieure de la jambe consiste en ce fait que
ebout de profil. Le ventre est projeté en avant. La concavité de la
région
lombaire est encore accrue en haut par le détac
Fjg. 49. Fig. 50. 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
région
postérieure de la jambe (-istro-enémiens). La rés
tous les segments des membres la jambe, et surtout le mollet est la
région
qui à le mieux conservé son relief. A ne regarder
n faux pas en roulant une brouette et a senti un craquement dans la
région
rénale. Cet incident a nécessité un repos de qu
re, le crâne est proportionnellement plus développé que la face. La
région
occipitale présente l'aplatissement décrit chez
Les omo-hyoïdiens semblent respectés, de même que les muscles de la
région
postérieure. Tous les mouvements s'exé- cutent
ées en ailes, absence de scoliose, mais lordose monstrueuse dans la
région
dorso-lombaire (PI. XX et XXI). La masse commun
ce. Un peu d' « exophtalmie » et un léger gonflement du cou dans la
région
thy- roïdienne. (Fig. 53). Les deux mains et
ose très accentuée. L'angle formé par les vertèbres lombaires et la
région
sacrée est presque droit. Quand la malade est c
ns son état. De temps en temps elle s'est plaint de douleur dans la
région
du foie, mais il a été impossi- ble d'en reconn
qui frappe im- médiatement, c'est le gonflement considérable de la
région
articulaire. D'un moment il l'autre, l'aspect d
pt ans qu'il a éprouvé ses premières douleurs fulgurantes dans la
région
cubitale. Trois ans après, il com- mençait à so
suite des grandes crises fulgurantes, plus spécialement au niveau dos
régions
endolories. Le purpura 1n ! }élopathiqltl' de F
l'effondrement du tarse a été précédé d'un oedème considérable de la
région
tibio-tarsienne avec une éruption purpurique. L
ment semblable s'est montré au membre inférieur droit dans la même
région
que celui du côté gauche, avec le même piqueté
au niveau de la cuisse gauche, et, plus tard, au niveau des jambes (
région
du tibia en particulier). Ces douleurs, provoquée
respecté tronc (exception faite pour une plaque constrictive do la
région
dorso-lombaire) et n'ont envahi les memhres sup
les deux pieds. Dans les jambes, les cuisses et le tronc jusqu'à la
région
mammaire, les sensations tactiles sont très dim
érieur des deux humérus explique' la morphologiëz si curieuse de la
région
scapulaire (PI. XXIX 'et Y11); c'esL-i ? lit;e.le
ntrées dans l'épaule gauche. Depuis elles n'ont pas reparu en celle
région
. Certaines régions ont été épargnées : la ceint
gauche. Depuis elles n'ont pas reparu en celle région. Certaines
régions
ont été épargnées : la ceinture, le tronc, le cou
Kllc applique, avant de se coucher, un cataplasme laudanisé sur la
région
. Le lendemain matin, la douleur avait disparu.
ux, il éprouva de temps il autre do très violentes douleurs dans la
région
lombaire et dans l'épaule droite. Ces douleurs
es pertes séminales et, après le coït, une douleur violente dans la
région
anale. Quelques mois après apparut une impuissa
ité dans les pieds et dans le talon. Douleurs constrictives dans la
région
thoracique. De temps il autre fourmillements da
ents dans les deux mains et sur tout dans le petit doigt et dans la
région
cubitale des deux avant-bras. La sensibilité cuta
normale sur toute la surface du corps, tronc, face et membres ; la
région
lombaire pré- sente une zone limitée d'hyperest
doux genoux ne peut être recherché. Quoique la sensibilité de cette
région
soit intacte, le réflexe plantaire n'existe pas.
ns atteintes, mais surtout, exclusivement pour ainsi dire, dans les
régions
sous-jacentes. De sorte que nous retrou- vons i
vons signalés mais rarement des troubles trophiques cutanés dans la
région
même de l'article menacé. Le malade de Karg rem
39 précédée de la formation d'une pustule sur le côté externe de la
région
. Ces cas en somme sont exceptionnels quoi qu'il
. Les chiffres romains indiquent l'endroit où les nerfs de chaque
région
percent la méninge ». NERFS RACIIIDIENS ET APOP
cause : l'obliquité variable des apo- physes épineuses. Aussi, à la
région
cervicale, où ces apophyses sont presque exacte
valle entre l'apophyse de même nom et l'apophyse sous-jacente; à la
région
dorsale où les apophyses sont extrêmement obliq
niveau de l'espace inter-épineux sus-jacent à celle apophyse ; à la
région
lombaire le rapport redevient le même qu'à la r
pophyse ; à la région lombaire le rapport redevient le même qu'à la
région
cervicale. Ajoutons que chez l'enfant où les ap
le très pratique à canse de sa simplicité, est la suivante : « A la
région
cervicale, il faut ajou- ter un au numéro d'une
er pour avoir le numéro des racines qui naissent à son niveau; à la
région
dorsale supérieure il faut ajouter deux; à part
niveau de la 2e lombaire. - On dira donc : « chez l'enfant, a la
région
dorsale supérieure, delà lrc à la 4e apophyse i
ut ajouter 3 pour avoir le numéro de la racine correspondante; à la
région
dorsale moyenne de la 5e à la 9 apophyse il fau
g séjour dans l'eau, le malade eut un gonflement considérable de la
région
externe de la jambe gauche, d'où, dit-il, est s
que du côté droit. Tremblement fiúritlaÍ1'(' dans les muscles de la
région
postérieure de l'avant- bras droit. Le réflex
e pério- disque). 2G8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE E
région
de la face antérieure de l'épaule ; normale sur l
; complètement abolie il l'avant-bras. Au bras, diminution dans la
région
antéro-externe; sen- sible sur la région postér
u bras, diminution dans la région antéro-externe; sen- sible sur la
région
postéro-interne. A l'épaule, diminuée sur la face
éli- que existait. Dans la névrite, l'anesthésie est située dans la
région
du nerf atteint; il existe de la douleur au niv
signalée par J.-B. Charcot (3). La déviation siège en général à la
région
dorsale ; sa convexité regarde- rait habituelle
peut redresser la courbure rachidienne; enfin la courbure est à la
région
dorsale, or c'est dans la région lombaire que s
dienne; enfin la courbure est à la région dorsale, or c'est dans la
région
lombaire que siège ordinairement la cour- bure
xemple, les arthropathies apparaissent-elles de préférence dans les
régions
qui ont été le siège de douleurs fulgurantes ?
téresse dans tous les cas le môme territoire médullaire : les mûmes
régions
sont sclérosées. Mais il ne s'en suit Nouv. ICO
THIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ 283 pas que, dans ces
régions
, les mêmes conducteurs nerveux soient affectés au
point de pénétration de la racine postérieure correspondent il la la
région
exci- tée. Parmi ces arcs réflexes, il en est u
e, et, dans le sens centrifuge, jusqu'aux racines antérieures de la
région
excitée. Le faisceau pyra- midal n'est pas autr
ans quelques observations l'analgésie et la thermo-anesthésie de la
région
ont paru précéder l'arthropathie. Ainsi chez ce
ire qu'elle résulte d'une hypertrophie osseuse, le plus souvent. La
région
atteinte conserve de ce fait même et en dehors de
t complète ; il ne persistait qu'une hyperesthésie loca- lisée à la
région
externe de la hanche. Cette hyperesthésie a persi
e, dit le médecin, il survint une amélioration considérable dans la
région
. » Le lendemain matin, le gonflement avait dimi
du corps est sensiblement abaissée ; elle atteint à peine 3° 8. La
région
de la hanche, l'articulation coxo-fémorale ne p
re et tube médul- laire, reste indivis, mais prend, surtout dans la
région
céphalique, un aspect moniliforme qui donne la
ruban latéral se fragmente aussi, mais très iné- galement. Dans la
région
céphalique ou branchiale, il forme les ganglions
nsoriels latéraux et de branches vasculaires répétant le type de la
région
bran- chiale. - Beard, Allis, Ayers, Dohrn et
e avec les noyaux bulbaires oculomoteurs et peut-être aussi avec la
région
du pli courbe. il) Enfin la continuité et la co
le gauche et dans la fosse sus-épineuse droite. Dans cotte dernière
région
la respiration est souf- llante, presque cavern
verge, les bourses sauf leur partie supero-externe, le périnée, la
région
périanale; sous une forme atténuée, ils s'étend
anale; sous une forme atténuée, ils s'étendaient à une partie de la
région
fessière, à une mince bande sur la face postéri
surtout cérébral. Une dernière question se pose cependant. A quelle
région
du lobe temporal et du lobe pariétal aboutissen
inférieur droit, la bande d'anesthésie cru- rale s'est effacée; les
régions
anesthésiques de la jambe, du pied, de la fesse n
ort que l'autre et le blessé peut sauter sur lui il cloche-pied. La
région
lombaire est d'une souplesse extraordinaire : l
tionnels était parfaitement parallèle, les muscles paralysés et la
région
cutanée atteinte dépendant des 4° et 5e segment
trajet et rapport), 30, 1. Bidactylie congénitale, 63. Cerveau,
région
ou aboutissent les fibres du nerf labyrinthique
ec dégénération grise très-prononcée des cordons postérieurs dans les
régions
dorsale et lombaire. La région cervicale est aife
ncée des cordons postérieurs dans les régions dorsale et lombaire. La
région
cervicale est aifectée aussi, mais à un moindre d
il pleure facilement et il éprouve une sensation de constriction à la
région
laryngienne. Durant les quatre dernières années,
ous pratiquons au malade des injections sous-culanées au niveau de la
région
massélérine gauche et des pectoraux (environ 2 gr
mâchoires s'écartent d'un centimètre ; en revanche, les muscles de la
région
postérieure du cou sont plus contractures; par in
ux selles abondantes. Injection de 5sr,50 de chloral sous la peau des
régions
iliaques. — P. assez petit, 120; R. 56; T. ax. 59
droits. Ces lésions étaient d'autant plus marquées que le tissu de la
région
était plus serré ; en effet, les piqûres pratiqué
es. Elles peu-vent être bornées, et cela a lieu le plus souvent, à la
région
hypogas- 1 Voir aussi Revue photographique, 187
im-possible de sentir celui-ci ; l'exploration et la palpation de la
région
antéro-latérale du genou ne donnent aucun renseig
écropsie pratiquée le 29 novembre. — A la partie supéro-externe de la
région
poplitée, plaie d'environ quatre centimètres de l
ssi sectionnée au même endroit. — Les autres vaisseaux et nerfs de la
région
sont intacts. De l'orifice d'entrée part un tra
devenait nécessaire de pouvoir examiner et palper à son aise toute la
région
du genou. L'application de deux attelles latéra
sont dans un 1 Rognetta signale certains ërysipèles alteignant des
régions
peu fournies en parties molles (crâne, sternum, c
r la paroi abdominale du côté droit. En examinant attentivement cette
région
, on voit qu'il existe une plaie en séton dont les
ure du côté correspondant à la lésion articulaire. Elle siégeait à la
région
cervicale pour l'arthropalhie de l'épaule, au-des
la région cervicale pour l'arthropalhie de l'épaule, au-dessus de la
région
lombaire pour l'arthropathie du genou. Au-dessus
esse avait non-seulement provoqué l'apparition de la maladie dans une
région
où elle ne se manifeste pas d'ordinaire, mais enc
des plaques syphili-tiques d'une coloration peu ordinaire et dans une
région
insolite. Ces modifications ont été amenées, selo
; elle y est complète le 9 février. Le 25 du même mois, la peau de la
région
sacrée est le siège d'une plaque érythémateuse. L
: 1° des élancements dans le coude qui, partant de la nuque et de la
région
cervicale postérieure, s'irradient dans le bras e
occupant surtout la moitié droite de la tête et plus spécialement la
région
pariétale ;— (b) parfois de vomissements ; — (c)
'insère à l'olécràne. B. Muscles de l'avant-bras. Les muscles de la
région
antérieure sont représentés par des masses muscul
te masse remplit tout l'espace situé entre le radius et le cubitus.
Région
externe. Le long supinateur et les radiaux sont r
ro-sité de la face externe (insertions normales). Les muscles de la
région
postérieure se confondent en partie avec les musc
e la région postérieure se confondent en partie avec les muscles delà
région
externe. L'anconé seul est distinct ; il s'étend
masses ar-rondies ou globuleuses. Leur siège habituel dans certaines
régions
du squelette est facilement explicable. En effet,
andis que la gauche en a 15. A droite, le deltoïde, les muscles de la
région
scapulaire étant peu développés, il en résulte qu
uner, sans cause appréciable, il ressentit une douleur subite dans la
région
lombaire droite avec un besoin pressant d'accompl
rexie ; soif incommode ; la pointe de la langue tend à devenir sèche.
Région
lombaire droite sensible à la pression ; région l
tend à devenir sèche. Région lombaire droite sensible à la pression ;
région
lombaire gauche indolore. Ni rétraction des testi
uelques nausées. Affaiblissement des forces. Légère sensibilité de la
région
lombaire. Pas d'odeur urineuse. P. 72; R. 24; T.
La nuit a été mauvaise ; somnolence, par instants, durant le jour. La
région
lombaire droite et le trajet de l'uretère corresp
ion progressive. Soif plus vive ; appétit médiocre ; constipation. La
région
lombaire, surtout à droite, et le trajet de l'ure
ie, la fièvre ; les autres au contraire sont sous la dépendance de la
région
dans la-quelle se pratique l'opération : l'infilt
r une petite croûte au niveau du mamelon et par une tuméfaction de la
région
; des élan-cements partant de la région s'irradia
et par une tuméfaction de la région ; des élan-cements partant de la
région
s'irradiaient au loin. Ces élancements ont cessé
reux, dans l'aisselle correspon-dante. Rien à noter dans les autres
régions
du corps. On diagnostique une tumeur maligne du s
nues dans le sac. Tel est le type général du tissu, mais, selon les
régions
, les al-véoles apparaissent plus petits , d'un as
couchée près d'elle. Frissonnement, sans tremblement, vers minuit. La
région
hypogastrique est un peu douloureuse, sans em-pât
l Saint-Louis, dans le service de M. Folcher. Cet homme portait, à la
région
occipitale, une tumeur dure, élastique, mobile et
ieurs petites pla-ques graisseuses, mais il n'y a rien sur les autres
régions
de ce vais-seau. Abdomen : le foie très-congest
els divers, dysménorrhée, ménorrhagie, etc., par des douleurs dans la
région
ovarienne et la tuméfaction de l'ovaire appréciab
s. Ordinairement, elle présente des irradiations vers les lombes* les
régions
inguinales et sacrées. Elle est continue, paro-xy
ait est intéressant, parce que la pré-sence d'une tuméfaction dans la
région
abdominale, surla partie latérale droite du muscl
RLATINIFORME mollesse, mais rinfluence de l'humidité naturelle delà
région
ne s'y fait-elle pas sentir? Sous les plaques, la
trophie aussi irrégulière, portant sur tel ou tel muscle dans la même
région
, sur telle ou telle fibre dans le même muscle?...
uite, princi-palement par la voie du réticulun conjonctif, jusqu'à la
région
des cornes antérieures. Quant à la nature même de
ait l'extension de l'érysipèle. Soir : L'érysipèle occupe les mêmes
régions
que ce matin. Les oreilles sont un peu douloureus
ité inférieure, prise la première, est libre. 11 existe au niveau des
régions
malades une chaleur mordicante. La fesse droite e
6 mai. — P. 68; T. V. 57°,5; petites plaques érysipôlateuses sur la
région
, fémorale externe. — Soir : P. 95, compté deux fo
d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la
région
ovarienne gauche ; douleur d'un caractère spécial
Messieurs, ce ballonnement considérable du ventre, ces douleurs de la
région
ovarienne, cette rétention des urines, consti-tue
me ; — 3° elle présente un ballonnement énorme de l'abdomen; — 4° les
régions
ovariennes sont douloureuses à la pression, et en
M. Magdelain : « Déformation au niveau de l'hypochondre gauche et des
régions
contiguës, tumeur plus ou moins fluctuante, matit
men......... Poumons......... Tète........... Nuque..........
Région
sus-épineuse . . . — sous-claviculaire. . — a
fait découvrir les points névralgiques suivants : Io au centre de la
région
fessière ; 2° vers le quart supérieur et postérie
le-même était épaissie et dédoublée en deux lamelles, surtout dans la
région
des"neuvième, dixième et onzième racines dorsales
été elle-même envahie par la gan-grène. Observation : Blessure à la
région
carpienne. —Fourmillement dans les trois premiers
Un jeune homme de 17 à 18 ans, menuisier, se blesse avec un ciseau la
région
carpienne. Une vive douleur s'ensuit, puis un pet
e observation est un homme âgé de 52 ans atteint d'un cancroïde de la
région
auriculo-temporale (Planche XXIX). Cet homme da
a tumeur avait acquis un volume considérable et siégeait dans la même
région
; il était impossible de reconnaître, par la palp
saillants les articulations fléchies, présente au con-traire, par sa
région
dorsale, une surface régulièrement convexe qui se
ité. — Point hyperesthésique au ni-veau de la partie inférieure de la
région
dorsale de la colonne verté-brale. Douleur au cre
2. La malade entre à l'infirmerie pour des dou-leurs assez vives à la
région
cardiaque. A l'auscultation, on constate que le s
e la tumeur cervicale. Elle occupe la par-tie supérieure droite de la
région
du cou, n'empiète pas sur la face ; elle semble r
lôido-mastoïdien. La peau ayant été divisée avec soin dans toute la
région
occupée par la tumeur, le chirurgien procède à la
érieure, arrache les prolongements qui gagnent la base du crâne et la
région
parotidienne. Enfin il sépare la tumeur des muscl
idée d'une tumeur lacrymale ou de toute autre tumeur fami-lière à ces
régions
, pour pencher vers l'opinion d'un polype muqueu
le de l'inflammation, peut se manifester à la simple inspection de la
région
de l'hypochondre gauche; le toucher peut aider à
violences extérieures. On a vu à la suite de coups, de chutes sur la
région
splénique, la rate se tuméfier, devenir douloureu
uait facilement le volume exagéré des vaisseaux sous-cutanés dans les
régions
de la face et du cou. La glande thyroïde présen
he. — Augmentation de volume rapide.— Tumeur encéphaldide occupant la
région
mammaire gauche. — Ablation au moyen des flèches
tel-Dieu de Toulouse (service de M. Ripoll). La tumeur, qui occupe la
région
antérieure gauche de la poitrine, mesure 31 centi
e a été rem-placée par une rachialgie extrêmement vive, siégeant à la
région
cervicale et un peu au-dessous, ayant pour centre
limites normales; enfin il n'existe aucun signe d'altération dans les
régions
voisines. B... a une bonne constitution; sa san
intacte. Diagnostic. — Parmi les tumeurs qu'on peut rencontrer à la
région
parotidienne, nous devons éliminer de prime abord
ac-tuels : intégrité de la peau, limitation exacte de la tumeur à la
région
parotidienne, connexions profondes avec mobilité
n traumatisme violent, les malades éprouvent une douleur vive dans la
région
de l'hypochondre gau-che ; cette douleur peut êtr
, de brûlure, de plénitude, de pesanteur et de tension dans les mêmes
régions
; elle peut arracher des cris au malade ou le fair
La percussion delà rate est impossible à cause de la sensibilité delà
région
splénique. Le pouls est fréquent, peu déve-loppé,
et le plus souvent diarrhéiques, non sanglantes. La percussion de la
région
hépatique donne une matité de 6 à 7 centimètres.
se d'analogue à ce que nous avons avons décrit à gauche. Matité de la
région
hypo-gastrique (ascite). Le 15 janvier, exeat pou
qu'il forme une sorte de cuirasse cancéreuse ayant, dans certaines
régions
(hypochondre et surtout flanc gauches) une épaiss
t pas celui qui est préférable; nous sommes convaincu que l'étude par
régions
aurait mieux valu. Afin de rapprocher autant qu
76. Traumatisme {voy. Œil, Tétanos). Tumeur fibro-plastique de la
région
oc-cipitale, par A. de Montméja, 140; — de la ci
tance grise du névraxe Fig. 2. dans le bulbe {Coupe cm niveau de la
région
inférieure de l'olive]. Fig. 3.— Répartition de
tance grise du névraxe Fig. 4. dans le bulbe {Coupe au niveau de la
région
svjiérieure de Volivej. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈ
la substance grise du névraxe dans le bulbe {Coupe au niveau de la
région
moyenne' de l'olive). Substance grise de l'oliv
, Paris. Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la
région
moyenne du noyau lenticulaire. L-IBRAIRIE J.-B.
stre et Paris. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la
région
moyenne du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B. BAI
aris. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
moyenne du noyau caudé. LIBRAIRIE J.-B. BAILL
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. t LIBRAI
ris. Coupe liorizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
supérieure de la couclie optique. LIBRAIRIE J
orizontale antérq-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
aris. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la
région
supérieure du noyau lenticulaire. LIBRAIRIE J
ne section antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. LIRRAIRIF
orizontale antéro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
supérieures vers la hase du cerveau. LIBRAIRI
n horizontale de un millimètre d'épaisseur, passant au niveau de la
région
supérieure de la protubérance annulaire, puis cet
ection verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou, du corps calleux. L
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
Silvestre et 0'*, Paris. Coupe verticale transverse passant par la
région
moyenne du chiasma des nerfs optiques. LIBRAI
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. i_
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
Silvestre et C^*, Paris. Coupe verticale transverse passant par la
région
antérieure du noyau lenticulaire. LIBRAIRIE J
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des
régions
postérieures vers le genou du corps calleux. LI
es de massage dans lesquelles on pratique la flagellation dans la
région
temporo-pariétale droite. L'amyotrophie ne tarde
paralysie, le médecin lui a appliqué sur la tempe gauche et sur la
région
antéro-externe du bras gau- che des plaques de
aroi thoracique antérieure présente une dépression; en arrière, les
régions
sus et sous- épineuses sont aussi légèrement dé
dire si l'atrophie s'est faite plutôt àux dépens des muscles de la
région
antérieure ou de èeux de la région postérieure
tôt àux dépens des muscles de la région antérieure ou de èeux de la
région
postérieure de l'avant-bras. Les éminences thén
spéciale qui la précède ; le malade sent comme une boule qui de la
région
épigastrique remonterait à la gorge ; mais l'at
ilité des doigts; en même temps la sen- sibilité s'émousse dans les
régions
correspondantes du côté opposé ; on continue le
a même chose que le 27 février. La sensibilité revient dans la même
région
, et le malade a une attaque. Lorsque le malade
que alors ce qu'on appelle dans le massage la flagellation, dans la
région
temporo-parié- tale droite (l'opération est com
é. On renouvelle pendant une minute environ la flagellation dans la
région
temporo-pariétale droite et la sensibilité revi
et le muscle grand pecto- ral est bien plus volumineux ; entre les
régions
sus et sous- épineuses du côté droit et celles
lysie, sous l'influence d'une simple flagellation pratiquée dans la
région
temporo-pariétale du côté opposé, a rétrocédé e
tions les différences suivantes : DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 21 La
région
antérieure du thorax est un peu déprimée; il en e
n antérieure du thorax est un peu déprimée; il en est de même de la
région
postérieure ; les muscles sus et sous- épineux
che la sensibilité n'est que diminuée, plus ou moins, sui- vant les
régions
(voir les fig. 3 et 4). - Le côté gauche du corps
ROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE NERVEUSE. M. Gautiez sur la
région
pariétale droite; après chaque séance, a sensib
(Déjerine) ? La malaùie se localise-t-elle séparément sur les deux
régions
sans qu'il y ait propagation anatomique de l'un
quand la lésion des cordons posté- rieurs s'étend en bas jusqu'à la
région
lombaire et que les zones radiculaires des cord
propage de proche en proche d'une manière continue, sans sortir des
régions
de prédilection. Il n'y a pas de contraste, pas
une accélération du pouls semblant appartenir à l'excitation de la
région
cervicale de la moelle. G. D. II. ERYSIPÈLE P
de Berlin, t. LXXXV111, III. Oct. 1883) permettent d'incriminer ces
régions
. P. K. V. Communication concernant LES RECHERCH
ue, suicide. Autopsie. Néoplasme occupant la portion centrale de la
région
cervicale de la moelle. llIéningo-périencéphali
négatif était promené lentement, du même côté de la tête depuis la
région
sourcilière jusqu'àl'occiput; les applications
xtension d'un caillot organisé et ancien aux petites veinules de la
région
du vertex : la circonvolution supra- marginale
uche, et une extravasation sanguine beaucoup plus considérable à la
région
préfrontale; M. Lewis considère ces faits comme
robablement permis de rattacher à des oblitérations capillaires des
régions
ganglionnaires de la base. Au point de vue ment
dus normaux, il n'y a que cinq épileptiques. En Italie, ce sont les
régions
qui fournissent le plus grand nombre d'épilepti
de, il accuse aussi une pesanteur ou une crampe désagréable dans la
région
épigastrique; la répétition fréquente de petite
ne semaine après avoir été soumis à un refroidissement humide de la
région
dorsale, on constate chez le malade, qui fait l
ce palmaire du même dos, ainsi que dans la paume de la main (même
région
); puis, tout disparait, si ce n'est la paralysie
ette colonne commence en haut au tiers intérieur des olives ou à la
région
dans laquelle se met à apparaître le noyau post
aire, et en décrivant une courbe à convexité antérieure, jusqu'à la
région
des faisceaux longitudinaux postérieurs ; elles s
côté aux deux moitiés de la protubérance ou des masses grises de la
région
inférieure; M. Bechlerew appelle à cet égard l'
périeures du même côté et peut-être du côté opposé, ainsi que de la
région
du noyau de Deiters, en un mot du bulbe, et for
NIQUE NERVEUSE. Observation II. Idiotie. Gonflements anormaux de la
région
cervicale. - Convulsions. Mort. Autopsie. Com
essa un enfant de six mois pour quelques gonflements anormaux de la
région
cervicale. Les parents étaient sains; mère, âgé
oppement des lobes antérieurs. Malgré un examen très attentif de la
région
cervicale, on ne trouva pas de glande thyroïde;
ur la cornée de ce dernier, une petite tache d'albugo qui couvre la
région
inférieure de la pupille. Il raconte du reste q
ut le long des apophyses épineuses et une douleur très vive dans la
région
pariétale gauche. Pendant son séjour à Ivry, le
ses modes (tact, douleur, température, sens musculaire). Dans la
région
occipitale gauche existe une zone extrêmement dou
contracture, pas de changement. L'amyotrophie n'a pas augmenté. La
région
de l'épaule qui était complètement insensible a
d'un wagon et d'une locomotive; la DK L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 179
région
sous-claviculaire jusqu'au mamelon, et le bras dr
e- ments des doigts seuls étaient possibles; à ce moment aussi la
région
comprimée n'était pas dutout tuméfiée; le malade
aule était déjà un peu enflée; il y avait une ecchymose occupant la
région
de l'épaule, la région sous- claviculaire et un
enflée; il y avait une ecchymose occupant la région de l'épaule, la
région
sous- claviculaire et une partie de la face; la
raître cette paralysie (massage, électrisation, flagellation sur la
région
temporo-occipitale du côté opposé à la mono- pl
r chaque segment du membre, on ne note pas de prédominance dans une
région
quelconque. Dans l'Observation II, tous les mus
s, on ne relève pas de prédominance de l'amyotrophie dans quelque
région
en particulier. Ces observa- - tions semblent d
e l'on relève une prédominance de l'atrophie dans les muscles de la
région
épitro- chléenne, et encore n'est-elle pas très
ent de la selle; et le malade ressentit de légères douleurs dans la
région
du mésogastre. Ces douleurs s'étendirent aux jamb
le lit, ne peut s'asseoir, et il éprouve une légère douleur dans la
région
lombaire. Quant aux fonctions des muscles du vi
n étendue, et par places adhère à la dure-mère. Les vertèbres de la
région
lombaire du côté du canal vertébral dévoilent d
e. (Insumesc. bracliialis.) Fig. 2 Coupe transversale de la moëlle (
région
lombaire). Fig. i. Cellules nerveuses des corne
médiatement soumises à l'agent com- presslf, puis de l'ensemble des
régions
en continuité avec elles, si bien que dès que l
qui, parti du trou stylo-mastoïdien du même côté, descend dans la
région
latérale du cou. le long des vertèbres cervicales
t d'altérations inflam- matoires syphilitiques des vaisseaux en des
régions
distinctes. Du moins, c'est l'avis de M. Rumpf.
ontent ainsi et pénètrent dans la substance gélatineuse et dans les
régions
profondes de la corne postérieure. Dès qu'ilsont
llimètres des stries acoustiques; topographiquement, elle occupe la
région
de la calotte et ne pèse ni sur les fais- ceaux
re certain qu'il existe des altérations de structure dans certaines
régions
du système nerveux; pour localiser ces altérati
eures et postérieures, qui a envahi la substance blanche de la même
région
(forme et volume d'une pomme), qui a pénétré à
que l'accès pouvait à volonté être provoqué par une pression sur la
région
de l'épi- gastre. Du 21 novembre/3 décembre au
qui ne dé- rivent nullement de l'indigestion. L'hyperesthésie de la
région
de l'épigastre existe. Tous ces phénomènes ne s
t la facilité d'évoquer, à volonté, les attaques en pressant sur la
région
de l'épigastre (point hystérogène) sont des sym
quelques mots. Le 27 décembre, il éprouve une vive douleur dans la
région
de l'oeil droit, on observe même la ptosis qui
dilatées; les nerfs faciaux ne présentent rien d'anormal; dans la
région
des deux nerfs trijumeaux, de l'un et de l'autre
s indications sur l'endroit que l'on touche; la sensibilité dans la
région
du plexus brachial de droite a entièrement disp
thésies prodromiques soit de tout le corps, soit bornées à quelques
régions
des muqueuses (du pharynx, de la conjonctive);
quelque chose avec les mains, ou bien il les porte à la gorge, à la
région
du coeur, etc. Après l'accès, les malades revie
pé que le droit; ce bras se terminait par un moi- gnon formé par la
région
métacarpienne et une portion des doigts rudimen
la matière sébacée parait complète- ment suspendue. Au niveau des
régions
sus-claviculaires, au-dessous des aisselles et
la peau y est épaisse et pseudo-oedémateuse, comme dans les autres
régions
; les deux testicules sont dans les bourses et o
eure du cuir chevelu, laquelle est glabre, une teinte rosée ; cette
région
est légèrement furfuracée; la rougeur et le gon
au niveau delà portion moyenne de la joue droite ainsi que dans la
région
temporale du même côté ; l'oreille droite est rou
40°,3. 27. T. R. 39o,4. Soir : 40°,3. 28. - Le cuir chevelu et la
région
faciale supérieure sont redevenus normaux ; l'o
T. R. 39°,2. - Soir : 39°,6. 31. - L'érysipèle commence à gagner la
région
pectorale ; il est descendu jusqu'au tiers infé
paroi antérieure de la poitrine ; en arrière, rougeur légère de la
région
scapulaire droite; rien à la face, si ce n'est
n train ; il semble que la peau du côté droit de la tête, tempe, et
région
pariétale, est rosée et un peu z oedématiée ; l
La rougeur de la face a disparu, mais elle persiste encore dans la
région
précédemment indiquée; de plus, elle descend en
rougeur de la face a disparu; elle persiste encore dans les autres
régions
et de plus descend en arrière jusqu'à l'articula-
omplémentaire. - Les cheveux sont noirs, moyennement abondants à la
région
occipitale; ils vont en diminuant sur la partie
bdominale. Le tissu adipeux sous-cutané, abondant dans toutes les
régions
, comme oedémateux, luisant, mais en réalité non
servés et on n'en trouve aucune trace. Le grand sympathique de la
région
thoracique parait normal ; au cou, on ne trouve
ieurs et inférieurs, à l'abdomen et aux reins, mais, nullement à la
région
thoracique ; partout mêmes carac- tères : sensa
i que le cou,'présente une peau normale; l'empâtement signalé des
régions
sus-claviculaires comme caractéristique du crétin
e scalpel, était plus développé sur la moitié droite du corps; à la
région
lombaire il avait 332 CLINIQUE NERVEUSE. deux
riablement associé à la présence de tumeurs symé- triques dans la
région
sus-claviculaire et dans d'autres régions, mais
rs symé- triques dans la région sus-claviculaire et dans d'autres
régions
, mais la priorité relative de ces accidents pat
bes sont assez bien conformées, mais les genoux sont rapprochés. La
région
du cou-de-pied est empâtée et présente des ride
lumineuse, plutôt brachycé- phale, avec aplatissement notable de la
région
occipitale; les cheveux étaient rares, le visag
e forme particulière; le front était petit et saillant, dans chaque
région
frontale latérale et aussi au-devant de la fontan
excès de la graisse sous-cutanée sans oedème. On constate dans les
régions
sus- claviculaires deux masses lipomateases. Po
u récemment à ce point de vue, ne présentent rien d'anormal dans la
région
thyroïdienne; il en résulterait, en tout cas, que
est regrettable que l'on ait cru, dans la photographie, masquer les
régions
les plus importantes au point de vue du myxoedè
uche qu'à droite. A gauche, cette trace de la corde arrivée dans la
région
de la nuque, se prolonge jusqu'à la ligne média
tête intenses, commençant à l'occiput et s'étendant surtout dans la
région
pariétale droite. Les disques optiques examinés
ouffrait d'une lésion irritative de nature inconnue, située dans la
région
indiquée ci-dessus. Une opération exploratrice fu
largement sous l'écorce). Avant de fermer la plaie, le centre de la
région
du pouce fut en- levé par une libre incision. L
t trois ou quatre sur le bord su- périeur de la tumeur venant de la
région
de l'écorce pour les mou- vements du membre sup
ations pathologiques, il faut constam- ment comparer avec les mêmes
régions
d'une écorce saine. M. Exo ( d'Heidelberg ) mon
sion permanente mais modérée d'une jambe, en déterminant dans les
régions
innervées par le sciatique de l'anesthésie tactil
l'extirpation des centres corticaux moteurs. Conclusions fo La même
région
de l'écorce cérébrale (gyrus sigmoide) contient l
ns nouvelles de la scissure de Sylvius, du lobule de l'insula de la
région
rétro-insulaire et de ses plis de passage et un e
le. (Intumesc. brachials.) Fig. 2. Coupe transversale de la moelle (
région
lombaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses îles co
e du syn- drome. Charcot crut pouvoir distinguer dans cette étroite
région
qu'il appela lé carrefour sensitif, pensant que
la jambe droite. Un peu plus tard, traumatisme (coup de poing) à la
région
fronlo-pariétale droite. Céphalalgie cons- tant
rtie supérieure l'hémisphère tout entier paraissait envahi, et à la
région
frontale la tumeur empiétait sur la couche cortic
des sont abolies. Le diagnostic est : pachyméningite gommeuse de la
région
rolandique. Le traitement spécifique a d'ailleu
es rachi- diennes, même au périoste de l'os voisin, surtout dans la
région
84 SOCIÉTÉS SAVANTES. cervicale, et autour du
tuberculeuses. M. TOUCUE communique un cas de ramollissement de la
région
SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 temporale et rolandique
te affection, assez rare, au moins en tant que localisée à la seule
région
palmaire, arrive ai rendre la vie sociale intol
mains et les. pieds et on aide Prokhorow il se mettre debout. La
région
sur laquelle on a frappé est toute bleue d'ecchym
trie entre les deux hémisphères est très prononcée, surtout dans la
région
rolandique. L'hémisphère gauche présente une scis
en Brisgau vient de publier des re- cherches très complètes sur la
région
occipitale (weber die Occipi- tal Région, 1899)
ches très complètes sur la région occipitale (weber die Occipi- tal
Région
, 1899), résultant de l'examen de 350 hémisphères.
que les anomalies signalées jus- qu'ici l'ont toujours été dans la
région
rolandique de l'hémis- phère droit. Si les rech
ennent confirmer la fréquence de l'asymétrie et des anomalies de la
région
mo- trice du cerveau chez les personnes atteint
raisons suivantes. Il existait : 1° des douleurs irradiées dans la
région
de la nuque et de l'occiput, qui s'exaspéraient
u pédoncule cérébral et de la capsule interne, car. dans ces deux
régions
, on trouve des fibres dégénérées qui, assurément,
et les ganglions cen- traux. L'introduction de la canule dans la
région
sous-occipitale, entre l'atlas et le trou occip
iculaires des faisceaux centraux du même étage; de presque toute la
région
de la couche intermé- diaire des olives et du r
0,02 millimètre.... Dessins et tableaux établissant les détails des
régions
chez l'homme et la femme. La sensibilité tactil
ns la partie la plus élevée de la moelle cervicale, au niveau de la
région
du faisceau pyramidal, quelques mottes noires d
cérébelleux, et des fais- ceaux de Gowers ; il existé aussi dans la
région
des racines anté- 154 REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
de celui-ci, pour se rapprocher de la valvule de Vienssens et de la
région
de l'entre-croisement du pathétique. Ici une pa
cérébelleux supérieurs sont tout le temps demeurés normaux. Dans la
région
des tubercules quadrijumeaux, le faisceau de Go
réflexe se produit quelquefois quand on comprime les tendons de la
région
pulmonaire du carpe ou quand on pince de dehors
les résultats suivants. Il existe un véritable réflexe pileux, à la
région
antérieure du front, surtout au niveau de la gl
même à la face interne du nez (ici éternûments fréquents), et à la
région
, du pubis ou au pourtour de l'anus. La sensibil
ensibilité plus faible sur la peau de la face, plus encore dans les
régions
barbues, est de moins en moins accusée, au cou,
ibles, la paume de la main, la plante des pieds, le gland du pénis,
régions
com- plètement dépourvues de poils, mais, par c
rnes antérieures, et des lésions des racines posté- rieures dans la
région
dorsale moyenne seulement. Le cordon de Goll es
s, il n'y a de lésions cornu- radiculaires postérieures que dans la
région
dorsale. Ceci peut 172 SOCIÉTÉS SAVANTES. s'a
mande ce qu'a été l'évolution ; si les lésions ont commencé dans la
région
cervicale pour prendre naissance après dans la
mencé dans la région cervicale pour prendre naissance après dans la
région
dorsale, dans le cas si intéressant de MM. Philip
Tout tend il démontrer que les lésions de début ont apparu dans la
région
cervicale (s. pachyméningitique), mais les deux
Leur mise en acti- vité est subordonnée aux excitations venant des
régions
sensitives et sensorielles. Qu'il s'agisse'donc
des spasmes vaso-moteurs. Le spasme des vaisseaux de telle ou telle
région
du cerveau entraîne l'abolition partielle ou co
bolition partielle ou complète de l'activité fonctionnelle de cette
région
et partant la paralysie de la motilité ou de la
centre vaso-moteur cortical, localisé BIBLIOGRAPHIE. 183 dans la
région
rolandique. Qu'il s'agisse d'une impression simpl
la face interne de la cuisse gauche et sur la face antérieure de la
région
du genou du même côté, on constate une large tr
ensibilité viscérale, en particulier celle des testicules, et de la
région
épigastrique pro- fonde sont conservées. La cor
a cependant jamais eu de spermatorrhée. La pression exercée dans la
région
rénale ne réveille aucune douleur. On cherche s
lpation n'est pas douloureuse sur le trajet des uretères ou dans la
région
vésicale. L'urèthre est indemne de toute lésion :
sa tête. Plusieurs fois, elle a porté les mains à la tête, dans la
région
rolandique. Lui demandant le pourquoi de ces mo
lle nous a répondu que la tête lui faisait mal, précisément dans la
région
rolandique gauche. Ces points de la tête ont di
toute douleur et Zoé recouvre la sensibi- lité normale de toute la
région
abdominale inférieure, périnéale et inguinale.
elle ne sent plus rien et l'anesthésie a disparu. 10. Flanc droit,
région
hépatique. La malade accuse une sensation de br
ent que la malade ne peut ana- lyser, mais qu'elle localise dans la
région
cardiaque. La poitrine grossit beaucoup, puis s
Les yeux sursautent dans les paupières. - Ça me fait mal à la tête (
région
occipitale d'abord, puis temporale gauche dans
nettement ; aucun trouble d'aphasie motrice ou sensorielle. A la
région
frontale gauche supérieure, notre malade présente
brisée, atrophie musculaire avec contractions fibril- laires de la
région
cervico-scapulaire et humérale, scoliose légère
autre part. A l'autopsie, on trouve des lésions bilatérales dans la
région
pédonculaire ; dans le pédoncule cérébrale droi
aigu de la face supérieure du cervelet, comprenant le vermis et les
régions
voisines. M. Babinski. -A propos de la première
,est né en état d'asphyxie. 11 y a dix ans, brû- lure indolore à la
région
de l'omoplate droite (cicatrice de dix à SOCIET
non seulement dans l'écorce cérébrale, mais encore dans diverses
régions
du cerveau. Quant à leur grandeur elle est très v
é de la substance protoplasma- tique nerveuse. En passant dans la
région
des données pathologiques, nous rencontrons ici
comme état pathologique, employent des termes différents ; dans la
région
qui nous intéresse nous rencontrons les termes
l'état moniliforme, applique à l'explication des phénomènes de la
région
de la vie mentale, normale, ainsi que de la rég
énomènes de la région de la vie mentale, normale, ainsi que de la
région
de la psychopathologie, son opinion sur l'état va
s étranger qu'elle a dû ava- ler le 15 décembre. La palpation de la
région
épigastrique et abdominale ne permet aucune con
sations de serrement à la gorge et de douleurs d'estomac et dans la
région
du sein droit; prétend qu'elle ne peut digérer,
limite, les bords taillés en biseau sont déchiquetés. Lavages de la
région
a l'eau phémquée, pansement il la vaseline bori
rs et synchrones aux pulsations car- diaques. Le soulèvement de ces
régions
s'exagère quand le malade tousse, éternue, fait
b, frontal gauche. (Grandeur naturelle.) 304 RECUEIL DE FAITS. la
région
est déprimée, et subit toujours de légers mouveme
s crises convulsives. L'examen de la figure 10 montre bien, en deux
régions
, A ÉPILEPSIE. TRÉPANATION ACCIDENTELLE. 305 e
vités de nouvelle formation, étant donné leur localisation dans les
régions
cervicale et lombaire. Les hétéropies ne sont p
a substance blanche et de la subs- tance grise dans les différentes
régions
du cerveau chez les alié- nés ; par le Dr AGOST
it des altérations notables et constantes. En pareil cas, dans la
région
de l'écorce où prédominent les lésions de ramol
fréquence, on trouve spécialement atteintes les circonvolutions des
régions
antérieure et rolandique ; puis lespariétales et
oupes un peu au-dessus et un peu au-dessous. Ce n'est pas tout; les
régions
dorsale et lombaire ont un canal central double
e à ce noyau qu'elles traversent ; ces trousseaux proviennent de la
région
du faisceau longitudinal postérieur et du noyau
rne, deviennent plus fines et plus délicates. Le centre ovale de la
région
motrice contient exclusivement des fibres rares e
bres dans la partie antérieure de la capsule interne, qui vont à la
région
de la zone sensible du corps : leur calibre et le
psie on trouva à la face antérieure de la dure-mère au niveau de la
région
frontale gauche une large plaque rouge, végétan
r d'altération maxima, équivalent à peu près à la destruction de la
région
intéressée par une lésion circonscrite telle qu
our où j'assistai à une crise que le malade calma en fléchissant la
région
lombaire, sans que les cuisses prissent part à
cyclette suivie de lombago, que les faux pas retentissaient dans la
région
lombaire; enfin, un examen attentif me révéla que
e thèse sur ce sujet a publié l'observation d'un homme tombé sur la
région
lombaire et ayant conservé une douleur fémoro-c
de mai 1900. Art. 2. Le concours sera régional : il y aura quatre
régions
. La circonscription de chaque région sera compo
a régional : il y aura quatre régions. La circonscription de chaque
région
sera composée comme il est indiqué dans le tabl
ses au concours est de douze, réparties ainsi qu'il suit, entre les
régions
indiquées ci-après, savoir : Région de Paris, G
ainsi qu'il suit, entre les régions indiquées ci-après, savoir :
Région
de Paris, G places. - Région du Nord, 3 places. R
s régions indiquées ci-après, savoir : Région de Paris, G places. -
Région
du Nord, 3 places. Ré- gion de l'Est, 2 places.
G places. - Région du Nord, 3 places. Ré- gion de l'Est, 2 places.
Région
du Midi, 2 places. Art. 3. Les candidats devron
seront libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des
régions
. Au sur et à mesure des vacances d'emploi qui s
s vacances d'emploi qui se produiront dans les asiles publics de la
région
où ils auront passé le concours, les candidats
il y aurait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une
région
où la liste des admissibles se trouverait épuis
onservera la faculté d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre
région
. Tout médecin adjoint nommé pour son début dans
e autre région. Tout médecin adjoint nommé pour son début dans la
région
où il aura concouru pourra être ensuite envoyé av
e envoyé avec ses mêmes fonctions dans un asile situé hors de cette
région
. Art. 5. - Les médecins adjoints pourront être
chargé de juger les résultats du concours sera composé dans chaque
région
: 1° d'un inspecteur général des éta- blissemen
ident ; 2° d'un professeur désigné par la faculté de médecine de la
région
où se tiendra le concours ; 3° de trois directe
cours ; 3° de trois directeurs médecins ou mé- decins en chef de la
région
. Les directeurs médecins et les médecins en che
médecine qu'il faudrait dire. VARIA. 383 des asiles publics dela
région
. Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d
0. VALDECâ-Ij0U85EAU. Répartition des départements entre les quatre
régions
établies pour le concours de l'adjuvat des asil
blies pour le concours de l'adjuvat des asiles publics d'aliénés.
Région
de Paris. - Calvados, Cher, Côtes-du-Nord, Deux-
Seine-et- Oise, Seine-et-Marne, Seine-Inférieure, Vendée, Vienne.
Région
du Nord. - Aisne, Ardennes, Aube, Belfort, Doubs,
Moselle, Meuse, Nord, Pas-de- Calais, Haute-Saône, Somme, Vosges.
Région
de l'Est. - Ain, Allier, Hautes-Alpes, Ardèche, C
Puy-de- Dôme, Rhône, Saône-et-Loire, Savoie, Haute-Savoie, Yonne.
Région
du Midi. Aude, Basses- Alpes, Alpes-maritimes,
, c'est une hypete.lt1uJsie très accusée au niveau de la nuque, des
régions
dorsale et costale. Cette hyperesthésie n'exist
et à la face antérieure des bras et des avant-bras. Dans toutes ces
régions
hyperesthésiées, le moindre frôlement produit u
pincement ne produit pas une réaction aussi vive. Des chocs sur les
régions
intercostales et surtout au niveau des lombes et
les régions intercostales et surtout au niveau des lombes et de la
région
dorsale, provoquent le même effet que les frottem
ur tout le corps, mais surtout au niveau des côtes, des membres des
régions
plantaires et palmaires. Si l'on ferme les yeux
e la destruction des centres de percep- tion qui coïncident avec la
région
motrice. Il y a, par conséquent, lésion surtout
le résul- tat d'une lacune dans les phénomènes d'association de la
région
motrice de l'écorce, et prouve que la région mo
es d'association de la région motrice de l'écorce, et prouve que la
région
motrice est l'organe psychique des conceptions
e déficit qui peut indiquer un processus destructif pro- fond de la
région
motrice de l'écorce. P. KERAVAL. LXII. La prote
lle en pénétrant dans les parlies centrales de l'isthme a, en cette
région
, lésé diverses hauteurs de la limite inférieure
rrière et de côté vers le puta- men ; elles forment jusque dans les
régions
frontales du cerveau antérieur un faisceau long
es antérieures du corps strié, et s'entre- croise en partie dans la
région
inférieure du cerveau moyen. Mais il est imposs
moyen. Mais il est impossible de décider si ces fibres viennent des
régions
inférieures de l'isthme ou si elles viennent du
s du faisceau de Burdach ne tardent pas à apparaitre saines dans la
région
des contingents latéraux du cordon postérieur. Il
disparaît plus bas, de sorte qu'au niveau du tiers inférieur de la
région
dorsale il faut une grande attention pour voir qu
st chez les animaux, chez lesquels on a comprimé la moelle dans les
régions
élevées. C'est la dégénérescence de la virgule de
moins, formée de fibres des racines postérieures descendantes de la
région
supérieure de la moelle ; 2° A la formation du
formation fixe consistant en une courbure cyphotique arrondie de la
région
dorsale supérieure, et une disparition de la co
orsale supérieure, et une disparition de la concavité normale de la
région
lombaire. Dans certains cas, il y a seulement «
, les malades la rapportent toujours à la môme partie du crâne : la
région
frontale. Diverses théories ont été invoquées p
ment et des adhérences de la dure-mère avec les os du crâne dans la
région
du tiers supérieur des circon- volutions centra
adhérences entre la dure-mère et la pie-mère sous- jacente dans la
région
du tiers inférieur des sillons de Rolando et de
uée. Front bas, voûte du palais ogivale. Le crâne, très étroit à la
région
frontale, va s'élar- gissant vers les bosses pa
re de fines granulations et la teinte bleue, très mar- quée dans la
région
basale de la cellule, est presque insignifiante a
rontale ascendante droite, pourrait être répété pour la plupart des
régions
de l'écorce. Nous avons pu en effet sur un très
ent, pour la plupart, un aspect moni- liforme très accusé. Dans les
régions
profondes de l'écorce, l'aspect est le même, et
méthode de Nissl a été appliquée ici sur des coupes des différentes
régions
: les grandes cellules des cor- nes antérieures
léments pathologiques dans les loges des cellules pyramidales de la
région
motrice, n'est pas pour ces cellules une cause d'
, hymen intact, fosse naviculaire pro- fonde, fourchette saillante,
région
anale normale. W... prend des panades qu'on lui
dénote de la submatité et une résistance spéciale au doigt dans les
régions
sous-claviculaires. A l'auscultation, qui est ext
ont augmentés de volume, isolés (poly- micro-adénie) ; érythème des
régions
fessières et inter-fessière. La conjonctive dro
ie sans cesse. Même traite- ment général, vaseline boriquée sur les
régions
qui desquament, lavage des yeux à l'eau boriqué
té opposé. Lorsque la pie-mère et les vaisseaux sont enlevés, les
régions
lésées se présentent avec une coloration jaune
ule, reposant immé-' diatement sur la bandelette optique, vont à la
région
du tuber cinereum ; elles forment une partie co
s travaux de Meynert, Ellenberger, Monakow, Flechsig et Hoesel, aux
régions
du cerveau du chat qui correspondent à la parié
r le contact des nerfs de la rétine et des cellules nerveuses de la
région
occipitale, le mécanisme de l'inter- ruption pa
complet. P. IERAV : 1L. LXXV. Observation de tumeur cérébrale de la
région
motrice gauche ; hémiplégie gauche ; absence d'
es parties les plus riches en fibres du 4° bloc corrrespondent à la
région
de la main et des doigts. Les parties les plus pa
Les parties les plus pauvres des 5° et 6° blocs correspondent à la
région
de la tête, du facial et de l'hypoglosse. P. KE
le était intacte; on n'a constaté aucun foyer sous-cortical dans la
région
rolandique. Après avoir fait remarquer que le
nution de la sensibilité douloureuse et thermique existait dans les
régions
cutanées dépen- dant des 5, 6, 7 et 8° racines
'aucune espèce de mobilité, qu'on pouvait très-bien l'explorer par la
région
lombaire, dans l'intervalle compris entre la douz
et c'est souvent par hasard qu'en promenant sa main sur les diverses
régions
de l'abdomen, le praticien a découvert ce qu'il n
arachnoïdien. Ayant ouvert l'abdomen, j'aperçus le rein droit dans la
région
iliaque; il était très-volumineux. Je le divise e
5, l'abdomen est douloureux à la pression, surtout dans leflanc et la
région
iliaque gauches. Mais point de tension, point de
n attribuait à un rhumatisme. La malade se plaignait souvent de cette
région
, marchait parfois inclinée à gauche . sa maladie
ndigestion. Elle se plaignit en même temps d'une vive douleur dans la
région
iliaque et le flanc gauches. — i grain tartre sti
que n'explique point l'état de l'estomac; douleur concentrée dans la
région
du flanc, s'étendant dans la région iliaque, doul
tomac; douleur concentrée dans la région du flanc, s'étendant dans la
région
iliaque, douleur qui, au reste, deviendrait plus
i, au reste, deviendrait plus pathognomonique par l'exploration de la
région
lombaire; l'anxiété inexprimable; le sentiment co
agnostic des maladies du rein. Généralement on explore le rein par la
région
antérieure des flancs; mais de cette manière on a
utume de faire cette exploration : je porte la main en arrière sur la
région
lombaire; je soulève , avec un ou plusieurs doigt
ble , partant de la face inférieure du foie et s'éten-dant jusqu'à la
région
lombaire; nous pûmes croire que cette tumeur étai
, mais sans changement de forme, remplissait, non-seulement toute la
région
lombaire, mais avait pour ainsi dire envahi et la
procher ce cas de celui qui fait le sujet de la figure 3; mais ici la
région
de la rate, palpée, comprimées ii6 livraison. i
un peu fréquent. L'abdomen exploré, même avec force, dans toutes ses
régions
, ne fait pas éprouver la moindre douleur. Tout av
La malade peut reprendre ses occupations, mais éprouve toujours à la
région
du cœur un sentiment d'oppression et même detouff
e champ de bataille. Revenu à lui, il ressentit une vive douleur à la
région
de l'estomac, mais ne fit aucun traitement. La do
écouvrir aucune tumeur dans Fhypochondre droit. La pression sur cette
région
n'augmente pas la douleur; du reste, l'état génér
e malade ne scni absolument rien; la pression est douloureuse dans la
région
du cou, au niveau des troisième et quatrième vert
cette sérosité était concentrée au niveau du bulbe rachidien et de la
région
cervicale, ce qui me paraît s'expliquer par la po
oelle, en effet, a été précédée et accompagnée de douleurs vives à la
région
qui en a été le siège et aux membres correspond a
iagnostiquer? Nous trouvons pour tout caractère une douleur vive à la
région
de la moelle qui est le siège de l'épanchement, d
. Cet état fut le même jusqu'à la mort : des moxas appliqués sur la
région
dorsale ne furent pas sentis, une escharre énorme
étendue le long de la moelle épinière jusqu'à la partie moyenne de la
région
dorsale, et s'est propagée le long des attaches d
e annulaire était un peu ramollie. L'arachnoïde présentait, dans la
région
lombaire, une multitude de lamelles cartilagineus
u contraire très-bien du côté droit. L'abdomen exploré présente, à la
région
ombilicale, au-dessous de l'ombilic, deux tumeurs
il cas. J'ai trouvé une tumeur formée par le pylore cancéreux dans la
région
iliaque droite. Traitement. J'ai eu recours suc
lus attentive de l'abdomen ne me fait découvrir aucune tumeur, aucune
région
sensible. Je pense qu'il existe une maladie chron
voulait absolument retourner chez lui. A l'ouverture, je trouve la
région
épigastrique remplie par l'arc du colon AC, AC, A
froide : respiration haute, suspirieuse. Légère sensibilité aux deux
régions
iliaques. Cinq selles pendant la nuit. (Sinapisme
e pour recevoir le plan inférieur de la cinquième vertèbre de la même
région
. Les trous de conjugaison sont tous maintenus ;
et à compléter en arrière le canal raehidien. Ainsi, tandis que la
région
antérieure de la colonne vertébrale présente un a
n antérieure de la colonne vertébrale présente un angle très-aigu, la
région
postérieure présente une courbure graduelle; et i
plus manifeste. Un enfant de dix ans, qui présentait au niveau de la
région
dorsale un angle aigu saillant en arrière, rentra
l'épaule, en patinant, il éprouva le lendemain une douleur dans cette
région
; que cette douleur, ou plutôt cet engourdissement
de quarante ans environ, qui présentait dans l'abdomen, le long de la
région
lombaire, un engorgement suspect. Néanmoins le co
ts à la surface libre de la muqueuse. Laryngite sous-muqueuse de la
région
sus-glottique du larynx ( œdème de la glotte ) (
les côtés de l'orifice supérieur du larynx ^ la muqueuse qui revêt la
région
postérieure de cet organe, celle qui tapisse les
e, celle qui tapisse les deux gouttières profondes latérales de cette
région
postérieure, la partie voisine du pharynx, la bas
s abondantes que provoqua l'émétique. Laryngite sous-muqueuse de la
région
sous-glottique du larynx — Mort par suffocation
onie. A peine convalescent, il se plaint d'une douleur très-vive à la
région
du larynx, sans que l'exploration de l'arrière-bo
a région du larynx, sans que l'exploration de l'arrière-bouche et des
régions
sus et sous-hyoïdiennes puisse rien faire découvr
espèce, je le regarde comme un cas d'inflammation sous-muqueuse de la
région
sous-glottique du larynx, maladie qui mérite de p
ns nos cadres nosologiques à côté de la laryngite sous-muqueuse de la
région
sus-glottique du larynx. Laryngite chronique ul
ent une déplétion subite. La fluctuation paraissait moins obscure aux
régions
ombilicale et iliaques que partout ailleurs. Ce f
ux régions ombilicale et iliaques que partout ailleurs. Ce fut sur la
région
iliaque droite que la ponction fut pratiquée. Une
e, dans le décubitus horizontal, c'est dans le bassin, c'est dans les
régions
lombaires qu'il s'amasse; les intestins grêles
tins grêles flottans au milieu de la cavité abdominale répondent à la
région
ombilicale, suivant l'observation importante de F
z prendre au malade; mais le son restera toujours creux au niveau des
régions
ombilicale et épigastrique. Dans l'hydropisie enk
tête que lorsqu'on l'interroge à ce sujet, et elle montre toujours la
région
frontale. Pendant ce long espace de temps, je pre
vés. Faible et grêle, cet enfant portait à la partie inférieure de la
région
lombaire, sur la ligne médiane , une tumeur hémis
et la myotilité. Ouverture du cadavre. A la partie inférieure de la
région
lombaire, large ouverture SB ( fig. 1) ; débris d
Société. FIGURES 3 ET t\ (*). Les figures 3 et 4 représentent la
région
lombaire et la partie inférieure de la région dor
3 et 4 représentent la région lombaire et la partie inférieure de la
région
dorsale d'un autre enfant qui a succombé à un hyd
'au voisinage du bulbe raehidien. En outre la partie supérieure de la
région
cervicale, largement dilatée, contenait et le bul
y a péritonite sub-aiguë, tantôt partielle, locale, circonscrite aux
régions
hypogastrique et iliaque, tantôt générale; enfin
eux, trois, quatre, cinq jours d'intervalle, soit à l'anus, soit à la
région
iliaque droite; quelquefois, dès le début ou à un
iqués à la partie interne des cuisses; et, depuis cette époque, cette
région
est pour moi le lieu d'élection dans l'entérite f
de tamarins qui provoque des selles copieuses.—Le 3o, même état ; la
région
iliaque droite paraît douloureuse. Dix sangsues.
'une sur la base du poumon gauche qui parut s'indurer, l'autre sur la
région
iliaque droite qui devint douloureuse, à la fin l
éveloppé ; abdomen un peu volumineux, sensible à la pression dans les
régions
iliaques, lombaires et dans l'hypochondre gauche;
ex, M le médius, A l'annulaire, P D le petit doigt. On voit qu'à la
région
dorsale de la main, l'épiderme présente une dispo
réponse. Je lui demande où est son mal, et elle porte la main sur la
région
frontale. Je diagnostique une compression du cerv
tous les jours elle m'indiquait la tête, et le plus habituellement la
région
frontale, et même le côté droit de cette région f
lus habituellement la région frontale, et même le côté droit de cette
région
frontale. Le ier octobre, le pouls s'accélère. Le
e répondit encore très-bien à mes questions. Elle me montra encore la
région
frontale comme le siège de sa douleur : je fus su
upait l'intervalle qui sépare l'extrémité antérieure du cerveau de la
région
frontale de la dure-mère. Chose bien remarquable!
nt absolument rien relativement aux circonvolutions, « savoir dans la
région
frontale que soulèvent d'une manière si variable
os du crâne; ainsi, les lobes antérieurs manquaient, et cependant la
région
frontale du crâne était dans l'état naturel. Dira
u crâne était dans l'état naturel. Dira-t-on que l'existence de cette
région
frontale prouve que les lobes antérieurs du cerve
chaleur; douleur très-vive au testicule , au cordon et jusque dans la
région
des reins; le testicule a doublé de volume; il es
mentent les jours suivans. Le testicule et le cordon sont énormes; la
région
des reins, l'articulation coxo-fémorale et surtou
end un aspect jaunâtre; l'appétit diminue; des douleurs existent à la
région
fessière du côté malade. Le malade marche tout co
fait M. Carswell, en concentrant toute l'humidité de l'abdomen sur la
région
de l'estomac, favorise encore cette espèce de dis
les autres espèces, le cancer aréolaire gélatiniforme affecte pour la
région
du pylore une prédilection funeste ; mais un de s
de la grosse extrémité et la muqueuse du reste de l'estomac. Après la
région
du pylore, c'est à la petite courbure que j'ai le
que dans le sens de l'épaisseur. Aussi la présence d'une tumeur à la
région
épigastrique et un dépérissement progressif ont-i
vainement le cœur et les gros vaisseaux, les poumons et les diverses
régions
de l'abdomen; je fus conduit, par le calcul des p
Abdomen. Deux ou trois pintes de sérosité dans le bassin et dans la
région
lombaire ; foie sain. Estomac volumineux; son ext
lus rapidement et se terminer plus souvent par perforation dans cette
région
que dans toute autre, attendu que le pylore est b
ite induration qu'on lui substitue bientôt après, Xe LIVRAISON. 2
région
expliquent comment cette dernière artère peut êtr
e gonflement à l'épigastre, d'éructations, de sensibilité légère à la
région
du pylore. A soixante-dix ans, se manifestèrent d
tuel, succède quelquefois un dévoiement abondant. L'exploration de la
région
pylorique de l'estomac fait reconnaître une très-
multiples dans l'épaisseur du deltoïde et des muscles qui occupent la
région
antérieure de l'avant-bras. Pneumonie lobulaire d
rard, aujourd'hui professeur à la Faculté, dans un cas de cancer à la
région
cervicale antérieure : l'injection, poussée par
s plus ou moins répétés, et quelquefois des douleurs vives, soit à la
région
du foie, soit à l'épigastre, complètent la série
un négociant qui éprouvait depuis un an un sentiment de gêne dans la
région
du foie, sentiment qu'il attribuait à des glaires
ne imagination frappée; au bout de deux mois seulement, on explore la
région
du foie, et on sent, sous lé rebord des fausses-c
hommes qui luttaient avec lui. L'abdomen était souple, indolent; les
régions
du foie et de l'estomac explorées avec le plus gr
il; oppression, essoufflement au moindre exercice ; palpitations à la
région
du cœur et au creux de l'estomac. Les alimens pès
ukaortique. En conséquence, sangsues » ou ventouses scarifiées sur la
région
précordiale; on les répétera, si on en obtient de
n en obtient de bons effets. Long et » profond moxa ou cautère sur la
région
du cœur. Boisson froide ou à la glace ^ le bouill
mac, et sur-tout l'efficacité de deux applications de sangsues sur la
région
du cœur, me tirent penser crue je m'étais sans do
de 6 grains.) Enfin, le 15 septembre, explorant comme de coutume la
région
du foie et de l'estomac, je trouve que le foie dé
-sept ans, éprouve une diarrhée et des tiraillemens passagers dans la
région
ombilicale : expulsion d'un calcul biliaire sem
rte ce cas, fait observer qu'il n'y avait ni ictère, ni douleurs à la
région
du foie, et émet à cette occasion ce paradoxe qui
; bruit de liquide par l'effet d'une petite secousse imprimée à cette
région
. Les vomissemens sont très fréquens, les matières
u fiel aussi volumineuse qu'une vessie ordinaire ; elle atteignait la
région
ombilicale. Je crus d'abord qu'il y avait obstacl
nue. Beaucoup d'ictères, fébriles accompagnées de douleurs vives à la
région
du foie, ne sont autre chose que le résultat de c
us cancers du pylore ne sont autre chose qu'une hypertrophie de cette
région
. Sous le rapport de la capacité de l'estomac, l
le du pylore qu'on trouve dans le flanc droit, et quelquefois dans la
région
iliaque droite. Il est presque toujours possible
dit rien; point de dévoiement; l'exploration la plus attentive de la
région
épigastrique ne permet de reconnaître aucun point
t exercée n'y développe aucune sensibilité, et pourtant c'est à cette
région
que la malade rapporte tout ce qu'elle éprouve.
leurésie, à l'érysypèleambulant qui attaque successivement toutes les
régions
du corps, et qui envahit quelquefois de nouveau l
outes les régions du corps, et qui envahit quelquefois de nouveau les
régions
primitivement affectées, elle n'échappera pas enf
s étaient remplis de pus juqu'auprès des ganglions lymphatiques de la
région
lombaire : mais ces derniers, de même que le cana
les supérieurs de l'utérus, le long de ses bords , en un mot dans les
régions
où se voit le plus habituellement du pus, de peti
ellulaire du petit bassin : l'infiltration s'étendait au-devant de la
région
lombaire, jusque dans l'épaisseur du mésentère.
5, à la visite, fréquence dans le pouls; la compression exercée à la
région
hypogastrique y développe une légère sensibilité.
ioration ; face altérée, jaunâtre, douleur légère et tuméfaction à la
région
13e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DE L'UTÉRUS.
'hypogastre , à cause d'une douleur que la malade accusait dans cette
région
. Le pouls est fort , plein , peu fréquent; la s
ssayer un bain , si la malade peut le supporter. Vésicatoires sur les
régions
dorsales. A la visite du soir, les vomissements
lète de la voix; selles un peu moins fréquentes. Vésicatoire sur la
région
dorsale du rachis. Un sinapisme sur l'abdomen. Qu
es; battements très violents et très incommodes à l'épigastre et à la
région
du cœur: ces battements augmentent sur-tout lorsq
des crampes excessivement douloureuses, passant successivement d'une
région
à une autre région. XII. Nous avons pu noter no
ivement douloureuses, passant successivement d'une région à une autre
région
. XII. Nous avons pu noter nous-même des différe
ené sur la colonne vertébrale. Vésicatoire ci l'eau bouillante sur la
région
du cœur. Sueur glacée et visqueuse. Mort à trois
lé prescrit des boissons chaudes, des synapismes aux genoux et sur la
région
du cœur. Les vomissements et les évacuations alvi
laint d'un sentiment d'étouffement, de chaleur brûlante dans toute la
région
du sternum ; les crampes ont cessé. Commémorati
peau chaude; pouls fréquent; selles peu fréquentes. Vésicatoire ci la
région
lombaire. Erictions stimulantes aux extrémités et
la douleur étant manifeste à l'hypogastre. Quinze sangsues sur cette
région
. Bain durant la durée duquel la glace sera mainte
es imbibées d'ammoniaque, étaient quelquefois appliquées sur diverses
régions
du corps, et plus particulièrement sur le rachis.
ls déterminent ces cas par la percussion de l'épigastre et des autres
régions
de l'abdomen : c'est là de la subtilité. Quant à
s'il n'a pas été encore employé, par des frictions calmantes sur les
régions
douloureuses et par des frictions stimulantes sur
sur les régions douloureuses et par des frictions stimulantes sur les
régions
éloignées. Le temps, la patience, une foule de pe
aleur à la peau (orge, sirop de gomme; lait coupé; cataplasmes sur la
région
cervicale ). Le 13, même^état1; le 14, déglutit
rre au sacrum ; trois orteils gangrenés; engorgements scrofuleux à la
région
cervicale. (i) Pièce présentée à la Société ana
ôté; d'autres fois la pression la plus forte et la plus variée sur la
région
du foie ne provoque pas la plus légère sensibilit
née. Exemple : un homme fait une chute de huit pieds de haut sur la
région
occipitale ; forte contusion. Saignée. Symptômes
ée à sa partie inférieure P. La tumeur lombaire (fig. 3 ) occupe la
région
sacrée ; elle est très considérable, sphéroïdale
al et s'opposerait par conséquent à la formation de ces lames dans la
région
correspondante. Il y a même plus : je ne crois pa
'avait également frappé, c'est que dans le spina bifida qui occupe la
région
sacrée, ce n'étaient pas les nerfs sacrés ou la q
ps de la moelle dans la tumeur , lors même que cette tumeur occupe la
région
sacro-coccygienne, i° que cette tumeur s'est form
llantes, VV,VV, et qui soulevaient la peau très mince qui revêt cette
région
. Ces tumeurs étaient situées immédiatement au-des
les veines auxquelles est principalement confiée la circulation de la
région
de l'organe correspondant. Quelle qu'en soit la
pait l'hypogastre, était formée par les veines sous-cutanées de cette
région
et s'étendait jusqu'aux aines et à l'ombilic; ell
s sur les cuisses, et les orteils sont manifestement inclinés vers la
région
plantaire. Veut-on étendre les membres, on éprouv
t juger que cet obstacle consistait dans une tumeur située dans cette
région
, il se décida à perforer la tumeur à l'aide d'une
passe 1° sous une bride mince qui répond à la paroi inférieure de la
région
prostatique, 2° au-dessous de la bride transversa
état général : le lendemain , à la visite, ce malheureux me montra la
région
postérieure de la jambe, très volumineuse, tendue
le que de prévenir la suppu- XVIIe LIVRAISON. f occupait toute la
région
hypogastrique et une partie de la région ombilica
AISON. f occupait toute la région hypogastrique et une partie de la
région
ombilicale. L'arc du colon flexueux occupait le r
la région ombilicale. L'arc du colon flexueux occupait le reste de la
région
ombilicale et les hypochondres. On trouvait sur
ou. Les jours suivants, des excoriations qui existaient déjà sur la
région
coccygienne, se convertissent en escharres profon
en escharres profondes ; les phlyctènes se multiplient le long de la
région
postérieure du membre abdominal; fluctuation mani
ur hypogastrique très vive : 40 sangsues-Soulagement. Le lendemain:
région
hypogastrique et iliaque, très sensibles à la pre
jambe. Un autre abcès se développe dans l'épaisseur des muscles de la
région
postérieure de l'avant-bras. D'une autre part, l'
cette époque : forte impulsion des battements du cœur : matité de la
région
précordiale dans l'étendue de (i) Pièce anatomi
on. L'ascite ne permettait pas l'exploration du rein, au moins par la
région
antérieure de l'abdomen. Le commémoratif de la né
oïncidant avec une douleur rénale, avec une tumeur appréciable par la
région
lombaire bien mieux encore que par la région anté
umeur appréciable par la région lombaire bien mieux encore que par la
région
antérieure de l'abdomen, me paraît permettre d'ét
depuis long-temps d'une douleur vive, lancinante intermittente, à la
région
occipitale , fut pris tout-à-coup de strabisme. L
e et chaude ; pouls petit, régulier , 124 pulsations par minute. A la
région
du cœur, son mat dans une assez grande étendue ;
anger. Sur la partie latérale gauche de l'hémisphère, au niveau de la
région
temporale; masse tuberculeuse, blanc jaunâtre, à
nde grossesse. Comme elle ressentait des douleurs assez vives dans la
région
hypogastrique et qu'elle croyait y reconnaître la
interosseux. Fig. 4. Tumeur mélanique T' M', occupant la peau delà
région
calcanéenne de la plante du pied. (Cette tumeur a
a presque totalité de la surface du corps et plus particulièrement la
région
postérieure du tronc était couverte d'une innombr
ns de la peau. Plusieurs étaient lobulées ; l'une d'elles occupait la
région
temporale droite et présentait une couleur beauco
ent du voile du palais. Fig. 4. Grandeur naturelle. Tête vue par la
région
supérieure, et par derrière. Les téguments M C, M
s lre TO, 2e TO, ouvertes, permettent d'apprécier leur situation à la
région
occipitale et leur position relative, l'une lre T
pour le trou occipital, est constitué, par toutes les vertèbres de la
région
ecrvicale et par les quatre premières vertèbres d
à glande thyroïde TD: le thym us TM occupe la partie inférieure de la
région
cervicale. Le diaphragme D manque à gauche; ses
ageaient les méninges. Mais y avait-il hernie de ces membranes? Cette
région
ayant été étudiée après l'extraction du cerveau ,
ernie thoracique ; savoir la hernie cervicale du poumon qui occupe la
région
cervicale. 3° Hernie abdominale diaphragmatique
versement , les pariétaux arrivant pour ainsi dire en contact avec la
région
supérieure du dos, la partie postérieure ou écail
rsement de la tête en arrière n'explique pas moins la situation de la
région
cervicale qui est devenue en quelque sorte partie
é ne pouvant se développer dans la cavité crânienne, fait effort à la
région
cervicale antérieure devenue base du crâne, comme
cervicale antérieure devenue base du crâne, comme il fait effort à la
région
occipitale; d'où la division des corps de vertèbr
le mouvement d'ascension et du poumon et du thymus qui occupaient la
région
cervicale. Enfin ce renversement explique le mo
nombre d'os à-la-fois, ou bien être limité à un seul os, à une seule
région
du squelette, au sternum, aux os du crâne, aux os
mpacte a été usé, corrodé. On avait, pendant la vie, reconnu sur la
région
frontale une tumeur du volume d'une petite noix;
dies, excédant le volume d'une grosse noix, faisaient saillie sur les
régions
pariétales, ce Une masse fibreuse, partout de mêm
ne pouvait surmonter; il y avait un mouvement fébrile irrégulier : la
région
épigastrique n'était nullement sensible à la pres
de vomissemens dont la saveur était désagréable. La pression de la
région
épigastrique déterminait une douleur assez vive,
laint d'une douleur obtuse à l'épigastre et de battemens dans la même
région
. Appétit presque nul ; point de fièvre : constipa
sque nul ; point de fièvre : constipation; l'exploration des diverses
régions
de l'abdomen ne fait découvrir aucune tumeur, auc
cul-de-sac de nouvelle formation ou plutôt second estomac occupant la
région
du pylore; orifice pylorique double. ( planche
LA RESPIRATION. Maladies du larynx. Laryngites sous-muqueuses de la
région
sus et sous-glottique; laryngite chronique ulcé
ont été, sur presque tous les points, complètement remaniées; des
régions
autrefois incultes ont été défrichées et pro- m
ns segmentaires envisagées dans leurs rapports avec les différentes
régions
du segment interan- nulaire. Il nous faut maint
aires, et les considérer dans leurs rapports avec les différentes
régions
du segment interannulaire. Celui-ci présentant
tat de la lésion est différent suivant qu'on examine les diverses
régions
de ce segment. C'est ainsi que dans la figure 12
Charcot,'et dont voici l'histoire abrégée : une balle reçue dans la
région
susclaviculaire et ayant intéressé probablement
enant ;;¡'11nJlK¡ 11 \.)Il 1 ? 11tlj/jJUIII il ln'J-' · 'C' d'une
région
déterminée, ,fait cesser le. tonus. Rosen- arrm
frontale ; l'un à 2 centimètres de côté, et intéresse également la
région
voisine de la circonvolution du corps calleux ; l
érose très considérable et disposé de telle façon que, dans cette
région
, les deux circonvolutions étaient soudées : c'est
es- sus des muscles rétracteurs de l'oreille. Dans cette dernière
région
, l'élévation de température se produit également
nd l'aiguille thermo- électrique est implantée dans le milieu de la
région
pariétale, à en juger du moins par le schema de
es thermo-électriques et arrivait, sur l'homme, à démontrer que les
régions
gauches de la tête ont une température plus éle
s la fosse temporale, ou plutôt à la limite de cette fosse et de la
région
frontale, le second correspondait à l'apo- phys
uvais : l'apophyse mastoïde est épaisse, éloignée du cerveau, cette
région
est vasculaire ; du reste l'application d'un th
ble serait donc de 1°,16. Remarquons aussi que la température de la
région
pariétale gauche est un peu plus élevée que cel
e la région pariétale gauche est un peu plus élevée que celle de la
région
frontale de ce même côté. Ce fait ne concorde p
cées par le milieu extérieur : la tête, plus encore que toute autre
région
, doit avoir une température essentiellement mob
courroie qui les fixe derrière l'apophyse orbitaire externe pour la
région
frontale, au-dessus de l'inser- tion de l'oreil
la région frontale, au-dessus de l'inser- tion de l'oreille pour la
région
temporale, et de chaque côté de la ligne médian
la région temporale, et de chaque côté de la ligne médiane pour la
région
occipitale. Les tiges des ther- momètres sont p
nce sans agitation (36°,3). · En considérant ces températures par
régions
céphaliques, on voit que le lobe occipital four
itation, et dans l'im- bécillité et l'idiotie. La température de la
région
frontale sur- passe celle de la région pariétal
diotie. La température de la région frontale sur- passe celle de la
région
pariétale, dans la manie avec fureur ainsi que
les de la tête, car souvent l'élévation thermique d'une seule des
régions
céphaliques coïncide avec l'hypothermie de la rég
une seule des régions céphaliques coïncide avec l'hypothermie de la
région
voisine. C'est donc surtout de cette élévation
le tableau D qui montre que la température s'élève dans chacune des
régions
céphaliques pendant la période d'accès. c s
utes les formes de maladies mentales, comme chez l'homme sain, la
région
occipitale a une température plus basse que celle
région occipitale a une température plus basse que celle des autres
régions
, et que l'élévation thermique observée en d'aut
e ont été explorés à mesure que l'élévation de la température d'une
région
attirait l'attention de l'observateur. M. Amido
ur et l'amène à signaler à l'attention des observateurs certaines
régions
que l'on considère actuellement comme non motrice
pes musculaires, il y a une extension des centres corticaux sur des
régions
admises comme latentes jusqu'à ce jour. Ainsi,
o de haut en bas ; par contre, le trapèze se trouve indiqué dans la
région
frontale antérieure et supérieure, le scalène e
e la troisième frontale, la jambe répond à un centre étendu vers la
région
postérieure, le triceps crural répond à la part
on s'expose à prendre la température du muscle sous-jacent, dans la
région
temporale surtout ; on a aussi à tenir compte d
e par la constriction de la tète, de la présence des veines dans la
région
frontale, de celle des artères dans la région t
ce des veines dans la région frontale, de celle des artères dans la
région
temporale. Dans tous les cas, il faut procéder
'température une fois prise, cela veut-il dire qu'elle dépende des
régions
superficielles ou des régions profondes de l'en
cela veut-il dire qu'elle dépende des régions superficielles ou des
régions
profondes de l'encéphale ? Est-elle due à la co
ons thermiques du cuir chevelu et des paralysies vaso- motrices des
régions
céphalique, ainsi que quelques expériences relati
Puis il termine, en^faisant' remarquer que l'étude attentive de' la
région
optique ainsi pré- sentée et conduite jusqu'au
t précisément d'accord- avec la loi générale-; de développement des
régions
nerveuses qu'il a exposée dans le Journal of ne
ganglions supérieurs sont précédés dans leur développement par des
régions
inter- rompues.. Dans une note ajoutée à cet
ratique l'hémisection d'un des faisceaux latéraux à la réunion -des
régions
dorsale et lombaire. On faisait du reste la sec
iques est rattaché à un réflexe dans lequel l'hyperesthésie de la
région
anale parait jouer le plus grand rôle. H. de B.
ètement abolies des deux côtés, la moelle ayant été divisée dans la
région
dorso-lombaire. C'est seulement au bout de deux
dre cette question, M. Weiss a fait d'autres expé- riences. Dans la
région
dorso-lombaire d'un jeune chien, il sec- tionne
exclusivement sur de jeunes animaux, de six semaines à six mois. La
région
motrice d'un hémisphère était mise à découvert
s de Ferrier. De même, il devient difficile d'admettre que dans ces
régions
de l'écorce soit située l'unique et directe ter-
semblerait que les fibres des pyramides se terminent dans d'autres
régions
, encore inconnues, de l'écorce, ou dans des por
apporte au développement plus mar- qué de la pachyméningite dans la
région
pariétale gauche et à la compression cérébrale
2e livraison : Variétés des attaques hystériques; 3e livraison : Des
régions
hystérogènes ; 4e livraison : Du sommeil des hv
malàdies de peau ; quelquefois douleurs, névralgiques vers les deux
régions
pariétales durant quelques heures,; pas de naus
t qu'elle avertissait sa mère, se plaignait 'de picotements vers la
région
sternale; quelquefois, on avait le temps d'arri
c les méninges. Les circonvolutions sont intactes dans les autres
régions
et ne présentent pas d'anomalies. Les masses gris
r un tic de la face. Multiplicité des accès. Chutes répétées sur la
région
occi- pitale. Affaiblissement intellectuel lent
um, 5 grammes par jour). A cette époque, l'enfant pré- sentait à la
région
occipitale une tuméfaction dure, due à des DE L
qu'on pourrait désirer. Enfin, l'anatomie elle-même des diverses 1
régions
cor- ticales est bien loin d'être,complète. Nou
ts par des amoncellements de globules sanguins. Si l'on examine une
région
plus profondé- ment affectée, il devient diffic
es couches superficielles; mais il'est aisé de reconnaître, dans la
région
frontale par exemple, le type à cinq couches dé
Elle est inégale, se montre prononcée en certains points, à côté de
régions
où les tissus ont leur couleur normale; elle se
elle ne' dépasse pas la face antéro-externe. C'est, dit M. Burq, la
région
la plus commode pour faire une application exac
'd'étaiii'7ecouvèrtes de peau de chamois) ? furent pla- cés sur une
région
anesthésiée et fixés aux. pôles1 de' deux-petits
s s p ? ,no}. de'ce, cerveau- se rencontrent' précisément dans la'
région
tf'rrn rt Hf'I') ? 1. t 8'.JIJ'" f, · · W 11 '
, J ,V ? ) m1 1 1 : ·Irflr ? wn r='117ri , , "dit.. muscles de la.
région
hyoïdienne entraient en contraction to- v a 11U
nts 'de' la lfacel recommençaient, ! bien' que' l'anesthésie de la'
région
sourcilière' témoignât de la section effective
partait.ded'os 1 malaire'l et ! s'étendait, rapidement à,toute(1la{
région
innervée par ttri,r jumeau. ( Points ^.douloure
- LYSIE AGITANTE : DE L'HYPERTROPHIE DES CELLULES NERVEUSES DE la
RÉGION
protubérantielle ; par M. Luys. (SOC. de biologie
fut sensiblement dimi- nuée, puis abolie par la faradisation de la
région
sus-orbitaire. M. Stevens ne cite que ces deux
Homme de 25 ans, névralgie double dans les tempes, les yeux, les
régions
sus-orbitaires, depuis une quinzaine ; un demi-dr
e chez un homme en proie à une mélancolie aiguë qui présenta sur la
région
fessière une large macule de couleur bleu foncé
double) ; r .. ' Par le professeur MIERZEJEWSKY. Dans certaines
régions
distinctes du cerveau, on a observé des malform
relative- ment auxII6ca]isati6ns cérébrales. , - z De toutes ces
régions
du' cerveau, dont l'étude in- time' laisse enco
aboutissent, à cette conclusion' générale : à savoir que si cette
région
n'est pas, le, siège même de l'impulsion 23 3
uvrit que la partie médiane du centre semi-ovalaire droit, toute la
région
limitrophe, et l'insula de Reil faisaient défau
centimètres. Les organes génitaux ex- térieurs sont oedémateux; la
région
du pubis est recouverte de quelques poils clair
un sujet normal, de race européenne. 370 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
région
des circonvolutions pariétales, parait;un peu dép
onflée, ni de rouge, au- cune n'est non plus douloureuse ; la seule
région
de la nuque présente une exagération de la sens
aralytique : M. Gérin-Roze prescrit des ventouses scarifiées sur la
région
MÉNINGITE CL;RliBRG-SPINALL AIGUË. 377 de la
urs un point douloureux au niveau de la fossette supé- rieure de la
région
. Dans le milieu de la région dorsale, nous trou
veau de la fossette supé- rieure de la région. Dans le milieu de la
région
dorsale, nous trouvons aussi un point douloureu
devait se trouver sur la convexité de l'hémisphère droit, vers la
région
pariétale et que des exsudats péribul- baires e
; en examinant toutes ses articulations, on constate au niveau des
régions
tibio- tarsiennes des traînées rouges et du gon
Il y a aussi une certaine raideur de la colonne vertébrale dans la
région
dor- sale, en outre le malade se plaint du moin
rme. Hémisphère gauche. Ainsi, les circonvolutions qui bordent la
région
occipitale de la grande scissure du cerveau sont
Face convexe : la racine des trois cir- convolutions frontales, la
région
moyenne de la partie antéro- postérieure de la
on de la troisième; -d) un groupe d'îlots scléreux naissant de la
région
moyenne de la circonvolution frontale ascendante
n du corps calleux (PL. VII, N) ; b ) quelques îlots sur les autres
régions
de la première frontale, et c) sur la circonvol
lore avec intensité. Cette trame est beaucoup plus épaisse dans les
régions
superficielles de la circon- volution que dans
dans les régions superficielles de la circon- volution que dans les
régions
profondes, c'est-à-dire que le maximum d'activi
que soit le processus, il a une propension incessante à envahir les
régions
adjacentes, étouffant successivement, au point
océdés. Suivant M. Burq, l'application prolongée du métal sur une
région
insensible avait pour résultat final le retour de
ve du côté insensible, on avait appliqué une plaque de métal sur la
région
temporale de ce côté. M. Gellé observait les va
ibilité au niveau de la plaque de métal, et sa disparition dans une
région
symétrique de l'autre moitié du corps. Ce n'est
du métal, on explore le membre inférieur, on constate que dans une
région
que nous appellerons ana- logue (dans le cas su
thésiogène, par exemple le pôle d'un aimant placé à proximité de la
région
temporale. On voit alors que la peau devient d'
tal la sensibilité disparaît ; en même temps, elle reparaît dans la
région
symé- trique du corps opposé. C'est la contre-p
que de trois ou quatre centimètres. Elle empiète peu à peu sur la
région
sus-claviculaire, la traverse, atteint l'oreille
s-claviculaire, la traverse, atteint l'oreille qu'elle recouvre, la
région
pariétale et enfin la ligne médiane où elle ren
artie inférieure de l'avant-bras, tandis qu'elle laisse sensible la
région
pal- maire voisine du pli du coude, et que, à l
ne- ments, la marche de la sensibilité, on fait rapidement sur la
région
explorée deux séries de piqûres, l'une dans le se
insertions du grand dentelé, allait se ramifier dans la peau de la
région
postérieure du coude. Le deuxième rameau huméra
membres supérieurs ; l'entrecroisement des fibres des- tinées à la
région
lombaire s'effectue, en effet, sur toute la hau-
point sis à -1 centimètre et demi plus bas, la lame vitrée de cette
région
manque totalement, on aperçoit alors la surface
s presque à 1 centimètre de profondeur. La portion inférieure de la
région
en question pré- sente aussi une surface rugueu
serait que le vestige du cartilage de revêtement originel de cette
région
, n'entraîne pas de réac- tion tant que la dure-
ils subissent dans les cas où une lésion de la moelle soustrait une
région
de celle-ci à l'influence cérébrale, enfin Erb
iaux et oraux, et en arrière avec les centres psycho-sensoriels des
régions
occipitales. La partie antérieure de cette circ
ncue que par l'emploi des courants continus appliqués tantôt sur la
région
lombaire, tantôt dans le rectum. On voit que, d
aDie' hypertrophie.9 Stircettetiplaahe, l'insula se montre dans une
région
encore assez élevée : 'comme sur la coupe précé
b sb gà"oqmoa 31szsq alla ajnahàosta aauoi cf -rrip ,cs;1 Erbmainte
région
deace, cerveau, 1,'écorce grise, des circonvo-
nooaoi,'droit3 W$. Mlo^OS iuo[àK uu ? 4TqFdiâmètré vertical dans la
région
des circonvolutionsup" 188Ufi cenl'ales831 iUOi
avec l'es- pace sous-arachnoïdien : mais Us ne se trouvent, dans la
région
iÉ ? )")f.)'jr ? ? ' 'f 1)1 fr f ? rr ? n "'i -
ydrocéphalie, : llqui;ies venue., troubler irrll'évolutionude cette
région
cérébrale,- iup 3dû 9b aiol t2°arAu .premier as
les expansions de la capsule interne se comportaient^ dans cette
région
: ie me suis efforcé, de le déterminer. - 11;J
te : 111 `LAI toliii W üGl· i' a'iw<i'i6j0h aaintau^a 1 bll aval
région
avec les éléments les plus, élevés les y 'oiito
- .1111) ,'llO;) S\V oa'.[9\',m I &11-J .t-if, 9191H Dans cette
région
, la partie supérieure de, la cap- - ? . i'Rv<
ers* lé`'lôbûlé pâracêmtrâl : J'-Nôus=vérronsbient8t`que dans'cette
région
la- capsule -interne' fournit d'autres expansio
1. et «une éruption pustuleuse se produisit, bient8tsursla peau des
régions
où se,dlstribue ce nerf.i .1-ivuoi os aaasu j J
, diver- ai. îirvao. '-i nia 9,noq jnnyn mioo 1,10) nr; ï ? 6 ses
régions
de son corps, entre autres la partie ante- ? 9110
i Lf(') ;»i 10/i qngft-.ni raient d un fort coup ayant porte sur la
région
. Je - 9Jrm b Bl /y ? ); 7jj09 .sOin'3 00,8 if)
ment de distance. Il.se rappelle avoir, éprouvé en même temps à la
région
dorsale, des, douleurs,, passageres comme celles,
., ',<.i - : <' r, "' -, ',ruir.mf.. -m nl.ji.j iroide sur la
région
, ' Il . 1 - le ? , .thoraciques - ;,r, nl· ,r."
jcaràctèref fulgurant); des-taeliésiau nombre de deux, situées à la
région
3tolarjpatte.d'oie>9(jambe gauche). Il dit à
-Depuis six mbis,ilél3l'roü'vétine sensation de cons- triction à la
région
épigastrique. Enfin, les fonctions génitales, t
l'action aesthésiogénique s'exerce à la fois localement et sur des
régions
éloignées. Par exemple, pour parler d'abord des
-bras insensible déterminait le retour de la sensibilité dans cette
région
d'abord, puis très rapidement le' transfert de
érébrale, avec hémianesthésie, la faradi- sation, localisée sur une
région
quelconque, rétablit très rapide- ment le mouve
. La paralysie infantile datait de quatre mois et demi. 0 Dans la
région
lombaire, on constatait la destruction et la 57
llules multipolaires dans toute la hauteur de- la moelle jusqu'à la
région
cervicale supérieure du côté gauche. D'ailleurs
e une dégéné- ration de la totalité des cordons postérieurs dans la
région
lombaire et dans la région dorsale inférieure.
totalité des cordons postérieurs dans la région lombaire et dans la
région
dorsale inférieure. L'analyse chi- mique pratiq
e cervicale, les cordons de Goll étaient seuls malades : Dans les
régions
dorsale et lombaire, les cellules nerveuses, auss
pu réaliser chez, l'animal l'état de tension, nécessaire,'dans-les
régions
lésées, à l'introduction* dans'les orifices vàs
ration des centres sensoriels de la moitié opposée du corps dans la
région
temporo-pariétale (Hitzig et Ferrier) ; l'hémi-
ar les lésions en rapport avec cet arrêt de la circulation dans les
régions
où les voies dérivatives n'y pouvaient suppléer
des extrémités inférieures, troubles de la sensibilité des mêmes
régions
, exagération du réflexe tendineux, incontinence
ne, ce dernier, à raison de la parésie des vaso-constricteurs de la
région
, subis- sant, par suite de l'hypertension vascu
orter chacun un poids de quatre livres, furent attachés l'un sur la
région
cervico-dorsale, l'autre sur le sternum. Les ai
che. Un aimant fut appliqué sur la cuisse gauche, et l'autre sur la
région
cervicale. Au bout de onze minutes, les mouveme
ions sont limitées d'ordinaire à une moitié du corps, ou même à une
région
, face, bras ou jambes ; elle a surtout été bien
es de contractures, attaques de délire. Vient ensuite une étude des
régions
hystérogènes. Ce sont des régions en général tr
lire. Vient ensuite une étude des régions hystérogènes. Ce sont des
régions
en général très circonscrites au niveau des- qu
e dans celle-ci la sensibilité de la peau est exaltée au niveau des
régions
hysté- rogènes, la peau a souvent perdu toute s
es aînés, sur le rachis, quelquefois à la tête, vers le sommet. Ces
régions
sont quelquefois le siège de douleurs particuli
e de douleurs particulières précédant l'attaque. C'est surtout la
région
ovarienne qui est le siège de cette aura, puis vi
itudes peuvent empêcher la f632 bibliographie. J pression sur les
régions
hystérogènes de produire une attaque. -.L'emplo
ploi'du' bromure de)potassium diminuer quelquefois l'acti- vité des
régions
hystérogènes^ surtout quand l'administration du
de l'hystérie s'atténùent;'il en'est de> même de l'activité des
régions
hystérogènes. La pression des zones hystérogènes,
es zones hystérogènes, parmi lesquelles la plus' importante, est la
région
. ovarienne sur e laquêlle : M. ! Charcot a, app
i'ost'e de' la i,éci ' ' ? * se l'ai-tèi,é' que le" périoste de' la
région
, sans intéresser l'artère' temporale. Aujourd'h
blanche du lobe pariétal, qui arrive sur la substance blanche de la
région
cérébrale sous-jacente. 0, avant-mur (claust1'u
la fermer ; si on lui tenait la main gauche, elle touchait la même
région
avec la langue. Pas de modification de l'intell
nte ni cicatrices, ni nævi. On ne constate de ganglions en aucune
région
. Sa tête, de forme normale, est asymétrique, le
gulière. Rien iL signaler en ce qui concerne le foie et la rate. La
région
anale est normale. Les membres supérieurs sont
nc et les membres sont entièrement glabres. Il en est de même de la
région
génitale. Il n'y a pas de seins. Les grandes lè
aussi dans les colonnes de Clarke con- tre les capillaires de cette
région
. Toutes ces fibres en descendant n'atteignent p
à lui environ Il de la scissure sagittale. Limité en dedans par la
région
de la nuque, en dehors par la région de la tète
ttale. Limité en dedans par la région de la nuque, en dehors par la
région
de la tète de il il touche en arrière u la circ
aires internes du globus pallidus, de la couche intermédiaire de la
région
de la calotte, de la partie interne médiale du
conde circonvo- lution originelle, et est également enclavé dans la
région
ocu- laire de Munk. L'extirpation d'une notab
n ocu- laire de Munk. L'extirpation d'une notable partie de cette
région
oculaire et, simultanément du cenlre oculo-musc
e la maladie, ron[l'llil'l'ml'nLil l'Jlahitu- de, a commencé par la
région
lombaire, ce qui expliquerait pour- quoi jusqu'
s peuvent cependant être affectées quand la ma- ladie débule par la
région
cervicale : \Or. Spi lier, A case nr,elcoo. in
OGIE PATHOLOGIQUES. 51 et cessent de constituer un faisceau dans la
région
cervicale infé- rieure : parfois, néanmoins, on
é- rieure : parfois, néanmoins, on les peut suivre jusque dans la
région
lombaire. 11 existe donc : un faisceau pyramidal
la moelle dorsale. Le cordon latéral entrecroisé conserve, dans la
région
de l'en- trecroisement, ses limites normalesena
spinal. On constate : 1° une faible hypo-osthesiedo la peau dans la
région
comprise enlre le ster- num et le mamelon gauch
lld) ! , si on ne le relient pas. On oelive de l'amyelrulllic de la
région
aille ro- P,\ll'l'l1e (le la jamhe, de l'hypert
égion aille ro- P,\ll'l'l1e (le la jamhe, de l'hypertrophie dans la
région
postérieure avec contracture, douleur sciatique
ec impulsions au suicide. 11 s'est donné un coup de couteau dans la
région
du coeur cl, n'ayant pas réussi à se bles- ser
ollatérales; j'ai pu le suivre dans son trajet, vertical jusqu'à la
région
superficielle de celle couche ». ;\1. Poussèp
variclucusos(liëurus). Celte disposition, surtout mar- quée dans la
région
occipitale deux desliemispheres, se retrouve e
ns la région occipitale deux desliemispheres, se retrouve e dans la
région
rolandique, et, par places, dans le lobe frontal.
ibres à myé- line. Elles étaient puissamment développées en maintes
régions
des circonvolutions pariétales. La lisière de s
sillon tle Holando (préeenll'al), ''Ce dernier, sur la limite de la
région
motrice, participe aux mouvements volontaires.
. Les centres de convergence sont doubles. lien existe un dans la
région
occipitale du singe, un peu en arrière du point d
des Ucusllémispltères. impossible de douter qu'il n'y ait dans les
régions
sous-corticales des centres spéciaux de converg
istance, on produit la conver- gence. P. 11ERAV : 1L. XXVI. De la
région
visuelle de l'écorce cérébrale et de ses rappor
il se produit une hémianopsie plus ou moins intense. Lè- se-t-on la
région
pariétale externe et. en partie, la région oc-
intense. Lè- se-t-on la région pariétale externe et. en partie, la
région
oc- cipitale externe, depuis le lobe pariétal j
nes. On n'observe pas de démence quand les interventions dans cette
région
sont simples et bien limitées.* Les mutilations
de l'oeil opposé. 5. La dissec- tion de la pie-mère au-dessus de la
région
motrice engendre chez REVUE D'ANATOMfH ET DE PH
le), les portions supérieures et externes du lobe pariétal et de la
région
motrice, enlin l'écorce des lobes frontaux. Ces
ns du lobe temporal en parlant de la face externe de l'écorce de la
région
occipitale (faisceau longitudinal inférieur). L
'me)- 1(l. L'endroit de la vision distincte, et tout le reste de la
région
visuelle de l'é- corce peuvent être frappés ind
ment l'un de l'autre. 11. L'extirpation bilatérale, complète, de la
région
visuelle dans l'écorce entraîne une cécité comp
voies d'association, de projection, et de commissure émanées de la
région
visuelle corticale, les phénomè- nes physiologi
ustique ne seraient que liinilalivenient rapportablesa il ces mêmes
régions
. P. Keraval. - X\ . Observation d'agraphie isol
i dans les paralysies corticales et sous-corticales du fa- cial, la
région
supérieure du facial ne participe-t-ellepasà la p
et asiles de chroniques. Pour les premiers ce seraient : Heidelberg
région
du Nord ; Illenau, région du centre ; Fribourg, r
our les premiers ce seraient : Heidelberg région du Nord ; Illenau,
région
du centre ; Fribourg, ré- asiles d'aliénés. 1M
e 700 à 800 lits, avec exploitation agri- cole : il desservirait la
région
de Ntisslocli. Le bel asile moderne d'Emmending
rait' les aigus de sa circonscription et garderait ses chroniques :
région
de Constance : 300 à 400 lits. Quatre circonscr
cinquième parlie est consacrée à la descrip- lion des asiles de la
région
de l'Est de la France. . Le travail de 31. P. S
st consacrée à la description des Asiles d'a- liénés français de la
région
de l'Est (Saint-Dizier, Maréville, faits). Tous
iles étrangers, pour terminer par la descrip- tion des asiles de la
région
de l'Est de la France, et cette dernière montre
tions orales : ]"0 séance, Plancher du 'le ventricule : 'le séance.
Région
syl vienne ; 3° séance, Hari- ne> antérieure
cence secondaire consécu- " tive à un foyer de ramollissement de la
région
calcarine ; Par le professeur \\'1;13rR (1).
ons constaté l'existence d'un foyer de ra- mollissemenL occupant la
région
calcarine droite sur une lon- gueur d'environ 4
de ce qu'une coupe faite à l'autopsie a porté précisé- ment sur la
région
des corps genouillés externes. La lésion commen
pointe du lobe occipital et rend méconnaissable en bonne partie la
région
calcarine. A environ 23 mm. du pôle occipital e
maximum. Ensuite elle se subdivise en deux foyers, l'un occupant la
région
calcarine, l'autre une partie du lobe lingual,
ant les deux hémisphères simultanément, nous nous trouvons dans des
régions
plus frontales à droite qu'à gauche. Pour ces r
ventriculaire. Le ramollissement ne se borne point au cortex et aux
régions
directement sous-corticales ; il pénètre profon
e de l'U recommencent à se peupler de fibres paraissant venir de la
région
comprise entre les scissures P. o. et Cale, et
ÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE. 187 Résumé. Après un ramollissement de la
région
calca- rinc nous constatons que : z 1. Les fa
le point 1. confirme l'opinion émise au sujet des lésions de cette
région
par M. de Mo- nakow. Il en résulte que les dégé
port. La malade contracte fréquemment son frontal ; la peau de la
région
se relève avec accentuation des plis transversaux
ces phénomènes disparaissent mais laisscnlà leur suite, ! lans la,
région
extel'l1e des hanches, des phénomènes dystrophi
ner en profondeur. Ces lésions sont d'une symétrie parfaite sur les
régions
homologues des jambes et .des pieds : cependant
le cordon antérieur de la moelle du côté opposé. En ef- fet, de la
région
du noyau du trijumeau partent des libres qui s'
réellement des protozoaires qui ont pour localisation principale la
région
bulbaire, la moelle et les ganglions spinaux. L
t;¡ue peut être formulé « leptoméningite clronique,gliomatose de la
région
du canal cen- tral, poliomyélite antérieure ».
expériences et les conclusions qu'il pré- tend en tirer. C'est la
région
des bandelettes externes ou la zone intermé- di
La I'n"ihililé au eltaud ..t au l'roi,1 poll\lit l'eslwcl,\e, Les
régions
ovariennes et mammaires sont douloureuses au pa
et du muscle rétracteur auriculaire postérieur de ce pavillon. La
région
excitée étant innervée par la branche auriculaire
ent à une époque où les hémisphères se composent principalement des
régions
vi- suelles et olfactives, et que les conducteu
caudé et le novau lenticulaire, pour s'enraciner dans l'écorce des
régions
supérieures et externes qui commencent à ce mom
celui-ci est cureté, ou bien on résèque la plus grande partie de la
région
motrice. Examens confirmatifs à la méthode de \
ers supérieur du pont de Varole, s'étendant en haut en partie il la
région
des tubercules quadrijumeaux (sans, d'ailleurs, e
'est le groupe antero-interne. P. Keraval. LXV1. Du faisceau X à la
région
cervicale la plus infé- rieure de la moelle ; p
11 se produit lorsqu'on pique ou soumet à la chaleur ou au froid la
région
sus-orbitaire, non quand on pique la peau de l'os
ec d'autres désordres de la sensibilité cutanée, ne sentpointen une
région
cutanée la chaleur, tandis que dans le memeendr
iences personnelles sur les chiens, l'auteur s'est convaincu que la
région
supero-e.\terne de l'écorce du cerveau, 300 REV
toute la partie postérieure de la surface de l'hémisphère et il la
région
pariétale jusqu'au sillon crucial. La destructi
r la destruction de l'écorce du cerveau. Une lésion limitée de la
région
occipitale ne donne souvent dès le début qu'une
à disparaître définitivement. Une destruction plus accentuée de la
région
occipitale se tra- duit par une hémianopsie plu
atique une seconde destruction en des endroits voisins dans la même
région
, l'hémianopsie revient habituellement. Toute
bituellement. Toute destruction bilatérale de la face externe de la
région
occi- pitale engendre une amblyopie bilatérale
elle per- siste plus ou moins quand on a notablement lésé les deux
régions
sans toutefois être définitive. Il semble qu'
nvaincre, il faudrait exécuter des destructions partielles de cette
région
: c'est difficile. P. KERAVAL LXXVI. Contribu
Conclusions : 1. Les fibres endogènes des cordons postérieurs, à la
région
lom- hu-sacrée. doivent être divisées en deux c
descendant médio-périphérique dont le trajet supérieur forme à la
région
dorsale le faisceau de Hoche. - Il ! . Le triangl
llach, Il en existe aussi quelques-unes dans le cordon de Goll à la
région
cervicale. V. Les zones de Lissauer sont consti
r des fibres endogènes fines verticales qui sont condensées à celte
région
. Elles ne sont pas de nature radiculaire, comme
erne ne louche en aucun point la corne postérieure; elle prend à la
région
dorsale inférieure une forme compliquée qui rep
e formation pendant tout le trajet intra-médullaire et celles de la
région
lombo-sacrée n'a- boutissent pasau cordon de Go
pétrihe, n° 3, 1\)U4.) Ilémorrhagie intl'amédullail'e siégeant à la
région
cervicale et consécutive à une fracture de la 5
d'une forme exception- nelle ; la face est atteinte (pointe du nez,
région
sous-maxillaire). On en ignore l'anatomie patho
agne d'une vive appre-' hension lorsqu'on fait mine de toucher à la
région
. Le malade guérit très vite par les pointes de
onscrit, pour changer de place à l'accès suivant, préférant maintes
régions
, elles s'accom- pagnent parfois de fièvre. Ces
rodromiques de l'excitation des méninges par des tubercules dans la
région
motrice du cerveau. L'évolution montre que c'es
es affaiblis- saient. . On lui ouvre le cerveau il droite dans la
région
de Ilulando et l'on constate, à l'appareil du I
ue de petits mor- ceaux de substance grise en (rois points de cette
région
de la fron- tale ascendante. Les résultats sont
identelle de la plaie tue le malade. En tout cas l'excitation de la
région
motrice du cerveau a cha- que ibis exagéré les
EVUE DE MÉDECINE LÉGALE 327 la construction du nouvel asile dans la
région
(l'Ilei(leIlH'I1;, pré- cisément à cause des be
t : elle constate que, l'mil droit est « comme du sang » : toute la
région
cutanée zircon- voisine, la joue surtout, est i
ligure 22. Jo place alors en creux la paume de ma main devant la
région
orbi lairD gauche du sujet, de façon il sa i 1'
apier fort, de couleurs différentes, s'adap- tant étroitement il la
région
orbitaire gauche et l'isolant comple- tement. E
einte très foncée. Seul, le cornet de papier blanc, appliqué sur la
région
orbi- (aire gaucho, n'empêche nullement les ron
st presque toujours. Ce défaut de développement peut porter sur des
régions
très vastes. Il- peut intéresser le ccrvcau tou
rieur. L'arrêt de développement peut n'intéresser que cer- taines
régions
de l'écorce, les autres ayant achevé leur évolu
back cite l'exemple d'une fillette de 13 ans. On constatait dans la
région
tboracique et dans les membres supérieurs les s
ception des plus nettes de la vibration du diapason appliqué en ces
régions
. 7° On perçoit aussi nettement les v i- bration
pposons une coupe transverse et h')I'ÍzJntale de la moelle dans les
régions
en question. - L'innervation postérieure se fai
ments du corps les plus rapprochés qui sont en avant. Ainsi dans la
région
du bras, les muscles de la ceinture de l'épaule
ué de volume dans son ensemble, est particulièrement réduit dans la
région
frontale, ^tandis que d'autres régions de l'hém
rticulièrement réduit dans la région frontale, ^tandis que d'autres
régions
de l'hémisphère, notamment la région * temporal
rontale, ^tandis que d'autres régions de l'hémisphère, notamment la
région
* temporale, sont suffisamment développées. Les
t retenti sur le développe- ment de l'ensemble du manteau moins les
régions
temporales, et qui, par suite, est le facteur d
système nerveux central. Le développement excessivement faible des
régions
frontales explique l'extrême indigence intellec
rouvé par la curari- sation et l'irritation d'autres segments de la
région
motrice du cerveau. 7°'L'urine de l'uretère du
e permet d'explorer qu'une partie de l'oesophage et même pour cette
région
les renseignements qu'elle ' donne sont nuls ou
externe du segment antérieur de la circonvolution sigmo'ide et des
régions
voisines augmente, chez les chiens de deux sema
es sont bien développées. Donc, à cet âge, la couche corticale delà
région
sigmoide possède ses éléments, fondamentaux ; par
u second mois, plies sont plus ou moins complètement développées la
région
si- monde ; il en est, à cette époque, de même,
s, enfin, à la période de développement plus ou moins complet de la
région
sig- monde, par des phénomènes cardiovasculaire
ormes périphériques, il y a en général de l'endolorisse- ment de la
région
avec paroxysmes dont le début est au voisinage
ur la secondaire consécutive à un foyer de ramollissement de la
région
calcarine, par Weber, p. 177. Observation de -
Ecorce du cervelet.Voir Fibres. du cerveau. Voir Fibres.'De la
région
visuelle de l'- céré- brale et de ses rapports
ncienne de l'avant-bras, par Bosenberg, 290. Du fais- ceau X à la
région
cervicale la plus inférieure de la -, par Pur
mineux dans la paralysie, générale par Marandon de Montyel,417.
Région
visuelle. Voir Ecorcc cérébrale . Br,ii,. Voi
heures après la mort. On constate extérieurement à gauche sur la
région
frontale une éraflure cutanée sans importance.
nsula est recouverte de gros caillots. Sur un point au niveau de la
région
motrice il y a effraction de la méninge molle.
tte surface prend l'aspect de la carte géographique en relief d'une
région
montagneuse. L'épanchement s'est donc fait dans
elle aussi une épaisseur et une structure différentes dans les deux
régions
. Cette différence apparaît nettement déjà même
'un gros caillot périphé- rique et à la notion de son siège dans la
région
où l'infiltration hémol 1 hagiquc ¡ntra-pic-mél
d'une des bran- ches de la sylvienne et que c'était au niveau de la
région
motrice que l'épanchement atteignait son maximu
nal. Phimosis ; méat régulier. Les muscles, examinés dans plusieurs
régions
sont pâles et comme lavés. Poids des organes.
la motilité, ni de la sensibilité. On constate du gonflement de la
région
douloureuse. L'interven- tion chirurgicale amèn
le village, ily'a environ 18 hameaux éparpillés dans la commune; la
région
est surtout pastorale et agricole; la populatio
on à l'emploi de médecin-adjoint des asiles publics d'aliénés de la
Région
de Paris, s'est terminé le samedi 9 juin. Dans
ur, pour être nommés à l'emploi de médecin-adjoint des Asiles de la
Région
de Paris, au sur et à mesure des vacances qui s
Drs Magnan, Vallon et Blin ; Homery, suppléant. Le concours de la
région
de Lille, brillant aussi, s'est terminé par la
question écrite était : Portion cervicale du grand sympa- thique.
Région
de l'Est (Lyon, MM. Jacquin et Bonne) ; Région du
and sympa- thique. Région de l'Est (Lyon, MM. Jacquin et Bonne) ;
Région
du Midi (Montpellier, MM. Ricue et Pélissier).
ure a conduit aux excisions de matière cérébrale, prélevée dans les
régions
corticales correspondant aux points de départ d
Je ne le crois pas, car les foyers d'encéphalite s'étendaient à des
régions
autres que celle où avait siégé la trépanation,
droite et à gauche. - Le thorax, bien développé, présente dans la
région
postéro-infé- rieure gauche, au niveau de l'ext
normalement musclés, leur attitude est', régulière. Au niveau de la
région
deltoïdienne droite, on note une \ 118 RECUEIL
une cicatrice arrondie, sans caractères, à la portion moyenne de la
région
antéro-externe de la jambe droite; une autre ci
légère, infiltra- tion gommeuse des cordons antcro-tatéraux dans la
région
dor-ale supérieure. Sclérose de la périphérie d
la périphérie de la moelle dans les cordons latéraux dans toute la
région
dorsale. Sclérose des cordons posté- rieurs méd
région dorsale. Sclérose des cordons posté- rieurs médians dans la
région
dorsale. Zones sclérotiques irrégu- lières avec
lières avec une zone d'infiltration cellulaire (gommeuse) dans la
région
dorsale inférieure. Sclérose descendante dans les
les-ci le silicate d'alumine ou craie, très répandu dans toutes les
régions
où règne l'endémie crétineuse. Dans la nature,
est énorme. Les cordons de Goll sont dégénérés uniquement dans la
région
cervicale. L'auteur tend à rapprocher le type de
al apparaît. F. f3olsslea. XVII. Sur les fibres endogènes dans la
région
lombo-sacrée ; par A. BRUCE. (Drain, vol. 20, p
r- dons postérieurs étaient complètement dégénérés, même dans les
régions
inférieures de la moelle, l'auteur a suivi de bas
sous-cutanées). Il ouvre par derrière le canal vertébral dans la.
région
dorso-lombaire, sépare la moitié droite de la moi
. Onze fois la tumeur recherchée et trouvée avait son siège dans la
région
rolandique ; une fois elle était située dans le
peut être due à une lésion de la capsule interne. Les fibres de la
région
maculaire n'ont pas une marche spéciale dans le
- rose de la pie-mère et du tissu nerveux sous-jacent de toute la
région
du 4° ventricule, vaisseaux dilatés et gorgés, sc
périphériques - et des faits de Bechterew, par l'incurvation de la
région
thoracique de la colonne vertébrale à grande am
s douleurs, soit dans les genoux, soit dans la hanche, soit dans la
région
lombaire, sans tuméfaction ni rougeur des artic
t bientôt raide et incurvée. L'incurvation prend tout, partie de la
région
cervicale ou de la moitié inférieure de cette r
, partie de la région cervicale ou de la moitié inférieure de cette
région
; plus bas, la colonne vertébrale est verticale
t verticale par suite de la disparition de la lordose normale de la
région
lombaire. Toujours, dit P. Marie, il y a ankylo
incomplète ; les mouvements des vertèbres sont encore possibles. La
région
thoracique est incurvée. Chez quelques malades
t encore) présente en outre une paralysie bulbaire par lésion de la
région
des noyaux c'est-à-dire une paralysie glossolab
articu- lier étaient en rapport avec les altérations cérébrales des
régions
frontales, occipitales. P. KERAVAL. XVIII. Pe
ire de ceux qui, après avoir traversé la capsule interne, vont à la
région
snbthalamiqne. Intégrité de l'anse du pédoncule c
re du Sulcus poaecruciulus. Ce centre est limité en dedans par « la
région
de la nuque H » et en dehors par « la région de
ité en dedans par « la région de la nuque H » et en dehors par « la
région
de la tête E » de Muni. Le gyrus sigmoïde (zone
xième circonvolution primitive. Elle fait partie intégrante de « la
région
oculaire F » de Muni, par conséquent du lobe pa
ule cérébral. On voit presque sur toutes les coupes, faites dans la
région
correspondante des fibres dégénérées monter du
nt par la partie antérieure'de sa capsule blanche. Plus bas dans la
région
où les portions ven- trale et dorsale du corps
tubercule quadrijumeau des deux côtés, une dégénérescence dans la
région
des noyaux dans la IV paire des deux côtés, dans
linisation se fait à des époques différentes pour les diffé- rentes
régions
de l'écorce ; qu'elle a lieu d'après des principe
nfin que tant qu'il y a dans l'écorce cel ébrale de ces animaux des
régions
non myélinisées, il y en a de même dans les fib
processus de la myélinisation chez les animaux et chez l'homme. Les
régions
tard myélinisées dans les fibres de projection on
l'étude des dégénérescences secondaires qui montrent que toutes les
régions
corticales contenant des fibres de projection, pa
t rapidement. Il y a sept mois, survint une rigidité complète de la
région
cervico-dorsale de la colonne vertébrale. De pl
brale. De plus, il avait éprouvé une grandé douleur irradiant de la
région
cervico-inférieure dans le bras, et il était 18
gauche. On posa le diagnostic de pachyméningite spécifique de la
région
cervicale. Le cas était intéressant en ce qu'il p
t de l'extrémité supérieure de la protubérance annulaire jusqu'à la
région
sous-optique, empiétant même un peu sur cette r
e jusqu'à la région sous-optique, empiétant même un peu sur cette
région
du côté droit. L'étude histologique de cette tume
ati, refoulé à la périphérie). Les désordres ainsi produits dans la
région
envahie expliquaient les symptômes qu'avait pré
e, des amnésies de nature diverse suivant le siège et l'étendue des
régions
intéressées, mais ces produits sont incapables
latérale avec des lésions de l'écorce grise, cantonnées dans une
région
circonscrite de l'hémisphère du côté opposé ; il
té opposé ; il avait conclu il la nécessité de localiser dans cette
région
les centres moteurs des différents groupes de m
ouvant plus de travail à Calais, avaient quitté cette ville pour la
région
des mines, où le mari trouva à s'embaucher. L'u
ay-le-Chàteau. M. le Dr DIDE reçu au concours de l'adjuvat de 1900 (
région
de Paris) est nommé médecin-adjoint à l'asile p
de Quimper; M. le Dr Pochon reçu au concours de l'adjuvat de 1900 (
région
de Paris) est nommé médecin-adjoint à l'asile p
é noté que le frontal et le pariétal étaient plus développés que la
région
temporo-sphénoïdale et occipitale. Dans les deu
(t/5) du cortex normal était développé. Celui-ci était confiné à la
région
frontale jusqu'à la partie antérieure de la cir
6 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. temporal et sphénoidal et à la
région
orbitale derrière la fissure triradiée. Même da
à la région orbitale derrière la fissure triradiée. Même dans cette
région
, les circonvolutions avaient gardé une disposit
circonvolutions avaient gardé une disposition embryonnaire. Dans la
région
orbitaire, en avant de la fissure triradiée, et
la région orbitaire, en avant de la fissure triradiée, et dans les
régions
pariétale et occipitale, le cortex était rempla
icule latéral droit, le lobe occipital droit, la face convexe de la
région
frontale droite, et le lobe pariétal. Des vices
par le forceps. En règle générale, les lésions sont localisées à la
région
de la scissure de Rolando, et elles résultent de
ait vue était comme une petite pomme ; et elle était située dans la
région
frontale droite. L'affection chronique des memb
a cellule de névroglie, et affectant de préférence l'une ou l'autre
région
du cerveau, fréquemment dans les territoires co
itions des cellules et des' fibres nerveuses dans les diffé- rentes
régions
en jetant un coup d'oeil comparatif avec les cas
ier, mais il y a un véritable arrêt de développement de cer- taines
régions
du tissu cérébral. qui peut être constaté par la
lement le symptôme d'une lésion bulbaire ou pseudo-bul- baire de la
région
capsulaire, qui caractériserait l'aphasie motrice
ical se confond avec celui des mouvements de la main droite dans la
région
moyenne de Fa gauche, éduquée spécialement pour
riées des neurones d'association psychiques répandus sur toutes les
régions
de l'écorce des hémisphères. COMMUNICATIONS DIV
ints correspondants de l'écorce. A la coupe on trouve au niveau des
régions
dénudées des altérations anatomiques intenses d
lésion indémon- trable au niveau de la sphère de Munk. Mais si la
région
de Munie vient à être lésée et si on attend la
ues, sur- dité plus ou moins accentuée, sensations pénibles dans la
région
précordiale, diminution du tonus musculaire, se
tions des membres paralysés ; l'anesthésie et l'hyper- esthésie des
régions
atteintes, la contractilité musculaire, la rétr
. Après s'être rendu compte de l'état des différents éléments des
régions
atteintes, nous continuons le massage raisonné à
de la circulation, c'est-à-dire par l'activité de la nutrition des
régions
atteintes soit de l'atrophie, soit de la parési
du muscle en voie d'atrophie. Il faut masser avec précaution les
régions
infiltrées. Les éruptions cutanées chroniques ne
une large plaque d'un vieux psoriasis, qui couvrait complètement la
région
. Le massage n'a non seulement aggravé le psoria
ôté et la considérons comme un agent peu utile, lorsqu'on masse les
régions
atteintes de paralysie. En résumé, nous croyons
a recherché si le courant faradique ou galvanique ap- pliqué sur la
région
du coeur peut produire des modifications de la
emporales et va même jusqu'à localiser les différents tons dans des
régions
.lncmvrs, 21 série, t. X. 26 402 revue d'élec
ciation apparais- sent ici un peu effacée (entre eux se placent les
régions
intermé- diaires qui ont une nature- mixte), et
de territoires des hémisphères-. Du reste, il existe dans d'autres
régions
cérébrales (la substance grise centrale) des pa
.de la subs- tance noircide Sümmeriug, du noyau rouge, de maintes-
régions
des couches optiques (pulvinar), etc., dont les
coup. Il est sujet à de grandes différences individuelles. Dans les
régions
primordiales, les faisceaux de projection sont
ction sont très probablement beaucoup plus denses que dans d'autres
régions
de l'écorce (Flech- sig). Mais la méthode d'étu
uisée. Il est ainsi impossible de distinguer un nombre déterminé de
régions
d'après leur myélinisation, étant donnée la march
des traces de cette myélinisation non contemporaine des différentes
régions
corlicales, car plus une région est tôt myélini
non contemporaine des différentes régions corlicales, car plus une
région
est tôt myélinisée, plus ses fibres et leurs ga
i peuvent servir à l'établisse- ment de l'homologie des différentes
régions
de l'écorce cérébrale. Xlll- Congrès internatio
ées , on trouve déjà des libres commissurales myélinisées entre les
régions
corticales le plus tôt myélinisées; 7° absolume
ec tout ce que Flechsig a pré- tendu, aussi longtemps qu'il y a des
régions
corticales sans .myéline, il y a également dans
les dégénérescences secondaires nous montrent le.rapport avec les
régions
coi ticales tard myélinisées ; de plus, ces parti
ne sont assez étendues pour qu'on soit en droit de conclure que les
régions
corticales correspondantes possèdent des libres
eignement de Flechsig et Dollken, chez les carni- vores, toutes les
régions
corticales possèdent des fibres de projec- tion
issurales. Donc, déjà chez les car- nivores, il y a pour toutes les
régions
corticales plus de fibres d'autre valeur que de
e chez l'homme, chez les animaux, la structure fixe des différentes
régions
corticales est différente ? mais, contrairement
montrent une structure SECTION .DE NEUROLOGIE. 415 identique des
régions
le plus tard myélinisées, dont .\1. Flechsig fait
syringomyélie dites myélites cavitaires affectionnent également les
régions
de substance grise médullaire, je pense que l'o
sociation fonctionnelle du centre visuel cor- tical avec les autres
régions
sensitivo-sensoriclles ou psycho-motri- ces de
lièrement manifestes dans la couche interolivaire du bulbe. Dans la
région
protubéran- tielle il existe en outre une dispa
ie de cas de lésions récentes corticales ou sous-corticales dans la
région
rolandique sans paît t icipulion des masses grise
bandonne au ruban de Reil médian, soit à la partie inférieure de la
région
pédonculaire, soit dans toute la hauteur de la
font complètement défaut. Elles peuvent ne se détacher que dans la
région
pédonculaire inférieure ou protubérantielle supé-
ontournent la partie externe du pied du pédoncule aux confins de la
région
sous- optique, passent en avant du corps genoui
les superficielles qui se déta- chent du faisceau pyramidal dans la
région
moyenne du bulbe, passent en avant de l'olive b
ne du cordon latéral homolatéral de la moelle, c'est-à-dire dans la
région
504 congrès international DE médecine. qui co
ique de ces fibres; il se détache de la pyramide antérieure dans la
région
bulbaire moyenne ou suré- rieure, croise le rap
emporal et pariétal ; et comme l'examen en coupes sériées de ce ces
régions
n'a pas été fait, l'observation n'a pas été abs
généralement vraie, mais demande certaines rectifications, peur les
régions
dorsales et cervicales. Elle est applicable égale
sera prise en con- sidération. Les fibres exogènes descendantes des
régions
cervico- dorsales occupent la position du faisc
ans une partie de leur trajet. Les fibres exogènes descendantes des
régions
dorsale inférieure, lombaire et sacrée entourent
des fibres radiculaires d'une longueur intermédiaire, qui dans les
régions
sacrée et dor- sale y entrent horizontalement e
s régions sacrée et dor- sale y entrent horizontalement et dans les
régions
lombaire et cervicale y entrent obliquement.
es cordons postérieurs dans toute leur longueur à l'exception de la
région
sacrée, qui implique le cordon de Burdach et, au
point vulnérable de Obersteiner et liedlich. c) Syringomyèlie : Les
régions
affectées ont leur siège : 1° der- rière la com
qui tire son origine de la substance grise. La destruction de ces
régions
est apte cependant à produire des dégénérescences
es cordons postérieurs, la sclérose est développée le plus dans les
régions
dorsales inférieures et diminue en sens ascendant
e en sens ascendant et descendant. Elle est à peine 'sentie dans la
région
sacrée, et cesse complètement au niveau des noy
et cervicales. Elle affecte le plus souvent la zone centrale de la
région
lombaire, et dans la région cervicale princi- p
le plus souvent la zone centrale de la région lombaire, et dans la
région
cervicale princi- palement le cordon de Goll. L
Les zones près de la commissure et la corne postérieure, et dans la
région
lombaire celle près du septum sont intactes. Le
rale avec incurvation de type Bechterew. Raideur avec cyphose des
régions
cervicale inférieure et thoracique supérieure dép
iant les allures cliniques de l'anesthésie et de l'analgésie de ces
régions
dans les lésions spinales ascendantes. Il en ti
is, peut-être aussi les segments les plus reculés de la langue. Ces
régions
recevraient probablement les éléments sensitifs
ans le plan postérieur ; les coupes de la portion. moyenne de cette
région
sont normales. Aux points d'atrophie correspond
Magnan, Legrain, 162; par Bois- sier, 163. Fibres endogènes de la
région
lombo sacrée, par Bruche, 131. Polie. La - ch
nières recherches de Charcot, des parties latérales de ces cordons,
région
des ban- delettes externes du faisceau fondamen
localisât précisément, on ignore par quelle affinité, dans une des
régions
les moins accessibles du névraxe. Cette théorie
rvicale) et qui, quelques mois avant, avait subi l'abla- tion de la
région
des extrémités sur l'hémisphère gauche, se ser-
omme siège du réflexe patellaire ; il est situé aujourd'hui dans la
région
de la deuxième lombaire. Comme, dans les cas de
de la deuxième lombaire. Comme, dans les cas de tabès ordinaire, la
région
de la moelle lombaire présente des signes de dé
e étendue de son trajet, et, d'une manière correspondante, chaque
région
motrice de la moelle épinière reçoit des collatér
eurs lancinantes aux stades postérieurs du tabes, du moins dans les
régions
primitivement affectées, s'expliquerait par la
bstance grise, et que ces fibres sont - surtout rassemblées dans la
région
ventrale du cordon postérieur (zone cornu-commi
e) '. Ce qui témoignerait de l'origine endogène des fibres de cette
région
, c'est que ce territoire offre l'étendue la plu
gènes se mêlent aussi au cordon de Goll, particu- lièrement dans sa
région
ventrale; il s'agirait en grande partie de voie
ditaire, ne présente aucun signe de maladie nerveuse. Dans chaque
région
mentale, on peut observer des habitudes de pens
ité verbale sans aphasie ni agraphie. Ramollissement cortical de la
région
calcarine gauche ; dégénérescence du tapetum gauc
ns le splenium, passe dans l'hémisphère droit et se termine dans la
région
calcarine droite se limitant au tapetum de cet
alement Au carmin : lésions de méningite surtout accentuées dans la
région
cervico-dorsale gauche. Périartérite, périphléb
ant pendant assez longtemps, et mourut ensuite subilement. Toute la
région
bul- baire était cependant envahie par le néopl
légie avec rétention d'urine et anesthésie totale et complète de la
région
seroto-pénienne. Rapi- dement, les muscles de l
stérien, amaphrodisie, absence d'érections, intégrité absolue de la
région
périanale tant au point de vue de la sensibilité
possible. La dure-mère était d'ailleurs saine partout, sauf dans la
région
cervicale et le haut de la région dorsale. M. M
leurs saine partout, sauf dans la région cervicale et le haut de la
région
dorsale. M. Marie considère ce cas comme une ra
M. Aubkau présente un malade qui, à la suite d'un traumatisme de la
région
pariétale droite, a été pris d'accidents cérébrau
sensibilité à la douleur varie suivant les individus et suivant les
régions
; les parties où la peau couvre directement l'os,
admettait la transmission delà douleur par la substance grise ; la
région
antérieure par le tact, la région moyenne par l
uleur par la substance grise ; la région antérieure par le tact, la
région
moyenne par la température et la région postéri
antérieure par le tact, la région moyenne par la température et la
région
postérieure par la dou- leur. Pour Wundt il exi
leur. Edinger, Loche et Grasset supposent que la douleur change des
régions
pendant son passage dans la moelle épinière. Po
auteurs de cet acte criminel, qui produit une vive émotion dans la
région
. (Le Temps du 29 novembre 1900.) Société des
loppement normal; varicocèle à gau- che. Aplatissement marqué de la
région
occipitale. La circonférence du crâne est de 55
collatérales réflexes, affecte gravement la substance grise de ces
régions
dans le tabes. « La dégénération de ces fibres,
que), on doit se rappeler que la production de l'affection dans les
régions
les plus éloignées du système nerveux, qui ne c
lle qui contient les plus grandes cellules, ensuite parce que cette
région
représente une partie de l'extrémité centrale d
e quatorze ans, une augmentation de volume, pro-, gressive des deux
régions
lombaires, sans phénomènes doulou- reux. Une bi
euse, pilaire. A Désordre de trois espèces de sensibilité aux mêmes
régions
. Deux observations de tabès dorsal; les trouble
t de plus en plus ; 8° 11 s'en faut de beau- coup (jue les diverses
régions
de l'écorce se développent simultané- ment. Au
rmation de cellules. Dans ,les diverses couches d'une seule et même
région
de l'écorce, les éléments cellulaires ne. se dé
axes; Dans les cas d'éthérisation prolongée ou répétée, certaines
régions
de l'écorce sont très fermement attaquées et alor
foyers. Les REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 151
régions
attaquées de préférence sont : a) le lobe olfacti
ercules Ijuadrijllmcau\ et le bulbe. Mais on observe aussi dans ces
régions
des éléments sains. Le corps -tiié n'est jamais
er quelle que soit la durée de l'action du poison ; dans toutes les
régions
du cerveau altérées par l'éther, les appendices
n abduction, bras relevés pendant le sommeil, traumatismes sur la
région
scapulaire, tiraillement de bras, etc.). Dans tou
membres inférieurs surtout à droite, et frappant les muscles de la
région
antéro-externe de la jambe et le mollet ; pied
lade plaidant en faveur d'une affection médullaire siégeant dans la
région
supérieure. Note sur la structure du noyau et l
e côté amputé réduit. et le côté sain, mais encore sclérose dans la
région
de la corne postérieure. li. Marie. - Ces prépa
élève le long de la moelle, de telle sorte que peu marquées dans la
région
lom- baire elles sont très apparentes dans la r
rquées dans la région lom- baire elles sont très apparentes dans la
région
cervicale. Cerveau de tabétique albuminurique d
sence dans les hémisphères céré- braux (à l'exclusion de tout autre
région
du corps) de 24hydatides dont six étaient situé
suffire à graisser toute la surface cutanée; d'ailleurs, certaines
régions
de celles-ci, comme, par exemple, la paume des
ommé à Alençou. - M. le Dr Bonne, reçu au concours de 1900, pour la
région
de Lyon, est nommé médecin adjoint à Auxerre, e
aute-Garonne).M. le De PÉLISSIER, reçu au concours de 1900, pour la
région
de Montpellier, est nommé médecin adjoint à l'a
horax n'offre pas'd'autres altérations qu'un léger renflement de la
région
dorso-lombaire, qui, du reste, n'est pas douloure
frictions, on lui appliqua des ventouses et des cautères dans la
région
des reins. Au'bout de six semaines, il 'sortit' d
oubles de thermesthésie. Le malade éprouverait des douleurs dans la
région
fessière supé- rieure et dans le mollet droit a
e à droite. Après deux semaines, la bouche se dévia à gauche. Les
régions
atteintes étaient en état d'anesthésie complète.
prix de pension ; ils ont des locaux spéciaux. Les indigents dela,
région
sont traités moyennant un prix de journée fixé
voyageur, comme le guide, est peut-être justement attiré par les
régions
écartées et peu explorées de la montagne. Que fau
l doit apprendre à connaître d'abord la position et l'étendue de la
région
à explorer, et les moyens de s'y orienter. «
névralgies, par exemple, il suffit souvent de poser la main sur la
région
douloureuse, et cette pression douce associée à
rs qu'il s'agissait en réalité d'une encéphalite non suppurée de la
région
fronto-centrale ainsi que l'établit l'autopsie. -
tubérance, et qu'elle intéressait le tractus pyramidal ainsi que la
région
tegmentale et les fibres qui sont au noyau du fac
s persistante, surtout par comparaison avec la paralysie des autres
régions
. Cette paralysie pharyngée était évidemment com
utes les fois qu'il y aura une lésion des racines postérieures à la
région
dorsale. H. DE Musgrave CL.1T. XVI. Névrite m
cence. Les troubles vaso-moteurs et trophiques, sauf l'oedème des
régions
affectées ne se sont pas fréquemment montrés. L'o
à la queue de cheval. En avant, la dure-mère est adhérente dans les
régions
thoiaciques supérieure et moyenne. La surface a
llants, tortueux et disten- dus, sauf à la portion supérieure de la
région
thoracique. A la face postérieure ils sont enti
masqués par l'exsudat. La moelle est un peu molle surtout dans les
régions
thoracique infé- rieure et lombaire. L'examen m
oit avec douleurs et sensations, thermiques à gauche, limitées à la
région
située au- dessous de l'ombilic en avant et de
de rattraper sa tête ». Jamais on aurait remarqué de raideurs de la
région
cervicale. Dans les premiers temps de la vie, o
subjectifs : '1° Une céphalalgie tenace et rebelle localisée à la
région
occipitale; 2° des nausées; 3° de la. raideur d
re de T2 et de T3. Au-dessus de ce point de ramollissement dans une
région
occupant la partie médiane de la moitié inférie
convolutions y sont aplaties et élargies. Enfin en arrière de cette
région
et par conséquent dans toute la partie postérieur
t entourant chacun la dernière ramification d'une artériole. . La
région
pâle, incisée, donne issue à environ la centimètr
raux ainsi qu'à la partie postéro-externe du lobe frontal. Dans la
région
la plus reculée de T3 en un point correspondant e
delà moelle allongée et dans les espaces péri-vasculaires de cette
région
mais ils s'étendent jusque dans le tissu voisin
l'occasion d'étudier des vaisseaux artério-scléreux, provenant delà
région
protubérantielle, et il a trouvé dans l'intérieur
- pagne d'aucun signe objectif d'altérations vasculaires dans la.
région
affectée. La paresthésie froide n'est pas ordinai
rté sur quatorze cerveaux d'hommes et seize cerveaux de femmes. Les
régions
cérébrales choisies pour cette étude sont : 1°
ES. 4° le milieu des circonvolutions de l'hippocampe. Pour chaque
région
, la substance blanche et la substance grise ont é
es de folie ci-dessus indiquées dans leur ensemble, et les diverses
régions
cérébrales également dans leur ensemble, on tro
est de 1039 pour les hommes et de 1032 pour les femmes. Pour chaque
région
étudiée, on trouve une étroite analogie entre l
e la substance blanche et la substance grise se rencontrent dans la
région
motrice, et que ces différences sont exactement
ant pour la substance blanche que pour la substance grise de chaque
région
. Le maximum de différence entre les deux substa
de différence entre les deux substances se trouve chez l'homme à la
région
frontale, le minimum dans les circonvolutions o
t inférieur à celle de la substance grise. Chez la femme la seule
région
où la substance blanche et la substance grise a
entre les deux substances sont sensiblement les mêmes tant dans les
régions
frontales que dans les régions occipitales. mai
sensiblement les mêmes tant dans les régions frontales que dans les
régions
occipitales. mais elles sont beaucoup plus cons
que dans le gauche. Le poids spécifique des deux substance^ dans la
région
de l'hippocampe est presque identique dans les
de ces symptômes est caractéristique d'une lésion siégeant dans la
région
bulbo-pro- tubérantielle du côté droit. Mais, d
sseuse, une destruction presque totale de la moelle au niveau de la
région
dorso-lombaire avec dégénérescence hyaline en m
343 s'expliquerait, l'intégrité relative de la sensibilité dans des
régions
recevant des conducteurs nerveux qui pénètrent
tomac avec généralisation aux poumons et embolie cancéreuse dans la
région
du rocher qui crée une paralysie faciale périph
circonvolutions à la partie inférieure BIBLIOGRAPHIE. · 355 de la
région
motrice gauche et du faisceau efférent correspond
raréfaction numérique des cellules de la corne antérieure dans les
régions
cervicale et lombaire, et des fibres constituan
subi, dans son enfance, une fracture du crâne ; elle intéressait la
région
fronto-pariétale dans une grande étendue. Le ma
l'âge de neuf ans, d'un traumatisme crânien qui avait porté sur la
région
temporale gauche. Après une perte de connaissan
45,p.395).-Une femme de trente-cinq ans avait fait une chute sur la
région
fronto- pariétale gauche, àl'âge de quatre ans.
, p. 413. - Un canonnier, en tombant de cheval, s'était blessé à la
région
pariétale droite. Dix-huit mois plus tard, il a
itié gauche du crâne décelait une dépression de la paroi, dans la
région
du sillon de Ilolanclo. Cette femme a été opérée
lepsie partielle ; depuis trois mois environ, il éprouvait, dans la
région
pariétale droite, une sensa- tion de bouillonne
es ; voire qu'à la suite de l'application d'un vésica- toire sur la
région
pariétale droite, le malade n'a pas eu une seule
t pas intéressées. R. de MUSGRAVE CL.1,Y. ,1,V] Paresthésie de la
région
fémorale; par John C. Snaw. (The New-York Médic
he New-York Médical Journal, 13 février 1897.) L'anesthésie de la
région
externe de la cuisse peut être soit un symptôme
s les oreilles, et parfois, douleur locale, par la percussion, à la
région
de l'occiput. Deux observa- tions ont révélé de
1ERAVaL. LU. Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur de la
région
du troisième ventricule ; par N.-A. Wyroubow. (
comme on pouvait s'y attendre, par des lésions bilatérales dans la
région
pédonculaire. A droite, deux foyers de ramollisse
t, qui est à décou- vert, par suite de l'arrêt de développement des
régions
occipitales des hémisphères cérébraux. Raccourc
onvolutions et des sillons des hémisphères, principalement dans les
régions
centrales. Absence de cloison transparente, et
double à la parties moyenne des circonvolutions centrales. En cette
région
, l'écorce est riche en cellules, parmi lesquell
llules pyramidales, mais en général les cellules sont petites. A la
région
cervicale de la moelle, abon- dance des cellule
oppement progressif de tumeurs symétriques, intéressant surtout les
régions
cervicales latérales, les régions sous-menton-
étriques, intéressant surtout les régions cervicales latérales, les
régions
sous-menton- nière et vertébrale, les parties s
et vertébrale, les parties supérieures et internes des membres, les
régions
pectorale, épigastrique, suspubienne, les mamelle
408 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. petits caillots qui occupaient la
région
lombaire. Les membranes étaient légèrement cong
e siège le plus ordinaire des hémorrha- gies de cette nature est la
région
cervicale, tandis qu'ici elle sié- geait à la r
nature est la région cervicale, tandis qu'ici elle sié- geait à la
région
lombaire. La convulsion finale a probablement é
ce mot, fait normalement défaut, et par surcroit, elle occupe, une
région
dépourvue de toute connexion même avec les cell
e chaque ligament de Poupart; 3° deux bandes étroites au niveau des
régions
dorsale et cervicale du rachis. Une anesthésie
ns symétriques du nez et peut-être encore sur une petite bande à la
région
dorsale. Si l'anesthésie est encore moins étend
s assez bizarres : sensation de poids, ou quelquefois de vide, à la
région
frontale, faiblesse géné- rale, douleur rétrost
avité et la lésion de la racine médullaire du trijumeau ou d'autres
régions
du bulbe ? Dans quelques cas tous les processus
alais, du voile du palais, de la base de la langue et de toutes les
régions
de la bouche, à l'aide d'un instrument fin, pou
ules petits. Anesthésie testiculaire. 8° Chapelet ganglionnaire des
régions
inguinales très marqué des deux côtés. 9° Exi
tembre, je faisais l'incision du cuir chevelu un peu en avant de la
région
rolandique, de manière que la brèche osseuse co
dans le cerveau gau- che, et qu'elle avait envahi, non seulement la
région
motrice, mais aussi la région frontale, puisque
u'elle avait envahi, non seulement la région motrice, mais aussi la
région
frontale, puisque son intelligence ne se dévelo
es méningées et de lésions méningo-encéphaliques, placées dans la
région
rolandique. Ceci, qui constitue une rareté chez
grosseur d'une mandarine, facilement énucléalle· qui a comprimé la
région
motrice gauche, a poussé en arnere la scissure
bles, sans que l'on puisse nier pour cela leur exis- tence dans les
régions
intra-hémisphériques. Si l'on admet la surexcit
in des environs de Rouen 1L. Maridort. Ce dernier, habitant une des
régions
les plus alcoolisées de France, a donc un champ
du côté gauche ; la lésion siégeait exclu- sivement au centre de la
région
fessière droite. M. Doutrebenle fait remarquer
vomissements. A l'autopsie, on trouve une tumeur volumineuse de la
région
pédonculaire com- primant l'oculomoteur commun
s amygdales cérébelleuse dans des cas d'hémorrhagie cérébrale de la
région
postérieure. ,111,oose doidoureuse. MM. Aciur
is se développent lentement des phénomènes de poliomyélite dans les
régions
supé- rieures de la moelle, en même temps qu'un
men chez un hystérique, par Bloume- nau. 392. Paresthésie de la
région
fémorale, par Shaw, 391. Parricide. Adolescen
foncée, fortement acide. La colonne vertébrale ne présente dans les
régions
lombaire et dorsale ni déformation , ni douleur
les éponges mouillées; appareil gradué au maximum. Cuisse droite,
région
antérieure, le courant est senti ; mais il ne p
la cuisse gauche. Jambe droite : il sent faiblement le courant à la
région
antérieure, le jambier antérieur se contracte,
- seur commun ne se contracte pas; la sensibilité est faible à la
région
péronière, la contraction des muscles y est assez
es y est assez forte pour porter le pied dans l'abduction. - A la
région
postérieure la sensibilité est plus développée, l
ble dans le jambier antérieur, nulle dans l'extenseur commun ; i la
région
péro- COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. il i n
plus déve- loppée dans les jumeaux. Membre supérieur droit : à la
région
antérieure de l'avant- bras les muscles se cont
uscles se contractent assez fortement ; absence de contractions aux
régions
thénar, hypothénar et interosseuso.Le long supi
nterosseuso.Le long supinateur se contracte bien. Les muscles de la
région
postérieure se contractent peu. Contraction éne
le triceps. Membre supérieur gauche : contractions énergiques aux
régions
thénar et hypothénar, faibles dans les interosseu
énar et hypothénar, faibles dans les interosseux. Les muscles de la
région
antérieure de l'avant-bras, le long supinateur
. Aux membres supérieurs la contractilité est bien développée aux
régions
thénar et hypothénar, interosseuses antérieures,
sensation de cercle douloureux existe, aujourd'hui, au milieu de la
région
épigastrique. L'application du froid à la cuiss
chaque côté de la crête épineuse. Le soir, dou- leurs dans toute la
région
abdominale, les muscles droits sont fortement c
st considérablement diminuée et pour ainsi dire nulle, excepté à la
région
postérieure de l'avant-bras où la faradisa- tio
arrière de la tète du péroné droit. Suppuration très abondante à la
région
sacrée. 16'a° jour. Les escharres de la région
très abondante à la région sacrée. 16'a° jour. Les escharres de la
région
sacrée continuent leur progrès et on constate l
éninges sont saines. La moelle est ferme, un peu congestionnée à la
région
cervicale. A la partie supérieure 16 PATHOLOGIE
n cervicale. A la partie supérieure 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la
région
dorsale, la coupe présente une dépression au ni
une autre partie, composée de fragments pris dans les différentes
régions
, fut, après séjour pendant vingt-quatre heures da
les préparations, quel qu'ait été le mode de durcis- sement : 1°
Région
cervicale. -Légère sclérose des cordons latéraux
0 diamètres), on reconnaît une vascularisation plus grande de cette
région
; quelques vaisseaux, coupés perpendiculairement
colorées en rose et présentent une partie jaune, granu- leuse. 2°
Région
dorsale. Sclérose du cordon latéral, présentant
rose du cordon latéral, présentant les mêmes caractères que dans la
région
cervicale. Les cellules nerveuses sont plus alt
gements, et complètement jaunes, comme en voie de disparition. 3°
Région
lombaire. Légère sclérose du cordon latéral ; l
euse des cellules motrices de la subs- tance grise, surtout dans la
région
dorsale. (A suivre.) Archives, t. )X. 2 is
PLICATION DE LA PLANCHE I. FIG. 1. Coupe transversale de la moelle (
région
dorsale). Schéma indiquant la région envahie pa
upe transversale de la moelle (région dorsale). Schéma indiquant la
région
envahie par la sclérose qui occupe le faisceau
eux côtés. (Contrairement à l'apparence que donne le dessin dans la
région
sclé- rosée les travées conjonctives principale
ion transversale ou oblique des vaisseaux. ) FIG. 2. Un point de la
région
sclérosée \u avec un grossissement de 300 diamè
ar la valériane et l'atropine. Aura : : sensation de piqûre dans la
région
dorsale. Vésicatoire au lieu de l'aura, saupoud
et dont elle porte encore aujourd'hui des cicatrices évidentes aux
régions
sus-claviculaire, mammaire et axillaire droites
ula, ni circonvolutions frontale, pariétale, temporale autour de la
région
, ni capsule interne, ni capsule externe; les gros
nt externe du pédoncule. Atrophie des cordons antéro-latéraux de la
région
cervicale de la moelle, de la substance noire d
s dans la substance grise centrale, et qu'elle prend naissance à la
région
cervicale, pour ne s'étendre que tardivement aux
eau ou des organes centraux; l'exercice plus ou moins sou- tenu des
régions
envisagées entraîne une sensibilité plus ou moins
ans les lobes frontaux, il est légitime de penser que c'est dans la
région
frontale qu'il faut chercher les plexus les plus
soient pas nécessairement confinés d'une façon exclusse dans cette
région
. A ce propos, l'auteur tient à bien établir que
eillir quelques for- mules intéressantes : c'est ainsi que, dans la
région
en question, il y aurait vingt-cinq fois plus d
épilepsie, non pas seul lement quand on fait agir le courant sur la
région
corticale antérieur : motrice, mais aussi quand
simplement innervé par l'hémisphère homonyme; 8" L'excitation de la
région
corticale postérieure se tra- duit par une dila
23° Quelques observations nous apprennent que la destruction de la
région
motrice empêche également chez l'homme les conv
provoque une sensation de plénitude pénible, ayant son siège à la
région
épigastrique, durant plusieurs heures, et s'assoc
extrémités, impossibilité absolue de déglutir. La malade désigne la
région
supérieure du larynx comme étant le siège d'un ob
possible. L'autopsie pratiquée par Recldiii2shauseii révéla dans la
région
stomacale et intestinale des altérations atroph
tés.) Les régionsde'prédilection pa- raissent être : l'iusula et la
région
operculaire. En conséquence, il y a lieu de dis
propre. En conséquence, on recherchera quelles sont, en chacune des
régions
de la peau, les barres qui sont nécessaires pou
rouve, que chez un grand nombre d'hommes, la sensibilité cutanée de
régions
identiques est exactement la même à l'égard des
sibilité tactile décèle une modification exactement inverse sur les
régions
qui viennent d'être soumises à l'anode (la sens
nt composées de substance blanche. La substance grise, surtout à la
région
cer- vicale, est, dans les cornes antérieures e
(transverses ou longitu- diuales); à la partie inférieure de cette
région
, sur une étendue en hauteur peu considérable, l
oins par les habitations intérieurement situées; en tout cas, leurs
régions
supérieures s'élèvent rarement de quelques cent
nfaisance, de correction, d'éducation pénale, de sourds-muets de la
région
. La population de la province comporte 2,260,00
l'anxiété dite précordiale ne se limite pas le moins du monde a la
région
en question, qu'elle peut porter sur n'importe qu
traiter méthodiquement assez tôt, M. Engeiken explique que, dans la
région
qu'il habite, il n'a pas à regretter ces mau- v
de sorte que la notoriété a vaincu les préventions populaires; des
régions
voi- sines du Hanovre et de une bonne partie de
amens de telle sorte qu'on suive pas à pas chaque système, à chaque
région
, à chaque étage, de bas en haut. Il gagne ainsi
rencontre d'abord une série de coupes tranverses et verticales à la
région
du pulvinar et des corps genouillés ; l'origine
Une autre série de coupes pratiquées dans le même sens porte sur la
région
intermédiaire, c'est-à-dire sur le pédoncule, d
ne, sur le lieu de transformation de la calotte du cerveau moyen en
région
substhalmique et la zone de transition de cette
eau moyen en région substhalmique et la zone de transition de cette
région
en d'autres portions du tronc du cerveau. La ré
sition de cette région en d'autres portions du tronc du cerveau. La
région
optcco-nucléo-lenticulaire et celle des noyaux
t de la pros- titution et le nombre des criminels dans les diverses
régions
de la France. Ce n'est pas tout. Les maisons de
^011 rencontra une dégénérescence de la moelle et, à la' fin de' la
région
cervicale, des lésions anciennes indiquant évid
rdination semble parfois assez bien se limiter aux muscles de cette
région
, il nous semble utile de chercher préciser les
depuis le commencement du mois d'août, une plaque de teigne sur la
région
pariétale gauche; épila- tion. lotion de sublim
ne, et c'est sur elle surtout qu'il appuie. Le rachis présente à la
région
dorsale une grande concavité droite. La sensibili
eur, ni la pariétale ascendante. Les artérioles qui se rendent à la
région
nécrobioséc sont exsangues, la branche qui leur
sie d'origine céré- brale ont pour caractère spécial de montrer une
région
fonc- tionnellement intacte autour du point de
te pas des variétés dans l'entrecroisement des fibres provenant des
régions
de l'écorce qui président à la fonction visuell
accidents, réaction dégénérative complète ou partielle, suivant leb
régions
explorées. Finalement, paralysie totale des jam
corce occipitale. Il en est de même chez le chat. La résection de
régions
circonscrites de la sphère visuelle entraîne (six
eur est encore obscur. La disparition des cellules nerveuses de ces
régions
infra-corticales entraîne un anéantissement par
faisceau non entrecroisé se rendant à la moitié latérale de la même
région
. La zone corticale dont l'atrophie provoque la
un peu d'exagération de la sensibilité à la douleur dans les mêmes
régions
. Longtemps cet état persiste à peu près tel que
ureusement on a négligé la recherche anato- mique approfondie de la
région
. P. K. XXV111. Contribution LA casuistique DE l
n parti- culier le réflexe crémastérien est affaibli ou nul dans la
région
où les sensations sont émoussées ou abolies. Pr
saient persister les douleurs atroces et les con- tractures dans la
région
fessière chez un malade, en dépit de tous les m
du nerf ulnaire, du plexus axillaire et des nerfs corticaux dans la
région
claviculaire. Ce résultat brillant mit à la mod
upérieure; les symptômes empi- rèrent. Banne z) : Névralgie dans la
région
par- courue par le nerf ulnaire; amélioration a
fois l'élongation du nerf nasal externe pour des névralgies dans la
région
orbi- taire, et constata toutes les fois l'arrê
n du même auteur se rapporte à un garçon de douze ans blessé à la
région
sacrée, et accusant une disten- sion du pied, u
que, amélioration. Blum' : Névralgie et atrophie musculaire dans la
région
sciatique, chez un homme de trente-neuf ans ; t
rante-cinq ans souffrait depuis huit années d'une névralgie dans la
région
du nerf sciatique; une traction de ce dernier a
e la face; l'ouverture palpébrale est moins grande qu'à droite ; la
région
malaire est moins développée; chute du sillon n
et rougeur de la peau. On fera dorénavant à gauche l'injection à la
région
dor- sale. 48 décembre. Le malade présente de
phère cérébral en deux parties, l'une antérieure (lobe frontal et
région
pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe
rature du corps, dépendent de l'in- iluence exercée sur elle parles
régions
du cerveau correspondant aux circonvolutions ce
radiction ; il fit des recherches très minutieuses et trouva que la
région
thermique de l'écorce du cerveau chez les chien
de Hitzig. Le même auteur a a publié plusieurs cas de lésion de la
région
motrice de l'écorce du cerveau, dans lesquels s
ar un grand nombre de faits, paraît indiquer qu'il existe, dans des
régions
indéter- minées de l'encéphale, des centres sen
avec le front bas, mal conformé, étroit au plus haut degré avec la
région
temporale très large au-dessus, et derrière les
un développement plus mar- qué en sens contraire de la face dans la
région
crânienne posté- rieure. Au cours de l'instru
depuis cette époque des légions de malades ont été amenées en cette
région
de tous les pays. Or, comme l'exorcisme exigeai
ssier. Deux maisons à peine font exception à la règle. Les autres
régions
situées plus à l'ouest, où l'on soigne des alié-
s modes sur les deux extrémités su- périeures, le tronc, le cou, la
région
du maxillaire inférieur, les oreilles, l'occipu
cou, la région du maxillaire inférieur, les oreilles, l'occiput, la
région
pariétale (trouble plus intense à droite); une
apportée au fonctionnement des circonvolutions ascendantes et de la
région
pariétale. Ressemblance des troubles de la moti
qui s'exécutent à l'aide d'engins appropriés au développement d'une
région
, d'une fonction ou d'un système organique; c'es
cendante remontant jusqu'à la base du cerveau, qui prend dans cette
région
une coloration ardoisée spéciale. Cette colorat
l ayant déterminé la destruction de l'orbite; elle occupe alors des
régions
corres- pondantes à la destruction osseuse et à
LANCHES PLANCHE PREMIÈRE FiG. 1. Coupe transversale de la moelle (
région
dorsale). Schéma indiquant la région envahie pa
upe transversale de la moelle (région dorsale). Schéma indiquant la
région
envahie par la sclérose qui occupe le faisceau
eux côtés. (Contrairement a l'apparence que donne le dessin dans la
région
sclé- rosée les travées conjonctives principale
on transversale ou oblique des vaisseaux.) FiG. 2. - Un point de la
région
sclérosée vu avec un grossissement de 300 diamè
che optique correspon- dante (C 0); si la coupe avait porté sur une
région
un peu plus antérieure, on verrait, en dehors d
la paroi de la cavité ventriculaire, mais répondent seulement à une
région
où cette paroi est amincie, distendue et refoul
ne voit pas distinctement séparée, comme dans la plupart des autres
régions
de l'écorce, en un stratum superficiel de petit
l'encéphale : on ne trouve rien qui lui ressemble dans une autre
région
corticale. Kupffer lui avait donné le nom de st
inue avec le corps bordant, puisque ce corps bordant représente une
région
où le manteau de l'hémisphère est réduit à sa p
rtaines parties, il faut avoir égard à ce que l'auteur considère la
région
postérieure de la formation ammonique : « Le co
par l'absence des petites pyramides que l'on trouve dans les autres
régions
de l'écorce. Elles sont remplacées par des lacu
'elles forment a déterminé Meynert à donner, dans toutes les autres
régions
de l'écorce, le nom d'am- nzons formation à la
prendre dans la nomenclature des couches de cette il k ANATOMIE.
région
corticale. Enfin, on voit ici (fig 3, en X), auss
tous les auteurs, à savoir que la circonvolution de l'hip- pocampe (
région
temporo-occipitale) se continue en r" cottw n'a
ation ammonique droite et la gauche arrivant à se toucher sous la
région
médiane du corps calleux et à se souder dans ce
dernière expression n'est qu'imparfaitement justifiée, car si la
région
corticale C H est limitée en dedans par un sillon
contact d'un côté à l'autre. Cette partie (C H, fig. 8), c'est une
région
de l'écorce qui, par sa saillie nettement délim
resque égale à l'aire de tout le reste de l'écorce. Si donc cette
région
de l'écorce conserve chez tous les mammifères u
, sur une écorce cérébrale uniforme en surface, on trouve, en une
région
, une couche interposée, reproduisant la dis- po
rposée, reproduisant la dis- position du stratum granulosum : cette
région
pourra être alors considérée comme l'analogue d
mettra de reconnaître, dans les hémis- phères les plus simples, les
régions
homologues de la formation ammonique alors même
* Voyez Société de biologie, 21 juin 1S79 : Le développement de la
région
knliculo-opliquc dans le cerveau humain. 30 A
trée du nerf auditif dans ces par- ties. D'après Huguenin, c'est la
région
supérieure de ce ganglion , précisément dans ce
oindre de la coupe, correspondant au faisceau du nerf localisé à la
région
supérieure et pos- térieure présentait de gros
n après vingt mois de durée. L'autopsie révèle : uno atrophie de la
région
thoracique et lombaire de la moelle en partie r
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sàtre des cordons postérieurs dans la
région
cervicale, une dilatation brusque du canal cent
s antérieures et postérieures. Ces lésions qui rétrocèdent dans les
régions
où la dilatation du canal est moindre (lie vent
iquer l'exagération des lésions le long de l'axe nerveux dans les
régions
où l'ectasie est la plus prononcée et inversement
. XIII. DE l'amaurose consécutive aux lésions du sourcil ou DE la
région
orbitaire; par J. SANTOS FERNANDEZ (de la Ha- v
instituées sur les cliiens, les divers traumatismes provoqués de la
région
sus-orbitaire n'ont pas été siiivii'd ? auio-se
eut varier dans des circonstances diverses, a) Il varie suivant les
régions
du corps. Dans les cas réguliers, ceux qu'on pe
iron, s'accompagnant de celle des cils et des poils dans toutes les
régions
qui en sont pour- vues. En même temps, elle sou
à la face; une coloration blanchâtre, un peu cireuse dans certaines
régions
; un état de sécheresse et de rudesse très marq
existe une plaque sensible de la largeur de la main à la limite des
régions
dorsale et lombaire, s'étendant latérale- ment
neuses de la 12, dorsale et de la 1° lombaire. La pression sur la
région
ovarienne gauche arrête les attaques qui sont p
un bruit morbide, la percussion donne un son normal au niveau de la
région
douloureuse. 11 semble qu'il s'agisse d'une ple
llement vives qu'elles lui arrachent des larmes et siégeant dans la
région
lombo-abdominale droite par- tant de la zone hy
douleurs. , ' Le 2, mêmes douleurs qui empêchent tout sommeil. La
région
douloureuse présenté deux plaques rouges, l'une a
hâtres, et aujourd'hui encore (25 juin) la douleur persiste dans la
région
occupée par l'éruption. Il s'agit donc ici d'un
pte de la pro- duction de la névralgie et du zona au niveau d'une
région
habituellement sensible ou douloureuse par une
des couleurs passe à droite avec l'in- sensibilité cornéenne. La
région
ovarienne gauche est spontanément douloureuse e
itsducoeur. T. 40° le matin, 40", j 5 le soir. - Vesicatoire sur la
région
pré- cardiale. Salicylate de soude, 6 grammes.
à l'appui de la théorie qui localise la faculté du langage dans la
région
cor- respondante de l'hémisphère gauche. Nous d
erait la théorie simienne de Vogt (son parallèle entre la masse des
régions
occi- pitales du singe et des microcéphales).
rmet pas au surplus de se rendre compte du degré d'atrésie des deux
régions
. Le lobe olfactif manque totalement ; il est re
e en : de pareilles conditions (Dareste), à arrêter l'évolution des
régions
cérébrales internes (paroi postérieure de la vési
, mais atteignant principale- ment les racines postérieures dans la
région
lombaire' .. ' i u c Jln tl( il 1r, En résumé
e peuvent être provoqués dans la circulation et l'innervation de la
région
, et, qu'à l'aide de ces changements, on peut ar
niclse expose méthodiquement les rapports anatomiques qu'affecte la
région
en question avec la moelle allongée (trajets de
es, rouges, ou d'un blanc de neige, avec réfrigération glaciale des
régions
atteintes : ce sont les phalangettes des doigts
ès mobiles en tel endroit (thorax, abdomen) semblent en telle autre
région
collés sur les os (doigts, articu- lations, omo
découvert de ce côté; absence d'aphasie. La moelle est double à la
région
lombaire, bien que le canal vertébral soit uniq
état normal la moelle allongée de la grenouille beye largement à la
région
dorsale, le cervelet n'en formant que la limite
rétinienne, il s'agit simplement de la compression du globe et des
régions
rétro-oculaires sur la portion orbitaire du nerf
qu'une double section de la moelle pratiquée transversalement à la
région
cervicale et à la région lombaire entraîne la r
la moelle pratiquée transversalement à la région cervicale et à la
région
lombaire entraîne la résorption quasi complète
de la moelle jusque parmi les vestiges des cordons cunéiformes à la
région
du bulbe. Prolifération du tissu interstitiel (
persistant dans l'ataxie. Il peut se faire que la percussion de la
région
sous-rotulienne pro- voque un réflexe du tricep
tement efficace est la fara- disation méthodique et prolongée de la
région
précordiale et de la partie postérieure du thor
rs des muscles droits, et sur le membre inférieur : dans toutes ces
régions
l'analgésie est complète, et l'on peut sans éve
e part en part avec des épingles la peau du malade. Dans toutes ces
régions
aussi, la sensibilité aux températures est abso
temps reparaître l'anesthésie, qui commence à se reproduire par une
région
localisée variable avec les sujets, et n'ayant
, ou inversement. Ces faits semblent indiquer qu'il existe dans des
régions
indé- terminées de l'encéphale des centres sens
ses, et on peut se convaincre que ce n'est qu'au niveau des petites
régions
dou- loureuses, que nous venons de localiser, q
ires par la sensibilité spéciale que l'on constate sur une petite
région
de 2 centimètres de diamètre environ de chaque cô
voque le réveil, tout comme si on pressait sur l'abdomen dans la
région
ovarienne. On ne peut pas produire le même phéno-
imple, pour le côté droit. - A, Pelote de caoutchouc répondant à la
région
ovarienne. B, Point d'appui dorsal, bien garni.
-mêmes sa produc- tion par l'application d'un ou deux doigts sur la
région
ovarienne. Il-n'était donc pas nécessaire de re
Compresseur double. A, A7, Pelotes en caoutchouc répondant aux deux
régions
ovariennes. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE CONTRIBU
s sensiblement modifiée. Au dessus du renflement lombaire, dans les
régions
dorsale et cervicale, ou ne trouve aucune altéra-
nuque une douleur sourde qui s'accompa- gnait d'élancements vers la
région
occipitale; les mouvements de 1 Thorens. -- Doc
ui est en rapport avec la torsion que nous venons de décrire; cette
région
présente, à la palpation, un empâtement profond
froid ne donne lieu qu'à une sensation de contact, sauf en quelques
régions
(au niveau des dernières côtes, sur les fesses)
épendre que d'une compression de la moelle épinière au niveau de la
région
cervicale; et l'on peut supposer que la compres
roduire aucun trouble visuel, tandis que la destruction de ces deux
régions
ensemble provoque l'hémianopsie du côté opposé,
sté particulièrement, l'anesthé- sie cutanée peut être limitée à la
région
qui avoisine l'oeil. Quand une lésion cérébrale
ce pourrait bien être parce qu'ils touchaient en ar- rière la même
région
, c'est-à-dire la limite postéro-inférieure de l
rier avait observé que l'intégrité de la vision centrale et de la
région
avoisinante semblait spéciale aux hémaniopsies d'
cales ne peuvent qu'être grossiè- rement localisés en arrière de la
région
motrice ; les lésions centrales siègent aussi a
côté opposé; cette section est faite au-dessus ou à la limite de la
région
lombaire, de manière à laisser le centre ano-sp
tant du début de l'ataxie locomotrice, quand la sclérose atteint la
région
lombaire (Westphal, Erb, Erlenmeyer). Le réflex
t, il est résulté ceci : c'est qu'il existe en effet une très vaste
région
de la face externe et de la face interne du cer
rconvolu- tions ou certaines portions bien circonscrites de la même
région
, dont l'altération entraîne non pas éventuellem
iré. De là résulte encore une notion fort curieuse, à savoir que la
région
coiticale , dont les lésions ne produisent pas
produisent pas de troubles de la motilité, et que l'on peut appeler
région
latente, est beaucoup plus étendue dans l'hémisph
is 24 370 bibliographie. catégories, ou anatomiquement en trois
régions
qu'il appelle : ré- gion latente, région relati
u anatomiquement en trois régions qu'il appelle : ré- gion latente,
région
relative et région absolue. La région latente e
trois régions qu'il appelle : ré- gion latente, région relative et
région
absolue. La région latente est celle dont les a
l appelle : ré- gion latente, région relative et région absolue. La
région
latente est celle dont les altérations patholog
thologiques ne donnent jamais lieu à des symptômes paralytiques. La
région
relative est celle dont la destruction totale o
le ou partielle entraîne quelquefois des troubles moteurs. Enfin la
région
absolue est celle dont les localisations morbid
indifférent. En d'autres tenue ? on peut s'étonner qu'il existe une
région
relative. On comprend néanmoins qu'ilensoitains
ons motrices de l'écorce et des portions non motrices. Or, dans les
régions
cérébrales où siègent les centres de mouvement, l
minels, 226. Amaurose consécutive aux lésions du sourcil ou de la
région
orbi- tawe, par Santos Fernandez, 98. Amblyop
a névroglie dev iennent suffisantes pour activer la nutri- tion des
régions
malades et préviennent le retrait de la névroglie
s plusieurs cas, malgré un pouls de 100 à 120, la température de la
région
axillaire ne s'é- lève qu'el 37° 4, 37° 6 c. ta
habituel- lement lentement et envahit progressivement les diverses
régions
de la face, des membres supérieurs et inférieur
artie inférieure de la face. En général ce sont les muscles de la
région
faciale inférieure qui entrent en jeu avec le p
o ont remarqué que la face présente souvent des rides au niveau des
régions
musculaires agitées par les mouvements anormaux
asmodique que les sujets, atteints d'athétose double, cambrent leur
région
lombaire et forcé- ment présentent une lordose
emier à signaler la possibilité de l'hypertrophie des muscles de la
région
cervicale et des deux bras. Oulmont el Seeligmu
z d'autres dégénérés (1), mais le plus souvent elles portent sur la
région
dorsale : sur 158 épileptiques non hémiplégiques
d'un renversement en arrière de la pointe du coccyx qui donne à la
région
un aspect tout-a-fait particulier. Le nommé G..
squement, sans prodromes, par une douleur obtuse localisée clans la
région
inguinale, pendant que le sujet était à son trava
e semblent nullement épaissis en aucun point et la palpation de ces
régions
ne réveille aucune douleur. Les hanches sont parf
r ce point. La lordose est une rareté, elle paraît se localisera la
région
lombaire. « La cyphose (moins exceptionnelle) e
baire. « La cyphose (moins exceptionnelle) est la plus marquée Ù la
région
cer- vicale, cependant l'exploration du rachis
lie brusque, aucuu accident interrompant cette } régularité. Aucune
région
n'est douloureuse, ni spontanément, ni il la pres
de ce côté. La sensibilité a la piqûre s'est abolie dans les mômes
régions
du membre supérieur gauche. On note également des
es qui surviennent il un certain âge. La courbure occupait toute la
région
dorsale, sauf dans un cas où elle n'intéressait
bétiques des deux hanches. « La coloune ver- tébrale est déviée. La
région
lombaire forme un angle il sommet dirigé eu ar-
stérieures des cornes postérieures pa- raissent sclérosées dans les
régions
dorsale et lombaire. Névrite des racines postér
abès, on constate des arthropathies des genoux et des hanches. « La
région
dorso- lombaire de la colonne vertébrale est le
contribuent pour une bonne part à augmenter la déformation de cette
région
». A l'autopsie, sclérose des cordons postérieu
is. A partir do celle époque, paresthésies variées, surtout dans la
région
lombaire. L'ataxie des jambes date de 1881. Actue
celle crête. Le rachis présente une configuration anormale. Dans la
région
cervicale, efface- ment de la lordose physiolog
thorax. Le sujet étant couché sur le ventre, les modifications des
régions
dorsale in- férieure et lombaire se laissent re
pour une grande part à la production de la cyphose lombaire. En cette
région
, la pression, la percussion provoquent une sens
l'altération osseuse se révèle. Un cra- quement se produit dans la
région
lombaire ; le rachis se déforme, le tronc s'inc
ou moins long. z L'intérêt des signes objectifs se concentre sur la
région
lombaire. C'est le corps de la 50 vertèbre lomb
ssus de la lésion fondamentale, diversement dévié, surtout dans les
régions
lombaire et dorsale inférieure. Nous ne ré- pét
s la déviation n'est pas la seule par- ticularité observée. Dans la
région
lombaire et dorsale inférieure, les apo- physes
n, le rachis peut être légèrement douloureux à la pression dans les
régions
précédentes. Traitement. Kroenig fit porter à s
aille d'origine réflexe (Paris, 1888). (4) Duret, Déformation de la
région
lombaire de nature neuro-musculaire. Cypho-sco-
and elle existe, résulte une asymétrie facilement appréciable de la
région
, un relief exagéré au niveau d'une des gouttièr
ogressant comme intensité, en se montrant surtout violents dans les
régions
ou les extrémités envahies les dernières (Massa
ifs, disséminés et groupés, d'une façon symétrique, sur la peau des
régions
carpiennes et métacarpiennes des deux mains et su
paralysie aux membres inférieurs, aussi bien que son siège dans la
région
lombaire, ré- (1) Maladies du système nerveux.
exploration du rachis, à une hauteur variable, généralement dans la
région
lombaire, des signes qui révèlent v 15 218 NO
e contrac- ture énergique. Enfin, la courbure principale était à la
région
dorsale, or c'est le rachis lombaire qui est po
ei- gnent, à des degrés divers, la substance grise de la moelle. La
région
de la substance grise, frappée dans la maladie
en arrière et présente une ensellure assez marquée au niveau de la
région
lombaire, la tête est immobile, penchée en avan
renouvelées du sens du courant, le glissement des électrodes sur la
région
examinée, la répétition fréquente de l'examen.
ultat d'un travail trop long, de l'existence de circulaires dans la
région
cervi- cale, signalés très nettement dans les o
iquant la tige vibrante sur un point cle la peau assez sensible, la
région
sus-orbitaire par exemple, il produisit, au bou
e pour qu'elles se transmettent d'une façon sensible jusque dans la
région
cer- vicale. 1 Nous ne reviendrons pas sur le
ne sont pas hypertrophiées. La colonne vertébrale présente dans la
région
cervicale inférieure et dorsale supérieure une sc
ain ; à l'avant-bras, anesthésie limitée au coude, très nette sur les
régions
internes des faces antérieure et postérieure. M
orteils ; à la jambe et à la cuisse, l'anesthésie occupe les mêmes
régions
qu'à gau- che. Sensibilité diminuée à la face.
triquement. Aux membres supérieurs, elle est limitée en haut par la
région
du coude. Aux membres inférieurs elle s'élève j
ire dans chacun des deux pieds (nous avons constamment trouvé cette
région
sensible). La distribution de cette anesthésie ne
as toujours trouvé la dissociation syringomyélique. Dans les autres
régions
du corps, la sensibilité générale est normale.
malade distingue la couleur blanche à 80° du périmètre). Dans les
régions
anesthésiques, la sensibilité musculaire et artic
t une légère scoliose, dont la con- vexité regarde à droite dans la
région
dorsale. Ces déformations scolio-cy- photiques
que complètement, d'où des gouttières et des méplats accusés en ces
régions
. Les deux pouces sont sur le même plan que lès
s coupes transversales prati- quées à différentes hauteurs dans les
régions
cervicale, dorsale et lombaire paraît absolumen
fuyant, aplatissement de la partie supérieure du crâne. Saillie des
régions
pariétales. La région occipitale forme une sort
la partie supérieure du crâne. Saillie des régions pariétales. La
région
occipitale forme une sorte d'angle avec la partie
ou mieux du trou auditif; six fois de l'attache du col au bas de la
région
pubienne... Mais la mesure vraiment originale q
ésenter des lésions du foyer, c'est-à-dire collectées dans une même
région
, d'ailleurs plus ou v 22 330 NOUVELLE ICONOGR
DE LA SALPËTIUHHM. moins étendue, et des lésions disséminées en des
régions
très distinctes et parfois très éloignées les u
resthésie généralisée, avec les points hystérogénes suivants : 10
Région
sus et sous-mammaire ; 2° Région pseudo-ovarien
oints hystérogénes suivants : 10 Région sus et sous-mammaire ; 2°
Région
pseudo-ovarienne ; 3° Plusieurs points sur le r
'oreille, de la face etc., en faisant agir le courant induit sur la
région
supérieure du cou. Au contraire, on ne peut se
la protubérance, le cervelet et, en partie, le cerveau. C'est donc la
région
inférieure du cou qu'il faut faradiser pour mod
endent à l'artère vertébrale. On peut poser le rhéophore actif à la
région
cervicale postérieure, à côté de la septième vert
postérieure, à côté de la septième vertèbre cervicale, ou bien à la
région
cervicale inférieure, au-dessus de la clavicule.
cons- trictrices issues du grand sympathique. La faradisation de la
région
cervi- cale inférieure esta un certain degré ef
ne céphalalgie accidentelle laquelle cède à la faradisa- tion de la
région
supérieure du cou pendant quelques minutes. Encou
t le tympan ou l'oreille moyenne en même temps que je faradisais la
région
cervicale supérieure du côté de l'affection.
citation ne se manifeste par aucun phénomène (la faradisation de la
région
supérieure du cou dont nous traitons maintenant
vons constaté une influence énorme de la faradisation modérée de la
région
supérieure du cou sur l'hyperémie du tympan et de
galvanique continu. L'amendement que produit la faradisation de la
région
supérieure du cou n'est pas du tout fugace; il
externe est inévitable. Il ressort donc que la faradisa- tion de la
région
supérieure du cou est indiquée dans l'hyperémie d
étails je me bornerai à mentionner encore que la faradisation de la
région
supérieure du cou est utile dans la prosopalgie
tifient mon hypothèse. Après 3, 5, 10 minutes de faradisation de la
région
supérieure du cou je constate souvent que les mou
essive. C'est dans l'hémiplégie cérébrale que la faradisation de la
région
supé- rieure du cou est indiquée le plus souven
notre traitement. Nous passons maintenant il la faradisation de la
région
inférieure du cou qui contient le troisième gan
re : le pouls radial est dur et ralenti pendant la faradisation de la
région
cervicale inférieure. Est-il possible d'affirme
u tympan était moins prononcée. J'ai posé alors les rhéophores à la
région
supérieure du cou : les restes du tympan et de
considérable. Il était démontré ainsi que le courant passant par la
région
claviculaire peut exciter le grand sympathique
laviculaire peut exciter le grand sympathique à la hauteur de cette
région
. Cependant, comme on le voit, dans ce but il es
irréprocha- bles (1). Le courant circulant dans les tissus de la
région
claviculaire doit exciter aussi les fibres vaso
maladies de cet organe qu'il faut recourir à la faradisation de la
région
claviculaire. Mais je dois dire d'abord quelques
ofiler avidemment de l'occasion de respirer. Un aide per- cutant la
région
sus-épineuse tous les 5, 10 secondes remarque que
t d'autant plus admissible que ce nerf est plus superficiel dans la
région
inférieure du cou que dans sa région supérieure
f est plus superficiel dans la région inférieure du cou que dans sa
région
supérieure. On sait que le pneumo-gastrique est u
buer l'innervation des bronches. L'ef- fet de la faradisation de la
région
claviculaire dans la première phase de la phthi
laire. Dans une période avancée de la maladie la faradisation de la
région
claviculaire n'est que fatigante et tout à fait
n'est que fatigante et tout à fait inutile. La faradisation de la
région
inférieure du cou excitant certaines fibres du
ns les cas de la (1) J'ai démontré l'effet de la faradisation de la
région
claviculaire dans la première phase de la phthi
atégorie qu'on peut attendre des résultats de la faradisation de la
région
claviculaire. Moins la lésion est prononcée, pl
it invétérés. Je n'ai pas besoin de justifier la faradisation de la
région
claviculaire dans la myélite, parce que tout le
rme en m'appuyant sur des faits cliniques que la faradisation de la
région
claviculaire est le moyen le plus puissant pour c
lle épinière parce que je ne puis attribuer à la faradisation de la
région
claviculaire qu'une action vaso-constrictrice.
fibres jusqu'à leurs terminaisons dans les artè- res dilatées de la
région
malade et, il en doit résulter un resserrement de
nne (de Boulogne). Dans le tabes spasmodique, la faradisation de la
région
claviculaire est encore plus efficace que dans
stifier ici le traitement du tabes dorsal par la faradisation de la
région
claviculaire, parce que d'après les auteurs fran-
morbide doit être accompagnée d'une fluxion ; la faradisation de la
région
claviculaire étant un moyen puissant contre l'hyp
e latérale et inférieure se détache seule comme chez la femme, à la
région
sacrée. Les hanches sont larges et le tissu cellu
rmain, 108. 1893 Épilepsie partielle crurale et Tuberculose de la
région
paracentrale (1). Sommaire. — Epilepsie partiel
r phthisie pulmonaire.— Lobule paracentral : définition, limites ; la
région
paracentrale ou crurale du cerveau ; structure, v
ale par destruction, épilepsie partielle crurale par irritation de la
région
paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'épi
épilepsie Jacksonienne; raisons tirées de la vascularisation de cette
région
. Diagnostic des causes de l'épilepsie partielle
stic des causes de l'épilepsie partielle crurale. — Tuberculose de la
région
paracentrale. Présentation d'une observation av
conséquence d'une plaque de méningite tuberculeuse développée sur la
région
du lobule para-central et ayant peut-être envahi
lle-là et pas une autre, qui s'est rencontrée sur le cadavre, dans la
région
paracentrale du côté droit, ainsi que cela devait
onvolutions frontale et pariétale ascendantes, font partie d'une même
région
que l'on pourrait appeler région du lobule'jiarac
ascendantes, font partie d'une même région que l'on pourrait appeler
région
du lobule'jiaracentral. En d'autros termes, cotte
point de vue anatomo-pathologique, les méninges qui recouvrent cette
région
en font partie intégrante. On pourrait, du reste,
égrante. On pourrait, du reste, aussi bien la désigner sous le nom de
région
crurale. C'est en effet, clans toute cette circon
iale : trois branches artérielles importantes viennent irriguer cette
région
et s'y terminer, deux naissent de la sylvienne, e
J'ajouterai seulement que la lésion destructive de l'écorce de cette
région
entraîne ici, comme dans toutes les autres partie
nous faut rechercher maintenant comment la grande fonction de cette
région
paracen-trale a été déterminée. Cette déterminati
t éclairé. Eh bien, on le sait, la connaissance des fonctions de la
région
du lobule paracentral est de date assez récente.
de donner lieu à des monoplégies crurales, en d'autres termes que la
région
corticale présidant aux mouvements du membre infé
ques fourmillements, quelques douleurs dans les lésions limitées à la
région
paracentrale. Mais il y a le plus souvent absence
iption paracentrale, c'est qu'elle s'est étendue en arrière, dans les
régions
où semblent localisés les centres de la sensibili
s-nous maintenant, de ces connaissances relatives aux fonctions de la
région
du lobule paracentral, déduire, jusqu'à un certai
ie observée dans les diverses altérations qui viendront frapper cette
région
? Oui, assurément, puisque ces connaissances ne s
s inerte, soupçonnez l'hystérie et non pas une lésion organique de la
région
du lobule para-central. Lorsque la lésion est s
épilepsie-là relève, comme la monoplégie crurale, d'une lésion de la
région
du lobule paracentral. De même, l'épilepsie comme
le, et, pour ne parler que du mode crural, puisqu'il s'agit ici de la
région
paracen-trale, je puis vous rappeler une observat
ues d'épilepsie Bravais-Jacksonienne. Ici, tandis qu'une partie de la
région
paracentrale est détruite, l'autre est simplement
sont maintenant les lésions qui peuvent plus ou moins se limiter à la
région
du lobule paracentral et donner naissance à la sy
ens de vous le dire, vous pourrez rencontrer, localisées à cette même
région
para-centrale, les lésions les plus variées. Sans
cers, psammomes, etc.) (6), de syphilis cérébrale (7), intéressant la
région
du lobule paracentral. Mais, je le répète, ce son
ans la protubérance, dans le cervelet, dans lo centro ovale, dans les
régions
corticales. Mais, dans ce dernier cas, il s'agit
éningite anormalo frappant la zone psycho-motrice et de préférence la
région
paracentrale. Et je ne tiens pas compte ici des f
se comme conséquence d'une thrombose ou d'une embolie vulgaires. La
région
du lobule paracentral est, semble-t-il, un lieu d
tte méningite on plaques ne puisse se rencontrer ailleurs que dans la
région
du lobule paracentral. Je sais qu'on peut voir de
est plus rare et que le plus souvent c'est une plaque située dans la
région
para-centrale que vous trouverez à l'autopsie. En
la raison de cette prédilection de la tuberculose méningée pour cette
région
, je vous répondrai qu'elle semble commandée par c
letins de la Société anatomique (1). La voici en quelques mots : La
région
paracentrale, point culminant, sommet de l'hémisp
e la cérébrale antérieure, contribuent à son irrigation. Aucune autre
région
de l'hémisphère, à égalité de surface, ne posséde
rales. Or, trois de ces branches sur dix se rendraient à cette petite
région
paracentrale. Cette multiplicité de sources artér
s la raison de l'apport plus fréquent du bacille tuberculeux en cette
région
? D'autre part, la circulation semble ralentie
'autre part, la circulation semble ralentie à ce niveau. En effet, la
région
du lobule paracentral reçoit précisément les arbo
que l'on accepte (l) Souques et J.-B. Charcot. — Tuberculose de lu
région
paracentrale. — Fréquence et raisons anatomiques
rtériels. Donc, cette disposition du système artériel au niveau de la
région
paracentrale et ces conditions mécaniques plaider
plaideraient en faveur d'un ralentissement de la circulation en cette
région
et partant favoriseraient le dépôt des bacilles e
mme vous, que cette fréquence des localisations tuberculeuses dans la
région
paracentrale est en rapport avec les conditions c
rapport avec les conditions circulatoires très particulières de cette
région
. Tout le long et de chaque côté du sinus longitud
égie et Fépilepsie partielle crurale dérivent de la tuberculose de la
région
paracentrale. Si l'épilepsie partielle crurale
miliaire. Or, le mal n'était point là, mais dans l'encéphale, sur la
région
du lobule paracentral des deux côtés, et c'est av
malade est atteint do crises convulsives dues à une localisation à la
région
paracentrale, et se rapprochant de façon à déterm
insi, l'intérêt pratique qui s'attache à l'histoire des lésions de la
région
du lobule paracentral et en particulier des lésio
us ses autres points,qu'une seule lésionbien circonscrite,occupant la
région
paracentraie. En ce point, la dure-mère, la (l)
ment dit, en un mot, d'une manière très exacte, toute l'étendue de la
région
paracentrale. (Voir pl. I les figures schématique
centres moteurs : Un agglomérat tuberculeux se forme, au niveau de la
région
paracentrale, constitué par la confluence de gran
lisation cérébrale des mouvements du membre inférieur au niveau de la
région
du lobule paracentral. De l'influence des excit
llaires, par des attouchements sur le vertex, par la pression dans la
région
de la fosse iliaque des deux côtés. Au début on p
visuel, point hystéro-gène au vertex, hystéro-frénateur dans les deux
régions
ovariennes. Elle a eu autrefois des attaques de c
qui la coupe profitant de ce qu'elle est toute seule. Piqûres à la
région
précordiale.-- « Monsieur,laissez-moi, s'il vous
térogène se rencontrant chez un hys-téro-traumatique, au niveau de la
région
qui a été le siège du traumatisme, plaie ou contu
r le sommet de la tête ; elles sont arrêtées par la compression de la
région
ovarienne droite. La malade présente en outre des
e ceux qu'elle a dans ses attaques ordinaires de choree rhythmée. Les
régions
spas-mogènes et spasmo-frénatrices qu'elle présen
rien pendant son délire ; il en est de même pour la compression de la
région
ovarienne droite, qui, dans l'état ordinaire, arr
nous remettons la malade dans son état normal en lui comprimant la
région
ovarienne et en maintenant cette compression à l'
s montent ou descendent. Si l'on fait des piqûres d'épingle dans la
région
du cœur : « Monsieur, laissez-moi, s'il vous plaî
le que les piqûres ont toujours donné les mêmes résultats suivant les
régions
sur lesquelles elles portaient. A plusieurs mois
idée de guêpes, celles de la poitrine l'idée du serpent, celles de la
région
précordiale l'idée de cœur percé, celles de la pa
côté. Enfin il existe deux zones hystérogènes situées, l'une dans la
région
iliaque gauche, l'autre au-dessus du mamelon gauc
s tziganes, ce sont les bohèmes de la musique !... » On comprime la
région
pseudo-ovarienne droite. Le malade a quelques mou
est restée du côté droit. Le point hystéro-gène qui occupait hier la
région
pseudo-ovarienne du côté droit n'est plus sensibl
ay s'est aperçu que la sensibilité persistait en deux points : « à la
région
latérale moyenne du col, de chaque côté, et au mê
ue côté, et au même niveau dans la gorge... Le contact sur une de ces
régions
, avec le doigt ou autre chose à l'extérieur (une
érées ayant amené un certain degré d'anémie et d'un traumatisme de la
région
hypo-gastrique, les premiers symptômes hystérique
oints hystérogènes, l'un au niveau du vertex, l'autre au niveau de la
région
ovarienne droite. Fig. 7. — Champ visuel de Mar
dans l'œil droit ; des douleurs névralgiques se sont montrées dans la
région
mastoïdienne gauche. C'est pour cette amblyopie q
cesse sa main appliquée contre l'oreille. Cette douleur siège dans la
région
mastoïdienne du côté gauche. Elle a un foyer maxi
itre.) Les autres symptômes n'ont pas varié sauf la névralgie de la
région
. mastoïdienne qui a disparu spontanément dans les
st porteur de psoriasis depuis trente ans et en a eu dans différentes
régions
. Pollakiurie et polyurie modérées avec polyphag
rtaine dans l'obscurité. Douleurs en ceinture pas très nettes dans la
région
abdominale inférieure ainsi que dans la région do
as très nettes dans la région abdominale inférieure ainsi que dans la
région
dorsale. Les urines et les selles sont si impérie
e Graux sont : qu'il existe surleplancher du quatrième ventricule une
région
très limitée (emimentia, teres, noyau de la sixiè
u plancher du quatrième ventricule. Dans sa moitié supérieure cette
région
est asymétrique : le côté droit est plus large, p
ues des préparations elles-mêmes. Il existe deux tubercules dans la
région
bulbo-protubéran-tielle, étage moyen du lobe droi
tubercule supérieur. Latéralement ils occupent la partie droite de la
région
, mais débordent un peu sur la ligne médiane, dans
du moteur oculaire externe droit, dont il n'existe plus de trace. La
région
du noyau gauche correspondant n'est pas encore af
veux présentent des altérations qui sont surtout remarquables dans la
région
où la pyramide est partiellement envahie par le t
e à proprement parler ; les pyramides n'ont pas dégénéré, et dans les
régions
du bulbe situées au-dessous de la lésion, pas plu
citabilité pour certains muscles (triceps de la cuisse, muscles de la
région
postérieure, extenseurs de la jambe), l'inversion
écédés. Consiste en une sensation douloureuse de tiraillement dans la
région
stomacale. La malade n'est pas encore réglée.
, toujours diurnes. Aura : Vertige subit, avec douleur vive dans la
région
frontale. Il se couche par terre pour éviter la c
evient subitement très angoissée, étouffant et portant les mains à la
région
épi-gastrique et au cou. Elle paraît à ce moment
simplement de les produire à l'état naissant par la pression sur les
régions
ovariennes, gastrique, mammaires, etc., ainsi que
semaines). Aura consistant en une sensation de constriction dans la
région
stomacale, remontant à la gorge sans l'étouffer ;
à l'aide du marteau de Skoda sur certaines apophyses épineuses de la
région
cervicale et lombaire mises à nu, je provoque non
S MATIÈRES XXIV. Epilepsie partielle crurale et tuberculose de la
région
paracentrale. Sommaire. — Bpilepsie partielle c
r phthisie pulmonaire. — Lobule paracentral : définition, limites; la
région
paracentrale ou crurale du cerveau; structure, va
ale par destruction, épilepsie partielle crurale par irritation de la
région
paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'épi
pilepsie jacksonnienne; raisons tirées de la vascularisation de cette
région
. Diagnostic des causes de l'épilepsie partielle
stic des causes de l'épilepsie partielle crurale. — Tuberculose de la
région
paracentrale. Présentation d'une observation av
1, 162, 190. o Oculaire : zone hystérogène —,84. P Paracentral (
région
et lobule), 3 ; Structure, vascularisation du —
es et réclame des sangsues. On lui applique quatre sangsues dans la
région
mastoïdienne et on laisse couler le sang assez
tention malveillante. Presque continuelle- ment, je ressens dans la
région
précordiale une douleur légère et sourde, une g
une vive sensa- tion de douleur de tête, parfois circonscrite à la
région
occipitale, ou s'irradiant vers les yeux et en
à la palpation, des muscles de l'oreille, des yeux, du front, de la
région
naso-labiale, innervés par le facial droit ains
vio- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 1 lentes qui, dépassant la
région
de la face, s'étendent à la nuque, à l'occiput,
période et cependant il a constaté la présence d'escarres dans des
régions
où le décubitus lie pouvait déterminer de press
st-à-dire que les fonctions du cerveau varient avec les différentes
régions
de cet organe. L'anatomie, non seulement ne pou
e, suivant Golgi, si cette hétérogénéité fonctionnelle des diverses
régions
du cerveau correspond à des variétés de forme e
s variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces
régions
. La physiologie ne met pas en doute qu'entre le
rveau et de la moelle, et les rapports fonctionnels des différentes
régions
du système nerveux. Malheureusement, les plus c
ntre les cellules, considérées individuellement, et les différentes
régions
de l'écorce, ces rapports fonctionnels dont il fa
fonctionnels quirelient les éléments cellu- laires des différentes
régions
de l'écorce cérébrale. Les fibres de la premièr
les. Quant au con- sensus physiologique que l'on constate entre les
régions
sensitives ou sensitivo-motrices, et les région
constate entre les régions sensitives ou sensitivo-motrices, et les
régions
sensorielles de l'écorce cérébrale, Golgi l'exp
ésenteraient seules les condi- tions d'une transmission directe des
régions
centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quan
hysiologique quelconque. Dans 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. toutes les
régions
des cenlres nerveux, les deux types de cellules q
qui existent bien dans toute l'écorce, elles occu- pent surtout les
régions
supérieure et moyenne de l'écorce. Golgi propos
es et des cellules fusi- lormes, plus nombreuses qu'en aucune autre
région
de l'écorce, qui dominent. De même, pour l'étud
e même, pour l'étude de la 0,, Golgi nie que les divisions de cette
région
en sept ou huit couches (Clarke, Meynert, Hugue
ité, pour tout le système nerveux central : Golgi reconnaît que les
régions
motrices et sensitives de la moelle épinière, q
uperflue que celle de Jean-ï Muller, qui attribuait aux différentes
régions
du cerveau des éner- gies fonctionnelles spécif
nctions différentes. La possibilité de ces suppléances des diverses
régions
du cerveau rendrait en tout cas inutile l'hypot
les détruire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres
régions
cérébrales. C'est ce qu'avait cru observer Gudd
» sur la direction et la prédominance de ces prolongements dans des
régions
de l'écorce « où ne se rencontrent point de fibre
onc cru observer chez ceux-ci une « tendance à se porter dans des
régions
où n'existent pas de fibres nerveuses ». Ces régi
orter dans des régions où n'existent pas de fibres nerveuses ». Ces
régions
étaient les couches supérieures de l'écorce du
ielle plus ou moins précise ou ligne de démarcation des différentes
régions
destinées à des fonctions essentiellement diffé
quatre prolongements nerveux, telles qu'en ont signalé en certaines
régions
de l'écorce cérébrale Ramon y Cajal, Kolliker,
XVII. Recherches expérimentales ET : 1VAT0)IOP.1TIIOLOGIQUES sur la
RÉGION
DE LA CALOTTE, LA COUCHE OPTIQUK ET LA RÉGION SOU
ps genouillé interne n'a pas de divisions bien tranchées. Dans la
région
sous-thalamique se trouvent la couche dorsale d
e comme chez les animaux un centre trophique qui se trouve dans une
région
déter- minée de l'écorce cérébrale. Les autres
entiques des deux côtés pour prouver que le message part de la même
région
corticale; mais il semble qu'un système de comm
ssive, menstrues régulières, pas de météo- risme. Hyperesthésie des
régions
ovarienne, mammaire et rachi- dienne. Anesthési
e, sauf pour un courant faradique éner- gique, de toutes les autres
régions
de la peau et des muqueuses accessibles. Champ
lusieurs heures. Il existe une aura ovarienne, la pression de cette
région
provoque et arrête les crises. Réflexes tendine
, car, dans le lobe temporal, elles se dirigent en avant jusqu'à la
région
située immédiatement en dehors et en arrière du
qu'on s'élève. Puis ils quittent le ruban de Réil pour, dans les
régions
plus élevées de la protubérance, s'appliquer au f
e système central du trijumeau. P.IiERAVAL. IV. DE LA SECTION DES
régions
supérieures DE la MOELLE CHEZ LES chiens; par J
uit la moelle, en la liant sans ouvrir la dure-mère au niveau de la
région
dorsale (tout en haut de cette région) ou à la pa
la dure-mère au niveau de la région dorsale (tout en haut de cette
région
) ou à la partie la plus basse de la région cerv
e (tout en haut de cette région) ou à la partie la plus basse de la
région
cervicale (trois échantillons), ou, enfin, entr
la moelle dorsale et la moelle lombaire. Les chiens opérés dans les
régions
hautes de la moelle présentent encore le réflex
t dans l'espèce subi la dégénérescence des- cendante jusque dans la
région
le plus inférieure du cône terminal. On y voit
uel. Tête assez grosse; crâne oval, symétrique, assez développé aux
régions
occipitale et mastoïdienne. 190 RECUEIL DE FA
nes arrondies, les autres ovalaires sur presque tout le dos, sur la
région
trochantérienne droite, de volume variable. 1
oite du tronc, thorax et abdomen, et d'une double incurvation de la
région
dorsale de la colonne vertébrale (fig. 2, 3, 4)
moins large que la gauche. La colonne vertébrale, régulière à la
région
cervicale et à la région lombaire, présente à l
e. La colonne vertébrale, régulière à la région cervicale et à la
région
lombaire, présente à la. région dorsale une incur
lière à la région cervicale et à la région lombaire, présente à la.
région
dorsale une incurvation à convexité postérieure
sorte d'épilepsie larvée : mais l'épilepsie est très rare dans ces
régions
, et, de plus, les hommes seuls sont, en général,
t-il pas plus probable que le trijumeau innerve une portion de la
région
cervicale, soit par ses branches mentonnières, so
sseadmettre, selon Cajal, que * l'exercice mental suscite, dans les
régions
céré- brales les plus sollicitées, un plus gran
a substance grise. Les fibres de projection provenant de toutes les
régions
de l'écorce, et sans doute de toutes les cellul
s les points, symétriques ou non, de l'hémisphère opposé, sauf à la
région
sphénoidale, où les fibres commissurales consti
association peuvent mettre en rapport une cellule de telle ou telle
région
de l'écorce avec un grand nombre de cellules si
iations mentales (sensitivo-moteurs, conscients, inconscients); ces
régions
particulières de l'écorce n'offrent aucune struct
ent, grâce à leur extrême longueur, les excitations ner- veuses des
régions
les plus diverses au moyen de leur corps et de
let. L'épaisseur de cette couche varie entre 0,003 et 0,03 selon la
région
du cerveau et l'âge de l'individu. Dans la viei
e d'une altération marquée de lasensibilité cutanée au niveau de la
région
affectée, symptôme qui est tout à fait exceptio
paraissent avoir eu surtout une cause mécanique, le gonflement des
régions
indiquées. Le traitement thyroïdien n'a donné q
u absents. Dans les deux cas de l'auteur où la lésion siégeait à la
région
cervicale, il y avait du myosis et de l'aboliti
, considérés par Oppenheim comme caractéristiques des tumeurs de la
région
frontale. De pareils cas d'artério-sclérose peu
en partie dans la psychiatrie. Ce courant, qui a envahi toutes les
régions
de sciences, qui sont en rapport direct ou indi
Mais, il existe une forme caractéris- tique de neurones pour chaque
région
du système nerveux ; par exemple, les cellules
drites fins, qui se ramifient et se terminent librement. Dans cette
région
, c'est- à-dire dans la couche supérieure de l'é
rpuscules nerveux environnants, entrent en contact avec différentes
régions
de l'écorce cérébrale, du cerveau en géné- ral,
ins cylindraxes qui servent à transmettre les impulsions dans les
régions
sous-jacentes du système nerveux central et qui
orce cérébrale, dans cette dernière passent les ondes nerveuses des
régions
infé- rieures du système nerveux central. Nous
té dans tous les sens de nombreuses ramifications, descend dans les
régions
sous-jacentes du système nerveux. Nous ne savon
faire la descrip- tion, bien qu'elle présente dans ses différentes
régions
quel- ques déviations du plan général. Ainsi, l
manière. Nous pouvons admettre que les cellules situées dans deux
régions
éloignées l'une de l'autre, de l'écorce cérébrale
succinct des recherches de Flechsig sur les connexions des diverses
régions
de l'écorce cérébrale entre elles et avec les m
ons antérieures. Les centres d'association sont donc les véritables
régions
de l'écorce qui concourent à la vie intel- lect
provoquée très probablement par une tumeur siégeant au niveau.de la
région
sus-claviculaire.. Ce qui donne à ce cas une ph
lo-cutané du côté gauche. Comme il existe de la sensibilité dans la
région
du point sus-clavi- culaire des deux côtés et q
en virgule » qui s'étend dans le cordon postérieur tout le long des
régions
cervicale et dorsale et dont la dégénérescence
e, mais il n'a pas été suivi par les auteurs cités au-dessous de la
région
dorsale (neuvième vertèbre dorsale). Un doute per
réellement sa terminaison en ce point ou s'il se retrouvait dans la
région
lombo- sacrée sous forme de dégénérescence diff
Gombault et Phi- lippe seuls avaient signalé un cas dans lequel la
région
dorsale présentait la dégénérescence classique
présentait la dégénérescence classique du faisceau en virgule et la
région
lombo-sacrée une bande mince de dégénérescence oc
la dégénérescence ascendante totale des cordons postérieurs dans la
région
lombo-sacrée avait laissé indemnes précisément
la région lombo-sacrée avait laissé indemnes précisément ces mêmes
régions
de fibres qui dégé- nèrent de haut en bas dans
d'affirmer l'existence d'un filet descendant déter- miné dans cette
région
. Mais était-ce la suite du faisceau en vir- gul
t un point élevé de la moelle, ici la lésion est plus voisine de la
région
lombaire. Il s'agit d'une fracture de la douziè
la dégénérescence continue du faisceau en virgule tout le long des
régions
cervicale et dorsale et s'arrêtant à la région
le tout le long des régions cervicale et dorsale et s'arrêtant à la
région
lombaire (douzième racine dorsale) où il se per
champ ovale de Flechsic- et d'autre part la dégénérescence, dans la
région
lombo-sacrée, de la bandelette du sillon et de
isceau pouvait dans ce cas être pour- suivi en haut au-dessus de la
région
lombaire jusqu'à la région cer- vicale, mais il
être pour- suivi en haut au-dessus de la région lombaire jusqu'à la
région
cer- vicale, mais il était dans ces parties sup
y a un faisceau descendant distinct dans le cordon postérieur à la
région
lombo-sacrée; 2° ce faisceau existe aussi, mais
n continuité directe avec les fibres des racines postérieures de la
région
correspon- dante, qu'il est indépendant du fais
he, anesthésie et analgésie au niveau du pouce blessé et dans les
régions
voisines). Pas d'amélioration. Le malade s'est su
e question, il faut encore tenir compte des différences suivant les
régions
. A Marburg, par exemple, nous ne pourrions inte
es délirantes persistent : on constate des douleurs au niveau de la
région
sacrée et des jambes, des vertiges, puis des vo
auche, et durant celle dernière année elle ressentit des maux il la
région
sacrée, dans le membre inférieur gauche, à l'omop
cle grand dorsal; plus fort les muscles obliques de l'ab- domen, la
région
du nerf cutané fémoral médian et interne, la ja
n et interne, la jambe et le bord intérieur du pied et très fort la
région
de la fesse droite, la surface postérieure de l
face postérieure de la cuisse, la partie extérieure de la jambe, la
région
dorsale du pied et le bord extérieur de la plan
bord extérieur de la plante; les tissus cutanés et sous-cutanés des
régions
: indiquées sont aussi atrophiés. Une légère
n de la vie, au bout d'un mois, atrophie musculaire surtout dans la
région
des grandes articulations; les réflexes ten- di
u bulbe et du cervelet. Le néo- plasme était plus développé dans la
région
des tuméfactions et à la surface postérieure de
moelle. Le tissu médullaire n'était pas altéré et seulement dans la
région
du vermis inférieur la tumeur pénétrait dans la
conséquent un crâne plagiocéphale ou oblique ovalaire. En effet la
région
postérieure latérale droite qui comprend une pa
ipital (fig. 8), au lieu de présenter la même forme arrondie que la
région
opposée, est aplatie et reproduit la forme de l
s éléments de tissu. Le caractère peu accusé de ces lésions dans la
région
sacrée explique l'intégrité des sphincters; et l'
; puis ensuite paralysie et atrophie du deltoïde, des muscles de la
région
radiale et de l'éminence thénar à gauche, avec
pendant quelques semaines, des douleurs violentes siégeant dans la
région
sacro-lombaire la contraignirent à se mettre au
tonnées surtout dans la jambe droite; parésie très marquée dans la
région
péronière droite, le muscle tibial antérieur exce
érale. Paralysie totale de la vessie et du rectum. Douleurs dans la
région
abdominale ; la pres- sion est douloureuse au n
usqu'au niveau des sixième et septième racines dorsales, et dans la
région
de la plus forte com- pression elle atteint le
moelle, dilatation du canal central dans la partie supérieure de la
région
dorsale. Deuxième cas. Il s'agit d'une fillette
olonne vertébrale. On fit une ponction à l'aide d'une aiguille à la
région
pariétale de la tête, on retira 140 centimètres c
ur grisâtre et à demi transparente. Dans la partie inférieure de la
région
dorsale la substance blanche est réduite, tandis
cas (hydrocéphalie interne et spina bifida) le canal central de la
région
lombaire avait un aspect d'une large fente, qui
n forme de tube. Elle était close dans la partie supérieure de la
région
dorsale et communiquait au milieu de son étendue
vient le centre ovale de Flechsig et le faisceau triangulaire de la
région
sacrée et du cône terminal postéro-latéral pour
. Le système endogène ascendant, mois bien individualisé, occupe la
région
cornu-commissurale, surtout au niveau des renfl
ar les D'S Hamel et A. Marie, méde- cins des asiles d'aliénés de la
région
de Paris. 1 vol. de 258 p. Ernest Flammarion. P
r les - d'habitude, par Boehmert, 247. Calotte. Recherches sur la
région
de la -, par Mouakow, 118. Caries. Diagnostic
13 septembre, apparaît une céphalée intense siégeant au niveau des
régions
occipitale et temporale droite, en même temps s
amen macroscopique montre bien bien qu'il s'agit d'un sarcome de la
région
optique inférieure droite avec compression du p
de plus, quelle que soit leur durée, elles n'envahissent jamais la
région
des faisceaux endogènes, en particulier celle d
pprochés du ganglion, si bien qu'elle atteint son maximum dans la
région
immédiatement préganglionnaire, comme MM. Cl. P
ette question. Auparavant, je tiens encore à vous dire que d'autres
régions
10 CLINIQUE NERVEUSE. 1 de la moelle peuvent
s d'émergence en pleine substance grise, même quelques fibres de la
région
du faisceau pyramidal croisé. Mais toutes ces l
e processus histologique est sensiblement le même partout, dans les
régions
sensitives et postérieures comme, dans les régi
tout, dans les régions sensitives et postérieures comme, dans les
régions
motrices et antérieures de la moelle. Dans chaque
être conduit de la grande cavité sous-arachnoïdienne jusque dans la
région
pré et périganglionnaire. L'examen histologique
giques, se croient autorisés à admettre l'envahissement de toute la
région
préganglionnaire par un liquide céphalo-rachidi
out résumer d'un mot, il y a une véritable hydropisie de toute la
région
pré et périganglionnaire, consécutivement à l'exc
e l'angoisse et comme si quelque chose l'oppressait (il montre la''
région
épi¡ ! astri4ue), il disait qu'il devient fou, qu
visme très accentué dans sa ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. -2't
région
psychomotrice. Le malade ne fait jamais aucun mou
ance des troubles moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans la
région
psycho- motrice, qui nous donne le droit de rec
ndement, si même nous admettons que l'excitation primitive part des
régions
sensorielles, tout de même alors on reçoit des
mptôme de prédominence des centres sous-corticaux et spinaux sur la
région
corti- cale. C'est justement l'écorce cérébra
à part en forme d'un symptôme local, avec une localisation- dans la
région
psycho-motrice. Si ce n'est pas un symptôme de
r l'in- suffisance de l'innervation des centres corticaux dans la
région
psychomotrice, et à présent, grâce aux conditions
ales. Il cite même un cas où la colonne de Rurdach était saine à la
région
lombaire, alors que la continuation des mêmes f
la région lombaire, alors que la continuation des mêmes fibres à la
région
cervicale où elles forment la colonne de Goll,
qui démontre qu'un même faisceau de fibres peut être sain dans une
région
de la moelle et malade dans une autre. Bien plu
lacement de second ordre destinés à transmettre les excitations des
régions
axiales aux régions éloignées du centre, dans l
rdre destinés à transmettre les excitations des régions axiales aux
régions
éloignées du centre, dans le cas, par exemple,
hialrü, VI, 11101). I. Une large destruction bilatérale de toute la
région
du lobe piriforme, ou lobe de l'hippocampe, pro
errier, Luciani et Senpdh). -II La destruction de toutes les autres
régions
de l'écorce (frontales, pariétales, temporales,
ent. Ce trouble disparaît dès le deuxième ou troisième jour. IV. La
région
olfactive de la face inférieure du cerveau (renfl
plus vite il se rétablit, grâce à la suppléance des par- ties de la
région
olfactive non lésées. VI. Les centres propres de
orat ne demeure très longtemps affaibli que lorsqu'on a détruit ces
régions
. Détruit-on les parties ântéru-externes ou post
es et en impressions agréables. VIII. L'excitation l'aradique de la
région
olfactive, plus exactement delà circonvolution en
se traduit par une contraction de la narine correspondante. IX. La
région
olfactive n'a pas de relation directe avec la rég
ndante. IX. La région olfactive n'a pas de relation directe avec la
région
du goût; la destruction de la région de l'odora
as de relation directe avec la région du goût; la destruction de la
région
de l'odorat ne modifie point du tout le goût; m
it au n° 4, que l'odorat soit un peu affaibli quand on a détruit la
région
du goût. " P. KEIIA. VAL. X. Des modifications
e la cuisse, près de l'aine, au-dessous du pli inguinal, on voit la
région
sus-inguinale s'affaisser par suite de la contrac
guinale s'affaisser par suite de la contrac- tion des muscles de la
région
abdominale inférieure, du segment inférieur du
s. Le faisceau interne du cordon latéral est partout intact. 9. Des
régions
corti- 56 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
ontales, motrices, pariétales et occipitales), c'est l'écorce de la
région
pariétale qui présente les altérations les plus
(Obozrénié psi- - chiatrii. VII, 1902). , Quand on frappe snr la
région
acromiale du bras et sur l'apo- physe coracoïde
dans les hémiplégies fonctionnelles. La percussion répétée de la
région
acromiale du bras délermine parfois de la douleur
étnièue, n° 3. 1902. Tumeur de la grosseur du poing, implantée à la
région
frontale droite, surplombant une face à peine f
eté du siège de l'encéphalocèle qui se produit le plus souvent à la
région
occipitale. R. C. XXII. La vie biologique d'un
placées surtout à la partie postérieure de la portion caudale de la
région
postérieure. Le groupement qui représente les m
es vien- nentse placer au dessus de lui occupant ainsi peu à peu la
région
postérieure et externe du groupe latéral. Tandi
externe des mem- bres inférieurs, une hypoesthésie totale des mêmes
régions
, une exagération des réflexes rotuliens et achi
Lésions anatomiques constatées à l'autopsie : ramollissement de la
région
calcarine gauche résultant de l'oblitération de l
L'auteur pense qu'une trépanation primordiale, en vue d'explorer la
région
malade, ne peut, en tant qu'opération être nuisib
du cordon de Burdach. Ces lésions étaient surtout intenses dans la
région
cer- vicale, elles vont en diminuant à mesure q
mesure qu'on descend, jusqu'à disparaître complètement au bas de la
région
lombaire ; les racines postérieures sont partou
pour produire une sensation chez les tabétiques, sauf sur certaines
régions
déterminées. Le liquide céphalo-rachidien des p
ion fransverse, ni dégénérations fasciculaires, prédominant dans la
région
dorsale inférieure, en regard d'un vieux nodule l
é supérieure gauche de la protubérance, empiétant légèrement sur la
région
des pédoncules cérébraux, et en outre un tuberc
bution géographique du goitre, du crétinisme et de l'épilepsie. Les
régions
les plus fertiles en épileptiques sont stériles
itre chez les épileptiques adolescents ou jeunes adultes dans cette
région
où le goitre est encore assez commun et l'idée
et de l'épilepsie et voici ce que j'ai trouvé : Epilepsie. « Les
régions
arctiques sont un des foyers de pré- dilection
ince de Liège, du Ilainaut, dans la Flandre occidentale et dans les
régions
monteuses du Luxembourg. Le Danemark et la Norv
tés. , En France, ainsi que nous le verrons encore plus loin, les
régions
qui comptent le plus d'épileptiques n'ont ni crét
le goitre et le crétinisme sembleraient donc n'abonder que dans les
régions
où l'épi- lepsie est le plus rare et réciproque
ns les dix-huit corps d'armée dont l'ensemble compose la France. La
région
la moins favorisée est celle du 16e corps (Bézier
tatistique plus probante qu'il a établie non pas par corps d'armée (
région
trop étendue) mais par chefs-lieux de subdivisi
armée (région trop étendue) mais par chefs-lieux de subdivisions de
régions
, constate que ce sont, en somme, les départemen
centre de la France qui four- nissent le plus d'épileptiques et les
régions
les plus voisines de la Méditerranée. Le goit
ans la population épileptique. Après avoir rappelé que j'habite une
région
où les goitres étaient autrefois très nombreux,
pas plus nombreuses qu'aujourd'hui. Mais, aujourd'hui, dans la même
région
, je fais cette remarque, absolument manifeste e
orce des circonvolutions temporales, V, centre visuel, écorce de la
région
calcannienne ; T, centre tactile {sensibilité g
lcannienne ; T, centre tactile {sensibilité générale), écorce de la
région
périrolandique : : ^ . K. centre kinéique (mouv
ique : : ^ . K. centre kinéique (mouvements généraux), écorce de la
région
pértrolandultue; I, centre de la parole, écorce
rchiquement différenciés bien que situés par hypothèse dans la même
région
: écorce cérébrale du lobe préfrontal. - Sur
t la représentation dans la con- science de quelques troubles de la
région
. Sensibilité génitale : on lui introduit un fil
niques au pharynx, à l'oeso- phage, de paralysies musculaires de la
région
. La dysphagie psy- chique en rapport avec un ét
es cornes antérieures de la moelle, avec un maximum au niveau de la
région
lombaire. Les nerfs des membres inférieurs sont
ules. Cette méningite est diffuse, nodulaire par places, comme à la
région
cervicale et à l'origine du trijumeau droit. El
ntes des attaques, le terrain épileptogène serait constitué par les
régions
méningo-corlicales de l'encéphale, ainsi qu'on
e une réaction motrice, mais réaction qui sera limitée à une petite
région
seulement, puisque, l'exci- tation méningo-céré
ns localisées à la suite d'une irritation très limitée d'une petite
région
méningo-corticale du cerveau, par exemple, et d
laissent place à aucun doute. G. DENY. XL11. Des réflexes dans les
régions
de la face et de la tête; par W.-M. BECHTEREW.
hement généralement faible des paupières, lorsqu'on frappe toute la
région
frontotemporale et l'ar- cade zygomatique, se p
un ramollissement du cerveau en rapport avec des tuber- cules de la
région
motrice de l'écorce de l'hémisphère gauche; il
ce qu'on n'a pu encore expliquer comment une atteinte portée à une
région
limitée du système nerveux, pouvait inter- romp
nt s'est pro- pagé jusqu'au bas de la moelle et a épargné certaines
régions
bulbaires. Cette invulnérabilité des circuits à
e la première racine lombaire (il ne subsistait, en effet, en cette
région
que de rares fibres dans les cor- dons postérie
aissent relever d'une imprégnation directe des filets nerveux de la
région
par les toxines de l'érysipèle. M. IIusr cite u
mmuniquent un cas d'hémiplégie gauche produite par une tumeur de la
région
pariétale faisantcorps avec l'os. , Dysantigr
pel atavique d'un type de Pygmées, type qui aurait disparu dans nos
régions
depuis le milieu environ de l'ère chrétienne.
d'un cancer, mais plutôt une mélanodernie accentuée, surtout sur la
région
ab- dominale et au cou. Par contre les muqueuse
. Par contre les muqueuses sont d'une coloration normale. Dans la
région
de la cicatrice opératoire, on perçoit une indu
adénopathies multiples, mobiles le plus souvent, aux aînés, à la
région
axillaire opposée, à la région cervicale. ' Pre
les le plus souvent, aux aînés, à la région axillaire opposée, à la
région
cervicale. ' Prenons maintenant les membres en
atique et de ses branches est très doulou- reux. Pareillement, la
région
trochantérienne est extrêmement , sensible (noy
action de dégénérescence et une parésie très peu prononcée dans les
régions
innervées par le mus- culo-cutané alors que le
auche une absence de murmure respiratoire, on entend seulement à la
région
du hile un souffle profond à timbre amphorique.
- mum, atelectasique et fibreux à son sommet. Toute la base et la
région
du hile sont envahis par un cancer massif, ramo
ellulaires des cornes antérieures de la moelle, en rapport avec les
régions
plus particulièrement éprouvées par la carcinos
is bien plutôt parce que ce groupement en plexus se fait dans des
régions
particulièrement exposées aux localisations can
ment dès le début de leur évolution, envahir les ganglions de cette
région
. La veine axillaire est presque toujours prise
. Vous comprendrez aisément()lI'en raison deson long trajet dans la
région
du cou et dans le médiastin, c'est du pneumogas
se peut se faire un peu partout, vers la fente sphénoïdale, dans la
région
de l'orbite, au pourtour du trou occipital; mai
ur appui à celle ma- nière de voir; et, peut-être est-ce dans cette
région
latérale du rachis, par un mécanisme toujours à
te adhérence avec la dure- mère. - Mêmes lésions plus légères, à la
région
cervicale. L'examen histologique montrait nette
es du 'type Aran-Duchenne, mais accompagnées de paralysies d'autres
régions
. Villaret2 cite de même Gowers qui a décrit la
elle. Le 20 juin 1902 il se plaint de douleurs névralgiques dans la
région
ilio-lombaire droite, douleurs sans grand carac
dans les deux derniers doigts de la main droite et au niveau de la
région
correspondante au cinquième métacar- pien. Cet
roid plus ou moins accusée suivant les moments. L'examen de cette
région
montre la perte de la sensibilité au contact et
u froid et au chaud est au contraire bien con- servée. Dans la même
région
le malade éprouve, comme nous l'avons déjà indi
à celles du tabes. D'une façon régulière la fracture siège dans une
région
où la peau présentait antérieurement des troubl
Le foyer occupait une des moitiés du bulbe, envahissait toute la
région
comprise entre l'olive qui est entamée par places
ec les fibres qui vont au cervelet ou qui en viennent. Telle est la
région
bulbaire supérieure dans laquelle l'olive, les
malade avait perdu le sens de posi- tion de ses membres. Enfin, la
région
sacrée était le siège d'une énorme escarre très
re très profonde et entourée d'un oedème s'étendant au loin sur les
régions
voisines. Il y avait suivant la règle, une inco
et des valvules aortiques. Crises an- goissantes nocturnes dans la
région
précordiale. Grippe. Mort par pneumonie. Ons.
ite diffuse présentaient des foyers nettement circonscrits dans les
régions
pariétales, avec maxima d'intensité dans les ci
l'oie et des reins et un épaississement de la valvule mitrale. A la
région
frontale, on trouvait, disséminés, des cysticer
ants, caractérisés par une kératodermie tranchant nettement sur les
régions
saines voisines. - Anesthésie acoustique. M.
s ganglions altérées et, cela d'autant plus, qu'on se rapproche des
régions
lombaire et sacrée. 11 y a surtout disparition
ère de la sclérose des autres tissus par le peu de rétraction de la
région
malade, ce qui ne peut être dû qu'à l'élasticit
e jacksonienne et on vit apparaître une hémiplégie avec aphasie. La
région
pariétale gauche présentait une plaie contuse.
e courant vient de l'arrêter. Il ressent alors une angoisse dans la
région
précordiale et il lui semble qu'il vient d'être
e de « folie raison- nante » était associée aux néoplasmes de cette
région
; mais d'autres auteurs pensent qu'au point de v
ique survenue dix ans plus tard. Trépanation, gliome kystique de la
région
motrice droite, amélioration. M. L... fait rema
sous la dépendance de foyers en évolution de méningo-myélite de la
région
dorsale. Dans l'autre cas, les lésions des co
lexes, dépendant non seulement d'un foyer de méningo- myélite de la
région
dorsale, mais encore d'une sclérose, descen- da
flement cervical entre les 6° et 80 segments, d'autre part dans la
région
lombaire moyenne et inférieure. Ces foyers avai
de mourut, et à l'autopsie on constata une myélite luétique dans la
région
dorsale inférieure et une grosse gomme dans la
rieure de la moelle épinière et le cerveau, mais les centres de la
région
sacrée ont été éloignés de la communication avec
général, il y a dans le cerveau du malade une lésion spéciale des
régions
qui ont un rapport à la représentation du temps.
echerche du - chez les névrosés, par Sclnytler, 236. Des dans les
régions
de la face et de la tête, parRechterew, 237.
opsie. Gliome du bord antérieur gauche du cervelet com- primant les
régions
voisines du cerveau, du cervelet et de la p1'Ulzc
porte les traces, à son entrée à l'Asile (coups de rasoir, dans la
région
sus-hyoïdienne). État actuel. Marie B... se tie
icroscopique de la moelle n'a pu être pratiqué jusqu'ici que sur la
région
cervicale supérieure, et dans ce point nous avo
meau. Ces différents signes indiquaient une tumeur située dans la
région
du facial et du trijumeau. Les troubles subjectif
rite optique double. M. Brissaud .diagnostiqua une tumeur « dans la
région
du corps restiforme gauche et plus exactement e
d'affirmer presque à coup sûr que la tumeur devait atteindre cette
région
de la protubérance, ce que l'autopsie a confirm
nscience, une hyperhémie fonctionnelle est indispen- sable, dans la
région
des dendrites et des fibres cylindraxiles, qui
me vitesse de cer- taines dendrites aux autres, c'est-à-dire, d'une
région
de l'écorce cérébrale à une autre. L'observat
es de l'écorce cérébrale; mais peut se rapporter aussi à toutes les
régions
du système nerveux périphérique et central. Nous
cerveau qui sont accompagnées de démence. La présence dans cette
région
d'une tumeur qui grossit gra- duellement et aug
toute proba- bilité, son influence nuisible tout d'abord sur cette
région
de l'écorce cérébrale, laquelle, d'après notre
sections douées chacune d'une certaine indépendance ; l'une de ces
régions
est en rap- port plus intime avec la première m
pliquer l'étude des neurones à l'explication des phéno- mènes de la
région
de la vie psychique normale et de la sphère psy
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 43 réveillée par de violentes douleurs à la
région
épigastrique. Elle veut se lever, mais sa jambe
bés par les bruits musculaires et on ne les entend même pas dans la
région
du sternum; le plétysmo- graphe ne démontre pas
e des tumeurs est typique quant aux méninges et aux vaisseaux des
régions
voisines de la moelle épinière, ils présentent au
postérieures dans la moelle épinière, plus marquée surtout dans les
régions
dorsales et cervicales ; une alté- ration dans
3° un procès inflam- matoire aigu à caractère hémorragique dans la
région
de la protu- bérance et des pédoncules cérébrau
rticularités locales, du mécanisme anatomique vas- culaire dans ces
régions
. En outre ce cas confirme l'opinion que le même
s peut provoquer des procès morbides en même temps dans différentes
régions
du système nerveux, et prouvent la possi- bilit
lement auprès du foyer morbide, mais encore dans différentes autres
régions
du système nerveux central. M. `ŸEIDENH11)1GR
es extraordinaires, mais qu'explique l'anatomie topographique de la
région
. C'est ainsi que le professeur Raymond a pu mon
aires des muscles exten- seurs, ces centres se trouveraient dans la
région
cervicale de la moelle. Ce travail, comme tou
n des sommets les plus faciles et ayant le plus beau panorama de la
région
. Nota. - La visite des monuments de Toulouse et
isée du tabes, il y a cependant des lésions ailleurs, dans d'autres
régions
: ainsi, la ménin- gite spinale chronique, tell
at hypocondriaque dépendrait spécialement des altérations dans la
région
des sensations corporelles (Iürperfülilspliare),
II. SY31TOU1TOLOG1E des lésions (tumeurs ET abcès) intéressant la
RÉGION
préfrontale du cerveau; par WILLIASON. (111'ain,
symptomatologie moins bien définie que celle des lésions des autres
régions
cérébrales donnerait d'après Bianchi les conclu-
allèle à la F2 et inclus dans la substance blanche ; à droite, môme
région
, deux petits sarcomes sous la F' et F2 et deux
tres plus petits sous la F2. Intégrité absolue de toutes les autres
régions
. 2° Homme, dix-neuf ans, après une influenza ma
a face in- terne du même lobe du côté opposé, mais n'atteint pas la
région
des noyaux, tout le reste de l'encéphale indemn
ent parles connexions spéciales et importantes qui relient ces deux
régions
en apparence éloignées. Cependant les phénomènes
uses de la face et des bras. Douleurs vives et hyperalgésie dans la
région
supérieure du rachis, perte graduelle de la sensi
de substance cérébrale, ou jusqu'aux interventions portant sur des
régions
périphériques éloignées, sources réflexes des a
ature. Ses examens ont porté sur les racines et les ganglions de la
région
lombaire, ainsi que sur les portions de la moel
prouver R. de MUSGRAVE CLAY. 1V.);SSAIS d'excitation électrique des
régions
du cerveau, président aux mouvements du tronc E
expériences d'extirpation et d'excitation par l'électricité de ces
régions
ont donné des résultats incertains et contradic
s le but de contrôler celles de Munk (extirpation et excitation des
régions
corticales) ne lui ont pas fait constater que l
onsiste en ce que c'est un crétinisme avec goitre alors que dans la
région
le crétinisme s'observe générale- ment sans goi
le soin de supporter le fardeau d'une lutte plus difficile dans les
régions
parlementaires et gouvernementales, nous avons fa
Archives, 2e série, t. IV. 12 178 pathologie NERVEUSE. · de la
région
'sensitive de la moelle, comprenant les cordons
aires de la maladie; à ce titre, le tabès reste une affection de la
région
sensitive de la moelle. DES LOCALISATIONS MED
de plus, ces fibres occupent, suivant les étages de la moelle, des
régions
diverses. Tout cela doit forcément entraîner un
st facilement reconnaissable; il se détache en blanc sur les autres
régions
noires, qui sont saines (procédé de Wuigert-Pal).
rieurs (zones pointillées). Toutefois, il n'atteint pas en avant la
région
cornu-commissurale (b'), et il finit en dedans,
Ces figures demi-schématiques représentent les champs radiculaires (
régions
pointillées) et les champs endogènes (régions q
champs radiculaires (régions pointillées) et les champs endogènes (
régions
quadrillées) aux principaux étages de la moelle.
s postérieurs (a'"). B, zone de Lissauer ; D, cordons latéraux ; E,
région
périépen- dymaire. Les champs endogènes sont
Les champs endogènes sont : les descendants (b), variables à chaque
région
, sacrée, lombaire, dorsale, etc. Les ascendants (
nfin, en d" nous rencontrons le tiers posté- rieur des bandelettes,
région
importante à signaler, puis- qu'elle renferme t
culaire -obéit aux mêmes lois d'agencement général ,que celui des
régions
sacrée et lombaire; mais il faut noter l'interpos
moelle, depuis le bulbe jusqu'au cône terminal; mais il occupe une
région
différente, suivant l'étage considéré ; en d'au
radicu- laires, sur une coupe transversale de la moelle. Dans la
région
cervicale et dorsale, il s'appelle plus spécia-
; son extrémité postérieure est souvent renflée (fig. 9). Dans la
région
lombaire, le faisceau endogène descendant se pl
u cordon postérieur, sous forme d'une bande décolorée au milieu des
régions
saines qui sont noires (procédé de lVeigert-Pal).
, mais sans lui donner sa vraie signification (l'tg. 5, 6). Dans la
région
sacrée, le faisceau descendant reste situé tout
ée par une bandelette périphérique spéciale (fig. 6, 7) située à la
région
dorsale inférieure. Cette bandelette borde la p
haque fascicule nouveau paraît prendre naissance, au moins pour les
régions
cervicale et dorsale, dans les cellules de cord
acrée et lombaire. La moitié postérieure est seule représentée. Les
régions
noires (cordons latéraux) sont saines ; les- régi
représentée. Les régions noires (cordons latéraux) sont saines ; les-
régions
décolorées sont malades au prorata de leur déco
es des cordons postérieurs, représentées en pointillé distinct. Les
régions
des cordons et des. cornes postérieures ont été s
centre ovale, bandelette périphérique, virgule de Sclmlsr, suivant la
région
; en 4', zones endogènes ascendantes (région co
de Sclmlsr, suivant la région ; en 4', zones endogènes ascendantes (
région
coriia-coiiiiiiissurale). Fit. 11. Au niveau de
out autre tissu; en consé- quence, par les cordons postérieurs, les
régions
saines appa- raissent noires sur les coupes tra
ions saines appa- raissent noires sur les coupes transversales. Les
régions
malades, au contraire, sont plus ou moins décol
canisme bien établi par Pierret dans son travail- fondamental. A la
région
lombaire, ses fibres constitutives sont détruit
int de pénétration, et, cependant, ce cordon était sclérosé dans la
région
cervicale. La seule conclusion à tirer de ces c
stater un processus sensiblement ana- logue, quelles que soient les
régions
examinées (zones exo- gènes ou endogènes). Là a
dans le côté droit de la face, et s'aperçut en même temps que cette
région
restait insensible. Gowers, qui vit la malade d
gée de cinquante-neuf ans. - On trouva simultanément sur toutes les
régions
de la peau, une grande quantité de vésicules d'
dème, rétrécissement du champ visuel des deux yeux, surtout dans sa
région
supérieureetinférieure. L'auteur insiste princi
lle redoutait le croup, car une petite épi- démie sévissait dans la
région
. L'enfant perdait la voix subitement, il ne pou
ôt qu'il commence à être falsifié. Son action s'adresse surtout aux
régions
sous-cervicales et bulbaires. Il est capable de
e a conservé une très grande cécité de la vue, ce qui prouve que la
région
du cerveau qui correspond à la macula (coin, l1
ifs à un coup de pied de cheval reçu sur la partie antérieure de la
région
frontale. Troubles mentaux consécutifs, état ma
lle paraît légèrement atteinte dans les faisceaux descen- dants, la
région
antéro-latérale et le cérébelleux direct. La lési
de Laveran. La rate était toujours grosse. M. CULIèRE habite une
région
marécageuse (Charente), il voit beaucoup de pal
la vie du sujet. Le 19 mars 1896, M. Péan fit une craniectomie à la
région
tem- poro-pariétale gauche ; 10 centimètres de
le de la pie-mère, véritable apoplexie ; elle siège au milieu de la
région
temporale, en avant elle avance sur 342 SOCIÉTÉ
sentait une tumeur à la partie supérieure du crâne, au niveau de la
région
inlerpariétale, en avant de la pointe de l'oc-
e se dégénère aussi une petite quantité de fibres, situées dans les
régions
extérieures de la substance réticulaire grise.
èrent en direction descendante ; la première s'épuise au niveau des
régions
inférieures du bulbe, au sur et à mesure de la
descendantes des faisceaux disséminés s'épuisent vers le niveau des
régions
inférieures du pont de Varole. Les fibres ascen
is sortes : 1° La partie principales des fihres se disperse dans la
région
du noyau central de la couche optique; 2° une p
re. La dégénérescence la plus sensible est observée surtout dans la
région
radirulaire des fais- ceaux de Burdach de la pa
cordons autéro-latéraux, exprimée de même principalement dans la
région
cervicale de la moelle épinière. Il faut chercher
malade ressentit un engourdissement dans le petit doigt et dans la
région
de l'hypothénar. En quelques jours apparut une di
de la main, dans le système de la veine basilique droite et dans la
région
du cinquième métacarpien (sans oedème, ni livid
te) ; leur propagation au début était strictement limi- tée dans la
région
d'anesthésie (nerf cubital, nerfs cutané médian
des hémorrha- gies à l'avant-bras; les phlébeclasics envahirent des
régions
plus vastes. Thrombose et calculs disséminés da
e la substance blanche, le corps calleux et la partie médiane de la
région
centrale de l'hé- misphère droit présentent un
d foyer de sclérose en forme de lame triangulaire est situé dans la
région
ventrale de la moelle allongée et du quart post
e la protu- bérance ; en touchant la-substance grise centrale de la
région
pos- térieure du bulbe il s'en éloigne de plus
o-gliose. L'auteur finit son travail en notant la coïncidence de la
région
de la plaque de la moelle allongée avec le bass
ngée reçoit son sang par des artères spino-bulbaires, tandis que la
région
ventrale de la moitié antérieure est vascularis
s des ventricules et des vaisseaux. Les plaques peuvent occuper une
région
vascu- laire.définie. La prolifération de la né
facial droit; lagophthalmie médiocre, atrophie très marquée dans la
région
de la fosse canine sous l'arc zygomatique et da
dans la région de la fosse canine sous l'arc zygomatique et dans la
région
du muscle huccinateur, paralysie complète du cô
malade, il est prêt à admettre comme cause une hémor- ragie dans la
région
du noyau du nerf facial et de la région voisine
se une hémor- ragie dans la région du noyau du nerf facial et de la
région
voisine. D'après l'avis de M. 110R1\ILOFI·, l
de la moelle épinière est en liaison avec les modifications dans la
région
des artères spinales antérieures. M. ORLOWSKY r
inrent une paralysiede toutes les extrémités, des contractures à la
région
des articulations du genou et un idiotisme comp
outes les notabilités électives, administratives et médicales de la
région
. Le deuil était conduit par MM. Jean Camuset et
n supérieure; par M. Isambert, député, au nom des populations de la
région
; par M. Jouanneau, au nom de la ville de Bonne
combien il redoute l'exa- men de la gorge) sera secoué, comme si la
région
huccale et pharyngée était excessivement sensib
ruit ses effets, il se fait plusieurs excoriations dans différentes
régions
du corps, les anciennes cicatrices sont continu
es connexions des voies de projection et d'association des diverses
régions
de l'écorce qu'il faut toujours chercher la rai
s. La cicatrice résultant de l'accident se trouve aux confins des
régions
pariétale et occipitale à 2 centimètres de la lig
d'anormal que le choc, qui est presque imperceptible au toucher. La
région
épigastrique, ainsi que le reste du ventre, est
nel et dans ce cas l'hémorragie se cantonne le plus souvent dans la
région
du processus réticulaire de la corne antérieure
r l'auteur dans les segments situés immédiatement au-dessus de la
région
complètement anesthésiée. Cette zone d'analgésie
dégénératifs se sont éta- blis d'une manière plus spéciale dans la
région
lombaire et cervi- cale que dans la région dors
re plus spéciale dans la région lombaire et cervi- cale que dans la
région
dorsale de la moelle. Dans le nerf crural et ne
tidienne de 5 à 10 milli- grammes en solution. Galezowski fait à la
région
temporale des injections hypodermiques de 5 à 1
tions de l'asile de Dury sont, comme la plupart des bâtiments de la
région
, composées de maçonnerie de hriques et de charp
ns lesquels la lésion cérébrale était bien limitée à un peint de la
région
des centres moteurs dans l'écorce cérébrale. Ces
écutive la plus parfaite, afin d'évi- ter les infiltrations dans la
région
lemporozygomatiquc. Comme le reste de notre tec
c'est une véritable illusion, parce qu'ils ne représentent que des
régions
où s'accentue le maximum de la fonction d'où il
ure occasionnée par une arme à feu dans 520 SOCIÉTÉS SAVANTES. la
région
lemporale droite et dont le projectile élait sort
on assure que, dans la partie antérieure de ce même lobule, dans la
région
du crochet, on rencontre le centre de l'apparei
M. Péan de faire une large craniectomie au côté droit de la tête (
région
temporo-pariétale). Une partie d'os, longue de
worth, 527. Cerveau. Symptomatologie des lé- sions intéressant la
région
pré- fronlaledu -, par \-illiason, 146. Un ca
ordonnier avec les conséquences qu'elle entraine (compression de la
région
hypogastrique,.adduction forcée des cuisses), a
iminués, La sensibilité, au contraire, est altérée : dou- leur à la
région
lombaire, que la pression réveille ou accroît,
one, zone cruro-fessière, qui comprend la partie infé- rieure de la
région
fessière, et une zone ano-périnéo-scrotale, qui
résumer ainsi : paralysie de la vessie et du rectum, anesthésie des
régions
ano-génitales et de la partie moyenne de la fac
ce postérieure de la cuisse ainsi que de la partie inférieure de la
région
fessière corres- pondante. Les nerfs intéressés
rs et en haut. Le grand dorsal est uniformément étendu sur toute la
région
. Entre les muscles spinaux et le grand dentelé
eait au noyau de l'hypoglosse ou au-dessous, par conséquent dans la
région
bulbaire. En résumé, la lésion intéressait à la
u tronc basilaire et destinées aux noyaux d'origine des nerfs de la
région
, il arrive à préciser les rameaux du tronc basi-
IE NERVEUSE. Remarque importante, chez ce malade, les muscles de la
région
sacro-lombaire sont normaux, ce qui semble prou
quement à la faiblesse des muscles fessiers et des muscles de la
région
postérieure de la cuisse, muscles qui sont les ex
lectrodes d'un fort courant faradique des deux côtés du cou dans la
région
du larynx et on pratique la suggestion verbale. E
lésions por- taient surtout sur les cellules du groupe moyen de la
région
dor- sale. Les cellules des ganglions spinaux é
ES places DE médecins adjoints dans LES asiles publics d'aliénés.
Région
de Paris. Jury : le professeür Joffroy, f3eltrudc
f3eltrudc, Dericq, Doutrebente; Pelrucci. 5 places, 7 candidats.
Région
de Lille. Jury : MM. Keraval, Adam, Boiteux, Pill
, Boiteux, Pilleyre, Castiaux, professeur. 5 candidats, 5 places.
Région
de Nancy. Jury : le professeur Simon, VerneL, G
e professeur Simon, VerneL, Gallopain, Guyot; Paris. 4 candidats.
Région
de Lyon. Jury : mu. le professeur Pierret, Lallem
et, Lallemand, Lapoiole, Dumas; Brun. 3 candidats. VARIA. 77 -1
Région
de Montpellier. -Jury : M\i, le professeur Mairet
ry : M\i, le professeur Mairet, Maunier, Rey, Bonbila; Guillemin.
Région
de Bordeaux. Jury : MM. Régis, Caillau, Girma, Do
Jury : MM. Régis, Caillau, Girma, Dour- sout ; Pons. 3 candidats.
Région
de Toulouse. Jury : MM. le professeur André, Nico
aux le 11. Le concours pour le poste de médecin adjoint des asiles (
région
du Nord) s'est terminé par la nomination des qu
liniques ont eu lieu à l'asile d'Armentières. ' Le concours de la
région
de Lyon, qui a été exceptionnellement brillant
es et diagnostic du mal de Bright. Les candidats admis sont pour la
région
de Montpellier : .' MM. CAVALIÉ (1er) et Cossa
Localisation cardiaques du rhumatisme ; fracture de côtes; pour la
région
de Toulouse : 1\IM. Papillon (1er), 1\hIGNAL (2°)
Complications de la fièvre typhoïde, luxations de l'épaule; pour la
région
de Bordeaux : MM. HOUEIX de la Brousse et MAHON (
Artériosclérose ; othématome au point de vue chirurgical; pour la
région
de Nancy (médecins-adjoints) : MM. LEVET (le'), S
pyramidal ; .épreuve orale : Formes cliniques de l'urémie. Pour la
région
de Paris : 11114. Lcaov (1 cr), BARUTH (2e), Co
nous paraissent favorables au concours régional. Dans toutes les
régions
l'un des professeurs de la Faculté de médecine
rieurs que les parties qui sont restées saines, toutes les autres
régions
de ces mêmes cor- dons sont atteintes par ]a dé
Gombault et Philippe. Loc. cil. Fig. 6. 86 ANATOMIE. rieure une
région
médiane et garnie de tubes il myéline ; cette z
aire. La disposition est la même que précédemment, mais en plus des
régions
sus-indiquées les zones radiculaires se peuplent
us contenterons de citer le pas- sage qui a trait à une coupe de la
région
lombaire moyenne, et à celle faite au niveau de
yenne, et à celle faite au niveau de la deuxième paire dorsale. i
Région
lombaire mo/enc.< Lesdcuxzones cornu-commissur
lombaire mo/enc.< Lesdcuxzones cornu-commissurales qui, dans la
région
précédente, se touchaient sur la ligne médiane
tre par le septum médian. Elles sont un peu plus minces que dans la
région
précé- dente. Sur l'extrémité postérieure de ch
lieu une dégénérescence radiculaire ascendante ayant épargné les
régions
que nous étudions. A partir de la 110 paire dorsa
uteur allemand et nous expliquerons comment nous les entendons à la
région
dorsale supérieure et dans les régions inférieu
ent nous les entendons à la région dorsale supérieure et dans les
régions
inférieures où il y a absence de dégénération dan
ieurs. V. Dans ces observations nous étudierons séparément deux
régions
non dégénérées à la suite de compressions radicu-
e filets radiculaires descendants, mais ceux-ci se trouvent dans la
région
moyenne dos cordons posté- rieurs. De plus, de
eaux endogènes anté- rieur ou postérieur. Ils n'en ont surtout à la
région
infé- rieure ni la topographie, ni la longueur
de dégénérescence traumatique, il est impossible d'admettre que les
régions
dégénérées dans le sens descendant ne le fussen
es lésions au niveau de la zone cornu-commissurale et dans d'autres
régions
dont nous repar- lerons. Carl Mayer pense aussi
sur les figures données par ces auteurs. En route les fibres de la
région
anté- rieure disparaissent en partie et sont re
encontrer. C'est effectivement ce qu'a représenté Hoche. Dans les
régions
inférieures de la moelle, seul le faisceau postér
-commissu- rale est saine ; mais au voisinage de la lésion, dans la
région
dorsale supérieure, que voyons-nous ? une dégén
i s'arrête assez tût. Aussi entre la dégénérescence en virgule à la
région
cervicale et la dégénérescence cornu-commissura
e à la région cervicale et la dégénérescence cornu-commissurale des
régions
infé- rieures, nulle différence quant à la sign
rieures, nulle différence quant à la signification; il s'agit de
régions
occupées par des fibres à trajet assez court et q
cône médullaire, d'où le nom de faisceau sulco-commissural. Dans la
région
sacrée nous les avons montrées sulco-cornu- com
ommissurales à partir de DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 95 la
région
lombaire moyenne. 11111. Dé,jerine et Spiller' me
tum vers les cornes postérieures. C'est pour cette raison qu'à la
région
dorsale supérieure et cervicale nous leur assim
ltze, et c'est ce que semblent prouver les figures de Hoche où à la
région
de la virgule de Schultze celle-ci est représen
érieur au niveau du cône terminal ; Sulco-cornu-commissural dans la
région
sacrée; Cornu-commissural à la région lombaire
lco-cornu-commissural dans la région sacrée; Cornu-commissural à la
région
lombaire et dorsale infé- rieure. Plus haut,
ent la partie interne des filets radiculaires qui pénètrent dans la
région
où on les 1 Déjerine et Spiller.- Bulletin de l
é de Biologie, juillet 1895. 96 AN1'r0lZI. considère placées à la
région
cervicale entre les faisceaux de Burdach et de
région cervicale entre les faisceaux de Burdach et de .Goll ; à la
région
sacrée à la partie tout à fait interne du cordo
eure, soit de la périphérie interne, c'est-à-dire du septum. A la
région
cervicale et dorsale supérieure il se trouve à la
ns postérieurs presque au voisinage de l'angle posterouatérieu à la
région
dorsale moyenne il se - 1 ' 1 Dans la zone co
DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 97 1 dirige vers le septum; à la
région
dorsale inférieure il devient t angulaire ayant
isparaît et l'interne cons- titue le centre ovale de Flechsig. A la
région
sacrée le centre se déplace de nouveau en arriè
dans des cas bien observés, on a vu la dégénérescence aller de la
région
cervicale jusqu'à la partie terminale de la moell
rtant quant au nombre de ses fibres avec exception possible pour la
région
tout à fait inférieure de la moelle (cône termi
fait inférieure de la moelle (cône terminal). Une compression de la
région
cervicale ou dorsale supé- rieure se traduira p
ut, on trouve intact également le centre ovale de Flechsig et, à la
région
cervicale seulement, la zone postéro- externe d
ion très pénible de constrictibn 184 , CLINIQUE NERVEUSE. dans la
région
thoracique gauche. Aucun trouble du côté de la
sente subitement une tuméfaction douloureuse au palper de certaines
régions
de la face, ce qui lui donne une physionomie bi
au du canal inguinal. Douleur excessive à la pression, alors que la
région
symé- trique, du côté sain, est absolument indo
moesthésie conservée seulement dans la moitié inférieure de la même
région
. En arrière la sensibilité est limitée à une pe
fut trouvée à l'autopsie, atteinte de pachyméningite localisée à la
région
fronto-pariétale droite. M. A. Voisin donne ens
tranchée incidemment. M. Régis. - Je suis d'avis que dans d'autres
régions
que Paris, l'alcoolisme influe relativement peu
s d'affections antérieures. A l'âge de neuf ans, trau- matisme à la
région
frontale et quelque temps après, à ce niveau (s
centimètres et demi; bosse fronto-pariétale gauche, 3 centimètres;
région
frontale antérieure, 2 centimètres et demi à3 c
; région frontale antérieure, 2 centimètres et demi à3 centimètres.
Région
occipito -pariétale de 8 millimètres à 1 centim
nés tous deux du plexus lombaire ; les mnscles fessiers, ceux de la
région
postérieure de la cuisse, ceux de la jambe et d
ie douloureuse ordinairement très incomplète et limitée à certaines
régions
musculaires, une anesthésie cutanée assez net-
ubles de la sensibilité. La douleur, ordinairement loca- lisée à la
région
sacrée, s'irradie plus ou moins aux membres infé-
tale, le scrotum, la verge ou la vulve, le pourtour de l'anus et la
région
fessière infé- rieure. Elle peut être limitée à
a région fessière infé- rieure. Elle peut être limitée à ces seules
régions
, mais habituelle- ment elle gagne le membre inf
s elle se limite à la face postérieure de la cuisse et de la jambe,
régions
innervées par le nerf petit sciatique émané du
ilité des considérations anatomiques exposées tout d'abord; par les
régions
, par les muscles intéressés, on reconnaît le poin
la maladie il y a deux ans environ par des douleurs vagues dans la
région
lombaire et aux jambes, sur- tout du côté gauch
rent huit à quinze jours. Autre douleur en ceinture au niveau de la
région
lombaire. Hyperesthésie cutanée au niveau de la
émontra que le cubital n'était, en réalité, pas douloureux en cette
région
. A noter que le membre était en partie oedématié
ontant jusqu'au niveau d'un plan passant par l'épigastre ; quelques
régions
ont conservé leur sensibilité normale, d'autres
situés de part et d'autre du sillon médian antérieur au niveau des
régions
cervicale inférieure et dorsale supérieure, le
thésie trouvée de chaque côté du tronc, immédiatement au-dessus des
régions
anesthésiées, la chose est difficile sans le se
de dire que la racine sensitive située immédiatement au-dessus des
régions
lésées de la moelle est respectée dans son traj
rise. Cette donnée explique la disso- ciation de la sensibilité des
régions
inférieures, puisque dans tout l'étage de la lé
qui renfeiment les systèmes commissuraux. L'anesthésie complète des
régions
plus élevées a sa cause dans ce fait, que les i
sa cause dans ce fait, que les impressions sensitives des susdites
régions
aboutissent précisément à l'étage des lésions l
disparu, mais il existe quelques douleurs à type fulgurant dans la
région
occipitale. Les principaux viscères enfin sont
elligence intacte. L'auteur diag- nostique un foyer de myélite à la
région
dorsale, suite d'une infec- tion blennorrhagiqu
lle, qui remonte à trois ans et qui fut marqué par une douleur à la
région
précordiale. Depuis quelque temps, at- taques c
fantine et le langage puéril des sujets porteurs d'une tumeur de la
région
antérieure : il note aussi une tendance au somm
ans le cas en question peut-on penser à une tumeur siégeant dans la
région
antérieure du cerveau ? Ce qui permet de l'admett
la tempe gauche, la sensibilité très accusée à la percussion d'une
région
limitée au niveau de la tempe gauche, les phéno
x membres supérieurs. Rien d'anormal au tronc, excepté une petite
région
anesthésiée des deux côtés de la marge anale. Les
par des fibres blanches, d'autres fibres les réunissent aux autres
régions
corticales, d'autres traversent le corps calleux
mal, après quoi on fait agir divers microbes patliu- gènes dans les
régions
ainsi paralysées, au moyen d'injections sous-cu
ttent leur résidence habituelle, pour aller dans cer- taines aulres
régions
, sont immédiatement prises d'une céphalée pénib
on arrivée, céphalée très douloureuse localisée principalement à la
région
frontale. Quelques prescrip- tions hygiéniques,
n atmosphérique ? Est-elle la conséquence du régime des vents de la
région
laquelle est pour cela insalubre pour certaines
e irritation méningée par une tumeur comprimant ou ayant détruit la
région
de la surdité verbale. Quant au diagnostic du s
ralysies sont très rares ; ils ont d'ordinaire des douleurs dans la
région
du coude gauche et des épaississements périosti
tte association symptomatique permet de conclure à l'atteinte de la
région
de la calotte dans la moitié droite de la protu
région de la calotte dans la moitié droite de la protubérance, à la
région
des noyaux de l'oculomoteur externe et du facia
sque l'oculomoteur externe et le pathétique demeurent intacts. La
région
des pyramides parait envahie le jour suivant. Il
son caractère endémique qui, de temps à autre parait en cer- taines
régions
, telles que Macassar, les Célèbes, revêtir la for
près il tenta de se tuer en se tirant une balle de revolver dans la
région
frontale. La balle glissa et la plaie fut insig
Le cadavre ne présentait extérieurement t rien d'anormal, sauf à la
région
sacrée, où il existait une poche cutanée, qui c
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. et elle a 3 millimètres à la
région
lombaire. Elle est bifurquée au niveau des deux
de décrire la marche de chaque faisceau en le suivant à travers les
régions
qu'il est appelé à unir. Dans ce but Bechteetf
nsi que les faisceaux qui unissent les différentes parties de cette
région
entre elles et avec les autres territoires de l
ompagnée d'aucun autre symptôme qu'un peu d'en- gourdissement de la
région
paralysée. ' La paralysie est limitée, mais ell
Hémianesthesi'6' droite. Rougeur é1'ythémateuse intense de toute la
région
lombaire, z fessière et de la partie postérieur
. L'affaiblissement intellectuel est très pro- noncé. La peau de la
région
fessière est rouge, érythémateuse ; on y voit u
forme; nous la faisons coucher le 20 décembre. Le 25, la peau de la
région
fessière est érythéma- teuse, mais la malade ne
on est intacte; autour de l'ulcère se trouve un bourrelet. Toute la
région
environnante est anesthésiée, nous enfonçons un
oucher. Deux jours plus tard, une érythème intense se forme dans la
région
sacro-fessière, et 5 à G jours après, des phyct
forme, malgré tous les' soins hygiéniques et antiseptiques, dans la
région
sacrée et trochan- térienne droite. - Le 21 jan
tion. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. Contusion à la
région
fessière gauche. » C'est un individu de taille
ibi- lité de la peau environnant les eschares du pied droit. A la
région
fessière et au sacrum, on trouve des plaques cong
date de 1895. Le malade fut pris de très fortes névralgies dans la
région
cervicale et à la nuque. Ces douleurs l'empêcha
panouissent directement en dendrites finales. Les cellules de cette
région
de la couche optique sont indubitable- ment rel
s'être entre-croisées dans le repli. On trouve même dans les autres
régions
du noyau servant à J'inervation de l'organe du
lique et clonus rotulien sinon, ou en cas d'inégale lésion des deux
régions
, il n'y aura pas simultané- ment les deux sympt
on unilatéralité, et surtout son existence, alors que dans d'autres
régions
chez le même malade il n'y a pas la moindre hyp
nent de très constantes relations avec la sensibilité cutanée de la
région
tem- porale de l'oeil du même côté. Un peu moin
eu moins certaine est l'in- fluence de sa partie postérieure sur la
région
du dos du nez et la région maxillaire ; 2° La p
fluence de sa partie postérieure sur la région du dos du nez et la
région
maxillaire ; 2° La partie postérolatérale du fais
( ? ) être en rapport avec l'innervation de la pupille. 3° Dans la
région
de l'entrecroissement des pyramides, on peut av
eut avec certitude distinguer un territoire antérieur destiné il la
région
latérale de l'oeil et un territoire postérieur
e secondaire étant écartée de t 1 cen- timètres, le malade, dans la
région
correspondante du côté droit, ressent d'abord u
LOGIE PATHOLOGIQUES. 55 XI. Du CENTRE DES MUSCLES, DU TRONC DANS LA
RÉGION
SENSITIVE DE l'écorce du cerveau; par M. ROTHMM
vertébrale, qui succèdent, chez eux, à l'excitation électrique des
régions
en question, sont tou- jours secondaires ; elle
déficit qu'ont observés Unverricht et Kusick après avoir extirpé la
région
correspondant aux membres, dans l'expérience co
i dans le bulbe, aucune trace de dégénérescence, tandis que dans la
région
des membres on trou- vait une dégénérescence pa
tile, élément qui peut se trouver isolément supprimé; 2° dans une
région
cutanée où deux contacts ne sont point perçus sép
ution du calibre des gros vaisseaux. Il faut y ajouter l'anémie des
régions
considérées comme centres due aux mêmes modific
onstata un affaiblissement de la mémoire, des maux de tête dans les
régions
frontale, pariétale et occipitale ; la per- cus
; une hémorragie médiocre entre l'arachnoïde et la pie-mère dans la
région
de la scissure de Sylvius et un ramollissement
cas, a trouvé des modifications très marquées des cellules dans la
région
du tronc cérébral, ce qui donne la possibilité
ite pie-mérienne sclé- reuse généralisée, prédominant au niveau des
régions
moyennes de la convexité. Kystes superficiels (
- tant par la main droite, apparition de douleurs localisées a la
région
fronlo-pariétole gauche. Trépanation simple suivi
es nerveuses. Ses bords paraissent flous et se délimitent mal de la
région
péripapillaire dans le secteur temporal. La saill
rmes, et se perdent avant d'atteindre le bord papillaire. Dans la
région
maculaire dépôts punctiformes blanchâtres, à re
s paroxystiques. Mais cette fois elle est bien localisée, occupe la
région
fronto-pariétale gauche, sur une étendue de 8-1
ercussion dans un autre point du crâne produit des douleurs dans la
région
précédente. Il n'y a eu aucune modification objec
ière, mais sans dyspnée notable. Douleur persistant au niveau de la
région
fronto-pariétale. 5 mars. Depuis deux ou trois
to-pariétale. 5 mars. Depuis deux ou trois jours les douleurs de la
région
fronto-pariétale gauche auraient notablement au
pendant beaucoup moins de syphilis en Normandie que dans les autres
régions
? etc. Ceci dit pour établir qu'il n'est pas tr
des appé- tits, représentés par les nerfs seusitifs, devant être la
région
senri- tive du corps située au milieu de l'écor
constatée pendant un moment du côté cubital des deux mains, dans la
région
du nerf cutané moyen. La pupille droite est plu
nuellement. L'anesthésie s'étend au domaine des nerfs sacrés et aux
régions
plus élevées du tronc ; des décubitus se déclar
une cavité centrale, tapissée d'un tissu connectif. Au niveau de la
région
dorsale supérieure, la tumeur ) centrale et la
apparent avec la tumeur, localisée dans la partie centrale de la
région
cervicale supérieure et développée également au m
Nittis; De l'influence de la section de la moelle épinière, dans sa
région
cervicale, sur la réplétion du coeur paralysé par
ctime-avait 172 BIBLIOGRAPHIE. été tuée d'un coup de couteau à la
région
lombaire. L'expert n'avait pas retourné le cada
es taches rougeâtres appelées lividités cadavériques, dans toute la
région
du dos. La circulation arrêtée, le sang s'agglo
se localise surtout aux jambes, aux pieds, parfois aux mains. Les
régions
ichthyosiques sont complètement dépourvues de poi
st que la réunion de fines lamelles formant de petites plaques. Ces
régions
ichthyosiques sont dépourvues de poils. Les ong
bservation XXI. Ongles déformés et colorés. Erythème et acné sur la
région
fessière., Dents expulsées, abrasion des dents.
BLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 181 Sur tout le dos et la
région
fessière existe une rougeur érythé- mateuse où
nt aux tempes. Anesthésie cutanée sur tout le corps, excepté à la
région
fessière. OEdème des mains depuis plusieurs mois.
commencement de 1892, généralisée mais sur- tout au sommet et à la
région
frontale. Les cheveux s'arrachent sans aucune r
e cutanée est complète sur les deux bras, elle n'existe pas dans la
région
dorsale. L'alopécie qui a dû commencer en mai 1
pacité blanchâtre très nette, avec granulations, principalement aux
régions
frontale et pariétale des deux côtés. La pie-mè
tication n'a pu se faire sans enlever des parcelles importantes aux
régions
indiquées. Le sinus frontal gauche était rempli
des cordons postérieurs dans toute leur longueur et au niveau de la
région
lombaire et dorsale en un foyer de dégénérescen
ui se continuait dans les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la
région
dorsale de la moelle. G. D. XLVI. LE mécanisme
de circulation des vaisseaux du visage et du refroidissement de la
région
. P. 11ERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I
erveuses, surtout dans la corne antérieure gauche de la moelle à la
région
lombaire, des lésions identiques à celles signa
ires, une infiltration intense des méninges, en particulier dans la
région
médullaire, et pour- tant, malgré les lésions c
existe sous forme de couche diffuse placée entre le thalamus et la
région
subthalamique en haut, et la décussation des py
dant dix à douze minutes. -Pas trace de la moindre plaie sur aucune
région
du corps, pas de trau- matisme. Diagnostic rigo
s brusquement, à la suite d'un effort, d'une douleur localisée à la
région
lombaire gauche. Quelques semaines après l'acci
s à la périphérie de la cel- lule. Ces lésions très prononcées à la
région
lombaire allaient en s'atténuant de bas en haut
accidents, on fit la trépa- nation et l'ablation d'un gliome de la
région
frontale droite. Il y eut, les jours qui suivir
automatisme ambulatoire peuvent accompagner une com- pression de la
région
frontale, et il est en outre intéressant par se
lâche sans danger, put remettre en liberté le monstre qui occupe la
région
de ses forfaits. » Aucun fait ne peut mieux jus
merveilleusement les questions physio- logiques en rapport avec les
régions
de l'encéphale et les trois plans 'de neurones.
sait des contacts, ou diurnes même à propos du contact de certaines
régions
en particulier du cou et de la nuque. Ces pollu
'hydrocéphalie s'est dévelop- pée surtout en avant aux dépens de la
région
frontale. La scissure de Sylvius, béante, laiss
La scissure de Sylvius, béante, laisse l'msula faire saillie. Cette
région
ne parait pas altérée. Les circonvolutions fron
pariétal supérieur est à peu près normal ; mais le pli courbe et la
région
qui, horizonta- lement, va du pli courbe à la c
hémisphère gauche, au niveau de la zone motrice, de l'insula, de la
région
occipitale suffisent à rendre compte de la para
é par les divers antiseptiques intestinaux qu'on variera suivant la
région
de l'intestin qu'il faudra antiseptiser, les pl
raire, une altération' de la moelle dans toute sa hauteur : dans la
région
lombaire et dorsale le cordon de Goll est presq
envahi, ainsi que la zone de Lissauer et la corne postérieure. A la
région
cervicale, le processus destructif se restreint à
ement la zone de distribu- tion de l'un des filets nerveux de cette
région
. La malade, très émotive, est atteinte d'un lég
olume. Cellules bien conformées mais raréfiées. Sclérose nette à la
région
postérieure des deux lobes. Noyau rouge droit lég
ement sur toute la périphé- rie. Cas 12 : sensation de froid sur la
région
lombaire. (Americcala Journal of insanily, octo
membres du côté opposé à la lésion corticale, lésion portant sur la
région
motrice, un défaut d'incitation motrice volonta
hibitoires qu'exercent les impulsions maladives sur les différentes
régions
de la série psychique se traduisent par l'idée
zetger, X, t89j, 1). t)7. 384 REVUE CRITIQUE. s'étendent dans les
régions
supérieures de l'écorce, elles entrent en conta
ents nerveux d'autres éléments du cervelet. C'est pourtant dans ces
régions
de l'écorce où, suivant Golgi, se trouvaient su
mifications, qui paraît à l'auteur vraiment excessif dans certaines
régions
du névraxe, dans celles où l'on trouve les cell
les uns, de compres- sion pour d'autres, etc., etc., l'eschare des
régions
fessières, sacrée ou trochantériennes, me sembl
Jeune homme de vingt-huit ans. Reçoit deux coups de couteau dans la
région
dorsale. Les deux blessures siègent immédiateme
sparition de quelques- unes d'entre elles, cette zone se montre aux
régions
lombaire et dorsale avec la même forme : dans l
montre aux régions lombaire et dorsale avec la même forme : dans la
région
cervicale, elle parait double dans chaque cordo
uses de ces cellules passent au côté opposé et se dirigent vers les
régions
plus élevées du système nerveux central. Par co
is; il faudrait démontrer que la paralysie générale existe dans une
région
où la syphilis est inconnue. Je ne sais pas si
tomique a démontré l'existence d'un processus inflammatoire dans la
région
supérieure de la moelle épinière s'étendant en
isseaux de la substance grise sont hypérémiés et infiltrés. Dans la
région
de la tige céré- brale le processus pathologiqu
ciennes de la moelle ont provoqué des lésions dégénératives dans la
région
de la tige cérébrale. Si l'on compare le tablea
- pés dans l'espace de dix-huit mois, à savoir : anesthésie de la
région
supérieure du thorax et de la face cubitale des d
égénérations secondaires descen- dantes, on en constate une dans la
région
de la virgule de Schultze sur une étendue de de
l il était exposé en travaillant. Ces douleurs gagnèrent bientôt la
région
dorso-lomhaire, et il y a trois semaines se sont
s sensations tactiles sont moins bien perçues. Mais même dans cette
région
, un contact un peu fort est toujours perçu, mai
e sacrée. La moelle paraît déjà augmentée de volume au niveau de la
région
cervicale inférieure et dorsale supérieure. La
mé, on a l'impression d'une tumeur dont le point de départ a été la
région
cervico-dorsale; c'est là nettement son maximum
secondaires, que nous avons ren- contrés dans toute la pie-mère des
régions
dorso-lomhaireset delà queue de cheval. C'est à
queue de cheval, tandis qu'il manque à peu près totalement dans la
région
cervi- cale supérieure de sa moelle. Jusqu'au
878, XXIV. 454 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. b). Chaùveau ' 1 isolant la
région
cilio-spinale par deux sec- tions transversales
mprendre que des fibres venant de plus haut aient pu franchir cette
région
en échap- pant jusqu'à un certain point à la co
de l'exprimer, le moi ne le perçoit pas ; ces idées viennent d'une
région
de l'âme qui reste dans l'obscurité pour le moi ;
De là celte singulière illusion d'une voix qui a son siège dans la
région
de l'estomac. C'est alors que la dualité devien
rents du goitre exophtalmique. Si cette excitation s'étendait à une
région
un peu plus basse de la chaîne thoracique, elle
d, du cerveau; s'il est cortical, il y a coparticipation soit de la
région
motrice du bras, soit de la région pariétale. L
l y a coparticipation soit de la région motrice du bras, soit de la
région
pariétale. L'atteinte fonc- tionnelle des fibre
orisch- polshy, dleyer. Il est vrai qu'une piqûre d'épingle dans la
région
protubéranlielle du lapin détermine une attaque
ation aux hémisphères cérébraux, et en particulier à l'écorce de la
région
motrice, comme pour les attaques convulsives toxh
même chez les animaux auxquels préalablement on a enlevé toutes les
régions
de l'encéphale situées en avant de la protubéra
du corps restiforme. 3° La lésion du tronc des hémisphères dans la
région
du tubercule quadrijumeau supérieur, à l'endroi
avec le trijumeau. 5° Les lésions de la substance cérébrale dans la
région
de la substance ferrugineuse ne révèle pas les
s sur la subs- tance blanche, interrompra des fibres qui vont de la
région
frontale supérieure ou moyenne à la couche opti
ales, dans la racine antérieure delà couche optique, indique que la
région
pré- fontale est en rapport avec la couche opti
noyau des pyramides, l'olive accessoire, les olives supérieures, la
région
du tubercule quadrijumeau, arriverait à l'étage
quoique le plus souvent pénible, ayant son siège d'élection dans la
région
cervicale, elle se rapproche beaucoup de la pac
eune paysanne de vingt-deux ans, Marie Hellegouacb, célèbre dans la
région
par les stigmates de la Passion qu'elle portait a
e, par Spiller, 315. Cerveau. Centre des muscles du tronc dans la
région
sensitive de l'écorce du -, par Ilothmano, 55.
la nouvelle pathologie spinale ». — La moelle s'y trouve divisée en
régions
beaucoup plus nombreuses que celles reconnues aut
le. C'est là l'œuvre de la méthode anatomo-clinique. Chacune de ces
régions
peut se montrer lésée, isolément, systématiquemen
ée, isolément, systématiquement, comme on dit, sans participation des
régions
voisines, de telle sorte que nous nous trouvons i
le, en quelque sorte, le trouble de fonctions spéciales à chacune des
régions
affectées. On apprend ainsi que les faisceaux pyr
us leur dépendance la nutrition des muscles correspondants; que cette
région
des cornes antérieures n'a rien à faire avec la t
lement une monoplégie si la lésion se circonscrit dans telle ou telle
région
secondaire. Aux lésions irrita-tives de ces mêmes
lle ou telle région secondaire. Aux lésions irrita-tives de ces mêmes
régions
se rattachent les phénomènes de l'épilepsie parti
d'une doctrine arrêtée, concernant le rôle physiologique de diverses
régions
cérébrales. Mais, tels qu'ils sont, ils représent
sidérablement aplatie, comme excavée ; en outre, les muscles de celte
région
sont flasques et sans relief, même au moment d'un
n réflexe exagérée dans toute l'étendue de la moelle, en dehors de la
région
où, au contraire, les cellules motrices sont dans
quelles la sensi bilité est exagérée ; un de ces points répond à la
région
ovarienne, l'autre à la région lombaire, à droite
xagérée ; un de ces points répond à la région ovarienne, l'autre à la
région
lombaire, à droite et à gauche des apophyses épin
etrouvons chez beaucoup d'hystériques et qui peuvent occuper d'autres
régions
que cellesjque nous avons indiquées. Ainsi, H...
nt bregma-tique. Que sont donc ces zones hystérogènes ? ce sont des
régions
du corps plus ou moins circonscrites, au niveau d
phoïde) sous la clavicule {fig. 14), au-dessous des seins et dans les
régions
ovariennes, chez la femme, à la région inguinale
dessous des seins et dans les régions ovariennes, chez la femme, à la
région
inguinale chez l'homme ; en arrière {fig. 13), en
entre les deux épaules, quelquefois à l'angle de l'omoplate, dans la
région
lombaire, à droite ou à gauche de la ligne médian
tesse, de battement des tempes, d'une sensation de boule qui va de la
région
précordiale au larynx, Qu'elles soient spontanées
u'il présente trois zones hystérogènes (bregma, fosse iliaque gauche,
région
lombaire). Le point bregmatique est le plus sensi
ue chez la femme; mais chez lui les points d'élection sont surtout la
région
bregmatique, l'un des côtés de la poitrine ou de
l'acci- dent que les jours qui ont suivi il ne s'est produit sur la
région
fessière ni ecchymose, ni tuméfaction. Si vous
être simultanément soumis au choc. Bien que les traumatismes de la
région
fessière ne soient pas rares, tant s'en faut1, il
ée au plus haut degré ; un sentiment de barre douloureuse occupant la
région
lombaire des deuxcôlés vint à s'établir et persis
ste une lésion qu'on peut même localiser jusqu'à un certain point. La
région
désignée est celle où l'expérimentation (Goltz, B
ation (Goltz, Badge) place le centre des réflexes vési-caux, et cette
région
occupe l'extrémité inférieure du renflement lomba
des quatre dernières paires sacrées. Vous savez que, dans ces mêmes
régions
, les expériences auxquelles je fais allusion plac
certain point le degré de la lésion spinale. Celle-ci occupe donc la
région
lom baire inférieure, d'après toutes les circonst
ensibilité ; mais les cornes antérieures le sont certainement dans la
région
qui correspond à l'origine des branches du plexus
, et, 5 ans plus tard, une tumeur commença à se développer dans cette
région
; la tumeur s'ulcéra, et, il y a 18 mois, la mala
nt : un peu plus tard, il y a 3 mois, survinrent des douleurs dans la
région
lombo-sacrée, qui ne se manifestaient que quand l
marche, ainsi que la sensibilité à la pression et à la percussion des
régions
lombaire et sacrée. Le pronostic découle de cette
al que l'on peut retrouver jusqu'à la partie la plus inférieure de la
région
lombaire. Cette esquisse anatomo-pathologique,
tement qui a surtout consisté en application de pointes de feu sur la
région
spinale soit spontanément, il s'est fait une réso
t de déterminer dans les tissus péri-articulaires du genou et dans la
région
du creux poplité une induration et une rétraction
ants : a) la douleur avant de se généraliser occupe habituellement la
région
frontale droite, un peu au-dessus du sourcil ; b)
se cérébrale d'origine corticale, la lésion occupe à peu près la même
région
que celle que nous indiquions tout à l'heure, com
e du champ \isuel de P.... le 3 avril 1883 cerveau, c'est-à-dire la
région
du lobule pariétal inférieur, les deux phénomènes
à la circonvolution de Broca, siège de la lésion de l'aphasie, et aux
régions
où semblent devoir être localisées et la cécité v
ère pariétale, et, en conséquence, le tissu nerveux a subi dans cette
région
des altérations plus ou moins profondes, auxquell
tre que ces groupes divers de souvenirs ont leur siège dans certaines
régions
déterminées de l'encéphale, et il s'ajoute aux pr
troubles suivants : Souvent, après le dîner, elle ressentait dans la
région
de l'estomac une sorte de gonflement avec pulsati
urviennent spontanément, elles débutent par un sentiment de gêne à la
région
épigastrique et par des battements de cœur; quelq
e cercle qui interrompt la monotonie de l'attaque. La pression sur la
région
ovarienne droite fait cesser la crise et alors, p
te, variable, car les jours suivants, l'insensibilité se bornait à la
région
médiane du front et du nez. Le reste du tégument
agression nocturne. Il reçut un coup de couteau sur la tête, dans la
région
pariétale droite, tomba sans connaissance, fut dé
té découvertes : deux d'entre elles occupent à droite et à gauche les
régions
sous-mammaires; la troisième existe dans la régio
e et à gauche les régions sous-mammaires; la troisième existe dans la
région
iliaque droite; de ce côté, cependant, la pressio
prenant son point de départ dans le testicule droit, remonte vers les
régions
épigastrique et cardiaque, puis à la gorge où ell
tions strumeuses, à savoir: écoulements d'oreilles, ganglions dans la
région
mastoïdienne. 11 est intelligent, d'un caractère
nditions normales. Il n'existe qu'un point hystérogène : il occupe la
région
iliaque gauche. Aujourd'hui encore, bien que la m
pant en avant presque toute la surface de l'abdomen et en arrière les
régions
des omoplates, les fesses, le creux poplité, la p
—du traumatisme. Nous étions frappé, d'ailleurs, de voir la peau des
régions
carotidiennes soulevée par des battements artérie
peu sur le creux sous-claviculaire, en avant, le tiers externe de la
région
de l'omoplate, en arrière. L'insensibilité s'éten
, en effet, une située sous le sein gauche, une autre sur chacune des
régions
iliaques, une autre enfin sur le testicule droit.
omme chez notre malade, mais d'un choc violent portant sur cette même
région
, produit par la chute d'une poutre volumineuse et
e elle remonte encore moins haut. En arrière, elle dépasse à peine la
région
du coude, de telle sorte que la partie postérieur
ne de la 1. .V l'exception de la brancha communicante du 4e nerf.
région
métacarpienne. Voilà, certes, une disposition qui
ion concomitante des cornes postérieures de substance grise, dans les
régions
correspondantes de la moelle, pourrait sans doute
ion portant exclusivement sur l'une des cornes antérieures et sur une
région
très limitée de la partie la plus postérieure de
eu plus près l'hypothèse d'une lésion cérébrale en foyer. Dans quelle
région
des hémisphères cérébraux une lésion de ce genre
restée limitée exactement aux centres moteurs, sans empiéter sur les
régions
limitrophes du lobe pariétal, ces divers troubles
érogènes, l'une située sous le sein gauche, une autre sur chacune des
régions
iliaques, une autre enfin sur le testicule droit.
elle la pièce des armures du XVIe siècle, destinée à protéger cette
région
. Par en haut, la ligne qui limite l'anesthés„ie c
de 4 ou 5 travers de doigt, le long de la par- tie axillaire de la
région
thoracique. En arrière (A.'), elle prend une dire
e l'épaule et déterminé tout simplement en frappant brusquement cette
région
— bien entendu avec une force modérée, — à l'aide
ccrue, il s'est produit un retour de la sensibilité cutanée, dans une
région
très peu étendue, il est vrai, au niveau de l'épa
ouloureux qu'une pression même intense exercée profondément sur cette
région
. — La nuit, les individus atteints de coxalgie or
genou, cette douleur s'exagère quand on exerce une pression sur ces
régions
, quand on imprime des mouvements au membre, quand
rigoureuse du mot, hémianesthésique du côté gauche, à part certaines
régions
où. la peau est non-seulement sensible, mais enco
xemple, d'un foyer de myélite partielle siégeant vers le milieu de la
région
dorsale et intéressant plus ou moins profondément
En pareil cas, l'anesthésie des membres inférieurs s'étendrait sur la
région
inférieure de l'abdomen, et se délimiterait, on l
lésion organique en foyer siégant, par exemple, vers le milieu de la
région
dorsale et intéressant plus ou moins profondément
ine un léger sentiment d'engourdissement très passager et limité à la
région
contuse ; tandis que, suivant toute probabilité,
dans laquelle le centre de l'arc diastaltique est représenté par lies
régions
de l'écorce grise où s'opèrent physiologiquement
de ce genre, ces centres peuvent être mis enjeu, sans que les autres
régions
de Yorgane psychique en soientavertiesetappeléesà
ement de l'épaule et une vaste ecchymose qui s'étend sur l'épaule, la
région
sous-claviculaire et une partie de la face. Le me
droit; au bout d'une minute, la sensibilité était revenue dans cette
région
(sans transfert), une minute plus tard, la sensib
et pour le froid. Il existe un certain degré d'hyperesthésie dans la
région
dorso-lombaire ; mais pas de véritables points hy
sonnels. Cependant la malade se plaignait souvent de douleurs dans la
région
ovarienne droite. Le 9 avril à 10 h. 1/2 du soi
ou plutôt à une hystérie dont une des manifestations avait envahi la
région
laryngée et, en particulier, les muscles tenseurs
biles, ils pourraient réussir. Après avoir visité la Californie et la
région
méridionale de notre pays, la malade partit de no
gèncs au-dessous et en dehors du mamelon gau che, ainsi que dans la
région
ovarienne correspondante. Hémia-nesthésie complèt
e phénomène viendra s'y joindre, le malade ne percevra plus par celte
région
du cerveau, par le centre visuel commun les impre
i semble qu'un arc de cercle se resserre douloureusement dans cette
région
. Par moments, cette douleur devient tout à fait
e juin suivant. Il se plaignait alors d'une douleur siégeant à la
région
frontale et grande, disait-il, comme .une pièce d
ADOLESCENTS. 7 conversation. La douleur est nettement limitée à la
région
frontale. Jamais elle ne s'élève au delà du fro
rontale. Jamais elle ne s'élève au delà du front, ou ne s'étend aux
régions
latérales ou postérieures de la tête. L'explorati
it. L'enfant se plaint d'une douleur, dont il fixe le siège dans la
région
frontale, et qui, dit-il, ne dépasse point la ra-
tend un peu vers le sommet de la tète, mais elle ne gagne jamais la
région
occipitale. L'enfant comp arc cette douleur à u
ellement et n'occupaient, même au plus fort des souffrances, que la
région
frontale. Il passa sa convalescence à Pau et pu
e même ^avec lui, durant un certain ,temps, et alors explorer les
régions
diverses de son intelligence, son- der.les dive
u moins .dans le. Midi et dans les; grande ? ,vilIésl' den, cette,¡,
région
.. Sansncontredit 1 : h9.oljs} ! leJt.Jbysté ! '
il I. La description , résumée du cerveau montre que, en maintes
régions
, on observe un état foetal ? ? II. Dans ce cas,
y W n y 1rf·,ior I .i3fl : 4· La'reproduction du mouvement dans les
régions
cutanéeslque Tnous'avons examinéés,;les conditi
ement 1 excitabilité de la substance grise. 1".Áprès'avÓir'eit'{]es
régions
dttesmotneesducerveau, il l'wiésthé'sic ''local
/'l'PJ[Tnl],"i r¡"f;nl"[1 IH rroij 1 Dans.deux cas, au milieu de la
région
dorsale et au cou, 1 auteur a observé sur,la li
ned;éclièc,'doit tn·faiteo3 fond ef`po;ôq fey';isenbil'Irjélu2 ' là
région
malade ? 18 ''l'WI' ™ 1 'l'ff;.>q ';<r>
volutions du cervelet, devenu jaune-blan- châtre. Induration de ces
régions
; réduction des zones corticales atrophie de l'o
rieurs' de' la moitié ? droite''de la 1 protubérance ; il occupe la
région
correspondante de l'étage supérieur 'du pédoÍ1c
it au pédoncule 'cérébral : l'altération 'ne dépasse pas en haut la
région
des tuber- 'cules'quadrijumeaux inférieurs, mai
laire avoisinante, les1 pyramides' sont demeurées intactes. Dans'la
région
inférieure de la moelle allongée (entrecroi- .
! duo phénomène "du''genouJ de l'expârisiÓn : .Jd6fJa lésion» à la
région
lombaire ; il'admet qu'elle puisse être le premie
ne leslOn¡affectant les partlCs de l'encéphale supérieures' a cette
région
. Lette dérogation a la loi de Prévost et Lâûdouzy
hauteur de l'entrecroisement dans les cordons antéro-latéraux as la
région
dorsale inférieure et sur la limite,,des zones, l
ez quelques hystériques, il existe sur certains points du corps des
régions
(zones érogénes)' 1 qui ne sont pas sans analog
l'anatomie pathologique, permet de loca- liser cet endroit dans la
région
du cerveau moyen; il faut expli- quer ces paral
spontanés, un type particulier ; suivant ce type, telles ou telles
régions
sont plus ou moins réduites à néant. Aussi, est-i
'J *» 3 les lobes ironiaux; 1a- : zit : cz 2 si » z ' > * 5 la
région
de l'insula et son pourtour;- " ," -n 5 du sill
e dans les départements corticaux des artères cérébra- les (dans la
région
de la sylvienne principalement) ; l'hydrocépha-
uemment alliée à l'absence de la faculté du langage ; 6° quand l'es
régions
motrice ? de l'écorce sont atteintes, il existe t
face postérieure de la moelle dans les deux tiers inférieurs de la
région
dorsale. Atrophie des racines postérieures au m
aire des cordons postérieurs. très appréciable sur les coupes de la
région
dorsale de la moelle; teinte grise limitée aux
sale de la moelle; teinte grise limitée aux cordons de Goll dans la
région
cervicale; bulbe, protubérance et encéphale sai
nerfs périphériques paraissent sains Les racines postérieures de la
région
dorsale seules sont mani- festement altérées :
nnes. - L'examen a porté sur deux paires de racines provenant de la
région
dorsale supérieure et sur deux paires provenant
érieures sont loin d'être aussi altérées que leurs congénères de la
région
dorsale. La plupart de leurs fibres sont revêtu
te chute, il com- mença à ressentir des douleurs qui, partant de la
région
lom- baire de la colonne vertébrale, s'irradiai
es douleurs et ses abcès, que le malade devint bossu. Peu à peu, la
région
dorsale de la co- lonne vertébrale s'incurva de
malade se plaint d'une douleur contusive, profonde, qui part de la
région
lombaire, s'étend vers l'abdomen en longeant le
ment le soir et la nuit. Elle ne s'étend jamais à la verge. Sur les
régions
cutanées qu'elle occupe, la peau a ses caractèr
és. Le 16 juin, une troisième eschare est apparue au niveau de la
région
trochantérienne droite. Dans le point corresponda
urs. Le lendemain, une quatrième eschare apparaît au niveau de la
région
trochantérienne gauche. Le 19 juin, les eschare
i adhérences. La moelle elle-même a sa consistance normale dans les
régions
cervicale et lombaire ainsi que dans la moitié
ons cervicale et lombaire ainsi que dans la moitié supérieure de la
région
dorsale. La moitié inférieure de la région dors
moitié supérieure de la région dorsale. La moitié inférieure de la
région
dorsale, au contraire, est molle, diffluente, d
gmentée en blocs. 13° Les racines antérieures et postérieures de la
région
cer- vicale, étudiées par comparaison avec les
douleur. Nos jeunes malades ont été unanimes à la localiser dans la
région
frontale. Ils ne se sont jamais plaints de la p
jamais plaints de la partie occi- pitale de la tête et rarement des
régions
latérales. La plupart indiquaient une place net
la douleur à la pression sur le trajet des ra- meaux nerveux de la
région
; nous n'avons donc point eu affaire à une névra
ctérisés. La localisation de la douleur limitée à une seule et même
région
, est aussi difficile à expliquer, dans un état
it mieux le fait important de la localisation de la douleur dans la
région
frontale. Nous savons, en effet, qu'il existe u
de la réflexion ? Il n'y a donc rien de bien étonnant à ce que les
régions
où siègent ces facultés puissent souffrir chez
à la tête une sensation de compression qui sié- geait surtout à la
région
occipitale et s'irradiait vers les tempes; ils
es deux périodes de la vie, les sensations se localisent dans des
régions
différentes, et combien elles revêtent un ca- r
volumineux. La tuméfaction du lobe droit est plus prononcée dans la
région
frontale. La ca-, vité arachnoïdienne ne contie
n- tant pas, cependant, de dissemblance, les autres parties de la
région
corticale, ainsi que les ganglions centraux, n'of
de consistance. Cet épaississement est étroitement localisé dans la
région
que nous avons décrite, avec un petit foyer de
ique en prenant pour type les grandes cellules pyramidales de cette
région
. Remarquons, cependant, que les cellules des au
dix-huit à trente-six micro-mil- limètres. Hémisphère gauche, même
région
; corps, quarante à quarante-cinq; noyau, six à
moniliforme. Les vaisseaux isolés, pris dans d'autres parties de la
région
corticale, ne nous ont présenté que des altératio
oins prononcée dans ces dernières. Dans la partie horizontale de la
région
corticale, les cellules des couches superficiel
inant attentivement le rapport mutuel entre les vaisseaux de cette ^
région
et les cellules nerveuses, on peut constater qu
i est constaté par AI. le professeur licl'7.rjews"i : Lésions de la
région
corticale dans la paralysie générale. (Archives
colorées dans les parties profondes. Sur la périphérie et dans les
régions
plus éloignées du siège de la tuméfaction, les co
relésé. Quoique nous n'ayons pas trouvé dans d'autres parties de la
région
corticale, d'altérations des cellules nerveuses
ifférents points avait seulement ses vaisseaux plus dilatés dans la
région
frontale du côté droit; ENCÉPHALITE PARENCHYMAT
et les cellules araignées. Il résulte de ces faits que, dans cette
région
seulement, on trouve les cellules dans un état
cune raison d'admettre qu'une cellule ner- veuse dite motrice de la
région
corticale, cellule qui ressemble morphologiquem
plètement, comme étude microscopique, des scléroses en foyers de la
région
corticale décrites dans ces derniers temps. Ain
ncéphale, 1883. N° 2, p. 155 à 177), décrit un cas de lésions de la
région
corticale du cerveau d'un aliéné. Ces lésions s
DE LA PLANCHE III Fig. 1. - Cellule pyramidale géante isolée de la
région
de la lésion. Tuméfaction du corps au début, sa
u noyau et du nucléole. (Verick. 317.) Fig. 2. Cellule de la même
région
, tuméfaction plus prononcée, in- le noyau et le
s grosses bronches et quelques râles fins au moment de la toux à la
région
moyenne et postérieure du poumon droit. - Un pe
mi-heure après le repas, il éprouve un sentiment de malaise dans la
région
épigastrique et la rumination commence. Les ali
ure ou une heure après le repas, une sensation de plénitude dans la
région
du cardia l'obligeait à faire une grande inspir
aux lésions frontales, la déchéance intellectuelle; à celles de la
région
ll1otrice,'l'épilepsie ainsi que les anomalies du
res qui suivent l'acte, on frotte toutes les cinq ou six heures une
région
du crâne déterminée par les 1 V. les Archives d
r- tout gênée alors par l'incoordination des mouvements ; mais la
région
déformée n'était affectée que de douleurs insigni
e plaint de douleurs ra- chidienncs vers la parlie supérieure de la
région
lombaire. Plaquesd'ancsthésie varibles.coll1ll1
tis en deux grands groupes phy- siologiques : 1° mouvements dans la
région
de l'orifice labio-mandibulaire, dont le premie
grand'mère et chez le frère, désignant ainsi la partie faible, la
région
cérébrale sur laquelle frappe d'abord la dé- ch
us la dépendance évidente de l'un des hémisphères; mais dans quelle
région
de l'hémisphère doit-on les localiser ? ` ? 3
auatomo- pathologique a pu être fourni; chaque fois, dis-je, les
régions
que la physiologie expérimentale avait dési- gn
les divers schémas fournis par les auteurs, on trouve toujours une
région
commune qui correspond justement au centre sens
es cas de Déjerine2, de Broadbent et le mien `, d'après lesquels la
région
du pli courbe est plus par- ticulièrement intér
f- fard', et de d'Heilly et Chantemesse 3, dans lesquels les deux
régions
sont atteintes. Deux fois, c'est une tumeur qui
t une décharge centrale, qui du même coup annihile la conscience (
région
antérieure), et stimule au contraire les centre
ieure), et stimule au contraire les centres sensoriels de l'écorce (
région
postérieure). Dans ces conditions, le patient s
issant d'une façon incons- ciente, poussé par les incitations de la
région
des centres sensoriels, à des actes, qui échapp
muscles du corps, elle est intacte ; les réflexes cutanés de cette
région
no sont pas exagérés, tandis qu'un coup sur les
minutieusement, il était possible de déterminer assez exactement la
région
occupée par ces corps. Ainsi, on n'en trou- vai
ne se trou- vaient que dans la substance blanche, y occupaient une
région
voisine de la partie postérieure de la limite e
ieure, en partie près de la scissure de Rolando, en partie, dans la
région
moyenne de la circoll- volution. Nous n'avons
rtion cervicale était complètement normal ; la névroglie dans cette
région
était de même intacte. Dans les régions thoraci
al ; la névroglie dans cette région était de même intacte. Dans les
régions
thoracique et lombaire, la substance grise de l
res ; le \entre, ballonné vers le haut, donne à la pression dans la
région
épigastrique un gargouillement comme celui d'une
nt comme celui d'une outre à moitié remplie de liquide. Toute cette
région
, depuis l'ombilic jusqu'à la région costale gau
remplie de liquide. Toute cette région, depuis l'ombilic jusqu'à la
région
costale gauche donne le même timbre de percus-
pondent au liquide évidemment accumulé dans l'estomac dilaté. Les
régions
inférieures de l'abdomen n'offrent aucune matité.
ssent la dilatation pupillaire sous l'influence de l'excitation des
régions
anesthésiques. Le fonctionnement de l'écorce du
ante en neurologie; dans les maladies de la moelle, la lésion d'une
région
limitée peut abolir la motilité, tandis que la
lcères variqueux ( pathogénie de- ), 101. Vertébrale (abcès de la
région
), 103. Vésanie (quelques considérations sur l
. 133 PLANCHE Il ! Fig. 1. Cellule pyramidale géante isolée de la
région
do la lésion. Tuméfaction du corps au début, sa
noyau et du nucléole. (Vericlc. 3/7.) Fig. 2. Cellule de la même
région
, tuméfaction plus prononcée, in- téressant le n
ppe. Ces ligaments n'ont disparu en totalité ou en partie que dans la
région
cervicale, dans les premier, deuxième, troisième
remier, deuxième, troisième et huitième espaces intervertébraux de la
région
dorsale, où il y a fusion, au moins partielle, de
au cou. Le petit excès de hauteur de leur partie antérieure, dans la
région
dorsale, est au contraire plus marqué qu'à l'ordi
stait en une cyphose des vertèbres inférieures et en une scoliose des
régions
dorsale et lombaire. Les lombes formaient une gib
vertébrale d'un autre squelette rachitique du Muséum offre, comme la
région
dorsale de notre pièce, un amincissement latéral
On y voit une courbure unique, à convexité droite, étendue à toute la
région
dorsale. Cette courbure s'était développée à la s
isé de reconnaître que la plupart des ligaments intervertébraux de la
région
dorsale étaient moins élevés à la concavité de la
suivant le prolongement de l'extrémité supérieure de la courbure. La
région
lombaire est également à peu près rectiligne; c'e
e, t. I, p. 87?. PI, II. PLANCHE DEUXIÈME, ASPECTS DIVERS DE LA
RÉGION
POSTÉRIEURE DU TRONC DANS LES FLEXIONS LATÉRALES
affaissée à gauche, en sens contraire des autres vertèbres de la même
région
, par suite de l'angle que la colonne lombaire for
, et la - : deuxième courbure, quoique prédominante, est rejetée à la
région
dorsale inférieure. Les deux courbures accessoire
ème dorsale. Une petite courbure en retour ramène incomplètement la
région
cervicale dans sa situation naturelle, et une lor
es est affaissé à gauche. Une double gibbosité costale se voit à la
région
postérieure du tronc. La supérieure, formée par l
é dans sa moitié gauche, du côté qui correspond à l'inclinaison de la
région
lombaire. PLANCHE CINQUIEME. Fig 1 — Courbure
es dorsales, a, en avant et en arrière, 6 millimètres de flèche. La
région
lombaire est déplacée à droite et inclinée comme
s, quoique très manifestes en avant, se voient à peine en arrière. La
région
lombaire de la figure 3 présente même une singula
par conséquent dirigée en sens inverse de la courbure réelle de cette
région
. Une large ouverture de la paroi antérieure du
il ne reste que 2 millimètres d'intervalle entre cette vertèbre et la
région
colyloïdienne gauche. Il semble que ce soit cet
des vertèbres lombaires. Veine azygos également recourbée comme la
région
dorsale du rachis. Veine cave inférieure dirigé
eu de la concavité dorsale, répondant à la neuvième vertèbre de cette
région
. Les déformations des vertèbres sont considérab
refoulée dans le petit bassin. L'estomac descendait au-dessous de la
région
ombilicale. Le foie avait peu de volume; il était
page 615. PI.XVIU Pl.XIX PLANCHE DIX-NEUVIEME. Fig. \ et 2. —
Région
postérieure do tronc de M1Ie V..., d'après les bu
ésion du tissu osseux. La figure 1 montre quel était l'aspect de la
région
dorsale en 1832. Il existait une courbure dorsale
e la même manière dans des circonstances semblables. Fig. 3 et 4. —
Région
postérieure du tronc de Mlle X..., avant et après
manent des courbures. Pl. XX. PLANCHE VINGTIEME. Fig. 1 et 2. —
Région
postérieure nu tronc de Mlle Y..., avant et après
bure dorsale principale, à convexité droite, occupant spécialement la
région
dorsale moyenne. Le point le plus dévié était à 2
sonne approchait du terme de sa croissance naturelle. Fig. 3 et k —
Région
postérieure du tronc de MUe Z..., avant et après
dos était un peu plus forte. Du reste, même inclinaison à droite delà
région
dorso-lombairc ; même situation des épaules ; mêm
ofesseur honoraire de la Faculté de médecine de Bordeaux. Dans la
région
antérieure ou frontale du cerveau, les irradiat
tions capsulaires se comportent d'une façon tout autre que dans les
régions
moyenne et postérieure. D'après l'opinion génér
en harmonie avec les faits. Ceci est particulièrement vrai pour la
région
antérieure ou frontale, j'entends pour le bloc
ant le tractus, il importe d'abord d'éta- blir la topographie de la
région
à laquelle ce tractus appartient. I. Topogr
ale et la partie antérieure de l'insula de Reil, en dehors. Cette
région
appartient aux trois premières zones mésolobair
e 10 millimètres; la deuxième, 30; la troisième, 10. Ace niveau, la
région
se modifie. Dans les deux zones précédentes, la
ion, la direction et l'épaisseur des expansions capsulaires dans la
région
frontale. Ce fait anatomique impose aux anatomo
iennent, dans les observations relatives aux lésions situées sur la
région
que nous venons de décrire : l' Les faisceaux
ectes, suivant que leur développement s'effectue, d'emblée, dans la
région
même dont il s'agit, oubien par propagation d'u
e dont il s'agit, oubien par propagation d'une destruction dont les
régions
avoisinantes sont atteintes. Dans l'un comme
des idées de suicide. Le 31 juil- let, après s'être frappé dans la
région
du coeur, avec un couteau heureusement trop cou
u bras droit sont le siège d'une hyperesthésie notable et, dans ces
régions
, le moindre frôlement de la peau devient douloure
. Dans l'olive, le diamètre des cellules varie moins que dans les
régions
précédentes, mais est plus petit; elles sont sphé
roupes cellulaires sont plus abondants à la partie inférieure de la
région
dorsale; ces colonnes vésiculaires disparaissen
de la région dorsale; ces colonnes vésiculaires disparaissent à la
région
cervicale, c'est à peine si par - ci par-là une
les qui nous occupent, Ai. Monakow s'est proposé d'éli- miner de la
région
les tractus issus de la moelle. Il a pratiqué c
gine de l'olfactif, la partie antérieure de la couche optique et sa
région
moyenne, la partie inféro-antérieuredu noyau caud
tanées d'atropine (4 Il cas) et de séances de galvanisation (+ à la
région
lombaire, - au scrotum). P. K. XVI. Absence a
face et aphasie. 4" Abcès du cerveau d'origine traumatique dans la
région
parié- tale gauche (moitié supérieure des circo
u avec les pieds, l'opérateur applique l'autre pôle en une série de
régions
du corps. On commence par la région dorsale, en
e l'autre pôle en une série de régions du corps. On commence par la
région
dorsale, en visitant la colonne vertébrale, et
quelques contractions dans chaque muscle. On agira de même pour la
région
lombaire. L'électrisation du thorax réside uniq
s passagers de l'électrode mobile; puis on fait des stations sur la
région
épigastrique (plexus solaire), sur les régions ga
t des stations sur la région épigastrique (plexus solaire), sur les
régions
gastri- que, splénique, hépatique, hypogastriqu
du doigt. En un mot, l'électrisation n'est que médiate. Les autres
régions
du cou et le cuir chevelu ne subiront l'action
antérieur avec les cieux tiers postérieurs des.hémisphères en cette
région
, est représenté, non plus par une fente, mais p
a toujours aies éliminer et à se rendre compte de la complexité des
régions
en chaque cas particulier. D. Lobe occipital
Aussi, les uns, refusant aux circonvolutions de cette partie de la
région
le nom de circonvolutions occipitales, les rega
l'appelle sillon simien parce qu'elle caractérise, selon lui, cette
région
cheziesinge ; on ne confondra pas ce sil- lon s
, elles sont postérieures à l'insula et montent, en effet, dans les
régions
pariétales. Heschl prétend que la circonvolu- t
prévoir, l'hyperplasie de la névroglie est surtout marquée dans les
régions
où ce tissu est particulièrement abondant à l'éta
que des coupes prises dans- ces- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 209
régions
aient subi l'action de l'alcool pendant exactemen
arence d'atrophie est due surtout à la compression. Au-dessus de la
région
comprimée, on trouve un sac volumineux, dont les
Jri degré moinslmarquc. L'atrophien était surtout ! accusée dansles,
régions
quitviennent d'être indiquées.3 Il y,r;avâitude
'atrophtes pecondaires perpt;er]ques survenues, après'l'ablation de
région
iimitéesde i'écorce deriventhion de ces L régio
près'l'ablation de région iimitéesde i'écorce deriventhion de ces L
régions
co'rtiM ! es'et"'non' 'd'en'drbtts éloiués "111'\
\lendel, après avoir pratiqué des coupes de toutc na- ture dans les
régions
en question, de l'homme, du singe et du chien,
d'un côté, et du genou opposé; pied-but, varus-éduin à droite. Les
régions
paralysées et attopltiées étaient simultanément
c'est à peine si leur pincement provoque quelques mouvements : les
régions
céphaliques ne présentent aucune espèce de phéno-
j'ceu gauche, les formications de la main et les sensations de la
région
auriculaire du même côté, ainsi que les perceptio
r des ouvertures à fortes grilles, généralement pratiquées dans les
régions
supérieure;. Elles possèdent des lieux d'aisances
cès. C'est le pouce qui se fléchit le pre- mier ; les muscles de la
région
antérieure se contractent et sont pris de batte
e, assez régulier, symétrique, d'aspect arrondi plutôt qu'ovale. La
région
occipitale, les bosses pariétales et les apophyse
st pas dans la flexion, il est aussi très dur, et les muscles de la
région
antérieure paraissent durs comme du bois; ceux
s de la région antérieure paraissent durs comme du bois; ceux de la
région
postérieure ne sont pas modifiés. La main n'est
pendant de la deuxième fron- tale interne, vont de l'avant-coin aux
régions
inféro-postérieures de l'hémisphère. Synonymi
ntatus ou fascia dentata (Tarin), qu'on représente parfois en cette
région
comme une circonvolution morphologiquement dist
bique (Broca), qui se décompose eu : Sulcus ccclloso-naarginalis (
région
du lobe frontal) ; sulcus sub- parielalis (régi
loso-naarginalis (région du lobe frontal) ; sulcus sub- parielalis (
région
de l'avant-coin); Sillon occipito-temporal in-
le lobe frontal, les circonvolutions sont très peu développées, la
région
operculaire entre en communication directe avec
raux qui doivent être notés. Les particularités variables selon les
régions
(moelle épinière, écorce du cervelet, écorce du
dent au sens musculaire et aux sensations douloureuses occupent une
région
qui surmonte le début de la scissure de Sylvius
conséquent, ces fibres de projection prennent leur origine dans la
région
occipitale, nommée par Munk, sphère visuelle 2.
du globe oculaire, de la paupière supérieure, du dos du nez, de la
région
parotidienne; le goût a disparu dans les deux t
la section du trijumeau, et dans l'existence de l'ophlhalmie en une
région
où la sensibilité était intacte. Absence d'autops
es et luxations de la colonne vertébrale, à diverses hauteurs de la
région
lombaire, et au niveau du tiers inférieur de la r
ès les réflexions terminales de l'auteur, les cordons de Goil, a la
région
cervicale, se composeraient essentiellement de
avancé surtout dans les renflements de la moelle et notamment à la
région
lombaire (prolifération très accusée de cellules
lité précoce. 11 termine par le tableau des dimensions des diverses
régions
de la moelle et des différents cordons dans les
doigts, sur les mêmes zones que la paralysie. La douleur est en ces
régions
, au moins par places irrégulières, très lenteme
e allongée, mais venant occu- per la gauche, du bulbe et envahir la
région
des noyaux gris. Hyper- plasie des cellules de
e de l'écorce du lobule paracen- tral et des deux ascendants est la
région
où ces fibres se constatent d'abord (avant même
fficace. P. K. XLI. Apoplexie DULü.111tE résultant DE coups dans la
région
DE la NuQuL,, par R. ScuoLZ. (Neurol. Centrccl6
éiiaies.Lanévrogtie est le siège d'une tuméfaction trouble dans les
régions
que nous venons d'envisager, mais sans altérati
GER. (Neurol. Centlul6l. 1883.) A la suite d'une blessure dans la
région
de la joue, ayant ouvert l'artère sous-orbitair
e par places et opaque. L'atrophie est surtout appréciable dans les
régions
fron- tale et pariétale. Au toucher l'hémisphèr
bord, à la suite d'une inflammation chronique des méninges ou de la
région
corticale, il se produit une atrophie unilatéra
nje, qui est large à l'étal normal, se trouve réduite dans toute la
région
atrophiée, à une étroite bande de cellules. Mai
a façon dont les feuillets ont, pour ainsi dire, fusionné, dans les
régions
malades, par une sorte d'union des couches adja
peut simultanément observer des foyers morbides récents dans les
régions
du corps les plus diverses. Chez le patient actue
e s'entre-croiserait pas, on peut au reste la suivre jusque dans la
région
de l'extrémité anté- rieure du vermis. Cette ra
ique avec oedème modéré du cer- veau ; les méninges molles, dans la
région
cérébelleuse, sontaussi minces qu'n l'état norm
ge de l'intelligence. Hitzig a donc repris ses recherches sur cette
région
; il n'entend communiquer ici qu'avec une certai
es de l'or- gane '. M. Hitzig adopterait la même opinion pour cette
région
que lorsqu'on a affaire à de grandes destructio
, déchirera nécessairement quantité de connexions entre chacune des
régions
encéphaliques, et produira par conséquent des s
gers qui se manifestent lorsqu'un agit profondément sur di- - erses
régions
de l'hémisphère. Mais Hitzig combat de front les
r l'alexie et qu'elle n'a pas déterminé de destruction complète des
régions
en question. Aussi, la dyslexie s'améliore-t-el
Sur la muqueuse olfactive de l'homme. );xiste-t-il, ou non, dans la
région
olfactive de l'homme un épithélium aciIsvibrati
t dépourvus de ces éléments. L'homme posséderait donc dans toute sa
région
olfactive un épithélium à cils vibratiles. La bas
sous de l'oei), qui persiste juqu'à la mort. Douleurs vives dans la
région
hypogastrique, irradiant vers l'extrémité supér
érieurs, a subi la dégénérescence dans son entier, elles gagnent la
région
dorsale (moins les fibres limitrophes externes
38. Bromure, 99. Bulbau'e (apoplexie résultant de coups dans la
région
de la nu- que, 339. Centres nerveux (influenc
eurdirection, les faisceaux de cet éventail paraissent destinés aux
régions
sus-jacentes de la partie correspondante de l'i
e coupe. Cette coupe doit passer par la partie la plus élevée de la
région
ganglio-insulaire, c'est-à-dire par le bord ext
n du volume de la masse ganglionaire elle- même. Par conséquent, la
région
où il est le plus étendu correspond au sommet d
rs postérieurs du lobule paracentral. Incontestablement, dans cette
région
le centre ovale de Vieussens comprend des fibre
ientôt. Mais la capsule fournit encore d'autres fibres dans cette
région
, fibres invisibles dans les coupes fron- tales,
nt de l'écartement considé- rable qui existe normalement dans cette
région
entre les deux noyaux lenticulaire et nucléaire
um lucidum (Pl. XVI, t. I), qui lui est continu en haut. Dans cette
région
, la capsule externe constitue aux deux noyaux u
ls existent partout, possèdent une intensité variable suivant les
régions
. 41 le PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. C'est ainsi
n même coup partout à la ibis, au moyen d'une pression légère de la
région
ovarienne droite, sans pour cela amener la cess
ment avec les malades ou chez une même malade, suivant les diverses
régions
de la moelle, mais aussi chez une même malade d
qui peuvent satis- faire à ces conditions, le nerf cubital dans la
région
du coude, est certainement un des plus favorabl
r. Le nerf radial innerve sans exception tous les mus- cles de la
région
externe et de la région postérieure de l'avant-
rve sans exception tous les mus- cles de la région externe et de la
région
postérieure de l'avant-bras. Ce sont les muscle
il est fréquent d'ob- server des accidents semblables dans d'autres
régions
. Il semble que certains ataxiques soient spécia
e. Or, la sclérose spinale peut être tout à fait récente dans les
régions
supérieures de la moelle, alors qu'elle était d
eures de la moelle, alors qu'elle était déjà très ancienne- dans la
région
dorso-lombaire '. » Aucun exemple n'est mieux f
nous percevons au niveau du deltoïde une fluctuation manifeste ; la
région
de l'épaule est tuméfiée, la peau en est blanch
tion, il gagna la paroi thoracique et l'anatomie chirurgicale de la
région
fait parfaitement comprendre comment les choses
ce qui n'a pas lieu; d'emblée, la tuméfaction est éten- due à la
région
. Il faut donc admettre que la rupture ÉTUDE SUR
un malade de discerner laquelle des électrodes, appliquées sur une
région
du corps anesthésique, estlanégati-ve. Cependan
injections sous-cutanées ont aussi rétabli la sensibilité dans des
régions
anesthésiées. Des applications de sinapismes, d
que l'on peut dire. Ainsi on fait une application métallique sur la
région
cervicale d'une malade affectée d'anesthésie to
ue, comme si elle s'était propagée également dans l'épaisseur de la
région
, on constate le commencement de la disparition
ion d'un sinapisme ramène, le plus souvent, la sensibilité dans une
région
affectée d'anesthésie hystérique. Des vésicat
sin et Mendelssohn, d'un homme atteint d'une large dénudation de la
région
pariétale. Ces expériences ont démon- tré, conf
anifestations bien connues, tandis que la substance grise des mêmes
régions
était incapable de réaction. P. K. VI. Les ma
s zones signalées par Betz. On peut en trouver des groupes dans les
régions
postérieures et même vers la base. Il en a trou
s amis m'apprit que dans le Maine du Nord et en particulier dans la
région
de Moosehead Lakc, il avait une certaine classe
(Morphologie ET embryologie) ; Par MATIIIAs DUVAL. De toutes les
régions
de l'écorce cérébrale, il en est peu qui, par l
tion, méritent autant de fixer l'at- tention des anatomistes que la
région
de l'hippocampe, c'est-à-dire de l'ensemble for
res consacrés à l'étude des circonvo- lutions, on décrit bien, à la
région
inféro-interne du lobe temporal, une circonvolu
la saillie de la corne d'Ammon elle-même, et ne font commencer la
région
de la surface cérébrale qu'au delà (en dedans,
bordant appartient à la surface de l'hémisphère, fait partie de la
région
corticale ; tel est le cas de la plus grande pa
eau de l'hémisphère est mince (hémisphères foetaux, 166 ANATOMIE.
région
occipitale et ergot de Morand chez l'adulte), se
ui sépare ces deux circonvolutions diffère des autres sillons de la
région
corticale par sa profondeur, par un léger enrou
le siège paraît indiqué d'avance par la topographie nerveuse de la
région
, il faut encore compter avec les variations ind
r ; les fléchisseurs communs ; le fléchisseur propre du pouce. A la
région
externe : le long supinateur ; les radiaux exte
ux externes. ETUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 179 A la
région
pos- térieure : l'exten- seur commun; l'ext
toujours sur un plus ou moins grand nombre de muscles voisins de la
région
excitée, et parfois sur quelques muscles éloign
rs. , . , . Le PEAUSSIER, dont les fibres se terminent dans cette
région
, est également très facilement excitable. Le pe
ais, avec ceci de particulier qu'elle n'est point sortie de la même
région
et qu'elle s'est exactement locali- sée au même
elâchement musculaire. , La pression sur la masse des muscles de la
région
postérieure de l'avant-bras amène l'extension d
xcitation mécanique portée au nerf cubital du i membre anémié, à la
région
, du. coude. Nulle modifica- tion de l'état'des'
s la diminution de volume est très accentuée pour les muscles de la
région
postérieure. Cette lésion' correspond à la chut
de faiblesse des muscles de l'avant-brâs, surtout des muscles de la
région
posté- L , ? a -* 1 238 RECUEIL DE FAITS. r
enues dans le tronc nerveux (Eulenburg) ; trouble vaso-moteur de la
région
(Stilline) ; lésion du ganglion sphéno- palatin
de temps assez long par l'hyperexcitabilité de l'appareil central (
région
lom- baire de la moelle). La névralgie utérine
plus violentes douleurs (période menstruelle), il faitpasser de la
région
lom- baire au pubis le circuit de 15 à 20, puis
e (ligne médiane) 244 REVUE .DE PATHOLOGIE, NERVEUSE, étales deux
régions
! inguinales;, on, pratique à ces diverses phas
phie avec induration calleuse ou cartilagineuse de l'ensemble de la
région
; dans les quatorze autres cas, il s'agissait d
our la moitié opposée du corps, il admet que toute maladie de cette
région
engendrera des excitations cen- trales incessan
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' sens, goût, odorat, ouïe, vue en des
régions
assez circonvoisines/ militent également en,,fa
ndéniable. Dans certaines cas, un simple trouble fonctionnel de'ces
régions
(Erb.)'orrait engendrer les mêmes, effets 'et e
ion 'collatérale suffisante aurait ' bientôt suppléé à l'anémie des
régions
citées. P. K. X. DE l'augmentation DE la fibrin
ssez consi- dérable de petites tumeurs analogues siégeaient dans la
région
dorsale du rachis, et comprimaient plus ou moin
e paire ; on sait que les excitations portées directement sur cette
région
donnent lieu à des phénomènes analogues de vert
. W.m... ,\ ? . XXII. Mort subite par rupture d'un^vaisseau dans la
région
cervicale DE la moelle; par Fred. PAYE.'(Tlae'L
pliquer la mort : -Dans. la, moelle,' à la ►partie inférieure de la
région
cervicale, ion t trouve, une infiltration (cons
siégeant en ce point détermine l'aphasie tandis qu'une lésion de la
région
.correspondante à droite ne s'ac- conipagne d'a
la troisième circonvolution frontale, sans s'assurer de Fêtât de la
région
voisine et en particulier de l'insula. . ? , 9
ons car- diâqües, les crises émotives; l'érythème persistant' de la
région
cer- ' vicale, la' fréquence de la miction, les
taient accusés. 11 faut donc admettre que : la, destruction' de1 la
région
cérébrale connue comme la première circonvoluti
s'imposer qu'elles excitent le ' centre modérateur contenu dans la
région
de Hitzig. » - .r i-/5 < ' t 1 . ' . ' ' ' 1
ogie de la), 244 ; (Mort subite ' rupture d'un vaisseau ' dans la
région
cervicale de la), par Paye, 260. '1', 1 Mort
Paye, 260. '1', 1 Mort subite (par rupture d'un vaisseau dans la
région
cervicale . de la moelle),, 260. -11" 1 Mouve
gré de pla- giocéphalie (aplatissement du frontal à gauche et de la
région
occipito-pariétale à droite). Son épaisseur est
- Il est très asymétrique ; le frontal gauche est très déprimé; la
région
, occipito-pariétale l'est encore davantage. Pla
ce sens que la moitié gauche du frontal est déprimée, tandis que la
région
pariéto-occipitale droite est aplatie ; son épa
droite de l'occipital. Transparence, encore .très, marquée dans la
région
de la fontanelle, antérieure, le long des sutur
médiane du front sur une sur- face d'environ 2 cm. q. A gauche, les
régions
pariétales pos- térieure et occipitale supérieu
4 min. d'épais- seur, transparent en grande partie au niveau de la
région
moyenne du frontal, du bregma, sur les parties
frontal, du bregma, sur les parties inférieures des pariétaux et'la
région
supérieure de l'occipital : Lasuture métopique
ent asymétrique ; le côté gauche est plus développé au niveau de la
région
occipitale que le côté droit; la protubérance o
occipital est parti- culièrement mince et présente latéralement des
régions
trans- parentes. Des plaques translucides exist
s existent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la
région
postérieure (1) Voir son observation complète d
aux. Le frontal, un peu plus épais que les pariétaux, présente à sa
région
moyenne une bande transparente. Les sutures fin
e partie ayant 32 millimètres de longueur reste non ossifiée à la
région
frontale. Une autre partie, longue de 20 millimèt
longue de 20 millimètres, complètement réparée, lui succède. Cette
région
croise la suture fronto-pariétale. Son mode de
nes dentelures, analogues à celles de la suture qu'elle croise. Une
région
de 16 millimètres, non répa- rée, lui fait suit
répa- rée, lui fait suite et a des bords assez réguliers ; cette
région
a 3 millimètres it sa partie la plus large, 18 mi
s bas. Poils roux, abondants au pénil, empiétant légèrement sur les
régions
inguinales. Poils à l'anus. Mensurations cle
ouleurs dans les jambes persistent. Six ventouses scarifiées sur la
région
lombaire; eau de vie allemande (15 gr.) ; régim
ce interne. Coloration chair de saumon très prononcée sur les mêmes
régions
qu'à gauche. Corne d'Ammon, ventricule latéra
es minutes. Etat actuel (l"r a vriI18K6.) - Tête petite, cnmerond ;
région
occipitale un peu aplatie à gauche; bosse occip
Crâne ovoïde, légère asymétrie consistant en un aplatissement de la
région
pariétale droite. Face ovalaire très nettement
; les bosses sont peu saillantes et mousses : aplat tissement de la
région
occipitale. - Front moyen, assez large, sans pr
frontales forment une saillie très nette, plus accusée à gauche. La
région
occipitale, au lieu d'être arron- die, est apla
, au lieu d'être arron- die, est aplatie. La moitié gauche de cette
région
est nota- blement déprimée par rapport à la dro
le reste du cerveau et offrent des plaques laiteuses au niveau des
régions
sylviennes. 198 Hydrocéphalie : ectopie rectale
corps calleux et de sa circonvolution renden la distinction de ses
régions
impos- sible, jusqu'au niveau du coin, un peu a
ce long de 2 centimètres. Bourses lâches. Cryptor- chidie complète.
Région
anale normale. La sensibilité à la figure peu v
ux. Sur la coupe de la calotte, on est frappé de la minceur de la
région
postérieure comparée à l'épaisseur de la région
de la minceur de la région postérieure comparée à l'épaisseur de la
région
antérieure ; tous les os sont formés d'un tissu
on antérieure ; tous les os sont formés d'un tissu spongoïde. Les
régions
médio-frontales et temporales sont les plus épais
ère a environ 5 mm. d'épaisseur, les secondes 8 nim. A partir de la
région
temporale, les os vont progressivement 1t en di
nets à gauche qu'à droite. ' '> - 218 Hydrocéphalie : cerveau.
région
temporale et occipitale, formée d'une paroi de su
nt, à ce niveau, la cavité ventricu- laire sur Il cm. environ. La
région
sphéno-lcmporale est plus épaisse et offre vague-
et hémis- phère nous pcnnet de jugeI' de l'intégrité relative de la
région
frontale et de la distension complète des deux
. - Tête volumineuse. Crâne asy- métrique ; saillie prononcée de la
région
occipitale avec dépl'ell- sion au-dessus parais
ite. Bosses frontales sensiblement égales ; front haut et droit. La
région
temporale droite est plus apla- tie que la gauc
large, dépression marquée au niveau de la racine. Odorat normal. La
région
malaire gauche est plus proéminente que la droi
poils longs et nombreux. On constate un duvet assez .épais dans la
région
dorsale et sur les mem- bres inférieurs. Les
rtes' pour amener l'arrachement de la substance grise de toute la
région
; lors de la décortication, aucune lésion apparent
pas dans les aines, disséminés sur les bourses, le périnée et la
région
anale. Verge, longueur : 9 centimètres ; circonfé
et une dépression sépare les deux bosses pariétales donnant à cette
région
une sorte d'aspect natiforme. Les sutures coron
ès volumineuse, plagio céphalie, le côté droit est plus aplati à la
région
occipitale que le gauche et la bosse pariétale
mineuse ; asymétri- que. - Crâne arrondi, légèrement aplati dans la
région
pariétale droite.. Les bosses pariétales sont p
très aplati latéralement, très saillant en avant et en arrière. Les
régions
pariétales offrent des méplats, tandis que la t
qu'il y ait cependant exagération de la saillie des bosses de ces
régions
. Les cheveux châtains clairs, abondants, bien i
nnaire du thorax : 50 centimè- tres. Abdomen saillant, surtout à la
région
épigastrique. La cicatrice ombilicale fait sail
29 décembre. Mort. 298 I-IAfi-HYDRO-SCAPHOCFPHALIE. mince dans la
région
pariétale postérieure et occipitale, il est épa
stérieure et occipitale, il est épais, spongoïde et opaque vers les
régions
temporales et frontales. Observation; antécéd
e crâne, en un mot, déprimé sur les côtés, fortement proéminent aux
régions
frontales et occipita- les, offre un exemple ty
cules petits, difficiles à trou- ver, delà grosseur d'une noisette.
Région
anale et membres glabres. : . 1892. Mai. Nouv
paissie et présente un aspect laiteux. On constate, au niveau de la
région
fronto-pariétale gauche, une ecchymose légère s
gère siégeant dans l'épaisseur de la pie-mère et correspondant à la
région
con- tusionnée. - La pie-mère est mince et s'en
ent au niveau de la partie postérieure du vermis inférieur, dans la
région
qui sépare les deux hémisphères cérébelleux. Ce
latissement porte plus sur la partie antérieure du crâne que sur la
région
bi-pariétale. La comparaison des autres mensura
vité droite ou gauche, et portant aussi bien, selon les cas, sur la
région
lom- baire que sur la région dorsale. Les autre
tant aussi bien, selon les cas, sur la région lom- baire que sur la
région
dorsale. Les autres présentent simplement le ch
s fois par mois. Elle se plaint alors de dou- leurs sourdes dans la
région
occipitale qui lui donnent des nausées suivies,
assez maladive et très myope, a de petits ganglions engorgés à la
région
cervicale postérieure. Elle se plaint actuellemen
ux de la grosseur d'un oeuf de pigeon. Phimosis, gland découvrable.
Région
anale normale, garnie de poils assez rares. 1
f. : 76 mm. Tes- ticules égaux, du volume d'un petit oeuf de poule.
Région
anale garnie de poils abondants. Les notes de l
93 mm. Testicules égaux de la grosseur d'un petit oeuf de poule.
Région
anale normale, garnie de poils abondants. l'oils
t sous-arachnoïdien ; trois ponctions furent faites au niveau de la
région
lombaire et on retira cle 2 10 c. c. de liquide
s. La mère a remarqué que la calotte de Vigo irritait légèrement la
région
occipitale. Traitement : Un bain salé tous les
pe dans la plupart des endroits du gouvernement cantonal de cette
région
. J'en vois aussi la réalisation plus lointaine
royal de Dusseldorf. Le Conseil royal et le Conseil scolaire de la
région
doivent en conserver copie pour en prendre conn
Aux conseils supérieurs royaux et au conseil scolaire royal de la
région
, en ville. Il existe dans cette région en diffé
nseil scolaire royal de la région, en ville. Il existe dans cette
région
en différents endroits, il. côté des écoles pub
royal de Dusseldorf. Le Conseil royal et le Conseil scolaire de la
région
! 'L1V Assistance ET éducation des idiots. do
yal d'Erfurt. D'après le rapport fait par le Conseil royal de votre
région
CLVI Assistance ET éducation des IDIOTS. le 1
symétrique, localisé à la partie la plus reculée des joues et à la
région
parotidienne. Pas de gonflement ni de rougeur d
, semblant même envahir le cuir chevelu.. Gonflement peu marqué des
régions
parotidiennes. Légère rougeur de la voûte palat
ent de la face très marqué, surtout du côté gauche, au niveau de la
région
parotidienne et de la paupière inférieure. En c
gonflement a beaucoup augmenté, est devenu oedémateux, a envahi la
région
parotidienne, la lèvre supérieure, et s'arrête
cou, et ^'accompagnant de rou- geur de la face et de gonflement des
régions
parotidiennes. Le décollement des ongles s'est
e persistante. OEdème prédo- minant iL gauche, localisé surtout aux
régions
parotidiennes, aux paupières, sans empêcher tou
26 avril. - L'oedème de la face a augmenté, marqué sur- tout aux
régions
parotidiennes et aux lèvres ; le malade ne peut
r intense, surtout au voisinage du nez ; gonflement prédominant aux
régions
parotidiehnes des deux côtés. Rougeur des mains
ugeur de la face; léger gonflement des paupières inférieures et des
régions
parotidiennes. Rien au pharynx ni aux mains.
de la face : au-dessous des paupières inférieures, au niveau des
régions
parotidiennes. Lorsqu'il est très intense, il e
nvahit d'emblée toute la face, mais reste cependant plus accusé aux
régions
précitées. Il occupe de même le dos de la main
ntes et suintantes, non plus que du gonflement localisé à certaines
régions
de la face et aux mains. Les érythèmes ont ét
essai théra- peutique sérieux. . La plante a été récoltée dans la
région
de Paris au cours de l'été de 1897. Elle a été
habite Paris. Le premier janvier 1899, le malade' ressentit dans la
région
de l'épaule droite une douleur vive qui s'exagé
isselle et sur la partie antérieure delà poitrine', au niveau de la
région
mame- lonnaire. Les mouvements du bras étaient
la douleur, on fit des frictions avec un lini- ment calmant sur les
régions
douloureuses où, assure-t-on, il n'y avait alor
nsions varia-- bles. Elles cessent au voisinage du coude. Dans la
région
do l'omoplate, il y a une série de surfaces Fig
, soit sur les points d'émergence des nerfs intercostaux de cette
région
. - La sensibilité il la piqûre est très atténué
ais- selle, qui abandonne en outre un petit filet à la peau de la
région
mammaire et vient ensuite se distribuer à la pe
cli- toris. Orifice hyménéal circulaire. La membrane est intacte.
Région
anale normale. Pas d'onanisme. Nous avons dit q
ouffi ; la musculature est ferme. Le thorax est un peu aplati, la
région
pectorale peu développée, le dos un peu rond, la
upérieure de la fesse gauche. Puberté : fin duvet de' la nuque à la
région
lombaire, sur la face postérieure des bras et d
toujours très tremblée. Puberté : Poils courts et abondants il la
région
pubienne commençant à envahir la ligne blanche
s cuisses. Poils longs et frisés aux aisselles. Quelques poils à la
région
lombaire. Gland dillicile it découvrir; longueur
es côtés jusqu'à la racine des cheveux. Poils assez abondants iL la
région
ster- nalc ; poils très longs et frisés aux ais
nalc ; poils très longs et frisés aux aisselles. Les poils de la
région
pubienne envahissent la tigneblanehe sous-ombilic
le droit. La poitrine est abondamment garnie de' poils ainsi que la
région
pubienne, les aines et la face antérieure des c
nd jusqu'à la fourchette sternale. l'oils longs et abon- dants à la
région
lombaire, au périnée, autour de l'anus. Duvet t
vrable et les poils plus longs et plus abondants dans toutes les
régions
qui en étaient garnies. En mars, il passe, comm
mois de janvier, fait constater l'existence de poils nombreux à la
région
pubienne et sternale, aux mamelons et d'une tou
ent. L'examen de la puberté est fait en mai 1895. Les poils de la
région
thoraoique sont abondants et longs. Très nombreux
la région thoraoique sont abondants et longs. Très nombreux à la
région
pubienne, ils s'étendent un peu sur l'abdomen et
e, hymen intact, fosse iiavieulaire profonde, fourchette saillante,
région
anale normale. W... prend des panades qu'on l
énote de la submatité et une résistance spéciale au doigt da os les
régions
sous-claviculai- res. A l'auscultation, qui est
nt augmentés de volume, isolés (polymicro-aclénie) ; éry- thème des
régions
fessières et inter-fessières. La conjonctive dr
ie sans cesse. Même traitement général, vase- line boriquée sur les
régions
qui desquament, lavage des yeux à l'eau boriqué
ôté opposé. Lorsque la pie-mère et les vaisseaux sont enlevés les
régions
lésées se présentent avec une coloration jaune-
Phi- mosis ; méat régulier. Les muscles, examinés dans plusieurs
régions
sont pâles et comme lavés. Tableau du Poids e
. à droite et à gauche. Le thorax, bien développé, présente dans la
région
postéro- inférieure gauche, au niveau de l'extr
, normalement musclés, leur attitude est régulière. Au niveau de la
région
deltoïdienne droite, on note une cicatrice de v
une cicatrice arrondie, sans caractères, à la portion moyenne de la
région
antéro-externe de la jambe droite : une autre c
l'hydrocé- phalie, mais avec un développement prédominant dans la
région
pariéto-occipitalc. Les fontanelles paraissent cl
e toujours chez les hydrocé- phales, parait fort peu développée. La
région
orbitaire est enfoncée entre la saillie du fron
n de la jambe impossible à cause de la rétraction des muscles de la
région
postérieure de la cuisse. Contracture du psoas-
ncé à son extrémité inférieure. Légère scoliose à concavité dans la
région
dorsale. Eruption maculo-papuleuse, sur le dos
pes, sensible- ment symétrique ; front étroit comparativement il la
région
occipitale, très élevé (0 ? 07 d'une bosse fron
e antérieure. Pas d'indices des sutures. Veinosités nombreuses à la
région
temporale légèrement bombée des deux côtés. L'a
quelle cause la maladie. État actuel. - La tête est volumineuse, la
région
occipitale est peu saillante, si peu saillante
aillante que lo plan du cou semble se continuer directement avec la
région
occipitale. Le front est peu élevé, déprimé sur
très forte, avec altération des traits et une douleur vive, dans la
région
frontale. 1883. 29 janvier. - Un accès le 5 jan
u abondants au niveau des favoris, plus abondants au menton et à la
région
maxillaire. - Poitrine et abdomen glabres. - Qu
ombilic, envahissant la face interne des cuisses, s'étendant sur la
région
périnéale jusqu'à l'anus. - Verge : longueur, 1
us pe- tites au niveau du sourcil droit; une de chaque côté àt la
région
malaire. - Le lobule du nez est coupe par une cic
S DU SYSTÈME NERVEUX. 5 d'une myélite transverse syphilitique de la
région
dorsale supérieure ; cette lésion, qui avait pa
upière de l'oeil droit tomba, en même temps que survenaient dans la
région
hypogastrique et dans les membres inférieurs de
souffre beaucoup de la tête ; la douleur occupe principalement les
régions
sus-orbitaires et les tempes, elle est à peu pr
partie posté- rieure de la moelle, dans la moitié inférieure de la
région
dorsale, 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. et dans la ré
nférieure de la région dorsale, 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. et dans la
région
lombaire supérieure, on aperçoit un épanchement
ment. Le cerveau étant enlevé avec le bulbe, on voit que toute la
région
basilaire est le siège d'un vaste épanchement san
ifférentes parties de l'écorce, dans le bulbe et dans la moelle; la
région
de l'aqueduc de Sylvius a fourni dans toute sa
llaires les plus volumineux sont les'plus atteints, surtout dans la
région
des cellules pyrami- 10 PATHOLOGIE NERVEUSE.
- A l'encéphalite se joint une méningite, moins accusée dans les
régions
supérieures du cerveau et en particulier sur la p
sus inflam- Fig. 4. Circonvolutions motrices gauches, prises à leur
région
moyenne, grossies deux fois. Foyers d'oedème lo
tissu environnant prend une teinte un peu plus foncée que dans les
régions
où cette lésion n'existe pas ; ces taches, visi
Ces taches n'existent pas du tout dans les circonvolutions de la
région
motrice gauche, mais elles sont extrêmement nombr
gion motrice gauche, mais elles sont extrêmement nombreuses dans la
région
motrice droite (les spasmes ont prédominé dans le
radiculite et de périradicuiite; sur une racine anté- rieure de la
région
cervicale, on aperçoit même un petit nodule gom
es Archives, t. XXVII. 2 , Fig. 7. Sillon antérieur de la moelle (
région
dorsale supérieure); la lésion veineuse l'empor
ingées Fig. 10. - Uze veize postérieure de la pie-mère rachidienne (
région
dor- sale inférieure). L'infiltration de la par
E LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 21 de la base du cerveau et de la
région
dorso-lombaire postérieure de la moelle. Ici no
a ainsi donné naissance à l'hémorrhagie considérable qui occupe la
région
. -- La lésion des veines l'emporte de beaucoup
es et des capillaires ; ainsi c'est vers la partie inférieure de la
région
dorsale et dans la région lombaire en arrière,
nsi c'est vers la partie inférieure de la région dorsale et dans la
région
lombaire en arrière, que les lésions veineuses
a moelle, tandis que la méningo-myélite est à son maximum dans la
région
dorsale. Il s'agit pourtant bien évidemment d'un
très bien conservés, infiltrés dans le tissu cellulaire lâche de la
région
. A la base du cerveau l'hémorrhagie est en très
écortication les circonvolutions paraissent grêles, surtout dans la
région
antérieure; la surface du cerveau est cou- vert
es plus abondantes à gauche qu'à droite; elles prédominent dans les
régions
antérieures. Les ventricules sont dilatés ; l'é
is calcaire. Les racines postérieures sont un peu grisâtres dans la
région
lombaire. Sur la coupe les cordons postérieurs
externes qui, quoique malades eux-mêmes, tranchent nettement sur la
région
primitivement atteinte. Les zones de Lissauer s
s tranchent encore mieux que plus bas sur la zone malade. Dans la
région
dorsale les cordons postérieurs sont pris d'une
de Westphal. Coloration de Pal. 28 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans la
région
cervicale les cordons de Goll sont pâles, surtout
peu en dehors, et qui répond à la dégénérescence plus intense de la
région
dorsale. Enfin, plus en dehors, on aperçoit une
nes postérieures présentent des lésions assez avancées en bas; a la
région
dorsale elles sont irrégulièrement atteintes :
nt complètement détruites, les autres à peu près saines. - 1 A la
région
cervicale les racines postérieures contiennent à
s uns appartiennent aux corps granuleux tandis Fig. 14. Coupe de la
région
inférieure du bulbe; sclérose du cordon de Goll
tandis que la dégénérescence systématique est plus avancée dans la
région
dorsale. 11 n'y a que très peu de méningite c
sculaires caractéristiques de la paralysie générale dans toutes les
régions
de l'écorce, sauf dans les sillons de la partie
gions de l'écorce, sauf dans les sillons de la partie moyenne de la
région
motrice. A ce niveau en . effet, et le fait est
est également beaucoup plus frappante par -la' comparaison des deux
régions
. Enfin tandis que le réseau des fihres=à'm ? él
<oU*fri -, ? n i 1 Si l'on compare entre.·elles les, différentes
régions
au.point de vue des lésions vasculaires et des
lésions des fibres tangentielles étant plus accentuées que dans la
région
motrice à la superficie. Les noyaux des cellule
pré- sente la composition histologique suivante : D'ordinaire la
région
centrale du nodule est occupée par un corps sph
ar le seul fait que"* la 'section du corps fibreux a porté sur la -
région
péricentrale. Je pense cependant qu'on"he'saurait
vestige, ar et : . yav > - .. Mais ce n'est;pas seulement sur la
région
centrale du lobule que (portent les variations
araîtra par résorption. Si l'hyperplasie se poursuit alors dans les
régions
moyennes et superficielles, les couches profond
foyer composite appartenant au type méso- neuritique et occupant la
région
moyenne d'un fuseau.- En a un système alvéolair
Autopsie : foyer de myélite scléreuse ci la partie supérieure de la
région
dorsale; dégénérescences fasciculées habituelle
montré l'absence de corps granuleux et de corps amyloïdes dans les
régions
sclérosées. '' La boîte crânienne' est normale
iste encore une diminution considérable de fibres à myéline dans la
région
du faisceau pyramidal croisé, constituant une s
e la dégénérescence de libres' ascendantes situées ''dans.. h cette
région
, mais il est un fait qui' contredit absolument ce
ation ; elle diminue ensuite, tout en se continuant jusque dans les
régions
supérieures de la moelle. Les, veines, qui acco
t'sont'-Uésées'dans'fa plus grande partie de la moelle, depuis la f
région
! lombaire'jusque très haut'dans la moelle cervic
W' u'lU 1n, 1t1 3n a- j '"j ->>I'jjjLi <m ' ? , toutes les
régions
, portent dans leur adventice'de très'nombreux'"
lt; éosine. 4 ? - auorj . I rfott ? viagdo'l 8nr.il néanmoins les
régions
motneeeturontate sont lesiplus malades. et la r
néanmoins les régions motneeeturontate sont lesiplus malades. et la
région
occipitale la moins atteinte.. 31%/[t;ij,<i ul
ndis'- que^ le processus 1 tabétiqüè, st,"pls intense' dans, la ' `
région
dorsale que partout' ailleurs. u '" e' i'3 1 - ?
légère, d'origine évidemment vasculaire ; mais en un point'de la
région
dorsale supérieure, de la deuxième à la cinquième
extérieures du crâne en communication avec le sinus ni oedème de la
région
rétro-auriculaire ni cyanose circonscrite delà
ramollissement inter- rompait les fibres d'association unissant la
région
occipitale droite conservée avec le côté gauche
ite, par la tumeur, sur la partie médiane du lobe occipital dans la
région
du coin et de l'avant-coin. 1 ' ""' " . - 1 KÉH
'fallait, admettre; chez le ma- lade^ unV lésion' organique1 W^ des
régions
anté- ·c ? ·a5 ,y ·yqhn nm qn n. 1 ,t .. ? - ,
malade ne slié ! qu'àdroite : = OB5ERVATION'III : Dônleur, dans la
région
de l'épaule et de la nuque. Impotence des deux br
Diagnostic : , Lésion du noyau des oculo- moteurs communs, dans la
région
des tubercules quadrijumeaux. Autopsie : Germe
intact, on devra la rapporter, à.- une, lésion 3 I)ilatéi,ale de la
région
occipitale. La cécité due.'à;une lésion des deu
soit détruit, pour qu'il se produise, ' peu importe à cet égard la
région
du cerveau ; , 4. le mouvement de ma- nège,qtii
es; ' 8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l'écorce''et ' les
régions
motrices,' sensôrielles,psyhidues de`'cellè-ct;
1° la racine ascendante dont les libres prennent naissance dans la
région
des cellules ,de, la base de la corne postérieure
: . , .. - i , > Ic'v -10 .i i" i "-f. 14 .... -b ' " Dans la
région
postérieure de la. capsule interne, tout à fait e
laissé que des fragments tout à fait en arrière,- occupait toute la
région
comprise entre le milieu des 1 ? et 2° temporal
Vf : 'UN CAS DE' LÉSION SECONDAIRE DE LA' COUCHE OPTIQUE ET IDE la'
région
'sous-thalamique ; par' A" McEHANN.' . ([rc/<.
sJ. ·- )";n ? c ? <)'t) Mrt ? «'a.j'tM)t'; amn" a . de^ces trois
régions
, 1 avantmur, le putamen, la tête du noyau caudé
cellules nerveuses des divers noyaux de la couche optique et' de la
région
sous-thalamique en rela- ' tion' avec-ces fibre
chaque jsegmentj de la - couche optique est en .rapport avec, une-
région
déterminée, cir- . consente, de l'écorce; la de
terminée, cir- . consente, de l'écorce; la destruction, de chaque'^
région
, corticale entraîne unei destruction de tel ou
aTrelâtio"n'dè chaque noyau de la optiquecouche avec telle ou telle
région
de l'écorce'est) une décou- verte de Monakow.b
essie, dnr rectum;l'de91'érectiônnoccupe dans la' moelle sacrée la-
région
originaire 'des quatre premières paires sacrées
coupes- assez épaisses;etransvei,so-perpendieulaires,qdepuisille-
régions
frontales,' mais eh partant de la base pourigagne
mains et des pieds, le frontale cuirclievelu,'le nez, le menton, la
région
fessière, la surface dorsale, grâce au décubitus
)° De la racine asèendantes dont(llésu fibres naissent 'dans' la '-
région
des cellules de la base1 de = la corne 'postérieu
simples ou des convulsions épileptiformes par l'électrisation de la
région
rolandique. Auburtin avait pu, auparavant, arrê
e' : La cécité 'verbale è`st' ôrdinairementliéé.à des lésions de la
région
du pli courbe'de l'hémisphère gauche. Mais les
adictoire à Janotion'aujourd'hui bien établie d'après laquelle 2]at
région
du pli courbe gauche est le siège des images vi
de mars, appùéitiori d'e"schârès (régiôn sacrée, trochanter droit,
région
iliaque- drôitê^taloh) ? 'Emaciation extrême, aff
pect tremblotant'cômme'dé la* gelée (oedème). A la coupe, dans les'
régions
antérieures du cerveau, à gauche, piqueté accen
réparée ;9lé'pourtour du crâne âvait-augnientérdé 2 centimètres; la
région
'pariétale' gauche' 'était3 plus proéminente que
titirlé : Un cas de lésion secondaire de la couche optique et de la
région
sotts-thalanzi- que, dû à M. le Dr Mabain, assi
des adhérences avec les parois'craniennes, surtôut'àü niveau 'de la
région
frontale et de la' scissure interné-' mispliéri
isphère droit. ' 612 yrammes.. Sufiusions.sanguines au niveau de la
région
sylvienne. 5fême prédominance- des lésions (épa
randes cellules pyramidales. - Moelle. On constate, surtout dans la
région
lombaire, un léger degré : de sclérose, des fai
pour, l'élude du tronc du cerveau et pour les pesées des, diverses
régions
de l'encéphale. A-t-on-affaire à.une tumeur ou
n se rendant compte du degré d'adhérence, de la,pie- - mère en (ces
régions
.' Les coupes transverso-perpondicutaires de la
-,f i ,<, : n' l0 ." .t- ^ 'T ? 'i On peut combiner suivant les
régions
corticales ou médullaires que l'on trouve lésée
en les congelant parla méthode de Pirogoffet^en1 appliqnant sur les
régions
lé papier à calquer/sur lequel'on 'décalque les
o du nerf spinal ''auquel' ! le,morceau1'donnait, naissance 'étales
régions
supqieiii,es 1-inférieul,es, et latérales' qui
des formes cellulaires de même construction apparente. Il est des
régions
de cette substance grise dont nous connaissons la
uption^ et ""s'accompagnaient d'une sensation7 de 'morsûrë'dâhs' la
région
épi^àstrioue ''r a"ra as't,twcn9a aia$\j>jh
Les muscles sur lesquels ont porté les expériences sont ceux de la
région
postérieure de la cuisse : biceps, demi-tendineux
e n'est pas incompatible avec la persistance de la motilité dans la
région
. ? REVUE D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRA
rodes qui me- surent 150 centimètres carrés sont placées l'une à la
région
cervi- cale, l'autre à la région lombaire. Elle
res carrés sont placées l'une à la région cervi- cale, l'autre à la
région
lombaire. Elles ont été. préalablement hu- mect
térieur à'la,selle <M ? 'etÇM6 c/te; : /M a/t ? f Examen de celte
région
osseuse connue sous le nom de clivus de Blum'en
hiatrie et en anthropologie. -Il est très probable qu'il n'y pas'de
région
mo- tricespéciale (Hitzig); quel'écorceducervea
ent de centres'esthé- tiques; moraux; artistiques' (qui"occupent la
région
frontale) et de centres' génitaux'(qui'occupent
ls, en frontaux; pariétaux, occipitaux, l'intelligence occupant les
régions
antérieures du cerveau,'l'activité, les régions l
igence occupant les régions antérieures du cerveau,'l'activité, les
régions
latérales, les instincts,' les régions ! postér
du cerveau,'l'activité, les régions latérales, les instincts,' les
régions
! postérieures. ' `Bordier;` Manouvriery Topi-
des traumatismes cranietis et même après des traumatismes 'd'autres
régions
que la' région crânienne; l'auteur aurait*- rar
cranietis et même après des traumatismes 'd'autres régions que la'
région
crânienne; l'auteur aurait*- rarement -'constat
oyert composite appartenant au type méso- neuritique et occupant la
région
moyenne d'un fuseau.- En a un système alvéolair
version ' du sens -, par ' Siuli, 395 : v' - ' ` · . Gliomé de la
région
rolandique, par ' 'Alhertoni et Brigatti, 194.
de ces éléments est toujours deux ou trois fois moindre que dans la
région
correspon- dante du nerf optique droit. Les t
lations méningiennes, peu épaisse, particu- lièrement mince dans la
région
frontale. Lors de sa section, il s'écoule un pe
s. La calotte crânienne était assez mince et transparente dans la
région
frontale, elle présentait à sa face interne le lo
nes. La dure-mère était congestionnée, elle était affaissée dans la
région
frontale. Non épaissie, elle adhérait au niveau
parallèles au méridien hori- zontal, intéressant par conséquent la
région
de la macula. Ces coupes ont été traitées par l
coupe longitudinale pas- sant par le nerf optique, la papille et la
région
avoisinante de la rétine du côté nasal , montre
. Coupe longitudinale passant par le nerf optique, la papille et la
région
nroisinanle de la ? tétine parallèlement au mérid
ée et nous avons vu, grâce à l'examen histolo- gique,que cette même
région
était le siège d'une proliféra- tion du tissu c
ysies notamment, les troubles fonctionnels dépassent en étendue les
régions
directement intéressées par les lésions; il se
e toute l'attention du malade puisse être con- centrée sur la seule
région
de son corps ou de ses membres qu'il est en tra
n un cas, normale dans les parties non paralysées, diminuée dans la
région
paralysée ; en deux cas, il y avait réac- tion
ns et subdivisions suivantes : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 97 la même
région
. Seulement l'évolution en est différente la plupa
son. Il n'existe pas de sclérose des cordons postérieurs; mais à la
région
dorsale moyenne on voit des épaississements et
Nerf spinal. Ques- tions restées dans l'urne : Cordons postérieurs;
Région
rolandi- que. MM. Audan, 13 ; Charpentier, 15 e
; Bour, 16 ; Dromard, 19; et Artarit, 14. -Séance du 13 décembre :
Région
ro- landique. Questions restées dans l'urne : N
ment du ventre, inappé tence, bouffées de chaleur, douleurs dans la
région
ovarienne et une sensation douloureuse qui, par
ent atteinte : vives douleurs dans le ventre, hyperesthésie dans la
région
des ovaires, boule hysté- rique, crises nerveus
si du côté physique : des douleurs atroces et continuelles dans les
régions
ovariennes, des troubles gastriques divers, la
des signes bien nets d'hystérie : douleurs à la pression dans la
région
des ovaires, légère boule hystérique ; troubles d
jets lui dansent devant les yeux ; -, douleur à la pression dans la
région
épigastrique et ovarienne, hémianesthésie du cô
lytiques et les phénomènes convulsifs lémoi- gnent d'une lésion des
régions
motrices de l'hémisphère droit. Il n'y a ni tra
ocalisation. IL pense que la destruction d'une certaine portion des
régions
motrices ne détermine pas chez tout le monde un
jet, de sa complexion psychophysique générale. La destruction de la
région
corticale qui préside aux mouvements du bras dr
pas de mouvements trans- mis mais bien de mouvements propres à ces
régions
. - Les membres supérieurs sont intacts., . Pa
uche, l'existence d'une zone de sclérose cérébrale. Au niveau d'une
région
répondant fort exactement au territoire d'irrigat
ngitique est, en effet, constante, elle porte sur la pie-mère de la
région
postérieure de la moelle, alors que la pie- mèr
de la région postérieure de la moelle, alors que la pie- mère de la
région
antérieure est indemne. Les lésions des racines
est due à un système lym- phatique spécial et autonome dévolu à la
région
postérieure de la moelle et la partie postérieu
et n'ayant aucune communication avec les espaces lymphatiques de la
région
antérieure. C'est ce système lymphatique médull
. Dans de tels cas, on trouve de ces corps granuleux même dans la
région
antérieure de la moelle. M. PIIILIPPE, invité à
3° temporales, et un foyer de méningo-encéphalite adhésive dans la
région
du pli courbe également à droite. L'hémisphère
ilité, hallucinations pénibles de l'ouïe, cicatrice au niveau de la
région
hépatique ». Au moment de sa sortie, le malade
reuse, mais la douleur n'est pas moindre si l'on comprime une autre
région
du territoire affecté. La douleur est parfois m
e du tégument. On ne saurait oublier en effet que l'on agit sur une
région
où la peau est extrêmement fine, et où peuvent,
e par l'électrode devra être sensi- blement la même au niveau de la
région
temporo-frontale, qu'au niveau de la région mol
la même au niveau de la région temporo-frontale, qu'au niveau de la
région
molaire, qu'au niveau de l'angle du maxillaire.
de indifférente étant fixée au moyen d'une ceinture au niveau de la
région
dorsale, on commencera la séance. Le courant se
ures, qui n'altère pas la forme de la moelle. Racines postérieures,
région
externe des cordons postérieurs, envahissement
ens, dont voici les conclusions : 1. La destruction bilatérale delà
région
de l'écorce qui embrasse les parties antéro-inf
de sensations gustatives. 2. La destruc- tion de toutes les autres
régions
corticales, frontales, pariétales, temporales,
ffaiblissement des sensa- tions gustatives. 3. La destruction de la
région
gustative en question, d'un côté se traduit par
la moitié correspondante. 4. Une vaste des- truction de toute cette
région
fait aussi disparaître la sensibilité tactile d
- courent à cette amélioration. 7. La destruction partielle de la
région
gustative produit une perte partielle du goût à l
re pour qu'on puisse l'attribuer de préférence à l'excitation de la
région
sensible. 9. Chez le chien comme chez l'homme i
observe que chez les chiens dont le goût est bien développé. 10. La
région
gus- tative n'a pas de rapport direct avec la r
eloppé. 10. La région gus- tative n'a pas de rapport direct avec la
région
olfactive. On a beau détruire cette dernière à
pas atteint. Si l'on détruit les parties corticales voisines de la
région
olfactive, entre autres la région gustative, il s
parties corticales voisines de la région olfactive, entre autres la
région
gustative, il se produit un affaiblissement peu
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. sure de Sylvius. Les limites entre la
région
gustative et la région olfactive peuvent être t
IQUES. sure de Sylvius. Les limites entre la région gustative et la
région
olfactive peuvent être tracées par la scissure
isation de la porencéphalie par arrêt de développement ; toutes les
régions
, en effet, peuvent être atteintes ; cela dépend
e dernier pour une céphalée en casque assez vive pré- dominante aux
régions
biparrétales et occipitales, remontant après de
a un kyste sous-méningien apoplectique qui avait détruit une petite
région
du cervelet. Vu les données de l'autopsie, le rap
arles données expé- rimentales de Luciani que la lésion des petites
régions
du cervelet provoque l'ataxie, mais que cette a
compenser très rapidement les trou- bles des fonctions des petites
régions
du cervelet. Puisque la lésion du cervelet chez
ent 308 NÉCROLOGIE. pas du tout de réseau endocellulaire. Dans la
région
du noyau cellulaire le réseau se raréfie ; il n
tablissements hospitaliers et charitables, publics et privés, de la
région
, compléteront le programme de cet impor- tant c
des, un désastre épouvantable ne manquerait pas de s'abattre sur la
région
. Or, hier, un simple gendarme, en faisant' sa t
isme cérébral. Néanmoins, les douleurs persistent violentes dans la
région
maxillaire supé- rieure et inférieure du côté d
ixe au pourtour de l'un ou l'autre oeil, ou bien s'étend jusqu'à la
région
occipito-mastoïdienne. Dans ce dernier cas, l'a
u dire de la malade, à des pointes d'acier que l'on enfonce dans la
région
malade. Pas de tic d'aucune sorte. Au moment
, il fait la grimace et porte la main à sa figure pour comprimer la
région
, mais on observe en outre au moment des accès q
nt la barbe, le malade res- sent une légère douleur au niveau de la
région
sous-orbitaire. Dans la nuit qui suit l'apparit
uleurs que, depuis cette époque, le malade éprouve, siègent dans la
région
maxillo-temporale. Ce sont des élancements, des
outefois, ce n'est que depuis six ans que la malade souffre dans la
région
droite de la face de douleurs qui, faibles au d
ns la malade se plaignait de douleurs lancinantes pénibles, dans la
région
oculaire, survenant surtout la nuit, douleurs i
ication. Ces douleurs vagues se sont localisées ultérieurement à la
région
malaire, à la région du nez et à la lèvre supér
vagues se sont localisées ultérieurement à la région malaire, à la
région
du nez et à la lèvre supérieure du côté gauche.
n qu'elle fut intacte. Pas de soulagement. Une mouche placée sur la
région
temporale gauche aurait beaucoup calmé les doul
l, pour remonter sur le côté externe de l'orbite et s'irradier à la
région
frontale. Le début de ces phénomènes paraît coï
tout le côté droit de la face. Hyperesthésie très marquée dans la
région
d'émergence du tri- jumeau s'étendant au bulbe
la fièvre (février 1902), la malade res- sent de chaque côté de la
région
occipitale, des douleurs névral- giques plus ac
ible, impossibilité de se coiffer). Enfin elles se sont fixées à la
région
frontale. Ces douleurs sont continues avec péri
raissent, mais locali- sées cette fois au sommet de la tête ou à la
région
occipitale. Enfin , le soir, vers quatre heures
s, les phénomènes douloureux se montrent à nouveau, non pas dans la
région
frontale mais tantôt au sommet de la tête, tant
59 ment cessé sur le sommet de la tête; seules les douleurs de la
région
occipitale droite et de la région frontale ont pe
a tête; seules les douleurs de la région occipitale droite et de la
région
frontale ont persisté; elles s'accentuent au mo
a été mise en traitement, et au bout d'un mois, les douleurs de la
région
frontale ont disparu presque complètement, ne l
. Sur la poitrine les tumeurs sont très confluentes dans toute la
région
sternale ; elles sont beaucoup moins nombreuses s
nombreuses excrois- sances molles à pédicule large, surtout dans la
région
médiane. Ce n'est nas tout. On relève sur diffé
PARALYSIE GÉNÉRALE. 363 suffusions sanguines étendues à toutes les
régions
antéro-latérales des hémisphères. Artères saine
indications incom- plètes sur la topographie sensorielle de chaque
région
. Pour éviter ce dernier inconvénient, les mesur
° La distribution de cette sensibilité ne varie pas seulement d'une
région
à l'autre : elle varie aussi dans la même région,
as seulement d'une région à l'autre : elle varie aussi dans la même
région
, d'un point à son voisin (ce que n'indiquent pa
utanés. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 4° La sensibilité même de chaque
région
est sujette à des variations assez considérable
ystériques. Le foyer- morbide, probablement, était localisé dans la
région
des centres. moteurs de l'écoree de l'hémisphèr
ut le temps. De plus le malade se plaignait de maux de tête dans la
région
frontale, se propageant des deux côtés et de ve
Les symp- tômes principaux consistaient en des maux de tête dans la
région
frontale, des vertiges, le ralentissement du po
arrière du centre des jumeaux. En ce qui concerne les muscles de la
région
antero-externe, c'est du niveau de l'extrémité
uvent que la distribu-, tion motrice est segmentaire pour certaines
régions
seulement. En opposition à ces résultats contra
asile que l'auteur dirige, et dont les malades sont fournis par les
régions
les plus vicieuses, les plus alcooliques et les
sées au milieu d'a- liénés de catégories très, diverses et dans des
régions
très différentes. Discussion : M. AIIDLLEIIASS,
d'une série de coupes physiologiques et pathologiques des diverses
régions
de l'encéphale et de la moelle, M. Sommer possède
tômes que l'on trouve dans les sections complètes de la moelle à la
région
cervico-dorsase, c'est-à-dire la paraplégie fla
ntervalles : la raisonnance est un peu creuse; son maximum est à la
région
pariétale au-dessus et un peu en arrière du som
Pas de 'souffle- oculaire, ni frémisse- ment, ni battement dans la
région
crânienne. M. Clément pense qu'il s'agit d'un b
: Début du processus atrophique par les muscles de la nuque, de la
région
postérieure du tronc et de la ceinture pel- vie
zone marginale de la partie supérieure de la pariétale ascendante (
région
des membres inférieurs successivement étiquetée
e temps que la case 8, les fibres nerveuses se myélinisent dans une
région
de l'écorce qui entoure en arrière et en dehors l
ce qui entoure en arrière et en dehors la sphère visuelle primaire (
région
polaire externe), et mérite le ne 1-1 de nouvel
e ne 1-1 de nouvelles observations montrent qu'une portion de cette
région
se développe plus tôt et doit recevoir un numér
les réflexes tendineux. Parfois des douleurs fulgurantes dans la
région
de la branche II du trijemeau gauche. La sensibil
ymptôme complexus la lésion localisée de la moelle allongée dans la
région
des fibres arciformes internes, avoisinant l'ol
le racine postérieure était intéressée, et au lieu d'anesthésie, la
région
correspondante était hyperesthésique. Gigantism
s d'un certain âge et même chez les adultes à l'état de sommeil. La
région
plantaire excitée n'est pas indifférente. Dans
yser ensuite les mouvements expressifs de chaque trait et de chaque
région
de la face pris à part. C'est ensuite les expre
membres qui sont examinés un à un d'après chaque segment et chaque
région
ou organe pouvant traduire une impression. Cett
uleurs en comprimant certains points, la ré- gion sacro-iliaque, la
région
de l'échancrure sciatique, la partie postérieur
, la partie postérieure de la malléole externe. La percussion de la
région
trochantérienne et du talon, lorsque le membre
ue la colonne vertébrale présente deux courbures, l'une occupant la
région
lombaire à concavité droite, l'autre dans la ré
une occupant la région lombaire à concavité droite, l'autre dans la
région
dorsale et à concavité gauche. La plante des pi
se rappeler, en particulier, d'une part, que la percussion de la
région
irochantérienne et du talon, lorsque le membre
art, que la pression, sur certains points particuliers, tels que la
région
sacro- iliaque, la région de l'échancrure sciat
certains points particuliers, tels que la région sacro- iliaque, la
région
de l'échancrure sciatique, la partie postérieur
ois heures après, il ressentit des picotements - douloureux dans la
région
fessière gauche. Ces douleurs étaient continues
rtie anléro-externe de la jambe jusqu'à la partie postérieure de la
région
dorsale du pied. La pre,sion exagère la douleur a
poplité, péronier et dorsal du pied. Les douleurs irradient dans la
région
crurale antéro-supérieure en dedans et en dehor
la douleur se fait sentir depuis la malléole externe jusque dans la
région
lombaire et n'occupe pas du tout le pied; elle
e vertébrale, présente deux courbures, l'une inférieure occupant la
région
lombaire, à concavité droite, l'autre supérieur
la région lombaire, à concavité droite, l'autre supérieure, dans la
région
dorsale et à concavité gauche. Dans t'OBSERVATt
une double déviation latérale, l'une inférieure correspondant à la
région
lombaire à con- vexité tournée du côté de la sc
ée du côté de la sciatique, l'autre supé- rieure correspondant à la
région
dorsale à convexité tournée en sens inverse. La
tout à fait sur le dos. Elle a une hyperesthésie très marquée de la
région
vertébrale depuis la nuque jusqu'à l'extrémité
ications de sangsues, etc. La douleur se calma, mais revint dans la
région
dorsale, la malade se tient courbée. Puis survi
du dos, une hyperes- tésie considérable. Le doigt promené sur cette
région
provoque des mouvements de défense énergiques,
goût est obnubilé. Il existe enfin un point hyperesthésique dans la
région
dorsale, et une ovarie très accentuée à droite :
très accentuée à droite : (fi.g. 7 et 8) lorsqu'on presse sur cette
région
la malade sent « que cela lui remonte et la suf
face : éphi- drose hémilat'érale; tantôt elles n'occupent qu'une
région
suivant généralement le trajet de fibres ner- v
ose est nette- ment localisée à droite et atteint principalement la
région
DES éphidroses de la face. 67 frontale. Elle
envahit la tempe, la racine du nez à sa partie latérale droite, la
région
malaire et s'étend jusqu'au cou, mais ce dernie
t où la sudation atteignait son maximum, il y avait hypérémie de la
région
. Chez ce malade, l'affection paraissait être hé
ppurées de tumeurs de la parotide, d'opérations pratiquées sur la
région
, il y a irritation des fibres sudorales et l'éphi
le fait remarquer M. Bouveret, cette éphi- drose dépasse parfois la
région
et se manifeste sur les régions voisines et mêm
tte éphi- drose dépasse parfois la région et se manifeste sur les
régions
voisines et même sur une étendue considérable d
endue considérable de face. Dans tous les cas, un traumatisme de la
région
se rencontre à l'origine du mal. M. Bouveret fa
part du réflexe. Le malade mange, et aussitôt on voit perler sur la
région
de la parotide des gouttelettes - de sueur qui
la joue. Mais en dehors de ces cas, où l'éphidrose limitée à la
région
de la parotide ou ayant débuté par cette ré- gi
ssus et elle fut contente de le voir. D. Où habitez-vous ? R. Les
régions
modérées. U. Etes-vous marié' ? - R. La terre n
n du tremblement, sommeil et appétit; disparition de douleurs de la
région
hépatique et de sa tuméfaction ; plus de nausée
le lobe frontal et toute la zone motrice; a droite, outre les mêmes
régions
, la plus grande partie de l'écorce du lobe occipi
e de droite existât encore en partie. Il semblait sourd, quoique la
région
auditive n'eût pas été enlevée. Chez l'autre ch
t de la subs- tance blanche; absence d'hydropisie ventriculaire. La
région
motrice paraît principalement étriquée; il en e
à l'élection double, un grand nombre de cylindraxes dénuées dans la
région
scléreuse. Ce qui prouve bien que le cylindraxe
auche. Huit jours plus tard, au- dessous des fausses côtes, dans la
région
dorsale, du même côté, apparaît un abcès froid.
re de pus de bonne nature; le doigt atteint une cavité sise dans la
région
de la rate (infarctus splénique assez probable);
rences de température de 4° en 4° sur le dos, a 1 exception de la
région
des sus-épineux, où il a une anes- thésie égale
nt de la sensibilité dou- loureuse dans la plus grande partie de la
région
thermo-anes- thésiée. La dernière augmenta sur
partielle, isolée ou coïncidant par endroits avec une partie de la
région
thermo-anesthésique et se limitant par la parti
- gésie s'élève jusqu'au milieu de la nuque, en avant, jusqu'à la
région
in- nervée par le trijumeau, descend un peu a
tion de douleur. Le sens de la température est très abaissé dans la
région
anal- gésique ; le membre inférieur droit, par
e la sensibilité ont considérablement augmenté. (fig. 5.) Dans la
région
du nerf grand occipital des deux côtés de tout le
i dans d'autres endroits. Pas de troubles trophiques de la peau. La
région
de l'anesthésie a de nouveau augmenté, son cara
AIRE. '173 cette supposition; la délimitation caractéristique des
régions
à sensibilité altérée (sur la nuque et le thorax)
épaule. (Fig. 6.) Le sensde la température est abaissé dans la même
région
que la sensibilité générale. Les mains ne sente
iphériques diminua, mais les douleurs montèrent et parurent dans la
région
scapulaire, près de la clavicule et à la partie
s limités par des segments du membre et ne coïn- cident pas avec la
région
de la distribution des cordons nerveux séparés
laisse pas de trace, on observe dans les os et les tendons de cette
région
rien d'anormal ; il n'y a point de dou- leurs.
sensi- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 185 bilité de la main. Ici la
région
occupée par l'anesthésie générale n'a pas seule
l'anesthésie générale n'a pas seulement complètement répondu à la
région
innervée par un seul nerf, mais même aux limite
r- vation nous prouvent qu'elle peut exister seule dans certaines
régions
(entre autres dans celle du nerf trijumeau) en
dans d'autres. Ici nous n'avons que l'absence de ces der- nières
régions
(pas toujours grandes dans d'autres cas aussi),
sthésie partielle combinée et une augmen- tation considérable de la
région
de thermanesthésie isolée, occupant un espace c
ffection n'en occupe pas moins \ dans les centres nerveux certaines
régions
, certains organes, qui, secondairement ou primi
oexiste avec une hypérémie et une augmentation de température de la
région
cor- respondante, tandis que, dans d'autres cas
ix cornu posterions et la partie profonde des cordons la- téraux,
région
éminemment mixte qui renferme des tubes nerveux
inales du grand sympathique. Dans le cours du tabes sensitif, cette
région
, qui renferme non pas des nerfs mixtes mais des
éphidroses à envahir les parties voisines. Tantôt débutant par une
région
bien circonscrite comme la région temporale, la
voisines. Tantôt débutant par une région bien circonscrite comme la
région
temporale, la sueur gagne bientôt le front puis
, de rage, il a pris un couteau et s'en est donné un coup dans la
région
précordiale (hémorrhagie assez abondante). Ceci s
en bon état. Articulation nor- male. Menton bas, retiré en arrière.
Régions
molaires saillantes, larges, égales. Oreilles é
esthésie; ces points sont situés à la cheville, au genou et dans la
région
inguinale gauche. » Or, on sait, aussi que ces
des vaisseaux dans les parties de la pie-mère qui recou- vrent les
régions
motrices, surtout à droite. A part cela, pas la
observe aussi (Raymond') dans les lésions en foyer siégeant dans la
région
lenticulo-optique de la cap- sule interne au ni
ceaux. Hémisphère cérébral gauche, dépourvu de consistance dans les
régions
inférieures; en essayant de détacher la pie-mèr
épa- ratoires de médecine. Le département de la Seine formera une
région
, avec l'adjonction des seuls asiles de Clermont e
llait distinguer, dans les cordons posté- rieurs de la moelle, deux
régions
tout à fait distinctes : l'une centrale (cordon
mer ainsi, l'organe du tabes, car c'est avec les lésions de cette
région
que coexistent les symptômes caractéristiques d
Pur... souffrit en outre de picotements désagréables siégeant à la
région
lombaire de la colonne vertébrale. Comme à cette
ouleurs ont le caractère de fulgurations très rapides partant de la
région
des fesses et éclatant tout à coup « comme des
le épinière. Sur les coupes transversales provenant des différentes
régions
de la moelle (cer- vicale, dorsale et lombaire)
s rachidiennes. Quatre paires de racines rachidiennes provenant des
régions
dorsale et lombaire de la moelle ont été dissoc
étouffements et d'une sen- sation de construction ci la gorge. Les
régions
ovariennes sont un peu sensibles sans être, à v
rdissement dans la main droite et particulière- ment limité dans la
région
innervée par le nerf cubital. Cet engour- disse
ur double effet d'agrandir le diamètre transversal du thorax à sa
région
inférieure et de le rétrécir à sa région supé-
transversal du thorax à sa région inférieure et de le rétrécir à sa
région
supé- rieure. Quant à l'expiration, c'est un ac
ce des battements du coeur. - La section de la moelle épinière à la
région
occipito-atloïdienne imprime à la circulation u
anger la personnalité; on en distingue trois catégories, suivant la
région
où siège l'excitation; excitation psychomotrice
é de doctrines d'un vieux Kreisphysikus ayant pratiqué dans la même
région
de longues années. Il parle de cinquante années
position forcée d'une tôle dolicocéphale, à front fuyant, toute la
région
postérieure devient saillante. Cette saillie, r
bilité et du sens musculaire. Atrophie de la jambe gauche dans les
régions
de la cuisse et du mollet; atrophie moindre à dro
y en a que peu de 0,004; 2" les racines postérieures des deux mêmes
régions
contiennent un grand nombre de tubes nerveux fi
che, dans le segment de la moelle qui constitue la limite entre les
régions
dorsale et lombaire, la lésion des cordons post
ipital gauche, traversant l'écorce et la substance blanche de cette
région
pour joindre la corne postérieure du ventricule
utre, et ayant déterminé l'aplasie de toutes les tubérosités de ces
régions
. La mikrophthalmie simultanée et le trouble des
excitables; la première correspond chez les singes et l'homme à la
région
rolandique, chez les autres animaux à la région
ges et l'homme à la région rolandique, chez les autres animaux à la
région
sigmoïdienne; la seconde (zone inactive) compre
de l'écorce cérébrale, la seconde de la nature fonctionnelle des
régions
excitables, et la dernière des localisations motr
te à 1 mètre 50, et plus, à droite ; à 1 mètre 20, à gauche. Par la
région
frontale la percep- tion est bonne ; sur l'apop
au salée. Vers le mois de juillet, une petite escliare apparut à la
région
sacrée, et en dépit des soins prodigués au mala
commissure des trois pédoncules cérébel- leux du côte gauche. Cette
région
est tellement indurée, qu'elle crie presque sou
gie, tome I) et divisée en minces coupes pratiquées à dif- férentes
régions
nous montre, dans les portions cervicales et la
une disposition très exceptionnelle. Il n'y a, somme toute, que la
région
rolandique et frontale infé- rieure qui offrent
t sensible à la pression, engourdissement de toutlc côté gauche. La
région
ovarienne gauche, très peu sensible dans l'inter-
ssait sans transition parla phase tonique du début. « Bien que la
région
ovarienne gauche soit très sensible à la pressi
des zones hystérogènes, parmi lesquelles compte au premier rang la
région
ovarienne produit un double résultat opposé : l
ez loin. La malade étant couchée, je com- primai légèrement la même
région
iliaque et immédiatement tous les symptômes pré
peresthésie ovarienne ; mais la partie posté- rieure du crâne et la
région
cervico-dorsale de la colonne verté- brale étai
e hyperesthésie très accusée. La pression ou la manipulation de ces
régions
amenait en quelques instants une attaque de spa
même façon ou avec quelques irrégularités. Une forte pression de la
région
des ovaires ne parvenait pas générale- ment à a
re : les ver- téhro-spinales et les spinales proprement dites. A la
région
antérieure et à la région postérieure de l'orga
es et les spinales proprement dites. A la région antérieure et à la
région
postérieure de l'organe, on rencontre ces deux
teur allemand, cette spécialisation dans la circulation de ces deux
régions
devient évidente. Des spinales antérieurs naiss
igation des spinales antérieures et des spinales postérieures. A la
région
lombaire surtout, par l'inter- médiaire des ram
nstant et capable de pourvoir abondamment du liquide nourricier les
régions
cellulaires. On s'explique aussi comment par le
spinales. Ces veines latérales antérieures n'existent en réalité la
région
cervicale ; elles sont très ténues à la région do
istent en réalité la région cervicale ; elles sont très ténues à la
région
dor- sale, et disparaissent à la région lombair
elles sont très ténues à la région dor- sale, et disparaissent à la
région
lombaire. Là, on n'observe plus que des veinule
appelle les faits anatomiques et patholo- giques importants dont la
région
obéliale est le siège. Les animaux sans tourbil
ations courtes et superficielles), on force l'air à monter dans les
régions
olfac- tives, soit par l'aspiration directe, so
ce la zone des circonvolutions qu'il lèse, M. 111onahow résèque une
région
correspondant a priori, sans plus ample examen,
tateurs qui l'ont précédé dans cette voie, c'est qu'évidem- ment la
région
touchée est bien exactement un centre et bien l
la sphère sensible pour les organes protecteurs de l'031l et de la
région
visuelle de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 95 -)
ar Gudden), ou en un mot des trois centres G. F. A. de Munk. Or ces
régions
représentent seulement le segment antérieur et
supérieurs, relient le pulvinar et le corps genouillé externe à la
région
occipitale (fibres de Gra- tiolet). Il semblera
delà capsule interne, de l'in- sula, des corps optû-striés et delà
région
sublllalamique, des pé- doncules cérébraux, de
témoigne de l'action conductrice des faisceaux blancs émanés de la
région
de Broca, celle-ci étant demeurée saine dans so
bservé quatre cas de formation de cavernes dans la moelle épinière (
région
cervicale et dorsale). Ces cavernes étaient sit
principales observations de l'auteur : Les cavernes siègent dans la
région
cervicale et une partie minime de la région dor
ernes siègent dans la région cervicale et une partie minime de la
région
dorsale. La plupart des cavernes communiquent ave
érescence diffuse de moyenne intensité des cordons postérieurs à la
région
lombaire ; les segments les plus externes des f
port avec le degré moyen d'altération des cordons postérieurs en la
région
lombaire, sur les paresthé- sies dans la sphère
se le domaine des cordons pos- térieurs ? L'atrophie générale de la
région
dorso-lombaire qui est loin d'être la règle dan
grise des cornes antérieures est lésé dans la partie moyenne de la
région
dorsale : on note dans tout ce segment la dispa
éflexe patel- laire des deux côtés. Sensibilité électro-cutanée des
régions
anesthésiées éteinte outrés diminuée. Pas depar
huit fois sur douze ; ils man- quaient quand la tumeur occupait la
région
frontale. Dix fois on a observé le vertige et l
ll. La guérison a été obtenue par des pulvérisations d'éther sur la
région
rachidienne, par l'usage interne d'extrait de c
s coupes furent pratiquées au niveau du renflement brachial et à la
région
lombaire ; dans le premier point, la corne anté
on état ; mais à droite les groupes de cellules étaient sains. A la
région
lom- baire, les cornes antérieures des deux côt
ux côtés étaient atrophiées ; les mêmes altérations existaient à la
région
cervicale, mais limitées aux cordons de 1·ürcl
les cornes posté- rieures de la moelle, mais atteignaient aussi la
région
des fibres pyramidales. Au-dessus du point de c
même temps qu'apparaissait une tumeur à la partie inférieure de la
région
lombaire. A l'autopsie, on trouva dans le canal
ancéreuses, principalement au niveau de la onzième dorsale et de la
région
lombaire. La séance est levée et le Congrès ajour
que la sonde a pénétré dans l'estomac; appliquant l'oreille sur la
région
épigastrique il fait souffler dans le pavillon
ayant de séparer la pie-mère du cerveau, on voit qu'au niveau de la
région
fronto-pariétale elle entraîne de gros fragment
res après la mort, non seulement dans les parties sous-jacentes aux
régions
sphacélées, mais aussi dans les portions périph
l'observation précédente. Des altérations des nerfs cu- tanés de la
région
fessière coexistent avec une eschare rapide de
s de la région fessière coexistent avec une eschare rapide de cette
région
. Il y a très vraisemblablement entre les lésion
oûte osseuse. Hémi- /j ? e droite. Large plaque érylhémateuse de la
région
fes- siere droite, avec ulcérations superficiel
crâne, sans enfoncement, com- mençant à la partie postérieure de la
région
pariétale gauche, à trois centimètres au-dessou
n petit noyau hémorrhagique de la grosseur d'un grain de blé. Les
régions
fessières droite et gauche sont recouvertes par
peut être la cause de la for- mation rapide d'eschares sur les deux
régions
fessières. La bilatéralité de l'eschare est exc
mmets et du souffle sous la clavicule gauche. Souffle anémique à la
région
précordiale et dans les carotides. Toux rare, e
fausse mem- brane très fine, au niveau des lobes frontaux et de la
région
pariétale, sur les deux hémisphères. On trouve
xiste quelques tubercules miliaires dans les méninges de cette même
région
; on n'en trouve pas au delà de la portion cervi
n du courant nerveux, en partie à l'influence de la section sur les
régions
inférieures du névraxe. Mais la première de ces
ymptôme, qui n'étant pas toujours lié à une douleur spontanée de la
région
doit être cherché. Il rapporte que la pression
deux ans, victime du 18 mars 1848, qui avait reçu une balle dans la
région
de l'épaule gauche : elle était entrée au nivea
ant gravement le plexus brachial. Le nerf radial passe à côté de la
région
cicatricielle, tandis que le cubital et le médian
bras gauche est générale, quoique de valeur différente suivant les
régions
. La main et les doigts sont ré- 238 REVUE DE pa
ningée ayant par la pression entraîné la complète disparition DE la
RÉGION
cervicale INFÉRIEURE DE LA MOELLE par FRIEDRICH
res ont cessé d'être membraneuses. C'est de bas en haut, vers cette
région
que se fait aussi l'épanouissement phy- siologi
s qui occupe une étendue d'environ six centimètres au-dessous de la
région
primitivement lésée de trousseaux postérieurs f
es micro-organismes iraient-ils se fixer exclusivement en certaines
régions
de l'organe central. 11 faudrait plutôt penser,
tout cas probable qu'il y .1 ries différences à cet égard selon les
régions
. Du moins le recoquevilicmcntet la rayure sont-il
'une fois, en janvier 1882, une sensation d'oppression pénible à la
région
précordiale. La commune demandant sa sortie, dans
de Paris, 1882. Contribution à l'étude clinique des tumeurs de la
région
temporale; par Bottez. Thèse de Paris, 1883.
à la superficie de l'organe, et parfaite- z ment circonscrites à sa
région
moyenne au niveau et un peu au voisinage du lob
risâtre translu- cide, des cordons de Golf, depuis le' milieu de la
région
dorsale jusqu'à l'extrémité inférieure du renfl
flexes,d : ttii.meiiibrepstérieur deila grenouille, a .indiqué .des
régions
dénia,peau donti ljexcitation- ,n." ».. li .i .
: l il PIPSI , , plus accen- . tuée, à la .partie intérieure de la
région
dorsale. Dans ces cas, , ne. pourrait-on, pas a
artériels"1 der'la' pie-mère'et'du cerveau; anémie l'ensemble 'des
régions
envisagées du côté pris; d'où céphalalgie, achrom
du'centre'optiquc REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ;t i J cortical (
région
occipito-postérieure)j anémié, de ce. fait./Toutc
e 362 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. celles-ci occupassent toute la
région
dorsale et une petite éten- due de la région lo
i occupassent toute la région dorsale et une petite éten- due de la
région
lombaire dans l'observation I (parésie et rigi-
cordons latéraux, la portion interne des faisceaux cunéiformes à la
région
cervicale supérieure, le faisceau pyramidal et
ieure, le faisceau pyramidal et les deux cordons posté- rieurs à la
région
dorsale eussent été envahis (intégrité des py-
té aux courants continus entraînant des réactions iné- gales en des
régions
symétriques ou homolatérales sans altéra- tion
neux a permis le diagnostic de l'altéralioni et de l'atteinte de la
région
lombaire, à une période où .il n'exis- tait enc
rédité), qui provoquait chez lui l'orgasme vénérien en caressant la
région
fessière de petits garçons de moins de 'quatorze
ux et transverses et, notamment, de l'axe qui joint le milieu de la
région
inter-soureilièrc à la protuhé : SOCIETES SAVAN
raconte qu'il a soudain ressenti une contraction convulsive dans la
région
épigastrique avant de perdre connaissance. La c
aine, ou le voisinage de l'établissement. Que s'il se trouve en des
régions
étrangères, ils se borneront à le suivre et à t
oadmoor. Milibank est une vieille prison cellulaire, située dans la
région
ouest de Londres, sur la rive gauche de la Tami
dans l'hypochondrie gauche. Les douleurs s'étendent peu après aux
régions
épigasfriques et iléo-coecales pour irradier dans
ument devait occuper l'hypo- chondre gauche en mai 1878, en juin la
région
iléo-coecàle. Les dou- leurs ressenties dès lor
alement à l'aura, « cette manifestation extérieure du malaise de la
région
cérébrale sur laquelle va tout d'abord se porte
uit, vous ne l'ignorez pas, par l'excitation faradique d'une certaine
région
située au-dessus delà clavicule, correspondant au
ui lui paraît enserrée comme dans un casque de plomb, surtout dans la
région
occipitale et en avant vers les bosses frontales.
forme fruste. Voici en effet ce que l'on observe à gauche, en pleines
régions
analgésiques ; il existe au-dessus du pli de l'ai
, « que quelque chose lui remonte de l'aine gauche vers le ventre, la
région
du cœur où il éprouve des battements rapides, l
ventre, la région du cœur où il éprouve des battements rapides, la
région
du cou enfin, où il ressent comme un étranglement
(cas de Millier, cas de Jofiroy et Salmon), rarement plus bas vers la
région
dorso-ombaire (cas de Viguès). L'arme pénètre ent
on n'a pas amené la destruction complète des cellules nerveuses de la
région
, et que la restitution ad integrum en a été possi
ui : cependant vous voyez comment la compression de l'abdomen dans la
région
du tlanc produi chez elle un tressautement accomp
er, prédominant toutefois, comme c'est la règle en pareil cas, sur la
région
antérieure de la cuisse, était poussée déjà au pl
uleur vive qu'il ressent dans le côté droit du tronc, au niveau de la
région
hépatique et qu'il décrit comme un sentiment de b
l a été déjà question du reste plus haut, située sur le tronc dans la
région
hépatique, et celle d'une plaque de même nature o
in se trouve sur la partie médiane de l'épine, un peu au-dessus de la
région
lombaire. Double rétrécissement concentrique du
es qu'il est obligé de le quitter. C'est qu'alors il éprouve dans les
régions
frontales et occipitales, à la nuque, un sentimen
ornes antérieures, sans Fig. 32.— Croupe de la moelle faite dans la
région
lombaire. — A. Corne antérieure gauche saine, — a
ornes antérieures, ainsi que Cela se voit bien lorsqu'il s'agit de la
région
lombaire, la lésion peut ne pas se montrer unifor
antôt l'un tantôt l'autre des trois groupes ou amas cellulaires de la
région
. On peut même supposer, — quelle que soit la th
t, au milieu d'un appareil fébrile plus ou moins accentué, envahit la
région
des cellules nerveuses motrices des cornes antéri
sion exercée sur les parties, et, en particulier, pas d'escarres à la
région
sacrée. Conformément, à peu de chose près, à ce
ne saurait s'y engager cependant Fig. 33. — Coupe de la moelle à la
région
cervicale dans vin cas de paralysie infantile du
erf sciatique à la fesse et sur la partie postérieure delà cuisse; la
région
surtout douloureuse est encore aujourd'hui marqué
pendant quinze jours en tout. Depuis longtemps, il n'y a plus sur ces
régions
de douleurs spontanées; mais même encore aujourd'
tension du foyer, originellement limité dans la corne antérieure, aux
régions
postérieures delà substance grise,et peut-être mê
actère. Lorsque, en dehors des crises, on exerce une pression surla
région
ovarienne droite, la malade ressent ces mêmes bat
. r.e vm : mcurva-tion lente de la colonne vertébrale au niveau de la
région
u. ' u wa c; enfin affaiblissement des membres in
n de la surface de section d'une moelle normale examinée dans la même
région
; sa consistance était ferme, sa couleur grisâtre
e qu'il porte du côté droit le tronc tenu raide dans la verticale, la
région
lombaire présentant une cambrure assez forte, les
souffre et qu'il localise dans l'épine, à la partie inférieure de la
région
dorsale et dans la région lombaire, qui semblent
dans l'épine, à la partie inférieure de la région dorsale et dans la
région
lombaire, qui semblent commander cette attitude.
ent facilement un certain degré de mobilité entre les vertèbres d'une
région
. De plus le patient n'en éprouve aucune gêne. Tou
u'ici la distribution de l'hyperesthésie cutanée chez notre homme. La
région
hyperes-thésiée forme comme une large ceinture qu
arrière, au niveau du rachis, s'étend sur quelques vertèbres de la
région
dorsale inférieure etsur toute lahau-teur des rég
vertèbres de la région dorsale inférieure etsur toute lahau-teur des
régions
lombaires et sacrées ; c'est là où la sensibilité
einture hyperesthe'sique ; ò. Hyperesthésie scrotale très accen- b.
Région
où l'hyperesthésie est tuée et testicule doulou
lombes, contourneles hanches, envahit enavant les hypocondres et les
régions
inguinales, d'où elle se répand sur le scrotum et
elle se répand sur le scrotum et sur la verge, laissant indemnes les
régions
ombilicale et hypogastrique. C'est à l'existence
logique ou physique, comme vous voudrez l'appeler, qui siège dans les
régions
cérébrales inférieures ou dans la moelle. Quelque
s prescriptions habituelles, une application de pointes de feu sur la
région
spinale. C'est dire que nous avions eu l'occasion
te, ne s'élevant jamais au taux d'une douleur vive; elle siège sur la
région
frontale et à l'occiput surtout, mais s'étend par
ue le malade éprouve d'une façon habituelle sur toute l'étendue de la
région
du sacrum et qui s'exaspère remarquablement lorsq
et elle n'a eu d'autre blessure qu'une bosse sanguine, siégeant à la
région
lombaire ; la douleur produite par cette contusio
sans voir s'exaspérer le sentiment pénible de pression qui occupe la
région
du sacrum — Aucun phénomène hystérique. Sa santé,
la jambe, sur toute l'étendue du pied. 36 Sur ces deux dernières
régions
, la sensibilité est normale; sur la première, il
sentiment de compression s'exerçant à la fois sur l'occiput et sur la
région
frontale ; elle est constante, permanente, et s'e
core une dormeuse. — Réveil produit par la compression exercée sur la
région
ovarienne. 2e Malade. — Contracture hystéro-tra
de l'attaque convulsive, une compression un peu forte agissant sur la
région
où siège l'ovarie a souvent pour effet de couper
harcot qui n'a pas cessé pendant ce temps de maintenir la main sur la
région
ovarienne gauche, s'adressant à l'auditoire : C
a face externe de la cuisse droite, une autre au cuir chevelu dans la
région
pariétale droite, enfin quelques contusions sur l
orsqu'il essaye de se livrer à un travail manuel, de douleurs dans la
région
sacrée et d'une grande fatigue dans les jambes ;
parfois très vivement d'une sensation de brûlure, siégeant soit à la
région
de l'estomac, soit le long de l'œsophage (2). 3
u matin à peu près tous les jours, par un sentiment de pesanteur à la
région
épigastrique bientôt suivi d'une douleur vive que
ée, reconnue également par M. Cartaz. Elle occupe surtout à droite la
région
des cordes vocales supérieures et inférieures ; o
artificielles si l'on insistait quelque peu sur la titillation de ces
régions
... S'adressant au malade : A quelle époque avez
se iliaque droite : il est situé profondément et il faut soumettre la
région
à une compression un peu D Fig. 81. — Champ v
e est normal. forte pour déterminer les phénomènes de l'aura. Cette
région
devient douloureuse au moment où se produit spont
omiste constaterait, vous le savez, chez un tel sujet, dans certaines
régions
de la moelle épinière, les vestiges de la myélite
o-myélite aiguë ne puisse plus se reproduire jamais, au moins sur ces
régions
des cornes antérieures où les cellules motrices o
été irréparablement détruites. Mais le tissu cicatriciel qui dans ces
régions
là s'est substitué à la substance grise ne peut-i
us explicitement, l'altération atrophique des cellules motrices de la
région
. à). Une première catégorie à distinguer dans c
tomique-ment par une lésion exactement, systématiquement, limitée aux
régions
antérieures de la substance grise et laissant par
sation méthodique, soit par l'application répétée de révulsifs sur la
région
spinale, ou par tout autre moyen, d'arrêter la ma
a plante des pieds où la sensibilité est seulement émoussée, et de la
région
sous-ombilicale où l'on constate une hypéresthési
tre, au-dessous de l'ombilic. Il y a là. deux choses à considérer: la
région
qui est tout entière hypéresthésique et deux plaq
t saisir un pli de sa robe de la main droite, au niveau de cette même
région
de l'abdomen, que tout à l'heure elle frappait du
s coups répétés qu'elle y porte, la peau du ventre elle-même, dans la
région
correspondante, est couverte d'ecchymoses. D'autr
les derniers temps, il s'était produit chez elle une large plaie à la
région
sacrée. Un de ses cousins germains, du côté mater
bles sur la scrotum et le testicule gauche, sur le cordon et dans les
régions
avoisinantes ; pli de l'aine, flanc, hypogastre.
éanmoins, quelque insistance que l'on mette à pincer, à comprimer les
régions
en question, on ne provoque pas les symptômes de
Fig. 102. Distribution et intensité de l'Hyperesthésie suivant les
régions
. troubles moteurs hémiplégiques, survenus il y
tivement développées dans la capsule interne et probablement dans les
régions
antérieures des hémisphères, lésions d'où relèven
chiques. Cette extension aura eu pour résultat d'intéresser certaines
régions
encéphaliques non encore connues, mais que l'étud
thétique devrait être bien étroitement, bien précisément limitée à la
région
physiologiquement spécifiée; car, ainsi que nous
plasme formé le plus souvent, aux dépens de l'épendyme et de diverses
régions
de la substance grise spinale, principalement cel
e sa Fig. 113. — Moelle de syringomyélie par gliomatose médullaire.
Région
ccrvico-dorsalc. Hospice de la Sàlpêtrière. — Cou
. Marie. 1 Zone de condensation avec apparence papillomateuse. 1'
Région
dans laquelle existe encore un peu d'épithélium é
présente des teintes différentes, les plus foncées correspondent aux
régions
dans lesquelles la névroglie a acquis le plus gra
ection hauteur ; que.quefois cependant elle reste limitée soit à la
région
lombaire, soit à la région cervico-brachiale : ce
ois cependant elle reste limitée soit à la région lombaire, soit à la
région
cervico-brachiale : ce dernier cas est de beaucou
itivement fixées. Il semble en effet bien établi aujourd'hui, que ces
régions
-là peuvent être lésées isolément, primitivement,
trajet intraspinal des racines antérieures), sont en somme les seules
régions
de la moelle épinière qui intéressent directement
de la scélérose latérale amyotrophique, que les lésions limitées à la
région
des cornes antérieures de substance grise ne sont
pressions douloureuses : elles montrent en outre que, dans cette même
région
des cornes postérieures, siègent encore les condu
ers modes de la sensibilité, chaud, froid, douleur, occupent dans ces
régions
-là des départements distincts ; car chacun de ces
core à l'histoire de la syringomyélie semblent les désigner comme une
région
dont les altérations se traduiraient par la produ
intrinsèques, c'est-à-dire relevant des lésions limitées aux diverses
régions
de la substance grise centrale, et ici il y a lie
dire quant à présent, nous l'avons fait remarquer déjà, dans quelles
régions
de la substance grise siègent les lésions d'où dé
que par la nécessité d'exclure les autres parties, que c'est dans la
région
centrale, commissurale de la substance grise, qu'
le point de départ des accidents ; il pourrait se faire aussi que les
régions
dites colonnes intermédiaires de Glarke, où naîtr
rses parties de la substance grise ; l'envahissement par celle-ci des
régions
blanches, faisceaux pyramidaux et faisceaux posté
approchée. La mort a été quelquefois déterminée par l'extension aux
régions
bulbaires du processus morbide; plus souvent elle
basses sur ces parties-là ne sont en général pas perçues. La seule
région
du corps où l'anesthésie à la chaleur fasse com
ig. 114 Sensibilité au froid (0*). Les fig. 113,114, montrent les
régions
où l'application sur la peau d'un bloc de glace n
fois aperçu à ses dépens de cette insensibilité absolue de certaines
régions
de son corps aux impressions thermiques. Ainsi,dé
t, mieux encore, d'une myélite partielle centrale, localisée dans les
régions
qu'occupent habituellement les lésions spinales d
ulière que présentent toutes les parties de cette main surtout sur la
région
dorsale; elle est due à un œdème dur, ne recevant
out le crâne. Cette céphalée était particulièrement intense dans la
région
occipitale. En outre, il se plaignait d'une gêne
e toujours cette céphalée gravative incessante et prédominant dans la
région
occipitale qui est apparue dès la seconde semaine
la jambe sur la cuisse, et de plus cet examen fit éprouver dans cette
région
une sensation montrant que celui-ci était rempli
el) ...... 137 Fig. 32. — Paralysie infantile (Lésions médullaires,
région
lombaire) 141 Fig. 33 — — du membre supérieur (Lé
core une dormeuse. Réveil produit par la compression exercée sur la
région
ovarienne...... 271 2e malade. —Contraction hys
ir d'exemple. A côté des bran- ches nerveuses on voit émerger de la
région
sous- musculaire et contourner le bord postérie
es. Ce fait inattendu, il est aisé de le vérifier dans toutes les
régions
, au cou, aux membres, etc. Nous pren- drons pou
ulions mettre en lumière les mêmes particularités dans toutes les
régions
; mais il sera facile d'en vérifier l'exactitude.
'oeil droit ; des dou-' leurs névralgiques se sont montrées dans la
région
mastoïdienne gauche. C'est pour cette amblyopie
sse sa main appliquée contre l'oreille. Cette douleur siège dans la
région
mastoïdienne du côté gauche. Elle a un foyer ma
orteur de psoriasis depuis trente ans et en a eu dans dilfé- rentes
régions
. " Pollakiurie et polyurie modérées avec polyph
aine dans l'obscurité. Douleurs en ceinture pas très nettes dans la
région
abdominale inférieure ainsi que dans la région
très nettes dans la région abdominale inférieure ainsi que dans la
région
dorsale. Les urines et les selles sont si impér
l'aide du marteau de Skoda, sur certaines apophyses épineuses de.la
région
cervicale et lombaire mises à nu, .je provoque
l'application d'un courant faradique, un pôle au cou, l'autre à la
région
épigastriqne, la compression d'un des ovaires qui
t de presser sur les épaules, la partie postérieure du tronc et les
régions
fessières. Dans ces conditions, les secousses c
ive s'en suivait dont le point de départ pouvait être rapporté à la
région
plan- taire ou aux tendons des muscles. Or les
ns physiologiques entre le centre auto- matique de la marche et les
régions
cutanées que nous avons vu être des zones d'inh
face était toujours plus pâle que la gauche. A vingt et un ans, la
région
temporale droite commence à présenter un en- fo
sceaux pyra- midaux qu'il faut attribuer ces phénomènes. Quant à la
région
cérébrale trophique, il est jusqu'à nouvel ordr
ures. On les voit nettement à l'état de trousseaux compacts dans la
région
de la dixième paire dorsale. Puis, bien plus ba
érose) localisée, suivant toutes probabilités (pas d'autopsie), aux
régions
corticales motrices (intégrité du facial; contr
rovoquent des ramollissements et des hémorrhagies dans les diverses
régions
du cerveau et de la moelle (encéphalite interst
ndis que la manie résulte de l'inertie des mêmes tuniques, dans les
régions
antérieures du cerveau, on conçoit quelle modif
nés, en attendant leur réparti- tion dans les divers hospices de la
région
. Cet établissement, com- prenant une population
5° Des fourmillements qui se montrent de temps à autre en maintes
régions
du corps (mains, cuisses, etc.), mais qui, parfoi
n'y a pas d'engorgements ganglionnaires. Par moments, douleur à la
région
précordiale; palpitations à la moindre fatigue.
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 223 couche corticale, au' niveau de la
région
frontale gauche et de la région motrice du même
couche corticale, au' niveau de la région frontale gauche et de la
région
motrice du même côté ; 2° épaississement des paro
e, au niveau de la colonne vertébrale entre les épaules, et dans la
région
de l'hypochondre gauche. Aucune lésion organiqu
). - 2° Un foyer inflammatoire identique peut se développer dans la
région
inter- médiaire du cerveau et tuer l'animal san
atrophie des fibres, que l'on constate en descendant jusque dans la
région
des olives. Toutes les autres parties de l'encé
n'en reste plus que la char- pente. Les vaisseaux qui gagnent cette
région
sont les uns per- méables, les autres thrombose
des taches blanches qui, plus tard s'étaient pigmentées. Dans la
région
occupée par les taches, la peau s'était durcie et
get une contusion au front, la femme Rouvray a été atteinte dans la
région
dorsale et a subi une hémoptysie assez abondante;
eresthésie) le long de la colonne verté- brale vers le milieu de la
région
dorsale, au point que le plus léger contact lui
liments et les digère. S'ils sont ainsi oblitérés, c'est que sur la
région
antérieure et pos- térieure de leur cerveau se
n de la couche corticale située sur la première temporale et que la
région
touchée est toujours la même. A la partie moyen
res, qu'ils appartiennent à larégion'aiité- rieure (idéation), à la
région
moyenne (psycho-mo- trice), ou à la région post
rieure (idéation), à la région moyenne (psycho-mo- trice), ou à la
région
postérieure (appétits et ins- tincts), sont mis
t connaître et sur lesquels je n'ai pas à insister. C'est dans la
région
postérieure que se trouvent déposées les images
lectuelle, à la formation de nos idées : ces images passant dans la
région
fron- tale deviennent les schémas, les signes r
ifs de la pensée. Toutes les fois qu'une détermination part de la
région
postérieure, sans*le contrôle des centres supér
rice, un acte instinctif.' Quand le point de départ émane de la 0
région
antérieure, il produit une détermination idéo-
ifférentes parties de la salle. Chez cette enfant, non seulement la
région
fron- tale est annihilée, mais la région postér
e enfant, non seulement la région fron- tale est annihilée, mais la
région
postérieure est en grande partie compromise.
gion postérieure est en grande partie compromise. A mesure que la
région
postérieure devient libre, l'intégrité successi
le centre cortical postérieur, transmet sa représentation dans la
région
frontale et provoque immédiatement un mouvement
à son tour, suivant un trajet analogue, actionne en sens inverse la
région
psycho- motrice, un mouvement de recul s'effect
nels les plus étranges. L'idiot chez lequel certains centres delà
région
anté- rieure deviennent libres cesse d'être un
ement sensori-motrices, elles reçoivent un certain contrôle de la
région
antérieure, elles commencent à devenir idéo- mo
propos une déséquilibrée de trente- deux ans, chez laquelle aucune
région
de l'axe cérébro- spinal ne fonctionnait d'une
,, échappait au \ HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS.. 3'H j contrôle de la
région
frontale. Par moments, elle'pro- nonce des mots
e, restant parfois très longtemps sous le coup d'une décharge de la
région
psycho-motrice. Elle avait encore des perversio
l est énervé, angoissé; il a une sensation de contraction dans la
région
épigastrique, enfin il est couvert de sueurs qu
répartitions de l'anesthésie ne correspondent évidemment pas à des
régions
anatomiques, ce n'est pas le territoire innervé
voie de guérison, un bra- celet d'anesthésie occupant exactement la
région
du poignet, tandis que la sensibilité est intac
nez-vous gémir pour une insen- sibilité qui occupe une toute petite
région
de la paume de la main droite, tandis que vous
s la moelle, mais dans l'esprit représenté, si vous voulez, par les
régions
corticales du cerveau. Dans l'esprit lui- même,
ie est caractérisée par de violentes douleurs de tête siégeant à la
région
frontale, et survenant par accès, lesquels s'ac
bonnes. Les premières les plus fré- quentes partent à gauche de la
région
du coeur. Les bonnes inspi- rations plus rares
es animaux adultes et ceux que les mêmes mutilations dans les mêmes
régions
déterminent chez les animaux nouveau- nés. Ains
es phéno- mènes que chez celui-ci, il faut et il suffit que dans la
région
tourmentée les fibres nerveuses soient revêtues
arité est générale. Mais les ganglions du cerveau, le cervelet, les
régions
les puis diverses du tronc du cerveau, qui du res
s. Au commencement du milieu du neuvième mois intra-utérin, dans la
région
où se devraient trou- ver les pyramides, et où
elle, du trousseau limitrophe de substance grise, on constate, à la
région
qui sera plus tard occupée par les pyramides en
egments de moelle sous-jacents, plus bas (renfle- ment lombaire) la
région
qui représentera plus tard la suite des pyramid
ni celles du noyau lenticu- laire, mais l'on y trouve celles de la
région
de l'insula ou de la base du noyau lenticulaire
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la première temporale et à la
région
de l'insula. Or, chez un malade (Obs. Il), des
ps genouillé externe, il semble (Obs. I) que la lésion de certaines
régions
de l'écorce du lobe occipital (coin première oc
rcule quadrijumeau antérieur; en effet, dans l'obser- vation II ces
régions
sont intactes de même que le corps genouillé ex
figures parfaites qui l'accompagnent. La scissure de sylvius et la
région
de l'insula sont d'abord examinées. REVUE D'ANA
ches se dirigeant en avant et en bas et dépassant les limites de la
région
pour gagner le lobe temporal. La crête moyenne,
u corps calleux rejoignent non pas, comme on l'a cru jusqu'ici, des
régions
de même nom et de même volume, mais des territo
trophie est adéquate au degré de la paralysie. suivant les diverses
régions
examinées, elle n'estsûrementpas proportionnelle
les deux parties des racines de l'accessoire qui affectent en cette
région
la forme d'une anse. On sait que, chez la greno
own-Séquard comme con- sécutive aux excitations de la peau et de la
région
cervicale anté- rieure, ne provoque pas la mort
piratoire, peuvent bien s'ob- server à la suite d'excitations de la
région
antérieure du cou et ^des organes sous-jacents
treint. Chez l'homme, à la suite de violences portant sur les mêmes
régions
, on peut voir survenir des états de dépression
l'autopsie, on constata diverses altérations intéressantes : - à la
région
bregmatique du côté droit, la table interne du cr
reuse chronique. -Par- fois, dans les petits vaisseaux de ces mêmes
régions
, outre de la péri-artérite, on trouve de l'enda
s'agissait d'un exsudat méningitique qui, après avoir atrophié les
régions
corticales, subsistait et continuait à irriter
rons ici. Une tentative de ce genre ne peut être faite que dans une
région
habitée par une population aisée et sensée. De
'y prêtent, d'utiliser la bonne volonté d'un médecin établi dans la
région
qui s'intéresse à cette assistance, par exemple
n garçon de dix ans qui, à la suite d'un coup de canne sur la tête (
région
temporo-pariétale gauche) est pris de violentes d
oses évoluent autrement qu'en d'air 1 SOCIÉTÉS SAVANTES. 439 tres
régions
. L'orateur a examiné à ce point de vue la folie é
ique. Par exemple, les épilepti- ques travailleurs. Dans les autres
régions
, ils témoignent d'une fougue, d'une résistance
faire du cordonnier havrais Philippe Bloche, devenu célèbre dans la
région
par les guérisons soi-disant miraculeuses qu'il
devenir assez instruit pour se livrer efficace- ment à l'étude des
régions
inconnues, il a une idée fixe. Quand ' L'Idée f
, et, plus tard, des voies et moyens pratiques de voyager, dans les
régions
inexplo- rées. Ainsi font, chacun dans sa sph
mination et de classement qui n'a pas réussi. On ne connaît pas les
régions
de la volonté, de la raison, des adaptations du
centimètre au-dessus de la rotule, et à la face externe de la même
région
jusqu'au grand trochanter de l'insensibilité à
blanche depuis le point comprimé de la substance blanche jusqu'aux
régions
postérieures de l'écorce cérébrale. Les s auteu
cette fois, se dissipa seulement aux membres pour se cantonner à la
région
du facial inférieur avec persistance des troubl
our les en- fants idiots, imbéciles, arriérés et épileptiques de la
région
. L'administration supérieure, ainsi que nous l'
t, et augmente un mal de tête qui se cantonne avec ténacité dans la
région
pariétale droite et qui résille à des doses rép
e de cette infirmité. Une névrite peut arrêter le développement des
régions
innervées par le nerf malade 1. A cet âge, en l
ieurs. EC/l'Ut/ac ? ie. ,1/lél'll- lion des méninges localisée à la
région
des centres moteurs (l'nogr. med., 1878, p. 483
inaugure une série d'études sur la structure comparée des diverses
régions
de l'écorce du cerveau humain. L'examen histolo
De pyramides proprement dites, CAJAL u'en a jamais aperçu en cette
région
. Une autre particularité qui distingue l'écorce
tion : sont beaucoup plus délicates que ces fibres afférentes de la
région
visuelle. Il n'y a pas jusqu'aux axones des pyr
comme les appelle KÕLL1KF.I\) ne manquent jamais dans l'écorce des
régions
de la sensibilité générale ou spéciale (écorce
a 3° La physiologie et l'anatomie s'accordent pour établir que la
région
visuelle doit recevoir un courant considérable de
lules étoilées de la quatrième zone. Ajoutez qu'en traversant cette
région
, les axones ascendants destinés à la couche mol
deux types cellulaires nouveaux qu'il a découverts dans différentes
régions
de l'écorce. Les cellules du premier type se re
t de non-lieu. Dès que celte décision fut connue, un journal de. la
région
, bien connu pour son intransigeance réactionnai
Une paralysie alterne de la sensibilité indique une lésion dans la
région
supérieure de la protubérance, lésion intéressa
musculaires, ou d'élaborer les impressions centripètes venues d'une
région
déterminée. La doctrine des centres autonomes e
s est-elle en même temps motrice ? S'il en était autre- ment, cette
région
échapperait à la loi générale citée plus haut :
r des mouvements des yeux. 11 n'est pas prouvé, en effet, que cette
région
soit privée de fibres de projection (V : Déjel'
DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 187 1 superposées, les
régions
motrices et sensitives n'ont pas tou- jours les
u facial supérieur) est placé aussi au niveau de cette dernière ? -
région
par la majorité des auteurs. Cependant Mendel l
r des expériences d'Exner et Paneth, qui, par l'excitation de cette
région
, obtinrent chez les animaux des contractions de
pli courbe, d'où les effets des lésions et des excitations de cette
région
. La lésion des deux centres (ou de leurs fibres
écente, mais il est tout au moins impossible d'af- firmer que cette
région
(correspondant précisément au centre oculo-mote
gueur, le lobule pariétal inférieur, et la plus grande partie de la
région
postérieure des trois circonvolu- tions frontal
congestionnées ; suffusions sanguines sous-pie-mériennes dans la
région
sylvienne des hémisphères droit et gauche. La p
qu'il existe une véritable fluctuation au niveau de la base dans la
région
fronto-sphénoïdale. Si l'on sépare les deux hém
(à la par- tie extrême de la capsule interne), ou au loin en pleine
région
DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE. 213 frontale. L'h
psule interne; ou bien encore le foyer hémor- ragique s'étend de la
région
antérieure jusque dans l'extré- mité postérieur
dans-l'apoplexie progressive, l'hémorragie peut se faire dans celle
région
étendue que Gendrin, Charcot, Bouchard ont mont
cile d'invoquer une localisation étroite de l'hémorragie dans celle
région
comme cause de la marche progressive des symptô
r qu'il n'est même pas nécessaire que l'hémorragie se fasse dans la
région
habituelle de l'hémorragie cérébrale. Chez son
ogression est-elle en rapport avec la disposition structurale de la
région
dans laquelle s'est produite l'hémorragie ? N
stence d'un rapport entre la progression et la structure même de la
région
envahie. Chez un malade qui avait présenté le t
oduire dans un point variable d'une zone plus large, constituant la
région
de l'hémorragie de Charcot, et quelquefois même
du 15e au 20° jour. A la suite de la section du nerf vague dans la
région
cervicale, les cellules du ganglion noueux de c
orsal du nerf vague dans le bulbe, après la section de ce nerf à la
région
cervicale, est admise par M. Van Gehuchten et n
infiltration gom- meuse des colonnes antéro-latérales droites de la
région
dorsale supérieure, sclérose périphérique génér
a région dorsale supérieure, sclérose périphérique généralisée à la
région
dorsale dans les colonnes latérales surtout, pl
surtout, plaques de sclérose irrégu- lières, plaque gommeuse de la
région
dorsale inférieure et sclérose descendante lomb
ié gauche de la tête et de la face et, en outre, uneothésie dans la
région
de l'ophthalmique, de l'étage supérieur du nerf
eurs rétrécissements du canal de l'urèthre ; l'un est situé dans la
région
pénienne, l'autre dans la région membraneuse ; on
l'urèthre ; l'un est situé dans la région pénienne, l'autre dans la
région
membraneuse ; on cons- tate également un spasme
la région membraneuse ; on cons- tate également un spasme de cette
région
. L'existence de ces lésions donne l'explication
ures du soir, le pouls bat 95 pulsations par minute. La plaie de la
région
axillaire est à peu près cicatrisée, et ne donn
Même analgésie pour le thorax, l'abdomen du côté gauche et pour la
région
cervicale gauche. Seule la sensibilité à la cha
rien d'anormal ; du côté hémiplégie nous constatons dans les mêmes
régions
tantôt de l'hyperesthésie, tantôt de l'anesthés
t touché. Avec sa main gauche, il explore très bien les différentes
régions
de son membre supérieur droit dont il apprécie
e cependant car si l'on pique fortement l'une quelconque de ces
régions
, le malade porte sa main gauche au point bles
ne des corps caverneux étant dissimulée sous le tissu adipeux de la
région
symphysienne. Le gland est imperforé; cependant
DE FAITS. sorte de pont, et va ensuite se confondre avec celle des
régions
latérales. La verge ainsi recouverte d'un prépu
mal où s'engage la sonde. Pour compléter l'examen extérieur de la
région
, disons que sur les côtés, on trouve dans les r
lourde. La miction s'accomplit à croupetons; la conformation de la
région
périnéale fait suffisamment comprendre qu'il n'en
es s'observent surtout dans les fractures limitées ou propagées aux
régions
antérieures de la base, ce qui semblerait devoi
plus molle. L'hypertrophie atteint surtout les fléchisseurs et la
région
du cubitus. Les os sont aussi un peu épaissis. Un
XVII, 1898.) 1° Examen des cellules des ganglions spinaux dans la
région
lombaire d'un idiot de dix-huit ans, mort subit
n énorme cysticerque sous la pie mère médullaire, au niveau de la
région
dorsale de la moelle; en outre les ventriculaires
électrique est pro- fondément troublée. Hypoesthésie thermique aux
régions
postéro- externes des deux jambes et aux plante
de mettre fin à ses jours en se tirant un coup de revolver dans la
région
du coeur ; il reste peu d'espoir de le sauver.
lorées ou vacuo- laires. Quant aux autres groupes cellulaires de la
région
(noyau grêle, cunéiforme, olives et parolives),
rées, de petit diamètre en général, disséminées sans ordre dans les
régions
de la substance blanche, les plus voisines de l
une saillie plus ou moins accentuée, ou bien se collecter dans une
région
de densité inférieure à . celle de la masse, c'
a tête ou dans la poitrine, il éprouve une sorte d'angoisse dans la
région
gastrique. C'est souvent dans la bouche qu'il e
ù cette excitation porte beaucoup plus loin, bien en dehors de la
région
d'innervation des organes phonateurs comme dans
lature est ferme, la peau est fine. Le thorax est un peu aplati, la
région
pectorale peu développée, le dos un peu rond, la
élément fonctionnel très complexe ; ses connexions avec les autres
régions
du système nerveux central sont multiples et, d'a
sations céré- brales tend à prouver que c'est principalement par la
région
de la calotte que se fait la transmission de la
n'existe pas, dans le segment postérieur de la capsule interne, de
région
déterminée par laquelle ne passeraient que des
g faisceau croisé. Une petite partie de ce faisceau rayonne dans la
région
de la zone acoustique d'Ahlbom. Sa plus grande
stance un peu moins bleue, épaisse, vague, dont l'accumulation à la
région
centrale de l'organe qui nous occupe contraste
e épineuse. 11 y avait douleur à la pression sur les côtés de cette
région
. Ceitains symptômes permettaient de spécifierla
diquait que le maximum de la compression siégeait en cette dernière
région
. Mais la compression devait remonter au huitièm
LOGIE PATHOLOGIQUES. décrit par de Soelder provient en partie d'une
région
placée au- dessous du niveau des neuvième et di
Le faisceau optique médian se terminant dans la rétine et dans les
régions
centrales du nerf optique, vient apporter et co
: c'est d'abord une sorte de frémissement douloureux qui part de la
région
rétro-trochantérienne pour se propager en ligne
ent permanente. En dehors des paroxysmes, il existe au niveau de la
région
atteinle, une paresthésie persistante, même dur
xée sur la nuque du malade, la petite ampoule était promenée sur la
région
carotidienne et sur le goitre dans son ensemble
Depuis longtemps la liqueur d'Hoffmann est la grande panacée de la
région
, mais c'est depuis 1887, époque à laquelle on a é
e civilisation. La criminalité est comme nulle chez les peuples des
régions
arctiques. Et chez nous-mêmes dans certains de
eurs, on a tout juste le droit de suspecter un ramollissement de la
région
frontale antéro- supérieure ». RAMOLLISSEMENT
e, dissociée et se laisse entraîner sous un lilet d'eau. Les autres
régions
cor- ticales paraissent normales. Les coupes ve
l. En même temps, tout le long du membre supérieur droit, dans la
région
de l'épaule, dans la partie droite du cou et la j
re très oblique de haut en bas et de dehors en dedans, oedème de la
région
avec ecchymose très étendue occupant, pour la c
on avec ecchymose très étendue occupant, pour la cuisse, toutes les
régions
postérieure et interne ; pour les bras, les rég
sse, toutes les régions postérieure et interne ; pour les bras, les
régions
antérieure et interne. Au point de vue du diagn
clut la poliomyélite anté- rieure aiguë des adultes. L'examen de la
région
anale, et de la colonne vertébrale élimine l'id
x) une hémorragie des cornes anté- rieures qui a fusé dans toute la
région
comprise entre la troisième lombaire et la troi
nte ; il existe une sensibilité circonscrite il la percussion de la
région
temporale gauche. Bientôt apparaît une papill
ion du sphincter. De là, épreinte, lourdeur, douleur sourde dans la
région
périnéale (Guyon) et, finalement, dysurie, anur
fièvre modérée, nécessite l'ap- plication d'un sac de glace sur la
région
iléocaecale. Il souffre alors dans la région du
un sac de glace sur la région iléocaecale. Il souffre alors dans la
région
du fémoro-cutané externe gauche et se plaint de
ssement et d'insensibilité. Quatre semaines plus tard, dans la même
région
, diminution de la sensation de contact ; le pat
OGIE NERVEUSE. 499 perçu une sensation de velu au milieu de la même
région
; depuis il l'aurait encore éprouvée quelquefoi
rmillements. 11 existe de la douleur et un peu de rai- deur dans la
région
occipitale et à la nuque, une diminution de la
gie et à l'étiologie des para- lysies nerveuses périphériques de la
région
du cou; par A. 1101-F- MANN. (Neuroloy. Centl'a
e ganglionnaire, non par compression (le volume des ganglions et la
région
s'y opposent) mais par propa- gation. L'affecti
core un petit foyer dans le coi- don latéral. Il est certain que la
région
moyenne de la moelle dor- sale est séparée du r
eur de cette glande (Hertwig, Schwalbe) a atrophié celle-ci, et les
régions
interpédonculaires, s'est dégagée dans le trois
ne. La névrite optique est le grand symptôme des tumeurs de cette
région
. Elle se termine par une atrophie des nerfs optiq
r Kosch, î99. Symptomatologie et etioloye des périphériques de la
région
du cou, par Holilnann, 502. radiale par compr
oix caressante de Deus qui l'appelait et voulait l'emmener dans les
régions
célestes, elle aurait voulu se laisser aller mais
e sous les ordres de Neptune. Au-dessous de sa tête sont « diverses
régions
inexplorées de la terre dont on connaîtra par «
matoire ayant été localisé à la partie postérieure du cerveau et la
région
frontale ayant néanmoins un épaississement nota
d'un traumatisme, atteint de suppuration osseuse avec fistule de la
région
pariétale gauche. Epilepsie jacksonnienne à dro
des lésions de méningo-encéphalite s'étendant à presque toute la
région
psycho-motrice du même côté. A la face inférieure
eau pyramidal consécutive à la myélite, une sclérose combinée de la
région
sacro-lombaire ; 2° Une névrite périphérique. (Re
903). Malformations nombreuses et très accentuées des différentes
régions
osseuses du bassin et des membres inférieurs : à
r Hermann Proesch les sutures du crâne sont ossifiées; les os de la
région
temporale sont très minces et trans- parents ;
ible portion de la P3 et une vaste portion de la face interne de la
région
occipitale (cuneus, lobule lingual, lobule fusi
ssion consécutive à un coup de levier reçu il y a quinze ans. Cette
région
est douloureuse au toucher. On a porté le diagn
er, dans son cours iltérieur, par de vastes ramollissements dans la
région
des hémisphères cérébrales, ce qui 86 - SOCIÉTÉ
e même jour, : ¡ A l'autopsie on constata : une myélite aiguë de la
région
cervi- cale. Les organes internes étaient norma
internes étaient normaux. L'examen microsco- pique démontra dans la
région
de la corne antérieure droite, au. niveau des s
). Le processus morbide s'était exprimé. préférenciellement dans la
région
de l'artère latérale antérieure. Dans beaucoup
hyroïde externe naît par un bourgeon épithélial qui apparait sur la
région
dorsale de la troisième fente branchiale. La pa
e branchiale. La parathyroïde interne se développe aux dépens de la
région
dor- sale de la quatrième fente branchiale. S
roit du cou, du crâne et de la l'ace; le simple effleurement de ces
régions
provoque des crises très pénibles. Vers la mê
ressant également le côté droit et une éruption occupant la même
région
et dont on voit encore quelques traces, bien qu
il est un autre symptôme essentiel que révèle la pal- pation de la
région
malade, je veux parler des altérations objectiv
eux points il s'accompagne d'une infiltration des tégu- ments de la
région
. Le nez est volumineux; on pourrait, à un exame
ne faisait ici défaut. 1 1 Fig. 17. tUb CLINIQUE NERVEUSE. La
région
sus-orbitaire droite, au niveau de l'émergence du
plusieurs tubercules. Une autre plaque érythémateuse se voit à la
région
sus-orbitaire gauche, elle est séparée de la Fi
DE LÈPRE NERVEUSE. 107. précédente par une bande de peau saine.. La
région
sous- orbitaire droite est rouge également. L
muscles des éminences thénar et hypothénar, dans les muscles de la
région
profonde du mollet, ainsi que dans les muscles
orvan étaient en réalité des lépreux, la lèpre affectant dans cette
région
une forme lar- 122 CLINIQUE NERVEUSE. vée spé
ses formes larvées, n'était pas demeurée endémique en cer- taines
régions
. Cette opinion, je vous l'ai dit, a été soutenue
opinion, l'existence de la lèpre à l'état endémique dans nombre de
régions
de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique est bi
s fréquentes, il n'est pas douteux que la lèpre a présenté dans les
régions
euro- péennes une recrudescence manifeste : à P
écrit chez des lépreux une sclérose des cordons postérieurs dans la
région
dite endo- gène. Mais à de pareils arguments on
hé sur le dos; penche la tête en avant pour ramener son moi dans la
région
frontale. , Il a peur de ne pas reconnaître s
propageant pas à l'hémisphère entier, porte sur- tout sur certaines
régions
, et en laisse d'autres intactes. Dans l'espèce,
dans le tiers postérieur des 2e et 3° pariétales et empiète sur la
région
occipitale antérieure (chien et singe). Une petit
bablement le rôle de centres réflexes contrairement à la zone de la
région
motrice- D'ailleurs l'effort accommodateurpeut
du genou chez 4fi lapins. L'application locale des vibrations à la
région
de l'articulation du genou produit des phénomèn
re affaiblie. L'application des vibrations à la colonne vertébrale (
régions
dorsale inférieure, cervicale, sacrée), entraîn
postérieures, surtout accusé quand 1 excitation est localisée à la
région
dorsale inférieure. Assez sou- vent la charge d
Keraval. l\I11. Un noyau spécial de la formation réticulée dans la
région
supérieure de la protubérance; parW. de l3ECn'r
du noyau du pectoral indique la localisation de ce réflexe dans la
région
des segments cervicaux 4-7. P. KIRAVAL. XXXVI.
lution de ces escarres a été la suivante : d'abord congestion de la
région
fessière et production d'une plaque d'érythème
urs et inférieurs ; une anesthésie com- plete inférieure jusqu'à'la
région
de la clavicule; manque de réflexes superficiel
envahissait la moitié droite et. en partie, la moitié gauche de la
région
cervicale de la moelle épinière : en appro- cha
et la corne postérieure droite, et en tel aspect elle va jusqu'à la
région
dorsale médiane, où s'augmente de nouveau à l'é
augmente de nouveau à l'étendue des deux segments ; puis jusqu'à la
région
lombaire elle va en aspect d'une assez petite r
e le° sar- come occupait encore la pie-mère, principalement dans la
région
dorsale médiane. On rencontrait dans la néoform
lorsqu'on applique pendant quelques secondes de la chaleur, sur la
région
cutanée qui le recouvre. Ces modifications de v
olente et une souffrance vive. Enfin, dans sa face même, il est une
région
infiniment sensible : ce sont les yeux. Les reg
ture intellectuelle est fort en retard, si on la compare aux autres
régions
. Ce fait semble venir confirmer la théorie si r
rène des pieds s'arrête, les pieds bourgeonnent. Mais les abcès des
régions
ganglionnaires se multiplient, et la malade meu
g après l'opération permet d'observer la réparation progressive des
régions
médullaires causées par l'am- putation ; . 3°
os, assez carac- téristique pour qu'à la simple inspection de cette
région
, ainsi que le montrent les photographies que je
la face postérieure de la jambe sont placés en dedans de ceux de la
région
antéro-externe. Le centre du jambier antérieur es
ais beaucoup plus discrètes et moins avancées, s'observent dans les
régions
moyennes et postérieures du cortex. A ce niveau
hysiologique, acquise. On peut ainsi concevoir que, au moment où la
région
de l'écorce pseudomaculaire est excitée, la régio
au moment où la région de l'écorce pseudomaculaire est excitée, la
région
corticale de l'endroit de la rétine qui préside
les branches de la carotide interne ; seul leur segment postérieur (
régions
occipitales et une partie des régions temporale
seul leur segment postérieur (régions occipitales et une partie des
régions
temporales) reçoit le sang du système artériel po
ires, vertébrales, cérébelleuses) abondamment pourvu en toute cette
région
d'anastomoses. 2. Chaque artère corticale const
ette région d'anastomoses. 2. Chaque artère corticale constitue une
région
individualisée parce qu'elle ne possède pas d'a
les aliénés. 5. Ces ano- malies s'observent au premier chef dans la
région
de l'artère cérébrale antérieure qui irrigue la
vasculaire intra-cranien. P. Keraval. XL1V. De l'excitabilité de la
région
corticale motrice du cerveau à la suite de l'at
cas, il y a hyperexcitabilité. 2° Immédiatement après l'attaque, la
région
en question est un peu plus excitable et cette
ivie à son tour d'une chute graduelle. 6° L'hyperexcitabilité de la
région
corti- cale motrice ne saurait être attribuée à
tion à la connaissance des lésions corticales cir- conscrites de la
région
motrice chez l'homme ; par H. Li ? I. (Newologi
ques d'origine basale, capsulaire ou corticale. La percussion de la
région
du carpe et de la partie limitrophe du métacarp
ut expliquer par le trait d'union que forme l'ar- t cade entre deux
régions
crâniennes : quand on la frappe, elle ébranle u
é Lallivein, quarante-cinq ans, a reçu un coup de couteau dans la
région
du coeur et est mort sur le coup. Son meurtrier,
t, diminution de l'impressionnabilité de l'encéphale, notamment des
régions
méningo-corticales du cerveau, et, consécutivem
décrit par cet auteur montraient l'existence d'altérations dans la
région
de la couche optique. Il y avait en même temps
trice développée, et même grosses. - I. Il existe dans l'écorce une
région
utéromotrice située à la 1/2 postérieure de la
ce bord même, quelquefois un peu en dehors. L'excitation de cette
région
renforce les contractions utérines indépendante
utre assez de points de repère pour sup- poser qu'il existe dans la
région
des tubercules quadrijumeaux, non seulement des
leurs d'une autre manière. De là l'idée que, dans l 's foyers de la
région
des tubercules quadrijumeaux, l'excitation dire
umeaux, l'excitation directe des centres moteurs qui occupent celle
région
est susceptible de déchaîner des convulsions de
ons musculaires isolées au diagnostic d'un foyer sié- geant dans la
région
des tubercules quadrijumeaux, ce qui ne veut pa
drijumeaux mêmes. L'essentiel est de savoir que le foyer affecte la
région
sise en avant des tubercules quadrijumeaux, ce
on qu'il n'atteint pas; il s'en rappro- che à mesure qu'il gagne la
région
occipitale, pour n'aboutir à l'écorce que dans
lorsque la radiation optique de Gratiolet est myélinisée. Dans la
région
du corps genouillé externe, ce faisceau se com-
membre postérieur, on expose avec toutes les précautions voulues la
région
psychomotrice à l'action de 10 ou de 15 milligr
10 ou de 15 milligrammes de bromure de radium. On soumet ensuite la
région
au courant inducteur et l'on note quel est alor
des centres psychomoteurs. Il faut, après l'action du radium sur la
région
, un courant moindre pour obtenir les mêmes mouv
nerfs trophiques des cheveux, car à ce moment le cuir chevelu de la
région
est hyperalgésié. L'irritation des nerfs trophi
on l'a classique- ment définie; « Un sentiment de resserrement à la
région
épigas- trique accompagné d'une grande difficul
e vue physico-pathologique on peut dire que le bulbe semble être la
région
qui produit le phénomène de l'angoisse, au mpin
jours il a les mêmes accès en éprou- vant de la contracture dans la
région
massétérine. Un d'entre eux se borne à des nuag
qu'il élabore. C'est par une plaie qui siège habituellement dans la
région
orbito- temporale mais qui peut être située dan
mble bien que, chez le malade en question dont la plaie occupait la
région
médiane du nez, la toxine tétanique se soit pro
n général et plus particulièrement des progrès accomplis daus cette
région
de la France au point de vuc de l'hospitalisati
n Normandie parallèlement à la dégénéres- cence alcoolique de cette
région
1. Les débiles incendiaires mettent le plus sou
illons normaux dans leur position, et, en tant que comparés avec la
région
correspondante du côté gauche, bien développés.
IV° 4. 1903.) 11 s'agit d'un cas de malformation portant sur deux
régions
sy- métriques des membres supérieurs avec attén
it atrophie des phalanges et des métacarpiens avec exten- sion, aux
régions
.musculaires et aux vaisseaux correspondants. A
pour affirmer en anatomie comparée l'identité fonctionnelle de deux
régions
. Chezl'homme, la zone motrice serait avant tout
phorie délirante. Voir Phtisi- ques. 1 Excitabilité. De l'- de la
région
corticale motrice du cerveau à la suite de l'
ribution à la connais- sance des corticales circon- scrites de la
région
motrice chez l'homme, par Lévi, 340. Voir Cer
Protubérance. Un noyau spécial de la formation réticulée dans la
région
supéneuie de la -, par Bechterew, 155. PsEUDO
rise au centre de la moelle épinière, il y a lieu d'établir plusieurs
régions
, plusieurs départements bien distincts. C'est ain
produit parfois des altérations qui affectent isolément ces diverses
régions
de la substance grise. C'est là justement le ca
lammatoire porte in-distinctement sur tous les points, sur toutes les
régions
de la sub-stance grise, d'où il résulte que la se
'âge adulte. —Déformations con-comitantes et consécutives de quelques
régions
. — Développement 1 Duchenne (de Boulogne), loc.
oc. cit. — Wolkmann, loc. cit., etc. normal, an contraire, d'autres
régions
du corps. — Tubercidisation pulmonaire. Le malade
a colonne vertébrale forme un coude, depuis la partie moyenne de la
région
dorsale, jusqu'au sacrum; cela est très-accusé. —
er par en donner un résumé succinct. Observation. — Douleur dans la
région
splénique. — Crises gastriques et cardialgiques ;
mmença son affection. — Le mal débuta par une douleur modérée dans la
région
spléniïjue, à laquelle se joignit bientôt une dim
'aperçut un jour quelle avait une petite plaque noire au niveau de la
région
inférieure de la joue gauche. Le médecin, appelé
s quelques muscles, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'une
région
d'un membre, dans lesquels les lésions continuent
de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans la
région
de la moelle d'où émanaient les nerfs se rendant
ivement, les cornes antérieures delà substance grise. Dans loutes les
régions
de la moelle, les grandes cellules motrices étaie
-prononcèe des racines antérieures, remarquable surtout au niveau des
régions
de la moelle le plus profondément atteintes, alté
.— Fragment d'une coupe transversale de la moelle épinière faile à la
région
lombaire, dans un cas de paralysie infantile spin
hose près, tous les caractères de la structure normale. Dans d'autres
régions
, les lésions de la névro-glie pourront se montrer
rot et Joffroy ont bien mis en lu-mière,— ne présentent au niveau des
régions
altérées de la moelle épinière , dans les cas réc
n-dairement la névroglie et s'étend de proche en proche, aux diverses
régions
des cornes antérieures. Mais cela n'est nullement
e plus souvent et seulement entre les épaules, quelquefois dans cette
région
et à la face ; enfin, dans des cas rares, ils son
aladie, après avoir atteint les cheveux de la partie supérieure de la
région
fron-tale, s'étendit à ceux des régions pariétale
de la partie supérieure de la région fron-tale, s'étendit à ceux des
régions
pariétales. Les cheveux, brisés à des hauteurs in
glandulaires. Le tégument correspondant est plus rouge que celui des
régions
avoisinantes. Sur quelques-uns des mamelons exist
de la Société anatomique, 1871, p. 25.) V. Molluscum pendulum de la
région
lombaire (fibro sarcome), par Challand ; examen h
git, dans ce cas, d'un homme âgé de 75 ans qui avait une tumeur de la
région
lom-baire depuis vingt-cinq ans. Elle s'était dév
able, il est vrai. La colonne vertébrale est convexe à droite dans la
région
cervicale, et convexe à gauche dans la région dor
onvexe à droite dans la région cervicale, et convexe à gauche dans la
région
dorsale (courbure de compensa-tion). (Voy. Planch
n, légèrement inclinée sur le bord cubital, est petite et aplatie. La
région
hypothénar, non-seulement n'offre plus aucun re-l
us aucun re-lief, mais paraît creusée. Une saillie marque encore la
région
thénar; toutefois, elle s'étend moins loin en hau
c'est une sorte de gouttière très-nette qui, en dedans, limite cette
région
. La face palmaire du pouce regarde normalement un
ait-elle la cause de cette lésion assez net'e-ment caractérisée. La
région
dorsale de la main n'offre de particuliers, que l
e ses adhérences à la cicatrice et l'anastomose déjà signalée. A la
région
dorsale, nous retrouvons tous les filets nerveux
e dans la position la plus oblique possible, par rapport à Vaxe de la
région
de l'urèthre occupé par'le bec; de là les quatre
e qui est pos-sible, grâce à la mobilité de la paroi inférieure de la
région
posté- rieure de l'urèthre, et à la longueur du
s, de la bouche et des appareils de sécrétion qui sont annexés aceite
région
; les maladies du cou. L'auteur expose ensuite les
euse siégeant à la partie postérieure du crâne et occupant en haut la
région
moyenne de l'occipital. Cette tumeur, qui nais-sa
sse dans la moitié antérieure gauche de l'abdomen que dans les autres
régions
. Ce résumé rendra plus facilement compréhensibl
ariétal, était envahi par le cancer (feuillets antérieur et latéraux,
région
diapbrag-matique, épiploon gastro-splénique, etc.
utopsie, 30 heures après la mort.—Dans l'interstice des muscles de la
région
postérieure de la cuisse, existe un vaste cloaque
ième couche constituée par l'aponévrose fémorale et les muscles de la
région
antérieure de la cuisse (droit antérieur, vaste e
temps subi une diminu-tion considérable de leur volume. Ceux de la
région
antérieure occupent leur position normale, au-des
xion concourt manifestement à relever le bord interne du pied. A la
région
postérieure, les muscles, parvenus à la base de l
état normal. Il convient d'ajouter qu'au même niveau les muscles delà
région
plantaire présentent à peine cet état graisseux s
out d'abord le siège de la douleur et qu'ils étaient sous-jacents aux
régions
péritonéales atteintes les premières, a été condu
mbulance, du nombre des blessés français et allemands, des plaies par
région
, leur nature et enfin la terminaison. Nous ne sui
our les précédentes. M. Peltier passe aussi en revue les plaies par
régions
, les plaies avec lésion des vaisseaux, des nerfs
sont, en réalité, subordonnées à des lésions siégeant dans certaines
régions
bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce group
sensations irra-diées, toutes spéciales. Ces sensations partent de la
région
ova-rienne et gagnent successivement : 1° l'épiga
successivement : 1° l'épigastre; 2° le cou, en se traduisant dans ces
régions
par une oppression plus ou moins con-sidérable, l
sse bien préciser, n'ayant jamais ressenti la moindre douleur dans la
région
. État de la malade au moment de Vopération. Le
ptômes que l'on observe dans l'anévrysme artério-veineux des autres
régions
: troubles de la calorification, de nutrition, di
sités nombreuses, sur-tout au niveau de la jambe et du pied. Dans ces
régions
, les veines superficielles, très-flexueuses, form
on médullaire y a démontré Vabsence de toute lésion, du moins pour la
région
lombaire, qui seule a été examinée. — 11 en est d
nter le bord palpèbral; mais il y avait ainsi entre la paupière et la
région
mo-laire un espace losangique cruenté, que le chi
ence que je fais sous vos yeux. J'électrise cette grenouille dans une
région
située au-dessus de celle où sont implantées deux
e les courants continus. Ceux-ci ne peuvent même être isolés dans une
région
limitée, et en électrisant le membre antérieur cb
, un véritable abcès phleg-moneux affectant le tissu cellulaire de la
région
et que l'existence du phlegmon péri-utérin ne sau
rvice de M. le professeur Verneuil, pour une tumeur volumineuse de la
région
parotidienne gauche, tumeur dont le début remonte
tumeur se présente sous l'aspect d'une masse végétante qui occupe la
région
de la glande parotide gauche. Elle refoule en hau
isceaux ont été détruits par le galvano-cautère ; 5° Entre ces deux
régions
, la gaîne des vaisseaux carotidiens en bas, et pl
frisson intense avec tremblement général et douleur an-goissante à la
région
précordiale : T. R. 37°,3. — Soir : Le frisson a
omateuse; sur l'une de ses divisions secondaires, se distribuant à la
région
ramollie, à deux centimètres de son émergence du
ins ; il se plaint de douleurs de tête continues, occupant surfout la
région
occipitale ; la mémoire s'affaiblit progressiveme
e droite, ayant également envahi tout le pourtour du pavillon dans la
région
temporale et la région mastoïdienne. Antécédent
nt envahi tout le pourtour du pavillon dans la région temporale et la
région
mastoïdienne. Antécédents. Notre malade ne se r
du sang. Les autres bosselures plus récentes, qui se trouvent dans la
région
temporale en haut et en arrière, bien que volumin
ème injection de 6 gouttes au niveau de l'attache du pavillon avec la
région
mastoïdienne, où l'on trouve des battements très-
re 0,18 et 0,03mm, mais ce fait n'est pas de grande valeur dans cette
région
. Les formations intermusculaires doivent être d
butent; à une période plus avancée, elle est inférieure à celle de la
région
symétrique, et cette différence est appréciable à
encement d'eschare aux deux fesses. 19 août. — On s'aperçoit que la
région
parotidienne droite est rouge et tuméfiée. La m
rganes thoraci-ques ou abdominaux. — Le 20 août, la tuméfaction de la
région
parotidienne augmente encore et le coma persiste.
démontrée parce que je n'ai pu faire une dissection suffisante de la
région
parotidienne. Il est facile de reconnaître par
psammome, l'épithélioma, le myxome, la méningite hypertrophique de la
région
cervicale. Ces tumeurs déterminent une myélite qu
a lésion et reconnaissant pour cause la propagation de la myélite aux
régions
supérieures de la moelle ; 5° Des troubles trop
, on voit que la partie antérieure du tronc peut être divisée en deux
régions
, la ventrale et la thoracique, mais qu'en définit
simplex, par Purscr , 60. — Pendulum, par Malassez, 61.249. — tic la
région
lombaire, par le même, 62. — de la fesse, par Her
rveux (Des), par Ranvier, 119. Tumeur molluscoïde congénitale de la
région
fessière, par lier vieux, 209 (voy. Utérus, Parot
naît suffisamment l'anatomie descriptive, on peut aborder l'étude des
régions
. L'anatomie des régions cérébrales est, par-des
ie descriptive, on peut aborder l'étude des régions. L'anatomie des
régions
cérébrales est, par-dessus tout, nécessaire aux m
igent ses applications immédiates. En réalité, il n'existe que deux
régions
cérébrales naturelles : Yécorce et le seuil; jusq
s'est aperçu qu'il existait, dans la profondeur des hémisphères, des
régions
artificiellement créées par le passage du couteau
e du couteau, mais susceptibles d'être décrites et systématisées. Ces
régions
appartiennent à des surfaces de section déterminé
le sens des coupes, on peut aussi multiplier à l'infini le nombre des
régions
. Toutes les découvertes qu'on a faites dans le do
s cérébrales profondes ont été subordonnées à la détermination de ces
régions
arbitraires. La localisation de l'hémianesthésic
rieure, M. Charcot établissait l'autonomie fonctionnelle d'une de ces
régions
. Or, cette région ne peut être bien connue que pa
établissait l'autonomie fonctionnelle d'une de ces régions. Or, cette
région
ne peut être bien connue que par l'étude des coup
se presque toujours la face interne d'un des deux hémisphères dans la
région
fronto-pariétale. Quand la coupe est faite soigne
e toujours indispensable de faire l'examen microscopique de certaines
régions
de l'hémisphère, du moins dans les cas pathologiq
tie profonde, la plus réfractaire à la pénétration du liquide, est la
région
moyenne de la couronne rayonnante, c'est-à-dire l
partie incomplètes : on examine avec soin le foyer principal, et les
régions
adjacentes sont sacrifiées; car, ou bien elles on
l est permis d'exercer des tractions sur la méninge elle-même dans la
région
rolandique, cela est impossible dans la région oc
inge elle-même dans la région rolandique, cela est impossible dans la
région
occipitale. La pie-mère en effet, dans la région
t impossible dans la région occipitale. La pie-mère en effet, dans la
région
occipitale, est toujours si mince et si adhérente
ion varie du clair au foncé dans des proportions considérables. Telle
région
est d'un brun très sombre et opaque, telle autre
le sens de la coupe soit le même, et que la section intéresse la même
région
. Ce qui frappe plus encore que les différences de
e aux yeux que les zones de tissu nerveux qu'elles limitent, sont des
régions
anatomiques distinctes. Sur d'autres parties de
te; lorsqu'elle est examinée en sens inverse, c'est-à-dire lorsque la
région
antérieure de la coupe devient la région postérie
rse, c'est-à-dire lorsque la région antérieure de la coupe devient la
région
postérieure, la ligne de démarcation disparaît; l
e de l'autre partie s'atténuer. Il en résulte que l'ensemble des deux
régions
prend ainsi une teinte uniforme, intermédiaire en
a répartition des zones jclaires et des zones foncées dans toutes les
régions
, en modifiant la direction de leur éclairage, en
hange le sens de la coupe par rapport à l'éclairage, si l'on place la
région
antérieure à la place de la région postérieure, l
rt à l'éclairage, si l'on place la région antérieure à la place de la
région
postérieure, la surface de section du faisceau se
s faisceaux nerveux, dans l'hémisphère ou dans n'importe quelle autre
région
des centres, constituent des masses de fibres par
onséquent doit être pratiquée avec la plus grande attention, dans une
région
choisie d'avance, et sur des points de repère que
une des séries de nos planches. Si l'on a des coupes à faire dans une
région
très circonscrite, sur un petit fragment de l'hém
e, il faut, au fur et à mesure que les sections entament de nouvelles
régions
, ébarber cette membrane sur les bords, ou simplem
era que les figures des coupes ne reproduisent pas nécessairement des
régions
identiques sur tous les cerveaux, quelque soin qu
ir à 0m,045 de la base du triangle, c'est-à-dire vers le milieu de la
région
dorsale. Cette portion paraît répofldre aux vertè
poitrine, la diminution des vibrations thoraciques et la matité à la
région
postéro-externe et inférieure du poumon gauche da
umon gauche est fortement fixée au diaphragme, que l'on sent en cette
région
dur, résistant en le touchant du côté de la cavit
ouge foncé. La dure-mère rachidienne est épaisse; vers la fin de la
région
dorsale, elle est tapissée par une néo-membrane m
postérieurs, et plus particulièrement vers la partie supérieure de la
région
dorsale ; quelques corps granuleux dans les cordo
rsale ; quelques corps granuleux dans les cordons latéraux de la même
région
. OEil gauche. Le névrilème du nerf optique est
dies des tissus et des organes ; la troisième traite des Maladies des
régions
. De ces trois parties, les deux premières et le
nous^même; Le plan général du livre est celui-ci : étant donnée une
région
, l'auteur, selon l'importance du lieu anatomique,
nous est permis de parler de la sorte, et expose la pathologie de la
région
et les opérations dont elle peut devenir le siège
ve dans un même chapitre le tableau des difficultés anatomiques de la
région
, et la discussion de tous les symptômes que sa st
rhée. Prurit fréquent à l'anus depuis un an ; mais il a, dans cette
région
, une petite tumeur hémorrhoïdale qui peut l'expli
a choisi les difficultés de l'anatomie humaine et les a décrites par
régions
. Chaque région est contenue dans un carton¬nage i
fficultés de l'anatomie humaine et les a décrites par régions. Chaque
région
est contenue dans un carton¬nage in-4° s'ouvrant
-4° s'ouvrant comme un livre ; les divers éléments dont se compose la
région
sont dessinés, coloriés, puis découpés et articul
ordre doit s'effectuer la superposition des plans pour constituer la
région
. Sur l'une et l'autre face des organes mobiles,
le nom d'anatomie iconologique donné par l'auteur à son ouvrage. La
région
du larynx vient de paraître ; le cerveau est en p
ée de tous, et les élèves pourront se procurer séparément chacune des
régions
dont se composera la collection complète. Nous
us l'influence de l'âcreté de la sueur l'intertrigo survient dans les
régions
où des surfaces cutanées sont mises en contact; l
que l'on voit arriver l'épaississement du derme de la peau, dans les
régions
affectées ; sur le scrotum, principalement, on se
ents de ce harnais ne tarda pas à provoquer de l'érythème en diverses
régions
. À la ceinture, là où se trouvait déjà de l'inter
système nerveux (vertiges, crises éptileptiformes), des douleurs à la
région
sus-pubienne, et de fréquentes difficultés dans l
li supérieur du poignet. Pen¬dant cinq ou six mois il porta sur cette
région
une tumeur qui ne s'accompagna ni de fièvre, ni d
Alopécie depuis huit semaines; iritis à gauche. Adénites au cou, à la
région
mas¬toïdienne gauche, aux aines. Pas d'angine; œd
use en coquillages. L'éruption occupe, par ordre de confluence, les
régions
suivantes : la face (front, nez, paupières gauche
lui-môme, tout en permettant à l'observateur d'explorer les diverses
régions
du fond de l'œil et de l'arrêter sur celles qui p
le tubercule antérieur du vagin. Il n'existe pas d'utérus, et dans la
région
qu'il devrait occuper, on constate la présence d'
ui ne diffèrent pas de ceux que l'on rencontre d'ordinaire dans cette
région
. Le ligament de l'ovaire a 3 centimètres de longu
sura¬joutées. Nous citerons tout d'abord un abcès ganglionnaire de la
région
latérale gauche du cou, abcès qui s'est ouvert sp
re des tempes, les pommettes et les joues dans toute leur hauteur. La
région
sus-hyoïdienne est traversée par une vieille cica
raversée par une vieille cicatrice, sans rougeur, qui déborde sur les
régions
latérales. Membres supérieurs. Adroite, on trou
ère descend obliquement et vient aboutira une cicatrice qui occupe la
région
dorsale du poignet et du métacarpe. Les quatre de
e digital sont très-bornés. La moitié inférieure du bras gauche, la
région
postérieure du coude, \avant-bras présentent une
parfaitement; seul, en effet, à cause de la situation profonde de la
région
la rendant inaccessible à l'inspection directe, s
à la Société anatomique par M. Leroy, en 1866; s'irradient vers la
région
lombaire et les cuisses. Elle éprouve en outre co
ation. Son ventre est dur, tendu, douloureux, surtout au niveau de la
région
du foie. Du côté de la poitrine, on constate les
us et pour ^certains organes une affi¬nité toute spéciale. 11 est des
régions
prédestinées à recevoir le pre¬mier stigmate de l
il pathologique qui s'accomplit dans les organes profonds; dans cette
région
, enfin, on voit surtout apparaître des ulcères de
e tissu cellu¬laire superficiel, et la poche occupe de préférence les
régions
cru¬rales lombaires. Le liquide contenu paraît êt
ulière, et ne s'accompagnait d'aucune souffrance dans le ventre ou la
région
lombaire, mais quelquefois la malade avait de la
s accès viscéraux. 1868, 27 et 28 janvier. Douleurs très-vives à la
région
précor¬diale, comparables à des coups de lancette
. Le creux axillaire est en partie comblé. L'épaule est arrondie, les
régions
sus et sous-épineuses sont gonflées de même que l
également. Enfin, la sensibilité électrique est éteinte dans toute la
région
de l'épaule droite1. — La suite au prochain num
tant couchée et légèrement inclinée sur le côté droit, je percutai la
région
pour m'assurer qu'aucune anseinlestinale ne se tr
n-seulement du trismus, mais encore de la contracture des muscles des
régions
antérieures du cou, du thorax et de l'abdomen. La
bord horizontal qu'elle abandonne bientôt pour aller se perdre sur la
région
latérale gauche du cou. Elle mesure 2 à 2 centi
logie, 1868, p. 212. les mensurations, et occupait non-seulement la
région
de l'épaule, mais encore le bras, le coude et une
ouche épaisse de poussière qui suffirait pour donner à la peau de ces
régions
la teinte bron¬zée que lui imprime naturellement
able des muscles de la dé¬glutition. Roideur et douleur vague dans la
région
cervicale posté¬rieure et dans la région dorsale,
eur et douleur vague dans la région cervicale posté¬rieure et dans la
région
dorsale, p. 72. Grands bains prolongés. — Extra
le reste de la nuit, il a été très-agité. La contracture a envahi la
région
lombaire. P. 120; chloral, 8 grammes. Bains prolo
lle-même en plusieurs variétés qui em¬pruntent leur nom à celui de la
région
qu'elles affectent : péritonite diaphragmatique o
ut de quelques semaines, à une péritonite purulente, circonscrite aux
régions
que nous venons d'indiquer. 2° Péritonite génér
ques dans leurs divisions et subdivisions. La connaissance de cette
région
de la trame conjonctive du poumon n'est pas, tant
mière naîtra du contraste. A. Laissant de côté, pour le moment, les
régions
supérieures des canaux aériens (larynx, trachée,
d'autant plus larges et d'autant plus plats, qu'ils siègent dans une
région
plus voisine du fond des cavités alvéolaires. En
e des alvéoles, entraînant la destruction des éléments spéciaux de la
région
, à savoir: fibres musculaires de la vie organique
diffèrent de celles que j'avais formulées à l'époque. C'est dans la
région
du labyrinthe — et, à ce propos, je vous renvoie
air sur un fond rouge. Les parties rouges et déprimées répondent à la
région
labyrinlhique ou des canaliculi contorti atrophié
parties plus claires, sail-lantes, les granulations, en un mot, à la
région
centrale du 1 Voir, sur ce point, Charcot, toc.
artie périphérique du lobule, et elle s'étend progressivement vers la
région
centrale, occupée par la veine intra-lobulaire. E
partielle sont assez nombreux pour se souder et faire disparaître les
régions
splénifiées, on a dès lors une lésion en apparenc
ns à divers degrés en zones concentriques. Tandis que le centre de la
région
hépatisée est gris, les zones périphériques en so
sont dilatées, remplies de muco-pus; enfin il y a de l'emphysème des
régions
non atteintes. En résumé, cette description met
e troisième période, c'est-à-dire au bout de huit à quinze jours, les
régions
splénisées ont une couleur plus pâle, grisâtre; o
embryonnaires infiltrent les parois alvéolaires. Aussi bien dans les
régions
splénisées que dans les points hépatisés, les cel
plus souvent, suivant Chomel (cinq fois sur huit), elle occupait les
régions
inférieures; une fois seulement le lobe supérieur
cé du cœur, du même côté que la lésion pulmonaire : à gauche, vers la
région
sous-claviculaire ; à droite, et en haut, au nive
, se grouper sur les pa-rois des lymphatiques qui abondent dans cette
région
. 2° Le tubercule développé autour d'un conduit
ble (tubercule cru) qui, plus tard, se désagrège, à commencer par les
régions
centrales des par-ties envahies et donne ainsi na
i, offrent une constitution complexe, il y a lieu d'y distinguer deux
régions
: 1° Région centrale; celle-ci paraît constituée p
ne constitution complexe, il y a lieu d'y distinguer deux régions: 1°
Région
centrale; celle-ci paraît constituée par une subs
la slructure normale du poumon ne peuvent être distingués, dans cette
région
. Il faut en excepter cependant : a) les bronchiol
inte-nant comblées par le détritus caséeux. 2° Tout autour de celte
région
centrale qui répond, on le voit, à la description
isseur, qui suit exactement tous les contours du bord limi-tant de la
région
centrale. Cette zone offre, sur les couches trait
armin, une coloration rosée, qui contraste avec la teinte jaune de la
région
centrale; les contours alvéolaires marqués par la
de fibres élastiques sont là moins apparents que dans cette dernière
région
. La zone en question est essentiellement constitu
vités des alvéoles et leurs parois net-tement limitées, du côlé de la
région
centrale, elle offre, au contraire, du côté oppos
, le plus souvent sur un rang, et » alors au voisinage immédiat de la
région
centrale, quand la » zone est mince, quelquefois
ints, l'espèce de couronne vir-» luelle qu'elles forment autour de la
région
centrale se trouve » interrompue, parce que quelq
d'apparence vitreuse ou caséeuse, comparable à celle qui constitue la
région
centrale des nodules tuberculeux. « D'après » cel
vaient même subi, à un haut degré, la dégénération caséeuse dans leur
région
cen-trale ; ils constituaient dans le poumon, de
sions de l'inflammation commune. C'est au sein des nodules, dans leur
région
centrale, et ici encore, aux dépens de la néoform
it à laisser passer inaperçue cette zone em-bryonnaire qui, limite la
région
caséeuse des nodules tuber-culeux et la sépare de
, limite la région caséeuse des nodules tuber-culeux et la sépare des
régions
où le poumon offre les lésions de l'inflammation
s, pas de râles caverneux, pas de craquements, pas de matité clans la
région
des lobes supérieurs : respiration soufflante et
douleur vive siégeant au creux de l'estomac. La pression exercée à la
région
épigastrique exaspère beaucoup cette douleur, et
les, développés dans l'épaisseur du corps des vertèbres, surtout à la
région
lombaire. Ce fait, intéressant à plusieurs égards
: Les malades éprou-vent des douleurs dont le siège principal est la
région
lom-baire et qui, de là, s'irradient dans toute l
, on peut admettre que la répartition du pigment dans les différentes
régions
du système capillaire est fort inégale ; caries d
it due à un dépôt de ma-tière pigmentaire qui se fait surtout dans la
région
tout à fait inférieure des cellules de la couche
ation d'étendue ; la percussion fait reconnaître en même temps que la
région
des reins n'est pas douloureuse ; l'émission de l
e temps une douleur sourde, que la percussion exagère, se montre à la
région
du cœur. L'auscultation du cœur fait constater l'
e à chaque inspiration pulmonaire. Prescript. : Un vésicatoire sur la
région
précordiale. {"juillet. — Même état que la veil
; je veux parler du souffle rude et superficiel observé dans toute la
région
interscapulaire. Ce symptôme n'était cepen-dant p
t ailleurs: « il peut être plus prononcé que celui qu'on perçoit à la
région
précordiale ». (W. Stokes, The Diseuses of the He
e son insuffisance. — Le double souffle lointain qu'on entendait à la
région
précordiale, au niveau de l'union du car-tilage d
ique des conjonctives. La malade rapporte toutes ses souffrances à la
région
du foie; quand on palpe ou qu'on percute cette ré
ouffrances à la région du foie; quand on palpe ou qu'on percute cette
région
, elle accuse une douleur vive aussitôt qu'on arri
rtères radiales est complètement insensible. La main appliquée sur la
région
précordiale perçoit des battements peu énergiques
précordiale perçoit des battements peu énergiques. La matité de cette
région
est absolue et très étendue; la percussion n'y pr
au-dessous du niveau de l'angle de l'omoplate. L'exploration de celte
région
par la percussion n'y fait pas reconnaître de mat
nduit blanc. La teinte ictérique se prononce davantage, cependant, la
région
du foie est moins douloureuse. L'appétit se perd.
paru. Il en est de môme du souffle qu'on entendait distinctement à la
région
dorsale. La matité correspondant à la partie infé
it un purga-tif, puis un vomitif, et fit appliquer un emplâtre sur la
région
du foie qui était devenue alors le siège d'une do
é et douloureux à la pres-sion: il n'y a pas de diarrhée. Il y a à la
région
cardiaque un bruit de souffle ayant son maximum v
lein et fréquent (128 pulsations). Il existe un bruit de souffle à la
région
moyenne du cœur, perçu entre les deux bruits norm
e digitale (40 gouttes); sinapismes, huit ventouses scarifiées sur la
région
précordiale; sulfate de magné-sie (45 grammes).
, et il y a peu de sérum de séparé. — Six ventouses scarifiées sur la
région
du cœur, lave-ment émollient, sinapismes, bouillo
le plus intense, que ces bruits avaient leur maximum au niveau de la
région
Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 27
ne douleur vive se manifeste dans la fosse iliaque gauche; dans cette
région
, on constate bientôt l'existence d'une tumeur ass
Elle avait éprouvé, entre autres symptômes, une douleur vive dans la
région
sacro-iliaque gauche. Frissons, fièvre, courba-tu
t, lorsqu'elle n'est pas impérieuse-ment nécessaire, la palpation des
régions
auxquelles appar-tiennent les veines oblitérées.
malade qui éprouvait depuis longtemps de violentes palpita-lions à la
région
épigastrique. Les faits de ce genre conti-nuèrent
thoraciques ait eu lieu, on constate une voussure inso- lite de la
région
; quand l'aorte ascendante est affectée, c'est du
ortance séméiotique d'autant plus grande qu'on est plus éloigné de la
région
précordiale; en se rapprochant du cœur, les donné
eloppée à la partie antérieure du vais-seau. Lorsqu'elle en occupe la
région
postérieure, on aperçoit quelquefois un soulèveme
lpitations ner-veuses ou les tumeurs solides si fréquentes dans cette
région
, et qui, reposant sur l'aorte, en transmettent à
ffus. L'existence d'une pareille lésion sera facilement reconnue à la
région
thoracique. Les signes qui la révèlent sont plus
région thoracique. Les signes qui la révèlent sont plus obscurs à la
région
abdominale ; cependant, on constate presque tou-j
nne vertébrale, des bruits pathologiques, encore plus marqués qu'à la
région
an-térieure. C'est ce qui existe assez souvent, p
anévrismes de l'aorte descendante donner lieu à de la matité dans la
région
dorsale, tandis qu'on ne perce-vait aucun murmure
a rigueur se passer ainsi: un domestique ayant reçu une blessure à la
région
lombaire, près des apophyses épineuses, éprouva,
entres de pulsations : l'un, qui correspond à la tumeur, l'autre à la
région
précordiale. i) Les rétrécissements des orifice
u même côté. L'état du pouls, les accidents localisés au bras ou à la
région
cervicale gauche, la moins grande intensité des t
ement, les anévrismes de l'aorte abdomi-nale, lorsqu'ils siègent à la
région
épigastrique, et s'accompa-gnent de troubles dige
ants ; elle se manifeste, dès le dé-but, et tend à s'irradier vers la
région
lombaire ; en outre, la tumeur pulsatile se dével
à un anévrisme disséquant,le malade éprouve une douleur violente à la
région
précordiale, qui remonte vers l'épaule, et descen
une suppression complète des urines et des douleurs gra-vatives à la
région
lombaire. L'explication de ces phénomènes est enc
ilatation énorme. La percussion donne en général un son mat dans la
région
sus-claviculaire droite, quand l'œdème des parois
double courant, avec frémissement cataire, dans toute l'étendue de la
région
cardiaque. Le ma-lade ayant succombé à la suite d
, la rup-ture fut occasionnée par un simple coup de bâton asséné à la
région
dorsale. Les individus affectés d'un rétrécisseme
oisins ; c'est ainsi qu'un abcès formé dans le tissu cellulaire de la
région
cervicale a pu s'ouvrir dans la crosse de l'aorte
les bruits du cœur s'entendent plus distinctement dans le dos qu'à la
région
précordiale. On pourrait rapprocher de ces trou
battements énergiques sont perçus lorsqu'on appli-que la main sur la
région
épi gastrique, mais on ne sent point là de tumeur
la percussion restent également sans résultat, et il n'y a dans cette
région
, ni souffle ni matité anormale. Les fonctions del
à son niveau. Injection vive et pointillée dans le duodénum. Dans les
régions
où les valvules conniventes sont très apparentes,
consultants Population au 31 décembre 1902. LXXV qui habitent la
région
dépourvue d'établissements bal- néo-hydrothérap
rables d'Ivry qui devraient être des centres hospitaliers pour leur
région
(1). Population au 31 décembre 1902, - Il Y ava
tives. cet enfant présente sur cxx Enfants martyrs . les diverses
régions
de la face, des bosses, des ecchymoses, des pla
rachnoïde, sont partout épaissies, il un degré variable suivant les
régions
; mais, tou- jours le maximum des lésions siège
ienne est notablement augmentée d'épaisseur. Au niveau de certaines
régions
plus particulièrement mala- des, généralement l
iale de méningo-encéphalite corticale surtout prononcée clans les
régions
les plus superficielles de l'écorce cérébrale. Le
c une intensité sensiblement égale. Cette méningo-encéphalite des
régions
superficielles du cerveau a cntrainc la dimi- n
libres nerveuses, tangentiel- les et radiaires, quelle que soit la
région
examinée. Par contre, les cellules nerveuses, i
ssez gros. Colonne vertébrale légère- ment déviée à gauche clans la
région
dorsale, et adroite'dans la région lombaire.
ment déviée à gauche clans la région dorsale, et adroite'dans la
région
lombaire. Organes génitaux : poils noirs, longs
s organes abdominaux. Organes génitaux. - Etat glabre de toutes les
régions
.- Verge : 3 cent. de longueur sur 4 de circonfé
dans la fosse sous- épineuse droite; matité également au niveau des
régions
qui correspondent aux deux pédicules bronchique
Vus par transparence, les deux pariétaux sont opaques, sauf dans la
région
des sutures. On constate de part et d'autre de
che. 1° Face interne : La pie- mère est un peu vascularisée dans la
région
pariétale. Les veines sont gorgées de sang. - A
esque lamelliforme. L'opercule rolandique est mince et atrophié. La
région
sclérosée comprend deux parties verticales réun
on épaisseur et non sur sa hauteur, car elle est de niveau avec les
régions
voisines. L'extrémité antérieure des trois circ
éma- teux ? avec une scoliose il convexité gauche, portant sur la
région
dorso-Iombaire...» Le second a trait à une fillet
5.) 5° Chez Amélina F..., « la colonne vertébrale est déviée à la
région
dorsale ; la convexité, tournée adroite, fait une
.» (lIJÙ1., p. 14 et 15.) 7o Wat. (Augustine) a le dos courbé; la
région
lombaire est excavée. (Comp/I'-rendu de 1889, p
gauche est plus élevée que la droite, très saillante, ainsi que la
région
scapulaire; In colonne dorsale décrit une convexi
t une déformation du rachis et une enscl- lure très prononcée de la
région
lombaire.» (<'0)) ! p/e-)'endu de 189G, p. 5
à droite, l'autre infé- rieure, à convexité regardant il gauche. La
région
lombaire présente une ensellure très prononcée.
ne médiane, d'a- bord au-dessous de l'ombilic, puis au niveau de la
région
épigastrique. Il se produit du côté excité une
happe des doigts. On le perçoit en palpant l'urètre au niveau de la
région
scroto-périnéale : on sent une con- traction mu
s l'influence du chatouillement, avec une épingle, de la peau de la
région
anale. Il importe de donner au malade une des p
, 800. Tète. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la
région
occipitale, saillie prononcée des bosses pariétal
onnons de suite quelques-unes des dimensions normales de cette même
région
, indiquées par M. Papillault, dans son travail
hl'opologic, 1896). ETUDE DU squelette. 121 l'aplatissement de la
région
chez le myxoedémateux. Venant d'in- diquer la c
s tenu compte en montant le squelette. Voici quelques me- sures des
régions
thoracique et vertébrale : Etude DU SQUELETTE.
rrés, a été prélevé à la partie antéro-supérieure gauche du thorax (
région
sous-claviculaire). Cette peau, glabre, est doubl
tiqué sur plusieurs circonvolu- tions choisies dans les principales
régions
de l'écorce cérébrale : par exemple, au niveau
méningites, atrophies cellulaires, légère sclérose névroglique des
régions
superficielles de l'écorce cérébrale. Méningi
ontenu. Surtout, le réseau vasculaire est riche, quelle que soit la
région
examinée ; artérioles et veinules ont des paroi
nerveuses. - Les cellules nerveuses ne sont pas intactes. Dans les
régions
où le processus pathologique parait bien avoir
les couches qui apparaissent si nettement à l'état normal, dans la
région
rolandique par exemple. Ainsi, les pyramidales,
logie et la structure générale des neuroblastes. Dans les au lies
régions
¡lobe occipital, par exemple), le pro- ces>u
disposition habi- tuelle. En résumé, à part la légère sclérose des
régions
tout-à-fait superficielles de l'écorce cérébral
as découvrable. Testicules de la grosseur d'un gros haricot, égaux.
Région
anale normale. 8 octobre. -Eruption pustuleuse
du volume d'un haricot, prépuce recouvrant entière- ment le gland ;
région
anale normale. Parole améliorée, essaie de répé
hon, se portant vers la droite, léchant la commissure labiale et la
région
avoisinante de la joue ou sur la lèvre supérieu
les lèvres, V..., d'un revers de main, essuie la salive (parfois la
région
mouillée s'ulcère), secoue la tète, soulève les
naient de la rougeur, des excoriations, et même des ulcérations des
régions
humectées. Nul autre accident concomitant n'est
n'est le siège de démangeaisons. Mme V... ne saurait dire si les
régions
décolorées suent plus ou moins que la peau sain
mier abord, on pourrait croire que la ré- gion la plus brune est la
région
malade et qu'il s'agit d'une éphélide. ' D'ap
on semblable il celle que nous venons de décrire, limitée aux mêmes
régions
, mais moins confluente que celle du 23 août.
airement ou non, des attouchements, des, frictions au niveau de ces
régions
, voire même des exco- riations, en tout cas une
ès peut être obtenue grâce à des applications réfrigérantes sur les
régions
crânienne et rachidienne. Il est curieux cle co
en peu saillant; rien aux organes abdo- minaux. Organes génitaux.
Région
anale, rien. Pubis et corps glabres. -Verbe : c
z2 ; circonférence 5 cent. Testicules de la grosseur d'un haricot.
Région
anale normale. - Traitement. Bains salés, sirop
les aigus ou des cailloux tranchants. 28 novembre. - Chute sur la
région
fessière ; hématome de la partie profonde de la
essière ; hématome de la partie profonde de la fesse et de toute la
région
. Vu le gonflement il est impossible de savoir s
noncées. Crâne asymétrique : la ré- gion pariétale droite et la
région
occipitale gauche font saillie, de telle sorte
onge le plan du visage qui est incliné en arrière. Un épi dans la
région
fron- tale antérieure. Oreilles, mômes carac-
volumineuses ; elles ne présentent aucune anomalie dans aucune des
régions
. Face interne. - Rien d'anormal à noter. Face
1, 12, 13, 14, 15.) Les deux processus antérieurs se replient vers la
région
frontale et se continuent avec les processus enté
téroîdes, les uns circulaires, les autres repliés, qui occupent cette
région
. Les deux processus verticaux postérieurs, l'un
dirigent en avant et en arrière, et vont se confondre avec ceux de la
région
frontale et de la région occipitale. Les processu
rrière, et vont se confondre avec ceux de la région frontale et de la
région
occipitale. Les processus de la région frontale p
de la région frontale et de la région occipitale. Les processus de la
région
frontale présentent une grande irrégularité. To
le. Ces lignes séparent sur la face externe de l'hémisphère plusieurs
régions
, à savoir : 4° Le triangle orbitaire; 2° le tri
ieure de l'hémisphère au sommet du lobe temporal. Il y a, entre ces
régions
et celles de la face interne de l'hémisphère, des
a rapport aux circonvolutions qui occupent l'aire de ces différentes
régions
nous devons renvoyer au bel ouvrage de M. Foville
. A ° Plis du lobe frontal. Le lobe frontal est subdivisé en deux
régions
: l'une inférieure, plus ou moins concave, répond
artie postérieure de la scissure des hippocampes, est divisée en deux
régions
bien distinctes par la scissure perpendiculaire i
stinctes par la scissure perpendiculaire interne. L'une de ces deux
régions
est antérieure ; elle répond à la fois au lobe fr
J'ai colorié en couleurs diverses, dans mes figures, les différentes
régions
cérébrales. Je n'avais d'abord appliqué cette mét
ables. Dans les Guenons, le lobe postérieur semble anticiper sur la
région
fronto-parié-tale ; il recouvre le pli supérieur
; mais, en revanche, il est assez large relativement, surtout dans la
région
frontale. Le lobe frontal est court; le pariétal
Gibbons, on voit le lobe occipital se réduire de plus en plus, et la
région
fronto-pariétale s'agrandir au contraire , le lob
s aux derniers Cynocéphales, nous voyons prédominer tour à tour 1" la
région
fronto-pariétale; 2" le lobe pariétal; enfin la r
r à tour 1" la région fronto-pariétale; 2" le lobe pariétal; enfin la
région
pariéto-occipitale, le lobe occipital grandissant
lis temporaux inférieurs (8) sont moins bien définis. Toutefois cette
région
présente, dans les cerveaux qui me servent de typ
édiane.—Dans « le Gorilla, les fosses temporales envahissent toute la
région
pariétale du crâne, et « elles remontent si haut,
....... Ainsi les longueurs sont égales. B. Largeur au niveau des
régions
temporales dans leur plus grand diamètre.......
interne change de direction, et, repoussée par le développement de la
région
fronto-pariétale, s'incline un peu en arrière. Le
deux plis sembleront diviser la face externe de l'hémisphère en deux
régions
presque symétriques. Du pli ascendant en avant
mples incisures. Ces faits font ressortir l'importance relative de la
région
frontale du cerveau dans l'Homme ; ils correspond
t la plus noble des parures, et fait étinceler sur la plus importante
région
du cerveau humain le signe de la puissance souver
mais les cerveaux normaux de la race caucasique. Ils présentent, à la
région
frontale, un espace que l'œil distingue aussitôt
nt avec lui-même; il avait, en effet, reconnu que dans son Pygmée les
régions
orbitaires du cerveau étaient beaucoup plus excav
fois le cerveau des Atèles et celui des Guenons ou des Macaques. La
région
fronto-pariétale rappelle assez bien celle des At
très-long, mais assez étroit, surtout relativement à la largeur des
régions
sphénoïdales. L'opercule de la scissure de Sylviu
érébraux; ces plis, en se groupant d'une façon régulière, forment des
régions
ou lobes, qui sont des divisions naturelles de l'
t le foyer d'une activité distincte, à chacune d'elles correspond une
région
déterminée du cerveau. Si donc nous supposons,
Si donc nous supposons, avec les partisans de cette doctrine, que ces
régions
cérébrales ont des fonctions distinctes, que chac
eci peut-être posé : de deux choses l'une; ou bien chaque pli, chaque
région
cérébrale est en rapport uniforme avec le corps t
apport uniforme avec le corps tout entier, ou bien chaque pli, chaque
région
cérébrale a avec les centres organiques principau
es résultats que donne une étude approfondie des plis, des lobes, des
régions
cérébrales. Sous ce point de vue, nous regrette
t hypérémiée. Sa vascularisation est plus prononcée au niveau de la
région
sylvienne de l'hémisphère gauche et du bord sup
a face externe de l'hémisphère n'offre guère d'intérêt, ce n'est la
région
inférieure du lobe parié- tal et la région supé
e d'intérêt, ce n'est la région inférieure du lobe parié- tal et la
région
supérieure des lobes temporal et occipital qui
ales. Corps thyroïde vaguement perceptible. Thorax peu développé.
Région
interscapulaire couverte d'un duvet fin et asse
men des organes intra-thoraciques.. Abdomen : Rien de pathologique.
Région
anale normale. Peau absolument glabre. Verge 2
s d'être rattachées. à une sclérose atrophique prédominant dans les
régions
motrices de l'hémisphère droit, en raison de l'
'est elle qui correspond à la pariétale ascendante, tandis que la
région
antérieure de ce lobule est saine et bien dévelop
Sal..., il y avait à ce point, des deux' côtés, une atrophie de la
région
tout-à-fait postérieure du lobule paracentral.
iose à concavité droite assez prononcée, commençant au milieu de la
région
dorsale, et s'étendant sur la région lombaire,
ée, commençant au milieu de la région dorsale, et s'étendant sur la
région
lombaire, qui est un peu courbée ; courbure dès
tie antérieure un aspect franchement chagriné ; en arrière de cette
région
, on trouve encore de nombreuses adhérence*- de
se des sutures et la présence de plaques transparentes surtout à la
région
de la fontanelle antérieure ; tout cela joint à
Percusion : Du côté droit, matité de la fosse sus-épineuse et de la
région
sous-claviculaire ; submatité de la partie infé
uinal, près de son orifice abdominal, le gauche ne peut être senti.
Région
anale non déformée, cou- 84 Description du mala
e est formée par une série d'os wormiens au nombre de ! ¡ dans la
région
du lambda. Leurs connexions sont telles qu'elles
es. Les testicules sont extrêmement petits, difficiles à découvrir.
Région
anale normale. 21 771C - Traitement : 3 bains
Pouls régulier. - ! lbclnmen souple, non douloureux à la palpation.
Région
anale saine. Membres supérieurs amaigris. Muscl
es- sion correspond à cette cicatrice. En palpant avec soin cette
région
, l'on sent une petite rainure superficielle de 3
BRO\CHO-P1EU\IONIE. 4 novembre, - Ouverture d'un nouvel abcès de la
région
parotidienne. Pansements au sublimé. Guérison l
Une partie ayant 32 millimètres de longeur, reste non ossifiée à la
région
frontale. Une région de 20 millimètres, complèt
illimètres de longeur, reste non ossifiée à la région frontale. Une
région
de 20 millimètres, complètement réparée, lui su
égion de 20 millimètres, complètement réparée, lui succède. Cette
région
croise la suture fronto-pariétale. Son mode de ré
nes dentelures, analogues à celles de la suture qu'elle croise. Une
région
de 16 millimè- tres, non réparée, lui fait suit
réparée, lui fait suite et offre des bords assez réguliers ; cette
région
a 3 millimètres à sa partie la plus large ; 18 mi
tes- ticules dans les bourses sont du volume d'un petit haricot.-
Région
anale saine. Petite cicatrice au niveau du coccyx
tes ; symétrie à peu près parfaite. Il présente à droite, dans la
région
pariétale, à 4 centimètres 1/2 de la ligne médian
Pas de poils aux aisselles. Duvet léger à la lèvre supérieure. La
région
anale est recouverte de poils assez longs. Elle
minés en arrière des deux côtés. 7 septembre. - Submatité dans la
région
sous-épineuse à gauche. Affaiblissement du murm
lissement du murmure vésiculaire très notable. - Vésicatoire sur la
région
. Pas do sueurs la nuit. Toux. 12 septembre. La
- ble. Testicules dans les bourses, du volume d'un petit haricot.
Région
anale saine. Le corps de l'enfant est complètemen
gle fronto-sagittal droit, tandis qu'on n'en observe qu'une dans la
région
symé- trique à gauche. Elles ont environ 2 cent
tre. On constate aussi des zones transparentes mais diffuses à la
région
postérieure des pariétaux surtout au niveau du la
sale a concavité postérieure légère. Il existe au contraire dans la
région
lombaire une courbure à convexité postérieure.
le. Rien sur Ti. Adhérences nombreu- ses sur toute la surface de la
région
inférieure du lobe tem- poral. Face interne.
normal tant à la périphérie que sur les coupes de ses différentes
régions
. Cou. - Thymus du volume d'un petit haricot. -
ne médiane. Veinosités sous-cutanées au niveau du front et des deux
régions
temporales, mais plus acusées du côté droit.
e, placés tous les deux à l'orifice inférieur du tra- jet inguinal.
Région
anale normale. Voix forte. L'enfant sent le con
cris de l'enfant. Au lieu de matité hépatique, on perçoit dans les
régions
du foie une sonorité continue avec celle des po
oeuf de pigeon. Quelques poils sur le scrotum, le périnée et à la
région
anale. Poils assez rares aux aisselles. Le reste
la partie antérieure du lobe paracentral. L'avant-coin, le coin, la
région
temporo-sphénoidale, la circonvolution du corps
ssez accentué à la partie postérieure du lobule paracentral et à la
région
antérieure de l'avant-coin. -Le ventricule laté-
amincie et répond à la partie supérieure de FA, etc.. : c'est cette
région
qui forme sur la face convexe de l'hémisphère une
assez profond perpendiculaire au sillon de Rolando sépare ces deux
régions
. Le tobe pariétal est moins altéré. PA est dépr
eures de Fi et de FA se laissent déprimer d'une façon analogue à la
région
correspondante droite, mais d'une façon bien mo
z semblable il celui que contient les hydatides. En dedans de cette
région
kystique, on note sur cet hémisphère une niasse
de sucre. Front fuyant. Asymétrie notable. Dépression prononcée des
régions
frontales et pariales droites..Occi- put peu sa
anisme. Le système pileux est assez développé aux aisselles et à la
région
anale. Ro.. passe à la grande école. Décembre
isselles, le pénil est garni de poils noirs abondants et frisés. La
région
anale est normale et gar- nie de poils noirs co
e. Crdne très petit, peu élevé. Bosse occipitale assez saillante.
Régions
pariétales peu proéminentes. Au niveau de la cica
e surtout ces plaques sur la moitié droite du cuir chevelu. Dans la
région
où se trouve la cicatrice et dans le voisinage,
sauf une légère déviation de la colonne vertébrale à droite dans la
région
lombaire; la paroi abdominale est dis- tendue,
nt asymétrique; le côté gauche est plus dévelop- pé au niveau de la
région
occipitale que le côté droit; la pro- tubérance
e fronto-sagittal droit, tandis qu'on n'en observe qu'une dans la
région
symétrique à gauche. Elles ont environ 2 centimèt
externe. La suture sagittale est fortement dentelée, sinueuse. La
région
de l'obélion est elle-même irrégulière. En aucun
en dessiné sur les deux pariétaux. Le crâne est asymétrique et la
région
latérale gauche est aplatie. La bosse frontale de
occipital est parti- culièrement mince et présente latéralement des
régions
trans- parentes. Des plaques translucides exist
s existent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la
région
postérieure et inférieure. Les traces des vaiss
aux. Le frontal, un peu plus épais que les pariétaux, présente à sa
région
moyenne une bande transparente. Les sutures fin
e partie ayant 32 millimètres de longueur reste non ossifiée à la
région
frontale. Une autre partie, longue de 20 millimèt
longue de 20 millimètres, complètement réparée, lui succède. Cette
région
croise la suture fronto-pariétale. Son mode de
nes dentelures, analogues à celles de la suture qu'elle croise. Une
région
de 16 millimètres, non répa- rée, lui fait suit
répa- rée, lui fait suite et a des bords assez réguliers ; cette
région
a 3 millimètres à sa partie la plus large; 18 mil
ement paralytique du côté gauche. - Accès de colère. Phlegmon de la
région
mastoïdienne. - Carie du rocher. - Méningite. -
aucune modification de la muqueuse buccale; aucune souffrance à la
région
épigastri- que. - 18 mai, hier, cinq selles dia
M. Charcot nous a conseillé de mettre une vessie de glace sur la
région
de l'ovaire d'où part- l'aura chez les hystéro-
oix, était enfermée dans une vessie de porc que l'on plaçait sur la
région
ovarienne, siège de l'hyperesthésie. Les applic
se, nous avons pu obtenir qu'elle appliquât la glace non pas sur la
région
ovarienne droite qui, chez elle, est le point d
roite qui, chez elle, est le point de départ de l'aura, mais sur la
région
cardiaque. Le traitement, institué le lor juill
agérée' du pouls, des palpitations rappro- chées, des douleurs à la
région
précordiale, principalement vers la pointe du c
er genre, M. Charcot nous a fait appliquer la glace au niveau de la
région
car- diaque, et nous avons pu continuer le trai
r; la malade n'a pas d'autre sensation que celle du froid. Entre la
région
rouge et refroidie et la région avoisinante, ch
sation que celle du froid. Entre la région rouge et refroidie et la
région
avoisinante, chaude et pâle, il ne semble pas y
est qu'à 76. La glace est appliquée pendant t une demi-heure sur la
région
cardiaque. Au bout de ce temps, le pouls est à
vingt minutes environ après l'éloignement de la vessie de glace la
région
, qui tout à l'heure était froide, rouge, insens
ur les membres supérieurs, mérite qu'on s'y arrête : La peau de ces
régions
, les lèvres, la langue, la muqueuse palpébrale,
pré- ventive qu'exercent parfois les applications de glace sur la
région
ovarienne d'où part l'aura chez les hystériques,
ement le tableau tracé par M. Charcot : a) douleurs au niveau de la
région
ovarienne gauche elle les compare il des tortil
ser. De temps en temps, elle se frappe la poitrine avec force, à la
région
précordiale, et, si l'on n'a la précaution de p
ans, a eu aujourd'hui une attaque qui a duré une heure et demie. La
région
ovarienne droite est douloureuse; toute la moit
muqueuses). La vi- sion est ni'oins bonne à droite qu'à gauche. La
région
de l'o- vaire droit est le siège de douleurs sp
thotonos s'exa- gère, il se produit une cambrure considérable de la
région
dorso-lombaire, l'abdomen est projeté en avant
s la bouche, aussitôt elle s'échappe au-dehors. Les muscles de la
région
sus-hyoïdienne sont contracturés. Le ventre est m
état. Alimentation par la sonde. Le ventre n'est plus ballonné. La
région
ovarienne droite est redevenue plus douloureuse
is la malade y sent des fourmillements .et de l'engourdissement. La
région
ova- rienne droite est indolente ; la gauche, a
enne gauche est la même. Toutefois, il semble qu'au niveau de cette
région
, la peau a conservé sa sensibilité. La contract
arriver ces mouvements, s'empresse-t-on de placer un coussin sur la
région
pectorale. Puis, elle s'assied, préfère des imp
ontre, la sensibilité élec- trique parait éteinte, excepté dans une
région
qui semble cor- Fig. 6. ISCHURIE. 9 G 1 res
us l'influence de la faradisation, il se produit au voisinage de la
région
où la sensibilité électrique est la plus vive,
n'est pas ballonné. La pres- sion au niveau de l'hypogastre et des
régions
ovariennes est douloureuse. P. 100 T. lt. : 37,
taine quantité d'urine. 8 décembre. Augmentation des douleurs de la
région
ova- rienne gauche. Le ventre est ballonné. Nau
onstriction à la gorge qui l'empêche d'avaler sa salive. Les deux
régions
ovariennes sont douloureuses; le ventre est méd
la partie supérieure des deux masséters, surtout à droite et à la
région
occipitale; - 20 d'un sentiment de constriction p
temps, elle éprouve une sensation de fatigue, de gène, d'abord à la
région
sternale, puis à la région laryngée où la press
sation de fatigue, de gène, d'abord à la région sternale, puis à la
région
laryngée où la pression est un peu dysphagie; I
te d'eau qui remonterait au milieu du membre, puis une douleur à la
région
précordiale et des bat- tements de coeur. En ef
rès-minime. Septembre. On électrise les muscles de la face et de la
région
antérieure du cou. En octobre, les mâchoires s'
jours et ont une grande intensité. - Douleurs constrictives à la
région
épigastrique pour lesquelles on lui fait des inje
peine quelques minutes. - Application d'une vessie de glace sur la
région
ovarienne gauche. 2j septembre. Sous l'influe
ent des dou- leurs constrictives à l'épigastre et des douleurs à la
région
lombaire. 31 décembre. La malade a reçu quoti
t pas tout-à-fait abolie. A droite, il y a enfin, au niveau de la
région
sacrée, de la fesse et du membre inférieur, des
Etch... a des douleurs semblables sur le trajet du plexus brachial (
région
claviculaire, bras, main). - Ces dou- leurs son
ité au froid semble avoir reparu ; elle serait même exaltée dans la
région
dorso-lombaire gauche. L'ouie, la vue, l'odorat
est normale ou tl'ès-exagé1'ée.- Parfois, douleurs au niveau de la
région
ovarienne gauche. - Etch... n'a pas eu de nouve
lèvres, le capuchon du clitoris, les commissures de la vulve, et les
régions
avoisinantes. Cependant, il n'en existe ni au pér
de sa ponction, et l'abcès paraît en voie de guérison. Un abcès de la
région
du foie, suite d'hépatite aiguë, donna en douze h
circonscrite dans une incision elliptique s'étendant en arrière de la
région
cervicale, et en bas jusqu'à l'aisselle. L'os fut
prise de fréquents besoins d'uriner, et qu'enfin, il existait dans la
région
hypogastrique une vive sensibilité à la pression
e nous nous en sommes assurés. Si maintenant, les yeux fixés sur la
région
vulvo-périnéale, on fait pousser la malade, on vo
qu'à la partie supérieure des cuisses. Pas d'éruption dans d'autres
régions
. Le malade pendant un mois prend un bain tous l
rès au bras gauche. En 1858, l'épaule fut à son tour envahie,, et ces
régions
ont continué à se peupler depuis lors jusqu'aujou
tères opposés quant à sa délimitation. 6° Groupes brachiaux. — A la
région
antéro-externe du oras, immédiatement au-dessous
s. Ces groupes, il faut le dire, se perdent insensiblement dans les
régions
voisines. Ce n'est que pour la facilité des descr
tumeurs dura dix-huit mois environ, l'empâtement de la nuque et de la
région
cervicale, augmentant de jour en jour, en même te
n jour, en même temps qu'un gonflement semblable, embrassant toute la
région
sous-maxillaire, et formant une sorte d'épaisse c
plus tard d'autres tumeurs s'étant montrées à la base du cou, dans la
région
sus-claviculaire, au niveau de l'extrémité gauche
upes distincts : i° Groupe occipital. Les tumeurs occupent toute la
région
occipitale, nettement limitées par leur bord supé
partie moyenne, elles se confondent, en bas, avec l'empâtement de la
région
cervicale. La peau qui les couvre présente un asp
'angle de la mâchoire, où elles se confondent avec l'empâtement de la
région
cervicale, les tumeurs sous-maxillaires et sous-m
rales du cou. La peau qu'elles soulèvent semble plus' normale qu'à la
région
occipitale. Elle est aussi plus souple; et les tu
at d'amollissement plus prononcé que celles du groupe précédent. 3°
Région
cervicale. De la base de l'occipital jusqu'au niv
. On peut rattacher au groupe cervical les deux petites tumeurs de la
région
sus-claviculaire, et celle qui se trouve au nivea
rcules répandus sur divers points de la peau, principalement dans les
régions
du cou, du périnée aux grandes lèvres chez la fem
mplex, par le peu de développement de ses tumeurs multiples sur des
régions
localisées du corps, rentre tout à fait dans le c
le de molluscum multiples chez une femme : deux tumeurs, situées à la
région
lombaire, avaient acquis, en cinq ans, le volume
ur la face interne des bras ; il est rare de l'observer dans d'autres
régions
du corps, et le cas que représente la planche XII
e siège de prédilection est le front ou les autres parties du visage,
régions
que ne recherche pas la syphilide pigmentaire, pe
vation complète de mouvements volontaires. La température de toute la
région
est inférieure à celle du reste du corps et le br
anées empêche de constater l'état des ganglions lymphatiques de cette
région
. Le scrotum souvent atteint, est dans ce cas tout
des mains. Le manche en bois de l'instrument vient le frapper dans la
région
orbitaire, à l'angle interne de l'œil gauche. Le
r des accidents semblables et, de plus, pour des douleurs occupant la
région
épigastrique et les lombes. Alors on ne nota rien
ic. Au-dessus d'elle , en remontant vers l'appendice xiphoïde, sur la
région
médiane, les veines sous-cutanées sont légèrement
uliers : deux verges, d'un calibre imposant, occupent le milieu de la
région
; elles sont libres et indépendantes; l'une d'elle
n. Cette tumeur, de la grosseur d'un œuf de pigeon, est située à la
région
palmaire de la main droite; elle s'étend depuis l
e plus large 8 centimètres de diamètre. La tumeur se trouve dans la
région
antéro-latérale droite moyenne et inférieure du c
une même description les maladies qui peuvent se développer dans une
région
, et les procédés d'examen qui conviennent à cette
per dans une région, et les procédés d'examen qui conviennent à cette
région
. — Les deux premiers chapitres de l'ouvrage sont
agnostic des tumeurs en général, l'autre à celui des tumeurs dans les
régions
. — Cette division bien naturelle exposait l'auteu
ne le cède en rien au mérite de la première et l'auteur y décrit, par
régions
, les modifications que peuvent offrir dans l'ense
accompagnée d'une saillie ou d'une modification dans les formes de la
région
qu'occupe la lésion. — Les nœvi vasculaires peuve
chevelu dont l'aspect n'est pas celui d'un type des maladies de cette
région
. Certains eczémas de la tête peuvent donner lieu
localiser dans une portion quelconque d'un os et produire dans cette
région
une éxostose ou un enchondrôme comme il s'en déve
cre importance, comparativement à l'aplatissement très accentué de la
région
frontale. Quoi qu'il en soit, le cerveau du suj
e qui se trouve dans la physiologie d'Hermann. Donders plane dans des
régions
où la science elle-même se recueille, et ses écri
« Dimanche, 23 janvier 1887 (vers six heures du soir). » Dans la
région
cervicale, à droite et a gauche de la colonne ver
'une déformation du bassin et des parties molles des hanches et de la
région
fessiére. Un traitement hygiénique et gymnastique
hyperesthésique existe vers le flanc droit, exclusivement limité à la
région
ovarienne. L'ensemble des conditions générales
tète s'engage; la douleur du côté reparaît, elle s'étend bientôt â la
région
lombaire, à l'abdomen tout entier; les frictions,
de ; l'anesthésie des sclérotiques et des points douloureux dans les
régions
sus et_ sous-mammaires droites. La malade éprouve
le traitement par l'hypnotisme. J'appli- ; quai ma main gauche sur la
région
bregmatique et je produisis de la somno-lence.
lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la
région
breg-manque, qui dura jusqu'au lendemain. Le 31
ula et de la première temporale ( i ). Le rôle physiologique de ces
régions
émotives, mis tout d'abord en saillie par Guislai
s d'un rayon de lumière ! A l'état normal, en effet,ce sont ces mêmes
régions
émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre v
e âge, notre puissance sur nous-mêmes, à cette aveugle domination des
régions
émotives de notre for intérieur, qui régnent en s
t qu'une sorte d'anesthésie partielle, nous portons en nous-mêmes des
régions
excessivement excitables et que nous avons tous n
s,' par J. Luys. ques nous sommes entraînés malgré nous, et les
régions
émotives de notre être, vivement sollicitées, s'a
lypémanies anxieuses, l'état d exaltation fonctionnelle de ces mêmes
régions
émotives est porté à un état d'hyperexcitabilité
motivité que nous allons exposer, combien les forces automatiques des
régions
émotives de notre être sont susceptibles d'être i
ouvons en un mot, à volonté, développer chez l'individu hvpnotise les
régions
diverses de son émotivité, faire vibrer alternati
s les muscles et les troncs nerveux qui en sont le siège, ce sont les
régions
émotisées dont je vous parlais tout à l'heure qui
ériphérique des nerfs de la vision, des émotions centripètes dans les
régions
de son for intérieur. Vient-on maintenant à fai
t à l'unisson et suit l'émotion sollicitée périphérique-ment dans les
régions
centrales. Le regard devient menaçant, la figure
le; ils ne prennent pas tout cela au sérieux, et chez eux ce sont les
régions
purement intellectuelles de leur cerveau qui sont
intellectuelles de leur cerveau qui sont en activité, tandis que les
régions
émotives de leur être et de leur personnalité con
brale de l'enfant diffère de celle de l'homme adulte, chez lequel les
régions
émotives sont toujours associées à la mise en act
Les programmes d'études scolaires, en effet, ne s'adressent qu'à des
régions
isolées de leur cerveau, et l'esprit du jeune hom
spiritueux qui ont une action plus particulièrement localisée sur les
régions
intellectuelles. I. — Dans la première série de
la joie et un mouvement général d'expansion. En même temps que les
régions
émotives sont mises en action dans les centres ne
l'action à distance de certaines substances, on voit incontinent les
régions
thyroïdienne et sous-maxillaire se gonfler inopin
e est placé à gauche ou bien à droite, et suivant qu'on interroge des
régions
différentes des plexus nerveux périphériques. A
d'action de certaines substances qui agissent principalement sur les
régions
intellectuelles, il arrive motu pro— prio à la ph
ue l'hyperexcitabilité neuro-musculaire a repris son énergie dans les
régions
antibrachiales. Le réveil, lorsque les sujets s
s d'un ordre spécial, aptes à modérer son action, à exciter certaines
régions
torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si pré
rate, concernant la femme d'un jardinier guérie par le massage sur la
région
abdominale enduite d'une couche d'huile. La Ren
eux mains, ou bien encore en roulant des deux mains les muscles d'une
région
. Le tapotement se fait de deux manières : 1° par
harcot et étudié par Parcs, qui consiste dans la compression de cette
région
du cou désignée sous le nom de zone spasmo-phréna
ictifs ; ne pouvez-vous, par exemple, en touchant, en influençant une
région
de l'écorce, de la moelle ou du bulbe, créer de m
négatif soit de la pile, soit de l'aimant. Ils ont remarqué qu'une
région
positive était contracturée par une région positi
Ils ont remarqué qu'une région positive était contracturée par une
région
positive, et decontracturée par une région négati
était contracturée par une région positive, et decontracturée par une
région
négative et réciproquement. Ils nomment applica
ment application isonome l'application soit d'un pôle positif sur une
région
positive, soit celle d'un pôle négatif sur une ré
positif sur une région positive, soit celle d'un pôle négatif sur une
région
négative ; ils ont appelé application hétéronome
appelé application hétéronome l'application d'un pôle positif sur une
région
négative, ou celle d'un pôle négatif sur une régi
e positif sur une région négative, ou celle d'un pôle négatif sur une
région
positive. Tous les corps, disent les auteurs, p
es actions isonomes et les courants de sens inverse, appliqués sur la
région
symétrique de celle où Us avaient d'abord produit
de même sens appliqués dans les mêmes conditions, c'est-à-dire sur la
région
symétrique, leur ont toujours servi â obtenir le
é générale est très bien conservée. Pas de douleur provoquée dans les
régions
bregmatiques, sous et sus-mammaires, spinale, ili
à peine un léger sentiment d'engourdissement passager et limité à la
région
contuse ; tandis que, suivant toute probabilité,
lade, interrogée, extériore la sensation du toucher à droite, dans la
région
homologue de celle réellement excitée du côté opp
re de l'allochirie. Rappelons ici que les sections médullaires à la
région
dorsale déterminent de l'anesthésic du côté oppos
nouveau, et ainsi de suite, autant de fois que l'exige l'étude d'une
région
. C'est ainsi que. sur la région bulbo-protubérant
ant de fois que l'exige l'étude d'une région. C'est ainsi que. sur la
région
bulbo-protubérantielle, il a pu faire 17 dissecti
tion de manière à pouvoir étudier dans fous ses deuils telle ou telle
région
difficile à examiner ou même à voir à l'état norm
ifficile à examiner ou même à voir à l'état normal. En durcissant, la
région
ainsi préparée conserve la forme qu'on lui a donn
tout applicable a la préparation des pièces d'ensemble et des grandes
régions
, comme le prouvent les 25 moulages présentés à l'
oulages présentés à l'Académie, moulages reproduisant une douzaine de
régions
différentes de l'encé-phale. M. Paulier pense q
ignement de l'anatomie cérébrale. On pourrait ainsi mouler toutes les
régions
du cerveau, disséquées couches par couches : ces
URS EFFETS SUR L'ORGANISME Par M. le Dr COLLINEAU Avant tout, par
région
polaire, que doit-on entendre? Au point de vue
e, que doit-on entendre? Au point de vue purement géographique, les
régions
polaires sont les parties de la terre situées au
lles sont sujettes à de fortes ondulations. Boréale ou australe, la
région
polaire se divise en zone glaciale, encore inexpl
ction rare, ù Allen jeune, qu'en doit être confiée la conduite. Les
régions
subpolaires comprennent, dans l'hémisphère boréal
les plus lointaines et les plus hardies vers le Nord. En certaines
régions
se rencontrent le bœuf musqué et le loup arctique
anger; mais quiconque séjourne, à quelque titre que ce soit, dans ces
régions
inhospitalières, est. par suite de l'état congest
rs, le trait caractéristique des troubles de l'intelligence, dans les
régions
polaires, consiste en un état de nervosisme aigu,
ne physique et intellectuelle scrupuleuse, l'homme peut parcourir les
régions
polaires et même y séjourner sans trop de risques
rtir du genou, la gauche à partir de la hanche, d'hyperesthésie de la
région
lombaire (douleurs (1) Plusieurs de nos lecteur
resse médicale. (N. D. L. R.) dès qu'on pèse légèrement sur cette
région
), et de diminution de l'acuité et du champ visuel
uel pouvoir ont, à cet effet, les cornes et autres objets? Dans nos
régions
, on considère comme très dangereux les gens aux y
dimensions de la partie de l'anneau qui avait été en contact avec la
région
dorsale de la main. La cicatrisation de la petite
ffit à battre en brèche cet à priori. C'est, au contraire, dans les
régions
polaires, dans les rangs des peuplades étiolées e
e la campagne, et que la gastralgie y est très fréquente. » Si, des
régions
voisines du pôle nord, on tourne les yeux sur cel
ue lorsque les médecins Avaient découvert la marque du diable, la
région
insensible a la douleur. C'étaient, hélas! nos co
symptômes de localisation fonctionnelle par attouchement des diverses
régions
du crâne, ni aucun autre phénomène physiologique,
t égales, les oreilles bien faites, mais le front est asymétrique (la
région
frontale gauche est déprimée). Les médius, annula
ne répond presque pas aux questions: elle accuse des douleurs dans la
région
précordiale, dans le ventre, dans le dos: des éto
loureux à la pression au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la
région
iliaque gauche. Pas d'anesthésie, pas de rétréc
uite au silence pendant que sa partenaire continue a fonctionner. Les
régions
automatiques prennent toutes seules la parole (
avec une grande facilité. Une émotion, une impression met en jeu les
régions
automatiques qui, abandonnéesà elle-mêmes, obéiss
les de la psychologie nouvelle. Bien peu se sont aventurés dans cette
région
, où les métaphysiciens tiennent bon. comme dans u
« Dimanche, 23 janvier 1887 (vers six heures du soir). » Dans la
région
cervicale, à droite et a gauche de la colonne ver
'une déformation du bassin et des parties molles des hanches et de la
région
fessiére. Un traitement hygiénique et gymnastique
hyperesthésique existe vers le flanc droit, exclusivement limité à la
région
ovarienne. L'ensemble des conditions générales
tète s'engage; la douleur du côté reparaît, elle s'étend bientôt â la
région
lombaire, à l'abdomen tout entier; les frictions,
de ; l'anesthésie des sclérotiques et des points douloureux dans les
régions
sus et_ sous-mammaires droites. La malade éprouve
le traitement par l'hypnotisme. J'appli- ; quai ma main gauche sur la
région
bregmatique et je produisis de la somno-lence.
lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la
région
breg-manque, qui dura jusqu'au lendemain. Le 31
ula et de la première temporale ( i ). Le rôle physiologique de ces
régions
émotives, mis tout d'abord en saillie par Guislai
s d'un rayon de lumière ! A l'état normal, en effet,ce sont ces mêmes
régions
émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre v
e âge, notre puissance sur nous-mêmes, à cette aveugle domination des
régions
émotives de notre for intérieur, qui régnent en s
t qu'une sorte d'anesthésie partielle, nous portons en nous-mêmes des
régions
excessivement excitables et que nous avons tous n
s,' par J. Luys. ques nous sommes entraînés malgré nous, et les
régions
émotives de notre être, vivement sollicitées, s'a
lypémanies anxieuses, l'état d exaltation fonctionnelle de ces mêmes
régions
émotives est porté à un état d'hyperexcitabilité
motivité que nous allons exposer, combien les forces automatiques des
régions
émotives de notre être sont susceptibles d'être i
ouvons en un mot, à volonté, développer chez l'individu hvpnotise les
régions
diverses de son émotivité, faire vibrer alternati
s les muscles et les troncs nerveux qui en sont le siège, ce sont les
régions
émotisées dont je vous parlais tout à l'heure qui
ériphérique des nerfs de la vision, des émotions centripètes dans les
régions
de son for intérieur. Vient-on maintenant à fai
t à l'unisson et suit l'émotion sollicitée périphérique-ment dans les
régions
centrales. Le regard devient menaçant, la figure
le; ils ne prennent pas tout cela au sérieux, et chez eux ce sont les
régions
purement intellectuelles de leur cerveau qui sont
intellectuelles de leur cerveau qui sont en activité, tandis que les
régions
émotives de leur être et de leur personnalité con
brale de l'enfant diffère de celle de l'homme adulte, chez lequel les
régions
émotives sont toujours associées à la mise en act
Les programmes d'études scolaires, en effet, ne s'adressent qu'à des
régions
isolées de leur cerveau, et l'esprit du jeune hom
spiritueux qui ont une action plus particulièrement localisée sur les
régions
intellectuelles. I. — Dans la première série de
la joie et un mouvement général d'expansion. En même temps que les
régions
émotives sont mises en action dans les centres ne
l'action à distance de certaines substances, on voit incontinent les
régions
thyroïdienne et sous-maxillaire se gonfler inopin
e est placé à gauche ou bien à droite, et suivant qu'on interroge des
régions
différentes des plexus nerveux périphériques. A
d'action de certaines substances qui agissent principalement sur les
régions
intellectuelles, il arrive motu pro— prio à la ph
ue l'hyperexcitabilité neuro-musculaire a repris son énergie dans les
régions
antibrachiales. Le réveil, lorsque les sujets s
s d'un ordre spécial, aptes à modérer son action, à exciter certaines
régions
torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si pré
rate, concernant la femme d'un jardinier guérie par le massage sur la
région
abdominale enduite d'une couche d'huile. La Ren
eux mains, ou bien encore en roulant des deux mains les muscles d'une
région
. Le tapotement se fait de deux manières : 1° par
harcot et étudié par Parcs, qui consiste dans la compression de cette
région
du cou désignée sous le nom de zone spasmo-phréna
ictifs ; ne pouvez-vous, par exemple, en touchant, en influençant une
région
de l'écorce, de la moelle ou du bulbe, créer de m
négatif soit de la pile, soit de l'aimant. Ils ont remarqué qu'une
région
positive était contracturée par une région positi
Ils ont remarqué qu'une région positive était contracturée par une
région
positive, et decontracturée par une région négati
était contracturée par une région positive, et decontracturée par une
région
négative et réciproquement. Ils nomment applica
ment application isonome l'application soit d'un pôle positif sur une
région
positive, soit celle d'un pôle négatif sur une ré
positif sur une région positive, soit celle d'un pôle négatif sur une
région
négative ; ils ont appelé application hétéronome
appelé application hétéronome l'application d'un pôle positif sur une
région
négative, ou celle d'un pôle négatif sur une régi
e positif sur une région négative, ou celle d'un pôle négatif sur une
région
positive. Tous les corps, disent les auteurs, p
es actions isonomes et les courants de sens inverse, appliqués sur la
région
symétrique de celle où Us avaient d'abord produit
de même sens appliqués dans les mêmes conditions, c'est-à-dire sur la
région
symétrique, leur ont toujours servi â obtenir le
é générale est très bien conservée. Pas de douleur provoquée dans les
régions
bregmatiques, sous et sus-mammaires, spinale, ili
à peine un léger sentiment d'engourdissement passager et limité à la
région
contuse ; tandis que, suivant toute probabilité,
lade, interrogée, extériore la sensation du toucher à droite, dans la
région
homologue de celle réellement excitée du côté opp
re de l'allochirie. Rappelons ici que les sections médullaires à la
région
dorsale déterminent de l'anesthésic du côté oppos
nouveau, et ainsi de suite, autant de fois que l'exige l'étude d'une
région
. C'est ainsi que. sur la région bulbo-protubérant
ant de fois que l'exige l'étude d'une région. C'est ainsi que. sur la
région
bulbo-protubérantielle, il a pu faire 17 dissecti
tion de manière à pouvoir étudier dans fous ses deuils telle ou telle
région
difficile à examiner ou même à voir à l'état norm
ifficile à examiner ou même à voir à l'état normal. En durcissant, la
région
ainsi préparée conserve la forme qu'on lui a donn
tout applicable a la préparation des pièces d'ensemble et des grandes
régions
, comme le prouvent les 25 moulages présentés à l'
oulages présentés à l'Académie, moulages reproduisant une douzaine de
régions
différentes de l'encé-phale. M. Paulier pense q
ignement de l'anatomie cérébrale. On pourrait ainsi mouler toutes les
régions
du cerveau, disséquées couches par couches : ces
URS EFFETS SUR L'ORGANISME Par M. le Dr COLLINEAU Avant tout, par
région
polaire, que doit-on entendre? Au point de vue
e, que doit-on entendre? Au point de vue purement géographique, les
régions
polaires sont les parties de la terre situées au
lles sont sujettes à de fortes ondulations. Boréale ou australe, la
région
polaire se divise en zone glaciale, encore inexpl
ction rare, ù Allen jeune, qu'en doit être confiée la conduite. Les
régions
subpolaires comprennent, dans l'hémisphère boréal
les plus lointaines et les plus hardies vers le Nord. En certaines
régions
se rencontrent le bœuf musqué et le loup arctique
anger; mais quiconque séjourne, à quelque titre que ce soit, dans ces
régions
inhospitalières, est. par suite de l'état congest
rs, le trait caractéristique des troubles de l'intelligence, dans les
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polaires, consiste en un état de nervosisme aigu,
ne physique et intellectuelle scrupuleuse, l'homme peut parcourir les
régions
polaires et même y séjourner sans trop de risques
rtir du genou, la gauche à partir de la hanche, d'hyperesthésie de la
région
lombaire (douleurs (1) Plusieurs de nos lecteur
resse médicale. (N. D. L. R.) dès qu'on pèse légèrement sur cette
région
), et de diminution de l'acuité et du champ visuel
uel pouvoir ont, à cet effet, les cornes et autres objets? Dans nos
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, on considère comme très dangereux les gens aux y
dimensions de la partie de l'anneau qui avait été en contact avec la
région
dorsale de la main. La cicatrisation de la petite
ffit à battre en brèche cet à priori. C'est, au contraire, dans les
régions
polaires, dans les rangs des peuplades étiolées e
e la campagne, et que la gastralgie y est très fréquente. » Si, des
régions
voisines du pôle nord, on tourne les yeux sur cel
ue lorsque les médecins Avaient découvert la marque du diable, la
région
insensible a la douleur. C'étaient, hélas! nos co
symptômes de localisation fonctionnelle par attouchement des diverses
régions
du crâne, ni aucun autre phénomène physiologique,
t égales, les oreilles bien faites, mais le front est asymétrique (la
région
frontale gauche est déprimée). Les médius, annula
ne répond presque pas aux questions: elle accuse des douleurs dans la
région
précordiale, dans le ventre, dans le dos: des éto
loureux à la pression au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la
région
iliaque gauche. Pas d'anesthésie, pas de rétréc
uite au silence pendant que sa partenaire continue a fonctionner. Les
régions
automatiques prennent toutes seules la parole (
avec une grande facilité. Une émotion, une impression met en jeu les
régions
automatiques qui, abandonnéesà elle-mêmes, obéiss
les de la psychologie nouvelle. Bien peu se sont aventurés dans cette
région
, où les métaphysiciens tiennent bon. comme dans u
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