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1 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
exactement et représentent la continuité de la trame des tissus de la région . Ce travail, qui n'a pas été fait jusqu'à ce jour
rontales; on le distingue moins aisément dans les circonvolutions des régions moyennes; mais, dans la région occipitale, surtou
aisément dans les circonvolutions des régions moyennes; mais, dans la région occipitale, surtout sur les circonvolutions de la
vers la substance médullaire des circonvolutions. Les cellules des régions profondes, les grandes cellules, ont une forme ne
dans toutes les circonvolutions de la sur-face du cerveau. Certaines régions présentent des différences très notables, qui mé-
ibre nerveuse. Ces cellules géantes sont des cellules motrices; les régions dans lesquelles on les rencontre sont indiquées p
deux premières circonvolutions sphénoïdales, et les plis de passage, régions considérées comme le siège de la sensibilité, on
es sont en plus faible proportion que dans la substance corticale des régions antérieures du cerveau, tandis qu'on voit prédomi
La substance grise forme, dans la masse médullaire du cerveau vers la région médiane et centrale de la face interne de chaque
vues d'un noyau et de prolon-gements. Il occupe toute l'étendue des régions antérieure et externe de la couche optique, dont
eure s'effile progressivement en arrière en forme de queue jusqu'à la région posté-rieure de la couche optique, ce qui a fait
difficile d'affirmer qu'elles atteignent cette couche. Les diverses régions de la substance grise périphérique sont en rappor
ort immédiat l'une avec l'autre dans chaque hémisphère et reliées aux régions correspondantes de l'hémisphère opposé ; elles so
ses curvilignes à concavité dirigée en dehors, embrassant la base des régions qu'elles relient. Ces anses sont généralement s
existe plusieurs autres groupes de fibres arciformes, qui relient des régions éloignées dans le même hémisphère. A la région
es, qui relient des régions éloignées dans le même hémisphère. A la région antérieure d'un hémisphère cérébral, on trouve un
viligne, le faisceau arciforme frontal (Pl. XII, 1), qui se porte des régions inférieures et antérieures de ce lobe aux régio
qui se porte des régions inférieures et antérieures de ce lobe aux régions pariétales supérieures; à la région postérieure,
et antérieures de ce lobe aux régions pariétales supérieures; à la région postérieure, un autre faisceau, le faisceau arcif
l vers le lobe pariétal supérieur ; un troisième faisceau, situé à la région médiane, le faisceau longitudinal supérieur (Pl.
on médiane, le faisceau longitudinal supérieur (Pl. VI, 1), réunit la région infé-rieure du lobe frontal au lobule paracentral
(Pl. XII, 4), pénètre dans le lobe sphénoïdal, et s'épanouit dans la région arrondie de l'extrémité antérieure, en reliant le
des points de la substance corticale qu'elles conjuguent. Celles des régions situées au-dessus de la scissure de Sylvius, oper
posent la convexité de leur courbe à celle des fibres qui relient les régions placées au-dessus de cette scissure. Les fibres d
lient les régions placées au-dessus de cette scissure. Les fibres des régions anté-rieures décrivent une courbe à concavité ant
anté-rieures décrivent une courbe à concavité antérieure ; celles des régions postérieures présentent une direction inverse. Le
ssurantes conjugue les deux lobes sphé-noïdaux. Les fibres issues des régions antérieures de ces lobes se portent vers le haut
ergent immédiatement en arrière et en dedans; celles qui viennent des régions supérieures se dirigent obliquement de haut en ba
vergente d'arrière en avant et en dedans. Les fibres convergentes des régions infé-rieures ont une direction curviligne de bas
il appelle couronne rayonnante l'en-semble des faisceaux irradiés des régions moyennes ; le groupe des fibres issues des région
ceaux irradiés des régions moyennes ; le groupe des fibres issues des régions postérieures décrit par Kôlliker est quelquefois
om de radiations optiques de Gratiolet. Les fibres convergentes des régions antérieures et inférieures se dirigent vers le co
stratifiés (PL VIII, 9; XXVI, 3; LU, 4). Les fibres convergentes des régions antérieures et supérieures se portent vers le bor
e fascicules spiroïdes (Pl. XI, XLIV, 3). Les fibres convergentes des régions moyennes supérieures et internes se juxtaposent e
XVI, 4; XVII; XV11I, 6). Les fibres convergentes qui proviennent des régions inférieures se dirigent en haut : les unes vers l
upes de fibres de la capsule interne (PL IV, 7), et pénètrent dans la région antérieure et supérieure de la couche optique. Me
dedans à peu près transversalement ; elle est désignée sous le nom de région lenticulo-striée. L'autre portion de ce faisceau
faisceau se dirige d'arrière en avant et en dedans; elle est appelée région lenticulo-optique. M. Charcot a donné le nom de g
om de genou de la capsule interne au point d'intersection de ces deux régions (Pl. XX, 8, 9). Ces dénominations ont une valeu
l'ordre de fibres qui entrent dans la constitution de chacune de ces régions (1). On verra plus loin, en effet, qu'une partie
sule interne, avec un mode spécial de distribution relativement à ces régions . Les divers groupes de fibres convergentes, iss
se en plusieurs segments (Pl. XLIÏ, 2). Les fibres convergentes des régions frontales moyennes et de Pinsula se dirigent dire
lement énucléée sur des pièces durcies. Les fibres convergentes des régions postérieures se détachent de tous les points de l
ction successive de fibres nouvelles, à mesure qu'il se rapproche des régions postérieures de la couche optique. Arrivées à c
nstitution et de groupement des faisceaux de fibres conver-gentes des régions postérieures, il semble que les fibres convergent
s des régions postérieures, il semble que les fibres convergentes des régions internes seulement du lobe occipital vont s'amort
t s'amortir dans le pulvinar (Pl. XX, 9; XXII, 8), que les fibres des régions externes se portent dans la profondeur de la couc
en ; que les fibres externes et inférieures de ce faisceau gagnent la région externe du pédoncule cérébral. Le système de fi
ui suit un trajet différent de ce plan général. Ce faisceau relie aux régions centrales la masse de substance corticale des cir
absolument pareilles à celles de la couche optique. Au niveau de la région antérieure de la couche optique, les faisceaux cy
Le cervelet est la portion de l'encéphale qui occupe, au-dessous des régions postérieures du cerveau, la loge constituée par l
te une disposition arborescente, ramifiée dichotomiquement jusqu'à la région centrale de chaque circon-volution cérébelleuse,
folioles voisins d'un même lobe, les autres unissent entre elles les régions homologues des deux lobes, un troisième groupe me
des groupes de fibres, qui se détachent de la substance corticale des régions supérieures au grand sillon circonférenciel, pass
dal et se portent vers le lobe médian. Les fibres qui proviennent des régions inférieures au grand sillon se dirigent Gavoy.
s sortent du lobe médian et se répandent dans le lobe opposé vers les régions homologues à celles dont elles dérivent (Pl. XXVI
le lieu d'arrivée au corps rhomboïdal. Les fibres qui proviennent des régions supérieures se dirigent en bas, celles des région
ui proviennent des régions supérieures se dirigent en bas, celles des régions inférieures se portent en haut, celles des région
en bas, celles des régions inférieures se portent en haut, celles des régions latérales vont vers le centre ; toutes ces fibres
dans leur marche et prennent un trajet curviligne pour atteindre les régions centrales qui leur sont propres (Pl. XXXIV, 9).
éments nerveux groupés depuis la base du ventricule moyen, jusqu'à la région lombaire. La portion intra-crânienne constitue
ubstance blanche. Ces éléments nerveux présentent dans les diverses régions du névraxe un aspect-particulier, une disposition
st disposée à l'intérieur du névraxe suivant l'axe commun, de-puis la région antérieure du cerveau jusqu'à la région terminale
vant l'axe commun, de-puis la région antérieure du cerveau jusqu'à la région terminale de la moelle épinière. Dans la moelle
substance grise, que ces cordons entourent comme une coque, occupe la région centrale de la moelle et se prolonge, dans toute
près prismatiques, irré- gulièrement développées dans les diverses régions de leur parcours et juxtaposées par leur sommet.
n branches ramifiées (Microphotographie, Pl. C, fig. II et III). La région intermédiaire aux cornes antérieures et postérieu
eures et postérieures renferme un groupe de cellules, réunies vers la région interne et médiane, qu'on désigne sous le nom de
la corne postérieure est fortement rejetée en dehors, atteint même la région superficielle des parties latérales du bulbe où e
t externe. Ces deux petits amas de substance grise sont situés à la région postéro-inférieure des couches optiques sur les b
aux. La substance grise du névraxe forme par conséquent, depuis les régions les plus inférieures de la moelle jusqu'aux régio
quent, depuis les régions les plus inférieures de la moelle jusqu'aux régions les plus antérieures du cerveau, une série en par
ctement en connexion le corps strié et le noyau lenticulaire avec les régions antérieures de la moelle épinière (Pl. XXVI, 9; X
en haut et en dehors, atteint le centre médullaire et va aboutir aux régions latérales et postérieures du lobe frontal. Ce fai
de la couche optique, pénètrent à travers la substance grise de cette région et vont se distribuer aux cellules nerveuses des
u s'incline en dehors, se recourbe en arrière et en bas, et gagne les régions postérieures et inférieures du lobe occipital (Pl
la couche optique, et s'épanouit dans les cellules nerveuses de cette région . Dans ce trajet ascendant, le faisceau longitud
supérieurs établissent par conséquent une connexion intime entre les régions motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le
niculus cuneatus et gracilis), qui relient les cellules nerveuses des régions postérieures de la moelle avec le cervelet (Pl. X
ées dans la névroglie. b. Vaisseaux capillaires nombreux dans cette région . c. Faisceau médullaire central de la circonvol
e G. ¦* Fig. I. — Substance grise centrale de la moelle épinière ( région dorsale). a. Corne postérieure. b. Canal cent
de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de la région inférieure des olives bulbaires). a. Canal cent
de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de la région moyenne de F olive bulbaire), a. Canal central du
de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe au niveau de la région supérieure de Volive bulbaire). a. Raphé médian
tissu cellulaire lamelleux, le crâne et les méninges. La peau de la région occipito-frontale, ou cuir chevelu, est très dens
Chacun des hémisphères repose en avant sur la voûte orbitaire; leur région moyenne est logée dans la fosse zygomato-maxillai
leur région moyenne est logée dans la fosse zygomato-maxillaire ; la région postérieure appuie sur latente du cervelet, tendu
, la substance grise centrale du bulbe (18) et un faisceau blanc à la région pos-térieure, les pyramides postérieures (19).
sur un même cerveau frais, du plan médian antéro-postérieur vers la région externe de l'hémisphère.) La substance grise co
ule quadrilatère que limite la scissure perpendiculaire interne. A la région postérieure est le lobule triangulaire ou cunéifo
e, dû à la dissociation des faisceaux des fibres commissurantes. A la région postérieure, ces fibres sont unies avec la bandel
ncule cérébral (pes, crusta) ou Xétage inférieur, par opposition à la région située en arrière du locus niger, qui est appelée
an de Vicq-d'Azyr. Les scissures délimitent parfaitement les diverses régions de la face interne de l'hémisphère décrites dans
t le mode de péné-tration du faisceau (7) des fibres convergentes des régions inférieures et internes du cerveau. Au-dessous es
les cérébelleux moyens et par les fibres verticales (22) venant de la région supérieure et antérieure du bulbe rachidien. En a
elle montre en outre les sillons qui forment les limites des diverses régions . La première circonvolution temporo-occipitale, l
irconvolution temporo-occipitale, lobulus lingualis, acquiè-rent à la région occipitale un plus grand développement ; leur ext
n aperçoit la queue de ce noyau se diriger en arrière, en enlaçant la région supérieure et externe de la couche optique. Dans
térieure (5) et reçoit en avant et en bas les fibres convergentes des régions inférieures et antérieures (6-6'), qui se relèven
es presque en totalité, et les scissures mises à découvert dans leurs régions profondes. La coupe des fibres commissurantes por
e supérieure du corps strié, puis de la couche optique, passe dans la région in-férieure en se dirigeant en bas et en dehors,
rme de queue, d'où le nom de noyau caudé. Les fibres convergentes des régions anté-rieures et inférieures (9) traversent sa mas
billonné, constitué par les divers groupes de fibres convergentes des régions supérieures, antérieures et moyennes (capsule int
int sa limite externe; la corne occipitale s'étend moins loin vers la région postérieure; à son extrémité antérieure est la co
ance grise corticale des circonvolutions. Les fibres convergentes des régions antérieures, supérieures et postérieures ont une
le nom de couronne rayonnante de Reil. 2. — Fibres convergentes des régions antérieures et inférieures redressées, concourant
Ensemble de la capsule interne, formé par les fibres convergentes des régions antérieures, les fibres convergentes des régions
res convergentes des régions antérieures, les fibres convergentes des régions supérieures et moyennes, et, en arrière, parles r
segment moyen et le segment interne (7) appelés noyaux jaunes. 8. — Régions postérieure et externe de la couche optique (pulv
née sous le nom de couronne rayonnante. Cette planche représente la région postérieure et la région moyenne de la capsule in
ne rayonnante. Cette planche représente la région postérieure et la région moyenne de la capsule interne. Les planches VIH,
e. Les planches VIH, IX, X ont montré que les fibres convergentes des régions antérieure et inférieure affectent une dispositio
elà de la face externe du putamen. Les corps genouillés occupent la région postérieure de la masse ganglionnaire centrale. L
e, qui semble au premier abord recevoir les fibres convergentes de la région postérieure, comme on l'a dit à tort, est plus vo
. XII. — Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire. I. — Substance
'ensemble des fibres convergentes et commissurantes. Les fibres de la région antérieure (2) se portent directement en bas, cel
de la région antérieure (2) se portent directement en bas, celles des régions moyennes, en bas et en dedans; les fibres des rég
bas, celles des régions moyennes, en bas et en dedans; les fibres des régions postérieures (4) suivent une direction antéro-pos
rt de l'extrémité postérieure du lobe occipital et s'étend jusqu'à la région antérieure du lobe sphénoïdal. Il passe au-dessou
des traînées grises dans la substance médullaire. Elles sont dues aux régions profondes de scissures ou de sillons, atteintes p
itaire par le faisceau arciforme frontal; les fibres convergentes des régions supérieures et moyennes plongent verticalement ve
erticalement vers le noyau lenticulaire ; les fibres convergentes des régions postérieures se dirigent directement en avant; le
plan de la section horizontale porte sur un point plus éloigné de la région supérieure des hémisphères. Ces diverses sections
ntes de chaque lobe s'isolent des fibres convergentes, passent sur la région médiane inter-hémisphérique, pour atteindre dans
n médiane inter-hémisphérique, pour atteindre dans le lobe opposé les régions homologues à celles d'où elles dérivent. 3. — C
— Corps calleux constitué par l'entrelacement et la condensation à la région médiane des fibres commissurantes des deux hémisp
es commissurantes des deux hémisphères. Les fibres commissurantes des régions supérieures sont sectionnées au point où elles to
ctus longitudinaux ou nerfs de Lancisi. Les fibres commissurantes des régions antérieures et des régions posté-rieures de chaqu
de Lancisi. Les fibres commissurantes des régions antérieures et des régions posté-rieures de chaque hémisphère se groupent en
de corne sphénoïdale, ou tapetum. La substance grise corticale des régions postérieures et internes est parcourue par un lis
le. il XV. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la région moyenne du corps calleux. 1. — Fibres commiss
a région moyenne du corps calleux. 1. — Fibres commissurantes des régions antérieures formant la partie réfléchie du corps
vent une anse à concavité antérieure. 2. — Fibrescommissurantesd.es régions moyennes se séparant des fibres conver-gentes sur
ur le bord externe du corps calleux. 3. — Fibres commissurantes des régions postérieures formant le bourrelet du corps calleu
orps calleux. Leur trajet est curviligne, à concavité dirigée vers la région postérieure. 4. — Ensemble des fibres convergen
pas à proprement parler une cavité. La section ayant enlevé dans la région antérieure et externe toute l'épaisseur du corps
XVI. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région moyenne du noyau caudé. 1. — Partie antérieur
réfléchie du corps calleux formée par les fibres commis-surantes des régions antérieures des hémisphères. 2. — Partie postér
bourrelet du corps calleux formée par les fibres com-missurantes des régions postérieures des hémisphères. 3. — Portion cavi
a voûte, constituée par l'entrelacement des fibres commissurantes des régions moyennes, recouvrant l'intervalle compris entre l
yaux opto-striés des deux hémisphères. 4. — Fibres convergentes des régions moyennes du cerveau pénétrant dans la substance g
9. — Plexus choroïde. 10. — Faisceau de fibres commissurantes des régions postérieures, appartenante la corne occipitale
ure, constitué par le groupement des fibres convergentes de ces mêmes régions . 11. — Liséré blanc de la substance grise corti
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substan
artent de la base des circonvolutions. Les fibres commis-surantes des régions antérieures forment la portion réfléchie du corps
ntérieures forment la portion réfléchie du corps calleux ; celles des régions postérieures occupent la portion appelée bourrele
rémité postérieure ou caudale et la tête. Les fibres convergentes des régions postérieures sont groupées en un gros faisceau qu
VIII. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couche optique. 1. — Portion
e ou genou du corps calleux formée par les fibres commissu-rantes des régions antérieures. 2. — Bourrelet ou splenium du corp
plenium du corps calleux constitué par les fibres commissu-rantes des régions postérieures. 3. — Fibres convergentes des régi
missu-rantes des régions postérieures. 3. — Fibres convergentes des régions antérieures. 4. — Point de dissociation des fib
du noyau lenticulaire du corps strié. 7. — Fibres convergentes des régions postérieures groupées en un faisceau conique, se
ns postérieures groupées en un faisceau conique, se dirigeant vers la région postérieure de la couche optique. 8. — Substanc
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La multipl
s les cellules nerveuses qu'elle renferme, se dirigent toutes vers la région centrale ; les fibres commissurantes passent sur
s commissurantes passent sur la ligne médiane pour se rendre dans les régions homologues du côté opposé, les fibres convergente
tique (6, Pl. XVIII), l'autre vertical et transverse qui aboutit à la région antérieure et externe de la couche optique (6, Pl
Le faisceau des fibres convergentes postérieures vient abou-tir à la région postérieure de la couche optique, en passant entr
té postérieure du noyau lenticulaire ; il correspond en ce point à la région postérieure de la capsule interne. Entre la sub
XX. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure du noyau lenticulaire. 1. — Portio
n réfléchie du corps calleux formée par les fibres commissurantes des régions antérieures. 2. — Fibres commissurantes des rég
missurantes des régions antérieures. 2. — Fibres commissurantes des régions postérieures ou bourrelet du corps calleux. En av
nétrer ou contracter aucune adhérence avec elle, et se dirige vers la région postérieure de la couche optique; il porte le nom
ibres blanches, intermédiaire aux deux substances grises, est appelée région lenticulo-thalamique de la capsule interne. La po
la capsule interne. La portion antérieure est désignée sous le nom de région lenticulo-striée de la capsule interne. La région
gnée sous le nom de région lenticulo-striée de la capsule interne. La région postérieure de la capsule interne est occupée par
le gros faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des régions postérieures (9), et le fascicule des fibres conv
angle postérieur du noyau lenticulaire; le point d'intersection de la région lenticulo-optique avec la région lenticulo-striée
laire; le point d'intersection de la région lenticulo-optique avec la région lenticulo-striée est désigné par M. Charcot sous
u vermis superior montrant la disposition des deux substances dans la région supérieure du cervelet. XXI. — Encéphale dont o
ne section antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance
tre les bords internes des lobes occipitaux apparaît la section de la région supérieure et médiane du cervelet. Les fibres méd
ale des fibres convergentes sur le bord externe de la couche optique ( Région moyenne de la capsule interne). 8. — Faisceau f
. 8. — Faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des régions postérieures. Ce faisceau suit la direction de l'
ipital, contourne la cavité sphénoïdale et se jette en partie dans la région postérieure de la couche optique. Son fascicule a
imensions sont beaucoup moins grandes que sur la planche XIX. 15. — Région inférieure et interne du centre moyen de la couch
i forment la cavité de la cloison transparente. 24. — Section de la région supérieure et médiane du cervelet. Les fibres méd
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substan
dans les noyaux opto-striés. Le faisceau des fibres convergentes des régions pos-térieures se jette en partie dans la région p
res convergentes des régions pos-térieures se jette en partie dans la région postérieure de la couche optique; le fascicule an
roi du ventri-cule moyen. 11 semble par conséquent que les fibres des régions internes seulement du lobe occipital soient en co
ions internes seulement du lobe occipital soient en connexion avec la région postérieure de la couche optique. Le noyau lent
moins grande de fibres nerveuses qui se distribuent à chacune de ces régions du noyau lenticulaire. Ils sont séparés l'un de l
uis toutes ses dimensions; il reçoit des filaments très déliés par sa région externe, et par son bord interne un petit fascicu
ns. Un faisceau blanc relie la commissure blanche postérieure avec la région postérieure des couches optiques ou pulvinar. G
e sous le nom de corps godronné ou fascia dentata. La section de la région supérieure et médiane du cervelet représente la d
'réfléchie du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des régions antérieures. 2. — Point de dissociation des fib
rsale des fibres convergentes au bord externe de la couche optique. — Région lenticulo-optique de la capsule interne. 6. — F
. 6. — Faisceau formé par le contingent des fibres convergentes des régions posté-rieures. 11 s'étend, en arrière du centre m
es blanches, formées par l'épanouissement des fibres convergentes des régions antérieures et supérieures. 11. — Dernier vesti
de la couche optique sous l'aspect de fibrilles extrêmement fines. La région postérieure de la couche optique (13) est parcour
ant au faisceau convergent postérieur, issues des circonvolutions des régions internes du lobe occipital. 14. — En dedans du
et la cavité de la cloison transpa-rente (21). 22. — Section de la région supérieure des lobes latéraux du cervelet. Les fi
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur\ faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance
la substance grise de Y espace perforé antérieur, correspondant à la région inférieure du ventricule de la cloison ; en arriè
ntérieure limite cette substance grise. Les fibres convergentes des régions antérieures et des régions inférieures forment qu
tance grise. Les fibres convergentes des régions antérieures et des régions inférieures forment quelques fascicules isolés, s
tement la substance grise du corps strié. Les fibres convergentes des régions postérieures semblent se continuer avec les fais-
s convergentes qui formait sur la planche précédente (5, Pl. XXIV) la région lenticulo-optique de la capsule interne, est déta
ur immersion dans la substance grise. Le corps strié occupe seul la région centrale des hémisphères. Sa tête plonge dans la
es (corps calleux). Quelques fibres convergentes abordent encore à sa région antéro-postérieure ; il reçoit principalement les
la commissure blanche antérieure. 1. — Fibres commissurantes des régions antérieures et inférieures. 2. — Point de disso
fibres convergentes et commissurantes. 3. — Fibres convergentes des régions antérieures et inférieures se dirigeant vers la s
ubstance grise du corps strié. Quelques fascicules isolés occupent la région lenti-culo-striée. Le fascicule qui forme la caps
ne du noyau lenticulaire. 5. — Faisceau des fibres convergentes des régions postérieures. Ce faisceau croise la bandelette op
le. 11. — Section transversale des fibres spinales au-dessous de la région inférieure de la couche optique. 12. — Corpus L
rdant). 23. — Cavité du quatrième ventricule. 24. — Section de la région moyenne du cervelet. Les fibres médullaires conve
horizontale antéro-postérieure d'un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance
Substance grise corticale circonscrivant la substance médullaire. La région posté-rieure présente encore le ruban de Vicq-d'A
us apparent sur les coupes suivantes. Les fibres commissurantes des régions antérieures et inférieures se portent en arrière
xterne du noyau lenticulaire. Le faisceau des fibres convergentes des régions postérieures est sectionné sur le bord externe de
de la commissure blanche antérieure. 1. — Fibres commissurantes des régions antérieures et inférieures. 2. — Point de disso
fibres commissurantes et convergentes. 3. — Fibres convergentes des régions antérieures et inférieures envoyant dans la subst
lobe sphénoïdal, sectionné au niveau de la bandelette optique. 6. — Région inférieure du noyau intra-ventriculaire. 7. — R
ptique. 6. — Région inférieure du noyau intra-ventriculaire. 7. — Région inférieure du noyau extra-ventriculaire. 8. — R
ulaire. 7. — Région inférieure du noyau extra-ventriculaire. 8. — Région inférieure des noyaux jaunes. Le segment externe
pparaissent deux saillies, les eminentia teres. 21. — Section de la région moyenne du cervelet. 22. — Section du corps rho
horizontale antéro-postérieure d'un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance
éduites à un ou deux plis seu-lement. Les fibres commissurantes des régions antérieure et inférieure se portent en arrière et
l'homme dans la portion arrondie du lobe sphénoïdal; il reçoit par sa région antérieure les fibres radiculaires du nerf olfact
n arrière est l'ouverture du quatrième ventricule. La section de la région moyenne du cervelet montre la disposition central
la. 3. — Fibres convergentes du lobule orbitaire se portant vers la région de la cap-sule interne. Cette direction est nette
des fibres convergentes et commissurantes du lobe sphénoïdal. 5. — Région inférieure du noyau intra-ventriculaire du corps
ès fines, qui s'entre-croisent sur la ligne médiane, appartenant à la région antérieure des pédoncules cérébraux. 18. — Subs
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substan
let montre la disposition convergente des fibres mé-dullaires vers la région qu'occupait le corps rhomboïdal qui a été détaché
tion horizontale de un millimètre dépaisseur, passant au niveau de la région supérieure de la protubérance annulaire, puis cet
(fibres commissurantes) ; un second faisceau, médian, croise, sur la région centrale du chiasma, son homologue de la bandelet
rrelet vers le genou du corps calleux.) Les lobes occipitaux et les régions postérieures du cervelet sont détachés par la sec
rantes et convergentes qui partent de la base des circonvolutions des régions supé-rieures, moyennes et inférieures. Ces divers
ennes et inférieures. Ces divers ordres de fibres se dirigent vers la région centrale, puis se dissocient. Les fibres converge
e portent dans la substance grise des noyaux opto-striés ; celles des régions postérieures ont été sectionnées perpendicu-laire
t occipital des ventricules latéraux. Les fibres commissurantes des régions supérieures décrivent un trajet curviligne à conc
périeures décrivent un trajet curviligne à concavité tournée vers les régions supérieures ; les fibres commissurantes des régio
tournée vers les régions supérieures ; les fibres commissurantes des régions inférieures forment une courbe à concavité tourné
une courbe à concavité tournée en bas. Les fibres commissurantes des régions moyennes ont un trajet à peu près direct. La se
ou splénium du corps calleux formé par les fibres commissurantes des régions supérieures moyennes et postérieures. En haut, ce
tue un raphé sur la ligne médiane (2). 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et postérieures (fibres de Kólliker)
s et postérieures (fibres de Kólliker) 4. — Fibres convergentes des régions moyennes et inférieures. 5. — Section perpendic
laire du faisceau formé par le groupement de fibres con-vergentes des régions postérieures (voir ce faisceau sur la série de pl
pédoncules cérébelleux supérieurs (11). La section ayant enlevé la région médiane et inférieure du cervelet, le quatrième v
manifeste, nommé eminentia ter es (15) ou fasciculus ter es, vers la région moyenne, formé par le genou du nerf facial. En de
es cordons postérieures de la moelle vers la portion inférieure de la région cervicale. 18. — Artère vertébrale du côté droi
ction verticale transverse de un millimètre d1 épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
cune la direction qui leur est propre. Les fibres commissu-rantes des régions supérieures et postérieures décrivent un trajet c
médiane, le bourrelet du corps calleux. Les fibres commissurantes des régions moyennes et inférieures sont sectionnées sur les
, on aperçoit la section des bandelettes géminées. Une partie de la région postérieure de la couche optique est enlevée; cet
le mode de pénétration dans sa substance des fibres convergentes des régions postérieures. En avant et en dehors de la couche
ostérieure du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des régions supérieures, moyennes et postérieures. 2. — Ens
fibres convergentes constituant le centre médullaire. Les fibres des régions interne, supérieure, moyenne et inférieure prenne
pilier postérieur du trigone dans le diverticulum sphénoïdal. 6. — Région postérieure de la couche optique. Les fibres conv
Région postérieure de la couche optique. Les fibres convergentes des régions postérieures de l'hémisphère plongent sous l'aspe
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
tion des circonvolutions de l'insula. Les fibres commissurantes des régions postérieures supérieures forment la portion posté
rps calleux. L'ensemble des fibres convergentes et commissurantes des régions postérieures à celle de la coupe, sont sectionnée
, PL XXXVI). Le centre postérieur occupe la partie interne de cette région de la couche optique; les fibres convergentes pén
ersale-ment d'un côté à l'autre et semble émettre un faisceau dans la région inférieure des couches optiques. Au-dessus de cet
n moyenne du corps calleux, formée par les fibres comrnissurantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Les fibres conver
régions supérieures et moyennes. 2. — Les fibres convergentes de la région supérieure et celles de la région moyenne (3) se
2. — Les fibres convergentes de la région supérieure et celles de la région moyenne (3) se dirigent vers la couche optique ;
uxtaposent aux fibres précédentes et constituent par leur ensemble la région postérieure de la capsule interne. Ces divers sys
téralement et en haut à la rencontre des fibres convergentes, vers la région postérieure de la capsule interne. 23. —Faiscea
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
l'insula, dans le centre médullaire. Les fibres commissurantes des régions supérieures forment la voûte du corps calleux; le
ieures forment la voûte du corps calleux; les fibres convergentes des régions supérieures passent entre le noyau caudé et le no
yau lenticulaire (8 et 9 ; Pl. XXXVIII) ; les fibres convergentes des régions moyennes se portent en dedans et laissent apercev
cheval. Par conséquent, sur une section transversale, les fibres des régions latérales ne sont pas en continuité avec celle de
bres des régions latérales ne sont pas en continuité avec celle de la région médiane, ainsi qu'on pourrait le supposer au prem
du centre médullaire de chacun des lobes céré-belleux, proviennent de régions déjà détachées par les coupes précédentes. XL.
ou voûte du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
issurantes et des fibres convergentes. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et des régions moyennes. 4. — Fibre
nvergentes. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et des régions moyennes. 4. — Fibres convergentes des lobes sp
tes des lobes sphénoïdaux. Ces fibres forment avec les précédentes la région lenticulo-optique delà capsule interne. 5. —Sub
r dans la substance grise de la couche optique. 24. — Section de la région antérieure du cervelet. Le centre médullaire est
est formé parles fibres des pédoncules cérébelleux moyens, issues des régions détachées par les coupes précédentes. Ces fibres
ection verticale transverse de un millimètre $ épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
eure dans le diverticulum sphénoïdal. Les fibres commissurantes des régions supérieures, forment la région moyenne ou voûte d
ïdal. Les fibres commissurantes des régions supérieures, forment la région moyenne ou voûte du corps calleux, séparée de la
le de la commissure blanche antérieure. Les fibres convergentes des régions externes et des régions inférieures se jux-tapose
che antérieure. Les fibres convergentes des régions externes et des régions inférieures se jux-taposent dans la capsule inter
ou voûte du corps calleux, formée par les fibres commissu-rantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Fibres convergent
s des régions supérieures et moyennes. 2. — Fibres convergentes des régions externes et supérieures, plongeant dans la substa
tion verticale transverse de un millimètre cl 'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
ibres nerveuses du centre médullaire. Les fibres commissurantes des régions supérieures se portent d'un lobe à l'autre dans l
antes des régions supérieures se portent d'un lobe à l'autre dans les régions homologues, en formant, dans la scissure inter-hé
e d'Ammon est épuisée par les coupes successives ; on trouve, dans la région du lobe sphénoïdal qu'elle occupait, la substance
olfactif. Les fibres olfactives radiculaires externes contournent sa région externe et se dispersent dans sa masse. En haut e
voûte du corps calleux, constituée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
s fibres convergentes et commissurantes. 3. Fibres convergentes des régions supérieures et externes se portant dans la capsul
ue. 4. — Fibres convergentes du lobe sphénoïdalse dirigeant vers la région inférieure de la capsule interne. h\ — Substanc
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
aire une sorte d'écorce périphérique. Les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes constituent la voûte du c
erne du noyau lenticulaire (9 PL XLIV). Les fibres convergentes des régions supérieures et moyennes n'atteignent plus la cap-
cap-sule interne. Celle-ci est formée par les fibres convergentes des régions antérieures et par les fibres spinales antérieure
ouissement des fibres olfactives radiculaires externes, traversent la région externe de la substance grise des ganglions olfac
du lobe sphénoïdal. XLVI, Coupe verticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs optiques. 1. — P
ou voûte du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de séparati
fibres commissurantes et convergentes. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et moyennes, interrompues à l'entrée
pues à l'entrée de la capsule interne. 4. — Fibres convergentes des régions antérieures (6; Pl. XX), croisant la direction de
ction verticale transverse de un millimètre a" épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
tion crêtée (Sinus corporis callosi). Les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes passent d'un lobe à l'aut
régions supérieures et moyennes passent d'un lobe à l'autre dans les régions homologues et constituent sur la ligne médiane la
rantes du lobe sphénoïdal se portent en haut et en dedans; celles des régions postérieures de ce lobe se sont groupées en un fa
moyen des noyaux jaunes (8, Pl. XLVI). Les fibres convergentes des régions supérieures et externes ne dépassent pas l'entrée
rne contourne la face externe du putamen. Les fibres convergentes des régions antérieures émergent entre le noyau caudé et le n
enticulaire ; leur direction croise celle des fibres convergentes des régions supérieures. La couche optique est réduite à la
antérieure du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
ergentes et des fibres commissurantes. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et moyennes s'étendant jusqu'à l'entr
usqu'à l'entrée de la capsule interne. 4. — Fibres convergentes des régions antérieures, croisant la direction des fibres pré
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vei^s le genou du corps calleux. L
la portion antérieure du corps calleux. Les fibres commissurantes des régions inférieures se portent en dedans, puis se relèven
interne, constituée en majeure partie par les fibres convergentes des régions antérieures, par le contingent des fibres des rég
onvergentes des régions antérieures, par le contingent des fibres des régions inférieures et internes (7; Pl. IV) et par les fi
s médullaires de leur extrémité antérieure; leurs connexions avec les régions centrales ne sont plus apparentes. La section é
ou genou du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
ans la capsule interne. 4. — Fascicules des fibres convergentes des régions antérieures et des régions inférieures et interne
. — Fascicules des fibres convergentes des régions antérieures et des régions inférieures et internes. 5. — Fascicule qui fór
. 6. —Substance grise de l'avant-mur. 7. — Fibres médullaires des régions antérieures du lobe sphénoïdal. 8. — Fibres com
ions antérieures du lobe sphénoïdal. 8. — Fibres commissurantes des régions inférieures et antérieures se relevant en haut et
section verticale trans-verse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
niers vestiges des lobes sphénoïdaux. Les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes se détachent de la base d
oyennes se détachent de la base des circonvolutions, passent dans les régions homologues du lobe du côté opposé, en formant sur
réfléchie ou genou du corps calleux. Les fibres commissurantes des régions inférieures ou lobules orbitaires, contour-nent l
rps strié, se dirigent en dedans et en haut vers leurs congénères des régions supérieures, auxquelles la lamelle de la cloison
bec du corps calleux (voir Pl. II). Les fascicules convergents des régions antérieures traversent, dans presque toute sa hau
latéraux et plus bas avec les faisceaux des fibres commissurantes des régions inférieures ou orbitaires. Cette section des hé
onc des nerfs olfactifs; on remarque que la substance grise occupe la région centrale et l'angle supérieur, tandis que la subs
e gaine à ce tronc. LU. — Coupe verticale transverse passant par la région antérieure du noyau lenticulaire. 1. — Portion
du genou du corps calleux, formée par les fibres commissu-rantes des régions supérieures et moyennes. !. — Point de dissocia
Point de dissociation des fibres convergentes et commissurantes de la région supérieure. 3. — Fibres convergentes des région
ommissurantes de la région supérieure. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et moyennes, plongeant dans la substa
ans la substance grise du corps strié. 4. — Fibres convergentes des régions antérieures, séparées en fascicules isolés et str
é plus bas avec les fascicules formés par les fibres convergentes des régions inférieures et internes. 5. — Fascicule qui for
ociée par l'ensemble des fibres conver-gentes et commissurantes de la région moyenne. 7. — Point de séparation des fibres co
— Point de séparation des fibres convergentes et commissurantes de la région inférieure. 8. — Fibres commissurantes des régi
missurantes de la région inférieure. 8. — Fibres commissurantes des régions inférieures se rendant dans les régions homologue
. — Fibres commissurantes des régions inférieures se rendant dans les régions homologues des lobules orbitaires. Elles forment,
e, une lame épaisse, qui tend à rejoindre les fibres congénères de la région supérieure. 9. — Section des lamelles de la clo
ques groupes sont coupés perpendiculairement à leur direction. H. — Région antérieure du segment externe du noyau lenticulai
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. Ce
grise qui forme la couche corticale est moins abondante que dans les régions postérieures des hémisphères cérébraux ; cependan
s. Le centre médullaire est formé par les fibres commissurantes des régions supé-rieures et moyennes qui constituent la porti
tion réfléchie du corps calleux, et par les fibres commissurantes des régions inférieures ou orbitaires qui forment la portion
tance grise centrale qui s'étale, depuis l'aqueduc de Sylvius, sur la région médiane de l'encéphale ; chacune de ces couches d
du corps strié. Les fascicules stratifiés des fibres convergentes des régions antérieures dissocient cette masse de substance g
ssocient cette masse de substance grise ; les fibres convergentes des régions infé-rieures et internes complètent l'isolement d
ou genou du corps calleux, formée par les libres commissu-rantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissocia
s fibres commissurantes. 3 — Fascicules des fibres convergentes des régions antérieure, moyenne et infé-rieure pénétrant dans
ibres conver-gentes et commissurantes. 5. — Fibres convergentes des régions inférieures ou orbitaires. 6. — Fibres commissu
s régions inférieures ou orbitaires. 6. — Fibres commissurantes des régions inférieures ou orbitaires constituant, avec leurs
ions inférieures ou orbitaires constituant, avec leurs congénères des régions supérieures, la portion réfléchie ou genou du cor
tif, montrant la forme triangulaire et la substance grise située à la région centrale. LV. — Coupe verticale transverse pass
du corps calleux, formé par l'ensemble des libres commissurantes des régions supérieure, moyenne et infé-rieure ou orbitaire.
émisphérique, qu'elles contournent et gagnent dans le lobe opposé les régions homologues à celles dont elles dérivent. Ces fibr
curviligne, à concavité supérieure pour les fibres commissurantes des régions supérieures, à concavité tournée en bas pour les
s régions supérieures, à concavité tournée en bas pour les fibres des régions inférieures. Ces faisceaux curvilignes s'adossent
hement progressif de la portion médiane des fibres commissurantes des régions supérieures et inférieures. 3. — Fibres arcifor
75 XII. Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire..................
....... 80 XV. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la région moyenne du corps calleux. 82 XVI. Coupe horizon
XVI. Coupe horizontale antéro-postérieure passant au niveau "de" la région moyenne "du noyau caudé........................
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau..............
XVIII. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couche optique................
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau............
9 XX. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure du noyau lenticulaire...............
section antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. . . 93 XXI
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau,.............
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau..............
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau......¦.......
zontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau..............
zontale antéro- postérieure de un millimèlre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau............
ion horizontale de un millimètre d'épaisseur, passant au niveau de la région supérieure de la protubérance annulaire, puis c
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 121
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 125
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 130
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 134
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 139
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 143
corps calleux. 143 XLVI. Coupe verticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs optiques. 144 XLVI
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 146
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 149
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 152
du corps calleux. 152 LU. Coupe verticale transverse passant par la région antérieure du noyau lenticulaire. . . 153 LUI.
ection verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 154
2 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
les deux tiers anté- rieurs de l'hémisphère droit et sectionnant la région thalamique de la capsule interne et le trou de
sceau occipito-frontal vus sur une coupe horizontale passant par la région Lhalamique supérieure de la capsule interne (déta
x couches sagit- tales vus sur une coupe vertico-transversale de la région du genou du corps calleux. Méthode de Weigert (
zone dégénérée occupe la substance blanche non diffé- renciée de la région , le faisceau compact de la couronne rayonnante (C
lale, mais il s'en distingue par la longueur de ses fibres. Dans la région du carrefour ventriculaire, le segment postérie
triculaire et se réfléchit autour de son plancher (Fig. 9). Dans la région occipitale (Fig. 8), il forme un cône creux qui
rtiennent toutes, par contre, aux fibres de pro- jection. Dans la région occipitale et dans la partie postérieure du carre
onnante et ses deux couches sagit- tales externe et interne dans la région occipitale. Coupe vertico-transversale passant
postérieure du segment supérieur de la couronne rayonnante dans la région du carrefour ven- triculaire, au voisinage du s
calleux. - Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulul11, dans la région adjacente au tronc du corps calleux. - Cing (p)
e affectent sur les coupes horizontales sériées, qui intéressent la région du noyau amygdalien : on les voit se recourber
rieur et postérieur de la couronne rayonnante et passant par la région de transition entre la cap- sule interne et l
. - Coupe hori- zontale de l'hémi- sphère gauche passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne et s
ES CENTRES NERVEUX. Fig. 1 ? - Coupe horizon- tale passant par la région sous-thalamique de la capsule interne, et sec
L'ECORCE CÉRÉBRALE. 23 Fic,. 46.-Coupe horizontale passant par la région sous- thalamique de la capsule interne, au vo
. Division do la cap - suie interne en ré- gion thalamique et région sous-thala- mique. Aspect coudé de la régio
on thalamique et région sous-thala- mique. Aspect coudé de la région thalamique de lacapsulc interne sur les coupe
4 ï). Cette inclinaison de la capsule interne variable suivant les régions , dépend essentiellement de la forme du noyau le
ersales (Fig. 17), permettent de diviser la capsule interne en deux régions , l'une supérieure en rapport avec la couche opt
en deux régions, l'une supérieure en rapport avec la couche optique région thalamique de la capsule interne Cip(th), l'aut
gion thalamique de la capsule interne Cip(th), l'autre inférieure - région sous-thalamique de la cap- sule interne Cip(sth
us-thalamique de la cap- sule interne Cip(sth) en connexion avec la région sous-optique de Forel et en continuité directe
versales qui passent en arrière de la circonvolution du crochet, la région sous-thalamique de la capsule in- terne reçoit
ule cérébral (P) (Fig. -17). La division de la capsule interne en région thalamique et sous-thala- mique paraît de peu d
sur les coupes vertico-transversales, où la couronne rayonnante, la région thalamique de la capsule, la région sous- thala
, où la couronne rayonnante, la région thalamique de la capsule, la région sous- thalamique et le pied du pédoncule cérébr
(Fig. 18). Sur toutes les coupes horizontales qui passent par la région thala- mique, la capsule interne affecte la for
om de genou de la capsule interne Ci (g). Dans le tiers moyen de la région thalamique, lorsque apparaissent les deux segment
t, que les coupes se rapprochent davantage du tiers inférieur de la région thalamique de la capsule interne. FIBRES DE PRO
par rapport au plan sagittal médian. La zone de transition entre la région thalamique et la région sous-thalamique du seg-
ttal médian. La zone de transition entre la région thalamique et la région sous-thalamique du seg- ment postérieur de la c
ntillée passant sur la bandelette optique établit les limites de la région sous-optique de la capsule interne et du pied du
pédoncule cérébral. Cia, segment antérieur; Ci(g), genou; Ci])[th), région thalamique; Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE
ment antérieur; Ci(g), genou; Ci])[th), région thalamique; Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dans l
Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dans la région sous-thalaml(jue, la capsule interne se réd
re. thalamique du segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, région rétro-lenticulaire; Cisl, région sous-lenticula
eur de la capsule interne. - Cirl, région rétro-lenticulaire; Cisl, région sous-lenticulaire de la capsule interne. - pCR, l
te. - P, pied du pédoncule cérébral. - l'y, sa continuation dans la région protubérantielle (Po). - CL, corps de Luys. - coa
. - Th, thalamus. - Pul, pulvinar. - fiv, zone de Wernicke. Dans la région sous-thalamique de la capsule interne, le segment
inée à montrer les différents aspects de la capsule interne dans la région de transition entre le pied de la couronne rayonn
e pied de la couronne rayonnante et la capsule interne (1); dans la région thalamique (2, 3, 4, : i); dans la région sous-
apsule interne (1); dans la région thalamique (2, 3, 4, : i); dans la région sous-thalamique (6, 7, 8) et dans le pied du pé
et sectionne le fais- ceau géniculé dans la partie inférieure de la région thalamique (i, i>, 6). Ci, capsule interne;
NU, noyau rouge. - Qa, tu- bercule quadrijumeau antérieur. - RsTh, région sous-optique de Foret. - Tga, pilier anté- rieu
ant au segment sous-lenticulaire (Cisl) qui appartient à cette même région , il s'insinue entre les segments rétro-lenticul
raduellement et sur les coupes horizontales sériées on constate une région de transition très nette entre les régions thal
s sériées on constate une région de transition très nette entre les régions thalamique et sous-thalamique de la capsule int
tail que, bien que le segment antérieur (Cia) n'appartienne qu'à la région thalamique de la capsule interne, on trouve néa
é- rieur de la capsule interne (Cia) croisent d'avant en arrière la région an- térieure et basale de la tête du noyau caud
triées (fibres rr.ç7.P- FIG. 20. Coupe horizontale intéressant la région de transition entre le pied de la couronne rayo
région de transition entre le pied de la couronne rayonnante et la région thalamique de la capsule interne. Cette coupe sec
NTRES NERVEUX. Aspect du genou aux différentes hau- teurs de la région thalamique. tionne le stratum zonale du thala
capsule interne présente, suivant les différentes hau- teurs de la région thalamique, un aspect et une constitution variabl
cap- sule interne proprement dite, et appartiennent à une véritable région de transition, dans laquelle les fibres de segm
JECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 31 ne. 21. - Coupe horizontale dû la région thalamique moyenne intéressant le segment antér
CENTRES NERVEUX. Lo faisceau géni- culé n'apparaît qui dans la région t6a- lamique inférieure. Il occupe la partie
Il occupe la partie antérieure du seg- ment postérieur de la région sous-thala- mique et la partie interne du pie
(Cip) en formant le genou de la capsule interne. C'est donc dans la région thalamique infé- rieure seulement,. qu'il exist
le du genou de la capsule interne et du faisceau géniculé · dans la région thalamique inférieure. Méthode Weigert. bcl, ba
bandelette optique. postérieure du segment antérieur (Cia). Dans la région sous-thalamique, ce faisceau occupe le cinquièm
étude montre en outre que le faisceau géniculé est renforcé dans la région thalamique inférieure par quelques fibres qui,
s'épuisent chemin faisant dans le locus niger et peut-être dans la région sous-thalamique, mais n'atteignent pas le sillon
de la capsule interne et les rapports de ce dernier segment dans la région sous-thalamique avec la zona incerta, le corps
ressant la base du noyau lenticulaire et la partie supérieure de la région sous-thalamique et sectionnant les commissures an
tudinal 36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Leurs rapports dans la région ttta- lamique de la cap- sule. Leurs rappor
région ttta- lamique de la cap- sule. Leurs rapports dans la région sous- thalamique. inférieur. - P.1[, faisceau
e optique. Les fibres du segment postérieur (Cip) appartiennent aux régions tha- lamique et sous-thalamique de la capsule i
s tha- lamique et sous-thalamique de la capsule interne : Dans la région thalamique, elles passent d'abord entre le tronc
i passent par ses tiers moyen et inférieur (Fig. 21, 43). Dans la région sous-thalamique (Fig. 21.), le segment postérieur
a capsule de ce noyau (CNU) (Fig. 28). Dans la partie moyenne de la région sous-thalamique (Fig. 24), le faisceau lenticul
ona incerta à son tiers postérieur. Dans la partie inférieure de la région sous- thalamique, le faisceau lenticulaire de F
ect sur les coupes horizontales. Les segments pos- térieurs des régions thalamique et sous- thalamique de la capsul
radiations strio- thalamiques et strio- sous-thalamiqucs. de la région sous-thalamique : ses fibres s'insinuent d'abord
nettement des fibres du segment postérieur (Cip) qui traversent la région thalamique de la capsule interne (Fig. 24, 28, 47
ins obliquement et gardent cette direction oblique, jusque dans les régions supérieures du pied du pédoncule cérébral (Fig.
u de Turck. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) de la région sous- thalamique (Fig. 25) n'est donc pas l'équ
. 25) n'est donc pas l'équivalent du segment postérieur (Cip) de la région thalamique (Fig. 21). Il représente ce dernier se
egment, plus le faisceau de Turck. Dans leur trajet à travers les régions thalamique et sous-thalamique de la capsule int
ne et qui appartiennent aux radiations strio- thalamiques : dans la région thalamique (Fig. 21), elles proviennent en gran
llidus, et s'irra- dient dans le noyau externe du lhalamus. Dans la région .so2.v-tlalazziqztc (Fig. 24) elles sont fourni
Il, scissure de Rolando. - IiC, radiations de la calotte. - Rgltm, région du ruban de Reil médian. - 11Tlc, radiations th
Le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne appartient aux régions thalamique et sous-thalamique. Il se présente sur
e. Il se présente sur les coupes hori- zontales sous l'aspect d'une région rectangulaire, que la queue du noyau caudé et l
es coupes passant par le tiers inférieur de la couche optique et la région sous-thalamique (Fig. 24), le segment rétro-len
rde la partie pos- térieure du segment pos- térieur (Cip) dans la région sous - thalamique et des- cend ensuite dans l
au voisinage du pied du pédoncule cérébral et ses rapports dans la région sous-optique avec le corps de Luys, l'anse lentic
n évidence sur les coupes vertico-transversales et sagittales de la région (Fig. 29, 30 et 281) : la couche supérieure com
nnant le segment rétro-lenlicu- laire de la capsule interne dans la région adjacente au segment postérieur. Méthode de Wei
ecourbée et extrémité antérieure de la queue du noyau caudé dans la région où il se fusionne avec le pédoncule du putamen (V
rieur. -RC, radiations de ta calotte. 7 ? ruban de Reil médian; 7 ? région de la couche optique située immé- diatement en
ncule cérébral (P, Fig. 12, 25, 33, 34, 35, 36, i) fait suite il la région sous-thalamique de la capsule interne; ses libres
le interne, qui ne se sont arrêtées ni dans le thalamus, ni dans la région sous-thalamique, ainsi que les fibres du segmen
de Luys, appartient en réalité au seg- ment postérieur (Cip) de la région sous-thalamique de lacapsule interne, la partie
nticulaire (Al), (Fig. 33 et 44) qui se portent en arrière, dans la région sous-optique, pénètrent en partie dans la capsule
trent en partie dans la capsule du noyau rouge et en partie dans la région anléro-ventrale du thalamus, mais n'entrent pas
psule interne, le segment inférieur de la couronne rayonnante et la région de transition entre le segment sous-thalamique
es et strio-luysiennes qui sillon- nent la capsule interne dans ses régions thalamiques et sous-thalamiques. Les coupes hor
rsent le locus niger et s'accolent au ruban de Reil médian dans les régions inférieures du pied du pédon- cule cérébral. Il
doncule cérébral, puis s'infléchissent en dedans au voisinage de la région sous-optique, passent en avant du corps genouil
ied du pédoncule cérébral, on trou- vera toujours aux confins de la région sous-optique (cas Schweigoffer, Fig. 120, p. 13
tro- lenticulaire de la capsule interne et qui, sectionnant dans la région thalamique, les deux tiers postérieurs du segme
la couronne rayon- nante et entraîné une hémiplégie gauche. Dans la région pédonculaire supérieure (Fig. 39), la zone dégé
ne dégénérée occupe la partie moyenne du pied du pédoncule; dans la région pédonculaire inférieure (Fig. 40), elle s'étale à
ne dégénérée est colorée en jaune. - Remarquer l'atrophie extrême des régions non dégénérées du pied du pédoncule cérébral et
ule quadriju- meau antérieur. - Riel, ruban de Reil médian. - RgRm. région du ruban de Reil médian. - SgAq, substance gris
ig. 39 et 40). Dans ce cas, la zone dégénérée (P(cl) occupe dans la région pédonculaire supérieure la partie moyenne du pi
e, la couronne rayonnante du thalamus, et proviennent de toutes les régions du manteau cérébral, puisqu'une lésion corticale
es. Leur origine. Leur trajet. FIG. 41. Coupe horizontale de la région thalamique de la capsule interne. Méthode de We
ux et se rendent dans le septum lucidum; fp, fibres perforantes des régions antérieures du corps calleux se rendant dans le
faisceaux distincts, que d'un groupement de fibres des différentes régions corticales. Aussi diviscrons-nous les radiation
l'élude des dégénérescences secondaires (voy. p. 90 et suiv.), une région déterminée de la couche optique. Les lésions du
avec le thalamus. A chaque territoire cor- tical correspond une région déterminée de la couche optique. 60 ANATOMIE
du thalamus, et la zone dégénérée occupe dans la couche optique une région qui correspond très exactement à la zone capsulai
e interne. - Coupe horizontale passant par la partie inférieure de la région thalamique et intéressant le centre médian de L
; l'obli- quité des fibres radiées est, en effet, minime dans cette région qui reçoit, en outre, des fibres radiées du lob
oyau rouge. - Coupe horizontale oblique en bas et en dehors de la région sous-optique et du pied du pédon- cule cérébral
culaire (Al) et la partie inlerne du segment postérieur (Cip) de la région sous-thalamique de la capsule interne, passent
, et, dans le segment rétro- lenliculaire de la capsule interne, la région sous-thalamique supérieure. C'est dans cette de
ne, la région sous-thalamique supérieure. C'est dans cette dernière région que les radiations du corps genouillé externe e
ubercule quadrijumeau antérieur. - Coupe horizontale passant par la région inférieure du thalamus aux confins de la région
tale passant par la région inférieure du thalamus aux confins de la région sous-optique. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur na
- 11111, pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - rgRm, région du ruban de Reil médian. - RTh, radiations opti
s du tubercule quadrijumeau antérieur. Les unes appartiennent à des régions plus élevées du segment rétro-lenticulaire de l
e et abordent le tubercule quadrijumeau antérieur aux confins de la région sous-optique en passant en avant du corps genouil
sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), suivent dans cette région le trajet du faisceau de Turck et traversent av
re médian de Luys (Nm), champ que nous avons désigné sous le nom de région du ruban de Reil; il s'accole ensuite à la part
ie supérieure du segment postérieur de la couronne rayonnante et la région thalamique du seg- ment rétro-lenticulaire de l
sl) de la capsule interne et s'enchevêtrent intime- ment dans cette région avec les fibres de projection corticale à trajet
trice facio-I)ha-y21go-Ici,yiègée (Fig. 236). Elles passent dans la région thalamique supérieure par la partie postérieure
térieure du segment antérieur de la capsule interne (Cia), dans les régions thalamiques moyenne et inférieure, par le faisc
(Ci(g) et la partie antérieure du segment postérieur (Cip); dans la région sous-thalamique, elles occupent la partie antérie
interne du pied du pédoncule est croisé en haut (au voisinage de la région sous-optique), par les fibres de l'anse du noya
ne du pied du pédoncule cérébral et la distance qui sépare, dans la région sous-tha- lamique, le faisceau dégénéré du bord
ue et de l'opercule frontal, ne reçoit pas quelques libres d'autres régions corticales, en particulier du lobe frontal. Ces
ni de la face externe et moyenne de F3, puisque les lésions de ces régions s'accompagnent d'une intégrité parfaite du pied
rieur de la capsule interne (Cip) et occupent, dans ce segment, une région d'autant plus antérieure et d'autant plus rappr
du genou de la capsule (Ci[g]) et, dans le pied du pédon- cule, une région d'autant plus voisine du faisceau interne, qu'ell
'autant plus voisine du faisceau interne, qu'elles pro- viennent de régions rolandiques plus inférieures et plus antérieures.
rieure du segment pos- térieur de la capsule interne (Cip); dans la région thalamique de la capsule interne, ces fibres so
ère par le segment rélro-lenliculaire de la capsule (Cirl); dans la région sous-thalamique, elles sont séparées du segment
occipital; la partie postérieure du noyau externe du thalamus et la région sous-optique, en particulier le noyau rouge reçoi
s fibres du segment supérieur ou sus-sylvien du secteur moyen et la région orbitaire du lobe frontal (colorées en rose) occu
région orbitaire du lobe frontal (colorées en rose) occupent dans la région tha- lamique le genou et le segment postérieur
ique le genou et le segment postérieur de la capsule interne, dans la région sous-thalamique les cinq sixièmes antérieurs, d
rne (Cisl), s'irradient dans le corps genouillé interne (Cgi) et la région ventrale du thalamus, et occupent dans la région
interne (Cgi) et la région ventrale du thalamus, et occupent dans la région sous-thalamique le sixième postérieur du segmen
du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge. - Il pul- vinar. - RsTh, région sous-thalamique. - Th, couche optique. - Qa, tube
abordent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans la région sous-thalamique. Elles s'insinuent entre la parti
e (méthode de Marchi). Pusateri (1898) en extirpant chez le chat la région temporale moyenne (zone auditive de Munck) cons
ence de ce faisceau et sa terminaison dans la substance grise de la région supé- rieure de la protubérance. Quant aux fonc
le faisceau moyen, cela lient uniquement à ce que les lésions de la région temporale, en particulier de la partie moyenne de
ons temporales, sont sensiblement moins com- munes que celles de la région rolandique. S'il dégénère plus rarement encore
oyau lenticulaire, il ne peu aborder la capsule inlerne que dans la région sous-optique. C'est aujourd'hui un fait bien conn
gion sous-optique. C'est aujourd'hui un fait bien connu que dans la région thalamique les lésions de la partie postérieure d
par une éventualité que je crois très rare, la lésion porte dans la région sous-thalamiquo sur la partie postérieure du se
re du segment postérieur de la capsule interne, c'est-à-dire sur la région où le faisceau de Tiirck aborde la capsule in-
férieur de la cou- ronne rayonnante. Dans ces cas il existe dans la région sous-optique, ainsi que nous avons pu le consta
stérieur de la capsule interne, mais cette zone fait défaut dans la région thalamique de la capsule. En RÉSUMÉ : Les fibre
pyramidal. Les radiations du locus niger tirent leur origine de la région rolan- dique. La dégénérescence du locus niger
onclure que les radiations du locus niger proviennent sur- tout des régions rolandiques supérieures. Parmi les fibres qui s
n particulier de ses trois quarts supérieurs; ils occupent, dans la région thalamique de la capsule interne, tout le seg-
compris) jusqu'au segment rétro- lenticulaire. Ils passent dans la région sous-thalamique par les trois cin- quièmes moye
dien; 6, par l'entre-croisement inférieur des pyramides; 7, par la région supérieure de la moelle cervicale. - Les voies
e de la pyramide (coupe 5) et le cordon antérieur homolatéral. - Cbr, région moyenne du pied du pédoncule cérébral dans laqu
1). - La, (coupe 4), la partie antérieure du ruban de Reil dans la région bulbaire, ses rapports avec l'olive bulbaire et
de prennent leur origine dans le gyrus sigmoïde (c'est-à-dire dans la région désignée sous le nom de zone motrice par Hitzig
sous le nom de zone motrice par Hitzig) et que l'extirpation de cette région , sans lésions concomitantes des corps striés, p
que le pied du pédoncule cérébral contenait à côté de FiG. 52. - La région pyrami- dale du pied du pédon- cule cérébral,
deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne ( région pyramidale de la capsule); Un faisceau externe
e du noyau lenticulaire et avec le faisceau d'Arnold. Fig. 53. - La région pyramidale de la capsule interne et du pied du
du pied du pédoncule, d'après Flechsig. 1, coupe horizontale de la région thalamique de la capsule interne; 2, coupe ^hor
ion thalamique de la capsule interne; 2, coupe ^horizontale de la région sous-optique de la capsule interne; 3, coupe tran
orale; 2° Le faisceau moyen (p), faisceau pyramidal, occupe dans la région pédonculaire infé- rieure le tiers moyen et dan
dans la région pédonculaire infé- rieure le tiers moyen et dans la région pédonculaire supérieure, le troisième quart ext
ron- tale ascendante; elles dégénèrent à la suite de lésions de ces régions , occupent le bord interne du pied du pédoncule
me le croyaient Meynert, Flechsig, etc., un faisceau venant de la région occipito-temporale, mais qu'il vient delapartie
ion aux centres inférieurs du nevraxe; elles comprendraient : 1° la région rolandique, le lobule paracenlral,la partie adj
unes aux autres les sphères sensorielles et la sphère 1 ic. 34. La région pyramidale du pied du pédon- cule cérébral, d'a
de projection dans le pied du pédoncule cérébral, et de là dans les régions inférieures du névraxe. Les secteurs antérieur
sensoriels et sensitivo-moteurs se développent plus vite que d'autres régions de l'écorce, puisqu'ils sont d'ordre phylogénét
as en haut; elle peut être suivie avec beaucoup de facilité dans la région sous-thalamique de la capsule interne; dans la
ilité dans la région sous-thalamique de la capsule interne; dans la région thalamique inférieure et moyenne il n'existe plus
yer de ramollissement du noyau lenticulaire ayant sectionné dans la région thalamique moyenne la partie antérieure du segmen
du carrefour ventriculaire, et une atrophie des circonvolutions des régions pariéto- occipito-temporales dans les régions l
s circonvolutions des régions pariéto- occipito-temporales dans les régions légèrement teintées de la figure 5G qui ne mesu
es libres qui prennent leur origine ou qui se terminent dans la région lésée. région inférieure du bulbe. Dégénérescen
prennent leur origine ou qui se terminent dans la région lésée. région inférieure du bulbe. Dégénérescence de la pyramid
corticales récentes, étudiées au Marchi, montrent en effet, dans ces régions , l'existence d'un grand nombre de fibres saines
re en relation intime, directe et étroite avec un certain nombre de régions du névraxe qui dégénèrent toujours et très rapi
aphasie. Vaste lésion cor- ticale. Coupe horizontale passant par la région thalamique inférieure. - Dégénéres- cence compl
e c'est par cette couche que passent les fibres de projection de la région occipitale (faces interne et externe), ce cas cor
Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la partie supérieure de la région sous-thalamique de la capsule interne. - Dégéné
e en grande partie à la disparition du feu- trage des fibres de ces régions . 2° Il existe : une dégénérescence complète des
ys (\m), le FiG. 69. - Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la région sous-optique. Dégéné- rescence complète du segm
(CNR,), de la commissure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la région du mban de Reil médian (rgRm). - Méthode de Weige
tes, tandis que les systèmes de fibres qui relient le thalamus à la région de la calotte, et ceux qui relient le corps slrié
iqucs slrio-Luysiennes, etc. (Voy. p. 321), qui'traversent dans les régions thalamique et sous-thalamique le segment postér
ence directe de sa dégénérescence (Fig. 78). FiG. 70. - Cas Pradel. Région sous-thalamique. - Dégénérescence totale du pied
xterne, au noyau rouge de Stilling,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel. Région pédonculaire supérieure. - Dégénérescence totale
s s'épuisent dans le locus niger et la Fic. 73 et 74. - Cas Pradel. Région pédonculaire moyenne et inférieure. - Dégéné- r
'absence ou le FiG. 77. - Cas Pradel. Quatre coupes de moelle des régions cervicale, dorsale moyenne, dorsale inférieur
upe horizontale du segment postérieur de la capsule interne dans la région sous-optique. Les fibres horizontales saines ma
dinales sont totalement dégénérées. -Com- parez cette coupe avec la région sous-optique du côté sain (Fig. 67), et avec la
une) irrigue l'extrémité an- térieure de la couche optique et de la région sous-optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
n particulier le faisceau longitudinal inférieur) et le tapetum de la région (Fig. 8G). Cette lésion a entraîné les dégéné
lleux occupe toute la paroi interne de la corne occipitale. Dans la région du bourrelet ces fibres sont renforcées par les f
ent la face inférieure du lobe occipital à la face supérieure de la région pariéto-occihilale est en partie masquée par le
ourrière. - Cécité verbale pure. - Coupe horizontale passant par la région thalamique moyenne, intéressant le segment antéri
Courrière. Cécité veibale pure. Coupes horizontales passant par la région sous-optique (Fig. 82) et par la partie inférieur
la région sous-optique (Fig. 82) et par la partie inférieure de cette région au voisi- nage de la bandelette optique (Fig. 8
le pure. Coupes horizontales passant par la partie inférieure de la région sous-optique au voisinage de la bandelette opti
artie antérieure du foyer ancien datant de quatre ans (Fpa). Dans les régions postérieures au plan par lequel passe celte cou
l'écorce du fond de la scissure calcarine (K) et rejoint dans celle région la vaste plaque jaune qui a détruit le lobule lin
Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe horizontale de la région thalamique inférieure de la capsule interne droit
Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe horizontale de la région sous-thalamique de la capsule interne. - Dégénére
p), dégénérescence de la substance blanche non diffé- renciée de la région temporo-pariétale. Dégénérescence du forceps majo
segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante dans la région correspondant à la deuxième circonvolution tempor
obliques en bas et en dehors passant par le thalamus (Fig. 91), la région sous-optique (Fig. 95), le pied du pédoncule cé
ieiicéplitilique du LI PI, courbe. Coupe horizontale passant par la région thalamique moyenne. Dégénérescence des couches sa
l'écorce du pli courbe, et la substance blanche sous-jacente de la région , de telle sorte que l'on voit intacte, dans le
Coupe horizontale un peu oblique en bas et en dehors passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne : 1° dég
capsule interne (Cip). Cette dernière dégénérescence occupe dans la région thalamique la partie postérieure du segment posté
postérieur de la capsule interne (Cip, Fig. 102 et 103). Dans la région sous-thalamique (Fig. 10) elle est refoulée en av
ndante et de l'opercule pariétal, et ne s'observe que lorsque cette région est lésée. . Dans les vastes lésions du lobe pa
du lobule pariétal inférieur. - Coupes horizontales passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne (Fig. 10
oyenne de la capsule interne (Fig. 102), la partie inférieure de la région jthalamique (Fig. 103) et la région sous-thalamiq
02), la partie inférieure de la région jthalamique (Fig. 103) et la région sous-thalamique (Fig. 104). Méthode de Weigert.
rs une dégénérescence : 1° des courtes fibres d'asso- ciation de la région et du faisceau occipital vertical (Ov), qui recou
scendantes (Pa) (cas Scheule, Fig.100 à 112), elle occupera dans la région thalamique la partie posté- rieure du segment p
lamiques abandonnent la capsule interne dans toute la hauteur de la région thalamique et s'ir- radient dans les tiers supé
et cortico-médullaires descendent dans le segment postérieur de la région sous-thalamique de la capsule interne et dans le
one rolandique ne paraît pas posséder de fibres de projection pour la région tome II. 9 FIG. 106. - Cas Scheule (Bicêtre 1
partie supérieure (Fig. 107) et la partie moyenne (Fig. 108) de la région tlialamique de la capsule interne. Méthode de Wei
110, 111, 112.-Cas Scheule. Hémiplégie gauche. Coupes passant par la région sous-optique de la capsule interne (fin.109), l
e- tentissent en outre sur les courtes fibies d'association de la région , sur le faisceau arqué ou longitudinal supérieu
acente du noyau externe du thalamus (Ne) (Fig. 108), puis aborde la région sous-thalamique delà cap- sule interne (Cip (d)
ore plus en avant que dans les cas précédents. Elle occupe, dans la région thalamique moyenne (Cig.4), la partie du segment
nticulo-optique située en airière du genou (Ci[g]) et siège dans la région sous- thalamique (Fig. 126) et dans le pied du
escence des fibres radiées du thalamus et du locus niger (Ln) dans la région adja- cente à la zone capsulaire ou pédonculair
zontales obliques en bas et en dehors section- nant (Fig. 119) la région thalamique et (Fig. 120) la région sous-thala
section- nant (Fig. 119) la région thalamique et (Fig. 120) la région sous-thalami- que de la capsule in- terne. Dé
radiées del'extrémité antérieure de la couche optique. Dans la région sous- thalamique de la capsule interne (Fig.
abandonne le segment antérieur de la capsule interne (Cia) dans la région thalamique moyenne forme le faisceau géniculé e
aux ex- terne et interne du thalamus (Ne, Ni) (Fig. 119). Dans la région sous-thala- mique (Fig. 120,, le faisceau dégén
ution postérieure de l'insula par l'artère pariétale inférieure, la région rétro-insulaire par l'artère du pli courbe. Le
G. 125, 126, 127. -Cas Heudebert. Coupes horizontales passant par les régions tha- lamique (Fig.i2a) et sous-thalamique de la
la capsule interne (Cip) et des fibres radiées du thalamus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire (Fig. 12
riculaire et détruisent plus ou moins complètement les fibres de la région . Aux dégénérescences secondaires propres au lob
iculaire de la capsule interne ne contient en particulier dans la région sous-thalamique que quelques rares fibres faibl
xyline qui s'irradient dans le thalamus. Il est croisé dans cette région , comme dans les régions thalamiques de la capsu
t dans le thalamus. Il est croisé dans cette région, comme dans les régions thalamiques de la capsule (Fig. 9 2 et 126), pa
s dégénérés et ne contiennent que de rares fibres saines. Dans la région thalamique de la capsule interne (Fig. 123), le s
on du 2° quart inférieur de la frontale ascendante) ; mais, dans la région sous-thalamique de la capsule interne apparaît un
tions du corps genouillé FiG. 1` ? 8.- Cas Heudebert. Coupe de la région pédonculaire inférieure. Dégénérescence du deux
volution postérieure del'insula. Cettelésion a sectionné dans la région thalamique su- périeure les couches sagittales
dans la région thalamique su- périeure les couches sagittales de la région , mais n'atteint pas l'épendyme du carrefour v
ulaire. La dégénérescence occupe dans ce cas (Fig. 130 et 131) la région rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl)
131) et l'extrémité supérieure de la zone de Wernicke (W). Dans la région sous-optique (Fig. 132) le segment rétro-lenticul
onne entre le pulvinar et le centre médian de Luys (Nm), dans cette région ventrale du thalamus qui correspond à la partie p
auche avec contrac- ture. Coupes horizon- tales passant par les régions thalamiques supérieure (fin.130) et moyenne (
gment rétro -lenticulaire de la capsule in terne (Cirl) dans la région adja- cente au faisceau de Tiirck : dégénéres
ude du trajet du faisceau de Türck. Il démontre que lorsque dans la région thalamique supérieure et moyenne la zone dégénéré
la partie adjacente du segment postérieur elle est divisée dans la région sous-thalamique en deux parties pour l'arrivée du
l. Ce cas présente en outre une particularité intéressante. Dans la région thalamique moyenne (Fig. 131) on voit, en effet
lobe temporal, mais ne sectionnait pas les couches sagittales de la région . Dans deux autres cas, à topo- graphie analogue
us-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), puis se placent dans la région sous-thala- mique entre le segment postérieur (
136, coupe des pyramides anté- rieures du bulbe passant par la région moyenne des olives bulbaires. Méthode de Weiger
outre, une dégé- nérescence des courtes fihres d'association de la région , ainsi que des faisceaux longitu-- dinal inféri
rticipètes); il reçoit du lobe temporal des fibres qui relient la région temporale moyenne les unes, à la pointe tempora
ntal retentissent encore sur les courtes fibres d'association de la région et sur les longs faisceaux d'association : faisce
ne (cas Cogery, Fig. 174 à 180), intéressent en même temps, dans la région thalamique inférieure, le faisceau geniculé. Da
ule cérébral et du segment postérieur de la capsule interne dans la région sous-thalamique. Lorsque le faisceau du genou e
la partie interne du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ( région sous-thalamique) et la partie interne du pied d
on, Fig. 181 et 182; cas James Fig. 183 à 185) déterminent, dans la région sous-tha- lamique de la capsule interne et dans
taire de la troisième circonvolution frontale (oFj), l'insula et la région rétro-insulaire (Fig. 142). Dans la profondeur, e
érébrale infantile gauche. o. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insulairo et de l'opercule sylvion se
ion corticale et sous-corti- cale. Plaque jaune de l'insula de la région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien droit
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, do la région rétro-insulaire et do l'opercule sylvien se
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien se
il. 145et 146.-Cas Rivaud. Coupes horizontales pas- sant par la région thalamique supé- lieur. La plaque jaune de
ivaud. Coupes horizontales passant par la partie inférieure de la région tha- lamique (Fig. lié7) et par la région sou
partie inférieure de la région tha- lamique (Fig. lié7) et par la région sous-thalamique (Fig. 148 et 149) de la capsu
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de 1 in- sula, do la région rétro-insulaire et de l'opercule syh ien se
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien se
ie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'm- sula, de la région rétro-insulaire et do l'opercule sylvien se
FIG. 152. - Cas Rivaud. Coupe transversale du bulbe passant par la région moyenne des olives bulbaires. Agénésie complète
ie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune dcl'in- sula, de la région rétro-insulaire et do l'opercule sylvien se
ie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune del'in- sula, de la région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien se
ssant la partie inférieure de l'en- tre-croisement moteur et la région supérieure de la moelle au niveau de l'émerge
cas avec le cas Pradel, Fig. 77). Ce n'est que sur les coupes do la région cervicale inférieure, traitée par le carmin ou
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insulaire et do l'operculo sylvien se
e cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insulaire et de l'opercule s3 Ivicii
fragment grossi de la partie antérieure du segment postérieur de la région thalamique de la capsule in- terne de la Fig. 1
ie antérieure du segment pos- térieur de la partie inférieure de la région thalamique de la capsule interne. Les radiation
cérébrale infantile gattelie Plaque jaune de 1"111 sula, do la région l'étro-lI1sulalfc et du l'opercule sylvien
ule interne représentée sur deux coupes horizontales passant par la région thalamique et la ré- gion sous-thalamique de la
E DES CENTRES NERVEUX. cules mamillaires, la bandelette optique, la région du genou et de la partie adjacente e du segment
du trigone, ;'extré- mité antérieure de la couche optique et de la région sous-optique. - L'arlère cho- roïdienne antérie
supérieure (Fig. 165) et la partie moyenne (Fig. 166 et 167) de la région thalamique de la capsule interne; la partie antér
men (Fig. 169 et 170), irriguée par l'artère cérébrale antérieure, la région du faisceau géniculé et de l'extrémité antérieu
iées (Fig. iG5-1G7), qui atteint la cortica- lité cérébrale dans la région de la circonvo- lution postérieure de l'insula
170 et 171.-Cas Racle. Coupes passant par la partie inférieure de la région thalamique et par la région sous-optique. La dé
passant par la partie inférieure de la région thalamique et par la région sous-optique. La dégénérescence du segment postér
rio-tlialamidues et strio-sous-Ilialamiques, des fibres radiées des régions antérieure et ventrale du thalamus (Fig. 169), du
tubercule quadrijumeau antérieur (RQa) à travers le pulvinar et la région rétro-lenticulaire de la capsule interne. Dégénér
sule interne (Cip) dans les parties supérieure el moyenne de la région thalamique; une dégé- nérescence de la lame
ne du thalamus (Ne, Ni). Dans la partie moyenne et inférieure de la région thalamique, de gros fascicules de fibres saines
s saines, le faisceau géniculé (Ci(g)). Dans toute la hauteur de la région sous-thalamique, la partie antérieure du segment
es qu'à l'état normal (Fig. 172), s'épuisent chemin faisant dans la région sous-thalamique, dans le locus niger, de sorte qu
u serment antérieur de la capsule interne et s'enchevêtrent dans la région sous-optique et le fais- Fin. 172. - Cas Racle.
rigone et le sillon pédonculo- protubérantiel. Dégénérescence de la région moyenne du pied du pédoncule cérébral, conserva
pédoncule (Voy. p. 73). Dans les parties moyenne et inférieure de la région thalamique, de nombreuses fibres radiées saines
ieure de la couche optique (Fig. 167); il existe néanmoins dans ces régions une dégénérescence très intense de la zone réti
des fibres radiées du noyau externe (Ne) du thalamus, dans toute la région adjacente à la dégénérescence des deux tiers an
ieur de la capsule interne. Cette dernière peut être suivie dans la région sous-optique et le pied du pédoncule cérébral où
tions stnio-thalamiques et sous-thalamiques, du corps de Luys et des régions antérieures et ventrales du thalamus (Fig. 167,
ne dégénérée du segment pos- térieur de la capsule interne. Dans la région sous-oplique elles sont si denses et serrées qu
Robertson. Topogra- phie (sur une coupe horizontale passant par la région thalamique) de la lésion capsu- laire qui a sec
culé et de la partie interne du pied du pédoncule. Lésion de la région sous-lentICulaire de la capsule interne et
culé et de la partie interne du pied du pédoncule. Lésion de la région sous-lenticulaire de la capsule interne et
iculé et do la partie interne du pied du pédoncule Lésion do la région sous-lenticulaire de la capsule interne et
- La dégénérescence consécutive à la lésion corticale occupe dans la région tlialami- que et sous-thalamique la partie anté
nterne (Cia) a entraîné une dégénéres- cence qui occupe dans la région thalamique le ge- nou de la capsule interne C
nou de la capsule interne Ci(g)J (Fig. 175) et, plus bas, dans la région sous- thalamique, le cinquième interne du seg
state, en effet, jusque surles coupes horizontales qui intéressent la région thalamique du segment rétrolenticulaire de la c
isceaux pyramidaux directs et croisés et peut être subie jusqu'à la région lombaire inférieure. Il existe dans ce cas : 1°
e droit présente deux lésions cen- trales. L'une sectionne, dans la région thalamique supérieure, le quart antérieur du seg-
(Cip); l'autre occupe le thalamus (Fig. 186) et sectionne, dans la région thalamique moyenne, la partie postérieure du segm
r de la capsule interne (Cip), et la zone dégénérée occupe, dans la région sous-oplique (Fig. 187) et dans le pied du pédonc
térieur de Cip est refoulée en avant par le faisceau de Turck dans la région sous- thalamique, et occupe dans le pied du péd
égénérescence des fibres radiées du noyau externe du thalamus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire; dégén
t postérieur du segment postérieur de la capsule interne. Dans la région sous-thalamique (Fig. 187), cette zone dégénéré
externe (Ne), la partie profonde du corps genouillé interne, et la région dite région du ruban de Reil médian; il sec-
la partie profonde du corps genouillé interne, et la région dite région du ruban de Reil médian; il sec- tionne (Fig. 1
ques en arrière et en dehors de la partie inférieure (Fig. 190) de la région thalamique de la capsule interne et du pied du
lée (Zr) et de la lame médullaire externe (Lme) du thalamus dans la région du noyau externe située immédiatement en avant du
ence du segment postérieur de la capsule interne qui se place dans la région sous- thalamique immédiatement en avant du fais
'artère choroidiennt antérieure. Coupes horizontales passant par la région sous-thalamique de la capsulE interne (Fig. 193
rne (Fig. 193) et la partie supérieure du pédoncule aux confins de la région sous optique. Cas Dautricho. Hémiplégie gau
ège dans la partie postérieure du globus pallidus sectionne dans la région sous-optique, le segment postérieur de la capsu
eurs qui en ont rapporté des exemples s'étant bornés à l'examen des régions infé- rieures du névraxe, moelle, bulbe quelque
al (Fig. 213, 214, 216) presque complètement développé sauf dans la région de l'insula et la partie adjacente de l'opercule
onnaire a fait communiquer les cavités des deux hémisphères dans la région qui, à l'état normal, correspond au sep- tum lu
ns dans ses segments antérieur et posté- rieur, et contient dans la région thalamiqne de nombreuses fibres myéli- nisées q
cales sont des fibres ascendantes, qu'elles n'appartiennent qu'à la région thalamique de la capsule interne; 2° que ni le
'envoient de libres descendantes dans la capsule interne, et que la région sous-thalamique de la capsule inlerne, le pied
. Il n'existe de circonvolutions cérébrales véritables que dans des régions très limi- tées de la face inféro-interne des d
est toujours facile de suivre à sa surface, et en particulier dans la région de l'insula et de la pointe temporale, les arbo
en est de même des lnc. 197 et 198. - Cas Longery. Topographie des régions agénésiées du manteau cérébral chez un hydrocép
développées que dans les zones blanches des schémas; au niveau des régions teintées, l'écorce cérébrale était réduite à une
plat interolivaire. L'écorce cérébrale n'est développée que dans la région teintée en gris. (Dessin fait d'après une photo
um lucidum. Ab- scnco complète de fibres longitudinales dans la région sous- optique (le lacapsule interne et lo pie
ticidiiiii. Ab- sence complète de libres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interne et le pie
, on Irouve la face interne ventriculaire des circonvolutions de la région sphéno-occipitale correspondant à gauche au pla
in lucidum. Absen- ce complète do fibres longitudinales dans la région sous-optyue de la capsule interne et le pied
ant vu de la cavité ventriculaire que de l'extérieur. Dans toute la région de la convexité et de la face interne des hémis
cette membrane est mince, bien que d'épaisseur variable suivant les régions , et présente un aspect finement grenu. Le corps
aux arqués appliqués sur l'olive bulbaire (Narc, Fig. 210). Dans la région bulbaire inférieure, au niveau de l'entre-croisem
ones presque complètement dépourvues de fibres à myé- line dans les régions correspondant aux faisceaux pyramidaux directs et
um lucidum. Absence complète do fibres longitudinales dans la région sous-opti- quc do la capsule in- terne et le
postérieur de la capsule interne. Mais elles n'existent que dans la région thalamique de la capsule, on ne les rencontre que
interne : la moitié inférieure de la capsule interne, à savoir les régions thalamique inférieure et sous-thalamique (Fi=.20r
traversent la capsule interne pour se rendre du corps stri( à la région antéro-ventrale du thalamus, ar corps de Luys,
calotte pédonculaire L'espace occupé dans un cerveau norma par la région sous-thalamique de la capsul( interne est envah
mal forint par la zona incerta (Zi, Fig. 20 el 205) qu sépare la région ventrale du thalamus du globus pallidus et du c
um lucidum. Absence complète do fibres longitudinales dans la région sous-opti- 1- que do la capsule in- terne et
lucide, a donné naissance à des circonvolutions cérébrales dans les régions interne supérieure, inférieure, antérieure et p
sie du septum lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interne et le pie
en outre, la partie repliée de l'écorce et la masque en Fic. 215. - Régions de la corticalité détruite par la porencéphalie d
Fig. 222 à 227, 229 et 230.) Cette disposition n'existe pas dans la région occipitale où l'on distingue une pointe, une fa
ieure et une face externe ou convexe, mais elle se retrouve dans la région pariéto-temporale où l'écorce du gyrus supramargi
hérique devient alors superficielle pour redevenir profonde dans la région orbitaire des lobes frontaux (Fig. 216). Par suit
cerveau. En arrière de lui, on trouve, en effet, de chaque côté, la région orbitaire du lobe frontal avec sou sillon cruci
sie du septum lucidum. Absence de libres longitudinales dans la région sous- optiquo de la capsule interne et le pie
cavité ventriculaire la sépare de la lame (lih), qui occupe dans la région orbitaire le fond de la scissure jnterhémisphériq
s la soudure du manteau céré- bral aux ganglions de la base dans la région où la capsule interne se continue avec le FiG.
s vertico-transver- sales sériées, les ganglions de la base avec la région oibitaire du lobe frontal et la partie adjacent
du ventricule (VJ). Elles s'y concentrent encore davantage dans la région pariétale, lorsque la cavité ven- triculaire, d
e du septum 1 ucidum..A bscncc de fibres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interno et le pie
sie du septum lucidum. Absence de libres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule intorno et le pie
e du ventricule en une couche infiniment plus épaisse que celle des régions pariéto-occipitale, puis se continuent en une trè
al passant en avant de la ligne de repère 4 de la figure 213, dans la région de la cavité ventriculaire commune qui correspo
lleux. Cette coupe intéresse la circonvolution godronnée (Cg) dans la région où elle se continue avec le toenia tecta. Le fa
la plupart des coupes (Fig. 224, 225). Lorsque l'on s'approche des régions antérieures du manteau, le faisceau supérieur d
ns de la base au centre ovale - elles changent de direction dans la région du pied de la couronne rayonnante, deviennent s
de chaque côté la base de la circonvolution du corps calleux dans la région où le Fig. 22 - Cas Richard. Coupe vertico-tran
io du septum 111cidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interne et le pie
let et le tronc du corps calleux font défaut (Fc, Fig. 223). Dans les régions anté- rieures de l'hémisphère, on voit de chaqu
stitue, le faisceau sagittal dimi- nue, puis disparaît, et dans les régions antérieures du manteau, les fibres calleuses fo
la coupe intéresse, l'écorce située immédiatement en arrière de la région étranglée du lobe frontal (voy. Fig. 2H et 21G).
s'épanouissent dans l'épaisse membrane épendymaire (Ep), dans une , région où il existe de nombreux îlots hétérotopiques de
sie du septum lucidum..\Lsence de fibres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interne et le pie
. Fig. 227. - Cas Richard. Coupe horizontale oblique passant par la région thalamique ' de la capsule interne, et sectionn
tion godronnée (Cg), et le pilier postérieur du trigone (Tgp) dans la région où il s'infléchit en avant pour se continuer av
. - Cas Richard. Le segment postérieur de la capsule interne 'dans la région sous-thalamique. La partie antérieure du segmen
nique; il fait complètement défaut dans la moitié postérieure de la région thalamique, où la zone réticulée (Zr) anormalemen
la couronne rayonnante et s'irradient dans le pulvinar (Pul); cette région contient un certain nombre d'amas hétéroto- piq
sio du septum lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interne et le pie
ie du septum lucidum. Absence de .il)res longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interne et le pie
segment postérieur de la capsule interne (Cip) n'existe que dans la région correspondant au segment interne du globus pallid
firmer que le segment antérieur de la capsule interne (Cia) dans la région thalamique inférieure (Fig. 226 à 228) contient d
etit faisceau, faisceau géniculé (Cig), Fig. 227), occupent dans la région sous-thalamique la partie antérieure du segment p
doncule cérébral (Fi, Fig. 231), puis s'épuisent rapidement dans la région protubérantielle supérieure. Quelle est l'origi
- Inc. 230. - Cas Richard. Loupe horizontale oblique passant par la région sous- optique, le corps de Luys (CL), le noyau
irmeraient l'existence de fibres cortico protubérantielles dans les régions antérieures (face orbitaire) de l'hémisphère. La
al, il contient néanmoins un grand nombre de fibres dans toute la région thalamique de la capsule. Il ne peut exister au
nterne pré- sente du l'ente une disposilion diffé- rente dans les régions thalamique (Fig. 227) et sous-thalamique de la
us, -le segment postérieur de la capsule s'étend néanmoins dans cette région du genou de la capsule à la queue du noyau caud
tion un peu plus antérieure qu'à l'état normal (Fig. 227). Dans les régions thalamique inférieure et sous-thalamique (Fig.
faisceau lenticulaire de Forel qui le cloisonnent. Mais dans toute la région qui s'étend de la lame médullaire interne du no
sie du septum lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous- optique de la capsule interne et le pie
56. - Vulpian. Influence de l'abolition des fondions des nerfs sur la région de la moelle épinière qui leur donne origine. A
u il des mouvements des membres du côté opposé. Ils désignèrent ces régions sous le nom de cen- tres psycho-moleurs. Les
'une lésion du obule paracentral uu de l'extrémité supérieure de la région rolandique (tu- meur, plaques de méningite, foy
u nez - et dépendent d'une lésion occupant le quart inférieur de la région rolandique. Dans ces cas le facial supérieur n'es
dique, et remontant' en s'atténuant jusqu'à la partie moyenne de la région rolandique. Dans les derniers mois de sa vie, ce
rucial. Pour Masini (1888), cette zone s'étendait en arrière sur la région motrice proprement dite. En 1889 et 1890, Semon e
'extrémité infé- rieure du sillon précentral. L'excitation de cette région produit chez l'animal en expérience une contrac
en en avant et au-dessus du centre phonateur. L'excitation de cette région détermine une contraction bilatérale des abduct
chez l'homme. Chez le macaque (Fig. 239), la zone motrice occupe la région rolandique, empiète zono motrice du en avant su
progression est : épaule, coude,poignet, main, lorsqu'on excite les régions élevées de la zone; elle suit un ordre inverse, -
se, - pouce, doigts, poignet, coude, épaule, - lorsqu'on excite les régions inférieures. Dans les régions moyennes, le mouv
coude, épaule, - lorsqu'on excite les régions inférieures. Dans les régions moyennes, le mouvement commence par une des ai ti
on ou plus souvent l'extension des orteils. Lorsqu'on électrise les régions antérieures de la zone, à la flexion du pied et
ENTRES NERVEUX. Zone de la face. Sa division chez le macaque. Région faciale su- périeure. Région faciale in- fé
. Sa division chez le macaque. Région faciale su- périeure. Région faciale in- férieure. chez le macaque. L'exci
aux. Horsley et Schafer divisent cette zone chez le macaque en deux régions : l'une supé- rieure, la région faciale supérie
cette zone chez le macaque en deux régions : l'une supé- rieure, la région faciale supérieure dont l'excitation entraîne le
et l'élévation de la commissure la- biale ; l'autre inférieure, la région faciale inférieure, dont l'excitation détermine d
langue et des mâchoires analogues à ceux de la mastication. Dans la région faciale supérieure, on trouve contigu au centre d
ral de l'élévation de la commissure labiale du calé opposé. Dans la région faciale inférieure, on trouve échelonnés d'avant
contraction bilaté- rale des adducteurs de la glotte. Dans toute la région faciale inférieure, on obtient en outre des mou
, ainsi que Ferrier l'a signalé, l'excitation de la FiG. 241. - Les régions sensitivo-motrices de l'écorce cérébrale du singe
es, l'ouverture de la bouche, la moue des deux lèvres. FiG. 242. La région motrice de la corticalité cérébrale de l'orang (s
yeux. Son siège chez le macaque. Son siège chez l'orang. La région exci- table de la capsule interne chez le ma-
sillon prérolandique. Ferrier a montré que l'exci- tation de cette région est suivie d'une déviation conjuguée des yeux et
attention et de l'étonnement, - et que la destruction de cette même région détermine une dévia- tion conjuguée de la tête
encore être obtenus, ainsi que Ferrier l'a montré, en excitant des régions postérieures de l'hémisphère, le pli courbe, la p
hau- teurs. - Dans la Fig. 243 empruntée aux auteurs précédents, la région excitable de la capsule interne est inscrite su
horizontales, étagées de haut en bas. - Ces coupes montrent que la région excitable de la capsule occupe dans la région tha
coupes montrent que la région excitable de la capsule occupe dans la région thala- mique supérieure (I) la presque totalité
I et III), la partie inexcitable du segment antérieur augmente, une région inexcitable apparaît à la partie postérieure du s
e partie de son segment postérieur. Sur les coupes qui intéressent la région thalamique moyenne et le globus pallidus, la zo
s IV et V), puis elle se ramasse sur elle-même et n'occupe dans les régions thalamique inférieure et sous-thalamique que le g
ste donc une zone inexcitable qui apparaît à peu près à l'union des régions thalamiques supérieure et moyenne, s'ac- croît
mesure que l'on descend et acquiert sa plus grande étendue dans la région sous-thalamique aux confins du pied du pédoncule
ont montré que lorsque, sur la Fig. 2H représentant les différentes régions excitables de l'écorce du macaque, on tire des
vaux de Tripier (1877), que les lésions partielles ou totales de la région rolandique, - c'est-à-dire de la zone dite motr
rémité supérieure ils sont d'autant plus accusés que l'on examine des régions plus éloignées de la racine du membre; la main,
ar- tielles ou totales dues à des lésions nettement localisées à la région rolandique, s'accompagnent toujours de troubles
troubles sensitifs jouent un rôle si prépondérant, qu'il désigne la région rolandique sous le nom de zone sensible (1 ! ihls
que des troubles moteurs et sensitifs consécutifs aux lésions de la région rolandique. Mais tandis que Tripier, Wernicke, Pe
t, Schafer identifient la zone motrice et la zone sensitive dans la région rolandique; d'autres auteurs, tels que Charcot,
thnagel, Ferrier, v. Monakow, localisent la zone sensitive dans une région distincte de la zone motrice. Ferrier place la zo
it suffit donc pour affirmer les fonctions sensitivo-motrices de la région rolandique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉ
us n'avons constaté de troubles de la sen- sibilité, bien que cette région , ainsi que le pli courbe du reste, fussent lésés
les du sens musculaire s'observent à la fois dans les lésions de la région rolandique et dans celle de la partie antérieure
roite entre les différents segments de la rétine et les différentes régions de la sphère visuelle corticale, c'est-à-dire une
degrés en dehors, respectant ainsi l'intégrité fonctionnelle de la région maculaire. Ce fait, qui explique comment l'hémi
erçue, a reçu diverses interprétations. - Wilbrand admet que chaque région maculaire rétinienne est en connexion à la fois a
eut plus être admise aujourd'hui. Pour v. llonal : ow enfin, aucune région corticale du lobe occipital et de la partie posté
le sensitivo-motrice et la zone corticale auditive de l'homme. Mai, région sensitivo-motrice corticale du membre inférieur.
Mai, région sensitivo-motrice corticale du membre inférieur. - .VS, région sensitivo- motrice corticale des membres supéri
S, région sensitivo- motrice corticale des membres supérieurs. - F, région sensitivo-motrice de la face. - Jf centre corti
ces, auditives, visuelles, sont bilatérales et représentées dans deux régions symétriques des hémisphères, la zone du langage
es des mots occupe, comme l'un de nous a contribué à le montrer, la région du pli courbe. Chacun de ces centres tire sa sp
s d'articulation est immédiatement accolé à l'opercule rolandique, - région des centres moteurs de la face, du larynx, du p
Pathologie générale du professeur Bouchard, Paris, 1900. 2. Cette région correspond du reste, ainsi qu'on l'a vu plus haut
uit non seule- ment les fibres de projection et commissurales de la région , mais encore les fibres d'association qui relie
e du centre, elle sectionne les longs faisceaux d'association de la région . C'est lorsque l'on étudie des cerveaux patholo
e situation d'autant plus en arrière du genou qu'ils proviennent de régions plus supérieures de la zone rolandique. Lorsq
expérimen- tale que le deuxième quart moyen de Cip correspond à la région rolandique moyenne, - centre du membre supérieu
membre supérieur, - et que le troisième quart moyen correspond à la région rolandique supérieure, - centre du membre inférie
ne relèvent pas de la localisation d'une lésion dans telle ou telle région de l'hémisphère. Charcot localisait l'hémichoré
miplégie cérébrale infantile à la suite de lésions corticales de la région rolandique, tout comme à la suit( de lésions du
ologi e pathologique, et non d'une localisation anatomique. Dans la région sous-thalamique de la capsule interne, les locali
nte déjà il cette hauteur le pie( du pédoncule cérébral. Dans cette région , les fibres de projection de la régioi motrice
t elles sont refoulées en avan par le faisceau de Tiirck venu de la région temporale. Une lésion des fibres mo trices dans
de la région temporale. Une lésion des fibres mo trices dans celte région ne donnera jamais naissance à une monoplégie, mai
issement du champ visuel du côté opposé. Si la lésion siège dans la région thalamique infé- rieure et, détruisant le segme
- le tiers postérieur du segment postérieur (Cip) est lésé dans la région thalamique moyenne de la capsule interne, il n'ex
S CENTRES NERVEUX. Kilo relève d'une lésion du thalamus dans la région du ruban de Reil. fraîches. D'un autre côté,
une lésion en foyer, il faut encore que cette lésion siège dans une région spé- ciale de ce ganglion, à savoir, en avant d
s la partie postérieure et inférieure du noyau externe du thalamus ( région du ruban de Reil). Nom- breuses en effet sont l
postérieur de la capsule interne et du thalamus, siégeant dans les régions thalamiques supérieure ou moyenne de la capsule
rieur de la capsule interne et la couche optique sont lésés dans la région thalamique de la capsule, il existait ! une hém
l'on observe lorsque la partie postérieure de Cip est lésée dans la région thalamique inférieure ou dans la région sous- tha
re de Cip est lésée dans la région thalamique inférieure ou dans la région sous- thalamique, sont-ils la conséquence de la
rtie postérieure de Cip, les lésions de cette partie de Cip dans la région thalamique supérieure devraient produire de l'a
arions movements produced by stil1wlating in the iiioiiliey différent régions ofthe cortical centre for the zippe, limb as de
the ocular muscles on excitation of the frontal and occipito-temporal régions of the brain. Brain, 1888. - G. S. SCHERRINGTON
e cérébral. Quant à la première circonvolution limbique - véritable région de transition entre le rhinencéphale et le mant
idales petites et moyennes du tubercule olfactif, relieraient celle région à la formation ammonique par l'intermé- diaire
versent d'avant en arrière J'aire olfactive (Aol), c'est-à-dire les régions basales du cerveau antérieur (partie inférieure
trajet, entrent dans la constitution des fibres longitudinales de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
'aire olfactive. Les fibres commis- surales relient les différentes régions d'un lobe olfactif à celles du côté opposé par
ant l'aire olfactive, la partie antéro-interne du thalamus et de la région sous-thalamique et sectionnant les radiations o
les de la corne frontale et correspond assez exactement, dans cette région , au genou de la capsule interne. A la hauteur d
érieur du trigone. FiG. 255. Les radiations strio-thalamiques de la région thalamique moyenne et le contingent thalamique
e de la circonvolution du corps calleux, soit entre elles, soit aux régions basales du cerveau anté- rieur : septum lucidum
fibres de projeclion, enfin, unissent ces mêmes circonvolutions aux régions basales des cerveaux intermédiaire et moyen (tu
basales des cerveaux intermédiaire et moyen (tubercule mamillaire, région sous-optique, calotte protubérantielle). Étant
entée par les cylindres-axes des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon et par les cylind
ulaire (Alv) reçoit les cylindres-axes des cellules pyramidales de la région hippocampique de la corne d'Ammon et du subicul
émisphère un aspect et une surface de section variables suivant les régions . L'(ilvezi.9 existe seul sur les coupes (Fig. 2
inférieure en deux parties droite et gauche, qui, accolées dans la région du corps du trigone (Fig. 227) par une mince
. - Fol, faisceau olfactif du trigone ; fol, fascicules olfactifs des régions antérieurs du septum lucidum. - fTc, faisceau d
nale de Broca) et se terminent finalement autour des cellules de la région . Les fibres les plus longues atteignent la circ
et Fig. 263), s'en- foncent dans la substance grise centrale de la région sous-optique, puis du tuber cinereum, pour se d
re intimement adhérente au septum lucidum (Fig. 41, p. 58). Dans la région sous-optique (Fig. 263), chaque pilier antérieu
e la partie anté- rieure de la couche optique. Il croise dans cette région (Fig. 25 i) : 1° le lænia semicircularis (tsc),
i en abandonne. Les rapports du pilier antérieur du trigone dans la région sous-optique et du tuber cinereum se voient ave
thode de Weigert.) 12/1 Gran- deur nature. Ses rapportsÇdans la région sous-opti- que. Dans l'espaco`,op- to-pédon
tum lucidum (PSI). Dégénérescence partielle du taenia thalami dans la région adjacente au pilier antérieur du trigone. Dégén
rieure de la paroi externe de la corne sphénoïdale, et occupent une région d'autant plus supérieure et voisine de la voûte d
posé et représentent de simples fibres com- missurales reliant deux régions symétriques des cornes d'Ammon. D'autres devienne
ar l'intermédiaire du fornix longus, la corne d'Ammon d'un côté aux régions antérieures du rhinencé- phale du côté opposé o
oisinage de la substance perforée posté- rieure, puis entre dans la région sous-thalamique de Forel (Fig. 277). Situé d'ab
suite en dedans de l'anse lenticulaire et du corps de Luys. Dans la région sous-thalamique, à la hauteur du corps de Luys
s collatérales du faisceau. - E, commis- sure intermamillaire. - F, région intérieure du noyau interne du tubercule mamill
et serré, formé de fines fibres parallèles. A son origine dans la région sous-thalamique de Forel, au niveau du point de
le antérieur de la couche optique (Fig. 253 et 254). Arrivé dans la région thalamique supérieure (Fig. 3 I 0), le faisceau d
t ensuite au-dessous et en dehors du noyau rouge (Fig. 277) vers la région du ruban de Reil médian (Fig. 3 ? lui., 23), au d
uhan de Reil médian, une autre enfin s'épanouit en éventail dans la région du ganglion interpédon- culaire, entoure le fai
eitsch. f. m-isseiiscliaftl. Zoologie, Bd. XXXVIII, 1883. Cvllkja. La région olfatoria. Madrid, 1893. - C.\JIL. Apuntes para
PITRE VII GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE, RÉGION SOUS-OPTIQUE I. - STRUCTURE ET CONNEXIONS DU CO
e possèdent pas de cou- ronne rayonnante couche optique et à la région sous-optique, en particulier au corps de Luys.
me des fibres de projection corticale envoie au corps strié et à la région de la calotte, qu'à l'inactivité fonctionnelle de
région de la calotte, qu'à l'inactivité fonctionnelle de ces mêmes régions . Le cas Rivaud (p. Cil, Fig. 142 à t62) en est
r du pes lemniscus profond (PLp), dont les fibres s'accolent dans les régions pédonculaires inférieures au ruban de Reil médi
férieures au ruban de Reil médian, mais s'en séparent déjà dans les régions protubérantielles supérieures, de telle sorte que
l'intégrité du ruban de Reil médian est absolument parfaite dans la région protubérantielle inférieure et dans son trajet
artie profonde du noyau externe que nous avons désignée sur le nom de Région du ruban de Reil médian (Hg Rm, Fig. 284). Elle
médullaire externe (Lme), du centre médian de Luys (Nm) et de la région du ruban de Reil médian (RgRm). Intégrité du ru
médian (RgRm). Intégrité du ruban de Reil médian (Fig.28S) dans la région pé- donculaire supérieure. - Dégénérescence p
interne, mais intéresse également quelques fibres radiées. Dans la région sous-thalamique (Fig. 284) on voit ces libres d
térieure du segment poslérieur (Cip) de la capsule interne dans ses régions thalamique (Fig. 287) et sous-thalamique (Fig.
lobus pal- lidus et du corps de Luys. ;oupes qui passent par la région thalamique supérieure la dégénérescence intéresse
es rois noyaux thalamiques, externe, interne et antérieur. Dans les régions thalamiques moyenne.(Fig. 287) et inférieure (F
du noyau externe, en particulier sa couche ventrale, au niveau de la région du 'uban de Reil médian et s'étend au centre mé
des radiations strio-luysiennes. Coupes horizontales passant par la région thalamique moyenne (Fig. 287), la région thalamiq
orizontales passant par la région thalamique moyenne (Fig. 287), la région thalamique inférieure aux confins de la région
yenne (Fig. 287), la région thalamique inférieure aux confins de la région sous-optique (Fig. 288) et le pied du pédoncule c
e grise de toute la moitié posté- rieure du globus pallidus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dans
us dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dans la région thalamique (Fig. 287), la dégénérescence n'occupe
ence n'occupe que la moitié postérieure du globus pallidus; dans la région sous-thalamique (Fig. 288), une partie des fibres
rtico-sous-thalamiques), le corps strié à la couche optique et à la région sous-optique, en particulier au corps de Luys et
fascicules ou radiations du noyau caudé ne présentent, suivant les régions , ni la même direction ni la même longueur. Ceux
e globus pal- lidus. FIG. 290. - Coupe horizontale intéressant la région de transition entre le pied de la couronne rayo
région de transition entre le pied de la couronne rayonnante et la région thalamique delà capsule interne. Cette coupesec-
t postérieur de la capsule interne (Cip) qu'ils traversent dans les régions thalamique inférieure et sous-thalamique. Ils s
au segment rélro-lenliculaire (Cirl) et dans le sens vertical de la région thalamique moyenne à la limite inférieure de la r
rtical de la région thalamique moyenne à la limite inférieure de la région sous-tha- lamique. Plus étendue que les autres
intl'a-Icl1tlCulall cs. Fie. 291. Coupe horizontale passant par la région thalamique de la capsule interne Cette coupe in
se rendent dans le septum lucidum. - /)>, fibres perforantes des régions antérieures du corps calleux se rendant dans le s
s de projection corlicale. Elles abordent ensuite le thalamus et la région sous-thalamique, et peu- vent, suivant leur hau
e la capsule interne dans les par- tics moyenne el inférieure de la région thalamique et s'irradient dans luc. 292. - Coup
luc. 292. - Coupe horizontale passant par la partie intérieure de la région thalamique et intéressant le genou de la capsul
t plus nombreuses que l'on s'approche de la partie inférieure de la région thalamique de la capsule interne en particulier d
psule interne en particulier de la zone de transition qui sépare la région thalamique de la région sous-thalamique (Fig. 2
lier de la zone de transition qui sépare la région thalamique de la région sous-thalamique (Fig. 292). Cet aspect, très ap
ud est très démonstrative à cet égard. Dans la partie moyenne de la région thalamique (Fig. 293), les radiations strio-tha
circularis (tsc) et les radia- tions strio-thalamiques (Rsth) de la région thalamique moyenne, dans un cas d'hé- miplégie
ion des fibres radiées du thalamus. Dans la partie inférieure de la région thalamique (Fig. 294), les radiations strio-thala
s strio-luy- siennes (RsL); les troisièmes contournent en dehors la région sous-thala- mique de la capsule interne à sa li
e et s'ir- radient dans l'extrémité antérieure du thalamus et de la région sous- optique, en formant l'anse du noyau lenti
oyazc len- tuc. 294. Les radiations strio-thalamiques (ttstn) de la région thalamique intérieure dans un cas d'hémiplégie
. 3° L'anse lenticu- laire. FiG. 295. - Coupe horizontale de la région sous-thalamique de la capsule interne inté- tér
q d'Azyr (VA) (Fig. 45 et T. le', Fig. 319 et 320, p. 639). Dans la région sous-optique, une partie des fibres de l'anse len
posté- ' rieur do la capsulo ; interne. Ses rapports dans la région sous-op- tique. Son irradiation dans le tha
orps strié, tandis que l'anse lenticulaire relèverait surtout de la région ventrale et antérieure. Lorsqu'on examine au po
ions strio-luysienncs un grand nombre de fibres saines qui, dans la région sous-thalamique, tra- versent ou contournent en
ou moins dégénérées et s'irradier dans le corps de Luys (CL) et les régions ventrales du tha- lamus. La pénétration en pinc
par- ties moyenne (Fig. ? 9G) et inférieure (Fig. 297 et 298) de la région thalamique : 1° Dégé- nérescence du segment pos
u thalamus. Dégéné- rescence du centre médian de Luys (Nm) et de la région dite du ruban de Reil médian. 2° Lésion du puta
. Dégénérescence de la partie antéro-inférieure du thalamus dans la région du faisceau thalamique (Fth) et du champ de For
e oblique, paral- lèle à la bandelette e optique passant par la région sous-thalamique. Dégénérescence de la partie
la zone de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Dégénérescence cle la région du ruban de Reil médian (RgRm) et de la commissur
de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral, qui, dans la région pédonculaire inférieure, 'envoie par le pes lem
dégénérescence de toutes les catégories de fibres striées. Dans la région thalamique de la capsule interne (NL3, Fig. 296),
rne et qui s'irradient dans le noyau externe du thalamus et dans la région occupée par le faisceau thalamique de Forel (Ft
ntérieure du thalamus (Fig. 296). Dans la partie inférieure de la région thalamique (Fig. 297), au voisinage de la sub-
que dans le noyau lenticulaire du côté opposé (Fig. 301). Dans la région sous-optique (Fig. 299), il existe : 1° en avant
: 1° en avant du corps genouillé interne, une dégénérescence de la région du ruban de Reil médian (Rg Rm), qui fait suite s
générées diminuent rapidement d'intensité de haut en bas et dans la région du pédoncule cérébral (Fig. 300), le noyau roug
nt que quelques grains isolés qui disparaissent rapidement. Dans la région sous-optique (Fig. 299), il existe, en outre, u
lésions extra-striées par lésion directe de ces faisceaux clans la région antéro-ventrale du thalamus. Les lésions de cet
x clans la région antéro-ventrale du thalamus. Les lésions de cette région dont l'irrigation esl assurée par l'artère comm
n bas, en dehors et en avant, passant par le foyer thalamique et la région sous-thala- mique. Dégénérescence de la partie
. La dégénérescence est en effet particulièrement manifeste dans la région du globus pallidus adjacente à la zone capsulaire
de corpuscules granuleux de Glugge. Dans la partie inférieure de la région sous-thalamique, cette dégénérescence s'étend au
uise très rapi- dement (Fig. 309) et disparaît complètement dans la région pédonculaire inférieure, lorsque le pédoncule c
o et de la capsule de ce noyau pouvant être suivie jusqu'à la région pédonculairo inférieure. Intégrité du ruban d
rajet pédonculaire (Fig. 308 et 309). Ce n'est en effet que dans la région protubérantielle supérieure, lorsque les fibres
yau rouge sont des fibres de court trajet qui ne dépassent guère la région pédonculaire inférieure. D'après Edinger, le sy
er est en connexion étroite avec la corticalité, qu'il reçoit de la région rolandique un grand nombre de fibres de projectio
e du thalamus ; v. Tschisch et Flechsig décrivirent dans cette même région ventrale un noyau aplati et arqué, d'aspect semil
graduelle et insensible, et il s'agit plutôt dans l'espèce de deux régions d'un seul et même noyau, que de deux noyaux dis
s du thalamus avec la corticalité cérébrale, d'une part, et avec la région de la calotte, d'autre part. Pour v. Kôl- liker
rattache, chez le lapin, à la face interne de l'hémi- sphère, à la région qui correspondrait au lobule paracentral, à la ci
rontale interne et à la circonvolution limbique, et considère cette région comme la zone corticale du noyau antérieur. Nos r
ent sans ligne de démarcation appréciable (Fig. 21, p. 31). Dans la région thalamique moyenne (Fig. t3, p. 63), la limite
éline. Ces cellules sont d'autant plus petites que l'on examine des régions plus rapprochées de la substance grise centrale
centrale (v. Monakow). Le noyau interne reçoit, surtout dans ses régions antérieures, de nombreuses fibres radiées qui l
ainsi que le noyau interne, à la suite de lésion destructive de ces régions (Voy. cas Moriceau, p. 147). Pour v. Monakow, l
postérieur de la capsule et le noyau externe du thalamus, dans les régions thalamiques moyenne et inférieure. Centre média
an de Luys, que nous avons désignées sur nos figures sous le nom de région du ruban de Reil médian, et à laquelle font sui
région du ruban de Reil médian, et à laquelle font suite, dans les régions inférieures, les radiations de la calotte (RC)
des connexions importantes avec la corticalité cérébrale et avec la région de la calotte. Dans sa partie supérieure et moy
s fibres cortico-protuhérantielles et cortico-médullaires. Par la région de la calotte et par la région sous-optique, le c
les et cortico-médullaires. Par la région de la calotte et par la région sous-optique, le centre médian de Luys reçoit u
o-lim- bique. - II, bandelette optique. Ses connexions av ec la région de la calotte, en particu- lier avec le ruban
e (com)à laquelle elle envoie de nombreuses fibres. Dans cette même région , la courbe de la partie postérieure de la lame mé
re interne s'accentue et sépare le centre médian de Luys (Nm) de la région du ruban de Reil médian (rgRm), du bras du tube
en dehors du faisceau tlialamique de Forel (Fth). Aux confins de la région sous-optique enfin (Fig. 312), la lamc médullai
s fibres dans GANGLIONS tNFRACOR'HCAUX : COUCHE OPTIQUE 3 : i3 la région sous-optique : les antérieures se joignent au fai
es situées au voisinage du centre médian de Luys se rendent dans la région du ruban de Reil médian. La lame médullaire i
ames médullaires internes, les autres se recourbent en bas dans les régions ventrales de la couche optique et se joignent aux
verticales et sagittales sont croisées par les faisceaux radiés des régions antéro-externes du thalamus (Fig. 310), qui trave
ale ; d'autres représentent des libres terminales pro- venant de la région sous-optique ou de la calotte du pédoncule cérébr
a lame médullaire interne est en effet en connexion étroite avec la région sous-optique et elle contient, à côté de fibres q
et sagittales, il occupe toute la hauteur du thalamus, repose sur la région sous-thalamique de Forel et décrit une courbe a
oupes vertico-transversales. Tant que ces dernières passent par les régions antérieures du thalamus, elles n'intéressent que
216, p. 378). Par sa face inférieure le noyau externe repose sur la région sous- optique de Forel (Fig. 310, 311, 312 et 2
n éperon d'autant plus saillant, que l'on s'approclie davantage des régions ventrales du noyau externe (Fig. 21, p. 31 et u
s ventrales du noyau externe (Fig. 21, p. 31 et u3 p. 63). Dans ces régions , le noyau externe est séparé du pul- vinar par
de projection corticale il la suite de lésions destructives de ces régions (p. 91 et suiv.). .Ses fibres radiées. Consti
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 2° a^ ce le corps strié ; : ! avec la région de la calotte. Le secteur moyen de l'hémisphè
eutrage d'autant plus dense et plus serré que l'on s'approche de la région sous- optique. Les fibres externes appartiennen
les deux quarts moyens du noyau externe, et qui se continue dans la région sous-optique avec le champ de Forel et Biblioth
médian de Luys et le corps genouillé interne; elles occupent cette région que nous avons désignée sur nos coupes sous le
cette région que nous avons désignée sur nos coupes sous le nom de région du ruban de Reil médian (RgRm) (Fig. 47, p. 69 et
médian (RgRm) (Fig. 47, p. 69 et Fig. 312) et se continuent dans la région sous-optique et dans la calotte pédo nculaire a
adiations de la calotte. Le ruban de Reil médian est formé dans ces régions par un dense feutrage de fibres qui entoure la
médullaire externe s'épaissit en bas et surtout en arrière, dans la région du pulvinar, où elle concourt à former la zone
ncée au niveau du noyau externe, mais beaucoup plus accusée dans la région du pulvinar. Ici elle refoule en dehors la zone r
prolongement du segment postérieur (Cip) (Fig. 21, p. 31). Dans la région du noyau externe, la lame médullaire externe est
es delà lame médullaire externe. Elles sont peu nombreuses dans les régions supérieures du tha- lamus, mais augmentent rapi
ieures du tha- lamus, mais augmentent rapidement de nombre dans les régions infé- rieures ou ventrales où elles s'unissent
ue de Forel (Flh) qu'elles concourent en partie à former. Dans la région du pulvinar (Pul), la lame médullaire externe s'é
. Lame médullaire externe. Son étendue. Son a'-pect dans la région du no) au externe. Son aspect dans la régio
a'-pect dans la région du no) au externe. Son aspect dans la région du pnh lI1ar. 358 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ant ou d'une faux. Pauvre en fibres à myéline, mais entouré par des régions qui en sont abondamment pourvues, le noyau semi
au thalamique de Forel (Fth); en arrière, il ebt en rapport avec la région du ruban de Reil médian (RgRm) (Fig. 47 et 312);
an de Reil médian (RgRm) (Fig. 47 et 312); en bas, il repose sur la région sous-optique et en particulier sur les radiations
dehors en décrivant une légère courbe à convexité externe. Dans les régions ventrales du noyau externe, elle se place en de
dernier un angle obtus ouvert en dehors (Fig. 43, p. 63). Dans les régions thalamiques inférieures, cet angle se ferme peu
té- GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 359 Fic. 312. - La région ventrale du thalamus, le noyau semi-lunaire de Fl
re de la capsule interne. Coupe horizontale passant aux confins des régions thalamique et sous-thalamique et sectionnant les
s. - 7 ? pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - rg Rm, région du ruban de Reil médian. - RTh, radiations optiqu
eur. Elles sont étoilées, multipolaires, et présentent, suivant les régions , un groupement un peu spécial. Dans la zone rét
mé- dullaire interne. Du côté de la lame médullaire externe et des régions ventrales du noyau externe, les cellules devien
très serré d'autant plus dense que l'on se rapproche davantage des régions ventrales du noyau externe et du faisceau thala
et correspond à cette partie que nous avons désignée sous le nom de région du ruban de Reil médian (RgRm). Le troi- sième,
en grande partie au développement considérable que prend dans cetle région la lame médullaire externe du pulvinar qui consti
an de Luys (Nm). Plus bas encore (Fig. 47, p. 69), aux confins delà région sous-optique, le corps genouillé interne (Cgi)
trigone et son insertion sur le bourrelet du corps calleux, dans la région où il fait suite au pilier postérieur. - Tgp, le
toilées, de dimensions variables. Les petites cellules occupent les régions internes du pulvinar et se disposent en petits
ital, et en particulier de la zone visuelle et s'irradient dans les régions inférieures et moyenne du pulvinar. Comme le stra
optiques de Gratiolet). Il résulte de cet entre-croisement que les régions inférieures du pulvinar dégénèrent, soit à la s
rapport avec la substance grise du pulvinar (Fig. 313), et dans les régions inférieures (Fig. 312 et 47, p. 69)avec le bras d
orizontales (Fig. 28, p. 43 et 47, p. 69), apparaît aux confins des régions thalamique et sous- thalamique. Il se présente
ique de Forci (FLh), du noyau semilunaire de Flechsig (NF) et de la région du ruban de Reil mé- clian (rgRm) (Fig. 47, p.
'écorce de la première circonvolution temporale (T,). De celte même région corticale parlent des fibres de projection cortic
n. 24 Il Ses connexions cor- ticales. Ses connexions avec la région de la calotte et le ruhan do Reil latéral.
aris et le ganglion de l'habenula, assurent ses connexions avec les régions antérieures et postérieures du rhinencéphale .
t sur le thalamus, si elles nous ont montré également que certaines régions de la corticalité sont en rapports plus in- tim
cas Hilaire, Fig. 286 p. 313) la dégéné- * rescence occupe, dans la région thalamique dorsale ou supérieure, les noyaux exte
e), interne (Ni), antérieur (Na) et la zone réticulée (Zr) ; dans les régions thalamiques moyennes et inférieures la dégénére
le centre médian de Luys (Nm), et occupe plus particulière- ment la région du ruban de Reil médian (rgRm) et celle du faisce
(CNR), mais elle ne s'étend ni au ruban de Reil médian (Rm) dans la région pédoncu- laire supérieure, ni au pédoncule céré
ond, etc.) que la voie pédonculaire envoie au ruban de Reil dans la région pédonculo-protubérantielle et qui abandonnent à
e optique traitées par la méthode de Marchi, on ne constate dans la région sous-optique et pédonculaire supé- rieure qu'un
égère quoique manifeste du ruban de Reil médian, renforcée dans les régions protubérantielles par la dégénérescence du pes le
dégénérescences secondaires. Dans les lésions sous-corticales de la région rolandique ou dans celles qui section- nent les
faisceau thalamique de Forel, des radia- lions de la calotte, de la région du ruban de Reil médian, s'irradient dans toute
te, de la région du ruban de Reil médian, s'irradient dans toute la région ventrale du thalamus située en avant du pulvinar
t y forment le dense feutrage de libres si caractéristique de celle région . Le faisceau thalamique de Forel (1 tlc), qui n
abordent le thalamus en arrière du faisceau thalamique de Fore). La région du ruban de Reil médian (rgRm) comprend enfin c
eau tim- lamique de Forel, les radiations de la ca- lotte et la région du ruban de Reil mé- dian, et relient le th
ntre que le ruban de Reil médian forme la majorité des fibres de la région du ruban de Reil médian, qu'il se termine surtout
faisceau thalamique de Forel, des radiations de la calotte et de la région du ruban de Reil médian. Il s'irradie principal
e et dans le centre médian de Luys et établit les connexions de ces régions avec l'hémisphère cérébelleux croisé, en partic
escence ne peut guère être suivie (méthode de Marchi) au delà de la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs et de l
éanmoins certain que ces connexions s'établissent uniquement par la région de la calolle. Nos recherches, basées sur l'étu
s de dendrites diver- gentes très étendues, et occupent surtout les régions inférieures du gan- glion de l'habenula. Leur c
t peut-être avec le taenia thalami du côté opposé et se rendent aux régions olfactives du cerveau. Mais le plus grand nombre
millaire. - Plit, pulvinar. - RC, radiations de la calotte. - RrIR, région du ruban de Reil médian ? Sgc, substance grise
elle und pat1wlogisch-allatomische Untersuchungen ùbei die llauben- région , rien Sehhztgel und die Regio subthalamica, nebst
angen, 1881, p. 471-474. 392 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. III. - RÉGION SOUS-OPTIQUE La région sous- optique. Elle
392 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. III. - RÉGION SOUS-OPTIQUE La région sous- optique. Elle représente la partie an
e. Elle représente la partie antérieure sous-thalamiquo de la région de la ca- lotte. Sa direction. Sa limite ét
e établie par le plan du fais- ceau de Jteynert. Sa forme. La région sous-optique ou sous-thalamique (Fig. 21" 28, 33,
311, 323, 324, 325), bien décrite par Forel en 1877, est une petite région aplatie, située au-dessous de la couche optique,
'extrémité antérieure, terminale, sous-thalamique de l'im- portante région de la calotte, région qui s'étend de la substance
terminale, sous-thalamique de l'im- portante région de la calotte, région qui s'étend de la substance perforée antérieure
laris de la moelle cervicale et qui comprend de haut en bas : 1° La région sous-optique; 2° L'étage moyen ou calotte du pé
protubé- rance ; 1° La plus grande partie du bulbe rachidien. La région sous-optique n'est pas située dans l'axe de la ca
sagittales (Fig. 310) que les faisceaux sagittaux qui traversent la région sous-optique et se continuent dans la calotte p
lotte pédonculaire, n'affectent pas la même direction dans ces deux régions . Horizontaux ou légèrement obliques en bas et e
ontaux ou légèrement obliques en bas et en arrière dans la première région , ils deviennent presque verticaux dans la secon
dans la seconde. La limite artificielle établie par Forel entre la région sous-thalamique et la calotte pédonculaire corr
Meynert. Tout ce qui est situé en avant de ce plan appartient à la région sous-optique; tout ce qui est en arrière, à la
sectionne le noyau rouge qui se trouve ainsi à cheval sur les deux régions , son tiers antéro-supérieur appartenant à la ré
l sur les deux régions, son tiers antéro-supérieur appartenant à la région sous-optique, ses deux tiers posléro-inféricurs à
ncule cérébral (Fig. 310, p. 348). Considérée dans son ensemble, la région sous-optique constitue une pyramide horizontale
coupes horizontales, qui passent par la GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 39 : 3 partie inférieure du globu
u'à la commissure molle) sectionnent dans leur partie supérieure la région sous-thalamique, et dans leur partie inférieure l
on- culaire. Ce sont là les conséquences forcées de la fusion de la région sous-optique avec la calotte pédonculaire, ains
que de la courbure du tronc encéphalique. On peut considérer à la région sous-optique quatre faces, un sommet et une bas
e, interne et externe : La face supérieure, située au-dessous de la région ventrale du thalamus, s'étend depuis le tajnia
ntale (Fig. 312, p. 359) qui passe à la limite du thalamus et de la région sous-thalamique. Elle est en rapport d'avant en
le faisceau de Vicq d'Azyr qui traverse la partie antérieure de la région sous-optique; 3° avec la partie inférieure de l
yau interne et le faisceau rétroflexe de Meynert; 6° enfin, avec la région du ruban de Reil médian situé en arrière et au-
troisième ventricule une excellente limite entre le thalamus et la région sous-thalamique; en bas, le plancher du troisiè
tubercules mamillaires, et l'espace intcr-pédonculaire séparent la région sous-optique droite de la gauche (Fig. 323, 324
e droite de la gauche (Fig. 323, 324, 325). La face externe de la région sous-optique, oblique en bas et en dehors, form
en bas. Elle est recouverte par la capsule interne réduite dans la région sous- thalamique, ainsi que nous l'avons vu plu
NTRES NERVEUX. Son sommet et sa base. La couche dorsale de la région sous- optique. Son étendue. Son aspect et s
pied du pédoncule cérébral qui affectent seuls des rapports avec la région sous-optique. Le segment rétro-lenticulaire (Cirl
occupe en effet une situation plus postérieure, il est séparé de la région sous- optique et de la région de la calotte par
plus postérieure, il est séparé de la région sous- optique et de la région de la calotte par les corps genouillés externe et
s corps genouillés externe et interne (Fig. 312). Le sommet de la région sous-optique correspond au pilier antérieur du
la base, en continuité directe avec la calotte pédonculaire el les régions du ruban de Reil médian, n'affecte que des rappor
nar, dont il est toujours séparé par le corps genouillé interne. La région sous-optique ne correspond en effet qu'aux deux t
ux deux tiers anté- rieurs de la couche optique. Constitution. La région sous-optique est essentiellement consti- tuée :
tuée : 1° par une couche de fibres à myéline, la couche dorsale de la région sous-optique ; 2° par un petit amas ganglionnai
petit amas ganglionnaire, le corps de Luys. 1. COUCHE DORSALE DE LA RÉGION SOUS-OPTIQUE. (Fig. 24, 28, 46, 47, 7, 253, 310
10, 323, 321r, 325.) La couche dorsale occupe foute l'étendue de la région sous-optique. Elle s'étale au-dessous de la moiti
otte pédonculaire, et forme à elle seule (Fig. 323) la partie de la région sous-optique située en avant du plan vertico-tr
310, 323, 324, 325, et Fig. 318, T. Ie') large et épais, limite la région sous-optique en bas et tapisse la face interne
Les faisceaux thalamique et lenticu- GANGLIONS 1\rR.ICOR'l'ICAU\ : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 393 laire de Forel sont nettement
al et la substance innominée sous- lenticulaire de Reichert dans la région où elle unit le globus pallidus au noyau amygda
mygdalien et à l'extrémité recourbée de la queue du noyau caudé. La région sous-optique, très étroite, est réduite aux faisc
s sagittales du segment inférieur de la couronne rayonnante dans la région où elles s'inlléchissent en dedans pour se cont
nchevêtrées. Dans le plan des tubercules mamillaires (Fig. 324), la région sous-optique change d'aspect : le corps de Luys
rale du troisième ventricule, la partie supérieure et interne de la région sous- optique, et qui représente le champ de Fo
. L'origine et la terminaison des fibres de la couche dorsale de la région sous-optique est fort complexe. Elle contient d
Internes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS IFRACOUTfCAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 397 ceau thalamique, ni le faisce
aire de Forel n'abandonnent de fibres au ruban de Reil médian (Voy. Région de la calotte, IIIe partie). 2. CORPS DE LUYS (
Le corps de Luys (CL) occupe la partie postérieure et externe de la région sous-optique; il a la forme d'une lentille biconv
du noyau externe du thalamus, en dedans du segment postérieur de la région sous-thala- mique de la capsule interne et du s
de Luys, Sa situation à 1a la partie postéro - ex- terne de' la région sous-optique. Sa forme. Surlescoupesver-
psule interne et l'extrémité anté- rieure de la corne d'Ammon. La région sous-optique comprend le corps de Luys et la couc
zone réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS 1NII1ACORTICAU1 : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 399 p. 35). Plus bas il augmente
ire de Reichert, à la limite du pied du pédoncule cérébral et de la région sous-optique. Il diminue (Fig. 44, p. 64) ensuite
ne est enclavée dans le segment posté- rieur de la capsule interne ( région sous-thalamique) et dans la partie adjacente du
temps supérieur, il est en rapport avec le segment postérieur de la région sous-thalamique de la capsule interne et corres
ions strio-luysiennes (p. 327) qui perforent et cloisonnent dans la région sous-thalamique le segment postérieur de la capsu
es, puis abordent le corps de Luys, dans GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 401 lequel elles s'irradient (Déj
ger, Henschen et d'autres, le ruban de Reil médian, arrivé dans les régions supérieures du noyau rouge,se porte- rait en de
de coupes microscopiques sériées on ne peut, vu la complexité de la région de la calolte et de la région sous- optique réf
es on ne peut, vu la complexité de la région de la calolte et de la région sous- optique réfuter celte hypothèse, les résu
UX. Avec la bande- lette optique et le chiasma. traversent la région sous-thalamique de la capsule interne, une partie
dans quelques cas de lésions destructives GANGLIONS INFRACORTICAU : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 403 du noyau lenticulaire, en par
rie de coupes ininterrompue on voyait à la partie postérieure de la région sous-optique les fascicules dégénérés de la com
o et s'unit à la zona incerta en - recouvrant la face interne de la région sous-optique. La substance grise du plancher du
le occupe le osange opto-pédonculairc et relie entre elles les deux régions sous-op- iques et la partie adjacente des régio
re elles les deux régions sous-op- iques et la partie adjacente des régions de la calotte. Elle forme le tuber ;ine°eun et
out la même : mince sur la ligne médiane GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 403 de la lame inter-pédonculaire
e, entre la bandelette optique et le pédoncule cérébral, une petite région recouverte partiellement par la bandelette optiqu
laires internes en formant une sorte de commis- sure ; celles de la région sous-optique qui appartiennent au champ de Fore
y. Nerf optique 419), une série de commissures qui relient les deux régions sous-optiques soit entre elles, soit avec des rég
elient les deux régions sous-optiques soit entre elles, soit avec des régions avoisinantes. Ce sont, d'arrière en avant : dan
par Honegger (1890). Elle appartient, comme son nom l'indique, à la région sous-optique, est située au-dessus et en arrièr
re et occupe la partie postérieure et ventrale du noyau rouge (Voy. Région de la calotte, IIIe partie). La commissure sous
pare de la partie interne du pied du pédoncule, à sa limite avec la région sous-thalamique de la capsule interne. Chez l'h
Internes en Médecine de la Salpêtrièr, GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 407 contiennent probablement des
e sous-thala- mique postérieure de Forel (Méthode de Weigert). La région sous-optique comprise entre la couche optique, le
rt. mique et lenticulaire du même auteur, et semblent unir les deux régions homologues; plus en arrière, on trouve des fibr
er, soit dans le corps de Luys, soit en arrière de ce corps dans la région du ruban de Reil médian. Les dégénérescences même
désigné sous le nom de commissure de Forel. Dans son travail sur la région sous-optique, Forel ne fait pas mention du fais
chat, la bandelette optique et la partie GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 411 adjacente du tuber cinereum a
d'une dégénérescence de la commissure de Meynert. BIBLIOGRAPHIE. - Région sous-optique. - BERIOEEDlER. Ueber die Sehnei-vei
trale. - D, pédoncule olfactif. - E, grains du bulbe olfactif. - G, région de la strie olfactive externe. - F, cellules py
que du même côté. Les cellules pyramidales géantes du hile et de la région godronnée de la corne d'Ammon et les cellules p
), et le faisceau de la calolte de Gudden (FG) qui se rend dans des régions encore indéterminées de la calotte pédonculaire;
n du crochet et de la partie adjacente de l'hippocampe, relient ces régions , soit au centre olfactif primaire du côté oppos
l'homme) au noyau len- ticulaire du côté opposé. Les différentes régions des centres olfactifs corticaux sont encore TOM
ratum lacunosum qui unissent les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon aux cellules du str
onnée de la corne d'Ammon aux cellules du stratum lacunosum et à la région hippocampique de la corne d'Ammon. Les centres
. Les centres olfactifs corticaux sont enfin reliés aux différentes régions du manteau cérébral par des libres courtes et l
nous savons encore peu de chose sur la valeur physiologique de ces régions . D'après Ferrier, l'excitation électrique de la
dans la zone visuelle corlicale qui occupe plus particulièrement la région de la scissure calca- rine (K) et qui s'étend a
tie inféro-externe du nerf optique (Fig. 329, 3) et entoure dans la région intra-cranienne le faisceau maculaire d'une sor
oculaire ; la coupe 2 sectionne la partie vasculaire ; la coupe 3, la région non vascu- laire ; la coupe 4, enfin, intéresse
e ne sont jamais nette- ment tranchées et qu'il existe toujours une région de transition, où les fibres dégénérées sont en
sure de Meynert un petit faisceau qu'il n'a pu suivre au delà de la région du chiasma et qui évidemment n'est autre que le
oir : le bulbe rachidien, la protubérance annulaire et cette petite région située au-dessous des tubercules quadrijumeaux, f
er le rhom- bencéphale en deux parties : le cervelet d'une part, la région bulbo-protu- béranlielle et l'isthme postérieur
s du ventricule latéral, et leur glomérule (Gll'lclz) situé dans la région du carrefour ventriculaire. - ssl', sillon supéri
rière, le recouvrent en dedans et en avant et se rendent dans cette région en une saillie ovalaire, oblique en arrière et en
ut manifeste à la face supérieure du cervelet (Fig. 338) et dans la région postéro-externe de la face inférieure (Fig. 333
la région postéro-externe de la face inférieure (Fig. 333). Dans la région antéro-interne de cette face, la courbe des sil
ue côté du vermis par un sillon sagittal profond, ou encore dans la région postérieure du cervelet où les lobes très dével
es dans la profondeur du sillon : c'est ce que l'on observe dans la région postérieure du cervelet; ici, grâce au développ
ancrure marsupiale : il s'ensuit forcément que les sillons de cette région sont plus profonds dans les hémisphères que dans
quatre sillons principaux divisaient le vermis en cinq segments ou régions pri- mitives qui sont : 1° le vermis supérieur;
et du côté des hémisphères, la subdivision du lobe quadrilatère en régions antérieure et postérieure et celle du lobe post
: 1° la disposition particulière, caractéristique, que présente la région du vermis dans chacun de ces cinq lobes primord
rdiaux; 2° le mode d'agence- ment spécial de leurs lamelles dans la région vermienne et dans la région hémisphérique (Fig.
ment spécial de leurs lamelles dans la région vermienne et dans la région hémisphérique (Fig. 335). Dans le lobe supéri
région hémisphérique (Fig. 335). Dans le lobe supérieur (LS), la région moyenne ou vermienne (V) est intimement soudée
ne ou vermienne (V) est intimement soudée dans toute sa largeur aux régions hémisphériques (Il) et forme avec cette dernièr
ntrale du cervelet, se continuent directement avec celles de la région du vermis (Fig. 335). Les trois lobes inférieur
ur les parties latérales, mais se comportent dans' l'une et l'autre région comme celles de la région hémisphérique du lobe
mais se comportent dans' l'une et l'autre région comme celles de la région hémisphérique du lobe postérieur. Les lamelles hé
nférieurs, le vermis est toujours situé à une certaine distance des régions hémisphériques, la fusion de ces lamelles commu
LS, lobe supérieur. - LP, lobe postérieur. - Ll, lobe inférieur- ? région hémisphérique. V, région vermienne. - c, crête
lobe postérieur. - Ll, lobe inférieur- ? région hémisphérique. V, région vermienne. - c, crête d'union qui relie dans le
c, crête d'union qui relie dans les lobes inférieurs du cervelet la région vermienne à la région hémisphérique. MORPHOLO
ie dans les lobes inférieurs du cervelet la région vermienne à la région hémisphérique. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 4
sse principale du vermis et les différencie nettement des lobes des régions inférieure et postérieure du cervelet. Sillons
l antérieur, immédiatement en arrière du sillon précentral. Dans la région du vermis, il atteint généralement la masse bla
antérieur (Fig. 334). Il atteint sa plus grande profondeur dans la région du vermis où il sépare, comme le montrent les c
che horizontale (bh), puis diminue rapidement de profondeur dans la région hémisphérique. Les deux lèvres de ce sillon son
base d'implantation de ce lobe est étroite; elle est située dans la région du vermis en avant de la branche verticale (bv, F
arbre de vie médian qu'elle contribue quelquefois à former; dans la région des hémisphères, elle se place entre l'étroite
erte de lobules secondaires plus ou moins détachés, surtout dans la région du vermis, et qui apparaissent exceptionnelle-
apparaissent exceptionnelle- ment à la surface du cervelet dans la région hémisphérique. Ces lobules profonds se jettent
s, ', lamelles et lobules du culmen se fusionnent en effet, dans la région ver- mienne, en une branche commune qui forme l
t seule la substance blanche centrale du vermis (Fig. 336). Dans la région des hémisphères, les sillons interlobulaires ga
obes du culmen et du déclive formaient le lobe du monticule dans la région du vermis, el le lobe quadrilatère dans la région
monticule dans la région du vermis, el le lobe quadrilatère dans la région hémi- sphérique. Sa base d'implan- tation e
rique du lobe. La face supérieure est irrégulière de forme. Dans la région du vermis, le déclive s'enfonce dans le fond de
dian (Fig. 336). La base d'inser- tion de ce lobe est large dans la région du vermis; elle diminue dans la MORPHOLOGIE DU
de la base d'insertion du lobe du culmen, laquelle, étroite dans la région du vermis, s'élargit considérablement au voisin
en avant parle sillon post-pyramidal extrême- ment profond dans la région du vermis, plus superficiel dans la région des
me- ment profond dans la région du vermis, plus superficiel dans la région des hémisphères, sillon qui sépare le lobe post
périeur, le lobe semi-lunaire inférieur et le lobe grêle. Dans la région du vermis,lc lobe postérieur se réduit parfois à
t-pyramidal. Les lobes semi-lunaires supérieurs sont réunis dans la région du verrais par le folium cacuminis; les lobes s
), sépare le lobe supérieur du lobe postérieur. Superficiel dans la région du vermis où il est loin d'alteindre la profondeu
, 359, 3G0), le sillon supérieur devient rapidement profond dans la région des hémisphères, grâce au développement considéra
ercule quadrijumeau antérieur. - RI, ruban de Reil latéral. - RsTh, région sous-optique. sel, grand sillon circonférentiel
u bourgeon terminal constitue une masse excessivement mince dans la région du vermis, développée en forme d'aile dans la r
mince dans la région du vermis, développée en forme d'aile dans la région des hémisphères, qui forme le bord pos- térieur
et le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf). Dans la région du vermis, il se réduit au bourgeon terminal ou f
mis, il se réduit au bourgeon terminal ou folium cacuminis. Dans la région des hémisphères, le lobe du bourgeon terminal f
upérieur et mfc- rieur. Lame de concen- tration commune de la région hémil'hé- rique de ce lobe Lobe du tubercul
cervelet et se rencontre chaque fois qu'un profond sillon sépare la région vermienne de la région hémisphérique. Elle fait
e chaque fois qu'un profond sillon sépare la région vermienne de la région hémisphérique. Elle fait défaut au lobe supérieur
(scf) et le sillon post-pyramidal (spup), lobe qui comporte dans la région hémisphérique les deux tiers posté- rieurs de l
ique, il est équivalent à chacun de ces lobes. Il comprend, dans la région du vermis, la pyramide de Malacarne (Pyc), et,
ns la région du vermis, la pyramide de Malacarne (Pyc), et, dans la région hémisphérique, le lobe digastrique (Ldg) ou cunéi
gastrique. Le sillon post-pyramidal (spop) est très profond dans la région du ver- mis, où il sépare la pyramide du tuberc
occulus (Floc). Le sillon pré-pyramidal (sprp), transversal dans la région du vermis, où il sépare la pyramide de la luett
et de la mince couche de fibres blanches qui la recouvre dans celte région . Les amygdales (Amg, Fig. 344, 313, 34G, 348 et
elle intéressée sur toutes les coupes pratiquées au voisinage de la région bulbo-protubérantielle. Les coupes sagittales (
de l'amygdale et reçoit à angle plus ou moins aigu les lobules des régions antérieure, postérieure et infé- rieure de l'am
le nom de sommet, de faite du 4" ventricule, ec qui correspond à la région du hile de l'olive cérébel- leuse (Voy. plus lo
CENTRES NERVEUX. Configuration exté- rieure. Face antérieure. Région pontine. Limites. Trou borgne supé- rieur.
el ou sillon prolll- béranliel inférieur, divise cette face en deux régions : l'une supérieure ou pontine, très saillante e
qué et qui est remarquable par ses reliefs longitu- dinaux. 1° La région supérieure ou pontine constitue la protubérance
l. 1 1 l 1 482 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Aspect de la région pontine. StDaLiontransver- sale. Faisceau
ulus ou lobule du nerf vague (Floc). Toute la face antérieure de la région pontine est striée transversalement par de gros
cicule détaché, aberrant, des libres transvcr- sales du pont. Région bulbaire. Sillon médian an- térieur. 484 .A
postérieure. La face postérieure du rhombencéphale pré- sente deux régions bien distinctes : l'isthme postérieur en haut, la
thme postérieur en haut, la face ' postérieure du bulbe en bas. Ces régions sont reliées l'une il l'autre par le cervelet;
ieur (Fig. 331, 3 : 1 ). L'isthme postérieur représente une étroite région rectangulaire formée par la valvule de Vieussens
e, en avant du cer- velet dont la face antérieure se moule sur la région , mais en est séparée par un double feuillet pie
raux de l'isthme qui logent le toenia pontis (Tpo) limitent cette région de chaque côté et la sépa- rent des pédoncules
rébelleux supérieurs (Pes) occupent les parties exler- nes de cette région et forment deux gros et courts cordons aplatis qu
ces cas, l'isthme postérieur parait com- plètement fusionné avec la région du ruban de Reil latéral. Ces fibres arquées de
obliquement, en bas et en arrière, puis devient ver- tical dans la région cylindrique du bulbe et se continue avec le sillo
ligne du spinal se porte petit à petit en avant et se place dans la région cervicale inférieure, immédiatement en arrière du
492 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Epaisseur variable suivant les régions et les individus. un repli pie-mérien, la toi
rence de profondeur de ce diverticule sur la ligne médiane et dans la région des valvules de Tarin. (Voy. à ce point de vue
, Fig. 3 : 5 et 335), puis se rétrécit, devient superficiel dans la région bulbaire où il constitue la lige du cala- mus
nom d'aile blanche interne (apl, Fig. 355), s'élargissent dans la région moyenne du plancher où ils sont le plus souvent
sensitifs (lame alaire, voy. T. 1er, p. 86), s'élargissent dans la région bulbaire et dans la région protubérantielle en
voy. T. 1er, p. 86), s'élargissent dans la région bulbaire et dans la région protubérantielle en y formant deux dépressions
ème ventricule (Fig. 352). L'extrémité inférieure appar- tient à la région bulbaire du plancher, elle est située en dehors d
nom d'aile blanche externe. L'extrémité supérieure appartient à la région protubérantielle; Charpy l'appelle tubercule acou
dans le sens plus restreint de Charpy, c'est-à-dire appliqué à une région qui contient les noyaux de terminaison du nerf ve
. De leur ligne d'émergence qui peut occuper toute la hauteur de la région moyenne du plancher, le plus grand nombre des s
er du le ventricule 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les trois régions du jnlanchcr. Région supérieure. HCglOll bu
0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les trois régions du jnlanchcr. Région supérieure. HCglOll bulbaire ou inférieure.
s acoustiques divisent le plancher du quatrième ventricule en trois régions transversales : 1° une région intermédiaire ou mo
her du quatrième ventricule en trois régions transversales : 1° une région intermédiaire ou moyenne, ou région des stries
régions transversales : 1° une région intermédiaire ou moyenne, ou région des stries acoustiques; 2° une région supérieure
intermédiaire ou moyenne, ou région des stries acoustiques; 2° une région supérieure ou protubéran- tielle; 3° une région
acoustiques; 2° une région supérieure ou protubéran- tielle; 3° une région inférieure ou bulbaire. La région supérieure ou
e ou protubéran- tielle; 3° une région inférieure ou bulbaire. La région supérieure ou protubérantielle est étroite, allon
e, allongée et beau- coup plus étendue dans le sens vertical que la région inférieure ou bul- baire : elle contient l'emil
fossette médiane (fm), et le locus cærltlelts (Le, Fig. 352). La région inférieure ou bulbaire est beaucoup plus court qu
angulaire du quatrième ventricule, diverticule peu profond dans la région du vermis, où il présente de chaque coté de la
du vermis, où il présente de chaque coté de la Topographie de ces régions sur les cou- pcs : transv('rsalc ? Voûte du 4
te que la substance blanche centrale du cervelet atteint dans cette région la surface exté- rieure du cervelet. Ce fait es
position si particulière qu'affectent sur les coupes sagittales les régions du hile de l'olive cérébelleuse et du nid d'hiron
ve encore interrompue par place sur de courts trajets, soit dans la région du vcrmis, soit dans celle des hémisphères. Sur c
me dans l'intérieur du cervelet une masse compacte, renflée dans la région des hémisphères, réduite dans la région du vermis
e compacte, renflée dans la région des hémisphères, réduite dans la région du vermis à un mince pont transversal jeté d'un
ration de Reil, la substance blanche centrale est concave dans la région du vermis, convexe dans la région des hé- m
centrale est concave dans la région du vermis, convexe dans la région des hé- misphères ; et présente à ce niveau d
en dedans dans les pé- doncules cérébelleux. En dedans, dans la région du vermis, les libres a direction sagittale pré-
lle ne nous renseigne nullement sur son épaisseur dans les diverses régions du cervelet. Pour compléter son étude, il faut
us le nom d'arbre de vie des lobes latérazcx du ce1't'elel. Dans la région du vermis, la substance blanche centrale (coupe S
. Arbre do vie du lobe médian. Modifications su- bies dans la région de transition. Aspect de la sub- stance bla
de vie des lobes latéraux du cervelet (coupe S9, Fig. z8). Dans la région du vermis, les altérations sont d'abord toutes
édiatement en dehors du sillon longitudinal supérieur une véritable région de transi- tion, dans laquelle la figure de la
yau sphé- rique ou globule, et le bouchon ou embole, situés dans la région de tran- sition entre le vermis et les hémisphè
lés accessoires. - Les noyaux dentelés accessoires occupent dans la région de transition la parlie supérieure et interne de
telés accessoires. Il est situé en FIG. 360. - L'arbre de vie de la région de transition entre le vermis et l'hémisphère c
Les plis sont plus nombreux, plus étendus, plus profonds, dans les régions supérieure et inférieure du corps dentelé où l'on
ecouvre le groupe externe des fibres semi-circu- laires et toute la région postérieure et inférieure de la toison; elle est
trent que le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) ne forme pas dans la région protubérantielle un faisceau fermé, mais qu'il se
s. Coupe horizontale un peu oblique en bas et en avant passant par la région protubérantielle moyenne, un peu au-dessous de
t le ruban de Reil médian (Rm) qui forme la limite antérieure de la région de la calotte; elle est cloisonnée par la subst
elles moyennes [FPom]) appartient aux deux liers supé- rieurs de la région protubérantielle. Elle cloisonne, segmente, subdi
Reil médian (Fig. 381, 382), puis les fait rentrer plus bas dans la région protubéran- tielle antérieure. Les fibres pro
ntre-croisement qui occupe toute l'étendue antéro-poslérieure de la région protubérantielle antérieure, et qui s'effectue
postérieurs et se portent peu à peu, en avant et en dedans, dans la région antérieure de la CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RH
choroïdes du 4e ventricule. - RC, radiations de la calotte. - RgRm, région du ruban de Reil médian. - Rm, ruban de Heil médi
tement distinct que sur les coupes horizontales qui passent dans la région du hile du noyau dentelé, où il présente une su
à leur axe. Au-dessus de l'émergence des nerfs pathétiques, dans la région des tuber- cules quadrijumeaux postérieurs, les
n plan oblique en haut et en arrière. Il en résulte que si dans les régions moyennes et supérieures (coupe P.2, Fig. 393), l'
s toute l'étendue anléro-postérieure du raphé, il n'occupe dans les régions inférieures (coupes P3, P4, Fig. 368, 369) que
e antérieure du raphé, voisine du ruban de Reil médian, et dans les régions supérieures que la partie postérieure du raphé, c
eux supérieur). Il occupe la calotte pédonculaire aux confins de la région sous-optique, présente, à l'état frais , une co
- dian (Fig. 12, p. 61), et se prolonge en avant et en haut dans la région sous-optique où elle constitue le champ et le f
par Forel; ils se portent en haut et en dehors, s'irradient dans la région ventrale du thalamus (Fig. 321, p. 385) en avan
de ce changement de direction que sur les coupes horizon- tales des régions protubérantielles moyennes (coupe H6, Fig. 3gaz),
e leur trajet. Le pédoncule cérébelleux inférieur se divise dans la région protubé- rantielle inférieure en deux segments
lu- férieure coudee. 534 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les deux régions longitudinales du tronc encéphalique. Limit
NTÉRIEURE DU TRONC ENCÉPHALIQUE Le tronc encéphalique comprend deux régions longitudinales bien dis- tinctes : l'une fail s
r, basal ou ventral du tronc encépha- lique ; l'autre s'étend de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
c'est l'étage postérieur ou dorsal du tronc encé- 1- pllalique, la région de la calotle. La limile entre ces deux étages
alique, la région de la calotle. La limile entre ces deux étages ou régions est établie dans le cerveau moyen par le locus
se sont arrêtées ni dans le thalamus et ses gan- glions, ni dans la région sous-optique (voy. p. 73); 2° Par un système de
GURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 535 se prépare aeja aans les régions moyenne et intérieure uu pieu uu peuon- cule cé
le faisceau pyramidal, et les noyaux pontiques l'appliquent sur la région de la calotte, en particulier sur le ruban de R
d'autant plus que le faisceau pyramidal reçoit sou- vent dans celle région les fibres aberrantes de la voie pédonculaire qui
, protubérantiel et bulbaire, la voie pédon- culaire abandonne à la région de la calotte un nombre variable de fasci- cule
t dans le cordon latéral homolatéral de la moelle épinière. Dans la région pédonculaire les fibres aberrantes forment, ain
ent au ruban de Reil médian (Dejerine et Long)ou s'épuisent dans la région avoisinante de la calotte, les autres traversen
375, 37G, 377. -- Les fibres aberrantes de la voie pédonculaire de la région du pédoncule cérébral : Pes lemniscus profond (
u- laire consécutive à un foyer capsulaire, ayant sectionné dans la région thalamique la partie postérieure du segment pos
laire, consécutive à un foyer lenticulaire sectionnant, dans la région thalamique, la moi- Lié postérieure du segment
terne. De la voie pédoncu- laire dégénérée, se détachent dans la région protubéran- tielle super cure les fibres aber
inter-olivaire, puis réintègrent la voie pédoncu- laire dans les régions bul- baires supérieure (Fig. 379) et moyenne
consta- ter cle visu le point où elles s'en détachent. Dans la région protuhé- rantielle, le pes lemniscus superfic
de Reil (Rm, Fig. 381), sont particulièrement abondantes dans la région pro- tubéranlielle inférieure (Fig. 382), occ
t la partie antéro- interne de la'couche inter-oli- vaire dans la région bulbaire moyenne](Fig.383), puisréintè- grent
moyenne](Fig.383), puisréintè- grent la voie pédonculaire dans la région bulbaire inférieure; aucune fibre ne participe
culaire fournit en outre à ce faisceau, dans toule la hauteur de la région protubérantielle, un certain nombre de libres, le
ielles (f Pyhs), fusionnées avec le faisceau pyramidal (Py) dans la région moyenne de l'olive bulbaire (Fig. 385), s'en di
moyenne de l'olive bulbaire (Fig. 385), s'en différencient dans la région inférieure de l'olive bulbaire (Fig 386) sous f
éunissent en petits fas- cicules arrondis et sont refoulées dans la région de la calotte par les fibres transversales prof
uelles : tantôt elles se détachent de la voie pédonculaire dans les régions protubérantielles supérieure ou moyenne (Fig. 375
supérieure ou moyenne (Fig. 375, 381, 382), tantôt seulementdans la région protubérantielle inférieure- plus rarement au-d
et pédonculaires, les unes réintègrent la voie pédonculaire dans la région protubérantielle inférieure et sont ramenées en
une partie de leur trajet et c'est là leur caractéristique. Dans la région bulbaire moyenne et inférieure, la voie pédoncula
IVe partie). 2. ÉTAGE POSTÉRIEUR OU DORSAL DU TRONC ENCÉPHALIQUE, RÉGION DE LA CALOTTE La région de la calotte appartien
STÉRIEUR OU DORSAL DU TRONC ENCÉPHALIQUE, RÉGION DE LA CALOTTE La région de la calotte appartient à la fois au rhombencéph
e l'aspect d'un long fuseau, atteint sa plus grande largeur dans la région bulbo-protu- bérantielle, s'effile en haut où e
bulbo-protu- bérantielle, s'effile en haut où elle fait suite à la région sous-optique, et en bas où elle se prolonge dan
Elle est limitée en dedans par le raphé médian qui la sépare de la région homologue du côté opposé; en dehors, elle atteint
eau moyen et du bulbe rachidien, tandis qu'elle est limitée dans la région protubérantielle par les pédoncules cérébelleux i
omplètement le canal épendymaire dans la partie fermée du bulbe. La région de la calotte est occupée dans toute sa hauteur p
sont d'origines très variées; elles proviennent presque toutes des régions postérieures du tronc encéphalique, se portent
'autres encore occupent la partie postérieure de la calotte dans la région bulbo-protubérantielle, el se détachent du corps
nes cellulaires longitudinales. La colonne interne fournit, dans la région pro- tubérantielle supérieure, le noyau d'origi
rigine de la porlion motrice du nerf trijumeau (Ve paire) ; dans la région protubérantielle inférieure, le noyau d'origine
inférieure, le noyau d'origine du nerf facial (VIle paire); dans la région bulbaire, les noyaux d'origine de la ortiozz mo
x gris de la formation réticulée. Dans son long trajet étendu de la région sous-optique a la moelle cervicale supérieure,
able. Les trabécules s'épaississent et s'élargissent dans certaines régions , s'amincissent et disparaissent dans d'autres,
réticulé (Nrt, coupes H3,H6,Fig. 362, p. 518; 365, p. 527); dans la région postéro-cxternc, le noyau circonflexe (Nef, cou
cxternc, le noyau circonflexe (Nef, coupe H 2, Fig. 395) et dans la région antéro-externc, l'olive supé- Pleure ou protubé
ion réticulée commence en haut, à l'union du cerveau moyen et de la région sous-optique, par une extré- mité mincc et effi
au champ de Forel, aux fibres de la commissure postérieure et v la région du ruban de Reil médian; elle est traversée par
quadrijumeaux, la formation réticulée occupe » sur les coupes de la région un petit champ triangulaire compris entre le noya
supérieur J' de Bechterew(Ncs, hig. 39, coupeHl). Cenoyau occupe la région protu- bérantielle supérieure, existe sur toute
central de la calotle (Fcc, FiG. 3%. - La formation réticulée de la région protubérantielle supérieure au-dessous de la co
parai ! élargi et mal délimité en dehors; il est adossé clans celle région à une zone parti- Fig. 395. - La formation réti
e région à une zone parti- Fig. 395. - La formation réticulée de la région protubérantielle supérieure. - Les noyaux centr
ro-interne et noyau central supéro-externe de Bechterew). Dans la région protubérantielle supérieure (coupe H2, Fig. 395),
noyau central supérieur en dehors (coupe H2, Fig. 395). 3° Dans la région protubérantielle moyenne (coupes H 3 ct H 4, Fi
), la formation Le noyau circon- flexe, c. Son aspect dans la région protubéran- tiille moyenne. Le Ifoyau réticul
béran- tiille moyenne. Le Ifoyau réticulé. Son aspect dans la région lorotubbran- tielle inférieure. 500 ANATOMIE
le pédoncule cérébelleux FiG. 396. - La formation réticulée dans la région prolubéranl ielle moyenne, le noyau réticulé et
se déforme tome il. 36 1 c. 397. - La formation réticulée dans la région protubérantielle inférieure. -- Le noyau centra
cial et moteur oculaire externe. - Coupe horizontale passant par la région protubérantielle inférieure au voisinage du sil
ation réti- culée du segment h)t)h : U[-C. Son aspect dans la région bulbaire su- périeure de même, s'allonge dans
(Nci), mieux délimité que le noyau réticulé el qui appartient à la région bulbo-protubérantielle. Adossé de chaque côté au
re une capsule de fibres d'autant plus mince que l'on considère des régions Imlbai l'es. plus inférieures. Le faisceau cent
RE DU RHOMBENCÉPHALE. 563 Fic.. 398. - La formation réticulée de la région bulbaire supérieure. Le noyau central inférieur
/v, branche vestibulaire du nerf auditif. malion réticulée. Dans la région bulbaire supérieure (coupe H8, Fig. 398), le no
er -réticulé. C'est dans ce dernier segment que l'on trouve dans la région inférieure du bulbe (Fig. 399), un amas gris, é
rise Fig. 399. - La formation réticulée du segment bulbaire dans la région moyenne de l'olive bulbaire. La formation rétic
oglosse. ! ;66 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la région bulhalro moyenne. Les noyaux du cordon laté
ules de fibres arciformes provenant du corps restiforme. 2° Dans la région qui correspond au tiers moyen de l'olive bulbaiie
ach, Foville, Cruveilhier, Longet, ce terme s'appliquait à toute la région connue aujourd'hui sous le nom de formation rétic
ure et inférieure du noyau externe de la couche optique, dans celle région située au-dessous el en dehors du centre médian
du centre médian de Luys, et que nous avons désignée sous le nom de région du ruban de Reil médian. Noyaux des cordons pos
ERVEUX. Le ruban de Roll se de la formalion réticulée dans la région hulbo- protubérantielle. La couche ruba- li
an de Reil (Rm) s'étale dans le sens transversal; il occupe dans la région protubéranlielle moyenne toute la largeur de la
. 31 Fit. 403. - Le ruban de Reil et la formation réticulée dans la région moyenne de la protuhéiance. L'olive cérébelleus
ruban de Reil médian. Ils sont particulièrement nom- breux dans les régions protubérantielles supérieure et moyenne, mais f
aux triangulaires de l'isthme. Sur les coupes horizontales de cette région (coupe Hl, Fig. 391), le ruban de Reil latéral
latéral. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 579 Dans les régions voisines du pédoncule cérébral (coupes P3, P4,
rieurs (x Pcs). Le ruban de Jteil latéral (RI), présente dans cette région un aspect piriforme ou triangulaire, à sommet p
tubercule quadrijumeau postérieur croisé ; sa terminaison dans les régions inférieures du pédoncule cérébral lui a encore
nlerc Schleife) (Voy. Synonymie et Historique, p. 569). · Dans la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs (coupes
hleife); les autres -mi de beaucoup les plus nombreuses abordent la région sous-optique et la couche optique; elles sont q
de ruban de Reil thalamique (Thalamus Schleife). , , i , Dans la région sous-optique (coupes n° 9 x à n° 7 x, Fig. 23, p.
eau devient très irrégulière au voisinage du,, thalamus, dan; celte région située au-dessous et en dehors du centre médian d
s du centre médian de Luys c Lo ruban de Reil aux confins du la région pédonculairo. Lo ruban de Reil dans la région
aux confins du la région pédonculairo. Lo ruban de Reil dans la région pé- donculaire. Le ruban de Heil dans la ré
Reil dans la région pé- donculaire. Le ruban de Heil dans la région tous- optiquc 80 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
DES CENTRES NERVEUX. Fibres croisant le ruban de Reil dans les régions pédoncu- laire et sous-opti- que. Le faisce
l postéiieur. Son étendue. que nous avons désignée sous le nom de région du ruban de Reil médian (Ilg lim, Fig. 47, p. 6
eur de Stieda; Hinteres LangsbÜndel de Meynert; fibres spinales des régions postérieures (Luys); bord supérieur de la subst
des variations de forme et de volume très appréciables suivant les régions . Il est néanmoins facile à reconnaître sur tout
re. Dans toute celle étendue qui cor- respond assez exactement à la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs, le fai
aisé de le délimiter. Le pont angulaire si accusé, qui unit dans la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs les deux
fait place à l'entre-croisement des pédoncules Son aspect dans la région sous-optt- que. Son aspect dans la région d
Son aspect dans la région sous-optt- que. Son aspect dans la région du noyau du Il moteur oculaire com- mun. So
athétique. 582 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la région protubéran- ticlle supérieure. ' 1 Son aspect
au ni- \ eau du noyau du nerf masticateur. Son aspect dans la région protubéran- tielle intérieure cérébelleux sup
térieurs. Il conserve cette apparence dans toute la hau- teur de la région des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Avec
que hématoxylinique. Il con- serve cette forme d'aile dans toute la région protubérantielle supérieure qui correspond à l'
paraît ainsi que le pont d'union, et le faisceau se réduit, dans la région du noyau masticateur (NVm), du noyau sensitif d
de la formation réticulée; comme cette Fic. 406. - La calotte de la région protubérantielle moyenne : ruban de Reil, faiscea
trijumeau. z84 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la région bulbaire. sa fusion avec la iorinationrcttcul
(Tr) qui se rendent dans le ruban de Reil latéral (111). Dans les régions protubérantielles moyenne et inférieure (coupes H
ue, les transformations qu'ils subis- sent et les connexions de ces régions si importantes avec le cervelet. COUPES SAGITTA
longueur des axes principaux du vermis et la fusion des axes de la région postérieure du vermis en une branche commune, l
immédiatement au-dessous du trou borgne bulbo-protubérantiel. Dans la région protubérantielle, elle est formée par les fibre
. Sur la coupe S 1 (Fig. 408), la division du tronc encéphalique en région anté- rieure et région postérieure est encore p
. 408), la division du tronc encéphalique en région anté- rieure et région postérieure est encore plus nette. Dans les traîn
pent toute la hauteur de la calotle et s'étendent directement de la région protubérantielle à la région bulbaire. Ils formen
alotle et s'étendent directement de la région protubérantielle à la région bulbaire. Ils forment en s'enchevêtrant un rése
oyau gris allongé, le noyau central inférieur (Nci), sépare dans la région protubérantielle le ruban de Rcil médian (fim) ad
essivement intimes, d'épais fascicules s'étendant directement de la région protubérantielle à la région bulbaire; les troi
fascicules s'étendant directement de la région protubérantielle à la région bulbaire; les trois couches, superficielle, int
est surtout constitué par la formation réticulée grise, et dans la région protubérantielle par le faisceau central de la
aux fortement colorés par l'hématoxyline que l'on trouve dans cette région , appar- tiennent au faisceau solitaire ou racin
s au-dessus du noyau, tandis qu'elles sont plus clairsemées dans la région bulbaire où la formation réticulée grise (SRg)
u facial. G00 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. COUPES INTÉRESSANT LA RÉGION DE TRANSITION DU CERVELET ET LES PARTIES LATÉRA
eur. La substance blanche du vermis s'accroît rapidement dans cette région et subit des modifications importantes, qui tra
nglionnaires qui sont : dans le vermis, les noyaux du toit, dans la région de transition, les noyaux accessoires cle l'oli
oyau sphérique ou globule et le noyau du bouchon ou embole, dans la région des hémisphères enfin, la volumineuse olive cér
formations subies par les branches de l'arbre de vie médian dans la région de transition et dans la région des hémisphères c
es de l'arbre de vie médian dans la région de transition et dans la région des hémisphères cérébelleux sont les suivantes
'arbre de vie médian s'épaissit, s'élargit et se raccourcit dans la région de transition (coupes S 3 et S4, Fig. 412. et 4
ansition (coupes S 3 et S4, Fig. 412. et 413), puis s'étale dans la région des hémisphères (coupes S 6 et S 7, Fig. 414, 4
le de l'arbre de vie médian (coupe S 1, Fig.408), s'étalent dans la région des hémisphères sur une très large base d'implant
, et ne se distingue guère des premiers par sa pro- fondeur dans la région des hémisphères (comparer entre elles les coupes
ian subit des modifi- cations tout aussi importantes. Dans toute la région du vermis, elle est remarquable par sa longueur
e tubercule valvulaire. Elle perd rapidement ses caractères dans la région de transition, où elle s'épaissit un peu et se
ement (Coupes S 4 et S 5), puis elle disparaît complètement dans la région des hémisphères en fusionnant avec la subslance
lingula diminue rapidement, n'atteint guère la moitié externe de la région de transition; la lingula se réduit ainsi à une s
du lobe central s'épaissil et se raccourcit, semble n'être, dans la région de transition, qu'une ramification de la branche
odifiée (coupe S4, Fig. 412), puis reprend son indépendance dans la région hémisphérique en s'implantant en avant des lobule
que (Coupe S 6, Fig. 414). Ce dernier, long, grêle et mince dans la région de transition, c'est-à-dire dans toute la régio
e et mince dans la région de transition, c'est-à-dire dans toute la région correspondant au nid d'hirondelle, se raccourci
au nid d'hirondelle, se raccourcit et s'épaissit rapidement dans la région des hémisphères, et s'implante par une base dis
Quantàl'<M'e du nodule, il diminue rapidement et n'atteint pas la région de transition, où il se continue avec la valvul
414). Entre la pyramide et le tubercule valvulaire apparaît dans la région de transition un lobe hémisphérique, le lobe gr
ndis que la moitié antérieure du lobe grêle représente, dans toute la région de transition, un petit lobule séparé, sans con
le (slg, coupes S 5 et S 6, Fig. 413 et 4'l4) sépare, dans toute la région de transition, l'axe commun au tubercule valvulai
apparence accidentée tout à fait spéciale et caractéristique de la région de transition. Sur les confins de la région de
t caractéristique de la région de transition. Sur les confins de la région de transition et de la région hémisphé- rique (
de transition. Sur les confins de la région de transition et de la région hémisphé- rique (coupe S7, Fig. 415), l'axe de
anche centrale, elle s'accroit du centre à la péri- phérie. Dans la région du vermis, l'accroissement est assez régulier et
cissent à mesure que la substance blanche centrale grandit. Dans la région de transition (Coupes S 4, S 5, S 6, Fig. 412 à 4
qu'un contingent très faible, ce qui tient indubitablement dans cette région à la présence du nid d'hirondelle et à la profo
d'hirondelle et à la profondeur du sillon du lobe grêle. Dès que la région des hémisphères est intéressée, dès que le nid d'
oyen. Coupes S4etS5 (Fig. 412 et 413.) Ces coupes appartienent la région de transition du cervelet. La coupe S4 intéresse
OGRAPHIQUE DU RHOMBEINCÉPHALE. 603 Fic. 412. - L'arbre de vie de la région de transition entre le vermis et les hémi- sphè
parties latérales du tronc encéphalique. Coupe sagittale S 4, de la région de transition, entre le vermis et les hémisphèr
gion de transition, entre le vermis et les hémisphères cérébelleux ( région du nid d'hirondelle) passant par la ligne de re
versales qui sillonnent la calotte FiG. 413. - L'arbre de vie de la région de transition du cervelet, le nid d'hirondelle,
ine sensitive descendante du trijumeau. - Coupe sagittale S 5 de la région de transition passant par la ligne de repère S
08 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fic. 414. - L'arbre de vie de la région de transition du cervelet, le pédicule d'inser-
ule de Tarin, le noyau du bou- chon et l'olive cérébelleuse dans la région du hile de l'olive. Le pédoncule cérébelleux in
nférieur et'le noyau moteur du trijumeau.- Coupe sagittale S 6, de la région de transition, passant par la ligne de repère S
orps restiforme. - Pes(le), pédoncule cérébelleux supérieur dans la région du hile de l'olive, les fibres les plus externes
eur, le lobe semi- TOME II. 39 Fig. 415. - L'arbre de vie dans la région de transition du cervelet. Le pédicule d'inser-
- Coupe sagittale S 7, de l'hémisphère cérébral au voisinage de la région de transi- tion, passant parla ligne S 7 de la
nh, nid d'hirondelle. - Oc, olive cérébelleuse, sectionnée dans la région de son hile (hOc). - Ici, pédoncule cérébelleux
bas, au niveau du hile de l'olive) (hOc), et qui limite dans cette région le nid d'hirondelle (n1).En outre, l'olive ne p
résente un aspect spécial et tout à fait caractéristique dans trois régions bien distinctes : Dans la région du vermis, ell
à fait caractéristique dans trois régions bien distinctes : Dans la région du vermis, elle présente la figure caractéristiqu
ente la figure caractéristique de l'arbre de vie médian ; Dans la région de transition que l'on peut encore désigner sous
a région de transition que l'on peut encore désigner sous le nom de région du nid d'hirondelle, elle est allongée dans le se
t avec les pédoncules cérébelleux supérieur et inférieur; Dans la région des hémisphères, elle est plus ou moins régulière
ébral. Nous avons vu : 1° que la calotte procède du thalamus, de la région sous-thalamique, des tubercules quadrijumeaux ant
NCÉPHALE. 612 avant, et sectionnent le tronc encéphalique dans la région protubéran- tielle, perpendiculairement à son a
horizon- tales, et partant un peu obliques, en particulier dans la région bulbaire, par rapport au grand axe longitudinal
DES CENTRES NERVEUX. COUPES HORIZONTALES OBLIQUES INTÉRESSANT LA RÉGION PÉDONCULO-PROTUBÉRANTIELLE Coupes PI, P 2, P3,
eurs.-Coupe P2, coupe horizontale oblique en haut et en avant de la région pédonculo-protubérantielle, passant par la lign
Fl'oa, fibres protubérantielles antérieures appa- raissant dans la région du trou borgne pédonculo-proLubérantiel. - Gih, g
ie entre les deux faisceaux longitudinaux postérieurs dans toute la région corres- pondant aux noyaux d'origine du nerf de
r. - Coupe P 3, coupe horizontale oblique en haut et en avant de la région pédonculo-protubérantielle, passant par la ligne
visé par de nombreuses cloisons névrogliques. Très denses, dans les régions antérieures de la calotte, au voisinage du ruban
ire. -Coupe P4, coupe horizontale oblique en haut et en avant de la région pédonculo-protubérantielle, pas- sant par la li
le ruban de Reil médian se déplace en dedans. COUPES INTÉRESSANT LA RÉGION PROTUBÉRANTIELLE ET LA PARTIE ADJACENTE DU CERV
uches stratifiées FIG. 123. - L'étage antérieur et la calotte de la région protubérantielle supérieure; la voie pédonculai
rouve, a quelques mo- difications près, dans toute la hauteur de la région protubérantielle. Cet aspect tient d'une part à
s (Le) en arrière. FiG. 424. -La calotte et l'étage antérieur de la région protubérantielle supéiieure. La voie pédonculai
CENTRES NERVEUX. FiG. 423. - La calotte et l'étage antérieur do la région protubéranlielle moyenne. La voie pédonculaire,
an du quatrième ventricule; sur d'autres préparations de cette même région , on voit des fibres sagittales émerger de l'épa
ment instructive et facilite singulièrement l'interprétation de cette région . La moitié gauche de la coupe H 3 est située à
a coupe H 4 est empruntée à une autre série et correspond aux mêmes régions que la coupe H 3 qu'elle sectionne suivant un p
upe H3 (Fig. 425), tandis que sa partie posté- rieure sectionne des régions plus inférieures du cervelet. Elle est parallèle
OMBENCÉPHALE. G33 Fig. 127. - La calotte et l'étage antérieur de la région protubérantielle moyenne. La voie pédonculaire
accessoires, et intéresse les trois pédoncules cérébelleux dans la région du hile du cervelet. Le pédoncule cérébelleux s
en dedans, s'enchevêtrent les unes avec les autres au niveau de la région de transition, entre le vermis et les hémisphères
em), les méandres supérieurs de l'olive cérébelleuse Fig. 428. - La région protubérantielle moyenne et ses .connexions avec
- Les pédoncules cérébelleux supérieur, inférieur et moyen dans la région du hile du cervelet, les fibres semi-circulaires
rmation réticulée (SR) est pauvre en fibres et présente, dans cette région , la partie supérieure de la colonne d'origine d
grosse extrémité du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Dans la région du vermis, la coupe passe par la substance blan
laires externes (fsme) du cervelet; ils ne dépassent pas en dedans la région de transition, mais divergent en dehors et se p
sur cette coupe la partie antérieure de ce faisceau. FiG. 429. - La région protubérantielle inférieure et ses connexions ave
ut être suivi. Les fibres du corps trapézoïde se coudent dans cette région en bas, vers le noyau antérieur du nerf cochléair
? 6, p. 630) intercalée dans cette série de coupes. FIG. 430. - La région protubérantielle inférieure au voisinage du sillo
641 L'olive supérieure ou protubéranlielle (Os) atteint dans cette région son plus haut degré de développement. Elle n'es
Ie paire (Nvi). Les fibres radiculaires du facial décrivent dans la région inférieure de la protubérance un trajet très co
ingula, le lobe central, le culmen et le déclive et intéresse dans la région des hémisphères les lobes quadrilatères antérie
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. filent en arrière au voisinage de la région de transition entre l'hémisphère céré- bral et
noyau du bouchon (Nem), noyau triangulaire dont la base regarde la région de transition entre le vermis et l'hémisphère c
adjacente des libres semi-circu- laires externes correspondant à la région de transition qui, de chaque côté, est refoulée
ante du trijumeau. - T'a, quatrième ventricule. produits dans cette région en grande partie par le segment vertical ou genou
la cavité du quatrième ventricule et correspond à peu près, dans la région protubéranticllc, à la coupe H 7 (Fig. 430).
béranticllc, à la coupe H 7 (Fig. 430). La coupe intéresse, dans la région des hémisphères, le lobe qitud7-ilalè ? ,e ÉTUD
sphérique, l'olive cérébelleuse, les connexions du cervelet avec la région protubérantielle inférieure. Coupe horizontale C
inage de la protubérance appartiennent au flocculus (Floc). Dans la région du vermis, la coupe sectionne : 1° les lamelles d
érébelleuse et du bouchon. En dedans de l'olive cérébelleuse, dans la région de transition, on trouve, entre l'olive et l'éc
OGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 653 FiG. 137. - Le cervelet dans la région du vermis inférieur, du nid d'hirondelle et de la
ond du grand sillon circonférentiel de Vicq d'A4yr (scf). Dans la région du vermis, on trouve, entre les deux lobes semi-l
s des fibres semi-circulaires externes du cervelet (fsme). Dans cette région elles ne contiennent presque que des fibres d'a
rtie supérieure des pyramides antérieures du bulbe, et intéresse la région de transition entre la protu- bérance et le bul
tion entre la protu- bérance et le bulbe rachidien, c'est-à-dire la région du sillon bulboT»·ottr- bérantiel. La coupe éta
DU RHOMBENCÉPHALE. 657 Fig. 438. - Le tronc encéphalique dans la région bulbo-protubérantielle, immédiate- ment au-dess
u- laire. Ce faisceau n'est plus arrondi comme sur les coupes de la région protubé- ranlielle inférieure, mais a une forme
MBENCÉPHALE. 659 ou légèrement concave, s'adossant directement à la région de la calotte et n'en étant plus séparée comme
à la région de la calotte et n'en étant plus séparée comme dans la région protubérantielle par les fibres du stratum prof
e. Si ces dernières fibres paraissent être si nombreuses dans cette région , cela tient à ce que cette coupe intéresse l'extr
et mal délimité qui fait suite à ce groupe de fibres situé dans la région protubéranlielle, en avant de l'olive protubérant
rtie par un faisceau médullaire, le faisceau de G'oM6 ? 's; dans la région protubérantielle, il est renforcé par des fibres
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sur cette coupe que sur celles de la région protubérantielle; elles sont ren- forcées en ef
ymaire obturatrice du quatrième ventricule qui constitue dans cette région les bandelettes, toenia et lingula du quatrième v
du raphé. On peut de ce fait considérer à la formation réticulée deux régions ou zones : la région interne, longue et étroite
fait considérer à la formation réticulée deux régions ou zones : la région interne, longue et étroite, située le long du rap
de formation réticulée blanche (formatio reticularis alba, SRa). La région externe, large et irrégulièrement quadrilatère, e
de la /'or- ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. FIG. 439. - La région bulbaire supérieure au niveau des diverticules la
z voisine de la précédente; comme cette dernière, elle intéresse la région des stries acoustiques, reconnaissable à la prése
ière ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 667 occupée par cette région des stries est du reste très nettement mise en év
bscure et qui se confondent en dedans avec la couche L c. 440. - La région bulbaire supérieure au-dessous des diverticules l
rétrotrigéminales (frt) sont particulièrement nombreuses dans cette région . Cette coupe intéresse les fibres radiculaires
Ra) sont plus courtes et plus grêles, elles semblent Fig. 441. - La région bulbaire supérieure au niveau de l'émergence du n
sse (XII) disposées en trois fasci- cules, dont l'un décrit dans la région du hile de l'olive un trajet sinueux. Le corps
s suivantes, ces modifications du corps juxta-resti- Fic. 442. - La région bulbaire moyenne. L'olive bulbaire et les noyaux
ième ventricule, on trouve les saillies si caractéris- tiques de la région : l'aile blanche interne, déterminée par la saill
ction, qui se concentre surtout à sa partie postéro-externe dans la région adjacente il la grosse racine sensitive descendan
versent la formation réticulée grise (SRg), le noyau Floc. 443.- La région bulbaire moyenne au niveau du trou de Magendie. -
geur du raphé, augmente rapidement d'étendue et de largeur dans les régions olivaires inférieures et sous-olivaires. Il rep
réticulée grise (SRg) se sont considérable- ment accrus ; toute la région présente un aspect plus clair et le noyau laté2.a
vec la périphérie du cordon latéral de la moelle, com- FIG. 44 - La région bulbaire inférieure. L'obex et le ventricule d'Ar
des corps olivaires. Cette disposition existe non seulement dans la région antéro-externe qui appartient au noyau de Burdach
n noyau de Goll (NG) et noyau de l3uwlaclc (NB). FIG. \,4,5. - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons posté
a périphérie du bulbe occupé ici encore par les der- FiG. zig. - La région bulbaire inférieure au-dessous de l'olive bulbair
es pré-pyramidales. Coupe H17 (Fig. 447). Cette coupe passe dans la région inférieure du bulbe; au-dessous de l'olive bulb
côté opposé par le sillon médian antérieur, qui atteint dans cette région une grande profondeur. On con- state sur cette
néanmoins, toujours dans cette 082 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. région , des amas irréguliers de substance grise mal déli
ur cette coupe une surface de section irrégulière. Fir. il ? - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons posté
de la formation réticulée blanche a laquelle fait suite dans cette région , le cordon antérieur de la moelle (Ca). Toute
Les coupes H 18, H 19, H20(Fig. .ls à 450) intéressent en effet la région du bulbe connue sous le nom de tubercule cendré
H20, Fig. 450). Fig. 119 et 1 : )0. L'entre-croisement moteur et la région du collet du bulbe. Les noyaux des cordons post
mal délimitée en dehors, surtout sur la coupe H 19 (Fig.449) et une région intermédiaire (SRg), adjacente à la corne posté
icité d'aspects, que revêt le faisceau pyramidal croisé suivant les régions , et dont quelques types sont représentés sur le
Fig. 431. - La partie inférieure de l'entre-croisement moteur et la région du collet du bulbe. - Coupe transversale H21 pa
et présente l'aspect fasciculé et enchevêtré, caractéristique de la région où s'effectue la décussation de ce faisceau.
3, Fui-. 453). A mesure que l'on envisagerades coupes intéressant les régions cervicales supérieure et moyenne de la moelle é
elle épinière, la distance qui sépare TOME II. 44 't Fig. 433. La région cervicale supérieure de la moelle au niveau de l'
s s'arborisent en partie dans la couche interne, en partie dans les régions inférieures de la couche molé- culaire, puis se
es de l'écorce du cervelet, et qu'on ne rencontre dans aucune autre région du névraxe. Les grains (Fig. 457) représentent
nombre de 20 à 30, occupent de grandes étendues, s'effilent dans la région des cellules de Purkinje et se prolongent en pa
anche mlraciliaire, s'y couder et se continuer avec une fibre de la région (Fig. 4 fil); mais nous n'avons jamais pu les s
ermis. Les fibres dendritiques se rendent, les unes aux différentes régions de l'écorce du vermis ou des hémisphères, les a
elleux et assurent les connexions de l'écorce cérébelleuse avec des régions plus ou moins éloignées du névraxe. Les fibres
. 3). STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉPHALE. 709. Dans certaines régions bien déterminées toutefois, telles que la branche
trage sous-lobaire présente une épaisseur fort variable suivant les régions . Mince au niveau du verrais et dans la zone de tr
ses dans la partie antéro-exlerne des hémisphères. C'est dans celle région que Stilling, il tort à notre avis, a décrit de
et aussi intime, aussi inextricable que dans n'importe quelle autre région du feutrage sous-lobaire et nulle part il ne pe
ion comparables à ceux des hémisphères cérébraux, les diffé- rentes régions du cervelet sont néanmoins en connexion intime le
e, à l'aide de la méthode de Marchi, des fibres dégénérées dans des régions souvent fort éloignées des foyers primitifs.
les des fibres semi-circulaires. La toison ne se dislingue dans ces régions du feutrage sous-lobaire que par la coloration
tié infé- rieure de l'olive cérébelleuse, celle qui correspond à la région du nid d'hi- rondelle, où une mince lame de sub
et 648) ; en arrière, il reçoit quelques fibres dendritiques de la région de transition ou du vermis (Coupe H5, Fig. 428, p
on avec le pédoncule cérébelleux inférieur. . Coupe sagittale de la région de transition du cervelet intéressant l'olive cér
- nh, nid d'hirondelle. - Oc, olive cérébelleuse sectionnée dans la région de son hile (l : Oc). - l'ci, pédoncule cérébel
à 436 et Coupe H6, Fig. 429). Ils ne sont plus représentés, dans la région de transition, que par un petit fascicule de libr
ui contournent la face externe du corps den- telé. Arrivées dans la région de transition, entre le vermis et les hémisphères
quement qui se perdent en avant dans le feu- trage sous-lobaire des régions anléro-externes de l'hémisphère. Si la coupe inté
rrière de 1 olive cl'rélJcl- leuse. Leur disposition dans les régions in- férieures de l'olive cérébelleuse. Le p
S NERVEUX. (fsme) qui se présentent sur les coupes sagittales de la région de transition (coupe S5, Fig. rut3, p. 606) sou
GANGLIONS SIN F H AC 0 1\ T J C A U X : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE RÉGION SOUS-OPTIQUE TABLE DES .MATIÈRES. TABLE DES M
3 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
T. débordant au delà de leur foyer primitif, elles se propagent aux régions voisines ou se communiquent même à des régions
les se propagent aux régions voisines ou se communiquent même à des régions éloignées. » « On doit, si je ne me trompe, à c
ière, il n'existe, pour ne parler que des faisceaux blancs, plusieurs régions répondant en quelque sorte à autant d'organes d
tude des lésions systématiques, avaient été décomposés déjà en deux régions distinctes : les faisceaux de Goll et les zones
ntéro-latéraux des auteurs avaient été à leur tour divisés en trois régions : faisceaux pyramidaux, faisceaux de Turck, zones
g, etc., etc. Et cette multiplication des zones, des faisceaux, des régions plus ou moins autonomes qu'on vient de dénommer
ommaires relatives à la nature des lésions, à leur distribution, à la région de la moelle qu'elles occupent ; enfin, lorsque
. Centre ovale de Flechsig. PLANCHE I FIGURE 1. MOELLE NORMALE. RÉGION cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la r
OELLE NORMALE. RÉGION cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure à / millimètre au-dessous de
la substance grise de la corne antérieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par le picro-carmin. Les c
ngement de Deiters d'une autre cellule. F. Réseau fibrillaire de la région . G. Coupe transversale d'un tube nerveux. H.
e 3. MOELLE NORMALE. Renflement cervical. Coupe pratiquée dans la région du renflement cervical, et colorée par la méthode
Figure 4. MOELLE NORMALE. Canal central. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure, et colorée par la méthode d
es cellules. F. Vaisseau. PLANCHE III FIGURE 5. MOELLE NORMALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
FIGURE 5. MOELLE NORMALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
au. F. Tissu névrotique. PLANCHE IV Figure 7. MOELLE NORMALE. Région lombaire supérieure. Coupe pratiquée dans la ré
MOELLE NORMALE. Région lombaire supérieure. Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par la méthode de
ure 8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
e 9. MOELLE NORMALE. Renflement lombaire. Coupe pratiquée dans la région du renflement lombaire et colorée par la méthode
Cellules nerveuses de la colonne de Clarke. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par le picro-carmin. Les ce
et de coloration qu'ont été obtenues les préparations des diverses régions : les figures sont également faites à un grossiss
issement identique. PLANCHE VI Figure 1' . MOELLE D'AMPUTÉ. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
1' . MOELLE D'AMPUTÉ. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée par la méthode de
ne antérieure de substance grise atrophiée. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée par le picro-carm
tiers supérieur. PLANCHE VII FIGURE 13. MYÉLITE AIGUË DIFFUSE. Région cEpvico-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région
LITE AIGUË DIFFUSE. Région cEpvico-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
e 1889, n° 5, p. 6fHi. PLANCHE VIII Figure 15. MYÉLITE DIFFUSE. Région dorsale inférieure. - Coupe pratiquée dans la r
ÉLITE DIFFUSE. Région dorsale inférieure. - Coupe pratiquée dans la région dorsale inférieure et colorée par la méthode de P
rne postérieure gauche altérée. Figure 16. - MYÉLITE CAVITAIRE. Région cervicale inférieure. ' Coupe pratiquée dans la
E CAVITAIRE. Région cervicale inférieure. ' Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure, et colorée par la méthode d
Commissure antérieure. PLANCHE IX Figure 17. MYÉLITE CAVITAIRE. Région lombaire inférieure. Coupe pratiquée dans la ré
LITE CAVITAIRE. Région lombaire inférieure. Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par la méthode de
diffuse avec désintégration et formation d'une petite cavité. ri. Région non altérée de la corne antérieure. B. Groupe
droite. ,Il. Faisceau latéral. Figure 18. MYÉLITE CAVITAIRE. -- Région lombaire supérieure. La figure représente une p
e M. le pl' Charcot). PLANCHE X Figure 19. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale lombaire. Coupe pratiquée dans la rég
ROSE EN PLAQUES. Région cervicale lombaire. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure et colorée par la méthode de
clérose de la zone radiculaire. Figure 20. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représente un point delà r
SE EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représente un point delà région peu sclérosée, du cordon latéral droit de la pr
de M. le Pr Charcot PLANCHE XI Figure 21. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région
CLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
J. Cordons postérieurs sclérosés. Figure 22. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la r
SE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée par la méthode de
i la planche X. , PLANCHE XII FIGURE 23. . SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la r
SE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée par la méthode de
osée du faisceau latéral droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représente un point de la
E EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représente un point de la région très sclérosée du cordon latéral gauche de la p
té. E. Vaisseau. PLANCHE XIII FIGURE 25. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la rég
ROSE EN PLAQUES. RÉGION dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de P
l. Les plaques de sclérose sont disséminées dans presque toutes les régions de la moelle qu'elles affectent avec une intens
rosée du cordon latéral gauche. FIGURE 26. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
6. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale (pièce provenant d'un autre sujet que l
es sujets différents. PLANCHE XIV FIGURE 27. LÉSION COMBINÉE. Région cervicale. Coupe 1"dtICLIÉB dans la région cerv
E 27. LÉSION COMBINÉE. Région cervicale. Coupe 1"dtICLIÉB dans la région cervicale et colorée par la méthode de Pall. Il
ersement alté- rées. PLANCHE XV . Figure 29. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
gure 29. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale, et colorée par la méthode de Pall. La
est encore inédit. PLANCHE XVI Figure 31 . SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
31 . SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. La s
0. Faisceau pyramidal sclérosé. FIGURE 32. SCLÉROSE COMBINÉE. - Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
32. SCLÉROSE COMBINÉE. - Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
GURE 33. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
TE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode au carmin.
FIGURE 34. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
DANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. On
. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE DOUBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cer
D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
it peu affecté. Figure 36. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE. - Région cervicale. La figure représente un point du fai
37. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE DOUBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsa
UBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Weigert. L
it peu atteint. FIGURE 38. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE. Région dorsale. La préparation montre un point du fais
Figure 39. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
ANTE D'ORIGINE SPINALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
FIGURE 40. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
ENDANTE D'ORIGINE SPINALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Weigert.
Figure 41. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. Région dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la rég
ORIGINE SPINALE. Région dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de W
Figure 42. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. - Région dorsale supérieure. La figure représente un poi
tteint de Mal de Pott avec compression de la moelle au niveau de la région dorsale inférieure, et dégénération ascen- dant
FIGURE 43. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région
LTE (POLIOMYÉLITE). Région cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
Figure 44. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervico-dorsale. La figure représente l'un des
Figure 45. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Pall. On
secondaire des faisceaux pyramidaux. A. Région peu altérée. A'. Région peu altérée de la corne antérieure. B. Corne
no6 4, 5 et 6). - FIGURE mi. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
PLANCHE XXIV - - FIGURE 47. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE;. - Région lombaire. Coupe pratiquée au niveau du renfleme
ose. PLANCHE XXV Figure 49. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région lombaire. - Coupe pratiquée dans la région lomb
NFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région lombaire. - Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Weigert.
sée de la Salpêlrière. FIGURE 50. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
E LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée n<r la méthode de Pall.
1891). PLANCHE XXVI Ffnu)OE51. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
externe de Westphal. Figure 52. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
IE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Weigert. C
érosé. PLANCHE XXVII FIGURE 53. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
E LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
adie. PLANCHE XXVIII Figure 55. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
it d'un cas où les lésions étaient particulièrement intenses dans les régions lombaire et dorsale, aussi cette préparation mo
ombose. PLANCHE XXIX Figure 57. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
E LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. On
issaüer altérée. -(a FIGURE 58. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION cervicale. Coupe pratiquée au niveau du renflem
érents. PLANCHE XXX IGU131J 59. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION cervicale. La figure représente à un grossissem
Figure 60. SCLÉROSE LATÉRALE, AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région cervicale SUPÉRIEURE. Coupe pratiquée dans la
DE CHARCOT). Région cervicale SUPÉRIEURE. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure et colorée par la méthode de
CHARCOT). Faisceaux pyramidaux. La figure représente un point de la région sclérosée des faisceaux latéraux colorée au pic
Figure 63. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région dorsale moyenne. Coupe pratiquée dans la région
ALADIE DE CHARCOT). Région dorsale moyenne. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
ADIE DE CHARCOT). Corne antérieure. La figure montre un point de la région de la corne antérieure colorée au picrocarmin e
Figure 65. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
IQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
rs la zone des faisceaux pyramidaux, elle se remarque aussi dans la région des cornes antérieures de la substance grise. A
(MALADIE DE CHARCOT). Faisceau pyramidal. Coupe longitudinale de la région sclérosée colorée par le picrocarmin et vue il un
nédite. PLANCHE XXXIV Figure 67. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
LE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pâli. On
rieur. ]J, Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Région du faisceau pyramidal. FIGURE 68. MOELLE DE F
du faisceau pyramidal. FIGURE 68. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervi
E DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert.
des exemples. PLANCHE XXXV Figure 69. MALADIE DE FRIEDREICH. Région cervicale. 1 Coupe pratiquée dans la région c
ALADIE DE FRIEDREICH. Région cervicale. 1 Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Pall. La
nerveux sain. PLANCHE XXXVI . Figure 71. MALADIE DE FRIEDREICH. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
1. MALADIE DE FRIEDREICH. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de P
D. Vaisseau. PLANCHE XXXVII FIGURE 73. MALADIE DE FRIEDREICH. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
. MALADIE DE FRIEDREICH. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La
ARKE. La figure représente la zone de la colonne de Clarke, dans la région dorsale, colorée au carmin et vue à un fort gro
n° 57). , PLANCHE XXXVIII FIGURE 75. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire Coupe pratiquée dans la région lombair
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. On
sceau pyramidal dégénéré. FIGURE 76. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. - Région dorsale inférieure. Coupe pratiquée dans la rég
E GLIOMATEUSE. - Région dorsale inférieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. Même
l dégénéré. PLANCHE XXXIX Figure 77. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
F. Vaisseau. PLANCHE XL FIGURE 79. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région CERVICO-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région
MYÉLIE GLIOMATEUSE. Région CERVICO-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall
core inédits. PLANCHE XLI Figure 81. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. Cavi
de l'examen nécroscopique. Figure 82. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région cervicale. . Coupe pratiquée dans la région cer
INGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région cervicale. . Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée au carmin. Ici la cavité n
ésentée ici. PLANCHE XLII Figure 83. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée a I'llclllal0r'lllle. Il exi
utopsie. Syringomyélie. » Figure 84. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par le noir d'aniline et le c
ce. Octobre 1880. » PLANCHE XLIII Figure 85. SYRINGOMYÉLIE. - Région cervicale supérieure. Coupe pratiquée au niveau
édits. PLANCHE XLIV Figure 87. TUMEUR DE LA MOELLE ,FIBROME). - Région cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la r
E ,FIBROME). - Région cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la région de l'entrecroisement des pyramides et colorée par
e est déca- pitée par le passage du cordon latéral 1 qui gagne la région antérieure gauche. B-B. Cornes postérieures déc
Vaisseau. PLANCHE XLV Figure 89. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale
EUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall
ont la substance tassée est considérablement réduite ; les diverses régions sont à peine reconnais- sables. A. Corne anté
al gauche. G. Tumeur. FIGURE 90. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombai
UR DE LA MOELLE (FIBROME). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par la méthode de
lcéreuse (Soc. anat., oct. 1885). Du phlegmon sous-péritonéal de la région hépatique (Progrès médical, 1885). D'une variét
4 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
urs. — Diffé-rences dans la composition de l'écorce grîsTdës diverses régions de l'encé-phale. I. Messieurs, Nous consacr
talent d'arrière en avant, et, quand ils ont franchi le détroit de la région ganglionnaire, s'épanouissent en rayonnant dans t
s les sens: en avant, vers l'extrémité frontale ; au centre, vers les régions pa-riétales ; en arrière vers l'extrémité occipit
alisation exacte des lésions. Qui oserait affirmer que telle ou telle région , qui n'a pas d'appellation dans la nomenclature u
e physiologique de premier ordre ? D'ailleurs, comment désigner cette région sur le protocole d'autopsie si elle n'est pas dén
troisième circonvolution ? Comment encore retrouver chez l'homme les régions dites psycho-motrices, découvertes chez les anima
in (Analomie des centres nerveux), par Keller et M. Duval. diverses régions désignées par l'anatomie descriptive, n'est pas d
re des différences dans la composition de l'écorce grise, suivant les régions de l'encéphale que l'on envisage. Considérons, pa
n'a pas l'aspect à peu près uniforme qui lui est propre dans d'autres régions du cerveau, les lobes antérieurs, si vous voulez.
'aspect, de l'écorce grise des circonvolutions appartenant aux autres régions des hémisphères. Pour bien apprécier la valeur
— Division au point de vue de la structure de l'écorce grise en deux régions . Travaux de Betz. 1. Messieurs, La structur
eurs, La structure de l'écorce grise du cerveau, quelle que soit la région des hémisphères où on l'étudié, présente des cara
ns doute, chacun de ces éléments constitutifs peut offrir, suivant la région où l'on observe, des déviations im-portantes du t
nerveuses, qui forment en définitive l'élément caractéristique de la région ; on les désigne d'habitude sous le nom de cellul
spèce, moins multipliées que les précédentes, occupent d'ordinaire la région la plus inférieure de la couche des cellules pyra
Betz (1) (de Kiew) et-par M. Mierzejewski. On les rencontre dans des régions spé- (i; M, Betz vient de publier une note déta
ier l'existence de cellules rameuses, à l'état normal, dans certaines régions (cellules de Deiters), je me bornerai à dire que,
rap-port de la constitution des éléments eux-mêmes, dans cha-cune des régions que dessinent les sillons fondamentaux à la surfa
ment des cel-lules et de l'abondance des vaisseaux capillaires, cette région de l'écorce des circonvolutions présente à l'œil
ar circonvolutions. On sait d'ailleurs depuis longtemps que certaines régions de l'écorce grise diffèrent d'une manière très no
ellules globuleuses des cellules pyra-midales de grande dimension. La région orbitaire est com-prise dans cette circonscriptio
orbitaire est com-prise dans cette circonscription. En arrière, la région comprend tout le lobe sphénoïdal, l'occipital et
ui sont relativement rares. 11 y a, d'ailleurs, dans chacune de ces régions , un départe-ment spécial qui mérite de nous arrêt
ial qui mérite de nous arrêter. Occupons-nous d'a-bord de celui de la région postérieure. 1° Les éléments nerveux, bien déve
convolutions sphénoïdales et le pli de pas-sage. Selon M. Betz, cette région serait destinée aux fonctions de sensibilité. Il
mité des circonvolutions fron-tale et pariétale (ascendantes dans ces régions ). C'estlàqu'exis-tent à peu près exclusivement le
e chien, les cellules géantes pyramidales n'existeraient que dans les régions dites psycho-motrices. 11 ne vous a pas échappé
de stratification en cinq coaches des éléments cellulaires nerveux. — Régions où existe ce type de stratification. — Départemen
t des cellules pyramidales géantes. Structure de 1 ecorce grise des régions postérieures de l'encéphale. Messieurs, Avant
différences très prononcées encore, sinon aussi tranchées, suivant la région des hémisphères qu'on exa-mine ; mais je dois rev
de d'arrangement, ainsi désigné, se retrouve dans toute l'étendue des régions de l'hémisphère, situées en avant du sillon de Ro
mité postérieure du lobe et par un sillon qui délimite en arrière une région parfaitement distincte que nous allons décrire to
é, de reven'r sur un point que j'ai relevé déjà : c'est que, dans les régions des hémisphères où règne sans partage le type à c
ant la forme pyramidale propre aux éléments cellulaires nerveux de la région , ces cellules, vous le savez, se différencient no
erveuses motrices des cornes antérieures de la moelle épinière. Les régions où se rencontre cette importante particularité so
rencontre cette importante particularité sont à proprement parler les régions centrales de la surface externe de l'hémisphère,
es grandes cellules dans l'écorce grise et leur localisation dans les régions indi-quées ci-dessus ont été pour la première foi
, p. Wèà. Je me suis efforcé de faire ressortir devant vous que ces régions , remarquables par une particularité de structure,
s-prit. b) Ces faits donnent évidemment un intérêt tout spécial aux régions de l'hémisphère où se rencontre cette particula-r
anatomique. Je pense donc qu'il est. fort utile de bien connaître ces régions topo graphiquement afin de pouvoir les désigner a
elle de décrire la configura-tion de la face médiane des hémisphères, région qui, jusqu'à, ce jour, est demeurée, à mon avis,
e, aurait remarqué que, chez les chiens nouveau-nés, l'excitation des régions répondant au siège des points psycho-moteurs ne p
inerai ce qui a trait au sujet spécial qui vient de nous arrêter. Les régions à grandes cellules^appar-tiennent au type à cinq
nts très sommaires sur les particularités de cette structure dans les régions postérieures de l'encéphale. Les régions où se
e cette structure dans les régions postérieures de l'encéphale. Les régions où se rencontrent ces particularités compren-nent
lobe quadrilatère. Le caractère général de l'écorce grise, dans ces régions , c'est que les cellules nerveuses pyramidales y s
propriée — se circonscrivent sans en dépasser les limites à certaines régions nettement déter-minées de cet organe complexe. Je
.pas que les faisceaux de Goll peuvent être lésés isolément et que la région des bandelettes externes (Fig. 7, B, B), dans l'a
re; — E, cordons de Goll. Aux lésions systématiques de ces diverses régions répon-dent autant d'ensembles symptomatiques ou s
res du polygone de Willis, et l'entourant complètement, limiterait la région d'origine des artères ganglionnaires. On décrirai
aire, dans lequel serait compris le cercle de Willis. (Fig. 8). Les régions corticales (circonvolutions des deux hémis-phères
l. Mais auparavant, elle adéjàfburni, par son bord supérieur dans une région qu'on appelle V espace per foré antérieur, une sé
e-mère. — b, Réseau à mailles polygonales plu? serrées, situé dans la région de la couche grise. — c, Réseau de transition à m
uns aux autres vers les parties centrales comme autant de rayons. La région blanche et la région grise de l'écorce peuvent do
les parties centrales comme autant de rayons. La région blanche et la région grise de l'écorce peuvent donc, en tant que dépar
amifications artérielles de deuxième ou de troisième ordre. Entre ces régions de second ordre, de même qu'entre les grands terr
et aura souvent pour conséquence de déterminer la mortification d'une région très limitée de l'écorce. C'est là un point capit
ez aisément, dans le domaine de la sylvienne. C'est dans cette grande région , en effet, que l'expérimentation tend à Fig. 12
eur mode de distribution dans les circonvolutions fondamentales de la région . L'artère sylvienne se partage en quatre branch
occipito-tcmporalis-medialis (lobulus lingualis). — Artères. — 1° Les régions circonscrites par la ligne (...) représentent le
ntérieure. — II. Artères fronta-les, interne et postérieure. — 2° Les régions circonscrites par la ligne (.—.—.) représentent l
altérations du système artériel cortical. Nous retrouverons dans les régions centrales du cerveau qui vont nous occuper, les a
épété en commençant, prennent tous une part à la vascula-risation des régions centrales, mais cette part est fort inégale. La c
scendante qui pouvait être suivie à travers l'isthme, jusque dans les régions les plus in- Fig. 18. — N C, noyau caudé. — C 0
ement à la sensibilité. — Preuves fournies : 1° par les lésions de la région posté-rieure lenticulo-optique de la capsule inte
laires, etc., fournit, en ce qui concerne les masses centrales, aux régions suivantes : Io à la partie externe et postérieure
dans l'épaisseur du noyau caudé. Elle se continue ensuite jus-qu'aux régions les plus antérieures de ce noyau, en se diri-gean
alique. Celle-ci est, vous le savez, fréquente, prédominante dans ces régions ; les artères striées sont, en effet, très sujette
ralysies motrices qui résultent quelquefois de la lésion de certaines régions superficielles et que, par opposition j'appellera
cupe un point quelconque des deux tiers anté- rieurs de la capsule, région où ce tractus blanc sépare l'extré-mité antérieur
atéraux. —G, G, couches optiques. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE, région postérieure ou lenticulo-optique de la capsule in
ques, la lésion porte sur le tiers postérieur de la cap-sule, dans la région où celle-ci passe entre l'extrémité pos-térieure
où, par suite de la résorption de l'épanchement, la compression de la région postérieure ou lenticulo-optique de la capsule in
s du cerveau, c'est la participation ou la non-participation des deux régions de la capsule interne qui domine la situation.
loin et rechercher ce que présente de particulier, anatomiquement, la région anté-rieure ou lenticulo-striée de la capsule, pa
on anté-rieure ou lenticulo-striée de la capsule, par opposition à la région postérieure ou lenticulo-optique dont la lésion d
l'étage inférieur du pédoncule (pes, crustà), et, plus haut, dans la région de la capsule interne, le faisceau des fibres péd
res centripètes, ayant pour fonction de trans-porter à la surface des régions postérieures du cerveau les impressions sensitive
ser-vations, il résulte unanimement: 1° que les lésionsportant sur la région postérieure lenticulo-optique de la capsule inter
riques ; 2° que, au contraire, dans tous les cas où, respectant cette région , les lésions intéressent seulement la partie de l
— Ch, chiasma des nerfs optiques. — x, section de la capsule interne ( région antérieure ou lenticu-lo-striée), produisant l'hé
montrant qu'une lésion située plus haut que ce point, dans certaines régions du cerveau lui-même, détermine constam-ment une h
ne. Si, dans les expériences ainsi instituées, la lésion atteint la région postérieure de la capsule, l'hémianesthésie du cô
yaux caudés. — L, L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région postérieure ou lenticulo-optique. — A, A, corne
hésie est une conséquence néces-saire des lésions qui portent, sur la région postérieure de la capsule interne ou son émanatio
s mon service. Je vous rappellerai que, à l'état normal, toutes les région ; du champ visuel ne sont pas, tant s'en faut, éga
ure de la couche optique (Vordere Stiel) ; elles se dirigent vers les régions frontales ; 2° d'autres sont moyennes ou laté-ral
ansion particulière du splenium du corps cal-leux. C'est dans cette région même, mais sur un plan plus profond, que se répan
relation avec les tubercules postérieurs. On voit encore dans la même région , lorsqu'on soulève l'extrémité postérieure des co
he du cerveau du Cercocebus cinomolgus. F, extrémité frontale. — 0, région occipitale. — F S, entrée de la scissure de Sylvi
ment partie intégrante du syndrome hémianesthésie cérébrale (1). La région de l'encéphale que je signale à votre attention e
é rapportés à une lésion du cerveau, celle-ci, ou n'oc-cupait pas les régions profondes de l'hémisphère, ou bien s'étendait jus
ique. DOUZIÈME LEÇON Des dégénérations secondaires. Sommaire. — Région antérieure ou lenticulo-striée des masses central
, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie motrice. — Fait
Nous devons actuellement porter de nouveau notre atten-tion sur la région antérieure des masses centrales, afin d'étudier d
ie pathologiques, les effets des lésions qui s'y pro-duisent. Cette région qu'on pourrait désigner sous le nom de lenti-culo
urrait désigner sous le nom de lenti-culo-striée, par opposition à la région postérieure ou lenticulo-optique, comprend, vous
nticulaire, laissera subsister l'action du noyau caudé, de cer-taines régions de l'écorce grise, des deux noyaux gris à la fois
C/i, chiasma des nerfs optiques. — x, section de la cap-sule interne ( région antérieure ou lenticulo-striée), produisant l'hém
yaux caudés. — L. L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région postérieure ou lcnticulo-oplique. — A, A, corne
othèse proposée, comment le noyau lenticulaire, le noyau caudé et les régions dites motrices de l'écorce grise des hémisphères,
corps strié, que les lésions destructives par-tielles portant sur les régions les plus diverses de ce noyau, se traduisent unif
nsécutives aussi prononcées que celles qui dépendent d'une lésion des régions antérieures de la capsule interne. Parmi ces co
rieures du lobe temporal ou encore le lobe sphénoïdal, soit enfin les régions antérieures du lobe frontal ne sont pas suivis de
ntinuité. C'est pourquoi elles peuvent se rencontrer, même dans les régions de l'écorce signalées plus haut comme des lieux d
faisceau laté-ral, que l'altération scléreuse doit être cherchée ; la région lésée apparaît sous la forme d'un espace triangul
'amoindrit progressivement à mesure que les sections por-tent sur des régions delà moelle, de plus en plus inférieures. 3° L'
lobes opto-striés et la capsule interne dans l'hémisphère droit. A, région cervicale. — B, région dorsale. — G, région lomba
capsule interne dans l'hémisphère droit. A, région cervicale. — B, région dorsale. — G, région lombaire. On voit la scléros
l'hémisphère droit. A, région cervicale. — B, région dorsale. — G, région lombaire. On voit la sclérose descendante occuper
la partie cervicale du faisceau latéral et devenir superficielle à la région lombaire. tères d'une induration grise, d'une s
enne par le milieu de la milieu du renflement du renflement cervical. région dorsale. lombaire. qu'elle occupe le système de
nfin, la sclérose primitive a une grande tendance à en-vahir dans les régions spinales voisines, soit les faisceaux blancs, soi
re, la lésion n'occupe, dans le faisceau latéral de la moelle, qu'une région relativement étroite. Celle-ci se présente, sur u
ge le bord antéro-externe de la corne postérieure. (Fig. 39.) Dans la région dorsale, la partie sclérosée diminue progressivem
ans le renflement lombaire [Fig. 41), c'est de nouveau, comme dans la région cervicale, un espace triangulaire, mais dont la b
ale primitive, la zone scléreusc occupe d'une façon gé-nérale la même région que dans le cas précédent, mais ses limites sont
côté, ayant amené la destruction des grandes cellules nerveuses de la région . L'en-vahissement des cornes grises postérieures
ronne rayonnante, se répandent-elles indis-tinctement dans toutes les régions de l'hémisphère? sont-elles, au contraire, affect
u moins profondément la substance blanche subjacente, et occupant les régions les plus diverses de la surface des hé-misphères.
es, étaient restées indemnes. Les plaques jaunes occupaient l'une des régions suivantes, savoir : une partie quelconque des lo-
oin, un lobe occipital ou les deux lobes occipitaux tout entiers, une région quelconque des deux tiers antérieurs des lobes fr
à la fois ; il y avait, en outre, le plus souvent, parti-cipation des régions les plus voisines des circonvolutions fron-tales
l, qu'une constitution relativement simple. La coupe transverse de la région cervicale inférieure fait voir un axe de substanc
erveux à direction presque partout longitudinale, on y distingue deux régions : 1° les faisceaux antéro-latéraux, limités par l
en bloc (1), celle des faisceaux pos-térieurs, celle des deux grandes régions de la substance grise, et elle n'est pas allée be
an, les lésions qui se cantonnent et se circonscrivent dans certaines régions bien déterminées de l'organe sans inté-resser les
s certaines régions bien déterminées de l'organe sans inté-resser les régions voisines. Je place sous vos yeux une sorte de p
sous vos yeux une sorte de plan topographique qui montre les diverses régions que peuvent occuper les lésions systématiques jus
peuvent être seuls lésés. — D'autres fois, les lésions intéressent la région des cordons postérieurs la plus voisine des corne
upe la partie postérieure du faisceau latéral du côté opposé dans une région toujours la même et dont nous aurons à étudier le
te de chaque côté, un espace en pareil cas respecté (au moins dans la région cervi-cale) : cet espace correspond à la surface
On ne connaît pas, jusqu'ici, d'exemples de lésions portant sur la région qui entoure les cornes antérieures et qui seule
ction opérée parla maladie, dans les faisceaux antéro-latéraux. Cette région a reçu les noms de zone radiculaire antérieure (P
région a reçu les noms de zone radiculaire antérieure (Pierret) et de région fondamentale des faisceaux latéraux (Flechsig).
solément, comme par une sorte de sélection, répondent-ils à autant de régions , de systèmes anatomiques distincts, et en même te
errons plus tard, ces faisceaux seraient en relation directe avec les régions motrices de l'écorce du cerveau. Or, ces régions
ion directe avec les régions motrices de l'écorce du cerveau. Or, ces régions elles-mêmes, chez les animaux qui, de même que l'
pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses régions de la moelle épinière. — Leur trajet dans le bulb
attachent, se fixe et se cantonne, pour ainsi dire, dans de certaines régions bien circonscrites du cordon nerveux ; que ces ma
de parties distinctes, anatomiquement et physiologiquement, ces mêmes régions que l'anatomie pathologique et la clinique ont dé
Billard, la vie du système nerveux est en quelque sorte Fig. 48. — Région cervicale. —F. p. d., Faisceau pyramidal direct.
ents de h physiologie d'il y a dix ans, l'excitation électrique des régions dites psychomotrices détermine des mouvements dan
s autres parties du côté opposé du corps ; et l'ablation de ces mêmes régions produit un état parétique plus ou moins prononcé
gles et, comme ceux de l'homme, privés de déterminations Fig. 49. — Région lombaire. — F. p. c., Faisceau pyramidal croisé.
olontaires : tels, le lapin, le chien; tandis que, par contraste, ces régions excitables ou centres moteurs existent déjà, d'ap
x pyramidaux croisés. Et précisément ces faisceaux corres-pondent aux régions occupées par la lésion, dans une des formes les p
occupeque la moitié supérieure du cordon médullaire; au-dessous de la région dorsale, les faisceaux cérébelleux s'épuisent, et
la région dorsale, les faisceaux cérébelleux s'épuisent, et, dans la région lombaire, où il n'en reste plus trace, les faisce
on souffre de nombreuses exceptions ; tantôt, ils ne dépassent pas la région cervicale, tantôt, au contraire, ils descendent j
la région cervicale, tantôt, au contraire, ils descendent jusqu'à la région lombaire. Ces quatre faisceaux sont composés de
tre ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal au-dessus de la région bulbaire. — Trajet dans la protubérance. — Traj
yramidal dans le pédoncule. Division de la capsule interne en trois régions sur les coupes horizontales. — Segment antérieu
ogi-ques de Parrot. — Formation de l'anse rolandique. — De toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions d
ique. — De toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions dites motrices qui se dévelop-pent les premières.
econnaître la topographie des fais-ceaux pyramidaux dans les diverses régions de la moelle épi-nière et indiquer les rapports q
cette figure et surtout dans la précédente, on peut remarquer que la région du faisceau pyraminal n'occupe que la quatrième p
au par M. Flechsig. Je dois dire qu'un certain nombre d'examens de la région pédonculaire chez le nouveau-né me laissent à sup
gion pédonculaire chez le nouveau-né me laissent à supposer que cette région est plus étendue que M. Flechsig ne le fait enten
re l'ensemble, c'était afin de mieux détermi-ner la topographie de la région dans laquelle nous devons nous orienter. Dès main
s pouvons en faire abs-traction. Fig. 53. — Coupe horizontale de la région pédonculaire dans un cas de de-génération seconda
tre que le locus niger de Sœmmering. Les cellules nerveuses de cette région ne sont pas encore pénétrées de matière pig-menta
qu'il en soit, c'est au-dessous de cette bandelette que se trouve la région àupied; et c'est-là qu'il nous faut rechercher la
sa présence au milieu des masses ganglionnaires opto-striées, dans la région qu'on appelle la capsule interne et qui, en somme
vous partagez cette partie postérieure de la capsule interne en trois régions d'égale étendue, c'est la ré-gion moyenne qui occ
t sur-montée par la section de la queue du corps strié. Voilà bien la région où passe, suivant M. Flechsig, le faisceau pyrami
ités terminales du faisceau pyramidal appartient, vous le voyez, à la région que l'on dési-gne sous le nom de zone motrice. (L
mble du trajet que nous avons successivement étudié dans les diverses régions du névraxe. L'hypothèse à laquelle l'auteur en qu
à l'œil nu, les différences de couleur qui correspondent aux diverses régions de la masse cérébrale suivant l'âge de ces nouvea
. Il s'agit d'un enfant de 17 jours. Vous voyez qu'à cette époque les régions antérieures et postérieures ont une coloration gr
quatre mois après seulement, c'est-à-dire vers le cinquième mois, les régions antérieures commenceront à se développer ; encore
à présent, conclure des recherches de M. Flechsig, que de toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont 'les régions
g, que de toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont 'les régions dites motrices qui se développent les premières,
du pédoncule. — Divi-sion de l'étage inférieur du pédoncule en trois régions Sommaire. — Introduction à l'étude des dégénéra
ion consécutive du pédon-cule; elle divise l'étage inférieur en trois régions . — Dégénération dans la protubérance, dans le bul
la moelle épinière. Localisation de la lésion degenerative dans la région opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le faisce
cerveau proprement dit, b) soit de lésions siégeant dans les diverses régions de l'isthme (a les pédoncules, 6 la protubérance,
de l'hémisphère. En d'autres termes, il y a dans les hémisphères des régions très-étendues où les lésions en foyer sont impuis
te dans la protubérance, puis dans le 1 ulbe, enfin dans les diverses régions de la moelle épinièrc. Remarquez d'abord, Messi
face du pied du pédoncule se trouve en quelque sorte divisée en trois régions ; a) une région médiane représentée par le fais
édoncule se trouve en quelque sorte divisée en trois régions ; a) une région médiane représentée par le faisceau pyramidal d
nce fort remarquable sur laquelle nous revien-drons ; — g) enfin, une région interne qui, parfois, mais exceptionnellement et
on du faisceau médian. Lorsqu'on a pratiqué des coupes minces de la région pé-donculaire, on peut s'assurer immédiatement qu
ficile à reconnaître au milieu des fibres transver-sales propres à la région . Cependant on distingue encore assez facilement l
ires dégénérés, surtout par comparaison avec le côté sain, dans les régions inférieu-res ou bulbaires de la protubérance, là
sion se reconnaît Tig. 58. —Coupe transversale de la moelle dans la région cervicale. - A, dé-génération du faisceau pyramid
ace de subs-tance blanche correspondant au faisceau cérébelleux. — D, région intermé-diaire entre la corne postérieure et le f
mé-diaire entre la corne postérieure et le faisceau pyramidal ; cette région est toujours respectée dans la dégénration descen
perpendiculairement au grand axe du bulbe rachidien et passant par la région moyenne des olives. La lésion bulbaire est exac
rémité inférieure de la moelle lombaire, et comment dans les diverses régions spinales, ses rapports se modifient conformément
er lieu aux masses grises centra-les. Une analyse très sommaire de la région y fait reconnaître (sur une coupe transversale pa
pe dans le tractus blanc. Le problème consiste donc à délimiter les régions capsulaires où la lésion destructive est suivie d
-térieur, ces deux segments s'unissant l'un à l'autre au niveau de la région que M. Flechsig propose d'appeler le genou de la
e s'étendait par en bas dans la bulbe et la moelle épinière (1). La région de la capsule qui nous intéresse quant à présent,
urait en pareille matière prétendre à la précision mathé-matique — la région de la capsule qui répond aux deux tiers antérieur
scendante du fais-ceau pyramidal correspondant. On pourrait l'appeler région pyramidale de la capsule, puisque les fibres nerv
des dégénérations pédonculaires. quel j'aurai à revenir), que celte région paraît contenir seule-ment des fibres centripètes
dées aujourd'hui sur un assez grand nombre de bonnes observations, la région en question pourrait être consi-dérée comme une s
ipètes, prolongeant les fibres sensitives spinales et les reliant aux régions postérieures de l'hémisphère. Les fibres de ce se
s ultérieures d'être prise en considération. D'après cela les trois régions de la capsule sont représen- (l) Voy. p. m, f
minent la dégénération descendante des faisceaux pyramidaux. Or cette région de la capsule est précisément celle dont il s'agi
Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral, — Région rolandique du manteau. Lésions en foyer de cette
e cérébral, — Région rolandique du manteau. Lésions en foyer de cette région ; elles-donnont lieu à des dégénérations secondai
sition aux lésions qu'on appelle centrales parce qu'elles occupent la région opto-striée, déterminent, elles aussi, dans de ce
vous le voyez, de déterminer topo gra-phiquement dans le manteau, la région que les lésions en foyer doivent intéresser pour
bas; elles sont plus allongées, moins contournées que dans les autres régions du cerveau. » Ces deux circonvolutions ont été dé
les deux circonvolutions prolongées se con-fondent. Or, Messieurs, la région de l'écorce grise de l'hé-misphère sur laquelle j
ne se voient pas indifférem- (1) Voy, p. 22. ment dans toutes les régions de l'écorce ; elles affectent au contraire de se
chien (lac©supérieure).— S.Cr, sillon crucial. —G. S, gyrus sygmoïde ( région des circonvolutions à grandes cellules pyramidale
à disposées en groupes, en îlots, en nids comme dit M. Betz. Aussi la région des circonvolutions mé-dianes pourrait-elle être
ent fait voir que ces cellules se ren-contrent chez le chien dans les régions désignées depuis les travaux de Hitzig et Férrier
omo-clinique pour ce qui a trait à l'homme, a permis de localiser les régions dites psycho-motrices ou plus simplement motrices
à j'entends seulement désigner, par opposition aux autres, celles des régions de l'écorce du cerveau dont la lésion occasionne
res morphologiques, histologiques et physio-logiques, appartient à la région dont nous nous sommes pro-posé de déterminer les
te. — G, sillon de Rolando — H, segment antérieur de la capsule. — K, région pyramidale de la capsule interne dans le segment
s'éloigne pas beaucoup de la réalité concrète.Géométriquement, notre région peut être représentée ainsi qu'il suit : c'est un
bien cependant à peu près dans ces limites que se trouve renfermée la région qu'on pourrait appeler rolancli-que, du manteau,
ons secondaires du faiceau pyramidal que lors-qu'elles intéressent la région centrale ou rolandique du man-teau de l'hémisphèr
entrale ou rolandique du man-teau de l'hémisphère. En dehors de cette région , les lésions destructives en foyer, quelle que so
es lésions destructives limitées à la substance grise corticale de la région rolandique produisent des dégéné-rationssecondair
yramidaux. Les lésions en foyer intéressant le centre ovale dans la région rolandique, sans participation de l'écorce grise,
s plus ou moins directes avec les grandes cellules pyra-midales de la région . Mais en bas, dans la moelle épiniôre, où et comm
eu dans le parcours descendant de ce faisceau à travers les di-verses régions spinales. D'un autre côté, certaines observa-tion
artielle des cel-lules de la corne antérieure gauche, au niveau de la région cervieomrachiale, L'examen microscopique fait ave
une hauteur de 2 à 3 centi-mètres, on constatait dans la corne de la région antérieure une disparition complète de la plupart
plupart des groupes cellulai-res qui se voient normalement dans cette région (groupes postérieur et antéro-externe). De plus,
érieur et antéro-externe). De plus, les racines antérieures, dans les régions correspondantes du renflement cervico-bra-chial,
, tant ascendantes que descendantes, qui se produisent dans certaines régions de la moelle comme conséquence de Js formation d'
t, il se développe en cet endroit une lésion destructive qui, dans la région lésée, porte indistinctement sur la substance gri
particularités, suivant que la lésion initiale occupe telle ou telle région de la moelle épinière ; il en est de même dans le
ion transverse totale, et nous supposerons que celle-ci siège dans la région dorsale supérieure. Il y a à considérer, vous l
Cette lésion, déjà connue de Turek, peut être suivie jusque dans les régions les plus supérieures de la moelle. On la retrouve
Les fibres qui le composent paraissent prendre leur origine dans les régions les plus supérieures de la moelle dorsale. En con
ébelleux direct, augmente Fig. 63.— A, Coupe de la moelle épinière ( région dorsale supérieure). — B, Région cervicale. — F c
63.— A, Coupe de la moelle épinière (région dorsale supérieure). — B, Région cervicale. — F c, Faisceau cérébelleux dégénéré a
emble s'effiler et n'occupe plus que la partie médiane, qui, dans les régions supérieures delà moelle épinière (renflement cerv
aux postérieurs. Au-dessus de ce foyer, circonscrit nettement dans la région que nous venons d'indiquer, on constate une dégén
d'entre elles passent dans la commissure anté-rieure, surtout dans la région dorsale et gagnent le faisceau la-téral du côté o
le faisceau la-téral du côté opposé, pour descendre avec lui dans la région lombaire. Il existerait donc pour ces fibres un d
et l'au-tre dans divers points disséminés sur toute la hauteur de la région dorsale ; si j'insiste sur cette particularité, c
r les progrès du développement, les faisceaux de Goll, dans certaines régions , se fusionnent avec les faisceaux de Burdach, san
ceaux de Burdach, sans toutefois se confondre avec eux. Mais, dans la région cervicale, ils restent distincts, même au point d
es postérieures ; les autres n'atteignent la substance grise que dans région du cou (cerviœ cornu posterioris), après avoir tr
sceau se dessiner net-tement dans toute la hauteur de la moelle. A la région lombaire, il se montre sur les coupes transversal
faisceaux de Burdach. Ces deux faisceaux ont, en effet, dans cette région ,une importance majeure,en raison surtout du grand
nd nombre des fibres radiculaires postérieures qu'ils reçoivent. A la région dorsale, au contraire, les faisceaux médians l'em
r-tentpar leurs dimensions sur les faisceaux de Burdacli. Enfin, à la région cervicale, les faisceaux de Burdacli deviennent d
neux, et il est même très important de remarquer que c'est dans cette région qu'ils sont le plus nettement isolés des parties
1° elle occupe exclu-sivement les faisceaux postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le faisceau postérieur est envahi tota
i totalement dans son étendue transverse ; 3° mais au-dessus de cette région , le faisceau de Goll est seul affecté, et il l'es
ales courtes du faisceau, et, de proche en proche, elle gagne dans la région lombaire le faisceau de Goll, qui, suivant la règ
rophique serait dans les cellules pyramidales de l'écorce grise de la région rolandique ; 2° les fibres courtes des faisceaux
sceaux de Goll dont le centre trophique occupe la substance grise des régions inférieures de la moelle et dont les centres de t
dont les centres de terminaison répondent à la substance grise de la région bulbaire. Enfin, la même interprétation s'appliqu
rassemblent de manière à former un groupe un peuplus compact dans la région pyra-midale du cordon latéral, et, sur ce point,
tions motrices de cet animal. Quelles sont les parties homologues des régions rolandiques de l'homme? C'est là, Messieurs, un p
, l'expéri-mentation a reconnu, à la surface du cerveau du chien, des régions excitables et motrices qui, fonctionnellement, on
t, ont la même signification que les circonvolutions rolandiques. Ces régions motrices du chien sont, en quelque sorte, groupée
que les résultats seraient conformes si les lésions intéressaient les régions correspondantes de la capsule interne. Bref, qu
me s'il s'agissait chez l'homme d'une lésion portant sur un point des régions motrices. A cet égard il me suffira de vous citer
ines lésions se dévelop-per spontanément chez le chien sur cette même région sig-moïde'et, plusieurs fois enpareilcas,on a rem
grise de l'écorce à la capsule interne, et qui, au même titre que la région de l'écorce d'où elle dérive, répond aux excitati
véritable commissure établissant des rapports directs entre certaines régions du cerveau proprement dit et les cellules ki-néso
uisent successivement dans leur trajet descen-dant, dans les diverses régions de la moelle où elles entrent en connexion avec l
fortiori chez les mammifères), la section des faisceaux latéraux à la région dorsale — les faisceaux posté-rieurs et la substa
dissipés. La fièvre, les contractures dites précoces, l'érythème des régions fessières, tous ces symptômes de fâcheux augure,
uelques-unes des particularités anatomi-ques qu'offre à considérer la région des masses centrales, car c'est dans cette région
fre à considérer la région des masses centrales, car c'est dans cette région que se fait l'épanchement, dans la très grande ma
a capsule externe, qui le sépare de l'avant-mur {claustruni) et de la région de Yinsula. Or, Messieurs, sur des'pièces conve
point comme une sorte de ventricule virtuel ; et si c'est dans cette région , ainsi que l'a depuis longtemps fait remarquer Ge
dinaires, la raison n'en est pas difficile à comprendre. A cette même région appartiennent, en effet, les artères nourricières
'exis-tence du phénomène est surbordonnée à l'intégrité de cer-taines régions médullaires. Il faut ajouter encore que, d'aprè
, avec une grande précision, les conditions de ce phénomène (2). La région de la moelle dont l'intégrité est nécessaire pour
se entre la cinquième et la sixième vertèbres lom-baires. Quand cette région delà moelle est détruite, le phéno-mène ne se pro
us ou au-dessus de ce niveau n'ont pas cet effet. Or, c'est dans la région indiquée que prennent origine les ra-cines de la
réticulum nerveux, jusqu'aux autres éléments ganglionaires de la même région et, en particulier, aux cel-lules œsthésodiques.
i, lorsque le malade frappe un peu fort, avec la paume de la main, la région hyperesthésiée, la jambe se rétracte convulsi-
riable suivant les cas et suivant les sujets, ainsi que l'étendue des régions sur lesquelles elle se propagera. Ceci fait compr
Il s'étendrait par diffusion aux autres éléments ganglionnaires de la région , avec lesquels il affecte d'ailleurs des connexio
bulbe rachidiem, et elle se fait sui-vant deux modes. Dans certaines régions , c'est une lésion destructive des éléments cellul
st alors une atrophie des muscles où se rendent les nerfs émanant des régions ainsi lésées de la substance grise. Dans d'autres
ons systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des cornes antérieures. — Elles sont presque tout
fois déjà, parfaitement ap-propriée. En effet, ces départements, ces régions que la ma-ladie peut affecter isolément, sans par
gions que la ma-ladie peut affecter isolément, sans participation des régions limitrophes, représentent autant de systèmes dist
rd'hui, Messieurs, je voudrais diriger toute votre atten-tion sur une région que nous avons déjà rencontrée plusieurs fois, in
limité, il y a lieu, en effet, d'établir physiologiquement plusieurs régions bien distinctes. Ainsi, à ce point de vue, la sub
, que l'on con-naisse aujourd'hui, affectent de se cantonner dans une région toujours la même, et cette région est celle des c
affectent de se cantonner dans une région toujours la même, et cette région est celle des cornes anté-rieures. Les affectio
ns l'acceptation rigoureuse du. mot, c'est-à-dire emprisonnée dans la région , sans participa-tion (sinon accidentelle) des rég
risonnée dans la région, sans participa-tion (sinon accidentelle) des régions , voisines. Les lésions qui reconnaissent cette
ocalisation, et aussi en raison de la spécificité physiologique de la région intéressée, les affec-tions de ce groupe, ainsi q
ginelle est en dehors de la substance grise, en dehors du moins de la région des cornes antérieures qui ne se trouvent affecté
lement quelques points relatifs à l'anatomie et à la physio-logie des régions que vous aurez à explorer. Non seulement vous dev
nque veut aborder avec fruit la topographie pathologique des diverses régions de la substance grise. APPENDICE Sclérose lat
és, et particulièrement les sillons naso-labiaux, ainsi que ceux delà région frontale, les commissures tiraillées, les yeux gr
, tels que contractures partielles, contractures de la totalité d'une région musculaire, soubre-sauts, trépidation spinale, et
fléchis-seurs des doigts, par la percussion de certains points de la région anti-brachiale antérieure. Charcot. Œuvres comp
uée d'endocardite et nécessitant l'application de vésicatoires sur la région précordiale. Cette maladie dura six semaines. A
s. — Diffé-rences dans la composition de l'écot'ce grise des diverses régions de l'encé-• phale................................
— Division au point de vue de la structure de l'écorcc grise en deux régions . Travaux de Betz.................................
de stratification en cinq couches des éléments cellulaires nerveux. — Régions où existe ce type de stratification. — Départemen
t des cellules pyramidales géantes. Structure de l'ecorce grise des régions postérieures de l'encéphale........ o'I QUATRIÈ
ement à la sensibilité. — Preuves fournies : 1° par les lésions de la région posté-rieure lenticulo-optique de la capsule inte
DOUZIÈME LEÇON. ¦ Des degenerations secondaires. Sommaire. — Région antérieure ou lenticule—striée des masses central
, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie motrice. — Fait
pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses régions de la moelle épinière. — Leur trajet dans le bulb
tre ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal au-dessus de la région bulbaire. — Trajet dans la protubérance. — Traj
yramidal dans le pédoncule. Division de la capsule interne en trois régions sur les coupes horizontales# — Segment antérieu
logi-ques de Parrot. —Formation de l'anse rolandique. — De toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions d
ique. — De toutes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions dites motrices qui se dévelop-pent les premières.
u pédoncule. —. Division de l'étage inférieur du pédoncule en trois régions . Sommaire. — Introduction à l'étude des dégénér
on consécutive du pédon-cule ; elle divise l'étage inférieur en trois régions . — Dégénération dans la protubérance, dans le bul
la moelle épinière. Localisation de la lésion degenerative dans la région opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le faisce
Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral. — Région rolandique du manteau. — Lésions en foyer de cett
cérébral. — Région rolandique du manteau. — Lésions en foyer de cette région ; elles-donnent lieu à des dégénérations secondai
ons systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des cornes antérieures. — Elles sont presque tout
Variétés des symptômes suivant le siège de ces lésions, 104, 108 ; — Régions de la —, 109,229 ; — Influence des lé-sions de la
e continuité avec la cap-sule interne, 153 ; — leur division en trois régions , 206 ; — Dégénéra-tion systématique dans les —. 2
5 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
hat; T3, circonvolutions temporales; S, vallée de Sylvius séparant la région orbitaire de la région temporale; PP, pédoncules
s temporales; S, vallée de Sylvius séparant la région orbitaire de la région temporale; PP, pédoncules cérébraux; OLB, bulbe o
u du tuber cinereum il présente une petite convexité qui répond à une région de l'écorce appelée lobule de l'hippocampe (I1L).
la bandelette diagonale ne divise pas le quadrilatère perforé en deux régions distinctes : elle est située tout à fait en arriè
, va se jeter, non loin du tubercule quadrijumeau antérieur, dans une région où ses fibres deviennent difficiles à suivre. L
très grande majorité des cas, le tractus transversus paraît reher la région des corps genouillés à la région interpédonculair
tractus transversus paraît reher la région des corps genouillés à la région interpédonculaire. Nous n'avons pas à entrer, pou
aite de la boîte du crâne, on la place sur la convexité cérébrale. La région postérieure des hémisphères est cachée par le cer
ux et le cervelet tout entier peuvent ainsi être mis à part; toute la région du ventricule est intacte. Il ny a guère que dans
nculaire. Mais ces repères n'assurent une section exacte que pour des régions relativement peu profondes (au-dessus de la face
ral a la forme d'un demi-ovoïde, dont la grosse extrémité répond à la région frontale et la petite extrémité à la région occ
sse extrémité répond à la région frontale et la petite extrémité à la région occipitale. Chaque demi-ovoïde présente une sur
ne face externe ou convexe et une ace interne ou plane. En réalité la région orbitaire représente seule la 'ace inférieure de
ampullaire régulière ( VF), s'avançant à une faible distance dans la région frontale : c'est la corne frontale du ventricule
celle-ci est la corne temporale ou sphénoïdale du ventricule (VS). La région où ces trois cornes du ventricule latéral se conf
l ou limen. Pour étudier les nombreuses parties constituantes de la région arbitraire à laquelle on a donné le nom de limen
AQ). L'aqueduc de Sylvius (AQ), [qui traverse d'arrière en avant la région supérieure de la masse protubérantielle (PV), a p
lors il se porte obliquement en bas, en dehors et en arrière, dans la région postérieure de l'espace perforé antérieur, où il
ma 4). Nous avons dit que celle-ci occupe, dans l'espace perforé, une région plus antérieure. Elle est séparée du pied du sept
ais dont on conçoit facilement la forme et les rapports. Partie de la région postérieure du chiasma optique, où elle semble fa
r Schéma 12. — Seuil ou limen de l'hémisphère, après ablation de la région protubérantielle. PP, pédoncule cérébral ; GE,
ment les circonvolutions du lobe temporal. Le schéma 12 représente la région du seuil après cette préparation. On voit sur c
our chaque cas particulier. Lorsqu'il s'agissait de localiser dans la région supérieure des circonvolutions centrales la fonct
utions centrales la fonction motrice du membre inférieur, ou, dans la région moyenne des mêmes circonvolutions, la fonction mo
la scissure calcarine (K, schéma 15). Cette petite scissure sépare la région pariétale (P) de la région temporale (T). Mais il
chéma 15). Cette petite scissure sépare la région pariétale (P) de la région temporale (T). Mais il n'y a pas encore à parler
ion temporale (T). Mais il n'y a pas encore à parler ici de lobes. La région frontale (F) se confond avec la région pariétale.
core à parler ici de lobes. La région frontale (F) se confond avec la région pariétale. (P). Quant à la région occipitale, ell
ion frontale (F) se confond avec la région pariétale. (P). Quant à la région occipitale, elle n'existe que virtuellement, en a
rtuellement, en arrière de la scissure calcarine (/{) au niveau où la région pariétale (P), se confond avec la région temporal
lcarine (/{) au niveau où la région pariétale (P), se confond avec la région temporale (T). Entre la région frontale (F) et la
gion pariétale (P), se confond avec la région temporale (T). Entre la région frontale (F) et la région temporale (T), on voit
fond avec la région temporale (T). Entre la région frontale (F) et la région temporale (T), on voit s'enfoncer d'avant briss
rt un prolongement de substance blanche qui s'avance au-dessous de la région frontale (F) et qui présente, à son extrémité ant
antéro-inférieure, large en arrière, mince en avast. Cette bor- F, région frontale ; P, région pariétale ; T, région te
ge en arrière, mince en avast. Cette bor- F, région frontale ; P, région pariétale ; T, région temporale ; S', scissur
avast. Cette bor- F, région frontale ; P, région pariétale ; T, région temporale ; S', scissure de Sylvius ; OLB, bu
re, se recourbe en arrière, formant une sorte de crochet (Une). Les régions frontale (F) et pariétale (P) se confondent encor
déjà K, scissure calcarine Oi, scissure occipitale interne ; F, région frontale; P, région pariétale; T, région temp
carine Oi, scissure occipitale interne ; F, région frontale; P, région pariétale; T, région temporale; Une, crochet;
ccipitale interne ; F, région frontale; P, région pariétale; T, région temporale; Une, crochet; L, scissure limbique
tK) qui sépare en deux étages ou en deux grands plis longitudinaux la région temporale. On remarquera (schéma 15) qu'il n'y a
indre démarcation entre les circonvolutions temporales (T4, T3) et la région occipitale. La partie la plus reculée de la cinqu
initive. Il y a peu de modificji-tions à signaler (schéma 16) dans la région occipitale et dans la région temporale. On remarq
cji-tions à signaler (schéma 16) dans la région occipitale et dans la région temporale. On remarquera seulement que la scissur
rieurement. Les modifications les plus importantes se passent dans la région antérieure ou frontale. La scissure limbique (L
sous-frontal (sF). 11 ne garde le nom de sillon métopique que dans la région sus-jacente au genou nu corps calleux. Le pli qui
mbre de leurs subdivisions. C'est ainsi qu'on voit apparaître dans la région temporale un nouveau sillon (o^) ou troisième sil
n (o^) ou troisième sillon occi-pito-temporal ; la face interne de la région temporale présente, de ce fait, trois phs longitu
avant et au-dessus de la fosse de Sylvius se trouve l'extrémité F, région frontale; P, région pariétale; T, région sphé
la fosse de Sylvius se trouve l'extrémité F, région frontale; P, région pariétale; T, région sphénoïdale ou temporale.
trouve l'extrémité F, région frontale; P, région pariétale; T, région sphénoïdale ou temporale. Schéma 18. — Face ext
andeur naturelle). frontale (F), directement au-dessus se trouve la région pariétale (P) ; au-dessous et en arrière se trouv
rouve la région pariétale (P) ; au-dessous et en arrière se trouve la région sphénoïdale ou temporale (T). Pas plus qu'à la fa
. Pas plus qu'à la face interne, il n'est possible de reconnaître une région occipitale distincte. Dans le courant du cinqui
u cinquième mois, l'anfractuosité (S1) qui s'enfonce au-dessous de la région frontale (F) s'allonge en arrière en s'amincissan
héma 19). Au-dessus de la fosse de Sylvius {S'), à la surface de la région moyenne, commence à se dessiner une incisure obli
s plis parallèles, qui seront les trois circonvolutions frontales; la région commune à ces trois circonvolutions, en arrière,
lutions, en arrière, sera la circonvolution frontale ascendante. La région pariétale ne présente aucun sillon. Mais dans la
endante. La région pariétale ne présente aucun sillon. Mais dans la région temporale, parallèlement à la direction de la fos
me sillon (f2), deuxième sillon temporal, apparaît au voisinage de la région occipitale (0). Le lobe temporal est donc, lui au
on- S', fosse de Sylvius ; OLD, nerf olfactif et son bulbe ; f, région frontale ; P, région pariétale ; fi, premier
ius ; OLD, nerf olfactif et son bulbe ; f, région frontale ; P, région pariétale ; fi, premier sillon frontal ; /"j,
tal; premier sillon temporal; tt,, deuxième sillon temporal; 0, région occipitale. Schéma 19. — Face externe d'un hémi
valle de ces sillons. En arrière, le lobe temporal se confond avec la région occipitale et avec la région pariétale. Dans le
ère, le lobe temporal se confond avec la région occipitale et avec la région pariétale. Dans le courant du sixième mois, de
siège est à peu près fixe. Il en est deux, en tout cas, situées à la région antérieure de l'opercule supérieur, dont l'appari
it l'extrémité postérieure du deuxième sillon frontal (/8). Dans la région temporale il n'y a guère de transformations à sig
uxième circonvolution temporale (T2) et la troisième (T3). Ainsi la région frontale et la région temporale n'ont pas subi de
temporale (T2) et la troisième (T3). Ainsi la région frontale et la région temporale n'ont pas subi de changements très nota
le n'ont pas subi de changements très notables. Au contraire, dans la région pariétale on constate de grandes modifications.
d'avant en arrière, divise, en deux étages la partie supérieure de la région pariétale. Ce sillon, appelé interpariétal ou tou
landique supérieur en arrière et ne se prolonge pas en avant. Dans la région antéro-inférieure du lobe frontal, apparaît une i
ncisure isolée (soe), qui sera le sillon orhiiaire externe. Dans la région temporale et dans la région pariétale, il n'y a r
ra le sillon orhiiaire externe. Dans la région temporale et dans la région pariétale, il n'y a rien à signaler; c'est dans l
et dans la région pariétale, il n'y a rien à signaler; c'est dans la région occipitale (celle dont le développement est certa
est un triangle à base supérieure. La base répond à l'opercule de la région frontale (OF) et de la région sous-rolandique (OR
eure. La base répond à l'opercule de la région frontale (OF) et de la région sous-rolandique (OR). Le sommet, mousse, mamelonn
avant dans toute la hauteur de la fosse ; ils partent, en haut, de la région profonde de la fosse, au-dessous de l'opercule pa
postérieur (INP). Enfin une rigole supérieure (1RS), cachée sous les régions frontale, rolandique et pariétale de l'opercule (
atrième circonvolution occipitale (O1), ou gyrus fusiforme, occupe la région temporale bien plus que la région occipitale. L
(O1), ou gyrus fusiforme, occupe la région temporale bien plus que la région occipitale. Les circonvolutions orbitaires, en
avant de la vallée de Sylvius (S), constituent dans leur ensemble une région parfaitement limitée. La surface orbitaire présen
sert olfactif (DO), ainsi nommé parce que la substance grise de cette région , dépourvue d'accidents de terrain, reçoit un cert
tre sur le schéma 25. On aperçoit en effet, à la partie externe de la région orbitaire, le pied de la troisième frontale (pF^)
eprésentée fréquemment que par une incisure à fleur d'écorce, dans la région postéro-inférieure de la troisième circonvolution
ue ou scissure d'Arnold, qui divise dans presque toute sa longueur la région supérieure de la face interne de l'hémisphère, es
re (pro), peut être subdivisée en deux territoires correspondant à la région frontale proprement dite, et auxquels on peut, po
per-posable au type schématique. On n'observe d'anomalies que dans la région frontale inférieure ou sous-frontale, à l'origine
), et des premier et deuxième sillons sous-frontaux (sF et sf). Cette région , Schéma 27. — Face interne d'un hémisphère gauc
erne d'un hémisphère gauclie qui ne présente d'anomalies que .dans la région du carrefour. L, scissure limbique; C, circonvo
première a une certaine importance, elle se répercute jusque dans des régions éloignées; si elle est insignifiante, la répercus
t pas servir d'origine au grand sillon métopique, est isolé dans la région sous-frontale, où il se compose de deux tronçons.
pas leur situation normale, elles sont toutes représentées dans cette région , avec des variations de longueur qui compensent l
limbique entraîne, par compensation, une complication évidente de la région frontale antérieure. Sur cette figure schématiq
n peu plus loin pour contourner le genou et venir se terminer dans la région du carrefour, au-dessus du premier gyrus sous-fro
lon de la première circonvolution frontale (fi), occupe en général la région postérieure de cette circonvolution. On trouve un
ale de l'homme comme une circonvolution toujours dédoublée. Dans la région pariétale, trois incisures verticales méritent ég
senté sur le schéma 55. Ici, une seule anomalie est à relever dans la région frontale; mais cette anomalie est de telle nature
d'attention, s'orienter et reconnaître les traits fondamentaux de la région . La scissure de Sylvius (6V) n'émet qu'une branch
tions (agraphie) dont le foyer semble précisément circonscrit dans la région du pied de la deuxième frontale (F2). Or le mode
nctionnelles ne doivent pas être systématiquement cantonnées dans des régions qui n'ont qu'une signification morphologique, et
il émet des branches ascendantes qui pénètrent verticalement dans la région pariétale, où elles se.continuent avec l'incisure
iétal se jette dans un sillon post-rolandique unique (p^, et alors la région pariétale est occupée par une anfractuosité étoil
niveau passe une coupe verticale, il est très simple de rapporter la région sectionnée à la région correspondante de la série
verticale, il est très simple de rapporter la région sectionnée à la région correspondante de la série horizontale ou de la s
sible de faire passer une coupe verticale ou transver sale dans une région profonde du cerveau, déterminée d'avance grâce au
reproduisent la série des coupes verticales de l'hémisphère depuis la région occipitale jusqu'à la région frontale. Quiconque
pes verticales de l'hémisphère depuis la région occipitale jusqu'à la région frontale. Quiconque voudra pratiquer la même séri
uer la même série de coupes pourra constater que les repères, dans la région du seuil, permettent ce, corps calleux ; GC,
ondes représentées sur chaque figure. Au contraire, les repères de la région occipitale ou de la région frontale, qui ne corre
ue figure. Au contraire, les repères de la région occipitale ou de la région frontale, qui ne correspondent qu'à des circonvol
ure antérieure et par la commissure postérieure, en commençant par la région inférieure de l'hémisphère. La dernière planche
, triangle sous-calleux. Schéma 48. — Face interne de l'hémisphère ( région du splenium). trigone, qui sous le nom d'alveus
ssi les fibres qui réunissent les noyaux de l'hémisphère à ceux de la région bulbo - prolubéran-tielle. L'ensemble de ces fibr
u noyau lenticulaire (schéma 49), dont la base répond exactement à la région de l'insula, on voit s'insinuer une lame grise en
et de sept centimètres environ, la scissure de Sylvius (S') sépare la région fronto-parié-tale de la région temporale. Sur son
la scissure de Sylvius (S') sépare la région fronto-parié-tale de la région temporale. Sur son bord supérieur on remarque une
ante (GPs, GPi). Nous voyons un avantage sérieux à désigner ainsi ces régions des deux circonvolutions centrales, qui sont fréq
u'à un tronçon de la scissure occipitale externe (Oe). Il sépare deux régions bien distinctes qui appartiennent l'une et l'autr
n distinctes qui appartiennent l'une et l'autre au lobe pariétal : la région supérieure est formée par le pli supérieur du lob
eur (P*i), parle premier pli de passage pariéto-occipital (tu 0) ; la région inférieure est formée par le pied du lobule parié
), par le lobule du pli courbe (GP), parle pli courbe (PC). Dans la région supérieure, le sillon pariétal envoie une branche
ranche (pf) qui est le deuxième sillon pariétal transverse. Dans la région inférieure, il envoie deux branches, l'une qui sé
haut par le sillon orbitaire externe (soe) ; on l'appelle, dans cette région , deuxième circonvolution fronto-orbitaire (FO2).
p (ica). De cette division résulte la nécessité de distinguer dans la région du cap deux segments, parfaitement reconnaissante
emporal (£t), Ce sillon (sillon parallèle) se prolonge jusque dans la région postérieure du lobule pariétal; il laisse au-dess
lieu de provenir du sillon pariétal (p), reste isolée au milieu de la région pariétale, entre le lobule du pli courbe (GP) et
. Le pont de Varole coupé par le milieu, et recouvert du tegmentum ou région de la calotte (TEG) cache la fente de Bichat Hmit
Elle arrive alors, après un trajet à peu près horizontal, jusqu'à une région de la face interne de l'hémisphère qui est située
au-dessus du cap du lobe carré (CQ). Dans tout ce trajet, depuis la région frontale jusque dans la région pariétale postérie
(CQ). Dans tout ce trajet, depuis la région frontale jusque dans la région pariétale postérieure, la scissure limbique sert
lle n'est séparée que par le sillon prse-uncique {PRU). Revenons à la région frontale. GSF. La première circonvolution sous-
de ces deux plis sous-frontaux est commune; elle se trouve dans cette région que Broca appelait le carrefour de l'hémisphère e
de la face interne. Le couteau a donc séparé de l'hémisphère toute la région pédonculo-protubéran-tielle ; il a pénétré dans l
llon pariétal transverse (pt). Elle sépare donc complètement toute la région sous-frontale et frontale de la région pariétale;
are donc complètement toute la région sous-frontale et frontale de la région pariétale; d'autre part, elle sépare complètement
ale de la région pariétale; d'autre part, elle sépare complètement la région frontale de la région limbique. Mais elle ne sépa
tale; d'autre part, elle sépare complètement la région frontale de la région limbique. Mais elle ne sépare pas la région parié
la région frontale de la région limbique. Mais elle ne sépare pas la région pariétale de la région limbique, attendu qu'elle
la région limbique. Mais elle ne sépare pas la région pariétale de la région limbique, attendu qu'elle n'envoie pas de branche
vant du genou du corps calleux ; il passe, sans interruption, dans la région métopique et ne se termine qu'au devant du lobe p
ce de la deuxième circonvolution occipitale (0^). Les sillons de la région temporale ne présentent rien qui les différencie
quatrième temporale (T*). TJ. Le tubercule de jonction est, dans la région du carrefour, le heu d'origine de la circonvoluti
sion occupant, par exemple, une étendue d'un centimètre carré dans la région occipito-temporale moyenne (OT^), il devient indi
nt indispensable de reproduire exactement la véritable forme de cette région , dont aucune figure schématique faite à l'avance
emier sillon frontal se recourbe en arrière et va se terminer dans la région externe du lobule orbitaire, au-dessous et en ded
externe (soe). Cette pénétration du premier sillon Irontal (Q dans la région orbitaire entraîne, par compensation, une grande
de la deuxième frontale n'est parallèle au premier sillon que dans la région antérieure. — Dans la région moyenne, il est remp
parallèle au premier sillon que dans la région antérieure. — Dans la région moyenne, il est remplacé soit par de profondes in
périeur (P's). Ce pli mamelonné s'observe très fréquemment dans cette région du sillon pariétal, qui présente une forme étoilé
se rapproche le plus du type normal. On remarquera cependant que la région frontale antérieure est très compliquée, tandis q
que la région frontale antérieure est très compliquée, tandis que la région frontale supérieure ou métopique est très simple.
e (GSF), puis elle disparaît. On ne la. voit réapparaître que dans la région du pentagone sous-ovalaire (PSO), où elle se conf
s le grand pli de passage fronto-limbique naît presque toujours d'une région corticale commune à la circonvolution limbique et
la scissure sous-pariétale présente un développement excessif dans la région antérieure du lobe carré. PSO. Le pentagone sou
pement du grand pli de passage fronto-limbique (xF), du moins dans la région antérieure. Mais, en revanche, le petit pli de pa
disposition élémentaire du cerveau fœtal, qui consiste, pour toute la région fronto-pariétale, en deux 1. Cerveau de TourRue
to-pariétale, en deux 1. Cerveau de TourRueuelF. On notera que la région frontale est absolument typique. Il n'y a à relev
es lobules cunéiformes ont une conformation absolument classique ; la région du carrefour frontal présente une disposition pre
mporte certaines difficultés d'interprétation. l'hypertrophie de la région frontale, ne présente qu'un tout petit volume; to
épaisse en avant. Ce développement antérieur empiète fortement sur la région métopique, dont les plis sont comme comprimés et
quera d'ailleurs que, si la circonvolution limbique occupait toute la région comprise entre le genou du corps calleux (GC) et
termine dans le gyrus métopique postérieur (GMP) au lieu d'aborder la région antéro-inférieure du lobe paracentral (Pa). sP.
moyen d'étude que nous indiquons est indispensable pour l'étude de la région du lobe carré, du cuneus et surtout de la scissur
le est l'extrémité postérieure du fascia dentata (Fd) qui vient de la région antérieure du lobe sphénoïdal, où il prend insert
nous avons indiquée. Il est maintenant facile de s'orienter ' dans la région de l'écorce du lobe sphénoïdal. 0^ Le lobule li
tion occipitale, appartient, d'une façon évidente, beaucoup plus à la région temporale qu'à la région occipitale. Comme, d'aut
nt, d'une façon évidente, beaucoup plus à la région temporale qu'à la région occipitale. Comme, d'autre part, il se continue e
font saillie dans le carrefour venticulaire, c'est-à-dire dans cette région vide où la fente de Bichat communique virtuelleme
ie du lobe temporal et du lobe occipital. Les circonvolutions de la région occipito-temporale présentent ici une disposition
ou moins profondément, selon les cas, l'aspect général de toute la région temporale inférieure. 0^ Le gyrus lingual, limi
re la bifurcation postérieure de la scissure calcarine (K). Dans la région frontale, la détermination des circonvolutions es
de Sylvius soient à ce point rudimentaires. Il s'ensuit que toute la région orbitaire devient méconnaissable. En efl'et, en
ution fronto-orbitaire externe (FO'") est un petit sillon, perdu à la région externe du lobule orbitaire, parallèle à la branc
au contraire, un grand sillon profond, qui, loin d'être perdu dans la région orbitaire externe, sépare nettement le lobule orb
pinion très judicieusement soutenue par Hervé, toute la portion de la région orbitaire qui est située au devant et en dedans d
i réunit l'extrémité de la deuxième circonvolution frontale (F-) à la région du désert olfactif (DO). 5" Le lobule orbitaire
ne incisure étoilée. L'hypertrophie de la ti'oisième frontale dans la région du cap refoule en quelque sorte, de dehors en ded
médullaire interne du thalamus. Cette lame n'existe guère que dans la région supérieure du thalamus. Elle est formée en partie
venues de la face inférieure de la couche optique, c'est-à-dire de la région de l'étage supérieur de la calotte; elle se compo
xterne, le plus étendu, légèrement convexe en dehors, occupe toute la région profonde de l'insula, dont il est séparé par troi
e de l'hémisphère proprement dit. A sa partie moyenne on reconnaît la région du noyau rouge de la calotte (NR), et, à son extr
e confondre de tous côtés avec la substance grise du crochet et de la région antérieure de l'hippocampe. Il semble môme se pro
nné ce nom parce qu'il apparaît très souvent sur les coupes comme une région de substance grise dont les connexions avec les p
rès fréquente d'ailleurs, pour la différentiation des faisceaux de la région cérébrale postérieure. Il est donc de beaucoup
donc de beaucoup préférable d'étudier les coupes verticales de cette région sur des cerveaux dont le ventricule occipital se
cas où le vide cesse d'exister en arrière du sommet du cuneus. Cette région nous paraît être en tout cas la limite extrême ;
lanche (ces faisceaux seront étudiés un peu plus loin). Dans quelle région de l'écorce du lobe occipital s'effectuent cette
étroite fusion de fibres qui étaient distinctes et séparées dans une région plus antérieure, donne aux coupes verticales du p
nd nombre de cerveaux au même niveau que celles-ci, démontrent que la région postérieure de l'hémisphère est plus variable que
t de repère précieux dans la détermination des faisceaux blancs de la région occipito-temporale. Il limite en bas et en dehors
ant en relation les unes avec les autres les circonvolutions de cette région . Elles sont blanches sur le plan de section, c'es
au antéro-postérieur, nettement représenté ici (FCF), qui vient de la région antéro-inférieure du cerveau : c'est le faisceau
u gyrus fusiforme (0''). Ces deux circonvolutions fondamentales de la région occipito-temporale sont presque toujours distinct
disposition a de l'importance ; nous la verrons se modifier dans une région plus antérieure, voisine de celle-ci. Le faisce
upérieure et inférieure se mêleut avec des fibres d'association de la région pariétale et de la région temporale. FLI. Le fa
mêleut avec des fibres d'association de la région pariétale et de la région temporale. FLI. Le faisceau longitudinal inféri
ensitif FS. Cette disposition en trois couches n'existe que dans la région la plus postérieure du plancher de la cavité vent
(linal inférieur, sont des fibres qui s'incurvent seulement dans la région postérieure du cerveau. Si cette couche manque da
ans la région postérieure du cerveau. Si cette couche manque dans une région plus anhîrieunî, c'est qu'elles ont continué, san
les fibres de la coucihe la plus interne du faisceau sensitif (FS). région , et il n'est pas rare que l'on confonde l'incisur
partie du faisceau inférieur du forceps arrive et se termine dans une région plus antérieure, celle de la corne d'Ammon. Les f
aire est aplatie, cela devient tout à fait impossible. Mais, dans une région plus antérieure (voy. fig. 15), leur différentiat
endymaire et le faisceau sensitif (FS). Mais leur présence dans cette région ne s'observe pas tout à fait en arrière; plus en
m de cingulum. Les fibres de la lame festonnée (LFE) sont, dans cette région antérieure du cuiunis, assez intimement méhuigées
es' en haut, en avant et en dehors, devenant plus compactes dans la ' région pariétale supérieure. Le plus grand nombre d'entr
née sous le nom de lame des faisceaux optiques, car elle aboutit à la région analomique où se terminent les bandelettes optiqu
, il s'ensuit que cette coupe, et toutes celles qu'on fait dans cette région sur tous les hémisphères, offrent un aspect carac
ent sur une coupe plus postérieure, ne s'incurvent pas encore dans la région plus antérieure que nous examinons. On les distin
cissure sous-pariétalo, puis la scissure limbique (L) jusque clans la région la plus antérieure de l'hémisphère. Cin. Le cin
isse la substance blanche du lobe carré derrière lui ; il vient d'une région plus antérieure. 11 est, sur la coupe 15, peu iso
au diffus du fornix (FDF) que nous n'avons étudié encore que dans une région supérieure, et seulement sur la figure précédente
du faisceau supérieur du forceps (FOs). On ne le retrouve pas dans la région sous-jacente au forceps ; par conséquent, son ext
rne d'Ammon, située immédiatement en avant. Ce faisceau, venu d'une région antérieure au plan de la coupe, se dirige donc d'
aisseur surtout dans sa couche inférieure et particulièrement dans la région du gyrus fusiforme (T4). A ce niveau, il n'est pl
r de la cavité ventriculaire et du faisceau moyen. C'est dans cette région , sur les coupes verticales tangentes au splenium,
ême planche, fig. 14) sous la forme d'un mince fuseau (FLi), dans une région correspondante. Cette fusion des fibres du faisce
sceau sensitif qui la composaient ne se réfléchissent pas, dans cette région , sous le ventricule. Elles continuent leur chemin
postérieure (BCP), bulbus cornu poster'ioris (voy. fig. suiv.). Cette région est celle où le ventricule atteint son maximum de
. FOs. Le faisceau supérieur du forceps se jette en dedans, dans la région supérieure du splenium. LFE. La lame festonnée
s dans leur ensemble sur chaque planche de six figures. D'ailleurs la région intéressée par les prochaines coupes verticales n
circonvolution Iimbique, dont le pentagone du lobe carré n'est que la région postérieure, est séparée du corps calleux (ce) pa
eure. Le faisceau moyen du forceps s'épuise à mesure qu'on entame des régions plus antérieures. On voit donc diminuer peu à peu
ix représentent donc trois systèmes de fibres d'association, pour des régions corticales dont les trois faisceaux du forceps re
toujours au-dessus de la base de la corne d'Ammon; il occupe donc la région interne de la cavité ventricu laire, mais non l
ment à sa face postérieure. À mesure que les coupes intéressent des régions plus antérieures, la scissure limbique (L) s'enfo
és par le couteau au fur et à mesure que les sections intéressent des régions plus antérieures. Substance blanche. ce. Le c
us verrons, à propos des rapports du forceps et du tapetum dans cette région , les particularités relatives à la réflexion des
est formé de fibres transversales du corps calleux appartenant à une région plus antérieure que celle du plan de la coupe, ma
e tapetum (TAP, fig. 54), dont les faisceaux se comportent dans cette région comme se sont comportés ceux du forceps supérieur
n comme se sont comportés ceux du forceps supérieur et moyen dans des régions plus postérieures. Arrivés à l'angle inféro-exter
dal s'abaisse. Une coupe pratiquée en arrière (A, Schéma 64) dans une région où les trois couches sous-ventriculaires sont net
Le faisceau diffus du fornix est visible (fig. 52 et suiv.) dans deux régions très éloignées l'une de Fautre : la région de la
g. 52 et suiv.) dans deux régions très éloignées l'une de Fautre : la région de la scissure limbique (L) et de la circonvoluti
n de la scissure limbique (L) et de la circonvolution limbique, et la région du gyrus fusiforme T*. Dans la région limbique, a
circonvolution limbique, et la région du gyrus fusiforme T*. Dans la région limbique, aplati entre la substance corticale et
fond insensiblement avec le faisceau compact du fornix (FCF). Dans la région du gyrus fusiforme (T4), il fait suite au faiscea
ajet arqué à concavité antérieure établissant une anastomose entre la région antéro-supérieure et la région postéro-inférieure
re établissant une anastomose entre la région antéro-supérieure et la région postéro-inférieure de la circonvolution limbique
cette partie de l'écorce sphénoïdale. On peut remarquer que dans la région du splenium d'où émane le faisceau inférieur du f
t, assez mal déterminée sur les coupes verticales, s'effectue dans la région du centre ovale. Nous appellerons faisceau sensit
au milieu du lobule pariétal inférieur, et plus spécialement dans la région désignée sous le nom de lobule du pli courbe (GP)
nt à ce qu'elle était sur les coupes précédentes, si ce n'est dans sa région inférieure, où le plancher et ses deux angles con
s deux angles conservent la même forme et les mêmes rapports. Dans la région supérieure, elle s'incurve de plus en plus vers l
de l'hippocampe d'autre part (Hip, fig. 40). Sa communication avec la région sous-calleuse est interrompue; le fasciola cinere
autre repli de la substance grise de la corne d'Ammon, situé sur une région antérieure. Par conséquent, une coupe encore plus
toujours leur trajet d'arrière en avant. L'examen des coupes sur des régions plus antérieures nous montrera que le pilier post
ceau sensitif ne se mélangent jamais. Il n'en est pas de même dans la région supérieure et externe du tapetum, où les fibres d
e dedans en dehors, horizontalement. Nous approchons, en effet, de la région du corps opto-strié, et nous allons voir (pl. IX,
Le faisceau diffus du fornix se reconnaît toujours facilement dans la région limbique (fig. 59, 41). Ses rapports et sa forme
omme un faisceau antéro-postérieur du corps calleux (du moins dans la région du splenium), entoure en dedans le faisceau infér
s dimensions de la lumière ventriculaire. Les coupes approchent de la région où le ventricule latéral sera divisé en deux étag
toujours, en dedans et en dehors du taenia tecta, quelle que soit la région où on l'examine et quel que soit le nom qu'on lui
le lieu d'insertion du faisceau diffus du fornix, aussi bien dans la région pariétale interne que dans la région temporale in
us du fornix, aussi bien dans la région pariétale interne que dans la région temporale interne. Toutes ces raisons suffisent,
ia f o Schéma représentant sur une coupe vertico-transversale la région du tu-hercule quadrijumeau antérieur(QA). Th. tha
ont la majeure partie forme le tapetum. Il en est ainsi dans toute la région occipitale. Un peu plus en avant les fibres du co
certain, en tout cas, que le tapetum renferme des fibres venues d'une région supérieure à celles du corps calleux ; il suffit
et 45), puis se renforcer (fig. 46 et 47), puis se réduire encore. La région de l'hippocampe (Uip) représentée ici est en effe
sensitif (FSe, FSi) dans la circonvolution de l'hippocampe occupe une région de cette circonvolution d'autant plus antérieure
n bas et en avant; elles ne passeront sous le ventricule que dans une région plus antérieure. FDF. Le faisceau diffus du for
ement par le couteau ; elle est comme ébarbée. Nous touchons ici à la région où le faisceau inférieur du forceps va disparaîtr
devenu tout à fait profond (fig. 51). Cela explique comment, dans la région représentée sur cette planche, la hauteur delà ci
eus a disparu, et le ventricule s'ouvre, par sa face interne, dans la région sous-thalamiquc. Cette communication n'est qu'app
clioroïdicnnc a disparu, la cavité ventriculaire se fait jour dans la région sous-thalamique. Cette région sous-thalamique n'e
vité ventriculaire se fait jour dans la région sous-thalamique. Cette région sous-thalamique n'est autre chose que la fente de
t il s'agit acquiert parfois une complexité extrême, surtout dans les régions antérieures du corps godronné, et cela, malgré la
spéciale, plus ou moins simple ou plus ou moins complexe, suivant la région où a été pratiquée la section du canal nerveux.
e partie. Mais nous le verrons réapparaître un peu plus loin vers les régions antérieures. Cm. Le cingulum, dans la circonvol
faisceaux s'accuser davantage à mesure que les coupes intéressent des régions plus antérieures. FPF. Le faisceau pariéto-fron
enter ses inégalités de coloration, suivant les coupes et suivant les régions , c'est-à-dire suivant le degré d'obliquité de la
qui se portent d'arrière en avant, n'existent plus guère que dans la région de la circonvolution pariétale ascendante (F). To
tion pariétale inférieure (P2) est assez uniformément clair. De cette région les fibres se portent transversalement dans le ce
BSO. La bandelette sous-optique est un faisceau en éventail venu des régions postérieures et latérales de l'écorce sphénoïdale
n ne le distinguait pas encore sur les coupes Face inférieure de la région pédonculo-protubérantielle, où l'on voit, à la pa
nsversales dirigées de dehors en dedans et aboutissant toutes à cette région interne et postérieure qui s'appelle le pulvinar
), un inférieur, la queue du noyau caudé (NCC). Celle-ci aboutit à la région la plus antérieure du ventricule sphénoïdal (VS,
t ce qui est au-dessus du pont de Varole (fig. 57-60) appartient à la région dite de la calotte et des tubercules quadrijumeau
es passe exactement par le raphé médian ; le bord rectiligne de cette région inférieure et interne, situé en bas et à droite,
paisseur considérable à sa partie inférieure, lorsqu'elle passe de la région bulbaire dans la région de la protubérance. Or
sa partie inférieure, lorsqu'elle passe de la région bulbaire dans la région de la protubérance. Or ce sont toujours les fib
cette portion de la couche de Reil, parvenue à la face externe de la région protubérantielle (fig. 58), qui constitue ce qu'o
, c'est-à-dire qu'on peut le suivre bien loin en avant jusque dans la région antérieure du troisième ventricule; en arrière il
doncules cérébelleux supérieurs. Il provient, comme on le sait, de la région bulbo-protubérantielle, toujours au-dessus de la
rovient non seulement du stratum zonale du pulvinar, mais aussi de la région supérieure de la couche optique. — Sur les coupes
aisceau diffus du fornix (fig. 57, 60) n'est plus visible que dans la région limbique. Encore y est-il réduit à une simple lam
nnaître, pour cette raison, l'existence de substance grise dans cette région et dans d'autres encore ; mais la comparaison a
s en haut par des fibres blanches très délicates, toutes issues de la région du faisceau sensitif interne (FSi). Le plus grand
on peut constater même qu'elles contribuent à former, en dehors de la région protubérantielle (fig. 65), la partie visible à l
d'une façon générale; mais, comme il reçoit des filets nombreux de la région latérale de la substance grise de l'aqueduc (SG),
le faisceau inférieur, qui, au fur et à mesure qu'il avance vers les régions antérieures de l'isthme de l'encéphale, abandonne
ouche de Reil et ruban de Reil sont une seule et même chose dans deux régions différentes. Déjà nous avons indiqué (pl. XX) l
t que les fibres du ruban de Reil, vues de l'extérieur, partent de la région latérale de la protubérance, d'où elles émergent
réliminaires permettent de comprendre maintenant la topographie de la région de la calotte telle qu'elle apparaît sur les coup
couches, plus profondes, les remplacent (RR) figure 63, venues de la région supérieure du pont de Varole (PV). Laq. Le laqu
illé externe ; c'est précisément parce qu'elles se terminent dans une région plus antérieure qu'on ne les suit pas jusqu'à leu
es proviennent du laqueus du côté opposé. Elles sont descendues de la région de la commissure postérieure; elles ont passé en
zonale du corps genouillé interne (ZGI). TEG. Le tegmentum est une région , encore très confuse à certains égards, mais dont
t connues. Dans le voisinage de l'aqueduc de Sylvius, le tegmentum ou région de la calotte se présente toujours, sur les coupe
du système du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 70). Dans cette région le thalamus ne forme donc d'abord qu'un seul noya
minaison, avec le stratum zonale ZS, fig. 71). (Quoique, dans cette région postérieure du thalamus, toute la substance gri
fibres, des faisceaux longitudinaux (FM) qui ne proviennent pas de la région de la calotte. Ces faisceaux, situés tout à fait
nt des fibres nerveuses parties de la calotte (TEG) et destinées à la région sous-optique. CMT. Commissure de Meynert (voy.
); mais il est impossible de lui attribuer des fibres destinées à une région déterminée; on peut en tout cas affirmer qu'il em
oupe 69, le faisceau du tegmentum se détache plus manifestement de la région proprement dite de la calotte; et de celle-ci on
uche de Reil succède au faisceau de la commissure postérieure dans la région antéro-externe du laqueus (fig. 67). Sur cette co
ïc entre le thalamus et le corps genouillé interne, d'une part, et la région de la calotte, d'autj'c part. Elle est surtout en
n de la protubérance, on constate que la lamina lateralis émane d'une région intermédiaire à la protubérance et à la calotte.
ultérieurement. TRO. Le tractus opticus zonalis (68) envoie dans la région antérieure du corps genouillé interne des fibres
nouillé interne. FRF. Fasciculus retroflexus. Si nous revenons à la région de la calotte que nous avons momentanément abando
, en dehors de la substance grise de l'aqueduc, un nou- Profd de la région postérieure du ventricule moyen. Schéma destiné
evient ensuite directement en bas et en arrière et se termine dans la région interpédonculaire. Ici (fig. 71, 72) on ne distin
en avant à une si grande distance qu'il ne rejoint plus en arrière la région iritcrpédonculaire qu'au-dessous du noyau rouge d
nterne, c'est le faisceau de Turck-Meyncrt qui forme la surface de la région du pont. A partir de cette coupe, le bord externe
faisceau sensitif interne. Il en est de même des fibres sorties de la région moyenne du thalamus (fig. 72), qui toutes vont se
ne l'explication de cette transformation de la corne d'Ammon dans ses régions antérieures. 11 va sans dire que ces trois sectio
tour de cette fissure ; et c'est là ce qui donne aux coupes de cette région une apparence un peu compliquée. Le schéma MO ren
ant à la commissure. 2° En haut et en dehors : les trois noyaux de la région postérieure du thalamus (noyau externe XeC; noyau
l postérieur (FLP, fig. 73), réunit au niveau de la ligne médiane les régions de la calotte de l'un et l'autre côtés. Elle est
e du corps genouillé externe (GE) ; c'est au niveau de cette dernière région qu'il se confond avec la lamina lateralis. exac
antérieurs prennent naissance dans le tegmentum : ils viennent de la région opposée, après avoir subi leur décussation au-des
stéro-antérieure. Nous verrons que cette direction se modifie dans la région du puta-men, au-dessus duquel le faisceau arqué é
st la même; et elle bira plus de modifications importantes jusqu'à la région fr et elle ne su-ontale. Écorce. A la face
cérébraux dont ils sont séparés par la Projection horizontale de la région de la calotte pour montrer la situation exacte du
ing. Une très faible distance sépare donc leur entre-croisement de la région de l'étage supérieur, où ils abordent le noyau ro
yau rouge (NR), ainsi qu'on peut le voir sur le schéma 118, occupe la région moyenne de l'étage supérieur du pédoncule. Il est
le passe au-dessus de la lamina tegmenti (LTE) et va se jeter dans la région inféro-externe du thalamus (schéma 123). Là elle
îirck-Meynert. Le faisceau de Tiirck-Meynert arrive du pédoncule à la région optique, au contact du corps genouillé externe (G
s cette diflérenciation n'est jamais très apparente, du moins dans la région du pédoncule attenante au corps genouillé externe
te au corps genouillé externe. Elle présente plus de netteté dans les régions antérieures à celle-ci. BSO. La bandelette sous
vont former le faisceau pyramidal (FP, fig. 84), et qui, venues de la région pariéto-frontale, en dehors du thalamus, s'accole
latérale du thalamus comme un faisceau lamellaire homogène. C'est une région , et non un appareil de fibres ayant même provenan
0, on les voit former un faisceau très isolé, qui va se jeter dans la région inférieure du thalamus au contact de la capsule i
dirigée en haut et en dehors ; elle s'étend de la ligne médiane à la région inférieure de la couche optique. Elle est située
g. 89, 90) au travers de ses fibres. Sur la coupe 90, qui traverse la région antérieure du corps genouillé externe (GE) et où
tsenia semi-circularis. Mais la lame latérale n'est pas seulement la région où convergent tous ces fais- Coupe schématique
. 85) qui sortent de la capsule interne et vont gagner l'écorce de la région de l'opercule (OP). PAR. Le faisceau parallèle
t les étudier séparément. La capsule externe, en eflet, dans toute sa région postérieure, n'est pas autre chose qu'une expansi
e de les suivre bien loin sur les coupes vertico-transversales. Cette région est de beaucoup la plus obscure de tout l'hémisph
bres cérébrales présentent l'intrication la plus compliquée. C'est la région qui se ramollit le plus facilement sous l'influen
la gouttière de Monro (M). Enfin, plus bas encore (fig. 96), entre la région de l'étage supérieur occupée par le noyau rouge (
la région de l'étage supérieur occupée par le noyau rouge (NR) et la région du pont de Varole (PV), on reconnaît la dépressio
e grise de la calotte, et va se jeter dans la couche optique dans une région plus antérieure : nous le décrirons un peu plus l
hale, réapparaît ici (fig. 96); il est tout à fait à la surface de la région pédonculo-protubérantielle; obliquement dirigé de
es du pied. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique, qui s'étend de la région de la calotte à la partie inférieure de la couche
férieure et externe. On voit qu'il provient, en haut, à la fois de la région du putamen (PUT) et de la capsule interne elle-mê
s, formant toujours une masse homogène et suffisamment isolée. Dans Région pédonculaire où l'on voit le passage des coupes 9
nte la surface pédonculaire elle-même. En dedans, il est séparé de la région de la calotte par une petite bande foncée que nou
gmenti (LTE, fig. 95, 96) après que celle-ci, venue obliquement de la région de la calotte, a commencé son trajet direct d'arr
isceau pariéto-frontal; mais on remarquera quil y occupe toujours une région plus profonde que ce dernier. Les figures suivant
en et de l'écorce de l'insula, devient toujours plus apparent vers la région moyenne du noyau lenticulaire. DL. Le discus le
perdu au milieu des faisceaux de la calotte et du pédoncule. La seule région de substance grise avec laquelle il puisse avoir
ndre bien compte qu'après avoir pratiqué des coupes méthodiques de la région subthalamique dans les trois directions. C'est un
du disque, et va rejoindre, sous le nom de lamina tegmenti (LTE), la région de la calotte, où il s'entre-croise en formant un
de là, le faisceau cérébello-thalamique n'a plus de rapports avec la région de la calotte; il est passé tout entier dans la r
pports avec la région de la calotte; il est passé tout entier dans la région externe du thalamus. On remarquera seulement qu'i
ngitudinal postérieur, il s'épuise, au-dessus du noyau rouge, dans la région inférieure du thalamus. Profil du faisceau long
omme il est indubitable que le faisceau d'Arnold réunit l'écorce à la région supérieure et interne du pédoncule, c'est en quel
ons signalé déjà précédemment ses connexions avec les faisceaux de la région . CAO. Le faisceau tegmento-thalamique (fig. 98,
des libres issues du noyau rouge et non pas d'une autre partie de la région de la calotte. Lorsque le faisceau cérébello-thal
en arrière et de dehors en dedans, dans le disais lentiformis (DL, Région pédonculo-protubé-rantielle, où l'on voit que la
les connexions du faisceau et du ganglion (nous venons de dire que la région supérieure du discus lentiformis a été appelée pa
et du noyau amygdalien. La racine inférieure du thalamus, venue de la région du centre ovale qui est sous-jacente au ventricul
horizontales. Nous dirons d'abord que ce faisceau appartient à trois régions bien distinctes : 1° le centre ovale du lobe sphé
la couche optique, où elle contribue à former le slratum zonalc de la région la plus antérieure du ventricule moyen. C'est à M
ie. Sur toutes les coupes vertico-transversaies qu'on fait dans cette région , on reconnaît l'aspect très caractéristique repré
plus en avant, poursuivant leur trajet postéro-antérieur, donner à la région postérieure de la capsule externe une coloration
s medialis), les faisceaux capsulaires sectionnés appartiennent à une région de la capsule très voisine du genou, mais qui peu
de la commissure anté- Points Ae repère pour la détermination ;des régions capsulaires sur les coupes vertico-transversales
le ce sillon. ARC. Le faisceau arqué (fig. 98) est dédoublé dans la région du centre ovale. Nous savons que son faisceau acc
. 107) que nous avons déjà étudiée (voy. Introd., p. lxvi). Dans la région de l'hippocampe (fîg. 105) on voit que le sillon
est un pont de substance grise qui réunit la crête de l'uncus avec la région sous-optique. Or, sur les coupes suivantes, on s'
gion sous-optique. Or, sur les coupes suivantes, on s'aperçoit que la région sous-optique, située immédiatement au-dessus du c
amygdalien (NA, fig. 105), ce fait que le ventricule latéral, dans sa région la plus antérieure, est séparé de la fente de Bic
partie externe, au contraire, est occupée par les fibres venues de la région de la calotte, en particulier par les fibres du f
es à concentrer sur un point limité les conducteurs venus de diverses régions ; mais ceux-ci ne pénètrent que très rarement d'em
) et à la capsula extrema (LFS, fig. 104), occupe ici encore toute la région du fond de l'insula (voy. pl. XXIX). Substance
xternes du noyau rouge de Stilling, que nous avons vues émerger de la région de la calotte à la partie antéro-externe du noyau
(fig. 108). En effet, à ce niveau le faisceau géniculé descend d'une région assez élevée de la capsule interne ; mais à mesur
c (MF). Si le faisceau capsulairc vient au discus lentiformis de la région externe du thalamus, il ne nous a pas paru possib
'arrière en avant tous les faisceaux que nous avons vus émerger de la région de la calotte : la lame latérale (Lind); les fibr
e externe ne s'arrête pas là. Au niveau Section horizontale dans la région thalamique inférieure montrant la pénétration des
tion de la lame médullaire externe du thalamus, sont tous issus de la région de la calotte. 11 est indispensable de remarquer
(CIF, fig. 105). Au fur cl à mesure que les coupes iriléressent des régions plus antérieures, la commissure antérieure devien
artie les cloisons verticales du noyau lenticulaire, du moins dans la région antérieure de ce noyau. Elles ne semblent pourtan
sceau des fibres pédonculaircs se portera presque directement vers la région frontale, les fibres lenticulo-caudées se détache
troisième frontale (F5) que par un sillon de faible importance. Cette région de l'écorce est celle où les deux circonvolutions
ns une preuve plus évidente en étudiant les faisceaux blancs de cette région (voy. BSO, pl. XXIX). Substance grise. CAM. L
11, 112), commence à décroître (114) à mesure que la coupe entame des régions plus antérieures. Lorsque le ventricule latéral (
présentent leur plus grande netteté ; la série des coupes arrive à la région du genou de la capsule. Souvent le globus mediali
sque le cervelet est détaché avec précaution, c'est-à-dire lorsque la région pédonculaire n'a pas Hypothèse de Vicq-d'Azyr.
11, faisceau du tubercule antérieur du thalamus se terminant dans la région antérieure de la calotte; — 12, faisceau du noyau
petit faisceau dirigé d'avant en arrière (5) qui se perdrait dans la région la plus antérieure et inférieure de la calotte. U
ption de ce noyau, il est indispensable de dire qu'il appartient à la région tout artificielle qu'on a appelée Yanse pédoncula
a lame supérieure ou anse du noyau lenticulaire (ANL) appartient à la région du pédoncule ; la lame inférieure, ou racine infé
la lame inférieure, ou racine inférieure du thalamus, appartient à la région de l'espace perforé antérieur (schéma 172). Qua
nt dite, et lorsqu'on la fait intervenir dans la description de cette région , on embrouille inutilement un problème anatomique
tricule, c'est-à-dire au-dessus et en dedans de l'anse. Toute cette région de l'anse pédonculaire a été désignée par les All
nous avons vu que le faisceau géniculé se confond en partie, dans la région interne du pédoncule, avec l'anse du noyau lentic
ine antérieure de la couche optique. La section intéresse en effet la région de la capsule qui est située en avant du genou, r
se en effet la région de la capsule qui est située en avant du genou, région où tous les faisceaux que nous venons d'énumérer
croisement de fibres résulte la confusion extrême des fibres de cette région sur les coupes vertico-transversales (lîg. 114).
re (CA) et de la racine inférieure du thalamus (ThI) sont, dans cette région , en contact intime; et même elles suivent la même
t à l'accroissement des fibres du centre ovale (CO, fig. 114) dans la région frontale de l'hémisphère. C'est là que le centre
dit, mais aussi dans la substance grise qui prolonge ce noyau vers la région basilaire et que nous avons appris à connaître so
frontal où il pénètre, sous-jacent à la capsule externe (CE). Dans la région frontale, la capsule externe est elle-même sous-j
, faisceau pyramidal; Lra, lamina medialis de la couche de Reil; RFP, région de l'espace perforé postérieur où commence l'irra
coupes précédentes, se portent plus en arrière et vont jusque dans la région sus-jacente au discus lentiformis, où elles accom
d. On voit sur toutes les coupes de cette planche que, à partir de la région du thalamus où le faisceau de Vicq d'Azyr n'exist
e du thalamus au niveau de sa terminaison (ou de son origine) dans la région antérieure de la couche optique. NC, noyau caud
du thalamus et qui fait partie intégrante du stratum zonale de cette région . On conçoit aisément que la lame profonde est for
au noyau caudé du côté opposé, elles vont d'arrière en avant vers la région frontale interne, plus spécialement vers la circo
re; et si l'on se reporte, par Coupe vertico - transversale dans la région antérieure du noyau caudé (NC). ce, corps calleux
AP), situé en dehors et au-dessous du noyau caudé, comme destiné à la région la plus postérieure de ce noyau, peut-être môme à
ig. 118,120), plus nombreuses à mesure que les coupes intéressent des régions plus voisines de la grosse extrémité du corps str
du thalamus, el toujours en dehors de celte racine. Dans toute cette région antérieure du lobe sphénoïdal où elles prennent n
nt fournies par la substance grise de la tête du noyau caudé, dans la région inférieure de ce centre, qui fait suite au putame
ent en bas et en dedans ; elles forment ainsi le stratum zonale de la région thala-mique la plus antérieure (ZS, fig. 121) et
rême de ses rapports. Mais ce n'est pas seulement à la totalité de la région occipito-sphénoïdalc que la commissure antérieure
lle suit la direction. Mais elle abandonne aussi quelques fibres à la région occipitale : ce sont les fibres qui suivent le tr
it presque tout entière de haut en Las et de dehors en dedans vers la région amygdalienne. Si quelques fibres gagnent la cap
125), proviennent non-seulement du noyau caudé (NC), mais aussi d'une région intermédiaire entre le noyau caudé (NC) et le pil
e le noyau caudé (NC) et le pilier descendant de la voûte (DF). Cette région intermédiaire (GSL, fîg. 125) est la substance gr
ame terminale et la partie postérieure du rostrum Écorce, Dans la région frontale, le pli de communication entre la troisi
lorsqu'on veut étudier sur les coupes vertico-transversales de cette région le trajet des faisceaux profonds. La face infér
lte que la capsule interne a perdu l'épaisseur qu'elle avait dans les régions plus postérieures. La racine antérieure du thalam
ux nerfs de Lancisi). Mais ce qu'il faut constater surtout dans cette région , comme un fait d'importance capitale pour la comp
cidum (psp), et à peu }irès confondu avec ce dernier, Pi'olil de la région du rostrum au niveau de la coui)C vertico-trans-v
132), ni môme de la capsula extrema (LES). Toutes les fibres de cette région sont en efïet dirigées de dehors en dedans. Toute
nnent de moins en moins nombreuses à mesure que la coupe traverse des régions plus antérieures du putamen (PUT, fig. 151). Puis
se du lobule orbi-taire; les plus internes vont gagner, en dedans, la région du sillon olfactif interne (soi, fig. 129, 130);
C. Le faisceau arqué (fig. 127, 128, 130, 132) garde, jusque dans les régions antérieures de l'hémisphère, sa forme caractérist
tal. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 127) reste limité à la région du manteau limbique (L). Il ne se réfléchit pas s
rayonnante du noyau caudé (RNC). Sur la coupe (154), intéressant une région plus antérieure, le rostrum est encore plus obliq
n, sur la figure 138, on ne distingue plus sa véritable direction, la région frontale du centre Profil du corps calleux de
rrière en avant et que nous avons déjà étudiées. Elles viennent d'une région de la tête du noyau caudé postérieure au plan de
second lieu, parce qu'elles s'éparpillent en rayonnant dans toute la région de l'écorce du carrefour, ainsi que le représente
ns le manteau du gyrus vestibuli (GVE, fig. 137). Mais Profil de la région du carrefour où l'on voit le cinguhun (Cin) ac-co
termes, la première coupe doit toujours être la plus rapprochée de la région de la calotte. PLANCHE XXXIV COUPES HORIZONTA
de l'hémisphère, les coupes intéressent ici une notable portion de la région protubérantielle. L'hémisphère est relié à la p
ance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte occupe le milieu de la région protubérantielle, au voisinage de la ligne médian
à partir de la coupe 3 (FRF). TM. Le tubercule mamillaire occupe la région interpédonculaire. On voit le faisceau de Yicq-d'
antérieure (CA) se porte de haut en bas et d'arrière en avant vers la région sphénoïdale (T*). Sur les coupes supérieures (1
evant du corps genouillé interne (GI, fig. 1 et 2) se termine dans la région inférieure du thalamus. 11 est en rapport, en ded
s. Thl. La racine inférieure du thalamus (fig. 2 et 3), venue de la région sphénoïdale où elle a pris naissance entre le noy
du segment antérieur de la capsule interne (CIA, fig. 1). Venu de la région frontale, il se perd dans le thalamus en passant
Thl). FS. Le faisceau sensitif parcourt d'avant en arrière toute la région temporo-occipitale, depuis la partie postérieure
sensitif interne prend naissance, en avant, dans BlUSSACD. 28 la région postérieure et externe du puhinar (Pul, fig. 5);
du pied du pédoncule (PP, fig. 3) et qui arrive à l'hémisphère de la région protubéranliellc, se réfléchit en arrière, immédi
: il est encore horizontal ; il ne s'est pas encore réfléchi dans la région temporale de l'hémisphère. Il est donc presque im
xterne du faisceau scnsilif (FSe), n'est que la continuation, dans la région pariétale, du faisceau occipital vertical (FOV, f
NCHE XXXV COUPES HORIZONTALES PASSANT IMMÉDIATEMENT AU-DESSUS DE LA RÉGION DE LA CALOTTE Substance grise. NR. Le noyau r
oncule cérébelleux supérieur, devenues horizontales pour passer de la région de la calotte dans celle des noyaux gris centraux
grand nombre des fibres de l'anse du noyau caudé (ANC) pour gagner la région pédonculaire, en avant du faisceau géniculé (FG).
(NC)., Thl. La racine inférieure du thalamus arrive (fig. 5) de la région sous-lenticulaire, remonte et se porte en dehors,
térieure (ThA).. ïliA. La racine antérieure du thalamus vient de la région frontale (fig. 5) à travers le segment antérieur
à l'habénule. NpC. Le noyau postérieur du thalamus appartient à la région inférieure de la couche optique (fig. 7). Il n'es
planche XXXVIll. Thl. La racine inférieure du thalamus, venue de la région antéro-inférieure du troisième ventricule, s'épui
res longues, d'un seul tenant, sans faire escale dans les différentes régions de la masse opto-slriée qu'il parcourt. LMf. La
e aussi, au système rayonnant du thalamus. Seulement elle vient de la région postérieure du pulvinar ; c'est pourquoi la direc
e rayonnante. . PLANCHE XXXVll COUPES HORIZONTALES PASSANT PAR LA RÉGION SUPÉRIEURE DE LA MASSE OPTO-STRIÉE. Les deux pr
première fois sur la coupe 10, c'est-à-dire qu'il occupe seulement la région supérieure de la couche optique. D'abord allongé,
e la queue du noyau. Mais on remarquera qu'elle n'appartient pas à la région temporale du ventricule latéral, ni même exclusiv
ffet que les fibres du faisceau sensitif externe ne répondent qu'à la région du putamen. Ici ce noyau a disparu; le faisceau s
tres. PLANCHE XXXVILI COUPES HORIZONTALES DE l'hÉMISPHÈRE DANS LA RÉGION OPTO STRIÉE Los trois ligures de cette planche
e aussi grande tietteté sur toutes les coupes pratiquées dans la môme région . Tel cerveau présente des faisceaux remarquableme
che XXXIV pour constater, sur une coupe faite exactement dans la môme région , que le fasciola cinerea est rectiligne. Cavité
est limité en avant par le bras du pulvinar (BP) qui s'épuise dans sa région antérieure. Les autres parties du thalamus qu'o
Le faisceau d'Arnold qui, presque à lui seul, constitue dans cette région le segment antérieur de la capsule interne, s'enf
la couche grillagée de certains auteurs*. Cin. Le cingulum, dans la région frontale, est sectionné perpendiculairement à sa
pes liorizontales que dans un l'égion très limitée. frontal et à la région antérieure de la face interne de l'hémisphère.
lan de section. La section du corps calleux intéresse cependant une région très voisine des circonvolutions sous-frontales,
sont situés au-dessus de la coupe. La section n'intéresse ici que la région inférieure, où l'on reconnaît la convexité supéri
HE XXXIX COUPES HORIZONTALES PASSANT PAR LA PARTIE INFÉRIEURE DE LA RÉGION OPTO-STRiÉE Ces quatre coupes, bien qu'apparten
te planche sont destinées à faire voir les rapports réciproques de la région basilaire. du noyau amygdalien et de l'espace per
le lohe frontal a été respecté. Cependant l'incision, traversant une région un peu plus élevée, on distingue, au fond de la v
trois premières figures représentaient les coupes horizontales de la région corticale de l'uncus, au-dessus, au milieu et au-
lisse au devant de la branche relevée de la scissure limbique dans la région poslé rieure du lobe paracentral; la quatrième (4
aracentral; la quatrième (4), qui est la plus antérieure, traverse la région antérieure du lobe paracentral. La figure 1 de
ola cinerea est situé ici, juste au-dessous du corps calleux, dans la région du faisceau inférieur du forceps (FOi). 11 passe
xiste aucun point de repère assez fixe pour attaquer par ce moyen une région pi'ofonde déterminée, avec quelque chance de tomb
6 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
les multipolaires, avec les nombreuses fibres musculaires des mêmes régions . Dans l'endoderme on trouve en outre, au sein d
ès cette description, pour ainsi dire analytique, des diffé- rentes régions du cerveau, nous en exposerons la synthèse. Nous
nts faisceaux du cerveau : faisceaux d'association qui relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale, fa
psule interne et du pied du pédon- cule et seront étudiées avec ces régions . Le second assure les connexions entre les gang
e l'encéphale, moelle épi- nière), il concourt à la formation de la région sous-optique de Fore/ et de la calotte du pédon
médullaire, se détachent des fibres, qui vont se terminer dans une région plus ou moins éloignée. Or, la dégénérescence de
ifférence d'épaisseur que présente la calotte crânienne suivant les régions . La scie ne doit être employée que lorsqu'il ex
xe, au niveau de l'arc postérieur de l'atlas et, par ce procédé, la région cervicale supérieure et bulbaire inférieure pourr
ique, car, comme elle passe très près de la partie supérieure de la région sous-optique, elle n'est pas à employer, s'il s
au mode de formation de tous les faisceaux de cette dernière région . Du reste, quand on se pro- posed'étudierl'
obe frontal; un moyen plus volumineux que les autres, comprenant la région rolandique, la partie moyenne des circon- volut
à étudier, sont celles des faisceaux de la capsule interne et de la région de la calotte. Lorsqu'il n'existe pas de lésion
re le plus souvent son existence - asymétrie et aplatissement de la région , etc., - Sens dans lequel on doit couper au
pratiquera sur le hulbe rachidien une coupe analogue passant par la région moyenne des olives. Quanta la moelle épinière,
ériées du bulbe et de la protubérance, de la moelle épinière, de la région sous-optique et même de la capsule interne. cou
indre. Lorsqu'on fait de l'anatomie normale il faut, dans certaines régions la région sous- optique entre autres, colorer e
qu'on fait de l'anatomie normale il faut, dans certaines régions la région sous- optique entre autres, colorer et monter e
ences secondaires, il faut également pro- portionner le nombre à la région que l'on étudie. D'une manière générale, il fau
faut rapprocher les numéros, dès que les faisceaux approchent d'une région où ils changent de direction. PROCÉDÉ DE CONSER
e possible après la mort, les nerfs cutanés et musculaires dans les régions où on veut les étudier. Il est préférable, au p
côté opposé. - 2, limite externe de cette même lame neurale. - 3, région où la lame neurale est très peu soulevée et ne so
et ne so rapproche pas encore de sa congénère du côté opposé. - 4, région où la lame neurale non soulevée délimite une la
rge et peu profonde gouttière neurale. - 5, limites latérales de la région céphalique de l'embryon. - pp, ligne primitive.
endant que s'effectue l'occlu- sion de la gouttière neurale dans la région céphalique, et que son extrémité antérieure pré
dire aux hémisphères cérébraux, aux corps opta-striés et à toute la région qui entoure le troisième ventricule; la vésic
es cérébraux et aux tubercules qua- ? ? M : < ? c'est-à-dire, à la région de l'aqueduc de Sylvius. La vésicule encé- ph
t encadrant la partie antérieure de la ligne primitive pp. Fig. 15. Région céphalique de ce même embryon vue par la face i
naissance aux couches optiques dans leur moitié supérieure, et aux régions sous-thalamiques de Forel dans leur moitié infé-
pect globuleux, les vésicules hémisphériques proprement dites ou la région du manteau cérébral (Mantclgebiet de His, Pallium
- rif, diverticule de l'infundibulum. - ro, recessus optique. - STh, région sous- ' thalamique de Forel. Te.tubercinereum.
âne de Küllikcr. La lèvre antérieure de la fente, est formée par la région des futurs tubercules mamillaires et par l'infund
et au trigone; le cerveau intermédiaire aux couches optiques, à la région sous- optique et à toutes les parties qui const
ance. 4' Lame fondamentale. Ftc. 2b. - Coupe transversale de la région dorsale supérieure de la moelle d'un em- bryo
e postérieure du cordon latéral (IIinterseitenstrang). Dans celte région apparaîtront plus tard le faisceau pyramidal cr
tandis que les cornes et les cordons sont à peine ébauchés dans les régions médullaires infé- rieures. La moelle cervicale
ments cer- vicaux et lombaires. Fio. 28. Coupe transversale de la région dor- sale supérieure de la moelle d'un embryon
bres corres- pondantes ; elles conservent cette direction dans la région cervicale, et deviennent légè- rement oblique
, et deviennent légè- rement obliques en bas et en dehors dans la région dorsale. Dans les régions lombaire et sacrée,
ent obliques en bas et en dehors dans la région dorsale. Dans les régions lombaire et sacrée, les racines s'allongent a
une direction d'au- tant plus oblique qu'elles appartiennent à des régions plus inférieures. Les racines lombo-sacrées, qu
un canal tapissé d'une membrane Fie. 29. - Coupe transversale de la région dorsale supérieure de la moelle d'un embryon hu
ningée, on trouve les vais- seaux méningés, qui proviennent dans la région rachidienne, des vaisseaux inter-costaux et dan
dans la région rachidienne, des vaisseaux inter-costaux et dans la région crânienne, de l'aorte. Dans l'une et l'autre ré
taux et dans la région crânienne, de l'aorte. Dans l'une et l'autre région ils apparaissent, vers la quatrième semaine de la
es eu une seule. FiG. 30. Coupe transversale de la moelle de la région dorsale supérieure d'un foetus humain de 3 mois
rne antérieure de la moelle. Cette colonne fournit en outre dans la région protubérantielle le noyau du nerf moteur Format
nne grise de la corne latérale de la moelle, on voit naître dans la région bulbaire, les noyaux d'origine des fibres mo- t
nerfs spinal, pneumo-gastrique et glosso pJtcrzz,/iezz; et dans là région protubérantielle, le noyau d'origine du facial et
uent dans la protubérance que des îlots séparés, tandis que dans la région bulbaire, ils forment une colonne nucléaire ini
l'homologue du faisceau de Burdach de la moelle épinière. Dans la région du quatrième ventricule, la lame alaire subit d'i
nt jugal on vertical de la lame alaire donne naissance : a) Dans la région bulbaire du quatrième ventricule, au noyau du cor
ostérieure correspond assez exactement à l'aile grise. b) Dans la région protubérantielle, le segment jugal de la lame ala
e, se renfle encore pour atteindre sa plus grande dimension dans la région protubérantielle, et se termine enfin en pointe
postérieur. Le sillon labial externe ne représente au niveau de la région bulbaire qu'un sillon transitoire; il disparaît
udure de la lèvre rhomboïdale au segment jugal, les cellules de ces régions émigrent et se portent en avant et en dedans; ell
du grand-hypoglosse (fig. 33). Elles donnent naissance : a) dans la région bulbaire à l'olive bulbaire, ou olive inférieur
oïde, la couche inter-olivaire et le corps restiforme. . b) Dans la région protubérantielle, la lèvre rhomboïdale fournil l'
ides, que recouvrent les fibres arquées les plus superficielles. La région de la calotte précède donc dans son développement
cupent en même temps les couches les plus superficielles. Dans la région protubérantielle, la lame alaire donne naissanc
ivisent, ainsi que K1111;,er l'a montré, sa surface en cinq grandes régions primaires : la première région correspond à la fa
montré, sa surface en cinq grandes régions primaires : la première région correspond à la face supé- rieure des hémisphèr
phères et au vcrmis superior; les troisième, quatrième et cinquième régions appartiennent il leur face inférieure et au vermi
nnent il leur face inférieure et au vermis infe- rior ; la deuxième région enfin, à cheval sur les deux faces, correspond à
s et des vermis. Au niveau des hémisphères cérébelleux, la première région donne nais- sance aux ailes du lobule central e
lobule central et au lobe cunéiforme ou quadrilatère ; la deuxième région fournit les lobes semi-lullaires, qu'un sillon se
i-lunaire supérieur et en lobe semi-lunaire inférieur. La troisième région correspond au lobe digastrique, lequel se subdi
e il son tour en lobule grêle et en lobule cunéiforme. La quatrième région fournit le lobe tOJlsiUail'1 ! ou amygdalien ; la
région fournit le lobe tOJlsiUail'1 ! ou amygdalien ; la cinquième région enfin, le petit lobule clu puetcozo-cc.strirl2t
tcozo-cc.strirl2te ou (lacclllus, Au niveau des vermis, la première région fournit : la lingula couchée sur la valvule de
et qui relie entre eux les deux lobes quadrilatères. A la deuxième région , correspond le bourgeon terminal ou folium cacl
), qui relie les deux lobes semi- lunaires inférieurs. La troisième région fournit la pyramide, qui relie les lobes cunéif
pyramide, qui relie les lobes cunéiformes inférieurs; la quatrième région , la luette ou uvzcla, qui relie les amygdales ;
. l'o, protubérance. ri VI, recessus latéral du 4' ventricule. 8Th, région sous-thalamique. siCSl1'. surface suturale opto-s
a couche optique; à la plus grande convexité de l'arc correspond la région du corps genouillé externe; l'extrémité inférie
médiaire que nous apprendrons à connaître plus tard, sous le nom de région sous-thalamique de Forel ou de région du corps de
tre plus tard, sous le nom de région sous-thalamique de Forel ou de région du corps de Luys; elle forme la future bandelet
continue avec la crête latérale du pédicule oculaire (fig. 18). La région du corps genouillé externe est reliée au tuberc
face supé- 7 Surface suturale pto-striéc. Arc thalamiqlle. Région sous-thala- mique de Forci. llalldclctlc opti
e, et donne naissance à la couche optique propre- ment dite ou à la région tlzalaziq2ce; la saillie inférieure correspond à
tique. - saa, sillon arqué antérieur. - s11, sillou de Monro. - Suit, région sous- thalamique. - Tc. tuber cinereum. TAf, tr
n, tubercule mamillaire. lame fondamentale, et donne naissance à la région sous-thalamique de Forel. Ces régions s'épaissi
ntale, et donne naissance à la région sous-thalamique de Forel. Ces régions s'épaississent bientôt considérablement, de telle
ventricule, qu'elle réduit iL l'état d'une mince fente. Quant il la région sous-thalamique développée aux dépens de la lame
épens de la lame fondamentale; elle se continue en arrière, avec la région de la calotte du cerveau moyen. L'extrémité ant
calotte du cerveau moyen. L'extrémité antérieure de cette dernière région s'unit à celle du côté opposé, immédiatement au
mmédiatement au-dessous de l'aqueduc de Sylvius et au- dessus de la région des tubercules mamillaires, par une lame transver
enula. s.11, sillon de Monro. - sp, diverticulo sous-pinéal. - $tu, région sous-optique. - Th, thalamus. - Tlll, trou de Mon
re, elle est en rapport avec un diverticule profond qui occupe la région rétro-thalamique et cor- respond à la partie la
artie la plus sail- lante de l'arc thalamique, c'est-à- dire à la région , du corps genouillé externe. Ce diverticule por
antérieure de la calotte du cerveau moyen, et refoule en dehors la région rétrothala- mique (pulvinar, corps genouillé ex
érieur. sM, sillon de Monro. -7 sp, diverticule sous-pinéal. - Sïh, région sous-thalamique. - Te, tuber cinereum. -.Th,tha-
ires à la commissure antérieure. Il s'insère de chaque côté, sur la région sous-thalamique qui le sépare du sillon de Monro;
aissent de bonne heure, et relient la couche optique d'un côté à la région de la calotte du côté opposé, de là le nom de f
RES NERVEUX. Paroi interne de la yésicule hémisphé- rique. Sa région anté- rieure. Sa région posté- rieure. Na
de la yésicule hémisphé- rique. Sa région anté- rieure. Sa région posté- rieure. Naissance de la corne il'Ani
ère. La lame terminale embryonnaire divise la paroi interne en deux régions , l'une antérieure, l'autre postérieure; la régi
interne en deux régions, l'une antérieure, l'autre postérieure; la région antérieure ou préthalamique est verticale, elle e
au antérieur située enlavant du trou de Monro (fig. 41, 42, 44). La région postérieure ou thalazizique correspond à la lame
de la toile choroïdienne, la sépare du cerveau intermédiaire. Cette région thalamique de la paroi interne subit d'importante
Schmidt (Randbogen), sur lequel nous re- viendrons plus loin. La région préthalamique de la paroi interne présente un sil
ec ce dernier que beaucoup plus tardivement (fig. 44). Il divise la région préthalamique de la paroi interne, en deux part
lus étendue, donnera naissance aux circonvolutions cérébrales de la région . La partie postérieure, plus étroite, est compris
surface suturale opto-striée. - saa, sillon arqué antérieur. - STh, région sous- -thalamique. - TM, trou de Monro. - VU, v
qu'il limite en avant, et atteint en bas la limite supérieure de la région infundibulaire. Le segment moyen, le plus large,
u corps strié entoure en dehors la fosse sylvienne, c'est-à-dire la région du futur, irsûla et le lobe olfactif posté- rie
ibulum. - sol, sillon de Monro. - sost, sillon opto-strié. - Stria, région sous-thalamique. - Th, thalamus. VU, vésicule des
tie externe de l'arc lhalamique et avec la surface extérieure de la région sous-optique, au voisinage de la bandelette optiq
ches. Ces fibres relient le corps strié à la couche optique et à la région sous-optique; d'autres fibres beaucoup plus nombr
couronne rayonnante de Reil, et se rendent à la couche optique, à la région sous-optique, ou encore à des régions plus infé
dent à la couche optique, à la région sous-optique, ou encore à des régions plus inférieures, telles que la protu- bérance
, lame cornée. Ll'(STh), lame fon- damentale donnant naissance à la région sous-optique de Forel. - MB, masse blanche sous-
iée secondaire. Ssp, surface suturale opto-striée primitive. - STh, région sous-thalamique. - Ti, première circonvolution te
ral (demi-schématique). Le cer- veau intermédiaire (couche optique, région sous-optique de Forel, bandelette optique) est
RVEUX. Noyau lenticulaire. Capsule externe. Serment antérieur Région rétro-len- ticulaire de la cap- sl1le interne
en dedans, abordent la partie externe du pulvinar et constituent la région rétro-lenticulaire de la capsule interne (Girl.
e secondaire : les unes pénètrent dans la couche optique et dans la région sous-optique, les autres dans le globus pallidu
oviennent du lobe temporal n'entrent pas dans la constitution de la région thalamique . de la capsule interne; elles se po
ure du noyau lenticulaire, et atteignent la partie inférieure de la région sous-optique de la capsule interne, en dedans de
inue en avant avec les tænia tecta et les nerfs de Lancisi. Dans la région temporale, le trigone n'est séparé de la circon
la circonvolution godronnée que par un sillon peu profond. Dans la région fronto-pariétale, ces deux formations sont séparé
igone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - ? 7t+7'A, thalamus et région sous-thalamique. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU S
du corps calleux et qui loge l'artère cérébrale antérieure. Dans la région temporale, le sillon anuno- nique déprime forte
la saillie s'eflace,gràce au développement que prennent dans celte région , les fibres de la couronne rayonnante et celles
'étend du lobe sphé- noïdal au lobe occipital; elle sépare, dans la région sphénoïdale, la circon- volution de l'hippocamp
- volution de l'hippocampe (H) du lobule fusiforme (Fus) et dans la région occipitale, le lobule fusiforme du lobule lingu
recessus optique. - SI, septum lucidum. - sM, sillon de Monro. STh, région sous-thalamique. - T, lobe temporal. - T'q, tri
, chiasma des nerfs-optiques. 126 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Région centrale de la face interne ou lobe limbique
volutions de la lace interne peuvent, en résume, se diviser en deux régions : une région centrale ou interne, qui entoure le
a lace interne peuvent, en résume, se diviser en deux régions : une région centrale ou interne, qui entoure le sillon ammo-
mo- nique foetal et qui constitue le lobe limbique de Broca, et une région péri- phérique ou externe, qui représente la fa
interne des lobes frontal, parié- tal, occipital et temporal. La région externe comme la région interne, décrivent autour
al, parié- tal, occipital et temporal. La région externe comme la région interne, décrivent autour du limbe de l'hémisph
illon ammonique, c'est-à-dire par le sinus du corps calleux dans la région fronto-pariétale, et par le sillon de l'hippoca
a région fronto-pariétale, et par le sillon de l'hippocampe dans la région occipito-temporale, et ce sillon sépare le lobe
Uv OLM1L iJCILHJUp 111V1llJ 11GLLGD. Elles sont constituées dans la région frontale par le sillon calloso-marqinal, Elles
tale par le sillon calloso-marqinal, Elles sont constituées dans la région frontale par le sillon calloso-marginal, dans l
ées dans la région frontale par le sillon calloso-marginal, dans la région pariétale par un petit sillon qui apparaît vers l
sous-pariétal et qui sépare le praecuneus du lobe limbique; dans la région occipitale, par la branche commune ci la scissure
la scissure calcarine et à la scissure pariéto-occipitale; dans la région sphénoïdale enfin, par la partie temporale de l
ale enfin, par la partie temporale de la scissure collatérale. La région périphérique, représente la partie interne des lo
qui représente le véritable limbe de l'hémisphère, c'est-à-dire la région de l'hémisphère où s'arrête l'écorce grise. Acc
du crochet, circonvolution dont le développement est considérable. Région périphé- rique de la face interne. Circonvo
nglion volumineux qui occupe la base du cerveau, et envoie dans les régions encéphaliques inférieures un volumineux faiscea
tiles et en particulier il la face interne de l'hémisphère, dans la région de la formation ammonique, que l'on trouve le pre
libres postérieures des cordons latéraux cylindre-axe dans les régions antérieures de la moelle; une partie de ces der
bifurque, pour former les fibres des cor- dons longitudinaux de la région postéro-latérale de la moelle. Les fibres arqué
bres des racines antérieures. Fia. 85. - Coupe transversale de la région dorsale inférieure do - la moelle d'un embryon
corne latérale. Nerfs naissant de la colonne nucléaire dans la région cer- vicale supérieure. Branche motrice du
Ce cône épendymaire arrête dans leur migration les neuroblastes des régions avoisinantes, les refoule sur les côtés, où ils f
ntérieur et son rôle. 1 r , Fis. 90. - Coupe transversale de la région cervicale de la moelle d'un embryon humain de Ow,
s racines postérieures (fig. 90). Les cellules épendymaires de la région fusionnée, région qui correspond à celle des fu
ieures (fig. 90). Les cellules épendymaires de la région fusionnée, région qui correspond à celle des futures cornes et co
ure se distinguent par leur disposition caractéristique. Dans cette région , la charpente épendymaire fait défaut, comme nous
es superficielles présentent des aspects très variables suivant les régions . Dans la substance blanche de la moelle, un pet
on y Cajal a montré en effet, que les dendrites existaient dans des régions où il n'y a pas de capillaires, par exemple dan
les glomérules olfactifs des Vertébrés inférieurs, etc.; que toute région de substance grise pourvue de fibres nerveuses
d'origine siège dans le cerveau et qu'elle envoie sa fibre dans des régions inférieures, telles que la protubérance, le bul
la moelle, du bulbe, etc., lors- qu'on fait l'ablation de certaines régions de l'écorce cérébrale ou cérébel- . leuse, ou d
férences de co- loration de la sulls- tance grise suivant t les régions . Ili Substance blan- che, sa coloration et
. Conception moderne. blanche, comme la formation réticulée de la région de la calotte, les noyaux gris de l'étage antér
le nom de gaine lymphatique, bien qu'une injection poussée dans ces régions n'arrive pas dans les ganglions voisins. l'our
petit diamètre, s'ils sont situés super- liciellement. ou dans des régions soumises, soit à des pressions, soit à des frot
current (fig. 138) ; quelquefois cependant, en particulier dans la région res- piratoire des cavités nasales, les rameaux
e col- latérale d'un nerf cutané voisin, destiné à in- nerver une région plus ou moins étendue de la peau. La sensibilité
. - Terminaisons ner- veuses sensitives dans l'épi- thélium de la région sus- glottique du larynx d'un chat : g de six s
vo- cales inférieures et dans l'épithélium à cils vibratiles de la région sous-glottique du larynx d'un chat âgé de 4 sem
Terminaisons nerveuses sensitives dans l'épithélium vibratile de la région respiratoire des cavités nasales. (D'après G. R
un disque tactile. . f) Dans le groin du cochon et dans différentes régions de la peau de l'homme, on rencontre dans les co
à-dire par les hémi- sphères cérébraux, les corps oplo-slriés et la région sous- thalami que de Forel. Pour la facilité de
ées aux dépens de la vésicule encéphalique moyenne, c'est-à-dire la région des pédoncules cérébraux et des tubercules quad
inus longitudinal supérieur. Le bord inféro-externe, mousse dans la région temporo-occipitale, plus accentué dans la régio
ne, mousse dans la région temporo-occipitale, plus accentué dans la région frontale, sépare la face externe de la face infé-
bitaires. - Sp, septum lucidum. sp, scissure sous-pariétale. - STh, région sous-optique. - 7's, deuxième circonvolution te
u'il s'agit MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 243 bien plus dans l'espèce de régions , que de masses lobulées nettement circon- scrit
ond de la scissure, en arrière du lobule de l'insula, et constitue la région rétro- insulaire de Broca (Tp) (fig. 100.173).
: G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Leur origine au ni- veau de la région orbitaire (lobulo or- bitaire). ' ! Lobule
volution frontale. toutes un foyer d'origine commun au niveau de la région orbitaire, qu'elles concourent à former. Celte
niveau de la région orbitaire, qu'elles concourent à former. Celte région , il peu près triangulaire, forme la face inféri
emière circonvolution frontale (oF,) occupe la partie interne de la région , elle est dédoublée par un sillon rectiligne, a
. Les trois circonvolutions frontales naissent donc au niveau de la région orbitaire, dans un foyer d'origine commune, par
e de la troisième cir- convolution frontale (F3)' Elle naît dans la région orbitaire par deux ou trois racines grêles et f
le désert olfac- tif de Èroca. " . 160 à 162). Elle naît dans la région ôrbitaire, au niveau de l'extrémité pos- : téri
sula (ma) (fig. 1 î : 3). Le pied recouvre la face supérieure de la région insulaire antérieure (la), dont il est séparé par
ième contourne le sillon parallèle en formant lepli courbe (Pc). La région de la deuxième circonvolution pariétale, si compl
encore, si possible, l'étude des localisations de cette importante région . A notre avis, le meilleur moyen pour détermine
e temporal et constitue avec ce der- nier le lobe ou mieux . la région temporo-oc- cipitale. La délimita- tion de ce
marcation avec la face inférieure du lobe occipital, pour former la région temporo-occipitale (lig. 1r91. Les limites de la
la lèvre infé- rieure de la scissure de Sylvius et limite en bas la région de l'insula qu'elle recouvre en partie. La fa
ge profonds, les plis de passage temporo-pariétaux profonds (Tp) ou région , rétro-insulaire de Broca, connus encore sous l
on marginal postérieur (mp) sépare l'insula propre- ment dit, de la région rétro -insulaire qui appartient a la première cir
llon temporal profond (tp) ou sillon temporal transverse, sépare la région rétro-insulaire d'avec la circonvolution margin
mière circonvolution temporale (T,) se continue directement avec la région rétro-insulaire (fig. 158, 160). La région rétr
ue directement avec la région rétro-insulaire (fig. 158, 160). La région rétro-insulaire comprend une, quelquefois deux, v
on marginal supérieur; son segment postérieur sépare l'insula de la région rétro-insulaire de Broca, que nous avons étudié
se souder. Mais, la partie inférieure du sillon sépare toujours la région anté- rieure de l'insula qui appartient au lobe
gion anté- rieure de l'insula qui appartient au lobe frontal, de la région postérieure, laquelle se termine dans le lobe t
n avant. La scissure collatérale est souvent interrompue dans cette région par un pli de passage, le pli temporo-limbique de
ui est due au développement considérable, que pren- nent dans cette région les fibres tangentielles de l'écorce cérébrale (v
de Monro. so, sillon sus-orbitaire. - sp, sinus sous-pariétal. - sTh, région sous-optique. - T ? troisième circonvolution te
ibuli ou de tubercule de jonc/ion (Brissaud), représente une petite région , située à la face interne de l'hémisphère céréb
ns), le trigone olfactif fait défaut, et à sa place on constate une région absolument lisse, qui occupe la partie postérie
.... T2 3. Troisième circonvolutiontem- porale.......... T3- 4. Région rétro-insulaire ou circonvolution temporale t
elettes optiques subdivisent la commissure grise de la base en deux régions : 1° Une petite région antérieure, triangulaire
nt la commissure grise de la base en deux régions : 1° Une petite région antérieure, triangulaire, connue sous le nom de
le chiasma des nerfs optiques et le bec du corps calleux. 2° Une région postérieure losangique, le losange ohlohécloucolc
3/1, bandelette optique. Ca, étage supérieur ou calotte du pédoncule ( région du faisceau triangulaire de l'isthme do l'encép
tous une direc- tion parallèle et longitudinale. Les cavités de la région spongieuse du lobe antérieur sont tapissées d'u
au faisceau de ? i ? z,yr, se porte en arrière vers la calotte et la région des tuber- ? \Ug¡'-ifuai{¡'3jumeaux, et se perd d
etit faisceau qui se porte en arrière et en bas pour gagner dans la région de la calotte le ruban de Reil; c'est le pédonc
e l'étage su- périeur. lant, qui appartient au bord interne de la région sous-optique et de la ré- gion de la calotte ou
cule mamillaire médian au ganglion inter-pédonculaire (fig. 184). Région des pédoncules cérébraux. En arrière du losange
ion extérieure peut être faite avec celle de la base du cerveau. La région des pédoncules cérébraux, connue encore sous le
u. La région des pédoncules cérébraux, connue encore sous le nom de région de l'aqueduc de Sylvius, occupe, chez l'embryon,
ingula du cervelet. Vue en section transversale (fig. 183, 189), la région des pédoncules cérébraux affecte, dans son ense
'l/Cf'phali) (si), qui sépare en dehors, le pied du pédoncule de la région de la calotte (fig. -189, 19° ? , 19 ! ). Qua
r l'aqueduc de Sylvius, divisent chaque pédoncule cérébral en trois régions : l'une postérieure, la, région des tubercules qu
chaque pédoncule cérébral en trois régions : l'une postérieure, la, région des tubercules quadrijumeaux; l'autre antérieur
re, la, région des tubercules quadrijumeaux; l'autre antérieure, la région du pied du pédoncule ; la troisième, externe et
région du pied du pédoncule ; la troisième, externe et centrale, la région , de la calotte du pédoncule. 1° Le pied ou l'ét
Socmmeriniri. ? t i Division du pédon- cule cérébral en trois régions . ' - - i Etage intérieur ou , pied du pédoncu
tablit la ligne de démarcation entre le pied du pédoncule et la région sous- thalamique do la cap- sule interne. ;
ÉRÉBRALE. 327 de fibres arciformes, qui apparaissent toutes dans la région postérieure du cerveau moyen, au voisinage des
ous étudierons son trajet. (Voy. t. II, Protzc- bérance). 2° La région de la calotte ou de l'étage su- périeur dupéd
hme. L'étage supérieur, ou calotte du pédoncule, constitue donc une région irrégulière, limitée par le locus niger (Ln) en
n arrière, le raphé et la substance perforée postérieure en dedans, région dont la face supérieure ou ventriculaire forme, a
édoncule se continue, sans ligne de démarcation bien nette, avec la région soît.y-lh(ilti211qi(e de Forel; du côté de la p
otte du pédoncule n'est donc, en somme, qu'une par- tie d'une vaste région que nous apprendrons à connaître plus loin, sous
e région que nous apprendrons à connaître plus loin, sous le nom de région de la calotte, région étendue du bulbe à l'extrém
endrons à connaître plus loin, sous le nom de région de la calotte, région étendue du bulbe à l'extrémité anté- rieure de
de Stilling (NR, fig. 193) situé de chaque côté du raphé, dans les régions supérieures de la calotte du pédoncule et entou
du pédoncule et entouré d'une capsule de fibres blanches. Dans les régions inférieures de la calotte du pédoncule, on trou
ngitudinal postérieur (Flp), au voisinage duquel on trouve, dans la région pédonculaire inférieure, le noyau d'origine du ne
'origine du nerf pa- thétique (4e paire) (NI\" fin. 189) et dans la région pédonculaire supé- rieure les noyaux d'origine
e quadrijumeau posté- rieur. Ruban do Reil. Ses limites. La région de la calotte s'étend du bulbe à la couche
- ral, de faisceau triangulaire de l'isthme (RI, fig. 189). Dans la région Fig. 193. Coupe transversale de la partie supér
ibres du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r(p). 3° La région des tubercules quadrijumeaux occupe la partie pos
i appartient à la valvule de Vieussens et qui est connu sous le nom Région des tuber- cules quadrijumeaux. Sillon longit
n de Monro divise la paroi latérale du troisième ventricule en deux régions , l'une supé- rieure formée par la couche optiqu
ée par la couche optique, l'autre inférieure, connue sous le nom de région sous-optique ou .sous-tlzcclanzi yue de Forel.
nt sur sa face infé- rieure. Son épaisseur est variable suivant les régions ; très épais à son extrémité postérieure, où il
n du lobe olfactif et de l'extrémité antérieure du lobe temporal, W régions desservies par le système de la commissure antéri
blanche antérieure (coa), plongent ensuite d'avant en arrière dans la région sous-optique correspondante, se portent oblique
e sus-optique. - SI, septum luci- dnm.- sM, sillon de Monro. - STh, région sous-optique. - Teh, toile choroïdienne et plexus
Fin. 20 : i· Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la région sous- ' optique, passant par le corps genouillé
. 35t représente, un véritable faisceau d'association, reliant deux régions du rhi- nencéphalon. FiG. ? ou. Coupe vertico
FiG. ? ou. Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la région sous optique passant en arrière du velum termin
o. SI', septum lucidum. - Spp, substance perforée postérieure. STh, région sous-optique. Tch, toile choroïdienne. - T,g, t
. 1 Êpcndyme Ventri- claire. Son épaisseur varie suivant les [ régions . Vélum terminale. les autres, et réunies en p
o (sM), divise les parois latérales du troisième ventricule en deux régions : l'une supérieure, l'autre inférieure. La régi
ntricule en deux régions : l'une supérieure, l'autre inférieure. La région supérieure ou thalamique, ou région de la couche
érieure, l'autre inférieure. La région supérieure ou thalamique, ou région de la couche optique, est formée par la face in
ce couche de substance grise, la substance grise centrale (Sgc); la région inférieure, ou région de l'infulldi- bulum ou d
grise, la substance grise centrale (Sgc); la région inférieure, ou région de l'infulldi- bulum ou du plancher du troisièm
bstance perforée postérieure, etc.), en arrière et en dehors par la région sous-optique. Une lamelle de substance grise, l
édiatement au-dessus du sillon de Monro, relie entre elles les deux régions thalamiques. Horizontale et quadrilatère, à bords
légè- rement oblique en bas et en avant; il est formé : 1° dans la région de l'infundibulum (fig. 211), par la partie ant
en haut, le cul-de-sac optique (recessus optique) (ro); 2° dans la région thalamique, par la commissure blanche antérieur
et en avant, présente successivement et de haut en bas : 1° dans la région thalamique (fig. 211), la base de la glande pin
orifice antérieur ou anus de l'aqueduc de Sylvius (AqS); 2° dans la région , de l'in- fundibulum, une rainure profonde, méd
cordons latéraux appartenant à la partie intra-ventriculaire de la région sous-optique (STh) et de la calotte des pédoncu
de la couche optique. si, sillon opto-strié. SZ,septumlucidum.S7'A, région sous-optique. Tch, toile choroïdienne. Tga, pilie
tiers inférieur de cette ligure, divise la capsule interne en doux régions : la région supérieure ou thalamique de l'a cap
eur de cette ligure, divise la capsule interne en doux régions : la région supérieure ou thalamique de l'a capsule interne
e comprend les trois segments de cette capsule (Cia, Cip, Cirl); la région inférieure ou sous-llialamiquc est formée du segm
egment rétro- lenticulaire (Cip, Cirl). Le segment postérieur de la région sous-thalamitluc comprend non seulement les lib
la région sous-thalamitluc comprend non seulement les libres de la région thalamique de ce segment, mais encore des libres
genou de la capsule interne (fig. 226). On rencontre enfin dans la région sous-optique de la capsule interne un quatrième
ient le corps strié à la couche optique, d'autres se ren- dent à la région sous-optique et, traversant horizontalement le se
re sont adhérentes et intime- ment unies à la capsule interne, à la région sous-optique et au pédoncule cérébral. La fac
queduc de Sylvius, constitue sa limite inférieure et la sépare de la région sous-optique. Lès faces internes des deux couch
couche optique. - si, sillon opto-strié. SI, septum lucidum. - STh, région sous-optique. - Tcle, toile choroïdienne. - 7;qa,
n effet sur l'étage supérieur du pédoncule, qui porte ici le nom de région sous-optique; le pulvinar embrasse son bord pos
IE DES CENTRES NERVEUX. Anse pédonculaire. Ses rapports avec la région sous-optique de Forel. Sa t'aco externe. Co
ntérieur de l'étage supé- rieure du pédoncule, connu sous le nom de région sous-optique ou sous- thalamique de Forel (fig.
sous-optique ou sous- thalamique de Forel (fig. 247 à 252). Cette région s'étend de la substance innominée de Reichcrt au
us la forme d'une lentille biconvexe, logée dans la concavité de la région sous-thalamiquede la capsule interne (fig. 229, 2
représente un petit corps sphérique, qui appartient à la fois à la région sous-thalamique et à l'étage supérieur du pédoncu
reçoit un nombre considérable de libres, prove- nant de toutes les régions de l'écorce et dont l'ensemble constitue les ra
antérieur, près de la face supérieure de la couche optique, dans la région du faisceau de Vicq d'Azyr, où ces deux noyaux
de Luys et au-dessous du noyau externe, au voisinage immédiat de la région sous- optique, un petit noyau aplati de haut en
nticulaire, en dehors du noyau caudé, de la couche optique et de la région sous-optique (fig. 248 à 252). On peut par cons
Sur les coupes horizontales (fig. 224 à 226) elle se présente dans la région thalamique, sous l'aspect d'une ligne brisée, a
t sur les coupes vertico-trans- versales et sa division : jï en région thalamique J et sous-thalamique. p Sou aspect
384 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX. Segment rétro- lenticulaire. Région sous-thala- mique de la capsule interne. Fa
ue dont elles contribuent à former le pédoncule postérieur. Dans la région sous-thalamique (de Forel) (fig. 228-230, 309-312
bre de fibres horizontales qui t'Clientr,2J le globus pallidus à la région sous-optique. (Voy. Chap. m et t. IL) w T' On s
t insuffi- santes. En effet, l'étude de la capsule interne et de la région sous-optique, de même que celle des faisceaux c
s choisi dans chaque série, pour les faire dessiner, les coupes des régions les plus importantes. Chaque coupe pete un numé
ns- toute la série des coupes horizon- tales, jusqu'au niveau de la région sous-optique et du plancher du ventricule lui(,-
limbique postérieur (-plp), puis le lobe limbique sectionné dans la région de l'isthme aulécalcarinicta (Li[i]). Comme sur
e par un seul ordre de fibres, à trajet antéro-postérieur. Dans les régions inférieures ainsi que sur les préparations micr
e de Sylvius (S) ainsi que les circonvolutions de l'insu la (I). La région de l'insu la peut être divisée en deux parties
la facilité avec laquelle les hémorrhagies se collectent dans cette région . L'iii- sula est formé par quatre, quelquefois
volution insulaire postérieure (Ip) des trois circonvolutions de la région insulaire antérieure (la). Ce sont ces dernière
érieure de la couche optique qui correspond il la corticalité de la région rétro-insulaire ; il contient surtout, il cette
Cette coupe passe au-dessous du bourrelet du corps calleux, dans la région du trou de Monro (NIo); elle intéresse la partie
o); elle intéresse la partie moyenne de la rouclie optique (Th), la région thalamique de la capsule interne, et les deuxiè
ui est sillonné comme lui par des fibres radiaires, provenant de la région , rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl).
de, les parois ventricu- laires sont simplement accolées dans cette région , et entourées par la substance grise sous-épend
parée du fond de la scissure cal- carine (K) que par l'écorce de la région , entourée d'une couche mince mais complexe de s
son origine dans le lobe occi- pital ; il se divise au niveau de la région rétro-insulaire en deux parties, une partie ext
inférieur (Fli) et qui s'irradient presque toutes, au niveau de la région rétrolenticulaire de la capsule interne, dans le
plus grande étendue de sa partie l/tal(t7jtlq,te. C'est dans cette région qu'elle affecte le plus nettement la forme d'un
la couche optique (PaTh). Les préparations microscopiques de cette région montrent que les fibres </i6[a ? )M<jf :
e (Cip) du segment postérieur de la capsule interne en constitue la région la plus importante et la plus intéressante. Elle
re-croisent au niveau de la zone réticulée (Zr) avec les fibres des régions voisines et pénètrent dans le noyau externe de
Cip), et se rendent dans la couche optique (Th) et les noyaux de la région sous-thalamique. Coupe n° 63 (fig. 227), passan
. La subs- tance grise centrale (Sgc) tapisse la face interne de la région sous-optique, et recouvre en avant le pilier an
s antérieure (coa) et postérieure (cop), la partie supérieure de la région sous- optique de la capsule interne et la parti
n constant et assez profond, le sillon insulaire (i) divise en deux régions , l'une postérieure, la circonvolution, postérie
tème de la capsule du noyau rouge. Ce faisceau appartient déjà à la région sous-thalamique de Forel. Coupe n° 68 (fig. 229
et la partie profonde du sillon collatéral (ot). Elle passe par la région sous-optique, intéresse le corps de Luys (CL), le
st sec- tionné au niveau du pôle de l'insula; il est divisé en deux régions par le sillon insulaire (i). La circonvolution
u. 330); elle siège à la face inférieure du globus pallidus dans la région désignée sous le nom de substance innominée de Il
segment postérieur de la capsule interne (Cip) pour se rendre dans la région de la calotte, mais le plus grand nombre le con
21 appartient au système visuel.- Cette coupe intéresse en effet la région sous- optique de Forel, qui représente une des
e en effet la région sous- optique de Forel, qui représente une des régions les plus importantes du tronc encéphalique, par
, ainsi que par la variété et la disposition des noyaux gris. Cette région représente en effet une région de transition entr
a disposition des noyaux gris. Cette région représente en effet une région de transition entre la capsule interne et le pé
apsule interne et le pédoncule cérébral. , . On trouve dans cette région limitée en dedans par la substance grise centrale
noyau rouge (NR) est arrondi, occupe la partie postéro-interne de la région : sous-optique et présente à sa partie interne un
ps genouillé interne (Cgi) fait saillie à la partie postérieure de la région sous-optique. Il se présente sous l'aspect d'un
r. (Qa) et de son bras connectif (BrQa). Les faisceaux blancs de la région sous-optique de Forel sont constitués sur cette
Azyr y naît. - Le tubercule quadrijumeau anté7'ieu7' (Qa) limite la région sous-optique en arrière et en dedans. Il est ne
e interne (Cip) est un pe,u moins long, mais plus épais que dans la région thalamique, et se rapproche déjà par son aspect
ale. - IV, zone de Wernicke. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La région sous-optique contient déjà tous les éléments du p
sceau longitudinal postérieur (Flp). La partie antéro-externe de la région sous-optique est constituée par le segment posté-
nouillé externe, partie qui répond à sa face dorsale, on trouve une région triangulaire, la zone de 11%ernicl,w (W), dont
du noyau lenticulaire (Al) ne peut guère être suivie au delà de la région pédonculaire supérieure, où ses libres entrent,
ourent il former les fibres parallèles. Elles se confondent dans la région du noyau supérieur de la troisième paire, avec
perforée antérieure. Dans le pédoncule (P) on reconnaît les trois régions qui le constituent : la région postérieure ou r
édoncule (P) on reconnaît les trois régions qui le constituent : la région postérieure ou région des tubercules quadrij umea
aît les trois régions qui le constituent : la région postérieure ou région des tubercules quadrij umeaux (Qa), située en arr
rij umeaux (Qa), située en arrière de l'aqueduc de Sylvius (Aq), la région moyenne ou région de la calotte conte- nant le
ituée en arrière de l'aqueduc de Sylvius (Aq), la région moyenne ou région de la calotte conte- nant le noyau rouge (NR),
lcil médian (Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ; la région inférieure ou pied du pédoncule (P) séparée de
du pédoncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la région précédente par une bande de substance grise très
e ne sont indiquées sur ces dessins que dans leurs rapports avec la région sous-optique et la base du cerveau anté- rieur.
étage inférieur ou le pied du pédoncule (P); 20 l'étage moyen ou la région du noyau rouge (NR), séparé du précédent par le
ux radiculaires de la 3° paire (III); 3° l'étage supérieur enfin ou région des tubercules quadrijumeaux (qu), limitée en ava
trigone et celles du faisceau postérieur du cingulum.. Dans cette région , la surface de section du cingulum est caractéris
mince lamelle blanche qui appartient aux fibres tangentielles de la région . En arrière de celte lamelle, l'écorce de l'insul
IQUES DU CERVEAU. 43S FiG. 236. Coupe horizontale, passant par la région thalamique de la capsule interne, destinée au r
au occipito-frontal (OF) est refoulé en haut, et il double dans cette région le bord externe du ventricule latéral (VL), don
d des sillons, et d'autant plus longues, qu'elles appartiennent à des régions de la substance blanche plus rapprochées du cen
ent dans la substance grise centrale (Sge) et se terminent dans les régions inférieures et internes de la couche optique (Th)
ontales microscopiques, fig. 296) en arrière du locus niger dans la région de la calotte, dont elles occupent la partie la
oïdes du troisième ventricule. La partie inférieure appartient à la région sous-thalamique. Dans la sub- stance grise cent
e horizontale passant par le sillon de Monro (sM), elle repose sur la région sous-optique dans laquelle on trouve les deux f
e (Zr). Limitée en dedans par la substance grise centrale (Sgc), la région sous-optique est en rapport : en dehors avec le
tricule (V3) (fig. 250) est limité en bas par l'adossement des deux régions sous-optiques. Noyaux opto-striés. - Sur toutes
s (fig. 301.) et sagittales, t. IL) La couche optique repose sur la région sous-optique. Cette région intéresse le corps d
, t. IL) La couche optique repose sur la région sous-optique. Cette région intéresse le corps de Luys (CL) sur la coupe n°
édoncule (P) et qui atteint en dedans la face libre de ce dernier. La région sous- optique n'est en effet pas autre chose qu
hauteur de la bandelette optique (II), c'est-à-dire au niveau de la région sous-t/lI1lamique, le pied du pédon- cule (P) s
erne (Cge), la partie externe du pied du pédoncule cérébral (P) et la région de la calotte du pédoncule cérébral. Écorce.
d01'écÔr¿e : 'L'illsula a disparu, ces coupes intéressent en effet la région rétro-insulaire (Tp) et le pli marginal supérie
-il- dire la surface exlra-veniriculaire de la couche optique et la région du pédoncule. Noyaux opto-striés. Le noyau caud
. Sur la coupe n° 83 (fig. 252), la couche optique (Th) repose sur la région de la calotte du pédoncule cérébral; les radiat
sente, dans son segment externe, un aspect fusiforme; épaisse dans la région qui correspond au sillon parallèle (t,) et il l
que subdivise la partie verticale du sillon parallèle (t',) dans la région du pli courbe (Pc); puis la deuxième circonvo-
ture- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. ,. 479 cUv l'écorce de la région . On voit en effet apparaître un ruban blanc (V),
trémité interne du corps strié (NC+NL3), la couche optique (Th), la région sous-optique (F, NR), le pied du pédoncule céré
région sous-optique (F, NR), le pied du pédoncule cérébral (P), la région des tubercules qzccccloi- iumoazcax (Qa, Qp), l
- convolution limbique (L¡). Son écorce grise forme dans cette région le gyrus rectus (oFj [Gr]), qui .en arrière s
pect tout particulier que présentent les coupes horizontales de ces régions et qui intéres- sent à la fois le cunéus et le
are la face interne de la face inférieure. L'écorce de toutes ces régions ne présente, en dehors du ruban de Vicq d'Azyr
les différences d'épais- seur du tronc du corps calleux suivant les régions . Ventricule latéral (VI). Le ventricule latéral
r (Na), se voit un faisceau de fibres (PiTh) qui semble venir de la région du tubercule mamillaire (Tm). Ce faisceau s'irr
la toile choroïdienne. L'insertion des plexus 'choroïdes dans cette région de la couche optique a lieu de surprendre au pr
os 5, 7 et 10, fig. 268, 269, 270). La couche optique repose sur la région sous-optique, constituée parle noyau- rouge (NR
lus considérable, forme les tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) et la région de la calotte du pédoncule. La couche optique (
l aborde le ganglion, de l'habénula situé en dedans de la coupe. La région de la calotte comprend le noyau rouge (NR) situé
n de la calotte comprend le noyau rouge (NR) situé iL cheval sur la région de la, calotte et sur la région sous-optique. Il
u rouge (NR) situé iL cheval sur la région de la, calotte et sur la région sous-optique. Il est entouré de sa capsule de f
oyen et du cerveau postérieur. Cet angle correspond il peu près il la région sous- optique, en particulier au noyau rouge (n
nce (Po), qui concourent il former le faisceau ]JY- mmidal (Py). La région de la calotte se continue de môme avec l'étage po
deux parties : l'une intra, l'autre extra-venlri- culaire. Dans la région intra-ventriculaire, nous trouvons le noyau antér
médian du thalamus. Les noyaux de la couche optique reposent sur la région sous-optique. Celle-ci présente le noyau rouge
de Vicq d'Azur (V) se présente avec beaucoup de netteté dans cette région . La masse blanche du cunéus et du lobule lingua
L) et le faisceau thalamique de Foret (Fth) qui appartiennent il la région sous-optique. Le pied du pédoncule (P) est sect
mmune aux scissures calcarine el pariéto-occipitale (K+po). Dans la région , occipitale de l'hémisphère, nous trou- vons en
ale, qui appartiennent il la zone de Wernicke (W). C'est dans cette région que nous verrons s'irradier sur la coupe suivan
ui traver- sent le globus pallidus (NL ? ), pour se porter dans les régions infra-corticales, mais il n'en reçoit pas par s
irl); elles contiennent le faisceau de Turc (fur) qui passe dans la région sous-optique supérieure, entre le noyau lenticula
e recourbée de la queue du noyau caudé (NC') pour se rendre dans la région des première, deuxième et troisième circonvolut
du sillon marginal postérieur de l'insula (mp) avec l'écorce de la région rétro-insulaire (Tp), et d'autre part au niveau d
profonde de Heschl (Tp). Cette circonvolution forme il elle seule la région rétro-insulaire de Broca; elle représente un pl
ous-épendymaire (SgVsph) et entourée par les trois couches de cette région , à savoir : immédiatement en dehors du ventricu
e circonvolution pariétale (OpP 2)' En comparant l'opercule avec la région insulaire de la coupe n° 37 (fig. 276), on voit
li de passage ]JaJ'iélÓ-l1'Ontal inférieur, sont en rapport avec la région insulaire proprement dite, tandis que l'opercul
la deuxième circonvolution pariétale (OpP2) est en rapport avec la région rétro-insulaire. 516 ANATOMIE DES CENTRES NER
opos de l'étude synthétique des fibres de la capsule interne, de la région sous-optique, du pédoncule cérébral, du cerve-
. 4° La constitution des noyaux gris centraux -corps opto-striés et région sous-optique. 50 La constitution de la capsul
gments antérieur, pos- léoieur, et rétro-lenticulaire , et dans ses régions thalamique et sous-thala- nzique. 6° La façon
6° La façon dont la couronne rayonnante du lobe temporal aborde la région sous-thalamique de la capsule interne et le pied
de coupes horizontales, particuliè- rement destinées à l'étude des régions thalamique et sous-thalamique de la capsule int
II, et à propos de l'étude synthétique de la capsule interne, de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
ittales, destinées à montrer une partie du trajet des fibres de ces régions , qui comptent parmi les régions les plus comple
partie du trajet des fibres de ces régions, qui comptent parmi les régions les plus complexes de l'encéphale. , II. La deu
hère (voy. fig. de repérage 291) et sectionnent l'une (coupe A), la région thalamique, l'autre (coupe B), la région sous-tha
onnent l'une (coupe A), la région thalamique, l'autre (coupe B), la région sous-tha- lamique de la capsule interne. Elles
hémisphère céré- bral (voy. fig. de repérage 294) et intéressent la région thalamique (coupe C), la région sous-thalamique
de repérage 294) et intéressent la région thalamique (coupe C), la région sous-thalamique de la capsule interne (coupe D),
voit contourner la partie antérieure du segment posté- rieur de la région sous-optique de la capsule interne, pour entrer d
coupes intéressent les noyaux gris centraux, la capsule interne, la région sous-optique et la partie supérieure du pédoncule
te, sans transition brusque, à la transformation du centre ovale en région thalamique de la capsule interne, à la constitu
thalamique de la capsule interne, à la constitution graduelle de la région sous-thalamique de Forci, de la calotte et du p
andelette optique (Voy. fig. de.repérage 315). Elles intéressent la région sous-optique elle pé- doncule cérébral. L'obliq
que, lorsqu'on se reporte aux coupes horizontales passant par celte région (Voy. fig. 9). Le FiG. 279. Coupe vertico-trans
on, olfactif et représentent les fibres d'association propres de la région ; 2° une couche de fibres plus foncées qui appar
fibres qui se portent d'arrière en avant, pour s'irradier dans des régions anté- rieures au plan de cette coupe, à savoir,
orce du lobe limbique (LJ par les fibres d'association propres à la région . Les fibres d'association sont particulièrement
des circonvolutions frontales. Elles sont entre-croisées dans cette région par des fais- ceaux de fibres assez espacés, qu
ne rayonnante, on trouve la masse des fibres d'association de cette région , formée de fibres s'entre-croi- sant dans tous
calleux (sec), dont il est séparé par quelques fibres propres il la région , et repose par sa base sur les fibres calleuses.
ion, et repose par sa base sur les fibres calleuses. L'écorce de la région limbique (L,) présente quelques particularités in
interne et s'épuisent pour la plu- part dans la couche optique, la région sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Ys, noyau rouge) et
as. Les fibres inférieures répondent aux fibres tangentielles de la région et appartiennent il la bandelette diagonale de Br
D, fig. 296 et Coupes microscopiques de la capsule interne et de la région sous-optique, séries III et IV), montre qu'elles
ec les fibres du genou de la capsule (Ci [g]) et forment dans cette région un petit faisceau assez isolé, situé au-dessus de
ar- ties par le sillon de Monro (sM). Dans la partie inférieure, ou région sous-optique, on trouve, en dedans de l'anse du
la partie du pilier antérieur du trigone (Tga) qui s'enfonce dans la région sous-optique pour se rendre au tubercule mamill
rayonnante du lobe temporal. Dès que la coupe intéresse en effet la région située en arrière de la circonvolution du, cro-
ys (CL). L'intérêt de cette coupe réside dans la couche optique, la région sous-optique et le segment postérieur de la cap
e inférieure de la couche, optique est mal délimitée et repose sur la région sous- optique, représentée sur cette coupe par
où elles se réunissent pour former un faisceau qui descend dans la région sous-optique, où il constitue le faisceau thalami
ombre de fibres de la lame médullaire interne du thalamus (Lmi). La région sous-optique, située au-dessous des noyaux intern
ît le locus lIif71'I' (Ln) et la substance perforée postérieure. La région sous-optique se continue en bas et en dedans av
ure. La région sous-optique se continue en bas et en dedans avec la région de la calotte du pédoncule à laquelle appartien
e appartient déjà le locus niger (Ln) intéressé sur cette coupe. La région sous- optique comprend sur cette coupe un noyau
'entre-croisent dans tous les sens. Il appar- tient il la fois ù la région de la calotte du pédoncule cérébral et il la régi
t il la fois ù la région de la calotte du pédoncule cérébral et il la région sous- optique et il est entouré d'une capsule d
'une supérieure, l'autre inférieure. La supérieure correspond il la région lhalamique du segment postérieur de la capsule in
egment postérieur de la capsule interne, la partie inférieure iL la région sous-thalamique de ce segment postérieur. La caps
segment postérieur. La capsule interne dans l'une et l'autre de ces régions présente un aspect différent. Dans la région tl
une et l'autre de ces régions présente un aspect différent. Dans la région tlwlll1oÎlll/e, la capsule est formée de gros fas
présentent une direction d'autant plus oblique, qu'elles abordent des régions plus inférieures du noyau externe (Ne) de la co
bral (P). Ce sont les fibres de projection directes de l'écorce de la région rolandique, dont un grand nombre va constituer
uer le faisceau pyramidal du bulbe. Dans la partie supérieure de la région thalamique de la capsule, ces fibres sont crois
noyau caudé et du stratum zonale cesse complètement au niveau de la région , sous-thalamique de la capsule, où les dernière
mus et les fibres de projection directes de l'écorce rolandique, la région thalamique de la capsule interne contient encore
res, car elles sont faiblement colorées par l'hématoxyline. Dans la région sous-thalamique de la capsule interne, les fibres
colorées, qui traversent le globus pallidus pour se rendre dans la région sous-optique de la capsule interne. Ces fibres in
terne. Ces fibres indiquent que nous sommes déjà au voisinage de la région rétro-lenticulaire de la capsule interne. Le no
du thalamus. Le noyau rouge (NR) occupe la plus grande partie de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule céré
sule interne (Cip) ne présente rien de particulier il noter dans sa région thalamique. Sa région sous-thalamique est carac-
présente rien de particulier il noter dans sa région thalamique. Sa région sous-thalamique est carac- térisée ici, comme s
UES DU CERVEAU. 549 interne au niveau de la partie supérieure de la région sous-thalamique, les supé- rieures, obliques en
les supé- rieures, obliques en bas et en dedans, l'abordent dans la région lhalamique. Les deux noyaux de la couche optiqu
t du stratum zonale (strz)'. La couche optique (Th) repose sur la région sous-optique, en particulier sur le noyau rouge
troisième paire. 50 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. dier. Dans la région lhalamique il reçoit toutes les fibres du pied de
de la tête du noyau caudé (NC) et au niveau du putamen (nul.,). La région , thala- mique de la capsule interne contient en
férieure et se portent en dedans vers le locus nigel' (Ln). Dans la région sous-thalamique, le segment postérieur de la caps
M.s' s'enchevêtrent avec celles du faisceau de Tùrck, traversent la région thalamique de la capsule interne et se rendent
ontraire en bas et en dedans, abordent la capsule in- terne dans la région sous-thalamique et entrent dans la constitution d
fibres du pied du pédoncule cérébral (P), qu'elles proviennent de la région lhalamique ou sous-thalamique de la capsule int
e du lobe pariétal, en bas avec celle du lobe temporal. Quoique cette région soit surtout formée de fibres sectionnées perpe
us^ (Aq) et la substance grise centrale de l'aqueduc divisent cette région en deux parties : la partie antérieure est surt
ise de l'aqueduc et forment dans les couches plus inférieures de la région de la calotte la couche blanche profonde du tub
la paroi externe du ventricule latéral et disparait au-dessus de la région du pli coMe(Pc), où se perd dans les fibres de
bres de la couronne rayonnante et dans les fibres d'association de la région . Dans la première circonvolution du lobe limbiq
us de cette couche, on trouve un court faisceau d'association de la région , le faisceau transverse du lobule lingual, de V
rieure de l'important système d'association, qui met en relation la région calcarinienne avec la convexité du lobe occipit
ier faisceau n'intéressent que les fibres d'association courtes de la région , entre-croisées par les fibres du tapetum, des
e fibres d'association inlra-hémisphérique, mettant en connexion la région occipitale avec la région frontale (Voy. faisce
ra-hémisphérique, mettant en connexion la région occipitale avec la région frontale (Voy. faisceau occ ? ) ! '<o-/<'0)
ngual (Lg), les trois circonvolutions temporales (T,,T=,T ? ) et la région sous-optique de la capsule interne. Elle sectio
orne sphénoïdale. - Qa, tubercule quadrijumeau anté- rieur. - rgRm, région du ruban de Reil médian. - Rm + Brqp, union du ru
NERVEUX. nuer avec les fibres du tapetum (Tap). Pour l'étude de la région sous-optique de la capsule interne, nous renvoy
au, sectionne la face orbitaire des circonvolu- tions frontales, la région sous-optique et l'anse du noyau lenticulaire (Al)
térieur de la capsule ill- terne (Cip), qui affecte déjà dans cette région les apparences du pied du pédoncule cérébral. L
clael (U) : ces fibres correspondent aux fibres d'association de la région , en particulier au faisceau postérieur du cingu
ée LA PARTIE SUPERIEURE DU TRONC ENCEPHALIQUE (CAP- SULE INTERNE, RÉGION SOUS-OPTIQUE ET PÉDONCULE CÉRÉBRAL). Les 1 5
ons et la partie pro- fonde de la plupart des circonvolutions de la région moyenne de la face externe de l'hémisphère. D'a
tricule latéral au niveau de son angle externe. Lorsqu'on étudie la région sur des coupes verlico- transversales (voy. fig
ros fascicules de fibres du pied de la couronne rayonnante de cette région , et les refoule en dehors, où elles s'entre-crois
arées des fibres de projection , qui appartiennent déjà, dans celte région , aux couches sagittales du lobe occipito-pariélal
suivante (fi. 304) peuvent être considérées comme appartenant à des régions de transition entre le pied de la couronne rayo
tes, et appartiennent au système de projection qui se rend soit aux régions thalamiques inférieures, soit aux régions pédoncu
tion qui se rend soit aux régions thalamiques inférieures, soit aux régions pédonculaires; or, ces dernières fibres apparti
t sectionnées d'autant plus parallèle- ment, que l'on considère des régions plus antérieures. Dans le segment postérieur de
e la capsule (Ci[g]), de sorte que le genou (Ci[g]), représente une région de transition entre les fibres du segment antr-
niveau de ses extrémités antérieure et postérieure. Dans ces mêmes régions , la zone réticulée est beaucoup plus large; on y
ur longueur et aucune fibre radiai re ne paraît pénétrer dans cette région de la couche optique. Il serait cependant inexa
tro-lenticulaire de la capsule appartient à la couche optique, à la région sous-optique et au pied du pédoncule cérébral, to
au pied du pédoncule cérébral, toute la partie enfin située dans la région rétro-lenticulaire (Cirl) appartient de nouveau e
d interne du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL.,), dans la région qui donnera naissance sur les coupes suivantes à
rent dans la partie postérieure de la couche optique, dans toute la région qui appartient au pulvinar (Pul). Dans ce segme
s'effile, et se continue avec la lame médullaire externe (Lme) des régions post(ro-externes de la couche optique, en bas il
dres de fibres : des fibres horizontales, qui appartiennent dans la région thalamique aux radiations posté- COUPES MICROSC
QUES DU CERVEAU. 5fl9 rieures de la couche optique (RTh) et dans la région sous-thallimique aux radiations du corps genoui
aux radiations du corps genouillé externe (RCge) (voy. Coupes de la région sous-optique, lig. 308,309)- p. Des fibres vert
Iys (Nm), encore mal délimité sur cette coupe et qui appartient aux régions thalamiques inférieures. Il occupe une situatio
s, ou que sur les coupes qui vont suivre et qui appartiennent à des régions plus inférieures. Les trois parties qui constitue
pulvinar. Les fibres moyennes, très obliquement sectionnées dans la région comprise entre le putamen (NL3) et la queue du
rande hauteur. En examinant une série ininterrompue de coupes de la région , traitées par la méthode de Weigert, on voit appa
la capsule, ne dépasse guère en hauteur la partie inférieure de la région , thalaniique. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU.
e de coupes sériées traitées par la mé- thode de Weigert, depuis la région thalamique de la capsule interne, jusqu'à l'ent
couche optique (Th) et se trouve situé immédiatement au-dessus de la région dite sous-thalamique de Forel. Le pulvinar (Pul
fibres, et qui se continue sur les coupes plus inférieures, avec la région dans laquelle nous verrons apparaître le ruban de
ig. 299). Cette coupe intéresse la couche optique à la limite de la région sous- thalamique de Forel; elle passe par les t
cule quadrijumeau antérieur (Qa.) Sur cette coupe, l'écorce de la région insulaire postérieure (Ip) commence à s'unir fv
e. - pus, pulvinar. Qa, tu- bercule quadrijullleau antérieur. rgRm, région du ruban de Reil médian. RTh· radia- tions opti
pour la première fois, et qui relie la couche optique (Th) avec la région de la Cll- lotte. Ce faisceau découvert par For
e du thalamus (Ne). Un champ irrégulier, riche en fibres, la future région du ruban de lieil médian (rg Rm), le sépare du
laire interne du thalamus (Lmi). Ces formations appartiennent à la - région sous-optique. La capsule interne est encore for
de 7'ürcl : , par contre, dégénère dans toute sa longueur, depuis la région sous-ojilique de la capsule interne jusqu'il la
piques sériées dans cinq cas de lésions corticales, limitées à cette région ; la dégénérescence occupe alors le cinquième ex
passant par la ligne 10 de la figure 299. Cette coupe passe par la région sous-thalamique supérieure, au- dessus du corps
ent du segment interne du globus pallidus (NL,), traversent dans la région sous-thalamique supérieure les 2/3 antérieurs d
ible, ne se rencontre plus au-dessous de la présente coupe. Dans la région sous-thalamique supérieure, la capsule interne se
ouillé interne (Cgi) devient apparent à la surface extérieure de la région ; il est recouvert sur cette coupe par un fais-
mplacé par un champ défibres qui entrent dans la constitution de la région du ruban de Reil médian (rg Rm). Le noyau externe
t facile de le constater, soit en étudiant les coupes sériées de la région , soit en étudiant les coupes vertico-transversa
es coupes vertico-transversales (iig. 28S). La face interne de la région sous-thalamique concourt à former la paroi laté
cule quadrijumeau antérieur (BrQa), la zone moyenne se rend vers la région du ruban de lfeil (rgRm), la zone profonde, encor
passant par la ligne Il de la figure 299. Cette coupe intéresse la région sous-thalamique de Forel et passe par la partie
roïdes. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. rglim. région du ruban de Reil ntdiau. - R1·h· raclialinns opti
gnent l'extrémité antérieure de la couche optique, au niveau de la région sous- thalamique. Le segment postérieur de la
augmente de volume, au sur et il mesure que l'on des- cend dans la région sous-optique ; il atteint son plus grand développ
récédentes, arrivent des circonvolutions temporales au niveau de la région rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl). Le s
la capsule interne à la suite de lésions corticales portant sur la région rolandique, on constate des. particularités int
ue de Forel (Fth) d'autre part. Il est surtout constitué dans cette région , par des fibres il direction horizontale apparten
postérieure du ruban de Reil, et ce dernier présente alors dans la région sous-thalamique inférieure et dans la région pé
présente alors dans la région sous-thalamique inférieure et dans la région pédonculaire , une forme curviligne, semi-lunaire
i appartiennent, ainsi que le montre l'étude des coupes sériées de la région , aux radiations de la calotte (RC) et à la caps
rijumeau antérieur (BrQa), qui apparaît à la surface extérieure de la région sous-thalamique. La plupart de ces fibres ne fo
t rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl), formé surtout dans cette région par des fibres apparte- nant aux radiations tha
er (Ln) appartient au pédoncule cérébral (P), le corps de Luys a la région sous-thalamique. Le pédoncule cérébral n'est donc
fibres faiblement colorées par la méthode de Weigert. Dans cette région , la bandelette optique (II) adhère encore il la s
ntéresse le seuil de l'insula, ['espace perforé antérieur (Epa), la région du tuber cinereum (Te), la partie supérieure du t
ap), très réduites comme nombre, sur les coupes qui intéressent les régions inférieures de l'hémisphère, apparaissent immédia
NATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gentielles, très abondantes dans cette région (Voy. Ecorce du )'/«HeHcj/<a/0)), p. 703). L
sillon olfactif (fi), par des fibres propres appar- tenant à cette région . En avant, le corps strié est en contact avec la
Vêlage infé- rieur ou pied Au pédoncule (P) de l'étage supérieur ou région de la calotte. Le noyau rouge (NR) a encore aug
Meynert (FM) s'est porté en avant. La substance réticulée (SR) de la région de la calotte est constituée. La partie postéri
ivantes font partie d'une série de coupes destinées à l'étude de la région sous-optique de Forel. Horizontales comme celles
as perdre de vue que les coupes supérieures intéressent en avant la région sous-thalamique de la capsule interne et en arr
nt la région sous-thalamique de la capsule interne et en arrière sa région thalamique, et que, sur les coupes inférieures,
rétro-lenticulaire de la capsule interne est encore intéressé dans sa région thalamique ou sous-thalamique . G32 . . ANATO
ure molle (com) et le tænia thalami (tth.) Cette coupe intéresse la région thalamique de la capsule, interne au niveau de
thalamique de la capsule, interne au niveau de ses limites avec la région sous-thalamique. Elle correspond, en arrière, à l
, avec lignes de repère pour les coupes horizontales obliques de la région sous-optique (Grandeur naturelle). COUPES MICRO
(NL3) l'aspect de la capsule change assez brusquement : dans celte région qui répond au segment rétro-lenticulaire de la
ibres de la capsule ont un aspect ondulé; les unes traversent cette région un peu obliquement en avant et en dehors, relie
assant par la ligne 2 x de la ligure 31 S. Celle coupe intéresse la région sous-thalamique supérieure, le ganglion COUPES
constitue un des carac- tères anatomiques les plus importants de la région sous-thalamique. Le pulvinar (Pul) et le noyau
elette diagonale (bd), et ce fait indique que nous touchons ici aux régions supérieures de l'espace per foré antérieur. Cou
rne (Cgi). Nous abordons sur celte coupe la partie inférieure de la région sous- optique. Le centre médian de Luys a dispa
nt du noyau lenli- culaire (NL.j), et traversent en diagonale cette région de la capsule; elles font partie des fibres len
s cas, ces fibres dégénèrent ri la suite des lésions corticales des régions rolandiques supé- rieures et des parties antéri
e lobe COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 647 el passent par les régions antérieures des couches sagittales du carre four
ent à l'étage inférieur ou pied du pédon- cule, tandis que toute la région qui est située en arrière de cette dernière appar
sous-thalamique de la capsule interne. La séparation entre ces deux régions est formée par les fibres de la commissure de Mey
que de la capsule pour aborder le corps de Luys (CL). En dehors, la région sous-thalamique de la capsule est limitée par l
la forme en corne d'abondance ou en croissant, caractéristique des régions pédonculaires supérieures. Le corps de Luys a d
e segment postérieur de. la capsule dans la partie supérieure de la région sous-optique, sépare ce seg- ment postérieur du
qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) du postérieur. La région des tubercules quadrijumeaux se ressent un peu
er augmente de volume au sur et il mesure que l'on descend dans les régions inférieures, présente un aspect semi- lunaire c
ule en dehors le noyau rouge (NR), dont il occupe la place dans les régions pédonculaires inférieures. Cette disparition gr
ère à l'état frais, ont fait dire à Stilling que le noyau rouge des régions supérieures Au pédoncule fait place a un noyau
gions supérieures Au pédoncule fait place a un noyau blanc dans les régions pédonculaires inférieures. En arrière et en ded
e-croisement de la calotte de Meynert prennent leur origine dans la région des tubercules quadri jumeaux antérieurs, passent
a constitution du cordon antIYro-lall'l'at de la moelle. Toute la région de l'étage supérieur ou calotte du pédoncule, est
i prend une part de. plus en plus évidente dans la constitution des régions pédonculaires infé- rieures, et qui refoule le
eil lalé2-al ([il) et le ruban de Reil médian (Rm) affectent dans les régions pédon- culaires inférieures la forme d'un large
ne se présente plus ici, sous l'aspect qui le caractérise dans les régions pédonculaires supérieures. Comme le raphé est o
édoncule cérébral. Obersteiner désigne ces fibres, qui viennent des régions protubérantielles , sous le nom de pai-lie pédonc
à 4 millimètres, son épais- seur varie selon les sujets, selon les régions et selon l'àge. En règle géné- rale elle est pl
aisseur égale. Elle atteint enfin son maximum d'épaisseur, dans les régions supérieures des circonvolutions rolandiques et da
eaux, donne un aspect tout spécial aux coupes pratiquées dans cette région des hémisphères; connue sous le nom - de ruban
). Ces différences de coloration de la substance grise, suivant les régions que l'on examine, montrent déjà, à l'oeil nu, que
sième couche de lleynert; cet auteur subdivisa en outre, dans cette région , la 2° couche ou couche des petites cellules pyra
n font en réalité qu'une seule, distingue avec . Schwalbe dans la région psycho-motrice de l'écorce du cerveau des mammi
ral présente des modifications structurales qui varient suivant les régions . Nous étudierons ici trois régions princi- pale
cturales qui varient suivant les régions. Nous étudierons ici trois régions princi- pales : la région rolandique, la région
t les régions. Nous étudierons ici trois régions princi- pales : la région rolandique, la région de l'insula et la région oc
udierons ici trois régions princi- pales : la région rolandique, la région de l'insula et la région occipitale. Région rol
s princi- pales : la région rolandique, la région de l'insula et la région occipitale. Région rolandique (zone psycho-motr
a région rolandique, la région de l'insula et la région occipitale. Région rolandique (zone psycho-motrice).-Les cellules de
on rolandique (zone psycho-motrice).-Les cellules de l'écorce de la région rolandique se disposent d'après Cajal en quatre c
e sont pour la plupart de très fines fibres à myéline, sauf dans la région rolandique où on en trouve d'assez volumineuses (
(fig. 338, A) et par les nombreuses cellules névro- gliques de la région . Cette 'structure de la couche moléculaire es
Il'ic. 339. Coupe transversale de l'écorce de la souris d'un mois ( Région supra- ventriculaire). Méthode de Golgi. Object
che jusqu'au corps strié, et il admet avec v. Monakow, que dans les régions de l'écorce situées au-dessus des ventricules lat
zone externe sous le nom de feu- FiG. 343. Coupe transversale de la région supra-ventriculaire du cerveau de la souris âgé
exus). Origine de ces fibres. Son épaisseur va- rie selon les régions et selon l'âge. Feutrage super- radiaire d'
s. Son épaisseur est du reste très variable non seulement selon les régions mais encore selon l'âge. En règle générale, l
e l'état de cette couche, dans tel ou tel cas, il devra comparer la région qu'il étudie, avec la même région prise au même p
ou tel cas, il devra comparer la région qu'il étudie, avec la même région prise au même point, chez un individu du même â
e croyait Bechterew, IL mais apparaît d'après Kaes, dans toutes les régions riches en fibres transver- sales intra-cortical
ème semaine après la naissance, elle est très nette au niveau de la région rolandique, de la couronne rayonnante et de la ca
inisation des fibres tangentielles varie, non seulement suivant les régions , mais encore suivant les différentes couches d'
les régions, mais encore suivant les différentes couches d'une même région . Les premières fibres tangentielles apparaissen
description de l'écorce que nous venons de donner s'applique il la région rolandique ; si partant de cette région, on exami
de donner s'applique il la région rolandique ; si partant de cette région , on examine l'écorce en se rapprochant du pôle
les pyramidales diminuent de volume. C'est en effet au niveau de la région rolandique que ces cellules présentent leurs plus
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. <t9t 1 Iules pyramidales, correspondant aux régions motrices établies par Ferrier, seraient disposé
s pyramidales petites et grandes contiennent, comme dans les autres régions de l'écorce, des cellules pyramidales, d'au- ta
i que présente, chez l'enfant, le feutrage interradiaire des autres régions de l'écorce. La strie de Baillarger fait défaut
l d'après Cajal. avec l'opercule sylvien, l'opercule temporal ou la région rétro-insulaire de Broca. Ces fibres forment la
ns : 1° La couche moléculaire, plus étroite ici que dans les autres régions de l'écorce; 2° la couche des petites cellules
ogue à celle que l'on rencontre dans les circonvolutions des autres régions ; 3° la couche granuleuse externe formée par de
ifférences dans la struc- ture de l'écorce qui existent entre cette région et les autres régions de la corticalité, ne por
ruc- ture de l'écorce qui existent entre cette région et les autres régions de la corticalité, ne portent que sur la couche
Cajal, qui correspond il la strie externe de Baillarger des autres régions de l'écorce. Cette couche qui représente, Dans
, la couche des petites cellules pyramidales (2° couche) des autres régions de l'écorce cérébrale, est constituée par des c
couche se présente ici avec les mêmes caractères que dans les autres régions de l'écorce. La dendrite ascendante ou principa
s fibres se comportent dans le lobe occipital comme dans les autres régions de l'écorce; sur les lèvres de la scissure calc
t toutefois moins dense en fibres tangentielles que dans les autres régions de l'écorce. La troisième couche (couche des gr
es polymorphes, pré- sente les mêmes caractères que dans les autres régions de l'écorce. L'écorce de la première circonvolu
interne de Baillarger, sont également plus lâches que dans d'autres régions de l'écorce. Large de 3 millimètres au niveau d
tero-postéricures des nerfs de Lancisi. - c, grosses cellules de la région profonde. - d, couche moléculaire ou superficiell
sure collatérale. 702 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les autres régions de l'écorce, les quatre couches décrites par Caja
La couche moléculaire est beaucoup plus large que dans les autres régions de l'écorce, grâce au développement considérable
hes, elle ne se dis- tingue guère de la couche semblable des autres régions de l'écorce. La. substance blanche du subiculum
s des cylindres-axes des cellules pyramidales du subiculum et de la région adjacente de la corne d'Ammon; par la voie du t
corne d'Ammon avec la circonvolution de l'hip- pocampe et avec des régions plus ou moins éloignées du manteau cérébral. 2°
que, lorsque l'on pratique une coupe vertico-t.ransversale de cette région , la couche moléculaire de la corne d'Ammon et l
it ici une seconde difficulté qui complique encore l'étude de cette région . L'extrémité supérieure de la corne d'Ammon pén
n constitue le centre (fig. 351). La structure si complexe de cette région se trouve donc expliquée : 1° par l'adhérence d
campe ; 2° par la superposition des deux écorces cérébrales dans la région du hile , de la circonvolution (fig. 353). Il d
u pilier postérieur du trigone, sont obligées de traverser, dans la région du hile, l'écorce de la corne d'Ammon avant d'a
nvolution (fig. 351). La corne d'Ammon comprend par conséquent deux régions qui ont chacune des connexions et une structure d
es, chez lesquels elle est très développée, désigne, sous le nom de région supérieure de la corne d'Ammon, la région en re
, désigne, sous le nom de région supérieure de la corne d'Ammon, la région en relation avec le subiculum, et sous le nom d
d'Ammon, la région en relation avec le subiculum, et sous le nom de région inférieure, celle qui est en rapport avec la circ
corne d'Ammon adjacente à la circonvolution godronnée constitue la région supérieure, et la partie en connexion avec le sub
a région supérieure, et la partie en connexion avec le subiculum la région inférieure. Pour éviter la confusion que pourrait
l'emploi des termes supérieur et inférieur, nous décrirons ces deux ? régions de la corne d'Ammon sous le nom de : région godro
ous décrirons ces deux ? régions de la corne d'Ammon sous le nom de : région godronnée (région inférieure de Cajal) et de ré
deux ? régions de la corne d'Ammon sous le nom de : région godronnée ( région inférieure de Cajal) et de région hippocampique
ous le nom de : région godronnée (région inférieure de Cajal) et de région hippocampique (région supérieure de Cajal). C'e
godronnée (région inférieure de Cajal) et de région hippocampique ( région supérieure de Cajal). C'est l'extrémité supéro-
région supérieure de Cajal). C'est l'extrémité supéro-interne de la région godronnée de la corne d'Am- mon, qui pénètre da
dronnée présente la même struc- ture et les mêmes connexions que la région godronnée proprement dite. Les différentes couc
Golgi, Sala, puis Schaitfcr et Cajal ont appliqué à l'étude de cette région la méthode par l'imprégnation d'argent. Les d
de deux écorces cérébrales. Limites de la corne d'Ammon. i Région godronnée et région hippocam- pique de la cor
ébrales. Limites de la corne d'Ammon. i Région godronnée et région hippocam- pique de la corne d'.\mmon. Struc
rne d'Ammou. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 707 d'Ammon : 1° La région inférieure ou hippocampique est comprise entre la
l'écorce du subiculum et de la circonvolution de l'hippocampe; 2° La région Slip ? rieure ou godronnée est située au-dessus
G. 352 et 353. Schémas représentant la structure de .l'écorce dans la région hippo- campique de la corne d'Ammon et dans la
corce dans la région hippo- campique de la corne d'Ammon et dans la région du hile de la circonvolution godronnée. ' ' .
igez11.) . , ric. 352. Schéma de la struc- ture de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. 1, couch
e blanche. FiG. 353. Schéma de la struc- ture de l'écorce dans la région , du hile de la circonvolution godronnée. '
irconvolution godronnée et les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE
. Caractères qui dis- tinguent les cellules pyramidales de la région hippocampi- que de la corne d'Am- mon. Leur
Sala, Schaiffer, Cajal, présentent une morphologie spéciale dans la région hippocampique et dans la région godronnée de la
nt une morphologie spéciale dans la région hippocampique et dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 311). Dans
et dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 311). Dans la région hippocampique de la corne d'Ammon (fig. 356, CA),
ns et entre en connexion avec le feutrage des collatérales de cette région . La lige ou dendrite ascendante est lisse comme
borisent toutes dans l'épaisseur de cette couche (fig 356). Dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 365, RCg), le
(D'tipre'stfliï61 y Cajal.) CA, petites cellules pyramidales de la région hippo- campique delà corne cl' : lmmon. -RCg, c
delà corne cl' : lmmon. -RCg, cellules pyra- midales géantes de la région godronnée dela corne d'Am- mon.-a, épaisses col
moussues en relation avec les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon. : 1, alvéus. B,
F, stratum moleculare. FiG. 3li7. - Cellule pyramidale géante de la région godronnée de la corne d'Ammon, - provenant de l
olution godronnée (Cajal). Les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon sont en effet int
nvolu-- tion godronnée, tandis que les cellules pyramidales de la région hippocam- pique n'affectent aucune connexion
. Caractères qui dis- tinguent les cellules pyramidales do la région godronnée de la corne d'Ammon. Ce sont des ce
us- sues de Cajal. Fie.. 338. - Cellule pyramidale géante de la région godronnée de la corne d'Am- mon et appartenant
NTRES NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules pyrami- dales de la région go- dronnéo de la corno d'Ammon, se conti-
ascen- dantdecescylindres- axes. Les cellules pyramidales de la région godronnée de là corne d'Ammon envoient leur cyl
lacunosum et se continue avec une fibre nerveuse à myéline de cette région (fig. 359). Ces fibres se portent vers le subicul
t ainsi les connexions entre les grandes cellules pyramidales de la région godronnée et un nombre considérable de panaches d
n nombre considérable de panaches dendri- tiques des cellules de la région hippocampique de la corne d'Ammon. 1"IG. 3 : !
les rapports existant entre les cellules pyramidales géantes de la « région inférieure » de la corne d'Ammon et les fibres
mi- dales égarées dans le stratum oriens et sont nombreuses dans la région hippocampique de la corne d'Ammon. i Les cell
nombreuses cellules de la névroglie, analogues à celles des autres régions de l'écorce. La direction radiaire, très manife
e la couche moléculaire, par un cône terminal comme dans les autres régions du névraxe, mais se termine par des arborisatio
s nerveuses de l'alvéus affectent une direction variable suivant la région à laquelle elles appartiennent. Les fibres de la
suivant la région à laquelle elles appartiennent. Les fibres de la région godronnée de la corne d'Ammon pénètrent dans la
imbria et le pilier postérieur du trigone (Cajal). Les fibres de la région hippocampique de la corne d'Ammon contournent l
ellules pyramidales. Les fibres fines, nombreuses sur- tout dans la région hippocampique de la corne d'Ammon, sont situées s
cellules pyramidales, et se voient avec beaucoup de netteté dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 359). La
corne d'Ammon. Le cylindre-axe des cellules pyramidales (soit de la région hippocam- pique, soit de la région godronnée) n
cellules pyramidales (soit de la région hippocam- pique, soit de la région godronnée) ne se revêt en général de sa gaine de
'il émet, - qu'il s'agisse des grosses collatérales ascendantes de la région godronnée qui vont concourir à former le stratu
ourir à former le stratum lacunosum on des fines collatérales de la région hippocampique qui forment les filtres fines de
des différentes parties constituantes des cellules pyramidales des régions godronnée et hippocampique de la corne d'Ammon.
tre eux les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales de la région godronnée et de la région hippocampique, et peut
plasmiques des cellules pyramidales de la région godronnée et de la région hippocampique, et peut être comparé à la strie
breuses et disposées en fascicules parallèles, qui s'étendent de la région godronnée de la corne d'Ammon au subiculum, où
et 351). Ces libres ne forment une couche indépendante que dans la région hip- pocampique de la corne d'Ammon. Dans la ré
nte que dans la région hip- pocampique de la corne d'Ammon. Dans la région godronnée de la corne d'Ammon et dans sa portio
ascendantes du cylindre-axe des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon ; ces collatérales
des fines fibres de l'alvéus, particulièrement nom- breuses dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 359). 4. Le
lle sorte, que son hile reçoit l'ex- . trémité supéro-interne de la région godronnée de la corne d'Ammon (Voy. fig. 351).
t une couche de cellules poly- morphes, écorce qui appartient à la. région godronnée de la corne d'Ammon. Il résulte de la
rébrale avortée. Son écorce est su- prpo,rée : l·dconn· de la région go- dronnée de la corne d'Ammon. '1 1 i
eau du sillon de l'hippocampe à la couche mo- ... léculaire de la région hippocampique de la corne (l'Am\l1on. 2° Couc
étudié plus haut (p. 715) les caractères spéciaux à l'écorce de la région godronnée de la corne d'Ammon, caractérisée surto
Fis. 361 et 362. Schéma représentant la structure de l'écorce dans la région hippocam- pique de la corne d'Ammon et dans la
corce dans la région hippocam- pique de la corne d'Ammon et dans la région du hile de la circonvolution godronnée. . En ré
3tH.) , . l'c. 361. Schéma de la struc- ture de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. T, couch
blanche. Fig. 362. Schéma de la struc- ture de l'écorce dans, la région du hile de la circonvolution godronnée. Il
géantes (Py) et à la couche des cellules polymor- phes (Pm) de la région godronnée de la corne d'Ammon (CA). Les cylin
irconvolution godronnée et les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon. 1 726 ANATOMIE
ulaire de la cir- convolution godronnée, qu'après avoir traversé la région godronnée de la corne d'Ammon. 2° Stratum gra
ranulosum se terminent aux confins de la zone moléculaire, dans des régions riches en vaisseaux et en névroglie, et c'est au
se distinguent encore nettement des cellules pyramidales des autres régions de l'écorce cérébrale. Le cylindre-axe de ces c
-axes pénètrent, au niveau du hile de cette circonvolution, dans la région godronnée de la corne d'Ammon dont ils traversent
nsforment en Fin. 363. Coupe de la circonvolution godronnée dans la région du hile de la corne d'Ammon. Méthode de Golgi.
gine des dendrites radiaires des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 356 RCg, p. 7
horizontal, signalé par Sala et Scbaiffer, et qui traverse toute la région godron- née de la corne d'Ammon. D'après Sala,
la corne d'Ammon. D'après Sala, ce faisceau, arrivé au niveau de la région hippocampique de la corne d'Ammon, se bifurque en
medullaris involuta. Pour Sclniffer, ce faisceau traverse toute la région hip- pocampique de la corne d'Ammon au-dessus d
orne d'Ammon au-dessus des grandes cellules pyrami- dales, dans une région riche en vacuoles, et qui constitue le stratum lu
Pour Cajal enfin, ce faisceau de fibres moussues ne dépasse pas la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 366) et repré
les rapports existant entre les grandes cellules pyramidales de la région inférieure de la corne d'Ammon et les fibres mo
stratum granulosum et en bas par la couche molécu- laire de la région godron- née de la corne d'Am- mon. Cajal dist
la couche moléculaire et la couche des cellules pyrami- dales de la région godronnée de la corne d'Ammon, et se continue ave
d'une nodosité. Dans la couche des cellules polymorphes et dans la région godronnée de la corne d'Ammon, on trouve en gén
es, que Broca le premier rapprocha des cellules pyramidales de la région rolandique. Mais la structure intime du bulbe o
cellule initiale. - D, tractus ou pédicule olfactif. E, grains.- G, région de la racine blanche externe du nerf olfactif.-
ule olfactif, reçoivent les fibres des cel- lules pyramidales de la région , et traversent la partie inférieure du corps st
et de l'hippocampe. Les 4. panaches des cellules pyramidales de la région (3° neurone) les trans- mettent à leur tour à d
de la région (3° neurone) les trans- mettent à leur tour à d'autres régions corticales ou infra-corticales. Mais les cellul
basilaires des cellules mitrales (fig. 371). Tubercule olfactif. La région du tubercule olfactif représente, ainsi que Cal
isement des panaches protoplasmiques des cellules pyramidales de la région , avec un nombre con- sidérable de fibres nerveu
idum présente il peu près la même épaisseur que l'écorce des autres régions de l'hémisphère. Elle contient un très grand nomb
brés. Traduit de l'espagnol par Azoulay. Paris, 1894. - CALLEJA. La région olfatoria del ce1'ebro. Thèse de Madrid, 1849. -D
de fibres à savoir : 1° Des fibres et association qui relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale;
jection qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions centraux, à la région sous-optique, à la protubérance, au bulbe, à la
ntripètes ou terminales, qui comprennent : a, des fibres nées d'une région quelconque de l'écorce cérébrale et qui se term
écorce cérébrale et qui se terminent en s'arborisant dans une autre région fibres d'association, fibres commissurales , coll
térales des fibres de projection - b, des libres provenant d'autres régions que celles de l'écorce, par exemple des corps o
de l'écorce, par exemple des corps opto-striés, du cervelet, de la région de la ca- lotte, etc., etc., fibres sensitives
és par d'autres fibres, il n'existe jMl^ par contre que bien peu de régions où l'on ne puisse constater nette- ! j ! ) ! j
stème d'association inter-hémisphérique, met- tant en connexion des régions symétriques et asymétriques de l'écorce des deu
aissent de tous les points de la corticalité et convergent vers les régions centrales de l'hémisphère, trajet que met en év
nt les ramifications de fibres nerveuses, provenant des différentes régions du système nerveux central. D'après Golgi, les
nt dos fibres do projection. 1 m. 372. - Coupe transversale de la région supra-ventriculaire du cerveau de la souris âgé
nastomotiques reçoivent néanmoins un nombre va- riable, suivant les régions et suivant l'importance du pli, de fibres com-
e des fibres en U est en rapport avec la masse blanche propre de la région , formée par l'enchevêtrement des fibres de proj
e, dont elle est séparée par les courtes fibres d'association de la région ; sa face externe ou convexe est en rapport avec
qu'elles représentent les fibres tangen- tielles de l'écorce de la région (p. 699 à 701). En arrière du bourrelet du corp
u arqué ne se présente sous forme de faisceau [compact, que dans la région pariétale de l'opercule; parallèles au bord sup
en arrière avec la couche des fibres verticales de la convexité des régions occipitale et pariéto-tempo- Le faisceau u'lJu
la scissure de Sylvius ont été écarlés pour montrer l'insula et la région rétro-insulaire. Les faisceaux uncina- lus, arq
constituerait un faisceau d'association reliant la face externe des régions temporo-occi- pitales à la convexité du lobe fr
. L'épaisseur du faisceau longitudinal inférieur varie suivant, les régions ; mince en arrière, où il entoure d'un anneau co
aisceau ne se dispose en couche net- tement distincte, que dans les régions situées en arrière et au-dessous de- la partie
ntriculaire, et sont d'autant plus obliques qu'elles proviennent de régions plus supérieures. Les fibres qui naissent de l'
ue. Les plus antérieurs de ces fascicules onduleux abordent dans la région sous-thalamique le segment postérieur de la capsu
rps genouillés interne et externe, le noyau externe du thalamus, la région sous-optique, le segment postérieur de la capsule
sous le troisième segment du noyau lenticulaire et aborder dans la région sous-thalamique supérieure le segment postérieu
un cerveau de singe macaque, passant par la partie supérieure de la région sous-thalamique. Méthode de l'al. Agrandissement
e couche des radiations thalamiques. Sur les coupes intéressant les régions temporales inférieures, ses fibres s'irradient
'hippocampe) au pli rétro-limbique de Broca, et renforce dans cette région le faisceau postérieur du cingulum. Elle repré-
terminer le trajet d'un faisceau ; ici comme dans toutes les autres régions de l'écorce, on voit les fibres radiées de l'écor
ue le cunéus possède des fibres de projection tout comme les autres régions de l'écorce cérébrale, et que ces fibres arrivent
- tion occipitale et avec le lobule fusiforme. Très épaisse dans la région occipitale, cette couche s'amincit en avant; el
al transverse du lobule lingual de Vialet. Ce faisceau met la région calcarinienne en communication avec la convex
du lobe occipital et à son bord inféro-externe ; il appartient à la région du cunéus, ne dépasse pas en avant la scissure
ement aux fibres commissurales de projection et d'association de la région , et s'irradient très probablement dans l'écorce
moitié inférieure du système d'associa- tion qui met en relation la région calcarinienne avec la convexité occipitale, se
lobe occipital, persister intact, parmi les libres dégénérées de la région , et ces cas sont particulièrement FAISCEAUX D'A
fet avec les nombreuses fibres de projection et commissurales de la région . En avant de la substance grise sous-épendymair
ion du lobe olfactif et de l'extrémité antérieure du lobe temporal, régions desservies par le système de la commissure anté
ennent profonds de l'autre côté de la ligne médiane, les fibres des régions antérieures d'un hémisphère s'irradient, après
s'irradient, après entre-croisement sur la ligne médiane, dans les régions plus postérieures de l'hémisphère du côté oppos
mmissurales qui relient et associent dans leur fonction- nement les régions homologues et symétriques des deux hémisphères,
'association inter-hémi- sphériques, qui assurent les connexions de régions asymétriques des deux hémisphères. Le corps cal
mieux circonscrit des faisceaux d'association et, « en reliant les régions asymétriques des deux hémisphères, il ramène il l
tal, l'autre supérieur, beaucoup plus volumi- neux, qui dessert les régions externe et supérieure de ce lobe. Ces deux 1
lution occipitale, ce faisceau se porte en avant et reçoit dans les régions antérieures les fibres du précu- néus (PrC), de
cipitale d'un anneau dégénéré complet et sous-épendymaire. Dans les régions plus antérieures (fig. 394), la situation des fib
la partie antérieure du foyer ancien datant de quatre ans. Sur des régions posté- rieures au plan par lequel passe cette c
orizontale microscopique passant par la commissure antérieure et la région sous-optique inférieure. Méthode de Weigert. 2/1
ui intéressent la circon- volution postérieure de l'insula (Ip), la région rétro-insulaire (Tp), la pre- mière circonvolut
mporales du faisceau uncinatus. Ce dernier faisceau occupe toute la région de la capsule externe située au-dessous du pôle
7 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
giques, l'induration grise, dans l'ataxie sont plus prononcées à la région cervicale lorsque les symptômes prédominent aux:
le lorsque les symptômes prédominent aux: membres supérieurs, et à la région lombaire dans la forme commune, c'est-à-dire quan
que, débordant au delà de leur foyer primitif, elles se propagent aux régions voisines ou se communiquent même à des régions él
elles se propagent aux régions voisines ou se communiquent même à des régions éloignées. On doit, si je ne me trompe, à ce mo
ans un tout petit département de la substance grise de la moelle : la région des cornes antérieures. On sait encore que la maj
ts Sclérose limitée aux cordons médians ou cordons de Goll. Fig. 1. Région cervicale. — Fig. 2. Région dorsale. tômes de l
rdons médians ou cordons de Goll. Fig. 1. Région cervicale. — Fig. 2. Région dorsale. tômes de l'ataxie locomotrice, n'affec
s les parties de ces faisceaux, mais occupe nécessai-rement certaines régions qu'il s'agit de déterminer à pré-sent. On avait
cervical, dans les cas où la moelle est comprimée sur un point de la région dor- 1 Pierret. — Notes sur la sclérose des cor
ssi Planche I, Fig. 1). L'examen attentif des lésions que présente la région Sclérose limitée aux cordons de Goll. Fig- 3. C
endant la lésion scléreuse n'était représentée, à l'autopsie, dans la région dorso-cervicale de la moelle, que par les deux mi
s ; d'après cela, la lésion des cordons de Goll ne se produirait à la région cervicale, chez les alaxiques, que dans les cas o
e dans les cas où la sclérose se montre chez eux très pro-noncée à la région dorso-lombaire. Je me rattache pleinement à cette
s, et cependant la lésion des cordons médians faisait défaut ici à la région lombaire, tout autant qu'au renflement cervical ;
es, au voisinage des mé-ninges, celle-ci débute, au contraire, par la région des ban-delettes latérales. Nous devons ajouter q
oit de dehors en dedans, et à déterminer, du même coup, les di-verses régions d'où dérivent les symptômes qui apparaissent succ
te localisation des lésions sclé-reuses, chez les ataxiques, dans une région déterminée des cordons postérieurs, qu'on pourrai
une région déterminée des cordons postérieurs, qu'on pourrait appeler région des ban- celle-ci. S'il a existé une anesthésie
nd progressivement, du moins dans les circonstances ordinaires, de la région dorso-lombaire vers la région cervicale, en conse
ans les circonstances ordinaires, de la région dorso-lombaire vers la région cervicale, en conservant la disposition de bandel
u-vent être d'ailleurs suivis jusque dans le bulbe où ils occupent la région des corps restiformes. IX. Mettes externes, n
que, en outre des faisceaux radiculaires internes, il existe en cette région des cordons postérieurs, des faisceaux de fibres,
ercurrente, l'autopsie vint justifier pleinement mes prévisions. A la région dorsale, comme à la région cervicale de la moelle
justifier pleinement mes prévisions. A la région dorsale, comme à la région cervicale de la moelle, la corne grise du côté dr
es, bien que la lésion spinale primitive occupe un point limité de la région dorsale delà moelle, on observe, en outre de la p
moelle épinière, peuvent retentir, par une action à distance sur les régions supérieures de ce cordon nerveux. C'est ce que me
ment cervical par exemple, une sclérose plus ou moins prononcée de la région postérieure des cordons latéraux. Cette sclérose
ue la lésion partielle primitive occupe les parties supérieures de la région dorsale. Or, la paralysie des membres supérieurs,
emblent remonter de chaque côté de l'abdomen pour venir se fixer à la région épigastrique. Simultanément, ils accusent des dou
t souvent, non seulement diverses parties des membres, mais encore la région occipitale et la nuque. Les crises cardialgiques
em Lrspvung der Arthristis défor-mons. {Note de la i" édition.) les régions supérieures de la moelle, alors qu'elle est déjà
upérieures de la moelle, alors qu'elle est déjà très ancienne dans la région dorso-lombaire. Notez, Messieurs, la date de cett
éveloppement de ces arthro-pathies, et quelle est, en particulier, la région de la moelle épinière dont l'altération détermine
tération détermine la lésion articulaire ; car, évidemment toutes les régions du centre spinal ne sauraient être indistinctemen
nes antérieures de la substance grise, j'avais supposé que cette même région de substance grise pouvait être encore le point d
on lente sur le centre nerveux spinal ne varient guère que suivant la région de ce centre qui est intéressée et, en dehors de
ans le canal rachidien, canal osseux plus ou moins flexible selon les régions . La dure-mère ne touche nulle part à ce canal, si
iveau des trous de conju-gaison qui servent d'issue aux nerfs et à la région cervicale, sur un point qui correspond à la face
parce qu'il s'agit là d'une production pour ainsi dire spéciale à la région : en effet, le cerveau et la moelle sont surtout
ant la dure-mère. J'ai vu plusieurs fois le carcinome occuper cette région dans certains cas de cancer du sein; d'autres tum
extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie topographique de la région vertébrale. Des symptômes extrinsèques: pseudo-
ment, tantôt une induration avec ou sans chan-gement de couleur de la région malade de la moelle. Mais l'examen microscopique,
n de la surface de section d'une moelle normale examinée dans la même région . Sa consistance était très ferme, sa couleur gris
ndre leur raison d'être, reportons-nous à l'étude topographique de la région où se produisent tous les accidents que nous allo
egré de la compression et suivant qu'elle s'exerce sur telle ou telle région de la moelle. Ce n'est donc pas de ce côté, vous
uelques va-riétés : tantôt la douleur se montre circonscrite dans une région plus ou moins limitée ; tantôt, au contraire, le
e irri-tante. En pareille occurrence, la douleur occupe souvent une région très limitée : c'est un point, une ligne qui sont
rprétation 2. Elle s'applique avec exactitude seu-lement au cas où la région vertébrale lombaire est atteinte dans une certain
exus blachial ou le plexus cervical, lorsque la lésion portera sur la région verté-brale cervicale. D'autres fois, enfin, le
plus vulgaire, celui où la lésion siège sur un point quelconque de la région dorsale de la moelle épinière. Il y a dès maint
ussi dans la myélite par compression, lorsqu'il s'agit du moins de la région dorsale f, que la vessie conserve en grande parti
à établir. Si la compression siège trop haut, vers le milieu de la région dorsale, par exemple, on observe, en général, de
traire, si la lésion siège très bas, vers la partie supé-rieure de la région lombaire, il peut arriver que les sphincters soie
éger symétriquement dans un point du membre opposé correspondant à la région primitivement excitée. Cela rentre dans l'histoir
sthésie croisée, quand la lésion dont il s'agit occupe un point de la région cervicale. Si c'est au contraire un point de la
point de la région cervicale. Si c'est au contraire un point de la région dorsale ou lom-baire qui est affecté de cette faç
le cas d'une tumeur méningée, comprimant vers la partie moyenne de la région dorsale, une moitié latérale de la moelle épinièr
9, 1869, pl. XIII. — La tumeur appliquée sur la face antérieure de la région dor-sale de la moelle, qu'elle comprime fortement
'être question. Si la compression hémilatérale au lieu de siéger à la région dorsale de la moelle, occupait centimètres et d
ssi un fait publié dans The Lancet (1856, p. 406), par M. Ogle. une région plus élevée, la partie supérieure du renflement b
étendant dans le sens antéro-postérieur, déterminé sur un point de la région dorsale, une compression à peu près exactement li
ncé delà moelle, a pour effet nécessaire, lorsqu'elle s'exerce sur la région cervico-brachiale, de paralyser les quatre membre
un autre côté, qu'une pression moins forte, s'exerçant sur cette même région , peut dans de cer-taines conditions, avoir pour r
encore, Messieurs, un autre mode suivant lequel une altération de la région cervico-brachiale de la moelle épi-nière pourrait
emples de compression lente s'exerçant sur la partie antérieure de la région cervicale de la moelle épi-nière, et ayant déterm
i dire fatale à un instant donné, soit aux faisceaux blancs, soit aux régions postérieures de la substance grise, l'aspect des
stent parfois, en conséquence des lésions par compres-sion soit de la région cervicale, soit de la partie supérieure de la rég
-sion soit de la région cervicale, soit de la partie supérieure de la région dorsale de la moelle. Les symptômes en question
e c'est que la mydriase, résultant d'une irrita-tion permanente de la région cilio-spinale, déterminée par une cause traumatiq
e pupillaire peuvent se montrer liées aux lésions par compression des régions supé-rieures de la moelle. M. Ogle les a signalée
miné par compression un ramollissement des cordons antérieurs dans la région correspondante de la moelle épinière. Il serait f
resb., 1864, t. III, p. 30. la dyspnée qui, dans la compression des régions supérieures de la moelle épinière, peuvent existe
usqu'au niveau de la 3° côte. Une vaste escarre s'étant déclarée à la région sacrée le malade succomba, quatre mois environ ap
aut4, et qui présentait un tubercule solitaire développé dans la même région de la moelle. Il convient de mettre ces troubles
300 cas de fracture des vertèbres cervicales sur-venues dans diverses régions K d) Une gêne de la déglutition, plus ou moins
portait plutôt sur le bulbe. Pour l'épilepsie liée aux lésions des régions dorsale et lombaire de la moelle épinière, consul
s. Dans la règle, le ralentissement du pouls, lié aux fractures de la région cervicale, est un phénomène essentiellement tran-
né plus haut: Un enfant de 15 ans reçut un coup qui le frappa dans la région de la 6e vertèbre cervicale. Les symp-tômes d'une
t tout à l'heure des effets produits par l'irritation traumatique des régions su-périeures de la moelle, mais encore sur la con
mais il pourrait se former des escarres à développement rapide, à la région sacrée et sur d'autres parties des membres infé-r
rise au centre de la moelle épinière, il y a lieu d'établir plusieurs régions , plusieurs dépar-tements bien distincts. C'est ai
produit parfois des altérations qui affectent isolément les diverses régions de la substance grise. C'est là justement le ca
flammatoire porte indistinctement sur tous les points, sur toutes les régions de la substance grise, d'où il résulte que la sen
s quelques muscles, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'une région d'un membre, dans lesquels les lé-sions continuen
de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans la région de la moelle d'où émanaient les nerfs se rendant
r. Tramact., t. II. London, 1868. Fig. 8. — Coupe de la moelle à la région cervicale dans un cas de para-lysie infantile spi
es cornes antérieures de la substance grise (Fig. 8). Dans toutes les régions de la moelle, les grandes cel- c'est là un fait
prononcée des racines antérieures, remarquable surtout au niveau des régions de la moelle le plus profondé-ment atteintes, alt
novembre et décembre 187i.) Fig. 9. — Coupe de la moelle faite à la région lombaire. — A, corne anté-rieure gauche, saine. —
ose près, tous les caractères de la structure nor-male. Dans d'autres régions , les lésions de la névroglie pour-ront se montrer
rrotet Joffroy ont bien mis en lumière, — ne présentent au niveau des régions altérées de la moelle épinière, dans les cas réce
condairement la névroglie et s'étend de proche en proche aux diverses régions des cornes antérieures, mais cela n'est nullement
ses mem-bres. Une heure après, elle se plaignait de douleurs dans la région cervicale postérieure, de fourmillements et d'irr
ignit d'une grande fatigue, de courba-ture, surtout prononcée dans la région lombaire et souffrit de sueurs abondantes. Le l
ogique. Les cellules mo-trices étaient profondément altérées dans les régions de la moelle épinière, correspondantes aux muscle
ornes antérieures de la substance grise et, plus précisément, dans la région de ces cornes qu'occupent les grandes cellules ga
eçon que M. Gharcot a faite a la Salpêtrière, en juin 1868. dans la région où la corne grise est aussi profondément at-teint
centuée. Les élé-ments ganglionnaires de tout un groupe, de toute une région , lorsque l'altération est portée au plus haut deg
naires de la moelle. Mais il importe de remarquer que, dans certaines régions de l'encéphale et dans le système du grand sympat
ans avoir subi de dissocia-tion2. Quoi qu'il en soit, elle occupe les régions centrales de la moelle épinière, la substance gri
de la hauteur du cordon nerveux, de telle sorte que, par exemple, la région dorsale et la région lombaire seront atteintes si
don nerveux, de telle sorte que, par exemple, la région dorsale et la région lombaire seront atteintes simultanément dans tout
rtenant qu'à la myélite diffuse, révèlent la participation des autres régions delà moelle. Ce sont des altérations plus ou moin
calines, purulentes, enfin la formation d'escarres non seulement à la région sacrée, mais encore sur tous les points des membr
ement lom-baire, par exemple, si la lésion a porté sur un point de la région dorsale ; la propagation en question se fait dans
ne lésion spinale, en apparence limitée à un point circon-scrit de la région dorsale, peut déterminer dans les membres inférie
us expli-citement l'altération atrophique des cellules molrices de la région . Nous trouvons en quelque sorte ici la reproducti
hies spinales chroniques. En effet, une lésion exactement limitée aux régions antérieures de la substance grise et laissant par
ble, pouvait môme être suivi jusqu'au niveau du tiers inférieur de la région dorsale. Dans lapins grande partie de son trajet,
u sarcomes), qui, développés au centre de la substance grise, dans la région cervicale, ont été le point de départ de symptôme
ance grise, et plus particulièrement sur les cellules nerveuses de la région , en conséquence de quoi les symptômes amyotrophiq
ompression s'exerçant sur un point limité de la moelle épi-nière à la région dorsale ; l'inertie motrice occasionnée dans les
tent les traces manifes- Fig. 11. — Coupe delà moelle épinière à la région cervicale dans un cas d'atrophie musculaire proto
ur des coupes. — Dans toute l'étendue de la moelle, mais surtout ù la région cervicale, un grand nombre de cellules nerveuses
l petit groupe {Fig. Il, b). — Les racines antérieures, émanant de la région cervicale, sont atrophiées ; on y trouve quelques
e, une atrophie destructive. Sans doute, dans les racines émanant des régions de la substance grise et plus pro-fondément altér
cette lésion circonscrite en quelque sorte géomé-triquement dans une région des faisceaux blancs qui à l'état normal, du moin
ologiques qui accusentun développement relati-vement moins avancé, la région qui appartient aux faisceaux latéraux proprement
a région qui appartient aux faisceaux latéraux proprement dits. Cette région se voit en arrière d'une ligne fictive transversa
tubérance et dans l'étage inférieur des pédoncules cérébraux. Or, ces régions de l'isthme de l'en-céphale et du bulbe qui sont
ions que présente le système des faisceaux latéraux dans les diverses régions de la moelle, dans le bulbe et dans Charcot. Œu
cervical. Fig. 17. — Coupe transversale passant par le milieu de la région dorsale. Fig. 18. — Coupe transversale passant
renflement lombaire. moelle. —a) Sur des coupes transversales, à la région du renflement cervical, l'altération symétrique c
nd une plus grande étendue en largeur que partout ailleurs. Ainsi, la région envahie par la sclérose s'étend en avant jusqu'au
sent appartenir au même système que les faisceaux latéraux. b) A la région dorsale, la lésion est plus circonscrite. [Fig. 1
languette très mince de substance blanche in-tacte. c) Enfin, à la région lombaire, la lésion est moins étendue encore. Ell
is constatée, des groupes cellulaires de la colonne de Clarke dans la région dorsale. a) L'altération de la substance grise
ce grise spinale, dans tous les cas que j'ai observés, prédomine à la région cervicale de la moelle épinière; elle est souvent
le de la moelle épinière; elle est souvent très prononcée encore à la région dorsale ; mais elle tend à s'atténuer à mesure qu
hie des cellules nerveuses motrices dans les cor-nes antérieures à la région cervicale de la moelle et dans les noyaux d'origi
ci, non plus que la parésie, n'est pas d'ordinaire circonscrite à une région limitée du membre, à quelques muscles de la main
tubes nerveux qui établissent, à l'état physiologique, entre les deux régions , une communication plus ou moins directe. Quelque
iverses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à des régions très circonscrites ; au pied, par exemple (Friedr
es cas, l'envahissement Fig. 26. — Coupe de la moelle épinicre u la région lombaire dans un cas d'ataxie locomotrice compliq
ont été très multipliées et prises sur les points les plus divers des régions cervicale et dorsale de la moelle. Je dois faire
çon tout à fait acces-soire, pour ainsi dire accidentelle, cell s des régions de la moelle (cornes grisés antérieures et faisce
périeure du renflement cervical, jusqu'à l'extrémité inférieure de la région lombaire. Les cornes antérieures de la substanc
à établir que la moelle épinière est composée d'un certain nombre de régions , répon-dant, en quelque sorte, à autant d'organes
s longtemps, tracé la voie et déterminé même un certain nombre de ces régions fonda-mentales auxquelles je faisais allusion tou
la. Vous voyez les anciens faisceaux postérieurs décomposés en deux régions bien distinctes: 1° les faisceaux deGoil (Fig. 29
lopographique où se trouvent indiquées, par des feintes diverses, les régions de la moelle épinière, jusqu'ici explorées par le
'ro-latéraux des auteurs doivent à leur tour être décomposés en trois régions : 1° les faisceaux laté-raux proprement dits, A,
celle des faisceaux latéraux ; Fig. 30. — Coupe transversale de la région lom-baire de la moelle provenant d'un sujet chez
par une paralysie avec amyotrophie dans le membre correspondant à la région lésée de la moelle épinière. Pour ce qui est de
s la moelle épinière, sur certains points, les faisceaux postérieurs ( région cervicale), sur d'autres les faisceaux latéraux '
es cas graves, il est assez habituel que des escarres se forment à la région sacrée, et décident la terminaison fatale. La m
racines du nerf, près de leur émergence. La moelle épi-nière, dans la région correspondante, était ramollie et infiltrée de co
t détruit, chez une grenouille, on irrite la moelle épinière, dans sa région inférieure, par l'application d'un caustique, les
, je proposai faute de mieux, l'appli-cation de pointes de feu sur la région mastoïdienne gauche. Les applications furent répé
s. Les cicatrices en question occupaient dans l'hémis-phère droit une région toujours la même, à peu de chose près, et voici l
rviendra peut-être quelque jour à circonscrire d'une façon exacte les régions limitrophes qui cor-respondent à ces deux ordres
un jour déterminé avec préci-sion, on connaîtrait au moins l'une des régions de l'encéphale où devraient être cherchées les al
de la contracture per-manente. Relations entre la céphalalgie et la région motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gomm
te, et localisée comme je le dirai, sur un espace circonscrit dans la région du pariétal droit, les in-tervalles des accès éta
n de la céphalalgie localisée, comme il a été dit, sur un point de la région pariétale droite. La douleur, à ce moment, prend
., le développement de l'accès, occupait un espace circonscrit sur la région du pariétal droit, tandis que les con-vulsions po
s de la surface des hémisphères cérébraux qui sont en rapport avec la région pariétale du crâne, et plus particulièrement les
comme représentant la zone motrice, ou, autrement dit, comme la seule région de l'écorce cérébrale dont l'irrita-tion peut dét
ès était localisée sur deux points à la fois : l'un sié-geant dans la région pariétale d'un côté, l'autre sur la région tempor
s : l'un sié-geant dans la région pariétale d'un côté, l'autre sur la région temporale de l'autre côté. La douleur pariétale o
en ar-rière de lui, non loin delà scissure médiane, c'est-à-dire une région appartenant, pour une part, au domaine de la zone
s pharyngées au nitrate d'argent, les applications irri-tantes sur la région antérieure du cou, et à l'intérieur l'emploi du b
sium à doses élevées et l'application de vésica-toires volants sur la région du larynx ; après trois semaines de traitement, l
ment, de brûlure, la toux, ayant pour siège apparent le larynx ou les régions supérieures de la trachée, ont dans tous les cas
mptômes prémonitoires de l'attaque semblent désigner le larynx ou les régions supérieures de la trachée, comme étant le point d
ions banales. Quoi qu'il en soit l'application des révulsifs sur la région laryngée, les cautérisations pharyngées, l'admini
la moelle entièrement divisée au niveau de la partie supérieure de la région dorsale; un lambeau de la dure-mère rattachait se
espaces où les cylindres d'axe ont augmenté de vo-lume, que dans les régions où les tubes nerveux ont conservé tous les caract
orsales, en diminuant progressivement d'étendue et en se limitant aux régions centrales de la moelle. Au-dessous, il descend, é
entrales de la moelle. Au-dessous, il descend, également limité à ces régions , jusque vers le com-mencement du renflement lomba
ar lacide chromique et colorées par le carmin; coupes transversales ; région dorsale. — Toutes les par-ties qui avaient été ra
valaires. Ils se retrouvent encore soit isolés, soit agrégés dans les régions cervi-cale et lombaire de la moelle épinière où l
re qu'un bon nombre de cellules nerveuses motrices, dans les diverses régions de la moelle, ont augmenté de volume. Quoi qu'il
ique dilué, font reconnaître, dans la moitié latérale gauche, dans la région cervicale, un foyer sanguin de forme ovalaire, me
lite descendante consécutive), à peu près dans toute la hauteur de la région dorsale l. On sait d'ail-leurs, d'après les reche
paces intercos-taux sont profondément excavés ; il en est de même des régions sus et sous-épineuses ; dans toutes les parties s
et état des racines antérieures se rencontre seu-lement au niveau des régions cervicale et dorsale. Il cesse à peu près entière
ent manifeste des méninges. Sur une coupe transversale pratiquée à la région cervicale, on remarque l'aspect gélatineux des co
ui se rapprochent de l'état normal ; tous les autres muscles de cette région sont plus ou moins atrophiés et décolorés. Ils so
and palmaire et le rond pronateu;"' sont un peu moins atrophiés. A la région postérieure, tous les muscles sont profondément a
pouce qui est encore rouge et assez volumi-neux. — Les muscles de la région externe sont également atteints. A la main, les l
mas-toïdiens paraissent à peu près sains, de même que les muscles des régions sus et sous-hyoïdiennes. — Les muscles du pharynx
e. — Les différents viscères ont paru sains. Examen hislologique. — Région cervicale. — La disseclion de petits fragments de
essus qui préside ici à la destruction des cellules nerveuses. A la région lombaire, la substance des cornes antérieures est
nom-bre, il est vrai, aussi complètement atrophiées que celles de la région cervicale. Les parois des vaisseaux ne sont pas a
rtions de substance blanche prise au centre des cordons latéraux à la région cervicale et à la région lombaire ne conte-naient
he prise au centre des cordons latéraux à la région cervicale et à la région lombaire ne conte-naient, à l'état frais, aucun c
tance grise des cornes antérieures est pro-fondément altérée dans les régions cervicale et dorsale. Le maxi-mum des altérations
loppement véritablement énorme qu'a pris le sys-tème capillaire de la région . Dans les parties supérieures de la région cerv
ys-tème capillaire de la région. Dans les parties supérieures de la région cervicale, la vasculari-sation diminue, les tubes
dans chaque préparation, ont môme des dimensions quasi-normales. A la région dorsale, la lésion va également en s'atténuant à
la lésion va également en s'atténuant à mesure qu'on s'approche de la région lombaire. Au niveau du renflement lombaire, la
is-seaux ont leurs parois épaissies, beaucoup moins toutefois qu'à la région cervicale. Cet état des vaisseaux se retrouve de
à la zone radiculaire antérieure, elle est atteinte de sclé-rose à la région cervicale et à la région dorsale. L'étendue de ce
érieure, elle est atteinte de sclé-rose à la région cervicale et à la région dorsale. L'étendue de cette sclérose est manifest
qui envoie vers la périphérie de larges prolongements tandis qu'à la région dorsale elle est limitée au trajet des faisceaux
ntérieurs, allant en s'atténuant sur les cordons posté-rieurs. — A la région lombaire, ces diverses lésions disparaissent la c
ment vascularisé. Racines spinales, — Les racines antérieures, à la région cervicale sont à peu près complètement détruites.
i. Cet état est exactement le même pour les racines antérieures de la région dorsale. A. la région lombaire, on rencontre à pe
ment le même pour les racines antérieures de la région dorsale. A. la région lombaire, on rencontre à peine quelques tubes atr
antérieure atteint son maximum d'intensité ; tous les éléments de la région sont à ce niveau altérés, et on peut admettre, so
tance, on retrouve des cellules nerveuses en voie de destruction à la région lombaire, alors que les zones radiculaires antéri
alors que les zones radiculaires antérieures se retrouvent dans cette région parfaitement normales. Quant au léger degré de
us considérons que dans certains points, à la partie supérieure de la région cervicale, par exemple, de même qu'à la région do
artie supérieure de la région cervicale, par exemple, de même qu'à la région dorsale, les cellules nerveuses sont en-core prof
hie ou disparition des cellules nerveuses des cornes anté-rieures aux régions cervicale et dorsale. — Au bulbe, atrophie et des
elques jours, Catherine éprouve une sensation de constriction dans la région pharyngienne, sans que l'examen direct fasse déco
ont également marché que fort lentement du côté de la face et de la région sus-hyoï-dienne. Néanmoins la difficulté de la pr
ou. Les sterno-cléïdo-mastoïdiens paraissent sains. Les muscles de la région sus-hyoïdienne sont très-petits. Ils présen-tent
rvé leur volume normal et leur coloration blanche. C'est surtout à la région cervicale que ces lésions sont le plus ac-cusées
; cependant on les observe encore dans presque toute la hauteur de la région dorsale ; mais elles tendent à s'effacera me-sure
rsale ; mais elles tendent à s'effacera me-sure qu'on s'éloigne de la région cervicale. A la région lombaire, les racines anté
ent à s'effacera me-sure qu'on s'éloigne de la région cervicale. A la région lombaire, les racines antérieures ont repris le v
ations graisseuses. Ce qui vient d'être dit est relatif sur-tout à la région cervicale de la moelle ; à la région dorsale, les
re dit est relatif sur-tout à la région cervicale de la moelle ; à la région dorsale, les lésions atrophiques se montraient mo
aient moins prononcées, surtout dans les parties inférieures de cette région et, au niveau du renflement lombaire, elles faisa
préparations durcies par l'acide chromique et colorées par le carmin. Région cervicale. L'examen des coupes transversa-les min
es et qui se montrent à peu près les mômes dans toute l'étendue de la région . Sur tous les points des cordons antéro-latérau
s postérieure de ces derniers faisceaux et dans toute l'étendue d'une région qui, en dedans, confine aux cornes postérieures t
ce grise nous ont paru offrir toutes les conditions de l'état sain. Région dorsale. L'examen n'a pu porter que sur les 2/3 s
dorsale. L'examen n'a pu porter que sur les 2/3 supé-rieurs de cette région . La sclérose des faisceaux latéraux se mon-trait
cornes antérieures étaient atrophiées, réduites à un petit nombre. Région lombaire. L'altération scléreuse symétrique des c
s nettement accusée, mais moins étendue toutefois que dans les autres régions de la moelle ; elle occupe d'ailleurs le même siè
es seulement présentent des lésions alrophiques bien caractérisées. Région du bulbe. — Coupes faites au-dessus du calamus. —
s. — A l'aide découpes transversales faites à diverses hauteurs de la région des olives et au-dessous, nous avons pu constater
gnalée à propos des cellules des cornes antérieures de la moelle, aux régions cervicale et dorsale. Nous avons pris pour point
al, on pouvait compter' dans le noyau de l'hypoglosse, qui dans cette région est volumineux et bien limité de toutes parts, de
contre, sur les coupes provenant de notre malade et montrant la même région , on ne pouvait reconnaître que 3 ou 4, au plus, d
es groupes cellulaires, appartenant aux différents autres nerfs de la région , sont moins profondément atteints. Les cellules y
rappante avec l'atrophie très prononcée de leur noyau d'origine. La région de l'entre-croisement offre un intérêt particulie
a sclérose s'avancer en figurant un coin à base postérieure dans la région de l'entre-croisement, et aller envahir, en passa
rdons antéro-latéraux. Il est de plus à remarquer, que, du moins à la région cervicale, les lésions paraissent être arrivées à
ns quelques endroits, au contraire, ils sont comme hypertrophiés. Les régions altérées se colorent vivement par le carmin. Si
bien qu'elle en diffère par certaines particularités. Dans toute la région cervicale, elle occupe, à la partie la plus inter
à droite qu'à gauche, cesse d'exister vers la partie inférieure de la région . Dans les cordons latéraux, commençant en avant
r une bande étroite de tissu resté sain. La partie supérieure de la région , celle qui est située immédia-tement au-dessous d
e de tissu sclérosé. Si, des parties supérieures, on descend vers les régions dorsale et lombaire, on voit la sclérose abandonn
t diminuer pro-gressivement d'étendue dans le cordon latéral. Dans la région dorsale le cercle de tissu sain périphérique s'él
is que la sclérose abandonne le contour de la corne anté-rieure. A la région lombaire, elle s'est éloignée de la corne pos-tér
nes, elle diminue graduellement d'étendue, à mesure qu'elle gagne les régions inférieures de la moelle. Tandis qu'au niveau du
uer à un cinquième du nombre total celui des cellules épargnées, à la région lombaire, plus de la moitié a consérveles caractè
, été désorganisée dans son ensemble, et l'on peut constater dans les régions supérieures de la moelle, la pré-sence de véritab
squ'on demande à la malade si elle souffre, elle porte les mains à la région précordiale et fait comprendre qu'elle éprouve là
bord antérieur du trapèze. On remarque que le ventre s'affaisse à la région épigastrique dans le temps même où les côtes et l
. Etat des muscles. Les muscles extrinsèques de la langue et ceux des régions sus et sous-hyoïdiennes, présentent une belle col
du périmysium et du sarcolemme se rencontrent sur toutes les au-tres régions de la langue, mais à un moindre degré qu'au nivea
l'aide de bonnes pré-parations provenant des mêmes points, de la même région d'une moelle saine, ont montré ce qui suit : Le
éole est visible, il consérvele volume normal. Coupes provenant des régions dorsale et cervicale. — Les altéra-tions des cell
et cervicale. — Les altéra-tions des cellules sont les mêmes qu'à la région lombaire, plus accentuées seulement, surtout au r
gré que celles qui composent les groupes des cornes antérieures. 2° Région bulbaire. — a) Coupe faite immédiatement au-desso
és, l'altération pigmentaire décrite plus haut, à propos des diverses régions de la moelle épinière. Les cellules altérées sont
ubi à divers degrés l'altération pig-mentaire, principalement vers la région externe du noyau. On sait qu'à l'état normal il e
oyau de l'hypoglosse et celui du pneumogastrique se trouve dans cette région le petit groupe cellulaire que L. Clarke rattache
s ne paraissent pas être affectées. On la rencontre dans toutes les régions de la moelle, mais elle prédomine certainement au
les sont disséminées un peu partout, et l'on trouve toujours dans les régions les plus variées, des fibres malades entremêlées
ltérations que présentaient les cellules nerveu-ses dans les diverses régions de la moelle et du bulbe, on re-marquera qu'il ex
ro-lombaire ; 2° le renflement cervical et la moitié supérieure de la région dorsale de la moelle épiniôre ; 3° di-vers tronço
anées ont per-mis, on le sait, de rattacher à une lésion de certaines régions déterminées de la moelle épinière un bon nombre d
n effet, que les mus-cles qui reçoivent leurs nerfs de cette dernière région de la moelle étaient, pour la plupart, affectés,
ont élé très multipliées et prises sur lespoints les plus divers des régions cervicale et dorsale de la moelle. Or, le résulta
périeure du renflement cervical jusqu'à l'extré-mité inférieure de la région lombaire ; les cornes antérieures de la substance
cordon intermédiaire. Fig. 1 (à droite). — Coupe transversale de la région cervicale. «, a, Rubans externes des cordons post
sclérose. Fig. 2 (à gauche). — Coupe transversale de la moelle à la région cervicale. Les rubans externes, a, a, le cordon m
nvahis totale-ment parla sclérose. Fig. 2 (à droite). — Coupe de la région dorsale de la moelle. La sclérose a envahi les mê
uche). — Coupe transversale de la moelle à la partie inférieure de la région dorsale. — a, a, Ilots de sclérose, situés dans l
droite). — Coupe transversale de la moelle à la partie moyenne de la région cervicale. a, a, Rubans externes envahis par la
ondaires. — d, Point comprimé représenté, grossi, sur la fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose latérale et postérieure. — h, R
a fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose latérale et postérieure. — h, Région cervicale inférieure. Sclérose limitée aux cordon
érose limitée aux cordons de Goll. — a, Renflement cervical, id. — e, Région dorsale inférieure. Sclérose diffuse des cordons
égion dorsale inférieure. Sclérose diffuse des cordons latéraux. — f, Région lombaire. Sclérose latérale marquée surtout à dro
ure des cordons latéraux. Fjg. 2. — Coupe de la moelle ëpinièrea la région dorsale (au niveau du point comprimé) chez un adu
iges delà partie latérale droite de la moelle. Fig. 3. — Coupe à la région cervicale dans un cas de mal de Pott dorsal. Sclé
Coupe transversale de la moelle épinière à la partie inférieure de la région cervicale, a, a, c, c, p, p, comme dans la figure
— Coupe transversale de la moelle épinière à la partie moyenne de la région dorsale, a, a, Cordons latéraux, c, c, Cornes ant
OTOPATH1QUE Fig. 1. — Coupe transversale de la moelle épinière à la région cervicale. — A, Zone radiculaire antérieure sclér
fait sains. Fig. 2. — Coupe transversale de la moelle épinière à la région lombaire. — Les lettres ont la même signification
e la zone radiculaire antérieure, T. Fig. 3. — Partie moyenne de la région dorsale. — A, Zone radiculaire anté-rieure scléro
yau d'une cellule endotbéliale. Fig. 7. — Vaisseau pris dam la même région et dont les parois sont cou-vertes de nombreux le
extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie topographique de la région vertébrale. Des symptômes extrinsèques : pseudo
de la contracture per-manente. Relation entre la céphalalgie et la région motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gomm
8 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
Il, sillon antérieur de la moelle épinière. D, saillie en olive de la région antérieure du renflement lombaire. FIGURE 2e.
ijumeaux postérieurs. + +, lieux d'origine des nerfs pathéti-ques. Y, régions postérieures du tronçon pédonculaire du cerveau.
édiane en un petit faisceau distinct qu'on peut suivre jusque dans la région lombaire de la moelle. ZZZZ, lignes d'origine des
le nerf auditif. R, faisceau externe du pédoncule céré-belleux. Cette région du pédoncule cérébelleux a été dépouillée d'un ru
torius. Depuis le niveau de cette section jusqu'à l'extrémité de la région lom-baire de la moelle, ces faisceaux postérieurs
drijumeaux. + +, origine des pathétiques. B, valvule de Vieussens. Y, région postérieure; N, région antérieure du tronçon pédo
e des pathétiques. B, valvule de Vieussens. Y, région postérieure; N, région antérieure du tronçon pédonculaire du cerveau. U,
tiforme de la moelle allongée ; la continuation de ce dernier dans la région postérieure ou supérieure du tronçon pédonculaire
culaire du cerveau. Pour montrer .clairement la continuité de cette région postérieure du tronçon pédonculaire avec le faisc
e partie de la masse cérébelleuse. F, sommet de l'insula. C, petite région de la circonvolution de l'ourlet. +, surface corr
ventriculaire de la couche optique. D, tubercules quadrijumeaux. Y', région postérieure du tronçon pédoncu-laire du cerveau.
eaux. Y', région postérieure du tronçon pédoncu-laire du cerveau. N , région antérieure ou fasciculée du même tronçon pédoncul
re. U U, coupe des prolongements de cette protubérance qui forment la région externe du pédoncule cérébelleux. U', coupe des f
ontrer les prolongements du fais-ceau postérieur de la moelle dans la région postérieure du tronçon pédon-culaire du cerveau ,
sverses supérieurs de la protubérance annulaire. Y, E, U', diverses régions du faisceau postérieur. H, fascicules pas-sant du
ligne médiane. J, aqueduc de Sylvius ouvert sur la ligne médiane.NN, Région fasciculée du pédoncule. UU' U", faisceau interne
ente, sur la moitié gauche de la moelle allongée, la dissection de la région fasciculée du pédoncule cérébral. Tous les fais-c
région fasciculée du pédoncule cérébral. Tous les fais-ceaux de cette région du pédoncule, au lieu de converger vers le sommet
ique, corps géniculés. M, éminences mamillaires. NN', faisceaux de la région fasciculée du pédoncule. W, pyramide antérieure.
e l'ourlet qui appartient à l'hémisphère. FIGURE 1re. BBB, grande région du cercle fibreux de l'ourlet. I, olfactif. CJC',
vec le cercle fibreux de l'orifice ventriculaire. L, RVV'V", diverses régions du cercle fibreux de l'orifice ventriculaire. B',
U', faisceau postérieur de la moelle épinière. P, faisceau moyen. N, région fasciculée du pédon-cule cérébral faisant suite a
nt suite au faisceau antérieur de la moelle. E, e, divi-sion de cette région fasciculée dans la protubérance. F, olive. W, pyr
et commissure molle de la couche optique. M, éminence mamillaire. N, région fasciculée du pédoncule. S, glande pi-néale. D, t
ent la coupe de faisceaux assez gros qui s'entrecroisaient dans cette région . FIGURE 3e. Cette figure est destinée, avec l
amillaire. N, ré-gion fasciculée du pédoncule gauche. N', coupe de la région fasciculée du pédoncule droit au niveau du tractu
faisceau moyen. Ces fibres, qui procèdent par en-trecroisement de la région fasciculée, de l'autre côté se portent de la lign
ion qui a servi de modèle à cette figure on a enlevé en arrière de la région fasciculée du pédoncule le faisceau moyen et le f
u calamus. On a laissé une partie de l'éventail fibreux par lequel la région fasciculée du pédon-cule se prolonge dans le noya
nge dans le noyau cérébral. bbbbN', prolongements en éventail de la région fasciculée dans le noyau cérébral. N 0, face prof
la région fasciculée dans le noyau cérébral. N 0, face profonde de la région fasciculée en contact avec le corps noir de Sœmme
ec le corps noir de Sœmmering. N'', coupe de quelques faisceaux de la région fasciculée qui s'entrecroisaient sur la ligne méd
'entrecroisaient sur la ligne médiane, d d', convexité ex-terne de la région fasciculée. m, bord supérieur de la protubérance,
a protubérance, n. partie profonde de la protubérance procédant de la région fasciculée du pédoncule. C, raphé postérieur de l
ieur de la protubérance dans lequel s'entre-croisent des fibres de la région fasciculée. On voit à droite et à gauche, en deho
ec le faisceau postérieur, dont les lettres YYSD marquent différentes régions , cette figure fait voir en A' des fibres du faisc
détournées dans la protubérance et for-mant un plan profond de cette région . NP V W, ut supra. FIGURE 6e. On voit dans ce
inaison dans l'épaisseur de la protubé-rance des faisceaux W N" de la région fasciculée du pédoncule cérébral N, avec les fais
a région fasciculée du pédoncule cérébral N, avec les faisceaux de la région fasciculée du pédoncule cérébelleux UU'. La signi
ne partie médiane, l'éminence vermiforme, à laquelle on distingue une région infé-rieure et une région supérieure; et de parti
nce vermiforme, à laquelle on distingue une région infé-rieure et une région supérieure; et de parties latérales, les hémisphè
es, les hémisphères cérébelleux, dans lesquels on distingue aussi une région supérieure et une région inférieure. Les parties
elleux, dans lesquels on distingue aussi une région supérieure et une région inférieure. Les parties médianes du cervelet comm
belleux réunis sur la partie externe du pédoncule du cervelet. N N, région fasciculée du pédoncule cérébral. P, protubérance
oublure fibreuse avec une membrane fibreuse émanée de l'auditif. N, région fasciculée. Y, région postérieure du tronçon pédo
une membrane fibreuse émanée de l'auditif. N, région fasciculée. Y, région postérieure du tronçon pédonculaire du cerveau. H
e externe de la protubérance annulaire. P, protubérance annulaire. N, région fasciculée du pédoncule cérébral. M, éminences ma
ilatère perforé antérieure à la diagonale blanche. Les trous de cette région grise ont leur grand diamètre dirigé d'arrière en
grise ont leur grand diamètre dirigé d'arrière en avant. D C, petite région de la circonvolution de l'ourlet formant la marge
en C la racine blanche externe de l'olfactif. B, origine de la grande région , région verticale de la circonvolution de l'ourl
acine blanche externe de l'olfactif. B, origine de la grande région , région verticale de la circonvolution de l'ourlet. C, te
ticale de la circonvolution de l'ourlet. C, terminaison de cette même région de la circonvolution de l'ourlet. Cette terminais
e la circonvo-lution de l'ourlet est sa tubérosité temporale, b b, sa région temporale. B', son crochet. D D', principe de la
volution d'en-ceinte de la scissure de Sylvius. x x, cul-de-sac de la région temporale du ventricule, o o , cul-de-sac occipit
origine du cer-cle fibreux de l'ourlet sont unis. B b b b b' B/ D', région verticale de la circonvolution de l'ourlet. B, pr
férence excentrique de la face interne de l'hémisphère dont la grande région de la circonvolution de l'ourlet forme la circonf
couche noire de Sœmmerring indiquée par le signe + de la coupe de la région fasciculée du pédoncule N. M, éminence mamillai
rdre, formant le bord interne du triangle orbitaire. B, origine de la région ver-ticale de la circonvolution de l'ourlet. E e
er la zone cérébello-temporale du côté gau-che. De P' en 6 on voit la région temporale de la circonvolution de l'our-let. \y d
ion de deuxième ordre. Cette circonvolution, très-épaisse en quelques régions du cerveau que nous avons pris pour modèle, tend
L, tractus optiques. K', tuber cinereum. M, éminences mamillaires. N, région fasciculée du, pédoncule. E, sommet du lobe tempo
tronçon pédonculaire. P, protubérance. V W y , bulbe rachidien. S I, région supérieure de l'hémisphère cérébelleux. C, sa rég
rachidien. S I, région supérieure de l'hémisphère cérébelleux. C, sa région infé-rieure. E, scissure horizontale. H , nerf tr
le montre aussi différents éléments du cer-velet. P, protubérance. N, région fasciculée du pédoncule. Y, faisceau moyen. X X',
nce. N, région fasciculée du pédoncule. Y, faisceau moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau postérieur. Y, couche blan
tinctes du faisceau postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du faisceau postérieur l'une de l'au-tre, et la p
elli ad testes. R, valvule de Vieussens. Du côté gauche, on voit la région externe Q du pédoncule cérébelleux entièrement dé
des prolongements du corps restiforme qui passent eu dedans de cette région du pédoncule. R indique un débris de la mem-brane
a mem-brane nerveuse émanée de l'auditif et du trijumeau qui revêt la région externe Q du pédoncule cérébelleux. II H', grande
nervpuse émanée du trijumeau, au-dessous de laquelle on voit en Q la région externe du pédoncule céré-belleux. La lettre H/ m
ntre la petite portion du trijumeau naissant par des dentelures de la région externe Q du pédoncule cérébelleux. H, grande por
ane du corps calleux, en dehors de laquelle on voit de chaque côté la région transversale J de ce corps. K O Q K' R, parties
t à la corne temporale du ventricule. Q Q, fibres prolongées de cette région tem-porale dans le cône postérieur. FIGURE 2«.
déjà connues delà protubérance et du bulbe rachidien. N, M, L, K, K', région fasciculée du pédoncule , éminences mamillaires,
a, tubé-rosité antérieure, a', pointe du cône postérieur du noyau. 6, région de ce noyau répondant à la corne temporale du ven
au pos-térieur et du faisceau antérieur de la moelle avec différentes régions du cerveau. Le corps calleux a été coupé sur la
rconvolutions de la face interne du cerveau. N, face profonde de la région fasciculée du pédoncule. N', éventail tibreux se
gion fasciculée du pédoncule. N', éventail tibreux se rendant à cette région fasciculée et compris dans l'intervalle des cotyl
optique et du corps strié. N'' n n, prolongement des radiations de la région fasciculée dans la moitié externe de la grande ci
sité temporale de la cir-convolution de l'ourlet. B', son crochet, x, région temporale de la même circonvolution. R, corps god
été excisée la circonvolution de l'ourlet. C C C E E F H P, diverses régions des circonvolutions de la face interne du cerveau
et de l'espace perforé ; en N', les parties fibreuses blanches de la région verti-cale delà circonvolution de l'ourlet. Ces p
misphère. F' montre les parties fibreuses de l'insula F émanées de la région adhérente du ruban fibreux de l'ourlet. L, sail
noyau cérébral. On voit en H' le tronc fibreux qui fait suite à la région fasciculée du pédoncule et qui se trouve compris
re perforé. V V, fibres de cette saillie centrale qui se portent à la région supérieure du corps calleux en croisant le tronc-
ses du nerf olfactif marquées r r. L'on voit en I le principe de la région verticale du ruban fibreux de l'ourlet qui se ter
ule, et des prolongements de ces faisceaux avec le quadrilatère. N, région fasciculée du pédoncule. M, son faisceau moyen re
des prolongements du faisceau postérieur et du faisceau moyen dans la région de l'espace perforé, se portent dans la tubérosit
tte figure une partie des mêmes éléments que dans la précédente. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P, faisceau postér
GURE 4e. Dans cette figure comme dans les précédentes, N désigne la région fas-ciculée du pédoncule; M, son faisceau moyen;
ulaire du corps strié. + -f-, débris des fibres de l'éventail de la région fasciculée à leur sortie du corps strié. FIGURE
la région fasciculée à leur sortie du corps strié. FIGURE 7e. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P P, faisceau post
9 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
t jours à la campagne avec son amant (Alphonse) qui lui comprimait la région ovarienne droite lorsqu'elle avait ses attaques.
evons en passant que le cloivnisme s'accentue. La compression de la région ovarienne droite est pratiquée ; bientôt, les pau
e débat, riant toujours : « Ah ! mon cœur ! » Elle porte la main à la région précordiale. « Ah! Gl..., s'il te demande quelque
acture le membre supérieur droit dans la demi-flexion, on comprime la région ovarienne. La malade se réveille en conservant sa
en quoi ils consistent : 1° exagération de la douleur permanente des régions ovariennes, principalement de la gauche: — 2° sen
ns ses mains, et de marcher avec assurance. W... présente plusieurs régions hystérogènes : 1° Sur le bord externe de chaque
de différence entre les deux côtés ; la pression sur une seule de ces régions ne détermine pas d'attaques, mais la « fait avale
mais n'occasionne pas de phénomènes rappelant Y aura ; 3° Les deux régions ovariennes sont hyperesthésiées. La pression donn
, impuissante à faire naître une attaque. Au niveau de ces diverses régions , l'anesthésie cutanée est absolue. — Il n'y a pas
omposée, c'est-à-dire au moment où elle voit le lion : on comprime la région ovarienne gauche ; la conscience revenue, on susp
et à enfoncer la main au fond du bassin, c'est-à-dire à comprimer la région ovarienne, à sentir battre l'artère iliaque. Depu
grâce au chloroforme, après avoir résisté à diverses manœuvres. DES RÉGIONS HYSTÉROGÈNES Nous désignons sous le nom de régi
manœuvres. DES RÉGIONS HYSTÉROGÈNES Nous désignons sous le nom de régions hystérogènes des régions du corps, en général trè
HYSTÉROGÈNES Nous désignons sous le nom de régions hystérogènes des régions du corps, en général très circonscrites, au nivea
dans la dermalgie, la sensibilité cutanée est exaltée, au niveau des régions hysté-rogènes la peau a généralement perdu toute
u toute sensibilité au toucher, au pincement, à la piqûre, etc. Les régions hystérogènes ont une étendue qui varie entre un à
les ou leurs gouttières; — 9° la partie centrale des flancs; — 10° la région des ovaires; — et enfin, 11° le pli de l'aine, à
s de la crête de l'os iliaque. (Fig. I et 3): Nous avons décrit les régions hystérogènes de W. . . et indiqué leur siège (p.
gauche, puis la sensation « d'une grosseur » qui va et vient de celte région au creux de l'estomac amenant une cons-triction p
de l'épigastre au cou, il survient des élancements qui, partant de la région hystérogène latéro-mammaire gauche, forment en
reille, etc. W... assure qu'elle n'a aucune douleur au niveau de la région hystérogène latéro-mammaire gauche quand l'attaqu
rogène latéro-mammaire gauche quand l'attaque avorte et que, si cette région est prise, l'attaque est fatale. Les régions hy
avorte et que, si cette région est prise, l'attaque est fatale. Les régions hystérogènes sont plus ou moins nombreuses : il e
sion ovarienne gauche, par l'éther, etc. Attaques de contracture. — Régions hystérogènes. — Sommeil. — Somnambulisme. Pil..
s indiqués dans le sommaire pour ne décrire ici, avec détails que les régions hystérogènes (Fig. 1), leur relation avec l'aura,
uit pas de crise con-vulsive, ni aucun des phénomènes de l'aura. 2° Région hystérogène sus-mammaire gauche, au niveau du 4e
ques. La pression développe très promptement une grande attaque. 3° Région ovarienne gauche, où l'anesthésie est complète. I
s dans l'intervalle des attaques. Avant les crises convulsives, cette région , est le point de départ d'une sensation douloureu
arynx même. — qui dure habituellement 10 minutes — qu'intervient la région hystérogène sus-mammaire : elle est la source d'u
. 30). Ainsi, dans Je cas qui précède, il n'existe qu'une véritable région hystérogène, placée au-dessus du sein gauche. Che
gauche. Chez d'autres malades — et ce sont les plus nombreuses — les régions hystérogènes sont multiples. Alors, leur activité
ues épileptiformes, puis attaques complètes, suivies de catalepsie. — Régions hystérogènes ; leur relation avec l'aura. — Somme
bles des sens spéciaux du côté correspondant. On trouve chez elle les régions hystérogènes suivantes : 1° Rachialgie au nivea
friction même modérée détermine aussitôt une attaque. (Fig. 2). 2° Région sous-mammaire. Elle siège à 2 centimètres à peine
s du mamelon. La peau correspondante est insensible. (Fig. 1). . 3° Région hystérogène sus-inguinale. — Elle occupe sur le p
e, située à égale distance du milieu du pli de l'aine gauche et de la région ovarienne. A ce niveau, l'anesthésie est complète
atre membres (A. médiate). —Puis survient une douleur au niveau de la région hystérogène sus-inguinale gauche, laquelle gagne
hystérogène sus-inguinale gauche, laquelle gagne presque aussitôt la région ovarienne correspondante, d'où, part la sensation
ne au-devant du larynx. C'est pendant cette phase (5 minutes), que la région hystérogène sous-mammaire, — qui auparavant était
éclatent que 10 à 15 minutes après l'excitation. La pression sur la région sous-mammaire agit plus vite ; mais la zone hysté
ire agit plus vite ; mais la zone hystérogène par excellence c'est la région sus- Fiff. S. inguinale : là, une pression mo
ndition d'être très énergique et prolongée, et de porter sur les deux régions ovariennes ; elle est difficile à pratiquer, en r
et de la tension des muscles abdominaux. — Une forte pression sur la région sous-mammaire donne les mêmes résultats. Sommei
es, les bras durant 8 minutes. On voit que, chez M..., il y a trois régions où une pression, plus ou moins intense, détermine
s ou moins long, une attaque hystéro-épileptique ; en un mot, que ces régions ont une intensité variable. Chez elle, de même qu
es attaques pendant 5 mois après une inhalation de nitrite d'amyle. Régions hystérogènes ; leur rôle dans l'aura. — Sommeil ;
ous ne prendrons de son observation que les parties qui ont trait aux régions hystérogènes et au sommeil. Dr... est hémianesthé
bilité de la peau au toucher, à la piqûre, etc., est détruite dans la région correspondante à la rachialgie. C'est là où la pr
re fin aux crises convul-sives. — Nous n'avons pas découvert d'autres régions hystéro-gènes. Aura. — Pendant un jour, quelque
hystéro-gènes. Aura. — Pendant un jour, quelquefois deux jours, la région ovarienne gauche est le siège de douleurs lancina
dans l'oreille du même côté et finalement perte de connaissance. La région hystérogène rachidienne ne manquerait jamais de j
uvent être considérées comme nous fournissant des types réguliers des régions hystérogènes multiples, en ce sens que ces région
ypes réguliers des régions hystérogènes multiples, en ce sens que ces régions occupent exclusivement le côté de l'hémianes- 8
s hystérogènes sont doubles et symétriques ; — dans certains cas, une région hystérogène siège du côté de rhémianesthésie et o
posé ; — dans d'autres cas, également exceptionnels, il est vrai, les régions hystérogènes occupent toutes le côté où la sensib
de la sensibilité cutanée, de la notion des couleurs. — Transfert. Régions hystérogènes : ovaralgie, rachialgie, région laté
ouleurs. — Transfert. Régions hystérogènes : ovaralgie, rachialgie, région latéro-mammaire droite. — Influence de la pressio
région latéro-mammaire droite. — Influence de la pression. — Rôle des régions hystérogènes dans Y aura. Du sommeil en dehors
utes seulement avant les attaques. P... a une douleur au niveau de la région ovarienne droite, qu'elle compare à des tiraillem
hauteur de 6 centimètres. — La sensibilité n'est pas revenue dans la région symétrique gauche. 11 janvier. — L'anesthésie p
s'est opéré : à droite (côté sain), la sensibilité est abolie dans la région qui correspond à celle où la sensibilité a reparu
ibilité dans une hauteur de 5 centimètres environ, anesthésie dans la région symétrique droite (Transfert.) 16 janvier. La s
t et en arrière, jusqu'à la ceinture, à la face et au cou. — Dans les régions qui ont recouvré la sensibilité, les différente
des cheveux jusqu'à la clavicule gauche, mais elle est abolie sur la région similaire droite. Il n'y a eu aucune modification
,6. Application de 12 éléments de la pile de Graiffe : un pôle sur la région frontale, l'autre sur la région ovarienne. La mal
e la pile de Graiffe : un pôle sur la région frontale, l'autre sur la région ovarienne. La malade a des mouvements de déglutit
ication de l'un des tampons sur le cou, le second restant posé sur la région ovarienne ne donne pas de résultats aussi avantag
yeux et le nez sont appliqués sur l'oreiller. La compression sur les régions hystérogènes (région ovarienne droite, — région
ppliqués sur l'oreiller. La compression sur les régions hystérogènes ( région ovarienne droite, — région sous-mammaire droite
ompression sur les régions hystérogènes (région ovarienne droite, — région sous-mammaire droite, — au niveau des 6, 7 et. 8e
u des flancs ou du rebord des fausses côtes. Io Hyperesthésie de la région ovarienne gauche. — A ce niveau, la peau est abso
ue ; puis, elle a la sensation de « quelque chose » qui part de cette région et monte au creux de l'estomac où elle a la sensa
otés du côté de la tempe droite. Une pression, même modérée, sur la région ovarienne gauche, détermine aussitôt une attaque
maintes fois donné des attaques en appuyant à l'improviste sur cette région . Dans notre examen, malgré l'attention que nous a
anée est abolie dans la partie correspondante et, de plus, occupe une région circonscrite en haut par la clavicule droite, en
one latéro-mammaire ; mais, avant les attaques, elle a, dans ces deux régions , des tiraillements, des élancements, qui vont du
vements de soulèvement accompagnés de bruits faciles à entendre. La région ovarienne gauche devient douloureuse; P... sent «
l'estomac au cou; elle a « comme des fils électriques qui vont de la région ovarienne gauche, à la région hystérogène dorsale
mme des fils électriques qui vont de la région ovarienne gauche, à la région hystérogène dorsale, laquelle est le siège de « t
on artificielle de l'attaque est la plus rapide par la pression de la région hystérogène vertébrale, puis par celle de l'ovair
rogène vertébrale, puis par celle de l'ovaire ; enfin par celle de la région latéro-mammaire droite. 1 Sommeil. —P... s'endo
llucinations provoquées. On essaie de la réveiller en appuyant sur la région ovarienne gauche, il survient une attaque qu'on a
s des attaques de P... nous obligent à interrompre la description des régions hystérogènes, pour signaler au lecteur, comme ils
tat de mal épileptique). En troisième lieu, lorsqu'on comprimait la région ovarienne gauche, on provoquait aussitôt une nouv
r la réalité de l'hystérie : Hémianesthésie, hyperesthésie ovarienne, régions hys-térogènes, aura, caractère, habitudes, etc.
-térogènes, aura, caractère, habitudes, etc. En ce qui concerne les régions hystérogènes qui sont au nombre de trois chez P..
té différente : La plus active est la zone rachidienne, puis vient la région ovarienne, enfin la zone latéro-mammaire droite.
ce cas, la règle, c'est-à-dire qu'elle existe du côté anesthésié. La région hystérogène latéro-mammaire siège, au contraire,
it. Toutefois, il convient de faire remarquer que, au niveau de cette région hystérogène et tout autour, dans une certaine lar
orme, etc. Idées mélancoliques. — Tentatives répétées de suicide. Régions hystérogènes, anomalie. — Rôle de ces régions dan
répétées de suicide. Régions hystérogènes, anomalie. — Rôle de ces régions dans l'aura. — Sommeil. B... Evelina, lingère,
quelquefois de deux heures, qu'arrive la perte de connaissance. 2° Régions hystérogènes des flancs. — Elles sont situées ent
gauche, c'est-à-dire, nous le répétons, du côté sensible et, dans la région correspondante à l'ovaire (3 centimètres sur 3),
ant deux jours, B... a la sensation d'une chose qui va et vient de la région ovarienne au creux de l'estomac. Puis, elle a des
tes. La rachialgie ne subit aucune modification. La pression sur la région ovarienne ne provoque pas d'attaque. — La compres
s tracée, il ressort 41 que, chez B... E..., deux des principales régions hystérogènes, celle du flanc gauche et celle qui
s. — Leur intensité n'est pas la même : tandis que la pression sur la région rachidienne n'est suivie d'attaques qu'après un m
se qui se prolonge une trentaine de minutes, la même manœuvre sur les régions hystérogènes des flancs produit immédiatement une
diatement une attaque. État de la sensibilité cutanée au niveau des régions hystérogènes. — Dans beaucoup de cas, et en parti
sensibilité de la peau est abolie dans les points qui répondent à la région hysté-rogène. L'un des cas (Obs. V), irrégulier q
est correct sous le rapport qui nous occupe, puisque, au niveau de la région hystérogène, il existe une anesthésie absolue.
ité était pour ainsi dire plus vive, sans être exaltée, au niveau des régions hystérogènes siégeant sur la moitié saine du corp
têrogènes. — Certaines attitudes peuvent empêcher la pression sur les régions hystêrogènes de produire une attaque et c'est à l
ue des malades empêchent, ou mieux,, retardent la découverte de cette région . C'est ainsi que Geneviève 1 dont la zone hystéro
i prolongé du bromure de potassium diminue quelquefois l'activité des régions hystêrogènes, particulièrement quand l'administra
ésie ovarienne) s'atténuer peu à peu ; eh bien, il en est de même des régions hystêrogènes qui, elles aussi, appartiennent à la
taques classiques, mais légères : arrêt par la compression ovarienne. Régions hystérogènes. F.-Eug. Cl..., était âgée de 17 a
admission à la Salpêtrière (service de M. Gharcot) le 15 mars 1876. Régions hystérogènes. — 1° Rachialgie au niveau des apoph
as d'attaques ; il n'y a pas de douleurs spontanées, au niveau de ces régions , sauf pour la région ovarienne. — Pas de clou hys
a pas de douleurs spontanées, au niveau de ces régions, sauf pour la région ovarienne. — Pas de clou hystérique. —L'hémianest
temporairement sous l'action d'une émotion morale vive'2. Rôle des régions hystérogènes dans les attaques. — L'existence des
Rôle des régions hystérogènes dans les attaques. — L'existence des régions hystérogènes chez les hystéro-épileptiques et che
es attaques, une fois que l'on a constaté le siège et l'intensité des régions hystérogènes. Cette connaissance, d'ailleurs, est
aitement autorisé à provoquer une crise convulsive en pressant sur la région hystérogène principale. Dans toutes les observa
les que nous possédons, où la constatation a pu être faite, l'une des régions hystérogènes, la plus active, joue un rôle dans Y
lusieurs de nos malades. Mais, à partir de l'instant où la principale région hystérogène intervient, les phénomènes de l'aura,
ts jusqu'alors, précipitent leur marche et l'attaque est fatale. La région ovarienne, la plus commune des régions hystérogèn
e et l'attaque est fatale. La région ovarienne, la plus commune des régions hystérogènes, jouit d'une double propriété : souv
s attaques en cours, en exerçant une forte pression sur la principale région hystéro-gène2. Nous rappellerons encore que la
la principale région hystéro-gène2. Nous rappellerons encore que la région hystérogène la plus puissante semble être la régi
ons encore que la région hystérogène la plus puissante semble être la région ovarienne, ainsi que l'a dit M. Charcot dans les
expérience, maintes fois répétée par M. Charcot : si l'on comprime la région ovarienne d'une hystérique, l'excitation de la zo
taque. Disons enfin que les attaques déterminées par l'excitation des régions hystérogènes, outre qu'elles peuvent être général
ressort, à notre avis, que les phénomènes qui naissent au niveau des régions hystérogènes doivent être rangées à côté 1 Char
s'évanouissent en quelques instants. —La peau est insensible dans la région de l'ovaire. — Rien à droite. Sommeil. — V... e
catalepsie. Elle est réveillée, sans attaques, par la pression de la région sous-mammaire; elle est mécontente, agacée. 2\
rexcitabilité musculaire. Les zones hystérogènes sont : Io les deux régions ovariennes, surtout la droite ; 2° la partie du s
; 3° les gouttières vertébrales de la dixième vertèbre dorsale; 4° la région sous-mammaire droite. La pression sur ces différe
bruyamment, est sans cesse en mouvement, se plaint d'une douleur à la région cardiaque. — Le 15 juillet, elle a eu, après une
s, durent 4 jours, s'accompagnent de souffrances dans le ventre et la région lombaire, principalement à gauche, et rendent les
mais pas de sang; elle souffre beaucoup dans le ventre au niveau des régions ovariennes, où, dit-elle, elle sent une boule qui
à l'estomac, puis à la gorge. La pression sur l'une ou l'autre de ces régions est douloureuse et rappelle la sensation de boule
énomènes paraissent plus intenses lorsque la pression s'exerce sur la région ovarienne gauche. — Par moments, le ventre prend
, etc., c. de sangsues sur le ventre, c. de vésica-toires en diverses régions , c. de morsure de chien (treize ou quatorze ans)
s'étendant sur les parties latérales en s'effilant et comprenant les régions ovariennes. Au niveau de cette zone, la malade pe
mais non le simple contact et le chatouillement. La pression sur les régions ovariennes détermine une vive douleur : « Ça m'ét
us générale. Nous constatons le retour de la sensibilité en plusieurs régions : 1° Au niveau et au-dessus des ovaires (4 à 5 ce
ce ; de toute la moitié droite du cou, du tronc, sauf au niveau de la région ovarienne droite où la sensibilité persiste dans
excepté entre l'omoplate et les apophyses épineuses, au niveau de la région ovarienne, et d'une partie de la fesse. Avant d
r mettre fin aux attaques de sommeil. Telles sont la pression sur une région hystérogène (alors le sommeil survient ou sans at
s quoi, vous étendez vos deux mains à quelques pouces du front et des régions pariétales, et demeurez ainsi pendant quelques mi
de l'aura, comprenant les phénomènes qui surviennent au niveau de la région ovarienne et à l'épigas-tre, dure de 15 à 30 minu
e, à Véther, au compresseur, aux applications locales de glace sur la région ovarienne douloureuse. 1880. Janvier.— On fait
ses.) — Les zones hystérogènes n'existent plus ; la compression de la région ovarienne ne déterminerait plus la sensation de b
. Nous notons, de plus, une douleur au niveau du vertex, occupant une région d'un centimètre et demi de diamètre, distincte de
» Cette zone, comme intensité, vient immédiatement après celle de la région ovarienne. c) Zone intercostale gauche. — Elle
tale gauche, et elle est tombée en attaques. d) Hyperesthésie de la région ovarienne gauche. — L'anesthésie est complète dan
de la région ovarienne gauche. — L'anesthésie est complète dans cette région . — Il n'y a pas de zones sus ou sous-claviculaire
roprement dite. Elle éprouve la sensation d'une boule qui monte de la région ovarienne gauche à l'épigastre et descend. Ces mo
x pas qu'il me touche... » Arrêt de l'attaque. — Nous comprimons la région ovarienne gauche, et, au bout de 8 à 10 secondes,
.. n'avait plus qu'une hémianesthésie gauche et Y hyperesthésie de la région ovarienne qui, aune époque, avait existé des deux
es permanents de l'hystérie: Vhémianesthésie et Y hyperesthesia de la région ovarienne, tantôt limitées à l'un des côtés du co
pérature centrale. Elles étaient justiciables de la compression de la région ovarienne, de Yéther, du chloroforme et surtout d
chez les hystériques. \ Observation I..................... 4 Des régions ou zones hystérogènes............. 36 Descripti
.............. 83 Observation VII.................... 84 Rôle des régions hystérogènes dans les attaques. ... 85 Du somme
10 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
miede communication inter-organique, et anatomie topographique ou des régions . Les détails de l'anatomie graphique étant supp
pensable de tracer d'abord, dans un exposé général, une anatoinie des régions , donnant rémunération, par plans superposés,des p
cialis. D'abord on ne s'était servi de cette dénomination que pour la région inguinale, M. Cruveilher l'a étendue à toute la s
bre de points , la surface du crâne, la face postérieure du bras, les régions dorsales de la main et du pied. Partout ailleurs
s deux grands canaux aérien et alimentaire et leurs annexes, des deux régions latérales antérieures. Le groupe antérieur moye
se pharyngienne postérieure, renferme, d'avant en arrière, i° Dans la région sus-hyoïdienne, au-devant du pharynx, 1 Planche
sseaux, et, à la partie inférieure du cou , les lobes thyroïdes ; ces régions sont bornées de chaque côté par la loge du muscle
n avant et dans les creux axillaires, épaisse sur les épaules et à la région dorsale. 2° La couche vasculaire et adipeuse sous
fascia superficialis, assez dense en arrière, lâche et abondant à la région antérieure et sur les flancs, où il se charge fré
s, où il se charge fréquemment d'une énorme quantité de graisse; à la région inguinale la couche cellulo-vasculaire sous-cutan
oppe du grand pectoral, la seule ligne réelle de démarcation entre la région sous-claviculaire et le creux de l'aisselle. Infé
l'aponévrose d'enveloppe, dans toute la hauteur du membre. C'est à la région inguinale,où ce fascia est le plus développé, qu'
, flanqué de l'adducteur et de l'abducteur des orteils extrêmes. A la région métatarsienne les loges musculaires forment quatr
res, ils seront presque toujours circonscrits entre les limites d'une région du corps ou d'une fraction des membres. A l'appui
s de la cavité abdominale par des ouvertures normales. A partir de la région pré-vertébrale, siège des grands courans sanguins
aisseaux, avant de parvenir au membre thoracique, parcourent les deux régions sus et sous-claviculaires, isolés par les adhéren
, en d'autres termes, de tracer, dans un rapide exposé, l'anatomie de régions . En nous reportant à l'anatomie descriptive, no
ision, nous avons pu classer, d'une manière générale, la myologie par régions , les muscles, qui, par leur volume, forment la ma
perpositions dans chaque lieu déterminé, que se compose l'anatomie de régions . Ainsi une région quelle qu'elle soit se compos
que lieu déterminé, que se compose l'anatomie de régions. Ainsi une région quelle qu'elle soit se compose nécessairement de
e tout recouvert par une fraction de l'enveloppe commune. Pour que la région soit nettement déterminée, il importe que ses dél
leur totalité. Une telle organisation étant donnée, on conçoit que la région aurait une signification nette en anatomie et en
joute que, pour les vaisseaux, aqueducs ou conducteurs, l'anatomie de région ne peut jamais les considérer que par fractions,
n'offre que des inconvéniens, en présentant, contre toute logique, la région chirurgicale comme un petit organisme à part, tan
ale. De cet énoncé il résulte que l'étude artificielle du corps par régions , isolant les diverses parties de l'ensemble et fo
aîne dans la texture et les rapports des parties voisines. Ainsi, une région étant déterminée, l'aîne ou l'aisselle, par exemp
. CRANE. Le crâne se partage de chaque côté du plan moyen en cinq régions : frontale;, occipitale, pariétale, temporale, et
ons : frontale;, occipitale, pariétale, temporale, et mastoïdienne. RÉGION FRONTALE. Situation, délimitation. Située de ch
ÉGION FRONTALE. Situation, délimitation. Située de chaque côté à la région antérieure du crâne, limitée sur le plan moyen pa
aire externe, que sa situation expose fréquemment à être fracturée. RÉGION OCCIPITALE. Situation, délimitation, configurat
its et obliques postérieurs. 4° Vaisseaux sanguins. L'artère de cette région est l'occipitale, d'un trajet très flexueux, diri
ng des attaches des muscles extenseurs. 6° Nerfs. Nombreux dans cette région , ils sont fournis: par la branche auriculaire du
e étant masquée par les attaches des muscles extenseurs de la tête. RÉGION TEMPORALE. Situation, configuration, délimitati
e, elle en est revêtue dans le reste de son étendue. C'est dans cette région qu'ils commencent surtout à blanchir, d'où le nom
ion les fragmens. 4° Vaisseaux sanguins. L'artère principale de cette région est la temporale superficielle, qui monte à trois
nastomoses explique l'intensité des douleurs névraL giques dont cette région est le siège, et l'étendue de leurs irradiations.
pture des vaisseaux sphéno-épineux encastrés sur sa face crânienne. RÉGION PARIÉTALE. Situation, configuration, délimitati
GION PARIÉTALE. Situation, configuration, délimitation. Située à la région moyenne, latérale et supérieure du crâne, dans l'
ipital et frontal. 3° Faisseaux. Disposés sur trois plans, comme à la région temporale à laquelle elle fait su ite. Les artère
l et du sous-mastoïdien; S0 Le squelette est formé par le pariétal. RÉGION MASTOÏDIENNE. Située à la partie inférieure, la
oint d'acquérir une épaisseur énorme. FACE. La face comprend huit régions : trois médianes et impaires, les régions nasale,
CE. La face comprend huit régions : trois médianes et impaires, les régions nasale, labiale et mentonnière; et cinq latérales
ions nasale, labiale et mentonnière; et cinq latérales ou paires, les régions orbitaire, zygomato-maxillaire, génienne, auricul
itaire, zygomato-maxillaire, génienne, auriculaire et parotidienne. RÉGION NASALE. Situation, configuration , délimitation
e et moyenne de la face, constituée par l'appareil de l'olfaction, la région nasale, qu'il faut appeler ainsi malgré sa profon
opérations les plus graves et les plus difficiles de la chirurgie. RÉGION LARIALE. Situation, configuration, délimitation
aires, garnies de leurs dents et renfermées dans la cavité buccale. RÉGION MENTONNIÈRE. Située à la partie médiane inférie
érieur, derrière laquelle sont les muscles de la base de la langue. RÉGION ORBITAIRE. Situation, configuration, délimitati
en traitant des nombreuses opérations dont cet organe est le siège. RÉGION ZYGOMATO-MAXILLAIRE. Situation, configuration,
ATO-MAXILLAIRE. Situation, configuration, délimitation. Située à la région moyenne et latérale de la face, formée par la sai
imitée en haut par la fosse temporale, l'angle externe de l'œil et la région orbitaire ; en avant par le nez ; en bas et en ar
région orbitaire ; en avant par le nez ; en bas et en arrière par les régions génienne et auriculaire. Elle est remarquable par
eurs adhèrent fortement à la peau. 3° Muscles. Les peauciers de cette région sont : l'ellipse inférieure de l'orbiculaire palp
rbitaire du maxillaire supérieur, qui renferme le sinus maxillaire. RÉGION GÉNIENNE. Situation, configuration, délimitatio
le de la face, de forme quadrilatère, elle est limitée en haut par la région zygomato-maxillaire, en bas par la mâchoire infér
gomato-maxillaire, en bas par la mâchoire inférieure, en avant par la région labiale, en arrière par la région massétérine et
âchoire inférieure, en avant par la région labiale, en arrière par la région massétérine et parotidienne. Parties composante
e buccinateur. Ce muscle forme à lui seul la moitié postérieure de la région génienne. Il est traversé horizontalement par le
l'orifice du canal salivaire de Sténon. La muqueuse tapisse toute la région génienne ; elle se réfléchit en haut au-dessous d
lesquelles sont implantées les dents molaires pour l'étendue de cette région . RÉGION PAROTIDIENNE ET MASSÉTÉRINE. Situatio
sont implantées les dents molaires pour l'étendue de cette région. RÉGION PAROTIDIENNE ET MASSÉTÉRINE. Situation, configu
, elle est limitée en haut par l'arcade zygomatique, en avant par les régions génienne et mentonnière, en arrière par les régio
en avant par les régions génienne et mentonnière, en arrière par les régions auriculaire et mastoïdienne, en bas par le bord l
e face par ses pro-longemens. Gomme appendice de la parotide et de la région à laquelle elle donne son nom, il convient de sig
ions qui leur sont communs. 4° Vaisseaux sanguins et lymphatiques. La région parotidienne loge, clans le sillon vertical sous-
gros vaisseaux . 50 Nerfs. Ils ne sont pas moins nombreux pour cette région . Dans l'épaisseur de la glande parotide s'épanoui
lus profondément les branches du maxillaire inférieur. C'est sur la région massétérine et génienne que s'exercent plus parti
opérations qui ont pour but de remédier aux fistules salivaires. La région parotidienne est le siège de nombreux abcès; la g
maxillaire supérieur qui sépare le masseter des ptérygoïdiens, et la région superficielle massétérine, du pharynx et de l'ist
ion superficielle massétérine, du pharynx et de l'isthme du gosier. RÉGION AURICULAIRE. Situation, configuration, délimita
ormée par l'oreille externe, limitée en son contour : en haut, par la région temporale; en avant, par les régions temporale, z
en son contour : en haut, par la région temporale; en avant, par les régions temporale, zygomatique et massétérine ; en arrièr
es régions temporale, zygomatique et massétérine ; en arrière, par la région mastoïdienne ; et en bas, par la région parotidie
sétérine ; en arrière, par la région mastoïdienne ; et en bas, par la région parotidienne. Parties composantes. Ce sont cell
s'y sont introduits accidentellement. COU. Le cou comprend quatre régions paires : trois antérieures : sus-hyoïdienne, sous
dienne, sous-hyoïdienne, etsus-claviculaire ; et une postérieure : la région de la nuque. RÉGION SUS-HYOÏDIENNE1. Situatio
e, etsus-claviculaire ; et une postérieure : la région de la nuque. RÉGION SUS-HYOÏDIENNE1. Situation, configuration, déli
'os hyoïde et le prolongement de ses grandes cornes, en dehors par la région postérieure et le bord antérieur du sterno-mastoï
upérieure de l'aponévrose antérieure commune, circonscrite dans cette région entre la base de l'os maxillaire, l'os hyoïde, et
haryngien et stylo-glosse. 6° Vaisseaux. Latéralement, en arrière, la région sus-hyoïdienne est bornée par le sillon dans lequ
s troncs veineux qui les accompagnent. Les vaisseaux propres de cette région sont les artères et veine sub-mentales, l'origine
emens de la parotide, recouverts par le peaucier. o° Squelette. Cette région ne renferme, 1 Planche i, n° i4; planche 2, fig
ses mylo-hyoï-dienne et cérato-glosse. Dans leur ensemble, les deux régions sus-hyoïdiennes, confondues sur le plan moyen, fo
s glandes salivaires, de la langue et du corps même de la mâchoire. RÉGION SOUS-HYOÏDIENNE 1. Situation, configuration, dé
primitive et veine jugulaire interne. Les vaisseaux propres de cette région sont les artères et veines thyroïdiennes ; les su
inférieures en arrière. Une particularité très importante dans cette région , c'est le lacis veineux très abondant que forment
pathique, et le nerf cardiaque supérieur. 6° Squelette. Comme dans la région précédente, la portion osseuse proprement dite es
hyoïde et le sternum ; la fraction de squelette particulière à cette région est constituée par la cage fibro-cartilagineuse d
cès, les engorgemens ganglionaires, et les ligatures des vaisseaux. RÉGION SUS-CLAVICULAIRE1. Situation, configuration, dé
angles, modifie les procédés opératoires qui se pratiquent dans cette région , suivant que le muscle doit être relevé, abaissé
isseaux. Le triangle sus-claviculaire est, sous ce rapport, l'une des régions les plus intéressantes, et où s'exercent le plus
souvent clans les incisions. Les lymphatiques très nombreux de cette région se composent de la réunion des chapelets jugulair
par la clavicule jusqu'à sa jonction avec la jugulaire interne. La région sus-claviculaire peut être le siège de lipomes ou
anévrisme ou de lésions traumatiques. A la limite inférieure de cette région la clavicule est sujette aux fractures et aux lux
tte région la clavicule est sujette aux fractures et aux luxations. RÉGION CERVICALE POSTÉRIEURE '. Situation, configurati
eure, en bas par le bord supérieur de l'omoplate, latéralement par la région sus-claviculaire et la ligne osseuse en fer à che
pophyse odontoïde de l'axis. THORAX. Au thorax se rapportent cinq régions : deux médianes, les régions sternale et diaphrag
THORAX. Au thorax se rapportent cinq régions : deux médianes, les régions sternale et diaphragmatique; et trois latérales,
nes, les régions sternale et diaphragmatique; et trois latérales, les régions mammaire, dorsale et costale. RÉGION STERNALE'.
ique; et trois latérales, les régions mammaire, dorsale et costale. RÉGION STERNALE'. Situation, configuration, délimitati
par le sternum et son appendice, et par les cartilages costaux. La région sternale n'offre en général d'autre opération que
'os dans le cas de carie ou d'abcès profond du médiastin antérieur. RÉGION DIAPHRAGMATIQUE '. Situation, configuration, dé
'. Situation, configuration, délimitation. Sous la dénomination de région diaphragmatique se trouve comprise la zone horizo
cartement en voûte, qui circonscrit l'épigastre. Supérieurement cette région ne peut être déterminée que par une ligne fictive
l'extérieur la double voussure du diaphragme au-dedans. En arrière la région diaphragmatique est indiquée par la ligne des deu
par la ligne des deux dernières côtes. Parties constituantes. Cette région n'étant constituée qu'au point de vue de la clois
tante est l'existence à l'intérieur de la cloison du diaphragme. La région diaphragmatique, à part les fractures des cartila
r une issue au-dehors aux corps étrangers et aux produits morbides. RÉGION MAMMAIRE1. Situation, configuration, délimitati
eure de la poitrine, inscrite de haut en bas entre la clavicule et la région diaphragmatique, et de dedans en dehors entre les
vicule et la région diaphragmatique, et de dedans en dehors entre les régions sternale et sous-claviculaire, son étendue est re
t aux ganglions de l'aisselle. 6° Squelette. Il est formé, pour cette région , par l'arc osseux antérieur des côtes, de la seco
a seconde à la sixième. 1 Planche 1, n° 19; et planche 6. iu La région mammaire peut être le siège d'une multitude de pe
, dans la femme, par les nombreuses maladies de la glande mammaire. RÉGION DORSALE'. Situation, configuration, délimitatio
d duquel se distingue la saillie des apophyses épineuses, chacune des régions dorsales, convexe de haut en bas et en travers, e
rfs sont fournis par les branches postérieures des intercostaux. La région dorsale ne se distingue au point de vue chirurgic
u coussin protecteur épais que forment les muscles tendineux de cette région , appliqués eux-mêmes sur la carapace ostéo-fibreu
urs des vertèbres et des côtes, et par leurs appareils ligamenteux. RÉGION COSTALE2. Situation, configuration, délimitatio
E2. Situation, configuration, délimitation. Sous la dénomination de région costale on a coutume de décrire cette vaste étend
ette vaste étendue latérale du thorax située de haut en bas entre les régions axillaire et dia-phragmatique, et d'avant en arri
égions axillaire et dia-phragmatique, et d'avant en arrière entre les régions mammaire et dorsale. Entre les sillons du grand p
la plèvre pariétale. 1 Planche i, n° 21. a Planche i , n° 22. La région costale, dans les divers points de son étendue, a
s. ABDOMEN. Aux parois de la cavité abdominale se rapportent sept régions , dont, en avant, trois impaires, les régions épig
inale se rapportent sept régions, dont, en avant, trois impaires, les régions épigastrique, ombilicale et hypogastrique; et qua
ilicale et hypogastrique; et quatre qui sont paires ou latérales, les régions hypochondrale, ilio-costale et inguino-abdominale
hypochondrale, ilio-costale et inguino-abdominale, et, en arrière, la région lombaire. La surface abdominale est disposée en t
sales, supérieure, moyenne et inférieure, dont chacune renferme trois régions , une médiane et deux latérales. i° Zone supérie
staux ; en bas par la ligne transversale de flexion sus-ombilicale. RÉGION ÉPIGASTRIQUE '. Situation, configuration, délim
ligne oblique du rebord cartilagineux des côtes. A l'extérieur cette région forme deux saillies latérales, comprises entre tr
end irréductible. 4° Vaisseaux. Les artères et veines de cette double région sont les branches terminales des mammaires intern
ombre ne semble pas en proportion avec l'extrême sensibilité de cette région . 6° Squelette. Il n'existe rien qui puisse le rep
sse le représenter que l'appendice xiphoïde et la ligne blanche. La région épigastrique est le lieu le plus habituel où vien
coup d'obscurité. Les plaies accidentelles, assez communes dans cette région , sont difficiles à réunir, en raison de la sailli
ges costaux, de la dépression et de la mobilité des parties molles. RÉGION HYPOCHONDRALE'. Situation, configuration, délim
rs cartilages , dans les deux voussures du diaphragme, chacune de ces régions constitue la cavité de l'hypocondre droit ou gauc
minés dans leurs limites à l'extérieur, où ils se confondent avec les régions costale et diaphragmatique. A l'intérieur, c'est-
n bas, il n'y a plus de délimitation possible. Les parois formant les régions hypocondrales nous sont déjà connues ; elles se c
ignes est celle indiquée par la flexion du tronc. 1 Planche i, n° RÉGION OMBILICALE '. Situation, configuration, délimit
considérable de graisse. La couche musculaire est formée, comme à la région épigastrique, par le muscle sterno-pu-bien, encas
eu aux hernies dites ventrales, moins communes que les précédentes. RÉGION ILIO-GOSTALE2. Situation, configuration, délimi
haut en bas entre la ligne sous-ombilicale et la crête iliaque, cette région , qui constitue le flanc, est limitée transversale
gumens de la ceinture pelvienne. Le squelette est représenté, dans la région ilio-costale, à ses extrémités, par les deux dern
ulement en arrière, par la suture des aponévroses du transverse. La région ilio-costale, comme toute la surface des parois a
chez les nouveaux-nés, dont le rectum est imperforé ( Galliseli ). RÉGION LOMRAIRE '. Situation, configuration, délimitat
n deux moitiés par le sillon lombaire médian. A l'extérieur, les deux régions lombaires latérales, concaves de haut en bas, for
u, très épaisse, est coupée de rides transversales au milieu de cette région , correspondant au pli de l'extension du tronc. La
e d'une grande quantité de graisse, à mesure qu'elle s'approche de la région ilio-costale. La couche musculaire et aponévrotiq
e. Limitée en haut par la ligne sus-ombilicale, elle comprend trois régions appartenant à la paroi antérieure de l'abdomen :
égions appartenant à la paroi antérieure de l'abdomen : au milieu, la région hypogastrique, et de chaque côté la région in-gui
l'abdomen : au milieu, la région hypogastrique, et de chaque côté la région in-guino-abdominale. RÉGION HYPOGASTRIQUE'. S
ion hypogastrique, et de chaque côté la région in-guino-abdominale. RÉGION HYPOGASTRIQUE'. Situation, configuration, délim
z la femme, à cette paroi correspond aussi médiatement l'utérus. La région hypogastrique est le siège de la cystotomie sus-p
l'épi ploon, ou même par la vessie ou l'utérus. (Rousset, Ruysch.) RÉGION 1NGUINO-ABDOMINALE '. Situation, configuration,
e, nous considérerons plus loin le pli inguinal en lui-même comme une région particulière. Parties constituantes. i° Peau. L
anée : ses caractères sont les mêmes et encore plus prononcés qu'à la région précédente. Le pannicule adipeux y est très abond
es épigastriques. 5o Vaisseaux lymphatiques. Très nombreux dans cette région , ils descendent dans le fascia superficialis, reç
o-crurale, qui font partie du cordon des vaisseaux spermatiques. La région inguino-abdorninale est certainement l'une des pl
ambule du manuel opératoire. RASSIN. Au bassin se rapportent cinq régions , dont trois sont paires et deux impaires. En avan
t cinq régions, dont trois sont paires et deux impaires. En avant, la région pubienne au milieu, et de chaque côté, le pli ing
ubienne au milieu, et de chaque côté, le pli inguinal; en arrière, la région médiane sacro-coccygienne, flanquée de l'une et l
re, la région médiane sacro-coccygienne, flanquée de l'une et l'autre région fessière; en bas et sur le plan moyen, la région
de l'une et l'autre région fessière; en bas et sur le plan moyen, la région ano-périnéale, plancher inférieur de la grande ca
rinéale, plancher inférieur de la grande cavité abdomino-pelvienne. RÉGION PUBIENNE '. Situation, configuration, délimitat
li de l'aine, et se réunissent en arrière en un sommet où commence la région ano-périnéale. La région pubienne, dont le pénil
ssent en arrière en un sommet où commence la région ano-périnéale. La région pubienne, dont le pénil occupe la partie supérieu
e supérieure de la vulve, dont la moitié inférieure fait partie de la région ano-périnéale. pénil. Situé au-devant de la s
nt et au-dessus du scrotum, et se prolonge en arrière au milieu de la région ano -périnéale. La peau en est fine, très extensi
r situation plus en arrière, appartiennent plus particulièrement à la région ano-périnéale : c'est à l'occasion de celle-ci qu
inéale : c'est à l'occasion de celle-ci qu'il en sera fait mention. RÉGION ANO-PÈRINÉALE 1. Situation, configuration, déli
ications croisent le plan moyen par des anastomoses multipliées. i° Région ano-périnéale chez l'homme. Dans l'homme adulte
point de vue chirurgical, doit être considéré comme appartenant à la région ano-périnéale. Dirigé obliquement de haut en bas,
use fréquente d'engorgeinens, d'infiltrations et d'hémorrhagies. La région ano-périnéale, en raison des canaux et des orific
érations qui se pratiquent sur les voies urinaires et le rectum. 2° région ano-périnéale chez la femme. Composée de partie
alogues plutôt qu'identiques avec celles du périnée de l'homme, cette région , modifiée chez la femme par la présence des organ
que dessine la tête du fémur dans la luxation en bas et en dedans. RÉGION SACRO-COCCYG1ENNE'. Situation, configuration, d
coccyx qui en composent le squelette; elle continue en bas la double région lombaire sans autres limites déterminées qu'une l
les grands fessiers, et se réunissent inférieurement en arrière de la région ano-périnéale, en un sommet aigu formé parle cocc
rinéale, en un sommet aigu formé parle coccyx. Au milieu cette double région est partagée par les terminaisons du sillon verti
euses des fausses vertèbres sacrées. Dans sa direction générale cette région forme un plan incliné de haut en bas et d'avant e
voisinage des os, sont les causes des gangrènes de la peau dont cette région est si fréquemment le siège chez des malades affa
fluide cérébro-spinal, donne lieu à la maladie nommée spina-bifida. RÉGION FESSIÈRE '. Situation, configuration, délimitat
nsion, et pour ne pas trop multiplier les divisions, on rapporte à la région fessière deux sous-régions susceptibles déconsidé
différentes, la hanche et le grand trochanter. Ainsi à l'extérieur la région fessière dans son ensemble se compose d'une grand
e des vaisseaux fessiers et ischiatiques ; et aux nerfs propres de la région s'ajoutent le grand et le petit sciatiques, qui s
os coxal, moins le pubis, et des deux ligamens sacro-sciatiques. La région fessière, prise dans l'acception indiquée plus ha
le dans les plaies d'armes à feu. Enfin à la portion externe de cette région s'observent les luxations en haut en dehors ou en
l du fémur. ÉPAULE. A la section de l'épaule appartiennent quatre régions : une antérieure clavi-inter-axillaire ou sous-cl
capulo-humè-rale; et une postérieure ou scapulaire proprement dite. RÉGION SOUS-CLAVICULAIRE ou CLAVI-INTER-AXILLAIRE '. S
VI-INTER-AXILLAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Cette région très importante en chirurgie, et dont nous séparo
sculaires, les muscles intercostaux et les côtes, sépare nettement la région sous-claviculaire du creux de l'aisselle. En trav
sente seul au milieu le petit pectoral qui coupe cliagonalement cette région ; en haut est le sous-clavier contenu dans sa gai
re et fibreux est constitué par la cage thoracique, formée pour cette région , d'une portion de l'arc antérieur des quatre ou c
x et les nerfs du plexus brachial. En raison de l'importance de cette région , il est utile de tenir compte des délimitations t
t principalement au point de vue des vaisseaux et des nerfs que cette région est importante à étudier Les troncs principaux so
point, l'extrémité supérieure de l'humérus comme faisant limite. La région sous-claviculaire peut être affectée comme toute
scapulo-hunié-rale par le procédé de M. M. Champesmes et Lisfranc. RÉGION AXILLAIRE '. Situation, configuration, délimita
tendue et la structure anatomique suffisent pour constituer l'une des régions les plus intéressantes en chirurgie. A l'extérieu
e. Elle est formée par un fascia superficialis analogue à celui de la région inguinale, c'est-à-dire à longues mailles ellipso
° Vaisseaux et Nerfs. Les vaisseaux et les nerfs particuliers à cette région sont : les artères, les veines et les nerfs thora
tension du muscle grand pectoral isole le plus souvent de ceux de la région sous-claviculaire. Parmi les incisions nombreuses
irurgical de l'humérus, et la luxation en bas de la tête de cet os. RÉGION SCAPULO-HUMÉRALE \ Situation, configuration, dé
, délimitation. Formée spécialement par le moignon de l'épaule, cette région , qui correspond au plan fessier du bassin, est as
o-musculaire. C'est de la disposition des os et des muscles que cette région emprunte tout son intérêt. La couche superficiell
ies de l'articulation et aux opérations qui s'y rapportent, que cette région offre quelque intérêt. Parmi les maladies, se dis
ts bien déterminés des os avec les parties molles et les vaisseaux. RÉGION SCAPULAIRE '. Situation, configuration, délimit
ar la masse triangulaire de l'omoplate, revêtue de ses muscles, cette région qui n'offre en elle-même d'intérêt que par rappor
planchée). MEMBRE ÏHORACIQUE. bras. Le bras se divise en quatre régions , deux qui affectent toute sa longueur, les région
e divise en quatre régions, deux qui affectent toute sa longueur, les régions antérieure et postérieure dans lesquelles, pour n
s en qualité d'annexé, est généralement considérée comme formant deux régions , l'une antérieure, ou le pli du coude, et l'autre
rale étant établie, reste à circonscrire et à motiver les limites des régions brachiales. En anatomie,le bras comprend la total
, toute la partie scapulo-thoracique du membre se trouvant divisée en régions spéciales, celles qui appartiennent au bras, limi
fléchisseurs de la main. Cette ligne fictive intermédiaire sépare les régions brachiales de celles du coude. RÉGION RRACHIALE
ive intermédiaire sépare les régions brachiales de celles du coude. RÉGION RRACHIALE INTERNE ET ANTÉRIEURE'. Situation, co
est ' Planche i, n" 38 ; et planche 9. t. vi. formé, pour cette région et la suivante, par la moitié inférieure du corps
e numérale, peut-être la plus fréquente de toutes dans la pratique. RÉGION BRACHIALE EXTERNE ET POSTÉRIEURE2. Limitée en h
et de l'artère collatérale externe à la naissance des supinateurs. RÉGION DU PLI DU COUDE 2. Situation, configuration, dé
iguration, délimitation. Quoique d'une étendue très restreinte, cette région est néanmoins l'une des plus importantes à bien c
our l'externe les supinateurs. 4° Squelette. Il est formé, pour cette région et celle qui lui est opposée sur l'autre face , p
opposée sur l'autre face , par l'articulation hurnéro-cubitale. La région du pli du coude est surtout à considérer en chiru
, on y pratique fréquemment des désarticulations ou des résections. RÉGION ULNAIRE '. Situation, configuration, délimitati
de vue des opérations qui se pratiquent sur les os. A l'extérieur, la région du coude présente au milieu la saillie de l'olécr
milieu et en travers, qui en trace les divisions chirurgicales : Une région antérieure, une postérieure et une externe, compo
avant-bras doit être considéré à la fois dans sa totalité et dans ses régions : en totalité, eu égard aux maladies générales de
x maladies générales de l'avant-bras et aux amputations ; dans chaque région , par rapport aux maladies partielles et aux résec
t à des opérations toutes spéciales, on considère isolément comme des régions distinctes les deux faces antérieure et postérieu
faces antérieure et postérieure de l'articulation radio-carpicune. RÉGION ANTI-BRACHIALE ANTÉRIEURE. 1 Formée par le grou
le ligament inter-osseux sont les vaisseaux antérieurs du même nom. RÉGION ANTI-BRACHIALE EXTERNE.1 Constituée parle group
teur, cpii lui-même environne la moitié supérieure du radius. A cette région appartiennent l'artère et les veines radiales, cô
du même nom et protégées en commun parle tendon du long supinateur. RÉGION ANTI-BRACHIALE POSTÉRIEURE. ' Divisée verticale
ont que des filets spéciaux émanés des deux grands troncs latéraux. RÉGIONS DU POIGNET. 3 Le poignet est formé par le squel
ieur et postérieur, et les ligamens latéraux externe et interne. La région radio-carpienne antérieure (Pl. I, n° 45 ), dans
s vaisseaux radiaux qui se portent sur la face dorsale du carpe. La région radio-carpienne postérieure (Pl. I, n° 46) est mo
ion est presque toujours funeste. main. On divise la main en deux régions : palmaire et dorsale. Cette définition semble ci
ns : palmaire et dorsale. Cette définition semble circonscrire chaque région à la portion métacarpienne de la main. Toutefois
osition sur la première, et composée du pouce avec son métacarpien. RÉGION PALMAIRE'. Portion métacarpienne. Elle se compo
tres clans le tissu pulpeux terminal constitue l'organe du toucher. RÉGION DORSALE'. Beaucoup moins compliquée que la préc
acarpien. MEMRRE ARDOMINAL. cuisse. La cuisse se divise en cinq régions , dont une sur chaque face, antérieure, postérieur
d'une étendue considérable en raison de la longueur du membre. De la région antérieure se sépare, en haut, la région inguino-
la longueur du membre. De la région antérieure se sépare, en haut, la région inguino-fémorale, vu les considérations spéciales
s deux faces de l'articulation fémoro-tibiale composant, en avant, la région du genou, et en arrière la région poplitée. Ainsi
oro-tibiale composant, en avant, la région du genou, et en arrière la région poplitée. Ainsi considérée dans ses limites chiru
ligne horizontale passant au sommet du triangle supérieur poplité. RÉGION INGUINO-FÉMORALE 1. Situation, configuration, d
tuation, configuration, délimitation. Portion inférieure de la grande région de faîne, située à la partie antérieure et supéri
rural accidentel. 4° Squelette. Il est formé, pour l'étendue de cette région , par la face antérieure de l'articulation coxo-fé
atiques des vaisseaux, les maladies principales , communes dans cette région sont : les engorgemens lymphatiques de la rangée
ique l'incision pour la ligature de l'artère à sa sortie du bassin. RÉGION FÉMORALE ANTÉRIEURE Situation, configuration, d
ou le corps du fémur, auquel elle s'implante. Les vaisseaux de cette région , peu importans, se composent en plan superficiel
x vastes et les branches du nerf crural qui les accompagnent. Cette région offre peu d'intérêt en chirurgie, n'étant le sièg
s directs en ce sens que s'opèrent les fractures du corps du fémur. RÉGION FÉMORALE POSTÉRIEURE '. Intermédiaire de haut e
intermédiaire aux muscles fléchisseurs et au grand adducteur. Cette région est assez fréquemment affectée de furoncles et d'
cine que de la chirurgie. 'Planch e l, n" Il ; et planche 5. •4 RÉGION FÉMORALE INTERNE1. Situation, configuration, dé
ion, délimitation. Étendue à toute la face interne delà cuisse, cette région est limitée, en haut, par le pli de flexion fémor
teurs de la cuisse des fléchisseurs de la jambe. Extérieurement cette région est parcourue en diagonale, de haut en bas et d'a
est formé par le corps du fémur, enveloppé par le vaste interne. La région fémorale interne est le siège d'un assez grand no
ent à diverses hauteurs les incisions pour la ligature de l'artère. RÉGION FÉMORALE EXTERNE '. Formée par la face externe
vrose fémorale, très épaisse, est constituée, spécialement dans cette région , par la bandelette fascia-lata, tendon membraneux
an sous-cutané, des rameaux de l'inguinal et du petit sciatique. La région fémorale externe prend un double intérêt, en chir
s de fractures comminutives, de résections et de nécroses du fémur. RÉGION DU GENOU \ Partie antérieure de l'articulation
ulaire de rétrécissement, la naissance des muscles de la jambe, cette région , dont la surface est très inégale, est caractéris
t, qu'on doit, eu général, leur préférer l'amputation de la cuisse. RÉGION POPLITÉE Situation, configuration, délimitation
nus par la double capsule condylienne et le ligament postérieur. La région poplitée est sur-tout intéressante au point de vu
tère poplitée qu'elle est recommandée en anatomie chirurgicale. Cette région , en outre, est le siège de nombreux phlegmons et
rticulation fémoro-tibiale, elle s'isole néanmoins, en théorie, de la région du genou, la partie antérieure, vu la position su
ier par les moyens chirurgicaux, jambe, La jambe se divise en six régions , dont deux constituées par les parties molles, le
ise en six régions, dont deux constituées par les parties molles, les régions antérieure externe et postérieure, et une antérie
e à la jambe l'articulation tibio-tarsienne, que l'on divise en trois régions : au milieu le coude-pied, et sur les côtés les r
vise en trois régions : au milieu le coude-pied, et sur les côtés les régions malléolaires externe et interne. Dans son ensembl
ière à la saillie d'insertion du tendon d'Achille sur le calcanéum. RÉGION JAMBIÈRE ANTÉRIEURE EXTERNE'. Situation, config
né, en profondeur, et, à la surface, par l'aponévrose jambière, cette région , assez large en haut et au milieu, se rétrécit en
te l'aponévrose d'insertion commune aux trois grands muscles de cette région . 4° Muscles. Ce sont : le jambier antérieur, le l
ces externe et antérieure du péroné et le ligament inter-osseux. La région jambière antérieure externe est fréquemment affec
laie, très profonde, sur-tout quand on agit à la partie supérieure. RÉGION JAMBIÈRE POSTÉRIEURE1. Situation, configuration
eure du tibia et du péroné, réunis par le ligament inter-osseux. La région jambière postérieure présente, comme maladie spéc
ication générale éventuelle, mais qui n'a pas été mise en pratique. RÉGION JAMBIÈRE INTERNE OU TIBIALE '• Correspondant à
nstitué par la face antérieure interne sous-cutanée du tibia. Cette région , quoique de peu d'étendue et très simple dans sa
mettre l'os à découvert sans intéresser un grand nombre de parties. RÉGION DU COUDE-PIED'. Comprise entre les deux malléol
léoles, sur les côtés, sans limites déterminées de haut en bas, cette région , formée par le pli de flexion articulaire de la j
qui s'y pratiquent sont les résections complètes ou partielles. A la région du coude-pied se rapporte également l'amputation
s le plan articulaire de l'astragale et de l'apophyse du calcanéum. RÉGIONS MALLÉOLAIRES \ Au nombre de deux, externe et in
ituées sur les faces latérales de l'articulation tibio-tarsienne, les régions malléolaires sembleraient devoir être con- 1 Pl
et aux opérations spéciales dont elles sont le siège. Chacune de ces régions se distingue à l'extérieur par la saillie sous-cu
ression verticale triangulaire, qui les sépare du tendon d'Achille. Région malléolaire interne. Limitée en avant par la sail
ent de la veine et du nerf saphènes, qui parcourent obliquement cette région du haut en bas. La veine se compose ordinairement
ues lignes la poulie astragalienne, qu'elle enchâsse de ce côté. La région malléolaire interne est remarquable, en chirurgie
ion, comme nous le verrons en son lieu, ne supportant pas l'examen. Région malléolaire externe. Rornéc enavant par la sailli
s ultérieurs de celle du tibia. pied. Le pied se partage en trois régions , calcanienne, dorsale et plantaire, auxquelles se
plus ou moins les maladies des bords externe et interne. Chacune des régions dorsale et plantaire se divise en deux portions i
e par les cinq orteils, séparés et mobiles, en commun ou isolément. RÉGION CALCANIENNE '. Formée parle talon, elle est lim
osée en vue d'une forte pression habituelle, elle présente dans cette région une disposition toute spéciale, qui se continue d
e l'articulation tibio-tarsienne, au-devant du tendon d'Achille. La région du talon n'est pas sans intérêt en chirurgie. La
cée, à une section devenue assez commune dans la chirurgie moderne. RÉGION DORSALE '. Limitée en arrière par les régions d
a chirurgie moderne. RÉGION DORSALE '. Limitée en arrière par les régions du coude-pied et des malléoles, elle comprend au-
seuse qui comprend le dos du pied et ses côtés comme appartenant à la région dorsale, tandis que toute la portion charnue form
t à la région dorsale, tandis que toute la portion charnue formera la région plantaire. A l'extérieur, le pied forme une doubl
ale et ne supporte qu'une pression légère, est beaucoup plus mince. RÉGION PLANTAIRE Étendue à toute la face inférieure du
oute la face inférieure du pied, elle se confond, en arrière, avec la région calcanienne, et sur les côtés du pied avec sa rég
arrière, avec la région calcanienne, et sur les côtés du pied avec sa région dorsale, au-dessus de la saillie des muscles laté
nent la demi-voûte transversale. PORTION DIGITALE (commune aux deux régions ). Elle se compose des cinq orteils, dont le pre
es secousses sur la paroi thoracique, et plus particulièrement sur la région précordiale , comme on l'a déjà fait en pareil ca
s le même sujet, les qualités de la peau varient suivant les diverses régions , depuis l'extrême délicatesse de celle qui revêt
utuelle du tronc et de la cuisse, l'aorte peut être comprimée, sur la région lombaire, ou par le dos de la main en travers, ou
nt communément que sur certains lieux déterminés : \°\esynciputet les régions mastoïdienne et occipitale dans les affections co
ons mastoïdienne et occipitale dans les affections comateuses ; 2° la région auriculaire postérieure, dans les maladies de l'o
itions donnant lieu à quelques préceptes généraux. i0 La peau de la région à laquelle on emprunte le lambeau doit être un pe
offre anatomiquement une garantie très supérieure à celle des autres régions . 3° La taille du lambeau exige plusieurs condit
sont plus particulièrement les pertes de substance à la face, et les régions dont ou emprunte le lambeau sont les faces antéri
sitée. Ajoutons à ce que nous avons dit concernant l'anatomie de la région (t. IV, p. 58-59) une considération qui appartien
de la paume de la main; 2° les brides partielles limitées à l'une des régions , et nuisant au mouvement des doigts correspondans
anatomique. Branche orbitaire de la cinquième paire, accessible à la région frontale, après sa sortie de l'échancrure sourcil
i tenu comme une plume à écrire, l'éminence hypothénar appuyée sur la région temporo-pariétale droite, l'opérateur fait, à qua
1 Voy. pl. 29, fi};'. 1, 2, 3; et pour VAnatomie topoyraphtqtie de la région du rollile, page /|)-:"". saignée du pied. Co
ont : que l'ar- 1 Pl. 3o; et pour le texte, Ancttomie chirurgicale, région temporale, pl. 3o. T. vi. tère soit superfici
Considérations an atomiques. On peut saigner la temporale sur deux régions . i° Au-dessus de l'arcade zygomatique où elle mon
indre, doit traverser la peau et l'aponévrose sous-cutanée. i° Sur la région temporo-frontale après sa bifurcation. La branche
t de tumeurs sanguines. Ruysch cite un cas d'ané-vrisme spontané à la région malléolaire, Dorsay un autre cas de varice anévri
irs ; couper également à plat l'aponévrose jambière, mince dans cette région . Le fond de la plaie alors est formé, dans sa moi
érence de rapport du faisceau vasculaire avec le couturier dans cette région qui est certainement la cause de la divergence d'
gt-cinq millimètres. Ainsi, à l'extérieur, le trajet de l'artère à la région antibrachiale est assez exactement déterminé par
n pratiquer la ligature du vaisseau. 1 Vov. Anatomie topographique, région axillaire, pag. /17 et Artère axillaire (pl. 4
r les doigts des aides, ou des cro- 1 Voy. Anatoinie topographique, région sous-clavirulaire ou clavi-iiiter-axillaire, pag.
ie en travers; 5° eniin les nerfs 1 Voy. A nato m ie topographique, région sus-clavieulaire, ^pag. 85,36, et pl. v. et (i.
. Cette opération ne peut convenir que dans les cas d'hémorragie à la région mentonnière ou au pourtour de la commissure des l
ARTÈRES DU COU '. Hors les cas d'opération spéciale sur l'une des régions quelconques du cou , on est dans la nécessité de
s de dénuder l'artère et de la lier. 1 Voy. Anatomie topographique, régions sus- et sous- hyoïdiennes, l.ig. 34, 35, et pl. 2
la guérison des tumeurs érectiles ou des fongus hématodes à diverses régions de la tête : l'orbite (Travers, Dalrymplc, Arendt
onque auriculaire ( Dupuytren ), la fosse zygomatique ( Pâtisson), la région temporale ( Willaume), le crâne (Mussey ), la jou
a même tentative. A partir de cette * Voy. Anatoinie topographique, région inguino-alxliinina!e, page 41 et pl. 4 , 7 t't 8.
uisses légèrement fléchies sur le tronc, ce grand chirurgien fit à la région ombilicale, le long de la ligne blanche, une inci
que son décollement dans une grande étendue, surtout en arrière à la région lombaire, où, comme je l'ai démontré (tout, v, pl
ipps, ce procédé aurait fait obtenir la guérisond'un ané-vrisme de la région parotidienne. Récemment on a eu l'idée de travers
ppliquent indistinctement pour toutes les maladies et dans toutes les régions du corps, cette petite opération importée en Euro
il a été dit précédemment, aux deux extrémités de la partie ou de la région que l'on veut faire traverser par un courant élec
ur éviter tout danger, sur les données anatomi-ques qui concernent la région où l'on agit. Parvenu sur le corps étranger, on d
leur, et cpie du reste sa situation et'la composition organique de la région soient telles qu'il y ait du danger à l'extraire,
certains qui paraissent y être plus particulièrement disposés. Aucune région du corps n'en est exempte; toutefois elles se ren
muns et les plus considérables. On peut en rencontrer dans toutes les régions du corps, mais, en suivant toujours les condition
ls doivent être d'autant plus fréquens et plus volumineux, dans telle région déterminée, que le tissu adipeux y est plus abond
r la peau saine pénètre au delà du siège présumablc des artères de la région . A mesure qu'elles sont coupées on en fait la lig
q autres cas ont fourni les résultats suivans. i° A Xorbite et à la région temporale quatre tumeurs ont guéri (cas de MM. Tr
a mémoire ces règles géné raies, simples, basées sur l'anatomie des régions , qu'on parviendra à improviser, suivant l'exigenc
us les cas, cle ne pas perdre cle vue la disposition anatomique de la région affectée et de savoir que l'opération est d'autan
uelque soitle siège cle la maladie, lors même qu elle est placée à la région postérieure de la joue, cet auteur prescrit d'att
plètement les parties d'os réséquées; que les glandes du cou et de la région submaxillaire soient exemptes d'engorgement, et q
re de l'avant-bras sur le bras étendu. Il n'en est pas de même à la région deltoïdienne; mais comme, d'une part, il n'est gu
s haut c'est l'artère axillaire, enfin la sous-clavière si c'est à la région dcltoïdiennc. Un aide est chargé de retirer les p
mal. Ces considérations nous permettent encore d'établir qu'à chaque région du pied les procédés pour les désarticulations et
ueur, et enfin l'abondance et la vitalité des parties molles de cette région ,font une règle bien positive d'y ménager autant q
e du tibia enfoncer la pointe du couteau, traverser les muscles de la région antérieure et externe, contourner le péroné et fa
nie aux fascias de la cuisse, ne présente d'adhérence marquée qu'à la région poplitée : elle est quelquefois doublée d'un tiss
dérément au dehors, afin de ne pas intéresser les muscles de diverses régions , qui reprennent leur place naturelle après l'opér
nterne et postérieure étant plus retráctiles que ceux des deux autres régions , il faut, pour avoir une surface égale, les coupe
enant garde toutefois cle mettre en regard, pour chacune d'elles, les régions analogues; on rapprochera donc sous le même point
écrite. Arrêtant par la pensée une ligne horizontale qui traverse la région tarsienne sur le plan des articulations cunéo-sca
et partout environnée de chairs, n'est accessible au toucher qu'à la région antérieure, où la tête du fémur, revêtue par le p
Cou et tête, 27, 28. —Membres, 28. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région frontale, 29, 30.—Région occipitale, région tempo
bres, 28. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région frontale, 29, 30.— Région occipitale, région temporale, 30. — Région pariét
E TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région frontale, 29, 30.—Région occipitale, région temporale, 30. — Région pariétale, région mastoïd
. Région frontale, 29, 30.—Région occipitale, région temporale, 30. — Région pariétale, région mastoïdienne, 31. — Con- T. V
29, 30.—Région occipitale, région temporale, 30. — Région pariétale, région mastoïdienne, 31. — Con- T. VI. sidérations a
T. VI. sidérations anatomiques sur le crâne en général, 31. = Face. Région nasale, 31, 32.—Région labiale, région mentonnièr
atomiques sur le crâne en général, 31. = Face. Région nasale, 31, 32.— Région labiale, région mentonnière, 32. — Région orbitai
crâne en général, 31. = Face. Région nasale, 31, 32.—Région labiale, région mentonnière, 32. — Région orbitaire, 32, 33. — Ré
ace. Région nasale, 31, 32.—Région labiale, région mentonnière, 32. — Région orbitaire, 32, 33. — Région zygomato-maxillaire,
Région labiale, région mentonnière, 32. — Région orbitaire, 32, 33. — Région zygomato-maxillaire, région génienne, 33. — Régio
nnière, 32. — Région orbitaire, 32, 33. — Région zygomato-maxillaire, région génienne, 33. — Région parotidienne et massétérin
bitaire, 32, 33. — Région zygomato-maxillaire, région génienne, 33. — Région parotidienne et massétérine, région auriculaire,
axillaire, région génienne, 33. — Région parotidienne et massétérine, région auriculaire, 34. COU. Région sus-hyoïdienne, 34
— Région parotidienne et massétérine, région auriculaire, 34. COU. Région sus-hyoïdienne, 34. — Région sous-hyoïdienne, rég
sétérine, région auriculaire, 34. COU. Région sus-hyoïdienne, 34. — Région sous-hyoïdienne, région sus-claviculaire, 35.—Rég
aire, 34. COU. Région sus-hyoïdienne, 34. — Région sous-hyoïdienne, région sus-claviculaire, 35.—Région cervicale postérieur
yoïdienne, 34. — Région sous-hyoïdienne, région sus-claviculaire, 35.— Région cervicale postérieure, 36. THORAX. Région stern
ion sus-claviculaire, 35.—Région cervicale postérieure, 36. THORAX. Région sternale, 36. — Région diaphragma tique, région m
5.—Région cervicale postérieure, 36. THORAX. Région sternale, 36. — Région diaphragma tique, région mammaire, 37, — Région d
rieure, 36. THORAX. Région sternale, 36. — Région diaphragma tique, région mammaire, 37, — Région dorsale, région costale, 3
égion sternale, 36. — Région diaphragma tique, région mammaire, 37, — Région dorsale, région costale, 38. ABDOMEN. Région ép
36. — Région diaphragma tique, région mammaire, 37, — Région dorsale, région costale, 38. ABDOMEN. Région épigastrique, 38.
région mammaire, 37, — Région dorsale, région costale, 38. ABDOMEN. Région épigastrique, 38. — Région hypocondrale, région o
on dorsale, région costale, 38. ABDOMEN. Région épigastrique, 38. — Région hypocondrale, région ombilicale, région iléo-cost
stale, 38. ABDOMEN. Région épigastrique, 38. — Région hypocondrale, région ombilicale, région iléo-costale, 39. — Région lom
N. Région épigastrique, 38. — Région hypocondrale, région ombilicale, région iléo-costale, 39. — Région lombaire, région hypog
— Région hypocondrale, région ombilicale, région iléo-costale, 39. — Région lombaire, région hypogastrique, 40. — Région ingu
drale, région ombilicale, région iléo-costale, 39. — Région lombaire, région hypogastrique, 40. — Région inguino-abdominale, 4
gion iléo-costale, 39. — Région lombaire, région hypogastrique, 40. — Région inguino-abdominale, 41. BASSIN. Région pubienne
région hypogastrique, 40. — Région inguino-abdominale, 41. BASSIN. Région pubienne, 41,42.—Région ano-périnéale, 43—4;5'.
0. — Région inguino-abdominale, 41. BASSIN. Région pubienne, 41,42.— Région ano-périnéale, 43—4;5'. — Pli inguinal, région
ion pubienne, 41,42.—Région ano-périnéale, 43—4;5'. — Pli inguinal, région sacro-coccygienne, 45. — Région fes-sière, 46.
périnéale, 43—4;5'. — Pli inguinal, région sacro-coccygienne, 45. — Région fes-sière, 46. ÉPAULE. Région sous-claviculaire
inal, région sacro-coccygienne, 45. — Région fes-sière, 46. ÉPAULE. Région sous-claviculaire, 46, 47. — Région axillaire, 47
— Région fes-sière, 46. ÉPAULE. Région sous-claviculaire, 46, 47. — Région axillaire, 47. — Région scapulo-humérale, régio
ÉPAULE. Région sous-claviculaire, 46, 47. — Région axillaire, 47. — Région scapulo-humérale, région scapulaire, 48. MEMBRE
culaire, 46, 47. — Région axillaire, 47. — Région scapulo-humérale, région scapulaire, 48. MEMBRE THORACIQUE. Région brach
Région scapulo-humérale, région scapulaire, 48. MEMBRE THORACIQUE. Région brachiale interne et antérieure, région brachiale
ire, 48. MEMBRE THORACIQUE. Région brachiale interne et antérieure, région brachiale externe et postérieure, région du pli d
hiale interne et antérieure, région brachiale externe et postérieure, région du pli du coude, 49. — Région ulnaire, région a
ion brachiale externe et postérieure, région du pli du coude, 49. — Région ulnaire, région antibrachiale antérieure, 50. —Ré
terne et postérieure, région du pli du coude, 49. — Région ulnaire, région antibrachiale antérieure, 50. —Région antibrachia
coude, 49. — Région ulnaire, région antibrachiale antérieure, 50. — Région antibrachiale externe, région antibrachiale posté
, région antibrachiale antérieure, 50. —Région antibrachiale externe, région antibrachiale postérieure, région du poignet, rég
50. —Région antibrachiale externe, région antibrachiale postérieure, région du poignet, région palmaire, 51. — Région dorsale
achiale externe, région antibrachiale postérieure, région du poignet, région palmaire, 51. — Région dorsale, 52. MEMBRE ABDO
antibrachiale postérieure, région du poignet, région palmaire, 51. — Région dorsale, 52. MEMBRE ABDOMINAL. Région inguino-f
ignet, région palmaire, 51. — Région dorsale, 52. MEMBRE ABDOMINAL. Région inguino-fémorale, 52, 53.—Région fémorale antérie
ion dorsale, 52. MEMBRE ABDOMINAL. Région inguino-fémorale, 52, 53.— Région fémorale antérieure, région fémorale postérieure,
DOMINAL. Région inguino-fémorale, 52, 53.—Région fémorale antérieure, région fémorale postérieure, 53. — Région fémorale inter
2, 53.—Région fémorale antérieure, région fémorale postérieure, 53. — Région fémorale interne, région fémorale externe, 54. —
térieure, région fémorale postérieure, 53. — Région fémorale interne, région fémorale externe, 54. — Région du genou, région p
rieure, 53. — Région fémorale interne, région fémorale externe, 54. — Région du genou, région poplitée, 55. — Région jambière
ion fémorale interne, région fémorale externe, 54. — Région du genou, région poplitée, 55. — Région jambière antérieure extern
égion fémorale externe, 54. — Région du genou, région poplitée, 55. — Région jambière antérieure externe, région jambière post
du genou, région poplitée, 55. — Région jambière antérieure externe, région jambière postérieure, 56. —Région jambière intern
Région jambière antérieure externe, région jambière postérieure, 56. — Région jambière interne, région du cou-de-pied, 57. — Ré
e externe, région jambière postérieure, 56. —Région jambière interne, région du cou-de-pied, 57. — Région malléolaire, 57, 58.
stérieure, 56. —Région jambière interne, région du cou-de-pied, 57. — Région malléolaire, 57, 58. — Région calcanéenne, 58.
interne, région du cou-de-pied, 57. — Région malléolaire, 57, 58. — Région calcanéenne, 58. — Région dorsale du pied, 59. —
pied, 57. — Région malléolaire, 57, 58. — Région calcanéenne, 58. — Région dorsale du pied, 59. — Région plantaire, 59, 60.
, 57, 58. — Région calcanéenne, 58. — Région dorsale du pied, 59. — Région plantaire, 59, 60. MÉDECINE OPÉRATOIRE. PROLÉ
ANATOMIE CHIRURGICALE. DIVISION TOPOGRAPHIQUE DU CORPS HUMAIN PAR RÉGIONS . Figure i. Plan antérieur.—Figure 2. Plan posté
à la division générale, et surtout à la délimitation chirurgicale des régions , en les circonscrivant dans des espaces motivés e
synergiques ou antagonistes. INDICATION DES CHIFFRES. CRANE. 1. Région frontale. 2. Région occipitale. 3. Région tem
istes. INDICATION DES CHIFFRES. CRANE. 1. Région frontale. 2. Région occipitale. 3. Région temporale. 4. Région pa
CHIFFRES. CRANE. 1. Région frontale. 2. Région occipitale. 3. Région temporale. 4. Région pariétale. 5. Région mas
Région frontale. 2. Région occipitale. 3. Région temporale. 4. Région pariétale. 5. Région mastoïdienne. FACE. 6.
Région occipitale. 3. Région temporale. 4. Région pariétale. 5. Région mastoïdienne. FACE. 6. Région nasale. 7. Ré
porale. 4. Région pariétale. 5. Région mastoïdienne. FACE. 6. Région nasale. 7. Région labiale. 8. Région mentonni
pariétale. 5. Région mastoïdienne. FACE. 6. Région nasale. 7. Région labiale. 8. Région mentonnière. 9. Région orb
n mastoïdienne. FACE. 6. Région nasale. 7. Région labiale. 8. Région mentonnière. 9. Région orbitaire. 10. Région
6. Région nasale. 7. Région labiale. 8. Région mentonnière. 9. Région orbitaire. 10. Région zygomato-maxillaire. 11
Région labiale. 8. Région mentonnière. 9. Région orbitaire. 10. Région zygomato-maxillaire. 11. Région génienne. 12.
nière. 9. Région orbitaire. 10. Région zygomato-maxillaire. 11. Région génienne. 12. Région auriculaire. 13. Région
taire. 10. Région zygomato-maxillaire. 11. Région génienne. 12. Région auriculaire. 13. Région parotidienne. COU.
to-maxillaire. 11. Région génienne. 12. Région auriculaire. 13. Région parotidienne. COU. 14. Région sus-hyoïdienne.
ne. 12. Région auriculaire. 13. Région parotidienne. COU. 14. Région sus-hyoïdienne. 15. Région sous-hyoïdienne. 1
13. Région parotidienne. COU. 14. Région sus-hyoïdienne. 15. Région sous-hyoïdienne. 16. Région sous-claviculaire.
COU. 14. Région sus-hyoïdienne. 15. Région sous-hyoïdienne. 16. Région sous-claviculaire. 17. Région cervicale postéri
. 15. Région sous-hyoïdienne. 16. Région sous-claviculaire. 17. Région cervicale postérieure. THORAX. 18. Région ste
ous-claviculaire. 17. Région cervicale postérieure. THORAX. 18. Région sternale. 19. Région mammaire. 20. Région cho
Région cervicale postérieure. THORAX. 18. Région sternale. 19. Région mammaire. 20. Région chondro-costale ou diapbra
rieure. THORAX. 18. Région sternale. 19. Région mammaire. 20. Région chondro-costale ou diapbragmatique. 21. Région
gion mammaire. 20. Région chondro-costale ou diapbragmatique. 21. Région dorsale. 22. Région costale. ABDOMEN. 23. R
égion chondro-costale ou diapbragmatique. 21. Région dorsale. 22. Région costale. ABDOMEN. 23. Région épigastrique.
matique. 21. Région dorsale. 22. Région costale. ABDOMEN. 23. Région épigastrique. 24. Région hypochondrale. 25. R
le. 22. Région costale. ABDOMEN. 23. Région épigastrique. 24. Région hypochondrale. 25. Région ombilicale. 26. Rég
ABDOMEN. 23. Région épigastrique. 24. Région hypochondrale. 25. Région ombilicale. 26. Région ilio-costale. 27. Régi
gastrique. 24. Région hypochondrale. 25. Région ombilicale. 26. Région ilio-costale. 27. Région lombaire. 28. Région
ochondrale. 25. Région ombilicale. 26. Région ilio-costale. 27. Région lombaire. 28. Région hypogastrique. 29. Régio
n ombilicale. 26. Région ilio-costale. 27. Région lombaire. 28. Région hypogastrique. 29. Région inguino-abdominale.
lio-costale. 27. Région lombaire. 28. Région hypogastrique. 29. Région inguino-abdominale. BASSIN. 30. Région pubien
égion hypogastrique. 29. Région inguino-abdominale. BASSIN. 30. Région pubienne. 31. Pli inguinal. 32. Région sacro-
bdominale. BASSIN. 30. Région pubienne. 31. Pli inguinal. 32. Région sacro-coccygïenne. 33. Région fessière. ÉPAUL
n pubienne. 31. Pli inguinal. 32. Région sacro-coccygïenne. 33. Région fessière. ÉPAULE. 34. Région clavi-inter-axil
32. Région sacro-coccygïenne. 33. Région fessière. ÉPAULE. 34. Région clavi-inter-axillaire ou sous-claviculaire. 35.
PAULE. 34. Région clavi-inter-axillaire ou sous-claviculaire. 35. Région axillaire. 36. Région scapulo-humérale. 37. R
i-inter-axillaire ou sous-claviculaire. 35. Région axillaire. 36. Région scapulo-humérale. 37. Région scapulaire. MEMB
culaire. 35. Région axillaire. 36. Région scapulo-humérale. 37. Région scapulaire. MEMBRE THORACIQUE. BRAS. 38. Ré
humérale. 37. Région scapulaire. MEMBRE THORACIQUE. BRAS. 38. Région brachiale antérieure. 39. Région brachiale post
MEMBRE THORACIQUE. BRAS. 38. Région brachiale antérieure. 39. Région brachiale postérieure. 40. Région du pli du cou
égion brachiale antérieure. 39. Région brachiale postérieure. 40. Région du pli du coude. 41. Région ulnaire. AVANT-BR
39. Région brachiale postérieure. 40. Région du pli du coude. 41. Région ulnaire. AVANT-BRAS. 42. Région antibrachiale
40. Région du pli du coude. 41. Région ulnaire. AVANT-BRAS. 42. Région antibrachiale antérieure. 43. Région antibrachi
n ulnaire. AVANT-BRAS. 42. Région antibrachiale antérieure. 43. Région antibrachiale postérieure. 44. Région antibrach
tibrachiale antérieure. 43. Région antibrachiale postérieure. 44. Région antibrachiale externe. 45. Région radio-carpien
antibrachiale postérieure. 44. Région antibrachiale externe. 45. Région radio-carpienne antérieure. 46. Région radio-ca
antibrachiale externe. 45. Région radio-carpienne antérieure. 46. Région radio-carpienne postérieure. MAIN. 47. Région
e antérieure. 46. Région radio-carpienne postérieure. MAIN. 47. Région palmaire. 48. Région dorsale. MEMBRE ABDOMINA
ion radio-carpienne postérieure. MAIN. 47. Région palmaire. 48. Région dorsale. MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE. 49. Régi
n palmaire. 48. Région dorsale. MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE. 49. Région inguino-fémorale. 50. Région fémorale antérieur
e. MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE. 49. Région inguino-fémorale. 50. Région fémorale antérieure. 51. Région fémorale postér
49. Région inguino-fémorale. 50. Région fémorale antérieure. 51. Région fémorale postérieure. 52. Région fémorale inter
Région fémorale antérieure. 51. Région fémorale postérieure. 52. Région fémorale interne. 53. Région fémorale externe.
51. Région fémorale postérieure. 52. Région fémorale interne. 53. Région fémorale externe. 54. Région du genou. 55. Ré
. 52. Région fémorale interne. 53. Région fémorale externe. 54. Région du genou. 55. Région poplitée. JAMBE. 56. R
interne. 53. Région fémorale externe. 54. Région du genou. 55. Région poplitée. JAMBE. 56. Région jambière antérieu
externe. 54. Région du genou. 55. Région poplitée. JAMBE. 56. Région jambière antérieure externe. 57. Région jambièr
on poplitée. JAMBE. 56. Région jambière antérieure externe. 57. Région jambière postérieure. 58. Région tibiale. 59.
jambière antérieure externe. 57. Région jambière postérieure. 58. Région tibiale. 59. Région du coude-pied. 60. Région
terne. 57. Région jambière postérieure. 58. Région tibiale. 59. Région du coude-pied. 60. Région malléolaire interne.
postérieure. 58. Région tibiale. 59. Région du coude-pied. 60. Région malléolaire interne. 61. Région malléolaire ext
. 59. Région du coude-pied. 60. Région malléolaire interne. 61. Région malléolaire externe. pie d. 62. Région dorsal
malléolaire interne. 61. Région malléolaire externe. pie d. 62. Région dorsale. 63. Région plantaire. Tome 6. dess
61. Région malléolaire externe. pie d. 62. Région dorsale. 63. Région plantaire. Tome 6. dessiné d'après nature par
RGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DES RÉGIONS LOMBAIRE, FESSIÈRE ET FÉMORALE POSTÉRIEURE. A
DES COUCHES DIFFÉRENTES. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. RÉGION LOMBAIRE. Côté gauche. A. Loge de la masse co
blique ; ce muscle et le grand oblique sont vus coupés au profil. RÉGION FESSIÈRE. Côté gauche. D. Loge musculaire du
erfs grand et petit sciatiques, enveloppés en haut dans leur gaîne. RÉGION FÉMORALE POSTÉRIEURE. Côté gauche. M. Loge de
DEUR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. COU. 1° région sus-hyoïdienne. A. Glande parotide. B. Glande
ïdien. C. Loge musculaire du ventre maxillaire du digastrique. 2° région sous-hyoïdienne. D. Loge du sterno-hyoïdien, au
ectoral en avant, du grand rond et du grand dorsal en arrière ; 2° la région des vaisseaux axillaires , aperçus derrière la ga
x axillaires , aperçus derrière la gaîne des muscles pectoraux; 3° la région brachiale interne et supérieure. 1° Creux de l'
e est isolée par le feuillet de dédoublement du grand pectoral, de la région des vaisseaux axillaires. Le creux de l'aisselle
ose brachiale, et forme la seule ligne réelle de démarcation entre la région sous-claviculaire et la région brachiale interne
e ligne réelle de démarcation entre la région sous-claviculaire et la région brachiale interne supérieure. A son extrémité il
les vaisseaux sortans, et limite le fond de l'aisselle en haut. 2° région sous-claviculaire. Elle montre la loge de récep
adhère, par un contour en infundibulum, avec les gros vaisseaux. 3° Région brachiale interne supérieure. M. Portion de la
GICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS. DES RÉGIONS INGUINALE ET FEMORALE ANTÉRIEURE. ADULTE, GRA
E, GRANDEUR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. 1° RÉGION INGUINALE. Préparation. Le fascia superfîcialis
. D. Portion des tégumens et du pannicule adipeux sous-cutané. 2° région fémorale. E. Feuillet aponévrotique qui recouvr
RGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DES RÉGIONS INGUINALE, ABDOMINALE INFÉRIEURE ET FÉMORALE SU
E, GRANDEUR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. 1° RÉGION INGUINALE. Préparation. L'arcade crurale est so
sseaux spermatiques, coupé à sa sortie de l'an- neau inguinal. 2° RÉGION INGUINO-ABDOMINALE. C. Aponévrose du grand obli
7) et par les branches antérieures des nerfs lombaires (18, 18). 3° RÉGION INGUINO - FEMORALE. F. Vaisseaux fémoraux renfe
fs, au-devant des tendons fléchisseurs et des muscles lombricaux à la région métacarpienne, et les branches collatérales, le l
férieure. Il n'existe, des jumeaux, que leurs insertions fémorales. Région fémoro-poplitée. H. Extrémité inférieure du tro
ancette qui fait la ponction. Figure 5. Anatomie chirurgicale de la région malléolaire interne au point de vue de la saignée
re à éclairer le fond des plaies. Figure 2. Détails anatomiques des régions sus et sous-claviculaires. Cette figure explicati
lairer le fond des plaies. (Voyez, pour l'anatomie chirurgicale des régions sus et sous-claviculaires, pl. 43, fig. 2). OPÉ
ndue, une incision cruciale a mis à découvert une large portion de la région fronto-pariétale. Quatre couronnes de trépan ont
nde qui soulève et détache en masse toutes les parties molles de la région antérieure. B. Anse postérieure qui écarte et i
de la jambe, du plan horizontal de section des os et des chairs de la région interne et, en dehors, d'un vaste lambeau dermo-m
iliter la locomotion après l'amputation de la jambe, sur-tout dans la région malléolaire. L'appareil se compose d'un pied arti
11 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
itations cardiaques, angoisse et douleurs irradiantes partant de la région précordiale. On le soigna pour une maladie de coe
ige ce qui incommode le plus le malade ce sont des douleurs dans la région précordiale, qui l'angoissent beaucoup et qui par
l- heureusement pas ausculté sur les apophyses mastoïdes et dans la région occi- pitale, ce qui nous aurait révélé peut-êt
auche du pont et du bulbe. Mais nulle part on n'a constaté dans ces régions des endroits ramollis, de consistance amoindrie
rt une différence dans la con- sistance des circonvolutions, aucune région indurée ou ramollie. Les hémi- sphères furent d
st fortement aplatie dans toute son éten- due, mais surtout dans la région où le bulbe passe dans la protubérance, son apl
bulbe passe dans la protubérance, son aplatissement diminue dans la région caudale, du côté de la moelle épinière ; elle e
aplatie comme la pyramide et les autres parties du bulbe dans cette région , et présente une diminution très sensible de se
longée en remontant vers la protubérance, on découvre dans diverses régions du bulbe à gauche des modifications pathologiques
érable des cellules nerveuses et leur disparition en masse, dans la région où se continue le noyau de Monakow, ainsi que dan
s à la partie médiane du corps restiforme) (Voir PI. I, B). Cette région de substance grise que Gudden et Mingazzini ont a
coupes du côté cérébral jusqu'à la terminaison de ce noyau, dans la région où le noyau de Deiters commence ai apparaître.
la partie dorso-latérale de ce noyau qui est- surtout dégénérée. La région correspondante du noyau dorsal du corps restifo
ut être constatée dans les coupes de toute la série, jusque dans la région supérieure du pont de Ya- role, à la hauteur de
Reil sont encore moins nombreux à gauche qu'à droite. C'est dans la région antérieure de la protubérance que la compression
ssion de l'iinévrysme surtout dans sa partie caudale (PI. I, B). Sa région ventrale est seule conservée, mais elle est déf
u central de la calotte de Bechterew qui prend naissance dans cette région , pour les fibres circum-oli- 1'aires et pour le
es du bulbe (PI. II, D). Protubérance. - La partie inférieure de la région du pont de Varole à gau- che près de la ligne m
culée est comprimée dans toute sa longueur à droite, jusque dans la région de la calotte. On constate partout une diminu-
leux gauche est dans un état de nécrose intense par compression. La région tout entière des vermis supérieur et inférieur
r substance médullaire cependant se trouve en grande partie dans la région nécrosée. Il n'y a de vraiment conservé que la
belleux moyen, qui est en partie dégénéré, et qui existe il côté de régions atrophiques du llocon et du lobe semi-lunaire su-
1, C). Le pédoncule cérébelleux supérieur est aussi détruit dans la région du toit du quatrième ventricule et de l'aqueduc d
ut être poursuivi jusque dans le côté opposé, de sorte que, dans la région de la décussation, on ne voit s'entrecroiser que
sa structure ; il est seulement refoulé et déformé, surtout dans la région des voies pyramidales. Le pédoncule cérébral ga
de Soemmering est égale des deux côtés. On ne voit pas nettement de région nettement dégénérée dans le pied du pédoncule c
éré- bral droit sont plus pauvres en fibres nerveuses que les mêmes régions à ga'uche. Les libres qui restent sont ondulées
normal, un peu moins développé cependant qu'il gauche. Thalamus ET région sous-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans
mus ET région sous-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans les régions les plus postérieures du corps de Luys, le thalam
La différence entre les deux côtés n'est plus autant marquée dans les régions antérieures du corps de Luys, surtout dans la s
le voisinage se voient jres très dilatées et remplies de sang. Les régions voisines dans le noyau ral du thalamus font aus
eur étaient irréguliers, mais on n'entendait pas de souffle dans la région précordiale. Le second bruit de l'aorte était ren
ollisse- ment produit par l'artério-sclérose dans le cervelet ou la région protubé- rautielle, en raison de l'habitus géné
'encé- phale, de la moitié gauche presque totale du cervelet et des régions de la protubérance et du pédoncule cérébelleux
cations produites dans le bulbe, le cervelet, la protubérance et la région sous-optique. Lorsqu'il ne s'agit pas d'artério
es troubles des mouvements des yeux, ceux de la sensibilité dans la région du trijumeau, au visage, etc. Dans notre cas ce
latentes les graves lé- sions, suites de la compression intense de régions cérébrales très impor- tantes. Malgré les gross
n'était que partielle, et les libres arci- formes internes de cette région étaient bien conservées dans leur majeure parti
tement à la place de la flèche moyenne qu'il y a une lacune dans la région indiquée. On sait que Edinger désigne sous le n
ans le ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 23 3 cervelet » la région où se trouve le noyau dorsal du corps restiforme
firmée par de nouvelles observations. La première flèche indique la région du soi-disant noyau terminal du pneumogastrique
minal deIilli- ker). On constate assurément qu'il existe dans cette région une diminu- tion sensible des fibres nerveuses.
la moindre trace d'une modification secondaire quelconque dans cette région . Il serait bien à désirer qu'Mdinger donnât des
seignements plus circonstanciés sur le groupe des cellules de cette région interne du corps restiforme qui ont disparu, dans
nes douloureux : douleurs lombo-sacrées que le malade localise à la région comprise entre la 5° vertèbre dorsale et le coc
prise entre la 5° vertèbre dorsale et le coccyx ; douleurs dans les régions lombo-costales, sur les parties latérales de ba
bres supérieurs il y en a quelques-unes extrêmement petites dans la région deltoïdienne et à la partie postéro-externe du
et à la partie postéro-externe du bras gauche. Dans cette dernière région se trouve une cicatrice légère, répondant à l'e
mement nombreuses surtout à la partie antérieure du thorax, dans la région épigastrique, dans les régions dor- sales. Sur
partie antérieure du thorax, dans la région épigastrique, dans les régions dor- sales. Sur la paroi abdominale il y en a u
ternale. Le dbs d'âne proémine de 7 centi- mètres sur le plan de la région sternale supérieure qui paraît normale. Le ver-
oliose très accentuée à concavité droite dont le sommet répond à la région dorsale inférieure, et une cyphose à long rayon
on dorsale inférieure, et une cyphose à long rayon s'étendant de la région cervicale à la région lombaire, Les os des memb
et une cyphose à long rayon s'étendant de la région cervicale à la région lombaire, Les os des membres restent normaux.
nées dont les sièges de prédilection sont les triangles de Scarpa,les régions sous-claviculaires, la face interne des bras, l
d'une pliure angulaire saillante en avant siégeant au niveau de la région de l'épine pu- bienne gauche. Viscères. - Le
laire avec ramuscules nerveux 5. Coupe F Coupe de la peau de la région sous-clavi- culaire au niveau d'nn fibrome der-
tions appréciables. Moelle. Au niveau de la moelle examinée dans la région cervicale dorsale et lombaire nous n'avons trou
eaux pie-mé- riens. Peau. * Des fragments de peau appartenant aux régions thoracique anté- rieure et crurale antérieure,a
sébacée dont l'intégrité histolo- gique est conservée. En certaines régions on ne trouve même plus de blocs fibreux constit
ment dans les différents points du corps, et en particulier dans la région cervicale, où elles pro- duisent des déformatio
et être remplacée par deux tumeurs siégeant symétriquement dans les régions sous-maxillaires. Sur les parties latérales de
latérales de la face apparaissent des déformations simi- laires aux régions parotidiennes et préauriculaires. Ces dernières s
s, tantôt allongées sous forme d'une amande, tantôt plaquées sur la région périauriculaire n la manière des prolongements
euses peuvent atteindre de telles proportions qu'elles débordent la région cervicale où elles ont pris naissance et tombent
cette hypertrophie monstrueuse. Les diverses tuméfactions dans les régions cervico-faciales, au lieu de rester indépendant
productions lipomateuses peuvent rester localisées uniquement il la région cervico-faciale. Le plus souvent une inspection m
périeures et internes des membres, tant au bras qu'à la cuisse, les régions pectorale, épigastrique, suspubienne, enfin, da
e, les régions pectorale, épigastrique, suspubienne, enfin, dans la région dorso-lombaire, les parties latérales de la col
raisseuse généralisée dans le cas de Virchow-SclIOLLmuller. La même région , moins le périnée, est envahie dans le cas de Buc
s tuméfactions est plus grand encore : on les voit envahir d'autres régions et devenir confluentes : elles mamelonnent la p
nguer trois variétés de tumeurs : les plus molles sont celles de la région sous-men- tonnière qui donnent souvent lieu à u
des autour des nombreux ganglions lymphatiques accumulés dans cette région . Ils consistent généralement en troubles respir
factions lipomateuses, diffuses, distribuées symétriquement au cou ( région sus- hyoïdienne),. la face (région préauriculai
stribuées symétriquement au cou (région sus- hyoïdienne),. la face ( région préauriculaire), à la tête (régions rétro- mast
gion sus- hyoïdienne),. la face (région préauriculaire), à la tête ( régions rétro- mastoïdiennes), à la nuque-et aux aines.
de la face interne du bras, du côté interne de l'avant-bras, de la région lombaire, de la ligne blanche et de la cuisse.
st rouge et assez sensible. Aucune tumeur semblable dans les autres régions du corps. Le gros lipome diffus situé au mili
E (Launois et Brrrsrtrrde.) L'ADÉNO-LIPOMATOSE symétrique 49 La région sous-maxillaire est occupée par une tuméfaction l
. D'autres tumeurs graisseuses se trouvent sous le menton, dans les régions parotidiennes, au creux sus-ternal, au sommet d
ace dorsale de la main, de chaque côté de la ligne blanche, dans la région inguino-scrotale et dans l'aine. Perle de la mé
de trouble de la sensibilité de la paroi abdominale au niveau de la région gastrique ; on sait que l'anesthésie ou l'hyper
on gastrique ; on sait que l'anesthésie ou l'hyperesthésie de cette région ac- compagne en effet souvent les troubles sens
l'ombilic, on pourrait croire à une zone pseudo-ovarienne, mais la région douloureuse est située un peu haut. Son centre
ue du rein ne permet pas d'atteindre son extrémité inférieure et la région lombaire n'est pas douloureuse. Au cours de ces
de diarrhée et de constipation, ballonnement localisé en certaines régions de l'abdomen, renvois gazeux sans goût ni odeur
Josserand, chirurgien des hôpitaux,uncasde tumeur congénitale de la région lombaire qui nous a semblé digne d'être relaté, d
distingue nettement de ceux qu'on ob- serve ordinairement dans ces régions ; on trouve, en effet, soit des tumeurs congéni
régions ; on trouve, en effet, soit des tumeurs congénitales de la région sacro-coccygienne étudiées notamment par Cal- b
(Paris, 1893), soit desspina-bifida ; soit enfin des lipomes de la région lombaire. Or notre cas ne rentre dans aucune ces
le sens antéro-postérieur. Le pédi- cule s'étend en bailleur, de la région sacrée à la neuvième ou dixième vertèbre dorsal
run, cette pigmen- tation continuant au pourtour du pédicule sur la région lombaire et s'ar- rêtant à une ligne nette, irr
phie DE la Salpêtrière. T. XIII. Pl. XIV TUMEUR CONGÉNITALE DE LA RÉGION LOMBAIRE 73 nexions de la tumeur avec le canal
e 25 centimètres de longueur, verticale et médiane, au niveau de la région lombaire. La peau présente de nombreux plis hor
aisemblable- ment pas de généralisation. TUMEUR CONGÉNITALE DE LA RÉGION LOMBAIRE 75 Voilà le fait : comment l'interprét
de sa consistance inégale, à une tumeur à tissus multi- ples de la région sacro-coccygienne; mais il était facile de se con
sertion de la tumeur se faisait beaucoup plus haut, au niveau de la région lombaire, et ultérieurement l'examen histologique
eure. Nous sommes donc amenés à éliminer les tumeurs spéciales à la région : nous avons affaire à un néoplasme qu'on pourr
vrons-nous dire : fibro-myxome d'origine congé- nitale, inséré à la région lombaire sur l'arc postérieur des vertèbres, se
ques, FiG. 1. - Face inférieure de l'encéphale (la tumeur occupe la région ombrée). UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEP
ecte les rapports indiqués nettement par la figure 1.11 repose sur la région de la base du 3e ventricule depuis l'espace per
ve de la tumeur dans notre cas portait au maximum exactement sur la région qu'on a trou- vée altérée dans les cas de Gayet
qu'on a trou- vée altérée dans les cas de Gayet et Wernicke. Cette région était comme l'on sait dans ces derniers cas, la
istence d'un centre du sommeil dont le siège dèvrait se placer à la région lésée par la polioencéphalite supérieure. Mais je
t, virent apparaître à la suite une déformation vertébrale de cette région . L'examen méthodiquement pratiqué de ces malade
hez laquelle on avait remarqué une légère gibbosilé angulaire de la région lombaire. On crut tout d'abord à une altération
- lombaire avec scoliose à concavité tournée à gauche à l'union des régions dorsale et lombaire. Nodosités volumineuses indol
appé par l'existence d'une gibbosité très accentuée au niveau de la région dorso-lombaire et d'une voussure située à la part
baire et d'une voussure située à la partie postéro-inférieure de la région latérale droite du thorax..Les doigts, promenés d
t les bosselures, on constate une forte scoliose à l'union des deux régions dorsale et lombaire, à concavité tournée à droite
s et des trois lombaires et ayant sa convexité tournée à droite. La région lombaire forme un angle à sommet dirigé en arri
rieurs en totalité dans la moitié inférieure de la moelle. Dans la région cervi- cale, les cordons de Goll sont seuls scl
une antéro- postêrieure, cyphose lombaire sans gibbosité angulaire. Région sacrée plane, en- foncée. Apophyses épineuses s
augmentée en masse, régulièrement par ailleurs, sauf cependant à la région postérieure. Les condyles du fémur, les plateaux
t épaissies, en volumineuses saillies sous la peau. Au- dessous, la région sacrée est plane et paraît enfoncée. 'Au-dessus,
rachidiennes sont saines. Au niveau des vertèbres altérées ! dans la région lombaire, la dure-mère est un peu épaissie. l L
t de netteté et paraissent le siège d'altérations qui ont atteint les régions voisines. Sur le bord interne du fémur appara
t séparées du corps du fémur; l'opacité en est variable suivant les régions , mais en général assez peu marquée, ce qui indiqu
e, on constate des exostoses con- sidérables qui déforment assez la région pour que le diagnostic entre la luxa- tion et l
d'une hypertrophie de tout le membre supérieur droit et aussi de la région latérale et postérieure du thorax du même côté
nt partiellement réductibles et sur le thorax en particulier clans la région rétro-axillaire et au niveau du gril costal son
r les tumeurs que nous étudions ; la plus volumineuse siège dans la région dor- sale postérieure droite au niveau de la po
ré- sente une ectasie vasculaire du membre supérieur droit et de la région thoracique latérale. Cette ectasie se traduit p
ET GEORGES GUILLAIN . giome.Ces derniers siègent rarement dans ces régions et la présence du sang dans le contenu des lymp
vasculaires développées sur le membre su- périeur droit et dans la région supérieure et latérale du thorax. C'est un l'ai
ous la forme simple, consécutivement à une lésion unilatérale de la région pédonculo-protubé- rantielle. Il s'ensuit qu'un
o-protubé- rantielle. Il s'ensuit qu'une lésion bilatérale de cette région pourra déter- miner une double paralysie altern
s de céphalée très vive, plus marquée du côté droit au niveau de la région temporale, céphalée continue, persistant le jou
rasme. L'autopsie montra l'existence de lésions bilatérales dans la région pérlon- culaire. Une coupe tranversale(PI. 1VII
s régulier, l'appétit est bon,mais elle souffre de constipation. La région ovarienne gauche est sensible à la pression.
où les premières masses lipomateuses diffuses apparaissent dans des régions autres que le cou ou la nuque. Les lipomes co
ou L'ADÉIVO-LIP011ATOSE SYMÉTRIQUE 185 moins volumineux dans les régions cervicales antérieure et postérieure; « mais ce
distinctifs sont les suivants : ils siègent primitivement dans les régions sus-claviculaires, ils apparaissent souvent d'une
e possible avec d'autres masses graisseuses siégeant en différentes régions du corps. M. Potain a signalé,chez certains de
rneville et d'Ollier on trouve même signalées non seulement dans la région sus-ciavicuiaires, mais au-dessous des aisselle
crétantes de la peau. En général, la fréquence des lipomes dans une région est en rai- son inverse de la richesse de cette
ans une région est en rai- son inverse de la richesse de cette même région en glandes sébacées et su- L'ADÉNO-LIPOMATOSE S
système nerveux dans la production des tumeurs. Si les muscles des régions atteintes subissent parfois une diminution de leu
évolution. Le siège de prédilection des tuméfactions au niveau des régions où .existe normalement de nombreux ganglions ly
doit reconnaître néanmoins que les tumeurs peuvent siéger dans des régions (épaule, région scapulaire, colonne ver- tébral
néanmoins que les tumeurs peuvent siéger dans des régions (épaule, région scapulaire, colonne ver- tébrale, épigastre, pu
bras, au niveau du pli du coude (Allas de Sappey), sur les diverses régions du thorax (Atlas de Cloquet). D'un autre côté, le
it pas habituellement des ganglions normaux : au cuir chevelu, à la région cla- viculaire, au dos, près de l'omoplate, aux
rices lymphatiques du derme à la jambe gauche, sans oedème, dans la région du triangle de Scarpa du même côté, une tumé- f
au niveau du cou et de la nuque, des creux axillaires et inguinaux, régions si riches en ganglions et en ré- seaux lymphati
aines. Les tumeurs sont bilatérales et symétriques et occupent : la région mas- toïdienne, la partie inférieure et postéri
gion mas- toïdienne, la partie inférieure et postérieure du cou, la région sus-ma- xillaire, la région lombaire, la région
ie inférieure et postérieure du cou, la région sus-ma- xillaire, la région lombaire, la région sus-ombilicale, sous-ombilica
térieure du cou, la région sus-ma- xillaire, la région lombaire, la région sus-ombilicale, sous-ombilicale et le pli du co
bilicale, sous-ombilicale et le pli du coude. Les 2 tumeurs de la région mastoïdienne ont été enlevées. (1) Depuis notre
no-li- pomateux typique, quoique peu développé (bosselures dans les régions sus-hyoïdienne, sous-maxillaires, rétromasloïdi
x aines. Actuellement il présente des lipomes symétriques, dans les régions sous-maxillaires, rétro-mastoï- dienne, pectora
rne et supérieure des deux bras. Les tuméfactions globuleuses de la région pec- torale ressemblent aux seins d'une jeune f
ier lipomateux et présente d'autres tuméfactions graisseu- ses à la région préauriculaire, à la région mammaire, à la paroi
'autres tuméfactions graisseu- ses à la région préauriculaire, à la région mammaire, à la paroi interne du creux axillaire
abdominale, de chaque côté de la colonne lombaire, aux aines, à la région poplitée et au-dessus des poi- gnets. Il existe
ans par une grosseur lombaire. Tumeurs lipomateuses à la nuque, aux régions pa- rotidiennes, mastoïdiennes, sus-acromiale,
ie du gaz. Début assez brusque y a 5 ans par des tuméfactions de la région parotidienne. Tuméfaction dif- fuse de la régio
tuméfactions de la région parotidienne. Tuméfaction dif- fuse de la région cervico-faciale. Tumeurs lipomateuses dans les fo
située derrière les oreilles. Lipomes diffus et symétriques dans la région sous-occipitale, sous le menton, au niveau des
sous le menton, au niveau des premières vertèbres dorsales dans les régions mammaires et pubienne ; dos capitonné de masses
s à des instruments péné- trants et 1 il une brûlure profonde de la région temporale chez un enfant. Considérés au point d
bâton, de manche à balai,un autre reçoit un coup de couteau dans la région pariéto-temporale et on retrouve un fragment de
ant qu'à droite. y a une atrophie considérable des muscles de cette région , les ré- gions sus et sous-épineuses sont excav
ennent ensuite en contracture. Le côté gauche du thorax depuis la région claviculaire jusqu'à l'arcade crurale DE L'HÉMI
lessent le plus souvent le voi- sin. Quelles sont les différentes régions du crâne le plus souvent atteintes dans l'hémip
tteintes dans l'hémiplégie traumatique ? C'est en première ligne la région du parié- 216 RENÉ MARTIAL tal gauche, jusqu'
pour expliquer cette prédominance et d'une manière plus générale la région des pariétaux, y compris leur ligne de suture, pu
le la région des pariétaux, y compris leur ligne de suture, puis la région tem- porale droite, puis la région orbitaire, l
is leur ligne de suture, puis la région tem- porale droite, puis la région orbitaire, la région malaire et en dernier lieu
re, puis la région tem- porale droite, puis la région orbitaire, la région malaire et en dernier lieu les régions occipita
puis la région orbitaire, la région malaire et en dernier lieu les régions occipitale, frontale et palatine. Il y a bien un
orrespondant à la fréquence re- lative des traumatismes suivant les régions du crâne. Mais tous les coups appliqués sur les
suivant les régions du crâne. Mais tous les coups appliqués sur les régions mêmes les plus exposées, ne sontpas suivis d'hé
qué. Le len- demain je trouve la blessée dans l'état suivant : à la région temporale gauche à deux travers de doigt en arr
de sang soit par le nez ou la bouche, soit par les oreilles, toute la région temporale est le siège d'une vive sensibilité,
l'aphasie n'a pas lieu de surprendre. Nous avons cité, en effet, la région temporale comme la plus fréquemment atteinte pa
ions du caractère de l'homme à la suite de lésions du crâne pour la région frontale » Leonore IVelt rapporte de expérience
hapeau et, poursuivi, il prit la fuite. Il avait été frappé dans la région du pariétal droit. En saisissant sa canne et son
ier cervico-facial ; 2 tumeurs symétriques à la nuque ; une dans la région dorsale interscapulaire, une sur chaque épaule de
cale, derrière l'oreille droite, au creux sus-claviculaire, dans la région dorso-lombaire au niveau des dernières côtes (à g
la face laté- rale droite du cou. Progressivement, elle a gagné la région sus-hyoïdienne et enfin elle a envahi la face l
ntinue en arrière avec une autre tumeur bi- lobée qui siège dans la région de la nuque. De telle sorte que la tumeur a env
qu'en arrière et dé- primé sur les parties latérales. Au niveau des régions parotidiennes elle déborde de chaque côté, en a
est plus ferme, comme celle des fibro-lipomes. Les tumeurs de la région postérieure du cou sont un peu plus tendues, à
et tout près de la ligne verticale des apophyses épineuses, dans la région lombaire. Une petite tumeur assez profonde, sur l
Une petite tumeur grosse aussi comme une noix sous-cutanée, dans la région de l'hypocondre droit, toujours avec la même co
d'éviter la lésion des gros ^aisseaux et des nerfs importants de la région , englobés de toutes parts par le tissu graisseu
avec tumeur. Un sillon à la sur- face de celle-ci parait séparer la région sous-maxillaire de la région sus- claviculaire.
ur- face de celle-ci parait séparer la région sous-maxillaire de la région sus- claviculaire. De chaque côté, on trouve
énuer l'in- tensité de ses douleurs par la compression manuelle des régions endolories; ce- pendant les gencives paraissaie
nnière qui est proéminente. La mâchoire inférieure, surtout dans la région du menton, est comme enclavée dans la mâ- 256 S
en soule- vant un sac, douleur violente mais vite disparue dans la région sacrée. En 1881, apparition de mouvements vacil
x épaules, à la face, au cuir chevelu. Douleurs térébrantes dans la région lombaire. Douleurs constrictives dans la région
térébrantes dans la région lombaire. Douleurs constrictives dans la région lombaire, la région épigastrique, le front et la
région lombaire. Douleurs constrictives dans la région lombaire, la région épigastrique, le front et la tète. Crises vési-
voix, avec dyspnée et sensation de déchirement de la gorge et de la région sous-sternale. Dans l'intervalle des accès, la
re et se termine à la dernière vertèbre lombaire. En même temps, la région dorsale inférieure trouve une lordose très marq
n dorsale inférieure trouve une lordose très marquée, tandis que la région lombaire présente une cyphose mo- dérée. Dans
hose mo- dérée. Dans le fond de cette excavation lordotique de la région dorsale, on arrive il palper très facilement la
gauche se montrent plus facilement encore, les modifications de la région dorsale inférieure et de la région lombaire resso
encore, les modifications de la région dorsale inférieure et de la région lombaire ressortent encore davantage. Plusieurs
phose lombaire. La palpation un peu forte ou la pression dans cette région ne détermine pas de la douleur mais fait naitre
la douleur mais fait naitre une sensation désagréable. Quant à la région dorsale, on sent nettement une cavité entre les a
ient entassées à cet endroit. Il n'existe point non plus dans cette région de point douloureux cons- tant. Dans le décub
ction ni épaississement anormaux. D'autre part, on remarque dans la région lombaire droite une foule de plis cutanés en diag
ophyses épineuses sont sur- tout saillantes et volumineuses dans la région dorsale supérieure et dorso-Iom- baire. La co
six à sept gros plis cutanés qui vont s'épanouir en éventail dans la région dorsale postéro-inférieure. Enfin le bassin p
ns sa partie supérieure sans gibbosité angulaire. Enfoncement de la région omëo-sacrëe. Apophyses épineuses dorsales infér
surface. Pas d'anesthésie épigastrique profonde. Insensibilité des régions ovariennes. Pas de douleur à la pression de la
illie sous la peau; elles sont espacées et laissent entre elles des régions dépressibles au fond desquelles on sent les corps
ru de très gros bruits de craquements articulaires, au niveau de la région lombaire et dans les mouvements de flexion et d'e
autant plus accusée qu'elle se rappro- che du sacrum. Au-dessus, la région cervico-dorsale présente une courbure de compen
igri laisse voir la saillie des apophyses épineuses surtout dans la région lombaire. L'hémithorax gauche est plus développ
ni douleur localisée, ni douleurs irra- diées, et en particulier la région lombaire est absolument indolore. Jamais non pl
arquée, accompagnée d'une scoliose à convexité tournée à gauche. La région lombaire ne présente aucune modification dans l
uit une déformation lente de la colonne vertébrale. La courbe de la région dorsale supérieure est très augmentée. Les apop
a sixième ou septième vertèbre dorsale et vient se terminer dans la région lombaire. L'hémithorax gauche est aplati, diminué
animaux auxquels nous avons réséqué le nerf pneumogastrique dans la région du cou, avec son aide et sous sa haute directio
et la descrip- tion des coupes des ganglions plexi formes et de la région bulbaire en connexion avec le pneumogastrique r
ppliquer indif- féremment à toutes les cellules de n'importe quelle région du 'névraxe. Grâce à son procédé spécial de col
orme, nous avons réséqué le nerf pneumogastrique chez tous, dans la région cervicale, sur une longueur variant de un à deux
ue cas. ' Expérience I. Lapin adulte auquel on a réséqué, daus la région du cou, le pneumogastri- que droit sur une long
Jeune chat auquel on a réséqué le nerf pneumogastrique droit dans la région cervicale, avec les précautions ordinaires, sur
e. - Les lames et les lamelles sont très atrophiées dans toutes les régions du cervelet et l'atrophie porte sur les trois cou
le vermis que dans les hémis- phères. Dans le vermis, ce sont les régions centrales qui sont les moins atrophiées ; c'est
eu nets, obscurs, leur noyau irrégulier ou mal coloré. Dans cette région il n'existe ni hyperplasie névrogliqne, ni épaiss
onsidéré dans son ensemble, qui sont plus réduites. Les festons de la région postéro-interne du corps dentelé sont toutefois
XLVII, A, B, C). a) Moelle. - L'examen des fragments prélevés à la région dorsale et à la région lombaire, et examinés so
elle. - L'examen des fragments prélevés à la région dorsale et à la région lombaire, et examinés soit par la méthode de Pal,
les et colorées au carmin ne laisse aucun doute à cet égard. A la région cervicale, il y a deux particularités à relever :
avec les parties adjacentes du lobe semi- lunaire supérieur (cette région hémisphérique contient en effet plus de fibres à
consulter, à 4 ans. A cette époque, il a souffert de douleurs ;i la région précordiale, de pal- pitations, les digestions
des racines antérieures et des racines postérieures montre qu'à la région cervicale et à la région lombaire, il existe be
et des racines postérieures montre qu'à la région cervicale et à la région lombaire, il existe beaucoup plus de libres fin
lésions dans toute sa hauteur, particulièrement prononcées dans la région cer- vicale ; elles intéressent le faisceau de
al limitée, légèrement voilée. Léger degré de cyphbscoliose de la région dorsale il concavité dirigée à gauche Lorsqu'il
iculièrement dans la moelle dorsale, paraissent atrophiées. Dans la région moyenne de la moelle dorsale la petitesse de la
tégrité relative des noyaux centraux ou la conservation de quelques régions de l'écorce dans la plupart des cas et d'autre
servés nous-même, nous avons relevé 43 fois la mention exacte de la région du crâne atteinte par le coup. En voici la liste
iste par ordre de fré- quence : 372 RENÉ MARTIAL . choc sur les régions temporale et pariétale, ou plus généralement sur
sur les régions temporale et pariétale, ou plus généralement sur la région temporo-pariétale. Dans ces plaies, le cuir che
nné ci-dessus au sujet de la fréquence des traumatismes suivant les régions qu'ils affectent, la partie de la calotte crâni
ection accompagne l'hémiplé- gie. Il s'agit là d'une lésion de la région calcarine qui est considérée comme une sphère v
laquelle les radiations visuelles peuvent être atteintes dans cette région . La lésion peut d'ailleurs être produite par l'
orce, ne pénétrant cette dernière qu'en un point trop éloigné de la région calca- rine. Les traumatismes portant sur la
r une paralysie. D'habitude cette dernière survient par lésion delà région temporo-pariétale, l'os tem- poral n'étant guèr
ant guère plus souvent atteint que le pariétal. Lorsque, dans cette région , survient une fracture avec enfoncement, la paral
dernières se 374 RENÉ MARTIAL produisent le plus souvent dans la région temporo-pariétale, il est plus rare qu'elles af
ro-pariétale, il est plus rare qu'elles affectent principalement la région pariéto-occipitale ou la région fronto-temporal
u'elles affectent principalement la région pariéto-occipitale ou la région fronto-temporale. En tout cas il résulte de la lé
Foc. XV. La coucho optique est atteinte, le trauma a porté dans la région temporo-coronale. Fie. XVI. Le corps strié, l'e
couche optique, dupédoncule) oucompliquée : de troubles psychiques ( région antérieure de la capsule), de paralysie du mote
direction de coups frappés aussi normalement que pos- sible sur la région temporale,sur une ligne si tuée 7 centimètres au-
nte, le sont aussi par simple contusion. Ainsi les vaisseaux de ces régions profondes peuvent céder et s'ouvrir, sans que c
ette optique, et finalement fut retrouvée dans l'hémisphère droite, région pariétale à peu de distance de la faux du cerve
in, le quatrième sujet qui s'était tiré un coup de revolver dans la région temporale droite dut être trépané. On ouvrit au d
l présente ceci de commun que ce sont toujours à peu près les mêmes régions cérébrales qui sont blessées. N'avons-nous pas vu
t la même et que le plus grand nombre des traumatismes porte sur la région temporo-pariétale. Mais il y a un fait à remarq
e 24 ans, reçut, il y a sept ans, un coup d'un long couteau dans la région temporale gauche. Il eut une abondante hémorrha-
onyme droite qu'il ne soupçonnait pas lui-même. Il y avait, dans la région temporale une cicatrice linéaire longue de 2 cent
difier davantage une fois la barrière franchie. Néanmoins certaines régions cérébrales sont plus exposées au trauma- tisme.
le ; NC, noyau caudé, portion postérieure du ventricule latéral; C, région calcarimene. 1o'1G. Y. - Face externe dun cerve
e cerveau en laissant les broches en place et, disséquant un peu la région , nous avons constaté que d'un côté comme de l'a
on IX) le tube perforant a dû passer de l'os malaire droit, sous la région zygomatique et est arrivé à la base du FiG. 10.
u en arrière. La zone motrice est donc touchée, précisément dans la région des monoplégies crurales. Chez un malade de Gra
ération, résultat d'une propagation de voisinage, et siéger dans la région du pédoncule ou du mésocéphale adjacents : méning
e altération, il s'est développé un foyer de ramollissement dans la région de la sylvienne gauche. Ce foyer se propageant de
ble au niveau de la corne sphénoïdale. A la face ex- terne de cette région existe une énorme. saillie fluctuante dont nous s
it moins accentuée qu'au- jourd'hui. 402 ACHARD ET LCKPER et la région lombaire, et d'une certaine lassitude générale. I
puisqu'aucun trouble concomitant ni de la santé générale, ni de la région atteinte n'a pu être décelé. Il est ce- pendant
inguinale droite. Mis en nourrice, il dépérit rapidement ; dans la région lombaire, au-dessus de la crète iliaque gauche
eau du scro- tum pas de testicules. A droite hernie inguinale. La région lombaire présente une pigmentation brune sensible
n d'eux à l'exclusion des autres et se montre alors surtout dans la région dorsale. Elle crée aussi une cyphose dorsale co
r maintenir l'équilibre du thorax. Son siège de prédilection est la région lombaire; elle est ordinai- rement à connexité
ses épineuses, tuméfiées, dures, espacées, laissant entre elles des régions dépressibles, au fond desquelles on sent les corp
ement installée. Les lésions ont leur siège de prédilection dans la région lombaire. 11 nous faut donc examiner les déform
occupe un segment limité de la colonne dorsale el se montre dans la région dorso-lombaire (obs. I), dans la région lombaire
orsale el se montre dans la région dorso-lombaire (obs. I), dans la région lombaire seule (obs. IV et VI). Une troisième v
anales : leur seule carac- téristique est leur prédominance dans la région lombaire. Banales seront aussi par suite les dé
er dans le notnei espace inler-apophysaire et palper ai- sément les régions sous-jacentes. Ailleurs on seul une apophyse épin
opathies vertébrales tabétiques se localisent dé préférence dans la région lombaire et une loi de pathologie générale ver-
autour de l'ombilic en avant; i, ils se perdent en arrière dans la région lombaire. La taille paraît petite, le corps dis
n doux cathartique, - Pour chasser l'humeur plileginatique, De la région céphalique; etc. Au XVIIe siècle, la tabatièr
e d'appendices collatéraux et même de leur disparition totale. 2. Région occipitale. - La quantité d'appendices collatérau
uantité d'appendices collatéraux qui couvrent les dendrites dans la région occipitale comparativement avec les lobes frontau
a surface de l'écorce cérébrale. 3. Zone motrice du côté gauche. a) Région supérieure. - Sur bien des préparations on reçu
ui peut être observé assez souvent sur les dendrites basilaires. b) Région médiane. Le tableau microscopique a été approxi
ue a été approximativement le même que sur les prépa- rations de la région supérieure. L'examen des préparations de l'écor
ne déformation bien plus marquée dans les lobes frontaux et dans la région motrice gauche, que dans les lobes occipitaux. Da
ant les dendrites,a été bien moins grand comparativement à d'autres régions . L'état variqueux des prolongements protoplasma
es, comme, par exemple, sur celles du lobe frontal et surtout de la région motrice, on voyait une imprégnation d'un nombre
modifications sont les mêmes que celles dans le lobe frontal. C) Région motrice. - a) Partie supérieure. - Pour l'examen
ais seulement il y a ici bien moins de foyers de ramollissement. C) Région motrice (médiane et inférieure). - A l'examen sou
cérébrale et de la substance blanche sous-jacente de diffé- rentes régions des deux hémisphères, nous voyons que les prépara
égions des deux hémisphères, nous voyons que les préparations de la région motrice gauche diffèrent le plus des autres prépa
primaire; en outre il faut encore remarquer que par places dans la région motrice gauche nous avons rencontrer assez souven
voquaient l'apparition d'une masse de glo- bules granuleux. Dans la région motrice droite il y avait comparativement peu d
avec dégénérescence et désagrégation de la myéline. Dans les autres régions de l'écorce cérébrale on n'en observe que par pla
ut être suivi à travers la capsule interne gauche. En outre dans la région postérieure du genou postérieur on rencontre de
formation d'une masse de globules granuleux saute aux yeux dans la région du pied du pédon- cule du côté gauche. On voit
cellules'nerveuses sont rem- plies ici de pigment noir. V. De la région du pont de Varole a été prise la moitié gauche et
ssibilité de nous assurer, que les fibres dégé- nérées allant de la région motrice de l'hémisphère gauche descendent par les
aussi des blocs noirs de myéline modifiée. Moelle épinière. - I. Région cervicale. - a) Plus haut de l'intumiscence cervi
rations à l'oeil nu on voit une dégénérescence très marquée dans la région du cordon pyramidal du faisceau latéral ; l'endro
roit le plus dégénéré nous voyons que la dégénérescence approche la région externe de la corne postérieure où la limite inte
on rencontre plus de blocs noirs menus sur la péri- phérie dans la région du faisceau droit de B1t1'dach,du faisceau cérébe
radiculairees on ne rencontre qu'une dégénérescence disséminée. La région du canal central présente à de petits grossisse
ainsi que de la corne postérieure. b) Inlumiscence cervicale. - La région , où la dégénérescence est la plus marquée, a ap
ure ; l'angle postérieur du champ de dégénération, visible, dans la région située plus haut, apparaît ici comme coupé. L'e
e Türck est un peu plus rapproché du canal central. Dans les autres régions on observe appro- ximativement le même tableau,
régions on observe appro- ximativement le même tableau, que dans la région située plus haut de l'intu- miscence cervicale.
ans la région située plus haut de l'intu- miscence cervicale. Il. Région dorsale. - L'endroit de la plus grande dégénéresc
de la corne postérieure et la base au niveau du canal central ; la région de dégénérescence, en se raréfiant un peu, atte
moins rem- bourrées que les cellules de la corne antérieure. III. Région lombaire. - Plus bas que l'intuntiscence lombaire
tiscence lombaire à l'aeil nu on voit quoique pas très nettement la région dégénérative, située ventralement de la corne p
les racines postérieures a augmenté de beaucoup, surtout dans leur région intramédullaire. Les cellules de la corne antérie
les noirs. IV. Cône médullaire. - Même à l'oeil on aperçoit déjà la région dégénéra- tive dans les cordons postérieurs de
fibres dégénérées, parsemées çà et là, restent aussi dans d'autres régions de la substance blanche. V. Au niveau de la que
en contiennent plus. d'autres moins. VI. Coupe longitudinale de la région dorsale de la. moelle épinière,- Nous nous assu
ous avons déjà vu la dégé- nérescence à l'examen des morceaux de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substanc
côté opposé est plus dégénéré que celui du côté gauche. Déjà dans la région dorsale la dégénérescence des faisceaux de Tùrc
rnant l'endroit, occupé par le faisceau pyramidal dégénéré dans les régions dorsale et cervicale de la moelle épinière. il
inière. il faut remarquer, que son bord interne est contigu avec la région externe de la corne postérieure presque sur toute
les enveloppes spinales. La lésion des cordons postérieurs dans les régions infé- rieures de la moelle épinière est plus pr
nfé- rieures de la moelle épinière est plus prononcée, que dans les régions supé- rieures, ce qui dépend de cela que les fi
pend de cela que les fibres radiculaires sont plus altérées dans la région lombaire, que dans la région cervicale ; la parti
adiculaires sont plus altérées dans la région lombaire, que dans la région cervicale ; la partie intra-médullaire des raci
; la partie intra-médullaire des racines est plus altérée, que leur région extra-médullaire. Les cellules de la corne anté
E GÉNÉRALE 487 Coloration par les couleurs basiques d'aniline. I. Région cervicale (coloration par le bleu de méthylène et
s les blocs chromophiles se sont bien conservés (Pl. LXXII, F). II. Région dorsale (coloration par le bleu de polychrome). -
ets ; par places on voit une position excentrique du noyau. .111. Région lombaire (coloration par le bleu de toluidine,le
onserve une position centrale et assez souvent passe aussi dans les régions périphériques du corps cellulaire ; assez souvent
sont diminués en volume. Coloration par l'hématoxyline d'Apathy. Région lombaire. Puisque nous avons déjà parlé en détail
a paralysie générale. Procédé DE BUSCH. I. Hémisphère rauclte.-a) Région frontale.- Les cellules nerveuses con- tiennent
osés en groupes, auprès de la périphérie de l'écorce cérébrale.- b) Région occipitale.- On observe appro- ximativement le
uvent ressortant sur un fond plus clair d'une forme irrégulière.-c) Région motrice.- Pour l'examen furent pris six morceau
xprimé dans un degré bien plus faible. Là, sur les préparations de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substanc
bres dégénérées disséminées s'accumulent en grande quantité dans la région médiane du pied du pédoncule des deux côtés. Le
la moelle épinière, et aussi à un degré moins grand dans les autres régions de la substance blanche et çà et là dans la subst
s ; quelques-unes des cellules en sont pleinement rem- plies. - b). Région dorscrle.'llacroscopiguement on voit la dégénéres
voit la dégénérescence dans les mêmes systèmes comme aussi dans les régions décrites plus haut, quoique la figure de la dég
un peu changé ; on voit aussi à l'oeil nu la dégénérescence dans la région antérieure des cordons postérieurs. A l'examen
x pyramidaux latéraux, dans les cordons de Türck et dans les autres régions de' la substance blanche porte approximativemen
e approximativement le même caractère que la dégé- nérescence de la région cervicale. La dégénérescence dans la région antér
dégé- nérescence de la région cervicale. La dégénérescence dans la région antérieure des cordons postérieurs se trouve, à
ordons de Clarke contiennent aussi beaucoup de globules noirs. - c) Région lombaire supérieure. - On voit macroscopiquemen
tère disséminé. On observe une dégénérescence assez accusée dans la région postérieure des cordons postérieurs, dans les rac
scence, quoique à un de- gré bien plus faible, existe dans d'autres régions de la substance blanche. La dégénérescence des
ccusée. Une accumulation très marquée des fibres dégénérées dans la région ma- trice du pied du pédoncule peut être envisa
eut être envisagée comme la continuation de la dégénérescence de la région motrice de l'écorce cérébrale. Dans ce cas aussi
surtout des racines postérieures, est bien plus accentuée dans les régions inférieures de la moelle épinière que dans les ré
uée dans les régions inférieures de la moelle épinière que dans les régions supérieures de la moelle épinière; et ce fait à
donne une dégénérescence plus mar- quée des cordons postérieurs des régions inférieures de la moelle épinière si- tuées plu
centuée des fibres radiculaires et des cordons postérieurs dans les régions inférieures de la moelle épinière, que dans les p
SOUKUAKOFF ET GEIER res) a été envahie par la lésion plus que leur région extramédullaire, in- volontairement surgit l'id
supérieure droite suit plus lentement le mouvement de l'oeil. La région cervicale antérieure ne présente aucun changement
a face inférieure sont irrégulières, rugueuses, d'aspect poreux. La région malade ressemble à une lame de pierre ponce. Qu
par cette chute et par cette inclinaison du siège, surtout dans sa région lombaire ; elle sera dans l'incapacité désormai
ssus dystrophique. L'affection va se localiser : une vertèbre de la région lombaire présente LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉ
rces inverses, constantes, de grande intensité l'une et l'autre. La région lombaire est de plus la région la plus mobile de
rande intensité l'une et l'autre. La région lombaire est de plus la région la plus mobile de la colonne ver- tébrale ; c'e
tions banales, aux entorses vertébrales, plus fréquentes dans cette région que partout ailleurs, au lumbago, aux ostéo-art
ec des signes plus nets. L'ostéo-arthropathie est localisée dans la région lombaire : à ce niveau, existe une gibbosité, a
e IV. Chien adulte. On a réséqué le vago-sympathique droit, dans la région cervi- cale, avec les précautions ordinaires, s
du pneumogastrique droit, avec les précautions habituelles, dans la région du cou, sur une longueur de deux centimètres.
... La suppuration était tarie derrière l'oreille et la peau de cette région était dure et sèche. Le second jour, diminution
marquer un état paralytique et spasmodique alternativement dans les régions qui se succèdent à droite depuis la tête jusqu'
sorte que la face méningée regardait en dehors. Le cerveau, dans la région lésée, était réduit en bouillie on retira en ou
r l'arrêter. En saisissant l'animal, il éprouve une douleur dans la région occipi- tale gauche. Cette douleur persista, ma
ntre la moitié gauche de la face, y compris le nez, le men- ton, la région fronto-temporale, n'est pas aussi facilement perç
t pas aussi facilement perçu qu'à sa droite. L'esthésiomètre sur la région du facial droit, a donné 3 centimètres, à gau-
é 3 centimètres, à gau- che 6 centimètres. La localisation dans ces régions est bonne, mais imparfaite. La sensibilité à la
de paralysie provenant d'une blessure à la base du crâneou dans la région cervicale supérieure. Il mourutbientôt.En examina
1896, il était occupé à ramasser des copeaux lorsqu'il reçut sur la région Lemporo-pariétale gauche la flèche d'un fardier d
d'étendue. Une bosse sanguine énorme occupait une grande partie des régions temporale et pariétale gauches, elle dépassait la
épassait la ligne mé- diane en avant du vertex et s'étendait sur la région pariétale droite. Du côté gauche du crâne on se
la face, dépression crânienne. Thorax. - Il existe un méplat à la région supérieure de la moitié du thorax droit, immédi
ite restent complètement immobiles. Dans la partie supérieure de la région du sommet de la tête à gauche, se trouve une ét
aille avec des camarades et reçut un coup de morceau de fer dans la région gauche du crâne. Il s'ensuivit immédiatement la
culaires' Fic. 13. Une cellule nerveuse radiculaire provenant de la région lombaire, à l'état d'achromatose relative avec
rale, j'ai rencontré une légère méningite exsudalive localisée à la région lombaire. On peut con- clure, je pense, de ces
côté droit le foyer présente une topo- graphie différente. Dans les régions occupées par tous ces foyers les cellules ner-
onction d'une myélite diffuse qui a son maximum d'intensité dans la région dorso-lombaire et vers les régions supérieures
a son maximum d'intensité dans la région dorso-lombaire et vers les régions supérieures et se localise dans le domaine de la
p- parition subitement. Comme la lé- sion s'est localisée dans la région dorsale inférieure, le malade a pu vivre pend
B. Sic 17 C. - Coupe transversale de la moelle épinière d'un lapin ( région lombaire). Injection d'une culture de streptoco
duit une destruction systématisée de la surface du cytoplasma et la région altérée constitue une espèce de croûte qui adhè
E ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 593 elle est circonscrite à une région de la moelle postérieure ou antérieure. . Un be
la présence de foyers de myélite centraux autour de ce canal à une région supérieure à celle où on a injecté le microbe. Je
ête à une certaine distance et on ne le trouve pas toujours dans la région dorsale et cervicale lorsque l'injection de mic
ien colorables et on ne voit pas bien leur noyau. Au niveau de la région lombaire ces microbes siègent au pourtour de la
ns la paroi de la spinale antérieure. La lésion se présente dans la région dorsale inférieure avec les mêmes carac- tères,
ervations des cas d'amyo- trophie étudiés pour des muscles d'autres régions du corps par Lan- douzy, Déjerine, etc. Enfin
ectative, ainsi que des massages quotidiens sur les paupières et la région frontale. Il semble que, dans nos derniers examen
de Gourfein), entourée d'un croissant staphylomateux situé dans la région temporale dans 3 cas (Schenkl, Cabannes, 1er de
enveloppant tout le contour de la papille mais plus marqué dans la région externe (cas de Gast). La couleur de la papille
ombaire ; il existe en même temps une incurvation scoliotique de la région dorsale à convexité droite, d'où résulte une vous
mbres inférieurs, sur l'abdomen, jusqu'à la ceinture ; en certaines régions sur la jambe droite, à par- tir du genou en par
t étant con- servée et la thermanesthésie diminuée ou supprimée par régions d'ailleurs variables, suivant les moments. Av
ux ; et comme les troubles sensitifs prenaient parfois en certaines régions , la;for- me d'une dissociation relative de la s
ire, par LANNOIS (2 photocollogr.), 631. Tumeur congénitale de la région lombaire, par PIOLLET (3 photocollogr.), 71.
upes en 3 pl. photollogr.). 1. PIOf.LET. Tumeur congénitale de la région lombaire (3 photocollogr.), il. Sabrues et Fa
dème chronique héréditaire (Lan- Nos), LXXX, LXXXI. Tumeur de .la région sacro-coccygienne (PlOLMT), XIV. Tympanisme h
12 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
r est peu accentué : dans son ensemble, l'aspect infantile de cette région est tout à fait particulier. De même l'abdome
nt-bras est un peu plus lourd, mais les masses musculaires de cette région sont molles et flasques et ne présentent pas de
oigts sont élargis et épais, ils sont carrés à leur extrémité. La région métacarpienne est exagérément développée et très
est fine, lisse et tout à fait glabre : on observe enfin que cette région est ridée d'une façon exagérée et qu'elle est t
z bien proportionnées, toutefois elles se présentent en- flées à la région malléolaire à cause de varices anciennes qui se s
e Paris, 1907. Bergmanx ET STEU.mus. Tumeur de l'hypophyse et de la région hypophysaire. Journal de neurol., 1907, n· 16-1
, 64 centimètres. Sa colonne vertébrale (V. PI. V) présente dans la région dorsale une sco- liose avec la convexité du côt
e n'existe pas, l'espace entre les omoplates est aplatie. Dans la région lombaire, surtout quand on regarde de profil, on
d'une mobilité normale; il existe une très petite scoliose dans la région dorsale à convexité gauche ; l'ensellure lombai
rts, l'extrémité des doigts, les bras pendants, arrive à peine à la région de l'épine iliaque antéro-supérieure, tandis qu
re (Pierre Marie), ce qui crée un certain trouble de la forme de la région de l'articulation du genou. L'aulre cause de ce
re 1906). Malade d'une bonne taille, état général médiocre. Dans la région de la mamelle gauche, on voit une cicatrice. Au
Il est malade depuis 7 moi. Il a de fortes douleurs, surtout dans la région de la XIe côte. Elles débutent sur la face anté
A COLONNE VERTEBHALE 51 il avait le sentiment de courbature dans la région dorsale de la colonne ver- tébrale. Dans ces de
bile sous la peau. Elle n'est pas douloureuse au palper. Mais cette région , en de- hors de la tumeur et en bas, est doulou
uloureuse. Sur la face antérieure du corps,sur la poitrine, dans la région du muscle del- toïde il y a de nombreuses tache
0 Il iyin. Pendant 4 jours, le malade souffrait de douleurs dans la région supérieure de l'abdomen, sous les côtes, et sur
qui nota (le 25 août 1908) les choses suivantes : douleurs dans la région dorsale inférieure, le dernier temps aussi dans
é- sente une lordose lombaire tandis que la partie supérieure de la région dorsale présente une cyphose. La lordose lombai
cussion, le sang est plus mat de ce côté qu'à droite. La peau de la région fessière est tout à fait flasque. Les mouvements
st tout à fait flasque. Les mouvements de tous les muscles de celte région sont affaiblis. L'excitabilité mécanique est augm
périnée et des organes gé- nitaux est normale. La palpation de la région gauche de l'abdomen est douloureuse, on sent des
injection de morphine. Les douleurs ne sont pas bien localisées. La région la plus douloureuse est la partie inférieure de l
à droite. Météorisme. Membres inférieurs atrophiés surtout dans la région des fesses. Les réflexes tendineux sont conservés
de fortes douleurs des deux côtés, sous les côtes, dans différentes régions de l'abdomen (de même que des douleurs en ceint
c : tumeur de la colonne vertébrale dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la partie supérieure de la ,rég
inférieure de la région dorsale et dans la partie supérieure de la , région lombaire. Le malade retourne à Varsovie. Un mois
ement le point sui- vant : une gibbosité accentuée existait dans la région dorsale inférieure. Jusqu'à la mort, celle cyph
avant la mort que la douleur a atteint son point culminant dans la région de la XIIe vertèbre dorsale. De ce point aussi le
RTÉBRALE 55 Il y a 15 mois, la malade ressentit une douleur dans la région lombaire et des douleurs en ceinture dans le ve
sont égaux des deux côtés, inférieur droit aboli, la gauche faible. Région lombaire doulou- reuse, à un degré plus considé
ide sa colonne vertébrale. Quand elle se penche, la douleur dans la région lombo-sacrée augmente. La pression exercée sur
ans éprouve pour la première fois des douleurs persistantes dans la région sacrée qui s'irra- diaient vers la région abdom
eurs persistantes dans la région sacrée qui s'irra- diaient vers la région abdominale. Les douleurs envahissaient peu à peu
La douleur de la colonne vertébrale commence à se localiser dans la région entre les Ile et IVe vertèbres dorsales. Les ré
ganique grave dans la moelle épinière. II est possible que dans une région de la moelle (la a dorsale supérieure peut-être
thyroïde était augmenté de volume peu à peu apparaissait dans cette région une tumeur. Elle croissait audébntassez vite, p
he. Le malade se plaint encore d'une sensation de pesanteur dans la région précordiale, et de la respi- ration difficile.
exercée sur la XIIe dor- sale et la I''8 lombaire vertèbre. Dans la région supérieure des vertèbres dorsales du côté droit
bles. 26. - Le 'malade gémit sans cesse à cause de douleurs dans la région de la nuque et du dos. Autour de l'appendice ty
vertébrale (6, dans sa partie cervicale, 3 dans la lom- baire). La région de XIIe dorsale est douloureuse et empâtée. Quand
t il s'y forme une tumeur. Depuis deux ans, une autre tumeur sur la région supérieure du sternum. Douleurs de la nuque, un
e, une certaine immobilité de la colonne, fortes dou- leurs dans la région moyenne de la colonne vertébrale, douleurs en cei
umeur dure dans le lobe droit du corps thyroïde. Une tumeur dans la région supérieure du sternum. Les vertèbres XII° dorsa
la Ve côte à droite. Les rayons de Roentgen restent sans effet. La région de la XIIe vertèbre dorsale est très douloureus
rveux on peut les expliquer facilement. Les fortes douleurs dans la région de la nuque, l'immobilisation de la colonne 60
'a pas été constatée et le malade n'a pas eu de douleurs dans cette région (l'examen par la voie anale n'était pas fait).
la cuisse. Depuis deux mois ces douleurs se sont propagées dans la région de la jambe gauche le long de sa face autérieure.
bientôt après. RÉSUMÉ,- Dans ce cas,les symptômes débutèrent par la région sacrée et la face antérieure delà cuisse droite
de troubles sensitifs sur la face postérieure des jambes et dans la région du périnée. En résumant toutes ces données, nou
e de la cuisse. La douleur a atteint le maximum d'intensité dans la région de la fesse gauche et sur la face postéro-inter
et thermique, et le sens musculaire) est conservée excepté dans la région de l'anus, des fesses (5 travers de doigt de l'
ostérieure de la hanche gauche. Le maximum de douleur siège dans la région de la fesse gauche et sur le côté postéro-interne
s pouvoir atteindre sa limite supérieure). Anesthésie typique de la région anale fessière et des organes génitaux. En deho
de la face postérieure de la hanche gauche, le plus fortes dans sa région supérieure et de la fesse gauche non loin du pé-
quelquefois celle du genou et de la hanche. Escarre sacrée dans la région sacrée. Les réllexes abdominaux supérieurs sont
x segments suivants : un enfoncement considérable se trouve dans la région des Ve, VIe et VILe racines cervicales (compres
ne large zone autour de la racine antérieure; presque aussi bien la région des faisceaux pyramidaux et celle de Gowers ; le
ppeler que les fortes douleurs de la colonne verté- brale (ou de la région des nerfs sciratlryees comme on le verra plus loi
(Charcot). Minor et d'autres font remarquer que la douleur dans la région sciatique peut être le premier symptôme d'une m
cas rares surviennent surtout au cours des tumeurs siégeant dans la région lombaire ou cervicale, on note alors l'appariti
laires localisées sans réac- tion de dégénérescence (par exemple la région fessière d'un côté, les mus- cles du bras, etc.
que les symptômes cliniques et l'existence de tumeurs dans d'autres régions du corps indiquent la possi- bilité de métastas
r. Les 80 O FLATAU ' douleurs apparaissant à la compression de la région voisine de la colonne vertébrale sans douleurs
ssissement et la dilatation des vaisseaux et cloisons dans d'autres régions de la moelle). Quant à cette vascularisation de
égions de la moelle). Quant à cette vascularisation des différentes régions médullaires, il faut dire que dans un cas de ca
s de Dresde) que les moin- dres chances sont pour les tumeurs de la région inférieure (la queue de cheval). Parmi les au
'index est très accusé en raison de l'atrophie des muscles de cette région . Les ongles sont profondément rongés ; ils prés
ex. Elle réa- lise de cette façon une véritable main en pince. La région du poignet se présente aussi très atrophiée. Cett
scles de la ceinture scapulo-humérale.11 existe en effet dans cette région une très grande diminution de l'excitatihilité
t complètement abolie sur les nerfs et sur les mus- cles. Dans la région des cuisses, sur le droit interne et le droit ext
antérieur est à peu près 'inexcitable. Sur les autres muscles de la région supérieure des cuisses, 'il existe une diminution
iminution globale de l'excitabilité électrique. Les muscles de la région pelvienne ont donné des réactions électriques à
eur, mais on ne relève aucun signe d'atrophie musculaire dans cette région . Le cou est un peu amaigri, mais parfaitement m
ait normale. Il n'existe aucune trace d'atrophie musculaire sous la région scapulo-humérale. Les deltoïdes, les biceps son
pieds qui sont réduits dans un état d'atrophie extrême. Dans cette région , les parties molles sont réduites à la peau, au
on aux plus forts courants dont nous disposons (30 m A.). Dans la région des cuisses,on peut relever les mêmes altérations
s des contrac- ,' tions électriques : bien que les muscles de cette région soient encore valides : dans leur contraction vol
- ment abolie sur les uerfs et sur les muscles. Les muscles de la région pelvienne donnent des réactions inférieures à la
n des réactions électriques. Les muscles du cou, de la nuque, de la région cervicale et de la ceinture scapulo-humérale démo
anique, soit avec le courant faradique. De même les muscles de la région pelvienne sont doués d'une excitabilité électri
ne sont doués d'une excitabilité électrique normale. -- - Dans la région lombaire et dans l'abdomen, l'examen électrique d
hevelu situées l'une, au niveau du lobe frontal droit, l'autre à la région pariétale supérieure gauche ; pas de fracture du
eau du bras droit permet de conclure à une lésion localisée dans la région m.otrice gauche, à la partie supérieure de la f
Au mois de février 1903 elle a éprouvé des crises pénibles dans la région précordiale et des douleurs entre les omoplates
s abdominaux abolis, colonne vertébrale douloureuse surtout dans la région des IV et Ve vertèbres dorsales. La malade avait
llules rondes. Dans la moelle même on constate des lésions dans une région qui correspond à la tumeur extravertébrale, c'e
Dans les coupes colorées par la mé- thode de Marchi on voit que la région correspondant à la tumeurprésente une dégénér
dans le canal rachidien à travers les trous de conjugaison dans la région des IULE et Vie racines dorsales droites. La
'hôpital le 7 septembre 1905. Il y a dix semaines, douleurs dans la région occipitale. En même temps, gon- flement de la f
s inférieurs et sur l'abdomen jusqu'aux côtes inférieures. Dans ces régions la sensibilité douloureuse a dis- paru ; depuis
111° et IVe segments cervicaux. Ni au-dessus ni au-dessous de cette région on n'a décelé de modifications dans la structur
s certaines cellules, le noyau est excentrique. Au-dessous de cette région , par exemple au niveau du Vle segment cervical,
malade fait trois jours avant sa mort on constate une tumeur de la région supérieure du thorax envahissant le bas du cou
s peu modifiés. Pas de prolifération de la névroglie. Dans d'autres régions de la moelle, pas de lésion. Nulle part de dégé-
s récidive. 1 mois 1/2 plus tard, fortes douleurs brûlantes dans la région du sein droit. Les douleurs au début n'ont pas
ski) montre une tumeur au-dessous de la clavicule droite et dans la région des IVe-Vle vertèbres dorsales. Le malade se pl
Le malade se plaignait constamment de douleurs très fortes dans les régions mentionnées. Injections d'arsenic et de morphin
cembre 1906. Résumé. Dans ce cas il s'agit d'une tumeur occupant la région des vertèbres dorsales moyennes et pénétrant da
mphosarcome ? ) provoquait des douleurs localisées au début dans la région mammaire droite, instables, qui peu à peu se pro-
ible. 27 juin. - Pouls 120. Le malade se plaint de douleurs dans la région lom- baire. Affaiblissement général. L'urine es
oisées. Deux foyers distincts se voient préci- sément dans ces deux régions et le foyer gauche est plus considérable que le
droit et latéral droit voisin du précédent.) Au-dessous de cette région les foyers de lésion changent de place. Déjà da
rvons les noyaux de la névroglie. Dans un endroit seulement,dans la région d'un petit foyer situé dans le cordon anté- rie
loration du Nissl montre les cellules nerveuses dégénérées dans une région qui correspond à la tumeur. Il y a précisément la
tébrales. Pendant qu'on faisait sortir la moelle on a vu dans cette région un liquide laiteux s'écouler. Les masses néopla
e (il n'y a que des traces des fibres fines). Au-dessous de cette région la coupe de toute la moelle est comme dessinée
par la méthode de v. Gieson montrent les lésions suivantes dans la région de la moelle cervicale : lit où la coloration d
liquer l'apparition de petits foyers irréguliers dans dif- férentes régions de la moelle. Leur structure rappelle tout à fait
dent à ceux qu'on rencontre ordinairement dans les tumeurs de cette région .Les phénomènes nerveux peuvent être de deux sorte
s douleurs de la nuque et de l'occiput entre les omoplates, dans la région de l'un ou l'autre sein. Bientôt l'affaiblissem
ophies musculaires et des troubles sensitifs diffus ou limités à la région de certains nerfs, le cubital par exemple, peuven
os observations XII et XIII les masses néoplasiques sortaient de la région cervicale et du tronc (de l'angle formé par les
eurs peuvent persister longtemps et don- ner des déformations de la région correspondante (par exemple du cou, de la nuque
ints d'une affection du bulbe (par exemple le cas de tumeur dans la région du IVe ventricule, la mort rapide des tabétique
sthme de l'encéphale et l'augmentation du nombre des noyaux dans la région de l'a- queduc de Sylvius. Oppenheim ajoute que
qui correspondent topographiquement aux masses néoplasiques (ou aux régions voisines), d'autres peuvent naître en partie so
ure-mère. Dans le cas cité (obs. X) les foyers médullaires (dans la région cervicale) correspondaient à la localisation des
uer également. Il attire l'attention sur le fait que dans certaines régions médullaires (nous pouvons dire vertébrales), et
à travers les trous de conjugaison. Eh bien, la compression de ces régions peut provoquer l'arrêt de la circulation et san
core par ce procédé que l'on sera a même de déterminer dans quelles régions et dans quelles couches évoluent les processus pa
mptôme ? Il est évident que la lésion delà même couche dans la même région doit L constamment produire le même symptôme :
s diagnostiques fixes. Par un examen méthodique complet de toute la région et de chaque tissu, il faudra éliminer successive
mouvements rythmiques, ont chez la femme une prédilec- tion pour la région du bassin et imitent d'une façon parfaite les mou
HÉRÉDITAIllE 249 athlétique, particulièrement aux extrémités et aux régions fessières. Les mus- cles sont toniques. Le tiss
l'abdomen. Il existe une hernie inguinale gauche. Bassin ample, les régions fessières sont très développées. Les organes géni
supérieure à la moyenne, elles sont inégales, particulièrement à la région occipitale. Visage. La mâchoire inférieure est
es omoplates sont petites et raccourcies. La colonne vertébrale aux régions cervicales et dorsales ne présente rien de remarq
gions cervicales et dorsales ne présente rien de remarquable ; à la région lombaire au contraire il y a une forte lordose. S
ité il l'extérieur. Le système musculaire est très développé et aux régions fessières il forme des proéminences très accent
des portions cervicale et dorsale de la co- lonne vertébrale.' A la région lombaire il y a une forte lordose, ainsi qu'on
actuel. -La malade a le dos rond, légèrement voûté au niveau de la région cervico-dorsale et marche à petits pas. Dès qu'on
tés, des troubles de la vue et une hypoesthé- sie partielle dans la région du trijumeau. Ces symptômes s'améliorèrent tous
à se manifester la paralysie du facial dedroite, l'anesthésie dans la région correspondant à la première et à la deuxième br
la capsule interne droite, une endo-artérite oblité- rante dans la région de l'artère de Sylvius de droite et une méningite
ement qui affectait le noyau lenticulaire, la capsule externe et la région pyramidale de la capsule interne. Le même auteu
de la capsule interne droite, une hémorragie des deux côtés dans la région de la circonvolution angulaire à la suite d'une
nvier 1899. A la section, on trouva une méningite basilaire dans la région du pont de Varole et un ramollissement de la pa
he (janvier 1901), 290 COSTANT1N t dont l'état s'améliora dans la région de la branche supérieure, après une cure énergi
artérite ; un processus de méningite de la base du cerveau, dans la région des circonvolutions frontales de droite et de la
n, pendant qu'il travaillait, il fut frappé par un pieu de fer à la région fronto-pariétale droite. Il tomba à terre sans
s et de la céphalée, le soir, ayant son maximum d'intensité dans-la région temporo-pariétale droite. Les premiers jours de j
le crâne éveille de la douleur, surtout en correspon- dance avec la région pariéto-temporale droite. Vue normale, le fond mê
gite basilaire gommeuse, qui s'étendait en guise de bouchon vers la région de la capsule interne droite. Bailey, lui aussi,
une hauteur de 11 mètres, avait fait une cyphose progressive, de la région dorsale moyenne; 10 à 11 mois avant la mort, ét
s des membres inférieurs, et signe de Babinski bilaté- ral. Dans la région dorsale moyenne, existait une gibbosité arrondie,
. Au mois de février 1899, il a eu des très fortes douleurs dans la région lombaire. Elles ont duré six semaines. Puis ell
énormément. Depuis quelques.semaines, douleurs en ceinture dans la région inférieure de l'abdomen et sensation d'engourdi
ion inférieure de l'abdomen et sensation d'engourdissement de cette région et des membres infé- rieurs. Depuis quelques se
ublée. Constipation. Il urine avec difficulté. Les douleurs dans la région lombaire supérieure sont très fortes (elles se
ression. Quand on le secoue, il ressent une douleur modérée dans la région lombaire supé- rieure. L'état général est bon.
ELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 315 IXe. Dans la dernière région , la dure-mère semblait être plus vascularisée et
ologiques des méninges molles sont in- signifiantes à ce niveau (la région postérieure). En descendant (du niveau de la tu
x (Ilots de noyaux nombreux). Des hémorragies existent même dans la région sacrée, surtout au centre, dans la substance gris
DE LA COLONNE VERTÉBRALE 317 î étaient vives et localisées dans la région lombaire. Elles sont apparues pourla première f
ois avant l'opération ont apparu les dou- leurs en ceinture dans la région abdominale inférieure et l'engourdis- sement de
aut supposer que la moelle épinière se trouvait ramollie dans cette région avant l'opération et que le trauma opératoire p
nerveuse normale dans toute la moelle lombo-sacrée. Au-dessus de la région correspondant à la tumeur, la substance grise r
de cellules nerveuses normales, mais déplus on constate dans cette région , très éloignée du niveau du néoplasme, des foye
tion au niveau de la tumeur. Les méninges molles démontrent dans la région de la tumeur et à une grande distance d'elle une
ère est très amincie (fig. 14). L'examen mi- 1 croscopique de cette région prouve que le nombre des vaisseaux est augmenté,
tion du froid aux pieds, de douleurs dans le côté gauche et dans la région gastrique. Les contrac- tions douloureuses spon
emps en temps aussi apparais- sent des douleurs en ceinture dans la région ombilicale et des crampes douloureuses des moll
inférieur gauche; on constata de la douleur à la pression, dans la région des vertèbres dor- sales moyennes. On a hésit
re. Les coupes colorées par la méthode de Weigert montrent, dans la région du VIIIe segment dorsal (là où la tumeur attein
rivasculaires. Pas de signes histologiques d'une stase sanguine. La région postérieure de la tumeur adhère en un point à la
eaux plus larges que normalement. Pas de signes de stase. Dans la région du pôle inférieur de la tumeur, la moelle reprend
pinière à point de départ à la face externe de la dure-mère dans la région cervicale. J'ai eu l'occasion d'examiner ce cas
Y- et VI' racines cervicales postérieures la moelle épinière, dans la région des cordons postérieurs, présente un enfoncemen
suffisant (les zones périphériques des cordons antéro-latéraux, la région de faisceau pyramidal croisé, et la zone périph
ostérieurs le long de la cloison longitudinale postérieure. Dans la région des lire et lie segments cervicaux, on constate u
une manière pathologique ? ). En descendant, on voit déjà dans la région du pôle inférieur de la tumeur la figure bien d
ical (les lésions plus considérables sont-elles localisées dans les régions plus éloi- gnées des voies longues ? ). En outr
1907. Il y a 2 ans 1/2, la malade a ressenti une douleur dans la région inférieure et externe de la moitié gauche de l'
n inférieure et externe de la moitié gauche de l'abdomen et dans la région de la crête - iliaque gauche. Cette douleur n'é
t la malade com- mençait à souffrir de douleurs assez vives dans la région de l'articulation du TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINI
la face postérieure de la jambe gauche, trois plus petites dans la région de la malléole externe droite (toutes sont assez
dans les jambes et sensation de cons- triction en ceinture dans la région abdominale. L'anesthésie atteint la ligne ombil
re on a aperçu une tumeur fu- siforme longue de 3 cent. 1/2 dans la région des Xe,XI" et XIIe segments dorsaux et en parti
le. Examen microscopique. On a fait des coupes en série de toute la région de la moelle qui correspondait à la tumeur. Il
MEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 343 Dans la région qui correspond au pôle inférieur de la tumeur (XI
t dans la partie postérieure du faisceau cérébelleux gauche dans la région dorsale et cervicale. Le nombre de masses à gau
es douleurs ont débuté par la moitié gauche du bas-ventre et par la région de la crête iliaque. La douleur n'était pas for
Réflexes des muscles triceps abolis. La colonne vertébrale dans la région cervicale inférieure et dorsale supérieure est
. Analgésie complète des membres inférieurs et supérieurs dans leur région du coude. 16. Les douleurs des bras diminuent.
, situées en dehors de la dure-mère et recouvrant la moelle dans sa région cervicale inférieure. Le bout supérieur de la t
es rondes. On constate les foyers de lésions principalement dans la région du 181, segment dorsal. Les masses néoplasiques
es, de fibres myéliniques (gonflées ? ), surtout distinctes dans la région des cordons latéraux. Bien évidente est la dégé
colorées par la méthode de Weigert et de V. Gieson, on voit dans la région ci-dessus mentionnée(dans le premier dorsal) des
s cordons latéraux d'autres situés dans les cordons postérieurs (la région de commissure et des zones radiculai- .res) et
saient, tantôt dimi- nuaient. Anesthésie complète des jambes et des régions du coude. Incon- tinence de l'urine. Paralysie
s également les lésions de la moelle même étaient minimes. Dans les régions correspondantes à la tumeur,la moelle conservait
aines, douleurs dans le membre supérieur gauche. Dou- leurs dans la région lombaire et du côté gauche. Elles durent jour et
oelle : elle était comme gonflée par place. C'était surtout dans sa région dorsale. De plus on sentait à travers la dure-m
t ne font dans la moelle que des enfoncements peu profonds. Dans la région dorsale moyenne et supérieure, il y a des tumeurs
n voit une gomme partant de la face interne de la dure-mère dans la région du cordon latéral droit. Cette gomme ne change
érieure de la moelle. La dure-mère est notablement épaissie dans la région des cordons antéro-latéraux (par place elle est s
est soudée avec les méninges molles). La pie-mère épaissie dans la région des cordons postérieurs et par place ses cloiso
or- dons postérieurs sont un peu moins bien colorés, par exemple la région de la zone radiculaire gauche. Pas de gommes sy
a dure-mère et pénètrent dans la moitié droite de la moelle dans la région du cordon latéral (fig. 30). A un fort grossis-
ésentait des mouve- ments athétoïdes à la main gauche, enlève cette région de l'écorce cérébrale dans toute l'étendue et t
soumis à la volonté, je dirai quelques mots sur la structure de la région où se trouvent ces cellules. Les recherches de
qu'au sillon calloso-marginal par- tage également ce lobule en deux régions histologiquement distinctes, l'une antérieure,
ernière. Brodmann décrit encore d'autres différences entre ces deux régions , à savoir : la région située en avant de la sci
t encore d'autres différences entre ces deux régions, à savoir : la région située en avant de la scissure de liolando présen
ieur de la pariétale ascen- dante pour s'effacer à peu près dans la région du sommet et qui réappa- raît, un peu moins acc
XVIII) on peut voir facilement que ce lobule'est constitué par deux régions dis- tinctes : l'une antérieure, l'autre postér
identique comme structure à la pariétale ascendante. Donc, ces deux régions sont distinctes au point de vue histologique et l
ns sont distinctes au point de vue histologique et le passage d'une région à l'autre qui se fait assez brusquement se caract
5 . Ce qui achève encore de trancher ces différences entre les deux régions c'est que la partie antérieure est beaucoup plu
u 26 mai 1900. Journal de Neurologie, 1900, p. 221. 380 MARINESCO région inférieure de la moelle, des lésions dans les cel
s se proposent de répondre aux questions suivantes : 1° De quelle région de l'écorce cérébrale naît le faisceau pyramidal
ébrale naît le faisceau pyramidal ? 2° De quelles cellules de cette région prend-il son origine ? 3° Cette zone d'origine
respectivement 108 et 229 jours à une section de la moelle dans la région cervicale. Chez les animaux (chats, chiens, lém
des et superfi- cielles de la pariétale ascendante et de toutes les régions examinées. Les auteurs remarquent que ces.lésio
e d'une lésion du système pyramidal qui s'arrêterait à une certaine région de l'écorce et plus encore à certaines cellules
le nombre des cellules altérées ou disparues, de même, que entre la région plus ou moins atteinte par celte paralysie et la
lésions de la capsule interne les grosses pyramides profondes de la région postérieure du lobule paracen- tral réagissent,
harge pigmentaire de la même manière que les cellules de Betz de la région antérieure. Par consé- quent les deux ordres de
ans l'hémisphère gauche un foyer cortical de ramollissement dans la région temporale ; de petits foyers dans le noyau lenti-
ue. Aux membres supérieurs atrophie des muscles des avant-bras, des régions scapulo-humérales et thénars et hypothénars, les
ture de la colonne vertébrale qui avait sectionné la moelle dans la région lombaire inférieure. Durée de la maladie : 3 mois
4 mois. Examen macroscopique. Foyers myélitiques multiples dans la région dorsale inférieure. Examen microsco- pique. Dan
aladie anis et demi. Examen macroscopique. Foyer de myélite dans la région lombaire. Arté- rio-sclérose intense des centre
ant un défaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses, ainsi que Brissaud et Achard venaien
il y a défaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses. Ici, semble que l'on puisse faire inte
u pli du coude. Ce groupe de taches est particulièrement foncé à la région interne et médiane, où les macules sont cohéren
érieure de la face posté- rieure de la cuisse gauche, partant de la région interne sous forme d'une bande fortement pigmen
le présentée par notre naevus. Ce naevus recouvre donc toutes les régions innervées par les rameaux sen- sitifs cutanés d
vus sur la face interne du bras. Le nævus occupe donc en avant la région antérieure du 3e espace intercostal, du niveau
rcostal, du niveau de la 3 côte jusqu'à celui du 4° intercostal, la région mammaire, le creux de l'aisselle jusqu'à la lig
forcée, de façon à présenter la partie postéro-interne du bras, la région anté- rieure étant reportée en haut et en arriè
pour étaler ses branches terminales perforantes antérieures, sur la région antérieure du 3° espace intercostal, avec irrad
a sensibilité à la partie postéro- interne du bras (Morel), et à la région latérale de la cage thora- cique, partie supéri
u antérieur, allant horizontalement en avant, innerve la peau de la région antéro-latérale du 3° espace intercostal,puis v
u 3° espace intercostal,puis vient se distribuer dans la peau de la région mammaire où convergent également ses homonymes
érieure, elle devient nettement descendante (fig. 9) pour gagner la région péri-ombilicale sur la ligne médiane, la dépassan
masculin pesant 2.900 grammes, bien constitué. L'enfant porte à la région interscapulaire un vaste naevus pigmentaire plan,
ésion médullaire foetale plutôt qu'à une névrite simple. Dans cette région thoracique supérieure, où les trajets des nerfs s
E la face (PI. XXLII), depuis la naissance des che- veux jusqu'à la région hyoïdienne, suivant toute la ligne médiane fronta
de Voigt. * .... Sur 7 observations, 6 intéressent surtout les régions intercostales; 5 recouvrent manifestement les z
entimètres de hauteur environ, siégeant précisément au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale supérieure. O
taire, dont la direction croise celle des nerfs périphériques de sa région , par lésion du prolongement radiculaire dans so
ulletin médical, 1896. 412 ÉTIENNE paires spinales intéressant la région cutanée lésée, naevus-myélite que uous avons dé
s noevi sur les 'lignes de Voigt. Ces lignes ne constituent pas des régions neutres mais au contraire des territoires sur l
ment normal de ces formations. Or il est logique d'admettre que ces régions intermédiaires de Voigt, qui sont déjà le point
er d909, à la suite d'un effort, elle ressentit une douleur dans la région lombaire. Deux jours après, elle tomba deux fois
ids l'eut entrai- née vers le sol. En même temps les douleurs de la région lombaire se firent plus intenses, et prirent le
, sauf dans la colonne vertébrale où l'on observe une scoliose à la région lombaire, scoliose dont la convexité est tourné
é à la base du thorax postérieur droit ; à l'auscultation sur cette région , on perçoit de nom- breux râles demi-bulleux. L
ution de la 8c racine cervicale et première dorsale des deux côtés ( région ulnaire des avant-bras), en correspondance du t
), en correspondance du territoire de la 6° et 70 vertèbre dorsale ( région sous mamellaire) et de la 3e, 4e et 5° vertèbre
le (région sous mamellaire) et de la 3e, 4e et 5° vertèbre sacrale ( région parianale). La sensibilité thermique, barique e
ux, soit par une incomplète forma- tion de ce tissu dans toutes ses régions , les corps vertébraux ne perdent jamais leurs r
ires contraste avec la pilosité excessive du front, de la face. des régions dorso-lombaire et anale. Les cheveux sont noirs ;
est beaucoup moins accentuée : elle est à concavité gauche dans la région cervico-dorsale, à concavité droite dans la rég
é gauche dans la région cervico-dorsale, à concavité droite dans la région cervicale supérieure. L'allas et l'axis sont so
tend il se rapprocher de la corde de l'arc scoliotique. Dans les régions cervicale et dorsale supérieure le ligament verté
ercostal, de la sensibilité douloureuse et thermique dans les mêmes régions et en outre sur le membre supérieur droit et au-d
opération, les douleurs ont passé dans l'hypochondre droit et dans la région droite du sacrum. Contractions spontanées de la
ampe dans la jambe gauche et de douleurs intenses nocturnes dans la région de la nuque. Ces douleurs siégeaient aussi au cou
elons vers le bas. La sensibilité tactile était émoussée dans cette région d'une façon moins prononcée sur la jambe et le
pied gauche. La sensibilité douloureuse est affaiblie dans les mêmes régions (1) Ce cas rare de chromatophorome de la moelle
érieur gauche. La sensibilité thermique est atteinte dans les mêmes régions que la douloureuse (en arrière, elle envahissait
Pas de douleurs. On pose comme diagnostic probable : tumeur dans la région cervicale. Le 15 mars, le Dr Czarkowski pratiqu
es membres inférieurs et sur le tronc. La limite supérieure pour la région hypoesthésique est en avant une ligne passant au-
abo- lis. Enorme escarre sacrée. L'anesthésie est complète dans les régions décri- tes plus haut. -" La malade affirme qu
s présente une consistance et une colo- ration différentes. Dans la région correspondante à la partie centrale de la subst
. La coupe passant à travers le VIe segment cervical décèle dans la région ceu- trale de la substance grise une masse brun
moelle. On y voit dis- tinctement une fente syringomyélique dans la région centrale qui de là, en zig-zag, se rend on arri
sous forme d'une masse brunâtre molle que l'on trouve aussi dans la région de la corne antérieure droite. Au niveau du VIl
e segment dorsal on voit seulement la fente syringomyélique dans la région de la corne postérieure gauche. Il n'y a plus de
s. Il y a des lieux d'électicn pour ces douleurs, parmi lesquels la région de l'hypochondre. Outre ces régions les douleur
ces douleurs, parmi lesquels la région de l'hypochondre. Outre ces régions les douleurs peuvent siéger partout ; dans les
s en ceinture. Dans cer- tains cas les douleurs siégeaient dans des régions tout à fait imprévues, ainsi par exemple dans l
t dans des régions tout à fait imprévues, ainsi par exemple dans la région du caecum (dans le cas de Quanté où la tumeur e
dans la moelle dorsale supérieure), les douleurs siégeaient dans la région du coeur ! Les douleurs dans l'hy- pochondre s'
s sont pour ainsi dire distales, c'est-à-dire apparaissent dans les régions éloignées aussi bien des racines que des segments
Dans notre XXIE observation égale- ment,les douleurs frappaient la région de l'occiput (tumeur dans la moelle cervicale i
t dans le ven- tre, de courbature dans l'hypochondre et différentes régions des membres inférieurs. Les douleurs s'exacerba
. Cette dernière est surtout évidente dans les cas de tumeurs de la région cervico-dorsale ou lombo- sacrée. Oppenheim att
en question. Il est très important de constater une tumeur dans une région quelcon- que du corps. Ainsi, par exemple, dans
la moelle cervicale supé- rieure peuvent naître des douleurs de la région occipitale (Pulnam- Krauss-Park, Saenger), des
ique peut rester intact malgré la localisation de la tumeur dans la région correspondante de la moelle (Oppenheim-Krause).
lombaire les douleurs sont la plupart du temps unilatérales dans la région du plexus lombaire. Elles irradient généralemen
re. Les tumeurs de la moelle sacrée provoquent des douleurs dans la région sacrée, dans l'os du sacrum, dans le périnée et
irradient vers les pieds. Puis apparaissent des anesthésies dans la région recto-génitale et celle innervée parles racines
ement lent de la maladie, des accès de très fortes douleurs dans la région de la vessie et du plexus sciatique, des anesth
bilatérales depuis le début de la maladie, leur persistance dans la région de l'os sacral et du coccyx, une réaction de dé-
n de dé- générescence bien prononcée dans les muscles paralysés, la région lom- haire restant intacte tandis que la sacrée
genogramme a démontré une tache plus claire que normalement dans la région des ne-Ille vertèbres lomhaires, et la ponction
ns croit que, dans les cas où la tumeur intra-médullaire occupe une région de la moelle bien voisine de la mé- ninge molle
à la croissance graduelle de la tumeur le long de la moelle vers la région supérieure ou inférieure (le cerveau ou la queu
ns sa gaine cutanée, une pesanteur des jambes, la faiblesse dans la région sacrée, un engour- dissement des membres et des
esse dans la région sacrée, un engour- dissement des membres et des régions génitales, etc. De temps en temps les malades s
ose en plaques peut également provoquer l'anesthésie de cer- taines régions . Nous avons pu observer des cas où elle frappait
s et au-dessus de la tumeur. Dans les . 486 . .- . - FLATAU , " , régions assez, éloignées de la tumeur, des lésions un peu
t rares. Dans notre XIXé observation par 'exemple (le sarcome de la région cervicale inférieure et dorsale) on constatait au
e certaine distance de la tumeur. Dans le XVIIe cas (tumeur dans la région cervicale inférieure) on pouvait constater la d
leure preuve en est que les plus grandes lésions correspondent à la région la plus, comprimée. Il est fort- difficile de s
a lecture ne sont pas nécessairement liés avec la destruction de la région de la surdité verbale (Ti T2, et insula). En géné
ale soit de l'organe entier, soit d'un de ses lobes ou d'une de ses régions , dans les cas d'agénésie du corps calleux au co
AUtT ventricule sont hypertrophiées, les circonvolutions des auties régions sont souvent le siège d'une microgyrie accentué
s fibres constituantes servent à relier entre elles les différentes régions corticales d'un même hémisphère. Toutes ces fib
l'égarddu corpscalleux.LesGbres calleuses relient non seulement les régions symétriques des deux hémi- sphères,mais aussi l
ement les régions symétriques des deux hémi- sphères,mais aussi les régions asymétriques. Les connexions les plus symé- tri
LLEUX 511 Í un liquide séreux, se trouvait à comprimer fortement la région pariétale sous-jacente. Le cerveau paraissait q
ours. Le fais- ceau dérivé du genou du corps calleux et destiné aux régions postérieures, s'engage profondément entre la pr
émerger du rudiment calleux, affectent un trajet sagittal vers les régions plus postérieures et vont s'étaler au-dessus de
au persiste, démontre bien que celui-ci sert également à relier les régions intermédiaires. Pour lui, ce faisceau existe da
mière circonvolution limbique fait souvent défaut et l'écorce de la région correspondante est traversée par de nombreux sill
ils main- AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 519 tiennent que l'écorce des régions atteintes de microgyrie est normale à l'examen
limbique et le sillon calloso-marginal font également défaut, et la région correspondante de la face médiane des hémisphères
endant un document du fait qu'en toute-époque on a observé dans nos régions des exemples sporadiques de nanisme caractérisé
te mesurait 53 centimètres, il pesait 19 kilos; à bras étendus, les régions carpiennes arrivaient aux grands trochanters. I
irconférence de sa tête mesurait 48 centimètres. Chez lui aussi les régions carpiennes arrivaient aux grands trochanters ;
II) Magro Santo, âgé de 19 ans né liandazzo (Sicile), village de la région montagneuse de l'Etna. Hauteur de la taille : 1
ujet, il n'y a jamais eu aucun cas analogue de microsomie ; dans la région où notre patient est né, on ne connaît non plus
plus aucun cas analogue ; il faut cependant mentionner que dans la région montagneuse de l'Etna on observe, de temps, eu te
éoles brunes sont entourées de poils ; les poils sont abondants aux régions axillaires. L'examen systématique des poumons e
réflexes abdominaux et crémastériens sontvifs. Organes génitaux. La région pubienne et le scrotum sont CO\1Vi'rts de poils
rondi, mais à peine proéminent; la ligne qui sépare le ventre de la région inguinale est très nettement dessinée. Les orga-
peu. Les réflexes abdominaux sont normaux. Organes sexuels. - La région pubienne est complètement glabre et plutôt rich
de notre sujet ; nous devons cependant faire remarquer que dans la région de Cuneo, région alpestre, le crétinisme myxoed
nous devons cependant faire remarquer que dans la région de Cuneo, région alpestre, le crétinisme myxoedémateux est endém
famille, cependant qu'ils proviennent de familles différentes et de régions italiennes très éloignées entre elles. Mensurat
t constater un état parfaitement physiologique. La percussion de la région sternale supérieure et l'inspection radioscopiq
ion sternale supérieure et l'inspection radioscopique de cette même région ne donnent aucun symptôme qui dépose pour la pe
cifiques ou tl'HU- matiques), « qu'il existe à la base du crâne une région dont le déran- gement foetal... détermine la tr
sque muette. Le cartilage diaépiphysaire, c'est- à-dire toute cette région dont l'activité formatrice est considérable, se
essent au moment actuel, 21 concernent les tumeurs siégeant dans la région cervicale de la moelle, 57 dans la ré- gioi1 do
cervicale de la moelle, 57 dans la ré- gioi1 dorsale et 18 dans la région lombo-sacrée et coccygienne. Sur ces 96 cas, da
ue ces opérations furent exécutées à tous les niveaux. même dans la région des premières vertèbres cervicales. Dans le cas d
fut heureux. Krause dit franchement qu'il est prêt à opérer dans la région du 1er segment cervical. Quant aux détails conc
gnes (sarcome) ! Si au contraire on ne trouve pas la tumeur dans la région correspondant à l'incision de la dure-mère;' il
ordons postérieurs. Ils ont fait une incision longitudinale dans la région de la cloison longitudi- nale postérieure (mort
sion de la moelle épinière par pénétration dans le canal vertébral ( région dorsale) d'un kyste hydatique. Arch. gén. de méd.
89 p. 184. COLLINS. - A case of intraspinal tumor of the cervical région mistaken /or hypertrophical cervical pachymenin
mer. Journ. of Med. Sc., 1893, p. 613 ; Fibroma o/ the upper dorsal région ol the spinal cord. Philad. med..louru., 9, 190
s de la sclérose périventriculaire dans son ensemble. En dehors des régions périventriculaires, il existe plusieurs plaques d
Au-dessus de la plaque de sclérose, l'épithélium épendymaire et la région immédiatement sous-jacente sont très nettement
le, le réseau des cylindraxes est tout à fait identique à celui des régions voisines non démyélinisées. La différence d'aspec
nombreuses plaques de sclérose à tous les éta- ges. Certaines, à la région cervicale et à la région dorsale en particulier s
érose à tous les éta- ges. Certaines, à la région cervicale et à la région dorsale en particulier sont très étendues et oc
très étendues et occupent presque toute la surface des coupes. A la région lom- baire et à la région sacrée, elles sont mo
presque toute la surface des coupes. A la région lom- baire et à la région sacrée, elles sont moins étendues et occupent sur
r (2) signale comme lieu d'élection pour les plaques de sclérose la région péri-épendymaire de l'aqueduc de Sylvius. En ex
isation péri-ventriculaire était due à la richesse vasculaire de la région . Dans leur cas existait, en outre, autour de l'
localisation périventriculaire à la ri- chesse vasculaire de cette région a été surtout soutenue par Borst (2). L'altérat
des cas, sans solution de continuité, ce qui contribue à donner aux régions atteintes une coloration particulière, qui tranch
inflammation de- puis l'adventice jusque dans la média. Certaines régions de la tunique moyenne ont moins bien pris la colo
x petits foyers produit une rétraction plus ou moins marquée de ces régions . Les parois qui les recouvrent, l'in- time en p
conformées. On note toutefois un léger degré de microgyrie dans la région fronto-pariétale. Le cunéus est inéga- lement d
l'aspect est nettement cicatriciel. La pie-mère qui recouvre cette région est tendue, adhérente et très épaissie. La face
t de beaucoup plus large qu'à l'é- tat normal, ce qui donne à cette région l'aspect de l'atrophie corticale sénile. La cir
Au niveau de la face interne de cet hémisphère, on retrouve dans la région pariétale la même configuration atypique que dans
es fascicules de fibres nerveuses, ce qui donne aux coupes de cette région l'aspect d'une mosaïque. On dirait que le centr
peuvent être que des fibres calles. Les radiations qui naissent des régions inférieures de la convexité se rassemblent en p
ubstance grise hétérotopique, encore abondamment distribuée dans la région latérale de l'hémisphère. La capsule externe est
la couronne rayonnante fronto-pariétale se rend d'une pièce dans la région sous-corticale de la circonvo- lution limbique.
LLEUX G37 Lobe pariéto-temporal. Dans la partie antérieure de cette région et correspondant à la moitié antérieure de la c
que l'on peut t suivre avec la plus grande facilité jusque dans la région sous-corticale de la circonvolution limbique. C
bres de projection bien colorées. Les faisceaux d'association de la région latérale de l'hémisphère, le faisceau arqué de Bu
e le reliquat d'un processus inflammatoire intense dont toute cette région a été le siège. On trouve, en effet, dans le voi-
faisceau arqué de Burdach se dessine plus nette- ment que dans les régions antérieures. On note une fusion corticale passez
obules de l'insula et la première circonvolution temporale. Dans la région comprise entre l'extrémité postérieure de la couc
t de former de véritables excrois- sances. Dès que l'on aborde la région où le carrefour ventriculaire atteint son maxi-
et l'autre de ces deux systèmes, grâce à ce fait que dans toute la région du carrefour ventriculaire, les fibres du trigone
i en- tièrement conformes aux faits que nous avons observés dans la région pariéto- temporale. Nous avons vu en effet qu'à
e anomalie du tapétum, les couches sagittales péri-ventriculaires des régions correspondantes présentent un aspect assez curi
très marquées et très étendues. Le tapétum s'étend peu à peu vers la région occipitale, mais ne dépasse pas encore en arriè
u'au pôle frontal. En dedans du faisceau sagittal médian et dans la région sous-corticale de la circonvolution limbique, o
interne de la couche optique suffisent à démontrer que toute cette région a été le siège d'un processus destructif extrêm
les fibres poursuivent un trajet parallèle au sien, au niveau de la région immédiatement sous-corticale de la circonvo- lu
st elle-même le siège d'une symphyse plus étendue. Dans toute cette région , la corne AGÉNÉRIE DU CORPS CALLEUX 653 tem
ns avec ceux de la couche sagittale interne, dont le trajet vers la région sous-corticale de la circonvolution limbique rest
rgit de plus en plus constitue à ce niveau le seul fais- ceau de la région interne de l'hémisphère, et, s'unissant au tapétu
'absence de la majeure partie d'un hémi- sphère, d'un lobe ou d'une région quelconque,quel que soit le mécanisme en jeu, q
rans- met certainement les fibres de projection qui se rendent à la région de l'insula ou qui en proviennent, elle renferm
ïdal. 660 AItCIlAnI l3AULT La structure de l'écorce au niveau des régions atteintes de microgyrie ne nous a pas paru diff
és; les « dérangements » d'origine infectieuse ou traumatique de la région centro-basale du crâne seraient alors à incrimi
13 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
ébauche,1 ré- sulte en grande partie d'une flexion latérale de la région lombaire. Il est donc possible que la scoliose
in (fig. 7). Mais la courbure de compensation, au lieu d'occuper la région dorsale, peut occuper la ré- gion cervicale. Al
acro-vertébrale serait irréalisable. Toutes les articulations de la région lom- baire entrent en jeu, et souvent même auss
ire entrent en jeu, et souvent même aussi les arti- culations de la région dorsale. Donc au sur et à mesure que la colonne
synoviale. Quelques tremblements fibrillaires apparaissent dans la région du jambier antérieur et des péroniers latéraux.
uses, le spasme musculaire correspond d'une manière générale à la région endolorie. De même, dans la sciatique spasmo- d
ureux peuvent occuper, du côté opposé à la névralgie sciatique, des régions indépendantes de la distribution du nerf sciati
très souvent d'autres points doulou- reux, principalement dans les régions lombaire et périnéale, qui accusent évidemment
dite, l'incli- naison rachidienne croisée est plus prononcée à la région dorso-lombaire ; et elle est souvent associée à
ombaire ; et elle est souvent associée à une courbure inverse de la région cervico-dorsale, courbure compensatrice, destin
aux muscles innervés par le nerf sciatique ; elle s'étend, dans la région laté- ralè du tronc, aux muscles innervés par l
aux muscles du membre inférieur et ne s'étend pas aux muscles de la région lombaire, la scoliose est croisée, comme dans l
pas constamment, des dou- eurs au dos, douleurs rongeantes dans la région lombaire supé- 44 CLINIQUE NERVEUSE. rieure,
à l'hypogastre, s'exas- pérant par la pression; matité dans la même région ; n'a pas uriné depuis l'accident. T. 38°,2 ; me
montrent au cordon latéral de la moitié gauche du tiers moyen de la région dorsale un grand foyer légèrement coloré en gri
jaunâtre ; il n'y a pas trace d'hé- morrhagie. Au-dessous de cette région , on voit une dégénérescence descendante du cord
a régression granulo-graisseuse des éléments histologiques de cette région de la moelle. Au centre de ces foyers, on trouv
ès propre à l'examen. Le maximum d'altération avait pour siège la région dorsale infé- rieure ; elle commençait un doigt
on au-dessus du renflement lombaire et allait jusqu'au milieu de la région dorsale et un peu au delà. Les cordons latéraux
nce nor- male est nettement délimitée. Dans quelques endroits de la région 54 CLINIQUE NERVEUSE. dégénérée, dans les cor
e et leur substance paraît fragile. Les coupes transverses de cette région montrent des foyers de dégénérescence décolorés
le tableau d'une dégénérescence disséminée des cordons blancs de la région dorsale de la moelle ou d'une leucomyélite dors
dégénérescence typique des cordons pyramidaux ; en haut, vers la région cervicale, il y avait une dégénérescence descenda
nde partie endurcis à un degré très élevé. La substance grise de la région cervicale et lombaire est intacte. A la région
ubstance grise de la région cervicale et lombaire est intacte. A la région dorsale seulement et même d'un côté, un endroit
CAPHANDRES. 57 tébrale n'était pas douloureuse. On voyait déjà à la région dor- sale une plaque rouge douloureuse, c'était
e, émanant sans doute des plexus veineux nombreux situés dans cette région . La surface externe de la dure-mère humectée pa
e épinière dans ses diffé- rentes parties, nous avons trouvé que sa région lombaire en grande partie et le tiers supérieur
que sa région lombaire en grande partie et le tiers supérieur de la région dorsale avaient subi le ramollissement blanc à
uand on pratique des coupes transversales de la moelle surtout à la région dorsale, on voit la substance blanche faire saill
lombaire tout à fait à l'état normal. Au contraire, l'aspect de la région dorsale est tacheté : on distingue des points p
montrer que chacune de ces mémoires par- tielles a son siège à une région déterminée de 1-'écorce de l'hémisphère gauche
de l'hémisphère gauche du cerveau. L'anatomie nous enseigne que les régions auxquelles se rattachent ces spécialisations fo
cial inférieur et du membre supérieur peut, par l'ischémie de ces régions et la suppression des incitations motrices vo-
ite éten- due de la partie supérieure de la pariétale ascendante, régions ou siège le centre psycho-moteur du membre infé
entralespi- nale postéro-latérale, avec les syndromes propres aux régions lésées de la moelle. Le siège des lésions au ce
correspondant à peu près aux territoires deDHG de Munk; 2° sur ! a région pariétale et angu- laire (à peu près F de Munk)
a région pariétale et angu- laire (à peu près F de Munk); 3° sur la région occipi- tale (A de Munk). Dans la première séri
ndait bien au delà, et qu'il rayonnait en tous sens vers les autres régions motrices. Voilà une nouvelle preuve de cette to
ci en quelles pro- portions les lésions affectaient les différentes régions du cerveau dans les 47 cas cliniques recueillis
les circonvolutions voisines, telles que celles du lobe frontal ( régions antérieures des trois frontales), du lobule pcc
née et musculaire, à moins que le processus morbide ne s'étende aux régions ro- landiques. Peut-être cependant cela n'est-i
t-être cependant cela n'est-il déjà plus tout à fait exact pour les régions antérieures du lobe frontal, pas plus que pour
1, observé un fait qui permettrait d'é- tendre la zone motrice à la région préfrontale de la face interne delà F,, ainsi q
a- quelle le centre de la sensibilité générale siégerait dans les régions de l'hippocampe, « l'observation cli- nique, di
corti- cale de la sensibilité générale apparaîtra divisée en deux régions : la première serait localisée dans les lo- bes
hy- pothèse de Lisso, les lésions superficielles de l'écorce des régions motrices détermineraient des troubles de la sen
fois les grandes cellules pyramidales de Betz subsistaient dans les régions motrices atrophiées de l'écorce. Ces auteurs en c
ngrenage », qu'une lésion limitée de l'aire sensitivo-motrice d'une région cor- respondante du corps, a des effets beaucou
des effets beaucoup plus étendus, et retentit souvent sur d'autres régions plus ou moins éloignées, voire sur toute la moi
e. Odorat et goût, normaux des deux côtés. 26. La pression sur la région ovarienne droite détermine une sensation de bou
uement. Appétit ré"ulier. Travaille bien. Zo ne hystérogène dans la région ovarienne droite. La sensibilité parait normale d
Ces tressaillements dureraient presque toute la nuit, passant d'une région aune autre. Pas de peurs, pas de cauchemars, pa
us systématiques et épileptiques, la paroi pos- térieure de la même région semble altérée dans sa couche con- jonctive. Ce
ué pendant un temps assez long sur des points différents d'une même région . L'auteur est con- vaincu que par l'emploi de c
, avant son entrée, s'était plaint fréquemment de souffrir de cette région , et pendant la vie, ce rein était senti profond
région, et pendant la vie, ce rein était senti profondément dans la région iliaque gauche, où on l'avait pris pour une mas
ervé la formation cavitaire que je vais décrire. Elle siégeait à la région cervicale supérieure et s'étendait vers le bas,
uche. La moitié droite de la branche horizontale se porte dans la région de la commissure grise, au-devant des cordons p
exion vers le côté opposé. Lorsqu'on arrive dans le voisinage de la région où la lésion disparaît, la forme de cette derni
abituel de la néoplasie glioma- teuse est la commissure grise et la région du canal central. C'est également dans cette
-à-dire que les fonctions du cerveau varient avec les différentes régions de cet organe. L'anatomie non seulement ne LES
urait même dire si cette hétéro- généité fonctionnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de forme e
s variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces régions . La physiologie ne met pas en doute qu'entre le
u et de la moelle, et les rapports fonctionnels des diffé- rentes régions du système nerveux. Malheureusement, les plus c
re les cellules, considérées individuel- lement, et les différentes régions de l'écorce, ces rap- ports fonctionnels dont i
fonctionnels qui relient les éléments cellulaires des différentes régions de l'écorce cérébrale. Les fibres de la 11C cat
les. Quant au consensus physiologique que l'on constate entre les régions sensitives, ou sensitivo - motrices, et les rég
ate entre les régions sensitives, ou sensitivo - motrices, et les régions sensorielles de l'écorce cérébrale, Golgi l'ex-
présenteraient seules les conditions d'une transmission directe des régions centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quan
u cerveau, une indication physiologique quelconque. Dans toutes les régions des centres nerveux, les deux types de cellules
, qui existent bien dans toute l'écorce, elles occupent surtout les régions supérieure et moyenne de l'écorce. J'avoue qu
lobuleuses et des cellules fusiformes, plus nombreuses qu'en aucune région de l'écorce, qui dominent. Cette division des
tion du lobe occipital, Golgi, qui nie que les divisions de cette région en sept ou huit couches (Clarke, Meynert, Hugue
problème de la structure et de la nature fonctionnelle des diverses régions de l'écorce cérébrale ne peut sans doute être p
fonctions que la physiologie et la clinique ont attribuées à ces régions . Toutefois, nous ne saurions aller plus loin, e
perflue que celle de Jean 3111ller, qui attribuait aux différentes régions du cerveau des énergies fonction- nelles spécif
finiment, si bien que la possiblité de ces suppléances des diverses régions du cerveau rendrait inutile l'hypothèse de tout
s détruire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions cérébrales. C'est ce qu'avait cru ob- server Gu
(hémiopie, etc.). Quand les excitations optiques ont atteint cette région de l'é- corce,'elles y sont sans doute conservé
ries de cellules nerveuses l'emportent en ' nombre dans certaines régions déterminées; qu'elles y affectent un mode spéci
nt toujours insisté sur la structure des éléments histologiques des régions mo- trices et sensorielles de l'écorce. Dans so
rce cérébrale, qui oscille entre 2 et 3 millimètres, varie avec les régions d'un même hémis- phère, avec l'âge et le sexe.
les régions d'un même hémis- phère, avec l'âge et le sexe. Dans la région jJ7'él'olan- dique, l'écorce croît en épaisseur
met des circonvolutions, le minimum au fond des scissures.. Dans la région olaitcli jue, tandis que la face de la FA qui l
t à la paroi postérieure de la FA. Les recher- ches de Conti sur la région postrolandique ne sont pas moins intéressantes.
l'épaisseur de l'écorce diminue; elle est à son minimum dans cette région où existe le type à huit couches de Meynert. Ce
aites à la distance d'en- viron 1 centimètre, elle atteint, dans la région postro- landique, , 0 , 6111111 alors que, dans
, dans la région postro- landique, , 0 , 6111111 alors que, dans la région préro- landique, la différence n'est que [de 0,
o- landique, la différence n'est que [de 0,1 à 013111111. Dans la région du ruban rayé de Vicq d'Azyr, qui correspond au
divisé chaque hémisphère en trois sections transversales. Ces trois régions , en rapports définis avec les ganglions de la b
finis avec les ganglions de la base, sont appelées par Corti : 1° région jw< ? y< ? o6M ? 'e, en avant d'une secti
arrière d'une coupe passant par l'extrémité interne de la PA; 3° région ganglionnaire, correspondant à la région compri
émité interne de la PA; 3° région ganglionnaire, correspondant à la région comprise entre les deux régions précédentes. Da
on ganglionnaire, correspondant à la région comprise entre les deux régions précédentes. Dans la première de ces régions, l
omprise entre les deux régions précédentes. Dans la première de ces régions , les différences quantitatives de volume de la
stance grise diminue naturellement sur toute l'écorce. Mais dans la région préganglionnaire, après avoir dépassé la valeur
substance blanche chez les adultes et chez les vieillards. Dans la région postganglionnaire, elle augmente, relativement
e scissure, jusqu'à l'extrémité du lobe occipital. Enfin, dans la région intermédiaire, Conti a trouvé une sorte d'équi-
l ne suffit pas de con- naître l'épaisseur relative des différentes régions de l'écorce cérébrale : il faudrait déterminer
erveuses ne laissent pas de se rencontrer en particulier dans les régions inférieures de l'écorce qui confinent à la subs-
corce de tous points comparable à ceux qui existent déjà pour cette région du cerveau ? ' ! L'étude d'anatomie pathologiqu
ues, le maximum de diminution de l'écorce s'observe, dit-il, sur la région rolandique, et notamment sur la PA. La région p
serve, dit-il, sur la région rolandique, et notamment sur la PA. La région prérolandique vient en seconde ligne à cet égar
La région prérolandique vient en seconde ligne à cet égard, puis la région postro- landique. On peut rapprocher de cet ess
et qui situe le siège principal de la pa- ralysie générale dans la région fronto-pariétale. Les troubles de la sensibilit
ensibilité générale dans la zone dite motrice, c'est-à-dire dans la région fronto-pariétale, - hypo- thèse qui a reçu de G
. 800. Tête. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région occipitale, saillie prononcée des bosses pariétal
jaunâtres, squames, etc.). IDIOTIE l\IYXOED1'I¡\ TEUSE. 22't Les régions malairessont saillantes. Lus, joues sont volumine
la peau est d'une blancheur cireuse, comme translucide en certaines régions , notamment aux oreilles et aux paupières, au po
posté- rieure des joues, sur le cou et sur le ventre. Sur d'autres régions , elle est rugueuse et donne au toucher la sensa
énéralisé et accompagnées de vices dans la circulation veineuse des régions abdominales devraient céder à de telles applica
des plis auriculaires libres (cauda helicis de His), tandis que la région du promontoire auriculaire (hélice ascen- dante
e l'enroulement inégal du bord de l'hélix suivant les dif- férentes régions de l'organe, - Si nous nous reportons à l'oreille
'ensemble du règne animal (lapins -chiens - hommes) entre certaines régions du cerveau et les segments correspondants du ce
istait une lésion organique des centres, une tumeur par exemple des régions motrices. L'affection ayant guéri au bout de hu
e a diminué de volume. On constate aussi une hémianesthésie dans la région de la moitiédroite de la tête et de toute l'ext
ro-sphénoïdal. - La pie-mère était épaissie surtout au niveau de la région frontale où elle était rugueuse et hyperhémiée.
lancher du quatrième ventricule, une tumeur comprimant cette même région , un coup sur la tête, ne puisse devenir le point
inution de l'excitabilité faradique et galvanique des muscles de la région antéro-externe des jambes, qui, bien qu'assez c
lit. En réalité, la tem- pérature n'est nullement augmentée dans la région à 330 CLINIQUE NERVEUSE. ces moments et même
ensibilité profonde articulaire n'est pas moins inléressée dans les régions correspondantes que la sensibilité superficielle
pathologique, et cela, au point qu'on ne compte pas moins de douze régions fasciculaires dans chacun des hémisphères figur
pensable de s'entendre sur la nomenclature déjà compliquée de celle région , avant que de discuter les particularités aiuil
latérale antérieure mixte de Flechsig, faisceau périphérique de la région antérieure de Bechterew, situé à la périphérie
n de l'apparence qu'il offre, juxtaposé à son symé- trique (dans la région lombaire inférieure, le cordon de Goll n'est pl
table d'exiger très peu de temps. Examen de la moelle épinière. - Région lombaire. - Eu examinant les coupes avec un fai
rémiés. Cette altération se voit dans la partie inférieure de la région sacrée, là même où n'existent pas encore de lésio
s du cordon postérieur : elle est beaucoup plus prononcée dans la région lombaire moyenne, et elle tend à disparaître au s
et elle tend à disparaître au sur et à mesure qu'on s'élève dans la région dorsale. Toutefois, cette lésion n'est pas très
oi épaissie et leur lumière se trouve oblitérée. Transition de la région lombaire à la région dorsale. - Les fibrilles d
lumière se trouve oblitérée. Transition de la région lombaire à la région dorsale. - Les fibrilles de la zone marginale d
postérieures sont moins altérées qu'à la partie inférieure de la région lombaire. Le triangle formé par le faisceau pyram
eures contient un plus grand nombre de fibres nerveuses que dans la région lombaire. Il existe de mème une augmen- tation
nuées de volume et se colorent mal sous l'influence des réactifs. Région dorsale moyenne. - La sclérose porte ici sur les
s cordons de Goll sont plus pauvres en fibres nerveuses que dans la région lombaire. La partie des cordons de Burdach qui
a corne postérieure et le cordon latéral est plus mince que dans la région lombaire. Le cordon pyramidal et le cordon de F
est tournée vers la péri- phérie et dont le sommet s'avance vers la région intermédiaire des cornes antérieures et postéri
trois cellules nerveuses pâles, atrophiées et sans prolongements. Région dorsale supérieure. La zone antéro-externe de W
ules sans prolongements et plus petites qu'à l'état normal. Dans la région dorsale moyenne et supérieure, on voit avant et
à la ma- nière d'un coin. (PI. I, fig. 1 - a.) . Transition de la région dorsale à la région cervicale. La dégénérescenc
n coin. (PI. I, fig. 1 - a.) . Transition de la région dorsale à la région cervicale. La dégénérescence persiste avec les
s accru. Quant au cordon de Burdach. on peut constater que toute la région des cornes postérieures est limitée par une ban
e la plus riche en fibres nerveuses est celle du tiers antérieur. Région cervicale inférieure. Les racines postérieures so
ntactes. La zone qui les limite de chaque côté est normale. Dans la région postérieure du cordon de Burdach on trouve une
cée. Le champ du faisceau pyramidal est moins atteint que dans la région dorsale supérieure. Le cordon de Flechsig, séparé
é. La lésion empiète en avant sur la limite normale de ce cordon. Région cervicale moyenne. - Il n'y a pas grande différen
ne. - Il n'y a pas grande différence entre les altérations de cette région et celles de la précédente. Le faisceau cérébel
est intacte ainsi que les racines antérieures et posté- rieures. Région cervicale supérieure . - On peut dire en général
sion. Il en est de même des noyaux des nerfs bul- baires. Dans la région supérieure du bulbe, on voit immédiatement au-d
rdons postérieurs dans leur'totalité plus accentuée an niveau de la région lombaire. Cordons latéraux altérés en grande pa
Atrophie des racines postérieures. Dans la moitié inférieure de la région cervicale, on trouve deux canaux longitudinaux
platissement antéro-potérieur de la moelle, surtout au niveau de la région cervicale. Epaississement de la pie-mère. Dans
ne les ré-uttats suivants : épaississement de l'arachnoïde dans les régions cervicale et dorsale. Adhérences circonscrites
Adhérences circonscrites de la dure-mère et de la pie-mère dans la région dorsale. Pie-mère épaissie, et dans la région c
e la pie-mère dans la région dorsale. Pie-mère épaissie, et dans la région cervicale constituée par une grande quantité de c
ère est plus mince ; la diminution de volume existe surtout dans la région postérieure et porte spécialement sur les cordo
re et porte spécialement sur les cordons postérieurs. Néanmoins, la région antérieure et la substance grise sont également
l'on ne peut croire que le processus morbide se soit propagé des régions postérieures vers les cordons latéraux ; d'ailleu
ne variant pas beau- coup pour l'intensité, mais plus marquée à la région dorsale. On ne peut s'apercevoir de cette modif
coupes des cornes postérieures. Friabilité et rétrécissement des régions affectées. A l'oeil nu, la chose la plus digne de
remarque aussi bien aux renflements cervicaux et lombaires qu'à la région dorsale ; les parties posté- rieures étant en p
t en proportion plus petites que les antérieures, on voit aussi des régions symétriques bien marquées de sclérose affec- ta
artout. Epaississement et adhérence des méninges, surtout dans la région lombaire, Les préparations ont été faites par le
lus marquée dans la périphérie et dans les parlies mé- dianes. La région antéro-externe des cordons prismatiques est intac
l. Dans le cordon latéral, la lésion est plus avancée que dans la région supérieure. Atrophie des racines postérieures. Le
Atrophie des racines postérieures. Les co- lonnes de Clarke dans la région dorsale supérieure sont visible- ment atrophiée
cellules ner- veuses sont réduites de nombre et de volume. Dans la région dor- sale inférieure, la disparition des élémen
ue un peu. Les racines postérieures sont tout à fait atrophiées. La région lombaire présente les altérations suivantes : la
antérieur. Les racines postérieures sont tout à fait dégénérées. Région sacrée. Aux deux tiers postérieurs des cordons po
rise on ne voit plus de dégénérescence. La surface de section de la région cervicale est de 14 millimètres de diamètre tra
La dégénérescence des cordons latéraux est plus prononcée dans la région cervicale. Les racines postérieures sont atrophié
sont de x 5 et tom- bent à 5 x 5 dans la partie moyenne de la même région . Normalement, les différences analogues ne sont
cas dans les limites générales suivantes (PL. I, fig. 1) : Dans la région lombaire, elle occupe les faisceaux pyramidaux
DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 353 rieures (fi ? 7, 8, 29). Dans la région dorsale, les fais- ceaux pyramidaux, cérébelleu
borde toute la corne pos- térieure (iiq. 30, 31, 32, 33). Dans la région cervicale, elle atteint les faisceaux pyramidau
cordon de Goll est atteint d'une sclérose uni- forme à partir de la région lombaire inférieure jus- qu'au bec du calamus s
. Dans le faisceau de Burdach, la lésion apparaît au niveau de la région lombaire inférieure, mais ne s'é- tend pas unif
mides. Elle présente du reste de très grandes variations. Dans la région lombaire, la zone antéro-externe de Westphal es
la partie posté- rieure du cordon de Burdach est altérée. Dans la région dorsale, la zone antéro-externe, n'est pas tout
cte, tandis que la partie postérieure est moins altérée que dans la région lombaire. Dans la zone de transition entre la r
ée que dans la région lombaire. Dans la zone de transition entre la région dorsale et la région cervicale (/ ? . 30) la lé
ombaire. Dans la zone de transition entre la région dorsale et la région cervicale (/ ? . 30) la lésion commence à dimin
eure du bulbe. Les faisceaux cérébelleux sont pris à partir de la région dorsale inférieure. La lésion augmente dans r l
tir de la région dorsale inférieure. La lésion augmente dans r la région dorsale supérieure, et ne diminue que dans la r
te dans r la région dorsale supérieure, et ne diminue que dans la région inférieure du bulbe. A ce niveau la région occu
ne diminue que dans la région inférieure du bulbe. A ce niveau la région occupée par ce faisceau contient quelques fibre
résente une lésion de dégénérescence ascendante. Toutefois, dans la région cervicale infé- rieure et moyenne fait importan
s limites normales (/if), 34). La partie de la moelle qui dans la région lombaire Fig. 38. 356 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
one de Lissauer (on sait que cette zone n'a été étudiée que dans la région lombaire), est atteinte, mais cette lésion dimi
n lombaire), est atteinte, mais cette lésion diminue dans la même région à mesure que l'on se rapproche des parties supé
rties supérieures, de sorte que dans la zone de transition entre la région lombaire et la région dor- sale, elle est déjà
sorte que dans la zone de transition entre la région lombaire et la région dor- sale, elle est déjà intacte (/ ? . 28). Pl
ofondément altérées dans presque toute leur étendue, à partir de la région dorsale inférieure jus- qu'à ses limites supéri
idérable du volume de l'axe spinal, que nous avons signalée dans la région dorsale. Dans les parties sclérosées elles-même
qu'ont noté les auteurs qui nous ont précédés; ainsi, taudis que la région dorsale dans le cas de Rùtimeyer offrait dans s
de 9x6, elle n'atteignait que celui de 5 x 5, et G x G 1/2 dans les régions corres- pondantes de notre cas. 2. Au point d
fère-t-il en ce que la zone marginale de Lissauer, du moins dans la région lombaire inférieure et moyenne, est tout à fait
nous le remercions infiniment. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 361 régions de la moelle, on ne trouve jamais que la dégé-
r une sclérose d'ori- gine vasculaire occupant systématiquement des régions exactement déterminées de la moelle épinière.
Burdach ; canal épeud\maire ; g, faisceau pyrnnmhl. PI. I, fig. 3. Région de la colonne de Clarke dans la moelle dorsale
ieure du renflement cervical, les deux bandes intactes situées à la région externe des cordons de Goll ont disparu et la z
e des faisceaux de Burdach est devenue un peu moins étendue. A la région dorsale supérieure, la partie postérieure des c
Dans les cordons latéraux, on observe à lapartie postérieure, une région légèrement décolorée en forme de coin dont la b
le procédé de Weigert. Fit, 40. Coupe à la partie inférieure de la région dorsale. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 381 v
de Burdach diminue de plus en plus. A l'extrémité inférieure de la région dorsale, cette portion dégénérée a presque comp
, on observe à la partie postérieure, la zone déjà signalée dans la région dorsale. A la partie inférieure de la moelle lo
ostérieurs étaient sclérosés dans toute leur étendue; cependant, la région cervicale et à la région lombaire, il existait
sés dans toute leur étendue; cependant, la région cervicale et à la région lombaire, il existait une zone intacte, située
es postérieures. La dégénérescence était la moins prononcée dans la région lombaire. Dans le faisceau alltéro-latéral, il
base- périphérique. Cette bande était particu- lièrement nette à la région dorsale : à ce niveau, la lésion allait de chaq
jusqu'aux racines postérieures. Au-dessus et au-dessous de cette région , il restait, entre les cornes postérieures et la
sceaux de Türck présentait son maximum à la partie supérieure de la région dorsale et au voisinage du renflement cervical
ou s'étendant un peu plus en avant; à un niveau inférieur, vers la région dorsale, la dégénérescence gagne l'intérieur de
DES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. ? 7 gnait les cordous de Goll que de la région cervicale à la région dorsale; à la région lomb
RE. ? 7 gnait les cordous de Goll que de la région cervicale à la région dorsale; à la région lombaire, les cordons post
ordous de Goll que de la région cervicale à la région dorsale; à la région lombaire, les cordons postérieurs étaient sains
ce point de vue les résultats de notre examen et prenons d'abord la région cervicale supé- rieure. , Nous constatons qu'
nd on examine des coupes de la moelle, à la partie supérieure de la région cervicale, chez le nou- ' Parmi les nombreuses
tement indiquées dans la ligure a, planche IV. qui correspond il la région cervicale supérieure : elles sont encore bien évi
es, dans la ligure b qui correspond à une partie moins élevée de la région cervicale. 388 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. veau-né
ision des cordons posté Flg, 42. Coupe à la partie supérieure de la région cervicale che z un foetus de 8 mois. Les partie
t aux cordons de Burdach en sont encore presque dénués. Or, cette région externe des cordons de Goll dont les fibres n'a
Pol)off a pu suivre la subdivision des cordons de fioll jusqu'il la région dorsale supérieure ; toutefois, il déclare qu'e
outefois, il déclare qu'elle y est beaucoup moins nette que dans la région cervicale supérieure. 1 Ueber die lleslandtheil
diffuse. Pour terminer l'examen des coupes faites au niveau de la région cervicale supérieure, il nous reste à signaler
'au niveau du tiers inférieur de la moelle : elle affecte les mêmes régions , c'est-à-dire les parties in- ternes, sur toute
ente sur tout le trajet de ces faisceaux. Seulement, à partir de la région supérieure de la ETUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE.
ser jusqu'à un certain point les centres corticaux des membres. Les régions atrophiées présentent à l'examen hosto- logique
ch ; f, canal épendymaire ; g, faisceau pyramidal. Pl. I, fig. 3. - Région de la colonne de Clarke dans la moelle dorsale
14 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
émentaires du cerveau, on n'est plus tenté de la localiser dans une région dé- terminée de l'encéphale comme un produit st
des centres nerveux cérébro-spinaux. Les élé- ments moteurs de ces régions conservent encore la trace des réactions par le
des appareils périphériques des mouvements avec lesquels toutes les régions de l'écorce sont en rapport anatomique et fonct
le siège de l'hallucination ver- bale motrice est localisé dans la région inférieure de la FA et dans le pied de la F3; v
ales, n'y détermine des hallucinations motrices de n'importe quelle région correspondante du corps. Et il en est bien ains
omme qui présentait une large perte de substance du crâne dans la région temporo-pariétale gauche 2. En général, toute p
suivant, l'en- fant perd connaissance, aussitôt qu'elle détache la région dorso- lombaire du dossier de son siège ou qu'o
. On avait constaté, le 6 novembre 1889 : Douleur au niveau de la région lombaire ; parésie ; dysesthésie du membre infé
tions minima des points indiqués dans leur diagramme (fig. 4). La région correspondante sur le cerveau du chien se trouve
la circonvolution marginale ou du lobule paracentral, se trouve une région dont l'excitation pro- duit des mouvements de l
utôt les deux quarts des circonvolu- tions centrales, se trouve une région dont l'excitation produit les mouvements du mem
nts « proximaux » sont représentés dans la partie, supérieure de la région , les mouvements « distants » c'est-à-dire ceux
tal peut mettre individuellement en mouvement le pouce (fig. 4). La région correspondante du cerveau du chien est celle in
érieure de la circonvolution pariétale ascendante chez le singe. La région correspondante chez le lapin est indiquée par l
ant le tiers inférieur des circonvolutions centrales, se trouve une région dont l'excitation produit des mouvements de la
ace, de la bouche, de la langue. Dans la partie supérieure de cette région , on peut différencier des centres pour les musc
t pour les inférieurs, en arrière du sillon de Roiando (fig..7). La région correspondante dans le cerveau du chien, relative
omène a d'abord été démontré chez le chien par l'exci- tation de la région présigmoïde, d'une façon visuelle par Krause 1 ;
souvent 1 aboiement et des effets semblables par l'excitation de la région homologue chez le chat (miaulement). J'ai aussi
aussi montré que les mouvements produits par l'excitation de cette région étaient dislinctementbilatéraux, ce que Krause,Se
remières expériences, mais une exploration plus méthodique de cette région a été faite pour la première fois par llorsley et
upilles n'est pas constant; par- fois, elles sont contractées. La région correspondante dans le cerveau du chien est indi-
quée par 13 (fig. 5) sur la deuxième circonvolution externe et la région homologue chez le chat (fig. 6) et chez le lapin
après l'excitation des différentes parties du lobe occipital et des régions avoisinantes. Mes expériences sur plusieurs sin
lusieurs occasions de faradiser l'écorce pour définir avec soin les régions qu'ils désiraient enlever pour guérir l'épilepsie
s reprises, les doigts étaient- étendus et séparés. Au-dessus de la région dans laquelle ces mou- vements furent obtenus,
e l'épaule qui fut portée en haut et en adduction. Au-dessous de la région , où les mouvements de la main avaient été obten
jà définis. Dans un autre cas de Lloyd et Deaver 2, on mit à nu une région de l'hémisphère droit, correspondant à l'union
Nancréde , on obtint des mouvements du pouce par l'excitation d'une région correspondant au second quart inférieur de la p
e différencier complètement les limites des centres respectifs. Les régions qui sont le plus près les unes des autres anato
motrices qui ré- sultent de l'excitation électrique des différentes régions corticales. Quelle que soit l'évidence de certa
t obtenir des mouvements semblables par l'excitation de différentes régions corticales en certains cas, m'ont conduit à cro
tte hypothèse, que quelques-uns peuvent être dus à l'excitation des régions motrices proprement dites, tandis que d'autres
fs sont plutôt des erreurs d'omission que d'exagération, et que les régions où j'avais d'abord,, placé les centres sensitif
votre attention sur les réactions produites par l'excitation de la région occipito-angulaire chez les singes et de son ho
, Torsion de la narine du même côté. 80 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. régions frontale et occipito-temporale 1. Le résultat de
n obtient toujours les » mouvements des yeux par l'excitation de la région occipito-angu- laire, après l'ablation complète
on de la région occipito-angu- laire, après l'ablation complète des régions frontales, montrent qu'ils n'indiquent pas néce
e l'excitation des centres avec lesquels ils sont en relation. La région occipito-angulaire est la zone visuelle de l'écor
res. Les autres sens spéciaux sont intacts. Si la destruction de la région angulaire oc- cipitale est incomplète, unie ou
point a été con- firmé jusqu'à l'évidence par des lésions de cette région , observées avec som etstriclemeut focalisées.
esquels on observait les mêmes symptômes, les lésions occupaient la région de la scissure pariéto-occipitale et le pli cou
ou bilatérales empiétaient sur la scissure panéto-occipitale et la région du pli courbe, et dans aucun cas, on n'a eu ni
leurs propres termes sont les suivantes : « Nos expériences sur la région occipitale, quoique peu nombreuses, semblent com-
rapport avec les perceptions visuelles de telle manière que chaque région occipitale est en rapport avec la moitié latéra
dante de chaque rétine et qu'une partie seulement de l'écorce de la région peut prendre en grande partie (comment détermin
l où on note de l'hémiopie temporaire il la suite de lésions de la région ' Eleclrical excitation of the fMKa ! area. (Br
e externe est destinée à léser toutes les radiations optiques de la région occipito-angu- aire qui émergent des noyaux pri
ncision transverse de peu de millimètres de profondeur à travers la région occipitu-temporale. Comme résultat on eut une h
ceptible le troisième jour. Quinze jours après, on opéra de même la région occipito-temporale droite, l'incision, cette fo
l'incision était superficielle et non continue, interrompue dans la région du lobule lingual. Du côté droit, l'incision s'ét
le lingual. Du côté droit, l'incision s'étendait à travers toute la région occipito-temporale et pénétrait de plusieurs mi
ance cérébrale divisant les fibres médul- laires qui émergent de la région des centres optiques primaires. Brown elTbompso
'e O1nterlCUt. - C, iiienibie postérieur. - E, zone de la tête - F, région de l'oeil. - C, région de l'oreille. - H, légion
enibie postérieur. - E, zone de la tête - F, région de l'oeil. - C, région de l'oreille. - H, légion du cou. - S. région du
région de l'oeil. - C, région de l'oreille. - H, légion du cou. - S. région du tronc. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 0))
faits pathologiques chez l'homme nous obligent à sup- poser que la région de la tache jaune est représentée dans chaque h
n claire, chacun surtout pour l'oeil du côté opposé. Que les autres régions de la rétine supérieure, inférieure externe et
érieure externe et interne soient spécialement représentés dans des régions correspondantes du lobe occipital, suivant les hy
t lésés ; on a trouvé des lésions dans les fibres médullaires de la région postérieure vaguement ou sans raison dénommes l
QUE. lésions ont été multiples et diffuses et non confinées dans la région occipitale. Et en plus de l'hémiopie, il y a eu
s dus aux lésions des tractus cérébraux et des centres dépassent la région occipitale. Sous ma direction, mon ami et élève
cérébrales telles qu'elles n'ont pas certainement compris d'autres régions . De ces 41 cas d'hémiopie, 13 étaient dus à des
gions. De ces 41 cas d'hémiopie, 13 étaient dus à des lésions de la région occipito-angulaire, 2 à des lésions des circon-
kyste, ni abcès, ni ramollissement de la substance médullaire de la région occipitale ni une autre lésion atteignant le th
s les autres cas, les lésions étaient diffuses, 6 des lésions de la région occipito-temporale, 3 des lésions des circonvolut
sions du coin et l'hémiopie est due à la tendance spéciale de cette région à être affectée par les troubles vasculaires coïn
culaires coïncident avec des lésions, des radiations optiques de la région temporo-occlpitale. Dans le cas de Sé¡ ! l1Ïn',
sensations visuelles, quoique dans quelques cas où la lésion de la région oc- cipito-angulaire était plus étendus il y av
premier, a noté la cécité de l'oeil opposé par la destruction do la région occipitale chez les chiens, et en 1881 Goltz dé
arence d'une façon permanente quand l'écorce était détruite dans la région de la division postérieure de la seconde circon
deux centres dans l'écorce en rapport avec la vision : l'un dans la région occipito-pariétate, en rapport avec les deux mo
respondantes des deux rétines, et l'autre plus spécialement dans la région pariétale, en rapport avec l'oeil du côté oppos
e et d'une profondeur suffisantes, dans la partie postérieure de la région occipitale chez les chats et les chiens, produi
blit que la destruction de chaque portion produit la cécité dans la région correspondante de luit du côté opposé ou du mêm
effets de l'extirpation d'une zone circu- laire de l'écorce dans la région A, mesurant à peu près 1 milli- mètres de diamè
parait être une hypothèse un peu in- forme, que l'extirpation delà région en question a enlevé toutes les images visuelle
s différentes portions de la rétine étaient représen- tées dans les régions indiquées du centre visuel, il est peu proba- b
cune situation excentrique ou anormale du globe oculaire, quand les régions spéciales indiquées par Munk sont détruites, co
isuel, suivant l'homologie des réactions électriques, occuperait la région pai iéto-occipilale, de l'hémisphère. Les limit
quoique certaines expériences de Moeli' indiquent les lésions de la région indiquée comme produisant au moins la cécité tem-
d'autres recherches. Chez les pigeons et les oiseaux en général, la région homologue au centre \isuel des animaux supérieu
du corps strié. Me Kendrick 3 a trouvé que la destruction de cetle région produit la cécité dans l'oeil opposé; tandis que
<'f)[,August., 1878. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 107 dans la région indiquée, et Munk conclut que quoique la vision
plus de la fovea cenlrdlis, une autre fovea située plus près de la région tem- porale de la rétine. Ces foveas externes s
ences de Goltz, les troubles de la vision à la suite de lésions des régions occipitales paraissent avoir été presque invari
rticipation des tractus sensitifs de la capsule interne ou d'autres régions sen- sorielles de l'écorce. La question de savo
cependant que le centre visuel de l'écorce n'est pas seulement une région ditfé- renciée fonctionnellement capable de rem
onnellement capable de remplacer ou d'être rem- placée par d'autres régions corticales d'autant que la destruction des cenl
des réactions optiques amène une atrophie strictement confinée aux régions comprises dans la zone visuelle. La différen- c
res facultés sensorielles sont aussi séparément localisées dans des régions corticales définies. (A suivre.) REVUE PHARMA
met en évidence que tous les trousseaux défibres qui partant des régions antérieures du cerveau traversent toute la capsul
rce, elles se sont montrées, en l'espèce, très peu accusées dans la région la plus atro- phiée, celle des ascendantes; de
oculaire. La lame criblée étant demeurée normale, le nerf occupe la région externe et supérieure de l'infun- dibulum, son
sa structure est restée normale, aussi normale qu'en arrière de la région qui nous occupe, mais on n'y trouve ni artère n
les libres des nerfs optiques viennent d'arrière en avant gagner la région anté- rieure du cerveau moyen et descendent à l
des trousseaux de fibres qui se rendent en bataillons compactes aux régions supérieures et antérieures; on les retrouve dans
le interne. Pour cela, il faut pratiquer une coupe transverse de la région du genou ; ces trousseaux y occupent le segment l
lité aux emplois DE médecins adjoints DES asiles publics d'aliénés ( Région de Paris). Ce concours s'est ter- miné par l'ad
douleur atroce, occupant la face interne du pied gauche dans une région parfaitement délimitée, représentée par des hachu
ifs il se pro- duisit, sur la partie postérieure dn tronc et sur la région anté- rieure de l'abdomen une éruption dont la
S CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE 171 vésicules isolées occupent la région de l'articulation sacro- vertébrale. En avant,
nes, des deuxième et troi- sième paires sacrées, c'est-à-dire d'une région du plexus sacré, située au-dessous de l'origine
e bien limitée du plexus, peut- être même encore plus haut, dans la région de la moelle d'où cette partie de plexus tire s
les fibres nerveuses du petit sciatique, qui naissent dans la même région , subissent un faible degré d'atrophie simple »
on de l'hip- pocampe, je ne décrirai la partie godronnée de cette région qu'au point de vue macroscopique. Je crains bie
e côté simple du sujet. Lorsqu'on fait une coupe transversale de la région , au niveau de la partie moyenne de la corne d'A
istes. J'ai pensé cependant qu'il n'était pas inutile de décrire la région telle qu'on la voit à l'oeil nu ou aidé d'une s
grise va se confondre avec celle de l'espace perforé. Dans la même région , on trouve d'un seul côté seulement une large l
ndance à localiser l'olfaction du côté de la corne d'Ammon, dans la région de cette circonvolution. Si je me suis cru auto
que le centre de l'olfaction est dans la corne d'Ammon ou dans une région avoisinante. FERRÉ. - c La dysosmie qui figure
; Malgré cette tendance qu'ont de nombreux auteurs à voir dans la région de la corne d'Ammon un centre olfactif, rien n'
Sous le nom de carrefour interne de l'hémisphère, il décrit : « Une région plane qui communique en avant avec la face inte
idées de Broca; et l'on revient à tourner les yeux du côté de la région de la corne d'Ammon. MATHIAS DUVAL (Al'chiveg d
toute particulière ». Plus loin, il est très précis : « Si donc la région de l'écorce conserve chez tous les mammifères u
adopté par les anciens anatomistes pour indiquer les parties de la région que nous étudions, nous pourrions vraiment dire
de l'hippocampe ne s'arrêtent pas à la partie postérieure de cette région , mais qu'elles se conti- nuent toutes plus ou m
ntérieure du nerfs de Lancisi. Mais, dans tous les examens de cette région , que j'ai faits sur des cerveaux frais, j'ai to
e jusqu'au bourrelet postérieur, derrière lequel il s'accole à la région correspondante du cercle fibreux de l'orifice v
établir exactement la manière différente de . se présenter de cette région , qui mériterait d'être , examinée plus attentiv
que qu'elle soit, l'affection n'en occuperait pas moins certaines régions dans les centres nerveux, qui détermineraient cli
détermine nécessairement un trouble local plus ou moins grave de la région explorée, si bien que la déviation galvanomélri
fs vasculaires de la peau avaient été préalablement coupés dans les régions considérées, ce phénomène aurait une origine lo
e, l'autre extrémité était fixée sur la peau du sujet,, soit sur la région occipitale, pariétale ou fron- tale, soit sur l
e observées durant les émotions ne se sont manifestées que sur la région frontale (17 expériences). Dans 25 expériences
5 expériences où une extrémité de la pile était appliquée sur les régions pariétale, occipitale, etc., de la tête, le galva
uoi ces variations thermi- ques se sont trouvées localisées dans la région frontale de la tête. Voici l'interprétation de
s de pareilles condi- tions, il n'est pas absurde de croire que des régions étendues de l'écorce participent au développeme
simultané de leurs représentations. Or, le travail nerveux de ces régions de l'écorce s'accompagne certainement d'un accr
entale des émotions, ces phéno- mènes sont surtout sensibles sur la région frontale, la raison en serait que, faites sous
ux, il n'existe à cet égard aucune différence entre les différentes régions du cerveau : c'est que des émo- tions provoquée
tions de température, surtout au front, sinon uniquement dans cette région de la tête ; ces oscillations thermiques du crâ
ats sont tou- jours' plus caractéristiques après l'excitation de la région liomolo- i Voy. Arei. de Neurolog., n° 60, p. 4
dont la sécurité dépend habituelle- ment de l'acuité de l'ouie. La région en question est la division postérieure de la t
varient en intensité. Chez le lapin oreillard l'excitation de cette région produit une élévation soudaine de l'oreille, et
observé une ou deux fois que l'application des électrodes sur cette région fait bondir l'animal, dresser ses deux oreilles
considérer les mouvements des yeux à la suite de l'excitation de la région occipito-angulaire comme un indice d'une sensat
endemain de l'opération, détruisant les radiations optiques dans la région occipito- angulaire. Le 5 novembre, on découv
a repris les sens des sons et revint à son état normal. Dans cette région , suivant lui, des images audi- tives comme les
vant lui, des images audi- tives comme les images visuelles dans la région A (fig. 19), sont emmagasinées. Fréquemment, ce
ité inférieure de la circouvolution temporale moyenne (B, fig. 19), région que j'ai complètement extirpée sans causer le F
lsphrcre) de Iunk. centres psychomoteurs des autres auteurs. - z D. Région du membre antérieur. C. Région du membre postérie
homoteurs des autres auteurs. - z D. Région du membre antérieur. C. Région du membre postérieur. - E. Région de la tète. -
bre postérieur. - E. Région de la tète. - F. Région de l'oeil. - G, Région de l'oieille. -Il. Région du cou. - J. Région d
n de la tète. - F. Région de l'oeil. - G, Région de l'oieille. -Il. Région du cou. - J. Région du tronc. - B est placé sur
r aucune preuve, car après l'extirpation uni ou bilatérale de cette région je n'ai pu trouver aucun trouble de la sensibil
sance auditive des deux côtés fut revenue la même, l'ablation de la région correspondante de l'autre hémisphère a produit
du même côté. Lu- ciani dit : « Les effets de l'extirpation dans la région du lobe pa- riétal confirment ce qui avait été
'irradie de son point central dans le lobe temporal en haut vers la région parié- tale, en avant vers la région frontale,
lobe temporal en haut vers la région parié- tale, en avant vers la région frontale, en arrière vers la région de l'hippoc
n parié- tale, en avant vers la région frontale, en arrière vers la région de l'hippocampe, en dedans vers la corne d'Ammo
es deux hémis- phères. (Voir fig. 20 et 21). La substance grise des régions atro- phiées avait entièrement disparu, laisant
semblent le mon- trer, provient'surtout des racines postérieures de régions dorsales supérieure et cervicale et non de cell
itié convexe ou externe de la colonne latérale vers le milieu de la région dorsale (fig. 24). Malgré une légère paralysie
é de diviser avec soin les cordons postérieurs dans le milieu de la région dorsale; j'ai fait la section en plongeant un k
- 1,'îg. 24, 25, 26. LES LOCALISATIONS 'CÉRÉBRALES. 261 dans la région cervicale chez les chiens ne produit aucune perle
- dante. L'autopsie révèle : une lésion (ramollissement) de cette région qui atteint surtout le pli courbe. La discussion
lmonaire avec eschare, un an après l'accident. Atrophie de toute la région antérieure des deux hémisphères cérébraux jusqu
le sacrum. Incontinence de l'urine et des matières ; anesthésie des régions innervées par le plexus honteux et hémor- rhoïd
ccu- paient la limite postérieure de la substance réticulaire et la région 280 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
UES. antérieure de la tête des cornes postérieures, au milieu de la région moins tassée des faisceaux longitudinaux postér
teignent presque sans exception toutes les cellules nerveuses de la région ; elles acquièrent leur plus haute intensité dan
tralbl. 1890.) Les auteurs enregistrent les mouvements : 1° De la région cardiaque, par un ballon assujetti à l'extrémité
d'une sonde oesophagienne en gutta-percha, résistante; - 2° de la région pylorique, par un ballon assujetti à un tuyau de
stait aussi un anévrisme traumatique de l'artère humérale. Toute la région innervée par le médian et le cubital du côté ét
antres systèmes, notamment dans la substance grise; au niveau de la région supérieure de la moelle dorsale, toute la coupe
ntentionnel très net à la fin, envahissant en dernier lieu les deux régions faciales; démarche ataxospasmodique; à aucun mo
trophiée; vais- seaux en nombre modéré, non épaissis. Du côté où la région de ? ascendants a subi le maximum d'amincisseme
isaient croire à l'existence d'autres foyers pathologiques dans les régions telles que la base du cerveau, par exemple, où
ndue. Supposez en effet une tumeur, un tubercule placé dans cette région de la protubérance, vous comprendrez aisément c
loca- liser la lésion qui a donné naissance à ce syndrome dans la région pédonculo-protubérantielle. Je vous ai déjà déc
t pas tout : elle pré- sente encore des points douloureux, dans les régions des lombes et des mamelles, dont la pression ré
hyperesthésie. Elle avait en outre un point très douloureux dans la région sacro-lombaire, sur la ligne rachidienne. Au bout
ux sus-mammaires en des points symétriques et une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces zones réve
aires, par des attouchements sur le vertex, par la pression dans la région do la fosse iliaque des deux côtés. Au début, o
l, point hystérogène au vertex, hystéro-phré- nateurs dans les deux régions ovariennes. Elle a eu autrefois des attaques de
ui la coupe profitant de ce qu'elle est toute seule. ' Piqûres la région p ! 'eco)'dtft<e.Monsieur, laissez-moi, s'il v
ehors, sui- vant Flechsig, et se distribuent dans l'écorce, dans la région située entre la scissure de Rolando et le lobe
infléchissent en bas et en dehors pour s'irradier dans l'écorce des régions tempo- rale et occipitale. On suppose qu'elles
régions tempo- rale et occipitale. On suppose qu'elles unissent ces régions au cer- velet par l'intermédiaire de la substan
t voir le pédoncule après l'ablation de la portion inférieure de la région temporale. - Chez les trois animaux on créa d'u
écorce (comme le pensent quelques-uns) ou se distribuent à quelques régions spéciales. Dans mes premières expériences, j'ai
du corps. Une autopsie soigneuse a montré que dans tous les cas la région de l'hippocampe (corne d'Ammon et circonvolutio
l'hippo- campe) était plus ou moins atteinte. Ces faits montrent la région de l'hippocampe comme le centre do la sensibili
s expériences par lesquelles je pouvais atteindre et détruire cette région . Cependant, à cause de sa situation pro- fonde
CÉRÉBRALES. 379 moins grande destruction du lobe occipital ou de la région tem- porale inférieure. - On peut cependant ten
ut cependant tenir compte et éliminer les ellets des lésions de ces régions et tout symptôme en plus de ceux que l'on peut
peut leur attribuer peut être considéré comme dû à la lésion de la région de l'hippocampe. La méthode que j'ai suivie dan
ans mes premières expériences consistait à enlever et dé- truire la région de l'hippocampe par un cautère enfoncé a travers
e manière j'ai réussi primitivement et secondairement à détruire la région de l'hippocampe et ses connections médullaires
époque. Les lésions dans ce cas 2 étaient sirictement limitées aux régions de l'hippocampe et occipito-temporale, et sans
permanence des symptôme ? mais elies ont suffi- samment indiqué une région , sinon toute la région, en rapport avec la sens
? mais elies ont suffi- samment indiqué une région, sinon toute la région , en rapport avec la sensibilé commune, tactile
à-dire la destruction, par le cautère et en partie la section de la région de l'hippocampe par la partie convexe du lohe t
HOLOGIQUE. atteinte ou abolie en proportion de la destruction de la région de l'hyppocampe et temporale inférieure. Malheu
pouvait produire une lésion assez étendue dans une ou dans les deux régions de l'hippocampe sans produire une anesthésie per-
he fut exposé et toute la circonvolution temporale inférieure et la région de l'hippocampe furent grattés; la lésion ne la
r ce qui regarde la production de l'hémipiopie par une lésion de la région temporo-occipitale discutée plus haut). Il y av
t montré qu'à l'exception des blessures décrites ci- dessus dans la région temporale inférieure et de l'hippocampe, les ga
blable opération, produi- sant un arrachement presque compfet de la région de l'hippo- campe et de la région temporale inf
arrachement presque compfet de la région de l'hippo- campe et de la région temporale inférieure du reste de l'hémis- phère
s étaient limitées soigneusement au lobe temporal inférieur et à la région de l'hippo- campe de l'hémisphère gauche sans l
abolis, momentanément au moins, par des lésions destructives de la région de l'hippocampe et le degré et la durée de l'an
durée de l'anesthésie varient avec l'étendue de la destruction des régions en question. Ce sujet a été ensuite repris par
s poursuivirent ensuite parfaitement. Chez un animal chez lequel la région de l'hippocampe fut enlevée il y avait le jour
ure quant t à la durée. Dans une seconde expérience, on enleva la région de l'hippo- campe et les incisions furent faite
inution graduelle de l'anes- thésie produite par une ablation de la région de l'hippocampe m'a amené a suggérer de semblab
ne pourrait pas s'étendre dans le reste du lobe falciforme dont la région de l'hippocampe n'est qu'une partie. Telle est
des symptômes semblables a ceux observés après la destruction de la région de l'hippocampe et peut- être même plus intense
nt suivi la première opération, on exposa le même hémisphère, et la région de la scissure longitudinale et on excisa le gy
it des parties du lobe falciforme spécialement en relation avec des régions particulières du côté opposé. Ils con- cluent d
'anesthésie graduellement guérissait ou plutôt se localisait en des régions définies. - Dans tous les cas cependant, dans l
e peuvent représenter plus spécialement la sensibilité de certaines régions . Mais quoique j'ai à l'occasion noté dans mes e
. Mais quoique j'ai à l'occasion noté dans mes expériences sur la région de l'hippocampe, comme Seha3fer et Horsley dans l
leurs expé- riences sur le gyrus fornicatus, qu'il semblait qu'une région avait ' Op. cil. op. cit. ' ' Op. cit. 38
isation peut être établi par les fibres associés qui unissent cette région aux contres moteurs de l'écorce. On n'a pas p
eux et de l'hippocampe. Quoique le gyrus fornicatus paraît être une région purement sensitive et que par suite sa destructio
tte cause-France, cependant, croit que la dégénérescence occupe une région différente du cordon pyramidal de celle résultant
une région différente du cordon pyramidal de celle résultant de la région de la circonvolution marginale seule, la dégénére
rne du cordon pyramidal croisé et dans le premier cas toute la même région . Ces explications ne sont pas cependant suffisa
nts animaux varie la structure de la totalité ou d'une partie de la région ci-dessus déciile. Broca divise tous les animau
à croire qu'il y avait un rapport entre le déve- Joppement de cette région et le sens de l'odorat, mais le fait qu'il adme
nt très claires, mais, la grandeur du ' Dans mes expériences sur la région de l'hippocampe, je ne pouvais distinguer des l
pyramidal. - rn, noyau rouge. - ral, racines du nerf olfactf. - rs, région subtha- lamique. - s, septum lucidum. - sa, sub
du cerveau du singe il angle droit des pédoncules cérébraux dans la région de la commissure antérieure (grandeur naturelle
ile de déterminer si l'odorat est perdu par l'a- blation de la même région . - Chez quelques animaux, c'est cepen- dant plu
s coupé ou détruit par une inflammation primitive ou secondaire les régions temporales inférieures d'un côté'ou des deux cô
les autres expériences, je pense qu'on a laissé suffisamment de la région de l'hippocampe des deux côtés, pour permettre
nne des limites de la sphère olfactive il l'étend cependant dans la région pariétale jusqu'à la scissure longitudinale et
ents produits par l'électricité dans les différents points de cette région . L'interprétation de ces mouvements, a donné li
e dans les cordons pyramidaux du côté droit de la moelle jusqu'à la région lombaire. Dans le cas représenté fig. 37, la
e et des cordons pyramidaux du côté opposé de la moelle, jusqu'à la région lombaire, ou émergeait les nerfs de l'extrémité
nt représentés bilatéralement dans chaque hémisphère : ceux de la région faciale supérieure et ceux du larynx. Donc une ex
gicale des centres corticaux. Non seulement des lésions de toute la région rolandique amènent une hémiplégie, mais des lés
. En plus, j'ai des notes sur 20 cas d'a- trophie de l'écorce de la région rolandique en rapport avec une hémiplégie congé
s les deux hémisphères; car si les centres moteurs d'un côté et les régions occipitales de l'autre côté sont détruits, le c
r les doigts. Dans un cinquième cas', l'ablation d'une tumeur de la région pariétale inférieure droite qui occasionnait de
émiopie droite que j'ai diagnostiqué comme due à une tumeur dans la région du pli courbe. Pas de paralysie du mouvement, m
membres a été quelquefois observée dans le cas de lésions de cette région , quelquefois compliquée d'hémiopie où la lésion
sensitifs de la capsule interne qui est située au-dessous de cette région et non la lésion de l'écorce elle-même ; car le
centres de sensation générale et spéciale. CENTRES FRONTAUX. La région ducerveau qui estsituéeen al'il11tde IdlOue de il
plolubérance. - Les lésions destructives des centres frontaux, des régions postfroutales et préfrontales, comme je l'ai démo
ut être prise comme une preuve de la signification motrice de ces régions . De semblables dégénérescences ont été décrites p
, 1880. Archives, t. XXI 27 418 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les régions frontales avec les noyaux moteurs de la moelle. L
combinés avec ceux de la destruction, plus particuliè- rement de la région postfrontale, indiquent que cette partie est en
isaient, ils remuaient le tronc et la tête en masse. L'ablation des régions préfrontales seules, ne produit au- cun symptôm
s n'étaient plus perceptibles. Un mois après, l'extirpation de la région préfronlale en avant de la précédente lésion, p
de découvrir à nouveau ces altérations. Ces faits indiquent que les régions préfrontales ont les mêmes relations fonctionne
lessés plus à gauche qu'à droite. J'ai récemment extirpé toute la région frontale de l'hémisphère gauche (voir fig. 38).
, du lobe frontal. Cette expérience montre que la destruction de la région fron- tale produit non seulement la déviation c
alysés d'une façon permanente, à moins que toutes les parties de la région frontale ne soient com- plètement détruites.
. Hitzigi, cependant dit qu'on en observe après l'extirpation de la région préfrontale, chez les chiens. Je ne puis corrob
de la vision du côté opposé, après l'extirpation unilatérale de la région frontale, est dû à la déviation conjuguée des y
p visuel est autrement normal. Munk trouve que la destruction de la région frontale chez les chiens produit une paralysie
chiens produit une paralysie des muscles du tronc et il appelle la région fron- tale la sphère sensorielle du tronc, quoi
ncontrés chez les chiens et les singes. Des bî cas de lésions de la région frontale réunis de différentes sources, dans de
mais dans la majorité de cas il faut incrimi- ner une lésion de la région motrice de l'écorce cérébrale. Au point de vue
bituellement plus pro- noncés dans les extrémités inférieures ; les régions plus éloignées des centres sont lésées avant et
s éloignées des centres sont lésées avant et plus fortement que les régions situées plus près de ces mêmes centres; les ext
15 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
mpérature locale au niveau de la main droite, qu'une eschare sur la région trochantérienne droite. Celle eschare a débuté
lard, de petites ulcérations escharotiques se sont développées à la région trochantérienne gauche : elles n'ont pas tardé
erne, à l'exception do la tête, de la partie droite du cou et de la région pectorale. -Vous savez,,je suppose, ce qu'on ente
ANESTUÉSIE TOTALE 9 nent lieu à des erreurs de localisation. t1 la région périnéale et ano-vulvaire, il y avait de l'hypo
yringomyélie, Schlesinger (1), a montré que dans ces cordons, trois régions surtout étaient envahies par la gliomatose, à sa-
é qui embroche en quelque sorte la moelle de part en part depuis la région dorsale supérieure à droite etcervicale supé- r
e supérieure à droite etcervicale supé- rieure à gauche, jusqu'à la région lombo-sacrée, ou bien d'une cavité, qui, à la b
la région lombo-sacrée, ou bien d'une cavité, qui, à la base de la région cervicale, a sectionné à peu près complètement le
n, à l'oeil nu, de la moelle : La coupe est normale au niveau de la région inférieure du bulbe et de la ire racine cervica
flement cervical et de la 3e racine dorsale ; mais à par- tir de la région dorsale moyenne, la moelle présente, à la coupe,
gauche. Il existerait encore quelques douleurs à type fulgurant. La région cubitale n'est plus douloureuse. Depuis un mois
bumine dans les urines. Appareil ganglionnaire. On constate dans la région cervicale posté- rieure, surtout du côté gauche
ruption cutanée, par de syphilides pigmentaires du- cou. Les autres régions ganglionnaires ne sont pas atteintes. Décembre
berculose : Gomme ou plaque de méningite basilaire siégeant dans la région pédonculaire, au niveau de l'émergence des nerfs
La lésion siège ici sans aucun doute, dans les bourses séreuses de la région interne du pied, ou, comme le disait Charcot, l
oite, à mi-hauteur de celle-ci. Heureuse- ment, elle empiète sur la région antérieure, laissant en arrière les gros troncs
e. Decllbitus acutus. Autopsie : Double gomme intramédullaire de la région cervico-dorsale. Symphyse duro-médullaire. (1
de brûlure qu'il ressent entre les deux épaules ; les musclos de la région cervicale postérieure sont contracturés et cet
ns les groupés musculaires des membres inférieurs, du pelvis, de la région clorso-lombaire. (Fig. 10.) Les deux jambes sont
corres- pond à la 3e côte et qui suit cet arc osseux jusque dans la région postérieu- 1'13; immédiatement au-dessus de cet
are sacrée, ni fessière ; la peau est seulement plus rouge dans ces régions . Les masses musculaires ne paraissent pas atrop
s sa con 1 illuité( dissociation syringomyélique), siégeant dans la région ceriico-clorsule, vraisemblablement entre la 8° r
s de tuméfaction ni d'induration remarquables ; cepen- dant dans la région cervico-dorsale, il semble que le névraxe soit un
aux vasculaires de surface sont très congestionnés, surtout dans la région supérieure de la moelle. A la hauteur des premi
racine dorsale : coupe n° lui. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA MOELLE RÉGION CER·1C0-OORSALE. ETAGE SUPÉRIEUR (COLORAT, 1o\É
quement placées par rapport au plan médian ; elles occupent,dans la région antéro-latérale du névraxe, des niveaux un peu di
s- tantes l'une de l'autre, pour que, sur certaines coupes, dans la région inter- médiaire, elles apparaissent toutes deux
ées, les cornes droites sont contiguës à la tumeur, au niveau de la région qui correspondrait normalement à la commissure
0 racine dorsale : coupe ne 16. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA MOELLE RÉGION CERVICO-DORSALE. ETAGE INFERIEUR (DESSIN. A la
ningés, cesse d'adhérer aux en- veloppes, puis se concentre dans la région delà corne antérieure (P1.1,8, ' coupe 119) pou
filtrée de cellules embryonnai- res ; à une certaine distance de la région tumorale, principalement dans GOMME SYPIIILITIQ
environ au-dessous de la tumeur la plus basse, on retrouve dans la région postérieure, un épaississement et une infiltrat
avec les prolongements de la méninge. Au-dessus et au-dessous de la région des tumeurs, même à une assez longue distance d
ns laquelle on' aperçoit t quelques globules sanguins. - Dans les régions supérieures, situées au-dessus de la gomme, l'art
on jaune sur le fond noirâtre de la préparation et occupant dans la région de son diamètre GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
sur les faisceaux blancs voisins, sa limite est moins nette dans la région de la substance grise, vers la commissure par exe
sa phase récente, dans son mode d'envahissement : on voit dans ces régions le tissu médullaire, quel qu'il soit, substance
e supérieur à celui de la tumeur elle- même, indique bien que cette région a été rendue particulièrement vulné- rable par
, étant donnée l'épaisseur verticale des deux noyaux, il existe une région où la coupe les intéresse tous deux, le gauche
e sa congénère. Tandis que la première se termine en pointe vers la région centrale de la moelle, s'éloignant par conséquent
e qui suit la partie centrale de la moelle et qui désorganise cette région jusqu'à une distance relativement considérable,
s colorées par les méthodes de Fic,. 16. Coupe de la moelle dans la région commune aux deux gommes (voir fig. 13) : A ce
les observations de Sottas. Ces dernières lésions indiquent que ces régions de la moelle, soumises sans doute à une ischémi
crivant la topographie de nos tumeurs, que celles-ci occupaient les régions antérieures de la moelle et qu'elles s'étaient
auteur de nos coupes; nous savons en effet que l'infiltration de la région commissurale s'étend bien au delà des tumeurs g
rose interstitielle embryonnaire, dont le foyer principal occupe la région antérieure de la moelle. z Les lésions varient
elques-unes seulement renferment quelques tubes décolorés, dans les régions les plus envahies par la sclérose embryonnaire.
e petites cellules, aussi ser- rées, aussi confluentes que dans les régions les plus infiltrées de la tumeur médullaire. Ic
escence caséeuse des zones centrales, etc. Par contre, l'examen des régions voisines du foyer gommeux nous ap- porte des ar
étape dans la substance grise de ta cptpnneposténeure, gagnent les régions supéneures de la moelle et l'encéphale, par des s
on de Goll, l'étage des tumeurs; en revanche, si on exami- nait les régions supérieures du domaine paraplégie, les surfaces c
son explication dans ce fait que les filets sensitifs émanés de ces régions aboutissaient et l'étage de la lésion, et que l
arquable qu'avait prise l'infil- tration embryonnaire dans toute la région centrale de la moelle, même en deçà et au delà
729. 81 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE veloppées dans la région cervicale et disparaissant dans la partie inférie
les cloisons interstitielles de la moelle, particulièrement dans la région des cordons et des racines postérieurs. Près du s
es de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la région cervicale de la moelle. Di- verses lésions syph
es se prolonge sur la protubérance. La pie-mère spinale, dans les régions cervicale et thoracique, est très épaissie, uni
ée d'éléments cellulaires. Le sillon longitudinal antérieur dans la région dorsale, au niveau de la commissure blan- che a
Cadavre en état de putréfaction (marasmo) avancée. Il existe, dans la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale,une pet
. La moelle est de volume à peu près normal. Elle présente, dans la région lombaire,un dédoublement d'une étendue,en longu
, les fibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la région dorsale, la moelle est aplatie suivant son diam
divisé en 2 parties par un tractus de substance nerveuse. Dans la région lombaire, sur une longueur d'un centimètre et dem
terne. , Pas de lésions vertébrales. La dure-mère spinale, dans les régions cervi- cale et thoracique,est unie par de nombr
moelle, le processus morbide s'efface peu à peu. Cependant, dans la région lom- baire, il existe une induration fibreuse i
s centimètres de hauteur. L'examen microscopique montre, clans la région cervicale, une coloration diffuse des cordons p
ne coloration diffuse des cordons postérieurs de la moelle. Dans la région thoracique, seuls sont envahis les cordons cuné
ion thoracique, seuls sont envahis les cordons cunéiformes. Dans la région lombaire, les cordons postérieurs sont sains. D
baire, les cordons postérieurs sont sains. De plus, on note dans la région cervicale une petite gomme de la grosseur d'un
nt être découverts par les photo- graphies de Roentgen que dans les régions extrêmes du corps ; les membres et surtout les
ient une chute des che- veux dont il reste encore des traces sur la région antérieure du cuir chevelu. De 18 il 26 ans,mic
. - - En même temps qu'il ressentait des douleurs en ceinture de la région lom- baire, plus marquées à gauche, il s'aperçu
est traité par l'iodurc de potassium et des pointes de feu dans la région lombaire. Il en sort très amélioré après 4 mois.
antile, mais très vraisemblablement causée par quelque dépôt sur la région supérieure de la moelle et ses membranes. La lési
e comme un bâton dans toute son étendue, particu- lièrement dans la région cervicale. . Des coupes (non microscopiques) mo
étendue. Surtoutau niveau de la partie moyenne et inférieure de la région dorsale, la pie-mère présentait un fort épaissi
cependant une atrophie de quelques fibres nerveuses,surtout dans la région de la queue de cheval. Telle est cette instru
t'age de 6 ans, elle a commencé à se plaindre de douleurs dans les régions dorsale. et épigastrique qui la forcèrent, dit-
phénomènes généraux il cette époque. , La courbure vertébrale de la région dorsale qu'elle présente aujourd'hui, ne se ser
le est restée chez elle sans traitement, toutefois elle porte dans la région dorsale 2 cicatrices attribuables à des cautère
véritable arrêt de développement. Tronc. Cyphose très marquée à la région dorsale supérieure, arrondie, sans saillie ou p
rge. ' L'abdomen bombe également et est fortement saillant. Dans la région inter- capsulaire dépression marquée surmontant
rale est modérément douloureuse. Cicatrices cutanées. La peau de la région postérieure du tronc est parse- mée de cicatric
la région postérieure du tronc est parse- mée de cicatrices. A la région dorsale supérieure, 2 cicatrices étoilées de caut
dorsale supérieure, 2 cicatrices étoilées de cautères anciens. A la région sacrée, il existe une cicatrice blanche de la lar
ême ordre se seraient montrés au mois de janvier 1895 dans les môme régions . Ils auraient guéri, puis auraient récidivé en av
erses sensations au contact, à la piqûre, à la température, dans la région hypoesthésique, Il semble bien qu'il existe une
r couché pendant 7 à 8 jours, Il avait des four- millements dans la région lomhaire surtout lorsqu'il fléchissait fortement
ur (janvier 1896) il a toujours ressenti des fourmillements dans la région lombaire et dans les membres inférieurs, chaque
on de la syphilis héréditaire sur la base du cerveau, le bulbeêt la région cervi- cale de la moelle épinière. ' On remar
bilité élec- trique conservée. Zone hyperesthésique cutanée dans la région mammaire droite. Pas de troubles sensoriels.
trophiques si ce n'est un durillon situé la par- tie interne de la région métatarso-phalangienne du gros orteil, lequel est
ier, la malade se plaint de douleurs dans la nuque et aussi dans la région frontale au niveau de la racine du nez entre le
a piqûre. En même temps, se montraient des douleurs sourdes dans la région lombo-sacrée. Elle avait déjà ressenti ces doul
durèrent pas plus de 8'jours. Le 11 mars 1895, les douleurs de la région lombo-sacrée revinrent plus vives et avec elles
phénomènes s'aggravèrent rapidement ; toutefois les douleurs de la région lombo-sacrée s'amoindrirent sous l'influence des
d'onguent mercuriel double. Ap- plication de pointes de feu dans la région lombaire renouvelées tous les 10 jours. Hydroth
assied elle n'a plus qu'une vague sensation d'engourdissement de la région inférieure des fesses et de la région périnéo-v
ation d'engourdissement de la région inférieure des fesses et de la région périnéo-vulvaire. Ces régions ont leur sensibilit
région inférieure des fesses et de la région périnéo-vulvaire. Ces régions ont leur sensibilité normale à la pi- qûre. L
e de la rétine. Quelques-unes néanmoins existent au voisinage de la région vasculaire ». Il n'existe, à la face ou sur le
u personnage. - Le torse est la partie la plus intéressante. La région supérieure présente une double gibbosité, dorsale
ale et thora- cique ; elle forme un angle ouvert en arrière avec la région lombaire qui, elle, est inclinée presque horizo
ux par son milieu. Il en résulte une ensellure considérable dans la région dorso-lombaire, et une saillie énorme des fesse
nne vertébrale rendue fragile par le mal de Pott, les muscles de la région dorso-lombaire qui contribuent au maintien de l
es par la pression. Pas de douleurs, pas d'éruption dans les autres régions , intégrité des muqueuses; pas de réaction génér
ure de l'hémisphère gauche ne présente aucune ano- malie. Dans la région motrice gauche (y compris le lobe frontal et la c
'il ne reste que le lobe pa- riétal qui puisse être considéré comme région de contact pour le faisceau latéral. Cette inte
devinrent douloureuses. L'anasarque fut surtout considérable il la région lombaire, la malade parut menacée de devenir hy
coliques néphré- tiques. - Les douleurs qu'elle accusait dans la région lombaire et dans l'abdomen 244 NOUVELLE ICONOGR
ait il la suite des vomissements sanguins, aux hypocondres, dans la région hypogastrique, sur la région antérieure des cui
nts sanguins, aux hypocondres, dans la région hypogastrique, sur la région antérieure des cuisses, des jambes, sur le visa
èrent successivement et devinrent douloureuses », principalement la région (1) LOUYEII- VILLE1UIAY, Traité des maladies ne
e comme un bâton dans toute son étendue, particu- lièrement dans la région cervicale. Des coupes montrèrent une altération
pachyméningite et arachnite spinales, surtout dévelolo pées dans la région cervicale et disparaissant dans la partie inférie
les cloisons interstitielles de la moelle, particulièrement dans la région des cordons et des racines postérieures. Près d
es de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la région cervicale de la moelle. Diverses lésions syphilit
se prolonge sur la protubérance. ' « La pie-mère spinale, dans les régions cervicale et thoracique est très épais- sie, un
isseux intra-rachidien sont intacts. La dure-mère spinale, dans les régions cervicale et. thoracique est unie par de nombreus
re de la moelle, l'affection s'efface peu à peu; cependant, dans la région lombaire on trouve une induration fibreuse, isolé
e 3 centimètres. « Sur les coupes de la moelle, on constate dans la région cervicale une colo- ration diffuse dos cordons
ervicale une colo- ration diffuse dos cordons postérieurs ; dans la région thoracique, les cordons cunéiformes seuls sont
la région thoracique, les cordons cunéiformes seuls sont pris. A la région lombaire, les cordons postérieurs sont intacts.
re, les cordons postérieurs sont intacts. Il existe de plus dans la région cervicale une petite gomme de la gros- seur d'u
lle sacrée. Le point où le processus atteint son maximum est non la région cervicale mais la région moyenne et in- férieur
e processus atteint son maximum est non la région cervicale mais la région moyenne et in- férieure de la moelle dorsale.
s antérieures. L'artère spinale antérieure présente au niveau de la région cervicale une LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPH
e vers l'intérieur, saus cesser totalement toutefois. Dans d'autres régions la veine a conservé sa structure normale, la lumi
es plus haut à la périphérie de la corne postérieure droite dans la région dorsale moyenne et lombaire. Les cellules gangl
tifs ou dans les vaisseaux des cellules rondes. Cependant dans la région sacrée, une partie des filets radiculaires appart
d'éléments cellulaires. Le sil- lon longitudinal antérieur dans la région dorsale au niveau de la commissure blanche, for
portera à la syphilis héréditaire. « Il existe, en effet, dans la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale une pet
l. La moelle est de volume à peu près normal. Elle présente dans la région lombaire un dédoublement d'une étendue en longu
, les fibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la région dorsale, la moelle est aplatie suivant son diam
isé en deux parties par un tractus de substance nerveuse. Dans la région lombaire, sur une longeur d'un centimètre et demi
is il est remarquable que fréquemment des vaisseaux au milieu d'une région relativement favorable présentent de graves chang
ssée, nécrosée a fini par disparaître presque entièrement ; dans la région cervicale moyenne ce n'est plus qu'un alfias de d
éments constitutifs de la moelle, plus bas il faut aller jusqu'à la région lombaire avant que les coupes montrent nettemen
l'aeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope : Région cervicale : cordons blancs, cellules de l'axe gri
vaisseaux de calibre moindre, ne présentent rien à si- .. gnaler. Régions dorsale, lombaire, DE la queue DE cheval, se prés
, lombaire, DE la queue DE cheval, se présentent également comme la région cervicale avec leurs aspects normaux. Observati
ral est rempli par un tissu rougeâtre consistant. Au microscope : RÉGION cervicale. A un faible grossissement on est frapp
rme de larges travées fibreuses rayonnant autour des vaisseaux. , Région dorsale. Ce qui frappe encore à un faible grossis
sseaux spinaux antérieurs paraissent ici moins atteints que dans la région cervicale, on peut les reconnaître facilement au
sif et se confondent avec les tissus voisins sans limites nettes. Région lombaire. On trouve exactement les mêmes caractèr
Cette distension est telle que dans certaines coupes du n° III bis ( région lombaire) il y a eu déchirure et hémorrhagie. L
isses, tandis que les artères restent peu développées. Moelle : Région cervicale. La moelle proprement dite est normale
masse grenue contenant peu de noyaux colorés par l'hématoxyline. Région dorsale. L'aspect est le même sur les premières c
ex- pliquer bientôt. En effet, peu à peu apparaît au niveau de la région dorsale moyenne, à la face postérieure de la mo
pillaires sont remarquables seulement par leur distension énorme. RÉGION lombaire. L'infiltration des méninges et de l'esp
l'oeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope : Région cervicale. Tout est normal. , , Région dorsale.
eloppes. Au microscope : Région cervicale. Tout est normal. , , Région dorsale. Sans qu'on ait il relever d'autres lésio
entre les racines nerveuses, sans que le sang s'échappe cependant. Région lombaire. L'arachnoïde a cédé en quelques points,
ste des altérations assez évidentes pour être décrites avec soin. Région CERVICALE.- La moelle est petite, très aplatie da
istinctes, creusées dans l'épaississement fibreux de la pie-mère. Région DORSALE.- L'aspect est très semblable à celui de
ie-mère. Région DORSALE.- L'aspect est très semblable à celui de la région cervicale. Cependant ici les racines sont plus
reux que nous venons de signaler dissociant les fascicules nerveux. Région lombaire. -- La moelle est très altérée dans sa f
re distinctes. Les racines présentent le même caractère que dans la région dorsale. Les méninges sont également très épais
sont le centre des tractus conjonctifs qui vont se perdre dans les régions voisines en refoulant le tissu nerveux. A la pl
ques. Cerveau. Hémorrhagie sous-dure-mérienne diffusée sur toute la région motrice de l'hémisphère droit. Moelle. Les pi
i infiltrent leurs parois. Les racines paraissent normales dans les régions cervicale et dorsale, les vaisseaux qui les acc
agnent sont entourés d'un manchon cellulaire. Mais il n'y a qu'à la région lombaire que les cellules embryonnaires s'infiltr
te la hauteur de la moelle, mais certainement plus marquées dans la région lombaire. Ce sont les gros vaisseaux spinaux an
nombre atteignent leurs dimensions les plus considérables; vers la région lombaire, -les parois vasculaires ont cédé et tou
raitement, et nous avons divisé les scènes de chirurgie d'après les régions du corps où sont figurées les opérations. Nous
gauche appliquée sur l'épaule du client pour' tendre la peau de la région où il opère ; de la droite, il tient un petit ins
l'extenseur propre du gros orteil. Dans les autres mus- cles de la région antéro-externe de la jambe l'excitabilité électri
., p. 4G2. 336 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE clos de la région de la jambe, jambier antérieur, exten- seur pro
injection, finit par disparaître absolument méconnaissable dans la région cervicale inférieure, elle reparait ensuite déf
ure, elle reparait ensuite déformée, disjointe, irrégulière dans la région dorsale, elle re- prend une forme il peu près n
égion dorsale, elle re- prend une forme il peu près normale dans la région lombaire mais pour dispa- raître encore au mili
x qui remplit le canal vertébral dans toute sa partie inférieure. Région cervicale. On peut reconnaître au milieu du tissu
rose clair sans aucun noyau violet. Un peu plus bas dans cette même région cervicale, la prolifération conjonc- tive est t
es irrégulières représentant des vaisseaux de nouvelle formation. Région dorsale supérieure. - Même aspect que *ci-dessus.
nuosités de la pie-mère épaissie, avec ses vaisseaux irréguliers. Région dorsale inférieure. Ou reconnaît la présence de t
ur contenu en est aussi presque uniquement formé, tbrombus blanc. Région lombaire supérieure. On reconnaît assez nettement
aux béants, et le tissu de soutien pa- raît beaucoup moins dense. Région lombaire inférieure. Enfin la moelle a repris un
s points il y a du sang épanché entre l'arachnoïde et la dure-mère ( région lombaire). Cependant la pie-mère est épaissie,
rganes viscéraux, d'aspect normal. Encéphale paraît sain. Moelle, région cervicale : distension de tous les vaisseaux par
les méninges mal conservées ne montrent pas bien leurs lésions. ' Région cervicale. Ce qui frappe d'abord, c'est une hémor
nte entre la pie-mère et l'arachnoïde, l'hémorrhagie est limitée à la région postérieure, elle ne dépasse pas en avant les l
endo- théliales, desquamées.'qui obstruent leur lumière. Dans les régions dorsale et lombaire, les vaisseaux sont évidemmen
capil- laires distendus ; hémorrhagie de l'espace sus-arachnoïdien ( région lombaire). Observation XVI, 9 avril 1896 (Broca
nt elle a à peu près les dimensions par une ligne plus foncée. A la région dorsale supérieure la cavité du canal rachidien e
re les parois du canal ra- ctidien. A mesure qu'on s'approche de la région dorsale inférieure la tumeur augmente,- la moel
se montre, rempli il est vrai par un tissu conjonctif dense. A la région lombaire la mqelle n'a pas encore repris sa place
ugeàtre parsemé de vaisseaux béants visibles à l'aeil nu. Dans la région de la queue de cheval, à l'oeil nu on ne voit plu
vertébral. Au microscope, voici comment se présentent les coupes. Région cervicale. On distingue assez nettement la substa
eaux de tubes nerveux ne se voient plus avec la netteté habituelle. Région doosccle. T Il y a peu de différence au point de
ns vu, considérable; elle présente la même struc- ture que 'dans la région précédente, les places dégénérées où les éléments
celles- ci conservent leur structure, elles ne sont pas cachées. Région lombaire. Il faudrait répéter la même description
vasculaire exagérée dans toutes les parties de la moelle. Vers la région de la queue de cheval, la pic-mère adhère si inti
a cependant une ac- centuation très notable de ces lésions dans la région dorsale moyenne, par rap- port aux régions cerv
le de ces lésions dans la région dorsale moyenne, par rap- port aux régions cervicale la moins atteinte et lombaire où le pro
secondaire, chancre buccal au 2e mois de la grossesse. Moelle. Région cervicale. La moelle proprement dite est normale,
ation embryonnaire remarquable. Arachnoïde et dure-mère normales. Région dorsale. Ici les lésions sont beaucoup plus marqu
sont facilement reconnaissables, ils ne paraissent pas mala- des. Région lombaire. Le processus s'atténue beaucoup. Il res
t cepen- dant très touchée au moins dans ses parties accessoires. Région cervicale. La moelle proprement dite est saine, l
fil- tration cellulaire. L'espace extradural paraît presque sain. Région dorsale. L'aspect est sensiblement le même, mais
les lésions sont plus marquées, l'espace extradural est fibreux. Région lombaire. A mesure qu'on descend la moelle semble
oie. La moelle a dû être étudiée en dehors du canal vertébral. La région cervicale donne des coupes où la moelle est très
ui les infiltrent sem- blent avoir il l'égard de l'llématoxylinc. Région dorsale. Ici la moelle a repris des caractères ab
onnaires, disséminés du reste et sans tendance à former des amas. Région lombaire. Les mêmes considérations s'appliquent i
as. Région lombaire. Les mêmes considérations s'appliquent il cette région où les processus semblent encore moins marqués,
re ici une périartérite intense, qui soit plus atteinte que dans la région dorsale. - Observation XXVIII, 28 septembre 189
ération abondante de cellules embryonnaires qui com- blent ainsi la région laissée libre entre l'arachnoïde et la pie-mère,
lent ainsi la région laissée libre entre l'arachnoïde et la pie-mère, région qui sert surtout de passage aux vaisseaux et au
ALPÊTRIÈRE T. IX, PL. XLIV i. (OBS. XXII. Non spécifique.) Moelle : Région dorsale inférieure. Pie-mère et arachnoïde minc
t racines nerveuses bien isolé ? 2. (OBS. II. Spécifique.) Moelle : Région dorsale inférieure. l'ie-mere et arachnoïde réu
CONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE T. IX, PL. XLV 3. - (Ons. XVII.) Moelle : Région cervicale. Tout l'espace compris entre la pie-m
oelle est envahie par le même processus. 4. - (Obs. XVII.) Moelle : Région dorsale. Énorme gomme méningée ayant refoulé la
ONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE- - T. IX, PL.-XLVI 5. (013s. IX.) Moelle Région cervicale. La moelle a complètement disparu, ré
ie-mère l'est beaucoup également. 6. (Otss. VI.) Une racine de la région dorsale. Développement anormal du tissu conjonc
NOUV, ICONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE T, 1X PL. XLVII 9. - (Orts.' VL) Région de la queue de cheval. Néoplasie gommeuse ayant
aspects des coupes sont très variés pour une même moelle suivant la région à laquelle elles correspondent. Cependant on pe
que nous venons de pas- ser en revue, il résulte qu'il n'y a pas de région particulièrement prédis- posée à la localisatio
emerling, Bottiger .in- sistent sur la prédominance des lésions aux régions dorsales moyenne et inférieure dans leurs cas,
sieurs reprises noté chez les foetus le maximum des lésions dans la région dorsale ou dans la région lombaire, mais on peu
les foetus le maximum des lésions dans la région dorsale ou dans la région lombaire, mais on peut dire que selon les vues de
mais on peut dire que selon les vues de Jùr- gens, c'est surtout la région cervicale qui est atteinte par la syphilis médu
hilis médullaire héréditaire. Ce n'est pas tout, et dans une même région , la moelle n'est pas égale- ment altérée dans t
toutes ses parties ; la prédominance des lésions au ni- veau de la région postérieure, qu'il s'agisse de lésions médullaire
ente une anestliésie complète (tact, douleur, température) dans les régions suivantes : 1° Faces antérieure et postérieure
te : 1" une zone d'anesthésie tactile et d'analgésie localisée à la région thénarienne et au pouce de la main gauche ; 2° un
n de l'ouverture d'un furoncle où d'un anthrax fréquents dans cette région et nécessitant un assez large débridement. Nous s
16 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
arlerai pas des lésions macroscopiques, constatées, surtout dans la région bulbo-protubérantielle, les pédoncules ou les cor
yau, destruc- tion partielle des dendrites, principalement dans les régions cervicales supérieure et dorsale inférieure. Lé
cas, il trouve des épaississements de l'arachnoïde, au niveau de la région dorsale postérieure, et des faisceaux pyramidaux;
de fragments du cerveau et de la moelle, pris dans les principales régions et étudiées par les méthodes de Marchi, de Wei-
aires à l'étude anatomique des cordons postérieurs ; la carte de la région est d'autant moins faite que nous ne connaissons
aire antérieure de Flechsig ; c'est, ainsi que nous le verrons, une région où les fibres de di- verses origines sont mêlée
moelle foetale on aperçoit, au centre des cordons postérieurs à la région lombaire, à cheval sur le septum médian, une régi
ostérieurs à la région lombaire, à cheval sur le septum médian, une région ovoïde dont le développement est tardif et qui
rie dans la zone de transi- tion entre le renflement lombaire et la région dorsale. Le faisceau médio-périphérique, faisce
est un faisceau endogène descendant à fibres longues, qui, dans la région lombaire, passe au travers du centre ovale de Fle
QUE DES CORDONS POSIÉRIEURS ' . 19 développés que les racines de la région sont elles-mêmes plus volumi- neuses. Ce sont l
très courte ; mais elle for- me un long trajet rectiligne dans les régions où la tête de la corne posté- rieure est située
e long de la portion élargie du septum. Les fibres conservées de la région cornu-commissurale ont augmenté de nombre; elle
er dans l'angle formé par la commissure et la corne, si bien que la région commissurale moyenne est devenue très pâle. Les
née à contours vagues qui part de la zone commissurale, oc- cupe la région moyenne de chaque cordon et se perd lorsqu'elle a
ne façon diffuse la branche transversale de l'équerre formée par la région sclérosée. En avant les fibres radiculaires rec
qui sont vraisemblablement d'origine radicu- laire. Les bords de la région sclérosée deviennent moins nets et cette région
aire. Les bords de la région sclérosée deviennent moins nets et cette région est envahie, surtout en avant, par des fibres s
ie, surtout en avant, par des fibres saines éparses. 8e Dorsale. La région sclérosée, déjà cordon de Goll, se rétrécit beau-
externe du cordon de Goll. Dans le reste des cordons de Goll- à la région cervicale il existe un semis très discret de gr
également des fibres fines, mais en moins grand nombre que dans les régions inférieures ; ces fibres verticales semblent êt
de la zone de Lissauer et du réticulum des colonnes de Clarke à la région lombaire supérieure. La méthode de Nissl montre
lles qui ont été colorées au carmin permettent de constater dans la région sclérosée, une légère réaction névroglique. - A
la corne postérieure. Son bord interne est rectiligne et limite une région médiane saine au même degré que les champs post
on médiane saine au même degré que les champs postéro-externes à la région lombaire; cette région se rétrécit progressivem
e degré que les champs postéro-externes à la région lombaire; cette région se rétrécit progressivement à mesure que l'on rem
le long de la moelle et finit par constituer le cordon de Goll à la région cervicale Ses deux bords externes sont curvilig
diculaires, très peu abondantes dans les cordons pos- térieurs à la région lombo-sacrée, et encore plus rares dans le cordon
le même trajet et les recouvrent en partie. Le septum médian,'à la région sacrée, contient un grand nombre de fibres semb
lables, qui paraissent provenir de la commissure postérieure ; à la région cervicale il en contient encore, mais beaucoup mo
et assez serré dans toute l'étendue des cordons posté- rieurs à la région sacrée (fig. 2). Elles deviennent plus rares dans
es dans la portion antérieure des cordons lorsqu'on remonte dans la région lombaire. A la région cervicale il en existe en
érieure des cordons lorsqu'on remonte dans la région lombaire. A la région cervicale il en existe encore, mais fort peu, dan
Fibres endogènes fines horizontales et verticales disséminées à la région moyenne des cordons postérieurs, au niveau de la
ent la structure fine de la corne postérieure et donna de la petite région qui porte actuellement son nom, une description
à, suivant toute vraisemblance, qu'une apparence. Dans cette petite région fort compliquée et souvent altérée par des tirail
dans les zones de Lissauer. Si l'on ajoute à cela que souvent cette région est tiraillée pendant l'autopsie comme je viens
n nom est prise dans le tabes plus tardivement que certaines autres régions (1) K. ScneFFen,Anatorroisch-Kliuische Vorlrage
se des cordons et des racines postérieurs portée à son maximum à la région sacrée, les fibres fines de la portion externe
térieure. 2° Fibres ENDOGÈNES GROSSES. Ces fibres constituent, à la région lom- bo-sacrée, deux formations particulières,
, ou triangle de Gombault et Philippe, et un faisceau situé dans la région cornu- commissurale ou zone marginale de Vestph
tre un plus grand nombre, ne sont séparées l'une de l'autre qu'à la région lombaire ; à la région sacrée elles se continue
e, ne sont séparées l'une de l'autre qu'à la région lombaire ; à la région sacrée elles se continuent l'une avec l'autre dan
ériphérie de la moelle, en arrière de la virgule de Schulze dans la région dorsale, changent de situation à la région lombai
rgule de Schulze dans la région dorsale, changent de situation à la région lombaire, se rappro- (1) NAGBOTTE et ETTLINGER,
res endogènes descendants des cordons postérieurs de la moelle â la région lombo-sacrée. Journal de Physiologie et de Patho-
STÉRIEURS 37 client du septum médian, y pénètrent et dessinent à la région lombaire la forme d'un fuseau, à la région sacr
ètrent et dessinent à la région lombaire la forme d'un fuseau, à la région sacrée celle d'un triangle le plus sou- Fia. 4.
ne fracture de la colonne vertébrale au niveau de la limite entre les régions dorsale et lombaire (durée un an). Comparer ave
G. 5. ive lombaire. Il ne reste qu'une très légère dégénération de la région ven- trale des cordons postérieurs. ' Fio. 6.
on excellent ami Ch. Ettlin- ger(l), nous avons montré que, dans la région de transition entre la partie dorsale et la par
atégorie des moelles où le passage des fibres de la périphérie à la région médiane se fait, en totalité ou en partie, par
aisceau médio-périphérique qui est plus ou moins congloméré dans sa région de transition,qui prend plus ou moins bas sa situ
bas sa situation médiane, et qui affecte une forme variable dans la région sacrée. Mais il me faut dis- cuter les rapports
ivante : le faisceau de Hoche devient centre ovale de Flechsig à la région lombaire et triangle de Gombault et Philippe à
chsig à la région lombaire et triangle de Gombault et Philippe à la région sacrée. Or, rien n'est moins exact; tout en adm
diane de la périphérie postérieure de la moelle, exactement dans la région qui atteint à l'extrémité postérieure de la clo
pliquer par un passage de fibres radiculaires postérieures dans ces régions ; de plus, ils mentionnent l'existence d'une dé
diculaire. Dans l'observation I on peut constater que, sauf dans la région sacrée, ce faisceau est constitué par des fihre
ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 41 s'éparpiller dans la région antérieure des cordons postérieurs de la moelle
antérieure de la substance gélatineuse de Rolando, et dans toute la région lombaire elles restent cantonnées à la moitié o
pu recueillir sur les fibres endogènes des cordons postérieurs à la région lombo-sacrée, au cours de l'étude anato- mique
er, dans son mémoire cité plus haut. Cet auteur distingue plusieurs régions qui sont d'arrière en avant, la région spongieu
auteur distingue plusieurs régions qui sont d'arrière en avant, la région spongieuse postérieure, au contact de la zone de
act de la zone de Lissauer, la substance gélatineuse de Rolando, la région spongieuse antérieure, divi- sée elle-même en d
rieure, divi- sée elle-même en deux subdivisions. Dans toutes ces régions il existe à l'état normal un réseau de fibres à
essive de volume de la zone sclérosée dans son passage à travers la région dorsale.sur les variations de forme du cordon d
variations de forme du cordon de Goll aux différents niveaux de la région cervicale, sur l'encoche que ce cordon porte en
mble, en effet, que les opinions qui règnent actuellement sur cette région sont contraires à la réalité. A. FORME, VOLUME
ndelette externe affecte successivement la forme d'un triangle à la région lombo-sacrée, d'un tractus allongé à la région do
e d'un triangle à la région lombo-sacrée, d'un tractus allongé à la région dorsale el de nouveau d'un triangle à la région
ractus allongé à la région dorsale el de nouveau d'un triangle à la région cervicale. C'est là un fait connu. Ce qui est moi
qui est moins bien établi, c'est la forme de la bandelette dans la région de transition en hauteur, un tabes dans lequel
MIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 45 entre le renflement lombaire et la région dorsale. Dans l'observation II (PL VI, 1 1., 12
rvation II (PL VI, 1 1., 12 d., 11 d.), la bandelette prend à cette région une forme très compliquée; elle constitue de ch
(2) la photographie d'une moelle de tabétique prise au niveau de la région dorsale inférieure, qui reproduit très exacte-
la figure 2 d'un mémoire de Joffroy et Gombault, re- présentant la région dorsale inférieure de la moelle d'un paralytique
2° cas de tabès où la sclérose prend encore la même forme à la même région ; malheureusement dans ce cas, il existe en out
est exclusivement limitée ci la zone de transition située entre la région dorsale et la région lombaire ; en second lieu, q
mitée ci la zone de transition située entre la région dorsale et la région lombaire ; en second lieu, que la figure en que
n dans chaque cordon. Le volume de la bandelette varie, suivant les régions , en raison directe du volume des racines postér
on de Goll et le septum médian (loi de Kahler) de sorte que si à la région cervicale [lombo-sacrée ? ] les bande- lettes e
ntiennent les fibres qui occupent les bandelettes externes dans les régions lombo-sacrée et dorsale inférieure ». L'observa
trouver, sur une même moelle des lésions de tabes incipiens en une région et des lésions de tabes avancé dans une autre r
cipiens en une région et des lésions de tabes avancé dans une autre région . La moelle représentée (pl. VII, moelle D) est da
La moelle représentée (pl. VII, moelle D) est dans ce cas ; dans la région cervicale c'est un tabes incipiens, cordon de Gol
vicale c'est un tabes incipiens, cordon de Goll mis à part, dans la région sacrée c'est un tabes avancé. , Le fait que dan
ndemne, malgré une altération intense de la bandelette externe à la région lombo-sacrée, prouve que les fibres détruites s
t il y ci un rapport très exact entre l'état du cordon de Goll à la région cervicale et celui des champs postéro-externes à
Goll à la région cervicale et celui des champs postéro-externes à la région lombo-sacrée ; lorsque ces champs sont presque
iminution de volume du cordon de Goll dans son passage à travers la région dorsale. Les champs postéro-externes ne contien
du cordon de Goll. Toutefois il ne faut pas oublier qu'il y a, à la région dorsale inférieure un remaniement des cordons p
Conclusions. A. Les fibres endogènes des cordons postérieurs à la région lombo- sacrée doivent être divisées en deux cla
descendant médio-périphérique, dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. C. Le triangle mé
dach ; il en existe aussi quelques-unes dans le cordon de Goll à la région cervicale. E. Les zones de Lissauer sont consti
r des fibres endogènes fines verticales qui sont condensées à cette région . Elles ne sont pas de nature radiculaire, comme
e ne touche en aucun point la corne posté- rieure ; elle prend à la région dorsale inférieure une forme compliquée qui rep
formation pendant tout leur trajet intra-médullaire et celles de la région lombo-sacrée n'a- boutissent pas au cordon de G
l. Altération de moyenne intensité des champs postéro-externes à la région lombaire et des cordons de Goll à la région cervi
s postéro-externes à la région lombaire et des cordons de Goll à la région cervicale. 7 et 8. Moelle D. Tabes avancé. 1re
thode de Pal. Altéra- tion intense des champs postéro-externes à la région lombaire et des cordons de Goll à la région cer
s postéro-externes à la région lombaire et des cordons de Goll à la région cervicale. Conservation des champs postéro-extern
à la région cervicale. Conservation des champs postéro-externes à la région cervicale. HOSPICE DE 131CTRE TRAVAIL DU LA
de l'apparence grêle que présente la moelle en particulier dans la région dorsale, son calibre a diminué dans d'assez gra
e normale; sa forme est modifiée : il existe un aplatissement de la région postérieure qui semble atrophiée dans le sens a
elle est petite ; elle présente un épaississement pie-mé- rien à la région dorsale et à la région cervicale. Nous avons pu f
présente un épaississement pie-mé- rien à la région dorsale et à la région cervicale. Nous avons pu faire son examen micro
est encore plus accentuée. La sclérose du cordon latéral occupe la région du faisceau cérébelleux direct et une partie de l
rieure est très épaissie. Latéralement, la sclérose occupe toute la région du faisceau cérébelleux direct et s'étend jusqu'a
ment aplatie. La sclérose des cordons postérieurs occupe surtout la région marginale. Plus bas, dans la région lombaire, o
postérieurs occupe surtout la région marginale. Plus bas, dans la région lombaire, on [retrouve les lésions combinées des
de la moelle lombaire. La pie-mère est épaissie. Au niveau de la région dorsale : le cordon postérieur présente les mêmes
ons les plus marquées du cordon latéral. A la partie supérieure de la région dorsale, on retrouve les mêmes lésions du cordo
paraison avec les lésions du cor- don postérieur. Au niveau de la région cervicale, la sclérose reste limitée au cordon de
pyramides. Le faisceau pyramidal lui a paru un peu dégénéré dans la région bulbaire. Les pédoncules étaient normaux. Il n'
ceau cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé. Au niveau de la région dorsale, la moelle présente un calibre extrêmemen
ons postérieurs SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 61 Au niveau de la région cervicale, la moelle a de nouveau un volume norma
au, des bourses et delà verge. Examen histologique. Au niveau de la région sacrée, la moelle présente une sclérose diffuse
téral est dégénéré suivant une zone triangulaire. Au niveau de la région lombaire, le cordon de Goll est sclérosé ; la zon
ée ; mêmes lésions du cordon latéral (Voir fig. 7). Au niveau de la région dorsale, la sclérose occupe un triangle dont la b
e ; la colonne de Clarke est normale (Voir fig. 6). Au niveau de la région cervicale, le cordon de Goll est dégénéré seuleme
nge postérieure de la moelle est épaissie, à partir seulement de la région dorsale inférieure ; il n'existe pas d'épaississe
suivant une zone triangulaire occupant la plus grande partie de la région postérieure de ce faisceau et englobant le fais-
près diffuse, uu peu plus marquée dans le cordon de Goll et dans la région ventrale. La sclérose des faisceaux pyramidaux
ette et beau- coup plus accentuée que cclle du cordon postérieur. Région dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclérose du fai
se du cordon postérieur est diffuse, un peu moins accentuée dans la région ventrale (Voir fig. 2). Région lombaire. La moe
se, un peu moins accentuée dans la région ventrale (Voir fig. 2). Région lombaire. La moelle a été examinée à trois hauteu
ire. La moelle a été examinée à trois hauteurs différentes de cette région . Le cordon postérieur est sclérosé, sauf dans l
de cette région. Le cordon postérieur est sclérosé, sauf dans les régions ventrales où les fibres sont presque complèteme
trois mouvements segmentaires. Dans certains cas pathologiques, la région plantaire n'est pas seule effi- cace, comme à l
provoquer l'ex- tension du gros orteil par l'excitation cutanée de régions quelconques du membre inférieur.A cette donnée
; ces douleurs, exaspérées par le moindre mouvement, siégeaient à la région lombaire et avaient leur maximum en une zone de
ieu de la colonne dorsale jusqu'au sacrum et le bas du dos aplati, la région lombo-sacrée se continuant sans ligne de démarc
est un peu fléchi et projette la tête en avant. Le bas du dos, les régions lombo-sacrée et fessière sont aplaties dans leur
ti, les genoux fléchis. . Cet aplatissement que le bas du dos, la région lombo-sacrée et les deux fesses atrophiées prés
ppelant l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des régions plus souvent étudiées par la méthode Golgi-Ramo
struction ; quelques-unes sont remplacées par des amas de noyaux. Région motrice droite (partie moyenne). Mêmes lésions
s constatons en effet des lésions in- flammatoires marquées dans la région de la tumeur (zone temporale et face interne du
lissement disproportionné qui l'accompa- gnait et qui, englobant la région motrice, avait fait porter le diagnostic de tum
sclérose des racines postérieures également marquée dans toutes les régions médullaires. Coeur. - Myocardite interstitielle
intures des quelques basiliques bénédictines encore debout dans ces régions présentent, d'après les critiques, des dé- tail
ralement au niveau de la ceinture. Il n'y a pas du tout de poils à la région présternale. L'abdomen est très volumineux, t
s ; il n'y a aucun poil à l'hypogastre ; le système pileux de cette région est en somme disposé selon le type féminin. Les
ème anémique persistait. 11. En frottant légèrement la peau dans la région où nous avions écrit : « Démence précoce » 48 h
café au lait » grandes comme la paume de la main, siégeant dans la région dorsale, symétriquement flan- quées de chaque c
récier l'état des cellules nerveuses, suivant qu'elles occupent les régions circonférentielle ou médiane, le pôle central o
rentielle ou médiane, le pôle central ou le pôle périphérique : par région circon- férentielle nous entendons la région oc
ôle périphérique : par région circon- férentielle nous entendons la région occupée par les cellules situées immédiatement
s situées immédiatement au-dessous de la capsule ganglionnaire; par région mé- diane celle occupée par les cellules qui so
ieurs ganglions sont prélevés, sans être exac- tement repérés, à la région lombaire, à la région dorsale et à la région cerv
rélevés, sans être exac- tement repérés, à la région lombaire, à la région dorsale et à la région cervi- cale et fixés par
- tement repérés, à la région lombaire, à la région dorsale et à la région cervi- cale et fixés par le sublimé osmique, pu
Les cellules ganglionnaires sont moins nombreuses, surtout dans les régions circonférentielles, les cellules ont disparu pa
de la face interne des cuisses et la partie toute supérieure dé la région anale dans un rayon de quelques centimètres. Le v
aires au trajet des racines, les autres en coupes longitudinales. Région sacrée. Comme type de ganglion malade nous prendr
n très grand nombre de cellules ont com- plètement disparu, dans la région circonférencielle et dans la région médiane du
com- plètement disparu, dans la région circonférencielle et dans la région médiane du ganglion, mais surtout dans la premi
les capsules occu- pées auparavant par les cellules (PI. XXXI-B). Région lombaire. Les altérations sont moins marquées que
s nerveuses contiennent des boules de graisse colorées en noir. " Région dorsale. ? Le ganglion examiné est beaucoup moins
anatomique. - La plupart des ganglions examinés appartiennent à la région lombaire et à la région sacrée. Ils ont tous été
t des ganglions examinés appartiennent à la région lombaire et à la région sacrée. Ils ont tous été examinés après fixa- t
xa- tion par le sublimé osmique et coloration par le picrocarmin. Région lombaire. Sont examinés les 1er, 2e, 3e lombaires
dé- rable, plus marquée à la circonférence du ganglion que dans les régions mé- dianes. Quelques cellules sont très atrophi
trophie cellulaire et la prolifération capsulaire. De même dans les régions 216 THOMAS ET HAUSER dévastées les cellules d
e est plus appréciable à la circonférence qu'au centre de l'organe. Région sacrée (ter sacré droit, 2° sacré gauche). On tro
uche les lésions sont un peu moins accusées, mais très analogues. Région dorsale. Les ganglions (9° dorsal gauche, 5° dors
é, les altérations sont en quelque sorte réduites à leur minimum. Région cervicale. Il y a peu de chose à signaler dans le
03. Examen anatomique. Quatre ganglions ont été examinés, deux à la région dorsale, deux à la région lombaire. Les lésions
tre ganglions ont été examinés, deux à la région dorsale, deux à la région lombaire. Les lésions sont ici minimes : on disti
par le sublimé,osmique et coloration en masse par le picrocarmin. Région lombaire. Les ganglions examinés sont inégalement
s, les lésions sont très comparables, mais un peu moins accusées. Région sacrée. Les racines se présentent sous le même as
jonctif n'est pas très proliféré, les vaisseaux sont peu malades. Région dorsale. Le 12" ganglion dorsal gauche est le plu
atrophie . Celles-ci sont disséminées et ne correspondent pas à des régions distinctes, elles ne sont. pas plus nombreuses
lésions cellulaires sont en quelque sorte réduites à leur minimum. Région cervicale. L'examen du Se ganglion cervical droit
cellules ne disparaissent pas indifféremment dans l'une ou l'autre région ; cette raréfaction se produit souvent en effet
qu'elles soient associées sur le même gan- glion et dans les mêmes régions . L'hypertrophie capsulaire avec transfor- LES A
reuse ou Iibro-lyaline est plus rare; elle se voit surtout dans les régions circonférentielles du ganglion et dans ce cas la
; à côté on voit des cellules hypercolorées et ratatinées, puis des régions dans lesquelles toutes les cellules ont disparu e
andes blanches parallèles. La même épreuve, faite au niveau de la région abdominale un peu ballon- née, produit la raie
la fracture et au niveau de la face antérieure de la moelle dans la région dorsale supérieure. Les viscères abdominaux son
très accentuée des cellules nerveuses des cornes antérieures de la région trau- (1) V. la remarquable thèse de M. Jean Lé
nale qui contraste avec l'intégrité des réactions vaso-motrices des régions paraplégiques. En particulier, au ni- veau des
-moteurs dont elle a touché les centres, et n'entraîne pas dans les régions sous-jacentes une paraplé- gie vaso-motrice sup
re elle est accompagnée d'hy- poanesthésie ou d'anesthésie dans les régions innervées par la branche ophtalmique et maxilla
névroglie. Cordons postérieurs : une diminution des fibres dans la région lombaire et sacrée, qui augmente et se localise e
se localise exclusivement dans les cordons de Goll au niveau de la région supérieure dorsale et de la région cervicale. U
es cordons de Goll au niveau de la région supérieure dorsale et de la région cervicale. Une sclérose du cordon de Gowers et
RÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 291 Douleurs extrêmement violentes dans la région lombaire et les fesses. Troubles de la sensibil
paroi est épaissie. Faisceau cérébelleux direct dégénéré dans la région cervicale supérieure. Faisceau de Gowers dégéné
on cervicale supérieure. Faisceau de Gowers dégénéré à partir de la région lombaire. Dans les parties inférieures on trouv
292 RYDEL laire des yeux; mêmes secousses dans la cuisse, dans la région lombaire et dans les éminences thénar. Tremblem
t plus marquée dans les racines antérieures, de sorte que- dans les régions dorsales supérieures et cervicales elles présente
mier coup d'oeil dans la substance blanche, c'est que même dans les régions qui paraissent tout à fait respectées par la dé
LEUSE 9Q5 Cordons postérieurs. La zone de Lissauer présente dans la région lom- baire une dégénérescence bien marquée surt
raréfiée et au-dessus il n'y a pas de lésion. Dans les coupes de la région sacrée supérieure et lombaire infé- rieure on c
tout à fait défaut dans le voisinage de la substance grise. - La région D5 ne présente aucune lésion du côté du cordon de
on, tout en devenant plus intense, ne change pas d'étendue dans les régions plus élevées, mais dans les segments Dz3 a pparaî
lles deviennent de plus en plus nom- breuses, de sorte que dans les régions cervicales les plus élevées on trouve outre la
s fibres du faisceau de Burdach, que nous avons rencontrées dans la région dorsale moyenne indemne de toute lésion. Cord
sale moyenne indemne de toute lésion. Cordons antéro-laidi-aux. - Région sacrée supérieure : on trouve ici une raréfacti
ont le sommet est dirigé vers le centre de la substance grise. La région lombaire inférieure ne présente aucune différence
ombaire inférieure ne présente aucune différence en comparaison des régions sacrées, sauf que la raréfaction devient de plus
us en plus intense, surtout dans les parties antérieures. Dans la région lombaire supérieure elle envahit aussi l'espace j
al de la dégénérescence est situé un peu plus en avant que dans les régions précédentes, de sorte que son sommet vise l'ang
artie postérieure de la dégénération diminue d'intensité. Dans la région dorsale inférieure on peut remarquer très distinc
us de la substance et de la commissure grise, de sorte que dans les régions dorsales les plus élevées elle occupe tout le cor
e occupe tout le cordon anté- rieur, sauf la partie périphérique. Région cervicale inférieure. - La raréfaction est devenu
sque tout à fait disparu au niveau de Ci devient au-dessus de cette région de nouveau plus intense. C'est ainsi que nous tro
ten t. Début vers la 30e année, douleurs localisées surtout dans la région lombaire, secousses fibrillaires dans la même r
urtout dans la région lombaire, secousses fibrillaires dans la même région , la localisation de troubles de la sensibilité
amincissement du réticulum nerveux avec atrophie des cellules : la région dorsale est la plus touchée. Une atrophie des cel
s cas elle est précédée d'une sensation de chatouille- ment dans la région de la nuque et entre les épaules. La durée des
n voit la périphérie atteinte réunie par une bande de sclérose à la région centrale péri-vascu- laire également atteinte ;
oigts en arrière. En 1895. - Môme état. Cyphose très marquée à la région cervicale. Trou- bles de la sensibilité plus ét
entent plus qu'une légère (1) hypops- thésie qui s'étend jusqu'à la région abdominale. La mort survint en 1903. AUTOPSIE
l'existence d'une lésion à tendance cavitaire, s'étendant depuis la région lombaire supérieure jusqu'à la partie in- férie
es niveaux plus élevés de la moelle. Cette lésion se limite dans la région lombaire et dorsale, a la corne postérieure du
du côté gauche qu'elle détruit presque entièrement. A partir de la région cervicale, elle atteint la base de la corne antér
tude des coupes de chaque niveau, son aspect dans les prin- cipales régions : A la région lombaire on la voit débuter au ni
e chaque niveau, son aspect dans les prin- cipales régions : A la région lombaire on la voit débuter au niveau de la 2e ra
te rectiligne et se poursuit à peu près avec le même aspect dans la région dorsale inférieure. A la région dorsale inférie
eu près avec le même aspect dans la région dorsale inférieure. A la région dorsale inférieure (10e dorsale), on la voit oc-
..... Schémas destinés à montrer la topographie des fentes dans les régions principales de la moelle (Ve C, Ille D, IVeD, XeD
partie du cordon latéral se trouvant reportée derrière elle. A la région cervicale l'aspect se modifie en ce sens que le c
plus ou moins rapprochés, par- fois même au contact. Dans toute la région cervicale supérieure c'est ainsi que se présent
e, en effet, outre la destruc- tion de la corne postérieure dans la région cervicale, dorsale et même lombaire supérieure,
e jusqu'au ganglion. À droite, la sensibilité est atteinte dans les régions correspondantes aux seg- ments de la moelle où
culaire. D'autre part, la conservation de la sensibilité dans les régions innervées par les segments de la moelle sous-ja
t même appartenir à un stade évolutif antérieur. En effet, dans les régions inférieures où l'on peut, croyons-nous, considére
sque la lésion a perdu son activité, et tel semble être le cas à la région cervicale, il est probable que l'inflammation n
.. je Cervicale (Grossiss. : 8u D). Coloration à la fuchsine acide. Région de la commissure antérieure. La fente extrêmeme
avons décrites et avec lesquels il est en connexion directe. A la région cervicale, et surtout à partir du 5e segment cerv
. Le canal de l'épendyme est partout normal et indépendant, et à la région cervicale la cavité n'est nulle part tapissée de
issée de cellules épendymaires. L'état des vaisseaux, au milieu des régions les plus saines en apparence, est loin d'être n
nt épaisses ; les artères du sillon médian antérieur , surtout à la région cervicale présentent une adventice extrêmement
aît acquis que la lésion fondamentale, malgré les dissemblances des régions , est partout identique. C'est, au début, une mu
es festonnées (Pl. LV, fig. B et C). Corré- lativement autour de la région atteinte, la névroglie prolifère et les libres
figures montrent des détails de la coupe représentée figure 7. (a) Région centrale rétro-épendymaire. Fente à bords végétan
ent leurs connexions avec les vaisseaux et les fibres nerveuses des régions saines, car leur nutrition en souffrirait imméd
u doit se morceler le parenchyme ner- veux et doivent s'excaver les régions où cette transformation se produit. C'est proba
écanisme de la formation des pertes de substance assez vastes de la région cervicale, les végétations qui les comblaient aya
V. ICONOGRAPHIE DE LA. SALPÊTRIÈRE. T. XVII, PL. LVI. A. - Fag... Région cervicale. Coloration par la méthode de Weigert-P
e structure évoquent nettement une origine vasculo-conjonctive. Les régions voisines de la cavité principale sont remarquab
il existe une zone assez étendue de démyélinisation. B. - Fag... Région cervicale inférieure. La cavité centrale de la
ésultats de ces examens. , I. - Dans le cas de F..., il existe à la région cervicale une vaste cavité occupant la substanc
de cette corne jusqu'à la péri- phérie (PI. LVI, fig. A). Or à la région cervicale inférieure la cavité centrale fait défa
ochement de- ces coupes on peut conclure que la grande cavité de la région cervicale paraît n'être que l'épanouissement d'un
e dirigée d'arrière en avant se termine en cul-de-sac. En certaines régions elle devient sinueuse, ses bords sont végétants
nstitution des feuillets limitants. 390 THOMAS ET UAUSEK Dans ces régions malades les fibres nerveuses ont disparu (méth. d
'éliminer entièrement et à reculer les limites de la cavité. " A la région dorsale, point intéressant, il n'y a pas de cavit
rane conjonctive. L'épendyme est normal. La comparaison de ces deux régions montre que la lésion prend naissance à ia périp
ine vasculaire (fig. 8). Les vaisseaux voisins sont malades. A la région cervicale, une cavité arrondie, centrale, tapissé
toute la hauteur entière- ment indépendant des lésions, et si à la région cervicale on pourrait à la ri- gueur penser une
s d'épithélium que l'on rencontre dans la paroi des cavités, en des régions parfois très éloignées du canal central. A ces lé
à l'heure actuelle, n'est plus guère intégralement soutenue. Que la région épendymaire soit envisagée comme un point faibl
sensible- ment plus aplatie qu'une moelle normale, surtout dans les régions cervicale et dorsale. Les racines paraissent av
d une atrophie considérable des cornes antérieures, surtout dans la région cervicale, un apla- tissement de toute la moiti
racines ont peu de gaines colorées. lor-2° dorsale. Même aspect des régions antérieures grise et blanche, même dépression t
LIX bis, G). - Grosses lésions en foyers, semblables à celles de la région cervicale, dans les deux cornes antérieures, surt
vical, d'autre part au niveau du renflement lombaire. Dans ces deux régions , la lésion de gauche était plus marquée que celle
t devenue saillante par l'atrophie très apparente des muscles de la région antéro-externe. Ceci frappe d'autant plus que c
t les extenseurs de l'avant-bras droit, soit dans les muscles de la région antéro-externe de la jambe. Avec le courant int
également quelques petites plaques de sphacèle se produire dans la région para-ombi- licale. Obligée de rentrer chez sa m
icatri- ser, mais on en constate de nouveaux et de même nature à la région fessière, au coude droit dont nous suivons l'év
s et à la face interne de la jambe gauche ; les autres existent aux régions suivantes : une à chaque trochanter, une à chaque
o- lume d'une pièce de 2 francs ou de 1 franc et se composent d'une région cen- trale déprimée, à fond plat, suppurant et
; nous en comptons 23 aux jambes, 5 à la ceinture pelvienne, o à la région scapulaire, 8 à la face dorsale des mains, 1 au
nce ; asymétrie de la face, nez dévié à gauche, aplatissement de la région temporale gauche. 6 décembre. Il est apathique,
es deux côtés, par comparaison, et peuvent t s'appliquer à d'autres régions du corps (pieds, articulations, longueur de cro
par les reliques de saint Etienne, m'a conduit à rechercher dans la région d'autres tapis- series religieuses ayant quelqu
17 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ns de l'an passé, que certaines lésions locali- sées dans certaines régions du cerveau et qui n'ont rien à faire avec la mi
rs de cette maladie redoutable, si iaiésionditecongestiveportosuria région de l'écorce qui détermine l'héiniopie corticale
lnique doit répondre à une localisation spéciale. Or, quelle est la région du cerveau dont la lésion pourra produire si- m
épileptiformes ? Dans l'étal actuel de nos connaissances, la. seule région qui puisse répondre à toutes ces nécessités est
ste lettre morte, on ne le comprend pas ; la branche qui irrigue la région du pli courbe dont la lé- sion produit l'hémiop
la lé- sion produit l'hémiopie et peut-être le scotome scintillant, région qu'on a trouvé lésée dans les quelques cas de c
l ressentit en même temps, dans ce même côté droit, au niveau de la région deltoïdienne, une douleur conlusive et cons- ta
gion deltoïdienne, une douleur conlusive et cons- tata, dans 'cette région , des secousses musculaires superficielles et asse
on, des secousses musculaires superficielles et assez violentes. La région delloïdienne du côté gauche était également le si
te la nuit suivante. Le lendemain, 15 septembre, les douleurs de la région del- toïdienne s'atténuèrent, mais reparurent,
mal, c'est-à-dire ni secousses fibrillaires ni affaissement dans la région des del- toïdes, en rapport avec une atrophie d
cerne l'état de la sensibilité, notre malade accusait dans les deux régions deltoïdiennes un endolorissement vague durant le
latéraux ou postérieurs, si ce n'est un peu pour ces derniers il la région dorso-lombaire. Le coeur est normal. L'aorte pr
ÉPINIÈRE ET DU CERVEAU. Coupe faite ait niveau du tiers moyen de la région cervicale (l'l. IV, 1). Les cordons de Goll son
es sur tout le pourtour de la moelle. , Coupe faite au niveau de la région cervicale inférieure (PI. IV, 2). - Les cordons
niveau de l'artère spinale antérieure. Coupe faite au niveau de la région dorsale moyenne (PI. IV, 3 et 3 biS). 38 ' NOUV
ure. ` Les faisceaux antéro-latéraux ne présentent plus, comme à la région cervicale, une sclérose limitée à certaines par
sions que dans la coupe précé- dente. Coupe faite au niveau de la région dorso-lombaire (Pl. IV, 4). Les fais- ceaux pos
es veines et des artères (l'l. IV, 6). Coupe faite au niveau de la ^ région lombaire (Pl. IV, 5). -.Les lésions ici sont be
sous-pie-mérienne est moins épaissie. Coupe faite au niveau de la région inférieure du bulbe. Les méninges sont épaissie
sont altérées et en voie d'atrophie dans le lobe frontal et dans la région temporo-pariétale, tandis qu'elles parais- sent
e, presque au môme degré dans le lobe occipital que dans les autres régions examinées. Les vaisseaux sont très altérés, ils
rsqu'on examine la moelle non sur une seule coupe ou dans une seule région , mais dans son ensemble et aux divers étages; d
aux divers étages; de plus les cellules des cornes antérieures à la région dorso-lombaire, et à la région inférieure du bu
cellules des cornes antérieures à la région dorso-lombaire, et à la région inférieure du bulbe et même, en certains points
fine. Le centre de la sensibilité douloureuse la plus faible est la région du bassin. De ce centre vers les bouts des doig
it graduellement à tout le corps ; le 23 août, il n'y avait pas une région de la tête, du tronc ou des membres qui n'ait été
eut plus lever son bras droit. Il a éprouvé, en même temps, dans la région deltoïdienne correspondante, une douleur contus
u réveil ressenti une douleur analogue, moins vive toutefois, dans la région deltoïdienne gauche ; il pouvait cependant leve
complètement respectés. : Les phénomènes douloureux, dans les deux régions deltoïdiennes, ont persisté toute la journée et
s musclé, d'as- pect très vigoureux. - Tout le mal siège dans les régions deltoïdiennes et consiste dans une paraly- sie
ite qu'a gauche, des deux muscles deltoïdes. La morphologie de la région intéressée n'est pas visiblement changée. On n'y
le. 62 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE La graisse de la région prépubienne est répartie suivant un triangle cur-
lant de la racine à l'extrémité, répartition de la graisse dans les régions .lombaire, fessière et abdominale suivant le ty
d'un homme. Enfin la disposition des poils el de la graisse dans la région pubienne, et plus que tout cela, le développeme
lancinantes, elle éprouve des douleurs en ceinture, au niveau de la région lombaire. En outre de ces douleurs spontanées,
thésie qui se ma- nifeste au moindre attouchement de la peau de ces régions . Celte hyperes- thésie se retrouve avec une moi
intensité le long de la colonne verté- brale, mais surtout dans la région lombaire. Enfin, la pression des muscles de la
che est atrophié. Celte atrophie est plus prononcée au niveau de la région antéro-exterpe, où existe un méplat très appare
ai attiré voire attention sur une eschare unilatérale, située il la région sacrée gauche, près de la ligne médiane, de forme
thésie et des douleurs spontanées du membre inférieur gauche, de la région sacrée et de la colonne vertébrale; c'estpourquoi
u mois de janvier 1892, survinrent quelques douleurs vagues dans la région lombaire et dans le membre inférieur gauche, ce q
Lévi. Rétention d'urine avec incontinence par regorgement. Sur la région fessière du côté gauche, près; de la ligne médian
à la llexion de la jambe sur la cuisse. Hyperesthésie cutanée à la région fessière, sous la plante du pied, à la partie inf
caractère fulgurant et, en outre, des douleurs en ceinture dans la région lombaire, surtout à gauche. Ces douleurs semblent
ne façon très nette, l'existence d'un point douloureux profond à la région sacrée, de chaque côté de la ligne médiane, dan
diminution de la sensibilité à la face externe de la jambe, clans la région péron iére. 1 Enfin, à la partie supérieure d
é anté- rieure. A 17 ans, elle avait fait une chute violente sur la région des reins, le lendemain même de l'établissement
ute sur lecoc- cyx. Elle ressentit des douleurs assez vives dans la région des fesses, pen- dant une huitaine de jours. La
sité des douleurs siégeant dans un seul membre inférieur-et dans la région sacro-coccygienne; l'anesthésie du périnée, et de
de l'atrophie musculaire ayant pour siège le membre inférieur et la région sacro-lombaire ? Dans le groupe des affections
ne erreur de diagnostic. Avec une autre affection douloureuse de la région sacro-fémorale, cette question de diagnostic di
z notre malade, l'atrophie musculaire prédomine précisément dans la région innervée par ce nerf. Mais vous trouverez des é
i éprouvait des douleurs très vives dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire ; il avait e
rès vives dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire ; il avait en outre une démarche traîn
asser en revue ont comme trait commun des douleurs siégeant dans la région lombo-sacrée ou dans l'un des membres inférieur
Toulon, il fut pris pendant la nuit d'une violente douleur dans la région des lombes, et d'une fièvre assez forte (39°). En
t complète des deux côtés; l'eschare est bilatérale et elle occupe la région sacrée ; c'est plus qu'il n'en faut pour différ
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pant l'un des membres inférieurs et la région sacro-lombaire, nous n'en trouvons pas qui réal
ne affection périphérique et d'une affection centrale ; dans' cette région seulement, en effet, la moelle épinière et les
re de ces notions d'anatomie. Territoires des nerfs cutanés de la région plantaire (d'ap. Testut). 13, Saphène externe.
douleurs, le plus souvent, sont localisées par les malades dans la région du sacrum ; presque toujours elles s'irradient da
la femme, le pour- tour de l'anus dans les deux sexes, ainsi que la région fessière inférieure. Elle peut être limitée à c
nsi que la région fessière inférieure. Elle peut être limitée à ces régions qui, soit dit en passant, représentent le domai
ours, la paralysie est limitée aux muscles fessiers et à ceux de la région postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-
comme, d'autre part, il éprouvait des souffrances violentes clans la région des reins et qu'il était dans un état de marasm
nostic auxquelles exposent les lésions qui intéressent isolément la région des centres de l'innervation réflexe de la vessie
ême façon chez un malade d'Oppenheim. A la suite d'une chute sur la région du sa- crum s'est montrée une paralysie motrice
érieurs; elle envahit les organes génitaux externes, le périnée, la région fessière. Enfin, il peut se faire que le malade s
s inférieurs, et elle re- monte jusqu'au pubis en avant, jusqu'à la région des lombes en arrière. Les malades ont de l'inc
um, pénis, grandes lèvres), au périnée, au pourtour de l'anus, à la région fessière inférieure, à la face postérieure de la
g du bord interne). La paralysie motrice respecte les muscles de la région antérieure et des régions externe et interne de
ralysie motrice respecte les muscles de la région antérieure et des régions externe et interne de la cuisse; elle est limitée
la cuisse; elle est limitée aux muscles fes- siers et à ceux de la région postérieure de la cuisse, aux muscles des jam-
anatomistes, les branches du sciatique, destinées aux muscles de la région postérieure de la cuisse et à ceux de la face p
n nette : scrotum ou grandes lèvres, péri- née, pourtour de l'anus, région fessière inférieure. Cette éventualité, à en ju
core les accidents se sont développés à la suite d'une chute sur la région du sacrum (fracture de la première vertèbre lom
n . nette : scrotum ou grandes lèvres, périnée, pourtour de l'anus, région fes- sière inférieure (lésion en foyer ayant dé
o-ano-fessi8re, et, en outre, une paralysie sensitivo-motrice de la région cutanée et des muscles innervés par le péronier (
t le domaine innervé par le sciatique : paralysie des muscles de la région postérieure de la cuisse, de tous les muscles d
nesthésie de la face postérieure de la cuisse et de la jambe, de la région plantaire, ou de toute la surface du pied, moin
ralysie motrice se limite aux muscles fes- siers, aux muscles de la région postérieure de la cuisse, et à la totalité des
crite au pénis, au scrotum (aux grandes lèvres chez la femme), à la région fessière, à la partie postérieure de la cuisse, i
l, et, en plus, par une parésie des adducteurs et des muscles de la région antérieure de la cuisse, avec anesthésie incomplè
ntérieure de la cuisse, avec anesthésie incomplète, dans cette même région (catégorie f). 4° Lorsqu'une lésion siège au ni
nnes et le cône terminal. Je rejette l'existence d'une tumeur de la région , à cause de la marche de la maladie, à cause su
tats, a été la révulsion, à l'aide de pointes de feu au niveau de la région sacrée, celles-ci étant appliquées tous les dix
s, ne diffère pas des hyperesthésies du tégument externe des autres régions du corps. Elle est beaucoup plus marquée lors d
nt où, sous l'action de ces diverses causes, s'exalte la zone de la région mammaire, le ou les seins, nous savons combien la
le sein se gonflait t en masse, et le mamelon s'érigeait. Toute la région était devenue le siège d'une sensation de cuiss
dépendance d'une zone hyperesthésique-hystérogène de la peau de la région mammaire, et d'un oedème du tissu conjonctif de l
re élément d'appréciation qui consiste dans le modelé spécial de la région . Contraction musculaire PHYSIOLOGIQUE. D'aprè
quelques jours après l'o- pération et situées très en dehors de la région qu'occupaient les bandes d'hyperes- thésie préo
arbre, lorsqu'il ressentit brusquement une violente douleur dans la région .lombaire. Il tombe presque aussitôt, se (raine u
du début avait disparu et les douleurs s'étaient circonscrites à la région des lombes. J'avais oublié de vous dire que, dè
juger. Cet homme se plaint de douleurs subjectives, localisées à la région lombaire et provoquées soit par la pression soi
la percussion. Elles s'irradient sous forme de cein- ture dans les régions des aines et de t'hypogastre. Mais je me hâte- d'
ésie sont nettes et régulières. Elles encla- vent symétriquement la région fessière inférieure et la partie moyenne de la
andes lèvres chez la femme), au périnée, à la marge de l'anus, à la région cruro-fessière. Ce tableau a été vu dans un cas
er le fait suivant d'Oppenheim : consécutivement à une chute sur la région sacrée, un individu est frappé de paralysie mot
perte de l'érection et enfin d'une anesthésie cutanée localisée aux régions cruro- fessière et ano-perineo-g6nita)e. Les ch
ne parle pas du grand dorsal uniformément- ' .' étendu sur toute la région et qui ne fait que se modeler sur les formes pr
st 1res nettement accusée. Quant à la s.) Illélrie parfaite de la région sous-scapulaire, elle esl égale- ment fort rare
il existe une voussure thoracique ayant pour effet d'uniformiser la région el de la rendre plus saillante. Ces par- ticula
t toute autre que celle que nous venons de décrire. Elle siège à la région dorsale, ]a con- vexité est tournée à droite, e
plus évidents et les plus faciles à constater sont l'asymétrie de la région sous-scapulaire et l'inégalité de hauteur des é
formée par un vésicatoire, a été plus grande et plus tendue sur la région ancs- tbésiée que sur la région sensible. De pr
é plus grande et plus tendue sur la région ancs- tbésiée que sur la région sensible. De profondes piqûres, faites dans la pe
agie. Les précautions les plus minutieuses prises pour défendre les régions affectées contre toute irritation extérieure pe
is parfois aussi cérébral (cas 1 et IItet périphérique (III dans la région musculo-cutallée), mais ces deux caractères n'é
maines, 3 mois). Dans la plupart des cas, l'ec-- zéma affectait les régions anesthésiées de la peau (8 cas) ; dans les autres
la peau (8 cas) ; dans les autres, il s'étendait aussi bien sur les régions anesthésiées que sur celles où la sen- sibilité
elopper, ainsi qu'on l'a vu dans les cas cités, aussi-bien dans les régions où la sensibilité est normale, et que, d'autre
ent clairement que les soins les' plus minutieux pour préserver les régions affectées de toute irritation extérieure, et ce
scoliose très accentuée à convexité gauche, portant surtout sur la région dorsale et produisant une élévation considérabl
e l'hémi-lhorax gauche, et cela en avant et en arrière; 2° toute la région de l'abdomen des lomhes et de la hanche du même
u- dessous du pli du coude (PI..XXVI et XXYI1.)' ? ? . Toutes les régions précitées sont le siège d'une'éruption intense, q
ination, de véritables placards croùtefleux, qui couvrent certaines régions ; ainsi les 2/3 de la région mam- maire environ
s croùtefleux, qui couvrent certaines régions ; ainsi les 2/3 de la région mam- maire environ sont le siège cle placards c
nce éruptive sont : 1° le sein, comme nous venons de le dire; 2° la région axillaire; 3° la région scapulaire externe; 4°
e sein, comme nous venons de le dire; 2° la région axillaire; 3° la région scapulaire externe; 4° la région dorsale corres
ire; 2° la région axillaire; 3° la région scapulaire externe; 4° la région dorsale correspondant à la gibbosité dé- termin
moins l'étendue de toute la paume de la main. f Toutes les autres régions de la moitié gauche du tronc sont le siège d'é-
la lésion siégeait au noyau ou au-dessous, par conséquent, dans, la région hnlhaire. De ces données topographiques découla
centi- mètres de hauteur : un du renflement cervical (a), un de la région /dorsale (b) et un du renflement lomlnire(c)(I i
du cordon latéral droit et du faisceau de Turk du côté gauche, une région blanchâtre, tranchant nettement sur les par- ti
était surtout manifeste dans les coupes prises sur les morceaux des régions cervicales et dorsales, tandis qu'elle était beau
uche, depuis et y compris des noyaux jusqu'à l'olive, tandis que la région représentée par l'olive gauche, la pyramide ant
és. Cette raréfaction est par endroits très forte car il existe des régions où l'os l'orme une très fine dentelle à mailles t
eur de tlIüller). Une fois durcie, on constate il l'oeil nu dans la région des cordons postérieurs, une coloration jaune pâl
blanche. Celle altération existe surtout dans tout le trajet de la région dorsale; elle est très peu accusée au niveau de
jet de la région dorsale; elle est très peu accusée au niveau de la région lombaire où il est même difficile d'affirmer so
e iconographie DE La SALPÊTRIÈRE suivant le niveau des coupes de la région dorsale. La zone radiculaire moyenne est partou
u picro-carmin ou par la méthode de Weigert-Pal on constate que les régions si altérées à l'oeil nu le sont beaucoup moins an
l est vrai que les fibres à il]3,Cli4 soi plus clairsemées dans les régions des cordons postérieurs qui avoisinent l"sil- l
Notons ensuite qu'un bon nombre des fibres nerveuses à myéline, des régions qui paraissent malades à l'oeil nu, ne fixant pas
n des libres il myéline qui se traduit par une teinte pâle de cette région , constatable également à l'oeil nu sur des 1 co
gion, constatable également à l'oeil nu sur des 1 coupes. Dans la région lombaire, on constate à l'oeil nu, mais très atté
a séance du 1 juin 1894. Ils appelaient de nouvelles recherches, la région cervicale 'de la moelle n'ayant pas été examiné
graphie DE la SALPÊTRIÈRE T. VIII. PL. XXXV. COUPES DE LA MOELLE ( RÉGION DORSALE) DANS UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PA
es de la moelle que nous avons rencontrées ont leur maximum dans la région dorsale particulièrement dans la région moyenne
es ont leur maximum dans la région dorsale particulièrement dans la région moyenne et inférieure (Pl. XXXV). Ces lésions
nent même immédiatement une idée très nette de la topographie de la région envahie. ' Dans les préparations traitées par l
enclature de Flechsig) tran- chent par leur coloration pâle sur les régions précédentes. Ces différences de coloration dans
ion dans les cordons postérieurs existent sur toute l'étendue de la région dorsale inférieure et moyenne et sont encore plus
a fuchsine (ancienne méthode de Weigert) on constate que dans cette région pâle le nombre des fibres fines comparativement a
fines comparativement aux fibres grosses est plus grand que dans la région radiculaire moyenne et que le tissu interstitie
isine la corne postérieure affecte une topographie variable dans la région lombaire supérieure et dans la région dorsale.
topographie variable dans la région lombaire supérieure et dans la région dorsale. l Dans la région lombaire supérieure e
a région lombaire supérieure et dans la région dorsale. l Dans la région lombaire supérieure et moyenne où la lésion n'est
ieure et moyenne où la lésion n'est pas aussi prononcée que dans la région dorsale inférieure et moyenne, les deux triangl
ce saine s'avancent vers le sillon postérieur, tan- dis que dans la région dorsale inférieure et moyenne ces triangles de
ffère de celle du labes dont la lésion porte essentiellement sur la région radicu- laire moyenne. Les racines postérieur
systématique, intéressant les cordons portérieurs, surtout dans la région dorsale. Il était bien difficile d'admettre que l
émangeaison. Ces plaques étaient au nombre de quatre, trois dans la région pariéto-occipi- tale gauche et une plus grande,
ées, mais dont la forme circulaire est bien reconnaissable : sur la région fronto-pariétale vers la droite de la ligne média
pâles d'abord puis plus foncés. Le 20 mai toutes les plaques des régions postérieures et latérale sont disparu, et il es
de façon à ne pas laisser échapper une différence de nuance sur une région limitée. On n'y voit que des traces linéaires d'a
jours un relief notable qui contri- bue à élargir le contour de ces régions suivant un type facile à reconnaî- tre. Ici, il
-dessous de l'ombilic par une cica- trice large et profonde dans la région de l'aine gauche. Le bassin est large, ainsi qu
féminines ; les fesses sont très développées et arrondies ; sur la région sacrée se trouvent les fossettes qu'on observe
t par la circoncision. En examinant cependant plus attentivement la région , on voit que la peau de la face antérieure de l
représentent des interventions chirur- gicales portant sur la même région du corps. On distinguera ainsi les opérations s
l'opérateur tantôt son front, tantôt le sommet du crâne, tantôt la région mastoïdienne. Le chirurgien, armé d'un bistouri
é sur le ventre. Et le siège de l'opération est presque toujours la région frontale, plus rarement la ré- gion mastoïdienn
l n'est pas le seul qui justifie une intervention opératoire sur la région crânienne^ Les plaies de tête, les fractures du
rations se faisaient encore sur la tète, et en particulier dans les régions frontale,. temporale et mastoï- dienne. C'éta
de de traitement, il déclare avoir été complètement guéri (3). La région frontale n'était pas seule exposée aux interventi
re. Un autre siège de prédilection des incisions vasculaires fut la région mas- toïdienne. Paul d'Egine y coupait et cau
». % Plusieurs documents figurés représentent des opérations sur la région mastoïdienne. Il faudra se rappeler ces pratiqu
lque kyste sébacé, facile à énuclécr, et sans danger aucun, dans la région où il opère. Il faut.le souhaiter pour le patient
u- sale. Et d'abord, quel est son siège ? Très probablement dans la région protubérantielle supérieure. Mais ceci demande
le diagnostic topographique. Imaginez un foyer morbide, occupant la région protubérantielle et situé au-dessous de l'aqueduc
ipation par suite du facial inférieur, parce que le foyer occupe la région supérieure de la protubérance et qu'il siège, par
bres cortico- bulbaires du nerf facial. C'est, en effet, dans cette région , comme vous le savez, que se fait cet entrecroi
2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE de Varole, intéressant la région de l'aqueduc et la moitié gauche de la protubér
iées dans le sang soient venues exercer leur action délétère sur la région prolubérantielle. Il se peut que cette action se
artérite ayant déterminé des altérations protuhérantielles dans une région que j'ai es- sayé de préciser. 1 Vous n'ignor
tons seulement sur les élé- ments éruptifs situés au pourtour de la région oedématiée et gangreneuse que M. Gilles de la T
as gauche. Côté droit. Simple diminution de la sensibilité dans les régions symétri- ques aux zones d'anesthésie du côté ga
es faces postérieures droite et gauche du tronc, sur la nuque et la région occipitale. Pas de zones hystérogènes. Point do
la forme de celles, bien réelles, qu'on observe souvent dans cette région . Derrière ce lamentable bonhomme, arrive en clo
e la main gauche, il tend, entre le pouce et l'index, la peau de la région parotidienne où est pratiquée l'opération. En
une simple saignée, peut-être opère-t-il un ganglion enl1ammé de la région parotidienne. II ne faut pas oublier en effet q
chirurgien avec son bistouri, lui gratte fort désa- gréablement la région parotidienne.' Le mal ne serait pas grand, si, en
e la tète. Le lieu d'élection de l'opération était de préférence la région frontale, parfois aussi-la-ré71on mastoïdienne.
a moelle est normale ; à peine note-t-on une légère diminution à la région dorsale supérieure. Sur les coupes transversales,
gion dorsale supérieure. Sur les coupes transversales, dans la même région , la substance grise tranche moins nettement qu'à
érique des muscles des membres supérieurs ; seuls les muscles de la région anté- rieure de la jambe, les péroniers, les mu
a région anté- rieure de la jambe, les péroniers, les muscles de la région postérieure de la cuisse, le tenseur du fascia
ostérieur au renflement cervical et dans la partie supérieure de la région lésée; les leucocytes forment là de vérita- ble
s il faut em- ployer de forts grossissements pour voir que dans les régions appro- priées, un certain nombre de tubes nerve
expli- que peut-être par la vascularisation plus abondante de cette région ; mais on peut se demander aussi si cette dispo
té, a provoqué une perturbation complète dans le fonctionnement des régions de la moelle situées au- dessous d'elle. Le ton
toute son étendue et une certaine diminution de consistance dans sa région dorsale supérieure. Sur une coupe pratiquée dan
ns sa région dorsale supérieure. Sur une coupe pratiquée dans cette région on voit sourdre des gouttelettes de sang noir d
e. ' Les racines antérieures ont perdu leur teinte nacrée depuis la région cervicale inférieure jusque vers le milieu de l
e depuis la région cervicale inférieure jusque vers le milieu de la région dorsale; elles n'ont pourtant pas diminué de vo
océdé de Pal, montre qu'il existe un grand foyer de myélite dans la région dor- sale ; la configuration de ce foyer varie
l tentait de se suicider en se tirant une balle de revolver dans la région frontale droite. Le projectile glissa sur l'os et
anger. z Le 13 avril 1895, il se tire une balle de revolver dans la région frontale droite : on trouve sur lui une lettre
que le montre le schéma ci-contre (Fig. 67 et 68). Dans toutes les régions teintées le malade ne perçoit ni le frôlement,
la pression à ce niveau était d'autant plus frappante que toute la région était le siège d'une anesthésie totale. , . Ava
autant sur les muscles de la partie postérieure que sur ceux de la région antéro- latérale, cependant la flexion du pied
ntaire, montre que l'atrophie a surtout porté sur les muscles de la région antéro-externe de la jambe. Nous pensons qu'i
malade accusa seulement une légère sensation au niveau du méat, la région membraneuse n'était le siège d'aucune sensibili
la vessie mais d'une paralysie du sphincter, l'anesthésie de cette région superposée à la paralysie, le fait que l'incont
en sont la conséquence et qu'on observe tout particulièrement à la région abdominale où les attaches profondes de la peau à
au à l'ombilic leur impriment une direction toute spéciale, et à la région fessière vers la partie inférieure. Les appar
ent disparu sur tout le corps. Les dernières traces en restent à la région fessière, point d'élection chez la femme pour l
e. M. Clozier place l'incurvation latérale convexité gauche « il la région moyenne du dos ». Elle est dorsale selon lui. C
rsale selon lui. Celle que nous avons vue se trouve à cheval sur la région dorsale et la région lombaire ; elle est dorso-
e que nous avons vue se trouve à cheval sur la région dorsale et la région lombaire ; elle est dorso- lombaire. Enfin no
18 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
les 9e, joe et Il,, paires. rie. 1. Face antéro-inférieure de la région bulbo-protubérantielle. 4 A. JOFFROY Le nerf
lement schématique. La lésion siégeait dans ce cas, au niveau de la région oli- vaire gauche qui était affaissée, et- nota
e section expérimentale et que vous Foyer de ramollissement dans la région olivaire gauche, intéressant le faisceau pyrami
tration. Supposons maintenant que la lésion, au lieu de siéger à la région oli- vaire du bulbe rachidien. soit placée plus
e à cette attaque d'apoplexie dépasse de beaucoup les limites de la région du pédoncule cérébral. J'attirerai aussi votre
qu'elles adhéraient au cortex du lobule pariétal supérieur dans une région très limitée. En pro- menant le doigt sur cette
eur dans une région très limitée. En pro- menant le doigt sur cette région j'ai rencontré un changement de consis- tance q
tre la photographie. (PI. II.) Les méninges coupées autour de cette région furent conservées adhé- rentes au cerveau. Ap
aie, parce que la tumeur, de formation ancienne, n'agissait sur les régions voisines ni par compres- sion, grâce à son peti
Pitres admettaient en 1879, dans leurs travaux sur ce sujet, que la région motrice s'étendait peut-être aux parties immédi
scussion, ne s'accordent guère avec les fonctions motrices de cette région de l'écorce. Aussi Charcot limite-t-il dans sa
l dans sa publication posthume, en collaboration avec M. Pitres, la région motrice à la zone rolandique (1) ; et Nothnagel
bulbe et la moelle. Ils affirment aussi que la destruction de cette région donne tou- jours lieu à des anesthésies, qui, à
. Aussi, pour ce physiologiste et pour ses élèves les lésions de la région « motrice » affectent non seulement la motilité
core être la plus juste. Mais, dans quels territoires proches de la région psycho-motrice siègent ces centres sensitifs ?
upérieur étaient très étendues et empiétaient plus ou moins sur les régions voisines comme dans la remarquable observation
ant que le tu- bercule de notre malade atteignit par irradiation la région rolandique, déterminant les décharges de la sub
olandique, déterminant les décharges de la substance grise de cette région , dont le résultat est la convulsion épileptique
dans la structure de l'écorce grise des différences sensibles d'une région à une autre, les observations anatomo-cliniques,
reste que loin de localiser les troubles de sensibi- lité dans les régions atteintes par le processus destructeur, l'auteur
cubital. Depuis plusieurs mois, existent des douleurs vagues dans la région cervicale de la colonne vertébrale. Enfin, il y
sensibilité objective est conservée à tous les modes sur toutes les régions du corps, sauf une légère hypoesthésie au niveau
x. Ons. VI. Malade de 53 ans, se plaint de douleurs au niveau de la région céphalique et de troubles vésicaux. Il offre de
semaines avant la mort. Westphal (3) a eu le mérite de préciser la région de la moelle par où passe le réflexe rotulien.
rieures et sur les cor- dons postérieurs. Elles varient suivant les régions , plus marquées au niveau de la région sacrée, d
s. Elles varient suivant les régions, plus marquées au niveau de la région sacrée, de la région lombaire inférieure, elles d
ant les régions, plus marquées au niveau de la région sacrée, de la région lombaire inférieure, elles diminuent dans la ré
n sacrée, de la région lombaire inférieure, elles diminuent dans la région lombaire supérieure, pour devenir accentuées à la
re supérieure, pour devenir accentuées à la partie supérieure de la région dorsale et à la région cervicale. 4 Région sacr
enir accentuées à la partie supérieure de la région dorsale et à la région cervicale. 4 Région sacrée inférieure (6°, 5e,
artie supérieure de la région dorsale et à la région cervicale. 4 Région sacrée inférieure (6°, 5e, 4e sacrées). Les lésio
s. Peu de fibres sillonnent les cornes postérieures. (Pl. X, A.) 2° Région sacrée supérieure (1'0 sacrée). Les lésions exist
érieures montre également plus de fibres dans leur intérieur. Trois régions sont essentiellement intactes ou peu touchées : l
e un territoire de sclérose de moyenne inten- sité. (Pl. X, B.) 3 Région lombaire (5e, 4e lombaires). La description ci-de
baire (5e, 4e lombaires). La description ci-dessus s'applique à ces régions : pénétration en quantité moyenne de fibres posté
clérosé a la forme d'un triangle à sommet inférieur. (Pl. X, C.) 4° Région lombaire moyenne (3° lombaire). Les racines posté
les du centre de la corne sont à peu près intactes. (Pl. XI, C.) 7° Région dorsale inférieure. On note un léger aplatissemen
ce niveau, les lésions sont assez peu accentuées. (Pl. XII, B.) 9° Région cervicale inférieure. Les lésions plus manifestes
uche de fibres limitant la périphérie de la moelle, juxtaposée à la région de Goll sclérosée. On voit nettement certaines
uteur de la moelle, mais elles ont une prédominance au niveau de la région sacrée et de la région cervicale. Elles sont pa
s elles ont une prédominance au niveau de la région sacrée et de la région cervicale. Elles sont particulièrement discrète
TION DES REFLEXES (Achard et Léopold-Lévi) .-1. (Méthode de Pal.) Région dorsale inféi ieiue. Sclérose des zones de Lissau
e interne et moyenne du faisceau de Burdach. C. (Méthode de Pal.) Région cervicale iiifèrieuie. Sclérose des zones de Liss
du 5' postérieur du cordon de Goll, des bandelettes externes. Mêmes régions conservées que sur la figure précédente. MASSON
nt la lésion détermine l'abolition du réflexe. Placée à l'union des régions lombaire et dorsale, celte zone est limitée : en
nt exagérés. On observe sur les deux extrémités supérieures dans la région de l'avant-bras, dans les endroits non couverts
lichen planus sur les membres inférieurs et principalement dans les régions surales. L'éruption est distri- buée symétrique
corps, savoir : la sur- face interne de l'extrémité supérieure, la région pectorale, le côté, la fesse, et la plante du p
e long du bord interne de l'avant-bras et du bras gauche jusqu'à la région pectorale et s'enchaînent en une série de stries
n une série de stries étroites longitudi- nales. En passant dans la région du creux de l'aisselle, les dimensions des papu
mensions des papules deviennent distinctement plus grandes; dans la région pectorale elles se rapetissent et pâlissent. Ic
e de l'avant-bras et du bras gauche, d'où l'éruption s'étend sur la région pectorale ; elle poursuit le bord de sa partie
caillent ; plus loin on voit l'éruption sur le côté gauche, dans la région de l'épigastre, sur le 111011S ueueris et sur l
iphériques une couche abondante de masses cornées, tandis que leurs régions centrales ont une surface rouge asséz lisse. Sur
t sur leur surface se fait voir plus clairement que dans les autres régions du corps. La grandeur des plaques est variée : de
tout entière .est formée par du tissu osseux solide (tumeurs de la région fessière dans notre cas). , Du reste en tenan
solidement réunis par un pont de substance osseuse, siégeant il la région poplitée, en dedans du paquet vasculo-nerveux e
es cas. Un nouveau ligament très puissant s'était développé dans la région sous-clavière gauche, il s'étendait du tendon du
lus, suivant l'intensité du processus et l'étendue de la lésion. La région envahie est sensible, d'autres fois très douloure
cas d'Henry, d'après Munchmeyer. Les ganglions correspondants à la région malade sont gros, tuméfiés, douloureux ; cet en
stinctes ; parce que souvent plu- sieurs muscles voisins, plusieurs régions voisines sont envahies successi- vement et il a
deux ou trois vertèbres lombaires et une autre plus grande, dans la région dorsale gauche, moins dure, douloureuse et para
tation variqueuse étaient très étendus, ils envahissaient toute une région , tout un segment de membre; dans le cas de Pinc
on d'une circulation collatérale, la stase veineuse et l'oedème des régions sous-jacentes. Les nouvelles ossifications sont
es, elle attaque les muscles du bassin, principale- ment ceux de la région fessière, les muscles antérieurs et postérieurs d
des tumeurs est net- tement spécifié, elle s'est localisée à cette région ; dans 6 autres la nuque seule a été atteinte p
s 5 autres les épaules; mais elle peut débuter sur n'importe quelle région de l'organisme. A la nuque elle s'attaque tantô
omboïdes (Uhde), au grand dorsal; soit à la partie inférieure, à la région lombo-sacrée (Hawkins). Sympson l'a vu débuter
des bourrelets au niveau des plis cutanés ; 'autour du cou, sur la région pré- pubienne, au-dessus des fesses et sur les
e N° 3 Mai-Juin 1898 SCLÉRODERMIE LARDACÉE EN COUP DE SABRE DE LA RÉGION FRONTALE CRISES ÉPILEPTIFORMES CONCOMITANTES
lisée et un cas de morphée scléreuse, avec plaques lardacées, de la région dorsale chez un homme de 32 ans, atteint de rhu
e de 1881 (4 ), une observation de dermato-sclérose partielle de la région dorsale et des membres supérieurs et inférieurs
appareils ne fait découvrir rien d'anormal. Lésions cutanées. -- La région frontale droite présente deux bandes claires s'
égion frontale droite présente deux bandes claires s'étendant de la région sourcilière au sommet du crâne. Une pre- mière
nausées, une sensation douloureuse au creux épigastrique et dans la région lom- baire. Il ne se souvient pas de son accès
émiplégie de l'enfance s'étendent à la face et en particulier il la région supérieure de la face, à l'orbiculaire des paupiè
nne DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE IM z vertébrale et de la région lombaire (ossifications qui suivent presque tou-
iable, tantôt il y a une ou deux tumeurs discrètes, situées sur les régions lombaire ou dorsale, près des 156 A. WEILL ET J
ramifications de corail (Copping) ou de la carte géographique d'une région montagneuse (Brensohn) ; enfin plus rarement on
le bassin. Cette flexion des cuisses jointe à celle du tronc, à la région lom- haire et à celle de la tète en avant, fait
on du tenseur du fascia lata, d'un des muscles postérieurs ou de la région interne de la cuisse, par l'ossification de la
do-cyphoses causées par les tumeurs osseuses si fréquentes dans ces régions . Une question se pose maintenant. Quelle est la
x et le larynx des désordres graves peuvent en résulter : ainsi, la région sous-maxillaire est- elle prise, l'induration e
des premières vertèbres cervicales, l'absence de déformation de la région , ou une déformation légère particulière, suffiron
édé en général d'autres manifestations de la maladie, dans d'autres régions de l'économie; il s'ins- tale avec son cortège
celle des membres inférieurs, est monstrueuse- ment développée; les régions conservent cependant leur modèle habituel ; la
allant jusqu'à 37° et 38°, au dire du malade ; le gonflement de la région temporo-maxillaire, s'étendait assez loin, il é
on entourage purent re- marquer, après l'orage, la présence sur les régions envahies, de masses osseu- ses de nouvelle form
ent, ils s'attaquèrent à l'articulation coxo-fémorale droite et aux régions environnantes laissant, comme vestiges de leur
l'article et les formations osseu- ses qui l'entourent. Il eut la région fessière droite atteinte en. 1887; la partie moye
petit et grand ronds, en 1888; enfin en 1889, l'épaule, le bras, la région poplitée, le mollet, le cou-de- pied et la face
berté de son bras gauche, Albert Schwartz, en explorant souvent les régions malades, a pu se rendre compte que les masses o
ayant en- vahi en partie les puissants paquets musculaires de cette région . Les régions antérieures du cou ont été au cont
hi en partie les puissants paquets musculaires de cette région. Les régions antérieures du cou ont été au contraire complètem
fortement éprouvé. L'articulation coxo-fémorale est ankylosée. La région poplitée présente une grosse travée s'élevant en
e. Foie et rate normaux. La respiration est très obscure dans les régions supérieures duhorax, très exagérée au contraire
dans les mem- bres inférieurs ; douleurs extrêmement vives dans la région fessière, s'irra- diant jusqu'aux orteils et pl
rêle dans son ensemble ; mais cette gracilité est plus marquée à la région dorsale inférieure. Les racines antérieures sont
qué. A la coupe, on voit à l'oeil nu avant tout durcissement : à la région cervi- cale, une teinte grise de sclérose dans
o-cutané. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICn A DÉBUT TARDIF 181 A la région dorsale, la même teinte grisâtre se montre dans l
dans les cordons pos- térieurs qui paraissent plus atteints. A la région lombaire, la teinte grise translucide occupe tout
ar les procédés de Nissl et de Marcbi. Le côpe terminal est sain. Région sacrée. Il y a une sclérose assez marquée des cor
Dans les cordons latéraux existe une légère sclérose au niveau de la région qu'occuperait le faisceau pyramidal croisé, mai
idal croisé, mais là la sclérose est moins accen- tuée que dans les régions plus élevées et l'on rencontre encore une assez
l'on rencontre encore une assez grande quantité de fibres saines. Région lombaire. Sclérose des cordons postérieurs, symét
existe une sclérose du faisceau pyramidal croisé. (PI. XXII, D.) Région dorsale. - La dégénérescence occupe la topographi
r une moelle normale. Les fibres pa- raissent aussi atrophiées. ' Région cervicale. - Même topographie des lésions. Dans l
ent respectés. Dans les cordons latéraux, la sclérose s'étend de la région sacrée la région cervicale supérieure, occupant
Dans les cordons latéraux, la sclérose s'étend de la région sacrée la région cervicale supérieure, occupant les territoires
érébelleux direct et faisceau pyramidal direct : peut-être même, à la région cervicale, atteint-elle le faisceau de Gowers ?
eux moitiés par un prolongement falciforme de la dure-mère. Dans la région de la fosse postérieure du crâne le prolongemen
ôta les enveloppes du crâne, il se produisit une hémorrhagie dans la région de l'os occipital. A la section de la tète il s
eur de la moelle (Fig. 1), celte fissure était plus accusée dans la région cervicale; (1) Mme LÉOVOr, Cas d'anencéphalie.
côtés et la voie pyramide manque (Pi. XXIV. B). Plus haut dans la région de l'aqueduc de S)lvius et dans le troisième ve
ment de toutes les voies qui Fio. 1. Coupe de la moelle épinière ( région cervicale) (cas III). Fie 2. - Coupe du bulbe a
y associa u e céphalalgie tellement violente qu't... se serrait les régions pariétale ? ire lesmains, en criant : « ma tèle
ns pariétale ? ire lesmains, en criant : « ma tèle, mi tète ». Puis régions diiis lltlléïéll.itible mains, en criant : « ma
tumeur continue de s'accroître, elle agira par compres- sion sur la région encéphalique adjacente, d'abord en l'irritant et
e des- truction locale, ces derniers traduisant la souffrance de la région encépha- lique qui doit subir les atteintes dir
e ventricule est formée par une portion delà face postérieure de la région bulbo-pro- tubérantiette. Rappelez-vous aussi q
eux inférieur et la racine descendante ou bul- Fm, 1. - Coupe de la région hulbo-protubérautielle au niveau de l'émergence
t située à la base du crâne, à la face antérieure ou ventrale de la région protubéran- tielle. S'il en était ainsi, il fau
ncules cérébelleux émergent du cervelet. Une tumeur enserrant cette région doit détruire une parlie ou la totalité des deux
- meur du cervelet, elle n'a pas un ou plusieurs tubercules dans la région frontale. Ainsi s'expliqueraient, de la façon l
par tailler un lambeau en ellipse, à convexité supérieure, dans la région temporo-pariélale droite (fig. 2) ; puis il a ra-
ilement; la tumeur parait s'être développée surtout au niveau de la région des pédoncules. Les nerfs crâniens bulbaires so
térisée par des néo-membranes qui recouvrent tous les organes de la région (protubérance, bulbe, filets nerveux et vaissea
. Peut-être, en rapport avec leurs relations quantitatives dans une région donnée de la peau, se trouve le caractère de la d
t anéan- tie par une action violente et mécanique, au moins dans la région sur laquelle agit l'irritation. Quel que soit l
Le centre de la moindre sensibilité douloureuse de la peau c'est la région du bassin ; de là vers la tète et vers les doigts
al- maire des doigts. 234 MOCZUTKOWSKY La moins sensible est la région du siège et les plantes des pieds, surtout les
es lèvres) ont une plus grande sensibilité douloureuse que dans les régions voisines. La sensibilité douloureuse des muqueu
au la sensibilité douloureuse est toujours plus grande que dans les régions voisines. Autour des articulations et au-dessus
t mince, plus la sensibilité douloureuse est grande (les plis de la région palmaire des mains qui recouvrent les articulatio
nts importants de la sensibilité doulou- reuse dans les différentes régions de la peau en même temps que A. de Wattewitte e
e en deux moitiés globuleuses par une amplification sphéroïde de la région occipito-parié- tale ; 2° C'est un crâne parc
'une otite suppurée et de syphilides papulo-hypertrophi- ques de la région anale et du scrotum. Malformation thoracique :
aplatie latéralement et présentant un énorme dévelop- pement de la région occipitale ». Erosions dentaires. Une seconde
dix-huit mois, la tète mesurait 1 m. 20 de circonférence ( ! ) Les régions frontales étaient surtout très développées, et il
ches au niveau des (feux tiers antérieurs du crâne. Si bien que les régions frontale, sincipilale et tem- porale se trouvai
ulaires, également développées, couvraient de leurs anastomoses les régions antérieure et postérieure du crâne (pli. XXXII).
tudiée d'une façon systématique, racine par racine, au niveau de la région lombaire et sacrée. Des coupes ont été faites a
e au 1/1000. D'autres coupes portant, en outre, sur les différentes régions de la moelle, après inclusion au collodion, ont
ode de Pal, faible grossissement) 1. Moelle de paralysie infantile ( région cervic.ile). Foyer de sclérose au niveau de la co
simple, saite d'atrophie du genou, qui fait l'objet de ce mémoire ( région lombaire). Diminution notable de la corne droite
pas visible sur la préparation. 3. Moelle de paralysie iiifititile ( région lombaire inférieure). On voit un loyer de scléros
e les cor- dons blancs pris en masse d'un côté à l'autre. En aucune région (postérieure, antéro-latérale), nous n'avons co
s d'un côté que de l'autre ; elles existaient aussi au niveau de la région cervicale moyenne, et ce n'est que par comparai
oeil nu sur les coupes, elle est unilatérale, elle est limitée à la région lombo-sacrée. Par la numéralion des cellules, on
férieurs avec prédomi- nance à gauche, on reconnaît au niveau de la région lombaire (méthode de Pal) un foyer arrondi de s
soudée aux côtes. A l'autopsie, il s'ouvrit un grand abcès aux deux régions pectorales contenant 150 à 180 gr. de pus. Les
il est très maigre seulement. La sensibilité cutanée au niveau des régions : ossifiées est normale. Il mourut à l'âge de 3
14 juin 1843. A la suite de refroi- dissement, gonflement dans les régions mouillées lombaires et dorsale qui a DE LA MYOS
acro-lombaires en dehors. Une autre, plus grande, se montre dans la région dorsale gauche, moins dure, légère- ment doulou
le semble faire partie au bord inférieur du grand dorsal. Dans la région loinbiîre, des deux côtés, des masses osseuses. U
oute la surface du nerf; au bord interne du nerf optique et dans la région de la macula lutea on constate des apoplexies en
1 juin. - Ganglions poplités et cruraux sensibles. Infiltration de la région inguinale, du biceps, du demi-tendineux et du d
u de 3 grammes à 3,50 on n'en trouve que 1 gr. 319. Le 4 août. La région des adducteurs et la moitié inférieure de la cuis
la mastication et formation de noyaux indurés, avec de l'oedème, à la région sus-hyoïdienne.. Le J. Transformation de tout
me, à la région sus-hyoïdienne.. Le J. Transformation de toute la région sus-hyoïdienne en une tumeur pâ- teuse, accompa
t longue, de 8 centimètres, large de 3. Le 12.- Le gonflement de la région sous maxillaire a gagné en fermeté; gon- flemen
es seuls passaient. En même temps durcissement des masséters, de la région sous-maxillaire et des triangulaires du menton.
normaux. Dureté et raideur des muscles de la cuisse gauche et de la région ischiatique ; les muscles ischiatiques, de la cui
se comme un oeuf de cane, douloureuse ;i la pression, apparaît à la région ingui- nale droite, et disparaît de nouveau spo
omme une amande. Résistance osseuse dans la moitié inférieure de la région fessière ci épaississement du fémur à largeur d
e du gros orteil. - Membre inférieur droit. Mêmes anomalies dans la région fessière, le fémur et le gros orteil, mais la h
ès, incisé le 7 mai, était guéri le 14 juin. z On sent alors a la région inguinale, immédiatement sous la peau saine, une
bientôt, mais laisse il sa place une consistance plus grande de la région droite du cou. En môme temps que le DE LA MYOSI
i se voient dans les scalènes, réunies au squelette. Rigidité de la région hyoïdienne. Le larynx se déplace normalement. Exo
tale du pouce analogue à celle du côté opposé. Lame osseuse dans la région lombaire, plus large à gauche qu'à droite ; ell
tout près de l'os iliaque, en un appendice bifurqué. Muscles de la région lom- baire, muscles fessiers et abdominaux inta
u fascia lata droit est plus raide que le gauche. Les muscles de la région externe et postérieure de la cuisse gauche, avant
action faradique. Le sacro- lombaire réagit bien. Les muscles de la région interne et postérieure de la uisse gauche montr
ec uu léger mouvement fébrile, d'une tuméfaction correspondant à la région du muscle trapèze et aux muscles sous-jacents ;
uche au tronc. Peu de temps après, le même processus se montra à la région correspondante du côté droit; les sus et sous-épi
antérieure du thorax, quelques exostoses aplaties. La musculature des régions citées a la consistance de l'os, le grand dorsa
llie comme une corde fibreuse. Les muscles profonds du cou et de la région hyoïdienne sont durs, mais sans noyaux osseux.
douleurs à la nuque, au bras et à l'avant- bras ; en examinant ces régions , on y trouve des gonflements diffus, rouges, do
isparaître ; elle cessait complètement au repos. Son siège était la région externe de la cuisse, depuis la partie moyenne ju
parurent ; mais tout mouvement provoquait de vives douleurs dans les régions coccygienne, sacrée et lombaire. La flexion du
vient une ligne droite qui s'étend jusqu'à la partie moyenne de la région dorsale ; le rachis dorsal supérieur et cervical
pas reconnu d'exustoses, sur les points accessibles des différentes régions du rachis. Le thorax est aplati d'avant en arri
inférieurs (genoux, cuisses). Puis les douleurs se portent dans la région loiiil)o7-,acro-coccygieniie. Elles sont surtout
ccompagner de douleurs com- parables à celles qui- siègent dans les régions inférieures de la colonne vertébrale. L'ankyl
s aux autres depuis le sacrum jusqu'à la première dorsale ; dans la région lombaire se montrent des tubérosités osseuses trè
continuent d'une vertèbre à la vertèbre voisine; plus haut, dans la région dorsale, les tubérosités font défaut, mais la r
onstatation que M. Marie a faite de la rareté des exostoses dans la région dorsale de la pièce du musée Dupuytren. Patiiog
lic et l'état permanent de tension des muscles de la paroi en cette région . Cette contracture est peut- être réflexe et pr
s bas. La végétation osseuse a d'ailleurs très probablement dans la région in- férieure de la colonne vertébrale une exubé
ère ; du moins, l'intensité et la persistance des.douleurs en cette région , la « dou- leur de reins » de Duf... permet de
mihypertrophie faciale droite congé- nitale intéressant surtout les régions placées au-dessous du rebord inférieur de l'orb
dont la face et les membres sont hypertrophiés du côté droit ; ces régions sont couvertes de taches naeviformes et le temp
gauche est plus long que le droit de 2 cent. 1/2. Enfin toute cette région du corps est atteinte d'hyperémie et d'hyperhyd
ant non sur la longueur mais sur l'épais- seur de ceux-ci. Dans les régions augmentées de volume le tissu adipeux est très
figure ci-dessous : En examinant le cuir chevelu, on voit, dans la région occipitale, une petite bande en forme de fer à
Du côté des épaules rien à noter. Il semble, à première vue, que la région du coude et de l'avant-bras soit plus développé
risottés en une traînée avec hy- perchromie du cuir chevelu dans la région occipitale. Dans 7 cas, les os participent comp
que sur les parties molles (Boeck). Les dents correspondant à la région hypertrophiée sont souvent plus volumineuses, p
cours des anévrysmes artério-veineux, influant sur la nutrition des régions hypertrophiées. On a également cherché la clé d
périeure et la paupière inférieure gauches à un moindre degré ; ces régions sont molles, oedémateuses ; la pommette gauche
u'à droite. Les os de la face, le corps du maxillaire supérieur, la région alvéolaire participent à l'hypertrophie. Le max
e là son point de départ. L'hypertrophie porte spécialement sur les régions supra-orbitaire, ma- laire et mentonnière intér
au qui recouvre le côté gauche de la face est partout, sauf dans la région massétérine, irrégulière, épaissie, un peu plus b
st le siège de deux saillies plus marquées; l'une d'elles occupe la région de l'apophyse orbitaire externe ; elle est ronde
a été fait sur des lambeaux cutanés en- levés par le Dr Hund, à la région malaire, à la lèvre supérieure et au menton. Au
vertébral est ouverte et la moelle épi- nière n'existe que dans les régions dorsale et lombaire (PI. XLII, M). L'oeil surto
e f.tte ; K, de profil ; M, de dos, le causal vertébral fendu dans la région cervicale supérieure ; N, face du cyclope avec
des parties lombaire et dorsale de la moelle cérébrale,mais dans la région cervicale les particularités pathologiques sui-
E NERVEUX CENTRAL (N. Solovtzoff) O. - Cas ? Coupe de la moelle ; région cervicale ; atrophie des cordons latéraux des deu
prolongeant vers la moelle épinière. A l'examen microscopique de la région lombaire par le procédé de Pal, nous avons trou
faisceau pyramidal du cordon latéral n'était pas développé. Dans la région cervicale supérieure, l'aspect est presque le m
gion cervicale supérieure, l'aspect est presque le même que dans la région lombaire ; seulement, les cordons postérieurs s
ope (Cas VI), chez qui la colonne vertébrale était L fendue dans la région cervicale supérieure, la moelle épinière existait
vicale supérieure, la moelle épinière existait L seulement dans les régions dorsale et lombaire; elle était encore plus min
s d'une couche très fine des fibres myéliniques. Plus haut, dans la région où la colonne vertébrale était fendue, il l'exa
NERVEUX CENTRAL (N. SoloYtzoff) a. - Cas III. Coupe de la moelle, région cervicale. Absence des voies pyramidales, cérébel
eures. c. - Cas Il'. Moelle épinière; par suite de l'hydromyélie la région ventrale est réduite l une membrane ; la région
de l'hydromyélie la région ventrale est réduite l une membrane ; la région postérieure est e ? ti ornement atrophiée. d. C
es enfoncés qui lui donnent l'aspect de la carte géographique d'une région montagneuse. A la palpation, on sent partout un
remière fois que l'enfant avait des noyaux indurés au dos, dans les régions scapulaires, et que les mouvements des bras étaie
x autres sur la moitié inférieure de l'omoplate gauche, et une sur la région lombaire gauche. Toutes ces tumeurs siègent dan
auche. Toutes ces tumeurs siègent dans les muscles. Les muscles des régions sus et sous-épineuses, ceux des régions inter-sca
es muscles. Les muscles des régions sus et sous-épineuses, ceux des régions inter-scapulaire et lombaire sont durs, mais pa
apulaire et lombaire sont durs, mais pas ossifiés. Tumeur dure à la région du biceps brachial droit, allongée, très large
nt les bras. A la suite d'une chute qui porte on ne sait sur quelle région la tête de l'enfant se penche à droite. En janv
ras droit n'atteint pas l'horizontale, les doigts arrivent jusqu'à la région temporale. Mêmes modifications à gauche, mais m
ns la marche. Variole, rougeole et coqueluche ; pas de douleurs aux région » maldes. Antécédents héréditaires. - Rien de
du brachial antérieur. Colonne vertébrale rigide, plus mobile à la région lombaire. A gauche des 5e et 6e vertèbres dorsa
ertions musculaires qui en partent. A droite de la colonne, dans la région lombaire, une masse plate très mobile. Elle s'é
eux plus petit, mobile. Pas d'ossifications «dans les muscles de la région abdominale antérieure. Mouvements de la hanche
s de paralysie du grand denlelé, associée à celle d'un muscle de la région scapulo-lmmérale : du deltoïde par exemple, du
uement une douleur assez vive, qu'il lo- calise exactement dans les régions suivantes : espace inter pectoro-deltoïdien et
pèze, du côté droit. Voici d'abord les détails des déformations de la région sca- pulo-humérale. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUS
les mains sur les genoux. Il y a une déformation appréciable de la région scapulo-humérale droite, caractérisée dans son
ombant naturellement le long du tronc. Déformation très nette de la région scapulo-humérale, qui rappelle celle de la stat
ailleurs, quoique moins marquée. Telles sont les déformations de la région scapulo-humérale dans les diverses attitudes et
qu'il n'y a pas de troubles de la sensibilité objective dans cette région . Les douleurs spontanées ont disparu ; notre ma
Il n'y a rien à noter, en dehors des troubles morphologiques de la région scapulo-humérale déjà signalés. Le thorax propr
presque aussi rétrécie au niveau de i'omo- plate qu'au niveau de la région lombaire. Au niveau du cou, on voit une saillie
- tagoniste (grand dentelé). Enfin, dans les autres muscles de la région scapulo-humérale : angulaire de l'omoplate omob
il nous semble, en raison de l'in- tégrité des autres muscles de la région scapulo-humérale, considérer dans l'espèce ce f
il. - L'atrophie n'avait pas encore envahi les « muscles des autres régions . » Les figures 2, 5, 11, 12 et 13 de la « Phy-
UVAL principale, pour ne pas dire exclusive, des déformations de la région sca- pulaire que l'on constate à l'état de repo
u niveau de la paroi antéro-tatérate, au-dessous et en dehors de la région bimammaire. Faut-il faire une part, dans le m
x. Si le bras s'élève volontairement, les principaux troubles de la région scapulo-humérale sont très accusés et consisten
nsidérable et seulement au niveau de la joue, c'est-à- dire dans la région occupée par le naevus. Ce défaut de symétrie cont
rédominance latérale mar- quée ; mais du côté gauche, la peau de la région naso-orbitaire est d'une sensi- bilité exquise
i- bilité exquise bien que l'ancien spasme ait disparu et que cette région ne soit pas le siège de mouvements particulière
ble de la sensibilité de la peau. Pas de points douloureux dans les régions mammaires ou ovariennes. La malade a été traité
us ni anesthésie, ni dysesthésie,ni douleurs à la pression dans les régions désignées. Mais les troubles du sommeil qui exi
oyons l'affection se manifester d'abord par un spasme localisé à la région de l'irritation provocatrice; spasme qui survit
pleural, épanchement exclusivement postérieur at- tendu que dans la région antérieure la sonorité tout au moins relative se
le malade se plaignait incessamment d'une douleur fort vive dans la région de l'ovaire droit on procéda alors à un examen mi
ême de l'ouïe, de l'odorat et du goût. Si l'on vient à comprimer la région de l'ovaire droit on y dé- termine une douleur
n physique révèle seulement une hyperesthésie diffuse dans toute la région épigastrique. Le poumon et la plèvre se sont be
ssion, et de là, de violentes douleurs s'irradient le soir. Dans la région du fascia lombo-dorsal, saillie ver- ticale, du
tirée vers la gauche ; quelques mois après raideur tïlz grande à la région sacrée, il trébuchait souvent ; la raideur augmen
on affection s'ag- gravait. Extension de l'affection au dos et la région sacrée avec les mêmes phéno- mènes de douleur e
Bras dans l'adduction. On voit des masses osseuses tout autour de la région axillaire, surtout dans le grand dorsal. L'abdu
bandelette avec la plaque interne. Une bande mince, dure, occupe la région bicipitale et se prolonge dans le creux axillaire
. -- Fièvre 38°2 C le matin, perte de l'appétit, gonfle- ment à. la région inférieure du sterno-mastoïdien droit, extension
fle- ment à tout le muscle les jours suivants, oedème dans toute la région du ster- num à la mâchoire. Rougeur de la peau.
Dans ses derniers jours, ankylose du genou droit et des douleurs à la région fessière du même côté. - Examen microscopique
douleur au niveau de la mâchoire inférieure, sous les oreilles. Ces régions étaient tuméfiées, le malade croyait avoir les or
IGE (1 phot.), 59. Sclérodermie lardacée en coup de sabre de la région frontale, crises épilepti- formes concomitantes
. Spillmann (Louis). Sclérodermie lardacée en coup de sabre de la région frontale ; crises épileptiformes concomitantes
19 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
rtement engourdis et certainement parésiés. La prédominance dans la région lombaire n'en est pas moins incontestable. C'es
r qui parait exclu- sivement intéressé et qu'elle occupe plutôt une région non motrice de l'é- corce. Il y a donc une gr
a moelle épinière. On peut donc distinguer à la protubé- rance deux régions : une région supérieure ou pédonculo-protubéranti
ère. On peut donc distinguer à la protubé- rance deux régions : une région supérieure ou pédonculo-protubérantielle, une r
régions : une région supérieure ou pédonculo-protubérantielle, une région inférieure ou bulboprotubéranGielle, toutes deux
avec la pathologie de la protubérance. En effet, les lésions de la région pédonczsloprot2cbéz°azatielle donnent lieu au syn
en cli- nique sous le nom de syndrome de Weber ; les lésions de la région bulbo- protubérantielle donnent lieu au contrai
prin- cipalement avec Tamburini et Luciani, les étendent à ces deux régions . Quoiqu'il en soit, on est certainement autoris
it nombre des tabétiques que j'ai traités par la faradisation de la région claviculaire. Dans quelques cas, la maladie a fai
ient plus pour la période parétique du tabès. La faradisation de la région claviculaire au contraire n'irrite pas du tout
Je dois dire en outre que je ne me contente jamais de faradiser la- région claviculaire ; suivant les indications, j'admin
urs très bien trouvé. Il me reste à parler de la faradisation de la région claviculaire dans la névrite des membres supéri
nastomoses, mon attente ne fut pas trompée. La faradisa- tion de la région claviculaire calme les douleurs de la névrite bra
te dans cette maladie si fréquente chez nous. La faradisation de la région inférieure du cou n'a pas d'influence sur LA FA
force des contractions du coeur sont augmentées, quelle que soit la région du cou où porte l'excitation en haut ou en bas.
faradisation du pneumogastrique est faite après la faradisation de la région claviculaire, le pouls radial présente une ondu
articulation sterno-claviculaire et ne glisse ni en haut ni vers la région claviculaire ; il doit être renversé et ne touc
gréables, il faut se garder d'exciter pendant la faradisation de la région supérieure du cou, les nerfs accessoires de Wil
res de Willis et le facial tandis que pendant la faradisation de la région claviculaire c'est la contraction brusque du trap
plus haut que je ne fais ordinairement dans la fa- radisation de la région claviculaire si le bras est soulevé par une contr
s éviter chez les personnes irritables. Je pose, en faradisant la région claviculaire, le second rhéophore au-des- sous
s'agit d'une affection de la moelle épinière, je faradise les deux régions claviculaires l'une après l'autre. Il faut en gén
servant le pouls de la radiale s'il s'agit de la faradisation de la région claviculaire, le pouls de la carotide s'il s'ag
laire, le pouls de la carotide s'il s'agit de la faradisation de la région supérieure du cou. Le pouls de ces artères devi
Aurélian. La Gazette de Cologne envoya un de ses rédacteurs dans la région pour s'enquérir de ces événements. Le rédacteur
u profonde mais assez étendue en longueur à la partie interne de la région antérieure de l'avant-bras gauche, en pleine ré
e interne de la région antérieure de l'avant-bras gauche, en pleine région des vaisseaux et nerf cubitaux. En outre, on co
re lésé. Mais la plaie causée par l'éclat de verre siégeait dans la région des vaisseaux et nerfs cubitaux, notablement en
n un point quelconque. Or deux traumatismes avaient porté sur cette région et avaient pu at- teindre le médian. L'un était
ire et les suites de l'intervention. Le malade étant anesthésié, la région lavée et aseptisée par précautions convenables,
s méninges spi- nales, et envahissement limité de la moelle dans la région dorsale infé- rieure, un 3e enfin dû àMoxon (1)
e complète des artères spinales. Envahissement de la moelle dans la région dorsale supérieure. IL, 50 ans, marchand des qu
la substance grise et une légère diminution de consistance dans la région dorsale. La colonne vertébrale et la dure-mère so
ns le liquide de Mûller ; des fragments prélevés dans les différentes régions ont été inclus dans la celloïdine. Les coupes o
faible éten- due, dans la hauteur de 2 à 3 racines, au niveau de la région dorsale supé- rieure. Nous décrirons ces lésion
e. Nous décrirons ces lésions de bas en haut avec quelques détails. Région lombaire inférieure. Les méninges et les vaisseau
a tunique moyenne. La moelle elle-même n'est pas touchée dans cette région . En de certains points, il existe seulement sou
gert montre qu'il n'y a pas de dégénération. Renflement lombaire et région dorsale inférieure. Même répartition des lé- si
es devient de plus en plus compacte à mesure que l'on s'élève vers la région dorsale inférieure : les parois sont 5 ou 6 foi
réduite d'autant. Sur les coupes transversales qui intéressent les régions lombaire supérieure et dorsale inférieure (jusqu'
ur les préparations traitées par la méthode de Weigert ou de Pal. Région dorsale moyenne. Les coupes ont été pratiquées au
Se, 6e racines). Le processus est sensiblement le même que dans la région précédente. Là encore les lésions sont limitées à
complète. Bien que la moelle soit relativement saine dans toute la région dorsale moyenne, on y voit apparaître quelques
amorphe, mais composée de très fines granulations réfringentes. - Région dorsale supérieure. Ici non seulement les lésions
éningées et vas- culaires se poursuivent dans toute l'étendue de la région , mais les éléments de moelle elle-même sont le
granuleux, ni de cylindre-axes hy- Fia. 4. Coupe transversale de la région dorsale supérieure. Une partie de la cir- confé
n- che que les petits vaisseaux soûl altérés partout, même dans les régions où le tissu lui-même est sain ; leurs parois ou
'existe de sclérose névroglique. Par place seu- VI. 7 F1G 5. Même région que la précédente. - Ici l'infiltration est limit
mitée au septum smp. Le tissu médullaire est respecté sauf dans une région peu étendue sous la pie- mère il droite de la f
s antérieures et dans la commissure grise. Les tubes nerveux dans les régions où cette matière colloide s'est infiltrée, para
apillaire et péri veineuse. Mais nulle part ailleurs que dans cette région ces néoformations péri-capillaires ne prennent da
ne, ainsi que nous l'avons déjà observé plus bas. Dans aucune autre région de la moelle, les veines périphériques oblitéré
grand nom- bre de racines aux différentes hauteurs de la moelle. Région cervicale. L'importance des lésions diminue dans
A PLANCHE XIII, XIV, XV. Fra. 1. Coupe DE la moelle au niveau DE la RÉGION DORSALE SUPÉRIEURE. (Coloration au picro-carmin
it la coupe de volumineux cylindres-axes (voir fig. 6). FiG. 2. - Région lombaire. (Coloration au picro-carmin et à l'héma
groupent autour des capillaires (B). FiG. 3. Renflement cervical, RÉGION du sillon médian antérieur. (Double coloration,
DE la VEINE ET DE l'artère spinales antérieures, au NI- veau DE la région lombaire SUPÉRIEURE. (Double coloration, grossiss
le embryonnaire formé autour D'UN capillaire dans la PIE-MÈRE DE la RÉGION dorsale SUPÉRIEURE (hématoxyline, grossissement 9
IÈRE. bien que dans les méninges, à mesure que l'on s'éloigne de la région dorsale. Jusque dans la partie moyenne du renfl
dégénération, semblables à ceux que nous venons de décrire dans la région dorsale supérieure. Mais la lésion a beaucoup m
rçoit l'artère spinale antérieure aussi intacte que dans les autres régions de la moelle (fig. 3, B, de la planche XIII, XIV,
e (loc. cit., C). Sur un certain nombre de préparations, dans cette région , on peut constater un léger degré de périartérite
que les lésions dont il vient d'être question s'atténuent vers les régions supérieures de la moelle allongée, pour disparaît
roubles moteurs hystériques et des troubles de la sensibilité de la région oculo-palpébrale, depuis la conjonc- tive jusqu
entit, comme à l'état normal, sur le petit doigt. Dans ces diverses régions , pas de lésions cutanées ni de troubles de pigmen
situées au devant de chacun des coudes, à contours diffus. Dans la région épitrochléenne gauche, surface large com- me la
Les ganglions inguinaux sont hypertrophiés. Sur-le bas-ventre et la région lombaire, desquamation furfuracée avec démangea
ons mentionnés plus haut. Au milieu de la plante et au niveau de la région métatarsienne, large ulcère anesthésique, arron
on est rouge, anfractueux et paraît constitué par les muscles de la région plantaire. Le stylet n'atteint pas d'os dénudé. L
ette analgésie est superficielle ; si on enfonce l'épingle dans les régions sous- cutanées, la douleur est réveillée par la
éro-interne de la jambe, l'autre en arrière, un peu au-dessus de la région rotulienne. La sensibilité des muqueuses est no
10 heures du matin, nous faisons, le long du bord radial, dans une région analgésique, une incision de six centimètres, Le
ace étaient épar- gnés, mais la dissociation sensitive occupait les régions sus-orbitaire et frontale. Sans doute ces tro
localisation, dans la netteté de ses limites qui tranchent sur les régions voisines. Cependant, en dehors des noevi qui para
u corps qui est tout il fait frap- pante sur le sujet. En avant, la région velue se prolonge des aines vers l'ombilic en d
s deux côtés du ventre au-dessus de l'aine « pour venir se fixer à la région épigastrique » suivant la description de Charco
tion de la taille et élargissement des hanches. Quand on palpe la région on se rend facilement compte que le bord su- pé
ressée que sur une étendue relativement restreinte, au niveau de la région dor- sale supérieure. 2° Ces altérations cons
e s'accompagne d'endophlébite oblitérante. Enfin à la hauteur de la région dorso-lombaire, dans l'épais- seur même de la p
le elle-même, intéressée ainsi que nous l'avons vu, au niveau de la région dorsale supérieure, les lésions sont de deux ordr
èrement dé- truites (nous avons vu au contraire que dans les autres régions de la moelle ces éléments avaient conservé leur
r parcours, et que d'autre part le nombre des tubes malades dans la région supérieure de la moelle est beaucoup plus consi
moelle présentait dans ce cas à l'oeil nu un ramollissement dans la région (1) IIonou.E, Progrès médical, 1816. 1G0 NOUV
uteur ; la moelle n'étant intéressée que secondairement et dans une région limitée du renflement cervical. En 1891 Siemerl
microscope révéla l'existence d'un foyer de méningo-myélite dans la région dorsale inférieure. Un foyer gommeux microscopi
s notre ob- servation I, et qu'elles se retrouvaient jusque dans la région cervicale, avec le même contraste entre les lés
, et succombe le 12 mai 1891 à la suite d'un nouvel érysipèle de la région sacro-coccygienne. Autopsie. - Du côté des cent
vait constater à l'oeil nu, une déformation de l'organe occupant la région dorsale supérieure, depuis la 2e jusqu'à la 5e
n dorsale supérieure, depuis la 2e jusqu'à la 5e racine. Dans cette région , la moelle présente une forme obli- que ovalair
due à toute la surface de la coupe, mais surtout prononcée dans la' région postérieure. La moelle reprend peu à peu sa con
prend peu à peu sa configuration et sa consistance normales dans la région dorsale inférieure. A partir de ce point, ou cons
jusqu'à la partie inférieure du renflement lombaire. Cette dernière région paraît absolument saine, à part la double dégén
copique a porté sur ce foyer malade, à diverses hauteurs et sur les régions cervicale, dorsale inférieure et lombaire. Le bul
aru. b) Petit foyer de sclérose occupant le cordon latéral gauche. c) Région des cordons antérieurs restée saine (colorée en
ations vacuo- vi. 42 Fig. 17. Coupe d'une veinule de la pie-mère ( région dorsale supérieure). On voit qe- la tunique adv
ndent à la partie périphérique d'une part (sous-ménin- gée) et à la région du septum médian postérieur d'autre part. Les par
insérer directement sur la paroi du vaisseau. Nulle part dans cette région il n'existe de DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQ
les parois vasculaires se touchent en plu- sieurs points. Dans ces régions il existe alors de véritables nappes de sclérose
les parties où la sclérose est moins avaucée, c'est-à-dire vers la région profonde des cordons postérieurs, au voisinage de
n peut voir la lésion au premier degré, pour ainsi dire, dans celte région , La névroglie se condense autour des petits vai
bordure colorée en rouge sur les préparations au carmin. Dans les régions antéro-latérales de la subs- tance blanche, les
usqu'au niveau de la 4e racine dorsale. Au- dessous, dans la même région , c'est-à- dire dans le cordon latéral gauche, l
'intérieur d'un certain nombre de gaines vasculaires dans la même région . Racines rachidiennes. Elles pré- sentent des
ents. Fig. 19. - Coupe transversale d'une racine antérieure de la région dorsale. On voit, autour des vaisseaux, et prin
r précédent. Les lésions vont en diminuant graduellement jusqu'à la région dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la
t jusqu'à la région dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la région postérieure de la moelle s'atténue, au point qu
qui est épaissie et infiltrée en ce point. Elle pré- sente en cette région un gros vaisseau qui chemine dans son épaisseur,
antes. Coupes pratiquées au-dessus du foyer de la lésion. Dans la région cervicale, la lésion importante est la sclérose s
hémorrhagies semblables à celles que nous avons rencontrées dans la région dorsale (surtout dans la corne antérieure gauch
ne étendue en hau- teur bien plus grande que la moelle ; et dans la région cervicale, où celle- ci est relativement saine,
gré de cet affaiblisse- ment peuvent être observés aisément dans la région orbitaire et dans la région frontale, par cette
peuvent être observés aisément dans la région orbitaire et dans la région frontale, par cette raison que, d'une part, le pl
iolentes céphalées spécifiques, puis douleurs très intenses dans la région cervicale du rachis. Plusieurs ictus apopleclifor
urent d'abord des céphalées d'une grande violence, localisées dans la région oc- cipitale principalement. Puis elle a eu des
ale principalement. Puis elle a eu des douleurs très intenses dans la région delà nuque. Ou voit encore aujourd'hui la trace
ace des nombreuses pointes de feu qui ont été appliquées dans cette région . A plusieurs reprises, depuis la même époque, e
té gauche. La malade se plaint surtout de douleurs spontanées dans la région de la nuque, avec irradiations dans l'épaule dr
rachis est douloureux dans toute la hauteur, non seulement dans la région cervicale, mais jusque dans la région dorsale inf
auteur, non seulement dans la région cervicale, mais jusque dans la région dorsale inférieure. , Raideur marquée de la nuq
copique du cerveau il n'existe d'altérations qu'à la base. En cette région , la pie-mère offre un épaississement fibreux mani
ns le mésocéphale. Examen macroscopique de la moelle. Dans toute la région cervicale, la moelle est entourée d'une épaisse
. Il n'y a pas d'adhérences avec le périoste des vertèbres. Dans la région cervicale supérieure, le diamètre de l'organe est
u est diminué de consistance. La même lésion se poursuit jusqu'à la région dorsale supérieure. Dans la ré- gion dorsale mo
es pa- raissent seulement un peu épaissies. Rien d'anormal dans les régions dorsale, inférieure et lombaire. de la MÉN 1
matoxyline y colore vi 15 Fig. 26. Méningite spinale limitée à la région postérieure de la moelle : symphyse méningo-méd
celle qui existe autour des capillaires des méninges. Dans cette région dégénérée, la coupe est, pour ainsi dire, couvert
abondance que le tissu semble devoir sa grande fragilité dans cette région . Les fibres^ nerveuses sont gravement-lésées, p
ement. Mais on ne voit pas, sous le microscope, un seul point de la région qui en soit totalement dépourvu. Dans le rest
aux ne présentent pas d'hypertrophie de leurs parois, comme dans la région dégénérée. Les méninges sont un peu épaissies s
d'une façon comparable à l'hypertrophie qu'elles présentent dans la région postérieure. Au niveau du cordon antéro-latéral d
issi ; elles pré- sentent de nombreux petits vaisseaux oblitérés. Région dorsale supérieure. Comme lésion importante dan
és. Région dorsale supérieure. Comme lésion importante dans cette région , il n'existe qu'une double dégéné-- ration pyra
ébelleux direct. Du côlé des méninges, léger épaississement dans la région postérieure, mais sans envahissement de la moel
elles con- trastent avec les racines antérieures qui sont saines. Région dorsale moyenne (6e, 7" racines). La méningite
ble dégénération pyramidale signalée plus haut, n'atteint pas cette région . Dans le renflement lombaire, il n'existe aucun
cations importantes. Cepen- dant, dans la moitié gauche do toute la région , les cellules nerveuses qui com- posent ces noy
ormée d'un amas de petites cellules rondes à gros noyau. Toute la région périphérique du nerf est dégénérée ; un grand nom
AL). DE LA 11GNINGO-llLYi : LITE SYPHILITIQUE 213 moelle, dans la région cervicale, est entourée d'une épaisse virole comp
dans l'étendue de sa demi-circonférence postérieure. A partir de la région cervicale, la lésion va en diminuant vers le haut
eau, au niveau de l'espace inter-pé- donculaire. Les nerfs de cette région , le chiasma, sont intimement adhé- rents à la p
base du cerveau, et spécia- lement l'espace inter-pédonculaire, la région du chiasma, comme un lieu de prédilection des m
uées ; les lésions prédominent d'une façon il peu près constante à la région cervicale, el, dans cette forme plus que dans t
uleurs céphaliques très atténuées commencent à s'ir- radier vers la région cervicale du rachis, et au bout de quelques jours
rv.V), la rachialgie, après avoir occupé d'une façon transitoire la région intersca- pulaire, se cantonna définitivement d
ire la région intersca- pulaire, se cantonna définitivement dans la région lombaire sur une lar- geur à peu près égale à c
diant vers les deux flancs, surtout du côté droit. Localisée à la région cervicale, la rachialgie s'accompagne de raideur
jusque dans l'extrémité des doigts (observ. VII). Si elle occupe la région dorso-lombaire du rachis, elle peut se propager a
ccupe la région dorso-lombaire du rachis, elle peut se propager aux régions correspondantes du tronc sous forme de douleurs e
a nuque, le long de la colonne vertébrale, particulièrement dans la région lombaire. Ces douleurs irradiaient dans les deux
nt où le membre inférieur droit se paralyse, l'inférieur gauche, la région abdominale du côté gauche deviennent insensible
riode de 4 à 5 semaines. La douleur siégeait principalement dans la région occipitale, et de là, s'irradiait en arrière ju
et de là, s'irradiait en arrière jusque dans les épaules et dans la région inlerscapalaire. Pondant le mois de janvier 189
lasmes, de prendre de l'antipy- rine. Leur siège principal étail la région dorso-lombaire médiane, sur une sur- face à peu
t nuit et jour, mais plus forts la nuit, occupant principalement la région occipitale. A la même épo- que il eut de la dip
'avaient jamais été, elles se localisaient principalement dans deux régions ; au niveau des reins et entre les deux épau- l
1, nouvelles douleurs, cette fois-ci partant très net- tement de la région cervicale. Les mouvements de flexion et de torsio
etentissements douloureux qui se produisaient à chaque pas clans la région sternale. Jamais la malade n'a éprouvé la moindre
bres supérieurs avec atrophie légère du côté gauche. Examen de la région du cou. Pas de déformation ni de déviation ; mais
mités. Il est impossible il la malade de rapprocher le menton de la région sternalc. Si l'on veut lui faire exécuter ce mo
que. De plus on provoque des douleurs vives qui s'irradient dans la région sternalc, dans les deux régions claviculaires e
uleurs vives qui s'irradient dans la région sternalc, dans les deux régions claviculaires et la racine des membres supérieurs
ieurs. La pression, la percussion sur les apophyses épineuses de la région cervicale est douloureuse. Il en est de même su
de vives douleurs. Elles s'irradient aussi vers les bras et vers la région sternale. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 22
a lui retentit dans le cou et dans la poitrine » et elle indique la région sternalc. Pas de signe de Romberg. Face. L'oe
s une période d'accalmie, apparaissent des douleurs sourdes dans la région lombaire et dans les membres inférieurs, précé-
oureuse d'ailleurs. L'hyperesthésie cutanée existe toujours dans la région indiquée plus haut. Sur le bas-ventre, elle est
et en particulier d'un point doulou- reux permanent au niveau de la région épigastrique. La maladie a évolué depuis le déb
enseignement. Ayant à traiter parfois des sujets où il abordait les régions les plus élevées de la médecine et de la philos
élève. - En janvier 1893, il ressentit un point douloureux dans la région intersca- pulaire. Deux jours plus tard, la dou
rs plus tard, la douleur augmentait d'intensité et gagnait toute la région cervicale du rachis. Les mouvements de la tête ét
s douleurs de tête firent place à des douleurs rachidiennes dans la région dorsale et lombaire inférieure. Ces douleurs ét
e inférieure. Ces douleurs étaient aussi violentes que celles de la région cervicale l'avaient été : le malade ne pouvait
ectoral princi- palement). Le malade a beaucoup souffert dans celte région au début de sa ma- ladie, en même temps qu'il r
e, à fond violacé, ardoisé, recouvert de croûtes. En outre, dans la région inguinale gauche et à la partie postérieure du
éprouvé à cette époque qu'un sentiment do pesanteur, de gêne dans la région (1) Semaine médicale, 1891, p. 413. DE LA lIi
l existe aussi une légère hyperesthésie à la piqûre au niveau de la région in- guinale gauche. Du côté des sphincters, o
iacale. Prescription : un grand bain, 10 ventouses scarifiées il la région lombaire. 3. A la suite d'un interrogatoire pre
E. rieurs et les racines de la moelle, ctspécialement au niveau des régions qui tiennent sous leur dépendance les symptômes
e altération du canal rachidien, se rencontre plus fréquemment à la région cervicale (sans que l'on soit en me- sure de do
de l'encéphale et plus spécialement de méningite de la base, de la région interpédonculaire et du chiasma. IV. Les lésion
tête et prédominant ;i la partie postérieure, un peu au-dessus de la région occipitale. Douleurs vagues le long de la col
montrant particulière- ment marquée entre les deux épaules et à la région sacrée. Dans les membres, aux jointures et dans
tie dépasse la moitié nasale de la rétine, mais occupe seulement la région centrale de celle-ci. b) Le faisceau croisé de
épasse la moitié temporale de la rétine où elle occupe seulement la région centrale. c) Le passage réciproque du faisceau
avant et il est impossible de lui faire changer de position ; dans la région de la glabelle la peau forme des rides profonde
ser les doigts causent à la malade une dou- leur très vive. Dans la région du cou et de la poitrine, la colonne verlé- bra
des jambes et des pieds sont plus pâles et plus froids que dans les régions supérieures du corps. Les gencives sont ramol-
érature de la peau sur la face interne de l'articulation et dans la région inférieure de l'épaule est relativement plus él
; l'articulation est fusiforme ; en haut, le gonflement envahit la région inférieure de l'épaule, les tenta- tives faites
soir 37, 7°. 9. - OEdème du côté externe de l'articulation et de la région inférieure 326 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
intestin commence à fonctionner librement du 3° au 4° jour; dans la région fémorale les lâches bleu-pourpre ont dis- paru.
- pétit sont bons. 31. - Apparition de périostite limitée dans la région moyenne de la jambe gauche. 2 août. Le volume
uide purulent, et segment supérieur rempli de sé- rosités; clans la région de l'apophyse styloïde, c) pustule avec eschare,
ntation à l'entour. 18-29. Desquamation de l'épiderme dans toute la région qu'occu- pait le phlegmon. Dans le courant du m
ion, avec phénomènes morbides spéciaux pour chacune d'elles dans la région psychomotrice ; en outre le complexus symptomat
ante des deux pieds, taches violacées des tissus de la peau dans la région située au- dessus du genou, abaissement de la t
intenant à l'examen des troubles observés chez notre malade dans la région de l'articulation cubi- tale gauche. En analysa
ouleur sourde le long de la colonne vertébrale avec maximum dans la région lombo-sacrée. Douleurs vagues dans les membres,
che de la face, et sur les membres du côté droit (correspondant aux régions où s'accu- sent les plus vives douleurs). Les
20 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
4 mois. Puis, surviennent des douleurs qualifiées de sciatique, la région lombaire est faible et douloureuse (surtout pen
eux ; douleur à la pression au niveau des apophyses épineuses de la région dorso-lombaire, surtout XIIe dorsale et Ire lomba
récoce, très important chez l'enfant, et qui est la flexibilité des régions saines du rachis. A plus forte rai- son le diag
ai- son le diagnostic est-il malaisé lorsque la lésion siège en une région pres- que immobile à l'état normal, comme l'est
ge en une région pres- que immobile à l'état normal, comme l'est la région dorsale moyenne. En somme, dans les cas où les
par congestion double aux aines, provenant vraisemblablement de la région lombaire (ce cas marque la transition entre not
bilatérale : dé- formation et douleur à la pression au niveau de la région sacrée. Atrophie mus- culaire très marquée aux
un tissu lardacé, contenant des tubercules, et remontant jusqu'à la région lombaire infé- rieure, englobant les racines lo
brusque mouvement d'extension de la tête de vives douleurs dans la région occipitale et la nuque : puis survint une parap
douleurs sur le trajet des nerfs dont les racines naissent dans la région comprimée, en particulier sur le trajet des ner
u début, nous l'avons vu dans toutes les formes, et pour toutes les régions du rachis, le malade vient, le plus, souvent, se
tude des mouvements provoqués. Difficile à mettre en évidence, à la région dorsale, dont les mouvements sont presque nuls
nt et remplacés par une rotation du tronc tout entier, autour de la région lombaire, « d'où, suivant l'expression classiqu
ns toutes les tuberculoses osseuses, quel que soit leur siège. A la région dorsale, on ne peut explorer que les apophyses ép
ent. La cyphose est toujours continue et toujours prédominante à la région dor- sale moyenne. On constate encore une doule
thorax, pas d'éversion notamment du rebord des fausses côtes, et la région épigastrique est barrée de ou 3 plis profonds com
lus pénibles et plus fatigants qu'autrefois. Peut-être en certaines régions y a-t-il quelque lésion ligamentaire ou articul
e de P Marie et Astié). Remarquer l'énorme gibbosité, limitée ,¡ la région dorsale. LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 37 jouaie
, est à peu près régulière, seulement plus acccusée au niveau de la région cervico-dorsale comme si la partie supérieure du
s qui précède, et souvent de longtemps, l'ankylose, d'abord dans la région coccygo-sacro-lombaire, plus tard dans la régio
e, d'abord dans la région coccygo-sacro-lombaire, plus tard dans la région cervico-dorsale. Le processus pathologique est
orsale. Le processus pathologique est donc en évolution dans chaque région bien avant que l'ankylose n'appa- raisse. Ata
la lordose lombaire ; le rayon de la courbe est plus petit dans la région cervicale, et la lordose cervicale normale n'exis
regardant ses genoux. Latéralement il y a une légère scoliose de la région dorsale moyenne avec convexité à droite. La rég
cyphose la courbure brusque, angulaire, mais tout à fait limitée a la région dorsale moyenne où l'on voit l'ossification du li
res, sans exostoses, le bourrelet osseux coxo- fémoral. Fin. 2. Région lombo-iliaque droite (vue pos- térieme). - Item
antérieur paraît presque sain ;.il existe ce- pendant dans toute la région dorso-lombaire de très minces ponts osseux, iné-
térieur et non pas plutôt de la partie antérieure des disques. A la région cervicale il existe aussi quelques minces ponts o
LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 45 (partie antérieure des disques à la région lombaire, ligament surépineux à la région dorsa
térieure des disques à la région lombaire, ligament surépineux à la région dorsale, etc.) comme pour limiter les déformation
nsparente à un tel degré. Sur la coupe oblique de la tête fémorale, région où normalement il n'existe que peu de tissu com
um était presque en dentelle. Certaines apophyses transverses de la région lombaire se laissaient comprimer entre les doig
, et pli XI)'. On remarque une'cyphose très marquée au niveau de la région dorsale moyenne,avec maximum au niveau des 7e et
pineux. Toutes ces ossifications, localisées dans une seule et même région paraissaient bien être la conséquence de ruptur
Teissier). Remarquer la rectitude de cette colonne vertébrale. La région cervicale manque sur la figure, mais ne formait a
vec la fig. 3, B de la planche). Fig. b. Rhumatisme chronique de la région cervicale (Pièce et cliché du prolesseur Teissi
156 kilos. Aspect féminin : volumineuses masses lipomateuscs de la région poplibée. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHI
artie antérieure et latérale de l'abdomen : lombes,fesses,mamelles, régions cervicale et sous-mentonnière, joues, régions axi
mbes,fesses,mamelles, régions cervicale et sous-mentonnière, joues, régions axillaires, inguinales poplitées et à la face d
e menton se continue avec une boursouflure graisseuse qui couvre la région antéro-latérale du cou, et qui, prenant la forme
es fossettes; et il y a de volumineuses masses lipomateuses dans la région poplitée interne. Bref, l'adipose sous-cutané
méthode de Weigert ou de Pal, huit cas de ramollissement étendu des régions postérieures de l'hémisphère cérébral ; le plus s
che optique. Les plus antérieurs de ces fascicules abordent dans la région sous- thalamique le segment postérieur de la ca
des fibres allant dans les deux sens. , A la suite de lésions de la région calcarine et du lobe occipital on observe une d
res seraient moins nombreuses que celles qui proviennent des autres régions . Dans d'autres de ces travaux, Probst (3) (d, e
st'd'autres que l'écorce cérébrale enverrait aux noyaux moteurs des régions inférieures du névraxe. Ainsi serait constitué un
ution du crochet et des trois circonvolutions temporales. Dans la région des noyaux centraux, un bon nombre de fibres se d
le. La malade présente une cypho-scoliose extrêmement marquée de la région dorsale supérieure. Cette scoliose est à convex
dessous se dessine une scoliose à con- vexité gauche intéressant la région dorsale inférieure et la région lombaire. Le ra
à con- vexité gauche intéressant la région dorsale inférieure et la région lombaire. Le rachis est extrêmement cambré à ce
e environ. En même temps, par suite de cette concavité droite de la région dorso-lombaire, les côtes forment une gibbosité
néeàgauche dans la régioncervicaleetdorsalesupérieure, puis dans la région dorsale inférieure et lombaire une deuxième courb
es habituelles ; en même temps elle ressentait des douleurs dans la région lombaire et surtout dans les membres inférieurs
centaine sur ces derniers. Il n'en existait pas sur les différentes régions du tronc. Excepté la tumeur ulcérée de l'oreill
éalable ; j'ai déja signalé un paralytique général qui s'épilait la région génitale sans avouer aucune sensation (2). Cett
is sujets dans le même mois, l'épilation s'est montrée dans la même région , et au- cun n'a laissé soupçonner une sensation
de plus en fait d'explications ; mais depuis il se gratte dans des régions multiples du corps exemptes de lésions et il s'
les branches du plexus brachial. C'est ainsi que les muscles de la région antérieure des bras (sphères du médian et du cubi
lexus avant qu'elles se joignent pour le former. Par conséquent, la région radiculaire, si on peut la dénommer ainsi, s'ét
tate leur ininterruption. Au sur et à mesure que l'on considère les régions postérieures, de multiples prolongements s'éten
cales. Le faisceau optique central (couche sagittale externe de cette région ) est en grande partie normal, excepté au niveau
lte d'une lésion restreinte du cuneus, située un peu en avant de la région que représente cette coupe, et comprend des fibre
fusiforme et la circonvolution de l'hippo- campe. Nous abordons la région du segment rétrolenticulaire de la capsule in-
érée contient un bon nombre de radiations thalamiques provenant des régions occipitale et pariéto-lemporale postérieure, enfi
fibres situées au niveau de la scissure calcarine, parce que cette région est elle-même envahie par le ramollissement.
lieu à aucune dégénérescence appré- ciable de la couche externe des régions antérieures. C'est donc qu'il existe autre chos
la substance profonde des circonvolutions latérales. L'examen des régions antérieures ne révèle rien de particulier. La dég
tical de la deuxième circonvolution temporale, qui commence dans la région du carrefour ventriculaire, qui n'augmente guère
xième circonvolution temporale. Malgré les lésions destructives des régions postérieures, on voit que le segment horizon- t
gment horizon- tal et la partie inférieure du segment vertical (les régions destinées aux fibres corticipètes de la couronn
RIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 195 fibres d'association de la région . Elles ont également retenti sur'la couche sa-
ouche sagittale interne. Il est certain que, dès que l'on aborde la région des ganglions de la base et des divers segments
e « radiations thalamiques » toutes les fibres provenant des autres régions . Les radiations optiques vraies se rendent au p
ne de la couche optique. Mais toutes ces radiations thalamiques des régions postérieures de l'hémisphère n'ont pas la même
ite bien enteudu, des nombreuses fibres cal- leuses qui relient des régions asymétriques des deux hémisphères et qui, par l
la commissure antérieure et les courtes fibres d'association de la région , puis elles se coudent et se dirigent horizonta
es sont extrêmement dissociées par les radiations thala- miques des régions occipitale, pariétale et temporale qui, à ce nive
effet dissocié par toutes les fibres qui se rencontrent dans cette région . Cette irrégularité est con- forme à la règle g
cale. e) Le tiers inférieur renferme les radiations thalamiques des régions posté- rieures de l'hémisphère en général,mais
e l'on se rapproche des ganglions de la base. Peu appréciable dans la région temporale postérieure, puisque les fibres affec
partie moyenne du lobe temporal,cela est indubitable; mais dans la région du carrefour ventriculaire, on arrive à établir (
ainsi que sur leurs relations avec les fibres d'as- sociation de la région . En parlant de ce faisceau optique au niveau du l
l'hippocampe, les deux parties du cingulum,occupant exactement les régions sous-corticales qui se sont fusionnées, s'enche
nous accorder à ces fibres, puisque la substance profonde de cette région leur refuse le vaste champ qu'elles avaient dan
la partie supérieure de la couche verticale peu différenciée de la région . De pair avec le déplacement du faisceau optique,
res à for- mer la couche sagittale externe fort compliquée de cette région . Il est donc évi- dent que sur des coupes norma
t décelables qu'en raison de la configuration particulière de cette région . 6) Le faisceau perpendiculaire ou vertical de
asse dans le pied du pédoncule cérébral ; toutes les fibres que les régions postéro-inférieures de l'hémisphère envoient au
ennes. Cette étude préalable servira à établir la topographie de la région en cause et à préciser les concordances qui exist
es avancé classique ; la dégénération des racines postérieures à la région lombo- sacrée est très considérable, c'est à pe
es lésions inflammatoires des vaisseaux ; en un mot l'état de cette région est très compa- rable à celui qui a été décrit
hie et les mêmes caractères dans les trois nerfs radiculaires de la région lombo- sacrée qui ont été étudiés dans ce cas.
oison qui anesthésie et paralyse les massues ; en effet, dans cette région les massues, sur lesquelles on n'aperçoit d'aille
approximative et de la forme d'une orange, creusé aux dépens de la région pa- riéto-occipitale des centres de l'hémisphèr
moelle : foie gras. Coeur, quelques plaques athéromateuses dans la région sus-sigmoïdienne. Léger degré de sclérose rénal
s âgés, sont ici plus nombreux qu'à l'état normal, surtout dans les régions frontales et motrices. Une deuxième forme d'alt
ution anatomique des lésions. Aux lésions centra- les et lentes des régions tolérantes correspond le syndrome insidieux et
rs à l'existence d'une tumeur, de préférence un tubercule ' dans la région des corps quadrijumeaux. Autopsie. - Tuberculos
r un aplatissement apparent et par une proéminence très nette de la région du corps calleux. Le trigoue est repoussé à dro
ières, traversée de faisceaux qui prennent encore le Weigert. Cette région est riche en grosses cellules à 1 ou 2 noyaux, ch
encontre d'antres encore bien conservées. Jusque bien avant dans la région frontale on peut constater l'existence de la co
ns la moelle dorsale et lombaire ; il existait seule- ment dans une région très limitée de la moelle cervicale une sclérose
PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CUEZ LES VIEILLARDS 263 de pied) dans la région lombaire. Dans ces différents cas le' traumatisme
cet événement que, n'étant plus accepté dans aucun atelier de cette région , X... est venu il y a douze ans à Nancy où il a
cer- taine influence ; il a fait des conférences à Nancy et dans la région ; nous n'a- vons pu savoir comment elles étaien
u d'atrophie musculaire de la cuisse (38 à droite, 40 à gauche à la région moyenne) et de la jambe : il résulte de celle-c
bras droit, une grande tache lisse et sans relief, s'étendant de la région du coude à l'épaule et descendant très légèrement
s : on en voit encore les contours aujourd'hui, malgré que toute la région ait changé d'aspect. A l'âge de 18 ans, 4 ou
meurs, sous-cutanées qui s'étaient développées en même temps que la région se déformait et qui siégeaient l'une sur la face
Des fumeurs : la plus importante est cette énorme déformation de la région scapulo-humérale droite qui consiste,au moment
e. Lorsque l'on fait tousser le malade, on voit se produire dans la région sus-claviculaire droite une énorme intumescence
t aucun ori- fice latéral. Donc pas de trachéocèle dans toute cette région cervicale ; le diagnostic de hernie du poumon s
s téguments de l'épaule et de la partie supérieure du bras vers les régions les plus déclives par laxité des plans sus-aponév
s qui deviennent à leur tour deux tics nou- veaux : il se frotte la région épigastrique avec le poignet de la main gauche en
nt ; les deux armes se rencontrent sur le champ opératoire, dans la région temporale, au-dessus de l'oreille droite. De qu
triompher le plus souvent que par le tamponnement prolongé. A la région thoracique, nous avons pratiqué chez 3 chats, la
anière à conserver les racines symétriques comme contrôle. 1 A la région lombo-sacrée, nous avons abordé la dure-mère par
pérations sacrées, nous sommes restés toujours, plus encore qu'à la région thoracique, très loin du ganglion spinal. Les s
des racines sectionnées. Aucun d'eux non plus n'a présenté dans la région cutanée correspondant aux racines sectionnées,
Examens des nerfs périphériques. Avant d'aborder pour chacune des régions du système nerveux, l'exposé de nos propres con
men des nerfs cutanés des 3 pre- miers chats : le chat 1 opéré à la région thoracique, section extradurale, ayant survécu
rale, ayant survécu 247 jours; le chat Ilot le chat III opérés à la région lombo-sacrée; section intradurale, ayant survéc
.étaient sains. Chez le chat III enfin, opéré comme le chat II à la région sacrée, de nom- breuses fibres dégénérées se vo
.-Ch. Roux sec- tionna un certain nombre de racines postérieures la région thoracique, du côté gauche. Les animaux furent
t adulte, la racine postérieure correspondante est restée normale). Région du ganglion à peu près analogue à celle représe
ervation, la racine postérieure correspondante est restée normale), région ganglionnaire ré- pondait à peu près à celle de
ulaire et la 2e cervicale, puis en 1887, Joseph (4), dans les mêmes régions , trouvèrent tous deux les gan- glions intacts a
nous avons sectionné les racines dans leur trajet intradural (à la région lombo-sacrée), très loin par suite des gan- gli
ent ici donner les preuves de leur existence, au moins en certaines régions radiculaires. Ce point éclairci, il nous nous s
eures du matin. Aucune ulcération, aucun trouble trophique dans les régions correspondant aux racines coupées. La brèche os-
à la queue, aux faces postérieures des cuisses et des jambes, à la région plantaire. Examens iustologiques. - Les ganglio
un certain nombre de filets nerveux cutanés symétri- ques, dans les régions de la queue, de la croupe et du périnée, de la fa
côté gauche ni du côté droit, en aucun des filets des dif- férentes régions (plante, cuisse, périnée, queue). En une préparat
(plante, cuisse, périnée, queue). En une préparation sur six de la région de la croupe, il a pu être déterminé cependant un
planche XLIX). Les nerfs cutanés ont été examinés seulement dans la région de la queue. 336 ROUX ET HEITZ L'un des filet
à 1891. A cette époque il éprouva de fortes douleurs dans toute la région du dos. Ces douleurs sur- venaient surtout la n
nne et la dure-mère sont normales. La pie-mère est épaissie dans la région opto-pédouculaire. Les hémisphères cérébraux et l
tout au niveau de sa partie dorso-lombaire. Examen microscopique. Région protubéranlielle supérieure. Mé- thode de Weige
grise du pont sont presque complètement conservées des deux côtés. Région protubérantielle inférieure (fig. 2). La moitié g
e et des noyaux du pont sont pres- que complètement conservées. ' Région bulbaire supérieure. La zone de sclérose occupe l
èmes des fibres arquées. Toutes les lésions sont symé- triques. ' Région bulbaire moyenne. - Dans la moitié gauche, la pyr
des colorations opportunes, toutes leurs cellules encore intactes. Région olivaire inférieure du bulbe au-dessous de l'oliv
ée aux faisceaux pyramidaux (fig. 9). En conclusion, à partir de la région bulbaire immédiatement sous-olivaire, jusqu'à l
complète. L'examen histologique du cervelet a mis en relief que les régions des noyaux dentés sont envahies par une gliose
très nombreux (fig. 13). Les vaisseaux du cervelet dans cette même région et un peu dans toute la substance blanche extra
va- riable. Cette constatation d'une sclérose assez prononcée des régions des noyaux dentés nous semble fort intéressante
EN résumé : Epaississement de la pie-mère cérébrale au niveau de la région opto-pédonculaire et de la pie-mère spinale. In
be et la moelle sont les parties les plus atteintes. A partir de la région bulbaire inférieure jusqu'à la 88 racine dor- s
A. Zeiss. Fig. 13. - Augmentation des noyaux de névroglie dans la région des noyaux dentés ' du cervelet. Coloration : h
Ob. DD. Z&ss. FiG. 15. Une espèce de formation lacunaire. Même région et même coloration. Grossissement : Ocul. 4 com
e sur un rein scléreux. Prescriptions : ventouses scarifiées sur la région lombaire, eupnine, régime lacté. L'améliorati
à se lever. Examiné debout, il présente en outre une cyphose de la région dorsale su- périeure qui le fait marcher légère
phalangette qui est renflée en baguette de tambour ; elle laisse la région carpo-métacarpienne à peu près normale au lieu de
etit calibre tirée à 1.000 mè- tres environ. Entrée au milieu de la région frontale. Trajet oblique en haut, en arrière et
tions complètes ou partielles de la moelle du lapin adulte entre la région dorsale et la région lombaire. Les animaux ont
rtielles de la moelle du lapin adulte entre la région dorsale et la région lombaire. Les animaux ont été sacrifiés de 1 à
cordons, mais elles sont plus abondan- tes dans les faisceaux de la région antérieure des cordons postérieurs. Il s'agit l
enses, mais leur nombre diminue à me- sure qu'on se rapproche de la région moyenne de la cicatrice. En dehors de ces fibre
l'intérieur ou dans les interstices de ces cellules. Il n'y a qu'à la région immédiatement avoisinante de la ligne de sectio
ées dans la cicatrice. Certaines de ces massues possèdent dans leur région centrale un réseau noir, bien indiqué, à maille
ines en continuation avec des fibres. Certaines massues offrent une région centrale colorée en orange et une région périphé-
taines massues offrent une région centrale colorée en orange et une région périphé- rique jaune.Puis, y a des fibres dégén
ule. L'extré- mité des deux bouts est vascularisée et sur certaines régions , elle est consti- tuée par un réseau vasculaire
dans son épaisseur. Les cellules nerveuses situées tout près de la région traumatisée présentent différents degrés de lés
ir : abo- lition des réflexes cutanés et tendineux au-dessous de la région lésée, de la paraplégie flasque et de l'anesthé
sont chargées de granulations noires. De dif- férents points de la région de la substance blanche partent des faisceaux et
phie et le trajet des fibres de nouvelle formation varient suivant la région considérée. Les vaisseaux situés tout près de
t près de la périphérie de la moelle et particulière- ment dans les régions où ils possèdent une paroi épaisse, sont entourés
es ni de faisceaux nerveux de nouvelle formation. Il y a d'autres régions vasculaires, probablement d'origine plus récente
veuses, épaisses, à rendements fusiformes sur leur trajet. Une autre, région est formée de détritus, où se trouvent aussi de
t, fibre finissant à son tour par un cône de croissance. Dans cette région de la cicatrice, comme dans la précédente, les
s avec des épaississements de distance en distance. Dans d'autres régions , .et même là où il y a des corps granuleux, on co
rencontrent dans leur progression. La densité du plexus varie d'une région à l'autre ; fait important : ce plexus existe là
e trajet des vaisseaux. A l'autre extrémité inférieure, on voit des régions où les vaisseaux de uuu- velle formation sont e
es peuvent être ou non garnies de cellules-satellites. Souvent.leur région centrale est uniforme, tandis qu'u la périphérie,
velle formation pour la paroi vasculaire. Sur toute l'étendue de la région comprimée, mais surtout à ses extrémités, il ex
la substance grise et blanche située immédiatement au-dessus de la région comprimée on voit par ci par là des zones de nécr
(fm, fin'). RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 439 La région des cordons postérieurs, au-dessus de la compress
ation. Dans la substance grise située immédiatement au-dessus de la région comprimée nous avons trouvé des signes de régén
une vif des autres fibres. Muscles des gouttières vertébrales de la région dorsale moyenne. - On constate également sur ce
ais avec une intensité crois- sante à mesure que l'on descend de la région cervicale vers la région sacrée, une atrophie t
ois- sante à mesure que l'on descend de la région cervicale vers la région sacrée, une atrophie très intense des cellules
des crises nerveuses paraissant avoir leur point de départ dans la région du bulbe ; en outre, deux autres enfants de la
malade présente sur le tronc, la face posté- rieure des cuisses, la région deltoïdienne, la région maxillaire inférieure d
ronc, la face posté- rieure des cuisses, la région deltoïdienne, la région maxillaire inférieure des placards qui tranchen
velu du sujet. Ce placard n'est pas symétrique, sauf un peu dans la région du dos. Il existe d'autres plaques présentant l
ganes. Examen histologique. L'examen a porté sur la tumeur, sur les régions motrices droite et gauche, sur le bulbe. Les mé
ain et à l'avant-bras droits, et il intéresse en outre, en diverses régions , le côté droit du corps (Pl. LXV). Si nous comp
u de 33 du côté gauche. La circonférence de ce bras au niveau de sa région la plus saillante est de 19 centimètres, au lie
e un très léger degré de flexion dorsale, et avec les muscles de la région postérieure de la jambe, un très léger degré de f
déformée, il existé une cypho- scoliose à concavité gauche dans la région dorsale moyenne, avec saillie de NÉVRITE INTERS
me pour les autres, sont d'autant plus prononcés, qu'on examine des régions plus éloignées de la racine des membres. . ,
les racines médullaires. Le sympathique n'a été examiné que dans la région cervicale. Il est plus du double d'un sympathiq
pare les nerfs du plexus brachial aux racines correspondantes de la région cervicale, on remarque que l'hypertrophie est bea
deltoïde, biceps, etc... aux' membres supé- rieurs ; muscles de la région antéro-externe de la'jambe, triceps fémoral...
légèrement épaissie. z Les coupes longitudinales des muscles de la région antéro-externe de la jambe montrent encore plus
moins avancé sur les nerfs crâniens. Sur le pneumogastrique à la région cervicale, les lésions se présentent avec une i
moelle ; c'est pourquoi nous étudierons successivement les diverses régions . A l'extrémité inférieure de la moelle, au nive
; en somme les fibres y sont beaucoup plus nombreuses que dans les régions sous-jacentes. Les cornes pos- térieures et leu
E INTERSTITIELLE HYPERTROPIIIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 493 la région dorsale ; la zone radiculaire moyenne est toujour
t presque complètement défaut. Dans les segments inférieurs de la région cervicale ( VIlle, VIle et VIe cervi- cales), l
atérales réflexes sont absentes. Dans les segments supérieurs de la région cervicale (Ve, IVe, IIIe) la dégéné- rescence d
e et de son réseau, de la zone de Lissauer, est le même que dans la région cervicale infé- rieure. Un fragment de la moe
rvicale infé- rieure. Un fragment de la moelle a été prélevé à la région cervicale et à la région lombaire pour être exa
Un fragment de la moelle a été prélevé à la région cervicale et à la région lombaire pour être examiné par la méthode de Ni
nt pour redevenir normale sur la face antérieure de l'abdomen et la région fessière supérieure. A gauche la sensibi- lité
a voûte plantaire et se comporte ensuite comme à droite. ' Dans les régions totalement analgésiques et dans celles où la sens
un retard dans la transmission, atteignant 4 à 5 secondes pour les régions plantaire et dorsale des pieds et diminuant de
é est intacte dans tous ses modes sur les deux tiers supérieurs des régions antérieure et postérieure du tronc, ainsi que sur
, des racines antérieures et des racines postérieures (sauf dans la région dorsale,où elles présentent peut-être une diminut
des dégénérescences com- parables à celles du tabes au-dessus de la région lombaire inférieure. Nulle part il n'existait d
asée contre la paroi postérieure du rachis, si la lésion siège à la région dorsale, où le canal rachidien est moins large
des coupes longitudinales : elles prédominent, d'ordinaire, dans la région centrale des cordons latéraux et postérieurs. A l
urs ni à la face ; examen ophtalmoscopique négatif. Gibbosité de la région dorsale moyenne. Mort 9 mois après l'admissio
e oblitéré. Sclérose des racines. Au- dessus et au-dessous de cette région , on trouve seulement les dégénérations ascendan
ntro l'ombilic et l'appendice xyphoïde. Réflexes abdominaux nul. La région dor- sale moyenne présente une convexité réguli
es autres vaisseaux et des méninges. Pas de lésions dans les autres régions de la moelle. Les cellules nerveuses présentent
ns de la moelle. Les cellules nerveuses présentent, dans toutes les régions du névràxe, des lésions de chromatolyse avec pi
maines plus tard, par des crises d'écrasement, de déchirure dans la région lombaire. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT Chez
ouvrant dans l'espace épidural. A partir de ce point jusque dans la région sacro-lombaire, la face externe de la dure-mère
eur épaisseur maxima n'atteint pas 1/2 centimètre. Au-dessous de la région dor- sale moyenne, on trouve des adhérences nom
moelle et les méninges molles deux ordres de lésions. 1° Dans la région lombaire (de il ! ' à Ve L) de nombreuses gaines
évrogliques et oblitération du canal épendymaire. A partir de cette région , dégénérations ascendantes et descendantes légè
nuant à mesure qu'on remonte, et, comme elle, disparaissent dans la région dorsale moyenne. Les cellules nerveuses présent
membres supérieurs et à la tête. Rachis : mouvements gênés dans la région dorso-lombaire qui est douloureuse an palper,su
e 5 a 6 centimètres. Constipation complète : les jours suivants, la région lombaire droite devient douloureuse, en même te
n peu de pàleur et quelques granulations noires par le Marchi de la région centrale des cordons postérieurs ; cellules ner
t 4 mois,puis surviennent des douleurs qualifiées de sciatique ; la région lombaire est faible et doulou- reuse surtout pe
s (cordons de Goll, cérébelleux direct, py- ramidal). A distance ( région lombaire), les cellules nerveuses présentent à pe
épaissis mais encore perméables. Dans la moelle, au-dessus de la région lombaire, pas d'autre altération qu'un peu de p
ue des symptômes radiculaires. 1 Dans l'obs. VII, existait, dans la région lombo-sacrée, une dilatation du canal central e
lle-ci est, surtout à gauche, aplatie d'avant en arrière, depuis la région cervicale moyenne, jusqu'au le, segment dorsal,
Histologiquement l'aplatissement de la moelle est évident; dans la région cervicale inférieure, les cornes, absolument ap
s sont saines : pas de lésions d'au- cune sorte ; cependant dans la région lombaire supérieure, les gaines lympha- tiques
entre la dure-mère et les méninges molles, princi- palement dans la région lombo-sacrée ; ici encore, les méninges molles
a) Des lésions probablement syphilitiques : épaississement dans la région lombo-sacrée des méninges postérieures, avec sc
bement des racines. Quelques fibres des cordons postérieurs dans la région sacrée prennent le Marchi un peu plus intensément
dorsal chez une syphilitique probable, lésions tabétiformes dans la région lombo-sacrée. Femme présentant depuis t'age de
globuleuses ; ébauche de chromatolyse avec pigmentation. Dans la région sacrée, lésions dégénératives des cordons postéri
Tuberculose vertébrale dorsale ancienne : tubercule épidural de la région cervicale. Tabès incipiens lombo-sacr, probable.
atés. Lésions dégénératives diffuses au Pal et au Marchi. Dans la région lombaire, légères lésions dégénératives au Pal et
ommissurale et la partie marginale des cordons postérieurs. Dans la région cervicale supérieure, on trouve, au niveau des co
auteur de plusieurs segments au niveau des cordons postérieurs à la région dorsale moyenne. ' Tels sont les faits : leur i
ous avons noté une zone d'anesthésie radiculaire, isolée entre deux régions où la sensibilité était normale ; cette zone d'an
otubérantiel (fig. 9'H) a son maximum d'étendue sur une coupe de la région protubérantielle supérieure, perpendiculaire à l'
ion. En hauteur, ce foyer s'étend depuis la partie inférieure de la région pédon- culaire, où il cesse brusquement, jusqu'
re de la région pédon- culaire, où il cesse brusquement, jusqu'à la région protubérantielle inférieure, où il n'est plus i
tion plus ou moins mas- sive tranchant sur l'aspect bleu violet des régions voisines au Pal, permettent d'affirmer une dégé
ment choisies, on constate les faits suivants : Sur une coupe de la région de transition entre le vermis et l'hémisphère c
es coupes S. 5 et S. 6 de Dejerine (2) on voit l'arbre de vie de la région de transition du cervelet, le pédoncule céré- b
tronc cérébral et passant par l'étage antérieur et la calotte de la région protubérantielle supérieure, on FIG. 7 Fia. 8
ment les 4e et e S54 JARDIN ! espaces. La partie extérieure de la région hypothénar est aplanie et l'éminence thénar a l
ur et par le Ier et le IIe radiaux qui sont les seuls muscles de la région postéro-externe. La région épitrochléenne est a
e radiaux qui sont les seuls muscles de la région postéro-externe. La région épitrochléenne est aplanie dans sa partie la pl
rs doigts et des deux métacarpiens correspondants et dans les mêmes régions la sensibilité thermique est distinctement diminu
cond radial, se contractent normalement ainsi que les muscles de la région antérieure, ceux de l'éminence thénar et le pre-
natomi- que du phénomène clinique. Sans doute, lorsqu'il s'agit des régions dont on connait peu la structure et les fonctio
uoi ne pourra- t-on pas dire que celle-ci peut déterminer, dans ces régions , des troubles fonctionnels, lors même qu'elle n
scissure calcarine (pointe, faces externe et inféro-interne), ou de régions thalamiques autres que le corps genouillé ex- t
laire de la capsule interne, peut être suivie non seulement dans la région calcarine mais encore dans toute la convexité o
lobes pariétal et temporal. Nous n'en avons jamais retrouvé dans la région occipitale. Pour nous, les seu- les fibres qui
es circonvolutions temporales aux ganglions infra- corticaux (de la région sous-optique du rhombencéphale, etc.) LE FAISCE
s dit pas où s'épuise cette dégénérescence. Se cantonne-t elle à la région calcarine (qui, elle aussi, atteint la pointe occ
reux qui occupe la circonvo- lution limbique ? provient-il de cette région même ? Ce serait accorder à ce faisceau une ori
sous-jacente, mais ne sectionnait pas les couches sagittales de la région . » Ce cas nous paraît fort précieux et nous rap
rès limitée, elle se porte en dedans et s'épuise rapidement dans la région sous-corticale du lobule lingual, et cela, bien
ne lésion des ganglions infracorticaux, soit d'un foyer profond des régions cor- ticales antérieures, c'est-à-dire du lobe
couche sagittale externe ». S'il s'agit d'un foyer profond de la région temporale postérieure, et surtout si cette lési
ouche interne. Mais cette dernière s'épuise assez rapidement, et en région franchement occipitale on ne retrouve guère de
escence rétrograde. Ce phénomène encore mal compris dans les autres régions , devient presque indémontrable au niveau de l'h
lipète des radiations corti- cales, pour que la grosse réaction des régions postérieures trouve une expli- cation logique.
la nature rétrograde de telle, ou de telle autre dégénérescence des régions postérieures. Les planches qui se rapportent au
e antiquité. Suivons maintenant le faisceau optique central d'une région à l'autre et voyons jusqu'à quel point l'analog
socié dans cette partie de son trajet : par les fibres calleuses de régions antérieures qui se rendent à la partie postérie
à la zone rolandique. Comme cette dernière, elle est' subdivisée en régions fonctionnelles (nasale, temporale et maculaire),
éré- brale, étaler sur une certaine étendue de l'une et l'autre des régions symétri- ques qu'il dessert, les impressions qu
one visuel sont très éloignés l'un de l'autre, ils siègent dans des régions embryologiquement distinctes et sont séparés pa
e postérieure. Or, ce centre optique primaire ne siège pas dans les régions inférieures du tronc encéphalique, mais au nive
dans la couche optique et se rendent à la partie postérieure de la région rolandique, ce sont de véritables fibres tllalamo
ce ro- landique mais dans une mesure beaucoup moindre. Ainsi que la région mo- trice est stimulée par des impressions sens
eux est avant tout un système interhémisphérique d'association ; la région rolandique possède certainement son contingent co
I3AUL'C Le corps genouillé externe entre aussi en relation avec des régions fonc- tionnelles autres que la corticalité occi
e, mais nous croyons que la majorité de ses fibres passent dans les régions inférieures du tronc encéphalique ou entre en rel
e d'insister sur ce fait, que la configuration d'un niveau ou d'une région y est pour beaucoup dans l'explication des anomal
halique; la voie sensitive' se cantonne presque exclusi- vement aux régions inférieures du névraxe (moelle et rhombencéphale)
21 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ux » des têtes mal conformées chez lesquelles il faut considérer la région du palais situé dans la bouche, car vous trouve
te est donné par la surélévation bregmatique anté- rieure (PL I) La région temporale est plutôt bombée et les veines dans le
(PL I) La région temporale est plutôt bombée et les veines dans les régions frontale et temporale sont exagérément développée
re H du ptérygion ne sont pas synostosées. Enfin, en examinant la région frontale, on peut nettement palper un rebord os
sagittale et coronaire sont complètement synostosées, sauf dans la région temporo-frontafe, où l'on sent une encoche assez
ts bilieux. Cette céphalée aurait été principalement localisée à la région frontale. En- dehors des paroxysmes, les maux d
ties nettement séparées par une dépres- sion existant au niveau des régions temporales. En regardant l'enfant de profil on
s orbitaires, de même, ont peu de relief sauf du côté externe où la région temporale est plutôt bombée. Les apophyses sont
De profil, on s'aperçoit que le front est fuyant en arrière et que la région bregmatique présente une surélévation assez net
ieurement dans le point d'union du frontal avec l'ethmoïde, dans la région sous-orbitaire, nous voyons un' espace vacuolai
ïde et de la branche ho- rizontale du sphénoïde. J'ai donné à cette région le nom de ligne ethmoïdo- sldaénoïdale. Tout de
rieures. Après ce tubercule, le plan régulier et i-ectiligiie de la région ethmoïdo- sphénoïdale vient s'arrêter brusqueme
que peuvent avoir les altérations du profil radiographique de cette région centrale du sphé- noïde. Avant de poursuivre
rêtons-nous un instant à étudier la conformation particulière de la région placée en des- sous de la selle turcique. Ici o
tué par le rocher qui, comme nous le verrons ailleurs, est la seule région du plancher basal qui puisse résister à l'hy- p
ne; enfoncement de la selle turcique; impressions digitales dans la région fronto-ethmoïdale; inversion de l'angle sphénoida
rence en moins, ce qui montre un raccourcissement très net de cette région de la base du crâne. L'orifice orbitaire extern
ur les os de la calotte en les sutures des os et en élargissant les régions Fig. 4 ÉTUDE DU SYNDHOME OXÏCÉPIIALIQUE 35
quer le fait de la sy- nostose anormale, précisément localisée à la région antérieure du crâne. Il est certain que dans un
ait que chez plusieurs de ces sujets l'on a pu constater, soit à la région temporale, soit à la région frontale, des dilat
s sujets l'on a pu constater, soit à la région temporale, soit à la région frontale, des dilatations veineuses très prononcé
e suite le retentissement qui peut produire une altération de cette région , principalement dans l'en- 40 BERTOLOTT1 fanc
res, mais il n'y avait pas parallélisme entre la pigmentation d'une région et le nombre et le volume des tumeurs. 1) 46
ntenses et des vertiges. La céphalalgie augmente, localisée dans la région fronto-pariétale gauche. Des analgésiques (un m
c la même violence, sans avoir un siège fixe. Elle occupe tantôt la région frontale, tantôt la région occipitale. Il survien
oir un siège fixe. Elle occupe tantôt la région frontale, tantôt la région occipitale. Il survient en outre, une sensation
elle est également fréquente dans la légion frontale, comme dans la région occipitale. Par la percussion, on ne constate p
peut pas garder pendant longtemps l'équilibre, cela lui fatigue la région lombaire et il tombe sur le dos. Quand on lui dem
p, plexus DEUX CAS DE PSEUDO-TUMRUR CEREBRALE 57 pie-mère de ces régions n'est pas infiltrée sensiblement et les cellules
ale et bulbaire prend aussi part à l'inflammation, surtout dans les régions où la méningite et l'épendymite sont plus inten
euse ventriculaire, quand les lésions se cantonnent seulement à ces régions . Mais dans ces cas la substance épendymaire est
termédiaires, la méningite ne se limitant pas seulement à une seule région et qu'elle peut s'étendre à la fois à la convex
'entrée des racines (2), « une zone placée en hauteur à l'union des régions lombaire et dorsale et limitée : en dedans par
lue de la muqueuse et de la tunique péritonéale, tandis que dans la région intermédiaire, la tunique py- torique est consi
s stomacales ont fait l'objet d'un examen spécial (1). a) Dans la région pylorique, à distance de la néoproduction, il exi
lent ; l'hypertrophie de la musculeuse est manifeste. b) Dans la région pylorique, au niveau de la néoproduction, deux fa
issu néoformé. La séreuse ne présente rien à signaler. c) Dans la région prépylorique et du fond, les parois gastriques ne
; elles varient, d'ailleurs, d'une manière considérable suivant les régions . , / 1" Région sacrée inférieure (6°, 5e, 4° sa
'ailleurs, d'une manière considérable suivant les régions. , / 1" Région sacrée inférieure (6°, 5e, 4° sacrées). Les lésio
n gaines myé- liniques ; cette différence est des plus nettes. 2° Région sacrée supérieure (Ve sacrée). - Les cordons post
ssauer n'est pas sclérosée ; on voit les racines postérieures de la région pénétrer sous forme de groupes de fibres serrée
de fibres serrées et bien colorées dans la corne postérieure et la région adjacente des cor- dons postérieurs. On note se
la majorité les ont conservées intactes et en nappe compacte. 3° Région lombaire te el 4e lombaires). - On voit apparaîtr
ès loiu de la commissure grise, pos- térieure ; elle occupe Lien la région de la bandelette externe de Pierre, appe- Ire e
ès de la surface de la moelle et tranchent sur leurs voisine ? . 4° Région lombaire (3e lombaire). La lésion scléreuse précé
nt et sa forme devient imprécise ; elle occupe sensiblement la même région ; elle est traduite par une raréfaction des tub
aré il celui des parties voisines du cordon postérieur droit et des régions similaires du cordon posté- rieur gauche où les
té- rieur gauche où les tubes nerveux sont serrés et compacts. 5° Régions lombaire supérieure et dorsale inférieure (1'E lo
n de- dans et en avant à mesure qu'on remonte dans la moelle. gaz Régions dorsale moyenne, supérieure, cervicale. Elles son
males. - 11 ' En somme, la lésion est strictement limitée à la région lombaire de la moelle, et là, elle occupe étroi
rginale de Wesiplial, le réseau fin de la corne postérieure, toutes régions considérées comme endogènes, sont indemnes. Le
occupée par des fibres endogènes fines verticales. De ce -que cette région était intacte dans la moelle de notre malade, on
nes ; la lésion occupait électivement la bandelette externe dans la région lombaire, ce qui semble bien établir l'indépend
tomiques, nous attirons l'attention sur le voisinage étroit, dans la région lombaire, de cette sclérose de la bandelette ex
Ce sont aussi des tabès qui, tout en présentant des lésions dans la région do ? ,so-loiîibaii-e,ol7e ? îi une intégrité plus
onducteurs altérés, trop imparfaitement sans doute pour arriver aux régions de la moelle où l'influx centripète est transfo
trop peu éten- dues, t ! 0p localisées, et trop confinées dans des régions basses d'où, vrai- semblablement, il ne part au
bien localisées en hauteur et en largeur, et de préférence dans la région iombo-sacrée. Quel serait alors l'état du sympa
ique de la lésion. Quand ce signe existe, la lésion intéresse, à la région dorso-lombai re de la moelle, une zone exacteme
sembla- ble. En tout cas des lésions portant ailleurs que sur cette région pourraient aussi entrer en ligne de compte pour
culté. On ne constate aucune paralysie des nerfs crâniens. Dans la région tem- porale gauche, à environ 4 centimètres au-
pénétré dans la partie sous-jacente du cerveau. La dure-mère de cette région était complètement déchirée. Tous les fragments
ique de l'abdomen (opistotonus) et des contractures cloniques dans la région faciale droite inférieure. La crise dura quelqu
our à I'Ilùpital, aucun trouble n'a été constaté au cou, ni dans la région scapulaire. Ni la motilité, ni l'état général du
ption chirurgicale, la lésion crânio- cérébrale est localisée à une région dont l'importance dans la topographie cérébrale
émorragies collatérales ne provoquassent des troubles dans d'autres régions de l'hémisphère intéressé. Cependant, le tablea
logue du côté gauche. De légers coups de marteau à percuter dans la région du sinus droit (sur le nerf facial) occasionnent
che était bien conservée, trouva un abcès isolé précisément dans la région désignée par Exner. Par contre, la supposition de
ais ce centre se trouve plus probablement derrière et non devant la région locomotrice. Bien que, par suite de la lésion c
dans le pli interfessier, on voit très nettement à l'exa- men de la région anale une sorte de vestibule spacieux décrit autr
se signalent aussi par la présence de vergetures réparties dans les régions pectoro-aaillaires, abdomino-crurales, qui semble
ais il y a aussi une couche assez épaisse de ce tissu dans les autres régions du corps, uotamment au tronc et à l'abdomen. Le
ez variable. La peau est généralement blanc pâle, mais en certaines régions et plus spécialement sur la crâne, le pourtour de
n général symétrique. Cette symétrie s'affirme quand on examine les régions décolorées. Elle est particulièrement évidente
lent gantées de blanc ; pour le plan postérieur il faut signaler la région des hanches et du creux poplité et tout spécial
es cheveux tombés. La peau est décolorée régulièrement sur toute la région jadis chevelue et l'on trouve sur l'occiput une
, pas de crampes, pas de signes de brightisme. La compression de la région rénale et surrénale est indolore. L'analyse des u
'on peut encore plisser l'hypoesthésie est moins marquée que daus les régions pacbydermisées où la sensibilité est fort attén
agies diverses, les microbes eux-mêmes, s'accumulent ainsi dans les régions les plus inférieures où ils ne peuvent que déte
de l'homme : par suite, les particules solides, qui glis- sent à la région lombaire, se déposent dans toute la région sacrée
des, qui glis- sent à la région lombaire, se déposent dans toute la région sacrée qui forme fond. La longueur plus grande
re diffusées dans le protoplasma ou bien condensées en amas sur une région plus ou moins considérable de la cellule, tout en
state la précipitation des granulations, le noyau se déplace, et la région péri nucléaire change d'as- pect et de luminosi
brane nucléaire, de sorte que dans ces conditions on distingue deux régions , l'une, celle du noyau qui change de forme, la
laisser entre elle et la face interne de la membrane nucléaire une région vide. La précipitation due au sulfate de magnés
progressivement avec la dilution du cytoplasma, on observe dans la région cytolysée et périphérique des granulations animée
rique et mouvements browniens. La cytolyse peul être partielle, une région de la cellule de- vient plus diaphane (fit. 21,
aspect diaphane soit au niveau de la périphérie, soit sur une autre région ou bien encore sur une moitié de la cellule et en
ches lumineuses de grandeur et de topographie variables. Parfois la région lumineuse intéresse la moitié de la cellule, d'
our de cette sphère, on voit dans presque toutes les cel- lules une région circulaire vide. Fic.. 10. Cellule d'un ganglio
rière. Ces 12 vertèbres qui forment le segment vertébral, depuis la région lom- baire jusqu'au crâne, sont toutes munies d
our rejoindre le manubrium du sternum, et limite alors en avant une région cervicale qui n'existe pas à la partie postérie
rales, la colonne vertébrale a une concavité dorsale exagérée. La région , qui doit normalement correspondre aux vertèbres
nt une et indivisible de la tête à l'extrémité de la queue ; et les régions qu'on a pris l'habitude d'y distinguer n'ont des
e diminution ou une augmentation dans le nombre des vertèbres de la région voisine. Les anomalies compensées sont les plus
vertèbres cervicales, mais il y avait une vertèbre de plus dans la région lombaire, nous avons déjà dit que cette sorte d
de l'apoplexie,, attendu qu'elle détermine plus de brièveté dans la région du cou, et par suite un rapproche- ment trop co
par les recherches poursuivies dans la série animale. De toutes les régions du rachis, la région cervicale est celle dont le
rsuivies dans la série animale. De toutes les régions du rachis, la région cervicale est celle dont le nombre des vertèbre
'on rencontre des modifications nombreuses des vertèbres des autres régions : dorsales, lombaires, etc. Cependant, chez les
qui se caractérisent par une ver- tèbre en plus ou en moins dans la région sus-sacrée ou présacrée et qui se retrouve en m
-sacrée ou présacrée et qui se retrouve en moins ou en plus dans la région sacro-coccygienne ; il faut, pour que la théori
ce à se produire aux deux extrémités de la colonne vertébrale, à la région cervicale et aux régions sacra-coccygiennes. Ma
x extrémités de la colonne vertébrale, à la région cervicale et aux régions sacra-coccygiennes. Mais, ce qui est intéressant
baires en sacrées. Les vertèbres sacrées en coccygiennes. Dans la région supérieure, au contraire, le processus de transfo
, les caractères que l'on peut constater sur deux vertèbres de deux régions différentes. Et l'on comprend de cette façon
va encore en s'accentuant au sur et à mesure qu'on remonte vers la région de la fontanelle antérieure. A ce niveau, on ob
des cheveux) est plus petite (75 mm.) que la gauche (8 cent.). A la région occipitale on retrouve un sillon moins accentué
on retrouve un sillon moins accentué, se continuant en haut vers la région lambdoïde; cir- conférence crânienne : 54 centi
cheveux sont bien développés avec un seul vertex correspondant à la région pariétale droite. Les oreilles ne sont pas écar
te. Périmètre thoracique au niveau des mamelons : 85 c. 5. Sur la région intermamelonnaire, on observe un développement mo
os, on remarque une scoliose assez apparente intéressant surtout la région dorsale moyenne. La concavité de cette scoliose r
un des malades des auteurs français précités, l'aplatissement de la région occipitale. Les deux clavicules ne sont représe
de décrire l'état des clavicules, des insertions musculaires de la région , l'étal du crâne, celui i du cerveau et de la m
ment inconnue, et ses connaissances géographiques se bornaient à la région immédiatement voisine, elle ne savait même pas
trajet du sciatique droit est douloureux à la pression, et c'est à la région mal- léolaire que siègent les douleurs les plus
sont pas atro- phiés. . Dans l'estomac, néoplasme végétant de la région pylorique. Métastases gan- glionnaires locales.
x, des troncs nerveux périphériques et des muscles choisis dans les régions les plus atrophiées (1). 1 Bulbe HACIIIDlEN ET
). Les modifications pathologiques qui apparaissent dans les autres régions portent à la fois, mais dans des proportions tr
forment une gangue interstitielle plus ou moins compacte. Quant aux régions claires, d'as- pect vitreux à l'oeil nu, elles
nt la Ire racine dorsale est des- tinée, comme la racine C 8, à une région où l'atrophie musculaire a débuté et a atteint
cines S 1, et S 2, sont indemnes bien qu'elles se distribuent à une région encore plus atrophiée. Il est à remarquer enfin
er l'impotence presque absolue dont était frappé le malade dans les régions examinées. La désintégration est très irréguliè
yaux du sarcolenime et une striation moins régulière. Dans d'autres régions , le Nouvelle Iconographie DE la SALPLTRILRr.
omérés en pelotons. Le tissu conjonctif interstitiel en certaines régions parait anormalement t développé, indépendamment
men histologique, on trouve une moelle intacte ; dans les nerfs des régions malades, une atrophie des fibres nerveuses et une
que montra l'intégrité de la moelle épinière et, dans les nerfs des régions arrophiées, des enveloppes fibreuses remplissant
lonne de Clarke ; les cornes antérieures, presque intactes dans les régions lombaire et dorsale, montrent dans la région cerv
que intactes dans les régions lombaire et dorsale, montrent dans la région cervicale des cellules (1) Klinische und anatom
générescence scléreuse des cordons postérieurs plus marquée dans la région cervico-dorsale ; altérations d'une partie des
; hétérotopie de substance grise dans les cordons postérieurs à la région lombaire ; racines antérieures et postérieures
a prolifération des tissus interstitiels, prédominante en certaines régions (Friedreich avait déjà insisté sur ces processu
est détruite (fig. 11) ; ces lésions s'accentuent en approchant de la région lombaire inférieure et sur la figure 12, où la
érieures, les fascicules radiculaires les plus externes (provenant de régions plus élevées) sont relativement bien conservés,
vés, alors que les internes, qui pren- nent leur origine dans cette région , sont complètement détruits. Les colorations au
G0-MYÉL1TE CHRONIQUE DE LÉPICONE AVEC LIPOMATOSE 315 5 niveau de la région cervicale supérieure, il existe encore une grande
le long du septum. Cette atropgiedes cordons de Goll,manifeste à la région dorsale, devient plus apparente la région cervi
ns de Goll,manifeste à la région dorsale, devient plus apparente la région cervicale et se poursuit jusqu'à la partie [infér
soit à une véritable myélomala- cie. La moelle est envahie dans les régions détruites par du tissu fibreux dis- socié par l
es de régénération. Les'méninges molles présentent dans toute cette région et surtout au niveau de L5 et S' de grosses lésio
s lipomateux analogues à ceux que l'on voit se former dans d'autres régions anatomiques à la suite des lésions irritatives
agit des antérieures ou des postérieures ; les premières, venant de régions où la substance grise est détruite, sont complète
dant celle des réflexes patellaires, faisaient penserà une lésion des régions lombaire inférieure et sacrée supérieure, autre
n grande partie,sans doute, par les troubles circulatoires dans les régions correspondantes. La disposition des cellules adip
sse aucun doute à cet égard. La méuingo- myélite chronique de cette région est déjà rare ; associée à une lipomatose secon
édente, elle dévient une véritable curiosité pathologique. (1) La région de l'épicbne est limitée en haut, par le IVE segm
nts sacrés (Minor). Dans les cas typiques de lésion limitée à cette région , les réflexes rotuliens sont conservés, l'intégri
du fait de la destruction ou,de la compression, les limites de cette région ont été franchies. 318 i THOMAS ET JUMENHH
rès, le malade est très affirmatif sur ce point, il se forma sur la région qui avait été plus particulièrement contusionné
compacte de l'os peut-être épaissie ou raréfiée, mais en général la région sous-périostée est particulièrement claire, ce
en quelque peu attentif de la moelle. On constate en effet, dans la région cervicale infé- ) rieure, un aplatissement de l
à expliquer le pourquoi de cette prédilection singulière pour cette région limitée de la moelle cervicale inférieure. Ce n'e
éson, la méthode de Lhermitte, etc Sur deux fragments prélevés à la région dorsale et inclus à la paraffine, nous avons ch
ct de la moelle. -La moelle est extrêmement aplatie au niveau de la région cervicale, comme le montrent les coupes empruntée
les qui ont le plus souf- fert. Les lésions occupent constamment la région périépendymaire, en arrière des cornes antérieu
la ré- gion cervicale, mais elles réapparaissent peu à peu dans la région dorsale. En Du on aperçoit déjà la partie la pl
déviations des sillons antérieurs et postérieurs. Au niveau de la région cervicale, elles tendent à déborder latéralement
isposée suivant une courbe à concavité postérieure et détruisant la région centrale, la base des cornes, les zones adjacen
ome et les zones de dégénérescence est assez mal établie ; dans ces régions les fibrilles névrogliques sont assez fréquemme
s intermédiaire, par le tissu ner- veux ; cela se voit surtout à la région cervicale au niveau des cornes an- térieures, e
z loin du gliome jusque dans les cordons latéraux. Dans plusieurs régions , les petits vaisseaux, même les capillaires, ont
e l'arachnoïde et la pie-mère ne sont pas rares. . ' Dans plusieurs régions , les éléments conjonctifs tendent à pénétrer dans
bailleur de la moelle depuis Civ jusqu'à Dxl, il existe en diverses régions des fibres musculai- res striées. Ces élément
a lions gl iomiteu- ses ; dans la précédente observation il y a des régions où les fentes et les cavités sont tapissées par
conjonctif qui parcourt sous forme de bandes ou de membra- nes les régions centrales de la moelle, se continue en diverses r
ra- nes les régions centrales de la moelle, se continue en diverses régions avec l'adventice des vaisseaux ou les méninges
atisme crâ- nien : un violent coup de pied de cheval l'atteint à la région frontale. Voici les constatations du certificat
tranché la voûte crânienne. J'ai constaté à la partie moyenne de la région frontale une plaie de 6 centimètres environ de
s : Le facies est hébété, le regard fixe. A la partie moyenne de la région frontale, on remarque un enfoncement transversa
er segment dorsal. A la surface postérieure de la dure-mère dans la région correspondante au 8e segment cervical, on aperçoi
oelle sous forme d'anneau complet; au-dessus et au-dessous de cette région à l'oeil nu on ne constate pas la présence de mas
diquent peu de masses dégénérées ; on en constate davantage dans la région correspondant aux racines postérieures. La subs
té) ; là encore des douleurs dans tout le thorax et surtout dans la région de l'omoplate gauche, durant nuit et jour, ont
faiblesse s'est jointe une constriction assez forte au niveau de la région lombo-sacrée, qui s'étendait latéralement, à la
niveau de la région lombo-sacrée, qui s'étendait latéralement, à la région hypogastrique, à la région périnéale, aux membr
acrée, qui s'étendait latéralement, à la région hypogastrique, à la région périnéale, aux membres inférieurs (sensation de
gue. Les trois doigts internes (III, IV, V) de sa main gauche et la région anté- rieure de la plante des pieds se sont eng
rnain tombante en pronation complète, on percute un peu fort sur la région supérieure de la face dorsale de l'avant-bras,
s on obtient la même chose, au-dessous de celle-ci jusqu'à toute la région métacar- pienne, on provoque la seule flexion d
onservée dans le domaine des nerfs crâniens et dans les différentes régions du cou. Aux membres supérieurs, il existe une t
est très, chaude ou glacée, mais il les perçoit moins bien dans les régions indiquées. Une semblable diminution, toujours trè
diminution, toujours très faible, existe en arrière au niveau de la région lombo-sacrée et en avant sur la face antérieure
ambes. Ici, on dirait qu'elle est plus manifeste à gauche. Dans les régions postérieurs des membres inférieurs et dans le p
ité superficielle semble conservée. Elle l'est encore mieux dans la région des fesses. La discrimination tactile (compas d
entimètres. OSTÉOARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS (Pastille) . I. - Région cervicale, projection antéro-postérieure ; grossi
ciable, nulle part. Examen radiographique de la colonne vertébrale. Région cervicale. a) Projection antéro-postérieure (PI
rieur des corps vertébraux, surtout au niveau de la IVe vertèbre. Région dorsale. - Aspect normal. Région lombaire. - Pr
au niveau de la IVe vertèbre. Région dorsale. - Aspect normal. Région lombaire. - Projection antéro-postérieure (PI. LV
vertébraux semblent normaux. Enfin, on peut encore noter dans cette région une très légère déviation du rachis, à convexit
e région une très légère déviation du rachis, à convexité droite. Région lombo-sacrée. Entre la dernière vertèbre lombaire
mbres ne sont pasatteintes, parceque les altérations osseuses de la région lombaire, révélées par la radiographie (Pl. LVI
LVI11 III OSTÉOARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS (Pastille). III. Région lombaire, projection antéro-postérieure ; à gauch
emière vue. L'hyperossification est surtout marquée au niveau de la région lombaire, et des saillies osseuses, irrégulières,
'appelle : Syndesmistis ossificans. Notre première radio- graphie - région cervicale, projection antéro-postérieure nous mon
cation de ce ligament tout à fait au début. La radiographie de la région lombaire (Pl. LVIII) nous montre qu'ici l'altér
orps vertébraux et les disques intervertébraux semblent, dans cette région aussi, respectés. Il s'agit donc, nous semble-t
des petites articulations des extrémités, sans participation de la région dorsale, avec des caractères propres à la varié
cause appréciable, elle commença à souffrir de fortes douleurs à la région lombaire ; elles se prolongeaient vers les fesses
e les premières, mais toujours exagérées par les mouvements; de ces régions elles ont bientôt disparu, pour rester cantonné
ts les augmentent et surtout le coït. Elles sont localisées dans la région occipitale. Aujourd'hui il lPS trouve aussi forte
nski. Sensibilité. La sensibilité totale est diminuée dans toute la région du triju- meau droit, mais la diminution est pl
du triju- meau droit, mais la diminution est plus accentuée dans la région de l'ophtal- mique. La sensibilité des muqueu
ones de l'ophtalmique et du maxillaire supé- rieur, moindre dans la région du maxillaire inférieur. La sensibilité conjonc
Grasset à l'état d'ébauche. Sensibilité. -Elle est affectée dans la région du Ve nerf. Anesthésie tactile dans la région d
est affectée dans la région du Ve nerf. Anesthésie tactile dans la région de l'ophtalmique et du maxillaire supérieur : hyp
le premier cas, au commencement elle a été localisée à droite de la région occipitale et ensuite aux deux côtés de la, même
roite de la région occipitale et ensuite aux deux côtés de la, même région . Les céphalées ont eu lieu avec des intermitten
es efforts des malades. La percussion de la tête n'a pas précisé la région douloureuse. Vomissements. Ils ont existé dans
acllyméningite hypertrophique débutent ou prédominent en cette même région . C'est encore en ce point que débu- tent et pré
asse a laissé son empreinte,et modifie l'aspect du chiasma et de la région infundibulaire. L'infundibulum est soulevé, pro
u côté droit où se trouve le pédicule, si bien que l'ensemble de la région est dissy- métrique, comme si la tumeur avait e
férence abdominale maxima = 1 m. 17. La graisse infiltre surtout la région abdominale qui est distendue, proémi- nente et
tombante au devant du pubis. Les mamelles tombent également. A la région dorsale l'infiltration graisseuse détermine la fo
autre au-dessus des crêtes iliaques, et les deux autres occupent la région postéro-latérale du thorax un peu au-dessous du
u mésentère. Le système pileux richement dé- veloppé surtout sur la région thoracique. Encéphale 1370 grammes. Epaississem
vec opa- cifité et petites hémorragies méningées dont l'une dans la région motrice du côté droit. Le péricarde est couve
colloide dans les alvéoles est peu abondante, excepté toutefois la région d'union du lobe épithélial et nerveux. Notons e
lations lipoïdes comme les cellules de la couche glomérulaire de la région correspondante. On trouve pourtant aussi des ré-
poïdes sont assez abondantes. Dans la portion la plus interne de la région fasciculée et dans la réticulée les lipoïdes, e
tion des granulations - par le Schariach - est rouge franche dans la région fasciculée et rouge châtain dans la région rétr
st rouge franche dans la région fasciculée et rouge châtain dans la région rétractée. La zone médullaire est bien représen
) ont publié sous le nom d'atrophie généralisée de la face et de la région sus-ombilicale du corps avec yM'eMo-A6r'op ? e de
t de la région sus-ombilicale du corps avec yM'eMo-A6r'op ? e de la région pelvienne et des membres inférieurs un cas qui pa
de ces amas graisseux qui donnent à la femme sa plastique spéciale ( région des flancs, face supéro-externe des cuisses, pour
face supéro-externe des cuisses, pourtour du genou). C'est dans ces régions que normalement la graisse s'accumule et c'est
u corps des lieux de prédi- lection pour les développement adipeux ( région du cou, région deltoï- dienne, région mammaire,
ux de prédi- lection pour les développement adipeux (région du cou, région deltoï- dienne, région mammaire, pour ne ciler
ur les développement adipeux (région du cou, région deltoï- dienne, région mammaire, pour ne ciler que les principales). Et
EURS 481 m'a paru que l'épaississement adipeux remontait jusqu'à la région ombi- licale, le haut du corps et les bras rest
le cou et la nuque, pour se propager successivement aux reins, à la région épigastrique, et, en dernier lieu, aux deux aines
s après ; un chirurgien de l'hôpital Lariboisière intervient sur la région cervico-scapulaire. Après 4 mois de séjour, D..
ipomatose symétrique à prédominance cervicale, très marquée dans la région dorso-lombaire, épigastrique, et commençant à é
gion dorso-lombaire, épigastrique, et commençant à évoluer dans les régions inguinales (Pl. LXVI). Dans la région ceraico-f
mençant à évoluer dans les régions inguinales (Pl. LXVI). Dans la région ceraico-faciale, l'affection est constituée par d
ée lors de la deuxième opération, laquelle a également intéressé la région dorso-lombaire droite. La limite supérieure -de
ro-mas- toïdiennes sont occupées par du tissu graisseux. Les deux régions scapulaires paraissent notablement hypertrophiées
constituent une paroi postéro- externe anormalement développée. Les régions delLoïdiennes sont égale- ment envahies par la
iblement, avec les parties du bras demeurées normales. Dans cette région axillo-brachiale, notons la présence, dans l'aiss
sez grosse et une Lu- sus-épilrochléenne petite et plus dure. Les régions dorsale et surtout lombaire présentent, principal
ns superficiels. Tout l'espace compris entre le rebord costal et la région fessière gauches est rempli par de nombreuses mas
masses lipomateuses, mamelonnées, se prolongeant en pointe dans la région sacrée pour se terminer à 5 centimètres au-dess
aut pas moins reconnaître, dans notre cas particulier, que dans les régions épigastrique et surtout dorso- lombaire, les tu
s, et cependant, les ganglions lymphatiques n'existent pas dans ces régions . 1 Faut-il mettre, comme le voudrait Poncet, l'
ils font remarquer d'ailleurs, que souvent les masses occupent des régions du corps où normalement il n'y a pas de ganglions
22 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
e de segmentation, sinon peut-être, suivant M. de Blainville, dans la région cervicale des oiseaux. Mais il suffit d'envisager
re des « articulés, tandis que la moelle épinière est toujours à la « région dorsale ou supérieure des animaux à vertèbres. Ce
r exemple un segment vertébral complet choisi dans cette partie de la région caudale qui porte des os en V, on pourra se faire
de quelle importance est en anatomie comparée la considération de la région caudale. Lorsqu'il aborde l'étude de ce grand pro
dale déjeune Plie qui lui sert de point de départ. Je crois que cette région n'est pas moins intéressante, quand il s'agit du
rapports avec la vertèbre. La seconde Fig. 2. représente dans la région caudale d'un crocodilien la succession et l'encha
stème nerveux propre à un segment complet d'animal vertébré ; dans la région caudale, l'anneau est fermé par une commissure qu
n postérieur. Suivant quelques autres, il est oblitéré dans certaines régions . Rien, toutefois, n'est mieux établi que son exis
is par une membrane fibreuse intermédiaire dans toute l'étendue de la région cervicale, qu'au premier abord on pourrait nier l
ns postérieurs présentent une particularité remarquable. En certaines régions ils semblent ne point border immédiatement le sil
ts plus intelligible, je distinguerai dans l'axe médullaire plusieurs régions , savoir : 1° la région caudale; 2° la région lomb
distinguerai dans l'axe médullaire plusieurs régions, savoir : 1° la région caudale; 2° la région lombaire; 3° la dorsale ; 4
xe médullaire plusieurs régions, savoir : 1° la région caudale; 2° la région lombaire; 3° la dorsale ; 4° la cervicale ; 5° la
ombaire; 3° la dorsale ; 4° la cervicale ; 5° la bulbaire. Les autres régions , plongées dans le crâne, y subissent des modifica
un paragraphe séparé. Suivons donc notre description h partir de la région caudale; l'axe médullaire est dans cette région u
iption h partir de la région caudale; l'axe médullaire est dans cette région une tige extrêmement grêle que composent cependan
es cordons postérieurs sont remarquables. Plus ils s'avancent vers la région lombaire, plus ils s'atténuent, et vers le sommet
la région lombaire, plus ils s'atténuent, et vers le sommet de cette région ils ont complètement disparu. Cette atténuation g
disparu. Cette atténuation graduelle des faisceaux postérieurs de la région caudale donne l'idée d'un épuisement successif.
rveuses se groupent sur leurs côtés, et constituent au niveau de la région lombaire, des cordons postérieurs nouveaux. Ces c
d'abord l'un de l'autre par l'extrémité des cordons postérieurs de la région caudale, se rapprochent de plus en plus et borden
et bordent immédiatement le sillon médian postérieur au niveau de la région dorsale. Mais à leur tour, ils s'atténuent de plu
on dorsale. Mais à leur tour, ils s'atténuent de plus en plus vers la région cervicale, et leurs tiactus singulièrement amoind
: 1° Le système caudal qui s'épuise et disparaît vers le sommet de la région lombaire où les funicules ont reçu le nom impropr
o-dorsal qui s'épuise graduellement à mesure qu'on se rapproche de la région cervicale où ses extrémités atténuées reçoivent e
rvations, les cordons médians postérieurs sont évidemment dans chaque région , Vextrémité atténuée des cordons postérieurs gui
région, Vextrémité atténuée des cordons postérieurs gui viennent des régions situées en arrière. Ces faits peu apparents dans
éments à l'histoire de la force excito-motrice considérée dans chaque région de la moelle épinière. Nous reviendrons d'ailleur
ceaux disséminés. Ces petits faisceaux sont surtout abondants dans la région cervicale et sousbulbaire. Les deux moelles qui
eurs centimètres. On en démontre aisément l'existence dans toutes les régions . Ce canal est le ventricule de la moelle épinière
vaisseau dans son intérieur. Souvent, il est vrai, et surtout dans la région cervicale, il est flanqué de deux autres canaux,
stante dans les animaux à tous les âges de la vie, et dans toutes les régions de la moelle; elle est également constante dans l
ulement quand on considère différents animaux ou même les différentes régions d'une même moelle, mais encore dans une seule tra
mposée de la taille de l'animal et du volume relatif de l'axe dans la région qu'on étudie. Cet accroissement porte sur toutes
parvenu à voir sur des coupes transverses de la moelle du chat, à la région lombaire des fibres qui, des faisceaux et des rac
i sur le paragraphe suivant. § 4. De la moelle dans ses différentes régions . La moelle épinière dans les animaux mammifères
i. Les diamètres de la moelle varient beaucoup dans ses différentes régions ; renflée vers la région lombaire, singulièrement
moelle varient beaucoup dans ses différentes régions; renflée vers la région lombaire, singulièrement rétrécie à la région dor
égions; renflée vers la région lombaire, singulièrement rétrécie à la région dorsale, elle se renfle de nouveau à la région ce
ièrement rétrécie à la région dorsale, elle se renfle de nouveau à la région cervicale, et s'atténue au-dessous du trou occipi
rd à la substance blanche, dans les mêmes proportions dans toutes les régions de la moelle. Ainsi, le plus souvent, il y a plus
dans les animaux, les faisceaux blancs s'atténuent d'autant plus à la région dorsale que l'axe gris du renflement lombaire est
t plus considérable, ce qui semble indiquer qu'à mesure que certaines régions de la moelle prennent plus d'importance, elles re
des coupes transversales de lamoelle faites dans le milieu de chaque région . Je ne regretterai pas le temps que ces recherche
ris Renflement lombaire. 1054 449 4413 1421 1636 2399 Région dorsale. 1082 475 3915 1115 328 564
1 1314 Celte réduction des faisceaux blancs et des axes gris à la région dorsale de l'adulte est d'autant plus significati
ificative, qu'un grand nombre de paires nerveuses s'attachent à cette région de la moelle, et devraient accroître la somme de
accroître la somme de ses fibres, dans le cas où toutes celles de la région lombaire remonteraient vers le cerveau. On remarq
era aussi quelle importance acquièrent les faisceaux postérieurs à la région cervicale en regard des racines nerveuses de memb
la sensibilité intelligente? La réduction des faisceaux blancs à la région dorsale est beaucoup moindre dans l'homme que dan
j'ai plus haut soutenue, savoir, que toutes les fibres nerveuses des régions postérieures du corps ne remontent pas jusqu'au c
res relatives des aires des (ranches delà moelle prisesdans les trois régions indiquées chez le chat domestique. a- t„i.i» j„
mestique. a- t„i.i» j„. Aire des fais- faâ^r^cs. «-x^r Axesgns- Région lombaire. 2104 601 1563 Région dorsale. 1156 18
s fais- faâ^r^cs. «-x^r Axesgns- Région lombaire. 2104 601 1563 Région dorsale. 1156 186 164 Région cervicale. 2273 67
ns- Région lombaire. 2104 601 1563 Région dorsale. 1156 186 164 Région cervicale. 2273 676 1142 40 DE LA. MOELLE DANS
MOELLE DANS SES DIFFERENTES RÉGIONS. relative des axes gris dans la région lombaire de la moelle. Ces axes sont en effet réd
s que dans les animaux, mais en revanche les faisceaux blancs dans la région sous-bulbaire subissent une réduction beaucoup mo
u'il en soit, le ventricule enroulé dont nous parlons est propre à la région des couches optiques. La commissure molle qui uni
dilaté en un pavillon très-large, qui recouvre toute l'étendue de la région supérieure des couches optiques. Nous lui donnero
rane fibreuse intermédiaire, recouvre, à la manière d'un opercule, la région vestibulaire du ventricule médian. Au delà de Y o
escription de cet ensemble, en étudiant en particulier chacune de ses régions . § S. Description du noyau cérébral. Ce noyau
cérébral. Ce noyau est dès à présent divisé pour nous en plusieurs régions , savoir : 1° La région du bulbe ; 2° la région de
t dès à présent divisé pour nous en plusieurs régions, savoir : 1° La région du bulbe ; 2° la région de la protubérance annula
our nous en plusieurs régions, savoir : 1° La région du bulbe ; 2° la région de la protubérance annulaire ; 3° la région du pé
a région du bulbe ; 2° la région de la protubérance annulaire ; 3° la région du pédoncule ; 4° la région du bouton terminal. C
gion de la protubérance annulaire ; 3° la région du pédoncule ; 4° la région du bouton terminal. Comme ces différentes régions
du pédoncule ; 4° la région du bouton terminal. Comme ces différentes régions sont surtout distinctes à la face inférieure du n
t été soigneusement énu-cléées (1). A. Face inférieure du noyau. 1° Région du bulbe. Le bulbe semble, au premier abord, n'
déterminée par un plan imaginaire qui répond au bord postérieur de la région de la protubérance annulaire. Un sillon médian
conçue dans son ensemble, nous allons passer à l'examen de la seconde région , qui apparaît immédiatement au-devant du bulbe à
devant du bulbe à la face inférieure du noyau cérébral. 2a Deuxième région , ou région de la protubérance annulaire. La pro
ulbe à la face inférieure du noyau cérébral. 2a Deuxième région, ou région de la protubérance annulaire. La protubérance a
érieures s'engagent derrière les fibres moyennes, on remarque, sur la région pédonculaire de la protubérance, une ouverture co
à ce sujet, les belles figures publiées par M. Arnold (2). 3° De la région des pédoncules. Passons à la troisième région.
rnold (2). 3° De la région des pédoncules. Passons à la troisième région . Au delà du bord antérieur de (1) Anatomie path
orme le bouton terminal de chacune des moitiés de l'axe nerveux. 4° Région du bouton terminal. Le noyau gris d'enroulement
laire, nous la décrirons dans un des paragraphes suivants. 1° et 2° Région du bulbe et de la protubérance. La face postéri
e par l'écartement que les faisceaux postérieurs subissent dans cette région , après s'être un peu renflés. De cet écartement r
ue ces faisceaux recouvraient en arrière. C'est ce qui a lieu dans la région du bulbe. Le ventricule énormément dilaté s'y mon
ture intime de ces parties justifie cette comparaison. 3° Troisième région , ou région du pédoncule. Au niveau de la région
de ces parties justifie cette comparaison. 3° Troisième région, ou région du pédoncule. Au niveau de la région du pédoncu
son. 3° Troisième région, ou région du pédoncule. Au niveau de la région du pédoncule, le ventricule médian s'atténue en u
mencent à se distinguer de la masse de ces faisceaux latéraux vers la région des olives, mais ils ne sont point une émanation
rmant avec lui un angle aigu. Cette bande fibreuse limite en avant la région superficielle du faisceau olivaire. Au point où e
moyen d'une relation dont nous établirons ailleurs l'importance. 4° Région du boulon terminal. Au devant des tubercules qu
, la seconde à Au-devant de cette commissure, du bord interne de la région fasciculée du pédoncule, naissent, dans le voisin
s générales, les relations des parties fondamentales qui composent la région intermédiaire du noyau encéphalique. Ce ventricul
périeure du cervelet entre les deux pédoncules moyens, distingue deux régions dans le cœur. L'une, antérieure, comprend la poin
rajet, ce bord ceint fort exactement les parties qu'il embrasse. La région de la poche qui recouvre la corne antérieure du v
a poche qui recouvre la corne antérieure du ventricule latéral est la région fronto-pariétale que nous distinguerons en deux l
boursouflés autour de l'ensemble du ventricule latéral entourent une région centrale qui recouvre le noyau d'enroulement. Cet
ourent une région centrale qui recouvre le noyau d'enroulement. Cette région porte le nom de lobe central ou d1Insula. L'ensem
es singes où elle présente sur le milieu une arête fort saillante. La région intermédiaire est remarquable par la grande saill
ystème de collines et de vallées. Aussi, toute distinction absolue de régions est-elle artificielle. L'hémisphère est un, il n'
nts de tous, peuvent être ainsi distingués : (a) Les uns occupent les régions situées au-dessus de la scissure de Sylvius; (b)
ions situées au-dessus de la scissure de Sylvius; (b) les autres, les régions situées au-dessous; (c) d'autres, enfin, occupent
es, les régions situées au-dessous; (c) d'autres, enfin, occupent les régions postérieures de l'hémisphère. a. La région, sit
es, enfin, occupent les régions postérieures de l'hémisphère. a. La région , située au-dessus de la scissure de Sylvius, comp
postérieur, à cause de ses rapports, est nommé lobe pariétal. b. La région , située au-dessous de la scissure de Sylvius, ne
e sépare, derrière la scissure de Sylvius, le lobe pariétal d'avec la région qui occupe l'extrémité postérieure de l'hémisphèr
émisphère. Cette scissure est la scissure perpendiculaire externe. La région qu'elle limite, en avant, est le lobe postérieur
mi les primates. Mais entre les autres parties du crâne et les autres régions des hémisphères, il n'y a aucun rapport nécessair
lobe occipital dépasse de beaucoup l'os de ce nom et anticipe sur la région des os pariétaux. Dans l'homme, au contraire, le
crits sous le nom de plis de passage, anticipent, à leur tour, sur la région occipitale. Ce n'est pas tout. Dans les singes
tèbres crâniennes postérieures, et le développement de telle ou telle région des hémisphères. J'irai plus loin; sans doute l
e qu'on a appelé le bulbe du nerf olfactif; elle est logée dans une région particulière du crâne, c'est-à-dire dans les foss
croscope des tranches minces de la moelle, pratiquées au niveau de la région qu'occupe cet entrecroisement problématique. On v
ommissure des pyramides supplée à cette absence de commissure dans la région du tuber cinereum? Telle est la question que je s
u ou cordon latéral, qui forme, à la surface du groupe précédent, une région distincte par l'épaisseur de ses fascicules. (é
leurs observations. § «. Structure du noyau de l'encéphale dans la région de la protubérance et du pédoncule. Les faiscea
Les faisceaux qui constituent l'axe du bulbe se continuent dans la région de la protubérance et dans la région pédonculaire
e du bulbe se continuent dans la région de la protubérance et dans la région pédonculaire, et ces deux régions, sauf quelques
région de la protubérance et dans la région pédonculaire, et ces deux régions , sauf quelques particularités, ont en général la
ulter d'une accumulation considérable de fibres arciformes dans cette région . Elle est formée de deux plans, l'un superficie
es fibres qui composent ces deux plans sont en rapport avec certaines régions déterminées du cervelet dans lesquelles elles s'é
nce est propor lionne! à celui du cervelet et en particulier de ses régions latérales. Les épanouissements des plans profonds
uissements des plans profonds et des plans superficiels ont, dans ces régions , des lieux d'élection que j'indiquerai en parlant
ide antérieure est comprise entre deux plans de ces fibres. Dans la région de la protubérance la même chose a heu; mais avec
ostérieur, il se divise de la même manière et se p#rte dans les mêmes régions . C'est ainsi qu'il donne trois divisions, la prem
s deux rubans de Reil. Toutes ces choses répondent, en partie, à la région de la protubérance, en partie à celle des pédoncu
de la protubérance, en partie à celle des pédoncules. Cette dernière région est encore remarquable par l'épaisseur de la comm
ie moyenne de son corps et à son vermis. Elles appartiennent donc aux régions médianes du cervelet, aussi leur nombre est-il en
t, aussi leur nombre est-il en raison directe du développement de ces régions . Ceci posé, la description du noyau blanc sera
ce système forment un faisceau distinct qui marche parallèlement à la région postérieure de la scissure des Hippocampes, dans
es qui, du pédoncule, se porte immédiatement dans toute l'étendue des régions postérieures des hémisphères. Ce plan provient
fibres qui, de l'anneau pédonculaire, se portent dans les plis de la région orbitaire du lobe frontal. Il forme une tige ar
celte commissure antérieure est dans chacun d'eux destinée à unir les régions prédominantes de leurs hémisphères, et s'il y a d
ur du corps calleux, ou au-dessous de la scissure de Sylvius. Dans la région fronto-pa-riétale les entre-croisements sont si f
cule, c'est-à-dire jusqu'aux axes gris à cellules multipolaires de la région du bulbe. (b) Nerf pathétique. Quatrième paire
ues, comme j'avais pu le faire quant aux nerfs de la vision, dans une région déterminée de l'écorce du cerveau, et quelle qu'a
dernier mode de multiplication est à coup sûr possible dans quelques régions du système nerveux. Dans le second cas, le nomb
re encore si obscure de ce qu'on a appelé les sensations subjectives? région intermédiaire à la sphère des sens et à celle de
t-à-dire en procédant d'arrière en avant. La première comprend deux régions : l'une postérieure, est Y arrière-cerveau; l'aut
ordiforme. Ces deux lobes, de plus en plus distincts, constituent une région spéciale désignée sous le nom de cerveau antérieu
le cerveau intermédiaire; 5° le cerveau antérieur, c'est-à-dire cinq régions groupées en trois dilatations successives. On p
s. On peut dès à présent dire ce que seront un jour ces différentes régions . L'arrière-cerveau correspond à ce qui sera plus
alamus, c'est-à-dire à l'angle postérieur du quatrième ventricule. La région qui s'étend de B en C, est dans l'embryon Y arriè
s deux corps restiformes— de C en D, est le cerveau postérieur. Cette région correspond chez l'adulte à l'angle antérieur du q
de la vie embryonnaire, le quatrième ventricule est composé de deux régions qui comprennent entre elles un angle presque droi
angle presque droit — de D en E est le cerveau moyen, c'est-à-dire la région des lobes optiques ou tubercules quadrijumeaux. L
dont le grand diamètre est vertical, ils ne recouvrent encore, ni la région des lobes optiques, ni celle du cerveau intermédi
tendant ainsi d'avant en arrière, finira par recouvrir l'ensemble des régions postérieures de la masse encéphalique. Ces réflex
des pédoncules supérieurs du cervelet, n'existait point encore. La région du bulbe, bien que fort développée et démesurémen
en sorte que le plancher du quatrième ventricule était divisé en deux régions secondaires: l'une postérieure horizontale, l'aut
ure horizontale, l'autre antérieure presque verticale. Cette dernière région était recouverte par le cervelet étendu transvers
rieure du tube médullaire avait une grande épaisseur, surtout dans la région de la commissure des pédoncules ; les lobes optiq
lus, en même temps que sa courbe antéro-postérieure se développe. Les régions occipito-sphônoïdales s'étendent par degrés et fo
ptième mois elle est à peine indiquée, surtout à gauche, bien que les régions qui sont au-dessus de la scissure de Sylvius soie
parents des plis futurs; des lobes olfactifs énormes naissent de leur région inférieure ; ce n'est pas tout, le système du cor
s olfactifs, et s'accumulent souvent en quantité considérable dans la région cervicale de la pie-mère (1). Elle contient, av
transforment en un canal complet, ce qui a lieu, par exemple, dans la région cervicale de la moelle du Chat. Outre ces prolong
paux. L'un de ces replis est horizontal, il sépare dans le crâne la région cérébrale d'avec la région cérébelleuse. M. Cruve
est horizontal, il sépare dans le crâne la région cérébrale d'avec la région cérébelleuse. M. Cruveilher l'a fort bien décrit
n quelque sorte suspendu dans le canal rachidien. Ce sac, renflé à la région cervicale, rétréci vers le dos, renflé de nouveau
à la région cervicale, rétréci vers le dos, renflé de nouveau dans la région lombaire et enfin terminé en pointe vers le coccy
s sont fort abondantes au cou, à peu près nulles vers le sommet de la région dorsale, et deviennent peu à peu plus nombreuses
viennent peu à peu plus nombreuses vers la partie inférieure de cette région . Ces brides, fixées d'une part à la dure-mère et
llet viscéral, que certains filaments unissent à là dure-mère dans la région cervicale, mais qui partout ailleurs est libre à
es quadrijumeaux. Tels sont, en effet, les rapports des différentes régions du crâne avec les parties fondamentales de l'encé
u à peu. Enfin, les masses ethmoïdales qu'enveloppaient en partie les régions antérieures du frontal, sont à la fin complètemen
s s'abaisse, et l'œil est complètement refoulé par le cerveau dans la région moyenne de la face (2). Ainsi la saillie des yeux
es carnassiers didelphes, par exemple, le cerveau est confiné dans la région pariétale; mais chez les monodelphes, il s'empare
elui de leurs arcs inférieurs la même opposition dont les différentes régions du tronc nous offrent un exemple. Les arcs crânie
laires de la Nouvelle-Calédonie, à un crâne réduit à la fois dans ses régions frontale et pariétale correspond une proclivité s
ommandées par des dilférences corrélatives, dans le développement des régions fondamentales du cerveau. En général, la suture m
e par un léger mouvement de bascule ; il en résulte d'une part que la région pariétale s'étend davantage sur le derrière de la
davantage sur le derrière de la tête et anticipe sur le domaine de la région occipitale, et d'autre part que le bord antérieur
s appuyer en outre sur les résultats que nous a fournis l'étude des régions caractéristiques de l'encéphale humain. § 3. De
ains crânes où Y occipital et le frontal ont peu de développement, la région pariétale prédomine, dans d'autres c'est la régio
développement, la région pariétale prédomine, dans d'autres c'est la région occipitale; dans d'autres enfin, c'est la frontal
occipitales et races frontales. Une prédominance trop marquée de la région pariétale exprime un développement incomplet de l
èbre ajoute peu de chose à l'ampliation du crâne en général, et de sa région cérébrale en particulier. Au contraire, l'ampliat
e blanche, cette largeur maximum correspond au bord postérieur de ses régions temporales, en sorte que ces régions elles-mêmes
espond au bord postérieur de ses régions temporales, en sorte que ces régions elles-mêmes semblent faire partie de la face. Ce
haut et d'avant en arrière. Ce n'est pas tout; chez l'enfant blanc la région cérébrale de l'occiput l'emporte beaucoup sur ses
en tant qu'elle peut donner une idée fort exacte du développement des régions cérébrales comprises entre le sommet de la scissu
et la grande scissure médiane qui sépare les deux hémisphères. Cette région est fort étroite dans la plupart des Pithèques, p
t également des caractères importants, en tant que l'étendue de cette région indique un grand développement du système de ces
if de l'homme. J'ai donné une grande attention à la détermination des régions de la surface cérébrale, qui caractérisent plus p
cendant et loe doux plis supérieurs de passage, comme constituant les régions caractéristiques du cerveau humain, leur longueur
esquels nous sommes entrés touchant l'excellence typique de certaines régions cérébrales ne permettent point d'accepter celte m
assez aisément résumée : le front loge les organes intellectuels; la région pariétale du crâne, les facultés affectives ; qua
fectives ; quant aux facultés instinctives, leurs organes occupent la région postérieure et inférieure de la tête. Chacune de
inférieure de la tête. Chacune de ces facultés a d'ailleurs, dans la région qu'elle occupe, un département défini. Elle répon
al ne loge pas tout le cerveau, loin de là, et dans l'homme certaines régions de la vertèbre pariétale s'accroissent au moins a
le moment à l'expliquer. Toutefois, l'antagonisme qui existe entre la région frontale et l'occipitale, et qui ne leur permet p
activité supérieure? A cela je répondrai que certaines parties de la région pariétale du cerveau caractérisent aussi bien l'e
outefois, avons-nous dit, au milieu de ce développement général trois régions se distinguent plus particulièrement par leur gra
convolu-tionnaire qui longe la grande scissure cérébrale. Ainsi cette région nous paraît-elle mériter de fixer plus particuliè
e sont difficilement conciliates avec un grand développement de cette région , dont une grande réduction de la vertèbre frontal
e côté opposé. La section transversale des cordons postérieurs à la région dorsale donna lieu à des résultats différents. Le
nt notée. Le cordon postérieur gauche de la moelle fut divisé dans la région cervicale entre la deuxième et la troisième vertè
t y fut conservé. Cet effet croisé des lésions de la moelle dans la région cer- (1) Fodera. Recherches expérimentales sur
x-ci. Ainsi, après la section des deux cordons postérieurs dans cette région , la sensibilité des extrémités antérieures est dé
timent fut détruit et le mouvement affaibli. Il coupe enfin vers la région dorsale l'un des cordons postérieurs, la sensibil
dans le cas de la section d'un seul de ces cordons pratiquée dans la région dorsale ou cervicale, l'hypéresthésie du côté lés
train de derrière, après la section des deux cordons postérieurs à la région cervicale, l'hypothèse la plus probable est donc
. Si l'on tranche, par exemple, la moitié droite de la moelle vers la région lombaire, il y aura hypéresthésie dans le membre
à Fodera (1) vient en aide à cette manière de voir. La division de la région lombaire de la moelle en deux moitiés symétriques
dit Van Deen, l'une des moitiés de la moelle d'une grenouille dans la région de la deuxième vertèbre et l'autre moitié dans la
ille dans la région de la deuxième vertèbre et l'autre moitié dans la région de la cinquième, l'animal perd tout mouvement dan
Fodera. Loc. cit. Exp. 10. Il divisa longitudinalement la moelle à la région lombaire de manière à la partager en deux moitiés
des cordons postérieurs s'atténuent de plus en plus en passant de la région dorsale à la région cervicale, mais cette réducti
eurs s'atténuent de plus en plus en passant de la région dorsale à la région cervicale, mais cette réduction ne va jamais jusq
est intact, l'harmonie des mouvements.respiratoires se maintient. Une région est plus particulièrement active dans le bulbe, c
orps a toute sa grandeur et toute sa puissance ; aussi la forme de la région occipitale du crâne subit-elle des variations sin
nce. Chargeons d'un plus grand poids l'aiguille appliquée à, ces deux régions de la peau. Eh bien! cette peau si sensible de l'
gnalerons plus particulièrement l'existence des papilles en certaines régions où le toucher est plus délicat. On sait que l'imp
ales du cou et du tronc, surtout chez les enfants, et enfin certaines régions pilifères, comme les arcades sourcilières, quand
lent les chatouillements se développent surtout dans le voisinage des régions excitées; ainsi les chatouillements du tronc évei
r de rappeler que les chatouillements sont surtout ressentis dans les régions qu'animent ces branches cutanées des nerfs interc
pour bien comprendre ces résultats merveilleux, il faut concevoir la région automatique du système nerveux comme étant jusqu'
utres affections nerveuses, la mémoire peut illuminer tout à coup les régions les plus obscures du passé. Ces souvenirs, ou plu
ndormie, il lui demanda doucement, « en dirigeant ses paroles vers la région épigastrique, de lui « donner des détails sur sa
danses tourbillonnantes, des convulsions frénétiques; dans toutes les régions de la terre les procédés sont les mêmes. D'autr
es commissures compliquées qui unissent en un même système toutes les régions d'un même hémisphère, ont été jusqu'ici oubliées
des hémisphères. L'analogie ne permet-elle pas de supposer que cette région privilégiée a avec l'organe de la vision un rap
l'autre et relient en un même système toutes les parties, toutes les régions d'un même hémisphère. Par elles, toute la puissan
nière........... 28 § 4. De la moelle épinière dans ses différentes régions ...... 36 CHAPITRE II.—»u bulbe et du noyau de l
................ ib. g 2. Structure du noyau de l'encéphale dans la région de la protubérance et du pédoncule.............
23 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
on au fait général de l'affaissement; mais, à cause de la forme de la région , il a d'abord pour seul effet le redressement de
relle et une rectitude anormale. On remarque au début, dans ces mêmes régions , des inflexions arrondies, en forme d'arcs réguli
gueur et d'une obliquité des apophyses épineuses moindres que dans la région dorsale et chez les adultes. A la fin de la malad
agissent alors pour soutenir la tête ; ils la relèvent, redressent la région dorsale. En voici plusieurs exemples fournis par
redressement d'une convexité antérieure ou la rectitude anormale des régions cervicale et lombaire, le premier effet du rappro
s vertèbres du cou, et qui est, au fond, semblable à celui des autres régions ; 2° l'affection des deux premières vertèbres et
s malades que vous avez sous les yeux, et dont l'affection occupe les régions dorsale ou lombaire, nous pourrons établir les va
ulière, courte, d'un rayon variable. Cette forme se voit surtout à la région lombaire. h° La gibbosité présente également un
and l'enfant se tient droit, vous ne voyez qu'une légère arqûre de la région dorsale ; mais en faisant courber le dos et en ra
tielle ; aussi n'existe-t-il pas alors de gibbosité latérale. Ici, la région dorso-lombaire est bien un peu bombée d'un côté,
ne manière générale, je vous dirai que les lames aponévrotiques de la région , l'influence de la pesanteur, les pressions extér
moraux. Je les appelle ainsi parce qu'ils commencent par aboutir à la région iliaque, et vont en dernier lieu occuper la régio
t par aboutir à la région iliaque, et vont en dernier lieu occuper la région fémorale. Leur source est ordinairement la portio
e. Leur source est ordinairement la portion lombaire de l'épine ou la région dorsale inférieure. Je distingue trois degrés dan
ans la fosse iliaque, mais même renvoyer le flot de la cuisse dans la région de l'ilium. On peut considérer comme un quatriè
e sciatique, suit quelquefois les vaisseaux fessiers et apparaît à la région fessière, qu'il soulève; plus souvent il descend
enir directement des vertèbres inférieures malades. IV. abcès de la région postérieure du tronc. — Ils siègent dans les régi
IV. abcès de la région postérieure du tronc. — Ils siègent dans les régions cervicale, dorsale ou lombaire. Ordinairement des
abandonnant le lieu où ils ont pris naissance, parvenir dans d'autres régions . Le pus franchit la paroi thoracique, soit en arr
o-cervicaux antérieurs. — Ces abcès sont rares; ils proviennent de la région dorsale, remontent sur les côtés de la colonne
J'ai été consulté pour un jeune homme qui avait un mal de Pott de la région dorsale. Après avoir été traité pendant plusieurs
cuisse, caractère à peu près constant des abcès par congestion de la région iliaque, peut être prise pour un effet du psoïtis
suivant la hauteur du mal vertébral. Lorsque ce point réside dans la région cervicale, il y a ordinairement paralysie des mem
stait point de gibbosité. Le mal avait son siège vers le milieu de la région dorsale ; mais la douleur étant rapportée aux lom
arties. Vous le comprenez facilement. Si l'extrémité inférieure de la région lombaire se trouve atteinte, comme la moelle n'ex
miers symptômes d'un mal de Pott. On a d'abord fixé une latte dans la région dorsale pour la redresser; mais l'éclisse, devena
huit ans, nommé Morin, atteint de mal vertébral siégeant au bas de la région cervicale, et ayant éprouvé à trois reprises, dep
ERTÉBRAL SUPÉRIEUR OU SOUS-OCCIPITAL. Nous avons laissé de côté une région de la colonne vertébrale pour en examiner les aff
avec les condyles de l'occipital. L'anatomie nous montre dans cette région , des conditions organiques très-différentes de ce
e l'affection diarthrodiale. Une première classe d'affections de la région sous-occipitale comprend l'arthrite des surfaces
du temps détruits avec les os. Suivant le siège de l'altération , la région occipito-vertébrale revêt des aspects divers ; ta
déterminent des effets analogues à ceux que produit le mal des autres régions , des affaissements, qui se distinguent toutefois
e mal des deux premières vertèbres, on observe, comme dans les autres régions de la colonne vertébrale, des destructions plus é
ir ou mourir sans abcès, comme la chose a lieu dans le mal des autres régions . Les abcès peuvent également s'accroître et appar
La collection, quand elle existe, vient faire saillie dans plusieurs régions : à la nuque, sur les côtés du cou, en avant, der
, derrière le pharynx. Ce caractère lui est commun avec les abcès des régions du rachis les plus voisines. Le pus peut aussi s'
ion osseuse sous-occipitale guérit, comme le mal vertébral des autres régions , par le rapprochement, la réunion des restes osse
partielle ou générale entre deux os ou dans les trois que comprend la région occipito-vertébrale. Une autre forme d'ankylose
t pas à produire seulement les effets dont je viens de parler dans la région qu'elles occupent; elles en produisent de fort re
ut a lieu brusquement. Elle siège à la nuque et latéralement vers les régions mastoïdiennes, mais ne se borne pas à ces points
à l'hôpital Sainte-Eugénie. Huit jours après sa sortie, douleur à la région mastoïdienne gauche; la tête s'incline du côté ga
particulièrement à la nuque. Vous en avez vu déjà des exemples. Cette région présente ordinairement, dans les deux formes de l
ugmentation de la convexité antérieure de la colonne cervicale. Cette région est quelquefois encore déformée par des tumeurs f
s souvent les membres supérieurs que dans le mal vertébral des autres régions ; quelquefois elle les affecte seuls. L'hémiplégie
x articulations et qu'elle porte à la fois sur tous les organes de la région , tels que les nerfs, les muscles, etc. Mais les t
itale? Recourir aux mêmes moyens révulsifs que dans le mal des autres régions : vésicatoires, applications de teinture d'iode,
ai présenté la pièce, éviter un affaissement aussi considérable de la région sous-occipitale droite. Le traitement interne a
roses, qui consistent en des articulations nouvelles formées dans une région plus ou moins éloignée du siège de l'articulation
Deux luxations sont antérieures : le pubis partage en deux parties la région qui est au-devant du colyle; dans un cas, la tête
ordinairement très-forte de l'épine, qui constitue l'ensellure de la région lombaire. Cette conformation est due à l'action d
ors avec le bassin un angle aigu d'un côté, obtus de l'autre côté. La région lombaire, et même dans certains cas presque tout
règle de l'ensellure ; elle a un autre mode de station. Vous voyez sa région dorsale ; elle est à peine excavée ; le bassin pr
parence semblable à celle des luxations congeniales : ensellure de la région lombaire, incurvation du fémur, inclinaison et ab
quilibre. On voit dans ce cas, au lieu de la concavité générale de la région lombaire qui caractérise la luxation fémorale, un
la luxation fémorale, une sorte de flexion brusque, en arrière, de la région inférieure du rachis. La seconde catégorie de p
: la luxation était iliaque; Humbert a fait descendre la tête dans la région ischiatique ; il y a là une amélioration. Sur deu
te nature qui va faire l'objet de nos études. Je la prends dans une région formant à elle seule tout un appareil locomoteur,
antérieure du calcanéum et à la tête de l'astragale. La peau de cette région devient épaisse, calleuse ; le tissu cellulaire s
varus sur son côté interne ; le bord interne ne pose plus que dans sa région tarsienne. Examinons le déplacement qu'éprouven
rtie du pied participe aussi, quoique légèrement, à la courbure de la région tarso-métatarsienne. Passons aux changements de
pression du sol; ils se renversent plus ou moins sur le métatarse; la région métatarso-phalangienne est donc courbée en sens i
sien supplée au talon normal. La peau et le tissu cellulaire de celte région s'organisent en conséquence. Les orteils, posan
la seconde disposition des orteils, qui est exceptionnel'e, toute la région métatarso-phalangienne est courbée vers la plante
t reste en partie à découvert sous les ligaments et les tendons de la région postérieure. Ce déplacement peut aller jusqu'à co
ochée de la jambe ; elle peut être plus ou moins déviée en dehors. La région du talon est aplatie; à peine sent on le tendon d
édio-tarsien, ou du long péronier, sont ceux du talus commun, dans la région du talon, et du pied creux, dans la région antéri
x du talus commun, dans la région du talon, et du pied creux, dans la région antérieure du pied. Cette dernière déformation es
u aujourd'hui que cette opération est très-praticable dans toutes tes régions où des tendons s'opposent à l'attitude naturelle
u l'autre point. Le long péronier peut être divisé seul dans les deux régions , tandis que le court ne peut être coupé isolément
p profondément placés pour qu'il convienne de les chercher dans cette région . Ce n'est qu'au pied, principalement sur les prem
trition et de leur accroissement normal. Rachitisme des différentes régions . — Suivons maintenant ces effets dans les différe
érentes régions. — Suivons maintenant ces effets dans les différentes régions du squelette. Pour plus de clarté, j'examinerai
tte, bien qu'on se soit servi de son nom pour désigner la maladie. La région lombaire est celle qui est le plus souvent déform
reste que deux millimètres d'intervalle entre la base du sacrum et la région cotyloïdienne gauche. L'influence mécanique des
ontraire sur ces autres figures qui représentent des déviations de la région lombaire. Il y a rétrécissement oblique du détroi
hitisme affecte principalement, à son début et pendant sa durée , les régions qui offrent la plus grande activité de développem
es du crâne et de lû face propres à l'enfance, outre le contraste des régions frontale et orbitaire, très-développées, avec les
ntraste des régions frontale et orbitaire, très-développées, avec les régions maxillaires, qui le sont beaucoup moins, l'expres
ques du rachis, et notamment la courbure à convexité antérieure de sa région lombaire, qui est surtout déterminée par la situa
ient de plus en plus manifeste. La courbure en sens contraire de la région dorsale augmente d'ailleurs manifestement la cour
les et des ligaments intervertébraux. L'action musculaire courbe la région cervicale dans le même sens que la région lombair
action musculaire courbe la région cervicale dans le même sens que la région lombaire, et par une raison semblable, pour ramen
bes, ce sont eux principalement qui maintiennent les vertèbres de ces régions inclinées en arrière les unes sur les autres. Sép
. Le siège spécial de cette cyphose rachitique est à la réunion des régions dorsale et lombaire. Cela tient à plusieurs cause
rsale et lombaire. Cela tient à plusieurs causes : 1° c'est, après la région cervicale, le point le plus mobile du ra-chis; 2°
'adulte ; U° les courbures physiologiques sont alors peu marquées; la région dorsale n'a pas la même tendance que chez l'adult
pas la même tendance que chez l'adulte à s'infléchir en avant, et la région lombaire ne présente pas, parsa configuration, la
cette flexion antérieure du cou et du dos, ou seulement d'une de ces régions , est une attitude qu'une foule de causes tendent
cyphose ne porte qu'accessoirement sur les vertèbres cervicales ; la région lombaire y participe rarement ; sa courbure physi
e inférieur des omoplates; elles sont, comme l'on dit, ailées. A la région antérieure, le cou est tendu obliquement en avant
st reporté en arrière ou en avant, suivant la direction qu'affecte la région lombaire. On voit des enfants rejeter le tronc en
st encore plus considérable , et forme presque un angle droit dans la région dorsale supérieure. Voici un exemple d'une défo
omatique. Je considérerai la première, en particulier, dans les trois régions du rachis , mais surtout au cou et aux lombes ; c
r direction normale, de même la lordose se voit bien plus souvent aux régions cervicale et lombaire, à cause de leur (1) Orlh
sensibles avec les variétés individuelles de cambrure que présente la région lombaire, de sorte qu'il est difficile de dire qu
partie postérieure s'élève en arrière, tandis que l'antérieure ou la région pubienne s'abaisse. Le mécanisme de cette incli
entre les lombes et le plan qui supporte le corps. Cela donne à celte région l'apparence d'une selle ; de là le nom à'ensellur
vêler trop jeunes, contractent un excès de concavité supérieure de la région lombaire, et même dorsale, du rachis, que l'on at
entivement l'attitude du sujet pendant les exercices, en examinant la région postérieure du tronc, afin de reconnaître la form
ur un lit mou, où il tend à décrire une courbe inverse de celle de la région lombaire ; on élève la tête, et surtout le bassin
le ou de peau sur l'abdomen et le bas du thorax, en même temps que la région des épaules et le bassin sont relevés et appliqué
ux extrémités de l'arc , du côté de sa concavié , c'est-à-dire sur la région dorsale et les épaules d'une part, et sur la part
ez les femmes. III. Lordose dorsale. — Il n'est pas démontré que la région dorsale soit jamais atteinte primitivement de lor
autre point du rachis une déformation qui aurait précédé celle de la région dorsale, et qui en serait la cause déterminante.
chis peuvent être déterminées par cette cause, fréquente surtout à la région cervicale. Mais leur histoire se rattache dans ce
inclinaison du squelette pour la conservation de l'équilibre. A la région cervicale , cette lordose symptomatique est ordin
cervicale se produit dans le mal vertébral avec cyphose du haut de la région dorsale. Le renversement de la tête est alors d
s jugulaires externes sont gonflées ; toutes les parties molles de la région antérieure du cou sont tendues ; l'allongement, l
change brusquement la direction du rachis, fortement incliné dans la région dorsale. Il faut souvent quelque attention pour
niquement dans les cas de cette espèce, lorsque la cyphose occupe les régions cervicale ou (1) Œuvres d'Hippocrate, trad. par
ins fréquemment que dans la cyphose. La lordose symptomatique de la région lombaire se produit dans la cyphose sacrée, dorsa
sorption du pus. Aujourd'hui il présente un nouvel abcès dans la même région , dans la fosse iliaque droite ; mais je ne désesp
supérieure du dos; chez l'autre, c'est la partie inférieure de cette région qui a été primitivement affectée. IVe cas. — Ch
occupe les lombes et le sacrum, et la lordose est à la hauteur de la région des reins. Ve cas. — Cet autre présente la disp
de Montpellier, t. I et II. (6) hoc cit., p. 333. l'occiput et la région du dos, des lombes et du sacrum. Cependant quelqu
rnée à droite ou à gauche. Je n'en excepterai que les courbures de la région cervicale avec (1) Loc. cit. (2) Loc. cit., p
e vous le voyez sur ces dessins et sur cette pièce anatomique (1). La région cervicale s'infléchit le plus, puis vient la régi
natomique (1). La région cervicale s'infléchit le plus, puis vient la région lombaire ou plutôt dorso-lombaire ; car, suivant
es et sur le sacrum est pour le moins aussi prononcée que celle de la région dorso-lombaire, de sorte qu'il y a comme deux ang
(4) Pl. 2, fig. 5. En raison de la différence de mobilité des trois régions * c'est surtout, comme Shaw (1) en a déjà fait la
portion intermédiaire, presque droite, qui répond à une partie de la région dorsale. La forme du tronc tient à la fois, dan
u prolongée d'une épaule, suivie de flexion latérale habituelle de la région dorsale; le port de fardeaux d'un même bras, prod
membres inférieurs, vous l'avez vu, exercent la même influence sur la région lombaire* Tout ce que nous savons maintenant des
cture. — Commune au cou , mais accompagnée de rotation; très-rare aux régions dorsale et lombaire. 2° Flexion latérale par pa
nsation, qui n'est longtemps qu'une simple flexion, s'établit dans la région cervico-dorsale. Dans toute claudication, quell
à droite due à une synovite cervicale , probablement rhumatismale. La région dorsale s'infléchit à gauche avec le bas de la ré
humatismale. La région dorsale s'infléchit à gauche avec le bas de la région cervicale; c'est une scoliose de compensation.
ets aux jeunes filles, « le thorax devient proéminent en avant, ou la région opposée, celle du rachis, devient gibbeuse ; qu'i
dans chacune d'elles. Les plus courtes, qui se voient surtout dans la région dorsale supérieure, ne comprennent que trois ou q
en jugerez en jetant les yeux sur tous ces rachis. C'est surtout à la région dorsale que l'on observe le plus d'irrégularités,
montre déjà dans les premières dorsales, quelquefois dès le bas de la région cervicale , et on la retrouve jusque dans les der
près certain, si elle est accompagnée d'une saillie opposée dans une région voisine. On a quelquefois pris cette saillie pour
his en générai. — Le siège le plus fréquent de ces courbures est à la région dorsale supérieure ou moyenne ; leur concavité es
t se porte de nouveau à gauche pour regagner la ligne médiane vers la région cervicale, qui ne participe que fort peu à ces ch
lement et passe à gauche, comme vous avez vu la cyphose normale de la région dorsale se changer en lordose par la seule action
péciales, avec rotation, comprises sous le nom de torticolis. Mais la région cervicale est souvent affectée de cyphose ou de l
le sont tombés les anciens. La concavité antérieure naturelle de la région dorsale favorise cette inclinaison en avant du ra
noncées, conservent et exagèrent même la convexité naturelle de cette région , en la portant seulement un peu sur le côté. Mais
ose naturelle s'efface et la convexité devient postérieure comme à la région du dos : c'est ce que l'on voit sur ces beaux exe
caractères particuliers à son ensemble. Dans les fortes courbures, la région antérieure de la colonne est formée par le côté a
rochées, serrées, quelquefois articulées ou soudées entre elles. A la région postérieure se voient : Io la série des apophyses
s importe le plus de connaître, c'est la configuration nouvelle de la région postérieure du thorax. La petite différence de vo
e du thorax. La petite différence de voussure des deux côtés de celte région , dont je vous ai montré des exemples dans la cour
scoliose. Un grand nombre sont des gibbosités latérales droites de la région dorsale. En voici une d'une espèce assez rare, en
lombaire, nous avons vu quels désordres la scoliose entraîne dans îa région postérieure du thorax. Il nous reste à examiner l
postérieure du thorax. Il nous reste à examiner la conformation de sa région antérieure et la disposition de sa cavité. Les
Remarquez que l'aplatissement antéro-latéral répond dans ce cas à la région précordiale, dilatée au contraire dans les courbu
ation du bassin. Le sacrum participe parfois aux déformations de la région lom- (1) Voy. pl. 3, fig. 8, et pl. 6, lig. 1 e
cles extrinsèques eux-mêmes, les muscles larges et superficiels de la région dorsale, participent à la longue à ce défaut de n
on de revenir. c. Cœur. — Le cœur échappe, par sa situation dans la région tho-racique antérieure, à la pression directe des
t, si le rétrécissement du thorax est considérable, si le sternum, la région précordiale, sont particulièrement déprimés, si l
replie en sens contraire comme le rachis, et suit la direction de la région lombaire. 2° S'il s'agit, comme dans les deux aut
dans les déviations dorsales, réduit, en outre, la circonférence des régions abdominales supérieures. L'inclinaison du tronc e
ngent néanmoins à la longue ; l'estomac descend plus bas et occupe la région ombilicale. J'ai vu les* intestins grêles ramassé
érieures sont très-peu affectées; la courbure est presque bornée à la région dorsale. Les reins restent en général parallèle
laire. Fleischmann (2) cite un cas de courbure double, dans lequel la région cervicale était ainsi tordue sur elle-même. La
si elle était exacte, la courbure à droite ne serait pas bornée à une région du rachis, et l'on ne verrait pas non plus la réd
s eblorotiques ou dont la menstrua- (1) Loc. cit. (2) Voyage a,ux régions êquinoxiales. Paris, 1814. lion est difficile,
eur des dernières côtes. On voit même assez fréquemment, au bas de la région cervicale gauche et visrà-vis la partie supérieur
assez souvent à voir, dans cette période, des dé- « formations de la région antérieure de la poitrine, notamment une saillie
ui distinguent celte période de la suivante. Les déformations de la région thoracique antérieure sont plus constantes et plu
prononcées dans cette deuxième période que dans la première. Toute la région antéro-gauche, dans la scoliose commune, est plus
ulève le sein et le rend plus saillant. La partie inférieure de cette région est quelquefois saillante à droite, du côlé de la
lors d'aspect : l'inégalité des deux côtés du tronc s'accroît dans la région dorsale et diminue aux lombes; la région lombaire
s du tronc s'accroît dans la région dorsale et diminue aux lombes; la région lombaire, en s'inclinant à droite, se porte sur l
té gauche des lombes et de la dépression de leur côté droit. Toute la région inférieure du tronc, obliquement dirigée comme le
sur le bassin , et l'équilibre n'est rétabli que par le retour de la région dorsale supérieure vers le côté gauche, par l'inc
égion dorsale supérieure vers le côté gauche, par l'inclinaison de la région cervicale dans le même sens, et par l'abaissement
ée sur son côté externe. Cette bosse monte plus ou moins haut vers la région cervicale, qui peut s'y trouver en partie compris
. Il n'y a pas de troisième courbure appréciable. Les muscles de la région dorso-lombaire gauche sont déprimés dans leur por
'inverse : la saillie est en haut; l'aplatissement siège en bas, à la région lombaire. Celte alternative de saillies et de dép
e; c'est la disposition habituelle. Le bassin ne correspond plus à la région moyenne du dos, il semble reporté à gauche. La
lévation de l'épaule, ce qui indique que la courbure s'étend peu à la région cervicale. L'omoplate gauche est oblique; l'angle
nclinée à droite peut bien se fléchir davantage dans ce sens; mais la région dorsale, concave à gauche, ne fait que se redress
e courbe à concavité droite. Si la flexion se fait à gauche, c'est la région lombaire qui ne peut obéira ce mouvement, et la r
uche, c'est la région lombaire qui ne peut obéira ce mouvement, et la région dorsale seule qui l'exécute. Remarquez que, tandi
des lombes, en même temps que les fléchisseurs latéraux opposés de la région dorsale augmentent la courbure dorsale. L'effort
y est plus absolue. La poitrine est sonore partout ailleurs dans les régions occupées par les poumons. Le souffle respiratoi
e rencontre la matité ; il est normal ou peu affaibli dans les autres régions . La percussion et l'auscultation du cœur le mon
rtique exagérée, c'est à peine si l'on peut trouver une courbure à la région dorsale du rachis. Cependant nous trouvons les si
Le bas du sternum est très-saillant et avance en pointe au delà de la région épigastrique. Les cartilages costaux sont à peu p
num , et la respiration s'entend dans une plus grande étendue de la région sternale ; la percussion y rend un son plus clair
llie ou de volume est toujours légère, générale, et non limitée à des régions spéciales. La cause de cette flexion se révèle so
e produit des saillies, des dépressions circonscrites, dans certaines régions déterminées du tronc. Conserve-t-on des doutes
rbure latérale permanente. c. Si une courbure par déformation de la région dorso-lombaire était le produit de la rétraction
produites par d'autres causes, comme une voussure circonscrite de la région postérieure du thorax, indépendante du rachis, un
ces cas, on ne voit la saillie alterner à droite et à gauche dans les régions dorsale et lombaire. Cette disposition, lorsqu'el
qui accompagne la courbure de l'épine. Les saillies partielles de la région antérieure sont plus communes; on reconnaît aisém
antérieure sont plus communes; on reconnaît aisément, en explorant la région dorsale, si elles dépendent ou non de la scoliose
e primordiale ou acquise d'une moitié du corps, n'est pas borné à une région comme la saillie musculaire de la scoliose; il s'
le à droite et à (J) Douzième leçon, 7 août 1857. gauche dans une région de la colonne vertébrale. Les moyens dont nous di
ina , les frictions stimulantes le long du dos, le massage de la même région , etc. Il faut placer sur la même ligne que ces
Si la flexion du rachis, dans ce cas, ne se produisait que dans la région incurvée, elle aurait pour effet de comprimer son
, puisque la tête, le cou, le sommet du thorax , pèsent encore sur la région dorsale ; mais, d'un autre côté, elle fait plus e
r beaucoup trop sur le cou pour que cet effet fût très-marqué dans la région dorsale. Nous étions obligés de faire la contre-e
assin. Elles diminuent, en conséquence, l'effet de l'extension sur la région cervicale et sur le haut de la région dorsale, et
, l'effet de l'extension sur la région cervicale et sur le haut de la région dorsale, et elles parent aux inconvénients d'une
se de son milieu au moyen d'une bande pelvienne et de la pelote de la région dorsale ou d'une bande qui en remplit l'office.
, appareils d'ailleurs très-gênants, ne sont-ils en usage que pour la région cervicale ou dans des cas exceptionnels de courbu
e ou assez élastique pour ne pas froisser les parties molles de cette région . Les tuteurs sont ordinairement composés de deu
. Il corrige assez bien l'inclinaison, mais il ne fait pas pencher la région lombaire en sens inverse; dès qu'on ôte l'apparei
des vertèbres est démontré par les saillies latérales alternes de la région dorso-lombaire , il reste toujours quelque chose,
.... III. Abcès ilio-abdominaux.................. IV. Abcès de la région postérieure du tronc.......... 30 V. Abcès thor
Troisième période................... 277 Rachitisme des différentes régions ............... 280 a. Rachitisme de la tête....
24 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
mort à t'age de 59 ans d'une maladie indéterminée. Vivant dans une région marécageuse, où sévit le paludisme, qui frappe
s, est pourtant plus grande que celle de son frère, surtout dans sa région antéro- inférieure, la face; la partie crânienn
eu foncée, est sèche, froide et glabre, et trop large dans quelques régions . Les ongles ne sont pas striés et n'offrent rie
utres blancs. Les cheveux sont assez denses bien que dans certaines régions ils soient plus rares. Le front de moyennes d
enfoncée entre les épaules. Les téguments sont ridés dans toute la région du cou. (1) Nous ignorons complètement ses anté
ble plutôt portée en avant. La colonne vertébrale présente dans la région dorsale inférieure une légère scoliose dont la
n, ce qui détermine un plis- sement très accusé des téguments de la région antérieure et latérale de l'abdo- men. La palpa
. Le tissu adipeux du mont de Vénus est disparu. Les poils de cette région sont rares et très minces. Les membres supéri
ée surtout par des cellules cromophobes, mais on remarque aussi des régions où les cyanophiles sont assez nombreuses. Les é
tion. Mais sur des frottis ou des coupes de la moelle provenant des régions en contact immédiat avec l'os, il ne nous a pas
bule inférieur gauche est congestionné, mais' on ne constate pas de régions atélectasiées. Il semble exister un petit reste
ésentent des altérations très accentuées mais variables suivant les régions . C'est ainsi que la calotte crânienne est épais
il s'agit des cellules éosinophiles. Le colloïde s'observe dans une région limitée contenant des follicules dilatés, au vo
adipeux. Dans le tissu glandulaire lui-même, on observe à côté des régions dont les acini présentent leur structure normal
lésions nécrotiques 'et atrophies marquées de cellules. Dans les régions normales, ou constate des îlots de Langerhans pré
s restes de leucocytes ou d'au- tres substances. Il y a aussi des régions où on observe une quantité très marquée de bulles
pochrome, mais en rouge brun. Mais il est vrai que, même dans cette région , il existe aussi des cellules infiltrées de lyp
anneau de tissu conjonctif. Sur d'autres coupes provenant d'autres régions , on peut voir par ci par là la disposition en c
dénomateuse du corps thyroïde, transformation qui, dans cer- taines régions , était si prononcée, qu'un observateur non préven
dire de quel organe il s'agit. La substance colloïde était dans ces régions complètement absente, et en gé- néral les folli
tuée. A son entrée à l'hôpital on observe une cyphose marquée de la région dor- sale moyenne avec lordose compensatrice da
e de la région dor- sale moyenne avec lordose compensatrice dans la région cervicale supérieure, thorax projeté en avant,
acie avec le syndrome de Basedow, cet auteur remarque que certaines régions où l'ostéomalacie est en quel- quesorte endémiq
Tolat et Sarvonat en citant l'opinion de lIoenicke,ajoutent(lUe la région lyonnaise, que les travaux de Poncet et Jayet (
ue les travaux de Poncet et Jayet (25) ont fait connaître comme une région goitreuse, semble être aussi un pays à ostéomalac
re. Le malade assure qu'il eut toujours celle saillie anormale à la région dorsale des deux poignets. Ses parents interrogés
ente de la main en avant et dans un raccourcissement apparent de la région carpienne, de façon que les mains sont séparées d
e face palmaire- extrémité supérieure droite. L'élargissement de la région du poignet apparaît évident, l'espace interosse
té cubital {extrémité supé- rieure droite). La radiographie de la région radiocarpienne, vue dans son ensemble, nous lai
explique parfaitement l'altération des rapports photographiques. La région radio-carpienne reste normale. Les diapbyses du r
u dessiner. Il représente exactement les altérations osseuses de la région radio-carpienne observées dans notre cas (V. fig.
s poslérieures tournées vers le haut. A cause de cette rotation, la région carpo-métacarpienne en totalité reste dans un p
s- sant à étudier de la question. Par un examen très attentif de la région , il est très possible de s'engager dans des con
et une difficulté des mouvements de la colonne verté- brale dans la région du cou. La propagation de l'ankylose, qui descend
endit avec les douleurs amena, en un mois, l'ankylose de toutes les régions de la colonne ver- tébrale. Deux semaines après
olue de toute la colonne vertébrale et de la tête, cyphose dans les régions cervicale inférieure et dorsale supérieure en for
cifiques, mais des douleurs intenses au moindre mouvement ; dans la région lombaire surtout, il y a des douleurs qui irradie
y a des douleurs qui irradient dans la cuisse droite, et, il la la région de la nuque, des douleurs semblables, qui se po
semaines et ressentit des douleurs au cou ; une immobilité de cette région se développa rapidement. L'évolution de l'ankylos
aules. Etat au moment de l'ecamen. - Cyphose peu accentuée dans les régions cervicale inférieure et dorsale supérieure. La
1 centimètre par comparaison avec l'extrémité gauche. Douleurs à la région lombaire, à la poi- trine et aux grandes articu
ouleurs aiguës le long de toute la colonne ver- tébrale, surtout la région lombaire ; ces douleurs, plus ou moins accentuées
alade est pâle et amaigri. Les viscères sont intacts. Cyphose de la région dorsale supérieure et cervi- cale inférieure :
paississpment des muscles longs du dos et de quelques muscles de la région de l'épaule. Absence complète de douleurs spont
commerçant, se plaint de douleurs aux articulations des genoux, aux régions lombaire et dorsale, de l'impossibilité de redres
urs et une propagation lente de l'ankylose se manifestèrent dans la région lombaire et dans les articulations de l'épaule.
urtout la musculature sont bien développés. Cyphose et ankylose des régions dorsale et lombaire de la colonne vertébrale. L
es arti- culations sont intactes. Pas de dépôt osseux. Douleurs aux régions lombaire et dorsale, aux articulations coxo-fém
sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs aux diverses régions du corps, surtout à la région lombaire et aux c
ressentit des douleurs aux diverses régions du corps, surtout à la région lombaire et aux cuisses; en même temps, sans qu
nt de l'examen. Les viscères sont intacts. Cyphose uniforme dans la région thoracique. La lordose lombaire physiologi- que
ue. La lordose lombaire physiologi- que est aplatie. Immobilité des régions lombaire et thoracique. Le tronc se meut comme
ées, les douleurs n'apparaissent ([n'il l'occasion des mouvements aux régions lombaire, dorsale, aux omoplates, aux cuisses e
ux ans, sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs à la région lombaire et aux articulations fémorales et une
e a l'air épuisé, il ne peut redresser le dos. Cypho-scoliose dans la région dorsale, immobilité complète de toute la colonn
logique le 21 septembre 1906. Le malade se plaignait de douleurs à la région lombaire et au cou ; ces douleurs irradiaient d
apparente, il ressentit, à chaque mouvement, des douleurs aiguës à la région lombaire, 5 mois après au cou et plus tard des
oncée, ce qui fait avancer les épaules. Immobilité com- plète de la région lombaire et thoracique. Le cou reste libre. Absen
s un mois de séjour à l'hôpital. Atrophie de quelques muscles de la région de l'épaule et de toute l'extrémité supérieure
pparente, apparaissent de faibles dou- leurs aux mouvements dans la région du sacrum ; deux ans après, dans la région lomb
s aux mouvements dans la région du sacrum ; deux ans après, dans la région lombaire et, plus tard, dans les articulations de
, il n'est pas alcoolique. Etat du malade au moment de l'examen. La région cervicale de la colonne vertébrale est libre; l
examen. La région cervicale de la colonne vertébrale est libre; les régions dorsale et lombaire de la colonne vertébrale se
dorsale et la lordose lombaire sont aplaties ; faible scoliose de la région dorsale inférieure ; aucune vertèbre n'est sail
respiration. Immobilité absolue de la colonne ver- tébrale dans les régions dorsale et lombaire. Limitation des mouvements et
a gymnastique, il tomba à terre en sautant et se donna un coup à la région lombaire : pendant deux semaines il eut de l'inco
u près, sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs à la région lombaire et aux articulations des hanches. Les do
le ; il a un teint pâle Les viscères sont intacts. La cyphose de la région dorsale pré- sente une courbe régulière à grand
a région dorsale pré- sente une courbe régulière à grand rayon ; la région loml)aire et le sacrum sont sur le même plan. L
tés inférieures sont épaissis ; il existe une faible tumeur dans la région des métatarsiens gauches. Absence d'autres défo
ans les articulations des genoux. Faible atrophie des muscles de la région des épaules et des muscles sous-cutanés du dos
s le ser- vice neuro-pathologique. Il se plaignait de douleurs à la région lombaire qui irra- diaient dans les jambes. Il
Depuis trois mois il ressent des dou- leurs dans les jambes et à la région lombaire et, depuis un mois, il ne peut plus re
e de la colonne vertébrale et immobilité de cette deruière dans les régions dorsale et lombaire. Les deux bras ne peuvent se
s, des douleurs et une difficulté des mouvements apparurent dans la région lombaire. Le malade passa trois mois à l'infirmer
trition. La courbe de la déviation de la colonne vertébrale dans la région dorsale est à grand rayon. La lordose de la régio
vertébrale dans la région dorsale est à grand rayon. La lordose de la région lombaire est aplatie. Laçage thoracique est enf
xiste une immobilité absolue de la colonne vertébrale, sauf dans la région cervicale. L'amplitude des mouvements n'est pas l
ont intactes. Absence d'osléophytes et de déformations osseuses. La région du pharynx est diminuée dans son diamètre antéro-
mois plus tard se manifesta une difficultés des mouvements dans la région loin- haire, qui se propagea, dans l'espace de
loin- haire, qui se propagea, dans l'espace de deux années, sur la région du thorax ; les trois derniers mois, il ressent
co- lonne vertébrale est d'une configuration normale, sauf dans la région lombaire où la lordose est aplatie. Les mouveme
éformation des os ainsi que d'alnjjnhïe musculaire. Dou- leurs à la région lombaire, au cou, dans les arlîcalafions des épau
et du cou-de-pied gauche. Puis, un an plus tard, les douleurs de la région lombaire s'accentuent et nue lente propagation de
uleurs à leur occasion dans les articulations temporo-maxillaires. La région des petites articulations des deux pieds est en
eux pieds est enflée. Atrophie ou tension de quelques muscles de la région de l'épaule. Douleurs aux mouvements dans les a
émorales, le corps penché en avant et du côté droit. Scoliose de la région dorsale. Immobilité de la région dorsale et lom
t et du côté droit. Scoliose de la région dorsale. Immobilité de la région dorsale et lombaire du rachis ; le cou reste libr
ent dans une 136 ELDAROFF de ses parties, le plus souvent dans la région sacro-lombaire avec irradia- lion des douleurs
lations coxo-fémorales ; les douleurs com- mencent rarement dans la région du cou (obs. I, IV), dans les grandes articulat
ade tenait immobiles à cause des douleurs (c'est le plus souvent la région sacro-lombaire avec les arti- culations coxo-fé
f et les douleurs ne sont qu'un symp- tôme de ce processus. 9° La région principale de l'ossification dans la spondylose r
ent de bas en haut (onze cas) ces dou- leurs se manifestent dans la région sacro-lombaire et dans les articulations des ha
ro-lombaire et dans les articulations des hanches. Du moment où ces régions sont ankytoséesjeprocessusd'ossi fication se pr
e », le long de la co- lonne vertébrale, et, après avoir atteint la région dorsale, s'arrête pour longtemps. C'est à ce mo
rs années, les douleurs aiguës et l'immobilité apparaissent dans la région des épaules, comme elles sont apparues déjà dan
dans la région des épaules, comme elles sont apparues déjà dans la région du bassin. La colonne ver- tébrale dans ses par
rarement, dans une direction opposée (trois cas) : il commence à la région du cou et des articulations des épaules, descend
ns des épaules, descend le long de la colonne vertébrale jusqu'à la région sacro-lombaire, s'arrête dans celle-ci pour que
rrête dans celle-ci pour quelques années souvent, et soude enfin la région du bassin et les articulations des hanches. 1
e jusqu'au sacrum (dans 8 cas), ou bien elle n'est immobile qu'à la région dorso-lombaire (dans 6 cas). 11° La cyphose d
la respiration ; le type de la respiration est abdominal. 14° La région de l'abdomen est divisée par un pli horizontal, q
-XII[, il existe une saillie du corps des vertèbres cervicales à la région du pharynx et un dépôt d'ostéophytes sur la sur
ères disparaissent. Les douleurs ont leur maximum d'acuité dans les régions de la colonne vertébrale qui ne sont pas encore
sont de faibles atrophies simples et une rigidité des muscles de la région des épaules, du bassin et des muscles qui entou
le malade pousse des cris à cause des douleurs provoquées. Toute la région autour de l'articu- lation coxo-fémorale est oe
la crête iliaque correspondante. Au devant de l'articulation, à la région inguinale, on trouve une proéminence, au lieu d
uinale, on trouve une proéminence, au lieu du creux normal de cette région . Le membre droit est beaucoup plus court que le
e son existence, le malade s'est plaint d'une forte douleur dans la région cervicale de la colonne vertébrale, de sorte que
adipeuse, le cou est énorme, la poitrine et l'abdomen ainsi que la région fessière présentent une li- pomatose diffuse.
s et aux chevilles. Les pieds et les mains sont normaux. Toutes les régions adipeuses sont très douloureuses à la pression.
uxième ciconvolution frontale droite, sur les circonvolutions de la région motrice gauche. La pie- mère est adhérente au c
épithéliales ont conservé leur ordination régulière. Dans d'autres régions , il y a un bouleversement total des cellules épit
revêt la constitution et la physionomie de l'adénome. Dans d'autres régions de la Adénome de la glande thyroïde. 1, Tissu
les unes des autres par un tissu scléreux très dense. Il s'agit de régions présentant les caractères du goître folliculair
a matière colloïde qu'elles sont situées davantage au centre de ces régions enkystées. En résumé, chez une femme atteinte d
es éléments épithéliaux, en un mot d'un véritable adénome. D'autres régions de la glande, divisées en ilots, présentent les l
anopsie. En examinant de plus près les deux dessins donnés de cette région , on remarque que sur l'un l'angle inféro-extern
servés. Sur la figure suivante et plus rapprochée du pôle, c'est la région calcarine qui est relativement indemne. Si l'on
tata en outre qu'une tumeur de la grosseur d'une fève, sise dans la région de l'hypophyse, se continuait dans la substance o
s ; l'opération eut lieu en mars 1901. A travers la dure-mère de la région rolandique, on ne sentit rien d'anormal ; c'est p
sont hors de fonction. Gâtisme périodique. Hernie cérébrale dans la région pariétale droite. J. est un dément ; cependant
s. En dehors de cela, le cerveau paraît peu comprimé, sauf dans les régions occipitales. ' Il s'agit donc probablement d'al
cupe avant tout : Cc., Li, Fi, Fa, Pa, Thaï, opt., C. i., N. R., la région de l'insula et jusqu'au lobe temporal, c. g. e,
culaire du Thal. opt. Sauf au point de départ du néoplasme, dans la région centrale droite, où le tissu nerveux fut repous
gement dans la C. A. à droite, et nous la retrouvons encore dans la région protubérantielle (1/3 sup.). Le trigone droit e
° Dans des cas de tumeur spécifique, le ramollissement de certaines régions « compense » le développement de gommes dans d'au
o-rachidien a pour tâche d'emporler les déchets de la nutrition des régions profondes des hémisphères. S'il ne la remplit p
êmes, la perturbation des actes nutritifs semble prédominer sur les régions réputées saines. Charmeil et Tibierge (5) ont vu
ure partie de la face externe, c'est-à-dire le lobe temporal et les régions adjacentes des lobes frontal, pariétal et occipit
genou et du bec du corps calleux montre une petite hémorragie dans la région pariétale postérieure. Une coupe à un centimètr
la précédente révèle un foyer d'hémorragie très ancien, jaune ocre ( région frontale) et quatre foyers récents dont l'un est
araclmoïdienne, née sur place, occupant la moitié inférieure de la région dor- sale et la partie voisine de la région lom
moitié inférieure de la région dor- sale et la partie voisine de la région lombaire. Les région cervico-dorsale et lombo-s
la région dor- sale et la partie voisine de la région lombaire. Les région cervico-dorsale et lombo-sacrée sont indemnes.
MULTIPLES FOYERS (A. Souques). 6. - Obs. II. Coupe passant par la région pédonculo-protubérantielle. o - 01ç IT rnnnr VP
t homme. Incontinence des sphincters et commencement d'eschare à la région sacrée. Le coeur est gros, le deuxième bruit vi
XVII, V) montre deux foyers du volume d'une noisette : l'un dans la région pariétale inféro- externe, l'autre dans le noya
et occupent la partie inférieure des pédoncules cérébraux, dans la région de la calotte, mais l'une située latéralement, re
aroxys- mes, violente surtout la nuit, localisée habituellement aux régions frontale et occipitale droites. Presque au même
du réflexe cornéen. La percussion crânienne est douloureuse dans la région fronto-pariétale droite. L'examen ophtalmoscopi
ur, mais une méningite localisée, pa- raissant avoir débuté dans la région protubérantielle puis pénètre le IVRE ventricul
2, p. 389. TUMEUR 013L1'l'ÉHA\l' L'AQUEDUC DE SYLVIUS 205 dans la région dorso-lombaire. Araclmoïdite productive, dégénéra
qui, lui faisant, comme d'habitude, ses vêtements, constata que la région scapulaire droite était plus proéminente que la g
ax est antérieurement bien développé. En arrière on constate que la région papillaire droite est un peu plus saillante et pl
altération est plus manifeste sur les membres supérieurs et sur la région de l'épaule. Dans ces régions le malade ne fait p
e sur les membres supérieurs et sur la région de l'épaule. Dans ces régions le malade ne fait pas de distinc- tion entre le
e simple sensation de contact. - Parfois, sur la poitrine ou sur la région scapulaire une température très éle- vée (90°)
par- tie supérieure de la poitrine et la partie supérieure du dos ( région de l'é- paule et région scapulaire). La notio
la poitrine et la partie supérieure du dos (région de l'é- paule et région scapulaire). La notion de position, la percepti
ur plus foncée. Ces taches occupent en avant et à gauche : l'une la région correspondant à la partie interne de la clavicu
sterno-cléido-mastoïdien; en arrière et toujours du côté gauche, la région temporale postérieure, occipitale, et plus bas la
a Fin. 1 '117. 2 A PROPOS DE LA SYSTÉMATISATION DES NOEYI 231 région de la nuque correspondant au bord externe du trap
in la ligne médiane au niveau de la 3° côte et gagne obliquement la région sus;claviculaire, notre point de départ. Tout l
ce processus toxi-infectieux. Quant aux trois petites lâches de la région dorso-lombaire, nous devons avouer qu'elles sembl
ties anté- rieures ; pour l'analyse microscopique, une partie de la région dorsale de la colonne vertébrale a été sciée en
s des corps des vertèbres, ni la pente de l'articulation ; toute la région où se trouvait l'articulation est envahie par u
XVIII). Le tissu osseux-médullaire qui remplit les mailles de cette région où se trouvait d'abord l'articulation normale e
ues, ce qui distinguesur les pièces micros- copiques colorées cette région des parties connexes de la côte et du corps de
ernière, ces fibres qui partent de la membrane périphérique vers la région médullaire, contiennent quelquefois dans leur épa
ette dernière dégénérescence est partout également faible : dans la région sacrée, lombaire et dorsale, cette dégénérescen
que ; elle est un peu plus intense dans les faisceaux de Goll de la région cervi- cale. Une dégénérescence aussi faible et
, avec la seule différence que la mala- die, après avoir atteint la région lombaire de la colonne vertébrale et les articu
able qu'après quel- ques années les articulations des épaules et la région dorso-cervicale du rachis auraient pu être atte
eurs, hypoesthésie, parésie, légères atrophies des muscles dans les régions occipitale, dorsale et lombaire, des soubresauts
ne verticale et dans le troisième il présentait une cyphose dans la région cervicale supérieure, tandis que sa lordose phy
tatation des symptômes produits par les tumeurs qui siègent dans la région de la glande pinéale. Le résultat des examens de
de paralysie spinale à type monopiégique, seuls les ganglions de la région cervicale du côté correspondant au membre atrophi
me cas de paralysie spinale à type paraplégique les ganglions de la région lombo-sacrée sont les seuls altérés. Dans ce tr
contrées dans les cellules nerveuses des ganglions rachidiens de la région malade portent sur l'appareil nucléolaire, les
chromatophile et, au lieu de trou- ver le nucléole dans cette même région , on le voit presque toujours dans l'amas pigmen
et dans le pigment jaune sans que le nucléole se trouve dans cette région ; 2° Il y a certaines différences morphologiques
description de cet auteur dans une position déterminée...« Dans la région d'origine de l'axone, un peu latéralement ? » Tan
l est facile de constater que la capsule fibreuse du ganglion de la région paralysée est trois ou quatre fois plus épaisse e
ce vacuolaire ou fenêtrée. Enfin nous devons ajouter que dans cette région nous n'avons jamais pu constater de phénomènes d'
ste immobile (paralysie de l'abiuceus) B, B' Différence entre les régions sus-claviculaires droite et gauche. HOSPICE DEL
a pour elle la fréquence aujourd'hui démontrée des tumeurs de cette région el en particulier de l'angle ponto-cérébelleux.
Enfin la malade se plaint de douleurs de tête qui prédominent il la région occipitale si bien que l'on pourrait penser à l
ur parait jusqu'à un certain point un symptôme des affections de la région et elle est notée dans plusieurs observations où
pas de sucre. Les organes génitaux paraissent bien développés : la région sus-pubienne est recouverte de poils ; la verge
aux de tête reviennent presque tous les 8 jours ; ils siègent dans la région frontale et s'accompagnent de sensation doulour
ur les épaules, sur les membres supérieurs, sur le thorax et sur la région sacro- lombaire. Le squelette du bassin et des
ou traumatiques), il supposa « qu'il existe à la base du crâne une région dont le dérangement foetal.... détermine la trans
s, mérite d'être de nouveau prise en considération. Cette prétendue région de la base du crâne, laquelle, lésée, devrait d
ur la selle turci- que. Or, il n'est pas absurde de supposer que la région de la base du crâne dont parle Babès (2) et cap
ouffrir beaucoup. Après deux semaines, l'oedème limité seulement à la région de la main a disparu complètement,en lui laissa
nt dans la substance blanche. y avait des ramol- lissements dans la région des capsules internes ; sous le microscope, on
s nerveuses et une certaine multiplication des vaisseaux. Dans la région du tronc cérébral, il existait u ne leptoméningit
allongée dans sa partie droite, et à peu près tous les noyaux de la région étaient plus on moins intéressés par le process
' c' d', coupes d'une moelle nor- mole, - aa' moelle cervicale. bb' région dorsale ; La moelle dorsale atrophiée est doubl
La moelle dorsale atrophiée est doublée d'une pachyméningile. - ce' région lombaire. - dd' Cône terminal. ATROPHIE CURIEUS
ns la moelle allongée. Si on considère l'atrophie dans les diverses régions médullaires, on note qu'elle est très forte dans
iverses régions médullaires, on note qu'elle est très forte dans la région cervicale; dans la région dorsale, elle est extrê
s, on note qu'elle est très forte dans la région cervicale; dans la région dorsale, elle est extrême, mais ici il y a il c
a il compter avec l'existence de la pachyméningite ; enfin, dans la région lombaire, elle se trouve un peu moins accentuée
région lombaire, elle se trouve un peu moins accentuée que dans la région cervi- cale. Nous croyons utile de reproduire
tous les faisceaux. Or cela n'existe pas dans notre cas. Dans la région dorsale de noire moelle, c'est-à-dire là où l'épa
plus épaisses. La pachyméningite en effet ne se trouve que dans la région dorsale; dans la région lombaire, il n'existe pas
méningite en effet ne se trouve que dans la région dorsale; dans la région lombaire, il n'existe pas trace de méningite et
vaisseaux du fait de la méningite; on ne saurait invoquer en celte région la possibilité d'un étranglement des vais- seau
les circulatoires, quels qu'ils soient, de l'axe nerveux. Dans la région lombaire, l'atrophie existe d'une façon bien nett
RE 367 au processus J.1aclJ)'tJléniugiti,]ue très développé dans la région dorsale en ce qui concerne la détermination d'u
la détermination d'une diminution du diamètre de la moelle en cette région . Sur toute la hauteur de la moelle dorsale, en
ie, a provoqué la diminution maximale de la moelle épinière dans la région dorsale. Il ne semble pas utile de prolonger ce
rtout dans son lobe droit et moyen. La circonférence du cou dans la région moyenne du corps thyroïde est de : in cm. Au-de
glande elle est de 31 cm. et au-dessous de 3' cm. Les poils de la région pubienne et axillaire sont bien fournis. Les de
aspect terne et flétri ; sa coloration permet de la diviser en deux régions très tranchées : la zone centrale, qui est arrond
squ'à devenir confluents. Parallèlement à ces modifications de la région centrale, on voit la zone péri- phérique deveni
'aller à l'école. En somme, à cette période, la coloration des deux régions est très foncée ; cependant elles se distinguen
e processus que les mains, mais à un degré moindre. En dehors des régions atteintes, les téguments ont leurs caractères nor
guer cliniquement; or, les châtrés adultes sont mal connus dans nos régions ; les castrations chirurgicales doubles restent
ntheaucoup moins accusées; l'épiderme blanchit, la barbe tombe, les régions velues s'éclaircissent ou deviennent glabres. I
més à la lèvre supérieure et au menton. Absence presque totale à la région axillaire et au pubis. Pénis normal. Scrotum di
s'est accentué. Pâleur du visage sans albuminurie; état glabre des régions sus-pubienne, axillaire ; disparition partielle
gu- ments, mais apathie. Dépigmentation de l'aréole du sein ; les régions périnéale et génitales sont dépigmentées. Pas
sance et frigidité absolue depuis 2 ans. Les réflexes cutanés de la région génitale sont abolis. Aucun trouble psychique.
. Pas d'infiltration des téguments. Les mamelons sont petits. Les régions normalement pigmentées sont décolorées. La voix
ais tandis qu'il parait ainsi le coup de couteau, il reçut, dans la région scrotale, un violent coup de pied qui l'étendit
les se dégarnirent de poils, et s'étant amusé un jour à se raser la région pubienne (divertissement très en honneur chez l
e sur tout le visage, créant un masque foncé qui ne respecte que la région orbitaire, mais que la photographie a difficile
une émission de liquide prostati- que ou séminal : le massage de la région des vésicules séminales n'a rien fait sourdre e
thie marquée; frilosité. Les mamelons sont dépigmentés ainsi que la région génitale ; le pouls à 68, la tension 12 (au Pot
re d'un sabot. Le cou est amaigri et l'exploration minutieuse de la région thyroïdienne ne permet pas de sentir l'itlrsme
tre de la peau s'accroît particulièrement aux pommettes et dans les régions sus-orbitaires. Les taches pigmentées ressortent
tent des alvéoles où sont amassées les cellules nobles. Suivant les régions , la sclérose est inégale ; au centre et ? une d
ls, de la desquamation et de la consistance de la peau, il palpe la région thyroïdienne et trouve la glande atrophiée, que p
nous en sommes redevables au Dr Murray; un autre cas, dans la même région , a été mentionné par le Dr J.-B. Davey ; un troi-
ns toute l'étendue de la main, du bras, de l'épaule, jusque dans la région du grand pectoral et la région scapulaire. La p
du bras, de l'épaule, jusque dans la région du grand pectoral et la région scapulaire. La peau est légèrement cyanosée. La c
métacarpiens en particulier sont indéniables. L'absence dans celte région de toute modifica- tion des parties molles perm
nerveux, une décalcification, véritable dystro- phie osseuse, de la région blessée et des os voisins. Cette altération peut
25 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
fection quel- conque pouvant produire aussi des déformations de ces régions , la sclérodermie, la lèpre mutilante, la maladi
jours mal ». Cet affaiblissement général, cet état douloureux de la région dorsale et de l'épaule persils- tèrent encore l
ers troubles, faiblesse des membres du côté droit, douleurs dans la région dorsale et l'épaule droite, crises névralgiques a
latérale supérieure se rattache une proéminence très accusée de la région scapulaire droite, et à la déviation inférieure u
. Les seins sensiblement développés et l'abondance des poils sur la région pubienne, tout en faisant un contraste étrange
issu spécial, le pannicule adi- peux, dont la présence, suivant les régions , modifie complètement les formes de l'écorché.
nicule adipeux est d'ailleurs d'épaisseur fort inégale, suivant les régions et suivant les individus.' Il existe chez tous le
iations que présente la couche graisseuse sous-cutanée, suivant les régions chez un même individu, sont encore plus intéres-
(8 millimètres en moyenne et jusqu'à 1 centimètre et demi); puis la région mammaire, dans sa moitié infé- rieure, aux envi
e 6 millimètres et demi an- dessus, 4 millimètres au-dessous). A la région sous-mammaire, il est peu abondant (en moyenne
age les plis cutanés ainsi formés successivement dans les {diverses régions du corps. En divisant par moitié les chiffres ain
lantaire du pied, à cause des adhérences étroites de la peau de ces régions avec les surfaces aponévrotiques. DU-* ROLE DE
jà chezi'écorché, ou même à en créer de nouvelles. Il est certaines régions du corps où, par sa constance et son abondance
criptions détaillées dont seront l'objet dans la suite les diverses régions du corps, je crois bon de signaler ici celles d
- blement un rôle morphologique spécial. En premier lieu vient la région de la fesse. La graisse y est accu- mulée surto
le entre pour beaucoup, surtout chez la femme, dans le volume de la région . Elle contribue à lui donner la fermeté de consis
à crête iliaque. Je signalerai également le tissu graisseux de la région mammaire. Chez la femme, en outre de la présenc
le tissu graisseux joue un rôle important dans la morphologie de la région . Il en augmente la saillie dans toute la partie
du sillon sous-mammaire. Si bien qu'en cet endroit, le relief de la région pectorale n'est point uniquement dû à Fic. 15.
des gens peu musclés présenter une saillie assez considérable de la région mam- maire, qui constitue pour ainsi dire un li
extérieure, il joue un rôle qui mérite d'être signalé en plusieurs régions . Il comble le creux de l'aisselle et le creux p
efs latéraux, très importants à connaître pour la morphologie de la région . Enfin, à la face, la « boule graisseuse de Bic
du système nerveux. 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUËRE. région est-il douteux, tant il est minime. Le soulèvemen
raphique soit sur la face postérieure de l'avant- bras, soit sur la région antérieure de la cuisse. Pour évaluer le nombre
pas la direction du sacrum et du coccyx; elle est implantée dans la région lombaire, et prend une direc- tion à peu près p
nthropologie, 1885, p. 443). FtG.28. Configuration anormale de la région . sacro-coccygienne. Fila. 29. Plaque velue
de la région . sacro-coccygienne. Fila. 29. Plaque velue de la région lombaire. LA QUEUE DES SATYRES. 47 verticale,
e superficielle coïncident souvent avec une forme particulière delà région sacrée. Le sillon inter- fessier est ouvert à s
ité pelvienne; utérus et vagin doubles; infun- dibulum cutané de la région sacroococcygienne (Bull. Soc. anatomique, pp. 309
p. 483). 48 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D 14 LA StlLl'1'l'lill.lal : . région lombaire. Cette plaque velue qui a souvent la for
nte donc aucun des caractères d'hyper- tricbose localisée, dans une région qui permet de soupçonner, un rapport entre l'ex
. 1. Ohmann-Dumcsnil, Circumscribed hyperlrichosis in the llllllbar région , (Journal oj culaneous and genito-urinrtry dise
eurs spontanées qu'on observe parfois chez les hystériques dans les région anesthésiées. A quelles causes fallait-il attri
pour faire pièce à l'hystérie masculine, comme on a dans les mêmes régions discuté et ergoté sur l'hémianesthésie et sur l
nt l'abdomen du thorax, au-dessous de l'appendice xyphoïde, dans la région épigastrique. En même temps les douleurs contin
bature, à ce moment c'étaient des élancements très violents dans la région lombaire, a à crier », qui nécessitèrent l'emploi
un autre médecin lui fit des applications de pointes de feu sur la région lombaire de la colonne vertébrale. Mais aucun d
urs. Elles sont absolument continuelles, occupant principalement la région lombaire de la colonne vertébrale, lancinantes,
icieuse caractérisée par ce fait que, de la partie supérieure de la région dorsale à la pointe du sacrum, elle suit dans s
re à concavité dirigée en avant et à peine atténuée au niveau de la région lombaire. ? ? « Enfin, au point de vue de la fo
éformation osseuse a pour effet la suppression presque totale de la région des reins et complète de la région du flanc, sa
suppression presque totale de la région des reins et complète de la région du flanc, sans parler de la diminution de hauteur
membres inférieurs. On provoque une douleur vive en percutant la région lombaire de la colonne vertébrale, en appuyant
eux faisceaux éloignés se 'contractent 1. ensemble, de sorte que la région est animée d'ondulations lentes. Les réactions
té soumis àdes cautérisations superficielles du cuir chevelu sur la région pariéto-frontale droite, cautérisations répétée
ur insuppor- table dans le bas du dos, à la partie inférieure de la région lombaire et sur la ligne médiane ; cette sensat
on de l'ouïe du côté droit; douleur provoquée par la pression de la région ovarienne gauche. , La malade a été réglée pour
éristiques, l'un dans la fosse iliaque droite, l'autre dans la même région à gauche. Il existe aussi un point sous-mammair
constate la présence de deux points hyperesthésiques, l'un dans la région ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La
e dans l'atténuation des angles et des saillies qui se forment à la région dorsale d'une main normale fléchie, -de telle sor
, -de telle sorte que la main-bote dont il s'agit présente, dans sa région dorsale, une surface régulièrement convexe se c
. Les cordons latéraux depuis le renflement cervical jusque dans la région dorsale ont une coloration grisâtre, et présenten
grise. Les racines antérieures sont minces et grises dans ces deux régions . Il n'y a rien au bulbe ni dans l'encéphale. Ex
e sclérose type. Sur les coupes (après durcissement) on voit : à la région lombaire, une alté- ration considérable des deu
ornes posté- rieures et la substance blanche sont intactes. Dans la région dorsale et dans la région cervicale, il existe
substance blanche sont intactes. Dans la région dorsale et dans la région cervicale, il existe des lésions analogues de la
bstance grise de la moelle épinière, sclérose plus accusée dans les régions du névraxé correspondant aux membres atteints pen
s infiniment. Voici le résultat de l'examen que nous avons fait des régions cervicale, dorsale, et lombaire de la moelle ép
. De là sans doute le peu d'intensité des déformations en certaines régions et leur développement caractéristique en certai
e droite et aussi un peu de diminution de la sensibilité dans cette région , l'acuité visuelle n'était pas modifiée, l'amé-
otons spécialement que la moelle allongée, le pont de Varole et la' région des tubercules quadrijumcaux furent examinés su
intéressant à la fois les noyaux moteurs de la moelle et ceux de la région bulbo-protubérantielle. C'est ainsi qu'on peut
tion systématique limitée aux noyaux moteurs de l'une ou de l'autre région . Les observations que nous rapportons prouvent
M. le professeur Charcot (Suite') 1) Examen histologique. Moelle. Région cervicale. -On est frappé tout d'abord de l'app
s anté- rieures correspondantau groupe cellulaire antérieur.' Cette région est constituée par une substance homogène presq
erveuses des cornes antérieures, très raréfiées dans le reste de la région , ont tout à fait disparu à ce niveau. De même l
éro- externes. Fig. 3. - Coupe du nerf médian de polynévrite à la région inférieure de l'avant-bras, colorée à l'acide o
le interosseux de polynévrite colorée parla méthode de Weigert : a, région du muscle sclérosé, où les fibres persistent avec
s; a", presque normales, et entourées d'un tissu conjonctif dense; d, région du muscle extrêmement dégénéré où les fibres ne
bres musculaires; /., sa gaine lamelleuse ; i, artériole. Fig. 5. - Région dégénérée de la corne antérieure de la moelle de
tement colorées. Des cellules analogues se remarquent dans toute la région , et malgré cette prolifération on ne constate p
bres nerveuses ont disparu. La sclérose est exactement limitée à la région qui correspond à Kys du schéma de Flechsig. Les
indemnes. Les méninges ne présentent non plus aucune altération. Région dorsale. -Les lésions ont .ici la même distributi
à peine reste-t-il une bande péri- phérique de tissu sain. Dans la région la plus lésée, on observe au niveau du tissu fi
entent soit des débris de tubes nerveux, soit de la fibrine. z La région externe de la corne présente un petit foyer hémor
d'une zone hémor- rhagique. Du reste, on trouve disséminés dans la région sclérosée des globules rouges au milieu d'une s
d'une substance granuleuse claire qui paraît être de la fibrine. Région lombaire. Bien que très évidente encore, la lésio
rès évidente encore, la lésion n'est pas aussi accusée que dans les régions supérieures. Les cellules des cornes antérieure
rnes antérieures de la moelle. Le maximum d'altérations siège il la région dorsale, ce qui explique assez bien la paralysie
des cornes. Ces dernières altérations présentent dans les diverses régions la topographie clas- sique du schéma de Flechsi
ume de la main offre l'aspect d'une surface plane, la peau de cette région est lisse et tendue. Sur le dos de la main, on
ès affaiblie et les courants électriques sont peu sentis dans cette région . Aucune douleur, aucune crampe ne se fait senti
te région. Aucune douleur, aucune crampe ne se fait sentir dans les régions atrophiées; malgré toutes les excitations de la
enseurs. La sensibilité cutanée électrique est très vive dans cette région . Dans les autres régions du corps, les muscles
cutanée électrique est très vive dans cette région. Dans les autres régions du corps, les muscles sont intacts comme volume
t minutes avec la pile d'Onimus ; le pôle positif est appliqué à la région cervicale, le pôle négatif alternativement sur
t la colonne vertébrale, on réveille une douleur assez vive dans la région cervico-dorsale (irritation spinale). La températ
ise se dessine très bien et paraît un peu injectée, en les diverses régions de l'organe. Au membre supérieur, l'atrophie po
a cello'idine. Des coupes ont été pratiquées méthodiquement dans la région cervicale supérieure, moyenne et inférieure, da
dans la région cervicale supérieure, moyenne et inférieure, dans la région dorsale moyenne et inférieure, et dans la régio
nférieure, dans la région dorsale moyenne et inférieure, et dans la région lombaire supérieure et moyenne. Elles ont été tra
s la substance grise des cornes antérieures, principalement dans la région du renflement lombaire, il existe une diminution
il éprouva également des douleurs en coups d'épingle dans les mêmes régions . La sensation de froid aux jambes, de glace sou
ns vu que le cou-de-pied était gonflé ; or, il existe dans toute la région tibio-tarsienneune certaine chaleur très apprécia
mbes et du dos du pied sur une faible étendue. Sur la limite de ces régions et au niveau des mains le frôlement du pinceau
ûre, ne déterminent aucune dou- leur. Sur la zone limitrophe de ces régions la piqûre produite par l'épingle est de mieux e
otubérance. Les tubercules ne sont pas extrêmement rares dans cette région , et ce sont même les plus fréquents relativemen
blement un autre, situé non plus dans la protubérance, mais dans la région mo- trice de l'écorce du cerveau, du côté gauch
ule, l'un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la région motrice corticale ou sous-corticale du côté gau
rès avoirfait le même diagnostic, huit ventouses scarifiées dans la région fessière droite. Le 6 novembre, souffrant davan
groupe musculaire que dans un autre. Elle est très visible dans la région fessière,où, derrière le grand trochanter, règne
xcavée, large de trois ou quatre travers de doigt et qui donne à la région un aspect qui contraste singulièrement, avec le r
n constate ordinairement dans les moelles séniles. D'autre part, la région des cornes ne présentait en aucun point de sclé
dans lesquels on ne peut déceler d'altérations fondamentales de la région motrice de la moelle. Il ne serait donc pas l
veuse motrice et de la fibre musculaire, mais encore et surtout des régions correspondantes de l'écorce cérébrale, qui en re-
ied droit : c'est à peine si le pied gauche présentait dans la même région une légère tuméfaction. Depuis cette époque, c'
uellement au pied et à la jambe, ou plus rigoureusement à certaines régions de ces deux seg- ments qu'il nous faut préciser
sans atteindre le genou, qui est tout à fait normal. Au niveau des régions hypertrophiées la peau est lisse et unie (élé-
flammation ancienne, d'ulcération, etc. , Par contre, au niveau des régions oedématiées, la sensibilité est alté- rée. Le c
IE DE LA SALPÈTRIÈRE.. inaperçue, aussi bien que l'inflammation des régions affectées, dont la malade ne semble pas avoir g
de trente-sept ans, frappée d'une grosse pierre à l'occiput et à la région pariétale, perd connaissance. Elle a une hémorrha
un symptôme caractéristique quoique non constant d'une lésion de la région nu- cléaire. L'observation de Lichtheim compl
endre plus tard, et finit dans les cas exceptionnels par envahir la région de l'oculo-moteur. Parmi les noyaux nerveux éta
aralysie infantile (PI. XLIII). 11 s'agit d'une coupe faite dans la région cervicale de la moelle d'un adulte ayant subi une
à la sclérose en plaques. La planche XLIV reproduit une coupe de la région cervicale supérieure de la moelle, relativement
e suivante XLVI reproduit une coupe de sclérose en plaques dans une région extrêmement altérée : seules les zones margi- n
usée dans la dernière. La moelle n'est guère reconnaissable dans la région cervico-dorsale, presque complètement détruite
substance médullaire forme les parois aplaties de cette cavité. La région dorsale inférieure est, elle aussi, un peu élar
y remarque la sclérose descendante des cordons laté- raux. Dans la région lombaire enfin, la cavité centrale et le gliome q
nt entourés d'une gaine d'une épaisseur considérable, même dans les régions où le tissu conjonctif est peu abondant, ainsi
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T III PL XLI11 PARALYSIE INFANTILE ( RÉGION CERVICALE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETR
EXPLICATION DES PLANCHES Planche .lGlll. - Paralysie infantile ; Région cervicale, a, Corne antérieure normale ; b, Cor
éral; f, Cordon postérieur. Planche 1 LIV. - Sclérose en plaques. Région pou altérée ; a, Cordon antérieur sain; b, Cord
RAPHIE DE LA SALPÊTRIËRË. Planche 1L1'I. - Sclérose en ]>laques. Région très altérée; a, Partie saine; b, Zone mar- gin
r- ginale peu sclérosée; c, c', Faisceaux latéraux très altérés; d, Région du faisceau de Turck sclérosée; e, Partie posté
oison postérieure très épaissie. Plarlclae 1G1'll. - Sringomélie. Région cervicale : », Corne antérieure; b, Cavité du g
Faisceau pyramidal dégénéré. , Planche \G1'lll. - Syringomijélie. Région CI'41C0-dUl'SaIC : a, Corne antérieure; b, Ca-
stérieure; g, Racines postérieures. Planche 1Gl1. - Syringomijélie. Région dorsale inférieure : a, Corne antérieure; b, Ca-
Corne postérieure. Planche LI. - Myélite (fort grossissement) : a, Région peu altérée; b, Région très altérée : c, c', Va
lanche LI. - Myélite (fort grossissement) : a, Région peu altérée; b, Région très altérée : c, c', Vaisseaux à gaines épaiss
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T Ili PL XLVI SCLÉROSE EN PLAQUES ( Région TRÈS ALTERÉE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE . T 111 PL XLVIT SYRINGOMYELIE ( RÉGION CERVICALE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE £ T. III PL XLVIII SYRINGOMYELIE ( RÉGION CERVICO-DORSALE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE T 111 PL XLIX SYRINGOMYÉLIE ( RÉGION DORSALE INFÉRIEURE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
7. Bâillements hystériques, 18; état normal, 17. Carcinose de la région lombaire de la co- lonne vertébrale, 10, 11, 12
7. z Poliomyélites et polynévrites, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63. Région lombaire (Plaque velue de la -), 29. Région sac
59, 60, 61, 62, 63. Région lombaire (Plaque velue de la -), 29. Région sacro-coccygienne (Configuration anormale de la
26 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ite. Il y a bien eu, dès le dé- but, une certaine pesanteur dans la région lombaire, mais jamais de douleurs vives, rien a
classique de la spondylose rhizomélique ; couchée, le bassin et la région lom- baire reposant sur le plan du lit, les gen
de la redresser, impossible de la fléchir davantage ; par contre la région cervicale est absolument libre; la tête se tour
- pation n'a fait reconnaître aucune hyperostose en aucun point des régions malades. La malade d'ailleurs ne présente auc
morales en flexion, adduction et rotation interne ; elle atteint la région cervicale, s'accompagne de craquements, se compli
ne ; aucun craquement, aucune exostose ; in- tégrité complète de la région cervicale ; régression spontanée des acci- dent
rares. Le tissu conjonctîf intrafasciculaire ne forme plus dans ces régions une gangue interstitielle continue et dense ; il
urront se reconnaître par leur persistance et leur localisation aux régions attein- tes par l'atrophie musculaire. Il y a l
ltérations des nerfs périphériques\* sans savoir à partir de quelle région el les se sont établies ni où elles avaient \ l
ais il y a une légère augmentation de la névroglie qui en certaines régions envahit la totalité des cordons postérieurs. ,
cines rachidiennes antérieures ne sont pas hypertro- phiées dans la région cervicale; les racines postérieures le sont du ha
eures sont hypertrophiées également, mais notablement plus dans les régions inférieures que dans la partie supé- rieure de
un aspect tout à fait normal. Au niveau de Ll et des coupes de la région dorsale les cellules de la colonne de Clarke so
par l'hydrothérapie et par l'ap- plication de pointes de feu sur la région vertébrale. Au bout d'un mois les phénomènes cé
face externe de l'os,si bien que celle-ci en avant des muscles de la région antéro-externe de la jambe est anormalement acc
ement accessible sur une étendue de 2 à 3 centimètres environ. La région de l'épiphyse tibiale inférieure ne participe pas
i com- mence. Le teint du visage est rose et frais. Les différentes régions de la face sont proportionnées. On n'observe pa
double menton. Le tronc est très riche en tissu adipeux et dans la région mammaire les téguments font un pli extrêmement ma
êmement marqué. Les mamelons sont enfoncés et par la palpation dela région mammaire on ne parvient pas à découvrir des nod
L'abdomen, rond et saillant à cause de l'obésité, présente dans la région de la ligne blanche un développement modéré « d
t, en passant en revue la morphologie squelettique de chaque grande région . Dans la myologie, chaque muscle se trouvait dé
ent déjà une note de Paul Richer sur L'anatomie morphologique de la région lombaire. Je me souviens encore de l'épisode qu
nu à la Salpêtrière, souffrant depuis longtemps de douleurs dans la région lombaire. L'examen fit rapidement reconnaitre q
sion brutale ? Parce ce qu'un médecin avait conclu une tumeur de la région : il avait pris les saillies normales des apoph
sur la Morphologie du cou, à propos du prétendu gonflement de cette région dans la crise d'hystérie. Puis, une Note sur le p
a saillie qui le surmonte est due à la graisse accumulée dans cette région , et non pas à une masse musculai- re (1). Ici e
. Eu outre, ce pan- nicule est d'épaisseur fort inégale suivant les régions . Dans certaines par- ties du corps il s'accumul
rphosent les contours osseux ou musculaires sous-jacents. Témoin la région du flanc avec les fossettes lombaires qui en dé
rficielles et visibles que profondes et invisibles, en comparant la région normale et la région déformée. « La méthode d
s que profondes et invisibles, en comparant la région normale et la région déformée. « La méthode dermographique, dit Lann
qui se confient à ses soins. Il doit répéter très souvent dans les régions UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 111 saines la reche
e à tous les muscles de la jambe et surtout accusée dans ceux de la région antérn-externe ; le biceps sural est le moins a
sur plusieurs autres fragments prélevés à différentes hauteurs des régions dorsale et cervicale,sur le bulbe et la protubéra
e, Weigert. Moelle.- A l'oeil nu on voit déjà qu'il existe, dans la région sacro-lombaire sur les coupes de S 1,S et des 4
moins accusées, à celles décrites dans la racine gauche. Dans la région dorso-cervicale de la moelle il n'existe ni dans
oliomyélite (PI. XXVIII). La corne gauche cependant semble, dans la région dorsale, un peu plus petite que la droite, mais
Méninges normales, sauf un léger épaississement de la pie-mère à la région sacro-lombaire de la moelle. Bulbe. - Protubé
opsies montreraient en effet des lésions poren- céphaliques dans la région motrice de la corticalité qui, selon Strümpell,
céphalite, selon Strümpell, s'observait fréquem- ment dans d'autres régions de la corticalité, en dehors de la zone motrice.
peut aussi se localiser dans la substance blanche et dans d'autres régions du cerveau. Il maintient cependant l'en- céphal
e une forme d'encéphalite avec locali- sation prépondérante dans la région motrice du cerveau, qui ordinaire- ment ne mena
loureux. Après plu- sieurs heures de ce travail, il éprouva dans la région palmaire de la main gauche une douleur vive qui
oche en proche, le poignet,la partie inférieure de l'avant-bras, la région du coude, partie inférieure du bras, puis se perd
strueux, d'aspect éléphantiasique, dans toutes ses parties, sauf la région supérieure du bras. La couleur est blanchâtre,
a région supérieure du bras. La couleur est blanchâtre, sauf sur la région dorsale de l'avant-bras qui est rou-' geâtre, r
ouflement par empâtement effaçant tous les reliefs du membre ; à la région dorsale de la main, l'oedème donne l'aspect à p
ou la section du tronc ner- veux d'où partent les vasomoteurs de la région enflammée, font rapi- dement apparaître- l'oedè
e but on a prélevé dans la ligne d'amputation, c'est-à-dire dans la région du coude des fragments des nerfs médian et cubi
ir. Pour mieux étudier cette disposition un petit fragment de cette région a été débité en coupes pa- rallèles à la direct
es divers éléments des tissus conjonctifs depuis le derme jusqu'aux régions profondes. Mais il est né- cessaire de faire re
l'oedème est localisé à l'extrémité inférieure. Comme d'habitude la région fessière ne participe pas à l'oedème. Il n'inté
ns. Dans l'autre cas de Hertoghe,où le trophoedème localisé dans la région faciale est congénital, il a été noté également
op/t6Bdéme hystérique, Journal des méd. praticiens de Lyon et de la région , 31 déc. 1903. LANNOIS. - Trophoedème chez une
ais constitue une épaisse pèlerine qui presque sans pli passe de la région cervicale à la région dorsale. L'infiltration p
sse pèlerine qui presque sans pli passe de la région cervicale à la région dorsale. L'infiltration par son abondance ne pe
nfé- rieure de l'abdomen et de la poitrine est moins épais dans les régions supé- rieures du thorax et dans la zone sous-cl
âtement qui est peut-être le stade de début de l'adipose. Dans la région poplitée un sillon transversal profond, allant d'
umulation maxima au niveau de la face supéro- externe de la cuisse, région qui est normalement chez la femme le siège de d
Z UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE ET AVEUGLE 171 breuses squames. Dans les régions à adipose dense elle est lisse, adhérente sans
ge. On ne voit point de poils sous les aisselles et presque point aux régions génitales. - Les troubles vaso-moteurs et tro
violet foncé à son centre, moins asphyxique à la périphérie. Cette région est froide, indurée, des tractus fibreux plisse
lle et des taches ecchymotiques se rencontrent tout autour de cette région , Point de dermographisme. Les différents appa
des aponévroses superficielles, ni de la graisse, qui, en certaines régions , joue un si grand rôle dans la forme extérieure.
insèrent, aussi bien que la fantaisie des saillies qui meublent la région sous-scapulaire. Enfin, dans la région du flanc
des saillies qui meublent la région sous-scapulaire. Enfin, dans la région du flanc, les replis que l'on voit seraient peut-
actitude de la muscula- ture du dos est incontestable. Mais dans la région fessière où le moulage est très difficile à fai
n sait combien la sta- tion hanchée modifie la morphologie de cette région . « Les plus grosses fautes apparaissent dans la
gie de cette région. « Les plus grosses fautes apparaissent dans la région du genou. En ar- rière, la partie inférieure du
se. En effet, en rendant impossible la comparaison entre deux mêmes régions de chaque côté du corps, ruina du coup la démon
i rend difficile et même impossible la dé- monstration de certaines régions . , 1 UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 179 « 2° La fa
que des aponévroses superficielles dont l'importance dans certaines régions n'est pas moindre. « Sur aucune, la comparaison
es du nu. La comparaison serait ainsi facilement établie entre deux régions analogues dont l'une,disséquée, donnerait l'exp
explication dans l'ostéologie et la musculature, puisqu'il est des régions où la graisse et les aponévroses . jouent un rô
és les muscles qui jouent un rôle dans la forme extérieure de cette région , le masséter et le temporal. Les pau- ciers de
res est d'une grande exactitude. On remarque en particulier dans la région thoracique, la forme du grand pectoral au repos
érieure, et, par comparaison avec le côté op- posé, le modelé de la région mammaire où la graisse joue un rote qui n'est p
s droits de l'abdo- men légèrement distendus. Par contre, dans la région scapulaire, les muscles apparaissent contrac- t
écorché à gauche et du nu à droite permet d'apprécier pour une même région l'importance du rôle morphologique de la graiss
ortance du rôle morphologique de la graisse, en particulier dans la région du flanc et de la fesse. Inutile ' d'ajouter qu
tales, la partie supérieure du tronc encéphalique (capsule interne, région sous-optique et pédoncule cérébral) ; de même l
a coupe représentée (fig. 1) passant par la partie supérieure de la région sous-optique, et intéressant les tubercules qua-
e Reil médian (exception faite de sa portion la plus interne) et la région avoisinante de la substance réticulée. Elle s'a
de partie dégénérés. ' Le foyer primitif enfin se termine dans la région inférieure du pédoncule, au niveau de l'apparit
cupe la partie externe du tronc encéphalique gauche, s'étend, de la région sous-thalamique supérieure la région pédon- cul
halique gauche, s'étend, de la région sous-thalamique supérieure la région pédon- culaire inférieure et s'arrête là, au ni
es fibres trans- 192 nossr ET ROUSSY versales du pont. 1° dans la région sous-optique, le foyer détruit la moitié postér
tie tout il fait postéro-inférieure du pulvinar. 2° Au niveau de la région pédonculaire supérieure, il détruit la plus grand
niveau du noyau rouge, elle occupe toujours avec prédilec- tion la région externe de celle-ci et détruit le ruban de Reil l
verrons ensuite les dégénérations ascendantes sur les coupes de la région capsulaire moyenne et supérieure et enfin les dég
entre la limite supérieure du foyer et le thalamus et intéressant la région sous- optique, on voit en dehors du centre médi
sous- optique, on voit en dehors du centre médian de Luys, dans la région du ru- ban de Reil médian, qu'il n'y a pas de d
an, qu'il n'y a pas de dégénération à proprement parler. Dans cette région cependant, il semble exister une certaine raréfac
e montre la figure 11, on voit que les fibres trans- versales de la région sont bien colorées et nombreuses mais que les fib
n foyer de ramollissement ancien, occu- pant avec prédilection , la région externe du tronc encéphalique gauche et s'étend
la région externe du tronc encéphalique gauche et s'étendant de la région sous-optique à la partie inférieure du pé- donc
le prouver. A la suite d'une blessure faite avec un couteau dans la région temporale gauche, le malade de Wernicke avait pré
ic, 1882. SYNDROME DE WEBER AVEC HEMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 203 régions internes et antérieures du pédoncule, tandis que
ant sous leur- dépendance presque exclusive la circulation de cette région ; au contraire, les collatérales de la même por
ait en effet, que dans les cas de lésions pédonculaires, lorsque la région de la calotte participe à la lésion, on peut ob
calotte (surtout sa partie externe) soit intéressée et qu'ainsi la région occupée par les fibres du ruban de Reil médian
sans pertes séminales. Le 8" jour, tache sombre de décubi- tus à la région sacrée. Fièvre 38° 8. Les phénomènes continuèrent
hes ou des bandes sombres et bleu-noires (coudes, omoplates, côtes, région sacrée, épine iliaque, jambes, talons). Pen- da
artères. Voici les résultats de l'examen histologique : (Pl. XL.) Région cervicale. Dans la partie supérieure juxlabulbair
égère des fibres nerveuses. Dans des segments plus inférieurs de la région cervicale on voit des nécroses dans le domaine
liques libres en abondance et des lymphocytes. En descendant à la région cervicale les altérations deviennent plus in- t
méninges molles présentent de la congestion et de la diapédèse. . Région dorsale. -A la région supérieure on trouve les mê
tent de la congestion et de la diapédèse. . Région dorsale. -A la région supérieure on trouve les mêmes lésions, mais pl
iveaux de la moelle dorsale ; elles dimi- nuent d'intensité vers la région lombaire. Région lombaire. Les lésions sont moi
dorsale ; elles dimi- nuent d'intensité vers la région lombaire. Région lombaire. Les lésions sont moins intenses. Les ce
te secondaire des faisceaux pyramidaux croisés. Les lésions dans la région sacrée vont en s'atténuant jusqu'au filum termina
vé aucun auparavant et d'autant plus qu'ils se sont déclarés en des régions très éloignées les unes des autres. Il me sembl
avant-bras ne participe pas au processus d'hypertrophie ; selon les régions il présente du côté droit un demi-centimètre à 1
e de C2 et un peu de C3, en arrière ca tout entier, c'est-à-dire la région du cou et de la nuque ; la sensibilité à la piqûr
de sensibilité ont une disposition ra- diculaire, variable avec les régions : dans une zone comprenant les 2° et 3e racines
i donc bien établie l'existence de lésions syringomyéliques dans la région cervicale. Mais la constatation de symptômes se
i se propagerait sur toute l'étendue de la moelle. Une lésion de la région cervicale parait suffire à expliquer l'hémianes-
hésie droite qui diminue légèrement à mesure que l'on considère une région plus inférieure. La paraplégie spasmodique bila
indique une irritation pyrami- dale qui peut fort bien siéger à la région cervicale dorsale. La parésie du bras droit ave
confirmation de l'atteinte importante de la moelle au niveau de la région cervicale droite et il faut donner la même sign
entes, paroxystiques. En no- vembre 1903 apparut une tumeur dans la région pariétale droite; A... fut tré- pané et l'exame
dit qu'elle lui fait mal. Cicatrice semi-circulaire récente dans la région pariétale droite. Fond de l'oeil gauche apparem
on cérébrale par augmen- tation de volume de l'encéphale. Dans la région de la F. S. à droite, la dure-mère est adhérente
bis). Le ventricule latéral gauche est tout à fait analogue dans la région occipitale ; un peu dilaté dans la partie front
morragies et fibres variqueuses au cervelet et dans l'oblongala. La région de la protubérance est déformée par pression ag
blir exac- tement les relations éventuelles avec les nerfs de cette région , entr'autres le VIII. Le bord médian du néoplas
ipitales et frontales qui sont le plus dilatées, soit parce qu'en ces régions le nombre et la profondeur des sillons sont rel
cette position, la tumeur, faisant en quelque sorte bouchon dans la région du foramen occi- pital et augmentant ainsi,la g
des fléchisseurs. Le nerf cubital est à sa place. Au niveau de la région du pli du coude, on constate que le réseau veineu
urt supinateur, très dé- veloppé ici, normalement inséré, occupe la région profonde et externe. L'avant-bras, dans l'ensem
l'avant-bras. Du côte interne de la face antérieure, partant de la région épitrochléenue, on voit deux muscles superficie
antérieure de l'extrémité infé- rieure du radius en dehors, vers la région correspondante du cubitus en de- dans et en bas
e profonde. HÉMIMÉL1E AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 297 A la région profonde et externe, on trouve le court supinateu
KLIPPEL ET BOUCUET supinateur pour arriver à la face dorsale de la région représentant le carpe, où elle devient extrêmem
nt par quelques branches les muscles superficiels et profonds de la région interne, puis les deux artères interosseuses, t
rajet vertical et aborde le bord externe et la face postérieure de la région correspondante au carpe et au métacarpe, où il
ù il s'étale sans limites précises sur le tissu fibreux dense de la région ; entre ces deux tendons passe l'artère radiale
açon suffisamment exacte une phase connue du développement de cette région du corps ; que, de même, la majeure partie de l'a
ste une articulation radio-cubitale inférieure. Les muscles de la région antérieure de l'avant-bras peuvent être divisés e
ux se font à la peau de l'ex- trémité du moignon. Les muscles de la région postérieure confondent en partie leurs insertio
n partie leurs insertions inférieures avec celles des muscles de la région externe. L'artère humérale se divise, au niveau
e est moindre dans les parties supérieures et n'existe plus dans la région sous-bulbaire ; elle s'atténue également de haut
le inséré sur le radius. Dissection du moignon. - Les muscles de la région externe de l'avant-bras existent, mais avec des
mmet du cône à la face profonde de la peau. Parmi les muscles de la région antérieure on ne distingue que le cubital antér
des doigts, insérés tous deux à la face pro- fonde de la peau. A la région postérieure, on trouve l'extenseur des doigts in-
main qui soit atteinte par la malformation. Cette main comprend une région carpienne et deux appen- dices qui rappellent a
zu mé- tacarpien ; le cubital s'insère sur un os pisiforme. A la région profonde de l'avant-bras, le fléchisseur commun s
reste, n'est pas constant à l'état normal. L'anomalie commence à la région profonde et antérieure de l'avant-bras qui offre
ches aponévrotiques intermédiaires aux deux branches de la pince. Région externe. - Rien d'anormal si ce n'est la gracilit
on métacar- pien ; elles interceptent entre elles un angle droit. Région postérieure. Extenseur commun des doigts. - Il es
ente le tibia (seul os do la jambe ici). Jambe. Pas de muscles à la région antérieure. En arrière, le triceps 312 KLIPPEL
u bourgeon cutané et se perd à la face profonde de la peau de cette région . Membre inférieur gauche. Cuisse. Tout est norm
ré- mité supérieure du tibia. Jambe. Il n'y a pas de muscles à la région antérieure. En arrière, les deux jumeaux existe
tre, interne, croise le tendon d'Achille et vient s'épuiser dans la région interne et inférieure de ces moignons. Les vein
du bras ne paraissent qu'ébauchés. Le biceps qui était le seul à la région interne, était très mince. Les deux tendons supér
selle pour se perdre dans les parties molles qui avoisi- nent cette région . Le second descendait obliquement en dehors en pa
vers la partie moyenne et ex- terne, pour se perdre ensuite sur la région externe du tronçon. Le 3e cordon, peu après sa
ndon du grand pectoral, et se perdait dans les parties molles de la région interne et antérieure de cette ébauche de bras.
e bord interne de l'olécrâne, plonge dans la masse musculaire de la région interne du moignon et disparaît au contactd'un
plati, mince, cartilagineux, est concave en arrière. Enfin, dans la région du talon, sur le prolongement du squelette du g
s os du tarse et se perd dans le tissu cellulaire sous-cutané de la région du talon, présentant la situation, la direction e
on s'approche du bord inférieur. Muscles. - Tous' les muscles de la région offrent un caractère commun , ils sont diminués
Court supinateur très bien développé ; insertions normales. C. - Région postérieure. Cubital postérieur. Son insertion se
use qui a duré cinq mois. A 16 ans, tuméfaction douloureuse de la région sous-maxillaire droite avec fièvre et rougeur d
t âge la malade commença à ressentir une sensation de lourdeur à la région inférieure du sternum et notamment à l'épigastr
suivent une déglutition difficile, on peut voir le côté droit de la région cervicale antérieure se gonfler con- sidérablem
di- verticule de la première portion de l'oesophage au niveau de la région sous- claviculaire droite. Voici, à présent,
i ne se fait plus chez nous que très exceptionnellement et dans des régions arriérées, mi- sérables et déshéritées. ' Il
n est pas de même en Espagne ou le maïdisme persiste en cer- taines régions et atteint 20 0/0 de la population. En Italie,
lgré la lutte vaillante menée par Lombroso durant toute sa vie, les régions de Bergame, Brescia, Venise, Padoue, comptent enc
t de saisir ce processus, incon- testablement néoformatif, dans une région normalement si pauvre en né- vroglie que Weiger
en préparation). , (3) ANGLAOE, loc. eu. ' TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVOLU- TIONS PARIÉTALES SUPÉRIEURES. H
rition d'unesaillie extra-cranienne, d'une «bosse » révélatrice. La région frontale pouvait être soupçonnée aussi bien que l
. Le malade est incapable de dire si la douleur commen- çait par la région frontale, occipitale, etc., du côté droit ou du c
en flexion de chaque côté. Les réflexes cré- TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉTALES 367 mastériens e
euse sur tout le som- met de la tète, est plus douloureuse en cette région . 9 octobre 1906. - La tuméfaction, due à un sou
s amincie dans sa totalité, sauf au niveau de la partie médiane de la région frontale. Au niveau de la tumeur elle est, au c
effet, une tumeur infra-crânienne, très volumineuse, qui occupe la région des lobules pariétaux supérieurs et la partie adj
matisme crânien de l'enfance. yeut, il quatre ans, un abcès dans la région du vertex, qui dura longtemps et nécessita l'em
rmet de soulever le siège de cet abcès, qui occupait précisément la région enva- hie plus tard par la tumeur. Mais le laps
TTE ET ARTOM On notait une cyphose de la colonne vertébrale dans la région dorsale. Au point de vue de la sensibilité, sur
e et la dure-mère sur la face posté- rieure de la moelle ; dans les régions cervicale et dorsale, les méninges parais- sent
jusqu'à s'ouvrir directement à la périphé- rie du côté droit. A la région dorsale, la cavité s'agrandit encore, et la moell
rapidement et se termine par une prolifération névrogtique dans la région juxta-épendymaire. Canal épendymaire. - Au-dess
exercée par la cavité et à la pro- lifération épithéliale. Dans la région dorsale supérieure, le canal s'ouvre dans la ca
des cordons postérieurs affectent la même topographie que dans les régions sus-jacentes. La dégénération des faisceaux ant
s faisceaux antérieurs et latéraux augmente de haut en bas, et à la région dorsale, il ne persiste au niveau des cordons lat
e la III" cervicale, occupant la corne postérieure gauche. Dans les régions sous-jacentes la cavité dé- truit les cornes po
étaient plus abondantes que les cellules basophiles ; dans d'autres régions la proportion de ces éléments était inversée; que
oportion de ces éléments était inversée; quelques vésicules dans la région hilaire contenaient de la substance colloïde. L
con- tusiformes, groupés sur le côté droit du front, jusque vers la région malaire en dehors ; en dedans débordant légèrem
n de la cornée ni de l'iris. Les douleurs spontanées, au niveau des régions occupées par les ecchymoses, sont extrêmement v
ée »,dit la malade. Le contact du doigt explorant très doucemeut la région est intolérable ; et la malade recule et se dér
clémosis diminue. Il n'y a plus trace d'ecchymose le avril, mais la région reste sensible à une pression légère. Le 6 ma
. Le 6 mai, au retour d'une permission passée hors de l'hôpital, la région est complètement normale. Le premier point à
de même encore que dans les zonas, la lésion déborde légèrement la région du nerf lésé, par retentisse- ment vers les ana
tisse- ment vers les anastomoses : d'où l'extension limitée vers la région gauche symétrique; etd'autre part le placard no
ade (1re observation), une ecchymose analogue s'étendait à toute la région externe de la jambe, surtout foncée dans le cre
it également si l'action de la compres- sion se fait sentir sur des régions similaires de l'embryon. La multiplicité des lé
ent sur la 'substance grise. Déjà à l'oeil nu on constatait dans la région cervicale in- férieure une diminution de volume
coupes histologiques, ces modifications apparaissent. déjà dans la région cervicale moyenne, et se poursuivent jusque dans
dans la région cervicale moyenne, et se poursuivent jusque dans la région dor- sale. Les cellules de la corne du côté d
s quarts à droite, velue d'une chemise, entr'ouverte au niveau delà région mammaire. L'artiste a tracé le visage avec une im
diagnostic possible de porencéphalie de l'hémisphère droit dans la région motrice chez un enfant épileptique, d'intellige
claviculaires sont exagérées, le thorax est déprimé au niveau de la région mammaire. La circonférence de la poitrine au ni
urs aux membres, mais une céphalée, localisée particulièrement à la région pariétale droite et ayant un caractère pulsatil,
colonne vertébrale présente une grande courbure cyphotique dans la région cervicale et dorsale. Le genou droit est très g
tabilité des muscles de la jambe, particulièrement remarquable à la région postérieure ; aux cuisses, au quadriceps ; seul
re a son explication'simplement dans le siège de la lésion dans les régions médullaires en rapport avec le grand sympa- thi
d'une altération de la sécrétion,lymphatique, qui peut frapper une région plus ou moins étendue, plus ou moins profonde d
'être que celle de déterminer la prépondérance du processus sur une région déterminée ou peut-être aussi,au moins dans cer
ns certains cas,de le créer de toutes pièces mais seulement dans la région atteinte par l'oedème. Mais en tout cas rien ne p
position de deux doigts de la main gauche derrière la tête, dans la région occipitale, suffit à faire disparaître le spasm
alvanique que pour le courant faradi- que. Les autres muscles de la région (trapèzes, deltoïdes, pectoraux), ne présentent
s 4 jours, il se plaint d'une douleur dans l'épaule gauche, dans la région du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements
a tête en arrière. La douleur de l'épaule gauche, qui partait de la région postérieure de l'omoplate, semblait avoir passé s
xtrême- ment violentes et franchement douloureuses, surtout dans la région de l'épaule gauche ; la douleur prend même dans
gion de l'épaule gauche ; la douleur prend même dans cette dernière région une acuité des plus pénibles ; tout exercice de
ont à peu près disparu ; il reste seulement des soubresauts dans la région du larynx et des arrêts des mouvements respiratoi
e-ci encore in- complète, si on pense exécuter un mouvement dans la région atteinte ou à l'immobiliser, il est rare que ne
uque presse violemment sur la partie voisine du trapèze et toute la région de ce côté est tendue et souvent douloureuse. 4
tion dorsale du faisceau longitu- dinal postérieur, au niveau de la région pédonculaire dans le côté droit, et on trouva t
ement chirur- gical (1 pi.), 459. Souques. Tumeur cérébrale de la région des clcnuvolutious pariétales supérieu- res(2
27 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
dont il s'agit, peuvent frapper la plupart des tissus et occuper les régions du corps les plus diverses : \apeau, par exemple,
chat, qui survécut près de trois mois à la destruction complète de la région lombaire de la moelle épinière, se développèrent
e la moelle épi-nière, on peut voir se former, principalement sur les régions soumises à la pression, des ulcérations, voire mê
du système nerveux, n'ont pas le pouvoir de l'aire naître dans les régions éloignées d'autres troubles de la nutrition que c
dé propreté les plus minutieux; elles se développent surtout sur les régions du corps soumises à la pression, au frottement, a
vu, en pareil cas, une éruption de zona occuper, à droite, toutes les régions de la peau où se distribuent les branches du plex
e-même, était épaissie et dédoublée en deux lamelles, surtout dans la région des 9e, 10e et 11e racines dorsales. Bien que les
cas de méningo-névrite spinale localisée à la partie inférieure de la région cervicale. L'érythème, le zona, l'atrophie musc
qui peut être quelquefois aisément reconnue, pendant la vie, dans les régions où ils sont superficiels, au coude, par exemple,
e blanche, et si, parfois, l'axe gris est envahi, elles respectent la région des cornes antérieures, ou épargnent tout au moin
s les grandes cellules nerveuses multipolaires qui siègent dans cette région . Telles sontles diverses formes de la sclérose fa
nées, l'une des plaques scléreuses avait envahi, vers le milieu de la région cervicale, la presque totalité de la substance gr
arque suivante : Elles siè-gent le plus communément sur unpoint de la région dorsale de la moelle épinière qu'elles occupent d
de cette participation de l'axe gris, resteront limitées à certaines régions très circonscrites du thorax ou de l'abdomen même
, loc. cit. : Fracture de la co-lonne vertébrale vers le milieu de la région dorsale. — Moelle épinière ramollie dans l'étendu
épinière ramollie dans l'étendue de plusieurs pouces, au niveau de la région dorso-lombaire. — Affaiblissement de la contracti
ue, plus dense, parsemée de Fig. 2, — Coupe de la moelle faite à la région lombaire. — G, corne anté-rieure gauche, saine, a
condaire-ment, lanévroglie et s'étend deproche en proche aux diverses régions des cornes antérieures; mais cela n'est nullement
altéra-tion profonde d'un grand nombre de cellules motrices, dans les régions de la moelle d'où émanent les nerfs qui se renden
pro-gressive ; bon nombre d'entre elles sont épargnées, même dans les régions les plus profondément atteintes, jusque vers les
e manifeste sur les membres frappés de paralysie, principalement à la région fessière ; son importance au point de vue du pron
gu dans les maladies de la moelle épinière : il siège en général à la région sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésio
où siègent les douleurs les plus vives. Chez une autre, la peau de la région fessiôre droite s'est couverte d'une éruption de
derme dans la presque totalité de son épaisseur, se produisit sur la région sacrée du côté droit, àquelques centimètres de la
auche, et une éruption pustuleuse se développa bientôtsur la peau des régions où se distribue ce nerf. Un caractère commun à
de chromique et examinée à l'aide de coupes minces, dans ces diverses régions , ne présente aucune altération appréciable. — A l
hlegmo-neuse, qui peut s'accompagner parfois de douleurs vives, si la région n'était pas au préalable frappée d'anestliésie.
sieurs fois, rester limitée aux lobes antérieurs du cerveau, dans les régions correspondant au fond de l'ulcère. A ces compli
d. Il affecte d'ailleurs un siège tout particulier. Ce n'est pas à la région sacrée, ainsi que cela a lieu si communément dans
e érythé-mateuse. parties médianes, mais bien vers le centre de. la région fessière, et, le plus souvent, s'il s'agit d'une
isait issue sous forme de champignon à travers ce dernier orifice. La région temporale et la paupière supérieure du côté droit
plus vraisemblable qu'il faut invoquer ici l'irritation de certaines régions de l'encéphale, qui auraient, dans l'état normal,
épi-nière, il se manifeste dans la très grande majorité des cas, à la région sacrée —par conséquent au-dessus et en dedans du
titudes joue ici un rôle important. Ainsi, il Fig. 4.—Eschare de la région sacrée dans un cas de myélite partielle sié-geant
e de la région sacrée dans un cas de myélite partielle sié-geant à la région dorsale de la moelle épinière. — a, Partie mortif
'eschare sacrée, de vastes ulcérations nécrosiques se déve-lopper aux régions trochantériennes. Il esf assez commun d'ailleurs,
vérité trèsrarement, au niveau de lapointc des omo-plates, ou sur les régions olécrâniennes (1). D'une manière très générale,
rès l'accident. Dès Je deuxième jour, il exis-tait de la rougeur à la région sacrée, et une bulle s'était formée au niveau du
de la quatrième vertèbre dorsale ; une eschare confirmée occupait la région sacrée, dès le quatrième jour. — L'eschare survin
lendemain, érections continuelles ; « il survint des phlyetènes à la région du sacrum », et, ce même jour, « le malade recouv
eschares n'ont été notées que trois fois à la suite des lésions de la région cer-vicale (1/41 p. 100), 12 ibis (9,23 p. 100) p
de la région cer-vicale (1/41 p. 100), 12 ibis (9,23 p. 100) pour la région dor- 1. Cité par Ollivier (d'Angers), loc. cit.
rlt, loc. cit., p. 94, analyse de 270 cas. sale, tandis que pour la région lombaire la proportion s'est élevée à 12/100 (7 c
hie, 1867. 2. Dans un cas de fracture de lacolonne vertébrale, à la région dorsale, ob-servé par J. Ilutchinson, dès le seco
s fait remarquer déjà, sur le membre du côté opposé où elle occupe la région sacrée et la fesse dans le voisinage immédiat de
cupe la région sacrée et la fesse dans le voisinage immédiat de cette région . Cette dis-position particulière de l'eschare par
aumatique por-tant sur une moitié latérale de la moelle épinière à la région dorsale, la paralysie du mouvement survenir dans
loppe dans le genou du membre paralysé, tandis que, au voisinage delà région sacrée,, la fesse du membre, privé de sensibilité
normale. Le onzième jour, il s'est produit une eschare qui oc-cupe la région sacrée et s'étend sur la fesse du côté droit. Ce
se, suivant toute apparence ,n'est autre que l'extension, à certaines régions du segment inférieur de la moelle, du travail phl
e jours après l'accident, une escharé avait commencé à se former à la région sacrée, et l'urine qui s'écou-lait de la vessie é
e^ témoin le cas cité plus haut, de Duriau, où la mortification de la région sacrée était déjà prononcée quatre jours seulemen
On peut voir survenir encore la mortification rapide du derme de la région sacrée, même dans les maladies spinales à évolu-t
me, le fait dominant, toujours présent, c'est l'irritation vive d'une région plus ou moins étendue de la moelle épinière, se t
s cas d'hématomyélite aiguë, centrale, où lalésion occupe surtout les régions centrales de la moelle épinière, semble désigner
nt de vue particulier, il y a lieu de reconnaître dans la moelle deux régions douées de propriétés très distinctes. Or, comme c
elle deux régions douées de propriétés très distinctes. Or, comme ces régions peuvent être affectées soit séparément, soit simu
breux de myélite traumatique occupant un point élevé de la moelle,—la région cervicale, par 1. Loc. cit. p. 252. exemple,
, par 1. Loc. cit. p. 252. exemple, ou la partie supérieure de la région dorsale, —faits dans lesquels le déeubitus aigu s
région dorsale, —faits dans lesquels le déeubitus aigu survient à la région sacrée, et assurément sans participation directe
s'était développée rapidement sur la partie gauche, au voisinagede la région sacrée. Déplus, laface interne du genou gauche, d
érieure de la moelle et s'étend de-puis la queue de cheval jusqu'à la région cervicale. La moelle elle-même, exa-minée d'abord
tait devenue complète le 9 février. Le 23 du même mois, la peau de la région sacrée présentait une plaque érythémateuse qui, l
yant pris origine au voisinage d'un tubercule solitaire siégeant à la région cervicale de la moelle, M. Gull signale la format
u côté du corps où siégeait la lésion arti-culaire. Elle affectait la région cervicale dans le premier cas où l'arthropathie o
arthropathie occupait l'épaule ; elle siégeait un peu au-dessus de la région lombaire dans le second cas qui présentait un exe
-semblable que, en s'étendant de proche en proche, jusqu'à cer-taines régions des cornes antérieures de la substance grise, le
t du cerveau, résultent, elles aussi, de l'envahissement de ces mêmes régions de la substance grise de la moelle épinière. Dans
feste souvent dans le temps môme où les eschares se dé-veloppent à la région sacrée ; elle se rattache aux lésions des voies u
purulentes, dans le temps môme où les es-chares se développaient à la région sacrée, où la contractilité électrique commençait
rent de bonne heure qu'on voit les eschares se former rapidement à la région sacrée (Loc. cit., t. II, p. 37). 2. Traube. —M
tion marquée de la température a été plusieurs fois constatée sur les régions du corps où se développait une éruption de zona c
ia, 1872, p. 175. Dans deux cas de plaie du nerf avec glossy skin, la région occupée par la lésion trophique était de 1 à 2 de
upée par la lésion trophique était de 1 à 2 degrés plus chaude que la région correspondante du membre sain. Mais au-dessus de
duire la dilatation des vaisseaux et conséquemment l'iiypérémie de la région dans laquelle ces nerfs se distribuent. Tandis qu
ou névralgiques, parfois des plus vives, et occupant le membre ou les régions du membre, qui bientôt seront pris, mais secondai
Chargot. Œuvres complètes, t. i. 12 fait spécialement sentir à la région épigastrique et sur le dos, Toutefois les membres
. —Coupes transversales: zone périphérique ; — zone de transition : — région centrale. — Coupes lon-gitudinales. — Altérations
sept uni lucidum, le corps calleux (Pl. VII) et enfin dans certaines régions de la substance grise (Couches optiques, corps st
simultanément les olives, les pyramides, les corps restiformes et la région posté-rieure où sont étages les noyaux d'origine
ne, que l'on aperçoit bien les lé-sions. Elles intéressent toutes les régions de la moelle (cervi-cale, dorsale, et lombaire) ;
êt qui s'y at-tache. Vous voyez, en effet, les plaques siéger sur des régions très diverses des centres nerveux, suivant les ca
e, dans la substance grise, un rôle important ; il est, en effet, des régions de celle-ci qu'elle constitue d'une manière presq
ilées se montrent plus nombreuses que partout ailleurs dans certaines régions de la substance grise et qu'elles sont parfois te
ment de veux ne s'éloigne guère de la structure de celui des autres régions . (Ranvier. — Sur les éléments conjonctifs de la m
nt progressivement, de plus en plus, à mesure que l'on approche de la région centrale de la plaque, région où elles acquièrent
plus, à mesure que l'on approche de la région centrale de la plaque, région où elles acquièrent leur plus haut degré de dével
à s'effacer de plus en plus (1). c) C'est — vous le savez — dans la région centrale de la plaque scléreuse que l'on observe
ent jamais au centre de la plaque de sclérose, c'est-à-dire flans les régions où la métamorphose fibrillaire et fe travail de d
clérose en plaques, quand les îlots scléreux occupent, dans certaines régions de lamoelle, une assezgrande étendue, en hauteur,
partie de l'épaisseur de ces cordons, clans toute l'étendue d'une des régions de la moelle épinière, de la région lombaire, par
clans toute l'étendue d'une des régions de la moelle épinière, de la région lombaire, par exemple. Or, dans tous les cas du d
plaques de sclérose. B). le siège, s'était communiqué, en certaines régions de la moelle, aux cellules nerveuses des cornes a
cérébrale et le ramollissement dit cerveau, lorsqu'ils ont occupé les régions de l'encéphale dont la lésion a pour efï'ef de dé
fois les pédoncules cérébraux, la protubérance, le bulbe et certaines régions de la moelle épinière. Or, ces lésions cérébro-sp
découvrir, soif dans les centres nerveux, soit dans les viscères, une région récente congestive, œdémateuse ou autre, pouvant
e-ci s'annonce en général par le développement rapide (ïesckares à la région sacrée. Si, au contraire, le malade doit survivre
centaine de fois par jour. Des eschares se formèrent rapidement à la région sacrée et la mort survint le sixième jour. L'expl
iège d'une in-flammation ulcéreuse. C'est alors que se montrent, à la région sacrée et sur tous les points des membres inférie
ose en plaques disséminées a débuté à 23 ans et demi: faiblesse de la région lombaire, fatigue très grande des membres inférie
ans la moitié uauche coupe pratiquée à la partie la plus élevée de la région ' ' ' , lombaire : on voit que les cordons post
partout, mais principalement à partir de l'extrémité inférieure de la région dorsale. La Figure 15 représente les lésions obse
ns observées sur une coupe pratiquée à la partie la plus élevée de la région lombaire. A ce niveau, les cordons postérieurs
, sont en réalité, subordonnées à des lésions siégeant dans certaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce group
sensations irradiées, toutes spéciales. Ces sensa-tions partent delà région ovarienne et gagnent successivement : 1° l'épigas
successivement : 1° l'épigastre, 2° le cou, en se traduisant dans ces régions par une oppression plus ou moins considérable, la
ignalée autrefois et, plus tard, mis en doute, de la pression de la région ovarienne sur la production des phénomènes de l'a
êmes les plus intenses. Il s'agit de la com-pression méthodique de la région ovarienne. M.Briquet nie la réalité des effets de
superficielles (tégumentexterne), elle envahit quelquefois aussi les régions profondes (muscles, os, articulations). L''hémi
nt si profondément la motilité—en particulier quand elles occupent la région de la couche optique et du corps strié—restent à
oyau caudé (noyau intra-ventriculaire du corps strié), qui, danscette région ,n'estplus réprésenté que par une toute petite m
ulaire du corps strié ,1a partie supérieure de la capsule interne, la région correspondante de la couronne rayonnante et la su
ns complexes ; mais elles permettent tout au moins de circonscrire la région dans laquelle devront être dirigées les recherche
de ce qui précède que, dans les hémisphères cérébraux, il existe une région complexe dont la lésion détermine l'hémianesthési
l'hémianesthésie ; on connaît approxi-mativement les limites de cette région ; mais, actuellement, la 1. The disease was not
ussée plus loin, et personne n'est en droit de dire si c'est, dans la région indiquée, la couche optique qui doit être incrimi
aits analogues que j'ai recueillis dans les auteurs, elle occupait la région postérieure de la couche optique et les parties a
ngueur, atteignant dans la substance blanche jusqu'à deux pouces. Les régions lésées étaient : la partie supérieure et extrême
nche du lobe supérieur qui lui est opposée. Toujours plusieurs de ces régions étaient atï'ectées en même temps. Les fibres qui
is qui peut occuper aussi les deux flancs, aux limites extrêmes de la région hypogastrique. Je fais allusion à la douleur ovar
il les appelle, décrit avec complaisance la douleur ilia-que ou delà région ovarienne, très commune à son avis, et qui, suiva
en partie dans la fosse iliaque, et répondrait, selon cetauteur, à la région de l'ovaire. 2° D'autres fois, la douleur n'est
doigt, met d'ailleurs en évidence. L'exploration profonde de cette région fait reconnaître aisé-ment la portion du détroit
d'un chemin de fer, une sensation de coups de marteau frappés sur la région temporale gauche, puis, en dernier lieu, une obnu
aître, avec cet éminent observateur, que la pression du flanc dans la région ovarienne ne fait que reproduire artifi-ciellemen
orte et large pression, exercée par l'intermédiaire de la main sur la région ovarienne, suffit, dit Négrier, dans plusieurs ca
ment compte de cette influence, car elle-même essaie de com-primer la région qui donne naissance à l'aura ou, lorsqu'elle n'y
d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche, douleur d'un caractère spécial,
s'accompagnant de sensations particulières qui s'irra-diaient vers la région épigastrique et que la malade reconnais-sait comm
n,Messieurs,ce ballonnement considérable duventre, ces douleurs de la région ovarienne cette rétention des urines, constituent
risme ; c) elle présente un ballonnement énorme de l'abdomen;—cl) les régions ovariennes sont douloureuses à la pression, et, e
es attaques semble prendre origine pour remonter vers l'épigastre, la région précordiale, le 1. Voir entre au 1res, sur ce s
oret à rétain, c'est-à-dire que si, chez elle, vous appliquez sur une région quelconque des parties anesthésiées, soit une pla
re, à mon sens, de premier ordre, que la compression méthodique de la région ovarienne droite, pourvu, bien entendu, qu'elle s
llez le constater vous-mêmes de visu, la compression méthodique de la région ovarienne droite a pour résultat certain, constan
ue la manœuvre en question : quelques plaintes, une tuméfaction de la région antérieure du cou, plusieurs mouve-ments bruyants
ù nous nous trouvons. D'après nos observations, l'application dans la région ovarienne d'un sac de glace, prolongée pendant un
pper, que chez elle, comme chez G..., la compression méthodique de la région ovarienne qui, dans le cas particulier, doit être
fléchis, sont disposés do telle sorte que les mains reposent sur la région ombilicale et que les coudes sont un peu éloignés
om-pare à des piqûres, plus intenses dans les coudes, au niveau de la région occipitale, à la partie postérieure du cou et dan
ens spéciaux, vision et odorat y compris. On reconnaît aussi, dans la région ovarienne droite, l'existence d'une douleur très
ce de suffocation; un autre jour, ce sont des douleurs par-tant de la région précordiale et s'irradiant vers l'épaule gauche,
delà cause trau-matique. Ces symptômes restent raremenl limités à la région où celle-ci s'est exercée ; ils s'étendent rapi
a région où celle-ci s'est exercée ; ils s'étendent rapidement, aux régions voisines et peuvent même occupertoute l'étendue d
rizontalement et laissant voir des îlots de sclérose dans différentes régions (substance blanche et substance grise). a, Plaq
anche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régions antérieures (commissure an-térieure, partie avois
ots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures ; quelques-uns sont très
ontalement et. per-mettant devoir des îlots de sclérose dans d'autres régions (substance blanche et substance grise). a, Plaq
anche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régions antérieures (commissure an-térieure). b, Plaque
ots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures. Quelques-uns sont très p
exions visibles à la superficie. Elles dominent, ici, surtout dans la région dorsale. v. Vascularisation méningée (pic-mère)
diverses hauteurs de la moelle épi-nière et montrant, dans toutes les régions , la profondeur des îlots scléreux, leur répartiti
et même sur la substance grise centrale. I, Partie supérieure de la région cervicale, immédiatement au-dessous du. bulbe.
artie inférieure du renflement cervical, 4, Partie supérieure de la région dorsale. 5, Deux centimètres plus bas, région d
rtie supérieure de la région dorsale. 5, Deux centimètres plus bas, région dorsale supérieure. 6, Un centimètre et demi pl
bas, région dorsale supérieure. 6, Un centimètre et demi plus bas, région dorsale supérieure. 7, Deux centimètres plus ba
s supérieur avec le tiers moyen. 8, Un centimètre et demi plus bas, région dorsale. 9, Un centimètre et demi plus bas. 1
mètre et demi plus bas. 10, Deux centimètres plus bas, milieu de la région dorsale. II, Un centimètre plus bas. 12, Un c
faites à diverses hauteurs de la moelle et montrant, dans toutes les régions , la profondeur des îlots scléreux, lew ré-partiti
nt cervical). 4, Deux centimètres plus bas (partie supérieure de la région dorsale). 5, Un centimètre et demi plus bas.
e manifeste sur les membres frappés de paralysie, principalement à la région fessière ; son importance au point de vue du pron
gu dans les maladies de la moelle épinière : il siège en général à la région sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion
feste souvent dans le temps même où les eschares se dé-veloppent à la région sacrée ; elle se rattache aux lésions des voies u
— Coupes transversales : zone périphérique ; — zone de transition ; — région centrale.— Coupes lon-gitudinales. — Altérations
28 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rent sans change- ment. L'anesthésie thermique occupa peu à peu une région plus grande, quoique son degré variât sur ces e
es plantes des pieds ne perçoivent que la différence de 7°. Mais la région du plexus sacré est quand même celle qui sent
lle est plus faible. Par moments, il y a une douleur intense à la région analgésique de la nuque. Un sentiment presque c
périeurs et inférieurs droits ; une délimitation très accusée des régions normales et anesthésiées du thorax par la ligne
ès d'oppression thoracique, une sen- sation de constricLion dans la région précordiale, par moments, une angoisse indéfini
ntent relativement bien, l'avant-bras moins bien. Dans les autres régions de la sphère thermanes- thésique, le malade ne
main gauche et un certain aplatissement du the- nar surtout dans la région du muscle adducteur du pouce. Les muscles et le
ères sur les membres inférieurs. Sur le thorax, par devant dans les régions thoracique et abdominale, on observe un abaisse
idérables pour un attouchement. Cela s'observe plus souvent dans la région des épaules et des bras et ne se voit presque pas
mains et l'épaule droite ne sentent que la différence de 3-4" ; la région sus et sous-claviculaire à droite : 4-5°; les a
4" ; la région sus et sous-claviculaire à droite : 4-5°; les autres régions du dos, de la poitrine et des membres supérieur
est améliorée ; une certaine analgésie seulement est restée dans la région des épaules. Le sens de température s'est égaleme
tenir compte, car elle vient bien souvent aussi individualiser la région , que ses fonctions spéciales déterminées par l'ex
t par l'étude anatomo-clinique, faisaient déjà une et distincte des régions voisines 2. Dans cet ordre d'idées, nous donner
t Hilzig, par Ferrier, ont tenté la trépanation et l'ablation de la région malade dans six cas de lésions cérébrales chez
Le centre cortical des mouvements du membre inférieur occupe une région plus étendue d'après Hallopeau et Giro- deail q
après Charcot et Pitres 3. Les premiers donnent pour centre à cette région de l'écorce, le tiers supérieur de la pariétale
qu'avec sept ou huit observations'. Il occupe à peu près la même région que le centre cortical de la cécité verbale, le l
e cortical sur notre dessin. Nous signalons sans plus y insister la région présumée que doit occuper la lésion corticale,
araît jusqu'à l'heure actuelle, du facial supérieur inscrit dans la région du pli courbe sur le schéma de Charcot et Pitre
e (-Meynert) par crampes vaso-motrices ou de cram- pes de certaines régions cérébrales (Kalhbaum, Neisser), varia- bles, mu
de rétrécissement du champ visuel. Les deux fosses iliaques et les régions sous-mammaires sont douloureuses à la pression.
ofesseur de Berlin, la partie externe des cor- dons postérieurs des régions dorsale inférieure et lombaire supé- rieure de
ensitifs et des nerfs moteurs du plexus brachial émanent de la même région de la moelle. Le pronostic des paralysies radic
plus utile consiste dans l'application de révulsifs répétés sur la région cer- vicale et le moignon de l'épaule et plus t
IE NERVEUSE. 73 sivement pressés les uns contre les autres, dans la région thora- cique moyenne de la moelle, se dissémina
é des altérations caractéristiques du tube, offrait au niveau de la région dorso-lombaire un étranglement marqué. Il reste
iffuses, peu manifestes, siégeant surtout dans l'écorce grise de la région fronto-pariétale. OBS. III. Destruction locale
position forcée d'une fête dolichocéphale à front fuyant, toute la région postérieure devient saillante ». D'abord, cette
la supposant aussi exagérée que possible, pourrait faire que « la région postérieure devienne saillante o. Car cette 'incl
s oxycéphales, têtes à front plus ou moins droit et élevées dans la région bregmatique. M. BALL s'excuse de prolonger les
est généralement qu'après l'accouchement qu'il se développe dans la région des manchons de myéline (séries de coupes relat
u- mine, ni sucre; abondance d'acides biliaires. Douleurs dans la région des reins. Cette combinaison de deux maladies a d
leur atroce, accompagnée d'une sensation de brûlure et de soif à la région précordiale : la respiration est gênée, car le
ilée (douleur, température contact) au membre droit, surtout à la région du dos du pied qui est presque complètement anest
efois il pressent l'incontinence par un malaise indéfinissable à la région lombaire. Aussitôt que le malade sent le besoin
on lui enlève le casque, le malade est pris de fortes douleurs à la région gastrique, qui était si gonflée, qu'elle faisai
d'une très forte douleur au-dessous de l'apophyse xiphoïde et à la région lombaire, sans gonflement de l'estomac, au moins
itter l'échelle du bateau pour se plonger, il sent une douleur à la région hypogastrique, et il penche le corps en avant p
entre les omoplates. Bientôt après, il a senti un grand poids à la région épigastrique, avec gêne de la respiration. Pas
respiratoires sont gênés par le grand poids que le malade sent à la région épigastrique. La deuxième catégorie est celle d
signaler cette particularité que la douleur, ayant commencé par la région hypogastrique, vient s'installer aussitôt après
douleurs, pas de gonflement. Le malade res- sentait seulement à la région épigastrique un grand poids gênant la liberté d
s du genou. Dans tout le reste, les membres inférieurs ainsi que la région des nerfs crâniens sont normaux. Sensibilité :
gauche, en occupant la moitié de la nuque et de la tête jusqu'à la région du nerf trijumeau. La sensibilité tactile est p
La sensibilité à la douleur est abolie ou diminuée dans différentes régions isolées de toute la moitié gauche du corps, et
de la sensibilité ; 3). Troubles moteurs, paré- sies limitées à des régions peu étendues, des mouve- ments convulsifs, etc.
ie s'était accompagnée d'une analgésie plus étendue ; deux fois les régions d'anesthésies partielles de ces deux espèces de
d'autres, cette coïncidence n'était pas complète ; dans certaines régions , il n'y avait que de la thermanes- thésie ; dan
'analgésie partielle. DE LA- GL10MAT0SE MEDULLAIRE. 199- néral la région de la thermanesthésie occupe habituel-- lement
bservation d'Oppenheim, la sensibilité était diminuée dans toute la région à limites caractéristiques, atteinte d'analgési
avons pu suivre l'extension graduelle de la thermanesthésie d'une région peu considérable à la totalité du corps. Nous n
ut constater ce trouble, distribué d'une manière asymétrique, par régions , en zones, non seulement dans le stade initial
c le segment adjacent de l'avant-bras peut-être. Du reste, dans ces régions -là, nous n'observons pas d'ordinaire une délimi
VI ! ) avait une zone thermanesthétique nettement limitée dans la région de la distribution des racines inférieures thor
. Chez M. B. (Cas. III), à une certaine période de la maladie, la région anesthésiée se dessinait du côté droit du corps
ire, il arrive que dans d'autres, elle est située au-dessus de la région immersée parle renflement cervical, ou bien occ
lement cervical, ou bien occupe aussi la partie supérieure de cette région (rayon du nerf axillaire). Mais en remontant à
de la face sont atteints, tantôt que l'anesthésie n'arrive qu'à la région du nerf trijumeau et paraît être comme distribu
les limites de la distribution des nerfs cutanés correspondent aux régions innervées par certains segments de la moelle ép
ur le thorax également. Tandis que si la thermanesthésie occupe une région où cette coïn- 202 PATHOLOGIE NERVEUSE. ciden
ment cervical supérieur de la moelle épinière. Dans le cas où cette région n'est pas atteinte tout entière l'anesthésie ne
elu (OBs. III), etc. Sur les extrémités, il y a des ! endroits ou des régions qui peuvent avoir la forme ; de taches ou de ra
nt; habituellement c'est un seul membre qui est atteint, ensuite la région adjacente du thorax est éga- lement envahie jus
bre inférieur correspondant peut se prendre ensuite et parfois la région du nerf trijumeau ; pourtant cette hémianesthés
est pas régulière, mais elle est com- posée de zones séparées et de régions tantôt non net- tement délimitées et ne différa
seule moitié et envahit le membre supérieur ou inférieur ou bien la région du nerf trijumeau ou une certaine région du tho
ou inférieur ou bien la région du nerf trijumeau ou une certaine région du thorax du côté opposé. Nous n'avons jamais o
cas où il y avait une cer- taine symétrie, l'anesthésie occupait la région des troisième et quatrième racines sensitives d
e de l'asymétrie dans les différents degrés de lésion de diverses régions isolées ; de sorte qu'un des membres présentera
que l'autre- des par- ties centrales. En parlant des limites des régions anesthésiées, nous supposons, bien entendu, un
un certain moment sont ordinairement très différents dans diverses régions . La même disposition en zones, en segments, s'o
arties environnantes. Il n'est pourtant pas facile de délimiter les régions dans lesquelles le malade distingue, par exempl
s d'autres endroits de même que chez d'autres malades que, dans les régions de la therma- nesthésie, non seulement les limi
e qu'elle se caractérise aussi par une distribution en ceinture, en région qu'elle prédo- mine d'un côté, qu'elle est nett
ôté, qu'elle est nettement délimitée par la ligne moyenne, là où la région analgésique d'un côté ne conflue pas avec la zo
sécutive ne constitue pas la règle. La relation existant entre les régions des anesthésies partielles parle en faveur de c
ie d'observations, il peut exister une analgésie partielle dans les régions , non occupées par la thermanesthésie ; cela fai
'observe pas du tout, tantôt paraît par-ci, par-là, en occupant une région peu considérable et en suivant DE LA GLIOMATOSE
le, innervée cependant par trois nerfs. Dans d'autres cas, toute la région therma- nesthétique sent les attouchements d'un
NERVEUSE. ce dernier. Il avait été excessivement abaissé dans la région de l'anesthésie générale de notre neuvième cas.
t, l'atrophie musculaire et la faiblesse se localisent dans la même région que l'anesthésie (OBS. II, III, IV, VI, VIII, I
isse la tête d'un animal, le liquide céphalo-rachidien s'élève à la région céphalique et réciproquement. En tempête, le
la formation de bandes de tissu scléreux par pla- ques dans la même région ne sont que les deux premiers degrés de l'altér
érimentale, nous sommes tenté de diviser l'écorce cérébrale en deux régions : une pre- mière région, dont les lésions produ
enté de diviser l'écorce cérébrale en deux régions : une pre- mière région , dont les lésions produisent manifestement des
roduisent manifestement des troubles moteurs variés et une deuxième région , dont la lésion reste à peu près silencieuse, a
olutions occipitales, sans détermination plus exacte. C'est à cette région de l'écorce encore mal définie, que Meynert. fait
rs de la sensibilité » ; des lésions de la plus grande partie de la région fronto-pariétale avec «. paralysie des mouvemen
trent que la zone sensitive corticale doit certainement dépasser la région occipitale. En somme, rien de précis sur les li
figure de la face externe de l'hémisphère gauche pour l'étude de la région corticale, quelques-unes des coupes de Pitres p
une coupe de la moelle, en un point d'élection, pour l'étude des régions pédonculaire, protubérantielle et médullaire. Ces
es et protubéran- tiels, parvenus dans l'axe spinal, est prise à la région dorsale supérieur immédiatement au-dessous du r
nal, nous risquerions de ne pas ren- contrer sur la coupe, dans une région trop élevée, la trace de la colonne de Clarke,
op élevée, la trace de la colonne de Clarke, par exemple, dans une' région trop infé- rieure, la coupe de cette même colon
ale, ou au centre ovale ou àla capsule interne porte dans ces trois régions aux points assignés plus haut au trajet du fais
ent proposés de montrer le mode de disso- ciation terminale dans la région bulbo-protubérantielle des trois groupes de fib
eur, fibres de la branche masticatrice du trijumeau. Unique dans la région pédonculaire, le faisceau se divise dans la pro-
n de ces incitations motrices. L'auteur ne retire pas pour cela aux régions corticales motrices la propriété possible de co
e à l'écorce des influences modératrices dont il s'agit, comme à la région cortico-frontale. ' C'est à Pitres (Thèse citée
ar imagination l'é- cheveau de fibres blanches rayonnantes de cette région du cerveau et concevoir le trajet respectif des
ostérieur de la capsule, lieu de passage du faisceau moteur dans la région , la pyra- mide motrice se trouve en quelque sor
ulé qui est en dedans et le faisceau sen- sitif qui occupe toute la région externe. Au pédoncule, le faisceau pyramidal co
ricable de fibres entremêlées avec les fibres trans- versales de la région . Il est toutefois assez facile de distin- guer
ux direct, disons-le en passant, occupe une étroite portion de la région périphérique postérieure du cordon latéral et s'é
observateur, sur des coupes transversales de la moelle, faites à la région cervicale, sous l'aspect d'un disque de petite
gion cervicale, sous l'aspect d'un disque de petite dimension; à la région dorsale, c'est un triangle à sommet interne et
arée de la pie-mère par le faisceau cérébelleux direct; enfin, à la région lombaire, c'est encore un triangle à angles arr
res. Sur des coupes de la moelle, faites à divers étages, depuis la région cervicale, ils représentent ordinairement un pe
e de fibres en dégénérescence et appliquée au sillon antérieur. Des régions supérieures les faisceaux pyramidaux directs vo
s faisceaux DE l'axe cérébro-spinal. 263 pyramidaux croisés, à la région dorsale moyenne, tantôt au- dessus, tantôt au-d
. Méthode expérimentale. Sur l'écorce et au centre ovale, dans la région dite excitable (région rolandique), ces lésions
le. Sur l'écorce et au centre ovale, dans la région dite excitable ( région rolandique), ces lésions destructives expérimen
t. Avec ses données expéri- mentales établies par l'exploration des régions corticale, centre ovalaire et capsulaire, les o
pression de la fonction répond bien à la suppression complète de la région motrice, ancienne (la plaque jaune type), afin
. DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 265 Au centre ovale, les lésions de la région intermédiaire aux deux coupes préfrontale et oc
istante, hémiplégie totale ordinairement, vu le peu d'étendue de la région motrice capsu- laire facilement détruite dans s
s, lorsque les tractus cortico-brachial (portion antérieure de la région motrice capsulaire), ou cortico-crural (portion p
motrice capsulaire), ou cortico-crural (portion posté- rieure de la région motrice capsulaire), étaient isolément atteints
ancs. Le lieu de passage du faisceau pyramidal dans les différentes régions de l'axe cérébro-spinal se trouve ainsi révélé
lissement du volume d'un haricot situé à la partie supérieure de la région moyenne de la capsule droite. (Sem. nzéd. 22 avri
e descendante secondaire à des lésions du couronnement cortical des régions centre-ovalaire ou capsu- laire du faisceau pyr
térieures (trajet intra-spinal des racines antérieures), les seules régions de la moelle épinière qui correspondent à la nu
s et dont ils représenteraient les divers éléments. Ces différentes régions du cordon postérieur sont en effet généralement
ouver accom- pagnée dans la suite par la sclérose et l'atrophie des régions voisines. Aux douleurs fulgurantes, expression
ux cérébro-spinaux, qu'unmême faisceau partant en aboutissant à une région de l'écorce cérébrale d'autant plus antérieure,
tie d'autant plus interne. Ainsi, le faisceau intellectuel, né à la région cortico-frontale, se place au segment interne d
interne du pied du pédoncule; le faisceau sensitif aboutissant à la région cor- tico-occipitale, se place au segment exter
Le cadavre est d'une taille et d'une constitution moyennes. Sur la région dorsale, on aperçoit des taches pourpres cada-
en réalité les libres du trousseau non entre-croisé occupent la .. région latérale du tronc du nerf optique; la plupart d'e
SAKDER, FALK examinent les lois et les modes de procédés selon les régions . AI. MENDEL. Nous avons le devoir de veiller à
liénés. ART. 2. - Le concours sera régional : il y aura autant de régions que de facultés de médecine de l'Etat. La circons
e de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque région sera composée comme il est indiqué dans le tabl
seront libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des régions . Au sur et à mesure des vacances d'emplois qui
vacances d'emplois qui se produiront dans les asiles publics de la région où ils auront passé le'concours, les candidats
xamens. Anv.4.- Un premierconcourssera ouvert en 1888 dans chaque région pour l'application du présent arrêté, à une date
concours aura lieu en vue de l'admission de trois candidats dans la région de la Faculté de médecine de Paris et de deux c
de médecine de Paris et de deux candidats dans chacune des autres régions . Un nouveau concours n'aura lieu ensuite dans cha
tres régions. Un nouveau concours n'aura lieu ensuite dans chaque région que lorsque la liste des candidats déclarés admis
il des Actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque région . Tout admissible qui n'aurait pas été pourvu d'
il y aurait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste des admis- sibles se trouverait épu
r- vera la facullé d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre région à la condition que celui-ci déclarera expressémen
au droit qui lui appartient d'obtenir son poste de début dans la région où il a subi le concours. A titre exceptionnel
re disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où il aura concouru, pourra être ensuite envoyé
envoyé avec ses mêmes fonc- tions dans un asile situé hors de cette région . ART. 5. Les médecins adjoints pourront être no
chargé de juger les résultais du concours sera composé, dans chaque région : 10 de trois directeurs-médecins ou médecins e
région : 10 de trois directeurs-médecins ou médecins en chef de la région ; 2° d'un inspecteur général des établissements
ance '; 3° d'un professeur désigné par la Faculté de médecine de la région . Les directeurs-médecins et les médecins en che
l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles publics de la région . Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d
. 317 Tableau déterminant la circonscription de chacune des six régions où aura lieu un concours' : FAITS DIVERS. AQI
ait précédée et suivie, pendant un certain temps, d'un malaise à la région lombaire. Pour être complet, n'oublions pas que
es. Le 22 janvier est venu s'ajouter une sensation désagréable à la région sacrée, sur laquelle ses campagnons ont constat
ES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 379 q deux cautères à la région lombaire. Le 25 mars, jour que le malade, dit-i
ère isolée. Nous lui faisons une application de pointes de feu à la région lombaire et dorsale de la colonne vertébrale et
amen de la sensibilité a relevé des plaques d'anesthésie à diverses régions des membres paralysés. Le sens musculaire est 3
rrégulier. Le 10 novembre, rougeur avec une petite excoriation à la région sacrée. Le 9 décembre, possibilité de marcher M
. Xanthos a constaté de la rougeur avec une petite excoriation à la région sacrée, pas d'escarres. Le malade a commencé à
ce, à l'aide d'un instrument piquant, par exemple une aiguille, une région quel- conque de ce membre, le malade ressent la
t combattue par Jespurgatifs. Le 10 juin, une escarre se forme à la région sacrée, très étendue, accompagnée de fièvre. Le
(cas de Krauss) quelques troubles de sensibilité marqués dans les régions innervées par les parties situées plus bas ou p
ence fréquente au début avec une atrophie musculaire dans les mêmes régions , nous fait supposer l'altération également segm
des impressions thermiques suivant la moelle épinière et venant des régions in- nervées par toutes les racines situées plus
les moteurs dans lesquels l'atro- phie des muscles est bornée à une région limitée au membre supérieur par exemple (OBSERV
bution d'un certain nerf, et dans la gliomatose par une certaine région (celle de la main, de l'avant-bras, delà partie
é- sie partielle à disposition caractéristique segmentaire ou par région occupant en cas de localisation mono- plégique,
le ventre d'un côté ou des deux, avec extension du processus sur la région du nerf trijumeau; ou bien si t'anesthésie part
ue (moitié supérieure du corps, forme hémiplégique, disposition par région , etc.) manque de symptômes, nécessaires au diag
éduites à une simple raie hypérémiée, délimitant les plaques ou les régions anesthétiques. Cependant l'a- nesthésie elle-mê
ns dans le livre de M. Le- loir) ; 3) il y a transition brusque des régions avec analgésie et thermanesthésie, à peu près c
u abondants en arrière et sur le bas des tempes, très rares sur les régions pariétales et tem- porales supérieures. Crasses
z·oux ou blonds-roux, gros, rudes et rares, principale- ment sur la région moyenne de la moitié antérieure de la tête ; 2°
lectriques de la substance blanche con- firment cet exposé, car une région corticale envisagée une fois enlevée, on produi
licitation des centres mo- teurs inférieurs correspondant à la même région , et, par l'inter- médiaire des fibres d'associa
lète que pos- sible sauf la lingula (extrémité antérieure) de celle région ; les hémisphères cérébelleux étaient demeurés i
tuée là où il y a abondance de filels nerveux ; de plus, il y a des régions du corps plus sensibles ou exclusivement sensib
tenu une gamme qu'il a mise ensuite à l'épreuve sur les différentes régions du corps de beaucoup d'au- tres personnes. Il a
qui regarde la chaleur, et pu établir la carte du corps humain par régions à l'aide de hachures conventionnelles et de chi
bérance. Dégénérescence grise et atrophie 111·LologiIue de toute la région des oculo-moteurs communs (troncs, fibres radic
s. Atrophie des racines et des noyaux des oculo-moteurs externes. Région d'origine dos pathétiques : intégrité de leurs gr
Dégénérescence et sclérose grise des cordons postérieurs depuis la région cervicale jusqu'en bas. P. K. XXIV. Contribut
unilaté- rales à droite, sans abolition de la sensibilité dans les régions affectées. L'auteur rappelle que d'autres fai
ie par la variété de fré- quence des suicides, suivant les diverses régions . 4o2 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. IIUBERTY. Des trou
é .de leucocytes; sclérose sous-épeudymaire allant jusque dans la région des noyaux gris sur le plancher du quatrième vent
29 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ique général. Il n'y a plus ici d'agent désorganisant localisé à la région lésée, mais tantôt la dystrophie est la conséquen
x avec distribution élective au cou, aux seins, à l'abdomen et à la région malléolaire (PI. IV). Il suffit de regarder cet
contrer à l'exa- men radiographique une destruction imposante de la région sellaire qui correspond à la destruction même s
pitnitaire ne cor- respond pas à une altération volumétrique de la région sellaire. Ces cas sont extrêmement intéressants
effet à la question extrêmement importante de l'ossification de la région centrale de l'os sphénoïde : nous la développer
particulière du tissu adipeux avec localisation élective au cou, à la région mammaire, à l'abdomen, au mont de Vénus et enfi
térine quand les mains repliées au devant du thorax,ont comprimé la région pectorale (1). On voit alors coïncider des malf
n centre trophique hypothéti- que placé à la base du crâne dans une région où les altérations survenues pendant la période
consistant en des applications faradiques un peu douloureuses à la région périorbitaire. Le malade eut une rapide amélior
et l'appari- tion de rides en correspondance des paupières et de la région péripalpé- brale. Ces faits nous démontrent que
s même aspect, même température, même souplesse et tonicité que les régions avoisinantes : il n'y eut ni trophedème ni scléro
z il est tombé sur le dos, a ressenti ensuite des douleurs dans la région sa- crée qui le forcèrent à marcher courbé pend
'un vagon de marchandises il ressentit une violente douleur dans la région sacrée, semblable à un déchire- ment, il eut de
il allait tomber et son corps se couvrit de sueur. Les douleurs de la région sa- crée persistèrent, elles s'accroissaient pe
uchée et 102 dans la posi- sition debout. Pendant la pression ur la région sacrée ou quand on force le malade à se redress
ng, remontent jusqu'au cer- velet et par la protubérance jusqu'à la région des tubercules quadriju- meaux ; ceux de v. Sol
an, Choroschko, K. Golstein, suivent les dégénérescences jusqu'à la région sous-optique et au thalamus (1). Dans notre obs
cile. Cette difficulté d'interprétation ne se retrouve que dans une région très limitée, au-dessous de la lésion seulement
dorsale inférieure. Nous n'insistons pas davantage sur l'état des régions sous-jacentes à la lésion, ce travail étant plu
photographie du segment C7 (PI. XV, fig. B). En partant de celle région , nous étudierons le trajet des fibres dégéné- r
passent par le corps restiforme (fig. 14) ; il se disperse dans une région qui con- tient, à la fois la substance grise an
Thiele et Horsley à remonter dans la calotte pédonculaire jusqu'à la région sous-optique. - Il existe d'autres descriptio
cules à long trajet qu'on retrouve plus haut et qui vont jusqu'à la région sous-optique. Les deux groupes postérieurs répond
part en reçoit le noyau de Deiters. Mais nous avons noté que cette région postéro-interne du bulbe, où se termine aussi u
e quadrijumeau postérieur (fin. 21)."D"n le retrouve encore dans la région sous-optique (fig. 22) en contact avec le corps
t préférable à celui de fibres spino-quadrigéminales) ; . avec la région sous-optique et la partie ventrale du noyau exter
bres inférieurs ; en même temps il avait souffert fortement dans la région rachi- dienne, vers les 9e ou 10* vertèbres dor
11e ne donne liau à aucune contraction réflexe visible dans la même région , mais on observe à chaque trait de l'aiguille d'u
. . La sensibilité est altérée, sur le domaine paralysé, jusqu'à la région ingui- nale ; on note une hypoesthésie au tact
t être d'autaut plus intenses qu'on se rapproche davantage de cette région . Il nous a été impossible de produire le moindre
indre mouvement réflexe du membre inférieur eu excitant la peau des régions abdominale et thoracique. Les réflexes cutané
n de juillet. Mais entre temps plusieurs des tumeurs cutanées de la région sacrée et des régions fessières, se sont ulcéré
tre temps plusieurs des tumeurs cutanées de la région sacrée et des régions fessières, se sont ulcérées ; en ces zones la pea
ère on remarque que la moelle,au niveau de la partie supérieure de la région dorsale et sur une faible hauteur, est légèreme
te du groupe cellulaire de la co- lonne de Clarke droite. ' Dans la région du canal de l'épendyme se trouve un assez grand
t, sont beaucoup plus légères que sur les D2 et D3. Les différentes régions occupées par les fibres endogènes sont normales ;
ie du type gigantique est inégalement répartie au niveau d'une même région . S'agit-il d'une syphilis héréditaire ayant pu,
guisés par lui pour cet usage. Si bien qu'il présentait en diverses régions du té- gument, de larges placards donnant, à pr
qûres dont elle fut le siège. El pourtant le tatouage, en certaines régions tégumentaires, était si net que le D° Tissot (1
cembre. Je me sens assez bien depuis, sauf les maux de tête dans la région temporale gauche (Dans cette même région, lorsq
f les maux de tête dans la région temporale gauche (Dans cette même région , lorsque j'avais il peu près dix ans j'ai reçu
s reliefs d'une musculature sou- ple et robuste, agrémentés dans la région lombaire de deux fossettes s symétriques; au-de
e étroite, petits seins, larges hanches, ventre et pubis saillants, région sacrée presque verticale, plis fessiers profonds,
en con- tact avec rien. Parfois même l'hyperalgésie existe dans la région des fesses et des cuisses. On voit alors les ma
es qu'on rencontre dans les autres affections nerveuses. Si dans la région douloureuse il n'y a pas d'hyperalgésie, la peau
t des cas où l'hyperalgésie etsurtout la douleur se fixent dans une région où elles persistent pendant des années avec que
es, le nez, dans une étendue plus ou moins grande et une partie des régions massé- térines et temporales. Une frange sinueu
ne frange sinueuse de quelques centimètres de transition sépare les régions sensibles de celles qui sont aneslhésiées. Les
e la figure qui garde relation avec celle qu'elle a dans les autres régions . Il est évident que ce n'est pas la forme névri
des qui avaientprésenté tel groupe de symptômes dans telle ou telle région souffrent ultérieurement de ré- cidives à sympl
autres tissus profonds. Les spasmes peuvent être limités à quelque région ou bien généralisés à tout le corps, au point q
11 appartient à un type jambier atrophique non paralytique. Dans la région des jambiers on observe très clairement la goutti
l, le biceps, le pectoral ; le processus laisse, entre les diverses régions frappées, des por- tions intermédiaires qui ne
pas non plus, dans la lèpre nerveuse, l'atrophie des muscles de la région antérieure de l'avant-bras correspondant aux seg-
pre, l'atrophie musculaire d'origine arthritique. Les muscles de la région postérieure de l'avant-bras de la figure 29 son
les douleurs névritiques coexistent chez les lépreux dans ces mêmes régions de supriréllectivité. Mais ces réflexes tendine
tabilité, Cette modification quan- titative existe parfois dans ces régions dont le volume musculaire et dont l'action motr
ve aussi ou plus fréquemment le type normal d'excitabilité dans les régions dont les muscles se trouvent dans des articles
ve les plus graves signes de dégénération neuro-musculaire dans les régions où il y a atrophie paralytique. Dans ces muscle
eschares. Il n'y a pas de réaction faradique pour les muscles de la région anté- rieure dans la jambe du malade de la figu
imitivement SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX 167 dans certaines régions , mais spécialement aux mains parce que ce sont
ertaines régions, mais spécialement aux mains parce que ce sont des régions distales el, par conséquent, celles où les nerfs
tent de l'expérimentation. Si nous interceptons l'innervation d'une région , il peut survenir, outre la paralysie de la mot
peau, ainsi que des phlegmons consécutifs sui- vant l'étendue de la région frappée et la relation que, consécutivement, el
ans présenter d'autre modification apparente que t'anesthésie de la région correspondante, compensée bien des fois après un
ite d'un panaris à l'ex- trémité du doigt, dont la cicatrice et les régions adjacentes se sont conser- vées longtemps si do
ophiques, sont limités pendanl longtemps à une partie réduite d'une région , et, par con- séquent, la limitation des douleu
e région, et, par con- séquent, la limitation des douleurs dans une région réduite, la contrac- ture de tel ou tel faiscea
extrême de cette amyotrophie. Celle-ci porte peut-être plus sur la région antérieure et péronière que sur la région posté
rte peut-être plus sur la région antérieure et péronière que sur la région postérieure. Fait très singulier, la cuisse n'est
ie supérieure du segment postérieur de la couronne rayonnante et la région thalamique du segment rétro lenticulaire de la
e c'est par cette couche que passent les fihres de projection de la région occipitale (faces interne et externe), ce cas c
t le lobe pariétal ou le lobe frontal, soit l'une et l'autre de ces régions , ou alors le lobe temporal. Dans un de ces cas,
NOYAU ROUGE 193 domaine des circonvolutions centrales, y compris la région opercu- laire; dans quatre autres, les circonvo
; dans quatre autres, également, les circonvolu- tions occipitales ( région calcarinienne et 0, à 03) ; dans deux enfin, les
s lésions siégeaient surtout au niveau du lobe temporal (Fi à F3 et région occipito-temporale). Il s'agissait, le plus sou
, elles siégeaient au niveau des circonvolutions centrales et de la région operculâire; dans les trois autres, elles s'étend
e ces cas prouve nettement que ce noyau ne reçoit pas de libres des régions situées en arrière du sillon de Rolando, c'est-
que lors- qu'il s'agissait de lésions intéressant le lobe frontal ( région préfrontale) ou la région rolandique operculair
t de lésions intéressant le lobe frontal (région préfrontale) ou la région rolandique operculaire, il devient évident que c'
andique operculaire, il devient évident que c'est bien de ces mêmes régions que proviennent les radiations corticales du noya
corticales du noyau rouge. Quant à la part que prend chacune de ces régions dans la constitu- lion de la voie cortico-rubri
ue (noyau antérieur, noyau ventral antérieur et noyau médian b), la région sous-thalamique et le noyau rouge. La dégénéresce
aracenlral mais atteignant toutefois la couronne rayon- nante de la région operculaire ; dans les deux autres, le lobule par
inférieur des circonvolutions centrales et intéressaient surtout la région operculaire, y compris le pied de la troisième
e localisation commune à chacun de ces quatre cas, on doit noter la région operculaire de la circonvolution centrale antérie
la lésion, l'auteur considère que c'est surtout au niveau de cette région que siège le centre cortical du noyau rouge. Que
sa résulte de la lésion isolée, soit du lobe préfrontal, soit de la région oper- cuio-cenlrale. Von Monakow est donc condu
'une siégeant au niveau du lobe préfrontal, l'autre au niveau de la région cenlro-operculaire. ' Von Monakow termine son r
'atrophie d'un certain nombre de cellules principales. Les seules régions dont la lésion détermine la dégénérescence du noy
la lésion détermine la dégénérescence du noyau rouge sont : a) la région préfronlale, et, en particulier, la connexité ant
, et, en particulier, la connexité antérieure de F2 et F3 ; b) la région centro-operculaire, laquelle s'étend peut-être au
tre au lobule- paracentral. , Dans les cas de lésion isolée de la région préfrontale, la dégénérescence secondaire abord
le noyau médian de la couche optique, puis, après avoir traversé la région sous-thalamique et la zone capsulaire frontale du
ise dorso-médiane. 1 Lorsque la lésion est strictement limitée à la région operculo-centrale, la dégénérescence secondaire
al de la couche optique, et, gagnant alors la partie latérale de la région sous-thalamique en passant par la lame médullaire
s cellules principales (cellules de première grandeur) de ces mêmes régions envoient leurs prolongements cylindraxiles en sen
ptique et peut-être même de la zona incerla.. En effet, lorsque ces régions se trouvent atteintes par les lésions frontales
orticale. La voie operculo-rubrique prend naissance au niveau de la région operculaire, y compris le pied de la troisième
volution frontale, et, se dégageant de la couronne rayonnante de la région rolandique, elle traverse le segment lent iculo
rla. On a pu suivre, en effet, à la suite d'une lésion limitée à la région thalamique ventrale, et même au noyau ventral a
proportionnellement à l'étendue plus considérable que prennent les régions préfrontaleetcentro-operculaire, et c'est ainsi q
ulaire médiane. Pour ce qui en est des fibres qui proviennent de la région operculaire et du noyau ventral de la couche opti
e comporte le noyau rouge lorsque les lésions siègent en d'au- tres régions de l'hémisphère cérébral, nous avons soumis à l'é
érie d'observations com- prend dix cas de ramollissement étendu des régions postérieures de l'hé= misphëre ; d'une façon gé
d de la troisième circon- volution frontale, en détruisant toute la région de l'insula sans toutefois léser le noyau lenti
face inféro-interne du lobe temporal ; b) du lobe frontal etc)de la région operculo-centrale (pied de la troisième frontal
ffet, une décoloration assez nette de la subs- tance profonde de la région médiane du lobe temporal, dans le domaine du ci
temporo-thalamique d'Arnold. La décoloration intense de toute cette région est trop évidente sur la coupe actuelle pour qu
lhalamique d'Arnold. Uu mince fascicule dégénéré se dégage de cette région , et, se portant en dedans, traverse la capsule in
de ses tiers postérieur et moyeu. De par son siège au niveau de la région sous-corticale du Schéma Ne IV. - Quatrième obs
rayonnante. Il en résulte une décoloration très notable de toute la région sous-corticale du lobe pariétal et une dégénéresc
e bord antéro-supéro-interne de l'hémisphère (1 observation), ou la région operculo-cenlrale (2 observations). Nos trois pre
face médiane. Quant aux lésions limitées au lobe occipital ou à la région rétro-rolandique du lobe pariétal, nous sommes
gnement de von Monakow à.l·égard des rapports qui existent entre la région operculo-centrale et le noyau rouge, nous devon
rer sensiblement de cet auteur lorsqu'il main- tient que les autres régions de l'hémisphère, à l'exception de la pointe fro
que le noyau rouge reçoit des radiations corticales de différentes régions de l'hémisphère cérébral ; nous avons pu nous c
eure du bord supéro-interne de l'hémisphère, d'autres, enfin, de la région operculo-cenlrale. Nous ne saurions soutenir que
ouve très notablement dégénérée. Quant aux lésions intéressant la région operculo-centrale, c'est-à-dire la région de l'
ux lésions intéressant la région operculo-centrale, c'est-à-dire la région de l'insula, le pied de la troisième circonvoluti
les gri- ses dorso-latérale et ventro-latérale. Les lésions de la région operculo-cenlrale retentissent sur les deux tiers
ei- leux supérieur (Bnulnl'fer), soit la calotte pédonculaire ou la région sous- lhalamique. Il ressort donc très neltemeu
épinière (voie rubro-spinale), et d'autre part avec l'écorce de la région rolandique( voies opercuio-rubrique et ru bro -bu
IONS Le noyau ronge reçoil des radiations corlicales de différentes régions de l'hémisphère cérébral. Certaines de ces radi
ines de ces radiations proviennent du lobe frontal, d'autres, de la région operculo-cenliale, d'autres, enfin, de la face
ge en passant par le bras antérieur de la capsule interne et par la région sous-thalamique. Elles se terminent dans le segme
t dorso-lalérale. Les fibres qui prennent naissance au niveau de la région operculo- cenlrale se rendent au noyau rouge en
pour une céphalée très vio- lente et persistante, localisée dans la région pariéto-frontalegauclie. accompa- gnée d'une hy
evient à peu près permanente et se localise surtout au niveau de la région pariéto- temporale gauche. En 1912, le malade
bles génitaux, à l'exclusion toutefois de l'obésité, en lésant L la région parahypophysaire. Ils admettent dès lors que cert
L la région parahypophysaire. Ils admettent dès lors que certaines régions de la base du cerveau avoisinant l'hypophyse po
ité. Dans deux cas de dystrophie adiposo-génitale avec tumeur de la région hypophysaire, W. Falia et Nowaczmski ont trouvé u
ternativement sur le côté droit et sur le côté gauche au niveau des régions temporales. Le malade a reçu en tout 40 Il. du
au avait subi un arrêt de croissance, spécialement accentué dans la région terminale. Le fait que la main normale quant au
ssons bien les symptômes provoqués par les lésions de ces dernières régions et qu'ainsi notre pensée physiologique suit une
ès Pal l'aspect 284 VAN WOERKOM : normal. C'est le même cas avec la région sublenticulaire, contenant les fibres transvers
très évident de la couche optique est expliqué par l'atrophie de la région sous-thalamique. Microscopi- quement la coupe d
bien appréciable à la base de la couche optique, aux confins de la région sous- thalamique En étudiant le réseau de fibre
re un vaisseau montrant quelques lymphocytes. Il n'y a qu'une seule région où le processus a pris un caractère très aigu :
tate une atrophie très accentuée et surtout marquée au niveau Je la région postérieure; encore faut-il remarquer qu'une ad
possibles, de même que tous les mouvements du bras. Au niveau de la région scapulo-humérale, l'atrophie est extrême, le delt
sur le bras, mouvement qui s'effectue avec vigueur. Au niveau de la région sca- ,éulo-liumérale, on note du côté droit une
l se plaint surtout de crises anorectales ; les douleurs dans cette région sont continuelles, mais avec des paroxysmes pen
aille moyenne, avec forte obésité générale. La peau est lnle. 11 la région sacro-coccygienne existe un ulcère décubital très
st atteinte d'une atrophie lipomateuse intéressant spécialement les régions inférieures. Après l'ouverture du canal vertébr
i- nence circonscrite de la moelle épinière, située au niveau de la région dorsale entr.e la 9° et la 10 côtes. Le sac dur
la rate, témoin des poussées infectieuses dues aux es- carres de la région sacrée. La vessie, qui contenait un peu d'urine
inière, on a enrobé des morceaux pris au-dessus et au-dessous de la région étranglée par le néoplasme. Les coupes ont été
nt après leur entre- croisement les nerfs sensitifs remontant de la région blessée. Ce processus sclérogène se serait prop
diminue (insuffisance glandulaire) par manque d'irritation dans la région sous-thalamique. E. MuNer prétend que dans ces
(6-7 pl.); à l'examen radiologique on avait trouvé la balle dans la région hypophysaire. Mais la polyurie peut exister a
mais qui restent cependant dans son voisi- nage : chiasma optique, région sous-thalamique, etc. Oppenheim est le premier
cipices, de scènes terrifiantes. Les douleurs siègent aussi dans la région thoracique médiane, dans la région lombaire, da
Les douleurs siègent aussi dans la région thoracique médiane, dans la région lombaire, dans les membres, douleurs peu intens
laques plus larges d'aspect. Il existe aussi quelques noevi sur les régions mammaires et dorsales. Sur ces plaques la sensi
meur on constate la présence d'une collerette pileuse. Sur diverses régions , en particu- lier aux lombes et aux cuisses, on
syringomyélique, pas même d'erreurs de reconnaissance. Seules les régions pigmentées présentent de l'hypo ou hyperesthésie.
n diffuse le tronc, les membres, prédomine au cou et au dos. Sur la région dorsale, environ huit taches plus larges s'étalen
pertro- phie. La main n'est pas allongée, mais très élargie. La région dorsale du carpe est régulièrement tuméfiée. La
éressante, car elle fait ressortir un remaniement très accusé de la région carpo-métacarpienne, y compris l'extrémité infé
e par un léger épaississement cutané fort peu marqué. La peau de la région est normale, sillonnée de plis transversaux. A
onctif embryonnaire est progressivement devenu du tissu fibreux. La région tout entière de la main a subi pareille-transform
marque aucune particularité notable sur la peau des jambes. Dans la région des cuisses, on ne constate aucune disposition an
rocessus général portant sur l'organisme entier et localisé dans la région de la jambe et du pied. Car il est inadmissible q
ail. Il y a quelques jours, dans une chute, il a frappé de la tête ( région temporale droite) contre PATHOGÉNIE DE QUELQUES
s à l'hôpital, il montre une grande sensibilité à la pression de la région temporale droite atteinte et de nombreuses atta
, on pense qu'il s'agit d'un épanchement sanguin sub- dural dans la région temporale droite et on se décide à la trépanation
ux avec accumulation des produits du métabolisme défectueux dans la région atteinte. 5° Dans toutes les formes d'épilepsie
ssus du sourcil gauche et latéralement du même côté au niveau de la région parié- tale moyenne (cette dernière longue de 8
auche est plus grande que la droite. La peau est moite et en toutes régions liyperestliésiée une pression légère au niveau
30 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
e désirs erotiques. Il n'a jamais eu de barbe, ni de poils dans les régions décrites plus loin. Ses cheveux, roussâ- tres d
remière vue. Les rides sont très nombreuses sur le cou, autant à la région antérieure qu'à la région postérieure. Les yeux
t très nombreuses sur le cou, autant à la région antérieure qu'à la région postérieure. Les yeux sont petits et éteints ; la
révaut en hauteur sur la supérieure. Adipose manifeste en certaines régions : à la poitrine, qui, très augmentée de volume,
s augmentée de volume, offre de véritables seins, pendants, et à la région inférieure du ventre. Les cuisses sont rondes e
te de poils aux aisselles, sur la poitrine et sur les membres. A la région pubienne ils sont très clairsemés et décolorés.
aux aisselles, au thorax et sur les membres ; un simple duvet à la région sus-pubienne. A première vue, les organes génitau
de fausset parfaitement caractéristique. Adipose bien manifeste aux régions mammaire et abdominale. Organes génitaux : péni
pparu. Mauvais système dentaire. Voix normale. Absence de poils aux régions axillaire et pubienne, ainsi que sur les membre
ne, ainsi que sur les membres. Adipose très prononcée, surtout à la région inférieure de l'abdomen, qui tombe en se plissant
a région inférieure de l'abdomen, qui tombe en se plissant, et à la région mam- maire. Seins forts. A la région épigastriq
tombe en se plissant, et à la région mam- maire. Seins forts. A la région épigastrique on voit, et on sent très distincte-
assin large, les membres arrondis. Poils rares à l'aisselle et à la région pubienne. Le volume des seins n'est pas très pr
atiné ; n'a jamais eu de barbe. Che- veux noirs, secs. Aisselles et région pubienne glabres. Glandes mammaires prononcées.
cs. Poils rares aux aisselles. Un certain développement pileux à la région pubienne, terminé supérieurement par une ligne ho
membres. Dents cariées, beaucoup manquent. Adipose prononcée de la région mammaire, aréoles hypertrophiées. Néanmoins, les
s. Peu de développement des poils aux aisselles ; quelques-uns à la région pubienne. Voix normale un peu aiguë. Dents mauvai
e, très prononcée sur différents points du corps : au cou, dans les régions inguinales et axillaires. Les ganglions sont du
euxième dentition. Bassin large. Un certain degré d'adipose dans la région abdominale. Intelligence normale. Observation
de genu valgum. Pénis de 3 centimètres. Le scrotum s'insère dans la région pu- bienne, à la partie supérieure de la racine
ces ; quelques adhérences entre la dure-mère et la pie-mère.Dans la région frontale, on voit très nettement le dessin des ci
lobes temporaux et des gyri recti. Hyperplasie pie-mérienne dans la région du chiasma. Légère injection sur les deux pôles
ement contre la base. Plus en avant, les coupes transversales de la région moyenne de l'hémis- phère sont trop hautes par
r du 3' ventricule, à l'entrée de l'aqueduc de Sylvius ; dans cette région elle intéresse la partie antérieure du noyau de
: c'est la différence d'épais- seur du manteau cérébral suivant les régions . L'augmentation de pres- sion, si elle est d'or
diamètre h, qui dépasse pourtant 30 millimè- tres. Mais dans cette région du crâne, constituée par l'écaille du temporal,
re ou projetés par le vent d'obus et ontreçu un traumatisme dans la région dorso-lombaire. Le traumatisme a été suivi de per
le, exagérée par le moindre mouvement. Elle siégait au niveau de la région dorso-lombaire, occupait les masses mus- culair
us-co'rticnux,'parrÓis'ëlles Ú lirlliie'nf'âú'x corps striés'et aux régions sous-Lhalai111qùes ? les' noyaux' rouges étant
optiques, dans les corps striés ; hyperémiè c'o'nsidérablê"dàns les régions sôus-thalamiques ; lésions' moins graves dans )
ans les coupes, d'après Weigert-Pal, l'aspect normal. Par contre la région sous-thalamique à droite est^en forte atrophie; l
xaminé anatomiquement : atrophie très forte des corps striés et des régions sous-thalamiques (1). 4° Deux cas de raideur mu
u cervelet. Les altérations peuvent se limiter aux corps striés, à la région sous-tlialamique, respectant cependant les noya
ni macrosco- piques, ni microscopiques, l'atrophie se limitant à la région sous-thalami- que (corps de Luys) (3). Dans les
, 1913. xxvni . XXVIII - 4 . 50 WOERKOM - corps striés et des régions sous-thalamiques, peut être encadré dans le sys
siège d'un mécanisme d'innervation sympathique. Les lésions de ces régions chez l'homme (Schrottenbach, Zeitschrift sur d.
sion anatomique se limite aux atro- phies des corps striés et de la région à la base des couches optiques (sur- tout des c
primitif de l'altération épileptique soit situé ailleurs que sur la région nourrie par les carotides ou bien que l'altéra-
r avoir autant que possible la brusque altération circulatoire à la région cérébrale nourrie par les carotides. Chez les é
oup sur le front et sa céphalée commence très intense sur- tout aux régions temporales accompagnées de vertige. La céphalée e
stinées aux fléchisseurs des quatrième et cinquième doigts, dans la région postéro-externe, celles du muscle cubital antér
eur par hypertonie n'avait pas un point de départ irritatif dans la région du pli du coude en dedans du biceps. Depuis ce
ilité. - Hypoesthésie tactile très marquée de tout le membre, de la région sus-scapulaire du cou et de la face droite. Hypoe
ver constam- ment la sensation d'une électrisation continue dans la région sous-jacente aux deux cicatrices, surtout à cel
itudes est possible, mais en provoquant une douleur surtout dans la région du premier métacar- pien, du premier espace int
s laisser de trouble fonctionnel ; mais cela à la condition que les régions où se règle le tonus du muscle ne soient pas ef
s où se règle le tonus du muscle ne soient pas effleurées. Or ces régions semblent, d'après les études d'Alquier (1), être
LES BLESSÉS NERVEUX 127 maire, sur les quatre derniers doigts et la région palmaire moyenne. Cubital hypoexcitable, médian
blessé le 12 février 1915 : balle de shrap- nell ayant traversé la région antéro-interne du bras gauche au quart supérieur.
atrice d'entrée de la balle provoque une douleur qui s'irradie à la région dorsale de l'avant-bras, de la main et des doigts
erden à un « rhumatisme aoutteux ». CENTRE NEUROLOGIQUE DE LA XV. RÉGION (MARSEILLE) MACRODACTYLIE CHEZ UN BLESSÉ DE GUE
aso- motrice incomplète apportant un excès de nutrition à certaines régions digitales et provoquant ainsi leur hypertrophie
nogr., 1914-1915, p. 246. xxvm 11 centre Neurologique DE la XV- région ANKYLOSE OSSEUSE DES ARTICULATIONS PHALANGINO-
. (1) BxocQ, Sclérudactylie, in Dermatol. pratique, Il, 453 : « Les régions primitive- ment atteintes sont d'ordinaire les
en France six mois après. Un cal osseux exubérant occupait toute la région du coude. L'articulation était ankylosée en môme
d'extension, de rotation et de pronation. La main peut atteindre la région occipitale et même le vertex. Elle est d'abord
mène un nombre de kilogrammètres très suffisant, surtout lorsque la région du coude peutprendre un point d'appui sur un pl
, persiste le même caractère : celui d'un homme ayant vécu dans des régions tropicales peu fertiles, ignorant tout d'une ci
pénétra, en direction presque sagittale, par la ligne moyenne de la région fron- tale supérieure. Il ne sentit pas la moin
érent de celui d'un jeune garçon normal. Le tissu sous-cutané de la région épigastrique est fortement infiltré de graisse
la lésion expérimentale de la ré- gion hypophysaire, surtout de la région du lobe postérieur (Cus- hing) (9), ou par la l
ophyse, mais dans un centre nerveux situé à la base de l'encéphale ( région opto-pédonculaire), Mais cette théorie, malgré
e de 14 centimètres transversal sur 18 centimètres vertical dans la région pariéto- temporo-occipitaie. Ouverture osseuse
après l'opération. Autopsie (DI HmTEs). Incision opératoire dans la région occipitale et ou- verture du crâne au même nive
ont douloureux. Soir : Malade affaissé. Céphalée violente. Dans les régions épigastrique et hypogastrique droites, douleurs
rieurs ; diminution de la sensibilité à la piqûre ; dans les autres régions , sensibilité musculaire conservée. Pas de doule
Masses musculaires très douloureuses. Douleurs musculaires dans la région fessière. , En raison de ces douleurs, on ne
périeurs. Quand le malade s'asseoit, il éprouve une douleur dans la région lombaire. 22. Epistaxis peu abondant. L'excit
montre aucune 11 '['ration des articulations coxo-fémorales, ni des régions glutéales, ni du fémur gauche et pas de dépôts
uleurs très fortes, localisées au côté postérieur des cuisses, à la région sacrée, au creux poplité et aux mollets. Ces dern
é- rieure ; elle porte d'une façon très nette sur les muscles de la région anté- rieure ; les tendons fléchisseurs sont bi
des lésions méningo-vasculaires en pleine évolution active dans la région cervico-dorsale (abondante lymphocytose méningée
on d'ordinaire si atténuée sur les cornes antérieures au niveau des régions inférieures de la moelle, alors qu'elles ont au
si précoce et si prépondérante quand elles portent, dans les mêmes régions , sur les cordons latéraux ou postérieurs (parap
de sorte que la ligne des apophyses épi- neuses s'enfonce en cette région en dépression linéaire entre les masses sacro-
ertainement d'une méningo-myélite vasculaire diffuse, analogue à la région dorso-lombaire à celle qui, quand elle porte su
gue à la région dorso-lombaire à celle qui, quand elle porte sur la région cervico-dorsale, détermine l'amyotrophie syphil
sans doute identique. C'est en somme la simple extension à d'autres régions médullaires de ce que, en nous basant sur des a
il quelques anastomoses entre les divers-territoires nerveux de ces régions ? Charles Bell admettait qu'une partie du trijume
ous n'avons aucun fait semblable. Presque tous les muscles de cette région sont tributaires de la VIle paire. La paralysie
me chose, bien que moins prononcée, au niveau des tégu- ments de la région mentonière. La température locale au niveau des
tteint d'hyperhémie et d'hyper- hydrose. Il y avait en outre sur la région cervicale des noevi mélanoïdes. L'hypertrophie
remarque une grande adiposité du tronc, plus prononcée au ventre et régions fessières ; elle s'étend aux membres se terminant
iculations du poignet dans les membres supérieurs. Les plis de la région fessière et du thorax sont remarquables. Remarqua
. La peau est sèche. Il n'y a pas de poils à l'aisselle et peu à la région pubienne. A la face ou trouve deux taches rouges.
un grand développement du tissu-cellulaire adi- peux dans certains régions , et la présence de douleurs dans ces régions, d
di- peux dans certains régions, et la présence de douleurs dans ces régions , douleurs qui sont spontanées ou provoquées. '
atteint à gauche le pied de la troisième circonvolution frontale ou région de Broca. / ' L'enfant a été transférée dans
ngsues aux apophyses mastoïdes. Quatre ventouses scarifiées dans la région lombaire. 25. - Même état pendant toute la jour
stic pathologique anatomique : Hémorragie sous-arachnoïdienne de la région de la bandelette optique droite. E. R..., domes
paraissait intacte. L'hémorragie ne paraissait pas avoir dépassé la région de la bandelette optique droite, pour s'étendre d
a substance cérébrale. Aux coupes transversales, pratiquées dans la région frontale du cerveau, on a découvert dans le sil
que la source de l'épanchement sanguin devaitètre cherchée dans la région de l'espace perforé antérieur droit. Là, les mass
orragie sous-arachnoïdienne décrits dans la litté- rature ; mais la région du cratère dans l'espace perforé droit, que nous
descendant 'vers la fusse de Sylvius et s'étend, eu partie dans la région derrière le chiasma, en partie au-dessus de la
iat du lobe central gauche, doit prédisposer à une irritation de la région motrice, se manifestant en une épilepsie typique.
oma- teuses rupturées ; dans le troisième, une petite artèredans la région lom- baire avait éclaté. Ces rares trouvailles
agers d'irritation ou de perte de fonction, si elle atteint une des régions cérébrales non sourdes. Ainsi, il est permis de
roximative et trop basse de la partie inférieure de ce territoire, la région frontière entre les zones de sueur et de sécher
onc une image qui exagère un peu la zone terminale inférieure de la région anidrosique. Il n'y a pas eu de réaction vaso-m
olonne latérale de la moelle, jusqu'au centre cilio- spinal dans la région cervicale inférieure. Elles sortent de la moelle
encore que ce chevauchement des nerfs sudoraux fût spécial à cette région du thorax qui répond à la frontière du sympathiqu
s éléments du plexus brachial. Ils prédominent fréquemment dans la. région de l'épaule, plus rarement à l'avant-bras et à la
ROGER . Observation IL V ? Pierre Marie. Lésion par balle dans la région du plexus brachial. Paralysie et atrophie prédo
minant à t'épaule et à la main. Troubles trophiques cutanés dans la région de l'épaule et du bras' (sclérodermie). Troubles
ion. Ils sont spécialement marqués au niveau de la main, et dans la région de l'épaule, où prédominent les troubles moteur
outre qu'il était douloureux, déterminait un véritable oedème de la région . Les poils, très développés chez ce sujet, se d
La voix a été prise instantanément. Il présente une vaste plaie de la région faciale et sinusale gauches avec écrasemeut du
Beaucoup d'éclats minus- cules ont pénétré sur le côté gauche de la région cervicale et la radiographie en montre au nivea
UE - 369 M. Collet le 25 juillet. 1916. Il y a eu transfixion de la région cervicale, l'orifice d'entrée à la pointe de la
llet. Blessé le 19 mars 1919 à S... Plaie par éclat de grenade à la région latérale droite du cou. Troubles de la respirat
corde vocale droite rouge, même position de l'aTyténoïde gauche. La région cervicale présente deux cicatrices, l'une de tr
'une de trachéotomie, l'autre de 1 centimètre 1/2 de large, dans la région thyroïdienne, commençant à 2 centimètres de la
séton de la face externe de la cuisse droite, plaie en séton de la région scapulaire postérieure droite, plaie pénétrante
de la région scapulaire postérieure droite, plaie pénétrante de la région latérale du cou, volumineux hématome, syndrome
ces observations, il s'agit de sujets portant, des blessures de la région cervicale, sur le trajet anatomique du vague et
estriction aux^différents travaux de culture qu'il pratiquait dans la région de Marmande. Il est marié et père d'un enfant
ur le trajet de tous les troncs nerveux, avec prédilection pour les régions atteintes par les troubles trophiques et moteurs.
lles, scrotum et périnée, ils sont clairsemés sur les membres et la région pubienne. Système veineux développé aux membres
e de l'examen. Cheveux abondants. Absence complète de poils dans la région pubienne et aux aisselles. ' Examen radiograp
plus ou moins absolue de poils sur le visage, aux aisselles et à la région pubienne, au périnée, sur le scrotum, le tronc
scrotum, le tronc et les membres. Quand les poils existent dans la région pubienne, ils sont épars et disposés selon la c
exuelle. La même anomalie, l'absence de poils aux aisselles et à la région pubienne se vérifie quand le sujet atteint est
on, donnant l'air d'une vieille femme (obs. I). Aux aisselles, à la région pubienne, au scrotum et au périnée, l'absence de
, XIV, XVII, XVIII). Dans d'autres cas les poils n'existent qu'à la région pubienne, et manquent aux aisselles, aux scrotu
ure horizon- tale (obs. VI et IX). Il n'existe jamais de poils à la région antérieure du thorax et sur les membres leur dé
ce que Tandler et Grosz. appellent ['adiposité ennu- choïde ; à la région mammaire, abdominale, aux régions itraques. C'est
nt ['adiposité ennu- choïde ; à la région mammaire, abdominale, aux régions itraques. C'est ainsi que dans ces types et d'a
ir complètement ou partiellement les organes génitaux (obs. V) ; la région sub-pubienne, élevée, se détache sous forme d'un
du diabète insipide, syndrome si souvent associé aux lésions de la région hypophysaire ; et il devient alors plus que lég
chute de la barbe, des poils axillaires, de ceux du tronc et de la région pubienne, le tout accompagné d'adipose et de modi
traumatisme a été prouvée par des observations faites en certaines régions du Mexique, sur des indigènes auxquels on donne l
u moins généralisée, dominant cependant aux seins, fesses, cuisses, région inférieure de l'abdomen et région sub-pu- bienn
ndant aux seins, fesses, cuisses, région inférieure de l'abdomen et région sub-pu- bienne, et obéit ainsi au caractère de
peur de la douleur. Un blessé qui, dès le débul, a souffert dans la région dorso-lombaire, qui a courbé et immobilisé son
, très rapprochés et tenus d'une seule main, sont appliqués dans la région dorso-lombaire, le long de la masse commune ou
on lui projette de l'air chaud, qui lui est très agréable, dans la région dorso-lombaire. Ensuite, on reprend la séance,
il éprouva des maux de tête, et une douleur si vive, au niveau de la région inguinale gauche, que, pour la soulager, il se
enu par des infirmiers : le tronc était toujours plié en deux et la région lombaire douloureuse. ' Le 9 avril, son état
x longues attelles, allant du haut en bas, et de chaque côté, de la région mammaire au genou, et maintenu par des bandes r
deux cannes. Il est un peu moins courbé, mais les douleurs dans la région lombaire et dans la Iranche persistent. Il ne met
che. Le sujet se plaint de quelques douleurs intermittentes dans la région lombaire , lorsqu'il est couché ou pendant la m
[ - Bra. a été blessé le 25 septembre 1915 par un éclat d'obus à la région dorsale, entre la 41e et la 12e côte, à deux trav
percussion des vertèbres réveille une petite douleur au niveau des régions cervicale et lombaire. Au contraire, la percuss
, les deux talons au même niveau, la tète repose normalement sur la région occipitale. Tous les mouvements de la tête s'ex
ont normaux. Le blessé se plaint de douleurs dans le rachis, à la région lombaire, et de quelques rares céphalées. Il se
lètement. Vu de dos et debout, le malade présente un voussure de la région dorsale supérieure. La colonne verlébrale offre
nne verlébrale offre une légère scoliose à convexité droite dans la région dorsale, due à l'inclinaison latérale droite du t
s. Le sujet se plaint de faiblesse des reins et de douleurs dans la région sacro-lombaire. Il dit qu'il y souffre constammen
s de temps. Il se plaint aussi de souffrir de temps à autre dans la région abdominale sus-pubienne. Les réflexes sont norm
e se redresser, mais n'a pas pu, à cause d'une vive douleur dans la région lombaire. Soutenu par ses camarades, il a pu al
urbée. Aussitôt après l'accident, il a ressenti une douleur dans la région lombaire gauche. Cette douleur a persisté pendant
ts de temps. Il n'avait pas de plaie, mais une ecchymose de cette région lombaire gauche. Il n'a présenté d'autres phéno
ine marqué; au-dessous, un second pli très accentué passant par les régions inguinales et pubienne. L'extension volontaire
troubles de la sensibilité subjective, pas de douleurs sauf dans la région dorso- lombaire, où de temps en temps le malade
rme d'applications rapides et intermittentes des électrodes dans la région dorso-lombaire, accompagné de douches d'air chaud
nt 10 à 15 minutes. Revenu lui, il ressent une vive douleur dans la région lombaire, et ne peut redresser son tronc. Il es
essé. On le lui enlève à cause des douleurs qu'il éprouvait dans la région lombaire. A peine est-il enlevé qu'il se courbe
des membres inférieurs. Ici cependant il accuse une douleur dans la région lombaire, à chaque mouvement. Les réflexes rotu
pas se redresser. Il avait à ce moment de fortes dou- leurs dans la région lombaire et ses jambes fléchissaient. Il avait en
ville. A Trouville, il a encore vomi du sang ; ses douleurs dans la région lombaire étaient si vives qu'on a dû lui faire
e sur le dos. Il dit qu'on aurait constaté des ecchy- moses à la la région lombaire. Le leur octobre 1914, il fut dirigé sur
uf quelques céphalées très rares et quelques va- gues douleurs à la région lombaire, aux changements de temps seulement. T
is n'a pu le faire, à cause des violentes douleurs ressenties dans la région lombaire et de tremblements dans les membres in
l est resté un mois. On lui a dit qu'il avait une ecchymose dans la région lombaire droite. Les trois premiers jours qui s
l se leva, son tronc était toujours incurvé et il souffrait dans la région lombaire; ces douleurs lombaires persistèrent a
dorso-lombaire. La percussion du rachis provoque une douleur dans la région ~ dorso-lombaire; la masse commune, dans la mêm
eur dans la région ~ dorso-lombaire; la masse commune, dans la même région , est également douloureuse à la percussion, plu
OUQUES ET MÉGEVAND, Miles NAIDITCH ET RATHAUS sujet éprouve dans la région dorso-lombairé une douleur qu'il compare à un t
font également bien et pro- voquent aussi une douleur dans la même région . La motilité des membres inférieurs et supérieu
redresser, mais n'a pas pu, à cause des douleurs éprouvées dans la région lombaire : il avait du reste des douleurs un peu
é les dix premiers jours, se plaignant beaucoup de douleurs dans la région lombaire et de céphalées. Il était obligé d'être
ouvement s'accompagne d'une douleur dans le rachis, au niveau de la région lombo-sacrée. La colonne vertébrale ne présente
ENT DE LA CAMPTOCORMIE PAR f ? LEC1'HOt'H$RAPJE 435 douleur dans la région lombaire et sacrée : de même la masse musculaire
dans la ré- gion lombaire pendant la marche et de souffrir dans la région sacrée. Le 30 septembre, séance d'électricité f
'est qu'au bout de ce temps qu'il se met à souffrir davantage de la région lombaire, et qu'il s'aperçoit qu'il ne se tient
ouplesse parfaite, en accusant cependant quelques douleurs^ dans la région lombaire. Ce malade va être soumis tous les jou
t. Il ressentait en même temps de fortes douleurs dans le dos et la région lombaire. Il n'avait pas de plaie, mais une ecchy
à part quelques vagues douleurs, aux changements de temps, dans la région lombaire. La réflectivité est normale. On arrive
31 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
AMEN IIISTOLOGIQUE DU CERVEAU DANS DEUX CAS DE RAMOLLISSEMENT DE LA RÉGION DU CENTRE CORTICAL VISUEL, PAR JOUKOWSKY. D
git de deux cas d'hémianopsie déter- minés par la destruction de la région cortico-visuelle. Ces cas ont été mis à ma disp
le domaine de l'artère cérébrale postérieure, qui avait détruit la région de la scis- sure calcarine et la partie voisine
ôle occipital ; en outre un petit ramollis- sement existait dans la région des circonvolutions 01 et 0. Dans l'hémisphère
sitorme et la partie intérieure de la circonvolu- tion limbique. La région du ramollissement ne se sépare que par une mince
capsule externe et déterminent la disparition des fibres dans cette région , sur- tout dans la région qui se trouve vis-à-v
nent la disparition des fibres dans cette région, sur- tout dans la région qui se trouve vis-à-vis l'insula de Reil. Dans la
rme est conser- vée. En outre on voit un ramollisse- ment dans la région des fibres de la couche sagittale, qui passe pr
rieure des couches optiques, on voit de nombreuses lacunes dans la région de la capsule interne rétro-lenticulaire et dan
Dans l'hémisphère gauche les coupes frontales furent faites dans la région du ramollissement et en outre on fit des coupes
ganglions centraux. 1° Sur les coupes frontales, qui passent par la région du pli courbe, on voit : La substance blanche d
ie du faisceau longi- tudinal inférieur, qui se trouve dans la même région , est conservée, mais sclé- rosée dans la partie
ani à un centimètre, on peut voir que le ramollissement occupe la région de la deuxième pariétale, envahissant en ou-
e (Fig.8). . 3° Sur les coupes horizontales, qui passent par la région des ganglions centraux, on voit près du foyer d
e que ses autres parues, sous le microscope on distingue dans cette région la rareiaction des fibres à myéline et une légè
part d'un ramollissement, qui a détruit dans l'hémisphère droit la région du centre visuel cortical, d'autre part d'un fo
anatomique arrêté dans son évolution après avoir détruit certaines régions , qu'on peut comprendre l'arrêt complet d'un dé-
point où la compression a été la plus forte. Quant aux différentes régions de la moelle épinière, nous n'y avons rien trou
ite, difficulté beaucoup plus grande que pour les kystes des autres régions . En 1891, Pierre Janet trouve au microscope sur
servations cependant il vit la douleur siéger principa- lement à la région occipitale. La durée en est variable ; dans un ca
s d'après Guérineau. Cependant si l'on a pas, comme dans les autres régions , trouvé des observations analogues à celles de
ruption peut t être localisée à un côté du corps (Dieulafoy), à une région , face, cou, bras, hypochondres (Thomas et Graha
cas d'hydatides du cerveau n'en a trouvé que 11 fois dans d'autres régions du corps. 28 MONSSEAUX, DE GOTIIARD ET RICHE
e supprimant, peuvent contribuer à augmenter l'état congestif de la région déjà irritée par la présence du parasite qui agit
ésence dans les hémisphères cérébraux (à l'exclusion de toute autre région du corps) de plus de vingt hydatides,' dont six d
re reprises (trois fois en 1899, une fois en 1900), douleur dans la région lombaire droite, que notre homme attribue au refr
constant avec l'Orient et Byzance. Toute la péninsule et surtout la région de Naples et de Salerne était dans sa dépendanc
es inférieurs, surtout depuis la cheville jusqu'au genou. Aux mêmes régions analgésie presque com- plète, allant en diminua
ème sous-arachnoï- dien. La moelle est diminuée de volume dans la région dorsale. Examen microscopique de la moelle épin
, on pré- lève un ou plusieurs fragments suivant l'importance de la région . Les uns sont inclus à la celloïdine et les cou
che les fibres normales reparaissent en grand nombre, surtout dans la région sulco-marginale. Par contre les cordons antéro-
e dans le 6° segment dorsal. 9e Segment dorsal (fig. 12). - Dans la région dorsale inférieure, bien qu'il y ait encore une
degré d'épaississement, d'aspect uniforme sur toute la longueur des régions supérieure et moyenne de la moelle dorsale. On re
3 s'observent déjà dans le renflement cervical, s'étendent dans les régions supé- rieure et moyenne de la moelle dorsale, p
croisé droit dans le 6e segment dorsal (fig. 9). Au- dessus de ces régions les faisceaux pyramidaux croisés sont éclaircis p
inution de volume de la moelle dans les deux tiers supérieurs de la région dorsale. Remarques. - i° Les lésions vasculaire
t surtout manifeste depuis le ter segment jusqu'au 7" segment de la région dorsale; au-dessus et au- dessous elle s'atténu
rophique de la moelle (maximum dans les deux tiers supérieurs de la région dorsale, atténuation progressive au-dessus et a
e par derrière la vue des hémisphères cérébraux, du cervelet, de la région cervicale de la moelle et de la partie du bulbe
d'avant en arrière, ar- rondi à la fin et suspendu au-dessus de la région cervicale de la moelle épi- fière ; c'est seule
re, il existe seulement un fort épaississement de la moelle dans la région cervicale, dans sa partie postérieure. Pareil épa
llongée, comme dans le cas précédent, et pourtant la moelle dans la région cervicale est très épaissie, ce qui saute aux y
ssement de la moelle dans la partie cervicale, de sorte que dans la région cervicale on ne trouve pas la moelle épinière, ma
par une blanche et étroite lamelle, sont réunies seulement dans la région de la commissure antérieure, dans laquelle la q
L'examen microscopique démontre que cette partie suspendue dans sa région inférieure possède la struc- ture des cordons p
nstater que les difformités ob- servées en même temps dans d'autres régions du corps, pour un certain nombre de ces cas, se
çoit également si l'action de la compression se fait sentir sur des régions similaires de l'embryon. La multiplicité des lési
e des lésions du système nerveux dans les parties correspondant aux régions de la périphérie malformée, est-il vraisemblabl
. En plus de cette douleur spéciale, la malade ressent dans la même région une douleur névralgique, plus ou moins constant
mps, mais la rapide apparition des mêmes symptômes dans différentes régions ne présage rien de bon.Cela semble indiquer xiv
ge contre la barre d'appui : il reçut ainsi un fort traumatisme de la région naso-orbitaire. A la suite de cet accident, bru
s'insèrent en dehors sur la pie-mère épaissie et vascularisée de la région fronto-temporale inférieure. Au niveau de la pa
ale sur des fragments prélevés loin de la tumeur (lobe occipital et région paracentrale) et au voisinage médiat(pôle fron-
le temporal, le lobule de l'in- TUMEUR CÉRÉBRALE 179 sula, et les régions inféro-externes du lobe frontal, notamment la cir
ernes du lobe frontal, notamment la circon- volution de Broca et la région operculaire. Mais il s'explique par trois raiso
la tumeur, qui, placée n la base du lobe frontal, occupait une des régions de relative indifférence de l'encéphale ; enfin e
'accentuaient lentement : immédiate- ment après le coup reçu sur la région orbito-nasale, le malade, jusqu'alors (1) Bruns
ement plus marquée sur le lobe temporo-sphé- noïdal gauche, dans la région juxta-néoplasillue. A cet endroit, l'extrémité an
tous leurs caractères, cependant nous avons pu constater dans cette région l'abondance de la troisième variété dans l'inté
9, brachycéphalie marquée que l'on rencontre fréquemment dans notre région . Comme stigmates dits de dégénérescence, on not
régulière de peau saine. Face externe : quelques taches couvrant la région deltoïdienne. Face pos- térieure : tache s'arrê
. - Coloration identique occupant tout le bras, à l'exception d'une région de peau saine située à la face antérieure et s'ét
interposition de peau saine. La coloration est plus accusée dans la région postéro-externe. Avant-bras gauche. - Coloratio
marquée, surtout à droite. Caractères des taches. - Dans toutes les régions la coloration anormale disparaît à la pression
isées. En même temps on voit apparaître une légère marbrure sur les régions indemnes du tronc, en avant il droite, et en arri
ure de la peau entre le côté gauche et le côté droit. A la main les régions thoracique et scapulo-humérale paraissent plus
sultats inverses à ceux que fournit la palpa- tion. A la main cette région semble plus chaude à gauche qu'à droite. | 2. T
: au début : 16° ; à la fin : 16°. § 4. Températures prises à la région thoracique. A gauche : 31° 3. Temps employé : 1
alle : au début : 14° ; à la fin : 14°. 3. Température prise à la région thoracique gauche. Au niveau de la tache : 30°.
égère hypertro- phie. Légère accentuation du deuxième bruit dans la région du troisième es- pace intercostal droit. NOEV
é générale. 1° Douleurs. Le malade n'accuse des dou- leurs dans les régions anormalement colorées que lorsqu'il est fatigué.
jets employés, deux poids de 100 grammes et deux de 2 grammes. i° Région thoracique antérieure. Poids de 100 grammes : mêm
rvateurs, est perçu froid par le malade : 1° A gauche. - Dans une région occupant la partie postérieure de la tête et li
ntoire jusqu'à la queue du sourcil gauche. 2° A droite. 1° Dans une région de la face limitée : en haut par une ligne hori
l'oreille va aboutir la sixième vertèbre cer- vicale. 2° Dans une région du tronc limitée : en haut par une ligne à peu pr
tres au-dessus de la pointe de la malléole interne. Dans toutes ces régions , quand on élève suffisamment la température de l'
ambe dans toute l'étendue d'un bas ayant pour limite supérieure une Régions hyperesthésiques pour le froid ou anesthésiques p
ère, nous avons remarqué toutefois que, lorsque nous explorions les régions occupées auparavant par ces plaques, le malade
la sensation chaude ou froide qu'après un moment d'hési- xiv ' 16 Régions hyperesthésiques pour le chaud ou anesthésiques p
hromélalgi- ques,une coloration rose, rouge ou pourpre de certaines régions de la peau (face dorsale des mains et du poigne
la main, qu'il est le plus souvent unilatéral, qu'il siège dans une région anesthésique (or ici la sensibilité tactile est
l'oedème bleu ; elle est congénitale et constante. 4.0 Certaines régions , surtout les doigts, ont l'aspect qu'on observe à
intoxications ancestrales. Seulement, au lieu d'être localisée à la région innervée par un nerf déterminé, elle est systémat
tactile. En effet, la sensibilité tactile est, pour la plupart des régions , diminuée à gauche; mais c'est là une hypoesthé
> tion de la sensibilité tactile se produisit à la fois dans la région cation fut faite et dans la région symétrique.
e se produisit à la fois dans la région cation fut faite et dans la région symétrique. Cela montre de pi neurones de sensa
urvu d'intérêt pour les physiologistes. Voici en effet les diverses régions de sa 230 BINET-SANGLÉ ET VANNIER peau rangée
oient sous la dépendance unique de l'éducation motrice des diverses régions considérées, et j'estime que la fréquence des h
les neurones du froid, l'impression de froid l'emportait, dans les régions de la peau correspondantes à ces groupes, sur l
les neurones du chaud, l'impression de chaud l'emportait, dans les régions de la peau correspondantes à ces groupes, sur l
ET UYSTÉRIE 231 lion des neurones des sensations de chaud dans les régions de l'écorce cor- respondant aux régions de la p
ensations de chaud dans les régions de l'écorce cor- respondant aux régions de la peau hyperesthésiques pour le froid, et par
et par la rétraction des neurones des sensations de froid dans les régions de l'é- corce correspondant aux régions de la p
ensations de froid dans les régions de l'é- corce correspondant aux régions de la peau hyperesthésiques pour le chaud. To
s de sensation et les neurones de mouvement qui commandent une même région du corps, sont situés dans les mêmes centres (c
ne partie des neurones qui président au tonus vaso-constricteur des régions attein- tes ne se sont pas développés. - On n
altération des fibres musculaires vaso-constrictrices dans toute la région occupée par le noevus. Les artérioles (angle st
ond cas le 4c ventricule est bien moins élargi et seulement dans la région supérieure, mais dans celui-ci comme dans l'aut
ndu en bas, que nous ren- controns son extrémité inférieure dans la région dorsale; la valvule de Tarin, couvrant en haut
spina-bifida. Comme en général l'hydromyélie peut exister dans deux régions différentes, par exemple dans la région cervicale
lie peut exister dans deux régions différentes, par exemple dans la région cervicale et la région lombaire et en même temp
eux régions différentes, par exemple dans la région cervicale et la région lombaire et en même temps, elle peut se trouver d
et la région lombaire et en même temps, elle peut se trouver dans la région dorsale, en même temps que l'hydropisie dans la
uver dans la région dorsale, en même temps que l'hydropisie dans la région lombaire. Pour cela l'ouverture de la colonne v
ls implantés sur une plus ou moins grande étendue du tégument de la région dorsale, lombaire, sacrée. L'analogie de cette
ésidait surtout dans la présence de poils implantés au niveau de la région lombo-sacrée de façon à former une touffe assez
t indemne de toute malformation autre qu'une scoliose marquée de la région dorsale. Mais s'il n'y avait pas de spina bifid
at hel- lène présentant une épaisse touffe de poils au niveau de la région lombaire. Ces poils s'implantaient sur une zone
une fille âgée de 16 ans qui présentait implantés sur la peau de la région lombaire de longs poils lisses et noirs. taires
Fille âgée de 9 ans présentant une remarquable hypertrichose de la région lom- baire et une petite fissure rachidienne au
Un cas de spina bifida. Femme de 45 ans, présentant au niveau de la région lombo-sacrée une zone de 15 centimètres de diam
ure regarde presque en de- hors. Le fémur gauche est aplati dans la région trochantérienne. A priori, on pourrait croire à
vertébrale amène un peu d'ensellure vers la partie supérieure de la région lombaire. 3° Du côté des membres supérieurs, pe
2e et 3e espa- ces intercostaux gauches, une zone de battements. La région du coeur est en- dolorie (sensation subjective)
uche. Lorsqu'on examine la main gauche, on voit que le poignet, les régions dor- sale et palmaire de la main sont normaux,
es au pourtour de la tumeur, et on a vu que, tout au contraire, les régions antérieures du cerveau étaient peut-être plus p
Paris, 10 janvier 1901. 364 DUPRÉ ET DEVAUX de l'écorce dans des régions soustraites à toute action directe de la tu- me
ien des encéphalopathies, a été jus- qu'ici peu recherchée dans les régions corticales éloignées des tumeurs (1) Ossipoff,
s vertige bien accusé. - En 1899, à la suite d'un traumatisme de la région occipitale suivie de perte de connaissance, les
endolorisse- ment le long de la colonne vertébrale, surtout dans la région lombaire ; douleur constrictive abdominale, mai
es inter-métacarpienues. Il y a de l'atrophie moins marquée dans la région antéro-externe des jambes. 2 mars. - Mort du ma
us marquée dans le faisceau de Flechsig que dans celui de Gowers. Région dorsale moyenne. La zone de sclérose du cordon po
tteint ; par endroits ces fibres ont disparu complètement (Fig. 1). Région dorsale supérieure et cervicale inférieure. Dans
jusque dans le voisinage du faisceau de Turck (Fig. 2). Dans les régions cervicales supérieures la zone de sclérose occupe
modification de leur forme, surtout dans tous les seg- ments de la région dorsale. Tandis que dans une moelle normale, le d
forme la moins altérée des cornes antérieures est encore celle des régions sacrée et lombaire de la moelle. Au microscope
Toutes sont petites. Le canal central est large et double dans les régions inférieures de la moelle, ses parois sont revêt
upérieures il est obturé. Les vaisseaux delà moelle dans toutes les régions sont altérés. Leurs pa- rois sont épaissies et
un cervelet en miniature ». La moelle et le bulbe étaient petits. Région cervicale 15 -- 9 millimètres. Région dorsale 11
e et le bulbe étaient petits. Région cervicale 15 -- 9 millimètres. Région dorsale 11 - 8 millimè- très. Région lombaire 1
cervicale 15 -- 9 millimètres. Région dorsale 11 - 8 millimè- très. Région lombaire 11 - 8, 5 millimètres. Au microscope o
et le cervelet étaient petits. Les dimensions de la moelle dans la région lombaire étaient de 87 65 millimètres dorsale, in
taient de 87 65 millimètres dorsale, inférieure 77 - 6 millimètres, région du renflement cervical 12,2, région cervicale s
inférieure 77 - 6 millimètres, région du renflement cervical 12,2, région cervicale supérieure 10 - 77 millimètres. Au
its. La longueur de la moelle 35,5 centimètres, l'épaisseur dans la région cervicale (IVe racine) 12 - 7 m/m dorsale (VI
EME NERVEUX D'UN ANENCEPHALE (Vaschide et Vurpas) 1), Coupe de la région cervicale. E, Coupe de la légion dorsale. P, Co
la région cervicale. E, Coupe de la légion dorsale. P, Coupe de la région lombaire - G. Coupe d'un ganglion rachidien (lomb
e ici des cellules motrices. La seconde coupe porte au niveau de la région moyenne du bulbe (Pl. L, B, C). Les cellules, à
iode de cicatrisation définitive. La troisième coupe intéresse la région cervicale (PI. LI, D). Quoique très dégénérées
disparu. Les troisième et quatrième coupes portent au niveau de la région dorsale et de la région lombaire. Les lésions s
et quatrième coupes portent au niveau de la région dorsale et de la région lombaire. Les lésions sont peu près les mêmes en
s courtes d'association). La première coupe porte au niveau de la région prolubéranlielle supérieure. Nous remarquons le
ceau sensitif. B. Entrecroisement des fibres nerveuses. Fig. 2. - Région moyenne du bulbe. A. Faisceau sensitif. Racine
ement a disparu. La seconde coupe intéresse la parlie moyenne de la région bulbo-prolubé- rantielle (Fig. 2). Nous remarqu
fibres fines forme la bordure antérieure et antéro-interne de cette région bulbaire. Elle constitue le ruban de Reil médian.
ian. Ici les fibres sensitives forment (la bordure antérieure de la région bulbaire. Ce qui semble Fig. 3. - Région inféri
a bordure antérieure de la région bulbaire. Ce qui semble Fig. 3. - Région inférieure du bulbe. A. Faisceau sensitif. B.
. A. Faisceau sensitif. B. Fibres sensitives s'entrecroisant à la région médiane. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau
ensitives. Ici, l'épendyme qui occupe ordinairement le centre de la région est situé à la partie antérieure à très peu de di
pas question, ce dernier semble avoir été ex- tirpé ou plutôt cette région s'être formée et achevée en son absence complète.
bsence complète. La quatrième coupe a été pratiquée au niveau de la région cervicale (I'iâ.4). Ce qui frappe ici c'est la
s chacun de ces cordons en particulier, voici ce que nous Fig. 4. - Région cervicale. D. Racine postérieure. E. Entrecro
ieures et postérieures est normale. La cinquième coupe intéresse la région dorsale. A ce niveau les cordons postérieurs se
latéraux sont plus développés et mieux conservés qu'au niveau de la région cervicale. La bandelette qui les constitue va en
d'une façon très nette et très évidente il n'existe pas. Fig. 5. - Région dorsale. E. Entrecroisement moteur. F. Faisce
VEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 395 La sixième coupe porte au niveau de la région lombaire. Ici les cordons postérieurs sont de v
r trajet. Il nous faut maintenant remonter le névraxe, revenir à la région bulbaire pour signaler certains détails de morp
es propres au bulbe normalement font ici complètement dé- Fig. 6. - Région lombaire. E. Entrecroisement moteur. F. Faisc
lent largement sur la face dorsale puisqu'arrivées au niveau de la région supéro- latérale, ces formations semblent se di
et monstruosités. Qu'il nous suffise de rap- peler qu'en certaines régions supérieures du névraxe de cet anencéphale les f
bondants qu'ils forment un véritable collier engainant par places les régions bulbo-protubérantielle ou médullaire. Cette abo
ur destruction. Ces ilots sont extrêmement nombreux au niveau de la région bulbo-protubé- rantielle. Les régions supérieur
ement nombreux au niveau de la région bulbo-protubé- rantielle. Les régions supérieures du névraxe semblent de la sorte détru
e vers la moelle ; elles semblent égale- ment moins nombreuses à la région lombaire qu'à la région dorsale, et moins nombr
semblent égale- ment moins nombreuses à la région lombaire qu'à la région dorsale, et moins nombreuses à la région dorsal
la région lombaire qu'à la région dorsale, et moins nombreuses à la région dorsale qu'à la région cervicale. Les méninges
la région dorsale, et moins nombreuses à la région dorsale qu'à la région cervicale. Les méninges sont également infiltré
blent indiquer l'existence à une certaine période embryologique des régions hémisphériques qui auraient disparu, transformées
hyperesthésiques et hystérogènes au niveau des deux ovaires et des régions sus et sous-mammaires. Clou hystérique. Les pup
s crises correspondaient avec une douleur analogue siégeant dans la région ovarienne et tout le côté gauche ; elle avait aus
pianiste, nerveuse et fille de mère nerveuse, avec douleurs dans la région du cubital depuis la main jusqu'à l'aisselle. S
chement, ce qui accusait clairement une atrophie des muscles de ces régions ; sur l'éminence hypothénar on remar- quait aus
e tronc, les bras et les membres inférieurs. La peau était dans ces régions d'un brun foncé, presque noir.Seules, les parties
, de chaque côté, et dans l'aisselle droite. Rien de semblable à la région cervicale, ni dans l'aisselle gauche. Le crân
travail de néoformation osseuse, constitué de minces lamelles à la région moyenne, mais au niveau des épiphyses inférieures
r la méthode de Nissl. Les résultats ont été compa- rables aux deux régions . Les cellules radiculaires des cornes antérieur
ulaires, ni hérnot'rl13- gies, ni foyers de ramollissements. A la région cervicale, les coupes au Pal ne montrent pas de z
se sur le bord du cordon latéral et dans le cordon postérieur. A la région lombaire, on retrouve exactement le même aspect.
aspect. Ou note cependant, à partir de la portion inférieure de la région dorsale, et jusqu'aux dernières sa- crées.une l
vaient rencontrées dans deux autopsies successives. Au niveau de la région dorsale inférieure et moins prononcée dans la rég
u niveau de la région dorsale inférieure et moins prononcée dans la région lombaire, ils ont noté une raréfaction notable
osition de la main gauche dont le pouce semble tendre la peau de la région cubitale, peuvent être interprétées dans ce sens.
rits. La malade de M. Mabille présente en ontre de l'anesthésie des régions oedématiées (sauf pour les agents thermiques).
érieure est sillonnée par un réseau veineux très apparent ; dans la région cervico-pectorale existe une grosse veine super-
du tissu cellulaire sous-cutané s'ob- . serve souvent même dans les régions où l'interposition du tissu adipeux ne s'est fa
cas où l'épaississement adipeux s'ob- serve souvent, même dans les régions où la transformation graisseuse des muscles ne
que, en cas d'éruption générale à la peau, rien ne se montre dans les régions para- lysées. Il présente, par projection, un h
hui l'existence des réseaux veineux très apparents du bras et de la région cervico-peclorale. L'épaississement du pannicul
r la radiographie de l'intégrité du squelette, fit l'ablation de la région malade, sans se dissimuler le mauvais état du t
ne chute sur le siège, ayant amené une ecchymose très étendue de la région fessière, a coïncidé avec le début du mal. Actu
e. Au début du mariage, le ventre a été souvent douloureux, dans la région des ovaires, sensible à la moindre pression. La
aux idées noires. Les palpitations de coeur sont fréquentes. La région du foie est douloureuse, surtout la nuit, dans la
Pl. LXVII). A l'âge de huit ans, elle fut mordue par un cheval à la région fronto- pariétale droite. A la suite de ce tr
beaucoup moins déformées, et les inflexions de la colonne dans ces régions tiennent à ce que l'axe de la vertèbre est obli
fauteuil, tendant son bras droit au barbier qui palpe avec soin la région du pli du coude avant d'opérer; un lac enserre
32 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ssister à un enterrement. En descendant de wagon, elle tombe sur la région fessière, est étourdie un instant, mais se relè
de la mâchoire du patient, traversa net le sommet du crâne, dans la région frontale, près de la suture sagittale, et fut r
cules, qui répercute la violence subie en un point, dans toutes les régions des centres ner- veux... » (p. 153). C'est au
ces très étendues de la dure- mère au crâne, principalement dans la région fronto-pariétale. Ces adhérences indiquent évid
balle qui pénétra au-dessous de l'oeil gauche et ressortit dans la région temporale; oeil perdu. A la suite de cette bles
it atrophié par suite d'une blessure reçue à l'âge de trois ans, la région pariéto- occipitale de l'hémisphère droit et le
nk. Le centre cor- tical de la vision, loin d'être circonscrit à la région moyenne ou pariétale de la deuxième circonvolut
orce qui s'étendait, sur la seconde circonvo- lution externe, de la région frontale au commence- ment de la région occipit
vo- lution externe, de la région frontale au commence- ment de la région occipitale. Ils niaient par conséquent que la s
de caractère et des façons d'être et d'agir des chiens opérés de la région occipitale, ces auteurs italiens inclinaient à
de viande pour s'en emparer; sinon, c'est qu'il ne le voit pas : la région correspondante de la rétine est aveugle. Enfin
Trois questions ont été surtout ici bien étudiées : Dans quelles régions du cerveau doit-on localiser les centres de la
t-elle étrangère à cette fonction, se demandait Luciani, car ces régions n'avaient guère été explorées par l'ex- périmen
lobe frontal, on ne peut arguer de la proximité de ce lobe avec les régions occipito-pariétales. D'autre part, chez la chie
tres centres de l'écorce, supprime toute limite précise entre ces régions . Ces centres se confondent aux vagues confins d
- rale, chez les animaux, le centre cortical de la vision dans la région pariéto-occipitale. Il a vu d'ailleurs la 1 Mun
dent sur une aire considérable de l'écorce, et s'irradient dans les régions pariéto-frontales et temporo- sphénoïdales. L
ns de la tache jaune, par exemple, ne seraient associés qu'avec une région distincte de l'écorce du lobe occipital (le poi
segment externe de la rétine de tau corres- pondant, avec les mêmes régions centrales. On conçoit ainsi comment l'extirpati
e lobe occipital (Munk), considérés isolément, mais dans ces deux régions . « Nous ne pouvons dissimuler, ajoutaient-ils,
ces quand la lésion a évolué lentement, suppléances dues soit aux régions symétriques de l'hémisphère opposé, soit aux ce
cette époque, indi- quaient nettement l'importance des lésions des régions occipitales dans la production des troubles de
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 49 logiques et fonctionnels de ces deux régions du cer- veau, en d'autres termes, que les centr
ci admet que, chez l'homme, ce centre est surtout localisé dans les régions occipitales du cerveau. Archives, t. XVIII. 4
ribué à une action exercée à distance sur le lobe occipital par les régions encéphaliques malades. Puis, comme on rencontre
ue le parcours des fais- ceaux nerveux a pu être suivi dans tant de régions du système nerveux central et que le trajet int
tres psycho-sensoriels de l'écorce ont été découverts, bref,~où les régions des transfor- mations des sensations en percept
sse être circonscrit, il devient possible également de délimiter la région cérébrale des lésions, soit irritatives, soit d
e centre cortical de l'audition, c'est-à-dire, d'après eux, sur les régions pariéto-occipitales de la troisième circonvolut
jours après l'opération. Une lésion destructive sem- blable sur la région homonyme de l'autre hémisphère déterminait une
exercée sur le lobe temporal gauche par un processus morbide d'une région quelconque du cerveau : il peut exister alors u
moire, et que les altérations de la sensibilité spécifique de celte région , qui ne sont rien moins que constantes, sont loin
n arrêt de développement des lobes temporaux au regard des autres régions cérébrales, en particulier une atrophie marquée
nts noirs, moins nombreux, ceux du faisceau croisé avec les mêmes régions . Giuseppe Fasola a fait récemment, au laboratoi
au direct; 3° de même pour les fibres acoustiques issues de la même région ; 4° enfin, les fibres olfactives issues des rég
ssues de la même région; 4° enfin, les fibres olfactives issues des régions ammoniques ne subiraient pas d'entre-croisement
érale qui, selon Ferrier, seraient consécutives aux lésions de la région hippocampale, Fasola non plus que Lu- ciani n'e
sperinaeol, di /'reniatria, 1885, 'r3É suiv. 78 PHYSIOLOGIE. une région en rapport avec l'odorat. Cela résulte des cas
ne gauche (Ogle, Notta). Ces faits prouvent l'im- portance de cette région comme partie de la sphère olfactive ; ils sembl
t les rapports fonctionnels du lobe et du bulbe olfactif avec ces régions . Au congrès des médecins italiens de Pavie, de
rculation pulmonaire, anémier et amener au ramollissement certaines régions des centres nerveux et particu- lièrement le re
lièrement. A l'auscultation, on entend un fort gazouille- ment à la région cardiaque; on peut d'ailleurs aisément s'en ape
. - Nous trouvons un ramollissement très. avancé de cet organe à la région du renflement lombaire. Les cordons antéro-laté
s droits, sont colorés en gris jaunâtre. Un peu au-dessous de cette région , les coupes transversales nous montrent la subs
ntillé rouge à lacorne grise postérieure gauche. Au-dessus de cette région on voit un aspect uniformément rouge de la substa
ide, de la loupe on aperçoit quelques bulles de gaz au milieu de la région ramollie. Il sort de l'air aussi des vaisseaux,
u myélitique. On n'en voit que très peu à la moitié droite de cette région . Nous n'en avons pu trouver aux autres régions de
oitié droite de cette région. Nous n'en avons pu trouver aux autres régions de la moelle. Expérience IV (6 juillet 1886).
les veines. Moelle. - Oblitérations gazeuses intravasculaires à la région lombaire. Dans les mailles du tissu myélitique,
e à tel ou tel territoire vasculaire, et par suite à telle ou telle région , ces accidents revêtent telle ou telle forme cl
elle s'est engagée, fait arrêter tout à coup la circulation de la région correspondante. Une ischémie subite con- sécuti
dont la gravité varie, selon l'importance physiologique de cette région . Nous aurons lieu plus tard, au chapitre de la
e assez forte, haute, en forme de toit, sans saillies exagérées. La région occipitale est aplatie. Inclinaison très rapide
; iris brun, pupilles égales; cils longs, pas de lésions oculaires. Régions malaires symétriques, cependant la joue gauche
ls ont dû être commis déjà aupara- vant, car l'enfant présente à la région anale une exulcération de la largeur d'une pièc
omatite mercurielle. Grandes plaques de roséole sur les lèvres, les régions scapulaires ; aspect marbré de la poitrine; que
les aisselles et dans les aines,-et quelques taches pigmentées à la région lombaire gauche. Taille : 4 m 67 ; poids : 60 k
GIQUE I. ETUDE analytique au MOYEN DE l'excitation ÉLECTRIQUE DES RÉGIONS MOTRICES DU CERVEAU DU SINGE (MACACUS SINICUS);
à les expériences de Luciani, Tamburini, Ferrier et d'autres sur la région de la sphère optique de Munk chez les animaux a
de l'excitation doivent être beaucoup plus considérables pour cette région que pour la zone psychomotrice. Pour la substan
égale. Mais on pouvait se demander si la substance corticale de la région psychomotrice ne joue pas un rôle important dan
ux : Dans ce but, l'expérimentateur excise la substance grise de la région psychomotrice et excite ensuite la substance bl
hémisphérique. Enfin , quand on met à nu la substance blanche de la région psychomo- trice et quand on l'excite par des co
s occipitaux paraissent dépourvus de centres analogues à ceux de la région psychomotrice. L'opi- nion de Ferrier d'après l
la déviation conjuguée des yeux doivent se trouver non pas dans les régions psychomotrice et occipitale, mais plus bas. Enf
plus bas. Enfin, chez les animaux âgés de moins de cinq mois, la région psychomotrice est dépourvue de la zone des mouvem
nt servis à la fois de l'excitation électrique et de l'ablation des régions cérébrales dans leurs recherches. Les expériences
ient à la suppuration par défaut d'antisepsie. L'excitation de la région motrice leur a donné les mêmes résul- tats que
leur a donné les mêmes résul- tats que ceux de Ferrier; mais cette région motrice peut être divisée en un certain nombre
lus grande que celle des aires marginales. Leurs expériences sur la région occipitale, quoique peu nom- breuses, concorden
n rapport avec les perceptions visuelles, de telle sorte que chaque région occipitale est en rapport avec la moitié corres
es. C'est une extension des vues de Ferrier qui les limitaient à la région de l'hippocampe. P. S. VI. Des racines du tri
tion d'un endroit élevé. On constatait en outre de l'anesthésie des régions innervées par le plexus honteux et hémorrhoidal
double pendant l'été de 1886) une sensation d'op- pression dans la région stomacale, des nausées, de temps à autre des vo
capable dejeter une vraie lumière sur les fibres latérales de cette région . 11 s'agit d'un homme de quarante trois ans, suc-
roit qui, à première vue, portait sur les ascendants l'insula et la région qui entoure la scissure de Sylvius. La base des
ral contient des trousseaux de fibres issue du lobe temporal et des régions du lobe pariétal, en arrière de circonvolutions
182 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. pyramidales; visibles surtout dans les régions motrices et dans la corne d'Ammon où elles sont
ar le liquide de Muller; des coupes ont été faites en di/ré- rentes régions , tant à gauche qu'à droite, sur chaque hémisphère
sont groupées par nids comme on les trouve à l'état normal dans les régions motrices, ainsi que l'a indiqué Betz; elles son
bles de corps granuleux dans la blanche. Les cellules géantes de la région sont éparses au milieu de la névroglie, leurs d
araissent abondantes; à part cela l'aspect est le même que dans les régions motrices gauches. La première frontale et le lo
rtain nombre de gaz à un des rameaux que la sylvienne fournit aux régions psycho-motrices. (3). Accident de /'Observation
duire par embolies capillaires l'ischémie et la nécrobiose de ces régions de la moelle. C'est donc le hasard de la locali
ne trouva décrite nulle part et qui s'exprimait surtout dans deux régions : la peau et les fonctions psychiques. L'état mor
de myxoedème chez un homme, accompagné de dépression visible de la région psychique. Cet auteur suppose le point de dépar
pérature cutanée abaissée. L'auteur suppose'que les anomalies de la région psy- chique proviennent de l'accumulation de la
iron, s'accompagnant de celle des cils et des poils dans toutes les régions qui en sont pourvues. En même temps, elle souff
is ansérina, absence presque totale de transpiration. La peau de la région inférieure de l'abdomen prit une teinte bronzée
elque temps après, ce malade réussit à s'introduire un clou dans la région temporale par un singulier procédé; ayant appli
ntre le mur. On constata bien à cette époque une petite plaie de la région , suivie d'un gonflement assez considérable; mai
é conservateurs. Ce fait est facile à constater suivant cer- taines régions où des races à type connu dominent. A un autre
a vessie et du rectum avec anesthésie de ces organes et de toute la région inner- vée par les troisième, quatrième et cinq
européenne qui était coupable des progrès de l'alcoolisme dans ces régions , en venant se substituer à une religion qui déf
s plus acceptables, ses signes dépendraient de la lésion de cette région déterminée des centres nerveux quelle que soit
ou deux, puis un violent mal de tête leur succède, siégeant dans la région frontale sus-orbitaire : des vomissements bilieux
cali- sation, et qui par eux-mêmes ne nous renseignent que sur la région des centres nerveux qui est touchée, ' et nulle
res nerveux qui est touchée, ' et nullement sur la façon dont cette région est atteinte. Ainsi, si pour une raison que nou
conservées. En résumé, les lésions paraissent plus marquées sur les régions postérieures de l'hémis- LÉSIONS DE LA SUBSTANC
on rameuse assez développée; les grandes cellules pyramidales de la région sont petites et entourées de myélocytes. La moe
artir d'un certain volume. On retrouve les mêmes désordres dans les régions motrices, dans le lobe occipital. Là toutefois,
t la formation de bandes de tissu scléreux par plaques dans la même région ne sont que les deux premiers degrés de l'altérat
erminé, avec une admirable précision, la topographie des diverses régions , fonctionnellement différentes, des centres de
natu- rellement se contenter de ces données empiriques. Certaines régions du cerveau sont en rapport avec les fonctions m
ni Munk ne les ont jamais vus s'amender et disparaître quand les régions motrices avaient été exactement enlevées sur le
es nées des sensations cutanées, musculaires et d'innervation des régions correspondantes du corps, ne détermine des mouv
erveau, 299. 1 Après la section circulaire ou circonvallation d'une région limitée, éprouvée comme motrice, F. Franck et P
conscrite, et la paralysie motrice succéder à l'ablation de la même région , si bien que « les points dits centres moteurs
des fibres d'association qui rattachent ce territoire mo- teur aux régions voisines (frontale, temporale et pariéto-occipita
ue leur mise en activité est subordonnée aux excitations venant des régions sensorielles voisines, surtout de la région par
excitations venant des régions sensorielles voisines, surtout de la région pariéto-occipitale, par un mécanisme analogue à
t bien, sous l'influence du stimulus électrique porté sur certaines régions de l'écorce, déterminer l'activité volontaire d
e sans abolition du sens musculaire '. Pour localiser dans d'autres régions que D. Ferrier les centres du sens musculaire e
« des fibres intercen- trales relient les corps striés aux diverses régions de l'activité cérébrale ». Une excitation parti
te), relient les « centres de l'idéation », comme toutes les autres régions corticales, aux ganglions sous-corticaux. Les a
les rapports anatomiques de la tête du noyau caudé avec diverses régions de l'écorce. Tout ce qu'il est permis d'affirmer,
ent aussi à la moelle épinière. 384 PHYSIOLOGIE. suppléance des régions corticales enlevées, par d'autres régions de l'
IOLOGIE. suppléance des régions corticales enlevées, par d'autres régions de l'écorce, n'a pour elle aucune vraisemblance
e durée du retard des réactions déterminées par l'excitation de ces régions de l'écorce, ce qui permet de- les assimiler à
éoriques il se fait de la disposition des partiesdu cerveau dans la région de la zone excitable. Cf. encore XXXIII (188î), p
t différenciés des différents groupes musculaires de telle ou telle région '. » Pour Bechterew, l'aire corticale dont l'ex
glais que sont venues à Schiff les 1 Bechterew. - Physiologie de la région motrice de la substance corticale du cerveau. (
ion des cordons postérieurs, c'est que la ' ' Selon Herzen, la même région du cerveau (gyrus sigmoïde chez le 'chien) cont
it donc dû admettre la nature mixte ou sensitivo-motrice de cette région . Mais on chercherait en vain dans l'oeuvre du p
ce des mouvements localisés produits par l'excitation électrique de régions déterminées de l'écorce, l'inexcitabilité des z
nt être en grand nombre et en rapport spécial 'avec les différentes régions du corps. Tamburini admet- tait donc, comme trè
s confinée à la zone motrice. Car les effets de l'électrisation des régions sensoreilles de l'ouïe et de la vue « ne diffèr
ette zone n'est pas exclusivement motrice. Toutes les différentes régions de l'écorce sont, à des degrés divers, semées d
ice proprement dite, des points aussi constants que ceux de cette région , dont l'excitation provoque toujours des mouvem
minent ne sont point dus non plus à la propagation du courant aux régions motrices, car si on isole ces centres par la mé
faut employer des courants plus intenses que pour les centres de la région motrice, prouverait qu'ils ne sont pas, comme c
de s t'to) : ? ob ? ce df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la région motrice de la substance .co1,ticale du cerveau.
oire cutané correspondant à ce centre : elles s'étendent à d'autres régions du même côté. Ainsi, après l'ablation du centre
ation d'aire psycho-motrice appliquée, d'une manière spéciale, à la région rolan- dique, si elle est utile en clinique, ne
ique, car le cerveau tout entier, et non pas seulement une certaine région , participe plus ou moins à la production des mo
'écorce, l'impulsion motrice volontaire devait passer par certaines régions plus particulièrement considérées comme psycho-
n rapport avec les noyaux gris moteurs de la moelle épinière. Ces régions corticales « psycho-motrices ne seraient don qu
e la sensibilité générale, consécutifs aux lésions destructives des régions motrices de l'écorce, nous mènerait trop loin,-
la sensibilité générale et la motilité volontaire, c'est que les régions postérieures du cerveau, demeurées indemnes, su
à Goltz qu'il a lui-même reconnu et confessé que les fonctions des régions occipitales diffèrent de celles des régions ant
que les fonctions des régions occipitales diffèrent de celles des régions antérieures. Mais c'est pour retomber dans son
'quoique les phénomènes soient plus nets et plus intenses dans la région dont le centre cortical a été détruit en tout o
ste, pour que l'exten- sion des phénomènes de déficit au delà de la région du corps dont le centre cortical a été détruit
leur hypothèse de l'identité des fonctions des corps striés et des régions motrices de l'écorce, Luciani, Tamburini et Sep
ucial, et la moitié antérieure du lobe pariétal, représentée par la région postcruciale du gyrus sigmoïde et par les segme
ce qui a trait aux impressions tactiles, n'est pas circonscrite aux régions antérieures du cerveau : elle rayonne et s'irra
aux régions antérieures du cerveau : elle rayonne et s'irradie aux régions postérieures, elle s'unit et s'engrène avec les
ndent sûrement jusqu'aux parties postérieures du lobe parié- tal ( région F. de Munk). ' Voici d'ailleurs la représentati
vec irradiation vers la base du cou ; - 4° point douloureux dans la région correspon- dant aux ovaires chez la femme ; la
us les points hystérogènes, la sensibilité est la même qi e sur les régions voisines, sauf au niveau des points iliaques où e
morphose du tissu graisseux en masse colloïde, par exemple dans les régions des reins, du coeur, etc. En faisant attention
iffi- culté de mouvoir la langue, en partie des altérations de la région mentale. Du côté sensoriel, on observe parfois de
yxoedème, de môme que la maladie de Basedow, altère très souvent la région psy- chique ; Eulenburâ 1, en décrivant la mala
depuis quel- ques jours leur cours régulier, lorsqu'il observa à la région interne des deux cuisses, depuis le pli de l'ai
ses, depuis le pli de l'aine presque jusqu'à la che- ville, et à la région externe des mêmes membres, depuis l'épine- ilia
Teissier. (Lyon méd., 1888, t. LVIII.) Tout en admettant que les régions protubérantielles sont cer- tainement intéressé
ans les points qu'on est disposé à considérer aujourd'hui comme les régions d'origine spinale du grand sympathique (Pierrel
ur place, qui figurent la marche et la course. Par conséquent, la région des couches optiques et des tubercules quadriju
ore au corps trapézoide, au moins comme station de renforcement. La région qn'occupe la couche inférieure du noyau de Deil
33 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ordons postérieurs. Atrophie des racines. Sclérose très nette de la région pyramidale croisée. FIG. 6. - 111° paire sacrée
ctif et les vaisseaux y prennent part également, quelle que soit la région examinée (Pl. I, II et III). Unpointencore cont
es cutanés de la zone hyperesthésique de la limite supérieure de la région anesthésiqup, etc. ; mais nous tenonscomme certai
ent ni le froid, ni le chaud. 20 RÉVILLIOD Intacte aussi est la région cervico-dorsale qui n'a donné lieu à aucun troubl
ilité, à droite pour la sensibilité, sans remonter plus haut que la région dorso-lombaire. L'intégrité des sphincters, l'exa
la respiration, déglutition, etc. indique aussi l'état normal de la région cervico- dorsale. En résumé, les éléments du
o- lombaire primitivement unilatérale gauche, puis diffusée dans la région pos- térieure. Une lésion transverse unilatér
l côté, donnant lieu naturellement des symptômes en rapport avec la région intéressée. C'est ainsi que lorsque les faisc
rticale ancienne constituée par un foyer celluleux siégeant dans la région pariéto-occipitale (PI. V, A) (1). Le foyer par
rizontale de l'hémisphère droit, montrant le ramollissement dans la région de la 3c frontale. Masson et Cie, Editeurs Ph
l'écorce. Coupe de Brissaud. Ramollisement sous-cortical dans la région postérieure de la 3e frontale. Le foyer se trou
oyons- nous, quelque troublante que soit cette localisation dans la région de la 3e frontale droite, qu'il n'y a pas lieu
eu de paraphasie. Morte à la suite d'une hémorragie cérébrale de la région capsulo-striée du côté droit. Du côté gauche on
u. Elles siègent sur l'écorce de l'hémisphère gauche, au niveau des régions pariétale ou temporale,dans l'aire ou sur les con
res en se servant d'un tambour explorateur de Marey appliqué sur la région spinale et maintenu par une ceinture de gymnase,
ce phénomène en appliquant pendant la marche les deux poings sur la région lombaire au-dessus de la crête iliaque. A chaqu
. ROLE DES MUSCLES SPINAUX DANS LA MARCHE NORMALE CHEZ L'HOMME 53 région à ce moment, ni l'inspection du nu sur les sujets
en arrière, en attitude très cambrée, avec ensellure profonde de la région lombaire, où il m'a semblé qu'elle était suppléée
très 54 LAMY Y a) Chez les individus maigres el musclés, dans la région dorso-lombaire, les renetsmuscuiafresuessment.
'oscillation delà jambe dans le pas antérieur; le même aspect de la région lombaire se maintient jusqu'à la chute du talon s
ion que le sujet d'expérience soit maigre et bien musclé, el que la région dorsale soit favorablement éclairée (vuir PI. V
. Acad. des sciences, 5 janvier 1903. 60 LAMY difficile qu'à la région lombaire, en raison de la multiplicité des muscle
la région lombaire, en raison de la multiplicité des muscles de la région . Mais il semble bien que les contractions muscula
s- culaires du dos : à tel point qu'à la simple inspection de cette région , chez les individus maigres et musclés, on peut
étroit pour le recevoir. Des plis transversaux profonds barrent la région ombilicale, traduisant le tas sèment général du
core cet aspect si particulier, le crâne èst augmenté de volume, la région frontale plus haute que normalement ; l'architect
t. Ce qui frappe tout d'abord, c'est la diminution de hauteur de la région abdominale ; elle paraît se produire surtout au
lement situé au niveau de l'ombilic et se perd latéralement dans la région du flanc ; les autres, moins marqués, séparés p
au-dessus de lui ; le plus élevé se termine de chaqne côté dans la région de l'hypochondre an-dessus du rebord inférieur
ment des dernières côtes. A la partie supérieure de l'abdomen, la région épigastrique forme une vous- sure transversale
orax prend quelquefois l'aspect d'une vallée ouverte en bas vers la région épigastrique plane. Dans ces cas, les plis tran
ssion ainsi formée viennent se perdre les plis trans- versaux. La région du flanc n'existe pour ainsi dire plus puisque, s
direction devient paral- lèle à celle des côtes. Souvent enfin, la région hypogastrique est projetée en avant. En résum
ition de l'es- pace ilio-costal, telles sont les déformations de la région abdominale, déforma- tions qui nous semblent tr
côté du rachis et du bassin. La colonne vertébrale présente dans la région dorso-lombaire une courbure unique à convexité
artie supérieure du dos prend une direction presque horizontale. A la région inférieure de la colonne vertébrale, le sacrum
voussure du dos est très accusée, la face postérieure du cou comme la région dorsale supérieure se rapproche de l'horizontal
ue le malade veut redresser la tête, la concavité postérieure de la région cervicale s'exagère. La mobilité des différents
inuée, les mouvements de flexion se font assez bien surtout dans la région cervicale et lombaire, la région dorsale reste
se font assez bien surtout dans la région cervicale et lombaire, la région dorsale reste presque immobile. Mais l'extension
quilibre, il est obligé de porter le bassin en avant et d'amener la région lombaire en retrait sur la région dorsale. Le r
le bassin en avant et d'amener la région lombaire en retrait sur la région dorsale. Le rachis, sauf dans la colonne cervic
ement une légère dépression des hypochondres. L'aplatissement de la région épigastri- que contribue à rendre difficile ape
singes anthropomorphes » (Pozzi)........ Le rachis est immobile, la région dorsale présente une courbure à convexité posté
convexité postérieure, exceptionnellement une déviation latérale, la région lombaire est rectiligne. «.... Le thorax est
s sur les cuisses, l'an- kylose faible n'existant guère qne dans la région lombaire, et permettant au malade de se redress
ient nullement ossifiés. Sur des coupes pratiquées dans différentes régions du fémur (trochanter, col, tête, diaphyse, cond
u de Goll et le faisceau cérébelleux direct, principalement dans la région cervicale. L'évolution clinique des malades de
s cordons postérieurs, localisée dans les faisceaux de Burdach à la région lombo-sacrée, et dans les faisceaux de Goll dan
ach à la région lombo-sacrée, et dans les faisceaux de Goll dans la région cervicale - dégénération partielle de tout le fai
au du pôle occipital gauche. La moelle est très grêle, aplatie à la région cervico-dorsale ; il y a, à la ré- gion postéri
oute la hauteur, petites et translucides. A la coupe, on voit, à la région dorsale et cervicale, un cordon postérieur tran
a) Diminution de nombre partout, avec prédomi- nance pour certaines régions irrégulièrement distribuées. Ces cellules ne 13
partout (sauf au niveau des noyaux dentelés ; ceux-ci ainsi que la région adjacente paraissent sains et riches en fibres
ints dans toute leur hauteur, avec prédominance des lésions dans la région lombaire et dorsale. Il s'agit ici d'une dégéné
sont surtout les portions centrales des ' cordons postérieurs ; les régions cornu-commissurales et cornu-radiculaires sont
racines postérieures sont au contraire entièrement dégénérées à la région lombaire et dorsale infé- rieure et deviennent
irect et assez légèrement le faisceau de Gowers, et s'étendant à la région cervicale et dorsale sur le territoire du faisc
du bulbe, on trouve, sur une hauteur d'un centi- mètre environ à la région cervicale moyenne, une tache scléreuse à gauche,
sont épaissis et sclérosés. Les méninges postérieures, surtout à la région dorso-lombaire, sont épaissies et adhérentes. /
une même coupe le ventricule se dilate encore inégalement. Dans la région frontale par exemple c'estsurtout la partie latér
N. L.) présentent le même aspect que l'écorce, et cela dans la même région . Là où l'écorce est le plus altérée, il en est
asme) présente au carmin une tache rou- ge irrégulière, occupant la région de Fli. ; au Weigert elle se manifeste par la d
la tumeur. -Aspect particulièrement dense de l'écorce dans la même région . OBS. III. Mlle L. M..., décédée à l'âge de 51
itus en mai 1901. L'autopsie confirma le diagnostic de tumeur de la région frontale. La pl. XXIV montre les rapports du né
rarement l'image caractéristique de la fibre nerveuse. Mais déjà la région des corps genouillés externes apparaît normale,
PI. XXV TUMEUR CÉREBRALE (Weber et PI1Padaki) 11. Coupe de 1.\ région frontale et coupe de la tumeur (Obs. 111). 13.
res sont partout for- tement élargis, peut être un peu plus dans la région frontale que dans les autres parties du cerveau
t fendillé particulier aux coupes que l'on a laissé sécher. Dans la région voisine de la tumeur on remarque d'énormes « cell
tauungs-papille) tout à fait prononcée. Le diagnostic de tumeur de la région des corps quadrijumeaux n'est plus douteux. Y
mmissure moyenne est réduite à une mince lamelle. Le pourtour de la région des corps quadri- jumeaux est de in 5 centimètr
i l'on peut dire ainsi. RÉSUMÉ. Tumeur gliomateuse s'étendant de la région interpédonculaÍ1'1J au IVe ventricule ; obstruc
qu'à distance, car la tumeur n'intéresse la Ille paire que dans la région des noyaux et des racines. L'hypertension muscu
ide de la maladie. Il n'est guère admissible qu'une tumeur de cette région puisse rester longtemps latente. Or c'est en 1901
t de vue et pour des raisons purement mécaniques, les tumeurs de la région de la tente du cervelet et du foramen occipital
recroisement de vVernicke, au-dessus du genou du facial, dans cette région qui s'étend entre les noyaux de la IIIe et delà V
A 22 ans, en pleine santé, il est pris d'une violente douleur dans la région cervico-dorsale, bientôt une tuméfaction se fai
région cervico-dorsale, bientôt une tuméfaction se fait dans cette région , le malade va à l'hôpital à Biella et ici on lu
moteurs et sensitifs du trijumeau qui sont bien conservés. Dans la région ventrale de la protubé- 168 GRUNER ET BERTOLOTT
entres sous-corticaux, et il est d'avis qu'il faut admettre dans la région des tuber- cules quadrijumeaux, non seulement d
- bles vaso-moteurs apparaissent dans les lésions qui affectent les régions sensitives du pédoncule. Reinhold (2) place l
* En arrière, il existe une cyphose à grand rayon s'étendant de la région cer- vicale à la région sacrée. La partie dorso
une cyphose à grand rayon s'étendant de la région cer- vicale à la région sacrée. La partie dorso-lombaire présente une sco
e avec insuffisance des sigmoïdes. On entend un bruit de galop à la région précordiale. Les sous-clavières sont un peu sur
rs nets. Les petits vaisseaux, dilatés, s'avancent beaucoup dans la région maculaire qui partage la teinte bleuâtre du res
rs prix à l'école. A l'âge de 5 6 ans il subit un traumatisme de la région sourcilière gauche où actuellement on note à 1
présente, sans cause apparente, des accès de douleur très vive à la région précordiale. Cette douleur ne dure que quel- qu
yeux, la teinte générale du fond de l'oeil est un peu bleuâtre, la région maculaire est foncée. La papille présente une exc
es, diversement localisées sans ordre et sans symétrie. La peau des régions tuméfiées était pâle; elle ne conservait pas l'em
momètre à bulbe plat, était un 4/5 de degré plus basse que dans les régions voisines. Le malade ne présenta ja- mais de phé
maximum de courbure se trouvant vers la fi° et la 68 dorsale. La région scapulaire droite abaissée, déjettée en arrière e
énué jusqu'à trois travers de doigt de la base. En avant et dans la région axillaire, silence respira- toire au-dessus de
, musculaires, et autres. Ce centre peut se trouver ou dans la même région que le centre d'a- graphie, ou dans son voisina
fait en somme la rééducation de l'écriture, combinée au massage de la région atteinte. Son traitement est extrêmement variab
inclinaison à gauche (côté sain). La cour- bure vertébrale dans. la région . lombaire est peu accusée dans les deux cas. Et
nverse est presque nulle. La compen- sation se fait surtout dans la région cervicale. L'épaule n'est que très légèrement a
la dou- leur sciatique a été précédée d'une brusque douleur dans la région lom- baire, et d'une sorte de lumbago. Dans le
te portion des cordons postérieurs. Toujours elle prédomine dans la région dorsale, diminuant à mesure qu'on se rapproche
e se limite aux cordons postérieurs, qu'elle peut envahir depuis la région lombo-sacrée jusqu'au bulbe. Histologique- ment
gite, sans myélite. Elle se continue en haut avec la méningite de la région cer- vicale et est maxima au niveau du 6e segme
ans les aires des deux faisceaux pyramidaux croisés. Dans ces mêmes régions , le Pal met en évidence une grande raréfaction
ux n'est pas infiltré, mais la vascularite est intense. Moelle.- La région cervicale est atteinte de myélite très accentuée,
XXIII, fig. ). Les cellules nerveuses paraissent normales. A la région dorsale, on ne trouve les fibres dégénérées que d
é à la partie antéro-externe des faisceaux pyramidaux croisés. La région lombaire paraît normale. Les vaisseaux des racine
se périlobulaire. Infiltration pigmentaire hématique dans les mêmes régions . Rein. - Aspect vaso-paralytique typique. Pas
sale. Les préparations à l'hématoxyline-éosine montrent, comme à la région lombaire, une leptoméningite manifeste. Quelques
ées (pl. XXXIII, fig. 7). Les racines postérieures sont, comme à la région lombaire, nettement altérées. 3° Moelle cervi
la main droite est froide ainsi qu'une partie de l'avant-bras. Ces régions sont d'une teinte livide, la sensibilité y paraît
on à peu près complètement dé- générée), on peut le diviser en deux régions également : 1° Une région externe où l'on aperç
- générée), on peut le diviser en deux régions également : 1° Une région externe où l'on aperçoit, coupées obliquement, le
égénératif, ainsi que la zone de Lissauer. 2° Plus en dedans, une région où les fibres dégénérées sont sectionnées per*
lace de cellules embryonnaires. Cette infiltra- tion prédomine à la région postérieure, formant autour des veines comme des
t rempli de cellules en amas. 3° Moelle cervicale. Comme dans les régions précédentes, la pie-mère est épaissie et infilt
rieure de la moelle en arrière des cornes latérales. Dans les mômes régions , PLANCHE XXXIV. 1. Obs. IX. Partie inférieure
s- tème pyramidal (direct et croisé), foyer de méningomyélite de la région dorsale. Pasd... Paul; âgé de 45 ans, entre à
es de cellules rondes et sont entourées de ces mêmes cellules. A la région dorsale dans le faisceau latéral se trouve un foy
rouve un foyer de méningo- myélite surajouté. Au Weigert, dans la région cervicale, on constate la dégénérescence du fai
ines postérieures sont très altérées (pl. XXXIV, fig. 2). Dans la région dorsale on constate les mêmes lésions de sclérose
n gros foyer récent de méningo-myélite (pi. XXXIV, fig. 3). Dans la région lombaire, en plus de la sclérose des bandelettes
toxyline-éosine, méningite intense, quoique moins prononcée qu'à la région dorsale, avec périphlébite, congestion énorme des
ierret et de la partie médiane antérieure du cordon de Goll. A la région sacrée et lombaire, les racines postérieures sont
idérablement. En janvier 1904, apparaît une légère excoriation à la région sacrée ;. l'eschare s'agrandit progressivement,
par des cellules rondes et du pigment sanguin est plus marquée à la région postérieure qu'à l'antérieure. Il existe de la
cordons latéraux, ceux-ci sur une surface moins étendue que dans les régions cervicale et surtout dorsale. Nissl. Les lési
st sous la dépendance d'un pelit foyer de rnéliingo-myé- lite de la région dorsale, nettement appréciable, quoique beaucoup
bandelettes externes et le bord interne du cordon de Goll dans les régions lombaires, dorsale et cervicale. III Si nous
orticoméningée qui a intéressé et détruit les circonvolutions de la région périrolandique gauche et la partie postérieure
le cas de M. Dejerine, d'une lésion corticale pla- que jaune de la région rolandique moyenne et de la partie postérieure
l'acide osmique, sont sains. La protubérance, le bulbe, en trois régions différentes, supérieure, moyenne et inférieure,
es, après avoir disparu nombre de fois en plusieurs accès, dans une région de la peau sur laquelle il était revenu très so
d'ur- ticaire. L'oedème passager montre quelque préférence pour une région déterminée. Sur cette région un jour s'établit
ger montre quelque préférence pour une région déterminée. Sur cette région un jour s'établit un oedème qui ne disparaît pl
, à une moitié de la figure [Her- toghe (63), Meige (54)], dans les régions supraclaviculaires (Potain) (67), sur la peau d
e passager est la conséquence d'une altération passagère de la même région dont la lésion définitive produit l'oedème nerveu
s, on pourrait observer l'augmentation de la lymphe dans toutes les régions du corps dans le même temps, et sa production ser
c cliniquement d'une affection qui peut se présenter dans plusieurs régions du corps. L'éléphantiasis préfère les membres, ma
s'arrête à une ligne de démarcation supérieure qui le sépare d'une région parfaitement saine. Il suffit d'ailleurs de com-
les premiers temps les oedèmes passa- gers ou bien l'oedème sur une région déterminée. Lorsque cet oedème se répète toujou
région déterminée. Lorsque cet oedème se répète toujours dans cette région , ou bien lorsque l'altération trophique s'établ
ès une longue répétition d'accès d'oedèmes passagers dans les mêmes régions . On comprend aussi que l'éléphantiasis peut, dans
tière dit corps, l'urticaire syringomyélique est localisée dans les régions anesthé- tiques [Schlesinger (47). Le même aute
ns d'urticaire générale à toute la surface du corps, tandis que les régions anesthésiques étaient indemnes d'éruption. Il s
plus excitables. Il faut à ce propos se souvenir aussi que dans les régions anesthésiques des syringomyéliques peuvent se p
s : d'autant plus que lorsque la syringomyélie se localise dans les régions inférieures de la' moelle nous pouvons observer l
lant que forment les angles antéro-supérieurs des pariétaux ; cette région des pariétaux est à un niveau plus élevé que le b
e les bras relevés. La colonne vertébrale n'est pas déviée dans les régions dorsale et cervicale. Il y a dans la région lom
st pas déviée dans les régions dorsale et cervicale. Il y a dans la région lombaire une ensellure assez prononcée qui s'acco
e qu'elle est suffisamment par les musclés et les aponévroses de la région . « Dans l'histoire du développement des clavicu
'est-ce qu'un anencéphale ? Un être dans lequel ne s'opère pas à la région rachi- dienne la transformation du premier vers
trêmement réduite, on distingue le Dérencéphale dont le crâne et la région cervicale sont seuls intéressés et l'Anencéphal
erne, en arrière elle envahit d'une façon presque générale toute la région de l'occipital, gagne sur le cou et tend à empi
a région de l'occipital, gagne sur le cou et tend à empiéter sur la région dorsale. Il est à noter que, comme conséquence
ujets (fig. 2), la tumeur correspondait, extérieurement, à la seule région de l'écaille occipitale. A ce niveau, la peau sem
u crânienne saine s'étendait assez loin en arrière, recou- vrant la région frontale et une partie de la région pariétale. El
oin en arrière, recou- vrant la région frontale et une partie de la région pariétale. Elle s'arrêtait brusquement suivant
crânienne est beaucoup plus restreinte, elle recou- vre à peine la région correspondant à l'os frontal ; la tumeur qui lui
Tumeur pseudencéphalique postérieure. 0. S. Limite supérieure de la région occipitale. T. Tumeur. 356 RABAUD d'aspect
pitale. T. Tumeur. 356 RABAUD d'aspect graisseux qui remplit la région frontale, en arrière par une produc- tion occup
région frontale, en arrière par une produc- tion occupant toute la région médio-dorsale, dans le canal rachidien, et qui
ine et de la décoller de ses attaches profondes en gagnant vers les régions intéressées par la tumeur cérébrale, on constate
. Il va sans dire que la continuité de la peau existe aussi dans la région dorsale lorsque le canal rachidien est ouvert.
s, qui ne sont autres que des troncs nerveux. Tout en haut, dans la région cer- , vicale, ces troncs nerveux se perdent da
ac à paroi mince dont j'ai déjà parlé (PI. XLIV-C). En bas, vers la région lombaire, le spina bifida cesse et les troncs n
homme que chez les animaux, la colonne vertébrale présente, dans la région cervicale, une courbure plus ou moins marquée.T
ncéphale et Thlipsencéphale. Lorsque la fissure spinale dépasse les régions supérieures de la colonne, elle peut néanmoins s'
e la colonne, elle peut néanmoins s'arrêter .encore au niveau de la région lombaire, ainsi que je l'ai très nettement consta
imensions sont très variables et leurs parois assez minces. Dans la région du sillon antérieur existe un paquet vasculaire
ressant un segment un peu plus élevé, mais appartenant encore à la région lombaire, on observe les mêmes dispositions, lé
rable ; ils sont serrés les uns contre les autres. C'est dans cette région postérieure que se marque surtout la prolifératio
tié postérieure que porte principalement l'accentuation. Dans cette région , il n'y a plus seulement une seule rangée, mais
eure du système nerveux. b) Hémorragies et exsudation. - Dans cette région même de la moelle, com- mence à apparaître un p
sillon antérieur ; il se pro- duit également en dehors de ces deux régions . Chaque vaisseau pénétrant dans Fic. 9. Coupe t
; il reconnaît qu'ils sont plus nom- breux et plus étendus vers la région céphalique. Parmi ces hémorragies les unes sont
ressivement d'intensité à partir de l'extrémité inférieure jusqu'à la région cervicale sont peut-être les plus fréquents, ma
extrême de la moelle, y affectant une très grande intensité. Dès la région la plus inférieure de la moelle, on observe un ti
vaisseaux souligne encore l'intensité de l'inflammation dans cette région (PI. XLV ter-M). Les processus sont donc ici tr
t, l'inflammation se propage à la pie-mère rachidienne, descend des régions cervicales aux régions sacro-lombaires où nous
opage à la pie-mère rachidienne, descend des régions cervicales aux régions sacro-lombaires où nous la retrouvons effective
es segments inférieurs, et qu'il est possible de discerner, dans la région cervicale, une vague apparence du canal épendym
ent déterminé la dégénérescence totale de la moelle. Les coupes des régions cervicales mettent en évidence un autre fait qui
e en dehors du système central, sont moins atteintes ; que, dans la région lombaire, en particulier, nous les discernons ave
ts, les vaisseaux sont particulièrement abondants et serrés dans la région superficielle correspondant à la pie-mère; au-d
s les noms de pseudencéphaliens et anencéphaliens. Ajoutons que les régions profondes sont beaucoup plus conjonctives que v
à celle qui remplit l'encéphale. Cette néo- formation présente deux régions assez nettement séparées : l'une superficielle
intra-rachidiens (méninges ou moelle) appartiennent les différentes régions que l'on a sous les yeux, la chose est tout à f
achis. Cette épaisseur est sensiblement plus grande au niveau de la région lombaire qu'au niveau des régions dorso-cervi-
lement plus grande au niveau de la région lombaire qu'au niveau des régions dorso-cervi- cales ; tout à fait en haut même,
son extrémité terminale correspondant à la ré-ior lombo-sacrée. La région ouverte renferme un tissu mince, résistant, sur l
à la tumeur pseudencéphalienne, il faut remonter très haut, dans la région cervicale du canal rachidien qui a subi la flexio
vasculo-conjonctif. Le segment médullaire que l'on observe dans la région lombaire présente, en effet,les mêmes caractère
e tumeur soit très peu développée, elle existe spécialement dans la région lombaire. Mais elle n'existe pas dans les régio
écialement dans la région lombaire. Mais elle n'existe pas dans les régions supérieures de la colonne vertébrale. La moelle
ue de néoformation vascu- laire. Ces dispositions sont celles de la région inférieure de la moelle; il con- vient d'ajoute
es normales. Ce sac est également sessile, il est continué, dans la région intra-crânienne, par une masse de substance compa
lérose latérale combinée à une sclérose des cordons de Goll dans la région cervicale. Les lésions ne dépassèrent guère la mo
traction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la région où elle se produit et, si l'on veut, la déforme
a partie interne du muscle frontal se contracte et la peau de cette région se porte de bas en haut; c'est là une variété d
tière vertébrale de chaque côté. Les frères J... présentent dans la région occipitale un aplatissement de la moitié latéra
e conformation brachicéphalique, présente un petit front,et dans la région occipitale droite on voit et l'on sent un aplatis
ation brachi-céphalique, il présente un front peu bombé, et dans la région occipitale droite existe un aplatissement des os,
la coxalgie sont, en ce genre, les plus connus, mais en toutes les régions on peut en observer d'identiques, et nous relaton
n déviée. Quant aux particularités diagnostiques propres à cha- que région , et même à chaque cas, on ne peut s'en rendre com
. De même, pour un léger degré d'hyperesthésie à la pression sur la région ovarienne droite. Le père est mort de cause i
faux mouvement, est tombé d'une voiture, et ce furent la tête et la région du cou qui portèrent sur le sol. Il présente de c
sibles, ceux de rotation et d'extension ne peuvent s'exécuter. La région supérieure du cou ne présente aucune particularit
euls quelques points d'hyperesthésie très marqués au ni- veau de la région occipitale. La pression des testicules est partic
s rachi- diennes de même ordre puissent se produire dans la seconde région où la colonne vertébrale possède une mobilité d
la colonne vertébrale possède une mobilité de quelque étendue : la région lombaire. D'où résulte un tableau symptomatique
uelques points très nets d'hyperes- thésie au niveau de la tête, la région ovarienne est particulièrement sensible à la pr
ltation du Dr Broca le 21 mai 1904 pour douleurs très vives dans la région des reins et impossibilité pour l'enfant de se
ète, en particulier à la plante du pied droit; par contre, quelques régions où la simple pression réveille dé grandes douleur
sie au niveau de la nuque, des mamelons, et surtout au niveau de la région ovarienne. Aucun signe sensoriel. Etat psychique
De plus, l'enfant étant couchée sur le ventre, nous avons vu que la région lombaire était souple ; quand on soulevait les
n'y avait pas de mal de Pott lom- baire. C'était moins sûr pour la région dorsale, où toujours la rigidité est plus -diff
arqué est encore accentué par le déve- loppement des muscles de la région externe de la cuisse et de la jambe qui exagère
Dans le cas de Klinger existait également une soudure des os de la région antérieure de la base. Ces soudures prématuré
moustaches. Même malade vu de profil. Remarquer la cyphose de la région dorsale inférieure ainsi que l'ensellure lombaire
nter. Les membres sont très courts. La main n'arrive que jusqu'à la région trochantérienne. Au membre su- périeur il exist
tébrale présente une lordo-scoliose dans la moitié supérieure de la région dorsale et par contre une cyphose très prononcé
une cyphose très prononcée dans la moitié inférieure de cette même région ; ceci est très apparent sur la photographie qu
. Il présente encore une ensellure lombaire très manifeste. Dans la région ano- fessière on remarque une cicatrice que le
notées certaines défor- mations telles que des rétractions dans la région inférieure des côtes (Joa- chimsthal), formatio
e la moitié supérieure et une cyphose de la moitié inférieure de la région dorsale, en plus de l'ensellure lombaire caract
raccourcis- sement des membres, les supérieurs n'atteignant que la région trochantérienne ; la microrizomélie des membres
décolorée dans les fascicules les plus postérieurs. Au niveau de la région protubérantielle supé- rieure on retrouve les m
tude qu'en laissant tomber le bras le long du corps. Si on pince la région postérieure du bras, c'est à peine si on a la sen
fre aucune ré- sistance dans les mouvements de flexion forcée. La région antérieure du bras est également très atrophiée,
t le long supinateur sont atrophiés légèrement et les muscles de la région antérieure de l'avant-bras sont relativement inde
note une même cicatrice, large comme une pièce de cinq francs, à la région moyenne et externe de la jambe. Des cicatrices de
enté de volume, irrégulier, raboteux, avec une grosse exostose à la région moyenne et postérieure. Même lésion, mais encore
strictement localisée dans le tissu de la pie-mère, débute dans la région correspondant au sillon postérieur. De cela, nous
rière ; lecou se trouve ainsi supprimé etla tête se rapproche de la région dorsale. Cette flexion cervicale dérive immédia
nvexe du cerveau, elle s'y développe et negagne que tardivement les régions inférieures. De là, elle tend à se propager en de
rencontre aucune trace d'envahissement dans ce sens, même dans les régions où les processus sont le plus intenses. Ce n'est
plusieurs pièces, ils sont susceptibles de se couvrir, en certaines régions déterminées, de sail- lies, de tubérosités, tan
ciale des lésions pour les extrémités des os, c'est-à-dire pour les régions des pièces du squelette qui correspondent aux car
plus grande et plus prolongée du cartilage et du périoste dans ces régions explique cette prédilection, que vient d'ail- l
d au cartilage de conjugaison, soit dans le voisinage même de cette région (V. PI. LXVII et LVIII). L'étude macroscopique
e pied droit, 8 sur le pied gauche. En groupant ces exostoses par régions , on obtient un total de 66 exos- toses pour le
xos- toses. Son action peut se localiser plus spécialement dans les régions où les manifestations évolutives sont et demeur
f mois, pendant lesquels s'établirent des trajets fistuleux dans la région du genou malade et de la hanche correspon- dant
r d'un gros enchondrome. Nous savons, en effet, que dans toutes les régions où de coutume se développent des exostoses, peuve
onvolutions aplaties. La pie-mère est épaissie et adhérente dans la région du chiasma et de l'in- fundibulum. Celui-ci app
CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE (.\1u(quiu.) A. Aspect de la région infiltrée à un grossissement plus fort. Les diver
. Lésion de l'épendyme à gauche. Pus intraventriculaire. 20/1. C. Région occipitale. Gros bouchon de pus intrav·cntriculai
a essayé sa perméabilité à l'aide d'une corde à Fig. 2. Coupe de la région frontale. Foyers d'infiltration périventriculaire
ulent ; cette infection va en diminuant vers le Fig. 3. Coupe de la région du noyau rouge. Infiltration péri ventriculaire.
certains points est tel que le tissu prend le type « adipeux ». La région vacuolée atteint une profondeur de 6-10 milimèt
sont fortement dilatés (5 : 3) ; cela est surtout évident dans les régions frontale et temporale. Le 30 ventricule est égale
i plissé horizontalement dans ses parties latérales, est lisse à la région médiane. Les mouvements de froncement et d'élévat
S 669 muscles scapulaires et de certains muscles superficiels de la région lombo- dorso-cervicale, en particulier du trapè
les 'ramène, fléchis à angle droit, en les fixant fortement sur la région lom- baire, l'omoplate subit tout à coup, avec
int une complexité très grande, la répercussion des processus d'une région à l'autre n'est peut-être pas assurée d'une faç
du crâne et trouble profondément la circulation sanguiue dans cette région . Cette action immédiate est d'ailleurs localisé
us d'arrêt que nous observons se trouve strictement localisé en une région très circonscrite de l'organisme. Cette localisat
ressort de la description de l'auteur que de tous les tissus de la région , le tissu des méninges est celui qui a le moins
généralité, s'établit un peu au hasard, intéressant telle ou telle région au gré des circonstances ; les mal- formations
34 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
. De plus, il éprouva des douleurs vagues avec prédominance dans la région lombaire. On remarqua qu'il portait un ecchymose
re. On remarqua qu'il portait un ecchymose assez étendue dans cette région , ainsi qu'au niveau de la partie supéro-extcrne d
s du même côté sont aussi hyperesthésiques.Zone hystérogène dans la région dorso-lombaire. La sensibilité générale est con
l,nlis du système nerveux NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE DE LA RÉGION LOMBAIRE SILLON LOMBAIRE MEDIAN I Dans une
porteur d'une prétendue défor- mation de la colonne vertébrale à la région lombaire, insistait avec toute l'autorité qui s
t offerte de préciser, sur un point de détail, la morphologie de la région lombaire, dont l'intérêt sera mis en valeur par
urd'hui, en insistant sur quelques points de la morpho- logie de la région lombaire. Dans la station verticale, la partie
raversée de haut en bas par un sillon médian, large et profond à la région lom- baire et qui correspond, sur le squelette,
neuses ne se voient pas. Cependant, vers la partie inférieure de la région dorsale, la crête épinière se relève parfois et f
rme alors une saillie allongée de quelques centimètres. Enfin, à la région des lombes qui est ici notre principal objectif
nt au nombre de quatre : une convexité au cou, une concavité à la région dorsale, une convexité à la région lombaire, un
ité au cou, une concavité à la région dorsale, une convexité à la région lombaire, une concavité à la région sacro-coccy
n dorsale, une convexité à la région lombaire, une concavité à la région sacro-coccygienne. Mais la ligne formée en arri
pas été relevé comme il con- vient, surtout en ce qui concerne la région lombaire. Au cou et au dos, les courbures décri
appartenant à des circonférences de rayon différent. Ainsi, à la région cervicale, la courbe décrite par les apophyse
lus fermée que celle des corps verté- braux. C'est l'inverse à la région dorsale où la courbe postérieure est la plus
IE MORPHOLOGIQUE. 17 7 épineuses à atténuer leur saillie. Mais à la région lombaire la dissem- blance est plus accusée. En
s accusée. En raison du développementqu'elles acquièrent dans cette région , les apophyses épineuses ne suivent que très-impa
physe épineuse, fait qu'il n'est pas rare d'ob- server surtout à la région lombaire. La station verticale (fig. 13) est la
ue le mouvement de flexion 'du tronc apporte à la morphologie de la région . La saillie médiane qui se pro- duit alors n'es
ason, qui représente un éphèbe remettant ses sandales, on voit à la région lombaire, très-nettement circonscrite, la saillie
tions que nous venons de présenter sur les formes extérieures de la région lombaire trouvent leur application dans l'histo
violentes dou- leurs de reins, lorsque son médecin constata dans la région lombaire une saillie des apophyses, fort doulou
insi que cela se voit fréquemment. La pré- tendue déformation de la région lombaire était donc tout simplement une conform
ophyses mastoïdes et de l'occipital. Les maxillaires inférieurs et la région lombaire sont aussi le siège de douleurs intens
iennes exos- loses syphilitiques. La colonne vertébrale fait à la région lombaire une légère saillie d'ail- leurs normal
lus légère friction de la peau détermine une vive douleur; toute la région de la colonne vertébrale estdu reste notablemen
lons encore un point très douloureux à la pression, au niveau de la région précordiale : la céphalée nocturne existe toujour
Dès le mois de novembre suivant elles reparaissent; à ce moment la région du genou est le siège d'une affection inflammat
mations. Tronc. - Il existe une scoliose â convexité gauche dans la région dorsale et une courbure de compensation dans la
uche dans la région dorsale et une courbure de compensation dans la région lombaire. La hanche gauche est plus haute que l
aussi que ses pieds se déformaient, la saillie physiologique de la région dorsale s'accentuait suivant les dispositions q
, se trahissant dans la circonstance par une saillie exagérée de la région dorsale qui paraît bombée, surtout lorsqu'on la
tion de la colonne vertébrale : sco. liose à convexité droite de la région dorsale. Membres supérieurs. -Au repos, les mem
ment qui a surtout consisté en application de pointes de feu sur la région spinale, ou spontanément, il s'est fait une rés
e interne du genou et en pressant légèrement avec les doigts sur la région externe, 1. Hamilton et Puiusot, Traité pratiqu
e sous forme de bande de 5 à 6 centimètres de largeur le long de la région antéro-externe de la jambe et s'arrête au niveau
la prédominance des muscles postérieurs de la jambe sur ceux de la région antérieure. Lorsque la contracture occupe les m
s collé contre le tronc, dans les contractures des muscles de cette région . , Telles sont les déformations ordinairement o
arier suivant certaines circonstances et occuper également d'autres régions . z La contracture spasmodique est un phénomène
rois ans; à cette époque il a reçu un coup de pied de cheval sur la région frontale (sa soeur ne sait pas s'il a été malad
généralement abolie dans le pied, mais d'une façon particulière. La région dorsale du pied est complètement insensible, ta
u gauche est le siège d'une athropalhic considérable qui déforme la région : celte tuméfaction est surtout le fait d'un épan
pes transversales, la sclérose des cordons postérieurs affecte à la région lombaire toute l'étendue de ces cordons : aux rég
s affecte à la région lombaire toute l'étendue de ces cordons : aux régions dorsale et cervicale, les cordons de Goll sembl
tru1l\"c-t-un quelques vestiges. On rencontre, disséminés dans les régions sclérosées, un grand nombre de corps amyloïdes.
ns sclérosées, un grand nombre de corps amyloïdes. ' A celle môme région , la plus grande partie des lubes nerveux des raci
e l'est aux racines postérieures. Par contre, intégrité absolue des régions antéro-latérales et notamment des cornes antéri
des cornes antérieures; les racines antérieures ne sont pas lésées. Région dorsale. - L'altération est il peu près localisée
nes antérieures; intégrité absolue des faisceaux antéro-tateraux. Région cervicale. La lésion se présente avec des caractè
es muscles de la jambe avec prédominance d'action des muscles de la région postérieure, était entretenue, depuis la guérison
des douleurs extrêmement violentes dans les bras, les jambes et la région dorso-lombaire. En même temps, les deux jambes
. Il y a six ans, il a fait une chute qui lui a valu une plaie à la région temporale, suivie, d'après lui, d'une forte hém
e malade présente une scoliose à courbure convexe à droite, dans la région dorsale supérieure, avec une petite courbure de c
orsale supérieure, avec une petite courbure de compensation dans la région lombaire et près des dernières vertèbres dorsales
dorsales. Il y a, en plus, une lordose légère dont le centre est la région lombaire. Le malade ne peut pré- ciser le momen
pression existe partout ; cependant, elle est très émoussée dans la région des plaques anesthésiques, et, à ce niveau, il
le lom- baire, lire : coupe longitudinale des cordons de Goll, à la région dorsale. Le gérant : Emile Lecrosnier. MOTTMO
(013S. 1) t.[ : CnOSNtt;n fît DABE, ÉDITEURS L'ACROMÉGALIE. 177 région pectorale droite, lipome siégeant à la hauteur du
, latéralement, existe une dépression qui fait un peu ressembler la région frontale de ce malade à celle d'une vache. Les
enter un aspect réellement anormal. Le crâne ne présente (à part la région frontale) aucune déformation mar- quée ; cepend
s lignes qui en partent font une saillie considérable, ainsi que la région mastoïdienne. Les cheveux sont abondants, un pe
Je n'ai pas noté de différence dans la sensibilité thermique entre la région des plaques ciuesthésiqucs et le reste des jamb
lle de tous points, la coloration spéciale que l'on trouve dans les régions qui sont le siège de cette altération trophique p
veiller malgré sa terrible infirmité. F. Socca. DÉFORMATION DE LA RÉGION LOMBAIRE DE NATURE NEURO-MUSCULAIRE (CYPHO-SCOL
IOSE HYSTÉRIQUE). Les déformations de la colonne vertébrale dans la région lombaire sont nombreuses et de causes variées.
ous avons observé récemment une déformation pathologique de la même région , que nous croyons avoir été rarement signalée à
vésicatoires 1.I'. Richer. Note sur l'anatomie morphologique de la région lombaire (Nouvelle Icono- grQ]Jhie de la Salpêt
rminée : nous fîmes quelques applications de pointes de feu dans la région lombaire. (Nous eûmes l'occasion de constater q
onstater qu'à cette époque il n'existait aucune déforma- tion de la région .) Ce traitement n'améliora guère son état : lestr
RTHAUD 1 : 1 I LECROSNIER A BASÉ, "ÉDITEURS . DÉFORMATION DE LA RÉGION LOMBAIRE. '193 était apparue dans la région lom
S . DÉFORMATION DE LA RÉGION LOMBAIRE. '193 était apparue dans la région lombaire, entre les cicatrices laissées par les
sses (Pl. XXXIX). La saillie postérieure correspond exactement à la région lombaire; elle est à grande courbure, polytuber
la colonne vertébrale est de 2 centimètres et demi environ. Dans la région dorsale, la crête des apophyses épineuses s'enf
ôté, dans une étendue plus considérable (qui n'est pas limitée à la région lombaire); elle s'accompagne d'une rotation des v
ise en relief, chez notre patient, par l'attitude DÉFORMATION DE LA RÉGION LOMBAIRE. 195 en demi-flexion et en rotation en
sait d'une contracture hystérique des muscles du plan profond de la région abdominale postérieure, c'est-à-dire du carré des
déformés, principalement le pied droits. 11 existe au niveau de la région dorsale du pied droit, une saillie surtout marqué
ongles. La sensibilité à la piqûre et au froid fait défaut dans les régions antéro- externe et antéro-interne des jambes, t
e et antéro-interne des jambes, tandis que le tiers supérieur de la région postérieure est sensible. Insensibilité absolue
lantaire. - Anesthésie complète au froid et à la piqûre de toute la région mammaire. Sur toutes les autres parties du corp
d'avant en arrière de 4 centi- mètres 1/2. Mais la palpation de la région permet de reconnaître que la sail- lie est form
maschino a observé la grande prédominance des lésions spinales à la région lombaire. Le premier fait avait trait à une art
rthropathie du genou et du pied gauches : dans ces deux faits, à la région lombaire, les cordons de Goll et de Burdach éta
ment lésés, mais non dans la tota- lité de leurs tubes nerveux; aux régions dorsale et cervicale, les cor- dons de Goll éta
DE LA SALPÊTRIÈRE. comme suivant immédiatement les fractures de la région dorso-lombaire du rachis. Pour ne parler que
ant le membre de haut en bas. Hyperesthésie du môme membre et de la région lombaire correspon- dante ; cette hyperesthésie
gulier, comme on pratiquait de temps en temps un badigeonnage de la région dorso-lombaire avec une plume imbibée d'un topi
e malade s'affaiblit consi- dérablement. Douleur assez vive dans la région lombaire, à droite de la ligne médiane. En ma
mbre inférieur gauche. OBS. II - Fracture du rachis au niveau de la région dorso-lombaire datant de dix ans. -Parésie des
uteur de 12 mètres, sur les pieds, et se fracture le rachis dans la région dorso-lombaire. Coma pendant trois jours. Séjou
esterait sous forme d'élancement. En outre, endolorissement de la région dorso-lombaire quand survient la fatigue, et en
bsolument précis. L'anesthésie à la piqûre est variable suivant les régions . Aux cuisses, elle est surtout accentuée sur le
la différence est accentuée surtout à la partie inférieure de celle région . A la partie moyenne des cuisses, la mensuration
sur la face postérieure de la cuisse gauche, par rapport à la même région du côté droit. Sens spéciaux. La vue a baissé d
nant rapporter l'observation. OBS. III. -Fracture du rachis dans la région dorsale datant de onze ans. Troubles trophiques
a chute dç 1877, et qui est due, suivant lui, à une contusion de la région . Le rachis présente une déviation importante au n
éprouve pendant le travail une sensation de fatigue au niveau de la région dorsale, sensation qu'il soulage en se tenant c
ent; or on sait qu'un choc sur la tête, et particulièrement dans la région occipi- tale,-a pu assez souvent être incriminé
accident, des abcès appa- rurent dans différents endroits, dans les régions axillaire et sous-maxillaire et aux grandes lèv
égère courbure latérale il concavité gauche surtout au niveau de la région dorsale ; cette courbure est d'ailleurs réguliè
angle brusque, et, en somme, pas très accentuée ; il y a aussi à la région cervicale une certaine courbure à concavité antér
ouve une' profonde dépression qui rappelle assez l'aspect- de cette région chez la vache; le nez est volumineux et proémin
eu près normale. Il en est de même des jumeaux et des muscles de la région antéro-externe de la jambe. Le corps thyroïde e
s noirs comme de l'encre à peine ça. et là tachetés de blanc. Cette région , regardée généralement comme un miroir de la vi
ement développé. L'élargissement de la face est considérable; d'une région parotidienne à l'autre, on constate au moins 6
la tumeur qu'on a sous la main; ces tumeurs, qui ont développé les régions parotidicnncs et sous-maxillaires d'une façon uni
itude. L'accroissement anormal de la peau est surtout visible il la région occipitale. Au niveau de la protu- bérance occi
d'environ 3 centimètres de long et d'un centimètre de haut dans sa région moyenne (vraisemblablement congénitale). Au dessu
cou qui est tout il fait libre, ne peut être démontrée que dans la région lombaire et y est fort limitée. : L'incurvation
de doigt en dehors du mamelon. Large impulsion de la pointe dans la région du mamelon jusqu'à deux travers de doigt en deh
e en terre cuite, 16. Lépreux (le - d'Albert Durer), 8. Lombaire ( région ) (cautères autour d'une saillie de la colonne),
iculier dans les fractures du -), par Tuffier et llallion, 217. Région lombaire (anatomie morphologique de la), par Pa
35 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ée. Les jambes se sont mises à faiblir ; les membres inférieurs, la région des lombes, les tempes et les mâchoires ont été
e crâne parait un peu volumineux par rapport au reste du corps ; la région occipitale au-dessus du tubercule de même nom ne
la forme et de la largeur d'une pièce d'un centime au milieu de la région externe de la cuisse gauche, et une autre oblon
és, les fontanelles agrandies, la tète molle et fluctuante. Dans la région dorsale et lombaire le canal rachi- dien est pr
s III. Moelle disséquée et cervelet. La moelle, très épaissie dans la région cervicale, est de grosseur normale au-dessus de
l les particularités pathologiques sautent aux yeux surtout dans la région cervicale. Nous trouvons ici ce qui suit (PI. V
TÈME NERVEUX CENTRAL (N. Solovizoff) Coupa .1" Cas Il. Il Moelle, région cervicale ; - I Bulbe au niveau de l'entrecroisem
cette difformité de la moelle. Mais si le spina bifida est dans la région sacrée de la colonne, alors nous observons seul
trémité du vermis inférieur ; dans ce cas le spina bifida occupe la région sacrée. En cequi concerne les changements obser
ves à la racine du cou et qu'on dut lui appliquer des sangsues à la région cervicale et des vésicatoires sur les jambes ;
eux, des éminences thénar et hypothénar. Membres INFÉRIEURS.- Les régions fessières sont affaissées. Les cuisses sont ama
é. Pas de hernies ombilicale, inguinales ou crurales. Le long de la région cervicale la corde formée par le slerno-cléïdo-ma
des muqueuses est intacte sous ses divers modes et dans toutes les régions de l'organisme. Trophicité DES téguments. On re
igestif on note simplement de l'inappétence et de la diarrhée. La région du foie est endolorie. Pas d'hypertrophie de la r
ins altérés qui ont encore échappé à la sclérose. Les vaisseaux des régions du muscle complètement sclérosés sont nom- breu
e toute la hauteur des espaces intercostaux, et principalement à la région supérieure de la cage thoracique, les étages sp
us sains est mal déterminée ; et il serait abusif de considérer les régions sclérosées comme des tronçons comparables à Fig
tacarpiens, c'est parce que la cir- culation sanguine est, dans ces régions , plus lente que partout ailleurs ; ou parce que
étrie avec laquelle se produisent les poussées dans les différentes régions atteintes plaideraient en faveur de cette opinion
se devinent en quelque sorte à travers l'éruption. Par contre, les régions découvertes, le visage et les mains, qui sont m
s l'origine, privé des éléments capables d'accumuler le pigment. La région externe de l'avant-bras était recouverte d'un é
nvariablement la même. Les parties malades sont la tête, le cou, la région supérieure du buste, les membres supérieurs dep
ons retrouvé qu'un seul point lésé artificiellement au niveau de la région cervicale inférieure; toutes les autres portion
ES DE LA TOURETTE ET G. DURANTE renient disséminées dans toutes les régions , de nombreuses fibres larges dont la myéline se
pathologique. On retrouve, irrégulièrement disséminés comme dans la région lom- baire, des tubes à myéline tuméfiée. Ils s
petites gommes périvasculaires irré- gulièrement disséminées. C. Région dorsale moyenne. 1) Les colorations myéliniques
e (Coloration pur la méthode de 'Pal) A. Reninndnrsjte moyenne. 13. Région cenicate inférieure SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
quelques-uns persistent encore, quoique moins nombreux que dans les régions sous-jacentes. Parmi ceux-ci, un certain nombre
missure grise où les tubes nerveux à myéline n'exis- tent pas. D. Région dorsale supérieure. l)Par les colorants myélini
l ils ne se distinguent en rien des faisceaux normaux. Dans cette région , l'infiltration périvasculaire autour des artério
ire, l'endo-périartérite, est notablement plus accentuée dans cette région que dans les régions précédentes. , F. Renfleme
rite, est notablement plus accentuée dans cette région que dans les régions précédentes. , F. Renflement cervical. Les al
rébelleux directs de Gowers sont plus fortement altérés que dans la région sous-jacente. Dans les cordons postérieurs, la
oupés, les su- perficielles ne se sont montrées malades que dans la région occipitale. C'est du reste dans cette région qu
es malades que dans la région occipitale. C'est du reste dans cette région que les altérations cérébrales semblent avoir a
ite qu'à gauche. Le maximum de cette dégénérescence siège dans la région dorsale su- périeure, plus haut elle s'atténue
uche qu'ai droite. 4) Cordons postérieurs absolument sains dans les régions lombaire et dorsale. ? ' Dans la région cervi
bsolument sains dans les régions lombaire et dorsale. ? ' Dans la région cervicale seulement : dégénérescence (ou plutôt a
t parfaite- ment intactes. 5) La substance grise présente dans la région dorsale, une légère atro- phie de la corne anté
eur attribuer les altérations des cordons postérieurs limitées à la région cervicale seulement. Du reste, comme nous le fa
ite assez marquée. Cette périartérite qui est à son maximum dans la région cervi- cale, et forme de véritables petites gom
ons, existent d'une façon assez diffuse, sont plus marquées dans la région occipitale, mais nulle part très accen- tuées,
nt pas avec une dégénérescence des cordons postérieurs limitée à la région cervicale seulement. L'un de nous a, il est vra
hauteurs nous montre que le maximum des lésions siège à l'union des régions dorsale et cervicale. C'est à ce niveau qu'a dû
xistence de ce foyer et le localiser assez exactement à l'union des région cervicale et dorsale. Au-dessous s'étend une dé
ée. Quant à l'atrophie légère de la corne antérieure gauche dans la région dorsale elle paraît être d'origine ancienne pui
ever avant tout d'un ancien foyer de myélite siégeant à l'union des régions cervicale et dorsale et accessoirement d'une alté
é- rieure gauche dorsale, mais occasionnant ailleurs, à l'union des régions dorsale et cervicale, des altérations plus prof
us élevé que le gauche. Légère scoliose et concavité droite dans la région dorsale. Hyperesthésie lt la piqûre de V hémithor
ba sur l'épaule et le bras droits ; quand il se releva, toute cette région était considéra- blement tuméfiée et un médecin
t jusque dans l'extrémité des doigts, mais ne remontent pas dans la région sus-claviculaire. Lorsqu'on enlève l'appareil, la
e. Application d'une écharpe. Dou- leurs très vives surtout dans la région rétro-scapulaire. Fourmillements de la main. La
e sensiblement diminuée de volume. Portant la main plus bas, sur la région du grand dorsal, on voit que le thorax est nota
squ'on met l'avant-bras en flexion sur le bras. Les muscles de la région antérieure de l'avant-bras (rond pronateur, grand
eur commun profond semblent à peu près intacts. Les muscles de la région postéro-externe de l'avant-bras sont atteints plu
n postéro-externe de l'avant-bras sont atteints plus que ceux de la région antérieure mais moins que le long supinateur. A
muscles thénariens moins l'adducteur du pouce. 7° Les muscles de la région antérieure de l'avant-bras. 8° Le cubital antér
nservée et ne semble pas exagérée sauf au chatouil- lement, dans la région de l'omoplate droite. La sensation du mouillé e
uche. La sensation au contact d'un corps froid est exagérée dans la région postéro- externe de l'épaule et du bras (zone d
xterne de l'épaule et du bras (zone du circonflexe) ainsi que dans la région antéro-externe de l'avant-bras (zone du musculo
ce palmaire des 10e, 2°, 3° et moitié externe du 4° doigts et de la région correspondante du carpe et du métacarpe). Pas
respondante du carpe et du métacarpe). Pas d'hyperalgésie dans la région antérieure de l'épaule qui reçoit la sensi- bil
ROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 1 117 i Le pincement des muscles de la région postéro-exterlle de l'avant-bras est assez doul
lle de l'avant-bras est assez douloureux. Celui des muscles de la région antérieure de l'avant-bras et de l'éminence tbé
supinateur et aussi dans le point où la branche sensitive quitte la région antérieure (à 7 ou 8 centim. au-dessus de l'apoph
membre su- périeur gauche que sur le droit. Sur le thorax, dans les régions pectorale et sus-mammaire, quand on trace des r
fibrillaires des muscles dans le membre supérieur droit, ni dans la région pectorale et postérieure de l'épaule. Pas de tr
ron que le gauche. En dehors de la déformation et de l'atrophie de la région pectorale droite, on n'est frappé que par l'exi
mplement une légère inclinaison latérale à concavité droite dans la région dorsale. Pas de cyphose. Pas de coudure angulaire
sait dire si c'est de cette époque que date cette irritabilité de la région . Le 2 août, V... quitte Bordeaux et reprend sa
ne fracture de la clavicule par cause directe avec gonflement de la région claviculaire, fourmillements dans la main, dou-
ngation, les tiraillements que subissent les troncs nerveux dans la région de l'épaule, siège de la luxation, peuvent se r
cier l'écorce en attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle région cérébrale semble toute différente de telle autre,
x images d'attitudes et de mouve- ments. Seulement l'image de telle région représente une attitude et c'est naturellement
e telle région représente une attitude et c'est naturellement cette région qui commande à la motricité médullaire appro- p
é médullaire appro- priée à cette attitude ; l'image de telle autre région représente telle sensa- tion, telle faculté psy
nt rapport avec la motricité. Mais la mise en tension de toutes ces régions est sentie de même, parce qu'elles offrent le m
h provoquait le nystagmus eu comprimant chez un de ses ma- lades la région mastoïdienne tuméfiée; Pllüger le vit pendant l'a
tion debout les bras tombant le long du corps, on s'aperçoit que la région scapulo-humérale droite ne présente pas de défo
en avant jusqu'à l'horizontale (PI. XXIII, D), la déformation de la région scapulaire devient très évidente : l'omoplate e
rizontale (PI. XXIV, F), d'une façon générale, la déformation de la région scapulaire est la même que dans l'attitude préc
utons que, d'ailleurs, dans l'élévation du bras vers la verticale, la région scapulaire présente la même morphologie que dan
n. Dans cette attitude, il n'y a pas de déformation appréciable de la région scapulo-humérale. L'acte de porter les épaule
le. Dans ce mouvement, il n'y a pas de déformation évi- dente de la région scapulaire droite, sauf que l'angle inférieur est
peut supporter le malade ne don- nent rien. Il est vrai que dans la région du thorax ces excitations sont assez vite doulo
pommes de terre sur son épaule et ressent une vive douleur dans la région scapulaire droite. Presque immédiatement après,
âgé de 27 ans, qui éprouva un jour des douleurs assez vives dans la région de l'épaule droite et du côté correspondant du th
ès violentes, l'ayant empêché de dormir pendant quatre nuits, dans la région du bras droit. Quelque temps après, on lui fit
s de paralysie du grand dentelé, accom- pagnés de déformation de la région scapulaire, au repos du bras, sont des faits co
elé entraîne une déformation, peut-être légère, mais certaine de la région scapulaire, au repos du bras : l'angle inférieu
que le déplacement est minime, et trouble peu la morphologie de la région sca- pulaire. On conçoit dès lors qu'il puisse
(1) ». Il se produit, dans ces condi- tions, une déformation de la région scapulaire, due à ce fait que le mem- bre supér
iellement caractérisée par une asymétrie manifeste qui porte sur la région axillaire et sur la paroi thoracique proprement
la peau est livide, dure, Jar- dacée, adhérente à l'os. La peau des régions malléolaires est épaisse et donne au palper l'i
catesse de palpation pour y percevoir tout d'abord l'induration. La région sous-claviculaire, les espaces inguinaux, la face
igmentée, quelques- unes ont la largeur de la main et parlent de la région antérieure pour gagner la région postérieure du
argeur de la main et parlent de la région antérieure pour gagner la région postérieure du thorax. (1) NEUMANN, Arch. sur K
s-épineux sont normaux. Membre inférieur droit. - Les muscles de la région antéro-externe et postérieurs sont un peu atrop
e, les lésions sont plus avancées à mesure qu'on se rapproche de la région cervicale inférieure ; à la région lombaire, el
mesure qu'on se rapproche de la région cervicale inférieure ; à la région lombaire, elles sont moins accusées dans le seg
dans le segment supérieur que dans le segment inférieur et dans la région sacrée. D'une façon générale, les lésions se ré
s les racines posté- rieures. 3° Méthode de WEIGEIIT et de PAL. - Région cervicale supérieure. Coupe entre la V0 et 2e c
ure, elle en est séparée par une bande de fibres saines. De même la région voisine des racines est respectée. A la partie po
nquième cervicale, les lésions sont les mêmes (PI. XXIX, fig. L). Région cervicale inférieure. Coupe entre la cinquième et
beaucoup moins marquées que dans les coupes de l'étage précédent. Région dorsale supérieure. - Sur une coupe entre la prem
upe précé- dente. 212 PAUL SAINTON Sur une coupe passant par la région dorsale inférieure, la lésion des cordons posté
rieure, la lésion des cordons postérieurs est toujours marquée ; la région la plus atteinte cor- respond aux cordons de Bu
sont intactes, mais le réseau des fibres est nettement dégénéré. Région lombail'e.- Coupe passant par la première lombair
existe à peine. Muscles. - Aspect macroscopique. Les muscles de la région postérieure et de la région antérieure delà cui
Aspect macroscopique. Les muscles de la région postérieure et de la région antérieure delà cuisse ont une coloration presque
e biceps crural droit, le couturier, les jumeaux, les muscles de la région antéro-exteme du même côté. Muscle biceps cru
ibres ; les autres au contraire paraissent dégénérés. Muscles de la région antp1'o-exteJ'/le de la jambe gauche. - Sur des c
s dans le bas-ventre, se portent ensuite au coeur et fument vers la région du cerveau... 11 faudrait être un maître sot po
ibles. La bouffissure, peu accentuée au visage, est très forte à la région sous-mentonnière, les céphalées sont fréquen- t
refroidisse- ment se traduit tout de suite par le nasonnement. Les régions supérieures semblent s'engorger d'abord. Les ma
profuses, et leur apparition est précédée de douleurs ives dans la région sacrée et lombaire. On sera étonné, si l'on se
oitrine montre (dilatation de la base thoracique, soulèvement de la région sus-claviculaire) qu'il s'a- git plutôt d'un de
tations du coeur, le plus souvent mais pas toujours indolo- res. La région cardiaque est assez souvent le siège de douleurs
a sénilité précoce du système veineux s'accuse du reste en d'autres régions , soustraites à l'action cle la pesanteur et de la
manière intermittente. Des frissons parcourent le corps, surtout la région dorsale, à certains moments de la journée, géné
'on désire combattre. Citons la céphalalgie, la douleur du dos à la région des reins, les douleurs musculaires et articulair
istrée à un sujet sain, tels que la douleur excruciante du dos à la région rénale ou les symptômes angini- formes du coeur
abi- tuellement constipée. Elle présente aussi des douleurs dans la région du foie, tant à droite qu'à gauche, et dans le
ours. Elles sont précédées de vives douleurs dans le dos et dans la région sacrée. La malade souffre beaucoup de la tête et
a toujours les pieds froids. Elle ressent de vives douleurs dans la région ovarienne droite. L'examen local démontre une r
s sont réellement intolé- rables et siègent tant aux tempes qu'à la région occipitale, également au-dessus des yeux. La do
Elle souffre beaucoup de céphalalgie et de dou- leurs du dos il la région rénale. Ces souffrances sont plus fortes le matin
gastrique. Elles ont disparu, mais il reste de l'anesthésie sur ces régions . Dans ce fait, la plaque fémorale rappelait d'aut
iens sont conservés. Il existe quelques plaques d'anesthésie sur la région thoracique où il se plaint de douleurs par séri
es sur la partie antérieure du thorax, 4 naevi pigmentaires dans la région dorsale, dont un très saillant du côté droit. Il
ucune trace d'irritation des organes génitaux, ni de l'anus, ni des régions inguinales. Les évacuations étaient régulières
La photographie qui fut faite le 13 février montre un pubis et une région génitale tout à fait glabres. On constata alors
r était obtenu très facilement sur les ré- gions dorsales et sur la région pectorale mais pas du tout sur l'abdomen, le pu
bres inférieurs les muscles de la jambe et du pied, les muscles des régions antéro-externe et postérieure de la cuisse. A
peu près la même intensité dans toute l'étendue de la moelle de la région cervicale jusqu'à la région lombaire. Elles con
dans toute l'étendue de la moelle de la région cervicale jusqu'à la région lombaire. Elles consistent en une dégénératiou
marquée du cordon de Goll avec intégrité à peu près complète de la région cornu-marginale (obs. personnelle), avec lésion
onnelle), avec lésion de celle-ci dans le cas de Marinesco. Dans la région lombaire, les zones de Lissauer sont un peu touch
de la hauteur de la moelle. Sur une coupe faite au niveau de cette région , les altérations rappellent com- plètement cell
nes présentent des altérations dégénératives assez marquées dans Ta région dorsale et clans la région lombaire, mais aucune
ons dégénératives assez marquées dans Ta région dorsale et clans la région lombaire, mais aucune lésion dans la région cer
ion dorsale et clans la région lombaire, mais aucune lésion dans la région cervicale. Fig. 1. - Coupe du nerf péronier (lé
le atteint les mus- cles de l'avant-bras, surtout les muscles de la région antérieure ; les mus- cles du bras et de la rac
e expose à ces erreurs, elle est plus ou moins exagérée suivant les régions ; en une même région elle peut être émoussée ou r
, elle est plus ou moins exagérée suivant les régions ; en une même région elle peut être émoussée ou rendue plus exquise
art, des sensations plus exquises que donnent les contacts dans les régions recouvertes de poils, le déplacement de ceux-ci t
leur. - A. Face antérieure. - Hyperalgésie à la cuisse gauche, à la région sus-claviculaire et à toute la main droite, seule
mbe droite hypoesthé- sie à la chaleur et à la jambe gauche dans la région périmalléolaire. A la cuisse droite hyperesthés
peresthésie à tout le tronc avec exagération plus prononcée dans la région sus-claviculaire des deux côtés. Hyperesthésie au
à gauche. La malade ressent encore des douleurs dans les genoux, la région inguinale des deux côtés, les régions lombaires
s douleurs dans les genoux, la région inguinale des deux côtés, les régions lombaires et scapulaire. Ces douleurs irradient l
x heures. Pen- dant les règles elle a des douleurs sourdes da ns la région ovarienne et dans les parties du thorax jusqu'à
ital. B. Face postérieure. - Anesthésie depuis les pieds jusqu'à la région sa- crée ; la sensation tactile est toutefois c
ts, surtout à la main gauche, une sensation d'engourdissement. La région lombaire est vaguement douloureuse. Sensibilité
membre. II. Douleur. - A. Face antérieure. - Hyperesthésie dans la région ombili- cale aux bras, à la face, au cou et il
ns la zone d'anesthésie ; elle s'étend atout le thorax à partir de la région lombaire. III. Température. - A. Face antérie
es s'y sont.recuites et ont acquis cette malignité qui fume vers la région du cer- veau... ». Voilà le mal. C'est celui
ns cherché à montrer que de tels tics pouvaient affecter toutes les régions du corps et prendre les formes les plus diverse
ns les deux tiers supérieurs, ils disparaissent brusquement dans la région prétendineuse, d'où la forme d'avant-bras en fuse
paraissent pas atrophiés. Pas d'atrophie musculaire dans les autres régions . Les autres appareils sont normaux. ' Le mala
'il existe un peu de rétraction du biceps droit ; les muscles de la région postérieure du bras sont très diminués surtout
lat valgus. Pied droit normal ; applatissement des mollets et des régions musculaires antéro-internes des deux jambes.
de l'avant-bras sont atrophiés en grande partie, surtout ceux de la région antéro-externe. Il en est de même des muscles du
ont maigri. Cette impotence fonctionnelle, cet amaigrissement de la région scapulo-humérale droite persistent et aug- ment
dans ses membres atrophiés, mais il a des douleurs parfois dans les régions scapulaires. A droite et a gauche, la sen- sibi
personnels qui, en 1898 au mois de juin, reçoit une contusion à la région humérale droite. II n'a aucun accident immédiat
de longueur, elle était située exactement à la paroi moyenne de la région antérieure de la jambe gauche, elle n'était nul
au-dessous de la malléole interne. Le gon- flement survint dans la région contusionnée, et les médecins qui l'obser- vère
sont larges et épaisses, le développement maximum correspondant la région des articulationsmtacarpo-phalangiennes; néan-
roïde est normal et il n'existe pas de matité rétrosternale dans la région thymique. Nous avons dit que le malade était su
ns de fourmillement, d'arrachement que calme la compres- sion de la région . Dans les pieds, elle éprouve des douleurs constr
e ; hyperesthésie à tout le tronc. Au froid, hyperesthésie dans les régions axillaires. B. Face postérieure. - A la chaleur
mois après, elle éprouva des douleurs très fortes et continues à la région épigastrique sans vomissements, mais d'une intens
x derniers doigts. Ces sensations se retrouvent à l'épigastre et à la région mammaire, elle ressent également des douleurs e
ement des douleurs en corset très pénibles, parti- culièrement à la région dorsale. - 1.- Sensibilité objective superficie
ACT. - A. Face antérieure. - Anesthésie dans une zone comprenant la région ombilicale et les trois quarts du thorax depuis l
ute la zone du cubital et aux deux derniers doigts ; enfin, dans la région frontale gauche. Analgésie en corset. Hyperalgési
ein droit : une autre plaque existe au sein gauche et dans les deux régions axillaires d'où elle s'étend dans les territoires
irconscrits, ils se fondent les uns dans les autres, la plupart des régions cutanées reçoivent ainsi des filets nerveux prove
ment d'où émane la 4° paire cervicale entraîne une anesthésie de la région deltoïdienne etc. Si l'on compare sur nos schém
trouver enseigne seulement que les lésions siègent « au niveau des régions pariétale et temporale, dans l'aire ou sur les co
té du ventri- cule, ou plutôt du carrefour ventriculaire existe une région bordant le ventricule que l'hémorrhagie a disso
ère. 444 TRÉNEL interne est détruite à la partie supérieure de sa région postérieure rétro- lenticulaire. Le genou et le
es bosselures insolites qui dénaturent les reliefs ordinaires de la région . Quant à la cuisse, c'est un énorme cylindre à pe
pa- rents nerveux. Tous les 15 jours, un oedème dur, indolore de la région gauche du cou, apparaissait au lever, pour disp
MMAIRE Homme, 66 ans, charretier et Bordeaux ; n'a jamais quitté la région . Début à 18 ans : paralysie progressive avec at
36 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
n des grandes cellules pyramidales qui existent normalement dans la région de l'écorce située au niveau du lobe paracentra
se plaint d'avoir ressenti des tremblements fibrillaires dans les régions thénar des deux côtés. Ces mouvements n'ont pu êt
r rapport au tronc, la malade accuse une certaine douleur dans la région de l'épaule. Les pectoraux sont assez bien cons
ence thénar sont un peu moins rouges qu'à l'état normal, ceux de la région hypothénar semblent en- core encore moins affec
e de celles dont nous allons parler, quelques circonvolutions des régions frontale et occipitale ont été examinées, de faço
ain que les lésions que nous constations étaient bien spéciales aux régions où on les trouvait et ne dépendaient pas d'une
u cinq des faisceaux de fibres nerveuses qui se trouvent dans cette région et dont la coupe affecte une forme ovalaire à g
s à la partie moyenne de la face an- térieure du pédoncule, dans la région qui est considérée comme donnant passage aux fi
s du pédoncule par les travées fibro-vasculaires qui occupent cette région . Ces corps gra- nuleux sont, d'ailleurs, plus a
CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 17 plus que dans les autres régions de l'étage supérieur du pé- doncule. Protubér
les. Moelle. Les racines antérieures des 4 premières paires de la région cervicale sont manifestement atrophiées, celles
es cervicales. Coloration par le carmin des coupes de la moelle : Région cervicale. Outre la sclérose du faisceau pyramida
ale s'étendant presque jusqu'à la périphérie de la moelle ; dans la région de substance blanche qui s'étend au-devant de l
les parois des vaisseaux que dans le tissu de la substance grise. Région dorsale. Mêmes lésions que pour la région cervi-
su de la substance grise. Région dorsale. Mêmes lésions que pour la région cervi- cale : -la bande de sclérose s'étend en
coup diminué de nombre,, surtout dans la partie supérieure de cette région . Les colonnes de Clarke sont bien conservées.
ure de cette région. Les colonnes de Clarke sont bien conservées. Région Lombaire.- Dans la substance blanche, la sclérose
bstance blanche, la sclérose est presque localisée étroitement à la région occupée par le faisceau pyramidal dans ce segme
iminué que pouvait le faire supposer la coloration intense de cette région par le carmin; les fibres nerveuses existent enco
comparaison. Ces caractères sont surtout nets sur des coupes de la région cervi- cale au niveau d'une zone siégeant à l'u
partie antérieure. Mais ces coupes n'ont été pratiquées que dans la région cervicale. Quant aux organes périphériques, par
se portant du noyau lenticulaire à la couche optique. Quant à la région de la capsule interne dans laquelle siège cette
côté gauche qu'ils sont en réa- lité beaucoup moins nombreux. La région de la capsule interne où siège cette lésion est
le, en avant; au contraire, il n'y en a pour ainsi dire pas dans la région qui correspondrait aux faisceaux de Tilrck. D
l'état normal, mais cela est beaucoup moins net que dans les autres régions . Sur les coupes par congélation colorées avec l
rès peu dans la substance grise, beaucoup moins que dans les autres régions de la moelle; un très petit nombre seulement de
onstata une hémorrhagie sous la pie-mère dans toute l'étendue de la région dorsale jusqu'à la région lombaire. Dégénéresce
la pie-mère dans toute l'étendue de la région dorsale jusqu'à la région lombaire. Dégénérescence grise des cordons post
durcie, examinée au microscope par le Dr Rosenstein, présenta à la région lombaire un léger épaississement des méninges ;
s les cellules nerveuses des cornes antérieures. Pas de vacuoles. Région dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la s
re contenait par place un développement du tissu conjonctif. . La région cervicale, au niveau du cinquième nerf cervical
le sous-orbitaire 5 gr. et demi. Le plexus brachial supporte, à la région cervicale, de 22 à 29 kilogr.; dans le creux ax
nerf sciatique et constatait le retour de la sensibilité dans la région du cubital. M. Quinquand explique ce phénomène
que la traction d'un nerf mixte amène toujours des parésies dans la région du nerf élongé; que les parésies intéressent la
mois. Examinée au microscope, la moelle épinière présenta, dans la région qui correspond aux origines du sciatique, une a
dont voici en deux mots le procédé technique : fi" Le poil de la région lombaire ainsi que celui de l'extrémité postéri
e-six ont été l'objet d'un examen histologique complet, depuis la région cervicale jusqu'à la région sacrée inclusive- m
examen histologique complet, depuis la région cervicale jusqu'à la région sacrée inclusive- ment. Dans l'espace de trois
e processus morbide débute toujours dans le cordon postérieur de la région lombaire du côté de la traction, et se manifest
ieur et la partie intra-médullaire des racines postérieures de la région lombaire. Continuant à gagner du terrain, le ti
l'accroissement du tissu conjonctif trouvé en abon- dance dans la région lombaire de la moelle des lapins qui ont survéc
une traction du sciatique (de 4 à 5 5 kilos), non seulement dans la région lombaire, mais quelquefois aussi dans la région
n seulement dans la région lombaire, mais quelquefois aussi dans la région cervicale, nous croyons plus plausible d'en che
se manifestent surtout dans le renfle- ment lombaire, dans toute la région lombaire et en 60 PATHOLOGIE EXPERIMENTALE. p
région lombaire et en 60 PATHOLOGIE EXPERIMENTALE. partie dans la région sacrée. A mesure qu'on remonte vers la région d
ALE. partie dans la région sacrée. A mesure qu'on remonte vers la région dorsale, ces lésions cessent d'être aussi dis-
r la moelle épinière ; elle exerce son action principalement sur la région lom- baire et y produit : 1° Une irritation t
s antérieures, les altérations, que nous avons constatées dans la région lombaire de la moelle, se localisent principale-
lacé les éléments nerveux ; ces derniers font absolument défaut. La région lésée apparaît sous une forme moins nette et mo
myélite diffuse qui produisit une dégénérescence grise de toute la région dorsale; et, en outre, une lésion de nature tou
en outre, une lésion de nature toute différente qui occu- pait la région lombaire, et présentait des lésions cir- conscr
eureux résultat. Les applications des pointes de feu répétés sur la région spinale, l'hydrothérapie, l'ergotine, et pendan
) sur une partie limitée de la peau, provoque de l'hyperthermie des régions voisines; l'application d'un morceau de glace a
la capsule interne de nombreux faisceaux, jusqu'aux ganglions de la région subthalamique ; d'autres, sans entrer en rappor
parce que, à l'époque où ils reçoivent de la substance blanche, la région subthalamique contient déjà d'autres tractus à
, et de là, avec les fibres suhrà, atteignent les gan- glions de la région subthalamique, puis elles s'infléchissent entre
é d'abord de la constipation et des sensations désagréables dans la région anale, puis de l'affaiblissement de la motilité
une tuméfaction des cylindraxes en question, principalement dans la région dorsale et à la partie inférieure du renflement
répétées, sont leur cause déterminante ordinaire. Observées sur les régions du corps les plus diverses, sur la lèvre inféri
sous-jacente tuméfiée par la diathèse). P. K. XV. LE réflexe DE la RÉGION DE L'HYPOCHONDRE ; par C. Reinhard. (Cenlralbl.
lle d'avant en arrière et de bas en haut; on exerce alors dans la région indiquée une pression rapide et élastique sur la
la moelle la dégénéres- cence grise des cordons postérieurs (de la région cervicale à la région lombaire) ; ce sont les p
cence grise des cordons postérieurs (de la région cervicale à la région lombaire) ; ce sont les parties externes des cord
Les zones hystérogènes sont, selon la définition de l'auteur, des régions circonscrites du corps, douloureuses ou non, d'où
e sujet qu'elles 126 bibliographie. peuvent se rencontrer sur des régions cutanées qui sont complète- ment anesthésiques.
cas, presser latéralement les masses musculaires qui traversent les régions hystérogènes ou les tétaniser à J'aide de coura
ion sur les zones situées au-dessus). Les zones hypnogènes sont des régions circonscrites du corps, dont la pression a pour
s, comme par exemple la racine du nez, le pavillon de l'oreille, la région mammaire, le sommet du triangle de Scarpa, la m
lobule paracentral, et non dans le reste de ces circonvolutions, la région dans laquelle on les trouvait ne s'étendait guè
ans la plus grande partie des faisceaux antéro-latéraux sauf à la région antéro-interne de ceux-ci, c'est-à-dire partout
région antéro-interne de ceux-ci, c'est-à-dire partout sauf dans la région correspondant aux fais- ceaux de Tùrck. Comment
r l'étude du trajet du faisceau pyramidal dans la moelle. Dans la région lombaire, les corps granuleux siégeaient au niv
on peut considérer ce fait comme le vestige de ce qui existait à la région dorsale Chez nos deux malades nous avons observ
en considérant seulement les résultats fournis par l'examen de la région dorsale penser que cette extension de la sclérose
oit qu'il n'en est rien, si l'on "veut bien se rappeler que dans la région cervicale cette extension existe d'une façon tr
e, bien que les fibres des faisceaux pyramidaux soient dans cette région presque toutes situées dans des territoires bien
certain nombre de corps granuleux indiquant les relations de ces régions avec la substance grise enflammée; enfin à la r
ions de ces régions avec la substance grise enflammée; enfin à la région lombaire où la substance grise (grandes cellule
méthode de Weigert) est beaucoup moins altérée que dans les autres régions de la moelle, cette extension de la sclérose au
aux faisceaux antéro- latéraux est infiniment moins marquée qu'à la région dorsale. Cette opinion d'après laquelle l'ext
fibres qui sur une moelle normale se voient si nettement dans leur région avec leur volumineux cylindre-axe, elles ont pr
ation II ; dans celle-ci elle existait nettement non seulement à la région cervicale, mais aussi à la région D , , ü 174
tait nettement non seulement à la région cervicale, mais aussi à la région D , , ü 174 Il PATHOLOGIE NERVEUSE. dorsale
rdach, où elle avait l'apparence en- N que nous avons décrite; à la région lombaire "on en trouvait encore quelques vestig
sions, de réussir à observer aussi nettement que dans les autres régions les corps granuleux, quoiqu'au 1 0 Vierordt. Zw
iane du cou, et qui disparut en un mois à la suite d'un abcès de la région sus-sternale survenu dans la convalescence d'une
e. Disparition à peu près complète de la polypnée. Large plaie à la région malaire gauche ; elle résulte de ce que le mala
inflammatoire spécial) qui exercent une compression locale sur les régions corticales sous-jacentes (circonvolutions ascen-
es régions corticales sous-jacentes (circonvolutions ascen- dantes, région frontale, pli courbe et organes voisins). P. K.
bés frontaux, dès lôliês occipitaux et sociétés savantes. 213 des régions pàriélo-lëiriporales. II rappelle, en débutant qu
ant que la, délimitation entre les différents lobés, est : polir la région frbn- talé, la^scissure de Rôlàndd; poUr, la. r
est : polir la région frbn- talé, la^scissure de Rôlàndd; poUr, la. région occipitale, la scissure perpendiculaire. Lès ré
àndd; poUr, la. région occipitale, la scissure perpendiculaire. Lès régions pariétale et temporale sont réunies dans une se
ns marquée pour les cerveaux d'un poids inférieur. Dans les autres; régions cérébrales, c'est lé droit qui l'emporté sur le
roit qui l'emporté sur le gauche; mais cette fois, surtout pour lés régions pài·iëio-téiïi- p6ra)eS) la différence entre lé
aux plus pesants que ceux dés hommes. Oh observe l'inversé pour les régions occi- pitales et pàriéto-têmporalës. L'influe
con- traire à lieu. D'une manière absolue, le poids de toutes les régions cérébrales diminue avec l'âge; les variations les
minue avec l'âge; les variations les plus sensibles portent sur les régions pariéto-temporales. Le dévelop- pement maximum
ions pariéto-temporales. Le dévelop- pement maximum des différentes régions est atteint. Pour les lobes intérieurs, à trent
est atteint. Pour les lobes intérieurs, à trente-cinq ans, pour les régions occipito- pâriéto-temporâlës, dès vingt-cinq an
t que les variations pondérales les plds sén- sibles portent sur là région pariêto-tëmporalë. Cette région pré- senté donc
les plds sén- sibles portent sur là région pariêto-tëmporalë. Cette région pré- senté donc un intérêt particulier dans l'é
lberg, de même que \\'f}stp \/¡ ! la Charge, Le. badigégnnags de la région épigastrique chasse'des troubles gastriques int
¡il i I ? ne ps, dans , d.ul.fa,ci.I. dmit qY./t P ? lI).S ,i môme' région : à ? auche) : : tn '1¡I1l'J HI ul, ltmm ,¡Judlhu
là scissure 'de Sylvius est également long; aucune lésion1 dans la région dé là parole, là froiilalë âs= cendaitté ne des
halie interne considé- dérable ; aucune anomalie d'ailleurs dans la région dé l'insula, ni dans les parties environnantes.
evanche, en un cas on trouvait un développement défectueux de celte région . . i - ' Séance du 19 octobre. ' . l' f - '
x( pendant leurs paroxysmes sont reçus dans l'asile d'aliénés de la région . 1 ? M. l UERST\IsR. Cette question comporte qu
fait par nous mêmes, nous donne : a) Substance blanche. Dans la région de l'origine apparente de la première paire cer
a bord extérieur elle n'atteint pas la racine antérieure. Dans la région de l'origine apparente des racines de la second
parties anté rieures, mais non encore la substance grise. Dans la région de l'origine apparente des racines des qua- tri
nd développement et va jusqu'à la commissure postérieure. Dans la région de l'origine apparente des racines des sixième
patho- logiques conservent le caractère décrit plus haut. Dans la région de l'origine apparente des racines de la huitiè
atéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 311 Dans la région de l'origine apparente des racines de la premiè
é- rieurs où elle se distribue avec la même irrégularité. Dans la région de l'origine des racines de la troisième paire
ériphérie des cordons latéraux, où elle s'étend graduellement à une région plus large; de sorte que dans la moitié postéri
lérose embrasse comme auparavant les faisceaux de Goll. , Dans la région de la sortie des racines de la quatrième et cin
érieurs elle s'affaiblit tout en res- tant peu régulière. Dans la région de la sortie des racines de la sixième paire do
tout le long du bord antérieur de la fente longitudinale. Dans la région de la sortie des racines de la septième et de l
côté gauche est relativement moins atteint que le droit. Dans la région de la sortie des racines de la neuvième et de l
s antérieurs nous trouvons l'augmentation de la sclérose. Dans la région de la sortie des racines de la onzième et de la
é, seulement ses dimen- sions se rétrécissent peu à peu et dans les régions des racines de la quatrième paire lombaire, les
SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉIMNIÈKE. 313 b) Substance grise. Dans la région cervicale de la moelle épinière on ne remarque
des changements visibles, même aux grands grossissements. Dans la région de l'origine apparente des racines de la premiè
ent loin dans les parties voisines de la substance grise. Dans la région lombaire de la moelle épinière, les phéno- mène
oit que le processus pathologique a plus de développement dans la région dorsale de la moelle en diminuant peu à peu 314
ue dans toute leur étendue. Outre cela le processus embrassait la région « der granzlichen Schieht, der grauen substanz »
à peu, plus qu'elle s'approche de la substance grise. b) Dans la région où la sclérose n'atteint pas encore son plus gr
ompression de la colonne dorsale on remarqua un état maladif à la région lombaire. Le malade mourut de la thrombose 1 Id
ique nous voyons que la sclérose quoique em- brassant à peu près la région des faisceaux pyrami- daux latéraux, atteignit
le- ment sur le ventre et à la partie postérieure des cuisses, à la région lombaire que l'éruption a été conlluente. Adéni
postérieur du thorax, de la submatité qui se prolonge dans toute la région du foie jusqu'à l'épigastre. Cette région est t
se prolonge dans toute la région du foie jusqu'à l'épigastre. Cette région est très sensible, ne présente pas de dé- forma
obéis- sant, s'habille, seul. Eruption papuleuse confluente à la région lombaire, discrète sur les membres et le tronc;
aint d'un point de côté à droite et au niveau de l'épigastre. Cette région est le siège d'une voussure' très douloureuse à
edlitz ; extrait de quinquina. 13 avril. Douleurs au niveau de la région hépatique, qui est bombée et saillante. A la pa
régu- lières, toux fréquente par quinte, expectoration verdâtre. La région thoracique semble déprimée du côté droit qui pr
e migraine ophlhalmique très-net : douleur dans l'oeil gauche et la région sus-orbilaire s'arradiant de là à droite , scot
ute la nuit. Au matin, dou- leurs de tête sus-orbitaires et dans la région pariétale à gauche 6 centimètres sur une vertic
tôt les malades accusent une sensation de pesanteur au niveau de la région postérieure ou antérieure de la tête; il leur s
bète et qui attestent évidemment la mauvaise nutrition des diverses régions de l'encéphale, changement de caractère, triste
anatomique de l'organe cen- tral, les phénomènes d'excitation de la région motrice ayant absolument coïncidé avec elle. L'
à la base du lot e occipital droit, n'empiétant aucunement sur;les régions en relation avec les fonctions motrices, deux p
avec autopsie, mettant en lumière un foyer de ramollissement de ces régions consécutif à une obturation thrombosique de la
lli- mètre carré est comparativement fort intéressante. Comme les régions où il y avait l'atrophie la plus prononcée ont ét
de deux pieds, on obtient un myosis douteux; faradise-t-on alors la région cervicale d'un côté, on voit se produire un myo
roite, bien qu'à la vérité on en ren- contrât quelques-uns dans les régions alimentées par les branches pariétales antérieu
accentuées du centre cortical de l'audition du côté droit et des régions contiguës au centre du loucher du même côté; d'au
es les formes possibles de neurasthénie cérébro-spinale, dans les régions seules où il y a des cellules ganglionnaires (ina
s les points où l'évolution a été la plus tardive et c'est dans ces régions que l'atrophie se manifeste tout d'abord. Qua
ver un grave accident. Notre confrère a en effet été frappé dans la région orbitaire par un aliéné qui l'a fort maltraité.
sur la zone des centres sensoriels et des instincts. Cette vaste région , située en arrière de la pariétale ascendante,
lle, à la formation des idées; ces images passant en avant, dans la région frontale, deviennent des schémas, les signes repr
ennent des schémas, les signes repré- sentatifs de la pensée. Cette région postérieure est le siège des appétits et des in
eure est le siège des appétits et des instincts; aussi, tant que la région frontale reste fermée, le sujet est voué à l'id
s sens, mais sans le contrôle ni le pouvoir modérateur qu'exerce la région antérieure (les centres supérieurs); il se mont
ral postérieur, en un mot, il est purement instinc- tif. Dès que la région frontale devient libre, le sujet franchit cette
ains, l'harmonie des mouvements, ne peuvent s'obtenir qu'avec une région psycho-motrice entièrement libre. i 8 Il résult
x foyers que ne règle' aucune systématisation. Par suite, plusieurs régions de l'encé- phale peuvent être atteintes sans qu
sieurs régions de l'encé- phale peuvent être atteintes sans que les régions voisines soient altérées; delà, cette variété s
n membre ou dans tout un membre, ne paraissant mettre en jeu qu'une région limitée de la moelle : tels sont les mouvements
» Plus tard, la situation se complique; la 438 SOCIÉTÉS SAVANTES. région antérieure intervient à son tour, mais sans rétab
; il en résultait un eiichâloiiiieineiit, plus prononcé de ces deux régions au cerveau; de là, des excitations inégales de la
ntrer, par de nombreuses expériences, qu'une légère pression sur la région médiane du vertex a une action réflexe simultan
. Hypnotisme, par Finkelbul'g, 1,t.5. Ihpoehondre (réflexe de la région de l'J, 97. Hypertrophie musculaire vraie, pa
37 (1911) La pratique neurologique
l'une centrale, 'très étroite et très sensible, correspondant à la région maculaire, l'autre périphérique, bien plus étendu
le, en pratique, d'explorer séparément l'une et l'autre de ces deux régions . La vue donnant à la fois des sensations de lum
p visuel en dehors du point de fixation. Les éléments nerveux de la région maculaire, si sensibles à l'état nor- mal, sont
Dans ce cas, le .. scotome central est absolu. Il y a cécité de la région maculaire pour toute lumière (blanche ou monoch
existence d'une lacune dans l'étendue du champ visuel prouve que la région de la rétine chargée de percevoir les objets plac
acilité. Ils sont variables suivant le siège de la lésion dans la région pédonculo-protubéran- tielle. Ces variations ré
res (fig. 51). Les libres du M. 0. C. s'entrecroi- sent dans la région pédonculaire, les fibres du facial et du M. 0.
n pédonculaire) : paralysie du M. 0. C. d'un 1 i ? 51. - Schéma des régions pédon- culaire A, protubérantielle B et bul-
ncs m,1 ? )Il, ils III. Nerf M. 0. C. déjà entre-croisé dans , la région pédonculaire en I ? 'I et VU, nerfs M. 0. E. et
E. et facial dont les libres viennent de s'entre-croiser dans la région protubérantielle, en Eg. La, lésion L, (pédoncu
ianopsie puissent se produire dans les lésions du pli courbe, cette région ne con- stitue pas un troisième centre des mouv
e fait dans la PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 1 7 ! 1 région protubérantielle supérieure, avant celui des fibr
htalmique; 2" Des filets irido-dilatateurs, qui proviennent de deux régions diffe- rentes : ' a) Des origines bulbaires d
sis. Elle serait due, d'après Cestan, a une lésion bulbaire dans la région du noyau du pneumogastrique et de la colonne so
ue, et voyons ce que produit leur interruption dans les différentes régions qu'elles traversent. Une lésion périphérique to
'étude anatomo-clinique ne nous a rien appris sur le trajet, en ces régions , des fibres élévatrices de la paupière. Cependant
On explore le champ visuel il la périphérie, au centre et dans les régions intermédiaires il l'aide d'index colorés, comme
estations douloureuses dans le domaine du triju- meau, surtout à la région temporale (D,iéulafoy), qui s'expliquent par les
autre phénomène général ou local qu'une douleur assez vive dans la région temporale; elle guérit peu à peu sans laisser de
uqueuse des cornets inférieurs et du tubercule de la cloison, « les régions génitales du ncx H. tu versement la cocaïnisation
H. tu versement la cocaïnisation ou la cautérisa- tion de ces mômes régions feraient parfois disparaître les douleurs de la
i qu'un des éléments d'une maladie spéciale, localisée il certaines régions des environs du lac Léman (Gerlicr, Ladame) et
s . [A. LÉRL] 1 iO VERTIGES. siègent dans le lobe frontal ou la région rolamlique. Elles s'accompa- gnent de troubles
passagère déterminerait Je vertige sur- tout par son action sur la région lmllto-lrratuluranlicllc. Peut-être cependant f
iègent non plus sur la fesse, mais tout au moins de préférence à la région sacrée. Le rétablissement se fait en d'autres cas
es malades observés en Europe ont séjourné au Sl'l11'gal ou dans la région des grands Lacs. On peut déceler des trypanosom
consistant dans l'absence d'une portion plus ou moins grande d'une région de circonvolutions; il en résulte une cavité ou
ncule), la transmission de la sen- sibilité générale se fait par la région de la calotte, en partie par le ruban de Reil,
bilité et la motricité, la même localisation corticale, à savoir la région rolan- rliqlle (circonvolutions frontale et par
itive dépassait, les limites de la zone motrice, en arrière dans la région du lobe parié- tal. JIais, pour les uns comme p
rps, on aura soin de comparer avec le côté opposé sain, ou avec une région supposée saine, puis de marquer sur la peau, av
ne anesthésique s'étend légèrement quand on l'explore en allant des régions malades vers les régions saines, et qu'elle se
égèrement quand on l'explore en allant des régions malades vers les régions saines, et qu'elle se rétrécit dans le cas contra
ire l'épreuve dans les deux sens, et prendre une moyenne. ' , Les régions pileuses sont douées d'une sensibilité tactile pl
ileuses sont douées d'une sensibilité tactile plus délicate que les régions glabres. La présence du système pileux donne aux
te que les régions glabres. La présence du système pileux donne aux régions de la peau qu'elle occupe une sensibilité parti
ne le poil qnand on le touche. Cette sensibilité particu- lière des régions pileuses, qui diffère de la sensibilité tactile o
est une sensation,» sui eneris », la plus exquise de la peau. Les régions calleuses (plante des pieds, paume des mains) et
Les régions calleuses (plante des pieds, paume des mains) et les régions cicatricielles sont ordinairement anesthesi- qu
sensitives ne sont plus perçues, tituitc très variable suivant les régions ; quelques-unes, comme la pulpe des doigts, ont un
re, augmenter notablement la pression et agir plus fortement sur la région qui présente des troubles, pour obtenir de son
ception tactile. - On demande au malade' d indiquer tout d'abord la région excitée, le plus exactement possible (pied, jam
que. Les cercles de sensations à l'état normal varient, suivant les régions , de 1 à 65 millimètres; c'est au niveau des rég
nt, suivant les régions, de 1 à 65 millimètres; c'est au niveau des régions les plus mobiles, où l'innervation est la plus
eber, un tableau de l'état normal du seuil extensif des principales régions que l'on peut être appelée étudier. , xovssr.7
t l'usage est peu fréquent en clinique. Lorsqu on constate en une région du corps une diminution de la sensi- bilité dou
hypoalyésie. On doit toujours avoir contrôlé préalablement avec une région voisine supposée saine, comme on le rail pour l
térées ou même restent intactes. 11 arrive enfin quelquefois qu'une région anesthésique pour le tact présente une exagé- r
hésie Ir y- pe1'esthésique; - .. A l'état normal, les différentes régions de la surface cutanée sont plus ou moins sensib
gré. On ap- plique alors les tubes pendant quelques secondes sur la région il explo- rer, en évitant de passer trop rapide
t pas uniformément à la tempé- rature : il l'état normal, certaines régions sont capables de discerner des différences mini
es comparatifs de la sensibilité électrique cutanée des différentes régions du corps à l'état normal. Dans la première colonn
pratique la sensibilité des troncs nerveux, de préférence dans les régions où ils sont superficiels, et où ils reposent su
ec l'index, avec un dé à coudre ou tout autre instrument mousse, la région à explorer; cette méthode élémentaire suffit or
apprécient des différences de 1/20-1/10, alors que pour les autres régions , comme le dos du pied ou la face postérieure de
llement bilatéraux et symétriques, ils peuvent également occuper la région nammaire et dorsale sous la forme E.1.lui pla
).. TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 507 ration, ce sont les régions les moins atteintes qui recupèrent les pre- miè
ncomplète ou fruste. Incom- plète, elle n'intéresse que certaines régions des téguments, la main ou le pied; fruste, elle
veau de la partie postérieure et inférieure de la couche optique ( région où aboutissent les voies sensitives), aux confi
essous du genou et du bourrelet du corps calleux. Elle intéresse la région thalamique inférieure et montre en ? ? / le foyer
re. J Dans les hémianesthésies par lésions du pédoncule (calotte et région sous-optique), de la protubérance et du bulbe,
raplégie avec anesthésie croisée. » On note dans ce syndrome, aux régions sous-jacentes à la lésion : 10 ° Du côté de la
, enfin des troubles respiratoires, lorsque la lésion siège dans la région cervicale. 2° Du côté opposé à la lésion : y
esthésie superficielle totale (tact, douleur, température) dans les régions correspondant aux parties paralysées de l'autre c
paralysie est flasque, totale et persistante, l'anesthésie dans les régions homologues est ordinai- rement absolue. L'ane
érieure de l'anes- thésie correspond à peu près au niveau de la région compri- mée, dans les régions dorsales inféri
respond à peu près au niveau de la région compri- mée, dans les régions dorsales inférieures et lombaires l'anes- t
au numéro de la vertèbre correspondante : chez l'adulte 1 dans la région cervicale, 2 dans la région dorsale, ;) dans la
orrespondante : chez l'adulte 1 dans la région cervicale, 2 dans la région dorsale, ;) dans la région dorsale inférieure
1 dans la région cervicale, 2 dans la région dorsale, ;) dans la région dorsale inférieure (de la 6e à la- 11e ver- t
te la surface cutanée des membres inférieurs et du tronc jusqu'à la région mammaire.. Dans les cas exceptionnels de tabcs
nal, les troubles sensitifs se cantonnent au périnée, à l'anus, aux régions fes- sières, aux organes génitaux (5e et 4e sac
chirurgicales, les paralysies obstétricales, les traumatismes de la région ; non traumaliques : ce sont les tumeurs de la
atismes de la région ; non traumaliques : ce sont les tumeurs de la région , les exostoses, les anévrismes, les névrites infe
ents : A) Type supérieur (Duchenne, Erb). L'anesthésie occupe les régions d'innervation cutanée des 5e et 6e racines cervic
inique ; l'anesthésie, de même que la paralysie motrice, occupe des régions appartenant à la fois au segment supérieur et a
s du canal lombo-sacré. Habituellement dans les cas de lésion de la région lombaire supérieure, la moelle épinière (qui de
lombaire. L'anesthésie occupe les membres inférieurs en entier, les régions périnéales et génitales, et s'arrête en avant au
iculo-ségmentaire du -cône terminal. On noté une anes- thésie de la région sacrée, de la plus grande partie des fesses en fo
e la moelle sacrée : dans ce cas l'anesthésie comprend, en plus des régions ci-dessus mentionnées, la face postérieure du tie
2° sa- crée; mais la 5° envoie aussi des rameaux importants à cette région , ce qui explique - l'anesthésie de la cuisse pa
SIBILITÉ. gion du tendon d Achille. la plante du pied (S2 + SI); la région antéro- externe de la jambe et le dos du pied (
porte sur le trajet extra-médullaire de la racine, surtout dans les régions lombaires et sacrées, par suite de l'obliquité de
s à la réveiller en appliquant un courant faradique intense sur une région très sensible (Babinski). Leur allure et leurs
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 561 cutanés sensitifs d'une région déterminée. Dans les cas de douleurs viscérales
lisée, sous la forme de point ou de plaque, il l'occiput ou dans la région fronto-parietate. Souvent elle s'accompagne d'hyp
lgie est très intense; le plus souvent unilatérale, elle occupe la' région orbilo-leinporale et peut s'étendre à la région
le, elle occupe la' région orbilo-leinporale et peut s'étendre à la région occipitale. La céphalalgie, connue les autres sym
raplégie. On donne le nom de rachialgie il la douleur diffuse de la région rachidienne. En dehors des affections générales
tissus su- perficiels, des muscles ou des os. Les nerfs mêmes de la région ne sont pas douloureux. . Internes. Localisée
o- mènes sont évidemment dus à l'insuffisance de l'irrigation d'une région de la moelle, insuffisance qui devient apparent
prodromes tels que fourmillements, picotements, élancements dans la région qui sera le siège des douleurs. Celles-ci, très
re mouvement et souvent diminuées par une compression énergique des régions atteintes. Les douleurs névralgiques irradient
atiquées pendant les paroxysmes douloureux, soit sous la peau de la région endolorie, soit le long du trajet des troncs ne
rovenant d'une irritation des extrémités terminales des nerfs de la région endolorie, la douleur se calme aussitôt après l'i
mais elles la calment très rapidement si elles sont faites dans la région où se trouve le foyer d'irritation qui, par voi
tion qui, par voie réflexe, entretient la névralgie, bien que cette région ne soit pas ou soit à peine douloureuse. Ainsi,
tions de cocaïne dans le canal rachidien ou le long des nerfs de la région endolorie. Pratique seuhol. 25 [GUILLAIN.]
tent de parler et de manger. La douleur irradie fréquemment vers la région cer- vicale postérieure, le domaine du plexus b
veau de la paupière inférieure, des parties latérales du nez, de la région malaire, de la région temporale antérieure, de
férieure, des parties latérales du nez, de la région malaire, de la région temporale antérieure, de la face cutanée et muq
r des dou- leurs au niveau de la lèvre inférieures du menton, de la région posté- rieure de la joue, de la région temporal
inférieures du menton, de la région posté- rieure de la joue, de la région temporale, de la partie antérieure du pavillon
sommet de la tête et jusqu'au front (grand nerf occipital), dans la région parotidienne et le pavillon de l'oreille (branc
iculaire), sur.l'apo- physe mastoïdc (branche mastoïdienne), sur la région inférieure de la face et la région antéro-latér
c (branche mastoïdienne), sur la région inférieure de la face et la région antéro-latérale du cou (branche cervicale transve
es- sioiiiielles. Lorsque la cause de la névralgie siège dans la. région cervicale ou axillaire, les douleurs existent d
erait par eles douleurs violentes, lancinantes, prédominant dans la région postérieure du bras, par un affaiblissement du tr
s douleurs irradient fréquemment aux parties latérales du cou, à la région mastoï- dienne, à la fosse sus-épineuse, dans t
ies inguinales. Les douleurs de cette névralgie se montrent dans la région lombaire, la paroi antérieure de l'abdomen, la
trent dans la région lombaire, la paroi antérieure de l'abdomen, la région fessière, les organes génitaux externes, la par
la cuisse; la douleur est localisée a la partie supé- rieure de la région externe et de la région postérieure de la cuisse
st localisée a la partie supé- rieure de la région externe et de la région postérieure de la cuisse et se prolonge jusqu'a
ée par les lésions de l'utérus et de ses annexes, les fumeurs de la région crurale, les affections osseuses du bassin, les
fécation, l'eter- nuement. Les douleurs de la sciatique occupent la région lombaire, la fesse, la partie postérieure de la
le plus souvent . (GÜ1LLA1N.J 598 NEVRALGIES ET ALGIES. dans la région frontale; certaines céphalées, au contraire, sont
ànic) ou la tète entière et se localisant princi- palement dans les régions sus-orbitaires ou la région crânienne latérale.
e localisant princi- palement dans les régions sus-orbitaires ou la région crânienne latérale. La lumière, le bruit semble
actérise par des sensations d'engourdissement ou de compression des régions latérales et frontale de la tête (sensation de
ois des céphalées même violentes qui se localisent généralement aux régions temporale, sourcil- liere et frontale; les doul
céphalée peut devenir très intense. RACHIALGIE Les douleurs de la région rachidienne, les rachialgics, s'observent dans
la cuisse à demi repliée sur le bassin présentant à l'opérateur la région fessière ischio-trochalltérienne. Il existe trois
u maxil- laire intérieur (Levy et Bau- douin). C'est dans cette région cutanée que l'aiguille doit être introduite dan
cture seraient l'indice d'une compression cérébrale au niveau de la région rolandique, compression produite par une tumeur
le cas des névrites ou de plaies des nerfs. Elle est limitée il la région énervée par le nerf lésé. 2° Abolition générali
ncter de l'anus sous l'influence du chatouillement de la peau de la région anale avec une épingle. Il importe de donner au
u malade une des positions qui permette l'exci- tation facile de la région anale, par exemple la position couchée sur le d
et Comte ont pu, à la suite d'excitations cutanées portant sur une région quelconque, provoquer une vaso-constriction se
tte excitation n'est pas suivie du réflexe quand elle porte sur une région atteinte d'anesthésie par cause organique. Au c
bserve surtout dans les lésions centrales et, parmi elles, dans les régions médullaires et cérébrales, dans les régions ménin
, parmi elles, dans les régions médullaires et cérébrales, dans les régions méningées. L'hyperréflectibilité cutanée généra
par la percussion du périoste (réflexe périostique) dans certaines régions , notamment au niveau du poignet. Dans ces point
chez l'adulte ou le vieillard doit faire soupçonner une lésion des régions pédonculaire ou sous-optique. Quant aux mouveme
a plus typique. c) Pédoncule. Protubérance. Bulbe. -Dans toutes ces régions , l'hé- miplégie se produit toujours, de même qu
e valeur sémiologique spéciale. La D. R. manque le plus souvent. La région dorso-lornl]aire étant le siège ordinaire des lés
la température, hypereslhésie prononcée surtout vers le haut de la région . Au-dessus de cette zone d'hypcresthésie se déc
e tendance à la spasticité, mais sans contracture. La peau de celle région est anesthésique. La zone insensible remonte mo
phique, et d'une façon générale, les compressions médullaires de la région cervicale, présentent également, l'exagération
plus haut degré; l'anesthésie s'étend aux membres inférieurs et aux régions les plus basses du tronc qui furent au début le
en chaussettes, en caleçon, dessinant des lignes de vêtement ou des régions du corps, suivant par exemple les crêtes iliaqu
facile, la shina bifida se révélant par de grosses déformations de la région rachidienne. Cependant, il peut exister des cas
t bon également de tenir compte d'une hyperlrichose localisée de la région sacrée. Cette exubérance pilaire se produit au
eau est presque tou- jours nécessaire. Une asepsie minutieuse de la région génito-urinaire et de, la région sacrée évitera
aire. Une asepsie minutieuse de la région génito-urinaire et de, la région sacrée évitera t'intertrigo, les infections cutan
ut ajouter au numéro de la vertèbre corres- pondante : z1 dans la région cervicale; 2 dans la région dorsale supérieure
tèbre corres- pondante : z1 dans la région cervicale; 2 dans la région dorsale supérieure ; 5 dans la région dorsale i
région cervicale; 2 dans la région dorsale supérieure ; 5 dans la région dorsale inférieure (6 ? H" vertèbre). La partie
ux proprement dits passent souvent inaperçus, les lésions de la région étu- diée intéressant souvent le bulbe adjace
me sciatique. c'est-à-dire par des troubles de la sensibi- lité des régions externe et postérieure du membre inférieur avec p
En revanche, il existe de l'anesthésie en selle ou en garniture des régions sacrée, ano-périnéalc, fessière, de la verge ou
ant que leurs antagonistes sont normaux. MUSCLES DE LAVANT-BRAS Région antérieure de l'avant-bras. Dans la région anté
MUSCLES DE LAVANT-BRAS Région antérieure de l'avant-bras. Dans la région antérieure de l'avant-bras, on trouve huit muscle
glissent dans la gouttière du carpe, traversent, en divergeant. la région palmaire où ils donnent insertion aux muscles tom
imentation que l'opinion soutenue par Ilyrtl n'était pas justifiée. Région externe de l'avant-bras. La région externe de l
Ilyrtl n'était pas justifiée. Région externe de l'avant-bras. La région externe de l'avant-bras comprend quatre muscles :
ar un tendon qui lui est commun avec les muscles superficiels de la région postérieure de l'avant- bras, sur une forte apo
ant- bras.* las." .^H| Région postérieure de l'avant-bras. La région postérieure de l'avant-bras comprend huit muscles
en, il rapproche aussi ce doigt du médius. - MUSCLES DE LA MAIN Région palmaire externe. Muscles de l'éminence thénar.
é, le malade peut encore opposcr le pouce à l'index et au médius. Région palmaire interne. Muscle de l'éminence hypothénar
oigt en avant et eu dehors, il ébauche un mouvement d'opposition. Région palmaire moyenne. Lombricaux. Insertions. Il ex
IN.] a43 ' . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. MUSCLES DE LA CUISSE . * Région antéro-externe. Tenseur du fascia lata. Inserti
eut se produire. [G. GUILLAIN.] 3H Il . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. Région postéro-interne. , Droit interne. Insertions. L
t plus limiter l'extension de la jambe. ' MUSCLES DE LA JAMBE . Région antérieure. Jambier antérieur. Insertions. Le j
des orteils est fléchisseur, abducteur, rotateur en dehors du pied. Région externe. Long péronier latéral. Insertions. Le
'extension forcée, alors il le ramène dans la position moyenne. I Région postérieure. Triceps sural. Insertions. Le tric
à côté de lui, parfois il se perd dans le tissu cellu- laire de la région du talon. Innervation. Sciatique poplité intern
reuse qui le sépare du jambier postérieur. Le tendon du muscle à la région plan- taire reçoit sur son côté externe le musc
trémité postérieure de la deuxième phalange du gros orteil. Dans la région plantaire, le fléchisseur propre du gros orteil
érieur a pour con- séquence un pied bot valgus. MUSCLES DU PIED Région dorsale. Pédieux. - Insertions. Le pédieux ou c
es tendons du pédieux, est surtout marqué pour le premier orteil. Région plantaire interne. Adducteur du gros orteil. In
fibres métatarsiennes lorsque le poids du corps appuie sur elles. Région plantaire externe. Abducteur du petit orteil. I
e. - L'opposant du petit orteil est un fléchisseur de cet orteil. Région plantaire moyenne. Court fléchisseur plantaire.
ie antérieure de la plante du pied. , 111. - MUSCLES DU COU W l Région latérale. Sterno-cléïdo-mastoïdien. Insertions.
ysiologie. Le droit latéral de la tête incline la tête de son côté. Région de l'os hyoïde. Sterno-cléïdo-hyoïdien. Inserti
n prenant son point fixe sur l'os hyoïde abaisse le maxillaire. - Région prévertébrale. Grand droit antérieur de la tête
ie du grand dentelé n'amène pas de déformations persis- tantes delà région scapulaire. Souques (Soc. méd. des Hôpitaux de
llement carac- térisée par une asymétrie manifeste qui porte sur la région axillaire et sur la paroi thoracique proprement
des digitations du grand dentelé et de l'aspect lisse et uni de la région , le thorax présente les changements suivants :
d supérieur de la face externe de la côte située au-dessous dans la région séparant la tubérosité de l'angle. On voit parf
sur la côte suivanle. Ces longs surcostaux sont fré- quents dans la région comprise entre la neuvième et la douzième côte.
diaphragme, on constate il chaque inspiration une dépression de la région épigastrique et il chaque expiration un soulève
région épigastrique et il chaque expiration un soulèvement de celte région . L'inspiration estgênée el celte gène est surto
est dirigé en sens contraire au précédent muscle, il s'étend de la région lombo-iliaque aux dernières côtes, à la ligne b
' [G. GUILLAIN.] S70 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. VI. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU MUSCLES SUPERF
RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU MUSCLES SUPERFICIELS DE LA RÉGION C £ RVICD-DORSO-LOMBAIRE Trapèze. Insertions. -
Quand le trapèze se contracte bitatératement, la tête MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 571 est portée
cle recevrait un rameau de la branche du rhomboïde. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 373 Physiologie
postérieur de la tête est un extenseur de la tète. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 575 Grand obliq
existent trois formations musculaires qui s'étendent du sacrum à la région cervicale : le muscle ilio-costal ou scccro-lomba
t des trois muscles des gouttières vertébrales ne s'observe qu'à la région dorsale et à la partie supérieure de la région
ne s'observe qu'à la région dorsale et à la partie supérieure de la région lombaire, au-dessous les trois muscles fusionnés
La masse commune, qui occupe au bassin la gouttière sacrée et à la région lombaire l'espace compris entre les apophyses épi
s'étend en hauteur du sommet du sacrum à la partie supérieure de la région dorsale ; de sa face antérieure naissent la plupa
en haut, atteint la douzième côte, croise toutes les côtes dans la région de l'angle, pénètre dans la région de la nuque ci
croise toutes les côtes dans la région de l'angle, pénètre dans la région de la nuque ci s'élève jusqu'à la hauteur de la
rose spi- nale. Il s'élève verticalement en haut, parcourt toute la région dorsale et s'arrête à la région cervicale sans
calement en haut, parcourt toute la région dorsale et s'arrête à la région cervicale sans y pénétrer. Il croise seize il dix
e de la côte, entre l'angle et la tubérosité, faisceau costal. A la région lombaire les inser- tions du long dorsal se mod
au tubercule apophysaire, homologue de l'apophyse transverse de la région dorsale : les faisceaux costaux s'insèrent au s
oppement aux lombes, s'atténue au thorax et grossit de nouveau à la région cervicale. Le muscle est constitué par une séri
dos ou sous- multifide. Il existe deux demi-épineux, l'un pour la région dorsale, l'autre pour la région cervicale. Le d
ste deux demi-épineux, l'un pour la région dorsale, l'autre pour la région cervicale. Le demi-épineux du dos comprend six fa
qui s'insèrent sur le sommet et le bord supérieur des MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 577 apophyses t
st constitué par une série de faisceaux qui prennent naissance à la région sacrée dans la gouttière sacrée et sur la face
ière sacrée et sur la face antérieure de l'aponévrose spinale, à la région lombaire sur les tubercules apophysaires homolo
tubercules apophysaires homologues des apophyses Iransverses, à la région dorsale sur la face postérieure des apophyses tra
ion dorsale sur la face postérieure des apophyses transverses, à la région cervicale sur les apophyses transverses et les ap
bre située au-dessus. D'après Theile ces muscles n'existent qu'a la région dorsale, il n'en décrit que onze. Hughes a sign
ces faisceaux musculaires ne sont véritable- ment rotateurs qu à la région dorsale et à la région cervicale. Innervation.
es ne sont véritable- ment rotateurs qu à la région dorsale et à la région cervicale. Innervation. Les muscles des gouttiè
rtions. Le peaucier du cou naît en bas dans le tissu cellulaire des régions sous-claviculaire et acro- miale. Les faisceaux
s autres se portent en haut et en dedans, traversent obliquement la région du cou et atteignent le bord inférieur du maxil
é opposé et viennent s'attacher à la face profonde de la peau de la région mentonnière; 2° les faisceaux moyens s'insèrent
Le muscle temporal super- ficiel occupe la partie antérieure de la région temporale entre le muscle frontal et le muscle
avant vers l'orbite. Les faisceaux internes ou médians vont vers la région intersonrcitière et ta semblent se confondre av
ite et s'y entre- croisent avec les deux muscles qui occupent celte région , l'orbiculaire et le sourcilier. Tons les faisc
isceaux du frontal s'attachent à la face pEpfonde de la peau de ces régions . " Innervation. L'occipital est innervé par le,
Le pyramidal est un petit muscle situé sur le dos du nez et dans la région intersourcilière. Il naît en bas en partie sur
liez. De la ses faisceaux se portent verticalement en haut vers la région intcrsonrciliere où aboutissent aussi les faisc
point fixe en bas il exerce une traction verticale qui porte sur la région intersourcilière et sur la queue du sourcil, il
qui répond aux paupières. L'orbiculaire des paupières nait dans la région de l'angle interne de l'oeil et se termine sur
isceaux antérieurs se fixent à la face profonde des téguments de la région , ses faisceaux postérieurs se continuent avec l
- rini s'insère en arrière dans le tissu cellulaire qui recouvre la région parotidienne, il se termine en avant sur la pea
se termine il la face profonde, de la peau et dé la muqueuse de, la région des commissures. Innervation. Nerf facial. Ph
muqueuse des lèvres, se dirigent en dehors et se terminent dans la région des commissures sur la peau et la muqueuse en s'e
e terminent W MUSCLES PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÈTE. 589 dans la région des commissures sur la peau de la muqueuse en s'e
es musculaires correspondant aux aires corticales motrices sont les régions articulaires; les nerfs corticaux des membres,
tion respective des groupes musculaires. Chaque racine commande une région donnée; elle s'y distribue dans des territoires
5e et 6° nerfs cervicaux. Le professeur d'I-Ieidelher décrit dans la région sus-claviculaire un point précis dont l'excitat
correspond à l'apophyse transverse de la quatrième lombaire. A la région dorsale,- il n'existe -pas de points de repère
tte coutracture'du muscle trapèze qui amène donc t'ir- vation de la région de l'épaule. Si l'on poursuit l'examen du malade,
aralysie totale du deltoïde a pour conséquence une immobilité de la région scapulaire. L'abduction de l'épaule, ce mouvement
é pour le malade de porter la main à la bouche, de l'amener vers la région dorsale, impos- sibilité pour lui de s'habiller
dorsal, grand rond, tout mouvement sera presque impossible dans la région scapulaire, aucune suppléance ne pouvant se fai
ertains cas, on peut observer une bande hypo-estlié- sique médiane, région qui est innervée par la sixième et la septième ce
rrégulière (De- jcrme). L anesthésie peut remonter plus haut sur la région externe et postérieure du bras, mais, il la rég
plus haut sur la région externe et postérieure du bras, mais, il la région interne, la sensibilité est conservée la où 1 i
qui souffrent beaucoup. Les douleurs spontanées irradient depuis la région cervicale, depuis le creux sus-claviculaire jus
n cervicale, depuis le creux sus-claviculaire jusqu'au niveau de la région . LES PARALYSIES RADICULAIRES, 617 deltoïdicn
et donner une paralysie des muscles de la nuque, ou en bas dans la région lombaire et produire des paralysies des extrémi
rticales localisées an centre du membre supérieur, au niveau de. la région rolandique, peuvent amener une monoplégie; les ca
même quand l'ancsthesic brachiale, est absolue, est conservée à la région interne du bras la où l'innervation se fait par
es de la para- lysie du pneumogastrique sont les traumatismes de la région cervicale, les compressions, les névrites infec
traduit par la paralysie du muscle dia- phragme (voir p. 505). Les régions de l'hypocondre s'affaissent pen- dant l'inspir
s de la paralysie du nerf circonflexe sont : les traumatismes de la région scapulaire, les luxations de l'épaule et les te
sthesie. qui est assez fré- quente, occupe une grande partie de. la région postérieure de l'épaule et le bord externe du b
elle existe on observe les troubles de la sensibilité au niveau de la région de l'éminence hypothénar, à la face palmaire du
n on observe une grille spéciale de la main, la griffe médiane : la région de l'éminence thénar est atrophiée, la paume de
la jambe. Le sciatique poplité externe innerve les muscles de la région antéro- externe de la jambe et les péroniers. Q
poplité interne a pour conséquence la para- lysie des muscles de la région postérieure de la jambe et des muscles de la pl
uites d'excitation et d'ablation delà corticalité, le localisa à la région antérieure du girus prdrontalis chez le chien.
n. Il faut ajouter toutefois que Masini a soutenu qu'il y avait une région qui pouvait provoquer des mouvements localisés
est partielle elle est le plus souvent limitée au vestibule ou à la région sus-gtottique. Presque toujours la sensibilité
certains traumatismes du larynx : un coup porté sur le larynx à la région antérieure du cou peut déterminer chez les anim
é l'observation d'un médecin chez lequel on enleva une tumeur de la région où est situé le centre cortical du larynx, mais
lHann parce qu'elle évolue rapidement, frap- pant les muscles d'une région en masse et non individuellement, tout en début
eut être atteint dans son tiers inférieur, mais les muscles de la région postérieure restent indemnes et l'atrophie ne r
ies secondaires sont localisées soit aux muscles qui avoisinent une région malade, soit à des muscles déterminés il l'avan
hie plus ou moins étendue qui débute dans les muscles voisins de la région irritée. Cette amyotrophie est dite « réflexe »
main, de l'avant-bras et généralement du bras, à l'exception de la région interne innervée par les 2e et 5e inter- costau
sacré dans In domaine du nerf scia- tique, fessiers, muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de
eur, aux doigts. La cicatrisation se fait mal ou incomplètement, la région reste sensible, un oedème rougeàtre, des traîné
es fonctionnels; parfois elle porte avec prédilection sur certaines régions (éminence thé- nar ou hypothénar, muscles de l'
en revanche, elles nécessitent une immobilisation pro- longée de la région qui favorise l'atrophie. Des corsets divers peuve
préférence indirecte, une électrode, large, étant appliquée sur la région dorsale, l'autre, plus étroite, sur le muscle à é
ssez marqué pour frapper l'observateur à la simple inspection de la région ; la mensuration peut servir de confirmation. De p
rotubérantielles; cette fréquence tient certainement à ce que cette région est le carrefour des voies sensitives, cérébelleu
ffections des voies cérébelleuses, en particulier au ni- veau de la région lmlho-[rrotuluSr;mtiolle; mais, comme nous l'avon
serrés dans une aire étroite, les centres et les faisceaux de cette région sont fréquemment frappés en masse. Fréquemment au
nes n'atteignent point le bulbe isolément, mais lèsent également la région pontique, d'où la fréquence des syndromes asso-
de complications ou de syn- dromes associés) sont indemnes; et les régions supérieures du visage trahissent une vivacité i
belleux. Cette asynergie homolatérale est due à quelque foyer de la région supérieure du bulbe intéressant les faisceaux o
ophiques tiennent-ils une grande place dans la séméiologie de celle région de l'encéphale. La respiration peut être des pl
citer chez l'ani- mal la zone motrice du cerveau d'un côté, dans la région rolandique. on obtient des mouvements simples d
re pernicieuse il forme convulsive que connaissent les médecins des régions à paludisme, ainsi que les convulsions de la ra
aire- ment, dans les portions du corps qui avoisinent les premières régions affectées. En tout cas, les muscles nouvellemen
pie ; c'est en s'adressant au territoire musculaire convulsé, il la région objectivement malade, qu'on agit le plus sur l'
raquelés, . l'riahles; enfin, il existe assez souvent au niveau des régions atteintes des sensations subjectives de brûlure
it, et najvi pigmentaires assez développés sur la l'esse el dans la région trocliantériennc (d'après Pierre Marie). TROUBL
ns des membres. Les ulcères ou maux perforants s'observent en toute région ; on en a signalé de typiques au pied, à la mai
processus d'escarrifi- cation étant la lace interne des genoux, la région au grand trocnamer et par-dessus tout le sacrum
en quelques heures parfois. Eviter le trauma- tisme incessant de la région menacée, prévenir l'infection, tels doivent êtr
lippel), un arrêt de développement por- tant non seulement sur la région ou le membre atteint, mais également à. distanc
produit une élévation de température par des piqûres répétées de la région protubérantielle chez le lapin. Wood a répété c
des se sont bien trouvés d'une certaine constriction exercée sur la région doulou- reuse au moyen d'une ceinture élastique
, y exposent rarement : l'alrésie du méat, les végétations de celle région , un polype (surtout chez la femme), l'étroi- te
ètre, la prostate, la vessie, les reins surtout et les uretères, la région scrotale; les divers viscères abdominaux; faire d
- tive intra-vésicalc ou intra-cervicale, la plaque positive sur la région lombaire. Il est. préférable de se tenir en deh
rs de la vessie et d'appli- quer (Courtade) les électrodes- sur les régions lombaires et hypogas- triques, en augmentant pr
n-être; cataplasmes sinapisés, ventouses ou autres révulsifs sur la région rénale; le lendemain de l'accès, purgatifs lége
nue dans les autres, les révulsifs, les dérivatifs appliqués sur la région rénale, sont d'une certaine utilité. On n'emploie
prisonné et comprimé entre le sphincter de la vessie et celui de la région membra- neuse, trouve subitement une issue par
du massage des testicules et de la prostate, et du tapotement de la région dorso-lolll- )laire. Enfin on ne négligera pas
on devra songer à une tumeur du médiastin, au cancer de l'estomac ( région du cardia), enfin, et d'une façon générale, il
lade. Ce spasme psychopathique ne reste pas toujours localise, à la région inférieure de l'oesophage; il peut être total,
malade de subir sans collapsus les chocs les plus violents dans la région du plexus solaire. Troubles centraux attribué
phagie (Mathieu). Quelquefois, la voussure se localise en une seule région de l'abdomen, ou bien la contracture des grands
la substance grise de la moelle (10" segment dorsal au 2" lombaire, région tatero-poste- rieurc). D'autres fois (syndrome
sagittal, on cherchera le point le plus éloigné du crâne,. dans la région occipitale par conséquent. Mais il est admis qu
- sion. La peau sèche, épaisse et foncée, descend de la tète sur la région cervicale où la soulève parfois la saillie d'un
as oxcep- tiul11ll'lI ? quelque hernie t'accompagne fréquemment. La région pubienne est bombée comme chez la femme. Enfin
la langue énorme, Les lèvres sont, grosses, les dents mauvaises. La région cervicale est sou- vent chargée de masses tipom
eu de par- ticularités intéres- santes : le dos est plat, et la région lombaire montre une ensellure exa- gérée. Q
lié à la soudure métopique,. ce qui détermine un élargissement des régions occipito-pariétales. D'autres synostoses déter-'
pondantes. On appelle oreille de Motel, ces organes déplissés où la région de l'hélix est STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1 o
n faible entonnoir, une fistule, de l'hypertrichose localisée il la région lombaire. Scolioses. Il semble y avoir hérédité
e noisette. On peut retrouver les adénopathies : c'est surtout à la région cervicale postérieure, au niveau de l'aine, au
lombaire est une ponction des méninges rachidiennes au niveau de la région lombaire, dont le but est l'extraction d'une peti
ra pratiquée la ponction. 4" Asepsie et anesthésie de la peau. - La région lombaire, autour du point choisi, sera savonnée
après avoir fait cette toilette de la peau, on pourra placer sur la région lombo-iliaque une large compresse stérilisée, u
n est terminée. On retirera brusquement l'aiguille, on nettoiera la région au sublimé ou à l'alcool, on pourra y appliquer u
t d'introduire un médicament dans l'espace épidural du canal sacré, région qui communique avec le tissu ccllulo-adi- peux,
muni terminal et les veines qui siègent dans le canal sacré. Cette région est fermée en bas par la double membrane obtura
sera prise ensuite, car elle permet l'examen de grandes étendues de régions ou de grands segments de membres; elle élimine
-à-dire donnant des images déformées ou voilées, déformées pour les régions éloignées du point d'incidence du rayon normal, v
compas sur trois points osseux saillants et faciles à repérer de la région envisagée, indiquer avec une quatrième branche
le côté sain. la paralysie infantile portant sur un des côtés de la région S11C1'O-1O1171);111'(' une scoliose il directio
non fragiles et non fracturés, parfois angulairement coudés dans la région jnxta-épiphysaire, enfin le volume exa- géré de
lecerveau; il subsistait une difficulié, celle de la profondeur des régions à traiter et des obstacles osseux qui s'opposen
loi d'i1'1'itation. convergentes dirigées de points variables de la région fronto-temporale ; celle-ci, représentant à peu
ant facilement 1000 ohms ou davantage. Parl'ois même, sur certaines régions du corps et dans certaines conditions, elle est b
est im- bibée et elle s'applique intimement à là surface de la région sur laquelle elle est placée. Elle a l'inconv
e plus généralement sur la ligne médiane (par exemple sur l'une des régions suivantes : slernale, cervi- cale postérieure,
parlé. Une électrode d'assez grandes dimensions est placée loin des régions à examiner et de préférence sur la ligne médiane
ps e); 1. Lorsque l'électrode indifférente est placée sur l'une des régions suivantes, ster- nale, dorsale, lombaire ou sac
t assez élevée, il vaut mieux placer cetle électrode sur les autres régions que sur la nuque. [E HOET.] 1220'è.\ ; APPLIC
17. Serf Il ? racique antérieur cl muscle grand pectoral : 18. Région des circonvolutions cen- trales ; 19. Terni-
vertébrale à une hauteur qui correspond à l'origine des nerfs de la région à électriser. L'autre électrode constituée, soi
oins grandes d'intensité provenant des variations de résistance des régions de la peau rencontrées par l'électrode. On voit
rouve en même temps des muscles plus ou moins altérés dans d'autres régions . Le mode d'évolution de la DR fournit de son cô
n la trouve à des périodes différentes de son évolution suivant les régions et les muscles examinés. Dans la poliomyélite a
à intervalles rapprochés ; en faisant glisser les électrodes sur la région ou elles sont appliquées, en répétant fréquemme
sonnes bien portantes ; des tables de cette sensibilité en diverses régions du corps établies antérieurement avec le même a
ne intensité assez faible, un courant galvanique continu entre deux régions du corps il l'aide de deux électrodes spongieus
oissants. . La résistance ne se montre pas la même sur les diverses régions du corps. Relativement faible sur la face et le
forte sur le tronc, plus forte encore sur les membres. Suivant les régions , la résis- tance initiale se montre donc plus o
s, la résistance initiale est souvent moins élevée que sur d'autres régions , mais la résistance ne présente pas un régime d
de dans 1 épidémie. Si, après avoir évalué la résistance entre deux régions du corps, on enlève l'épidémie a l'aide de vési
autres tissus, par conséquent 150 l'ois plus forte pour chacune des régions de la peau en contact avec les électrodes. \'ci
at physiolo- gique des différences de résistance entre les diverses régions du corps d'un même individu ou entre les région
entre les diverses régions du corps d'un même individu ou entre les régions semblables chez des individus différents. On a
ôle important pour les différences de résistance entre les diverses régions ; mais, comme l'ont fait remarquer Silva et Pes
utre, plus petite, de 9cm2 par exemple (le côté) sera placée sur la région de la peau dont on veut rechercher particulièreme
es. Ces particularités se retrouvent plus ou moins sur les diverses régions du corps ; elles sont généralement moins accent
r la moelle. On place une large électrode, de 100 à 200cl11" sur la région cervico-dorsale et une autre électrode semblabl
r la région cervico-dorsale et une autre électrode semblable sur la région lombaire; on établit lentement et progressiveme
ge électrode en rapport avec le pote négatif sur le front ou sur la région temporo-mastoïdienne du côté de la lésion et un
t avec le pote positif sur la colonne vertébrale à la hauteur de la région dorso-lombaire ou de la région dor- sale. En ra
olonne vertébrale à la hauteur de la région dorso-lombaire ou de la région dor- sale. En raison de l'action que ce mode d'
n autre main qui représente l'électrode excitatrice sur la peau des régions qu'il veut soumettre à l'électrisation : il se
00 à 500 centimètres carrés, constituant l'anode, est placée sur la région dorsale; la cathode est représentée par une élect
voisine du grand pectoral, l'autre en arrière sur le deltoïde et la région sous-épineuse. Un courant continu est établi pend
n place une large cathode sur la colonne vertébrale au niveau de la région dorso- lombaire et une large anode il la région
ale au niveau de la région dorso- lombaire et une large anode il la région dorsale supérieure, ou encore sur la paroi abdo
st localisée sur les membres supérieurs, on place la cathode sur la région cervico-dorsale de la colonne vertébrale et l'a
a région cervico-dorsale de la colonne vertébrale et l'anode sur la région dorso-lombaire ou au devant de la poitrine sur
ode sur la région dorso-lombaire ou au devant de la poitrine sur la région sternale. On établit, lentement et sans secouss
ntérieure du corps, mais de placer les deux électrodes l'une sur la région cervico-dorsale, l'autre sur la région dorso-lo
deux électrodes l'une sur la région cervico-dorsale, l'autre sur la région dorso-lombaire. On peut cependant, si l'on veut s
sur la face antérieure du corps et la cathode successivement sur la région cervico-dorsale et sur la région lombaire. On peu
t la cathode successivement sur la région cervico-dorsale et sur la région lombaire. On peut encore opérer simultanément s
a région lombaire. On peut encore opérer simultanément sur ces deux régions en appliquant sur chacune d'elles une électrode
e électrode, sous la forme dune, large plaque, est appliquée sur la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale. Lorsqu
[E. HUET .] 1 298 . ELECTROTHÉRAPIE. électrode est placée sur la région cervico-dorsale. On fait passer pendant 10 à 20
s soit sur le même membre, soit sur l'autre membre. Sur chacune des régions choisies on prolonge le passage du courant de f
e courant continu seulement. Une large anode, sera appliquée sur la région dorsale supé- rieure ou de préférence sur la nu
ysies du larynx en plaçant l'une des électrodes, la cathode, sur la région sus-hyoï- dienne. Les applications portées dire
nte : une large électrode de 150 à 500 ou 400 cm2 est placée sur la région lombaire il la hauteur de l'émergence des racines
sur un autre point. Au lieu de placer l'électrode supérieure sur la région lombaire de la colonne, vertébrale, on la place
n la place quelquefois au niveau de l'échancrure scia- lique, il la région fessière ou ischiatique ; elle s'y trouve mainten
it couché ou qu'il soit assis. La posi- tion de celle plaque sur la région lombaire nous parait en général pré- l'oral]le.
re agir. Celle-ci est placée du côté de la périphérie au niveau des régions les plus douloureuses sur un seul point, ou le
rable. L'autre électrode, reliée à l'autre pôle, est placée sur une région indifférente, généralement sur le dos; elle doit
électrodes plus petites, de forme et de dimensions appropriées aux régions qui sont le siège des douleurs. Guilloz a obten
s électrodes sont appliquées sur la colonne vertébrale, l'une il la région cervico-dorsale, l'autre à la région dorso-lomb
colonne vertébrale, l'une il la région cervico-dorsale, l'autre à la région dorso-lombaire; puis on établit un courant cont
ent l'anode, est placée, sur la colonne vertébrale, au niveau de la région dorso-lombaire, ou de la légion dorsale, ou enc
la région dorso-lombaire, ou de la légion dorsale, ou encore de la région cervico-dorsale. L'autre électrode, la cathode,
ation le long de la colonne vertébrale et sur les membres, dans les régions qui sont plus particulièrement le siège des doule
ant une [E. HUET.] 1524 1 : ;LICTHOTIIIIL\PIE, électrode sur la région dorsale ou dorso-tondtaire et l'autre électrode s
ur la région dorsale ou dorso-tondtaire et l'autre électrode sur la région épigastrique dans le cas de crises gastriques, et
la région épigastrique dans le cas de crises gastriques, et sur la région hypogastrique dans le cas de crises vésicules o
1'1"- ([uence on les dirigera sur la colonne vertébrale, et sur les régions épi- gastrique ou hypogastrique. Dans ces der
rises vésicales ou rec- tales sur le plexus hypogastrique et sur la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale. De mêm
es racines nerveuses et des centres d'innervation correspondant aux régions périphériques où se manifestent les douleurs. C
iques, par exemple, on placera une grande électrode positive sur la région lorso-lombaire de la colonne vertébrale, une él
opriées; on a vu aussi des troubles hystériques disparaître sur des régions trop éloignées de celles soumises au traitement
les étincelles dirigées plus particulièrement selon les cas sur la région de l'estomac ou sur l'abdomen en suivant le tra
plus localisé on fera reparaître aussi la sensibilité sur d'autres régions en les soumettant également à l'électrisation.
arge électrode, en rap- port avec le pôle négatif est placée sur la région épigastrique ; deux autres électrodes, en forme
sée par Apostoti pourra donner de bons résultais. On place sur la région épigastrique, comme nous venons de l'indiquer p
endant quelque temps, de haut en bas, sur toute la lon- gueur de la région rachidienne où, suivant les indications particuli
sym- pathique, pneumo-gastrique, phrénique : on faradisc ensuite la région antérieure de la poitrine, surtout la région pr
on faradisc ensuite la région antérieure de la poitrine, surtout la région précordiale : puis avec des courants plus énerg
s l'abdomen : on insiste plus spécialement, suivant les cas, sur la région épigastrique ou sur les parois ahdominales eu s
efois on termine en électrisant de nouveau pendant quelque temps la région rachidienne. La durée totale de la faradisation g
ciales, la durée et l'intensité de l'excitation sur telle ou telle région . D'après Dard et la faradisation généralisée au
i- mètres carrés en rapport avec le pôle négatif, est placée sur la région lombaire ; une électrode semblable, en rapport
100 il 150 centimètres carrés est appliquée sur la nuque ou sur la région cer- vico-dorsale, et l'on fait passer un coura
ion électrique le long de la colonne vertébrale en insistant sur la région lombaire et la région sacrée; ou bien on emploi
de la colonne vertébrale en insistant sur la région lombaire et la région sacrée; ou bien on emploiera l'ef'f1mation de h
fausse angine de poitrine, on agira avec le souffle statique sur la région précordiale, ou bien avec la galvanisation contin
r le trajet du pnemuo-gastrique gauche, et l'autre électrode sur la région dorsale ou sur la région épigastrique, courant
trique gauche, et l'autre électrode sur la région dorsale ou sur la région épigastrique, courant de 5 10 ni. A. pendant 10
ique on ajoutera des effluves et des étincelles sur l'abdomen et la région épigastrique; ou bien on pourra employer la gal
ien on pourra employer la galvanisation continue, électrodes sur la région dorso-lom- haire et sur la région épigastrique,
ation continue, électrodes sur la région dorso-lom- haire et sur la région épigastrique, courant de 10 à 20 m. A. ou courant
des étincelles sur la colonne verté- brale plus spécialement sur la région dorso-lombaire, et la friction électrique sur l
, soit par la friction et les étincelles de haute fréquence sur les régions dorsale et lombaire. On pourra employer aussi les
alvaniques : large électrode, en rapport avec le pôle positif, sur la région lombaire; électrode en forme de tampon de 5 Ü 4
n des exci- tations faradiques ou galvano-faradiques portant sur la région périnéale au niveau des muscles bulbo-caverncux
50 il 100 centimètres carrés est appliquée sur la nuque, ou sur la région cervico-dorsale; elle est reliée à la borne pos
a été pratiquée sur le cou, employer aussi la galvanisation sur la région précordiale. Nous nous sommes bien trouvé parfo
n statique avec souffle dirigé sur la colonne vertébrale et sur les régions qui sont le siège des contractures a donné parfoi
anisation continue avec électrode néga- tive sur la nuque ou sur la région lombaire, électrode positive recouvrant les mus
e façon analogue, on placerait une grande électrode négative sur la région lombaire, une électrode positive assez grande sur
upe horizontale passant au même niveau à droite et il gauche par la région pédonculaire supérieure. Ainsi l'on peut ultérieu
loin, les atrophies globales, qui sont loin d'être rares dans cette région . Les deux hémisphères cérébraux sont séparés l'
ue, car, comme elle passe très près de la « partie supérieure de la région sous-optique, elle n'est pas à employer « s'il
ion située entre la partie thalamique de la « capsule interne et la région sous-thalainique. On peut, par conséquent, « as
ster au mode de formation de tous les faisceaux de celte dernière « région . » Les coupes z1 pratiquer sur le cerveau dans
possible après la mort, les nerfs cutanés et « musculaires dans les régions où on veut les étudier. II est préférable, « au
1575 surfaces n'ont pas de valeur en eux-mêmes; ils dépendent de la région examinée, du grossissement employé pour faire.
hotographie; mais, quels que soient les chiffres en eux-mêmes, deux régions , symétriques peuvent toujours être comparées. P
comparées. Par cette méthode on peut dire très facilement que telle région du névraxe examinée avec un grossissement N off
cette méthode déterminer indirectement les connexions de certaines régions du système nerveux entre elles. [G. GVILLAWl
38 (1934) Oeuvre scientifique
exion de l'avant-bras sur le bras, la contraction des muscles de la région antérieure du bras et celle du long supinateur
MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE Une femme se plaignant de douleurs vives à la région occipitale était entrée dans le service. L'exam
suite d'une chute sur le genou droit, des douleurs très vives dans la région affec- tée ; il se développe une hydarthrose qu
Pour éviter cette cause d'erreur, il faut avoir soin d'examiner la région de l'articulation métatarso- phalangienne du gr
ïde du pied, qui me parait due à une plaque de sclérose occupant la région dorso- lombaire de la moelle. Le phénomène des
ott avec gibbosité occupant la partie moyenne de 3a SÉMIOLOGIE la région dorsale. Il est entré dans notre service il y a u
une hémisection traumatique de la moelle, à la partie moyenne de la région dorsale, quinze heures après l'accident ; le côté
différentes parties de l'avant-bras, sauf le tiers inférieur de la région cubitale dont il vient d'être question à propos
lle des différentes parties de l'avant- bras et même parcelle de la région carpienne. L'étendue de la zone ré- flexogène e
boli : c'est la percussion plusieurs fois répétée des muscles de la région explorée. Lorsque l'absence des réflexes précéd
actérisée par des douleurs violentes, lancinantes, prédominant à la région postérieure du bras, une légère amyotrophiedu t
u membre supérieur, la cavité médullaire peut avoir envahi toute la région cervicale. L'interprétation de ce fait est d'ai
e une solution de continuité totale de la moelle, notamment dans la région cervicale ou cer- vico-dorsale, donne lieu à un
une action excitatrice sur les centres médullaires des réflexes, la région psycho-motrice du cerveau exerçant sur eux, par
rnberg, etc. Chez le lapin, le chien, une section de la moelle à la région dorsale ou à la région cervicale peut, il est v
pin, le chien, une section de la moelle à la région dorsale ou à la région cervicale peut, il est vrai, déterminer un affaib
aurait réalisée : la moelle étant sectionnée chez le chien, dans la région cervicale, avec un instrument bien tranchant, on
fin, on pratique une nouvelle section de la moelle au-dessous de la région comprimée : à la suite de cette troisième opéra
ce cérébrale ou immédiatement au-dessous; en effet, sauf dans cette région , les fibres du faisceau pyra- midal sont partou
tion d'un malade atteint d'une tumeur intra-crânienne comprimant la région psycho-motrice sans la détruire où, malgré la p
s fondé pour affirmer qu'il s'agissait là d'une compres- sion de la région rolandique sans dégénération secondaire. Il res
articulation. La surréflectivité, en pareil cas, prédomine dans la région avoisinant la lésion qui en est le point de dép
j'en juge par mes observations, la méningo-myélite syphilitique de la région cervicale est assez commune. RÉFLEXES TENDINE
ié l'observation d'un malade atteint d'une lésion traumatique de la région cervicale de la colonne ver- tébrale ayant déte
extension du gros orteil ou de la flexion, suivant que l'on excite la région plantaire à sa partie externe ou à sa partie in
onsiste à sectionner quelques-unes des racines pos- térieures de la région lombo-sacrée. Afin d'éviter l'anesthésie qui sera
s territoires dont il importe de respecter la sensibilité, comme la région plantaire. Babinski. G th SEMIOLOGIE lesten
qu'un mouvement analogue peut être obtenu par la percussion d'une région qui avoisine le tendon, soit encore parce que l'é
ues à celles qui sont le résultat d'une altération organique de ces régions . C'est, sans doute, en partie à cause de cette
le à l'un ou l'autre d'entre eux, suivant le jour de l'examen ou la région qu'on excite. Il y a donc lieu de les employer
e excitation faible ou forte, portant sur le tégument ou venant des régions profondes ; chez certains malades, la réplétion d
ssi à l'état physiologique ? Chez l'individu normal, en excitant la région plantaire on peut obtenir, entre autres mouveme
la surréflectivité ne franchit jamais la limite supérieure de cette région . Ces deux données, limité de l'anesthésie et li
'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la région lombaire ou sacrée. Enfin, je rappelle que les
e la plante du pied avec une épingle, le pincement de la peau de la région dorsale du pied ou de la jambe, notamment à sa
thologique est le suivant : chez l'homme normal, l'excitation d'une région quelconque du membre, hors de la plante du pied
u problème. La flexion du pied obtenue par l'excitation d'une autre région que la plante du pied permet d'affirmer qu'on a
ression, réflexe plantaire toujours en extension quelle que soit la région de la plante que l'on excite ; après la compres-
'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la région lom- baire ou sacrée. « Enfin, je rappelle qu
une hémisection traumatique de la moelle, à la partie moyenne de la région dorsale, et dans lequel 15 heures après l'acciden
dité et ne se produisent que lorsque les excitations portent sur la région plantaire. Il me semble intéressant de rappeler
la période de shock, lorsque les réflexes cutanés reparaissent, la région plantaire est seule réflexogène pendant un certai
rmal (flexion des orteils sans aucune abduction, quelle que soit la région de la plante du pied sur laquelle porte l'excit
froid et un corps chaud ; si les deux excitants sont placés dans la région hypoesthésiée, une seule des deux excitations est
s excitations sur des territoires à sensibilité normale, soit dans la région des racines sacrées droites, soit au-dessus de
ne paraplégie crurale liée à une compres- sion de la moelle dans la région cervicale ; les mouvements des membres inférieu
jambe et de la cuisse, d'abduction et d'adduction de la cuisse. La région du genou n'est pas d'ailleurs la seule dont la
ans la position horizontale. A l'inspection et à la palpation de la région précordiale, rien d'anormal. La pointe bat dans
d jusqu'au niveau de l'appendice xyphoïde. L'index, placé dans la région de la fourchette sternale, est soulevé par l'aort
e gauche, et qui est animée de battements systoliques. Sur toute la région précordiale on constate une circulation veineuse
irculation veineuse collatérale très marquée. L'index placé dans la région de ,la fourchette sternale est soulevé par l'ao
on admet, en effet, que la paralysie du nerf sympathique dans cette région produit un rétrécissement pupil- laire. Mais si
ions, les unes frappant le cervelet, les autres atteignant d'autres régions du système nerveux et en particulier les organes
t le cervelet ou ses dépendances de foyers occupant diverses autres régions du névraxe peut être la raison de l'intensité d
que souvent une rotation de la tête et parfois aussi du tronc. La région qui me semble la plus excitable est celle qui se
citabilité voltaïque, l'électrode indiffé- rente est appliquée à la région sternale. (') Archives de Physiologie, tri. 1
. Avec 25 volts et 20 milliampères. P. F, C. forte. Muscles de la région antéro-externe de la jambe gauche. Avec 35 volts
xcitabilité galvanique, l'électrode indifférente est appliquée à la région cervico-dorsale. Muscle de la face du côté droi
t de la contraction voltaïque. 220 , ' SÉMIOLOGIE Muscles de la région postérieure de lavant-bras droil. Contraction far
faible. Pas de différence entre. P. F. C. et N. F. C. Muscles de la région antérieure de l'avant-bras droit. Contraction far
de l'observation I sont sous la dépendance d'une lésion occupant la région bulbo-protùbérantielle droite. La lésion bulbo-
venue intolérable, occupe le front, l'occiput des deux côtés, et la région pariétale à gauche, qu'elle ne reste pas 24 heu
ie, qui est faite du côté gauche, pour cet unique motif que dans la région pariétale c'est à gauche que la malade accuse d
n avait supposé, la lésion occupait le lobe frontal au devant de la région motrice, mais dans l'un, on n'avait pas pensé q
ar une douleur très violente à la racine du nez et irradient dans les régions sus et sous-orbitaires, surtout à gauche. j'i
des douleurs térébrantes, martelantes, siégeant exclusivement à la région frontale et prédominant à gauche. Elles sont co
, à droite l'acuité visuelle est 1/10. La céphalée occupe toujours la région frontale et prédomine à gauche. Malgré la gra
troubles oculaires du côté gauche je propose une cràniectomie à la région frontale du côté gauche. L'opération est prat
cision de la dure-mère, montre qu'il n'y a pas de tumeur dans cette région . Le 25 février, M. Chaillous constate que du cô
e la possibilité d'une tumeur siégeant à la partie antérieure de la région frontale. La localisation de la céphalée à la r
térieure de la région frontale. La localisation de la céphalée à la région frontale m'avait semblé un argument important à
iü 242 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES limitée à la région frontale. L'examen post mortem semble montrer que
almie gauche. L'examen du crâne montre à la partie antérieure de la région tempo-pariétale droite, une exostose très appré
ique d'un néoplasme, il est indiqué de pratiquer une ouverture à la région temporale, à droite chez un droitier (Cushing).
ision de la dure-mère constitue une difformité fort gênante dans la région frontale ; dans la région rolan- dique elle a s
titue une difformité fort gênante dans la région frontale ; dans la région rolan- dique elle a souvent une hémiplégie pour
lan- dique elle a souvent une hémiplégie pour conséquence ; dans la région occipitale elle peut donner lieu à de l'hémiano
ais l'opération dans la fosse cérébelleuse est assez laborieuse. La région temporale est peut-être la plus tolérante ; l'o
faire des réserves. Il serait permis de supposer qu'elle occupe une région des centres nerveux avoisinant ces faisceaux, par
signi- fierait que la lésion n'est pas restée cantonnée dans cette région et qu'elle a intéressé les fibres de la voie py
ervenant en pleine crise, quelques instants après avoir faradisé la région cervicale et voir affirmer qu'il s'agissait là d'
aine du trijumeau et en particulier au front et à la tempe, dans la région orbitaire et à la pommette. Dans ces parties, la
et, quand celles-ci s'associent à des altérations occupant d'autres régions du névraxe, des modes divers de ces association
granuleux. Il sectionne la moitié postérieure du ruban de Reil, les régions internes de la substance réticulée, quelques fasc
nt ; elles ne forment plus de faisceau compact et occupent toute la région désignée par 298 ~ AFFECTIONS DU CERVELET. .
sente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément à la région épargnée dans le ruban de Reil gauche et qui prov
élevé qui ont été ainsi atteintes. Au-dessous des foyers, dans la région de la substance réticulée qui avoisine le ruban
isceau de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de nombre dans la région cervicale, mais nous avons pu les suivre jusque
s la région cervicale, mais nous avons pu les suivre jusque dans la région sacrée. Le faisceau répond à la description du fa
utre, d'autres fibres dégénérées qui se rencontrent jusque dans les régions supérieures de la calotte. Le faisceau longitud
à l'autre, évoluent de la même façon, quels que soient d'ailleurs la région et le côté sur lesquels a porté l'impression du
de sont liés à une lésion occupant le côté gauche du bulbe ou de la région bulbo-protubérantielle, qui seule peut donner l
e 316 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE le front ainsi que la région occipitale et rend le sommeil difficile. L'intell
1896. . Examen anatomique ? ). - Il existe sur le côté droit de la région bulbo-protubéran- tielle une tumeur grosse comm
face du pédoncule céré- belleux moyen. Les différents nerfs de la région ont été écartés et déviés sans subir dans leur
ine et des matières fécales ; il existe des eschares profondes à la région sacrée, à la face interne des genoux qui sont p
ont rétractées. A l'ouverture du canal rachidien, on trouve dans la région dorsale supé- rieure une tumeur ovoïde, grosse
endant huit jours pour des dou- leurs vives, continues, occupant la région lombo-sacrée et s'irradiant en avant; depuis ce
cette époque, elle a toujours' ressenti une légère douleur dans cette région . En même temps, le membre inférieur droit a été
lade ressent, quand elle cherche à se mouvoir, des douleurs dans la région dorso-lombaire ; elle est sujette aussi à des cri
ct de la cuisse. Au mois d'avril 1897, il se forme une eschare à la région sacrée. Le 20 mai, la malade est frappée d'une
caséeuses au sommet droit du poumon. Au microscope les coupes des régions cervicale inférieure et dorsale supérieure mont
ient imperceptible. La dure-mère mise à nu, on constate que dans la région visée elle a un autre aspect que dans les parti
alpation l'opérateur a l'impression qu'il y a une tumeur dans cette région . Pour éviter une nouvelle chloroformisation à l
é dans tous ses détails ; il s'agit bien d'une tumeur comprimant la région psycho-motrice sans pénétrer dans la substance
ette paralysie occupait le territoire correspondant exactement à la région de l'écorce cérébrale dont la perturbation était
uisses et même du tronc, par l'application d'un corps froid sur ces régions ou encore par l'excita- tion électrique des tég
eau du réflexe pilomoteur encéphalique abso- lument normal dans les régions sus-jacentes (cervico-brachiale et thora- cique
qu'il s'agit d'une syringomyélie occupant une grande étendue de la région cervicale : l'abolition de tous les réflexes de
amidaux correspondant au membre supérieur étaient atteintes dans la région cervicale, celles qui se rendent à la région lo
ient atteintes dans la région cervicale, celles qui se rendent à la région lombaire seraient presque inévitablement touchées
- trale. Il existe parfois des encoches siégeant aussi bien dans la région nasale que dans la région temporale, et aussi i
des encoches siégeant aussi bien dans la région nasale que dans la région temporale, et aussi indifféremment dans la moi-
resque sur la ligne ombilico-xyphoïdienne, s'écartent en gagnant la région postérieure du thorax en délimitant entre elles u
tion I), atteint de paraplégie avec anesthésie remontant jusqu'à la région mamelonnaire, nous avons vu que la sensibilité
jours, le malade s'étant baissé pour prendre un objet, ressentit à la région lombaire une douleur vive irradiant vers l'abdo
s, à la face postérieure des cuisses et de la jambe droite, et à la région plantaire. En même temps. le niveau supérieur d
ssi bien à la périphérie des membres qu'à leur racine, aussi bien aux régions où la sensibilité superficielle est peu troublé
n ; mais cette contraction existe très nettement si l'on excite une région plus rapprochée de la rainure interfessière (te
ous('). Mais dans les cas les plus communs, où la lésion siège à la région dorsale, les réflexes tendineux ne sont d'aucun s
uit ; elles occupent non seulement l'hypochondre droit; mais aussi la région lombaire et irradient sur le trajet des abdomir
t le territoire des XIIes racines dorsales est libre. Dans toute la région anesthésiée, le pincement finit par être perçu
nsation douloureuse qu'elle éprouve à la limite supérieure de cette région . A noter que certaines régions sont presque compl
rouve à la limite supérieure de cette région. A noter que certaines régions sont presque complètement respectées : dans le
iqûre, la sensibilité thermique est normale; il en est de même à la région plantaire et au bord externe du pied des deux côt
d) Point douloureux. « Fig. (¡2. a) Anesthésie complète. , e) Régions où la sensibilité ost conservée. COMPRESSIONS M
du 25 janvier igi2. Les lésions hypertrophiques des méninges de la région cervicale de la moelle, malgré leur fréquence,
sie à la douleur au niveau de la partie supérieure du tronc dans la région mammaire et à la face interne des bras ; leur b
ntrée à l'hôpital. La peau est cyanosée et froide ; au niveau de la région sacrée elle est macérée par le contact des urin
aît intacte. La malade se plaint de douleurs dans les épaules et la région cervicale de la 382 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS' D
ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux bras et la région thoracique correspondant aux 2'' et 3e dorsales
ieure; à l'incision de la dure-mère on constate en approchant de la région cervicale des adhérences surtout marquées à la
e sur toute sa hauteur. L'anneau fibreux se prolonge en haut sur la région cervicale supérieure et, entre les 2e et 3'' segm
à un degré moindre que l'arachnoïde. En examinant les coupes de la région cervicale de bas en haut (fig. ll7, 48, 49, 50) o
de notre diagnostic. Il s'agissait en effet d'une compression de la région cervicale de la moelle par un anneau méningé fi
en plus, il y a une conservation relative de la sensibilité dans la région des racines sacrées lombaires, disposition que no
s sont faites, l'une après injection intradurale de lipiodol à la région cervicale, 1 autre après injection à la région
e de lipiodol à la région cervicale, 1 autre après injection à la région lombaire. Voici ce qu'on observe sur les épreuves
de cette affection qu'elle a commencé à ressentir des douleurs à la région sous-ombilicale droite, et que serait apparue u
: o,4o. Voici les résultats de l'épreuve du lipiodol : injecté à la région cervicale il descend sans entrave jusqu'au mili
cisif. L'image de la bille de lipiodol obtenue après injection à la région cervicale se présentait à la partie inférieure so
FECTIONS DE LA MOELLE Mais, de plus, une autre injection faite à la région lombaire avait fourni, de son côté, une figure
ril 1924, p. 374. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4o5 jection faite à la région cervicale nous avons pratiqué une seconde injec-
a région cervicale nous avons pratiqué une seconde injec- tion à la région lombaire, nous avons constaté sur la radiographie
x membres inférieurs et des douleurs. Ces douleurs occupent : 1° la région lombaire, irradiant vers la partie supérieure d
De temps à autre, étant assise, elle ressent comme un spasme dans la région lom- baire et son tronc se renverse en arrière.
use en dehors et un peu en bas de chaque côté. Au-dessus de cette région , la sensibilité est tout à fait normale. Quant
bilité ne sont pas répartis d'une ma- nière égale dans les diverses régions et pour tous les modes. Aux membres inférieurs,
s régions et pour tous les modes. Aux membres inférieurs, sauf à la région péri-anale et la plante des pieds, l'anes- thés
a position d'extension et d'adduction. Les muscles du ventre et de la région lombaire sont également contracturés. 4o8 PAR
XVII PARAPLÉGIE CRURALE PAR TUMEUR EXTRA-DURE-fr/ÉRIENNE A LA RÉGION DORSALE. OPÉRATION. GUÉRISON (SUR L'ÉPREUVE DU
7e cervicale. Notons aussi l'existence de deux petites gouttes à la région médiane inférieure de la COMPRESSIONS MÉDULLAIR
ns acquise sur les tumeurs de la moelle, notamment sur celles de la région dorsale, avant que l'épreuve du lipio- dol fut
IS'l'IIGSlls' H01110LA%'lslPALls'. TUMEUR lNTllAiJ1ÉDULLAIllE DE LA RÉGION LOiJIBO-SAC1Ui'E [J. BABINSKI et J. Jarkowski.
it : quatre jours plus tard, ces sensations douloureuses gagnent la région postérieure de la cuisse des deux côtés ; elles
segment sacrés, on conçoit aisément qu'une lésion prédominant à la région lombaire ait pour conséquence, dans la recherch
e de cas, on a cru devoir localiser la tumeur bien au-dessous de la région qu'elle occupait réellement. Nos observations n
endance d'une affection organique spinale qui devait siéger dans la région dorsale ou la région dorso-lombaire. Mais quell
on organique spinale qui devait siéger dans la région dorsale ou la région dorso-lombaire. Mais quelle est la nature de cett
ivant qu'elle se localise plus particulièrement dans telle ou telle région et qu'elle s'accom- pagne ou non d'un exsudat m
ocalisées à la partie postérieure du bras, prédo- minent dans cette région ; légère atrophie et diminution de la contracti-
traction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la région où elle se produit et, si l'on veut, la déforme ;
a partie interne du muscle frontal se contracte et la peau de cette région se porte de bas en haut ; c'est là une variété
et qui ont trait à la localisation de l'affection dans telle ou telle région , dans tel ou tel muscle ou groupe musculaire.
ité sont, à la cuisse : le triceps ; à la jambe : les muscles de la région antéro-externe. L'affection peut envahir ensuit
nt atteints sont, à l'épaule : parmi les muscles intrinsèques de la région , le deltoïde; parmi les muscles extrinsèques, l
nomie qui est le plus souvent atteint. Par contre, il y a certaines régions qui ne sont envahies que très rarement. (') Il
st la prédominance et le début de l'amyotrophie dans telle ou telle région ; mais quelle que soit la forme que l'on considèr
gion ; mais quelle que soit la forme que l'on considère, lorsqu'une région est envahie, que l'invasion soit initiale ou term
yrie pseudo-hypertrophique, et inversement. Ainsi donc, dans chaque région et dans chaque segment de membre, il y a entre
sont intacts ; mais chez aucun malade on ne peut constater dans une région quelconque l'altération d'un muscle réfractaire
ond pronateur, le chiffre 3. Passons maintenant en revue les autres régions , en employant aussi les chiffres pour donner un
-t-elle et prédomine-t-elle chez les divers malades tantôt dans une région , tantôt dans une autre ? Il est possible que le
sous sa dépendance la localisation de la myopa- thie dans certaines régions . Mais ce n'est là qu'une hypothèse. 2° Quelle e
enseurs de la main et des doigts, dans les muscles du mollet et de la région antérieure de la jambe. Tous les muscles dont
citabilité idio-musculaire des mus- cles des mollets, de ceux de la région antérieure des avant-bras et du tri- ceps brach
nière suivante : j'applique à l'improviste sur la pulpe des doigts, région parti- culièrement sensible, les deux électrode
té brûlée au bras et qu'il se développerait infailliblement, sur la région où la brûlure s'était produite, de la rougeur et
huit heures après, ayant défait l'appareil, je n'ai constaté sur la région en expérience ni le moindre soulèvement épidermiq
ganiques viscérales. L'hystérie peut provoquer des douleurs dans la région du coeur, mais il est difficile de les confondr
nsi dire les manifestations hystériques qui se can- tonnent dans la région traumatisée et qui survivent le plus souvent à le
ne le pensons pas. Une enquête faite récemment dans les différentes régions a montré qu'il y a encore dans les hôpitaux et da
ROUBLES PHYSIOPATHIQUES gourdissement plutôt qu'une douleur dans la région . » Vulpian insiste sur les troubles trophiques
un groupe assez hétéroclite de paralysies provoquées dans certaines régions du corps par l'affection d'un organe qui en est p
nte, les troubles nerveux s'étendent habituellement au-dessus de la région traumatisée. Ajoutons que l'intensité des troub
ns lequel la cuisse s'accole à la paroi abdominale et le talon à la région fessière. Étant donné les variations individuel
ontracture ou d'hypertonie réflexe de la main, la compression de la région métacarpienne ou des doigts, ou encore les essa
absence de réactions vis-à-vis d'excitants violents portant sur les régions qui étaient le siège de troubles de sensibilité
iés présentent une colo- ration rouge saumon. La température de ces régions est de 3° à 4° plus basse du côté malade que du
cadre. Il s'agit d'un sujet atteint, à la suite d'une blessure à la région du genou, d'une contracture en exten- sion de l
iS mai 1917 et Bulletin de la réunion médico-chirurgicale de la VIIe région , juin 1917. (3) Discussion générale sur les car
le j'ai eu recours dans plusieurs cas. Chez une malade (tumeur à la région dorsale) opérée ultérieure- ment, le traitement
5c1 toire des troubles moteurs ; chez un autre malade (tumeur à la région dorsale) opéré aussi plus tard, il y a eu sédat
ation passagère des douleurs ; dans un troisième cas de tumeur à la région dorsale, où il est vrai, il s'agissait probable
tion considérable de tous les troubles. I)ans un cas de tumeur à la région cervicale que je rapporterai plus loin, la radi
fection dataient de juillet 1916 et avaient consisté en douleurs à la région sus-épineuse droite auxquelles s'étaient associ
e ses nouvelles. Les 5 autres cas se rapportent à des tumeurs de la région dorsale. Dans un de ces 5 cas, on avait affaire
située au-dessous de l'ombilic et aux membres inférieurs sauf à la région sacrée, il y a une anesthésie presque complète et
e transition brusque entre cette zone d'hypoes- thésie légère et la région située au-dessus, où la sensibilité est tout à fa
Des excitations semblables portant sur les téguments au-dessus de la région précé- dente ne sont pas toujours suivies de mo
; mais ces spasmes seraient moins doulou- reux ; l'ulcération de la région sacrée est cicatrisée et cette région n'est plus
ou- reux ; l'ulcération de la région sacrée est cicatrisée et cette région n'est plus endolorie ; la sensibilité cutanée a
vue Neurologique, pr2, vol. XXIII, p. 1). (2) Tumeur méningée de la région dorsale supérieure. Paraplégie crurale par compre
on seulement au niveau du maxillaire inférieur, mais encore dans la région mallaire, avec maximum à l'émergence du nerf so
d'une épaisse couche de peau de chamois et d'ouate, fut placée sur la région malade et solidement fixée par des courroies, d
lherm, du 9 octobre au 20 novembre. On a fait 8 radiographies de la région cervicale, dont 3 ont été prises le patient éta
entimètres. On a pratiqué un examen radioscopique pendant lequel la région cervicale a été irradiée sur toutes ses faces ;
étaient à 15 centi- mètres environ de l'anticathode. En résumé, la région cervicale a été exposée du 9 octobre au 20 nove
es jours après que l'on a commencé à faire agir les rayons X sur la région cervicale. Huit jours environ après la première
orteils et une légère déformation de la colonne vertébrale dans la région dorsale. Les troubles très tenaces jusque-là on
effectua 22 séances d'une durée moyenne de 10 minutes chacune sur la région verté- brale qui a été divisée en deux zones.
n oeuvre six mois après le début de l'affection et appliquée sur la région cervicale avait été suivie rapidement d'une amé
sur le ventre ; une plaque de plomb mince protège les cheveux et la région cervicale. L'ampoule Millier, réglable, donnant d
ment la plus grande partie des tissus déjà traités, mais encore une région nouvelle pour que toute la moelle dorsale et lo
d'admettre que cette malade a reçu une dose de 12 H environ sur la région dorso- lombaire. Le 27 novembre, c'est-à-dire
à croire qu'entre la disparition des symptômes et l'exposition de la région lombo-sacrée aux rayons X, il y a mieux qu'une
r, la colonne vertébrale présentait une scoliose très marquée de la région lombaire. En fin janvier 1907, nouvelle crise a
à la radiothérapie. La première séance eut lieu le 18 mars 1907. La région lombo-sacrée de la colonne vertébrale fut expos
C'est ainsi que chaque segment particulièrement dou- loureux et la région lombo-sacrée reçurent, en trois séances, environ
a troisième séance de la deuxième série de trois séances sur chaque région . Le traitement par les rayons fut terminé le 18
s. La maladie débute en juillet 1906, par de vives douleurs dans la région postérieure du genou, douleurs qui s'irradient
de même manière que dans l'observation I. On fit tomber sur chaque région douloureuse, et aussi sur la région des racines d
ion I. On fit tomber sur chaque région douloureuse, et aussi sur la région des racines du sciatique, une quantité de rayon
ne. La radiothérapie est commencée le g décembre, uniquement sur la région lombo- sacrée. En trois séances ayant duré chac
tion IV. M. M..., âgé de 4o ans, souffrait depuis longtemps dans la région lombaire. Le début de la sciatiqne remonte au moi
égative. Le malade est soumis à la radiothérapie, uniquement sur la région lombo-sacrée, à partir du 5 décembre 19 10. La ma
hydatique du cerveau (Id.). Lt. Epithélioma tubulé de la peau de la région fessière développé aux dépens du corps muqueux
male et pathologique, mars-avril 19 12). 192. Tumeur méningée de la région dorsale supérieure. Paraplégie crurale par comp
QUE 633 285. Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la région dorsale. Opéra- tion. Guérison (Sur l'épreuve d
4o6 XVII. - Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la région dorsale 41a XVIII. Monoplégie crurale hypertoni
éraux et avec anesthésie homolatérale. Tumeur intramédullaire de la région lombo-sacrée.. 420 XIX. Sur le diagnostic des c
39 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, un rétrécissement du champ visuel, des points hysléro- gènes aux régions dorsale et précordiale. D... fut soumis à l'hydro
en existe trois : au niveau de chacune des fusses iliaques et de la région épigastrique. 5° Motilité de la face. A la face
où il fut soigné (hémianes- thésie droite, points hystérogènes, aux régions dorsale et précordiale, rétrécissement du champ
ypéresthésie au niveau des fosses iliaque droite et gauche et de la région épigastrique; 3° de ü In ü , la diminution de
rsistent encore en des points correspondant assez bien à ceux de la région dorsale supérieure ; mais ils sont beaucoup moins
qu'un certain degré de ramollissement de la partie supérieure de la région dorsale. Le foyer originaire de la myélite est
semble avoir eu son point de départ à la partie supérieure de la région dorsale; du moins, c'est à ce niveau que le pro
vants : Céphalalgie tenace, siégeant souvent mais non toujours à la région occipitale, vomissements, vertiges persistants
lésion centrale du centre commun des oculomoteurs communs, dans la région des tubercules quadrijumeaux, sans pou- voir pr
scles volontaires, mais pas d'une manière identique en toutes les régions . Dans certaines régions, prédomine la crampe, l
pas d'une manière identique en toutes les régions. Dans certaines régions , prédomine la crampe, la rigidité; en d'autres,
rié est au moyen de la couronne rayonnante intimement uni à la même région par un système spécial ; le centre cortical et
nction la parotide. Elle n'a rien à voir avec la zone motrice. La région de l'écorce plus en dedans de celle-là exerce aus
re des 2" et 3e circonvolutions originelles, pour gagner ensuite la région sous-sylvienne de la i" originelle. (Klle ne se c
nnexion directe, entre la zone corticale motrice, au moins des deux régions sus- énoncées, et le cordon latéral homonyme. I
l homonyme. Il est probable qu'il n'en existe pas davantage pour la région qui commande au mem- bre postérieur gauche ; -
ar l'intégrité des fibres intracor- ticales. Ce sont, en effet, les régions antérieures du cerveau où l'on rencontre l'atro
e qu'on n'arrive à s'y recon- naître que lorsqu'on est parvenu à la région qui siège un peu au- dessous de la première pai
l (ou à travers la substance de la corne postérieure), en de- hors ( région de la première paire cervicale et territoire infé
sceau cantéro-latéral ascendant : 1° A la partie supérieure de la région cervicale, à la hauteur de Ja troisième paire,
ban très mince, presque jusqu'à la surface de la moelle ; 2° A la région lombaire, le faisceau antéru-latéral ascendant es
n du phénomène du genou ; pourvu naturellement qu'il s'agisse de la région de la moelle épi- nière qui va de la portion do
pendant absolument indemnes, même microscopiquement, de même que la région du facial dans la protubérance. Conclusion. Exc
t logique de supposer que le centre cérébral qui correspond à cette région présenterait les signes d'un développement dél'
époque, il s'est produit dans un des asiles publics d'aliénés de la région une vacance qui permette de pourvoir un des deux
des Actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque région , fera connaitre la date exacte d'ouverture de cha
Conditions du concours. Le concours est régional ; il y a autant de régions que de facultés de médecine de l'Etat. La circons
e de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque région est composée comme il est indiqué dans le table
s sont libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des régions . Au sur et à mesure des vacances d'emplois qui se
acances d'emplois qui se pro- duiront dans les asiles publics de la région où ils auront passé le concours, les candidats
'il y avait urgence à-nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste des admissibles se trouverait épuis
e réserve la faculté d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre région , à la condition que celui-ci déclarera expressé-
er au droit qui lui appartient d'obtenir son poste de début dans la région où il a subi le concours. A titre exceptionnel
re disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où il aura concouru pourra être ensuite envoyé
te envoyé avec ses même fonctions dans un asile situé hors de cette région . Les médecins adjoints peuvent être nommés méde
chargé de juger les résultats du concours sera composé dans chaque région : 1° de trois directeurs médecins ou médecins e
région : 1° de trois directeurs médecins ou médecins en chef de la région ; 2° d'un inspecteur général des établissements
ecine ; 3° d'un professeur désigné par la faculté de médecine de la région . Les directeurs médecins en chef appelés à fair
l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles publics de la région . Les médecins de la Maison nationale de Charent
iénés des hospices de Bicêtre et de la Salpêtrière peuvent, pour la région de Paris, être également appelés par la voie du
cteurs-médecins et les médecins en chef des asiles publics de cette région . Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d'u
froidissement de la jambe malade. L'électrisation des muscles de la région antéro-externe de la Jambe ne produit aucune co
s froid, comme engourdi. L'exploration électrique des muscles de la région antéro-externe (jambier antérieur, extenseurs^
alade avait encore son anesthésie et une atrophie des muscles de la région antéro- externe telle qu'il y avait une différe
extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la jambe et anesthésie dans l
e à la région antéro-externe de la jambe et anesthésie dans la même région . Egalement anesthésie sur le dos du pied, moins
s. A la plante du pied, légère altération de la sensibilité dans la région des orteils ; le reste de la voûte plan- taire
te à la plante du pied et dans toute l'étendue de la jambe, sauf la région que nous avons indiquée ». Point douloureux pér
nsensibles; au contraire sous la même influence \ les muscles de la région postérieure et de la cuisse réagissent éner- gi
des jambes. Il n'a jamais subi d'opérations chirurgicales en aucune région du corps. Son état actuel est le suivant : Il p
du sciatique a complètement disparu. A la pression, dans les mêmes régions , la douleur est à peu près nulle, sauf peut-êtr
musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergique sur la région des muscles extenseurs n'éveille non plus aucun
douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette région . Ces douleurs ont duré six mois environ, sans qu'
urs du genou ont reparu et se sont pro- pagées à la cheville. Cette région était enflée et violacée. A ce moment, pas de d
tuellement, elle se plaint surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la pression sont les points fessie
eur début). Elle se plaint également d'engourdissements de toute la région antéro-externe de la jambe gauche. A première
ble qu'il existe un certain degré d'atro- phie des muscles de celte région . Mais les dimensions de la jambe n'ont pas beau
ace externe de la jambe. Sensibilité au froid diminuée dans la même région . Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux :
ar M. Vigouroux : Pas d'anomalie de réaction dans les muscles de la région antéro-externe de lajambe. La malade ayant parl
0 PATHOLOGIE NERVEUSE. réaction de dégénérescence des muscles de la région antéro-externe de la jambe. Mart..., cinquant
péronière et de l'acces- soire du saphène externe, à la pau de la région externe de la jambe, suivant une bande beau-
point fessier, le point trochan- térien ; un point au niveau de la région sacrée. Ces douleurs ont persisté, avec exacerb
irradiations douloureuses au mollet, et une douleur au niveau de la région sacrée. Elle se plaint de fourmillements, d'éla
fourmillements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la région postérieure de la cuisse. On constate un amaigr
e 1 centimètre et demi de moins à droite qu'à gauche. A la jambe la région antéro-externe surtout, mais aussi les muscles
une véritable paralysie des extenseurs et de tous les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et ré
faitement sentis. Au niveau du membre inférieur droit, sauf dans la région que nous allons indiquer, le malade ne sent pas
s et de la piqûre, si on le pique légèrement. Enfin dans toute la région externe de la jambe, dans un terri- toire limit
ullaire d'origine artérielle, lorsqu'elle se localise sur certaines régions de la moelle, une cause fréquente du tremblemen
ordinaire. Notons, avec Brissaud, qu'elle est toujours limitée à la région paralysée. Dans toutes les observa- tions où la
s la blessure. Les troubles sensitifs n'occupent point seulement la région voisine de la blessure, ni même l'extrémité lés
un léger sen- timent d'engourdissement très passager et limité à la région contuse D. Ce phénomène physiologique peut être
es » situées à la partie supérieure des phalanges. Dans toute cette région , l'anesthésie est complète pour tous les modes de
dius, la veille encore sensibles. D'autre part, l'auriculaire et la région cor- respondante du cinquième métacarpien (face
spontané (peut-être consécutif à un anthrax ? ) occupant les mêmes régions mais à droite; on intervint de la même façon et
orte des deux articulations et courants intermittents sur les mêmes régions (application de l'anode à l'articulation même).
la fosse nasale qui semble bouchée. Une pression exercée sur cette région , un vent violent venant fouetter le visage déte
e, à part une diminution de la sensibilité dans tous ses modes à la région frontale et temporale gauche, surtout au voisi-
anesthésie correspondante ; le champ d'irritation correspond aux régions psychomotrices du cerveau et le développement des
- Excessivement fréalip-nte chez, l'adulte, elle ho1.re toqles les régions de la colonne vertébrale, mais surtout la eoiorme
olonne verté- brale entière : elle est bilatérale, excepté dans la - région dorsale. Elle se traduit par une tension doulou
traduit par une tension douloureuse avec raideur qui immobilise la région ; il existe juste au niveau des apophyses en ques-
ne pièce de cinq francs en argent, Quelques taches bronzées dans la région axillaire; pigmentation diffuse sur la peau qui
ntinuer les derniers éléments du cordon latéral; on le suit dans la région de l'entrecroisement sen- sitif en avant et en
us ne connaissons pas de publication aussi frappante. Il y a peu de régions du système nerveux qui ne soient explorées, fouil
oque, il s'est produit dans l'un des asiles publics d'aliénés de la région une vacance qui permette de pourvoir un des deux
il des actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque région fera connaître la date exacte d'ouverture de ch
nditions du concours. - Le concours est régional ; il y a autant de régions que de facultés de médecine de l'Etat. La circons
e de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque région est composée comme il est indiqué dans le table
s sont libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des régions . Au sur et à mesure des vacances d'emplois qui
vacances d'emplois qui se produiront dans les asiles publics de la région où ils auront passé le concours, les candidats
'il y avait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste des admissibles se trouverait épuis
e réserve la faculté d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre région , à la condi- tion que celui-ci déclarera expres
er au droit qui lui appartient d'obtenir son poste de début dans la région où il a subi le concours. A titre exceptionne
re disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où il aura concouru pourra être ensuite envoyé
envoyé avec ses mômes fonc- tions dans un asile situé hors de cette région . Les médecins adjoints peuvent être nommés méde
chargé de juger les résultats du concours sera composé dans chaque région : 1° De trois directeurs médecins ou médecin s
région : 1° De trois directeurs médecins ou médecin s en chef de la région . -2° D'un inspecteur général des établis- semen
ne. - 3° D'un profes- seur désigné par la faculté de médecine de la région . Les directeurs médecins et les médecins en che
l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles publics de la région . Les médecins de la Maison nationale de Charent
iénés des hospices de Bicêtre et de la Salpêtrière peuvent, pour la région de Paris, être également appelés par la voie du
cteurs médecins et les médecins en chef des asiles publics de cette région . Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d
re le trafic et la fabrication des bois- sons alcooliques, dans les régions de l'Afrique centrale où l'usage de ces boisson
tre ou de suspendre ces accès par la pression exercée sur certaines régions , l'absence d'élévation thermique, lorsque ces a
re ou disparaître à volonté, par une pression exercée sur certaines régions , à l'absence d'élévation thermique, peut être a
intillant et hémicrazzie droite, très violente. - Il existe dans la région verté- brale, au niveau de la sixième dorsale,
é droit de la 'tête et elles ont leur' maximum d'intensité dans les régions sus-orbitaire et temporale^ en dehors du trajet
'exagèrent par le bruit et diminuent par la pression exercée sur la région affectée. - Cette première période dure dix jou
épha- lalgie viennent s'ajouter alors des douleurs siégeant dans la région vertébrale, au niveau de la sixième dorsale, da
ans la région vertébrale, au niveau de la sixième dorsale, dans les régions sus et sous-mammaires; elles sont d'abord inter
s genoux, surtout du côté gauche, avec hémianesthésie cutanée de la région externe de la jambe. ' Enfin, après une nouve
les faire naître à volonté en comprimant le point doulourèux de la région dorsale, et la malade peut encore obtenir le mê
endant quel- ques instants d'une obnubilation de l'intelligence.-La région ova- rienne gauche est un peu hypéresthésiée, e
examen des yeux fait par M. Parinaud ne révèle rien d'anormal. - La région ovarienne gauche est sensible à la pression, qu
sance; des points hystérogènes sous les deux ma- melles et dans les régions ovariennes; on peut aussi en comprimant la régi
lles et dans les régions ovariennes; on peut aussi en comprimant la région ovarienne droite suspendre les attaques (voir fig
ssentit alors une douleur de tête diffuse, mais prédominant dans la région temporale droite; quelques instants après, dit-
peuvent apparaître sous l'influence de la pression, exercée sur la région de la sixième vertèbre dorsale qui représente a
N. 335 des vajsseaux sylviens avec anémie transitoire de toute la région qui comprend les diverses localisations du lang
rationnel de cher- cher le centre de l'olfaction cérébrale, dans la région où se trouvent certainement, quoique non précis
EUR 1° Carrefour olfactif. - Tous les auteurs admettent que cette région est constituée par une lamelle de substance gri
'espace quadrilatère 1 Broca désigne sous ce dernier nom une petite région située sur la face interne de l'hémisphère, au-
différents facteurs de l'intelligence ont leur substratum dans des régions définies précisément en rapport avec certaines
che : mais le rapport entre l'aphémie ou aphasie et la lésion d'une région plus particulièrement limitée de l'hémisphère g
ont dus à quelque influence dynamique exercée par la lésion sur des régions situées à distance (et probablement toujours en
ées à distance (et probablement toujours en dehors des recherches), régions sur le compte des- quelles on met la perte ou l
du membre supérieur soient groupées principalement dans une même région , cependant il y a à peine un point de la convexit
nt être produits par l'application directe de l'électricité sur des régions définies de l'écorce cérébrale d'un chien. Comm
t de la partie médiane de la circonvolution supra- sylvienne. Cette région a généralement une étendue de plus de cinq cent
ATIONS CÉRÉBRALES. 423 l'application des électrodes sur différentes régions produit des régions motrices avec une telle con
l'application des électrodes sur différentes régions produit des régions motrices avec une telle constance, qu'on peut pré
le constance, qu'on peut prévoir lorsque les limites d'une pareille région a été indiquée avec soin, Flg. 39, - Dispositio
'écorce par la méthode de l'excitation. Par suite les limites d'une région peuvent être indiquées différentes par les différ
s des réac- tions qui suivent l'application des électrodes dans des régions si voisines l'une de l'autre, ni de l'absence t
suit pas, parce que les fibres médullaires sont excitables, que les régions correspon- dautes corticales soient inexcitable
de trente-deux ans qui fut prise de dou- leurs lancinantes dans la région pariétale gauche, de troubles de la vue (hémian
IE PATHOLOGIQUES. L. La valeur anthropologique DU développement DES RÉGIONS FRON- tales DU cerveau, avec recherches SUR LE
ment dit la, hauteur, le renflement du crâne et du cerv eau dans la région frontale résulte du cube des parois de la sciss
oppement crânien frontal. Par consé- quent, c'est bien l'insula, la région operculaire, la première tem- porale et les env
sure de Sylvius qui représentent le centre du cerveau humain, et la région sylvienne doit être regardée comme le siège pri
Un appendice comprend des ta- bleaux. donnant le poids des diverses régions cérébrales et le calcul de leurs rapports pondé
dia- tions corticales. P. K. LV. Rapports topographiques ENTRE la région MOTRICE ET LE crâne d'après V. Horsley, par L.
symptômes qu'on a l'habitude de rattacher il la des- truction d'une région si importante, la multiplicité des accidents et
es actes administratifs des préfectures du chef-lieu de chacuhe des régions déterminées par l'arrêté ministériel du 18 juille
ccès, qui pourront être déclarés admissibles est fixé à six pour la région de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois p
on de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois pour chacune des régions de Lyon, Bordeaux, Nancy et Montpellier. Les do
concours devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre des régions , devront adresser leur demande, sur papier timb
res, dernier délai de rigueur. Cette demande, qui devra indiquer la région dans laquelle le candidat veut subir le concours,
veau diagramme du par Benédikt, 265; - rapports entre le -, et la région motrice, par Goldstem, 43'r. Criminels, séque
mentales, par Bianchi et d'A- brundo, 82; - après extirpation des régions motrices, par Ztcheu, 87; de la substance blanc
40 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
ous les symptômes de la fracture du col du fémur. Douleurs vives à la région trochantérienne; raccourcissement de 18 lignes du
assistans la saillie sphéroïdale formée du côté de la fracture par la région trochantérienne. J'aurais cru que l'intervalle qu
le à reconnaître que les fractures du col du fémur par l'examen de la région trochantérienne : la saillie sphéroïdale de cette
examen de la région trochantérienne : la saillie sphéroïdale de cette région , qui est notablement rapprochée de la crête iliaq
fracture du col du fémur, caractères oui résultent de l'examen par la région antérieure du corps, j'ai cru devoir ajouter ceux
ajouter ceux qu'on obtient par l'examen de cette même fracture par la région postérieure : les différences de conformation de
ure par la région postérieure : les différences de conformation de la région pelvi-trochantérienne sont, dans ce dernier sens,
eaucoup plus frappantes : ainsi, du côté de la fracture, on voit à la région fessière externe une tumeur sphéroïdale très pron
s facile à reconnaître à l'aide des signes fournis par l'examen de la région postérieure du membre inférieur qu'à l'aide de ce
re du membre inférieur qu'à l'aide de ceux fournis par l'examen de la région antérieure du même membre. Ce que je viens de d
un peu en avant ; ascension du grand trochanter, et déformation de la région fessière externe qui est soulevée par une tumeur
es. Parfois, la malade se plaint d'avoir la vue trouble. Du reste, la région cervicale n'est nullement endolorie; la malade po
t par la narine gauche. La tumeur conoide et bosselée qui occupe la région frontale est constituée par l'os frontal lui-même
mprendra aisément le développement de semblables tumeurs. Quand une région du système capillaire veineux de l'économie est s
les et observables de ce système un bruit de souffle fort intense. La région de la crosse aortique était surtout remarquable s
ns principales des artères temporales et occipitales. La tumeur de la région frontale droite en particulier semblait apparteni
de mars, où la malade le fit appeler pour une douleur très vive à la région du cœur, avec fièvre intense, douleur qui avait é
la planche /j. Les tumeurs crâniennes occupaient et la voûte et les régions latérales du crâne. La fig. 1 représente la voû
la manière d'une pince. La figure 2' représente la dissection de la région palmaire de la main gauche. On voit l'arcade palm
s anastomoses nerveuses remarquables, constituées par les nerfs de la région palmaire avec les nerfs de la région dorsale. Ces
constituées par les nerfs de la région palmaire avec les nerfs de la région dorsale. Ces anastomoses forment une anse. La f
e vingt-et-un pouces et demi. Le tronc, parfaitement conformé dans la région sus-ombilicale, va en se rétrécissant graduelleme
naturelle, représente la partie sous-ombilicale du tronc, vue par la région postérieure. On voit à la partie inférieure deux
iculations. A leur niveau, il y avait une assez grande mobilité. A la région lombaire, on voit l'intestin B, qui sort par une
eure est en avant ; ia l'articulation du fémur avec la jambe, dont la région postérieure est en avant ; 3° le tibia dont il n'
iput se continue sans interruption, sans ligne de démarcation avec la région fessière, que le menton est séparé du sternum par
n haut, l'œil cyclope en haut et en avant, la bouche en avant, que la région antérieure du col est très allongée, très saillan
ès saillante, semble continuer le menton, et donne assez bien à cette région l'aspect du col d'un goitreux. Du reste, la face
utanée. Le canal vertébral ne commence qu'à la partie inférieure delà région lombaire, et se continue sans interruption jusqu'
és les uns des autres qu'ils n'ont coutume de l'être, en sorte que la région métatarsienne présente une largeur beaucoup plus
résente les pieds vus par la face plantaire : on ne trouve dans cette région que les tendons des fléchisseurs, des nerfs et de
ètement. Je n'ai pas non plus rencontré de vestiges des muscles de la région pelvi-trochantérienne, savoir des pyramidaux, car
tenseurs , lesquels jambier antérieur et extenseur appartiennent à la région externe de la jambe. Les figures 6, 7, 8, repré
Fig. 6. Squelette du bassin et des membres inférieurs, vus par la région antérieure. Le bassin présente une disposition bi
asphyxie. A l'autopsie, je trouvai que la grande tuméfaction de la région parotidienne était due, en partie, à l'œdème, en
ie, et ces gonflemens si fréquens et presque toujours épidémiques des régions parotidiennes et sous-maxillaires, connues sous l
nt sèche et le siège d'une inflammation couenneuse. Bientôt après, la région parotidienne gauche devient douloureuse et proémi
u plutôt une mollesse un peu fluctuante, se manifeste au centre de la région parotidienne. Une incision est pratiquée. Un pus
dans mon service à la Salpêtrière,le 8 août i83y : elle portait à la région parotidienne gauche un énorme champignon fongueux
ant, comme d'un cratère, un ichor horriblement fétide. En outre, à la région sous-maxillaire correspondante, eschare gangreneu
nsidérable, débris d'une tumeur non moins volumineuse que celle de la région parotidienne. Quel était le siège de cette second
sclérotique^).Il est des cas dans lesquels ces bosselures occupent la région postérieure de l'œil, plus souvent elles se voien
n général moins de chance de repullulation que les cancers des autres régions , n'échappe pas à cette loi. M. Beauchène, ancien
al, je lui disque la chose n'était pas démontrée. L'exploration de la région épigastrique et de l'hypochondre gauche me permit
onsidérable mais inégale : ainsi la plus grande épaisseur répond à la région pylorique. A partir du pylore P, elle diminue pro
mide triangulaire. Des trois faces de la pyramide, deux répondent aux régions temporo-pariétales que sépare en arrière et sur l
e au niveau de l'ombilic est de 8 pouces moins quelques lignes; cette région est un peu aplatie d'avant en arrière, en sorte q
des grossesses répétées; cette dilatation porte principalement sur la région ombilicale, où j'ai vu la ligne blanche acquérir
is elle peut également porter d'une manière plus particulière sur les régions sous-ombilicale et sus-ombilicale, sur l'une de c
e sur les régions sous-ombilicale et sus-ombilicale, sur l'une de ces régions ou sur les deux régions à-la-fois. Alors la ligne
mbilicale et sus-ombilicale, sur l'une de ces régions ou sur les deux régions à-la-fois. Alors la ligne blanche se trouve conve
sous-ombilicale, suivant qu'elle occupe l'une ou l'autre de ces trois régions de la ligne blanche : elle peut également occuper
ns de la ligne blanche : elle peut également occuper l'une ou l'autre région iliaque, lorsque la ligne blanche et les muscles
oits ayant résisté, la portion des parois abdominales qui répond à la région iliaque a été portée au-delà de son extensibilité
e celui d'une vieille femme de la Salpêtrière, qui portait dans cette région une besace conoïde dont la base était étendue de
e la manière la moins équivoque : à côté de la femme qui portait à la région sous-ombilicale une éventration conoïde, était un
npoint, n'ayant jamais eu d'enfans, reçut, à l'âge de 20 ans, dans la région ombilicale, un coup de pied de cheval, qui fut bi
nstance établit qu'une incision avait été pratiquée au sac dans cette région , et milite en faveur de l'idée d'une opération an
urs après sa naissance, des suites d'une éventration ombilicale. A la région ombilicale était une ouverture, une sorte de perf
le aussi les accidens, La présence d'une tumeur dans telle ou telle région de l'abdomen coïncidant avec les accidens de l'ét
ue, la face d'un jaune paille, se plaignant d'une douleur atroce à la région lombaire, sans aucune douleur à l'abdomen. Depuis
cée. La fig. i représente le bourrelet tel qu'il se présentait à la région anale : il était d'un rouge violet et couvert de
lui causent beaucoup d'efforts et de douleurs. Douleur très vive à la région du sacrum que la malade frotte souvent pour se so
dont plusieurs étaient cachés dans les plis radiés que présente cette région . La muqueuse du rectum était détruite dans toute
cet intestin ou à la fin de l'S iliaque du colon; c'était en effet la région iliaque gauche qui était le centre des douleurs.
diagnostic était donc celui-ci: dégénération de l'utérus occupant la région postérieure du corps de cet organe, dégénération
l'ouverture. Quelque temps après, cette malade ayant souffert dans la région des reins, Dupuytren diagnostiqua un développemen
ans aucun sens : je veux parler de la percussion exercée sur toute la région qu'occupe cet organe. Cette percussion, pratiquée
eille une sensibilité caractéristique qui est exactement limitée à la région hépatique. J'ai en ce moment dans mon service à l
mais la percussion pratiquée de haut en bas ou de bas en haut, sur la région du foie, en avant, sur les côtés, mais surtout en
ression, exercée sous la dernière côte, aux limites supérieures de la région lombaire, comme si on voulait explorer le rein, m
terreur à laquelle conduit presque nécessairement l'exploration de la région occupée par le foie, et qui consiste à regarder c
egré de la maladie sur le degré de proéminence de cet organe dans les régions lombaire et ombilicale. Eh bien! il y a des foies
olée des voies biliaires. _ Sa perforation__Péritonite limitée a la région du foie. Madame Mazet, trente-quatre ans, d'une
une péritonite générale, point du tout : le péritoine était sain aux régions ombilicale, iliaque, hypogastrique. Nous rappelan
actement l'inflammation. Il y avait donc péritonite circonscrite à la région du foie. Après avoir suffisamment étudié les pa
rte que la péritonite diaphragmatique et hépatique était limitée à la région du lobe droit du foie. On peut se rendre compte d
nguines générales ; nous nous contentâmes de dix-huit sangsues sur la région douloureuse. Un état syncopal plus prononcé en fu
otion, et, en effet, toutes les fois que la percussion portait sur la région du foie, la malade éprouvait une douleur très pro
ostic fâcheux, et cependant la malade n'accuse aucune douleur dans la région du foie : l'exploration ordinaire ne développe au
dre ces diverses questions. Traitement. Ventouses scarifiées sur la région du foie : six onces de sang. Cataplasmes, bains,
ntiment de débilité extrême. Aucune douleur, aucune intumescence à la région du foie ; la pression la plus forte ne développe
u commencement d'avril, M. G. ressentit des douleurs assez vives à la région lombaire et à la cuisse droites. Il les considéra
r dans l'hypochondre et dans le flanc gauches. La sensibilité de la région du foie, vive d'abord et augmentant par la pressi
à la maladie du foie, redoublèrent d'intensité : elles occupaient la région lombaire et la cuisse droites, et remontaient sou
mployés avec tout aussi peu de succès. Dans les derniers temps, une région de la volumineuse tumeur formée par le foie offra
bien plus fréquente, si le goître occupait purement et simplement la région antérieure du larynx, et s'il ne se prolongeait p
lètement étranger, lors même que ces indurations et abcès occupent la région de ce corps. Ce fait bien positif ne me paraît
rand nombre de faits, qu'il existe une sympathie remarquable entre la région dorsale et les poumons, et que, appliqués sur cet
e entre la région dorsale et les poumons, et que, appliqués sur cette région dorsale, les moyens thérapeutiques exercent une i
u poumon de ce côté, la respiration et la voix tubaire dans les mêmes régions . La partie antérieure du poumon gauche avait seul
s concrétions des divisions secondaires ne s'observaient que dans les régions qui correspondaient à la pneumonie. L'altération
ire. Le trajet fistuleux était antérieur aux vaisseaux et nerfs de la région latérale du cou. Réflexions. Les seuls renseign
meurs de nature probablement cancéreuse: une première qui occupait la région frontale de l'hémisphère cérébral droit, une deux
frontale de l'hémisphère cérébral droit, une deuxième qui occupait la région occipitale de l'hémisphère gauche, une troisième
série de tumeurs variqueuses. A l'avant-bras, tous les muscles delà région antérieure sont confondus en un vaste réseau vari
gangrène s'étend rapidement au pied, au bas de la jambe , à toute la région antérieure et externe delà jambe. L'exploration d
aractérisée par une couleur noire, occupe le pied en entier, toute la région antérieure et externe de la jambe et la partie in
région antérieure et externe de la jambe et la partie inférieure des régions postérieure et interne. Elle est très exactement
accusait, sous le nom de crampes, des douleurs très fortes à la même région . La face était bonne, le teint naturel. Le poul
l'aorte et les artères iliaques primitives; c'est dans cette dernière région que j'ai rencontré généralement les altérations l
20 A la palpation, sensation de battement considérable dans toute la région antérieure droite du thorax; ce battement occupe
ieure droite du thorax; ce battement occupe toute la hauteur de cette région et va en augmentant de haut en bas. Ce battement
3° A l'auscultation, l'oreille ou plutôt la tête appliquée contre la région antérieure et droite du thorax est brusquement so
claquement, à mesure qu'on descend du côté du foie ; c'est même à la région du foie que l'impulsion est la plus forte : on di
urait pu se porter en bas et à droite, et envahir en quelque sorte la région du ioie. Quelques personnes avaient porté de ce
é gauche des vertèbres correspondantes. — Battemens appréciables a la région postérieure du thorax. — Paraplégie. — Hémoptisie
longueur, je reconnus à la partie supérieure et latérale gauche de la région dorsale, une tumeur fluctuante, pulsatile, qui so
et sur les côtes correspondantes ; la tumeur pulsatile observée à la région dorsale n'en était qu'un prolongement. Les vertèb
aint-Côme , n. 17, service de M. Breschet (1). Cet homme portait à la région latérale gauche du cou une tumeur ovoïde du volum
; les battemens de cœur étaient faibles et obscurs. Sonoréité dans la région du cœur. Rien de particulier jusqu'au i3 septembr
t suivant : Voussure bien manifeste de toute la moitié gauche de la région antérieure du thorax ; mouvement d'ondulation ext
que je lui demande quel était le siège du point de côté, il montre la région du cœur. Il est donc probable que cette prétendue
jour-là un peu de bouffissure à la face, à l'abdomen et surtout à la région lombaire, qui est le lieu le plus déclive dans le
e. Les évacuations sanguines locales, et surtout les ventouses sur la région du cœur, ou mieux sur la région dorsale, lui sont
ales, et surtout les ventouses sur la région du cœur, ou mieux sur la région dorsale, lui sont substituées avec grand avantage
e, de nouvelles crises, à l'aide d'un régime convenable. Du reste, la région du cœur présente toujours la même matité et le mê
pouls est vif, bref, régulier; matité très grande, très étendue à la région du cœur; battemens sourds: on entend un bruit de
onsentit à rester jusqu'au i5 août. Lorsqu'il sortit, la matité de la région du cœur était presque aussi considérable qu'à son
ute autre lésion ; on conçoit en effet que la pointe du cœur étant la région la moins résistante de l'organe, il arrive nue fo
Or, la transformation en tissu fibreux de la pointe ou de toute autre région du cœur une fois opérée, cette pointe n'opposera
on, se plaignait, depuis l'année 1809, d'un sentiment de gêne dans la région du cœur, pour lequel il consulta à plusieurs repr
de constriction au cœur : ce sentiment de constriction, de gêne à la région du cœur, était d'ailleurs permanent. Le malade ex
lée chez ce malade que par des accès d'asthme et par une gêne dans la région précordiale que provoquait le plus léger mouvemen
augmentant par accès à la manière de l'asthme; orthopnée, matité à la région du cœur; point d'impulsion notable; mouvemens tum
ement irréguliers, sans impulsion, avec claquement léger; matité à la région du cœur dans une grande étendue; infiltration et
prison, au cachot et à la salle de police. Il portait dans les deux régions parotidiennes jusqu'au larynx deux tumeurs de la
n arrière le muscle sterno-mastoïdien et comprimant les muscles de la région sus-hyoïdienne qui étaient durs, criant sous le s
profonds, obscurs, à peine perceptibles à l'oreille appliquée sur la région qu'il occupe. Le stéthoscope, promené sur les div
qu'il occupe. Le stéthoscope, promené sur les divers points de cette région , ne transmet aucun bruit. Il n'existe point de vo
re à la poitrine du côté gauche. Un peu d'épanchement dans l'abdomen. Région du foie un peu sensible à la pression. Point de s
le malade demande à manger. Traitement. Ventouses scarifiées sur la région du cœur : électuaire avec miel, jalap, séné, de c
ploration du thorax me démontre toujours et une énorme matité dans la région du cœur et l'absence de tout signe d'épanchement
itement : ponction aux malléoles. Quelques jours après, ponction à la région lombaire. Emulsion nitrée,lait. Le 17 juin, le
inaire. Le péricarde répondait à lui seul à la presque totalité de la région antérieure du thorax. La base du poumon gauche et
t qui ne m'avait donné jusqu'alors aucun signe de lésion. Matité à la région précordiale; bruit râpeux et comme ondulé, se fai
quelque chose d'analogue au bruit de rappel. Ce bruit occupe toute la région sternale. Je notai: Est-ce bruissement des valvul
t cessé complètement. L'état du cœur me préoccupe par la matité de la région qu'il occupe, et par la faiblesse de ses battemen
double bruit râpeux et comme ondulé n'occupe plus maintenant toute la région précordiale; mais il est limité à la région stern
plus maintenant toute la région précordiale; mais il est limité à la région sternale au niveau de la base du cœur. — Traiteme
niveau de la base du cœur. — Traitement: ventouses scarifiées sur la région du cœur; plusieurs vésicatoires sont promenés sur
es sur la région du cœur; plusieurs vésicatoires sont promenés sur la région latérale gauche du thorax/Purgatifs répétés, bois
ns la plèvre gauche a augmenté d'une manière notable. La matité de la région du cœur occupe une plus grande étendue, et, bien
o-membraneuses très multipliées. Ces adhérences occupaient surtout la région antérieure du cœur. En arrière, elles étaient rom
embres inférieurs sont dans une flexion permanente, à ce point que la région postérieure des jambes touche la région postérieu
permanente, à ce point que la région postérieure des jambes touche la région postérieure des cuisses. Les orteils sont constam
férieurs.—Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneuse aux régions trochantérienne et sacrée.— Tumeur cancéreuse sou
l'extrémité inférieure droite. Je fais appliquer deux moxas sur la région lombaire; mais d'antres moxas spontanés , je veux
chares d'un caractère fort grave, ne tardèrent pas à s'établir sur la région sacrée, et ces eschares firent de rapides progrès
eschares sont très étendues en largeur et en profondeur. On voit à la région fessière des espèces de foyers gangreneux. Réfl
uffisante pour intercepter le sentiment. La tumeur occupait, non la région lombaire, mais la partie supérieure de la région
eur occupait, non la région lombaire, mais la partie supérieure de la région dorsale. Dans les paraplégies parfaitement limité
ut bien se garder de croire que l'altération occupe nécessairement la région lombaire ; car on sait que l'origine apparente de
it conservée et le mouvement était détruit; or, la tumeur occupait la région antérieure de la moelle et par conséquent comprim
'autre tumeur, qui occupait la partie supérieure et postérieure de la région dorsale , était olivaire et d'un tissu tout-à-fai
moelle épinière était comprimée au niveau de la partie moyenne de la région dorsale par une tumeur olivaire de vingt lignes d
olidée sont extrêmement rares. Je n'en connais d'exemples que pour la région lombaire, soit que la fracture occupe le niveau d
iblis. Les membres supérieurs sont parfaitement sains. L'examen de la région lombaire fait découvrir la cause matérielle de ce
it, par suite duquel elle a éprouvé une douleur avec tuméfaction à la région lombaire. Bornée d'abord à la région lombaire, la
ne douleur avec tuméfaction à la région lombaire. Bornée d'abord à la région lombaire, la douleur s'étendit bientôt à la cuiss
volontairement. Pour traitement, moxas à la partie supérieure de la région dorsale, saignées répétées. Pendant huit à dix jo
salle Saint-Antoine, n° 5 , pour un point de côté assez intense à la région précordiale. Deux applications de sangsues enlevè
ent, lui donnait une secousse. Du reste, les membres supérieurs, la région cervicale, la tête, n'ont, en aucune façon, parti
cé ma principale espérance. Deux moxas sont appliqués au milieu de la région cervicale. 7 juin : la paralysie du sentiment d
i a redoublé le soir. Cette douleur occupe le sommet de la tête : les régions frontale et occipitale en sont entièrement exempt
énérale, est concentrée sur deux points : i° un point au milieu de la région dorsale; 20 un point au bas de la région cervical
i° un point au milieu de la région dorsale; 20 un point au bas de la région cervicale. La moindre pression sur ces deux point
uvent déterminer des contractions musculaires très prononcées dans la région où s'opère le grattement et le pincement, sans qu
au moment où je rédige cette observation. Quatre cautères, deux à la région lombaire, deux à la nuque. Le a5 décembre : fri
nt parfaitement sains. Abdomen. La tumeur que j'avais reconnue à la région ombilicale était formée par le rein droit, lequel
:autour de ce rein,le tissu cellulaire sous-péritonéal,qui occupe les régions lombaire et iliaque droites était purulent et gan
te d'être noté. Relativement à la situation du rein au niveau de la région ombilicale, ce déplacement n'était pas congénial,
ntre le foie que refoule le corset et le plan solide que lui offre la région costo-lombaire. Quelle est la cause de l'atroph
de l'épigastre et obliquement dirigée en arrière et en bas jusqu'à la région dorsale. La sensibilité était parfaite dans toute
de fièvre : les digestions ne laissaient rien à désirer. J'examine la région sacrée, et je trouve une énorme eschare, au fond
isposition enkystée. Au niveau de cette adhérence, qui répondait à la région dorsale, la moelle épinière est renflée, molle, f
t naturels. L'atrophie des racines est un peu moins considérable à la région cervicale qu'aux régions dorsale et lombaire. R
es racines est un peu moins considérable à la région cervicale qu'aux régions dorsale et lombaire. Réflexions. Les cordons mé
lète du sentiment dans toute la moitié inférieure du corps jusqu'à la région épigastrique. Cette insensibilité sous l'influenc
te dégénération gris jaunâtre occupe toute la largeur des cordons aux régions lombaire et dorsale ; elle se rétrécit et devient
dorsale ; elle se rétrécit et devient en quelque sorte linéaire à la région cervicale pour se terminer aux deux renflemens qu
qui bordent le bec du calamus. Il résulte de cette disposition qu'aux régions lombaire et dorsale, les cordons postérieurs et l
sillon médian postérieur de la moelle étaient affectés, mais qu'à la région cervicale, les cordons postérieurs étaient sains,
y a trois ans qu'elle a commencé à éprouver des douleurs sourdes à la région lombaire, et de la faiblesse dans les membres inf
mouillé et par conséquent très lourd, elle sentit un craquement à la région lombaire, et poussa un cri de douleur. C'est à ce
e et par les douleurs vives et continuelles, qui d'abord bornées à la région lombaire, s'étendirent peu-à-peu à toute la longu
ence de la pression et de l'action des urines. Chose remarquable! les régions qui sont le siège d'eschares sont extrêmement dou
cédé l'expression de la plus vive reconnaissance. Les douleurs à la région des eschares ont remplacé les douleurs des reins
ès son entrée à l'infirmerie. Ouverture. Nous examinâmes d'abord la région dorso-lombaire. Il fut facile de reconnaître, pré
it bien manifestement la nature de la lésion. Après avoir étudié la région postérieure de la colonne vertébrale et avant de
de procéder à l'ouverture du canal rachidien , nous avons examiné la région antérieure de cette colonne, laquelle n'offrait a
paraplégie par fracture de la colonne vertébrale, par luxation de la région cervicale, par carie ou ramollissement des vertèb
e leur opinion, attendu que la compression portait directement sur la région postérieure de la moelle ; mais en opposition ave
ement vives au membre supérieur gauche, et plus particulièrement à la région deltoïdienne; elle n'a pas perdu la faculté de mo
e pas de pression, je puis pincer violemment la peau, au niveau de la région douloureuse, sans causer la moindre douleur. C'es
nitis spinale resserrée dans de semblables limites, c'est-à-dire à la région cervicale et même à la moitié gauche de cette rég
'est-à-dire à la région cervicale et même à la moitié gauche de cette région . Quoi qu'il en soit, que nous ayons affaire à u
e occupant diverses hauteurs, quelquefois le bassin, d'autres fois la région ombilicale ; chez quelques-uns enfin, la région é
sin, d'autres fois la région ombilicale ; chez quelques-uns enfin, la région épigas-trique. Chez notre malade, c'est la sensat
rconférence de la moelle, mais qu'elle est bien plus considérableà la région postérieure, représentée fig. i', qu'à la région
lus considérableà la région postérieure, représentée fig. i', qu'à la région antérieure, représentée fig. i. Les colonnes anté
eur de cette dégénération grise, elle était très variable, suivant la région . La coupe fig. 1'', qui a été faite à la hauteur
re, et je ne puis comparer ce tissu à aucun autre tissu morbide. A la région cervicale, quelques fibres médullaires avaient éc
pied-bot avait subi la dégénération graisseuse dans les muscles de la région postérieure delà cuisse seulement, à savoir dans
1. ) La colonne vertébrale avait subi une très forte déviation à la région dorso-Ionibaire; sa concavité regardait à gauche,
altérée de la moelle n'ont pas notablement diminué de volume. A la région dorsale, an niveau des deuxième et troisième vert
égion dorsale, an niveau des deuxième et troisième vertèbres de cette région , la moelle paraît saine au premier abord ; mais,
istence d'un pied bot et la dégénération graisseuse des muscles de la région postérieure de la cuisse, et que démontrait physi
r qui occupait tous les points de l'abdomen, le ballonnement de cette région , me portaient à admettre une péritonite chronique
g de la colonne dorsale, un vésicatoire de six pouces sur deux sur la région dorsale, furent immédiatement conseillés. Les jou
vans, le vésicatoire fut remplacé par un cautère de chaque côté de la région cervicale, à son union avec la région dorsale. J'
un cautère de chaque côté de la région cervicale, à son union avec la région dorsale. J'avais d'abord prescrit un électuaire p
é. Déviation considérable de la colonne vertébrale, au niveau de la région dorsale. Cette déviation a lieu aux dépens de cin
lonté pour mouvoir le gros orteil. Le malade portait des moxas à la région lombaire, et pourtant la déviation existait à la
es moxas à la région lombaire, et pourtant la déviation existait à la région dorsale, ce qui suppose, ou bien que l'applicatio
déviation, ou bien que le malade se plaignait dans le principe de la région lombaire ; peut-être encore que les praticiens co
consultés avaient, suivant une pratique assez générale, choisi cette région comme lieu d'élection dans le traitement de la pa
o, il se plaint d'engourdissement ou de fourmillement douloureux à la région fessière: en quelquesjours, une paraplégie presqu
convaincu que la moelle était comprimée à la partie supérieure de la région dorsale, et je tâchais de faire passer ma convict
nt appliqués de chaque côté de la colonne vertébrale, au niveau de la région douloureuse: nous eûmes recours aux ventouses tan
le épinière. La colonne vertébrale ayant été ouverte, nous vîmes à la région dorsale, au niveau des quatre ou cinq premières v
le coccyx et la partie inférieure du sacrum sont à nu ; la peau de la région fessière et une partie des muscles fessiers sont
avement purgatif, eau de Sedlitz. Le 26 novembre, les muscles de la région postérieure du col sont rigides, douloureux et la
bondamment pourvu de cheveux, était plissé sur lui-même, surtout à la région occipitale, et paraissait avoir été destiné à rec
on de cette disposition, et on l'a trouvée, i° dans la brièveté de la région cervicale, dont les vertèbres sont comme pressées
les autres ; 2° dans l'exagération de la courbure naturelle de cette région . Réflexions. Ainsi, la microeéphalie peut prése
7 ans, fortement constituée, qui portait à la partie inférieure de la région lombaire , au niveau de la base du sacrum, une po
l'a avancé M. le docteur Gall. » (i) Œdème de la conjonctive et des régions p a Ipéb raie et malaire gauches. Céphalalgie lim
Ipéb raie et malaire gauches. Céphalalgie limitée a la tempe et à la région sus-orbitaire. — Mort au bout de trente-deux jour
se plaignait en même temps d'une douleur très vive à la tempe et à la région sus-orbitaire du même côté. Mouvement fébrile. L'
ingulièrement amaigri ; il se plaignait toujours de la tempe et de la région orbitaire gauches, et supportait difficilement la
même état, douze sangsues dont six à l'apophyse mastoïde et six à la région temporale gauche. Le 3, deuxième saignée très cop
eprésentent une tumeur carcinomateuse de la dure-mère, naissant de la région orbitaire gauche, et s'enfonçant dans l'épaisseur
— Cicatrice de deux foyers apoplectiques cérébraux, occupant la même région . — Mort par engouement du poumon. Femme Bode,âg
nviron s'était plaint pendant quatre mois d'une douleur violente à la région occipitale, de douleur avec rigidité des muscles
cles de la nuque, douleur qu'augmentait la pression exercée sur cette région . Au bout de ce temps, diminution de la vue de l'œ
'existait aucune autre altération dans le cerveau. Une douleur à la région occipitale, coïncidant avec une diminution dans l
les ont appartenu à un sujet de 45 ans, et étaient situées l'une à la région postérieure de la jambe gauche, l'autre à la régi
ituées l'une à la région postérieure de la jambe gauche, l'autre à la région fessière droite, au-dessous du grand tro-chanter.
vons déjà remarquée dans les fig. i' et 2'. Production cornée de la région lombaire gauche. Ablation de cette production et
. 4 et 4' représentent une production cornée qui a été extirpée de la région lombaire d'un Indien par M. Faget, médecin à Bord
à l'hôpital Saint-Michel de cette ville en mai i83i.—Il portait à la région lombaire gauche, 2 pouces au-dessus de la crête i
ur qui portait depuis plusieurs années une excroissance cornée sur la région fronto-pariétale droite. La tige que formait cett
a barbe et des cheveux. Trouillu était chauve antérieurement, mais la région occipitale était suffisamment pourvue de cheveux;
des cuisses, au-dessus du creux du jarret, que dans toutes les autres régions réunies, y compris même fa face et le crâne. Plus
istons pour ainsi dire tous les jours à de semblales productions à la région faciale, où rien n'est plus commun que la formati
Tel est le cas de Jacques Delpieu qui, en se rasant, s'écorcha sur la région temporale avec un rasoir mal affilé. Il survint u
our recherches d'anatomie pathologique. Pl. 3 ( demi-grandeur). —La région antérieure du tronc présente une multitude de tub
prononcée. Du reste, tous ces tubercules et tumeurs sont limités à la région antérieure du tronc; un certain nombre se voit à
ens du liquide prostatique, des calculs urinaires qui siègent dans la région prostatique, et qui peuvent acquérir un si grand
Urines purulentes. ¦— Tuméfaction considérable et douloureuse de la région lombaire droite. — Mort en quelques heures dans u
prise d'une céphalalgie extrêmement intense, qui occupait surtout la région occipitale. A cette céphalalgie se joignirent des
e la malade se décidait à venir à l'infirmerie. L'exploration de la région lombaire gauche faisait reconnaître une tumeur co
meur considérable, douloureuse, très facilement appréciable et par la région lombaire, au dessous de la dernière côte, et par
et par la région lombaire, au dessous de la dernière côte, et par la région antérieure et latérale moyenne de l'abdomen. La f
a plus exacte ne permettait de reconnaître aucune tuméfaction dans la région du rein, et que la pression ne réveillait aucune
dans toute son étendue, présentait, au niveau du flanc droit et de la région ombilicale, une proéminence remarquable. Cette pr
ormée par le rein , occupait le flanc droit et la moitié droite de la région ombilicale. Le colon ascendant longeait le côté g
la durée desquelles une tumeur très considérable se manifestait à la région lombaire et à la région du flanc droit, tumeur qu
tumeur très considérable se manifestait à la région lombaire et à la région du flanc droit, tumeur qui disparaissait subiteme
ssu cellulaire ambiant. Cet abcès peut s'ouvrir à l'extérieur dans la région lombaire, et c'est probablement ainsi que se sont
ade présentait une tumeur fluctuante extrêmement considérable dans la région du rein. Une ponction, jugée nécessaire, donna is
eux, longs, filamenteux, comme chevelus. Les coupes faites dans les régions de la tumeur autres que celles qui répondent au k
e n'ait pas accusé de douleur au genou. La fig. i qui représente la région antérieure du thorax, peut servir de type pour le
x à la peau de toutes les parties voisines et même en arrière dans la région de l'omoplate. Chose extraordinaire ! Un vésicato
er: pour toute altération, on voyait une péritonite circonscrite à la région du foie et une pleurésie diaphragmatique du même
qu'au 6 janvier i838. A cette époque, frisson, douleur très vive à la région du foie , oppression, toux très douloureuse. Mort
très douloureuse. Mort le 8 janvier. Ouverture du cadavre. Toute la région antérieure du thorax présente une surface ulcéreu
nde de la face. Interrogée sur le siège de la douleur, elle montre la région ombilicale. L'invasion subite et le caractère des
une femme de 43 ans, qui éprouvait des douleurs atroces, surtout à la région hypogastrique, douleurs sur lesquelles l'opium n'
espèce de cul-de-sac formé par la paroi antérieure du vagin et par la région antérieure de l'utérus : par le vagin qui se port
ssie n'est autre chose que le plexus veineux si considérable de cette région . J'ai vidé une partie de ces veines du suc cancér
très durs, ils étaient pénétrés de suc cancéreux. — En étudiant cette région sus-claviculaire, je vis qu'à la masse formée par
s ganglions lymphatiques carcinomateux, situés dans le bassin ou à la région lombaire, que j'ai pu déterminer le véritable car
e inférieur gauche. Cet oedème n'est véritablement douloureux qu'à la région inguinale et seulement sur le trajet de la veine.
s autres points. A ces signes, je reconnais une phlébite limitée à la région inguinale. Quelle en est la source? J'ose à peine
ves des lombes, du sacrum, de l'anus, des aines, de l'hypogastre, des régions antérieures et latérales, des régions postérieure
des aines, de l'hypogastre, des régions antérieures et latérales, des régions postérieures des cuisses? Mais si ces douleurs ré
plus locales, si je puis m'exprimer ainsi, ordinairement limitées aux régions de la vessie, et ne s'accompagnent pas des douleu
r le doigt introduit dans le rectum, l'exploration de son fond par la région hypogastrique, celle de sa face antérieure par un
circonstance dut faire choisir pour la ponction un point autre que la région occupée par les tumeurs; plongé dans le lieu d'él
La figure 4 représente le squelette disposé de telle manière, que la région postérieure qu'occupe le sommet de la tête regard
qu'occupe le sommet de la tête regarde en haut, la face en avant, la région antérieure ou sternale de la poitrine regarde en
ême position, c'est-à-dire le sommet de la tête dirigé en haut, et la région sternale de la poitrine dirigée en bas. XXXVIe
Les monstres par adhésion dorsale comprennent les adhésions par la région sacrée et les adhésions par le sommet de la tête.
antérieure comprennent les adhésions frontales, les adhésions par la région sus-ombilicale, les adhésions sus et sous-ombilic
par sa partie antérieure (demi-grandeur). L'adhésion a lieu par la région antérieure du tronc. Elle est limitée à la région
ésion a lieu par la région antérieure du tronc. Elle est limitée à la région sus-ombilicale de l'abdomen et à la partie inféri
la moitié gauche du fœtus droit, on concevra que le foie, fidèle à la région des parois abdominales qu'il occupe habituellemen
remarquable, qu'ils n'occupaient pas les hypo-chondres, mais bien les régions épigastriques, que leur ligne médiane répondait à
par une foule de points, du suc cancéreux, lequel est, dans certaines régions , assez consistant pour s'échapper à la manière d'
, maculée de sang, remplissait l'hypogastre, les fosses iliaques , la région ombilicale et les régions lombaires. Les intest
ssait l'hypogastre, les fosses iliaques , la région ombilicale et les régions lombaires. Les intestins grêles , excessivement
semé de plaques et de granulations de nature cancéreuse. Les diverses régions du péritoine, et surtout le mésentère, présentaie
aisseur du lobe antérieur du cerveau. OEdème de la conjonctive et des régions palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limité
palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limitée à la tempe et à la région sus-orbitaire. Mort au bout de trente-deux jours.
ôté gauche des vertèbres correspondantes. Baltemens appréciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mo
té gauche des vertèbres correspondantes. Bat temens appréciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mo
ôté gauche des vertèbres correspondantes. Battemens appréciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mo
impossible. 33e liv., pl. 11, p. 2. — OEdème de la conjonctive et des régions palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limité
palpébrale et malaire gauches. Céphalalgie limitée à la tempe et à la région sus-01-bitaire. Mort au bout de trente-deux jours
é. Cicatrice de deux foyers apoplectiques cérébraux, occupant la même région . Mort par engouement du poumon. 37e liv., pl. v,
liv., pl. vi, p. 1 ; 24e liv., pl. m, p. y. — Production cornée à la région lombaire gauche. Ablation de celte production et
complète de parties. 38e liv., pl. 1, p. s. DOS. Sympathie entre la région dorsale et les poumons. 29e liv., pl. v, p. 3.
ul-de-sac de nouvelle formation, ou plutôt second estomac occupant la région du pylore; orifice pylorique double. 20e liv., pl
litération du canal cystique. Sa perforation. Péritonite limitée â la région du foie. 29e liv., pl. iv, p. 3. — Foie gras. 32«
iv., Avant-propos, p. iij. LARYNGITE. Laryngite sous-muqueuse de la région sus-glot-tique du larynx. 5e liv., pl. n, p. 4. —
et de ceux du croup. = Thérapeutique. = Laryngite sous-muqueuse de la région sous-gloltique du larynx. Mort par suffocation. 5
ésion pulmonaire. = Maladies du larynx: laryngite sous-muqueuse de la région sus-glottique du larynx (œdème de la glotte). 5e
e et de ceux du croup. Thérapeutique. = Laryngite sous-muqueuse de la région sous-glottique du larynx. Mort par suffocation. 5
férieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneuse aux régions trochanlérienne et sacrée. Tumeur cancéreuse sous
férieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneuse aux régions trochantérienne et sacrée. Tumeur cancéreuse sous
e liv., pl. vi, p. 4; 24eliv., pl. m, p. 7. — Production cornée de la région lombaire gauche. Ablation de celle production et
é du péritoine. 26e liv., pl. vi,p. /. — Péritonite circonscrite à la région du foie. 29e liv., pl. iv, p. 3. —Les abcès du ba
ion. Urines purulentes. Tuméfaction considérable et douloureuse de la région lombaire droite. Mort en quelques heures dans un
ul-de-sac de formation nouvelle, ou plutôt second estomac occupant la région du pylore ; orifice pylorique. 20e liv., pl. v, v
41 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
roupe À correspond au grand Pectoral, le groupe B aux muscles de la région antérieure du bras, le groupe C au nerf circonf
et B'. Profil des deux frères Meules montrant l'aplatissement de la région occipitale signalé chez les myopathiques par P. M
de coxalgie hystérique aurait été posé. On fit en juin 1894 sur la région trochantérienne droite une opération dont il rest
état ne s'améliorant pas, une seconde opération fut faite sur la même région en 1895 et d'après ce qui a été dit à la malade
e, du pharynx, du larynx, ne sont pas atteints. Les muscles de la région postérieure du tronc, qui d'après l'anamnèse ont
e) UNE VARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 35 Région du colt. - Le muscle sterno-cléïdo-mastoïdien par
lésions pulmonaires constatées chez cette malade. Les muscles de la région hyoïdienne sont conservés, les mouvements d'as-
ais considérablement affaiblis. Les mouvements des muscles du bras, région antérieure et région postérieure, le sont égaleme
affaiblis. Les mouvements des muscles du bras, région antérieure et région postérieure, le sont également mais dans de moi
et mettre les jambes en demi-llexion. 36 LONG Les muscles de la région postérieure de la jambe et de la plante du pied
nière abaissée et tournée en dedans, mais les muscles exten- seurs ( région antéro-externe de la jambe) ne peuvent relever ni
il l'âge de quinze ans environ, par les muscles de la nuque, de la région postérieure du tronc et de la ceinture pelvienn
te est fortement inclinée en avant, les apophyses épi- neuses de la région cervicale saillantes sous la peau par l'atrophie
tes les articulations quoique avec moins de force, surtout dans les régions périphéri- ques. Les mouvements de flexion et d
la face est affaibli, ce qui est caractérisé par l'enfoncement des régions temporales et par l'amaigrissement de la face,
ment de la face, sauf les lèvres. Les muscles des bras, surtout les régions périphériques et prin- cipalement les fléchisse
ation de cellules rondes et par l'hyperplasie du tissu conjonctif des régions atrophiées des muscles. L'excitabilité mécani
phie et l'hypertrophie des fibres musculaires), ainsi que certaines régions du système nerveux, correspondant probablement
; on peut observer, en outre, une paralysie sensitivo-motrice de la région cutanée et des muscles innervés par le péronier.
1° Une paralysie motrice, plus ou moins complète, des muscles de la région postérieure des cuisses, des muscles de la jambe
des résultats normaux. Aux membres inférieurs, les muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de
un état cassant des poils et des ongles, une eschare profonde, à la région sacro-lombaire, sans compter l'atrophie muscula
la vulve, chez la femme, au périnée, au pour- tour de l'anus, il la région fessière inférieure. Assez souvent elle envahit.
r de l'anus, du périnée, du scrotum, aux par- ties adjacentes de la région fessière et de la face postérieure de la cuisse.
iolence traumatique s'est exercée sur la por- tion inférieure de la région lombaire ou sur la portion adjacente dit sacrum.
s à l'influence qu'une compression per- manente des téguments de la région lombo-sacrée exerce sur le dévelop- pement des
consistent, notamment, en douleurs intolérables qui, partant de la région sacro-lom- baire, irradient dans les membres in
ite que possible, et une sur- veillance assidue des téguments de la région sacro-lombaire. La moindre rougeur venant à se
n sacro-lombaire. La moindre rougeur venant à se montrer dans cette région sera traitée par les topi- ques appropriés. A
s cavités c'est là qu'on les rencontre de préférence. C'est dans la région interne et inférieure de l'hémisphère à peu prè
bulbe. Nous ne voulons pas nier qu'il ne puisse en exister dans ces régions , mais jamais il ne nous a été donné d'en consta
iques se colorent un peu moins bien. i Somme toute il semble que la région subisse un ralentissement dans sa vita- lité et
rsée elle- même par les leucocytes. Telles sont les lésions de la région centrale de la lacune : ce sont en somme celles
a subsisté. Les cellules nerveuses manquent complètement dans cette région : on ne les voit pas du reste dans toute la zon
hérie quand le tissu redevient absolument normal. Du reste dans cette région où les cellules nerveuses manquent complètement
et si l'on continue à s'éloigner on arrive insensiblement dans une région qui ne paraît pas altérée. Les cellules ner- ve
ux formations globulaires. Ces gros globes ont un siège électif, la région de la veine du corps strié et la paroi du ventric
la paroi même de la lacune que dans sa cavité. Ils siègent dans les régions les plus désintégrées du parenchyme céré- bral
cunes des noyaux gris reste vraie et entière pour celles des autres régions de l'encéphale. Nous ferons même remarquer en t
cellulaire sous-cutané au niveau du front, du cuir che- velu, de la région antérieure du thorax et du ventre. 126 DUPRÉ ET
i s'explique par ce fait que le pannicule adipeux sous-cutané de la région pectorale droite a presque entièrement disparu
lus adhérente aux plans sous- jacents, est moins mobile que dans la région pectorale opposée. En effet, la peau est adhére
PETIT PECTORAL 137 terminer dans le tissu sous-aponévrotique de la région pectorale. C'est là un fait en désaccord avec l
dégénérées, le nombre des cellules normales est moindre que dans la région cervicale. Les altérations cellulaires sontplus
lle cette vigilance et fournit des images de gênes locali- sées, de régions troublées, d'anxiétés dont l'étendue nous est rév
rs le pôle op- posé de la convexité cérébrale, c'est;à-dire dans la région rolandique ; celles des parties inférieures du
ale gauche ; le champ auditif droit se figure diamétralement sur la région temporale gauche, etc. C'est une disposition gé-
nous à notre pied droit sinon parce que c'est telle partie de notre région rolan- dique, et nulle autre, qui la perçoit ?
es sur les attitudes sont d'autant plus développées qu'il s'agit de régions plus mobiles, c'est-à-dire su- jettes à des var
cier l'écorce en attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle région cérébrale semble toute différente de telle autr
x images d'attitudes et de mou- vements. Seulement l'image de telle région représente une attitude et c'est naturellement
e telle région représente une attitude et c'est naturellement cette région qui commande la la motricité médullaire approprié
ité médullaire appropriée à cette attitude ; l'image de telle autre région représente telle sensation, telle faculté psych
nt rapport avec la motricité. Mais la mise en tension de toutes ces régions est sentie de même, parce qu'elles of- frent le
ck attribue les troubles de la motricité volontaire, par lésion des régions rolandiques, à la perte des' notions de la situat
motrice dont on peut délimiter les limites et qu'on peut diviser en régions par l'élude des excitations électriques, ne peu
les sensations à la surface cutanée, doivent être localisés dans la région des cen- tres corticaux des extrémités ». Cet
supérieur, le noyau rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette région s'unit aux zones pariétales. Il est en outre tr
que l'aptitude psychique en question est limitée dans l'espace aux régions susdites, qu'elle n'existe que là et pas autre
te combinaison psychique, quelle qu'elle soit, met eu jeu plusieurs régions élé- (1) Sens de l'oi-ientatio ? z,Soc. de Biol
é, puis céphalée avec troubles tro- phiques du cuir chevelu dans la région pariétale gauche et hémiparésie fa- ciale droit
aHet, pour des douleurs vives survenant par crises et siégeant à la région temporo-pariétale gauche. Antécédents héréditai
it qui frappe est l'alopécie en plaques disséminées au niveau de la région temporo- pariétale gauche, coïncidant avec le s
siège de la douleur. Le cuir chevelu est oedématié dans toute cette région ; au niveau de la principale plaque d'alopécie,
iques dans le développe- ment des os de la voûte crânienne de cette région ; l'oeil gauche paraît plus 208 BALLET ET ARMAN
ibilité objective,, à part une zone d'hyperes- thésie dans toute la région temporo-pariétale gauche. Les troubles de la se
spond au pied de la 2e frontale. En dehors de ce pédicule, toute la région rolandique est déprimée, en par- ticulier l'ope
AND DELILLE non plus de cécité, ni de surdité verbale, bien que les régions préposées à la vision et à l'audition verbale f
bien s'expliquer par la compression et les troubles trophiques de la région du cuir chevelu où se terminent quelques-unes d
rfaite de toutes les cellules pyramidales du cortex ; même dans les régions les plus comprimées, c'est-à dire l'opercule, l
mmencement de mars 1899, C... reçut un violent coup de poing sur la région temporale gauche. Le lendemain, il souffrait de
D DELILLE Ces cellules sont surtout extrêmement nombreuses dans les régions les plus superficielles de la couche corticale,
ors marquée que par l'accumulation des éléments néoformés. Dans les régions où les altérations sont le plus intenses et parai
s l'étiologie, car- c'est à la suite d'un coup violent porté sur la région temporale gauche que sont apparus les premiers
volumineuse tumeur presque de la grosseur du poing, implantée à la région frontale droite, rendue plus énorme par la peti
, présente dans son ensemble une forme étroite et très allongée. La région frontale gauche se termine par la grosse vésicu
ement avec toute sa netteté la face interne des hémisphères. A la région antérieure, entre l'encéphalocèle et l'extrémité
- sphère droit. La division en deux pédoncules ne se fait qu'en une région plus antérieure que d'ordinaire, et le gros cor
ostérieure, on pourrait songera homologuer à la commissure grise la région où les parois de la cavité unique sont rapprochée
point d'arrivée antéro-inférieur serait sur un plan antérieur la la région de la scissure de Sylvius ? On peut en somme im
cas d'encéphalocèle réunis par Houe), 16 seulement siégeaient à la région frontale, tandis que 68 existaient à la ré- gio
le, sans faire intervenir les adhérences, l'amnios appliqué sur une région peut amener un arrêt de développement de cette ré
liqué sur une région peut amener un arrêt de développement de cette région : le fait a pu se produire pour la face. En c
face. En contractant des adhérences avec les parties cutanées de la région frontale, avant l'ossification, l'amnios put, p
née N° 4. Juillet-Août CÉCITÉ VERBALE PURE RAMOLLISSEMENT DE LA RÉGION CALCARINE GAUCHE. DÉGÉNÉRESCENCE DU SPLENlUM ET
nium coïncidait avec une des- truction ischémique unilatérale de la région calcarine. Au Congrès de médecine de 1900, j'av
ation. Cécité verbale ; hémiopie - Ramollissement occipital gauche ( région calcarine) ; dégénérescence du splenivm propagé
rque quelques adhérences superficielles et un peu diffuses dans les régions postérieures de la deuxième circonvolution pari
apparaît avec évidence, sur la coupe sagittale, que le foyer de la région calcarine est séparé du foyer de dégénérescence
oit. La lésion ischémique du lobule lingual, du cuneus, de toute la région calcarine de l'hémisphère gauche a donc pour co
, mais présentant des foyers nettement circonscrits au niveau de la région postérieure, avec une intégrité relative des ré
au niveau de la région postérieure, avec une intégrité relative des régions antérieures, donnèrent l'explication des symptô
che, outre quelques exulcérations peu étendues et peu profondes des régions frontale et temporale, le cerveau présente une pl
'intensité exceptionnelle, véritable lésion en foyer intéressant la région du centre de l'audition : tiers postérieur de l
rielle de la paralysie générale liée à l'existence, au niveau de la région postérieure, de foyers plus ou moins circonscrits
processus inflammatoire interstitiel que Nageotte a décrit en cette région , lui a paru être l'aug- mentation de nombre des
re. Elles permettent un examen comparatif rapide de ces différentes régions . Pour les pratiquer avecsuccès il est nécessair
éosine. Zeiss. Obj. : J.3. Oc. 2. 302 THOMAS ET HAUSER Dans cette région les vaisseaux sont malades pour la plupart, épais
sinage immé- diat du ganglion (fig. 3) ; au reste, dans toute cette région qui correspond au nerf radiculaire de Nageotte,
anatomique. Nous avons examiné environ 18 ganglions, dont 8 pour la région dorsale, 6 pour la région cervicale, 4 pour la ré
miné environ 18 ganglions, dont 8 pour la région dorsale, 6 pour la région cervicale, 4 pour la région lombaire. Tous les
ont 8 pour la région dorsale, 6 pour la région cervicale, 4 pour la région lombaire. Tous les ganglions de la région dorsa
gion cervicale, 4 pour la région lombaire. Tous les ganglions de la région dorsale ont été colorés en masse au picro- carm
rée et la sortie de la racine postérieure. Pour les ganglions de la région cervicale, la coloration en masse au carmin a é
parenchyme ganglionnaire. I. Topographie DES lésions radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L'atrophie des racines
ont dans leur parcours juxta-ganglionnaire absolu- ment normales. Région dorsale moyenne. - L'atrophie des racines postéri
se disséminent. Les racines antérieures restent partout intactes. Région dorsale supérieure. - Les coupes longitudinales d
s le ganglion ressort encore de l'examen des autres ganglions de la région . Les méninges sont généralement un peu épaissie
éparées par un tissu conjonctif plus abondant qu'à l'état normal. Région lombaire. - Les racines postérieures dans leur po
sculaires, etc. L'intégrité des racines antérieures est complète. Région cervicale. Il n'existe nulle part de lésion appré
ermet de déceler aucun corps granuleux. D'une façon générale, aux régions lombaire et dorsale, l'atrophie des racines pos
es. - Les altérations du parenchyme ganglionnaire n'existent qu'aux régions dorsale et lombaire. Elles sont aux différents ni
e de sa portion sus-ganglionnaire (portion intra- arachnoïdienne et région de Nageotte) la racine postérieure n'est pas mani
ôles du ganglion. Les méninges sont légèrement épaissies. Dans la région de Nageotte, le périnèvre des fascicules et le ti
ssissement du tissu- péri fascicu lai re et interfasciculaire dans la région de Nageotte; entre les fascicules et leur périn
oue dans sa profondeurde nombreuses traînées nucléaires. Dans la région de Nageotte, il existe des altérations intenses d
n n'y découvre guère de traces de lésions inflammatoires. Dans la région de Nageotte, les altérations de périnévrite font
yon- naires. Sur le trajet de la racine antérieure, au niveau de la région de Nageotte, xv 21 t 314 ' THOMAS ET IIAUSER
rtain nombre qui ont été respectées ; sur les coupes passant par la région de Nageotte et un peu au- dessus, les noyaux et
sont pas pénétrés par le tissu fibreux périfasciculaire. Dans la région de Nageotte chaque fascicule est entouré d'un pér
rv. V). - Racine sacrée postérieure coupée transversalement dans la région du nerf radiculaire. Colorat. hérnatéine-éosine
male ; leur taille et leur nombre ne semblent nullement diminués. Région lombaire. - Les 3 ganglions ont été coupés longit
minés, etc.. Rien à noter du côté du parenchyme ganglionnaire. Région dorsale. - Etudiés d'après les coupes longitudina
, les fibres ne présentent pas au-dessus trace de dégénérescence. Région cervicale. - Représentée seulement par le 6° gang
ment excessif du tissu conjonctif, particulièrement au niveau de la région de Nageotte ; aussi est-elle sinueuse, alternat
bès ayant débuté il y a 6 ans par des dou- leurs très vives dans la région épigastrique et dans la région lombaire; puis v
ar des dou- leurs très vives dans la région épigastrique et dans la région lombaire; puis vertiges, dérobement des jambes,
ie di- minue et disparaît en remontant vers le ganglion : sur la 2° région lombaire, au contraire, l'atrophie est plus net
ace à des végétations conjonctives. Dans les coupes passant par les régions atrophiées, quelques gaines de myé- line sont d
dense, aussi compact qu'à l'état normal. Dans le ganglion même, la région du pôle central est pauvre en fibres, tandis qu
postérieure du même côté gauche du corps. A la plante du pied, à la région lombaire, à la face postérieure de la cuisse, la
nt, on constate sur tout le corps, avec prédominance dans certaines régions , des contractions plutôt fasciculaires que fibr
réaction myotonique. En électrisant les muscles du mollet et de la région postérieure de la cuisse avec un fort courant e
tante se rencontre,précisément, dans ces muscles du mollet et de la région postérieure de la cuisse qui semblent se contra
la poursui- vre dans le parenchyme ganglionnaire, au moins dans la région du pôle central, où les fibres encore groupées
organe. Mais quelque profonde et intense que soit l'atrophie en ces régions , les fibres radiculaires reparaissent presque t
suit sur l'épinèvre du nerf radiculaire; elle ne revêt pas en cette région une intensité plus accentuée. Elle se traduit
jeune : ces faits prouvent tout simplement d'après Nageotte que la région qu'il a décrite présente des aptitudes pathologiq
ta-ganglionnaire n'est qu'une localisation de l'inflammation en une région particulièrement propre à son développement. En
s considérables. L'inflammation propagée des méninges trouve là une région éminemment favorable à son expansion ; elley ac
d'a- trophie des racines postérieures et dans l'inflammation de la région de Nageotte qui est en communication assez dire
é, par- tielle ou totale, des fonctions sensitivo-motrices dans les régions des mem- bres inférieurs, innervées par le plex
nt persisté pendant une quinzaine de jours. Localisées d'abord à la région du dos, elles ont envahi la région lombaire, en
de jours. Localisées d'abord à la région du dos, elles ont envahi la région lombaire, en irradiant vers les fesses. Elles n
is six mois, elle n'avait pas revu ses règles. A l'inspection de la région sacrale, on remarquait un commencement. d'escha
sacral, tes téguments du périnée et ceux de la partie médiane de la région fessière, des le et 5e segments sacraux. Ce der
g. 3. Coupe de la pie-mère spinale au niveau de la 2e racine dorsale ( région antéro-latérale). Hématoxyline et éosine. Gross
a pièce à l'état frais.) Fig. 5. - Coupe du tronc basilaire dans sa région moyenne. Hématoxyline et éosine. El. i. - Ela
erticalement, c'est-à-dire parallèlement aux fibres nerveuses de la région et perpendiculairement au trajet des arté- riol
anu- leux. Il sectionne la moitié postérieure du ruban de Reil, les régions internes de la substance réticulée, quelques fa
-dessus des foyers, présente une dégéné- rescence intense; dans les régions où ce faisceau forme un triangle allongé d'avan
ce faisceau forme un triangle allongé d'avant en arrière (bulbe et régions inférieures de la protubérance), on dis- tingue
n avant; or, précisément L on remarquera que, dans notre cas, où la région postérieure de la couche interolivaire était pl
n postérieure de la couche interolivaire était plus atteinte que la région antérieure, les troubles sen- sitifs prédominai
oubles sen- sitifs prédominaient aux membres inférieurs.' go . La région antérieure du ruban de Reil n'est pas indemne de
ibres postérieures de la couche interolivaire occupent plus haut la région interne du ruban de Reil ; Long, dans sa thèse,
ins sujets, les fibres de différente origine se mé- langent dans la région protubérantielle ; c'est aussi l'avis de Scblesin
phérie ; en un mot il commence à se dissocier pour occuper toute la région désignée par M. et Mme Déjerine sous le nom de
me Déjerine sous le nom de zone du ruban de Reil médian. Dans cette région , les fibres cheminent au milieu d'amas irrégu-
nt dans le noyau médian ; en arrière et en dehors, elle répond à la région postérieure' (supérieure) du noyau externe. Dan
, les uns, comme Bech- terew, en ont conclu qu'il existe dans cette région des fibres descendantes ; les autres, comme Déj
sente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément à la région épargnée dans le ruban de Reil gauche et qui pr
ATÉROPULSION ET MYOSIS BULBAIRES 503 Au-dessous des foyers, dans la région de la substance'réticulée qui avoi- sine le rub
isceau de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de nombre dans la région cervicale, mais nous avons pu les suivre jusque d
e en outre d'autres fibres dégénérées qui remontent jusque dans les régions supérieures de la calotte. Ce sont : 1° des fibre
e des impressions tactiles, tandis que les fibres ascendantes de la région latérale transmet- traient les sensations de do
dégénérées dans les racines antérieures médullaires au niveau de la région dorsale supérieure, nous sommes amenés à conclu
ES 509 on n'en trouve aucune trace dans les racines antérieures des régions cer- vicales inférieure et dorsale supérieure,
ortance de la latéropulsion pour le diagnostic des lésions de cette région ; nous avons eu plusieurs fois l'occasion d'obs
nt augmentée d'épaisseur. Corticalité cérébrale (prélevée dans la région motrice), recueillie dans l'al- cool. - Colorat
n que l'atrophie soit généralisée, elle a son maximum au niveau de la région pariétale : autour de celle-ci, les circonvolut
au couteau une résistance et une dureté anormalos, surtout dans la région des deux pariétales et de la pariétale ascen- d
été pris six heures après la mort. Cornes antérieures. - Dans la région de la corne antérieure a été ob- tenue l'imprég
s signes d'infanti- lisme. Si quelques rares poils existent dans la région sus-puLienue, les ais- (1) Lnonois, Castration
: Eunuque âgé de 24 à 25 ans probablement et paraissant venir de la région habitée par les Schillouks, peuplade occupant l
hémas), par FÉIIE, 435. Cécité verbale pure, ramollissement de la région calcarine gauche, dégénérescence du sptemuin du
ins), 222. Brissaud. Cécité verbale pure ; ramollisse- ment de la région calcarine gauche; dé- générescence du splenium
42 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
es qui l'occasionnent. Le trypanosome a été observé dans toutes les régions de l'encéphale, aussi bien dans la substance gr
ec les localisations du protozoaire dans le cortex et dans d'autres régions du cerveau, répar- ties dans les deux hémisphèr
bien apppréciahle de la glande thyroïde. Nombreux ganglions dans la région cervicale, quelques-uns volumineux. Ganglions v
uns volumineux. Ganglions volumineux sous les aisselles et dans les régions inguino-crurales. Petite infiltration mucoïde d
xagérés, la percussion déterminant la contraction des muscles de la région postérieure de la jambe et, quelquefois, de lég
rieurs et inférieurs, considérable- ment exagérés. L'excitation des régions respectives provoque de rapides et énergiques m
UMENTÉ, J. JARKOWSKI Les lésions hypertrophiques des méninges de la région cervicale de la moelle, malgré leur fréquence,
e à la douleur au niveau de la partie supé- rieure du tronc dans la région mammaire et à la face interne des bras ; leur b
'entrée à l'hôpital. La peau est cyanosée et froide ; au niveau de la région sacrée elle est macérée par le contact des urin
aît intacte. La malade se plaint de douleurs dans les épaules et la région cervicale de la colonne vertébrale, douleurs qu'e
ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux bras et la région thoracique correspondant aux 2e et 3e dorsales (V
eure; ;i l'incision de la dure-mère on constate en approchant de la région cervicale des adhérences surtout marquées à la
e sur toute sa hauteur. L'anneau fibreux se prolonge en haut sur la région cervicale supérieure et, entre les 2e et 3c seg
à un degré moindre que l'arach- noïde.En examinant les coupes de la région cervicale de bas en haut (fig. 4, 5, 6, 7) on s
de notre diagnostic. Il s'agissait en effet d'une compression de la région cervicale de la moelle par un anneau méningé fi
urgicale, et c'est ainsi que l'on trépana largement au niveau de la région rolandique gauche, dans l'espoir d'extirper un
a. Tout ce qu'il est permis d'affirmer, c'est que la lé- sion de la région lenticulaire suffit à elle seule à déterminer une
ermine pas nécessairement l'aphasie motrice; 2° Que la lésion de la région lenticulaire gauche chez un droitier suffit, z
la difficulté à projeter en avant la langue, qui dépasse à peine la région labiale et qui conserve sa déviation vers la gauc
raux,décrits par divers auteurs,et dont les lésions siègent dans la région inférieure du plancher du quatrième ventricule, l
sur les épaules et la tête; alors la douleur est plus forte dans la région au bas du mamelon droit ; les vertèbres dorsales
phénomène de Babinski. Dou- leurs dans le dos, aux côtés et dans la région des vertèbres lombaires ; le ma- lade ne peut r
notablement ; réapparition des douleurs dans le côté droit, dans la région sous-costale. En mouvement ou au repos, douleur
ipation ; incontinence d'urine à un faible degré ; douleurs dans la région cardiaque; symptômes de réapparition de la paré
entes an moindre mouvement du tronc et à la pres- sion sur toute la région du sternum (moins le manubrium sterni). Sensation
l'état de faiblesse générale ; douleur légèrement amoindrie dans la région du manubrium sterni ; médication. Comme nous le
nnent dans la cage thoracique, le long du manubrium sterni, dans la région de l'omoplate gauche, dans le dos (4 janvier 19
indiqués, on pouvait supposer malgré tout, que les douleurs dans la région du manubrium sterni et dans sa longueur, dans les
épétée le 30 juin 1911 par le Dr Krause. Par une incision dans la région des vertèbres dorsales 7, 8, 9, 10, la cica- tr
fondément ou fait un faux mouvement, il ressent une douleur dans la région du mamelon gauche ; absence de symptômes extéri
tion du pied disparait; les douleurs reparaissent cependant dans la région du coeur, au-dessus du mamelon gauche, près de
ien et de l'autre les symp- tômes douloureux dans les reins dans la région des vertèbres lombaires, 48 ij ROTSTADT aux c
paralysie des extrémités inférieures; escarre ex- térieure dans la région sacrée ; rétention complète de l'urine et des fèc
seins surtout sous le gauche et tressaillement des muscles dans la région lombo-sa- crée ; pas de douleurs ; constipation
ristiques, apparaissaient toujours des douleurs en ceinture dans la région sous-costale très violentes; la disparition de
es symptômes cardiaques en question, ainsi que des douleurs dans la région sous-costale, nous appliquions des prépara- tio
est-à-dire la pré- sence d'une vertèbre surnuméraire complète de la région lombaire. Nous donnons ici le cliché de la momi
l'on peut constater avec exacti- tude le nombre des vertèbres de la région dorsale et le nombre des côtes. Nous relevons d
êtres. Encore faut-il bien distinguer les cas où les segments d'une région ra- chidienne étant augmentés de nombre, il y a
de nombre, il y a compensation dans le nom- bre des vertèbres de la région voisine,qui sont diminuées en proportion. Les a
1BA1R1. SURNUMERAIRE COMPLETE CHEZ UNE MOMIE 65 surnuméraires de la région lombaire pourrait s'expliquer avec la théorie d
hénomènes sudoraux. Il transpire peu au niveau des aisselles et des régions plantaires. Il faut de très grandes, chaleurs pou
Léger degré d'adiposité. Autopsie : Epithélioma malpighien de la région hypophysaire, de la grosseur d'un oeuf de poule
ent par céphalées continues, douleurs à la nuque et, parfois, de la région lombaire. La fièvre existe toujours, mais elle ma
ires et exagérées quand les malades cher- chent à les éviter. Les régions du corps atteintes sont asymétriques. Nous extray
it antérieur. Du thorax : les pectoraux. Du cou : les muscles de la région postérieure et le sterno-cléido-mastoïdien. De
être confirmé par les expériences de Roncoroni (exci- tation de la région corticale motrice) ; mais il nous manque pour le
ormol, celloïdine, Gieson). sée. Marasme général. Décubitus dans la région sacrée. A l'autopsie : tuberculose pulmonaire s
pinière. L'épaississement des fibrilles intracellu- laires dans ces régions , sur lequel Marinesco insiste dans son traité La
te se trouve également dans le voisinage des vaisseaux en plusieurs régions de la glande. L'autre des deux inclusions situé
demi-circonférence mesurée entre les deux oreilles et passant par la région crânienne correspondante : 37 centimètre ? La
pées. La. barbe au contraire n'est développée que sur le bord de la région mentonnière. La région latérale de la face est pa
raire n'est développée que sur le bord de la région mentonnière. La région latérale de la face est par contre complètement
pule radiale à l'apophyse styloïde du même os : 135 millimètres. La région carpométacarpienne : 9 centimètres. Le médius : 8
mbilic et le pubis est couverte de poils. Il en est de même pour la région pubienne et les aisselles. Les omoplates sont b
aisselles. Les omoplates sont bien développées (1 cent.). Dans la région lombaire on constate l'ensellure caractéristique.
évelop- pées. Les poils de la barbe plus rares du côté droit sur la région massétériue et sur la joue. Dans la région ment
res du côté droit sur la région massétériue et sur la joue. Dans la région mentonnière ils sont assez abondants. La longue
moplate, et la tête de son apophyse épineuse : 14 centi- mètres. La région vertébrale interscapulaire est légèrement excavée
s. La région vertébrale interscapulaire est légèrement excavée. Les régions dorsale inférieure et lombaire forment une vérita
inférieure et lombaire forment une véritable cyphose. Par contre la région sacrée est excavée et les muscles de la masse lom
e courbure à concavité interne. Entre l'extrémité postérieure de la région calcanéenne et l'extrémité unguéale du gros ortei
ésente un calus consécutif à une fracture. Le dos' est plat dans sa région dorsale, mais présente l'ensellure lombaire car
: 123 centimètres. La moitié de la taille au lieu de tomber vers la région pubienne tombe au voisinage de l'ombilic (la dist
a- nulations pigmentaires. Leur volume semble réduit dans certaines régions bien que l'atrophie ne soit pas manifeste. On
ien que pas trop nombreuses. On trouve, dans ces organes aussi, des régions avec infiltration microcellulaire. Nous n'avons p
xamen des divers clichés radiographiques se rapportant à toutes les régions du squelette montre qu'il existe une exagératio
ien à une suite encépha- lytique, qui blesse symétriquement la même région en ces cas dans lesquels la symptomatologie se
nt-bras fléchi à angle droit en rotation interne et le fixât sur la région lombaire. Les auteurs décrivent la position des o
re considérée comme un état pathologique de la musculature de cette région . Dans cette position des extrémités supérieures,
en per- çues. Le sujet n'a point de paresthésie des membres; sur la région des omo- plates, il sent de temps en temps un f
en maintenant solidement avec la paume de la main, nous sentons la région reprendre sa forme normale Chose cu- rieuse, l'
présente une déviation à gauche. Avec le diagnostic, « tumeur de la région du Ville droit (Kleinhirnbrûcke- winkeltumor) s
et augmentation de la pression du liquide céré- bro-spinal dans la région lombaire ? Dans nos deux autres cas ainsi que d
nt, tuméfiées; dans quelques préparations on pouvait même noter des régions absolument privées de fibres. L'absence de dégé
la dégénérescence des faisceaux antérieurs et latéraux, et dans les régions isolées aussi la dégé- rescence des racines ant
égénérescence nette des racines postérieures, plus marquée dans les régions cervicale et lombaire. Ce même auteur a attiré
rtout marquée dans le premier cas sur les coupes appar- tenant à la région lombaire. Les lésions ci-dessus décrites présen
s au-dessus du niveau de la mer. Il est à remarquer que dans, cette région on trouve des goîtreux en grand nombre. Au reto
rrhée. Amaigrissement, pouls 88, goitre mou, transpiration dans les régions indemnes de sclérodermie. L'auteur est d'avis que
t devenues continuelles, la peau et même le tissu sous-cutané de la région prérotulienne se sont endurcis. La figure n'a
ches de vitiligo sont très visibles notamment sur le front, sur les régions temporales et sur le cou. Le nez est un peu effil
le gauche; les lèvres sont plutôt effilées et minces. La peau dé la région faciale est un peu épaissie et peu mobile, la muq
s et sans adhérences aux plans plus pro- fonds. Les muscles de la région cervicale antérieure sont tendus ; à la palpation
fosses sus-claviculaires, la saillie des acromions. On note dans la région sternale une plaque de sclérose en bande horizo
e ; cette bande sclé- reuse, qui siège justement à la hauteur de la région axillaire, atteint 20 centi- mètres de longueur
es semblent évoluer parallèlement (Voir Fig. 2, PI. XLIII). Dans la région dorsale du poignet il existe des deux côtés nne i
t deux grandes plaques à la face antérieure des deux genoux dans la région prérotulienne ; ces plaques ont une dimension d
tion. A leur niveau l'on sent que le tissu cutané est adhérent à la région sous-jacente, et aux pourtours de ces plaques sur
dans les formes myopathiques. En regardant toujours de profil cette région , l'on perçoit encore que les tendons achilléens s
la malléole interne. Cette sclérose du tendon achilléen donne à la région un as- pect tout spécial que l'on peut voir dan
tandis que la sensibilité au chaud est légèrement diminuée dans les régions sclérosées. L'aponévrose plantaire est rétracté
ons X. Avant-bras (position latérale côté cubital).-Au niveau de la région dorsale du poignet et encore tout au long du ti
gitudinal et qui correspond parfaitement à la bande scléreuse de la région dorsale du poignet que nous avons décrite plus ha
alie^ 298 BÉHTOLOTTI Genoux (position latérale). -Au niveau de la région prérotulienne l'on re- lève distinctement une t
ibio-tarsienne (position latérale). - Dans la radiographie de cette région l'on voit, nettement individualisé, tendon achill
s métatarsiens. Crâne (position latérale). La radiographie de cette région nous a montré l'existence d'une dilatation nett
e, jus- qu'à présent, il n'y ait pas disparition des rides de celte région . A propos du facies nous faisons remarquer l'ex
l est plus grand en avant (5 cm.) pour atteindre le maximum dans la région des flancs (8 cm.). Cette région est lisse comme
pour atteindre le maximum dans la région des flancs (8 cm.). Cette région est lisse comme le reste des tégu- ments. Sa co
le, thermique et à la douleur est diminuée dans cette zone. Dans la région verté- brale, à peu près au niveau de-la 3e ver
avec le tiers moyen. Une sem- blable tache s'observe aussi dans la région inférieure gauche de la nuque. On observe égale
ache est entourée d'une zone où la pigmentation est diffuse.Dans la région mastoïdienne gauche on trouve égale- ment une t
in une autre tache se trouve dans la partie antéro-supérieure de la région temporale. Celle région est couverte par des ch
ouve dans la partie antéro-supérieure de la région temporale. Celle région est couverte par des cheveux blancs. On trouv
che marbrée ayant les dimensions d'une pièce de deux francs dans la région su péro-i nterne de l'avant-bras gauche. Le liq
igo et dans la moelle duquel on trouva une tumeur névroglique de la région centrale. En outre, d'après Delmas et Roger, le v
ec une lésion bilatérale des groupes d'origine du sympathique à une région déterminée de la moelle épinière. Les trouble
vie foetale aurait pu peut-être favoriser cette topographie pour la région abdominale, mais cette explication ne pourrait
lui oppose la cicatrisation. Les images que l'on observe dans cette région du nerf sont d'un polymor- phisme qui défie tou
coupes les plus supérieures, l'écorce et la substance blanche de la région operculaire sont en grande partie détruites, dava
extrémité postérieure, et plus haut la lé- sion se prolonge dans la région intermédiaire au gyrus supramarginalis et au pl
La substance blanche de l'hémisphère a complètement disparu dans la région insulaire, elle ne persiste que dans les région
ent disparu dans la région insulaire, elle ne persiste que dans les régions de l'insula, dont l'écorce a été épargnée ; on
rontale, aussi bien au niveau du pied, qu'au niveau du cap et de la région orbitaire (PI. LI, d). Les fibres de la couronn
ceau longitudinal inférieur ont été partiellement atteintes en deux régions : 1° dans ses irradiations les plus antérieures e
e dans les coupes qui passent par 350 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS la région sons-thalamique, la cavité est limitée, dans la p
nt encore interrompues par la lésion. Sur les coupes passant par la région thalamique, le faisceau reste épargné et consti
ieure du noyau externe du tha- lamus (PI. L, A). Dans toute cette région les limites antérieure et postérieure de la cavit
celle-ci les foyers de ramollissement inté- ressaient à la fois la région motrice et la région sensorielle de la zone du
de ramollissement inté- ressaient à la fois la région motrice et la région sensorielle de la zone du langage comme nous l'
. a. Hémisphère gauche de Fourn... - Coupe horizontale passant par la région sous-thalamique. - Destruction de la plus grand
e est fine. La tête est un peu grosse et en pointe (acrocéphalie). La région mammaire est relativement développée. Les organ
es des muscles voisins et plus particuliè- rement des muscles de la région moyenne de la face. Mais comme tous ces muscles
pagnée d'une contraction synergique aussi brusque des muscles de la région naso-labiale du même côté : ainsi sera constitu
e, celle de la lèvre inférieure, an contraire, plus étendue que les régions homologues [du côté opposé. Le menton lui-même es
lle des autres muscles. Il en est de même si on percute à droite la région sus-orbitaireou l'apophyse zygomatique avec le
uscles de la face... En outre, l'application de l'électrode sur une région déterminée de l'apophyse zygomatique droite pro
arqué qui est suivi lui-même d'un frémissement très appréciable des régions marquées 4 et 5 sur la figure. Dans l'occlusion
ste en une contraction fibrillaire, plus ou moins évidente, dans la région mentonnière du côté correspondant à la lésion, co
toute l'étendue du peau- cier ; ils sont plus rares au niveau de la région inférieure et externe des joues; ils sont excep
r une dizaine de corps semblables, siégeant pour la plupart dans la région occipitale et quelques-uns (deux ou trois dont un
lisée. Cette poussée revêtait des caractères différents suivant les régions du corps.Sur le thorax et les mem- bres c'étaie
uselé féminin. Malgré le développe- ment de la graisse en certaines régions , la peau n'est nullement infiltrée com- me cell
du nez. La peau* du visage n'offre pas de rides anormales. Dans la région du front et des commissures palpébrales elle est
ésente à peine le volume d'un doigt. Il n'existe aucun poil dans la région pubienne. Le malade n'a jamais eu ni désirs sexue
ALPFTRILRE. T. XXVI. Pl. LVIII DIABÈTE INSIPIDE ET INFANTILISME Région de la selle turcique vue de profil par la région
DE ET INFANTILISME Région de la selle turcique vue de profil par la région temporo-faciale droite. (P. Lereboullet, M. Fau
s reste cantonné comme l'a montré Gudden (8). Quoi qu'il en soit la région ossifiée ne se développe plus parallèlement ave
læ alaise. On ne voit pas l'invasion de l'atrophie aux mains ni aux régions thénar, hypothénar, ni aux interosseux. Il semb
mble que l'atrophie ait commencé par la racine des membres, dans la région scapulo-humérale. Les muscles des mollets sont
s plus loin comment se modifie le tissu névroglique en allant de la région lésée vers la périphérie. Nous rencontrons d'abor
autonome et son développement en dehors du type de structure de la région donnée du cerveau; '1° le fait qu'il perd sa fo
n'obtenons ordinairement qu'une certaine partie de fibrilles de la région donnée revêtue de substance collagène (fibres col
traver la circulation lym- plraticluc. Mais si nous avons dans la région motrice comme dans le cas donné le développemen
ui suit : le gliaspongium en se contractant pompe la lymphe vers la région périphérique lésée où cette dernière, trouvant un
re (poids : 377 gr.) on avait au contraire enlevé une portion de la région fronto-temporale de la base. Re- marquons que m
tée il une vertèbre et une cyphose à large rayon étendue à toute la région dorsale. La selle turcique qui se lrouve juste
té elle- même. Cette dilatation transversale n'est pas limitée à la région pariétale : on trouve une dilatation peu près s
résentée par la base ; le centre de courbure serait au niveau de la région qui subit l'enfoncement absolu ou . relatif, c'
ues sans spasmodicité, parla flexion des orteils, les muscles de la région antéro- externe de la jambe restant flasques. M
de bien vouloir faire l'exploration élec- trique des muscles de la région antéro-externe de la jambe : il n'existe à leur
ominance unilatérale, très localisée, portant sur les muscles de la région antéro-externe de la jambe. L'unilatéralité de ce
-dire du côté malade, une inexcitabilité complète des muscles de la région antéro-externe de la jambe : l'existence de trace
phénomènes de paralysie qui, localisés au niveau des muscles de la région antéro-externe de la jambe du côté gauche, auraie
inflamma- tion n'est pas suffisante pour réaliser ce syndrome. « La région enflammée, écrivent ces auteurs, doit être circ
14 mars 1912. Le malade vient à l'hôpital pour des douleurs dans la région lombaire et impotence fonctionnelle des membres
thermique et douloureuse, est abolie aux membres inférieurs et à la région abdominale inférieure jusqu'à deux travers de doi
e sens articulaire sont tout à fait abolis pour le squelette de ces régions . On constate de la part des réservoirs la parés
On constate deux eschares du diamètre d'une pièce de 5 francs à la région fessière. L'évolution de la maladie pendant l
e qui font un réel contraste avec la substance environnante. A la région médullaire terminale, on trouve les racines sacré
achectique. La motilité des membres supérieurs est normale. Dans la région lombaire gauche, on remarque une tuméfaction so
aire gauche, on remarque une tuméfaction solide, qui fait que cette région entière se trouve élevée de 3-4 centimètres au-
des douleurs intenses dans les membres inférieurs, surtout dans la région postérieure. Comme état général nous notons, à
légie - et l'examen indi- quait presque toujours une lésion dans la région inférieure de la moelle. Dans 20 cas, sur les 6
s on constate [ou-* jours des coagulums librineux occupant diverses régions delà surface- dû névraxe. Le liquide extrait pa
43 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
ière générale, comment elles sont disposées à la surface du corps. La région du crâne présente quatre ou cinq pustules, petite
oite des lè-vres; l'autre enfin au-dessous de la lèvre inférieure. La région de la nuque est entièrement couverte par une larg
s, dont quelques-unes sont ombili-quées, à la partie supérieure de la région du dos; quatre petites pustules non ombiliquées s
mbiliquées sur la fesse gauche; trois pustules non ombiliquées sur la région antérieure de la poitrine. Les membres inférieu
ge dans le grand cul-de-sac de l'estomac ; l'autre au voisinage de la région pylorique. — Vœsophage, le pharynx, le larynx, la
térieure de l'oreille gau-che. Le cou ne présente pas de pustules aux régions antérieure et postérieure; mais on en voit de-
stérieure; mais on en voit de- nombreuses et de volumi-neuses sur ses régions latérales, surtout au niveau du pavillon de l'ore
de l'oreille gauche; ces groupes occupent presque toute l'étendue des régions latérales du cou; mais ils sont plus rapprochés d
us rapprochés du pavillon de l'oreille que du moi-gnon de l'épaule. Région thoracique antérieure: deux volumineuses pustules
e: deux volumineuses pustules symétriquement disposées, au centre des régions pectorales, de chaque côté. Région abdominale ant
iquement disposées, au centre des régions pectorales, de chaque côté. Région abdominale antérieure : dix pustules dissé-minées
ustules dissé-minées irrégulièrement, dont trois très volumineuses. Régions thoracique et abdominale postérieures : cinq pust
de plusieurs pustules secondaires, et occupe la partie centrale de la région lombaire. Trois petites pustules existent sur la
entrale de la région lombaire. Trois petites pustules existent sur la région antérieure du scro-tum. Cinq grandes pustules son
on les méconnaisse. — Dans Ja néphrite avec phénomènes typhoïdes, les régions rénales sont doulou-reuses, au moins à la pressio
s douleurs vives de la nuque, une roideur prononcée des muscles de la région postérieure du cou (Forget, Tourdes (557) et Boud
iblement, son impulsion n'est pas perçue par la main appliquée sur la région précordiale, ou bien elle l'est à peine ; les bru
ure des extrémités s'abaisse. —Des escharres se forment, surtout à la région sacro-coccygienne, tout comme dans la fièvre typh
ïde (Jenner). On les a vues se produire à l'occiput, aux talons, à la région trochantérienne, à la région des omo-plates, aux
e produire à l'occiput, aux talons, à la région trochantérienne, à la région des omo-plates, aux parties du dos qui correspond
; puis, le murmure respi-ratoire s'affaiblit de plus en plus dans les régions qui corres-pondent aux parties les plus déclives
ons, et la percussion fait reconnaître alors qu'il y a dans ces mêmes régions une obscurité du son parfois très marquée. Tous c
Les taches, celles-là principalement qui occupent le pli du coude, la région de l'aine, le dos, éprouvent encore une transform
oit un simple sentiment de gêne, soit de véritables douleurs dans les régions des aines et des ais-selles, qui présentent en mê
la température du corps paraît à peu près naturelle, si ce n'est à la région précordiale, où la main du médecin perçoit un sen
s pestilentiels peuvent, à la ri-gueur, se développer dans toutes les régions du corps où il existe des ganglions lymphatiques
uemment aussi dans le creux axillaire ; ils se montrent rarement à la région cervicale, plus rarement en-core dans le creux po
bubons apparaissent à l'aine, dans le pli du flanc, au cou, dans les régions sous-glos-siennes et sous-parotidiennes ; des pét
de larges ecchymoses ; les ganglions lymphatiques du mésentère, de la région lom-baire, de l'entrée du bassin, ceux des membre
t apparemmeni les épidémies mobiles, celles qui se propagent dans les régions les plus éloignées du foyer primitif, malgré tout
, cette peste a dé-vasté, presque sans relâche, à peu près toutes les régions du monde alors connu. Les dénominations de Mordus
la peste par-courut toute l'Europe, et elle y pénétra jusque dans les régions les plus septentrionales. On la vit, dit-on, l'an
invasion, des douleurs plus ou moins vives sié-geant à la tête, à Ja région lombaire, dans les membres. Ils ont de l'inappéte
tes, r. vin, Maladies infectieuses. 9 colonne vertébrale jusqu'à la région du cou; la douleur arthritique occupe surtout les
s les cas légers, c'est de la bile qui est ainsi rendue. Cependant la région de l'estomac est comme disten-due, le malade y ép
c les mêmes caractères essentiels, en Europe et en Amérique, dans les régions tempérées et sous les tropiques. Mais à titre de
et anxieuse. La température du corps est naturelle, si ce n'est à la région précordiale où elle est très élevée, brû-lante. L
a langue est nette, la peau est fraîche ou obscurément chaude dans la région de l'estomac et du foie: l'esprit est libre, les
OGRAPHIE MÉDICALE. Le véritable foyer de la fièvre jaune, c'est une région du Nouveau-Monde -comprise entre le 3° et le 33°
déjà par M. Cazalis, occupent, comme on sait, le plus communément la région lombaire. Dans les cas où ils déterminent le ramo
ce genre, l'altération cancéreuse des vertèbres, à peine accusée à la région lombaire, portait spécia-lement sur les vertèbres
l'éruption de zona qui, aune certaine époque, s'est produite dans les régions de la peau auxquelles se distribuent les filets n
e la moitié droite du cou et de la nuque. — Erup-tion de zona sur les régions douloureuses, répondant au rameau du plexus cervi
rième vertèbre cervicale ; — alté-rations des ganglions spinaux de la région cervicale droite ; — exa-men histologique de ces
occupent l'épaule droite, la moitié droite du cou et de la nuque, la région sus-claviculaire du côté droit. Ces douleurs, qui
ssez uniformément répandus et très rappro-chés sur la nuque et sur la région sus-claviculaire ; quelques-uns se voient dissémi
oignon de l'épaule, sur la partie la plus inférieure de la joue et la région mastoïdienne, et enfin sur la région sous-clavicu
plus inférieure de la joue et la région mastoïdienne, et enfin sur la région sous-claviculaire même, au-delà du bord supérieur
minées dans le foie. Les corps des vertèbres ont subi dans diverses régions la dégé-néralion cancéreuse, mais l'altération es
égé-néralion cancéreuse, mais l'altération est surtout prononcée à la région cervicale. Ici la colonne vertébrale paraît tuméf
place dans le canal rachidien, avec le plus grand soin, surtout à la région cervicale. Les racines, ainsi que la moelle, n'on
mi-croscope. Les canaux de conjugaison ont ensuite été ouverts à la région cervicale, à droite et à gauche, de manière à per
douleur dont il puisse préciser le siège, si ce n'est au ni-veau delà région rénale gauche, où il éprouve depuis longtemps, di
disposée sous forme de grandes taches dont chacune recouvre toute une région du corps. L'une d'elles enveloppe le cou dan; tou
entent une cou-leur normale. La teinte bronzée est très foncée sur la région laté-rale du thorax ; elle l'est moins à la régio
très foncée sur la région laté-rale du thorax ; elle l'est moins à la région du dos. Ces plaque; brunes ne se limitent pas par
lement, les unes vers la partie antérieure du cou, les autres vers la région abdominale. Ils sont réunis entre eux par des sil
observée par M. Basset, interne à la Pitié, présenta une tumeur de la région hypogas-trique qui faisait aussi saillie par le v
es, situé entre le tégument externe et le péritoine, s'étendant de la région précordiale à l'om-bilic. A côté de ce kyste, tou
ic. A côté de ce kyste, toujours au-dessus de l'ombilic, mais dans la région du foie, on en trouve un autre du môme volume, to
ions sanguines locales, et avec elle la douleur à la pression dans la région du kyste, laquelle s'était de nouveau manifestée.
ons exercées sur l'abdomen, une tumeur persistait encore dans cette région . Enfin, nous assistons à une guérison incomplète,
; en effet, sur 43 cas de kystes hydatiques déve-loppés dans diverses régions du corps, et relatés dans les Bulle-tins delà Soc
tonéal du petit bassin que, suivant nous, les kystes hydatiques de la région pelvienne prennent le plus souvent naissance ; ch
t vers le bassin, ils diffèrent assez des véritables tumeurs de cette région pour qu'on les étudie à part. 3° Dans les kyste
le, en effet, ne se rencontre dans les divers kystes hydatiques de la région qui nous occupe. Quanta la voie par où s'élimin
yda-tiques du petit bassin et aux autres tumeurs enkystées de la même région . Nos tumeurs ont cependant quelques signes pathog
ladie sont de l'oppression et une douleur sourde et pro-fonde dans la région du foie. Cette douleur s'étend parfois vers l'épa
tre depuis deux jours ; douleur très vive à la pression dans toute la région de l'abdomen, mais bien plus prononcée à droite,
nte pas plus haut qu'à l'état normal, et qu'il existe au niveau de la région splénique une matité très étendue et très considé
Jamais, assuré le malade, il n'y a eu d'ictère, ni de douleur dans la région du foie. Lors de son entrée, on constate chez le
bdomen existe une tumeur considérable siégeant principalement dans la région du flanc droit et dont la partie supérieure, qui
onté à deux travers de doigt au-dessus de l'ombilic. En même temps la région de l'hypochondre droit s'affaissait assez rapide-
hondre droit s'affaissait assez rapide-ment, et il se formait dans la région correspondante, du côté gauche, une tuméfaction f
examen ultérieur et attentif des kystes hydatiques pris dans diverses régions , nous a permis de constater qu'il existait des éc
ie, commencèrent à se manifester des engorgements ganglion-naires aux régions sous-maxillaires. Jamais ces engorgements 1. Ex
pendant les repas, tantôt dans leur intervalle, une vive douleur à la région épigastrique, et cette douleur, semblable à celle
ement considérable ; engorgement ganglionnaire assez volu-mineux à la région sous-maxillaire du côté droit. Le malade tousse l
important à noter. L'abdomen est manifestement gonflé, surtout à la région de l'estomac. En cet endroit existe une sonorité
le vomissement. Par la palpation, prati-quée avec soin dans toute la région de l'estomac, on ne découvre aucune tumeur, et le
oite et en haut. On constate de nouveau l'absence de tumeur dans la région de l'estomac. La douleur fixe et spontanée épigas
jamais eu les caractères des selles san- glantes. La douleur de la région rachidienne, douleur que M. le professeur Cruveil
e. — Sérosité abondante dans la cavité abdominale. — Adhérences de la région pylorique de la face inférieure du foie. — Rétréc
endue, et, dans ce cas, la palpation fait reconnaître au niveau de la région de l'estomac un gargouillement stomacal très pron
ochondre gauche est très sonore, ainsi que la partie supérieure de la région épigastrique. La région ombilicale au contraire,
sonore, ainsi que la partie supérieure de la région épigastrique. La région ombilicale au contraire, ainsi que le flanc gauch
tefois, la grande courbure arrive à un pouce environ de l'ombilic. La région pylo-rique de ce viscère adhère intimement à la f
cause ailleurs. Peut-être avait-il existé autrefois, au niveau de la région du pylore, une ulcération de la membrane muqueuse
t l'existence d'un tissu cicatriciel. Ce n'est qu'avec peine que la région pylorique de l'estomac et que le commencement du
l'ampliation de l'estomac coïncidait avec une adhérence intime de sa région pylorique avec la face inférieure du foie. Sans d
diatement après la naissance qu'il présente sur le flanc gauche et la région supérieure de la cuisse du même côté, une large e
le aggrava-tion de l'état morbide : l'application des cautères sur la région dorso-lombaire et la faradisation elle-même parai
'était une douleur de brûlure qui se manifestait brusquement dans une région plus ou moins limitée et qui disparaissait presqu
titué à la Charité a consisté dans l'application de six cautères à la région dorso-lombaire et dans l'emploi de l'é-lectricité
t accompagné d'une rougeur sombre, qui s'est ma-nifesté au niveau des régions métacarpo-phalangiennes des deux mains ; ce gonfl
eurs, puis dans les membres inférieurs, et presque aussitôt, dans les régions cervi-cale et dorsale ; ces douleurs étaient très
n et la dé-glutition deviennent très embarrassées. La faiblesse de la région lombaire devient telle que la malade ne peut plus
tact est aussi très obtus sur le tronc. Les masses musculai-res de la région postérieure du tronc ont encore bien peu de vi-gu
sez vives, tantôt sur les bras, tantôt sur les jam-bes, tantôt sur la région dorsale où l'on voit une éruption lichénoïde disc
cette période dont la durée est de deux mois, a été : sangsues sur la région spinale, — frictions irritantes sur les membres i
ts debout, sans soutien. Hier, douleurs, comme coups de hache dans la région des reins ; jamais elle n'a ressenti de douleurs
le commença à éprouver des douleurs dans les membres inférieurs et la région lombaire, puisbientôt une faiblesse et une incoor
ié. Là elle subit trois applica-tions successives de cautères sur les régions latérales de la co-lonne vertébrale, et ce traite
g dans les crachats ; coliques, diarrhée ; violentes douleurs dans la région hypogastrique, dysurie, urines purulentes. Cette
culaire est conservée, mais elle est affaiblie dans les muscles de la région jambière antérieure. Sensibilité musculaire dimin
ersant verticalement l'abdomen; douleurs contusives violentes dans la région lombaire ; outre ces douleurs qui ont une certain
uis son admission à la Salpètrière. Les douleurs des membres et de la région lombaire ont presque entièrement disparu. De temp
hait une partie qu'elles ne pouvaient voir, par exemple la peau de la région lombaire. Nous sommes portés à penser que cette d
lement. Une sensation d'ardeur plus ou moins pénible, siégeant à la région épigastrique, s'est montrée, chez une malade, que
devinrent le siège de douleurs très violen-tes qui s'étendirent à la région lombo-dorsale. Outre des souffran-ces continues,
utres moyens, on employa pour la com-battre des cautérisations sur la région antérieure du thorax, à l'aide du marteau de Mayo
ru-rigo sur les membres supérieurs et inférieurs, principalement à la région antérieure des jambes, éruption accompagnée de tr
44 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
amelons, est de 53 centimètres. On note une légère dépression de la région sternale; il n'y a pas de chapelet rachitique.
, l'aréole est pâle et a près d'un centimètre de diamètre. Toute la région pecto- rale est infiltrée de graisse. Organes
onclusion la systématisation des lésions, z leur évolution dans une région définie, leur développement suivant une loi phy
ieure, il suffit maintenant d'exciter le bord du sillon de Rolando, région qui, antérieurement, était tout à fait insensib
ion sont- ils enlevés à leur tour, ils se reforment encore dans les régions voisines de l'écorce, jusque dans le territoire
ERVEUSE. symptômes infectieux, par de l'atrophie avec parésie de la région qui englobe le bassin, les lombes, la cuisse, e
substance blanche sous-corticale, avec constante loca- lisation aux régions motrices (hémiplégies, monoplégies, aphasies);
accompagnant les affections organiques du cerveau, affections de la région cortico-motrice, il appert que la lésion 58 REV
aires; à l'âge de neuf ans, il reçut un coup de pied de cheval à la région sus-orbitaire gauche; le crâne fut frac- turé,
ni du nerf optique. La céphalalgie était continue et siégeait à la région frontale gauche. L'hébétude mentale était très
is mois de suppuration. Quatre ans plus tard, douleur vive dans les régions pariétale et occipitale gauches : attaque de pe
tisme ancien, dont la trace demeure apparente, c'est-à-dire dans la région correspondante à la partie moyenne et supérieure
oreille malade. On fit des cautérisations ponctuées au niveau de la région mastoïdienne, on améliora enfin l'état local et
éjà à d'autres troubles hallucinatoires. En résumé, la lésion de la région du pli courbe aurait donné nais- sance à des se
ughes Bennett a a rapporté un fait intéressant de traumatisme de la région pariétale droite, ayant donné lieu à des attaqu
eur attribue les sensations lumineuses et la cécité à la lésion des régions pariéto-occipitales; en tout cas, la trépanatio
sation produite, mais aussi sur les phéno- mènes vaso-moteurs de la région soumise à son influence. Il se produit un abais
conclusions sui- vantes que nous traduisons textuellement : « La région cérébrale dans laquelle siègent le sentiment musi
l'encéphale. La question de savoir si son activité correspond à une région circonscrite du cerveau, demeure dou- teuse. Il
l'autopsie, en choisissant les plus saillants : légère atrophie des régions frontale et pariétale; sur le bord du lobe tempor
'audition. La longue dépression que l'on remarquait au niveau de la région pariétale gauche indiquait une lésion fort capa
il des actes administratifs de la préfecture du chef-lieu de chaque région fera connaître la date exacte d'ouverture de ch
ns son observation de la polyné- vrite alcoolique, remarqua dans la région dorsale de la moelle épinière une assez grande
atre cas de la polynévrite alcoolique. Dans le premier cas, dans la région du bulbe et de la protubérance, « aucun centre
ans sa seconde observation, Campbell remarqua la même chose dans la région du bulbe et de la protubérance ; quant à la.'mo
a sensibilité tactile, est amoindrie sur les pieds plus que dans la région de la jambe et de la cuisse. Certain mouvement
amen nous primes les nervi dorsalis pedis, peroneus, radialis (à la région du bras), ulnaris vagus et phrenicus et nous vî
ant de la névrite segmentaire. Examen microscopique de la moelle 1. Région lombaire. Sur les coupes transversales, sur les
rdons postérieurs a souffert le plus. Il faut dire que même dans la région , où le procès morbide est exprimé plus intensiv
rieurs, nous y trouvons beaucoup moins de fibres dégénérées qu'à la région de l'altération la plus intensive. Les fibres d
igure 15. DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. '185 La région dorsale présente les mêmes altérations que nous v
dire les cor- dons antérieurs et latéraux, il faut remarquer que la région dor- sale contient plus de fibres dégénérées, q
que la région dor- sale contient plus de fibres dégénérées, que la région lombaire ; surtout on voit la multiplication de
Renflement cervical '. Sur les préparations microscopiques de cette région , traitées par la méthode de Marchi et de Weigert,
colorées par le carmin, on voit 1 Voyez la figure 16. 1'iy. la. Région lombaire. Préparation, traitée par la méthode d
ont lésés dans le renflement cervical très peu comparativement à la région lombaire. Dans le faisceau de Burdach, la régio
mparativement à la région lombaire. Dans le faisceau de Burdach, la région qui est adjacente aux racines postérieures, don
. Sur les préparations microscopiques colorées par le carmin, de la région du renflement cervical, les faisceaux de Goll o
le reste de la substance blanche. Outre cela, nous voyons dans la région altérée une multiplication des vaisseaux et une c
servons ce tableau seulement dans les faisceaux de Goll, Fit. 16. Région cervicale. Préparation, traitée par la méthode
microscopiques colorées par la méthode de Marchi et prises de la région au-dessus du renflement cervical, les faisceaux d
ons postérieurs et les racines antérieures et postérieures. Dans la région lombaire le procès morbide a plus attaqué la po
rne des cordons postérieurs que la portion antéro-interne ; dans la région dorsale les faisceaux posté- rieurs sont altéré
Walther avait pratiqué la greffe thyroïdienne sous-cutanée dans la région sous-mam- maire avec un des lobes pris sur le m
nde thyroïde : ils in- troduisirent dans le tissu sous-cutané de la région mammaire, de chaque côté, la moitié d'une gland
anatomiques qui existent dans le cerveau de cellule à cellule et de région à région. R. M. C. IV. Dualité DE l'action céré
es qui existent dans le cerveau de cellule à cellule et de région à région . R. M. C. IV. Dualité DE l'action cérébrale; pa
nt conscient. Interrogé pour savoir s'il souffrait, il indiquait la région antérieure droite de la tête et répondait : « O
la cavité ventriculaire. Cet abcès n'intéressait pas directement la région motrice ; le pus était de couleur brun verdâtre
téressantes. Dans toute la substance blanche, mais surtout dans les régions qui sont le siège d'une sclérose par compressio
u côte gauche. Les circonvolutions de l'hémisphère gauche, dans les régions frontale et occipitale, sont très petites, flét
pitale, sont très petites, flétries et comme comprimées; celles des régions motrices, bien qu'atrophiées, ont un volume et
olutions de l'hémisphère droit sont plus volumineuses au niveau des régions motrices, mais légèrement atrophiées au niveau
un état pigmenté de la pie-mère qui revêt la moelle allongée et la région cervicale de la moelle, qui est assez commun ch
ase de l'apophyse mastoïde, tout le long des os de la face, dans la région du sinus frontal ; un second degré d'obscu- rit
ur augmentation de volume au contraire obnubilant le son dans cette région . P. Keraval. XXII. DE l'atrophie musculaire dég
forme fruste de paralysie générale. P. K. XXIII. UNE gomme dans la RÉGION DES tubercules quadrijumeaux; par G. ILllERG. (
hémisection produit une diminution bilatérale de la sensibilité des régions sous-jacentes; mais cette perturbation disparaît
- logiques du corps cellulaire. P. K. XXVI. DE la circulation DES régions DE la protubérance et DU pédoncule cérébral, ET
le cerveau. L'auteur étudie successivement les grosses artères des régions pé- donculaires et protubérantielles, les petit
laires et protubérantielles, les petites branches artérielles de la région pédonculaire occupant le côté externe, et pénètre
ensuite dans la profondeur. «Comme partout ailleurs, dit-il, les régions qui possèdent de la substance grise, sont bien
ffectant la direction perpendicu- laire. De ces rameaux-là, dans la région pédonculaire se détachent des branches médianes
rs, et, transversalement, aux noyaux rouges de la calotte ; 3° à la région du faisceau longitudinal posté- rieur ; 4° au n
eaux unissant les vaisseaux des parties latérales et médianes de la région des pédoncules cérébraux. La partie médiane du
s d'un côté à l'autre. Il est probable qu'entre les vaisseaux de la région médiane d'un côté et de la région médiane de l'
able qu'entre les vaisseaux de la région médiane d'un côté et de la région médiane de l'autre côté il y a des vaisseaux tr
édiane est donc un territoire autonome et isolé. On remarque que la région del'oczclo-n : otezar commun est celle qui est
visitée par un processus pathologique direct ou indirect. Or, cette région occupe à peu près la place du cerveau où les on
re cérébral opposé, mais elles s'en séparent avant d'entrer dans la région du tubercule bijumeau et se dirigent en dedans
ercule bijumeau et se dirigent en dedans pour gagner directement la région du noyau de l'oculo- moteur commun. Chez les ch
e du liquide céphalo-rachidien, pendant qu'on excite l'écorce de la région motrice du chien au courant induit ou à l'essence
es actes administratifs des préfectures du chef-lieu de chacune des régions déterminées par l'arrêté ministériel du 14 avril
cès, qui pourront être déclarés admissibles est fixé à six pour la région de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois p
on de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois pour chacune des régions de Lyon, Bordeaux, Nancy, Montpellier et Toulouse
ncours devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre de ces régions , devront adresser leur demande, sur papier timb
res, dernier délai de rigueur. Cette demande, qui devra indiquer la région dans laquelle le candidat veut subir le concour
des symptômes de pharyngite, et plus tard, de chaque côté, dans la région sterno- mastoïdienne, des engorgements ganglion
e est complètement dégénère à droite, tandis que, à gauche, dans la région du noyau de l'hypo- glosse, il n'est malade que
possibles, est amené à formuler les conclusions suivantes : 10 La région du noyau de l'hypoglosse donne naissance aux fi
cardiuaux, on rencontre 45 fois la douleur ou la sensibilité de la région occipitale : ce signe est douteux dans 30 cas; da
l'ataxie, l'asthénie musculaire, la douleur et la sensibilité de la région occipitale, la tendance de la démarche à inclin
ier cas, il s'agissait d'une méningo-encéphatite syphilitique de la région fronto-pariétale gauche. Le traitement dans ce
rébrale. Le chancellement vers la gauche indiquait un foyer dans la région des pédoncules cérébel- leux gauches ou dans le
re du malade. Il y a cinq mois, cet homme leçoit sur la tôle, il la région frontale, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. : 21ï -
nouveau, pour lequel le malade a consulté nombre de médecins de la région où il se trouvait, l'élé- ment psychique joue e
ère n'est pas la lésion primitive. - Il a trouvé les méninges des régions dorsale et lombaire atteintes par le processus
pathologique, et la dure-mère à ce niveau était intacte; si dans la région cervicale, là dure-mère participe aux lésions,
un coup de couteau reçu au niveau du segment postéro-inférieurdela région temporale droite, au point d'entre-croisement d
e façon symétrique en haut, atteignant le bras, et en bas jusqu'aux régions sacrée et lombaire. Ces régions présentent souv
ignant le bras, et en bas jusqu'aux régions sacrée et lombaire. Ces régions présentent souvent des plaques isolées à sensib
aisceau de Lissauer ; d). Légère sclérose du cordon de Goll dans la région cervicale; e). Disparition de la colonne de Cla
. droite. L'intégrité de la substance blanche correspondant à ces régions dans la capsule interne et le pédoncule laisse su
ons ascendantes et les scissures transversales centrales. Dans la région sus-sylvienne et pariéto-temporale, la seconde
inter-pariétale (ou scissure de Turner, selon M. Benedikt). Dans la région occipitale la seconde scissure de Leuret n'est pa
frontale. Elle manque dans la partie centrale et en général dans la région sus-sylvienne où elle est représentée par excepti
roisième scissure de Leuret, par exemple chez le chien. \ Dans la région temporo-occipitale, la troisième scissure de Leur
ée par Benedikt la scissure temporo-occi- pitale. Elle nait dans la région temporale et aboutit au pôle occi- pital (comme
e rudimentaire -chez les animaux. Les scissures transversales de la région centrale ne sont pas, selon Benedikt un privilè
rale par exemple chez les carnivores, en arrière et au milieu de la région dite « psycho-motrice », dont un bord antérieur
nt de l'endothélium (c). Fig. 3. Coupe verticale de la peau de la région oedématiée. Fentes lymphatiques dilatées (a) ;
(b) ; hémorragies (c). Fig. 4. Nerf de la peau dégénéré, pris à la région oedématlée. ' l'ill. 1, 2 et 3. - Grossissement
mes d'adénite, engorgement considérable 332 RECUEIL DE FAITS. des régions parotidiennes, fièvre intense; une vaste collecti
ion puru- lente se forme au côté gauche avec induration de toute la région du cou; après intervention chirurgicale, il s'é
d'une démence maniaque). Grave lésion inflammatoire intéressant les régions cervico-faciales. Suppuration abondante et de l
peut, chez l'animal adulte, provoquer des accès d'épilepsie. Les régions de la base, si tant est qu'elles participent à ce
contribuent surtout à en engendrer l'élément tonique. Ces dernières régions (protubérance et bulbe) pourront provoquer l'épil
n effet, le malade a perdu abondamment ses cheveux dans toute cette région qui, du reste, est hyperesthésiée, et il n'en r
e; mais, si on vientà comprimer plusieurs points douloureux dans la région du plexus lombaire, on exagère nettement cette
n, une sorte d'engourdissement en surface qui gagnait la peau de la région ; bientôt survenait une sensation de brûlure, p
d'une poutre avec enfoncement de la boîte cranienne au niveau de la région frontale supérieure gauche. L'accès délirant su
xcepté), difficulté peu marquée de la déglutition, douleurs dans la région de la nuque et parfois dans ici ! gauche, tenda
des réflexes abdominaux, souffle systolique à l'auscultation de la région de l'apophyse mastoïde droite. - Après une long
sieurs foyers de ramollissement dans l'écorce; foyer étendu dans la région de l'ocu- lomoteur droit qui a détruit les cell
, le lobule lingual, les segments pos- térieurs des occipitales. La région située en arrière du pli courbe ne parait en re
de fibres myélogènes; les déchets finement grenus, épars en cette région , doivent tout naturellement être considérés comme
commissurales myélogènes dont les cellules originelles occupent les régions en dehors des surfaces section- nées, et aussi
la vient de ce que les fibres du corps calleux se rassemblent en la région dorsale de cet organe; puis, de là, gagnent ' V
la couche externe, aux parties homologues du segment inférieur. La région placée directement au-dessous de l'arc de cercl
oyau caudé. Le plus fort trousseau commun se trouve au-dessus de la région latéro-dorsale du ventri- cule latéral, point o
stituant un système d'association unissant entre elles les diverses régions du noyau caudé. Le faisceau subcalleux entoure
(Suivent des discussions de rapports et d'entre-croisements de ces régions .) L'auteur admet que le splenium fournit des fi
On obtient des ell'ets géné- raux et des effets gradués d'après les régions plus particulièrement L soumises à l'action vib
Nell1'olog, Ce)'c[/6 ? XIV, 1895.) L'écorce du cerveau contient des régions psychiques équivalentes entre elles de chacun d
externe, du trijumeau indiquant l'existence d'une tumeur dans la région protubérantielle qui donne naissance au noyau du
on constate des palpita- tions et des ondulations des muscles de la région , des adducteurs -.des cuisses, et véritable tum
x observations que l'interruption complète du ruban de Reil dans la région sublhalamique entraine une dégé- nérescence tot
du ruban de Reil. S'il y a complète interruption au-dessus de cette région (écorce, centre ovale), il n'y aura qu'atro- ph
d'où partent les fibres du ruban de Reil occupent lesenvirons de la région sublhalamique, et peut-être les zones basales de
Bern- hardt sur les paresthésies et sensations douloureuses dans la région du fémoro-culané. D'après sa clientèle, l'affec
e preuves certaines. Ltvoff. LVI. SUR la compression totale DE la RÉGION supérieure DE la MOELLE épinière; par EGGER, (A
e dorsale, la moelle a sa configuration nor- male. Sclérose dans la région des cordons postérieurs jusqu'au niveau de la d
om- baire et des segments antérieurs des cordons latéraux dans la région dorsale. Diminution du nombre de cellules dans le
s antérieures du renflement lombaire. Atrophie musculaire dans la région de l'éminence thénar droite. Atrophie et disparit
egrés seuls varient, attestant ainsi la sensibilité prévue de cette région et imputables à des affections antérieures ou a
, l'as- pect, les différences relatives de ces cellules suivant les régions de la moelle, du cervelet, de la substance cort
à laquelle se propage la lésion démontre qu'elle ne remonte pas aux régions corti- cales d'origine, et même qu'elle n'attei
mettant au contact avec les dendrites d'un autre neurone de cette région . Il en est de même de tous les neurones des com
ont volumi- neux ; leur bord inférieur forme un relief prononcé. La région pectorale droite est plus relevée que la gauche
large que la gauche. La partie comprise entre le bord inférieur des régions pectorales et le rebord des fausses côtes, nett
e à convexité dirigée à droite au niveau de la partie moyenne de la région dor- sale ; elle est rectiligne dans la partie
dor- sale ; elle est rectiligne dans la partie inférieure de cette région ; enfin les deux dernières vertèbres dorsales et
de l'autre. 2° Côté droit. L'anesthésie occupe, à la main les mêmes régions sauf que l'éminence thénar a conservé la sensib
thésie avec conservation de la sensibilité tactile. Dans les mêmes régions , ci gauche, les différents modes de la sensibilit
coude à l'extrémité des doigts ; thermo- anesthésie dans les mêmes régions ; analgésie depuis l'extrémité des doigts jusqu'
ne paralysie du membre inférieur gauche. Il semblerait donc que les régions motrices du cer- veau, correspondant aux membre
spondant aux membres inférieurs auraient été plus atteintes que les régions qui correspondent aux membres supérieurs. Les m
s, des avant-bras jusqu au voisinage du pli du coude. Toutefois, la région analgésique est un peu moins étendue, en ce sen
e, à la répion cervicale pour l'examen des membres supérieurs, à la région lombaire pour les membres inférieurs, l'électro
s de 2 centimètres de diamètre. Nous déterminons d'abord dans les régions saines la limite minima à laquelle le malade a la
. face dorsale, ainsi qu'à la plante du pied. Dans cette dernière région la diminution est surtout prononcée au niveau de
ut que : les fibres des pyramides qui, ne s'entre-croisant pas à la région de passage entre le cer- veau et la moelle, des
s olives. A la hauteur de l'entre-croisement des rubans de Reil, la région en 476 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
aversant la portion latérale du corps res- tiforme, se rendent à la région du noyau du cordon latéral. Et la section du co
ifs ou négatifs de l'excitation électrique ou de la destruction des régions qui contiennent des trousseaux dégénérés. Ainsi
cordons latéraux de la moelle. L'excitation de ce faisceau dans la région du vermis, et à l'extrémité centrale de la moel
s- sait voir un plan transverse lisse et poli de la moelle en celte région . Sur cette surface de section, plaçant légèreme
rv. et ment., n° 2, 1896.) - XC. SUR l'anatomie MICROSCOPIQUE DES RÉGIONS pédonculaires ET SUBTIIALAMIQUES chez l'homme;
rveux; il semble cependant que dans des cas particuliers, certaines régions soient atteintes de pré- férence. L'augmentatio
94. 504 TABLE DES MATIÈRES. Protubérance. De la circulation des régions de la - et du bulbe, par Shimamura, 229. Gliome
s, par Babcock, 1 il. TUBERCULES quadbijumeaux. Une gomme dans la région des -, par llberg, 228. Diagnostic entre les
t de l'endothélium (c). Firl. 3. Coupe verticale de la peau de la région oedématiée. Fentes lymphatiques dilatées (a); v
(b); hémorragies (c). Fig. 4. - Nerf de la peau dégénéré, pris à la région oedématiée. Fig. 1, 2 et 3. Grossissement de 75
45 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
os sous-jacents dessinant pour ainsi dire le squelette osseux de la région . Au niveau du menton, cet aspect est tout à fait
à peu près indemne. Nous emploierons dans ce but les révulsifs sur la région spinale, l'iodure, le bromure de potassium, le se
l'entrée, on constate à la vue une saillie en dos de fourchette de la région dorsale du poignet, d'ailleurs peu accentuée. En
paule en dehors et coupant environ par le milieu la tête numérale. La région interne du bras est insensible malgré les perfora
d'une simple compression d'un nerf, si l'on limitait son examen à la région de la main et du poignet. Cependant même en ces p
hystérogènes se voient, l'une sur le flanc droit, l'autre sur la même région du côté gauche. A l'occasion, notons l'absence du
par spasme vasculaire, suivie d'hyperémie, localisée surtout dans les régions pariétales, est la cause physiologique de la plup
èrement que cela ne se voit clans la migraine vulgaire, siégeant à la région temporale et, en outre, s'étendant tantôt à l'occ
u en février 1890. La douleur occupe d'abord la moitié droite de la région occipitale, dans l'étendue de la paume de la main
ression. Elle remonte bientôt, toujours limitée au côté droit, sur la région pariéto-temporale et pénètre enfin dans l'orbite.
ors d'un mal de tête qui se localise du côté droit, occupe d'abord la région occipitale, puis s'étend à la région pariétale et
du côté droit, occupe d'abord la région occipitale, puis s'étend à la région pariétale et enfin à la profondeur de l'orbite. C
grand accès. Violentes douleurs de tête localisées à droite dans les régions indiquées à propos des deux premières attaques. V
u'il conservât un peu, sur certains points, l'impression du doigt. La région était cyanosée, violacée, parsemée de marbrures d
violacée; le gonflement persistait ainsi que le refroidissement de la région malade. Mais un phénomène nouveau avait apparu :
in gauche, un autre au niveau du vertex, le troisième au niveau de la région ovarienne gauche. Vous voyez ici, Messieurs, l'
existe : chez notre homme, au lieu d'une anes-thésie complète dans la région de la main et de l'avant-bras, il y a conservatio
parente et due à l'augmentation considérable de la résistance dans la région anesthésique. Anesthésie complète pour le tact,
ssu sous-cutané consécutives à tous les mauvais traitements que cette région a subis depuis 7 mois. Il y a au-dessous de la ro
loin en arrière que de coutume, les condyles fémoraux. La peau de la région est fortement pigmentée, épaissie, couvertes de c
ont douloureux comme précédemment. Douleur vive à la pression dans la région de la cuisse. 19 février.— L'hypoesthésie a dis
à la jambe; à la cuisse elle s'est trans- formée, ainsi que dans la région du genou, en hyperesthésio cutanée très vive. 2
froidissement de la jambe malade. L'électrisation des muscles de la région antéro-externe de la jambe ne produit aucune cont
plus probante peut-être, en ce que l'état de chacun des muscles de la région antéro-externe de la jambe est indiqué par l'expl
s froid, comme engourdi. L'exploration électrique des muscles de la région antéro-externe (jambier antérieur, extenseurs com
malade avait encore son anesthésie et une atrophie des muscles de la région antéro-externe telle qu'il y avait une différence
dans l'abduction. A la vue on remarque une dépression notable do la région correspondante aux muscles jambier antérieur et e
l'extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la jambe et anesthésie dans la
ste à la région antéro-externe de la jambe et anesthésie dans la même région . Egalement anesthésie sur le dos du pied, moins u
ils. A la plante du pied, légère altération de la sensibilité dans la région des orteils; le reste de la voûte plantaire est u
acte à la plante du pied et dans toute l'étendue de la jambe, sauf la région que nous avons indiquée. » Point douloureux pér
t insensibles ; au contraire sous la même influence les muscles de la région postérieure et de la cuisse réagissent énergiquem
des jambes. Il n'a jamais subi d'opérations chirurgicales en aucune région du corps. Son état actuel est le suivant : Il p
t du sciatique, a complètement disparu. A la pression, dans les mêmes régions , la douleur est à peu près nulle, sauf peut-être
s musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergique sur la région des muscles extenseurs n'éveille non plus aucune
e douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette région . Ces douleurs ont duré six mois environ, sans qu'
ouleurs du genou ont reparu et se sont propagées à la cheville. Cette région était enflée et violacée. A ce moment pas de doul
tuellement, elle se plaint surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la pression sont les points fessie
leur début). Elle se plaint également d'engourdissements de toute la région antéro-externe de la jambe gauche. A première v
semble qu'il existe un certain degré d'atrophie des muscles de cette région . Mais les dimensions de la jambe n'ont pas beauco
face externe de la jambe. Sensibilité du froid diminuée dans la même région . Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux :
M. Vigouroux : Pas d'ano- malie de réaction dans les muscles de la région antéro-externe de la jambe. La malade ayant par
droite. — Paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles de la région antèro-externe de la jambe. Mart..., cinquante
Nerf tibial antérieur (branche du poplité externe). à la peau de la région externe de la jambe, suivant une bande beaucoup p
, le point fessier, le point trochantérien ; un point au niveau de la région sacrée. Ces douleurs ont persisté, avecexacerbati
s irradiations douloureuses au mollet, et une douleur au niveau de la région sacrée. Elle se plaint de fourmillements, d'éla
de fourmillements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la région postérieure de la cuisse. On constate un amaigris
ure 1 centimètre et demi de moins à droite qu'à gauche. A la jambe la région antéro-ex-terne surtout, mais aussi les muscles d
d une véritable paralysie des extenseurs et de tous les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réac
faitement sentis. Au niveau du membre inférieur droit, sauf dans la région que nous allons indiquer, le malade ne sent pas l
ids et de la piqûre, si on le pique légèrement. Enfin dans toute la région externe de la jambe, dans un territoire limité en
les deux jours. La douleur diminua peu à peu en quittant d'abord la région fessière. Elle a duré environ huit mois, mais le
inal et au bord supérieur de Fos coxal, se perdant en arrière dans la région moyenne de la fesse. Cette zone descend en bas ju
fesse. Cette zone descend en bas jusqu'au genou, dont elle occupe la région externe. La jambe et le pied malades semblent p
imètre du pied malade excède de 1 centimètre celui du pied sain (à la région médiotarsienne). JAMBE. DROITE. GAUCHE. 10 ce
s commençaient au niveau de la fesse, puis descendaient le long de la région postérieure de la cuisse et de la jambe et se mon
les lésions de la queue de cheval, fracture du rachis ou tumeur de la région . Ils varient, bien entendu, avec le territoire ne
res du moteur oculaire occupe, au-dessus du bulbe proprement dit, une région qu'on pourrait appeler le bulbe supérieur, ou pro
on pourrait appeler le bulbe supérieur, ou protubérantiel. En cette région se termine le quatrième ventricule et commence l'
s autopsies montre qu'il existe plusieurs catégories de faits : 1° La région cellulaire originelle de l'oculo-moteur est compr
n œuvre dans ce cas, comme dans le premier, sont les révulsifs sur la région spinale et à la nuque, l'hydrothérapie et l'élect
as au niveau de la face. Au cou elle prédomine pour les muscles de la région postérieure, qui ont en grande partie disparu (mu
r : pas de réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la région ) ; réaction faradique à peu près normale. Muscles
cou. On ne constate cependant pas de déformation bien nette de cette région ni d'atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci rési
me dans une expérience analytique admirablement réussie, les diverses régions de la substance grise. Soit dit en passant, la fo
ssaire; c'est la destruction de l'élément nerveux dans telle ou telle région qui importe surtout; mais supposons qu'il y ait d
point de départ anatomique? On peut incriminer, par élimination, les régions commis-surales, les colonnes de Clarke ou encore
ure infectieuse ou toxique, spéciale vraisemblablement à de certaines régions de la Bretagne, par exemple, où M. Morvan en a, à
ne grise postérieure gauche dans une certaine étendue en hauteur à la région cervicale ; lésion légère et très limitée de la c
rès limitée de la corne antérieure correspondante ; lésions enfin des régions encore mal connues qui dans la substance grise ce
du plancher du quatrième ventricule, une tumeur comprimant cette même région , un coup sur la tête, ne puisse devenir le point
iminution de l'excitabilité faradique et galvanique des muscles de la région antéro-externe des jambes, qui, bien qu'assez con
du lit. En réalité, la température n'est nullement augmentée dans la région à ces moments et même bien souvent, il sent ses p
étendue. Supposez en effet une tumeur, un tubercule placé dans cette région de la protubérance, vous comprendrez aisément com
as de localiser la lésion qui a donné naissance à ce syndrome dans la région pédonculo-protubérantielle. Je vous ai déjà décla
n'est pas tout : elle présente encore des points douloureux, dans les régions des lombes et des mamelles, dont la pression réve
i-hyperesthésie. Elle avait en outre un point très douloureux dans la région sacro-lombaire, sur la ligne racbidienne. Au bout
, deux sus-mammaires en des points symétriques et une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces zones réve
s du côté droit, il constate avec élonnement l'insensibilité de cette région . Enfin, plus récemment, il apprend que la sensibi
agirait dans le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans la région dorso-lombaire. Le membre inférieur gauche et l
ble de la marche est accompagné de crampes douloureuses partant de la région lombaire, traversant l'abdomen dans la direction
oit que les températures très élevées ou très basses. Il porte sur la région lombaire gauche les cicatrices de brûlures étendu
es de brûlures étendues produites par un fer chaud appliqué sur cette région à l'occasion de crampes, il y a cinq ou six ans e
s seulement d'existence. Les cicatrices de brûlures constatées à la région lombaire gauche sont d'un blanc nacré, déprimées
le de faire remarquer ;que ce trouble trophique accidentel occupe une région qui depuis assez longtemps était le siège de cram
d'ailleurs, en dehors des articulations proprement dites, deux autres régions de la main où l'on remarque un gonflement considé
rd'hui, quoique plus faiblement, de douleurs siégeant au niveau de la région temporale, douleurs presque permanentes, s'exaspé
esque jamais lorsque des altérations de même nature existent dans les régions pariéto-tempo-rales. Une substance gélatineuse, t
ique partielle. Celle-ci ressortit aux lésions de la convexité, de la région fronto-pariétale. Il est vrai d'ajouter que ces l
surface des circonvolutions fronto-pariétalcs ascendantes et dans la région supérieure, le début des secousses épileptoïdes s
es se fera par le membre inférieur, par la face si elle siège dans la région inférieure et si elle occupe la région moyenne, p
la face si elle siège dans la région inférieure et si elle occupe la région moyenne, par la main et le membre supérieur, comm
epsy. New-York, 1870. sion syphilitique pachyméningée siège dans la région pariétale, au niveau de la partie moyenne des cir
e, de maux de tête affreux. La douleur, localisée à l'origine dans la région pariétale gauche, survenait le soir vers quatre o
de jours, cette douleur vespéro-nocturne ne resta pas localisée à la région pariétale gauche. Partie de ce point, qui restait
mme un enfant et qu'elle croyait avoir une plaie vive au niveau de la région pariétale du côté gauche. Après une nuit d'agitat
uleur vespérale et nocturne, atroce, locale d'abord, siégeant dans la région pariétale gauche, s'irradiant ensuite dans tout l
a largeur d'une pièce de cinq francs, zone qui siège à gauche dans la région pariétale, sur un point qui, d'après nos recherch
pas encore déterminé de lésion organique de l'écorce cérébrale de ces régions . En pareil cas, on (1) Leçon recueillie par M.
ritoires de ce département artériel ont échappé à la nécrobiose. lies régions irrémédiablement affectées sont en résumé : les c
plètement indemne. Mais ce n'est pas tout. Ce qui marque encore les régions corticales comme étant le siège des lésions, c'es
te, consacré par les résultats de l'autopsie. Fig. 48. — Coupe à la région cervicale supérieure . Fig. 49. — Coupe au nive
49. — Coupe au niveau du renflement cervical. Fig. 50. — Coupe à la région cervicale inférieure. Fig- Si. — Coupe à la rég
50. — Coupe à la région cervicale inférieure. Fig- Si. — Coupe à la région dorsale. Fig. Sï. — Coupe à la région lombaire
eure. Fig- Si. — Coupe à la région dorsale. Fig. Sï. — Coupe à la région lombaire supérieure. Fig. 47. En établissant,
protubérance. Les tubercules ne sont pas extrêmement rares dans cette région , et ce sont même les plus fréquents relativement
lablement un autre, situé non plus dans la protubérance, mais dans la région motrice de l'écorce du cerveau, du côté gauche. C
rcule, l'un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la région motrice corticale ou sous-corticale du côté gauch
ion de l'ouïe du côté droit ; douleur provoquée par la pression de la région ovarienne gauche. La malade a été réglée pour l
ctéristiques, l'un dans la fosse iliaque droite, l'autre dans la même région à gauche. Il existe aussi un point sous-mammaire
n constate la présence de deux points hyperesthé-siques, l'un dans la région ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La
46 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ge Câtunu (Jalo mitza) en Roumanie. C'est un village situé loin des régions montagneuses des Carpathes où on trouve le goit
il y a quinze ans,donc à l'âge de 9 ans.La malade remarqua dans la région thyroïdienne du côté gauche une tumeur des dimen-
si le côté droit pour grandir progressi- vement et envahir toute la région thyroïdienne et sus-sternale. La tumeur était i
ion et la mastica- tion ainsi qu'une sensation de pesanteur dans la région sus-sternale. La colonne vertébrale au dire de
eil est un peu large. Les dents ne présentent pas d'altérations. La région cervicale antérieure est le siège d'une tumeur
sont : en haut le maxillaire inférieur, en bas les clavicules et la région sus-sternale, bien que dans certains endroits ces
diens on observe les pulsations carotidiennes. La tumeur adhère aux régions profondes,elle présente une consistance semi- f
semi- fluctuante et la palpation et même la simple inspection de la région nous mon- trent une espèce de lobulation second
continue jusqu'au commence- xxn 3 34 PARHON ET JIANO ment de la région lombaire. La moitié gauche du thorax proémine en
(34) appar- tient également au goitre basedowien. Dans certaines régions on ne distingue même plus de formations folli-
e qu'une quantité infime de petites cellules et la structure de ces régions ne rappelle nullement celle de la thyroïde nor-
lement celle de la thyroïde nor- male. On trouve pourtant aussi des régions dans lesquelles on constate un petit nombre de
(intervention opératoire comme dans notre cas,r6ntgénisation de la région thyroïdienne, sérum, sang ou lait d'animaux éth
igreur du cou et par la proéminence des apo- physes épineuses de la région cervicale postérieure, notamment de la septième
lva- nique. En effet, pendant l'examen électrique des muscles de la région cervicale postérieure, la toux galvanique appar
t Fic. 3. Schéma décalqué sur la radiographie latérale gauche de la région cervicale. 1. apophyse coronoïde 2. articulatio
e de l'oreille, 7. branche orizontale de la mâchoire inférieure, 8. région occipitale, 9. apophyse odontoide, 10. tubérole a
d'une façon tout à fait normale (1). L'électrodiagnostic de cette région est parfaitement négatif, de même que l'examen
e vue,ce sont les altérations morphologiques intervenues dans cette région . La malade vue de profil avec sa tête maintenue
guïté exagérées. On remarque tout de suite que les limites entre la région occipitale et la nuque sont accentuées par une
uque sont accentuées par une entaille anormale, de telle façon que la région occipitale semble enfoncée dans région cervical
rmale, de telle façon que la région occipitale semble enfoncée dans région cervicale postérieure comme par un coup de hach
à tous les muscles de la gouttière cer- vicale postérieure et à la région scapulo-humérale des deux côtés. En examinant l
région scapulo-humérale des deux côtés. En examinant le cou dans la région postérieure (V. PI. XII, 6), l'on voit que la f
es deux côtés. . Si à présent on veut examiner la motilité de cette région , on s'aperçoit qu'elle est réduite au prorata d
sons ici un de nos clichés de la radiographie latérale gauche de la région cervicale. 48 BERTOLOTTI Nous avons cherché à
ce tient simplement à l'atrophie profonde de lous les muscles de la région cervi- cale postérieure chez notre malade, de t
En avant le creux sus-claviculaire est très prononcée, de même que la région sons-claviculaire qui présente un méplat assez
sente une cyphose cervico-dorsale et une lordose très accusée de la région lombaire. Cette déviation anormale delà colonne v
'un syndrome partiel de la D. R. sur les nerfs et les muscles de la région cervicale postérieure et de la ceinture scapulo
u trapèze, du stel'l1o-cléido-mastoïdien, de tous les muscles de la région cervicale postérieure et des épaules. En plus i
ns ensuite la séméio- logie de l'atrophie cantonnée au muscle de la région cervicale postérieure et les troubles statiques
l'examen clinique on constate une amyotrophie énorme dans toute la région cervicale postérieure, les épaules et la ceinture
isceau horizontal qui réunit l'acromion aux apophyses épineuses. La région delà nuque a perdu sa configuration normale, la
ns intéressantes sur la fonction et l'innervation des muscles de la région cervicale postérieure. Il fait remarquer dans s
ulement à l'atrophie musculaire qui en réalité était cantonnée à la région cervico-dorsale, mais elles ont été déter- miné
n outre que ces spasmes fonctionnels peuvent siéger dans toutes les régions du corps et se manifester à l'oc- casion des ac
leur subite et angoissante, avec sensation d'élan, siégeant dans la région rétro-sternale, et irradiant dans la région cub
'élan, siégeant dans la région rétro-sternale, et irradiant dans la région cubitale des deux bras, surtout du bras gauche.
sont absolument les mêmes qu'en 1902, souffle fort systolique à la région endo-apexienne, second bruit normal. Les deux pou
qu'il se produisait' de temps en temps de petites secousses dans la région interne déjà paume de la main. Pendant toute la
métallique, dont le couvercle est perforé d'un trou, répondant à la région de la tête. Au-dessus, se trouve la source radifè
ndent assez bien la zone irra- diée ; on n'en rencontre pas dans la région lombaire. Sur toutes les coupes, ellessont stri
stance blanche. On les trouve également sur toutes les coupes de la région cervico-dorsale. Dans les régions cervicale et lo
lement sur toutes les coupes de la région cervico-dorsale. Dans les régions cervicale et lombaire, le canal de l'épendyme,
osine-orange). D - Exp. 2. Cellules pyramidales du cerveau, dans la région des hémorrhagies. Méthode de Ramon y Cajal. E -
eux n'apparaissent modifiés (Pl. XV, E) : c'est à peine si, dans la région lombaire, on trouve quelques rares cellules prése
eur gauche, les réflexes sont aussi exa, gérés : en frappant sur la région de l'apophyse coracoïde il se produit un mou- v
de 3 ou 4 ans survient une petite tumeur de la peau du cou dans la région prélaryn-ienne. Cette tumeur a été enlevée ; il r
e dans la photographie ; la prise progressi- ve et envahissante des régions musculaires. Avec Brissaud, Meige, Babinski, Fr
fatigue laryngée. Il faut donc pla- cer le point de départ dans la région laryngée (la déglutition peut agir aussi par pa
ect arqué est accentué par le développement énorme des muscles delà région externe de la jambe. A gauche il y a un faux as
mouvements actifs ou pas- sifs de la langue. Or on constata dans la région du plexus cervical et brachial du cou une régio
n constata dans la région du plexus cervical et brachial du cou une région douloureuse et endurcie et l'on expliqua les mo
dant à l'insertion des dernières fibres du deltoïde; c'est aussi la région où l'épaisseur de la couche musculaire autour de
al jusqu'à trois doigts au-dessus, elle envahit la zone externe de la région et dessine un relief sensible. On a l'impressio
ments forcés l'empâtement prend une consistance plus dure ; y) à la région antéro-externe de l'avant-bras où elle est légè
l'hypothermie manifeste : pas d'oedème. On retrouve ici encore des régions musculaires soit atrophiées soit hyper- trophié
terne du triceps, à la partie tout inféro-externe de la cuisse. Les régions musculaires frappées ont une consistance tantôt
fait ressortir d'autant la saillie de la crête iliaque. Pas d'autre région atrophiée. Le tendon d'Achille, les insertions te
une forme oblique ovalaire. L'ensel- lure lombaire a disparu. La région abdominale, très plissée, a conservé sa musculatu
t en plus ; il fut atteint par une gêne douloureuse au niveau de la région dorso-lombaire. Les médecins consultés à cette
eux, et par l'apparition d'un réseau artériel très prononcé dans la région temporale et pariétale. Le malade de soi-même s
trabécules osseuses sont un peu irrégulières et transversales à la région moyenne où d'habitude les travées sont seulement
t de suite que le coeur est déplacé à droite ; à l'inspection de la région cardiaque on peut remarquer la présence d'une pul
e le malade est placé dans le décubitus horizontal, en examinant la région du foie, on peut relever l'existence d'un sillon
on, Trophmdème hystérique. Journ. de méd. pratique de Lyon et de la région , 31 déc. 1903. (5) C. Parhon et S. FLORIAN, Sur
une douleur spontanée dans ses membres inférieurs ; la pression des régions cedématiées est douloureuse. 2 novembre. - Le
phère. Au niveau des malléoles internes, et externes, il existe une région triangulaire séparée des régions voisines par d
nternes, et externes, il existe une région triangulaire séparée des régions voisines par des sillons très profonds. A la ja
urrelet venant recouvrir comme une collerette une partie des autres régions oedématiées des pieds. La localisation de f'oedèm
s capillaires, des os ; aucune veine ne se dessine sous la peau des régions oedématiées ; pas de varices veineuses ou lymph
es ; M... se plaint surtout des parties de son corps autres que les régions oedématiées. La cicatrice du pied droit s'est e
impossible de rattacher à un type nosographique défini. La peau des régions oedématiées est rosée et non pâle comme dans le
pporté dernièrement un cas de ce genre ; chez son sujet la peau des régions oedématiées était rosée ;on obtenait un godet à l
s passifs très éten- dus sans provoquer la moindre douleur. Dans la région de l'extrémité supé- 284 STCHERBAK rieure dro
stéro-névritique. Pareillement, les secousses particulières dans la région des muscles atrophiés disparurent ; ces secousses
thorax est affaissé, aplati, rétracté en masse. Les ganglions de la région sus et sous-claviculaire gauche sont volumineux
Le 5 janvier, la cachexie fait de rapides progrès. On remarque, à la région antérieure du thorax, la présence de plusieurs
paisseur dn muscle grand pectoral. Les ganglions lymphati- ques des régions sous-claviculaire et axillaire gauches sont durs
eurs parois, la substance cérébrale de l'hémisphère surtout dans la région de l'insula gauche (PI. XXXVIII). Cette observa
me assez volumineux et douloureux s'est développé au ni- veau de la région latérale gauche du thorax, et partir de cette épo
x ; il existe des douleurs névralgiques intercostales dans toute la région sous-jacente. L'état général et local reste sta
e observation peut être rapprochée d'un cas de glio-sar- come de la région opto-striée développé chez une jeune tille de 19
es membres inférieurs est d'une pâleur cireuse. La pression de la région iliaque gauche et des masses musculaires des deux
tre sondée. Le 7 octobre se déclare un début d'escarrification à la région sacrée ; et une escarre étendue profonde, non d
étendue profonde, non douloureuse, à odeur fétide, se produit à la région malléolaire externe droite, mettant d'emblée à nu
fixat. alcool-ammoniacal. Gross. 600 d. II. - Nerf sciatique à la région crurale : ? c. jeunes cylindraxes ; g. s. ancienn
hidiens et les racines antérieures et postérieures de ces différentes régions ; sur les nerfs crural et sciatique et leurs br
es subissent la chromolyse, les petites cellules funiculaires de la région médullaire présidant à l'innervation des membre
tre une prédilection marquée de l'agent morbide pour telle ou telle région du système nerveux, de même que nous voyons les
inges sont légèrement épaissies sur toute la hauteur, avec, dans la région dorso-lombaire, quelques adhé- rences interméni
en arrière, présentent un léger infil- trat lymphocylique, dans la région dorsale moyenne, l'un des feuillets de la clois
isseau nettement oblitéré ou sténose. La moelle présente, depuis la région cervicale inférieure jusqu'à la ré- 370 ALQUIER
re, ou, au contraire, tout en arrière, contre la pie- mère. Dans la région lombaire et sacrée supérieure, la partie centrale
ons latéraux montre des lésions analogues, qui, bien qu'occupant la région du pyramidal croisé, sont faciles à distinguer,
jeté sur nos photogra- phies montre que la forme et l'étendue de la région démyélinisée, d'une irrégularité qui défie tout
ltiplicité des lésions, etde leur diffusion. A divers niveaux de la région dorsale, le cordon anté- rieur présente, de cha
nt mé- connaissables, et ne reprennent leurs caractères que dans la région cervi- cale moyenne, et au-dessous des premiers
ous avons dit que les foyers myélomalaciques remontaient jusqu'à la région cervicale inférieure, et descendaient jusqu'à la
jusqu'à la région cervicale inférieure, et descendaient jusqu'à la région sacrée ; au- dessus et au-dessous de ces limite
est tombé malade le 2 novembre avec mal de tête et douleurs dans la région lom- baire,et dans les membres inférieurs. Il d
l est apparu en même temps plusieurs cas de la même maladie dans la région où elle demeure et aussi que quelques personnes e
droit, sur- tout de l'articulation coxo-fémorale. Les muscles de la région fessière se mon- trent un peu réduits. Le réfle
ui cependant n'est plus complète ; elle est plus développée dans la région des hanches et des cuisses. \ Les muscles abdom
mais à droite seulement des contractions presque insensibles. Dans la région des petits obliques située au-dessus du ligamen
e Pourpart, nous n'obte- nons que de faibles contractions. Dans les régions latérales du tronc entre la crête iliaque et le
l peut mouvoir librement le tronc sans s'aider des bras, mais cette région est encore très restreinte. Comme on le voit, c
, frissons et douleurs le long du dos, depuis la nuque jusque vers la région sacrée. Le 22 août une parésie du membre inféri
ût. Il' y a une raideur de la nuque, qui n'est pas intense. Dans la région cervicale de la colonne vertébrale il a des doule
nt conclure à une parésie de la mus- culature du tronc. , Dans la région où cette malade demeure, il y a eu presque en mêm
lie, s'é- tendant sans interruption dans toute la moelle, depuis la région sacrée jusqu'aux segments supérieurs de la moel
ligne médiane, passent dans les cordons latéraux et montent dans la région des faisceaux de Gowers. Pour ces sensibilités,
ègue existe des deux côtés ; il y a aussi douleurs, si l'on presse la région fessière. Etat le 17 août. La paralysie des m
male- ment. L'étude de la moelle a été faite sur des fragments de régions cervicale, dorsale et lombaire par les mêmes mé
mal. La présence des mastzellen n'était pas plus fréquente dans les régions voisines de la muqueuse que dans les parties plus
L'aspect général du sujet vu de face est des plus remarquables. Les régions mammaires sont saillantes ; Otto a de véritables
z, au menton, aux lèvres, et surtout au niveau des jam- bes dans la région malléolaire où l'épaisseur des parties molles est
hérent presque total de la cornée avec ectasie de la sclère dans la région ciliaire, partie interne. OEil gauche : Visus : 0
trait horizontal sur le troisième cartilage gauche 2 cent. 1/2. La région précordiale apparaît normale à la palpation ; on
t. Elles ont le type long plutôt que le type large. Le pouls est la région la plus épaisse. Les doigts sont gros, allongés
e la cuisse et la jambe qui sont toutes les deux très lon- gues. La région malléolaire est extrêmement épaissie quoique il n
ces forma- tions, trouble aboutissant à l'hyperfonclionnement, ces régions intermé- diaires qui sont déjà le point de dépa
oit, à peu près à égale distance dupubis et du bord inférieur de la région mammaire. Le naevus antérieur est situé sur un
met pulmonaire induré et l'autre ramolli. Il porte des naevi sur la région ab- dominale. Le premier, de forme quadrilatère
ne cirrhose alcoolique à type hypertrophique. Elle présente dans la région du flanc gauche un naevus pigmentaire congénita
i lui revient dans ce travail. Ce malade présente au niveau de la région pectorale et du membre su- périeur gauche un va
rale et du membre su- périeur gauche un vaste naevus : il occupe la région mammaire, confinant en dedans à la ligne médian
ce fer à cheval croise la face postérieure du bras au niveau de la région deltoïdienne, descend le long de son bord externe
une étendue de 3 centimètres environ sur la moelle, au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale supérieure ; el
ntra-utérine; 2° Que par sa situation, à la partie inférieure de la région cervicale et à la partie supérieure de la régio
e inférieure de la région cervicale et à la partie supérieure de la région dorsale, elle est en quelque rapport avec la to
sion, siégeant précisément au point de la moelle qui est voisin des régions de l'innervation du membre supérieur et du thorax
d'un processus morbide qui à un moment donné a pu être étendu à des régions voisines, placées au même niveau : centres gris
e avec courbure postérieure, surtout de la portion supérieure de la région dorsale. Les muscles du cou et du corps sont atro
a sensibilité est émoussée au niveau de la division des nerfs de la région dorsale et de ceux de la région inférieure du cou
veau de la division des nerfs de la région dorsale et de ceux de la région inférieure du cou ; on constate de la paresttés
; il lève les jambes au lit ; la sensibilité est conservée dans la région fémorale droite. Lorsque le corps est baissé en
uvements de la colonne vertébrale, parurent des douleurs dans cette région . L'année dernière, des troubles psychiques l'on
épaississement est surtout marqué dans la portion supérieure de la région cervicale où la dure- mère atteint 3 millimètre
de fibres à myéline des faisceaux latéraux pyra- midaux et dans la région ventrale des faisceaux postérieurs, ainsi qu'une
. On constate une atrophie particulièrement intense au niveau de la région dorsale. Quelques racines postérieures de la régi
au niveau de la région dorsale. Quelques racines postérieures de la région dorsale supérieure ne renferment plus du tout d
est de beaucoup moins marquée. On ne la trouve pas du tout dans la région cervicale supérieure. A l'examen microscopiqu
cervicale supérieure. A l'examen microscopique du ganglion de la région lombaire, il a été trouvé beaucoup de cellules
e préparée par l'ébullition montre une cyphose très mar- quée de la région dorsale formant presque une courbe régulière d'un
rieure on voit qu'elle forme uue légère sco- liose à gauche dans la région dorsale. Notre pièce a conservé les vertèbres lom
baires, toutes les vertèbres dorsales, trois vertèbres et demie de la région sacrée et trois vertèbres cervicales. Nous al
icales. Nous allons décrire à part les lésions trouvées dans chaque région . Région cervicale. Les vertèbres se sont fusion
Nous allons décrire à part les lésions trouvées dans chaque région. Région cervicale. Les vertèbres se sont fusionnées les u
s et, confondues toutes ensemble, paraissent constituer un seul os. Région dorsale. La première vertèbre dorsale fait corps
me de la troisième vertèbre; mais cette fente est oblitérée dans sa région médiane par une tubérosité osseuse entre la trois
elles paraissent triangulaires et forment une scoliose. Quant à la région dorsale, les fentes intervertébrales n'existent p
nstaté également un épaississement de la dure -mère au niveau de la région cervicale de la moelle épinière ainsi que son adh
admettre une inflammation chronique de la pie-mère au niveau de la région dorsale de la moelle épinière. D'après Bechtere
ertébrale a amené l'atrophie des disques in- tervertébraux dans ses régions supérieures et inférieures ; les cartilages int
il avait perçu un craquement dans l'épine dorsale, au niveau de la région lombaire. La sensation que le malade éprouva en
e s'il y avait eu dislocation des vertèbres entre elles, dans cette région . Ni en ce moment ni dans la suite, il n'éprouva d
e région. Ni en ce moment ni dans la suite, il n'éprouva dans cette région aucune douleur, ni localisée, ni diffuse, ni spon
zones d'hypoesthésie au contact et à la douleur aux environs de la région mamillaire; 3° Hypoesthésie aux diverses formes
colonne cervicale jusqu'à la colonne lombaire : dans cette dernière région , elles atteignent dans tous les cas décrits, le
sion avec légère hypophonèse dans la fosse sus : claviculaire, cette région appa- raît en effet plus pleine que la région h
: claviculaire, cette région appa- raît en effet plus pleine que la région homologue du côté droit et on doit se souvenir
tanées. Abdomen enfoncé, assez compressible, indolent dans toutes ses régions . On ne provoque pas de bruits de remuement ou d
eine un centimètre de longueur. Sa largeur est un peu moindre. La région antéro-externe de la jambe droite est le siège de
on thoracique. Il s'agissait d'une compression de la moelle dans la région du renflement cervical avec paralysie et anesth
de laquelle S... blessa son adversaire d'un coup de couteau dans la région du coeur. Faisant pendant au poignard, on voit
une main qui tient un bouquet de fleurs dans la moitié droite de la région thoracique. Ce dessin symbolise un hommage que S
st pi- quée dans ses cheveux et sa main tient un éventail. Sur la région deltoïdienne, des fleurs sont parsemées et au mil
espaces vides dans lesquels ont été tatouées six figurines. Sur la région scapulaire, on voit, d'un côté, une femme dont la
un jour, on m'amena D... qui se plaignait de vives douleurs dans la région anale. L'examen me révéla les signes indiscutable
légitime. Une abeille est tatouée à la naissance du cou, et, sur la région scapulaire, se trouve représenté un bateau à de
retour prochain vers la France. Un mousquetaire occupe également la région scapulaire. Dans le cas présent, il s'agit d'un
s. Il porte sur la partie médiane du dos une tête de femme, sur les régions scapulaires un clown et un prêtre protant binoc
partis sur tout le corps. a) Sur le dos, on trouve, au niveau de la région scapulaire gauche, un matelot, quelques fleurs
s'agit de deux rivales qui se disputèrent les faveurs de S... Sur la région sca- pulaire droite, un mousquetaire. J'ai trou
reconnaissance pour les affiliés d'une association secrète. Sur la région thora- cique gauche, on voit uue femme décollet
« La raison du plus fort est toujours la meilleure. » Enfin, sur la région fessière gauche, une tête de femme ayant la mêm
emme ayant la même signification que celle que j'ai signalée sur la région thoracique gauche. - . b) Sur la partie antérie
antérieure du tronc, on voit une guirlande de fleurs orner les deux régions claviculaires. Sur la région sternale, un aigle a
ne guirlande de fleurs orner les deux régions claviculaires. Sur la région sternale, un aigle aux ailes dé- ployées porte
ale une inscription lubrique : liobinet d'amour. Enfin, dans chaque région inguinale, on note une tête de femme. c) Les de
eux cornes. « Un pauvre cocu de mes amis, » m'explique S.... Sur la région deltoidienne gauche, on voit un trèfle, signe de
s, mais ne passe pas pour un irréductible. Il porte sur chacune des régions pectorales deux silhouet- tes féminines qui rap
l'avant-bras. Une figure de femme mal ébauchée occupe le centre de la région abdominale. Observation XVIII. (Tatouage n° 1
le mousquetaire toulonnais que j'ai déjà signalé plus haut. Sur la région épigastrique, on voit deux mains unies dont l'une
e de fleurs remarquablement tatouée barre la poitrine au niveau des régions sous-claviculaires. Observations XIX et XX. (Ta
ster au désir de se faire tatouer le portrait de leurs amies sur la région abdominale. 598 BOIGEY Outre cette figurine,
eux et reçoit uu coup de revolver dans la poitrine, au niveau de la région claviculaire. Hos- pitalisé à Marseille, il gué
caractéristiques : une chaîne qui barre la poitrine au niveau de la région claviculaire et qui est l'indice d'un emprisonnem
randissant un éventail chevauche un porc. Deux femmes oc- cupent la région pectorale ; l'une d'elles porte la coiffure natio
se. C... m'apprend qu'il s'agit des portraits de deux amies. Sur la région deltoïdienne droite, on devine l'étoile déjà si
d'un signe de reconnaissance pour les affiliés d'une bande. Sur la région del- toïdienne gauche, un oiseau tient dans son
écis, très faible à entraîner au mal comme au bien. Il porte sur la région épigastrique le portrait de sa maîtresse. Des bra
ucoup près l'intensité qu'elle prend dans la partie interne. A la région dorsale du noyau dentelé droit, il existe un peti
bres sont régulières et ne présentent pas les lésions observées aux régions inférieures. Les bras de la commissure de Werne
e l'olive elle-même. Sur certaines coupes, particulièrement dans la région supérieure, l'olive ap- paraît comme une masse
on ne distingue plus les circonvolutions. Au microscope, dans les régions les moins altérées, à la partie moyenne surtout
myéline; quelques rares fibres transversales la traversent dans la région postérieure. Le hile est entièrement démyélinisé;
ibres, le feutrage extraciliaire est tout à fait raréfié. Dans la région inférieure on observe les mêmes lésions ; restent
au postérieur assez bien développé. Fibres cérébello-olivaires. - Région inférieure. Ces fibres sont en général diminuée
respecté, quoiqu'un grand nombre semble bien avoir disparu. A la région moyenne, il n'y a plus de fibres transversales pa
du côté droit; on peut les suivre jusqu'au corps restiforme. A la région supérieure, on trouve la même raréfaction, peut-ê
e Reil médian est atteint au niveau de son quart interne ; dans les régions supérieures on constate l'atrophie de la partie t
té droit, présente une dégénération des plus nettes, affectant à la région cervicale la forme d'une virgule renversée, étend
e s'arrêtant à quelque distance de la périphérie de la moelle. A la région dorsale la zone de dégénération est triangulair
e de dégénération est triangulaire à sommet externe ; au niveau des régions dorsale inférieure, lombaire, et sacrée, elle o
qu'elle en diffère par l'existence d'une sclérose manifeste dans les régions dégénérées. Plus récemment M. G. Holmes a pro
dulte (1), et d'autre part une coupe intéressant à peu près la même région chez notre petit malade. Nous attirerons dès ma
imites ne'sont pas aussi précises qu'à l'état normal. Autour de ces régions comprimées on voit les vaisseaux très dilatés. Da
granulations jaunes. Ces granulations sont plus abondantes dans la région qui regarde vers la cavité folliculaire. En som
tration de la substance glomérulaire n'est pas uniforme; à côté des régions presque intactes, on en trouve d'autres complètem
balle a pénétré par l'angle externe de l'oeil droit en blessant là région de l'hypophyse ou la glande même. - A la disc
auteur conclut que les tumeurs de l'hypophyse, ainsi que celles des régions basales voisines qui sont accompagnées d'une hydr
é de la voûte plantaire est augmentée et la tête des phalanges à la région plantaire est revêtue par un abondant tissu adi
aires normales aux bases, un peu diminuées au sommet droit. Dans la région du sommet droit, l'inspiration est un peu souffla
toute la moelle par exemple depuis les segments in- férieurs de la région sacrée jusqu'aux noyaux du bulbe sans aucune inte
pant une large bande de la moitié gau- che du thorax, au niveau des régions scapulaire et mammaire, et ne présentant du res
sons sous l'action de forces analogues à celles qui ont imposé à une région géographique donnée la configuration qui la car
pital commence à blanchir et, vers le cinquième mois seulement, les régions antérieures commencent a se développer ; la dif
47 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ont gros, ses extrémités sont froides et cyanosées et il porte à la région cervicale et surtout sous la mâchoire, un chape
corps mousse, baguette de verre ou cylindre de papier roulé, sur la région sternale de R... une raie rectiligne. Nous voyo
ou six minutes plus tard, la bande rouge se soulève, pâlit dans sa région axiale, reste érythé- mateuse sur les bords et
bablement réflexe des vaso-moteurs cuta- nés au niveau précis de la région excitée. {Phase d'ischémie vaso- motrice.) 2°
t diffuse due à la dilatation neuro-paralytique des vaisseaux de la région excitée et même, par propagation, des régions m
ue des vaisseaux de la région excitée et même, par propagation, des régions marginales voisines. (Phase érythémateuse par c
neuro-paralytique.) 4° Presque en même temps, anémie relative des régions centrales ou axiales de la papule érythémateuse
s de quinze minutes, un thermomètre à tem- pérature locale aux deux régions symétriques du corps dont l'une était couverte
é les flancs et la face interne des cuisses de R..., nous vîmes les régions se couvrir d'une magnifique « roséole syphiliti
disparut rapidement. Les plaques étant placées de nouveau, sur une région cutanée très voisine, nous fîmes passer progres
r même avant tout examen microscopique. Ces placards, siégeantà)a région inguino-crurate, bien limités, d'un rouge brun
USE. formes ou de croûtes de l'intertrigo et de l'eczéma de cette région . Seul, l'érythème trichophytique pourrait en im
nce à l'aide d'un instrument piquant, par exemple une aiguille, une région quelconque du membre droit, le malade ressent l
et il souffre alors énormément. Mais c'est surtout au niveau de la région sacrée que ces douleurs sont les plus fortes, p
avec l'esprit camphré, l'application de ventouses scarifiées à la région lombaire et des purgatifs. ' Le J 5 juin, ce mé
uée. Toute la surface antérieure de la cuisse gauche, à savoir la région qui, à une époque antérieure, était le siège de l
étaient pris de vomissements accompagnés de douleurs violentes à la région gas- trique ; ils vomissaient jour et nuit et r
calisait, anesthésie. de la surface antérieure de la cuisse droite, région ayant été à une époque antérieure le siège de l
; on trouve des plaques d'anesthésie assez étendues aux différentes régions do ses membres inférieurs. A d'autres régions,
ndues aux différentes régions do ses membres inférieurs. A d'autres régions , nous avons conslalé des retards dans la sensib
on consécutive aux embolies et à l'infiltration gazeuse siège aux régions postérieures de la partie dorso- lombaire de la
t la partie postérieure du cou et surtout la moitié droite de cette région , s'étendant jusqu'à l'occiput et s'irradiant auss
e consulte un médecin qui lui applique deux vésicatoires à ces deux régions douloureuses; il lui donne aussi quelques médi-
traitement une vingtaine de jours; les douleurs qui occupaient les régions sus- mentionnées s'irradiaient rarement Je long
bilité. Le malade se plaint encore avec amertume de ses douleurs Ma région postérieure du cou, lesquels par moment s'exasp
n de petites pointes de feu tous les huit ou dix jours sur toute la région de l'axe spi- nal et surtout sur la région de l
u dix jours sur toute la région de l'axe spi- nal et surtout sur la région de la nuque et sur le moignon de l'épaule; 6),
xtra-myéli- tique. C'est le siège de la lésion aux méninges de la région cervicale de la moelle et surtout de sa partie
t, sous la peau, un pseudo-oedème plus ou moins abondant, selon les régions .' Cette couche sous-cutanée est très épaisse à
tout au niveau des aisselles. La colonne vertébrale est déviée à la région dorsale; la convexité tournée à droite fait une
de profit en la promenant dans les marchés et dans les foires de la région . Dans les fêtes de nos campagnes, comme dans ce
spaces péricellulaires très augmentés ; les petites fibres de cette région ont disparu. Dans les cornes posté- rieures, il
s et très courtes des muscles sous-cutanés, plus fréquentes dans la région du dos, qui donnaient au malade la sensation d'
contrôle et de la coordination. Ces lésions débute- raient par les régions inférieures de l'encéphale, se manifestant par
IOGRAPHIE. l'animal en un point du bulbe qui est le noeud vital. La région du noeud vital ne parait pas, pour l'homme, êtr
ez pensé avec moi, Messieurs, que l'établissement d'un Concours par région pou- vait résoudre le problème. On prendrait po
nard, j'émettrais le voeu que le département de la Seine formât une région à lui seul, tant en raison du nombre de ses asi
qu'on ne peut joindre aux asiles de ce département, pour former la région dont il sera le centre que les deux établisseme
cteurs, article ainsi conçu : « Le Concours devrait être établi par régions , en prenant pour centre de chacune d'elles soit
les préparatoires. Enfin, il estime que les médecins adjoints d'une région pourront être nommés médecins en chef ou médeci
mmés médecins en chef ou médecins directeurs dans toutes les autres régions . M. Giraud est partisan d'un concours uniqne po
l'avancement des médecins adjoints ne devrait pas être limité à la région dans laquelle ils ont été nommés. « Il n'y a pas
, si le hasard veut que des vacances aient lieu dans telle ou telle région , et l'on produirait ainsi du découragement. I
de la France. L'institution du con- cours et sa spécialisation par régions auront pour résultat d'éle- ver le niveau du co
ins adjoints des asiles d'alié- nés de France devra être établi par régions , en prenant pour centre de chacune, d'eues les
nationalité française. Ils seront admis à concourir dans toutes les régions , suivant leur convenance. Les médecins adjoints
pecteurs, « on ne devra joindre au département de la Seine, pour la région dont Paris sera le centre, que les deux établis
résolutions ci-après : Un concours sera ouvert, au chef-lieu de la région , toutes les fois que le nombre des places vacan
e jury sera composé : Il de trois médecins en chef des asiles de la région ; 2° d'un inspecteur général, docteur en médecine;
ront tirés au sort parmi tous les médecins en chef des asiles de la région . L'avis des inspecteurs généraux indique qu'il
adjoints dans les asiles d'aliénés de France, devra être établi par régions , en pre- nant pour centre de chacune d'elles, l
nationalité française. Ils seront admis à concourir dans boutes les régions , suivant leur convenance. )).Les médecins adj
nommés au concours. IV. Un concours sera ouvert au chef-lieu de la région toutes les fois que le nombre des places vacant
e jury sera composé : 1° de trois médecins en chef des asiles de la région ; 2° ,d'un inspecteur général, docteur en médec
uppléant seront tirés au sort parmi tous les médecins en chef de la région . VI. Les épreuves seront au nombre de quatre :
le 26 décembre prochain ; le concours sera ouvert dans chacune des régions indiquées par le tableau annexé audit arrêté. (
e, décembre prochain. Cette demande, qui devra indiquer dans quelle région le can- didat veut subir le concours, sera acco
t le 20 décembre. Voici les renseigne- ments que nous avons reçu. Région de la Faculté de médecine (le Lille. Jury : MM. l
ite, 2 : : sur 30; Ep. orale, 14 sur 20; Ep. clinique, 26 sur 30. Région delà Facultéde médecine de Paris.-Le concours s'e
té les candidats, au nom du jury, pour leurs brillantes épreuves. Région de la Faculté de médecine de Nancy. Deux candidat
arce que la liste des Directeurs-médecins et médecins en chef de la région était épuisée). jRë ? ode.Ft<c ! dfëdejBorde
directeur-médecin de l'asile public de Sainte-Catherine (Allier). Région de la Faculté de Montpellier. {Pas de Candidat.)
allopain, directeur-médecin de l'asile public de Pierrefeu (Var). Région de la Faculté de Lyon. Le concours est ouvert le
et BRTII01(CUi'. · Bien qu'il n'y ait pas eu de candidats dans la région des Fa- cultés de Bordeaux et de Montpellier, c
ordons postérieurs de la moelle épinière de l'homme, présentant une région nettement séparée des régions voisines, se divi
épinière de l'homme, présentant une région nettement séparée des régions voisines, se divisent, comme on le sait, en deu
82 ANATOMIE. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE. atteint ainsi la région des faisceaux de Goll ; la seconde partie de fi
it d'examen ophthalmoscopique) ; paralysie presque complète dans la région du nerf oculomoteur de l'oeil gauche; ptosis, s
.dans la droite, la sensibilité tactile a beaucoup diminué dans la région du nerf culaneus lateralis, du nerf ilio-inguinal
dans la jambe droite ; dans la gauche, anes- thésie tactile dans la région du nerf cutaneus posterior. Anes- thésie, mais
s les deux membres inférieurs et est presque réduite à zéro dans la région des nerfs sciatiques. Exagération marquée de la
l'un de ces accès; j'ai pu constater une anesthésie totale dans la région des deux nerfs trijumeaux et un trismus très vi
riane et une friction énergiqu e opérée sur les deux joues, dans la région des masséters. La malade craint exces- sivement
rrhe de la vessie en soit le résultat. Les accès de douleur dans la région de la vessie rappellent tout à fait les crises
urs traditions religieuses et nationales. Les Juifs qui habitent la région orientale de l'Allemagne et de l'Autriche offre
s contenter d'hypothèses pfus ou moins probables. Ainsi, quoique la région motrice de la couche corticale ait été dessinée
présentation des moitiés correspondantes des deux rétines dans la région ôccipito-angutaire correspondante, le pli courb
la région ôccipito-angutaire correspondante, le pli courbe est la région spéciale de la vision claire ou centrale de t'o
jeune homme reçoit de près un coup de fusil qui l'atteint dans la région occipitale; il est frappé de cécité subite. Il
rébrale, d'origine corticale, la lésion occupe à peu près la même région que celle qui a été indiquée comme étant le siè
attention. En même temps, le malade se plaignait d'une douleur à la région gastrique avec sensation d'angoisse. Cet état,
ancinantes, qui siégeaient aux différentes 2S0 CLINIQUE NERVEUSE. régions du côté paralysé. Cette scène morbide a duré au t
ait remarquables; par exemple, on peut développer une plaie sur une région de peau saine. Il était tout naturel que certai
autres Archives, t. XVII. iS 274 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. régions . Les ganglions intervertébraux ne sont pas attein
28 centimètres de long ; à cette période, toutes les fibres de la région comprise entre le plancher du quatrième ventricul
évie un peu en dehors, et monte vers la moitié correspondante de la région moyenne du vermis supérieur. Le troisième faisc
isent en deux groupes : les unes, plus nombreuses pas- sent dans la région antéro-interne des cordons de Burdach et, après
s-unes de ces fibres entrent en con- nexion avec les cellules de la région moyenne de la substance grise; d'autres arriven
nflement lombaire, cette dernière partie de fibres grêles occupe la région la plus externe des cordons de Burdach. De la c
les dernières se dirigent en avant : une partie se continue dans la région correspond dante de la corne antérieure, l'autr
voie de conduction le faisceau cérébelleux direct; il reste donc la région périphérique des cordons de Burdach pour des-'
sensibilité cutanée est croisée. C'est donc le faisceau formant la région limitante du cordon antéro-latéral qui doit êtr
M. Bechterew pour les décou- vertes suivantes : A la naissance, la région antéro-interne des cordons de Burdach est seule
ceau cérébelleux direct. Il n'a pas observé la dégénérescence de la région dé- crite par Gowers et Bechterew. Les symptôme
ses époques de l'examen; des fluctuations se Firent sentir pour les régions considérées à des intervalles de temps très cou
ec formation de cavités dans la substance grise centrale de la même région . Pas d'autopsie. P. K. XII. De LA PARALYSIE SIM
la suture sagittale avec compen- sation en hauteur du crâne par la région de la fontanelle. Ce qui distingue ce crâne de
on lui, que « les graves désordres consécutifs à l'extirpation de régions déterminées du cerveau peuvent graduelle- ment
erveau. On a vu que les troubles consécutifs à la destruction d'une région du cerveau ne doivent pas être tous attribués à
On ne peut parvenir à déterminer ainsi la fonction véritable de la région détruite. Pour y arri- ver, considérons les fon
calisations cérébrales implique né- cessairement cette loi : chaque région déterminée du cerveau d'un animal quelconque po
nctions identiques chez tous les individus de la même espèce; les régions cérébrales homologues des autres espèces possèd
compte tou- jours du développement morphologique variable de ces régions ). Théoriquement, les infractions à cette loi ne
isque les phénomènes de déficit consécutifs à l'ablation d'une même région du cerveau doivent être constants, tandis que l
é des suppléan- ces cérébrales. Une extirpation pratiquée sur une région déterminée de l'hémisphère gauche, amène à droi
ralysie par les aires " circonvoisines (Carville et Duret), par les régions symétriques de l'hé- misphère opposé (Soltmaun)
teintes plus LES FONCTIONS DU CERVEAU. 355 ou moins foncées, les régions les plus fréquemment lésées. A l'aide de cet ar
ce chromographique, une zone corticale assez étendue se détache des régions environnantes restées intactes : c'est dans cet
n cer- tain nombre de cas où il existait tel symptôme et où telle région de l'écorce cérébrale se trouvait lésée, quoiqu
à tous égards ; 2° les lésions rencontrées doivent occuper la même région de l'écorce, être superposables au moins en par
atteint de constipation et pour la première fois apparurent dans la région de la hanche et du genou droits, des douleurs t
temps il y eut une certaine enflure (la peau était rouge) dans la région de l'articulation tibio-tarsienne. Cependant, I..
t frappées d'anesthésie : dans le bras droit (depuis mars 1887j les régions des nerfs cutaneus, medialis, mé- dius, cutaucu
des îlots où la sensi- bilité est plus grande, par exemple, dans la région des nerfs saphènes, sur la face interne de la p
ets froids et peut tout de suite en indiquer la po- sition. Dans la région des nerfs peroniers de la jambe gauche une temp
s. La sensation de pression est excessivement affaiblie ; dans la région des deux crista* tibia;, le malade ne sent pas mê
tanée est sensiblement L affaiblie par places, par exemple, dans la région des nerfs saheni de la jambe droite où elle est
tacte, à la hanche droite, par exemple; à la hanche gauche, dans la région du nerf cutaneus lateralis, le seul attou- chem
e rend absolument pas compte de contractions très violentes dans la région du muscle vaste interne. Les réflexes cutanés s
ée et pour la première fois se produisit un engourdissement dans la région des quatrième et cinquième doigts de la main dr
pérature est normale. Il y a une dilatation énorme de l'estomac, la région gastrique formant une saillie con- sidérable ét
avait en même temps des douleurs liés fortes au bas-ventre et à la région lombaire. La rétention d'urines concomitante a
ravaux. Ces douleurs peuvent siéger partout et se lo- caliser à une région déterminée ou bien se généraliser, de manière à
i l'a fait vomir. Tous s'étaient mis à le frictionner, surtout à la région gastrique qui était gonflée. A 4 heures du soir
omprimé en 1877. i° Il a été atteint plusieurs fois aux différentes régions du corps d'accidents douloureux dont la durée v
fluence des variations atmos- phériques. Sensation désagréable à la région lombaire. Pas de troubles trophiques ou vasomot
ou- geur ni autre changement de la coloration de la peau de cette région . Il comprenait parfaitement la parole entendue. A
. Au bout d'une demi- heure, il est pris de fortes douleurs dans la région épigastrique, et en même temps s'aperçoit qu'il
les jambes, les cuisses, la vessie et le rectum, Aux douleurs de la région épigastrique s'ajoutait la tension du ventre ; il
tasien gauche et à la plante du même pied. Douleurs atroces dans la région de l'estomac ; constipation constante. Le malad
oin de son pays, il n'était pas convenablement soigné, la peau à la région du sacrum avait commencé à devenir rouge ; j'at
es, des changements fréquents de position et des lavements de cette région avec de l'eau de Goulard et avec de la décoctio
lavements. L'état du malade s'améliora par ces soins, la peau à la région du sacrum revint à son état normal et le malade
. 11 se plaignait d'avoir une gêne au thorax et une oppression à la région précordiale, mais il ne semblait pas avoir de l
u le froid frapper les éléments des plaques motrices de certaines régions dans un cas rapporté par M. Yulpian où les centre
- resthésies, douleurs fulgurantes, conservation du tact dans les régions complètement analgésiées). A l'hôpital militair
jiewsliy, 4° an., fasc. 1, 1886. Bechtérew. De l'excitabilité de la région psycho-motrice chez les chiens nouveau-nés. Le
onus multiplex. Le Médecin, n° 3, 1887. - De la physiologie de la région psycho-motrice de l'écorce cérébrale. At'c/t. d
pter dans l'appli- cation avec la compétence spécifique de diverses régions : moelle épinière, centres sensorio-moteurs, ce
48 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
e contact entre les processus physiologiques et psychiques sont ces régions du cerveau où la réception des excitations des or
opi- niâtre dans l'occiput ; les maladies du corpus callosum et des régions voi- sines seulement semblent être constamment
que, dans les environs du corpus callosum et vers l'intérieur delà région frontale du cerveau, se trouvent ces tissus, do
ements volontaires est en corrélation avec l'intégrité de certaines régions corticales et que les pertes de la subs- tance
dans les cas de lésion transversale complète de la moelle, dans la région cervicale ou dorsale supérieure, l'homme est atte
exes tendineux exagérés ; et si toute la moelle est sectionnée à la région cervicale, c'est-à-dire les deux voies qui cond
ALE . PAR LÉSION DU LOBULE PARA CENTRAL · 2° LÉSION ÉTENDUE DE LA RÉGION ROLANDIQUE, D'ORIGINE INTRA-UTÉRINE SANS HÉMI
coupes sériées montre dans ces deux cas la délimitation exacte des régions détruites et des anomalies intéressantes des dé
he. Autopsie. Le diagnostic posé, pendant la vie, de lésion de la région rolandique supérieure, est confirmé par la cons
ution Fi (PI. IV, B). Cette lésion respecte la forme générale de la région paracentrale, car elle est très' MONOPLÉGIE CRU
lanche pour couper les fibres de projection qui descendent de cette région externe ; ainsi s'explique l'intégrité des mouvem
supé- rieur. En suivant sur la série des coupes les lésions de la région paracentrale, en voit qu'elles se terminent en
res. Les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la région paracentrale portent : 1° sur les fibres courte
rale portent : 1° sur les fibres courtes d'association qui vont aux régions avoisinantes de écorce cere- brale ; 2° sur les
secteur postérieur qui correspond à la projection des fibres de la région rolandique supérieure. Mais déjà dans la partie s
se qui remplace habi- tuellement les fibres dégénérées ; et dans la région qu'ils devraient occuper, c'est-à-dire dans le
rrait conclure, si on arrêtait ici l'examen liistolo- gique, que la région du lobule paracentral n'envoie que très peu de fi
rès peu de fibres de projection cortico-médullaires. Mais dans la région cervicale de la moelle épinière (fig. 5) apparaît
a localisation corticale des mouvements du membre inférieur dans la région rolandique supérieure. Depuis longtemps d'aille
cises. Dans le cas particulier elle montre comment une lésion de la région du lobule paracentral peut déterminer une paral
cependant bien des cas antérieurs au nôtre ont prouvé que dans les régions corticales et sous-corticales les zones motrice
xplication du fait est la sui- vante : Une lésion corticale de la région rotandiquesnpérieure,en s'étendant dans la prof
légie crurale. On voit en effet sur la figure 2 qu'une lésion de la région du lobule paracen- tral n'a pas beaucoup de che
de chemin à parcourir pour atteindre les fibres de projection delà région rolandique moyenne ; cette dernière, au contraire
(1) En se reportant à un tableau de l'irrigation vasculaire de cette région (DEJEttINE, Anatomie des centres nerveux, t. II
ajet les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la région rolandique supérieure : bien visibles en effet av
e trouve en dernière analyse qu'une diminution simple du volume des régions que traversaient des fibres supprimées. Ce proces
énération secondaire, qui paraît peu impor- tante dans une certaine région , soit marquée plus loin par une zone de scléros
centimètres environ du pôle frontal. La lésion a détruit dans cette région le bord inférieur de la circonvolution Fa et la p
mprend la plus grande partie de la cavité porencéphalique, toute la région centrale (corps opto-striés et capsule interne)
e comme sur la face interne du cerveau. Mais, dès qu'on arrive à la région oc- cupée par la cavité kystique, il se fait un
comparant cette coupe avec celles d'un cerveau normal, dans la même région (v. Dejerine, Anatomie des centres nerveux, t. I,
que l'avant-mur et la capsule externe, détruits également dans les régions sus-jacentes. . La lésion destructive a limité
ts à l'écorce cérébrale et au centre ovale; elle ne s'étend pas aux régions centrales et basales du cerveau : sauf le putam
corps opto-striés, la capsule interne et les divers éléments de la région sous-optique sont indemnes de toute lésion prim
ien qu'on a sur une même coupe horizon- tale (fig. 8) : en avant la région thalamique supérieure, en arrière le com- mence
la région thalamique supérieure, en arrière le com- mencement de la région sous-optique. A la suite de ce tassement des part
externe et interne du cerveau. Plus bas quand on s'approche de la région évidée et que les circonvolutions de la face ex
Que les fibres de projection provenant de la partie supérieure de la région rolandique (lobule paracentral et circonvolutio
les devraient faire défaut FiG. 8. Coupe horizontale passant par la région thalamique moyenne. l'UItL\CL : L'll1L1E CONGÉN
antérieure de ce dernier, étant donnée la destruction complète delà région rolandique inférieure, qui y fait passer à l'état
nviron est encore plus évident dans la capsule interne (fig. 8). La région du genou et la partie antérieure du segment posté
ue d'un ré- seau de fibrilles bien myélinisées. Plus bas, dans la région sous-thalamique et jusque dans la partie supérieu
ur de la capsule interne Fig. 9. - Coupe horizontale passant par la région sous-thalamique. Fig. 10. 5 5 LONG se répar
colorées par la méthode de Weigert (fig. 9). On sait que dans cette région le segment postérieur de la capsule interne est t
glique sur le trajet de la voie motrice descendante ; sauf dans la région sous-thalamique où le réseau des fibres transve
interne de cet orteil ; les douleurs intenses irradient à toute la région métatarsienne et aux autres orteils avec sensat
douleurs très violentes. Celles-ci persistèrent dans l'épaule et la région du grand pectoral, assez inten- ses pour rendre
la chemise entr'ouverte, on distingue chaque détail du cou et de la région sternale. La masse in- testinale s'est échappée
après les quelques cas décrits par d'autres auteurs. La forme de la région occipitale est plus variable : le plus souvent,
n'ai trouvé que dans un seul cas le défaut d'ossification limité à la région de la fontanelle postérieure. Exception faite p
est la dépression en sillon de la su- ture médiane, surtout dans la région obélique. Elle a été observée dans 19 au moins
aisait jamais défaut. Moins apparentes sont les altérations dans la région des fontanelles laté- rales. Néanmoins j'ai tou
gion des fontanelles laté- rales. Néanmoins j'ai toujours trouvé la région astérique enfoncée chez mes sujets vivants et,
itale (v. Pl. XVI) ; et même, dans le crâne d'Helsingfors, toute la région pariétale de la voûte crânienne était composée'
racé ra- , diographique A de la pl. XVII montre une partie de cette région avec les osselets et les sutures ; on y voit au
la base du crâne, il faut d'abord remarquer que la dépression de la région auriculaire fait supposer un arrêt de croissance
qu'elle nous montre une ossification incomplète, également dans la région de la fontanelle astérique. 98 HULTKRANTZ que
nez, souvent en retrait sous le front saillant, et la forme -de la région occipitale pourraient faire supposer que la dimen
base du crâne que je viens de décrire. Seuls, le renfoncement de la région auriculaire et la position élevée de l'apo- phy
bombé, la proéminence et l'écartement des yeux, l'étroitesse de la région maxillaire, et nullement dans une protru- sion
orbitisme .assez souvent apparent et l'aplatissement constant de la région des joues sont les marques d'un développement i
s, il sen- tait comme une piqûre d'épingle en un point limité de la région pariétale droite. Ce point, d'après ce qu'il in
es veines ont gardé leurs dimensions. Il n'y a rien à signaler à la région maculaire. L'acuité visuelle est nulle, le mala
tumeur avait même été placé dans l'hémisphère droit au niveau de la région rolandique, en raison de la localisation de la cé
et au-dessous, jusqu'aux limites delà compression, dans les autres régions de la moelle,il n'y a que les dégénérescences asc
a moitié du côté gauche, la face interne du vagin, et en arrière la région péri-anale un peu moins anesthésiée à sa périphér
Slv ne subsiste que le triangle de Gombault et Philippe. Ainsi ces régions , zone marginale de Westphal, faisceau de Hoche et
angle de Gombault et Philippe et la zone cornu-commissu- rale de la région lombaire inférieure et de la région dorsale tout
zone cornu-commissu- rale de la région lombaire inférieure et de la région dorsale tout entière. Pour le triangle de Gomba
ant des racines postérieu- res dans le zone cornu-commissuralede la région lombaire inférieure et de la région dorsale, me
le zone cornu-commissuralede la région lombaire inférieure et de la région dorsale, mes coupes confirment tout à fait les ob
et la colonne vertébrale ne présente qu'une ébauche de lordose à la région lombaire. Rien de particulier du côté des nerfs
n lymphatique infiltré et hyper- trophié du creux axillaire ou delà région sus-claviculaire, par exemple), A PROPOS D'UN C
moelle cervicale (fig. 6). Moelle lombaire supérieure : Dans cette région le nombre des tubes nerveux colorés en noir est
protoplasme. ' Ces mêmes faits on les rencontre à n'importe quelle région de l'axe médul- laire. En présence des modifi
on du tendon du muscle correspondant, ou de la zone cutanée dans la région en général sus-jacente au muscle qui va se cont
fecté et l'enflure ne s'étendait pas sur le tronc. S'il y avait des régions des membres inférieurs moins affectés que le re
, et sans décoloration. L'enflure effaçait les contours normaux des régions , et les proéminences osseuses des malléoles, des
du quadriceps extenseur fémoral ou des muscles de la jambe dans sa région postérieure. Les muscles tibiaux anté- rieurs r
ougeur au-dessus du genou était disparue à l'exception d'une petite région à la partie supérieure du triangle de Scarpa. L
para- bles à l'érysipèle. Les frissons, la lièvre, la douleur de la région affectée, les vomissements qui peuvent se produ
st de les mettre au lit et d'appliquer des topiques anodins sur les régions affectées. L'état de notre propre malade ne pou
Après quelques sommations, il semble cependant qu'au niveau de la région olécranienne les piqûres profondes soient légèrem
ent de violents accès de céphalée et un gonflement oedémateux de la région prostato-périnéale. Stigmates hystériques : ane
d'anesthésie tégumentaire irrégulièrement réparties au niveau de la région mammaire, de la fosse iliaque droite et du membre
Exagération transitoire des réflexes rotuliens. Les téguments de la région périnéale sont insensibles à la piqûre, sensibles
rs religieuses. Plus tard,Nicolas 1er les exila au Caucase dans une région très insalubre où sévissait la malaria, croyant
qui n'existerait pas s'il existait une corde aponévrotique dans la région interne de la paume de la main.- Les mains numé
roite, et dans cet acte, des plis apparaissent plus marqués dans la région sous-orbitaire droite que gauche. Toute tentati
e. Ajoutons la présence d'une plaque érythémateuse survenue dans la région sacrée, de petites dimensions et ayant rapideme
ons. La sclé- rose névroglique est également très accentuée dans la région des cellules pyramidales profondes. NOUVELLE
mouvement réflexe ne portera plus seule- ment sur les muscles de la région excitée : il y aura irradiation du mou- vement,
eux, mettre ceux-là dans la corticalité (van Gehuchten), ou dans la région bulbo-cervico-spinale (Rosenthal et Mendelssohn
t vertébral antérieur paraît presque sain ; il existe dans toute la région dorso-lombaire de très minces ponts osseux inégal
avec la cordose cervicale. La cyphose com- prend donc : 1° toute la région lombaire ; 2» toute la région dorsale ; 30 la p
cyphose com- prend donc : 1° toute la région lombaire ; 2» toute la région dorsale ; 30 la partie inférieure de la région
mbaire ; 2» toute la région dorsale ; 30 la partie inférieure de la région cervicale. Il faut remarquer la parfaite régula-
ne présente aucun coude, aucune inflexion, pas plus au niveau de la région lombaire qu'au niveau de la région cervicale, con
lexion, pas plus au niveau de la région lombaire qu'au niveau de la région cervicale, contraire- ment à la 21 pièce de P.
rbe de compensation à convexité droite à la partie supérieure de la région dorsale ; c) une légère scoliose à grand rayon,
intervébraux disparus. Cette même disposition existe au niveau des régions cervicales et lombaires. Mais ici le tassement
nt et ne se traduit que par la courbe à grand rayon que présente la région dorsale ; il existe néanmoins, puisque cette co
r- vertébraux sont recouverts par une surface osseuse lisse dans sa région anté- rieure et présentant des aspérités sur se
pé par les disques intervertébraux. Mêmes caractères encore pour la région lombaire qui a une longueur de 12 centimètres a
. Les apophyses épineuses présentent une véritable imbrication à la région cervicale par le fait de la lordose. Elles so
e et la 8" où elles ont subi une fusion incomplète. Au niveau de la région dorsale et lombaire, les apophyses sont écartée
e lui forme l'ossification du ligament sus-épineux. Au niveau de la région dorsale, cette déformation se traduit par un al
filé vient se continuer avec l'apophyse sous-jacente. Au niveau de la région lombaire, les apophyses épineuses subissent au
partie ossifié. Cette ossification manque entièrement au niveau de la région cervicale : fait qui vient encore à l'appui des
es ponts osseux reliant les extrémités des apophyses épineuses à la région dorsale ; cette ossification était presque comp
tirée, une partie a disparu dans les manipulations. Au niveau de la région lombaire l'os- sification du ligament sus-épine
e rejoignent pas complètement. Il faut noter aussi, au niveau de la région lombaire, l'aplatissement de la ligne sus-épineus
ossification de ces ligaments est inégalement répar- tie suivant la région . Elle est totale à la région cervicale, à ce nive
est inégalement répar- tie suivant la région. Elle est totale à la région cervicale, à ce niveau les lames vertébrales se
es vertébrales pro- duite par la cordose facilite leur fusion. A la région dorsale, la soudure des lames est limitée aux p
alisées dans une ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE 287 seule et même région paraissant être la conséquence de ruptures ligame
e pièce, le ligament sus-épineux ossifié au maximum au niveau de la région dorsale supérieure, sommet de la'courbe, alors
de la'courbe, alors qu'il n'y a aucune trace d'ossification dans la région cervicale, au niveau de la concavité. On peut m
29, 1907. (5) Achard et Ctcnc, Ankylose spondylo-rhizomélique de la région cervicale et des épaules, avec amyotrophie syri
il a 3 ou 4 crises de douleurs dans les han- ches, et aussi dans la région cervicale et dans les épaules. On lui met des p
nne vertébrale présente une rigidité plus marquée, siégeant dans la région cervicale et dans la région lombaire. 11 se meu
rigidité plus marquée, siégeant dans la région cervicale et dans la région lombaire. 11 se meut tout d'une pièce, le tronc
ment de la colonne dor- sale, il n'y a plus d'ensellure normale. La région cervicale est aussi rectiligne, au niveau de la
normale. La région cervicale est aussi rectiligne, au niveau de la région cervicale il y a une saillie prononcée de la 7e c
portée en avant. Les mouvements sont entièrement supprimés dans la région lombaire; la région dorsale présente quelque mo
s mouvements sont entièrement supprimés dans la région lombaire; la région dorsale présente quelque mobilité limitée, permet
ésente quelque mobilité limitée, permettant une légère flexion ; la région cervicale est aussi rigide ; l'extension est tota
rcussion des apophyses épineuses est légèrement douloureuse dans la région cervicale et dans la région lombaire. Les douleur
uses est légèrement douloureuse dans la région cervicale et dans la région lombaire. Les douleurs éprouvées par le malade
s apophyses épineuses, surtout marquée à la partie inférieure de la région cervicale et au niveau de la région lombaire. L
ée à la partie inférieure de la région cervicale et au niveau de la région lombaire. Les 10, et 41e dorsales font une sailli
ction. Il y a eu autrefois des douleurs en ceinture au niveau de la région abdominale. Elle sont moins mar- quées aujourd'
mités déterminent des craquements articulaires. Les muscles de la région sont un peu atropliiés, notamment le sus et le
tème nerveux. T... éprouve des douleurs fulgurantes par- tant de la région lombaire et s'irradiant dans les membres inférieu
OMÉGALIE ? 2ylr " bure du rachis lombaire avec légère lordose de la région dorsale, plus marquée dans la station debout. E
peu à peu elle s'accentua, particulièrement au matin, localisée à la région fron- tale. Jamais de troubles de la vue ni de
la déformation du nez : il ne se souvient pas d'avoir reçu en cette région aucun traumatisme. Le nez, volumi- DEUX CAS D'O
upes sé- riées, il m'est impossible de grouper mes observations par régions céré- brales. Il ne me reste qu'à les publier à
ologiques devaient leur origine à une tumeur de l'hémisphère droit, région motrice. Soudée à la dure- mère, elle en était
nché cette question. Dirigée aussi exactement que pos- sille sur la région corticale du bras gauche, l'ouverture faite par l
Les voies optiques ont été lésées de 2 manières différentes. 1. La région du chiasma présente à sa partie supérieure une co
Résumé. -IL s'agit d'un sarcome, sis immédiatement en arrière de la région motrice du bras. Cela explique l'apparition préco
es et par un épaississe- ment général. Ce n'est guère que dans la région de la fig. 2 que la différence entre les deux h
nt que peu sur le courant céphalo-rachidien, par exemple celles des régions antérieures du cerveau, peuvent fort bien ne se
naire. Le néoplasme paraît avoir eu son point de départ la la base, régions de oFi et deLi. Il occupe la place de N. C. et
. L'aphasie doit relever de la destruction des fibres traversant la région de l'insula et des lésions générales de l'hémisph
vénérienne. A signaler simplement un traumatisme ayant porté sur la région lombaire, accident survenu après la naissance de
lies d'épaisseur, mais sa coloration varie, suivant les différentes régions du corps ; au tronc et aux membres infé- rieurs
it : il présente une dépression longitudinale assez marquée dans la région occipitale supérieure. Il est asymétrique, ainsi
les muscles qui s'y insèrent sont peu développés, en sorte que les régions pectorales et scapulaires n'ont pas leur conforma
r 1897. ' BRECMANN et STE11OEAUS. - Tumeurs de l'hypophyse et de la région hypophysaire. Journ. de Neur., 1907, nO, 16 et
s de homard ». Les déformations sont exclusivement localisées aux régions que repro- duisent les photographies ci-jointes
sphères. Cet aspect est particulièrement marqué à la convexité, aux régions frontales et le long des scissures de Sylvius. Le
érieures. Ses différents aspects sont des plus nets : triangle à la région lombo-sacrée,tractus allongea la région dorsale
des plus nets : triangle à la région lombo-sacrée,tractus allongea la région dorsale, de nouveau triangle à la région cervic
sacrée,tractus allongea la région dorsale, de nouveau triangle à la région cervicale. A noter à la partie su- périeure de
angle à la région cervicale. A noter à la partie su- périeure de la région dorsale une forme curieuse : l'extrémité antérieu
me endroit et qui se déversaient dans les artères capillaires de la région . Est-ce possible ? Les gangrènes culanées embol
ie crurale par lésion du lobule paracentral. Lésion étendue de la région rolandique d'origine intra-utérine sans hémiplé
ressive (4 pl.), par Boschi, 75. Hémiplégie (Lésion étendue de la région rolandique d'origine intra-utérine sans conse
aléral homogène et hétéro- gène, par Klippel et Pierre WEIL, 270. Région rolandique (Lésion étendue de la- 1 d'origine i
49 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
spasmo-frênatrice au niveau du pli de l'aine du côté droit, dans une région symétrique à la zone spasmogène du côté gauche.
he et s'arrêtant brusquement au menton; elle remonte un peu vers la région temporale, mais ne s'étend pas vers la branche
'sous des clavicules et autour de l'ombilic. Pas de douleur dans la région ova- rienne. Elle se plaint en outre d'éprouver
lesse et à la douleur qu'elle 'éprouvait dans le côté gauche de la- région dorsale. Cette amélioration se maintint dans la s
cles eux-mêmes, s'accentuait alors et s'étendait bientôt aux autres régions musculaires, au tronc, aux membres supérieurs e
sur laface interne. Le sens musculaire subsiste pourtant dans cette région , car une pression forte y est perçue. Les mains t
es, tenant à des troubles des nerfs vaso-moteurs, se voient sur les régions hypothénar et sur divers autres poinls du corps
d, il ressent de la faiblesse dans les jambes, des douleurs dans la région sacrée et les membres inférieurs avec sensation
hors d'usage. Elle se plaint de douleurs dans le côté gauche de la région sacrée, principalement quand elle pose le pied
au,niveau de la.face.'Au cou elle prédomine pour les muscles de la région postérieure, qui ont en grande partie disparu (
: pas de réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la région ). Réaction faradique à peu près normale. Muscle
ns opposées, l'une déterminée par la paroi utérine, l'autre par une région foetale sur laquelle le crâne s'appuyait. Les
tale et à un centimètre environ en avant d'elle. J'ai tra- versé la région du sinus longitudinal en le décollant du crâne et
uis le supinateur et le brachial antérieur, enfin les muscles de la région postérieure. Il ne cesse pendant cet effort de fi
provoquer l'attaque en exerçant une pression assez forte, soit sur la région du flanc droit, soit dans le flanc gauche. La c
une douleur extrêmement vive, presque insupportable, partant dc la région cervicale et se'dirigeant en avant vers le sternu
a nuque. Il se plaignait aussi d'une gêne douloureuse siégeant à la région sacrée. Sa mémoire s'amoindrit : il avait, nous d
s, se nourrissant bien et ne faisant aucune espèce d'excès. Dans la région dorsale existe un point, douloureux superficiel
grand hypnotisme; il suffit de frapper modérément, avec la main, la région dorsale, pour déterminer une paralysie des memb
de quoi il pouvait bien s'agir, nous frappons un coup modéré sur la région dorsale de la colonne vertébrale. Elle se plaint
ue temps auparavant, en travaillant aux mines, il avait reçu sur la région dorsale un quartier de roc. Il tomba immédiatem
constata la légère saillie précédente avec un peu d'oedème dans la région lombaire. La pression à ce niveau n'est pas dou
ntaires, « mor- phologiques » respectant les organes génitaux et la région sacrée; elle est limitée supérieurement par une
embres inférieurs, mais encore les organes génitaux, l'abdomen, les régions sacrée et lombaire, dans une hauteur variable (
ou. On ne constate cependant pas de déformation bien nette de cette région ni d'atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci ré-
e de la sensibilité à la pression de la colonne vertébrale et de la région rachidienne qu'on rencontrait ce jour-là et qu'
eux côtés,' droite 'et à gauche, sur les confins de la joue et delà région sous-maxillaire des saillies irrégulières, mame-
maxillaire inférieur. Etant donné- la rareté comparative dans cette région des scrofulides cutanées avec les scrofulides g
utanée. C'est à la face qu'elle est le plus marquée ; la peau de la région est lisse, flasque, pendante, comme chez un vie
blanche comme de l'urticaire. Le 19 mai, quelques douleurs dans la région sous-maxillaire gauche. Sur la région temporale,
ai, quelques douleurs dans la région sous-maxillaire gauche. Sur la région temporale, du même côté, plaque rouge livide ér
de ses crises. Elle accuse aussi des douleurs sourdes au niveau des régions lombaire et hypogastrique, et une hyperesthésie d
son aspect lisse et uni. L'aspect ridé de la peau varie suivant les régions et suivant l'altitude- de la malade. ' A la tôl
plans sous-,jacents et. pen- .danté. Au niveau des lèvres et de la région mentonnière, ces caractères sont CONTRIBUTION A
TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M l'étouffé ; c'est vers le milieu de la région sternale qu'elle localise cette sen- sation.
ridée qui encadre celui-ci à la manière d'un double menton, dans la région sus-hyoïdienne médiane. Sur les parties latéral
onnent l'aspect et la consistance de masses ganglionnaires. Dans la région sous-hyoïdienne, la peau est également ridée, p
coup moins accusés, sauf à la partie inférieure, aux fesses et à la région sacrée. Sur les parties latérales l'aspect ridé e
peau y est très ridée ainsi qu'à la face interne des bras, et à la région olécranienne. A l'avant-bras l'aspect se rapproch
la 176 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cuisse, dans les régions exactement symétriques, la peau présente d'autres
er aisément. Elle en est pour ainsi dire détachée, surtout dans les régions où l'aspect ridé est le plus accusé. Elle semble
. Lorsqu'on la pince entre deux doigts, on fait apparaître dans des régions peu touchées une infinité de plis plus manifestes
toujours cette céphalée gravative incessante et prédominant dans la région occipitale qui est apparue dès la seconde semaine
out le crâne. Cette céphalée était particulièrement intense dans la région occipitale. En outre, il se plaignait d'une gên
'une gêne douloureuse siégeant à la partie inférieure du dos sur la région médiane, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui fai
ec sensation de pression à l'occiput, sensation de compression à la région sacrée, perte de l'appétit, digestions difficil
ant les accès qui suivirent ultérieurement, aucune douleur dans les régions ova- riennes, aucune sensation de boule, de con
: céphalée tenace, constrictive, généralisée, mais prédominant à la région occi- pitale ; sensation de gêne, de pression,
pitale ; sensation de gêne, de pression, permanente au niveau de la région sacrée; diminution des forces; inappétence; dig
ule et le creux de l'aisselle en empiétant un peu, en avant, sur la région antéro-latéralc droite du thorax. Pas d'anesthé
roite. Ces douleurs descendaient le long de la nuque jusque dans la région lombaire en suivant la colonne vertébrale. Ren-
rchant, mais cette boiterie est causée par un état douloureux de la région du cou-de-pied droit. En marchant, la malade ép
` ? 0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Par la pression des régions et. des points suivants, on détermine une sen-
cuir chevelu est un peu hyperesthésiquc. A la nuque. Dans toute la région la pression est douloureuse, mais il y a un poi
ule (côté de la flexion) sont particulièrement douloureux. Tronc. Région ovarienne gauche. Membres inférieurs. Les deux
eux. Tronc. Région ovarienne gauche. Membres inférieurs. Les deux régions inguino-crurales, le creux poplité droit, la fa
pendant plusieurs heures, un aimant puissant mis en contact avec la région malade. Souvent nous affirmions aux malades en po
ce. A. Crâne. Le crâne, tel que nous avons à l'étudier, est cette région de l'extrémité céphalique qui commence en avant a
a verticalis ou superior de Blumenbach, qui, permettant de voir les régions frontales, pariétales, une partie des régions t
ermettant de voir les régions frontales, pariétales, une partie des régions temporales et occipitales sert il découvrir déjà
e la hauteur et la largeur du front, la dépression laté- rale de la région fronto-pariétalc, l'asymétrie frontale, etc. L'
ontal minimum ont pour but de renseigner sur le développement de la région frontale. Mais ce sont des mensurations bien su
° Trigonocéphalie (-.pcyowcv, triangle), crâne à contour triangu- ' région frontale en forme de coin, élargissement des boss
ernières, déjà étudiées par Gosse, ont été observées dans certaines régions de la France, telles que la Seine- Inférieure (
dé de 11'ei8crt, coupes 1'01 tant sur le bulbe, la protubérance, la région des noyaux des muscles oculaires. Les faisceaux
te leur étendue; altérations des zones radiculaires surtout dans la région dorsale, peu dans la région cervicale, très peu d
des zones radiculaires surtout dans la région dorsale, peu dans la région cervicale, très peu dans la région lombaire. Sc
ans la région dorsale, peu dans la région cervicale, très peu dans la région lombaire. Sclérose dans les cordons de Goll à l
peu dans la région lombaire. Sclérose dans les cordons de Goll à la région cervicale. ' Dans la substance grise, dégénérat
tés kys- tiques occupant la substance gélatineuse postérieure de la région lombaire. Corpuscules amyloïdes nombreux au sei
ralement jusqu'au voisinage de la zone radiculaire; il partir de la région dorsale la lésion était strictement limitée aux c
articulièrement atteint. L'hypérémie est considérable dans toute la région . Enfin les noyaux de Westphal présentent peu d'
c'est-à-dire du corps pituitaire et de la lame criblée, enfin de la région où pénètre le moteur oculaire commun, pour 2° l
s à la face postérieure de la pie-mère spécialement au niveau de la région lombaire. Le malade qui a présenté la dégénéres
e, puisqu'il touche non pas une partie quelconque du corps, mais la région où se concentre pour ainsi dire toute l'inten-
qui limitent le creux poplité étaient rigides comme des cordes. La région du genou présentait des altérations appréciables
âgée de quarante-sept ans, habile ordinairement le Pérou, dans une région marécageuse où régnent des fièvres paludéennes as
emaines. Bientôt la douleur s'étendit à la jambe gauche et gagna la région des reins. En même temps apparaissait une contr
cile de constater la tension des muscles formant sous la peau de la région postérieure de la cuisse des cordes très appréc
tout quand on examine le malade debout et par derrière; existe à la région inférieure une légère courbure scoliotique dont
médiaire où la douleur est perçue, mais moins vivement que dans les régions symétriques du côté opposé. Dans cette zone de
la moelle épinière, on fit une quantité de coupes dans les diverses régions de ces parties. En examinant les coupes frontal
undibulc. Des hémorrhagies semblables se rencontraient dans la même région de la partie postérieure des couches optiques e
ffet au niveau du bulbe et de la protubérance, spécialement dans la région de l'oculo-moteur, des hémorrhagies capillaires a
ancs et rouges disséminés; hémorrhagies capillaires au niveau de la région correspondant au noyau de l'oculo-moteur commun
orbide de notre cas; s'il en est ainsi, nous pouvons dire que cette région du cerveau est susceptible de lésion systématiq
t. Il existe deux zones douloureuses profondes, une au niveau de la région vertébrale dorso-lombaire; l'autre très étendue
rnières côtes du côté droit. Ces zones ne sont pas hystérogènes. La région lombaire présente, à l'état très accusé, cette sa
- vants (10 juin 1886) : la sensibilité culanée est abolie dans les régions symétriques des coudes et des genoux; l'anesthé
étriques des coudes et des genoux; l'anesthésie forme autour de ces régions un manchon très allongé. Le sens musculaire est c
tout en conservant une douleur fixe dans l'abdomen au niveau de la région ovarienne droite. Début de la maladie actHëe.
hyperesthésie, surtout prononcée dans le dos à gauche, s'étend à la région antérieure de la poitrine, à l'abdomen, à la part
men, on voit la trace de gros cautères qui ont été appliqués sur la région spinale et sur- le côté gauche du dos. La malad
rouvé de vives douleurs dans la colonne vertébrale, au niveau de la région lombaire et de la région dorsale. Ces douleurs
ans la colonne vertébrale, au niveau de la région lombaire et de la région dorsale. Ces douleurs duraient toute la journée;
ais avec difficulté; dans la marche, les membres infé- rieurs et la région lombaire étaient le siège de fortes douleurs; « e
ne chaise qu'elle pousse devant elle. Elle présente au niveau de la région lombaire une déformation de la colonne vertébra
n outre, plaques hyperes- thésiques très sensibles, au niveau de la région sternale et sur le sommet du vertex ; de plus,
Il existe encore une zone hystérogène dou- loureuse au niveau de la région ovarienne droite; la pression réveille des phén
quelque chose du côté des vertèbres. Un examen attentif de toute la région vertébrale ne me fait rien découvrir. » On le t
cas. C'est ainsi que parfois la contracture ne se localise pas à la région directement excitée, elle envahit le voisinage et
nt par la pression. Il y a une différence très nette dans les mêmes régions , dans la sensibilité de la peau considérée dans l
s mêmes régions, dans la sensibilité de la peau considérée dans les régions saines et dans les régions cyanosées; il y a à
nsibilité de la peau considérée dans les régions saines et dans les régions cyanosées; il y a à peu près partout une différen
prendre la température localesur les plaques asphyxiques et sur les régions voisines. Les thermomètres de surface dont on s
: plaque asphyxique, ` ? J°8; peau saine voisine, 31°. 29 avril, région lombaire droite : plaque asphyxique, 33°l.; peau
spécial chez le nouveau-né de la nuque, et plus générale- ment des régions vertébrales; 2u les anomalies morphologiques de l
it s'indiquer une concavité cervicale et une concavité lombaire, la région dorsale restant convexe. Il sem- blerait qu'alo
ernant l'épaule en arrière (Fig. G(i, 67). Au repos, le reste de la région dorsale et la région lombaire sont remarquablem
rière (Fig. G(i, 67). Au repos, le reste de la région dorsale et la région lombaire sont remarquablement uniformes : c'est
nt par les pieds l'enfant étendu sur le ventre, on détermine, il la région NOTE SUR LA MORPHOLOGIE DE LA NUQUE. 363 dors
ces plis se retrouvent plus petits, moins longs et moins larges la région lombaire, où ils cachent les seules saillies ap
t ici même, il y a plus de deux ans, l'anatomie morphologique de la région lombaire, et signalait à ce propos les erreurs
a saillie normale produite par la troisième apophyse épineuse de la région . Depuis cette époque, notre attention a été att
l avait diagnostiqué la tuberculose vertébrale ; or, la forme de la région est absolument normale; l'enfant depuis un an et
e et délire durant trois jours. - 2 octobre. Vives douleurs dans là région lombaire. Pointes de feu réclamées par la malade
ne siègent à la face, mais par contre elles sont très vives dans la région dorsale et autour de la taille. Ces crises dure
ie pharyngée. Il existe en outre une zone douloureuse au niveau des régions dorsale et lombaire du rachis, douleur déterminée
inutes; ces douleurs sont toujours exquises, surtout au niveau delà région lombaire et le feraient « tomber », dit-il, s'il
vives; autour de la taille, il se sent enserré et étouffe; dans la région dorsale, l'hyperesthésie est à son comble; elle
olue. La température (chaud, froid) n'est pas perçue dans les mêmes régions ; la douleur à la pipûre est également très aff
eux zones hystérogènes : l'une dans le flanc droit, l'autre dans la région dorso-lombaire. En ce point la sensibilité est
édées d'une sensation bizarre dans le flanc droit qui monte dans la région sternale sous forme de constriction pénible, puis
Il ne semble pas y avoir dans l'abdomen de douleur localisée à une région ; il est douloureux dans sa tota- lité. Cette z
tait alors 1G0 à la minute; il avait une douleur assez vive dans la région thyroïdienne avec sensation d'an- goisse el d'é
lutôt qu'osseuse occupant souvent deux points superposés du rachis ( région dorso- lombaire, région dorsale supérieure). La
t souvent deux points superposés du rachis (région dorso- lombaire, région dorsale supérieure). La peau est sensible d'ordin
occupent cer- tains sièges d'élection : à la tête, les joues et les régions sous-orbi- laires; le cou est rarement atteint;
cette intéressante particularité qu'elle se trouve localisée à une région très limitée : l'union du quart supérieur et de
mari la frictionne avec de l'eau sédative; cette douleur quitte la région dorsale pour venir se localiser à la partie média
t maigri, que les mouvements du pouce étaient difficiles, et que la région de l'éminence thénar était parcourue par des se
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. - loureuses : l'une dans la région ovarienne gauche, l'autre dans la fosse sus- ép
remière enfance, elle a eu, vers l'âge de trois ans, un abcès de la région sus-hyoïdienne dont il reste encore une petite
des articulations, ce qui la priva de tout mouvement. Aucune autre région du corps ne fut touchée. ÉTUDE DES SYNDROMES HY
main. Autrement dit l'amyotrophie hystérique s'est greffée sur une région déjà un peu amaigrie et très rapidement l'a décha
liens se contractent avec seize éléments NFC > PFC. Groupe de la région posté- rieure de l'avant-bras. L'extenseur prop
un membre affecté de paralysie ou de contracture, tan- tôt sur une région anesthésique ou hypel'esthésiquc que se développe
oppe l'atrophie hystérique, sur sa localisation habituelle dans des régions marquées pour ainsi dire d'avance par d'autres
vraisemblablement la reproduire, pourvu qu'elle siège dans la même région spinale. Au dernier congrès de Berlin, M. Minor
occupant un segment de membre, un membre entier, et sé- parées des régions intactes par des lignes à contours nets. Jusqu'
. Nous ne parlons pas des saillies de la colonne verté- brale, à la région lombaire notamment, que des médecins ignorants
gomyélie. l. Il. nicher, Sole sur l'al1alolllie morphologique de la région lombaire (Nouvelle lcv- nographie, 1888, p. 13)
ouvelle lcv- nographie, 1888, p. 13). 2. Durci, Déformation de la région lombaire de nature neuro-musculaire, crllluscolio
riences, dit M. Landolt, relatives à la perception des couleurs aux régions concentriques de la rétine ont prouvé que l'impre
seraient mal tranchées et se continueraient graduellement avec les régions intactes. Il y aurait là une espèce de zone de
e ou semble s'arrêter dans une phase stationnaire. Elle atteint les régions paralysées, contracturées ou anesthésiées. Dans
me dur, cyanose, avec abaissement de la température locale dans les régions affectées. D'ordinaire, il apparaît et disparaî
plus grande évidence, grâce à une déformation consi- dérable de la région thoracique antérieure et de l'aisselle. Dans cett
és, ecz'éiiiatiforities par places, papuleux dans d'autres. Pour la région interscapulaire, rougeur diffuse et très prurig
xystique dont il vient d'être parlé; il est surtout intense dans la région supérieure du dos et de la poitrine; sur les me
ation collatérale avec amélioration consécutive de la nutrition des régions malades ne pourrait avoir lieu qu'au bout d'un
qui fait que les adhérences de la dure-mère sont détruites dans la région des cor- dons postérieurs; d'autre part, la név
é la même expérience sur quatre cadavres, opérant deux fois dans la région des vertèbres cervicales et deux fois dans cell
50 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
fléchisseurs y font saillie. L'éminence hypothénar est déprimée, la région thénar est moins accusée que normalement. Les d
e nutritif (névrite), à la suite de la lièvre typhoïde, limité à la région du nerf cubital. Si l'on fait abstraction de
ns du petit doigt. : , 1 ? ' ; , ' ,, ; " ; ' ., ! . L'examen de-la, région du coude- montre que l'articulation est augmentée
ue nous avons déjà présentées se rappor- taient à des fractures des régions dorsale inférieure et lombaire supérieure; auss
n'était pas assez fortement incliné; la voûte heurta violemment la région cervicale postérieure, puis le reste du dos pas
colonne vertébrale, la palpation était douloureuse, surtout dans la région lombaire et dans la région cervicale. Le malade
ation était douloureuse, surtout dans la région lombaire et dans la région cervicale. Le malade se tient fortement courbé en
marche, ne tarde pas à provoquer une sensation douloureuse dans la région dorso-lombaire; le malade se repose en s'asseya
plus épaisse, quand on la pince entre deux doigts, que la peau des régions correspondantes de la cuisse droite. Il n'y a
s la journée. Le rachis est un peu douloureux à la pression dans la région dorso-lombaire et surtout dans la région sacrée
reux à la pression dans la région dorso-lombaire et surtout dans la région sacrée. Il y aurait parfois des douleurs spontané
cture du sacrum. On remarquera que l'anesthésie n'occupe aucune des régions innervées par des branches du plexus lombaire,
les- sure par arme à feu. OBs. VII. Blessure par arme à feu de la région de la nuque. Syndrome de jSroM'K-SeMa'rd,/tëM&l
rvice de M. Théo- phile Anger. , Il a reçu le 20 novembre dans la région de la nuque, une charge de plomb n° 8; le coup
mbre, c'est-à-dire qualre jours après, on constate ce qui suit : La région de la nuque, à droite de la ligne médiane, est cr
ère l'oreille droite existe une large ecchymose qui s'étend vcrs la région slerno-mastoïdiennc. De vasles épanchements san-
les épanchements san- guins, profondément situés, occupent toute la région latérale du cou. - Le malade n'a pas présenté u
it des zones étendues d'anesthésie. La délimitation scrupuleuse des régions anesthésiées n'a pu être faite, le temps nous aya
lonne dorsale avait déterminé en outre des troubles sensitifs de la région antérieure de la cuisse, dont l'innervation ne
membres inférieurs dans les quatre cas où la fracture occupait les régions dorsale, lombaire et sacrée, les membres supéri
ne dans les mouvements du rachis, un léger endolorissement de- la région , que la moindre fatigue provoque ou exagère; mais
s n'étaient pas élargis. La circonférence de chaque main faite à la région moyenne est de 9 pouces; autrefois la malade fa
tir. La colonne vertébrale présente dans la partie supérieure de la région dor- sale une cyphose plane; la tête est fortem
et coloration (fig. 21). Cheveux et sourcils bien développés. La région malaire fait une saillie notable; les os malaires
a nuque et le dos sont très larges, ce dernier est cyphotique dans la région dorsale. ' Thorax grand, large, rigide. Circo
malade pour rechercher s'il trou- verait chez elle la matité de la région supérieure du sternum qu'il avait cons- tatée c
n, souffle systolique intense s'étendant de la partie moyenne de la région occupée par la matité cardiaque jusque vers les c
cipalement due à la cyphose arciforme de la partie supérieure de la région dorsale du rachis et à l'attitude particulière
ire inférieur qui fait saillie dans toutes les direc- tions,puis la région des tempes et des oreilles. La partie de la régio
c- tions,puis la région des tempes et des oreilles. La partie de la région du maxillaire supérieur proche du nez est égale
ment trop longues sont assez maigres, les mollets sont flasques. La région du bassin paraît plus large que normalement. Le
llie eu avant et en haut; les fesses sont flasques et pendantes. La région lombaire du rachis est anormalement aplatie ; l
ndantes. La région lombaire du rachis est anormalement aplatie ; la région sacrée se rapproche de la direc- tion verticale
, ceci d'intéres- sant que le magnétiseur appuie directement sur la région ovarienne, région qui, comme on le sait, estle
sant que le magnétiseur appuie directement sur la région ovarienne, région qui, comme on le sait, estle siège de la plus fré
jonctive, anesthésie qui envahissait également, en cercle, toute la région périorhitaire, y compris les paupières.- L'amau
e de l'orbiculaire', à tel point que la peau des paupières et de la région péripalpébrale est fortement plissée. Si l'on e
il existe une photophobie intense. De plus, les paupières et les régions périorhilaircs droites et gauches, sont le sièg
insistant sur le membre inférieur et le cou. De même effleurage des régions périorhitaires. Sous cette influence, il survie
urbure latérale à concavité gauche, courbure portant surtout sur la région dorsale. Cette déformation, d'ailleurs peu accu
V). Armée de la sonde cannelée, l'opérateur explore une plaie de la région du coude. Le patient qui pousse les hauts cris,
la partie antérieure de la jambe, la partie forte des épaules, à la région lombaire, les écailles ont des dimensions considé
tre, parcourue par des sillons et des plis nombreux donnant à cette région un aspect ridé (pl. XXVI). A la région planta
s nombreux donnant à cette région un aspect ridé (pl. XXVI). A la région plantaire la peau a le même aspect; mais, en outr
à la palpalion ni chaleur, ni fluctuation, mais un empâtement de la région . Cette augmentation de volume paraît porter sur
à bords plus irréguliers, haute d'environ G centimètres, occupe la région dorsale du poignet. La dispostion est la môme q
z celui-ci l'anesthésie envahit la totalité de la face ainsi que la région postérieure de la tête et du cou; pour interpré
ral, le frontal, l'occipital, en un mot les muscles peauciers de la région , à droite, étaient en contracture. Pour le prem
te un sen- timent de tension nettement accusé par la malade dans la région frontale gauche. L'examen minutieux de la sen
l'insertion du peaucier, en haut, sur les limites supérieures de la région fronto-pariétale; en dehors, le pavillon de l'ore
rd postérieur du sterno-cléido-mastoï- dien; en haut, elle gagne la région fronto-pariétale et se termine par une ligne el
transfert de la sensibilité il droite (côté anesthésique) dans les régions correspondantes. Guérison de la contracture par
horizontalement en bas au niveau de l'omoplate, et en haut, dans la région occipitale, au niveau des insertions du trapèze.
ons du trapèze. La sensibilité est- revenue à droite dans les mêmes régions . Une séance d'hypnotisation fait disparaître la
dantes de la distributions des filets nerveux qui sensibilisent la région contracturéc. - Dans les cas que nous avons d
îte cranienne qui, gênant à leur tour le développement de certaines régions céré- brales, occasionneraient les troubles int
bre inférieur droit, au bras droit, à la face. En pressant sur la région tuméfiée de la plante du pied on provoque une v
à le faire disparaître. Quelques mots d'abord sur les formes de la région . En arrière du bassin proémine la fesse limitée
surbaissée. Un sillon peu profond et oblique sépare quelquefois la région du grand fessier de celle du moyen. La graiss
r de celle du moyen. La graisse qui double toujours la peau de la région , joue un rôle morphologique important. Elle acq
ert son maximum d'épaisseur à la partie inférieure et interne de la région . Et la saillie de toute la région estbien souve
artie inférieure et interne de la région. Et la saillie de toute la région estbien souvent beaucoup plus due à l'accumulatio
ont le système musculaire est généralement peu développé et dont la région fessière est néanmoins fort saillante. Les fess
r une série d'amas graisseux volumineux qui donnent à la coupe delà région l'aspect d'un lipome. Il n'est pas sans intérêt d
autre conséquence de cette disposition, c'est que la graisse, de la région est en quelque sorte contenue dans une espèce de
qui descend vers la cuisse et ménage une transition entre les deux régions voisines. Ce plan incliné est vrai- ment dû au
longueur. Portion dorsale. - Le grand sympathique dans toute cette région forme un cordon présentant au niveau des gangli
. Ces cordons sont plus volumi- neux que le pneumogastrique dans la région cervicale, ne mesurant que 4 millimètres. Au li
les orbites, se relèvent inférieurement et sont saillants dans leur région alvéolaire, mais les fosses canines demeurent t
située au pli de l'aine du côté gauche et s'étendant un peu sur la région atte- nante de la paroi abdominale. Des attaque
signes d'une coxalgie hystérique avec zone hyperesthésique dans la région externe du pli de 1 aine empiétant sur la régio
esthésique dans la région externe du pli de 1 aine empiétant sur la région supéro-externe de la hanche. Le membre inférieu
froid, à la chaleur, dans toute l'étendue de ce côté, sauf dans la région mammaire et axillaire et sur v la face postérie
almaire des doigts.. ' ' ' Thermo-anesthésie absolue dans les mêmes régions au froid (glace), à ta chaleur (100°. et au-des
ue des deux côtés ; plaques d'anesthésie complète il gauche dans la région sous-mammaire dans une étendue de G à 7 centimè
ion sous-mammaire dans une étendue de G à 7 centimètres, et dans la région interne de la cuisse vers la moitié inférieure;
t dans la région interne de la cuisse vers la moitié inférieure; la région symétrique de droite présente également une gra
ÊTRIÈRE, son membre inférieur droit en même temps que la peau de la région tuméfiée prenait une teinte rougeatrc, bleutée.
t. Cette fois on se borna à exer- cer une compression élastique des régions gonflées et au bout d'une semaine la tuméfactio
chez le malade dont nous donnons ici la reproduction. Toutes les régions du tégument ne sont pas également favorables à
également favorables à l'expérience. Il faut choisir, dit Gull, une région riche en fibres lisses. C'est sur la peau du th
on réussit le mieux à produire le phénomène, principalement dans la région dorsale. Sur les membres, l'excitabilité va en
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE, a l'air si l'on considère que, dans la région sternale par exemple, une distance verticale lo
ditions, nous n'avons observé aucun changement de dimension dans la région excitée. Entre deux points distants de 8 cen- t
etrait du tégument. D'ailleurs la même expérience pratiquée dans la région sternale, le malade ayant gardé l'immobilité ab
ransversales avaient été tracées voisines l'une de l'autre, dans la région deltoïdienne droite; l'excitation n'avait pas été
que nos tentatives ont échoué pour obtenir une pigmentation dans la région symétrique, du côté gauche. Dans le but d'étu
inutes) une ligne tracée, partie sur la peau intacte, partie sur la région anesthésiée, devient saillante d'abord dans la
ions les plus fortes. Mais nous avons pu constater, en examinant la région au bout de deux heures, l'existence de reliefs
étendue. Cet épuisement s'est prolongé jusqu'au lendemain dans une région fortement irritée à plusieurs reprises, et nous a
tes3. 1 1. Zunker, loc. cit., p. 505. 2. Ce même malade dont la région dorsale est photographiée ici, présente sur les j
ns la même situation. Je ne retrouve plus la zone hystérogène de la région sternale. Les périodes de grands mouvements qui
musculaire à marche lente et progressive, abolition dans certaines régions des diverses sensibilités avec dissociation pou
Toutefois il faut remarquer encore que l'intégrité du tact dans les régions anesthésiées n'est pas absolue et qu'il est obtus
ras gauche avec secousses fibrillaires, mais sans douleurs dans les régions des muscles en voie d'atrophie. , UN CAS D1;
one, à l'inverse de ce qui existe surla fig.83. Dans celle dernière région (ombilic face antérieure de la cuisse droite) l
l'attaque maib on l'arrêtait, de même que par la compression de la région correspon- dant à l'ovaire chez la femme (n'imp
). Le sinus latéral droit est seul marqué sur l'oc- cipital; sur la région mastoïdienne, il est plus large que le gauche, ai
é antérieure et droite dont le sommet répond il la il dor- sale. La région dorsale inférieure et la lombaire formentuue cour
eaucoup p moins accentuée, à convexité droite. Des plus, comme à la région cervicale, .la convexité antérieure normale est
par compensation des parties supérieure et inférieure du rachis, la région dor- sale supérieure étant l'origine de la défo
Les facettes costales sont affaissées dans la portion concave de la région dorsale; les autres sont élargies, entourées de
yses transverses. Augmentation considérable de leur gouttière il la région cervicale; l'extrémité costale des dorsales est v
gieuse. Les apophyses articulaires ont leur surface élargie dans la région cer- vicale et dorsale (15 mill. de. diamètre);
51 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t l'absence d'une comparaison minutieuse des coupes aux différentes régions de la moelle peut faire croire à un tabes légit
milieu du septum par une zone ovale à peu près saine. En ces deux régions , le processus scléreux est très accentué, il n'
niveau du quart inférieur environ du cordon postérieur. Dans cette région dégénérée, il existe encore quelques fibres sai
circonvolutions tem- porales et occipitales. En ces deux dernières régions de l'encéphale, les réseaux tangentiels profond
et irrégulière. D'une façon générale, elle atteint non seulement la région des fibres exogènes, mais aussi, tout au moins
aissance à une infection secondaire de la peau et à des abcès de la région parolidienne. Avant l'ouverture de ces abcès, la
devant l'aggravation de son état, on pratique la trépanation de la région temporo-parié- tale gauche et on découvre un va
aralysie du facial supérieur, et cependant la lésion intéressait la région rolandique tout entière. On peut, pour expliquer
nguale, ni pharyngée, ni laryngée, ni masticatrice, c'est-à-dire de régions pour lesquelles la bilaléralilé. d'action des c
de vingt-huit ans; à cette époque, chute et traumatisme grave de la région lombaire; deux ans plus tard, apparition des prem
itifs produits par la répétition d'ischémies fonctionnelles dans la région des noyaux, on à des lésions endartéritiques de
vestige d'mie ancienne inflammation des tissus profonds. Toute la région anesthésiée est le siège d'une éruption eczémateu
ace du corps à l'excep- SOCIÉTÉS SAVANTES. 73 lion d'une petite région quadrangulaire comprise entre les deux omoplate
La topographie varie non seulement avec les sujets, mais avec les régions d'un même organe. Elle atteint son maximum dans
avec les régions d'un même organe. Elle atteint son maximum dans la région dorsale supérieure ou cervicale inférieure; le
e du triangle que figure le cordon postérieur. Plus haut, dans la région dorsale, d'autres fibres échappent à l'altérati
de la circonférence. En sorte que, dans le cordon postérieur, à la région dor- sale, nous rencontrons successivement, en
u triangle de Gombault et Philippe sont demeurées saines. Dans la région cervicale, on retrouve bien quelquefois la suit
les lésions perdre de leur netteté, à mesure qu'on s'éloigne de la région dorsale. Et cela est vrai, non seulement pour l
, au contraire, est augmentée de volume. Il en résulte que, dans la région dorsale et cervicale inférieure, la substance g
'existe plus qu'une ou deux cellules. Elle est plus avancée dans la région lombaire que dans la région cervicale. Atrophie
cellules. Elle est plus avancée dans la région lombaire que dans la région cervicale. Atrophie et chromatolyse coexistent
ux sont toujours altérés. Généralement, ils sont plus atteints à la région postérieure. Il n'est pas rare, cepen- dant, de
ns la grande majorité des cas, cette lésion a son maximum dans la région dorsale, qu'elle s'atténue en bas et surtout en h
intense dans la LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. il 1 région cervicale, y apparaît très peu distincte si elle
ralytiques, cette zone de dégénération souvent la plus accusée à la région dorsale. La preuve qu'il s'agit bien de la lési
s, c'est qu'elle ne se retrouve plus au-dessus et au- dessous de la région dorsale, c'est-à-dire partout où dispa- raissen
ostérieurs. La lésion du fais- ceau pyramidal a son maximum dans la région dorsale, celle du cordon postérieur, à la régio
on maximum dans la région dorsale, celle du cordon postérieur, à la région cervicale. Dans la subs- tance grise, il a noté
une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, s'étendant jusqu'à la région cervicale, une dégénérescence des cordons de Go
l et de Burdach, laquelle diminue à mesure qu'on se rapproche de la région cervicale où elle est can- tonnée dans le terri
musculaires. Les règles tracées par l'auteur : repos absolu de la région à analyser, emploi de l'intensité minima, sont au
l'écorce, produisant un paroxysme épileptique, en rapport avec les régions intéressées. R. Ciiaron. REVUE DE pathologie
bres, explique les douleurs de la nuque et du dos, s'irradiant à la région du foie, l'absence des réflexes cutanés et tend
eurs, surtout dans les faisceaux cunéiformes de Goll, au niveau des régions thoraciques et cervicales; épaississement des tra
quelques travers du doigt au-dessus du genou; quand il frotte cette région avec la main, il lui semble qu'il pro- mène de
e racine cervicale et de la première dorsale, et se dirige vers les régions supérieures, il s'ensuit que cette atrophie pré
us petits sont représentés par les étages les plus inférieurs de la région cervico-dorsale et les muscles fléchisseurs sont
suivie d'une courte période de subconscience; plaie peu grave de la région dorsale avec quelques contusions aux membres. A
oyenne du segment antérieur de la circonvolution si". moide, ou les régions adjacentes de la deuxième circonvolution origin
tonus vasculaire en excitant les parties moyennes de l'hémisphère ( région pariétale). Par suite, le stimulus psychique ag
o dolenti; elle doit s'appliquer exactement sur les tégu- ments des régions appartenant au territoire du trijumeau ou à cel
de la cuisse, notablement diminuée dans les adducteurs et dans la région antéro-externe de la jambe; traces de réaction de
ntuée. Elle occupe la paroi abdominale jusqu'aux plis inguinaux, la région fessière, les organes génitaux, et continue sur
manques de substance artificiels, localisés exclusivement dans la région des cordons postérieurs. La tumeur méningée n'e
niveau des racines du plexus sacré (sensibilité conser- vée dans la région du nerf fémoro-cutané postérieur; aboli- tion d
éno- mènes prouvant une destruction complète de la moelle dans la région atteinte (paraplégie flasque avec abolition absol
t un oedème du tissu nerveux atteignant son plus haut degré dans la région cer- vicale, justement au-dessous de la cavité
nu. Telle est par exemple la face antérieure de la moelle dans la région dorsale supérieure. On y voit les éléments sarcom
t central implanté comme une tige dans la moelle dorsale. Dans la région cervicale la sarcomatose n'est pas plus limi- t
ntifique sont les cavités dont la moelle est creusée. Celle de la région dorsale est entourée de la néoformation sarcoma
rme, bien manifeste à l'heure actuelle; juste- ment au-dessus de la région détruite par la néoformation on voit dans la su
ais à faire une oeuvre digne des précédents congrès, digne de notre région , digne de vous, mes excellents confrères. En ap
'un membre correspond une anesthésie avec point douloureux dans une région du crâne, correspondant elle-même à une anesthé
ée du cerveau. L'expérience ayant démontré que, lorsque ce sont des régions périphériques, dont les centres sont aujourd'hu
i sont atteintes, ces points douloureux crâniens correspondent à la région céré- brale contenant leur centre fonctionnel,
ésente un aplatissement des bosses fron- tales et une saillie de la région occipitale. Cette observation montre que la mal
erveux a été étudié par les méthodes de Nissl et de Golgi. Dans les régions cervicale et lom- baire de la moelle, les cellu
Cette parésie était accom- pagnée d'une sensation de poids dans la région cervicale. A qua- torze ans, l'atrophie envahis
opposée reste froide et sèche. La sueur est très abondante dans la région fessière, dans le dos et à la cuisse, et à un d
odeplus ou moins aiguë, caractérisée par de fortes douleurs dans la région cervicale pouvant se pro- pager jusqu'aux artic
rvations : l'une d'affection médullaire traumatique au niveau de la région sacrée, suivie de paraplégie incomplète avec tr
ne paralysie vésicale subite, l'extension des troubles nerveux à la région dorsale. Il y a lieu, sans doute, de tenir comp
cordons postérieurs de la moelle, avec prédomi- nance au niveau des régions sacrée et cervicale; la lésion était particuliè
stérique artificiellement provoquée. Il croit qu'il existe bien une région frontière où l'hystérie empiète sur l'hypno- ti
s de myéline. Les racines antérieures extra- médullaires, depuis la région sacrée la plus inférieure, jusqu'à la région do
médullaires, depuis la région sacrée la plus inférieure, jusqu'à la région dorsale la plus supérieure, sont le siège des deu
cipalement marquées par une extrême raréfaction des fibres, dans la région la plus supérieure de la moelle thoracique. Les
, suggestion à l'état de veille ou de sommeil -une vésication d'une région limitée de l'épiderme ? Les expériences faites
oumise à l'expérience était gardée à vue par plusieurs médecins, la région où devait apparaître la vésication était protég
e la partie dorsale de la colonne vertébrale ; les mouvements de la région lombaire sont insignifiants; la mobilité de la
vements de la région lombaire sont insignifiants; la mobilité de la région cervicale est normale. Dou- leurs en ceinture.
se révèle actuellement sous forme de cyphose arrondie de toute la région dorsale et de la partie lombaire supérieure avec
ieure avec immobilité complète de ces parties. Les mouvements de la région cervicale sont limités. Les mouvements du tronc
s volontaires. L'examen révèle une cyphose de forme, arrondie de la région interscapulaire et cervicale de la colonne vert
apulaire et cervicale de la colonne vertébrale. Au-dessous de cette région la colonne vertébrale est raide et immobile. Les
be droite, en même temps qu'hyperesthésie à la douleur de la même région . Pas de réflexe plantaire. Rien qu'une allusion a
limitée ou absolue de la colonne vertébrale en totalité ou dans une région plus ou moins étendue. Concurremment on observe s
ps. L'immobi- lité est très souvent accompagnée de douleurs dans la région des articulations affectées, de même que de dif
obablement de l'affaiblissement précoce de la vitalité de certaines régions du squelette conjonctif et osseux, sur un terrain
moelle dans toute sou éten- due. Tumeur gliomateuse au niveau de la région cervicale. Hydro- céphalie interne. L'examen
bord de la moelle le tableau habituel du tabes, notamment (dans les régions lombaire et dorsale dela moelle) l'épaississeme
t de la pie-mère, l'atrophie des racines postérieures, etc. Dans la région cervicale le tableau est compliqué du fait de l
ure grise et le tiers antérieur des cordons postérieurs. Dans les régions dorsale et lombaire, le canal central est un peu
is qu'une autre partie se dirige à travers le ruban externe dans la région du corps quadrijumeau, où elle se joint aux fib
rajet, occupant toujours le sommet dorsal du ruban latéral. Dans la région des pédoncules cérébraux, au niveau des éminences
direction du côté médian. Les fibres disséminées s'amassent dans la région du bout anté- sociétés savantes. 345 rieur
l'autopsie, on trouve à l'intérieur de la moelle épinière, dans ses régions centrales, un abcès qui s'étend du cône médullair
5 à 6 ren- Rernents avec autant d'étranglements intermédiaires); la région lombaire et le cône médullaire sont au contrair
t de l'abcès. La plus grande épaisseur de l'abcès se trouve dans la région lombaire et dans celle du cône médullaire; les
ais on n'y remarque pas trace d'un processus inflammatoire. Dans la région dorsale de la moelle il y a myélite diffuse très
es inflammatoires et une infiltration de pus (insignifiante dans la région lombaire). On trouve de petits amas de pus dans
de pus dans la pie-mère cérébrale, à la base du cerveau, dans la région du tuber cinereum et des corps mammillaires. La s
foie ne paraît pas sensiblement augmenté de volume, mais toute la région est douloureuse au toucher et la malade ne se lai
rend leur lim- pidité ; elles ne contiennent ni sucre ni albumine. Région hépa- tique toujours sensible. La malade nous d
stion toutefois d'ajouter que quoique les statistiques des diverses régions d'Ecosse (que j'ai examinées plus complètement
tion de constriction et de boule à la gorge, hémianesthésie droite. Région stomacale normale. Petite tumeur de la rate. Ex
cide chlorydrique à 1 / 100 ; applications électrofaradiques sur la région épigastrique. Au bout d'un mois, [amélioration pr
e macroscopique et microscopique de la moelle. Il existe, depuis la région bulbaire jusqu'à la région sacrée infé- rieure,
pique de la moelle. Il existe, depuis la région bulbaire jusqu'à la région sacrée infé- rieure, une tumeur périépendidymai
rmation gliomateuse. Le canal central dilaté au niveau du bulbe des régions cervicale et lombaire envoie des diverticuies d
ERVEUSE; 407 . Les commémoratifs d'une collection purulente dans la région mastoïdienne gauche, l'analyse des troubles de
issure de Sylvius. L'atrophie est surtout prononcée au niveau de la région rolandique inférieure, au-dessus de l'opercule ro
convolution temporale. L'atrophie ici aussi est plus prononcée à la région rolandique inférieure. Les circonvolutions atro
éjà macrohcopiquement. Nous commençons d'abord par l'examen de la région rolandique inférieure des deux côtés. En examin
des circonvolutions atteintes. Faisons cet exa- men d'abord pour la région rolandique inférieure. Les vaisseaux jouent ici
ette dernière siègent dans la substance blanche de n'importe quelle région de l'encéphale. Depuis les travaux de ces deux
ent, nous avons affaire à une microgyrie intéressant une partie des régions rolandiques et des lobes frontaux des deux hémi
s deux hémisphères cérébraux. Mais c'est tout particulièrement la région rolandique inférieure immédiatement au-dessus de
. Il n'y a pas de lésion méningée. Par l'examen microscopique de la région rolandique infé- rieure, nous avons révélé l'ex
ité à mesure qu'on s'éloigne de ces foyers, de sorte que, dans la région rolandique moyenne par exemple, on ne constate
altération prononcée des vaisseaux san- guins, même en dehors de la région inflammatoire propre- ment dite. Les symptôme
ne image vient exciter notre rétine, voici ce qui se passe. Dans la région des cônes et des bâtonnets (en A, g. `3) il se
u du centre visuel (A) où par l'intermédiaire des cellules de cette région les contacts se perfectionnent, l'image devient
ur ses pas jusqu'en A, où par l'intermédiaire des cellules de cette région , il peifectionne les contacts et diminue les ré
s effets observés chez des malades atteints de maladie de ces mêmes régions . Une aulre preuve du changement d'opinion se tr
ns leur motilité rendent probable l'opinion de Wer- nicke que toute région corticale représente un territoire central de p
propagation peut s'étendre plus ou moins loin, s'ar- rêter dans la région cervicale ou descendre jusque dans la région lo
n, s'ar- rêter dans la région cervicale ou descendre jusque dans la région lombaire, intéresser tous les cordons postérieu
(lB2lTOLO(. Cent1'llIbl., XVI, 439 ï.) Extirpation étendue de la région motrice chez quatre chats ; extirpation bilatér
pyramidal dans la zone de celle-ci. Dégénérescence des fibres de la région du faisceau pyramidal, qui vont aux noyaux prol
tteinte parce qu'il existe une paralysie motrice et sensitive de la région vésico rectale et que le territoire du plexus s
t sur tout le canal vertébral sur la ligne médiane et épargnent les régions latérales; dans l'observation en question, en o
nement de la dégénérescence à l'aire de la pyramide gauche dans les régions élevée*, indiquent que les faisceaux antérieurs c
tubercule, quadrijumeau antérieur gagnent en rayonnant en dedans la région REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
braux de Forel : les fibres dégénérées descendaient donc dans la région de la calotte, en arrière du ruban de Reil, et de
sig distingue, comme chacun sait, quatre centres sensoriels : 1° la région tactile, aboutissant des fibres émanées des racin
bule para- central, et de la circonvolution du corps calleux; 2° la région olfactive, située à la base du cerveau, et comp
ie du lobe frontal, et de la circonvolution de l'hippocampe ; 3° la région visuelle : c'est la zone du sillon de l'ergot d
, du lobule lingual et du pôle postérieur du lobe occipital ; 4° la région auditive : c'est la première temporale et ses deu
s centres d'association sont des champs corticaux, placés entre les régions précédentes, ne sont point en relation avec l'a
-moteurs. Tels : le centre d'associa- tion postérieur, sis entre la région tactile, la région auditive, la région visuelle
centre d'associa- tion postérieur, sis entre la région tactile, la région auditive, la région visuelle, et, en partie, en
ion postérieur, sis entre la région tactile, la région auditive, la région visuelle, et, en partie, entre la région visuelle
le, la région auditive, la région visuelle, et, en partie, entre la région visuelle, la région REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
ve, la région visuelle, et, en partie, entre la région visuelle, la région REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
ntre en question renferme l'assemblage des diverses excitations des régions sensorielles et leurs images commémoratives; ce
sons laisse des traces dans le centre sensorio- moteur de l'écorce ( région de Broca) et y forme la mémoire motrice d'artic
Cette répétition, en rapport avec de nombreuses associations de la région frontale sensorielle et mo- trice, laisse des t
rices dans le centre d'association moyen. Les aphasies. Bien que la région motrice de Broca contienne l'ensemble de la mém
ire sensorielle), il est très probable que les altérations de cette région ne produisent que la perte des mouvements d'art
en pour former la parole automatique. Ce qui n'empêche que diverses régions sensorielles de l'écorce se réunissent dans le
mot, dans le cent ! e d'association postérieur, comprenant toute la région du lobule pariétal inférieur de Charcot (gyrus
ne peut les nommer, n'en peut trouver le nom, que quand une autre région sensible de 1 écorce est excitée, telle que la zo
très méritants et leur permettront d'atteindre, en même temps, aux régions du suprême bonheur. » Evolution de la peine, pa
52 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ent toujours pâles ; comme les mains et en même temps qu'elles, ces régions subissent des augmentations de volume par le froi
r persiste. Il n'y a pas de modification notable dans la teinte des régions atteintes, à la suite d'une émotion quelconque.
dans presque toute l'étendue de la face dorsale des doigts et de la région métacarpienne, on constate une teinte violacée
manque toujours : l'hypertro- phie des parties molles porte sur la région de l'articulation métacarpo- phalangienne, à la
ent étalée sur toute la main, sans prédominance pour telle ou telle région . Quelques places sont un peu plus rouges, sans
nt par plusieurs mani- festations symptomatiques. La limite de la région cyanotique est, en général, bien tranchée; la t
n ferme. L'ACROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE 21 Au niveau des régions atteintes, la température cutanée est. modifiée :
rçut d'un gonflement sans changement de coloration de la peau de la région malléolaire interne gauche. Ce gonflement, d'ab
volume de la jambe gauche s'arrêtant au genou et prédominant dans les régions sus-malléolaires. La peau de la jambe gauche, b
) un oedème douloureux localisé au niveau et un peu au-dessus de la région contusionnée. Cet oedème d'abord fugace, transi
, la cuisse du même côté. Il s'étend même par l'intermédiaire de la région dorsale inférieure, à la racine de la cuisse du
ère, 1900, n" 3, 4 5, 6). L'opération a lieu sur la tête, dans la région fronlale gauche. Le chirurgien, armé d'un fin b
est bien plus petite que l'insertion scapulaire, elle reste dans la région du col anatomique de l'humérus. Cette nouvell
ule cérébral (Plan- che XVII), la lésion est bien localisée dans la région du noyau rouge. Ce- lui-ci et sa capsule ont ét
ts. Le pied du pédoncule, le locus niger de Soenunering, les autres régions de la calotte sont absolument t normaux. Sur le
nt absolument t normaux. Sur les coupes sus-jacentes intéressant la région sous-optique, on voit que la lésion a disparu,e
n voit que la lésion a disparu,elle est donc nettement localisée à la région du noyau rouge du côté droit. C'est, pourrait-o
, pourrait-on dire, une véritable des- truction expérimentale de la région du noyau rouge. Sur les coupes colorées avec la
Sur les coupes colorées avec la méthode de Weigert, passant par la région de l'entrecroisement des pédoncules cérébelleux
ceau longitudinal postérieur droit se poursuivent sur les coupes des régions protubérantielles moyenne et inférieure. On v
lbaire, vers sa partie postérieure et externe. Sur les coupes de la région olivaire du bulbe (Planche XIX), on con- state
ion du nombre et du volume des cellules nerveuses. Les coupes de la région inférieure du bulbe et de l'entrecroisement py-
cordons de Goll. Nous avons reproduit (Planche XX) les coupes de la région du noyau dentelé du cervelet. Ainsi qu'on le vo
s'il existait une dégénération du faisceau de Von Monakow dans les régions où les auteurs figurent ce faisceau, nous ne l'av
lésion suppurative, qu'il porte depuis quel- ques semaines dans la région temporale gauche ; elle serait consécutive à un
de de Kaiserling, présente les particula- rités suivantes : dans la région de l'encéphalocèle la dure-mère est restée adhé
ant Face externe de 1 hémisphère gauche ; méningo-encéphalite de la région psycho- motrice ; malformation de la région pos
ningo-encéphalite de la région psycho- motrice ; malformation de la région postérieure de l'hémisphère (à droite de la ligur
t très peu distincts et ne permettent pas une limitation exacte des régions intéressées. L'encoche forme une saillie pronon
A l'ouverture, il s'écoule un liquide laiteux,surtout au niveau de la région dorsale. La moelle tout entière est engainée pa
acines qui en émanent. Il atteint sa plus grande épaisseur dans les régions cervicale et dorsale. Sur des coupes, à l'oeil
raffine ont été faites sur toute la moelle et sur les princi- pales régions du cerveau (placards méningés et région de la bas
e et sur les princi- pales régions du cerveau (placards méningés et région de la base, paroi du 88 RICHON ventricule dil
d'alun de chrome et l'inclusion celloïdinée, a servi pour certaines régions de la moelle. ' Etude microscopique des lésions
e de la lésion. En suivant la surface cérébrale du tissu sain vers la région atteinte, on voit la pie-mère infiltrée peu à p
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 89 étroitement tassés et se confondent avec la région des méninges, qui ne sont plus elles-mêmes qu'u
hyaline, trace d'un vaisseau oblitéré, comme il en existe dans les régions plus centrales, on peut rencontrer tous les inter
olées de l'endarlère avec intégrité des autres tuniques. Les autres régions du cerveau offrent des caractères analogues : par
pique de la moelle. Les coupes microscopiques diffèrent suivant les régions par des détails d'in- térêt secondaire; nous en
ible des parois. Les noyaux isolés peu nombreux se montrent dans la région périépendymaire, sans former d'amas. Sur le traje
latés, à parois modifiées. L'artère est peu atteinte et en quelques régions absolument intacte. La veine a ses parois profond
les plus superficiels, quelqu'intense que soit l'infiltration de la région qu'elles traversent. ' Une région particulière
e que soit l'infiltration de la région qu'elles traversent. ' Une région particulière de la moelle montre au plus haut deg
ment, comblé partiellement par une lame fibreuse, superposable à la région du cerveau atteinte de méningo- encéphalite fib
ts et de petites zones de ramollisseme.it se voient au centre de la région malade. La zone corticale sous-jacente est enva
ons s'ob- servent sur des fibres isolées aux environs immédiats des régions infiltrées, mais jamais sur un système fascicul
ie de la moelle, elles formaient une couronne peu épaisse ; en deux régions seulement, elles détruisaient un territoire ass
ils sont d'ailleurs peu étendus. Nous avons décrit précédemment une région périphérique de la moelle, particulièrement SYP
sain et cependant notre malade percevait encore la lumière dans la région de la vision centrale. Au contraire, la troisiè
lle est étendue à presque tout le corps, sauf cependant à certaines régions qui sont : pour les membres supérieurs la face an
partie inférieure du corps de la malade. laissant cependant à nu la région ombilicale. La jambe droite se perd en arrière da
médecin ou son aide auraient produites en appuyant le doigt sur la région Non. Il s'agit d'ulcérations profondes, sanguin
usement fait avec une espèce de chiastre au genou, laissant à nu la région rotulienne tuméfiée. Le pied nu est énorme, trè
des poils noirs abondants, et le chevelu se poursuit jusque vers la région lombaire. Le fond de la fosse est osseux et for
unis entre eux par de fortes anastomoses nerveuses (Schéma 3). A la région dorsale on ne trouve par côté que 4 ou S ganglion
n ne trouve par côté que 4 ou S ganglions, et 2 ou 3 seulement à la région cervicale. Les derniers ganglions sacrés et les
une augmentation de volume du cylindre méningo-médul- laire dans la région du renflement cervical ; on constate en outre qu'
dure-mère se détache facilement des parties sous-jacentes,sauf à la région cervicale au niveau d'une zone où le cylindre n
ndissement des coupes, qui est exactement de 2,5. ' Une coupe de la région cervicale au niveau de l'intervalle de C. VI et C
sur la plus grande partie de la périphérie, en particulier dans les régions antérieure droite, et postérieure. Avec un peu
bas est le vestige du sillon médian pos- térieur, on voit aussi les régions correspondant à l'origine des racines posté- ri
re on est autorisé à considérer la tumeur comme développée dans les régions centrales de la moelle et aux dépens surtout de l
orée sur laquelle nous reviendrons plus loin. Sur une coupe de la région voisine de D II, on reconnaît, malgré la lésion,
le se présente avec ses caractères habituels. Sur une coupe de la région de D. III, on remarque que la tumeur ne fait pl
nt dessinée sur tout le pourtour de la coupe. Sur uue coupe de la région dorsale vers D. IV, la moelle n'était plus le siè
'oeil nu, sauf peut-être une opacité plus grande correspondant à la région où la tumeur se rencontrait dans les coupes pré
siformes sont les plus nombreu- ses, les plus serrées, sauf dans la région centrale où la zone foncée contigue à deux vais
lement en avant de chaque côté du sillon médian antérieur, dans les régions correspondant aux cornes antérieures ; en arrière
asse presque homogène parsemée de globules blancs. Dans certaines régions de la tumeur on constate aussi des signes de stas
Malgré cette vascularisation intense, le tissu de la tumeur dans la région de coupe qui nous occupe est en grande partie o
essus de liquéfaction est d'autant plus marqué que l'on examine des régions plus inférieures de la tumeur, et en rapport pr
te en même temps que se montrait l'impotence des muscles de la même région . Cette constatation nous autorise à penser que
nt cervical, en ayant détruit complètement la moitié droite dans la région correspondante à l'origine des nerfs du bras. A
des palpitations qui s'accompagnent de sensations pénibles dans la région pré- cordiale supérieure. L'appétit est conserv
asse n'est autre qu'un prolongement de la tumeur qui, partant de la région antérieure de l'hy- pophyse et passant entre le
cense muqueuse. Le tissu conjonctif est relativement abondant dans la région corticale et, en ce point, il existe quelques p
nstate aucune lésion au niveau du bulbe ni de la protubérance. A la région cervicale de la moelle, il n'y a ni sclérose, ni
is cette diminution du nombre des cellules est surtout marquée à la région dorsale, où l'on en compte en moyenne 3 pour le
ithéliales libres. Sur certaines des préparations relatives à cette région on voit dans la substance blanche, en dehors de l
ées, arrondies, qui paraissent être des cellules névrogliques. A la région lombaire on trouve de la prolifération de l'épen-
, dans la moelle, on ne note de sclérose ; en quelques points de la région dorsale on voit seulement de la dilatation des va
LE. - L'examen histologique de cette tumeur a été pratiquée en deux régions distinctes : ' 10 Portion contenue dans la sell
andulaire. , Nous pouvons en effet nous résumer en disant que cette région de la tumeur montre un épithélioma encore typiq
eu à l'aisselle, mais extrê- mement développés sont les poils de la région pubienne où ils ont la même épaisseur que chez
sont très développés. Outre la croissance anormale des poils de la région pubienne, la verge, quand il n'y a pas érection,
us d'apparence chéloïdienne. En outre, on peut voir sur différentes régions du corps la double pig- mentation caractéristiq
hausen : 1° Le lentigo épargnant la face et plus serré en certaines régions , no- tamment au cou; INFANTILISME MYXOEDÉMATE
quelques centimètres carrés de surface, sur la peau qui recouvre la région de l'omoplate gauche. Il n'y a d'ailleurs sur l
ieu dans lequel évoluait l'embryon. Elle a porté son action sur une région déterminée de cet embryon à l'ex- clusion de to
ond. Celui-ci, qui naît directement de l'os hyoïde, marque, dans la région inférieure et postérieure de la langue, une div
e phimosis, il ne put remarquer s'il existait un chancre dans cette région ; il semble bien qu'il ait eu, à ce moment-là,
: une ouverture se produisit spontanément sur le côté interne de la région tibio-tarsienne et laissa échapper le même liqu
u'il ne conserve pas bien son équilibre. A l'inspection, on voit la région du tarse postérieur et celle du cou-de-pied con
ente ; la peau est violacée sur son pourtour. Du côté externe, la région est gonflée, la peau est lisse, tendue. Le pied
plus : le pied parait comme tassé. La circonférence au niveau de la région tibio-tarsienne est de 39 centimètres du côté m
, contrairement à ce que ferait croire l'aspect inflammatoire de la région . En résumé : pas de troubles sensitifs nets en
a région. En résumé : pas de troubles sensitifs nets en dehors delà région tibio-tarsienne où il existe une superposition
e n'est pas aneslhésié. - M. Jaboulay agrandit de chaque côté de la région tibio-tarsienne les orifices pratiqués antérieure
n et la nécrose des parties molles périarticulaires. L'aspect de la région a été profondément modifié. Des abcès multiples
et celle de l'arti- culation du coude à la suite d'une plaie de la région olécranienne. Si le diagnostic de la lésion art
duisit au niveau de l'article sans cause connue ; brusque- ment, la région se tuméfia, et on vit apparaître, en quelques jou
ellu- laires, et tandis que Klippel les trouve spécialement dans la région cer- vicale, Berger les observe plus souvent da
dans la région cer- vicale, Berger les observe plus souvent dans la région lombaire, surtout dans la colonne de Clarke.
ans la paralysie générale légitime on rencontre des lésions dans la région pos- térieure du cerveau, quoique moins fréquen
sur toute la longueur de la moelle, plus accentuée au niveau de la région cervicale. Les vaisseaux de la pie- mère sont s
moelle dorsale, devient moins intense à mesure qu'on s'approche des régions cervicale et lombaire : dans ces mêmes 278 CURI
peau retombe comme un épais tablier sur la racine des cuisses, à la région des lombes et aux fesses, en un mot à toute la
IRE 281 postérieure des bras, la partie inférieure de l'abdomen, la région lonlbo- fessière, la face postérieure des cuiss
es doigts qui la saisissent varie de 6 à 12 centimètres suivant les régions . Au cou, au contraire,ainsi qu'aux épaules où l
bres inférieurs où elle est légèrement abaissée. La consistance des régions adipeuses est variable; molle et dé- pressible
re pratiquée en raison de l'épaisse couche de graisse recouvrant la région des lombes et de la difficulté d'établir les poin
mptômes précités s'aggravaient. Les compresses d'eau fraîche sur la région du coeur le calmaient. Ses pul- sations était q
laviculaires à la pression, dans les ré- gions mammaires et dans la région du coeur. La sensibilité cutanée était un peu a
outre, il souffrait de douleurs passagères dans les jambes et dans la région du sacrum. Il sentait une pression et un « trem
il s'agit dans celte tapisserie du transport sur les rivières de la région de reliques de saint Etienne, patron de l'église
l'inscription. A quelle époque remonte cette tapisserie et à quelle région se réfère sa fabrication ? Nous avons eu reco
quait l'absence de la graisse qui siège ha- bituellement dans cette région . Le nerf médian faisait complètement défaut dan
ziformes. Elle s'étendait de la partie moyenne de l'avant-bras à la région palmaire. Après anesthésie locale à la cocaïne,
colorante nette. Ainsi que le montrent les coupes intéressant une région plus éloignée, ces points représentant bien la
arité permet de reconnaître facilement les coupes portant sur cette région de celles portant sur le bout central. 4° Les d
sion, même prolongée, ne donne pas une empreinte persistante à la région déprimée, fÙt-elle allée jusqu'à sentit'Ie plan o
en histologique une dégénérescence graisseuse assez accentuée de la région corticale. Le cerveau n'offrait pas d'altération
pieds, les mains, la face sont toujours indemnes et ce sont là les régions qui étaient prises dans le myxoedème et le pseu
phie mus- culaire est, commel'aedéme, commandée par les lésions des régions tro- phiques de la moelle. Et, si l'on veut bie
un phénomène tout à fait analogue puisse se produire sans que cette région trophique médullaire entre en jeu. Ceci n'a d'a
xamen de la langue, des lèvres, des dents, des barres, de la barbe, régions susceptibles de coopérer à un tic de léchage, e
te d'asymétrie. Traces de cicatrices à la barbe, à la nuque et à la région temporale gauche ; engorgement parotidien à droit
ermique est conservée sur la muqueuse de la joue et dans les autres régions de la bouche. - Pas d'asymétrie crânienne. Asym
ues, et aussi, peut-être, de troubles endogènes quelconques dans la région des centres auditifs du cerveau. Concernant l
53 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
homme qui a reçu, il y a quelques mois, un coup de couteau dans la région dorsale, au voisinage du rachis ; à la suite de
et du mouvement; en d'autres termes, il avait démontré que dans les régions qui tirent leur innervation du segment de moell
il résidait à cette époque-là, reçut deux coups de couteau dans la région dorsale. D'après le dire du médecin qui l'a soi
n. Cette courbure siège généralement au niveau de la jonction de la région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète
énéralement au niveau de la jonction de la région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète sur les deux régions. E
région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète sur les deux régions . Elle a pour effet de rapprocher les côtes du c
bras et de jambes, mais présentant dans une ou plusieurs des quatre régions soit un moignon rudimentaire avec axe osseux, s
de et l'adaptation régulière et non cicatricielle des muscles de la région . Quant à la cicatrice cutanée, elle ressemble b
n des nerfs d'un membre est généralement suivie de l'atrophie de la région de la moelle qui leur donne origine, se demande
il disait ressentir continuellement une sorte de battement dans la région frontale et dans la région occipitale : c'était
uellement une sorte de battement dans la région frontale et dans la région occipitale : c'était une douleur profonde mais di
sions sont généralisées, nous ne savons, non seu- lement sur quelle région de l'hémisphère, mais encore sur quel hémis- ph
le. Ce phénomène'vaso-moleur ne se produisait pas seulement sur une région donnée, mais sur tout le corps. La nécropsie a
le bord interne du cubitus, il existe au-dessus et au-dessous de la région indiquée une néoforma- lion osseuse à contour t
'étendue du corps. La sensibi- lité douloureuse est abolie dans les régions suivantes : membres supérieurs, face antérieure
ronc et de l'abdomen, face antérieure de la cuisse gauche. Dans ces régions il existe également de la </Mnno/M/jooM</tM
modification dans le relief et le contour du membre dans les mêmes régions . Les avant-bras sont bien conformés et ne présent
out les interosseux sont touchés. En effet, les muscles, dans cette région , sont aplatis. Les trois derniers doigts sont l
t rouge violacé avec une nuance de cyanose, surtout au niveau de la région de l'articulation du pre- mier métacarpien avec
me. REMAK est le seul qui s'est préoccupé de préciser quelle est la région de la moelle qui entraîne l'oedème dans la syring
ivers troubles trophiques seraient de nature à prouver que pour une région donnée des membres supérieurs et inférieurs, il e
'une racine ne se dis- tribuent pas seulement au segment dont cette région fait partie, mais elle se met en rapport avec l
ngomyélie débute au niveau de la 8° cervicale et de la ire dorsale, région que je consi- dère comme siège principal des ce
e tronc en avant, pour atténuer la douleur qu'il ressentait dans la région de l'omo- plate gauche. Cette douleur était tan
nte. Le malade se plaint d'éprouver au niveau et au-dessus de cette région cicatricielle une sensation de froid et de doul
ez vive. Cette zone de douleurs subjectives occupe la cicatrice, la région de l'omoplate gauche, 112 PAUL RICHER ET A. SOU
ouloureux, sauf en un point très circonscrit, situé au milieu de la région dorsale. Le frô- lement sur ce point, grand com
près à la zone des douleurs spontanées. Si on pratique, dans cette région hyperesthésique, une pression même légère le ma
icatrices anciennes consécutives à un traumatisme. Elle oc- cupe la région cicatricielle et son pourtour. Elle est assez exq
interne du radius repose sur la face antérieure du cubitus. Dans la région déformée, le radius est considérablement élargi e
s, existent des kystes. La substance corti- cale offre en certaines régions une apparence jaunâtre. On ne note pas de tu- b
façon générale, qu'il s'agisse de coupes pratiquées au niveau do la région cervicale, dorsale ou lombaire, la pie-mère est l
ite et sont con- tenues dans des espaces élargis. Au niveau de la région cervicale, les lésions sont diffuses, à peine acc
volume, leur forme, ainsi que leurs prolongements normaux. Dans la région dorsale, les lésions sont diffuses aux cordons po
isceaux cérébelleux directs. La méninge est épaissie. Enfin dans la région lombaire, c'est encore de part et d'autre de la z
sseaux coupés transversalement. Les cylin- dres-axes, même dans les régions où les tubes de myéline disparaissent du fait d
e Pal, on note la disparition diffuse des fibres à myéline dans les régions que nous avons signalées. Les racines rachidien
loyer ici le même petit moyen. Après avoir désinfecté la peau de la région , je fis, après en avoir raccourci la pointe, péné
s autres apo- physes, une couche de coton hydrophile étendue sur la région et la malade replacée dans le décubitus dorsal.
e- sures millimétriques, qui, par suite de la variabilité, avec les régions , de l'intervalle entre deux paires radiculaires
es deux branches supérieures passent sous les bras. Au niveau de la région dorsale on les entre-croise à la façon d'une cr
. Le sujet, forcé de se courber en avant, éprouve en effet, dans la région dorso-lombaire, une sensation qui devient vite
façon prédominante, sur les symptômes imputables aux lésions de ces régions , par lesquelles débute du reste presque toujours
lasma des dendrites ou prolongements protoplasmiques et celui de la région périnucléaire et du cylindre-axe. Ces espaces c
ation. COUPES DE MOELLE RABIQUE. Microphotographies des lésions. ( Région car vie île de la miellé. Méthode de \ ? 1. = f u
connaissable. Enfin on voit, dans un môme corps protoplasmique, des régions vacuolaires (Fig. 7) ou non, totalement dépourvue
tre cas, la plupart des cellules des cornes pos- térieures et de la région intermédiaire aux deux cornes sont pour ainsi d
ellulaires primitives ou secondaires à l'altération des nerfs de la région mordue ? M. Nissl et M. Marinesco ont montré qu
ation, Berne, 1889. (2) Viguès. Plaie de la moelle épinière dans la région dorsale. Moniteur des hôpitaux, 1855, no 105, p
ard s'établissant à la suite d'un coup d'épée qui a pénétré dans la région dorsale entre les 9e et 10e dorsales, à 3 centimè
auteur danois Kjaer (1), l'instru- ment tranchant a pénétré dans la région des 6e et 7e apophyses épineuses dorsales à gau
E LA MOELLE 179 26 ans, qui ayant reçu un coup de tranchant dans la région massétérine du côté gauche, était tombé comme u
s- tement due à l'insuffisance de longueur des parties molles de la région palmaire, et en particulier de la peau et de l'
o-postérieur de la tête, répond dans près de la moitié des cas à la région de l'obélion, région remarquable par le développe
te, répond dans près de la moitié des cas à la région de l'obélion, région remarquable par le développement tardif des fib
lution (atrophie sénile symétrique des pariétaux). L'histoire de la région de l'obélion semble indiquer une évolution tardiv
). La correspondance fréquente du tourbillon des cheveux avec cette région permettait de supposer un rapport d'évolution,
races supérieures chez les sujets qui n'ont point surchauffé leurs régions temporales par le travail intellectuel. Eschricht
7). 196 CH. FÉRÉ le tourbillon de poils qu'on trouve souvent à la région sacro-coccygienne et qu'on peut considérer comm
30 millimètres et même plus : on le voit quelquefois dévié dans la région pariétale vers l'oreille (Pl. XXII). Le tourbil
plus fréquentes les anomalies d'os- sification du pariétal dans la région de l'obélion (2). Le tourbillon des cheveux est
inot admet aussi (5) que la gout- tière commence à se fermer par la région cervicale. La persistance d'une lacune à l'extr
ur- billons erratiques situés plus ou moins loin du vertex, dans la région fron- tale par exemple peuvent s'expliquer par
ité pelvienne; utérus et vagin doubles; infun- dibulum cutané de la région sacro-coccygienne (Bull. Soc. Anat., 1878, p. 309
& cie, Editeurs. DEVIATION DU TOURBILLON DES CHEVEUX dans la région pariétale gauche. DEDOUBLEMENT DE LA FOSSETTE S
sion de son corps, il offre une vaste anfractuosité au niveau de la région de la torsion. En résumé la radiographie des os
ogistes et des cliniciens ont montré qu'il y a dans le cerveau, des régions en rapport avec l'innervation des divers segmen
e ou manque complètement, c'est parce que la gliose descend vers la région dorsale et laisse intacts ou presque intacts le
sale et laisse intacts ou presque intacts les divers segments de la région cervicale. Mais pour un même segment de la moel
cles innervés par le cubital. Si la lésion progresse et envahit des régions sus-jacentes, les muscles de la main innervés par
- à-dire sur les cordons latéraux, de même que si, au contraire, la région spinale radiale est prise, la substance blanche
ringomyélie. Gazette des hôpitaux, 1889. 208 G. MARINESCO dans la région cervicale inférieure et dorsale supérieure. Or, c
érieurs vers les étages supérieurs de la moelle, c'est-à-dire de la région cervico-dorsale vers la région cervicale supéri
urs de la moelle, c'est-à-dire de la région cervico-dorsale vers la région cervicale supérieure. Les premiers noyaux atteint
que la gliose mé- dullaire débutant habituellement au niveau de la région cervicale inférieure ou au nivcau de la lre dor
de la 8e racine cervicale et de la 1° dorsale et se dirige vers les régions supérieures, il s'ensuit que cette atrophie mus
plus petits sont représentés par les étages les plus inférieurs de la région cervico-dorale et les' muscles fléchisseurs son
ils rares, chez lesquels je n'ai pu résister au désir d'explorer la région thyroïdienne. Ce sont, je n'en doute pas un seu
x cicatrices qu'on voyait, il était facile de supposer que toute la région cervicale avait été le siège d'une poussée scro
xoedème apparut vers l'âge de sept ans, à la suite d'un abcès de la région sous- maxillaire, et il est à supposer que cet
supérieure du thorax, avec un as- pect un peu différent suivant ces régions . (PI. XXVII, À.) - Le centre de la lésion parai
résentant le même aspect que la précédente, venant occuper toute la région paroti- dienne; elle offre aussi quelques bouqu
t toute la partie périphérique du pavillon de l'oreille, surtout la région du lobule, et remontant sur l'hélix en atténuan
logiques pour se terminer en haut par un volumineux papillome. La région de la tempe est occupée par un placard moins colo
ières et, en arrière, allant se perdre dans le cuir chevelu vers la région pariétale. Enfin une dernière localisation sièg
nches du plexus ; que la branche qui part vers l'oreille et vers la région parotidienne suit rigoureusement la zone d'inne
n de la branche nerveuse auriculaire ; que le placard qui occupe la région de la tempe et le cuir chevelu corres- pond ? l
et aussi aux branches sus-sternales, que ressortit le placard de la région antérieure du cou et de la partie antéro-supéri
rieure de la poitrine. Enfin, la dernière localisation, située à la région supérieure de l'épaule, vers le trapèze, appart
d'une façon continue le côté droit de la face, recouvrant une vaste région s'étendant en avant sur toute la région paro- t
face, recouvrant une vaste région s'étendant en avant sur toute la région paro- tidienne jusque vers le milieu de la joue
En arrière, le noevus s'étend derrière l'oreille, occupant toute la région antéro-latérale du cuir chevelu ; un peu en ava
que est la même que celle de l'observation I, la lésion occupant la région du plexus cervical superficiel, ne suivant plus i
ement (Fig. 3) intéresse en haut l'espace intersourcilier droit, la région interne de la paupière DES N.EVI DANS LEURS RAP
EC LES TERRITOIRES NERVEUX 269 supérieure, le côté droit du nez, la région sous-palpébrale s'étendant en dehors du nez jus
autres Galewsky et Schlossmann, et il faut aussi tenir compte de la région des anastomoses. A cette théorie de Boerensprun
ue nous avons dans notre observation II un naevus occupant toute la région de la plupart des branches du plexus cervical sup
rmal de ces formations, trouble aboutissant à l'hyperformation, ces régions intermédiaires, qui sont déjà le point de départ
érence le siège électif de ces manifestations anormales. Mais ces régions au niveau desquelles se rencontrent, pendant le d
exe masculin, pesant 2900 gr., bien constitué. L'enfant porte, à la région interscapulaire un vaste noevus pigmen- taire p
Il y a défaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses. Ici, il semble que l'on puisse faire
e premier, comprenant 10 sujets, l'atrophie se limitait à certaines régions du membre supérieur paralysé; le membre inférieur
très marquée le long du trapèze, au niveau du grand pectoral, de la région deltoïdienne, s'étendant un peu sur la face ext
L'atrophie est en partie masquée par une adipose sous-cutanée dans la région deltoïdienne. On retrouve l'adipose à la partie
nt d'arborer cette parure. Il en manque au contraire dans certaines régions d'élection des tumeurs cutanées de la neurofibro-
Mais elles sont une reproduction fidèle d'un type fréquent dans les régions monta- gneuses du pays. Le goitre y est, para
ns profils féminins, le cou semble aussi augmenté de volume dans sa région antérieure. On y voit même l'indice de deux ou tr
s jeunes filles et chez les jeunes femmes, une saillie légère de la région thyroïdienne. Une minime augmentation de la gla
Leyde et peaux de chat ? ). A l'âge de 7 ans, il se forma, dans la région métatarsienne gauche, une large plaie qui persi
imètres à droite, 79 centimètres gauche. Transversalement, en des régions symétriques, on note : Au bras, 15 centimètres
'avant-bras, 16 centimètres à droite, 27 centimètres à gauche. A la région métacarpienne, 18 centimètres à droite, 25 centim
; elle présente une localisation constante,au cou,à la nuque, à la région anogénitaie, à l'ombilic dans l'aisselle, et elle
seule cause puisque les muqueuses peu- vent être atteintes dans des régions inaccessibles au grattage et qui ne sont le siè
e 3 jours, elle était passée au brun foncé. Elle occupait les mêmes régions que la première fois, plus foncée vers le tronc
e deltoïde ; à ce niveau adipose très marquée envahissant aussi les régions sus et sous-épineuses, sous-claviculaire. Avant-b
la contracture, le membre supérieur ou inférieur ou mieux certaines régions bien déterminées de ces membres. - Voyons ce
DE la MOELLE épinière. I. Préparations par la méthode de Marchi. Région lombaire. - Dans les cordons antérieurs et latéra
talement le long de la scissure longitudinale posté- rieure dans la région dorsale, à savoir : dans les parties internes des
s raci- nes postérieures ; lit aussi, elle est plus visible dans la région inlramédul- laire des racines, que dans leur pa
es est pénétrée dans toutes les direc- Fig. l. - Coupe delà moelle, région lombaire, traitée par la méthode de Marchi.
, traitée par la méthode de Marchi. Fig. 9. - Coupe de la moelle, région cervicale, traitée par la méthode de Alarchi.
dans les différentes cellules présente des figures très variées. Région cervicale. On s'aperçoit, même à l'oeil nu, que l
morbide dans les racines à ce niveau est moins marqué que dans les régions infé- rieures. II. Préparations par la méthod
ns notre cas de polyné- vrite- ont été observés par M. Sano dans la région lombaire de la moelle (1) Mabinesco, Pathologie
omposée de petits Russiens, de colons allemands ethulgares; dans la région voisine de la Bessarabie se trouvent des villages
alement dirigées. Diamètre bi-acromial : 48 centimètres. Toute la région dorsale est déformée par une voussure énorme de l
rmer une masse em- pâtée et mamelonnée qui rend méconnaissables les régions atteintes. Les extrémités du corps sont les siè
54 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ic non douloureux de la face consécutif à une lésion probable de la région du pli courbe. (Bull, Soc. ltiol., 1876; arc. de
à nous, à différentes reprises, de vives dou- leurs au niveau de la région thoracique. Ces douleurs ont quel- quefois le c
ge comme la paume de la main, n'atteignant pas le squelette. Sur la région trochantérienne gauche, autre escharre de même
at frais de la moelle épinière, on cons- tate ce qui suit : 1° à la région cervicale, il existe de chaque côté un faisceau
faisceau de Goll ; 2° sur une coupe faite à la partie moyenne de la région dorsale, on ne voit plus à l'oeil nu que l'alté
moelle épinière. Ces lésions sont surtout marquées au niveau de la région dorsale et de la partie inférieure de la région
s au niveau de la région dorsale et de la partie inférieure de la région cervicale; elles s'atténuent ensuite soit au-dess
qu'elles affectent, à des degrés d'intensité divers, suivant les régions , à la fois les cordons postérieurs et les cordons
s postérieurs. - Ils sont indemnes dans la plus grande partie de la région lombaire (PL. I, fig. 1, 2 et 3). Au contraire,
I, fig. 1, 2 et 3). Au contraire, à l'extrémité supérieure de cette région (PL. I, fig. 4), ils sont sclérosés dans presqu
l. Sur la figure 5, qui correspond à l'extrémité inférieure de la région dorsale, la topographie des altérations est la mê
sentent des coupes pratiquées à différentes hauteurs sur cette même région dorsale. On peut constater que la teinte rosée,
DE LA MOELLE. 51 C'est au niveau de la partie la plus élevée de la région dor- sale et de la partie inférieure de la régi
plus élevée de la région dor- sale et de la partie inférieure de la région cervicale (PL. II, fig. 9 et 10) que la scléros
ire et s'arrête seulement à l'entrecroisement des pyramides. A la région lombaire (PL. I, fit. 1, 2 et 3), elle est dispos
us étendue et plus massive à partir de l'extrémité supérieure de la région lombaire. Depuis ce point jusqu'à la réunion de
ent le plus prononcées et le plus diffuses (partie supérieure de la région dorsale et inférieure de la région cervicale), la
iffuses (partie supérieure de la région dorsale et inférieure de la région cervicale), la partie la plus reculée des corne
oelle, tan- dis que le cordon de Goll est seul intéressé dans les régions élevées. Relevons cependant la prédominance rem
Relevons cependant la prédominance remarquable des altérations à la région dorsale, et l'intégrité des zones radiculaires
s dans les habitudes du tabes vulgaire qui affecte de préférence la région lom- baire. En ce qui concerne l'altération d
d'un refroidissement, l'existence d'un foyer de ramollissement à la région dorsale, portent mal- gré tout à songer à une m
re repousser l'idée d'une double lésion de système. Cependant, à la région cervicale supé- rieure, la sclérose des cordons
nornz. et patlaol., 1877, p. 764. 62 PATHOLOGIE NERVEUSE. dans la région dorsale et s'accompagnant à ce niveau d'une atr
érose postérieure va de là en diminuant, soit en haut du côté de la région cervicale, pour s'éteindre au niveau du bulbe,
cale, pour s'éteindre au niveau du bulbe, soit en bas du côté de la région lombaire ». Mais, d'autre part, il y avait, en
lle diffuse. Qu'un foyer de myélite diffuse chronique envahisse une région de la moelle, la région dorsale par exemple, on
de myélite diffuse chronique envahisse une région de la moelle, la région dorsale par exemple, on conçoit qu'il puisse jo
r, offrent leur maximum d'intensité vers la partie supérieure de la région dorsale et dans le cordon latéral. Ce qui frapp
'existence d'une dégénérescence ascendante, manifeste portant, à la région cervicale, sur la totalité du cordon de Goll. E
secondaire symétrique se poursuit jusqu'à la partie inférieure des régions dorsale et lombaire. Quant aux lésions qui occu
le malade de Westphal, comme chez la nôtre, c'est au niveau de la région dorsale supérieure et cervicale inférieure que
, tant en arrière que latéralement. Au-dessus et au-dessous de la région que nous venons de considérer, la lésion affect
ésions systématiques consécutives d'un foyer intra-médullaire. A la région cervicale, en effet, ' Nous Mgnalerons simpleme
ons de Goll et aux faisceaux cérébelleux, tandis qu'au niveau des régions dorsale inférieure et lombaire, à la hauteur de
le militer surtout en faveur de la nature diffuse des lésions de la région dorsale, dans le cas de Westphal, c'est l'irrég
ant à la sclérose des parties de la moelle sus et sous-jacentes aux régions dorsale supérieure et cer- vicale inférieure, e
ons pas éloigné de penser que, dans l'espèce, les altérations de la région moyenne de la moelle, ont joué le rôle d'un foy
faisceaux cérébelleux et pyramidaux. De plus, fait important, aux régions cervicale et dorsale le cordon de Tùrck était l
sur certains points, notamment dans la plus grande étendue de la région lombaire, et dans les deux tiers supérieurs de
ndue de la région lombaire, et dans les deux tiers supérieurs de la région cervicale, c'est-à-dire sur les points qui, trè
des bandelettes exter- nes s'étaient en quelque sorte sommées à la région dorsale et allaient de là, en s'atténuant au-de
et allaient de là, en s'atténuant au-dessus et au-dessous, vers la région lombaire. A l'inverse de ce que nous venons de
llaire. Fig. '-). - Coupe transversale à la partie inférieure de la région lombaire. a, Prolongement scléreux émané de l
la pie-mère Fig. 3. - Coupe transversale à la partie moyenne de la région lombaire. a, Prolongement scléreux émané de la
ux émané de la pie-mère. Fig. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la région dorsale. pLANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de
ales de la région dorsale. pLANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale. Nombreux vaisseaux coupés trans\ersale
seaux coupés trans\ersalemen.t. Fig. 10. Coupe transversale de la région cervicale inférieure. Fig. il, 12. - Coupes tra
PLANCHE 111 . Fig. 13. Moitié droite d'une coupe de la moelle il la région cervi- cale inférieure. a, Artère. Nombreux n
tère et dans la gaine lymphatique. Fig. l ? Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de
ent conformé. La tête est assez développée, sans prédominance de la région occipitale; le front est saillant, élevé, avec
s attaques. Ces points hyperesthésiques ont été rencontrés dans les régions suivantes : 1° Une surface de l'étendue d'une p
auche (7ttchiÉilqie), la douleur est par- fois spontanée dans cette région ; toujours elle est déterminée par la pression,
nt la pression s'accompagne d'anxiété respiratoire; - 8° et 9" deux régions situées à 3 centimètres de l'épine iliaque, en
entend des «ding... ding... ding... » et éprouve des douleurs à la région tempolale, le tout avec prédominance du côté ga
gauche et est 'en retrait en arrière sur cette dernière moitié. La région pariétale droite est arrondie, tandis que la gauc
e et d'anxiété générale. 11 y a de l'oppression, de la douleur à la région épigastrique, la face devient pâle, le pouls pe
evanche, du côte opposé à la lésion, une diminution de volume de la région cérébrale délimitée plus haut, surtout en son s
ner l'a consignée du côté lésé, sans que pour cela l'atrophie de la région corticale du côté susmentionné ait été en rien
'essais. On peut, en définitive, par la résection de telle ou telle région corticale, pratiquée chez le lapin nouveau-né, s'
orps genouillé externe correspond, à raison de sa situation dans la région occipitale, au centre visuel de Munk; sa résect
unk. Ces deux premières 126 REVUE D'.\N.1TUIlE et de PHYSIOLOGIE. régions de l'écorce sont en continuité avec le segment po
n de la couche optique en avant des deux précédentes et comprend la région motrice du lobe frontal. De sa destruction résu
ur la capsule. Ramollissement de la moelle, à l'oeil nu, jusqu'à la région lombaire. A l'examen microsco- pique, dégénérat
Ramollissement marqué de la substance blanche de la moelle, dans la région dorso-lombaire. A l'examen microsco- pique, pas
erses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à des régions très circonscrites, au pied, par exemple (Fried
ifs très marqués du côté droit. Ces troubles occupaient la joue, la région temporale et le côté gauche du crâne. Le malade
de cheval, ou en conséquence des compressions siégeant dans la même région . La miction se fait à mesure que l'urine arrive
festant qu'au moment du passage de l'urine. L'endolorissement de la région membraneuse peut rendre compte des spasmes doul
on membraneuse peut rendre compte des spasmes douloureux de cette région . Cette dysesthésie présente aussi les caractères
des douleurs d'intensité variable siégeant dans la profondeur de la région hypogastriquo ou au-dessus du pubis; elles s'ac
masser. - Les accidents restèrent localisés aux extenseurs de cette région et on ne constata aucun signe d'intoxication géné
ait pas due aux, com- plications bulbaires qui surviennent quand la région postérieure ou ganglionnaire est intéressée ; p
tés sont actuellement fort pauvres en documents de ce genre sur les régions Scandinaves. Aussi, tout en condensant le plus
venue à ses collègues, et montre comme la ville de Bordeaux et sa région étaient naturellement désignées pour être le sièg
a langue, du voile du palais), faisceau intellectuel. De même, la région pédonculaire a été divisée en quatre faisceaux
de veinules de la portion supérieure de la faux du cer- veau et des régions avoisinantes de la dure-mère; 3° les veines dip
inique, par des maux de tête et des troubles dans les fonctions des régions cérébrales corres- pondantes, c'est-à-dire des
parla distension des veines cérébrales antérieures etl'aedème des régions correspondantes, et je ne puis supposer qu'une ir
lquefois la rumination est précédée d'un sentiment de poids dans la région épigastrique qui dure quelquefois aussi longtem
econdes environ, contractions violentes visibles et tangibles de la région épigastrique. En frottant la région, il se forme,
tes visibles et tangibles de la région épigastrique. En frottant la région , il se forme, dans la li- mite où la percussion
spension qu'au prix d'une douleur sourde, mais très gênante dans la région épigastrique. M. C... n'éprouve jamais d'éructa
la zone radiculaire postérieure ; il est facile d'en distinguer les régions antérieures et postérieures indemn.'s à ce moment
antérieur. La zone radiculaire postérieure subit ensuite, en cette région , l'impression anatomo-pathologique. Les cordons p
de la selle turcique, sur la partie moyenne de la protubérance. La région supérieure de la moelle est fortement hyperémié
nges, un oedème ayant aplati les circonvolutions du côté gauche; la région corticale de la corne d'Ammon (ergot de Morand) e
agonie. Leur intensité dépend du plus ou moins d'infiltration de la région du cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE
cune compression de la moelle. Le microscope révéle au niveau de la région malade un semis de foyers de ramollissement mye
rontale et les limites de la seconde; elle parait enkystée vers les régions saines de l'organe. P. K. XXXII. SUR l'inflamma
ments dans les quatre extrémités, des sueurs, de l'anesthésie par régions ; tous accidents d'origine médullaire (pas de pert
logique décèlent dans le cervelet, dans la protubérance, dans les régions supérieures de la moelle allongée, dans les régio
rance, dans les régions supérieures de la moelle allongée, dans les régions cervicales, dorsales et lombaires de la moelle,
procédé'. Quant à la moelle, on la galvanise de bas en haut, de la région lombaire inférieure à la nuque, en aug- mentant
la corne antérieure gauche des lésions analogues. Dans toutes ces régions il y a disparition des grandes cellules multipo
ntale et pariétale ascendantes, première temporale) constituent les régions qui recèlent ce genre d'altérations. Malheureus
carmin ou par d'autres systèmes montrait, sur d'autres coupes de régions identiques du même organe, l'intégrité des autres
ence paralytique, sur la lisière de la substance blanche. Les mêmes régions sont le terrain de ces altérations. L'écorce es
ns la couche externe. On en voit au contraire très peu dans la même région du cerveau d'une manie puerpérale, douze heures
semaines dans la liqueur de Mûller. On comparera naturellement des régions symétriques. L'hypostase ou l'oedème pie-mérien
e invariable qu'il les à soumises, c'est encore à la comparaison de régions identiques qu'il a eu recours, tant pour les ce
médullaire. Fig. 2. Coupe transversale à la partie inférieure de la région lombaire.. a, Prolongement scléreux émané de
la pie-mère. Fig. 3. - Coupe transversale à la partie moyenne de la région lombaire. a, Prolongement scléreux émané de la
ux émané de la pie-mère. Fig. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la région dorsale. 426 EXPLICATION DES PL4NCHES. PLANCH
426 EXPLICATION DES PL4NCHES. PLANCHE Il Fig. 7, 8. Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale Nombreux vaisseaux coupés transversalem
sseaux coupés transversalement. Fig. 10. Coupe transversale de la région cervicale inférieure. Fig. Il, 12. Coupes trans
PLANCHE lit Fig. 13. Moitié droite d'une coupe de la moelle à la région cervi- cale inférieure. a, Artère. Nombreux n
tère et dans la gaine lymphatique. Fig. 14. Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de
55 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lion mentale, puis il ajoute : a 11 y a dans ma poi- trine, dans la région de l'estomac, comme une langue qui arti- cule t
u mem- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 37 bre inférieur à la région antéro-interne des cuisses qui est insen- sible
e sensible, assez étroite ; c.) les aisselles ; d.) les seins et la région périphérique (à part le sillon). - Les membres
je l'ai déjà dit, dans les cas d'une hémisection complète dans la région dorsale, les phénomènes de la motilité consistaie
Dans la partie lombaire de la moelle épinière, c'est-à-dire dans la région postérieure de l'hémisection, une dégénérescence
e : elle se concentre en forme d'un petit îlot triangulaire dans la région postérieure du cordon latéral du côté gauche et
ines fibres, qui forment le faisceau pyramidal du côlé gauche. - La région correspondante du côté droit (florneu, l. c.),
'anesthésie de l'extrémité droite; en outre d'hyperesthésie dans la région postérieure du corps du côté gauche. - Trois jour
moelle épinière, se développa une dégéné- ration ascendante dans la région postérieure du cordon de Goll et dans le faisce
is chiens la résection d'un mor- ceau de la partie inférieure de la région dorsale de la moelle épinière, où au bout d'uu
ces chiens une complète hémisection de la moelle épinière dans la région dorsale, il ne se développa aucun signe de mouvem
ent presque- les mêmes résultats; la seule différence, c'est que la région régénérée de la moelle épinière n'avait pas l'a
dirigent vers l'ex- trémité, qui avait été paralysée, à travers une région intacte de la moelle épinière; dans ce cas, une
. Sous le nom de lyre, de psaltériuiii, les auteurs décrivent une région triangulaire limitée en dehors et de chaque côt
douleur assez vive le long de la` colonne vertébrale, surtout à la région lombaire. L'appétit est capricieux, le sommeil as
es convulsifs et paralytiques apparaissent simultané- ment dans des régions différentes du corps. Une lésion des- tructived
a localiser à la circonvolution postcruciale du chien ; là était la région de l'écorce dont l'excitation, même avec un cou
sur d'autres centres véritablement mo- teurs, situés dans d'autres régions du système nerveux central. » Non seulement l'é
u. ital. per le mal. ner. 1881, 206 sq. Cinquante chiens opérés des régions psycho-motrices ou psycho-sensorielles de l'éco
ion de la nutrition des tissus nerveux (Gowers). N'importe quelle région de l'écorce peut-elle provoquer, sous l'action
aussi qu'on peut provo- quer des accès d'épilepsie en excitant les régions postérieures du cerveau en rapport avec le cent
a vision. Récemment, il a repris ce sujet et émis l'opinion que ces régions possèdent des propriétés épileptogènes2. Franço
e lobe occipital. Pour être efficace, l'excitation portée sur cette région doit être plus intense que sur la zone motrice;
ue de Berlin, le 26 octobre 1883 : 1° l'exci- tation électrique des régions motrices suffisante pour provo- quer des convul
convulsions épileptiformes, ne suffit pas lorsqu'on l'applique aux régions occipitales; 2° ce n'est qu'avec des cou- rants
uelle ne met pas fin aux convul- sions. L'excitation portée sur les régions occipitales se propage horizontalement à traver
richt soutient que de pures affections locales (tumeurs, abcès) des régions postérieures du cerveau, peuvent naître, sans a
ion à distance, des accès convulsifs, et que l'excitation des mêmes régions peut même déterminer des accès d'épi- lepsie un
limi- tent, dans ce cas, aux groupes musculaires innervés par la région motrice laissée intacte, il ne peut toujours être
lation bilatérale des centres moteurs de l'écorce, l'excitation des régions postérieures du cerveau ne provoque pas de conv
Munk. En somme, Unverricht n'a pas démontré que l'excitation de ces régions puisse, sans irradiation aux éléments moteurs,
u côté opposé à l'hémisphère excité. L'inexcitabilité passagère des régions motrices après plusieurs attaques provoquées ex
nnement normal de l'intelligence 3. Par ceux-ci, Bianchi entend les régions du lobe frontal, que quel- ques auteurs ont con
atria, 1889, x, 28. L'accès débutait par un spasme musculaire d'une région , toujours circonscrite, du tronc, de la face ou
trémités, auquel succédait une vive sensation de chaleur qui, de la région intéressée, montait et enva- hissait la tète «
ns le cerveau moyen. L'excitabi- lité des centres réflexes de cette région déterminerait, sous l'influence de l'excitation
ut se rencontrer dans toutes les parties du manteau, a pourtant une région d'élection, et, à peu d'exception près, tous ce
e diversité de formes entre les accès convulsifs limités à quelques régions et les accès diffus ? » Ainsi, ce clinicien ita
l'écorce cérébrale. L'hypothèse la plus probable est donc que cette région est la seule qui soit douée de propriété épilep
psie avec l'ex- tirpation du manteau. Ainsi, chez un animal dont la région corticale d'une. extrémité a été enlevée, l'exc
comme fondamentalement différentes, ré- sultant de l'excitation de régions également distinctes du sys- tème nerveux centr
ne lésion de n'importe quel point du manteau cérébral ou des autres régions de l'encéphale (capsule interne, pédoncules, po
la paralysie, dans les phénomènes d'exagé- ration fonctionnelle des régions sensitivo-motrices du cerveau, comme dans ceux
ur. On trouve à l'autopsie un sarcome à cellules rondes occupant la région comprise entre le sillon de Rolando et la sciss
sions ont le caractère de celles qui succèdent à l'excitation de la région corticale motrice antérieure. Le noyau lenticulai
mouvements de course impétueux avec loco- motion et cris : c'est la région de la calotte et du corps genouillé interne qui
ntral de la cas lotte de Bechterew qui prend lin à la base, dans la région du troisième ventricule; 2° le trousseau cérébr
ent quatre différents trousseaux ; trois d'entre eux viennent de la région du noyau rouge de Stilling qui, de son côté, envo
gie. A l'autopsie, on a trouvé dans le lobe frontal gauche, dans la région des 2° et 3° circonvolutions frontales, une tum
jet, à côté d'une dégénérescence ta- bélique, d'une méningite de la région lombaire et d'une altération syphilitique des v
médecin; il ne faut pas perdre de vue que l'étendue de certaines régions peut compenser les anomalies de certaines autres
dent également une tendance, non seulement de se localiser dans les régions où se développent les légions systématiques (no-
é plus ou moins grande. Cette déformation peut aller dans certaines régions de la moelle grêle et libre comme au niveau du
ans les muscles. b° La rachialgie avec ses sièges de prédilection : région lombaire, cocydinie. 6° La dyspepsie par atonie
côté droit, il cons- tate avec étonnement l'insensibilité de cette région . Enfin, plus récemment, il apprend que la sensi
t dans - le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans la région dorso-lombaire. Le membre inférieur gauche et l
ant son élan d'avant en arrière, s'en donne un coup violent dans la région postérieure de la tête. Il tombe aussitôt sans
siège même de la fracture. La présence des nombreux sinus en cette région en rend l'application difficile. D'un autre côté,
ar suite de commotion du cerveau, comme le]coup de massue, en cette région , abat un boeuf à l'abattoir. Aucune portion du
pied qui reste tou- jours en arrière. Une légère hyperesthésie des régions désignées est restée au même degré. L'anesthési
dorsale au niveau de la dernière opération. Du côté droit, dans la région inférieure dorsale, sur l'abdomen et l'extrémité
ieures sont tout à fait annulés. Une certaine suppuration dans la région postérieure de la dernière plaie. Le cobaye est
vertèbre dorsale est rétablie. Dans la partie supé- rieure de la région dorsale de la moelle épinière, on remarque les
méfaction est plus marquée dans la troisième plaie. Au niveau de la région dorsale inférieure, on remarque un étranglement
prises dans la cicatrice de la moelle épinière, c'est-à-dire de la région de la pre- mière hémisection présentent quelque
la moitié droite le cordon latéral est le mieux conservé. Dans les régions supérieures et inférieures, on remarque facilem
cordon latéral du même côté. En ce qui concerne le caractère et la région de la dégénération, cette dernière ne présente
un peu touché (il-. 20).- Nous finies encore une préparation de la région dorsale supérieure de la moelle au niveau de la
n° 15 qui a subi une hémi- section du côté gauche de la moelle à la région dorsale inférieure, vécut jusqu'à la seconde op
érations est faite une section laté- rale de la moitié gauche de la région omise à nu de la moelle (fij. 22). Une hémorrha
oite postérieure et de toute la moitié du corps à l'exception de la région dorsale supérieure est tout à fait annulée. Sur
ence, ce résultat ne prove- nait point d'une particularité de cette région , parce que, ainsi que le démontre l'opération c
la disposi- tion des conduits sensitifs et moteurs, que dans les régions sous-jacentes de la partie dorsale de la moelle
te, nous au- rions pu conclure qu'à ce niveau, c'est-à-dire dans la région de la moelle épinière, les voies qui nous intér
ius » du quatrième ventricule, le bout inférieur du cervelet, et la région supérieure de la moelle épinière. Aussitôt sous
ns un état parfait. La sec- tion de la moelle durcie, faite dans la région de la deuxième opération, a [démontré que toute
ence, chez le cobaye, l'entre-croisement des voies motrices dans la région de la decus- salio pyramidum. OERVATtjN VHt.
'entre-croisement complet chez le cobaye des voies motrices dans la région de deettssatio pyramidum, on peut obtenir le ta
ration n° 28, lorsque après une hémisection secon- daire dans la région dorsale il n'y a eu que la para- lysie de l'ext
cobaye de taille moyenne. La colonne vertébrale est ouverte dans la région de la X° vertèbre dorsale; à cette région, on y
brale est ouverte dans la région de la X° vertèbre dorsale; à cette région , on y a fait une hémisection du côté gauche (fi
èbre lombaire, de sorte qu'on a mis a nu la partie inférieure de la région dorsale, tout près du renflement lombaire. C'es
ité des mouvements volontaires, passent à l'endroit destiné dans la région du renflement lombaire, c'est-à-dire au niveau
i cette supposition est juste, ces voies doivent se trouver dans la région commissurale du renflement lombaire, et alors l
èrent à l'aide des voies développées passant du côté sain dans la région atteinte du renflement lombaire par une partie
te du corps strié, puis se dirige en dehors et va se perdre dans la région correspondant à l'es- pace perforé antérieureme
nfirmées, il n'y aurait plus dans le cerveau humain de points ou de régions dont les fonctions seraient inconnues. Pour les
indice de l'envahissement par des gommes des méninges spinales à la région d'oùémergentles nerfs intercostaux ? Faut-ily voi
n constate le 26 mars 1888 : léger délire, oedème de la face, de la région de l'épaule gauche, du bras de ce côté et des d
le bord cervico-scapulaire parait déprimé, princi- palement dans la région des trousseaux moyens et inférieurs du trapèze,
ère un kyste du volume d'un oeuf de poule ; il occupait à droite la région de la scissure de Sylvius et s'étendait en avant
NiSSL font remarquer qu'il s'agit peut-être là d'une hypoplasie des régions cérébrales en ques- tion et que le kyste a pu s
angulaire d'un côté et localisèrent le centre de la vision dans la région pariéto-occipitale; les recherches cliniques de
iblement du côté droit que du gauche. Il y a quatre ans que dans la région temporale droite parut un enfoncement qui tantô
face suffit pour s'apercevoir qu'elle est grandement défigurée. La région temporale droite est très enfoncée. Quand la mala
fosse canine est très accentuée; lorsqu'on examine avec soin cette région , on cons- tate que les muscles et le tissu adip
e part, les cas où des phénomènes atrophiques étaient limités à une région isolée de la face, et, d'autre part, ceux dans
rdinaire, traumatisme) et où il a été limité rigou- reusement à une région innervée par une ou plusieurs bran- ches du ner
omberg a décrit une malade chez laquelle, après une contusion de la région pariétale gauche, se manifestèrent des douleurs
iatrophie de la face et de la langue accompagnée d'anesthésie de la région affectée et de paralysie des nerfs ocu- lomoteu
s phénomènes atrophiques, l'auteur admet ici une hémorragie dans la région du noyau gauche du nerf triju- meau. On peut
e d'examiner un forgeron qui avait reçu un coup très violent à la région de la fosse sus-claviculaire gauche. L'état imméd
u col de l'omoplate du côté gauche; aussitôt s'ensuivirent, dans la région du plexus brachial droit, des phénomènes de par
re attention, en l'expliquant par l'affluence diminuée du sang à la région affectée, et comme les grandes artères ne prése
doigts sont insensibles; c). Le sens musculaire est aboli dans la région de l'anesthésie superficielle ; 4° a). Troubles t
à constater des troubles du mouvement et de la sensibilité dans des régions autres que celles qui sont atteintes chez notre
tie interne du bras, mais avec plus d'attention on trouvait dans la région du nerf accessoire du brachial cutané interne (
e. Ces îlots d'anesthésie complète disséminés au milieu de vastes régions ayant conservé leur sensibilité, fait qui s'expli
passifs de l'avant-bras ; d'une part, parce qu'il existe dans cette région une languette de peau non anesthésiée, de l'aut
nous occupe, on a constaté un abaissement de la température dans la région de l'anesthésie superficielle, mais il est impo
dant lorsqu'il est mouillé. A droite elle est abolie dans les mêmes régions , mais l'abdomen est complètement insensible.
insensible. Puberté. Très léger duvet sur la lèvre supérieure. - La région pectorale est assez développée. Poils noirs ass
t voir tout tourner. Il a une sensation d'étouffement partant de la région épigastrique qui remonte à la gorge jusqu'au ni
s ou moins complet, disposées d'une façon symétrique dans plusieurs régions du corps. Les régions zygomatiques, mastoïdienn
sposées d'une façon symétrique dans plusieurs régions du corps. Les régions zygomatiques, mastoïdiennes, mentionnière, clav
rie : elles sont molles, difiluentes, dépres- sibles dans certaines régions , résistantes, lobulées dans d'autres; une de ce
tate à la surface du cerveau de fines tubérosités, surtout dans les régions frontale et pariétale; ces tubérosités sont pro
s de l'adjuvat a été jusqu'ici un fiasco lamentable. Dans certaines régions , le jury est revenu bredouille; dans les favori
ens de valeur de se présenter au concours de l'adjuvat même pour la région de la Seine. Dans tous les cas il serait équita
ts des pays marécageux très rarement. Par contre, les habitants des régions traversées par de grands fleuves, fournissent l
cès qui pourront être décla- rés admissibles est fixé à six pour la région de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois
on de Paris, à cinq pour celle de Lille et à trois pour chacune des régions de Lyon, Bor- deaux, Nancy et Montpellier. Les
épreuves devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre des régions , devront adresser leur demande, sur papier timb
mande, accompagnée de pièces énumérées. ci-dessus, doit indiquer la région dans laquelle le candidat veut subir le concours.
56 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
à 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈHË. l'eecléme, et celte région dont la peau est distendue par de gros bourrelets
ètres; aii niveau de la bosse pariétale droite, 15 millimètres ; la région la moins épaisse me- sure 13 millimètres. La
nsidérable de la face interne. On ne trouve pas d'exostose en celle région ni de traces de fracture. 8 NOUVELLE ICONOGRAPH
ont une véritable saillie sous la peau et déforment complètement la région . Le nez qui présente les traces de l'ancienne f
tre optique (cortical) gauche ; cette ex- citation se transmet à la région motrice de l'hémisphère gauche, et de la aux fa
t que la vérité réside dans une sorte d'éclectisme qui, suivant les régions et les circonstances, ferait intervenir la résist
ertébraux lombaires et constitue la résistance, pendant qu'en celle région la puissance qui fait L équilibre à la pesanteu
différences entre les deux parties latérales du corps. Ici, pas deux régions homologues qui n'aient la même conformation. Le
e. Cette courbure siège généralement au niveau de la jonction de la région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète
énéralement au niveau de la jonction de la région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète sur les deux régions. L'a
région lombaire et de la région dorsale. Elle empiète sur les deux régions . L'anatomie nons apprend que la colonne lombair
aucun mouve- ment de torsion ; mais il n'en est pas de même pour la région dorsale qui ne peut s'infléchir sur le côté san
, de l'autre côté, la masse sacro-lombaire est molle et fuyante. La région sous-scapulaire, du côté portant, est déprimée, l
s est marqué d'un pli transversal, pendant que, de l'autre côté, la région sous-scapulaire est légèrement bombée, surmon-
vant, on observe une transformation complète des formes de toute la région . C'est la fesse opposée qui entre en contraction
e » (1) un faisceau épanoui en éventail, au-dessous de l'écorce des régions postérieu- res et latérales de la région sphéno
u-dessous de l'écorce des régions postérieu- res et latérales de la région sphénoïdale, et dont les fibres se portent en c
de ce fait que leur direction est courbe : c'est seulement dans la région inférieure du thalamus qu'elles forment un faisce
faut la prendre au plus près de son extrémité thala- mique, dans la région que nous venons d'indiquer, c'est-à-dire au nivea
up plus diffuse, puisqu'ellc's'étalc'e'n éventail dans une certaine région du' lobe sphénoïdal : Mais ces fibres, avant de d
complètement 'cette' extrémité de la bandelette sous-optique de la région opto-striée; deméme,'il nous.parait vraisemblable
du noyau amygdalien. La racine inférieure du thalamus, venue de la région du centre ovale qui est sous-jacente au ventric
itique (gomme périostique claviculaire, gomme sous- cutanée dans la région cervicale qui ont manifestement diminué de vo-
es intercostaux sont fortement déprimés. Le malade éprouve clans la région slernale supérieure des douleurs semblables à cel
es. Acuité visuelle normale, pas de dyschromatopsie. Examen de la région cervicale. Les apophyses épineuses de cette régio
ie. Examen de la région cervicale. Les apophyses épineuses de cette région sont douloureuses à la percussion. La raideur d
et à gauche. Le malade évite toujours de faire ces mouvements. La région cervicale n'est pas déformée, mais il existe une
a méningite syphi- litique se localise avec prédilection dans celte région . Si bien que lors- qu'on voit apparaître chez u
de la sensibilité thermique n'ont pas été absolument cons- tants la région antérieure et supérieure de la cuisse. Dans un pr
insignifiante, frissons légers ou plutôt sensation de froid dans la région dorsale; dans le membre anesthé- sique, sensati
ent que dans le mollet droit occupent maintenant tout le membre, la région fessière et l'hy- pogastre qui parait lourd, pe
re qui parait lourd, pesant. Depuis hier, la malade souffre dans la région lombaire gauche. La pres- sion sur les apophyse
crâne et le cerveau. Quelques chapitres sur les plaies des diverses régions de la face complètent l'ouvrage : leur étude se
fonctionnelle n'est pas, imputable à la faiblesse des muscles de la région antérieure de la jambe, mais bien à la rétraction
rieure de la jambe, mais bien à la rétraction qu'ont subie ceux de la région postérieure. Le fait-est confirmé par la résist
~s ? - Une autre conséquence du raccourcissement des muscles de la région postérieure de la jambe consiste en ce fait que
ebout de profil. Le ventre est projeté en avant. La concavité de la région lombaire est encore accrue en haut par le détac
Fjg. 49. Fig. 50. 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE région postérieure de la jambe (-istro-enémiens). La rés
tous les segments des membres la jambe, et surtout le mollet est la région qui à le mieux conservé son relief. A ne regarder
n faux pas en roulant une brouette et a senti un craquement dans la région rénale. Cet incident a nécessité un repos de qu
re, le crâne est proportionnellement plus développé que la face. La région occipitale présente l'aplatissement décrit chez
Les omo-hyoïdiens semblent respectés, de même que les muscles de la région postérieure. Tous les mouvements s'exé- cutent
ées en ailes, absence de scoliose, mais lordose monstrueuse dans la région dorso-lombaire (PI. XX et XXI). La masse commun
ce. Un peu d' « exophtalmie » et un léger gonflement du cou dans la région thy- roïdienne. (Fig. 53). Les deux mains et
ose très accentuée. L'angle formé par les vertèbres lombaires et la région sacrée est presque droit. Quand la malade est c
ns son état. De temps en temps elle s'est plaint de douleur dans la région du foie, mais il a été impossi- ble d'en reconn
qui frappe im- médiatement, c'est le gonflement considérable de la région articulaire. D'un moment il l'autre, l'aspect d
pt ans qu'il a éprouvé ses premières douleurs fulgurantes dans la région cubitale. Trois ans après, il com- mençait à so
suite des grandes crises fulgurantes, plus spécialement au niveau dos régions endolories. Le purpura 1n ! }élopathiqltl' de F
l'effondrement du tarse a été précédé d'un oedème considérable de la région tibio-tarsienne avec une éruption purpurique. L
ment semblable s'est montré au membre inférieur droit dans la même région que celui du côté gauche, avec le même piqueté
au niveau de la cuisse gauche, et, plus tard, au niveau des jambes ( région du tibia en particulier). Ces douleurs, provoquée
respecté tronc (exception faite pour une plaque constrictive do la région dorso-lombaire) et n'ont envahi les memhres sup
les deux pieds. Dans les jambes, les cuisses et le tronc jusqu'à la région mammaire, les sensations tactiles sont très dim
érieur des deux humérus explique' la morphologiëz si curieuse de la région scapulaire (PI. XXIX 'et Y11); c'esL-i ? lit;e.le
ntrées dans l'épaule gauche. Depuis elles n'ont pas reparu en celle région . Certaines régions ont été épargnées : la ceint
gauche. Depuis elles n'ont pas reparu en celle région. Certaines régions ont été épargnées : la ceinture, le tronc, le cou
Kllc applique, avant de se coucher, un cataplasme laudanisé sur la région . Le lendemain matin, la douleur avait disparu.
ux, il éprouva de temps il autre do très violentes douleurs dans la région lombaire et dans l'épaule droite. Ces douleurs
es pertes séminales et, après le coït, une douleur violente dans la région anale. Quelques mois après apparut une impuissa
ité dans les pieds et dans le talon. Douleurs constrictives dans la région thoracique. De temps il autre fourmillements da
ents dans les deux mains et sur tout dans le petit doigt et dans la région cubitale des deux avant-bras. La sensibilité cuta
normale sur toute la surface du corps, tronc, face et membres ; la région lombaire pré- sente une zone limitée d'hyperest
doux genoux ne peut être recherché. Quoique la sensibilité de cette région soit intacte, le réflexe plantaire n'existe pas.
ns atteintes, mais surtout, exclusivement pour ainsi dire, dans les régions sous-jacentes. De sorte que nous retrou- vons i
vons signalés mais rarement des troubles trophiques cutanés dans la région même de l'article menacé. Le malade de Karg rem
39 précédée de la formation d'une pustule sur le côté externe de la région . Ces cas en somme sont exceptionnels quoi qu'il
. Les chiffres romains indiquent l'endroit où les nerfs de chaque région percent la méninge ». NERFS RACIIIDIENS ET APOP
cause : l'obliquité variable des apo- physes épineuses. Aussi, à la région cervicale, où ces apophyses sont presque exacte
valle entre l'apophyse de même nom et l'apophyse sous-jacente; à la région dorsale où les apophyses sont extrêmement obliq
niveau de l'espace inter-épineux sus-jacent à celle apophyse ; à la région lombaire le rapport redevient le même qu'à la r
pophyse ; à la région lombaire le rapport redevient le même qu'à la région cervicale. Ajoutons que chez l'enfant où les ap
le très pratique à canse de sa simplicité, est la suivante : « A la région cervicale, il faut ajou- ter un au numéro d'une
er pour avoir le numéro des racines qui naissent à son niveau; à la région dorsale supérieure il faut ajouter deux; à part
niveau de la 2e lombaire. - On dira donc : « chez l'enfant, a la région dorsale supérieure, delà lrc à la 4e apophyse i
ut ajouter 3 pour avoir le numéro de la racine correspondante; à la région dorsale moyenne de la 5e à la 9 apophyse il fau
g séjour dans l'eau, le malade eut un gonflement considérable de la région externe de la jambe gauche, d'où, dit-il, est s
que du côté droit. Tremblement fiúritlaÍ1'(' dans les muscles de la région postérieure de l'avant- bras droit. Le réflex
e pério- disque). 2G8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE E région de la face antérieure de l'épaule ; normale sur l
; complètement abolie il l'avant-bras. Au bras, diminution dans la région antéro-externe; sen- sible sur la région postér
u bras, diminution dans la région antéro-externe; sen- sible sur la région postéro-interne. A l'épaule, diminuée sur la face
éli- que existait. Dans la névrite, l'anesthésie est située dans la région du nerf atteint; il existe de la douleur au niv
signalée par J.-B. Charcot (3). La déviation siège en général à la région dorsale ; sa convexité regarde- rait habituelle
peut redresser la courbure rachidienne; enfin la courbure est à la région dorsale, or c'est dans la région lombaire que s
dienne; enfin la courbure est à la région dorsale, or c'est dans la région lombaire que siège ordinairement la cour- bure
xemple, les arthropathies apparaissent-elles de préférence dans les régions qui ont été le siège de douleurs fulgurantes ?
téresse dans tous les cas le môme territoire médullaire : les mûmes régions sont sclérosées. Mais il ne s'en suit Nouv. ICO
THIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ 283 pas que, dans ces régions , les mêmes conducteurs nerveux soient affectés au
point de pénétration de la racine postérieure correspondent il la la région exci- tée. Parmi ces arcs réflexes, il en est u
e, et, dans le sens centrifuge, jusqu'aux racines antérieures de la région excitée. Le faisceau pyra- midal n'est pas autr
ans quelques observations l'analgésie et la thermo-anesthésie de la région ont paru précéder l'arthropathie. Ainsi chez ce
ire qu'elle résulte d'une hypertrophie osseuse, le plus souvent. La région atteinte conserve de ce fait même et en dehors de
t complète ; il ne persistait qu'une hyperesthésie loca- lisée à la région externe de la hanche. Cette hyperesthésie a persi
e, dit le médecin, il survint une amélioration considérable dans la région . » Le lendemain matin, le gonflement avait dimi
du corps est sensiblement abaissée ; elle atteint à peine 3° 8. La région de la hanche, l'articulation coxo-fémorale ne p
re et tube médul- laire, reste indivis, mais prend, surtout dans la région céphalique, un aspect moniliforme qui donne la
ruban latéral se fragmente aussi, mais très iné- galement. Dans la région céphalique ou branchiale, il forme les ganglions
nsoriels latéraux et de branches vasculaires répétant le type de la région bran- chiale. - Beard, Allis, Ayers, Dohrn et
e avec les noyaux bulbaires oculomoteurs et peut-être aussi avec la région du pli courbe. il) Enfin la continuité et la co
le gauche et dans la fosse sus-épineuse droite. Dans cotte dernière région la respiration est souf- llante, presque cavern
verge, les bourses sauf leur partie supero-externe, le périnée, la région périanale; sous une forme atténuée, ils s'étend
anale; sous une forme atténuée, ils s'étendaient à une partie de la région fessière, à une mince bande sur la face postéri
surtout cérébral. Une dernière question se pose cependant. A quelle région du lobe temporal et du lobe pariétal aboutissen
inférieur droit, la bande d'anesthésie cru- rale s'est effacée; les régions anesthésiques de la jambe, du pied, de la fesse n
ort que l'autre et le blessé peut sauter sur lui il cloche-pied. La région lombaire est d'une souplesse extraordinaire : l
tionnels était parfaitement parallèle, les muscles paralysés et la région cutanée atteinte dépendant des 4° et 5e segment
trajet et rapport), 30, 1. Bidactylie congénitale, 63. Cerveau, région ou aboutissent les fibres du nerf labyrinthique
57 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
ec dégénération grise très-prononcée des cordons postérieurs dans les régions dorsale et lombaire. La région cervicale est aife
ncée des cordons postérieurs dans les régions dorsale et lombaire. La région cervicale est aifectée aussi, mais à un moindre d
il pleure facilement et il éprouve une sensation de constriction à la région laryngienne. Durant les quatre dernières années,
ous pratiquons au malade des injections sous-culanées au niveau de la région massélérine gauche et des pectoraux (environ 2 gr
mâchoires s'écartent d'un centimètre ; en revanche, les muscles de la région postérieure du cou sont plus contractures; par in
ux selles abondantes. Injection de 5sr,50 de chloral sous la peau des régions iliaques. — P. assez petit, 120; R. 56; T. ax. 59
droits. Ces lésions étaient d'autant plus marquées que le tissu de la région était plus serré ; en effet, les piqûres pratiqué
es. Elles peu-vent être bornées, et cela a lieu le plus souvent, à la région hypogas- 1 Voir aussi Revue photographique, 187
im-possible de sentir celui-ci ; l'exploration et la palpation de la région antéro-latérale du genou ne donnent aucun renseig
écropsie pratiquée le 29 novembre. — A la partie supéro-externe de la région poplitée, plaie d'environ quatre centimètres de l
ssi sectionnée au même endroit. — Les autres vaisseaux et nerfs de la région sont intacts. De l'orifice d'entrée part un tra
devenait nécessaire de pouvoir examiner et palper à son aise toute la région du genou. L'application de deux attelles latéra
sont dans un 1 Rognetta signale certains ërysipèles alteignant des régions peu fournies en parties molles (crâne, sternum, c
r la paroi abdominale du côté droit. En examinant attentivement cette région , on voit qu'il existe une plaie en séton dont les
ure du côté correspondant à la lésion articulaire. Elle siégeait à la région cervicale pour l'arthropalhie de l'épaule, au-des
la région cervicale pour l'arthropalhie de l'épaule, au-dessus de la région lombaire pour l'arthropathie du genou. Au-dessus
esse avait non-seulement provoqué l'apparition de la maladie dans une région où elle ne se manifeste pas d'ordinaire, mais enc
des plaques syphili-tiques d'une coloration peu ordinaire et dans une région insolite. Ces modifications ont été amenées, selo
; elle y est complète le 9 février. Le 25 du même mois, la peau de la région sacrée est le siège d'une plaque érythémateuse. L
: 1° des élancements dans le coude qui, partant de la nuque et de la région cervicale postérieure, s'irradient dans le bras e
occupant surtout la moitié droite de la tête et plus spécialement la région pariétale ;— (b) parfois de vomissements ; — (c)
'insère à l'olécràne. B. Muscles de l'avant-bras. Les muscles de la région antérieure sont représentés par des masses muscul
te masse remplit tout l'espace situé entre le radius et le cubitus. Région externe. Le long supinateur et les radiaux sont r
ro-sité de la face externe (insertions normales). Les muscles de la région postérieure se confondent en partie avec les musc
e la région postérieure se confondent en partie avec les muscles delà région externe. L'anconé seul est distinct ; il s'étend
masses ar-rondies ou globuleuses. Leur siège habituel dans certaines régions du squelette est facilement explicable. En effet,
andis que la gauche en a 15. A droite, le deltoïde, les muscles de la région scapulaire étant peu développés, il en résulte qu
uner, sans cause appréciable, il ressentit une douleur subite dans la région lombaire droite avec un besoin pressant d'accompl
rexie ; soif incommode ; la pointe de la langue tend à devenir sèche. Région lombaire droite sensible à la pression ; région l
tend à devenir sèche. Région lombaire droite sensible à la pression ; région lombaire gauche indolore. Ni rétraction des testi
uelques nausées. Affaiblissement des forces. Légère sensibilité de la région lombaire. Pas d'odeur urineuse. P. 72; R. 24; T.
La nuit a été mauvaise ; somnolence, par instants, durant le jour. La région lombaire droite et le trajet de l'uretère corresp
ion progressive. Soif plus vive ; appétit médiocre ; constipation. La région lombaire, surtout à droite, et le trajet de l'ure
ie, la fièvre ; les autres au contraire sont sous la dépendance de la région dans la-quelle se pratique l'opération : l'infilt
r une petite croûte au niveau du mamelon et par une tuméfaction de la région ; des élan-cements partant de la région s'irradia
et par une tuméfaction de la région ; des élan-cements partant de la région s'irradiaient au loin. Ces élancements ont cessé
reux, dans l'aisselle correspon-dante. Rien à noter dans les autres régions du corps. On diagnostique une tumeur maligne du s
nues dans le sac. Tel est le type général du tissu, mais, selon les régions , les al-véoles apparaissent plus petits , d'un as
couchée près d'elle. Frissonnement, sans tremblement, vers minuit. La région hypogastrique est un peu douloureuse, sans em-pât
l Saint-Louis, dans le service de M. Folcher. Cet homme portait, à la région occipitale, une tumeur dure, élastique, mobile et
ieurs petites pla-ques graisseuses, mais il n'y a rien sur les autres régions de ce vais-seau. Abdomen : le foie très-congest
els divers, dysménorrhée, ménorrhagie, etc., par des douleurs dans la région ovarienne et la tuméfaction de l'ovaire appréciab
s. Ordinairement, elle présente des irradiations vers les lombes* les régions inguinales et sacrées. Elle est continue, paro-xy
ait est intéressant, parce que la pré-sence d'une tuméfaction dans la région abdominale, surla partie latérale droite du muscl
RLATINIFORME mollesse, mais rinfluence de l'humidité naturelle delà région ne s'y fait-elle pas sentir? Sous les plaques, la
trophie aussi irrégulière, portant sur tel ou tel muscle dans la même région , sur telle ou telle fibre dans le même muscle?...
uite, princi-palement par la voie du réticulun conjonctif, jusqu'à la région des cornes antérieures. Quant à la nature même de
ait l'extension de l'érysipèle. Soir : L'érysipèle occupe les mêmes régions que ce matin. Les oreilles sont un peu douloureus
ité inférieure, prise la première, est libre. 11 existe au niveau des régions malades une chaleur mordicante. La fesse droite e
6 mai. — P. 68; T. V. 57°,5; petites plaques érysipôlateuses sur la région , fémorale externe. — Soir : P. 95, compté deux fo
d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche ; douleur d'un caractère spécial
Messieurs, ce ballonnement considérable du ventre, ces douleurs de la région ovarienne, cette rétention des urines, consti-tue
me ; — 3° elle présente un ballonnement énorme de l'abdomen; — 4° les régions ovariennes sont douloureuses à la pression, et en
M. Magdelain : « Déformation au niveau de l'hypochondre gauche et des régions contiguës, tumeur plus ou moins fluctuante, matit
men......... Poumons......... Tète........... Nuque.......... Région sus-épineuse . . . — sous-claviculaire. . — a
fait découvrir les points névralgiques suivants : Io au centre de la région fessière ; 2° vers le quart supérieur et postérie
le-même était épaissie et dédoublée en deux lamelles, surtout dans la région des"neuvième, dixième et onzième racines dorsales
été elle-même envahie par la gan-grène. Observation : Blessure à la région carpienne. —Fourmillement dans les trois premiers
Un jeune homme de 17 à 18 ans, menuisier, se blesse avec un ciseau la région carpienne. Une vive douleur s'ensuit, puis un pet
e observation est un homme âgé de 52 ans atteint d'un cancroïde de la région auriculo-temporale (Planche XXIX). Cet homme da
a tumeur avait acquis un volume considérable et siégeait dans la même région ; il était impossible de reconnaître, par la palp
saillants les articulations fléchies, présente au con-traire, par sa région dorsale, une surface régulièrement convexe qui se
ité. — Point hyperesthésique au ni-veau de la partie inférieure de la région dorsale de la colonne verté-brale. Douleur au cre
2. La malade entre à l'infirmerie pour des dou-leurs assez vives à la région cardiaque. A l'auscultation, on constate que le s
e la tumeur cervicale. Elle occupe la par-tie supérieure droite de la région du cou, n'empiète pas sur la face ; elle semble r
lôido-mastoïdien. La peau ayant été divisée avec soin dans toute la région occupée par la tumeur, le chirurgien procède à la
érieure, arrache les prolongements qui gagnent la base du crâne et la région parotidienne. Enfin il sépare la tumeur des muscl
idée d'une tumeur lacrymale ou de toute autre tumeur fami-lière à ces régions , pour pencher vers l'opinion d'un polype muqueu
le de l'inflammation, peut se manifester à la simple inspection de la région de l'hypochondre gauche; le toucher peut aider à
violences extérieures. On a vu à la suite de coups, de chutes sur la région splénique, la rate se tuméfier, devenir douloureu
uait facilement le volume exagéré des vaisseaux sous-cutanés dans les régions de la face et du cou. La glande thyroïde présen
he. — Augmentation de volume rapide.— Tumeur encéphaldide occupant la région mammaire gauche. — Ablation au moyen des flèches
tel-Dieu de Toulouse (service de M. Ripoll). La tumeur, qui occupe la région antérieure gauche de la poitrine, mesure 31 centi
e a été rem-placée par une rachialgie extrêmement vive, siégeant à la région cervicale et un peu au-dessous, ayant pour centre
limites normales; enfin il n'existe aucun signe d'altération dans les régions voisines. B... a une bonne constitution; sa san
intacte. Diagnostic. — Parmi les tumeurs qu'on peut rencontrer à la région parotidienne, nous devons éliminer de prime abord
ac-tuels : intégrité de la peau, limitation exacte de la tumeur à la région parotidienne, connexions profondes avec mobilité
n traumatisme violent, les malades éprouvent une douleur vive dans la région de l'hypochondre gau-che ; cette douleur peut êtr
, de brûlure, de plénitude, de pesanteur et de tension dans les mêmes régions ; elle peut arracher des cris au malade ou le fair
La percussion delà rate est impossible à cause de la sensibilité delà région splénique. Le pouls est fréquent, peu déve-loppé,
et le plus souvent diarrhéiques, non sanglantes. La percussion de la région hépatique donne une matité de 6 à 7 centimètres.
se d'analogue à ce que nous avons avons décrit à gauche. Matité de la région hypo-gastrique (ascite). Le 15 janvier, exeat pou
qu'il forme une sorte de cuirasse cancéreuse ayant, dans certaines régions (hypochondre et surtout flanc gauches) une épaiss
t pas celui qui est préférable; nous sommes convaincu que l'étude par régions aurait mieux valu. Afin de rapprocher autant qu
76. Traumatisme {voy. Œil, Tétanos). Tumeur fibro-plastique de la région oc-cipitale, par A. de Montméja, 140; — de la ci
58 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie. Atlas
tance grise du névraxe Fig. 2. dans le bulbe {Coupe cm niveau de la région inférieure de l'olive]. Fig. 3.— Répartition de
tance grise du névraxe Fig. 4. dans le bulbe {Coupe au niveau de la région svjiérieure de Volivej. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈ
la substance grise du névraxe dans le bulbe {Coupe au niveau de la région moyenne' de l'olive). Substance grise de l'oliv
, Paris. Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire. L-IBRAIRIE J.-B.
stre et Paris. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la région moyenne du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B. BAI
aris. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région moyenne du noyau caudé. LIBRAIRIE J.-B. BAILL
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. t LIBRAI
ris. Coupe liorizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couclie optique. LIBRAIRIE J
orizontale antérq-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
aris. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure du noyau lenticulaire. LIBRAIRIE J
ne section antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. LIRRAIRIF
orizontale antéro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. LIBRAIRI
orizontale antéro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la hase du cerveau. LIBRAIRI
n horizontale de un millimètre d'épaisseur, passant au niveau de la région supérieure de la protubérance annulaire, puis cet
ection verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou, du corps calleux. L
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
Silvestre et 0'*, Paris. Coupe verticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs optiques. LIBRAI
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. i_
section verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
Silvestre et C^*, Paris. Coupe verticale transverse passant par la région antérieure du noyau lenticulaire. LIBRAIRIE J
section verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LI
59 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es de massage dans lesquelles on pratique la flagellation dans la région temporo-pariétale droite. L'amyotrophie ne tarde
paralysie, le médecin lui a appliqué sur la tempe gauche et sur la région antéro-externe du bras gau- che des plaques de
aroi thoracique antérieure présente une dépression; en arrière, les régions sus et sous- épineuses sont aussi légèrement dé
dire si l'atrophie s'est faite plutôt àux dépens des muscles de la région antérieure ou de èeux de la région postérieure
tôt àux dépens des muscles de la région antérieure ou de èeux de la région postérieure de l'avant-bras. Les éminences thén
spéciale qui la précède ; le malade sent comme une boule qui de la région épigastrique remonterait à la gorge ; mais l'at
ilité des doigts; en même temps la sen- sibilité s'émousse dans les régions correspondantes du côté opposé ; on continue le
a même chose que le 27 février. La sensibilité revient dans la même région , et le malade a une attaque. Lorsque le malade
que alors ce qu'on appelle dans le massage la flagellation, dans la région temporo-parié- tale droite (l'opération est com
é. On renouvelle pendant une minute environ la flagellation dans la région temporo-pariétale droite et la sensibilité revi
et le muscle grand pecto- ral est bien plus volumineux ; entre les régions sus et sous- épineuses du côté droit et celles
lysie, sous l'influence d'une simple flagellation pratiquée dans la région temporo-pariétale du côté opposé, a rétrocédé e
tions les différences suivantes : DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 21 La région antérieure du thorax est un peu déprimée; il en e
n antérieure du thorax est un peu déprimée; il en est de même de la région postérieure ; les muscles sus et sous- épineux
che la sensibilité n'est que diminuée, plus ou moins, sui- vant les régions (voir les fig. 3 et 4). - Le côté gauche du corps
ROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE NERVEUSE. M. Gautiez sur la région pariétale droite; après chaque séance, a sensib
(Déjerine) ? La malaùie se localise-t-elle séparément sur les deux régions sans qu'il y ait propagation anatomique de l'un
quand la lésion des cordons posté- rieurs s'étend en bas jusqu'à la région lombaire et que les zones radiculaires des cord
propage de proche en proche d'une manière continue, sans sortir des régions de prédilection. Il n'y a pas de contraste, pas
une accélération du pouls semblant appartenir à l'excitation de la région cervicale de la moelle. G. D. II. ERYSIPÈLE P
de Berlin, t. LXXXV111, III. Oct. 1883) permettent d'incriminer ces régions . P. K. V. Communication concernant LES RECHERCH
ue, suicide. Autopsie. Néoplasme occupant la portion centrale de la région cervicale de la moelle. llIéningo-périencéphali
négatif était promené lentement, du même côté de la tête depuis la région sourcilière jusqu'àl'occiput; les applications
xtension d'un caillot organisé et ancien aux petites veinules de la région du vertex : la circonvolution supra- marginale
uche, et une extravasation sanguine beaucoup plus considérable à la région préfrontale; M. Lewis considère ces faits comme
robablement permis de rattacher à des oblitérations capillaires des régions ganglionnaires de la base. Au point de vue ment
dus normaux, il n'y a que cinq épileptiques. En Italie, ce sont les régions qui fournissent le plus grand nombre d'épilepti
de, il accuse aussi une pesanteur ou une crampe désagréable dans la région épigastrique; la répétition fréquente de petite
ne semaine après avoir été soumis à un refroidissement humide de la région dorsale, on constate chez le malade, qui fait l
ce palmaire du même dos, ainsi que dans la paume de la main (même région ); puis, tout disparait, si ce n'est la paralysie
ette colonne commence en haut au tiers intérieur des olives ou à la région dans laquelle se met à apparaître le noyau post
aire, et en décrivant une courbe à convexité antérieure, jusqu'à la région des faisceaux longitudinaux postérieurs ; elles s
côté aux deux moitiés de la protubérance ou des masses grises de la région inférieure; M. Bechlerew appelle à cet égard l'
périeures du même côté et peut-être du côté opposé, ainsi que de la région du noyau de Deiters, en un mot du bulbe, et for
NIQUE NERVEUSE. Observation II. Idiotie. Gonflements anormaux de la région cervicale. - Convulsions. Mort. Autopsie. Com
essa un enfant de six mois pour quelques gonflements anormaux de la région cervicale. Les parents étaient sains; mère, âgé
oppement des lobes antérieurs. Malgré un examen très attentif de la région cervicale, on ne trouva pas de glande thyroïde;
ur la cornée de ce dernier, une petite tache d'albugo qui couvre la région inférieure de la pupille. Il raconte du reste q
ut le long des apophyses épineuses et une douleur très vive dans la région pariétale gauche. Pendant son séjour à Ivry, le
ses modes (tact, douleur, température, sens musculaire). Dans la région occipitale gauche existe une zone extrêmement dou
contracture, pas de changement. L'amyotrophie n'a pas augmenté. La région de l'épaule qui était complètement insensible a
d'un wagon et d'une locomotive; la DK L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 179 région sous-claviculaire jusqu'au mamelon, et le bras dr
e- ments des doigts seuls étaient possibles; à ce moment aussi la région comprimée n'était pas dutout tuméfiée; le malade
aule était déjà un peu enflée; il y avait une ecchymose occupant la région de l'épaule, la région sous- claviculaire et un
enflée; il y avait une ecchymose occupant la région de l'épaule, la région sous- claviculaire et une partie de la face; la
raître cette paralysie (massage, électrisation, flagellation sur la région temporo-occipitale du côté opposé à la mono- pl
r chaque segment du membre, on ne note pas de prédominance dans une région quelconque. Dans l'Observation II, tous les mus
s, on ne relève pas de prédominance de l'amyotrophie dans quelque région en particulier. Ces observa- - tions semblent d
e l'on relève une prédominance de l'atrophie dans les muscles de la région épitro- chléenne, et encore n'est-elle pas très
ent de la selle; et le malade ressentit de légères douleurs dans la région du mésogastre. Ces douleurs s'étendirent aux jamb
le lit, ne peut s'asseoir, et il éprouve une légère douleur dans la région lombaire. Quant aux fonctions des muscles du vi
n étendue, et par places adhère à la dure-mère. Les vertèbres de la région lombaire du côté du canal vertébral dévoilent d
e. (Insumesc. bracliialis.) Fig. 2 Coupe transversale de la moëlle ( région lombaire). Fig. i. Cellules nerveuses des corne
médiatement soumises à l'agent com- presslf, puis de l'ensemble des régions en continuité avec elles, si bien que dès que l
qui, parti du trou stylo-mastoïdien du même côté, descend dans la région latérale du cou. le long des vertèbres cervicales
t d'altérations inflam- matoires syphilitiques des vaisseaux en des régions distinctes. Du moins, c'est l'avis de M. Rumpf.
ontent ainsi et pénètrent dans la substance gélatineuse et dans les régions profondes de la corne postérieure. Dès qu'ilsont
llimètres des stries acoustiques; topographiquement, elle occupe la région de la calotte et ne pèse ni sur les fais- ceaux
re certain qu'il existe des altérations de structure dans certaines régions du système nerveux; pour localiser ces altérati
eures et postérieures, qui a envahi la substance blanche de la même région (forme et volume d'une pomme), qui a pénétré à
que l'accès pouvait à volonté être provoqué par une pression sur la région de l'épi- gastre. Du 21 novembre/3 décembre au
qui ne dé- rivent nullement de l'indigestion. L'hyperesthésie de la région de l'épigastre existe. Tous ces phénomènes ne s
t la facilité d'évoquer, à volonté, les attaques en pressant sur la région de l'épigastre (point hystérogène) sont des sym
quelques mots. Le 27 décembre, il éprouve une vive douleur dans la région de l'oeil droit, on observe même la ptosis qui
dilatées; les nerfs faciaux ne présentent rien d'anormal; dans la région des deux nerfs trijumeaux, de l'un et de l'autre
s indications sur l'endroit que l'on touche; la sensibilité dans la région du plexus brachial de droite a entièrement disp
thésies prodromiques soit de tout le corps, soit bornées à quelques régions des muqueuses (du pharynx, de la conjonctive);
quelque chose avec les mains, ou bien il les porte à la gorge, à la région du coeur, etc. Après l'accès, les malades revie
pé que le droit; ce bras se terminait par un moi- gnon formé par la région métacarpienne et une portion des doigts rudimen
la matière sébacée parait complète- ment suspendue. Au niveau des régions sus-claviculaires, au-dessous des aisselles et
la peau y est épaisse et pseudo-oedémateuse, comme dans les autres régions ; les deux testicules sont dans les bourses et o
eure du cuir chevelu, laquelle est glabre, une teinte rosée ; cette région est légèrement furfuracée; la rougeur et le gon
au niveau delà portion moyenne de la joue droite ainsi que dans la région temporale du même côté ; l'oreille droite est rou
40°,3. 27. T. R. 39o,4. Soir : 40°,3. 28. - Le cuir chevelu et la région faciale supérieure sont redevenus normaux ; l'o
T. R. 39°,2. - Soir : 39°,6. 31. - L'érysipèle commence à gagner la région pectorale ; il est descendu jusqu'au tiers infé
paroi antérieure de la poitrine ; en arrière, rougeur légère de la région scapulaire droite; rien à la face, si ce n'est
n train ; il semble que la peau du côté droit de la tête, tempe, et région pariétale, est rosée et un peu z oedématiée ; l
La rougeur de la face a disparu, mais elle persiste encore dans la région précédemment indiquée; de plus, elle descend en
rougeur de la face a disparu; elle persiste encore dans les autres régions et de plus descend en arrière jusqu'à l'articula-
omplémentaire. - Les cheveux sont noirs, moyennement abondants à la région occipitale; ils vont en diminuant sur la partie
bdominale. Le tissu adipeux sous-cutané, abondant dans toutes les régions , comme oedémateux, luisant, mais en réalité non
servés et on n'en trouve aucune trace. Le grand sympathique de la région thoracique parait normal ; au cou, on ne trouve
ieurs et inférieurs, à l'abdomen et aux reins, mais, nullement à la région thoracique ; partout mêmes carac- tères : sensa
i que le cou,'présente une peau normale; l'empâtement signalé des régions sus-claviculaires comme caractéristique du crétin
e scalpel, était plus développé sur la moitié droite du corps; à la région lombaire il avait 332 CLINIQUE NERVEUSE. deux
riablement associé à la présence de tumeurs symé- triques dans la région sus-claviculaire et dans d'autres régions, mais
rs symé- triques dans la région sus-claviculaire et dans d'autres régions , mais la priorité relative de ces accidents pat
bes sont assez bien conformées, mais les genoux sont rapprochés. La région du cou-de-pied est empâtée et présente des ride
lumineuse, plutôt brachycé- phale, avec aplatissement notable de la région occipitale; les cheveux étaient rares, le visag
e forme particulière; le front était petit et saillant, dans chaque région frontale latérale et aussi au-devant de la fontan
excès de la graisse sous-cutanée sans oedème. On constate dans les régions sus- claviculaires deux masses lipomateases. Po
u récemment à ce point de vue, ne présentent rien d'anormal dans la région thyroïdienne; il en résulterait, en tout cas, que
est regrettable que l'on ait cru, dans la photographie, masquer les régions les plus importantes au point de vue du myxoedè
uche qu'à droite. A gauche, cette trace de la corde arrivée dans la région de la nuque, se prolonge jusqu'à la ligne média
tête intenses, commençant à l'occiput et s'étendant surtout dans la région pariétale droite. Les disques optiques examinés
ouffrait d'une lésion irritative de nature inconnue, située dans la région indiquée ci-dessus. Une opération exploratrice fu
largement sous l'écorce). Avant de fermer la plaie, le centre de la région du pouce fut en- levé par une libre incision. L
t trois ou quatre sur le bord su- périeur de la tumeur venant de la région de l'écorce pour les mou- vements du membre sup
ations pathologiques, il faut constam- ment comparer avec les mêmes régions d'une écorce saine. M. Exo ( d'Heidelberg ) mon
sion permanente mais modérée d'une jambe, en déterminant dans les régions innervées par le sciatique de l'anesthésie tactil
l'extirpation des centres corticaux moteurs. Conclusions fo La même région de l'écorce cérébrale (gyrus sigmoide) contient l
ns nouvelles de la scissure de Sylvius, du lobule de l'insula de la région rétro-insulaire et de ses plis de passage et un e
le. (Intumesc. brachials.) Fig. 2. Coupe transversale de la moelle ( région lombaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses îles co
60 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e du syn- drome. Charcot crut pouvoir distinguer dans cette étroite région qu'il appela lé carrefour sensitif, pensant que
la jambe droite. Un peu plus tard, traumatisme (coup de poing) à la région fronlo-pariétale droite. Céphalalgie cons- tant
rtie supérieure l'hémisphère tout entier paraissait envahi, et à la région frontale la tumeur empiétait sur la couche cortic
des sont abolies. Le diagnostic est : pachyméningite gommeuse de la région rolandique. Le traitement spécifique a d'ailleu
es rachi- diennes, même au périoste de l'os voisin, surtout dans la région 84 SOCIÉTÉS SAVANTES. cervicale, et autour du
tuberculeuses. M. TOUCUE communique un cas de ramollissement de la région SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 temporale et rolandique
te affection, assez rare, au moins en tant que localisée à la seule région palmaire, arrive ai rendre la vie sociale intol
mains et les. pieds et on aide Prokhorow il se mettre debout. La région sur laquelle on a frappé est toute bleue d'ecchym
trie entre les deux hémisphères est très prononcée, surtout dans la région rolandique. L'hémisphère gauche présente une scis
en Brisgau vient de publier des re- cherches très complètes sur la région occipitale (weber die Occipi- tal Région, 1899)
ches très complètes sur la région occipitale (weber die Occipi- tal Région , 1899), résultant de l'examen de 350 hémisphères.
que les anomalies signalées jus- qu'ici l'ont toujours été dans la région rolandique de l'hémis- phère droit. Si les rech
ennent confirmer la fréquence de l'asymétrie et des anomalies de la région mo- trice du cerveau chez les personnes atteint
raisons suivantes. Il existait : 1° des douleurs irradiées dans la région de la nuque et de l'occiput, qui s'exaspéraient
u pédoncule cérébral et de la capsule interne, car. dans ces deux régions , on trouve des fibres dégénérées qui, assurément,
et les ganglions cen- traux. L'introduction de la canule dans la région sous-occipitale, entre l'atlas et le trou occip
iculaires des faisceaux centraux du même étage; de presque toute la région de la couche intermé- diaire des olives et du r
0,02 millimètre.... Dessins et tableaux établissant les détails des régions chez l'homme et la femme. La sensibilité tactil
ns la partie la plus élevée de la moelle cervicale, au niveau de la région du faisceau pyramidal, quelques mottes noires d
cérébelleux, et des fais- ceaux de Gowers ; il existé aussi dans la région des racines anté- 154 REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
de celui-ci, pour se rapprocher de la valvule de Vienssens et de la région de l'entre-croisement du pathétique. Ici une pa
cérébelleux supérieurs sont tout le temps demeurés normaux. Dans la région des tubercules quadrijumeaux, le faisceau de Go
réflexe se produit quelquefois quand on comprime les tendons de la région pulmonaire du carpe ou quand on pince de dehors
les résultats suivants. Il existe un véritable réflexe pileux, à la région antérieure du front, surtout au niveau de la gl
même à la face interne du nez (ici éternûments fréquents), et à la région , du pubis ou au pourtour de l'anus. La sensibil
ensibilité plus faible sur la peau de la face, plus encore dans les régions barbues, est de moins en moins accusée, au cou,
ibles, la paume de la main, la plante des pieds, le gland du pénis, régions com- plètement dépourvues de poils, mais, par c
rnes antérieures, et des lésions des racines posté- rieures dans la région dorsale moyenne seulement. Le cordon de Goll es
s, il n'y a de lésions cornu- radiculaires postérieures que dans la région dorsale. Ceci peut 172 SOCIÉTÉS SAVANTES. s'a
mande ce qu'a été l'évolution ; si les lésions ont commencé dans la région cervicale pour prendre naissance après dans la
mencé dans la région cervicale pour prendre naissance après dans la région dorsale, dans le cas si intéressant de MM. Philip
Tout tend il démontrer que les lésions de début ont apparu dans la région cervicale (s. pachyméningitique), mais les deux
Leur mise en acti- vité est subordonnée aux excitations venant des régions sensitives et sensorielles. Qu'il s'agisse'donc
des spasmes vaso-moteurs. Le spasme des vaisseaux de telle ou telle région du cerveau entraîne l'abolition partielle ou co
bolition partielle ou complète de l'activité fonctionnelle de cette région et partant la paralysie de la motilité ou de la
centre vaso-moteur cortical, localisé BIBLIOGRAPHIE. 183 dans la région rolandique. Qu'il s'agisse d'une impression simpl
la face interne de la cuisse gauche et sur la face antérieure de la région du genou du même côté, on constate une large tr
ensibilité viscérale, en particulier celle des testicules, et de la région épigastrique pro- fonde sont conservées. La cor
a cependant jamais eu de spermatorrhée. La pression exercée dans la région rénale ne réveille aucune douleur. On cherche s
lpation n'est pas douloureuse sur le trajet des uretères ou dans la région vésicale. L'urèthre est indemne de toute lésion :
sa tête. Plusieurs fois, elle a porté les mains à la tête, dans la région rolandique. Lui demandant le pourquoi de ces mo
lle nous a répondu que la tête lui faisait mal, précisément dans la région rolandique gauche. Ces points de la tête ont di
toute douleur et Zoé recouvre la sensibi- lité normale de toute la région abdominale inférieure, périnéale et inguinale.
elle ne sent plus rien et l'anesthésie a disparu. 10. Flanc droit, région hépatique. La malade accuse une sensation de br
ent que la malade ne peut ana- lyser, mais qu'elle localise dans la région cardiaque. La poitrine grossit beaucoup, puis s
Les yeux sursautent dans les paupières. - Ça me fait mal à la tête ( région occipitale d'abord, puis temporale gauche dans
nettement ; aucun trouble d'aphasie motrice ou sensorielle. A la région frontale gauche supérieure, notre malade présente
brisée, atrophie musculaire avec contractions fibril- laires de la région cervico-scapulaire et humérale, scoliose légère
autre part. A l'autopsie, on trouve des lésions bilatérales dans la région pédonculaire ; dans le pédoncule cérébrale droi
aigu de la face supérieure du cervelet, comprenant le vermis et les régions voisines. M. Babinski. -A propos de la première
,est né en état d'asphyxie. 11 y a dix ans, brû- lure indolore à la région de l'omoplate droite (cicatrice de dix à SOCIET
non seulement dans l'écorce cérébrale, mais encore dans diverses régions du cerveau. Quant à leur grandeur elle est très v
é de la substance protoplasma- tique nerveuse. En passant dans la région des données pathologiques, nous rencontrons ici
comme état pathologique, employent des termes différents ; dans la région qui nous intéresse nous rencontrons les termes
l'état moniliforme, applique à l'explication des phénomènes de la région de la vie mentale, normale, ainsi que de la rég
énomènes de la région de la vie mentale, normale, ainsi que de la région de la psychopathologie, son opinion sur l'état va
s étranger qu'elle a dû ava- ler le 15 décembre. La palpation de la région épigastrique et abdominale ne permet aucune con
sations de serrement à la gorge et de douleurs d'estomac et dans la région du sein droit; prétend qu'elle ne peut digérer,
limite, les bords taillés en biseau sont déchiquetés. Lavages de la région a l'eau phémquée, pansement il la vaseline bori
rs et synchrones aux pulsations car- diaques. Le soulèvement de ces régions s'exagère quand le malade tousse, éternue, fait
b, frontal gauche. (Grandeur naturelle.) 304 RECUEIL DE FAITS. la région est déprimée, et subit toujours de légers mouveme
s crises convulsives. L'examen de la figure 10 montre bien, en deux régions , A ÉPILEPSIE. TRÉPANATION ACCIDENTELLE. 305 e
vités de nouvelle formation, étant donné leur localisation dans les régions cervicale et lombaire. Les hétéropies ne sont p
a substance blanche et de la subs- tance grise dans les différentes régions du cerveau chez les alié- nés ; par le Dr AGOST
it des altérations notables et constantes. En pareil cas, dans la région de l'écorce où prédominent les lésions de ramol
fréquence, on trouve spécialement atteintes les circonvolutions des régions antérieure et rolandique ; puis lespariétales et
oupes un peu au-dessus et un peu au-dessous. Ce n'est pas tout; les régions dorsale et lombaire ont un canal central double
e à ce noyau qu'elles traversent ; ces trousseaux proviennent de la région du faisceau longitudinal postérieur et du noyau
rne, deviennent plus fines et plus délicates. Le centre ovale de la région motrice contient exclusivement des fibres rares e
bres dans la partie antérieure de la capsule interne, qui vont à la région de la zone sensible du corps : leur calibre et le
psie on trouva à la face antérieure de la dure-mère au niveau de la région frontale gauche une large plaque rouge, végétan
r d'altération maxima, équivalent à peu près à la destruction de la région intéressée par une lésion circonscrite telle qu
our où j'assistai à une crise que le malade calma en fléchissant la région lombaire, sans que les cuisses prissent part à
cyclette suivie de lombago, que les faux pas retentissaient dans la région lombaire; enfin, un examen attentif me révéla que
e thèse sur ce sujet a publié l'observation d'un homme tombé sur la région lombaire et ayant conservé une douleur fémoro-c
de mai 1900. Art. 2. Le concours sera régional : il y aura quatre régions . La circonscription de chaque région sera compo
a régional : il y aura quatre régions. La circonscription de chaque région sera composée comme il est indiqué dans le tabl
ses au concours est de douze, réparties ainsi qu'il suit, entre les régions indiquées ci-après, savoir : Région de Paris, G
ainsi qu'il suit, entre les régions indiquées ci-après, savoir : Région de Paris, G places. - Région du Nord, 3 places. R
s régions indiquées ci-après, savoir : Région de Paris, G places. - Région du Nord, 3 places. Ré- gion de l'Est, 2 places.
G places. - Région du Nord, 3 places. Ré- gion de l'Est, 2 places. Région du Midi, 2 places. Art. 3. Les candidats devron
seront libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des régions . Au sur et à mesure des vacances d'emploi qui s
s vacances d'emploi qui se produiront dans les asiles publics de la région où ils auront passé le concours, les candidats
il y aurait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste des admissibles se trouverait épuis
onservera la faculté d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre région . Tout médecin adjoint nommé pour son début dans
e autre région. Tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où il aura concouru pourra être ensuite envoyé av
e envoyé avec ses mêmes fonctions dans un asile situé hors de cette région . Art. 5. - Les médecins adjoints pourront être
chargé de juger les résultats du concours sera composé dans chaque région : 1° d'un inspecteur général des éta- blissemen
ident ; 2° d'un professeur désigné par la faculté de médecine de la région où se tiendra le concours ; 3° de trois directe
cours ; 3° de trois directeurs médecins ou mé- decins en chef de la région . Les directeurs médecins et les médecins en che
médecine qu'il faudrait dire. VARIA. 383 des asiles publics dela région . Il sera procédé, en outre, au tirage au sort d
0. VALDECâ-Ij0U85EAU. Répartition des départements entre les quatre régions établies pour le concours de l'adjuvat des asil
blies pour le concours de l'adjuvat des asiles publics d'aliénés. Région de Paris. - Calvados, Cher, Côtes-du-Nord, Deux-
Seine-et- Oise, Seine-et-Marne, Seine-Inférieure, Vendée, Vienne. Région du Nord. - Aisne, Ardennes, Aube, Belfort, Doubs,
Moselle, Meuse, Nord, Pas-de- Calais, Haute-Saône, Somme, Vosges. Région de l'Est. - Ain, Allier, Hautes-Alpes, Ardèche, C
Puy-de- Dôme, Rhône, Saône-et-Loire, Savoie, Haute-Savoie, Yonne. Région du Midi. Aude, Basses- Alpes, Alpes-maritimes,
, c'est une hypete.lt1uJsie très accusée au niveau de la nuque, des régions dorsale et costale. Cette hyperesthésie n'exist
et à la face antérieure des bras et des avant-bras. Dans toutes ces régions hyperesthésiées, le moindre frôlement produit u
pincement ne produit pas une réaction aussi vive. Des chocs sur les régions intercostales et surtout au niveau des lombes et
les régions intercostales et surtout au niveau des lombes et de la région dorsale, provoquent le même effet que les frottem
ur tout le corps, mais surtout au niveau des côtes, des membres des régions plantaires et palmaires. Si l'on ferme les yeux
e la destruction des centres de percep- tion qui coïncident avec la région motrice. Il y a, par conséquent, lésion surtout
le résul- tat d'une lacune dans les phénomènes d'association de la région motrice de l'écorce, et prouve que la région mo
es d'association de la région motrice de l'écorce, et prouve que la région motrice est l'organe psychique des conceptions
e déficit qui peut indiquer un processus destructif pro- fond de la région motrice de l'écorce. P. KERAVAL. LXII. La prote
lle en pénétrant dans les parlies centrales de l'isthme a, en cette région , lésé diverses hauteurs de la limite inférieure
rrière et de côté vers le puta- men ; elles forment jusque dans les régions frontales du cerveau antérieur un faisceau long
es antérieures du corps strié, et s'entre- croise en partie dans la région inférieure du cerveau moyen. Mais il est imposs
moyen. Mais il est impossible de décider si ces fibres viennent des régions inférieures de l'isthme ou si elles viennent du
s du faisceau de Burdach ne tardent pas à apparaitre saines dans la région des contingents latéraux du cordon postérieur. Il
disparaît plus bas, de sorte qu'au niveau du tiers inférieur de la région dorsale il faut une grande attention pour voir qu
st chez les animaux, chez lesquels on a comprimé la moelle dans les régions élevées. C'est la dégénérescence de la virgule de
moins, formée de fibres des racines postérieures descendantes de la région supérieure de la moelle ; 2° A la formation du
formation fixe consistant en une courbure cyphotique arrondie de la région dorsale supérieure, et une disparition de la co
orsale supérieure, et une disparition de la concavité normale de la région lombaire. Dans certains cas, il y a seulement «
, les malades la rapportent toujours à la môme partie du crâne : la région frontale. Diverses théories ont été invoquées p
ment et des adhérences de la dure-mère avec les os du crâne dans la région du tiers supérieur des circon- volutions centra
adhérences entre la dure-mère et la pie-mère sous- jacente dans la région du tiers inférieur des sillons de Rolando et de
uée. Front bas, voûte du palais ogivale. Le crâne, très étroit à la région frontale, va s'élar- gissant vers les bosses pa
re de fines granulations et la teinte bleue, très mar- quée dans la région basale de la cellule, est presque insignifiante a
rontale ascendante droite, pourrait être répété pour la plupart des régions de l'écorce. Nous avons pu en effet sur un très
ent, pour la plupart, un aspect moni- liforme très accusé. Dans les régions profondes de l'écorce, l'aspect est le même, et
méthode de Nissl a été appliquée ici sur des coupes des différentes régions : les grandes cellules des cor- nes antérieures
léments pathologiques dans les loges des cellules pyramidales de la région motrice, n'est pas pour ces cellules une cause d'
, hymen intact, fosse naviculaire pro- fonde, fourchette saillante, région anale normale. W... prend des panades qu'on lui
dénote de la submatité et une résistance spéciale au doigt dans les régions sous-claviculaires. A l'auscultation, qui est ext
ont augmentés de volume, isolés (poly- micro-adénie) ; érythème des régions fessières et inter-fessière. La conjonctive dro
ie sans cesse. Même traite- ment général, vaseline boriquée sur les régions qui desquament, lavage des yeux à l'eau boriqué
té opposé. Lorsque la pie-mère et les vaisseaux sont enlevés, les régions lésées se présentent avec une coloration jaune
ule, reposant immé-' diatement sur la bandelette optique, vont à la région du tuber cinereum ; elles forment une partie co
s travaux de Meynert, Ellenberger, Monakow, Flechsig et Hoesel, aux régions du cerveau du chat qui correspondent à la parié
r le contact des nerfs de la rétine et des cellules nerveuses de la région occipitale, le mécanisme de l'inter- ruption pa
complet. P. IERAV : 1L. LXXV. Observation de tumeur cérébrale de la région motrice gauche ; hémiplégie gauche ; absence d'
es parties les plus riches en fibres du 4° bloc corrrespondent à la région de la main et des doigts. Les parties les plus pa
Les parties les plus pauvres des 5° et 6° blocs correspondent à la région de la tête, du facial et de l'hypoglosse. P. KE
le était intacte; on n'a constaté aucun foyer sous-cortical dans la région rolandique. Après avoir fait remarquer que le
nution de la sensibilité douloureuse et thermique existait dans les régions cutanées dépen- dant des 5, 6, 7 et 8° racines
61 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
'aucune espèce de mobilité, qu'on pouvait très-bien l'explorer par la région lombaire, dans l'intervalle compris entre la douz
et c'est souvent par hasard qu'en promenant sa main sur les diverses régions de l'abdomen, le praticien a découvert ce qu'il n
arachnoïdien. Ayant ouvert l'abdomen, j'aperçus le rein droit dans la région iliaque; il était très-volumineux. Je le divise e
5, l'abdomen est douloureux à la pression, surtout dans leflanc et la région iliaque gauches. Mais point de tension, point de
n attribuait à un rhumatisme. La malade se plaignait souvent de cette région , marchait parfois inclinée à gauche . sa maladie
ndigestion. Elle se plaignit en même temps d'une vive douleur dans la région iliaque et le flanc gauches. — i grain tartre sti
que n'explique point l'état de l'estomac; douleur concentrée dans la région du flanc, s'étendant dans la région iliaque, doul
tomac; douleur concentrée dans la région du flanc, s'étendant dans la région iliaque, douleur qui, au reste, deviendrait plus
i, au reste, deviendrait plus pathognomonique par l'exploration de la région lombaire; l'anxiété inexprimable; le sentiment co
agnostic des maladies du rein. Généralement on explore le rein par la région antérieure des flancs; mais de cette manière on a
utume de faire cette exploration : je porte la main en arrière sur la région lombaire; je soulève , avec un ou plusieurs doigt
ble , partant de la face inférieure du foie et s'éten-dant jusqu'à la région lombaire; nous pûmes croire que cette tumeur étai
, mais sans changement de forme, remplissait, non-seulement toute la région lombaire, mais avait pour ainsi dire envahi et la
procher ce cas de celui qui fait le sujet de la figure 3; mais ici la région de la rate, palpée, comprimées ii6 livraison. i
un peu fréquent. L'abdomen exploré, même avec force, dans toutes ses régions , ne fait pas éprouver la moindre douleur. Tout av
La malade peut reprendre ses occupations, mais éprouve toujours à la région du cœur un sentiment d'oppression et même detouff
e champ de bataille. Revenu à lui, il ressentit une vive douleur à la région de l'estomac, mais ne fit aucun traitement. La do
écouvrir aucune tumeur dans Fhypochondre droit. La pression sur cette région n'augmente pas la douleur; du reste, l'état génér
e malade ne scni absolument rien; la pression est douloureuse dans la région du cou, au niveau des troisième et quatrième vert
cette sérosité était concentrée au niveau du bulbe rachidien et de la région cervicale, ce qui me paraît s'expliquer par la po
oelle, en effet, a été précédée et accompagnée de douleurs vives à la région qui en a été le siège et aux membres correspond a
iagnostiquer? Nous trouvons pour tout caractère une douleur vive à la région de la moelle qui est le siège de l'épanchement, d
. Cet état fut le même jusqu'à la mort : des moxas appliqués sur la région dorsale ne furent pas sentis, une escharre énorme
étendue le long de la moelle épinière jusqu'à la partie moyenne de la région dorsale, et s'est propagée le long des attaches d
e annulaire était un peu ramollie. L'arachnoïde présentait, dans la région lombaire, une multitude de lamelles cartilagineus
u contraire très-bien du côté droit. L'abdomen exploré présente, à la région ombilicale, au-dessous de l'ombilic, deux tumeurs
il cas. J'ai trouvé une tumeur formée par le pylore cancéreux dans la région iliaque droite. Traitement. J'ai eu recours suc
lus attentive de l'abdomen ne me fait découvrir aucune tumeur, aucune région sensible. Je pense qu'il existe une maladie chron
voulait absolument retourner chez lui. A l'ouverture, je trouve la région épigastrique remplie par l'arc du colon AC, AC, A
froide : respiration haute, suspirieuse. Légère sensibilité aux deux régions iliaques. Cinq selles pendant la nuit. (Sinapisme
e pour recevoir le plan inférieur de la cinquième vertèbre de la même région . Les trous de conjugaison sont tous maintenus ;
et à compléter en arrière le canal raehidien. Ainsi, tandis que la région antérieure de la colonne vertébrale présente un a
n antérieure de la colonne vertébrale présente un angle très-aigu, la région postérieure présente une courbure graduelle; et i
plus manifeste. Un enfant de dix ans, qui présentait au niveau de la région dorsale un angle aigu saillant en arrière, rentra
l'épaule, en patinant, il éprouva le lendemain une douleur dans cette région ; que cette douleur, ou plutôt cet engourdissement
de quarante ans environ, qui présentait dans l'abdomen, le long de la région lombaire, un engorgement suspect. Néanmoins le co
ts à la surface libre de la muqueuse. Laryngite sous-muqueuse de la région sus-glottique du larynx ( œdème de la glotte ) (
les côtés de l'orifice supérieur du larynx ^ la muqueuse qui revêt la région postérieure de cet organe, celle qui tapisse les
e, celle qui tapisse les deux gouttières profondes latérales de cette région postérieure, la partie voisine du pharynx, la bas
s abondantes que provoqua l'émétique. Laryngite sous-muqueuse de la région sous-glottique du larynx — Mort par suffocation
onie. A peine convalescent, il se plaint d'une douleur très-vive à la région du larynx, sans que l'exploration de l'arrière-bo
a région du larynx, sans que l'exploration de l'arrière-bouche et des régions sus et sous-hyoïdiennes puisse rien faire découvr
espèce, je le regarde comme un cas d'inflammation sous-muqueuse de la région sous-glottique du larynx, maladie qui mérite de p
ns nos cadres nosologiques à côté de la laryngite sous-muqueuse de la région sus-glottique du larynx. Laryngite chronique ul
ent une déplétion subite. La fluctuation paraissait moins obscure aux régions ombilicale et iliaques que partout ailleurs. Ce f
ux régions ombilicale et iliaques que partout ailleurs. Ce fut sur la région iliaque droite que la ponction fut pratiquée. Une
e, dans le décubitus horizontal, c'est dans le bassin, c'est dans les régions lombaires qu'il s'amasse; les intestins grêles
tins grêles flottans au milieu de la cavité abdominale répondent à la région ombilicale, suivant l'observation importante de F
z prendre au malade; mais le son restera toujours creux au niveau des régions ombilicale et épigastrique. Dans l'hydropisie enk
tête que lorsqu'on l'interroge à ce sujet, et elle montre toujours la région frontale. Pendant ce long espace de temps, je pre
vés. Faible et grêle, cet enfant portait à la partie inférieure de la région lombaire, sur la ligne médiane , une tumeur hémis
et la myotilité. Ouverture du cadavre. A la partie inférieure de la région lombaire, large ouverture SB ( fig. 1) ; débris d
Société. FIGURES 3 ET t\ (*). Les figures 3 et 4 représentent la région lombaire et la partie inférieure de la région dor
3 et 4 représentent la région lombaire et la partie inférieure de la région dorsale d'un autre enfant qui a succombé à un hyd
'au voisinage du bulbe raehidien. En outre la partie supérieure de la région cervicale, largement dilatée, contenait et le bul
y a péritonite sub-aiguë, tantôt partielle, locale, circonscrite aux régions hypogastrique et iliaque, tantôt générale; enfin
eux, trois, quatre, cinq jours d'intervalle, soit à l'anus, soit à la région iliaque droite; quelquefois, dès le début ou à un
iqués à la partie interne des cuisses; et, depuis cette époque, cette région est pour moi le lieu d'élection dans l'entérite f
de tamarins qui provoque des selles copieuses.—Le 3o, même état ; la région iliaque droite paraît douloureuse. Dix sangsues.
'une sur la base du poumon gauche qui parut s'indurer, l'autre sur la région iliaque droite qui devint douloureuse, à la fin l
éveloppé ; abdomen un peu volumineux, sensible à la pression dans les régions iliaques, lombaires et dans l'hypochondre gauche;
ex, M le médius, A l'annulaire, P D le petit doigt. On voit qu'à la région dorsale de la main, l'épiderme présente une dispo
réponse. Je lui demande où est son mal, et elle porte la main sur la région frontale. Je diagnostique une compression du cerv
tous les jours elle m'indiquait la tête, et le plus habituellement la région frontale, et même le côté droit de cette région f
lus habituellement la région frontale, et même le côté droit de cette région frontale. Le ier octobre, le pouls s'accélère. Le
e répondit encore très-bien à mes questions. Elle me montra encore la région frontale comme le siège de sa douleur : je fus su
upait l'intervalle qui sépare l'extrémité antérieure du cerveau de la région frontale de la dure-mère. Chose bien remarquable!
nt absolument rien relativement aux circonvolutions, « savoir dans la région frontale que soulèvent d'une manière si variable
os du crâne; ainsi, les lobes antérieurs manquaient, et cependant la région frontale du crâne était dans l'état naturel. Dira
u crâne était dans l'état naturel. Dira-t-on que l'existence de cette région frontale prouve que les lobes antérieurs du cerve
chaleur; douleur très-vive au testicule , au cordon et jusque dans la région des reins; le testicule a doublé de volume; il es
mentent les jours suivans. Le testicule et le cordon sont énormes; la région des reins, l'articulation coxo-fémorale et surtou
end un aspect jaunâtre; l'appétit diminue; des douleurs existent à la région fessière du côté malade. Le malade marche tout co
fait M. Carswell, en concentrant toute l'humidité de l'abdomen sur la région de l'estomac, favorise encore cette espèce de dis
les autres espèces, le cancer aréolaire gélatiniforme affecte pour la région du pylore une prédilection funeste ; mais un de s
de la grosse extrémité et la muqueuse du reste de l'estomac. Après la région du pylore, c'est à la petite courbure que j'ai le
que dans le sens de l'épaisseur. Aussi la présence d'une tumeur à la région épigastrique et un dépérissement progressif ont-i
vainement le cœur et les gros vaisseaux, les poumons et les diverses régions de l'abdomen; je fus conduit, par le calcul des p
Abdomen. Deux ou trois pintes de sérosité dans le bassin et dans la région lombaire ; foie sain. Estomac volumineux; son ext
lus rapidement et se terminer plus souvent par perforation dans cette région que dans toute autre, attendu que le pylore est b
ite induration qu'on lui substitue bientôt après, Xe LIVRAISON. 2 région expliquent comment cette dernière artère peut êtr
e gonflement à l'épigastre, d'éructations, de sensibilité légère à la région du pylore. A soixante-dix ans, se manifestèrent d
tuel, succède quelquefois un dévoiement abondant. L'exploration de la région pylorique de l'estomac fait reconnaître une très-
multiples dans l'épaisseur du deltoïde et des muscles qui occupent la région antérieure de l'avant-bras. Pneumonie lobulaire d
rard, aujourd'hui professeur à la Faculté, dans un cas de cancer à la région cervicale antérieure : l'injection, poussée par
s plus ou moins répétés, et quelquefois des douleurs vives, soit à la région du foie, soit à l'épigastre, complètent la série
un négociant qui éprouvait depuis un an un sentiment de gêne dans la région du foie, sentiment qu'il attribuait à des glaires
ne imagination frappée; au bout de deux mois seulement, on explore la région du foie, et on sent, sous lé rebord des fausses-c
hommes qui luttaient avec lui. L'abdomen était souple, indolent; les régions du foie et de l'estomac explorées avec le plus gr
il; oppression, essoufflement au moindre exercice ; palpitations à la région du cœur et au creux de l'estomac. Les alimens pès
ukaortique. En conséquence, sangsues » ou ventouses scarifiées sur la région précordiale; on les répétera, si on en obtient de
n en obtient de bons effets. Long et » profond moxa ou cautère sur la région du cœur. Boisson froide ou à la glace ^ le bouill
mac, et sur-tout l'efficacité de deux applications de sangsues sur la région du cœur, me tirent penser crue je m'étais sans do
de 6 grains.) Enfin, le 15 septembre, explorant comme de coutume la région du foie et de l'estomac, je trouve que le foie dé
-sept ans, éprouve une diarrhée et des tiraillemens passagers dans la région ombilicale : expulsion d'un calcul biliaire sem
rte ce cas, fait observer qu'il n'y avait ni ictère, ni douleurs à la région du foie, et émet à cette occasion ce paradoxe qui
; bruit de liquide par l'effet d'une petite secousse imprimée à cette région . Les vomissemens sont très fréquens, les matières
u fiel aussi volumineuse qu'une vessie ordinaire ; elle atteignait la région ombilicale. Je crus d'abord qu'il y avait obstacl
nue. Beaucoup d'ictères, fébriles accompagnées de douleurs vives à la région du foie, ne sont autre chose que le résultat de c
us cancers du pylore ne sont autre chose qu'une hypertrophie de cette région . Sous le rapport de la capacité de l'estomac, l
le du pylore qu'on trouve dans le flanc droit, et quelquefois dans la région iliaque droite. Il est presque toujours possible
dit rien; point de dévoiement; l'exploration la plus attentive de la région épigastrique ne permet de reconnaître aucun point
t exercée n'y développe aucune sensibilité, et pourtant c'est à cette région que la malade rapporte tout ce qu'elle éprouve.
leurésie, à l'érysypèleambulant qui attaque successivement toutes les régions du corps, et qui envahit quelquefois de nouveau l
outes les régions du corps, et qui envahit quelquefois de nouveau les régions primitivement affectées, elle n'échappera pas enf
s étaient remplis de pus juqu'auprès des ganglions lymphatiques de la région lombaire : mais ces derniers, de même que le cana
les supérieurs de l'utérus, le long de ses bords , en un mot dans les régions où se voit le plus habituellement du pus, de peti
ellulaire du petit bassin : l'infiltration s'étendait au-devant de la région lombaire, jusque dans l'épaisseur du mésentère.
5, à la visite, fréquence dans le pouls; la compression exercée à la région hypogastrique y développe une légère sensibilité.
ioration ; face altérée, jaunâtre, douleur légère et tuméfaction à la région 13e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DE L'UTÉRUS.
'hypogastre , à cause d'une douleur que la malade accusait dans cette région . Le pouls est fort , plein , peu fréquent; la s
ssayer un bain , si la malade peut le supporter. Vésicatoires sur les régions dorsales. A la visite du soir, les vomissements
lète de la voix; selles un peu moins fréquentes. Vésicatoire sur la région dorsale du rachis. Un sinapisme sur l'abdomen. Qu
es; battements très violents et très incommodes à l'épigastre et à la région du cœur: ces battements augmentent sur-tout lorsq
des crampes excessivement douloureuses, passant successivement d'une région à une autre région. XII. Nous avons pu noter no
ivement douloureuses, passant successivement d'une région à une autre région . XII. Nous avons pu noter nous-même des différe
ené sur la colonne vertébrale. Vésicatoire ci l'eau bouillante sur la région du cœur. Sueur glacée et visqueuse. Mort à trois
lé prescrit des boissons chaudes, des synapismes aux genoux et sur la région du cœur. Les vomissements et les évacuations alvi
laint d'un sentiment d'étouffement, de chaleur brûlante dans toute la région du sternum ; les crampes ont cessé. Commémorati
peau chaude; pouls fréquent; selles peu fréquentes. Vésicatoire ci la région lombaire. Erictions stimulantes aux extrémités et
la douleur étant manifeste à l'hypogastre. Quinze sangsues sur cette région . Bain durant la durée duquel la glace sera mainte
es imbibées d'ammoniaque, étaient quelquefois appliquées sur diverses régions du corps, et plus particulièrement sur le rachis.
ls déterminent ces cas par la percussion de l'épigastre et des autres régions de l'abdomen : c'est là de la subtilité. Quant à
s'il n'a pas été encore employé, par des frictions calmantes sur les régions douloureuses et par des frictions stimulantes sur
sur les régions douloureuses et par des frictions stimulantes sur les régions éloignées. Le temps, la patience, une foule de pe
aleur à la peau (orge, sirop de gomme; lait coupé; cataplasmes sur la région cervicale ). Le 13, même^état1; le 14, déglutit
rre au sacrum ; trois orteils gangrenés; engorgements scrofuleux à la région cervicale. (i) Pièce présentée à la Société ana
ôté; d'autres fois la pression la plus forte et la plus variée sur la région du foie ne provoque pas la plus légère sensibilit
née. Exemple : un homme fait une chute de huit pieds de haut sur la région occipitale ; forte contusion. Saignée. Symptômes
ée à sa partie inférieure P. La tumeur lombaire (fig. 3 ) occupe la région sacrée ; elle est très considérable, sphéroïdale
al et s'opposerait par conséquent à la formation de ces lames dans la région correspondante. Il y a même plus : je ne crois pa
'avait également frappé, c'est que dans le spina bifida qui occupe la région sacrée, ce n'étaient pas les nerfs sacrés ou la q
ps de la moelle dans la tumeur , lors même que cette tumeur occupe la région sacro-coccygienne, i° que cette tumeur s'est form
llantes, VV,VV, et qui soulevaient la peau très mince qui revêt cette région . Ces tumeurs étaient situées immédiatement au-des
les veines auxquelles est principalement confiée la circulation de la région de l'organe correspondant. Quelle qu'en soit la
pait l'hypogastre, était formée par les veines sous-cutanées de cette région et s'étendait jusqu'aux aines et à l'ombilic; ell
s sur les cuisses, et les orteils sont manifestement inclinés vers la région plantaire. Veut-on étendre les membres, on éprouv
t juger que cet obstacle consistait dans une tumeur située dans cette région , il se décida à perforer la tumeur à l'aide d'une
passe 1° sous une bride mince qui répond à la paroi inférieure de la région prostatique, 2° au-dessous de la bride transversa
état général : le lendemain , à la visite, ce malheureux me montra la région postérieure de la jambe, très volumineuse, tendue
le que de prévenir la suppu- XVIIe LIVRAISON. f occupait toute la région hypogastrique et une partie de la région ombilica
AISON. f occupait toute la région hypogastrique et une partie de la région ombilicale. L'arc du colon flexueux occupait le r
la région ombilicale. L'arc du colon flexueux occupait le reste de la région ombilicale et les hypochondres. On trouvait sur
ou. Les jours suivants, des excoriations qui existaient déjà sur la région coccygienne, se convertissent en escharres profon
en escharres profondes ; les phlyctènes se multiplient le long de la région postérieure du membre abdominal; fluctuation mani
ur hypogastrique très vive : 40 sangsues-Soulagement. Le lendemain: région hypogastrique et iliaque, très sensibles à la pre
jambe. Un autre abcès se développe dans l'épaisseur des muscles de la région postérieure de l'avant-bras. D'une autre part, l'
cette époque : forte impulsion des battements du cœur : matité de la région précordiale dans l'étendue de (i) Pièce anatomi
on. L'ascite ne permettait pas l'exploration du rein, au moins par la région antérieure de l'abdomen. Le commémoratif de la né
oïncidant avec une douleur rénale, avec une tumeur appréciable par la région lombaire bien mieux encore que par la région anté
umeur appréciable par la région lombaire bien mieux encore que par la région antérieure de l'abdomen, me paraît permettre d'ét
depuis long-temps d'une douleur vive, lancinante intermittente, à la région occipitale , fut pris tout-à-coup de strabisme. L
e et chaude ; pouls petit, régulier , 124 pulsations par minute. A la région du cœur, son mat dans une assez grande étendue ;
anger. Sur la partie latérale gauche de l'hémisphère, au niveau de la région temporale; masse tuberculeuse, blanc jaunâtre, à
nde grossesse. Comme elle ressentait des douleurs assez vives dans la région hypogastrique et qu'elle croyait y reconnaître la
interosseux. Fig. 4. Tumeur mélanique T' M', occupant la peau delà région calcanéenne de la plante du pied. (Cette tumeur a
a presque totalité de la surface du corps et plus particulièrement la région postérieure du tronc était couverte d'une innombr
ns de la peau. Plusieurs étaient lobulées ; l'une d'elles occupait la région temporale droite et présentait une couleur beauco
ent du voile du palais. Fig. 4. Grandeur naturelle. Tête vue par la région supérieure, et par derrière. Les téguments M C, M
s lre TO, 2e TO, ouvertes, permettent d'apprécier leur situation à la région occipitale et leur position relative, l'une lre T
pour le trou occipital, est constitué, par toutes les vertèbres de la région ecrvicale et par les quatre premières vertèbres d
à glande thyroïde TD: le thym us TM occupe la partie inférieure de la région cervicale. Le diaphragme D manque à gauche; ses
ageaient les méninges. Mais y avait-il hernie de ces membranes? Cette région ayant été étudiée après l'extraction du cerveau ,
ernie thoracique ; savoir la hernie cervicale du poumon qui occupe la région cervicale. 3° Hernie abdominale diaphragmatique
versement , les pariétaux arrivant pour ainsi dire en contact avec la région supérieure du dos, la partie postérieure ou écail
rsement de la tête en arrière n'explique pas moins la situation de la région cervicale qui est devenue en quelque sorte partie
é ne pouvant se développer dans la cavité crânienne, fait effort à la région cervicale antérieure devenue base du crâne, comme
cervicale antérieure devenue base du crâne, comme il fait effort à la région occipitale; d'où la division des corps de vertèbr
le mouvement d'ascension et du poumon et du thymus qui occupaient la région cervicale. Enfin ce renversement explique le mo
nombre d'os à-la-fois, ou bien être limité à un seul os, à une seule région du squelette, au sternum, aux os du crâne, aux os
mpacte a été usé, corrodé. On avait, pendant la vie, reconnu sur la région frontale une tumeur du volume d'une petite noix;
dies, excédant le volume d'une grosse noix, faisaient saillie sur les régions pariétales, ce Une masse fibreuse, partout de mêm
ne pouvait surmonter; il y avait un mouvement fébrile irrégulier : la région épigastrique n'était nullement sensible à la pres
de vomissemens dont la saveur était désagréable. La pression de la région épigastrique déterminait une douleur assez vive,
laint d'une douleur obtuse à l'épigastre et de battemens dans la même région . Appétit presque nul ; point de fièvre : constipa
sque nul ; point de fièvre : constipation; l'exploration des diverses régions de l'abdomen ne fait découvrir aucune tumeur, auc
cul-de-sac de nouvelle formation ou plutôt second estomac occupant la région du pylore; orifice pylorique double. ( planche
LA RESPIRATION. Maladies du larynx. Laryngites sous-muqueuses de la région sus et sous-glottique; laryngite chronique ulcé
62 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ont été, sur presque tous les points, complètement remaniées; des régions autrefois incultes ont été défrichées et pro- m
ns segmentaires envisagées dans leurs rapports avec les différentes régions du segment interan- nulaire. Il nous faut maint
aires, et les considérer dans leurs rapports avec les différentes régions du segment interannulaire. Celui-ci présentant
tat de la lésion est différent suivant qu'on examine les diverses régions de ce segment. C'est ainsi que dans la figure 12
Charcot,'et dont voici l'histoire abrégée : une balle reçue dans la région susclaviculaire et ayant intéressé probablement
enant ;;¡'11nJlK¡ 11 \.)Il 1 ? 11tlj/jJUIII il ln'J-' · 'C' d'une région déterminée, ,fait cesser le. tonus. Rosen- arrm
frontale ; l'un à 2 centimètres de côté, et intéresse également la région voisine de la circonvolution du corps calleux ; l
érose très considérable et disposé de telle façon que, dans cette région , les deux circonvolutions étaient soudées : c'est
es- sus des muscles rétracteurs de l'oreille. Dans cette dernière région , l'élévation de température se produit également
nd l'aiguille thermo- électrique est implantée dans le milieu de la région pariétale, à en juger du moins par le schema de
es thermo-électriques et arrivait, sur l'homme, à démontrer que les régions gauches de la tête ont une température plus éle
s la fosse temporale, ou plutôt à la limite de cette fosse et de la région frontale, le second correspondait à l'apo- phys
uvais : l'apophyse mastoïde est épaisse, éloignée du cerveau, cette région est vasculaire ; du reste l'application d'un th
ble serait donc de 1°,16. Remarquons aussi que la température de la région pariétale gauche est un peu plus élevée que cel
e la région pariétale gauche est un peu plus élevée que celle de la région frontale de ce même côté. Ce fait ne concorde p
cées par le milieu extérieur : la tête, plus encore que toute autre région , doit avoir une température essentiellement mob
courroie qui les fixe derrière l'apophyse orbitaire externe pour la région frontale, au-dessus de l'inser- tion de l'oreil
la région frontale, au-dessus de l'inser- tion de l'oreille pour la région temporale, et de chaque côté de la ligne médian
la région temporale, et de chaque côté de la ligne médiane pour la région occipitale. Les tiges des ther- momètres sont p
nce sans agitation (36°,3). · En considérant ces températures par régions céphaliques, on voit que le lobe occipital four
itation, et dans l'im- bécillité et l'idiotie. La température de la région frontale sur- passe celle de la région pariétal
diotie. La température de la région frontale sur- passe celle de la région pariétale, dans la manie avec fureur ainsi que
les de la tête, car souvent l'élévation thermique d'une seule des régions céphaliques coïncide avec l'hypothermie de la rég
une seule des régions céphaliques coïncide avec l'hypothermie de la région voisine. C'est donc surtout de cette élévation
le tableau D qui montre que la température s'élève dans chacune des régions céphaliques pendant la période d'accès. c s
utes les formes de maladies mentales, comme chez l'homme sain, la région occipitale a une température plus basse que celle
région occipitale a une température plus basse que celle des autres régions , et que l'élévation thermique observée en d'aut
e ont été explorés à mesure que l'élévation de la température d'une région attirait l'attention de l'observateur. M. Amido
ur et l'amène à signaler à l'attention des observateurs certaines régions que l'on considère actuellement comme non motrice
pes musculaires, il y a une extension des centres corticaux sur des régions admises comme latentes jusqu'à ce jour. Ainsi,
o de haut en bas ; par contre, le trapèze se trouve indiqué dans la région frontale antérieure et supérieure, le scalène e
e la troisième frontale, la jambe répond à un centre étendu vers la région postérieure, le triceps crural répond à la part
on s'expose à prendre la température du muscle sous-jacent, dans la région temporale surtout ; on a aussi à tenir compte d
e par la constriction de la tète, de la présence des veines dans la région frontale, de celle des artères dans la région t
ce des veines dans la région frontale, de celle des artères dans la région temporale. Dans tous les cas, il faut procéder
'température une fois prise, cela veut-il dire qu'elle dépende des régions superficielles ou des régions profondes de l'en
cela veut-il dire qu'elle dépende des régions superficielles ou des régions profondes de l'encéphale ? Est-elle due à la co
ons thermiques du cuir chevelu et des paralysies vaso- motrices des régions céphalique, ainsi que quelques expériences relati
Puis il termine, en^faisant' remarquer que l'étude attentive de' la région optique ainsi pré- sentée et conduite jusqu'au
t précisément d'accord- avec la loi générale-; de développement des régions nerveuses qu'il a exposée dans le Journal of ne
ganglions supérieurs sont précédés dans leur développement par des régions inter- rompues.. Dans une note ajoutée à cet
ratique l'hémisection d'un des faisceaux latéraux à la réunion -des régions dorsale et lombaire. On faisait du reste la sec
iques est rattaché à un réflexe dans lequel l'hyperesthésie de la région anale parait jouer le plus grand rôle. H. de B.
ètement abolies des deux côtés, la moelle ayant été divisée dans la région dorso-lombaire. C'est seulement au bout de deux
dre cette question, M. Weiss a fait d'autres expé- riences. Dans la région dorso-lombaire d'un jeune chien, il sec- tionne
exclusivement sur de jeunes animaux, de six semaines à six mois. La région motrice d'un hémisphère était mise à découvert
s de Ferrier. De même, il devient difficile d'admettre que dans ces régions de l'écorce soit située l'unique et directe ter-
semblerait que les fibres des pyramides se terminent dans d'autres régions , encore inconnues, de l'écorce, ou dans des por
apporte au développement plus mar- qué de la pachyméningite dans la région pariétale gauche et à la compression cérébrale
2e livraison : Variétés des attaques hystériques; 3e livraison : Des régions hystérogènes ; 4e livraison : Du sommeil des hv
malàdies de peau ; quelquefois douleurs, névralgiques vers les deux régions pariétales durant quelques heures,; pas de naus
t qu'elle avertissait sa mère, se plaignait 'de picotements vers la région sternale; quelquefois, on avait le temps d'arri
c les méninges. Les circonvolutions sont intactes dans les autres régions et ne présentent pas d'anomalies. Les masses gris
r un tic de la face. Multiplicité des accès. Chutes répétées sur la région occi- pitale. Affaiblissement intellectuel lent
um, 5 grammes par jour). A cette époque, l'enfant pré- sentait à la région occipitale une tuméfaction dure, due à des DE L
qu'on pourrait désirer. Enfin, l'anatomie elle-même des diverses 1 régions cor- ticales est bien loin d'être,complète. Nou
ts par des amoncellements de globules sanguins. Si l'on examine une région plus profondé- ment affectée, il devient diffic
es couches superficielles; mais il'est aisé de reconnaître, dans la région frontale par exemple, le type à cinq couches dé
Elle est inégale, se montre prononcée en certains points, à côté de régions où les tissus ont leur couleur normale; elle se
elle ne' dépasse pas la face antéro-externe. C'est, dit M. Burq, la région la plus commode pour faire une application exac
'd'étaiii'7ecouvèrtes de peau de chamois) ? furent pla- cés sur une région anesthésiée et fixés aux. pôles1 de' deux-petits
s s p ? ,no}. de'ce, cerveau- se rencontrent' précisément dans la' région tf'rrn rt Hf'I') ? 1. t 8'.JIJ'" f, · · W 11 '
, J ,V ? ) m1 1 1 : ·Irflr ? wn r='117ri , , "dit.. muscles de la. région hyoïdienne entraient en contraction to- v a 11U
nts 'de' la lfacel recommençaient, ! bien' que' l'anesthésie de la' région sourcilière' témoignât de la section effective
partait.ded'os 1 malaire'l et ! s'étendait, rapidement à,toute(1la{ région innervée par ttri,r jumeau. ( Points ^.douloure
- LYSIE AGITANTE : DE L'HYPERTROPHIE DES CELLULES NERVEUSES DE la RÉGION protubérantielle ; par M. Luys. (SOC. de biologie
fut sensiblement dimi- nuée, puis abolie par la faradisation de la région sus-orbitaire. M. Stevens ne cite que ces deux
Homme de 25 ans, névralgie double dans les tempes, les yeux, les régions sus-orbitaires, depuis une quinzaine ; un demi-dr
e chez un homme en proie à une mélancolie aiguë qui présenta sur la région fessière une large macule de couleur bleu foncé
double) ; r .. ' Par le professeur MIERZEJEWSKY. Dans certaines régions distinctes du cerveau, on a observé des malform
relative- ment auxII6ca]isati6ns cérébrales. , - z De toutes ces régions du' cerveau, dont l'étude in- time' laisse enco
aboutissent, à cette conclusion' générale : à savoir que si cette région n'est pas, le, siège même de l'impulsion 23 3
uvrit que la partie médiane du centre semi-ovalaire droit, toute la région limitrophe, et l'insula de Reil faisaient défau
centimètres. Les organes génitaux ex- térieurs sont oedémateux; la région du pubis est recouverte de quelques poils clair
un sujet normal, de race européenne. 370 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. région des circonvolutions pariétales, parait;un peu dép
onflée, ni de rouge, au- cune n'est non plus douloureuse ; la seule région de la nuque présente une exagération de la sens
aralytique : M. Gérin-Roze prescrit des ventouses scarifiées sur la région MÉNINGITE CL;RliBRG-SPINALL AIGUË. 377 de la
urs un point douloureux au niveau de la fossette supé- rieure de la région . Dans le milieu de la région dorsale, nous trou
veau de la fossette supé- rieure de la région. Dans le milieu de la région dorsale, nous trouvons aussi un point douloureu
devait se trouver sur la convexité de l'hémisphère droit, vers la région pariétale et que des exsudats péribul- baires e
; en examinant toutes ses articulations, on constate au niveau des régions tibio- tarsiennes des traînées rouges et du gon
Il y a aussi une certaine raideur de la colonne vertébrale dans la région dor- sale, en outre le malade se plaint du moin
rme. Hémisphère gauche. Ainsi, les circonvolutions qui bordent la région occipitale de la grande scissure du cerveau sont
Face convexe : la racine des trois cir- convolutions frontales, la région moyenne de la partie antéro- postérieure de la
on de la troisième; -d) un groupe d'îlots scléreux naissant de la région moyenne de la circonvolution frontale ascendante
n du corps calleux (PL. VII, N) ; b ) quelques îlots sur les autres régions de la première frontale, et c) sur la circonvol
lore avec intensité. Cette trame est beaucoup plus épaisse dans les régions superficielles de la circon- volution que dans
dans les régions superficielles de la circon- volution que dans les régions profondes, c'est-à-dire que le maximum d'activi
que soit le processus, il a une propension incessante à envahir les régions adjacentes, étouffant successivement, au point
océdés. Suivant M. Burq, l'application prolongée du métal sur une région insensible avait pour résultat final le retour de
ve du côté insensible, on avait appliqué une plaque de métal sur la région temporale de ce côté. M. Gellé observait les va
ibilité au niveau de la plaque de métal, et sa disparition dans une région symétrique de l'autre moitié du corps. Ce n'est
du métal, on explore le membre inférieur, on constate que dans une région que nous appellerons ana- logue (dans le cas su
thésiogène, par exemple le pôle d'un aimant placé à proximité de la région temporale. On voit alors que la peau devient d'
tal la sensibilité disparaît ; en même temps, elle reparaît dans la région symé- trique du corps opposé. C'est la contre-p
que de trois ou quatre centimètres. Elle empiète peu à peu sur la région sus-claviculaire, la traverse, atteint l'oreille
s-claviculaire, la traverse, atteint l'oreille qu'elle recouvre, la région pariétale et enfin la ligne médiane où elle ren
artie inférieure de l'avant-bras, tandis qu'elle laisse sensible la région pal- maire voisine du pli du coude, et que, à l
ne- ments, la marche de la sensibilité, on fait rapidement sur la région explorée deux séries de piqûres, l'une dans le se
insertions du grand dentelé, allait se ramifier dans la peau de la région postérieure du coude. Le deuxième rameau huméra
membres supérieurs ; l'entrecroisement des fibres des- tinées à la région lombaire s'effectue, en effet, sur toute la hau-
point sis à -1 centimètre et demi plus bas, la lame vitrée de cette région manque totalement, on aperçoit alors la surface
s presque à 1 centimètre de profondeur. La portion inférieure de la région en question pré- sente aussi une surface rugueu
serait que le vestige du cartilage de revêtement originel de cette région , n'entraîne pas de réac- tion tant que la dure-
ils subissent dans les cas où une lésion de la moelle soustrait une région de celle-ci à l'influence cérébrale, enfin Erb
iaux et oraux, et en arrière avec les centres psycho-sensoriels des régions occipitales. La partie antérieure de cette circ
ncue que par l'emploi des courants continus appliqués tantôt sur la région lombaire, tantôt dans le rectum. On voit que, d
aDie' hypertrophie.9 Stircettetiplaahe, l'insula se montre dans une région encore assez élevée : 'comme sur la coupe précé
b sb gà"oqmoa 31szsq alla ajnahàosta aauoi cf -rrip ,cs;1 Erbmainte région deace, cerveau, 1,'écorce grise, des circonvo-
nooaoi,'droit3 W$. Mlo^OS iuo[àK uu ? 4TqFdiâmètré vertical dans la région des circonvolutionsup" 188Ufi cenl'ales831 iUOi
avec l'es- pace sous-arachnoïdien : mais Us ne se trouvent, dans la région iÉ ? )")f.)'jr ? ? ' 'f 1)1 fr f ? rr ? n "'i -
ydrocéphalie, : llqui;ies venue., troubler irrll'évolutionude cette région cérébrale,- iup 3dû 9b aiol t2°arAu .premier as
les expansions de la capsule interne se comportaient^ dans cette région : ie me suis efforcé, de le déterminer. - 11;J
te : 111 `LAI toliii W üGl· i' a'iw<i'i6j0h aaintau^a 1 bll aval région avec les éléments les plus, élevés les y 'oiito
- .1111) ,'llO;) S\V oa'.[9\',m I &11-J .t-if, 9191H Dans cette région , la partie supérieure de, la cap- - ? . i'Rv<
ers* lé`'lôbûlé pâracêmtrâl : J'-Nôus=vérronsbient8t`que dans'cette région la- capsule -interne' fournit d'autres expansio
1. et «une éruption pustuleuse se produisit, bient8tsursla peau des régions où se,dlstribue ce nerf.i .1-ivuoi os aaasu j J
, diver- ai. îirvao. '-i nia 9,noq jnnyn mioo 1,10) nr; ï ? 6 ses régions de son corps, entre autres la partie ante- ? 9110
i Lf(') ;»i 10/i qngft-.ni raient d un fort coup ayant porte sur la région . Je - 9Jrm b Bl /y ? ); 7jj09 .sOin'3 00,8 if)
ment de distance. Il.se rappelle avoir, éprouvé en même temps à la région dorsale, des, douleurs,, passageres comme celles,
., ',<.i - : <' r, "' -, ',ruir.mf.. -m nl.ji.j iroide sur la région , ' Il . 1 - le ? , .thoraciques - ;,r, nl· ,r."
jcaràctèref fulgurant); des-taeliésiau nombre de deux, situées à la région 3tolarjpatte.d'oie>9(jambe gauche). Il dit à
-Depuis six mbis,ilél3l'roü'vétine sensation de cons- triction à la région épigastrique. Enfin, les fonctions génitales, t
l'action aesthésiogénique s'exerce à la fois localement et sur des régions éloignées. Par exemple, pour parler d'abord des
-bras insensible déterminait le retour de la sensibilité dans cette région d'abord, puis très rapidement le' transfert de
érébrale, avec hémianesthésie, la faradi- sation, localisée sur une région quelconque, rétablit très rapide- ment le mouve
. La paralysie infantile datait de quatre mois et demi. 0 Dans la région lombaire, on constatait la destruction et la 57
llules multipolaires dans toute la hauteur de- la moelle jusqu'à la région cervicale supérieure du côté gauche. D'ailleurs
e une dégéné- ration de la totalité des cordons postérieurs dans la région lombaire et dans la région dorsale inférieure.
totalité des cordons postérieurs dans la région lombaire et dans la région dorsale inférieure. L'analyse chi- mique pratiq
e cervicale, les cordons de Goll étaient seuls malades : Dans les régions dorsale et lombaire, les cellules nerveuses, auss
pu réaliser chez, l'animal l'état de tension, nécessaire,'dans-les régions lésées, à l'introduction* dans'les orifices vàs
ration des centres sensoriels de la moitié opposée du corps dans la région temporo-pariétale (Hitzig et Ferrier) ; l'hémi-
ar les lésions en rapport avec cet arrêt de la circulation dans les régions où les voies dérivatives n'y pouvaient suppléer
des extrémités inférieures, troubles de la sensibilité des mêmes régions , exagération du réflexe tendineux, incontinence
ne, ce dernier, à raison de la parésie des vaso-constricteurs de la région , subis- sant, par suite de l'hypertension vascu
orter chacun un poids de quatre livres, furent attachés l'un sur la région cervico-dorsale, l'autre sur le sternum. Les ai
che. Un aimant fut appliqué sur la cuisse gauche, et l'autre sur la région cervicale. Au bout de onze minutes, les mouveme
ions sont limitées d'ordinaire à une moitié du corps, ou même à une région , face, bras ou jambes ; elle a surtout été bien
es de contractures, attaques de délire. Vient ensuite une étude des régions hystérogènes. Ce sont des régions en général tr
lire. Vient ensuite une étude des régions hystérogènes. Ce sont des régions en général très circonscrites au niveau des- qu
e dans celle-ci la sensibilité de la peau est exaltée au niveau des régions hysté- rogènes, la peau a souvent perdu toute s
es aînés, sur le rachis, quelquefois à la tête, vers le sommet. Ces régions sont quelquefois le siège de douleurs particuli
e de douleurs particulières précédant l'attaque. C'est surtout la région ovarienne qui est le siège de cette aura, puis vi
itudes peuvent empêcher la f632 bibliographie. J pression sur les régions hystérogènes de produire une attaque. -.L'emplo
ploi'du' bromure de)potassium diminuer quelquefois l'acti- vité des régions hystérogènes^ surtout quand l'administration du
de l'hystérie s'atténùent;'il en'est de> même de l'activité des régions hystérogènes. La pression des zones hystérogènes,
es zones hystérogènes, parmi lesquelles la plus' importante, est la région . ovarienne sur e laquêlle : M. ! Charcot a, app
i'ost'e de' la i,éci ' ' ? * se l'ai-tèi,é' que le" périoste de' la région , sans intéresser l'artère' temporale. Aujourd'h
blanche du lobe pariétal, qui arrive sur la substance blanche de la région cérébrale sous-jacente. 0, avant-mur (claust1'u
63 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la fermer ; si on lui tenait la main gauche, elle touchait la même région avec la langue. Pas de modification de l'intell
nte ni cicatrices, ni nævi. On ne constate de ganglions en aucune région . Sa tête, de forme normale, est asymétrique, le
gulière. Rien iL signaler en ce qui concerne le foie et la rate. La région anale est normale. Les membres supérieurs sont
nc et les membres sont entièrement glabres. Il en est de même de la région génitale. Il n'y a pas de seins. Les grandes lè
aussi dans les colonnes de Clarke con- tre les capillaires de cette région . Toutes ces fibres en descendant n'atteignent p
à lui environ Il de la scissure sagittale. Limité en dedans par la région de la nuque, en dehors par la région de la tète
ttale. Limité en dedans par la région de la nuque, en dehors par la région de la tète de il il touche en arrière u la circ
aires internes du globus pallidus, de la couche intermédiaire de la région de la calotte, de la partie interne médiale du
conde circonvo- lution originelle, et est également enclavé dans la région ocu- laire de Munk. L'extirpation d'une notab
n ocu- laire de Munk. L'extirpation d'une notable partie de cette région oculaire et, simultanément du cenlre oculo-musc
e la maladie, ron[l'llil'l'ml'nLil l'Jlahitu- de, a commencé par la région lombaire, ce qui expliquerait pour- quoi jusqu'
s peuvent cependant être affectées quand la ma- ladie débule par la région cervicale : \Or. Spi lier, A case nr,elcoo. in
OGIE PATHOLOGIQUES. 51 et cessent de constituer un faisceau dans la région cervicale infé- rieure : parfois, néanmoins, on
é- rieure : parfois, néanmoins, on les peut suivre jusque dans la région lombaire. 11 existe donc : un faisceau pyramidal
la moelle dorsale. Le cordon latéral entrecroisé conserve, dans la région de l'en- trecroisement, ses limites normalesena
spinal. On constate : 1° une faible hypo-osthesiedo la peau dans la région comprise enlre le ster- num et le mamelon gauch
lld) ! , si on ne le relient pas. On oelive de l'amyelrulllic de la région aille ro- P,\ll'l'l1e (le la jamhe, de l'hypert
égion aille ro- P,\ll'l'l1e (le la jamhe, de l'hypertrophie dans la région postérieure avec contracture, douleur sciatique
ec impulsions au suicide. 11 s'est donné un coup de couteau dans la région du coeur cl, n'ayant pas réussi à se bles- ser
ollatérales; j'ai pu le suivre dans son trajet, vertical jusqu'à la région superficielle de celle couche ». ;\1. Poussèp
variclucusos(liëurus). Celte disposition, surtout mar- quée dans la région occipitale deux desliemispheres, se retrouve e
ns la région occipitale deux desliemispheres, se retrouve e dans la région rolandique, et, par places, dans le lobe frontal.
ibres à myé- line. Elles étaient puissamment développées en maintes régions des circonvolutions pariétales. La lisière de s
sillon tle Holando (préeenll'al), ''Ce dernier, sur la limite de la région motrice, participe aux mouvements volontaires.
. Les centres de convergence sont doubles. lien existe un dans la région occipitale du singe, un peu en arrière du point d
des Ucusllémispltères. impossible de douter qu'il n'y ait dans les régions sous-corticales des centres spéciaux de converg
istance, on produit la conver- gence. P. 11ERAV : 1L. XXVI. De la région visuelle de l'écorce cérébrale et de ses rappor
il se produit une hémianopsie plus ou moins intense. Lè- se-t-on la région pariétale externe et. en partie, la région oc-
intense. Lè- se-t-on la région pariétale externe et. en partie, la région oc- cipitale externe, depuis le lobe pariétal j
nes. On n'observe pas de démence quand les interventions dans cette région sont simples et bien limitées.* Les mutilations
de l'oeil opposé. 5. La dissec- tion de la pie-mère au-dessus de la région motrice engendre chez REVUE D'ANATOMfH ET DE PH
le), les portions supérieures et externes du lobe pariétal et de la région motrice, enlin l'écorce des lobes frontaux. Ces
ns du lobe temporal en parlant de la face externe de l'écorce de la région occipitale (faisceau longitudinal inférieur). L
'me)- 1(l. L'endroit de la vision distincte, et tout le reste de la région visuelle de l'é- corce peuvent être frappés ind
ment l'un de l'autre. 11. L'extirpation bilatérale, complète, de la région visuelle dans l'écorce entraîne une cécité comp
voies d'association, de projection, et de commissure émanées de la région visuelle corticale, les phénomè- nes physiologi
ustique ne seraient que liinilalivenient rapportablesa il ces mêmes régions . P. Keraval. - X\ . Observation d'agraphie isol
i dans les paralysies corticales et sous-corticales du fa- cial, la région supérieure du facial ne participe-t-ellepasà la p
et asiles de chroniques. Pour les premiers ce seraient : Heidelberg région du Nord ; Illenau, région du centre ; Fribourg, r
our les premiers ce seraient : Heidelberg région du Nord ; Illenau, région du centre ; Fribourg, ré- asiles d'aliénés. 1M
e 700 à 800 lits, avec exploitation agri- cole : il desservirait la région de Ntisslocli. Le bel asile moderne d'Emmending
rait' les aigus de sa circonscription et garderait ses chroniques : région de Constance : 300 à 400 lits. Quatre circonscr
cinquième parlie est consacrée à la descrip- lion des asiles de la région de l'Est de la France. . Le travail de 31. P. S
st consacrée à la description des Asiles d'a- liénés français de la région de l'Est (Saint-Dizier, Maréville, faits). Tous
iles étrangers, pour terminer par la descrip- tion des asiles de la région de l'Est de la France, et cette dernière montre
tions orales : ]"0 séance, Plancher du 'le ventricule : 'le séance. Région syl vienne ; 3° séance, Hari- ne> antérieure
cence secondaire consécu- " tive à un foyer de ramollissement de la région calcarine ; Par le professeur \\'1;13rR (1).
ons constaté l'existence d'un foyer de ra- mollissemenL occupant la région calcarine droite sur une lon- gueur d'environ 4
de ce qu'une coupe faite à l'autopsie a porté précisé- ment sur la région des corps genouillés externes. La lésion commen
pointe du lobe occipital et rend méconnaissable en bonne partie la région calcarine. A environ 23 mm. du pôle occipital e
maximum. Ensuite elle se subdivise en deux foyers, l'un occupant la région calcarine, l'autre une partie du lobe lingual,
ant les deux hémisphères simultanément, nous nous trouvons dans des régions plus frontales à droite qu'à gauche. Pour ces r
ventriculaire. Le ramollissement ne se borne point au cortex et aux régions directement sous-corticales ; il pénètre profon
e de l'U recommencent à se peupler de fibres paraissant venir de la région comprise entre les scissures P. o. et Cale, et
ÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE. 187 Résumé. Après un ramollissement de la région calca- rinc nous constatons que : z 1. Les fa
le point 1. confirme l'opinion émise au sujet des lésions de cette région par M. de Mo- nakow. Il en résulte que les dégé
port. La malade contracte fréquemment son frontal ; la peau de la région se relève avec accentuation des plis transversaux
ces phénomènes disparaissent mais laisscnlà leur suite, ! lans la, région extel'l1e des hanches, des phénomènes dystrophi
ner en profondeur. Ces lésions sont d'une symétrie parfaite sur les régions homologues des jambes et .des pieds : cependant
le cordon antérieur de la moelle du côté opposé. En ef- fet, de la région du noyau du trijumeau partent des libres qui s'
réellement des protozoaires qui ont pour localisation principale la région bulbaire, la moelle et les ganglions spinaux. L
t;¡ue peut être formulé « leptoméningite clronique,gliomatose de la région du canal cen- tral, poliomyélite antérieure ».
expériences et les conclusions qu'il pré- tend en tirer. C'est la région des bandelettes externes ou la zone intermé- di
La I'n"ihililé au eltaud ..t au l'roi,1 poll\lit l'eslwcl,\e, Les régions ovariennes et mammaires sont douloureuses au pa
et du muscle rétracteur auriculaire postérieur de ce pavillon. La région excitée étant innervée par la branche auriculaire
ent à une époque où les hémisphères se composent principalement des régions vi- suelles et olfactives, et que les conducteu
caudé et le novau lenticulaire, pour s'enraciner dans l'écorce des régions supérieures et externes qui commencent à ce mom
celui-ci est cureté, ou bien on résèque la plus grande partie de la région motrice. Examens confirmatifs à la méthode de \
ers supérieur du pont de Varole, s'étendant en haut en partie il la région des tubercules quadrijumeaux (sans, d'ailleurs, e
'est le groupe antero-interne. P. Keraval. LXV1. Du faisceau X à la région cervicale la plus infé- rieure de la moelle ; p
11 se produit lorsqu'on pique ou soumet à la chaleur ou au froid la région sus-orbitaire, non quand on pique la peau de l'os
ec d'autres désordres de la sensibilité cutanée, ne sentpointen une région cutanée la chaleur, tandis que dans le memeendr
iences personnelles sur les chiens, l'auteur s'est convaincu que la région supero-e.\terne de l'écorce du cerveau, 300 REV
toute la partie postérieure de la surface de l'hémisphère et il la région pariétale jusqu'au sillon crucial. La destructi
r la destruction de l'écorce du cerveau. Une lésion limitée de la région occipitale ne donne souvent dès le début qu'une
à disparaître définitivement. Une destruction plus accentuée de la région occipitale se tra- duit par une hémianopsie plu
atique une seconde destruction en des endroits voisins dans la même région , l'hémianopsie revient habituellement. Toute
bituellement. Toute destruction bilatérale de la face externe de la région occi- pitale engendre une amblyopie bilatérale
elle per- siste plus ou moins quand on a notablement lésé les deux régions sans toutefois être définitive. Il semble qu'
nvaincre, il faudrait exécuter des destructions partielles de cette région : c'est difficile. P. KERAVAL LXXVI. Contribu
Conclusions : 1. Les fibres endogènes des cordons postérieurs, à la région lom- hu-sacrée. doivent être divisées en deux c
descendant médio-périphérique dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. - Il ! . Le triangl
llach, Il en existe aussi quelques-unes dans le cordon de Goll à la région cervicale. V. Les zones de Lissauer sont consti
r des fibres endogènes fines verticales qui sont condensées à celte région . Elles ne sont pas de nature radiculaire, comme
erne ne louche en aucun point la corne postérieure; elle prend à la région dorsale inférieure une forme compliquée qui rep
e formation pendant tout le trajet intra-médullaire et celles de la région lombo-sacrée n'a- boutissent pasau cordon de Go
pétrihe, n° 3, 1\)U4.) Ilémorrhagie intl'amédullail'e siégeant à la région cervicale et consécutive à une fracture de la 5
d'une forme exception- nelle ; la face est atteinte (pointe du nez, région sous-maxillaire). On en ignore l'anatomie patho
agne d'une vive appre-' hension lorsqu'on fait mine de toucher à la région . Le malade guérit très vite par les pointes de
onscrit, pour changer de place à l'accès suivant, préférant maintes régions , elles s'accom- pagnent parfois de fièvre. Ces
rodromiques de l'excitation des méninges par des tubercules dans la région motrice du cerveau. L'évolution montre que c'es
es affaiblis- saient. . On lui ouvre le cerveau il droite dans la région de Ilulando et l'on constate, à l'appareil du I
ue de petits mor- ceaux de substance grise en (rois points de cette région de la fron- tale ascendante. Les résultats sont
identelle de la plaie tue le malade. En tout cas l'excitation de la région motrice du cerveau a cha- que ibis exagéré les
EVUE DE MÉDECINE LÉGALE 327 la construction du nouvel asile dans la région (l'Ilei(leIlH'I1;, pré- cisément à cause des be
t : elle constate que, l'mil droit est « comme du sang » : toute la région cutanée zircon- voisine, la joue surtout, est i
ligure 22. Jo place alors en creux la paume de ma main devant la région orbi lairD gauche du sujet, de façon il sa i 1'
apier fort, de couleurs différentes, s'adap- tant étroitement il la région orbitaire gauche et l'isolant comple- tement. E
einte très foncée. Seul, le cornet de papier blanc, appliqué sur la région orbi- (aire gaucho, n'empêche nullement les ron
st presque toujours. Ce défaut de développement peut porter sur des régions très vastes. Il- peut intéresser le ccrvcau tou
rieur. L'arrêt de développement peut n'intéresser que cer- taines régions de l'écorce, les autres ayant achevé leur évolu
back cite l'exemple d'une fillette de 13 ans. On constatait dans la région tboracique et dans les membres supérieurs les s
ception des plus nettes de la vibration du diapason appliqué en ces régions . 7° On perçoit aussi nettement les v i- bration
pposons une coupe transverse et h')I'ÍzJntale de la moelle dans les régions en question. - L'innervation postérieure se fai
ments du corps les plus rapprochés qui sont en avant. Ainsi dans la région du bras, les muscles de la ceinture de l'épaule
ué de volume dans son ensemble, est particulièrement réduit dans la région frontale, ^tandis que d'autres régions de l'hém
rticulièrement réduit dans la région frontale, ^tandis que d'autres régions de l'hémisphère, notamment la région * temporal
rontale, ^tandis que d'autres régions de l'hémisphère, notamment la région * temporale, sont suffisamment développées. Les
t retenti sur le développe- ment de l'ensemble du manteau moins les régions temporales, et qui, par suite, est le facteur d
système nerveux central. Le développement excessivement faible des régions frontales explique l'extrême indigence intellec
rouvé par la curari- sation et l'irritation d'autres segments de la région motrice du cerveau. 7°'L'urine de l'uretère du
e permet d'explorer qu'une partie de l'oesophage et même pour cette région les renseignements qu'elle ' donne sont nuls ou
externe du segment antérieur de la circonvolution sigmo'ide et des régions voisines augmente, chez les chiens de deux sema
es sont bien développées. Donc, à cet âge, la couche corticale delà région sigmoide possède ses éléments, fondamentaux ; par
u second mois, plies sont plus ou moins complètement développées la région si- monde ; il en est, à cette époque, de même,
s, enfin, à la période de développement plus ou moins complet de la région sig- monde, par des phénomènes cardiovasculaire
ormes périphériques, il y a en général de l'endolorisse- ment de la région avec paroxysmes dont le début est au voisinage
ur la secondaire consécutive à un foyer de ramollissement de la région calcarine, par Weber, p. 177. Observation de -
Ecorce du cervelet.Voir Fibres. du cerveau. Voir Fibres.'De la région visuelle de l'- céré- brale et de ses rapports
ncienne de l'avant-bras, par Bosenberg, 290. Du fais- ceau X à la région cervicale la plus inférieure de la -, par Pur
mineux dans la paralysie, générale par Marandon de Montyel,417. Région visuelle. Voir Ecorcc cérébrale . Br,ii,. Voi
64 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
heures après la mort. On constate extérieurement à gauche sur la région frontale une éraflure cutanée sans importance.
nsula est recouverte de gros caillots. Sur un point au niveau de la région motrice il y a effraction de la méninge molle.
tte surface prend l'aspect de la carte géographique en relief d'une région montagneuse. L'épanchement s'est donc fait dans
elle aussi une épaisseur et une structure différentes dans les deux régions . Cette différence apparaît nettement déjà même
'un gros caillot périphé- rique et à la notion de son siège dans la région où l'infiltration hémol 1 hagiquc ¡ntra-pic-mél
d'une des bran- ches de la sylvienne et que c'était au niveau de la région motrice que l'épanchement atteignait son maximu
nal. Phimosis ; méat régulier. Les muscles, examinés dans plusieurs régions sont pâles et comme lavés. Poids des organes.
la motilité, ni de la sensibilité. On constate du gonflement de la région douloureuse. L'interven- tion chirurgicale amèn
le village, ily'a environ 18 hameaux éparpillés dans la commune; la région est surtout pastorale et agricole; la populatio
on à l'emploi de médecin-adjoint des asiles publics d'aliénés de la Région de Paris, s'est terminé le samedi 9 juin. Dans
ur, pour être nommés à l'emploi de médecin-adjoint des Asiles de la Région de Paris, au sur et à mesure des vacances qui s
Drs Magnan, Vallon et Blin ; Homery, suppléant. Le concours de la région de Lille, brillant aussi, s'est terminé par la
question écrite était : Portion cervicale du grand sympa- thique. Région de l'Est (Lyon, MM. Jacquin et Bonne) ; Région du
and sympa- thique. Région de l'Est (Lyon, MM. Jacquin et Bonne) ; Région du Midi (Montpellier, MM. Ricue et Pélissier).
ure a conduit aux excisions de matière cérébrale, prélevée dans les régions corticales correspondant aux points de départ d
Je ne le crois pas, car les foyers d'encéphalite s'étendaient à des régions autres que celle où avait siégé la trépanation,
droite et à gauche. - Le thorax, bien développé, présente dans la région postéro-infé- rieure gauche, au niveau de l'ext
normalement musclés, leur attitude est', régulière. Au niveau de la région deltoïdienne droite, on note une \ 118 RECUEIL
une cicatrice arrondie, sans caractères, à la portion moyenne de la région antéro-externe de la jambe droite; une autre ci
légère, infiltra- tion gommeuse des cordons antcro-tatéraux dans la région dor-ale supérieure. Sclérose de la périphérie d
la périphérie de la moelle dans les cordons latéraux dans toute la région dorsale. Sclérose des cordons posté- rieurs méd
région dorsale. Sclérose des cordons posté- rieurs médians dans la région dorsale. Zones sclérotiques irrégu- lières avec
lières avec une zone d'infiltration cellulaire (gommeuse) dans la région dorsale inférieure. Sclérose descendante dans les
les-ci le silicate d'alumine ou craie, très répandu dans toutes les régions où règne l'endémie crétineuse. Dans la nature,
est énorme. Les cordons de Goll sont dégénérés uniquement dans la région cervicale. L'auteur tend à rapprocher le type de
al apparaît. F. f3olsslea. XVII. Sur les fibres endogènes dans la région lombo-sacrée ; par A. BRUCE. (Drain, vol. 20, p
r- dons postérieurs étaient complètement dégénérés, même dans les régions inférieures de la moelle, l'auteur a suivi de bas
sous-cutanées). Il ouvre par derrière le canal vertébral dans la. région dorso-lombaire, sépare la moitié droite de la moi
. Onze fois la tumeur recherchée et trouvée avait son siège dans la région rolandique ; une fois elle était située dans le
peut être due à une lésion de la capsule interne. Les fibres de la région maculaire n'ont pas une marche spéciale dans le
- rose de la pie-mère et du tissu nerveux sous-jacent de toute la région du 4° ventricule, vaisseaux dilatés et gorgés, sc
périphériques - et des faits de Bechterew, par l'incurvation de la région thoracique de la colonne vertébrale à grande am
s douleurs, soit dans les genoux, soit dans la hanche, soit dans la région lombaire, sans tuméfaction ni rougeur des artic
t bientôt raide et incurvée. L'incurvation prend tout, partie de la région cervicale ou de la moitié inférieure de cette r
, partie de la région cervicale ou de la moitié inférieure de cette région ; plus bas, la colonne vertébrale est verticale
t verticale par suite de la disparition de la lordose normale de la région lombaire. Toujours, dit P. Marie, il y a ankylo
incomplète ; les mouvements des vertèbres sont encore possibles. La région thoracique est incurvée. Chez quelques malades
t encore) présente en outre une paralysie bulbaire par lésion de la région des noyaux c'est-à-dire une paralysie glossolab
articu- lier étaient en rapport avec les altérations cérébrales des régions frontales, occipitales. P. KERAVAL. XVIII. Pe
ire de ceux qui, après avoir traversé la capsule interne, vont à la région snbthalamiqne. Intégrité de l'anse du pédoncule c
re du Sulcus poaecruciulus. Ce centre est limité en dedans par « la région de la nuque H » et en dehors par « la région de
ité en dedans par « la région de la nuque H » et en dehors par « la région de la tête E » de Muni. Le gyrus sigmoïde (zone
xième circonvolution primitive. Elle fait partie intégrante de « la région oculaire F » de Muni, par conséquent du lobe pa
ule cérébral. On voit presque sur toutes les coupes, faites dans la région correspondante des fibres dégénérées monter du
nt par la partie antérieure'de sa capsule blanche. Plus bas dans la région où les portions ven- trale et dorsale du corps
tubercule quadrijumeau des deux côtés, une dégénérescence dans la région des noyaux dans la IV paire des deux côtés, dans
linisation se fait à des époques différentes pour les diffé- rentes régions de l'écorce ; qu'elle a lieu d'après des principe
nfin que tant qu'il y a dans l'écorce cel ébrale de ces animaux des régions non myélinisées, il y en a de même dans les fib
processus de la myélinisation chez les animaux et chez l'homme. Les régions tard myélinisées dans les fibres de projection on
l'étude des dégénérescences secondaires qui montrent que toutes les régions corticales contenant des fibres de projection, pa
t rapidement. Il y a sept mois, survint une rigidité complète de la région cervico-dorsale de la colonne vertébrale. De pl
brale. De plus, il avait éprouvé une grandé douleur irradiant de la région cervico-inférieure dans le bras, et il était 18
gauche. On posa le diagnostic de pachyméningite spécifique de la région cervicale. Le cas était intéressant en ce qu'il p
t de l'extrémité supérieure de la protubérance annulaire jusqu'à la région sous-optique, empiétant même un peu sur cette r
e jusqu'à la région sous-optique, empiétant même un peu sur cette région du côté droit. L'étude histologique de cette tume
ati, refoulé à la périphérie). Les désordres ainsi produits dans la région envahie expliquaient les symptômes qu'avait pré
e, des amnésies de nature diverse suivant le siège et l'étendue des régions intéressées, mais ces produits sont incapables
latérale avec des lésions de l'écorce grise, cantonnées dans une région circonscrite de l'hémisphère du côté opposé ; il
té opposé ; il avait conclu il la nécessité de localiser dans cette région les centres moteurs des différents groupes de m
ouvant plus de travail à Calais, avaient quitté cette ville pour la région des mines, où le mari trouva à s'embaucher. L'u
ay-le-Chàteau. M. le Dr DIDE reçu au concours de l'adjuvat de 1900 ( région de Paris) est nommé médecin-adjoint à l'asile p
de Quimper; M. le Dr Pochon reçu au concours de l'adjuvat de 1900 ( région de Paris) est nommé médecin-adjoint à l'asile p
é noté que le frontal et le pariétal étaient plus développés que la région temporo-sphénoïdale et occipitale. Dans les deu
(t/5) du cortex normal était développé. Celui-ci était confiné à la région frontale jusqu'à la partie antérieure de la cir
6 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. temporal et sphénoidal et à la région orbitale derrière la fissure triradiée. Même da
à la région orbitale derrière la fissure triradiée. Même dans cette région , les circonvolutions avaient gardé une disposit
circonvolutions avaient gardé une disposition embryonnaire. Dans la région orbitaire, en avant de la fissure triradiée, et
la région orbitaire, en avant de la fissure triradiée, et dans les régions pariétale et occipitale, le cortex était rempla
icule latéral droit, le lobe occipital droit, la face convexe de la région frontale droite, et le lobe pariétal. Des vices
par le forceps. En règle générale, les lésions sont localisées à la région de la scissure de Rolando, et elles résultent de
ait vue était comme une petite pomme ; et elle était située dans la région frontale droite. L'affection chronique des memb
a cellule de névroglie, et affectant de préférence l'une ou l'autre région du cerveau, fréquemment dans les territoires co
itions des cellules et des' fibres nerveuses dans les diffé- rentes régions en jetant un coup d'oeil comparatif avec les cas
ier, mais il y a un véritable arrêt de développement de cer- taines régions du tissu cérébral. qui peut être constaté par la
lement le symptôme d'une lésion bulbaire ou pseudo-bul- baire de la région capsulaire, qui caractériserait l'aphasie motrice
ical se confond avec celui des mouvements de la main droite dans la région moyenne de Fa gauche, éduquée spécialement pour
riées des neurones d'association psychiques répandus sur toutes les régions de l'écorce des hémisphères. COMMUNICATIONS DIV
ints correspondants de l'écorce. A la coupe on trouve au niveau des régions dénudées des altérations anatomiques intenses d
lésion indémon- trable au niveau de la sphère de Munk. Mais si la région de Munie vient à être lésée et si on attend la
ues, sur- dité plus ou moins accentuée, sensations pénibles dans la région précordiale, diminution du tonus musculaire, se
tions des membres paralysés ; l'anesthésie et l'hyper- esthésie des régions atteintes, la contractilité musculaire, la rétr
. Après s'être rendu compte de l'état des différents éléments des régions atteintes, nous continuons le massage raisonné à
de la circulation, c'est-à-dire par l'activité de la nutrition des régions atteintes soit de l'atrophie, soit de la parési
du muscle en voie d'atrophie. Il faut masser avec précaution les régions infiltrées. Les éruptions cutanées chroniques ne
une large plaque d'un vieux psoriasis, qui couvrait complètement la région . Le massage n'a non seulement aggravé le psoria
ôté et la considérons comme un agent peu utile, lorsqu'on masse les régions atteintes de paralysie. En résumé, nous croyons
a recherché si le courant faradique ou galvanique ap- pliqué sur la région du coeur peut produire des modifications de la
emporales et va même jusqu'à localiser les différents tons dans des régions .lncmvrs, 21 série, t. X. 26 402 revue d'élec
ciation apparais- sent ici un peu effacée (entre eux se placent les régions intermé- diaires qui ont une nature- mixte), et
de territoires des hémisphères-. Du reste, il existe dans d'autres régions cérébrales (la substance grise centrale) des pa
.de la subs- tance noircide Sümmeriug, du noyau rouge, de maintes- régions des couches optiques (pulvinar), etc., dont les
coup. Il est sujet à de grandes différences individuelles. Dans les régions primordiales, les faisceaux de projection sont
ction sont très probablement beaucoup plus denses que dans d'autres régions de l'écorce (Flech- sig). Mais la méthode d'étu
uisée. Il est ainsi impossible de distinguer un nombre déterminé de régions d'après leur myélinisation, étant donnée la march
des traces de cette myélinisation non contemporaine des différentes régions corlicales, car plus une région est tôt myélini
non contemporaine des différentes régions corlicales, car plus une région est tôt myélinisée, plus ses fibres et leurs ga
i peuvent servir à l'établisse- ment de l'homologie des différentes régions de l'écorce cérébrale. Xlll- Congrès internatio
ées , on trouve déjà des libres commissurales myélinisées entre les régions corticales le plus tôt myélinisées; 7° absolume
ec tout ce que Flechsig a pré- tendu, aussi longtemps qu'il y a des régions corticales sans .myéline, il y a également dans
les dégénérescences secondaires nous montrent le.rapport avec les régions coi ticales tard myélinisées ; de plus, ces parti
ne sont assez étendues pour qu'on soit en droit de conclure que les régions corticales correspondantes possèdent des libres
eignement de Flechsig et Dollken, chez les carni- vores, toutes les régions corticales possèdent des fibres de projec- tion
issurales. Donc, déjà chez les car- nivores, il y a pour toutes les régions corticales plus de fibres d'autre valeur que de
e chez l'homme, chez les animaux, la structure fixe des différentes régions corticales est différente ? mais, contrairement
montrent une structure SECTION .DE NEUROLOGIE. 415 identique des régions le plus tard myélinisées, dont .\1. Flechsig fait
syringomyélie dites myélites cavitaires affectionnent également les régions de substance grise médullaire, je pense que l'o
sociation fonctionnelle du centre visuel cor- tical avec les autres régions sensitivo-sensoriclles ou psycho-motri- ces de
lièrement manifestes dans la couche interolivaire du bulbe. Dans la région protubéran- tielle il existe en outre une dispa
ie de cas de lésions récentes corticales ou sous-corticales dans la région rolandique sans paît t icipulion des masses grise
bandonne au ruban de Reil médian, soit à la partie inférieure de la région pédonculaire, soit dans toute la hauteur de la
font complètement défaut. Elles peuvent ne se détacher que dans la région pédonculaire inférieure ou protubérantielle supé-
ontournent la partie externe du pied du pédoncule aux confins de la région sous- optique, passent en avant du corps genoui
les superficielles qui se déta- chent du faisceau pyramidal dans la région moyenne du bulbe, passent en avant de l'olive b
ne du cordon latéral homolatéral de la moelle, c'est-à-dire dans la région 504 congrès international DE médecine. qui co
ique de ces fibres; il se détache de la pyramide antérieure dans la région bulbaire moyenne ou suré- rieure, croise le rap
emporal et pariétal ; et comme l'examen en coupes sériées de ce ces régions n'a pas été fait, l'observation n'a pas été abs
généralement vraie, mais demande certaines rectifications, peur les régions dorsales et cervicales. Elle est applicable égale
sera prise en con- sidération. Les fibres exogènes descendantes des régions cervico- dorsales occupent la position du faisc
ans une partie de leur trajet. Les fibres exogènes descendantes des régions dorsale inférieure, lombaire et sacrée entourent
des fibres radiculaires d'une longueur intermédiaire, qui dans les régions sacrée et dor- sale y entrent horizontalement e
s régions sacrée et dor- sale y entrent horizontalement et dans les régions lombaire et cervicale y entrent obliquement.
es cordons postérieurs dans toute leur longueur à l'exception de la région sacrée, qui implique le cordon de Burdach et, au
point vulnérable de Obersteiner et liedlich. c) Syringomyèlie : Les régions affectées ont leur siège : 1° der- rière la com
qui tire son origine de la substance grise. La destruction de ces régions est apte cependant à produire des dégénérescences
es cordons postérieurs, la sclérose est développée le plus dans les régions dorsales inférieures et diminue en sens ascendant
e en sens ascendant et descendant. Elle est à peine 'sentie dans la région sacrée, et cesse complètement au niveau des noy
et cervicales. Elle affecte le plus souvent la zone centrale de la région lombaire, et dans la région cervicale princi- p
le plus souvent la zone centrale de la région lombaire, et dans la région cervicale princi- palement le cordon de Goll. L
Les zones près de la commissure et la corne postérieure, et dans la région lombaire celle près du septum sont intactes. Le
rale avec incurvation de type Bechterew. Raideur avec cyphose des régions cervicale inférieure et thoracique supérieure dép
iant les allures cliniques de l'anesthésie et de l'analgésie de ces régions dans les lésions spinales ascendantes. Il en ti
is, peut-être aussi les segments les plus reculés de la langue. Ces régions recevraient probablement les éléments sensitifs
ans le plan postérieur ; les coupes de la portion. moyenne de cette région sont normales. Aux points d'atrophie correspond
Magnan, Legrain, 162; par Bois- sier, 163. Fibres endogènes de la région lombo sacrée, par Bruche, 131. Polie. La - ch
65 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nières recherches de Charcot, des parties latérales de ces cordons, région des ban- delettes externes du faisceau fondamen
localisât précisément, on ignore par quelle affinité, dans une des régions les moins accessibles du névraxe. Cette théorie
rvicale) et qui, quelques mois avant, avait subi l'abla- tion de la région des extrémités sur l'hémisphère gauche, se ser-
omme siège du réflexe patellaire ; il est situé aujourd'hui dans la région de la deuxième lombaire. Comme, dans les cas de
de la deuxième lombaire. Comme, dans les cas de tabès ordinaire, la région de la moelle lombaire présente des signes de dé
e étendue de son trajet, et, d'une manière correspondante, chaque région motrice de la moelle épinière reçoit des collatér
eurs lancinantes aux stades postérieurs du tabes, du moins dans les régions primitivement affectées, s'expliquerait par la
bstance grise, et que ces fibres sont - surtout rassemblées dans la région ventrale du cordon postérieur (zone cornu-commi
e) '. Ce qui témoignerait de l'origine endogène des fibres de cette région , c'est que ce territoire offre l'étendue la plu
gènes se mêlent aussi au cordon de Goll, particu- lièrement dans sa région ventrale; il s'agirait en grande partie de voie
ditaire, ne présente aucun signe de maladie nerveuse. Dans chaque région mentale, on peut observer des habitudes de pens
ité verbale sans aphasie ni agraphie. Ramollissement cortical de la région calcarine gauche ; dégénérescence du tapetum gauc
ns le splenium, passe dans l'hémisphère droit et se termine dans la région calcarine droite se limitant au tapetum de cet
alement Au carmin : lésions de méningite surtout accentuées dans la région cervico-dorsale gauche. Périartérite, périphléb
ant pendant assez longtemps, et mourut ensuite subilement. Toute la région bul- baire était cependant envahie par le néopl
légie avec rétention d'urine et anesthésie totale et complète de la région seroto-pénienne. Rapi- dement, les muscles de l
stérien, amaphrodisie, absence d'érections, intégrité absolue de la région périanale tant au point de vue de la sensibilité
possible. La dure-mère était d'ailleurs saine partout, sauf dans la région cervicale et le haut de la région dorsale. M. M
leurs saine partout, sauf dans la région cervicale et le haut de la région dorsale. M. Marie considère ce cas comme une ra
M. Aubkau présente un malade qui, à la suite d'un traumatisme de la région pariétale droite, a été pris d'accidents cérébrau
sensibilité à la douleur varie suivant les individus et suivant les régions ; les parties où la peau couvre directement l'os,
admettait la transmission delà douleur par la substance grise ; la région antérieure par le tact, la région moyenne par l
uleur par la substance grise ; la région antérieure par le tact, la région moyenne par la température et la région postéri
antérieure par le tact, la région moyenne par la température et la région postérieure par la dou- leur. Pour Wundt il exi
leur. Edinger, Loche et Grasset supposent que la douleur change des régions pendant son passage dans la moelle épinière. Po
auteurs de cet acte criminel, qui produit une vive émotion dans la région . (Le Temps du 29 novembre 1900.) Société des
loppement normal; varicocèle à gau- che. Aplatissement marqué de la région occipitale. La circonférence du crâne est de 55
collatérales réflexes, affecte gravement la substance grise de ces régions dans le tabes. « La dégénération de ces fibres,
que), on doit se rappeler que la production de l'affection dans les régions les plus éloignées du système nerveux, qui ne c
lle qui contient les plus grandes cellules, ensuite parce que cette région représente une partie de l'extrémité centrale d
e quatorze ans, une augmentation de volume, pro-, gressive des deux régions lombaires, sans phénomènes doulou- reux. Une bi
euse, pilaire. A Désordre de trois espèces de sensibilité aux mêmes régions . Deux observations de tabès dorsal; les trouble
t de plus en plus ; 8° 11 s'en faut de beau- coup (jue les diverses régions de l'écorce se développent simultané- ment. Au
rmation de cellules. Dans ,les diverses couches d'une seule et même région de l'écorce, les éléments cellulaires ne. se dé
axes; Dans les cas d'éthérisation prolongée ou répétée, certaines régions de l'écorce sont très fermement attaquées et alor
foyers. Les REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 151 régions attaquées de préférence sont : a) le lobe olfacti
ercules Ijuadrijllmcau\ et le bulbe. Mais on observe aussi dans ces régions des éléments sains. Le corps -tiié n'est jamais
er quelle que soit la durée de l'action du poison ; dans toutes les régions du cerveau altérées par l'éther, les appendices
n abduction, bras relevés pendant le sommeil, traumatismes sur la région scapulaire, tiraillement de bras, etc.). Dans tou
membres inférieurs surtout à droite, et frappant les muscles de la région antéro-externe de la jambe et le mollet ; pied
lade plaidant en faveur d'une affection médullaire siégeant dans la région supérieure. Note sur la structure du noyau et l
e côté amputé réduit. et le côté sain, mais encore sclérose dans la région de la corne postérieure. li. Marie. - Ces prépa
élève le long de la moelle, de telle sorte que peu marquées dans la région lom- baire elles sont très apparentes dans la r
rquées dans la région lom- baire elles sont très apparentes dans la région cervicale. Cerveau de tabétique albuminurique d
sence dans les hémisphères céré- braux (à l'exclusion de tout autre région du corps) de 24hydatides dont six étaient situé
suffire à graisser toute la surface cutanée; d'ailleurs, certaines régions de celles-ci, comme, par exemple, la paume des
ommé à Alençou. - M. le Dr Bonne, reçu au concours de 1900, pour la région de Lyon, est nommé médecin adjoint à Auxerre, e
aute-Garonne).M. le De PÉLISSIER, reçu au concours de 1900, pour la région de Montpellier, est nommé médecin adjoint à l'a
horax n'offre pas'd'autres altérations qu'un léger renflement de la région dorso-lombaire, qui, du reste, n'est pas douloure
frictions, on lui appliqua des ventouses et des cautères dans la région des reins. Au'bout de six semaines, il 'sortit' d
oubles de thermesthésie. Le malade éprouverait des douleurs dans la région fessière supé- rieure et dans le mollet droit a
e à droite. Après deux semaines, la bouche se dévia à gauche. Les régions atteintes étaient en état d'anesthésie complète.
prix de pension ; ils ont des locaux spéciaux. Les indigents dela, région sont traités moyennant un prix de journée fixé
voyageur, comme le guide, est peut-être justement attiré par les régions écartées et peu explorées de la montagne. Que fau
l doit apprendre à connaître d'abord la position et l'étendue de la région à explorer, et les moyens de s'y orienter. «
névralgies, par exemple, il suffit souvent de poser la main sur la région douloureuse, et cette pression douce associée à
rs qu'il s'agissait en réalité d'une encéphalite non suppurée de la région fronto-centrale ainsi que l'établit l'autopsie. -
tubérance, et qu'elle intéressait le tractus pyramidal ainsi que la région tegmentale et les fibres qui sont au noyau du fac
s persistante, surtout par comparaison avec la paralysie des autres régions . Cette paralysie pharyngée était évidemment com
utes les fois qu'il y aura une lésion des racines postérieures à la région dorsale. H. DE Musgrave CL.1T. XVI. Névrite m
cence. Les troubles vaso-moteurs et trophiques, sauf l'oedème des régions affectées ne se sont pas fréquemment montrés. L'o
à la queue de cheval. En avant, la dure-mère est adhérente dans les régions thoiaciques supérieure et moyenne. La surface a
llants, tortueux et disten- dus, sauf à la portion supérieure de la région thoracique. A la face postérieure ils sont enti
masqués par l'exsudat. La moelle est un peu molle surtout dans les régions thoracique infé- rieure et lombaire. L'examen m
oit avec douleurs et sensations, thermiques à gauche, limitées à la région située au- dessous de l'ombilic en avant et de
de rattraper sa tête ». Jamais on aurait remarqué de raideurs de la région cervicale. Dans les premiers temps de la vie, o
subjectifs : '1° Une céphalalgie tenace et rebelle localisée à la région occipitale; 2° des nausées; 3° de la. raideur d
re de T2 et de T3. Au-dessus de ce point de ramollissement dans une région occupant la partie médiane de la moitié inférie
convolutions y sont aplaties et élargies. Enfin en arrière de cette région et par conséquent dans toute la partie postérieur
t entourant chacun la dernière ramification d'une artériole. . La région pâle, incisée, donne issue à environ la centimètr
raux ainsi qu'à la partie postéro-externe du lobe frontal. Dans la région la plus reculée de T3 en un point correspondant e
delà moelle allongée et dans les espaces péri-vasculaires de cette région mais ils s'étendent jusque dans le tissu voisin
l'occasion d'étudier des vaisseaux artério-scléreux, provenant delà région protubérantielle, et il a trouvé dans l'intérieur
- pagne d'aucun signe objectif d'altérations vasculaires dans la. région affectée. La paresthésie froide n'est pas ordinai
rté sur quatorze cerveaux d'hommes et seize cerveaux de femmes. Les régions cérébrales choisies pour cette étude sont : 1°
ES. 4° le milieu des circonvolutions de l'hippocampe. Pour chaque région , la substance blanche et la substance grise ont é
es de folie ci-dessus indiquées dans leur ensemble, et les diverses régions cérébrales également dans leur ensemble, on tro
est de 1039 pour les hommes et de 1032 pour les femmes. Pour chaque région étudiée, on trouve une étroite analogie entre l
e la substance blanche et la substance grise se rencontrent dans la région motrice, et que ces différences sont exactement
ant pour la substance blanche que pour la substance grise de chaque région . Le maximum de différence entre les deux substa
de différence entre les deux substances se trouve chez l'homme à la région frontale, le minimum dans les circonvolutions o
t inférieur à celle de la substance grise. Chez la femme la seule région où la substance blanche et la substance grise a
entre les deux substances sont sensiblement les mêmes tant dans les régions frontales que dans les régions occipitales. mai
sensiblement les mêmes tant dans les régions frontales que dans les régions occipitales. mais elles sont beaucoup plus cons
que dans le gauche. Le poids spécifique des deux substance^ dans la région de l'hippocampe est presque identique dans les
de ces symptômes est caractéristique d'une lésion siégeant dans la région bulbo-pro- tubérantielle du côté droit. Mais, d
sseuse, une destruction presque totale de la moelle au niveau de la région dorso-lombaire avec dégénérescence hyaline en m
343 s'expliquerait, l'intégrité relative de la sensibilité dans des régions recevant des conducteurs nerveux qui pénètrent
tomac avec généralisation aux poumons et embolie cancéreuse dans la région du rocher qui crée une paralysie faciale périph
circonvolutions à la partie inférieure BIBLIOGRAPHIE. · 355 de la région motrice gauche et du faisceau efférent correspond
raréfaction numérique des cellules de la corne antérieure dans les régions cervicale et lombaire, et des fibres constituan
subi, dans son enfance, une fracture du crâne ; elle intéressait la région fronto-pariétale dans une grande étendue. Le ma
l'âge de neuf ans, d'un traumatisme crânien qui avait porté sur la région temporale gauche. Après une perte de connaissan
45,p.395).-Une femme de trente-cinq ans avait fait une chute sur la région fronto- pariétale gauche, àl'âge de quatre ans.
, p. 413. - Un canonnier, en tombant de cheval, s'était blessé à la région pariétale droite. Dix-huit mois plus tard, il a
itié gauche du crâne décelait une dépression de la paroi, dans la région du sillon de Ilolanclo. Cette femme a été opérée
lepsie partielle ; depuis trois mois environ, il éprouvait, dans la région pariétale droite, une sensa- tion de bouillonne
es ; voire qu'à la suite de l'application d'un vésica- toire sur la région pariétale droite, le malade n'a pas eu une seule
t pas intéressées. R. de MUSGRAVE CL.1,Y. ,1,V] Paresthésie de la région fémorale; par John C. Snaw. (The New-York Médic
he New-York Médical Journal, 13 février 1897.) L'anesthésie de la région externe de la cuisse peut être soit un symptôme
s les oreilles, et parfois, douleur locale, par la percussion, à la région de l'occiput. Deux observa- tions ont révélé de
1ERAVaL. LU. Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur de la région du troisième ventricule ; par N.-A. Wyroubow. (
comme on pouvait s'y attendre, par des lésions bilatérales dans la région pédonculaire. A droite, deux foyers de ramollisse
t, qui est à décou- vert, par suite de l'arrêt de développement des régions occipitales des hémisphères cérébraux. Raccourc
onvolutions et des sillons des hémisphères, principalement dans les régions centrales. Absence de cloison transparente, et
double à la parties moyenne des circonvolutions centrales. En cette région , l'écorce est riche en cellules, parmi lesquell
llules pyramidales, mais en général les cellules sont petites. A la région cervicale de la moelle, abon- dance des cellule
oppement progressif de tumeurs symétriques, intéressant surtout les régions cervicales latérales, les régions sous-menton-
étriques, intéressant surtout les régions cervicales latérales, les régions sous-menton- nière et vertébrale, les parties s
et vertébrale, les parties supérieures et internes des membres, les régions pectorale, épigastrique, suspubienne, les mamelle
408 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. petits caillots qui occupaient la région lombaire. Les membranes étaient légèrement cong
e siège le plus ordinaire des hémorrha- gies de cette nature est la région cervicale, tandis qu'ici elle sié- geait à la r
nature est la région cervicale, tandis qu'ici elle sié- geait à la région lombaire. La convulsion finale a probablement é
ce mot, fait normalement défaut, et par surcroit, elle occupe, une région dépourvue de toute connexion même avec les cell
e chaque ligament de Poupart; 3° deux bandes étroites au niveau des régions dorsale et cervicale du rachis. Une anesthésie
ns symétriques du nez et peut-être encore sur une petite bande à la région dorsale. Si l'anesthésie est encore moins étend
s assez bizarres : sensation de poids, ou quelquefois de vide, à la région frontale, faiblesse géné- rale, douleur rétrost
avité et la lésion de la racine médullaire du trijumeau ou d'autres régions du bulbe ? Dans quelques cas tous les processus
alais, du voile du palais, de la base de la langue et de toutes les régions de la bouche, à l'aide d'un instrument fin, pou
ules petits. Anesthésie testiculaire. 8° Chapelet ganglionnaire des régions inguinales très marqué des deux côtés. 9° Exi
tembre, je faisais l'incision du cuir chevelu un peu en avant de la région rolandique, de manière que la brèche osseuse co
dans le cerveau gau- che, et qu'elle avait envahi, non seulement la région motrice, mais aussi la région frontale, puisque
u'elle avait envahi, non seulement la région motrice, mais aussi la région frontale, puisque son intelligence ne se dévelo
es méningées et de lésions méningo-encéphaliques, placées dans la région rolandique. Ceci, qui constitue une rareté chez
grosseur d'une mandarine, facilement énucléalle· qui a comprimé la région motrice gauche, a poussé en arnere la scissure
bles, sans que l'on puisse nier pour cela leur exis- tence dans les régions intra-hémisphériques. Si l'on admet la surexcit
in des environs de Rouen 1L. Maridort. Ce dernier, habitant une des régions les plus alcoolisées de France, a donc un champ
du côté gauche ; la lésion siégeait exclu- sivement au centre de la région fessière droite. M. Doutrebenle fait remarquer
vomissements. A l'autopsie, on trouve une tumeur volumineuse de la région pédonculaire com- primant l'oculomoteur commun
s amygdales cérébelleuse dans des cas d'hémorrhagie cérébrale de la région postérieure. ,111,oose doidoureuse. MM. Aciur
is se développent lentement des phénomènes de poliomyélite dans les régions supé- rieures de la moelle, en même temps qu'un
men chez un hystérique, par Bloume- nau. 392. Paresthésie de la région fémorale, par Shaw, 391. Parricide. Adolescen
66 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
foncée, fortement acide. La colonne vertébrale ne présente dans les régions lombaire et dorsale ni déformation , ni douleur
les éponges mouillées; appareil gradué au maximum. Cuisse droite, région antérieure, le courant est senti ; mais il ne p
la cuisse gauche. Jambe droite : il sent faiblement le courant à la région antérieure, le jambier antérieur se contracte,
- seur commun ne se contracte pas; la sensibilité est faible à la région péronière, la contraction des muscles y est assez
es y est assez forte pour porter le pied dans l'abduction. - A la région postérieure la sensibilité est plus développée, l
ble dans le jambier antérieur, nulle dans l'extenseur commun ; i la région péro- COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. il i n
plus déve- loppée dans les jumeaux. Membre supérieur droit : à la région antérieure de l'avant- bras les muscles se cont
uscles se contractent assez fortement ; absence de contractions aux régions thénar, hypothénar et interosseuso.Le long supi
nterosseuso.Le long supinateur se contracte bien. Les muscles de la région postérieure se contractent peu. Contraction éne
le triceps. Membre supérieur gauche : contractions énergiques aux régions thénar et hypothénar, faibles dans les interosseu
énar et hypothénar, faibles dans les interosseux. Les muscles de la région antérieure de l'avant-bras, le long supinateur
. Aux membres supérieurs la contractilité est bien développée aux régions thénar et hypothénar, interosseuses antérieures,
sensation de cercle douloureux existe, aujourd'hui, au milieu de la région épigastrique. L'application du froid à la cuiss
chaque côté de la crête épineuse. Le soir, dou- leurs dans toute la région abdominale, les muscles droits sont fortement c
st considérablement diminuée et pour ainsi dire nulle, excepté à la région postérieure de l'avant-bras où la faradisa- tio
arrière de la tète du péroné droit. Suppuration très abondante à la région sacrée. 16'a° jour. Les escharres de la région
très abondante à la région sacrée. 16'a° jour. Les escharres de la région sacrée continuent leur progrès et on constate l
éninges sont saines. La moelle est ferme, un peu congestionnée à la région cervicale. A la partie supérieure 16 PATHOLOGIE
n cervicale. A la partie supérieure 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la région dorsale, la coupe présente une dépression au ni
une autre partie, composée de fragments pris dans les différentes régions , fut, après séjour pendant vingt-quatre heures da
les préparations, quel qu'ait été le mode de durcis- sement : 1° Région cervicale. -Légère sclérose des cordons latéraux
0 diamètres), on reconnaît une vascularisation plus grande de cette région ; quelques vaisseaux, coupés perpendiculairement
colorées en rose et présentent une partie jaune, granu- leuse. 2° Région dorsale. Sclérose du cordon latéral, présentant
rose du cordon latéral, présentant les mêmes caractères que dans la région cervicale. Les cellules nerveuses sont plus alt
gements, et complètement jaunes, comme en voie de disparition. 3° Région lombaire. Légère sclérose du cordon latéral ; l
euse des cellules motrices de la subs- tance grise, surtout dans la région dorsale. (A suivre.) Archives, t. )X. 2 is
PLICATION DE LA PLANCHE I. FIG. 1. Coupe transversale de la moelle ( région dorsale). Schéma indiquant la région envahie pa
upe transversale de la moelle (région dorsale). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le faisceau
eux côtés. (Contrairement à l'apparence que donne le dessin dans la région sclé- rosée les travées conjonctives principale
ion transversale ou oblique des vaisseaux. ) FIG. 2. Un point de la région sclérosée \u avec un grossissement de 300 diamè
ar la valériane et l'atropine. Aura : : sensation de piqûre dans la région dorsale. Vésicatoire au lieu de l'aura, saupoud
et dont elle porte encore aujourd'hui des cicatrices évidentes aux régions sus-claviculaire, mammaire et axillaire droites
ula, ni circonvolutions frontale, pariétale, temporale autour de la région , ni capsule interne, ni capsule externe; les gros
nt externe du pédoncule. Atrophie des cordons antéro-latéraux de la région cervicale de la moelle, de la substance noire d
s dans la substance grise centrale, et qu'elle prend naissance à la région cervicale, pour ne s'étendre que tardivement aux
eau ou des organes centraux; l'exercice plus ou moins sou- tenu des régions envisagées entraîne une sensibilité plus ou moins
ans les lobes frontaux, il est légitime de penser que c'est dans la région frontale qu'il faut chercher les plexus les plus
soient pas nécessairement confinés d'une façon exclusse dans cette région . A ce propos, l'auteur tient à bien établir que
eillir quelques for- mules intéressantes : c'est ainsi que, dans la région en question, il y aurait vingt-cinq fois plus d
épilepsie, non pas seul lement quand on fait agir le courant sur la région corticale antérieur : motrice, mais aussi quand
simplement innervé par l'hémisphère homonyme; 8" L'excitation de la région corticale postérieure se tra- duit par une dila
23° Quelques observations nous apprennent que la destruction de la région motrice empêche également chez l'homme les conv
provoque une sensation de plénitude pénible, ayant son siège à la région épigastrique, durant plusieurs heures, et s'assoc
extrémités, impossibilité absolue de déglutir. La malade désigne la région supérieure du larynx comme étant le siège d'un ob
possible. L'autopsie pratiquée par Recldiii2shauseii révéla dans la région stomacale et intestinale des altérations atroph
tés.) Les régionsde'prédilection pa- raissent être : l'iusula et la région operculaire. En conséquence, il y a lieu de dis
propre. En conséquence, on recherchera quelles sont, en chacune des régions de la peau, les barres qui sont nécessaires pou
rouve, que chez un grand nombre d'hommes, la sensibilité cutanée de régions identiques est exactement la même à l'égard des
sibilité tactile décèle une modification exactement inverse sur les régions qui viennent d'être soumises à l'anode (la sens
nt composées de substance blanche. La substance grise, surtout à la région cer- vicale, est, dans les cornes antérieures e
(transverses ou longitu- diuales); à la partie inférieure de cette région , sur une étendue en hauteur peu considérable, l
oins par les habitations intérieurement situées; en tout cas, leurs régions supérieures s'élèvent rarement de quelques cent
nfaisance, de correction, d'éducation pénale, de sourds-muets de la région . La population de la province comporte 2,260,00
l'anxiété dite précordiale ne se limite pas le moins du monde a la région en question, qu'elle peut porter sur n'importe qu
traiter méthodiquement assez tôt, M. Engeiken explique que, dans la région qu'il habite, il n'a pas à regretter ces mau- v
de sorte que la notoriété a vaincu les préventions populaires; des régions voi- sines du Hanovre et de une bonne partie de
amens de telle sorte qu'on suive pas à pas chaque système, à chaque région , à chaque étage, de bas en haut. Il gagne ainsi
rencontre d'abord une série de coupes tranverses et verticales à la région du pulvinar et des corps genouillés ; l'origine
Une autre série de coupes pratiquées dans le même sens porte sur la région intermédiaire, c'est-à-dire sur le pédoncule, d
ne, sur le lieu de transformation de la calotte du cerveau moyen en région substhalmique et la zone de transition de cette
eau moyen en région substhalmique et la zone de transition de cette région en d'autres portions du tronc du cerveau. La ré
sition de cette région en d'autres portions du tronc du cerveau. La région optcco-nucléo-lenticulaire et celle des noyaux
t de la pros- titution et le nombre des criminels dans les diverses régions de la France. Ce n'est pas tout. Les maisons de
^011 rencontra une dégénérescence de la moelle et, à la' fin de' la région cervicale, des lésions anciennes indiquant évid
rdination semble parfois assez bien se limiter aux muscles de cette région , il nous semble utile de chercher préciser les
depuis le commencement du mois d'août, une plaque de teigne sur la région pariétale gauche; épila- tion. lotion de sublim
ne, et c'est sur elle surtout qu'il appuie. Le rachis présente à la région dorsale une grande concavité droite. La sensibili
eur, ni la pariétale ascendante. Les artérioles qui se rendent à la région nécrobioséc sont exsangues, la branche qui leur
sie d'origine céré- brale ont pour caractère spécial de montrer une région fonc- tionnellement intacte autour du point de
te pas des variétés dans l'entrecroisement des fibres provenant des régions de l'écorce qui président à la fonction visuell
accidents, réaction dégénérative complète ou partielle, suivant leb régions explorées. Finalement, paralysie totale des jam
corce occipitale. Il en est de même chez le chat. La résection de régions circonscrites de la sphère visuelle entraîne (six
eur est encore obscur. La disparition des cellules nerveuses de ces régions infra-corticales entraîne un anéantissement par
faisceau non entrecroisé se rendant à la moitié latérale de la même région . La zone corticale dont l'atrophie provoque la
un peu d'exagération de la sensibilité à la douleur dans les mêmes régions . Longtemps cet état persiste à peu près tel que
ureusement on a négligé la recherche anato- mique approfondie de la région . P. K. XXV111. Contribution LA casuistique DE l
n parti- culier le réflexe crémastérien est affaibli ou nul dans la région où les sensations sont émoussées ou abolies. Pr
saient persister les douleurs atroces et les con- tractures dans la région fessière chez un malade, en dépit de tous les m
du nerf ulnaire, du plexus axillaire et des nerfs corticaux dans la région claviculaire. Ce résultat brillant mit à la mod
upérieure; les symptômes empi- rèrent. Banne z) : Névralgie dans la région par- courue par le nerf ulnaire; amélioration a
fois l'élongation du nerf nasal externe pour des névralgies dans la région orbi- taire, et constata toutes les fois l'arrê
n du même auteur se rapporte à un garçon de douze ans blessé à la région sacrée, et accusant une disten- sion du pied, u
que, amélioration. Blum' : Névralgie et atrophie musculaire dans la région sciatique, chez un homme de trente-neuf ans ; t
rante-cinq ans souffrait depuis huit années d'une névralgie dans la région du nerf sciatique; une traction de ce dernier a
e la face; l'ouverture palpébrale est moins grande qu'à droite ; la région malaire est moins développée; chute du sillon n
et rougeur de la peau. On fera dorénavant à gauche l'injection à la région dor- sale. 48 décembre. Le malade présente de
phère cérébral en deux parties, l'une antérieure (lobe frontal et région pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe
rature du corps, dépendent de l'in- iluence exercée sur elle parles régions du cerveau correspondant aux circonvolutions ce
radiction ; il fit des recherches très minutieuses et trouva que la région thermique de l'écorce du cerveau chez les chien
de Hitzig. Le même auteur a a publié plusieurs cas de lésion de la région motrice de l'écorce du cerveau, dans lesquels s
ar un grand nombre de faits, paraît indiquer qu'il existe, dans des régions indéter- minées de l'encéphale, des centres sen
avec le front bas, mal conformé, étroit au plus haut degré avec la région temporale très large au-dessus, et derrière les
un développement plus mar- qué en sens contraire de la face dans la région crânienne posté- rieure. Au cours de l'instru
depuis cette époque des légions de malades ont été amenées en cette région de tous les pays. Or, comme l'exorcisme exigeai
ssier. Deux maisons à peine font exception à la règle. Les autres régions situées plus à l'ouest, où l'on soigne des alié-
s modes sur les deux extrémités su- périeures, le tronc, le cou, la région du maxillaire inférieur, les oreilles, l'occipu
cou, la région du maxillaire inférieur, les oreilles, l'occiput, la région pariétale (trouble plus intense à droite); une
apportée au fonctionnement des circonvolutions ascendantes et de la région pariétale. Ressemblance des troubles de la moti
qui s'exécutent à l'aide d'engins appropriés au développement d'une région , d'une fonction ou d'un système organique; c'es
cendante remontant jusqu'à la base du cerveau, qui prend dans cette région une coloration ardoisée spéciale. Cette colorat
l ayant déterminé la destruction de l'orbite; elle occupe alors des régions corres- pondantes à la destruction osseuse et à
LANCHES PLANCHE PREMIÈRE FiG. 1. Coupe transversale de la moelle ( région dorsale). Schéma indiquant la région envahie pa
upe transversale de la moelle (région dorsale). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le faisceau
eux côtés. (Contrairement a l'apparence que donne le dessin dans la région sclé- rosée les travées conjonctives principale
on transversale ou oblique des vaisseaux.) FiG. 2. - Un point de la région sclérosée vu avec un grossissement de 300 diamè
67 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
che optique correspon- dante (C 0); si la coupe avait porté sur une région un peu plus antérieure, on verrait, en dehors d
la paroi de la cavité ventriculaire, mais répondent seulement à une région où cette paroi est amincie, distendue et refoul
ne voit pas distinctement séparée, comme dans la plupart des autres régions de l'écorce, en un stratum superficiel de petit
l'encéphale : on ne trouve rien qui lui ressemble dans une autre région corticale. Kupffer lui avait donné le nom de st
inue avec le corps bordant, puisque ce corps bordant représente une région où le manteau de l'hémisphère est réduit à sa p
rtaines parties, il faut avoir égard à ce que l'auteur considère la région postérieure de la formation ammonique : « Le co
par l'absence des petites pyramides que l'on trouve dans les autres régions de l'écorce. Elles sont remplacées par des lacu
'elles forment a déterminé Meynert à donner, dans toutes les autres régions de l'écorce, le nom d'am- nzons formation à la
prendre dans la nomenclature des couches de cette il k ANATOMIE. région corticale. Enfin, on voit ici (fig 3, en X), auss
tous les auteurs, à savoir que la circonvolution de l'hip- pocampe ( région temporo-occipitale) se continue en r" cottw n'a
ation ammonique droite et la gauche arrivant à se toucher sous la région médiane du corps calleux et à se souder dans ce
dernière expression n'est qu'imparfaitement justifiée, car si la région corticale C H est limitée en dedans par un sillon
contact d'un côté à l'autre. Cette partie (C H, fig. 8), c'est une région de l'écorce qui, par sa saillie nettement délim
resque égale à l'aire de tout le reste de l'écorce. Si donc cette région de l'écorce conserve chez tous les mammifères u
, sur une écorce cérébrale uniforme en surface, on trouve, en une région , une couche interposée, reproduisant la dis- po
rposée, reproduisant la dis- position du stratum granulosum : cette région pourra être alors considérée comme l'analogue d
mettra de reconnaître, dans les hémis- phères les plus simples, les régions homologues de la formation ammonique alors même
* Voyez Société de biologie, 21 juin 1S79 : Le développement de la région knliculo-opliquc dans le cerveau humain. 30 A
trée du nerf auditif dans ces par- ties. D'après Huguenin, c'est la région supérieure de ce ganglion , précisément dans ce
oindre de la coupe, correspondant au faisceau du nerf localisé à la région supérieure et pos- térieure présentait de gros
n après vingt mois de durée. L'autopsie révèle : uno atrophie de la région thoracique et lombaire de la moelle en partie r
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sàtre des cordons postérieurs dans la région cervicale, une dilatation brusque du canal cent
s antérieures et postérieures. Ces lésions qui rétrocèdent dans les régions où la dilatation du canal est moindre (lie vent
iquer l'exagération des lésions le long de l'axe nerveux dans les régions où l'ectasie est la plus prononcée et inversement
. XIII. DE l'amaurose consécutive aux lésions du sourcil ou DE la région orbitaire; par J. SANTOS FERNANDEZ (de la Ha- v
instituées sur les cliiens, les divers traumatismes provoqués de la région sus-orbitaire n'ont pas été siiivii'd ? auio-se
eut varier dans des circonstances diverses, a) Il varie suivant les régions du corps. Dans les cas réguliers, ceux qu'on pe
iron, s'accompagnant de celle des cils et des poils dans toutes les régions qui en sont pour- vues. En même temps, elle sou
à la face; une coloration blanchâtre, un peu cireuse dans certaines régions ; un état de sécheresse et de rudesse très marq
existe une plaque sensible de la largeur de la main à la limite des régions dorsale et lombaire, s'étendant latérale- ment
neuses de la 12, dorsale et de la 1° lombaire. La pression sur la région ovarienne gauche arrête les attaques qui sont p
un bruit morbide, la percussion donne un son normal au niveau de la région douloureuse. 11 semble qu'il s'agisse d'une ple
llement vives qu'elles lui arrachent des larmes et siégeant dans la région lombo-abdominale droite par- tant de la zone hy
douleurs. , ' Le 2, mêmes douleurs qui empêchent tout sommeil. La région douloureuse présenté deux plaques rouges, l'une a
hâtres, et aujourd'hui encore (25 juin) la douleur persiste dans la région occupée par l'éruption. Il s'agit donc ici d'un
pte de la pro- duction de la névralgie et du zona au niveau d'une région habituellement sensible ou douloureuse par une
des couleurs passe à droite avec l'in- sensibilité cornéenne. La région ovarienne gauche est spontanément douloureuse e
itsducoeur. T. 40° le matin, 40", j 5 le soir. - Vesicatoire sur la région pré- cardiale. Salicylate de soude, 6 grammes.
à l'appui de la théorie qui localise la faculté du langage dans la région cor- respondante de l'hémisphère gauche. Nous d
erait la théorie simienne de Vogt (son parallèle entre la masse des régions occi- pitales du singe et des microcéphales).
rmet pas au surplus de se rendre compte du degré d'atrésie des deux régions . Le lobe olfactif manque totalement ; il est re
e en : de pareilles conditions (Dareste), à arrêter l'évolution des régions cérébrales internes (paroi postérieure de la vési
, mais atteignant principale- ment les racines postérieures dans la région lombaire' .. ' i u c Jln tl( il 1r, En résumé
e peuvent être provoqués dans la circulation et l'innervation de la région , et, qu'à l'aide de ces changements, on peut ar
niclse expose méthodiquement les rapports anatomiques qu'affecte la région en question avec la moelle allongée (trajets de
es, rouges, ou d'un blanc de neige, avec réfrigération glaciale des régions atteintes : ce sont les phalangettes des doigts
ès mobiles en tel endroit (thorax, abdomen) semblent en telle autre région collés sur les os (doigts, articu- lations, omo
découvert de ce côté; absence d'aphasie. La moelle est double à la région lombaire, bien que le canal vertébral soit uniq
état normal la moelle allongée de la grenouille beye largement à la région dorsale, le cervelet n'en formant que la limite
rétinienne, il s'agit simplement de la compression du globe et des régions rétro-oculaires sur la portion orbitaire du nerf
qu'une double section de la moelle pratiquée transversalement à la région cervicale et à la région lombaire entraîne la r
la moelle pratiquée transversalement à la région cervicale et à la région lombaire entraîne la résorption quasi complète
de la moelle jusque parmi les vestiges des cordons cunéiformes à la région du bulbe. Prolifération du tissu interstitiel (
persistant dans l'ataxie. Il peut se faire que la percussion de la région sous-rotulienne pro- voque un réflexe du tricep
tement efficace est la fara- disation méthodique et prolongée de la région précordiale et de la partie postérieure du thor
rs des muscles droits, et sur le membre inférieur : dans toutes ces régions l'analgésie est complète, et l'on peut sans éve
e part en part avec des épingles la peau du malade. Dans toutes ces régions aussi, la sensibilité aux températures est abso
temps reparaître l'anesthésie, qui commence à se reproduire par une région localisée variable avec les sujets, et n'ayant
, ou inversement. Ces faits semblent indiquer qu'il existe dans des régions indé- terminées de l'encéphale des centres sens
ses, et on peut se convaincre que ce n'est qu'au niveau des petites régions dou- loureuses, que nous venons de localiser, q
ires par la sensibilité spéciale que l'on constate sur une petite région de 2 centimètres de diamètre environ de chaque cô
voque le réveil, tout comme si on pressait sur l'abdomen dans la région ovarienne. On ne peut pas produire le même phéno-
imple, pour le côté droit. - A, Pelote de caoutchouc répondant à la région ovarienne. B, Point d'appui dorsal, bien garni.
-mêmes sa produc- tion par l'application d'un ou deux doigts sur la région ovarienne. Il-n'était donc pas nécessaire de re
Compresseur double. A, A7, Pelotes en caoutchouc répondant aux deux régions ovariennes. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE CONTRIBU
s sensiblement modifiée. Au dessus du renflement lombaire, dans les régions dorsale et cervicale, ou ne trouve aucune altéra-
nuque une douleur sourde qui s'accompa- gnait d'élancements vers la région occipitale; les mouvements de 1 Thorens. -- Doc
ui est en rapport avec la torsion que nous venons de décrire; cette région présente, à la palpation, un empâtement profond
froid ne donne lieu qu'à une sensation de contact, sauf en quelques régions (au niveau des dernières côtes, sur les fesses)
épendre que d'une compression de la moelle épinière au niveau de la région cervicale; et l'on peut supposer que la compres
roduire aucun trouble visuel, tandis que la destruction de ces deux régions ensemble provoque l'hémianopsie du côté opposé,
sté particulièrement, l'anesthé- sie cutanée peut être limitée à la région qui avoisine l'oeil. Quand une lésion cérébrale
ce pourrait bien être parce qu'ils touchaient en ar- rière la même région , c'est-à-dire la limite postéro-inférieure de l
rier avait observé que l'intégrité de la vision centrale et de la région avoisinante semblait spéciale aux hémaniopsies d'
cales ne peuvent qu'être grossiè- rement localisés en arrière de la région motrice ; les lésions centrales siègent aussi a
côté opposé; cette section est faite au-dessus ou à la limite de la région lombaire, de manière à laisser le centre ano-sp
tant du début de l'ataxie locomotrice, quand la sclérose atteint la région lombaire (Westphal, Erb, Erlenmeyer). Le réflex
t, il est résulté ceci : c'est qu'il existe en effet une très vaste région de la face externe et de la face interne du cer
rconvolu- tions ou certaines portions bien circonscrites de la même région , dont l'altération entraîne non pas éventuellem
iré. De là résulte encore une notion fort curieuse, à savoir que la région coiticale , dont les lésions ne produisent pas
produisent pas de troubles de la motilité, et que l'on peut appeler région latente, est beaucoup plus étendue dans l'hémisph
is 24 370 bibliographie. catégories, ou anatomiquement en trois régions qu'il appelle : ré- gion latente, région relati
u anatomiquement en trois régions qu'il appelle : ré- gion latente, région relative et région absolue. La région latente e
trois régions qu'il appelle : ré- gion latente, région relative et région absolue. La région latente est celle dont les a
l appelle : ré- gion latente, région relative et région absolue. La région latente est celle dont les altérations patholog
thologiques ne donnent jamais lieu à des symptômes paralytiques. La région relative est celle dont la destruction totale o
le ou partielle entraîne quelquefois des troubles moteurs. Enfin la région absolue est celle dont les localisations morbid
indifférent. En d'autres tenue ? on peut s'étonner qu'il existe une région relative. On comprend néanmoins qu'ilensoitains
ons motrices de l'écorce et des portions non motrices. Or, dans les régions cérébrales où siègent les centres de mouvement, l
minels, 226. Amaurose consécutive aux lésions du sourcil ou de la région orbi- tawe, par Santos Fernandez, 98. Amblyop
68 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
a névroglie dev iennent suffisantes pour activer la nutri- tion des régions malades et préviennent le retrait de la névroglie
s plusieurs cas, malgré un pouls de 100 à 120, la température de la région axillaire ne s'é- lève qu'el 37° 4, 37° 6 c. ta
habituel- lement lentement et envahit progressivement les diverses régions de la face, des membres supérieurs et inférieur
artie inférieure de la face. En général ce sont les muscles de la région faciale inférieure qui entrent en jeu avec le p
o ont remarqué que la face présente souvent des rides au niveau des régions musculaires agitées par les mouvements anormaux
asmodique que les sujets, atteints d'athétose double, cambrent leur région lombaire et forcé- ment présentent une lordose
emier à signaler la possibilité de l'hypertrophie des muscles de la région cervicale et des deux bras. Oulmont el Seeligmu
z d'autres dégénérés (1), mais le plus souvent elles portent sur la région dorsale : sur 158 épileptiques non hémiplégiques
d'un renversement en arrière de la pointe du coccyx qui donne à la région un aspect tout-a-fait particulier. Le nommé G..
squement, sans prodromes, par une douleur obtuse localisée clans la région inguinale, pendant que le sujet était à son trava
e semblent nullement épaissis en aucun point et la palpation de ces régions ne réveille aucune douleur. Les hanches sont parf
r ce point. La lordose est une rareté, elle paraît se localisera la région lombaire. « La cyphose (moins exceptionnelle) e
baire. « La cyphose (moins exceptionnelle) est la plus marquée Ù la région cer- vicale, cependant l'exploration du rachis
lie brusque, aucuu accident interrompant cette } régularité. Aucune région n'est douloureuse, ni spontanément, ni il la pres
de ce côté. La sensibilité a la piqûre s'est abolie dans les mômes régions du membre supérieur gauche. On note également des
es qui surviennent il un certain âge. La courbure occupait toute la région dorsale, sauf dans un cas où elle n'intéressait
bétiques des deux hanches. « La coloune ver- tébrale est déviée. La région lombaire forme un angle il sommet dirigé eu ar-
stérieures des cornes postérieures pa- raissent sclérosées dans les régions dorsale et lombaire. Névrite des racines postér
abès, on constate des arthropathies des genoux et des hanches. « La région dorso- lombaire de la colonne vertébrale est le
contribuent pour une bonne part à augmenter la déformation de cette région ». A l'autopsie, sclérose des cordons postérieu
is. A partir do celle époque, paresthésies variées, surtout dans la région lombaire. L'ataxie des jambes date de 1881. Actue
celle crête. Le rachis présente une configuration anormale. Dans la région cervicale, efface- ment de la lordose physiolog
thorax. Le sujet étant couché sur le ventre, les modifications des régions dorsale in- férieure et lombaire se laissent re
pour une grande part à la production de la cyphose lombaire. En cette région , la pression, la percussion provoquent une sens
l'altération osseuse se révèle. Un cra- quement se produit dans la région lombaire ; le rachis se déforme, le tronc s'inc
ou moins long. z L'intérêt des signes objectifs se concentre sur la région lombaire. C'est le corps de la 50 vertèbre lomb
ssus de la lésion fondamentale, diversement dévié, surtout dans les régions lombaire et dorsale inférieure. Nous ne ré- pét
s la déviation n'est pas la seule par- ticularité observée. Dans la région lombaire et dorsale inférieure, les apo- physes
n, le rachis peut être légèrement douloureux à la pression dans les régions précédentes. Traitement. Kroenig fit porter à s
aille d'origine réflexe (Paris, 1888). (4) Duret, Déformation de la région lombaire de nature neuro-musculaire. Cypho-sco-
and elle existe, résulte une asymétrie facilement appréciable de la région , un relief exagéré au niveau d'une des gouttièr
ogressant comme intensité, en se montrant surtout violents dans les régions ou les extrémités envahies les dernières (Massa
ifs, disséminés et groupés, d'une façon symétrique, sur la peau des régions carpiennes et métacarpiennes des deux mains et su
paralysie aux membres inférieurs, aussi bien que son siège dans la région lombaire, ré- (1) Maladies du système nerveux.
exploration du rachis, à une hauteur variable, généralement dans la région lombaire, des signes qui révèlent v 15 218 NO
e contrac- ture énergique. Enfin, la courbure principale était à la région dorsale, or c'est le rachis lombaire qui est po
ei- gnent, à des degrés divers, la substance grise de la moelle. La région de la substance grise, frappée dans la maladie
en arrière et présente une ensellure assez marquée au niveau de la région lombaire, la tête est immobile, penchée en avan
renouvelées du sens du courant, le glissement des électrodes sur la région examinée, la répétition fréquente de l'examen.
ultat d'un travail trop long, de l'existence de circulaires dans la région cervi- cale, signalés très nettement dans les o
iquant la tige vibrante sur un point cle la peau assez sensible, la région sus-orbitaire par exemple, il produisit, au bou
e pour qu'elles se transmettent d'une façon sensible jusque dans la région cer- vicale. 1 Nous ne reviendrons pas sur le
ne sont pas hypertrophiées. La colonne vertébrale présente dans la région cervicale inférieure et dorsale supérieure une sc
ain ; à l'avant-bras, anesthésie limitée au coude, très nette sur les régions internes des faces antérieure et postérieure. M
orteils ; à la jambe et à la cuisse, l'anesthésie occupe les mêmes régions qu'à gau- che. Sensibilité diminuée à la face.
triquement. Aux membres supérieurs, elle est limitée en haut par la région du coude. Aux membres inférieurs elle s'élève j
ire dans chacun des deux pieds (nous avons constamment trouvé cette région sensible). La distribution de cette anesthésie ne
as toujours trouvé la dissociation syringomyélique. Dans les autres régions du corps, la sensibilité générale est normale.
malade distingue la couleur blanche à 80° du périmètre). Dans les régions anesthésiques, la sensibilité musculaire et artic
t une légère scoliose, dont la con- vexité regarde à droite dans la région dorsale. Ces déformations scolio-cy- photiques
que complètement, d'où des gouttières et des méplats accusés en ces régions . Les deux pouces sont sur le même plan que lès
s coupes transversales prati- quées à différentes hauteurs dans les régions cervicale, dorsale et lombaire paraît absolumen
fuyant, aplatissement de la partie supérieure du crâne. Saillie des régions pariétales. La région occipitale forme une sort
la partie supérieure du crâne. Saillie des régions pariétales. La région occipitale forme une sorte d'angle avec la partie
ou mieux du trou auditif; six fois de l'attache du col au bas de la région pubienne... Mais la mesure vraiment originale q
ésenter des lésions du foyer, c'est-à-dire collectées dans une même région , d'ailleurs plus ou v 22 330 NOUVELLE ICONOGR
DE LA SALPËTIUHHM. moins étendue, et des lésions disséminées en des régions très distinctes et parfois très éloignées les u
resthésie généralisée, avec les points hystérogénes suivants : 10 Région sus et sous-mammaire ; 2° Région pseudo-ovarien
oints hystérogénes suivants : 10 Région sus et sous-mammaire ; 2° Région pseudo-ovarienne ; 3° Plusieurs points sur le r
'oreille, de la face etc., en faisant agir le courant induit sur la région supérieure du cou. Au contraire, on ne peut se
la protubérance, le cervelet et, en partie, le cerveau. C'est donc la région inférieure du cou qu'il faut faradiser pour mod
endent à l'artère vertébrale. On peut poser le rhéophore actif à la région cervicale postérieure, à côté de la septième vert
postérieure, à côté de la septième vertèbre cervicale, ou bien à la région cervicale inférieure, au-dessus de la clavicule.
cons- trictrices issues du grand sympathique. La faradisation de la région cervi- cale inférieure esta un certain degré ef
ne céphalalgie accidentelle laquelle cède à la faradisa- tion de la région supérieure du cou pendant quelques minutes. Encou
t le tympan ou l'oreille moyenne en même temps que je faradisais la région cervicale supérieure du côté de l'affection.
citation ne se manifeste par aucun phénomène (la faradisation de la région supérieure du cou dont nous traitons maintenant
vons constaté une influence énorme de la faradisation modérée de la région supérieure du cou sur l'hyperémie du tympan et de
galvanique continu. L'amendement que produit la faradisation de la région supérieure du cou n'est pas du tout fugace; il
externe est inévitable. Il ressort donc que la faradisa- tion de la région supérieure du cou est indiquée dans l'hyperémie d
étails je me bornerai à mentionner encore que la faradisation de la région supérieure du cou est utile dans la prosopalgie
tifient mon hypothèse. Après 3, 5, 10 minutes de faradisation de la région supérieure du cou je constate souvent que les mou
essive. C'est dans l'hémiplégie cérébrale que la faradisation de la région supé- rieure du cou est indiquée le plus souven
notre traitement. Nous passons maintenant il la faradisation de la région inférieure du cou qui contient le troisième gan
re : le pouls radial est dur et ralenti pendant la faradisation de la région cervicale inférieure. Est-il possible d'affirme
u tympan était moins prononcée. J'ai posé alors les rhéophores à la région supérieure du cou : les restes du tympan et de
considérable. Il était démontré ainsi que le courant passant par la région claviculaire peut exciter le grand sympathique
laviculaire peut exciter le grand sympathique à la hauteur de cette région . Cependant, comme on le voit, dans ce but il es
irréprocha- bles (1). Le courant circulant dans les tissus de la région claviculaire doit exciter aussi les fibres vaso
maladies de cet organe qu'il faut recourir à la faradisation de la région claviculaire. Mais je dois dire d'abord quelques
ofiler avidemment de l'occasion de respirer. Un aide per- cutant la région sus-épineuse tous les 5, 10 secondes remarque que
t d'autant plus admissible que ce nerf est plus superficiel dans la région inférieure du cou que dans sa région supérieure
f est plus superficiel dans la région inférieure du cou que dans sa région supérieure. On sait que le pneumo-gastrique est u
buer l'innervation des bronches. L'ef- fet de la faradisation de la région claviculaire dans la première phase de la phthi
laire. Dans une période avancée de la maladie la faradisation de la région claviculaire n'est que fatigante et tout à fait
n'est que fatigante et tout à fait inutile. La faradisation de la région inférieure du cou excitant certaines fibres du
ns les cas de la (1) J'ai démontré l'effet de la faradisation de la région claviculaire dans la première phase de la phthi
atégorie qu'on peut attendre des résultats de la faradisation de la région claviculaire. Moins la lésion est prononcée, pl
it invétérés. Je n'ai pas besoin de justifier la faradisation de la région claviculaire dans la myélite, parce que tout le
rme en m'appuyant sur des faits cliniques que la faradisation de la région claviculaire est le moyen le plus puissant pour c
lle épinière parce que je ne puis attribuer à la faradisation de la région claviculaire qu'une action vaso-constrictrice.
fibres jusqu'à leurs terminaisons dans les artè- res dilatées de la région malade et, il en doit résulter un resserrement de
nne (de Boulogne). Dans le tabes spasmodique, la faradisation de la région claviculaire est encore plus efficace que dans
stifier ici le traitement du tabes dorsal par la faradisation de la région claviculaire, parce que d'après les auteurs fran-
morbide doit être accompagnée d'une fluxion ; la faradisation de la région claviculaire étant un moyen puissant contre l'hyp
e latérale et inférieure se détache seule comme chez la femme, à la région sacrée. Les hanches sont larges et le tissu cellu
69 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
rmain, 108. 1893 Épilepsie partielle crurale et Tuberculose de la région paracentrale (1). Sommaire. — Epilepsie partiel
r phthisie pulmonaire.— Lobule paracentral : définition, limites ; la région paracentrale ou crurale du cerveau ; structure, v
ale par destruction, épilepsie partielle crurale par irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'épi
épilepsie Jacksonienne; raisons tirées de la vascularisation de cette région . Diagnostic des causes de l'épilepsie partielle
stic des causes de l'épilepsie partielle crurale. — Tuberculose de la région paracentrale. Présentation d'une observation av
conséquence d'une plaque de méningite tuberculeuse développée sur la région du lobule para-central et ayant peut-être envahi
lle-là et pas une autre, qui s'est rencontrée sur le cadavre, dans la région paracentrale du côté droit, ainsi que cela devait
onvolutions frontale et pariétale ascendantes, font partie d'une même région que l'on pourrait appeler région du lobule'jiarac
ascendantes, font partie d'une même région que l'on pourrait appeler région du lobule'jiaracentral. En d'autros termes, cotte
point de vue anatomo-pathologique, les méninges qui recouvrent cette région en font partie intégrante. On pourrait, du reste,
égrante. On pourrait, du reste, aussi bien la désigner sous le nom de région crurale. C'est en effet, clans toute cette circon
iale : trois branches artérielles importantes viennent irriguer cette région et s'y terminer, deux naissent de la sylvienne, e
J'ajouterai seulement que la lésion destructive de l'écorce de cette région entraîne ici, comme dans toutes les autres partie
nous faut rechercher maintenant comment la grande fonction de cette région paracen-trale a été déterminée. Cette déterminati
t éclairé. Eh bien, on le sait, la connaissance des fonctions de la région du lobule paracentral est de date assez récente.
de donner lieu à des monoplégies crurales, en d'autres termes que la région corticale présidant aux mouvements du membre infé
ques fourmillements, quelques douleurs dans les lésions limitées à la région paracentrale. Mais il y a le plus souvent absence
iption paracentrale, c'est qu'elle s'est étendue en arrière, dans les régions où semblent localisés les centres de la sensibili
s-nous maintenant, de ces connaissances relatives aux fonctions de la région du lobule paracentral, déduire, jusqu'à un certai
ie observée dans les diverses altérations qui viendront frapper cette région ? Oui, assurément, puisque ces connaissances ne s
s inerte, soupçonnez l'hystérie et non pas une lésion organique de la région du lobule para-central. Lorsque la lésion est s
épilepsie-là relève, comme la monoplégie crurale, d'une lésion de la région du lobule paracentral. De même, l'épilepsie comme
le, et, pour ne parler que du mode crural, puisqu'il s'agit ici de la région paracen-trale, je puis vous rappeler une observat
ues d'épilepsie Bravais-Jacksonienne. Ici, tandis qu'une partie de la région paracentrale est détruite, l'autre est simplement
sont maintenant les lésions qui peuvent plus ou moins se limiter à la région du lobule paracentral et donner naissance à la sy
ens de vous le dire, vous pourrez rencontrer, localisées à cette même région para-centrale, les lésions les plus variées. Sans
cers, psammomes, etc.) (6), de syphilis cérébrale (7), intéressant la région du lobule paracentral. Mais, je le répète, ce son
ans la protubérance, dans le cervelet, dans lo centro ovale, dans les régions corticales. Mais, dans ce dernier cas, il s'agit
éningite anormalo frappant la zone psycho-motrice et de préférence la région paracentrale. Et je ne tiens pas compte ici des f
se comme conséquence d'une thrombose ou d'une embolie vulgaires. La région du lobule paracentral est, semble-t-il, un lieu d
tte méningite on plaques ne puisse se rencontrer ailleurs que dans la région du lobule paracentral. Je sais qu'on peut voir de
est plus rare et que le plus souvent c'est une plaque située dans la région para-centrale que vous trouverez à l'autopsie. En
la raison de cette prédilection de la tuberculose méningée pour cette région , je vous répondrai qu'elle semble commandée par c
letins de la Société anatomique (1). La voici en quelques mots : La région paracentrale, point culminant, sommet de l'hémisp
e la cérébrale antérieure, contribuent à son irrigation. Aucune autre région de l'hémisphère, à égalité de surface, ne posséde
rales. Or, trois de ces branches sur dix se rendraient à cette petite région paracentrale. Cette multiplicité de sources artér
s la raison de l'apport plus fréquent du bacille tuberculeux en cette région ? D'autre part, la circulation semble ralentie
'autre part, la circulation semble ralentie à ce niveau. En effet, la région du lobule paracentral reçoit précisément les arbo
que l'on accepte (l) Souques et J.-B. Charcot. — Tuberculose de lu région paracentrale. — Fréquence et raisons anatomiques
rtériels. Donc, cette disposition du système artériel au niveau de la région paracentrale et ces conditions mécaniques plaider
plaideraient en faveur d'un ralentissement de la circulation en cette région et partant favoriseraient le dépôt des bacilles e
mme vous, que cette fréquence des localisations tuberculeuses dans la région paracentrale est en rapport avec les conditions c
rapport avec les conditions circulatoires très particulières de cette région . Tout le long et de chaque côté du sinus longitud
égie et Fépilepsie partielle crurale dérivent de la tuberculose de la région paracentrale. Si l'épilepsie partielle crurale
miliaire. Or, le mal n'était point là, mais dans l'encéphale, sur la région du lobule paracentral des deux côtés, et c'est av
malade est atteint do crises convulsives dues à une localisation à la région paracentrale, et se rapprochant de façon à déterm
insi, l'intérêt pratique qui s'attache à l'histoire des lésions de la région du lobule paracentral et en particulier des lésio
us ses autres points,qu'une seule lésionbien circonscrite,occupant la région paracentraie. En ce point, la dure-mère, la (l)
ment dit, en un mot, d'une manière très exacte, toute l'étendue de la région paracentrale. (Voir pl. I les figures schématique
centres moteurs : Un agglomérat tuberculeux se forme, au niveau de la région paracentrale, constitué par la confluence de gran
lisation cérébrale des mouvements du membre inférieur au niveau de la région du lobule paracentral. De l'influence des excit
llaires, par des attouchements sur le vertex, par la pression dans la région de la fosse iliaque des deux côtés. Au début on p
visuel, point hystéro-gène au vertex, hystéro-frénateur dans les deux régions ovariennes. Elle a eu autrefois des attaques de c
qui la coupe profitant de ce qu'elle est toute seule. Piqûres à la région précordiale.-- « Monsieur,laissez-moi, s'il vous
térogène se rencontrant chez un hys-téro-traumatique, au niveau de la région qui a été le siège du traumatisme, plaie ou contu
r le sommet de la tête ; elles sont arrêtées par la compression de la région ovarienne droite. La malade présente en outre des
e ceux qu'elle a dans ses attaques ordinaires de choree rhythmée. Les régions spas-mogènes et spasmo-frénatrices qu'elle présen
rien pendant son délire ; il en est de même pour la compression de la région ovarienne droite, qui, dans l'état ordinaire, arr
nous remettons la malade dans son état normal en lui comprimant la région ovarienne et en maintenant cette compression à l'
s montent ou descendent. Si l'on fait des piqûres d'épingle dans la région du cœur : « Monsieur, laissez-moi, s'il vous plaî
le que les piqûres ont toujours donné les mêmes résultats suivant les régions sur lesquelles elles portaient. A plusieurs mois
idée de guêpes, celles de la poitrine l'idée du serpent, celles de la région précordiale l'idée de cœur percé, celles de la pa
côté. Enfin il existe deux zones hystérogènes situées, l'une dans la région iliaque gauche, l'autre au-dessus du mamelon gauc
s tziganes, ce sont les bohèmes de la musique !... » On comprime la région pseudo-ovarienne droite. Le malade a quelques mou
est restée du côté droit. Le point hystéro-gène qui occupait hier la région pseudo-ovarienne du côté droit n'est plus sensibl
ay s'est aperçu que la sensibilité persistait en deux points : « à la région latérale moyenne du col, de chaque côté, et au mê
ue côté, et au même niveau dans la gorge... Le contact sur une de ces régions , avec le doigt ou autre chose à l'extérieur (une
érées ayant amené un certain degré d'anémie et d'un traumatisme de la région hypo-gastrique, les premiers symptômes hystérique
oints hystérogènes, l'un au niveau du vertex, l'autre au niveau de la région ovarienne droite. Fig. 7. — Champ visuel de Mar
dans l'œil droit ; des douleurs névralgiques se sont montrées dans la région mastoïdienne gauche. C'est pour cette amblyopie q
cesse sa main appliquée contre l'oreille. Cette douleur siège dans la région mastoïdienne du côté gauche. Elle a un foyer maxi
itre.) Les autres symptômes n'ont pas varié sauf la névralgie de la région . mastoïdienne qui a disparu spontanément dans les
st porteur de psoriasis depuis trente ans et en a eu dans différentes régions . Pollakiurie et polyurie modérées avec polyphag
rtaine dans l'obscurité. Douleurs en ceinture pas très nettes dans la région abdominale inférieure ainsi que dans la région do
as très nettes dans la région abdominale inférieure ainsi que dans la région dorsale. Les urines et les selles sont si impérie
e Graux sont : qu'il existe surleplancher du quatrième ventricule une région très limitée (emimentia, teres, noyau de la sixiè
u plancher du quatrième ventricule. Dans sa moitié supérieure cette région est asymétrique : le côté droit est plus large, p
ues des préparations elles-mêmes. Il existe deux tubercules dans la région bulbo-protubéran-tielle, étage moyen du lobe droi
tubercule supérieur. Latéralement ils occupent la partie droite de la région , mais débordent un peu sur la ligne médiane, dans
du moteur oculaire externe droit, dont il n'existe plus de trace. La région du noyau gauche correspondant n'est pas encore af
veux présentent des altérations qui sont surtout remarquables dans la région où la pyramide est partiellement envahie par le t
e à proprement parler ; les pyramides n'ont pas dégénéré, et dans les régions du bulbe situées au-dessous de la lésion, pas plu
citabilité pour certains muscles (triceps de la cuisse, muscles de la région postérieure, extenseurs de la jambe), l'inversion
écédés. Consiste en une sensation douloureuse de tiraillement dans la région stomacale. La malade n'est pas encore réglée.
, toujours diurnes. Aura : Vertige subit, avec douleur vive dans la région frontale. Il se couche par terre pour éviter la c
evient subitement très angoissée, étouffant et portant les mains à la région épi-gastrique et au cou. Elle paraît à ce moment
simplement de les produire à l'état naissant par la pression sur les régions ovariennes, gastrique, mammaires, etc., ainsi que
semaines). Aura consistant en une sensation de constriction dans la région stomacale, remontant à la gorge sans l'étouffer ;
à l'aide du marteau de Skoda sur certaines apophyses épineuses de la région cervicale et lombaire mises à nu, je provoque non
S MATIÈRES XXIV. Epilepsie partielle crurale et tuberculose de la région paracentrale. Sommaire. — Bpilepsie partielle c
r phthisie pulmonaire. — Lobule paracentral : définition, limites; la région paracentrale ou crurale du cerveau; structure, va
ale par destruction, épilepsie partielle crurale par irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'épi
pilepsie jacksonnienne; raisons tirées de la vascularisation de cette région . Diagnostic des causes de l'épilepsie partielle
stic des causes de l'épilepsie partielle crurale. — Tuberculose de la région paracentrale. Présentation d'une observation av
1, 162, 190. o Oculaire : zone hystérogène —,84. P Paracentral ( région et lobule), 3 ; Structure, vascularisation du —
70 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es et réclame des sangsues. On lui applique quatre sangsues dans la région mastoïdienne et on laisse couler le sang assez
tention malveillante. Presque continuelle- ment, je ressens dans la région précordiale une douleur légère et sourde, une g
une vive sensa- tion de douleur de tête, parfois circonscrite à la région occipitale, ou s'irradiant vers les yeux et en
à la palpation, des muscles de l'oreille, des yeux, du front, de la région naso-labiale, innervés par le facial droit ains
vio- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 1 lentes qui, dépassant la région de la face, s'étendent à la nuque, à l'occiput,
période et cependant il a constaté la présence d'escarres dans des régions où le décubitus lie pouvait déterminer de press
st-à-dire que les fonctions du cerveau varient avec les différentes régions de cet organe. L'anatomie, non seulement ne pou
e, suivant Golgi, si cette hétérogénéité fonctionnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de forme e
s variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces régions . La physiologie ne met pas en doute qu'entre le
rveau et de la moelle, et les rapports fonctionnels des différentes régions du système nerveux. Malheureusement, les plus c
ntre les cellules, considérées individuellement, et les différentes régions de l'écorce, ces rapports fonctionnels dont il fa
fonctionnels quirelient les éléments cellu- laires des différentes régions de l'écorce cérébrale. Les fibres de la premièr
les. Quant au con- sensus physiologique que l'on constate entre les régions sensitives ou sensitivo-motrices, et les région
constate entre les régions sensitives ou sensitivo-motrices, et les régions sensorielles de l'écorce cérébrale, Golgi l'exp
ésenteraient seules les condi- tions d'une transmission directe des régions centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quan
hysiologique quelconque. Dans 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. toutes les régions des cenlres nerveux, les deux types de cellules q
qui existent bien dans toute l'écorce, elles occu- pent surtout les régions supérieure et moyenne de l'écorce. Golgi propos
es et des cellules fusi- lormes, plus nombreuses qu'en aucune autre région de l'écorce, qui dominent. De même, pour l'étud
e même, pour l'étude de la 0,, Golgi nie que les divisions de cette région en sept ou huit couches (Clarke, Meynert, Hugue
ité, pour tout le système nerveux central : Golgi reconnaît que les régions motrices et sensitives de la moelle épinière, q
uperflue que celle de Jean-ï Muller, qui attribuait aux différentes régions du cerveau des éner- gies fonctionnelles spécif
nctions différentes. La possibilité de ces suppléances des diverses régions du cerveau rendrait en tout cas inutile l'hypot
les détruire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions cérébrales. C'est ce qu'avait cru observer Gudd
» sur la direction et la prédominance de ces prolongements dans des régions de l'écorce « où ne se rencontrent point de fibre
onc cru observer chez ceux-ci une « tendance à se porter dans des régions où n'existent pas de fibres nerveuses ». Ces régi
orter dans des régions où n'existent pas de fibres nerveuses ». Ces régions étaient les couches supérieures de l'écorce du
ielle plus ou moins précise ou ligne de démarcation des différentes régions destinées à des fonctions essentiellement diffé
quatre prolongements nerveux, telles qu'en ont signalé en certaines régions de l'écorce cérébrale Ramon y Cajal, Kolliker,
XVII. Recherches expérimentales ET : 1VAT0)IOP.1TIIOLOGIQUES sur la RÉGION DE LA CALOTTE, LA COUCHE OPTIQUK ET LA RÉGION SOU
ps genouillé interne n'a pas de divisions bien tranchées. Dans la région sous-thalamique se trouvent la couche dorsale d
e comme chez les animaux un centre trophique qui se trouve dans une région déter- minée de l'écorce cérébrale. Les autres
entiques des deux côtés pour prouver que le message part de la même région corticale; mais il semble qu'un système de comm
ssive, menstrues régulières, pas de météo- risme. Hyperesthésie des régions ovarienne, mammaire et rachi- dienne. Anesthési
e, sauf pour un courant faradique éner- gique, de toutes les autres régions de la peau et des muqueuses accessibles. Champ
lusieurs heures. Il existe une aura ovarienne, la pression de cette région provoque et arrête les crises. Réflexes tendine
, car, dans le lobe temporal, elles se dirigent en avant jusqu'à la région située immédiatement en dehors et en arrière du
qu'on s'élève. Puis ils quittent le ruban de Réil pour, dans les régions plus élevées de la protubérance, s'appliquer au f
e système central du trijumeau. P.IiERAVAL. IV. DE LA SECTION DES régions supérieures DE la MOELLE CHEZ LES chiens; par J
uit la moelle, en la liant sans ouvrir la dure-mère au niveau de la région dorsale (tout en haut de cette région) ou à la pa
la dure-mère au niveau de la région dorsale (tout en haut de cette région ) ou à la partie la plus basse de la région cerv
e (tout en haut de cette région) ou à la partie la plus basse de la région cervicale (trois échantillons), ou, enfin, entr
la moelle dorsale et la moelle lombaire. Les chiens opérés dans les régions hautes de la moelle présentent encore le réflex
t dans l'espèce subi la dégénérescence des- cendante jusque dans la région le plus inférieure du cône terminal. On y voit
uel. Tête assez grosse; crâne oval, symétrique, assez développé aux régions occipitale et mastoïdienne. 190 RECUEIL DE FA
nes arrondies, les autres ovalaires sur presque tout le dos, sur la région trochantérienne droite, de volume variable. 1
oite du tronc, thorax et abdomen, et d'une double incurvation de la région dorsale de la colonne vertébrale (fig. 2, 3, 4)
moins large que la gauche. La colonne vertébrale, régulière à la région cervicale et à la région lombaire, présente à l
e. La colonne vertébrale, régulière à la région cervicale et à la région lombaire, présente à la. région dorsale une incur
lière à la région cervicale et à la région lombaire, présente à la. région dorsale une incurvation à convexité postérieure
sorte d'épilepsie larvée : mais l'épilepsie est très rare dans ces régions , et, de plus, les hommes seuls sont, en général,
t-il pas plus probable que le trijumeau innerve une portion de la région cervicale, soit par ses branches mentonnières, so
sseadmettre, selon Cajal, que * l'exercice mental suscite, dans les régions céré- brales les plus sollicitées, un plus gran
a substance grise. Les fibres de projection provenant de toutes les régions de l'écorce, et sans doute de toutes les cellul
s les points, symétriques ou non, de l'hémisphère opposé, sauf à la région sphénoidale, où les fibres commissurales consti
association peuvent mettre en rapport une cellule de telle ou telle région de l'écorce avec un grand nombre de cellules si
iations mentales (sensitivo-moteurs, conscients, inconscients); ces régions particulières de l'écorce n'offrent aucune struct
ent, grâce à leur extrême longueur, les excitations ner- veuses des régions les plus diverses au moyen de leur corps et de
let. L'épaisseur de cette couche varie entre 0,003 et 0,03 selon la région du cerveau et l'âge de l'individu. Dans la viei
e d'une altération marquée de lasensibilité cutanée au niveau de la région affectée, symptôme qui est tout à fait exceptio
paraissent avoir eu surtout une cause mécanique, le gonflement des régions indiquées. Le traitement thyroïdien n'a donné q
u absents. Dans les deux cas de l'auteur où la lésion siégeait à la région cervicale, il y avait du myosis et de l'aboliti
, considérés par Oppenheim comme caractéristiques des tumeurs de la région frontale. De pareils cas d'artério-sclérose peu
en partie dans la psychiatrie. Ce courant, qui a envahi toutes les régions de sciences, qui sont en rapport direct ou indi
Mais, il existe une forme caractéris- tique de neurones pour chaque région du système nerveux ; par exemple, les cellules
drites fins, qui se ramifient et se terminent librement. Dans cette région , c'est- à-dire dans la couche supérieure de l'é
rpuscules nerveux environnants, entrent en contact avec différentes régions de l'écorce cérébrale, du cerveau en géné- ral,
ins cylindraxes qui servent à transmettre les impulsions dans les régions sous-jacentes du système nerveux central et qui
orce cérébrale, dans cette dernière passent les ondes nerveuses des régions infé- rieures du système nerveux central. Nous
té dans tous les sens de nombreuses ramifications, descend dans les régions sous-jacentes du système nerveux. Nous ne savon
faire la descrip- tion, bien qu'elle présente dans ses différentes régions quel- ques déviations du plan général. Ainsi, l
manière. Nous pouvons admettre que les cellules situées dans deux régions éloignées l'une de l'autre, de l'écorce cérébrale
succinct des recherches de Flechsig sur les connexions des diverses régions de l'écorce cérébrale entre elles et avec les m
ons antérieures. Les centres d'association sont donc les véritables régions de l'écorce qui concourent à la vie intel- lect
provoquée très probablement par une tumeur siégeant au niveau.de la région sus-claviculaire.. Ce qui donne à ce cas une ph
lo-cutané du côté gauche. Comme il existe de la sensibilité dans la région du point sus-clavi- culaire des deux côtés et q
en virgule » qui s'étend dans le cordon postérieur tout le long des régions cervicale et dorsale et dont la dégénérescence
e, mais il n'a pas été suivi par les auteurs cités au-dessous de la région dorsale (neuvième vertèbre dorsale). Un doute per
réellement sa terminaison en ce point ou s'il se retrouvait dans la région lombo- sacrée sous forme de dégénérescence diff
Gombault et Phi- lippe seuls avaient signalé un cas dans lequel la région dorsale présentait la dégénérescence classique
présentait la dégénérescence classique du faisceau en virgule et la région lombo-sacrée une bande mince de dégénérescence oc
la dégénérescence ascendante totale des cordons postérieurs dans la région lombo-sacrée avait laissé indemnes précisément
la région lombo-sacrée avait laissé indemnes précisément ces mêmes régions de fibres qui dégé- nèrent de haut en bas dans
d'affirmer l'existence d'un filet descendant déter- miné dans cette région . Mais était-ce la suite du faisceau en vir- gul
t un point élevé de la moelle, ici la lésion est plus voisine de la région lombaire. Il s'agit d'une fracture de la douziè
la dégénérescence continue du faisceau en virgule tout le long des régions cervicale et dorsale et s'arrêtant à la région
le tout le long des régions cervicale et dorsale et s'arrêtant à la région lombaire (douzième racine dorsale) où il se per
champ ovale de Flechsic- et d'autre part la dégénérescence, dans la région lombo-sacrée, de la bandelette du sillon et de
isceau pouvait dans ce cas être pour- suivi en haut au-dessus de la région lombaire jusqu'à la région cer- vicale, mais il
être pour- suivi en haut au-dessus de la région lombaire jusqu'à la région cer- vicale, mais il était dans ces parties sup
y a un faisceau descendant distinct dans le cordon postérieur à la région lombo-sacrée; 2° ce faisceau existe aussi, mais
n continuité directe avec les fibres des racines postérieures de la région correspon- dante, qu'il est indépendant du fais
he, anesthésie et analgésie au niveau du pouce blessé et dans les régions voisines). Pas d'amélioration. Le malade s'est su
e question, il faut encore tenir compte des différences suivant les régions . A Marburg, par exemple, nous ne pourrions inte
es délirantes persistent : on constate des douleurs au niveau de la région sacrée et des jambes, des vertiges, puis des vo
auche, et durant celle dernière année elle ressentit des maux il la région sacrée, dans le membre inférieur gauche, à l'omop
cle grand dorsal; plus fort les muscles obliques de l'ab- domen, la région du nerf cutané fémoral médian et interne, la ja
n et interne, la jambe et le bord intérieur du pied et très fort la région de la fesse droite, la surface postérieure de l
face postérieure de la cuisse, la partie extérieure de la jambe, la région dorsale du pied et le bord extérieur de la plan
bord extérieur de la plante; les tissus cutanés et sous-cutanés des régions : indiquées sont aussi atrophiés. Une légère
n de la vie, au bout d'un mois, atrophie musculaire surtout dans la région des grandes articulations; les réflexes ten- di
u bulbe et du cervelet. Le néo- plasme était plus développé dans la région des tuméfactions et à la surface postérieure de
moelle. Le tissu médullaire n'était pas altéré et seulement dans la région du vermis inférieur la tumeur pénétrait dans la
conséquent un crâne plagiocéphale ou oblique ovalaire. En effet la région postérieure latérale droite qui comprend une pa
ipital (fig. 8), au lieu de présenter la même forme arrondie que la région opposée, est aplatie et reproduit la forme de l
s éléments de tissu. Le caractère peu accusé de ces lésions dans la région sacrée explique l'intégrité des sphincters; et l'
; puis ensuite paralysie et atrophie du deltoïde, des muscles de la région radiale et de l'éminence thénar à gauche, avec
pendant quelques semaines, des douleurs violentes siégeant dans la région sacro-lombaire la contraignirent à se mettre au
tonnées surtout dans la jambe droite; parésie très marquée dans la région péronière droite, le muscle tibial antérieur exce
érale. Paralysie totale de la vessie et du rectum. Douleurs dans la région abdominale ; la pres- sion est douloureuse au n
usqu'au niveau des sixième et septième racines dorsales, et dans la région de la plus forte com- pression elle atteint le
moelle, dilatation du canal central dans la partie supérieure de la région dorsale. Deuxième cas. Il s'agit d'une fillette
olonne vertébrale. On fit une ponction à l'aide d'une aiguille à la région pariétale de la tête, on retira 140 centimètres c
ur grisâtre et à demi transparente. Dans la partie inférieure de la région dorsale la substance blanche est réduite, tandis
cas (hydrocéphalie interne et spina bifida) le canal central de la région lombaire avait un aspect d'une large fente, qui
n forme de tube. Elle était close dans la partie supérieure de la région dorsale et communiquait au milieu de son étendue
vient le centre ovale de Flechsig et le faisceau triangulaire de la région sacrée et du cône terminal postéro-latéral pour
. Le système endogène ascendant, mois bien individualisé, occupe la région cornu-commissurale, surtout au niveau des renfl
ar les D'S Hamel et A. Marie, méde- cins des asiles d'aliénés de la région de Paris. 1 vol. de 258 p. Ernest Flammarion. P
r les - d'habitude, par Boehmert, 247. Calotte. Recherches sur la région de la -, par Mouakow, 118. Caries. Diagnostic
71 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
13 septembre, apparaît une céphalée intense siégeant au niveau des régions occipitale et temporale droite, en même temps s
amen macroscopique montre bien bien qu'il s'agit d'un sarcome de la région optique inférieure droite avec compression du p
de plus, quelle que soit leur durée, elles n'envahissent jamais la région des faisceaux endogènes, en particulier celle d
pprochés du ganglion, si bien qu'elle atteint son maximum dans la région immédiatement préganglionnaire, comme MM. Cl. P
ette question. Auparavant, je tiens encore à vous dire que d'autres régions 10 CLINIQUE NERVEUSE. 1 de la moelle peuvent
s d'émergence en pleine substance grise, même quelques fibres de la région du faisceau pyramidal croisé. Mais toutes ces l
e processus histologique est sensiblement le même partout, dans les régions sensitives et postérieures comme, dans les régi
tout, dans les régions sensitives et postérieures comme, dans les régions motrices et antérieures de la moelle. Dans chaque
être conduit de la grande cavité sous-arachnoïdienne jusque dans la région pré et périganglionnaire. L'examen histologique
giques, se croient autorisés à admettre l'envahissement de toute la région préganglionnaire par un liquide céphalo-rachidi
out résumer d'un mot, il y a une véritable hydropisie de toute la région pré et périganglionnaire, consécutivement à l'exc
e l'angoisse et comme si quelque chose l'oppressait (il montre la'' région épi¡ ! astri4ue), il disait qu'il devient fou, qu
visme très accentué dans sa ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. -2't région psychomotrice. Le malade ne fait jamais aucun mou
ance des troubles moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans la région psycho- motrice, qui nous donne le droit de rec
ndement, si même nous admettons que l'excitation primitive part des régions sensorielles, tout de même alors on reçoit des
mptôme de prédominence des centres sous-corticaux et spinaux sur la région corti- cale. C'est justement l'écorce cérébra
à part en forme d'un symptôme local, avec une localisation- dans la région psycho-motrice. Si ce n'est pas un symptôme de
r l'in- suffisance de l'innervation des centres corticaux dans la région psychomotrice, et à présent, grâce aux conditions
ales. Il cite même un cas où la colonne de Rurdach était saine à la région lombaire, alors que la continuation des mêmes f
la région lombaire, alors que la continuation des mêmes fibres à la région cervicale où elles forment la colonne de Goll,
qui démontre qu'un même faisceau de fibres peut être sain dans une région de la moelle et malade dans une autre. Bien plu
lacement de second ordre destinés à transmettre les excitations des régions axiales aux régions éloignées du centre, dans l
rdre destinés à transmettre les excitations des régions axiales aux régions éloignées du centre, dans le cas, par exemple,
hialrü, VI, 11101). I. Une large destruction bilatérale de toute la région du lobe piriforme, ou lobe de l'hippocampe, pro
errier, Luciani et Senpdh). -II La destruction de toutes les autres régions de l'écorce (frontales, pariétales, temporales,
ent. Ce trouble disparaît dès le deuxième ou troisième jour. IV. La région olfactive de la face inférieure du cerveau (renfl
plus vite il se rétablit, grâce à la suppléance des par- ties de la région olfactive non lésées. VI. Les centres propres de
orat ne demeure très longtemps affaibli que lorsqu'on a détruit ces régions . Détruit-on les parties ântéru-externes ou post
es et en impressions agréables. VIII. L'excitation l'aradique de la région olfactive, plus exactement delà circonvolution en
se traduit par une contraction de la narine correspondante. IX. La région olfactive n'a pas de relation directe avec la rég
ndante. IX. La région olfactive n'a pas de relation directe avec la région du goût; la destruction de la région de l'odora
as de relation directe avec la région du goût; la destruction de la région de l'odorat ne modifie point du tout le goût; m
it au n° 4, que l'odorat soit un peu affaibli quand on a détruit la région du goût. " P. KEIIA. VAL. X. Des modifications
e la cuisse, près de l'aine, au-dessous du pli inguinal, on voit la région sus-inguinale s'affaisser par suite de la contrac
guinale s'affaisser par suite de la contrac- tion des muscles de la région abdominale inférieure, du segment inférieur du
s. Le faisceau interne du cordon latéral est partout intact. 9. Des régions corti- 56 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
ontales, motrices, pariétales et occipitales), c'est l'écorce de la région pariétale qui présente les altérations les plus
(Obozrénié psi- - chiatrii. VII, 1902). , Quand on frappe snr la région acromiale du bras et sur l'apo- physe coracoïde
dans les hémiplégies fonctionnelles. La percussion répétée de la région acromiale du bras délermine parfois de la douleur
étnièue, n° 3. 1902. Tumeur de la grosseur du poing, implantée à la région frontale droite, surplombant une face à peine f
eté du siège de l'encéphalocèle qui se produit le plus souvent à la région occipitale. R. C. XXII. La vie biologique d'un
placées surtout à la partie postérieure de la portion caudale de la région postérieure. Le groupement qui représente les m
es vien- nentse placer au dessus de lui occupant ainsi peu à peu la région postérieure et externe du groupe latéral. Tandi
externe des mem- bres inférieurs, une hypoesthésie totale des mêmes régions , une exagération des réflexes rotuliens et achi
Lésions anatomiques constatées à l'autopsie : ramollissement de la région calcarine gauche résultant de l'oblitération de l
L'auteur pense qu'une trépanation primordiale, en vue d'explorer la région malade, ne peut, en tant qu'opération être nuisib
du cordon de Burdach. Ces lésions étaient surtout intenses dans la région cer- vicale, elles vont en diminuant à mesure q
mesure qu'on descend, jusqu'à disparaître complètement au bas de la région lombaire ; les racines postérieures sont partou
pour produire une sensation chez les tabétiques, sauf sur certaines régions déterminées. Le liquide céphalo-rachidien des p
ion fransverse, ni dégénérations fasciculaires, prédominant dans la région dorsale inférieure, en regard d'un vieux nodule l
é supérieure gauche de la protubérance, empiétant légèrement sur la région des pédoncules cérébraux, et en outre un tuberc
bution géographique du goitre, du crétinisme et de l'épilepsie. Les régions les plus fertiles en épileptiques sont stériles
itre chez les épileptiques adolescents ou jeunes adultes dans cette région où le goitre est encore assez commun et l'idée
et de l'épilepsie et voici ce que j'ai trouvé : Epilepsie. « Les régions arctiques sont un des foyers de pré- dilection
ince de Liège, du Ilainaut, dans la Flandre occidentale et dans les régions monteuses du Luxembourg. Le Danemark et la Norv
tés. , En France, ainsi que nous le verrons encore plus loin, les régions qui comptent le plus d'épileptiques n'ont ni crét
le goitre et le crétinisme sembleraient donc n'abonder que dans les régions où l'épi- lepsie est le plus rare et réciproque
ns les dix-huit corps d'armée dont l'ensemble compose la France. La région la moins favorisée est celle du 16e corps (Bézier
tatistique plus probante qu'il a établie non pas par corps d'armée ( région trop étendue) mais par chefs-lieux de subdivisi
armée (région trop étendue) mais par chefs-lieux de subdivisions de régions , constate que ce sont, en somme, les départemen
centre de la France qui four- nissent le plus d'épileptiques et les régions les plus voisines de la Méditerranée. Le goit
ans la population épileptique. Après avoir rappelé que j'habite une région où les goitres étaient autrefois très nombreux,
pas plus nombreuses qu'aujourd'hui. Mais, aujourd'hui, dans la même région , je fais cette remarque, absolument manifeste e
orce des circonvolutions temporales, V, centre visuel, écorce de la région calcannienne ; T, centre tactile {sensibilité g
lcannienne ; T, centre tactile {sensibilité générale), écorce de la région périrolandique : : ^ . K. centre kinéique (mouv
ique : : ^ . K. centre kinéique (mouvements généraux), écorce de la région pértrolandultue; I, centre de la parole, écorce
rchiquement différenciés bien que situés par hypothèse dans la même région : écorce cérébrale du lobe préfrontal. - Sur
t la représentation dans la con- science de quelques troubles de la région . Sensibilité génitale : on lui introduit un fil
niques au pharynx, à l'oeso- phage, de paralysies musculaires de la région . La dysphagie psy- chique en rapport avec un ét
es cornes antérieures de la moelle, avec un maximum au niveau de la région lombaire. Les nerfs des membres inférieurs sont
ules. Cette méningite est diffuse, nodulaire par places, comme à la région cervicale et à l'origine du trijumeau droit. El
ntes des attaques, le terrain épileptogène serait constitué par les régions méningo-corlicales de l'encéphale, ainsi qu'on
e une réaction motrice, mais réaction qui sera limitée à une petite région seulement, puisque, l'exci- tation méningo-céré
ns localisées à la suite d'une irritation très limitée d'une petite région méningo-corticale du cerveau, par exemple, et d
laissent place à aucun doute. G. DENY. XL11. Des réflexes dans les régions de la face et de la tête; par W.-M. BECHTEREW.
hement généralement faible des paupières, lorsqu'on frappe toute la région frontotemporale et l'ar- cade zygomatique, se p
un ramollissement du cerveau en rapport avec des tuber- cules de la région motrice de l'écorce de l'hémisphère gauche; il
ce qu'on n'a pu encore expliquer comment une atteinte portée à une région limitée du système nerveux, pouvait inter- romp
nt s'est pro- pagé jusqu'au bas de la moelle et a épargné certaines régions bulbaires. Cette invulnérabilité des circuits à
e la première racine lombaire (il ne subsistait, en effet, en cette région que de rares fibres dans les cor- dons postérie
aissent relever d'une imprégnation directe des filets nerveux de la région par les toxines de l'érysipèle. M. IIusr cite u
mmuniquent un cas d'hémiplégie gauche produite par une tumeur de la région pariétale faisantcorps avec l'os. , Dysantigr
pel atavique d'un type de Pygmées, type qui aurait disparu dans nos régions depuis le milieu environ de l'ère chrétienne.
d'un cancer, mais plutôt une mélanodernie accentuée, surtout sur la région ab- dominale et au cou. Par contre les muqueuse
. Par contre les muqueuses sont d'une coloration normale. Dans la région de la cicatrice opératoire, on perçoit une indu
adénopathies multiples, mobiles le plus souvent, aux aînés, à la région axillaire opposée, à la région cervicale. ' Pre
les le plus souvent, aux aînés, à la région axillaire opposée, à la région cervicale. ' Prenons maintenant les membres en
atique et de ses branches est très doulou- reux. Pareillement, la région trochantérienne est extrêmement , sensible (noy
action de dégénérescence et une parésie très peu prononcée dans les régions innervées par le mus- culo-cutané alors que le
auche une absence de murmure respiratoire, on entend seulement à la région du hile un souffle profond à timbre amphorique.
- mum, atelectasique et fibreux à son sommet. Toute la base et la région du hile sont envahis par un cancer massif, ramo
ellulaires des cornes antérieures de la moelle, en rapport avec les régions plus particulièrement éprouvées par la carcinos
is bien plutôt parce que ce groupement en plexus se fait dans des régions particulièrement exposées aux localisations can
ment dès le début de leur évolution, envahir les ganglions de cette région . La veine axillaire est presque toujours prise
. Vous comprendrez aisément()lI'en raison deson long trajet dans la région du cou et dans le médiastin, c'est du pneumogas
se peut se faire un peu partout, vers la fente sphénoïdale, dans la région de l'orbite, au pourtour du trou occipital; mai
ur appui à celle ma- nière de voir; et, peut-être est-ce dans cette région latérale du rachis, par un mécanisme toujours à
te adhérence avec la dure- mère. - Mêmes lésions plus légères, à la région cervicale. L'examen histologique montrait nette
es du 'type Aran-Duchenne, mais accompagnées de paralysies d'autres régions . Villaret2 cite de même Gowers qui a décrit la
elle. Le 20 juin 1902 il se plaint de douleurs névralgiques dans la région ilio-lombaire droite, douleurs sans grand carac
dans les deux derniers doigts de la main droite et au niveau de la région correspondante au cinquième métacar- pien. Cet
roid plus ou moins accusée suivant les moments. L'examen de cette région montre la perte de la sensibilité au contact et
u froid et au chaud est au contraire bien con- servée. Dans la même région le malade éprouve, comme nous l'avons déjà indi
à celles du tabes. D'une façon régulière la fracture siège dans une région où la peau présentait antérieurement des troubl
Le foyer occupait une des moitiés du bulbe, envahissait toute la région comprise entre l'olive qui est entamée par places
ec les fibres qui vont au cervelet ou qui en viennent. Telle est la région bulbaire supérieure dans laquelle l'olive, les
malade avait perdu le sens de posi- tion de ses membres. Enfin, la région sacrée était le siège d'une énorme escarre très
re très profonde et entourée d'un oedème s'étendant au loin sur les régions voisines. Il y avait suivant la règle, une inco
et des valvules aortiques. Crises an- goissantes nocturnes dans la région précordiale. Grippe. Mort par pneumonie. Ons.
ite diffuse présentaient des foyers nettement circonscrits dans les régions pariétales, avec maxima d'intensité dans les ci
l'oie et des reins et un épaississement de la valvule mitrale. A la région frontale, on trouvait, disséminés, des cysticer
ants, caractérisés par une kératodermie tranchant nettement sur les régions saines voisines. - Anesthésie acoustique. M.
s ganglions altérées et, cela d'autant plus, qu'on se rapproche des régions lombaire et sacrée. 11 y a surtout disparition
ère de la sclérose des autres tissus par le peu de rétraction de la région malade, ce qui ne peut être dû qu'à l'élasticit
e jacksonienne et on vit apparaître une hémiplégie avec aphasie. La région pariétale gauche présentait une plaie contuse.
e courant vient de l'arrêter. Il ressent alors une angoisse dans la région précordiale et il lui semble qu'il vient d'être
e de « folie raison- nante » était associée aux néoplasmes de cette région ; mais d'autres auteurs pensent qu'au point de v
ique survenue dix ans plus tard. Trépanation, gliome kystique de la région motrice droite, amélioration. M. L... fait rema
sous la dépendance de foyers en évolution de méningo-myélite de la région dorsale. Dans l'autre cas, les lésions des co
lexes, dépendant non seulement d'un foyer de méningo- myélite de la région dorsale, mais encore d'une sclérose, descen- da
flement cervical entre les 6° et 80 segments, d'autre part dans la région lombaire moyenne et inférieure. Ces foyers avai
de mourut, et à l'autopsie on constata une myélite luétique dans la région dorsale inférieure et une grosse gomme dans la
rieure de la moelle épinière et le cerveau, mais les centres de la région sacrée ont été éloignés de la communication avec
général, il y a dans le cerveau du malade une lésion spéciale des régions qui ont un rapport à la représentation du temps.
echerche du - chez les névrosés, par Sclnytler, 236. Des dans les régions de la face et de la tête, parRechterew, 237.
72 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
opsie. Gliome du bord antérieur gauche du cervelet com- primant les régions voisines du cerveau, du cervelet et de la p1'Ulzc
porte les traces, à son entrée à l'Asile (coups de rasoir, dans la région sus-hyoïdienne). État actuel. Marie B... se tie
icroscopique de la moelle n'a pu être pratiqué jusqu'ici que sur la région cervicale supérieure, et dans ce point nous avo
meau. Ces différents signes indiquaient une tumeur située dans la région du facial et du trijumeau. Les troubles subjectif
rite optique double. M. Brissaud .diagnostiqua une tumeur « dans la région du corps restiforme gauche et plus exactement e
d'affirmer presque à coup sûr que la tumeur devait atteindre cette région de la protubérance, ce que l'autopsie a confirm
nscience, une hyperhémie fonctionnelle est indispen- sable, dans la région des dendrites et des fibres cylindraxiles, qui
me vitesse de cer- taines dendrites aux autres, c'est-à-dire, d'une région de l'écorce cérébrale à une autre. L'observat
es de l'écorce cérébrale; mais peut se rapporter aussi à toutes les régions du système nerveux périphérique et central. Nous
cerveau qui sont accompagnées de démence. La présence dans cette région d'une tumeur qui grossit gra- duellement et aug
toute proba- bilité, son influence nuisible tout d'abord sur cette région de l'écorce cérébrale, laquelle, d'après notre
sections douées chacune d'une certaine indépendance ; l'une de ces régions est en rap- port plus intime avec la première m
pliquer l'étude des neurones à l'explication des phéno- mènes de la région de la vie psychique normale et de la sphère psy
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 43 réveillée par de violentes douleurs à la région épigastrique. Elle veut se lever, mais sa jambe
bés par les bruits musculaires et on ne les entend même pas dans la région du sternum; le plétysmo- graphe ne démontre pas
e des tumeurs est typique quant aux méninges et aux vaisseaux des régions voisines de la moelle épinière, ils présentent au
postérieures dans la moelle épinière, plus marquée surtout dans les régions dorsales et cervicales ; une alté- ration dans
3° un procès inflam- matoire aigu à caractère hémorragique dans la région de la protu- bérance et des pédoncules cérébrau
rticularités locales, du mécanisme anatomique vas- culaire dans ces régions . En outre ce cas confirme l'opinion que le même
s peut provoquer des procès morbides en même temps dans différentes régions du système nerveux, et prouvent la possi- bilit
lement auprès du foyer morbide, mais encore dans différentes autres régions du système nerveux central. M. `ŸEIDENH11)1GR
es extraordinaires, mais qu'explique l'anatomie topographique de la région . C'est ainsi que le professeur Raymond a pu mon
aires des muscles exten- seurs, ces centres se trouveraient dans la région cervicale de la moelle. Ce travail, comme tou
n des sommets les plus faciles et ayant le plus beau panorama de la région . Nota. - La visite des monuments de Toulouse et
isée du tabes, il y a cependant des lésions ailleurs, dans d'autres régions : ainsi, la ménin- gite spinale chronique, tell
at hypocondriaque dépendrait spécialement des altérations dans la région des sensations corporelles (Iürperfülilspliare),
II. SY31TOU1TOLOG1E des lésions (tumeurs ET abcès) intéressant la RÉGION préfrontale du cerveau; par WILLIASON. (111'ain,
symptomatologie moins bien définie que celle des lésions des autres régions cérébrales donnerait d'après Bianchi les conclu-
allèle à la F2 et inclus dans la substance blanche ; à droite, môme région , deux petits sarcomes sous la F' et F2 et deux
tres plus petits sous la F2. Intégrité absolue de toutes les autres régions . 2° Homme, dix-neuf ans, après une influenza ma
a face in- terne du même lobe du côté opposé, mais n'atteint pas la région des noyaux, tout le reste de l'encéphale indemn
ent parles connexions spéciales et importantes qui relient ces deux régions en apparence éloignées. Cependant les phénomènes
uses de la face et des bras. Douleurs vives et hyperalgésie dans la région supérieure du rachis, perte graduelle de la sensi
de substance cérébrale, ou jusqu'aux interventions portant sur des régions périphériques éloignées, sources réflexes des a
ature. Ses examens ont porté sur les racines et les ganglions de la région lombaire, ainsi que sur les portions de la moel
prouver R. de MUSGRAVE CLAY. 1V.);SSAIS d'excitation électrique des régions du cerveau, président aux mouvements du tronc E
expériences d'extirpation et d'excitation par l'électricité de ces régions ont donné des résultats incertains et contradic
s le but de contrôler celles de Munk (extirpation et excitation des régions corticales) ne lui ont pas fait constater que l
onsiste en ce que c'est un crétinisme avec goitre alors que dans la région le crétinisme s'observe générale- ment sans goi
le soin de supporter le fardeau d'une lutte plus difficile dans les régions parlementaires et gouvernementales, nous avons fa
Archives, 2e série, t. IV. 12 178 pathologie NERVEUSE. · de la région 'sensitive de la moelle, comprenant les cordons
aires de la maladie; à ce titre, le tabès reste une affection de la région sensitive de la moelle. DES LOCALISATIONS MED
de plus, ces fibres occupent, suivant les étages de la moelle, des régions diverses. Tout cela doit forcément entraîner un
st facilement reconnaissable; il se détache en blanc sur les autres régions noires, qui sont saines (procédé de Wuigert-Pal).
rieurs (zones pointillées). Toutefois, il n'atteint pas en avant la région cornu-commissurale (b'), et il finit en dedans,
Ces figures demi-schématiques représentent les champs radiculaires ( régions pointillées) et les champs endogènes (régions q
champs radiculaires (régions pointillées) et les champs endogènes ( régions quadrillées) aux principaux étages de la moelle.
s postérieurs (a'"). B, zone de Lissauer ; D, cordons latéraux ; E, région périépen- dymaire. Les champs endogènes sont
Les champs endogènes sont : les descendants (b), variables à chaque région , sacrée, lombaire, dorsale, etc. Les ascendants (
nfin, en d" nous rencontrons le tiers posté- rieur des bandelettes, région importante à signaler, puis- qu'elle renferme t
culaire -obéit aux mêmes lois d'agencement général ,que celui des régions sacrée et lombaire; mais il faut noter l'interpos
moelle, depuis le bulbe jusqu'au cône terminal; mais il occupe une région différente, suivant l'étage considéré ; en d'au
radicu- laires, sur une coupe transversale de la moelle. Dans la région cervicale et dorsale, il s'appelle plus spécia-
; son extrémité postérieure est souvent renflée (fig. 9). Dans la région lombaire, le faisceau endogène descendant se pl
u cordon postérieur, sous forme d'une bande décolorée au milieu des régions saines qui sont noires (procédé de lVeigert-Pal).
, mais sans lui donner sa vraie signification (l'tg. 5, 6). Dans la région sacrée, le faisceau descendant reste situé tout
ée par une bandelette périphérique spéciale (fig. 6, 7) située à la région dorsale inférieure. Cette bandelette borde la p
haque fascicule nouveau paraît prendre naissance, au moins pour les régions cervicale et dorsale, dans les cellules de cord
acrée et lombaire. La moitié postérieure est seule représentée. Les régions noires (cordons latéraux) sont saines ; les- régi
représentée. Les régions noires (cordons latéraux) sont saines ; les- régions décolorées sont malades au prorata de leur déco
es des cordons postérieurs, représentées en pointillé distinct. Les régions des cordons et des. cornes postérieures ont été s
centre ovale, bandelette périphérique, virgule de Sclmlsr, suivant la région ; en 4', zones endogènes ascendantes (région co
de Sclmlsr, suivant la région ; en 4', zones endogènes ascendantes ( région coriia-coiiiiiiissurale). Fit. 11. Au niveau de
out autre tissu; en consé- quence, par les cordons postérieurs, les régions saines appa- raissent noires sur les coupes tra
ions saines appa- raissent noires sur les coupes transversales. Les régions malades, au contraire, sont plus ou moins décol
canisme bien établi par Pierret dans son travail- fondamental. A la région lombaire, ses fibres constitutives sont détruit
int de pénétration, et, cependant, ce cordon était sclérosé dans la région cervicale. La seule conclusion à tirer de ces c
stater un processus sensiblement ana- logue, quelles que soient les régions examinées (zones exo- gènes ou endogènes). Là a
dans le côté droit de la face, et s'aperçut en même temps que cette région restait insensible. Gowers, qui vit la malade d
gée de cinquante-neuf ans. - On trouva simultanément sur toutes les régions de la peau, une grande quantité de vésicules d'
dème, rétrécissement du champ visuel des deux yeux, surtout dans sa région supérieureetinférieure. L'auteur insiste princi
lle redoutait le croup, car une petite épi- démie sévissait dans la région . L'enfant perdait la voix subitement, il ne pou
ôt qu'il commence à être falsifié. Son action s'adresse surtout aux régions sous-cervicales et bulbaires. Il est capable de
e a conservé une très grande cécité de la vue, ce qui prouve que la région du cerveau qui correspond à la macula (coin, l1
ifs à un coup de pied de cheval reçu sur la partie antérieure de la région frontale. Troubles mentaux consécutifs, état ma
lle paraît légèrement atteinte dans les faisceaux descen- dants, la région antéro-latérale et le cérébelleux direct. La lési
de Laveran. La rate était toujours grosse. M. CULIèRE habite une région marécageuse (Charente), il voit beaucoup de pal
la vie du sujet. Le 19 mars 1896, M. Péan fit une craniectomie à la région tem- poro-pariétale gauche ; 10 centimètres de
le de la pie-mère, véritable apoplexie ; elle siège au milieu de la région temporale, en avant elle avance sur 342 SOCIÉTÉ
sentait une tumeur à la partie supérieure du crâne, au niveau de la région inlerpariétale, en avant de la pointe de l'oc-
e se dégénère aussi une petite quantité de fibres, situées dans les régions extérieures de la substance réticulaire grise.
èrent en direction descendante ; la première s'épuise au niveau des régions inférieures du bulbe, au sur et à mesure de la
descendantes des faisceaux disséminés s'épuisent vers le niveau des régions inférieures du pont de Varole. Les fibres ascen
is sortes : 1° La partie principales des fihres se disperse dans la région du noyau central de la couche optique; 2° une p
re. La dégénérescence la plus sensible est observée surtout dans la région radirulaire des fais- ceaux de Burdach de la pa
cordons autéro-latéraux, exprimée de même principalement dans la région cervicale de la moelle épinière. Il faut chercher
malade ressentit un engourdissement dans le petit doigt et dans la région de l'hypothénar. En quelques jours apparut une di
de la main, dans le système de la veine basilique droite et dans la région du cinquième métacarpien (sans oedème, ni livid
te) ; leur propagation au début était strictement limi- tée dans la région d'anesthésie (nerf cubital, nerfs cutané médian
des hémorrha- gies à l'avant-bras; les phlébeclasics envahirent des régions plus vastes. Thrombose et calculs disséminés da
e la substance blanche, le corps calleux et la partie médiane de la région centrale de l'hé- misphère droit présentent un
d foyer de sclérose en forme de lame triangulaire est situé dans la région ventrale de la moelle allongée et du quart post
e la protu- bérance ; en touchant la-substance grise centrale de la région pos- térieure du bulbe il s'en éloigne de plus
o-gliose. L'auteur finit son travail en notant la coïncidence de la région de la plaque de la moelle allongée avec le bass
ngée reçoit son sang par des artères spino-bulbaires, tandis que la région ventrale de la moitié antérieure est vascularis
s des ventricules et des vaisseaux. Les plaques peuvent occuper une région vascu- laire.définie. La prolifération de la né
facial droit; lagophthalmie médiocre, atrophie très marquée dans la région de la fosse canine sous l'arc zygomatique et da
dans la région de la fosse canine sous l'arc zygomatique et dans la région du muscle huccinateur, paralysie complète du cô
malade, il est prêt à admettre comme cause une hémor- ragie dans la région du noyau du nerf facial et de la région voisine
se une hémor- ragie dans la région du noyau du nerf facial et de la région voisine. D'après l'avis de M. 110R1\ILOFI·, l
de la moelle épinière est en liaison avec les modifications dans la région des artères spinales antérieures. M. ORLOWSKY r
inrent une paralysiede toutes les extrémités, des contractures à la région des articulations du genou et un idiotisme comp
outes les notabilités électives, administratives et médicales de la région . Le deuil était conduit par MM. Jean Camuset et
n supérieure; par M. Isambert, député, au nom des populations de la région ; par M. Jouanneau, au nom de la ville de Bonne
combien il redoute l'exa- men de la gorge) sera secoué, comme si la région huccale et pharyngée était excessivement sensib
ruit ses effets, il se fait plusieurs excoriations dans différentes régions du corps, les anciennes cicatrices sont continu
es connexions des voies de projection et d'association des diverses régions de l'écorce qu'il faut toujours chercher la rai
s. La cicatrice résultant de l'accident se trouve aux confins des régions pariétale et occipitale à 2 centimètres de la lig
d'anormal que le choc, qui est presque imperceptible au toucher. La région épigastrique, ainsi que le reste du ventre, est
nel et dans ce cas l'hémorragie se cantonne le plus souvent dans la région du processus réticulaire de la corne antérieure
r l'auteur dans les segments situés immédiatement au-dessus de la région complètement anesthésiée. Cette zone d'analgésie
dégénératifs se sont éta- blis d'une manière plus spéciale dans la région lombaire et cervi- cale que dans la région dors
re plus spéciale dans la région lombaire et cervi- cale que dans la région dorsale de la moelle. Dans le nerf crural et ne
tidienne de 5 à 10 milli- grammes en solution. Galezowski fait à la région temporale des injections hypodermiques de 5 à 1
tions de l'asile de Dury sont, comme la plupart des bâtiments de la région , composées de maçonnerie de hriques et de charp
ns lesquels la lésion cérébrale était bien limitée à un peint de la région des centres moteurs dans l'écorce cérébrale. Ces
écutive la plus parfaite, afin d'évi- ter les infiltrations dans la région lemporozygomatiquc. Comme le reste de notre tec
c'est une véritable illusion, parce qu'ils ne représentent que des régions où s'accentue le maximum de la fonction d'où il
ure occasionnée par une arme à feu dans 520 SOCIÉTÉS SAVANTES. la région lemporale droite et dont le projectile élait sort
on assure que, dans la partie antérieure de ce même lobule, dans la région du crochet, on rencontre le centre de l'apparei
M. Péan de faire une large craniectomie au côté droit de la tête ( région temporo-pariétale). Une partie d'os, longue de
worth, 527. Cerveau. Symptomatologie des lé- sions intéressant la région pré- fronlaledu -, par \-illiason, 146. Un ca
73 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ordonnier avec les conséquences qu'elle entraine (compression de la région hypogastrique,.adduction forcée des cuisses), a
iminués, La sensibilité, au contraire, est altérée : dou- leur à la région lombaire, que la pression réveille ou accroît,
one, zone cruro-fessière, qui comprend la partie infé- rieure de la région fessière, et une zone ano-périnéo-scrotale, qui
résumer ainsi : paralysie de la vessie et du rectum, anesthésie des régions ano-génitales et de la partie moyenne de la fac
ce postérieure de la cuisse ainsi que de la partie inférieure de la région fessière corres- pondante. Les nerfs intéressés
rs et en haut. Le grand dorsal est uniformément étendu sur toute la région . Entre les muscles spinaux et le grand dentelé
eait au noyau de l'hypoglosse ou au-dessous, par conséquent dans la région bulbaire. En résumé, la lésion intéressait à la
u tronc basilaire et destinées aux noyaux d'origine des nerfs de la région , il arrive à préciser les rameaux du tronc basi-
IE NERVEUSE. Remarque importante, chez ce malade, les muscles de la région sacro-lombaire sont normaux, ce qui semble prou
quement à la faiblesse des muscles fessiers et des muscles de la région postérieure de la cuisse, muscles qui sont les ex
lectrodes d'un fort courant faradique des deux côtés du cou dans la région du larynx et on pratique la suggestion verbale. E
lésions por- taient surtout sur les cellules du groupe moyen de la région dor- sale. Les cellules des ganglions spinaux é
ES places DE médecins adjoints dans LES asiles publics d'aliénés. Région de Paris. Jury : le professeür Joffroy, f3eltrudc
f3eltrudc, Dericq, Doutrebente; Pelrucci. 5 places, 7 candidats. Région de Lille. Jury : MM. Keraval, Adam, Boiteux, Pill
, Boiteux, Pilleyre, Castiaux, professeur. 5 candidats, 5 places. Région de Nancy. Jury : le professeur Simon, VerneL, G
e professeur Simon, VerneL, Gallopain, Guyot; Paris. 4 candidats. Région de Lyon. Jury : mu. le professeur Pierret, Lallem
et, Lallemand, Lapoiole, Dumas; Brun. 3 candidats. VARIA. 77 -1 Région de Montpellier. -Jury : M\i, le professeur Mairet
ry : M\i, le professeur Mairet, Maunier, Rey, Bonbila; Guillemin. Région de Bordeaux. Jury : MM. Régis, Caillau, Girma, Do
Jury : MM. Régis, Caillau, Girma, Dour- sout ; Pons. 3 candidats. Région de Toulouse. Jury : MM. le professeur André, Nico
aux le 11. Le concours pour le poste de médecin adjoint des asiles ( région du Nord) s'est terminé par la nomination des qu
liniques ont eu lieu à l'asile d'Armentières. ' Le concours de la région de Lyon, qui a été exceptionnellement brillant
es et diagnostic du mal de Bright. Les candidats admis sont pour la région de Montpellier : .' MM. CAVALIÉ (1er) et Cossa
Localisation cardiaques du rhumatisme ; fracture de côtes; pour la région de Toulouse : 1\IM. Papillon (1er), 1\hIGNAL (2°)
Complications de la fièvre typhoïde, luxations de l'épaule; pour la région de Bordeaux : MM. HOUEIX de la Brousse et MAHON (
Artériosclérose ; othématome au point de vue chirurgical; pour la région de Nancy (médecins-adjoints) : MM. LEVET (le'), S
pyramidal ; .épreuve orale : Formes cliniques de l'urémie. Pour la région de Paris : 11114. Lcaov (1 cr), BARUTH (2e), Co
nous paraissent favorables au concours régional. Dans toutes les régions l'un des professeurs de la Faculté de médecine
rieurs que les parties qui sont restées saines, toutes les autres régions de ces mêmes cor- dons sont atteintes par ]a dé
Gombault et Philippe. Loc. cil. Fig. 6. 86 ANATOMIE. rieure une région médiane et garnie de tubes il myéline ; cette z
aire. La disposition est la même que précédemment, mais en plus des régions sus-indiquées les zones radiculaires se peuplent
us contenterons de citer le pas- sage qui a trait à une coupe de la région lombaire moyenne, et à celle faite au niveau de
yenne, et à celle faite au niveau de la deuxième paire dorsale. i Région lombaire mo/enc.< Lesdcuxzones cornu-commissur
lombaire mo/enc.< Lesdcuxzones cornu-commissurales qui, dans la région précédente, se touchaient sur la ligne médiane
tre par le septum médian. Elles sont un peu plus minces que dans la région précé- dente. Sur l'extrémité postérieure de ch
lieu une dégénérescence radiculaire ascendante ayant épargné les régions que nous étudions. A partir de la 110 paire dorsa
uteur allemand et nous expliquerons comment nous les entendons à la région dorsale supérieure et dans les régions inférieu
ent nous les entendons à la région dorsale supérieure et dans les régions inférieures où il y a absence de dégénération dan
ieurs. V. Dans ces observations nous étudierons séparément deux régions non dégénérées à la suite de compressions radicu-
e filets radiculaires descendants, mais ceux-ci se trouvent dans la région moyenne dos cordons posté- rieurs. De plus, de
eaux endogènes anté- rieur ou postérieur. Ils n'en ont surtout à la région infé- rieure ni la topographie, ni la longueur
de dégénérescence traumatique, il est impossible d'admettre que les régions dégénérées dans le sens descendant ne le fussen
es lésions au niveau de la zone cornu-commissurale et dans d'autres régions dont nous repar- lerons. Carl Mayer pense aussi
sur les figures données par ces auteurs. En route les fibres de la région anté- rieure disparaissent en partie et sont re
encontrer. C'est effectivement ce qu'a représenté Hoche. Dans les régions inférieures de la moelle, seul le faisceau postér
-commissu- rale est saine ; mais au voisinage de la lésion, dans la région dorsale supérieure, que voyons-nous ? une dégén
i s'arrête assez tût. Aussi entre la dégénérescence en virgule à la région cervicale et la dégénérescence cornu-commissura
e à la région cervicale et la dégénérescence cornu-commissurale des régions infé- rieures, nulle différence quant à la sign
rieures, nulle différence quant à la signification; il s'agit de régions occupées par des fibres à trajet assez court et q
cône médullaire, d'où le nom de faisceau sulco-commissural. Dans la région sacrée nous les avons montrées sulco-cornu- com
ommissurales à partir de DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 95 la région lombaire moyenne. 11111. Dé,jerine et Spiller' me
tum vers les cornes postérieures. C'est pour cette raison qu'à la région dorsale supérieure et cervicale nous leur assim
ltze, et c'est ce que semblent prouver les figures de Hoche où à la région de la virgule de Schultze celle-ci est représen
érieur au niveau du cône terminal ; Sulco-cornu-commissural dans la région sacrée; Cornu-commissural à la région lombaire
lco-cornu-commissural dans la région sacrée; Cornu-commissural à la région lombaire et dorsale infé- rieure. Plus haut,
ent la partie interne des filets radiculaires qui pénètrent dans la région où on les 1 Déjerine et Spiller.- Bulletin de l
é de Biologie, juillet 1895. 96 AN1'r0lZI. considère placées à la région cervicale entre les faisceaux de Burdach et de
région cervicale entre les faisceaux de Burdach et de .Goll ; à la région sacrée à la partie tout à fait interne du cordo
eure, soit de la périphérie interne, c'est-à-dire du septum. A la région cervicale et dorsale supérieure il se trouve à la
ns postérieurs presque au voisinage de l'angle posterouatérieu à la région dorsale moyenne il se - 1 ' 1 Dans la zone co
DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 97 1 dirige vers le septum; à la région dorsale inférieure il devient t angulaire ayant
isparaît et l'interne cons- titue le centre ovale de Flechsig. A la région sacrée le centre se déplace de nouveau en arriè
dans des cas bien observés, on a vu la dégénérescence aller de la région cervicale jusqu'à la partie terminale de la moell
rtant quant au nombre de ses fibres avec exception possible pour la région tout à fait inférieure de la moelle (cône termi
fait inférieure de la moelle (cône terminal). Une compression de la région cervicale ou dorsale supé- rieure se traduira p
ut, on trouve intact également le centre ovale de Flechsig et, à la région cervicale seulement, la zone postéro- externe d
ion très pénible de constrictibn 184 , CLINIQUE NERVEUSE. dans la région thoracique gauche. Aucun trouble du côté de la
sente subitement une tuméfaction douloureuse au palper de certaines régions de la face, ce qui lui donne une physionomie bi
au du canal inguinal. Douleur excessive à la pression, alors que la région symé- trique, du côté sain, est absolument indo
moesthésie conservée seulement dans la moitié inférieure de la même région . En arrière la sensibilité est limitée à une pe
fut trouvée à l'autopsie, atteinte de pachyméningite localisée à la région fronto-pariétale droite. M. A. Voisin donne ens
tranchée incidemment. M. Régis. - Je suis d'avis que dans d'autres régions que Paris, l'alcoolisme influe relativement peu
s d'affections antérieures. A l'âge de neuf ans, trau- matisme à la région frontale et quelque temps après, à ce niveau (s
centimètres et demi; bosse fronto-pariétale gauche, 3 centimètres; région frontale antérieure, 2 centimètres et demi à3 c
; région frontale antérieure, 2 centimètres et demi à3 centimètres. Région occipito -pariétale de 8 millimètres à 1 centim
nés tous deux du plexus lombaire ; les mnscles fessiers, ceux de la région postérieure de la cuisse, ceux de la jambe et d
ie douloureuse ordinairement très incomplète et limitée à certaines régions musculaires, une anesthésie cutanée assez net-
ubles de la sensibilité. La douleur, ordinairement loca- lisée à la région sacrée, s'irradie plus ou moins aux membres infé-
tale, le scrotum, la verge ou la vulve, le pourtour de l'anus et la région fessière infé- rieure. Elle peut être limitée à
a région fessière infé- rieure. Elle peut être limitée à ces seules régions , mais habituelle- ment elle gagne le membre inf
s elle se limite à la face postérieure de la cuisse et de la jambe, régions innervées par le nerf petit sciatique émané du
ilité des considérations anatomiques exposées tout d'abord; par les régions , par les muscles intéressés, on reconnaît le poin
la maladie il y a deux ans environ par des douleurs vagues dans la région lombaire et aux jambes, sur- tout du côté gauch
rent huit à quinze jours. Autre douleur en ceinture au niveau de la région lombaire. Hyperesthésie cutanée au niveau de la
émontra que le cubital n'était, en réalité, pas douloureux en cette région . A noter que le membre était en partie oedématié
ontant jusqu'au niveau d'un plan passant par l'épigastre ; quelques régions ont conservé leur sensibilité normale, d'autres
situés de part et d'autre du sillon médian antérieur au niveau des régions cervicale inférieure et dorsale supérieure, le
thésie trouvée de chaque côté du tronc, immédiatement au-dessus des régions anesthésiées, la chose est difficile sans le se
de dire que la racine sensitive située immédiatement au-dessus des régions lésées de la moelle est respectée dans son traj
rise. Cette donnée explique la disso- ciation de la sensibilité des régions inférieures, puisque dans tout l'étage de la lé
qui renfeiment les systèmes commissuraux. L'anesthésie complète des régions plus élevées a sa cause dans ce fait, que les i
sa cause dans ce fait, que les impressions sensitives des susdites régions aboutissent précisément à l'étage des lésions l
disparu, mais il existe quelques douleurs à type fulgurant dans la région occipitale. Les principaux viscères enfin sont
elligence intacte. L'auteur diag- nostique un foyer de myélite à la région dorsale, suite d'une infec- tion blennorrhagiqu
lle, qui remonte à trois ans et qui fut marqué par une douleur à la région précordiale. Depuis quelque temps, at- taques c
fantine et le langage puéril des sujets porteurs d'une tumeur de la région antérieure : il note aussi une tendance au somm
ans le cas en question peut-on penser à une tumeur siégeant dans la région antérieure du cerveau ? Ce qui permet de l'admett
la tempe gauche, la sensibilité très accusée à la percussion d'une région limitée au niveau de la tempe gauche, les phéno
x membres supérieurs. Rien d'anormal au tronc, excepté une petite région anesthésiée des deux côtés de la marge anale. Les
par des fibres blanches, d'autres fibres les réunissent aux autres régions corticales, d'autres traversent le corps calleux
mal, après quoi on fait agir divers microbes patliu- gènes dans les régions ainsi paralysées, au moyen d'injections sous-cu
ttent leur résidence habituelle, pour aller dans cer- taines aulres régions , sont immédiatement prises d'une céphalée pénib
on arrivée, céphalée très douloureuse localisée principalement à la région frontale. Quelques prescrip- tions hygiéniques,
n atmosphérique ? Est-elle la conséquence du régime des vents de la région laquelle est pour cela insalubre pour certaines
e irritation méningée par une tumeur comprimant ou ayant détruit la région de la surdité verbale. Quant au diagnostic du s
ralysies sont très rares ; ils ont d'ordinaire des douleurs dans la région du coude gauche et des épaississements périosti
tte association symptomatique permet de conclure à l'atteinte de la région de la calotte dans la moitié droite de la protu
région de la calotte dans la moitié droite de la protubérance, à la région des noyaux de l'oculomoteur externe et du facia
sque l'oculomoteur externe et le pathétique demeurent intacts. La région des pyramides parait envahie le jour suivant. Il
son caractère endémique qui, de temps à autre parait en cer- taines régions , telles que Macassar, les Célèbes, revêtir la for
près il tenta de se tuer en se tirant une balle de revolver dans la région frontale. La balle glissa et la plaie fut insig
Le cadavre ne présentait extérieurement t rien d'anormal, sauf à la région sacrée, où il existait une poche cutanée, qui c
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. et elle a 3 millimètres à la région lombaire. Elle est bifurquée au niveau des deux
de décrire la marche de chaque faisceau en le suivant à travers les régions qu'il est appelé à unir. Dans ce but Bechteetf
nsi que les faisceaux qui unissent les différentes parties de cette région entre elles et avec les autres territoires de l
74 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ompagnée d'aucun autre symptôme qu'un peu d'en- gourdissement de la région paralysée. ' La paralysie est limitée, mais ell
Hémianesthesi'6' droite. Rougeur é1'ythémateuse intense de toute la région lombaire, z fessière et de la partie postérieur
. L'affaiblissement intellectuel est très pro- noncé. La peau de la région fessière est rouge, érythémateuse ; on y voit u
forme; nous la faisons coucher le 20 décembre. Le 25, la peau de la région fessière est érythéma- teuse, mais la malade ne
on est intacte; autour de l'ulcère se trouve un bourrelet. Toute la région environnante est anesthésiée, nous enfonçons un
oucher. Deux jours plus tard, une érythème intense se forme dans la région sacro-fessière, et 5 à G jours après, des phyct
forme, malgré tous les' soins hygiéniques et antiseptiques, dans la région sacrée et trochan- térienne droite. - Le 21 jan
tion. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. Contusion à la région fessière gauche. » C'est un individu de taille
ibi- lité de la peau environnant les eschares du pied droit. A la région fessière et au sacrum, on trouve des plaques cong
date de 1895. Le malade fut pris de très fortes névralgies dans la région cervicale et à la nuque. Ces douleurs l'empêcha
panouissent directement en dendrites finales. Les cellules de cette région de la couche optique sont indubitable- ment rel
s'être entre-croisées dans le repli. On trouve même dans les autres régions du noyau servant à J'inervation de l'organe du
lique et clonus rotulien sinon, ou en cas d'inégale lésion des deux régions , il n'y aura pas simultané- ment les deux sympt
on unilatéralité, et surtout son existence, alors que dans d'autres régions chez le même malade il n'y a pas la moindre hyp
nent de très constantes relations avec la sensibilité cutanée de la région tem- porale de l'oeil du même côté. Un peu moin
eu moins certaine est l'in- fluence de sa partie postérieure sur la région du dos du nez et la région maxillaire ; 2° La p
fluence de sa partie postérieure sur la région du dos du nez et la région maxillaire ; 2° La partie postérolatérale du fais
( ? ) être en rapport avec l'innervation de la pupille. 3° Dans la région de l'entrecroissement des pyramides, on peut av
eut avec certitude distinguer un territoire antérieur destiné il la région latérale de l'oeil et un territoire postérieur
e secondaire étant écartée de t 1 cen- timètres, le malade, dans la région correspondante du côté droit, ressent d'abord u
LOGIE PATHOLOGIQUES. 55 XI. Du CENTRE DES MUSCLES, DU TRONC DANS LA RÉGION SENSITIVE DE l'écorce du cerveau; par M. ROTHMM
vertébrale, qui succèdent, chez eux, à l'excitation électrique des régions en question, sont tou- jours secondaires ; elle
déficit qu'ont observés Unverricht et Kusick après avoir extirpé la région correspondant aux membres, dans l'expérience co
i dans le bulbe, aucune trace de dégénérescence, tandis que dans la région des membres on trou- vait une dégénérescence pa
tile, élément qui peut se trouver isolément supprimé; 2° dans une région cutanée où deux contacts ne sont point perçus sép
ution du calibre des gros vaisseaux. Il faut y ajouter l'anémie des régions considérées comme centres due aux mêmes modific
onstata un affaiblissement de la mémoire, des maux de tête dans les régions frontale, pariétale et occipitale ; la per- cus
; une hémorragie médiocre entre l'arachnoïde et la pie-mère dans la région de la scissure de Sylvius et un ramollissement
cas, a trouvé des modifications très marquées des cellules dans la région du tronc cérébral, ce qui donne la possibilité
ite pie-mérienne sclé- reuse généralisée, prédominant au niveau des régions moyennes de la convexité. Kystes superficiels (
- tant par la main droite, apparition de douleurs localisées a la région fronlo-pariétole gauche. Trépanation simple suivi
es nerveuses. Ses bords paraissent flous et se délimitent mal de la région péripapillaire dans le secteur temporal. La saill
rmes, et se perdent avant d'atteindre le bord papillaire. Dans la région maculaire dépôts punctiformes blanchâtres, à re
s paroxystiques. Mais cette fois elle est bien localisée, occupe la région fronto-pariétale gauche, sur une étendue de 8-1
ercussion dans un autre point du crâne produit des douleurs dans la région précédente. Il n'y a eu aucune modification objec
ière, mais sans dyspnée notable. Douleur persistant au niveau de la région fronto-pariétale. 5 mars. Depuis deux ou trois
to-pariétale. 5 mars. Depuis deux ou trois jours les douleurs de la région fronto-pariétale gauche auraient notablement au
pendant beaucoup moins de syphilis en Normandie que dans les autres régions ? etc. Ceci dit pour établir qu'il n'est pas tr
des appé- tits, représentés par les nerfs seusitifs, devant être la région senri- tive du corps située au milieu de l'écor
constatée pendant un moment du côté cubital des deux mains, dans la région du nerf cutané moyen. La pupille droite est plu
nuellement. L'anesthésie s'étend au domaine des nerfs sacrés et aux régions plus élevées du tronc ; des décubitus se déclar
une cavité centrale, tapissée d'un tissu connectif. Au niveau de la région dorsale supérieure, la tumeur ) centrale et la
apparent avec la tumeur, localisée dans la partie centrale de la région cervicale supérieure et développée également au m
Nittis; De l'influence de la section de la moelle épinière, dans sa région cervicale, sur la réplétion du coeur paralysé par
ctime-avait 172 BIBLIOGRAPHIE. été tuée d'un coup de couteau à la région lombaire. L'expert n'avait pas retourné le cada
es taches rougeâtres appelées lividités cadavériques, dans toute la région du dos. La circulation arrêtée, le sang s'agglo
se localise surtout aux jambes, aux pieds, parfois aux mains. Les régions ichthyosiques sont complètement dépourvues de poi
st que la réunion de fines lamelles formant de petites plaques. Ces régions ichthyosiques sont dépourvues de poils. Les ong
bservation XXI. Ongles déformés et colorés. Erythème et acné sur la région fessière., Dents expulsées, abrasion des dents.
BLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 181 Sur tout le dos et la région fessière existe une rougeur érythé- mateuse où
nt aux tempes. Anesthésie cutanée sur tout le corps, excepté à la région fessière. OEdème des mains depuis plusieurs mois.
commencement de 1892, généralisée mais sur- tout au sommet et à la région frontale. Les cheveux s'arrachent sans aucune r
e cutanée est complète sur les deux bras, elle n'existe pas dans la région dorsale. L'alopécie qui a dû commencer en mai 1
pacité blanchâtre très nette, avec granulations, principalement aux régions frontale et pariétale des deux côtés. La pie-mè
tication n'a pu se faire sans enlever des parcelles importantes aux régions indiquées. Le sinus frontal gauche était rempli
des cordons postérieurs dans toute leur longueur et au niveau de la région lombaire et dorsale en un foyer de dégénérescen
ui se continuait dans les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la région dorsale de la moelle. G. D. XLVI. LE mécanisme
de circulation des vaisseaux du visage et du refroidissement de la région . P. 11ERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I
erveuses, surtout dans la corne antérieure gauche de la moelle à la région lombaire, des lésions identiques à celles signa
ires, une infiltration intense des méninges, en particulier dans la région médullaire, et pour- tant, malgré les lésions c
existe sous forme de couche diffuse placée entre le thalamus et la région subthalamique en haut, et la décussation des py
dant dix à douze minutes. -Pas trace de la moindre plaie sur aucune région du corps, pas de trau- matisme. Diagnostic rigo
s brusquement, à la suite d'un effort, d'une douleur localisée à la région lombaire gauche. Quelques semaines après l'acci
s à la périphérie de la cel- lule. Ces lésions très prononcées à la région lombaire allaient en s'atténuant de bas en haut
accidents, on fit la trépa- nation et l'ablation d'un gliome de la région frontale droite. Il y eut, les jours qui suivir
automatisme ambulatoire peuvent accompagner une com- pression de la région frontale, et il est en outre intéressant par se
lâche sans danger, put remettre en liberté le monstre qui occupe la région de ses forfaits. » Aucun fait ne peut mieux jus
merveilleusement les questions physio- logiques en rapport avec les régions de l'encéphale et les trois plans 'de neurones.
sait des contacts, ou diurnes même à propos du contact de certaines régions en particulier du cou et de la nuque. Ces pollu
'hydrocéphalie s'est dévelop- pée surtout en avant aux dépens de la région frontale. La scissure de Sylvius, béante, laiss
La scissure de Sylvius, béante, laisse l'msula faire saillie. Cette région ne parait pas altérée. Les circonvolutions fron
pariétal supérieur est à peu près normal ; mais le pli courbe et la région qui, horizonta- lement, va du pli courbe à la c
hémisphère gauche, au niveau de la zone motrice, de l'insula, de la région occipitale suffisent à rendre compte de la para
é par les divers antiseptiques intestinaux qu'on variera suivant la région de l'intestin qu'il faudra antiseptiser, les pl
raire, une altération' de la moelle dans toute sa hauteur : dans la région lombaire et dorsale le cordon de Goll est presq
envahi, ainsi que la zone de Lissauer et la corne postérieure. A la région cervicale, le processus destructif se restreint à
ement la zone de distribu- tion de l'un des filets nerveux de cette région . La malade, très émotive, est atteinte d'un lég
olume. Cellules bien conformées mais raréfiées. Sclérose nette à la région postérieure des deux lobes. Noyau rouge droit lég
ement sur toute la périphé- rie. Cas 12 : sensation de froid sur la région lombaire. (Americcala Journal of insanily, octo
membres du côté opposé à la lésion corticale, lésion portant sur la région motrice, un défaut d'incitation motrice volonta
hibitoires qu'exercent les impulsions maladives sur les différentes régions de la série psychique se traduisent par l'idée
zetger, X, t89j, 1). t)7. 384 REVUE CRITIQUE. s'étendent dans les régions supérieures de l'écorce, elles entrent en conta
ents nerveux d'autres éléments du cervelet. C'est pourtant dans ces régions de l'écorce où, suivant Golgi, se trouvaient su
mifications, qui paraît à l'auteur vraiment excessif dans certaines régions du névraxe, dans celles où l'on trouve les cell
les uns, de compres- sion pour d'autres, etc., etc., l'eschare des régions fessières, sacrée ou trochantériennes, me sembl
Jeune homme de vingt-huit ans. Reçoit deux coups de couteau dans la région dorsale. Les deux blessures siègent immédiateme
sparition de quelques- unes d'entre elles, cette zone se montre aux régions lombaire et dorsale avec la même forme : dans l
montre aux régions lombaire et dorsale avec la même forme : dans la région cervicale, elle parait double dans chaque cordo
uses de ces cellules passent au côté opposé et se dirigent vers les régions plus élevées du système nerveux central. Par co
is; il faudrait démontrer que la paralysie générale existe dans une région où la syphilis est inconnue. Je ne sais pas si
tomique a démontré l'existence d'un processus inflammatoire dans la région supérieure de la moelle épinière s'étendant en
isseaux de la substance grise sont hypérémiés et infiltrés. Dans la région de la tige céré- brale le processus pathologiqu
ciennes de la moelle ont provoqué des lésions dégénératives dans la région de la tige cérébrale. Si l'on compare le tablea
- pés dans l'espace de dix-huit mois, à savoir : anesthésie de la région supérieure du thorax et de la face cubitale des d
égénérations secondaires descen- dantes, on en constate une dans la région de la virgule de Schultze sur une étendue de de
l il était exposé en travaillant. Ces douleurs gagnèrent bientôt la région dorso-lomhaire, et il y a trois semaines se sont
s sensations tactiles sont moins bien perçues. Mais même dans cette région , un contact un peu fort est toujours perçu, mai
e sacrée. La moelle paraît déjà augmentée de volume au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale supérieure. La
mé, on a l'impression d'une tumeur dont le point de départ a été la région cervico-dorsale; c'est là nettement son maximum
secondaires, que nous avons ren- contrés dans toute la pie-mère des régions dorso-lomhaireset delà queue de cheval. C'est à
queue de cheval, tandis qu'il manque à peu près totalement dans la région cervi- cale supérieure de sa moelle. Jusqu'au
878, XXIV. 454 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. b). Chaùveau ' 1 isolant la région cilio-spinale par deux sec- tions transversales
mprendre que des fibres venant de plus haut aient pu franchir cette région en échap- pant jusqu'à un certain point à la co
de l'exprimer, le moi ne le perçoit pas ; ces idées viennent d'une région de l'âme qui reste dans l'obscurité pour le moi ;
De là celte singulière illusion d'une voix qui a son siège dans la région de l'estomac. C'est alors que la dualité devien
rents du goitre exophtalmique. Si cette excitation s'étendait à une région un peu plus basse de la chaîne thoracique, elle
d, du cerveau; s'il est cortical, il y a coparticipation soit de la région motrice du bras, soit de la région pariétale. L
l y a coparticipation soit de la région motrice du bras, soit de la région pariétale. L'atteinte fonc- tionnelle des fibre
orisch- polshy, dleyer. Il est vrai qu'une piqûre d'épingle dans la région protubéranlielle du lapin détermine une attaque
ation aux hémisphères cérébraux, et en particulier à l'écorce de la région motrice, comme pour les attaques convulsives toxh
même chez les animaux auxquels préalablement on a enlevé toutes les régions de l'encéphale situées en avant de la protubéra
du corps restiforme. 3° La lésion du tronc des hémisphères dans la région du tubercule quadrijumeau supérieur, à l'endroi
avec le trijumeau. 5° Les lésions de la substance cérébrale dans la région de la substance ferrugineuse ne révèle pas les
s sur la subs- tance blanche, interrompra des fibres qui vont de la région frontale supérieure ou moyenne à la couche opti
ales, dans la racine antérieure delà couche optique, indique que la région pré- fontale est en rapport avec la couche opti
noyau des pyramides, l'olive accessoire, les olives supérieures, la région du tubercule quadrijumeau, arriverait à l'étage
quoique le plus souvent pénible, ayant son siège d'élection dans la région cervicale, elle se rapproche beaucoup de la pac
eune paysanne de vingt-deux ans, Marie Hellegouacb, célèbre dans la région par les stigmates de la Passion qu'elle portait a
e, par Spiller, 315. Cerveau. Centre des muscles du tronc dans la région sensitive de l'écorce du -, par Ilothmano, 55.
75 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
la nouvelle pathologie spinale ». — La moelle s'y trouve divisée en régions beaucoup plus nombreuses que celles reconnues aut
le. C'est là l'œuvre de la méthode anatomo-clinique. Chacune de ces régions peut se montrer lésée, isolément, systématiquemen
ée, isolément, systématiquement, comme on dit, sans participation des régions voisines, de telle sorte que nous nous trouvons i
le, en quelque sorte, le trouble de fonctions spéciales à chacune des régions affectées. On apprend ainsi que les faisceaux pyr
us leur dépendance la nutrition des muscles correspondants; que cette région des cornes antérieures n'a rien à faire avec la t
lement une monoplégie si la lésion se circonscrit dans telle ou telle région secondaire. Aux lésions irrita-tives de ces mêmes
lle ou telle région secondaire. Aux lésions irrita-tives de ces mêmes régions se rattachent les phénomènes de l'épilepsie parti
d'une doctrine arrêtée, concernant le rôle physiologique de diverses régions cérébrales. Mais, tels qu'ils sont, ils représent
sidérablement aplatie, comme excavée ; en outre, les muscles de celte région sont flasques et sans relief, même au moment d'un
n réflexe exagérée dans toute l'étendue de la moelle, en dehors de la région où, au contraire, les cellules motrices sont dans
quelles la sensi bilité est exagérée ; un de ces points répond à la région ovarienne, l'autre à la région lombaire, à droite
xagérée ; un de ces points répond à la région ovarienne, l'autre à la région lombaire, à droite et à gauche des apophyses épin
etrouvons chez beaucoup d'hystériques et qui peuvent occuper d'autres régions que cellesjque nous avons indiquées. Ainsi, H...
nt bregma-tique. Que sont donc ces zones hystérogènes ? ce sont des régions du corps plus ou moins circonscrites, au niveau d
phoïde) sous la clavicule {fig. 14), au-dessous des seins et dans les régions ovariennes, chez la femme, à la région inguinale
dessous des seins et dans les régions ovariennes, chez la femme, à la région inguinale chez l'homme ; en arrière {fig. 13), en
entre les deux épaules, quelquefois à l'angle de l'omoplate, dans la région lombaire, à droite ou à gauche de la ligne médian
tesse, de battement des tempes, d'une sensation de boule qui va de la région précordiale au larynx, Qu'elles soient spontanées
u'il présente trois zones hystérogènes (bregma, fosse iliaque gauche, région lombaire). Le point bregmatique est le plus sensi
ue chez la femme; mais chez lui les points d'élection sont surtout la région bregmatique, l'un des côtés de la poitrine ou de
l'acci- dent que les jours qui ont suivi il ne s'est produit sur la région fessière ni ecchymose, ni tuméfaction. Si vous
être simultanément soumis au choc. Bien que les traumatismes de la région fessière ne soient pas rares, tant s'en faut1, il
ée au plus haut degré ; un sentiment de barre douloureuse occupant la région lombaire des deuxcôlés vint à s'établir et persis
ste une lésion qu'on peut même localiser jusqu'à un certain point. La région désignée est celle où l'expérimentation (Goltz, B
ation (Goltz, Badge) place le centre des réflexes vési-caux, et cette région occupe l'extrémité inférieure du renflement lomba
des quatre dernières paires sacrées. Vous savez que, dans ces mêmes régions , les expériences auxquelles je fais allusion plac
certain point le degré de la lésion spinale. Celle-ci occupe donc la région lom baire inférieure, d'après toutes les circonst
ensibilité ; mais les cornes antérieures le sont certainement dans la région qui correspond à l'origine des branches du plexus
, et, 5 ans plus tard, une tumeur commença à se développer dans cette région ; la tumeur s'ulcéra, et, il y a 18 mois, la mala
nt : un peu plus tard, il y a 3 mois, survinrent des douleurs dans la région lombo-sacrée, qui ne se manifestaient que quand l
marche, ainsi que la sensibilité à la pression et à la percussion des régions lombaire et sacrée. Le pronostic découle de cette
al que l'on peut retrouver jusqu'à la partie la plus inférieure de la région lombaire. Cette esquisse anatomo-pathologique,
tement qui a surtout consisté en application de pointes de feu sur la région spinale soit spontanément, il s'est fait une réso
t de déterminer dans les tissus péri-articulaires du genou et dans la région du creux poplité une induration et une rétraction
ants : a) la douleur avant de se généraliser occupe habituellement la région frontale droite, un peu au-dessus du sourcil ; b)
se cérébrale d'origine corticale, la lésion occupe à peu près la même région que celle que nous indiquions tout à l'heure, com
e du champ \isuel de P.... le 3 avril 1883 cerveau, c'est-à-dire la région du lobule pariétal inférieur, les deux phénomènes
à la circonvolution de Broca, siège de la lésion de l'aphasie, et aux régions où semblent devoir être localisées et la cécité v
ère pariétale, et, en conséquence, le tissu nerveux a subi dans cette région des altérations plus ou moins profondes, auxquell
tre que ces groupes divers de souvenirs ont leur siège dans certaines régions déterminées de l'encéphale, et il s'ajoute aux pr
troubles suivants : Souvent, après le dîner, elle ressentait dans la région de l'estomac une sorte de gonflement avec pulsati
urviennent spontanément, elles débutent par un sentiment de gêne à la région épigastrique et par des battements de cœur; quelq
e cercle qui interrompt la monotonie de l'attaque. La pression sur la région ovarienne droite fait cesser la crise et alors, p
te, variable, car les jours suivants, l'insensibilité se bornait à la région médiane du front et du nez. Le reste du tégument
agression nocturne. Il reçut un coup de couteau sur la tête, dans la région pariétale droite, tomba sans connaissance, fut dé
té découvertes : deux d'entre elles occupent à droite et à gauche les régions sous-mammaires; la troisième existe dans la régio
e et à gauche les régions sous-mammaires; la troisième existe dans la région iliaque droite; de ce côté, cependant, la pressio
prenant son point de départ dans le testicule droit, remonte vers les régions épigastrique et cardiaque, puis à la gorge où ell
tions strumeuses, à savoir: écoulements d'oreilles, ganglions dans la région mastoïdienne. 11 est intelligent, d'un caractère
nditions normales. Il n'existe qu'un point hystérogène : il occupe la région iliaque gauche. Aujourd'hui encore, bien que la m
pant en avant presque toute la surface de l'abdomen et en arrière les régions des omoplates, les fesses, le creux poplité, la p
—du traumatisme. Nous étions frappé, d'ailleurs, de voir la peau des régions carotidiennes soulevée par des battements artérie
peu sur le creux sous-claviculaire, en avant, le tiers externe de la région de l'omoplate, en arrière. L'insensibilité s'éten
, en effet, une située sous le sein gauche, une autre sur chacune des régions iliaques, une autre enfin sur le testicule droit.
omme chez notre malade, mais d'un choc violent portant sur cette même région , produit par la chute d'une poutre volumineuse et
e elle remonte encore moins haut. En arrière, elle dépasse à peine la région du coude, de telle sorte que la partie postérieur
ne de la 1. .V l'exception de la brancha communicante du 4e nerf. région métacarpienne. Voilà, certes, une disposition qui
ion concomitante des cornes postérieures de substance grise, dans les régions correspondantes de la moelle, pourrait sans doute
ion portant exclusivement sur l'une des cornes antérieures et sur une région très limitée de la partie la plus postérieure de
eu plus près l'hypothèse d'une lésion cérébrale en foyer. Dans quelle région des hémisphères cérébraux une lésion de ce genre
restée limitée exactement aux centres moteurs, sans empiéter sur les régions limitrophes du lobe pariétal, ces divers troubles
érogènes, l'une située sous le sein gauche, une autre sur chacune des régions iliaques, une autre enfin sur le testicule droit.
elle la pièce des armures du XVIe siècle, destinée à protéger cette région . Par en haut, la ligne qui limite l'anesthés„ie c
de 4 ou 5 travers de doigt, le long de la par- tie axillaire de la région thoracique. En arrière (A.'), elle prend une dire
e l'épaule et déterminé tout simplement en frappant brusquement cette région — bien entendu avec une force modérée, — à l'aide
ccrue, il s'est produit un retour de la sensibilité cutanée, dans une région très peu étendue, il est vrai, au niveau de l'épa
ouloureux qu'une pression même intense exercée profondément sur cette région . — La nuit, les individus atteints de coxalgie or
genou, cette douleur s'exagère quand on exerce une pression sur ces régions , quand on imprime des mouvements au membre, quand
rigoureuse du mot, hémianesthésique du côté gauche, à part certaines régions où. la peau est non-seulement sensible, mais enco
xemple, d'un foyer de myélite partielle siégeant vers le milieu de la région dorsale et intéressant plus ou moins profondément
En pareil cas, l'anesthésie des membres inférieurs s'étendrait sur la région inférieure de l'abdomen, et se délimiterait, on l
lésion organique en foyer siégant, par exemple, vers le milieu de la région dorsale et intéressant plus ou moins profondément
ine un léger sentiment d'engourdissement très passager et limité à la région contuse ; tandis que, suivant toute probabilité,
dans laquelle le centre de l'arc diastaltique est représenté par lies régions de l'écorce grise où s'opèrent physiologiquement
de ce genre, ces centres peuvent être mis enjeu, sans que les autres régions de Yorgane psychique en soientavertiesetappeléesà
ement de l'épaule et une vaste ecchymose qui s'étend sur l'épaule, la région sous-claviculaire et une partie de la face. Le me
droit; au bout d'une minute, la sensibilité était revenue dans cette région (sans transfert), une minute plus tard, la sensib
et pour le froid. Il existe un certain degré d'hyperesthésie dans la région dorso-lombaire ; mais pas de véritables points hy
sonnels. Cependant la malade se plaignait souvent de douleurs dans la région ovarienne droite. Le 9 avril à 10 h. 1/2 du soi
ou plutôt à une hystérie dont une des manifestations avait envahi la région laryngée et, en particulier, les muscles tenseurs
biles, ils pourraient réussir. Après avoir visité la Californie et la région méridionale de notre pays, la malade partit de no
gèncs au-dessous et en dehors du mamelon gau che, ainsi que dans la région ovarienne correspondante. Hémia-nesthésie complèt
e phénomène viendra s'y joindre, le malade ne percevra plus par celte région du cerveau, par le centre visuel commun les impre
76 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i semble qu'un arc de cercle se resserre douloureusement dans cette région . Par moments, cette douleur devient tout à fait
e juin suivant. Il se plaignait alors d'une douleur siégeant à la région frontale et grande, disait-il, comme .une pièce d
ADOLESCENTS. 7 conversation. La douleur est nettement limitée à la région frontale. Jamais elle ne s'élève au delà du fro
rontale. Jamais elle ne s'élève au delà du front, ou ne s'étend aux régions latérales ou postérieures de la tête. L'explorati
it. L'enfant se plaint d'une douleur, dont il fixe le siège dans la région frontale, et qui, dit-il, ne dépasse point la ra-
tend un peu vers le sommet de la tète, mais elle ne gagne jamais la région occipitale. L'enfant comp arc cette douleur à u
ellement et n'occupaient, même au plus fort des souffrances, que la région frontale. Il passa sa convalescence à Pau et pu
e même ^avec lui, durant un certain ,temps, et alors explorer les régions diverses de son intelligence, son- der.les dive
u moins .dans le. Midi et dans les; grande ? ,vilIésl' den, cette,¡, région .. Sansncontredit 1 : h9.oljs} ! leJt.Jbysté ! '
il I. La description , résumée du cerveau montre que, en maintes régions , on observe un état foetal ? ? II. Dans ce cas,
y W n y 1rf·,ior I .i3fl : 4· La'reproduction du mouvement dans les régions cutanéeslque Tnous'avons examinéés,;les conditi
ement 1 excitabilité de la substance grise. 1".Áprès'avÓir'eit'{]es régions dttesmotneesducerveau, il l'wiésthé'sic ''local
/'l'PJ[Tnl],"i r¡"f;nl"[1 IH rroij 1 Dans.deux cas, au milieu de la région dorsale et au cou, 1 auteur a observé sur,la li
ned;éclièc,'doit tn·faiteo3 fond ef`po;ôq fey';isenbil'Irjélu2 ' là région malade ? 18 ''l'WI' ™ 1 'l'ff;.>q ';<r>
volutions du cervelet, devenu jaune-blan- châtre. Induration de ces régions ; réduction des zones corticales atrophie de l'o
rieurs' de' la moitié ? droite''de la 1 protubérance ; il occupe la région correspondante de l'étage supérieur 'du pédoÍ1c
it au pédoncule 'cérébral : l'altération 'ne dépasse pas en haut la région des tuber- 'cules'quadrijumeaux inférieurs, mai
laire avoisinante, les1 pyramides' sont demeurées intactes. Dans'la région inférieure de la moelle allongée (entrecroi- .
! duo phénomène "du''genouJ de l'expârisiÓn : .Jd6fJa lésion» à la région lombaire ; il'admet qu'elle puisse être le premie
ne leslOn¡affectant les partlCs de l'encéphale supérieures' a cette région . Lette dérogation a la loi de Prévost et Lâûdouzy
hauteur de l'entrecroisement dans les cordons antéro-latéraux as la région dorsale inférieure et sur la limite,,des zones, l
ez quelques hystériques, il existe sur certains points du corps des régions (zones érogénes)' 1 qui ne sont pas sans analog
l'anatomie pathologique, permet de loca- liser cet endroit dans la région du cerveau moyen; il faut expli- quer ces paral
spontanés, un type particulier ; suivant ce type, telles ou telles régions sont plus ou moins réduites à néant. Aussi, est-i
'J *» 3 les lobes ironiaux; 1a- : zit : cz 2 si » z ' > * 5 la région de l'insula et son pourtour;- " ," -n 5 du sill
e dans les départements corticaux des artères cérébra- les (dans la région de la sylvienne principalement) ; l'hydrocépha-
uemment alliée à l'absence de la faculté du langage ; 6° quand l'es régions motrice ? de l'écorce sont atteintes, il existe t
face postérieure de la moelle dans les deux tiers inférieurs de la région dorsale. Atrophie des racines postérieures au m
aire des cordons postérieurs. très appréciable sur les coupes de la région dorsale de la moelle; teinte grise limitée aux
sale de la moelle; teinte grise limitée aux cordons de Goll dans la région cervicale; bulbe, protubérance et encéphale sai
nerfs périphériques paraissent sains Les racines postérieures de la région dorsale seules sont mani- festement altérées :
nnes. - L'examen a porté sur deux paires de racines provenant de la région dorsale supérieure et sur deux paires provenant
érieures sont loin d'être aussi altérées que leurs congénères de la région dorsale. La plupart de leurs fibres sont revêtu
te chute, il com- mença à ressentir des douleurs qui, partant de la région lom- baire de la colonne vertébrale, s'irradiai
es douleurs et ses abcès, que le malade devint bossu. Peu à peu, la région dorsale de la co- lonne vertébrale s'incurva de
malade se plaint d'une douleur contusive, profonde, qui part de la région lombaire, s'étend vers l'abdomen en longeant le
ment le soir et la nuit. Elle ne s'étend jamais à la verge. Sur les régions cutanées qu'elle occupe, la peau a ses caractèr
és. Le 16 juin, une troisième eschare est apparue au niveau de la région trochantérienne droite. Dans le point corresponda
urs. Le lendemain, une quatrième eschare apparaît au niveau de la région trochantérienne gauche. Le 19 juin, les eschare
i adhérences. La moelle elle-même a sa consistance normale dans les régions cervicale et lombaire ainsi que dans la moitié
ons cervicale et lombaire ainsi que dans la moitié supérieure de la région dorsale. La moitié inférieure de la région dors
moitié supérieure de la région dorsale. La moitié inférieure de la région dorsale, au contraire, est molle, diffluente, d
gmentée en blocs. 13° Les racines antérieures et postérieures de la région cer- vicale, étudiées par comparaison avec les
douleur. Nos jeunes malades ont été unanimes à la localiser dans la région frontale. Ils ne se sont jamais plaints de la p
jamais plaints de la partie occi- pitale de la tête et rarement des régions latérales. La plupart indiquaient une place net
la douleur à la pression sur le trajet des ra- meaux nerveux de la région ; nous n'avons donc point eu affaire à une névra
ctérisés. La localisation de la douleur limitée à une seule et même région , est aussi difficile à expliquer, dans un état
it mieux le fait important de la localisation de la douleur dans la région frontale. Nous savons, en effet, qu'il existe u
de la réflexion ? Il n'y a donc rien de bien étonnant à ce que les régions où siègent ces facultés puissent souffrir chez
à la tête une sensation de compression qui sié- geait surtout à la région occipitale et s'irradiait vers les tempes; ils
es deux périodes de la vie, les sensations se localisent dans des régions différentes, et combien elles revêtent un ca- r
volumineux. La tuméfaction du lobe droit est plus prononcée dans la région frontale. La ca-, vité arachnoïdienne ne contie
n- tant pas, cependant, de dissemblance, les autres parties de la région corticale, ainsi que les ganglions centraux, n'of
de consistance. Cet épaississement est étroitement localisé dans la région que nous avons décrite, avec un petit foyer de
ique en prenant pour type les grandes cellules pyramidales de cette région . Remarquons, cependant, que les cellules des au
dix-huit à trente-six micro-mil- limètres. Hémisphère gauche, même région ; corps, quarante à quarante-cinq; noyau, six à
moniliforme. Les vaisseaux isolés, pris dans d'autres parties de la région corticale, ne nous ont présenté que des altératio
oins prononcée dans ces dernières. Dans la partie horizontale de la région corticale, les cellules des couches superficiel
inant attentivement le rapport mutuel entre les vaisseaux de cette ^ région et les cellules nerveuses, on peut constater qu
i est constaté par AI. le professeur licl'7.rjews"i : Lésions de la région corticale dans la paralysie générale. (Archives
colorées dans les parties profondes. Sur la périphérie et dans les régions plus éloignées du siège de la tuméfaction, les co
relésé. Quoique nous n'ayons pas trouvé dans d'autres parties de la région corticale, d'altérations des cellules nerveuses
ifférents points avait seulement ses vaisseaux plus dilatés dans la région frontale du côté droit; ENCÉPHALITE PARENCHYMAT
et les cellules araignées. Il résulte de ces faits que, dans cette région seulement, on trouve les cellules dans un état
cune raison d'admettre qu'une cellule ner- veuse dite motrice de la région corticale, cellule qui ressemble morphologiquem
plètement, comme étude microscopique, des scléroses en foyers de la région corticale décrites dans ces derniers temps. Ain
ncéphale, 1883. N° 2, p. 155 à 177), décrit un cas de lésions de la région corticale du cerveau d'un aliéné. Ces lésions s
DE LA PLANCHE III Fig. 1. - Cellule pyramidale géante isolée de la région de la lésion. Tuméfaction du corps au début, sa
u noyau et du nucléole. (Verick. 317.) Fig. 2. Cellule de la même région , tuméfaction plus prononcée, in- le noyau et le
s grosses bronches et quelques râles fins au moment de la toux à la région moyenne et postérieure du poumon droit. - Un pe
mi-heure après le repas, il éprouve un sentiment de malaise dans la région épigastrique et la rumination commence. Les ali
ure ou une heure après le repas, une sensation de plénitude dans la région du cardia l'obligeait à faire une grande inspir
aux lésions frontales, la déchéance intellectuelle; à celles de la région ll1otrice,'l'épilepsie ainsi que les anomalies du
res qui suivent l'acte, on frotte toutes les cinq ou six heures une région du crâne déterminée par les 1 V. les Archives d
r- tout gênée alors par l'incoordination des mouvements ; mais la région déformée n'était affectée que de douleurs insigni
e plaint de douleurs ra- chidienncs vers la parlie supérieure de la région lombaire. Plaquesd'ancsthésie varibles.coll1ll1
tis en deux grands groupes phy- siologiques : 1° mouvements dans la région de l'orifice labio-mandibulaire, dont le premie
grand'mère et chez le frère, désignant ainsi la partie faible, la région cérébrale sur laquelle frappe d'abord la dé- ch
us la dépendance évidente de l'un des hémisphères; mais dans quelle région de l'hémisphère doit-on les localiser ? ` ? 3
auatomo- pathologique a pu être fourni; chaque fois, dis-je, les régions que la physiologie expérimentale avait dési- gn
les divers schémas fournis par les auteurs, on trouve toujours une région commune qui correspond justement au centre sens
es cas de Déjerine2, de Broadbent et le mien `, d'après lesquels la région du pli courbe est plus par- ticulièrement intér
f- fard', et de d'Heilly et Chantemesse 3, dans lesquels les deux régions sont atteintes. Deux fois, c'est une tumeur qui
t une décharge centrale, qui du même coup annihile la conscience ( région antérieure), et stimule au contraire les centre
ieure), et stimule au contraire les centres sensoriels de l'écorce ( région postérieure). Dans ces conditions, le patient s
issant d'une façon incons- ciente, poussé par les incitations de la région des centres sensoriels, à des actes, qui échapp
muscles du corps, elle est intacte ; les réflexes cutanés de cette région no sont pas exagérés, tandis qu'un coup sur les
minutieusement, il était possible de déterminer assez exactement la région occupée par ces corps. Ainsi, on n'en trou- vai
ne se trou- vaient que dans la substance blanche, y occupaient une région voisine de la partie postérieure de la limite e
ieure, en partie près de la scissure de Rolando, en partie, dans la région moyenne de la circoll- volution. Nous n'avons
rtion cervicale était complètement normal ; la névroglie dans cette région était de même intacte. Dans les régions thoraci
al ; la névroglie dans cette région était de même intacte. Dans les régions thoracique et lombaire, la substance grise de l
res ; le \entre, ballonné vers le haut, donne à la pression dans la région épigastrique un gargouillement comme celui d'une
nt comme celui d'une outre à moitié remplie de liquide. Toute cette région , depuis l'ombilic jusqu'à la région costale gau
remplie de liquide. Toute cette région, depuis l'ombilic jusqu'à la région costale gauche donne le même timbre de percus-
pondent au liquide évidemment accumulé dans l'estomac dilaté. Les régions inférieures de l'abdomen n'offrent aucune matité.
ssent la dilatation pupillaire sous l'influence de l'excitation des régions anesthésiques. Le fonctionnement de l'écorce du
ante en neurologie; dans les maladies de la moelle, la lésion d'une région limitée peut abolir la motilité, tandis que la
lcères variqueux ( pathogénie de- ), 101. Vertébrale (abcès de la région ), 103. Vésanie (quelques considérations sur l
. 133 PLANCHE Il ! Fig. 1. Cellule pyramidale géante isolée de la région do la lésion. Tuméfaction du corps au début, sa
noyau et du nucléole. (Vericlc. 3/7.) Fig. 2. Cellule de la même région , tuméfaction plus prononcée, in- téressant le n
77 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
ppe. Ces ligaments n'ont disparu en totalité ou en partie que dans la région cervicale, dans les premier, deuxième, troisième
remier, deuxième, troisième et huitième espaces intervertébraux de la région dorsale, où il y a fusion, au moins partielle, de
au cou. Le petit excès de hauteur de leur partie antérieure, dans la région dorsale, est au contraire plus marqué qu'à l'ordi
stait en une cyphose des vertèbres inférieures et en une scoliose des régions dorsale et lombaire. Les lombes formaient une gib
vertébrale d'un autre squelette rachitique du Muséum offre, comme la région dorsale de notre pièce, un amincissement latéral
On y voit une courbure unique, à convexité droite, étendue à toute la région dorsale. Cette courbure s'était développée à la s
isé de reconnaître que la plupart des ligaments intervertébraux de la région dorsale étaient moins élevés à la concavité de la
suivant le prolongement de l'extrémité supérieure de la courbure. La région lombaire est également à peu près rectiligne; c'e
e, t. I, p. 87?. PI, II. PLANCHE DEUXIÈME, ASPECTS DIVERS DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC DANS LES FLEXIONS LATÉRALES
affaissée à gauche, en sens contraire des autres vertèbres de la même région , par suite de l'angle que la colonne lombaire for
, et la - : deuxième courbure, quoique prédominante, est rejetée à la région dorsale inférieure. Les deux courbures accessoire
ème dorsale. Une petite courbure en retour ramène incomplètement la région cervicale dans sa situation naturelle, et une lor
es est affaissé à gauche. Une double gibbosité costale se voit à la région postérieure du tronc. La supérieure, formée par l
é dans sa moitié gauche, du côté qui correspond à l'inclinaison de la région lombaire. PLANCHE CINQUIEME. Fig 1 — Courbure
es dorsales, a, en avant et en arrière, 6 millimètres de flèche. La région lombaire est déplacée à droite et inclinée comme
s, quoique très manifestes en avant, se voient à peine en arrière. La région lombaire de la figure 3 présente même une singula
par conséquent dirigée en sens inverse de la courbure réelle de cette région . Une large ouverture de la paroi antérieure du
il ne reste que 2 millimètres d'intervalle entre cette vertèbre et la région colyloïdienne gauche. Il semble que ce soit cet
des vertèbres lombaires. Veine azygos également recourbée comme la région dorsale du rachis. Veine cave inférieure dirigé
eu de la concavité dorsale, répondant à la neuvième vertèbre de cette région . Les déformations des vertèbres sont considérab
refoulée dans le petit bassin. L'estomac descendait au-dessous de la région ombilicale. Le foie avait peu de volume; il était
page 615. PI.XVIU Pl.XIX PLANCHE DIX-NEUVIEME. Fig. \ et 2. — Région postérieure do tronc de M1Ie V..., d'après les bu
ésion du tissu osseux. La figure 1 montre quel était l'aspect de la région dorsale en 1832. Il existait une courbure dorsale
e la même manière dans des circonstances semblables. Fig. 3 et 4. — Région postérieure du tronc de Mlle X..., avant et après
manent des courbures. Pl. XX. PLANCHE VINGTIEME. Fig. 1 et 2. — Région postérieure nu tronc de Mlle Y..., avant et après
bure dorsale principale, à convexité droite, occupant spécialement la région dorsale moyenne. Le point le plus dévié était à 2
sonne approchait du terme de sa croissance naturelle. Fig. 3 et k — Région postérieure du tronc de MUe Z..., avant et après
dos était un peu plus forte. Du reste, même inclinaison à droite delà région dorso-lombairc ; même situation des épaules ; mêm
78 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ofesseur honoraire de la Faculté de médecine de Bordeaux. Dans la région antérieure ou frontale du cerveau, les irradiat
tions capsulaires se comportent d'une façon tout autre que dans les régions moyenne et postérieure. D'après l'opinion génér
en harmonie avec les faits. Ceci est particulièrement vrai pour la région antérieure ou frontale, j'entends pour le bloc
ant le tractus, il importe d'abord d'éta- blir la topographie de la région à laquelle ce tractus appartient. I. Topogr
ale et la partie antérieure de l'insula de Reil, en dehors. Cette région appartient aux trois premières zones mésolobair
e 10 millimètres; la deuxième, 30; la troisième, 10. Ace niveau, la région se modifie. Dans les deux zones précédentes, la
ion, la direction et l'épaisseur des expansions capsulaires dans la région frontale. Ce fait anatomique impose aux anatomo
iennent, dans les observations relatives aux lésions situées sur la région que nous venons de décrire : l' Les faisceaux
ectes, suivant que leur développement s'effectue, d'emblée, dans la région même dont il s'agit, oubien par propagation d'u
e dont il s'agit, oubien par propagation d'une destruction dont les régions avoisinantes sont atteintes. Dans l'un comme
des idées de suicide. Le 31 juil- let, après s'être frappé dans la région du coeur, avec un couteau heureusement trop cou
u bras droit sont le siège d'une hyperesthésie notable et, dans ces régions , le moindre frôlement de la peau devient douloure
. Dans l'olive, le diamètre des cellules varie moins que dans les régions précédentes, mais est plus petit; elles sont sphé
roupes cellulaires sont plus abondants à la partie inférieure de la région dorsale; ces colonnes vésiculaires disparaissen
de la région dorsale; ces colonnes vésiculaires disparaissent à la région cervicale, c'est à peine si par - ci par-là une
les qui nous occupent, Ai. Monakow s'est proposé d'éli- miner de la région les tractus issus de la moelle. Il a pratiqué c
gine de l'olfactif, la partie antérieure de la couche optique et sa région moyenne, la partie inféro-antérieuredu noyau caud
tanées d'atropine (4 Il cas) et de séances de galvanisation (+ à la région lombaire, - au scrotum). P. K. XVI. Absence a
face et aphasie. 4" Abcès du cerveau d'origine traumatique dans la région parié- tale gauche (moitié supérieure des circo
u avec les pieds, l'opérateur applique l'autre pôle en une série de régions du corps. On commence par la région dorsale, en
e l'autre pôle en une série de régions du corps. On commence par la région dorsale, en visitant la colonne vertébrale, et
quelques contractions dans chaque muscle. On agira de même pour la région lombaire. L'électrisation du thorax réside uniq
s passagers de l'électrode mobile; puis on fait des stations sur la région épigastrique (plexus solaire), sur les régions ga
t des stations sur la région épigastrique (plexus solaire), sur les régions gastri- que, splénique, hépatique, hypogastriqu
du doigt. En un mot, l'électrisation n'est que médiate. Les autres régions du cou et le cuir chevelu ne subiront l'action
antérieur avec les cieux tiers postérieurs des.hémisphères en cette région , est représenté, non plus par une fente, mais p
a toujours aies éliminer et à se rendre compte de la complexité des régions en chaque cas particulier. D. Lobe occipital
Aussi, les uns, refusant aux circonvolutions de cette partie de la région le nom de circonvolutions occipitales, les rega
l'appelle sillon simien parce qu'elle caractérise, selon lui, cette région cheziesinge ; on ne confondra pas ce sil- lon s
, elles sont postérieures à l'insula et montent, en effet, dans les régions pariétales. Heschl prétend que la circonvolu- t
prévoir, l'hyperplasie de la névroglie est surtout marquée dans les régions où ce tissu est particulièrement abondant à l'éta
que des coupes prises dans- ces- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 209 régions aient subi l'action de l'alcool pendant exactemen
arence d'atrophie est due surtout à la compression. Au-dessus de la région comprimée, on trouve un sac volumineux, dont les
Jri degré moinslmarquc. L'atrophien était surtout ! accusée dansles, régions quitviennent d'être indiquées.3 Il y,r;avâitude
'atrophtes pecondaires perpt;er]ques survenues, après'l'ablation de région iimitéesde i'écorce deriventhion de ces L régio
près'l'ablation de région iimitéesde i'écorce deriventhion de ces L régions co'rtiM ! es'et"'non' 'd'en'drbtts éloiués "111'\
\lendel, après avoir pratiqué des coupes de toutc na- ture dans les régions en question, de l'homme, du singe et du chien,
d'un côté, et du genou opposé; pied-but, varus-éduin à droite. Les régions paralysées et attopltiées étaient simultanément
c'est à peine si leur pincement provoque quelques mouvements : les régions céphaliques ne présentent aucune espèce de phéno-
j'ceu gauche, les formications de la main et les sensations de la région auriculaire du même côté, ainsi que les perceptio
r des ouvertures à fortes grilles, généralement pratiquées dans les régions supérieure;. Elles possèdent des lieux d'aisances
cès. C'est le pouce qui se fléchit le pre- mier ; les muscles de la région antérieure se contractent et sont pris de batte
e, assez régulier, symétrique, d'aspect arrondi plutôt qu'ovale. La région occipitale, les bosses pariétales et les apophyse
st pas dans la flexion, il est aussi très dur, et les muscles de la région antérieure paraissent durs comme du bois; ceux
s de la région antérieure paraissent durs comme du bois; ceux de la région postérieure ne sont pas modifiés. La main n'est
pendant de la deuxième fron- tale interne, vont de l'avant-coin aux régions inféro-postérieures de l'hémisphère. Synonymi
ntatus ou fascia dentata (Tarin), qu'on représente parfois en cette région comme une circonvolution morphologiquement dist
bique (Broca), qui se décompose eu : Sulcus ccclloso-naarginalis ( région du lobe frontal) ; sulcus sub- parielalis (régi
loso-naarginalis (région du lobe frontal) ; sulcus sub- parielalis ( région de l'avant-coin); Sillon occipito-temporal in-
le lobe frontal, les circonvolutions sont très peu développées, la région operculaire entre en communication directe avec
raux qui doivent être notés. Les particularités variables selon les régions (moelle épinière, écorce du cervelet, écorce du
dent au sens musculaire et aux sensations douloureuses occupent une région qui surmonte le début de la scissure de Sylvius
conséquent, ces fibres de projection prennent leur origine dans la région occipitale, nommée par Munk, sphère visuelle 2.
du globe oculaire, de la paupière supérieure, du dos du nez, de la région parotidienne; le goût a disparu dans les deux t
la section du trijumeau, et dans l'existence de l'ophlhalmie en une région où la sensibilité était intacte. Absence d'autops
es et luxations de la colonne vertébrale, à diverses hauteurs de la région lombaire, et au niveau du tiers inférieur de la r
ès les réflexions terminales de l'auteur, les cordons de Goil, a la région cervicale, se composeraient essentiellement de
avancé surtout dans les renflements de la moelle et notamment à la région lombaire (prolifération très accusée de cellules
lité précoce. 11 termine par le tableau des dimensions des diverses régions de la moelle et des différents cordons dans les
doigts, sur les mêmes zones que la paralysie. La douleur est en ces régions , au moins par places irrégulières, très lenteme
e allongée, mais venant occu- per la gauche, du bulbe et envahir la région des noyaux gris. Hyper- plasie des cellules de
e de l'écorce du lobule paracen- tral et des deux ascendants est la région où ces fibres se constatent d'abord (avant même
fficace. P. K. XLI. Apoplexie DULü.111tE résultant DE coups dans la région DE la NuQuL,, par R. ScuoLZ. (Neurol. Centrccl6
éiiaies.Lanévrogtie est le siège d'une tuméfaction trouble dans les régions que nous venons d'envisager, mais sans altérati
GER. (Neurol. Centlul6l. 1883.) A la suite d'une blessure dans la région de la joue, ayant ouvert l'artère sous-orbitair
e par places et opaque. L'atrophie est surtout appréciable dans les régions fron- tale et pariétale. Au toucher l'hémisphèr
bord, à la suite d'une inflammation chronique des méninges ou de la région corticale, il se produit une atrophie unilatéra
nje, qui est large à l'étal normal, se trouve réduite dans toute la région atrophiée, à une étroite bande de cellules. Mai
a façon dont les feuillets ont, pour ainsi dire, fusionné, dans les régions malades, par une sorte d'union des couches adja
peut simultanément observer des foyers morbides récents dans les régions du corps les plus diverses. Chez le patient actue
e s'entre-croiserait pas, on peut au reste la suivre jusque dans la région de l'extrémité anté- rieure du vermis. Cette ra
ique avec oedème modéré du cer- veau ; les méninges molles, dans la région cérébelleuse, sontaussi minces qu'n l'état norm
ge de l'intelligence. Hitzig a donc repris ses recherches sur cette région ; il n'entend communiquer ici qu'avec une certai
es de l'or- gane '. M. Hitzig adopterait la même opinion pour cette région que lorsqu'on a affaire à de grandes destructio
, déchirera nécessairement quantité de connexions entre chacune des régions encéphaliques, et produira par conséquent des s
gers qui se manifestent lorsqu'un agit profondément sur di- - erses régions de l'hémisphère. Mais Hitzig combat de front les
r l'alexie et qu'elle n'a pas déterminé de destruction complète des régions en question. Aussi, la dyslexie s'améliore-t-el
Sur la muqueuse olfactive de l'homme. );xiste-t-il, ou non, dans la région olfactive de l'homme un épithélium aciIsvibrati
t dépourvus de ces éléments. L'homme posséderait donc dans toute sa région olfactive un épithélium à cils vibratiles. La bas
sous de l'oei), qui persiste juqu'à la mort. Douleurs vives dans la région hypogastrique, irradiant vers l'extrémité supér
érieurs, a subi la dégénérescence dans son entier, elles gagnent la région dorsale (moins les fibres limitrophes externes
38. Bromure, 99. Bulbau'e (apoplexie résultant de coups dans la région de la nu- que, 339. Centres nerveux (influenc
79 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
eurdirection, les faisceaux de cet éventail paraissent destinés aux régions sus-jacentes de la partie correspondante de l'i
e coupe. Cette coupe doit passer par la partie la plus élevée de la région ganglio-insulaire, c'est-à-dire par le bord ext
n du volume de la masse ganglionaire elle- même. Par conséquent, la région où il est le plus étendu correspond au sommet d
rs postérieurs du lobule paracentral. Incontestablement, dans cette région le centre ovale de Vieussens comprend des fibre
ientôt. Mais la capsule fournit encore d'autres fibres dans cette région , fibres invisibles dans les coupes fron- tales,
nt de l'écartement considé- rable qui existe normalement dans cette région entre les deux noyaux lenticulaire et nucléaire
um lucidum (Pl. XVI, t. I), qui lui est continu en haut. Dans cette région , la capsule externe constitue aux deux noyaux u
ls existent partout, possèdent une intensité variable suivant les régions . 41 le PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. C'est ainsi
n même coup partout à la ibis, au moyen d'une pression légère de la région ovarienne droite, sans pour cela amener la cess
ment avec les malades ou chez une même malade, suivant les diverses régions de la moelle, mais aussi chez une même malade d
qui peuvent satis- faire à ces conditions, le nerf cubital dans la région du coude, est certainement un des plus favorabl
r. Le nerf radial innerve sans exception tous les mus- cles de la région externe et de la région postérieure de l'avant-
rve sans exception tous les mus- cles de la région externe et de la région postérieure de l'avant-bras. Ce sont les muscle
il est fréquent d'ob- server des accidents semblables dans d'autres régions . Il semble que certains ataxiques soient spécia
e. Or, la sclérose spinale peut être tout à fait récente dans les régions supérieures de la moelle, alors qu'elle était d
eures de la moelle, alors qu'elle était déjà très ancienne- dans la région dorso-lombaire '. » Aucun exemple n'est mieux f
nous percevons au niveau du deltoïde une fluctuation manifeste ; la région de l'épaule est tuméfiée, la peau en est blanch
tion, il gagna la paroi thoracique et l'anatomie chirurgicale de la région fait parfaitement comprendre comment les choses
ce qui n'a pas lieu; d'emblée, la tuméfaction est éten- due à la région . Il faut donc admettre que la rupture ÉTUDE SUR
un malade de discerner laquelle des électrodes, appliquées sur une région du corps anesthésique, estlanégati-ve. Cependan
injections sous-cutanées ont aussi rétabli la sensibilité dans des régions anesthésiées. Des applications de sinapismes, d
que l'on peut dire. Ainsi on fait une application métallique sur la région cervicale d'une malade affectée d'anesthésie to
ue, comme si elle s'était propagée également dans l'épaisseur de la région , on constate le commencement de la disparition
ion d'un sinapisme ramène, le plus souvent, la sensibilité dans une région affectée d'anesthésie hystérique. Des vésicat
sin et Mendelssohn, d'un homme atteint d'une large dénudation de la région pariétale. Ces expériences ont démon- tré, conf
anifestations bien connues, tandis que la substance grise des mêmes régions était incapable de réaction. P. K. VI. Les ma
s zones signalées par Betz. On peut en trouver des groupes dans les régions postérieures et même vers la base. Il en a trou
s amis m'apprit que dans le Maine du Nord et en particulier dans la région de Moosehead Lakc, il avait une certaine classe
(Morphologie ET embryologie) ; Par MATIIIAs DUVAL. De toutes les régions de l'écorce cérébrale, il en est peu qui, par l
tion, méritent autant de fixer l'at- tention des anatomistes que la région de l'hippocampe, c'est-à-dire de l'ensemble for
res consacrés à l'étude des circonvo- lutions, on décrit bien, à la région inféro-interne du lobe temporal, une circonvolu
la saillie de la corne d'Ammon elle-même, et ne font commencer la région de la surface cérébrale qu'au delà (en dedans,
bordant appartient à la surface de l'hémisphère, fait partie de la région corticale ; tel est le cas de la plus grande pa
eau de l'hémisphère est mince (hémisphères foetaux, 166 ANATOMIE. région occipitale et ergot de Morand chez l'adulte), se
ui sépare ces deux circonvolutions diffère des autres sillons de la région corticale par sa profondeur, par un léger enrou
le siège paraît indiqué d'avance par la topographie nerveuse de la région , il faut encore compter avec les variations ind
r ; les fléchisseurs communs ; le fléchisseur propre du pouce. A la région externe : le long supinateur ; les radiaux exte
ux externes. ETUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 179 A la région pos- térieure : l'exten- seur commun; l'ext
toujours sur un plus ou moins grand nombre de muscles voisins de la région excitée, et parfois sur quelques muscles éloign
rs. , . , . Le PEAUSSIER, dont les fibres se terminent dans cette région , est également très facilement excitable. Le pe
ais, avec ceci de particulier qu'elle n'est point sortie de la même région et qu'elle s'est exactement locali- sée au même
elâchement musculaire. , La pression sur la masse des muscles de la région postérieure de l'avant-bras amène l'extension d
xcitation mécanique portée au nerf cubital du i membre anémié, à la région , du. coude. Nulle modifica- tion de l'état'des'
s la diminution de volume est très accentuée pour les muscles de la région postérieure. Cette lésion' correspond à la chut
de faiblesse des muscles de l'avant-brâs, surtout des muscles de la région posté- L , ? a -* 1 238 RECUEIL DE FAITS. r
enues dans le tronc nerveux (Eulenburg) ; trouble vaso-moteur de la région (Stilline) ; lésion du ganglion sphéno- palatin
de temps assez long par l'hyperexcitabilité de l'appareil central ( région lom- baire de la moelle). La névralgie utérine
plus violentes douleurs (période menstruelle), il faitpasser de la région lom- baire au pubis le circuit de 15 à 20, puis
e (ligne médiane) 244 REVUE .DE PATHOLOGIE, NERVEUSE, étales deux régions ! inguinales;, on, pratique à ces diverses phas
phie avec induration calleuse ou cartilagineuse de l'ensemble de la région ; dans les quatorze autres cas, il s'agissait d
our la moitié opposée du corps, il admet que toute maladie de cette région engendrera des excitations cen- trales incessan
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' sens, goût, odorat, ouïe, vue en des régions assez circonvoisines/ militent également en,,fa
ndéniable. Dans certaines cas, un simple trouble fonctionnel de'ces régions (Erb.)'orrait engendrer les mêmes, effets 'et e
ion 'collatérale suffisante aurait ' bientôt suppléé à l'anémie des régions citées. P. K. X. DE l'augmentation DE la fibrin
ssez consi- dérable de petites tumeurs analogues siégeaient dans la région dorsale du rachis, et comprimaient plus ou moin
e paire ; on sait que les excitations portées directement sur cette région donnent lieu à des phénomènes analogues de vert
. W.m... ,\ ? . XXII. Mort subite par rupture d'un^vaisseau dans la région cervicale DE la moelle; par Fred. PAYE.'(Tlae'L
pliquer la mort : -Dans. la, moelle,' à la ►partie inférieure de la région cervicale, ion t trouve, une infiltration (cons
siégeant en ce point détermine l'aphasie tandis qu'une lésion de la région .correspondante à droite ne s'ac- conipagne d'a
la troisième circonvolution frontale, sans s'assurer de Fêtât de la région voisine et en particulier de l'insula. . ? , 9
ons car- diâqües, les crises émotives; l'érythème persistant' de la région cer- ' vicale, la' fréquence de la miction, les
taient accusés. 11 faut donc admettre que : la, destruction' de1 la région cérébrale connue comme la première circonvoluti
s'imposer qu'elles excitent le ' centre modérateur contenu dans la région de Hitzig. » - .r i-/5 < ' t 1 . ' . ' ' ' 1
ogie de la), 244 ; (Mort subite ' rupture d'un vaisseau ' dans la région cervicale de la), par Paye, 260. '1', 1 Mort
Paye, 260. '1', 1 Mort subite (par rupture d'un vaisseau dans la région cervicale . de la moelle),, 260. -11" 1 Mouve
80 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
gré de pla- giocéphalie (aplatissement du frontal à gauche et de la région occipito-pariétale à droite). Son épaisseur est
- Il est très asymétrique ; le frontal gauche est très déprimé; la région , occipito-pariétale l'est encore davantage. Pla
ce sens que la moitié gauche du frontal est déprimée, tandis que la région pariéto-occipitale droite est aplatie ; son épa
droite de l'occipital. Transparence, encore .très, marquée dans la région de la fontanelle, antérieure, le long des sutur
médiane du front sur une sur- face d'environ 2 cm. q. A gauche, les régions pariétales pos- térieure et occipitale supérieu
4 min. d'épais- seur, transparent en grande partie au niveau de la région moyenne du frontal, du bregma, sur les parties
frontal, du bregma, sur les parties inférieures des pariétaux et'la région supérieure de l'occipital : Lasuture métopique
ent asymétrique ; le côté gauche est plus développé au niveau de la région occipitale que le côté droit; la protubérance o
occipital est parti- culièrement mince et présente latéralement des régions trans- parentes. Des plaques translucides exist
s existent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la région postérieure (1) Voir son observation complète d
aux. Le frontal, un peu plus épais que les pariétaux, présente à sa région moyenne une bande transparente. Les sutures fin
e partie ayant 32 millimètres de longueur reste non ossifiée à la région frontale. Une autre partie, longue de 20 millimèt
longue de 20 millimètres, complètement réparée, lui succède. Cette région croise la suture fronto-pariétale. Son mode de
nes dentelures, analogues à celles de la suture qu'elle croise. Une région de 16 millimètres, non répa- rée, lui fait suit
répa- rée, lui fait suite et a des bords assez réguliers ; cette région a 3 millimètres it sa partie la plus large, 18 mi
s bas. Poils roux, abondants au pénil, empiétant légèrement sur les régions inguinales. Poils à l'anus. Mensurations cle
ouleurs dans les jambes persistent. Six ventouses scarifiées sur la région lombaire; eau de vie allemande (15 gr.) ; régim
ce interne. Coloration chair de saumon très prononcée sur les mêmes régions qu'à gauche. Corne d'Ammon, ventricule latéra
es minutes. Etat actuel (l"r a vriI18K6.) - Tête petite, cnmerond ; région occipitale un peu aplatie à gauche; bosse occip
Crâne ovoïde, légère asymétrie consistant en un aplatissement de la région pariétale droite. Face ovalaire très nettement
; les bosses sont peu saillantes et mousses : aplat tissement de la région occipitale. - Front moyen, assez large, sans pr
frontales forment une saillie très nette, plus accusée à gauche. La région occipitale, au lieu d'être arron- die, est apla
, au lieu d'être arron- die, est aplatie. La moitié gauche de cette région est nota- blement déprimée par rapport à la dro
le reste du cerveau et offrent des plaques laiteuses au niveau des régions sylviennes. 198 Hydrocéphalie : ectopie rectale
corps calleux et de sa circonvolution renden la distinction de ses régions impos- sible, jusqu'au niveau du coin, un peu a
ce long de 2 centimètres. Bourses lâches. Cryptor- chidie complète. Région anale normale. La sensibilité à la figure peu v
ux. Sur la coupe de la calotte, on est frappé de la minceur de la région postérieure comparée à l'épaisseur de la région
de la minceur de la région postérieure comparée à l'épaisseur de la région antérieure ; tous les os sont formés d'un tissu
on antérieure ; tous les os sont formés d'un tissu spongoïde. Les régions médio-frontales et temporales sont les plus épais
ère a environ 5 mm. d'épaisseur, les secondes 8 nim. A partir de la région temporale, les os vont progressivement 1t en di
nets à gauche qu'à droite. ' '> - 218 Hydrocéphalie : cerveau. région temporale et occipitale, formée d'une paroi de su
nt, à ce niveau, la cavité ventricu- laire sur Il cm. environ. La région sphéno-lcmporale est plus épaisse et offre vague-
et hémis- phère nous pcnnet de jugeI' de l'intégrité relative de la région frontale et de la distension complète des deux
. - Tête volumineuse. Crâne asy- métrique ; saillie prononcée de la région occipitale avec dépl'ell- sion au-dessus parais
ite. Bosses frontales sensiblement égales ; front haut et droit. La région temporale droite est plus apla- tie que la gauc
large, dépression marquée au niveau de la racine. Odorat normal. La région malaire gauche est plus proéminente que la droi
poils longs et nombreux. On constate un duvet assez .épais dans la région dorsale et sur les mem- bres inférieurs. Les
rtes' pour amener l'arrachement de la substance grise de toute la région ; lors de la décortication, aucune lésion apparent
pas dans les aines, disséminés sur les bourses, le périnée et la région anale. Verge, longueur : 9 centimètres ; circonfé
et une dépression sépare les deux bosses pariétales donnant à cette région une sorte d'aspect natiforme. Les sutures coron
ès volumineuse, plagio céphalie, le côté droit est plus aplati à la région occipitale que le gauche et la bosse pariétale
mineuse ; asymétri- que. - Crâne arrondi, légèrement aplati dans la région pariétale droite.. Les bosses pariétales sont p
très aplati latéralement, très saillant en avant et en arrière. Les régions pariétales offrent des méplats, tandis que la t
qu'il y ait cependant exagération de la saillie des bosses de ces régions . Les cheveux châtains clairs, abondants, bien i
nnaire du thorax : 50 centimè- tres. Abdomen saillant, surtout à la région épigastrique. La cicatrice ombilicale fait sail
29 décembre. Mort. 298 I-IAfi-HYDRO-SCAPHOCFPHALIE. mince dans la région pariétale postérieure et occipitale, il est épa
stérieure et occipitale, il est épais, spongoïde et opaque vers les régions temporales et frontales. Observation; antécéd
e crâne, en un mot, déprimé sur les côtés, fortement proéminent aux régions frontales et occipita- les, offre un exemple ty
cules petits, difficiles à trou- ver, delà grosseur d'une noisette. Région anale et membres glabres. : . 1892. Mai. Nouv
paissie et présente un aspect laiteux. On constate, au niveau de la région fronto-pariétale gauche, une ecchymose légère s
gère siégeant dans l'épaisseur de la pie-mère et correspondant à la région con- tusionnée. - La pie-mère est mince et s'en
ent au niveau de la partie postérieure du vermis inférieur, dans la région qui sépare les deux hémisphères cérébelleux. Ce
latissement porte plus sur la partie antérieure du crâne que sur la région bi-pariétale. La comparaison des autres mensura
vité droite ou gauche, et portant aussi bien, selon les cas, sur la région lom- baire que sur la région dorsale. Les autre
tant aussi bien, selon les cas, sur la région lom- baire que sur la région dorsale. Les autres présentent simplement le ch
s fois par mois. Elle se plaint alors de dou- leurs sourdes dans la région occipitale qui lui donnent des nausées suivies,
assez maladive et très myope, a de petits ganglions engorgés à la région cervicale postérieure. Elle se plaint actuellemen
ux de la grosseur d'un oeuf de pigeon. Phimosis, gland découvrable. Région anale normale, garnie de poils assez rares. 1
f. : 76 mm. Tes- ticules égaux, du volume d'un petit oeuf de poule. Région anale garnie de poils abondants. Les notes de l
93 mm. Testicules égaux de la grosseur d'un petit oeuf de poule. Région anale normale, garnie de poils abondants. l'oils
t sous-arachnoïdien ; trois ponctions furent faites au niveau de la région lombaire et on retira cle 2 10 c. c. de liquide
s. La mère a remarqué que la calotte de Vigo irritait légèrement la région occipitale. Traitement : Un bain salé tous les
81 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
pe dans la plupart des endroits du gouvernement cantonal de cette région . J'en vois aussi la réalisation plus lointaine
royal de Dusseldorf. Le Conseil royal et le Conseil scolaire de la région doivent en conserver copie pour en prendre conn
Aux conseils supérieurs royaux et au conseil scolaire royal de la région , en ville. Il existe dans cette région en diffé
nseil scolaire royal de la région, en ville. Il existe dans cette région en différents endroits, il. côté des écoles pub
royal de Dusseldorf. Le Conseil royal et le Conseil scolaire de la région ! 'L1V Assistance ET éducation des idiots. do
yal d'Erfurt. D'après le rapport fait par le Conseil royal de votre région CLVI Assistance ET éducation des IDIOTS. le 1
symétrique, localisé à la partie la plus reculée des joues et à la région parotidienne. Pas de gonflement ni de rougeur d
, semblant même envahir le cuir chevelu.. Gonflement peu marqué des régions parotidiennes. Légère rougeur de la voûte palat
ent de la face très marqué, surtout du côté gauche, au niveau de la région parotidienne et de la paupière inférieure. En c
gonflement a beaucoup augmenté, est devenu oedémateux, a envahi la région parotidienne, la lèvre supérieure, et s'arrête
cou, et ^'accompagnant de rou- geur de la face et de gonflement des régions parotidiennes. Le décollement des ongles s'est
e persistante. OEdème prédo- minant iL gauche, localisé surtout aux régions parotidiennes, aux paupières, sans empêcher tou
26 avril. - L'oedème de la face a augmenté, marqué sur- tout aux régions parotidiennes et aux lèvres ; le malade ne peut
r intense, surtout au voisinage du nez ; gonflement prédominant aux régions parotidiehnes des deux côtés. Rougeur des mains
ugeur de la face; léger gonflement des paupières inférieures et des régions parotidiennes. Rien au pharynx ni aux mains.
de la face : au-dessous des paupières inférieures, au niveau des régions parotidiennes. Lorsqu'il est très intense, il e
nvahit d'emblée toute la face, mais reste cependant plus accusé aux régions précitées. Il occupe de même le dos de la main
ntes et suintantes, non plus que du gonflement localisé à certaines régions de la face et aux mains. Les érythèmes ont ét
essai théra- peutique sérieux. . La plante a été récoltée dans la région de Paris au cours de l'été de 1897. Elle a été
habite Paris. Le premier janvier 1899, le malade' ressentit dans la région de l'épaule droite une douleur vive qui s'exagé
isselle et sur la partie antérieure delà poitrine', au niveau de la région mame- lonnaire. Les mouvements du bras étaient
la douleur, on fit des frictions avec un lini- ment calmant sur les régions douloureuses où, assure-t-on, il n'y avait alor
nsions varia-- bles. Elles cessent au voisinage du coude. Dans la région do l'omoplate, il y a une série de surfaces Fig
, soit sur les points d'émergence des nerfs intercostaux de cette région . - La sensibilité il la piqûre est très atténué
ais- selle, qui abandonne en outre un petit filet à la peau de la région mammaire et vient ensuite se distribuer à la pe
cli- toris. Orifice hyménéal circulaire. La membrane est intacte. Région anale normale. Pas d'onanisme. Nous avons dit q
ouffi ; la musculature est ferme. Le thorax est un peu aplati, la région pectorale peu développée, le dos un peu rond, la
upérieure de la fesse gauche. Puberté : fin duvet de' la nuque à la région lombaire, sur la face postérieure des bras et d
toujours très tremblée. Puberté : Poils courts et abondants il la région pubienne commençant à envahir la ligne blanche
s cuisses. Poils longs et frisés aux aisselles. Quelques poils à la région lombaire. Gland dillicile it découvrir; longueur
es côtés jusqu'à la racine des cheveux. Poils assez abondants iL la région ster- nalc ; poils très longs et frisés aux ais
nalc ; poils très longs et frisés aux aisselles. Les poils de la région pubienne envahissent la tigneblanehe sous-ombilic
le droit. La poitrine est abondamment garnie de' poils ainsi que la région pubienne, les aines et la face antérieure des c
nd jusqu'à la fourchette sternale. l'oils longs et abon- dants à la région lombaire, au périnée, autour de l'anus. Duvet t
vrable et les poils plus longs et plus abondants dans toutes les régions qui en étaient garnies. En mars, il passe, comm
mois de janvier, fait constater l'existence de poils nombreux à la région pubienne et sternale, aux mamelons et d'une tou
ent. L'examen de la puberté est fait en mai 1895. Les poils de la région thoraoique sont abondants et longs. Très nombreux
la région thoraoique sont abondants et longs. Très nombreux à la région pubienne, ils s'étendent un peu sur l'abdomen et
e, hymen intact, fosse iiavieulaire profonde, fourchette saillante, région anale normale. W... prend des panades qu'on l
énote de la submatité et une résistance spéciale au doigt da os les régions sous-claviculai- res. A l'auscultation, qui est
nt augmentés de volume, isolés (polymicro-aclénie) ; éry- thème des régions fessières et inter-fessières. La conjonctive dr
ie sans cesse. Même traitement général, vase- line boriquée sur les régions qui desquament, lavage des yeux à l'eau boriqué
ôté opposé. Lorsque la pie-mère et les vaisseaux sont enlevés les régions lésées se présentent avec une coloration jaune-
Phi- mosis ; méat régulier. Les muscles, examinés dans plusieurs régions sont pâles et comme lavés. Tableau du Poids e
. à droite et à gauche. Le thorax, bien développé, présente dans la région postéro- inférieure gauche, au niveau de l'extr
, normalement musclés, leur attitude est régulière. Au niveau de la région deltoïdienne droite, on note une cicatrice de v
une cicatrice arrondie, sans caractères, à la portion moyenne de la région antéro-externe de la jambe droite : une autre c
l'hydrocé- phalie, mais avec un développement prédominant dans la région pariéto-occipitalc. Les fontanelles paraissent cl
e toujours chez les hydrocé- phales, parait fort peu développée. La région orbitaire est enfoncée entre la saillie du fron
n de la jambe impossible à cause de la rétraction des muscles de la région postérieure de la cuisse. Contracture du psoas-
ncé à son extrémité inférieure. Légère scoliose à concavité dans la région dorsale. Eruption maculo-papuleuse, sur le dos
pes, sensible- ment symétrique ; front étroit comparativement il la région occipitale, très élevé (0 ? 07 d'une bosse fron
e antérieure. Pas d'indices des sutures. Veinosités nombreuses à la région temporale légèrement bombée des deux côtés. L'a
quelle cause la maladie. État actuel. - La tête est volumineuse, la région occipitale est peu saillante, si peu saillante
aillante que lo plan du cou semble se continuer directement avec la région occipitale. Le front est peu élevé, déprimé sur
très forte, avec altération des traits et une douleur vive, dans la région frontale. 1883. 29 janvier. - Un accès le 5 jan
u abondants au niveau des favoris, plus abondants au menton et à la région maxillaire. - Poitrine et abdomen glabres. - Qu
ombilic, envahissant la face interne des cuisses, s'étendant sur la région périnéale jusqu'à l'anus. - Verge : longueur, 1
us pe- tites au niveau du sourcil droit; une de chaque côté àt la région malaire. - Le lobule du nez est coupe par une cic
82 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
S DU SYSTÈME NERVEUX. 5 d'une myélite transverse syphilitique de la région dorsale supérieure ; cette lésion, qui avait pa
upière de l'oeil droit tomba, en même temps que survenaient dans la région hypogastrique et dans les membres inférieurs de
souffre beaucoup de la tête ; la douleur occupe principalement les régions sus-orbitaires et les tempes, elle est à peu pr
partie posté- rieure de la moelle, dans la moitié inférieure de la région dorsale, 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. et dans la ré
nférieure de la région dorsale, 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. et dans la région lombaire supérieure, on aperçoit un épanchement
ment. Le cerveau étant enlevé avec le bulbe, on voit que toute la région basilaire est le siège d'un vaste épanchement san
ifférentes parties de l'écorce, dans le bulbe et dans la moelle; la région de l'aqueduc de Sylvius a fourni dans toute sa
llaires les plus volumineux sont les'plus atteints, surtout dans la région des cellules pyrami- 10 PATHOLOGIE NERVEUSE.
- A l'encéphalite se joint une méningite, moins accusée dans les régions supérieures du cerveau et en particulier sur la p
sus inflam- Fig. 4. Circonvolutions motrices gauches, prises à leur région moyenne, grossies deux fois. Foyers d'oedème lo
tissu environnant prend une teinte un peu plus foncée que dans les régions où cette lésion n'existe pas ; ces taches, visi
Ces taches n'existent pas du tout dans les circonvolutions de la région motrice gauche, mais elles sont extrêmement nombr
gion motrice gauche, mais elles sont extrêmement nombreuses dans la région motrice droite (les spasmes ont prédominé dans le
radiculite et de périradicuiite; sur une racine anté- rieure de la région cervicale, on aperçoit même un petit nodule gom
es Archives, t. XXVII. 2 , Fig. 7. Sillon antérieur de la moelle ( région dorsale supérieure); la lésion veineuse l'empor
ingées Fig. 10. - Uze veize postérieure de la pie-mère rachidienne ( région dor- sale inférieure). L'infiltration de la par
E LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 21 de la base du cerveau et de la région dorso-lombaire postérieure de la moelle. Ici no
a ainsi donné naissance à l'hémorrhagie considérable qui occupe la région . -- La lésion des veines l'emporte de beaucoup
es et des capillaires ; ainsi c'est vers la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire en arrière,
nsi c'est vers la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire en arrière, que les lésions veineuses
a moelle, tandis que la méningo-myélite est à son maximum dans la région dorsale. Il s'agit pourtant bien évidemment d'un
très bien conservés, infiltrés dans le tissu cellulaire lâche de la région . A la base du cerveau l'hémorrhagie est en très
écortication les circonvolutions paraissent grêles, surtout dans la région antérieure; la surface du cerveau est cou- vert
es plus abondantes à gauche qu'à droite; elles prédominent dans les régions antérieures. Les ventricules sont dilatés ; l'é
is calcaire. Les racines postérieures sont un peu grisâtres dans la région lombaire. Sur la coupe les cordons postérieurs
externes qui, quoique malades eux-mêmes, tranchent nettement sur la région primitivement atteinte. Les zones de Lissauer s
s tranchent encore mieux que plus bas sur la zone malade. Dans la région dorsale les cordons postérieurs sont pris d'une
de Westphal. Coloration de Pal. 28 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans la région cervicale les cordons de Goll sont pâles, surtout
peu en dehors, et qui répond à la dégénérescence plus intense de la région dorsale. Enfin, plus en dehors, on aperçoit une
nes postérieures présentent des lésions assez avancées en bas; a la région dorsale elles sont irrégulièrement atteintes :
nt complètement détruites, les autres à peu près saines. - 1 A la région cervicale les racines postérieures contiennent à
s uns appartiennent aux corps granuleux tandis Fig. 14. Coupe de la région inférieure du bulbe; sclérose du cordon de Goll
tandis que la dégénérescence systématique est plus avancée dans la région dorsale. 11 n'y a que très peu de méningite c
sculaires caractéristiques de la paralysie générale dans toutes les régions de l'écorce, sauf dans les sillons de la partie
gions de l'écorce, sauf dans les sillons de la partie moyenne de la région motrice. A ce niveau en . effet, et le fait est
est également beaucoup plus frappante par -la' comparaison des deux régions . Enfin tandis que le réseau des fihres=à'm ? él
<oU*fri -, ? n i 1 Si l'on compare entre.·elles les, différentes régions au.point de vue des lésions vasculaires et des
lésions des fibres tangentielles étant plus accentuées que dans la région motrice à la superficie. Les noyaux des cellule
pré- sente la composition histologique suivante : D'ordinaire la région centrale du nodule est occupée par un corps sph
ar le seul fait que"* la 'section du corps fibreux a porté sur la - région péricentrale. Je pense cependant qu'on"he'saurait
vestige, ar et : . yav > - .. Mais ce n'est;pas seulement sur la région centrale du lobule que (portent les variations
araîtra par résorption. Si l'hyperplasie se poursuit alors dans les régions moyennes et superficielles, les couches profond
foyer composite appartenant au type méso- neuritique et occupant la région moyenne d'un fuseau.- En a un système alvéolair
Autopsie : foyer de myélite scléreuse ci la partie supérieure de la région dorsale; dégénérescences fasciculées habituelle
montré l'absence de corps granuleux et de corps amyloïdes dans les régions sclérosées. '' La boîte crânienne' est normale
iste encore une diminution considérable de fibres à myéline dans la région du faisceau pyramidal croisé, constituant une s
e la dégénérescence de libres' ascendantes situées ''dans.. h cette région , mais il est un fait qui' contredit absolument ce
ation ; elle diminue ensuite, tout en se continuant jusque dans les régions supérieures de la moelle. Les, veines, qui acco
t'sont'-Uésées'dans'fa plus grande partie de la moelle, depuis la f région ! lombaire'jusque très haut'dans la moelle cervic
W' u'lU 1n, 1t1 3n a- j '"j ->>I'jjjLi <m ' ? , toutes les régions , portent dans leur adventice'de très'nombreux'"
lt; éosine. 4 ? - auorj . I rfott ? viagdo'l 8nr.il néanmoins les régions motneeeturontate sont lesiplus malades. et la r
néanmoins les régions motneeeturontate sont lesiplus malades. et la région occipitale la moins atteinte.. 31%/[t;ij,<i ul
ndis'- que^ le processus 1 tabétiqüè, st,"pls intense' dans, la ' ` région dorsale que partout' ailleurs. u '" e' i'3 1 - ?
légère, d'origine évidemment vasculaire ; mais en un point'de la région dorsale supérieure, de la deuxième à la cinquième
extérieures du crâne en communication avec le sinus ni oedème de la région rétro-auriculaire ni cyanose circonscrite delà
ramollissement inter- rompait les fibres d'association unissant la région occipitale droite conservée avec le côté gauche
ite, par la tumeur, sur la partie médiane du lobe occipital dans la région du coin et de l'avant-coin. 1 ' ""' " . - 1 KÉH
'fallait, admettre; chez le ma- lade^ unV lésion' organique1 W^ des régions anté- ·c ? ·a5 ,y ·yqhn nm qn n. 1 ,t .. ? - ,
malade ne slié ! qu'àdroite : = OB5ERVATION'III : Dônleur, dans la région de l'épaule et de la nuque. Impotence des deux br
Diagnostic : , Lésion du noyau des oculo- moteurs communs, dans la région des tubercules quadrijumeaux. Autopsie : Germe
intact, on devra la rapporter, à.- une, lésion 3 I)ilatéi,ale de la région occipitale. La cécité due.'à;une lésion des deu
soit détruit, pour qu'il se produise, ' peu importe à cet égard la région du cerveau ; , 4. le mouvement de ma- nège,qtii
es; ' 8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l'écorce''et ' les régions motrices,' sensôrielles,psyhidues de`'cellè-ct;
1° la racine ascendante dont les libres prennent naissance dans la région des cellules ,de, la base de la corne postérieure
: . , .. - i , > Ic'v -10 .i i" i "-f. 14 .... -b ' " Dans la région postérieure de la. capsule interne, tout à fait e
laissé que des fragments tout à fait en arrière,- occupait toute la région comprise entre le milieu des 1 ? et 2° temporal
Vf : 'UN CAS DE' LÉSION SECONDAIRE DE LA' COUCHE OPTIQUE ET IDE la' région 'sous-thalamique ; par' A" McEHANN.' . ([rc/<.
sJ. ·- )";n ? c ? <)'t) Mrt ? «'a.j'tM)t'; amn" a . de^ces trois régions , 1 avantmur, le putamen, la tête du noyau caudé
cellules nerveuses des divers noyaux de la couche optique et' de la région sous-thalamique en rela- ' tion' avec-ces fibre
chaque jsegmentj de la - couche optique est en .rapport avec, une- région déterminée, cir- . consente, de l'écorce; la de
terminée, cir- . consente, de l'écorce; la destruction, de chaque'^ région , corticale entraîne unei destruction de tel ou
aTrelâtio"n'dè chaque noyau de la optiquecouche avec telle ou telle région de l'écorce'est) une décou- verte de Monakow.b
essie, dnr rectum;l'de91'érectiônnoccupe dans la' moelle sacrée la- région originaire 'des quatre premières paires sacrées
coupes- assez épaisses;etransvei,so-perpendieulaires,qdepuisille- régions frontales,' mais eh partant de la base pourigagne
mains et des pieds, le frontale cuirclievelu,'le nez, le menton, la région fessière, la surface dorsale, grâce au décubitus
)° De la racine asèendantes dont(llésu fibres naissent 'dans' la '- région des cellules de la base1 de = la corne 'postérieu
simples ou des convulsions épileptiformes par l'électrisation de la région rolandique. Auburtin avait pu, auparavant, arrê
e' : La cécité 'verbale è`st' ôrdinairementliéé.à des lésions de la région du pli courbe'de l'hémisphère gauche. Mais les
adictoire à Janotion'aujourd'hui bien établie d'après laquelle 2]at région du pli courbe gauche est le siège des images vi
de mars, appùéitiori d'e"schârès (régiôn sacrée, trochanter droit, région iliaque- drôitê^taloh) ? 'Emaciation extrême, aff
pect tremblotant'cômme'dé la* gelée (oedème). A la coupe, dans les' régions antérieures du cerveau, à gauche, piqueté accen
réparée ;9lé'pourtour du crâne âvait-augnientérdé 2 centimètres; la région 'pariétale' gauche' 'était3 plus proéminente que
titirlé : Un cas de lésion secondaire de la couche optique et de la région sotts-thalanzi- que, dû à M. le Dr Mabain, assi
des adhérences avec les parois'craniennes, surtôut'àü niveau 'de la région frontale et de la' scissure interné-' mispliéri
isphère droit. ' 612 yrammes.. Sufiusions.sanguines au niveau de la région sylvienne. 5fême prédominance- des lésions (épa
randes cellules pyramidales. - Moelle. On constate, surtout dans la région lombaire, un léger degré : de sclérose, des fai
pour, l'élude du tronc du cerveau et pour les pesées des, diverses régions de l'encéphale. A-t-on-affaire à.une tumeur ou
n se rendant compte du degré d'adhérence, de la,pie- - mère en (ces régions .' Les coupes transverso-perpondicutaires de la
-,f i ,<, : n' l0 ." .t- ^ 'T ? 'i On peut combiner suivant les régions corticales ou médullaires que l'on trouve lésée
en les congelant parla méthode de Pirogoffet^en1 appliqnant sur les régions lé papier à calquer/sur lequel'on 'décalque les
o du nerf spinal ''auquel' ! le,morceau1'donnait, naissance 'étales régions supqieiii,es 1-inférieul,es, et latérales' qui
des formes cellulaires de même construction apparente. Il est des régions de cette substance grise dont nous connaissons la
uption^ et ""s'accompagnaient d'une sensation7 de 'morsûrë'dâhs' la région épi^àstrioue ''r a"ra as't,twcn9a aia$\j>jh
Les muscles sur lesquels ont porté les expériences sont ceux de la région postérieure de la cuisse : biceps, demi-tendineux
e n'est pas incompatible avec la persistance de la motilité dans la région . ? REVUE D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRA
rodes qui me- surent 150 centimètres carrés sont placées l'une à la région cervi- cale, l'autre à la région lombaire. Elle
res carrés sont placées l'une à la région cervi- cale, l'autre à la région lombaire. Elles ont été. préalablement hu- mect
térieur à'la,selle <M ? 'etÇM6 c/te; : /M a/t ? f Examen de celte région osseuse connue sous le nom de clivus de Blum'en
hiatrie et en anthropologie. -Il est très probable qu'il n'y pas'de région mo- tricespéciale (Hitzig); quel'écorceducervea
ent de centres'esthé- tiques; moraux; artistiques' (qui"occupent la région frontale) et de centres' génitaux'(qui'occupent
ls, en frontaux; pariétaux, occipitaux, l'intelligence occupant les régions antérieures du cerveau,'l'activité, les régions l
igence occupant les régions antérieures du cerveau,'l'activité, les régions latérales, les instincts,' les régions ! postér
du cerveau,'l'activité, les régions latérales, les instincts,' les régions ! postérieures. ' `Bordier;` Manouvriery Topi-
des traumatismes cranietis et même après des traumatismes 'd'autres régions que la' région crânienne; l'auteur aurait*- rar
cranietis et même après des traumatismes 'd'autres régions que la' région crânienne; l'auteur aurait*- rarement -'constat
oyert composite appartenant au type méso- neuritique et occupant la région moyenne d'un fuseau.- En a un système alvéolair
version ' du sens -, par ' Siuli, 395 : v' - ' ` · . Gliomé de la région rolandique, par ' 'Alhertoni et Brigatti, 194.
83 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de ces éléments est toujours deux ou trois fois moindre que dans la région correspon- dante du nerf optique droit. Les t
lations méningiennes, peu épaisse, particu- lièrement mince dans la région frontale. Lors de sa section, il s'écoule un pe
s. La calotte crânienne était assez mince et transparente dans la région frontale, elle présentait à sa face interne le lo
nes. La dure-mère était congestionnée, elle était affaissée dans la région frontale. Non épaissie, elle adhérait au niveau
parallèles au méridien hori- zontal, intéressant par conséquent la région de la macula. Ces coupes ont été traitées par l
coupe longitudinale pas- sant par le nerf optique, la papille et la région avoisinante de la rétine du côté nasal , montre
. Coupe longitudinale passant par le nerf optique, la papille et la région nroisinanle de la ? tétine parallèlement au mérid
ée et nous avons vu, grâce à l'examen histolo- gique,que cette même région était le siège d'une proliféra- tion du tissu c
ysies notamment, les troubles fonctionnels dépassent en étendue les régions directement intéressées par les lésions; il se
e toute l'attention du malade puisse être con- centrée sur la seule région de son corps ou de ses membres qu'il est en tra
n un cas, normale dans les parties non paralysées, diminuée dans la région paralysée ; en deux cas, il y avait réac- tion
ns et subdivisions suivantes : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 97 la même région . Seulement l'évolution en est différente la plupa
son. Il n'existe pas de sclérose des cordons postérieurs; mais à la région dorsale moyenne on voit des épaississements et
Nerf spinal. Ques- tions restées dans l'urne : Cordons postérieurs; Région rolandi- que. MM. Audan, 13 ; Charpentier, 15 e
; Bour, 16 ; Dromard, 19; et Artarit, 14. -Séance du 13 décembre : Région ro- landique. Questions restées dans l'urne : N
ment du ventre, inappé tence, bouffées de chaleur, douleurs dans la région ovarienne et une sensation douloureuse qui, par
ent atteinte : vives douleurs dans le ventre, hyperesthésie dans la région des ovaires, boule hysté- rique, crises nerveus
si du côté physique : des douleurs atroces et continuelles dans les régions ovariennes, des troubles gastriques divers, la
des signes bien nets d'hystérie : douleurs à la pression dans la région des ovaires, légère boule hystérique ; troubles d
jets lui dansent devant les yeux ; -, douleur à la pression dans la région épigastrique et ovarienne, hémianesthésie du cô
lytiques et les phénomènes convulsifs lémoi- gnent d'une lésion des régions motrices de l'hémisphère droit. Il n'y a ni tra
ocalisation. IL pense que la destruction d'une certaine portion des régions motrices ne détermine pas chez tout le monde un
jet, de sa complexion psychophysique générale. La destruction de la région corticale qui préside aux mouvements du bras dr
pas de mouvements trans- mis mais bien de mouvements propres à ces régions . - Les membres supérieurs sont intacts., . Pa
uche, l'existence d'une zone de sclérose cérébrale. Au niveau d'une région répondant fort exactement au territoire d'irrigat
ngitique est, en effet, constante, elle porte sur la pie-mère de la région postérieure de la moelle, alors que la pie- mèr
de la région postérieure de la moelle, alors que la pie- mère de la région antérieure est indemne. Les lésions des racines
est due à un système lym- phatique spécial et autonome dévolu à la région postérieure de la moelle et la partie postérieu
et n'ayant aucune communication avec les espaces lymphatiques de la région antérieure. C'est ce système lymphatique médull
. Dans de tels cas, on trouve de ces corps granuleux même dans la région antérieure de la moelle. M. PIIILIPPE, invité à
3° temporales, et un foyer de méningo-encéphalite adhésive dans la région du pli courbe également à droite. L'hémisphère
ilité, hallucinations pénibles de l'ouïe, cicatrice au niveau de la région hépatique ». Au moment de sa sortie, le malade
reuse, mais la douleur n'est pas moindre si l'on comprime une autre région du territoire affecté. La douleur est parfois m
e du tégument. On ne saurait oublier en effet que l'on agit sur une région où la peau est extrêmement fine, et où peuvent,
e par l'électrode devra être sensi- blement la même au niveau de la région temporo-frontale, qu'au niveau de la région mol
la même au niveau de la région temporo-frontale, qu'au niveau de la région molaire, qu'au niveau de l'angle du maxillaire.
de indifférente étant fixée au moyen d'une ceinture au niveau de la région dorsale, on commencera la séance. Le courant se
ures, qui n'altère pas la forme de la moelle. Racines postérieures, région externe des cordons postérieurs, envahissement
ens, dont voici les conclusions : 1. La destruction bilatérale delà région de l'écorce qui embrasse les parties antéro-inf
de sensations gustatives. 2. La destruc- tion de toutes les autres régions corticales, frontales, pariétales, temporales,
ffaiblissement des sensa- tions gustatives. 3. La destruction de la région gustative en question, d'un côté se traduit par
la moitié correspondante. 4. Une vaste des- truction de toute cette région fait aussi disparaître la sensibilité tactile d
- courent à cette amélioration. 7. La destruction partielle de la région gustative produit une perte partielle du goût à l
re pour qu'on puisse l'attribuer de préférence à l'excitation de la région sensible. 9. Chez le chien comme chez l'homme i
observe que chez les chiens dont le goût est bien développé. 10. La région gus- tative n'a pas de rapport direct avec la r
eloppé. 10. La région gus- tative n'a pas de rapport direct avec la région olfactive. On a beau détruire cette dernière à
pas atteint. Si l'on détruit les parties corticales voisines de la région olfactive, entre autres la région gustative, il s
parties corticales voisines de la région olfactive, entre autres la région gustative, il se produit un affaiblissement peu
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. sure de Sylvius. Les limites entre la région gustative et la région olfactive peuvent être t
IQUES. sure de Sylvius. Les limites entre la région gustative et la région olfactive peuvent être tracées par la scissure
isation de la porencéphalie par arrêt de développement ; toutes les régions , en effet, peuvent être atteintes ; cela dépend
e dernier pour une céphalée en casque assez vive pré- dominante aux régions biparrétales et occipitales, remontant après de
a un kyste sous-méningien apoplectique qui avait détruit une petite région du cervelet. Vu les données de l'autopsie, le rap
arles données expé- rimentales de Luciani que la lésion des petites régions du cervelet provoque l'ataxie, mais que cette a
compenser très rapidement les trou- bles des fonctions des petites régions du cervelet. Puisque la lésion du cervelet chez
ent 308 NÉCROLOGIE. pas du tout de réseau endocellulaire. Dans la région du noyau cellulaire le réseau se raréfie ; il n
tablissements hospitaliers et charitables, publics et privés, de la région , compléteront le programme de cet impor- tant c
des, un désastre épouvantable ne manquerait pas de s'abattre sur la région . Or, hier, un simple gendarme, en faisant' sa t
isme cérébral. Néanmoins, les douleurs persistent violentes dans la région maxillaire supé- rieure et inférieure du côté d
ixe au pourtour de l'un ou l'autre oeil, ou bien s'étend jusqu'à la région occipito-mastoïdienne. Dans ce dernier cas, l'a
u dire de la malade, à des pointes d'acier que l'on enfonce dans la région malade. Pas de tic d'aucune sorte. Au moment
, il fait la grimace et porte la main à sa figure pour comprimer la région , mais on observe en outre au moment des accès q
nt la barbe, le malade res- sent une légère douleur au niveau de la région sous-orbitaire. Dans la nuit qui suit l'apparit
uleurs que, depuis cette époque, le malade éprouve, siègent dans la région maxillo-temporale. Ce sont des élancements, des
outefois, ce n'est que depuis six ans que la malade souffre dans la région droite de la face de douleurs qui, faibles au d
ns la malade se plaignait de douleurs lancinantes pénibles, dans la région oculaire, survenant surtout la nuit, douleurs i
ication. Ces douleurs vagues se sont localisées ultérieurement à la région malaire, à la région du nez et à la lèvre supér
vagues se sont localisées ultérieurement à la région malaire, à la région du nez et à la lèvre supérieure du côté gauche.
n qu'elle fut intacte. Pas de soulagement. Une mouche placée sur la région temporale gauche aurait beaucoup calmé les doul
l, pour remonter sur le côté externe de l'orbite et s'irradier à la région frontale. Le début de ces phénomènes paraît coï
tout le côté droit de la face. Hyperesthésie très marquée dans la région d'émergence du tri- jumeau s'étendant au bulbe
la fièvre (février 1902), la malade res- sent de chaque côté de la région occipitale, des douleurs névral- giques plus ac
ible, impossibilité de se coiffer). Enfin elles se sont fixées à la région frontale. Ces douleurs sont continues avec péri
raissent, mais locali- sées cette fois au sommet de la tête ou à la région occipitale. Enfin , le soir, vers quatre heures
s, les phénomènes douloureux se montrent à nouveau, non pas dans la région frontale mais tantôt au sommet de la tête, tant
59 ment cessé sur le sommet de la tête; seules les douleurs de la région occipitale droite et de la région frontale ont pe
a tête; seules les douleurs de la région occipitale droite et de la région frontale ont persisté; elles s'accentuent au mo
a été mise en traitement, et au bout d'un mois, les douleurs de la région frontale ont disparu presque complètement, ne l
. Sur la poitrine les tumeurs sont très confluentes dans toute la région sternale ; elles sont beaucoup moins nombreuses s
nombreuses excrois- sances molles à pédicule large, surtout dans la région médiane. Ce n'est nas tout. On relève sur diffé
PARALYSIE GÉNÉRALE. 363 suffusions sanguines étendues à toutes les régions antéro-latérales des hémisphères. Artères saine
indications incom- plètes sur la topographie sensorielle de chaque région . Pour éviter ce dernier inconvénient, les mesur
° La distribution de cette sensibilité ne varie pas seulement d'une région à l'autre : elle varie aussi dans la même région,
as seulement d'une région à l'autre : elle varie aussi dans la même région , d'un point à son voisin (ce que n'indiquent pa
utanés. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 4° La sensibilité même de chaque région est sujette à des variations assez considérable
ystériques. Le foyer- morbide, probablement, était localisé dans la région des centres. moteurs de l'écoree de l'hémisphèr
ut le temps. De plus le malade se plaignait de maux de tête dans la région frontale, se propageant des deux côtés et de ve
Les symp- tômes principaux consistaient en des maux de tête dans la région frontale, des vertiges, le ralentissement du po
arrière du centre des jumeaux. En ce qui concerne les muscles de la région antero-externe, c'est du niveau de l'extrémité
uvent que la distribu-, tion motrice est segmentaire pour certaines régions seulement. En opposition à ces résultats contra
asile que l'auteur dirige, et dont les malades sont fournis par les régions les plus vicieuses, les plus alcooliques et les
sées au milieu d'a- liénés de catégories très, diverses et dans des régions très différentes. Discussion : M. AIIDLLEIIASS,
d'une série de coupes physiologiques et pathologiques des diverses régions de l'encéphale et de la moelle, M. Sommer possède
tômes que l'on trouve dans les sections complètes de la moelle à la région cervico-dorsase, c'est-à-dire la paraplégie fla
ntervalles : la raisonnance est un peu creuse; son maximum est à la région pariétale au-dessus et un peu en arrière du som
Pas de 'souffle- oculaire, ni frémisse- ment, ni battement dans la région crânienne. M. Clément pense qu'il s'agit d'un b
: Début du processus atrophique par les muscles de la nuque, de la région postérieure du tronc et de la ceinture pel- vie
zone marginale de la partie supérieure de la pariétale ascendante ( région des membres inférieurs successivement étiquetée
e temps que la case 8, les fibres nerveuses se myélinisent dans une région de l'écorce qui entoure en arrière et en dehors l
ce qui entoure en arrière et en dehors la sphère visuelle primaire ( région polaire externe), et mérite le ne 1-1 de nouvel
e ne 1-1 de nouvelles observations montrent qu'une portion de cette région se développe plus tôt et doit recevoir un numér
les réflexes tendineux. Parfois des douleurs fulgurantes dans la région de la branche II du trijemeau gauche. La sensibil
ymptôme complexus la lésion localisée de la moelle allongée dans la région des fibres arciformes internes, avoisinant l'ol
le racine postérieure était intéressée, et au lieu d'anesthésie, la région correspondante était hyperesthésique. Gigantism
s d'un certain âge et même chez les adultes à l'état de sommeil. La région plantaire excitée n'est pas indifférente. Dans
yser ensuite les mouvements expressifs de chaque trait et de chaque région de la face pris à part. C'est ensuite les expre
membres qui sont examinés un à un d'après chaque segment et chaque région ou organe pouvant traduire une impression. Cett
84 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uleurs en comprimant certains points, la ré- gion sacro-iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la partie postérieur
, la partie postérieure de la malléole externe. La percussion de la région trochantérienne et du talon, lorsque le membre
ue la colonne vertébrale présente deux courbures, l'une occupant la région lombaire à concavité droite, l'autre dans la ré
une occupant la région lombaire à concavité droite, l'autre dans la région dorsale et à concavité gauche. La plante des pi
se rappeler, en particulier, d'une part, que la percussion de la région irochantérienne et du talon, lorsque le membre
art, que la pression, sur certains points particuliers, tels que la région sacro- iliaque, la région de l'échancrure sciat
certains points particuliers, tels que la région sacro- iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la partie postérieur
ois heures après, il ressentit des picotements - douloureux dans la région fessière gauche. Ces douleurs étaient continues
rtie anléro-externe de la jambe jusqu'à la partie postérieure de la région dorsale du pied. La pre,sion exagère la douleur a
poplité, péronier et dorsal du pied. Les douleurs irradient dans la région crurale antéro-supérieure en dedans et en dehor
la douleur se fait sentir depuis la malléole externe jusque dans la région lombaire et n'occupe pas du tout le pied; elle
e vertébrale, présente deux courbures, l'une inférieure occupant la région lombaire, à concavité droite, l'autre supérieur
la région lombaire, à concavité droite, l'autre supérieure, dans la région dorsale et à concavité gauche. Dans t'OBSERVATt
une double déviation latérale, l'une inférieure correspondant à la région lombaire à con- vexité tournée du côté de la sc
ée du côté de la sciatique, l'autre supé- rieure correspondant à la région dorsale à convexité tournée en sens inverse. La
tout à fait sur le dos. Elle a une hyperesthésie très marquée de la région vertébrale depuis la nuque jusqu'à l'extrémité
ications de sangsues, etc. La douleur se calma, mais revint dans la région dorsale, la malade se tient courbée. Puis survi
du dos, une hyperes- tésie considérable. Le doigt promené sur cette région provoque des mouvements de défense énergiques,
goût est obnubilé. Il existe enfin un point hyperesthésique dans la région dorsale, et une ovarie très accentuée à droite :
très accentuée à droite : (fi.g. 7 et 8) lorsqu'on presse sur cette région la malade sent « que cela lui remonte et la suf
face : éphi- drose hémilat'érale; tantôt elles n'occupent qu'une région suivant généralement le trajet de fibres ner- v
ose est nette- ment localisée à droite et atteint principalement la région DES éphidroses de la face. 67 frontale. Elle
envahit la tempe, la racine du nez à sa partie latérale droite, la région malaire et s'étend jusqu'au cou, mais ce dernie
t où la sudation atteignait son maximum, il y avait hypérémie de la région . Chez ce malade, l'affection paraissait être hé
ppurées de tumeurs de la parotide, d'opérations pratiquées sur la région , il y a irritation des fibres sudorales et l'éphi
le fait remarquer M. Bouveret, cette éphi- drose dépasse parfois la région et se manifeste sur les régions voisines et mêm
tte éphi- drose dépasse parfois la région et se manifeste sur les régions voisines et même sur une étendue considérable d
endue considérable de face. Dans tous les cas, un traumatisme de la région se rencontre à l'origine du mal. M. Bouveret fa
part du réflexe. Le malade mange, et aussitôt on voit perler sur la région de la parotide des gouttelettes - de sueur qui
la joue. Mais en dehors de ces cas, où l'éphidrose limitée à la région de la parotide ou ayant débuté par cette ré- gi
ssus et elle fut contente de le voir. D. Où habitez-vous ? R. Les régions modérées. U. Etes-vous marié' ? - R. La terre n
n du tremblement, sommeil et appétit; disparition de douleurs de la région hépatique et de sa tuméfaction ; plus de nausée
le lobe frontal et toute la zone motrice; a droite, outre les mêmes régions , la plus grande partie de l'écorce du lobe occipi
e de droite existât encore en partie. Il semblait sourd, quoique la région auditive n'eût pas été enlevée. Chez l'autre ch
t de la subs- tance blanche; absence d'hydropisie ventriculaire. La région motrice paraît principalement étriquée; il en e
à l'élection double, un grand nombre de cylindraxes dénuées dans la région scléreuse. Ce qui prouve bien que le cylindraxe
auche. Huit jours plus tard, au- dessous des fausses côtes, dans la région dorsale, du même côté, apparaît un abcès froid.
re de pus de bonne nature; le doigt atteint une cavité sise dans la région de la rate (infarctus splénique assez probable);
rences de température de 4° en 4° sur le dos, a 1 exception de la région des sus-épineux, où il a une anes- thésie égale
nt de la sensibilité dou- loureuse dans la plus grande partie de la région thermo-anes- thésiée. La dernière augmenta sur
partielle, isolée ou coïncidant par endroits avec une partie de la région thermo-anesthésique et se limitant par la parti
- gésie s'élève jusqu'au milieu de la nuque, en avant, jusqu'à la région in- nervée par le trijumeau, descend un peu a
tion de douleur. Le sens de la température est très abaissé dans la région anal- gésique ; le membre inférieur droit, par
e la sensibilité ont considérablement augmenté. (fig. 5.) Dans la région du nerf grand occipital des deux côtés de tout le
i dans d'autres endroits. Pas de troubles trophiques de la peau. La région de l'anesthésie a de nouveau augmenté, son cara
AIRE. '173 cette supposition; la délimitation caractéristique des régions à sensibilité altérée (sur la nuque et le thorax)
épaule. (Fig. 6.) Le sensde la température est abaissé dans la même région que la sensibilité générale. Les mains ne sente
iphériques diminua, mais les douleurs montèrent et parurent dans la région scapulaire, près de la clavicule et à la partie
s limités par des segments du membre et ne coïn- cident pas avec la région de la distribution des cordons nerveux séparés
laisse pas de trace, on observe dans les os et les tendons de cette région rien d'anormal ; il n'y a point de dou- leurs.
sensi- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 185 bilité de la main. Ici la région occupée par l'anesthésie générale n'a pas seule
l'anesthésie générale n'a pas seulement complètement répondu à la région innervée par un seul nerf, mais même aux limite
r- vation nous prouvent qu'elle peut exister seule dans certaines régions (entre autres dans celle du nerf trijumeau) en
dans d'autres. Ici nous n'avons que l'absence de ces der- nières régions (pas toujours grandes dans d'autres cas aussi),
sthésie partielle combinée et une augmen- tation considérable de la région de thermanesthésie isolée, occupant un espace c
ffection n'en occupe pas moins \ dans les centres nerveux certaines régions , certains organes, qui, secondairement ou primi
oexiste avec une hypérémie et une augmentation de température de la région cor- respondante, tandis que, dans d'autres cas
ix cornu posterions et la partie profonde des cordons la- téraux, région éminemment mixte qui renferme des tubes nerveux
inales du grand sympathique. Dans le cours du tabes sensitif, cette région , qui renferme non pas des nerfs mixtes mais des
éphidroses à envahir les parties voisines. Tantôt débutant par une région bien circonscrite comme la région temporale, la
voisines. Tantôt débutant par une région bien circonscrite comme la région temporale, la sueur gagne bientôt le front puis
, de rage, il a pris un couteau et s'en est donné un coup dans la région précordiale (hémorrhagie assez abondante). Ceci s
en bon état. Articulation nor- male. Menton bas, retiré en arrière. Régions molaires saillantes, larges, égales. Oreilles é
esthésie; ces points sont situés à la cheville, au genou et dans la région inguinale gauche. » Or, on sait, aussi que ces
des vaisseaux dans les parties de la pie-mère qui recou- vrent les régions motrices, surtout à droite. A part cela, pas la
observe aussi (Raymond') dans les lésions en foyer siégeant dans la région lenticulo-optique de la cap- sule interne au ni
ceaux. Hémisphère cérébral gauche, dépourvu de consistance dans les régions inférieures; en essayant de détacher la pie-mèr
épa- ratoires de médecine. Le département de la Seine formera une région , avec l'adjonction des seuls asiles de Clermont e
llait distinguer, dans les cordons posté- rieurs de la moelle, deux régions tout à fait distinctes : l'une centrale (cordon
mer ainsi, l'organe du tabes, car c'est avec les lésions de cette région que coexistent les symptômes caractéristiques d
Pur... souffrit en outre de picotements désagréables siégeant à la région lombaire de la colonne vertébrale. Comme à cette
ouleurs ont le caractère de fulgurations très rapides partant de la région des fesses et éclatant tout à coup « comme des
le épinière. Sur les coupes transversales provenant des différentes régions de la moelle (cer- vicale, dorsale et lombaire)
s rachidiennes. Quatre paires de racines rachidiennes provenant des régions dorsale et lombaire de la moelle ont été dissoc
étouffements et d'une sen- sation de construction ci la gorge. Les régions ovariennes sont un peu sensibles sans être, à v
rdissement dans la main droite et particulière- ment limité dans la région innervée par le nerf cubital. Cet engour- disse
ur double effet d'agrandir le diamètre transversal du thorax à sa région inférieure et de le rétrécir à sa région supé-
transversal du thorax à sa région inférieure et de le rétrécir à sa région supé- rieure. Quant à l'expiration, c'est un ac
ce des battements du coeur. - La section de la moelle épinière à la région occipito-atloïdienne imprime à la circulation u
anger la personnalité; on en distingue trois catégories, suivant la région où siège l'excitation; excitation psychomotrice
é de doctrines d'un vieux Kreisphysikus ayant pratiqué dans la même région de longues années. Il parle de cinquante années
position forcée d'une tôle dolicocéphale, à front fuyant, toute la région postérieure devient saillante. Cette saillie, r
bilité et du sens musculaire. Atrophie de la jambe gauche dans les régions de la cuisse et du mollet; atrophie moindre à dro
y en a que peu de 0,004; 2" les racines postérieures des deux mêmes régions contiennent un grand nombre de tubes nerveux fi
che, dans le segment de la moelle qui constitue la limite entre les régions dorsale et lombaire, la lésion des cordons post
ipital gauche, traversant l'écorce et la substance blanche de cette région pour joindre la corne postérieure du ventricule
utre, et ayant déterminé l'aplasie de toutes les tubérosités de ces régions . La mikrophthalmie simultanée et le trouble des
excitables; la première correspond chez les singes et l'homme à la région rolandique, chez les autres animaux à la région
ges et l'homme à la région rolandique, chez les autres animaux à la région sigmoïdienne; la seconde (zone inactive) compre
de l'écorce cérébrale, la seconde de la nature fonctionnelle des régions excitables, et la dernière des localisations motr
85 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te à 1 mètre 50, et plus, à droite ; à 1 mètre 20, à gauche. Par la région frontale la percep- tion est bonne ; sur l'apop
au salée. Vers le mois de juillet, une petite escliare apparut à la région sacrée, et en dépit des soins prodigués au mala
commissure des trois pédoncules cérébel- leux du côte gauche. Cette région est tellement indurée, qu'elle crie presque sou
gie, tome I) et divisée en minces coupes pratiquées à dif- férentes régions nous montre, dans les portions cervicales et la
une disposition très exceptionnelle. Il n'y a, somme toute, que la région rolandique et frontale infé- rieure qui offrent
t sensible à la pression, engourdissement de toutlc côté gauche. La région ovarienne gauche, très peu sensible dans l'inter-
ssait sans transition parla phase tonique du début. « Bien que la région ovarienne gauche soit très sensible à la pressi
des zones hystérogènes, parmi lesquelles compte au premier rang la région ovarienne produit un double résultat opposé : l
ez loin. La malade étant couchée, je com- primai légèrement la même région iliaque et immédiatement tous les symptômes pré
peresthésie ovarienne ; mais la partie posté- rieure du crâne et la région cervico-dorsale de la colonne verté- brale étai
e hyperesthésie très accusée. La pression ou la manipulation de ces régions amenait en quelques instants une attaque de spa
même façon ou avec quelques irrégularités. Une forte pression de la région des ovaires ne parvenait pas générale- ment à a
re : les ver- téhro-spinales et les spinales proprement dites. A la région antérieure et à la région postérieure de l'orga
es et les spinales proprement dites. A la région antérieure et à la région postérieure de l'organe, on rencontre ces deux
teur allemand, cette spécialisation dans la circulation de ces deux régions devient évidente. Des spinales antérieurs naiss
igation des spinales antérieures et des spinales postérieures. A la région lombaire surtout, par l'inter- médiaire des ram
nstant et capable de pourvoir abondamment du liquide nourricier les régions cellulaires. On s'explique aussi comment par le
spinales. Ces veines latérales antérieures n'existent en réalité la région cervicale ; elles sont très ténues à la région do
istent en réalité la région cervicale ; elles sont très ténues à la région dor- sale, et disparaissent à la région lombair
elles sont très ténues à la région dor- sale, et disparaissent à la région lombaire. Là, on n'observe plus que des veinule
appelle les faits anatomiques et patholo- giques importants dont la région obéliale est le siège. Les animaux sans tourbil
ations courtes et superficielles), on force l'air à monter dans les régions olfac- tives, soit par l'aspiration directe, so
ce la zone des circonvolutions qu'il lèse, M. 111onahow résèque une région correspondant a priori, sans plus ample examen,
tateurs qui l'ont précédé dans cette voie, c'est qu'évidem- ment la région touchée est bien exactement un centre et bien l
la sphère sensible pour les organes protecteurs de l'031l et de la région visuelle de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 95 -)
ar Gudden), ou en un mot des trois centres G. F. A. de Munk. Or ces régions représentent seulement le segment antérieur et
supérieurs, relient le pulvinar et le corps genouillé externe à la région occipitale (fibres de Gra- tiolet). Il semblera
delà capsule interne, de l'in- sula, des corps optû-striés et delà région sublllalamique, des pé- doncules cérébraux, de
témoigne de l'action conductrice des faisceaux blancs émanés de la région de Broca, celle-ci étant demeurée saine dans so
bservé quatre cas de formation de cavernes dans la moelle épinière ( région cervicale et dorsale). Ces cavernes étaient sit
principales observations de l'auteur : Les cavernes siègent dans la région cervicale et une partie minime de la région dor
ernes siègent dans la région cervicale et une partie minime de la région dorsale. La plupart des cavernes communiquent ave
érescence diffuse de moyenne intensité des cordons postérieurs à la région lombaire ; les segments les plus externes des f
port avec le degré moyen d'altération des cordons postérieurs en la région lombaire, sur les paresthé- sies dans la sphère
se le domaine des cordons pos- térieurs ? L'atrophie générale de la région dorso-lombaire qui est loin d'être la règle dan
grise des cornes antérieures est lésé dans la partie moyenne de la région dorsale : on note dans tout ce segment la dispa
éflexe patel- laire des deux côtés. Sensibilité électro-cutanée des régions anesthésiées éteinte outrés diminuée. Pas depar
huit fois sur douze ; ils man- quaient quand la tumeur occupait la région frontale. Dix fois on a observé le vertige et l
ll. La guérison a été obtenue par des pulvérisations d'éther sur la région rachidienne, par l'usage interne d'extrait de c
s coupes furent pratiquées au niveau du renflement brachial et à la région lombaire ; dans le premier point, la corne anté
on état ; mais à droite les groupes de cellules étaient sains. A la région lom- baire, les cornes antérieures des deux côt
ux côtés étaient atrophiées ; les mêmes altérations existaient à la région cervicale, mais limitées aux cordons de 1·ürcl
les cornes posté- rieures de la moelle, mais atteignaient aussi la région des fibres pyramidales. Au-dessus du point de c
même temps qu'apparaissait une tumeur à la partie inférieure de la région lombaire. A l'autopsie, on trouva dans le canal
ancéreuses, principalement au niveau de la onzième dorsale et de la région lombaire. La séance est levée et le Congrès ajour
que la sonde a pénétré dans l'estomac; appliquant l'oreille sur la région épigastrique il fait souffler dans le pavillon
ayant de séparer la pie-mère du cerveau, on voit qu'au niveau de la région fronto-pariétale elle entraîne de gros fragment
res après la mort, non seulement dans les parties sous-jacentes aux régions sphacélées, mais aussi dans les portions périph
l'observation précédente. Des altérations des nerfs cu- tanés de la région fessière coexistent avec une eschare rapide de
s de la région fessière coexistent avec une eschare rapide de cette région . Il y a très vraisemblablement entre les lésion
oûte osseuse. Hémi- /j ? e droite. Large plaque érylhémateuse de la région fes- siere droite, avec ulcérations superficiel
crâne, sans enfoncement, com- mençant à la partie postérieure de la région pariétale gauche, à trois centimètres au-dessou
n petit noyau hémorrhagique de la grosseur d'un grain de blé. Les régions fessières droite et gauche sont recouvertes par
peut être la cause de la for- mation rapide d'eschares sur les deux régions fessières. La bilatéralité de l'eschare est exc
mmets et du souffle sous la clavicule gauche. Souffle anémique à la région précordiale et dans les carotides. Toux rare, e
fausse mem- brane très fine, au niveau des lobes frontaux et de la région pariétale, sur les deux hémisphères. On trouve
xiste quelques tubercules miliaires dans les méninges de cette même région ; on n'en trouve pas au delà de la portion cervi
n du courant nerveux, en partie à l'influence de la section sur les régions inférieures du névraxe. Mais la première de ces
ymptôme, qui n'étant pas toujours lié à une douleur spontanée de la région doit être cherché. Il rapporte que la pression
deux ans, victime du 18 mars 1848, qui avait reçu une balle dans la région de l'épaule gauche : elle était entrée au nivea
ant gravement le plexus brachial. Le nerf radial passe à côté de la région cicatricielle, tandis que le cubital et le médian
bras gauche est générale, quoique de valeur différente suivant les régions . La main et les doigts sont ré- 238 REVUE DE pa
ningée ayant par la pression entraîné la complète disparition DE la RÉGION cervicale INFÉRIEURE DE LA MOELLE par FRIEDRICH
res ont cessé d'être membraneuses. C'est de bas en haut, vers cette région que se fait aussi l'épanouissement phy- siologi
s qui occupe une étendue d'environ six centimètres au-dessous de la région primitivement lésée de trousseaux postérieurs f
es micro-organismes iraient-ils se fixer exclusivement en certaines régions de l'organe central. 11 faudrait plutôt penser,
tout cas probable qu'il y .1 ries différences à cet égard selon les régions . Du moins le recoquevilicmcntet la rayure sont-il
'une fois, en janvier 1882, une sensation d'oppression pénible à la région précordiale. La commune demandant sa sortie, dans
de Paris, 1882. Contribution à l'étude clinique des tumeurs de la région temporale; par Bottez. Thèse de Paris, 1883.
à la superficie de l'organe, et parfaite- z ment circonscrites à sa région moyenne au niveau et un peu au voisinage du lob
risâtre translu- cide, des cordons de Golf, depuis le' milieu de la région dorsale jusqu'à l'extrémité inférieure du renfl
flexes,d : ttii.meiiibrepstérieur deila grenouille, a .indiqué .des régions dénia,peau donti ljexcitation- ,n." ».. li .i .
: l il PIPSI , , plus accen- . tuée, à la .partie intérieure de la région dorsale. Dans ces cas, , ne. pourrait-on, pas a
artériels"1 der'la' pie-mère'et'du cerveau; anémie l'ensemble 'des régions envisagées du côté pris; d'où céphalalgie, achrom
du'centre'optiquc REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ;t i J cortical ( région occipito-postérieure)j anémié, de ce. fait./Toutc
e 362 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. celles-ci occupassent toute la région dorsale et une petite éten- due de la région lo
i occupassent toute la région dorsale et une petite éten- due de la région lombaire dans l'observation I (parésie et rigi-
cordons latéraux, la portion interne des faisceaux cunéiformes à la région cervicale supérieure, le faisceau pyramidal et
ieure, le faisceau pyramidal et les deux cordons posté- rieurs à la région dorsale eussent été envahis (intégrité des py-
té aux courants continus entraînant des réactions iné- gales en des régions symétriques ou homolatérales sans altéra- tion
neux a permis le diagnostic de l'altéralioni et de l'atteinte de la région lombaire, à une période où .il n'exis- tait enc
rédité), qui provoquait chez lui l'orgasme vénérien en caressant la région fessière de petits garçons de moins de 'quatorze
ux et transverses et, notamment, de l'axe qui joint le milieu de la région inter-soureilièrc à la protuhé : SOCIETES SAVAN
raconte qu'il a soudain ressenti une contraction convulsive dans la région épigastrique avant de perdre connaissance. La c
aine, ou le voisinage de l'établissement. Que s'il se trouve en des régions étrangères, ils se borneront à le suivre et à t
oadmoor. Milibank est une vieille prison cellulaire, située dans la région ouest de Londres, sur la rive gauche de la Tami
dans l'hypochondrie gauche. Les douleurs s'étendent peu après aux régions épigasfriques et iléo-coecales pour irradier dans
ument devait occuper l'hypo- chondre gauche en mai 1878, en juin la région iléo-coecàle. Les dou- leurs ressenties dès lor
alement à l'aura, « cette manifestation extérieure du malaise de la région cérébrale sur laquelle va tout d'abord se porte
86 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
uit, vous ne l'ignorez pas, par l'excitation faradique d'une certaine région située au-dessus delà clavicule, correspondant au
ui lui paraît enserrée comme dans un casque de plomb, surtout dans la région occipitale et en avant vers les bosses frontales.
forme fruste. Voici en effet ce que l'on observe à gauche, en pleines régions analgésiques ; il existe au-dessus du pli de l'ai
, « que quelque chose lui remonte de l'aine gauche vers le ventre, la région du cœur où il éprouve des battements rapides, l
ventre, la région du cœur où il éprouve des battements rapides, la région du cou enfin, où il ressent comme un étranglement
(cas de Millier, cas de Jofiroy et Salmon), rarement plus bas vers la région dorso-ombaire (cas de Viguès). L'arme pénètre ent
on n'a pas amené la destruction complète des cellules nerveuses de la région , et que la restitution ad integrum en a été possi
ui : cependant vous voyez comment la compression de l'abdomen dans la région du tlanc produi chez elle un tressautement accomp
er, prédominant toutefois, comme c'est la règle en pareil cas, sur la région antérieure de la cuisse, était poussée déjà au pl
uleur vive qu'il ressent dans le côté droit du tronc, au niveau de la région hépatique et qu'il décrit comme un sentiment de b
l a été déjà question du reste plus haut, située sur le tronc dans la région hépatique, et celle d'une plaque de même nature o
in se trouve sur la partie médiane de l'épine, un peu au-dessus de la région lombaire. Double rétrécissement concentrique du
es qu'il est obligé de le quitter. C'est qu'alors il éprouve dans les régions frontales et occipitales, à la nuque, un sentimen
ornes antérieures, sans Fig. 32.— Croupe de la moelle faite dans la région lombaire. — A. Corne antérieure gauche saine, — a
ornes antérieures, ainsi que Cela se voit bien lorsqu'il s'agit de la région lombaire, la lésion peut ne pas se montrer unifor
antôt l'un tantôt l'autre des trois groupes ou amas cellulaires de la région . On peut même supposer, — quelle que soit la th
t, au milieu d'un appareil fébrile plus ou moins accentué, envahit la région des cellules nerveuses motrices des cornes antéri
sion exercée sur les parties, et, en particulier, pas d'escarres à la région sacrée. Conformément, à peu de chose près, à ce
ne saurait s'y engager cependant Fig. 33. — Coupe de la moelle à la région cervicale dans vin cas de paralysie infantile du
erf sciatique à la fesse et sur la partie postérieure delà cuisse; la région surtout douloureuse est encore aujourd'hui marqué
pendant quinze jours en tout. Depuis longtemps, il n'y a plus sur ces régions de douleurs spontanées; mais même encore aujourd'
tension du foyer, originellement limité dans la corne antérieure, aux régions postérieures delà substance grise,et peut-être mê
actère. Lorsque, en dehors des crises, on exerce une pression surla région ovarienne droite, la malade ressent ces mêmes bat
. r.e vm : mcurva-tion lente de la colonne vertébrale au niveau de la région u. ' u wa c; enfin affaiblissement des membres in
n de la surface de section d'une moelle normale examinée dans la même région ; sa consistance était ferme, sa couleur grisâtre
e qu'il porte du côté droit le tronc tenu raide dans la verticale, la région lombaire présentant une cambrure assez forte, les
souffre et qu'il localise dans l'épine, à la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire, qui semblent
dans l'épine, à la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire, qui semblent commander cette attitude.
ent facilement un certain degré de mobilité entre les vertèbres d'une région . De plus le patient n'en éprouve aucune gêne. Tou
u'ici la distribution de l'hyperesthésie cutanée chez notre homme. La région hyperes-thésiée forme comme une large ceinture qu
arrière, au niveau du rachis, s'étend sur quelques vertèbres de la région dorsale inférieure etsur toute lahau-teur des rég
vertèbres de la région dorsale inférieure etsur toute lahau-teur des régions lombaires et sacrées ; c'est là où la sensibilité
einture hyperesthe'sique ; ò. Hyperesthésie scrotale très accen- b. Région où l'hyperesthésie est tuée et testicule doulou
lombes, contourneles hanches, envahit enavant les hypocondres et les régions inguinales, d'où elle se répand sur le scrotum et
elle se répand sur le scrotum et sur la verge, laissant indemnes les régions ombilicale et hypogastrique. C'est à l'existence
logique ou physique, comme vous voudrez l'appeler, qui siège dans les régions cérébrales inférieures ou dans la moelle. Quelque
s prescriptions habituelles, une application de pointes de feu sur la région spinale. C'est dire que nous avions eu l'occasion
te, ne s'élevant jamais au taux d'une douleur vive; elle siège sur la région frontale et à l'occiput surtout, mais s'étend par
ue le malade éprouve d'une façon habituelle sur toute l'étendue de la région du sacrum et qui s'exaspère remarquablement lorsq
et elle n'a eu d'autre blessure qu'une bosse sanguine, siégeant à la région lombaire ; la douleur produite par cette contusio
sans voir s'exaspérer le sentiment pénible de pression qui occupe la région du sacrum — Aucun phénomène hystérique. Sa santé,
la jambe, sur toute l'étendue du pied. 36 Sur ces deux dernières régions , la sensibilité est normale; sur la première, il
sentiment de compression s'exerçant à la fois sur l'occiput et sur la région frontale ; elle est constante, permanente, et s'e
core une dormeuse. — Réveil produit par la compression exercée sur la région ovarienne. 2e Malade. — Contracture hystéro-tra
de l'attaque convulsive, une compression un peu forte agissant sur la région où siège l'ovarie a souvent pour effet de couper
harcot qui n'a pas cessé pendant ce temps de maintenir la main sur la région ovarienne gauche, s'adressant à l'auditoire : C
a face externe de la cuisse droite, une autre au cuir chevelu dans la région pariétale droite, enfin quelques contusions sur l
orsqu'il essaye de se livrer à un travail manuel, de douleurs dans la région sacrée et d'une grande fatigue dans les jambes ;
parfois très vivement d'une sensation de brûlure, siégeant soit à la région de l'estomac, soit le long de l'œsophage (2). 3
u matin à peu près tous les jours, par un sentiment de pesanteur à la région épigastrique bientôt suivi d'une douleur vive que
ée, reconnue également par M. Cartaz. Elle occupe surtout à droite la région des cordes vocales supérieures et inférieures ; o
artificielles si l'on insistait quelque peu sur la titillation de ces régions ... S'adressant au malade : A quelle époque avez
se iliaque droite : il est situé profondément et il faut soumettre la région à une compression un peu D Fig. 81. — Champ v
e est normal. forte pour déterminer les phénomènes de l'aura. Cette région devient douloureuse au moment où se produit spont
omiste constaterait, vous le savez, chez un tel sujet, dans certaines régions de la moelle épinière, les vestiges de la myélite
o-myélite aiguë ne puisse plus se reproduire jamais, au moins sur ces régions des cornes antérieures où les cellules motrices o
été irréparablement détruites. Mais le tissu cicatriciel qui dans ces régions là s'est substitué à la substance grise ne peut-i
us explicitement, l'altération atrophique des cellules motrices de la région . à). Une première catégorie à distinguer dans c
tomique-ment par une lésion exactement, systématiquement, limitée aux régions antérieures de la substance grise et laissant par
sation méthodique, soit par l'application répétée de révulsifs sur la région spinale, ou par tout autre moyen, d'arrêter la ma
a plante des pieds où la sensibilité est seulement émoussée, et de la région sous-ombilicale où l'on constate une hypéresthési
tre, au-dessous de l'ombilic. Il y a là. deux choses à considérer: la région qui est tout entière hypéresthésique et deux plaq
t saisir un pli de sa robe de la main droite, au niveau de cette même région de l'abdomen, que tout à l'heure elle frappait du
s coups répétés qu'elle y porte, la peau du ventre elle-même, dans la région correspondante, est couverte d'ecchymoses. D'autr
les derniers temps, il s'était produit chez elle une large plaie à la région sacrée. Un de ses cousins germains, du côté mater
bles sur la scrotum et le testicule gauche, sur le cordon et dans les régions avoisinantes ; pli de l'aine, flanc, hypogastre.
éanmoins, quelque insistance que l'on mette à pincer, à comprimer les régions en question, on ne provoque pas les symptômes de
Fig. 102. Distribution et intensité de l'Hyperesthésie suivant les régions . troubles moteurs hémiplégiques, survenus il y
tivement développées dans la capsule interne et probablement dans les régions antérieures des hémisphères, lésions d'où relèven
chiques. Cette extension aura eu pour résultat d'intéresser certaines régions encéphaliques non encore connues, mais que l'étud
thétique devrait être bien étroitement, bien précisément limitée à la région physiologiquement spécifiée; car, ainsi que nous
plasme formé le plus souvent, aux dépens de l'épendyme et de diverses régions de la substance grise spinale, principalement cel
e sa Fig. 113. — Moelle de syringomyélie par gliomatose médullaire. Région ccrvico-dorsalc. Hospice de la Sàlpêtrière. — Cou
. Marie. 1 Zone de condensation avec apparence papillomateuse. 1' Région dans laquelle existe encore un peu d'épithélium é
présente des teintes différentes, les plus foncées correspondent aux régions dans lesquelles la névroglie a acquis le plus gra
ection hauteur ; que.quefois cependant elle reste limitée soit à la région lombaire, soit à la région cervico-brachiale : ce
ois cependant elle reste limitée soit à la région lombaire, soit à la région cervico-brachiale : ce dernier cas est de beaucou
itivement fixées. Il semble en effet bien établi aujourd'hui, que ces régions -là peuvent être lésées isolément, primitivement,
trajet intraspinal des racines antérieures), sont en somme les seules régions de la moelle épinière qui intéressent directement
de la scélérose latérale amyotrophique, que les lésions limitées à la région des cornes antérieures de substance grise ne sont
pressions douloureuses : elles montrent en outre que, dans cette même région des cornes postérieures, siègent encore les condu
ers modes de la sensibilité, chaud, froid, douleur, occupent dans ces régions -là des départements distincts ; car chacun de ces
core à l'histoire de la syringomyélie semblent les désigner comme une région dont les altérations se traduiraient par la produ
intrinsèques, c'est-à-dire relevant des lésions limitées aux diverses régions de la substance grise centrale, et ici il y a lie
dire quant à présent, nous l'avons fait remarquer déjà, dans quelles régions de la substance grise siègent les lésions d'où dé
que par la nécessité d'exclure les autres parties, que c'est dans la région centrale, commissurale de la substance grise, qu'
le point de départ des accidents ; il pourrait se faire aussi que les régions dites colonnes intermédiaires de Glarke, où naîtr
rses parties de la substance grise ; l'envahissement par celle-ci des régions blanches, faisceaux pyramidaux et faisceaux posté
approchée. La mort a été quelquefois déterminée par l'extension aux régions bulbaires du processus morbide; plus souvent elle
basses sur ces parties-là ne sont en général pas perçues. La seule région du corps où l'anesthésie à la chaleur fasse com
ig. 114 Sensibilité au froid (0*). Les fig. 113,114, montrent les régions où l'application sur la peau d'un bloc de glace n
fois aperçu à ses dépens de cette insensibilité absolue de certaines régions de son corps aux impressions thermiques. Ainsi,dé
t, mieux encore, d'une myélite partielle centrale, localisée dans les régions qu'occupent habituellement les lésions spinales d
ulière que présentent toutes les parties de cette main surtout sur la région dorsale; elle est due à un œdème dur, ne recevant
out le crâne. Cette céphalée était particulièrement intense dans la région occipitale. En outre, il se plaignait d'une gêne
e toujours cette céphalée gravative incessante et prédominant dans la région occipitale qui est apparue dès la seconde semaine
la jambe sur la cuisse, et de plus cet examen fit éprouver dans cette région une sensation montrant que celui-ci était rempli
el) ...... 137 Fig. 32. — Paralysie infantile (Lésions médullaires, région lombaire) 141 Fig. 33 — — du membre supérieur (Lé
core une dormeuse. Réveil produit par la compression exercée sur la région ovarienne...... 271 2e malade. —Contraction hys
87 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ir d'exemple. A côté des bran- ches nerveuses on voit émerger de la région sous- musculaire et contourner le bord postérie
es. Ce fait inattendu, il est aisé de le vérifier dans toutes les régions , au cou, aux membres, etc. Nous pren- drons pou
ulions mettre en lumière les mêmes particularités dans toutes les régions ; mais il sera facile d'en vérifier l'exactitude.
'oeil droit ; des dou-' leurs névralgiques se sont montrées dans la région mastoïdienne gauche. C'est pour cette amblyopie
sse sa main appliquée contre l'oreille. Cette douleur siège dans la région mastoïdienne du côté gauche. Elle a un foyer ma
orteur de psoriasis depuis trente ans et en a eu dans dilfé- rentes régions . " Pollakiurie et polyurie modérées avec polyph
aine dans l'obscurité. Douleurs en ceinture pas très nettes dans la région abdominale inférieure ainsi que dans la région
très nettes dans la région abdominale inférieure ainsi que dans la région dorsale. Les urines et les selles sont si impér
l'aide du marteau de Skoda, sur certaines apophyses épineuses de.la région cervicale et lombaire mises à nu, .je provoque
l'application d'un courant faradique, un pôle au cou, l'autre à la région épigastriqne, la compression d'un des ovaires qui
t de presser sur les épaules, la partie postérieure du tronc et les régions fessières. Dans ces conditions, les secousses c
ive s'en suivait dont le point de départ pouvait être rapporté à la région plan- taire ou aux tendons des muscles. Or les
ns physiologiques entre le centre auto- matique de la marche et les régions cutanées que nous avons vu être des zones d'inh
face était toujours plus pâle que la gauche. A vingt et un ans, la région temporale droite commence à présenter un en- fo
sceaux pyra- midaux qu'il faut attribuer ces phénomènes. Quant à la région cérébrale trophique, il est jusqu'à nouvel ordr
ures. On les voit nettement à l'état de trousseaux compacts dans la région de la dixième paire dorsale. Puis, bien plus ba
érose) localisée, suivant toutes probabilités (pas d'autopsie), aux régions corticales motrices (intégrité du facial; contr
rovoquent des ramollissements et des hémorrhagies dans les diverses régions du cerveau et de la moelle (encéphalite interst
ndis que la manie résulte de l'inertie des mêmes tuniques, dans les régions antérieures du cerveau, on conçoit quelle modif
nés, en attendant leur réparti- tion dans les divers hospices de la région . Cet établissement, com- prenant une population
5° Des fourmillements qui se montrent de temps à autre en maintes régions du corps (mains, cuisses, etc.), mais qui, parfoi
n'y a pas d'engorgements ganglionnaires. Par moments, douleur à la région précordiale; palpitations à la moindre fatigue.
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 223 couche corticale, au' niveau de la région frontale gauche et de la région motrice du même
couche corticale, au' niveau de la région frontale gauche et de la région motrice du même côté ; 2° épaississement des paro
e, au niveau de la colonne vertébrale entre les épaules, et dans la région de l'hypochondre gauche. Aucune lésion organiqu
). - 2° Un foyer inflammatoire identique peut se développer dans la région inter- médiaire du cerveau et tuer l'animal san
atrophie des fibres, que l'on constate en descendant jusque dans la région des olives. Toutes les autres parties de l'encé
n'en reste plus que la char- pente. Les vaisseaux qui gagnent cette région sont les uns per- méables, les autres thrombose
des taches blanches qui, plus tard s'étaient pigmentées. Dans la région occupée par les taches, la peau s'était durcie et
get une contusion au front, la femme Rouvray a été atteinte dans la région dorsale et a subi une hémoptysie assez abondante;
eresthésie) le long de la colonne verté- brale vers le milieu de la région dorsale, au point que le plus léger contact lui
liments et les digère. S'ils sont ainsi oblitérés, c'est que sur la région antérieure et pos- térieure de leur cerveau se
n de la couche corticale située sur la première temporale et que la région touchée est toujours la même. A la partie moyen
res, qu'ils appartiennent à larégion'aiité- rieure (idéation), à la région moyenne (psycho-mo- trice), ou à la région post
rieure (idéation), à la région moyenne (psycho-mo- trice), ou à la région postérieure (appétits et ins- tincts), sont mis
t connaître et sur lesquels je n'ai pas à insister. C'est dans la région postérieure que se trouvent déposées les images
lectuelle, à la formation de nos idées : ces images passant dans la région fron- tale deviennent les schémas, les signes r
ifs de la pensée. Toutes les fois qu'une détermination part de la région postérieure, sans*le contrôle des centres supér
rice, un acte instinctif.' Quand le point de départ émane de la 0 région antérieure, il produit une détermination idéo-
ifférentes parties de la salle. Chez cette enfant, non seulement la région fron- tale est annihilée, mais la région postér
e enfant, non seulement la région fron- tale est annihilée, mais la région postérieure est en grande partie compromise.
gion postérieure est en grande partie compromise. A mesure que la région postérieure devient libre, l'intégrité successi
le centre cortical postérieur, transmet sa représentation dans la région frontale et provoque immédiatement un mouvement
à son tour, suivant un trajet analogue, actionne en sens inverse la région psycho- motrice, un mouvement de recul s'effect
nels les plus étranges. L'idiot chez lequel certains centres delà région anté- rieure deviennent libres cesse d'être un
ement sensori-motrices, elles reçoivent un certain contrôle de la région antérieure, elles commencent à devenir idéo- mo
propos une déséquilibrée de trente- deux ans, chez laquelle aucune région de l'axe cérébro- spinal ne fonctionnait d'une
,, échappait au \ HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS.. 3'H j contrôle de la région frontale. Par moments, elle'pro- nonce des mots
e, restant parfois très longtemps sous le coup d'une décharge de la région psycho-motrice. Elle avait encore des perversio
l est énervé, angoissé; il a une sensation de contraction dans la région épigastrique, enfin il est couvert de sueurs qu
répartitions de l'anesthésie ne correspondent évidemment pas à des régions anatomiques, ce n'est pas le territoire innervé
voie de guérison, un bra- celet d'anesthésie occupant exactement la région du poignet, tandis que la sensibilité est intac
nez-vous gémir pour une insen- sibilité qui occupe une toute petite région de la paume de la main droite, tandis que vous
s la moelle, mais dans l'esprit représenté, si vous voulez, par les régions corticales du cerveau. Dans l'esprit lui- même,
ie est caractérisée par de violentes douleurs de tête siégeant à la région frontale, et survenant par accès, lesquels s'ac
bonnes. Les premières les plus fré- quentes partent à gauche de la région du coeur. Les bonnes inspi- rations plus rares
es animaux adultes et ceux que les mêmes mutilations dans les mêmes régions déterminent chez les animaux nouveau- nés. Ains
es phéno- mènes que chez celui-ci, il faut et il suffit que dans la région tourmentée les fibres nerveuses soient revêtues
arité est générale. Mais les ganglions du cerveau, le cervelet, les régions les puis diverses du tronc du cerveau, qui du res
s. Au commencement du milieu du neuvième mois intra-utérin, dans la région où se devraient trou- ver les pyramides, et où
elle, du trousseau limitrophe de substance grise, on constate, à la région qui sera plus tard occupée par les pyramides en
egments de moelle sous-jacents, plus bas (renfle- ment lombaire) la région qui représentera plus tard la suite des pyramid
ni celles du noyau lenticu- laire, mais l'on y trouve celles de la région de l'insula ou de la base du noyau lenticulaire
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la première temporale et à la région de l'insula. Or, chez un malade (Obs. Il), des
ps genouillé externe, il semble (Obs. I) que la lésion de certaines régions de l'écorce du lobe occipital (coin première oc
rcule quadrijumeau antérieur; en effet, dans l'obser- vation II ces régions sont intactes de même que le corps genouillé ex
figures parfaites qui l'accompagnent. La scissure de sylvius et la région de l'insula sont d'abord examinées. REVUE D'ANA
ches se dirigeant en avant et en bas et dépassant les limites de la région pour gagner le lobe temporal. La crête moyenne,
u corps calleux rejoignent non pas, comme on l'a cru jusqu'ici, des régions de même nom et de même volume, mais des territo
trophie est adéquate au degré de la paralysie. suivant les diverses régions examinées, elle n'estsûrementpas proportionnelle
les deux parties des racines de l'accessoire qui affectent en cette région la forme d'une anse. On sait que, chez la greno
own-Séquard comme con- sécutive aux excitations de la peau et de la région cervicale anté- rieure, ne provoque pas la mort
piratoire, peuvent bien s'ob- server à la suite d'excitations de la région antérieure du cou et ^des organes sous-jacents
treint. Chez l'homme, à la suite de violences portant sur les mêmes régions , on peut voir survenir des états de dépression
l'autopsie, on constata diverses altérations intéressantes : - à la région bregmatique du côté droit, la table interne du cr
reuse chronique. -Par- fois, dans les petits vaisseaux de ces mêmes régions , outre de la péri-artérite, on trouve de l'enda
s'agissait d'un exsudat méningitique qui, après avoir atrophié les régions corticales, subsistait et continuait à irriter
rons ici. Une tentative de ce genre ne peut être faite que dans une région habitée par une population aisée et sensée. De
'y prêtent, d'utiliser la bonne volonté d'un médecin établi dans la région qui s'intéresse à cette assistance, par exemple
n garçon de dix ans qui, à la suite d'un coup de canne sur la tête ( région temporo-pariétale gauche) est pris de violentes d
oses évoluent autrement qu'en d'air 1 SOCIÉTÉS SAVANTES. 439 tres régions . L'orateur a examiné à ce point de vue la folie é
ique. Par exemple, les épilepti- ques travailleurs. Dans les autres régions , ils témoignent d'une fougue, d'une résistance
faire du cordonnier havrais Philippe Bloche, devenu célèbre dans la région par les guérisons soi-disant miraculeuses qu'il
88 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
devenir assez instruit pour se livrer efficace- ment à l'étude des régions inconnues, il a une idée fixe. Quand ' L'Idée f
, et, plus tard, des voies et moyens pratiques de voyager, dans les régions inexplo- rées. Ainsi font, chacun dans sa sph
mination et de classement qui n'a pas réussi. On ne connaît pas les régions de la volonté, de la raison, des adaptations du
centimètre au-dessus de la rotule, et à la face externe de la même région jusqu'au grand trochanter de l'insensibilité à
blanche depuis le point comprimé de la substance blanche jusqu'aux régions postérieures de l'écorce cérébrale. Les s auteu
cette fois, se dissipa seulement aux membres pour se cantonner à la région du facial inférieur avec persistance des troubl
our les en- fants idiots, imbéciles, arriérés et épileptiques de la région . L'administration supérieure, ainsi que nous l'
t, et augmente un mal de tête qui se cantonne avec ténacité dans la région pariétale droite et qui résille à des doses rép
e de cette infirmité. Une névrite peut arrêter le développement des régions innervées par le nerf malade 1. A cet âge, en l
ieurs. EC/l'Ut/ac ? ie. ,1/lél'll- lion des méninges localisée à la région des centres moteurs (l'nogr. med., 1878, p. 483
inaugure une série d'études sur la structure comparée des diverses régions de l'écorce du cerveau humain. L'examen histolo
De pyramides proprement dites, CAJAL u'en a jamais aperçu en cette région . Une autre particularité qui distingue l'écorce
tion : sont beaucoup plus délicates que ces fibres afférentes de la région visuelle. Il n'y a pas jusqu'aux axones des pyr
comme les appelle KÕLL1KF.I\) ne manquent jamais dans l'écorce des régions de la sensibilité générale ou spéciale (écorce
a 3° La physiologie et l'anatomie s'accordent pour établir que la région visuelle doit recevoir un courant considérable de
lules étoilées de la quatrième zone. Ajoutez qu'en traversant cette région , les axones ascendants destinés à la couche mol
deux types cellulaires nouveaux qu'il a découverts dans différentes régions de l'écorce. Les cellules du premier type se re
t de non-lieu. Dès que celte décision fut connue, un journal de. la région , bien connu pour son intransigeance réactionnai
Une paralysie alterne de la sensibilité indique une lésion dans la région supérieure de la protubérance, lésion intéressa
musculaires, ou d'élaborer les impressions centripètes venues d'une région déterminée. La doctrine des centres autonomes e
s est-elle en même temps motrice ? S'il en était autre- ment, cette région échapperait à la loi générale citée plus haut :
r des mouvements des yeux. 11 n'est pas prouvé, en effet, que cette région soit privée de fibres de projection (V : Déjel'
DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 187 1 superposées, les régions motrices et sensitives n'ont pas tou- jours les
u facial supérieur) est placé aussi au niveau de cette dernière ? - région par la majorité des auteurs. Cependant Mendel l
r des expériences d'Exner et Paneth, qui, par l'excitation de cette région , obtinrent chez les animaux des contractions de
pli courbe, d'où les effets des lésions et des excitations de cette région . La lésion des deux centres (ou de leurs fibres
écente, mais il est tout au moins impossible d'af- firmer que cette région (correspondant précisément au centre oculo-mote
gueur, le lobule pariétal inférieur, et la plus grande partie de la région postérieure des trois circonvolu- tions frontal
congestionnées ; suffusions sanguines sous-pie-mériennes dans la région sylvienne des hémisphères droit et gauche. La p
qu'il existe une véritable fluctuation au niveau de la base dans la région fronto-sphénoïdale. Si l'on sépare les deux hém
(à la par- tie extrême de la capsule interne), ou au loin en pleine région DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE. 213 frontale. L'h
psule interne; ou bien encore le foyer hémor- ragique s'étend de la région antérieure jusque dans l'extré- mité postérieur
dans-l'apoplexie progressive, l'hémorragie peut se faire dans celle région étendue que Gendrin, Charcot, Bouchard ont mont
cile d'invoquer une localisation étroite de l'hémorragie dans celle région comme cause de la marche progressive des symptô
r qu'il n'est même pas nécessaire que l'hémorragie se fasse dans la région habituelle de l'hémorragie cérébrale. Chez son
ogression est-elle en rapport avec la disposition structurale de la région dans laquelle s'est produite l'hémorragie ? N
stence d'un rapport entre la progression et la structure même de la région envahie. Chez un malade qui avait présenté le t
oduire dans un point variable d'une zone plus large, constituant la région de l'hémorragie de Charcot, et quelquefois même
du 15e au 20° jour. A la suite de la section du nerf vague dans la région cervicale, les cellules du ganglion noueux de c
orsal du nerf vague dans le bulbe, après la section de ce nerf à la région cervicale, est admise par M. Van Gehuchten et n
infiltration gom- meuse des colonnes antéro-latérales droites de la région dorsale supérieure, sclérose périphérique génér
a région dorsale supérieure, sclérose périphérique généralisée à la région dorsale dans les colonnes latérales surtout, pl
surtout, plaques de sclérose irrégu- lières, plaque gommeuse de la région dorsale inférieure et sclérose descendante lomb
ié gauche de la tête et de la face et, en outre, uneothésie dans la région de l'ophthalmique, de l'étage supérieur du nerf
eurs rétrécissements du canal de l'urèthre ; l'un est situé dans la région pénienne, l'autre dans la région membraneuse ; on
l'urèthre ; l'un est situé dans la région pénienne, l'autre dans la région membraneuse ; on cons- tate également un spasme
la région membraneuse ; on cons- tate également un spasme de cette région . L'existence de ces lésions donne l'explication
ures du soir, le pouls bat 95 pulsations par minute. La plaie de la région axillaire est à peu près cicatrisée, et ne donn
Même analgésie pour le thorax, l'abdomen du côté gauche et pour la région cervicale gauche. Seule la sensibilité à la cha
rien d'anormal ; du côté hémiplégie nous constatons dans les mêmes régions tantôt de l'hyperesthésie, tantôt de l'anesthés
t touché. Avec sa main gauche, il explore très bien les différentes régions de son membre supérieur droit dont il apprécie
e cependant car si l'on pique fortement l'une quelconque de ces régions , le malade porte sa main gauche au point bles
ne des corps caverneux étant dissimulée sous le tissu adipeux de la région symphysienne. Le gland est imperforé; cependant
DE FAITS. sorte de pont, et va ensuite se confondre avec celle des régions latérales. La verge ainsi recouverte d'un prépu
mal où s'engage la sonde. Pour compléter l'examen extérieur de la région , disons que sur les côtés, on trouve dans les r
lourde. La miction s'accomplit à croupetons; la conformation de la région périnéale fait suffisamment comprendre qu'il n'en
es s'observent surtout dans les fractures limitées ou propagées aux régions antérieures de la base, ce qui semblerait devoi
plus molle. L'hypertrophie atteint surtout les fléchisseurs et la région du cubitus. Les os sont aussi un peu épaissis. Un
XVII, 1898.) 1° Examen des cellules des ganglions spinaux dans la région lombaire d'un idiot de dix-huit ans, mort subit
n énorme cysticerque sous la pie mère médullaire, au niveau de la région dorsale de la moelle; en outre les ventriculaires
électrique est pro- fondément troublée. Hypoesthésie thermique aux régions postéro- externes des deux jambes et aux plante
de mettre fin à ses jours en se tirant un coup de revolver dans la région du coeur ; il reste peu d'espoir de le sauver.
lorées ou vacuo- laires. Quant aux autres groupes cellulaires de la région (noyau grêle, cunéiforme, olives et parolives),
rées, de petit diamètre en général, disséminées sans ordre dans les régions de la substance blanche, les plus voisines de l
une saillie plus ou moins accentuée, ou bien se collecter dans une région de densité inférieure à . celle de la masse, c'
a tête ou dans la poitrine, il éprouve une sorte d'angoisse dans la région gastrique. C'est souvent dans la bouche qu'il e
ù cette excitation porte beaucoup plus loin, bien en dehors de la région d'innervation des organes phonateurs comme dans
lature est ferme, la peau est fine. Le thorax est un peu aplati, la région pectorale peu développée, le dos un peu rond, la
élément fonctionnel très complexe ; ses connexions avec les autres régions du système nerveux central sont multiples et, d'a
sations céré- brales tend à prouver que c'est principalement par la région de la calotte que se fait la transmission de la
n'existe pas, dans le segment postérieur de la capsule interne, de région déterminée par laquelle ne passeraient que des
g faisceau croisé. Une petite partie de ce faisceau rayonne dans la région de la zone acoustique d'Ahlbom. Sa plus grande
stance un peu moins bleue, épaisse, vague, dont l'accumulation à la région centrale de l'organe qui nous occupe contraste
e épineuse. 11 y avait douleur à la pression sur les côtés de cette région . Ceitains symptômes permettaient de spécifierla
diquait que le maximum de la compression siégeait en cette dernière région . Mais la compression devait remonter au huitièm
LOGIE PATHOLOGIQUES. décrit par de Soelder provient en partie d'une région placée au- dessous du niveau des neuvième et di
Le faisceau optique médian se terminant dans la rétine et dans les régions centrales du nerf optique, vient apporter et co
: c'est d'abord une sorte de frémissement douloureux qui part de la région rétro-trochantérienne pour se propager en ligne
ent permanente. En dehors des paroxysmes, il existe au niveau de la région atteinle, une paresthésie persistante, même dur
xée sur la nuque du malade, la petite ampoule était promenée sur la région carotidienne et sur le goitre dans son ensemble
Depuis longtemps la liqueur d'Hoffmann est la grande panacée de la région , mais c'est depuis 1887, époque à laquelle on a é
e civilisation. La criminalité est comme nulle chez les peuples des régions arctiques. Et chez nous-mêmes dans certains de
eurs, on a tout juste le droit de suspecter un ramollissement de la région frontale antéro- supérieure ». RAMOLLISSEMENT
e, dissociée et se laisse entraîner sous un lilet d'eau. Les autres régions cor- ticales paraissent normales. Les coupes ve
l. En même temps, tout le long du membre supérieur droit, dans la région de l'épaule, dans la partie droite du cou et la j
re très oblique de haut en bas et de dehors en dedans, oedème de la région avec ecchymose très étendue occupant, pour la c
on avec ecchymose très étendue occupant, pour la cuisse, toutes les régions postérieure et interne ; pour les bras, les rég
sse, toutes les régions postérieure et interne ; pour les bras, les régions antérieure et interne. Au point de vue du diagn
clut la poliomyélite anté- rieure aiguë des adultes. L'examen de la région anale, et de la colonne vertébrale élimine l'id
x) une hémorragie des cornes anté- rieures qui a fusé dans toute la région comprise entre la troisième lombaire et la troi
nte ; il existe une sensibilité circonscrite il la percussion de la région temporale gauche. Bientôt apparaît une papill
ion du sphincter. De là, épreinte, lourdeur, douleur sourde dans la région périnéale (Guyon) et, finalement, dysurie, anur
fièvre modérée, nécessite l'ap- plication d'un sac de glace sur la région iléocaecale. Il souffre alors dans la région du
un sac de glace sur la région iléocaecale. Il souffre alors dans la région du fémoro-cutané externe gauche et se plaint de
ssement et d'insensibilité. Quatre semaines plus tard, dans la même région , diminution de la sensation de contact ; le pat
OGIE NERVEUSE. 499 perçu une sensation de velu au milieu de la même région ; depuis il l'aurait encore éprouvée quelquefoi
rmillements. 11 existe de la douleur et un peu de rai- deur dans la région occipitale et à la nuque, une diminution de la
gie et à l'étiologie des para- lysies nerveuses périphériques de la région du cou; par A. 1101-F- MANN. (Neuroloy. Centl'a
e ganglionnaire, non par compression (le volume des ganglions et la région s'y opposent) mais par propa- gation. L'affecti
core un petit foyer dans le coi- don latéral. Il est certain que la région moyenne de la moelle dor- sale est séparée du r
eur de cette glande (Hertwig, Schwalbe) a atrophié celle-ci, et les régions interpédonculaires, s'est dégagée dans le trois
ne. La névrite optique est le grand symptôme des tumeurs de cette région . Elle se termine par une atrophie des nerfs optiq
r Kosch, î99. Symptomatologie et etioloye des périphériques de la région du cou, par Holilnann, 502. radiale par compr
89 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oix caressante de Deus qui l'appelait et voulait l'emmener dans les régions célestes, elle aurait voulu se laisser aller mais
e sous les ordres de Neptune. Au-dessous de sa tête sont « diverses régions inexplorées de la terre dont on connaîtra par «
matoire ayant été localisé à la partie postérieure du cerveau et la région frontale ayant néanmoins un épaississement nota
d'un traumatisme, atteint de suppuration osseuse avec fistule de la région pariétale gauche. Epilepsie jacksonnienne à dro
des lésions de méningo-encéphalite s'étendant à presque toute la région psycho-motrice du même côté. A la face inférieure
eau pyramidal consécutive à la myélite, une sclérose combinée de la région sacro-lombaire ; 2° Une névrite périphérique. (Re
903). Malformations nombreuses et très accentuées des différentes régions osseuses du bassin et des membres inférieurs : à
r Hermann Proesch les sutures du crâne sont ossifiées; les os de la région temporale sont très minces et trans- parents ;
ible portion de la P3 et une vaste portion de la face interne de la région occipitale (cuneus, lobule lingual, lobule fusi
ssion consécutive à un coup de levier reçu il y a quinze ans. Cette région est douloureuse au toucher. On a porté le diagn
er, dans son cours iltérieur, par de vastes ramollissements dans la région des hémisphères cérébrales, ce qui 86 - SOCIÉTÉ
e même jour, : ¡ A l'autopsie on constata : une myélite aiguë de la région cervi- cale. Les organes internes étaient norma
internes étaient normaux. L'examen microsco- pique démontra dans la région de la corne antérieure droite, au. niveau des s
). Le processus morbide s'était exprimé. préférenciellement dans la région de l'artère latérale antérieure. Dans beaucoup
hyroïde externe naît par un bourgeon épithélial qui apparait sur la région dorsale de la troisième fente branchiale. La pa
e branchiale. La parathyroïde interne se développe aux dépens de la région dor- sale de la quatrième fente branchiale. S
roit du cou, du crâne et de la l'ace; le simple effleurement de ces régions provoque des crises très pénibles. Vers la mê
ressant également le côté droit et une éruption occupant la même région et dont on voit encore quelques traces, bien qu
il est un autre symptôme essentiel que révèle la pal- pation de la région malade, je veux parler des altérations objectiv
eux points il s'accompagne d'une infiltration des tégu- ments de la région . Le nez est volumineux; on pourrait, à un exame
ne faisait ici défaut. 1 1 Fig. 17. tUb CLINIQUE NERVEUSE. La région sus-orbitaire droite, au niveau de l'émergence du
plusieurs tubercules. Une autre plaque érythémateuse se voit à la région sus-orbitaire gauche, elle est séparée de la Fi
DE LÈPRE NERVEUSE. 107. précédente par une bande de peau saine.. La région sous- orbitaire droite est rouge également. L
muscles des éminences thénar et hypothénar, dans les muscles de la région profonde du mollet, ainsi que dans les muscles
orvan étaient en réalité des lépreux, la lèpre affectant dans cette région une forme lar- 122 CLINIQUE NERVEUSE. vée spé
ses formes larvées, n'était pas demeurée endémique en cer- taines régions . Cette opinion, je vous l'ai dit, a été soutenue
opinion, l'existence de la lèpre à l'état endémique dans nombre de régions de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique est bi
s fréquentes, il n'est pas douteux que la lèpre a présenté dans les régions euro- péennes une recrudescence manifeste : à P
écrit chez des lépreux une sclérose des cordons postérieurs dans la région dite endo- gène. Mais à de pareils arguments on
hé sur le dos; penche la tête en avant pour ramener son moi dans la région frontale. , Il a peur de ne pas reconnaître s
propageant pas à l'hémisphère entier, porte sur- tout sur certaines régions , et en laisse d'autres intactes. Dans l'espèce,
dans le tiers postérieur des 2e et 3° pariétales et empiète sur la région occipitale antérieure (chien et singe). Une petit
bablement le rôle de centres réflexes contrairement à la zone de la région motrice- D'ailleurs l'effort accommodateurpeut
du genou chez 4fi lapins. L'application locale des vibrations à la région de l'articulation du genou produit des phénomèn
re affaiblie. L'application des vibrations à la colonne vertébrale ( régions dorsale inférieure, cervicale, sacrée), entraîn
postérieures, surtout accusé quand 1 excitation est localisée à la région dorsale inférieure. Assez sou- vent la charge d
Keraval. l\I11. Un noyau spécial de la formation réticulée dans la région supérieure de la protubérance; parW. de l3ECn'r
du noyau du pectoral indique la localisation de ce réflexe dans la région des segments cervicaux 4-7. P. KIRAVAL. XXXVI.
lution de ces escarres a été la suivante : d'abord congestion de la région fessière et production d'une plaque d'érythème
urs et inférieurs ; une anesthésie com- plete inférieure jusqu'à'la région de la clavicule; manque de réflexes superficiel
envahissait la moitié droite et. en partie, la moitié gauche de la région cervicale de la moelle épinière : en appro- cha
et la corne postérieure droite, et en tel aspect elle va jusqu'à la région dorsale médiane, où s'augmente de nouveau à l'é
augmente de nouveau à l'étendue des deux segments ; puis jusqu'à la région lombaire elle va en aspect d'une assez petite r
e le° sar- come occupait encore la pie-mère, principalement dans la région dorsale médiane. On rencontrait dans la néoform
lorsqu'on applique pendant quelques secondes de la chaleur, sur la région cutanée qui le recouvre. Ces modifications de v
olente et une souffrance vive. Enfin, dans sa face même, il est une région infiniment sensible : ce sont les yeux. Les reg
ture intellectuelle est fort en retard, si on la compare aux autres régions . Ce fait semble venir confirmer la théorie si r
rène des pieds s'arrête, les pieds bourgeonnent. Mais les abcès des régions ganglionnaires se multiplient, et la malade meu
g après l'opération permet d'observer la réparation progressive des régions médullaires causées par l'am- putation ; . 3°
os, assez carac- téristique pour qu'à la simple inspection de cette région , ainsi que le montrent les photographies que je
la face postérieure de la jambe sont placés en dedans de ceux de la région antéro-externe. Le centre du jambier antérieur es
ais beaucoup plus discrètes et moins avancées, s'observent dans les régions moyennes et postérieures du cortex. A ce niveau
hysiologique, acquise. On peut ainsi concevoir que, au moment où la région de l'écorce pseudomaculaire est excitée, la régio
au moment où la région de l'écorce pseudomaculaire est excitée, la région corticale de l'endroit de la rétine qui préside
les branches de la carotide interne ; seul leur segment postérieur ( régions occipitales et une partie des régions temporale
seul leur segment postérieur (régions occipitales et une partie des régions temporales) reçoit le sang du système artériel po
ires, vertébrales, cérébelleuses) abondamment pourvu en toute cette région d'anastomoses. 2. Chaque artère corticale const
ette région d'anastomoses. 2. Chaque artère corticale constitue une région individualisée parce qu'elle ne possède pas d'a
les aliénés. 5. Ces ano- malies s'observent au premier chef dans la région de l'artère cérébrale antérieure qui irrigue la
vasculaire intra-cranien. P. Keraval. XL1V. De l'excitabilité de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'at
cas, il y a hyperexcitabilité. 2° Immédiatement après l'attaque, la région en question est un peu plus excitable et cette
ivie à son tour d'une chute graduelle. 6° L'hyperexcitabilité de la région corti- cale motrice ne saurait être attribuée à
tion à la connaissance des lésions corticales cir- conscrites de la région motrice chez l'homme ; par H. Li ? I. (Newologi
ques d'origine basale, capsulaire ou corticale. La percussion de la région du carpe et de la partie limitrophe du métacarp
ut expliquer par le trait d'union que forme l'ar- t cade entre deux régions crâniennes : quand on la frappe, elle ébranle u
é Lallivein, quarante-cinq ans, a reçu un coup de couteau dans la région du coeur et est mort sur le coup. Son meurtrier,
t, diminution de l'impressionnabilité de l'encéphale, notamment des régions méningo-corticales du cerveau, et, consécutivem
décrit par cet auteur montraient l'existence d'altérations dans la région de la couche optique. Il y avait en même temps
trice développée, et même grosses. - I. Il existe dans l'écorce une région utéromotrice située à la 1/2 postérieure de la
ce bord même, quelquefois un peu en dehors. L'excitation de cette région renforce les contractions utérines indépendante
utre assez de points de repère pour sup- poser qu'il existe dans la région des tubercules quadrijumeaux, non seulement des
leurs d'une autre manière. De là l'idée que, dans l 's foyers de la région des tubercules quadrijumeaux, l'excitation dire
umeaux, l'excitation directe des centres moteurs qui occupent celle région est susceptible de déchaîner des convulsions de
ons musculaires isolées au diagnostic d'un foyer sié- geant dans la région des tubercules quadrijumeaux, ce qui ne veut pa
drijumeaux mêmes. L'essentiel est de savoir que le foyer affecte la région sise en avant des tubercules quadrijumeaux, ce
on qu'il n'atteint pas; il s'en rappro- che à mesure qu'il gagne la région occipitale, pour n'aboutir à l'écorce que dans
lorsque la radiation optique de Gratiolet est myélinisée. Dans la région du corps genouillé externe, ce faisceau se com-
membre postérieur, on expose avec toutes les précautions voulues la région psychomotrice à l'action de 10 ou de 15 milligr
10 ou de 15 milligrammes de bromure de radium. On soumet ensuite la région au courant inducteur et l'on note quel est alor
des centres psychomoteurs. Il faut, après l'action du radium sur la région , un courant moindre pour obtenir les mêmes mouv
nerfs trophiques des cheveux, car à ce moment le cuir chevelu de la région est hyperalgésié. L'irritation des nerfs trophi
on l'a classique- ment définie; « Un sentiment de resserrement à la région épigas- trique accompagné d'une grande difficul
e vue physico-pathologique on peut dire que le bulbe semble être la région qui produit le phénomène de l'angoisse, au mpin
jours il a les mêmes accès en éprou- vant de la contracture dans la région massétérine. Un d'entre eux se borne à des nuag
qu'il élabore. C'est par une plaie qui siège habituellement dans la région orbito- temporale mais qui peut être située dan
mble bien que, chez le malade en question dont la plaie occupait la région médiane du nez, la toxine tétanique se soit pro
n général et plus particulièrement des progrès accomplis daus cette région de la France au point de vuc de l'hospitalisati
n Normandie parallèlement à la dégénéres- cence alcoolique de cette région 1. Les débiles incendiaires mettent le plus sou
illons normaux dans leur position, et, en tant que comparés avec la région correspondante du côté gauche, bien développés.
IV° 4. 1903.) 11 s'agit d'un cas de malformation portant sur deux régions sy- métriques des membres supérieurs avec attén
it atrophie des phalanges et des métacarpiens avec exten- sion, aux régions .musculaires et aux vaisseaux correspondants. A
pour affirmer en anatomie comparée l'identité fonctionnelle de deux régions . Chezl'homme, la zone motrice serait avant tout
phorie délirante. Voir Phtisi- ques. 1 Excitabilité. De l'- de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'
ribution à la connais- sance des corticales circon- scrites de la région motrice chez l'homme, par Lévi, 340. Voir Cer
Protubérance. Un noyau spécial de la formation réticulée dans la région supéneuie de la -, par Bechterew, 155. PsEUDO
90 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
rise au centre de la moelle épinière, il y a lieu d'établir plusieurs régions , plusieurs départements bien distincts. C'est ain
produit parfois des altérations qui affectent isolément ces diverses régions de la substance grise. C'est là justement le ca
lammatoire porte in-distinctement sur tous les points, sur toutes les régions de la sub-stance grise, d'où il résulte que la se
'âge adulte. —Déformations con-comitantes et consécutives de quelques régions . — Développement 1 Duchenne (de Boulogne), loc.
oc. cit. — Wolkmann, loc. cit., etc. normal, an contraire, d'autres régions du corps. — Tubercidisation pulmonaire. Le malade
a colonne vertébrale forme un coude, depuis la partie moyenne de la région dorsale, jusqu'au sacrum; cela est très-accusé. —
er par en donner un résumé succinct. Observation. — Douleur dans la région splénique. — Crises gastriques et cardialgiques ;
mmença son affection. — Le mal débuta par une douleur modérée dans la région spléniïjue, à laquelle se joignit bientôt une dim
'aperçut un jour quelle avait une petite plaque noire au niveau de la région inférieure de la joue gauche. Le médecin, appelé
s quelques muscles, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'une région d'un membre, dans lesquels les lésions continuent
de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans la région de la moelle d'où émanaient les nerfs se rendant
ivement, les cornes antérieures delà substance grise. Dans loutes les régions de la moelle, les grandes cellules motrices étaie
-prononcèe des racines antérieures, remarquable surtout au niveau des régions de la moelle le plus profondément atteintes, alté
.— Fragment d'une coupe transversale de la moelle épinière faile à la région lombaire, dans un cas de paralysie infantile spin
hose près, tous les caractères de la structure normale. Dans d'autres régions , les lésions de la névro-glie pourront se montrer
rot et Joffroy ont bien mis en lu-mière,— ne présentent au niveau des régions altérées de la moelle épinière , dans les cas réc
n-dairement la névroglie et s'étend de proche en proche, aux diverses régions des cornes antérieures. Mais cela n'est nullement
e plus souvent et seulement entre les épaules, quelquefois dans cette région et à la face ; enfin, dans des cas rares, ils son
aladie, après avoir atteint les cheveux de la partie supérieure de la région fron-tale, s'étendit à ceux des régions pariétale
de la partie supérieure de la région fron-tale, s'étendit à ceux des régions pariétales. Les cheveux, brisés à des hauteurs in
glandulaires. Le tégument correspondant est plus rouge que celui des régions avoisinantes. Sur quelques-uns des mamelons exist
de la Société anatomique, 1871, p. 25.) V. Molluscum pendulum de la région lombaire (fibro sarcome), par Challand ; examen h
git, dans ce cas, d'un homme âgé de 75 ans qui avait une tumeur de la région lom-baire depuis vingt-cinq ans. Elle s'était dév
able, il est vrai. La colonne vertébrale est convexe à droite dans la région cervicale, et convexe à gauche dans la région dor
onvexe à droite dans la région cervicale, et convexe à gauche dans la région dorsale (courbure de compensa-tion). (Voy. Planch
n, légèrement inclinée sur le bord cubital, est petite et aplatie. La région hypothénar, non-seulement n'offre plus aucun re-l
us aucun re-lief, mais paraît creusée. Une saillie marque encore la région thénar; toutefois, elle s'étend moins loin en hau
c'est une sorte de gouttière très-nette qui, en dedans, limite cette région . La face palmaire du pouce regarde normalement un
ait-elle la cause de cette lésion assez net'e-ment caractérisée. La région dorsale de la main n'offre de particuliers, que l
e ses adhérences à la cicatrice et l'anastomose déjà signalée. A la région dorsale, nous retrouvons tous les filets nerveux
e dans la position la plus oblique possible, par rapport à Vaxe de la région de l'urèthre occupé par'le bec; de là les quatre
e qui est pos-sible, grâce à la mobilité de la paroi inférieure de la région posté- rieure de l'urèthre, et à la longueur du
s, de la bouche et des appareils de sécrétion qui sont annexés aceite région ; les maladies du cou. L'auteur expose ensuite les
euse siégeant à la partie postérieure du crâne et occupant en haut la région moyenne de l'occipital. Cette tumeur, qui nais-sa
sse dans la moitié antérieure gauche de l'abdomen que dans les autres régions . Ce résumé rendra plus facilement compréhensibl
ariétal, était envahi par le cancer (feuillets antérieur et latéraux, région diapbrag-matique, épiploon gastro-splénique, etc.
utopsie, 30 heures après la mort.—Dans l'interstice des muscles de la région postérieure de la cuisse, existe un vaste cloaque
ième couche constituée par l'aponévrose fémorale et les muscles de la région antérieure de la cuisse (droit antérieur, vaste e
temps subi une diminu-tion considérable de leur volume. Ceux de la région antérieure occupent leur position normale, au-des
xion concourt manifestement à relever le bord interne du pied. A la région postérieure, les muscles, parvenus à la base de l
état normal. Il convient d'ajouter qu'au même niveau les muscles delà région plantaire présentent à peine cet état graisseux s
out d'abord le siège de la douleur et qu'ils étaient sous-jacents aux régions péritonéales atteintes les premières, a été condu
mbulance, du nombre des blessés français et allemands, des plaies par région , leur nature et enfin la terminaison. Nous ne sui
our les précédentes. M. Peltier passe aussi en revue les plaies par régions , les plaies avec lésion des vaisseaux, des nerfs
sont, en réalité, subordonnées à des lésions siégeant dans certaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce group
sensations irra-diées, toutes spéciales. Ces sensations partent de la région ova-rienne et gagnent successivement : 1° l'épiga
successivement : 1° l'épigastre; 2° le cou, en se traduisant dans ces régions par une oppression plus ou moins con-sidérable, l
sse bien préciser, n'ayant jamais ressenti la moindre douleur dans la région . État de la malade au moment de Vopération. Le
ptômes que l'on observe dans l'anévrysme artério-veineux des autres régions : troubles de la calorification, de nutrition, di
sités nombreuses, sur-tout au niveau de la jambe et du pied. Dans ces régions , les veines superficielles, très-flexueuses, form
on médullaire y a démontré Vabsence de toute lésion, du moins pour la région lombaire, qui seule a été examinée. — 11 en est d
nter le bord palpèbral; mais il y avait ainsi entre la paupière et la région mo-laire un espace losangique cruenté, que le chi
ence que je fais sous vos yeux. J'électrise cette grenouille dans une région située au-dessus de celle où sont implantées deux
e les courants continus. Ceux-ci ne peuvent même être isolés dans une région limitée, et en électrisant le membre antérieur cb
, un véritable abcès phleg-moneux affectant le tissu cellulaire de la région et que l'existence du phlegmon péri-utérin ne sau
rvice de M. le professeur Verneuil, pour une tumeur volumineuse de la région parotidienne gauche, tumeur dont le début remonte
tumeur se présente sous l'aspect d'une masse végétante qui occupe la région de la glande parotide gauche. Elle refoule en hau
isceaux ont été détruits par le galvano-cautère ; 5° Entre ces deux régions , la gaîne des vaisseaux carotidiens en bas, et pl
frisson intense avec tremblement général et douleur an-goissante à la région précordiale : T. R. 37°,3. — Soir : Le frisson a
omateuse; sur l'une de ses divisions secondaires, se distribuant à la région ramollie, à deux centimètres de son émergence du
ins ; il se plaint de douleurs de tête continues, occupant surfout la région occipitale ; la mémoire s'affaiblit progressiveme
e droite, ayant également envahi tout le pourtour du pavillon dans la région temporale et la région mastoïdienne. Antécédent
nt envahi tout le pourtour du pavillon dans la région temporale et la région mastoïdienne. Antécédents. Notre malade ne se r
du sang. Les autres bosselures plus récentes, qui se trouvent dans la région temporale en haut et en arrière, bien que volumin
ème injection de 6 gouttes au niveau de l'attache du pavillon avec la région mastoïdienne, où l'on trouve des battements très-
re 0,18 et 0,03mm, mais ce fait n'est pas de grande valeur dans cette région . Les formations intermusculaires doivent être d
butent; à une période plus avancée, elle est inférieure à celle de la région symétrique, et cette différence est appréciable à
encement d'eschare aux deux fesses. 19 août. — On s'aperçoit que la région parotidienne droite est rouge et tuméfiée. La m
rganes thoraci-ques ou abdominaux. — Le 20 août, la tuméfaction de la région parotidienne augmente encore et le coma persiste.
démontrée parce que je n'ai pu faire une dissection suffisante de la région parotidienne. Il est facile de reconnaître par
psammome, l'épithélioma, le myxome, la méningite hypertrophique de la région cervicale. Ces tumeurs déterminent une myélite qu
a lésion et reconnaissant pour cause la propagation de la myélite aux régions supérieures de la moelle ; 5° Des troubles trop
, on voit que la partie antérieure du tronc peut être divisée en deux régions , la ventrale et la thoracique, mais qu'en définit
simplex, par Purscr , 60. — Pendulum, par Malassez, 61.249. — tic la région lombaire, par le même, 62. — de la fesse, par Her
rveux (Des), par Ranvier, 119. Tumeur molluscoïde congénitale de la région fessière, par lier vieux, 209 (voy. Utérus, Parot
91 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
naît suffisamment l'anatomie descriptive, on peut aborder l'étude des régions . L'anatomie des régions cérébrales est, par-des
ie descriptive, on peut aborder l'étude des régions. L'anatomie des régions cérébrales est, par-dessus tout, nécessaire aux m
igent ses applications immédiates. En réalité, il n'existe que deux régions cérébrales naturelles : Yécorce et le seuil; jusq
s'est aperçu qu'il existait, dans la profondeur des hémisphères, des régions artificiellement créées par le passage du couteau
e du couteau, mais susceptibles d'être décrites et systématisées. Ces régions appartiennent à des surfaces de section déterminé
le sens des coupes, on peut aussi multiplier à l'infini le nombre des régions . Toutes les découvertes qu'on a faites dans le do
s cérébrales profondes ont été subordonnées à la détermination de ces régions arbitraires. La localisation de l'hémianesthésic
rieure, M. Charcot établissait l'autonomie fonctionnelle d'une de ces régions . Or, cette région ne peut être bien connue que pa
établissait l'autonomie fonctionnelle d'une de ces régions. Or, cette région ne peut être bien connue que par l'étude des coup
se presque toujours la face interne d'un des deux hémisphères dans la région fronto-pariétale. Quand la coupe est faite soigne
e toujours indispensable de faire l'examen microscopique de certaines régions de l'hémisphère, du moins dans les cas pathologiq
tie profonde, la plus réfractaire à la pénétration du liquide, est la région moyenne de la couronne rayonnante, c'est-à-dire l
partie incomplètes : on examine avec soin le foyer principal, et les régions adjacentes sont sacrifiées; car, ou bien elles on
l est permis d'exercer des tractions sur la méninge elle-même dans la région rolandique, cela est impossible dans la région oc
inge elle-même dans la région rolandique, cela est impossible dans la région occipitale. La pie-mère en effet, dans la région
t impossible dans la région occipitale. La pie-mère en effet, dans la région occipitale, est toujours si mince et si adhérente
ion varie du clair au foncé dans des proportions considérables. Telle région est d'un brun très sombre et opaque, telle autre
le sens de la coupe soit le même, et que la section intéresse la même région . Ce qui frappe plus encore que les différences de
e aux yeux que les zones de tissu nerveux qu'elles limitent, sont des régions anatomiques distinctes. Sur d'autres parties de
te; lorsqu'elle est examinée en sens inverse, c'est-à-dire lorsque la région antérieure de la coupe devient la région postérie
rse, c'est-à-dire lorsque la région antérieure de la coupe devient la région postérieure, la ligne de démarcation disparaît; l
e de l'autre partie s'atténuer. Il en résulte que l'ensemble des deux régions prend ainsi une teinte uniforme, intermédiaire en
a répartition des zones jclaires et des zones foncées dans toutes les régions , en modifiant la direction de leur éclairage, en
hange le sens de la coupe par rapport à l'éclairage, si l'on place la région antérieure à la place de la région postérieure, l
rt à l'éclairage, si l'on place la région antérieure à la place de la région postérieure, la surface de section du faisceau se
s faisceaux nerveux, dans l'hémisphère ou dans n'importe quelle autre région des centres, constituent des masses de fibres par
onséquent doit être pratiquée avec la plus grande attention, dans une région choisie d'avance, et sur des points de repère que
une des séries de nos planches. Si l'on a des coupes à faire dans une région très circonscrite, sur un petit fragment de l'hém
e, il faut, au fur et à mesure que les sections entament de nouvelles régions , ébarber cette membrane sur les bords, ou simplem
era que les figures des coupes ne reproduisent pas nécessairement des régions identiques sur tous les cerveaux, quelque soin qu
92 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
ir à 0m,045 de la base du triangle, c'est-à-dire vers le milieu de la région dorsale. Cette portion paraît répofldre aux vertè
poitrine, la diminution des vibrations thoraciques et la matité à la région postéro-externe et inférieure du poumon gauche da
umon gauche est fortement fixée au diaphragme, que l'on sent en cette région dur, résistant en le touchant du côté de la cavit
ouge foncé. La dure-mère rachidienne est épaisse; vers la fin de la région dorsale, elle est tapissée par une néo-membrane m
postérieurs, et plus particulièrement vers la partie supérieure de la région dorsale ; quelques corps granuleux dans les cordo
rsale ; quelques corps granuleux dans les cordons latéraux de la même région . OEil gauche. Le névrilème du nerf optique est
dies des tissus et des organes ; la troisième traite des Maladies des régions . De ces trois parties, les deux premières et le
nous^même; Le plan général du livre est celui-ci : étant donnée une région , l'auteur, selon l'importance du lieu anatomique,
nous est permis de parler de la sorte, et expose la pathologie de la région et les opérations dont elle peut devenir le siège
ve dans un même chapitre le tableau des difficultés anatomiques de la région , et la discussion de tous les symptômes que sa st
rhée. Prurit fréquent à l'anus depuis un an ; mais il a, dans cette région , une petite tumeur hémorrhoïdale qui peut l'expli
a choisi les difficultés de l'anatomie humaine et les a décrites par régions . Chaque région est contenue dans un carton¬nage i
fficultés de l'anatomie humaine et les a décrites par régions. Chaque région est contenue dans un carton¬nage in-4° s'ouvrant
-4° s'ouvrant comme un livre ; les divers éléments dont se compose la région sont dessinés, coloriés, puis découpés et articul
ordre doit s'effectuer la superposition des plans pour constituer la région . Sur l'une et l'autre face des organes mobiles,
le nom d'anatomie iconologique donné par l'auteur à son ouvrage. La région du larynx vient de paraître ; le cerveau est en p
ée de tous, et les élèves pourront se procurer séparément chacune des régions dont se composera la collection complète. Nous
us l'influence de l'âcreté de la sueur l'intertrigo survient dans les régions où des surfaces cutanées sont mises en contact; l
que l'on voit arriver l'épaississement du derme de la peau, dans les régions affectées ; sur le scrotum, principalement, on se
ents de ce harnais ne tarda pas à provoquer de l'érythème en diverses régions . À la ceinture, là où se trouvait déjà de l'inter
système nerveux (vertiges, crises éptileptiformes), des douleurs à la région sus-pubienne, et de fréquentes difficultés dans l
li supérieur du poignet. Pen¬dant cinq ou six mois il porta sur cette région une tumeur qui ne s'accompagna ni de fièvre, ni d
Alopécie depuis huit semaines; iritis à gauche. Adénites au cou, à la région mas¬toïdienne gauche, aux aines. Pas d'angine; œd
use en coquillages. L'éruption occupe, par ordre de confluence, les régions suivantes : la face (front, nez, paupières gauche
lui-môme, tout en permettant à l'observateur d'explorer les diverses régions du fond de l'œil et de l'arrêter sur celles qui p
le tubercule antérieur du vagin. Il n'existe pas d'utérus, et dans la région qu'il devrait occuper, on constate la présence d'
ui ne diffèrent pas de ceux que l'on rencontre d'ordinaire dans cette région . Le ligament de l'ovaire a 3 centimètres de longu
sura¬joutées. Nous citerons tout d'abord un abcès ganglionnaire de la région latérale gauche du cou, abcès qui s'est ouvert sp
re des tempes, les pommettes et les joues dans toute leur hauteur. La région sus-hyoïdienne est traversée par une vieille cica
raversée par une vieille cicatrice, sans rougeur, qui déborde sur les régions latérales. Membres supérieurs. Adroite, on trou
ère descend obliquement et vient aboutira une cicatrice qui occupe la région dorsale du poignet et du métacarpe. Les quatre de
e digital sont très-bornés. La moitié inférieure du bras gauche, la région postérieure du coude, \avant-bras présentent une
parfaitement; seul, en effet, à cause de la situation profonde de la région la rendant inaccessible à l'inspection directe, s
à la Société anatomique par M. Leroy, en 1866; s'irradient vers la région lombaire et les cuisses. Elle éprouve en outre co
ation. Son ventre est dur, tendu, douloureux, surtout au niveau de la région du foie. Du côté de la poitrine, on constate les
us et pour ^certains organes une affi¬nité toute spéciale. 11 est des régions prédestinées à recevoir le pre¬mier stigmate de l
il pathologique qui s'accomplit dans les organes profonds; dans cette région , enfin, on voit surtout apparaître des ulcères de
e tissu cellu¬laire superficiel, et la poche occupe de préférence les régions cru¬rales lombaires. Le liquide contenu paraît êt
ulière, et ne s'accompagnait d'aucune souffrance dans le ventre ou la région lombaire, mais quelquefois la malade avait de la
s accès viscéraux. 1868, 27 et 28 janvier. Douleurs très-vives à la région précor¬diale, comparables à des coups de lancette
. Le creux axillaire est en partie comblé. L'épaule est arrondie, les régions sus et sous-épineuses sont gonflées de même que l
également. Enfin, la sensibilité électrique est éteinte dans toute la région de l'épaule droite1. — La suite au prochain num
tant couchée et légèrement inclinée sur le côté droit, je percutai la région pour m'assurer qu'aucune anseinlestinale ne se tr
n-seulement du trismus, mais encore de la contracture des muscles des régions antérieures du cou, du thorax et de l'abdomen. La
bord horizontal qu'elle abandonne bientôt pour aller se perdre sur la région latérale gauche du cou. Elle mesure 2 à 2 centi
logie, 1868, p. 212. les mensurations, et occupait non-seulement la région de l'épaule, mais encore le bras, le coude et une
ouche épaisse de poussière qui suffirait pour donner à la peau de ces régions la teinte bron¬zée que lui imprime naturellement
able des muscles de la dé¬glutition. Roideur et douleur vague dans la région cervicale posté¬rieure et dans la région dorsale,
eur et douleur vague dans la région cervicale posté¬rieure et dans la région dorsale, p. 72. Grands bains prolongés. — Extra
le reste de la nuit, il a été très-agité. La contracture a envahi la région lombaire. P. 120; chloral, 8 grammes. Bains prolo
lle-même en plusieurs variétés qui em¬pruntent leur nom à celui de la région qu'elles affectent : péritonite diaphragmatique o
ut de quelques semaines, à une péritonite purulente, circonscrite aux régions que nous venons d'indiquer. 2° Péritonite génér
93 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
ques dans leurs divisions et subdivisions. La connaissance de cette région de la trame conjonctive du poumon n'est pas, tant
mière naîtra du contraste. A. Laissant de côté, pour le moment, les régions supérieures des canaux aériens (larynx, trachée,
d'autant plus larges et d'autant plus plats, qu'ils siègent dans une région plus voisine du fond des cavités alvéolaires. En
e des alvéoles, entraînant la destruction des éléments spéciaux de la région , à savoir: fibres musculaires de la vie organique
diffèrent de celles que j'avais formulées à l'époque. C'est dans la région du labyrinthe — et, à ce propos, je vous renvoie
air sur un fond rouge. Les parties rouges et déprimées répondent à la région labyrinlhique ou des canaliculi contorti atrophié
parties plus claires, sail-lantes, les granulations, en un mot, à la région centrale du 1 Voir, sur ce point, Charcot, toc.
artie périphérique du lobule, et elle s'étend progressivement vers la région centrale, occupée par la veine intra-lobulaire. E
partielle sont assez nombreux pour se souder et faire disparaître les régions splénifiées, on a dès lors une lésion en apparenc
ns à divers degrés en zones concentriques. Tandis que le centre de la région hépatisée est gris, les zones périphériques en so
sont dilatées, remplies de muco-pus; enfin il y a de l'emphysème des régions non atteintes. En résumé, cette description met
e troisième période, c'est-à-dire au bout de huit à quinze jours, les régions splénisées ont une couleur plus pâle, grisâtre; o
embryonnaires infiltrent les parois alvéolaires. Aussi bien dans les régions splénisées que dans les points hépatisés, les cel
plus souvent, suivant Chomel (cinq fois sur huit), elle occupait les régions inférieures; une fois seulement le lobe supérieur
cé du cœur, du même côté que la lésion pulmonaire : à gauche, vers la région sous-claviculaire ; à droite, et en haut, au nive
, se grouper sur les pa-rois des lymphatiques qui abondent dans cette région . 2° Le tubercule développé autour d'un conduit
ble (tubercule cru) qui, plus tard, se désagrège, à commencer par les régions centrales des par-ties envahies et donne ainsi na
i, offrent une constitution complexe, il y a lieu d'y distinguer deux régions : 1° Région centrale; celle-ci paraît constituée p
ne constitution complexe, il y a lieu d'y distinguer deux régions: 1° Région centrale; celle-ci paraît constituée par une subs
la slructure normale du poumon ne peuvent être distingués, dans cette région . Il faut en excepter cependant : a) les bronchiol
inte-nant comblées par le détritus caséeux. 2° Tout autour de celte région centrale qui répond, on le voit, à la description
isseur, qui suit exactement tous les contours du bord limi-tant de la région centrale. Cette zone offre, sur les couches trait
armin, une coloration rosée, qui contraste avec la teinte jaune de la région centrale; les contours alvéolaires marqués par la
de fibres élastiques sont là moins apparents que dans cette dernière région . La zone en question est essentiellement constitu
vités des alvéoles et leurs parois net-tement limitées, du côlé de la région centrale, elle offre, au contraire, du côté oppos
, le plus souvent sur un rang, et » alors au voisinage immédiat de la région centrale, quand la » zone est mince, quelquefois
ints, l'espèce de couronne vir-» luelle qu'elles forment autour de la région centrale se trouve » interrompue, parce que quelq
d'apparence vitreuse ou caséeuse, comparable à celle qui constitue la région centrale des nodules tuberculeux. « D'après » cel
vaient même subi, à un haut degré, la dégénération caséeuse dans leur région cen-trale ; ils constituaient dans le poumon, de
sions de l'inflammation commune. C'est au sein des nodules, dans leur région centrale, et ici encore, aux dépens de la néoform
it à laisser passer inaperçue cette zone em-bryonnaire qui, limite la région caséeuse des nodules tuber-culeux et la sépare de
, limite la région caséeuse des nodules tuber-culeux et la sépare des régions où le poumon offre les lésions de l'inflammation
s, pas de râles caverneux, pas de craquements, pas de matité clans la région des lobes supérieurs : respiration soufflante et
douleur vive siégeant au creux de l'estomac. La pression exercée à la région épigastrique exaspère beaucoup cette douleur, et
les, développés dans l'épaisseur du corps des vertèbres, surtout à la région lombaire. Ce fait, intéressant à plusieurs égards
: Les malades éprou-vent des douleurs dont le siège principal est la région lom-baire et qui, de là, s'irradient dans toute l
, on peut admettre que la répartition du pigment dans les différentes régions du système capillaire est fort inégale ; caries d
it due à un dépôt de ma-tière pigmentaire qui se fait surtout dans la région tout à fait inférieure des cellules de la couche
ation d'étendue ; la percussion fait reconnaître en même temps que la région des reins n'est pas douloureuse ; l'émission de l
e temps une douleur sourde, que la percussion exagère, se montre à la région du cœur. L'auscultation du cœur fait constater l'
e à chaque inspiration pulmonaire. Prescript. : Un vésicatoire sur la région précordiale. {"juillet. — Même état que la veil
; je veux parler du souffle rude et superficiel observé dans toute la région interscapulaire. Ce symptôme n'était cepen-dant p
t ailleurs: « il peut être plus prononcé que celui qu'on perçoit à la région précordiale ». (W. Stokes, The Diseuses of the He
e son insuffisance. — Le double souffle lointain qu'on entendait à la région précordiale, au niveau de l'union du car-tilage d
ique des conjonctives. La malade rapporte toutes ses souffrances à la région du foie; quand on palpe ou qu'on percute cette ré
ouffrances à la région du foie; quand on palpe ou qu'on percute cette région , elle accuse une douleur vive aussitôt qu'on arri
rtères radiales est complètement insensible. La main appliquée sur la région précordiale perçoit des battements peu énergiques
précordiale perçoit des battements peu énergiques. La matité de cette région est absolue et très étendue; la percussion n'y pr
au-dessous du niveau de l'angle de l'omoplate. L'exploration de celte région par la percussion n'y fait pas reconnaître de mat
nduit blanc. La teinte ictérique se prononce davantage, cependant, la région du foie est moins douloureuse. L'appétit se perd.
paru. Il en est de môme du souffle qu'on entendait distinctement à la région dorsale. La matité correspondant à la partie infé
it un purga-tif, puis un vomitif, et fit appliquer un emplâtre sur la région du foie qui était devenue alors le siège d'une do
é et douloureux à la pres-sion: il n'y a pas de diarrhée. Il y a à la région cardiaque un bruit de souffle ayant son maximum v
lein et fréquent (128 pulsations). Il existe un bruit de souffle à la région moyenne du cœur, perçu entre les deux bruits norm
e digitale (40 gouttes); sinapismes, huit ventouses scarifiées sur la région précordiale; sulfate de magné-sie (45 grammes).
, et il y a peu de sérum de séparé. — Six ventouses scarifiées sur la région du cœur, lave-ment émollient, sinapismes, bouillo
le plus intense, que ces bruits avaient leur maximum au niveau de la région Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 27
ne douleur vive se manifeste dans la fosse iliaque gauche; dans cette région , on constate bientôt l'existence d'une tumeur ass
Elle avait éprouvé, entre autres symptômes, une douleur vive dans la région sacro-iliaque gauche. Frissons, fièvre, courba-tu
t, lorsqu'elle n'est pas impérieuse-ment nécessaire, la palpation des régions auxquelles appar-tiennent les veines oblitérées.
malade qui éprouvait depuis longtemps de violentes palpita-lions à la région épigastrique. Les faits de ce genre conti-nuèrent
thoraciques ait eu lieu, on constate une voussure inso- lite de la région ; quand l'aorte ascendante est affectée, c'est du
ortance séméiotique d'autant plus grande qu'on est plus éloigné de la région précordiale; en se rapprochant du cœur, les donné
eloppée à la partie antérieure du vais-seau. Lorsqu'elle en occupe la région postérieure, on aperçoit quelquefois un soulèveme
lpitations ner-veuses ou les tumeurs solides si fréquentes dans cette région , et qui, reposant sur l'aorte, en transmettent à
ffus. L'existence d'une pareille lésion sera facilement reconnue à la région thoracique. Les signes qui la révèlent sont plus
région thoracique. Les signes qui la révèlent sont plus obscurs à la région abdominale ; cependant, on constate presque tou-j
nne vertébrale, des bruits pathologiques, encore plus marqués qu'à la région an-térieure. C'est ce qui existe assez souvent, p
anévrismes de l'aorte descendante donner lieu à de la matité dans la région dorsale, tandis qu'on ne perce-vait aucun murmure
a rigueur se passer ainsi: un domestique ayant reçu une blessure à la région lombaire, près des apophyses épineuses, éprouva,
entres de pulsations : l'un, qui correspond à la tumeur, l'autre à la région précordiale. i) Les rétrécissements des orifice
u même côté. L'état du pouls, les accidents localisés au bras ou à la région cervicale gauche, la moins grande intensité des t
ement, les anévrismes de l'aorte abdomi-nale, lorsqu'ils siègent à la région épigastrique, et s'accompa-gnent de troubles dige
ants ; elle se manifeste, dès le dé-but, et tend à s'irradier vers la région lombaire ; en outre, la tumeur pulsatile se dével
à un anévrisme disséquant,le malade éprouve une douleur violente à la région précordiale, qui remonte vers l'épaule, et descen
une suppression complète des urines et des douleurs gra-vatives à la région lombaire. L'explication de ces phénomènes est enc
ilatation énorme. La percussion donne en général un son mat dans la région sus-claviculaire droite, quand l'œdème des parois
double courant, avec frémissement cataire, dans toute l'étendue de la région cardiaque. Le ma-lade ayant succombé à la suite d
, la rup-ture fut occasionnée par un simple coup de bâton asséné à la région dorsale. Les individus affectés d'un rétrécisseme
oisins ; c'est ainsi qu'un abcès formé dans le tissu cellulaire de la région cervicale a pu s'ouvrir dans la crosse de l'aorte
les bruits du cœur s'entendent plus distinctement dans le dos qu'à la région précordiale. On pourrait rapprocher de ces trou
battements énergiques sont perçus lorsqu'on appli-que la main sur la région épi gastrique, mais on ne sent point là de tumeur
la percussion restent également sans résultat, et il n'y a dans cette région , ni souffle ni matité anormale. Les fonctions del
à son niveau. Injection vive et pointillée dans le duodénum. Dans les régions où les valvules conniventes sont très apparentes,
94 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
consultants Population au 31 décembre 1902. LXXV qui habitent la région dépourvue d'établissements bal- néo-hydrothérap
rables d'Ivry qui devraient être des centres hospitaliers pour leur région (1). Population au 31 décembre 1902, - Il Y ava
tives. cet enfant présente sur cxx Enfants martyrs . les diverses régions de la face, des bosses, des ecchymoses, des pla
rachnoïde, sont partout épaissies, il un degré variable suivant les régions ; mais, tou- jours le maximum des lésions siège
ienne est notablement augmentée d'épaisseur. Au niveau de certaines régions plus particulièrement mala- des, généralement l
iale de méningo-encéphalite corticale surtout prononcée clans les régions les plus superficielles de l'écorce cérébrale. Le
c une intensité sensiblement égale. Cette méningo-encéphalite des régions superficielles du cerveau a cntrainc la dimi- n
libres nerveuses, tangentiel- les et radiaires, quelle que soit la région examinée. Par contre, les cellules nerveuses, i
ssez gros. Colonne vertébrale légère- ment déviée à gauche clans la région dorsale, et adroite'dans la région lombaire.
ment déviée à gauche clans la région dorsale, et adroite'dans la région lombaire. Organes génitaux : poils noirs, longs
s organes abdominaux. Organes génitaux. - Etat glabre de toutes les régions .- Verge : 3 cent. de longueur sur 4 de circonfé
dans la fosse sous- épineuse droite; matité également au niveau des régions qui correspondent aux deux pédicules bronchique
Vus par transparence, les deux pariétaux sont opaques, sauf dans la région des sutures. On constate de part et d'autre de
che. 1° Face interne : La pie- mère est un peu vascularisée dans la région pariétale. Les veines sont gorgées de sang. - A
esque lamelliforme. L'opercule rolandique est mince et atrophié. La région sclérosée comprend deux parties verticales réun
on épaisseur et non sur sa hauteur, car elle est de niveau avec les régions voisines. L'extrémité antérieure des trois circ
éma- teux ? avec une scoliose il convexité gauche, portant sur la région dorso-Iombaire...» Le second a trait à une fillet
5.) 5° Chez Amélina F..., « la colonne vertébrale est déviée à la région dorsale ; la convexité, tournée adroite, fait une
.» (lIJÙ1., p. 14 et 15.) 7o Wat. (Augustine) a le dos courbé; la région lombaire est excavée. (Comp/I'-rendu de 1889, p
gauche est plus élevée que la droite, très saillante, ainsi que la région scapulaire; In colonne dorsale décrit une convexi
t une déformation du rachis et une enscl- lure très prononcée de la région lombaire.» (<'0)) ! p/e-)'endu de 189G, p. 5
à droite, l'autre infé- rieure, à convexité regardant il gauche. La région lombaire présente une ensellure très prononcée.
ne médiane, d'a- bord au-dessous de l'ombilic, puis au niveau de la région épigastrique. Il se produit du côté excité une
happe des doigts. On le perçoit en palpant l'urètre au niveau de la région scroto-périnéale : on sent une con- traction mu
s l'influence du chatouillement, avec une épingle, de la peau de la région anale. Il importe de donner au malade une des p
, 800. Tète. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région occipitale, saillie prononcée des bosses pariétal
onnons de suite quelques-unes des dimensions normales de cette même région , indiquées par M. Papillault, dans son travail
hl'opologic, 1896). ETUDE DU squelette. 121 l'aplatissement de la région chez le myxoedémateux. Venant d'in- diquer la c
s tenu compte en montant le squelette. Voici quelques me- sures des régions thoracique et vertébrale : Etude DU SQUELETTE.
rrés, a été prélevé à la partie antéro-supérieure gauche du thorax ( région sous-claviculaire). Cette peau, glabre, est doubl
tiqué sur plusieurs circonvolu- tions choisies dans les principales régions de l'écorce cérébrale : par exemple, au niveau
méningites, atrophies cellulaires, légère sclérose névroglique des régions superficielles de l'écorce cérébrale. Méningi
ontenu. Surtout, le réseau vasculaire est riche, quelle que soit la région examinée ; artérioles et veinules ont des paroi
nerveuses. - Les cellules nerveuses ne sont pas intactes. Dans les régions où le processus pathologique parait bien avoir
les couches qui apparaissent si nettement à l'état normal, dans la région rolandique par exemple. Ainsi, les pyramidales,
logie et la structure générale des neuroblastes. Dans les au lies régions ¡lobe occipital, par exemple), le pro- ces>u
disposition habi- tuelle. En résumé, à part la légère sclérose des régions tout-à-fait superficielles de l'écorce cérébral
as découvrable. Testicules de la grosseur d'un gros haricot, égaux. Région anale normale. 8 octobre. -Eruption pustuleuse
du volume d'un haricot, prépuce recouvrant entière- ment le gland ; région anale normale. Parole améliorée, essaie de répé
hon, se portant vers la droite, léchant la commissure labiale et la région avoisinante de la joue ou sur la lèvre supérieu
les lèvres, V..., d'un revers de main, essuie la salive (parfois la région mouillée s'ulcère), secoue la tète, soulève les
naient de la rougeur, des excoriations, et même des ulcérations des régions humectées. Nul autre accident concomitant n'est
n'est le siège de démangeaisons. Mme V... ne saurait dire si les régions décolorées suent plus ou moins que la peau sain
mier abord, on pourrait croire que la ré- gion la plus brune est la région malade et qu'il s'agit d'une éphélide. ' D'ap
on semblable il celle que nous venons de décrire, limitée aux mêmes régions , mais moins confluente que celle du 23 août.
airement ou non, des attouchements, des, frictions au niveau de ces régions , voire même des exco- riations, en tout cas une
ès peut être obtenue grâce à des applications réfrigérantes sur les régions crânienne et rachidienne. Il est curieux cle co
en peu saillant; rien aux organes abdo- minaux. Organes génitaux. Région anale, rien. Pubis et corps glabres. -Verbe : c
z2 ; circonférence 5 cent. Testicules de la grosseur d'un haricot. Région anale normale. - Traitement. Bains salés, sirop
les aigus ou des cailloux tranchants. 28 novembre. - Chute sur la région fessière ; hématome de la partie profonde de la
essière ; hématome de la partie profonde de la fesse et de toute la région . Vu le gonflement il est impossible de savoir s
noncées. Crâne asymétrique : la ré- gion pariétale droite et la région occipitale gauche font saillie, de telle sorte
onge le plan du visage qui est incliné en arrière. Un épi dans la région fron- tale antérieure. Oreilles, mômes carac-
volumineuses ; elles ne présentent aucune anomalie dans aucune des régions . Face interne. - Rien d'anormal à noter. Face
95 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
1, 12, 13, 14, 15.) Les deux processus antérieurs se replient vers la région frontale et se continuent avec les processus enté
téroîdes, les uns circulaires, les autres repliés, qui occupent cette région . Les deux processus verticaux postérieurs, l'un
dirigent en avant et en arrière, et vont se confondre avec ceux de la région frontale et de la région occipitale. Les processu
rrière, et vont se confondre avec ceux de la région frontale et de la région occipitale. Les processus de la région frontale p
de la région frontale et de la région occipitale. Les processus de la région frontale présentent une grande irrégularité. To
le. Ces lignes séparent sur la face externe de l'hémisphère plusieurs régions , à savoir : 4° Le triangle orbitaire; 2° le tri
ieure de l'hémisphère au sommet du lobe temporal. Il y a, entre ces régions et celles de la face interne de l'hémisphère, des
a rapport aux circonvolutions qui occupent l'aire de ces différentes régions nous devons renvoyer au bel ouvrage de M. Foville
. A ° Plis du lobe frontal. Le lobe frontal est subdivisé en deux régions : l'une inférieure, plus ou moins concave, répond
artie postérieure de la scissure des hippocampes, est divisée en deux régions bien distinctes par la scissure perpendiculaire i
stinctes par la scissure perpendiculaire interne. L'une de ces deux régions est antérieure ; elle répond à la fois au lobe fr
J'ai colorié en couleurs diverses, dans mes figures, les différentes régions cérébrales. Je n'avais d'abord appliqué cette mét
ables. Dans les Guenons, le lobe postérieur semble anticiper sur la région fronto-parié-tale ; il recouvre le pli supérieur
; mais, en revanche, il est assez large relativement, surtout dans la région frontale. Le lobe frontal est court; le pariétal
Gibbons, on voit le lobe occipital se réduire de plus en plus, et la région fronto-pariétale s'agrandir au contraire , le lob
s aux derniers Cynocéphales, nous voyons prédominer tour à tour 1" la région fronto-pariétale; 2" le lobe pariétal; enfin la r
r à tour 1" la région fronto-pariétale; 2" le lobe pariétal; enfin la région pariéto-occipitale, le lobe occipital grandissant
lis temporaux inférieurs (8) sont moins bien définis. Toutefois cette région présente, dans les cerveaux qui me servent de typ
édiane.—Dans « le Gorilla, les fosses temporales envahissent toute la région pariétale du crâne, et « elles remontent si haut,
....... Ainsi les longueurs sont égales. B. Largeur au niveau des régions temporales dans leur plus grand diamètre.......
interne change de direction, et, repoussée par le développement de la région fronto-pariétale, s'incline un peu en arrière. Le
deux plis sembleront diviser la face externe de l'hémisphère en deux régions presque symétriques. Du pli ascendant en avant
mples incisures. Ces faits font ressortir l'importance relative de la région frontale du cerveau dans l'Homme ; ils correspond
t la plus noble des parures, et fait étinceler sur la plus importante région du cerveau humain le signe de la puissance souver
mais les cerveaux normaux de la race caucasique. Ils présentent, à la région frontale, un espace que l'œil distingue aussitôt
nt avec lui-même; il avait, en effet, reconnu que dans son Pygmée les régions orbitaires du cerveau étaient beaucoup plus excav
fois le cerveau des Atèles et celui des Guenons ou des Macaques. La région fronto-pariétale rappelle assez bien celle des At
très-long, mais assez étroit, surtout relativement à la largeur des régions sphénoïdales. L'opercule de la scissure de Sylviu
érébraux; ces plis, en se groupant d'une façon régulière, forment des régions ou lobes, qui sont des divisions naturelles de l'
t le foyer d'une activité distincte, à chacune d'elles correspond une région déterminée du cerveau. Si donc nous supposons,
Si donc nous supposons, avec les partisans de cette doctrine, que ces régions cérébrales ont des fonctions distinctes, que chac
eci peut-être posé : de deux choses l'une; ou bien chaque pli, chaque région cérébrale est en rapport uniforme avec le corps t
apport uniforme avec le corps tout entier, ou bien chaque pli, chaque région cérébrale a avec les centres organiques principau
es résultats que donne une étude approfondie des plis, des lobes, des régions cérébrales. Sous ce point de vue, nous regrette
96 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
t hypérémiée. Sa vascularisation est plus prononcée au niveau de la région sylvienne de l'hémisphère gauche et du bord sup
a face externe de l'hémisphère n'offre guère d'intérêt, ce n'est la région inférieure du lobe parié- tal et la région supé
e d'intérêt, ce n'est la région inférieure du lobe parié- tal et la région supérieure des lobes temporal et occipital qui
ales. Corps thyroïde vaguement perceptible. Thorax peu développé. Région interscapulaire couverte d'un duvet fin et asse
men des organes intra-thoraciques.. Abdomen : Rien de pathologique. Région anale normale. Peau absolument glabre. Verge 2
s d'être rattachées. à une sclérose atrophique prédominant dans les régions motrices de l'hémisphère droit, en raison de l'
'est elle qui correspond à la pariétale ascendante, tandis que la région antérieure de ce lobule est saine et bien dévelop
Sal..., il y avait à ce point, des deux' côtés, une atrophie de la région tout-à-fait postérieure du lobule paracentral.
iose à concavité droite assez prononcée, commençant au milieu de la région dorsale, et s'étendant sur la région lombaire,
ée, commençant au milieu de la région dorsale, et s'étendant sur la région lombaire, qui est un peu courbée ; courbure dès
tie antérieure un aspect franchement chagriné ; en arrière de cette région , on trouve encore de nombreuses adhérence*- de
se des sutures et la présence de plaques transparentes surtout à la région de la fontanelle antérieure ; tout cela joint à
Percusion : Du côté droit, matité de la fosse sus-épineuse et de la région sous-claviculaire ; submatité de la partie infé
uinal, près de son orifice abdominal, le gauche ne peut être senti. Région anale non déformée, cou- 84 Description du mala
e est formée par une série d'os wormiens au nombre de ! ¡ dans la région du lambda. Leurs connexions sont telles qu'elles
es. Les testicules sont extrêmement petits, difficiles à découvrir. Région anale normale. 21 771C - Traitement : 3 bains
Pouls régulier. - ! lbclnmen souple, non douloureux à la palpation. Région anale saine. Membres supérieurs amaigris. Muscl
es- sion correspond à cette cicatrice. En palpant avec soin cette région , l'on sent une petite rainure superficielle de 3
BRO\CHO-P1EU\IONIE. 4 novembre, - Ouverture d'un nouvel abcès de la région parotidienne. Pansements au sublimé. Guérison l
Une partie ayant 32 millimètres de longeur, reste non ossifiée à la région frontale. Une région de 20 millimètres, complèt
illimètres de longeur, reste non ossifiée à la région frontale. Une région de 20 millimètres, complètement réparée, lui su
égion de 20 millimètres, complètement réparée, lui succède. Cette région croise la suture fronto-pariétale. Son mode de ré
nes dentelures, analogues à celles de la suture qu'elle croise. Une région de 16 millimè- tres, non réparée, lui fait suit
réparée, lui fait suite et offre des bords assez réguliers ; cette région a 3 millimètres à sa partie la plus large ; 18 mi
tes- ticules dans les bourses sont du volume d'un petit haricot.- Région anale saine. Petite cicatrice au niveau du coccyx
tes ; symétrie à peu près parfaite. Il présente à droite, dans la région pariétale, à 4 centimètres 1/2 de la ligne médian
Pas de poils aux aisselles. Duvet léger à la lèvre supérieure. La région anale est recouverte de poils assez longs. Elle
minés en arrière des deux côtés. 7 septembre. - Submatité dans la région sous-épineuse à gauche. Affaiblissement du murm
lissement du murmure vésiculaire très notable. - Vésicatoire sur la région . Pas do sueurs la nuit. Toux. 12 septembre. La
- ble. Testicules dans les bourses, du volume d'un petit haricot. Région anale saine. Le corps de l'enfant est complètemen
gle fronto-sagittal droit, tandis qu'on n'en observe qu'une dans la région symé- trique à gauche. Elles ont environ 2 cent
tre. On constate aussi des zones transparentes mais diffuses à la région postérieure des pariétaux surtout au niveau du la
sale a concavité postérieure légère. Il existe au contraire dans la région lombaire une courbure à convexité postérieure.
le. Rien sur Ti. Adhérences nombreu- ses sur toute la surface de la région inférieure du lobe tem- poral. Face interne.
normal tant à la périphérie que sur les coupes de ses différentes régions . Cou. - Thymus du volume d'un petit haricot. -
ne médiane. Veinosités sous-cutanées au niveau du front et des deux régions temporales, mais plus acusées du côté droit.
e, placés tous les deux à l'orifice inférieur du tra- jet inguinal. Région anale normale. Voix forte. L'enfant sent le con
cris de l'enfant. Au lieu de matité hépatique, on perçoit dans les régions du foie une sonorité continue avec celle des po
oeuf de pigeon. Quelques poils sur le scrotum, le périnée et à la région anale. Poils assez rares aux aisselles. Le reste
la partie antérieure du lobe paracentral. L'avant-coin, le coin, la région temporo-sphénoidale, la circonvolution du corps
ssez accentué à la partie postérieure du lobule paracentral et à la région antérieure de l'avant-coin. -Le ventricule laté-
amincie et répond à la partie supérieure de FA, etc.. : c'est cette région qui forme sur la face convexe de l'hémisphère une
assez profond perpendiculaire au sillon de Rolando sépare ces deux régions . Le tobe pariétal est moins altéré. PA est dépr
eures de Fi et de FA se laissent déprimer d'une façon analogue à la région correspondante droite, mais d'une façon bien mo
z semblable il celui que contient les hydatides. En dedans de cette région kystique, on note sur cet hémisphère une niasse
de sucre. Front fuyant. Asymétrie notable. Dépression prononcée des régions frontales et pariales droites..Occi- put peu sa
anisme. Le système pileux est assez développé aux aisselles et à la région anale. Ro.. passe à la grande école. Décembre
isselles, le pénil est garni de poils noirs abondants et frisés. La région anale est normale et gar- nie de poils noirs co
e. Crdne très petit, peu élevé. Bosse occipitale assez saillante. Régions pariétales peu proéminentes. Au niveau de la cica
e surtout ces plaques sur la moitié droite du cuir chevelu. Dans la région où se trouve la cicatrice et dans le voisinage,
sauf une légère déviation de la colonne vertébrale à droite dans la région lombaire; la paroi abdominale est dis- tendue,
nt asymétrique; le côté gauche est plus dévelop- pé au niveau de la région occipitale que le côté droit; la pro- tubérance
e fronto-sagittal droit, tandis qu'on n'en observe qu'une dans la région symétrique à gauche. Elles ont environ 2 centimèt
externe. La suture sagittale est fortement dentelée, sinueuse. La région de l'obélion est elle-même irrégulière. En aucun
en dessiné sur les deux pariétaux. Le crâne est asymétrique et la région latérale gauche est aplatie. La bosse frontale de
occipital est parti- culièrement mince et présente latéralement des régions trans- parentes. Des plaques translucides exist
s existent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la région postérieure et inférieure. Les traces des vaiss
aux. Le frontal, un peu plus épais que les pariétaux, présente à sa région moyenne une bande transparente. Les sutures fin
e partie ayant 32 millimètres de longueur reste non ossifiée à la région frontale. Une autre partie, longue de 20 millimèt
longue de 20 millimètres, complètement réparée, lui succède. Cette région croise la suture fronto-pariétale. Son mode de
nes dentelures, analogues à celles de la suture qu'elle croise. Une région de 16 millimètres, non répa- rée, lui fait suit
répa- rée, lui fait suite et a des bords assez réguliers ; cette région a 3 millimètres à sa partie la plus large; 18 mil
ement paralytique du côté gauche. - Accès de colère. Phlegmon de la région mastoïdienne. - Carie du rocher. - Méningite. -
97 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
aucune modification de la muqueuse buccale; aucune souffrance à la région épigastri- que. - 18 mai, hier, cinq selles dia
M. Charcot nous a conseillé de mettre une vessie de glace sur la région de l'ovaire d'où part- l'aura chez les hystéro-
oix, était enfermée dans une vessie de porc que l'on plaçait sur la région ovarienne, siège de l'hyperesthésie. Les applic
se, nous avons pu obtenir qu'elle appliquât la glace non pas sur la région ovarienne droite qui, chez elle, est le point d
roite qui, chez elle, est le point de départ de l'aura, mais sur la région cardiaque. Le traitement, institué le lor juill
agérée' du pouls, des palpitations rappro- chées, des douleurs à la région précordiale, principalement vers la pointe du c
er genre, M. Charcot nous a fait appliquer la glace au niveau de la région car- diaque, et nous avons pu continuer le trai
r; la malade n'a pas d'autre sensation que celle du froid. Entre la région rouge et refroidie et la région avoisinante, ch
sation que celle du froid. Entre la région rouge et refroidie et la région avoisinante, chaude et pâle, il ne semble pas y
est qu'à 76. La glace est appliquée pendant t une demi-heure sur la région cardiaque. Au bout de ce temps, le pouls est à
vingt minutes environ après l'éloignement de la vessie de glace la région , qui tout à l'heure était froide, rouge, insens
ur les membres supérieurs, mérite qu'on s'y arrête : La peau de ces régions , les lèvres, la langue, la muqueuse palpébrale,
pré- ventive qu'exercent parfois les applications de glace sur la région ovarienne d'où part l'aura chez les hystériques,
ement le tableau tracé par M. Charcot : a) douleurs au niveau de la région ovarienne gauche elle les compare il des tortil
ser. De temps en temps, elle se frappe la poitrine avec force, à la région précordiale, et, si l'on n'a la précaution de p
ans, a eu aujourd'hui une attaque qui a duré une heure et demie. La région ovarienne droite est douloureuse; toute la moit
muqueuses). La vi- sion est ni'oins bonne à droite qu'à gauche. La région de l'o- vaire droit est le siège de douleurs sp
thotonos s'exa- gère, il se produit une cambrure considérable de la région dorso-lombaire, l'abdomen est projeté en avant
s la bouche, aussitôt elle s'échappe au-dehors. Les muscles de la région sus-hyoïdienne sont contracturés. Le ventre est m
état. Alimentation par la sonde. Le ventre n'est plus ballonné. La région ovarienne droite est redevenue plus douloureuse
is la malade y sent des fourmillements .et de l'engourdissement. La région ova- rienne droite est indolente ; la gauche, a
enne gauche est la même. Toutefois, il semble qu'au niveau de cette région , la peau a conservé sa sensibilité. La contract
arriver ces mouvements, s'empresse-t-on de placer un coussin sur la région pectorale. Puis, elle s'assied, préfère des imp
ontre, la sensibilité élec- trique parait éteinte, excepté dans une région qui semble cor- Fig. 6. ISCHURIE. 9 G 1 res
us l'influence de la faradisation, il se produit au voisinage de la région où la sensibilité électrique est la plus vive,
n'est pas ballonné. La pres- sion au niveau de l'hypogastre et des régions ovariennes est douloureuse. P. 100 T. lt. : 37,
taine quantité d'urine. 8 décembre. Augmentation des douleurs de la région ova- rienne gauche. Le ventre est ballonné. Nau
onstriction à la gorge qui l'empêche d'avaler sa salive. Les deux régions ovariennes sont douloureuses; le ventre est méd
la partie supérieure des deux masséters, surtout à droite et à la région occipitale; - 20 d'un sentiment de constriction p
temps, elle éprouve une sensation de fatigue, de gène, d'abord à la région sternale, puis à la région laryngée où la press
sation de fatigue, de gène, d'abord à la région sternale, puis à la région laryngée où la pression est un peu dysphagie; I
te d'eau qui remonterait au milieu du membre, puis une douleur à la région précordiale et des bat- tements de coeur. En ef
rès-minime. Septembre. On électrise les muscles de la face et de la région antérieure du cou. En octobre, les mâchoires s'
jours et ont une grande intensité. - Douleurs constrictives à la région épigastrique pour lesquelles on lui fait des inje
peine quelques minutes. - Application d'une vessie de glace sur la région ovarienne gauche. 2j septembre. Sous l'influe
ent des dou- leurs constrictives à l'épigastre et des douleurs à la région lombaire. 31 décembre. La malade a reçu quoti
t pas tout-à-fait abolie. A droite, il y a enfin, au niveau de la région sacrée, de la fesse et du membre inférieur, des
Etch... a des douleurs semblables sur le trajet du plexus brachial ( région claviculaire, bras, main). - Ces dou- leurs son
ité au froid semble avoir reparu ; elle serait même exaltée dans la région dorso-lombaire gauche. L'ouie, la vue, l'odorat
est normale ou tl'ès-exagé1'ée.- Parfois, douleurs au niveau de la région ovarienne gauche. - Etch... n'a pas eu de nouve
98 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
lèvres, le capuchon du clitoris, les commissures de la vulve, et les régions avoisinantes. Cependant, il n'en existe ni au pér
de sa ponction, et l'abcès paraît en voie de guérison. Un abcès de la région du foie, suite d'hépatite aiguë, donna en douze h
circonscrite dans une incision elliptique s'étendant en arrière de la région cervicale, et en bas jusqu'à l'aisselle. L'os fut
prise de fréquents besoins d'uriner, et qu'enfin, il existait dans la région hypogastrique une vive sensibilité à la pression
e nous nous en sommes assurés. Si maintenant, les yeux fixés sur la région vulvo-périnéale, on fait pousser la malade, on vo
qu'à la partie supérieure des cuisses. Pas d'éruption dans d'autres régions . Le malade pendant un mois prend un bain tous l
rès au bras gauche. En 1858, l'épaule fut à son tour envahie,, et ces régions ont continué à se peupler depuis lors jusqu'aujou
tères opposés quant à sa délimitation. 6° Groupes brachiaux. — A la région antéro-externe du oras, immédiatement au-dessous
s. Ces groupes, il faut le dire, se perdent insensiblement dans les régions voisines. Ce n'est que pour la facilité des descr
tumeurs dura dix-huit mois environ, l'empâtement de la nuque et de la région cervicale, augmentant de jour en jour, en même te
n jour, en même temps qu'un gonflement semblable, embrassant toute la région sous-maxillaire, et formant une sorte d'épaisse c
plus tard d'autres tumeurs s'étant montrées à la base du cou, dans la région sus-claviculaire, au niveau de l'extrémité gauche
upes distincts : i° Groupe occipital. Les tumeurs occupent toute la région occipitale, nettement limitées par leur bord supé
partie moyenne, elles se confondent, en bas, avec l'empâtement de la région cervicale. La peau qui les couvre présente un asp
'angle de la mâchoire, où elles se confondent avec l'empâtement de la région cervicale, les tumeurs sous-maxillaires et sous-m
rales du cou. La peau qu'elles soulèvent semble plus' normale qu'à la région occipitale. Elle est aussi plus souple; et les tu
at d'amollissement plus prononcé que celles du groupe précédent. 3° Région cervicale. De la base de l'occipital jusqu'au niv
. On peut rattacher au groupe cervical les deux petites tumeurs de la région sus-claviculaire, et celle qui se trouve au nivea
rcules répandus sur divers points de la peau, principalement dans les régions du cou, du périnée aux grandes lèvres chez la fem
mplex, par le peu de développement de ses tumeurs multiples sur des régions localisées du corps, rentre tout à fait dans le c
le de molluscum multiples chez une femme : deux tumeurs, situées à la région lombaire, avaient acquis, en cinq ans, le volume
ur la face interne des bras ; il est rare de l'observer dans d'autres régions du corps, et le cas que représente la planche XII
e siège de prédilection est le front ou les autres parties du visage, régions que ne recherche pas la syphilide pigmentaire, pe
vation complète de mouvements volontaires. La température de toute la région est inférieure à celle du reste du corps et le br
anées empêche de constater l'état des ganglions lymphatiques de cette région . Le scrotum souvent atteint, est dans ce cas tout
des mains. Le manche en bois de l'instrument vient le frapper dans la région orbitaire, à l'angle interne de l'œil gauche. Le
r des accidents semblables et, de plus, pour des douleurs occupant la région épigastrique et les lombes. Alors on ne nota rien
ic. Au-dessus d'elle , en remontant vers l'appendice xiphoïde, sur la région médiane, les veines sous-cutanées sont légèrement
uliers : deux verges, d'un calibre imposant, occupent le milieu de la région ; elles sont libres et indépendantes; l'une d'elle
n. Cette tumeur, de la grosseur d'un œuf de pigeon, est située à la région palmaire de la main droite; elle s'étend depuis l
e plus large 8 centimètres de diamètre. La tumeur se trouve dans la région antéro-latérale droite moyenne et inférieure du c
une même description les maladies qui peuvent se développer dans une région , et les procédés d'examen qui conviennent à cette
per dans une région, et les procédés d'examen qui conviennent à cette région . — Les deux premiers chapitres de l'ouvrage sont
agnostic des tumeurs en général, l'autre à celui des tumeurs dans les régions . — Cette division bien naturelle exposait l'auteu
ne le cède en rien au mérite de la première et l'auteur y décrit, par régions , les modifications que peuvent offrir dans l'ense
accompagnée d'une saillie ou d'une modification dans les formes de la région qu'occupe la lésion. — Les nœvi vasculaires peuve
chevelu dont l'aspect n'est pas celui d'un type des maladies de cette région . Certains eczémas de la tête peuvent donner lieu
localiser dans une portion quelconque d'un os et produire dans cette région une éxostose ou un enchondrôme comme il s'en déve
cre importance, comparativement à l'aplatissement très accentué de la région frontale. Quoi qu'il en soit, le cerveau du suj
e qui se trouve dans la physiologie d'Hermann. Donders plane dans des régions où la science elle-même se recueille, et ses écri
99 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
« Dimanche, 23 janvier 1887 (vers six heures du soir). » Dans la région cervicale, à droite et a gauche de la colonne ver
'une déformation du bassin et des parties molles des hanches et de la région fessiére. Un traitement hygiénique et gymnastique
hyperesthésique existe vers le flanc droit, exclusivement limité à la région ovarienne. L'ensemble des conditions générales
tète s'engage; la douleur du côté reparaît, elle s'étend bientôt â la région lombaire, à l'abdomen tout entier; les frictions,
de ; l'anesthésie des sclérotiques et des points douloureux dans les régions sus et_ sous-mammaires droites. La malade éprouve
le traitement par l'hypnotisme. J'appli- ; quai ma main gauche sur la région bregmatique et je produisis de la somno-lence.
lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la région breg-manque, qui dura jusqu'au lendemain. Le 31
ula et de la première temporale ( i ). Le rôle physiologique de ces régions émotives, mis tout d'abord en saillie par Guislai
s d'un rayon de lumière ! A l'état normal, en effet,ce sont ces mêmes régions émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre v
e âge, notre puissance sur nous-mêmes, à cette aveugle domination des régions émotives de notre for intérieur, qui régnent en s
t qu'une sorte d'anesthésie partielle, nous portons en nous-mêmes des régions excessivement excitables et que nous avons tous n
s,' par J. Luys. ques nous sommes entraînés malgré nous, et les régions émotives de notre être, vivement sollicitées, s'a
lypémanies anxieuses, l'état d exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions émotives est porté à un état d'hyperexcitabilité
motivité que nous allons exposer, combien les forces automatiques des régions émotives de notre être sont susceptibles d'être i
ouvons en un mot, à volonté, développer chez l'individu hvpnotise les régions diverses de son émotivité, faire vibrer alternati
s les muscles et les troncs nerveux qui en sont le siège, ce sont les régions émotisées dont je vous parlais tout à l'heure qui
ériphérique des nerfs de la vision, des émotions centripètes dans les régions de son for intérieur. Vient-on maintenant à fai
t à l'unisson et suit l'émotion sollicitée périphérique-ment dans les régions centrales. Le regard devient menaçant, la figure
le; ils ne prennent pas tout cela au sérieux, et chez eux ce sont les régions purement intellectuelles de leur cerveau qui sont
intellectuelles de leur cerveau qui sont en activité, tandis que les régions émotives de leur être et de leur personnalité con
brale de l'enfant diffère de celle de l'homme adulte, chez lequel les régions émotives sont toujours associées à la mise en act
Les programmes d'études scolaires, en effet, ne s'adressent qu'à des régions isolées de leur cerveau, et l'esprit du jeune hom
spiritueux qui ont une action plus particulièrement localisée sur les régions intellectuelles. I. — Dans la première série de
la joie et un mouvement général d'expansion. En même temps que les régions émotives sont mises en action dans les centres ne
l'action à distance de certaines substances, on voit incontinent les régions thyroïdienne et sous-maxillaire se gonfler inopin
e est placé à gauche ou bien à droite, et suivant qu'on interroge des régions différentes des plexus nerveux périphériques. A
d'action de certaines substances qui agissent principalement sur les régions intellectuelles, il arrive motu pro— prio à la ph
ue l'hyperexcitabilité neuro-musculaire a repris son énergie dans les régions antibrachiales. Le réveil, lorsque les sujets s
s d'un ordre spécial, aptes à modérer son action, à exciter certaines régions torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si pré
rate, concernant la femme d'un jardinier guérie par le massage sur la région abdominale enduite d'une couche d'huile. La Ren
eux mains, ou bien encore en roulant des deux mains les muscles d'une région . Le tapotement se fait de deux manières : 1° par
harcot et étudié par Parcs, qui consiste dans la compression de cette région du cou désignée sous le nom de zone spasmo-phréna
ictifs ; ne pouvez-vous, par exemple, en touchant, en influençant une région de l'écorce, de la moelle ou du bulbe, créer de m
négatif soit de la pile, soit de l'aimant. Ils ont remarqué qu'une région positive était contracturée par une région positi
Ils ont remarqué qu'une région positive était contracturée par une région positive, et decontracturée par une région négati
était contracturée par une région positive, et decontracturée par une région négative et réciproquement. Ils nomment applica
ment application isonome l'application soit d'un pôle positif sur une région positive, soit celle d'un pôle négatif sur une ré
positif sur une région positive, soit celle d'un pôle négatif sur une région négative ; ils ont appelé application hétéronome
appelé application hétéronome l'application d'un pôle positif sur une région négative, ou celle d'un pôle négatif sur une régi
e positif sur une région négative, ou celle d'un pôle négatif sur une région positive. Tous les corps, disent les auteurs, p
es actions isonomes et les courants de sens inverse, appliqués sur la région symétrique de celle où Us avaient d'abord produit
de même sens appliqués dans les mêmes conditions, c'est-à-dire sur la région symétrique, leur ont toujours servi â obtenir le
é générale est très bien conservée. Pas de douleur provoquée dans les régions bregmatiques, sous et sus-mammaires, spinale, ili
à peine un léger sentiment d'engourdissement passager et limité à la région contuse ; tandis que, suivant toute probabilité,
lade, interrogée, extériore la sensation du toucher à droite, dans la région homologue de celle réellement excitée du côté opp
re de l'allochirie. Rappelons ici que les sections médullaires à la région dorsale déterminent de l'anesthésic du côté oppos
nouveau, et ainsi de suite, autant de fois que l'exige l'étude d'une région . C'est ainsi que. sur la région bulbo-protubérant
ant de fois que l'exige l'étude d'une région. C'est ainsi que. sur la région bulbo-protubérantielle, il a pu faire 17 dissecti
tion de manière à pouvoir étudier dans fous ses deuils telle ou telle région difficile à examiner ou même à voir à l'état norm
ifficile à examiner ou même à voir à l'état normal. En durcissant, la région ainsi préparée conserve la forme qu'on lui a donn
tout applicable a la préparation des pièces d'ensemble et des grandes régions , comme le prouvent les 25 moulages présentés à l'
oulages présentés à l'Académie, moulages reproduisant une douzaine de régions différentes de l'encé-phale. M. Paulier pense q
ignement de l'anatomie cérébrale. On pourrait ainsi mouler toutes les régions du cerveau, disséquées couches par couches : ces
URS EFFETS SUR L'ORGANISME Par M. le Dr COLLINEAU Avant tout, par région polaire, que doit-on entendre? Au point de vue
e, que doit-on entendre? Au point de vue purement géographique, les régions polaires sont les parties de la terre situées au
lles sont sujettes à de fortes ondulations. Boréale ou australe, la région polaire se divise en zone glaciale, encore inexpl
ction rare, ù Allen jeune, qu'en doit être confiée la conduite. Les régions subpolaires comprennent, dans l'hémisphère boréal
les plus lointaines et les plus hardies vers le Nord. En certaines régions se rencontrent le bœuf musqué et le loup arctique
anger; mais quiconque séjourne, à quelque titre que ce soit, dans ces régions inhospitalières, est. par suite de l'état congest
rs, le trait caractéristique des troubles de l'intelligence, dans les régions polaires, consiste en un état de nervosisme aigu,
ne physique et intellectuelle scrupuleuse, l'homme peut parcourir les régions polaires et même y séjourner sans trop de risques
rtir du genou, la gauche à partir de la hanche, d'hyperesthésie de la région lombaire (douleurs (1) Plusieurs de nos lecteur
resse médicale. (N. D. L. R.) dès qu'on pèse légèrement sur cette région ), et de diminution de l'acuité et du champ visuel
uel pouvoir ont, à cet effet, les cornes et autres objets? Dans nos régions , on considère comme très dangereux les gens aux y
dimensions de la partie de l'anneau qui avait été en contact avec la région dorsale de la main. La cicatrisation de la petite
ffit à battre en brèche cet à priori. C'est, au contraire, dans les régions polaires, dans les rangs des peuplades étiolées e
e la campagne, et que la gastralgie y est très fréquente. » Si, des régions voisines du pôle nord, on tourne les yeux sur cel
ue lorsque les médecins Avaient découvert la marque du diable, la région insensible a la douleur. C'étaient, hélas! nos co
symptômes de localisation fonctionnelle par attouchement des diverses régions du crâne, ni aucun autre phénomène physiologique,
t égales, les oreilles bien faites, mais le front est asymétrique (la région frontale gauche est déprimée). Les médius, annula
ne répond presque pas aux questions: elle accuse des douleurs dans la région précordiale, dans le ventre, dans le dos: des éto
loureux à la pression au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la région iliaque gauche. Pas d'anesthésie, pas de rétréc
uite au silence pendant que sa partenaire continue a fonctionner. Les régions automatiques prennent toutes seules la parole (
avec une grande facilité. Une émotion, une impression met en jeu les régions automatiques qui, abandonnéesà elle-mêmes, obéiss
les de la psychologie nouvelle. Bien peu se sont aventurés dans cette région , où les métaphysiciens tiennent bon. comme dans u
100 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
« Dimanche, 23 janvier 1887 (vers six heures du soir). » Dans la région cervicale, à droite et a gauche de la colonne ver
'une déformation du bassin et des parties molles des hanches et de la région fessiére. Un traitement hygiénique et gymnastique
hyperesthésique existe vers le flanc droit, exclusivement limité à la région ovarienne. L'ensemble des conditions générales
tète s'engage; la douleur du côté reparaît, elle s'étend bientôt â la région lombaire, à l'abdomen tout entier; les frictions,
de ; l'anesthésie des sclérotiques et des points douloureux dans les régions sus et_ sous-mammaires droites. La malade éprouve
le traitement par l'hypnotisme. J'appli- ; quai ma main gauche sur la région bregmatique et je produisis de la somno-lence.
lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la région breg-manque, qui dura jusqu'au lendemain. Le 31
ula et de la première temporale ( i ). Le rôle physiologique de ces régions émotives, mis tout d'abord en saillie par Guislai
s d'un rayon de lumière ! A l'état normal, en effet,ce sont ces mêmes régions émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre v
e âge, notre puissance sur nous-mêmes, à cette aveugle domination des régions émotives de notre for intérieur, qui régnent en s
t qu'une sorte d'anesthésie partielle, nous portons en nous-mêmes des régions excessivement excitables et que nous avons tous n
s,' par J. Luys. ques nous sommes entraînés malgré nous, et les régions émotives de notre être, vivement sollicitées, s'a
lypémanies anxieuses, l'état d exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions émotives est porté à un état d'hyperexcitabilité
motivité que nous allons exposer, combien les forces automatiques des régions émotives de notre être sont susceptibles d'être i
ouvons en un mot, à volonté, développer chez l'individu hvpnotise les régions diverses de son émotivité, faire vibrer alternati
s les muscles et les troncs nerveux qui en sont le siège, ce sont les régions émotisées dont je vous parlais tout à l'heure qui
ériphérique des nerfs de la vision, des émotions centripètes dans les régions de son for intérieur. Vient-on maintenant à fai
t à l'unisson et suit l'émotion sollicitée périphérique-ment dans les régions centrales. Le regard devient menaçant, la figure
le; ils ne prennent pas tout cela au sérieux, et chez eux ce sont les régions purement intellectuelles de leur cerveau qui sont
intellectuelles de leur cerveau qui sont en activité, tandis que les régions émotives de leur être et de leur personnalité con
brale de l'enfant diffère de celle de l'homme adulte, chez lequel les régions émotives sont toujours associées à la mise en act
Les programmes d'études scolaires, en effet, ne s'adressent qu'à des régions isolées de leur cerveau, et l'esprit du jeune hom
spiritueux qui ont une action plus particulièrement localisée sur les régions intellectuelles. I. — Dans la première série de
la joie et un mouvement général d'expansion. En même temps que les régions émotives sont mises en action dans les centres ne
l'action à distance de certaines substances, on voit incontinent les régions thyroïdienne et sous-maxillaire se gonfler inopin
e est placé à gauche ou bien à droite, et suivant qu'on interroge des régions différentes des plexus nerveux périphériques. A
d'action de certaines substances qui agissent principalement sur les régions intellectuelles, il arrive motu pro— prio à la ph
ue l'hyperexcitabilité neuro-musculaire a repris son énergie dans les régions antibrachiales. Le réveil, lorsque les sujets s
s d'un ordre spécial, aptes à modérer son action, à exciter certaines régions torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si pré
rate, concernant la femme d'un jardinier guérie par le massage sur la région abdominale enduite d'une couche d'huile. La Ren
eux mains, ou bien encore en roulant des deux mains les muscles d'une région . Le tapotement se fait de deux manières : 1° par
harcot et étudié par Parcs, qui consiste dans la compression de cette région du cou désignée sous le nom de zone spasmo-phréna
ictifs ; ne pouvez-vous, par exemple, en touchant, en influençant une région de l'écorce, de la moelle ou du bulbe, créer de m
négatif soit de la pile, soit de l'aimant. Ils ont remarqué qu'une région positive était contracturée par une région positi
Ils ont remarqué qu'une région positive était contracturée par une région positive, et decontracturée par une région négati
était contracturée par une région positive, et decontracturée par une région négative et réciproquement. Ils nomment applica
ment application isonome l'application soit d'un pôle positif sur une région positive, soit celle d'un pôle négatif sur une ré
positif sur une région positive, soit celle d'un pôle négatif sur une région négative ; ils ont appelé application hétéronome
appelé application hétéronome l'application d'un pôle positif sur une région négative, ou celle d'un pôle négatif sur une régi
e positif sur une région négative, ou celle d'un pôle négatif sur une région positive. Tous les corps, disent les auteurs, p
es actions isonomes et les courants de sens inverse, appliqués sur la région symétrique de celle où Us avaient d'abord produit
de même sens appliqués dans les mêmes conditions, c'est-à-dire sur la région symétrique, leur ont toujours servi â obtenir le
é générale est très bien conservée. Pas de douleur provoquée dans les régions bregmatiques, sous et sus-mammaires, spinale, ili
à peine un léger sentiment d'engourdissement passager et limité à la région contuse ; tandis que, suivant toute probabilité,
lade, interrogée, extériore la sensation du toucher à droite, dans la région homologue de celle réellement excitée du côté opp
re de l'allochirie. Rappelons ici que les sections médullaires à la région dorsale déterminent de l'anesthésic du côté oppos
nouveau, et ainsi de suite, autant de fois que l'exige l'étude d'une région . C'est ainsi que. sur la région bulbo-protubérant
ant de fois que l'exige l'étude d'une région. C'est ainsi que. sur la région bulbo-protubérantielle, il a pu faire 17 dissecti
tion de manière à pouvoir étudier dans fous ses deuils telle ou telle région difficile à examiner ou même à voir à l'état norm
ifficile à examiner ou même à voir à l'état normal. En durcissant, la région ainsi préparée conserve la forme qu'on lui a donn
tout applicable a la préparation des pièces d'ensemble et des grandes régions , comme le prouvent les 25 moulages présentés à l'
oulages présentés à l'Académie, moulages reproduisant une douzaine de régions différentes de l'encé-phale. M. Paulier pense q
ignement de l'anatomie cérébrale. On pourrait ainsi mouler toutes les régions du cerveau, disséquées couches par couches : ces
URS EFFETS SUR L'ORGANISME Par M. le Dr COLLINEAU Avant tout, par région polaire, que doit-on entendre? Au point de vue
e, que doit-on entendre? Au point de vue purement géographique, les régions polaires sont les parties de la terre situées au
lles sont sujettes à de fortes ondulations. Boréale ou australe, la région polaire se divise en zone glaciale, encore inexpl
ction rare, ù Allen jeune, qu'en doit être confiée la conduite. Les régions subpolaires comprennent, dans l'hémisphère boréal
les plus lointaines et les plus hardies vers le Nord. En certaines régions se rencontrent le bœuf musqué et le loup arctique
anger; mais quiconque séjourne, à quelque titre que ce soit, dans ces régions inhospitalières, est. par suite de l'état congest
rs, le trait caractéristique des troubles de l'intelligence, dans les régions polaires, consiste en un état de nervosisme aigu,
ne physique et intellectuelle scrupuleuse, l'homme peut parcourir les régions polaires et même y séjourner sans trop de risques
rtir du genou, la gauche à partir de la hanche, d'hyperesthésie de la région lombaire (douleurs (1) Plusieurs de nos lecteur
resse médicale. (N. D. L. R.) dès qu'on pèse légèrement sur cette région ), et de diminution de l'acuité et du champ visuel
uel pouvoir ont, à cet effet, les cornes et autres objets? Dans nos régions , on considère comme très dangereux les gens aux y
dimensions de la partie de l'anneau qui avait été en contact avec la région dorsale de la main. La cicatrisation de la petite
ffit à battre en brèche cet à priori. C'est, au contraire, dans les régions polaires, dans les rangs des peuplades étiolées e
e la campagne, et que la gastralgie y est très fréquente. » Si, des régions voisines du pôle nord, on tourne les yeux sur cel
ue lorsque les médecins Avaient découvert la marque du diable, la région insensible a la douleur. C'étaient, hélas! nos co
symptômes de localisation fonctionnelle par attouchement des diverses régions du crâne, ni aucun autre phénomène physiologique,
t égales, les oreilles bien faites, mais le front est asymétrique (la région frontale gauche est déprimée). Les médius, annula
ne répond presque pas aux questions: elle accuse des douleurs dans la région précordiale, dans le ventre, dans le dos: des éto
loureux à la pression au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la région iliaque gauche. Pas d'anesthésie, pas de rétréc
uite au silence pendant que sa partenaire continue a fonctionner. Les régions automatiques prennent toutes seules la parole (
avec une grande facilité. Une émotion, une impression met en jeu les régions automatiques qui, abandonnéesà elle-mêmes, obéiss
les de la psychologie nouvelle. Bien peu se sont aventurés dans cette région , où les métaphysiciens tiennent bon. comme dans u
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