e paire la pupille est immobile, ce qui signifie que ses mouvements
réflexes
font défaut. Mais l'abolition du réflexe à la lum
gnifie que ses mouvements réflexes font défaut. Mais l'abolition du
réflexe
à la lumière des pupilles peut encore être obse
te, un signe de haute valeur. Cette dernière variété d'abolition du
réflexe
à la lumière peut être subdivisée en plusieurs so
c l'ac- commodation et que l'on a, à tort, l'habitude de dénommer «
réflexe
de la convergence ou de l'accommodation » ; ; c
parfois elle est associée à de la mydriase ; généralement alors, le
réflexe
de la convergence est aboli et dans certains ca
nterne ; parfois enfin, la pupille est de dimensions normales et le
réflexe
de la convergence est alors tantôt conservé, tant
que soit la sous variété à laquelle on ait affaire, l'abolition du
réflexe
à la lumière, dans les conditions que j'ai précis
affection organique. JO LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE La recherche des
réflexes
tendineux est, comme vous le savez, une pratiqu
ions fondamentales au point de vue du diagnostic. L'abo- lition des
réflexes
tendineux est caractéristique d'une lésion du sys
iers, à peu près simultanément, signalé dans le tabès l'absence des
réflexes
rotuliens; ce phénomène peut être observé aussi
la poliomyélite antérieure. Mais je tiens à faire remarquer que le
réflexe
de la rotule, qui est le seul que certains méde
pas le seul dont la perturbation a de l'intérêt. La disparition du
réflexe
achilléen permet dans certains cas de distingue
néralement avant le signe de Westphal (Babinski). L'exagération des
réflexes
tendineux n'a pas moins de valeur que leur abol
. Dans un cas de paraplégie crurale, l'exagé- ration bilatérale des
réflexes
tendineux des membres inférieurs, carac- térisé
hez un hémiplé- gique, du côté de la paralysie, une exagération des
réflexes
rotulien, achilléen, olécrânien, ainsi que des
ération des réflexes rotulien, achilléen, olécrânien, ainsi que des
réflexes
tendineux et osseux du poignet, on est en droit
une hémiplégie organique, car dans l'hémiplégie hystérique pure les
réflexes
tendineux sont égaux des deux côtés (Babinski).
plégie organique et de l'hémiplégie hysté- rique, loc. cit.). Les
réflexes
cutanés étaient considérés autrefois comme fourni
epuis longtemps, que l'abolition ou l'affaiblissement unilatéral du
réflexe
crémastérien et du réflexe abdominal (Rosenbach
ition ou l'affaiblissement unilatéral du réflexe crémastérien et du
réflexe
abdominal (Rosenbach) constituaient des manifesta
anifestations de l'hémiplégie organique. On sait maintenant que les
réflexes
cutanés ont une importance sémiologique de prem
effet, et mon opinion est à peu près universellement admise, que le
réflexe
cutané plantaire subit ordinairement une transf
es que je viens de passer en revue ; en effet, un individu dont les
réflexes
rotuliens sont normaux ou abolis, peut, consécu
jambe sur la cuisse et donner à l'observateur l'impression que les
réflexes
sont exagérés; inversement un sujet, dont les réf
sion que les réflexes sont exagérés; inversement un sujet, dont les
réflexes
rotuliens sont exagérés ou normaux, est en mesu
lontairement la cuisse et suggérer ainsi l'idée d'une abolition des
réflexes
; de même l'extension du gros orteil, à la suite
nservant plus comme séquelle de cette affection qu'une abolition du
réflexe
achilléen, pourrait soutenir que ses souffrance
GIE ÉLÉMENTS FONDAMENTAUX DE LA SÉMIOLOGIE ORGANIQUE 1 SUR LE
RÉFLEXE
CUTANÉ PLANTAIRE DANS CERTAINES AFFECTIONS ORGA
ion organique du système ner- veux central une perturbation dans le
réflexe
cutané plantaire dont voici en quelques mots la
réalité d'un trouble est moins manifeste. En résumé, le mouvement
réflexe
consécutif à la piqûre de la plante du pied peu
l'année dernière. Ce phénomène consiste en une perturbation dans le
réflexe
cutané plantaire. Avant de vous en faire la des
ous en faire la description, je dois vous dire quelques mots sur le
réflexe
cutané plantaire à l'état normal chez l'adulte do
e la plante du pied provoque ordinairement, entre autres mouvements
réflexes
, tels que la flexion du pied sur la jambe, de la
os orteil. Je désigne cette modification dans la forme du mouvement
réflexe
sous la dénomi- nation de phénomène des orteils
En général, ce n'est pas seulement par le sens du mouvement que le
réflexe
normal diffère du réflexe pathologique; le plus s
seulement par le sens du mouvement que le réflexe normal diffère du
réflexe
pathologique; le plus souvent l'extension est e
eils peut se présenter sous des formes frustes, c'est-à-dire que le
réflexe
plantaire peut revêtir des caractères en partie
a partie interne du pied qui est excitée ; chez d'autres encore, le
réflexe
plantaire, quelle que soit la partie de la plante
re la technique qu'il faut employer pour bien observer le mouvement
réflexe
des orteils. Il importe que les muscles du pied
nécessaire chez certains sujets pour faire apparaître un mouvement
réflexe
des orteils ; mais, par contre, il donne lieu che
est encore permis de se demander s'il s'agit bien d'un mou- vement
réflexe
ou d'un mouvement volontaire, question importante
l est à peine besoin de faire remarquer que si, à l'état normal, le
réflexe
cutané plantaire ne se manifeste jamais par une e
us serez en mesure de vérifier mes assertions en ce qui concerne le
réflexe
cutané plantaire à l'état physiologique. Voic
la malade marche en fauchant, les membres sont contracturés et les
réflexes
tendi- neux sont très exagérés. Du côté droit,
organique. Comme dans le premier cas, on constate ici un mouvement
réflexe
normal du côté droit et une extension des orteils
iste des carac- tères objectifs, tels que l'exagération notable des
réflexes
tendineux, la trépidation épileptoïde, etc., qu
tteinte d'une paraplégie spasmodique avec exa- gération notable des
réflexes
tendineux et trépidation épileptoïde du pied, q
ésicaux et rectaux, une paraplégie spasmodique avec exagération des
réflexes
tendineux et épi- lepsie spinale qui l'immobili
ir debout et de faire quelques pas ; toute- fois, l'exagération des
réflexes
tendineux et la trépidation réflexe per- sisten
toute- fois, l'exagération des réflexes tendineux et la trépidation
réflexe
per- sistent. L'excitation de la plante du pied
oit, le signe de Robertson, des douleurs fulgurantes, l'absence des
réflexes
des tendons du triceps crural, des ten- dons d'
t d'hémiplégie de date ancienne avec contracture et exagération des
réflexes
tendineux. Mais j'ai constaté aussi ce phénomèn
phénomène dans plusieurs cas d'hémiplégie récente, flasque, où les
réflexes
tendineux étaient normaux, affaiblis, ou même a
pra- tiqué vingt-quatre heures après le début de l'hémiplégie ; les
réflexes
ten- dineux étaient alors à peu près de même in
le phénomène des orteils était dès ce moment très manifeste et les
réflexes
tendineux du côté de l'hémi- plégie étaient trè
ujets présentant une hémiplégie ancienne flasque avec abolition des
réflexes
rotuliens. L'un d'eux était atteint d'hémiplégi
eur ; le membre supérieur gauche était légèrement contracturé ; les
réflexes
rotuliens et les réflexes du tendon d'Achille f
gauche était légèrement contracturé ; les réflexes rotuliens et les
réflexes
du tendon d'Achille faisaient défaut des deux c
s réflexes du tendon d'Achille faisaient défaut des deux côtés ; le
réflexe
du triceps bra- chial était normal à droite, ex
rantes, des troubles vésicaux, le signe de Robertson, l'absence des
réflexes
des tendons rotu- liens, des tendons d'Achille
trois mois plus tard, la para- lysie étant toujours flasque et les
réflexes
tendineux faisant défaut à ce moment comme aupa
est très prononcée. Généralement du côté opposé à la paralysie, le
réflexe
cutané plantaire est normal ; parfois pourtant
rs en même temps une grande faiblesse des membres inférieurs et les
réflexes
tendineux étaient exagérés ; la malade que je v
sont que 13ADIIqSi,l. 3 34 SEMIOLOGIE très peu affaiblis et les
réflexes
tendineux sont abolis; il s'agit là, il est vra
eu à de l'extension des orteils à gauche ; en dehors des crises, le
réflexe
cutané plantaire était normal et le côté gauche
mbres inférieurs étaient atteints de contracture, d'exagération des
réflexes
tendineux et de trépi- dation ëpileptoïde du pi
arante-huit heures environ après le début des troubles morbides, le
réflexe
cutané plantaire était redevenu normal. Dans le
ertaines paraplégies flasques avec affaiblissement ou abolition des
réflexes
tendineux. Je l'ai constaté du côté de la paral
nze heures après l'accident ; le côté paralysé était flasque et les
réflexes
tendineux y étaient abolis. Enfin, j'ai noté le
l'impossibilité d'exécuter de mouvement volitionnel ou de mouvement
réflexe
de flexion. Le phénomène des orteils manque aussi
s, on s'aperçoit immédiatement que cette inversion dans la forme du
réflexe
cutané plantaire est liée à des affections dive
nomène des orteils a un 36 SEMIOLOGIE lien avec l'exagération des
réflexes
tendineux et l'épilepsie spinale, qui sont souv
ans un membre atteint de paralysie spasmodique avec exagération des
réflexes
tendineux et trépidation épileptoïde du pied, t
s cas où, malgré l'existence d'une lésion du système pyramidal, les
réflexes
tendineux sont normaux, affai- blis ou abolis,
a valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l'état des
réflexes
tendineux ne permet pas de déceler l'état du sy
yramidal. C'est ainsi que dans l'hémiplé- gie organique récente les
réflexes
tendineux sont généralement, ainsi que vous le
hèse d'hystérie. Il en est de même pour la paraplégie au début. Les
réflexes
tendineux étant généralement abolis lorsqu'une lé
encement de cette leçon je vous ai dit que je ne m'occuperai que du
réflexe
cutané plantaire chez l'adulte. Je veux toutefois
lte. Je veux toutefois, avant de ter- miner, vous dire un mot de ce
réflexe
chez le nouveau-né. Le chatouille- ment de la p
de la plante du pied provoque parfois, entre autres mouve- t ments
réflexes
, une abduction plus ou moins marquée d'un ou de
pyramidal, qui peut être précieux dans certains cas douteux. IV
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX(') 1 [J. BABliNSKI
e Bulletin Médical des ig et 26 octobre, 6 et a3 novembre ig/2. Les
réflexes
tendineux et osseux méritent toute l'attention de
uteur, interroge le système nerveux qui, par l'intermédiaire de ces
réflexes
, répond avec netteté aux questions posées. Préc
impossible de surprendre autrement. Apprendre à bien connaitre les
réflexes
osso-tendineux, puis s'astrein- dre à les explo
s à l'hôpital de la Pitié. 4o SÉMIOLOGIE Définition. On appelle
réflexe
tendineux, réflexe osseux, le phénomène complexe
Pitié. 4o SÉMIOLOGIE Définition. On appelle réflexe tendineux,
réflexe
osseux, le phénomène complexe que détermine la
reurs d'observation nombreuses et lourdes si, dans la recherche des
réflexes
, on néglige, comme le font bien des méde- cins,
; or, celle-ci est parfois la seule manifestation d'une contraction
réflexe
faible, insuffisante pour provoquer un déplacem
- rente de celle qu'on examine. Quand, par exemple, on recherche le
réflexe
rotulien, on demande à l'individu en observatio
st là l'excellent procédé imaginé par Jendrassik. Dans l'examen des
réflexes
du membre supérieur, souvent difficiles à const
nd avec patience le moment opportun pour pratiquer la percussion.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 4r 3" Les tendons
t qui d'habitude conviennent le mieux pour l'exploration des divers
réflexes
osso-tendineux. Mais il y a à cet égard des dif
de déterminer celle qui favorise le mieux l'apparition du mouvement
réflexe
. ! i" J'en arrive à la percussion. Elle ne doit p
s réactions musculaires entravant l'observation de la contrac- tion
réflexe
; trop faible, elle est sans effet. Il est imposs
s attitudes qui semblent les meilleures pour la recherche de chaque
réflexe
, ainsi que les points où doit porter la percuss
réflexe, ainsi que les points où doit porter la percussion pour les
réflexes
osseux, en insistant plus particulièrement sur
ur les réflexes osseux, en insistant plus particulièrement sur cinq
réflexes
qui me paraissent constants : zut. - Réflexe ro
ulièrement sur cinq réflexes qui me paraissent constants : zut. -
Réflexe
rotulien ou du triceps crural ; B. Réflexe achi
du triceps crural ; B. Réflexe achilléen ou du triceps sural ; C.
Réflexe
du triceps brachial ou d'extension de l'avant-bra
C. Réflexe du triceps brachial ou d'extension de l'avant-bras ; D.
Réflexe
de flexion de l'avant-bras ou réflexe de l'extrém
xtension de l'avant-bras ; D. Réflexe de flexion de l'avant-bras ou
réflexe
de l'extrémité infé- rieure du radius ; E. Ré
xtrémité du pied soutenue par la main gauche de l'observateur. C.
RÉFLEXE
DU TRTCEPS BRACHIAL OU D'EXTENSION DE L'AVANT-BRA
s en percutant celui-ci le long du tiers inférieur du cubitus. D.
RÉFLEXE
DE FLEXION DE L'AVANT-BRAS OU REFLEXE DE L'EXTRÉM
eur de la région cubitale dont il vient d'être question à propos du
réflexe
d'extension. Ordinairement, je le répète, c'est
mité inférieure du radius dont la percussion détermine le mouvement
réflexe
de flexion le plus éner- gique. Là réside le po
ce point, on provoque aussi une flexion de la main et des doigts.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 43 E. Réflexe de p
supérieur est placé dans la même position que pour la recherche du
réflexe
de flexion. On obtient le mouvement de pronatio
radius, soit la partie postéro-inférieure du cubitus d'où le nom de
réflexe
cubito-pronaleur proposé par MM. Marie et Barré
s sujets, comme celle de l'extrémité inférieure du radius, outre le
réflexe
constant, un mouvement réflexe de flexion de la
émité inférieure du radius, outre le réflexe constant, un mouvement
réflexe
de flexion de la main et des doigts. Telles son
les indications générales qu'il faut suivre dans l'exploration des
réflexes
tendineux et osseux. J'aurai l'occa- sion ultér
En procédant ainsi on arrive aux conclusions suivantes : Les cinq
réflexes
cardinaux dont il a été question précédemment exi
hnique employée clans les recherches était défec- tueuse. Pour le
réflexe
rotulien, les statistiques déjà anciennes avaient
avaient établi que son absence est extrêmement rare. Mais pour le
réflexe
achilléen on avait lourdement erré. Eulenbourg,
lourdement erré. Eulenbourg, par exemple, en 1882, déclarait que ce
réflexe
faisait défaut chez 80 pour 100 d'individus nor
normaux et qui publia le résultat de ses investigations en 1879, le
réflexe
du tendon d'Achille serait absent dans 20 pour 10
oyant la technique que j'ai proposée (voir p. 2) on constate que le
réflexe
achilléen ne manque pour ainsi dire jamais. Les c
: « Comme la meilleure méthode (pour 44 SEMIOLOGIE rechercher le
réflexe
achilléen) je considère celle que Babinski a pro-
osée. Depuis que j'opère d'après cette technique, je n'ai trouvé ce
réflexe
absent chez les sujets normaux que très exception
normaux que très exceptionnellement. Je considère donc l'absence du
réflexe
achilléen comme signe d'un état pathologique. »
at pathologique. » Albert Charpentier ayant examiné, en r8g8, les
réflexes
tendineux de 1 200 militaires âgés de dix-huit
uit à vingt-quatre ans, n'a pas trouvé une seule fois l'absence des
réflexes
rotuliens et achilléens. Quant aux réflexes du
eule fois l'absence des réflexes rotuliens et achilléens. Quant aux
réflexes
du membre supérieur, ils ont été généralement c
vis d'Oppenheim. C'est aussi l'opinion de Berger, suivant lequel le
réflexe
du biceps manquerait 35 fois sur 100 et le réfl
uivant lequel le réflexe du biceps manquerait 35 fois sur 100 et le
réflexe
du triceps brachial 25 fois sur 100. Mohr aurait
hez des jeunes soldats bien por- tants. Pour Sternberg, en 1896, le
réflexe
du biceps fait moins rarement défaut que celui
que celui du triceps brachial. D'après mes observations, parmi les
réflexes
du membre supérieur, il en est trois, le réflex
ations, parmi les réflexes du membre supérieur, il en est trois, le
réflexe
du triceps, le réflexe de flexion de l'avant-bras
xes du membre supérieur, il en est trois, le réflexe du triceps, le
réflexe
de flexion de l'avant-bras et le réflexe de pro
le réflexe du triceps, le réflexe de flexion de l'avant-bras et le
réflexe
de pronation, qui présentent la même constance qu
s sujets de différents àges 0, on constate que la présence des cinq
réflexes
cardinaux constitue encore une règle souffrant pe
même chez les vieillards, même chez des sujets très affaiblis, les
réflexes
existent ordinairement. Si les cinq principaux
aiblis, les réflexes existent ordinairement. Si les cinq principaux
réflexes
sont pour ainsi dire toujours présents à l'état
présents à l'état normal, il n'en va pas de même de quelques autres
réflexes
tendi- neux tels que ceux d'adduction de la cui
cas ils semblent faire défaut. Ce que nous venons de dire sur les
réflexes
inconstants montre qu'à l'état normal il existe
des jeunes enfants. (3) De l'absence des réllexes achilléens et des
réflexes
rotuliens sans autre signe d'affection du sys-
nerveux (Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n° 2, J \) J 2).
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 4îi trouve aussi d
. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 4îi trouve aussi dans les
réflexes
constants, car ces derniers sont loin d'avoir l
ême amplitude chez tous les sujets. Bien plus, à l'état normal, les
réflexes
osso-tendineux forts se distin- guent des réfle
état normal, les réflexes osso-tendineux forts se distin- guent des
réflexes
moyens ou faibles non seulement par l'amplitude d
res caractères que nous allons décrire. Comparons par exemple les
réflexes
de flexion de l'avant-bras de deux individus, d
avant-bras de deux individus, du reste parfaitement sains, dont les
réflexes
osso-tendineux du membre supérieur sont forts c
x. a) Le seuil de la contraction est atteint chez le sujet dont les
réflexes
sont forts à la suite d'un choc d'une intensité
z le premier sujet, avec une même intensité de choc, le mouve- ment
réflexe
a une vitesse et une brusquerie plus grandes que
isseurs de l'avant-bras, nous constatons chez l'autre individu (aux
réflexes
forts), outre la réaction des fléchisseurs, des c
oire des réactions motrices est donc variable. d) Chez le sujet aux
réflexes
faibles, nous obtenons la flexion par la percus
zone assez limitée (lieu d'élection; voir p. 42), chez l'autre, le
réflexe
peut être provoqué par la percussion d'une surfac
re un point qu'il importe de noter ; si chez un môme indi- vidu les
réflexes
tendineux des différentes parties du corps sont o
nsité analogue, il n'en est pas toujours ainsi, tant s'en faut. Les
réflexes
tendineux des membres intérieurs peuvent être for
re forts et ceux des membres supérieurs faibles; et môme les divers
réflexes
d'un membre offrent parfois une intensité inéga
vers réflexes d'un membre offrent parfois une intensité inégale, le
réflexe
de flexion étant, par exemple, beaucoup plus fo
le réflexe de flexion étant, par exemple, beaucoup plus fort que le
réflexe
d'extension, ou inverse- ment. Il importe de
ent un grand nombre de gens sains pour connaitre toute la gamme des
réflexes
nouveaux avant d'aborder l'étude des états path
te variabilité que j'ai cru indispensable de mettre en lumière, les
réflexes
tendineux possèdent certains caractères de fixi
points d'élection pour la production d'un 46 SÉMIOLOGIE des cinq
réflexes
cardinaux peut provoquer parfois, outre le réflex
OLOGIE des cinq réflexes cardinaux peut provoquer parfois, outre le
réflexe
constant, un des réflexes inconstants signalés
cardinaux peut provoquer parfois, outre le réflexe constant, un des
réflexes
inconstants signalés précédemment, ce dernier n
t et à montrer son importance clinique à propos de « l'inversion du
réflexe
du radius ». Un autre caractère de fixité, do
e énoncé sous forme de loi. Loi de symétrie. - A l'étal normal, les
réflexes
tendineux du côté droit sont égaux ri ceux du c
du côté gauche. Sans doute, à l'état normal, comme je l'ai dit, le
réflexe
de flexion des doigts et de la main, le réflexe
mme je l'ai dit, le réflexe de flexion des doigts et de la main, le
réflexe
d'extension des doigts, etc., peuvent faire déf
ET OSSEUX. Quelques mots enfin sur la localisation des centres des
réflexes
tendi- neux dans le névraxe. Comme nous le verr
. Comme nous le verrons au chapitre de la patholo- gie, l'étude des
réflexes
nous donne des renseignements non seulement sur
s maladies, mais encore sur le siège de lésions atteignant des arcs
réflexes
. On admet que chaque muscle est innervé par plu
ion des divers segments est nécessaire à la production du phénomène
réflexe
; néanmoins, les notions déjà acquises présenten
que nous pos- sédons sur la localisation des centres des principaux
réflexes
. Ces localisations qui, envisagées chacune isol
s relative- ment à l'ordre de succession en hauteur des centres des
réflexes
tendi- neux depuis la protubérance jusqu'à la m
exes tendi- neux depuis la protubérance jusqu'à la moelle sacrée.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 47 TABLEAU 140 I
T RÉFLEXES OSSEUX 47 TABLEAU 140 Il Localisations des centres des
réflexes
tendineux et osseux. 48 SÉMIOLOGIE SUBRÉFLECT
ns de le dire à une altération d'une des trois portions de l'arc du
réflexe
atteint : a) la voie centripète (nerf sensitif
commettre deux genres d'erreur, de considérer soit comme absent un
réflexe
simplement faible ou même normal, soit comme pr
un réflexe simplement faible ou même normal, soit comme présent un
réflexe
aboli. La gravité de pareilles erreurs est propor
urs origines : a) Certains individus chez lesquels la recherche des
réflexes
a déjà été pratiquée, qui savent ce qu'on atten
pareil cas, on est exposé à se tromper dans son interprétation si le
réflexe
que l'on explorait est aboli. Pourtant on arr
on explorait est aboli. Pourtant on arrive aisément à distinguer du
réflexe
« légitime » le « faux » mouvement réflexe. Out
aisément à distinguer du réflexe « légitime » le « faux » mouvement
réflexe
. Outre que la forme de ce dernier n'est pas ide
la réaction est souvent beaucoup plus long que lorsqu'il s'agit du
réflexe
tendineux vrai, et il varie d'une expérience à
nets quand le sujet a les yeux obturés. b) Dans l'exploration du
réflexe
du triceps brachial, si on vise mal, et si le c
contraction idio- musculaire qui peut en imposer pour un mouvement
réflexe
. Semblable confusion est parfois commise, lorsq
le confusion est parfois commise, lorsque, pour explorer la flexion
réflexe
de l'avant-bras sur le bras, on cherche à percu
luence d'une excitation de la peau des membres inférieurs, des mou-
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 49 vements réflexe
rieurs, des mou- RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 49 vements
réflexes
qui constituent ce qu'on appelle « des réflexes c
S OSSEUX 49 vements réflexes qui constituent ce qu'on appelle « des
réflexes
cutanés de défense », sur lesquels je reviendra
des réflexes cutanés de défense », sur lesquels je reviendrai : Ces
réflexes
de défense coexis- tent parfois avec l'affaibli
ense coexis- tent parfois avec l'affaiblissement ou l'abolition des
réflexes
tendineux. En pareil cas, la percussion du tend
ation de la peau dans la zone du tendon du quadriceps, un mouvement
réflexe
qu'un observateur superficiel risquera de prendre
t réflexe qu'un observateur superficiel risquera de prendre pour un
réflexe
tendineux; c'est là « le pseudo-phénomène du geno
gardes, on ne tombera pas dans une pareille méprise : le mouvement
réflexe
de défense, à l'état pathologique, est générale
s groupes musculaires autres que ceux qui constituent le domaine du
réflexe
tendineux ; enfin les réflexes de défense peuve
ue ceux qui constituent le domaine du réflexe tendineux ; enfin les
réflexes
de défense peuvent d'habitude être provoqués pa
mme tabétiques, pour avoir cru, à tort, constater une abolition des
réflexes
rotuliens. Une pareille faute a pour cause l'in
e l'inobservation des règles qu'il faut suivre dans l'examen de ces
réflexes
et que j'ai indiquées précédemment. J'avoue que
par- fois, de consacrer plusieurs minutes à la recherche d'un seul
réflexe
pour être fixé sur son état. Je ne saurais donc
un procédé m'ayant permis dans certains cas de faire apparaître un
réflexe
tendineux qui m'avait semblé aboli : c'est la p
is répétée des muscles de la région explorée. Lorsque l'absence des
réflexes
précédemment décrits oui seulement celle de l'u
l ; cela ressort des données fournies par l'étude physiologique des
réflexes
. Mais il est plus difficile de déter- miner le
inion ? Deux catégories de faits doivent être envisagées : a) Les
réflexes
tendineux sont faibles dés deux côtés et, en outr
te à savoir si cette asymétrie se trouve liée à une exagération des
réflexes
tendineux d'un côté, ou à un affaiblissement de
ation des réflexes tendineux d'un côté, ou à un affaiblissement des
réflexes
du côté opposé. La faiblesse générale des réflexe
aiblissement des réflexes du côté opposé. La faiblesse générale des
réflexes
ne permet- tant pas d'accepter la première idée
inski. 4 5o SÉMIOLOGIE Abstraction faite du degré d'intensité des
réflexes
, on peut déterminer aisément si leur inégalité
bles fonctionnels unilatéraux. Il va sans dire qu'en pareil cas les
réflexes
du côté malade doivent être considérés comme af
'ils sont moins forts ou plus forts que ceux du côté sain. b) Les
réflexes
sont faibles et égaux des deux côtés. A-t-on af
'être juste que l'observateur a fait une étude plus approfondie des
réflexes
tendineux à l'état normal. Mais il faut reconna
est ainsi que le choc sur le tendon du triceps brachial, lorsque le
réflexe
d'extension de l'avant-bras est aboli ou affaibli
t être suivi d'une flexion de l'avant-bras sur le bras. C'est là le
réflexe
paradoxal du coude. Voici comment j'interprète
branlement de l'os sous-jacent. A l'état patho- logique, lorsque le
réflexe
d'extension est aboli ou affaibli, le mouvement
lorsque le réflexe d'extension est aboli ou affaibli, le mouvement
réflexe
de flexion apparaît, même quand le choc porte sur
ambe sur la cuisse, consécutive à la percussion du tendon rotulien (
réflexe
paradoxal du genou de Benedikt), relève d'un mé
t-bras sur (1) Voir Revue neurologique, 191 Ie semestre, p. 5 [I.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 51 le bras. Celle-
t ne lui est jamais supérieure. Or, la diminution ou l'abolition du
réflexe
de flexion de l'avant-bras, état pathologique, pe
ce phénomène que j'ai décrit sous la dénomination d'inver- sion du
réflexe
du radius(') et dont la réalité a été confirmée d
arré ont attiré l'attention sur ce qu'ils ont appelé l'inversion du
réflexe
eub ilo-prona leur. Les réflexes tendineux s'af
qu'ils ont appelé l'inversion du réflexe eub ilo-prona leur. Les
réflexes
tendineux s'affaiblissent ou disparaissent tantôt
f l'hypotonie qui en est la conséquence habituelle, l'abolition des
réflexes
tendineux ne produit par elle-même aucune per-
aucune per- turbation fonctionnelle : un individu privé de tous ses
réflexes
tendineux peut n'éprouver aucun malaise; il en
CTIVITÉ OU DE LA SUBREFLECTIVITE, (Lésions intéressant les arcs des
réflexes
tendineux.) Nous allons passer en revue les pri
ui atteignent la partie périphérique de la voie centripète de l'arc
réflexe
pour aboutir aux lésions frappant la périphérie
rois grandes affections pour le diagnostic desquelles l'absence des
réflexes
osso-tendineux constitue un symptôme de première
aladie de Duchenne, où, comme nous l'avons déjà dit, l'abolition du
réflexe
rotulien a été signalée pour la première fois p
particulièrement sur cette question et établissait que l'absence du
réflexe
rotulien constitue parfois un signe précoce de l'
déceler dans bien des cas où autrefois elle eut été méconnue. Les
réflexes
rotuliens ne sont pas les seuls réflexes tendineu
elle eut été méconnue. Les réflexes rotuliens ne sont pas les seuls
réflexes
tendineux qui soient atteints dans le tabès ; t
rang ; celui-ci est tenu, comme je l'ai établi, par l'abolition du
réflexe
achilléen. Ce trouble a été autrefois signalé,
avait attaché aucune valeur parce que l'on considérait l'absence du
réflexe
achilléen comme très commune à l'état normal. Or,
hilléen comme très commune à l'état normal. Or, ayant montré que ce
réflexe
est pour ainsi dire constant chez l'individu sa
s fréquent dans le tabes, qu'il précède généralement l'abolition du
réflexe
rotulien et qu'il a une valeur prépondérante pour
Oppenheim, etc.). On observe parfois une abolition croisée des deux
réflexes
, rotulien et achilléen; il n'est pas rare, en e
et achilléen; il n'est pas rare, en effet, de trouver d'un côté le
réflexe
achilléen aboli et le réflexe rotulien conservé
re, en effet, de trouver d'un côté le réflexe achilléen aboli et le
réflexe
rotulien conservé, tandis que de l'autre côté c
onservé, tandis que de l'autre côté c'est l'inverse qui a lieu : le
réflexe
achilléen existe et le rotulien est aboli. Les
a lieu : le réflexe achilléen existe et le rotulien est aboli. Les
réflexes
des membres supérieurs dans le tabès ont été, en
ue neurologique, 1901, p. 2 ! ¡ : -i). D'après lui, l'abolition des
réflexes
des membres supérieurs précéderait habituelleme
- blement pour cause des fautes de technique dans l'exploration des
réflexes
(') a) Sur le réflexe du tendon d'Achille dans
s fautes de technique dans l'exploration des réflexes (') a) Sur le
réflexe
du tendon d'Achille dans les tabès, par J. Babins
mémoires de la Soc. méd. des hôpitaux, 1898, p. 679). . b) Sur le
réflexe
du tendon d'Achille, par J. Babinski (Revue neuro
don d'Achille, par J. Babinski (Revue neurologique, 1901, p. (i82).
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 53 des membres tho
constate, dans un grand nombre de cas, leur présence alors que les
réflexes
des membres pelviens sont déjà abolis. Le fait
l n'en est pas moins vrai qu'à une certaine phase de la maladie les
réflexes
des membres supérieurs s'affai- blissent et dis
rdinai- rement alors les troubles suivent une marche ascendante, le
réflexe
, d'extension de l'avant-bras étant le plus souv
d'extension de l'avant-bras étant le plus souvent atteint avant le
réflexe
de flexion. En pareil cas, la percussion du ten
riceps brachial provoque généralement ce que nous avons appelé « le
réflexe
paradoxal du coude ». .Avant de disparaître,
elé « le réflexe paradoxal du coude ». .Avant de disparaître, les
réflexes
passent par une phase où ils sont affai- blis e
est d'habitude asymétrique ; Goldflam a insisté sur l'inégalité des
réflexes
rotuliens (Voir : Neurologisches Centralblatt,,
riques, des crises laryngées, de l'atrophie papil- laire, etc., les
réflexes
tendineux n'étant que peu atteints ou restant tou
t d'irréflectivité ten- dineuse. Dans la maladie de Duchenne, les
réflexes
tendineux, après avoir été abolis, sont-ils sus
des lésions dont les unes exaltent et les autres affaiblissent les
réflexes
tendineux. Névrites. Si l'on considère l'import
rites, en effet, on observe un affaiblissement ou une abolition des
réflexes
tendineux et osseux, et c'est là un signe capit
là un signe capital pour le diagnostic. On constate l'abolition des
réflexes
dans toutes les espèces et variétés de névrites
lée, nous trouvons parfois, dès le début, une abolition de tous les
réflexes
; dans d'autres formes où l'évolution est lente,
r dans les névrites la réapparition et le retour à l'état normal de
réflexes
tendineux qui avaient été abolis. Il faut ajout
leurs, paralysies, amyotrophies, etc.). Parfois la réapparition des
réflexes
est très rapide; cela a lieu surtout dans les n
ertaines formes déterminent de préférence l'abolition de tel ou tel
réflexe
. Ainsi, la névrite alcoolique, qui frappe avec
édilection les membres inférieurs, présente surtout l'abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens ; par contre, la névrite
ant principalement les membres supérieurs, n'abolit parfois que les
réflexes
de ces membres. Nous venons d'envisager l'irréf
oliose, que Charcot et moi avons étudiée ('). Cependant, lorsque le
réflexe
achilléen est conservé, la réalité d'une lésion
hystérique) est quelquefois impossible. Au contraire, l'absence du
réflexe
achilléen, phénomène assez commun dans la scia-
) (2). Il faut remarquer qu'une sciatique-névrite avec abolition du
réflexe
achilléen ne s'accompagne pas nécessairement de
et bénigne, et qu'inversement une scia- tique avec conservation du
réflexe
achilléen donne parfois naissance à des douleur
Voir Société méd. des hôpitaux de Paris, 1896, p. 887 : Abolition du
réflexe
du tendon d'Achille dans la sciatique, par J. B
u réflexe du tendon d'Achille dans la sciatique, par J. Babinski.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 55 La névrite radi
diminu- tion de la contractilité électrique, et par l'abolition du
réflexe
d'exten- sion de l'avant-bras sur le bras. PO
es poliomyélites ce symptôme est produit par une lésion des centres
réflexes
eux-mêmes, par une lésion des cellules des cornes
eul membre ; elle se localise parfois dans un seul département : le
réflexe
du tendon achilléen peut être aboli tandis que le
ment : le réflexe du tendon achilléen peut être aboli tandis que le
réflexe
rotulien est conservé, ou inversement. Au poi
jectif. Un groupe musculaire est parfois très atrophié sans que ses
réflexes
tendineux soient abolis ; néanmoins, l'irréflecti
s. Dans la poliomyélite aiguë, l'affaiblissement ou l'abolition des
réflexes
tendineux atteint d'emblée les territoires qui
ndice cer- tain d'un désordre irrémédiable des centres nerveux. Les
réflexes
tendi- neux peuvent reparaître, au moins en par
ndino-réflexes s'associe une sclérose des faisceaux pyramidaux, les
réflexes
tendineux paraissent toujours abolis ou affaibl
les névrites, dans la polio- myélite aiguë, comme je l'ai dit, les
réflexes
, après avoir été abolis, peu- (') Voir Revue ne
dans le tabes, quoique exceptionnellement, on observe le retour des
réflexes
en particulier sous l'influence d'une altératio
o-réflexes, elles provo- quent l'affaiblissement ou l'abolition des
réflexes
tendineux correspon- dants ; à ce point de vue
e détruisant le renflement lom- baire déterminera une abolition des
réflexes
rotuliens. Une lésion du renflement cervical do
enflement cervical donnera lieu parfois à une abolition de tous les
réflexes
tendineux des membres supérieurs ; en pareil cas
réflexes tendineux des membres supérieurs ; en pareil cas l'état des
réflexes
des membres inférieurs dépendra de circonstance
ndre tout le renflement n'en détruisent qu'une portion limitée, les
réflexes
tendineux des mem- bres supérieurs ne seront tr
lés que d'une manière partielle ; on pourra observer alors, soit le
réflexe
paradoxal du coude, soit l'inversion du réflexe
rver alors, soit le réflexe paradoxal du coude, soit l'inversion du
réflexe
du radius, soit d'autres modes de dissociation.
ation. On sera ainsi en mesure de déterminer, par l'étude seule des
réflexes
, le siège des altérations, et d'en préciser par
localiser les frontières de la lésion en se fondant sur l'état des
réflexes
tendineux. Admettons que le réflexe de flexion
n en se fondant sur l'état des réflexes tendineux. Admettons que le
réflexe
de flexion de l'avant-bras sur le bras soit seu
on se limite au cin- quième segment ; malgré l'intégrité des autres
réflexes
tendineux du membre supérieur, la cavité médull
e peuvent s'étendre sur une grande hauteur sans intéresser les arcs
réflexes
. Envisageons maintenant les lésions péri-médull
que la compression des racines ne suffit pas toujours à abolir les
réflexes
. Nous avons présenté, Jumentié, Jarkowski et mo
la Société de neurologie, un cas de méningite hypertrophique où les
réflexes
n'étaient pas abolis, quoique les racines fussent
lésions eussent déterminé une atrophie considérable des muscles.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX z Dans la spondylo
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX z Dans la spondylose, l'abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens, qu'on observe parfois,
eurs auteurs ont signalé l'affaiblissement, ou même l'abolition des
réflexes
dans la myosite aiguë. On conçoit facilement qu
essive. On admet généralement que, dans la myopathie primitive, les
réflexes
s'affai- blissent et finissent par disparaître
Marie, Guinon, Léri et d'autres ont rapporté des cas d'abolition du
réflexe
patellaire avant que le quadriceps fût sensible
elques cas de myasthénie avec affaiblissement et même abolition des
réflexes
tendineux. Steinert prétend avoir vu les réflex
ême abolition des réflexes tendineux. Steinert prétend avoir vu les
réflexes
passagèrement abolis. Erb, interrogé par moi à ce
ce sujet, m'a dit qu'il avait noté parfois de l'affaiblissement des
réflexes
mais qu'il n'avait jamais constaté leur dispari
onnelles sont conformes à celles d'Erb. Terminons par l'étude des
réflexes
tendineux dans la paralysie pério- dique, affec
er semestre, p. 778 : Sur l'excitabilité idio-musculaire et sur les
réflexes
tendineux dans la myopathie progressive primitive
des nerfs et des muscles, de l'excitabilité idio-musculaire et des
réflexes
tendineux. Tous ces phénomènes se développent pro
rmi toutes les affections connues, c'est la seule dans laquelle les
réflexes
tendineux se comportent ainsi. lésions siégeant
eux se comportent ainsi. lésions siégeant au-dessus DES centres DES
réflexes
tendineux. Nous venons d'envisager les différen
tendineux. Nous venons d'envisager les différentes lésions de l'arc
réflexe
qui produisent de l'irréflectivité. Ce trouble
ation du système nerveux central siégeant au-dessus des centres des
réflexes
tendineux ? Telle est la question que nous allons
myélite aiguë, une hématomyélie peuvent abolir transitoirement les
réflexes
au-dessous de la zone atteinte Les phénomènes de
teinte Les phénomènes de shock dis- parus, on voit réapparaître les
réflexes
tendineux, lorsque les arcs réflexes n'ont pas
parus, on voit réapparaître les réflexes tendineux, lorsque les arcs
réflexes
n'ont pas été lésés. Mais on doit se demander
gion cervicale ou cer- vico-dorsale, donne lieu à une abolition des
réflexes
tendineux dans les segments sous-jacents. Pou
velet aurait une action excitatrice sur les centres médullaires des
réflexes
, la région psycho-motrice du cerveau exerçant s
elle s'était manifestée, entre autres signes, par une abolition des
réflexes
tendineux ; 2" des observations cliniques où le
ition des réflexes tendineux ; 2" des observations cliniques où les
réflexes
tendineux et la sensibilité s'afl'aiblissent et d
ction de la moelle chez une grenouille provoque une exagération des
réflexes
au-dessous de la lésion. Après la publication d
talement, et voici les données qui semblent résulter des recherches
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 59 entreprises par
ut, il est vrai, déterminer un affaiblissement ou une abolition des
réflexes
tendineux des membres inférieurs, mais ces troubl
est plus longue que chez le chien et le lapin, mais l'abolition des
réflexes
ten- dineux n'est pas non plus permanente. Un
n. Soulevant alors la jambe droite, j'ai obtenu très manifestement le
réflexe
rotulien. Me rendant compte de l'importance qu'
compte de l'importance qu'il y avait à constater avec certitude ce
réflexe
persistant après la décapitation, j'ai prié les é
entatives que j'allais faire, et tous ont pu constater comme moi ce
réflexe
qui a persisté jusqu'à huit minutes après l'exé
s de section complète de la moelle, vérifiée anatomiquement, où les
réflexes
tendineux avaient subsisté jusqu'à la mort. Tel
les animaux, n'a pas pour conséquence nécessaire une abolition des
réflexes
tendineux au-des- sous de la lésion. Et alors l
transversale complète de la moelle, on constate une abo- lition des
réflexes
tendineux au-dessous de la zone lésée ('). Si cet
n observés où l'on a pu établir que des lésions concomitantes d'arc
réflexes
devaient être incri- minées. Dans ces cas, l'ir
ompression de la moelle cervicale où j'avais constaté l'abolition des
réflexes
rotuliens sans qu'il y eût de troubles de sensi
lesquels Margouliès, Balint et Lapinski, soutiennent que l'état des
réflexes
dépend surtout de la modalité de la lésion. A
chant, on constate, peu de temps après l'opération, la présence des
réflexes
tendineux. Quelques jours plus tard, on contusi
la comprimant à plusieurs reprises entre les mors d'une pince : les
réflexes
tendineux disparaissent d'une manière durable. En
e la région comprimée : à la suite de cette troisième opération les
réflexes
tendineux réapparaissent. Dans quelle mesure
li- ques, causées en particulier par des tumeurs, avaient aboli les
réflexes
tendineux. Il s'agissait, très souvent, de lési
s encore permis de généraliser. . SURREFLECTIVITE En général, les
réflexes
tendineux et osseux sont exagérés sous l'influenc
thologique, d'une surréflectivité tendineuse chez un sujet dont les
réflexes
sont normaux. C'est là une confusion qu'on doit s
un acte de la volonté de celles qui sont d'origine tendino-réflexe.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET REFLEXES OSSEUX 61 Il est plus dél
ous avons dit pré- cédemment qu'au point de vue de l'intensité, les
réflexes
tendineux pré- sentent, chez l'homme sain, de g
il de déterminer les caractères permettant de distinguer d'avec les
réflexes
tendineux simplement forts, encore physiologiqu
les réflexes tendineux simplement forts, encore physiologiques, les
réflexes
« exa- gérés », c'est-à-dire pathologiques. Ent
les réflexes « exa- gérés », c'est-à-dire pathologiques. Entre les
réflexes
forts et les réflexes exagérés, il existe, à la
gérés », c'est-à-dire pathologiques. Entre les réflexes forts et les
réflexes
exagérés, il existe, à la vérité, des transitio
udre le problème. Il faut envisager deux ordres de faits : 1° Les
réflexes
tendineux étant forts des deux côtés, sont plus f
u'il y a tout lieu d'admettre non un affaiblissement du côté où les
réflexes
sont le moins vifs, mais une exagération du côt
vifs, mais une exagération du côté où ils sont le plus vifs. 2° Les
réflexes
sont égaux et très forts des deux côtés. Remarquo
é, il est un caractère géné- ral, un critérium de l'exagération des
réflexes
tendineux que j'énoncerai de la manière suivant
e dans le groupe musculaire correspondant une série de contractions
réflexes
ryth- mées. Ce caractère, dont l'absence, il
ain nombre d'auteurs emploient indistinctement ces deux expressions :
réflexes
forts, réflexes exagérés, ce qui entraîne une c
rs emploient indistinctement ces deux expressions : réflexes forts,
réflexes
exagérés, ce qui entraîne une confusion. Le quali
e présentant aucun signe d'affection nerveuse, ayant simplement des
réflexes
tendineux forts et chez lesquels le soulèvement
par J. Babinski (Revue neurologique, igo3, p. m, et 1906 p. 287).
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 63 le répète, la t
ante ou renouvelée à courts intervalles. Si, dans la recherche d'un
réflexe
tendi- neux, une seule percussion est suivie de
ion est suivie de plusieurs secousses successives on a affaire à un
réflexe
dit polycinélique (A. Charpentier) qui est analog
ent du membre, spontané ou provoqué, se déclenche une trépi- dation
réflexe
qui subsiste plus ou moins longtemps alors que le
e fait qu'une chiquenaude relevant les orteils provoque une flexion
réflexe
de ceux-ci. Le signe de Mendel-Bechterew est cons
ceux-ci. Le signe de Mendel-Bechterew est constitué par une flexion
réflexe
des orteils qu'on obtient par la percussion de la
oshimura, de Tokio, l'inversion de ce mouvement : l'exagération des
réflexes
osso- tendineux du membre inférieur peut se tra
endineux du membre inférieur peut se traduire par l'apparition d'un
réflexe
de flexion des orteils; or, les effets de ce réfl
pparition d'un réflexe de flexion des orteils; or, les effets de ce
réflexe
provoqué par la percussion de la face dorsale d
venons de décrire per- mettent nous y insistons d'affirmer que les
réflexes
tendineux sont exagérés. ' ' . DES DIVERS MOD
type se subdivise en deux sous-variétés. Dans la première, tous les
réflexes
tendineux et osseux des membres supérieurs sont
quatrième segment. Dans la seconde sous-variété, l'exagération des
réflexes
tendineux des membres supérieurs n'est que partie
réflexes tendineux des membres supérieurs n'est que partielle ; le
réflexe
d'extension de l'avant-bras, par exemple, étant
réflexe d'extension de l'avant-bras, par exemple, étant exagéré, le
réflexe
de flexion de l'avant-bras est au contraire aff
que nous ne faisons que signaler. - En général, l'exagération des
réflexes
tendineux se constitue d'une manière progressiv
La surréflectivité s'accompagne habituellement d'autres symptômes :
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 65 paralysie, cont
ur évolution, de la surré- flectivité. Étudions l'exagération des
réflexes
tendineux dans ses relations avec l'hémiplégie
eau pyramidal. Dans la phase où la dégénération est constituée, les
réflexes
tendineux du côté paralysé sont exagérés. L'int
vité dans l'hémiplégie organique est très facile à reconnaitre. Les
réflexes
tendineux examinés exclusivement du côté malade
ituent le criterium de la surréflectivité (trépidation épileptoïde,
réflexe
polycinétique, etc.). De plus, abstraction fait
différence entre les deux côtés est particulièrement nette pour le
réflexe
de flexion de l'avant-bras sur le bras. Au membre
'avant-bras sur le bras. Au membre inférieur, l'inégalité dans le «
réflexe
contra-latéral des adducteurs » décrit par Pier
e « réflexe contra-latéral des adducteurs » décrit par Pierre Marie
réflexe
qui, à l'état normal, fait souvent défaut est p
st constituée, s'accompagne de surréflectivité. Quel est l'état des
réflexes
osso-tendineux dans la phase initiale ? Immé- d
endineux dans la phase initiale ? Immé- diatement après l'ictus les
réflexes
peuvent n'avoir subi aucune modifi- cation ; il
SÉMIOLOGIE dix cas d'hémiplégie récente observés par Ganault C), le
réflexe
rotulien était normal trois fois, affaibli deux
lectique examinés quelques minutes après le début dans lesquels les
réflexes
, les rotuliens en particulier, étaient déjà exa
surréflectivité est établie. Une fois constituée, l'exagération des
réflexes
tendineux, dans la forme d'hémiplégie dont nous
hémorragie de la capside externe ou à une hémorragie méningée. Les
réflexes
tendineux peuvent, pendant une période plus ou
ragie de la capsule externe ou d'hémorragie méningée. Le retour des
réflexes
à l'état normal coïncide aussi avec la guérison d
ne de leurs phases. Il y a lieu de se demander si l'exagération des
réflexes
tendineux accompagne nécessairement une hémiplé
de motilité unilatéraux sans (') Contribution à l'étude de quelques
réflexes
dans l'hémiplégie de cause organique (Thèse de
exes dans l'hémiplégie de cause organique (Thèse de Paris, 1S9X).
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 67 accompagnement
iparésie caractérisée, légère raideur) d'une très longue durée, les
réflexes
tendineux n'avaient subi aucune exagération. L'
isceau pyramidal s'associent des altérations dans les arcs tendino-
réflexes
(par exemple, association de tabes et d'hémiplégi
s un seul, ni chez l'enfant, ni chez l'adulte, où l'exagération des
réflexes
tendineux ait manqué. Lésions de la moelle. La
ions encéphaliques du moins chez l'adulte lorsque l'exagération des
réflexes
est intense, il y a généralement des troubles p
'éminent neurologiste d'Heidelberg, entre l'exagération notable des
réflexes
tendineux et l'intégrité relative de la force mus
dique. Cependant, en envisageant ces affections au point de vue des
réflexes
tendineux, qui seuls nous intéressent ici, nous
re autres une surréflectivité très notable, généralement l'état des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs est bien différe
sait que la paraplégie du mal de Poil, môme après avoir été totale,
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 69 guérit parfois.
bles par lesquels l'affection s'était manifestée. L'exagération des
réflexes
tendineux constitue un des signes cardinaux de
tre Charcot. C'est surtout dans cette affection que la recherche du
réflexe
massélerin, souvent très exagéré, présente de l'i
e du choc, et se soulève ensuite sous l'influence de la contraction
réflexe
du masséter. Contrairement à ce qu'on observe d
e observé un cas de sclérose latérale amyotrophique dans lequel les
réflexes
tendineux des membres inférieurs n'ont jamais é
it manifesté, à sa période ini- tiale, par de l'affaiblissement des
réflexes
achilléens. I)ans les diverses affections spina
sent et qui d'habitude ont une évolution lente, la perturbation des
réflexes
tendineux se traduit presque toujours dès le débu
rachidienne, il peut en résulter une paraplégie avec abolition des
réflexes
tendineux à laquelle succédera parfois de la su
ous avons déjà vu que chez les anémiques, chez les tuberculeux, les
réflexes
tendineux sont générale- ment forts. Dans la tu
supposé. Dans l'empoisonnement par la strychnine, l'exagération des
réflexes
tendineux constitue un des symp- tômes les plus
des fibres sensitives semble pouvoir déterminer une exagération des
réflexes
; c'est du moins par ce mécanisme qu'on peut ex
sions osseuses et articulaires. Dans ces faits, l'exagéra- tion des
réflexes
est d'autant plus frappante qu'elle s'associe le
arthrite tibio-tarsienne provoquera avant tout une exagéra- tion du
réflexe
achilléen et on pourra même observer la trépidati
ied; une arthrite du genou déterminera d'abord une exagé- ration du
réflexe
rotulien ; mais bien souvent une lésion atteignan
ore l'articulation coxo-fémorale donnera lieu à une exagération des
réflexes
tendineux dans tout le membre inférieur. ASSOCI
s'effectuer de deux manières bien diffé- rentes : tantôt chacun des
réflexes
atteints a subi l'influence d'une seule de ces
causes et l'association consiste simplement dans la coexistence de
réflexes
, les uns exagérés, les autres affaiblis ou abolis
s, les uns exagérés, les autres affaiblis ou abolis; tantôt le même
réflexe
a été soumis simultanément à l'influence des deux
urréflectivité et d'irréflectivité. Cette complication aura sur les
réflexes
tendineux une action qui sera subor- donnée à l
ie. Voici un certain nombre de types que l'on observe : -. a) Les
réflexes
tendineux des quatre membres étaient complètement
n pareil cas, la lésion du faisceau pyramidal n'influencera pas les
réflexes
. On conçoit, en effet, que l'irréflectivité lié
s lésions radiculaires étaient moins étendues, plus superficielles.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 71 1 A ce sujet no
e lapin, deux des trois racines postérieures appartenant à l'arc du
réflexe
rotulien et constate alors de l'irréflectivité. P
uis il injecte de la strychnine et obtient ainsi la réapparition du
réflexe
. 6) Les réflexes tendineux n'étaient pas abolis
la strychnine et obtient ainsi la réapparition du réflexe. 6) Les
réflexes
tendineux n'étaient pas abolis, mais simplement a
place à de la surréflectivité. c) Choisissons un autre exemple : le
réflexe
rotulien, avant l'ictus, était conservé et l'ac
ue temps après l'ictus, du côté de l'hémiplégie, une exagération du
réflexe
rotulien contrastant avec l'état du réflexe ach
gie, une exagération du réflexe rotulien contrastant avec l'état du
réflexe
achilléen qui est resté aboli. Le type inverse
i est resté aboli. Le type inverse consistant en une exagération du
réflexe
achilléen avec abolition du réflexe rotulien, s
onsistant en une exagération du réflexe achilléen avec abolition du
réflexe
rotulien, sans être impossible dans le tabes, doi
i déjà fait remarquer, dans cette affection il est très rare que le
réflexe
achilléen soit conservé, le rotulien étant aboli.
ciation d'une hémiplégie avec le tabès qui i est très commune : les
réflexes
du membre inférieur restent abolis après l'atta
membre inférieur restent abolis après l'attaque; au contraire, les
réflexes
du membre supérieur, qui étaient conservés, s'e
n assez fréquent et particulièrement intéressant. Avant l'ictus, le
réflexe
rotulien, le réflexe achilléen, ainsi que le ré
particulièrement intéressant. Avant l'ictus, le réflexe rotulien, le
réflexe
achilléen, ainsi que le réflexe d'extension de
nt l'ictus, le réflexe rotulien, le réflexe achilléen, ainsi que le
réflexe
d'extension de l'avant-bras sur le bras fai- sa
exe d'extension de l'avant-bras sur le bras fai- saient défaut ; le
réflexe
de flexion de l'avant-bras, au contraire, était
était conservé. Après l'attaque on constate ce contraste : tous les
réflexes
d'un côté du corps sont abolis, à l'exception d
tous les réflexes d'un côté du corps sont abolis, à l'exception du
réflexe
de flexion qui est exa- géré. De plus, on peut
géré. De plus, on peut observer alors, dans toute son intensité, le «
réflexe
paradoxal du coude » dont il a été question pré
existe, il est particuliè- rement net en raison de l'exagération du
réflexe
de flexion. M. Souques a eu le mérite d'attirer
es faits de ce genre. Je dirai, par parenthèse, que j'ai observé le
réflexe
paradoxal chez des sujets atteints d'hémiplégie
s d'hémiplégie sans association de lésions radiculaires, et dont le
réflexe
du triceps brachial était non seulement conservé
dale ne modifie donc pas nécessairement, tant s'en faut, l'état des
réflexes
tendineux troublés par le tabès. Lorsque, comme
teint déjà d'hémiplégie avec dégéné- ration descendante, l'état des
réflexes
tendineux subit presque toujours une modificati
agonistes. Dans la maladie de Friedreich, où à des lésions des arcs
réflexes
se joint une sclérose des faisceaux pyramidaux,
valent toujours, semble-t-il, sur celles de la surréflectivité. Les
réflexes
tendineux sont affaiblis ou abolis, comme nous l'
myotrophie, deviennent intenses ; la transforma- tion de l'état des
réflexes
est d'une interprétation très simple. Dans les
irréflectivité. Dans ceux que nous allons envisager maintenant, les
réflexes
tendineux, considérés les uns par rapport aux aut
aire au niveau du troi- sième segment, provoquant une abolition des
réflexes
rotuliens. Si cette lésion irrite ou détruit le
x pyramidaux, elle aura, comme autre conséquence, l'exagération des
réflexes
achilléens. Cette disposition est l'inverse de
uc- tive ou simplement perturbatrice. Qu'observons-nous alors ? Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont habituell
ont habituellement tous exagérés. Il en est tout autrement pour les
réflexes
des membres supérieurs dont les modifications s
s anato- miques s'étendent au moins du cinquième segment, centre du
réflexe
de (') Si j'en juge par mes observations, la mé
go-myélite syphilitique de la région cervicale est assez commune.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 73 flexion de l'av
ant-bras sur le bras, jusqu'au huitième segment cervical, centre du
réflexe
de flexion de la main et des doigts. Sinon, l'irr
partielle et l'on constate alors presque toujours « l'inversion du
réflexe
du radius » dont il a déjà été question à propo
uitième segment. Comment se comportent, dans ces cas d'inversion du
réflexe
du radius, les réflexes intermédiaires, celui d
t se comportent, dans ces cas d'inversion du réflexe du radius, les
réflexes
intermédiaires, celui d'extension de l'avant-bras
exagéré ; en pareil cas on a le droit de dire à priori que c'est le
réflexe
dont le centre se trouve le plus rapproché du cin
doit être aboli. D'après les données classiques, ce devrait être le
réflexe
d'extension. Or, des recherches, pratiquées dans
ndron sur un assez grand nombre de sujets présentant l'inversion du
réflexe
du radius, ont établi que le réflexe d'ex- tens
jets présentant l'inversion du réflexe du radius, ont établi que le
réflexe
d'ex- tension était parfois exagéré, celui de p
ui de pronation étant aboli ; il ne s'est rencontré aucun cas où le
réflexe
d'extension étant aboli, celui de prona- tion f
- tion fût exagéré. Il ressort de ces observations que le centre du
réflexe
de pronation se trouve au-dessus du centre du r
le centre du réflexe de pronation se trouve au-dessus du centre du
réflexe
d'extension de l'avant-bras. Cet exposé montr
e l'avant-bras. Cet exposé montre que la recherche méthodique des
réflexes
tendineux des membres supérieurs, d'habitude né
ec une remarquable précision, les lésions de la moelle cervicale.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS Nous envisagerons
ale. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS Nous envisagerons les
réflexes
cutanés uniquement dans leurs rapports avec les
gerons les réflexes cutanés uniquement dans leurs rapports avec les
réflexes
tendineux, seul objet de ces leçons. Mais avant d
mentales sur la réflectivité cutanée. Quelques mots d'abord sur ces
réflexes
à l'état normal. On sait que l'excitation de la
cuisse provoque un mouvement du testicule de bas en haut ; c'est le
réflexe
cré- mastérien. L'excitation des téguments de
diffère suivant le point où elle est pratiquée. On distingue trois
réflexes
cutanés abdominaux : l'inférieur, le moyen et le
de et de très courte durée. Au point de vue de l'intensité de ces
réflexes
, il y a des différences indi- viduelles. Chez c
rences indi- viduelles. Chez certains sujets parfaitement sains, le
réflexe
abdominal et le réflexe cutané plantaire semble
Chez certains sujets parfaitement sains, le réflexe abdominal et le
réflexe
cutané plantaire semblent même faire défaut ; l'i
s un signe cer- tain d'un état pathologique. Je signale encore un
réflexe
cutanéo-muqueux, le réflexe anal, consistant en
état pathologique. Je signale encore un réflexe cutanéo-muqueux, le
réflexe
anal, consistant en une contraction du sphincte
; il est pour ainsi dire constant. Je passe sous silence les autres
réflexes
cutanés sur lesquels je n'aurais rien à dire d'
occupe. Diverses affections sont capables de faire disparaître les
réflexes
que nous venons d'énumérer. Ces réflexes sont
de faire disparaître les réflexes que nous venons d'énumérer. Ces
réflexes
sont-ils susceptibles d'être exagérés ? C'est là
'une manière générale. Il faut envisager séparément, d'une part les
réflexes
abdominaux, la contraction réflexe du fascia la
ager séparément, d'une part les réflexes abdominaux, la contraction
réflexe
du fascia lata, le mouvement réflexe de flexion d
xes abdominaux, la contraction réflexe du fascia lata, le mouvement
réflexe
de flexion des orteils, et, d'autre part, les m
nt réflexe de flexion des orteils, et, d'autre part, les mouvements
réflexes
de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse
la jambe et de la cuisse. En ce qui concerne le premier groupe de
réflexes
, que je réunis momentanément d'une manière arti
ans certaines affections du système nerveux central, les mouvements
réflexes
de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse
ied, de la jambe et de la cuisse sont manifestement exagérés. Les
réflexes
de ce deuxième groupe méritent un nom spécial ; o
de ce deuxième groupe méritent un nom spécial ; on les a appelés «
réflexes
cutanés de défense » ou simplement « réflexes de
; on les a appelés « réflexes cutanés de défense » ou simplement «
réflexes
de défense », dénomination dont se sont servis
nt se sont servis les physiologistes pour dési- gner les mouvements
réflexes
qu'on observe chez l'animal et qui sont par- ti
collaboration avec MM. Jarkowski et Vincent, quelques travaux sur les
réflexes
de défense dont voici les indications : a) Su
iner la hauteur de la lésion dans les paraplégies d'origine spinale
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 75 Comment reconna
DINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 75 Comment reconnaît-on l'exagération des
réflexes
de défense ? 11 y a trois caractères principaux
à l'état normal ; ils sont, à cet égard, comparables aux mouvements
réflexes
d'extension et d'abduction des orteils. Je dois d
ction des orteils. Je dois dire encore qu'à l'état pathologique les
réflexes
de défense peuvent être provoqués non seulement
sur les parties profondes. Si dans les cas types l'exagération des
réflexes
de défense saute aux yeux, il en est d'autres o
éguments de la cuisse ou de la jambe par la faradisation. Quand les
réflexes
de défense sont exagérés, on constate d'habitude
uisse, mais on a l'impression qu'il ne s'agit pas là d'un phénomène
réflexe
car cette flexion fait partie d'un cortège de mou
st peut-être le plus simple pour déceler une exagération légère des
réflexes
de défense. r) Le sujet étant couché, on saisit
avec la main l'extrémité du pied et par certaines perturbations des
réflexes
, par J. Babinski et .f..larkowski (Soc. de neurol
ciser le siège et d'en déterminer la limite inférieure au moyen des
réflexes
de défense, par J. Babinski et J. Jar- kowski (
nication faite à l'Académie de médecine le 16 janvier 1912). c) Des
réflexes
cutanés do défense dans la maladie de Friedreich,
(Bechtereff, Marie et Foix). A vrai dire, il ne s'agit pas là d'un
réflexe
cutané, mais les réactions obtenues ainsi ne diff
tion des téguments. Je tiens à ajouter que le degré d'intensité des
réflexes
de défense pré- sente, au point de vue de ses c
ultérieurement ('). Je me suis borné jusqu'à présent à l'étude des
réflexes
de défense aux membres inférieurs ; ce sont de
les plus communs. Mais il faut savoir qu'on peut observer aussi des
réflexes
de ce genre aux membres supérieurs. Ces donné
rapproche- ment que nous avions en vue. Comment se comportent les
réflexes
cutanés dans les cas de lésions pures des arcs
souvent aussi ils sont conservés. Chez des tabétiques dont tous les
réflexes
tendineux font défaut, il n'est pas rare de con
ndineux font défaut, il n'est pas rare de constater la présence des
réflexes
abdominaux et du réflexe plan- taire ; quant au
est pas rare de constater la présence des réflexes abdominaux et du
réflexe
plan- taire ; quant au réflexe anal, particuliè
ésence des réflexes abdominaux et du réflexe plan- taire ; quant au
réflexe
anal, particulièrement étudié par Rossolimo, son
re de faits, la (') MM. Marie et Foix ont émis sur le mécanisme des
réflexes
de défense une théorie que je ne puis discuter
exes de défense une théorie que je ne puis discuter ici (Voir : Les
réflexes
d'automatisme médullaire, Revue Neurologique, n°
sidèrent comme liés à l'acte complexe de la marche et les appellent «
réflexes
d'automatisme médullaire ». M. van W. Woerkom
». M. van W. Woerkom (Voir : Sur la signification physiologique des
réflexes
cutanés des membres inférieurs, Revue Neurologi
urologique, n° 17, 19 12) critique cette conception, soutient que ces
réflexes
dif- fèrent essentiellement des mouvement alter
eflex » des physiologistes anglais. Mais il estime que l'expression «
réflexe
de défense », qui s'appliquerait bien au « scra
herche à essuyer l'acide déposé sur sa jambe ») ne convient pas aux
réflexes
que nous avons en vue ; il les dénomme « mou- v
nvention. M. van Wonrkom, comme MM. Marie et Foix, englobe avec les
réflexes
en question l'extension réflexe du gros orteil.
M. Marie et Foix, englobe avec les réflexes en question l'extension
réflexe
du gros orteil. En se plaçant au point de vue de
r ces deux phénomènes. En effet, chez l'adulte normal, les mouvements
réflexes
de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse
eflex » n'est pas indissoluble. J'ai même montré (Modifications des
réflexes
cutanés sous l'influence de la compression par
avec une bande d'Esrnarch peut en même temps exagé- rer la flexion
réflexe
du pied, de la jambe et de la cuisse et faire dis
du pied, de la jambe et de la cuisse et faire disparaître l'extension
réflexe
du gros orteil. MM. Dejerine et Lévy-Valensi (R
une solution de continuité complète de la moelle ; chez ce malade les
réflexes
de défense étaient exagérés, tandis que le réfl
z ce malade les réflexes de défense étaient exagérés, tandis que le
réflexe
cutané plantaire était resté normal, en flexion.
i de la distinction qu'il y a lieu d'établir entre ces doux ordres de
réflexes
. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 77 com
inction qu'il y a lieu d'établir entre ces doux ordres de réflexes.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 77 comparaison des
XES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 77 comparaison des deux espèces de
réflexes
ne semble pas avoir beaucoup d'intérêt. Elle mé
milieu de la moelle dorsale et donnant lieu à de l'exagération des
réflexes
tendi- neux des membres inférieurs. Les réflexe
l'exagération des réflexes tendi- neux des membres inférieurs. Les
réflexes
cutanés présentent assez commu- nément en parei
assez commu- nément en pareil cas les modifications suivantes : les
réflexes
abdomi- naux et le réflexe crémastérien sont ab
l cas les modifications suivantes : les réflexes abdomi- naux et le
réflexe
crémastérien sont abolis ; le mouvement réflexe d
abdomi- naux et le réflexe crémastérien sont abolis ; le mouvement
réflexe
de flexion des orteils est remplacé par de l'ex
s est remplacé par de l'extension associée à de l'abduc- tion ; les
réflexes
de défense sont exagérés ; quant au réflexe anal,
de l'abduc- tion ; les réflexes de défense sont exagérés ; quant au
réflexe
anal, il est généralement conservé. Dans l'hé
rdre. Rosenbach a, le premier, constaté l'abolition unilatérale des
réflexes
abdominaux chez les hémiplégiques et a été frap
a été frappé par le contraste de ce trouble avec l'exagération des
réflexes
tendineux. Van Gehuchten, enché- rissant sur ce
sur cette donnée, a cherché à opposer, d'une manière générale, les
réflexes
tendineux aux réflexes cutanés ; l'exagération de
erché à opposer, d'une manière générale, les réflexes tendineux aux
réflexes
cutanés ; l'exagération des uns coïnci- derait
d'après lui, « à long trajet cérébro-médullaire », c'est-à-dire des
réflexes
abdomi- naux, du réflexe crémastérien, du réfle
et cérébro-médullaire », c'est-à-dire des réflexes abdomi- naux, du
réflexe
crémastérien, du réflexe fessier et du réflexe de
c'est-à-dire des réflexes abdomi- naux, du réflexe crémastérien, du
réflexe
fessier et du réflexe de flexion des orteils, d
xes abdomi- naux, du réflexe crémastérien, du réflexe fessier et du
réflexe
de flexion des orteils, d'habitude remplacé par
travail paru en 19°1 C), où je me suis occupé des perturbations des
réflexes
cutanés dans les affections du système pyramida
las- tique peut amener transitoirement la réapparition du mouvement
réflexe
de flexion des orteils. Ces diverses observatio
verses observations montrent qu'en ce qui regarde les relations des
réflexes
tendineux et le réflexe de flexion des orteils,
ent qu'en ce qui regarde les relations des réflexes tendineux et le
réflexe
de flexion des orteils, l'antagonisme que M. Va
ervation de MM. Dejerine et (') Sur la transformation du régime des
réflexes
cutanés dans les affections du système pyramidal,
n cas de complète solution de continuité de la moelle cervicale, le
réflexe
cutané plantaire était normal ; ce fait est con
est contraire à l'hypothèse de M. Van Gehuchten d'après laquelle ce
réflexe
serait « d'origine corticale ». Parmi les fai
eignant le système pyramidal, de trois phénomènes : exagération des
réflexes
tendineux, signe des orteils, exagération des r
gération des réflexes tendineux, signe des orteils, exagération des
réflexes
de défense. Mais dans quelle mesure les deux dern
réflectivité tendineuse avec le signe des orteils d'abord, avec les
réflexes
de défense ensuite. Dans la grande majorité des
o-tarsienne ou tibio- tarsienne. Or, dans les faits de ce genre, le
réflexe
cutané plantaire reste normal, à moins qu'à l'a
ois, dans l'hémiplégie organique avec exagération incontestable des
réflexes
tendineux, l'excitation plan- taire est suivie
s où, inversement, on constate le signe des orteils, tandis que les
réflexes
tendineux sont normaux, affaiblis ou abolis, sont
'est pas exceptionnel d'observer le signe des orteils alors que les
réflexes
tendineux sont d'une intensité à peu près norma
é à peu près normale et que le phénomène du pied fait défaut. Les
réflexes
tendineux finissent généralement par disparaitre,
de Fried- reich et dans d'autres variétés de scléroses combinées.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 79 Rapprochons m
SSEUX 79 Rapprochons maintenant la surréflectivité tendineuse des
réflexes
de défense. Dans les cas où les lésions spina
ctivité tendineuse est toujours présente et parfois très forte, les
réflexes
de défense ne sont générale- ment que légèremen
mpression de la moelle par tumeur, pachyméningite, mal de Pott, les
réflexes
de défense acquièrent souvent une grande intensit
é tendineuse, mais cela n'est pas constant ; on peut voir alors des
réflexes
de défense très forts associés à des réflexes t
n peut voir alors des réflexes de défense très forts associés à des
réflexes
tendineux normaux, faibles ou abolis ; je revie
tre consacré à l'étude de la contracture dans ses rapports avec les
réflexes
tendineux. TABLEAU N° II. 80 SÉMIOLOGIE Met
faire systématiquement une étude comparative de ces trois ordres de
réflexes
. SURRÉFLECTIVITÉ TENDINEUSE ET CONTRACTURE La
brale la contracture apparaît ordinairement quand l'exagération des
réflexes
tendineux a acquis une certaine intensité. No
une certaine intensité. Nous avons étudié précédemment l'état des
réflexes
tendineux dans les cas où le tabes s'associe à
nce, le sort de la contracture est principa- lement lié à celui des
réflexes
tendineux, que le tabes précède l'hémiplé- gie
précède l'hémiplé- gie ou la suive : dans les départements dont les
réflexes
sont exagérés il y a d'habitude de la contractu
e ; celle-ci, au contraire, fait toujours défaut dans ceux dont les
réflexes
sont abolis. De ces notions il est légitime de
n qui porte actuelle- () Voir Revue de neurologie, 1906, 1). O7O.
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 8t ment son nom. E
la voie pyramidale, a des relations étroites avec l'exagération des
réflexes
tendineux, qui paraît en . être la condition né
prononcé de la motricité volon- taire ; c) exagération notable des
réflexes
tendineux avec trépidation épi- leptoïde du pie
épidation épi- leptoïde du pied, et parfois danse de la rotule ; d)
réflexes
de défense légèrement exagérés ou à peu près no
gique, n° 4, rgiz, p. 229). Dans les cas types de cette affection les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés et les faisceaux
t contracture cutanéo-réflexe, par J. Babinski (Ibid., g mai 1912).
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 83 la forme précéd
ire profondément troublée ; il peut y avoir paralysie complète ; c)
réflexes
tendineux parfois exagérés, mais pouvant être n
exagérés, mais pouvant être normaux, affaiblis ou même abolis , d)
réflexes
de défense toujours très forts ; e) dans la gra
te pendant la vie par le signe des orteils et par l'exagération des
réflexes
de défense. Me voici maintenant en mesure de ré
ivité tendineuse. En effet, chez les malades qui la présentent, les
réflexes
tendineux ne sont pas toujours exagérés, tant s
s sont souvent, soit normaux, soit affaiblis, soit même abolis. Les
réflexes
de défense, au contraire, sont non seulement to
ouvements spasmodiques, affaiblis- sement ou abolition possible des
réflexes
osso-tendineux, réflexes de défense très forts.
ffaiblis- sement ou abolition possible des réflexes osso-tendineux,
réflexes
de défense très forts. Qu'on la considère aux
périeurs, ce qui frappe surtout, ce sont ses liens intimes avec les
réflexes
cutanés de défense dont elle parait dépendre, c
« tendino-réflexe » et celui de « cutanéo-réflexe » à l'autre. -
RÉFLEXES
TENDINEUX ET HYSTÉRIE Avant de terminer, je dés
veux parler de l'influence que l'hystérie pourrait exercer sur les
réflexes
tendineux et osseux. 11 n'y a pas encore bien l
ordaient à dire que son pouvoir s'exerce soit en exagérant tous les
réflexes
tendineux la motilité volontaire restant d'aill
ailleurs normale soit en affaiblissant, abolissant ou exagérant les
réflexes
tendineux dans des membres qu'elle avait frappés
asmodique organique, avec contracture en flexion et exagération des
réflexes
cutanés de défense (Revue neurologique, 1911, p.
. Paraplégie spasmodique avec contraction en flexion (type cutanéo-
réflexe
de Babinski) dans un mal de Polt (Revue neurologi
nier-Vinard. Paraplégie avec contracture en flexion et exaltation des
réflexes
de défense (Revue neurologique. 1912, 2e semest
moires de la Société médicale des hôpitaux de Paris, 5 mai 1893).
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 85 contraire, la p
pour origines principales l'insuffisance des notions concernant les
réflexes
tendineux à l'état normal, la pénurie des donné
. Il est évident que sans la connaissance exacte de ce que sont les
réflexes
chez l'homme sain, des variétés qu'ils peuvent
rtes méprises. C'est pour ne pas avoir déterminé toute la gamme des
réflexes
tendineux à l'état physiologique préliminaire i
à l'état physiologique préliminaire indispensable à l'étude de ces
réflexes
à l'état pathologique qu'on a attribué à l'hystér
faite, phénomène pathologique (voir p. 61), que l'exagé- ration des
réflexes
tendineux a été considérée comme un caractère com
vitablement conduit à admettre que cette névrose peut avoir sur les
réflexes
tendineux une action pareille à celle des lésions
quelles qu'en soient la forme et la durée, est sans action sur les
réflexes
tendineux, qu'elle ne peut ni les affaiblir, ni l
z par tous les moyens d'ordre psychique à augmenter l'intensité des
réflexes
dans les membres paralysés ou à les faire dispa
t, en tout cas, elle ne fait subir aucune modification à l'état des
réflexes
tendineux. Pourtant, comme l'expérience d'un se
se y avoir, comme dans l'hémiplégie organique, de l'exagération des
réflexes
tendineux du côté de la paralysie. Un hystériqu
et simuler ainsi, si l'on n'y prend pas garde, une exagération des
réflexes
; mais on arrivera généralement à distinguer ce p
xes ; mais on arrivera généralement à distinguer ce pseudo-réflexe du
réflexe
légitime à l'aide des caractères que j'ai indiq
que j'ai indiqués. J'ajoute qu'en pareil cas ce n'est guère que le
réflexe
rotulien qui parait exagéré et les autres réflexe
'est guère que le réflexe rotulien qui parait exagéré et les autres
réflexes
tendineux et osseux, le réflexe du tendon d'Ach
n qui parait exagéré et les autres réflexes tendineux et osseux, le
réflexe
du tendon d'Achille, le réflexe radial, le réflex
es réflexes tendineux et osseux, le réflexe du tendon d'Achille, le
réflexe
radial, le réflexe du triceps brachial, sont ég
ux et osseux, le réflexe du tendon d'Achille, le réflexe radial, le
réflexe
du triceps brachial, sont égaux des deux côtés,
certains médecins affirment avoir observé dans l'hémiplégie hysté-
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 87 rique une exagé
associations hystéro-organiques. Pour établir que l'exagération des
réflexes
tendineux relève de l'hystérie il faudrait prou
exclusivement de l'hystérie, et, d'autre part, que l'exagération des
réflexes
tendineux, disparaissant avec la paralysie, dev
les neurologistes qui admettent la possibilité de l'exagération des
réflexes
tendineux dans l'hémiplégie hystérique veuillent
veaux faits relatifs à un cas d'hystérie avec forte exagération des
réflexes
tendineux », j'écrivais les lignes suivantes :
pari- siens réellement convaincus que l'hystérie peut exagérer les
réflexes
tendineux, que ne le démontrent-ils ? Rien ne d
hémiplégie hystérique avec exa- gération unilatérale bien nette des
réflexes
tendineux, et qu'après l'avoir guéri par des pr
r des pratiques psychothérapiques. on fasse constater le retour des
réflexes
à l'état normal : je serai obligé de reconnaîtr
stérie, quelques hémiplégiques et quelques paraplégi- ques dont les
réflexes
tendineux étaient manifestement exagérés, et qui
ionnel, sans aucune utilité. Le MONOPLÉGIE BRACHIALE ORGANIQUE 89
réflexe
du triceps brachial est manifestement exagéré ; i
us- ses consécutives, ce qu'on n'observe pas à droite. Le mouvement
réflexe
de flexion de l'avant-bras sur le bras est auss
ntral. Le signe de la pronation, l'hypothermie et l'exagération des
réflexes
tendineux permettent de l'affirmer. Où siège ce
normal, la tonicité, la contractilité volontaire, la contractilité
réflexe
. La tonicité maintient dans une attitude déterm
892, p. 775· -. -> ' ; ; g4 SÉMIOLOGIE Enfin, la contractilité
réflexe
pouvant être mise en jeu par l'excitation des t
jet paralysé deux sortes de modifi- cations ressortissant l'une aux
réflexes
tendineux, l'autre aux réflexes cutanés. Ces
fi- cations ressortissant l'une aux réflexes tendineux, l'autre aux
réflexes
cutanés. Ces considérations théoriques posées
égie récente, flasque, sans exagération ou avec affaiblissement des
réflexes
tendineux, qu'on l'observe, mais je l'ai consta
nte) dans quelques cas d'hé- miplégie ancienne avec exagération des
réflexes
tendineux. (1) Relâchement des muscles dans l'h
oc. de biol., 1896, p. 17f. z (2) Voir à ce sujet : ce L'état des
réflexes
et la contracture dans l'hémiplégie organique», p
ouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc. L'état des
réflexes
tendineux et des réflexes osseux fournit des donn
inée de la cuisse et du tronc. L'état des réflexes tendineux et des
réflexes
osseux fournit des données de la plus grande im
iplégie organique, tous sont d'accord pour admettre qu'au début les
réflexes
tendineux du côté paralysé peuvent être, suivan
est-à-dire à partir de la quatrième ou de la cinquième semaine, ces
réflexes
sont presque toujours exagérés, sauf lorsqu'il y
hystérique ; beaucoup de médecins pensent que, si l'exagération des
réflexes
du côté paralysé est plus rare clans cette affe
ée, qu'il en est de môme de l'affaiblissement ou de l'abolition des
réflexes
et que, par conséquent, on ne saurait considérer
on ne saurait considérer 102 SEMIOLOGIE la perturbation dans ces
réflexes
comme un caractère différentiel de grande valeu
miplégie hystérique en particulier n'exercent aucune action sur les
réflexes
tendi- neux. Je dois faire remarquer que l'ap
i- neux. Je dois faire remarquer que l'appréciation de l'état des
réflexes
tendi- neux n'est pas sans présenter quelques d
sion d'un tendon et qui donne la mesure apparente de l'intensité du
réflexe
, est susceptible d'être, par un acte moteur d'o
ur éliminer l'influence du second facteur que, quand on explore les
réflexes
rotuliens, on recommande au sujet en observation
xamen à plusieurs reprises pour être fixé exactement sur l'état des
réflexes
. Les difficultés sont encore plus grandes chez
sse énergique et donner ainsi l'impression d'une exagération de ces
réflexes
; le soulèvement de la plante du pied a parfois
re, c'est là du moins ma manière de voir, que cette exagération des
réflexes
n'est qu'apparente, que le mouvement qu'on observ
ement ayant une amplitude égale et une forme identique à celle d'un
réflexe
normal (réflexe tendineux légitime) et d'autre
amplitude égale et une forme identique à celle d'un réflexe normal (
réflexe
tendineux légitime) et d'autre part un mouvemen
et d'autre part un mouvement bien plus étendu, d'origine psychique (
réflexe
tendineux illégitime ou pseudo-réflexe tendineux)
t consécutif à la percussion d'un tendon n'est pas le résultat d'un
réflexe
tendineux légitime, soit parce que le temps perdu
re du mouvement ne présente pas les caractères qui appartiennent au
réflexe
tendineux légitime, soit parce qu'un mouvement
région qui avoisine le tendon, soit encore parce que l'état de ces
réflexes
subit à de courts intervalles des modifications
ifférente de l'épilepsie spinale. Je tiens à faire remarquer que le
réflexe
radial qu'on fait apparaître en percutant le ra
rché, mérite pourtant de l'être, autant et plus même que tout autre
réflexe
, parce que, quand il est réellement exagéré, il
- sées à contrefaire. Ainsi donc l'abolition ou l'exagération des
réflexes
tendineux du côté paralysé dans un cas d'hémipl
ralysie organique ou encore de se développer sur un membre dont les
réflexes
tendineux sont exagérés à cause de quelque autr
lation tibio-tarsienne qui a donné naissance à de l'exagération des
réflexes
tendineux et à de l'épilepsie spi- nale ; cette
une règle qui ne souffre que très peu d'exceptions. Tandis que les
réflexes
tendineux sont depuis fort longtemps l'objet de
sys- tématique dans les affections du système nerveux, l'étude des
réflexes
a été négligée. On admet simplement, que dans l
négligée. On admet simplement, que dans l'hémiplégie organique, ces
réflexes
sont parfois affaiblis ou abolis du côté paralysé
pèces d'hémiplégie. Je dois dire toutefois qu'en ce qui concerne le
réflexe
cutané abdomi- nal, Rosenbach, qui signala, le
au même titre qu'une affection organique de l'encéphale, abolir le
réflexe
cutané abdominal, et dans la plupart des cas d'
'hémiplégie hystérique que j'ai examinés j'ai constaté un mouvement
réflexe
consécutif à l'excitation de la peau de l'abdomen
pense pas qu'il s'agisse en pareil cas d'une véritable abolition du
réflexe
et je suppose que le mouvement réflexe est simp
d'une véritable abolition du réflexe et je suppose que le mouvement
réflexe
est simplement masqué par une contraction volonta
idéré comme un indice incertain de lésion organique. L'abolition du
réflexe
crémastérien du côté paralysé, coïncidant avec
rémastérien du côté paralysé, coïncidant avec la conservation de ce
réflexe
du côté sain, n'est pas rare dans l'hémiplé- gi
plus de valeur, au point de vue du dia- gnostic, que l'abolition du
réflexe
abdominal. Les mouvements consécutifs à l'excit
dans l'hémiplégie hysté- rique et ce que nous avons dit à propos du
réflexe
abdominal s'applique au réflexe plantaire. Et p
t ce que nous avons dit à propos du réflexe abdominal s'applique au
réflexe
plantaire. Et pourtant le réflexe cutané plantair
u réflexe abdominal s'applique au réflexe plantaire. Et pourtant le
réflexe
cutané plantaire fournit au diagnostic différen
l'excitation de la plante du pied provoque entre autres mouvements
réflexes
une flexion des orteils sur le métatarse et jamai
rteils » cette modification pathologique dans la forme du mouvement
réflexe
et j'en ai donné une description détaillée dans
es atteints à la fois d'hémiplégie ancienne et de tabes et dont les
réflexes
tendineux étaient abolis. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE
a valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l'état des
réflexes
tendineux ne fournit pas le moyen de déceler l'ét
yramidal. C'est ainsi que, dans l'hémiplégie organique récente, les
réflexes
tendineux sont généralement normaux ou affaiblis,
e hystérique n'atteint ni la tonicité musculaire, ni les mouvements
réflexes
, soit tendineux, soit cuta- nés, dont la pertur
u plus, comme nous l'avons déjà indiqué, entraver l'observation des
réflexes
, mais ne peut en réalité ni les abolir ni les exa
nomène que j'ai appelé Inflexion exagérée de l'avant-bras. 6° Les
réflexes
tendineux et les réflexes osseux sont souvent t
lexion exagérée de l'avant-bras. 6° Les réflexes tendineux et les
réflexes
osseux sont souvent troublés dès le début ; i
dans bien des cas de la trépidation épileptoïde du pied. 7° Les
réflexes
cutanés sont générale- ment troublés. Le réfl
pied. 7° Les réflexes cutanés sont générale- ment troublés. Le
réflexe
abdominal et le réflexe cré- mastérien sont ord
cutanés sont générale- ment troublés. Le réflexe abdominal et le
réflexe
cré- mastérien sont ordinairement, surtout au
rdinairement, surtout au début, affaiblis ou abolis. Le mouvement
réflexe
des orteils consé- cutif à l'excitation de la p
signe de la flexion exagérée de l'avant-bras fait défaut. 6° Les
réflexes
tendineux et les réflexes osseux ne subissent p
rée de l'avant-bras fait défaut. 6° Les réflexes tendineux et les
réflexes
osseux ne subissent pas de modification et la
ation et la trépidation epileptoïde du pied fait défaut. 7° Les
réflexes
cutanés ne paraissent pas troublés. Le réflex
défaut. 7° Les réflexes cutanés ne paraissent pas troublés. Le
réflexe
abdominal et le réflexe cré- mastérien sont ord
es cutanés ne paraissent pas troublés. Le réflexe abdominal et le
réflexe
cré- mastérien sont ordinairement normaux. Le
e réflexe cré- mastérien sont ordinairement normaux. Le mouvement
réflexe
consécutif à l'excitation de la plante du pied
lle particulière aux lésions occupant l'hémisphère droit ? VIII
RÉFLEXES
DE DÉFENSE. ÉTUDE CLINIQUE rJ. Babinski.] Pub
citer que quelques-uns des phy- siologistes qui se sont occupés des
réflexes
de défense, ont vu comme Prochaska qu'une greno
, à se défendre. Le phénomène fut pour cela qualifié de « mouvement
réflexe
de défense », et l'usage a consacré cette dénom
xpériences de Sherrington, ont proposé de remplacer l'expression de
réflexe
de défense par celle de « réflexe d'automatisme m
posé de remplacer l'expression de réflexe de défense par celle de «
réflexe
d'automatisme médullaire ». Vt'oerkom soutient
e d'automatisme médullaire ». Vt'oerkom soutient à son tour que ces
réflexes
diffèrent essentiellement du mouvement alternatif
ent toutes au même objet. A co propos je rappellerai aussi que le «
réflexe
fléchisseur dorso-plantaire » (Bechlerew) et le
raccourcisseurs » (Pierre Marie et Foix) ne sont autre chose que des
réflexes
de défense. vulpin, Dictionnaire de Dechambre
ut même bientôt très réduite lors- qu'on acquit la connaissance des
réflexes
tendineux et qu'on s'attacha à leur étude. La b
ha à leur étude. La brièveté des mentions qu'on trouve au sujet des
réflexes
de défense dans les meilleurs traités classique
plus loin, signale des phénomènes qui ressortissent au chapitre des
réflexes
de défense. Van Gehuchten, dans des travaux a
ten, dans des travaux ayant principalement pour but d'oppo- ser aux
réflexes
tendineux les réflexes cutanés « à long trajet cé
yant principalement pour but d'oppo- ser aux réflexes tendineux les
réflexes
cutanés « à long trajet cérébro- médullaire » e
eu l'occasion de critiquer certaines conclusions, a rappelé que les
réflexes
cutanés de défense sont, comme les réflexes ten
ions, a rappelé que les réflexes cutanés de défense sont, comme les
réflexes
tendineux, généralement exagérés dans les affec
ie de communications, contribué à pré- ciser la valeur clinique des
réflexes
de défense et j'ai cherché à tirer de leur étud
n préciser l'objet de ce travail, de montrer en quoi consistent les
réflexes
de défense chez l'homme. C'est aux membres infé
int de paraplégie par compression de la moelle état dans lequel les
réflexes
de défense sont généralement très forts et dont
u à la suite d'une nouvelle excitation. Tel est le type général des
réflexes
de défense du membre inférieur. Mais ils peuven
e des groupes musculaires qui entrent en jeu pour les constituer.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE Il-, En effet, nous avons décrit le
nstituer. RÉFLEXES DE DÉFENSE Il-, En effet, nous avons décrit le
réflexe
de défense en flexion qui est de beaucoup le pl
chez tel paraplégique, on observera aux deux membres inférieurs des
réflexes
de défense en flexion qui s'effectueront simultan
réalablement fléchi (Marie et Foix). Habituellement, le mouvement
réflexe
, à l'état pathologique, s'accomplit avec une ce
ons à cette règle ; dans la maladie de Friedreich, par exemple, les
réflexes
de défense sont d'ordinaire très exagérés et tr
e sur lequel nous aurons à revenir. Ajoutons enfin qu'une flexion
réflexe
très forte du pied sur la jambe peut se produir
ois articula- tions. Nous ne nous sommes occupé jusqu'ici que des
réflexes
de défense aux membres inférieurs. On peut en o
. Ces mouvements peuvent présenter des modalités diverses comme les
réflexes
des membres inférieurs, mais ils sont plus souven
té de certains de leurs muscles lisses. A priori, l'expression de
réflexe
de défense parait convenir surtout aux mouvemen
s de la même manière. Les procédés usités pour faire apparaître les
réflexes
de défense sont multiples. L'un des plus employ
u membre supérieur on peut facilement provoquer le déclenchement du
réflexe
de défense en portant la main du malade en hypere
nc lieu de les employer à tour de rôle, surtout dans les cas où les
réflexes
sont difficiles à mettre en évidence et où la dét
ons déjà indiqué, sont identiques quant à leur forme aux mouvements
réflexes
de défense « provoqués » ; évidemment, ce n'est q
nant des régions profondes ; chez certains malades, la réplétion de
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 119 La description qui précède s'app
RÉFLEXES DE DÉFENSE 119 La description qui précède s'applique aux
réflexes
de défense qu'on peut observer à l'état patholo
éflexes de défense qu'on peut observer à l'état pathologique. Ces
réflexes
existent-ils aussi à l'état physiologique ? Chez
citant la région plantaire on peut obtenir, entre autres mouvements
réflexes
, une flexion du pied, de la jambe et de la cuisse
une flexion du pied, de la jambe et de la cuisse. S'agit-il là d'un
réflexe
identique dans sa nature à ceux dont je viens de
tance secondaire au point de vue clinique) et je considé- rerai les
réflexes
de défense pathologiques comme l'exagération du
rerai les réflexes de défense pathologiques comme l'exagération du
réflexe
de défense physiologique. Comment donc distingu
ologique et sur quels signes se fondera-t-on pour s'assurer que les
réflexes
de défense sont exagérés ? Sans doute il est so
ible de reconnaître la surréflectivité à l'amplitude des mouvements
réflexes
, mais il est parfois difficile de se former une
un signe qui me parait pathognomonique : si on obtient une flexion
réflexe
du pied en pinçant la peau du membre inférieur ho
ou à la jambe, on est en droit d'affirmer qu'il y a exagération des
réflexes
de défense, car dans les mêmes conditions un pa
uvert ce signe qui me semble être le critérium de l'exagération des
réflexes
de défense. Après que j'eus fait connaître à la
à l'état physiologique. Schaefer considérait ce phénomène comme un
réflexe
tendineux et il l'appelait « réflexe antagoniste
sidérait ce phénomène comme un réflexe tendineux et il l'appelait «
réflexe
antagoniste ». D'une critique (2) que je fis du
parties du membre inférieur, et j'ai constaté les mômes mouvements
réflexes
... « Rien n'autorise donc à soutenir que le réf
mes mouvements réflexes... « Rien n'autorise donc à soutenir que le
réflexe
de Schaefer soit un réflexe tendi- neux antagon
« Rien n'autorise donc à soutenir que le réflexe de Schaefer soit un
réflexe
tendi- neux antagoniste. Il y a tout lieu d'adm
oniste. Il y a tout lieu d'admettre qu'il s'agit tout simplement d'un
réflexe
cutané. » la vessie, par exemple, est la sour
on voit que le phénomène d'Oppenheim est caractérisé par la flexion
réflexe
du pied que provoque, chez les malades atteints
e interne de la jambe. Il nous reste maintenant à interpréter les
réflexes
de défense, à montrer leur valeur sémiologique.
à en partie de ce qui précède on peut dire que l'exagération de ces
réflexes
dénote une perturbation des fonctions du systèm
ion ils se rapprochent du signe des orteils et de l'exagération des
réflexes
tendineux. Ces divers phénomènes coexistent fré
dissocier. Pour ce qui concerne en particulier les relations des
réflexes
de défense avec le signe des orteils, je rappel
liés et l'extension de l'orteil ferait partie inté- grante du grand
réflexe
de défense des membres inférieurs, du « phéno-
section complète de la moelle où il existait, en même temps que des
réflexes
de défense très nets, une flexion plantaire des
confirment mon opinion. (') Voir à ce sujet : Rétlexes tendineux et
réflexes
osseux. Leçons faites à l'hôpital de la Pitié (I3
nseil par une de mes élèves, 1' Rosenblum. Son étude montre que les
réflexes
de défense sont presque tou- jours exagérés dan
tu mars 1912. C) Pastine, Revue neurologique, 15 octobre r 9 r 3.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 121 Ce que nous avons dit plus haut
rs des physiologistes dont nous avons mentionné les travaux sur les
réflexes
de défense au début de cet article avaient déjà c
se au début de cet article avaient déjà constaté l'existence de ces
réflexes
chez les hémiplégiques et noté qu'ils étaient g
appelle les recherches de Schaefer et les miennes sur ce sujet. Ces
réflexes
ont été de nouveau étudiés par Claude qui, dans
auteur a décrit en 1 ploc) comme manifestations d' « hyperki- nésie
réflexe
» des mouvements provoqués par le pincement de la
bientôt. Dans l'hémiplégie spinale, syndrome de Brown-Séquard, les
réflexes
dont nous nous occupons ont été fréquemment déc
au cours de ces dernières années, il ressort que l'exagération des
réflexes
de défense dans le syndrome de Brown-Séquard pe
as, mais prédomine d'un côté('). I)ans la maladie de Friedreich les
réflexes
de défense, comme je l'ai montré avec Vincent e
te la surface du (') Claude, Sur certains phénomènes d'hvperkincsiu
réflexe
. Encéphale, 19'o, p. 287. (2) Babinski, Jarkows
ogique, 3o avril 1 g 1 3 . ('') Babinski, Vincent et Jarkowski. Des
réflexes
culanés de défense dans la maladie de Friedreich.
mars 1912. 2. 122 ' SÉMIOLOGIE corps. En outre, l'exagération des
réflexes
de défense présente ici cette particularité, di
particularité, digne d'attention, de coïncider avec l'abolition des
réflexes
tendineux et une absence complète de contractur
et une absence complète de contracture. Nous arrivons à l'étude des
réflexes
de défense dans le syndrome « para- plégie » et
t le plus d'importance pour le clinicien. Dans la paraplégie, les
réflexes
de défense sont généralement exagérés, mais l'i
tuent le syndrome. Il est à remarquer d'abord que l'intensité des
réflexes
de défense n'est pas toujours proportionnée à c
es réflexes de défense n'est pas toujours proportionnée à celle des
réflexes
tendineux, les premiers pouvant être très forts
atant et c'est en partie l'étude comparative de ces deux espèces de
réflexes
qui m'a conduit à soutenir qu'entre la paraplégie
prononcé de la motilité volontaire et une exagération constante des
réflexes
tendineux avec trépidation épileptoïde du pied...
à cette triade symptomatique... De plus, je ferai remarquer que les
réflexes
de défense, souvent plus forts, il est vrai, qu
peut faire défaut depuis le début jusqu'à la fin. Parfois même les
réflexes
tendineux sont très affaiblis ou abo- lis. Les
is même les réflexes tendineux sont très affaiblis ou abo- lis. Les
réflexes
cutanés de défense sont, au contraire, toujours e
deux phénomènes est comparable à celui qui rattache l'exagération des
réflexes
tendineux à la paraplégie spastique spinale...
T'lèse de Paris, juillet rgr4. Paraplégie en flexion type Babinski.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 123 sant le système pyramidal, ce qu
en flexion une contracture du membre supérieur avec abo- lition des
réflexes
tendineux et exagération des réflexes de défense.
upérieur avec abo- lition des réflexes tendineux et exagération des
réflexes
de défense. Je suis arrivé ainsi à cette idée q
la- tion, comme on le sait depuis longtemps, avec l'exagération des
réflexes
tendineux ; on peut l'appeler contracture tendi
dente par les traits suivants : elle est indépendante de l'état des
réflexes
tendineux qui sont tantôt forts, tantôt normaux,
ormaux, tantôt affaiblis ou abolis ; mais elle a des liens avec les
réflexes
de défense qui sont tou- jours exagérés. J'ai p
a été faite. On a prétendu que l'affaiblissement ou l'abolition des
réflexes
tendineux notée par moi n'était qu'une apparenc
la contracture rendraient impossible la manifestation du phénomène
réflexe
. Je reconnais fort bien, et j'en ai déjà fait m
n, et j'en ai déjà fait moi-même la remarque, que l'exploration des
réflexes
tendineux dans la paraplégie en flexion est par-
d'une manière incontestable l'affaiblissement ou l'abo- lition des
réflexes
tendineux. J'ajoute qu'en pareil cas la réapparit
asmodiques sous l'influence de l'excitation de la peau éta- (') Les
réflexes
de défense pouvant être provoqués non seulement p
nte le lien qui unit cette forme de contracture à l'exagération des
réflexes
de défense. Je vais maintenant chercher à montr
ntenant chercher à montrer le parti qu'on peut tirer de l'étude des
réflexes
de défense pour la localisation des lésions spina
de la moelle ayant déterminé de la paraplégie avec anesthésie, les
réflexes
de défense, exagérés, comme il a été dit plus h
ette région. Ces deux données, limité de l'anesthésie et limite des
réflexes
de défense, outre qu'elles constituent l'une po
on, lorsque l'écart entre la frontière de l'anesthésie et celle des
réflexes
de défense est considérable, l'hypothèse d'une
recherches, la localisation d'une lésion médul- laire au moyen des
réflexes
de défense fut vérifiée dans 16 cas (') : dans
cervicale), Iconographie de la Salpêtrière, janvier-férier 191 3.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 125 la limite supérieure des réflexe
er-férier 191 3. RÉFLEXES DE DÉFENSE 125 la limite supérieure des
réflexes
de défense se trouvait au niveau de la VIIe cer
ue l'on rencontre quand on s'efforce de délimiter le territoire des
réflexes
de défense. On est exposé à des erreurs d'obser
e pourrait faire prendre le change et être considéré à tort pour un
réflexe
de défense. Chez d'autres malades, un mouvement
on, si cette excitation a été appliquée au-dessus du territoire des
réflexes
de défense. D'autre part, la réflectivité peut
le soit dûment établie. Il est encore essentiel de savoir que les
réflexes
de défense se laissent provoquer beaucoup plus
ion dans la région lombaire ou sacrée. Enfin, je rappelle que les
réflexes
de défense se laissent provoquer de préférence
ne parviendra pas toujours à obtenir de ses investigations sur les
réflexes
de défense des renseignements utilisables. Il n
nnées précieuses pour le diagnostic topographique des lésions. IX
RÉFLEXES
DE DÉFENSE [J. Babinski.] Conférence faite ,
examen des membres inférieurs, l'indi- cation des signes suivants :
réflexes
de défense, réflexe antagoniste de Schaefer, Un
férieurs, l'indi- cation des signes suivants : réflexes de défense,
réflexe
antagoniste de Schaefer, Unterschenkelphaenomen
éflexe antagoniste de Schaefer, Unterschenkelphaenomen d'Oppenheim,
réflexe
fléchisseur dorso-plantaire de Bechterew, tripl
riple retrait du membre inférieur, phéno- mène des raccourcisseurs,
réflexes
d'automatisme médullaire, massreflex. Ne sachan
d'une notion facile à acquérir et qui lui aurait été très utile.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 127 Je ne veux pas soutenir que le s
linique, les moyens qu'il faut employer pour mettre en évidence les
réflexes
dont nous allons nous occuper et certaines cons
s. Il y a de grandes différences en ce qui concerne l'intensité des
réflexes
, l'amplitude des mouvements. Tantôt, le moindre
question, l'attitude en flexion obtenue par l'excitation plantaire
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 129 se maintient généralement quelqu
gique et n'ayant pas la vision précise de la forme des mouve- ments
réflexes
pathologiques seraient exposés à des erreurs ; aj
alors semblent volontaires et diffèrent d'habitude des réac- tions
réflexes
par les caractères du mouvement, ainsi que par ce
onférence, je propose une expression nouvelle : signe de la flexion
réflexe
du pied pour désigner les réflexes pathologique
on nouvelle : signe de la flexion réflexe du pied pour désigner les
réflexes
pathologiques que nous étudions. Le moyen le plus
oint de vue clinique et, comme je l'ai dit dans mon travail sur les
réflexes
de défense publié en gi4, « mettant absolument
lo- gique de ces phénomènes », j'ai soutenu que les liens entre les
réflexes
dits de défense et le phénomène des orteils ne
eût différence absolue de nature entre le signe des orteils et les
réflexes
cutanés de défense, déclarent être d'un avis co
de nature défensive, je considère 1' « extensor response » comme un
réflexe
distinct et séparé, une chose à part pour laquell
erre à terre ». Il est incontestable, je le répète, que l'extension
réflexe
des orteils et la flexion réflexe du pied sont,
le, je le répète, que l'extension réflexe des orteils et la flexion
réflexe
du pied sont, dans la majorité des cas, associées
premier à signaler en 1900, à propos du travail de Schaefer sur le
réflexe
antagoniste du pied, que, dans l'hémiphégie org
lement le phénomène des orteils en l'absence du signe de la flexion
réflexe
du pied, mais aussi la disposition inverse. J'a
Revue Neurologique, njn, t. XXII, p. 141 et 1912, t. XXIV, p. 772.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 13l temps que des réflexes de défens
1 et 1912, t. XXIV, p. 772. RÉFLEXES DE DÉFENSE 13l temps que des
réflexes
de défense très nets, une flexion plantaire des
s pendant un certain laps de temps, pour entraver l'exploration des
réflexes
, car M. Dejerine donne à cet égard des renseign
e plus importante peut-être que les précédentes, à savoir l'état du
réflexe
cutané plantaire. Pendant les six mois que passa
aire. Pendant les six mois que passa ce malade dans mon service, le
réflexe
cutané de la plante du pied se faisait des deux
un pincement énergique de la peau du dos des pieds, le mou- vement
réflexe
de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse a
a flexion des cuisses et des jambes, il est dit expressément que le
réflexe
cutané plan- taire est normal. Des expérience
lastique peut amener transi- toirement la réapparition du mouvement
réflexe
de flexion des orteils ; or le pied peut contiu
s orteils ; or le pied peut contiuner alors à exécuter un mouvement
réflexe
en flexion. MM. Marie et Foix, dans un article
nt réflexe en flexion. MM. Marie et Foix, dans un article sur « les
réflexes
d'automatisme médullaire » (3), écrivent à ce s
la bande d'Esmarch agit en supprimant momentanément l'excitabilité
réflexe
des muscles ischémies » Les muscles extenseurs,
oté chez certains sujets et que je rappelle : avant la compression,
réflexe
plantaire toujours en extension quelle que soit
it la région de la plante que l'on excite ; après la compres- sion,
réflexe
en extension ou en flexion suivant qu'on excite l
tatations suivantes : après avoir enlevé la bande à un moment où le
réflexe
se faisait encore en extension, j'ai vu cependant
u bout de quelques instants, au retour de l'irrigation sanguine, le
réflexe
en flexion remplacer pour quelque temps le mouv
ne, le réflexe en flexion remplacer pour quelque temps le mouvement
réflexe
précédent. Il m'est arrivé alors d'observer, ap
et sans contester aucunement les relations qui unissent la flexion
réflexe
du pied avec l'extension des orteils, les connais
rait existent nettement, mais ce dernier phénomène coïncide avec un
réflexe
plantaire en flexion bien qu'il n'existe pas de r
logue à la mienne puisque, dans leur premier article sur le retrait
réflexe
du membre inférieur ('), ils écrivent ceci : « Il
flexe du membre inférieur ('), ils écrivent ceci : « Il (le retrait
réflexe
) est extrêmement fréquent dans l'hémiplégie const
ent chez certains (') Revue Neurologique, IUI2, t. XXIII, p. 1 z.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 133 pseudo-bulbaires, ou dans certai
cas d'hémiplégie ancienne » ; et, dans un deuxième travail sur les
réflexes
d'automatisme médullaire ('), ils écrivent enco
peut cependant voir, dans les cas où, par suite du combat entre le
réflexe
normal en flexion et le réflexe pathologique en
as où, par suite du combat entre le réflexe normal en flexion et le
réflexe
pathologique en extension, le mouvement des ort
Van Woerkom, dans un travail Sur la signification physiologique des
réflexes
cutanés des membres inférieurs (2), écrit ceci
i : « Pourtant, le lien qui relie le signe de Babinski au « flexion
réflexe
» n'est pas indissoluble. » Contrairement à l'u
e citer que quelques-uns des physiologistes qui se sont occupés des
réflexes
de défense, ont vu comme Prochaska qu'une greno
, à se défendre. Le phénomène fut pour cela qualifié de « mouvement
réflexe
de défense », et l'usage a consacré cette dénom
fut même bientôt très réduite lorsqu'on acquit la connaissance des
réflexes
tendineux et qu'on s'attacha à leur étude. La b
ha à leur étude. La brièveté des mentions qu'on trouve au sujet des
réflexes
de défense dans les meilleurs Traités classique
est depuis 25 ans environ, et à la suite de ma communication sur le
réflexe
cutané plantaire et le phénomène des orteils que
nomène des orteils que l'attention a été de nouveau dirigée sur les
réflexes
de défense, bien qu'on se soit servi parfois d'
de l'année 1899 du Neurologisches Centralisait, décrit un phénomène
réflexe
dont voici les caractères : lorsqu'on presse én
n du pied ainsi qu'à une extension des orteils du côté paralysé. Ce
réflexe
pathologique se distinguerait des autres réflexes
côté paralysé. Ce réflexe pathologique se distinguerait des autres
réflexes
tendineux parce que la réaction, au lieu de s'o
, se manifesterait dans les antagonistes, d'où la déno- mination de
Réflexe
antagoniste que Schaefer propose de donner à ce p
e la réaction obtenue dans les expériences de Schaefer constitue un
réflexe
tendineux antagoniste. J'ai montré, en effet, que
eur, hors de la zone plantaire, inca- pable de produire une flexion
réflexe
du pied à l'état normal, peut en déterminer une
ambe provoquée par le frottement ne détermine à l'état normal aucun
réflexe
, ou seulement une flexion des quatre petits ort
de Paris en août 1900, entre autres questions qu'il aborde sur les
réflexes
cutanés et les réflexes tendineux, étudie parti
entre autres questions qu'il aborde sur les réflexes cutanés et les
réflexes
tendineux, étudie particulièrement les réflexes d
exes cutanés et les réflexes tendineux, étudie particulièrement les
réflexes
de RÉFLEXES DE DÉFENSE 135 défense dans les l
et les réflexes tendineux, étudie particulièrement les réflexes de
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 135 défense dans les lésions atteign
é de Neurologie et intitulé : « Sur la transformation du régime des
réflexes
cutanés dans les affections du système pyramida
ogisches Centralblatt, p. 290) a publié une note sur les mouvements
réflexes
produits par la manoeuvre qui consiste à fléchi
, t. XIX, p. 666), nous cherchons, Jarkowski et moi, à utiliser les
réflexes
de défense pour déterminer le niveau d'une lési
ournal L'Encéphale, 1910, p. 287, Claude traite de l'hyper- kinésie
réflexe
qu'on peut observer au membre supérieur. En jan
res involontaires » et je fais ressortir les liens qui l'unissent aux
réflexes
de défense. En mai 1912, je reviens sur ce suje
en mai 1912 (Revue Neurologique, t. XXIV, p. 607), intitulé : « Les
réflexes
d'automatisme médullaire et le phénomène des ra
Mémoire de Van Woer- kom : « Sur la signification physiologique des
réflexes
cutanés des mem- bres inférieurs. » Dans la R
gique, 191 ! ¡-1915, t. XXVIII, p. 145, je publie une étude sur les
réflexes
de défense, et quelques semaines plus tard (Rev
Pierre Marie et Foix font paraître à leur tour un mémoire sur « les
Réflexes
d'automatisme médullaire dits de défense ». D
défense ». Dans un travail intitulé : « Quelques remarques sur les
réflexes
de défense dits d'automatisme médullaire » (Rev
e, reprenons le fil de nos idées. J'ai dit que si le lien entre les
réflexes
de défense pathologiques, notamment la flexion
n entre les réflexes de défense pathologiques, notamment la flexion
réflexe
du pied, et le signe des orteils n'est pas indiss
que avec surré- flectivité tendineuse extrêmement forte, la flexion
réflexe
du pied est généralement faible ou même fait dé
enir à la contracture en extension qui entrave la manifestation des
réflexes
de défense. Dans l'hémiplégie organique avec exag
e défense. Dans l'hémiplégie organique avec exagération notable des
réflexes
tendineux et trépidation épileptoïde, la flexion
table des réflexes tendineux et trépidation épileptoïde, la flexion
réflexe
du pied peut aussi manquer de même qu'il y a pa
, c'est la disposition inverse : affaiblisse- ment ou abolition des
réflexes
tendineux avec exagération notable des réflexes
nt ou abolition des réflexes tendineux avec exagération notable des
réflexes
de défense. C'est ce qu'on observe d'habitude dan
e phénomène dans plusieurs cas d'hémiplégie récente flasque, où les
réflexes
tendi- neux étaient normaux, affaiblis ou même
malades atteints de paraplégie cru- rale plus ou moins marquée avec
réflexes
tendineux normaux, sans trace de trépidation ép
neux normaux, sans trace de trépidation épileptoïde du pied et avec
réflexes
de défense très caracté- risés. Je suis convain
efois beaucoup de malades (1) Semaine médicale, 27 juillet rt3g3.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 137 de ce genre ont été considérés c
plus loin et dont le trait le plus essentiel est l'exagération des
réflexes
de défense, les réflexes tendineux peuvent auss
it le plus essentiel est l'exagération des réflexes de défense, les
réflexes
tendineux peuvent aussi être exagérés, mais il n'
t même abolis dans certains cas. Je sais bien que l'exploration des
réflexes
tendineux est rendue quelquefois difficile par le
à ce sujet, il est d'avis que dans la paraplégie en flexion, si les
réflexes
tendineux des exten- seurs peuvent être abolis,
, m'étant assuré dans quelques cas de paraplégie en flexion que les
réflexes
tendineux des fléchisseurs de la jambe sur la c
tôt faibles. , Dans la paraplégie en flexion, l'affaiblissement des
réflexes
tendineux peut survenir après une période plus
rréflectivité tendineuse. Mais il y a des cas où, dès le début, les
réflexes
tendineux sont amoindris. J'ai rapporté une Obser
ve une contracture associée à une abolition à peu près complète des
réflexes
ten- dineux et à des réflexes de défense extrêm
une abolition à peu près complète des réflexes ten- dineux et à des
réflexes
de défense extrêmement forts. Ce fait constitue u
e et a acquis une grande intensité, la faiblesse ou l'abolition des
réflexes
tendineux est difficile à apprécier et ne peut
détente qui sont très fréquentes, de se rendre un compte exact des
réflexes
ten dineux ; on s'assure aisément que le réflex
compte exact des réflexes ten dineux ; on s'assure aisément que le
réflexe
rotulien droit et les réflexes achilléens sont
dineux ; on s'assure aisément que le réflexe rotulien droit et les
réflexes
achilléens sont abolis. J'ajoute que l'affaibli
réflexes achilléens sont abolis. J'ajoute que l'affaiblissement des
réflexes
tendi- neux a été noté, dans ce cas, dès le déb
but de l'affection et n'a pas été pré- cédé de l'exagération de ces
réflexes
, ainsi que cela se voit assez souvent dans cett
rologique, '912, t. XXIV; p. 79. 138 SÉMIOLOGIE L'exagération des
réflexes
de défense conduit-elle seulement au diagnostic
où le chatouillement de la peau cesse de provoquer des contractions
réflexes
indique le niveau où existe la compression de l
d la paraplégie est très marquée, une excitation peut provoquer des
réflexes
de défense. On possède ainsi un moyen de déterm
ue l'on rencontre quand on s'efforce de délimiter le territoire des
réflexes
de défense. On est exposé à des erreurs d'obser
e pourrait faire prendre le change et être considéré à tort pour un
réflexe
de défense. Chez d'autres malades, un mouvement
on, si cette excitation a été appliquée au-dessus du territoire des
réflexes
de défense. « D'autre part, la réflectivité p
ndant plusieurs semaines, et retenir, entre les limites variées qui
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 13g ont été obtenues, celle qui est
t dûment établie. ' . « Il est encore essentiel de savoir que les
réflexes
de défense se laissent provoquer beaucoup plus
dans la région lom- baire ou sacrée. « Enfin, je rappelle que les
réflexes
de défense se laissent provoquer de préférence
ne parviendra pas toujours à obtenir de ses investigations sur les
réflexes
de défense des renseignements utilisables. » Il
par les troubles de la sensibilité. Autre problème. L'intensité des
réflexes
de défense et les diversités de forme qu'ils pr
is et tous les neurolo- gistes semblent d'accord là-dessus, que les
réflexes
de défense sont, d'une manière générale et sauf
ésions, d'après ce que j'ai observé, je pense que l'exagération des
réflexes
de défense est particulièrement intense et dura
si se manifester, à une certaine période de leur évolution, par des
réflexes
de défense très marqués. Mais dans ces derniers
marqués. Mais dans ces derniers cas, la phase pendant laquelle les
réflexes
de défense sont exagérés est relativement courte,
xagérés est relativement courte, et la contracture qui se lie à ces
réflexes
dans la paraplégie que j'ai envisagée et dont n
rquée. En tous cas, mes observations ont montré que l'intensité des
réflexes
de défense n'est pas, tant s'en faut, en proporti
ue j'ai cherché à mettre en lumière. Je le répète, la présence de
réflexes
de défense même très prononcés et avec accompag
se de Paris, ici4- La paraplégie en flexion, par le Dr Paul Nicaud.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE if,i sion est entrecoupée de temps à
à une flexion à droite et une extension à gauche et vice versa. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont nettement
côtés. « On constate le signe des orteils des deux côtés. « Les
réflexes
de défense sont fortement exagérés et peuvent êtr
tendance à l'extension des orteils et une légère exagé- ration des
réflexes
de défense. » J'apprends ultérieurement que la
rréflectivité défensive n'implique pas l'idée d'incurabilité. Les
réflexes
de défense, après disparition complète des troubl
ument normaux. , On a pris l'habitude de dire que l'exagération des
réflexes
de défense témoigne que la moelle est délivrée
, comme on le voit par ce qui précède, la moelle, en recouvrant les
réflexes
de défense de ses ancêtres, n'a pas reconquis t
le est exposée à reprendre ses chaînes, ce qu'atteste le retour des
réflexes
à l'état physiologique.. Mais il y a plus : dau
à l'état physiologique.. Mais il y a plus : daus certains cas, les
réflexes
de défense patholo- giques survivent à tous les
e manière très nette le signe des orteils et le signe de la flexion
réflexe
du pied. On peut dire qu'en pareille occurrence
ilement à l'encéphale, son maitre. Si la diminution progressive des
réflexes
de défense préalablement exagérés peut être un
ne aggravation : dans les cas de section complète de la moelle, ces
réflexes
s'affaiblissent d'habitude à la période qui pré
iode qui précède la mort. J'ai été amené à vous indiquer l'état des
réflexes
de défense dans les sections spinales totales à
e terminale, à la phase moyenne. Je dois vous exposer l'état de ces
réflexes
à la première phase, après le trauma- tisme. So
mière phase, après le trauma- tisme. Sous l'influence du shock, les
réflexes
cutanés aux membres infé- rieurs peuvent être c
res infé- rieurs peuvent être complètement abolis comme le sont les
réflexes
ten- dineux. Pour ce qui concerne les réflexes
is comme le sont les réflexes ten- dineux. Pour ce qui concerne les
réflexes
tendineux, dont je ne vous parle qu'incidemment
levé que la normale, mais leur retour est plus tardif que celui des
réflexes
cutanés. Au sujet de ces derniers, les opinions n
erver un nombre de faits restreint. 11 y aurait tantôt abolition du
réflexe
cutané plantaire, tantôt extension, tantôt flex
extension, tantôt flexion des orteils. D'après Guillain et Barré, le
réflexe
en flexion de ces paraplégiques se différencie
ltérieurement qu'elle s'étendrait à tout le pied et à la jambe; les
réflexes
deviennent de plus en plus forts et une exagérati
t de plus en plus forts et une exagération parfois très marquée des
réflexes
de défense se constitue alors. Il y a lieu de c
vité tendineuse d'habitude affaiblie, on peut constater l'extension
réflexe
des orteils et la flexion réflexe du pied. Dans
ie, on peut constater l'extension réflexe des orteils et la flexion
réflexe
du pied. Dans quelques cas, des neurologistes, pr
n de constater ces signes dès la première minute. L'exagération des
réflexes
de défense parait donc bien plus précoce dans l
'on observe, comme nous l'avons dit, à une période plus avancée des
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 1/13 lésions cérébrales et spinales.
rsuivre l'étude des sections spinales dans leurs relations avec les
réflexes
cutanés, les réflexes de défense, me rapportant s
ctions spinales dans leurs relations avec les réflexes cutanés, les
réflexes
de défense, me rapportant surtout aux travaux d
i ont cherché à établir le parti qu'on pourrait tirer de l'état des
réflexes
de défense au point de vue du diagnostic différ
n d'un des membres inférieurs peut déter- miner aussi des mouvement
réflexes
dans l'autre membre, que j'ai seu- lement notés
de base à leur conception du mécanisme de ce qu'ils appellent « les
réflexes
d'auto- matisme médullaire. » « Nous allons v
t exister chez l'homme, dans quelques cas seulement il est vrai, un
réflexe
d'extension croisée analogue au « crossed exten
hénomène des raccourcisseurs. L'excitation doit, pour déterminer le
réflexe
croisé, être forte, progressive et prolongée ;
tenant en mesure d'indiquer les caractères em- pruntés à l'état des
réflexes
de défense et qui permettent, d'après Head et R
eflex ». Dans les sections totales, il n'y aurait pas de véritables
réflexes
croisés : dans 6 cas sur les 8 cas observés, la
es réflexes croisés : dans 6 cas sur les 8 cas observés, la flexion
réflexe
du côté excité s'associe à une flexion du côté
ale moyenne. Phase de shock durant 1 mois et demi. Réapparition des
réflexes
tendineux; extension du gros orteil; mouvements a
nés extrêmement intenses, mouvements de défense très vifs, mictions
réflexes
et spontanées, érections fréquentes : hypersudati
inférieur s'allonge, le pied s'étend et les orteils se fléchissent (
réflexes
d'extension croisée). » b) Présence des réflexe
se fléchissent (réflexes d'extension croisée). » b) Présence des
réflexes
en extension, qui ne s'observeraient que quand
toujours ainsi. A la page 63, où il est fait mention de l'état des
réflexes
52 jours après l'examen précédent, nous trouvons
ai bien compris, dans la section incomplète, la zone réflexogène du
réflexe
en flexion ne dépasserait pas le genou. (') Sur
ur la section totale de la moelle, 1919 C\laloine, éditeur), p. 09.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE </)5 5 Cette opinion me semble en
lète de la moelle, ce qu'ils appellent « Massreflex », c'est-à-dire
réflexes
de défense toujours en flexion avec mictions ré
c'est-à-dire réflexes de défense toujours en flexion avec mictions
réflexes
et forte sudation dans le seg- ment inférieur d
uvent, des excitations diverses déterminaient en même temps que des
réflexes
de défense, des mictions involontaires et l'éva
înées par la catastrophe mondiale. Quelques mots sur les mouvements
réflexes
des membres supérieurs. Claude, dans un travail
ertains phénomènes d'hyperkinésie ŸAIt1\AI. I O r{¡6 SÉMIOLOGIE
réflexe
(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réa
xe(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réactions motrices
réflexes
et a eu surtout en vue celles du membre supérieur
a eu surtout en vue celles du membre supérieur. J'ai mentionné des
réflexes
de défense du membre supérieur dans mon article
. Ces mouvements peuvent présenter des modalités diverses comme les
réflexes
du membre inférieur, mais ils sont plus souvent
e manque de temps m'empêche d'insister. Comment se comportent les
réflexes
de défense pendant le sommeil artificiel ? Cela
iant dont on fait usage. On sait que l'éther agit autrement sur les
réflexes
tendineux que le chloroforme. Je ne puis entrer
nférieur de la compression correspondait à la limite supérieure des
réflexes
de défense) : Paraplégie incomplète avec contra
ture en extension d'intensité moyenne. Hypoes- thésie jusqu'à 1-) ?
Réflexes
rotuliens forts, trépidation épileptoïde du pie
orts, trépidation épileptoïde du pied. Signe des orteils et flexion
réflexe
du pied très caractérisés. La malade reçoit une
ensuite endormie à l'éther avec l'appareil d'Ombredanne. L'état des
réflexes
tendineux et des réflexes de défense reste semb
avec l'appareil d'Ombredanne. L'état des réflexes tendineux et des
réflexes
de défense reste semblable à ce qu'il était pré
t où l'anesthésie, semblant complète, se traduit par l'abolition du
réflexe
cornéen, l'abolition presque complète des réfle
ar l'abolition du réflexe cornéen, l'abolition presque complète des
réflexes
pupillaires, l'insen- sibilité au pincement ave
nal rachidien, la malade étant plongée dans un sommeil profond, les
réflexes
tendineux et les réflexes cutanés, examinés de
tant plongée dans un sommeil profond, les réflexes tendineux et les
réflexes
cutanés, examinés de 2 minutes en 2 minutes, ne
t pas de modification appréciable. Je note seulement que la flexion
réflexe
du pied obtenue par le pincement de la peau de la
à la dure-mère, un nouvel examen des (') Encéphale, 1910, p. 287.
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 147 réflexes est fait, 4 ou 5 minute
examen des (') Encéphale, 1910, p. 287. RÉFLEXES DE DÉFENSE 147
réflexes
est fait, 4 ou 5 minutes après le précédent. Cett
près le précédent. Cette fois, transfor- mation complète : tous les
réflexes
sont abolis. La pression artérielle qui avait é
e cet état de shock, on met fin à l'opération. Une heure après, les
réflexes
rotuliens ont reparu, mais ils sont faibles; les
après, les réflexes rotuliens ont reparu, mais ils sont faibles; les
réflexes
achilléens restent abolis; le pincement de la p
nt du dos du pied déterminait l'extension des orteils et la flexion
réflexe
du pied. Je vais actuellement étudier les réfle
ils et la flexion réflexe du pied. Je vais actuellement étudier les
réflexes
de défense dans leurs rapports avec les trouble
exion, des caractères cliniques distinctifs, au milieu desquels les
réflexes
de défense occupent une place importante. Pour
un travail que j'ai publié en 1912 dans le Bulletin Médical sur les
Réflexes
tendineux et les Réflexes osseux, les passages
en 1912 dans le Bulletin Médical sur les Réflexes tendineux et les
Réflexes
osseux, les passages suivants : « Je dois m'occ
prononcé de la motricité volontaire ; c) exagé- ration notable des
réflexes
tendineux avec trépidation épileptoïde du pied,
trépidation épileptoïde du pied, et parfois danse de la rotule; d)
réflexes
de défense légèrement exagérés ou à peu près no
ire profondément troublée ; il peut y avoir paralysie complète ; c)
réflexes
tendineux parfois exagérés, mais pouvant être n
s exagérés, mais pouvant être normaux, affaiblis ou même abolis; d)
réflexes
de défense toujours très forts; e) dans la gran
te pendant la vie par le signe des orteils et par l'exagération des
réflexes
de défense. « Me voici maintenant en mesure de
ivité tendineuse. En effet, chez les malades qui la présentent, les
réflexes
tendineux ne sont pas toujours exagérés, tant s
s sont souvent, soit normaux, soit affaiblis, soit même abolis. Les
réflexes
de défense, au contraire, sont non seu- lement
t atteindre en même temps les membres supérieurs, où elle offre les
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 14g mômes caractères : rigidité avec
ouvements spasmodiques, affai- blissement ou abolition possible des
réflexes
osso-tendineux, réflexes de défense très forts.
ffai- blissement ou abolition possible des réflexes osso-tendineux,
réflexes
de défense très forts. « Qu'on la considère a
- rieurs, ce qui frappe surtout, ce sont ses liens intimes avec les
réflexes
cutanés de défense dont elle parait dépendre, c
la contracture cutanéo-réflexe (motricité volontaire très troublée,
réflexes
de défense très forts), bien que les membres in
l est évident que cette contracture n'a rien de cutané, puisque les
réflexes
qui la caractérisent peuvent être aussi bien pr
ture en extension est avant tout caractérisée par l'exagération des
réflexes
tendineux et la faible intensité des réflexes d'a
par l'exagération des réflexes tendineux et la faible intensité des
réflexes
d'automatisme appelés encore de défense. Tandis
n est caractérisée non seulement par l'exagération considérable des
réflexes
d'automatisme, mais encore par la diminution ou
xes d'automatisme, mais encore par la diminution ou l'abolition des
réflexes
tendineux. « A cette différence de sémiologie r
la cuisse sur le bassin. « Poursuivons plus loin notre étude. Les
réflexes
rotuliens sont faibles, il n'y a pas de clonus
liens sont faibles, il n'y a pas de clonus du pied. Par contre, ses
réflexes
d'automatisme sont très faciles à provoquer : v
provoquer : voici le phénomène des raccourcisseurs, une ébauche de
réflexe
d'allongement, un réflexe partiel d'allongement c
omène des raccourcisseurs, une ébauche de réflexe d'allongement, un
réflexe
partiel d'allongement croisé. C'est bien la dis
logie, d'abord, cette attitude ensuite ? « En ce qui concerne les
réflexes
d'automatisme, leur intensité implique une libé
bien ce qu'il y a de principal dans les idées de M. Walshe sur les
réflexes
d'extension et de flexion, voici en quoi elles
orment deux groupes soumis chacun à une forme spécifique d'activité
réflexe
; elle est tonique dans l'un, clonique, phasiqu
extenseurs nécessite, pour se maintenir, la mise en jeu d'un autre
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 1,51 appareil réflexe dont le centre
enir, la mise en jeu d'un autre RÉFLEXES DE DÉFENSE 1,51 appareil
réflexe
dont le centre occupe le mésocéphale, les noyaux
mésocéphale, les noyaux para- cérébelleux probablement (centre des
réflexes
de posture). Une lésion cantonnée dans le faisc
on cantonnée dans le faisceau pyramidal exalte à la fois l'activité
réflexe
des extenseurs et celle des fléchisseurs et don
pyramidale associée à une lésion occupant une des parties de l'arc
réflexe
ayant pour centre les noyaux paracérébelleux dé
ermine une paraplégie spasmodique en flexion ; en eflet, l'activité
réflexe
des fléchisseurs n'est pas affectée par l'inter
te. De pareilles altérations donneraient lieu à une exagération des
réflexes
s'opérant toujours en flexion ; l'extension, qu
t un allongement croisé, toujours secondaire, jamais primitive. Les
réflexes
de défense sont d'autant plus forts (période de s
par les auteurs anglais. Paraplégie spasmodique en extension. - -
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 153 n'existait pas chez notre malade
une inspiration bruyante (phénomènes analogues aux « pseudaffective
réflexes
» observés par Sherrington chez les animaux déc
nous avons étudiées dans notre Conférence. Nous les rapprochons des
réflexes
de dé- fense, mais nous les en distinguons. Les
l'objet de notre travail sur la réflectivité hyperalgésique sont des
réflexes
ayant leur centre dans l'encéphale. Quant aux
Je me suis proposé de traiter dans cette Conférence la question des
réflexes
de défense surtout en clinicien, en neurologiste.
voir la terminer sans vous dire quelques mots du méca- nisme de ces
réflexes
dont il a été déjà question, du reste. Vous ave
Vous avez vu que MM. Marie et Foix ont insisté sur la présence des
réflexes
d'extension croisée observés par eux chez certain
» de Philipson, ils arrivent à cette conclusion que les mouvements
réflexes
dits de défense sont des mouvements du même ordre
utomatisme de défense entre pour une part dans la pathogénie de ces
réflexes
, mais, pour la majeure part, ils se rattachent
ssent les auteurs anglais entre le groupe des fléchisseurs et celui
RÉFLEXES
DE DEFENSE 155 des extenseurs soumis chacun à u
155 des extenseurs soumis chacun à une forme spécifique d'activité
réflexe
: les réflexes d'extension seraient des réflexe
seurs soumis chacun à une forme spécifique d'activité réflexe : les
réflexes
d'extension seraient des réflexes de posture ; le
écifique d'activité réflexe : les réflexes d'extension seraient des
réflexes
de posture ; les réflexes de flexion seraient d
e : les réflexes d'extension seraient des réflexes de posture ; les
réflexes
de flexion seraient des réflexes cloniques, pha
ient des réflexes de posture ; les réflexes de flexion seraient des
réflexes
cloniques, phasiques. C'est dans le groupe de c
réflexes cloniques, phasiques. C'est dans le groupe de ces derniers
réflexes
que rentrent pour la plus grande part ce qu'on
réflexes que rentrent pour la plus grande part ce qu'on appelle les
réflexes
de défense. La conception fondamentale des neur
es anglais, issue des idées de Jackson, de Sherrington, est que ces
réflexes
de flexion tels qu'on les observe à l'état path
tend à admettre, comme on l'a vu précé- demment. Ce fait que les
réflexes
de défense m'avaient paru dès mes premières obs
il y a persistance très nette du signe des orteils et de la flexion
réflexe
du pied. Sauf ces derniers phénomènes, le fonct
on de la moelle ? Ce ne serait alors qu'une libération relative aux
réflexes
de défense. L'état pathologique de ces réflexes n
ration relative aux réflexes de défense. L'état pathologique de ces
réflexes
ne se comprendrait-il pas mieux dans des cas de
ysiologique, les réactions motrices qui me paraissent ressortir aux
réflexes
de défense s'effectuent avec rapidité et ne se
ctions totales de la moelle, après la période de shock, lorsque les
réflexes
cutanés reparaissent, la région plantaire est s
ule réflexogène pendant un certain temps. Comparons maintenant le
réflexe
des orteils aux réflexes précédents.. Si à l'ét
un certain temps. Comparons maintenant le réflexe des orteils aux
réflexes
précédents.. Si à l'état pathologique la réacti
e la jambe et de la cuisse. M. Riddoch fait observer que la flexion
réflexe
des orteils fait partie du stepping réflexe et
observer que la flexion réflexe des orteils fait partie du stepping
réflexe
et qu'elle accompagne l'extension de la cuisse,
pparu toutefois à une période du développement plus avancée que les
réflexes
de défense dont il a été précédemment question,
it un mode de protection différent de celui qui est réalisé par les
réflexes
de défense primitifs ; il ne s'agit plus d'une fu
e agression constitue une contre-offensive, mode de protection d'un
RÉFLEXES
DE DÉFENSE 107 ordre plus élevé ; on conçoit du
: la flexion de la cuisse, de la jambe et du pied ressortissant aux
réflexes
de défense primitifs, la flexion des orteils étan
primitifs, la flexion des orteils étant l'expression atavique d'un
réflexe
de préhension. Cette conception permettrait de
e à la triple flexion : suivant que dans le domaine des orteils, le
réflexe
de fuite l'emportera, ce qui est la règle à l'é
qui est la règle à l'état pathologique, sur ce que nous appelons le
réflexe
de préhension ou bien sera dominé par lui, on o
trale, et si l'on se rappelle que chez l'adulte on peut observer un
réflexe
en flexion chez des sujets atteints de lésions av
ions avérées de la voie pyramidale. En ce qui concerne la flexion
réflexe
du pied, on la constate aussi chez l'enfant, ai
s de Neurologie et de Psychiatrie. 1921. Développement réactionnel et
réflexe
plantaire. ('2) Communication orale. 158 SÉ
ravail de M. Minkowski ayant pour titre : « Sur les mouvements, les
réflexes
et les réactions musculaires du foetus humain d
sur la possibilité de provoquer parfois, à l'état pathologique, des
réflexes
des orteils et du pied en excitant les tégument
n et du thorax. Messieurs, comme vous venez de le voir, l'étude des
réflexes
de défense soulève des problèmes de phylogénie
rt intéressante ; mais elle l'est surtout pour le neurologiste. Ces
réflexes
constituent un chapitre important de la Pathologi
ments 160 SÉMIOLOGIE volitionnels peut être semblable à celle des
réflexes
de défense ou « d' « au- tomatisme médullaire »
? On serait disposé à penser, ainsi qu'on l'a déjà supposé pour les
réflexes
de défense ('), que les divers groupes musculai
es de la motilité ont une autre origine. XI - . MODIFICATIONS DES
RÉFLEXES
CUTANÉS SOUS L'INFLUENCE DE LA COMPRESSION PA
n membre par la bande d'Esmarch O peut déterminer une abolition des
réflexes
tendineux de ce ? membre même dans les cas pathol
us l'influence d'une pareille constriction du membre inférieur, les
réflexes
cutanés subissent aussi parfois des modificatio
nts après que la bande a été ôtée, on observe une transformation du
réflexe
cutané plantaire : le phénomène des orteils le
duction des autres orteils, fait place, pour quelques minutes, à un
réflexe
cutané plantaire absolument normal (flexion des
d'inférer que, dans le cas où l'on trouve le signe des orteils, le
réflexe
cutané plantaire normal n'a pas nécessaire- 164
ints de paraplégie spasmodique en exten- sion, avec exagération des
réflexes
tendineux et réflexes cutanés de défense, la co
smodique en exten- sion, avec exagération des réflexes tendineux et
réflexes
cutanés de défense, la compression, tandis qu'e
es cutanés de défense, la compression, tandis qu'elle affaiblit les
réflexes
tendineux, augmente d'une manière notable les r
ffaiblit les réflexes tendineux, augmente d'une manière notable les
réflexes
cutanés de défense, et alors la moindre excitat
otre intention n'est pas de rappeler ici les caractères propres aux
réflexes
de défense, et qui permettent d'habi- tude de l
étude, c'est que la distinction, en clinique, entre les mouvements
réflexes
et les mouvements volontaires est plus complexe
s réactionnels qui, sans ren- trer dans la catégorie des mouvements
réflexes
dits de défense ou d'auto- matisme médullaire,
la volonté et, par conséquent, constituent de véritables mouvements
réflexes
. Nous allons exposer les observations sur lesqu
très légère, il est vrai, pour le chaud, le froid et le tact. Les
réflexes
tendineux sont peut-être un peu plus forts à gauc
forts à gauche, mais il n'y a ni clonus, ni danse de la rotule; les
réflexes
abdominaux et crémastériens sont un peu plus vi
xes abdominaux et crémastériens sont un peu plus vifs à droite ; le
réflexe
plantaire se fait à gauche en extension, mais d'u
ni à droite ni à gauche (criterium de l'exagération pathologique des
réflexes
de défense. Voir; Réflexes de défense. Revue ne
terium de l'exagération pathologique des réflexes de défense. Voir;
Réflexes
de défense. Revue neurol. 1910, p. 145, par Babin
é, tandis que le membre excité reste immobile; on trouve donc là un
réflexe
croisé provoqué par l'excitation de la peau du cô
paroi abdominale paraissent parésiés du côté droit. Des 2 côtés lé
réflexe
de flexion de l'avant-bras est normal ; le réflex
. Des 2 côtés lé réflexe de flexion de l'avant-bras est normal ; le
réflexe
d'extension semble affaibli. Les autres réflexe
ras est normal ; le réflexe d'extension semble affaibli. Les autres
réflexes
tendineux, vifs à gauche, sont manifestement ex
à droite où l'on constate de la trépidation épileptoïde du pied. Le
réflexe
plantaire se fait à droite toujours en extension
ension ; à gauche, il y a tantôt extension, tantôt flexion. ' Les
réflexes
abdominaux sont plus forts à gauche. 170 SEMIOL
ne l'anesthésie), le pincement du dos du pied pro- voque parfois un
réflexe
de défense classique, c'est-à-dire une flexion do
tations périphériques chez les animaux décérébrés (pseudo affective
réflexes
The integrative action of Nervous system, p. 35
là d'une réaction motrice involontaire, c'est-à-dire d'un mouvement
réflexe
. Ces mouvements réflexes, sur lesquels nous app
involontaire, c'est-à-dire d'un mouvement réflexe. Ces mouvements
réflexes
, sur lesquels nous appelons l'attention, peuven
ous appelons l'attention, peuvent-ils être assimilés aux mouvements
réflexes
connus depuis bien longtemps et désignés sous l
es connus depuis bien longtemps et désignés sous la dénomination de
réflexes
de défense ou de réflexes d'automatisme médulla
temps et désignés sous la dénomination de réflexes de défense ou de
réflexes
d'automatisme médullaire ? Nous ne le pensons p
opinion est fondée sur les raisons suivantes : a) Tandis que les
réflexes
dits de défense peuvent se produire à la suite
e à la suite d'excitations à peine perçues ou même non perçues, les
réflexes
que nous avons en vue semblent liés, au moins p
coïncidé avec la régression de l'hyperalgésie. b) Au lieu que les
réflexes
de défense se traduisent par des mouvements rel
s l'a montré, la réaction la plus caractéristique, le criterium des
réflexes
de défense, fait ici défaut. d) Enfin, ainsi
yndrome de Brown-Séquard.) Pour distinguer d'une façon spéciale les
réflexes
que nous venons de décrire d'avec les réflexes
e façon spéciale les réflexes que nous venons de décrire d'avec les
réflexes
dits de défense ou d'automatisme médullaire, et
ours présente dans les cas observés jusqu'ici, nous les appellerons
réflexes
hyperalgésiques ; en outre, comme ces mouvement
pellerons réflexes hyperalgésiques ; en outre, comme ces mouvements
réflexes
consistent en secousses d'une intensité et d'un
ue soit d'ailleurs l'opinion qu'on se fasse sur le mécanisme de ces
réflexes
, le terme que nous proposons peut servir à dési
ous proposons peut servir à désigner l'objet de notre étude. Si les
réflexes
de défense doivent être distingués des réflexes h
notre étude. Si les réflexes de défense doivent être distingués des
réflexes
hyperalgé- 172 ' SÉMIOLOGIE siques et si, com
ce des premiers, il n'en est pas moins vrai que ces deux espèces de
réflexes
peuvent coexister jusqu'à un certain point chez l
onstate dans l'observation III. En ce qui concerne le mécanisme des
réflexes
hyperalgésiques, nous pensons qu'il diffère not
yperalgésiques, nous pensons qu'il diffère notablement de celui des
réflexes
de défense. Il est facile d'établir avec certit
c certitude, dans certains cas de lésion spinale, que le centre des
réflexes
de défense se trouve dans la portion de la moelle
moelle située au-dessous de la lésion. Quant au centre spécial des
réflexes
hyperalgé- siques, dans les cas que nous avons
u spasme res- piratoire, du cri (étant admis que ces réactions sont
réflexes
), ainsi que ce fait que les réactions motrices
rage en question et ne par- vient pas au centre encéphalique. Les
réflexes
de défense paraissent conditionnés par une pertur
certaines réactions motrices qu'il faut distin- guer d'une part des
réflexes
dits de défense ou d'automatisme médullaire, d'
par des excitations électriques provoquant d'énergiques mouvements
réflexes
de défense, soit par la constriction au moyen de
nsi que l'un de nous vient de le montrer, exagère notable- ment ces
réflexes
. Voici une malade atteinte d'une paraplégie cru
es mouvements des membres inférieurs sont complètement abolis ; ses
réflexes
tendineux sont exa- gérés ; elle a des réflexes
tement abolis ; ses réflexes tendineux sont exa- gérés ; elle a des
réflexes
de défense assez forts, et une anesthésie qui o
ouvements volontaires ne seraient-ils pas simplement des mouvements
réflexes
de défense ? Ce qui prouve qu'il n'en est pas ain
que l'abduction et l'adduction de la cuisse ne font pas partie des
réflexes
de défense. On pourrait aussi supposer qu'il s'
EMIOLOGIE OCULAIRE XIV , DE L'INFLUENCE DE L'OBSCURATION SUR LE
RÉFLEXE
DES PUPILLES A LA LUMIÈRE ET DE LA PSEUD0-AR0LI
r d'avoir déterminée. Je puis dire que la lumière tend à épuiser le
réflexe
à la lumière et que l'obscuration, au contraire
motif que quand l'examen est prati- qué dans une pièce obscure, le
réflexe
, faible ou nul au moment où le sujet pénètre da
urné quelque temps : je ferai remarquer que l'épuisement complet du
réflexe
n'apparaît parfois qu'après deux ou trois excitat
'est aussi pour ce motif que généralement, par les jours clairs, le
réflexe
est plus faible que par les jours sombres. « Un
uration consiste, après avoir constaté la faiblesse ou l'absence du
réflexe
, à fer- mer hermétiquement avec un bandeau les
à trente minutes; immédiatement après qu'on a enlevé le bandeau, le
réflexe
à la lumière est à peu près aussi fort que chez
l'application unilatérale du ban- deau, outre qu'elle renforçait le
réflexe
de l'oeil bandé, comme je viens de le dire, exe
e action inhibitoire sur la pupille de l'oeil resté ouvert, dont le
réflexe
à la lumière m'a paru alors manifestement amoindr
e, mais même d'une manière absolue. » Voilà donc une malade dont le
réflexe
à la lumière est très affaibli ou même fait com
ur s'assurer qu'il ne s'agit pas là d'une véritable abolition de ce
réflexe
; en effet, si au lieu de faire usage d'une bou
on de l'accommodation, on voit que les pupilles se contractent ; le
réflexe
consensuel est aussi conservé, ce qui tient san
on pourrait dénommer, pour fixer les idées, une pseudo-abolition du
réflexe
à la lumière. Je dirai encore pour compléter la
donc pas lié à quel- que affection oculaire. La pseudo-abolition du
réflexe
à la lumière ne serait-elle pas le premier stad
e ne serait-elle pas le premier stade de l'abolition complète de ce
réflexe
, qui est symptomatique de la méningite chroniqu
d'entretenir la So- ciété, présentant aussi la pseudo-abolition du
réflexe
à la lumière, n'ayant d'ailleurs aucune manifes
bilité de confondre la pseudo aboli- tion avec l'abolition vraie du
réflexe
à la lumière, on risque de commettre cette erre
de l'éviter; en effet, quand il s'agit d'une véritable abolition du
réflexe
des pupilles à la lumière, le trouble persiste
gré l'emploi de l'obscuration, quelque prolongée qu'elle soit, et le
réflexe
consensuel est également aboli. ' L'étude des
1 SÉMIOLOGIE si l'obscuration ne serait pas capable de renforcer le
réflexe
à la lumière, même à l'état normal; or, des exp
d le degré de dilatation de sa pupille ainsi que l'intensité de son
réflexe
à la lumière ; cela fait, on ferme cet oeil, on
qui tient évidemment à ce que la lumière impressionne le centre du
réflexe
d'une manière plus active ; de plus, les mouvem
exe d'une manière plus active ; de plus, les mouvements pupillaires
réflexes
obtenus à l'aide du procédé usuel sont ordinair
ent ('). Il y a lieu de rappeler que l'obscuration, qui renforce le
réflexe
à la lumière, amène aussi la régénération du po
oumise à l'obscuration a acquis des propriétés fluorescentes que le
réflexe
à la lumière devient plus énergique. S'il en ét
que l'érythropsine joue un rôle important dans la production de ce
réflexe
; à l'appui de cette idée encore hypothétique,
, chez la chouette, dont la rétine contient beaucoup de pourpre, le
réflexe
à la lumière est remarquablement vif, que chez la
poule au contraire, dont la rétine est dépourvue d'érythropsine, ce
réflexe
est faible; en faveur de cette conception on pe
oduite par une altération du pourpre (Parinaud) et dans laquelle le
réflexe
à la lumière sera faible ou aboli. (1) Dans u
nt chez le poulpe le phéno- mène que j'ai observé chez l'homme ; le
réflexe
à la lumière serait particulièrement vif quand l'
is tirer les conclusions suivantes : i° L'obscuration renforce le
réflexe
des pupilles à la lumière et. permet de créer a
cause encore indéterminée, qu'on peut dénommer pseudo-abolition du
réflexe
à la lumière, pouvant prêter à confusion, mais
on, mais qui, par la possibilité de faire apparaître le mou- vement
réflexe
au moyen d'un éclairage intensif ou grâce à une o
f ou grâce à une obscura- tion préalable, et par la conservation du
réflexe
consensuel, se distingue de l'abolition vraie d
rvation du réflexe consensuel, se distingue de l'abolition vraie du
réflexe
à la lumière, liée à la méningite chronique syp
e contractent au contraire sous l'influence de l'accommodation. Les
réflexes
achilléens sont abolis des deux côtés. Aucun au
e vaste poche anévrismale. La pupille gauche est très dilatée; le
réflexe
à la lumière de ce côté n'est pas complètement
e se contracte à l'accommodation. La pupille droite est normale. Le
réflexe
du tendon d'Achille est extrêmement faible à ga
quelque complète qu'elle soit, ne donne pas lieu à une abolition du
réflexe
à la lumière, que l'on observe ici. Il faut donc
mée par les observations de nombreux médecins^), que l'abolition du
réflexe
à la lumière, quand elle est permanente, qu'elle
.. - . , . 182 SEMIOLOGIE Robertson est ici bilatéral, et que les
réflexes
achilléens sont abolis ; je crois, en effet, av
nt abolis ; je crois, en effet, avoir montré (') que l'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille avait, au point de vue du d
la pupille ; de plus, et ce caractère a encore plus d'importance, le
réflexe
à la lumière est, sinon complètement aboli, du
re est, sinon complètement aboli, du moins très affaibli ; enfin le
réflexe
achilléen fait défaut à droite et il est très fai
à examiner, chez les aortiques qui se présenteront à eux, l'état du
réflexe
à la lumière des pupilles, et à faire connaître à
ans l'espèce, un intérêt capital, car, je le répète, l'abolition du
réflexe
à la lumière permet d'écarter l'hypothèse d'une
peut en rien contribuer à établir le diagnostic d'anévrisme, si le
réflexe
à la lumière est aboli ou notablement affaibli.
exe à la lumière est aboli ou notablement affaibli. (1) a) Sur le
réflexe
du tendon d'Achille dans le tabes. Soc. méd. des
s le tabes. Soc. méd. des Hep. de Paris, 26 octobre 1898. b) Sur le
réflexe
du tendon d'Achille. Soc. de Neurologie de Paris,
ermato- Iogie (2), nous avons cherché à établir que l'abolition des
réflexes
des pupilles et particulièrement du réflexe à l
ir que l'abolition des réflexes des pupilles et particulièrement du
réflexe
à la lumière, quand elle est per- manente, qu'e
nte, qu'elle est l'expression d'une lésion limitée à l'appareil des
réflexes
pupillaires, c'est-à-dire qu'elle n'est liée à au
eurs, par Koe- nig(3), qui rapporte plusieurs faits d'abolition des
réflexes
pupillaires dans la syphilis héréditaire, par E
assage suivant : « L'abolition ou l'affaiblissement considérable du
réflexe
pupillaire à la lumière (les mouvements synergiqu
n caractère objectif d'affection organique du système nerveux ; les
réflexes
tendineux des membres supérieurs et des membres
nd nombre d'individus atteints de syphilis, les cas d'abolition des
réflexes
pupillaires sont évidemment rares, mais d'une m
du tabès ou de la méningo- encéphalite diffuse). L'abolition des
réflexes
pupillaires, dans les conditions précédemment p
est dans son complet développement et les faits où l'abolition des
réflexes
pupillaires est le seul signe d'une affection org
d'une affection organique du système nerveux. Comme l'abolition du
réflexe
à la lumière n'apporte aucune gêne dans la visi
un mouvement exé- cuté volontairement. S'il s'agit d'un mouvement
réflexe
, comme cela est très probable, il faut reconnaî
le, il faut reconnaître que sa forme diffère notablement des autres
réflexes
musculaires, des réflexes tendineux, ainsi que
e sa forme diffère notablement des autres réflexes musculaires, des
réflexes
tendineux, ainsi que des réflexes cutanés. Ce m
autres réflexes musculaires, des réflexes tendineux, ainsi que des
réflexes
cutanés. Ce mouvement de rotation, suivant les
lléen que l'on observe chez l'un des deux malades (chez l'autre, le
réflexe
achilléen est aboli) ; j'ai eu sou- vent l'occa
nombreux cas de contractures, de paralysies ou de parésies d'ordre
réflexe
siégeant au membre inférieur, nous avons eu l'occ
sont des caractères connexes. Dans les troubles de motilité d'ordre
réflexe
, l'hypothermie étant géné- ralement la plus pro
es à des traumatismes, et rangé dans le groupe des troubles d'ordre
réflexe
, l'exitabilité mécanique des muscles qui est co
voltaïque. Ils ont insisté sur la (') Quand il s'agit de paralysies
réflexes
du membre supérieur avec hypothermie, la fusion a
t être tout aussi marquée dans les contractures et parésies d'ordre
réflexe
que dans bien des cas de paralysie avec réaction
ions que l'on observe chez les blessés atteints de troubles d'ordre
réflexe
après immersion des membres malades dans de l'e
hystérique, pithiatique, les autres sont d'ordre physiopathique et
réflexe
. Or, il est essentiel de les distin- guer les u
coup depuis quelque temps. Il n'y a pas de paralysie localisée. Les
réflexes
tendineux sont exagérés, et il y a de la trépid
ès pâle, ses bords sont effrangés. Il y a du nystagmus horizontal. Le
réflexe
à la lumière est aboli. La marche, pénible il
rieurs sont réguliers. Pas d'asynergie ; pas d'adiadocosinésie. Les
réflexes
tendineux et le réflexe cutané plantaire sont nor
s d'asynergie ; pas d'adiadocosinésie. Les réflexes tendineux et le
réflexe
cutané plantaire sont normaux. Pas de troubles
e, sauf qu'elle est lente, ne présente aucun caractère anormal. Les
réflexes
rotuliens sont faibles, surtout à gauche. Le réfl
anormal. Les réflexes rotuliens sont faibles, surtout à gauche. Le
réflexe
achilléen normal à droite, est faible à gauche.
che. Le réflexe achilléen normal à droite, est faible à gauche. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont faibles d
es tendineux des membres supérieurs sont faibles des deux côtés. Le
réflexe
cutané plantaire est normal. Le Dr Chaillous co
l'acuité visuelle. La motilité et la sensibilité sont normales. Les
réflexes
sont normaux sauf le réflexe achilléen gauche qui
et la sensibilité sont normales. Les réflexes sont normaux sauf le
réflexe
achilléen gauche qui est aboli. Ce malade est
n observe alors une latéropulsion droite des plus prononcées. Les
réflexes
tendineux sont faibles des deux côtés, et à peine
reste flasque et ne s'accompagne pas d'une exagération sensible des
réflexes
tendineux, nous pensons que l'hé- miplégie est
mbeau ostéo-cutané. Pas de modifications du fond de l'oeil ni des
réflexes
, à la suite de cette intervention. Le 1 1 jui
érien. On ne voit ni ne sent aucune tumeur. Le 4 juin, l'état des
réflexes
et celui du fond de l'oeil sont stationnaires ; l
este flasque, ne s'accompagne pas d'une exagéra- tion manifeste des
réflexes
tendineux, il y a lieu de penser qu'elle est due
oubles de la sensibilité, sauf les picotements déjà mentionnés. Les
réflexes
tendineux sont à peu près de même intensité des d
e le pied droit présente une attitude normale, et que de ce côté le
réflexe
cutané plantaire est également normal, à gauche
iculier, à ce point de vue, l'attention de la Société sur l'état du
réflexe
cutané plantaire ; l'excitation de la plante du p
le spasme musculaire dépend de la même cause que le trouble dans le
réflexe
plantaire, et je ne vois aucune raison pour sup
un homme parfaitement équilibré au point de vue mental. Tous les
réflexes
sont normaux et pareils des deux côtés, sauf le
Tous les réflexes sont normaux et pareils des deux côtés, sauf le
réflexe
du triceps brachial, qui est manifestement, et
inations. J'attire immédiatement l'attention sur l'exagération du
réflexe
du triceps bra- chial gauche, qui semble bien d
chez lesquels à un torticolis « mental » était associée l'extension
réflexe
du gros orteil ou le signe de l'éventail. Ces
tème pyra- midal, comme paraissent l'indiquer les modifications des
réflexes
tendi- neux et du réflexe cutané plantaire ? Je
aissent l'indiquer les modifications des réflexes tendi- neux et du
réflexe
cutané plantaire ? Je l'avais pensé d'abord ; mai
le corps opto-strié. Le phénomène des orteils ou l'exagération des
réflexes
tendineux, apparaissant au cours du torticolis «
ent étroitement de ceux que présentait le torticolis. IL Etat des
réflexes
. Les réflexes tendineux sont un peu plus forts à
ent de ceux que présentait le torticolis. IL Etat des réflexes. Les
réflexes
tendineux sont un peu plus forts à gauche qu'à
éflexes tendineux sont un peu plus forts à gauche qu'à droite et le
réflexe
cutané plantaire se fait en extension, des deux c
e côté où prédominent les troubles moteurs et les modifications des
réflexes
que nous avons décrits. On pourrait se demander
st affaiblie. La notion de position est conservée des deux côtés.
Réflexes
. Les réflexes du triceps brachial, du radius, les
La notion de position est conservée des deux côtés. Réflexes. Les
réflexes
du triceps brachial, du radius, les réflexes du t
x côtés. Réflexes. Les réflexes du triceps brachial, du radius, les
réflexes
du tendon rotu- lien et du tendon d'Achille son
u côté gauche cette excitation n'est parfois suivie d'aucun mouvement
réflexe
et provoque d'autres fois de l'extension des or
réflexe et provoque d'autres fois de l'extension des orteils. Le
réflexe
abdominal est normal à droite, très faible à gauc
faible à gauche. Il est impossible de se rendre compte de l'état du
réflexe
crémastérien en raison de l'existence d'une her
'existence d'une hernie inguinale droite qui distend le scrotum. Le
réflexe
anal est normal. Le réflexe pharyngien est très
ale droite qui distend le scrotum. Le réflexe anal est normal. Le
réflexe
pharyngien est très affaibli du côté droit. Le
tion de la conjonctive du côté droit n'est suivie d'aucun mouvement
réflexe
. L'excitation de la fosse nasale gauche provoqu
xe. L'excitation de la fosse nasale gauche provoque une contraction
réflexe
des muscles de la face du côté correspondant; d
ne quinte de toux. Il ne peut siffler ; la voix est nasillarde ; le
réflexe
du voile du palais est aboli. Il y a des troubl
ont accomplis avec correction, mais avec un léger tremblement. Le
réflexe
crémastérien et le réflexe abdominal existent et
on, mais avec un léger tremblement. Le réflexe crémastérien et le
réflexe
abdominal existent et sont semblables des deux
abdominal existent et sont semblables des deux côtés. A gauche, le
réflexe
plantaire est normal ; à droite, on constate le p
ire est normal ; à droite, on constate le phénomène des orteils. Le
réflexe
du tendon rotulien droit est normal ; à gauche, e
onne lieu à une contraction des adducteurs de la cuisse droite. Les
réflexes
achilléens sont normaux. Les réflexes tendineux
eurs de la cuisse droite. Les réflexes achilléens sont normaux. Les
réflexes
tendineux du membre supérieur paraissent un peu p
alpébrale gauche, un certain degré d'enophtalmie et du myosis ; les
réflexes
pupillaires sont d'ailleurs normaux des deux côté
saillantes à droite qu'à gauche où elles ont un aspect normal. Les
réflexes
tendineux et les réflexes cutanés sont normaux. L
gauche où elles ont un aspect normal. Les réflexes tendineux et les
réflexes
cutanés sont normaux. La motilité volontaire n'
s. Nous avons pu, avec ce dispositif, étudier la manière d'être des
réflexes
vaso- constricteurs. Pour cela, tandis que s'in
, sous l'influence d'une impression de froid, une vaso-constriction
réflexe
, notamment dans les extrémités supérieures. Cet
l'impression du froid. Une excitation psychique engendre les mêmes
réflexes
vasculaires : c'est ainsi que le geste seul d'a
uit la sensation effective. Disons tout de suite que l'étude de ces
réflexes
de cause psychique nous a donné, dans le cas pa
ue dont il est question ici, exactement les mêmes résultats que les
réflexes
proprement dits déterminés par le froid. Pour c
, au point de vue de leur intensité, les modifications vasomotrices
réflexes
simultanément engendrées d'un côté et de l'autre,
et les écarts de turgescence veineuse suffisaient à imposer. 2° Les
réflexes
vaso-constricleurs sont conservés du côté gauche
ce dernier point était importante au point de vue que voici. Si les
réflexes
vaso-constricteurs s'étaient trouvés abolis à gau
tude équivalente. 110 Dans ces mêmes conditions, que deviennent les
réflexes
vaso-constricteurs : ' Considérons-les d'abord
nd le sujet vient de pénétrer dans la pièce chaude. A ce moment, le
réflexe
se présente avec des caractères diffé- rents à
in droite s'est amplifié fortement, cette différence disparaît : le
réflexe
vaso-constricteur évolue avec un parfait parallél
s dites, une double différence entre les courbes vaso-constrictives
réflexes
: différence d'amplitude, différence de forme.
icile de ne pas considérer comme pathologique une vaso-constriction
réflexe
aussi prolongée. Néanmoins, comme ces divers ar
fications du vertige voltaïque s'associent très souvent à celles du
réflexe
calorique ou giratoire mais, et c'est là un point
'ai observé bien des malades atteints de lésion auriculaire dont le
réflexe
calorique était nor- mal et chez lesquels l'exp
fond de l'oeil décèle l'existence d'une névrite optique double ; le
réflexe
des pupilles à la lumière est faible. La malade
de pas, après avoir marché, à éprouver le besoin de se reposer. Les
réflexes
des tendons rotuliens et des tendons d'Achille so
e 12 août au point de vue oculaire, me remet la note suivante : «
Réflexes
pupillaires faibles à la lumière ; névrite oedéma
s muscles réagissent normalement aux excitations électriques et les
réflexes
tendineux ainsi que le réflexe cutané plantaire
aux excitations électriques et les réflexes tendineux ainsi que le
réflexe
cutané plantaire sont normaux. Au commencemen
e douleurs qui accentuent la flexion des cuisses et des jambes. Les
réflexes
tendineux et le réflexe cutané plantaire présen
la flexion des cuisses et des jambes. Les réflexes tendineux et le
réflexe
cutané plantaire présentent toujours les mêmes
nsistant en une série de mouvements de flexion et d'extension ; les
réflexes
tendineux, difficiles à explorer, à la vérité,
st agitée par moments d'un tremblement à oscillations rapides ; les
réflexes
tendineux et osseux des membres supérieurs sont
percussion des tendons ro- tuliens ne provoque aucun mouvement
réflexe
, ce qui paraît dû à l'intensité de la contrac
ui ramènent immédiatement les membres à leur attitude première. Les
réflexes
rotuliens ainsi que les réflexes des tendons d'
bres à leur attitude première. Les réflexes rotuliens ainsi que les
réflexes
des tendons d'Achille sont exagérés et l'on pro
ir la souplesse normale, ne présentent que très peu de raideur; les
réflexes
tendineux sont exagérés et l'on provoque très f
le chatouillement de la plante du pied donne lieu à des mouvements
réflexes
de tout le membre; l'excitabilité idio-musculaire
suivies de mou- vements spasmodiques ; il y a de l'exagération des
réflexes
tendineux et. de la trépidation épileptoïde. Le
E 323 dans ce cas entre l'intensité de la contracture et l'état des
réflexes
ten- dineux qui n'ont jamais paru exagérés, que
e hystérique n'est pas nécessairement accompagnée d'exagération des
réflexes
tendineux ('). L'examen anatomique ayant fait v
et le très intéressant travail du pr van Gehuchten sur : « L'état des
réflexes
et la contracture de l'hémiplégie organique ».
yélite spontanée. «Il en est de même de l'exaltation des propriétés
réflexes
de la moelle. Il ne faudrait pas néanmoins cher
e tout le côté droit du corps qui ne s'est pas modifiée depuis. Les
réflexes
tendineux et les réflexes cutanés sont normaux
rps qui ne s'est pas modifiée depuis. Les réflexes tendineux et les
réflexes
cutanés sont normaux et égaux des deux côtés. La
ntractures. Mais pour le reste sa situation n'est pas modifiée. Les
réflexes
tendineux et les réflexes cutanés sont toujours
reste sa situation n'est pas modifiée. Les réflexes tendineux et les
réflexes
cutanés sont toujours normaux ; l'intelligence
qui n'est pas, se manifester par des modifications dans l'état des
réflexes
et en particulier par une exagération des réfle
dans l'état des réflexes et en particulier par une exagération des
réflexes
tendineux. Je me demande alors si cette paraly-
ractère particulier de n'être accompagnée d'aucune perturbation des
réflexes
; songeant alors à la possibilité d'une tumeur
arquée, tout en conservant les mêmes caractères qu'auparavant ; les
réflexes
en particulier sont absolument normaux; la céph
oujours, mais sont plus ou moins intenses suivant les périodes. Les
réflexes
tendineux et les réflexes cutanés explorés plus
moins intenses suivant les périodes. Les réflexes tendineux et les
réflexes
cutanés explorés plusieurs fois chaque mois se so
d'articulation rappelant l'embarras de la paralysie générale ; les
réflexes
sont toujours normaux, l'hémiparésie avec raide
amidal a pour conséquence habituelle une modification immédiate des
réflexes
cutanés et pour conséquence à peu près inévitab
près inévitable, au bout de quelques semaines, une exagération des
réflexes
tendineux. Or, ici, l'hémiplégie, après une dur
eux à trois mois, n'était associée à aucune modifi- cation dans les
réflexes
; j'estimais donc que l'hypothèse d'une lésion
ture susceptible même d'atteindre un degré très élevé, sans que les
réflexes
subissent la moindre perturbation. Mais comme l
es contractures hystériques ont aussi pour caractère de laisser les
réflexes
intacts, il y avait encore lieu de se demander
acture plus ou moins prononcée, durant fort longtemps, sans que les
réflexes
des membres atteints soient modifiés. Quand ell
nt peu prononcé de la motricité volontaire, exagération notable des
réflexes
ten dineux avec trépidation épileptoïde du pied
de corps froids ou l'électrisation, ne provoque pas de mou- vements
réflexes
exagérés, du..moins dans un grand nombre de cas.
i constaté, au moins à une cer- taine période, de l'exagération des
réflexes
tendineux, mais cette exagé- ration n'est pas c
ion avait atteint le maximum d'intensité possible. Parfois même les
réflexes
tendineux semblent très affaiblis ou abolis, sa
question, sont dans un état de raideur qui rend l'explora- tion des
réflexes
tendineux très difficile et il serait, à la rigue
ès difficile et il serait, à la rigueur, permis de soutenir que ces
réflexes
sont simplement masqués. Je dois dire cependant
de à de pareils moments, que j'ai eu même l'occasion d'explorer les
réflexes
pendant le sommeil chloroformique, en les recherc
t cela est d'autant plus remarquable, que cette quasi-abolition des
réflexes
tendineux a suc- cédé à une exagération accompa
ie spastique spinale, nécessairement associée à une exagération des
réflexes
tendineux. On constate généralement le phénomèn
est même ainsi chez la malade que je viens de présenter et dont les
réflexes
tendi- neux paraissent presque abolis. Mais cel
pas constant; dans l'obser- vation I de mon premier travail, où les
réflexes
tendineux n'ont jamais été exagérés, le réflexe
er travail, où les réflexes tendineux n'ont jamais été exagérés, le
réflexe
cutané plantaire a toujours été normal. Je n'ose-
un caractère distinctif d'avec le tabès dor- sal spasmodique. Le
réflexe
crémastérien et le réflexe abdominal sont parfois
avec le tabès dor- sal spasmodique. Le réflexe crémastérien et le
réflexe
abdominal sont parfois abolis. Quant aux réflex
crémastérien et le réflexe abdominal sont parfois abolis. Quant aux
réflexes
cutanés que l'on peut provoquer chez certains suj
ectrique des téguments, ils sont toujours notablement exagérés. Les
réflexes
en question peuvent varier dans leur forme suivan
rence spontanés, dont j'ai parlé précédemment. L'exagération de ces
réflexes
cutanés constitue peut-être le caractère qui di
nous mettons en parallèle. Le lien qui unit l'exagération de ces
réflexes
cutanés à la forme de contracture que je consid
e considère est comparable à celui qui rattache l'exagé- ration des
réflexes
tendineux à la contracture du tabes dorsal spasmo
s des paraplégies d'origine spinale par certaines perturbations des
réflexes
» (Revue Neurologique, igio, p. 6fi6). PARAPLÉG
5 que : de part et d'autre, pas de contracture sans exagération des
réflexes
, mais les réflexes soit tendineux soit cutanés
d'autre, pas de contracture sans exagération des réflexes, mais les
réflexes
soit tendineux soit cutanés peuvent être exagérés
contractions involontaires avait atteint le summum d'intensité, le
réflexe
plantaire était toujours resté normal et les ré
'intensité, le réflexe plantaire était toujours resté normal et les
réflexes
tendineux n'avaient jamais présenté d'exagé- ra
ension du tabes dorsal spasmodique ne peut se réaliser sans que les
réflexes
tendineux soient exagérés, la contracture en fl
es prédominant dans les fléchis- seurs, nécessite l'exagération des
réflexes
cutanés (') (réflexes cutanés de défense). 1
s fléchis- seurs, nécessite l'exagération des réflexes cutanés (') (
réflexes
cutanés de défense). 1 Avant de terminer, je
SUPÉRIEUR DROIT, AVEC MÉIOPRIIGIE ET SANS MODIFICATION LOCALE DES
RÉFLEXES
OSSO-TENDINEUX(") Nous présentons à la Société
l'exis- tence aux membres inférieurs d'une exagération notable des
réflexes
ten- dineux et des réflexes de défense, avec cl
nférieurs d'une exagération notable des réflexes ten- dineux et des
réflexes
de défense, avec clonus du pied et signe de l'ort
ces temps derniers, nous avons constaté que les modifi- cations des
réflexes
précédemment observées aux membres inférieurs son
ec surex- - (') 11 est bien entendu que je n'ai pas en vue tous les
réflexes
cutanés de la partie inférieure du corps. Sans
dit précédemment, dans la forme de paraplégie dont je m'occupe, le
réflexe
abdominal, le réflexe crémastérien et la flexio
ans la forme de paraplégie dont je m'occupe, le réflexe abdominal, le
réflexe
crémastérien et la flexion réflexe des orteils
occupe, le réflexe abdominal, le réflexe crémastérien et la flexion
réflexe
des orteils peuvent être abolis. Les réflexes que
astérien et la flexion réflexe des orteils peuvent être abolis. Les
réflexes
que j'envisage sont ceux qui ont pour caractère
ts combinés des divers segments des membres inférieurs. Ce sont les
réflexes
de défense, suivant le sens que les physiologiste
oigts, de l'extension de la main sur l'avant-bras. Ajoutons que les
réflexes
osso- tendineux sont normaux, de même intensité
sur les membres paralysés. Nous en avons conclu que la pathogénie «
réflexe
» des troubles physiopathiques, qu'on observe c
et L i. 2° De phénomènes médullaires concomitants : exagération des
réflexes
tendineux et périostés du membre inférieur corr
périostés du membre inférieur correspondant, avec exagé- ration des
réflexes
de défense ; contractions toniques rythmées de la
ne sous-jacente à la lésion, de l'autre l'arrêt à ce même niveau du
réflexe
pilomoteur encéphalique abso- lument normal dan
une grande étendue de la région cervicale : l'abolition de tous les
réflexes
des membres supérieurs, l'amyotrophie, les seco
écelant l'existence d'une altération de la voie pyramidale. Or, les
réflexes
rotuliens, les réflexes achilléens, le réflexe
e altération de la voie pyramidale. Or, les réflexes rotuliens, les
réflexes
achilléens, le réflexe cutané plantaire sont norm
pyramidale. Or, les réflexes rotuliens, les réflexes achilléens, le
réflexe
cutané plantaire sont normaux et il n'existe au
aisceaux pyramidaux s'accompagne ordinairement d'une exagération de
réflexes
tendineux, chez le malade que je présente, les
gération de réflexes tendineux, chez le malade que je présente, les
réflexes
tendineux et osseux du membre supérieur gauche
rveux central inté- ressant la voie pyramidale et dans laquelle les
réflexes
tendineux peuvent être affaiblis ou abolis ; ma
éflexes tendineux peuvent être affaiblis ou abolis ; mais alors les
réflexes
cutanés de défense sont exagérés (contracture c
nés de défense sont exagérés (contracture cutanéo-réflexe). Ici les
réflexes
de défense font défaut. Je suppose que, dans
neurone moteur périphérique. IL TABES ET PSEUDO-TABES VI SUR LE
RÉFLEXE
DU TENDON D'ACHILLE DANS LE TABES JJ. BABINSKI.
e la Société médicale (') sur l'affai- blissement ou l'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille dans la scia- - tique, phén
ur, sauf par Sternberg, qui l'a signalé dans sa monographie sur les
réflexes
tendineux. Il est logique d'admettre à priori q
lement l'altération des fibres du sciatique faisant partie de l'arc
réflexe
dont le tendon d'Achille est le point de départ
racines du sciatique, provoque l'affaiblissement ou l'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille. Mais l'observation seule pou
ce phénomène et le signe de Westphal. Ce sont les (') Abolition du
réflexe
du tendon d'Achille dans la sciatique, par .1 . B
conduisent à cette opinion que l'affaiblissement ou l'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille a une aussi grande importance
ez la plupart des tabétiques, il y a une perturbation dans les deux
réflexes
, et les cas, assez rares du reste, dans lesquel
s deux réflexes, et les cas, assez rares du reste, dans lesquels le
réflexe
du tendon d'Achille est seul affai- bli ou abol
, me paraissent aussi nombreux que ceux où la perturbation dans les
réflexes
tendineux ne porte que sur le réflexe rotulien. I
où la perturbation dans les réflexes tendineux ne porte que sur le
réflexe
rotulien. Il est vrai- semblable que ce signe a
é, au moins dans quelques-uns des cas de tabès avec conservation du
réflexe
rotulien qui ont été publiés jusqu'à présent, e
rcher systématique- ment dans la clinique des maladies nerveuses le
réflexe
du tendon d'Achille. UN CAS DE CRISES GASTRIQ
affection. La première est sujette à des douleurs lancinantes, ses
réflexes
rotuliens sont inégaux, le droit est normal, le
es, de la lymphocytose, des troubles urinaires et une abolition des
réflexes
tendineux des membres inférieurs ; de plus, cet
eu à une association de plusieurs symptômes tels que l'abolition du
réflexe
à la lumière des pupilles, l'abolition des réflex
que l'abolition du réflexe à la lumière des pupilles, l'abolition des
réflexes
tendineux, des douleurs lancinantes ou de l'inc
du, par exemple, qui présente le signe de Robertson, l'abolition du
réflexe
rotulien et du réflexe du tendon d'Achille, qui
ésente le signe de Robertson, l'abolition du réflexe rotulien et du
réflexe
du tendon d'Achille, qui est sujet à des crises
(NÉVRITE OPTIQUE RE'TRO-BULBAIRE INFECTIEUSE ET TROUBLES DANS LES
RÉFLEXES
TENDINEUX) 1 J. BABINSKI. Publié dans les com
celle qu'on observe dans le tabès et par une perturbation dans les
réflexes
pupillaires ; de plus, les réflexes rotuliens des
t par une perturbation dans les réflexes pupillaires ; de plus, les
réflexes
rotuliens des deux côtés et le réflexe du tendo
pupillaires ; de plus, les réflexes rotuliens des deux côtés et le
réflexe
du tendon d'Achille d'un côté sont abolis. Il en
l'influence de la convergence les deux pupilles se contractent. Les
réflexes
rotuliens sont abolis ; le réflexe du tendon d'
ux pupilles se contractent. Les réflexes rotuliens sont abolis ; le
réflexe
du tendon d'Achille est aboli à gauche, conservé
rose papillaire. De plus, lorsque le tabes abolit d'un seul côté le
réflexe
pupillaire (signe de Robertson uni- latéral), c
e signe de Robertson est sous la dépendance d'une lésion de la voie
réflexe
centrifuge. Or, c'est l'inverse que l'on observ
, c'est qu'à la névrite optique s'asso- cient des troubles dans les
réflexes
tendineux qui, selon toute probabilité, dépendent
e la spondylose peut provoquer des douleurs lancinantes, abolir les
réflexes
tendineux et réali- ser ainsi un tableau sympto
n objectif donna les résultats suivants : abolition bila- térale du
réflexe
rotulien ainsi que du réflexe du tendon d'Achille
suivants : abolition bila- térale du réflexe rotulien ainsi que du
réflexe
du tendon d'Achille ; la pupille gauche ne se c
l'apparition des douleurs de tète. L'examen objectif montre que les
réflexes
tendineux et les réflexes pupillaires sont semb
s de tète. L'examen objectif montre que les réflexes tendineux et les
réflexes
pupillaires sont semblables à ce qu'ils étaient
opique très prononcées. Les douleurs fulgurantes, l'abolition des
réflexes
rotuliens ainsi que des tendons d'Achille et le
s troubles vésicaux et souffre parfois de douleurs fulgurantes. Les
réflexes
rotuliens et les réflexes des tendons d'Achille
ffre parfois de douleurs fulgurantes. Les réflexes rotuliens et les
réflexes
des tendons d'Achille sont abolis ; la pupille dr
lade à plusieurs reprises et avec le plus grand soin les mouvements
réflexes
de défense et nous avons pu consta- ter que c'e
ade de paraplégie complète. Il nous a paru net que l'excitabilité
réflexe
cutanée prédominait du côté opposé à la lésion,
dominait du côté opposé à la lésion, contrairement à l'excitabilité
réflexe
tendineuse. Depuis la présentation de notre mal
isolé. Il est pourtant à noter que dans les deux cas ces mouvements
réflexes
étaient également exagérés de l'autre côté, fai
ssayé d'établir la limite supérieure d'apparition de ces mouvements
réflexes
: comme on le voit sur le schéma, elle se présent
sant sur ces limites supérieures de la sensibilité des mouve- ments
réflexes
nous avons essayé de localiser la lésion médullai
localiser la lésion médullaire. La limite supérieure des mouvements
réflexes
, arrivant en arrière un peu au-dessus de la IXe
époque à l'hôpital et l'on constate une paraplégie spasmodique. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont très forts, le clonu
ros orteil est très net à droite (la jambe gauche a été amputée). Les
réflexes
crémastériens, abdominaux inférieurs et supérie
Fig. 3o. Obs. I. Tact. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 363 L'état des
réflexes
tendineux et cutanés est le même qu'à l'entrée du
xiste des mouvements involontaires spasmodiques de ces membres. Les
réflexes
tendineux sont très forts à droite, faibles à g
réflexes tendineux sont très forts à droite, faibles à gauche. Les
réflexes
cutanés abdominaux supérieurs et inférieurs son
Mais la première hypothèse est très peu vraisemblable puisque les
réflexes
tendineux existent ; la seconde a, au contraire,
normale; B. Sensibilité persistante, moins nette qu'il droite; i C.
Réflexe
achilléen faible ; D. Extension de l'orteil parfa
elle la spasmodicité très accentuée de ses membres inférieurs. Les
réflexes
tendineux sont exagérés ; la trépidation épilepto
e du gros orteil existe à droite et à gauche ; il est très net. Les
réflexes
cutanés abdominaux inférieurs sont abolis. Il n'e
le explique mieux tous les phénomènes observés. La conservation des
réflexes
tendineux est Fig. 33. - Obs. Il. Froid. 366
l'influence de la volonté. Les membres supérieurs sont normaux. Les
réflexes
achilléens existent, ainsi que les rotuliens qui
nsion franche du gros orteil et parfois l'abduction des autres. Les
réflexes
crémastériens sont conservés; les réflexes abdo
'abduction des autres. Les réflexes crémastériens sont conservés; les
réflexes
abdominaux manquent, mais leur recherche déterm
nt une contraction du quadriceps fémoral du côté correspondant. Les
réflexes
abdominaux supérieurs sont faibles. Le réflexe
correspondant. Les réflexes abdominaux supérieurs sont faibles. Le
réflexe
anal est conservé. La recherche des réflexes fess
rieurs sont faibles. Le réflexe anal est conservé. La recherche des
réflexes
fessiers montre la par- ticularité suivante : q
de la rainure interfessière (territoire des IVe et Ve sacrées). Les
réflexes
des membres supé- rieurs sont normaux. Examen
si au membre supérieur gauche, mais beaucoup moins accentués. Les
réflexes
tendineux sont aholis aux membres supérieurs. A
smodique (raideur musculaire, démarche spasmodique, exagération des
réflexes
rotuliens, conservation des achilléens, clonus
SER LE SIÈGE ET D'EN DÉTERMINER LA LIMITE INFÉRIEURE AU MOYEN DES
RÉFLEXES
DE DÉFENSE B.W311VSKI et ,T..TaRICOWSKI. Comm
dehors de l'anesthésie, des éléments de localisation. L'état des
réflexes
tendineux donne parfois à cet égard des indicatio
ard des indications intéressantes, comme par exemple l'inversion du
réflexe
du radius, décrite par l'un de nous('). Mais da
s cas les plus communs, où la lésion siège à la région dorsale, les
réflexes
tendineux ne sont d'aucun secours au point de v
d'aucun secours au point de vue que nous visons. (') Inversion du
réflexe
du radius, par J. Babinski (Société médicale des
2 P : 1R.tPLlGIR8 - AFFECTIONS DE LA MOELLE Il en est autrement des
réflexes
cutanés de défense (') qui fournissent des donn
r d'une manière plus décisive à l'aide de nouveaux matériaux. Les
réflexes
de défense s'observent assez souvent dans les par
ents ('). Le territoire cutané dont l'excitation peut provoquer ces
réflexes
a une hauteur qui varie, suivant les cas. Or, l
aliser trop haut ou trop bas la limite supérieure du territoire des
réflexes
de défense. Voici un exemple du premier genre d
leurs téguments sur le lit, qui a pour conséquence l'apparition des
réflexes
de défense. Si l'on n'y prend pas garde, on attri
réflexes de défense. Si l'on n'y prend pas garde, on attribuera ces
réflexes
à l'excitation que l'on a pratiquée et on leur fi
causes diverses, particulièrement au voisinage de la frontière des
réflexes
de défense. Pour ces motifs, il est important d
l'expérience. D'habitude, nous cherchons à délimiter le domaine des
réflexes
de défense en prati- quant des excitations succ
e bas en haut, puis de haut en bas, et en guettant le moment où les
réflexes
de défense disparaissent (') Voir à ce sujet :
tation, à tracer, comme nous l'avons dit, la limite supérieure des
réflexes
de défense et à déterminer ainsi l'endroit où s
hésie se trouvait au niveau du cinquième segment dorsal ; celle des
réflexes
de défense atteignait seulement la hauteur du neu
éralement fixée par la hauteur à laquelle s'élève le territoire des
réflexes
de défense. 2° Ces deux données se complètent.
on, lorsque l'écart entre la frontière de l'anesthésie et celle des
réflexes
de défense est considérable, l'hypo- thèse d'un
t sur la limite la plus élevée où il était possible de déclencher les
réflexes
de défense. « C'est une question que nous avo
le chatouillement de la « peau cesse de provoquer des contractions
réflexes
indique le niveau où existe la compression de la
meurs comprimant la moelle en vue de l'intervention chirurgicale » (
Réflexes
de défense, par J. Babinski. Revue neurologique,
ments, qui sont bilatéraux, se produisent le jour et la nuit. Les
réflexes
rotuliens et les réllexes achilléens sont exagéré
uillement de la plante du pied détermine des deux côtés une extension
réflexe
du gros orteil. 376 PARAPLÉGIES AFFECTION
nale dans le domaine de la XIe dorsale. Il existe des mouvements
réflexes
de défense obtenus par le pincement ou par le f
ent ou par le froid et le chaud sur les jambes et les cuisses ; ces
réflexes
de défense s'observent également sur la paroi a
mbre), les troubles de la sensibilité ont complètement disparu ; le
réflexe
plantaire se fait en flexion des deux côtés et la
bien conservée. Il n'y a ni hypotonie ni atrophie musculaire. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs et inférieurs so
ras. Il existe à l'avant-bras et à la main un peu de raideur. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont forts, les
deur. Les réflexes tendineux des membres inférieurs sont forts, les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont en partie
es membres supérieurs sont en partie exagérés en partie affaiblis. Le
réflexe
de flexion de l'avant-bras sur le bras est très
grand pectoral, du triceps et peut-être du biceps. Par contre les
réflexes
tendineux et osseux ayant une localisation plus b
seux ayant une localisation plus basse sont nettement exagérés ; le
réflexe
d'extension de l'avant-bras est très vif, on le p
'état normal, donne lieu à une flexion de l'avant-bras. De même les
réflexes
des doigts et de la main sont exaltés et si on pe
r la flexion de l'avant-bras, il y a donc tendance à l'inversion du
réflexe
du radius surtout du côté droit. La flexion des
moitié inférieure du radius. On obtient également avec facilité les
réflexes
de flexion, extension, abduction et adduction d
quer parfois de la trépidation épileptoïde de la main droite. Les
réflexes
abdominaux et anal sont abolis ; le réflexe plant
de la main droite. Les réflexes abdominaux et anal sont abolis ; le
réflexe
plantaire se fait en extension des deux côtés.
des différents excitants sur les membres inférieurs et le tronc des
réflexes
de défense qui consistent comme d'habitude en une
ondant aux 2'' et 3e dorsales (voir schéma) on obtient des mouvements
réflexes
de défense aux membres supérieurs : ils consist
pris naissance en dehors de la moelle. Plus tard l'exagération des
réflexes
tendineux, l'exaltation des réflexes de défense
e. Plus tard l'exagération des réflexes tendineux, l'exaltation des
réflexes
de défense nous conduisirent à reconnaître l'ex
ne lésion spinale. Enfin la lenteur de l'évolution, l'intensité des
réflexes
de défense, les phénomènes douloureux cadraient
é permettant de localiser la lésion, l'examen comparatif des divers
réflexes
tendineux et le siège de la limite supérieure d
flexes tendineux et le siège de la limite supérieure des mouvements
réflexes
de défense autorisait à supposer que la limite
siégeait entre les 6e et 7e segments cervicaux. En effet alors que le
réflexe
du triceps (C-) était nettement exagéré, le réf
et alors que le réflexe du triceps (C-) était nettement exagéré, le
réflexe
de flexion de l'avant- bras (C") était considér
idérablement affaibli, en outre on pouvait provoquer des mouvements
réflexes
de défense non seulement sur les membres inféri
ntrant les territoires dans lesquels on peut provoquer les mouvements
réflexes
de défense Rd. i. aux membres inférieurs, dont
roupes musculaires atrophiés il n'y avait ni abolition complète des
réflexes
, ni réaction de dégénérescence. 4° Enfin nous a
tion de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté des mouvements
réflexes
de défense aux membres supérieurs que nous avon
g. 53), les signes constatés (paraplégie totale, avec abolition des
réflexes
tendineux, troubles sphinctériens, apparition r
nous avons aussi insisté à maintes reprises sur la variabilité des
réflexes
de défense, en particulier dans les cas de tumeur
g8 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE orteils, exagération des
réflexes
tendineux et des réflexes de défense. La limite s
ONS DE LA MOELLE orteils, exagération des réflexes tendineux et des
réflexes
de défense. La limite supé- rieure de ces derni
; les spasmes sponta- nés tourmentent la malade jour et nuit; les
réflexes
de défense sont devenus plus forts et leur limi
e de la lésion en nous fondant sur le niveau de l'anesthésie et des
réflexes
de défense, localisation qui fut confirmée par
des deux côtés on trouve le signe des orteils, une exagération des
réflexes
de défense et une exagération des réflexes tend
teils, une exagération des réflexes de défense et une exagération des
réflexes
tendineux avec clonus du pied. Les troubles par
e c'est là qu'elle éprouve une sensation tout à fait naturelle. Les
réflexes
de défense présentent des variations considérable
lexion classique, tantôt c'est un mouvement de flexion des orteils (
réflexe
de préhension). Mais à tous les examens on arri
euse. COMPRESSIONS MEDULLAIRES 103 devient presque complète ; les
réflexes
tendineux et cutanés sont abolis. De plus, il s
pparaissent les premiers signes de régression de ces troubles : les
réflexes
reparaissent; la motilité volontaire revient pr
ectivité tendineuse, le signe des orteils et le signe de la flexion
réflexe
du pied existent encore et sont sur- tout nets
exploration clinique (niveau de l'anesthésie, niveau de la zone des
réflexes
de défense) et l'épreuve de Sicard-Forestier. Les
une flexion à droite et une extension à gauche, ou vice versa. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont nettement e
côtés. On constate le signe des orteils des deux côtés. Tous les
réflexes
abdominaux sont abolis. Le réflexe anal est con
eils des deux côtés. Tous les réflexes abdominaux sont abolis. Le
réflexe
anal est conservé. Les réflexes de défense sont
éflexes abdominaux sont abolis. Le réflexe anal est conservé. Les
réflexes
de défense sont fortement exagérés et peuvent êtr
ntanés. Le territoire dont l'excitation est capable d'engendrer ces
réflexes
de défense, ne se limite pas aux membres inféri
réflexes de défense, ne se limite pas aux membres inférieurs ; ces
réflexes
peuvent encore être provoqués au tronc jusqu'à
re 3 et 4, on aperçoit une bande grise qui correspond à la limite des
réflexes
de défense. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES gong tal
es que nous avons établies dans un travail antérieur, relatives aux
réflexes
de défense ('). Nous avons été conduits ainsi à
LA MOELLE La raideur diminue légèrement, quoique les spasmes et les
réflexes
de défense subsistent avec la même intensité.
urtout à droite ; les spasmes subsistent plus forts à gauche. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés : on constate du clo
eux sont très exagérés : on constate du clonus des deux côtés ; les
réflexes
abdominaux sont abolis ; il y a de l'extension de
orteils avec tendance à l'abduction des deux côtés. La limite des
réflexes
de défense est à peu près la même qu'avant l'opér
'une tendance à l'extension des orteils et une légère exagération des
réflexes
de défense ; toutefois, on ne retrouve plus la
défense ; toutefois, on ne retrouve plus la limite d'autrefois. Les
réflexes
abdominaux ont reparu des deux côtés COMPRESSIO
inaux ont reparu des deux côtés COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4n 1 Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont forts, mais ne dépas
nous attirons encore l'attention sur le parti qu'on peut tirer des
réflexes
de défense en ce qui concerne la délimitation du
urs. On met facilement en évidence des deux côtés l'exagération des
réflexes
tendineux avec trépidation épileptoïde du pied, l
x avec trépidation épileptoïde du pied, le signe des orteils et des
réflexes
de défense très forts (signe de la flexion réflex
orteils et des réflexes de défense très forts (signe de la flexion
réflexe
du pied). Les réflexes cutanés abdominaux sont
es de défense très forts (signe de la flexion réflexe du pied). Les
réflexes
cutanés abdominaux sont abolis. Rien à signaler d
11-Robertson ; rien non plus aux membres supérieurs si ce n'est des
réflexes
osso-tendineux égaux et vifs à droite et à gauche
toire des racines sacrées que dans celui des racines lombaires. Les
réflexes
de défense, très nets lors- qu'on excite les té
inférieure (côté céphalique) est convexe. (1) Pour la recherche des
réflexes
de défense nous avons employé la technique suivan
bation de la voie pyramidale à droite et à gauche : exagération des
réflexes
tendineux avec clonus, signe des orteils, réfle
exagération des réflexes tendineux avec clonus, signe des orteils,
réflexes
de défense. Les troubles de la sensibilité ont
légie joints aux troubles de la sensibilité objective, à l'état des
réflexes
de défense et à l'évolution de l'affection. F
au de l'arrêt du lipiodol cadrait avec celui de l'anesthésie et des
réflexes
de défense. Un autre point digne d'être soulign
sont en partie conservés. On trouve du côté droit, une abolition du
réflexe
rotulien, un affaiblissement du réflexe achillé
ôté droit, une abolition du réflexe rotulien, un affaiblissement du
réflexe
achilléen; le réflexe plantaire se fait en flex
on du réflexe rotulien, un affaiblissement du réflexe achilléen; le
réflexe
plantaire se fait en flexion ; les excitations
erses du membre inférieur droit, pratiquées pour la recherche des
réflexes
de dé- fense, ne déterminent ni mouvement de
t ni mouvement de la cuisse, ni mouvement de la jambe, ni flexion
réflexe
du pied (criterium de l'exagération des réflexe
jambe, ni flexion réflexe du pied (criterium de l'exagération des
réflexes
de défense) ; mais lorsqu'on excite la face pos
de la motilité volontaire, on trouve le signe des orteils et des
réflexes
de défense bien caractérisés, qui se laissent p
ractérisés, qui se laissent provoquer jusqu'au pli de l'aine. Les
réflexes
tendineux sont ici d'une intensité moyenne. I
ne contracture en flexion et liée manifestement à l'exagération des
réflexes
de défense ; la malade accuse des mouvements sp
l'attitude en flexion. La motilité volontaire est très réduite. Le
réflexe
rotulien est vif, l'achilléen existe plus fort
n est vif, l'achilléen existe plus fort que celui du côté droit. Le
réflexe
plantaire se fait tantôt en extension, tantôt en
flexe plantaire se fait tantôt en extension, tantôt en flexion. Les
réflexes
abdominaux inférieurs sont abolis. Les troubles m
liés les troubles sensitifs au niveau de l'abdomen, l'abolition des
réflexes
abdominaux inférieurs et les troubles sudoraux
e la réflectivité cutanée ; à gauche, au contraire, exagération des
réflexes
de défense, sans troubles nets de la motilité v
ire aux notions établies ; on sait, en effet, que l'exagération des
réflexes
de défense, à moins d'at- teindre un degré élev
existence incontestable d'une altération de la voie pyramidale, les
réflexes
tendineux, au lieu d'être exagérés, sont-ils, l
les réflexes tendineux, au lieu d'être exagérés, sont-ils, l'un le
réflexe
rotulien aboli, l'autre le réflexe achilléen af
être exagérés, sont-ils, l'un le réflexe rotulien aboli, l'autre le
réflexe
achilléen affaibli ? Pourquoi aussi les réflexe
n aboli, l'autre le réflexe achilléen affaibli ? Pourquoi aussi les
réflexes
de défense diffèrent-ils de ce qu'on voit d'hab
iffèrent-ils de ce qu'on voit d'habitude en pareil cas ? L'état des
réflexes
tendineux peut s'expli- quer par la compression
éoplasme a pu faire subir aux cellules constituant le centre de ces
réflexes
, altérations dont les effets, en l'espèce, l'em
nt à la région lombaire ait pour conséquence, dans la recherche des
réflexes
de défense, la substitution du mouvement d'exte
iceps crural, ne peut être qualifiée de tendino-réflexe, puisque le
réflexe
rotulien, loin d'être exagéré, est aboli ; elle
semble pas non plus pouvoir être rattachée à une exagé- ration des
réflexes
de défense, car contrairement à ce qu'on observe
ès vraisemblablement, de syringomyélie et dans lequel, bien que les
réflexes
tendineux et les réflexes de défense fissent dé
yringomyélie et dans lequel, bien que les réflexes tendineux et les
réflexes
de défense fissent défaut, il y avait de la con
: contracture permanente en flexion avec exagération très forte des
réflexes
de défense et mouvements spasmodiques « spontan
en flexion permanente ou en flexion passa- (1) Voir : J. Babinski.
Réflexes
de défense. Revue Neurologique, 1922, n" 8. 426
de la compression. En ce qui concerne le parti qu'on peut tirer des
réflexes
de défense pour fixer la limite inférieure de l
paraplégies, etc. Société de Neurologie, 12 mai igio. J. Babinski.
Réflexe
de défense. Revue Neurologique, yuQ-y5 et 1922.
compression avec tendance à la paraplégie en flexion. La limite des
réflexes
de défense dépasse le 6" segment dorsal. Les tr
mologue », où le tronc est incliné du côté malade. L'abolition du
réflexe
achilléen dans la sciatique, objet d'un travail
n'avait pas retenu l'attention des cliniciens qui considéraient le
réflexe
achilléen comme inconstant à l'état normal ; il
on à l'étude de la sciatique et en particulier des modifications du
réflexe
du tendon d'Achille. Thèse, Toulouse, 1897), pu
du tendon d'Achille. Thèse, Toulouse, 1897), puis par Forestier (Le
réflexe
du ten- don d'Achille dans la sciatique. Soc. m
de la contracti- lité électrique du triceps brachial ; abolition du
réflexe
du tendon de ce muscle. Cette affection a été
s doute parce qu'ordinai- rement on néglige de rechercher l'état du
réflexe
du triceps brachial, et qu'en présence d'un mal
ral ? C'est l'irri- [(ilion suinte et passagère des points d'un arc
réflexe
. Prenons la face comme exemple et d'abord en co
ères, IIH'dIISPASJIG' FACIAL PÉRIPHÉRIQUE ft4r phénomène purement
réflexe
: la cornée, la sclérotique, la muqueuse pal- p
écharge aux muscles orbi- culaires qu'il commande. Voilà donc l'arc
réflexe
établi. On peut admettre en principe que toute
trophique. II SUR L'EXCITABILITÉ IDJO-¡JJUSCULAIRE ET SUR LES
RÉFLEXES
TENDINEUX DANS LA MYOPATHIE PROGRESSIVE PRIMITI
sculaire s'affaiblissent en général ? simultanément et que l'état des
réflexes
tendineux et de l'exci- tabilité idio-musculair
jà été noté (Landouzy et Dejerine, Erb, Marie, Guinon, Léri) que le
réflexe
patellaire peut disparaître avant que le triceps
ais la réaction de dégénérescence fait complète- ment défaut. Les
réflexes
tendineux des biceps brachiaux et du triceps brac
rachiaux et du triceps brachial gauche sont complètement abolis; le
réflexe
du triceps brachial droit existe. La percussion d
'avant-bras, mais donne lieu à une flexion des doigts (inversion du
réflexe
du radius)('). Les réflexes rotuliens sont abol
ieu à une flexion des doigts (inversion du réflexe du radius)('). Les
réflexes
rotuliens sont abolis. Les réflexes achilléens
n du réflexe du radius)('). Les réflexes rotuliens sont abolis. Les
réflexes
achilléens sont normaux des deux côtés. Les réf
nt abolis. Les réflexes achilléens sont normaux des deux côtés. Les
réflexes
cutanés, abdominaux et plantaires sont normaux.
e l'un de nous a fait connaître sous la dénomination d'inversion du
réflexe
du radius (J. Babinski, Bulletins de la Société m
ensuite que le trouble précédent coïncide avec une perturbation des
réflexes
tendineux : dans les muscles du bras et de la c
endino-réflexe fait également défaut ; en effet, des deux côtés, le
réflexe
de flexion de l'avant-bras sur le bras, le réflex
s deux côtés, le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras, le
réflexe
du genou font défaut ; il en est de même du réf
sur le bras, le réflexe du genou font défaut ; il en est de même du
réflexe
du triceps brachial gauche ; au contraire, on p
a main et des doigts en percutant les tendons des fléchisseurs ; le
réflexe
du triceps brachial droit existe également or,
conservée. 3° En raison du lien qui semble unir la perturbation des
réflexes
tendi- neux et celle de l'excitabilité idio-mus
phénomènes ont la même origine et à admettre que l'abo- lition des
réflexes
tendineux dépend dans l'espèce d'une altération p
e lésion nerveuse. 4° Enfin, il est à remarquer que l'abolition des
réflexes
tendineux et de l'excitabilité idio-musculaire
gie brachiale flasque et complète, de plusieurs mois de durée ; les
réflexes
tendineux et osseux du membre paralysé sont nor
t d'une lésion cérébrale, le membre devrait être contracturé et les
réflexes
tendineux exagérés ; si elle était due à une né
réflexes tendineux exagérés ; si elle était due à une névrite, les
réflexes
tendineux seraient affaiblis ou abolis et il y au
contrairement à la plupart de mes collègues, que l'exagération des
réflexes
tendineux ne peut être provoquée par l'hystérie
ie ('). Je dis qu'il est impos- sible d'exagérer par suggestion les
réflexes
tendineux et de ramener à l'état normal par la
lexes tendineux et de ramener à l'état normal par la persuasion des
réflexes
tendineux exagérés ; donc ce phénomène ne peut
e plus qu'il n'existe pas de faits bien nets où une exagération des
réflexes
tendineux aurait accompagné une paralysie hysté
er de l'inégalité des pupilles et de la mydriase avec abolition des
réflexes
. Des troubles cutanés et vaso-moteurs seraient
gorge, qui, soit dit en passant, est appelée à tort « abolition du
réflexe
pharyngé », car l'excitabilité- réflexe n'est j
pelée à tort « abolition du réflexe pharyngé », car l'excitabilité-
réflexe
n'est jamais abolie dans ce cas. Les stigmates
je considère comme tout à fait distinctif, c'est l'exagération des
réflexes
tendineux et l'épilepsie spinale parfaite (2) q
ent comme un fait incontestable la possibilité de l'exagération des
réflexes
tendineux dans l'hystérie, ce qui tient, sans d
qu'ils ne sont pas suffisamment familiarisés avec la recherche des
réflexes
tendineux chez l'homme sain et qu'ils prennent
état pathologique ce qui est physiolo- gique. Si l'exagération des
réflexes
tendineux et l'épilepsie spinale par- faite éta
re, par exemple, un malade atteint d'hémiplégie hystérique avec des
réflexes
tendineux manifestement exagérés au membre supé
u peu de temps après, débarrassé de son épilepsie spinale, avec des
réflexes
tendineux égaux des deux côtés ; la preuve sera
dans celle qui est due à la section du trijumeau, une abolition du
réflexe
palpébral ; je puis vous déclarer que vous n'y ar
on certains symptômes objectifs comme, par exemple, l'abolition des
réflexes
tendineux qu'on observe si souvent dans les név
vralgies-névrites ; jamais, dans la sciatique dite hysté- rique, le
réflexe
achilléen ne subit de perturbation et, d'autre pa
ment par persuasion une sciatique accompagnée d'une abolition de ce
réflexe
. J'affirme qu'il est impossible d'obtenir par s
rme qu'il est impossible d'obtenir par suggestion une abolition des
réflexes
pupillaires, ou une inégalité des pupilles, qu'il
voie, les neurologistes n'avaient pas su tirer parti de l'état des
réflexes
tendineux qui étaient pourtant l'objet d'une ex
ologie, j'ai soutenu que l'hystérie était incapable de modifier les
réflexes
tendineux et que, par conséquent, l'hémiplégie
e hystérique pure ne s'accompagnait jamais d'une exagération de ces
réflexes
. Cette opinion a été d'abord vive- ment combatt
Ainsi donc, dans un cas d'hémiplégie, l'exagération unilatérale des
réflexes
tendineux, symptôme autrefois connu déjà, mais mé
rie fût apte à exercer une action perturbatrice sur les centres des
réflexes
tendineux et sur les centres vasomoteurs, de pens
e le dire, la suggestion est incapable d'exa- gérer ou d'abolir les
réflexes
tendineux, d'amener une perturbation dans les r
d'abolir les réflexes tendineux, d'amener une perturbation dans les
réflexes
pupillaires ou dans les réflexes cutanés ; elle p
d'amener une perturbation dans les réflexes pupillaires ou dans les
réflexes
cutanés ; elle peut rendre plus difficile l'obs
groupe de faits consistant en une exagération généralisée soit des
réflexes
tendi- neux, soit des réflexes vasomoteurs cuta
une exagération généralisée soit des réflexes tendi- neux, soit des
réflexes
vasomoteurs cutanés (dermographisme), qui ont é
ns ou des tégu- ments est nécessaire à la production des phénomènes
réflexes
qui, en outre, ainsi que je l'ai dit plus haut,
s phénomènes, soit du deuxième groupe (émotifs), soit du troisième (
réflexes
), associés à ceux du premier (pithiatiques), en p
oupes de phénomènes que nous avons appelés pithiatiques, émotifs et
réflexes
, se distinguant les uns des autres par des cara
Extrait du livre Ilystérie-Pithiatisme et Troubles nerveux d'ordre
réflexe
. Masson et C", Paris, 1917. Depuis que l'on c
penser que les troubles moteurs étaient au moins en partie d'ordre
réflexe
. Or, les troubles de ce genre ne subissent guèr
tence de ces paralysies amyotrophiques et de ces contractures dites
réflexes
qui avaient été si bien décrites par Charcot et
lu les chapitres que nous consacrons aux phénomènes nerveux d'ordre
réflexe
, de ne pas attribuer à l'hystérie tous les trou
morragies sous- conjonctivales et piqueté hémorragique sous-cutané,
réflexe
cutané plan- taire et extension. Les autres car
ndrome de Wolkmann, dans les paralysies et contrac- 1 tures d'ordre
réflexe
(Gougerot et Charpentier, Sicard et nous-mêmes).
montré, de déceler parfois certaines particularités dans l'état des
réflexes
tendineux et de la tonicité musculaire permettant
Il est pos- sible dès lors qu'il se soit agi de contracture d'ordre
réflexe
. De telles contractures peuvent ne pas se modif
aux lésions des 'centres nervenx. Or, le diagnostic de contracture
réflexe
n'a même pas été envisagé dans les travaux dont n
s précédemment à savoir que l'hystérie ne modifie jamais l'état des
réflexes
tendineux et des réflexes pupillaires. En est-i
e l'hystérie ne modifie jamais l'état des réflexes tendineux et des
réflexes
pupillaires. En est-il de même pour les réflexe
s tendineux et des réflexes pupillaires. En est-il de même pour les
réflexes
cutanés ? Aucun des nombreux cas d'hystérie que
ète ou une très grande diminution de la réaction cutanée plantaire (
réflexe
cutané plantaire et mouvement de défense). » D'au
lontaires peuvent donner le change et être pris pour des mouvements
réflexes
, par contre un réflexe peut être masqué par une
le change et être pris pour des mouvements réflexes, par contre un
réflexe
peut être masqué par une contraciion musculaire
par une contraciion musculaire volontaire ; cela est vrai pour les
réflexes
cutanés aussi bien que pour les réflexes tendineu
e ; cela est vrai pour les réflexes cutanés aussi bien que pour les
réflexes
tendineux. Beau- coup d'individus normaux sont
est, en quelque sorte, sur ses gar- des. Dans l'exploration de ces
réflexes
, on doit donc s'assurer que la jambe, le pied e
je- rine et qui ont été relatés dans son livre, avec figures, où le
réflexe
cutané plantaire paraissait aboli, les muscles
tracture. En résumé, sur les cinq cas relatés par M. Déjerine où le
réflexe
serait aboli, il y en a quatre où il y a de la co
et qui s'accompagne cependant d'anesthésie hystérique, le mouvement
réflexe
peut être pro- voqué. « Ces faits ne peuvent
'HYSTÉRIE PENDANT LA 11 GUERRE o 1 1 rique soit capable d'abolir le
réflexe
cutané plantaire. Ils conduisent plu- tôt à éta
mme la contracture musculaire volontaire, de masquer les mouvements
réflexes
». A ces critiques on peut en joindre une autre
nerveux incriminés ne soient pas de nature hystérique, mais d'ordre
réflexe
. Les faits de ce genre n'ayant pas encore attir
s été discuté. Or, dans les parésies et dans les contractures dites
réflexes
, nous l'avons souvent noté, la réflec- tivité p
de laisser séjourner le malade dans une chambre chaude pour voir le
réflexe
reparaître. L'instabilité de ce trouble est imp
n s'est servi pour soutenir que l'hystérie est en état d'abolir les
réflexes
cutanés ne sont rien moins que probants. Nos id
ncore en joindre une autre : celle de troubles vaso-moteurs d'ordre
réflexe
qui toutefois ne s'accompagnent pas d'habi- tud
t elle nous a conduit à les considérer comme des phénomènes d'ordre
réflexe
dépendant d'une perturbation du système sympath
trophiques liés à des perturbations du système sympathique, d'ordre
réflexe
. En dehors de ces observations très sujettes à
ns réunis sous la dénomination de parésie et de contracture d'ordre
réflexe
. De ce qui précède nous nous croyons en droit d
pacité. 3° Pour les troubles physiopathiques (troubles nerveux dits
réflexes
) consé- cutifs aux traumatismes de guerre et ré
on entre les troubles hystériques-pithiatiques et les troubles dits
réflexes
a été généralement admise. La possibilité d'acc
IÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES 1 TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
Syndrome physiopathique ('). ' [J. Babinski E
] Extrait du livre Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre
réflexe
, Masson, igi8. Parmi les accidents nerveux co
rome est complet : de l'atrophie musculaire; de l'exagé- ration des
réflexes
tendineux; des modifications des réflexes cutanés
e; de l'exagé- ration des réflexes tendineux; des modifications des
réflexes
cutanés pou- (') Hystérie-pithiatisme et troubl
s cutanés pou- (') Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre
réflexe
(en collaboration avec J. Froment. Collection H
nous semble permis de considérer ces accidents comme étant d'ordre
réflexe
et nous dirons ce que l'on doit entendre par ce
n de Bichclot. Paris, 83y, t. I, 1). 5111. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
55 confirmées et complétées par toute une série
à l'amyotrophie ou à la paralysie amyotrophique. L'exal- tation des
réflexes
paraît un symptôme commun à ces divers modes de
s : d'une part, à l'abus que cer- tains auteurs ont fait du terme «
réflexe
» et, d'autre part, à l'extraordinaire fortune
s que Graves et Brown-Séquard dénommèrent ultérieurement paralysies
réflexes
, et que Jaccoud et Weir- Mitchell proposèrent d
sse (Weir-Mitchell, Morehouse et Keen); les cas d'inflammation dite
réflexe
(Brown-Séquard), etc. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
mmation dite réflexe (Brown-Séquard), etc. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
553 Le discrédit dans lequel étaient tombées le
ons anciennes de contracture et de paralysies amyotrophiques, dites
réflexes
, d'origine arti- culaire ou ab-articulaire, s'e
phie musculaire consécutive à un traumatisme. « Ces mots d'atrophie
réflexe
ne correspondent à aucune conception nosographi
Mais on appelait également, il y a quelques années, contrac- tures
réflexes
, paralysies réflexes, tremblement réflexes, une f
lement, il y a quelques années, contrac- tures réflexes, paralysies
réflexes
, tremblement réflexes, une foule d'ac- cidents
s années, contrac- tures réflexes, paralysies réflexes, tremblement
réflexes
, une foule d'ac- cidents qui appartiennent abso
était capable de tout faire sans en excepter même l'exagération des
réflexes
tendineux, les troubles vaso- moteurs, thermiqu
n le reconnaître, la distinction entre les troubles nerveux d'ordre
réflexe
et les accidents hystériques était pour ainsi d
se fonder pour établir ce diagnostic ? ° L'amyotrophie d'origine
réflexe
, quand elle était très marquée, comme elle l'es
nos premières communications sur les contractures et les paralysies
réflexes
, nous insistions à nouveau sur l'importance de ce
sions traumatiques et qui font partie du groupe des phénomènes dits
réflexes
. Ces troubles sont communs dans les cas de lési
lointains et (') J. Babinski et .T. Froment. Les modifications des
réflexes
tendineux pendant le sommeil chlo- roformique e
ociété de Neurologie, Ier juillet 1915. TROUBLES NERVEUX. D'ORDRE
RÉFLEXE
555 indirects avec l'opération : celle-ci a por
pas et n'envisageait même pas l'hypothèse d'une contracture d'ordre
réflexe
. Ce n'était pas là un fait isolé ; nous l'avons
mment nous avons été conduits à reprendre l'étude des troubles dits
réflexes
et comment nous avons été appelés à faire des con
motilité. La radiographie ne décèle aucune lésion arti- culaire. Le
réflexe
rotulien droit paraît un peu plus fort que le gau
peu plus fort que le gauche ; mais l'asymétrie est discutable. Les
réflexes
achilléens sont normaux et égaux. Il n'y a ni t
ystérie et qui se rattachaient vraisemblablement aux accidents dits
réflexes
. Mais la réflectivité tendineuse du membre mala
phase de résolution musculaire, après extinction de tous les autres
réflexes
tendineux et des réflexes cutanés, on observait,
aire, après extinction de tous les autres réflexes tendineux et des
réflexes
cutanés, on observait, du côté malade, de la su
usieurs fois noté pendant la narcose cette exagération élective des
réflexes
tendineux du membre malade. Nous étions ainsi en
ns le sommeil jirofond ; elle subsistait encore à une période où le
réflexe
conjonctival était aboli et où les excita- tion
e réaction ; le retour de la contracture, contemporain de celui des
réflexes
tendineux, précéda parfois de vingt à vingt-cin
duits ainsi à rappeler l'attention sur ces troubles nerveux d'ordre
réflexe
consécutifs aux traumatismes des membres et qui
il diagnostic. (1) J. Babinski et J. Froment, Les modifications des
réflexes
tendineux pendant le sommeil chlo- roformique e
et J. Froment, Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine
réflexe
. Examen pendant l'anesthésie chloroformique. So
ue, novembre-décembre igi5, pp. j25-933. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
55; Au moment où nous poursuivions ces recherch
s tenaces. S'agit-il de contractures hystériques ou de contractures
réflexes
? « Nous pensons, écrit-il, qu'à l'origine la c
lexes ? « Nous pensons, écrit-il, qu'à l'origine la contracture est
réflexe
, provoquée par une lésion nerveuse ou par une s
tions de Duvernay relatives à des « contractures psychopathiques ou
réflexes
» post-traumatiques, se présentant avec les mêm
n, de l'avant-bras et du bras, sans réaction de dégénérescence. Les
réflexes
tendineux du membre malade étaient conservés.
même nature. (') J. Babinski et J. Froment, Paralysie et hypolbonic
réflexes
avec surexcitabilité mécanique, galvanique cl f
e. Académie de médecine, i i janvier igi6. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
55g Nous remarquions enfin que, dans la symptom
énomination de contractures et de paralysies ou de parésies d'ordre
réflexe
, parce qu'elles se rapprochent des paralysies a
approchent des paralysies amyotrophiques et des contractures, dites
réflexes
, si bien étudiées par Charcot et par Vulpian. En
rs) apportent des argu- ments nouveaux à l'appui de la pathogénie «
réflexe
». Quoi qu'il en soit, nos recherches ont contr
binski et J. Froment, Contractures et paralysies traumatiques d'ordre
réflexe
. Presse Médicale, il\ février i g t 6, p. 83.
teurs et thermiques dans les paralysies et les contractures d'ordre
réflexe
. Annales de Médecine, octobre-novembre 1916. (3
core discutable, mais que l'on peut rapprocher des troubles d'ordre
réflexe
observés à la suite des lésions articulaires.
ésions articulaires. SYMPTOMATOLOGIE Les troubles nerveux d'ordre
réflexe
se développent à la suite de bles- sures ou de
est pas encore fixé à cet égard. Les troubles de motilité d'ordre
réflexe
se présentent sous des aspects divers : contrac
s les segments du membre participent fréquemment. Le trouble moteur
réflexe
peut-il entrainer une impotence complète ou (')
rtains malentendus qui ont pu se produire. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
561 presque complète d'un segment de membre. Ce
précision le degré d'intensité que peut atteindre le trouble moteur
réflexe
. Ce que nous sommes en droit d'affirmer c'est que
ôté (') Cette étude des troubles vaso-moteurs et thermiques d'ordre
réflexe
est extraite du travail suivant : Des troubles
aso-moteurs et thermiques dans les paralysies ou contractures d'ordre
réflexe
. Babinski, Froment et Heitz, Annales de médecin
de mercure à la pression diastolique.) ; TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
563 Voici quelques chiffres constatés chez des
, 8" pour 6°. Chez les blessés atteints de troubles nerveux d'ordre
réflexe
, la vaso- asymétrie est souvent beaucoup plus p
Comme on le voit, il y a en général, dans les troubles vaso-moteurs
réflexes
une diminution de l'amplitude des oscillations du
La contraction, ainsi obtenue, doit être distinguée d'un mouvement
réflexe
; elle se produit lorsqu'on percute le corps musc
ion porte sur les tendons ou les surfaces osseuses. L'expression de
réflexe
musculaire, qui a parfois été employée, prête à
ambiguïté : rien n'autorise à supposer ici la mise en jeu d'un arc
réflexe
. Il y a tout lieu, au contraire, de rapprocher
es plus manifestes, qui est transitoire. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
565 Chez les blessés atteints de troubles nerve
E RÉFLEXE 565 Chez les blessés atteints de troubles nerveux d'ordre
réflexe
, après immersion du membre malade dans l'eau ch
t être tout aussi marquée dans les contractures et parésies d'ordre
réflexe
que dans bien des cas de paralysie avec réactio
t : J. Babinski et J. Froment, Hystérie et troubles nerveux d'ordre
réflexe
. Collection Horizon, Paris, Masson, 1918, pp. 128
binski et J. Froment, Contractures et paralysies traumatiques d'ordre
réflexe
. Presse Médicale, 24 février ici6, p. 83. TRO
Presse Médicale, 24 février ici6, p. 83. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
56 ? Amyotrophie. L'amyotrophie est pour ainsi
grande valeur. Elle peut être d'une appréciation difficile, car les
réflexes
tendineux du membre sain sont parfois, eux auss
ette. Rappelons à ce propos que, dans l'appréciation de l'état d'un
réflexe
tendineux, il y a à considérer non seulement l'
mais aussi ses autres caractè- res (brusquerie, polycinésie). Les
réflexes
tendineux semblent plus souvent exagérés dans les
tés de la raideur musculaire. Toutefois, même dans les contractures
réflexes
du membre inférieur, la surréflectivité tendine
ut observer au contraire un affaiblissement plus ou moins marqué du
réflexe
achilléen avec lenteur du mouvement comme l'a mon
othermie, sont très prononcés. Le réchauffement du mem- bre rend au
réflexe
son amplitude normale. Irréflectivité cutanée.
toujours associée à une hypothermie (') Cl. Vincent, Variations du
réflexe
achilléen chez certains hommes atteints de troubl
S S marquée. Après immersion du membre atteint dans l'eau chaude le
réflexe
cutané reparait transitoirement : il est alors
réflexe cutané reparait transitoirement : il est alors identique au
réflexe
du côté sain. Cette dernière expérience a été r
ous l'action de la chaleur sont si remarquables (2). L'abolition du
réflexe
cutané plantaire, observée dans les paralysies
s réserves. « On sait, écrit-il, que la question de l'abolition des
réflexes
cutanés et notamment des réflexes cuta- nés pla
ue la question de l'abolition des réflexes cutanés et notamment des
réflexes
cuta- nés plantaires dans l'hystérie est encore
rmitte l'expliquent par l'anesthésie hys- térique troublant la voie
réflexe
; d'autres avec Babinski et Froment font releve
réchauffement des pieds faisait chez notre malade réapparaître les
réflexes
cutanés plan- taires sans modifier en rien l'an
Troubles de la sensibilité. Les malades atteints de contractures
réflexes
se plaignent parfois de sensations douloureuses ;
Tinel(''). Chez les sujets atteints de contracture ou d'hypertonie
réflexe
de la main, la compression de la région métacar
cachet de sincérité. (') J. Babinski et.). Froment, Abolition du
réflexe
cutané plantaire. Annslhésie associée a des tro
associée a des troubles vaso-moteurs et à de l'hypothermie d'ordre
réflexe
. Société de Neurologie, 4 mai i 16. (2) J. Babi
ociété de Neurologie, 4 mai i 16. (2) J. Babinski, Modification des
réflexes
cutanés de défense sous l'influence de la compres
bles de la température locale 1\ propos d'un cas de paralysie, dite
réflexe
, du membre inférieur, Société de Neurologie. rz o
rologie. rz oclohre Igdi. ) IL Gougerot et A. Charpentier, Troubles
réflexes
et paralysies réflexes consécutifs aux bles- su
i. ) IL Gougerot et A. Charpentier, Troubles réflexes et paralysies
réflexes
consécutifs aux bles- sures des extrémités. Soc
s de guerre, Masson, J 9 ¡fi, pp. 84-y5. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
56g Dans plusieurs cas de parésies réflexes att
TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56g Dans plusieurs cas de parésies
réflexes
atteignant le membre inférieur, nous avons obse
superficiels et profonds qui bénéficieraient de la même pathogénie
réflexe
invoquée par MM. Babinski et Froment. Enfin L
es physiopathiques. Constitution d'un syndrome radiculo-symphatique
réflexe
(') écrivent : En examinant avec soin des ble
bles physiopathiques. Constitution d'un syndrome radicnlo-sympathique
réflexe
. Progrès médical, 10 mars 1917. . 57o TROUBLE
ne transfixion de la partie inférieure de l'avant-bras des troubles
réflexes
bien caracté- risés, une supersécrétion de sueu
complètement défaut dans les (') J. Babinski et J. Froment, Parésie
réflexe
do la main gauche. Troubles vaso-moteurs et sécré
ux. Société de Neurologie, novembre 19 16. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
5Í[ 1 contractures et parésies d'ordre réflexe,
BLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5Í[ 1 contractures et parésies d'ordre
réflexe
, mais elles sont d'intensités diverses. Les rét
tes, mais aussi dans les cas de contractures ou de parésies d'ordre
réflexe
. Elle fait défaut dans les contractures et paraly
altérations ; chez les sujets atteints de troubles nerveux d'ordre
réflexe
, leur croissance est moins rapide que du côté s
ns indiqué les particularités que l'examen des contractures d'ordre
réflexe
pendant la narcose permettait de mettre en évid
à une phase avancée de la narcose, elle disparut au début ; mais le
réflexe
cubito-pronateur, à peu près normal à l'état de
Ces diverses observations établissent entre les contractures dites
réflexes
et les contractures hystériques une distinction
da- mentale. (1) J. Babinski et J. Froment, Les modifications des
réflexes
tendineux pendant le sommeil chlo- roformique e
octobre igi5. Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine
réflexe
. Examen pendant l'anesthésie chloroformique. Soci
, comment apparaissent et s'installent les troubles nerveux d'ordre
réflexe
auxquels nous venons de consacrer cette longue
t Vulpian avaient déjà été frappés par la ténacité des amyotrophies
réflexes
, eussent-elles pour origine des lésions légères p
une part plus ou moins importante, les troubles de motilité d'ordre
réflexe
, nous le répé- tons, ne se modifient qu'avec le
s hystériques sont dépourvues, que les troubles de motilité d'ordre
réflexe
peuvent être reconnus. Si les diverses affections
relativement simple, mais il est loin d'en TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
573 être ainsi. Les associations morbides sont,
ubsiste même lorsque la main est tenue en ex- tension. Les troubles
réflexes
nous paraissent aussi s'associerfréquemment aux
e la lésion et n'apparte- nant pas au territoire du médian, que les
réflexes
ostéo-périostés et ten- dineux du membre supéri
u selon nous de faire rentrer dans le groupe des phénomènes d'ordre
réflexe
ces troubles qui débordent le domaine du nerf irr
ébordent le domaine du nerf irrité. L'in- tervention d'un facteur «
réflexe
» semble encore plus évidente dans ces cas de c
e du quadriceps avec surexcitabilité mécanique, de l'exagération du
réflexe
rotulien et une contracture en flexion du genou
exemples relatifs à l'asso- ciation de troubles de motilité d'ordre
réflexe
avec des manifestations hystériques, pithiatiqu
s muscles du pied et de la lenteur de la secousse, une abolition du
réflexe
cutané plantaire avec réapparition transitoire so
ation de manifestations pithiatiques à des troubles nerveux d'ordre
réflexe
. Et, en effet, la contre-suggestion permit de fai
muscles avec lenteur de la secousse, et une légère exagération des
réflexes
osso-tendineux. Il est incontestable que cette pa
Il est incontestable que cette paralysie est pour une part d'ordre
réflexe
; toutefois, en se basant sur l'expérience que
cquise, sur cette donnée que dans les faits bien avérés de troubles
réflexes
purs on n'a jamais constaté jusqu'à présent de mo
ité mécanique, carac- tères qui appartiennent aux accidents d'ordre
réflexe
. Mais ces désordres, quelle qu'en soit l'intens
troubles hystériques s'associent et se combinent avec les troubles
réflexes
, la par- ticipation de l'hystérie pouvant être
de la psychothérapie. De même qu'à une parésie, à une méiopragie
réflexe
tenace on voit se joindre une paralysie hystéri
ique forte mais rapidement curable peut s'associer à une hypertonie
réflexe
légère mais rebelle. L'observation que rapporte
euvent dériver de ces trois sources : la lésion des nerfs, l'action
réflexe
et l'hystérie (cssociation hystéro- e/7< ? .
lle proportion chacun d'eux y participe. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypothèse de trouble
577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypothèse de troubles nerveux d'origine
réflexe
que se ratta- chent Charcot et Vulpian. Mais qu
s quel sens exact convient-il d'attribuer à ce terme ? « Une action
réflexe
musculo-motrice, dit Vulpian, exige néces- sair
ve-t-on ces trois facteurs dans les cas d'atrophie musculaire, dite
réflexe
? L'excitation produite par la lésion périphériqu
phie et la parésie, mais encore la contracture et l'exagération des
réflexes
tendi- neux, d'après lui habituelle, montre que
d'après lui habituelle, montre que l'assimilation avec un phénomène
réflexe
est complète. « Les affections articulaires, lo
tracture musculaire et y prédis- posent, à savoir l'exagération des
réflexes
, se trouvent en quelque sorte combinées à l'amy
phases extrêmes d'un même processus morbide. » L'exagération des
réflexes
tendineux et la contracture témoignent, en effe
centrifuge que réclamait Vulpian pour identifier les troubles dits
réflexes
avec les phénomènes réflexes à proprement parle
pian pour identifier les troubles dits réflexes avec les phénomènes
réflexes
à proprement parler. Quoi qu'il en soit, qu'i
ot avait déjà montré la fré- quence dans la paralysie amyotrophique
réflexe
, est encore plus commune qu'on aurait pu le pen
e sommeil chloroformique ('). Mais peut-on expliquer par une action
réflexe
tous les phénomènes qui font partie du syndrome
chez des sujets atteints de causalgie et de troubles nerveux d'ordre
réflexe
, a été suivie de vaso-dilatation prononcée, ave
r, des vaisseaux el du sang, février 1917. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
5 (à de nos observations oscillométriques. Il s
es : l'hypothèse d'une névrite du sympathique ou celle d'un trouble
réflexe
empruntant la voie du sympathique. On pourrait
scuter et s'adaptent au contraire avec celle d'un mécanisme d'ordre
réflexe
. Il est permis d'invoquer encore à l'appui de c
lques instants auparavant. Le point de départ de cette excitation
réflexe
ne peut être cherché que dans l'irritation des
es qui unissent ces deux systèmes. Par contre la voie centrifuge du
réflexe
, pour ce qui concerne les phéno- (') Cette répe
ue les phénomènes décrits sous le nom de paralysies et contractures
réflexes
ne répondaient pas dans la grande majorité des ca
lexes ne répondaient pas dans la grande majorité des cas aux lois des
réflexes
: loi de symétrie, d'irradiation, de généralisa
la téna- cité de ces parésies et de ces contractures ou hypertonies
réflexes
, on comprend mieux leurs caractères sémiologiqu
end mieux leurs caractères sémiologiques. En résumé, la pathogénie «
réflexe
» nous semble rendre compte de toutes les partic
ineuse et le spasme vasculaire, sont le résultat direct de l'action
réflexe
; les autres, tels que la surexcitabilité mécani
ent les phéno- mènes vaso-moteurs sympathiques, eux-mêmes d'origine
réflexe
. Au premier mécanisme répondent, sans doute, le
étanie. De plus, comme dans les contractures et dans les paralysies
réflexes
, on a observé dans la tétanie l'exaltation de l
e l'atrophie musculaire. Ces analogies entre les contractures dites
réflexes
et les contractures de la tétanie qui, de l'avi
el argument contre la conception suivant laquelle les troubles dits
réflexes
pourraient résulter d'une simple immobilisation
nerveux, et c'est là l'idée principale que renferme la pathogénie «
réflexe
». Notons enfin qu'il n'y a pas lieu d'opposer,
a pas lieu d'opposer, comme quelques-uns l'ont fait, la pathogénie «
réflexe
» à la pathogénie «sympathique». Elles se concil
au contraire fort bien, la vaso-constriction résultant d'une action
réflexe
qui emprunte la voie du sympathique. Du reste,
thique. Du reste, il n'est pas surprenant que des accidents d'ordre
réflexe
puissent être la conséquence d'une lésion périp
psychothérapie même dans les cas où les troubles nerveux d'origine
réflexe
sont très marqués. Il y a, (1) Le lecteur est p
nski et J. Froment, Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre-
réflexe
, Collection Horizon, Paris (Masson), édition. V
s complémentaires, p. 9,3r. '\. D. L. R. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE
RÉFLEXE
583 3 d'ailleurs, tout avantage à le faire, à c
considérer les troubles de motilité comme étant de nature purement
réflexe
, sans lien avec l'hystérie et contre-indiquant
core discutable, mais que l'on peut rapprocher des troubles d'ordre
réflexe
observés à la suite des lésions ostéo-articulai
efficace (J. Babinski et J. Froment, Troubles physiopathiques d'ordre
réflexe
. Association avec l'hystérie. Evolution. Mesure
uble atrophie papillaire bien plus marquée à gauche qu'à droite. Le
réflexe
à la lumière des pupilles est aboli. Le réflexe r
che qu'à droite. Le réflexe à la lumière des pupilles est aboli. Le
réflexe
rotulien ainsi que le réflexe du tendon d'Achil
la lumière des pupilles est aboli. Le réflexe rotulien ainsi que le
réflexe
du tendon d'Achille sont abolis des deux côtés. L
cinantes. Il a des troubles vésicaux et des troubles génésiques. Le
réflexe
rotulien est normal à gauche, faible à droite ;
ques. Le réflexe rotulien est normal à gauche, faible à droite ; le
réflexe
du tendon d'Achille est nul à gauche, faible à dr
juillet de cette année, le Dr Parinaud et moi revoyons le malade. Les
réflexes
tendineux n'ont subi aucune modification ; les
ées clini- ques depuis longtemps mises en valeur (troubles dans les
réflexes
tendi- neux, douleurs radiculaires, limites de
thésie, limites du territoire cutané dont l'excitation provoque des
réflexes
de défense, etc.. C'est ainsi que, dans les 13
i constatons une hémiplégie droite accentuée avec exagé- ration des
réflexes
tendineux du côté droit à partir du réflexe olécr
avec exagé- ration des réflexes tendineux du côté droit à partir du
réflexe
olécrânien, une inversion du réflexe du radius
neux du côté droit à partir du réflexe olécrânien, une inversion du
réflexe
du radius à droite, le signe des orteils du même
ure et mouvements spasmodiques des muscles de la paroi abdominale ;
réflexes
tendineux difficiles à explorer à cause de la con
sensibilité est tout à fait normale. Exa- gération très notable des
réflexes
de défense qui se manifeste sous l'influence d'ex
e la région précé- dente ne sont pas toujours suivies de mouvements
réflexes
; mais, à maintes reprises, il a été possible d
raplégie en flexion (motricité volontaire abolie ou très affaiblie,
réflexes
de défense très forts, spasmes déterminant sou-
use du grand écart entre le niveau de l'anesthésie et la limite des
réflexes
de défense, nous portons le diagnostic probable d
éplacer, mais sa démarche est spasmodique ; notable exagération des
réflexes
tendineux des deux côtés avec clonus du pied et d
danse de la rotule ; signe des orteils bilatéral ; exagération des
réflexes
de défense, mais pas très forte ; la limite de
ion des réflexes de défense, mais pas très forte ; la limite de ces
réflexes
ne dépasse guère le pli de l'aine ; raideur muscu
rteils, comme précédemment. Exagération, d'in- tensité modérée, des
réflexes
de défense, ayant pour limite supérieure le neuvi
le reste de sa longueur. C'est sans doute pour cela que le niveau des
réflexes
de défense n'était séparé que d'un segment du n
eut, en faisant des efforts, s'opposer aux mouvements passifs ; les
réflexes
tendineux sont très forts ; il y a de la trépidat
n mesure de donner à cet égard des renseignements plus précis) ; le
réflexe
du triceps brachial est aboli ; la percussion d
c- tionner avec aisance, mais l'épilepsie spinale fait défaut et le
réflexe
cutané plantaire est normal. Pendant les mois
uisses. Des deux côtés, trépidation épileptoïde parfaite, extension
réflexe
du gros orteil et signe de l'éventail. Les réfl
faite, extension réflexe du gros orteil et signe de l'éventail. Les
réflexes
tendineux et les réflexes osseux du membre supéri
u gros orteil et signe de l'éventail. Les réflexes tendineux et les
réflexes
osseux du membre supérieur droit sont exagérés.
périeur droit sont exagérés. Au membre supérieur gauche, l'état des
réflexes
est semblable à ce qu'il était il y a trois moi
ÉNÉRALISÉE 6og moins marquée ; elle est pourtant incontestable. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont forts ; i
ore de la trépidation épileptoïde, de l'extension et de l'adduction
réflexes
des orteils. Les réflexes tendineux du membre sup
eptoïde, de l'extension et de l'adduction réflexes des orteils. Les
réflexes
tendineux du membre supérieur droit sont forts
e tourner la tête, de porter ses aliments à la bouche. L'état des
réflexes
tendineux et des réflexes cutanés, l'amyotrophie
er ses aliments à la bouche. L'état des réflexes tendineux et des
réflexes
cutanés, l'amyotrophie du membre supérieur gauc
e mètres; la marche, il est vrai, est lente, pénible, et l'état des
réflexes
dénote la persistance d'une perturbation du systè
péraient des deux côtés beaucoup moins bien qu'à l'état normal. Les
réflexes
tendineux étaient normaux. Il y avait deux ans
sie spinale n'existe plus, et au phénomène des orteils a succédé un
réflexe
plantaire normal ; à gauche, il y a eu de l'amé
ncore un peu de rigidité, de l'amyotrophie au membre supérieur, des
réflexes
tendineux exagérés et de l'extension réflexe du
membre supérieur, des réflexes tendineux exagérés et de l'extension
réflexe
du gros orteil. Il est vraisemblable que la diffé
se et de la jambe ganches, on détermine des mouvements spasmodiques
réflexes
; la cuisse se fléchit sur le bassin et le talo
rs à tous les autres points de vue, dans un état normal. L'examen des
réflexes
rotuliens n'est pas aisé, à cause du degré élev
a contracture. Des deux côtés épilepsie spinale parfaite, extension
réflexe
du gros orteil très accentuée et signe de l'éve
on réflexe du gros orteil très accentuée et signe de l'éventail. Le
réflexe
cutané abdominal est conservé ; il en est de mê
il. Le réflexe cutané abdominal est conservé ; il en est de même du
réflexe
anal. Il n'y a pas et il n'y a jamais eu de doule
'existent plus qu'à gauche et sont peu prononcés. L'exagération des
réflexes
rotuliens, l'épilepsie spinale et le signe des
e système pyramidal ; ce diagnostic est fondé sur l'exagération des
réflexes
rotuliens, l'épilepsie spinale parfaite, le sig
onne vertébrale extrêmement déviée, et on constatait l'abolition du
réflexe
achilléen du côté droit. Il fut décidé que le mal
n pratiqué quelque temps après, on constatait chez lui le retour du
réflexe
achilléen. Un an plus tard, la guérison complète
clinée sur le côté gauche, le côté sain. On constata l'abolition du
réflexe
achilléen du côté droit. Un traitement mercuriel
it difficile de dire à quel moment précis eut lieu la réapparition du
réflexe
achilléen. Toujours est-il que le sujet revu ce
urs-ci, 4 ans après cette crise violente de sciatique-névrite, a un
réflexe
achilléen normal à droite et à gauche. Observat
n de la hanche est normale à droite et à gauche. Du côté malade, le
réflexe
achilléen est aboli. L'épreuve de Wassermann es
t revu le 3o mars : il marche sans canne pendant 3 ou ft heures. Le
réflexe
est toujours aboli. Observation IV. M. M..., âg
se présente courbé en avant : la colonne vertébrale est rigide. Les
réflexes
rotuliens sont normaux : le réflexe achilléen,
lonne vertébrale est rigide. Les réflexes rotuliens sont normaux : le
réflexe
achilléen, normal à droite, est aboli à gauche.
c Zachariades. Société de Biologie, 9 novembre t 8g5). 43. Sur le
réflexe
cutané plantaire dans certaines affections organi
des Hôpitaux, 31 juillet et 26 novembre t 8gG). 46. Abolition du
réflexe
du tendon d'Achille dans la sciatique (Id., 18 dé
anique (Société médicale des Hôpitaux, 3o juillet 1897). 5o. Sur le
réflexe
du tendon d'Achille dans le tabes (Id., 26 octobr
sie (Société de Neurologie, 6 juillet 18qq). 54. De l'abolition des
réflexes
pupillaires dans ses relations avec la syphilis (
leuse (Société de Neurologie, 9 novembre 1899). 56. Sur le prétendu
réflexe
antagoniste de Schaefer (Id., 13 janvier igoo).
bes. Névrite optique rétrobullaire infectieuse et troubles dans les
réflexes
tendineux (Id., 5 juillet 1900). 63. Associatio
m- munication. Société de Neurologie, 18 avril 9° 1).. 73. Sur le
réflexe
du tendon d'Achille (Id., 2 mai igoi). 74. De l
flexe du tendon d'Achille (Id., 2 mai igoi). 74. De l'abolition des
réflexes
pupillaires dans ses relations avec la syphilis (
ente (Société de Neurologie, 15 janvier tgo3). 89. Sur l'état des
réflexes
tendineux dans l'hystérie (Société de Neurologie,
numéro du 2 février tao4). 106. Sur la transformation du régime des
réflexes
cutanés dans les affections du sys- tème pyrami
ogie, g novembre igo5). 122. De l'influence de l'obscuration sur le
réflexe
des pupilles à la lumière et de la pseudo-aboli
e réflexe des pupilles à la lumière et de la pseudo-abolition de ce
réflexe
(Id., 7 décembre igo5). t23. De l'épilepsie spi
pronation de la main dans l'hémiplégie organique (Id.). t4o. Sur le
réflexe
cutané plantaire. Différences dans les réactions
es nouveaux faits relatifs à un cas d'Hystérie avec exagération des
réflexes
tendineux. Réponse aux critiques de M. Babinski
la moelle. De la possibilité d'en déterminer le siège au moyen des
réflexes
de défense (en collaboration avec Jarkowski. Ac
s les paraplégies d'origine spinale par certaines perturbations des
réflexes
(en collaboration avec Jarkowski. Société de Ne
ine légale (Société médicale, 27 juillet 1910). 176. Inversion du
réflexe
du radius (Société médicale des Hôpitaux, iti oct
4 mai 1911). , 181. Sur l'excitabilité idiomusculaire et sur les
réflexes
tendineux dans les myopathies progressives prim
ski. Société de Neurologie, 9 novembre '91l). t85. Modification des
réflexes
cutanés de défense sous l'influence de la compres
ation avec Jarkowski et Jumentié. Id., 20 janvier 1912). 188. Des
réflexes
cutanés de défense dans la maladie de Friedreich
de Neurologie, 11 juillet 1912). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 629 197.
Réflexes
tendineux et réflexes osseux (Leçons faites à la
let 1912). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 629 197. Réflexes tendineux et
réflexes
osseux (Leçons faites à la Pitié. Bulletin médica
des secousses faradiques (Société de Neurologie, 4 mars 1915). 217.
Réflexes
de défense. Etude clinique (Revue neurologique, 1
rrlogie, 1er juillet 1915). 224. Troubles physiopathiques d'ordre
réflexe
. Association avec l'hystérie (en colla- boratio
entres nerveux. Accidents hystériques. Troubles ner- veux d'origine
réflexe
(Travaux des centres de neurologie) (en collabora
nt. Revue de Neurologie, juillet 19) 5). 226. Les modifications des
réflexes
tendineux pendant le sommeil chloroformique et
ontracture organique d'origine périphérique, sans exagé- ration des
réflexes
(Société de Neurologie, 4 novembre 1915). 228.
e 1915). 228. Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine
réflexe
. Examen pendant l'anesthésie chloroformique (en
é de Neuro- logie, 4 novembre 1915). 229. Paraplégie et Hypotonie
réflexes
avec surexcitabilité mécanique, galvanique et f
vier 1916). 93o. Contractures et paraplégies traumatiques d'ordre
réflexe
(en collaboration avec Froment. Presse médicale
février 1916). 231. Des troubles vaso-moleurs et thermiques d'ordre
réflexe
(en collaboration avec Froment. Société médical
. 23a. Oblitérations artérielles et troubles vaso-moteurs d'origine
réflexe
ou centrale. Leur diagnostic différentiel par l
édicale des Hôpitaux, 14 avril 1916). 233. Troubles nerveux d'ordre
réflexe
ou syndrome d'immobilisation (en collaboration
vec Froment. Société de Neurologie, Il mai 1916). 234. Abolition du
réflexe
cutané plantaire et anesthésie associée à des tro
associée à des troubles vaso- moteurs et à de l'Hypothermie d'ordre
réflexe
(Sociélé de Neurologie, li mai 1916). 235. Né
e, li mai 1916). 235. Névrites irradiantes ou contracture d'ordre
réflexe
(en collaboration avec Froment, Société médical
des Hôpitaux, 5 mai 1916). 236. Contractures et paralysies d'ordre
réflexe
(en collaboration avec Froment. Revue neurologi
moteurs et thermiques dans les paralysies et la contracture d'ordre
réflexe
(en collaboration avec Froment et Heitz. Annales
eitz. Annales de Médecine, septembre, octobre 1916). a4a. Parésie
réflexe
de la main gauche. Troubles vaso-moteurs et sudor
bre supérieur droit avec meiopragie et sans modification locale des
réflexes
osso-tendineux (en colla- boration avec Heitz.
de Neurologie. 3 mai 19 17). z48. Troubles physiopathiques d'ordre
réflexe
. Association avec l'hystérie. Évolu- , tion. Me
3l¡7, 1917). 251. Hystérie-Pithiatisme et troubles nerveux d'ordre
réflexe
(en collaboration avec Froment. 1 volume chez M
, 1917, 2e édition, 1918). 252. Sur les troubles physiopathiques et
réflexes
(en collaboration avec Froment. Annales de la F
ion avec Heitz. Société de Neurologie, 7 mars 1918). a54. Un cas de
réflexe
achilléen contro-latéral homogène (en collaborati
oricand. Société de Neurologie, 11 avril 1918). 255. Nouveau cas de
réflexe
achilléen contro-latéral chez un homme porteur d'
vec Krebs et Plichet. Société de Neu- rologie, 9 mars 1922). 272.
Réflexes
de défense. Conférence faite le 3r mai 1922 à la
LOGIE Éléments fondamentaux de la sémiologie organique. I. Sur le
réflexe
cutané plantaire dans certaines affections organi
a valeur sémiologique 29 111. - De l'abduction des orteils 37 IV.
Réflexes
tendineux et réflexes osseux 39 V. Monoplégie b
29 111. - De l'abduction des orteils 37 IV. Réflexes tendineux et
réflexes
osseux 39 V. Monoplégie brachiale organique. Mo
nique cérébrale (Anosognosie) .... , ................ 112 2 VIII.
Réflexes
de défense. Etude clinique 115 IX. - Réflexes d
....... 112 2 VIII. Réflexes de défense. Etude clinique 115 IX. -
Réflexes
de défense 126 w X. - Sur les mouvements conjug
126 w X. - Sur les mouvements conjugués 15g XI. Modifications des
réflexes
cutanés sous l'influence de la compression par la
émiologie oculaire. , XIV. - De l'influence de l'obscuration sur le
réflexe
des pupilles à la lumière et de la pseudo-aboli
e réflexe des pupilles à la lumière et de la pseudo-abolition de ce
réflexe
. 175 XV. Les troubles pupillaires dans les anév
volution intermit- tente et rythmée 33g Tabès et pse VI. Sur le
réflexe
du tendon d'Achille dans le tabes............ 343
ciser le siège et d'en déterminer la limite inférieure au moyen des
réflexes
de défense . 371 I XII. Tumeur méningée. Para
XIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES I. Troubles nerveux d'ordre
réflexe
r 54g ONZIÈME PARTIE THÉRAPEUTIQUE 1. Du tr
eints les premiers. Cette paralysie est de nature spasmodique ; les
réflexes
tendineux sont exagérés ; la percussion des ten
ositif est appliqué du côté opéré, le passage d'un courant prolongé
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS 21 augmente les t
que j'en ai déduites ont été en partie confirmées (voir p. 175).
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS Mes études sur le
. 175). RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS Mes études sur les
réflexes
tendineux et les réflexes cutanés m'ont conduit
UX ET RÉFLEXES CUTANÉS Mes études sur les réflexes tendineux et les
réflexes
cutanés m'ont conduit à établir quelques notion
. 22 IIISTOLOGIE NORMALE ET PHYSIOLOGIE. PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE
RÉFLEXES
PUPILLAIRES De l'influence de l'obscuration sur
NTALE RÉFLEXES PUPILLAIRES De l'influence de l'obscuration sur le
réflexe
à la lumière; étude comparative du réflexe à la
de l'obscuration sur le réflexe à la lumière; étude comparative du
réflexe
à la lumière chez les oiseaux de jour et les oi
à la physiologie normale. J'ai montré que l'obscuration renforce le
réflexe
à la lumière et permet de créer artificiellemen
d le degré de dilatation de sa pupille ainsi que 1 intensité de son
réflexe
à la lumière ; cela fait, on ferme cet oeil, on
que la lumière impressionuc d'une manière plus active le centre du
réflexe
; déplus, les mouvements pupillaires réflexes ob
lus active le centre du réflexe; déplus, les mouvements pupillaires
réflexes
obtenus à l'aide du procédé usuel sont ordinairem
plus ou moins prononcée, suivant les sujets, suivant le degré de
RÉFLEXES
PUPILLAIRES 23 clarté du jour où l'expérience e
ement. « Il y a lieu de rappeler que l'obscuration, qui renforce le
réflexe
à la lumière, amène aussi la régénération du po
oumise à l'obscuration a acquis des propriétés fluorescentes que le
réflexe
à la lumière devient plus énergique. S'il en étai
faudrait admettre que l'érytliropsine joue dans la production de ce
réflexe
un rôle important » (122). A l'appui de cette i
uite par une altération du pourpre (Pari- naud) et dans laquelle le
réflexe
à la lumière est faible ou même aboli. J'ai enc
connaissance, n'avait jamais été signalé que, chez les oiseaux, le
réflexe
à la lumière diffère notablement suivant l'espè
UXIÈME PARTIE CLINIQUE ET ANATOMIE PATHOLOGIQUE 1. - SÉMIOLOGIE
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX Les réflexes tendi
GIQUE 1. - SÉMIOLOGIE RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX Les
réflexes
tendineux el osseux font partie du groupe des phé
ritent toute l'attention des clini- ciens. Dans une leçon sur les
réflexes
osso-tendineux (197), je me suis exprimé en ces
eur, interroge le système ner- veux qui, par l'intermédiaire de ces
réflexes
, répond avec netteté aux questions posées. Préc
ossible de surprendre autrement. « Apprendre à bien connaître les
réflexes
osso-tendineux, puis s'as- treindre à les explo
e rappeler, la technique à employer pour l'investigation des divers
réflexes
tendineux et les attitudes qui me semblent les pl
r certains points, contribuer à déterminer parmi les caractères des
réflexes
tendineux ceux qui sont constants, ceux qui son
i est essentiel pour le neurologiste. On admettait autrefois que le
réflexe
achilléen était inconstant à l'état physiologiq
chaient peu d'importance. Eulenbourg, par exemple, déclarait que ce
réflexe
faisait défaut 80 fois sur too. Pour Berger, qui
Berger, qui entreprit des recherches sur 14og individus normaux, le
réflexe
achilléen manque- rait bien plus rarement que n
apable de quitter le lit, il faut l'examiner couché sur le côté, la
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 29 jambe légèremen
enue par la main gauche de l'observateur. En recherchant ainsi le
réflexe
achilléen, j'ai constaté qu'il ne manque pour a
estime que la méthode de beaucoup la meilleure pour recher- cher le
réflexe
achilléen est celle que Babinski a proposée... De
ée... Depuis que j'opère d'après cette technique, je n'ai trouvé ce
réflexe
absent chez les sujets normaux que très excepti
ts normaux que très exceptionnellement... Je considère l'absence du
réflexe
achilléen comme signe d'un état pathologique. »
ussi à déterminer quelques positions favorables à l'exploration des
réflexes
osso-tendineux des membres supérieurs. Pour le
oration des réflexes osso-tendineux des membres supérieurs. Pour le
réflexe
du triceps brachial ou d'extension de l'avant-bra
ercutant celui- ci le long du tiers inférieur du cubitus. Pour le
réflexe
de flexion de l'avant-bras ou réflexe de l'extrém
inférieur du cubitus. Pour le réflexe de flexion de l'avant-bras ou
réflexe
de l'extrémité inférieure du radius, l'avant-br
eur de la région cubitale dont il vient d'être question à propos du
réflexe
d'extension. Pour le réflexe de pronation, le
il vient d'être question à propos du réflexe d'extension. Pour le
réflexe
de pronation, le membre supérieur est placé dans
supérieur est placé dans la même position que pour la recherche du
réflexe
de flexion. Il faut per- cuter, à l'extrémité i
e du radius, soit la partie postérieure du euhilus ; d'où le nom de
réflexe
cubito-pronaleur proposé par Marie et Barré. En
Marie et Barré. En employant ces procédés, j'ai pu établir que les
réflexes
de flexion de l'avant-bras, d'extension du bras
à restés dans le vague. J'ai insisté sur la symétrie parfaite des
réflexes
tendineux à l'état physiologique, d'où cette co
flectivité de l'autre ? Cela est généralement assez simple : si les
réflexes
sont forts des deux côtés, on a tout lieu d'adm
s sont les plus forts il y a exagération, et inversement, quand les
réflexes
sont faibles des deux côtés, que du côté où ils
il y a affaiblissement. Abstraction faite du degré d'intensité des
réflexes
. on peut aisé- ment arriver à savoir si leur in
arriver à savoir si leur inégalité tient à de la subréflectivité ou
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 31 a de la surréll
es fonctionnels unilaté- raux. Il va sans dire qu'en pareil cas les
réflexes
du côté malade doivent être considérés comme af
ts que ceux du côté sain. A côté de leurs caractères constants, les
réflexes
tendineux en ont de variables. Leur intensité p
? Quel est le degré à partir duquel on est en droit de dire que les
réflexes
sont au-dessous ou au-dessus de la normale, en
est exceptionnelle. Il en est tout autrement pour l'exagération des
réflexes
tendineux qui, souvent, dans maintes affections
é, il est un carac- tère général, un criterium de l'exagération des
réflexes
tendineux que j'énoncerai de la manière suivant
e dans le groupe musculaire correspondant une série de contractions
réflexes
rythmées. « Ce caractère, dont l'absence il est
présentant aucun signe d'affection nerveuse, ayant simplement des
réflexes
tendineux forts, et chez lesquels le soulèvement
agit d'épilepsie fruste; on a affaire, en effet, à des gens se prû-
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 33 tant à ces rech
ganique du système nerveux. » Les données ci-dessus exposées sur le
réflexe
achilléen et les réflexes tendineux du membre s
x. » Les données ci-dessus exposées sur le réflexe achilléen et les
réflexes
tendineux du membre supérieur m'ont permis d'ét
tions nouvelles en neuropathologie. J'ai montré que l'absence du
réflexe
achilléen constitue un signe de grande valeur p
on de l'avant-bras sur le bras. Or, la diminution ou l'abolition du
réflexe
de flexion de l'avant-bras, état pathologique,
st ce phénomène que j'ai décrit sous la dénomination d'inversion du
réflexe
du radius ; il est lié dans la grande majorité
rturbation de la voie pyramidale faisant apparaître ou exagérant le
réflexe
de flexion de la main et des doigts. Dans les
igts. Dans les faits de ce genre on peut encore, d'après l'état des
réflexes
intermédiaires, réflexe de pronation et réflexe
e genre on peut encore, d'après l'état des réflexes intermédiaires,
réflexe
de pronation et réflexe d'extension de l'avant-
d'après l'état des réflexes intermédiaires, réflexe de pronation et
réflexe
d'extension de l'avant- bras, déterminer la lon
cupe les cinquième, sixième et septième segments cervi- caux. Si le
réflexe
de pronation est seul aboli, le septième segment
est ainsi que le choc sur le tendon du triceps brachial, lorsque le
réflexe
d'extension de l'avant-bras est aboli ou RÉFLEX
achial, lorsque le réflexe d'extension de l'avant-bras est aboli ou
RÉFLEXES
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 35 affaibli, peut
t être suivi d'une flexion de l'avant-bras sur le bras. C'est là le
réflexe
paradoxal du coude dont je crois avoir pénétré le
'ébranlement de l'os sous-jacent. A l'état pathologique, lorsque le
réflexe
d'extension est aboli ou affaibli, le mouvement r
lorsque le réflexe d'extension est aboli ou affaibli, le mouvement
réflexe
de flexion apparaît, même quand le choc porte s
me quand le choc porte sur le tendon tricipital. J'ai montré que le
réflexe
paradoxal est un signe fréquent dans le tabes,
cendante. Il résulte de ce qui précède que mes observations sur les
réflexes
tendineux du membre supérieur, dont la recherch
démontré enfin que l'hystérie est incapable de modifier l'état des
réflexes
tendineux, contrairement à ce qui était admis aut
citerai plus loin (p. gi) les travaux confirmatifs des miens sur les
réflexes
tendineux dans le tabes. En ce qui concerne l
neuse. Les confirmations relatives à mes travaux sur l'inversion du
réflexe
du radius sont nombreuses. II. Claude et E. V
une observation intitulée : « Syringomyélie cervicale. Inversion du
réflexe
du radius ». 36 SÉMIOLOGIE « Le malade que
chez lui, avec une grande netteté, le phénomène de l'inver- sion du
réflexe
du radius, tout récemment signalé et décrit par M
s'est appuyé pour indiquer la valeur sémiologique de l'inversion du
réflexe
du radius. » ..... « Il ne paraît pas douteux q
par ce foyer. » Souques el Chauvet, sous ce titre : « Inversion du
réflexe
du radius. Fractures spontanées et parfois sign
travail duquel j'extrais le passage suivant : « Cette inversion du
réflexe
du radius con- firme donc l'hypothèse de M. Bab
rdre dans une communication intitulée : « Note sur l'in- version du
réflexe
du radius et sur le réflexe cubito-fléchisseur de
intitulée : « Note sur l'in- version du réflexe du radius et sur le
réflexe
cubito-fléchisseur des doigts. » E. Moniz, de L
rologique, 1012, t. XXIII, p. t33 ayant pour titre : « Inversion du
réflexe
du radius dans un cas de syringomyélie » et écr
gations de M. Babinski sur la valeur sémiologique de l'inversion du
réflexe
radial. » Souques et Duhem (Revue neurologique,
que, ! f)t2, 1. XXIII, p. Cr3S) rapportent un cas d' « inversion du
réflexe
du radius et réaction de dégénérescence dans les
on confirme en définitive la valeur topographique de l'inversion du
réflexe
du radius. » Goltard Soderbergh (Neurologisches
ches dans un article intitulé : « Ueber Babinski's l'in- version du
réflexe
du radius. » Il revient encore sur cette question
d. Grenzgeb. d. Med. u. Chir., XXV, IIeft 1). En ce qui concerne le
réflexe
paradoxal du coude auquel on a donné aussi le n
xe paradoxal du coude auquel on a donné aussi le nom d'inversion du
réflexe
tricipital, C. Lian signale ce symptôme chez un
celle de MM. Deje- rine et Jumentié pour montrer que l'inversion du
réflexe
tricipital peut s'observer chez les labéliques,
, en l'absence de toute hémiplégie ou de toute sclérose combinée. »
RÉFLEXES
CUTANÉS 37 RÉFLEXES CUTANÉS Phénomène des ort
e hémiplégie ou de toute sclérose combinée. » RÉFLEXES CUTANÉS 37
RÉFLEXES
CUTANÉS Phénomène des orteils. J'ai montré qu
excitation de la plante du pied. ce qui est la règle, un mouvement
réflexe
des orteils, provoque tou- jours une flexion (v
En général, ce n'est pas seulement par le sens du mouvement que le
réflexe
normal diffère du réflexe pathologique ; le plus
seulement par le sens du mouvement que le réflexe normal diffère du
réflexe
pathologique ; le plus souvent l'extension est
'est l'inverse pour ce qui concerne l'extension ; enfin, tandis que
RÉFLEXES
CUTANÉS 39 la flexion prédomine généralement da
eils peut se présenter sous des formes frustes, c'est-à-dire que le
réflexe
plantaire peut revêtir des caractères en partie
a partie interne du pied qui est excitée ; chez d'autres encore, le
réflexe
plantaire, quelle que soit la partie de la plan
re la technique qu'il faut employer pour bien observer le mouvement
réflexe
des orteils. Il importe que les muscles du pied
écessaire chez certains sujets pour faire appa- raître un mouvement
réflexe
des orteils ; mais, par contre, il donne lieu c
t, ilestencorepermis do se demander s'il s'agit bien d'un mouvement
réflexe
ou d'un mouve- mement volontaire, question impo
l est à peine besoin de faire remarquer que si, à l'état normal, le
réflexe
cutané plantaire ne se manifeste jamais par une
t d'hémiplégie de date ancienne avec contracture et exagération des
réflexes
tendineux. RÉFLEXES CUTANÉS S 41 Mais j'ai co
te ancienne avec contracture et exagération des réflexes tendineux.
RÉFLEXES
CUTANÉS S 41 Mais j'ai constaté aussi ce phénom
phénomène dans plusieurs cas d'hémiplégie récente, flasque, où les
réflexes
tendineux étaient normaux, affaiblis ou même ab
pratiqué vingt-quatre heures après le début de l'hémi- plégie ; les
réflexes
tendineux étaient alors à peu près de même intens
le phénomène des orteils était dès ce moment très manifeste et les
réflexes
tendineux du côté de l'hémiplégie étaient très fa
s présen- tant une hémiplégie ancienne, flasque, avec abolition des
réflexes
rotu- liens. L'un d'eux était atteint d'hémiplé
ur; le membre supé- rieur gauche était légèrement contracture ; les
réflexes
rotuliens et les réflexes du tendon d'Achille f
gauche était légèrement contracture ; les réflexes rotuliens et les
réflexes
du tendon d'Achille faisaient défaut des deux côt
s réflexes du tendon d'Achille faisaient défaut des deux côtés ; le
réflexe
du triceps brachial était normal à droite, exag
troubles vésicaux, le signe de Robertson, l'absence bilatérale des
réflexes
rotuliens et achilléen et du réflexe du triceps
son, l'absence bilatérale des réflexes rotuliens et achilléen et du
réflexe
du triceps brachial ; elle avait été frappée br
t, trois mois plus tard, la paralysie étant toujours flasque et les
réflexes
tendineux faisant défaut à ce moment comme aupara
t très prononcée. « Généralement, du côté opposé à la paralysie, le
réflexe
cutané plantaire est normal ; parfois pourtant
it en môme temps une grande faiblesse des membres inférieurs et les
réflexes
tendineux étaient exagérés ; la malade que je v
z elle les membres inférieurs ne sont que très peu affaiblis et les
réflexes
tendineux sont abolis ; il s'agit là, il est vr
ait lieu à de l'extension des orteils à gauche; hors des crises, le
réflexe
cutané plantaire était normal et le côté gauche
trychnine à dose toxique ; tous deux présentaient aux membres infé-
RÉFLEXES
CUTANÉS 43 rieurs de la contracture, de l'exagé
RÉFLEXES CUTANÉS 43 rieurs de la contracture, de l'exagération des
réflexes
tendineux et de la trépidation épileptoïde du p
arante-huit heures environ après le début des troubles morbides, le
réflexe
cutané plantaire était rede- venu normal. « D
ertaines paraplégies flasques avec affaiblissement ou abolition des
réflexes
tendineux. Je l'ai constaté, du côté de la para
inze heures après l'accident; le côté paralysé était flasque et les
réflexes
tendineux y étaient abolis. « Enfin, j'ai noté
s, on s'aperçoit immédiatement que cette inversion dans la forme du
réflexe
cutané plantaire est liée à des affections divers
écède que le phénomène des orteils a un lien avec l'exagération des
réflexes
tendineux et l'épilepsie spinale qui sont souve
ans un membre atteint de paralysie spasmodique avec exagération des
réflexes
ten- dineux et trépidation épileptoïde du pied,
observe très nettement ce signe dans des cas où, malgré l'existence
RÉFLEXES
CUTANÉS s 45 d'une lésion du système pyramidal,
ence RÉFLEXES CUTANÉS s 45 d'une lésion du système pyramidal, les
réflexes
tendineux sont nor- maux, affaiblis ou abolis,
que sa valeur sémiolo- gique est surtout grande dans les cas où les
réflexes
tendineux ne renseignent pas sur l'état du syst
yramidal. C'est ainsi que, dans l'hémiplégie organique récente, les
réflexes
tendineux sont géné- ralement normaux ou affaib
hèse d'hystérie. Il en est de même pour la paraplégie au début. Les
réflexes
tendineux étant ordinairement abolis lorsqu'une l
ent de cette leçon je vous ai dit que je m'occupe- rai seulement du
réflexe
cutané plantaire chez l'adulte. Toutefois, avant
dulte. Toutefois, avant de terminer, je veux vous dire un mot de ce
réflexe
chez le nouveau-né. Le chatouillement de la pla
ant un laps de temps plus ou moins long, chez des individus dont le
réflexe
cutané plantaire était normal hors des crises.
endineuse avec trépidation épileptoïde du pied et de l'abolition du
réflexe
anal. Sa présence, pendant une crise. chez un s
réflexe anal. Sa présence, pendant une crise. chez un sujet dont le
réflexe
plantaire est normal hors des crises, permet d'
raude. En répétant l'expérience plusieurs fois, dans des conditions
RÉFLEXES
CUTANÉS 47 variées, il sera ordinairement frapp
dépister la simula- tion ou la suggestion : tandis que l'extension
réflexe
du gros orteil s'accompagne de divers autres mo
ion réflexe du gros orteil s'accompagne de divers autres mouvements
réflexes
tels qu'une flexion brusque de la cuisse sur le
orteils ne dénote pas, comme certains l'ont pensé, une abolition du
réflexe
cutané plantaire normal; celui-ci peut être sim
tie externe ou à sa partie interne, ce qui montre déjà que ces deux
réflexes
ne sont pas incompatibles. b. Dans un travail (
ans un travail (106) paru en igo4, et relatif aux perturbations des
réflexes
cutanés dans les affections du système pyramidal,
e- 48 SÉMIOLOGIE ner transitoirement la réapparition du mouvement
réflexe
de flexion des orteils. On a décrit sous des
eils. On a décrit sous des dénominations nouvelles des phénomènes
réflexes
qui ne sont en grande partie que des variantes du
es du signe des orteils. Cette remarque s'applique, par exemple, au
réflexe
antagoniste de Schaefer. J'ai écrit à ce suje
u Neurologisches Cenlralblatl, appelle l'attention sur un phénomène
réflexe
dont voici la description : *. « Lorsque l'on
n du pied ainsi qu'à une extension des orteils du côté paralysé. Ce
réflexe
pathologique qui, au point de vue du diagnostic
e d'une affection grave de l'encéphale, se distinguerait des autres
réflexes
tendineux parce que la réaction, au lieu de s'o
té, se manifesterait dans les antagonistes; d'où la dénomination de
réflexe
antagoniste que Schaefer propose de donner à ce p
ment conduit à se demander si la flexion du pied et l'extension des
RÉFLEXES
CUTANÉS 49 orteils qu'il obtient sont sous la d
parties du membre inférieur, et j'ai constaté les mêmes mouvements
réflexes
. Les membres de la Société peuvent vérifier le
ai fait venir à la séance. « Rien n'autorise donc à soutenir que le
réflexe
de Schaefer soit un Il réflexe tendineux antago
en n'autorise donc à soutenir que le réflexe de Schaefer soit un Il
réflexe
tendineux antagoniste. Il y a tout lieu d'admettr
tagoniste. Il y a tout lieu d'admettre qu'il s'agit simplement d'un
réflexe
cutané. » En somme l'extension des orteils prov
on du pied, si elle ne constitue pas, comme le croyait Schaefer, un
réflexe
tendineux, elle doit être dissociée de l'extens
efer, un réflexe tendineux, elle doit être dissociée de l'extension
réflexe
des orteils ; elle dérive sans doute de l'exagé
n réflexe des orteils ; elle dérive sans doute de l'exagération des
réflexes
de défense. Il est permis de faire une critique
che d'un marteau à percussion, ne détermine, à l'état normal, aucun
réflexe
ou seulement une flexion des quatre petits orte
t être considérée, ici encore, comme résultant de l'exagération des
réflexes
de défense. Mais pour ce qui concerne l'extense
ici le pas- sage relatif à ce sujet : « J'ai souvent recherché ce
réflexe
et je me suis convaincu que ce phénomène consid
nvaincu que ce phénomène considéré par lui (par Oppenheim) comme un
réflexe
particulier n'est autre chose qu'une modalité d
sa surface postérieure dont l'excitation est propre à provoquer ce
réflexe
. » Ci-dessous, je donne une liste des principau
nos des 5 avril, 20 juin et 5 juillet). 2° Phénomène des orteils ou
réflexe
de Babinski, par Glorieux (Journal de n'eu- rol
bution to the Sludy of the Plantar Rellex, based upon seven hundred
RÉFLEXES
CUTANÉS : ,1 1 Examinations made with special R
ternationale de médecine et de chirurgie, 22 septembre 1900). 120
Réflexes
cutanés et réflexes tendineux, par Van Gehuchten
cine et de chirurgie, 22 septembre 1900). 120 Réflexes cutanés et
réflexes
tendineux, par Van Gehuchten (Congrès inter- na
Neurologie, t. VIII, p. 37°, novembre igoo). 1 l¡° Remarques sur le
réflexe
plantaire et en particulier sur le signe de Babin
Med. Assoc., ig et 26 janvier 19°1). r5° Contribution à l'étude du
réflexe
plantaire normal basé sur t5G cas, par Morton P
lin. jJ'ochenschr., 1901, n° 37). 2t. Sur la valeur diagnostique du
réflexe
plantaire de Babinski p. Schoenborn (Son. de Il
. med. TT7ocheii., 31 décembre 1901). 22° Contribution à l'étude du
réflexe
de Babinski, par Crocq (Journal de Neu- rologie
tion de la plante du pied provoque parfois, entre autres mouvements
réflexes
, une abduction plus ou moins marquée d'un ou de
ient attaché une valeur sémiologique quel- conque (voir fig. fi).
RÉFLEXES
CUTANÉS 53 « Mon attention a été attirée aussi,
il est très accentué, il me paraît avoir une FiG. 4. - Abduction
réflexe
des orteils. certaine signification. Récemmen
: « J'ai montré dans une précédente communication que l'abduction
réflexe
provoquée par une excitation de la plante du pied
« Des faits plus récemment observés me conduisent à admettre que
RÉFLEXES
CUTANÉS 55 cette perturbation peut occasionner
rait avoir une signification clinique de même ordre que l'abduction
réflexe
; mais il faut remar- quer que, si ces deux esp
propose de donner à l'abduction des orteils, qu'elle soit d'origine
réflexe
ou qu'elle se manifeste comme un mouvement asso
s orteils auxquels on ajoutera, suivant les circonstances, les mots
réflexe
, ou associée, ou réflexe et associée. « J'ai ob
utera, suivant les circonstances, les mots réflexe, ou associée, ou
réflexe
et associée. « J'ai observé l'abduction associé
est signalée, et je ne sache pas que sa valeur ait été contestée.
Réflexes
de défense. Quoique les réflexes de défense, pa
que sa valeur ait été contestée. Réflexes de défense. Quoique les
réflexes
de défense, particulièrement lorsqu'ils sont ex
peau, au voisinage du tendon d'Achille ou encore dans d'autres par-
RÉFLEXES
CUTANÉS 57 ties du membre inférieur, peut provo
XES CUTANÉS 57 ties du membre inférieur, peut provoquer une flexion
réflexe
du pied, du côté paralysé. J'ai signalé un au
ysé. J'ai signalé un autre moyen de reconnaître l'exagération des
réflexes
de défense : le sujet étant assis et ses pieds re
éguments de la cuisse ou de la jambe par la faradisation. Quand les
réflexes
de défense sont exagérés, on constate d'habitud
, mais alors on a l'impression qu'il ne s'agit pas d'un phénomène
réflexe
, car cette flexion fait partie d'un ensemble de m
6). B. J'ai attiré l'attention sur ce point que l'exagération des
réflexes
de défense peut exister, comme le phénomène des o
e peut exister, comme le phénomène des orteils, dans des cas où les
réflexes
tendineux sont affaiblis ou abolis et que, parf
8). Mais il est à remar- quer que dans cette dernière affection les
réflexes
de défense se comportent d'une manière particul
s dues à un foyer de sclérose ou à une compression de la moelle ces
réflexes
se manifestent par des mouvements plus lents et
de couteau, j'ai constaté avec Jarkowski et Jumentié (180) que les
réflexes
de défense, exagérés des deux côtés, se produis
fection, une disposition diffé- rant en partie, au point de vue des
réflexes
de défense, de celle qui vient d'être indiquée
voquait aucune réaction homo ou contra-latérale. D. J ai étudié les
réflexes
de défense dans leurs relations avec la contrac
moyen de localiser les compres- sions de la moelle (voir p. io5).
RÉFLEXES
PUPILLAIRES De l'abolition des réflexes pupilla
la moelle (voir p. io5). RÉFLEXES PUPILLAIRES De l'abolition des
réflexes
pupillaires dans ses relations avec la syphilis
, j'ai cherché à établir, avec Charpen- tier, que « l'abolition des
réflexes
pupillaires et plus particulière- ment du réfle
l'abolition des réflexes pupillaires et plus particulière- ment du
réflexe
à la lumière, lorsqu'elle est permanente, lorsqu'
lorsqu'elle est l'expression d'une lésion limitée à l'appareil des
réflexes
pupillai- res, c'est-à-dire qu'elle n'est liée
nerf optique et n'est pas associée à une paralysie de la troisième
RÉFLEXES
PUPILLAIRES ;,9 paire, constitue un signe de sy
syphilis (75). Nous arrivions à cetle conclusion que l'abolition du
réflexe
à la lumière, dans les conditions ci-dessus pré
e la thèse que nous avons soutenue. Des obsenations d'abolition des
réflexes
pupillaires dans la syphilis 60 SÉMIOLOGIE hé
l'état isolé. Chez le sixième on constatait de plus l'abolition des
réflexes
rotuliens. Dans les six cas nous avons trouvé u
avons soumis sans distinction au traitement spécifique intensif.
RÉFLEXES
PUPILLAIRES 61 « L'exploration méningée, en mon
a publié, il est vrai, quelques faits exceptionnels où l'absence du
réflexe
à la lumière a été constatée chez des sujets qu
lisent pas les conditions que nous avons fixées, car l'abolition du
réflexe
s'accompagnait d'une paralysie plus ou moins co
ention d'énoncer une règle très générale. De la pseudo-abolition du
réflexe
des pupilles à la lumière. Pour donner une idée
r d'avoir déterminée. Je puis dire que la lumière tend à épuiser le
réflexe
de la pupille et que l'obscuration, au contrair
t pourquoi lorsque l'examen est pratiqué dans une pièce obscure, le
réflexe
, faible ou nul au moment où le sujet pénètre da
aussi pour cette raison que généralement, par les jours clairs, le
réflexe
est plus faible que par les jours sombres. Je f
r les jours sombres. Je ferai remarquer que l'épuisement complet du
réflexe
n'apparaît parfois qu'après deux ou trois excita-
ration consiste, après avoir constaté la faiblesse ou l'absence du
réflexe
, à fermer hermétiquement avec un bandeau les ye
l'état normal, la pupille se contracte très nettement à ce moment.
RÉFLEXES
PUPILLAIRES fi3 à les laisser ainsi pendant vin
trente minutes ; immédiatement après qu'on a enlevé le bandeau, le
réflexe
à la lumière est à peu près aussi fort que clie
agit faiblement ou ne réagit pas. « Voilà donc une malade dont le
réflexe
à la lumière est très affaibli ou fait même com
ur s'assurer qu'il ne s'agit pas là d'une véritable abolition de ce
réflexe
. En effet, si au lieu de faire usage d'une bougie
on de l'accommodation, on voit que les pupilles se contractent ; le
réflexe
consensuel est aussi conservé, ce qui tient san
on pourrait dénommer, pour fixer les idées, une pseudo-abolilion du
réflexe
à la lumière. Je dirai encore, pour compléter l
ibilité de confondre la pseudo- abolition avec l'abolition vraie du
réflexe
à la lumière, on risque de commettre cette erre
e l'éviter : en effet, quand il s'agit d'une véritable abolition du
réflexe
des pupilles à la lumière, le trouble subsiste
l'emploi de l'ob- scuration, quelque prolongée qu'elle soit, et le
réflexe
consensuel est également aboli. » Depuis, j'a
n ce qui concerne la raison pour laquelle l'obscuration renforce le
réflexe
à la lumière, je renvoie le lecteur à la page 2
lète (190). CONTRACTURE, En l'étudiant dans ses rapports avec les
réflexes
tendineux et les réflexes de défense, je suis a
En l'étudiant dans ses rapports avec les réflexes tendineux et les
réflexes
de défense, je suis arrivé à distinguer par des c
ntracture hystérique pure no s'accompagne d'aucune modification des
réflexes
(voir p. 196), que par sa nature elle diffère e
relation, comme on le sait depuis longtemps, avec l'exagération des
réflexes
tendineux ; on peut l'appeler contracture lendino
nte par les traits suivants : elle est indépen- dante de l'état des
réflexes
tendineux qui sont tantôt forts, tantôt nor- ma
- maux, tantôt affaiblis ou abolis ; mais elle a des liens avec les
réflexes
cutanés de défense qui sont toujours exagérés.
opposition à la contracture tendino-réflexe, contmc- lure cutanéo-
réflexe
. La contracture cutanéo-réflexe peut occuper le
vail. MYOPATHIE PRIMITIVE 7.'i B. Excitabilité idio-musculaire et
réflexes
tendineux dans la myopathie progressive primiti
es sont connexes. qu'ils ont la même origine et que l'abolition des
réflexes
tendineux dépend, dans l'espèce, d'une altération
musculaire. De plus. nous avons fait remarquer que l'abolition des
réflexes
ten- dineux et de l'excitabilité idio-musculair
mologue », où le tronc est incliné du côté ma- lade. Abolition du
réflexe
achilléen dans la sciatique. Ce signe, objet d'
n'avait pas retenu l'attention des cliniciens qui considéraient le
réflexe
achilléen comme inconstant à l'état normal (voi
on à l'étude de la sciatique et en particulier des modifications du
réflexe
du tendon d'Achille. Thèse, Tou- louse, 1897),
tendon d'Achille. Thèse, Tou- louse, 1897), puis par Forestier (Le
réflexe
du tendon d'Achille dans la sciatique. Soc. méd
des sciatiques névrites, a\cc dispari- tion ou diminution nette du
réflexe
achilléen. » NÉVRITE RADIALE .l'ai décrit (98
n de la contractilité électrique du triceps brachial ; abolition du
réflexe
du tendon de ce muscle. Cette affection a été s
s doute parce qu'ordi- nairement on néglige de rechercher l'état du
réflexe
du triceps bi a- chial, et qu'en présence d'un
traction débute par 1 orbiculaire des paupières, phénomène purement
réflexe
: la cornée, la sclérotique, la muqueuse palpéb
a décharge au muscle orbiculaire qu'il commande. Voilà donc l'arc
réflexe
établi. On peut admettre, en principe, que toute
myélite spontanée. Il en est de même de l'exaltation des propriétés
réflexes
de la moelle. Il ne faudrait pas néanmoins cher
ononcé de la motilité volontaire et une exagé- ration constante des
réflexes
tendineux avec trépidation épileptoïde du pied.
membres les uns sur les autres. De plus, je ferai remarquer que les
réflexes
de défense, souvent plus forts, il est vrai, qu
e peut faire défaut depuis le début jusqu'àla fin. Parfois même les
réflexes
tendineux sont très affaiblis ou abolis. Les réfl
fois même les réflexes tendineux sont très affaiblis ou abolis. Les
réflexes
cutanés de défense sont, au contraire, toujours
à celui qui rattache 88 AFFECTIONS DE LA MOELLE l'exagération des
réflexes
tendineux à la paraplégie spastique spinale. C'
binski. « Je ne saurais dire s'ils présentaient la dissociation des
réflexes
caractérisée par l'exaltation des cutanés et la
nés et la diminution des tendineux. Je puis dire simplement que les
réflexes
tendineux n'étaient pas exagérés et qu'ils parais
mo- dique organique, avec contracture en flexion et exagération des
réflexes
cutanés de défense. » Claude (Sur la paraplég
ndique : « Paraplégie avec contracture en flexion et exaltation des
réflexes
de défense. » Coyon et Barré présentent un nouv
s de la maladie de Reckling- hausen». La paraplégie en flexion avec
réflexes
tendineux très faibles avait fait suite à une p
zek. Etudes cliniques. , A. Réflexe achilléen. ' L'abolition du
réflexe
achilléen avait été notée autrefois déjà dans q
it pas attaché de valeur parce que l'on considérait l'absence de ce
réflexe
comme assez commune à l'état normal. Dans les t
ce qui concerne l'irréllectivilc tendineuse, que de l'abolition du
réflexe
rotulien. Or, m'étant assuré que le réflexe achil
, que de l'abolition du réflexe rotulien. Or, m'étant assuré que le
réflexe
achil- léen est pour ainsi dire constant chez l
slphal n'occupe pas le premier rang qui est tenu par l'abolition du
réflexe
achilléen. Ce symptôme précède généralement l'a
réflexe achilléen. Ce symptôme précède généralement l'abolition du
réflexe
rotulien et il a une valeur prépondérante pour
bserve aussi, comme je l'ai indiqué, une abolition croisée des deux
réflexes
rotulien et achilléen : il n'est pas rare de trou
s rotulien et achilléen : il n'est pas rare de trouver d'un côté le
réflexe
achilléen aboli et le réflexe rotulien conservé,
'est pas rare de trouver d'un côté le réflexe achilléen aboli et le
réflexe
rotulien conservé, tandis qu'inversement de l'a
réflexe rotulien conservé, tandis qu'inversement de l'autre côté le
réflexe
achilléen existe et le réflexe rotulien est abo
is qu'inversement de l'autre côté le réflexe achilléen existe et le
réflexe
rotulien est aboli. Les résultats de mes travau
es K. Mills (Some points of special interest in the study of the deep
réflexes
of the lower extremities. foiirizal of nervous
), de Van Gehuchten (Un cas de tabes incipiens avec exagération des
réflexes
rotuliens et abolition du réflexe du tendon d'A
s incipiens avec exagération des réflexes rotuliens et abolition du
réflexe
du tendon d'Achille des deux côtés. Journal de Ne
e, publié par Ch. Bouchard, 1901, p. 1002) écrit : « L'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille est également très précoce da
Il n'est pas prouvé cependant qu'elle précède d'ordinaire celle du
réflexe
patellaire. » D'autres, au contraire, acceptère
92), écrit : « On peut conclure avec Babinski que dans le tabes le
réflexe
achilléen est troublé plus souvent que le réfle
dans le tabes le réflexe achilléen est troublé plus souvent que le
réflexe
du genou et généralement avant que celui-ci ne le
et généralement avant que celui-ci ne le soit. Les perturbations du
réflexe
achilléen constituent donc un signe de grande val
let igi 36 cas de tabès. Ils ont constaté l'abolition bilatérale du
réflexe
achilléen chez tous ces malades, sauf dans 92 A
e trouble n'était qu'unilatéral. Or, dans 8 de ces observations, le
réflexe
rotulien existait des deux côtés. Il serait inu
ique. B. Réflexes tendineux des membres supérieurs. L'état de ces
réflexes
, dans le tabes, a été l'objet d'un travail de F
bablement pour cause des fautes de technique dans l'exploration des
réflexes
des membres thoraciques. En les recherchant sui
n constate dans un grand nombre de cas leur présence, alors que les
réflexes
des membres pelviens sont déjà abolis : le fait
l n'en est pas moins vrai qu'à une certaine phase de la maladie les
réflexes
des membres supérieurs s'affaiblissent et dispa
l'ai fait ressortir, les troubles suivent une marche ascendante, le
réflexe
d'extension de l'avant-bras étant le plus souve
d'extension de l'avant-bras étant le plus souvent atteint avant le
réflexe
de flexion. En pareil cas, la percussion du ten
n du triceps brachial provoque généralement ce que j'ai appelé « le
réflexe
paradoxal du coude » (p. 34). C. - Du champ v
puisque, outre la lymphocytose, on ne constate qu'une abolition des
réflexes
achilléens. J'avoue que j'ai quelque peine à ad
ite syphilitique familiale, jointes à mes études sur l'abolition du
réflexe
à la lumière (p. 58) et à des considérations dive
s (Névrite optique rétro- bulbaire infectieuse et troubles dans les
réflexes
tendineux). Ce travail est fondé sur l'observat
emblable à celle qu'on voit dans le tabes, par une perturbation des
réflexes
pupillaires, par une abolition unilatérale du réf
urbation des réflexes pupillaires, par une abolition unilatérale du
réflexe
acliil- léen et une abolition bilatérale du réf
unilatérale du réflexe acliil- léen et une abolition bilatérale du
réflexe
rotulien. La distinction d'avec le vrai tabes p
oubles pupillaires propres au tabes, quand ils sont unilatéraux, le
réflexe
direct et le réflexe consensuel sont abo- lis d
opres au tabes, quand ils sont unilatéraux, le réflexe direct et le
réflexe
consensuel sont abo- lis du même côté, cliez la
bo- lis du même côté, cliez la malade dont il s'agit, d'un côté, le
réflexe
SCLÉROSE EN PLAQUES 101 direct étant aboli le
un côté, le réflexe SCLÉROSE EN PLAQUES 101 direct étant aboli le
réflexe
consensuel est conservé, de l'autre côté, c'est
e la spondylose peut provoquer dcs douleurs lancinantes, abolir les
réflexes
tendineux et réaliser ainsi un tableau symptoma
st-il bon de posséder d'autres éléments de localisation. L'état des
réflexes
tendineux, par exemple l'inversion du réflexe du
lisation. L'état des réflexes tendineux, par exemple l'inversion du
réflexe
du radius que j'ai décrite (p. 34), donne parfo
à la région dor- sale, on ne peut tirer aucun parti de l'examen des
réflexes
tendineux. Il en est autrement des réflexes de
n parti de l'examen des réflexes tendineux. Il en est autrement des
réflexes
de défense qui fournissent des don- nées précie
a hauteur du territoire cutané dont l'excitation peut provoquer ces
réflexes
n'est pas la même dans tous les cas. Or, le nivea
celle des membres inférieurs était constamment suivie de mouvements
réflexes
. C'est pourquoi nous estimons que dans le probl
ation il ne faut tenir compte que des cas où la zone des mouvements
réflexes
de défense dépasse les membres inférieurs et oc
l'expérience. D'habitude, nous cherchons à délimiter le domaine des
réflexes
de défense en pratiquant des excitations successi
e bas en haut, puis de haut en bas, et en guettant le moment où ces
réflexes
disparaissent ou apparaissent. Il est bon que ces
néralement fixée parla hauteur à laquelle s'élève le territoire des
réflexes
de défense. 2° Ces deux données, quand elles so
on, lorsque l'écart entre la frontière de l'anesthésie et celle des
réflexes
de défense est considé- rable, l'hypothèse d'un
limites qu'atteignaient au tronc l'anesthésie et l'exagération des
réflexes
de défense. Une laminectomie fut pratiquée et le
tourner la tête, de porter les aliments à sa bouche. « L'état des
réflexes
tendineux et des réflexes cutanés, l'amyotro- p
er les aliments à sa bouche. « L'état des réflexes tendineux et des
réflexes
cutanés, l'amyotro- phie du membre gauche, la t
; la marche, il est vrai, est encore lente, pénible, et l'état des
réflexes
dénote la persistance d'une perturbation du sys
staté chez la malade de signe décelant une lésion radiculaire ; les
réflexes
tendineux, en particulier, ont toujours été nor
oupes musculaires atrophiés, il n'y avait ni abolition complète des
réflexes
, ni réaction de dégénérescence. 110 Enfin, nous
110 Enfin, nous avons constaté au membre supérieur des mouve- ments
réflexes
de défense que nous avons pu utiliser pour la loc
de mes investigations. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 117 Modifications des
réflexes
tendineux. On savait depuis longtemps que les r
ications des réflexes tendineux. On savait depuis longtemps que les
réflexes
tendineux sont troublés dans l'hémiplégie organ
égie récente, flasque, sans exagération ou avec affaiblissement des
réflexes
tendineux, qu'on l'observe ; mais je l'ai const
enant, dans quelques cas d'hémiplégie ancienne avec exagération des
réflexes
tendineux. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 119 Signe d
is de durée, ne s'accompagne pas néces- sairement d'exagération des
réflexes
tendineux ; parfois, elle est dépourvue de tous
dure-mère siégeant dans la région rolandique du côté opposé ; les
réflexes
tendineux et cutanés du côté droit étaient égaux
al de l'extrémité supérieure et qui résultent d'un trouble dans les
réflexes
des antagonistes. En première ligne, l'adiadococi
cile de ne pas considérer comme pathologique une vaso- constriction
réflexe
aussi prolongée. Néanmoins, comme ces divers ar
arquer que l'irrigation de l'oreille pratiquée pour la recherche du
réflexe
calo- rique est capable de donner lieu à des ef
fications du vertige voltaïque s'associent très souvent à celles du
réflexe
calorique mais, et c'est là un point essentiel,
'ai observé bien des malades atteints de lésion auriculaire dont le
réflexe
calorique était normal et chez lesquels l'explo
t bilatérales ; de plus, les vertiges sont moins pénibles. Quant au
réflexe
calorique, il a toujours été normal. Dans la
ue, il a toujours été normal. Dans la deuxième observation, où le
réflexe
de Barany n'a subi non plus aucune perturbation
ABINSKI. 12 a 178 TORTICOLIS SPASMODIQUE. - TORTICOLIS « MENTAL »
réflexe
cutané plantaire était normal à droite, on consta
rtir ce fait de la banalité, c'est qu'au membre supérieur gauche le
réflexe
du triceps brachial était manifestement exagéré.
chez lesquels à un torticolis « mental » était associée l'extension
réflexe
du gros orteil ou le signe de l'éventail. Ces
ystème pyramidal, comme paraissent l'indiquer les modifications des
réflexes
tendineux et du réflexe cutané plantaire ? Je l
araissent l'indiquer les modifications des réflexes tendineux et du
réflexe
cutané plantaire ? Je l'avais pensé d'abord ; mai
le corps opto-strié. Le phénomène des orteils ou l'exagération des
réflexes
tendineux apparaissant au cours du torti- colis
e ayant les caractères clini- ques du torticolis mental et dont les
réflexes
tendineux étaient exagérés surtout à gauche. Il
tonus, flexion combinée de la cuisse et du tronc, modifications des
réflexes
tendineux, signe des orteils, etc.) ; de plus, ay
ué depuis quelque temps. Il n'y a pas de troubles paralytiques. Les
réflexes
tendineux sont exagérés et ily a de la trépida-
es perturbations est d'habitude bien différent (78). Recherchant le
réflexe
à la lumière dans des cas d'ectasie aortique av
té aussi, dans quelques-unes de mes observations, une abolition des
réflexes
achilléens, ce qui venait à l'appui de l'hypoth
examiner, chez les aortiques qui se présen- teront à eux, l'état du
réflexe
à la lumière, et à faire connaître à la Société
sion valvulaire aortique et à l'inégalité pupillaire avec perte des
réflexes
à l'accommoda- tion et à la lumière. Chose curi
contractures hystériques pures il n'existe aucune perturbation des
réflexes
tendineux (4o). Cette donnée, qui parait fort s
prétendue hystérique accompagnée d'une exagération unilatérale des
réflexes
tendineux ; là, une paraplégie, avec de la sur-
t atteint d'une paralysie hystérique, on croyait à tort trouver des
réflexes
tendineux très exagérés avec épilepsie spinale. L
de la surréflectivité, tenait principale- ment à ce que l'étude des
réflexes
tendineux à l'état normal avait été négligée et
a si souvent donné. L'hystérie n'a pas d'action appréciable sur les
réflexes
tendineux ; elle n'est pas plus en mesure de le
xagérer que de les affaiblir ou de les abolir. Il en va de même des
réflexes
pupillaires et du réflexe pharyngien. Ces donné
r ou de les abolir. Il en va de même des réflexes pupillaires et du
réflexe
pharyngien. Ces données, qui résultent de nies
rie est apte à exercer une action perturbatrice sur les centres des
réflexes
tendineux et les centres vaso-moteurs, il y a des
prend d'une pari le dermographisme, qui traduit une exagération des
réflexes
vaso-moteurs cutanés, et d'autre part des réact
vraie ou par le signe de l'orteil) de l'hyperexeitabilité des centres
réflexes
de la moelle, telle que peut la produire la dég
ec Zachariades. Société de Biologie, 9 novembie .805). 43. Sur le
réflexe
cutané plantaire dans certaines affections organi
e des Hôpitaux, 31 juillet et 26 novembre 1896). 46. Abolition du
réflexe
du tendon d'Achille dans la sciatique(Id., 18 déc
(Société de Neurologie, 6 juillet 1899)' 5Cr. De l'abolition des
réflexes
pupillaires dans ses relations avec la syphilis (
leuse (Société de Neurologie, g novembre 1899). 56. Sur le prétendu
réflexe
antagoniste de Schoefer (Id., 3 janvier 1900).
bes. Névrite optique rétrobulbaire infectieuse et troubles dans les
réflexes
tendineux (Id., 5 juillet i;)0o). 63. Associati
2e communication. Société de Neurologie, 18 avril igoi). 73. Sur le
réflexe
du tendon d'Achille (Id., 2 mai igoi). ,Il. De
lexe du tendon d'Achille (Id., 2 mai igoi). ,Il. De l'abolition des
réflexes
pupillaires dans ses relations avec la syphilis (
ente (Société de Neurologie, 15 janvier tgo3). 8D. Sur l'état des
réflexes
tendineux dans l'hystérie (Société de Neurologie,
méro du 2 février 1 gol,). ioG. Sur la transformation du régime des
réflexes
cutanés dans les allections du système pyramida
gie, f) novembre igo5). 122. De l'influence de l'obscuration sur le
réflexe
des pupilles à la lumière et de la pseudo-aboli
e réflexe des pupilles à la lumière et de la pseudo-abolition de ce
réflexe
(Id., 7 décembre tyo;). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 2
es nouveaux faits relatifs à un cas d'Hystérie avec exagération des
réflexes
tendineux. Réponse aux critiques de M. Babinski
la moelle. De la possibilité d'en déterminer le siège au moyen des
réflexes
de défense (en collaboration avec Jar- kowski.
les paraplé- gies d'origine spinale par certaines perturbations des
réflexes
(en collaboration avec Jarkowski. Société de Ne
e légale (Semaine médi- cale, 27 juillet igio). 176. Inversion du
réflexe
du radius (Société médicale des Hôpitaux, 14 octo
d., 4 mai 19 11). 181. Sur l'excitabilité idiomusculaire et sur les
réflexes
tendineux dans les myo- pathies progressives pr
i. Société de Neurologie, g novembre I(I1). 185. Modification des
réflexes
cutanés de défense sous l'influence de la com-
tion avec Jarkow ski et Jumentié. Id., 25 janvier igia). 188. Des
réflexes
cutanés de défense dans la maladie de Fricdreich
vec Jarkowski. Société de Neurologie, I 1 juillet I CJ I 2). 197,
Réflexes
tendineux : et réflexes osseux (Leçons faites à l
e Neurologie, I 1 juillet I CJ I 2). 197, Réflexes tendineux : et
réflexes
osseux (Leçons faites à la Pitié. Bulletin médi
. 17 Vertige voltaïque. Lésions labyrinthiques expérimentales 18
Réflexes
tendineux et réflexes cutanés 2 1 Réflexes pupi
que. Lésions labyrinthiques expérimentales 18 Réflexes tendineux et
réflexes
cutanés 2 1 Réflexes pupillaires. - De l'influe
ques expérimentales 18 Réflexes tendineux et réflexes cutanés 2 1
Réflexes
pupillaires. - De l'influence de l'obscuration su
2 1 Réflexes pupillaires. - De l'influence de l'obscuration sur le
réflexe
à la lumière ; étude comparative du réflexe à l
de l'obscuration sur le réflexe à la lumière ; étude comparative du
réflexe
à la lumière chez les oiseaux de jour et les oise
ME PARTIE Clinique et Anatomie pathologique. I. - Sémiologie 27
Réflexes
tendineux et réflexes osseux 27 Réflexes cutané
t Anatomie pathologique. I. - Sémiologie 27 Réflexes tendineux et
réflexes
osseux 27 Réflexes cutanés 37 Phénomène des o
ue. I. - Sémiologie 27 Réflexes tendineux et réflexes osseux 27
Réflexes
cutanés 37 Phénomène des orteils 37 De l'abdu
es orteils 37 De l'abduction des orteils (signe de l'éventail) 52
Réflexes
de défense 5G Réflexes pupillaires 58 De l'ab
ction des orteils (signe de l'éventail) 52 Réflexes de défense 5G
Réflexes
pupillaires 58 De l'abolition des réflexes pupi
Réflexes de défense 5G Réflexes pupillaires 58 De l'abolition des
réflexes
pupillaires dans ses relations avec la syphilis..
ans ses relations avec la syphilis.... 58 Do la pseudo-abolition du
réflexe
des pupilles à la lumière ti1 i Troubles de la
rapidité de leur développement 73 Excitabilité idio-musculaire et
réflexes
tendineux dans la myopathie progressive primiti
76 Névrite sciatique 77 Scoliose sciatique .... 77 Abolition du
réflexe
achilléen dans la sciatique 77 Radiothérapie 78
xion 86 Tabès 8g Anatomie pathologique 89 Etudes cliniques go
Réflexe
achilléen go Réflexes tendineux des membres sup
atomie pathologique 89 Etudes cliniques go Réflexe achilléen go
Réflexes
tendineux des membres supérieurs 1)2 Du champ v
bes (Névrite optique rétrobulbaire infectieuse et troubles dans les
réflexes
tendineux) 100 Pseudo-tabes spondylosique......
116 Hémiplégie organique Il G Diagnostic 1 G Modifications des
réflexes
tendineux mi Phénomène des orteils 117 Hypoto
lmie bilatérale très prononcée. Paupières inférieures boursouflées.
Réflexes
oculo-palpébraux normaux. Les deux pupilles réa
cules très petits. Rien à signaler du côté des viscères. Tous les
réflexes
sont normaux. L'intelligence du petit est absol
tiers supérieur de la cornée. Paupières inférieures boursouflées.
Réflexes
oculo-palpébraux normaux. Paupières, conjonctiv
lement développés. Rien à signaler du côté des viscères. Tous les
réflexes
sont normaux. A cause de la cécité presque abso
fille. Aucune symptomatologie du côté du système nerveux, tous les
réflexes
sont normaux. L'intelligence de la petite fil
ait le 25 février 1911. Exophtalmie bilatérale assez prononcée. '
Réflexes
oculo-palpébraux normaux. - Paupières, ^conjonc
liose bien évidente, avec inclinaison du tronc du côté droit. Les
réflexes
sont normaux, exceptés les rotuliens qui paraisse
les aphasiques. Le membre inférieur droit est également faible, les
réflexes
rotuliens sont exagérés, surtout du côté droit.
u tout ; les membres du côté droit sont complètement paralysés, les
réflexes
tendineux très diminués, pas de Babinski. Les p
important au point de vue so- matique. Les pupilles sont égales. Le
réflexe
pupillaire est conservé à la lu- mière et à l'a
mière et à l'accommodation, mais la réaction est un peu lente. Les
réflexes
ten- dineux et cutanés sont normaux. La mobilit
it très facilement. ' La sensibilité objective est conservée. Les
réflexes
rotuliens sont diminués. Les réflexes achilléen
bjective est conservée. Les réflexes rotuliens sont diminués. Les
réflexes
achilléens sont normaux. Les réflexes tricipita
otuliens sont diminués. Les réflexes achilléens sont normaux. Les
réflexes
tricipitaux sont très faibles, à peine perceptibl
s réflexes tricipitaux sont très faibles, à peine perceptibles. Les
réflexes
cutanés sont exagérés. L'excitation de la plante
érieur tout entier. Il ne se produit pas le signe de Babinski. Le
réflexe
crémastérien est exagéré, en même temps que l'asc
es- ticule il se produit la flexion de la cuisse sur le bassin. Les
réflexes
abdomi- naux sont exagérés. 20 octobre 1910.
t bien conservées. Il en est de même du sens des atti- tudes. Les
réflexes
tendineux existent tant aux genoux qu'aux poignet
que facilement des secousses cloniques du pied et de la rotule. Les
réflexes
idio-musculaires sont faibles, la corde bicipit
es sont faibles, la corde bicipitale s'obtient difficilement. Les
réflexes
cutanés manquent, le crémastérien comme le cutané
ion clinique. Il ne peut être ici question de tabès : outre que les
réflexes
tendineux existent, on ne trouve chez J... ni tro
74 4 TISSOT dont il y a l'élal parélo-spasmodique (exagération des
réflexes
, démarche cérébello-spasmodique), mais il manqu
role suspirieuse et explosive; par contre il manque l'abolition des
réflexes
, le nystagmus, les déforma- tions du rachis et
om d'ataxie cérébelleuse, l'instabilité sur place l'exagération des
réflexes
, l'intégrité des sensibilités, du sens musculaire
PROFESSEUR ROCQUE A LYON.) DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES
RÉFLEXES
ROTULIENS DANS LE TABES DORSALIS A PROPOS D'UN
endamment l'un de l'au- tre, Erb et Westphal signalaient l'état des
réflexes
tendineux chez l'homme sain et dans les maladie
salis ; c'est là sans doute la raison pour laquelle l'abolition du
réflexe
patellaire dans cette maladie porta ensuite le
ns sujets absolument sains présentent normalement une abolition des
réflexes
patellaires dans la proportion de 1,56 pour 100 ;
sujets sains; les 22 individus qui, sur ce nom- bre, manquaient de
réflexes
rotuliens ont été examinés plusieurs fois rigou
tistiques par exemple, celle deBannister (de Chicago) montre que le
réflexe
palellaire fait défaut 2 fois sur 36 sujets sai
000 individus sains, il a constaté invariable- ment la présence des
réflexes
patellaires, achilléens, tricipitaux, etc. ; il
xes patellaires, achilléens, tricipitaux, etc. ; il conclut que ces
réflexes
existent toujours chez l'homme sain elque leur
que intérêt à s'étendre sur cette question de la conser- vation des
réflexes
rotuliens dans le tabes. Les statistiques perme
s de tabes frustes ou associés, soit donc 55 cas avec abolition des
réflexes
; un (1) Berger, Ueber Selmenreflexe, Centrait,
s, art. Tabes, bibliographie, p. 410. (2) 1\eLL.IItTI, Sur quelques
réflexes
chez l'homme sain el dans le tabès, Revue de Ne
cuaumt ET NOVÉ-.IOSSEKANl) seul cas présentait la conservation des
réflexes
rotuliens : c'était un tabès indiscutable, cara
icale, on trouve encore quelques exemples épars de conservation des
réflexes
rotuliens dans le labes. Dans le cas publié par
pas d'incoordination; conservation des ré- flexes rotuliens et des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs. M. Babinski,
ux aux membres supérieurs. M. Babinski, en 1898, étudiant l'étal du
réflexe
achilléen dans le tabes, rappelle qu'il a obser
le tabes, rappelle qu'il a observé un certain nombre de cas où les
réflexes
rotuliens persistaient, dans des tabès indiscut
(3). M. Kollartis, en 1903, sur 100 cas de tabes, a trouvé que les
réflexes
tendineux, rotuliens et autres, étaient conserv
teur, avec troubles de la sensi- bilité el artltropatlhie ; le seul
réflexe
tendineux altéré est l'achilléen gau- che.Il ap
- che.Il apporte sa statistique personnelle sur la conservation des
réflexes
ro- tuliens dans 196 cas de labes et trouve qu'
utres observations, publiées ou non, de tabes avec conservation des
réflexes
patellaires ; sans pousser davantage celle énum
Mais, si l'on songe 'au nombre immense de labes dans les- quels les
réflexes
rotuliens manquent, le nombre de cas publiés où i
« zone d'entrée des racines » clans la ré- gion dorso-lombaire, les
réflexes
rotuliens étaient conservés. « La seule circons
racines postérieures. Cetle zone est toujours intéressée quand les
réflexes
rotu- liens ont disparu, et inversement. Il exi
cle de MM. Achard et Lévi (3), des observations dans lesquelles les
réflexes
rotuliens ont été conservés jusqu'à la mort et où
; on y trouve aussi signalé un cas de Minor (4) où l'abolition des
réflexes
rotuliens, seul symptôme nerveux, était en rappor
un malade avait comme unique symptôme l'abolition unilaté- rale du
réflexe
patellaire; la zone de Westphal était atteinte de
erait chez certains sujets absolument bien portants l'abolition des
réflexes
patel- laires à laquelle 0. Berger faisait allu
omba à la tuberculose pulmonaire et chez lequel la conservation des
réflexes
rotuliens avait fait écarter l'idée d'un tabes au
l'abdomen mais particulièrement à l'épigastre, P,rlpation négative.
Réflexes
rotuliens normaux, plutôt même exagérés. Dans l
ONOGRAPHIE DE IA A SA1.1'GIIt111tE. T. XXV. Pl. XI CONSERVATION DES
RÉFLEXES
ROTULIENS DANS LE 'l'AIIES (Chnlier et Nové-Jos
l6 Oh LA SALLI : JRILJ2E. ? f ? T. XXV. lit. XIV CONSERVATION DES
RÉFLEXES
ROTULIENS DANS LE TABES (Chalier et Nouo-Josser
Masson & Cnr, 1-ditellis DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES
RÉFLEXES
ROTULIENS 85 que d'avant en arrière et de dedan
) NAGFOTTR, id., p. 46 et suiv. DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES
RÉFLEXES
ROTUL1ENS 87 vis-à-vis des lésions de la bandel
par Weslphal entre le phénomène exceptionnel de la conservation des
réflexes
et la localisation anatomique de la lésion qui
lassiques et laissant de côté évidemment les cas où l'abolition des
réflexes
rotuliens tient à l'altération des nerfs périphér
équence que les tabès avancés celle exceptionnelle conservation des
réflexes
rotu-, liens ? M. Nageotte donne la définition
Westplial ; l'observation a été égarée, dit l'auteur, et l'étal des
réflexes
est inconnu ; mais le fait que, sur les coupes,
st inconnu ; mais le fait que, sur les coupes, les "col Latéral es"
réflexes
ont disparu, suggère évidemment l'idée que les ré
manquer. Ainsi, tout en étant vraisemblable que la conservation des
réflexes
roluliens est plus souvent observée dans les ta
oit une caractéristique des tabes incipiens,. La persistance de ces
réflexes
peut en effet se voir dans toutes les variétés
lial reste relativement intacte. La conservation ou l'abolition des
réflexes
roluliens dans le tabès est une pure question de
Salpê- triére 190+, p. 24. DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR 111.S
RÉFLEXES
ROTULIENS 8 ! 1 tent ou se cantonnent, le signe
tardivement. On ne saurait aborder la physiologie pathologique des
réflexes
rotuliens dans le labes, el laisser de côté la
en deux groupes. Le premier comprend celles où la réapparition des
réflexes
roluliens est consécutive à l'association d'une
ncertitude de nos connaissances touchant la physiologie normale des
réflexes
rotuliens et ses rapports avec le cervean, nous
\I Noi- ca (1), très séduisante par sa simplicité. Pour lui, si les
réflexes
chez un tabétique ont disparu complètement, on
n du tendon est sans résultat, il est habituel d'en conclure que le
réflexe
rolulien est aboli, et rien n'est plus vrai ; m
influx centripète est transformé en mouvement et pour déclancher le
réflexe
normal ? De telle sorte que s'il survient, dans
ent, dans ces circonstances, une cause susceptible d'exa- gérer des
réflexes
rotuliens normaux, on ne voit pas pourquoi elle n
aux lésions anatomiques, qui, d'après MM. Deje- (1) Noica, Etal des
réflexes
tendineux au cours du ltcbe$compliqué d'hémiplégi
doute l'imperfec- lion de nos connaissances sur la physiologie des
réflexes
tendineux et leur relation avec l'encéphale dem
cela, infiniment probable que, chez les tabétiques, l'abolition des
réflexes
rotuliens, comme les anesthésies, ne sont ahsolue
nne une modification dans le système nerveux capable d'exagérer les
réflexes
rotuliens, comme le fait habituellement par exemp
ébrale qui conditionne l'hémiplégie et l'on assistera au retour des
réflexes
rotuliens. Pourvu que les voies anatomiques ne
pas identique, mais comparable à la sommation de M. Egger, que les
réflexes
rotuliens réapparaissent chez le tabétique frap
us envisagerons maintenant un deuxième groupe d'observations où les
réflexes
rotuliens sont réapparus sans l'aide d'une hémipl
constaté encore 3 mois, au moins, concurremment avec l'abolition du
réflexe
achilléen ; le malade fut soumis à un traitemen
ectrique, et 22 mois après la constatation de la disparition de ces
réflexes
tendi- neux, on en put constater le retour prog
ter le retour progressif (2). MM. Dejerine et Ingel- rans ont vu le
réflexe
patellaire réapparaître après plusieurs années d'
stérieurs, sous l'influence de la cécité. » A ces cas de retour des
réflexes
, l'explication proposée plus haut ne saurait co
, condition évi- demment que les voies anatomiques des collatérales
réflexes
n'aient pas été, au préalable, complètement dét
rappelle le phénomène de la sommation. Au contraire, le retour des
réflexes
rotuliens sous l'influence de la ré- cité peut
eut sans doute voir sous l'influence de l'amaurose réapparaître les
réflexes
rotuliens. Mais, comme l'a montré M. Leri et co
de croire que dans l'immense majorité des tabes, les collaté- rales
réflexes
des racines postérieures ne sont atteintes que de
mique n'étant pas coupée complètement, la présence ou l'absence des
réflexes
rotuliens devient une question de dynamisme ner-
oli, réapparaître ensuite. Il pense que dans les cas humains où les
réflexes
pitellaires sont revenus après avoir disparu, l
tie seulement des fibres qui interviennent dans la production de ce
réflexe
. Il reste d'ailleurs bien entendu que toutes le
illeurs bien entendu que toutes les fois que la voie anatomique des
réflexes
rotuliens est complètement interrompue, il n'y
olution latente d'un tabes incipiens, à cause de la persistance des
réflexes
roluliens. Le cours, des événements n'en a pas
. des sciences médicales, 1885. DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES
RÉFLEXES
ROTULIENS 93 gyrique qu'on aurait voulu prolong
anato- miques de l'estomac). DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES
RÉFLEXES
ROTULIENS yà Quelques observations viennent d'a
. » Conclusions. 1 1. - Il existe des tabes avec conservation des
réflexes
roluliens; le signe de Westplial est inconstant
peut ne se mani- fester que tardivement; aussi la conservation des
réflexes
patellaires ne doit-elle pas empêcher, dans des
rait chez certains sujets absolument bien portants l'abolition des
réflexes
patellaires que l'on constate parfois ? C'est l
expliquer le phénomène. n 1 III. - Dans le cours d'un tabes, les
réflexes
roluliens, après avoir été abolis, peuvent réap
malades et une amélioration des DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES
RÉFLEXES
ROTULIENS 99 fonctions nerveuses en général. L'
mbreux, ainsi qu'à leur utilisation par la moelle, en vue des actes
réflexes
. Enfin, le retour des réflexes rotuliens, après
on par la moelle, en vue des actes réflexes. Enfin, le retour des
réflexes
rotuliens, après qu'une hémiplégie s'est instal
circonstances, une condition est absolument nécessaire pour que les
réflexes
rotuliens réapparaissent : il faut que les voies
pas complètement ni définitivement détruites, que l'abo- lition des
réflexes
rotuliens ne soit absolue qu'en apparence et n'ex
s excitations qui circulent dans le système nerveux augmentent, les
réflexes
peuvent réapparaître. Mais, en aucun cas, ils
alement ; la motilité du torse et des extrémités reste intacte; les
réflexes
tendineux et peauciers sontnormaux : à l'examen d
port avec l'éré- thisme nerveux. La sensibilité d'ailleurs et les
réflexes
cutanés, tendineux et oculaires sont normaux. L
où porte l'excitation, la diminution de la sensation est égale. Les
réflexes
rotuliens sont faibles ; les réflexes cutanés ont
e la sensation est égale. Les réflexes rotuliens sont faibles ; les
réflexes
cutanés ont disparu, le ré- flexe plantaire se
nfection actuelle. DE L'ABSENCE DES REFLEXES AGI-IILLLL\T3 ET DES
RÉFLEXES
ROTULIENS . , SANS AUTRE SIGNE D'AFFECTION DU S
résultats observés en ce qui concerne la présence ou l'absence des
réflexes
achilléens et rotuliens, et les réflexions que
gérées. Ces recherches m'ont convaincu que l'absence de l'un de ces
réflexes
représente toujours une abolition pathologique.
u, suivant la technique de Babinski. Tous ceux qui présentaient des
réflexes
douteux ou anormaux ont été revus à plusieurs r
ou anormaux ont été revus à plusieurs reprises. Je ne considère le
réflexe
comme absent que lorsque l'excitation ne donne
contraction musculaire. Dans un certain nombre de cas, l'absence du
réflexe
est associée à d'autres troubles et peut être r
mplet suffit ici à montrer l'ori- gine pathologique de l'absence du
réflexe
, de l'irréflectivité, pour utiliser la terminol
ou superréllectivité j. xxv 10 154 DUPUY Dans d'autres cas, le
réflexe
est nul en l'absence de tout autre symptô- me n
nul en l'absence de tout autre symptô- me nerveux. Celte absence du
réflexe
achilléen ou du réflexe rotulien chez des sujet
autre symptô- me nerveux. Celte absence du réflexe achilléen ou du
réflexe
rotulien chez des sujets indemnes de tout autre
on, examinant tous les soldats d'un régiment, n'a jamais trouvé ces
réflexes
absents. hollarils n'a jamais trouvé le réflexe
jamais trouvé ces réflexes absents. hollarils n'a jamais trouvé le
réflexe
rotulien absent sur 1.000 sujets ; Glorieux l'a t
Glorieux l'a trouvé ab- sent une fois sur 00 soldats. L'absence du
réflexe
rotulien est moins exceptionnelle suivant Crocq
ger el suivant Chadzinski ; elle est commune d'après Eulenhourg. Le
réflexe
achilléen était considéré autrefois comme très
de neurologie de Limoges (août. 190)), Crocq considérait encore le
réflexe
achilléen com- me manquant souvent chez les suj
puis qu'il l'em- ploie, il ne trouve que très exceptionnellement le
réflexe
absent : dans ces cas exceptionnels, il estime
ette technique que Cestan (Congrès de Limoges) n'a jamais trouvé le
réflexe
achilléen nul à l'examen de plusieurs centaines
sieurs centaines de sujets. D'après Chadzinski (même technique), ce
réflexe
est parfois absent, mais aussi rarement que le ré
chnique), ce réflexe est parfois absent, mais aussi rarement que le
réflexe
rotulien. Un fait semble acquis,c'est que les r
rement que le réflexe rotulien. Un fait semble acquis,c'est que les
réflexes
ach i Ileens et rotuliens peuvent être trouvés
01, à un seul examen, a trouvé les résultats suivants concernant le
réflexe
achilléen : entre 40 et 50 ans réflexe toujours
ltats suivants concernant le réflexe achilléen : entre 40 et 50 ans
réflexe
toujours existant sur 28 sujets, entre 50 et GO
50 ans réflexe toujours existant sur 28 sujets, entre 50 et GO ans
réflexe
absent 5 fois sur 42 sujets, entre 60 et 70 ans r
t 70 ans ré- flexe absent 28 fois sur 80 sujets, entre 70 et 80 ans
réflexe
absent 4 fois sur 65 sujets, au dessus de 80 an
et 80 ans réflexe absent 4 fois sur 65 sujets, au dessus de 80 ans
réflexe
absent 1'2 fois sur 15 sujets. L'absence des ré
ssus de 80 ans réflexe absent 1'2 fois sur 15 sujets. L'absence des
réflexes
acllilléens oudes réflexes rotuliens sans autre t
nt 1'2 fois sur 15 sujets. L'absence des réflexes acllilléens oudes
réflexes
rotuliens sans autre trou- ble nerveux est esti
hy- siologique et indépendant des conditions morbides,soit t que le
réflexe
man- que conjénitalenleut; soit qu'il ait été ?
par suite de l'évolution normale de la vie. \1) Babinski, Sur le
réflexe
du tendon (l'Achille dans le tabès. Bull, Soc. mé
(2) l3u,wve ? Brain, vol. x\f1', p. 5." ï , 1901 . DE L'ABSENCE DES
RÉFLEXES
ACHILLÉENS ET ROTULIENS 155 Dans la partie stat
affec- tion monosymplomatique. · Cette absence d'un ou plusieurs
réflexes
chez un sujet indemne de tout autre symptôme ne
ommé il'ré/lectÍ1'ité 111ollosym}Jtoma- tique (1). Statistique.
RÉFLEXE
ACIiILI.ÉI;N. //réflectivité associée à d'autre
N. //réflectivité associée à d'autres symptômes. - Chez i sujets le
réflexe
achilléen a élé trouvé nul des deux côtés et l'
chez l'autre. 7 sujets au total présentaient donc une abolition du
réflexe
achilléen liée à une maladie dont l'intéressé n
10llOs ! }/Ilptomatique, - Sur 2.304 sujets examinés, 59 avaient le
réflexe
achilléen nul, soit d'un côté, soit des deux côté
éllectivité monosymptomatique dépassait le domaine achilléen, et le
réflexe
rotulien était également nul. La proportion globa
qui est symptomatique ce n'est pas le tabes, c'est l'abolition des
réflexes
, c'est la crise gastrique, etc. Je remercie ave
bre des cas augmente progressivement avec l'âge. 1 0 Tableau I. -
Réflexe
achilléen. Nombre et proportion des cas d'absence
u I. - Réflexe achilléen. Nombre et proportion des cas d'absence du
réflexe
suivant l'âge. ' DE L'ABSENCE DES RÉFLEXES ACII
on des cas d'absence du réflexe suivant l'âge. ' DE L'ABSENCE DES
RÉFLEXES
ACIIIIL ? PNS ET IlOrULIENS 157 ter de l'absenc
CE DES RÉFLEXES ACIIIIL ? PNS ET IlOrULIENS 157 ter de l'absence du
réflexe
achilléen ; 3° le chiffre des cas d'absence pour
nné, la proportion pour 1000 des cas d'absence monosymptomatique du
réflexe
achilléen est égale au chiffre de )'age diminué
chances sur mille de présenter de l'absence mono- symptomatique du
réflexe
achilléen qu'il a d'années d'âge moins cinq. Le
isme, d'infection'et d'intoxication. L'absence monosymptomatique du
réflexe
achilléen est donc relative- ment fréquente; el
présente à un médecin, celui-ci peut placer faussement l'absence du
réflexe
dans l'appareil symp- tomatique de la maladie a
reur d'interprétation consistant à attribuer à tort l'abolition des
réflexes
à la symplomalologie d'une affection. Il y a li
uni- latérale : dans 64 0/0 des cas l'absence monosymptomatique du
réflexe
achilléen est donc unilatérale. Ces cas d'absen
s deux côtés, 19 à gauche, 19 à droite. Sur les 19 cas d'absence du
réflexe
à droite, le réflexe gauche a été trouvé sensib
uche, 19 à droite. Sur les 19 cas d'absence du réflexe à droite, le
réflexe
gauche a été trouvé sensiblement normal 13 fois
13 fois, faible ou très faible 6 fois. Sur les 19 cas d'absence du
réflexe
à gauche, le réflexe droit a été trouvé sen- si
rès faible 6 fois. Sur les 19 cas d'absence du réflexe à gauche, le
réflexe
droit a été trouvé sen- siblement normal 11 foi
ble 8 fois. Ainsi, sur 38 cas 158 DUPUY d'absence unilatérale, le
réflexe
du côté opposé était sensiblement intact dans 2
cette intensité de l'inégalité ne se retrouvent pas dans l'étude du
réflexe
rolulien. J'ai observé l'absence monosymptomati
de du réflexe rolulien. J'ai observé l'absence monosymptomatique du
réflexe
achilléen compa- rativement dans la cavalerie (
s l'infanterie que dans la cavalerie. Le total des cas d'absence du
réflexe
achilléen observés, avec ou sans autres symptôm
25 à 55 ans, la proportion pour mille du total des cas d'absence de
réflexe
achilléen permettant le travail est leprésentéepa
tteint de névrite scarlatineuse, qui présentaient de l'abolition du
réflexe
achilléen, avaient également les réflexes rotulie
entaient de l'abolition du réflexe achilléen, avaient également les
réflexes
rotuliens abolis. La proportion, de 2,17 0/00 e
. L'abolition était bilatérale dans tous les cas, alors que pour le
réflexe
achilléen elle était unilatérale dans 2 cas sur
lle était unilatérale dans 2 cas sur 7. L'aholition pathologique du
réflexe
achilléen est plus fréquente que celle du réfle
n pathologique du réflexe achilléen est plus fréquente que celle du
réflexe
rotulien. Elle est aussi plus précoce, dans le ta
dans le tabes tout au moins ; et, d'une façon générale, lorsque le
réflexe
rotulien est touché, DE L'ABSENCE DES IiFLR\FS
S IiFLR\FS ICfIII,LIsEIS ET ROTULII ? ,N ? S 159 1 (if) ntruov le
réflexe
achilléen l'est aussi (Babinski, 1898). Cette règ
servations : Les 5 malades présentant une abolition bilaté- rale du
réflexe
rotulien avaient tous également une abolition bil
réflexe rotulien avaient tous également une abolition bilatérale du
réflexe
achilléen. h réflectivité 1n911OsyrnjJtomalir¡n
Sur 23û\' sujets examinés, l'ab- sence bilatérale ou unilatérale du
réflexe
rolulien sans autre trouble ner- veux n'a été t
fois moins forte que celle des cas d'absence mOllosymplomatiljne du
réflexe
achilléen. La comparaison des graphi- ques I el
aison des graphi- ques I el II fait bien ressortir combien ces deux
réflexes
sont inégalement intéressés. Je n'ai jamais tro
deux réflexes sont inégalement intéressés. Je n'ai jamais trouvé le
réflexe
absent avant 25 ans. A partir de 25 ans, les ca
e temps que l'âge s'élève (tableau II, graphique II). Tableau II. -
Réflexe
rotulien. Nombre et proportion des cas d'absence
u II. - Réflexe rotulien. Nombre et proportion des cas d'absence du
réflexe
suivant l'âge. DR L'ABSENCE DES RÉFLEXES ACHILL
à 50 ans. , Sur les 91 cas observés, l'absence monosymptomatique du
réflexe
ro- tulien était bilatérale 7 fois et unilatéra
es deux côtés, 2 à droite, 2 à gauche. Le côté opposé présentait un
réflexe
faible ou très faible clans 3 cas, un réflexe s
té opposé présentait un réflexe faible ou très faible clans 3 cas, un
réflexe
sensiblement normal dans un cas seulement : ain
ns l'absence unilatérale rotulienne. L'absence monosymptomatique du
réflexe
rotulien n'apparaît géné- ralement qu'après cel
que du réflexe rotulien n'apparaît géné- ralement qu'après celle du
réflexe
achilléen. Alors que les cas d'absence achillée
mparer les graphiques). Sur 11 sujets présentant de Graphique Il. -
Réflexe
rotulien. Proporlion des cas d'absence du réflexe
e Graphique Il. - Réflexe rotulien. Proporlion des cas d'absence du
réflexe
suivant l'âge. Am. - Courbe moyenne schématique
divisé par 10, plus 1. 162 DUPUY l'absence monosymptomatique des
réflexes
rotuliens, 7 avaient aussi de l'absence du réfl
mptomatique des réflexes rotuliens, 7 avaient aussi de l'absence du
réflexe
achilléen, 2 avaient les réflexes acliilléens net
s, 7 avaient aussi de l'absence du réflexe achilléen, 2 avaient les
réflexes
acliilléens nettement inégaux et faibles d'un c
ttement inégaux et faibles d'un côté ; 2 seulement présentaient des
réflexes
achil- léens sensiblement normaux. L'absence mo
s achil- léens sensiblement normaux. L'absence monosymptomatique du
réflexe
achilléen se voit fréquemment avec conservation
tique du réflexe achilléen se voit fréquemment avec conservation du
réflexe
rotulien (52 fois sur 2304 sujets) et souvent a
rotulien (52 fois sur 2304 sujets) et souvent avec intégrité de ce
réflexe
; l'absence du réflexe rotulien ne se montre qu
2304 sujets) et souvent avec intégrité de ce réflexe ; l'absence du
réflexe
rotulien ne se montre que très exceptionnellement
ien ne se montre que très exceptionnellement avec eonseï- valion du
réflexe
achilléen (4 fois sur 2304 sujets) et plus except
2304 sujets) et plus exceptionnelle- ment encore avec intégrité du
réflexe
achilléen (2 fois). L'irréflectivité monosympto
lléen avanl de s'étendre au rolulien. Le total des cas d'absence du
réflexe
rotulien observés, associée ou non à d'autres s
'I'l'É monosymptomatique. Comment faut-il interpréter l'absence des
réflexes
achilléens ou des réflexes roluliens constatée
omment faut-il interpréter l'absence des réflexes achilléens ou des
réflexes
roluliens constatée en dehors de tout autre troub
présentent cette absence comme des hommes normaux chez lesquels le
réflexe
manque ? Sont-ils nés privés de leur réflexe ?
rmaux chez lesquels le réflexe manque ? Sont-ils nés privés de leur
réflexe
? Cette conception souvent admise, ne semble pas
lité, ne peut pas être un état congénital. L'absence permanente des
réflexes
acliilléens ou roluliens, qui ne peut évidemmen
cas où l'absence n'est pas permanente el où le ré- DE L'ABSENCE DES
RÉFLEXES
ACIIILLÉENS El' ROTULIENS 1 (;3 flexe se montre
peut qu'être infime. L'abolition sans autre symptôme nerveux des
réflexes
achilléens ou des réflexes roluliens ne représe
bolition sans autre symptôme nerveux des réflexes achilléens ou des
réflexes
roluliens ne représente-elle qu'un phénomène de v
ns la majorité des cas comme l'est l'absence monosymp- tomatique du
réflexe
achilléen ? L'hypothèse se montre encore plus dif
énomène de vieillesse il proprement parler, cette dis- parition des
réflexes
pourrait néanmoins être liée il révolution normal
si conduit à penser que l'absence sans autre symptôme ner- veux des
réflexes
achilléens ou rotuliens est une abolition patholo
erfs, des racines ou des centres nerveux, susceptibles d'abolir les
réflexes
est en cause : l'irréflectivité en est, au jour
progressi- vement avec l'àge : cela doit être si cette absence des
réflexes
est une abo- lition pathologique. L'abolition p
exes est une abo- lition pathologique. L'abolition pathologique des
réflexes
, en effet, comme on le sait et comme il ressort
umatisme, une infection, une intoxication susceptibles d'abolir les
réflexes
. L'irréfiectivité monosymptomatique est plus fr
s'il s'agit d'aboli- tion pathologique. L'abolition pathologique du
réflexe
achilléen est en effet plus fréquente que l'abo
du réflexe achilléen est en effet plus fréquente que l'abolition du
réflexe
rotulien (Babinski) ; il en était ainsi chez le
ses considérations expliquent bien les atteintes plus fréquentes du
réflexe
achilléen par les causes pathologiques : longueur
à 16 cent.), situation réciproque des centres médullaires des deux
réflexes
(les lésions des 4° et 5e segments lombaires et
° et 5e segments lombaires et du 1er sacré ne peuvent abolir que le
réflexe
achiliéen), situa- tion inférieure des racines
es méningées. Les lésions de la jambe ne peuvent influer que sur le
réflexe
achilléen : or les vari- ces et les traumatisme
flectivité pathologique. La précocité de l'abolition pathologique du
réflexe
achilléen dans le tabes établie par Babinski en
rand nombre des névriles toxiques. Dans le diabète notamment, les
réflexes
acliilléens sont abolis les pre- miers et parfo
z et Johnson (3). Dans les névriles alcooliques, la disparition des
réflexes
acliilléens précède notablement celle des réfle
disparition des réflexes acliilléens précède notablement celle des
réflexes
roluliens suivant Williamson (4), Goodhart (5),
art (5), Hertz et Johnson (6) ; d'après ces auteurs, l'abolition du
réflexe
achilléen existe parfois avant tout autre symptôm
diaques (hearl-failure) ; à ce titre ils conseillent la recherche du
réflexe
chez tous les candidats à un service public ou
ègle : dans les né- vrites diphtériques, suivant Rolleston (7), les
réflexes
rotuliens disparaî- traient avant les réflexes
t Rolleston (7), les réflexes rotuliens disparaî- traient avant les
réflexes
achilléens. Cette précocité des atteintes du ré
ent avant les réflexes achilléens. Cette précocité des atteintes du
réflexe
achilléen'dépend des mêmes cau- ses que leur fr
névrites et les névralgies sciatiques, lesquelles peuvent abolir le
réflexe
achilléen même dans leurs formes légères (Babinsk
ême sujet, ont été relevées. -Dans les 59 observations d'absence du
réflexe
achilléen : traumatisme des memhres inférieurs 9,
ysenterie 2, alcoolisme 2. -Dans les 11 obser- vations d'absence du
réflexe
rotulien : traumatisme crânien avec perle de co
précise dans certains cas, où l'absence, d'un seul côté, d'un seul
réflexe
est relevée en même temps qu'une cause précise pr
e temps qu'une cause précise prédominant dans le domaine de ce seul
réflexe
et de ce seul côté, ou limitée à ce seul do- ma
'.)Il. ans ; va- rices des membres inférieurs surtout à droite. Le
réflexe
achilléen est faible il gauche, nul à droite. L
Le réflexe achilléen est faible il gauche, nul à droite. Les autres
réflexes
existent. Pas d'autre trouble. Ons. IL -B..., m
ement il 30 ans ; varices légères à gauche, abondantes à droite. Le
réflexe
achilléen existe il gauche, est nul à droite. L
droite. Le réflexe achilléen existe il gauche, est nul à droite. Le
réflexe
rotulien, fort à gauche, est diffi- cile à trou
e ; varices assez volumineuses à gauche, men- bre droit indemne. Le
réflexe
achilléen est nul à gauche, normal à droite. Pas
contu- sion violente à la partie supérieure de la jambe droite. Le
réflexe
achilléen, faible à gauche est nul à droite. Pa
..., couché sur le sol, l'a reçu sur la jambe elle pied gauches. Le
réflexe
achilléen, normal à droite, est nul à gau- che.
lisé pendant 5 jours ; présente actuellement une cicatrice souple. Le
réflexe
achilléen, normal droite, est nul à gauche. Pas
rieure de la jambe gauche ; a séjourné 9 jours à l'infirme- rie. Le
réflexe
achilléen, faible à droite est nul il gauche. Pas
te ; a présenté consécutivement de l'hémarthrose du genou droit. Le
réflexe
rotulien droit est nul, le rotulien gauche étan
rotulien gauche étant normal ainsi que les achilléens et les autres
réflexes
. Pas d'autre trouble. Les observations suivan
t plusieurs semaines à 33 ans.Varices surtout marquées à droite. Le
réflexe
achilléen existe il gauche, est nul à droite. Pas
varices très légères il gauche, plus marquées à droite, présente un
réflexe
achilléen sensiblement normal à gauche et nul à
mais il me le signale spontanément lorsque je constate l'absence du
réflexe
achilléen droit. t. Obus. XI. - D..., fantass
illéen droit. t. Obus. XI. - D..., fantassin, 33 ans, présente un
réflexe
achilléen normal à droite, nul à gauche ; le ré
s, présente un réflexe achilléen normal à droite, nul à gauche ; le
réflexe
rotulien est peut-être moins fort à gauche. Il
s causes princi- pales de la fréquence particulière de l'absence du
réflexe
achilléen chez les fantassins âgés. Fantassins
fection cons- titue une des causes les plus communes d'abolition du
réflexe
achilléen. Dans certains cas, l'évolution montr
illéen. Dans certains cas, l'évolution montre bien que l'absence du
réflexe
est une abolition pathologique : c'est un point
LEXES ACHILLEENS ET ROTULIENS 169 ' En considérant l'absence de ces
réflexes
comme une abolition patholo- gique on s'expliqu
erses statistiques. A. Charpentier n'a jamais observé l'absence des
réflexes
rotu- liens ou achilléens sur 1200 soldats d'un
ier sans antécédents syphilitiques. Pelitzaeus n'a jamais trouvé le
réflexe
rotulien absent sur 2403 enfants, c'est-à-dire bi
nt accumulé les causes pathologiques, trouve chez 9 d'entre eux les
réflexes
rotuliens nuls sans autre signe de maladie nerv
nt un travail pé- nible, un examen systématique peut montrer nul le
réflexe
achilléen ou le réflexe rotulien. Dans quelqu
un examen systématique peut montrer nul le réflexe achilléen ou le
réflexe
rotulien. Dans quelques cas, uu examen clinique
connue et traitée mais incomplètement guérie. Dans d'autres cas, le
réflexe
est nul sans autre symptôme nerveux. Dans les c
latérale (les deux tiers des cas) ; lorsqu'elle est unilatérale, le
réflexe
du côté opposé est généralement faible. Lorsque
l'élude statistique établit la nature pathologique de l'absence des
réflexes
acliilléens et rotuliens dans les cas où la clini
tuliens dans les cas où la clinique ne suffit pas à la révéler. Ces
réflexes
ne manquent pas congén i talemen t et ne disparai
tise médicale, et la clinique. Après avoir constaté la nullité d'un
réflexe
et avant de l'interpréter, il faut rechercher, pa
t trouble de la sensibilité et de la motilité, il faut examiner les
réflexes
. L'irréflectivité, seule ou associée à des trou-
être ainsi plus précoces. Dans l'armée, l'examen systématique des
réflexes
est particulièrement t indiqué chez les militai
rêves) et d'autre part des mouvements mus- culaires, volontaires et
réflexes
. Le sens commun, c'est essentiellement la fonct
gories de mouvements. En premier lieu il faut placer les mouvements
réflexes
, de beaucoup les plus importanls,Descartes,en e
é et correspondant à ce- lui que nous donnons habituellement au mot
réflexe
que Descartes admet une action directe des obje
critspar Pawlow et les physio- logistes de son école sous le nom de
réflexes
cérébraux. Voyons en effet, comment « les passi
es réactions (2) ». Et celle physiologie de la pensée fondée sur le
réflexe
, nous paraît singuliè- rement proche par quelqu
Foie : Gros, débordant de deux- travers de doigt le rebord costal.
Réflexe
: Rotuliens abolis. Pupilles inégales, mais réa
euse unissant les deux portions interne et externe. Exagération des
réflexes
tendineux aux quatre membres. Le fils de ce m
uples et élastiques. Le corps thyroïde n'était pas perceptible, les
réflexes
tendineux et cutanés étaient normaux ; un exame
s habile dans les mouvements fins, notamment dans la palpation. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont abolis. Aux
eux des membres supérieurs sont abolis. Aux membres inférieurs, les
réflexes
rotuliens et crémastériens sont aussi abolis, et
lement de la plante du pied ne produit aucun mouvement des orteils.
Réflexes
pupillaires normaux. L'examen de la sensibilité
à droite, tandis qu'elle est diminuée à gauche (cuisse et jambe).
Réflexes
tendineux abolis aux membres inférieurs (rotulien
tendineux abolis aux membres inférieurs (rotuliens et achilléens).
Réflexes
crémastériens et plantaires, nuls également. Se
oite, les mêmes troubles trophiques exis- tent, maisatténués. Les
réflexes
tendineux sont abolis aux quatre membres. Pas d
res fréquentes. Réaction de dégénérescence partielle. Abolition des
réflexes
tendineux des quatre membres. Sensations doulou
es membres supérieurs, et caractérisée en outre par l'abolition des
réflexes
tendineux, la diminution des réactions électriq
ceinture scapulaire ; elle s'accompagnait d'un affaiblissement des
réflexes
tendineux et de phénomènes douloureux. Les cont
es que sur un sujet. Les membres inférieurs étaient indemnes et les
réflexes
patellaires conservés. Il fant rappeler aussi l
écutive aux membres inférieurs et aux nerfs crâniens, abolition des
réflexes
tendineux, diminution des réactions électriques,
on consécutive aux cuisses et aux membres supérieurs. Abolition des
réflexes
tendineux, tremblements fibrillaires dans les m
ercostaux ; diminution des réactions électriques ; pas de douleurs,
réflexes
pupillaires abolis, voix nasonnée ; psychose mani
urs dans les extrémités; atrophie des membres inférieurs, steppage,
réflexes
rotuliens très faibles, légère diminution de la
ce, prédominant aux extrémités et respec- tant le tronc et la face.
Réflexes
tendineux abolis ; pas d'ataxie ni de troubles
dans les membres inférieurs et supérieurs,puis arrêt de la maladie.
Réflexes
tendineux faibles ; contractions fibrillaires dau
s tard sont moins atteints ; hypotonie sans parésie ; abolition des
réflexes
tendineux ; pas de contractions fibrillaires, sen
illaires dans les muscles des membres et de la face : abolition des
réflexes
tendineux ; diminution des réactions électri- q
rédominant aux membres inférieurs, pieds- bots, scoliose, perte des
réflexes
tendineux, hypertrophie des troncs nerveux, tro
berg, mais tremblement intentionnel, parole saccadée. Dimmution des
réflexes
lumineux. Examen histologique : Dans la moelle, s
le malade ne peut marcher qu'avec une canne et son pied tombe. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont normaux,
inférieurs sont normaux, sauf l'achilléen gauche qui a disparu. Le
réflexe
plantaire se fait en flexion. On constate de l'
sibilités tactile, douloureuse et thermique semblent intactes ; les
réflexes
n'ont pas varié, l'achilléen gauche est complètem
d'adduction et de rota- tion en dedans sont normaux. Même état des
réflexes
. Les douleurs, quoique très diminuées, n'ont pa
uscles atteints et les troubles électriques sont très mar- qués. Le
réflexe
achilléen gauche est toujours aboli, les autres r
r- qués. Le réflexe achilléen gauche est toujours aboli, les autres
réflexes
tendi- neux existent, pas d'extension du gros o
es innervés par le crural et l'obturateur sont mieux conservés. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs, achil- léens
léens et patellaires sont abolis aussi bien à droite qu'à gauche. Le
réflexe
plan- taire semble également disparu, en tout c
ire de l'anesthésie, occupant surtout Le, S' et S2, l'abolition des
réflexes
tendineux, la disparition des réflexes achilléens
e, S' et S2, l'abolition des réflexes tendineux, la disparition des
réflexes
achilléens précédant celle des réflexes patella
ndineux, la disparition des réflexes achilléens précédant celle des
réflexes
patellaires, faisaient penserà une lésion des rég
Minor). Dans les cas typiques de lésion limitée à cette région, les
réflexes
rotuliens sont conservés, l'intégrité des sphinct
te, le rétlexe achilléen du côté gauche a disparu le premier et les
réflexes
patellaires n'ont disparu que long- temps après
e. L'excitabilité idio-musculaire n'est aucunement augmentée. Les
réflexes
rotulien et achilléen se produisent des deux côté
Les réflexes rotulien et achilléen se produisent des deux côtés ; les
réflexes
plantaires entraînent la rétraction du membre i
la rétraction du membre inférieur tout entier, des deux côtés. Les
réflexes
du crémaster, les réflexes abdominaux et épigastr
férieur tout entier, des deux côtés. Les réflexes du crémaster, les
réflexes
abdominaux et épigastriques se produisent des d
es abdominaux et épigastriques se produisent des deux côtés. Pas de
réflexes
des tendons supérieurs à droite ceux des biceps
nt à la lumière et à l'accommodation : les pupilles sont égales. Le
réflexe
de la cornée se produit. La perception du touch
res dans les muscles atrophiés. Aucun troublede la sensibilité. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont faibles d
CULAIRE PROGRESSIVE HÉMJLATÉRALE 331 manière dont se comportent les
réflexes
tendineux, il est bon, comme dans mon cas, de f
n cas, de faire remarquer que, du côté malade, il n'y avait plus de
réflexes
tendineux supérieurs, tandis que, des deux côtés,
s de réflexes tendineux supérieurs, tandis que, des deux côtés, les
réflexes
rotuliens se produisaient normalement. Or Lando
trouvè- rent dans la maladie en question, que deux fois sur cinq le
réflexe
rotulien était aboli bien qu'il n'y eût pas dim
sse. Marinesco (1) ne croit pas que, pour expliquer l'abolition des
réflexes
tendineux et la discordance qu'il y a entre la
x et la discordance qu'il y a entre la diminution de la contraction
réflexe
des muscles et la conservation de leur volume dan
altérations dont sont affectés les muscles qui prennent part à ces
réflexes
. Il me semble que le cas présenté par moi vient
présenté par moi vient appuyer cette seconde opinion. En effet, les
réflexes
tendi- neux supérieurs étaient abolis du côté m
exes tendi- neux supérieurs étaient abolis du côté malade, mais les
réflexes
rotuliens et ceux du tendon d'Achille s'y étaie
. La sensibilité est normale. La flexibilité cireuse a disparu. Les
réflexes
patellai- res sont diminués; le plantaire est n
dant avait un signe de Robertson bilatéral et de la diminution (des
réflexes
achilléens. 1 Sur nos six cas sans examen anato
ana- lomique,etd'autre part l'état des réflexBs, en particulier du
réflexe
cutané plantaire, n'est pas indiqué dans toutes
les de l'articulation des mots ; l'écriture n'est pas tremblée. Les
réflexes
pupillaires et les autres réflexes tendineux sont
écriture n'est pas tremblée. Les réflexes pupillaires et les autres
réflexes
tendineux sont très exagérés. Clonus du pied dr
tres réflexes tendineux sont très exagérés. Clonus du pied droit et
réflexe
plantaire du même côté en légère extension. Eba
des contractions fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras. Le
réflexe
du muscle triceps et du périoste est assez vif.
des mouvements. Tension musculaire insensiblement augmentée. Les
réflexes
patellaires et achilléens sont exagérés; au côt
r et hypothénar de même que ceux de l'avant-bras sont atrophiés. Le
réflexe
du muscle triceps manque. Le réflexe périostal es
'avant-bras sont atrophiés. Le réflexe du muscle triceps manque. Le
réflexe
périostal est faible. Dans la position couché
beaucoup moindre qu'en temps normal et à portée très faible. Les
réflexes
tendineux (patellaires et achilléens) sont très v
bilatéral ; trépidation de la rotule et du pied des deux côtés. Les
réflexes
abdominaux manquent. Rétention d'urine ; constipa
aux jambes. 22. - Douleurs aux jambes. Paraplégie. Exagération des
réflexes
tendineux.1' Phénomène de Babinski. Rétention c
s supérieurs et d'atrophie des muscles du type Aran-Du- chenne, les
réflexes
tendineux et périostaux des membres supérieurs fa
érieurs ont présenté des phénomènes spastiques avec exagération des
réflexes
. L'observation de la sensibilité présenta la di
E DU RACHIS COMPRESSION RADICO-MÉDULLAIRE INVERSION BILATÉRALE DU
RÉFLEXE
DU RADIUS PAR C. PASTINE (Assistant à la Cl
faitement égales : la pupille droite paraît un peu plus grande. Les
réflexes
à la lumière, et à la distance sont normaux. En
res. Il n'y a pas de mouvements involontaires des membres et les
réflexes
cuta- nés de défense ne sont nullement exagérés
t les réflexes cuta- nés de défense ne sont nullement exagérés. '
Réflexes
. Membre supérieur gauche. Position de ce membre p
, comme un serrement très sensible de sa main. C'est l'inversion du
réflexe
du radius, récemment signalée par Babinski. Le
rcutant très doucement en haut sur le muscle extenseur commun. Le
réflexe
du biceps est très vif. , Membre supérieur droi
rite et en percutant sur les points indiqués pour la re- cherche du
réflexe
ostéo-radial, il se produit toujours la même inve
tion des radiaux), seul ou associé à la flexion des doigts. '. Le
réflexe
du triceps est encore plus vif, plus brusque que
un peu le point de la percussion. ? Pour la recherche de tous ces
réflexes
du membre supérieur droit il faut pren- dre enc
il se produit facilement de la trépidation. Membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont très vifs des deux
uoique faite avec les précautions données, devient douloureuse. Les
réflexes
cutanés abdominaux et crémastériens sont conservé
et objec- tive, à caractère radiculaire, l'inversion bilatérale du
réflexe
du radius (signe de Babinski), la parésie spast
premier examen du malade, le nouveau signe de Babinski inversion du
réflexe
du radius dont les publications jus- qu'ici par
s fonctions organiques se font bien, la menstruation est régulière.
Réflexes
patellaires abolis, réflexes super- ficiels de
t bien, la menstruation est régulière. Réflexes patellaires abolis,
réflexes
super- ficiels de l'abdomen conservés. 9 890.
s mouvements du visage s'effectuent avec régularité des deux côtés.
Réflexes
. Les pupillaires sont normaux' la lumière, l'acco
'existe plus à droite et est seulement perceptible à gauclie. Les
réflexes
tricipitaux, radiaux, rotuliens et achilléens son
le du palais est paralysé à droite, la luette est écartée à gauche.
Réflexes
. Les pupillaires sont normaux ; le cornéen existe
e les yeux lentement. Pas d'autres signes de para- lysie faciale.
Réflexes
. Pupillaires normaux ; cornéens, aboli à droite,
droite, normal à gau- che ; pharyngien diminué à droite. Les autres
réflexes
, un peu vifs. Peut-être un peu plus vifs à droi
au est paralysé dans les trois cas (anesthésie et hypoesthésie). Le
réflexe
cornéen est aboli chez les trois malades yUppenli
minu- tion de la force du côté droit sans déviation de la face. Les
réflexes
tendineux sont diminués des deux côtés, mais ex
à droite. Le malade est très obnubilé et l'examen difficile. Les
réflexes
rotuliens droit et gauche sont très diminués, les
est très difficile vu l'état de fai- blesse extrême du malade. Le
réflexe
cutané plantaire manque souvent, se ferait plutôt
ept jours par un nouvel ictus avec hémiplégie droite. Abolition des
réflexes
cutanés du même côté, abolition terminale des r
bolition des réflexes cutanés du même côté, abolition terminale des
réflexes
tendineux de la rotule et du tendon d'Achille,
t sain d'un côté et de l'autre, pas d'autre atrophie musculaire. Le
réflexe
radial est extrême- ment faible des deux côtés,
me sur la figure 3. 432 P. MARIE ET FOIX flexe cubital. Quant aux
réflexes
du coude, on peut le provoquer, mais il est dim
lade serre assez bien la main. Il n'y a pas d'autre amyotrophie. Le
réflexe
radial est conservé des deux côtés. Le réflexe
utre amyotrophie. Le réflexe radial est conservé des deux côtés. Le
réflexe
cubital diminué du côté gauche (Ces réflexes/sont
ervé des deux côtés. Le réflexe cubital diminué du côté gauche (Ces
réflexes
/sont exa- gérés à droite du fait de l'hémiplégi
s inter-osseux du côté gauche. Nous renvoyons plus loin l'étude des
réflexes
. Hémiplégie droite, aphasie terminale. Le 10
opsie droite très nette. En même temps le malade est aphasique. '
Réflexes
rotuliens et achilléens plus forts à droite. Réfl
aphasique. ' Réflexes rotuliens et achilléens plus forts à droite.
Réflexe
cutané plantaire en extension des deux côtés.Pa
Réflexe cutané plantaire en extension des deux côtés.Pas de clonus.
Réflexes
abdominaux etcrémastériens très diminués. Le po
ée aux éminences thénar et hypothénar. Les bras sont in- demnes, le
réflexe
radial conservé, le réflexe cubital diminué. Le d
ypothénar. Les bras sont in- demnes, le réflexe radial conservé, le
réflexe
cubital diminué. Le début de l'affection s'est
veux. - Rendu difficile par les ankyloses et l'état de la malade.
Réflexes
rotuliens : impossibles à obtenir, en raison de l
Réflexes rotuliens : impossibles à obtenir, en raison de l'ankylose.
Réflexes
achilléens également impossibles à obtenir, mai
chercher convenablement. Signe de Babinski. En flexion bilatérale.
Réflexes
abdominaux abolis. Les ré llexes du coude parai
x abolis. Les ré llexes du coude paraissent abolis également. Les
réflexes
du poignet cubital et radial sont abolis du côté
radial sont abolis du côté droit et exis- tent du côté gauche. Les
réflexes
pupillaires existent ; pas de strabisme ni d'hé-
Du côté gauche la main est un peu maigre mais parait normale. Les
réflexes
du poignet, radial et cubital, existent à gauche
portant sur les nerfs cubital et médian à partir du coude. Atrophie
réflexe
modérée des 7" et 8° racines cervicales et de l
t sans trop de difficulté à prendre une épingle sur un plan solide.
Réflexes
. Les réflexes tendineux, rotulien, achilléen sont
difficulté à prendre une épingle sur un plan solide. Réflexes. Les
réflexes
tendineux, rotulien, achilléen sont normaux. Les
exes. Les réflexes tendineux, rotulien, achilléen sont normaux. Les
réflexes
du coude et du poignet, radial et cubital sont ég
e signe de Babinski se fait en Ilexion. Il n'y a pas de clonus. Les
réflexes
abdominal et crémastérien existent. La sensibil
x douleurs ful- gurantes doit faire suspecter un tabes incipiens.
Réflexes
cutanés plantaires, pas de mouvement d'un côté ni
e mouvement d'un côté ni de l'autre. Ré- flexe abdominal existe. Le
réflexe
pupillaire existe. Enfin la réflectivité du mem
périeur donne les résultats suivants : Les réllexes du coude et les
réflexes
cubitaux paraissent abolis. Le réflexe radial t
Les réllexes du coude et les réflexes cubitaux paraissent abolis. Le
réflexe
radial très diminué du côté gauche, existe du c
rieurs. L'examen du système nerveux ne révèle rien de spécial. Les
réflexes
rotu- liens sont normaux et égaux d'un côté à l
rmaux et égaux d'un côté à l'autre. De même pour les achilléens. Le
réflexe
cutané plantaire se fait en flexion. Le réflexe
es achilléens. Le réflexe cutané plantaire se fait en flexion. Le
réflexe
abdominal et le réflexe crémateux sont conservés.
exe cutané plantaire se fait en flexion. Le réflexe abdominal et le
réflexe
crémateux sont conservés. Les réflexes du membr
n. Le réflexe abdominal et le réflexe crémateux sont conservés. Les
réflexes
du membre supérieur méritent une mention spécia
ur méritent une mention spéciale. Il n'y a pas de modifica- tion du
réflexe
du coude ni des réflexes radial et cubital qui ex
spéciale. Il n'y a pas de modifica- tion du réflexe du coude ni des
réflexes
radial et cubital qui existent et sont égaux d'
s muscles interosseux. La sensibilité de la main est normale. Les
réflexes
tricipitaux sont normaux et égaux. Le réflexe r
ain est normale. Les réflexes tricipitaux sont normaux et égaux. Le
réflexe
radial est un peu plus fort à gauche. Le réflexe
rmaux et égaux. Le réflexe radial est un peu plus fort à gauche. Le
réflexe
cubital est diminué du même côté. Le réflexe du
plus fort à gauche. Le réflexe cubital est diminué du même côté. Le
réflexe
du pisiforme est beaucoup plus marqué à droite
s points douloureux, hypertrophie de l'articulation médio-sternale.
Réflexes
ro- tuliens normaux. Réflexes achilléens diminu
hie de l'articulation médio-sternale. Réflexes ro- tuliens normaux.
Réflexes
achilléens diminués, presque abolis à gauche. Ré-
abolis à gauche. Ré- flexe cutané plantaire en flexion bilatérale.
Réflexes
oculo-pupillaires conservés. Réflexe abdominal
ntaire en flexion bilatérale. Réflexes oculo-pupillaires conservés.
Réflexe
abdominal existe. On note en outre une inégalit
s impérieuses. En même temps strabisme divergent. A l'examen, les
réflexes
achilléens existent, le réflexe rotulien conservé
rabisme divergent. A l'examen, les réflexes achilléens existent, le
réflexe
rotulien conservé à droite, est aboli à gauche.
xistent, le réflexe rotulien conservé à droite, est aboli à gauche.
Réflexe
cutané plantaire en flexion.Réflexe du mem- bre
tes. Paralysie bila- térale du moteur oculaire commun, abolition du
réflexe
rotulien gauche. Ponction lombaire. Grosse augm
e. Il en est de même de l'extension des deux dernières phalanges.
Réflexe
du membre supérieur : coude, paraît aboli des deu
It P. 111AlIm ET FOIX Ainsi donc, abolition à peu près complète des
réflexes
du membre supérieur, sauf du réflexe radial dro
ition à peu près complète des réflexes du membre supérieur, sauf du
réflexe
radial droit (côté amyotrophié). A l'examen éle
hénar, les interosseux, l'avant-bras et le bras sont normaux. Les
réflexes
olécraniens, radial, cubital existent. Pas de tro
amen somatique du système nerveux ne révèle rien autre chose. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont normaux. Il n'y a pa
ent dans 4 sur 6 de nos cas purement cliniques. Quant à l'étude des
réflexes
, elle est quelque peu décevante et cela pour de
dullaires intéressés (8 CI D) est le réllexe de flexion des doigts,
réflexe
inconstant dont l'existence a seule de la valeur.
réflexe inconstant dont l'existence a seule de la valeur. Pour les
réflexes
cubital et radial, nous voyons en dépouillant nos
t l'un un tabétique, le deuxième une labétisante avec abolition des
réflexes
achilléens, nous avons observé la dissociation
es achilléens, nous avons observé la dissociation suivante : « Le
réflexe
cubital est aboli des deux côtés. « Le réflexe
on suivante : « Le réflexe cubital est aboli des deux côtés. « Le
réflexe
radial est aboli ou extrêmement diminué du côté s
t du côté malade. » e) Enfin dans un cas d'atrophie congénitale, le
réflexe
radial était un peu plus fort du côté malade, e
tale, le réflexe radial était un peu plus fort du côté malade, elle
réflexe
cubital très diminué du même côté. En résumé :
tal très diminué du même côté. En résumé : La conservation des deux
réflexes
radial et cubital est fréquente. Dans un de c
le également. Il existe des cas où l'on observe du côté malade un
réflexe
radial plus fort que celui du côté sain. Cett
té sain. Cette dissociation est difficile à expliquer, le centre du
réflexe
radial étant situé au-dessus du centre des peti
e le plus souvent. Nous avons vu l'incertitude où laisse l'état des
réflexes
. Il semble, à voir nos observations, que leur abo
ntrale. Nous pensons également que l'existence du côté atteint d'un
réflexe
radial exagéré par rapport à celui du côté sain
idien normal on consta- tera une atrophie isolée avec abolition des
réflexes
radial et cubital, on conclura à la lésion péri
thologique, on constatera une atrophie isolée avec conservation des
réflexes
radial et cubi- tal du côté malade, on conclura
côté droit est paralysé, mais il s'agit seulement de parésie. Les
réflexes
rotuliens sont abolis des deux côtés.Babinski en
vue somatiquc un léger tremblement des doigts et l'exagération des
réflexes
rotuliens. On ne trouve pas de troubles pupillair
éveloppés ». On signala encore l'inégalité pupillaire avec perte du
réflexe
à la lumière, une certaine atonie du côté droit
ts, leur extrémité digitale atteignant à peine le pli inguinal. Les
réflexes
achilléens et rotuliens abolis. Au point de vue
t bien développé. Inégalité pupillaire avec diminution prononcée du
réflexe
lumi- neux. Tremblements dans les muscles fac
illes,des tremblements des mains et de la langue, la diminution des
réflexes
pupillaires. Une cicatrice dans le sillon halan
aux membres inférieurs la raie blanche persiste très longtemps. Les
réflexes
tendineux sont normaux ainsi que les réflexes pup
e très longtemps. Les réflexes tendineux sont normaux ainsi que les
réflexes
pupillaires. L'excitation de la plante du pied
ge couche de tissu cellulo-graisseux. Aux membres inférieurs, les
réflexes
rotuliens sont très forts. Le réflexe plantaire
Aux membres inférieurs, les réflexes rotuliens sont très forts. Le
réflexe
plantaire se fait en flexion Il n'y a pas de tr
ires sont atrophiées, mais la force est relativement conservée. Les
réflexes
tendineux sont forts. Il n'y a pas de troubles
doit faire rejeter la myopathie, est l'exagération très marquée des
réflexes
tendineux. D'autre part l'absence complète de t
his. Compres- sion radiculo-médullaire. Inversion btlaté- rale du
réflexe
du radius (2 pl.), par Pas- TmE, 40. Oxycépha
rzle chronique du rachis. Compression-. Inversion bila- térale du
réflexe
du radius) (2 pl.), par PASTINE, 405. Réflexe
n bila- térale du réflexe du radius) (2 pl.), par PASTINE, 405.
Réflexe
du radius (Ostéo-arthrite chronique du rachis.
-) (2 pl.), par Pasrrvc, 41)5. - achilléens (Absence des - et des
réflexes
rotuliens sans autre signe d'affection du sys
ues) (2 pl.), par Chalier et NOVÉ-Jo5slm INIJ, 76. - (Absence des
réflexes
achilléens et des z sans autre signe d affectio
r André-Thomas et QUEIICY, 364. Tabes (Conservation et retour des
réflexes
lotuliens dans le - ; à propos d'un malade -
) et 1'ov> ? JossEnu\o (L.). De la conservation et du retour des
réflexes
ro- tuliens dans le tabes dorsalis ; à propos
glande pinéale (8 dessins), 171. Dupuy (Louis). De l'absence des
réflexes
achilléens et des réflexes rotuliens sans aut
, 171. Dupuy (Louis). De l'absence des réflexes achilléens et des
réflexes
rotuliens sans autre signe d'affection du systè
S rachis. Compression radiculo-médullaire Inversion bilatérale du
réflexe
du radius (2 pi.), 405. Petit (Georges). Epil
XI. Rachis, ostéo-arthrite chronique (PASTINr), LVII et LVIII.
Réflexes
rotuliens dans le tabès (CIIALIEIL et NovÉ-Joss
le (ANDRÉ-TiIO31AS et QUEl\CY), LII à LV. Tabes, conservation des
réflexes
rotuliens (CIIALI6ft et Nové-Josserand), XIII e
anée, une pensée, une émotion. Ils se font tous par le mécanisme du
réflexe
. La volonté nua sur eux aucune action directe.
te. Dans beaucoup de. circonstances pathologiques, ces mouvements
réflexes
de la pupille sont abolis ou atténués. Réflexe
s, ces mouvements réflexes de la pupille sont abolis ou atténués.
Réflexe
à la lumière. 1° Recherche à la lumière du jour
bscure avec une lampe et une loupe. Le malade Fig. 26. Recherche du
réflexe
pupillaire à la lumière du jour. il temps : 'l'ob
se contracter sous l'action de la lumière. Fig. 27. - Recherche du
réflexe
pupillaire à- l'aidé de la lentille convergente.
rière lequel se trouve la bougie allumée. - . Fis. 29. Recherche du
réflexe
lumineux à l'aide de la bougie. 2*' temps : le mé
ter l'expé- rience plusieurs fois de suite. , La constatation du -
réflexe
à la lu- mière est plus facile encore à l'aide
es à l'oeil nu et par les procédés habituels, d'éclai- rage. 5°
Réflexe
consensuel. A l'état physiologique normal; l'ex
synergique, simultanée, des deux pupilles, celle de l'oeil éclairé (
réflexe
homolatéral) et celle dé l'autre oeil (réflexe
e de l'oeil éclairé (réflexe homolatéral) et celle dé l'autre oeil (
réflexe
hétérolatéral). Pour rechercher l'existence ou l'
servateur d'interrompre à son gré la lumière. Fig. ? Recherche du
réflexe
lumineux a la loupe. A. lampe électrique et sys
teur. EXPLORATION DE LA ÎIOTILITÉ INTRINSÈQUE DU GLOBE. 2'' de ce
réflexe
, on procède comme dans le cas précédent, mais on
s une obscurité modérée. Quand on a préalablement constaté que le
réflexe
homolatéral n'existait pas dans l'un des yeux,
trique ingénieux a été fait récemment, qui facilite la recherche du
réflexe
consensuel. Une coquille pouvant s'appliquer sur
sur l'oeil ouvert, on allume brusquement la lampe et on constate le
réflexe
consensuel du côté opposé resté décou- vert.
tater l'existence, mais encore mes/{- l'er le degré de la inutilité
réflexe
de l'iris il la lumière. Une autre manière de c
l'iris il la lumière. Une autre manière de constater l'existence du
réflexe
consensuel, con- siste, en se tenant au jour, i
oir s'il ne se produit pas une légère dilata- tion pupillaire. 4°
Réflexe
hémianopique. Dans certains cas d'hémianopsie, le
ire. 4° Réflexe hémianopique. Dans certains cas d'hémianopsie, le
réflexe
lumineux ne se produit pas quand les rayons lumin
lumière. [POULARD.] aU TROUBLES NERVEUX. DE L'APPAREIL OCULAIRE
Réflexe
dans le passage de la vision lointaine à la vis
à la vision rapprochée, la pupille se contracte fortement. C'est ce
réflexe
qu'on appelle quelque- fois réflexe il la conve
e contracte fortement. C'est ce réflexe qu'on appelle quelque- fois
réflexe
il la convergence ou réflexe il l'accommodation.
ce réflexe qu'on appelle quelque- fois réflexe il la convergence ou
réflexe
il l'accommodation. En réalité, ce réflexe n'es
exe il la convergence ou réflexe il l'accommodation. En réalité, ce
réflexe
n'est lié ni il l'accommodation ni il la converge
ction d'une cause commune et non sous une influence réciproque. Ces
réflexes
peuvent, en elle ! , être atteints isolé- ment,
es autres de se pro- duire. L'accommodation peut être nulle avec un
réflexe
pupillaire parfait, la convergence peut être ab
éagir normale- ment dans la vision rapprochée. Les dénominations de
réflexe
a t'accom- modation. réflexe il la convergence,
ision rapprochée. Les dénominations de réflexe a t'accom- modation.
réflexe
il la convergence, ont donc l'inconvénient d'étab
erses fonctions un lien causal qui n'existe pas. Pour rechercher ce
réflexe
, l'observateur invite le malade il porter son r
ision loin- taine à la vision rapprochée la pupille se contracte.
Réflexes
aux excitations cutanées. Le malade regardant a
mais empêchant l'action irido-con- strictive de la lumière vive.
Réflexe
à l'occlusion des paupières. 1" On demande à l'
e dans laquelle on observe, doit avoir une grande influence sur ces
réflexes
. Il faut toujours opérer dans les mêmes conditi
it sombre. EXPLORATION DE LA 110TTT.TTI' INTRINSÈQUE DU GLOBE. 51
Réflexe
d'origine psychique. Il suffit d'attirer l'atte
Le même procédé permet de rechercher l'existence ou l'absence des
réflexes
cornécn et conjonctival. L'attouchement de la cor
ion, écartement). Il est également facile de rechercher les divers,
réflexes
palpébraux : réflexes d'occlusion à l'excitatio
st également facile de rechercher les divers, réflexes palpébraux :
réflexes
d'occlusion à l'excitation cornéenne ; à la proje
la projection de lumière vive; à l'attouchement du bord palpébral;
réflexe
de défense à la projec- tion vers l'oeil d'un o
ojec- tion vers l'oeil d'un objet pointu ou susceptible de blesser (
réflexe
de crainte). Seule, la mensuration du ptosis mé
objectivement appréciables. ' Amaurose bilatérale : Cécité absolue.
Réflexes
pupillaires conservés. Elle a tous les caractèr
puis croire à la nature hystérique des amauroses avec abolition du
réflexe
pupillaire. Amaurose unilatérale.- Cécité d'un
- Dissociation entre les mouvements volontaires et les mouvements
réflexes
dans l'ophtalmoplégic ; Défaut des mouvements a
')'n()U) ! L);SE)iYEU\DHL'AÏ't'.\t : H ! LOOELA ! ! u ? Amblyopies
réflexes
. - Certaines affections de l'organisme, paraiss
. - Certaines affections de l'organisme, paraissant agir par action
réflexe
, amènent des troubles visuels avec dimi- nution
ner. Ces troubles oculaires (comme d'ailleurs toutes les amblyopies
réflexes
) ne s'accompagnent pas d'altérations graves; il
s que nous avons, suivant l'usage, groupés sous le nom d'amblyopies
réflexes
, ne sont pas seulement constitués par une altér
oduction, il est, pour le moment, fort mal connu; l'explication par
réflexe
semble bien n'être que provisoire. Amblyopie pa
brusquement une cécité absolue, sans signes ophtalmoscopiques. Les
réflexes
pupillaires sont conservés. En un, deux, trois
1 ig. 59. Schéma- des voies opliques. N, nerf optique ; R, noyaux
réflexes
du mésocéphale ; GO, ganglion ophtal- mique. 'E
ment brusque de défense. Chez t lieinianopsique, le même clignement
réflexe
défensif se produit si la projection est faite da
e trouvent les centres ré- tlexcs visuels et spécialement le centre
réflexe
pupillaire. La sensation lumineuse transportée
voie de retour par les nerfs moteurs du globe. 11 existe là un arc
réflexe
complet avec une voie centripète (le nerf optiq
UX DE L'APPAREIL OCULAIRE. aurez une cécité complète avec perte des
réflexes
pupillaires. Coupez les voies optiques en arriè
mésocéphale et vous aurez une cécité complète avec conservation des
réflexes
pupillaires. Cécité avec conservation des réfle
conservation des réflexes pupillaires. Cécité avec conservation des
réflexes
pupillaires signifie : lésion cérébrale, sur les
e de la moitié aveugle de la rétine doit logi- quement provoquer le
réflexe
comme l'excitation lumineuse de la moitié voyan
itié aveugle de la rétine ne devra pas. logiquement, donner lieu au
réflexe
pupillaire. C'est ce qui aurait lieu d'après "'
bilatérale. Dans une semblable cécité, il y aurait, aboli- lion de
réflexes
pupillaires à la lumière, ce qui suffirait il la
ations. Signe d'Argyl Robertson. Il est caractérisé par la perte du
réflexe
pupillaire à la lumière, coïncidant avec la con
réflexe pupillaire à la lumière, coïncidant avec la conservation du
réflexe
pupil- laire à la convergence. Pour l'expliquer
dans le M. 0. C. de fibres spéciales préposées à la transmission du
réflexe
lumi- neux, sur lesquelles certaines infections
ulière de la lésion dans les points 1, 2, 5, 4 4 des voies optiques
réflexes
, sur les fibres reliant les noyaux réflexes aux
4 4 des voies optiques réflexes, sur les fibres reliant les noyaux
réflexes
aux noyaux d'origine des nerfs oculomoteurs (li
noyau d'origine du nerf MOE; A, centre mesencephalique d'association
réflexe
; CA, centre cérébral d'association antérieur, s
res peuvent produire des mouvements oculaires par le méca- nisme du
réflexe
automatique. Mais, ce sont avant tout des centres
ertainement dans le mésocéphale un noyau, un centre d'asso- ciation
réflexe
des mouvements de latéralité des yeux, auquel vie
). Le malade regarde où il voit; les yeux se dirigent d'une manière
réflexe
vers le côté des sensations perçues, ils abandonn
et irido-dilatatrice du ganglion ophtalmique, ainsi que son action
réflexe
irido-dilatatrice. Un exemple : si on sectionne
ntes, au besoin, à celles que nous donnerons plus loin à propos des
réflexes
pupillaires, permettent de s'expliquer facilement
ation faible. Myosis spasmodique : dilatation normale. L'examen des
réflexes
est de la plus grande importance. On peut, dans
us grande importance. On peut, dans la plupart des cas, Ù l'aide du
réflexe
constricteur seul, distin- guer les diverses va
iverses variétés de mydriase et de myosis. Mydriase para- lytique :
réflexe
pupitto-constricteur absent. Mydriase spasmodique
tique : réflexe pupitto-constricteur absent. Mydriase spasmodique :
réflexe
pupillo-eonstrictour présent. Myosis paralytique
odique : réflexe pupillo-eonstrictour présent. Myosis paralytique :
réflexe
con- stricteur existe. On le constate facilemen
donne un peu de dilatation spasmodique et facilite la recherche du
réflexe
. Myosis spasmodique : réflexe constricteur absent
asmodique et facilite la recherche du réflexe. Myosis spasmodique :
réflexe
constricteur absent. Sa reelierhcc est difficil
duit une dilatation pupil- )aire spasmodique, avec conservation des
réflexes
; plus tard la pupille se resserre par paralysie
nclure il la simulation, s'il n'y a pas mydriase avec abolition des
réflexes
. Il s'agit presque toujours en ce cas de mydria
e qu'il s'agit d'une mydriase spasmodique par excitation directe ou
réflexe
du sympathique oculaire. On l'observe dans les mê
llaire résulte, d'après Piltz, d'une inégalité dans l'excitabilité -
réflexe
des deux pupilles à la lumière, à l'accommodati
'accommodation, à la contraction orbiculaire. Le malade présente un
réflexe
à la lumière, très bon à gauche, très faible à dr
pendant la période de régression des paralysies de l'iris. Troubles
réflexes
DE la pupille. Perte du. réflexe : lumineux. Le
paralysies de l'iris. Troubles réflexes DE la pupille. Perte du.
réflexe
: lumineux. Le réflexe. de l'iris à la lumière pe
Troubles réflexes DE la pupille. Perte du. réflexe : lumineux. Le
réflexe
. de l'iris à la lumière peut faire défaut dans
e nerveux oculaire. Dans la mydriase paralytique par l'atropine, le
réflexe
lumineux est com- plètement aboli. Il persiste,
. carpine) ou paralytique, on constate encore mais difficilement le
réflexe
lumineux à moins que le myosis ne soit maximal.
neux à moins que le myosis ne soit maximal. En général, la perte du
réflexe
lumineux vient d'une lésion du système nerveux.
lexe lumineux vient d'une lésion du système nerveux. Les mouvements
réflexes
lumineux de l'iris ont pour voie centripète, la
s ont pour voie centripète, la rétine, le nerf optique, pour centre
réflexe
les noyaux dumésocéphale, pourvoie centrifuge l
centrifuge le M. 0. C. (fig. 50). Toute lésion interrompant cet arc
réflexe
amène la perle du réflexe lumineux. L'interrupt
g. 50). Toute lésion interrompant cet arc réflexe amène la perle du
réflexe
lumineux. L'interruption de la portion centripè
réflexe lumineux. L'interruption de la portion centripète de l'arc
réflexe
sera réalisée dans toute affection de la rétine
lète est nécessaire pour que l'excitation lumineuse provocatrice du
réflexe
pupillaire ne soit pas transmise aux noyaux més
ité de fibres sensorielles pour que la transmission et par suite le
réflexe
aient lieu. Toutefois, dans de rares circonstan
rence complète, avec signes d'atrophie du nerf optique, produire le
réflexe
pupillaire. De ces faits, qui demandent 'confirma
e. De ces faits, qui demandent 'confirmation, on a conclu : la voie
réflexe
centripète est constituée non par les fibres se
s spéciales, ne percevant pas la lumière, réservées à la conduction
réflexe
. Ces fibres peuvent, dans certaines atrophies o
s deux yeux, sans lésions ophtalmoscopiqucs et avec persistance des
réflexes
, tirer la conclusion suivante : Il s'agit très
robablement d'une lésion des voies optiques située au delà de l'arc
réflexe
, au delà des noyaux du mesoce-J ! pliafe, entre
J ! pliafe, entre ceux-ci et l'éeorce cérébrale. La persistance des
réflexes
pupillaires à la lumière, en cas d amaurosc com
e, en cas d amaurosc complète, témoigne de ]'intl\., grité de l'arc
réflexe
sensoriel (nerf optique, noyaux mésencépfialiques
l (nerf optique, noyaux mésencépfialiques. M. 0. C). L'examen des
réflexes
pupillaires a donc une grande importance pour d
C. paraissant l'être également, on constate néanmoins l'absence du
réflexe
pupillaire il l'excitation lumineuse, tandis que
ence du réflexe pupillaire il l'excitation lumineuse, tandis que le
réflexe
persiste pour toute autre excitation (convergence
e, dans le tronc du M. 00 Co, de fibres spéciales à la transmission
réflexe
lumineuse, et pouvant s'altérer isolément. On p
n peut encore supposer que la lésion qui produit la perte isolée du
réflexe
lumineux siège dans les points où les fibres du
et par suite excite le neurone périphérique de la voie photomotricc
réflexe
(I¡g. 30). Signe d'Argyl Robertson : Tel que
l Robertson : Tel que l'a décrit Argyl Robertson, c'est la perte du
réflexe
pupillaire à la lumière avec conservation du réfl
st la perte du réflexe pupillaire à la lumière avec conservation du
réflexe
il la convergence et. accompagnement de myosis.
ns l'atrophie musculaire par névrite interstitielle hypertrophique.
Réflexe
consensuel. A l'état normal, les contractions et
tations de la pupille ont lieu simultanément dans les deux yeux; le
réflexe
est bilatéral, simultané. Ces mouvements iriens
ltanés, ne se produisent pas seulement quand l'agent provocateur du
réflexe
exerce son action sur les deux yeux, mais encor
e exerce son action sur les deux yeux, mais encore quand l'excitant
réflexe
(lumière) agit sur un seul oeil (fîg. 59). L'ex
ipète est double, la voie centrifuge l'est également, chaque centre
réflexe
envoyant des filets centrifuges aux deux noyaux
noyaux photo-moteurs droit et gauche. La distribution bilatérale du
réflexe
pupillaire se, trouve donc doublement assurée p
ution bilatérale des voies centripètes et centrifuges. Ce mouvement
réflexe
bilatéral de l'iris sous l'influence d une exci
s sous l'influence d une excitation lumineuse unilatérale, c'est le
réflexe
consensuel. Dans certaines conditions pathologi
le réflexe consensuel. Dans certaines conditions pathologiques, ce
réflexe
consensuel peut présenter des modifications ou
ntes indications. a) Eclairage successif de l'OD et de l'U 1. Les
réflexes
homolatéral et hétérolatéral existent dans les de
usion : Ni la portion centripète, ni la portion centrifuge de l'arc
réflexe
ne sont interrompues. Si la vision est bonne, o
opti- ques sensorielles de luit à l'écorce et l'intégrité des voies
réflexes
centrifuges. S'il y a amaurose d'un ou des de
se voit particulièrement dans le tabès, dans la paralysie générale.
Réflexe
pupillaire aux excitations cutanées. Son existenc
x excitations cutanées. Son existence démontre l'intégrité de l'arc
réflexe
irido-dilatateur, dont la voie centri- pète est
istin- guer une anesthésie organique d'une anesthésie hystérique.
Réflexe
pupillaire psychique (réflexe cortical, réflexe d
rganique d'une anesthésie hystérique. Réflexe pupillaire psychique (
réflexe
cortical, réflexe d'attention). Un individu est
sthésie hystérique. Réflexe pupillaire psychique (réflexe cortical,
réflexe
d'attention). Un individu est placé dans une ch
ion pupillaire ne reparaît qu'au bout de 1 à 10 minutes. Ce trouble
réflexe
pupillaire ne s'est vu, rarement d'ailleurs, que
On n'en connaît pas bien exactement la cause ni la signification.
Réflexe
à l'occlusion des paupières. 1" La fermeture én
tirer une conclusion valable. Il est, par exemple, certain que les
réflexes
pupillaires à l'occlusion doivent varier avec l
de l'examen, et ces conditions n'ont jamais été nettement exposées.
Réflexe
paradoxal. Il consiste en une dilatation pupillai
aladies nerveuses variées très avancées. Pillz signale encore comme
réflexe
paradoxal la dilatai ion pupillaire dans la con
s; les membres infé- rieurs sont pris d'incoordination motrice; les
réflexes
rotuliens disparais- sent. C'est le tableau cli
érées et enflammées peuvent produire de l'hypersécrétion par action
réflexe
. Valeur séméiologique. Le larmoiement peut être
e, des voies lacry- males, des fosses nasales. C'est un larmoiement
réflexe
. L'arc nerveux (fi ? ()5) possède une voie cent
crymale est indiscutable : il constitue la voie centripète de l'arc
réflexe
lacrynialo-séeréteur. L'excitation du trijumeau
t ; sa paralysie, une diminution de la sécrétion lacrymale de cause
réflexe
. Certains pensent qu'en dehors des filets centr
n peut être attribuée à l'absence de la portion centripète de l'arc
réflexe
(trijumeau). Mais, comment expliquer l'abolitio
certaines paralysies du triju- meau, non seulement de la sécrétion
réflexe
, mais encore de la sécrétion psychique émotionn
, à la face, à toute la moitié du corps. Rappelons que l'absence du
réflexe
palpébral il l'attouchement de la cornée est co
déterminer aucun mouvement de défense, sans provoquer le clignement
réflexe
des paupières. Ces poussières plus ou moins vol
que ou le vertigineux labyrintlïique;.50 des troubles oculo-mcteurs
réflexes
(parésie ou paralysie de la 6° paire, déviation c
lmlaire entrait en relation avec le vermis, centre d'équilibration
réflexe
, et avec la corticalité du côté opposé au nivea
UE SANS LÉSIONS ORGANIQUES Nous examinerons ici les divers troubles
réflexes
d'origine otique et les troubles psychiques.
réflexes d'origine otique et les troubles psychiques. 1° Troubles
réflexes
. Ceux-ci sont très variés. Nous verrons d'aille
aussi simple que l'il- dique le nom sous lequel on les classe. A)
Réflexes
otopathiques. L'excitation des branches du trijum
anisme de la tension exagérée du muscle interne du marteau. z Les
réflexes
peuvent se faire d'une oreille sur l'attire. L'ex
nduit opposé; la voie du rél1exe passe par la moelle, par un centre
réflexe
otu-sltinal. En clinique, il n'est pas rare de
tténuant à mesure que se fera la guérison de l'oreille malade. B)
Réflexes
sensoriels. Ils se produisent surtout sur la vue,
tives et olfactives, sous l'influence des perceptions auditives. C)
Réflexes
sensitifs. Ce sont des troubles d' hyperesthésie
oreille) dans les lésions chro- niques profondes de l'oreille. D)
Réflexes
vaso-moteurs et trophiques. Ils sont fréquents, m
de la sécrétion du cérumen dans les sclé- roses diverses, etc. E)
Réflexes
moteurs spasmodiques. Ils sont nombreux : un des
panouit a la partie postoro-inférieure du conduit et à l'excitation
réflexe
du larynx. Certains cas qui avaient pu faire pe
ngologie. Enfin les maladies de l'oreille peuvent donner lieu à des
réflexes
spasmodiques graves par eux-mêmes, à des convul
diverses de la caisse ou de la mastoïde. C'est un type d'épilepsie
réflexe
. Mais les observations en sont au total assez r
conduit. Je renvoie sur ce point à la thèse de F. Chavanne. . F)
Réflexes
moteurs paralytiques. - Ils sont plus rares que l
t plus rares que les précédents, car il est plutôt de la nature des
réflexes
de produire des troubles d'excitation que des p
émiplégie (peut-être étaient-ils hystériques), de paralysie faciale
réflexe
disparaissant par l'enlèvement d'un bouchon de
interprétation qui vient à l'esprit est qu'il s'agit d'un phénomène
réflexe
par l'intermédiaire du noyau de Deiters et par le
ectieuse. Mais il ne s'agit certainement pas dans tous les cas d'un
réflexe
auriculaire. On consultera utilement sur ce poi
intervient qu'indirectement et accessoirement, par exemple dans les
réflexes
vaso-moteurs, la migraine, l'affaissement de l'
ésions organiques des nerfs ou des centres, les autres sont d'ordre
réflexe
; enfin on peut observer des troubles psychiques
, cérébraux et 11 throm- ])oses des sinus. - '2" Troubles nerveux
réflexes
. Ceux-ci sont - extrêmement nombreux et si on l
intéressants. On peut avec Jurasz les diviser en trois groupes : 1°
réflexes
à point de départ nasal et à manifestations nas
1° réflexes à point de départ nasal et à manifestations nasales; 2°
réflexes
à point de départ nasal et à manifestations ext
exes à point de départ nasal et à manifestations extra-nasales ; 5°
réflexes
à point de départ extra-nasal et à mani- festat
t être empêchée par la cocaïnisation préalable de la muqueuse. A)
Réflexes
à point de départ nasal et à manifestations nasal
nasale et la rhinorrhée, l'éternuement et le coryza spasmodique. B)
Réflexes
à point de départ nasal et à manifestations extra
eau, Frankel, Ilack, Garel, Lermoyez, etc., etc., sont les troubles
réflexes
du nez les plus certains et les mieux établis.
troubles réflexes du nez les plus certains et les mieux établis. Le
réflexe
se fera encore par le pneumogastrique dans les tr
aits aussi réels que la toux ou l'asthme d'origine nasale. - " C)
Réflexes
à point de départ extra-nasal et à manifestations
' TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 155 Mais les
réflexes
les plus singuliers de cette catégorie sont ceux
alement sur les voies du sens de l'espace. Dans les vertiges dits «
réflexes
», qui paraissent avoir pour point de départ le
tomac ou le larynx surtout, il est possible qu'un spasme vasculaire
réflexe
ou une altération sanguine toxique (fermentatio
un' certain nombre des vertiges ci-dessus, dans les vertiges dits «
réflexes
», ainsi que dans les vertiges des artério- scl
nt rentrer le signe de Roinberg parmi ces vertiges. , 5° Vertiges
réflexes
. Les vertiges dits réflexes peuvent trouver leu
erg parmi ces vertiges. , 5° Vertiges réflexes. Les vertiges dits
réflexes
peuvent trouver leur point de départ, au moins
uelquefois irrégulier et dans ce cas petit et fréquent. L'étude des
réflexes
ne permet pas toujours des conclu- sions précis
ins précoces ou tar- dives selon les cas. D'une façon générale, les
réflexes
cutanés ou tendineux sont diminués, parfois abo
spécialement du côté malade l'affaiblissement ou la disparition du
réflexe
cremasterien, des cutanés abdominaux, du cornée
gien surtout dans l'hémiplégie gauche (Pierre Marie)], et parmi les
réflexes
tendineux, du patellaire. Les réflexes plantaires
Pierre Marie)], et parmi les réflexes tendineux, du patellaire. Les
réflexes
plantaires peuvent présenter également d'import
. Dans les états profonds ou carus, il y a suppres- sion totale des
réflexes
et de la sensibilité. Parfois enfin, des alternat
ou de paralysie, les contractures, les convulsions. En étudiant les
réflexes
, il serait du plus haut intérêt de constater l'
n provoqués. On constate dans le premier de ces états l'absence des
réflexes
, l'affaiblissement du pouls et de la respiration
t. On peut déceler de l'hémianesthésie, constater la persistance du
réflexe
abdominal et la flexion des orteils, parfois en
acile à reconnaître par l'atrophie des membres et l'exagération des
réflexes
persistant malgré une fonte musculaire déjà int
? 1 ? istc-(-il des troubles de la déglutition ? quel est l'état du
réflexe
pharyngé ? ' ? L [MOUTIER ] ' : 2W . L'APHA
ces hallucina- tions sont distinguées en directes et indirectes ou
réflexes
(Ilahlhaurn). Certains malades ont conscience q
nutes sur les côtés de la colonne vertébrale diminue l'excitabilité
réflexe
du système cerchro- spinal et par là est utile
rendu compte, et que leur mouvement de retraite, sans être purement
réflexe
. a été tout au plus subconscient. 11 arrive bie
ndrome se caractérise par une hémiplégie légère avec- intégrité des
réflexes
, une hémianesthésie superficielle et profonde trè
es), apparaissent des troubles sphinclériens, des modifications des
réflexes
, des phénomènes paralytiques variables suivant
et des années. Enfin, ces troubles ne modifient en rien l'état des
réflexes
organiques; les réflexes cutanés, le réflexe pu
s troubles ne modifient en rien l'état des réflexes organiques; les
réflexes
cutanés, le réflexe pupillaire à la douleur son
nt en rien l'état des réflexes organiques; les réflexes cutanés, le
réflexe
pupillaire à la douleur sont normaux. Influence
, soit enfin appli- quer sur les téguments un tube d'eau tiède. Les
réflexes
cutanés à ce niveau sont exagérés. Ces zones
sie de l'accommodation, de la dilata- tiun pupillaire avec perte du
réflexe
constricteur. Cette attaque de para- lysie du n
l'intoxication par le tabac. On a désigné sous le nom de névralgies
réflexes
des névralgies dont le point de départ serait d
tions intra-arachnoïdiennes de cocaïne. Dans les cas de névralgies
réflexes
(telle la névralgie faciale provoquée par une l
tes dans la région où se trouve le foyer d'irritation qui, par voie
réflexe
, entretient la névralgie, bien que cette région n
nution de la contractilité électrique du muscle, par l'abolition du
réflexe
tendineux du triceps.- Celte névralgie semble d
e. Il faut prendre en considération, élans le pronostic., l'état du
réflexe
achillécn : son abolition dénote souvent une lési
e; on observe de la raideur de tout le membre, de l'exagération des
réflexes
, de la trépidation épileptoïde, une scoliose ho
récemment pour ces injections cette formule nouvelle : TROUBLES DES
RÉFLEXES
par le DU 0. CROUZON Un réflexe est une excit
ormule nouvelle : TROUBLES DES RÉFLEXES par le DU 0. CROUZON Un
réflexe
est une excitation périphérique transmise par les
e départ de l'excitation périphérique est. un tendon, on dit que le
réflexe
est tendineux. Si le point de départ du réflexe s
ndon, on dit que le réflexe est tendineux. Si le point de départ du
réflexe
se trouve au niveau de la peau, on dit que le r
de départ du réflexe se trouve au niveau de la peau, on dit que le
réflexe
est cutané. Nous étudierons successivement les
n dit que le réflexe est cutané. Nous étudierons successivement les
réflexes
tendineux et les réflexes cutanés. Réflexes t
utané. Nous étudierons successivement les réflexes tendineux et les
réflexes
cutanés. Réflexes tendineux. On peut provoque
ns successivement les réflexes tendineux et les réflexes cutanés.
Réflexes
tendineux. On peut provoquer un réflexe tendineux
et les réflexes cutanés. Réflexes tendineux. On peut provoquer un
réflexe
tendineux dans fous les points du corps où il e
rieurs comme au niveau des membres supérieurs. Nous examinerons les
réflexes
les plus usuels en clinique, et nous prendrons
tant ou du moins du plus facile à constater, nous voulons parler du
réflexe
rotulicn. Réflexe rotulien. La recherche du réf
plus facile à constater, nous voulons parler du réflexe rotulicn.
Réflexe
rotulien. La recherche du réflexe rotulien qui es
ulons parler du réflexe rotulicn. Réflexe rotulien. La recherche du
réflexe
rotulien qui est entrée dans la pratique couran
ent. Le malade étant assis, on pourra encore examiner avec fruit le
réflexe
rotulien en commandant au malade de croiser les
a soulever et à laisser la jambe pendante. " [CRO UZON. ) 428 .
RÉFLEXES
. . On pourra également obtenir le relâchement d
malade, on pourra, même dans la position couchée, explo- rer son
réflexe
rotulien par les procédés suivants : on passera
Mais il est presque indispensable pour être sur de l'abolition d'un
réflexe
, de l'avoir percuté avec un marteau à percussio
suffit que le marteau soit d'un poids notable pour provoquer un
réflexe
net. Il peut arriver que le ré- flexe rotulie
nécessaire de percuter ce point pour obtenir Fig. 1. Exploration du
réflexe
ten- dineux rotulien, le sujet étant assis. (
. (Blocq et Onanoff.) Fig. 2. Marteau à percussion de Dejerine.
RÉFLEXES
. 429 ce réflexe; on le percevra encore par le p
ff.) Fig. 2. Marteau à percussion de Dejerine. RÉFLEXES. 429 ce
réflexe
; on le percevra encore par le procédé de Walbaum
a main fixe la plus faible réaction du triceps). 4° Constatation du
réflexe
. Le réflexe est le plus souvent apprécié par le
la plus faible réaction du triceps). 4° Constatation du réflexe. Le
réflexe
est le plus souvent apprécié par le mouvement d
ante ou qu'elle repose sur le plan du lit. Quelquefois cependant le
réflexe
ne sera pas suffisant pour provoquer ce mouveme
ral. 5" Causes d'erreur. L'erreur peut consister à méconnaître un
réflexe
qui existe réellement, ou bien à croire à l'exist
réflexe qui existe réellement, ou bien à croire à l'existence d'un
réflexe
qui n'existe pas. On méconnaît surtout l'exis
n réflexe qui n'existe pas. On méconnaît surtout l'existence d'un
réflexe
quand le malade se raidit et quand la contracti
raidit et quand la contraction permanente de son triceps empêche le
réflexe
de se produire. Pour éviter que le malade ne se r
ZO.\'.] Fit. 3. Manoeuvre de Jcndrassik. (Blocq et Onanoff.) 4;)0
RÉFLEXES
. passage, difficile. L.-ll. Petit, pendant qu'i
LEXES. passage, difficile. L.-ll. Petit, pendant qu'il recherche le
réflexe
, fait examiner l'oeil du malade et fait relever
on volontaire perma- nente du muscle. . Mais il est des cas où le
réflexe
n'apparaîtra pas en raison d'une contracture du
ibre-tendineuses qu'il faudra mettre en évidence. Quelquefois, le
réflexe
quoique non aboli, semble difficile à provoquer
Telles sont les causes d'erreur qui peuvent faire méconnaître un
réflexe
qui existe. Inversement, on peut croire à l'exist
réflexe qui existe. Inversement, on peut croire à l'existence d'un
réflexe
aboli, quand la percussion du tendon rotulien é
e le triceps et fait croire à sa contraction. (je Appréciation du
réflexe
. On constate la présence du réflexe rotulien, n
ontraction. (je Appréciation du réflexe. On constate la présence du
réflexe
rotulien, nous l'avons vu, par la contraction d
de la contraction du triceps et par la vivacité de la réaction; les
réflexes
sont dits forts ou faibles, vifs ou lents. Da
suré sur une graduation portée par l'appareil. On appelle valeur du
réflexe
l'énergie du choc, qui produit la plus faible c
choc, qui produit la plus faible contraction. La valeur normale du
réflexe
est en moyenne de 150 grammes centimètres. Il
mmes centimètres. Il existe également un appareil enregistreur du
réflexe
de Sommer. Giovanni Bopri a fait ses études sur
reur du réflexe de Sommer. Giovanni Bopri a fait ses études sur les
réflexes
tendineux en employant l'ergograpbe de Mosso. F
pu cinématographier et en même temps inscrire sur un graphique les
réflexes
tendineux. Enfin Tou- louse et Piérun ont imagi
Piérun ont imaginé un appareil permettant de rechercher le seuil du
réflexe
et de mesurer la réaction (Bévue de Psychiatrie,
Mais ce sont là des procédés qui sortent de la pratique courante.
Réflexe
contralatéral des adducteurs. Ce réflexe a été
t de la pratique courante. Réflexe contralatéral des adducteurs. Ce
réflexe
a été décrit par Pierre Marie, le 15 avril 1894
xe a été décrit par Pierre Marie, le 15 avril 1894. La recherche du
réflexe
contra- 1. CASTEX. Soc. de Biologie, 12 octobre
STEX. Soc. de Biologie, 12 octobre 1901 et Congrès de Rennes, 1905.
RÉFLEXES
. 431 1 latéral des adducteurs se rapproche de c
. RÉFLEXES. 431 1 latéral des adducteurs se rapproche de celle du
réflexe
rotulien. En elle ! , le réflexe consiste dans
dducteurs se rapproche de celle du réflexe rotulien. En elle ! , le
réflexe
consiste dans une contraction des adducteurs prov
adducteurs qui rapprochent la cuisse de la ligne médiane : c'est le
réflexe
contralatéral des adducteurs. Le malade étant c
percuter comme il a été indique'' précédemment pour la recherche du
réflexe
rotulien sur un malade couché : on soulève la c
traduira par un déplacement- du genou vers la ligne médiane, et le
réflexe
produit par la percussion du tendon rotulien op
u tendon rotulien opposé pourra apparaître, si léger qu'il soit. Ce
réflexe
n'est pas, comme le réflexe rotulien, un réflexe
rra apparaître, si léger qu'il soit. Ce réflexe n'est pas, comme le
réflexe
rotulien, un réflexe qui existe chez tous les s
ger qu'il soit. Ce réflexe n'est pas, comme le réflexe rotulien, un
réflexe
qui existe chez tous les sujets normaux : on ne
de la spasmodicite de ce même côté, alors que l'examen des autres
réflexes
ne décèle pas d'inégalité. Ainsi dans une hémiplé
ine aucune contraction des adducteurs à gauche. On dit alors que le
réflexe
contralatéral est tins marqué ci droite qu'à gauc
s marqué ci droite qu'à gauche. On conçoit que, si l'exagération du
réflexe
rotulien du côté droit paralysé notait pas évid
ulien du côté droit paralysé notait pas évidente, on aurait dans le
réflexe
contralatéral un moyen de révéler la spasmodici
e du côté paralysé. Dans 10 pour 100 des hémiplégies, cependant, le
réflexe
contralatéral est exagéré des deux cotes. La de
réflexe contralatéral est exagéré des deux cotes. La description du
réflexe
contralatéral des adducteurs de Pierre Marie, e
par Féré et l'a amené il donner au phénomène tout entier le nom de
réflexe
fémoro-croisé qu'il subdivise suivaut le cas en
r le nom de réflexe fémoro-croisé qu'il subdivise suivaut le cas en
réflexe
fémoro-croisé extenseur ou réflexe fémoro-crois
u'il subdivise suivaut le cas en réflexe fémoro-croisé extenseur ou
réflexe
fémoro-croisé adducteur. Réflexe achilléen. L
flexe fémoro-croisé extenseur ou réflexe fémoro-croisé adducteur.
Réflexe
achilléen. Le réflexe achilléen est le réflexe pr
tenseur ou réflexe fémoro-croisé adducteur. Réflexe achilléen. Le
réflexe
achilléen est le réflexe provoqué par la percus
ro-croisé adducteur. Réflexe achilléen. Le réflexe achilléen est le
réflexe
provoqué par la percussion du tendon d'Achille
position première. Il est ici, plus encore que pour la recherche du
réflexe
patellaire, nécessaire de se servir d'un marteau
écessaire de se servir d'un marteau il percussion, car le mouvement
réflexe
est bien moins intense qu'au niveau du tendon r
er ou avec le disque du stéthoscope. Il ne faut pas prendre pour le
réflexe
achilléen le léger mouvement transmis au pied p
cadés d'extension du pied sur la jambe. Si l'on cherche à s'opposer
RÉFLEXES
. 453 à ces mouvements par la .flexion forcée du
ière : c'est le clonus du pied qui est le signe de l'exagération du
réflexe
achilléen. - , ' Ce clonus du pied (ou phénomèn
fausse épilepsie spinale qu'on rencontre chez les sujets nerveux à
réflexes
un peu forts qui se raidissent en étendant le pie
s ». Clonus de la rotule. On constate chez les individus dont les
réflexes
rotuliens sont très marqués un phénomène analogue
;t associé le plus souvent au clonus du pied et à l'exagération des
réflexes
tendineux. '1. Babinski. Soc. Neurologie, jan
g. 4. Exploration du clonus du pied. (Blocq et Onanoff.) 454 . , ..
RÉFLEXES
, . - , - ,. Réflexes du poignet. On peut provoq
onus du pied. (Blocq et Onanoff.) 454 . , .. RÉFLEXES, . - , - ,.
Réflexes
du poignet. On peut provoquer des réflexes en p
.. RÉFLEXES, . - , - ,. Réflexes du poignet. On peut provoquer des
réflexes
en percutant les divers tendons du poignet : le
rrespondants. Il est nécessaire, comme pour la recherche des autres
réflexes
, d'assurer la résolution musculaire complète de
ite cette exten- sion. Ce phénomène est lié à l'exagération des
réflexes
du poignet, mais il s'observe assez rarement.
on des réflexes du poignet, mais il s'observe assez rarement.
Réflexe
massétérin. Enfin nous rapprochons des réflexes
ve assez rarement. Réflexe massétérin. Enfin nous rapprochons des
réflexes
tendineux le réflexe du masseter, bien qu'il ne
éflexe massétérin. Enfin nous rapprochons des réflexes tendineux le
réflexe
du masseter, bien qu'il ne soit pas produit par p
r, bien qu'il ne soit pas produit par per- , Fig. 5. Exploration du
réflexe
tendineux du poignet. (Blocq et Onanoft'.) Fi
tendineux du poignet. (Blocq et Onanoft'.) Fig. 6. Exploration du
réflexe
de la mâchoire inférieure (massétérin). (Blocq
massétérin). (Blocq et Onanoff.) RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES
RÉFLEXES
. 43.') ai cussiondu tendon, mais par percussion
ais par percussion ou traction du muscle lui- même. Pour obtenir le
réflexe
, on peut en effet procéder de deux façons : on
uis elle est soulevée par la contraction du masséter : c'est lit le
réflexe
. RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES RÉFLEXES
sséter : c'est lit le réflexe. RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES
RÉFLEXES
Nous venons de voir, à propos de la technique d
ÉFLEXES Nous venons de voir, à propos de la technique de chacun des
réflexes
précédents, comment se manifestait le réflexe à
hnique de chacun des réflexes précédents, comment se manifestait le
réflexe
à l'état normal. Nous allons étudier maintenant
xe à l'état normal. Nous allons étudier maintenant les troubles des
réflexes
et leur signification pathologique. Il convie
hologique. Il convient cependant, avant d'étudier la pathologie des
réflexes
, de connaître les variations qu'ils subissent,
mor- bides, du fait de l'âge, de la fatigue, etc. VARIATIONS DES
RÉFLEXES
EN DEHORS DES CONDITIONS MORBIDES Les réflexes
tc. VARIATIONS DES RÉFLEXES EN DEHORS DES CONDITIONS MORBIDES Les
réflexes
tendineux gardent-ils leurs caractères à toutes l
ons dans l'enfance et dans la vieillesse ? Mobius (') a examiné les
réflexes
rotuliens de 56 malades âgés de plus de 80 ans;
es âgés de plus de 80 ans; il a constaté que chez 8 d'entre eux ces
réflexes
étaient très faibles et que chez 9 ils faisaien
alades de signe d'une affection nerveuse. Chez les nouveau-nés, les
réflexes
tendineux sont exagérés, comme d'ailleurs l'act
, les réflexes tendineux sont exagérés, comme d'ailleurs l'activité
réflexe
de la moelle en général : ils diminuent quel- q
Pclizmns (2), sur 40;¡ enfants, n'en a trouvé qu'un chez lequel le
réflexe
rotulien n'existât pas et cependant chez lui ce
z lequel le réflexe rotulien n'existât pas et cependant chez lui ce
réflexe
put être provoqué par l'emploi du procédé de Je
r l'emploi du procédé de Jendrassik. Lombard n a fait mesurer son
réflexe
rotulien dans 259 circonstances différentes : c
stances différentes : c'est le matin après le petit déjeuner que le
réflexe
est le plus fort, c'est la nuit qu'il est le pl
lus fort, c'est la nuit qu'il est le plus faible. La diminution de ce
réflexe
pendant le cours de la journée s'accomplit d'un
t d'une façon très irrégulière : en général, après chaque repas, le
réflexe
est plus fort. Les réflexes rolu- liens sont di
ère : en général, après chaque repas, le réflexe est plus fort. Les
réflexes
rolu- liens sont diminués par une fatigue modér
0. ô. Louu : ntn. Neurolog. Cbl., 1S : )0, p. 85. ICROUZON] 156
RÉFLEXES
. le sommeil, en un mot par toutes les condition
tes les conditions qui diminuent l'activité du système nerveux. Les
réflexes
rotuliens sont, augmentés, par les vives excita
ns influence, mais en retenant longtemps l'haleine, on augmente les
réflexes
. Lombard remarque également que les réflexes ro
leine, on augmente les réflexes. Lombard remarque également que les
réflexes
rolulipns sont augmentés par la coïncidence de
la manoeuvre de Jendrassik ait pour effet de mettre en évidence des
réflexes
difficiles à trouver. Orschanski ('), en faisai
chanski ('), en faisait travailler un membre, a vu tout d'abord les
réflexes
tendineux augmenter d'intensité, puis diminuer a
degré très marqué, par exemple, s'il existait du tremblement., les
réflexes
tendineux pouvaient disparaître entièrement. xm
es tendineux pouvaient disparaître entièrement. xm VARIATIONS DES
RÉFLEXES
DANS LES MALADIES A) Abolition des réflexes. -
nt. xm VARIATIONS DES RÉFLEXES DANS LES MALADIES A) Abolition des
réflexes
. - Dans la pratique clinique, l'abo- lition des
lition des réflexes. - Dans la pratique clinique, l'abo- lition des
réflexes
a une valeur bien différente suivant qu'elle est
ou suivant qu'elle est généralisée. ' 1° Abolition partielle des
réflexes
tendineux. a) Abolition des réflexes rotulien e
' 1° Abolition partielle des réflexes tendineux. a) Abolition des
réflexes
rotulien et achilléen. C'est par ces symptômes qu
aires dont l'évolution entraîne plus tard t'abo- lition de tous les
réflexes
. L'abolition des réflexes rolldiens et achilléens
raîne plus tard t'abo- lition de tous les réflexes. L'abolition des
réflexes
rolldiens et achilléens est donc un symptôme pr
tphal que revient le mérite r) d'avoir montré que la disparition du
réflexe
rotulien est un des symptômes les plus constant
dorsalis. Cependant il ne faut pas oublier, dans cet historique du
réflexe
rotulien, Krb epii, dans le numéro même où para
it l'article de Weslphal, pu- bliait de son côté la description des
réflexes
tendineux et en particulier du réflexe tendineu
son côté la description des réflexes tendineux et en particulier du
réflexe
tendineux rotulien. Il est vrai que Westpbat eut
i que Westpbat eut le mérite de montrer la valeur de l'abolition du
réflexe
dans le tabès : c'est donc à juste litre qu'on
'associer le nom d t'jrb il celui de Weslphal dans la découverte du
réflexe
rotulien. Par la suite, les travaux de Charcot,
isèrent cette ! découverte en France et assurèrent son succès. Le
réflexe
rotulien fait donc défaut dans le tabès, d'une fa
lt;y<.7tM<)'t<'p, 1875. RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES
RÉFLEXES
. 457 r Cette abolition des réflexes se manifest
ULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES RÉFLEXES. 457 r Cette abolition des
réflexes
se manifeste le plus souvent dès les premières
règle : Ce sont tout d'abord les cas de tabes avec conservation des
réflexes
rotuliens qu'ont signalés plusieurs auteurs, Le
, Il peut exister également des cas de tabes avec diminution des
réflexes
tendineux, ou même diminution unilatérale, c'est-
eux, ou même diminution unilatérale, c'est-à-dire d'inéga- lité des
réflexes
tendineux. n Enfin une dernière modalité s'obse
lé- giques. On a vu, en effet, des malades atteints d'abolition des
réflexes
tendineux et frappés d'hémiplégie chez lesquels
ion des réflexes tendineux et frappés d'hémiplégie chez lesquels le
réflexe
rotulien réap- paraissait du côté de l'hémiplég
miplégie dans le tabes, cite plusieurs exemples de réapparition des
réflexes
.tendi- neux dans l'hémiplégie des tabétiques :
t, quatre mois après son début, l'hémiplégie provoqua le retour des
réflexes
tendineux du côté paralysé, mais, deux mois plus
ux du côté paralysé, mais, deux mois plus tard, la réapparition des
réflexes
fut également constatée du côté sain. Noïca (Jo
ain. Noïca (Journal de Neurologie de Bruxelles, 1907) pense que les
réflexes
ne peuvent s'exagérer du côté hémiplégique chez
istaient même à un faible degré. Tout ce que nous venons de dire du
réflexe
rotulien dans le tabès s'applique au réflexe ac
nous venons de dire du réflexe rotulien dans le tabès s'applique au
réflexe
achilléen. Cependant il est un point de sa séméio
rite d'attirer l'attention sur la fréquence de la disparition de ce
réflexe
dans le tabes et plus particulièrement sur la pré
ur la précocité de cette disparition qui est antérieure à celle des
réflexes
rotuliens : la constata- tion de ce symptôme pe
ostic précoce de l'ataxie locomotrice. Comparant les relations du
réflexe
rotulien et du réflexe achilléen dans le tabes,
axie locomotrice. Comparant les relations du réflexe rotulien et du
réflexe
achilléen dans le tabes, M. Babinski a montré q
é qu'on pouvait observer les combinaisons suivantes : a) Les deux
réflexes
sont abolis : c'est la forme la plus fréquente;
éflexes sont abolis : c'est la forme la plus fréquente; b) Les deux
réflexes
sont troublés, mais non abolis complètement. On
, mais non abolis complètement. On pourra voir l'abolition des deux
réflexes
d'un côté et la conservation du côté opposé ou
é et la conservation du côté opposé ou bien l'abolition croisée des
réflexes
rotulien et achil- léen ; - ... 1. Thèse de P
il- léen ; - ... 1. Thèse de Paris, 1902. ,. 1 ¡GHOUZON,] 458
RÉFLEXES
. c) Quelquefois on pourra trouver les réflexes
1 ¡GHOUZON,] 458 RÉFLEXES. c) Quelquefois on pourra trouver les
réflexes
rotuliens abolis ou trou- bles et les réflexes
n pourra trouver les réflexes rotuliens abolis ou trou- bles et les
réflexes
achilléens normaux ; d) Enfin les cas les plus
s plus intéressants auxquels nous faisions allusion sont ceux où le
réflexe
rotulien est normal et où l'on constate l'aboliti
otulien est normal et où l'on constate l'abolition ou le trouble du
réflexe
du tendon d'Achille. Van Gehuchten et de Buck o
. Van Gehuchten et de Buck ont observé des cas où l'abolition des
réflexes
achilléens des deux côtés coïncidait avec l'exagé
éflexes achilléens des deux côtés coïncidait avec l'exagération des
réflexes
rotuliens. Segcr dans sa thèse (1902), Sarbo, M
ont confirmé la valeur sl'méiologique de la disparition précoce du
réflexe
achilléen dans le tabes. Il est donc nécessaire d
s le tabes. Il est donc nécessaire d'examiner systé- matiquement ce
réflexe
toutes les fois qu'on suspecte cette affection :
ou des tabès à la première période de la maladie. L'abolition des
réflexes
tendineux achilléen et rotulien s'observe éga-
rotulien s'observe éga- Iement dans la maladie de Friedreich. « Les
réflexes
tendineux sont presque toujours absents et c'es
tômes du tabès avec ceux de la sclérose en plaques. Quelquefois les
réflexes
tendineux sont simplement diminués. Dans certai
un peu des prétendus cas de maladie de Friedreich dans lesquels les
réflexes
tendineux seraient exagérés. » (Pierre Marie.)
de Pierre Marie. En effet; dans cette affection, l'exagération des
réflexes
est la règle et ce n'est qu'à la période terminal
et ce n'est qu'à la période terminale que s'observe l'abolition des
réflexes
. L'abolition des réflexes tendineux et achillée
terminale que s'observe l'abolition des réflexes. L'abolition des
réflexes
tendineux et achilléen et rotulien est un des é
dernier cas, elle est alors précédée d'une phase d'exagération des
réflexes
tendineux. HESLLTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES R
érose en plaques, on peut observer la diminution ou l'abolition des
réflexes
. Dans t'amyotrophic Clccr·cot-31a°ic, les réfle
l'abolition des réflexes. Dans t'amyotrophic Clccr·cot-31a°ic, les
réflexes
rotuliens sont sou- vent diminués ou abolis, ma
tabès que l'on pensera immédiatement en présence de l'abolition des
réflexes
rotuliens. On pensera immédiatement après aux n
Dans ces affections, en effet, l'affaiblissement ou l'abolition des
réflexes
tendineux est la règle, leur exagération est un
règle, leur exagération est une rareté (Babinski). L'abolition des
réflexes
s'observe dans toutes les variétés de névrites,
trices. Si la névrite porte sur la jambe et respecte la cuisse, les
réflexes
achilléens seuls seront touchés. Et c'est la co
à chaque névrite en particulier. Dans la névrite alcoolique, les
réflexes
rotuliens sont presque toujours abolis. Et nous
es névrites lépreuse, puerpérale, sulfo-carbonée. L'abolition des
réflexes
se constate plus rarement dans l'intoxication p
être faite de la névrite diabétique, dans laquelle l'abolition des
réflexes
donne l'aspect clinique connu sous le nom de ps
ôme, il nota que, tandis que chez les diabétiques ayant gardé leurs
réflexes
, la mortalité était de 7 pour 100, elle était d
lle était de 17 pour J 00 pour les diabétiques qui n'ont plus leurs
réflexes
. L'abolition des réflexes chez un diabétique a do
pour les diabétiques qui n'ont plus leurs réflexes. L'abolition des
réflexes
chez un diabétique a donc une signi- fication p
clle Merl. 11'ocle., H05L Quand il se joint à cette aboli- lion des
réflexes
rotuliens un certain degré d'ataxie des mouvement
Dans le pseuclo-tahcs diabétique, connue dans le tabès caouaoN. 4
RÉFLEXES
. vrai, un a pu voir, à l'occasion d'une hémiplé
vrai, un a pu voir, à l'occasion d'une hémiplégie, réapparaître le
réflexe
rotulien du côté paralysé; tel est le cas de Ma
d'un syndrome de Weber chez un diabétique amena la réapparition du
réflexe
rotulien du côté atteint par la paralysie. En
atteint par la paralysie. Enfin on peut observer les troubles des
réflexes
non seulement dans les toxémies nerveuses du di
ie, 14 jan- vier 1896) a constaté dans 8 cas sur 14 l'abolition des
réflexes
patel- laires : il s'agissait de tuberculose hé
cirrhose alcoolique, de néoplasme hépatique. Cette abo- lition des
réflexes
n'est peut-être pas dans tous les cas en rapport
toxication alcoolique. Au contraire. la suppression transitoire des
réflexes
peut être rapportée à une cause hépatique, il y
les affections des nerfs dans lesquelles on constate l'abolition du
réflexe
rotulien ou du réflexe achilléen. Il est cependan
s dans lesquelles on constate l'abolition du réflexe rotulien ou du
réflexe
achilléen. Il est cependant un certain nombre d
uelles on observe également, quoique moins souvent, l'abolition des
réflexes
. Telles sont d'abord les compressions de la ineie
ie reste flasque au début de la maladie, il y a alors abolition des
réflexes
. Puis, dans une seconde période cette abolition
on des réflexes. Puis, dans une seconde période cette abolition des
réflexes
disparaît pour être remplacée par la paraplégie
ire, dans un'certain nombre de cas de compression de la moelle, les
réflexes
sont et demeurent abolis. Dans ces cas, suivant B
struction de la moelle, par conséquent l'abolition perma- nente des
réflexes
a une grande valeur pour le diagnostic de la sect
pic. dans la section même complète, il y a toujours exagération des
réflexes
au-dessous de la lésion : telles ne sont pas no
a moelle. Dans la compression brusque de la moelle, l'abolition des
réflexes
s'observe également. Elle apparaît subitement e
ubitement en même temps que la paraplégie, mais cette abolition des
réflexes
est passagère. Il semble qu'elle soit due au ch
être suivie des phénomènes de la compression lente, exagération des
réflexes
et paraplégie spasmodique. L'abolition des réfl
exagération des réflexes et paraplégie spasmodique. L'abolition des
réflexes
est encore la caractéristique d'un grand nombre
les plus importantes, il ne nous RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES
RÉFLEXES
. 441 restera plus qu'il énuinérer les autres ca
de la moelle el hémalomyélie, myélite tranSVe1'SI ? L'abolition des
réflexes
s'observe dans la poliomyélite antérieure chron
enfant, ("est-il-dire la paralysie infantile. Cette aboli- tion des
réflexes
qui quelquefois est incomplète ne s'observe qu'au
syringomyélic, quoique le plus souvent il y ait exagéra- tion îles
réflexes
, il existe des cas où l'abolition des réflexes fa
t exagéra- tion îles réflexes, il existe des cas où l'abolition des
réflexes
fait partie de l'ensemble des symptômes tabétiq
ieurs. Bruhl a pu chez un malade observer d'un côté l'abolition des
réflexes
et de l'autre l'exagération. Enfin, l'aboliti
des réflexes et de l'autre l'exagération. Enfin, l'abolition des
réflexes
peut s'observer non seulement dans les affectio
s. Dans les myopathies progres- sives. en dehors de l'abolition des
réflexes
qui est liée à l'atrophie des muscles paralysés
l'atrophie des muscles paralysés, on a pu constater l'abolition des
réflexes
malgré l'inté- grité des muscles correspondants
'inté- grité des muscles correspondants (Léri). 11) Abolition des
réflexes
tendineux d'un calé du corps. On peut observer
exes tendineux d'un calé du corps. On peut observer l'abolition des
réflexes
au cours de l'ltent.iplégie. Suivant Ba- binski
t.iplégie. Suivant Ba- binski, celte persistance de l'abolition des
réflexes
au cours d'une hémi- plégie et l'absence de con
oduite par une tumeur cérébrale. L'abolition ou la diminution des
réflexes
s'observent également il la suite de Yépilepsie
ois elles persistent d'une façon continue. c) Abolition limitée des
réflexes
tendineux à un membre ou à un segment de membre
es tendineux à un membre ou à un segment de membre. L'abolition des
réflexes
peut être tout il fait li- mitée dans le cas de
la région énervée par le nerf lésé. 2° Abolition généralisée des
réflexes
tendineux. L'abolition généralisée des réflexes
ion généralisée des réflexes tendineux. L'abolition généralisée des
réflexes
tendineux peut s'observer au cours d'affections
par l'hémorragie ou par le ramollissement cérébral, l'abolition des
réflexes
peut exister dès le début, il disparait si l'apo-
sparait si l'apo- plexie cesse; et laisse derrière elle un étal des
réflexes
qui est variable suivant qu'il y a ou non persi
use, on observe également l'affaiblis- sement ou la disparition des
réflexes
lorsque la période terminale appa- raît et lors
t de même de la méningite cérébro-spinale. [CROUZON] ] - M3 ' " .
RÉFLEXES
. M. Triboulet (Société médicale des hôpitaux, 7
902) et M. Cachet, dans sa thèse de Paris 1902-1905, ont étudié les
réflexes
tendineux dans la méningite cérébro-spinale. Al
ningite cérébro-spinale. Alors que les classiques déclarent que les
réflexes
sont tantôt normaux, tantôt abolis, tantôt exag
, tantôt exagérés, M. Triboulet a observé un cas où l'abolition des
réflexes
a cédé à deux reprises en 15 jours à une poncti
ponction lombaire. Il semble que l'exsudat rachidien influence les
réflexes
et que la présence de liquide céphalo-rachidien
rovoquant une ischémie radiculaire ou médullaire. Enfin, l'état des
réflexes
peut être le même dans les hémorragies méningée
sculaire. On observe également l'abolition ou l'affaiblissement des
réflexes
dans la chorée et en particulier dans la chorée
ns la chorée de Sydenham. 11..TofFro a constaté cette abolition des
réflexes
et en particulier l'abolition des ré- flexes pa
aladie de Parkinson, on a signalé le plus souvent l'abo- lition des
réflexes
rotuliens; toutefois nous pensons qu'il faut se m
faut se mettre en garde contre les difficultés de la recherche des
réflexes
dans cette affection où la rigidité est si marq
é est si marquée. D'autre part, Alquier a signalé l'exagération des
réflexes
dans la grande majorité des cas de cette c affe
a grande majorité des cas de cette c affection. - L'abolition des
réflexes
peut s'observer à un stade avancé du syndrome d
ncé du syndrome d'Erb après une phase de diminution progressive des
réflexes
. Elle s'observe également dans l'acromégalie d'
égalie d'une façon disséminée, mais plus spécialement au niveau des
réflexes
patellaires. Enfin on observe l'abolition des r
u niveau des réflexes patellaires. Enfin on observe l'abolition des
réflexes
dans les tumeurs cérébrales et cérébelleuses. '
ce des racines postérieures de la moelle, peut-être l'abolition des
réflexes
est- elle due à la cachexie, peut-être est-elle
due à l'accroissement de pression du liquide cérébro-spinal. Les
réflexes
peuvent être abolis ou diminués dans les maladies
' med. 117och., novembre. 1895) a publié une étude sur la valeur du
réflexe
patellaire pour le diagnostic et le pronostic de
nérale est la seule qui offre d'une façon fréquente des troubles du
réflexe
patellaire. En effet, en dehors de l'alcoolisme
ronique et une certaine forme aiguë de la -paranoïa, l'abolition du
réflexe
patellaire doit faire penser à la paralysie géné-
enser à la paralysie géné- rale. M. Marandon de Montyel a étudié le
réflexe
patellaire aux trois lil ? SUL'fa1'v TOUIi\IS l
ï périodes de la paralysie générale; il semble, d'après lui, que le
réflexe
rotulien soit d'autant moins atteint que la par
ut à la première période qu on trouve le maximum des abolitions des
réflexes
, il la seconde période on constate le maximum d
conde période on constate le maximum de fréquence d'exagération des
réflexes
et il la troisième période le maximum des affaibl
exes et il la troisième période le maximum des affaiblissements des
réflexes
. On lient observer également des troubles des r
ements des réflexes. On lient observer également des troubles des
réflexes
dans des lésions labyrinthiques; P. Bonnier a m
variations labyrin- thiques brusques (bourdonnements, vertiges), le
réflexe
est diminué et parfois supprimé. On a observé
supprimé. On a observé dans les infections l'abolition fréquente du
réflexe
rotu- lien. Sur 200 enfants atteints de pneumon
(02) a noté 55 fois, soit dans 28 pour 100 des cas, l'abolition des
réflexes
. Ce symptôme a été noté à toutes les périodes d
umonie infantile. Dans le choléra, M. Galliard a examiné l'état des
réflexes
rotuliens. Dans les formes algides, l'abolition
tat des réflexes rotuliens. Dans les formes algides, l'abolition du
réflexe
rotulien existe dans la moitié des cas et le pr
le pronostic de ce symptôme est souvent défavorable; cette perte du
réflexe
rotulien aurait une signification encore plus déf
a- vorable, suivant M. Galliard, quand il est associé à la perte du
réflexe
pupillaire. Les réflexes rotuliens ont, été é
liard, quand il est associé à la perte du réflexe pupillaire. Les
réflexes
rotuliens ont, été étudiés dans' la syphilis, et
e de la maladie, c'est-à-dire de un mois à deux ans. L'abolition du
réflexe
patellaire a été observée par M. Binet-Sanglé 5
nts de la syphilis congénitale avec kératite interstitielle ont les
réflexes
réfutions absents ou très diminués. On a cons
absents ou très diminués. On a constaté également l'abolition du
réflexe
patellaire au cours de l'anesthésie chloroformi
a vu, dans le sommeil profond produit par le protoxyde d'azote, les
réflexes
superficiels (plantaires et conjonctifs) dispar
uperficiels (plantaires et conjonctifs) disparaître, tandis que les
réflexes
profonds tels que le réflexe rotulien persistai
jonctifs) disparaître, tandis que les réflexes profonds tels que le
réflexe
rotulien persistait. Dans le sommeil chloroformiq
persistait. Dans le sommeil chloroformique, au contraire, tous les
réflexes
superficiels ou profonds, disparaissent, cependan
perficiels ou profonds, disparaissent, cependant [CROUZON.] .41.4
RÉFLEXES
. \1. Laurl'is a YU coustatumentdanstecasd'anest
tatumentdanstecasd'anestliesieehtoroforuuque que la disparition des
réflexes
plantaire, errl1lastrrien et abdominal précédai
plantaire, errl1lastrrien et abdominal précédait la disparition des
réflexes
rotuliens et achilléens. Enfin, l'abolition gén
éflexes rotuliens et achilléens. Enfin, l'abolition généralisée des
réflexes
est également, un signe qui s'observe dans la c
émie de la moelle par la ligature de l'aorte diminue l'excitabilité
réflexe
et abolit les réflexes tendineux. Cependant il
la ligature de l'aorte diminue l'excitabilité réflexe et abolit les
réflexes
tendineux. Cependant il ne faut pas perdre de vue
ne faut pas perdre de vue que bon nombre de ces cas d'abolition des
réflexes
sont dus soit à des lésions médullaires comme d
tes péri- phériques comme dans la tuberculose. B) Exagération des
réflexes
. L'exagération des réflexes peut porter sur tou
dans la tuberculose. B) Exagération des réflexes. L'exagération des
réflexes
peut porter sur tous les réflexes tendineux, su
n des réflexes. L'exagération des réflexes peut porter sur tous les
réflexes
tendineux, sur les réflexes tendineux d'un seul
n des réflexes peut porter sur tous les réflexes tendineux, sur les
réflexes
tendineux d'un seul côté du corps, sur les réfl
dineux, sur les réflexes tendineux d'un seul côté du corps, sur les
réflexes
tendineux des deux membres supé- rieurs, enfin
les réflexes tendineux des deux membres supé- rieurs, enfin sur les
réflexes
tendineux des deux membres inférieurs. Nous all
logique de chacune de ces modalités cliniques. 1" Exagération des
réflexes
des membres inférieurs. Nous commençons par l'é
embres inférieurs. Nous commençons par l'étude de l'exagération des
réflexes
des membres infé- rieurs parce que ce sont les
ération des réflexes des membres infé- rieurs parce que ce sont les
réflexes
le plus fréquemment touchés; ils subissent en e
lésions médullaires et cérébraks sus-jacentes. L'exagération des
réflexes
, comme nous l'avons vu, est caractérisée aux me
ropulsion du pied et par le clonus du pied. Cette exagération des
réflexes
des membres inférieurs est le plus sou- vent li
ns alors le tableau de la paraplégie spasmodique. L'exagération des
réflexes
se rencontre dans les affections suivantes : La
me eérébello-spaslllodiq1le, est caractérisée par l'exagération des
réflexes
. La forme cérébelleuse pure ne parait pas prése
rme cérébelleuse pure ne parait pas présenter cette exagération des
réflexes
tendineux : elle présente plutôt, comme nous l'
comme nous l'avons vu plus haut, la diminution ou l'abolition des
réflexes
. Dans la myélite syphilitique, l'exagération de
ion des réflexes. Dans la myélite syphilitique, l'exagération des
réflexes
est la caracté- ristique de la forme d'Erb : c'
li- tique qui s'accompagne de paraplégie flasque avec abolition des
réflexes
. La syringomyélie s'accompagne, comme nous l'av
vons déjà dit. dans le plus grand nombre des cas, d'exagération des
réflexes
. RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES RÉFLEXES. 4
cas, d'exagération des réflexes. RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES
RÉFLEXES
. 41."> Enfin, nous avons dit que la compress
ns une période; qui suil la paraplégie flasque. '20 Exagération des
réflexes
des membres supérieurs. L'exagé- ration des réf
xagération des réflexes des membres supérieurs. L'exagé- ration des
réflexes
des membres supérieurs est souvent caractéristiqu
t- bras. A un stade plus avancé de la maladie, il y a abolition des
réflexes
au niveau des muscles atrophiés et l'exagératio
n des réflexes au niveau des muscles atrophiés et l'exagération des
réflexes
n'existe plus qu'au niveau des membres inférieu
urs. L'atrophie des membres supérieurs associée à l'exagération des
réflexes
des membres infé- rieurs forme un ensemble cara
stique de la sclérose latérale amyo- trophique. L'exagération des
réflexes
tendineux des membres supérieurs est également
e plus souvent une localisation cervicale. Enfin, l'exagération des
réflexes
des membres supérieurs peut s'ob- server au cou
rs des affections articulaires des deux épaules. 5" Exagération des
réflexes
d'un seul côté du corps. L'exagéra- tion des ré
agération des réflexes d'un seul côté du corps. L'exagéra- tion des
réflexes
d'un seul côté du corps est caractéristique le pl
ans le service de Pierre Marie à Bicctre. a trouvé, sur 10 cas, les
réflexes
du côté paralysé trois fois nor- maux, deux foi
, cinq fois exagérés. Dans l'hémiplégie ancienne, l'exagération des
réflexes
du côté paralysé s'observe dans la proportion d
serve dans la proportion de H'2 pour 100 des cas. L'exagération des
réflexes
se manifeste par l'exagération des réflexes du me
cas. L'exagération des réflexes se manifeste par l'exagération des
réflexes
du membre supérieur, par l'exagération du réfle
'exagération des réflexes du membre supérieur, par l'exagération du
réflexe
patellaire, par l'existence du clonus du pied.
; elle s'accompagne enfin du signe de Babinski. L'exagération des
réflexes
s'observe également du côté sain dans rhé- mipl
voquant ces symptômes hémiplégiques. 4° Exagération généralisée des
réflexes
. L'exagération généralisée des réflexes tendine
Exagération généralisée des réflexes. L'exagération généralisée des
réflexes
tendineux peut s'observer au cours des affections
sclérose en pla- ques, tumeur cérébrale. [CROUZON]' .44< : '
RÉFLEXES
. Elle est également un symptôme de la paralysie
ment un symptôme de la paralysie générale. Dans cette affection les
réflexes
tendineux sont exagérés dans plus de 4/5 des ca
elle est plus marquée au niveau des membres supérieurs, souvent le
réflexe
massétérin est exagéré. Quelque- fois, l'exagér
le réflexe massétérin est exagéré. Quelque- fois, l'exagération des
réflexes
élans la paralysie générale est telle qu'elle p
alors raideur spasmodique, contracture musculaire, exagération des
réflexes
, trépidation épileptoïdc; en même temps il y a
mais cependant, dans la grande majorité des cas, l'exagération des
réflexes
ne se maintient pas dans toute l'évolution de la
alade devient grabataire. , Dans les affections labyrinlliiques, le
réflexe
patellaire peut être exa- géré quand il y a ins
constater l'élévation parfois très considérable de l'excita- bilité
réflexe
des tendons. Les réflexes rotuliens ont été exa
is très considérable de l'excita- bilité réflexe des tendons. Les
réflexes
rotuliens ont été examinés dans la fièvre typhoïd
ièvre typhoïde par M. Hemlinger (Bévue de Médecine, 1901). Tous les
réflexes
tendineux sont exagérés dans 52 pour 100 des ca
s de concordance entre la forme de la lièvre typhoïde et l'état des
réflexes
. L'exagération se rencontre cependant surtout d
endant surtout dans la forme alaxique et ataxo-adynamique, mais les
réflexes
ont presque toujours au moment de la convalesce
oment de la convalescence une tendance marquée il l'exagération des
réflexes
. Il y a exagération du réflexe rotulien et, de
ndance marquée il l'exagération des réflexes. Il y a exagération du
réflexe
rotulien et, de plus, trépidation épifeptdde du
le est plus souvent bi-latérale. Dans le choléra, l'exagération des
réflexes
est plus rare que l'abolition, comme nous l'avo
up Irlns encore pendant l'accouchement, il y aurait exagération des
réflexes
suivant Neu- mann et Cette exagération persiste
ale 1905), ont constaté dans presque tous les cas l'exagération des
réflexes
tendineux; ils l'ont constaté également dans le
être expliqué par l'action des poisons néoplasiques sur l'appareil
réflexe
. Dans les affections hépatiques, M. Léopold Lév
s affections hépatiques, M. Léopold Lévi a trouvé l'exagération des
réflexes
4 fois sur 14; celle exagération des réflexes est
uvé l'exagération des réflexes 4 fois sur 14; celle exagération des
réflexes
est liée, semble- t-il, d'une façon directe a l
ée, semble- t-il, d'une façon directe a l'intoxication hépatique.
RÉFLEXES
-CUTANES. 447 Dans l'anesthésie par l'éther, M.
leptoïde. Enfin, M. de Grandmaison a pu constater l'exagération des
réflexes
patellaires et le clonus du pied chez les athé1
é sur 26 malades : sur 14 hommes, 11 présentaient l'exagération des
réflexes
; sur z12 femmes, 9 étaient atteintes de ce même s
taient atteintes de ce même symptôme. L'exagération généralisée des
réflexes
peut s'observer encore au cours des intoxicatio
elle peut s'observer au cours des toxi-infections, tel est l'état des
réflexes
dans la rage et dans le tétanos; enfin elle peu
infections : la fièvre typhoïde et la pneumonie. 5° Exagération des
réflexes
portant sur un seul membre. L'exa- gération des
ration des réflexes portant sur un seul membre. L'exa- gération des
réflexes
peut porter sur un seul membre, elle est alors
aire (hémarthrose du genou, entorse du' genou.) L'exagération des
réflexes
peut encore s'observer d'un seul côté au cours
observer d'un seul côté au cours des hémisections de la moelle, les
réflexes
sont exagérés du côté de la lésion,- cette exag
e Brown-Séquard. Du côté de la lésion, en plus de l'exagération des
réflexes
, il existe une paralysie motrice, de l'hyperes-
côté opposé à la lésion, une anes- t.hésie généralement complète.
RÉFLEXES
CUTANÉS Les réflexes cutanés que l'on explore d
, une anes- t.hésie généralement complète. RÉFLEXES CUTANÉS Les
réflexes
cutanés que l'on explore d'ordinaire sont : . 1
Les réflexes cutanés que l'on explore d'ordinaire sont : . 1 Les
réflexes
abdominaux (inférieur, moyen et supérieur) que l'
férieur, moyen et supérieur) que l'on désigne encore sous le nom de
réflexe
abdominal et réflexe épigastrique. 2° Le réflex
érieur) que l'on désigne encore sous le nom de réflexe abdominal et
réflexe
épigastrique. 2° Le réflexe crémastérien. 5°
ore sous le nom de réflexe abdominal et réflexe épigastrique. 2° Le
réflexe
crémastérien. 5° Le réflexe plantaire. En deh
ominal et réflexe épigastrique. 2° Le réflexe crémastérien. 5° Le
réflexe
plantaire. En dehors de ces réflexes que Van Ge
e réflexe crémastérien. 5° Le réflexe plantaire. En dehors de ces
réflexes
que Van Gehuchten considère comme des réflexes
. En dehors de ces réflexes que Van Gehuchten considère comme des
réflexes
cutanés corticaux, il existe un autre réflexe, c'
considère comme des réflexes cutanés corticaux, il existe un autre
réflexe
, c'est le réflexe plan- taire avec extension de
es réflexes cutanés corticaux, il existe un autre réflexe, c'est le
réflexe
plan- taire avec extension des orteils, c'est l
ls, c'est le signe de Babinski que Van Gehuchten considère comme un
réflexe
pathologique, que Babinski regarde comme le rés
que, que Babinski regarde comme le résultat d'une transformation du
réflexe
plantaire. Pour tous les réflexes corticaux (ab
e résultat d'une transformation du réflexe plantaire. Pour tous les
réflexes
corticaux (abdominal et crémastérien), l'abolitio
les réflexes corticaux (abdominal et crémastérien), l'abolition des
réflexes
est seule importante, mais sa valeur sémiologique
binski qui a .donc la plus grosse importance sémiologique parmi les
réflexes
cutanés, c'est par lui que nous commencerons :
iété de Biologie, Babinski s'exprimait ainsi : . [CROUZON.] 448
RÉFLEXES
. « .rai observé dans un certain nombre de cas d
afleclion organique du système nerveux central une perturbation du
réflexe
plantaire dont voici en quelques mots la descri
le métatarse; ce n'est donc pas la modification dans l'intensité du
réflexe
plantaire, c'est une transformation de ce réflexe
ns l'intensité du réflexe plantaire, c'est une transformation de ce
réflexe
. » Voici du reste comment il convient de recher
obiles, on pratiquera des excitations de plus en plus fortes. Si le
réflexe
est normal, les orteils se fléchissent, c'est-à-d
mas- sent vers la plante du pied, mais, chez beaucoup de sujets, le
réflexe
rait totalement défaut à l'état normal et il y
exe rait totalement défaut à l'état normal et il y a immobilité des
réflexes
. A l'étal pathologique, le réflexe est perverti
normal et il y a immobilité des réflexes. A l'étal pathologique, le
réflexe
est perverti, les orteils s'étendent, c'est-à-d
xamen de l'observateur. Il convient de ne pas confondre l'extension
réflexe
des orteils avec certains mouvements volontaire
me une extension des orteils ayant une valeur véritablement ' " ' -
RÉFLEXES
. CUTANÉS. - 449 pathognomonique que l'extension
l'extension des orteils se produisant lentement par;, un mouvement
réflexe
et surtout l'extension lente du gros orteil.- O
seulement amener l'extension des orteils, mais aussi une abduction
réflexe
: les orteils s'écartent les uns des autres. M. B
'écartent les uns des autres. M. Babinski considère cette abduction
réflexe
comme un phénomène pathologique ayant une même
de l'excitation. Abduction des orteils, d'une intensité moyenne.
RÉFLEXES
CLTAXÉS. -451 ces constatations sont basées sur
orteils existe presque « toujours, dans l'hémiplégie hystérique le
réflexe
cutané plantaire est « au contraire normal. »
é de la plante du pied qui empêche l'excitation, point de départ du
réflexe
. Dans 1 hémiplégie hystérique, le signe de Babi
rre Marie, puis Ganault, ont observé un hémiplégique chez lequel le
réflexe
des orteils se faisait en extension du côté paral
arhon et (;4 ! .ldstein ont fait des constatations analogues sur le
réflexe
contralatéral. [CROUZON.] 452 RÉFLEXES. 5°
atations analogues sur le réflexe contralatéral. [CROUZON.] 452
RÉFLEXES
. 5° Dans la paraplégie spasmodique, quelle qu'e
ait du reste avec quelle fréquence on y rencontre l'exagération des
réflexes
et la trépidation épilcploïde. Réflexe plantair
ncontre l'exagération des réflexes et la trépidation épilcploïde.
Réflexe
plantaire. - Le réflexe : plantaire était connu b
s réflexes et la trépidation épilcploïde. Réflexe plantaire. - Le
réflexe
: plantaire était connu bien avant le phénomène
s étaient son exagération ou son abolition. Dans l'hémiplégie, ce
réflexe
plantaire est généralement affaibli du côté par
il n'est pas aboli dans le cas d'hémianesthésie. La recherche de ce
réflexe
plantaire comme celle des autres réflexes cutan
thésie. La recherche de ce réflexe plantaire comme celle des autres
réflexes
cutanés que nous allons avoir à étudier semble
uchten pense cependant qu'il convient d'attribuer il l'abolition du
réflexe
plantaire connue à l'abolition des autres réflexe
il l'abolition du réflexe plantaire connue à l'abolition des autres
réflexes
cutanés une valeur pathognomonique aussi grande
REFLEXES CUTANES. 453 orteils : suivant lui, cette disparition des
réflexes
cutanés est l'indice d'une lésion de la voie co
t au Congrès de Limoges. Enfin, nous devons mentionner, à propos du
réflexe
plantaire, le réflexe abducteur du pied, décrit
s. Enfin, nous devons mentionner, à propos du réflexe plantaire, le
réflexe
abducteur du pied, décrit par Hirschberg, réfle
exe plantaire, le réflexe abducteur du pied, décrit par Hirschberg,
réflexe
qui se produit après excitation de la plante dn
de la plante dn pied et qui se traduit par l'adduction du pied : ce
réflexe
aurait une grande valeur pour le diagnostic d'une
pour le diagnostic d'une affection organique du système nerveux.
Réflexe
du fascia lata. Le réflexe du fascia lata a été d
ffection organique du système nerveux. Réflexe du fascia lata. Le
réflexe
du fascia lata a été décrit par Brissaud. Il se
fascia lata a été décrit par Brissaud. Il se rapproche beaucoup du
réflexe
plantaire, il est provo- que comme lui par l'ex
ble la fossette fémorale et dont l'apparition soudaine constitue le
réflexe
. L'aponévrose fémorale se tend et le vaste extern
terne repoussé en avant donne à la cuisse une forme cylindrique. Ce
réflexe
du fascia lata peut coïncider avec l'extension
affections du système nerveux lrw Renaalt ( Thèse de Paris, 1 cJU).
Réflexe
antagoniste de Scheffer. Le réflexe antagoniste d
naalt ( Thèse de Paris, 1 cJU). Réflexe antagoniste de Scheffer. Le
réflexe
antagoniste de Scheffer (Neurologisches Centzal
du côté paralysé. Suivant Babinski, de Buck, de Moor, ce prétendu
réflexe
antagoniste n'est pas un réflexe tendineux mais
ski, de Buck, de Moor, ce prétendu réflexe antagoniste n'est pas un
réflexe
tendineux mais un réflexe cutané analogue au phén
prétendu réflexe antagoniste n'est pas un réflexe tendineux mais un
réflexe
cutané analogue au phéno- mène des orteils, mai
extra-plantaire. Il démontre seulement que la zone d'excitation du
réflexe
de Babinski n'est pas limitée la plante du pied
a plante du pied, mais s'étend jusqu'au niveau du tendon d'Achille.
Réflexe
crémastérien. Le réflexe crémastérien se produit
étend jusqu'au niveau du tendon d'Achille. Réflexe crémastérien. Le
réflexe
crémastérien se produit si Ion frotte avec la p
la face interne de la cuisse au-dessus du genou. [CROUZON.] 4M
RÉFLEXES
. Suivant Van Gehuchten, ce réflexe aurait son a
s du genou. [CROUZON.] 4M RÉFLEXES. Suivant Van Gehuchten, ce
réflexe
aurait son analogie chez la femme, et cet auteu
son analogie chez la femme, et cet auteur le désigne sous le nom de
réflexe
inguinal. Ce réflexe crémastérien est très vari
mme, et cet auteur le désigne sous le nom de réflexe inguinal. Ce
réflexe
crémastérien est très variable suivant les sujets
l'hémiplé- gique est plus âge. ' Marandon de Montyel a étudié le
réflexe
crémastérien aux trois périodes de la paralysie
s cas et c'est le plus souvent l'affaiblissement ou l'abolition des
réflexes
. Celle altération est bi-latérale et souvent da
ration est bi-latérale et souvent dans le début de la maladie. Le
réflexe
crémastérien a été considéré comme un indicateur
n indique l'anesthésie com- plète au même titre épie l'abolition du
réflexe
cornéen. Réflexe bulbo-caverneux. - Cc réflexe
sie com- plète au même titre épie l'abolition du réflexe cornéen.
Réflexe
bulbo-caverneux. - Cc réflexe est provoqué de la
épie l'abolition du réflexe cornéen. Réflexe bulbo-caverneux. - Cc
réflexe
est provoqué de la façon suivante : on saisit e
ent le choc rapide de la contraction du muscle bulho-can'l'I1eux.
Réflexe
abdominal et épigastrique. On recherche le réfl
o-can'l'I1eux. Réflexe abdominal et épigastrique. On recherche le
réflexe
abdominal ou le réflexe épigastrique en frôlant r
abdominal et épigastrique. On recherche le réflexe abdominal ou le
réflexe
épigastrique en frôlant rapidement la peau avec
nséquence de produire le mouvement « de rentrer le ventre ». - Le
réflexe
abdominal se recherche au-dessous de l'ombilic su
e médiane. Il se recherche de même au niveau de l'épigastre pour le
réflexe
épigastrique. A l'état normal, suivant que le s
èse, suivant que la paroi abdominale est plus ou moins relâchée, ce
réflexe
est plus ou moins apparent. Suivant Parisol, le
elâchée, ce réflexe est plus ou moins apparent. Suivant Parisol, le
réflexe
abdominal chez les vieillards est généralement
e et s'épuise rapidement. Cependant la disparition unilatérale d'un
réflexe
peut avoir une valeur séméiologique importante.
nte. C'est Hosellbach qui a signalé, l'abolition assez fréquente du
réflexe
abdominal dans l'hémiplégie. Ganault a constaté
, affaiblisse- ment dans 55,3 pour 100 des cas. La disparition du
réflexe
: abdominal a été aussi constatée élans certaines
ndicite (Sicard) et dans les affections utérines ou purintérines.
RÉFLEXES
CUTANÉS. MI5 Réflexe mamellaire. Ce réflexe se
les affections utérines ou purintérines. RÉFLEXES CUTANÉS. MI5
Réflexe
mamellaire. Ce réflexe se produit par le frôlemen
nes ou purintérines. RÉFLEXES CUTANÉS. MI5 Réflexe mamellaire. Ce
réflexe
se produit par le frôlement du mamelon et il es
nt du mamelon et il est caractérisé par l'érection de cet organe.
Réflexe
fessier. II consiste dans la contraction des musc
cles "-rands fessiers par excitation de la peau qui les recouvre.
Réflexe
anal. Il consiste dans la contraction ou l'élévat
par exemple la position couchée sur le dos. les jambes relevées.
Réflexe
buccal. Toulouse et Vurpas ont provoqué ce réflex
jambes relevées. Réflexe buccal. Toulouse et Vurpas ont provoqué ce
réflexe
en percutant avec la pointe d'un marteau la par
pathologique les deux lèvres se rapprochent et se portent en avant.
Réflexe
pilo-moteur. - Ce réflexe consiste dans la contra
es se rapprochent et se portent en avant. Réflexe pilo-moteur. - Ce
réflexe
consiste dans la contraction des ar redores pi
: on voit alors se produire le phénomène de la « chair de poule ».
Réflexe
vaso-moteur d'origine cutanée. Haillon et Comte
du volume des doigts explorés. Cette excitation n'est pas suivie du
réflexe
quand elle porte sur une région atteinte d'anesth
région atteinte d'anesthésie par cause organique. Au contraire, ce
réflexe
se produit normalement quand il s'agit d'une an
d'une façon variable dans diverses affections du système nerveux.
Réflexe
pharyngé et réflexe palpébral. On peut rappro-
le dans diverses affections du système nerveux. Réflexe pharyngé et
réflexe
palpébral. On peut rappro- cher ces deux réflex
éflexe pharyngé et réflexe palpébral. On peut rappro- cher ces deux
réflexes
des réflexes cutanés. Le réflexe pharyngé est e
gé et réflexe palpébral. On peut rappro- cher ces deux réflexes des
réflexes
cutanés. Le réflexe pharyngé est exploré de la
. On peut rappro- cher ces deux réflexes des réflexes cutanés. Le
réflexe
pharyngé est exploré de la façon suivante : on ch
des picotements, des nausées et quelquefois des vomisse- ments. Ce
réflexe
pharyngé fait défaut dans l'hystérie et il est cl
r comme un des stigmates caractéristiques (le cette affection. Le
réflexe
pharyngé l'ait également, défaut dans la paralysi
aut dans la paralysie pharyngée ]mlbaire et pS('IHlo-bu]baire. Le
réflexe
palpébral est la réaction qui se produit quand on
e coin d'un morceau de papier, la paupière se ferme brusquement. Ce
réflexe
palpébral disparaît dans le sommeil chioroformi
ique, il disparaît également dans le coma. Valeur séméiologique des
réflexes
cutanés. Nous avons déjà vu pour chacun de ces
logique des réflexes cutanés. Nous avons déjà vu pour chacun de ces
réflexes
quelle était sa valeur spéciale. [CROUZON.] 4
de ces réflexes quelle était sa valeur spéciale. [CROUZON.] 456 '
RÉFLEXES
. , - . nous n'envisagerons ici que leur valeur
gique et nous laisserons de côté la valeur de la transformation des
réflexes
cutanés, cette trans- formation constante parti
indiqué suffisamment la signification. La valeur séméiologique des
réflexes
cutanés si l'on en excepte le signe de Babinski
te le signe de Babinski est beaucoup moins importante que celle des
réflexes
tendi- neux. Les réflexes peuvent être modifiés
t beaucoup moins importante que celle des réflexes tendi- neux. Les
réflexes
peuvent être modifiés dans deux sens : dans le se
'exagération et dans le sens de.la diminution ou de l'abolition des
réflexes
. " A) Exagération des réflexes cutanés. L'exagé
a diminution ou de l'abolition des réflexes. " A) Exagération des
réflexes
cutanés. L'exagération des réflexes cutanés s'o
réflexes. " A) Exagération des réflexes cutanés. L'exagération des
réflexes
cutanés s'observe surtout dans les lésions cent
ans l'intoxication alcoolique. - - B) L'absence ou diminution des
réflexes
cutanés a plus de valeur diagnostique et pronos
ion qu'il leur suppose, Van Gehuchten pense que toute abolition des
réflexes
cutanés a pour signification un trouble dans la v
our signification un trouble dans la voie pyramidale, trajet de ces
réflexes
cutanés cortico-spinaux. Toutefois le trouble du
et de ces réflexes cutanés cortico-spinaux. Toutefois le trouble du
réflexe
peut s'observer également dans les lésions des vo
rifuges. Nous envisagerons tout d'abord l'abolition généralisée des
réflexes
cutanés. 1 1° Elle peut s'observer dans les lés
as, les affections aiguës diffuses du cerveau où la disparition des
réflexes
cutanés est beaucoup plus grave que celle des r
parition des réflexes cutanés est beaucoup plus grave que celle des
réflexes
tendineux. Le réflexe cutané disparaît égalemen
utanés est beaucoup plus grave que celle des réflexes tendineux. Le
réflexe
cutané disparaît également dans certaines malad
ertaines maladies mentales : mélancolie, catatonie. L'absence des
réflexes
peut se voir également : 2° Dans les lésions de
périphériques, les compressions radiculaires, le tabès. L'état des
réflexes
cutanés a été recherché chez les diabétiques par
avaux a montré que fréquemment on pouvait constater l'abolition des
réflexes
abdominaux, pharyngés, crémastériens et plantai
ns et plantaires. Il y a donc chez les diabétiques des troubles des
réflexes
cutanés qui concordent avec les troubles des ré
troubles des réflexes cutanés qui concordent avec les troubles des
réflexes
tendineux. Dans l'hystérie, au contraire, alors
ystérie, au contraire, alors même que la sensibilité a disparu, les
réflexes
cutanés persistent, montrant ainsi .l'intégrité d
récepteurs. ci et 5° Dans les lésions des voies centrifuges, les
réflexes
cutanés peuvent être alors abolis, diminués, et
et la sensibilité cutanée reste intacte. NATURE ET LOCALISATION DES
RÉFLEXES
. 457 Abolition localisée des réflexes cutanés.
NATURE ET LOCALISATION DES RÉFLEXES. 457 Abolition localisée des
réflexes
cutanés. L'abolition localisée des réflexes cut
Abolition localisée des réflexes cutanés. L'abolition localisée des
réflexes
cutanés a une signification plus restreinte que l
ication plus restreinte que l'abolition généra- lisée : la perte du
réflexe
IItnll1dlairc est généralement liée il une anes-
à une lésion des nerfs périphériques. Suivant Blocq et Onanol1', le
réflexe
buibo-caverneux est étroitement lié a la foncti
asionnée par une psychose. NATURE ET LOCALISATION DES REFLEXES Un
réflexe
tendineux ou cutané est un réflexe dont le point
ET LOCALISATION DES REFLEXES Un réflexe tendineux ou cutané est un
réflexe
dont le point de départ est une excitation spéc
ns l'appareil tendineux ou dans la peau. Dans le cas particulier du
réflexe
rotulien, la percussion du tendon constitue l'e
. Si l'on remonte ces libres nerveuses, on peut suivre le trajet du
réflexe
tendineux jusque dans le nerf crural par exempl
e bord postérieur de la moelle. Si nous conservons comme exemple le
réflexe
rotutien. la voie centripète du réflexe se cont
conservons comme exemple le réflexe rotutien. la voie centripète du
réflexe
se continue dans la moelle, mais non pas dans tou
itation se transmet alors suivant la voie centri- [CROUZON.] 1-58
RÉFLEXES
. luge et emprunte les racines antérieures des f
nerf crural. En résumé, les organes constituants de cet appareil
réflexe
sont : 1° Le tendon rotulien; 2° Le nerf péri
cun de ces organes est nécessaire pour la production du mouve- ment
réflexe
, les lésions quelconques de l'un d'eux entraînent
xe, les lésions quelconques de l'un d'eux entraînent la perte de ce
réflexe
, aussi on peut comprendre facilement que le r
perte de ce réflexe, aussi on peut comprendre facilement que le
réflexe
fasse défaut par lusion c1u l'apparcil linmn-
re comme dans les myopathies. Cependant cette conception de l'arc
réflexe
n'est pas adoptée par les auteurs; un grand nom
yer la distinction admise par Sherrington, il existe deux sortes de
réflexes
: 1° Les vrais réflexes spinaux très peu import
par Sherrington, il existe deux sortes de réflexes : 1° Les vrais
réflexes
spinaux très peu importants; 2" Des pseudo-réfl
lais et américains. Ces pscudo-réflexcs ne sont autre chose que les
réflexes
que nous venons d'étudier, mais les auteurs ang
la moelle; ils objectent, en effet, il la théorie de l'arc nerveux
réflexe
, ce fait que l'excitation du tendon se propage
n du tendon et la contraction du triceps est trop court pour que le
réflexe
puisse se produire dans un si petit intervalle,
onstaté chez (les sujets atteints de paralysie spasmodique dont les
réflexes
sont particulièrement vifs, tandis épie les tem
; nerf centripète. (Blocq et Onanoff.) NATURE ET LOCALISATION DES
RÉFLEXES
. 4;n sont de 48 à 52 millièmes de seconde. Enfi
ns une par seconde. D) Sa production par la percussion du périoste (
réflexe
périostique) dans certaines régions, notamment
ajouterons à ces arguments celui qui est fourni par la présence du
réflexe
contra-latéral des adducteurs décrit par Pierre M
u réflexe contra-latéral des adducteurs décrit par Pierre Marie; ce
réflexe
, provoqué dans le membre opposé par la percussion
cles du côté opposé il la percussion. Nous venons de voir que les
réflexes
avaient leur origine dans le sys- tème nerveux
me nerveux central, il nous reste à préciser la localisation de ces
réflexes
dans le système nerveux. Cette localisation des r
ion de ces réflexes dans le système nerveux. Cette localisation des
réflexes
a l'ait l'objet de nombreux travaux et a été la
uestion et les acquisitions récentes concernant la localisation des
réflexes
. Nous ne ferons donc pas l'historique des travaux
zvnski (Paris 1902) et les travaux de Noïca. [CROUZON.] i<i0
RÉFLEXES
. De cet ensemble de travaux il résulte la conce
De cet ensemble de travaux il résulte la conception suivante : un
réflexe
nécessite : 1° L'intégrité anatomique et foncti
ssite : 1° L'intégrité anatomique et fonctionnelle de l'arc nerveux
réflexe
; 2° Un certain degré de tonus nerveux est indis
Suivant Van Gehuchten, il y aurait deux voies différentes pour les
réflexes
cutanés et pour les réflexes tendineux. Les réf
aurait deux voies différentes pour les réflexes cutanés et pour les
réflexes
tendineux. Les réflexes cutanés empruntent la v
tes pour les réflexes cutanés et pour les réflexes tendineux. Les
réflexes
cutanés empruntent la voie pyramidale, c'est-à-di
c'est-à-dire la voie des fibres cortico-spinales; au contraire, les
réflexes
tendineux em- pruntent une autre voie : c'est l
rtain nombre de faits : tout d'abord, la dissociation des voies des
réflexes
tendineux et des voies des réflexes cutanés est
, la dissociation des voies des réflexes tendineux et des voies des
réflexes
cutanés est prouvée par l'antagonisme qui existe
réflexes cutanés est prouvée par l'antagonisme qui existe entre les
réflexes
cutanés et les réflexes tendineux dans un certain
uvée par l'antagonisme qui existe entre les réflexes cutanés et les
réflexes
tendineux dans un certain nombre d'affections :
i que dans l'hémiplégie, où les libres pyramidales sont lésées, les
réflexes
cutanés sont abolis alors que les réflexes tend
midales sont lésées, les réflexes cutanés sont abolis alors que les
réflexes
tendineux sont conservés et même exagérés; il en
dans la paraplégie spasmodique. Yan Gellllchlen admet l'absence des
réflexes
cutanés et l'existence de l'exagérai ion des réfl
l'absence des réflexes cutanés et l'existence de l'exagérai ion des
réflexes
tendineux. D'autre part, les observations prati
eys, deBuck, ont montré que, pendant lanestbésiecbloroformiquc, les
réflexes
cutanés disparaissaient les premiers; or, on sait
nc confirmer la conception de Van Gehuchten sur la dissociation des
réflexes
et leurs localisations différentes; cependant,
, Jackson, qui admettent le rôle du cervelet dans la production des
réflexes
, cette conception n'est pas d'accord cependant
cord cependant avec celle des anciens auteurs qui admettent que les
réflexes
étaient purement médullaires. Elle ne cadre pas
ne cadre pas davantage avec la conception de Pandi qui assigne aux
réflexes
tendineux une origine corticale; elle n'est pas a
armonie avec la conception de Jendrassik qui, tout en assignant aux
réflexes
cutanés une origine corticale, considère que les
gnant aux réflexes cutanés une origine corticale, considère que les
réflexes
tendi- neux sont d'origine médullaire. Enfin,
Gehuchten : c'est la valeur que celui-ci attribue à l'abolition des
réflexes
cutanés. Cet auteur pense en effet que l'abolitio
et auteur pense en effet que l'abolition NATURE ET LOCALISATION DES
RÉFLEXES
. -401 1 du réflexe abdominal et du réflexe crém
et que l'abolition NATURE ET LOCALISATION DES RÉFLEXES. -401 1 du
réflexe
abdominal et du réflexe crémastérien signifie lés
URE ET LOCALISATION DES RÉFLEXES. -401 1 du réflexe abdominal et du
réflexe
crémastérien signifie lésion du faisceau pyrami
constate cette assertion, et, tout en admettant la dissociation des
réflexes
cutanés et tendineux, n'admet pas les dernières
lusions de Van Gehuchten. Ce dernier auteur, du reste, considère le
réflexe
de Babinski, l'extension des orteils, comme un
considère le réflexe de Babinski, l'extension des orteils, comme un
réflexe
pathologique tout à lait différent du réflexe pla
des orteils, comme un réflexe pathologique tout à lait différent du
réflexe
plantaire normal et semble à ce point de vue fa
normal et semble à ce point de vue faire une distinction entre les
réflexes
cutanés corticaux et les réflexes cutanés médul
e faire une distinction entre les réflexes cutanés corticaux et les
réflexes
cutanés médullaires. Babinski ne pense pas qu'i
portance très grande à cet affaiblissement ou à cette abolition des
réflexes
abdominal et crémastérien ; il pense que, si l'on
l'on veut exprimer le caractère essentiel de la perturbation de ces
réflexes
, il faut s'attacher à leur transformation et ce
une valeur pathologique. Quelle que soit la valeur des troubles des
réflexes
au point de vue de la topographie des lésions,
, nous pouvons cependant préciser la hauteur à laquelle chaque voie
réflexe
se rattache au système nerveux spinal. Les réfl
elle chaque voie réflexe se rattache au système nerveux spinal. Les
réflexes
tendineux se mettent en rapport avec le système n
erveux central aux différentes bailleurs mentionnées ci-dessous :
Réflexe
achilléen, 5° segment lombaire, 'le, segment sacr
8' segments cervicaux. du coude, 0° et 7° segments cervicaux. Les
réflexes
cutanés ont les localisations suivantes : Réfle
cervicaux. Les réflexes cutanés ont les localisations suivantes :
Réflexe
é[iâaslriyue, 9° segment dorsal.. abdominal, -I
ire il n'a pas grande signification. Une exagération manifeste du
réflexe
tendineux du poignet pour le côté paralysé prés
ILÉml'LIGIE..1.fj;¡ Au membre inférieur il en est de même pour le
réflexe
rotulien; la re- cherche du signe de Babinski,
voir se développer la contracture (Voir chapitre Conthacture). Les
réflexes
tendineux sont ordinairement exagérés du côté par
éflexes tendineux sont ordinairement exagérés du côté paralysé. Les
réflexes
cutanés (abdominal, crémastérien) sont souvent af
al, crémastérien) sont souvent affaiblis ou même abolis. Quant au
réflexe
plantaire, Babinski a montré que, quand il se fai
ies avec lésion étendue du faisceau pyramidal ne pas donner lieu au
réflexe
plantaire en extension. L'étude des mouvements
sse après elle qu'un peu de maladresse pour les actes délicats; les
réflexes
tendineux sont exagérés au tendon rotulien et a
ulaire qui est atteint, on constate la diminution ou l'abolition du
réflexe
pharyngé, des troubles de la déglutition et de l'
es pyrami- dales atteintes, il existe une exagération manifeste des
réflexes
tendi- neux et le signe de Babinski, et, pour p
r ou quand, assis à terre, il se laisse brusquement retomber. Les
réflexes
tendineux peuvent être forts, comme amplitude, da
évropathes on peut observer un faux clonus du pied (Babinski). Le
réflexe
plantaire est, dans l'hémiplégie névropathique, t
re est, dans l'hémiplégie névropathique, toujours en flexion. Les
réflexes
cutanés sont le plus souvent conservés chez les h
ie. vulgaire. Les troubles (fêla sensibilité sont très rares. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés quand la contracture
476 . HEMIPLEGIE. pas assez forte pour immobiliser les membres. Le
réflexe
plantaire est presque toujours en extension (')
rragie, lésions traumatiques, etc. 1. Chez les jeunes enfants, le
réflexe
des orteils se fait normalement en extension; c
n involontaire, au moment où ont lieu des mouvements volontaires ou
réflexes
dans une autre partie». Celle définition est de
plégie. Les mouvements associés sont différents des mouvements dits
réflexes
: ceux-ci surviennent il la suite d'une secouss
uction ou en demi-flexion. Il ne faut donc pas confondre mouvements
réflexes
et mouvements associés. Flexion combinée de la
arut avoir une signification clinique de même ordre que l'abduction
réflexe
. Phénomène de Strümpell. - Le phénomène de Stru
de la contracture. Dans ce cas, le si"'ne de Kernig ne serait qu'un
réflexe
dû à la douleur, mais ditfé- rents auteurs et,
nts douloureux apophysaires. On explorera minutieusement l'état des
réflexes
tendineux et cutanés. , Le malade souffre-t-i
vient irréalisable. La contracture s'accompagne d'exagéra- tion des
réflexes
tendineux, la-flaccidité d'affaiblissement ou d'a
laccidité d'affaiblissement ou d'abolition PARAPLÉGIE. 487 de ces
réflexes
. On rencontre parfois des termes intermédiaires :
aires : des membres flasques pouvant présenter de l'exagération des
réflexes
. Paraplégie spasmodique. La démarche du paraplé
moment des secousses de toux et des efforts de défécation. * Les
réflexes
tendineux demandent un examen minutieux. Ils sont
gération de ses reliefs et la saillie de ses corps musculaires. Les
réflexes
cuta- nés peuvent être normaux ou abolis, ils s
d'absolument aucun trouble de la sensibilité. PARAPLÉGIE. 489 Les
réflexes
cutanés peuvent être normaux ou abolis, ils sont
, corrélatif à l'atrophie des muscles. Il pouvait persister quelque
réflexe
dont l'exagération manifeste mettait sur la voi
Nous reviendrons un peu plus loin sur cette question épineuse des
réflexes
. Pour le moment, signalons simplement les traits
raits fondamentaux du syndrome flaceide. Le tonus, la motilité, les
réflexes
tendineux sont abolis. L'état des réflexes cuta
tonus, la motilité, les réflexes tendineux sont abolis. L'état des
réflexes
cutanés est variable; ils sont en général plutôt
chten a pu dis- tinguer des paraplégies flasques avec abolition des
réflexes
et sensibilité intacte des paraplégies flasques
et sensibilité intacte des paraplégies flasques avec abolition des
réflexes
et dissocia- tion syringomyelique de la sensibi
ingomyelique de la sensibilité enfin' des paraplégies flasques avec
réflexes
abolis et anesthésie complète. Ajoutons que l'on
is, a pu être flasque, mais c'est la un phénomène exceptionnel. Les
réflexes
sont très exagérés, l'orteil se place en exten-
auses présidant régulièrement t l'exagération ou il l'abolition des
réflexes
, c'est- à-dire il leur déterminisme précis. Che
donc, à l'heure actuelle, nos acquisitions indéniables au sujet des
réflexes
dans les paraplégies ? , ' Nous laisserons de c
ression lente admettre l'ancienne formule. « Il y a suppression des
réflexes
centrés au niveau de la lésion, exagération de
s, des lésions de la maladie de Barlow, des atrophies muscu- laires
réflexes
liées aux arthropathies tabétiques ou banales. Ch
la myélite syphilitique d'l,rh. a) Paraplégies avec exagération des
réflexes
sans contracture; atrophie musculaire constante
des dis- tinctes, l'une d'atrophie progressive avec exagération des
réflexes
aux quatre membres, débutant à vrai dire par le
membres supérieurs, l'autre d'atrophie intense avec disparition des
réflexes
au prorata de l'atrophie. Cette atrophie est du
ses mus- culaires disparaissent assez rapidement; l'exagération des
réflexes
est cependant encore perceptible avec des muscl
observer de l'atrophie des membres inférieurs avec exagération des
réflexes
à la phase terminale des paraplégies spasmo- di
ntracture musculaire cède devant l'atrophie, mais l'exagération des
réflexes
peut être mise en évidence pendant quelque temps
c léger le plus souvent, parfois même limité à de l'exagération des
réflexes
. Les principaux troubles intéressent les membre
Marie et Astier. 5" Paraplégies spasmodiques avec exagération des
réflexes
et contracture au niveau des membres suj>éri
res de la région cervicale, présentent également, l'exagération des
réflexes
aux quatre membres et la démarche spasnm- dique
ntervenir. On observe pour ainsi dire toujours de l'exagération des
réflexes
ten- dineux aux membres supérieurs, même lorsqu
ongées pour que le malade puisse se croire guéri. L'exagération des
réflexes
persiste naturellement pendant ces périodes où
le est presque intacte au niveau des extenseurs (Pierre Marie). Les
réflexes
sont nettement exagérés. Il- n'existe jamais de
rdinaire; et déjà, chez les paraplégiques de Erb, l'exagération des
réflexes
au niveau du membre supérieur est loin d'être e
Le début survient il propos d'un excès, de surmenage variable. Les
réflexes
sont rapidement abolis cl l'immobilisation des
la maladie de l cmdor/ ('), la mort survient en de 2 à 5 jours. Les
réflexes
tendineux sont abolis, et fréquemment les réflexe
2 à 5 jours. Les réflexes tendineux sont abolis, et fréquemment les
réflexes
cutanés le sont également. II s'agit d'une mala
bles sensitifs accompagnés de douleurs sur le trajet des nerfs. Les
réflexes
tendineux sont bientôt abolis, et cela sans qu'
s le jeune âge; Du tab.es en effet, cette névrite a l'abolition des
réflexes
rotuliens, l'Argyll et le Romberg. -Il existe d
. 505 Il existe au-dessus du genou de l'atrophie en jarretière. Les
réflexes
ten- dineux sont abolis proportionnellement au
, sphinctériens ou électriques, ni accidents trophiques. L'état des
réflexes
est parallèle à l'état des muscles, il n'existe p
un syphilitique. La paraplégie ne serait pas toujours flasque : les
réflexes
pourraient être exagérés avec extension ' [MOUT
les sphincters sont indemnes. On constate ,une abolition totale des
réflexes
et de l'excitabilité électrique. Ajoutons [que
de rétention, ni d'atrophie musculaire, ni de troubles accusés des
réflexes
[extension de l'orteil). On peut dépister l'inf
réquemment, ainsi qu'il est accoutumé chez les neurasthéniques, les
réflexes
sont, exagérés, et PARAPLÉGIE. 507 l'on note
ne se rencontrent jamais dans l'hystérie. Ce sont : l'abolition des
réflexes
tendineux avec exagé- ration des réflexes cutan
Ce sont : l'abolition des réflexes tendineux avec exagé- ration des
réflexes
cutanés, les troubles sphinctériens (l'hystérique
troubles sphinctériens (l'hystérique est propre), l'exagération des
réflexes
avec extension de l'orteil (en dehors des réser
inence, fièvre, fourmille- ments, rachialgie osseuse, abolition des
réflexes
, troubles électriques. Quasi-certitude : escarr
les men- tionner. De cet ordre- sont en effet les paralysies dites
réflexes
du goitre exophtalmique et des urinaires. Ce so
s de la spina bifida, le diagnostic serait facilité par l'étude des
réflexes
. Us sont abolis dans la paralysie infantile, ex
cas, il existe du côté de la paralysie infantile de l'abolition des
réflexes
, de l'atrophie musculaire intense avec jambe de
ons électriques; de l'autre côté se constatent de l'exagération des
réflexes
avec signe de Babinsky en extension, de l'adduc
. Il a tendance à tomber en arrière et du côté le plus atteint. Les
réflexes
tendineux sont exagérés, le cutané plantaire es
t être au contraire absolument flasque. 11 y a de l'exagération des
réflexes
, et par- fois de l'incontinence ou de la rétent
es inférieurs, par une parésie accompagnée déjà de l'exaltation des
réflexes
tendineux sans signe de Babinsky en général. (L
l'orteil (Crouzon). 3° Paraplégies snziles sans modification des
réflexes
ni troubles du névraxe, gâtisme terminal. Myopa
actées. Il n'existe ni troubles sphinctériens, ni modifications des
réflexes
tendineux ou cutanés, ni alté- rations de la se
ralysies urinaires, bien peu probablement ressortissent de troubles
réflexes
. Il s'agit le plus peuvent de polynévrites infe
ique, se fait bien. L'expulsion du foetus est, en revanche, un acte
réflexe
qui exige l'intégrité des rapports de l'utérus
troubles sphinctériens intenses, et souvent escarre au sacrum ». Le
réflexe
cremastericn et le réflexe patellairc sont abolis
nses, et souvent escarre au sacrum ». Le réflexe cremastericn et le
réflexe
patellairc sont abolis. mais le réflexe achillé
réflexe cremastericn et le réflexe patellairc sont abolis. mais le
réflexe
achilléen est conservé ou même exagéré (Grasset).
riapisme (en général transitoire) ou plus souvent impuissance]. Les
réflexes
cutanés plantaires sont abolis ainsi que le réfle
uissance]. Les réflexes cutanés plantaires sont abolis ainsi que le
réflexe
, achilléen, e patellaire est conservé, parfois
nsibilité des membres inférieurs, ainsi que par la conservation des
réflexes
achilléen et rotulien. En revanche, il existe d
C .EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. 517. de l'urinc. Le
réflexe
bulbo-caverneux est aboli; on note l'ahsence d'éj
araplégie totale des membres inférieurs avec abolition constante du
réflexe
du tendon d'Achille, abolition fréquente du réfle
on constante du réflexe du tendon d'Achille, abolition fréquente du
réflexe
pteitan'c : il faut, pour la disparition de ce
U SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. racine lombaire soit atteinte. Les
réflexes
cutanés, plantaire et créinas- térien, disparai
avec diminution ou disparition de l'excitabilité électrique et des
réflexes
pendant la paralysie. Il n'existe pas de troubles
st constant ; les ICROUZON.] 20 PARALYSIE PÉRIODIQUE FAMILIALE.
réflexes
, du reste, sont également supprimés ou diminués p
s du plexus sont liées ou sectionnées pour supprimer les mouvements
réflexes
, puis il procède à l'excitation isolée, des fil
yotrophie, les troubles des réactions électriques, les troubles des
réflexes
manquent chez l'hystérique ; il existe une anes-
une période de paralysie flasque les contractures se montrent : les
réflexes
des fléchisseurs, des extenseurs, les réflexes ol
es se montrent : les réflexes des fléchisseurs, des extenseurs, les
réflexes
olécrànion, po- riostique sont exagérés. L'atro
téristique de la sensibilité, la cypllo-scoliosc, l'exagération des
réflexes
au niveau des membres inférieurs. La monoplég
r une paralysie radicu- laire totale. La paralysie est flasque, les
réflexes
sont abolis, les troubles SÉMIOLOGIE DES PARALY
ie faciale d'origine cérébrale sont : la persistance des mouvements
réflexes
produits par exemple par l'aspersion d'eau froide
exemple par l'aspersion d'eau froide sur le visage, ou du mouvement
réflexe
d'occlusion des paupières il la suite d'excitatio
dans la paralysie faciale périphérique nu contraire, ces mouvements
réflexes
disparaissent ; la conservation de la mimique;
hperesllrésie; 5" les paresthésies 4° la névralgie; 5" les troubles
réflexes
d'origine laryngée. 1" Anesthésie du larynx.
inflammation du nez, du naso-pharynx ou de l'oreille, par une voie
réflexe
empruntant le trijumeau ou les filets les plus
(Lennox- Browne). Comme les paresthésies, la névralgie peut être un
réflexe
dou- loureux lié aux affections du nez et du na
eurs classiques, n'a pas donné de résultats à Huault. 5° Troubles
réflexes
d'origine laryngée. Le plus commun est la toux.
itôt la toux interviendra pour expulser le corps étranger. C'est un
réflexe
de défense, ayant pour but d'assurer la libre c
filets sensitifs du pneumogastrique. On sait d'ailleurs combien ce
réflexe
de la toux est facilement déterminé par PARALYS
ALYSIES DU LARYNX. 615 l'irritation d'autres rameaux du vague (toux
réflexe
des pleurétiques, toux gastrique, toux otique,
alement on connaît bien depuis les recherches de Brown- Séquard les
réflexes
graves que peuvent déterminer certains traumatism
s interventions. L'anesthesie du larynx diminue très évidemment ces
réflexes
, notamment celle qui est obtenue par l'inhalati
ïde, les néoplasmes de l'oesophage et de la trachée, etc. D) Spasme
réflexe
. Il est commun sous forme de toux spasmo- dique
veulent qu'il y ait une irritation nasale dans tous les cas de toux
réflexe
provenant de l'estomac, de l'intestin ou de l'u
flexe provenant de l'estomac, de l'intestin ou de l'utérus. La toux
réflexe
se verra aussi dans les hypertrophies des amygd
existe une prédisposition névropathique sans laquelle les troubles
réflexes
ne se produiraient pas ou n'atteindraient pas p
où il n'y a ni inflammation de cet organe, ni irritation directe ou
réflexe
du vago-spinal. Elle a généralement été déter-
it dans les muscles voisins d'une affection locale (atrophies dites
réflexes
, d'origine articulaire ou abarticulaire), soit
cale : a) Atrophies par lésions vasculaires. b) Atrophies dites «
réflexes
» : d'origine articulaire : arthrites, luxations,
- tions qualitatives de l'excitabilité électrique, conservation des
réflexes
tendineux proportionnellement à la conservation
dans aucun. L'opinion classique admet que, dans les myopathies, les
réflexes
ten- dineux sont intacts, diminués ou abolis pr
mple ou pseudo-hypertrophique des muscles correspondants : ainsi le
réflexe
rotulien serait conservé quand le quadriceps crur
otulien serait conservé quand le quadriceps crural est indemne, les
réflexes
achilléen ou olécrànicn seraient conservés au pro
r nie-, moire de 1885, Landouzy et Dejerine (') avaient noté que le
réflexe
patellaire avait disparu avant toute trace d'at
cas sur cinq; Erb a signalé dans ses observations'' l'abolition du
réflexe
rotulien bien plus fréquemment que l'atrophie du
n plus fréquemment que l'atrophie du quadriceps. Pour ce qui est du
réflexe
oticranien, quatre observations d'Erb, une d'Ho
ial est conservée; P. Marie et Guinon signalent que dans un cas les
réflexes
sont absents aux coudes bien que « la contraction
170uS-I11P1118 C) constaté chez trois myopathiques l'abolition des
réflexes
soit rotuliens, soit achil- léens, soit 'Il cil
mais ne croit pr,, que de celte discordance entre la diminution des
réflexes
et la conservation des muscles on puisse conclu
ui, dans des altérations mus- culaires précoces en rapport avec ces
réflexes
qu'il faudrait chercher la cause de cette aboli
ette abolition. Son hypothèse nous paraîtrait fort plausible si les
réflexes
ne conservaient parfois une assez grande intensit
lement par leur volume, mais encore par leur puissance. De plus les
réflexes
disparaissent parfois dans certains muscles que l
'atteindre; c'est ainsi que nous avons pu constater l'abolition des
réflexes
achilléens chez un myopathique facio-scapulo- h
e même ne présentaient encore aucune apparence d'atrophie et que le
réflexe
rotulien subsistait encore, quoique faible : or l
dont le degré d'atrophie était favorable. s) Les modifications des
réflexes
tendineux. Dans l'atrophie Charcot- Marie ils s
eté de l'affection. Dans tous les cas de Werdnig et de Hoffmann les
réflexes
tendineux étaient abolis. s) L'évolution de l
ux du lobes ou ceux de la sclérose en plaques : l'abo- lition des
réflexes
tendineux, le signe de Romberg qui n'est parfois
bauché, le signe d'Argyll-Robertson ou le simple affaiblissement du
réflexe
lumineux avec ou sans myosis, des troubles de la
que ou galvanique traversant les muscles du membre supérieur. Les
réflexes
tendineux sont variables, mais leur variation ne
yphilitique, il y a tendance à la spasmodicité avec exagération des
réflexes
tendineux; dans les autres cas, les ré- flexes
érose des fais- ceaux pyramidaux latéraux : exagération précoce des
réflexes
tendineux, extension des orteils, tendance à la
nuque, du cou, des bras, parfois du tronc, par l'exagé1Yl- lion des
réflexes
.tendineux, par l'absence de contractions fibrill
a cypho-scoliose parfois excessive, par l'exagération fréquente des
réflexes
tendineux des mem- bres inférieurs, par le débu
ic se trouvera confirmé si plus tard apparaissent l'exagération des
réflexes
rotuliens et l'e.xtension des orteils, signes d
damment de toute participation du système nerveux. b) Atrophies «
réflexes
». A la suite d'une irritation péri- phérique q
muscles voisins de la région irritée. Cette amyotrophie est dite «
réflexe
» parce qu'on la suppose due à un trouble purem
u'on pouvait expérimentalement empêcher l'apparition d'une atrophie
réflexe
par la section préalable des racines postérieur
des cellules radiculaires antérieures de la moelle. Les atrophies
réflexes
s'observent le plus souvent à la suite de lésions
est sou- vent exagérée, le moindre choc provoque des secousses. Les
réflexes
ten- dineux sont parfois diminués, plus ordinai
rogres- sive, puis régressive, des différents muscles atteints; les
réflexes
sont diminués ou abolis, les troubles trophique
l'épreuve du traitement spécifique. . Les amyotrophies secondaires,
réflexes
ou post-paralytiques, sont beaucoup plus suscep
ésions articulaires, le meilleur traitement préventif de l'atrophie
réflexe
consiste dans le massage doux, commencé sans reta
, mais même le massage doux. Le traitement curatif d'une atrophie
réflexe
sera plus complexe. Le I. Raymond. Soc. médic.
ile adjuvant. Enfin, Y électrothérapie trouvera, dans ces atrophies
réflexes
, une de ses principales indications ; les diffé
difications électriques quantitatives; conservation pro- longée des
réflexes
tendineux; début par la racine des membres; évolu
fibro-rauscu- laires ; réaction de dégénérescence; modification des
réflexes
tendineux; peu ou pas de troubles du développem
ons fibro-musculaires; réaction de dégénérescence; modification des
réflexes
tendineux; début par extrémité des membres supé
és analomo-cliniqucs : caractères différentiels : a) Spasmodiques :
réflexes
tendineux exagérés : Sclérose latérale amyotrop
-Robert- son, parfois douleurs et évolution rapide. e) Flasques :
réflexes
tendineux diminués : Tabès : Signes tabétiques.
Atrophies par lésions vasculaires : exceptionnelles. b) Atrophies «
réflexes
» : Origine articulaire : arthrites, luxations, c
laires parfois; réaction de dégénérescence fréquente; abolition des
réflexes
tendineux; début par l'extrémité des membres; t
nsibilité musculaire. La diminution ou la perle de l'excitabilité
réflexe
est, sans doute, parfois aussi pour quelque cho
urs fulgurantes ou en ceinture, de 1'liypoestliésie, l'abolition du
réflexe
rotulien, enfin de l'ataxie avec signe de Romberg
on maniaque. Il n'y a pas de troubles oculaires, pas d'abolition du
réflexe
pupillaire, pas ou très peu de troubles urinair
u intense. 11 y a ou non incontinence des sphincters, abolition des
réflexes
tendineux, atrophie musculaire; il n'y a pas de s
observer la presque totalité des troubles du tabes : abolition des
réflexes
rotuliens, douleurs fulgurantes, paroxysti- que
crée, des engourdissements et fourmillements, [de l'exagération des
réflexes
, quelques troubles sphinctériens légers, pas de s
gnerait toujours de troubles sensi- tifs et parfois de troubles des
réflexes
; la terminaison serait générale- ment favorable
oordination parfois très prononcée, signe de Romberg, abolition des
réflexes
, qui réalisent un tableau clinique très semblab
ieures du névraxe ; ces centres entreraient en jeu par un mécanisme
réflexe
, automatique, quand les renseignements de la péri
éralement modérés; le signe de Babinski a toujours été observé. Les
réflexes
tendineux, 'notamment le réflexe rotulien, sont
inski a toujours été observé. Les réflexes tendineux, 'notamment le
réflexe
rotulien, sont presque toujours absents, quelqu
plus tardif, la conservation ou 1 exagération presque constante des
réflexes
rotuliens; la présence très fréquente de paraly
nce qui subsiste parfois peut être le plus ou moins d'intensité des
réflexes
rotufiens (Londe). [A. LÉRI] 780 INCOORDINATI
réflexes rotufiens (Londe). [A. LÉRI] 780 INCOORDINATIONS. Les
réflexes
rotuliens, d'abord exagérés dans l'hérédo-ataxie,
oce et caractère familial, incoordination, nystagmus, abolition des
réflexes
rotuliens, déformation des pieds et du rachis.
nde; Fréquents : hypotonie musculaire; diminution ou abolition, des
réflexes
ten- dineux. Variétés topographiques (suivant
banaux : anes- thésie de la bouche et du pharynx avec abolition du
réflexe
pharyngé ; d'autres sont beaucoup plus rares, m
ou total de l'appareil de susten- tation et troubles oculo-moteurs
réflexes
, état nauséeux et anxieux, phénomènes auditifs
bsents. On a signalé la paralysie éventuelle des cordes vocales. Le
réflexe
pharygicn est aboli, bien que la sensibilité du
iste ni troubles de la sensibilité, ni troubles des sphincters. Les
réflexes
sont peu ou point modifiés. L'intelligence est
sions périphériques irritent les centres et amènent les convulsions
réflexes
. Tantôt enfin l'excitation bulbo-spinale ne fait
es nerfs périphériques, ainsi que la grande activité des phénomènes
réflexes
, due au développement encore incomplet des cent
lièrement des lèvres. On y peut ajouter l'exagération fréquente des
réflexes
tendineux avec clonus du pied, l'état de la pupil
e exagère aussi le tremblement; on sait, depuis .lendrassik, que le
réflexe
rotulien peut apparaître pendant un effort, il
épendant d'une irritation siégeant sur un point quelconque d'un arc
réflexe
: tel est le DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEM
ouvements choréiformes, le nystagmus et surtout par l'abolition des
réflexes
associée au signe de Babinski. Nous rapproche
ux. Nous l'avons du reste déjà étudié à propos de l'exagération des
réflexes
achilléens. Pour que ce tremblement soit consi-
cherche des autres symptômes de la sclérose en plaques, l'état des-
réflexes
tendineux, le phénomène des orteils, le nystagm
40 ans, unis on peut invoquer d'autres arguments, les troubles des
réflexes
tendineux observés par Syllaba et Crocq et les lé
général diminuée. La chorée ne trouble pas d'une façon générale les
réflexes
tendineux. M. Joffroy (Progrès médical, 1885),
cal, 1885), a cependant trouvé très fréquem- ment la diminution des
réflexes
patellaires et même leur abolition. Oddo CIIOI3
l de médecine de Paris, 1900, section de neuro- logie) a étudié les
réflexes
tendineux dans la chorée de Sydenham et a trouv
Sydenham et a trouvé tantôt l'exagération, tantôt la diminution des
réflexes
, et ceci peut s'expliquer suivant lui par la pa
horéiques sont prépondérants. Oddo a également étudié avec soin les
réflexes
tendineux dans la chorée de Sydenham, il est re
onal de Médecine de Paris, section de Neurologie). Ces troubles des
réflexes
avaient déjà été vus par Joffroy, il pense que le
les des réflexes avaient déjà été vus par Joffroy, il pense que les
réflexes
peuvent se trouver normaux des deux côtés ou d'un
euvent être modifiés par des mouvements choréiques, il y a alors un
réflexe
paradoxal du choréique ou bien alors il y a incon
réflexe paradoxal du choréique ou bien alors il y a inconstance du
réflexe
. Enfin il peut y avoir affaiblissement ou suppr
u réflexe. Enfin il peut y avoir affaiblissement ou suppression des
réflexes
, c'est là le trouble qui se rencontre chez la p
réiques, elle est plus fréquemment bilatérale et la suppression des
réflexes
dure aussi longtemps que la chorée elle-même. L
xes dure aussi longtemps que la chorée elle-même. L'exagération des
réflexes
rotuliens a été rencontrée bien plus rarement q
ent que leur suppression. II a fait les mêmes constatations sur les
réflexes
du tendon d'Achille dans plus de la moitié des
ns plus de la moitié des cas de chorée, dans le reste des cas les .
réflexes
du tendon d'Achille étaient moins atteints que le
s les . réflexes du tendon d'Achille étaient moins atteints que les
réflexes
patellaires. A part les mouvements involontai
t en général diminuée, les réactions électriques sont normales, les
réflexes
sont généralement forts, mais, ce qui caractéri
x des myoclonies ; elles s'associent à des troubles inconstants des
réflexes
, tantôt exagération, tantôt dimi- nution, il n'
point de vue souvent un acte volontaire, ils sont l'expression d'un
réflexe
psychique, mais il n'en est pas moins vrai qu'il
fférents mouvements, on l'observe en général dans l'exagération des
réflexes
et par des troubles de la sensibilité. L'intell
es disparaissentpén- dant le sommeil. Il n'existe aucun trouble des
réflexes
ni de la sensibilité, l'état mental est indemne
onvulsives. ' ' Il n'y a guère de troubles de la sensibilité ni des
réflexes
; les réactions électriques sont normales, mais
vement volontaire. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité ni de
réflexes
. C'est une affection de l'adolescence. dont l'é
de myoclonie congénitale à nystagmus constant avec exagération des
réflexes
et trou- bles trophiques qui peut être hérédita
nger, ni boire, ni s'habiller seuls. Il existe de l'exagération des
réflexes
, mais elle est peu apparente en raison de la ra
nous l'avons dit, sont plus accentués, il existe l'exagération des
réflexes
. On a pu observer des phénomènes épilepti- l'or
le malade est il peine hémiplégique, il n'y a pas d'exagération des
réflexes
ni de signe de Babinski. Dans ce que l'on appel
st l'hémiplégie qui domine la scène, le malade est contracture, les
réflexes
sont, exagérés et les mouvements athetofdes son
gnotement. Les actes fonc- tionnels initiaux peuvent être d'origine
réflexe
, ils peuvent être d'origine purement corticale
corticalilé soit entrée en jeu. Normal ou anormal, primitivement
réflexe
ou cortical, l'acte fonctionnel du début ne dev
oit directe (tics spasniodiques), soit indirecte (tics spasmodiques
réflexes
), et qu'on doit appeler « tics matériels » : il
tème pyramidal, extension des orleils, exagéra- tion unilatérale du
réflexe
triripital. dans différents cas de tics Ioniques
t bilatéraux. Leur point de départ est le plus souvent un mouvement
réflexe
ou de défense provoqué par la présence d'un cor
nt cloniques, parfois toniques. Leur cause est souvent un mouvement
réflexe
ou volontaire dû à une irritation locale (gerçu
atiques (affections centrales, épilepsie, toxi-infections, troubles
réflexes
, hystérie) ; des tics du cou. TICS. 891 l gén
teur dont dépendent les muscles enjeu ou sur un des points d'un arc
réflexe
aboutissant à ce nerf et à ces muscles. Cliniqu
meil; il est parfois douloureux, parfois accompagné de troubles des
réflexes
, de la sensibilité, de la trophi- cité, des réa
ion; la force musculaire est diminuée, les douleurs fréquentes, Ics
réflexes
tendineux souvent modifiés ; on trouve une hérédi
eloppement « ondoyant et serpigineux », les troubles .fréquents des
réflexes
les feront reconnaître. TRAITEMENT Le tic éta
irritation organique du tronc nerveux moteur ou d'un point d'un arc
réflexe
, et le terme « névrose » élimine au contraire c
nguer du tétanisme. Ce dernier est caractérisé par une excitabilité
réflexe
intense du système musculaire. Tout contact dét
réataxique; le plus souvent, l'hypotonie est liée à l'abolition des
réflexes
, cependant, on a signalé quelques cas où elle a
a coïncidé avec une conservation com- plète ou une exagération des
réflexes
(Frenkel. Babinski). On la rencontre, le plus s
1909). A côté de ces tachycardies il peut exister des tachycardies
réflexes
au cours des affections abdominales par irritat
ainsi que les affections de la prostate, un cancer par 'exemple. Le
réflexe
réno-réual (Guyon) se rencontre ici fréquemment,
é. . Toutes les affections de la prostate peuvent retentir par voie
réflexe
sur la vessie, mais la prostatite chronique y p
icule et plus souvent.. un varicocèle. Remarquons toutefois que ces
réflexes
se produisent surtout chez les hystériques ou les
ïncidence de névralgie et d'autres affections qui sont l'origine du
réflexe
, comme une urétro-prostatite, une pyélite déver
e donner lieu à aucun symptôme propre et être le point de départ du
réflexe
douloureux. Mais un examen local, rigoureusement
l'urine (acidité excessive, albuminurie, glycosurie). 2° Elle est
réflexe
et due à une malformation de l'urètre, du pénis
une affection rénale (calcul, tuberculose, sarcome, etc.). 5° Le
réflexe
a pour cause une lésion de voisinage (oxyures, po
néral une hyperesthésie de la muqueuse urétrale, point de départ du
réflexe
vésical. Tout se contracte, corps et col de la ve
ctions du système nerveux, mais c'est tantôt un phénomène banal, un
réflexe
qu'on retrouve dans beaucoup de maladies d'autres
x traumatismes graves et aux brûlures étendues, car c'est par voie,
réflexe
que cette inhibition de la fonction rénale se pro
e tabès à la première période. Elle annihile le point de départ des
réflexes
par un phé- nomène d'inhibition; c'est ce qu'on
u niveau des quatre membres, de la contracture avec exagération des
réflexes
tendineux. Dans la maladie de Charcot, la langu
use- ment en gouttière. Nous n'insisterons pas sur les troubles des
réflexes
et de la marche des tabétiques, sur les dissoci
effort continuel de déglutition et fréquemment des vomissements. Le
réflexe
pharyngien est aboli; les troubles électriques
cile à explorer; un abaisse-langue permet de constater l'absence du
réflexe
au vomissement et l'anesthésie. Celle-ci est fréq
près constante dans la méningite tuber- culeuse. La disparition du
réflexe
pharyngien a perdu aujourd'hui toute valeur en
fin, et d'une façon générale, il la névropathie isolée. Les spasmes
réflexes
des affections organiques de voisinage (cancer du
er d'une sténose vraie, orga- nique, puis de reconnaître sa nature,
réflexe
, par lésion de voisinage, on névropathique esse
oses, il con- viendra de penser que le ptyalisme peut dépendre d'un
réflexe
à point de départ lointain ou proche, lésions d
parmi les signes précoces du tabès, il serait utile d'examiner les
réflexes
dans tous les cas de constipation rebelle avec
l'épigastre, etc. Parfois même, ils présentent de véritables points
réflexes
, dont le simple attouchement détermine la salve
ntractures et rétractions secondaires ; la main est impotente ; les
réflexes
tendineux sont diminués ou abolis. '. La main-b
dans l'hémiplégie spasmodique infantile; la main est impotente; les
réflexes
tendineux sont exagérés. , Les mains-botes acqu
et dans la sclérose latérale amyotrophique : dans la première, les
réflexes
tendincux' sont diminués ou abolis, dans la sec
secondaire des faisceaux pyramidaux peut amener une exagération des
réflexes
et une extension des orteils; le tableau clinique
sous-cutané souvent anormalement développé efface les saillies. Les
réflexes
tendineux, rotuliens et achilléens, sont diminués
il n'y a pas de trou- bles trophiques ou vaso-moteurs marqués ; les
réflexes
tendineux sont exagérés et l'on constate souven
ris et mous, notamment les muscles antéro-externes de la jambe; les
réflexes
tendineux sont diminués ou abolis. Le « pied de
plus souvent varus équin, il ne s'accompagne pas d'exagération des
réflexes
tendineux comme tous les pieds-bots spasmodiques
ie. Tout d'abord le signe de Robertson, c'est-à-dire l'abolition du
réflexe
lumineux avec conservation du réflexe a l'accom
, c'est-à-dire l'abolition du réflexe lumineux avec conservation du
réflexe
a l'accommodation a été considéré, pariiabinski
hérédo- syphilis. Nous ne nous arrêterons pas sur les troubles des
réflexes
pupil- laires déjà décrits dans la syphilis acq
laires déjà décrits dans la syphilis acquise ni sur les troubles des
réflexes
rotuliens. L hérédo-syphitis peut produire égal
rébrale déjà existante. Enfin, on a signalé des modifications des
réflexes
tendineux : diminu- tion, après la ponction, de
tions des réflexes tendineux : diminu- tion, après la ponction, des
réflexes
rotuliens (Pita et Abasie). ou enfin l'appariti
eaux (Société Biologie, 1q0), a signalé une légère augmentation des
réflexes
après la ponction lombaire. Quoi qu'il en soit,
gua a signalé aussi, chez le cobaye, la diminution des mou- vements
réflexes
à la suite de la soustraction du liquide. i .
rite optique (Beck). Souvent aussi, les pupilles sont inégales, les
réflexes
lumineux, faibles ou nuls ; la mydriase (Lecène e
que l'himiplébic (llayo Ioh.on). Il est difficile de faire étal des
réflexes
tendineux, car ils peuvent être normaux, abolis o
être normaux, abolis ou exagérés. Goldscbeiber, cependant, a vu des
réflexes
rotuliens abolis réapparaitre après la ponction
lexes rotuliens abolis réapparaitre après la ponction lombaire. Les
réflexes
cutanés ne semblent pas, en général, modifiés e
plégie compliquée d'aphasie ondes différences appréciables dans les
réflexes
tendineux droits et gauches. Enfin, l'hypertensio
ement il l'excitation des nerfs sécréteurs, mais aussi à une action
réflexe
consécutive il l'excita- tion des nerfs du goût
ar simple impotence fonctionnelle et dans les atrophies musculaires
réflexes
articulaires ou aharticulaires, W HUET.] 1246
laire de l'excitation. Dans les paralysies et atrophies musculaires
réflexes
d'origine articu- laire ou on n'observe pas la
os des modifications de l'excitabilité électrique. Les contractions
réflexes
provoquées par la percussion des tendons sont, au
spasmodique plus ou moins accusé, depuis la simple exagération des
réflexes
jusqu'à de la contracture parfois très prononcée.
périphérie sur les nerfs et sur les muscles retentissent par action
réflexe
sur les centres nerveux ; elles augmentent la con
les paralysies restent flasques et qu'il n'y a pas exagération des
réflexes
. On n'entreprendra donc qu'avec circonspection
hiques, etc) ; et enfin des myopathies et des atrophies musculaires
réflexes
et par inaction. Poliomyélite antérieure aiguë.
aitement, tels que massage, gymnastique, etc. Atrophies musculaires
réflexes
d'origine articulaire. A la suite de lésions ou
e l'inaction fonctionnelle, niais elles s'expliquent par une action
réflexe
portant sur les centres médul- laires et entraî
ement très efficace dans le traitement de ces ATROPHIES MUSCULAIRES
RÉFLEXES
. 1510 atrophies musculaires. Lorsque toute irri
fournis par le traitement électrique dans les atrophies musculaires
réflexes
d'origine articulaire sont généralement bons et a
niques. Le même traitement est applicable aux atrophies musculaires
réflexes
il' origine abarliculaire ; il est applicable a
esthésie de l'oeil, origine oculaire, cé- rébrale, névritique, 115.
réflexe
dans les lésions de l'oreille, 145. du la- ry
9, 1059. Contractions fibrillaires. Réactions élec- triques, 700.
Réflexes
, 701. Atro- phie de la musculature viscérale, 7
igine centrale, 571. - Caractères. Causes, 572. Exagé- ration des
réflexes
d'un seul côté du corps, 445. - phénomène des o
tanées dans les affec- tions viscérales, ulill. hystériques, 556.
réflexes
dans les lésions dé l'oreille, 145. Hyperidro
, 040. llypoesthésie. l'a- reslhésies, 1141. Névralgies. Troubles
réflexes
, 642. Paralysies. Hémiplé- gie corticale, 645.
te, li30. d'origine centrale. d'origine périphérique, 11 : : Í'1.
réflexe
, 652. Névroses. Spasme de la glotte des nour-
ions, 670. - Pas de réac- tion de dégénérescence, 672. - État des
réflexes
, 672. - Muscles de la racine des membres, 675.
bles nerveux d'origine otique sans lé- sions organiques. Troubles
réflexes
, 142. Troubles psychiques, 145. interne, mala
araplégies de l'adulte, 494. - spasmo- diques, avec exagération des
réflexes
sans contracture, atrophie musculaire constan
des mem- bres supérieurs, 796. - motrice des li- qUC1l1'S, 895.
Réflexe
abdominal, 454. - aclrilléeu, 452. - Abolition,
pières, 50, 95. d'origine psychique, 51, 95. - Troubles. Perte du
réflexe
lumineux, 91. - Réflexe consensuel, 95. - Perte
e psychique, 51, 95. - Troubles. Perte du réflexe lumineux, 91. -
Réflexe
consensuel, 95. - Perte du réflexe hémiopique,
rte du réflexe lumineux, 91. - Réflexe consensuel, 95. - Perte du
réflexe
hémiopique, du réflexe de convergence, 94. - Ra
, 91. - Réflexe consensuel, 95. - Perte du réflexe hémiopique, du
réflexe
de convergence, 94. - Ralentissement des mouv
ent des mouvements pupillaires, réaction mus- culaire myotonique,
réflexe
paradoxal, 05. - roll/lien, Position du malade
nt il percuter, 428. - Manoeuvre de Jendrassik. Con- statation du
réflexe
. Causes d'erreur, z Appréciation du réflexe, 45
ik. Con- statation du réflexe. Causes d'erreur, z Appréciation du
réflexe
, 450. Abolition, ! a3(i. - Exagération, 444.
Abolition, ! a3(i. - Exagération, 444. 1598 INDEX ALPHABÉTIQUE.
Réflexe
vaso-moteur d'origine cutanée, , 455. ? Réfle
X ALPHABÉTIQUE. Réflexe vaso-moteur d'origine cutanée, , 455. ?
Réflexes
. Nature et localisation, 457. (Troubles des.-),
? Réflexes. Nature et localisation, 457. (Troubles des.-), 427.-
Réflexes
ten- : . dineux, . 427. Jftésultats fournis par
ment électrique, 1522. Tachycardie, 9441. - par intoxication. -
réflexe
. - d'origine centrale. - dans la maladie de Bas
du cervelet et du cer- veau, 16 ! ). - dans les névroses, 171. -
réflexes
, 175. - des intoxications, 174. - avec vomissem
anspiration conservée. ' Pas de troubles moteurs ni sensitifs ; les
réflexes
sont en général diminués. L'état psychique ne r
Les organes internes et l'urine ne présentent rien de pathologique.
Réflexes
tendineux des bras exagérés ; réflexes patellaire
entent rien de pathologique. Réflexes tendineux des bras exagérés ;
réflexes
patellaires abolis. Tremblement de la langue. S
gère au niveau des hanches, due à une contraction musculaire. Les
réflexes
tendineux et cutanés sont normaux et égaux des de
W. van WOERKOM (de Rotterdam). Alors qu'en matière de mouvements
réflexes
le clinicien trouve un sou- tien solide dans l'
tabétique à cause de l'interruption des fibres centripètes de l'arc
réflexe
et les mouvements ont le caractère dysmétrique ;
tions statiques anciennes ; elle provoque un changement du type des
réflexes
, et dans ce domaine aussi il y a retour vers un s
mo- bilisation, elles n'ont qu'un caractère passager et le type des
réflexes
ne montre pas des changements profonds. Souvent
n, il se plaint de perdre la mémoire et présente une exagération de
réflexes
en général. A la compression des carotides, il
de la moyenne. Tremblement des mains étendues. Enlin exagération de
réflexes
en général, et anesthésie de la cornée. Il a co
ournée, et légère lourdeur de la tête. État actuel. Exagération des
réflexes
en général. Anesthésie de la cor- née, pas d'au
présente aucun symptôme physique, sauf cependant une exagération du
réflexe
rotu- lien. Pendant les 18 jours qu'il est rest
ractéristiques, comme il ressort du récit de sa femme. Etat actuel.
Réflexes
en général légèrement exagérés. Il n'y a aucune
n général légèrement exagérés. Il n'y a aucune différence entre les
réflexes
des deux moitiés du corps. A la pression des ca-
e présente rien de pathologique, sauf cependant une exagération des
réflexes
en général. A la pression des carotides, perte de
des céphalées frontales très intenses. Etat actuel. Exagération des
réflexes
en général, anesthésie de la cor- née. A la pre
fois par mois et même plus souvent. État actuel. Exagération des
réflexes
en général, anesthésie de la cor- née, intellig
parfois. Etat actuel. Anesthésie de la cornée, intelligence bornée.
Réflexes
phy- siologiques. A la pression des carotides,
urde et une grande fatigue. Etat actuel. Anesthésie de la cornée,
réflexes
exagérés en général. A la pression des carotide
levant, il a la tête lourde et se sent très fatigué. Etat actuel.
Réflexes
très exagérés, pas d'autres symptômes. A la com-
X, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI. Paralysies ET contractures dites
réflexes
. Enfin, on peut observer au niveau de la main l
ale de la main de Pitres, acromyotonie de Sicard, paralysie d'ordre
réflexe
de Babinski et Froment, paratonies de Pierre Ma
. 1273-1276. ' (1) J. Babinski et J. Froment, Les modifications des
réflexes
tendineux pendant le sommeil chloroformique et
ontracture organique d'origine périphérique et sans exagération des
réflexes
. Société de neurologie, 4 novembre 1915 ; Contrib
vembre 1915 ; Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine
réflexe
. Examen pendant l'anesthésie cltlorofor· ' z 80
ique. Société de neurologie, 4 novembre 1915 ; Paralysie et hypotonie
réflexes
avec surexcitabililé mécanique, voltaïque et fa
, 11 janvier 1916 ; Contractures et paralysies traumatiques d'ordre
réflexe
. Presse mé- dicale, 24 février 1916 ; Des troub
ale, 24 février 1916 ; Des troubles vasomoleurs et thermiques d'ordre
réflexe
. Société de neurologie, 2 mars 1916 ; J. BABINS
econnaître et relèvent de perturbations qu'ils pensent être d'ordre
réflexe
. - A la séance de la Société de neurologie qui
binski et P. Froment, Contractures et paralysies traumaliques d'ordre
réflexe
Presse médicale, 24 février 1916. (3) LAIGEL-
ceux auxquels MM. Babinski et Froment ont donné le nom de troubles
réflexes
, mais il. n'était pas pur, car il s'accompagnail,
ptibles a priori de rentrer dans les perturbations motrices d'ordre
réflexe
, et rappelant par leur morphologie les cas sign
. 84 LA1GNEL-LAVASTINN ET PAUL COURBON < 7. Héflectwité. - Les
réflexes
diminués sont : a) Tendineux : long supinateur
6, 7, 8).. , Celui-ci ne donne ni pronation, ni flexion. Les autres
réflexes
sont égaux des deux cotés. 8. Excitabilité mé
tonie. ' - La preuve peut en être recherchée dans la diminution des
réflexes
constatée dans son territoire. - L'hypotonie
amais eu de troubles sub- jectifs. 7. Réflectivité. Diminution du
réflexe
tricipital. - 8. Excitabilité mécanique. - Brus
main. Pas de trouble subjectif de la sensibilité. 7. Réflectivité.
Réflexe
du triceps (t, 5, 6) : extension exagérée. Réfl
7. Réflectivité. Réflexe du triceps (t, 5, 6) : extension exagérée.
Réflexe
olécrânien (7) : flexion exagérée. Tous les réf
ion exagérée. Réflexe olécrânien (7) : flexion exagérée. Tous les
réflexes
tendineux et périostés sont exagérés, sauf le cub
stés sont exagérés, sauf le cubito-scapu- laire qui est diminué. Le
réflexe
cubito-pronateur est remplacé par une cubito- f
a première, et toutes deux pouvant être considérées comme réactions
réflexes
à la blessure. Les troubles parétiques du domai
de la sensibilité. 7. Réflectivité. - ExagéraLion très, légère des
réflexes
du poignet et du coude. 8. Excitabilité mécan
vues à la radioscopie donnent d'ailleurs matière à une explication
réflexe
différente. Elles sont l'origine d'excitations qu
Main DE l'égreneor DE chapelet par hypotonie radiale et hypertonie
réflexe
avec inactivité fonctionnelle psychogène (PI. X
u'au-dessus de la blessure. 7. Réflectivité. Exagération légère des
réflexes
tendineux fléchisseurs du poignet. 8. Vaso-mo
rée. ° , R -1- P. Observation X. Main d'écrivain par contractures
réflexes
et psychogènes (PI. XXVI, J). 1. Historique. Bl
la réduction. 7. Réflectivité. Pas de modification appréciable des
réflexes
. 8. Vasomotricité. Léger refroidissement habitu
le domaine du médian amena l'hypertonie du cubital, hypertonie dite
réflexe
. Mais la contrac- ture secondaire des extenseur
-LAVASTINE ET PAUL COURBON 7. Réflectivité. Pas de modification des
réflexes
tendineux. 8. Vaso-motricité et température. Ma
roubles de la sensibilité. 7. Réflectivité, Pas de modification des
réflexes
. 8.' Excitabilité mécanique des muscles. Pas de
e re- trait du membre. 7. Réflectivité. - Pas de modification des
réflexes
. 8. Excitabilité mécanique. Pas de modification
eurs de quatre ordres différents : organique, psychique, mécanique,
réflexe
. Tout le monde s'entend sur les troubles moteur
ins. C'est ici que vient s'intégrer le quatrième groupe dit d'ordre
réflexe
, mis en évidence chez les blessés de cette guer
si les III, VII et XV. On voit donc que dans les cas dits d'ordre
réflexe
-la pureté est l'ex- ception. Nous n'en avons re
d'erreurs également préjudiciables : ne pas reconnaître le trouble
réflexe
quand il existe; étendre son domaine d'une faço
pements de troubles moteurs : organiques, psychiques, mécaniques et
réflexes
, ont été en abrégé désignés par les initiales 0.
bjectives qu'on a données comme signes des troubles moteurs d'ordre
réflexe
. A. Physionomie clinique spéciale. - A ce point
PARATONIQUES DE LA MAIN 115 4° L'apparence est celle d'une réaction
réflexe
d'hypertonie et d'hy- potonie combinées consécu
adial à la main). 0° L'apparence est à la fois celle d'une réaction
réflexe
et d'une inac- tivité fonctionnelle surajoutée
ie hystérique de la main après fracture de l'humérus et contracture
réflexe
de l'épaule et de l'avant-bras ; X, main d'écriva
'origine psychique. Elle ne l'était pas non plus dans VI, d'origine
réflexe
et mécanique, probablement à cause de l'obstacle
dans les cas où il y avait lésion tronculaire évi- dente ou trouble
réflexe
. Dans les autres cas où il y avait mécanisme psy-
de la trophicité : macération légère de la peau (IV, V, VI, toutes
réflexes
). Troubles trophiques tendineux, VI (R. '+ M.). A
uand celle-ci est d'origine psychique que lorsqu'elle e est d'ordre
réflexe
ou dépend d'une lésion organique manifeste. II
ente, l'attitude apt]lelle ayant été immédiate dans cinq de nos cas
réflexes
: IV, V, VII, IX, XV. Cette attitude ne se serait
e précis; il faut noter cependant qu'il n'y eut jamais dans les cas
réflexes
substitution d'une attitude à une autre comme chp
nnaître la valeur de la plupart des signes constitutifs du syndrome
réflexe
de Babznski et Froment. Parmi eux i'hyperexcita
Nos sujets ne réunissaient pas la totalité des éléments du syndrome
réflexe
. Les troubles vaso-moteurs et trophiques notammen
er la singularité des attitudes observées. Tous nos cas à apparence
réflexe
, c'est-à-dire ayant un substratum lé- sionnel p
ires plus ou moins élonnanles des signes physiques de perturbations
réflexes
ou de lésions organiques ne suffit pas à démont
lésions organiques ne suffit pas à démontrer que ces perturbations
réflexes
ou ces lésions organiques sont la cause totale
et unique de ces inaclivités. D'un mot, les porteurs des syndromes
réflexes
de Babinski et Froment ont trop souvent, pour q
n contracture auraient pu faire penser à l'un de ces cas de lésions
réflexes
si justement isolés par MM. Babinski et Froment
'à une contracture relative des muscles extenseurs des doigts. Le
réflexe
radial est normal. · Il n'y a aucune anesthésie
ur acquérir une conviction absolue. Il est vrai que dans ces cas le
réflexe
achilléen était généralement aboli ou au moins di
si, et parfois nous avons vu des «pieds effilés » très nets avec un
réflexe
achilléen parfaitement conservé. Ce qui donne a
tiques intenses persistant un an après le début de l'affection ; le
réflexe
achilléen était conservé. La figure C est un ca
tre évacué contre son gré (il est officier de carrière). Tous les
réflexes
tendineux et cutanés sont normaux et égaux. Auc
thésie, s'étendant sur toute la face - palmaire des deux mains. Les
réflexes
tendineux brachiaux, anti-bra- chiaux, digitaux
TIENNE à la pression. Tête très mobile. Pas de raideur de la nuque.
Réflexes
normaux pas trace de Kernig. Parésie faciale ga
ai. -T. : 37°5 rectale. P. : 58. Malade aplati, geignant. Céphalée.
Réflexes
normaux ; pas trace de Kernig. Douleurs vives ,
Douleur hypogastrique avec exacerbation déterminant des spasmes.
Réflexes
normaux. Pas de Kernig. 4. Impotence complète d
flexion des orteils. Tête sans raideur; moins en tête de bilboquet.
Réflexes
normaux. Apyrexie confirmée. Injection intra-ra
2. Se lève, se supporte sur ses membres, esquisse quelques pas. 17.
Réflexes
normaux. MYÉLITES AIGUËS ÉPIDEMIQUES. DEUX ÉPID
x. MYÉLITES AIGUËS ÉPIDEMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES 201 29.
Réflexes
normaux. Elève très facilement les membres inféri
lement les membres inférieurs au- dessus du plan du lit. 42 juin.
Réflexes
normaux. Orteils en flexion. Peut marcher avec un
ouvements des membres inférieurs sont lents. Abo- lition totale des
réflexes
rotuliens. Mollets flasques, amaigris, masses mus
Pas de douleur à la palpation des masses musculaires. Abolition des
réflexes
. ' XXVIII 14 202 ÉTIENNE 1 Pas de contrac
ulations, notamment dans les poignets. Exagération considérable des
réflexes
rotuliens. Trépidation épilep- toïde du pied à
aire. La force musculaire des membres supérieurs paraît intacte. Le
réflexe
cubital est peu marqué à droite. A la base droi
ation indéfinie du pied gauche ; trépidation du pied droit moindre.
Réflexe
rotulien se rapproche de la normale. Urines ave
5. - Trépidation indéfinie du pied gauche, prolongée au pied droit.
Réflexe
rotulien exagéré. 28. Réflexe du genou exagéré.
ed gauche, prolongée au pied droit. Réflexe rotulien exagéré. 28.
Réflexe
du genou exagéré. Trépidation des pieds indéfin
é. 28. Réflexe du genou exagéré. Trépidation des pieds indéfinie.
Réflexes
des orteils en extension (légère- ment). Réflex
pieds indéfinie. Réflexes des orteils en extension (légère- ment).
Réflexe
cubital normal. Réflexe du poignet normal. Réflex
es des orteils en extension (légère- ment). Réflexe cubital normal.
Réflexe
du poignet normal. Réflexe oculaire normal. L
(légère- ment). Réflexe cubital normal. Réflexe du poignet normal.
Réflexe
oculaire normal. Le malade peut élever les pi
de température. 20. - Fléchissement des genoux à la marche. 28. -
Réflexe
du genou vif assez trépidant à gauche. Orteil en
re et à la température sont normales. Pas de troubles trophiques.
Réflexes
rotuliens très exagérés des deux côtés ; clonus v
tractures : le malade ne peut que difficilement fléchir les jambes.
Réflexes
très exagérés, phénomènes du pied très marqués, s
est très amoindrie et le malade fléchit facilement les jambes. Les
réflexes
sont sensiblement normaux, encore très légèrement
juin. Plus aucune douleur. Souplesse parfaite dans les deux jambes.
Réflexes
normaux. Le malade marche facilement. Orteils en
lement. Orteils en extension. Deux ou trois trépidations des pieds.
Réflexe
du genou exagéré à droite, orteils en flexion.
flexion. 12. - Deux trépidations à gauche et orteils en extension.
Réflexe
du tendon d'Achille exagéré. 28. Le malade fl
Douleurs spontanées nocturnes dans les genoux et dans les tibias.
Réflexes
rotuliens exagérés. Vrai clonus du pied prolongé
ambes est moindre, les mouvements de flexion sont plus faciles. Les
réflexes
rotuliens se rapprochent de la normale. Encore qu
idations du pied. La démarche est plus aisée. 2. - Plus de douleur.
Réflexes
normaux. 3. - Quelques douleurs la nuit. Réflex
Plus de douleur. Réflexes normaux. 3. - Quelques douleurs la nuit.
Réflexes
un peu plus marqués à droite. T. : 38°3. Embarr
e état. T. s'élève à 3768. 6. - T. s'élève à 37°8. 8. - A gauche,
réflexe
rotulien un peu marqué; ébauche de quelques tré-
s pieds au-dessus du plan du lit, avec oscillation et tremblement :
Réflexe
du genou exagéré à droite, moins à gauche. Phénom
ade fléchit encore sur les genoux eu des- cendant l'escalier. 30.
Réflexe
du genou plus vif à droite ; et dans la marche nu
e râles. Coeur normal. Facies pâli, amaigri. 17 mai. Exagération du
réflexe
rotulien à gauche et à droite. Pas de phé- nomè
our rendre presque insupportable le contact de la couverture. 18. -
Réflexes
rotuliens exagérés. 19. Douleurs osseuses et ar
uleurs osseuses et articulaires, nocturnes surtout. Exagération des
réflexes
rotuliens sans phénomène du pied. 27. - Rééléva
nfé- rieurs, empêchant le mouvement. Aucune douleur ailleurs. 30.
Réflexe
rotulien fort, surtout à droite. Réflexe des or
ne douleur ailleurs. 30. Réflexe rotulien fort, surtout à droite.
Réflexe
des orteils en flexion. Réflexe médioplantaire
rotulien fort, surtout à droite. Réflexe des orteils en flexion.
Réflexe
médioplantaire diminué. , Le malade ne peut se
à la pression dans les mollets. Mollets mous ; atrophie musculaire.
Réflexes
rotuliens vifs. La maladie paraît avoir évolué
e d'amélioration avec température autour de 38°, et exagération des
réflexes
. Puis le 27, réélévation de la température avec
Pas de douleurs dans les membres, jambe engourdie, sans force. 42.
Réflexe
du genou exagéré, pas de trépidation épileptoïde
Réflexe du genou exagéré, pas de trépidation épileptoïde à droite.
Réflexes
des orteils en extension. Le malade élève le pi
he, avec adduc- tion. Peut marcher en fléchissant sur les jambes.
Réflexes
des genoux normaux. Orteils en flexion. 30. - P
genoux normaux. Orteils en flexion. 30. - Pas de clonus des pieds.
Réflexes
normaux. Observation VII. Jour..., du X7* rég
asses musculaires et à la percussion des os. Exagération marquée du
réflexe
rotulien gauche. Deux ou trois trépidations épi
Piqûres de puces eczématisées aux deux jambes. 21. Exagération des
réflexes
rotuliens. 2 juin. Réflexes très accentués. S
aux deux jambes. 21. Exagération des réflexes rotuliens. 2 juin.
Réflexes
très accentués. Signe de Babinski, positif à ga
traînent.Fléchissement. Pas de trépidation, ni de clonisme du pied.
Réflexe
du genou très marqué ; réflexe du tendon d'Achi
trépidation, ni de clonisme du pied. Réflexe du genou très marqué ;
réflexe
du tendon d'Achille exagéré. 208 ETIENNE Memb
ndon d'Achille exagéré. 208 ETIENNE Membres inférieurs engourdis.
Réflexes
des membres supérieurs normaux. 10. Démarche en
er. 2 juillet. - Le malade fléchit encore sur le genou gauche. Le
réflexe
patellaire est un peu plus marqué à droite. Le
es articulations. - - Ni analgésie, ni anesthésie. Exagération du
réflexe
rotulien des deux côtés, deux ou trois trépidatio
lexe rotulien des deux côtés, deux ou trois trépidations du pied.
Réflexes
oculaires normaux. Céphalée, habituelle depuis
arche un peu hésitante. Apyrexie. Marche de la maladie. - 5 juin.
Réflexes
normaux. 28. - Le malade fléchit encore sur les
s de vomissement. Selles normales. Foie normal. ' Exagération des
réflexes
rotuliens des deux côtés ; 3 on 4 trépidations an
gue. Douleurs dans les membres inférieurs. Céphalée. Exagération du
réflexe
rotulien des deux côtés. Démar- che spasmodique
spasmodique. Sensibilités normales. Marche de la maladie. 10 juin.
Réflexes
devenus normaux. Démarche un peu hésitante. Le
nt de s'asseoir dans son lit. La nuque reste libre. 210 ÉTIENNE
Réflexes
normaux. A l'auscultation, bruits respiratoires
' côtes. Rate appréciable. Pas de taches rosées. Etat adynamique.
Réflexes
rotuliens exagérés. Clonus épileptoïde du pied. H
laires des membres inférieurs, les douleurs sont bien moindres, les
réflexes
rotuliens exagérés. Phénomènes épileptoïdes du
ns la région lombaire. 22. Epistaxis peu abondant. L'excitabilité
réflexe
s'atténue et la pression au niveau de la colonne
que, traînant le pied qui ne se décolle que difficile- ment du sol.
Réflexe
du genou' un peu accentué, surtout à gauche. Réfl
- ment du sol. Réflexe du genou' un peu accentué, surtout à gauche.
Réflexes
des orteils en flexion. Clonus du pied net à ga
rteils en flexion. Clonus du pied net à gauche, moins à droite. 18.
Réflexes
des orteils en flexion. Séro-agglutination. Nég
normales. Parésie des membres infé- rieurs. Légère exagération des
réflexes
des genoux. Sensibilités normales. 13. Urines c
eurs. 2 octobre. Pouls flottant. Sueurs. 6. - Démarche canetante.
Réflexes
des genoux très augmentés. Clonus du pied à osc
mentés. Clonus du pied à oscillations répétées. Orteils en flexion.
Réflexe
cutané abdominal fort. Phénomène de la main lég
cutané abdominal fort. Phénomène de la main léger ; accentuation du
réflexe
du coude. Sensibilités normales. Evacuation.
et nous n'avons plus constaté au service que les modifications des
réflexes
et un cerlain degré de contracture. Dans l'obse
s d'une mala- die générale grave ; mais apparurent les troubles des
réflexes
, et au mo- ment des premiers levers, on constat
ne peut décoller les pieds du sol et traîne les pieds. L'état des
réflexes
est variable. Quand nous avons assisté au début d
d nous avons assisté au début de la phase d'état, nous avons vu des
réflexes
normaux d'abord dans l'obser- vation XI, au 6°
observation II, ils le sont restés jusqu'à la mort. L'abolition des
réflexes
existe au lie et au 6' jour dans les deux obser
Netter et dans les cas de Hellier. Dans tous mes autres cas, les
réflexes
ont été trouvés exagérés, souvent il est vrai à
core au 6° jour, ils se sont marqués dès le 8e, avec exagération du
réflexe
patellaire et apparition du clonus du pied. D
clonus du pied. Dans tous les cas d'exagération ou d'inversion des
réflexes
, les réflexes tendineux ont été augmentés. Le c
d. Dans tous les cas d'exagération ou d'inversion des réflexes, les
réflexes
tendineux ont été augmentés. Le clonus du pied
IV, était en extension vers le 35e jour. Dans l'observation VI, le
réflexe
des orteils est resté normal. Les réflexes n'
ns l'observation VI, le réflexe des orteils est resté normal. Les
réflexes
n'étaient exagérés que dans les segments intéress
paraplégie paraissant nettement limitée de l'obser- vation III, le
réflexe
cubital apparut un peu marqué. Les réflexes des
l'obser- vation III, le réflexe cubital apparut un peu marqué. Les
réflexes
des membres supérieurs ont été intéressés dans
e le seul cas dans lequel je n'ai pas observé de modifi- cation des
réflexes
consécutive a été celui de Lav... (obs. I), chez
ant 600 mètres, mais avec une grande fatigue. Les modifications des
réflexes
se régularisent aussi progressivement les réfle
odifications des réflexes se régularisent aussi progressivement les
réflexes
tendineux paraissant les plus longs à rentrer en
les orteils réagissent en flexion. Le 30, la seule modification des
réflexes
persistants est une légère accentuation des réf
dification des réflexes persistants est une légère accentuation des
réflexes
patellaires à droite, où il est plus vif. On vo
lus vif. On voit que la restauration complète des modifications des
réflexes
est souvent assez .tardive ; de même au 370 jou
ent assez .tardive ; de même au 370 jour dans l'observation V ; les
réflexes
patellaires et achilléen sont augmentés, les orte
t clonus du pied à gauche. Dans l'observation III, au 39*'jour, les
réflexes
patellaires sont encore vifs, le clonus du pied c
quand existent les troubles paralytiques et les modifi- cations des
réflexes
. Mais on voit dans quelle énorme proportion peuve
des troubles paralytiques ou spasmodiques, ni des modifications des
réflexes
, si caractéristiques, fon- damentaux, dans nos
uvements ne causent pas de douleurs ; pas de douleur à la pression.
Réflexes
rotuliens normaux. « Réflexes plantaires faible
leurs ; pas de douleur à la pression. Réflexes rotuliens normaux. «
Réflexes
plantaires faibles ». Réflexes crémastériens norm
ssion. Réflexes rotuliens normaux. « Réflexes plantaires faibles ».
Réflexes
crémastériens normaux. L'examen du coeur et des
a motilité aux jambes. Sensibilité au tact et à la douleur normale.
Réflexes
rotuliens et plan- taires normaux. Ni clonus du
sensibilité au tact et à la douleur est normale. Maintenant pas de
réflexes
rotuliens. A la jambe gauche, il y a un réflexe
Maintenant pas de réflexes rotuliens. A la jambe gauche, il y a un
réflexe
achilléen faible. Les réflexes plantaires sont
tuliens. A la jambe gauche, il y a un réflexe achilléen faible. Les
réflexes
plantaires sont normaux. 7. On ne trouve aucun
faible. Les réflexes plantaires sont normaux. 7. On ne trouve aucun
réflexe
achilléen. 9. - Nous constatons une faiblesse t
En essayant le dynamomètre, on ne vient pas au-dessus de 0 kilo. Les
réflexes
olécrâniens sont faibles. Pas de réflexes des t
au-dessus de 0 kilo. Les réflexes olécrâniens sont faibles. Pas de
réflexes
des tendons du poignet. Cet après-midi, le mala
nute. CI DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 229 24 : .
Réflexes
rotuliens et achilléens faibles. Dans l'urine, 1,
el. Après deux mois, amélioration. OPPENHEIi. Syphilis de 20 ans. -
Réflexes
rotuliens exagérés ; symptô- mes correspondants
heim pour son cas hésite; ne s'agit-il pas d'une mé- ningo-myélite (
réflexes
exagérés) ? Les deux cas de Buzzard me semblent
ascendante, finissant par la mort par paralysie de la respiration.
Réflexes
rotuliens conservés. Parésie plus développée en
polynévrite. En tous cas, on trouve la remarque : « Les mouvements
réflexes
exagérés ». Les symptômes en partie améliorés sou
e : Oppenheim (symptômes le plus développés aux membres supérieurs,
réflexes
exagérés), Frugoni (symptômes les plus développ
la nature vraie de la maladie. Encore, dans le cas de Schultze les
réflexes
étaient conservés, et l'auteur même est plus di
sibilité normale, les troncs ner- veux sensibles à la pression, les
réflexes
exagérés, ataxie considérable des jambes, un pe
supérieurs, peu développés aux jambes. Une anesthésie considérable,
réflexes
tendineux conservés. Patoir accepte l'idée d'une
e oculo-pupillaire ; ni ptosis, ni myosis, ni rétraction du globe ;
réflexes
pupillaires très bons. Aucun trouble trophique,
réflexes pupillaires très bons. Aucun trouble trophique, moteur ou
réflexe
des membres inférieurs. .. En somme, tout se
consécutive à un traumatisme, nous avons cru d'abord à une atrophie
réflexe
. Mais l'impor- tance de l'atrophie était hors d
tous leurs segments une musculature, une force et une réflectivité (
réflexes
radiaux et olécrânieus) parfaitement bien conse
urs ; l'excitation mécanique du triceps sural avec un lourd marteau à
réflexes
ne détermine absolument aucun mouvement à droit
té- rieurs et postérieurs des cuisses est très faible, bien que les
réflexes
rotuliens soient encore très bons. L'excitabi
mbe droite, on a tendance au premier examen à croire à une atrophie
réflexe
post-traumatique. Mais le traumatisme a été trè
t, soit tout à fait inexcitables, et cela des deux côtés ; les deux
réflexes
achilléens font entièrement défaut. La symptomato
lité générale qui est normale dans ses différentes modalités. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs et inférieurs so
t pas de contractions fibrillaires. Sensibilité générale normale.
Réflexes
tendineux des membres supérieurs et inférieurs no
bes oculaires se convulsent en haut et en dehors (signe de Bell).
Réflexe
palpébral aboli. Front complètement lisse et un
emble plus accentuée à gauche. Membres supérieurs. - Force normale.
Réflexes
anti-brachiaux normaux. Sensibilité normale.
ibilité normale. Membres inférieurs. Force normale. Marche normale.
Réflexes
rotuliens un peu vifs des deux côtés. Pas de Ba
s secousses de clonus de la rotule. Pas de trépidation épileptoïde.
Réflexes
crémastériens normaux. Pas de troubles de la sens
égie par deux ordres de symptômes caractéris- tiques : l'absence du
réflexe
cornéen et les troubles de l'excitabilité mus-
ions baresthésiques, ni de la sensibilité profonde. Réflectivité. -
Réflexes
plantaires exagérés. Réflexes abdominaux abolis
nsibilité profonde. Réflectivité. - Réflexes plantaires exagérés.
Réflexes
abdominaux abolis. Réflexes rotuliens très exagér
tivité. - Réflexes plantaires exagérés. Réflexes abdominaux abolis.
Réflexes
rotuliens très exagérés. Réflexes achilléens ex
érés. Réflexes abdominaux abolis. Réflexes rotuliens très exagérés.
Réflexes
achilléens exagérés. Les réflexes du poignet ex
Réflexes rotuliens très exagérés. Réflexes achilléens exagérés. Les
réflexes
du poignet exagérés. On trouve l'inversion du r
xagérés. Les réflexes du poignet exagérés. On trouve l'inversion du
réflexe
tricipital. Trophicité. - Il y a des plaques de
e, alopécies, déformation des ongles, arthropathies ; perturbations
réflexes
, phénomènes gastro-in- testinaux, dyspepsie, co
chinson. Les renseignements de famille sont également négatifs. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés et le signe de Babin
la marche sur la pointe des pieds et la strabisme ; par contre, les
réflexes
rotuliens sont très exagérés. Les membres prése
e du même côté. C'est-à dire une hémi- - plégie complète gauche..
Réflexes
tendineux vifs à gauche. Babinski très' vif à gau
Réflexes tendineux vifs à gauche. Babinski très' vif à gauche, avec
réflexes
de défense. Babinski moins vif à droite. Pas
vif à droite. Pas de clonus de la rotule. Clonus du pied gauche.
Réflexes
abdominaux douteux à gauche, normaux à droite.
d gauche. Réflexes abdominaux douteux à gauche, normaux à droite.
Réflexes
pupillaires paresseux à la lumière. La sensibil
i, mais moins vif qu'autrefois, el il y a au bras gauche, à côté du
réflexe
tricipital, un réflexe olécrânien très vif sans
trefois, el il y a au bras gauche, à côté du réflexe tricipital, un
réflexe
olécrânien très vif sans correspondant du côté
roduit en extension au pied gauche, en flexion de l'autre côté. Les
réflexes
rotuliens ne sont pas exagérés, les réflexes de
n de l'autre côté. Les réflexes rotuliens ne sont pas exagérés, les
réflexes
de l'abdomen se présentent vifs. A l'examen d
de parésie certaine. Réagit toujours à la piqûre de l'aiguille. Les
réflexes
n'ont rien de particulier, sauf le phéno- mène
sont de longueur normale. L'odorat, sans rien de particulier. Les
réflexes
des pupilles normaux. L'a- cuité visuelle des d
ainsi dire raide de tout le corps. Pas de raideur de la nuque. Les
réflexes
rotuliens et ceux de l'abdomen sans rien à sign
ncement léger du globe oculaire. Tous les mouvements volontaires et
réflexes
de la musculature interne et externe de l'oeil
la pupille correspon- dante se dilate, très peu; mais se dilate. Le
réflexe
cilio spinal est donc dimi- nué, mais conservé
e maxima des oscillations de l'aiguille sur le grand cadran. - Le
réflexe
ocuto-cardiaque donne un ralentissement par minut
sion de l'oeil gauche et de 16 par compression de l'oeil droit. Les
réflexes
pupillaires lumineux et accommodateurs sont conse
tonus : . T. A. à droite : 17-9,5-4. à gauche : 16-10, 5-4. Le
réflexe
oeulo-cardiaque donne un ralentissement de 13 pou
ssement de 13 pour l'oeil gauche et de 21 pour l'oeil droit. ' Le
réflexe
cilio-spinal est diminué, les réflexes lumineux e
de 21 pour l'oeil droit. ' Le réflexe cilio-spinal est diminué, les
réflexes
lumineux et accommoda teurs normaux. II. - Pi
ème, on a coté : T. A. à gauche : 17,9-4. à droite : 17,9-4. Le
réflexe
oculo-cardiaque à gauche donne un ralentissement
plus tard, pas de modifications des pupilles ni du tonus des globes ;
réflexes
pupillaires, lumineux, accommodateur, cilio-spi
cation; T. A. à gauche : 15,5-8,5-3,5. , à droite : 17-10-4. Le
réflexe
oculo-cardiaque donne un ralentissement de 12 par
note : T. A. à gauche : 17,5-10-3,5. à droite : 17,5-9,5 ? - Le
réflexe
oculo-cardiaqne à gauche donne un ralentissement
largie. T. A. à gauche : 18-1O ? 4. à droite : 17,5-9,5-3,5. Le
réflexe
oculo-cardiaque à gauche donne un ralentissement
ardiaque à gauche donne un ralentissement de 2, à droite de 12. Les
réflexes
pupillaires, lumineux, accommodateur et cilio-spi
symptômes doivent être envisagés à part, ainsi que les résultats du
réflexe
oculo-cardiaque. 1° Cicatrice pulsatile. Elle
té du cou, ce qui produit normalement une dilatation de la pupille (
réflexe
cilio-spinal). Ce myosis disparaît presque comp
nces de psychothérapie. Naturam morborum curationes ostendunt. 5°
Réflexe
oculo-cardiaque. Dans les multiples travaux qu'
o-cardiaque. Dans les multiples travaux qu'a fait naître l'étude du
réflexe
oculo-car- diaque, nous ne connaissons pas de f
emblables à ceux que nous avons enregistrés à part l'exagération du
réflexe
à droite. Recherché'à plusieurs reprises différ
e 20). Il semble donc que la cocaïne se soit comportée vis-à-vis du
réflexe
oculo-cardiaque comme si elle avait diminué l'e
, cas qui au premier abord pourraient être considérés comme d'ordre
réflexe
pur, mais qu'un examen plus attentif permet de ra
iser s'il s'agit . d'anesthésie organique ou fonctionnelle. Les
réflexes
tendineux ou périostes restent normaux, ne décela
t faradique. - On est ainsi amené à faire le diagnostic de troubles
réflexes
purs du (1) Presse médicale, 1915, nos 31 et 40
eur, on constate des contractures importantes, de l'exagération des
réflexes
, leur diffusibilité, l'hyperexcitabilité muscul
aucune élévation des seuils. On pourrait donc conclure une atrophie
réflexe
type Bahinski-Froment. La participation du plex
Il semble donc qu'on ait affaire à un syndrome d'atrophie et parésie
réflexe
. La participation du plexus brachial est manife
réciser s'il s'agit d'une anesthésie hystérique ou organique. Les
réflexes
sont égaux de deux côtés, en particulier le réfle
organique. Les réflexes sont égaux de deux côtés, en particulier le
réflexe
olécrânien qui a été recherché à plusieurs repr
ien qui a été recherché à plusieurs reprises et avec soin. Quant au
réflexe
radial, il est peut-être un peu moins fort à ga
eux n'est à signaler chez ce malade quia, d'une façon générale, des
réflexes
forts et une tendance au faux clonus uévro- apa
actions vives. On pourrait donc conclure aune atrophie avec parésie
réflexe
, type Ba- binski-Froment. - La participation
trophiques de la main pourraient donc être considérés comme d'ordre
réflexe
si l'on n'examinait le plexus brachial. La pres
nous avons pensé pour plus de certitude à utiliser la recherche du
réflexe
oculo-cardiaque connu dans ces derniers temps g
ni- que (1). A l'état normal chez l'homme ou chez les animaux, le
réflexe
se traduit par un ralentissement du rythme, trè
5, 10, 15 pulsations par minute. Mais quelles sont les voies de ce
réflexe
? L'un de nous a montré qu'après injection d'at
e, au maximum de l'action de ce poison (vingt à trente minutes), le
réflexe
oculo-cardiaque disparaît; or, comme nous savon
e n'est pas 1 (1) Consulter les travaux suivants : Petzetakis, Le
réflexe
oculo-cardiaque à l'état normal. Société médica
il décembre 1913. Presse médicale, 28 février 1914 ; L'abolition du
réflexe
oculo-cardiaque par l'atropine. Société de Biol
ogie, 14 février 1914, p. 247; Elude expérimentale sur les voies du
réflexe
oculo-cardiaque. Société de Biologie, 25 avril 19
ion du trijumeau ou de sa branche ophtalmique fait dispa- raître le
réflexe
: nul doute, par conséquent, que le trijumeau soi
e centripète. D'autre part, la section du pneumogastrique abolit le
réflexe
; ce nerf représente donc la voie centrifuge. M
ental, il est possible de démontrer que le sympathique participe au
réflexe
: cet artifice consiste à faire une section de la
Cette expérience montre bien que le sympathique participe à la voie
réflexe
. Du reste, la compression auriculaire est suivie
ion artérielle et la respiration, phénomènes décrits sous le nom de
réflexes
oculo-respiratoire et oculo-vasomoteur, ce qui
nes du vague et du sympathique dont l'irritation donne naissance au
réflexe
oculo-cardiaque. Comme nous allons le voir dans l
irmer sur ce point les recherches expérimentales en montrant que le
réflexe
oculo- cardiaque est un réflxe ti-ijumeau-yago-
adavérique. 17 novembre 1916. Pouls : 120 dans le décubitus dorsal.
Réflexe
oculo-car- diaque, à gauche plutôt une légère a
aque, à gauche plutôt une légère accélération à 132 ou plus, à droite
réflexe
normal, consistant dans un ralentissement de 15
uis 132. L'arrêt respiratoire ne modifie pas le rythme du pouls. Le
réflexe
oculo-cardiaque est intense à droite : à gauche
gère aryth- mie avec quelques rares extrasystoles. Sur le tracé, le
réflexe
oculo-cardiaque du côté droit montre une diminu
nute, avec arythmie et quelques extrasystoles ; du côté gauche, le
réflexe
est inversé, il y a une accélération de quelque
en-- LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE 373 tation énorme du
réflexe
oculo-cardiaque, se traduisant par des pauses de
lon- gueur. Pouls : 112. 25. Mêmes constatations. 22 novembre.
Réflexe
oculo-cardiaque : la tracé pris par M. Petzetakis
cardiaque : la tracé pris par M. Petzetakis montre du côté droit un
réflexe
très net avec deux pauses ; à gauche, le ré- LÉ
les) permet déjà de soupçonner une lésion du vague; la recherche du
réflexe
oculo cardiaque nous donne une preuve absolue de
e de la lésion de ce nerf. En effet, dans ces cinq observations, le
réflexe
ocu- locardiaque, normal du côté opposé à la lé
ation des faits expérimentaux rappelés plus haut, démontrant que le
réflexe
oculo-cardiaque est un réflexe trijumeau-vago-sym
appelés plus haut, démontrant que le réflexe oculo-cardiaque est un
réflexe
trijumeau-vago-sympthique. Nous conclurons : l°
trijumeau-vago-sympthique. Nous conclurons : l°dans la recherche du
réflexe
oculo-cardiaque, nous possédons un moyen très c
notamment l'accélération démontrent que les voies cen- trifuges du
réflexe
oculo-cardiaque sont à la fois le vague et le gra
us minutieux ne décèle actuellement aucun symp- tôme de tabes : les
réflexes
achilléens, rotuliens et les réflexes des membres
cun symp- tôme de tabes : les réflexes achilléens, rotuliens et les
réflexes
des membres supérieurs sont normaux ; les diver
Il ne présente aucun phénomène organique : ni moteur, ni sensitif, ni
réflexe
. Il se plaint cependant de quelques vagues maux
une douleur dans la hanche. Les autres mouvements sont normaux. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont vifs et égaux des. d
exes rotuliens et achilléens sont vifs et égaux des. deux côtés. Le
réflexe
plantaire se fait en flexion à droite et à gauche
t supérieurs est bonne ; la force mus- culaire est normale. ' Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont égaux, mais un peu v
liens et achilléens sont égaux, mais un peu vifs des deux côtés. Le
réflexe
cutané plantaire se fait en flexion des deux côté
s. Le réflexe cutané plantaire se fait en flexion des deux côtés. Les
réflexes
crémastériens et abdominaux existent. Les réfle
deux côtés. Les réflexes crémastériens et abdominaux existent. Les
réflexes
radiaux et tricipitaux sont normaux. Le bless
uffrir de temps à autre dans la région abdominale sus-pubienne. Les
réflexes
sont normaux. Si on fait coucher le malade su
rousse, le 14 novembre 1916. Il ne présente aucun trouble moteur ni
réflexe
. Les réflexes sont normaux. Il a eu du côté gauch
novembre 1916. Il ne présente aucun trouble moteur ni réflexe. Les
réflexes
sont normaux. Il a eu du côté gauche quelques t
cuse une douleur dans la région lombaire, à chaque mouvement. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont normaux ; il en est
t normaux ; il en est de même de ceux des membres supérieurs et des
réflexes
cutanés. Il n'y a aucun trouble de la sensibili
à la région lombaire, aux changements de temps seulement. Tous les
réflexes
tendineux et cutanés sont normaux. Le 23 octobr
La motilité des membres inférieurs et supérieurs est normale. Les
réflexes
cutanés et tendineux sont normaux. Pas d'anestb
rtout à droite, pendant la flexion des cuisses sur le bassin. Les
réflexes
tendineux et cutanés sont normaux. Pas d'anesthés
ronier, sirnu- lant l'amyotrophie Charcot-Marie, par Léri, 260.
réflexe
(syndromes frustes d'irrita- lion du plexus bra
faciale gauche, du tremblement des extrémités, de l'exagération des
réflexes
rotu- liens, de l'instabilité dans la station d
tremblements des extrémités, qui sont traduites par l'écriture. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés surtout à droite, il n'
ubictérique, les urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés surtout le droit, et il y
'une' conscience, d'une volonté, etc., sont réductibles à de purs
réflexes
. Des idées nouvelles d'Apathy, de Bethe, de Nis
découvertes devraient attribuer essentielle- ment la production des
réflexes
, c'est-à-dire de la vie psy- chique, non plus a
dans l'épilepsie et le tabes ; et sur ses rapports avec l'état des
réflexes
superficiels. Il a cependant trouvé la sensibil
dinaire; mémoire faible. Caractère triste et par moments irascible.
Réflexes
normaux. IL y a quatre ans, céphalalgies, et en
es éraillures. Chez les indigènes syphili- tiques, les troubles des
réflexes
oculaires n'ont jamais été ren- contrés ; il n'
e les causes quelconques, infectieuses le plus souvent, toxi- ques,
réflexes
quelquefois, viendront rompre l'harmonie de ce sy
Les pupilles sont égales, plutôt rétrécies, réagissant bien; les
réflexes
cutanés et le réflexe pharyngien sont conservés;
ales, plutôt rétrécies, réagissant bien; les réflexes cutanés et le
réflexe
pharyngien sont conservés; les réflexes tendine
les réflexes cutanés et le réflexe pharyngien sont conservés; les
réflexes
tendineux du genou et du poignet notablement dimi
stence de simples dispositions anatomiques : l'activité' de tel arc
réflexe
déterminé répond toujours à certains stimuli dé
crustacés et de vers, Bethe et Loeb ont pu déterminer de pareils
réflexes
isolés dont le mécanisme anatomique est fort co
raison humaine, qui n'est et ne peut être qu'un vaste complexus de
réflexes
organisés. Toute réaction phy- siologique est u
maux inférieurs représente essentiellement une' colonie d'appareils
réflexes
, centraux et périphériques, qui, encore que plu
es intestins, le coeur, la peau, etc ? possèdent nombre d'appareils
réflexes
indépendants du même genre, quoique plus ou moi
édité,' non seulement des mécanismes, mais celle de leurs fonctions
réflexes
, voire d'associations réflexes fort complexes,
ismes, mais celle de leurs fonctions réflexes, voire d'associations
réflexes
fort complexes, est aujourd'hui un fait d'obser
vulgaire d'instinct. Un individu qui paraît pourvu d'associa- tions
réflexes
innées semblables à celles de tous les autres e
oute réaction de l'animal doit pouvoir être attribuée, soit à ces
réflexes
simples ou complexes communs à toute son espèce,
r Edinger, que ces hyménoptères ne sont point de pures ma- chines
réflexes
(conclusion que nous avions déjà soutenue nous-
xcitations; qu'au contaire, en discerne, à côté de nombre d'actions
réflexes
héréditaires, des signes assurés d'une mémoire
moelle allongée ne fonctionnent que suivant le mode ou le « type »
réflexe
. La moelleépinièresurtoutappartient aux parties
connues du névraxe. D'innombrables expé- riences instituées sur les
réflexes
spinaux sont ainsi devenues anatomiquement inte
xtraordinairement restreint d'associations : ce sont des « machines
réflexes
» (·eJlextasclaitea), en possession d'un certai
poissons et les amphibiens. des actions réductibles à des processus
réflexes
: « La grenouille ne cherche pas le ver; c'est
antérieure, sinon primitive, de quelque nature qu'elle ait été. Les
réflexes
et les actes les plus automatiques, inconscient
it une paralysie complète des membres inférieurs avec abolition des
réflexes
tendi- neux, incontinence d'urine et des matièr
ules endothéliales. G. OE1';Y. VIII. Dissociation et antagonisme de
réflexes
tendineux et cutanés; par J. Cnocc. (jours. de
men d'un certain nombre de malades présentant la dis- sociation des
réflexes
tendineux et cutanés l'auteur a été amené il co
dans la paralysie spasmodique s'il y a toujours une exagération des
réflexes
tendineux il n'est pas exact, comme le prétend
étend von Gehuchten qu'il y ait toujours une abolition complète des
réflexes
cutanés ceux-ci sont tantôt affaiblis, tantôt for
ceux-ci sont tantôt affaiblis, tantôt forts. Les modifications des
réflexes
cutanés n'auraient donc pas une valeur pathogno
rait suffire pour affirmer l'existence d'une lésion médullaire. Les
réflexes
cutanés sont en effet trop variables chez les d
ne, pour qu'on puisse toujours reconnaître avec certitude quand ces
réflexes
cessent d'être normaux. Quant au réflexe inguin
avec certitude quand ces réflexes cessent d'être normaux. Quant au
réflexe
inguinal décrit chez la femme par von Gehuchten
rit chez la femme par von Gehuchten il ne serait pas l'homologue du
réflexe
crémastérien chez l'homme, et pourrait s'observ
. Afin d'éviter cette confusion, M. Crocq le désigne sous le nom de
réflexe
inguino-abdominlli.. G. OE1';Y, IX. A propos de
es hémisphères et doivent être pris en considération pour juger des
réflexes
psychiques de ilaab et Pilz. Le centre dilata
s mêmes phéno- mènes et vice-vcrsc2. G. Deny. Hill. De l'état des
réflexes
chez les syphilitiques ; par le D r 11)1. N ET-
;ni. de neurologie, 1901, nul 9.) Une enquête faite sur l'état des
réflexes
de 13 syphilitiques appartenant à un régiment d
un régiment du génie a donné les résultats suivants : abolition du
réflexe
pharyngien (2 fois), du réflexe olécranien (3 f
s résultats suivants : abolition du réflexe pharyngien (2 fois), du
réflexe
olécranien (3 fois), du réflexe abdominal (1 fo
du réflexe pharyngien (2 fois), du réflexe olécranien (3 fois), du
réflexe
abdominal (1 fois), du réflexe patellaire z fois)
, du réflexe olécranien (3 fois), du réflexe abdominal (1 fois), du
réflexe
patellaire z fois). Dans un certain nombre d'au
éflexe patellaire z fois). Dans un certain nombre d'autres cas, les
réflexes
étaient seule- ment diminués. En somme, il semb
nt diminués. En somme, il semble résulter de ces recherches que les
réflexes
sont toujours modifiés chez les syphilitiques, ce
vant d'adopter cette conclusion, il serait nécessaire d'étudier les
réflexes
chez les sujets non syphilitiques du même âge e
r, enfin sur la possibilité d'une inter- vention. ' L. D. XX. Des
réflexes
vaso-moteurs, dans l'érythromélalgie ; par C,I 1'
s dont l'irritation provoquerait les accès à la façon de phénomènes
réflexes
. Toutefois, il faut admettre, en outre, une hyp
, l'excitabilité électrique des nerfs sécrétoires et l'excitabilité
réflexe
de nature chimique ne subissent que des modific
e tare hystérique. L. DEL3fAS. XXX. Dés rapports existant entre les
réflexes
et la tonicité mus- culaire ; par de RcNzi et C
ts atteints de myélite transverse avec exagération considérable des
réflexes
. Ils concluent que dans la paralysie spasmodiqu
s inférieurs est due non à l'hypertonicité, mais à des contractions
réflexes
des muscles dont la contraction cesse bientôt p
onc aucun rapport intime entre la tonicité musculaire et l'état des
réflexes
, ceux-ci pouvant être très exagérés avec une hy
ortonicité muscu- laire très' marquée. L. D. XXXI. Polynévrite et
réflexes
; par le D1' de BURK. (JOUI-il. de Neu- urologie
servation de la sensibilité générale, exagération de la sensibilité
réflexe
tendineuse," abolition des réflexes cutanés, etc.
e, exagération de la sensibilité réflexe tendineuse," abolition des
réflexes
cutanés, etc. Les deux affections susceptibles
onnelle, dans' la .démence. Impossibilité d'expectorer (absence des
réflexes
laryngés et palatins) dans la démence avancée.
s sont 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. abolies dans le coma. Les
réflexes
spinaux sont paresseux dans la mélancolie, exag
e complète des deux extrémités inférieures avec absence des deux.
réflexes
patellaires, et une sensibilité marquée des tronc
ature dans. ' la partie supérieure et interne de la cuisse' droite.
Réflexe
rotu- lieu droit fait défaut. Réflexes rectal e
interne de la cuisse' droite. Réflexe rotu- lieu droit fait défaut.
Réflexes
rectal et vésical normaux. En rai- son idu peu
s. Point douloureux localisé entre la 3° et 4° vertèbres lombaires.
Réflexes
rectal et vésical intacts. Pas de symptômes ata
nsibilité (douleur, sensibilité exagérée et paresthésie), perte des
réflexes
et diminution de la réation faradique; mort au bo
s abdominaux, aux bras et au côté gauche de la face, avec perte des
réflexes
, atteinte des sphincters, et hypoalgésie sans h
muscles de la face, à ceux de la mastication et de la déglutition.
Réflexes
perdus. Pas de troubles marqués de la sensibili
orale, ont obtenu delà déviation conju- guée, sans doute par action
réflexe
évoquée par une sensation au- ditive, d'origine
M. BRISSAUD présente un vieillard non hémiplégique, mais dont les
réflexes
sont altérés d'un côté et dont la face est asymét
i- dérable. L'urine contient lit) grammes de sucre par litre. Les
réflexes
patellaires sont abolis, les réflexes crémastérie
ammes de sucre par litre. Les réflexes patellaires sont abolis, les
réflexes
crémastériens affaiblis, les réflexes pupillair
patellaires sont abolis, les réflexes crémastériens affaiblis, les
réflexes
pupillaires persistent. En dehors de l'émaciation
La conjonctive et la cornée sont insen- sibles du côté gauche, les
réflexes
pupillaires existent normale- ment des deux côt
. Le poing dirigé avec violence sur l'oeil n'entraîne aucun recul
réflexe
de la tête, et le réflexe palpébral n'a lieu que
iolence sur l'oeil n'entraîne aucun recul réflexe de la tête, et le
réflexe
palpébral n'a lieu que si l'on touche réellemen
s dans une opération récente, se cachent facilement derrière eux Le
réflexe
pharyngien ne se produit que si on cha- touille
he : la moitié droite seule réagit sous l'effet de la pression. Les
réflexes
abdominaux supérieur et infé- rieur sont conser
osseuse, ainsi que les HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE* FILLETTE. ] 85
réflexes
, sont conservés et normaux ; la sensibilité cutan
de diathèse de contracture ni de contraction idio- musculaire. Les
réflexes
musculaires et tendineux sont conservés. Que le
ient actifs ou qu'ils soient effectués pas- sivement, qu'ils soient
réflexes
, qu'ils se produisent en flexion ou extension,
jambe, à 12 centimètres au-dessous du becrotulien est de 30 ? 5. Le
réflexe
rotulien et la sensibilité plantaire sont vifs; l
? 5. Le réflexe rotulien et la sensibilité plantaire sont vifs; le
réflexe
du tendon d'Achille existe ; pas de phénomène d
ension, d'adduction, etc., imprimés au membre est assez faible. Les
réflexes
rotulien et HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE
iller la plante du pied, elle ne réagit en aucune façon. Certains
réflexes
et certaines sensibilités profondes sont conser-
ains réflexes et certaines sensibilités profondes sont conser- vés (
réflexes
pupillaire lumineux, abdominaux, du bras et, du p
ne, plantaire) : en particulier, il est intéressant de noter que le
réflexe
pharyngien, les sensibilités épigastrique profo
mianesthésie gauche, est encore susceptible de critique, puisque le
réflexe
abdominal de Rosenbach existe du côté anesthési
d'abords que l'oeil amblyope ou amauro- tique ne dévie pas, car le
réflexe
rétinien de convergence continue à se produire,
omène ou s'occupe les deux yeux ouverts... » Et plus loin : « Si le
réflexe
rétinien de convergence s'éta- blit, chez ces h
s malades ou même chez les individus sains. , d. SÉCLas. XXXV. Du
réflexe
oculo-pupillaire ; par S1'Er.aNI et NORDER.1. (Ri
1'Er.aNI et NORDER.1. (Riv. sp. di {l'en., 18\)\), fasc. 3-4.) Le
réflexe
que les auteurs dénomment oculo-pupillaire se m
tensité qu'il soit, porte sur d'autres régions. Pour provoquer ce
réflexe
, il suffit de frotter légèrement les paupières
a conjonctive ou la cornée, avec la pulpe du doigt ou une sonde; le
réflexe
peut être aussi déterminé par un stimulus élect
subissent un élargissement léger progressif. C'est là-le véritable
réflexe
oculo-indien. Après un temps variable, d'ordi-
troublent en rien l'évolution complexe du mouvement de l'iris. Le
réflexe
oculo-pupillaire qui se distingue du-réflexe sens
Mais, à l'inverse de l'autre, la phase vraiment caractéristique du
réflexe
oculo-iridien, est la conariction. Pour const
iridien, est la conariction. Pour constater le premier mouvement du
réflexe
oculo-pupillaire (dilatation), il convient d'ex
ent soit à l'aide du pupillomètre de Schwei- gert. L'existence du
réflexe
oculo-iridien et de la réaction pupillaire aux
potence sexuelle. 5° Une diminution ou une complète disparition des
réflexes
des extrémités inférieures. H.\YMO : \D a suivi l
rnal américain (mars 189L.) PorrLnan. XL. Contribution à l'étude du
réflexe
plantaire basée sur l'étude de sept cent malade
sur le signe de Babinski : 1° A l'état de santé, la recherche du
réflexe
plantaire peut donner lieu aux -phénomènes suiv
on; 230 REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. ' 3° Le
réflexe
de. Babinski s'obtient chez environ 0 p. 100, d
maladies intéressant le faisceau pyramidal ,dans la moelle; 4° Le
réflexe
de Babinski ne se voit jamais à l'état de santé e
organiques ou autres n'intéressant pas la voie pyramidale; 5° Ce
réflexe
^ est souvent le premier à apparaître dans les m
emple, au début d'une attaque d'hémiplégie avant l'établissement du
réflexe
rotulien exagéré et de la trépidation épileptoï
il peut persister un certain temps après la disparition des autres
réflexes
, par exemple, quand le réflexe rotulien et la t
mps après la disparition des autres réflexes, par exemple, quand le
réflexe
rotulien et la trépidation épileptoïde font défau
ations comme dans les affections combinées du système nerveux. Ce
réflexe
est alors d'un grand "=eeours pour le diagnostic;
e réflexe est alors d'un grand "=eeours pour le diagnostic; 6° Ce
réflexe
, très exceptionnellement, se montre dans des cas
alysie, pas d'incoordination des'mouvements, pas d'anesthésie ; les
réflexes
du genou sont légèrement exagérés. Dans les der
rmes, les états cataleptiformes ou catato- niques, les troubles des
réflexes
, l'inégalité pupillaire, le tremble- ment génér
ée. Ecriture tremblée. Faiblesse dans les jambes. Marche difficile.
Réflexes
rotuliens exa- illiCIIIIES, 2e série, t. XII. 1
upillaire. Troubles de l'écriture. Léger nystagmus, exagération des
réflexes
rotuliens. Affaiblissement intellectuel, troubl
ation de chatouil- lement, mais elle ne provoque plus de mouvements
réflexes
. Elle peut même persister pendant toute la duré
te sensibilité au pince- ment et à la pression. Modifications DES
réflexes
. 1° L'abolition des réflexes 292 PHYSIOLOGIE. ,
nt et à la pression. Modifications DES réflexes. 1° L'abolition des
réflexes
292 PHYSIOLOGIE. , cutanés est la règle dans
ieds sera d'abord insensible, on verra s'abolir respective- ment le
réflexe
crémastérien, les réflexes abdominaux ou le réf
le, on verra s'abolir respective- ment le réflexe crémastérien, les
réflexes
abdominaux ou le réflexe plantaire. Ils reparai
tive- ment le réflexe crémastérien, les réflexes abdominaux ou le
réflexe
plantaire. Ils reparaissent dans le même ordre qu
ant dans deux cas, nous avons noté une conser- vation intégrale des
réflexes
abdominaux supérieurs et inférieurs et des réfl
n intégrale des réflexes abdominaux supérieurs et inférieurs et des
réflexes
testiculaires avec une abolition complète de la
s régions ; 2° Nous avons constaté dans un cas la conservation du
réflexe
pupillaire à la douleur par pression d'une région
re' chaque fois une dilatation pupillaire très manifeste ; 3° Les
réflexes
tendineux (rotuliens et achilléens) sont toujou
être faite seulement pour tous les cas de tabès, dans lesquels les
réflexes
rotuliens et achilléens, abolis avant l'injecti
te la durée de la cocaïnisation; 4° Les modifications imprimées aux
réflexes
tendineux par la rachicocaïnisation varient sui
par la rachicocaïnisation varient suivant l'état antérieur de ces
réflexes
. Si les réflexes sont normaux, ils s'exagèrent
aïnisation varient suivant l'état antérieur de ces réflexes. Si les
réflexes
sont normaux, ils s'exagèrent pendant l'action
de extension de l'analgésie ; elle diminue progressive- ment et les
réflexes
reprennent insensiblement leurs carac- tères no
lement leurs carac- tères normaux antérieurs. Si, au contraire, les
réflexes
sont EFFETS PHYSIOLOGIQUES DE LA RACHICOCA1NISA
; abolition et diminution ne sont encore que tran- sitoires et les
réflexes
retrouvent à la fin de la cocaïnisation leurs c
caïnisation leurs caractères antérieurs d'exagération. Enfin si les
réflexes
sont faibles, on les voit graduellement diminue
cependant qu'elle n'affecte aucun rapport direct avec l'état des
réflexes
tendineux : elle n'accompagne pas en particulier
ndineux : elle n'accompagne pas en particulier l'exagération de ces
réflexes
; elle peut même se montrer, alors qu'ils sont f
à vaincre. Elle est survenue suivant les cas avec l'exagération des
réflexes
, avec l'état nauséeux, elle a suivi enfin la tr
action du liquide cépha- lo-rachidien modifient toujours l'état des
réflexes
. Mais ces modifications sont bien moindres que
difficile d'établir leurs lois. On peut affirmer cependant que les
réflexes
cutanés sont peu modifiés et quand ils le sont,
and ils le sont, c'est d'une façon variable d'un cas à l'autre. Les
réflexes
tendineux (rotu- liens et achilléens) semblent
alysées, sans autopsie. Les malades pouvant répéter les mots, l'arc
réflexe
infé- rieur du langage, avec les centres de Wer
er : le regard vague, sans but, la pupille contractée, l'absence du
réflexe
lumineux, les mouvements de l'iris qui devienne
riodicité des attaques, la paralysie motrice flaccide, la perte des
réflexes
, les modifica- tions électriques bien marquées,
ens musculaire diminué du côté paralysé, normal de l'autre côté; 5°
Réflexes
profonds exagérés du côté paralysé. Trépidation
l y avait de l'inégalité pupillaire ; dans 40 p. 100 de la rigidité
réflexe
des pupilles ; et dans 50 p. 100 de l'atrophie du
gie de la décharge motrice (spasmes, convulsions; souvent de nature
réflexe
; 3° con- fusion des impulsions entrailles (par
les hyperesthésies et hyperalgésies, les spasmes et les convulsions
réflexes
méritent la même créance que les anesthésies. L
romptement à la surdité totale. Abolition à gauche du sens du goût.
Réflexe
du genou actif des deux côtés. Pas de signe de
de M. G. Ballet. Physiologie et pathologie du tonus musculaire des
réflexes
et de la contracture. \I. CROCQ (de Bruxelles),
musculaire, tant volontaire que sphinctérienne, est réduite à l'arc
réflexe
élémentaire (Tr. 1) ; 2° chez le lapin et chez le
, nécroses, para- lysie générale, infections et intoxications. IL
Réflexes
: Après avoir développé les nombreuses théories f
section des racines postérieures provoque l'abo- lition de tous les
réflexes
; 2° la section de la moelle cervicale, chez la
oelle cervicale, chez la grenouille, donne lieu a l'exagération des
réflexes
sous- jacents à la lésion (ftg. 5); 3e la secti
le lapin et chez le chien, donne lieu à l'exagération immédiate des
réflexes
tendineux et à l'aboli- tion temporaire des réf
immédiate des réflexes tendineux et à l'aboli- tion temporaire des
réflexes
cutanés (lig. G); 4° la section ou la ligature
ez le singe, donne lieu à une abolition plus ou moins prolongée des
réflexes
tendineux et cutanés (fi : ]. 7); 5° chez l'hom
dorsale supérieure, provoque l'abolition permanente et complète des
réflexes
tendineux et cuta- nés (fiq. 8) ; G° les lésion
chez tous les animaux, à une exagération plus ou moins marquée des
réflexes
tendineux et chez quelques-uns d'entre eux, à u
endineux et chez quelques-uns d'entre eux, à un affaiblissement des
réflexes
cutanés ; 7° les lésions destruc- tives du cerv
les lésions destruc- tives du cervelet entraînent l'exagération des
réflexes
tendineux. De l'examen attentif de ces faits, l
e ces faits, le rapporteur conclut que : Il chez la grenouille, des
réflexes
se réduisent à l'axè réflexe élé- mentaire ; le
clut que : Il chez la grenouille, des réflexes se réduisent à l'axè
réflexe
élé- mentaire ; leurs centres médullaires sont
par les centres supérieurs ; 2° chez le lapin et chez le chien, les
réflexes
tendineux Fig. J. 320 SOCIÉTÉS SAVANTES. se
entres médullaires sont inhibes par le cerveau et le cervelet ; les
réflexes
cutanés parco : : - Fig. G. SOCIÉTÉS SAVANTES
voies longues, leur centre principal est mésocéphalique ; certains
réflexes
défensifs rapides se font par les voies courtes
s se font par les voies courtes ; 3° chez le singe, les centres des
réflexes
tendineux Archives, 2° série, t. XII. 21 Fig.
soumis à l'action inhibitrice du cerveau et du cervelet ; ceux des
réflexes
cutanés sont à la fois basilaires et cor- ticau
réflexes cutanés sont à la fois basilaires et cor- ticaux. Certains
réflexes
défensifs continuent à parcourir I% i. 8. ' S
S SAVANTES. 323 les voies courtes; 4° chez l'homme, les centres des
réflexes
tendi- neux sont basilaires et soumis à l'actio
soumis à l'action inhibitrice du cerveau et du cervelet ; ceux des
réflexes
cutanés sont corticaux. Ici encore, certains ré
et ; ceux des réflexes cutanés sont corticaux. Ici encore, certains
réflexes
défensifs rapides se font par les voies courtes ;
rapides se font par les voies courtes ; 5o chez le nouveau-né, les
réflexes
se produisent, comme chez les vertébrés inférie
par des voies courtes. ' L'orateur fait ensuite la physiologie des
réflexes
tendineux et cutanés; puis il décrit les réflex
a physiologie des réflexes tendineux et cutanés; puis il décrit les
réflexes
pathologiques (réflexe fémoral, de Babinski, cl
es tendineux et cutanés; puis il décrit les réflexes pathologiques (
réflexe
fémoral, de Babinski, clonus). 11 montre que l'
lexe fémoral, de Babinski, clonus). 11 montre que l'antagonisme des
réflexes
ten- dineux et cutanés est fréquent et possède
ortance clinique indéniable, il examine enfin les modifications des
réflexes
dans les maladies des névrosés et il s'efforce
ande majorité des cas, il existe un rapport étroit entre l'état des
réflexes
tendineux et celui du tonus muscu- laire. - L
pport n'est pas cons- tant. L'indépendance clinique du tonus et des
réflexes
confirme leur indépendance anatomique. M. Gra
es au sujet de la contracture, de la trépidation épileptoïde et des
réflexes
tendineux. La contracture ne me semble pas un
ité de nature de la trépidation épileptoïde et de l'exagération des
réflexes
tendineux est démontrée par deux séries de preu
la trépidation épilep- toïde du pied et de la rotule, alors que les
réflexes
tendineux sont diminués ou même totalement abol
de s'abolir complètement au bout de quelques minutes, alors que les
réflexes
tendineux persistent inaltérés. il ne faut pas
nt après moi, atteindre une isché- mie trop complète, car alors les
réflexes
s'abolissent à leur tour. M. ;'IIENDFLSSoIIN(ll
M. Crocq relativement à une -localisation cérébrale exclusive des
réflexes
chez certains animaux et chez l'homme ne me parai
nforme ni aux faits physiologiques ni aux données cliniques. L'acte
réflexe
doit être considéré comme une propriété générale
ire de l'axe cérébro-spinal. Il n'existe pas à mon avis des centres
réflexes
, cenx-ci pouvant se produire à un niveau quelconq
l'organe moteur réactionnel. les conditions pour la production des
réflexes
se trouvent par là même réalisées. Cependant, c
t plus praticables et présentent moins de résistance au passage des
réflexes
que d'autres voies plus courtes et plus directes.
réflexes que d'autres voies plus courtes et plus directes. Ausi les
réflexes
normaux, c'est-à-dire provoqués par des irritatio
eure de la moelle cervicale. Lorsque cette région est détruise, les
réflexes
provoqués par des irritations minima sont suppr
, mais il suffit d'augmenter l'intensité de l'irritant pour que les
réflexes
réapparaissent en se frayant un chemin par d'au
tion de la moelle ducerveau ne supprime donc pas définitivement les
réflexes
, dont la production dépend de l'intensité de l'ir
aveur de SOCIÉTÉS SAVANTES. 327' > la localisation de tous les
réflexes
dans le cerveau. Rien ne prouve que la disparit
les réflexes dans le cerveau. Rien ne prouve que la disparition des
réflexes
à la suite d'une lésion de la partie cervicale
et organe a eu pour effet la conservation et même l'exagération des
réflexes
médul- laires. Le réflexe n'étant pas à symptôm
a conservation et même l'exagération des réflexes médul- laires. Le
réflexe
n'étant pas à symptôme à localisation exclusive,
e les moyens d'investigation usités en clinique pour déterminer les
réflexes
sont très défectueux. M. BRI551UD. - Le centre
ment à M. Crocq, j'attribue une grosse importance à la recherche du
réflexe
achilléen dont la recherche est toujours facile
est toujours facile et positive à l'état normal. J'ai étudié les
réflexes
cutanés des maladies nerveuses diverses : d'une
es car dansces derniers, le reflexe crémastérien est conservé. Le
réflexe
de Babinski n'est pas forcément associé à la trép
s les accès d'épi- lepsie, malgré la disparition à ce moment-là des
réflexes
tendineux. Jenecroispas enfin que dans les névr
et. De quelques considérations sur le mécanisme physiologique des
réflexes
. MM. L. Marchand et Cl. VURPAS. L'observation d
riences touchant le mécanisme et les conditions de production des
réflexes
. C'est en parliculier le cas d'une jeune fille pa
iformes on constatait pendant l'intervalle de ceux-ci l'absence des
réflexes
patellaires et pendant les crises l'exagération d
des réflexes patellaires et pendant les crises l'exagération des
réflexes
. Différentes catégories de malades chez lesquel
des réflexes. Différentes catégories de malades chez lesquels les
réflexes
patellaires étaient normaux, abolis ou exagérés
ont aussi, au moyen du même dispositif, étudié chfz une nrerede le
réflexe
cutané plantaire. Des expériences entreprises s
SOCIÉTÉS SAVANTES. 32U 9 avant. Faut-il dire dans ces cas que les
réflexes
n'existent pas ; 2° on remarque que le temps éc
suivant chaque sujet et semble augmenter chez notre hémiplégique à
réflexes
patellaires très exagérés; 3° le temps écoulé e
: I- coup chez les différents sujets. arie au </> , j g Le
réflexe
cutané plantaire qui passe sûrement par les centr
eux (25 centièmes de seconde) a donc un tout autre mécanisme que le
réflexe
patellaire (3 centièmes de seconde). En résumé,
« le tendon du muscle lui-même à différentes hauteurs, alors que le
réflexe
cutané plantaire exige pour se produire un temps
re exige pour se produire un temps au moins huit fois plus long. Le
réflexe
patellaire et la secousse mus- culaire du quadr
nc de même nature. La différence des réactions musculaires dans les
réflexes
tendineux et les secousses musculaires chez les
à ce que le choc est transmis perpendiculairement à ses fibres. Les
réflexes
patellaires, qui ne seraient ainsi que des réac
re normale, car la présence d'une modification même très légère des
réflexes
à la lumière, avec ou sans mydriase alternante,
E PATHOLOGIE MENTALE. pronostic trop hâtif. D'au Li part, quand les
réflexes
pupillaires sont normaux, l'apparition de la my
n le rencontre lorsque des pupilles, de largeur et d'irrita- bilité
réflexe
inégales, sont soumises à l'influence d'une lumiè
i rappelât les troubles d'articulation de la paralysie générale. Le
réflexe
du genou était exagéré chez tous. Tous avaient
la convergence, une fois ; 4° la réaction à la lumière disparue, le
réflexe
de conver- gence paresseux dans un oeil et norm
lenteur de ces actes dans l'autre, deux fois ; fin insuffisance de
réflexe
à la lumière dans les deux yeux, la réaction de c
élancolie) se fait le long des lignes sensorielles de l'arc nerveux
réflexe
, et dans le second cas (manie) le long des lign
itiquer en quelques mots.' I. Certaines stéréotypies sont des actes
réflexes
(Binder). Mais un acte réflexe est « une excita
rtaines stéréotypies sont des actes réflexes (Binder). Mais un acte
réflexe
est « une excitation périphérique d'un nerf sensi
ordinairement d'origine centrale. Donc elles ne sont pas des actes
réflexes
II. Les stéréotypies sont des actes ataviques,
ment, avec une certaine vivacité; ils n'auront jamais le caractère
réflexe
, convulsif du tic ou du spasme ^vrais. Par cons
e dysarthrite. Il peut y avoir aussi dysphagie avec diminution du
réflexe
pha- ryngé. La diminution des facultés psychiqu
t les formes naines du crétinisme; 5° il est possible qu'un trouble
réflexe
des fonctions de cet organe ait une part étiolo
n tremblement bien net des lèvres et des membres. Exagération des
réflexes
rotuliens et superficiels. Mentalement, intellige
aplégie douloureuse avec exagération, puis plus tard, abolition des
réflexes
tendineux. On crut à une compression de la moelle
prédominant sur les cordons postérieurs et pyramidaux. G. D. LXX.
Réflexe
achilléen paradoxal; par le Dr Debray. (Journ. de
chez un homme atteint de paralysie spinale syphilitique de Erb. Ce
réflexe
achilléen paradoxal serait dû, d'après l'auteur
conclusion que le clonisme tendineux a la même signification que le
réflexe
de Babinski, à savoir une perturbation dans le sy
LXXIII. Sur la raison physiologique et la localisation probable du
réflexe
patellaire; par le D1' LAUREYs. (Journ. de Neurol
e Neurologie, 1900, n° 25.) . D'après l'auteur de ce travail, les
réflexes
rotuliens 'et achilliens auraient chez l'homme
rôle plus important que celui de proté- ger les articulations. Ces
réflexes
mettent en cause les muscles dont dépend chez l
nt l'équilibre est infiniment plus stable que celui de l'homme, ces
réflexes
jouent un rôle beaucoup moins important. Quan
uent un rôle beaucoup moins important. Quant à la localisation du
réflexe
rotulien, M. Laureys se rallie à la nouvelle th
le fait que, chez l'homme aussi bien que chez l'animal, le pouvoir
réflexe
de la moelle peut être conservé après sa section
et suivant les indications particulières de chaque cas. G. D. LXXV.
Réflexes
tendineux et réflexes cutanés ; par le Dr LAunEYs
ions particulières de chaque cas. G. D. LXXV. Réflexes tendineux et
réflexes
cutanés ; par le Dr LAunEYs. (Journ. de Neurolo
u cours d'une vingtaine de chloroformisations chez l'homme, que les
réflexes
cutanés, surtout l'abdominal et le crémasterien
és, surtout l'abdominal et le crémasterien, disparaissent avant les
réflexes
tendineux. Dans plusieurs cas les réflexes tend
disparaissent avant les réflexes tendineux. Dans plusieurs cas les
réflexes
tendineux non seulement n'étaient pas abolis en
épidation épileptoïde, alors qu'on ne parvenait pas à démontrer les
réflexes
cutanés. Ces faits confirment donc les idées de
irment donc les idées de Van Gehutchten sur la nature corticale des
réflexes
cutanés et leur antagonisme avec les réflexes ten
nature corticale des réflexes cutanés et leur antagonisme avec les
réflexes
tendineux. G. D. LYYVI. De l'état des réflexe
tagonisme avec les réflexes tendineux. G. D. LYYVI. De l'état des
réflexes
chez les syphilitiques; par le Dr Bi- 1\ET-S11\
Neurologie, 1901, n° 14.) Voici un tableau comparatif de l'état des
réflexes
chez 13 sujets sains et chez 13 sujets syphilit
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LXXVII. Considérations sur les
réflexes
cutanés et les réflexes tendineux; par Van GEHU
THOLOGIQUES. LXXVII. Considérations sur les réflexes cutanés et les
réflexes
tendineux; par Van GEHUTCHEN. (Journ. de Neurol
oelle, M. Van Gehuchten croit pouvoir conclure à l'indépendance des
réflexes
cutanés et des réflexes tendineux, les premiers
croit pouvoir conclure à l'indépendance des réflexes cutanés et des
réflexes
tendineux, les premiers étant d'origine cortica
mésencéphalique (noyau rouge). L'auteur admet en outre que dans le
réflexe
de Babinski il y a deux phé- nomènes distincts
exe de Babinski il y a deux phé- nomènes distincts : l'abolition du
réflexe
plantaire normal et la production d'un phénomèn
émiplégie organique et une hémiplégie hystérique, l'aboli- tion des
réflexes
cutanés (abdominal et crémasterien) a une impor-
ien) a une impor- tance tout, aussi considérable que l'existence du
réflexe
de Babinski. G. D. LXXVIII. Les effets de la
a région cervico-dorsale n'est pour rien dans les modifications des
réflexes
que l'on observe consécutive- ment, Crocq a lié
et les chiens, cette ligature a été suivie d'une exa- gération des
réflexes
tendineux ; chez le singe, au contraire, d'une
tendineux ; chez le singe, au contraire, d'une abolition des mêmes
réflexes
. L'auteur en conclut que cette aboli- tion ne p
ômes cliniques dans le sens moteur ou sensitif. - , li. C. LXXXI.
Réflexes
tendineux dans la fièvre typhoïde ; par HEUIlLl
éflexes tendineux dans la fièvre typhoïde ; par HEUIlLl1\GER. Les
réflexes
ont été étudiés chez un assez grand nombre de t
Contracture. Physiologie et patho- logie du tonus musculaire, des
réflexes
et de la -, par Crocq, 314. Corps calleux. Gl
tion. L' et ses effets, par illonteil, 276. Eiiy'ilIR0,11ÉLALGIE.
Réflexes
dans t ? par Cavazzani et Brocci, 124. Etai1
- nucléo- capillaire antérieur, par E. Dupre ' et Devaux. 156.
Réflexes
. Dissociation et antago- nisme de -tendineux et
rtin, 270. Tonus. Physiologie et pathologie du - musculane, des
réflexes
et de la contracture, par Ctocq, 314. 5S4 TAB
ur et supérieur droits présentent au contraire de la raideur. Les
réflexes
tendineux sont conservés et normaux des deux côté
es réflexes tendineux sont conservés et normaux des deux côtés. Les
réflexes
plantaires sont aussi conservés mais présentent l
t- tement et des deux côtés l'apparition de cette modification du
réflexe
plantaire signalée par Babiuski dans les lésions
eul de l'introduction de la verge dans le vagin; chez certains le
réflexe
éjaculateur était encore plus prompt à se produir
ès un temps variable l'éjaculation sans rigidité du membre, ou le
réflexe
ne se produisait jamais malgré le supplice imposé
de l'horizontale, et de les faire converger. Intégrité complète des
réflexes
pupillaires, de l'acuité visuelle et du fond de
smodique, entraînant une usure de la pointe des souliers ; tous les
réflexes
tendineux (massélerin, 6nis. rotidicns, tendon
l'Acliille) sont exagérés, avec trépidation spinale bilatérale ; le
réflexe
cutané plantaire se fait en extension des deux
sie des membres inférieurs et se plaint d'une lourdeur lombaire. Le
réflexe
crémas- térien est conservé et le signe de Romb
tis survenue pendant le service militaire, d'apprécier nettement le
réflexe
pupillaire de l'oeil gauche ; le fond d'oeil es
c usure de la pointe des souliers, sans caractère cérébelleux ; les
réflexes
sont très exagérés (massé- térin, bras, rotulie
rin, bras, rotulien, tendon d'Achille) avec trépidation spinale. Le
réflexe
cutané plantaire se fait en extension des deux cô
dination motrice, accompagnée de crampes dans les deux mollets. Les
réflexes
rotuliens et du tendon d'Achille sont exagérés
ille sont exagérés mais il n'existe pas de trépidation spinale. Les
réflexes
osseux et tendineux des bras sont forts, le réfle
n spinale. Les réflexes osseux et tendineux des bras sont forts, le
réflexe
massé- tcrilz est exagère. La sensibilité extrê
a sensibilité extrême de la plante du pied empêche la re cherche du
réflexe
cutané plantaire, le moindre frôlement est en e
dination motrice, accompagnée de crampes dans les deux mollets. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont très exag
érieurs sont très exagérés, avec trépidation spinale bilatérale; le
réflexe
cutané plantaire se fait en extension des deux
té; la force muscu- laire segmentaire est assez bien conservée. Les
réflexes
des bras sont exagérés; il n'existe ni tremblem
tique du type Erb avec l'évolution progressive, l'exagération des
réflexes
tendineux, la trépidation spinale, le signe des
nce de cette myélite avec le tabes est créée -non par l'absence des
réflexes
rotuliens, point qui est au contraire la caract
e Romberg et de douleurs fulgurantes associés à l'exagéra- t-on des
réflexes
tendineux et à la trépidation spinale. « C'est
action dilatatrice directe sur la pupille" ? Quelle est la voie du
réflexe
lumineux parti de la rétine pour aboutir à la p
éningo-myélite irritant la 1 paire dorsale ait pu créer la perte du
réflexe
lumineux. MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE. 109 F
i qu'il en soit, voilà une hypothèse qui peut expliquer la perte du
réflexe
lumineux chez nos malades, la syphilis créant l
du signe d'Argyll Robertson avec la persistance ou l'inégalité des
réflexes
rotuliens, mais dans le cours d'un tabes normal
I,I'l'r SYPHILITIQUE. 111 tion des reflexes tendineux ; bientôt les
réflexes
se suppri- ment, créant ainsi le tableau d'un t
tologie du tabes (Oppenheim, Ewald) par l'abolition immé- diate des
réflexes
rotuliens, soit une association de tabes et de
catrice de plaie consécutive à une chute. Les pieds sont plats. Les
réflexes
et les mouvements volontaires sont normaux. L'e
muscle reste stationnaire ou diminue. G. D. III. Exagération des
réflexes
tendineux avec hypertonie, hypoto- nie et atoni
pas toujours parallélisme entre le tonus des muscles et l'état des
réflexes
tendineux, et que, dans un certain nombre de ca
des réflexes tendineux, et que, dans un certain nombre de cas, les
réflexes
tendineux sont exa- gérés alors que le tonus no
gie avec contrac- ture, chez lequel on constate une exagération des
réflexes
tendineux aussi bien dans les muscles atteints
tonie ou d'atonie complète. Cette dissociation de l'exagération des
réflexes
tendineux vis-à- vis du tonus des muscles, prou
de d'autres connexions que celles qui président à la production des
réflexes
tendineux, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
IE PATHOLOGIQUES. 125 11 résulte de là encore que l'exagération des
réflexes
tendineux ne peut pas être considérée comme un
ions qui augmentent la difficulté de la conduction ou l'irradiation
réflexe
. La seconde catégorie renferme les mouvements a
montré que la section complète de la moelle détermine la perte des
réflexes
au-dessous de la section, et qu'il faut un cer-
aiblie, relâchement au repos des muscles de la face, exagération du
réflexe
patellaire, sensibilité intacte, état mental sa
manent ce faisceau qu'il considère comme probable- ment destiné aux
réflexes
des organes inférieurs. F. BOISSIER. XVHL Sur u
doivent être rattachés les troubles, moteurs, c'est l'abolition des
réflexes
rotuliens qui a persisté jusqu'à la mort. Une c
fibres dans Ja capsule interne aurait entraîné une exagération des
réflexes
. ( ? 1). : ` XX. Rapports entre les prolongemen
(section du nerf), moins intenses là où le tonus et la contraction
réflexe
persistent encore (section de la moelle), mais
st atteinte d'une paraplégie flasque incomplète. avec abolition des
réflexes
et douleurs lom- baires. Quinze jours après app
ellement qu'une parésie des membres inférieurs avec abo- lition des
réflexes
. L'auteur rejetant l'hypothèse d'une polynévrit
nations de la moitié aveugle sont dues à des irritations à distance
réflexes
de centres visuels plus élevés. L'hémianopsie de
ire progressive ; symptômes classiques du tabes ; immobi- lité fixe
réflexe
des pupilles, signe de Westphal (unilatéral). Les
ronc et des membres contrastant avec l'intégrité de la sensibilité (
réflexes
tendineux normaux). Au bout de six mois, rétent
VANTES. 167 paralytiques généraux ou tabétiques au contraire, où le
réflexe
lumineux et par conséquent la tendance à la dil
une femme qui avec ce phénomène est aussi atteinte d'abolition des
réflexes
rotu- liens et du tendon d'Achille. Pas de syph
visuelle est normale. 11 s'agit d'un pseudo-tabes. Du côté sain le
réflexe
à la lumière est conservé, tandis que dans le tab
e réflexe à la lumière est conservé, tandis que dans le tabes, le
réflexe
lumineux est aboli du côté sain comme du côté mal
ux malades présentant d'une part des signes de tabes, abolition des
réflexes
, troubles de la marche, troubles capillaires, dou
von Monakow (de Zurich) ; 2° Sur la nature et la localisa- tion des
réflexes
tendineux. Rapporteurs : Jendrassik (de Buda- p
Bucharest), Crocq (Bruxelles), Fischer (New-York). La nature des
réflexes
tendineux. Rapporteurs : MM. Jendrassik (de Buda-
et d'autant plus marqués que l'on se rapproche des extrémités. Les
réflexes
sont abolis dans les parties atteintes, sauf le
mités. Les réflexes sont abolis dans les parties atteintes, sauf le
réflexe
plantaire qui persiste ; les différentes sensib
s le groupe tibial antérieur; 3° il y a actuellement exagération du
réflexe
rotulien de la jambe droite, tandis que deux mo
tulien de la jambe droite, tandis que deux mois antérieurement ce
réflexe
était complètement aboli. A. Poulard. XXVIII. C
11 existe une atrophie des muscles des mains et des avant-bras. Les
réflexes
sont exagérés, la sensi- bilité est normale. En
e au niveau des autres. Réaction de dégénérescence, abolition des
réflexes
tendineux, conservation des réflexes cutanés. Pas
dégénérescence, abolition des réflexes tendineux, conservation des
réflexes
cutanés. Pas de troubles sensitifs, pas de para
SE. XL. Parésie des quatre membres, contractures, exagération des
réflexes
et phénomène de Babinski à la suite d'une chute s
actions extériorisées ne sont plus réduites à de simples mouvements
réflexes
qui visent la satisfaction de nos besoins im- m
0. Extrait de la Revue neurologique. Babinski (J.). Sur le prétendu
réflexe
antagoniste de Schaefer. - Brochure in-8o de 2
aperçut pour la première fois, d'un léger tremblement de mains, les
réflexes
étant normaux. La situation était en l'état, av
... à l'hôpital, in- terrompu par les mouvements intentionnels. Les
réflexes
étaient conservés, sensibilité et motilité inta
les centres et où il se décharge en partie sous forme de mouvements
réflexes
, par exemple. Je ne me suis donc pas borné à mo
des hémi- plégies de cause centrale. Elle était peu prononcée. Les
réflexes
étaient très forts, mais sans trépidation spina
assez fréquemment d'accès de rire ou de pleurer spasmodiques. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux membres supérieurs et
qu'on obtient avec des courants beaucoup plus intenses sont dus aux
réflexes
douloureux que ceux-ci provo- quent. J.-L. Pr
apidement l'atrophie musculaire. Le troisième cas est une paralysie
réflexe
des muscles court fléchisseur, opposant et long
ts intentionnels avec conservation des mouvements automa- tiques et
réflexes
des yeux. M. Friedel PicK (de Prague). -J'ai ci
DE Montpellier. (Service du professeur MURET.) Recherches sur le
réflexe
plantaire dans la paralysie générale ; AI;DIN
e exploration fondamentale, la re- cherche minutieuse de l'état des
réflexes
. On reconnaît donc implicitement à ceux-ci, mal
vue de la recherche des processus pathologiques. Qu'il s'agisse des
réflexes
tendi- neux, qu'il s'agisse des réflexes cutané
giques. Qu'il s'agisse des réflexes tendi- neux, qu'il s'agisse des
réflexes
cutanés, les études faites à ce sujet sont enco
a révélés, nous avons eu l'idée d'étudier plus particulièrement les
réflexes
dans la paralysie générale, en limitant nos rec
dans la paralysie générale, en limitant nos recherches à l'étude du
réflexe
plantaire et des rapports qu'il peut pré- sente
du réflexe plantaire et des rapports qu'il peut pré- senter avec le
réflexe
rotulien. Notre prétention n'est pas de faire l
le fait le plus fréquent est la permanence et non l'abolition des
réflexes
tendineux. Deux ans après, paraît en Angleterre
ns laquelle Beatley établit que les variétés qui existent dans le
réflexe
patellairc chez les paralytiques généraux, sont e
Deuxième type. Paralysie avec sclérose latérale de la moelle : les
réflexes
sont exagérés; Troisième type. Forme cérébrale
type. Forme cérébrale : les cordons de la moelle sont intacts, les
réflexes
rotuliens nor- maux ou légèrement affaiblis.
ttérature médicale, l'on ne trouve rien de bien particulier sur les
réflexes
cutanés et en parti- ' Seppilli. I reflessi lcm
2 Beatley. General paralysies of the insane. li. G5, avril 18Sj).
RÉFLEXE
PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 451 culie
. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 451 culier sur le
réflexe
plantaire dans la paralysie générale. Dans sa t
inaugurale, Bettencourt-Itodrigues ' soutient que l'exagération des
réflexes
tendineux coïncide souvent avec une abolition c
réflexes tendineux coïncide souvent avec une abolition complète des
réflexes
cutanés et spéciale- ment du réflexe plantaire.
ec une abolition complète des réflexes cutanés et spéciale- ment du
réflexe
plantaire. , Quelques années plus tard, Renaud
s toutes différentes. Il admet que, dans la paralysie générale, les
réflexes
tendineux sont exagérés dans la plupart des cas
tendineux sont exagérés dans la plupart des cas ; l'exagération des
réflexes
qui est la règle au début de l'affection, peut
l'affection, peut faire place, dans certains cas à l'abolition des
réflexes
au sur et à mesure que l'af- fection progresse
on des réflexes au sur et à mesure que l'af- fection progresse ; le
réflexe
cutané plantaire est altéré dans les deux tiers
tération consiste aussi souvent en exagération qu'en abolition ; le
réflexe
plantaire s'exagère surtout chez les paralytiqu
t Betleu- court, il n'existe aucun rapport entre l'exagération du
réflexe
rotulien et une allure particulière du réflexe cu
tre l'exagération du réflexe rotulien et une allure particulière du
réflexe
cutané plantaire. Ces. Aâostini 3 dit que dan
e période de la paralysie générale, il y a défaut ou diminution des
réflexes
cutanés, sauf le réflexe plantaire qui est exag
générale, il y a défaut ou diminution des réflexes cutanés, sauf le
réflexe
plantaire qui est exagéré, et accen- tuation de
s, sauf le réflexe plantaire qui est exagéré, et accen- tuation des
réflexes
tendineux. Dans la deuxième période le réflexe
ccen- tuation des réflexes tendineux. Dans la deuxième période le
réflexe
s'exagère encore. III. Par ce rapide historique
années, entre en ligne la connais- sance d'une perturbation dans le
réflexe
cutané plantaire, ou plutôt d'une modification
cutané plantaire, ou plutôt d'une modification dans la forme de ce
réflexe
, dans certains états pathologiques, signalée po
Congrès de 1 l3ettenc : ourt-liodrigues. Contribution à l'élude des
réflexes
dans la paralysie générale des aliénés. Thèse d
e générale des aliénés. Thèse de Paris, 1880. y Itenaiul. Elude des
réflexes
dans la paralysie générale el recherches statis
elte affection. Thèse de Paris, 1S93. 3 Ces. Agostmi. Etude sur les
réflexes
superficiels et profonds comme aide au diagnost
». Depuis lors, quelques recherches ont été faites concernant le
réflexe
plantaire dans les différentes affections du syst
l a examinés, se trouvent six paralytiques généraux ; chez tous, le
réflexe
plantaire est normal, ou, pour mieux dire, il y
Babinski a publié un cas de paralysie générale avec suppression des
réflexes
tendineux et phénomène des .orteils. Et Cestan
faisceau moteur volontaire, qui aurait sans lui passé inaperçu, les
réflexes
tendineux étant supprimés ». On conçoit donc qu
nc qu'j, non seulement l'on doive s'attacher à rechercher l'état du
réflexe
plantaire dans la paralysie générale, mais qu'i
x dans cette maladie. Pour mieux mettre en relief les caractères du
réflexe
cutané plantaire sous ses différentes formes da
la paralysie générale, nous décrirons en quelques mots ce qu'est ce
réflexe
à l'état normal. L'excitation de la plante de
de la plante du pied. Dans certains 1 Gazette des hôpitaux, 1900.
RÉFLEXE
PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. li53 cas
a face plantaire (Babinski). C'est cette modalité pathologique du
réflexe
plantaire que Babinski désigne sous le nom de (
une cause d'erreur dans l'interprétation des différentes formes du
réflexe
plan- taire. C'est ainsi que nous avons laissé
peut apporter non seulement une perturbation dans l'inten- sité du
réflexe
plantaire, mais aussi un trouble dans la forme
la piqûre d'épingle. Dans les mêmes séances, on examinait l'état du
réflexe
rotulien. Le tableau ci-après résume les résult
oit une diminution, soit l'état normal, ou enfin une abolition du
réflexe
rotulien ou du réflexe plantaire. RÉFLEXE PLANT
oit l'état normal, ou enfin une abolition du réflexe rotulien ou du
réflexe
plantaire. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE
enfin une abolition du réflexe rotulien ou du réflexe plantaire.
RÉFLEXE
PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 459 A. En
IRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 459 A. En ce qui concerne l'état du
réflexe
plantaire : 1° Dans la paralysie générale, le r
rne l'état du réflexe plantaire : 1° Dans la paralysie générale, le
réflexe
plantaire serait plus souvent diminué qu'exagér
nt aboli ; ° En outre, dans un certain nombre de cas spéciaux, le
réflexe
subirait une perturbation rappelant celle désigné
binski. B. Si nous étudions maintenant comparativement l'état du
réflexe
plantaire et du réflexe rotulien, et. si nous che
udions maintenant comparativement l'état du réflexe plantaire et du
réflexe
rotulien, et. si nous cherchons à établir un ra
ien, et. si nous cherchons à établir un rapport entre l'état de ces
réflexes
et la période évolutive il laquelle est parvenu
part, nous voyons que : 1° a). Il n'existe aucun rapport entre le
réflexe
plantaire et le réflexe rotulien dans la paraly
1° a). Il n'existe aucun rapport entre le réflexe plantaire et le
réflexe
rotulien dans la paralysie générale vraie. b).
lation assez constante entre l'état du réllexe rotulien et celui du
réflexe
plantaire. Nous avons observé, en effet, dans c
observé, en effet, dans ce cas, la concomitance de l'exagération du
réflexe
rotulien avec un mouvement d'extension des orte
la période d'évolution de la maladie et une allure particulière du
réflexe
cutané plantaire', nous pouvons cependant dire
mal, tantôt diminué, tantôt aboli, tantôt exagéré. L'exagération du
réflexe
se rencontre : ait beaucoup plus 460 CLINIQUE N
fois diminué, 3 fois normal). b). Que, dans la deuxième période, le
réflexe
plantaire ne s'est jamais trouvé exagéré. Il a
; 3° On ne peut établir une relation quelconque entre l'état des
réflexes
soit rotulien, soit plantaire, et la nature de la
sée syphilitique, nous avons observé une modalité parti- culière du
réflexe
plantaire rappelant le signe de Babinski et déc
le pied du côté opposé présentant alors une simple dimi- nution du
réflexe
plantaire. c). Le septième malade, tout à fait
ébropathie syphilitique, ne nous a présenté que de la diminution du
réflexe
cutané plantaire, sans aucune pertur- bation, m
, sans aucune pertur- bation, mais coïncidant avec l'exagération du
réflexe
rotu- lien. 5° Enfin, nous avons rencontré l'
médullaire quelconque. Le signe de Babinski avec l'exagération des
réflexes
rotuliens, venait cependant révéler A propos DE
connaît les remar- quables travaux du professeur de Berlin sur les
réflexes
tendineux t Voir Archives de Xelll'ologie, nos
ence DE M. Minor (de Moscou). Résumé du rapport sur La nature des
réflexes
tendineux ; par le professeur E. JEKDRASSIE (de
tendineux ; par le professeur E. JEKDRASSIE (de Budapest). 1° Les
réflexes
tendineux sont de vrais mouvements réflexes, do
E (de Budapest). 1° Les réflexes tendineux sont de vrais mouvements
réflexes
, dont la voie mène directement à travers la sub
xième et quatrième racines lombaires. 2° Le réllexe rotulien et les
réflexes
tendineux en général sont le résultat d'une exc
u muscle par une vibration du tendon. 3° Le réllexe rotulien et les
réflexes
tendineux en général ne peuvent être identifiés
ux en général ne peuvent être identifiés avec les autres mouvements
réflexes
; les réflexes cutanés ordinaires sont des réfl
peuvent être identifiés avec les autres mouvements réflexes ; les
réflexes
cutanés ordinaires sont des réflexes dont l'arc r
tres mouvements réflexes ; les réflexes cutanés ordinaires sont des
réflexes
dont l'arc remonte jusqu'au cerveau, probableme
u cerveau, probablement jusqu'à l'écorce, tandis que les mouvements
réflexes
qu'on observe chez les paraplégiques myéli- tiq
dorsale du pied, rarement une autre forme de mouvement, sont des
réflexes
pathologiques résultant d'une sorte de débordemen
es supérieurs. 4° Le tonus musculaire a une large influence sur les
réflexes
ten- dineux ; s'il est augmenté, le réflexe est
arge influence sur les réflexes ten- dineux ; s'il est augmenté, le
réflexe
est plus vif; l'abaissement du tonus peut même
e réflexe est plus vif; l'abaissement du tonus peut même abolir ces
réflexes
. 5° L'abolition des réflexes patellaires dans l
sement du tonus peut même abolir ces réflexes. 5° L'abolition des
réflexes
patellaires dans le tabes n'est pas suf- fisamm
e abolition. 0° D'après les observations actuelles, l'abolition des
réflexes
ten- dineux, en cas de maladie du cerveau, est
x ou par une lésion secondaire de la moelle. . 7° L'abolition des
réflexes
tendineux en cas de maladie du cer- velet n'est
ECINE. affection, dans laquelle, au contraire, l'exagération de ces
réflexes
est la règle. Aussi semble-t-il bien probable q
utive ou il des contractures rigides des muscles. 8° La perte des
réflexes
patellaires n'est nullement une preuve d'une di
sale totale des éléments nerveux de la moelle. 9° L'abolition des
réflexes
patellaires dans les lésions trauma- tiques de
roubles vasomoteurs, atrophie musculaire, etc. Donc l'abolition des
réflexes
rotuliens est un symptôme de mauvais augure, ex
ais augure, excepté les cas possibles mais rares où la perte de ces
réflexes
est causée par shock nerveux. 10° L'examen des
erte de ces réflexes est causée par shock nerveux. 10° L'examen des
réflexes
rotuliens n'est pas toujours facile à faire dan
t pas rare qu'on réussisse à provoquer par des moyens appropriés ce
réflexe
dans des cas où il semblait absent, même avec d
même avec des essais réitérés. Résumé du rapport sur la Nature des
réflexes
tendineux; par le professeur Shehrington (Liver
ous ce nom deux espèces différentes de phéno- mènes : 1° De vrais
réflexes
spinaux et spino-cérébraux partis des ten- dons
prié d'excitation est probablement une tension mécanique. Les vrais
réflexes
tendineux n'ont pas autant d'importance en clin
t pas essentiel à ce phénomène. On voit que ce ne sont pas de vrais
réflexes
à ce que le temps de latence de la réac- SECTIO
ousse » se produise que le tonus spi- nal du muscle subsiste. L'arc
réflexe
dont dépend le tonus spinal du muscle est compo
et des neurones moteurs innervant ce muscle. L'activité de cet arc
réflexe
peut être exaltée ou inhibée par l'activité de
à un certain degré d'inhibition des muscles extenseurs du genou. Le
réflexe
spinal le plus facile à obtenir dans les membre
hi- bition de la « secousse du genou » est d'exciter le mouvement
réflexe
du membre postérieur dans une portion du membre p
ommunications diverses. Etui actuel de la question des rapports des
réflexes
palelluires après la section transversale et to
aralysie qui demeure station- naire, accompagnée par l'abolition du
réflexe
patellaire ; 2° d'autre part, les cas observés
as observés avec exactitude au point de vue du phéno- mène de l'arc
réflexe
patellaire périphérique n'ont pas donné jus- qu
t un bagage anatomique suffisant pour expliquer l'abo- lition de ce
réflexe
; 3° on observe encore la lésion transversale c
° on observe encore la lésion transversale complète et l'absence du
réflexe
dans les affections aiguës, eu par- ticulier le
la section transversale lisse supra- lombaire entraîne la perte du
réflexe
patellaire, souvent pendant des semaines. 11 ap
accusé qu'auparavant. Au contraire, chez le chien et le lapin, le
réflexe
, dès le début, est exagéré. 11 semble que chez
lexe, dès le début, est exagéré. 11 semble que chez les animaux les
réflexes
dépendent en grande partie des influx cérébraux
que chez l'homme ils ne peuvent même pas exister sans ces influx.
Réflexes
cutanés et réflexes tendineux; par Van Gehuchten
ne peuvent même pas exister sans ces influx. Réflexes cutanés et
réflexes
tendineux; par Van Gehuchten (de Louvain). De
liniques exposés, V. G... fait ressortir l'indépendance absolue des
réflexes
cutanés vis-à-vis des réflexes tendineux : les
ressortir l'indépendance absolue des réflexes cutanés vis-à-vis des
réflexes
tendineux : les réflexes teudineux peuvent être
absolue des réflexes cutanés vis-à-vis des réflexes tendineux : les
réflexes
teudineux peuvent être abolis alors que les réfle
endineux : les réflexes teudineux peuvent être abolis alors que les
réflexes
cuta- nés persistent avec leurs caractères norm
s réflexes cuta- nés persistent avec leurs caractères normaux ; les
réflexes
cutanés peuvent être abolis alors que tous les
rmaux ; les réflexes cutanés peuvent être abolis alors que tous les
réflexes
tendineux sont exa- gérés. - V. G... expose ses
ions sur les conditions anatomiques nécessaires à la production des
réflexes
cutanés ou tendineux et ses recherches nouvelle
ouvelles qui le portent à considérer le noyau rouge comme un centre
réflexe
important. Il montre que les centres nerveux su
ats que l'on observe l'exagération des SECTION DE neurologie. 499
réflexes
tendineux et l'abolition des réflexes cutanés. Le
SECTION DE neurologie. 499 réflexes tendineux et l'abolition des
réflexes
cutanés. Les réflexes cutanés seraient liés à l
ie. 499 réflexes tendineux et l'abolition des réflexes cutanés. Les
réflexes
cutanés seraient liés à l'intégrité de la voie
tanés seraient liés à l'intégrité de la voie cortico-spinale et les
réflexes
tendineux ci l'intégrité de la voie rubro-spinale
Les seconds seraient d'origine mésen- céphalique. De l'étude des
réflexes
cutunés et tendineux découle une autre conséque
sion des fibres cortico-spinales entraîne l'aboli- tion complète du
réflexe
abdominal et du réflexe crémastérien ; pour le
spinales entraîne l'aboli- tion complète du réflexe abdominal et du
réflexe
crémastérien ; pour le réflexe plantaire il n'e
complète du réflexe abdominal et du réflexe crémastérien ; pour le
réflexe
plantaire il n'en est pas ainsi : le frôlement de
rteil. V. G... ne voit pas là, avec Babinski, une perturba- lion du
réflexe
plantaire normal; pour lui, le réflexe plantaire
inski, une perturba- lion du réflexe plantaire normal; pour lui, le
réflexe
plantaire a disparu comme le réflexe crémastéri
plantaire normal; pour lui, le réflexe plantaire a disparu comme le
réflexe
crémastérien et l'abdominal, le phéno- mène des
réflexe crémastérien et l'abdominal, le phéno- mène des oileils ou
réflexe
de Babinski est quelque chose de tout à fait no
st quelque chose de tout à fait nouveau; c'est incontestablement un
réflexe
cutané, mais ce n'est pas un réflexe plantaire;
au; c'est incontestablement un réflexe cutané, mais ce n'est pas un
réflexe
plantaire; il ne se produit pas exclusivement par
tion de la plante du pied; il est un phénomène témoin de l'activité
réflexe
exagérée du tronçon inférieur de la moelle lésée.
nférieur de la moelle lésée. Mais cette exagération dans l'activité
réflexe
de la moelle ne s'ap- plique pas aux réflexes p
ration dans l'activité réflexe de la moelle ne s'ap- plique pas aux
réflexes
physiologiques ; elle donne naissance à des réf
plique pas aux réflexes physiologiques ; elle donne naissance à des
réflexes
nouveaux, de nature pathologique. ' Discussion.
iceps ou de son nerf est suivie régulièrement d'une augmentation du
réflexe
rotulien. Le même effet, quoiqu'à un degré moin
il en est ainsi, il sera permis de considérer cette augmentation du
réflexe
non pas comme un effet purement fonctionnel, ma
e caractéristique des divers états de conscience sur l'intensité du
réflexe
patellaire. Par exemple, on observe une exagéra
u réflexe patellaire. Par exemple, on observe une exagération de ce
réflexe
avec tendance au clonus 500 congrès internation
ence de la tristesse. Or, ces différents changements d'intensité du
réflexe
sont tou- jours parallèles à des variations dan
èles à des variations dans le tonus des muscles. Dans les cas où le
réflexe
était fort, le tonus des extenseurs l'était pro-
nseurs l'était pro- portionnellement. Dans les cas de diminution du
réflexe
, il s'agis- sait, soit simplement d'uue diminut
animaux et qui montrent aussi bien que celles-ci la dépendance 'des
réflexes
tendineux du tonus des différents groupes de musc
Bruns a insisté avec tant de raison. M. Bruns (de Hanovre). - Les
réflexes
cutanés son ! en général, même à l'état normal,
anormaux. Dans un cas de paraplégie spastique avec exagération des
réflexes
tendineux, j'ai trouvé un ' type de flexion évi
éflexes tendineux, j'ai trouvé un ' type de flexion évident pour le
réflexe
plantaire. M. Jendrassik (de Budapest). - J'ai
longueur de celte période tient à la différence de localisation des
réflexes
qui vient d'être brillamment soutenue par M. va
lamment soutenue par M. van Gehuchten. On croyait le temps perdu du
réflexe
patellaire trop court, parce qu'on considérait
perdu du réflexe patellaire trop court, parce qu'on considérait les
réflexes
cutanés comme des réflexes spinaux et on était
trop court, parce qu'on considérait les réflexes cutanés comme des
réflexes
spinaux et on était d'avis que le temps de réac
es réflexes spinaux et on était d'avis que le temps de réaction des
réflexes
cutanés est le temps perdu le plus court des ré
réaction des réflexes cutanés est le temps perdu le plus court des
réflexes
. M. van Gehuchten (de Louvain). Je crois que M.
Bruns n'a pas compris exactement ma pensée. Je n'ai pas dit que le
réflexe
de Babinski n'était pas un réflexe cutané. Mais
a pensée. Je n'ai pas dit que le réflexe de Babinski n'était pas un
réflexe
cutané. Mais, je crois que ce n'est pas un réfl
i n'était pas un réflexe cutané. Mais, je crois que ce n'est pas un
réflexe
plantaire, et cela parce que ce réflexe peut surv
e crois que ce n'est pas un réflexe plantaire, et cela parce que ce
réflexe
peut survenir non pas seulement à la suite de l
squels le moindre attouche- ment de la peau est suivi de mouvements
réflexes
étendus aux deux membres inférieurs, et il rapp
vité médullaire était abolie. Celle abolition ne se rapporte qn'aux
réflexes
physiologiques, aux réflexes normaux : l'abdo-
Celle abolition ne se rapporte qn'aux réflexes physiologiques, aux
réflexes
normaux : l'abdo- minal, le crémastérien, le pl
l, le crémastérien, le plantaire, le rotulien, l'achillen, etc. Ces
réflexes
normaux sont abolis. Le tronçon inférieur de la
C'est cette réflectivité anormale qui est exagérée. Ces mouvements
réflexes
anormaux ne sont pas liés à une irritation nett
urface cutanée des membres inférieurs. Ce sont en quelque sorte des
réflexes
défensifs analogues aux réflexes classiques de
eurs. Ce sont en quelque sorte des réflexes défensifs analogues aux
réflexes
classiques de la grenouille déca- pitée. M. I
sion d'observer la diminution et ensuite l'abolition successive des
réflexes
tendineux et cutanés. Dans l'ordre chrono- logi
éflexes tendineux et cutanés. Dans l'ordre chrono- logique c'est le
réflexe
crémastérien qui a disparu, ensuite le réflexe
- logique c'est le réflexe crémastérien qui a disparu, ensuite le
réflexe
abdominal. Cependant le réflexe plantaire reste e
mastérien qui a disparu, ensuite le réflexe abdominal. Cependant le
réflexe
plantaire reste encore trek vif. Le réflexe ten
abdominal. Cependant le réflexe plantaire reste encore trek vif. Le
réflexe
tendineux rotulien s'affaiblit à son tour et fini
pidation spinale du pied s'éteint également quelque temps après. Le
réflexe
cutané plantaire s'affaiblit à son tour. Après
faible contraction du fascia lata persiste. Ce dernier ves- tige du
réflexe
cutané finira aussi probablement par disparaître.
ène de Brissaud doit être considéré comme le minimum de réaction du
réflexe
cutané plantaire. Du réflexe i léo-molcur de la
déré comme le minimum de réaction du réflexe cutané plantaire. Du
réflexe
i léo-molcur de la pupille; par le DI' NO1;111\0\
par des signes caractéristiques (signe de Hobertson, abolition des
réflexes
rotuliens, des réflexes des tendons d'Achille,
istiques (signe de Hobertson, abolition des réflexes rotuliens, des
réflexes
des tendons d'Achille, douleurs fulgurantes, ph
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXV. De la valeur des
réflexes
des orteils; par M. Coiin. Obser- vations sur l
leur des réflexes des orteils; par M. Coiin. Obser- vations sur les
réflexes
des orteils ; par L. Schueler. (.\'emv- logisch
ment le pied de 1 individu en observation afin d'éviter toute autre
réflexe
. Il trouve que chez la plupart des gens normaux
e d'altération des cordons latéraux. M. Schuler a trouvé la flexion
réflexe
des orteils chez 80 p. 100 des hommes et des fe
. 100 il y eut extension évidente et en 40 p. 100 il n'y eut pas de
réflexe
du tout. L'extension, qui parait manquer, comme
réflexe du tout. L'extension, qui parait manquer, comme tout autre
réflexe
des orteils, dans les névro- pallies fonctionne
chatouillement qui, cliez un individu sain, ne provoquerait aucun
réflexe
. 11 faut par une recherche prudente aniver à déte
flexe. 11 faut par une recherche prudente aniver à déterminer si le
réflexe
de Babinski peut collaborer, de concert avec d'au
ité dans le domaine de la ceinture scapulaire, des reins, des bras;
réflexes
tendineux un peu exagérés dans les extrémités i
nou révèle comme l'aiguille de la balance, des excursions égales du
réflexe
. Quand le plateau de la tonicité l'emporte, il
axique du mouvement. Mais le phénomène du genou est, comme tous les
réflexes
tendineux, constitué par deux facteurs. Un fact
Un facteur physique : c'est la forme du mouvement produit par le
réflexe
. La transmission du réflexe dépend de l'intégri
la forme du mouvement produit par le réflexe. La transmission du
réflexe
dépend de l'intégrité de la voie réflexe; le ge
lexe. La transmission du réflexe dépend de l'intégrité de la voie
réflexe
; le genre du mouvement réflexe dépend de la tensi
exe dépend de l'intégrité de la voie réflexe; le genre du mouvement
réflexe
dépend de la tension de l'appareil musculo-tend
t une tonicité musculaire exagérée, un coup très faible provoque un
réflexe
très fort. Chez l'homme dont l'arc réflexe est
très faible provoque un réflexe très fort. Chez l'homme dont l'arc
réflexe
est altéré ou qui possède une tension musculair
usculaire amoindrie, un coup très fort n'engendre pas le plus petit
réflexe
. Donc : la grandeur des phénomènes tendineux es
a exercé une action élective spéciale. P. KERAVAL. XXXIV. Sur un
réflexe
particulier de la paume de la main ; par Fla'.
n ; par Fla'. Holzinger (Obozrenie psichialrii, III, n° 6, 1898.)
Réflexe
de l'éminence hypothénar. Voyez in Neurologische
épidation a existé sans signe de Babinsky 4 fois. L'exagération des
réflexes
, la trépidation épileptoïde, le signe de Babins
atteinte deux ou trois ans après guérison de la fièvre typhoïde.
Réflexe
plantaire dans la paralysie générale. MM. A. DELT
Bouvière (de Montpellier). - Il n'existe pas de rapport entre les
réflexes
plantaire et rotulien dans la paralysie générale
erches sur le phénomène des' orteils dans la paralysie générale. Ce
réflexe
serait souvent le seul indice de lésions pyrami
s, il y a immobilité abso- lue pendant toute l'attaque et retour du
réflexe
un certain temps après la fin de la crise; dans
e seconde catégorie : immobilité au début de l'attaque et retour du
réflexe
après un certain temps, mais avant la fin de la
cientifiques. Dubois (Ch.). - De l'action des anesthésiques sur les
réflexes
gan- glionnaires. - In-8° de 42 pages. - Lille,
n, par Jotl'i-oy et Gombault, 252 - infantile, par Toulouse, 320.
Réflexe
plantaire dans la -, par AnI III - Dell ell et
la paralysie de l'oculomoteur commun dans la - , par Kaplan, 519.
Réflexe
plantaire daus la -, par Delteil et Bouvière,
. IIEGhLI\GI1,IUSt : \. Maladie de -, par Henoll et Dufour, 67.
Réflexe
. Exagération des tendi- neux, par van Gehuchten
es testicules sont gros comme deux noisettes, mais bien conformés. Le
réflexe
crémastérien existe des deux côtés, les érectio
es réllexes tendineux et cutanés n'a relevé aucun fait anormal. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont normaux, les réfle
ait anormal. Les réflexes rotuliens et achilléens sont normaux, les
réflexes
cutanés plantaires aussi. Il existe pourtant un
utres glandes à sécrétion interne aient été influencées d'une façon
réflexe
ou secondaire. Dans l'état infantille de Michel
abolis, de telle façon que l'on pourrait penser plutôt à un trouble
réflexe
qu'à une altération directe des glandes génitales
on regarde de profil, on distingue uneensellure très marquée. Les
réflexes
patellaires sont exagérés; on obtient aussi le cl
. Notons encore que les organes génitaux sont bien développés et le
réflexe
crémas- térien est vif. La peau ne présente r
entent pas de changements notables. Le pouls = 80 par minute. Les
réflexes
tendineux sont vifs. Li possède une musculature
êmes vertèbres. La malade ne peut pas se lever sans être aidée. Les
réflexes
patellaires sont exagérés des deux côtés. Trépi
sont exagérés des deux côtés. Trépitation épileptoïde du genou. Le
réflexe
du tendon d'Achille est normal. La sensibilité
mbe pas ' inerte quandon le soulève(tonus musculaire conservé). Les
réflexes
rotuliens , et du tendon d'Achille sont vifs. L
vé). Les réflexes rotuliens , et du tendon d'Achille sont vifs. Les
réflexes
plantaires sont normaux. De profondes piqûres n
excepté les muscles fléchisseurs de la hanche (forte douleur). Les
réflexes
patellaires sont faibles des deux côtés. Le réfle
douleur). Les réflexes patellaires sont faibles des deux côtés. Le
réflexe
du tendon d'A- chille est faible du côté gauche
té gauche, il est vif du côté droit. Le plantaire est nor- mal. Les
réflexes
abdominaux sont faibles. La sensibilité est conse
os orteil du pied droit a une tendance à se placer en extension. Le
réflexe
du tendon d'Achille droit 52 FLATAU est plus
Le réflexe du tendon d'Achille droit 52 FLATAU est plus vif. Les
réflexes
plantaires sont très faibles. Les abdominaux des
Membres inférieurs atrophiés surtout dans la région des fesses. Les
réflexes
tendineux sont conservés assez vifs, les plan-
lan- taires sont normaux. On ne peut pas obtenir les abdominaux. Le
réflexe
cré- mastérien est conservé. La sensibilié est
rfs crâniens et aux membres, on n'y trouve pas de change- ments. Le
réflexe
du tendon d'Achille gauche est faible, le droit v
tes régions de l'abdomen (de même que des douleurs en ceinture). Le
réflexe
du tendon d'Achille droit était plus vif que le
la moelle épinière même, on ne les a pas notés. Il est vrai que le
réflexe
du tendon d'Achille droit était plus vif et l'abd
toïde du pied droit (à gauche quel- ques mouvements classiques). Le
réflexe
plantaire a une tendance à mettre les orteils e
niens normaux. Les membres supérieurs fonctionnent normalement. Les
réflexes
du muscle triceps et périostal, normaux des deu
a douleur plus forte du côté droit explique ce mouvement affaibli).
Réflexes
abdominaux droits abolis, gauches faibles. Les
affaibli). Réflexes abdominaux droits abolis, gauches faibles. Les
réflexes
patellaires des deux côtés sont très vifs, de m
raide. La force muscu- laire des membres inférieurs est bonne. Les
réflexes
patellaires sont exagérés : un faible coup donn
rovoque des -mouvements classiques plus forts à droite qu'à gauche.
Réflexes
du tendon d'Achille très vifs ; droite, trépida
es du tendon d'Achille très vifs ; droite, trépidation épileptoïde.
Réflexe
plantaire indéfini. La sensibilité est conservée.
lle présentait l'affaiblissement du membre supérieur droit, de vifs
réflexes
patellaires, une trépidation épileptoïde du côté
caliser dans la région entre les Ile et IVe vertèbres dorsales. Les
réflexes
patellaires étaient exagérés à tel point qu'une
e provoquait des mouvements cloniques de la jambe (du côté droit ce
réflexe
est surtout vif). Trépidation épilep- toïde du
aladie que la jambe droite était plus faible que la gauche, que les
réflexes
tendineux aux membres inférieurs étaient exagérés
laire des jambes est normale. Pas d'ataxie. Pas d'atrophie visible.
Réflexes
périustaux bien faibles de même que les réflexe
'atrophie visible. Réflexes périustaux bien faibles de même que les
réflexes
patellaires. Les réflexes du tendon d'Achille t
périustaux bien faibles de même que les réflexes patellaires. Les
réflexes
du tendon d'Achille très faibles. Les plantaires
n d'Achille très faibles. Les plantaires normaux. 17 septembre. Les
réflexes
patellaires très faibles. Le réflexe gauche du
es normaux. 17 septembre. Les réflexes patellaires très faibles. Le
réflexe
gauche du tendon d'Achille à peine marqué, le d
ectif sent mal les piqûres au bord externe du pied droit. 16. Les
réflexes
du tendon d'Achille abolis. Les patellaires faibl
sis il éprouve des douleurs dans la partie dorsale su- périeure. Le
réflexe
du tendon d'Achille gauche à peine marqué, le dro
Pas de changements dans les nerfs crâ- niens, ni dans les membres.
Réflexes
tendineux aux membres inférieurs, supérieurs fa
eurs, supérieurs faibles. On constate au cours de la maladie que le
réflexe
du tendon d'Achille droit disparaît (abdominaux
ng de la face postérieure de la cuisse, de la jambe et du pied; les
réflexes
du tendon d'Achille disparaissent des deux côtés
as eu d'escarre. La sensibilité est tout fait intacte. L'abolition du
réflexe
achilléen, l'affaiblissement du pied droit et d
jambe, la pareslhé- sie du bord externe du pied avec l'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille. Les symptômes radiculaires
s inférieurs aussi bien qu'au niveau du sa- crum et du périnée). Le
réflexe
patellaire droit est vif à la première excitation
t'épuisent déjà, et à la lin il n'apparaît plus. Du côté gauche ce
réflexe
est aboli (de temps en temps on voit une contract
li (de temps en temps on voit une contraction du vaste interne). Le
réflexe
du tendon d'Achille est très faible des deux côté
st très faible des deux côtés (à gauche il est plus faible). - Le
réflexe
lombaire, les réflexes abdominaux et crémastérien
x côtés (à gauche il est plus faible). - Le réflexe lombaire, les
réflexes
abdominaux et crémastériens sont con- servés.
ophiées et réagissent mal au courant électrique. L'hypotonicilé, le
réflexe
patellaire droit, faible, le gauche, aboli, le
t fai- bles. Les mouvements du pied et des orteils sont abolis. Les
réflexes
patel- laires, du tendon d'Achille et plantaire
et plantaire du côté droit sont conservés, du côté gauche, tous ces
réflexes
sont abolis. La sensibilité (tactile, douloureu
tention et incontinence des matières fécales, rétention de l'urine.
Réflexe
du sphincter anal aboli. Se basant sur le cou
ement de tout le membre inférieur gauche ainsi que l'aboli- tion du
réflexe
patellaire peut être attribué à l'affection de ra
it ainsi l'affaiblissement de tout le membre gauche, l'abolition du
réflexe
patellaire, le gonflement du membre et la pares
ne présentent rien de notable. Les membres supérieurs de même. Les
réflexes
tendineux et périostaux sont normaux. Membres i
e aux mouve- ments actifs est diminuée (à gauche plus qu'à droite).
Réflexes
patellaires un peu exagérés. Réflexes du tendon
(à gauche plus qu'à droite). Réflexes patellaires un peu exagérés.
Réflexes
du tendon d'Achille très vifs. Phénomène de Babin
xes abdominaux supérieurs sont faibles, les inférieurs abolis. ' Le
réflexe
crémastérien est conservé. Les organes internes
que le membre inférieur gauche se fléchit et s'étend malgré lui.
Réflexes
: le membre supérieur droit a les réflexes du tri
t et s'étend malgré lui. Réflexes : le membre supérieur droit a les
réflexes
du triceps et périos- tal très vifs, à gauche,
s- tal très vifs, à gauche, ces mouvements sont même cloniques. Les
réflexes
patel- laires des deux côtés très vifs (malgré
tel- laires des deux côtés très vifs (malgré les contractures). Les
réflexes
du tendon d'Achille sont abolis des deux côtés
lysie flasque avec troubles profonds des sphincters, avec perte des
réflexes
et de la sensibilité ; dans le second, une para
ns pu observer que longtemps il n'exis- tait que l 'exagération des
réflexes
tendineux des membres inférieurs, sans affaibli
, rétention des urines, paralysie, affaiblissement ou abolition des
réflexes
et enfin la mort quelques mois après l'opération
e cette femme, examen qui resta complètement négatif. Seulement les
réflexes
rotuliens étaient très affaiblis; mais ici il f
ette femme, et nous savons tous qu'il n'est pas rare de trouver les
réflexes
tendineux affaiblis chez les vieillards. Son
e aucune altération du système nerveux central ou périphérique. Les
réflexes
ten- dineux et cutanés sont normaux, rien au fo
es ten- dineux et cutanés sont normaux, rien au fond de l'oeil, les
réflexes
à la lumière et à l'accommodation sont bons,les
les mâ- choires avec force ; l'état des dents est très mauvais. Le
réflexe
massétérin existe et il est exagéré. Les peau
ion et de flexion du poignet sont encore conservés en partie. Les
réflexes
périostés et osseux-du poignet sont très vifs, le
tie. Les réflexes périostés et osseux-du poignet sont très vifs, le
réflexe
tendineux des fléchisseurs a disparu. Le réflex
sont très vifs, le réflexe tendineux des fléchisseurs a disparu. Le
réflexe
cubital au coude est affaibli. On ne peut relev
et d'extension de la jambe sur la cuisse sont très peu valides. Les
réflexes
rotuliens sont abolis, mais les ré%lexes osseux s
mouvement brusque d'adduction de la, cuisse ; de même il existe un
réflexe
con : ro-latéral des adducteurs, par le fait qu
ovoque un mouvement d'adduction dans la cuisse du côté opposé. Le
réflexe
achilléen est aboli. Le réflexe cutaué plantaire
dans la cuisse du côté opposé. Le réflexe achilléen est aboli. Le
réflexe
cutaué plantaire est absent. Tous les mouvement
use. Rigidité spasmodique aux membres inférieurs avec abolition des
réflexes
tendineux et exagération des réflexes osseux.
inférieurs avec abolition des réflexes tendineux et exagération des
réflexes
osseux. Atrophie musculaire énorme des quatre e
la sensibilité dans le territoire du trijumeau paraît normale. Le
réflexe
massétérin est très exagéré, le réflexe pharyngie
rijumeau paraît normale. Le réflexe massétérin est très exagéré, le
réflexe
pharyngien est absent, le voile du palais est u
TTI Les pupilles sont dilatées et ne réagissent pasà la lumière. Le
réflexe
à l'ac- commodation existe. Les réflexes corn
ssent pasà la lumière. Le réflexe à l'ac- commodation existe. Les
réflexes
cornéen et conjonctival sont encore présents. En
es mouvements du moignon de l'épaule est encore considérable. Les
réflexes
périostes et osseux du poignet sont très exagérés
es périostes et osseux du poignet sont très exagérés. Par coutre le
réflexe
des fléchisseurs est aboli. Le réflexe cubital
ès exagérés. Par coutre le réflexe des fléchisseurs est aboli. Le
réflexe
cubital au coude est absent. Nulle part l'on ne
extension des jambes sur les cuisses sont encore pos- sibles. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont abolis, mais' on not
s rotuliens et achilléens sont abolis, mais' on note la présence de
réflexes
osseux très vifs, que l'on peut provoquer en perc
on peut provoquer en percutant soit la. grande tubérosité du tibia (
réflexe
homolaléral et controlatéral des adducteurs),soit
dducteurs),soit encore en'percutant la malléole interne. , , : Le
réflexe
cutané plantaire est-aboli. La rigidité 'des me
lysie des mouvements conjugués des globes oculaires vers le haut. -
Réflexes
à la lumière et à l'accommodation parfaitement co
e trace de rigidité ni de contracture aux membres. - Diminution des
réflexes
tendineux. - Exagération des réflexes osseux. A
aux membres. - Diminution des réflexes tendineux. - Exagération des
réflexes
osseux. Atrophie musculaire débutant par les ma
le voile du palais et les piliers ont un fonctionnement normal. Le
réflexe
massétérin est vif. Le réflexe cornéal et le ré
ers ont un fonctionnement normal. Le réflexe massétérin est vif. Le
réflexe
cornéal et le réflexe pharyngien sont normaux.
ent normal. Le réflexe massétérin est vif. Le réflexe cornéal et le
réflexe
pharyngien sont normaux. L'attitude de la petit
sme divergent assez prononcé, les pupilles sont plutôt dilatées, le
réflexe
à la lu- mière est paresseux, le réflexe si l'a
s sont plutôt dilatées, le réflexe à la lu- mière est paresseux, le
réflexe
si l'accommodation est bien conservé. En examin
es globes oculaires en haut. La con- vergence est défectueuse. Le
réflexe
cornéal est présent, le réflexe conjonctival auss
con- vergence est défectueuse. Le réflexe cornéal est présent, le
réflexe
conjonctival aussi. Il n'y a pas trace de nysta
les piliers ne sont pas relâchés. Le réllexe pharyngien est vif. Le
réflexe
massétérin est très fort. La mastication est pa
ion et l'adduction du poignet, sont discrètement conservés. , Les
réflexes
périostés et osseux du poignet sont plutôt exagér
Les réflexes périostés et osseux du poignet sont plutôt exagérés. Le
réflexe
tendineux des fléchisseurs au contraire est aff
Le réflexe tendineux des fléchisseurs au contraire est affaibli, le
réflexe
cubital aussi est très diminué. On ne peut re
aiblie, de même que les mouvements d'abduction et d'adduction. Le
réflexe
rotulien est faible, le réflexe achilléen est com
ents d'abduction et d'adduction. Le réflexe rotulien est faible, le
réflexe
achilléen est complètement absent. Les réflexes
ulien est faible, le réflexe achilléen est complètement absent. Les
réflexes
osseux, tout en étant présents, sont de beaucoup
ts, sont de beaucoup moins accentués que chez les deux scenrs. Le
réflexe
cutané plantaire est absent. ' Il faut rétorque
le nystagmus, les paralysies oculaires et enfin l'exagéra- tion des
réflexes
profonds et la spasticité des membres. De l'aut
° Troubles de la réflectivité profonde avec exagération de certains
réflexes
osseux. Or tous ces symptômes que nous avons én
és, avec troubles trophiques, troubles vasomo- teurs, abolition des
réflexes
tendineux, déformation de la main en griffe et
es par du myosis, par le signe d'Argill-Robert- son, l'abolition du
réflexe
à l'accommodation, le nystagnus, sans toutefois
die il n'y a ni exagération du tonus musculaire, ni exagération des
réflexes
tendineux ; au contraire, dans cette amyotrophi
n des réflexes tendineux ; au contraire, dans cette amyotrophie les
réflexes
profonds auraient tendance à disparaître. Toute
disparaître. Toutefois, selon la statistique de P. Sainton (1), les
réflexes
tendineux seraient abolis seulement dans 50 0/0
ent dans 50 0/0 des cas, tandis que dans 10 0/0 des autres cas, les
réflexes
profonds seraient nettement exagérés. Dans quel
elques cas (Marinesco) on a assisté une diminution progres- sive du
réflexe
rotulien qui était peu de temps auparavant très e
et Rose (2), on pouvait constater une exagération manifeste tant du
réflexe
rotulien que du réflexe du tendon d'Achille ; nou
constater une exagération manifeste tant du réflexe rotulien que du
réflexe
du tendon d'Achille ; nous ferons remarquer enc
n provoquait une contraction des adducteurs du même côté. Enfin les
réflexes
olécraniens, ceux du poignet et le réflexe massé-
du même côté. Enfin les réflexes olécraniens, ceux du poignet et le
réflexe
massé- térins étaient exagérés. Cette- exagérat
- térins étaient exagérés. Cette- exagération manifeste de tous les
réflexes
profonds avait été considérée avec raison par l
ritiques par M. E. Levi (3), nous pouvons relever l'exagération des
réflexes
rotuliens dans deux cas sur quatre, c'est-à-dire
roisième cas de Levi, chez lequel on avait constaté l'abolition des
réflexes
rotuliens, on pouvait relever la présence du ré
abolition des réflexes rotuliens, on pouvait relever la présence du
réflexe
homolatéral des adducteurs : c'est-à- dire qu'e
du même côté. Eu résumé nous pouvons retenir que l'exagération des
réflexes
pro- fonds aux membres inférieurs, bien que rar
l. xxii 0 130 BERTOLOTTI on avait déjà signalé la présence d'un
réflexe
. homolaléral des adduc- teurs chez des amyolrop
ype Charcot-Marie qui présentaient pourtant l'abolition complète du
réflexe
du tendon rotulien. Il a là un point intéressan
- sisté en effet sur l'anomalie qui avait décelée l'exploration des
réflexes
profonds chez tous mes malades. J'ai démontré q
J'ai démontré que, en réalité, il y avait un antagonisme entre les
réflexes
tendineux et les réflexes osseux par ce fait qu
lité, il y avait un antagonisme entre les réflexes tendineux et les
réflexes
osseux par ce fait que les réflexes tendineux é
e les réflexes tendineux et les réflexes osseux par ce fait que les
réflexes
tendineux étaient abolis, tandis que les réflexes
r ce fait que les réflexes tendineux étaient abolis, tandis que les
réflexes
osseux étaient au contraire très exagérés. Co
contraire très exagérés. Comment peut s'expliquer l'exagération des
réflexes
osseux à côté de l'absence complète des réflexe
l'exagération des réflexes osseux à côté de l'absence complète des
réflexes
tendineux ? J'ai déjà abordé cette question en
mbreuses observations cliniques, était justement que en réalité les
réflexes
osseux peuvent per- sister encore dans quelques
réflexes osseux peuvent per- sister encore dans quelques cas où les
réflexes
tendineux sont complète- ment abolis (scléroses
fait,on démontrait l'existence d'un véritable antagonisme entre les
réflexes
tendineux et les autres réflexes profonds des m
un véritable antagonisme entre les réflexes tendineux et les autres
réflexes
profonds des membres inférieurs (réflexe homola
s tendineux et les autres réflexes profonds des membres inférieurs (
réflexe
homolatéral ou controlatéral des adducteurs), c
ne peut être expliqué que par l'existence d'une voie centripète des
réflexes
osseux différente de la voie suivie par les réf
centripète des réflexes osseux différente de la voie suivie par les
réflexes
tendineux. En nous basant sur la démonstration
ces faits, nous avons encore cherché à démontrer que le soi-disant
réflexe
controlatéral des adducteurs de P. Marie n'estp
exe controlatéral des adducteurs de P. Marie n'estpas absolument un
réflexe
tendineux, mais au contraire un véritable réfle
pas absolument un réflexe tendineux, mais au contraire un véritable
réflexe
profond osseux que l'on provoque, non pas par la
s membres inférieurs, il était encore possible de provoquer soit un
réflexe
homolatéral, soit un réflexe controlatéral des
t encore possible de provoquer soit un réflexe homolatéral, soit un
réflexe
controlatéral des adducteurs, voire même que dans
e dans un cas (deuxième observation) l'on pouvait provoquer lesdits
réflexes
par la percussion de la malléole interne. Ces
interne. Ces faits viennent donc confirmer une fois de plus que les
réflexes
(1) Bertolotti et VILOBRA, Elude sur quelques r
plus que les réflexes (1) Bertolotti et VILOBRA, Elude sur quelques
réflexes
osseux des membres inférieurs à l'état normal e
rieurs doivent suivre une voie centri- pète qui n'est pas celle des
réflexes
tendineux. Ce point important, étant posé, il e
. Ce point important, étant posé, il est logique d'admettre que les
réflexes
osseux des membres infé- rieurs peuvent avoir u
protubérantiels, les paralysies oculaires, l'exagération de certains
réflexes
(massétérin, olécranien), il est juste d'admett
re chez eux une altération du faisceau pyramidal. L'exagération des
réflexes
osseux que nous avons re- levée dans tous nos c
x. Pas de signe de Romberg. Léger tremblement des extrémités. Les
réflexes
patellaires sont exagérés des deux côtés; le réfl
trémités. Les réflexes patellaires sont exagérés des deux côtés; le
réflexe
cutané plan- taire est conservé à droite, dimin
xe cutané plan- taire est conservé à droite, diminué ii gauche. Les
réflexes
du poignet sont exagérés des deux côtés. · Le
st ordonné de nouveau. 28. Mêmes troubles mentaux et physiques. Les
réflexes
patellaires sont faibles. M. A. s'alimente mieu
n lui met dans la main droite ; le sens de position est normal. Les
réflexes
patellaires sont exa- gérés des deux côtés. Pas
le gros orteil reste immobile ? Pas d'inégalité pupillaire ; les
réflexes
pupillaires sont normaux. La force musculaire d
e. Les troubles paralytiques et trophiques sont très améliorés. Les
réflexes
patellaires sont encore exagérés ; la parole es
s du membre supérieur droit et la force musculaire sont normaux, Le
réflexe
patellaire est absenta gauche, faible à droite. L
té était légère- ment diminuée dans la moitié droite du corps ; les
réflexes
rotuliens étaient exagérés. L'auteur admet comm
sés. La jambe droite était hypotonique, la gauche hypertonique. Les
réflexes
patellaires étaient vifs, les achilléens abolis
moitié infé- rieure de l'abdomen, phénomène de Babinski bilatéral,
réflexes
patellaires vifs, tandis que les achilléens éta
ite diminué). Mais bientôt la paralysie a pris le type flasque avec
réflexes
patellaires vifs, phénomène de Ba- binski bilat
vec réflexes patellaires vifs, phénomène de Ba- binski bilatéral et
réflexes
du tendon d'Achille abolis. Sensation de froid et
- rieures lombo-sacrées sont dégénérées. C'est grâce à elles que le
réflexe
achilléen est aboli. Il faut supposer que ces l
sont bons. Les membres supérieurs sont complètement paralysés. Les
réflexes
du muscle tri- ceps sont faibles ; les périosta
ade se compare à « une pâte », elle reste sans aucun mouvement. Les
réflexes
abdominaux sont abolis. Les membres inférieurs
la même chose des articulations du cou-de-pied et des orteils. Les
réflexes
ten- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COL
ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 149 dineux sont conservés, normaux. Le
réflexe
plantaire est très faible (le plus souvent, fle
enoux et des mouvements à peine perceptibles des orteils droits. Le
réflexe
patellaire gauche est aboli, le droit est très
e réflexe patellaire gauche est aboli, le droit est très faible. Le
réflexe
achilléen est faible, le droit un peu plus vif, l
te reste immobile, raide. Membres supérieurs complètement paralysés
Réflexes
tendineux faibles, périostaux abolis. Le tronc re
reste immobile. Membres inférieurs presque complètement paralysés.
Réflexes
tendineux normalement vifs. Plantaire très faib
sculaire et la sensibilité sont intactes dans tous les membres. Les
réflexes
patellaires et achilléens sont très vifs. Léger
aires et achilléens sont très vifs. Léger clonus des deux pieds. Le
réflexe
plantaire est normal. Le réflexe abdominal gauc
s. Léger clonus des deux pieds. Le réflexe plantaire est normal. Le
réflexe
abdominal gauche est plus faible que le droit. Le
'observation on n'a pas noté de symptômes du côté de la moelle. Les
réflexes
tendineux étaient exagérés pathologiquement et
a hanche, ni dans celle du genou, du cou-de-pied, des orteils). Les
réflexes
patellaires sont faibles (le droit plus fort) ; l
vifs (le droit plus que le gauche). Phénomène de Babinski bilatéral.
Réflexe
cré- mastérien faible et lent. Réflexes abdomin
omène de Babinski bilatéral. Réflexe cré- mastérien faible et lent.
Réflexes
abdominaux faibles (l'épi et l'hypogastrique ga
rd'hui du sang dans l'urine (lavages de la vessie). 19 juin. - Le
réflexe
patellaire gauche est devenu plus faible. 27 ju
des doigts 166 FLATAU limités et faibles, surtout du côté gauche.
Réflexe
du muscle triceps vif bilaté- ralement ; périos
ais limités et faibles, surtout du côté droit. Sensibilité intacte.
Réflexes
patellaires vifs ; achilléens moyens ; plantaires
es, mais la malade peut quand même se redresser (avec de la peine).
Réflexes
abdominaux abolis. 26 août. Les douleurs du dos
articulation de la hanche, du genou, du cou-de-pied et des orteils.
Réflexes
patellaires et achilléens des deux côtés très vif
(paralysie flasque), les doigts fléchis légèrement. Mains froides.
Réflexes
du muscle triceps conservés, périostaux très fa
A gauche, ces faibles restes des mouvements n'existent presque pas.
Réflexes
patellaires assez vifs Trépidation épileptoide
Phénomène de Babinski des deux côtés (à gau- che il s'épuise vite).
Réflexes
abdominaux abolis. La sensibilité est conservée
es supérieurs très limités, et aux inférieurs également restreints.
Réflexes
tendineux des membres inférieurs plus vifs. Rét
des cas flasque et accompagnée d'affaiblissement ou d'abolition des
réflexes
tendineux. La paralysie envahit les membres inf
ussi la paralysie est du type flasque. Les phénomènes spastiques et
réflexes
exagérés n'apparaissent que dans les périodes du
artient à la vie végétale ; son action sur les muscles est purement
réflexe
et présente la forme la .plus classique du réfl
les est purement réflexe et présente la forme la .plus classique du
réflexe
; là est son rôle biologique, l'abolition de son i
patte de derrière de la grenouille amène l'augmentation notable du
réflexe
de préhension, la pression forte, au contraire,
nutrition des tissus. 3° La volonté est impuissante à modifier les
réflexes
tendineux : ils res- tent normaux dans la paral
un grand nombre de névropathes, il est très fréquent d'observer des
réflexes
rotuliens qui semblent exagérés : lorsqu'on percu
tian dllré- flexe, C'est là ce que Babinski a décrit sous le nom de
réflexe
tendineux illégitime. Nous-mêmes l'avons signal
ès caractéristique d'un état névropathique, sans autre épithète. Le
réflexe
achilléen, plus sûr, n'est jamais modifié dans l'
trépidation épileptoïde dupied et de la rotule, il en est comme du
réflexe
rotulien : il y a là vraie qui est symptomatique
ularités des secousses. 4' La volonté est impuissante à modifier le
réflexe
crémastérien ; il persiste dans l'hystérie. Il
ique, parce qu'elle est très complexe. Lorsque dans la recherche du
réflexe
plantaire, il y a extension du gros orteil, il s'
orteil de Babinski). Malheureuse- ment il. est trop fréquentque le
réflexe
so i t i IIdi IT éren t, c'est-à-d ire ne s'ac-
ture, par exemple : une contracture du pied, sans modifica- tion du
réflexe
rotulien ; une contracture des deux membres infér
ouleurs, le diagnostic, plus difficile,-se pose avec la contracture
réflexe
, secondaire à une lésion nerveuse, soit névrite
par les mou- vements transmis à la chemise, lorsqu'on recherche le
réflexe
rotulien et alors prend ordinairement le rythme
s'il y avait une fuite d'énergie sur le trajet des grandes réactions
réflexes
, une dérivation trop abondante vers l'idéation,
rieurs est plus marquée et elle s'accompagne d'adiadococinésie. Les
réflexes
tendineux sont forts ; la trépidation spinale e
est abaissée du même côté ; l'oeil droit est dévié en dedans ; les
réflexes
sont normaux. La strabisme, très net, apparut à d
me de la lordose lom- baire ; le tissu adipeux y est très abondant.
Réflexes
abdominaux normaux, ainsi que les organes de l'
sente des rides nombreuses ; les ongles sont normaux, Normaux les
réflexes
tendineux et périostes des extrémités supérieures
très bien musclées, grosses et le tissu adipeux y est abondant. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Les jambes sont légèr
le, ne présentent rien de remarquable. Les ongles sont normaux. Les
réflexes
plantaires superficiels et profonds et les achi
que dans le cas précédent; les organes abdominaux sont normaux. Les
réflexes
abdominaux sont très prompts. Bassin. La circ
es et elles ne présentent aucune anomalie dans leur longueur. Les
réflexes
tendineux et périnstaux des extrémités supérieure
les jambes sont un peu arquées avec convexité à l'extérieur. Les
réflexes
patellaires sont prompts bilatéralement; très vif
les achil- léens ; au pied on obtient quelques secousses cloniques.
Réflexes
plantaires superficiels très prompts ; les prof
t rougie ; voile du palais et amygdales rouges également. Normal le
réflexe
pharyngien. La langue est tirée droite de l'arc
percussion ; les organes abdominaux sont parfaitement normaux. Les
réflexes
abdominaux sont quelque peu vifs bilatéralement
cune anomalie dans la longueur des doigts. Peau des mains normale ;
réflexes
périostés et tendineux des extrémités supérieur
cis et larges, petits aussi les doigts et sans aucune anomalie. Les
réflexes
patellaires sont vifs bilatéralement, les achillé
à petits pas, pareille à une lacunaire, mais n'a jamais eu d'ictus.
Réflexes
rotuliens vifs, mais égaux des deux côtés. Phén
e. On ne remarque pas d'oscillations dans la position de Romberg.
Réflexes
. Prunelles égales, au contour un peu irrégulier.
égulier. Elles réagis- sent bien à la lumière et à l'accommodation.
Réflexe
cornéo-conjonctival fai- ble à gauche, très vif
nt apparus quelques troubles de la motilité, avec exa- gération des
réflexes
des membres inférieurs, et signe de Babinski bila
ieurs). Même chose en ce qui concerne la sensibilité thermique. Les
réflexes
patellaires sont très vifs des deux côtés. Les ac
partie inférieure de l'abdomen et dans les membres inférieurs. Les
réflexes
patellaires étaient très vifs. Contractions spo
uloureuse, thermique, musculaire et stéréognosique est normale. Les
réflexes
tendineux (du muscle triceps) et périostaux son
domen à deux ou trois travers de doigt au-dessus de l'ombilic). Les
réflexes
patellaires sont très vifs, les achilléens exag
. Le sens musculaire est conservé. Pas d'escarres ou d'oedèmes. Les
réflexes
abdominaux sont abolis.L'examen des pau- mons e
spontanées douloureuses aux membres inférieurs. La paralysie et les
réflexes
comme au début. L'urine s'élimine par petites qua
étendant les genoux et en exécutant la flexion dorsale des pieds. Les
réflexes
patellaires sont vifs ; les achilléens assez vi
t 326 C) FLATAU abolie (excepté au pied), à droite affaiblie. Les
réflexes
patellaires et achilléens étaient exagérés, phé
malement. La force musculaire des membres supérieurs est bonne. Les
réflexes
tendineux et périostaux sont normaux. Les deux
hanche gauche et dans les muscles fléchisseurs du genou gauche. Les
réflexes
patellaires sont très exagérés des deux côtés, à
es deux côtés, à gauche de temps en temps trépidation de la rotule.
Réflexes
achilléens très exagé- rés, trépidation épilept
de du pied des deux côtés. Phénomène de Babinski très prononcé. Les
réflexes
abdominaux épigas- traux sont assez vifs ; méso
ts sont dispa- rues. Hypertonicité dans les mouvements passifs. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés. Trépidation épile
de cette ligne à gauche (En arrière jusqu'à la crête iliaque). Les
réflexes
abdominaux supérieurs sont conservés, les autre
ou-de-pied (en même temps apparaît la trépidation épileptoïde). Les
réflexes
patellaires sont très exagérés (la percussion d
du pied provoque la contraction du muscle quadriceps).On obtient le
réflexe
de Babinski en excitant les 2/3 externes du dos
réflexe de Babinski en excitant les 2/3 externes du dos de pied. Le
réflexe
d'Oppenheim. Le réflexe abdominal supérieur droit
xcitant les 2/3 externes du dos de pied. Le réflexe d'Oppenheim. Le
réflexe
abdominal supérieur droit est conservé, le gauc
jambes sont étendues. Les phénomènes spastiques sont moindres. Les
réflexes
patellaires sont vifs. Le phénomène de Babinski
de l'urine avec anesthésie. La paraplégie est devenue fiasque.' Les
réflexes
patellaires sont faibles. Les achilléens sont'
spastique (tonus musculaire exagéré surtout dans la jambe gauche),
réflexes
tendineux exa- gérés, phénomène de Bahinski. L'
llements musculaires dans les jambes. Pas d'atrophie musculaire. Le
réflexe
patellaire est conservé. Le plantaire faible. Ton
és quoique faibles. Les nerfs périphériques ne sont pas douloureux.
Réflexes
des muscles triceps abolis. La colonne vertébra
à la lumière. Les nerfs crâniens, à part cela, sont normaux. Les
réflexes
abdominaux et crémastériens sont abolis. 13 jan
e. 16. Les douleurs des bras diminuent. Il ne peut pas marcher. Les
réflexes
patellaires sont conservés. 17. La vessie est
ment dilatée. La paralysie des membres inférieurs est complète. Les
réflexes
patellaires sont abolis. L'anesthésie sur le tron
inence de l'urine. Paralysie complète des jambes avec abolition des
réflexes
patellaires et anesthésie jusqu'à la IVe côte. Es
ause des douleurs comme elle dit). La sensibilité est intacte. Les'
réflexes
du muscle triceps sont vifs, les périostaux de mê
faciles qu'à gauche (il n'y a pas de douleurs tellement fortes). Les
réflexes
patellaires et achilléens sont très vifs. Le pl
La pression sur les troncs nerveux et les os est dou- loureuse. 1
Réflexes
abdominaux, très faibles. On a administré le tr
; le moindre mouvement ou faible toucher provoque des douleurs. Les
réflexes
sont assez vifs. Membres inférieurs. Quand el
la partie dorsale est douloureuse. La sensibilité est intacte. Les
réflexes
patellaires exagérés (le droit plus vif), les ach
gidité. Les mouvements dans d'autres articulations sont normaux. Le
réflexe
patellaire droit est plus vif que le gauche. Le
ie avec hémianesthésie étant produite par l'hypnose, on explore des
réflexes
: les .réflexes tendineux étaient égaux des deux
éflexes : les .réflexes tendineux étaient égaux des deux côtés, les
réflexes
cutanés étaient plus faibles du côté d'anesthésie
modique à la suite d'un*mal de Pott, sans atrophie, ni contracture.
Réflexes
rotuliens exagé- rés, avec absence du signe des
du côté opposé, l'ordre est exécuté avec une certaine hésitation.
Réflexes
. Vifs, tous les tendons supérieurs ; pour les rot
striques, la faiblesse dans les membres inférieurs, l'abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens,l'ataxie statiqueet dynam
dans le liquide céphalo-rachidien.' Je ne parle pas de l'absence du
réflexe
iridien à la lumière, et cela, à cause du décol
bsence du tremblement intentionnel et du nystagmus, l'abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens, et l'absence de ces trou
une fillette qui mourut au bout d'un mois. Pas de signe d'Ar4,yll ;
réflexes
normaux. Aucun signe de tuberculose. Rien au
quelques années, a montré qu'aucune épiphyse n'était soudée. Les
réflexes
, tendineux et cutanés,sont normaux ; il n'y a ni
fs assez symétriques jusqu'au IIIe espace inter- costal. Absence de
réflexes
abdominaux. Mouvements du membre supérieur droi
la normale du côté gauche, est toujours troublée du côté droit, Les
réflexes
tendineux ne se sont pas affaiblis après l'opér
ule et du pied des deux côtés et le phénomène de Babinski. Trace du
réflexe
abdominal gauche. Contractions spontanées des b
l'occiput. Les mouvements des membres supérieurs sont normaux. Les
réflexes
du muscle triceps sont conservés, les périostau
ire dans le membre droit est normale, un peu exagérée à gauche. Les
réflexes
patellaires sont vifs des deux côtés, le gauche
ras et surtout la main et les doigts gauches sont froids et cyanosés.
Réflexe
du muscle triceps faible de deux côtés (surtout
complètement paralysés. Tonicité musculaire notablement exagérée.
Réflexes
patellaires vifs (le gauche plus faible); achillé
Pouls accéléré (98-132). Le 29 juillet 1909, le malade présente des
réflexes
patellaires vifs (pendant deux semaines le gauc
is une ligne située un peu au-dessus des mamelons jusqu'en bas. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs étaient exagér
cas le caractère spastique. Elle s'accompagne d'une exagération des
réflexes
tendineux et de l'abolition 470 FLATAU , des
iers. On a noté pourtant des cas où il yaaituneitypotonie à côté de
réflexes
tendineux exagérés (Heilbronner). Dans d'autres,
épinière est lésée transversalement dans sa partie supérieure, les
réflexes
tendineux des membres inférieurs peuvent disparaî
sti- que ou nasique, les anesthésies du type médullaire, l'état des
réflexes
et des sphincters). Il faut se rappeler que les
inférieur présente une faible résistance aux mouvements passifs.
Réflexe
rotulien plus marqué à gauche qu'à droite. Pas de
vers le milieu, on observe quelquefois le symptôme de Babinski. Le
réflexe
bicipital de gau- cbe est vif. Les réflexes ten
symptôme de Babinski. Le réflexe bicipital de gau- cbe est vif. Les
réflexes
tendineux supérieurs sont absents à droite. Vu
absents à droite. Vu la tensiou du ventre, on ne peut explorer les
réflexes
épigastriques et abdominaux. Le réflexe crémast
e, on ne peut explorer les réflexes épigastriques et abdominaux. Le
réflexe
crémastérien est aboli à gauche. Le malade ne r
rement aug- mentés à gauche ; des deux côtés, on note l'absence des
réflexes
tendineux supérieurs. Membre supérieur gauche
résentent une mobilité parfaitement normale ; pas de nystagmus. Les
réflexes
conjonctivaux et cornéens sont très vifs; les p
ses n'a rien d'imparfait. Mastication et déglutition normales. '.
Réflexe
massétérien vif. Cou. Le cou est bien conformé,
l'alcoolisme et nous ne pûmes relever aucun autre fait anormal. Les
réflexes
abdominaux et crémastériens sontvifs. Organes g
as de tremblement des doigts malgré les habitudes d'alcoolisme. Les
réflexes
cubitaux et radiaux sont très vifs en relation à
n'a la moindre trace d'hypotonie articulaire des extrémités. Les
réflexes
patellaires et achilléens sont légèrement exagéré
agérés en rapport à l'alcoolisme ; pas de phénomènes cloniques. Les
réflexes
plantaires se font normalement en flexion. Dé
dales normales; pas d'hypertrophie de l'amygale p6aryngiennne. Le
réflexe
pharyngien est normal ; le massétérin est vif.
étative parfaites ; notre petit sujet mange cependant très peu. Les
réflexes
abdominaux sont normaux. Organes sexuels. - La
s membres, ni aux mains, ni aux pieds. 554 ETTORE LEVI ' Tous les
réflexes
tendineux aux extrémités supérieures et inférieur
ux extrémités supérieures et inférieures sont .vifs et normaux ; le
réflexe
plantaire se fait normalement en flexion comme
ormalement mobiles. Les pupilles sont rondes et égales ; tous leurs
réflexes
sont normaux ; le fond de l'oeil, examiné par l
palais n'est point ogival. Le voile palatin est bien conforme ; le
réflexe
pharyngien est normal. Déglu- tition et mastica
Rien du côté des sphincters. L'intestin est parfaitement réglé. Les
réflexes
abdominaux supérieurs et inférieurs sont normau
proportions et la consistance de ceux d'un mâle adulte normal. Les
réflexes
crémastériens sont vifs. Les érections se font no
uvement avec une grande agilité : c'est un cycliste consommé. Les
réflexes
patellaires et achilléens sont très vifs ; le réf
onsommé. Les réflexes patellaires et achilléens sont très vifs ; le
réflexe
plantaire se fait normalement en flexion. La
a sensibilité profonde étaient ex- trêmement accusés. Abolition des
réflexes
, signe d'Argyll Robertson, puis abolition du ré
Abolition des réflexes, signe d'Argyll Robertson, puis abolition du
réflexe
à la convergence. Mydriase. Troubles sphinctérien
d'établir un rapport constant entre les troubles visuels et l'état du
réflexe
photo-moteur a fait abandonner cette théorie. P
ie générale et sur ses rapports avec l'irrégularité et les troubles
réflexes
de la pupille, suppose que cette atrophie dépend
s altérations très lentes des nerfs ciliaires, et que le trouble du
réflexe
photo-moteur est dû vraisemblablement aux mêmes
tabes avec signe d'Argyll-Robertson pur - c'est-à- dire la perte du
réflexe
lumineux avec conservation du réflexe à la conver
r - c'est-à- dire la perte du réflexe lumineux avec conservation du
réflexe
à la conver- gence sont rares, car il est assez
est assez fréquent qu'après quelques années de maladie la perte du
réflexe
à la convergence vienne s'ajouter à la perte du
la perte du réflexe à la convergence vienne s'ajouter à la perte du
réflexe
photo-moteur : beaucoup plus rares celles qui ont
xamen histologique complet des voies centripètes et centrifuges des
réflexes
pupillaires. J'ai eu l'occasion de pratiquer da
troubles visuels très prononcés, et je ne puis garantir que seul le
réflexe
photo-moteur ait disparu. ' (1) Dupuy-DUTE.)IPS
paralysie générale. Ses rapports avec l irrégularité cl les troubles
réflexes
de la pupille. Annales d'Oculistique, septembre
e âgée de 55 ans, atteinte de névrite ascendante, chez laquelle les
réflexes
achil- léens étaient abolis, tandis que les pat
ns pour la pupille gauche), conservation des plis radiés de l'iris;
réflexe
à la lumière aboli, réflexe à la convergence cons
conservation des plis radiés de l'iris; réflexe à la lumière aboli,
réflexe
à la convergence conservé, réflexe consensuel a
'iris; réflexe à la lumière aboli, réflexe à la convergence conservé,
réflexe
consensuel aboli. Examen histologique. - D'un
suite duquel l'hémiplégie devient com- plète, l'aphasie totale. Les
réflexes
tendineux du membre supérieur droit étaient exa
roit étaient exagérés, ceux du membre supérieur gauche normaux. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs (rotuliens, ac
é- . ÉTUDES SUR LES NERFS CILIAIRES 569 nnptégie, l'abolition des
réflexes
tendineux aux membres inférieurs, le signe de R
temps persiste ! ' ce\'- tains symptômes spastiques aux jambes, les
réflexes
exagérés, la trépida- tion, la rétraction des m
paralysie flasque complète et d'affaiblissement ou aho- lition des
réflexes
(Schullze, Bruns, Oppenheim). Cette aggravation d
7 Ballet et BAM.5. Paraplégie flasque absolue avec conservation des
réflexes
. Actinomy- cose de la colonne vertébrale. Rev.
z. path. Anat., 1888, p. 510. GCIIILI1DT. Uber das lrerlzaltezz der
Réflexe
bei Querdurehlrennung des Ruckenmarks. Deutsche
inence nocturne est fréquente. La lésion nerveuse est latente : les
réflexes
cutanés et tendineux sont normaux; la diadococi
endant la fesse droite semble un peu plus grosse que la gauche. Les
réflexes
sont normaux. L'anomalie digitale qui nous occu
me que l'ataxie est l'effet d'un trouble dans la tension musculaire
réflexe
. D'accord avec Tschirjew, il a insisté sur le t
D'accord avec Tschirjew, il a insisté sur le trouble de la tension
réflexe
des antagonistes. Contrairement à l'opinion sel
déploiement de la contraction musculaire. Dans le tabes, la tension
réflexe
des antagonistes est sûrement diminuée, et, sec
stance grise (cornes postérieures, colonnes de Clarke, collatérales
réflexes
des cornes antérieures) et qui représentent soi
du tabès appartiennent, dans les cas ordinaires, l'abolition des
réflexes
pmetellaires, les douleurs lancinantes, le phénom
inférieures et des troubles du sens musculaire . Or, pour que le
réflexe
patellaire existe, il est de nécessité que le c
es, arrive à la corne antérieure, ce qui a lieu parles collatérales
réflexes
; celles-ci partent du cordon postérieur au niv
térieur au niveau du territoire indiqué par Westphal comme siège du
réflexe
patellaire ; il est situé aujourd'hui dans la r
ente des signes de dégénération locale, et comme les colla- térales
réflexes
de la moelle lombaire supérieure participent du
participent du même processus, on s'explique sans plus l'absence du
réflexe
patellaire. Si la dégénérescence tabétique se l
e localise plus bas, dans la moelle sacrée, on constate la perte du
réflexe
tendineux d'Achille. Même explication pour les
si de courants nerveux centripètes, inconscients, de nature surtout
réflexe
. Redlich invoque ici les idées d'Exner sur la «
'Exner sur la « sensomobilité ». Exner insiste sur l'importance des
réflexes
tendineux, mais il montre qu'ils ne sont qu'une
fester, ataxie résultant de la perte de la régulation inconsciente,
réflexe
, des mouvements. » Si l'on applique ces données
ant à la substance grise de la moelle, avant tout, des collatérales
réflexes
qui s'arborisent dans cette substance grise. No
on de ces dernières fibres les troubles de régulation inconsciente,
réflexe
, de la motilité au sens d'Exner; l'ataxie résul
rent, comme dans le tabès, l'ataxie s'en suivra. Si les excitations
réflexes
n'existent plus du tout du fait des dégénérations
l en résulte que si une partie consi- dérable des processus nerveux
réflexes
qui sont élaborés dans la moelle épinière ont à
des cordons postérieurs entraînant la disparition des collatérales
réflexes
. Il existe donc une dégé- nération des colonnes
leur localisation doit donc en souffrir d'autant. Les collatérales
réflexes
, les faisceaux ascendants des cordons postérieu
t. « Un grand nombre de phénomènes moteurs, tout spécialement les
réflexes
, ont été étudiés et mesurés par M. Sommer, au moy
t l'ingénieux appareil qu'il a fait construire pour la recherche du
réflexe
du genou sur la jambe en équilibre 2. « Plus
es mots imparfaite. Ouïe normale ; odorat affaibli ; goût conservé.
Réflexe
rotu- lien inégal, plus accusé à droite. Réflex
i ; goût conservé. Réflexe rotu- lien inégal, plus accusé à droite.
Réflexes
superficiels normaux, ainsi que la sensibilité
d'un commerce fort agréable; les pupilles sont un peu dilatées, les
réflexes
rotuliens absents ; perte du goût et de l'odora
ent de ce qu'il fait ou a fait. Inégalité pupil- laire, absence des
réflexes
rotuliens, aspect hébété. Il consent à entrer à
t par ses conséquences. La masturbation des petits enfants, d'abord
réflexe
, puis volontaire, est très démons- trative sur
les zones d'entrée, etc., souvent aussi leurs collatérales, surtout
réflexes
. De plus on trouve, surtout en cas de pression
culaire progressive avec secousses fibrillaires, DR, diminution des
réflexes
tendineux; intégrité de la sensibilité, des sph
tique et hémiplégique 1 Il est tabétique par la perte absolue des
réflexes
tendineux et osseux des membres inférieurs auss
gré sa longue durée, absolument flasque. Aux membres supérieurs les
réflexes
osseux et tendineux existent un peu forts du cô
ès faibles au contraire du côté gauche. Aux membres inférieurs, les
réflexes
tendineux et osseux sont absents des deux côtés
plégie le signe des orteils de Babinski, tandis que du côté sain le
réflexe
plantaire se traduit par une flexion des orteil
s prouve que chez les tabétiques qui ont perdu définitivement leurs
réflexes
tendineux, une hémiplégie organique resté à la
puisque cette dernière ne peut se manifester par l'exagération des
réflexes
tendineux. Chez notre malade, l'hémiplégie n'a
neux. Chez notre malade, l'hémiplégie n'a pas fait reparaître les
réflexes
tendineux du côté hémiplégie. Le retour des réfle
reparaître les réflexes tendineux du côté hémiplégie. Le retour des
réflexes
a été cependant signalé dans des conditions sem
ions trop insister sur ce point qu'avant d'affir- mer le retour des
réflexes
dans de semblables conditions, il fallut être c
lexes dans de semblables conditions, il fallut être certain que les
réflexes
n'étaient pas supprimés temporaire- ment par un
us les avons suivies pendant plusieurs mois ; or, nous avons vu les
réflexes
tendineux s'exagérer du côté hémi- plégié, fair
onc très probable ; nos deux malades avaient du côté hémiplégie des
réflexes
ten- dineux forts, n'avaient pas de réflexe du
du côté hémiplégie des réflexes ten- dineux forts, n'avaient pas de
réflexe
du côté sain. Fallait-il dès lors croire à un r
de réflexe du côté sain. Fallait-il dès lors croire à un retour de
réflexe
sous l'influence de la sclérose post-hémiplégiq
cette double influence, nous avons d'une part fortement exagéré les
réflexes
du côté hémiplégie, d'autre part fait apparaîtr
é les réflexes du côté hémiplégie, d'autre part fait apparaître les
réflexes
du côté sain. Nous avons ainsi conclu que l'hém
n. Nous avons ainsi conclu que l'hémiplégie n'avait modi- fié qu'un
réflexe
en apparence disparu, ne se manifestant pas avec
, avant de conclure à une disparition complète et à un retour des
réflexes
tendineux, d'employer tous les moyens qui, par un
tion de la cellule motrice médullaire, sont capables d'exagérer les
réflexes
, tendineux. Aussi nous croyons-nous autorisé, à c
t lésé au point d'amener une disparition complète et définitive des
réflexes
tendineux d'un ou plusieurs membres, une hémipl
plusieurs membres, une hémiplégie cérébrale restera flaccide, sans
réflexe
et sans contracture spastique, surtout que la con
surtout que la contrac- ture ne pourra survenir sans le retour des
réflexes
tendineux, dans le membre dont les réflexes ten
enir sans le retour des réflexes tendineux, dans le membre dont les
réflexes
tendineux et osseux sont à jamais supprimés.
ée par les cliniciens, c'est sans doute parce que l'exagération des
réflexes
tendineux et la contracture, seuls signes que l
racines postérieures et peut se manifester chez des sujets dont les
réflexes
tendineux sont abolis Or, depuis que je connais
l'on néglige, comme cela a encore lieu trop souvent, d'explorer le
réflexe
du tendon d'Achille, dont l'abolition, ainsi qu
, par J. Babinski. Semaine médicale, 1898, p. 321 et suiv. Sur le
réflexe
du tendon d'Achille dans le tabes, par J. Babinsk
ANTES. 79 chez lesquels le phénomène des orteils et l'abolition des
réflexes
du tendon d'Achille constituent les seuls signe
raisem- blable qu'il s'agit là de sclérose combinée. L'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille décèle, en effet, une lésio
organique attei- gnant, il est vrai, une partie quelconque de l'arc
réflexe
et pou- vant siéger tout aussi bien à la périph
ension des orteils, il est rationnel de supposer que l'abolition du
réflexe
tendineux dépend aussi d'une lésion centrale ou v
caractéristique consistait dans tous ses cas en : 10 Intégrité des
réflexes
rotuliens (signe de la limite supérieure) ; 2U
eut se tenir seule debout. Pas de phénomène du pied. Exagération du
réflexe
rotulien. Troubles du sphincter vésical, incont
avec parésie vésicale, abolition à gauche et diminution à droite du
réflexe
cré- mastérien, amaphrodisie, absence d'érectio
nsibilité qu'au point de vue du sphincter anal, la conservation des
réflexes
rotu- liens, l'abolition des achillens et des c
'ume. D'après les auteurs modernes la dou- leur serait un phénomène
réflexe
, intéressant tous les organes de 1 organisme de
ce. Pour l'auteur ce rétard est dû vraisemblablement aux phénomènes
réflexes
, qui accompagnent la sensibilité douloureuse. L
urtout dans la corne antérieure, la dégénérescence des collatérales
réflexes
, affecte gravement la substance grise de ces ré
nsisté sur la lésion de déficit de la dégénération des collatérales
réflexes
déterminée par la lésion des cordons postérieur
de douleurs, de paresthésies et 'd'anesthésies, ataxie, perle des
réflexes
tendineux et troubles vésicaux; 2" symptômes étra
n perfectionnement. G. D. XVIII. Nouvelles communications sur les
réflexes
conceptuels des pupilles; par J PIr.TZ. (Neurol
objets clairs ou sombres placés sur le côté de la ligne du regard (
réflexes
corticaux, réflexes dus à l'attentionj. 1° Les
mbres placés sur le côté de la ligne du regard (réflexes corticaux,
réflexes
dus à l'attentionj. 1° Les pupilles se rétrécis
ujet sur un objet brillant placé sur le côté de la ligne du regard (
réflexe
cortical de la pupille proprement dite, découvert
des mouvements pupillaires qui sont l'effet de simples conceptions (
réflexes
concep- tuels des pupilles). 1° Les pupilles se
dominance du côté de la racine des membres ; 2° une exagération des
réflexes
tendineux et du réflexe cutané plantaire; 3° de
ine des membres ; 2° une exagération des réflexes tendineux et du
réflexe
cutané plantaire; 3° des troubles vasomoteurs et
bles, après une certaine résis- tance, de mouvements provoqués. Les
réflexes
étaient légèrement exagérés Le malade était gât
consistent en paralysies partielles (mono- plégie, hémiplégie); les
réflexes
sont exagérés; la démarche est très pénible, sa
de la paralysie ; 4° Son concours et sa terminaison ; 5° L'état des
réflexes
superficiels et profonds. 1° L'histoire personn
peut dis- paraître subitement après une durée indéfinie. ' 5° Les
réflexes
profonds et superficiels. Dans l'hémiplégie hys-
lexes profonds et superficiels. Dans l'hémiplégie hys- térique, les
réflexes
profonds ne sont pas nécessairement altérés, et
agérés, et le clonus est la règle. Dans l'hémiplégie hystérique, le
réflexe
plantaire est absent ou difficile à obtenir. Si
ganique, et dans toutes les affections des faisceaux pyramidaux, le
réflexe
plantaire est du type « extenseur » (symptôme d
ents volontaires, taudis qu'elle n'apparaît pas dans les mouvements
réflexes
, inconscients, ou même si le malade suit avec l
téristiques dans leur forme et évolution. IV. - L'exagération des
réflexes
tendineux et osseux (trépidation SOCIÉTÉS SAVAN
marchent de paire avec 1'¡'ype1'- tonie musculaire. La trépidation
réflexe
du pied peut se montrer à titre d'exception dan
montrer à titre d'exception dans l'hémiplégie hystérique. V. Les
réflexes
superficiels ont une valeur moindre, à l'excep-
d orteil se voit exceptionnellement dans l'hys- térie. L'absence du
réflexe
abdominal et crémastérien du côté de la paralys
ière sur la question. Je ne désire nullement contester la valeur du
réflexe
de Babinski comme signe pathognomonique de l'hé
ue du système pyramidal. On a généralement le tort de n'examiner le
réflexe
de Babinski que dans les cas organiques ou dout
lisait à tous les malades cet examen, arriverait-on à déceler ce
réflexe
dans un certain nombre de cas non organiques. Je
er cette idée sur deux cas de paralysie alcoolique dans lesquels le
réflexe
de Babinski existait très nettement; ces malades
issait d'une altération organique. On pourrait donc admettre que le
réflexe
de Babinski est l'expression non seulement d'une
s exceptions que l'on trouve dans la manière dont se compoitent les
réflexes
, même lorsqu'il s'agil d'un phénomène aussi con
lexes, même lorsqu'il s'agil d'un phénomène aussi constant que « le
réflexe
de Babinski », prouvent combien il est difficil
ien il est difficile de formuler une loi générale concernant l'acte
réflexe
, fin physiologie aussi bien qu'en pathologie to
fin physiologie aussi bien qu'en pathologie toutes les lois sur les
réflexes
, y compris la loi clas- sique de Pfluger, ne so
omme telle. Voici pourquoi je crois que le rôle séméio- logique des
réflexes
est très relatif et plus ou moins restreint. Il
est très relatif et plus ou moins restreint. Il existe très peu de
réflexes
qui pourraient être considérés comme signe path
eci tient surtout à ce que nos connaissances sur la physiologie des
réflexes
sont très insuffisantes. Nous ne connais.-ons g
ffisantes. Nous ne connais.-ons guère les voies de transmission des
réflexes
, ni leur localisation dans l'axe cérébro- spina
réflexes, ni leur localisation dans l'axe cérébro- spinal ; pour un
réflexe
donné, il nous est impossible pour le moment de
moment de déterminer le rapport entre l'onde excitatrice de l'arc
réflexe
et entre l'onde inhibitrice de celui des antagoni
n clinique, s'appliquer surtout à déterminer la valeur absolue d'un
réflexe
, niais chercher plutôt la relation réciproque e
, niais chercher plutôt la relation réciproque entre les différents
réflexes
(par exemple les réflexes cutanés et tendineux)
relation réciproque entre les différents réflexes (par exemple les
réflexes
cutanés et tendineux) dans certaines mala- dies
qu'en vertu d'une finalité fonctionnelle de l'organisme cer- tains
réflexes
suppléent la fonction supprimée d'autres réflexes
anisme cer- tains réflexes suppléent la fonction supprimée d'autres
réflexes
abolis par le processus morbide. La tonicité de
sans doute tribu- taire de cette finalité fonctionnelle de certains
réflexes
. M. J. Babinski (de Paris). Je constate avec sa
errier et Roth reconnaissent que dans l'hémiplégie hysté- rique les
réflexes
tendineux sont généralement normaux ; mais ils,
énéralement normaux ; mais ils, admettent qu'exceptionnellement ces
réflexes
peuvent être exa- gérés. Tel n'est pas mon avis
se y avoir, comme dans l'hémiplégie organique, de l'exagération des
réflexes
tendineux du côté de la paralysie. Un hystériqu
et simuler ainsi, si l'on n'y prend pas garde, une exagération des
réflexes
: mais on arrivera généralement à distinguer ce
s : mais on arrivera généralement à distinguer ce pseudo-réflexe du
réflexe
légitime à l'aide des caractères que j'ai indiq
que j'ai indiqués ; j'ajoute qu'en pareil cas ce n'est guère que le
réflexe
rotulien qui parait exagéré et les autres réfle
'est guère que le réflexe rotulien qui parait exagéré et les autres
réflexes
tendineux et osseux, le réflexe du tendon d'Ach
n qui parait exagéré et les autres réflexes tendineux et osseux, le
réflexe
du tendon d'Achille, le réflexe radial, le réflex
es réflexes tendineux et osseux, le réflexe du tendon d'Achille, le
réflexe
radial, le réflexe du triceps brachial sont éga
ux et osseux, le réflexe du tendon d'Achille, le réflexe radial, le
réflexe
du triceps brachial sont égaux des deux côtés,
s l'hémiplégie hys- térique une exagération unilatérale de tous les
réflexes
tendineux, mais je déclare n'avoir jamais rien
sociations hystéro-orga- niques. Pour établir que l'exagération des
réflexes
tendineux relève de l'hystérie il faudrait prou
xclusivement de l'hystérie, et, d'autre part, que l'exagération des
réflexes
tendi- neux, disparaissant avec la paralysie, d
s neurologistes qui admettent la possi- bilité de l'exagération des
réflexes
tendineux dans l'hémiplégie hystérique veuillen
nt d'une lésion du système pyramidal, mais qui ne présentait pas le
réflexe
de Babinski. , M. J. Babinski. - Je ferai rem
ts des pieds, difficulté des mou- vements des jambes. Abolition des
réflexes
rotuliens; signe d'Argyll- Ilobertson; troubles
ralysie facial; intégrité motrice des membres, mais exagération des
réflexes
à droite. Conservation du tact sur tout le corp
binski demande si la trépidation était associée à l'aboli- tion des
réflexes
tendineux. Rien de plus commun que cetle coïn-
us commun que cetle coïn- cidence avec l'abolition ou diminution du
réflexe
patellaire. Au contraire la trépidation avec di
réflexe patellaire. Au contraire la trépidation avec disparition du
réflexe
du tendon d'Achille serait contradictoire. M.
endon d'Achille serait contradictoire. M. Lévi n'a pas cherché le
réflexe
du tendon d'Achille; mention en est faite dans
e malade qui devint hémi- plégique sans ictus, progressivement, les
réflexes
s'abolissant peu à peu avec la motilité sans pe
1/2. Il n'y a pas de trépidation épileptoïde, pas d'exagération des
réflexes
rotuliens. On ne constate pas de troubles troph
ait une différence de un centimètre, par rapport au côté opposé. Le
réflexe
rotulien était nettement exagéré, mais il n'exi
rmés, le sujet étant dévêtu. Légère mais très nette exagération des
réflexes
]Jatellaires, surtout du coté gauche. Pas de clon
janvier 1899. -A cette épo- que, on constatait de l'exagération des
réflexes
patellaires, mais, pas de clonus. Il 'existait
ration. générale dans les : symptômes. 200 CLINIQUE NERVEUSE. Les
réflexes
étaient toujours exagérés, on ne constatait pas d
rouverait une douleur localisée au niveau du plein du mollet. Les
réflexes
sont sensiblement normaux. Il n'y a pas de clonus
nt normaux. Il n'y a pas de clonus du pied. Rien de particulier aux
réflexes
cremastériens, ni aux réflexes des membres supé
s du pied. Rien de particulier aux réflexes cremastériens, ni aux
réflexes
des membres supérieurs. Si l'on fait marcher le
nserve le maximum' des signes morbides : une légère exagération des
réflexes
roluliens, une atrophie très nette'de la cuisse
e dégénérescence du cordon pyramidal. Pas de clonus du pied, pas de
réflexes
de Babinski. Ajoutons que nous n'avons pu reche
la formule suivante : paraplégie spasmodique avec exagé- ration des
réflexes
et clonus du pied sans troubles de la sensibili
embres, revenant d'abord tous les mois, puis plus fréquemment. Les.
réflexes
étaient conservés, la sensibilité intacte. Il y
flasque, totale des membres et du dos avec diminution ou perte des
réflexes
et de l'excitabilité électrique directe ou indi
ient normales, l'exci- tabilité mécanique des muscles diminuée, les
réflexes
cutanés et tendineux tantôt diminués, tantôt ex
s- seurs de l'avant-bras. La sensibilité est partout normale. Les
réflexes
tendineux sont abolis au membre supérieur gauch
abolis au membre supérieur gauche et un peu exagérés à droite. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés. Il n'y a
s sont exagérés des deux côtés. Il n'y a pas de clonus du pied. Les
réflexes
cutanés (crémastérien, abdominal et plantaire)
ation des mains. En même temps il est sur- venu une exagération des
réflexes
tendineux aux membres infé- rieurs et supérieur
cerveau était si compliquée qu'on aurait pu invoquer une influence
réflexe
; mais il n'y avait pas d'hémiplégie. - L'enc
ii scu 1 aire, endolorissement, douleur, pares- Hiésies, pertes des
réflexes
profonds suivie d'atrophie musculaire avec réac
hésie com- plète. Dans les cas bénins et à la période de début, les
réflexes
cutanés restaient normaux ; dans les cas plus g
s cas plus graves ils étaient abolis. Dans presque tous les cas les
réflexes
tendineux dispa- raissent de bonne heure et dem
montant pas au-dessus du genou. Pupilles paresseuses à la lumière.
Réflexe
du genou absent à droite, diminué à gauche. Pus
s cardinaux était pré- sent dans six cas et absent dans sept. Les
réflexes
tendineux ont été trouvés exagérés sept. fois, et
desquels l'action d'inhibition supérieure s'exerce sur les centres
réflexes
inférieurs, c'est-à-duele tractus latéral ; en ou
communs de la période initiale, sont les douleurs et l'abolition du
réflexe
du genou. Les douleurs du tabès, au début, sont
l'un des symptômes qui viennent d'être indiqués avec l'abolition du
réflexe
rotulien permet de porter avec une grande probabi
t de flexion de la jambe. Si on le cognait, il y avait un mouvement
réflexe
qu'on attribue plutôt aiacommotion qu'à la doul
Des piqûres d'épin- gle ne paraissaient déterminer qu'un mouvement
réflexe
. On ne peut rien préciser quant au froid et à l
ne contracture modérée des fléchisseurs des membres inférieurs. Les
réflexes
sont exagérés. On constate le signe de Babinski
sauf peut-être un peu d'hyperes- thésie des membres inférieurs. Les
réflexes
sont couservés, le cré-r mastérien étant diminu
nents, constipation habituelle, envies cons- tantes de vomir. Les
réflexes
irien, cornéen, pharyngien étaient conservés; le
ir. Les réflexes irien, cornéen, pharyngien étaient conservés; le
réflexe
crémastérien très diminué des deux côtés; réflexe
ent conservés; le réflexe crémastérien très diminué des deux côtés;
réflexe
patellaire aboli cl gauche, diminué à droite; r
s deux côtés; réflexe patellaire aboli cl gauche, diminué à droite;
réflexe
cutané plantaire aboli des deux côtés, réflexe
e, diminué à droite; réflexe cutané plantaire aboli des deux côtés,
réflexe
plantaire de Babinsky diminué à gauche, plus di
force musculaire est beaucoup moins forte que le 30 octobre. Les
réflexes
ont subi depuis le 30 les modifications suivantes
Les réflexes ont subi depuis le 30 les modifications suivantes : le
réflexe
plantaire de Babinsky donne comme résultat l'exte
nsky donne comme résultat l'extension du gros orteil (à gauche), le
réflexe
crémastérien est aboli à gauche, presque nul à
intenant presque nulles. Yeux toujours fermés, conjonctives ternes,
réflexe
cornéen pres- que nul à droite, aboli à gauche
e à gauche, hyperesthésie à droite. Hémiplé- gie complète; tous les
réflexes
sont abolis. La peau est chaude, plus chaude su
u côté gauche du corps : parésie gauche déjà ancienne, abolition du
réflexe
palellaire et du réflexe cutané plan- taire, di
parésie gauche déjà ancienne, abolition du réflexe palellaire et du
réflexe
cutané plan- taire, diminution du réflexe de Ba
réflexe palellaire et du réflexe cutané plan- taire, diminution du
réflexe
de Babinsky, hyperesthésie suivie d'anesthésic.
il )' 14X respirations par minute). 304 RECUEIL DE FAITS. ' Les
réflexes
rotulieus sont exagérés des deux côtés ; les memb
affaiblisse- ment bien net, ni de contracture, ni d'exagération des
réflexes
tendineux, ni d'épilepsie spinale, ni de modifi
s tendineux, ni d'épilepsie spinale, ni de modifications dans les
réflexes
cutanés, et il y a lieu d'admettre que le système
lle, une marche ascendante très nette, rapide, avec abolition des
réflexes
rotuliens et signe de Uabinski. Du côté de l'encé
itial, modifiable par la volonté; l'autre consé- etitif, somatique,
réflexe
, centrifuge involontaire. M. Dugnet répudie la
éruption papulaire avec démangeaison violente, adénite douloureuse,
réflexes
nor- maux, affaiblissement graduel de l'intelli
vec peine mais avec justesse, il titube en marchant. Sensibilité et
réflexes
normaux, affaiblissement musculaire rapidement
eptiformes depuis l'enfance, hémiplégie droite avec exagération des
réflexes
, démence progressive, mort à trente ans. Lésion
rne. 2° Homme, hémiplégie droite avec attaques ^épileptiformes et
réflexes
exagérés (de naissance), pas de démence, mort à t
logique et palhogénic du tonus mus- culaire, des modificaliotis des
réflexes
et de la contracture dans les lésions du njvrax
cune conclusion. R. M.-C. XLVI. Sur la perte unilatérale externe du
réflexe
pupillaire de la lumière (iridoplégie réflexe)
nilatérale externe du réflexe pupillaire de la lumière (iridoplégie
réflexe
) ; sa pathologie, sa signification cli- nique ;
ur dix-huit observa- tions, sont les suivantes : 1° L'iridoplégie
réflexe
unilatérale est un état qui peut se ren- REVUE
ment d'origine syphilitique. 6° La lésion qui produit l'iridoplégie
réflexe
unilatérale a son siège dans la portion centrif
exe unilatérale a son siège dans la portion centrifuge du mécanisme
réflexe
. L'exactitude de cette manière de voir est conf
recherches nécroscopiques montrent que, dans les cas d'iridoplégie
réflexe
bilatérale, les fibres de Meynert ne sont pas i
aralysie des membres, pas de trou- bles de la sensibilité, rien aux
réflexes
cutanés quelquefois cepen- dant un peu diminués
rien aux réflexes cutanés quelquefois cepen- dant un peu diminués.
Réflexes
du genou légèrement exagérés, Confusion mentale
figures. L'état de l'excitabilité électrique et de l'excitabi- lité
réflexe
force à exclure ici toute affection cérébro-spina
idée et à attribuer les troubles trophiques à un défaut d'équilibre
réflexe
sensitivo-moteur. Des troubles moteurs seuls peuv
le quand la sensibilité est en même temps compro- mise, l'équilibre
réflexe
étant lui-même plus lésé. Les affections médull
phiques devront être moins accentués d'une façon générale, si l'arc
réflexe
médullaire reste intact. L'auteur apporte 19 ob
, se plaint d'une sen- sibilité douloureuse des mains et des pieds.
Réflexes
normaux. Sen- sibilité normale. La malade, assi
gauche, et vers la fin du second jour elle était satisfaisante. Les
réflexes
avaient été abolis dès -le début, il y avait de
nt, que la sensibilité existe sur toute la surface du corps; que le
réflexe
du genou manque à droite et est exagéré à gauch
cative encore est la pupille dite d'Argyll Robert- son (iridoplégie
réflexe
se manifestant par un défaut de réaction à la l
m (signe de Pitres). On sait que le signe de Westphal (abolition du
réflexe
du genou) est souvent un signe très précoce et
ne s'occuper que de celles que l'on peut légitimement qualifier de
réflexes
. Parmi ces formes particulières de névroses, ce
l'acne rosacea, l'eczéma, l'urticaire, qui sont de vraies névroses
réflexes
cutanées. La mélancolie et l'hypocondrie de la
e doivent également être citées. Et n'est-ce pas encore une névrose
réflexe
, dépendant de modifications des organes pelvien
l'opération échouer. L'avortement est aussi une source de névroses
réflexes
. Les inflammations pelviennes donnent des résul-
caniques étendent leur influence jusqu'aux gang-lions voisins et le
réflexe
se propage au système nerveux central. Quelquef
propage au système nerveux central. Quelquefois aussi les névroses
réflexes
ont pour point de départ la mise à nu de quelqu
vail par des considérations étendues sur le traitement des névroses
réflexes
d'ordre gynécologique. - R. DE nIUSGR1VE-CLAT.
est une paralysie flasque de toutes les extrémités, avec perte des
réflexes
, peu d'altérations de la sensibilité, des réact
entés par une parésie mo- trice et une diminution de l'excitabilité
réflexe
: les états que l'on observe le plus souvent so
urs, limitée aux membres inférieurs; l'absence ou la diminution des
réflexes
du genou et des autres réflexes tendineux; les
urs; l'absence ou la diminution des réflexes du genou et des autres
réflexes
tendineux; les tremblements musculai- res avec
lures et panaris, paralysie atrophique des mains, exagération des
réflexes
rotuliens. Il existait en même temps une double a
ature oscille entre 37,2° et 39,5°. Le pouls est de 100 à 120 ; les
réflexes
patellaires sont absents. La réaction des pupille
ique : 10 Inégalité pupillnire (gauche plus large) avec abolitiondu
réflexe
lumineux, surtout à gauche, et diminution très
u réflexe lumineux, surtout à gauche, et diminution très notable du
réflexe
à l'accommodation, également plus marquée àlgau
- 5° Marche intil assurée, surtout dans la rotation sur place. 6°
Réflexe
rotulien très exagéré à droite, aboli à gauche (c
tulien très exagéré à droite, aboli à gauche (côté de la fracture).
Réflexe
du tendon d'Acliille exagéré des deux côtés. Ré
la fracture). Réflexe du tendon d'Acliille exagéré des deux côtés.
Réflexes
cutanés abolis, sauf le réflexe abdominal supérie
d'Acliille exagéré des deux côtés. Réflexes cutanés abolis, sauf le
réflexe
abdominal supérieur. 7° Verge normale. Testicul
é des pupilles (gauche toujours plus large) et l'abolition de leurs
réflexes
sont plus marquées ; la parole est très bredoui
, etc. Seule, 1 Fig. li. 454 CLINIQUE MENTALE. l'exagération du
réflexe
rotulien du côté droit a disparu. Le réflexe du
TALE. l'exagération du réflexe rotulien du côté droit a disparu. Le
réflexe
du côté gauche est resté aboli. Le gâtisme n'ex
igt, on pouvait l'étirer, mais pas autant que le pied gauche. Les
réflexes
étaient exagérés dans ces deux membres, mais ils
E SPASMODIQUE INFANTILE. 463 tion prise au moment de se produire le
réflexe
inverti, c'est-à-dire en extension forcée. Quan
asticité dans tous les segments de la jambe gauche, exagération des
réflexes
tendineux. L'enfant mourut à l'âge de huit ans
Les faits cliniques démontrant que le syndrome, exagéra- tion des
réflexes
et la contracture sont les manifestations d'une
nés dans des conditions pareilles ; il existe aussi exagération des
réflexes
et contractures per- mauentes, avec des lésions
r une explication physio- pathologique de la cause qui fait que les
réflexes
ne s'exagè- rent pas immédiatement après la sép
u moment des évacuations, me porte à les considérer comme étant des
réflexes
intestinaux vulgaires. Il est fréquent d'observ
la main gauche pour prendre les objets qui tombent à sa portée. Les
réflexes
tendi- neux sont exagérés, toujours davantage d
tiformes. La lésion labétiforme coexistant avec l'exagéra- tion des
réflexes
pendant les attaques semble donner un gage à l'
emble donner un gage à l'hypothèse de Scherrington, qui vent que le
réflexe
soit produit par la secousse transmise par le t
ner, de la parole, de troubles pupillaires,' de l'exagé- ration des
réflexes
. Ce qui fait l'intérêt de cette observation c'e
deux membres inférieurs sont atrophiques, paretiques et piivés de
réflexes
; la titubation surajoutée est intense. Au début,
s : les douleurs sont spontanées et augmentées par la pression; les
réflexes
sont intacts; la sensibilité n'est pas modifiée
n faisant disparaître des granulations. 11. E. Dorez. Le tic est un
réflexe
cortical, tandis que le spasme est un réflexe s
Dorez. Le tic est un réflexe cortical, tandis que le spasme est un
réflexe
sous-cortical. 11 se produit à l'origine du tic
la conscience au début ; puis peu à peu par la répétition de l'acte
réflexe
la disparition du rôle de la conscience. , M Me
mêmes feraient'diagnostiquer l'hémiplégie organique commune, les
réflexes
même sont exagérés ; mais le réflexe cutané plaut
plégie organique commune, les réflexes même sont exagérés ; mais le
réflexe
cutané plautaire se fait en flexion. D'autre pa
ver est le suivant : je constate très nettement l'exagéra- tion des
réflexes
tendineux au côté droit, particulièrement au me
tendineux au côté droit, particulièrement au membre supérieur ; les
réflexes
du biceps brachial et du poignet sont manifeste
s l'hémiplégie hystérique pure il ne peut y avotr d'exagération des
réflexes
tendineux an côté de la paralysie. Je crois don
u moins une association lrystéro-organique et que l'exagération des
réflexes
tendineux relève d'une altération du système pyra
iété, car la question de savoir si dans l'hémiplégie hystérique les
réflexes
tendineux peuvent être exagérés dans les membre
ois causes : alcoolisme, hystérie et compression. ' Importance du
réflexe
du tendon (1'-Ichille. lli. 13.umsr.i. Anatomiq
du réflexe du tendon (1'-Ichille. lli. 13.umsr.i. Anatomiquement le
réflexe
du tendon d'Achille devrait avoir plus d'import
'ailleurs exact. Dans les cas de névralgie sciatique l'abolition du
réflexe
d'Achille est fréquente et peut servir à différ
évrite sciatique de la pseudo-sciatique hystérique ; en présence du
réflexe
, peut par contre servir à déjouer la simulation
déjouer la simulation. 516 - SOCIÉTÉS savantes. Dans le tabès, ce
réflexe
est aussi plus important que le réflexe rotulie
savantes. Dans le tabès, ce réflexe est aussi plus important que le
réflexe
rotulien. Très souvent, en effet, il est aboli
réflexe rotulien. Très souvent, en effet, il est aboli alors que le
réflexe
patel- laire existe encore, tandis que l'invers
ore, tandis que l'inverse ne se rencontre jamais. La disparition du
réflexe
du tendon d'Achille est même un signe très préc
t qui présente de la rigidité pupillaire ; chez ces trois sujets le
réflexe
rotulien est intact. F. Boissirn. SOCIÉTÉ DE NE
olontaires ne provoquent pas de contractions musculaires et que les
réflexes
précis et rapides du nerf optique (regard dans l'
aire est évidemment intact; ii n'y a qu'une lésion de quelques arcs
réflexes
qui s'y rendent. La paralysie des mouvements en
latéraux, la convergence est impossible. Dans ce cas les mouvements
réflexes
des globes oculaires sont plus ou moins bien co
agissant sur la mobilité de l'iris et signale, en particulier, les
réflexes
psychiques de Ch. Henry, de Haab, de . Pillz. L
es psychiques de Ch. Henry, de Haab, de . Pillz. L'existence de ces
réflexes
supérieur^, ainsi que des modifi- cations pupil
not décrit les divers troubles pupillaires (inégalité, troubles des
réflexes
, déformations, réaction paradoxale, etc.) en do
es qui les séparent. Ainsi, pour ne parler que de l'altéra- lion du
réflexe
à la lumière, on la trouve dans 47 p. 100 des cas
té trouvé le pourcentage suivant : inégalité, G : 3; aboli- tion du
réflexe
à la lumière, 77 ; diminution de ce réflexe, 22;
, G : 3; aboli- tion du réflexe à la lumière, 77 ; diminution de ce
réflexe
, 22; altération du réflexe à la convergence,'j0
lexe à la lumière, 77 ; diminution de ce réflexe, 22; altération du
réflexe
à la convergence,'j0 ; myosis, 13; mydriase, i;
outre, il constate au=si l'inégalité (32 p. 100) des troubles du
réflexe
à la lumière (G2 p. 100), du réflexe à l'accommod
té (32 p. 100) des troubles du réflexe à la lumière (G2 p. 100), du
réflexe
à l'accommodation (12 p. 100) et des déformatio
r inconstance et leur variabilité; de plus, rarement (7 p. 100), le
réflexe
à la lumière a été trouvé nul à un momeut donné
IE. fréquence des troubles pupillaires et, surtout, l'altération du
réflexe
à la lumière (90 p. 100); ce réflexe a été abol
s et, surtout, l'altération du réflexe à la lumière (90 p. 100); ce
réflexe
a été aboli a un moment donné dans (16 p. 100)
banaux, s'observent dans toutes les psychoses. Les altérations des
réflexes
existent également dans toutes les formes morbi
o. 306. Lésions ganglionnaires de la , par van Gehncilten, 307.
Réflexes
conceptuels des pupilles, par Piltz, 144. Perle
NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Tumeur cérébrale avec abolition des
réflexes
tendineux. (Leçon de M. le Professeur RAYMOND
orienter votre esprit vers le dia- gnostic. - TUMEUR CÉRÉBRALE ET
RÉFLEXES
TENDINEUX. 3 Cet état persiste pendant plus d'u
résente que des phénomènes de parésie et d'as-' TUMEUR CÉRÉBRALE ET
RÉFLEXES
TENDINEUX. 5 thénie musculaire généralisèe ; il
senté de crises d'épilepsie jacksonnienne. J'examine maintenant les
réflexes
tendineux et je vois qu'ils sont complètement a
t complètement abolis, aussi bien au niveau des membres inférieurs (
réflexes
rotuliens et achilléens) que des membres supéri
eurs (réflexes rotuliens et achilléens) que des membres supérieurs (
réflexes
du poignet, du coude et de l'épaule). Ce n'est
rticularité, j'y revien- drai plus longuement tout à l'heure. Les
réflexes
cutanés abdominaux sont également abolis. Le gr
ression, caractérisée par l'augmentation de lai TUMEUR CÉRÉBRALE ET
RÉFLEXES
TENDINEUX. 7 pression du liquide céphalo-rachid
e clinique très intéressant présenté par notre malade, la perle des
réflexes
tendineux au niveau des membres inférieurs et s
Eh bien ! je pense pouvoir vous démontrer que cette abolition des
réflexes
est encore sous l'influence de la tumeur cérébral
oelle se mani- festent presque toujours par l'abolition précoce des
réflexes
particulièrement des réflexes rotuliens. Ce sym
toujours par l'abolition précoce des réflexes particulièrement des
réflexes
rotuliens. Ce symptôme s'ac- compagne de phénom
ippe et P. Lejonne, à entreprendre quelques re- TUMEUR CÉRÉBRALE ET
RÉFLEXES
TENDINEUX. 9 cherches, surtout dans le but de p
leur canal osseux, on fut surpris de constater TUMEUR CÉRÉBRALE ET
RÉFLEXES
TENDINEUX. J ! 1 leur volume relativement énorm
n du clinicien, c'est la dimi- nution d'abord, puis l'abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens; de même, les réflexes
puis l'abolition des réflexes rotuliens et achilléens; de même, les
réflexes
des membres supérieurs sont assez souvent dimin
bres supérieurs sont assez souvent diminués. Par contre, l'état des
réflexes
cutanés ne parait pas avoir de valeur symptomat
uffrent pas autant que les tabétiques, cela est TUMEUR CÉRÉBRALE ET
RÉFLEXES
TENDINEUX. 13 certain d'après les observations
brales (ce. mot étant pris dans son sens général) l'abolition des
réflexes
tendineux du côté des membres paralysés, voire
sionner par cette anomalie apparente, l'exagération de ces mêmes
réflexes
, au moins du côté paralysé étant la règle -; ce
sensibilité de même. ' 1 Les mains tenduesdu malade tremblent. Les
réflexes
rotiilieiissont'- vifs. Le malade ne peut pas b
gauche. Les poumons et le coeur sont normaux. Le pouls - 84. Les
réflexes
tendineux, plantaires, abdominaux et ceux du crém
e rire. La sensibilité, pour autant qu'un peut le juger d'après les
réflexes
, semble être conservée, l'ouïe et la vue aussi.
malade, il faut penser qu'il a perdu la conscience musculaire. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés; le clonus plantai
un trouble très profond, mais non comme enchaînement, parce que les
réflexes
psychiques existaient encore chez lui à un certai
elques étincelles. L'attention passive, à en juger par le manque de
réflexes
concernant l'entourage, est très faible aussi.
gré encore plus grand. Apparut une exagération très accen- tuée des
réflexes
jusqu'au clonus plantaire et un trouble de la p
es pieds se développe très facilement une hypérémie vasculaire. Les
réflexes
tendineux sont exagérés, les réflexes pupillair
une hypérémie vasculaire. Les réflexes tendineux sont exagérés, les
réflexes
pupillaires sont sans modifi- cation. ; - ETU
juste, il est vrai, en se servant de ses associations d'avant. Les
réflexes
sont très vifs. L'excitabilité faradique est no
ive part des régions sensorielles, tout de même alors on reçoit des
réflexes
céré- braux sur la sphère motrice, tellement pa
les mouve- ments impétueux proviennent des illusions par la voie
réflexe
. Si même, concernant les mouvements complexes, on
sée à la volonté (sphère psycho-motrice), ordinairement provoque un
réflexe
ou un autre, qui s'exprime par un acte volontai
exprime par un acte volontaire. Chez un indi- vidu bien portant, ce
réflexe
a un caractère qui lui convient ; ÉTUDE DE LA D
si que l'enchaî- nement général de la conscience et l'inhibition de
réflexes
psychiques pouvant être expliqué encore par le
alade (lre observation) nous avons noté une exagéra- tion stable de
réflexes
rotuliens ; un clonus plantaire avec une démarc
rième et sixième paires : -. ainsi s'expliquent tous les mouvements
réflexes
des muscles des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
. On peut de cette manière comprendre les innombrables contractions
réflexes
des muscles de tout le corps qui, d'ordinaire,
son influence sur l'équilibre : il y a coordination des mouvements
réflexes
qui dépendent des impressions lumineuses. Le tu
ouïe. Le tubercule quadrijumeau antérieur sert en somme de centre
réflexe
à la transmission des excitations lumineuses aux
delà circonvolution en cro- chet, au point de Ferrier, détermine un
réflexe
olfactif cortical, qui se traduit par une contr
eur état pathologique d'atrophie dégénérative. P. KERAVAL. XI. Du
réflexe
hypogastrique, par W.-M. Beciiterew (Obozrénié ps
Centmlblatt, XX, 1901). Même article en russe et en allemand. Le
réflexe
abdominal, constitué par la contraction des muscl
s, est en rapport avec les huitième et douzième paires dorsales. Le
réflexe
épigastrique, qui se traduit par la for- mation
dorsales. On doit, dans l'es cas pathologiques, rechercher ces deux
réflexes
, parce que souvent le second se produit très aisé
t défaut, notamment dans l'hémi- plégie. Mais il existe encore un
réflexe
de l'abdomen, inconnu jusqu'ici. C'est le réfle
existe encore un réflexe de l'abdomen, inconnu jusqu'ici. C'est le
réflexe
hypogastrique. En rayant rapidement la peau de la
veau d'une affection de la moelle, s'il est conservé, tandis que le
réflexe
abdominal est épuisé, ou inverse- ment. Il semb
ou inverse- ment. Il semble normalement un peu plus constant que le
réflexe
épigastrique. Dans les affections cérébrales, i
ique. Dans les affections cérébrales, il a les mêmes allures que le
réflexe
abdominal; tous deux sont généralement diminués
dans ï Obozrénié russe de 1899. Analysé. - - P. KERAVAL. XIV. Le
réflexe
sus-orbitaire, nouveau réflexe dans le territoire
. Analysé. - - P. KERAVAL. XIV. Le réflexe sus-orbitaire, nouveau
réflexe
dans le territoire de - la 5e et de la 7e paire
a 7e paire; par D.-J. Mac C.\IiTHY. Contribution à - la question du
réflexe
sus-orbitaire; par C. HuDovERNiG. (Neu- . n'ol.
ères se rappro- chent-elles. Y a-t-il exagération de l'excitabilité
réflexe
, il suffit de frapper en un point quelconque du
qu'à la limite du cuir chevelu. Dans le cas d'affaiblisse- ment des
réflexes
, il faut frapper au point de sortie du nerf. Arc
ment des réflexes, il faut frapper au point de sortie du nerf. Arc
réflexe
: branche sus-orbitaire de la 5° paire, 5° paire
le-même, facial, branche de l'orbiculaire du facial. On a trouvé ce
réflexe
diminué (à gauche) dans un cas de syphilis céré
y avait paralysie complète de l'oculomoteur commun et cependant le
réflexe
sus-orbitaire était normal. Il avait disparu du c
ions des branches orbitaires des 5° et 7° paires. Ce n'est pas un
réflexe
, dit M. Hudovernig, car on obtient le trembleme
à un muscle voisin innervé par le même nerf. ' P. KERAvaL. XV.'DU
réflexe
acromial; par W.-M. BECHTEr3Ew. (Obozrénié psi-
légère rotation de la main en dedans, et, quand l'hyperexcitabilité
réflexe
est très marquée, delà flexion de l'extrémité s
de la cavité glénoïde de l'omoplate. Lorsque l'hyper- excitabilité
réflexe
est extrême, ce réflexe s'étend à d'autres grou
e l'omoplate. Lorsque l'hyper- excitabilité réflexe est extrême, ce
réflexe
s'étend à d'autres groupes musculaires, par exe
upes musculaires, par exemple aux fléchisseurs des doigts. C'est un
réflexe
périostique qui se voit surtout dans les cas d'
xe périostique qui se voit surtout dans les cas d'hyperexcitabilité
réflexe
, et en particulier dans les hémiparésies et les
erve aussi dans les para- lysies atrophiques avec hyperexcitabilité
réflexe
, telle la sclé- rose latérale atrophique. Ce ré
erexcitabilité réflexe, telle la sclé- rose latérale atrophique. Ce
réflexe
n'est pas d'ordinaire exagéré dans les hémiplég
racture et trépidation dans les membres inférieurs, exagération des
réflexes
rotuliens, abolition des réflexes cutanés dans
mbres inférieurs, exagération des réflexes rotuliens, abolition des
réflexes
cutanés dans les parties paralysées, et enfin d'u
urs, une hypoesthésie totale des mêmes régions, une exagération des
réflexes
rotuliens et achilleens, etc. La succession et
ur gauche sans troubles de la sensibilité, sans mo- difications des
réflexes
, ni phénomènes de parésie. La lente évolu- tion
ec secousses spasmodiques, tremblements des mains, conservation des
réflexes
cutanés, exagération des réflexes tendineux, et
nts des mains, conservation des réflexes cutanés, exagération des
réflexes
tendineux, etc. En présence de ces accidents révé
embre droit. Il existait en outre chez ce sujet une exagération des
réflexes
rotuliens et achilléens. Malgré ces derniers sy
- sible. Notons encore comme autres symptômes une exagération des
réflexes
rotuliens, de la trépidation épileptoï ie, des mo
ésique, une démarche ataxique, les yeux fermés, une exagération des
réflexes
rotuliens et une abo- lition complète des réfle
exagération des réflexes rotuliens et une abo- lition complète des
réflexes
achilléens. C'est sur ce dernier signe que l'au
jeune fille, ce sont en particulier l'abolition totale de tous les
réflexes
tendineux, et l'hypoesthésie radiculaire limité
ît avoir une significa- tion clinique de même ordre que l'abduction
réflexe
, mais il faut remarquer que si ces deux espèces
ation des. Archives, 2° série, t. XVII. 6 82 SOCIETES SAVANTES.
réflexes
tendineux, troubles sphinctériens, thermoanesthés
roubles oculaires : myosis, inégalité pupillaire, et l'abolition du
réflexe
pupillaire . «Eu même temps la parole devenait
e définit : « C'est une. fonction automa- tique qui n'est pas l'arc
réflexe
ordinaire, puisque elle aboutit à des actes coo
ne part des centres psychiques supé- rieurs, de l'autre des centres
réflexes
. Ces centres ne sont ni dans l'axe bulbo-médull
ntres réflexes. Ces centres ne sont ni dans l'axe bulbo-médullaire (
réflexes
) ni même dans les centres basi- laires et mésoc
réflexes) ni même dans les centres basi- laires et mésocéphaliques (
réflexes
supérieurs, automatisme infé- rieur). Ils sont
n n'observe jamais dans les paralysies suggérées ni exagération des
réflexes
tendineux, ni épilepsie spinale légitime, ni au
e association organique, qui soit accom- pagné de l'exagération des
réflexes
ou de l'extension des orteils. Est-il utile de
pport avec la volonté et cependant intermédiaires entre les centres
réflexes
et les centres moteurs volontaires déjà CONCEPT
onté. Nous ne saurions trop nous élever contre ces assertions. Le
réflexe
pupillaire à la lumière par exemple, met en jeu l
suggestion, ni la volonté, n'ont pu inhiber le centre du mouvement
réflexe
lumineux. Nous avons tenté l'expérience sur un
lé : Rela- tions qui existent entre la syphilis et les troubles des
réflexes
piipil-, I 'aires, Stheinheil, 1899. 134 REVU
de la voie pyramidale, tandis qu'il soutenait que l'exagération des
réflexes
tendineux, l'épilepsie spinale légitime, les tr
l'hémiplégie hystérique, il n'y aura, en effet, ni exagération des
réflexes
tendineux, ni phé- nomène des orteils, ni aucun
; 2° inéga- lité ; 3e contour marginal ; 4° mobilité; 5° adaptation
réflexe
: a) accommodation à la lumière directe; 6) à l
sent progressive- ment : l'aspect se rapproche de celui des idiots.
Réflexes
nor- maux ; réaction faradique normale. Voici c
ni ataxie musculaire, ni phéno- mènes choréiques, ni nystagmus, les
réflexes
patellaires sont con- servés. Il existe des tre
tale. Cette observation diffère des cas de 0. Giese en ce que les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés, non plus que l'ex
ité pupillaire, du tremblement de la langue et de l'exagération des
réflexes
. Des renseignements fournis par la mère apprenn
e de faits, signalés par Rack, a sa place dans l'étude des névroses
réflexes
d'origine nasale décrites par Voltolinie puis par
olinie puis par B. Fraenkel qui démontra qu'il s'agissait bien d'un
réflexe
, opi- nion qui est bien établie aujourd'hui au'
'hui au'point de vue clinique et par l'expérimentation. L'épilepsie
réflexe
a une base expérimen- REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
ne doit pas faire perdre totalement de vue la possibilité de l'acte
réflexe
comme moment déterminant de la crise. G. C. X
ènes moteurs : irritabilité mécanique du facial ; exagé- ration des
réflexes
; impulsions et leurs caractères. Confusion. Arc
ourent pas aussi dans la production des troubles trophiques. - '-
Réflexe
adducteur du pied. MM. H.RSCIIBERG et Rose. Ce
ques. - '- Réflexe adducteur du pied. MM. H.RSCIIBERG et Rose. Ce
réflexe
, signalé par l'un des auteurs dans une notice p
ections intéressant la voie pyrami- dale, les auteurs ont trouvé ce
réflexe
34 fois, alors que le signe de Babinski existai
le, 1 affection du cône terminal et 1 syphilis cérébro-spinale), le
réflexe
adduc- teur existait nettement, alors que le si
nski manquait ou etait peu net. C'est dans ces cas surtout que ce
réflexe
acquiert une valeur diagnostique véritable, ana
de la sensibilité subjective ou objective, mais d'exagération des
réflexes
achilléens et rotuliens sans trépidation épilepto
ôté paralysé est très prononcée. Tabès fruste avec conservation des
réflexes
cutanés et tendineux. MM.E. Duphé et P. Camus.
ÉTÉS SAVANTES. On constate, par contre, la conservation de tous les
réflexes
, cutanés et tendineux : ceux-ci sont peut-être
tel que neuropo myélite aiguë. Sur la transformation du régime des
réflexes
cutanés dans les affections du système pyramida
en partie réel; ordinairement, dans la paraplégie spasmodique, les
réflexes
abdominaux et le réflexe crémastérien sont affa
nt, dans la paraplégie spasmodique, les réflexes abdominaux et le
réflexe
crémastérien sont affaiblis ou abolis, mais il fa
tations cutanées produisent généralement dans ce cas des mouvements
réflexes
des divers segments des membres inférieurs et e
tée par le passage d'un courant faradique. Ainsi donc, suivant le
réflexe
cutané que l'on considère, il y a tantôt affaib
olition, tantôt exagération. En consé- quence, si l'on envisage les
réflexes
cutanés en général, il faut dire que les lésion
ans la forme est particulière- ment remarquable dans les mouvements
réflexes
des orteils, dans l'extension (phénomène des or
e de para- plégie spasmodique caractérisée par de l'exagération des
réflexes
tendineux de l'épilepsie spinale; l'excitation
définir d'une manière générale les modifications que subissent les
réflexes
cutanés dans les affections du système pyramida
au même avis et ajoute qu'on devrait établir une classification des
réflexes
, en désignant à la fois le point d'excitation e
on et le point de réaction, dans l'espèce ne pourrait-on pas dire :
réflexe
« abdomino-plantaire ». , MM. Babinski et RA Y
éfutent les réserves au sujet du chatouillement, établissant que le
réflexe
est d'autant plus fort qne le sujet est plus hy
pages très claires, Crouzon expose la technique pour rechercher les
réflexes
tendineux, cutanés et pupillaires, les plus imp
ience, les pertes de sang favorisent la pro- duction des mouvements
réflexes
et des convulsions ». A-t-on, du reste, cité un
nner à ces manifestations érotiques que le caractère d'un phénomène
réflexe
. N'est-ce pas un peu à l'influence d'une activi
turgescence des glandes génitales, leur réplétion amène par action
réflexe
une excitation complémentaire du côté de l'encé
motivité, de l'impressionna- bilité sous leur influence, par action
réflexe
, disparaissent et c'est ainsi que l'on peut s'e
ie n'apparaît donc que. comme la manifestation, bruyante par action
réflexe
du bulbe, d'une irritation méningo-encéphalique
ne troisième classe appartiendrait l'épilepsie secondaire d'origine
réflexe
(corps étrangers de l'intestin, lombrics, taeni
ne ÉPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 227 dite
réflexe
(corps étrangers de l'intestin, vers intesti- n
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXVII. A propos du
réflexe
de Babinski; par le Dr HELDENBERGH. (JOU1'n. de
n. de Neurologie, 1903, n°2.) · D'après l'auteur de cette'note, les
réflexes
tendineux normaux ou anormaux, s'effectuent tou
effectuent toujours par la voie extra-pyramidale; au contraire, les
réflexes
cutanés empruntent la voie pyramidale ou extra-
rmaux ou anormaux. Aiusi, le réflexede Babinski qui est le type des
réflexes
cutanés anormaux est un réflexe cutané extra-py
exede Babinski qui est le type des réflexes cutanés anormaux est un
réflexe
cutané extra-pyramidal, c'est-à-dire dont les f
e de la face, avec exagération de la contractilité faradique et des
réflexes
tendineux. Se basant sur ce dernier caractère, l'
ie ou de diverses vésanies, l'auteur a constaté que la recherche du
réflexe
rotulien était rendue impossible ou contrariée
et de son école ne laissent place à aucun doute. G. DENY. XL11. Des
réflexes
dans les régions de la face et de la tête; par
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. M. Bechterew résume les caractères des
réflexes
qu'il a décou- verts. Le réflexe oculaire, cons
chterew résume les caractères des réflexes qu'il a décou- verts. Le
réflexe
oculaire, constitué par la contraction de l'orbic
ux côtés simul- tanément, mais est plus accusé du côté percuté. Arc
réflexe
: tri- jumeau et noyau sensitif de la 5° paire,
s deux côtés; le trajet central de cet arc est la calotte. C'est le
réflexe
sus-orbitaire de Mac Carthy, mais avec véritabl
action; en réalité il n'émane pas du nerf sus-orbi- taire, c'est un
réflexe
périostique ordinaire. Le réflexe malaire s'obt
nerf sus-orbi- taire, c'est un réflexe périostique ordinaire. Le
réflexe
malaire s'obtient en frappant l'os de la pommette
- sure des lèvres. Il est bien moins constant que le premier. Arc
réflexe
: branche maxillaire supérieure du trijumeau et s
noyau sensitif, noyau moteur de la branche inférieure du facial.
Réflexe
de la mâchoire. La bouche étant à demi ouverte, o
l'os malaire. On voit alors le maxillaire inférieur remon- ter. Arc
réflexe
: branche inférieure du trijumeau, noyau sensitif
s du maxillaire infé- rieur (phénomène du maxillaire inférieur) .
Réflexe
nasal, ou ratatinement du nez et contraction de l
ement la muqueuse et les parties profondes de la cavité nasale. Arc
réflexe
: branche moyenne du trijumeau, son noyau sensi
ranche moyenne du trijumeau, son noyau sensitif, noyau du facial.
Réflexe
surtout unilatéral, disparaissant quand le trijum
ial sont affectés, ou lorsqu'il y a lésion du lieu de passage de ce
réflexe
dans le bulbe ou la protubérance. P. KEHAVAL. X
ratoires et circulatoires), et la moelle (abolition du tonus et des
réflexes
) sont également frappés. D'après l'auteur, on n
ssance; mais les circuits à sommet sous-cortical persistent, et les
réflexes
sont conservés; 3° ou bien la commotion s'est p
neurones sont en rétraction complète. La paralysie est totale. Les
réflexes
rotulien, plantaire et de la déglutition sont a
aux éminences 1ênar et hypoténar ; ainsi que d'une exagération des
réflexes
avec trépidation épileptoïde. En second lieu, o
énomènes d'ordre nerveux prédomi- nants ont été : l'exagération des
réflexes
,' la trépidation épilep- toïde, voire même des
avec atrophie et rétrac- tion musculaires du membre, hypéresthésie,
réflexes
normaux. La lésion était une névrite atrophique
racines sont touchés eux aussi par le processus : morbide. - I Les
réflexes
tendineux sont généralement exagérés, parti-' 2
ralement exagérés, parti-' 278 CLINIQUE NERVEUSE. culièrement les
réflexes
rotuliens et surtout à droite; la percussion du
ien de ce côté semble amener une ébauche de trépidation spinale. Le
réflexe
cutané plan- étaire est en flexion. - - - - D
ue d'atroces douleurs. ' Le signe de Lasègue est des plus nets. Les
réflexes
rotu- liens sont faiblement conservés lors du p
nantes en ceinture. La station debout était presque impossible, les
réflexes
et la sensibilité objectives ne présentaient pa
ures tendineuses maintenant les deux mains fer- mées, abolition des
réflexes
; membres inférieurs : impotence moins marquée p
inférieurs : impotence moins marquée prédominant aux fléchisseurs,
réflexes
faibles, atrophie peu considérable. Cpho-scol
vue; il dit qu'il a la tête lourde sans de véritables douleurs. Les
réflexes
ont une légère exagération. Il a de l'anosmie.
ulier. G. C. ' XXVIII. Névrite périphérique des membres inférieurs.
Réflexe
rotulien latéralisé; par M. Josserand [Société
s cuisses et des jambes. Elle offre une modalité toute spéciale des
réflexes
rotuliens. Lorsqu'on per- cute le tendon rotuli
de se projeter en avant, se déjette en dehors; d'où l'expression de
réflexe
rotulien latéralisé proposée par l'auteur. Ce p
cia lata, ou plutôt, peut-être, à son hyperexcitabilité. La voie du
réflexe
peut s'expliquer par une connexion, sensitive ent
ès rares. Ensuite l'absence certaine et plusieurs fois constatée du
réflexe
,pupil- laire. La lésion étant corticale, le ré
s constatée du réflexe ,pupil- laire. La lésion étant corticale, le
réflexe
aurait dû persister d'a- près la loi formulée p
faut pas réformer son diagnostic sur le seul fait de l'abolition du
réflexe
à la lumière. M. Josserand reste sur le terrain c
e l'équilibre les yeux fermés;- pas de troubles des sphincters. Les
réflexes
rotuliéus sont plutôt vifs et exagé- rés ; les
ncters. Les réflexes rotuliéus sont plutôt vifs et exagé- rés ; les
réflexes
olécraniens et masséterins sont normaux. Au poi
; la sensibilité au tact, à la piqûre et à la chaleur est normale.
Réflexes
conjonctival et laryngé très diini. nués. La se
de Thomsen, et devant la constatation de l'intégrité complète des
réflexes
et des mouvements automatiques, MM. Leclerc et An
és au contact, à la douleur, à la température, à l'électricité. Les
réflexes
cutanés et tendineux étaient abolis. La malade
en avant par les auteurs : la déshydratation du sang, la théorie
réflexe
, enfin la théorie toxique développée par Bouchard
de malaise, avec irrégularité de la température, aug- mentation des
réflexes
cutanés et hébétude mentale. Chez les lapins bi
nsibilité troublés (anesthésie et h3·peres- thésie se superposant),
réflexes
exagérés un jour, diminués le len- demain. Le d
modifications dans ses dimensions, dans sa forme, dans sa motilité (
réflexe
lumi- neux et accommodateur). On peut bien en
sans que ce symptôme soit accompagnée de paralysie ou de parésie du
réflexe
lumineux et dans ces deux cas nous avons vu par
nous avons vu par la suite la parésie d'abord, puis la paralysie du
réflexe
lumineux s'établir. Pas plus que le signe d'Arg
eil est placé dans l'obscurité, la pupille se dilate. C'est là le
réflexe
pupillaire à la lumière. Nous pouvons donc, à n
uence de la distance de l'objet observé se fait sous l'influence du
réflexe
accommodateur. Ces deux réflexes, lumineux et a
servé se fait sous l'influence du réflexe accommodateur. Ces deux
réflexes
, lumineux et accommodateur, peuvent être lésés
de le dire, ils le sont d'une façon tout à fait inégale. L'un, le
réflexe
lumineux, est très fréquemment atteint, 358 CLI
358 CLINIQUE MENTALE. on peut dire presque constamment; l'autre, le
réflexe
accom- modateur, ne l'est que très rarement. La
le réflexe accom- modateur, ne l'est que très rarement. La perte du
réflexe
lumineux avec persistance'du réflexe accommodat
que très rarement. La perte du réflexe lumineux avec persistance'du
réflexe
accommodateur cons- titue le signe d'Argyll-Rob
cher soigneusement'ce signe. Mais cette recherche, celle surtout du
réflexe
lumineux, n'est pas aussi facile qu'il semble a
e iritis ; puis surtout se mettre à l'abri, pour cette recherche du
réflexe
lumineux, de toute intervention du réflexe acco
pour cette recherche du réflexe lumineux, de toute intervention du
réflexe
accommodateur. Le procédé le plus généralement
t porté à regarder. On aurait alors un mouve- ment de l'iris, dû au
réflexe
accommodateur, que l'on attri- buerait fausseme
dû au réflexe accommodateur, que l'on attri- buerait faussement au
réflexe
lumineux. Il en est de même lorsqu'après l'ouve
la lumière existe. En résumé, ce qu'il importe dans la recherche du
réflexe
lumineux c'est d'éliminer toute réaction pupill
te réaction pupillaire à l'accom- modation. Nous avons dit que le
réflexe
lumineux, est très souvent lésé dans la paralys
rès nettement la marche régressive et finalement la disparition des
réflexes
pupillaires, du réflexe lumineux principalement
égressive et finalement la disparition des réflexes pupillaires, du
réflexe
lumineux principalement, que nous avons vu s'af
30 octobre 1901, réactions pupillaires normales; 28 juil- let 1902,
réflexes
lumineux tout à fait réduits. 3°X..., Paralysie
3°X..., Paralysie générale (examen du Der Schrameck) 18 juin 1902,
réflexes
pupillaires normaux; 12 juillet '1902, réflexe
ck) 18 juin 1902, réflexes pupillaires normaux; 12 juillet '1902,
réflexe
lumineux diminué à gauche, normal à droite ; -3
flexe lumineux diminué à gauche, normal à droite ; -3 juillet 1902,
réflexes
lumineux diminués des deux côtés. Ce dernier ma
dans un temps plus ou moins rapproché on aurait trouvé chez lui les
réflexes
lumineux abolis. Le signe d'Argyll s'établit do
une façon progressive et ~ quand on assiste à l'affaiblissement des
réflexes
lumineux (les réflexes à l'accommodation restan
~ quand on assiste à l'affaiblissement des réflexes lumineux (les
réflexes
à l'accommodation restant intacts) on peut attrib
même valeur qu'au signe d'Argyll. Cet affaiblissement progressif du
réflexe
lumineux est bien la règle et, le plus générale
érale, 10r examen : inégalité pupil- laire avec affaiblissement des
réflexes
lumineux ; 1° examen (trois semaines plus tard)
eux ; 1° examen (trois semaines plus tard) : abolition complète des
réflexes
lumineux, 3e examen (six semaines plus tard) :
ète des réflexes lumineux, 3e examen (six semaines plus tard) : les
réflexes
lumineux ne sont plus abolis, ils sont seulemen
amen : inégalité pupil- laire peu marquée ; pupilles irrégulières ;
réflexes
lumineux normaux ; 2° examen (huit jours après)
2° examen (huit jours après) : inégalité pupillaire très manifeste;
réflexes
lumineux très affaiblis. 3° examen (deux mois p
nt plus que de la déformation et un peu d'inégalité pupillaire; les
réflexes
lumineux ne sont plus affaiblis, mais tout à fa
vent progressive quand on examine le malade en temps opportun. Le
réflexe
accommodateur est lui, beaucoup moins sou- DES
ur nos 227 malades, nous n'avons trouvé que 56 fois des troubles du
réflexe
à l'accommodation. Il était aboli des deux côté
13 fois. 2 fois seulement nous l'avons trouvé atteint sans que le
réflexe
lumineux soit lésé. Nous pouvons donc dire que
lexe lumineux soit lésé. Nous pouvons donc dire que l'altération du
réflexe
accom- modateur seul est extrêmement rare, et q
ue souvent, même à une période avancée de la paralysie générale, le
réflexe
accommodateur reste normal. Si le réflexe à l
paralysie générale, le réflexe accommodateur reste normal. Si le
réflexe
à l'accommodation n'est que rarement atteint; l
es distances; c'est l'accommodation. En même temps et d'une façon
réflexe
la pupille se rétrécit, c'est le réflexe à l'ac
même temps et d'une façon réflexe la pupille se rétrécit, c'est le
réflexe
à l'accommodation. L'accommodation elle-même ve
venons-nous de dire, est bien moins souvent encore atteinte que le
réflexe
accommo- dateur lui-même, et sur le giand nombr
l'immobilité des pupilles à la lumière. - 2° Que l'altération dû
réflexe
accommodateur se rencontre parfois, mais beauco
décrire : Il est de règle, chez les paralytiques généraux, que le
réflexe
lumineux s'affaiblisse progressivement et finisse
se de la sorte à disparaître complètement pendant que persiste le
réflexe
accommodateur ; c'est là le signe d'Argyll-Robers
l-Roberston. Dans des cas peu nombreux on peut, après la perte du
réflexe
lumineux, assister à la diminution progressive et
umineux, assister à la diminution progressive et même à la perte du
réflexe
accommodateur. Quant à la perte de l'accommodat
» parce que cliniquement dans la très grande ma- jorité des cas, le
réflexe
lumineux est seul atteint. Bien peu nombreux so
mineux est seul atteint. Bien peu nombreux sont les malades dont le
réflexe
à l'accommoda- tion est lésé, et tout à fait ex
tiques (douleurs fulgurantes, incoordination motrice, abolition des
réflexes
, lésions atro- phiques de la papille, etc.), l'
e même fait, mais de plus, que quelques jours après la section, les
réflexes
mus- culaires sont très marqués de ce côté. Il
ccèdent de façon précoce aux affections articulaires sont d'origine
réflexe
vaso-motrice. Le réflexe s'accomplit par les vo
x affections articulaires sont d'origine réflexe vaso-motrice. Le
réflexe
s'accomplit par les voies sensitives de l'articul
monoplégie brachiale, puis en véritable hémiplégie. Exagération des
réflexes
; anesthésie droite. Deux grandes crises épilepti
ntraine un défaut de contrôle et une augmentation de l'irritabilité
réflexe
, c'est-à-dire une condition analogue à celle de
le faire lui-même. » Il n'a jamais fait de tentatives de suicide.
Réflexes
patellaires normaux. Pupilles rondes et égales.
suicide. Réflexes patellaires normaux. Pupilles rondes et égales.
Réflexes
lumineux et accommodateurs affaiblis. - Pas d'emb
nous avons constaté dans le domaine volontaire. Esumen physique. -
Réflexes
patellaires faibles. - Réflexes pu- pillaires (
aine volontaire. Esumen physique. - Réflexes patellaires faibles. -
Réflexes
pu- pillaires (lumineux et accommodateurs) faib
et égales, non dilatées. -Pas de rétrécissement du champ visuel.
Réflexes
conjonctivaux et pharyngiens normaux. - Perceptio
mblement considérable des mains. L'écriture n'est pas trop altérée.
Réflexe
rotulien aboli. L'examen psychique montre que l
es stimulus affé- rents et efférents. La décharge musculaire est un
réflexe
, en par- tie spinal, mais aussi cortical. Mais
les centres spinaux et exercent un antagonisme contre les décharges
réflexes
tant corticales que spinales. Les expériences d
leur est bien, comme l'a dit Sberrington, l'adjuvant psychique d'un
réflexe
protecteur. Ce sont les névropathes, les psy- ,
Babinsky est remarquable car elle contraste avec l'exagération des
réflexes
et on la retrouve dans tous les cas de lésions
grilédessphincters et des fonctions génitales. .Affaiblissement des
réflexes
rotuliens et exagération des achilléens. Abolit
des réflexes rotuliens et exagération des achilléens. Abolition du
réflexe
crémastérien.Maux perforants et hypertrophie os
. Pas d'hypo- tonie, pas d'incoordination. Homberg et abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens. Mais ces deux derniers
Ce sont, d'après Kroepelin : exagération parfois très accentuée des
réflexes
tendi- neux, augmentation de l'excitabilité méc
erveuses et men- tales, par Karpinsky, 149. Babinski. A propos du
réflexe
de - 236. ' Bégaiement. Le - graphique, par
et Ilm·t, : i7. - péri- pllpl'lque dps IlIelilbres illré1'Ïl'ul ?
Réflexe
1'0111111'11 latéralisé, par Jost.frand,324.pr'
à l'eruie do la d'angoisse, par Captas, 414. 0 , Névrosés. Voir
Réflexe
. Notes. Cliniques pathulogiques, pal' Molan,
quelques cas pathologiques, par Gilbert, Ballet et Delherm, 344.
Réflexes
. Voir Tumeur cérébmcle. Du - hypogastrique, par
hypogastrique, par Beelite- rew, 54 Le - sus-orbitaire, nou- veau
réflexe
dans le territoire (le la 5° et de la 7° paires
mus et Chiray, 78. Voir Sensibilité. Fruste avec conservation des
réflexes
cutanés et tendineux, par Dllpré et Camus. 17
. 178. Voir Asiles d'aliénés. Tumeur céiébrale avec abolition des
réflexes
te nrii neux, par Raymond. 1 Suruncasdeducanat.
s, iner-tes, et ne sont plus susceptibles que de mouvements pure-ment
réflexes
. En somme, vous le voyez, Messieurs, d'après ce
, le cerveau n'est pas complètement achevé. — Prédomi-nance des actes
réflexes
. — Observations de Soltmann et Tarchanoff sur es
succion, par exemple, sont purement ins-tinctifs, en un mot, d'ordre
réflexe
. Les récentes expériences de Soltmann, confirmé
ns de Woros-chiloff. — Influence du faisceau pyramidal sur l'activité
réflexe
de la moelle épinière. — Les faisceaux pyramidaux
t de l'influence exercée par les fais-ceaux pyramidaux sur l'activité
réflexe
spinale. Déjà, nos études relatives au développ
à cette époque les mou-vements du nouveau-né sont entièrement d'ordre
réflexe
. IV. Les mouvements réflexes sont mis au cont
u nouveau-né sont entièrement d'ordre réflexe. IV. Les mouvements
réflexes
sont mis au contraire sur le deu-xième plan quand
s qui prédominent. L'influence modératrice du cerveau sur les actes
réflexes
est d'ailleurs mise dans tout son jour quand on o
gation de l'épilepsie spinale au côté sain. — Phénomène de la main. —
Réflexes
tendineux Messieurs, Je me propose d'envisage
à l'occasion d'un mouvement volontaire. Il s'agit là d'un phénomène
réflexe
; je me propose d'ailleurs de le démontrer plus a
par M. West-phal, puis par M. Erb, sous la dénomination collective de
réflexes
tendineux. Ghàbgot. Œuvres complètes, t. iv, Lo
de Boudet de Paris et Brissaud. — Le tonus musculaire est une action
réflexe
permanente. Types et variétés des attitudes des
uée ou spontanée, la trépidation en question est un phénomène d'ordre
réflexe
, j'aurai à le démontrer. Qu'il me suffise de fair
stique de M. Berger que j'invo-quais dans la leçon précédente (1), le
réflexe
rotulien n'a manqué qu'une fois sur cent. M. Eule
puisqu'il semble, par lui-même, signaler déjà le phé-nomène comme un
réflexe
spinal. Nous n'avons pas oublié, en effet, que ch
ence modératrice qu'on prête au cerveau pro-prement dit sur les actes
réflexes
spinaux ne peut encore, à cette époque de la vie,
nes nouveaux sont collectivement désignés sous le terme géné-rique de
réflexes
tendineux. De tous, le mieux étudié, le plus faci
ême temps, offre le plus d'intérêt pratique, est connu sous le nom de
réflexe
patel-lalre, réflexe du tendon rotulien, phénomèn
lus d'intérêt pratique, est connu sous le nom de réflexe patel-lalre,
réflexe
du tendon rotulien, phénomène du genou, etc. Voic
mme son nom l'indique, le phénomène du genou est certainement d'ordre
réflexe
; c'est un réflexe spinal, et déjà quelques obser
ue, le phénomène du genou est certainement d'ordre réflexe ; c'est un
réflexe
spinal, et déjà quelques observations cliniques p
animaux sur lesquels on étudie les diverses conditions de l'activité
réflexe
spinale. Mais la nature réflexe du signe du ten
s diverses conditions de l'activité réflexe spinale. Mais la nature
réflexe
du signe du tendon, s'il pouvait sub-sister quelq
imentation-. DéjàMM. Fûrbinger etSchultze (1) avaient reconnu que les
réflexes
tendineux et, en particu-lier, celui du genou exi
cines posté-rieures ou les racines antérieures delà sixième paire, le
réflexe
cesse d'exister des deux côtés. Il manque d'un se
ntérieure ou la racine postérieure de ce côté. Ainsi, voilà la nature
réflexe
du phénomène bien établie, et il s'agit là assuré
re réflexe du phénomène bien établie, et il s'agit là assurément d'un
réflexe
spinal.Ajoutons que les recherches de Sachs ont m
irconstances, l'intensité du phénomène du genou. Il existe d'autres
réflexes
tendineux, en tout comparables à celui qui vient
étation clinique, l'analyse graphique de ces contractions musculaires
réflexes
, qui, dans l'état pathologique, subissent des mod
phénomènes que je vous signale, et déterminé la durée du temps de ce
réflexe
chez les su-jets sains. Récemment, M. Brissaud a
étlexe rotulien (hémiplégie avec contracture), côté sain. Le temps-du
réflexe
est de 40 millièmes de seconde. La courbe de cont
urbe de contraction a la forme normale. existe entre la contraction
réflexe
du triceps crural du côté de l'hémiplégie, et cel
n rotulien. La troisième ligne, graduée, indique la durée du temps du
réflexe
, en cinq cen-tièmes de seconde. Une correction es
de seconde. Une correction est nécessaire pour défalquer du temps du
réflexe
le temps perdu, correspondant à la transmission d
ouc de l'ap-pareil. En tenant compte de cette correction, le temps du
réflexe
n'est plus que de 36 millièmes de seconde du côté
actères de ces tracés concourent à démontrer l'exagération du pouvoir
réflexe
du centre spinal dans la Fig. 83. — Réflexe rot
'exagération du pouvoir réflexe du centre spinal dans la Fig. 83. —
Réflexe
rotulien. Côté contracture. Le temps perdu du réf
la Fig. 83. — Réflexe rotulien. Côté contracture. Le temps perdu du
réflexe
est de 36 millièmes de seconde. La courbe muscula
membres paralysés. En effet, tandis que du côté demeuré sain, l'acte
réflexe
a Fig. 84. — Exagération de la contracture du t
relief, en les exagérant ou en les produi-sant de toutes pièces, les
réflexes
tendineux. Nous allons le voir, maintenant, pré
chnine,ce même mé-dicament qui mettait en relief, tout à l'heure, les
réflexes
ten-dineux. C'est là une circonstance déjà propre
s ten-dineux. C'est là une circonstance déjà propre à montrer que les
réflexes
tendineux et la contracture sont des phénomènes c
e, peuvent accroître l'intensité des phénomènes connus sous le nom de
réflexes
tendineux. À propos des effets de la strychnine,
qu'il semble indiquer que la contracture tardive et l'exaltation des
réflexes
tendineux sont des phénomènes connexes, se ratta-
s elle persiste à un haut degré, et le phénomène du pied ainsi que le
réflexe
rotulien sont très exagérés dans le membre inféri
ir une paralysie complète,véritablement flaccide.J'ai reconnu que les
réflexes
tendineux sont, en général, manifestement exagéré
es ou des téguments. » C'est donc un phénomène dans lequel le pouvoir
réflexe
de la moelle épinière est en jeu. Or, il nous s
l'activité spinale. L'emploi de la strychnine qui fait apparaître les
réflexes
ten-dineux provoque de la même façon l'apparition
existent déjà ; et, inversement, les agents qui dépriment l'activité
réflexe
spinale diminuent également l'intensité de ces co
Mouve ments associés. - Indépendance des arcs diastal-tiques pour les
réflexes
tendineux et cutanés. Sommaire. — L'hémiplégie
le développement de la lésion spi-nale secondaire. — L'exaltation des
réflexes
ne résulte pas seulement des -la suppression de l
xagération du tonus musculaire. — Indépendance des arcs diastaltiques
réflexes
. — Ataxie loco-motrice ; hystérie avec hémianesth
, par une exaltation des phénomènes cutanés et par une exaltation des
réflexes
tendineux. Ici, on pourrait, à la rigueur, invo-q
faisceaux latéraux, tendrait à expliquer l'exagération des propriétés
réflexes
dans les parties de la moelle situées au-dessous
particulier, aux cel-lules œsthésodiques. Une exagération du pouvoir
réflexe
, dans tous ces modes, dans les parties correspond
us founirait la clef de certains phénomènes tels que l'exaltation des
réflexes
cutanés et tendineux. Sans forcer les choses, on
i question provoque également une exaltation de ce mode de l'activité
réflexe
spinale qui, à l'état normal, entretient la contr
un fait d'un grand intérêt pratique, que les deux modes d'activité
réflexe
spinale dont il s'agit, sont vraisem-blablement r
vation clinique démon-tre, en effet, que si ces deux modes d'activité
réflexe
sont souvent affectés simultanément, ils peuvent
r qu'il en est fréquemment ainsi. 1° Dans l'ataxie locomotrice, les
réflexes
cutanés persistent le plus souvent et sont même q
ouvent et sont même quelquefois manifestement exaltés. Cependant, les
réflexes
tendineux disparaissent de très bonne heure. Il e
eil cas, par le schéma suivant (voy, Fig, 86). L'arc diastaltique des
réflexes
cutanés n'est pas affecté ; l'arc diastaltique de
tique des réflexes cutanés n'est pas affecté ; l'arc diastaltique des
réflexes
tendineux et du tonus l'est au contraire profondé
nde jours, un exemple bien remarquable de cette indépendance des arcs
réflexes
. Un pharmacien de la province, M. X..., est venu
arée cependant que depuis huit ou dix mois environ; bien entendu, les
réflexes
tendineux sont abolis dans les membres inférieurs
d'hyperesthésie dont l'excitation détermine une violente con-traction
réflexe
des muscles fléchisseurs delà jambe; ainsi, lorsq
t en arrière, au bout de deux ou trois secondes seule-ment. La nature
réflexe
de cette contraction est bien évidente, attendu q
stement in-tactes. 2° Je puis citer au moins un cas dans lequel les
réflexes
ten-dineux sont exaltés, tandis que les réflexes
cas dans lequel les réflexes ten-dineux sont exaltés, tandis que les
réflexes
cutanés sont abolis. Fig. 87. — Arcs diastaltiq
cas est celui de l'hystérie avec hémianesthésie et hémipa-résie. Les
réflexes
tendineux du côté correspondant à l'hémia-nesthés
entes, restent sans résultat; elles ne sont suivies d'aucun mouvement
réflexe
(voy. Fig. 87). 3° Au contraire, dans le cas de
les deux systèmes diastaltiques sont affectés, mais inégalement. Les
réflexes
cutanés ne sont que modérément exaltés ; les réfl
négalement. Les réflexes cutanés ne sont que modérément exaltés ; les
réflexes
tendineux et le tonus surtout, qui est un phéno
ypothétique des éléments gan-glionnaires d'où dérive la surexcitation
réflexe
se montrera d'ailleurs variable suivant les cas e
s. — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes cliniques : actes
réflexes
. — Théo-ries relatives à la pathogénie de la cont
s systèmes diastaltiques, par la voie desquels s'effectuent les actes
réflexes
spinaux; et, en conséquence de la lésion supposée
ntrales des arcs diastaltiques doivent se traduire par des phénomènes
réflexes
plus énergiques qu'à l'ordinaire. Ainsi les excit
s nerfs musculaires centripètes, dé-terminent le phénomène d'activité
réflexe
incessante connu sous le nom de tonus et dont l'e
j'ai été amené à vous faire remarquer que les divers modes d'activité
réflexe
spinale que sépare l'analyse pathologique, parais
L'observation démontre, en effet, que si les divers modes d'activité
réflexe
peuvent être affectés quelquefois simultanément e
es premiers temps qui suivent l'attaque, après la période où tous les
réflexes
peuvent être momentanément abolis, les réflexes t
a période où tous les réflexes peuvent être momentanément abolis, les
réflexes
tendineux apparais-sent beaucoup plus tôt que les
bolis, les réflexes tendineux apparais-sent beaucoup plus tôt que les
réflexes
cutanés. Certains d'entre eux surtout sont remarq
'un corps froid sur la cuisse du côté correspondant (2), ou encore le
réflexe
pro-duit par l'excitation de la peau du ventre du
tion de la contracture. On comprendra aussi pourquoi l'exaltation des
réflexes
et même la contracture pourront, à un moment donn
paralysie plus ou moins prononcée, il y a uni exagération notable des
réflexes
tendineux, et même à ut certain moment, une contr
rable dea membres. La contracture et, à son défaut, l'exagération des
réflexes
musculaires et tendineux distinguent, cliniquemen
nts observés chez les hémiplégiques. — b) D'ailleurs, auparavant, les
réflexes
tendineux (phénomène du genou, etc.) étaient assu
ue unilatérale. — c) Il en est de même des autres modes de l'activité
réflexe
. C'est en effet dans le cas de compression spinal
'est en effet dans le cas de compression spinale que les mouvements
réflexes
sont le plus intenses ; ils sont alors parfois co
e forment, la fièvre hectique se déclare, et simultanément le pouvoir
réflexe
et la contracture dis-paraissent. Tantôt, au cont
des deux côtés. Du reste, dans le cours ultérieur des événements les
réflexes
cutanés, tendineux ou autres, la rigidité et la c
seulement quelque-fois après de longues années. Il va de soi que les
réflexes
ten-dineux sont très exagérés, tandis que les réf
de soi que les réflexes ten-dineux sont très exagérés, tandis que les
réflexes
cutanés con-servent leurs caractères normaux. 2
corps en avant qui met encore obstacle à la marche. D'ailleurs, les
réflexes
tendineux sont exaltés ; il n'y a pas d'atrophie
Inté-grité des fonctions de la vessie et du rectum. -- Abolition des
réflexes
. Délimitation du groupe des poliomyélites systé
es impressions sensitives et des impressions motrices volon-taires ou
réflexes
; de telle sorte que, si cette voie venait à être
as, surtout quandil s'agit des formes aiguës ou subaiguës, les divers
réflexes
sont ou diminués ou complètement abolis. Vous ave
ce de divers phénomènes qu'on peut dési-gner sous le nom générique de
réflexes
tendineux, l'examen minutieux qu'on en a fait peu
ions pathologiques qui favorisent l'apparition des con-tractures. Ces
réflexes
, lorsqu'ils ne dépassent pas une certaine mesure,
es en France et à l'é-tranger, tendent à établir que l'exaltation des
réflexes
tendi-neux et la contracture sont des faits conne
es inférieurs; enfin, la percussion du tendon du triceps détermine un
réflexe
manifestement exa-géré; et, si, au lieu de provoq
réflexe manifestement exa-géré; et, si, au lieu de provoquer l'action
réflexe
de ce mus-cle, on frappe légèrement la face antér
e ces chocs, caractère des plus importants dans l'es-pèce, puisque le
réflexe
tendineux des fléchisseurs des doigts, est peu pr
de la période spasmodique, tous les symptômes de l'hyperexcitabilité
réflexe
n'avaient fait que s'accroître. Mais, dès lors, e
ui lui donne une attitude sautillante tout à fait bizarre. Enfin, les
réflexes
, et particulièrement les réflexes tendineux, sont
nte tout à fait bizarre. Enfin, les réflexes, et particulièrement les
réflexes
tendineux, sont considérable-ment exagérés dans t
'atrophie extrême des membres supérieurs, on peut encore provoquer un
réflexe
tendineux exagéré des fléchis-seurs des doigts, p
e des symptômes consignés dans l'observation ; mais l'exagération des
réflexes
tendineux y est signalée, et nous savons, aujour-
issée, excavée de fossettes, animée de tremblements fibrillaires, Les
réflexes
sont exagérés partout (réflexes tendineux des mem
mée de tremblements fibrillaires, Les réflexes sont exagérés partout (
réflexes
tendineux des membres supérieurs et des membres i
cause de gêne incessante. Faux-pas à chaque instant. Exagération des
réflexes
tendineux. Après la percussion du tendon rotulien
ntion de la contracture en propres termes, bien que l'exagération des
réflexes
tendineux ait été signalée ; aussi, ce cas unique
-elle existé à un moment donné pour disparaître par la suite ? Et les
réflexes
tendineux ont-ils été étudiés ? Il n'en est pas q
olontaires. Or, les secousses involontaires, comme l'exa-gération des
réflexes
tendineux, sont des phénomènes analo-gues ou de l
s ou de la même origine, et qui confinent à la contracture. Quant aux
réflexes
, il n'en est pas plus question dans cette observa
les quatre ou cinq cas de M. Leyden lui-même. Or, pour ce qui est des
réflexes
tendineux, M. Leyden ne croit pas que, dans aucun
yden ne croit pas que, dans aucune de ses observations, l'absence des
réflexes
n'ait pas été signalée. A cet égard, cependant, l
'observation II de son mémoire fait exception, car il est dit : « les
réflexes
tendineux du genou sont nettement conservés (1).
spasmodique de l'affection, en analysant avec soin les caractères des
réflexes
tendineux dont il n'est fait aucune mention. II
motrice très prononcée des membres inférieurs, avec conservation des
réflexes
tendineux : « Les membres inférieurs, dit-il, son
miplégie gauche, plus prononcée au membre supé-rieur; exagération des
réflexes
tendineux du côté malade; refroi-dissement du mêm
, le cerveau n'est pas complètement achevé. — Prédomi-nance des actes
réflexes
. — Observations de Soltmann et Tarchanoff sur les
ns de Woros-chiloff. — Influence du faisceau pyramidal sur l'activité
réflexe
de la moelle épinière. — Les faisceaux pyramidaux
gation de l'épilepsie spinale au côté sain. — Phénomène de la main. —
Réflexes
tendineux................ 294 DOUZIÈME LEÇON.
de Boudet de Paris et Brissaud. — Le tonus musculaire est une action
réflexe
permanente. Types et variétés des attitudes des
- Mouvements associés. --Indépendance des arcs diastaltiques pour les
réflexes
tendineux et cutanés. Sommaire. — L'hémiplégie
xagération du tonus musculaire. — Indépendance des arcs diastaltiqucs
réflexes
. ¦— Ataxie loco_ motrice ; hystérie avec hémianes
s. — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes cliniques : actes
réflexes
. — Théo-ries relatives à la pathogenic de la cont
— Inté grité des fonctions de la vessie et du rectum.— Abolition des
réflexes
. Délimitation du groupe des poliomyélites systé
striées lenticulo-optiques, 95, 96. Ataxle locomotrice, 180, 268; —
Réflexes
dans 1' —, 337. Atrophie cérébrale, 335. Atro
l, 140. Genou de la capsule interne, 204. Graphique (Analyse) des
réflexes
. (V. Réflexes). Gyrus amgularus, 13. (V. Pli
de la capsule interne, 204. Graphique (Analyse) des réflexes. (V.
Réflexes
). Gyrus amgularus, 13. (V. Pli courbe.) Gyrus
es périphériques de l'encé-phale, 79. — Foyers localisés de —, 239.
Réflexes
: chez le nouveau-né, 194 ; — tendineux, 305 et
parole lente; moitié gauche de la face moins mobile que la droite;
réflexes
rotuliens légère- ment exagérés à droite; vomis
sensibilité cutanée. Pouls régulier, à 80. Température normale. Le
réflexe
rolulien est un peu exagéré à droite. Pas de cl
externe paralysé; mot. ocul. co., parésié ; - pathétique intact ; -
réflexes
lumineux, et à l'accommodation abolis; pupille
pupille dilatée; - nystag- mus. 0. G. le droit supér. est parésié.
Réflexes
à la lumière et à l'accommodation abolis; pupil
dérobe sous elle; elle tomberait iL droite si on ne la soutenait ;
réflexe
rotulien exagéré de ce côté. Pas d'irrégularité
ale, cécité, parésie des membres inférieurs, gâtisme, abolition des
réflexes
rotuliens. » État actuel pris à l'entrée à la
ndés. Elle n'éprouve pas de douleurs dans les membres inférieurs,
Réflexe
rotulien plus fort à droite. Pas de réflexe cutan
les membres inférieurs, Réflexe rotulien plus fort à droite. Pas de
réflexe
cutané plantaire. - La sensibilité est conservé
s- sements alimentaires et bilieux, parésie de la jambe droite et
réflexe
rotulien exagéré de ce côté ; enfin cécité à ga
que la flexion soit normale. Masses musculaires atrophiées partout;
réflexes
normaux. Pas d'onychophagie. Membres inférieu
e le gaucho. Les mouvements spontanés sont possibles, mais lents.
Réflexes
aclrillccns et rotuliens faibles à gauche, abo-
uelque temps après de paraplé- gie spasmodique avec exagération des
réflexes
rotulien et achilléen, clonus du pied et de la
it vient à l'appui de la théorie ncuro-irritative par voie de l'arc
réflexe
sympathique des atrophies abarticulaires. G. D.
hoses périodiques) et l'absence du reste inexpliquée des principaux
réflexes
cutanés et tendineux. G. D. V. - Tremblement
'hui sur la valeur pronostique de l'abolition ou de la présence des
réflexes
. Nous-même (1) avons soutenu que. si l'état des
ésence des réflexes. Nous-même (1) avons soutenu que. si l'état des
réflexes
ne pouvait nous donner de renseignements absolu
ner de renseignements absolument sûrs, l'abolition permanente des
réflexes
, l'influence du shock étant éliminée, était un
des fléchisseurs de la cuisse et des extenseurs de la jambe. Les
réflexes
des membres inférieurs, tant tendineux (rotulien
dineux (rotulien achilléen) que cutanés (plantaire) sont abolis. Le
réflexe
cutané abdominal est conservé. Il existe une at
impossible d'avoir des renseignements sur l'état et l'évolution des
réflexes
ten- dineux. Nous savons qu'au début, immédiate
point de vue de la théorie, de savoir comment se sont comportés les
réflexes
pendant la période d'amélioration motrice. S'il
eut se manifester par une excitation démesurée, une exagération des
réflexes
et de tous les mouvements, ou bien par une dimi
ésie des ovaires et du creux de l'esto- mac. Système nerveux. Les
réflexes
lendineux augmentés : trem- blement des mains i
ineux augmentés : trem- blement des mains il chaque mouvement ; les
réflexes
pharyn- giens et oculaires étaient abolis, trem
iable : tantôt plus forte que la normale. Les principaux mouvements
réflexes
sont absents : nous n'avons pu obtenir la manif
éflexes sont absents : nous n'avons pu obtenir la manifestation des
réflexes
du genou, ni du bras, ni du réflexe cutané plan
u obtenir la manifestation des réflexes du genou, ni du bras, ni du
réflexe
cutané plantaire, ni le réflexe pharyn- gien. L
éflexes du genou, ni du bras, ni du réflexe cutané plantaire, ni le
réflexe
pharyn- gien. Le réflexe cornéen est faible ; l
ras, ni du réflexe cutané plantaire, ni le réflexe pharyn- gien. Le
réflexe
cornéen est faible ; les différentes formes dus
gien. Le réflexe cornéen est faible ; les différentes formes dus
réflexes
papillaires sont, normales. Les circonstances ne
et surtout mentale du côté de la mère. 2° L'absence des principaux
réflexes
. Dans l'état actuel delà question des myotonies
les symptômes tabétiformes (incoordination motrice et abolition des
réflexes
). Obs. III. Malade B ? Jean, 48 ans.Entré dans
langue, propulsions et rétractions. Iné- galité pupillaire, pas de
réflexes
. Abolition des réflexes rotu- liens. Démarche p
rétractions. Iné- galité pupillaire, pas de réflexes. Abolition des
réflexes
rotu- liens. Démarche peu nette comme tabès ; n
vé. @ L'un de nos malades, éthylique, a aussi des aboli- tions de
réflexes
relevant des scléroses médullaires com- binées
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 123 XIII. - Deux nouveaux
réflexes
cutanés sur les membres inférieurs, par E. Redl
cutanés sur les membres inférieurs, par E. Redlich. Exagération des
réflexes
cutanés sur le côté parétique dans les hémiparé
isse même et aussi de la région fessière. 11 n'est pas rare que ces
réflexes
se propagent de l'autre côté et s'accompagnent
ésions cérébrales organiques, carac- térisées par l'exagération des
réflexes
tendineux du côté parodique avec phénomène de B
du côté parodique avec phénomène de Babinski et de Struempell, les
réflexes
cuta- nés étaient bien plus vifs que du côté sa
utanés étaient diminués, tandis que d'autres étaient exagé- rés. Le
réflexe
cutané de la cuisse, qui d'ordinaire est diminué
ades sur 7 avaient de l'épilepsie Iaclïsonienne,; l'exagération des
réflexes
cutanés se constatait etimmédiatemontct assez lon
la moelle lombo-sacréu ou même de toute la moelle ; e) par l'action
réflexe
de grands nerfs sensitif (sciatique, splanchniq
e, nerf pelvien ; g) à un moindres degré, par l'action di- recte et
réflexe
due à l'action de l'hypogastrique lombaire ou sym
ypogastrique lombaire ou sym- pathique ; h) par l'action directe et
réflexe
due à l'irritation du nei-fya,,ue- ? ). L'inhtb
dessus du foyer. P. Keraval. X1'lC. - Contribution à la question du
réflexe
cornéo-man- dibulaire ; par. 11APLAN. Réponse a
R. [Neurolog. Ccntmlbl., XXII, XXIII, 1904.) Critique par Kaplan du
réflexe
de de Soeldet'(\ oy, .l ? 'chi¡;es de Neurologi
, 2. série, t. XVI, p. 430). Il s'agirait pour lui, non d'un simple
réflexe
, mais de processus complexes d'une autre nature.
coma profond. Ce sont bien là les caractères de ce qu'on appelle un
réflexe
, en physiologie comme en clinique ». P. Keraval
nes intra- musculaires intimes. On n'entend rien à l'occasion des
réflexes
profonds tels que le réflexe patellaire, même q
. On n'entend rien à l'occasion des réflexes profonds tels que le
réflexe
patellaire, même quand ces réflexes sont exagérés
es réflexes profonds tels que le réflexe patellaire, même quand ces
réflexes
sont exagérés ; il est douteux qu'on entende un
sont exagérés ; il est douteux qu'on entende un son léger dans les
réflexes
cutanés : cela doit tenir à la brièveté de la c
ces d'innervation : rapprochons-en l'absence de son dans Les cas de
réflexes
profonds, la genèse des contractures étant en s
es profonds, la genèse des contractures étant en somme un processus
réflexe
. P. Keraval. XX. Réflexe patellaire supérieur
contractures étant en somme un processus réflexe. P. Keraval. XX.
Réflexe
patellaire supérieur et sa signification ; par
ur du siège et fasse avec la cuisse un angle d'environ 1 : ? Oo. Ce
réflexe
, conservé chez 50 à 60 % des adultes, est exagé
20 d'entre eux ; son exagération indiqué l'exagération de tous les
réflexes
profonds. Il existait, chez 40 % des enfants. L
s. Lorsqu'il est augmenté, on en peul conclure à l'augmentation des
réflexes
tendineux ; si on ne l'obtient pas facilement,
exes tendineux ; si on ne l'obtient pas facilement, d'ordinaire les
réflexes
profonds sont normaux. Sa disparition précède,
de coordination ; des anomalies de la sensibilité ; l'absence des
réflexes
tendineux; de l'hypotonie ; et d'autre part : II.
orteils sont en grille, la démarche est spéciale, petits pas : le*
réflexes
tendineux qui ont disparu au début reparaissent e
de la clini- que du prof. Lépine. L. WAHL, 1 \ \'ll l. - Nouveau
réflexe
émané du dos du pied, par K. MENDE ? Nouveau ré
l l. - Nouveau réflexe émané du dos du pied, par K. MENDE ? Nouveau
réflexe
spécial de flexion desorteils, par W. de DECHTE
sale des orteils est d'autant plus accl'l1- tuée que l'excitabilité
réflexe
générale est plus grande : elle relève p des af
flexion dorsale, mais une flexion plantaire du 4o orteil ; alors le
réflexe
de 13ahinski existe (hémiplégies organiques, af
élites, sclérose en plaques, paralysies spinalesspasmodiqucs). Ce
réflexe
peut servir il distinguer une paralysie organique
ion dorsale n'élimine pas l'idée d'une paralysie organique. Le même
réflexe
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
ion plantaire des orteils. M. Bechterew rappelle son travail sur le
réflexe
tarsophalan- gieil (1901). - Il pense que la fl
sur le réflexe tarsophalan- gieil (1901). - Il pense que la flexion
réflexe
des orteils peut, avec le réflexe de Babinski,
(1901). - Il pense que la flexion réflexe des orteils peut, avec le
réflexe
de Babinski, conslituerun signe diagnostique impo
des lésions organiques des conducteurs moteurs, dans les cas où le
réflexe
de Cabinski manque ou est il peine marqué. A ce
qué. A cela AI. K. Mendel réplique qu'il y a bien plus de cas où le
réflexe
de Babinski existe, alors que le réflexe en fle
y a bien plus de cas où le réflexe de Babinski existe, alors que le
réflexe
en flexion manque. Quant à la flexion dorsale (
t dans les cas de névropathic fonctionnelle. Elle est l'analogue du
réflexe
plantaire normal des orteils, tandis que la fle
rmal des orteils, tandis que la flexion plantaire est l'analogue du
réflexe
de Babinski. Enfin il y a toute une catégorie d
nt pas dégénéré, ils ont subi la nécroltiose. p, Keraval. XXX, - Du
réflexe
cochléo-facial, par A. G. 1\'AOUMANN. Un réflex
raval. XXX, - Du réflexe cochléo-facial, par A. G. 1\'AOUMANN. Un
réflexe
spécial de l'ouïe ou réflexe acoustico-palpébral
chléo-facial, par A. G. 1\'AOUMANN. Un réflexe spécial de l'ouïe ou
réflexe
acoustico-palpébral ; par \Y. M. Bechterevv. (O
l'oreille excitée ne réagissent plus non plus. Celte contraction
réflexe
de l'orbiculaire palpébral exigu le ? condition
rrière lui tout un examinant les paupières de son sujet. C'est un
réflexe
permanent acoustico ou cochléo-facial, au piel,
éflexe permanent acoustico ou cochléo-facial, au piel, comme à tout
réflexe
, peut résister la volonté ou l'atteutio ! ); ma
soumis, il ne peut guère invariable- ment commander aux mouvements
réflexes
de ses paupières, ou tout au moins il lui faut
ou tout au moins il lui faut une tension rapide delà volonté. Ce
réflexe
se produit par l'intermédiaire des libres du corp
tcatarriiaie de eu nerf. Il est également exagéré quanti les autres
réflexes
du la face sont exagérés, notamment le réflexe
é quanti les autres réflexes du la face sont exagérés, notamment le
réflexe
oculaire, chez les paralytiques généraux en par
sent une différence du ré- tioxe acoustique d'un côté à l'autre. Ce
réflexe
est aussi plus ou moins augmenté dans quelques
ades ont une diminution de l'odorat. 1'. KI.RAVAI,. XXXV. Nouveau
réflexe
sur la plante du pied ; par V. \'1T1 : 1;. (,'V
atarsiens provo- que une légère flexion plantaire du pied. C'est un
réflexe
normal. Chez les sujets à réflexes palellaires
exion plantaire du pied. C'est un réflexe normal. Chez les sujets à
réflexes
palellaires et achilléens exagérés, la flexion
exemple : paralysie spinale spas- modique, sclérose en plaques. Ce
réflexe
esl, très intense dans la neurasthénie, l'hysté
l'hystérie, la sciatique bilatérale radiculaire P. Keraval, - Des
réflexes
aponévrotiques des extrémités infé- rieures ; p
par \\'. M. CECHTERE\·'. (Obo : ;l'enie psichiatrii, VIII). I. - Le
réflexe
tibial obtenu par le heurt léger unique ou ryth-
e la jambe. Il se manifeste dans les paralysies organiques. 2° Le
réflexe
du grand trochanter consiste en une contraction
ins cas d'hémiplégie, tourn ;r la plante du pied en dedans. 5° Le
réflexe
de la malléole interne e manifeste souvent par
dehors. Parfois, dans des condition analogues on provoque aussi des
réflexes
en agissant sur la face externe des extrémités in
ter les fessiers. Tous ces ré- flexes indiquenl l'hypurexeilabililé
réflexe
. 7° Bien plus rarement se produit, le réflexe é
l l'hypurexeilabililé réflexe. 7° Bien plus rarement se produit, le
réflexe
émanant de l'eoelre- mité supérieure et antérie
vements passifs sont tous possibles. Abolition ou diminution des
réflexes
musculaires. Peu à peu les douleurs se calmèrent,
urs enfants de la même famille et elle est parfois héréditaire. Les
réflexes
tendi- neux sont normaux. On ignore encore l'an
es ; destruction étendue des man- chons de myéline) ; l'absence des
réflexes
cutanés abdominaux ; l'existence du signe du Ba
t) 1H ? sentaienl une dimi¡¡¡¡, tion considérable ou, l'absence des
réflexes
patellaircs. C'est le de- gré et l'intensité de
tremblement dans les doigts explicable par le travail des bras. Les
réflexes
acliilléens ont toujours persisté. Très rares o
té du corps entier : mê- me explication à l'égard de l'intégrité du
réflexe
pupillaire trou- blé en un seul cas. L'auteur
du négativisme, de la raideur, delà catalepsie avec exagération des
réflexes
, faciès terrifié, égaré. En juilleL 1901, elle s'
ts des divers examens auxquels nous nous sommes livré (l'examen des
réflexes
suivra l'étude des (roubles moteurs). Ces exame
remblements l1ydml'g l'i(IUpS de la sclérose en pla- ques, de. Le
réflexe
patellaire seul est un -peu exagéré ; les autres
12 178 8 CLINIQUE NERVEUSE. flexes tendineux sont normaux. Les
réflexes
du llosenbach et cu- tané plantaire sont égalem
gravidique ') Certains auteurs expli- quent celle-ci par une action
réflexe
, dont l'origine se- rait une excitation partie
e travail a fourni une dérivation : quel qu'en soit le mé- canisme (
réflexe
d'inhibition ou autre), l'attention du système
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 205 \LVII. - Le
réflexe
de l'extenseur commun des doigts; par ARTURO Mo
. fasc. 4). De ses recherches personnelles, l'auteur conclut que ce
réflexe
se produit surtout quand on frappe sur la masse
exagéré, diminué ou aboli. Dans certaines affections nerveuses, le
réflexe
peut être un signe différentiel, comme par exem
hinomanie, folies etpseudo-paralysies générales des alcooliques) le
réflexe
est faible. Au contraire,il peut être exa- géré
sibles ne montrent- aucune altération du cylindraxu..1. S. L\'lL-
Réflexes
dans l'Hystérie. Valeur séméiologique de la dis
flexes dans l'Hystérie. Valeur séméiologique de la dissociation des
réflexes
plantaires et rotuliens ; par M. le Prof..1. Te
rutulienne qui se manifeste le plus souvent par l'exagération du
réflexe
rotulien et l'abolition du réflexe plantaire (la
lus souvent par l'exagération du réflexe rotulien et l'abolition du
réflexe
plantaire (la sensibilité de la plante du pied
'exagération des réflexe-' patellaires 79 fois % et l'abolition des
réflexes
plantaires (15 %', M. Teissier, SI}. basant sur
nomènes tels que nystagmus, déviation de la langue, exagération des
réflexes
tendineux. Observation Il. - Garçon de l5ana. I
l'examen anthropologique, physiologique, nerveux, avec l'état des
réflexes
, delà sensibilité, des organes des sens, et l'éta
raction irienne et instabilité cardiaque, paresse de la pupille, le
réflexe
lumineux est presque aboli, le réflexe d'accommod
e, paresse de la pupille, le réflexe lumineux est presque aboli, le
réflexe
d'accommodation est très diminué. Instabilité c
face et même au tronc sans troubles vaso-moteurs appréciables. Les
réflexes
rotuliens sont très exa- gérés, la parole est l
cessitèrent son ad- mission. On notait à eu moment des troubles des
réflexes
, des douleurs, du l'hypocsthésie, avec insensib
tuellement : à gauche, exagé- 224 SOCIÉTÉS SAVANTES. ration des
réflexes
avec clonus indéfini du la rotule et trépida- t
ies organiques par la conserva- lion des mouvements automatiques et
réflexes
. Celte dissociation archives, 2- série 1006, t.
XXI. la 22G SOCIÉTÉS SAVANTES. entre mouvements volontaires ut
réflexes
se rencontre aussi dans les paralysies organiqu
automatisme inconscient. Le choc traumatique a produit une érection
réflexe
qui le FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TR
ès bien à l'asile et compte y rester toute sa vie. Pupilles égales,
réflexes
normaux, strabisme de l'oeil gauche. Embarras d
ux (Parhon). P. KERAVAL. LX. Nouvelles contributions à la nature du
réflexe
or- bitaire ; par C. IIUDOVERNIG. (Neurolog. Ce
a contraction de l'orbi- culaire par ce moyen. Ce n'est donc pas un
réflexe
. Il se produit par l'excitation mécanique non s
et les paralysies générales périphé- riques. Cessons de l'appeler :
réflexe
frontal, réflexe sus-orhitairc réflexe trigemin
générales périphé- riques. Cessons de l'appeler : réflexe frontal,
réflexe
sus-orhitairc réflexe trigemino-facial, réflexe
ques. Cessons de l'appeler : réflexe frontal, réflexe sus-orhitairc
réflexe
trigemino-facial, réflexe oculaire. Le nom de phé
: réflexe frontal, réflexe sus-orhitairc réflexe trigemino-facial,
réflexe
oculaire. Le nom de phénomène oculaire iCechter
membres inférieurs, hypotonie, signe de Romberg, signe de Babinski,
réflexes
patellaires exa- gérés. La malade meurt de bron
s'agit d'Un cas de paraplégie pot- tique, dans lequel le régime des
réflexes
du gros orteil était exactement inverse aux deu
? L'auteur admet l'inversion parce que l'isolement et la lenteur du
réflexe
par rapport aux autres orteils le séparaient du
lenteur du réflexe par rapport aux autres orteils le séparaient du
réflexe
normal de flexion et parce que l'existence d'un
compatible avec la conservation unilatérale d'un état nor- mal des
réflexes
, Voici l'interprétation qu'il propose. Le régime
normal esl tel que la perturbation pathologique se révèle par un
réflexe
inverse de ce régime ; si ce régime préexistant à
que - sa perturbation patholo- gique se révélerait à son tourpar un
réflexe
pathologique inverse du réflexe habituel, c'est
ique se révélerait à son tourpar un réflexe pathologique inverse du
réflexe
habituel, c'est-à-dire par un réflexe de flexion.
flexe pathologique inverse du réflexe habituel, c'est-à-dire par un
réflexe
de flexion. En tous les cas, cette observation
optose, irrégularité de la pupille droite avec affaiblisse- ment du
réflexe
lumineux de ce côté. Cinq mois plus tard, signe
al, de nouveau constaté trois mois après; absence, à ce moment, des
réflexes
achilléens.Traitement àl'iodure de mercure à l'
. Vingt-deux mois après la première constatation de l'abolition des
réflexes
palel- laires et achilléens, ces réflexes ont r
tation de l'abolition des réflexes palel- laires et achilléens, ces
réflexes
ont reparu, mais ils sont faibles. Cinq mois ap
ces réflexes ont reparu, mais ils sont faibles. Cinq mois après ces
réflexes
patellaires ont récupéré leur ac- tivité. L'a
obertson. Il va de soi que lorsqu'il s'agit de la réapparition d'un
réflexe
, on puisse penser que l'arc rellexe ou le centr
ition d'un réflexe, on puisse penser que l'arc rellexe ou le centre
réflexe
n'a pas été détruit ou au moins que les altérat
ration ; tel est le cas de l'inertie pupillaire intermittente et du
réflexe
patellaire res- titué par une hémiplégie. Mais
de croire qu'il s'est agi d'une lé- sion réparable du centre spinal
réflexe
. P. KERAVAL. XXXIV. Troubles congénitaux des mo
latives à l'excitabilité mécanique des muscles ou aux soi-disant
réflexes
musculaires dans les maladies ner- veuses. (Id.
et avec celle du muscle. IL - L'excitation mécanique du muscle ou,
réflexe
musculaire, qui se traduit par la contraction d
r l'inlermédiaire du plessimètre placé au travers de l'organe. Le
réflexe
musculaire, distinct du réflexe lendineùxou musCU
re placé au travers de l'organe. Le réflexe musculaire, distinct du
réflexe
lendineùxou musCUlo- lendineux, Se produit, dan
il est tout à fait indépendant du degré de tension du mus- cle, le
réflexe
tendineux n'ayant lieu qu'à la condition d'une ce
yant lieu qu'à la condition d'une cer- taine tension musculaire. Le
réflexe
musculaire a peu de relations avec le réflexe t
ension musculaire. Le réflexe musculaire a peu de relations avec le
réflexe
tendineux, d'autant que la contraction générale d
due à l'excitation mécanique directe du muscle de la con- traction
réflexe
due à son extension mécanique. Cela tient à ce
tion réflexe due à son extension mécanique. Cela tient à ce que les
réflexes
musculaires ne sont point du tout le résultat de
Il faut donc que l'état du système ner- veux se réfléchisse sur les
réflexes
musculaires. Déjà, k l'état normal, les réflexe
éfléchisse sur les réflexes musculaires. Déjà, k l'état normal, les
réflexes
musculaires ne sont pas iden- tiques ; les pers
es musclées fortement, comme les manoeuvres, présentent souvent des
réflexes
musculaires moins accusés que celles à système
ion de la tonicité musculaire correspond donc à la dimi- nution des
réflexes
musculaires, la diminution de la tonicité muscu
tion de la tonicité musculaire correspond à quelque exagération des
réflexes
mus- culaires. Quand le neurome périphérique
uffert. on observe d'ordi- naire, avecla diminution ou l'absence de
réflexes
tendineux, dans les cas récents, une exagératio
es, de l'avant-bras,on observe presque constamment l'augmention des
réflexes
musculaires. La contraction est paresseuse ci l
e musculaire, avec la disparition de l'excitabilité électrique, les
réflexes
musculaires s'affaiblissent, la lenteur de la c
traduisent d'habitude par une augmentation plus ou moins nette des
réflexes
musculaires, mais la lenteur de la contraction
existe pas, et l'exagération du ré- flexe est parallèle à celle des
réflexes
tendineux constatés en l'es- pèce. Dans la dy
tés en l'es- pèce. Dans la dystrophie musculaire progressive, les
réflexes
muscu- laires diminuèrent, tandis que dans l'at
dinairement non de la diminution,mais quelque aug- mentation de ces
réflexes
dès le début. Dans le tabes dorsal, malgré l'ab
s réflexes dès le début. Dans le tabes dorsal, malgré l'absence des
réflexes
tendineux, les réflexes musculaires existent da
Dans le tabes dorsal, malgré l'absence des réflexes tendineux, les
réflexes
musculaires existent dans les extrémités inférieu
Dans la démence paralytique en certains cas, il y a exagération des
réflexes
musculaires de la face et en partie des extrémité
sculaires de la face et en partie des extrémités ; en d'autres, ces
réflexes
demeurent sans changements. Dans quelques affec
meurent sans changements. Dans quelques affections convulsives, les
réflexes
musculaires sont augmentés ainsi que des réflex
convulsives, les réflexes musculaires sont augmentés ainsi que des
réflexes
tendineux. Dans la tétanie il y a exagération d
que des réflexes tendineux. Dans la tétanie il y a exagération des
réflexes
musculaires. As- sez souvent quelques groupes d
odicité a été fort variable allant depuis la simple exagération des
réflexes
tendineux et osseux (type amyotrophique) jusqu'
au point de simuler une myélite transverse (type spasmodique). Le
réflexe
de Babinski n'a été trouvé qu'une seule fois. Il
nté, elle crée ou exalte le pouvoir d'arrêt ; ainsi, elle inhibe le
réflexe
du vomissement, tont comme, en orthopédie menta
te pas les siens ; rougeurs de la face par accès et dermographisme,
réflexes
exagérés. C. quinzaine : Dépression mélancoli
la parole, obtu- sion intellectuelle. Oscillations pupillaires et
réflexes
très exagérés. Mouvements automatiques au lit l
(1) dé- montre que la migraine est une maladie toxique, à action
réflexe
et excitante sur les centres nerveux. Il s'est co
hall qui doit avoirla plus grande importance ; c'est l'abolition du
réflexe
patellaire et celle du réflexe achilléenqui est
de importance ; c'est l'abolition du réflexe patellaire et celle du
réflexe
achilléenqui est la manifestation la plus certain
e homme de 23 ans, sur lequel ils ont constaté la disparition des
réflexes
achilléens, l'existence du signe d'AI'gyll el d'u
pieds du sol ; la jambe gauche est plus paralysée que la droite. Le
réflexe
rotu- lien existe v droite seulement; il n'y a
cée à gauche. Tendance à la rigidité des membres, exagération des
réflexes
patellaires. La langue a en partie conservé les m
fibrillaires des différents muscles. Exagéra- tion considérable des
réflexes
patellaires ; pas de trépidation, mais une fois
d se détache difficilement du sol, laissant traîner la pointe. Le
réflexe
masséttrin est augmenté. Le côté droit de la face
sme rectal. Perte du sens génital ; fonctions vésicales normales.
Réflexes
oculaires normaux, pupilles normales, vision inta
oppée, exagération. LA SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 443 des
réflexes
du genou, surtout à gauche ; clonus du pied et de
ssent aussitôt qu'elles sont soustraites au refroidissement). Les
réflexes
rotuliens sont énormément exagérés ; le clonus du
, à part une ten- dance très fugitive à l'inégalité pupillaire. Les
réflexes
irions sont normaux. Des symptômes d'atrophie
laire, mouvements fibrillaires multiples, exagération énor-' me des
réflexes
tendineux ». 25 mars. «1 ? est un homme de gran
e à la fois de la paralysie spasmodique et cle l'amyo- trophie. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés, surtout celui de
rtout celui de gauche ; pas de signe de Babinski ; conservation des
réflexes
cutanés ; clonus du pied provoqué par le simple
aussi ancien (18 ans). Il s'y ajoute, à droite, de l'exagération du
réflexe
rotulien et le signe de Babinski, reliquats d'u
d'engourdissement, présenta une parésié totale avec exagération des
réflexes
, clonus et phénomène des orteils, dissociation
- ches relatives iL l'- mécanique des muscles ou aux soi-disant
réflexes
musculaires dans les maladies nerveuses, par Bc
éphalile. Hémioculomoteurs. Voir Paral. sic. Hémiparésies. Voir
Réflexes
. Hémiplégie traumatique tardive, par Souques,
Orne (département de l'-). Voir Paralysie générale. Orteils. Voir
Réflexes
. De l'in- version unilatérale du phéno- mène
eligieu- ses de Port-Royal, par Binet- S'anglé, 497. Pied. Voir
Réflexe
. Pleurésie. Voir Déformation. Poliomyélite. R
@ Maladie de. - avec dystrophies, par Klippel et Maillard, 153.
Réflexes
. Deux nouveaux - cuta- nés sur les membres infé
pathogénie. Je veux, aussi, attirer votre attention, sur l'état des
réflexes
tendineux ; parce que la question mérite d'être
nte publiées en France et à l'étranger, vous verrez que, tantôt les
réflexes
sont trouvés affaiblis, ailleurs normaux ; dans
elles représentent l'un des modes. Vous voyez, Messieurs, que les
réflexes
tendineux, à peu près nuls, dans les trois autr
été de Neuro- 8 RAYMOND. logie, juin 1903), que l'exagération des
réflexes
peut se limiter aux mus- cles atteints par la r
léger abaissement de la commis- sure labiale, du côté gauche. Les
réflexes
tendineux, faibles à droite, sont exagérés à gauc
rité qui se présente par- fois lorsque vous rechercherez l'état des
réflexes
tendineux. J'ajoute que l'examen électrique des
he, un tremblement, de la rigidité musculaire, avec exagération des
réflexes
, et diminution légère de l'excitabilité électriqu
la flexion de l'orteil, flexion peu considérable, il est vrai, les
réflexes
cu- tanés étant habituellement faibles chez les
nte dans les muscles fléchisseurs , des membres. J'ajoute que les
réflexes
rotuliens sont seuls exagérés; 1 orteil est en
tum médian contient beaucoup de ces fibres. Les fibres collatérales
réflexes
et les faisceaux radiculaires verticaux, sont d
scléreuse n'ont guère varié depuis la 5e lombaire. Les collatérales
réflexes
commencent à reparaître. 3e Lombaire. L'arrivée
es restent abondantes dans la branche horizontale. Les collatérales
réflexes
sont normales ainsi que les gros- ses fibres du
. L'observation clinique ayant été égarée, je n'ai pu savoir si les
réflexes
ten- dineux étaient abolis. La moelle a été d
d'une bandelette très mince et très peu accusée. Les colla- térales
réflexes
sont presque absolument détruites ainsi qu'à tous
moyenne de Flechsig dans les cordons postérieurs ; les collatérales
réflexes
, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne
ière gauche, un peu de divergence des axes oculaires. Abolition des
réflexes
rotu- liens. ' 5 1 1 CROUZON - Autopsie. La
onnus. Douleurs des membres inférieurs ; paraplégie ; abolition des
réflexes
rotuliens. Cécité absolue. Gâtisme. (t) Nous av
: douleurs des jambes, incontinence d'urine, myosis, abolition des
réflexes
rotuliens, signe de Romberg, ataxie, affaibliss
ervation 33 de la thèse Sureau. Cécité datant de 1873. Ablation des
réflexes
rotuliens ; chute de la paupière droite ; strab
ENRI VERGER et JEAN ABADIE Médecins des hôpitaux de Bordeaux. Les
réflexes
cutanés du membre inférieur ont pris, dans ces de
. Les travaux de Brissaud, de Babinski, ont attribué aux mouvements
réflexes
du membre inférieur que provoque l'excitation d
tre ; leur exploration a pris place en clinique à côté de celle des
réflexes
tendineux. Nos recherches nous ont amené à cons
flexes tendineux. Nos recherches nous ont amené à considérer que le
réflexe
plantaire au grattage se décompose naturellemen
i agissent sur les orteils et que l'on peut désigner sous le nom de
réflexe
planti-digital ; le second, dans les muscles de
; le second, dans les muscles de la jambe qui agissent sur le pied,
réflexe
planti-tibial ; le troisième enfin, dans les mu
qui fléchis- sent la jambe sur la cuisse et celle-ci sur le bassin,
réflexe
planti-crural. Cette terminologie est employée
' 1 La reproduction graphique des trois mouvements composants du
réflexe
plantaire, compris comme il vient d'être dit, n
peut s'appliquer à l'exclusion du second à l'étude de la totalité du
réflexe
plantaire. Pour le premier mode, enregistrement
aires ou celle de l'extenseur du gros orteil. Donc, pour étudier le
réflexe
planti-digital, on est tout d'abord forcé d'enr
acements du gros orteil lui-même. En se- cond lieu, pour étudier le
réflexe
planti-tibial, il est impossible de s'adresser
ment exploré par le myographe, le jambier antérieur. Enfin, pour le
réflexe
planti-crural, il ne faut pas songer au déplace
tif mixte qui est le suivant. Pour obtenir des tracés graphiques du
réflexe
planti-crural, nous appliquons un myographe à t
e est le plus perceptible à la vue et au toucher. Les graphiques du
réflexe
planti-tibial seront fournis par un second myogra
r la portion la plus saillante du jambier antérieur. Enfin, pour le
réflexe
planti-digital, nous moulons sur le dos du pied,
halangine du gros orteil : le tambour est placé ÉTUDE GRAPHIQUE DES
RÉFLEXES
PLANTAIRES 69 de telle sorte que la flexion de
implement par l'ascension des styles inscripteurs : le graphique du
réflexe
planti-digital aura une forme différente suivant
du réflexe planti-digital aura une forme différente suivant que ce
réflexe
sera constitué par la flexion ou l'extension du
de ces divers mouvements dans le temps. II ÉTUDE GRAPHIQUE DES
RÉFLEXES
PLANTAIRES A L'ÉTAT NORMAL. I. Nous avons reche
t de faire les constatations suivantes : 70 VERGER ET ABAD1E Le
RÉFLEXE
PLANTI-CRURAL se traduit assez uniformément par u
uefois légèrement sinueuse, sans autres caractères spéciaux. « Le
réflexe
PLANT[-TIBIAL se manifeste sur les graphiques par
semblablement plusieurs contractions musculaires successives. Le
réflexe
planti-digital fournit deux types graphiques dist
ont été rdjtrits de 1/2. ' Tracé nu 1 (1). Etat normal. . pdj :
réflexe
planti-tibial (type de flexion pure). pt : réfl
ormal. . pdj : réflexe planti-tibial (type de flexion pure). pt :
réflexe
planti-tibial. pc : réflexe planti-crural. D.
i-tibial (type de flexion pure). pt : réflexe planti-tibial. pc :
réflexe
planti-crural. D. 25 vd. : diapasion chronograp
ubles à la seconde. s : signal de M. Desprez. ÉTUDE GRAPHIQUE DES
RÉFLEXES
PLANTAIRES 71 horizontale de départ. Ce premier
S PLANTAIRES 71 horizontale de départ. Ce premier type graphique de
réflexe
planti- digital traduit donc la flexion plus ou
la flexion du gros orteil : on peut désigner ce type sous le nom de
réflexe
planti-digital en flexion pure. 2° Le graphique
flexion et extension consécutive. Entre ces deux types distincts de
réflexe
planti-digital, on trouve 1res souvent des type
ne apparente mais déjà esquissée. Tracé no 2. Etat normal. pd :
réflexe
planti-digital (type de flexion et extension cons
exe planti-digital (type de flexion et extension conséculive). pt :
réflexe
planti-tibial. pc : réflexe planti-crural. -
exion et extension conséculive). pt : réflexe planti-tibial. pc :
réflexe
planti-crural. - s : signal de M. Desprez. ,
s, pour une excitation sensiblement identique, un seul des types de
réflexe
planti-digi tal précédents. Au contraire, un même
cile de déterminer la fré- quence respective de chacun des types de
réflexe
planti-digital : tout ce qu'on peut dire, c'est
ion des autres parties du membre infé- rieur, pour la production du
réflexe
plantaire. On verra plus loin qu'il n'en est pa
ns ceux de la jambe et dans ceux de la cuisse. Ceci démontre que le
réflexe
plantaire peut être considéré comme formé,*par
. La décomposition du réflexe'plantaire en trois termes composants,
réflexe
planti-digital, réflexe planti-tibial, réflexe
flexe'plantaire en trois termes composants, réflexe planti-digital,
réflexe
planti-tibial, réflexe planti-crural, est donc ju
s termes composants, réflexe planti-digital, réflexe planti-tibial,
réflexe
planti-crural, est donc justifiée par l'analyse
alyse physiologique. 2° En ce qui concerne plus particulièrement le
réflexe
planti-digital, celui-ci se présente sous deux
ba- sant sur la simple observation clinique, ont pu affirmer que le
réflexe
des orteils se produisait toujours et uniquemen
ènent au- cune modification nouvelle dans la forme graphique de ces
réflexes
, en particulier du réflexe planti-digital. ÉT
nouvelle dans la forme graphique de ces réflexes, en particulier du
réflexe
planti-digital. ÉTUDE GRAPHIQUE -DES. RÉFLEXES
, en particulier du réflexe planti-digital. ÉTUDE GRAPHIQUE -DES.
RÉFLEXES
PLANTAIRES 73 III ÉTUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXE
DE GRAPHIQUE -DES. RÉFLEXES PLANTAIRES 73 III ÉTUDE GRAPHIQUE DES
RÉFLEXES
PLANTAIRES DANS QUELQUES AFFECTIONS SPASMODIQUE
fonctionnelle du système pyramidal entraîne des mo- difications du
réflexe
au grattage de la plante du pied ; ces modificati
de flexion pure des orteils qui, à leur avis, est le seul mouvement
réflexe
normal. Nous venons de voir combien était incom
reuve. Il nous reste à considérer maintenant comment se comporte le
réflexe
plantaire et en particulier le mouvement du gros
ections, on retrouve comme à l'état normal la même décomposition du
réflexe
plantaire en réflexe planti-digital, réflexe plan
comme à l'état normal la même décomposition du réflexe plantaire en
réflexe
planti-digital, réflexe planti tibial, réflexe
même décomposition du réflexe plantaire en réflexe planti-digital,
réflexe
planti tibial, réflexe planti-crural. Mieux enc
réflexe plantaire en réflexe planti-digital, réflexe planti tibial,
réflexe
planti-crural. Mieux encore qu'à l'état normal, c
composants en les exagérant. L'étude graphique de ces trois termes
réflexes
, faits à l'aide des mêmes méthodes que précédem
bles affections de la voie motrice, présentent des modifications du
réflexe
plantaire ayant des caractères sensiblement ident
eur affection. Il est donc superflu de faire une étude spéciale des
réflexes
plantaires, pour chacune de ces affec- tions en
en effet de faire les constata- tions générales suivantes : . Le
RÉFLEXE
PLANTI-CRURAL présente les mêmes caractères qu'à
général beaucoup plus net et peut- être manifestement exagéré. Le
réflexe
PLANTI-TIBIAL présente aussi les mêmes caractéris
ici comme particularité spéciale une ampli- tude plus grande. Le
RÉFLEXE
PLA1VTI-DIGITAL offre à considérer trois types gr
considérer trois types graphiques dis- tincts : -. 1° Un type de
réflexe
en flexion pure, en tous points comparables au
let (contracture, clonus du pied et de la rotule, exa- gération des
réflexes
tendineux, etc.) 2° Un type de réflexe planti-d
rotule, exa- gération des réflexes tendineux, etc.) 2° Un type de
réflexe
planti-digital en flexion et extension consécu-
° 3. Etat pathologique. (Hémiplégie spasmodique ancienne). pd :
réflexe
planti-digital (type de flexion et extension cons
tat pathologique. . (Hémiplégie cérébrale avec contracture). pd :
réflexe
planti-digital (type de flexion et extension cons
l'extension érection passagère du gros orteil). ÉTUDE GRAPHIQUE DES
RÉFLEXES
PLANTAIRES 75 à l'état pathologique la flexion
l'érection passagère du gros orteil (tracé n° 4). * 3° Un type de
réflexe
planti-digital en extension pure, sans flexion in
die. Entre ces trois types distincts, d'une netteté schématique, de
réflexe
planti-digital pathologique, on trouve tous les
t pathologique. (Sclérose en plaques paraplégie spasmodique) pd :
réflexe
planti-tibial (type d'extension pure). pt : réf
modique) pd : réflexe planti-tibial (type d'extension pure). pt :
réflexe
planti-tibial. pc : réflexe planti-crural. s
-tibial (type d'extension pure). pt : réflexe planti-tibial. pc :
réflexe
planti-crural. s : signal de M. Desprez. Trac
6 bis. Etat pathologique. (Hémiplégie cérébrale ancienne). pd :
réflexe
planti-digital (type de flexion pure). pd' : ré
ienne). pd : réflexe planti-digital (type de flexion pure). pd' :
réflexe
planti-digital (type de flexion et extension cons
ensiblement identiques, tantôt l'un, tantôt l'autre de ces types de
réflexe
planti-digital (tracés n° 6 et n° 6 bis). Ce- p
. pure était constant chez lui. Le caractère le plus important du
réflexe
planti-digital, dans ces cas pathologiques et q
e effi- cace, comme à l'état normal, pour provoquer l'apparition du
réflexe
plan- taire. La zone excitable peut s'étendre à
ou, de la cuisse peuvent produire graphiquement les trois termes du
réflexe
plan- taire. Ce phénomène est du reste rare et
ut ajouter que semblable manoeuvre fait apparaître non seulement le
réflexe
planti-digital, mais .encore le réflexe planti-
apparaître non seulement le réflexe planti-digital, mais .encore le
réflexe
planti-tibial et le réflexe planti-crural (tracés
réflexe planti-digital, mais .encore le réflexe planti-tibial et le
réflexe
planti-crural (tracés n° 7). Dans quelques cas
aplégie spasmodiques, nous avons obtenu graphiquement des tracés de
réflexes
plantaires contra-laté- raux. Nos documents son
ues produit dans le membre inférieur correspon- ÉTUDE GRAPHIQUE DES
RÉFLEXES
PLANTAIRES 77 dant et sans modifications notabl
nées dans les divers segments de mem- bre inférieur. La division du
réflexe
plantaire en trois termes composants; réflexe p
rieur. La division du réflexe plantaire en trois termes composants;
réflexe
planti-digital, réflexe planti-tibial, réflexe pl
flexe plantaire en trois termes composants; réflexe planti-digital,
réflexe
planti-tibial, réflexe planti-crural est encore
s termes composants; réflexe planti-digital, réflexe planti-tibial,
réflexe
planti-crural est encore justifiée par l'analys
logiques. 2° Le caractère le plus important et le plus constant des
réflexes
plan- taires, dans ces affections, est constitu
membre inférieur. 3' En ce qui concerne plus particulièrement le
réflexe
planti-digital, dans les affections spasmodique
sse gauche. 78 VERGER ET ABADIE la nature de ces affections, ce-'
réflexe
peut affecter indifféremment, chez le même mala
frappe seule l'oeil de l'observateur, donnant ainsi l'illusion d'un
réflexe
pathologique inversé, puisque à l'état normal c
ment la flexion qui apparait seule. Cependant il n'y a pas entre le
réflexe
normal et le réflexe pathologique de différence e
pparait seule. Cependant il n'y a pas entre le réflexe normal et le
réflexe
pathologique de différence essentielle de natur
de craquements. L'articulation temporo-maxillaire est intacte. Les
réflexes
rotuliens sont normaux ; pas de clonus du pied.
membre droit aucun point douloureux. Signe de Lasègue : très net.
Réflexe
achilléen : net du côté malade gauche ; nul du cô
exe achilléen : net du côté malade gauche ; nul du côté sain droit.
Réflexe
patellaire : exagéré du côté malade gauche : faib
flexe patellaire : exagéré du côté malade gauche : faible à droite.
Réflexe
plantaire : à droite flexion des orteils rapide ;
on des orteils rapide ; à gauche, flexion des orteils paresseuse.
Réflexes
crémastérien : nul ; abdominal, nul. Hanches. -
clinique de cette sciatique offre également, une particularité. Les
réflexes
tendineux du côté malade sont plutôt exagérés ; l
iose croisée. Une autre particularité de ce malade est l'absence de
réflexe
achilléen du côté sain, alors que du côté malad
rmal il n'existait probablement pas ni d'un côté, ni de l'autre. Le
réflexe
achilléen évidemment peut faire défaut chez un su
illéen évidemment peut faire défaut chez un sujet anormal, comme le
réflexe
patellaire. Quoi qu'il en soit, la présence de ce
comme le réflexe patellaire. Quoi qu'il en soit, la présence de ce
réflexe
à gauche, coexistant avec un réflexe patellaire d
'il en soit, la présence de ce réflexe à gauche, coexistant avec un
réflexe
patellaire du même côté un peu augmenté, a une
t le point de départ des phénomènes spas- modiques (exagération des
réflexes
tendineux, crampes) et secondement de la cyphos
auche, peu de raideur. Hanches et autres articulations, intactes.
Réflexes
patellaires, plutôt vifs. Le traitement thermal
u même côté; la malade -résiste très bien aux mouvements passifs.
Réflexes
rotuliens paraissent diminués. Pas de troubles
restée dans le même état ; elle s'occupe un peu dans la salle. "
Réflexe
tricipital du bras, rapide et brusque. 24 octob
ements. A droite les traits sont un peu effacés. 12 novembre. - Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés. Inégalité pupil-
ité. Pas d'incoordination motrice. Pas de signe de Romberg. Les
réflexes
rotuliens sont très nettement exagérés des deux c
ité pupillaires, tremblements, parésie généralisée, exagération des
réflexes
rotuliens, troubles de la parole). La déchéance
me centre de coordination mimique), puisque les mouvements mimiques
réflexes
persistaient. La rareté des crises convulsives
ymptômes mor- bides. Les troubles de la marche et l'exagération des
réflexes
rotuliens avec ébauche de clonus pourraient s'e
s, car les mouvements volontaires persistaient et l'exagération des
réflexes
était symétrique, constatation en faveur de l'i
M. Raymond (4) (tronc et tête déviés d'un côté, parole embarrassée,
réflexes
exagérés des deux côtés, ni anesthésie, ni hémi
orps. Au dynanomètre : 6 à droite, 12 à gauche. Pas de tremblement.
Réflexes
existant, quoique diminués. Aux membres inférie
ideur musculaire, pas de trépidation épileptoide,ni d'exagération des
réflexes
: réflexe rotulien seulement ébauché du côté ga
ire, pas de trépidation épileptoide,ni d'exagération des réflexes :
réflexe
rotulien seulement ébauché du côté gauche. Pas
eulement ébauché du côté gauche. Pas de troubles de la sensibilité,
réflexe
plantaire diminué, réflexe crémas- térien nul.
uche. Pas de troubles de la sensibilité, réflexe plantaire diminué,
réflexe
crémas- térien nul. Pas de troubles trophiques
contracture qui contraste avec l'abolition actuellement totale des
réflexes
rotuliens. Les réflexes plantaire abdominale, c
aste avec l'abolition actuellement totale des réflexes rotuliens. Les
réflexes
plantaire abdominale, crémastérien sont égaleme
térien sont également abolis. Aux membres supérieurs persistance du
réflexe
du long supinateur bien ébauché ; l'incoordinat
e la bouche l'absence de contraction du peaucier du côté gauche. Le
réflexe
pharyngé est diminué. Au membre supérieur gauche,
des mouvements passifs et de la position du membre est conservé. Le
réflexe
radial est un peu plus fort à gau- che qu'à dro
le pied gauche traîne particulièrement dans la marche de flanc. Les
réflexes
rotuliens sont égaux : il n'y a pas de clonus du
liens sont égaux : il n'y a pas de clonus du pied. L'excitation |du
réflexe
plantaire amène l'extension des orteils et le sig
constate très nettement à gauche le phénomène du tibial antérieur. Le
réflexe
abdominal est aboli à gauche. Il n'y a pas d'hé
é de fermer isolément l'oeil droit. Il n'y a pas d'hémianopsie ; le
réflexe
pharyngé est conservé. Le sens stéréognostique es
On constate la présence des signes de Babinski et de Strumpell. Le
réflexe
contralatéral n'existe pas. Après un mois de sé
e, mais hésitante : le pied droit frotte contre le plancher. | Le
réflexe
rotulien est exagéré des deux côtés. Il n'existe
avant la maladie. , L'examen de la sensibilité est négatif. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés ; le réfle
t négatif. Les réflexes rotuliens sont exagérés des deux côtés ; le
réflexe
plantaire est absent. L'examen n'a montré auc
e. 3 juin. -- Examen physique. - Cyanose et infiltration des mains.
Réflexe
plantaire conservé. Réflexe rotulien conservé.
e. - Cyanose et infiltration des mains. Réflexe plantaire conservé.
Réflexe
rotulien conservé. Hyperexcitabilité musculaire \
cissemeut du champ visuel, pas d'altération du goût ou de l'odorat.
Réflexes
normaux. Intelligence moyenne ; pas de pertes d
u'existe aucun trouble de la sensibilité superficielle ou profonde.
Réflexes
tendineux abolis aux membres supérieurs et infé
de. Réflexes tendineux abolis aux membres supérieurs et inférieurs.
Réflexe
cutané plan- taire aboli. Inégalitépupillaire.
tie inférieure du rectum accessible offrent la même anesthésie. Les
réflexes
rotuliens existent, plutôt exagérés. Depuis s
res inférieurs. Ataxie légère aux membres supérieurs. Abolition des
réflexes
tendineux. ' Exagération du réflexe cutané plan
bres supérieurs. Abolition des réflexes tendineux. ' Exagération du
réflexe
cutané plantaire. Troubles radiculaires de la sen
'intensité et de fréquence. Etat actuel (avril 1898). Abolition des
réflexes
patellaires. Incoordina- tion légère des membre
Aux membres supérieurs : incoordination très légère, abolition des
réflexes
tendineux. Atrophie des muscles de la main. Sensi
seule. Etal actuel (1896). - Incoordination des membres inférieurs.
Réflexe
patel- laire aboli. Pas d'atrophie musculaire.
res inférieurs. Sensibilité profonde conservée. Inégalité pupillaire,
réflexe
à la lumière très diminué à gauche, aboli à dro
ie à la plante du pied. Pas de retard des sensations. Abolition des
réflexes
tendineux. Incontinence d'urine. Inégalité pupill
absolue. Les pupilles ne réagissent pas à la lumière. Abolition des
réflexes
tendineux. Incoordination très marquée aux membre
bilités profondes aux membres inférieurs et aux membres supérieurs.
Réflexes
tendineux aboli ? . Paresthésies nombreuses. Se
une paralysie flasque totale des quatre membres, avec abolition des
réflexes
cutanés et tendineux, rétention d'urine et des ma
faite par le professeur Isola, ne présente aucune altération. Les
réflexes
tendineux et cutanés, généralement normaux ; mais
e la réaction myasthénique ; pas de modifications im- portantes des
réflexes
tendineux, ni cutanés, mais des attaques de dys
e et d'autres si- gnes tabétiques (troubles sensitifs, abolition de
réflexes
, signe de Romberg, etc.). Les opiitalmoplégie
t se réduire aux mouvements volontaires, et non aux automatiques ou
réflexes
: elles sont accompagnées de stigmates caractér
poplectique, chez les personnes d'âge mûr, et par l'exagération des
réflexes
tendineux et massétérique, en dehors des symp-
roit, hypoesthésie que présentent également les muqueuses. Ainsi le
réflexe
cornéen est aboli à droite, la moitié droite du v
et du pharynx sont insensibles, et on ne peut de ce côté provoquer le
réflexe
pharyngien, taudis qu'on le trouve normal à gau
lité de s'arrêter brusquement. Signe de Romberg. Démarche ébrieuse.
Réflexes
très ' faibles, mais non abolis. Secousses fibr
bilité à la piqûre conservée. Signe d'Argyll Ro- bertson. 1894. -
Réflexes
rotuliens abolis. Réactions pupillaires à l'accom
ans strabisme proprement dit. 1900. - Signe de Babinski. Les autres
réflexes
abolis. Un léger degré de pied-bot varus. Il ex
le, ébrieuse. Tremblement des membres inférieurs. Signe de Romberg.
Réflexes
rotuliens conservés. Lenteur dans les mouvement
ds joints, il ne peut pas se tenir droit. Signe de Romberg. ' Les
réflexes
rotuliens plutôt exagérés. Il écarte les jambes e
baire et dans les éminences thénar. Tremblement de la langue tirée.
Réflexes
rotuliens exagérés. Crampes et fourmillements d
ambes comme sous l'influence d'un effort volontaire. L'abolition du
réflexe
pupillaire à la lumière n'existe plus. Autops
dreich. Le début tellement tardif, la persis- tance très longue des
réflexes
rotuliens, les troubles visuels et auditifs, le
ème cérébello-médullaire de la moelle. D'autre part l'abolition des
réflexes
rotuliens dans les stades terminaux de la malad
n d'une infinité de décharges nerveuses. Ce sont, si l'on veut, des
réflexes
collectifs obéissant à une loi fonctionnelle de
ens; la vue est normale, sans rétrécissement du champ visuel. Les
réflexes
sont normaux. Au point de vue intellectuel le m
tude vicieuse, l'index et l'annu- laire étant les moins pris. Les
réflexes
des membres supérieurs sont normaux. Du côté de
e au-dessus du plan du lit. Trépidation épileptoïde des deux côtés.
Réflexe
rotulien exagéré à droite. La malade peut encor
eu de diminution du champ visuel et de \ 'acuité visuelle à droite.
Réflexes
pupillaires normaux. A l'examen ophtal- moscopi
la main. Les doigts sont toujours en flexion forcée. Abolition des
réflexes
tendineux. Atrophie musculaire peu marquée. Fig
eurs l'affaiblissement porte surtout sur les mouvements de flexion.
Réflexe
patellaire exagéré à droite, plutôt affaibli à ga
que nous montre un état spasmodique, une exagération bilatérale des
réflexes
, phénomènes qu'explique l'état des FPC. Le peu d'
che et une fai- blesse assez grande du membre inférieur droit. Le
réflexe
rotulien est complètement aboli à gauche, presque
est complètement aboli à gauche, presque complètement à droite. Le
réflexe
plantaire existe. Le réflexe pharyngien existe.
che, presque complètement à droite. Le réflexe plantaire existe. Le
réflexe
pharyngien existe. Un peu d'hyperesthésie cutan
faiblesse du membre inférieur droit et l'hyperesthésie cutanée. Le
réflexe
rotu- lien gauche a toujours disparu. Sensibili
e du membre inférieur gauche et la faiblesse du droit persistent.
Réflexe
rotulien aboli des deux côtés, réflexe plantaire
lesse du droit persistent. Réflexe rotulien aboli des deux côtés,
réflexe
plantaire diminué, réflexe cré- mastérien aboli
. Réflexe rotulien aboli des deux côtés, réflexe plantaire diminué,
réflexe
cré- mastérien aboli, réflexe abdominal presque
eux côtés, réflexe plantaire diminué, réflexe cré- mastérien aboli,
réflexe
abdominal presque nul. Sensibilité au toucher e
iques, pas d'escha- res ; légère atrophie des membres supérieurs.
Réflexe
patellaire presque aboli à gauche, plus marqué à
ues douleurs), le gauche d'une paralysie complète avec abolition du
réflexe
rotulien; le droit d'une parésie avec diminutio
n du réflexe rotulien; le droit d'une parésie avec diminution de ce
réflexe
; au bout de 4 ou 5 jours les membres supérieurs
e ans par des douleurs, de la parésie et du steppage. Abolition des
réflexes
rotuliens. - lllgotonie à forme de ma- ladie de
sez nettement le caractère fulgurant et cela, joint à l'absence des
réflexes
rotuliens, fit pensera son médecin qu'il s'agissa
enteur à la lumière et à l'accommodation, mais norma- lement. Les
réflexes
tendineux, rotulien et achilléen, sont abolis; le
nt. Les réflexes tendineux, rotulien et achilléen, sont abolis; les
réflexes
du MYOTONIE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE 453 bras
TROPHIE MUSCULAIRE 453 bras et de l'avant-bras sont faibles. Pas de
réflexe
cutané plantaire; crémas- térien faible; abdomi
be et des douleurs à caractère fulgurant qui, joints à l'absence de
réflexe
rotulien, font d'abord penser à de l'ataxie. En m
tion électrique myotonique existe avec diminution quantitative. Les
réflexes
tendineux sont très affai- blis. (1) PELIZoEU
l ce titre, constituent des signes de dégénérescence. 2. Activité
réflexe
. - L'étude de l'activité réflexe paraît peu avanc
s de dégénérescence. 2. Activité réflexe. - L'étude de l'activité
réflexe
paraît peu avancée en pathologie animale. Des r
ez l'animal 481 de troubles psychomoteurs laissent supposer que les
réflexes
sontpeu alté- rés dans les processus psychopath
muqueux sont normaux dans les tics. Les tiqueurs n'of- frent pas de
réflexe
caudal, mais {'épreuve du dynamomètre caudal indi
inution très grande de la résistance au soulèvement de la queue. Le
réflexe
lombaire est généralement exagéré dans le tic de
c de l'ours, mais on n'observe rien d'anormal dans la recherche des
réflexes
tendineux dupied, des réflexes idio-1nusculaire
rien d'anormal dans la recherche des réflexes tendineux dupied, des
réflexes
idio-1nusculaires ou cardio-vasculaires. Il y a
p. 54-55 et suiv. DE la dégénérescence cuez l'animal 483 purement
réflexes
d'origine bulbo-médullaire. Nous avons relevé, da
sion dansante d'Echtel'nach (3 pl.), par Henry 111EicE, 248, 322.
Réflexes
plantaires à l'état normal et dans quelques aff
59. TABLE DES AUTEURS Ai3ADiE et H. VERGER. Etude graphique des
réflexes
plantaires à l'état normal et dans quelques aff
niques (1 planche), 465. Verger et S, ABASIE. Etude graphique des
réflexes
plantaires à l'état normal et dans quelques aff
alternant avec un peu de rigidité. Insensibilité absolue. Mouvements
réflexes
conservés à la jambe droite, nuls à gauche. Léger
uine des parties encéphaliques voisines, et peut-être aussi d'actions
réflexes
s'étendant à une partie plus ou moins grande du s
produit lorsqu'on redresse la pointe du pied du côté paralysé; 2° le
réflexe
tendineux que l'on observe quand on produit un ch
appelé « la raideur du mannequin des peintres », n'existent pas. Les
réflexes
tendineux sont abolis. L'hyperex-citabilité neuro
habituellement un frémissement presque incessant des paupières. — Les
réflexes
tendineux sont exagérés; riiyperexcifabilité neur
ps du muscle lui-même (1). § I. — Excitation du tendon. — étude des
réflexes
tendineux dans la léthargie hystérique provoqué
ndineux dans la léthargie hystérique provoquée. L'exagération des
réflexes
tendineux est Lin fait commun chez les malades at
e ce phénomène et les connexions intimes qui font de l'exaltation des
réflexes
tendineux et de la contracture musculaire des fai
thargie hypnotique, dont nous parlons, une exagération marquée de ces
réflexes
. En effet, sous l'influence des pratiques de l'hy
flexes. En effet, sous l'influence des pratiques de l'hypnotisme, les
réflexes
tendineux subissent des modifications susceptible
ire, en le montrant intimement lié, pour une part, à l'exaltation des
réflexes
tendineux, dont il devient, dans le cas particuli
nouvelle manifestation d'un ordre plus élevé. Pour la production du
réflexe
tendineux de l'état normal, plusieurs conditions
lement soudain de toute la masse du muscle. La contraction musculaire
réflexe
ne peut être produite par aucune excitation élect
toujours vive et très courte. Dans l'état de santé, la contraction
réflexe
du triceps crural est facile à obtenir par la per
rtains états morbides caractérisés par un accroissement de l'activité
réflexe
de la moelle épinière, comme dans les paraplégies
, on le sait, marquées, dans la règle, par une abolition complète des
réflexes
tendineux, l'ataxie locomotrice par exemple. Les
ce peuvent également se grouper en deux catégories. Dans l'une, les
réflexes
tendineux subissent une exagération marquée qui s
dont nous nous occupons plus particulièrement ici, Dans l'autre, les
réflexes
tendineux sont complètement abolis comme dans la
es les modalités diverses auxquelles peut donner lieu l'exaltation du
réflexe
tendineux dans l'hypnotisme, reposent sur deux po
nt sur deux points principaux : — a) extension, diffusion de l'action
réflexe
; — b) modifications de l'action musculaire qui e
de plusieurs chocs successifs portés sur le tendon. a) Diffusion du
réflexe
. — Quelques malades sont à peine endormies qu'on
n du réflexe. — Quelques malades sont à peine endormies qu'on voit le
réflexe
tendineux non seulement s'exagérer sur place et l
muscle directement intéressé, mais encore provoquer des contractions
réflexes
dans les membres éloignés du lieu de la percussio
ux côtés à la fois. Il suffit alors du moindre choc pour provoquer le
réflexe
, et, à la suite de la percussion du tendon rotuli
ère et qui depuis a quitté le service, présentait cette diffusion des
réflexes
d'une façon remarquable. Pendant la veille, les r
iffusion des réflexes d'une façon remarquable. Pendant la veille, les
réflexes
ro-tuliens étaient peu exagérés, surtout à la jam
mme le reste du corps ne participaient en aucune façon aux mouvements
réflexes
de la jambe sur laquelle portait l'excitation. Ma
rendre un compte exact. Cail... est hémamianesthésique à gauche. Les
réflexes
tendineux sont exagérés, à l'état de veille, surt
Le tracé I {Fig. 1) obtenu pendant la veille démontre l'existence du
réflexe
rotulien. Un choc brusque, porté sur le tendon ro
cle extenseur du triceps crural. — On remarque sur ce tracé, que le
réflexe
rotulien ne retentit en aucune façon sur le bras.
ps brachial trace une liane droite (B. b.). Fig. 1. — Diffusion des
réflexes
tendineux pendant la léthargie hystérique provoqu
s membres sont dans la résolution la plus complète. Les caractères du
réflexe
tendineux éprouvent aussitôt les modifications su
ineux éprouvent aussitôt les modifications suivantes. En outre que le
réflexe
rotulien paraît plus intense, qu'il s'obtient à l
ulien du côté droit. L'on conçoit fort bien que cette diffusion des
réflexes
tendineux se présente à des degrés variables suiv
e le pensons point, parce qu'elle est subordonnée au degré d'activité
réflexe
de la moelle et que nos observations nous ont app
us avons pu observer, contradictoiremenl, aux lois de Pflûger, que le
réflexe
rotulien se propage d'abord aux membres supérieur
araît conforme à la loi de l'irradiation : nous avons vu souvent le
réflexe
rotulien retentir sur les membres supérieurs ; ma
s membres supérieurs ; mais, nous n'avons pas observé la diffusion du
réflexe
en sens inverse, c'est-à-dire du membre supérieur
. D'ailleurs, cette dernière loi de Pfluger qui veut que l'excitation
réflexe
se propage dans la moelle, toujours de bas en hau
l ne faut pas oublier que la classification de Pfluger s'applique aux
réflexes
cutanés et qu'il s'agit ici de phénomènes réflexe
ger s'applique aux réflexes cutanés et qu'il s'agit ici de phénomènes
réflexes
d'un ordre différent. b) Modification de la con
es réflexes d'un ordre différent. b) Modification de la contraction
réflexe
qui suit le choc sur le tendon. — En même temps q
le tendon. — En même temps que, sous l'influence de l'hypnotisme, le
réflexe
tendineux tend à se généraliser, il arrive souven
l'esquisse de la contracture. Mais ces deux modes de l'exaltation des
réflexes
tendineux — irradiation du réflexe et tendance à
es deux modes de l'exaltation des réflexes tendineux — irradiation du
réflexe
et tendance à la contracture — qui, dans certains
d'une façon très nette ces modifications de la contraction musculaire
réflexe
sans tendance à la généralisation. Les nombreuses
Fig. 2) a été obtenu pendant l'état de veille. La secousse musculaire
réflexe
n'est pas unique, comme il arrive souvent, surtou
ïêt, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la contraction
réflexe
des extenseurs s'arrêter à mi-chemin dans son mou
e le Fig. 2.— Modification, pendant la léthargie, de la contraction
réflexe
qui suit le choc du tendon. Tendance à la contrac
chez la même malade, nous constatons qu'il n'y a pas d'irradiation du
réflexe
au bras du même côté. Deux tambours myographiqu
ps demeure également immobile , mais les caractères de la contraction
réflexe
du triceps crural sont considérablement modifiés.
r indépendamment les deux modifications principales que subissent les
réflexes
tendineux sous l'influence de l'hypnotisme : a) i
flexes tendineux sous l'influence de l'hypnotisme : a) irradiation du
réflexe
, chez Cail...; b) tendance à la contracture et co
eux caractères peuvent se montrer à la fois, et, en même temps que le
réflexe
irradié, on voit la contraction (du muscle direct
és sur le même tendon rotulien (Vitesse moyenne). Chez Parra... les
réflexes
tendineux, pendant la veille sont assez développé
réflexes tendineux, pendant la veille sont assez développés, mais le
réflexe
rotulien ne se propage pas au membre supérieur du
é. (Tracé I, Fig. 6). Pendant la léthargie hystérique provoquée, le
réflexe
rotulien s'accuse encore davantage, et l'irradiat
ivement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la contraction
réflexe
du biceps brachial, aussi bien que celle du trice
voit le membre supérieur animé, à chaque choc rotulien, de secousses
réflexes
, subir dans son attitude les modifications suivan
rterons, à titre d'exemple, quelques détails Fig. 6. — Diffusion du
réflexe
et tendance à la contracture pendant la léthargie
anesthésique totale et achromatopsique de l'œil droit seulement. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux deux jambes, à droite
nt-bras ils existent à un faible degré. Il n'y a point d'extension du
réflexe
rotulien aux membres supérieurs. La malade est
espiration est laborieuse. Nous pouvons observer une exaltation des
réflexes
tendineux facilement appréciable aux poignets et
ets et aux coudes où ils existaient peu accusés pendant la veille. Le
réflexe
rotulien produit à la fois un mouvement dans les
pas à la contracture. Les recherches faites au sujet de l'état des
réflexes
tendineux pendant la léthargie hystérique provoqu
sions suivantes : a) Pendant la léthargie hystérique provoquée, les
réflexes
tendineux s'exaltent et s'irradient, parfois même
usieurs chocs successifs portés sur le tendon. Lorsque l'excitabilité
réflexe
existe à un haut degré, un seul choc suffit. Alor
sous des influences variées. C'est ainsi qu'après nos expériences les
réflexes
tendineux de l'état de veille sont toujours un pe
il existe une différence entre les deux modalités de l'exaltation des
réflexes
tendineux : diffusion du réflexe et tendance à la
deux modalités de l'exaltation des réflexes tendineux : diffusion du
réflexe
et tendance à la contracture. La diffusion des
diffusion du réflexe et tendance à la contracture. La diffusion des
réflexes
se rencontre souvent chez les sujets qui n'offren
tend à se propager dans toute l'étendue des centres et la contraction
réflexe
, de même que la contracture, se généralise. Au co
ssit à provoquer, à l'aide d'un choc léger et rapide, une contraction
réflexe
qui présente, à peu de chose près, les mêmes cara
contracture. 11 en résulte que, pour la production de la contracture
réflexe
par excitation tendineuse, non seulement le cho
d'être placé dans l'état de demi-tension exigé pour la production du
réflexe
tendineux de l'état normal. Pour les tendons su
plus accentuée, une exagéra lion du phénomène connu sous le nom de
réflexe
du tendon. Il suit donc tout naturellement que ce
ne présente en définitive rien d'insolite et doit être rapproché des
réflexes
tendineux dont il n'est, en quelque sorte, qu'une
ici, comme ailleurs, le résultat d'une excitation nerveuse de nature
réflexe
. Quoi qu'il en soit, la contracture qui suit l'
s'agit là, ainsi que nous le verrons plus loin, de phénomènes d'ordre
réflexe
dont l'habitude facilite le développement et qu'e
ong à l'acquérir. À un premier degré, il consiste en une tendance des
réflexes
tendineux à provoquer une contracture plus ou m
usculaire n'ont jamais été tentées sur elle. Pendant la veille, les
réflexes
tendineux sont exagérés aux genoux, mais sans irr
lade se trouve promptement endormie. Aussitôt nous constatons que les
réflexes
tendineux du poignet qui, tout à l'heure, existai
tation des tendons par percussion. Nous constatons de nouveau que les
réflexes
tendineux sont exagérés; le mouvement qui suit le
ar le procédé habituel (souffle sur le visage), Caill... conserve les
réflexes
tendineux du poignet plus accusés qu'avant les ex
aire, les trois degrés suivants : 1er degré : simple exaltation des
réflexes
tendineux ; — 2e degré : le réflexe tendineux don
er degré : simple exaltation des réflexes tendineux ; — 2e degré : le
réflexe
tendineux donne lieu à la contracture — contractu
egré : le réflexe tendineux donne lieu à la contracture — contracture
réflexe
par excitation tendineuse; —3e degré : contractur
ontracture réflexe par excitation tendineuse; —3e degré : contracture
réflexe
par excitation directe des masses musculaires.
éveloppée, présente quelques irrégularités. Caill... a conservé les
réflexes
tendineux du poignet assez exaltés surtout du côt
éflexes tendineux du poignet assez exaltés surtout du côté gauche. Le
réflexe
patellaire est toujours très exagéré. Le choc r
e le long du corps, Witt... qui est assise s'affaisse de ce côté, les
réflexes
tendineux existent néanmoins. Tout le côté gauche
e directe ou indirecte des muscles n'amène plus leur contracture. Les
réflexes
tendineux n'en sont pas moins conservés. La résol
jusqu'au niveau du sourcil gauche. Il n'y a pas d'achromatopsie. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux genoux; ils sont fort
n les soulève, ils retombent inertes; il n'y a pas de catalepsie. Les
réflexes
tendineux aux deux bras sont manifes tement exa
sensibilité a reparu partout; chaque piqûre donne lieu à un mouvement
réflexe
, indice que l'impression est perçue parle centre
ur l'autre suivant qu'on cherche à la redresser. Dans cet état, les
réflexes
tendineux sont fort exagérés. Le choc sur le tend
veille. En somme, nous trouvons ici exagération et généralisation des
réflexes
tendineux, mais nulle tendance à la contracture.
t le pincement ainsi que la piqûre donnent naissance à des mouvements
réflexes
; la malade retire son membre, et la douleur se pe
musculaire ne change pas ; pas de catalepsie possible, même état des
réflexes
, même résolution. Bientôt la malade est prise d
essent d'autre malaise qu'une grande fatigue. Nous constatons que les
réflexes
tendineux sont bien plus exagérés qu'avant l'expé
caractériser l'hypnotisme, un seul persiste, c'est l'exagération des
réflexes
tendineux qui se montre d'une façon très manifest
fait exceptionnel. Dans l'observation suivante, à l'exagération des
réflexes
tendineux, s'ajoute une certaine tendance à la co
he, analgésique du côté droit. Pas d'achromatopsie. Exagération des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs comme aux membre
erse, elle est endormie. La résolution musculaire est complète. Les
réflexes
tendineux ont subi une exaltation notable. Le mou
Les réflexes tendineux ont subi une exaltation notable. Le mouvement
réflexe
est étendu. La malaxation des masses musculaire
utre de la sommation et de la perte de connaissance, l'exaltation des
réflexes
tendineux, simple ou accompagnée de tendance à la
le tronc; 4° L'hyperexcitabilité neuro-musculaire n'existe pas. Les
réflexes
tendineux sont complètement abolis; 5° L'anesth
lesquelles le spasme laryngé se montre à un degré peu ordinaire. Les
réflexes
tendineux sont manifestement exagérés aux genoux,
més. En premier lieu nous constatons une exagération très marquée des
réflexes
tendineux aux coudes et aux poignets. Aux genoux,
ux ouverts, l'état cataleptique véritable ne saurait être obtenu. Les
réflexes
tendineux persistent, et si les membres gardent l
'hyperexcitabilité neuro-musculaire existe à un degré quelconque. Les
réflexes
tendineux sont exaltés. 4° Que les yeux soient
L'état de sommation ainsi produit se caractérise par l'exaltation des
réflexes
tendineux et par la tendance des muscles à la con
nt cesser; l'hyperexcitabilité neuro-musculaire est conservée, et les
réflexes
tendineux persistent. Il est aisé de reconnaître
ommuniquées ne sont plus modifiées par la friction du membre; plus de
réflexes
tendineux, ni d'hyperexci-tabilité neuro-musculai
Cela se borne, le plus souvent, à la transformation en contracture du
réflexe
tendineux. Mais parfois le phénomène peut devenir
ne de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire est un phénomène de nature
réflexe
; b) La nature de ses manifestations a sa raiso
ale de l'activité du centre nerveux; c) La voie centripète de l'arc
réflexe
est autre que celle des nerfs sensitifs cutanés.
ne de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire est un phénomène de nature
réflexe
. Les faits qui plaident en faveur de la nature
ne de nature réflexe. Les faits qui plaident en faveur de la nature
réflexe
du phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-muscula
nser que là, comme dans le reste du corps, le phénomène est de nature
réflexe
. b) La contracture, ainsi obtenue, cède à la fr
muscles antagonistes. r) L'étude détaillée que nous avons faite du
réflexe
tendineux pendant la léthargie hystérique et la c
nclusion à laquelle nous sommes arrivés, qui fait de l'exagération du
réflexe
tendineux le premier degré de l'hyperexcitabilité
et de la plupart des observateurs qui en font un phénomène de nature
réflexe
. d) L'excitation mécanique, qui produit la cont
modification spéciale de l'activité du centre nerveux. Un phénomène
réflexe
normal exige, pour se produire, l'intégrité des t
onque de ces trois parties suffise pour entraîner une modification du
réflexe
normal ; et, suivant la nature de la lésion, il y
suivant la nature de la lésion, il y aura abolition ou exaltation du
réflexe
. Dans l'ataxie locomotrice, par exemple, les raci
ent plus à l'impression sen-sitive de pénétrer jusqu'au centre et les
réflexes
sont abolis le plus souvent. Dans la paralysie in
ices des cornes antérieures sont détruites et, partant, abolition des
réflexes
. Dans le strychnisme, au contraire, l'excitabilit
re, l'excitabilité du centre moteur est exaltée; d'où il suit que les
réflexes
sont exagérés. Dans l'hypnotisme, et particuliè
des raisons que nous avons invoquées plus haut en faveur de la nature
réflexe
du phénomène, pourraient être reproduites ici à l
le de plusieurs secondes (2, 3, 4) entre l'excitation et le mouvement
réflexe
. Par instant l'hyperexcitabilité neuro-musculai
rC.— Le phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire est-il un
réflexe
cutané ? Des faits plus ou moins analogues à ce
et Calmeil avaient remarqué ce premier fait : que les contractions
réflexes
, lorsque l'excitation qui porte sur un point du t
qui meuvent la partie excitée. La cinquième loi de Pflûger sur les
réflexes
dit que les mouvements réflexes sont locaux ou gé
La cinquième loi de Pflûger sur les réflexes dit que les mouvements
réflexes
sont locaux ou généraux, et que ceux qui sont loc
ives excitées. Sanders-Ezn, dans des expériences sur les mouvements
réflexes
d'un membre postérieur de la grenouille, a indiqu
des régions de la peau dont l'excitation donne lieu à des mouvements
réflexes
soit d'extension, soit de flexion, de telle ou te
e phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans le cadre des
réflexes
cutanés. Cette expérience est la suivante : Une
rapprochement que nous avons fait au point de vue clinique entre les
réflexes
tendineux et le phénomène de l'hyperexcitabilité
envahit habituellement tout un membre. Dans l'état léthargique, les
réflexes
tendineux sont exaltés, et le choc sur les tendon
endons produit bientôt la contracture. Dans l'état somnambulique, les
réflexes
tendineux sont éga- 1. Eludes sur l'hystéro-épi
ture dont il est question rentrent dans la catégorie des phénomènes
réflexes
; mais, malgré les difficultés qui existent encor
ssure que les faits observés, soit par lui, soit par moi sont d'ordre
réflexe
. Je tiens pour mon compte à réserver, pour le mom
pour le moment, la question de théorie. Je ne nie point que les actes
réflexes
aient une part dans la production du phénomène d'
cerea » n'appartient pas à l'état cataleptique des hypnotiques. Les
réflexes
tendineux sont abolis ou très notablement amoindr
squ'à un certain point susceptibles d'éducation. Comme tous les actes
réflexes
en général, ils se perfectionnent sous l'influenc
dans le phénomène musculaire, décrit par Westphal, d'une contracture
réflexe
d'un muscle à la suite d'une excitation portée su
es choses peuvent s'expliquer ainsi : La contracture étant toujours
réflexe
dans ce cas, l'excitation centripète qui doit la
laire est un phénomène d'origine centrale, le résultat d'une activité
réflexe
permanente et ne cédant que lorsque la moelle est
yramidal a pour effet d'exalter, chez un sujet normal, l'excitabilité
réflexe
spinale ; cela se voit, par exemple, dans le cas
acture par l'action, la moindre excitation provocatrice. D'abord, les
réflexes
sont exaltés, il y a opportunité de contracture.
n a considéré l'hyperexcitabilité neuro-musculaire comme un phénomène
réflexe
dont le centre est dans la moelle ou cerveau et d
ication du centre nerveux, p. 411; — expériences, p. 417; — est-ce un
réflexe
cutané, p. 414; — spéciale de certaines régions d
p. 400; — ses caractères, p 301 ; — mode de production, p. 301, 311: —
réflexes
tendineux dans la—, p. 313, 330 : — hyperexcitabi
F — avec l'athéronie, p. 18. R Ramollissement cérébral, p. 156.
Réflexe
tendineux dans la léthargie hystérique provoquée,
sens stéréo- gnostique et le sens des attitudes sont conservés. Les
réflexes
sont égaux des deux côtés, peut-être un peu vif
e, dans son cas,certaines manifestations nerveuses (exagération des
réflexes
, troubles vésicaux) ; Gilles de la Tourelle et
e la plante des pieds. Sens stéréognostique conservé aux mains.
Réflexes
tendineux. - Réflexes rotuliens et achilléen abol
s. Sens stéréognostique conservé aux mains. Réflexes tendineux. -
Réflexes
rotuliens et achilléen abolis. Réflexes du bras
ains. Réflexes tendineux. - Réflexes rotuliens et achilléen abolis.
Réflexes
du bras et de l'avant-bras conservés. Réflexe
achilléen abolis. Réflexes du bras et de l'avant-bras conservés.
Réflexes
cutanés. - Réflexes plantaires et abdominaux abol
éflexes du bras et de l'avant-bras conservés. Réflexes cutanés. -
Réflexes
plantaires et abdominaux abolis. Réflexes muque
és. Réflexes cutanés. - Réflexes plantaires et abdominaux abolis.
Réflexes
muqueux intacts. Aux yeux, on note de la parési
s nystagmiformes dans les positions extrêmes. Pupilles égales ; les
réflexes
pupillaires sont très faibles, surtout il droite.
es dents avec force et peut casser une noisette sans difficulté. Le
réflexe
massétérin existe, mais il n'est pas exagéré. L
deux côtés, le fond de l'oeil est normal, le champ visuel aussi, le
réflexe
cornéal existe. ' Examen des autres sens spécif
s latéraux. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 45 gêné soit par le
réflexe
pharyngien très vif, soit par la sensibilité lary
ans toutes ses formes a été retrouvée intacte partout. L'examen des
réflexes
tendineux et cutanés nous démontre les données su
exes tendineux et cutanés nous démontre les données sui- vantes :
Réflexe
rotulien un peu faible, égal de deux côtés. Réf
i- vantes : Réflexe rotulien un peu faible, égal de deux côtés.
Réflexe
acbilléen normal de deux côtés. (1) Dernièremen
xii 4 50 BERTOLOTTI Pas de clonus, pas de signe de Babinski. Le
réflexe
cutané abdominal existe, le réflexe cutané planta
s, pas de signe de Babinski. Le réflexe cutané abdominal existe, le
réflexe
cutané plantaire est absent. Les réflexes tendi
utané abdominal existe, le réflexe cutané plantaire est absent. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont affaiblis.
sensibilité endo-laryngée. Le tonus musculaire, les sphincters, les
réflexes
tendi- neux et cutanés sont normaux, il n'exist
xamen de la sensibilité générale, des fonctions sensorielles et des
réflexes
donna un résultat négatif. L'examen électrique de
par le médian. Remak cite ce cas comme un exemple typique de crampe
réflexe
d'origine névritique. Stéphan (137) rapporte un
apins, au bout de 3-4 jours, léger état de fatigue, de dénutrition,
réflexes
paresseux. Cet état se termine tantôt par la gu
rois semaines. De même nous ne pouvons être fixés sur l'état de ses
réflexes
et de sa sen- sibilité avant son entrée à l'hôp
, la démarche et le mouvement imprimé par nous -même, on trouve les
réflexes
exagérés : le rotulien se produit même en frappan
r nous un signe caractéristique de l'exagération dégéné- rative des
réflexes
. On obtient de même le clonus ou la trépidation d
plante (signe de Babinski). Du côté du membre supérieur gauche, les
réflexes
sont aussi exa, gérés : en frappant sur la régi
mou- vement de contraction du membre entier. Du côté du visage les
réflexes
exa- gérés de la moitié faciale gauche révèlent
nt la trépidation épileptoïde du pied et la danse de la rotule ; le
réflexe
du genou est vif, le signe de Babinski positif.
s, ou apporte aux questions posées un grande paresse mentale. Les
réflexes
sont exagérés à droite avec signe de Babinski pos
t donc tout entier sous la dépendance d'excita- tions : psychiques;
réflexes
par excitations cutanées ou sensorielles; spasm
ome rire et pleurer. Il faut considérer ce thalamus comme un centre
réflexe
de coor- dination de la mimique, en rapport ave
le cen- tre originel d'expression de la mimique et le centre de son
réflexe
automa- tique, le thalamus, qui ne joue aucun r
e tout se résume donc en ceci : le thalamus, centre de coordination
réflexe
, répond à une excitation qui doit être soumise au
sensibilité ; pas de douleurs ; Force normale dans les membres ;
Réflexes
tendineux normaux ; Anesthésie pharyngée ; pas
ieures : SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 137 bien timbrée. Le
réflexe
massétérin est normal.La mobilité des muscles fac
maux et tou- tes les fonctions viscérales se font parfaitement. Les
réflexes
abdominaux sont vifs. Le ventre est proéminen
verge est longue et bien conformée ; les testicules très gros.. Les
réflexes
scrotal et crémastérien sont normaux. Le pouvoi
musculaires et les troncs nerveux sont indolents à la pression. Les
réflexes
tendineux et périostaux sont normaux. Extrémité
' La mobilité est parfaitement normale ; la démarche de même. Les
réflexes
patellaires et achilléens sont normaux ; le réfle
e de même. Les réflexes patellaires et achilléens sont normaux ; le
réflexe
plantaire se fait en flexion. La sensibilité
cellules nerveuses intermédiaires, de sorte que, à ce moment, l'arc
réflexe
est constitué. Le mouvement est main- tenant co
en que d'apparence volontaire, absolument inconscientes et purement
réflexes
. Cette matière plastique n'est qu'un lieu de circ
on accroissement de volume et la conservation de son fonctionnement
réflexe
. Plus le corps est volumineux et plus il y a de
s intellectuelles proprement dites, leurs actes sont involontaires,
réflexes
, inconscients, mais les choses se pas- sent abs
sons arti- culés, s'ils possédaient une organisation appropriée. Le
réflexe
qui donne le mouvement aux modes d'expression a
ons intellectuelles chez les animaux inférieurs et que le mécanisme
réflexe
suffise pleinement à les produire. Il n'y a pas q
nsations tactiles qui soient susceptibles de déterminer des actions
réflexes
. C'est là une propriété qui appartient, sans co
périeur. A priori, il paraît même vraisemblable de penser le simple
réflexe
donnant déjà lieu à des opérations si intelligent
il ne parle pas ou parle de lui à la troisième personne. Ses actes
réflexes
qui sont à l'espèce humaine ce que l'agitation de
s presque tous les cas et vraisemblablement dans tous est de nature
réflexe
. Reprenons avec quelques détails ces différents
parer le coup. Qui est responsable de cet acte ? Mais c'est un pur
réflexe
et le mouvement est déjà exécuté avant que vous n
nes psychologiquement volontaires, mais d'origine incontestablement
réflexe
. On n'aurait jamais inventé le terme volonté,si,d
s sont tou- jours réalisées est toujours vraisemblablement dénature
réflexe
.- L'existence et la nécessité de ce rouage s'im
préhension. C'est là un résultat particu- lièrement heureux, car le
réflexe
n est pas l'invention d'un esprit en mal d'ex-
ages en citant des exemples analogues et dans lesquels le caractère
réflexe
des manifestations apparaît net- tement à quico
ine le sentiment, l'impression qui lui est propre. De même que le
réflexe
a des organiques localisés d'autant plus près du
émotion ne se produit que chez les êtres pourvus d'une organisation
réflexe
appropriée et d'autant plus fortement que la ma
rveau et momentanément consciente. Si celle-ci avait parcouru l'axe
réflexe
sans atteindre la zone consciente, elle au- rai
nel, font preuve non pas d'un bon coeur, mais d'une grande aptitude
réflexe
, grâce à laquelle leur organisme se met rapidemen
femmes, dans le peuple. Pour mieux comprendre le fonctionnement du
réflexe
intellectuel, nous allons saisir au moment de s
e que des transports et des transformations de forces. Le mécanisme
réflexe
suffit pleinement à cette tâche et il ne me paraî
t possible de déceler dans les manifestations humaines leur origine
réflexe
, leur caractère purement automatique que la con
tions et de réactions. Pour démontrer l'intervention d'un mécanisme
réflexe
dans les opérations intellectuelles et, par con
ifestations, elles se forment d'elles-mêmes c'est-à-dire par action
réflexe
. C'est une loi psychologique bien connue que le
due dans l'espèce humaine s'explique parfaite- ment par le moyen du
réflexe
intellectuel. C'est un sujet qui prête à de longs
qui se manifestent pendant le sommeil sont des phénomènes purement
réflexes
. Les impulsions et les obsessions pathologiques
es démonstrations par la patho- logie de l'existence des mécanismes
réflexes
. L'aboulie et bien d'autres symptômes nerveux r
se nouvelle est encore une preuve complémentaire de l'existence des
réflexes
intellectuels et de leur répercussion sur les fon
xpériences d'hypnotisme mettent à nu pour ainsi dire le méca- nisme
réflexe
qui régit les faits d'intellectualité et constitu
nséquences logiques et i 82 LEFÈVRE nécessaires du fonctionnement
réflexe
qui donne des réponses aux excitations actuelle
r, la versatilité dans les idées ont également une origine purement
réflexe
. Autres excitations, autres réactions. La cré
milieux exté- rieur et intérieur. L'homme est avant tout un être
réflexe
, car il est extrêmement peu sensible à l'influe
sente donc la structure cérébrale comme un lacis inextricable d'arc
réflexes
naissants, les excitations extérieures ou les idé
peut entrevoir et démêler l'infinie com- plexité des manifestations
réflexes
. Il faudra toujours que le raisonnement philoso
es- tigations de ces sciences. V Le fonctionnement intellectuel
réflexe
s'effectue avec une régularité, une irrésistibi
nsations excitatrices éprouvent de la résistance dans leur parcours
réflexe
et des interférences peuvent se produire, car ce
il faut en général, pour apercevoir le fonctionnement intellectuel
réflexe
, considérer l'humanité de haut et ne se laisser a
au moins en pensée, suivre l'excitation avec uue promptitude toute
réflexe
. Un individu habituellement assujetti aux influ
et en nature avec les personnes conservent toujours le ca- ractère
réflexe
; bien que celui-ci ait continuellement une tendan
qu'il semble, lui aussi, être la conséquence d'un fonctionne- ment
réflexe
, puisqu'il s'agit d'un transport et d'une transfo
ence qui sont de nature à modifier la conduite, en annihi- lant les
réflexes
naturels. Et, ici non plus, je ne crois pas à la
nc penser qu'une force nouvelle s'est interposée le long de la voie
réflexe
naturelle ou que l'énergie qu'elle dégage inter
n par l'excitation des nerfs sensitifs et on les considéra comme un
réflexe
; ou bien on sup- posa que la pression pouvait
ns deux cas de la névrite sur le territoire du médian, et la crampe
réflexe
semblait alors être provoquée par une irritatio
t du tissu osseux en tous ses points, bien différents de l'atrophie
réflexe
, trophoneurotique des os (Ludeck, Kienbôck, Exn
isse n'est pas extrême- ment marquée, et l'on peut obtenir un léger
réflexe
rotulien. Mollet assez bien conservé. Atteinte
le de guêpe. L'atrophie est extrêmement marquée pour la cuisse. Les
réflexes
rotuliens ne peuvent être obtenus. La rotule ga
etits travaux. Les cuisses, les quadriceps, sont très atrophiés, le
réflexe
rotulien nul (légère douleur quand on percute le
ont le volume est nette- ment moins considérable que la droite. Les
réflexes
ne sont pas perceptibles. Le faciès est caracté
ise : il tombe en avant ou en arrière. La face paraît épargnée. Les
réflexes
ne peuvent être obtenus. 6° Dar..., 21 ans. Déb
Les muscles de la jambe sont mieux conservés, ou ne peut obtenir de
réflexes
. Modifications osseuses. Genou. C'est l'artic
est moins prononcé à gauche. Troubles de la réflectivité. Pas de
réflexes
au membre supérieur. IV. Membres inférieurs.
ineux sont saillants et rétractés. Troubles de la réflectivité. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont abolis, le réflexe
réflectivité. Les réflexes rotuliens et achilléens sont abolis, le
réflexe
plantaire est diminué mais non inverti, le réflex
sont abolis, le réflexe plantaire est diminué mais non inverti, le
réflexe
crémastérien per- siste. Nous faisons suivre
es sphincters anal et vésical s'accomplit d'une façon normale. Le
réflexe
cutané abdominal est affaibli des deux côtés. L
male. Le réflexe cutané abdominal est affaibli des deux côtés. Le
réflexe
crémastérien existe.- Les réflexes tendineux so
est affaibli des deux côtés. Le réflexe crémastérien existe.- Les
réflexes
tendineux sont un peu vifs. Il n'existe aucun r
iste.- Les réflexes tendineux sont un peu vifs. Il n'existe aucun
réflexe
pathologique. ., Pas de clonus, pas de Babinski
e aucun réflexe pathologique. ., Pas de clonus, pas de Babinski, le
réflexe
plantaire se fait en flexion. Le, réflexe phary
onus, pas de Babinski, le réflexe plantaire se fait en flexion. Le,
réflexe
pharyngien existe, de même que le réflexe cornéal
e se fait en flexion. Le, réflexe pharyngien existe, de même que le
réflexe
cornéal. La sensibilité objective du malade a é
TROPHOEDÈME ACQUIS CHEZ UNE FEMME 281 Pas de dermographisme. Les
réflexes
patellaires sont faibles ; le réflexe cutané plan
Pas de dermographisme. Les réflexes patellaires sont faibles ; le
réflexe
cutané plantaire est normal. Quand la malade so
és. Parésie diffuse peu prononcée de l'extrémité supérieure droite,
réflexes
profonds affaiblis. Atrophie des muscles intéross
seulement des doigts, mais aussi de toute l'extrémité en masse. Les
réflexes
de la conjonctive faisaient défaut et ceux de l
médian et du nerf cubital du côté droit et une légère diminution des
réflexes
profonds dans l'extrémité supérieure droite Com
ante à la côte cervicale (13) ; cette scoliose a une origine tantôt
réflexe
[IIELBING (1.),OT- TENDORF (15. tantôt mécaniqu
est en équinisme marqué et ne peut être ramené à la rectitude. Le
réflexe
rotulien est aboli à droite, fortement diminué à
embre supérieur droit est contrac- ture, la main est en griffe, les
réflexes
sont exagérés. Il existe, en outre, une légère
c contracture douloureuse du membre supérieur. L'abolition des deux
réflexes
rotuliens est absolue ; la trépidation épilepto
ulaires des deux membres inférieurs provoque de vives douleurs. Les
réflexes
tendineux rotu- liens et achilléens, et les réf
douleurs. Les réflexes tendineux rotu- liens et achilléens, et les
réflexes
cutanés plantaires sont abolis. 1 Pas d'oedème.
his par le médecin,les mou- vements actifs étant à peu près abolis.
Réflexes
patellaires exagérés,clonus très facile à provo
en occuper. Le développement de l'atrophie musculaire et l'état des
réflexes
tendi- neux sont traités aussi brièvement que l
INIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 385 l quelques pas sans appui. Le
réflexe
patellaire et le réflexe du tendon d'Achille so
TE AIGUË 385 l quelques pas sans appui. Le réflexe patellaire et le
réflexe
du tendon d'Achille sont affaiblis à gauche.
bien et il n'y avait plus de parésie bien nette du pied gauche. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont égaux des
Les muscles de la région fessière se mon- trent un peu réduits. Le
réflexe
patellaire existe, seulement il est un peu affai-
er, par exemple pour ramasser quelque chose sur le plancher. Pas de
réflexes
abdo- minaux. 388 PETREN ET EHRENBERG Obser
ève la tête. En conséquence il ne peut s'asseoir ni rester assis. Les
réflexes
abdominaux ont disparu. Quand on le lui demande
impossible d'observer aucune contraction des muscles abdominaux Les
réflexes
abdominaux n'existent pas. Les mouvements respi
un peu affaiblie. En conséquence, elle marche aussi assez bien. Le
réflexe
patellaire a disparu à droite, mais il est normal
flexe patellaire a disparu à droite, mais il est normal à gauche. Les
réflexes
du tendon d'Achille sont normaux des deux côtés
compétence légère du bras droit, qui a disparu en peu de temps. Les
réflexes
abdominaux persistent, mais il y a une parésie de
action, quand la malade essaie de lever la tête et les épaules. Les
réflexes
abdominaux ont disparu. Il y a une parésie des
ux des genoux. La force des muscles de l'ab- domen est normale, les
réflexes
abdominaux persistent et ne sont pas affaiblis.
s deux épaules, mais les mouvements des doigts sont normaux. Pas de
réflexes
tendineux des bras. Pendant les mois suivants l
te des deux membres inférieurs qui sont absolu- ment flasques ; les
réflexes
rotulieus ont disparu. Il y a aux membres inférie
ade ne peut faire aucune contraction des muscles abdominaux. Pas de
réflexes
abdominaux. Il y a une paralysie complète de la v
e, mais la force musculaire est ici moins diminuée qu'à droite. Les
réflexes
des tendons et du périoste des membres supérieu
s jambes. Le 19 novembre, nous constatons pour la première fois des
réflexes
rotu- liens, qui sont cependant très faibles. E
de réaction de dégénérescence. Vers la fin du mois de novembre, les
réflexes
rotulieus deviennent plus vifs. Le 30 novembre,
s pour les membres inférieurs, paralysie d'un pur type flasque sans
réflexes
tendineux. Contre ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIO
urs complète, mais d'un pur type spas- modique avec exagération des
réflexes
, clonisme du pied, signe de Ba- binski et appar
s montrer toutefois aucun trouble caractéristique de la marche. Les
réflexes
tendineux et plantaires sont normaux. Le 3 oc
lit ni se tenir assis, si on l'a aidé à prendre cette position. Les
réflexes
abdominaux inférieurs ont disparu, mais les sup
tenir assis sans cela, toutefois dans l'eau, cela est possible. Les
réflexes
abdominaux sont les mêmes que le 11 juin. Avec le
n électrique que cette altération quantitative. On peut obtenir des
réflexes
abdominaux par irritation d'une partie quel- co
naux par irritation d'une partie quel- conque de l'abdomen, mais le
réflexe
est toujours absolument le même et d'un aspect
ne se déplace jamais du côté de l'irritation, mais le mouvement de
réflexe
consiste toujours en une contrac- tion très net
de l'abdomen sont contractés par la volonté ; mais, en regardant le
réflexe
abdominal, on a plutôt l'impres- sion que la pa
bilic. Une autre observation qui se rapporte à ce cas, c'est que le
réflexe
abdominal se fait toujours identiquement par le m
Le champ visuel est normal ; il n'y a pas de dyschromatopsie. Les
réflexes
pupillaires à la lumière et à la distance sont no
ble, mais celle des petits objets offre de grandes difficultés. Les
réflexes
tendineux sont faibles. Membres inférieurs. La
ses n'apparaissaient autrefois qu'après une certaine fatigue. Les
réflexes
rotuliens sont faibles ; les réflexes cutanés son
rès une certaine fatigue. Les réflexes rotuliens sont faibles ; les
réflexes
cutanés sont normaux : l'excitation de la plant
de tête. La sensibilité est intacte dans tous ses modes. Les divers
réflexes
sont normaux. ' Il n'y a d'autre trouble sens
e Wassermann po- sitive, signe d'A 7-gyll- Robertson, abolition des
réflexes
tendineux patellaires et ach'dléens, papille pe
est normale. Le palais est normalement conformé. Rien au pharynx;
réflexe
pharyngien- normal. Déglutition et mastication
sans rien de bien caractérisé. Le goût est très peu développé. Le
réflexe
massétérin est très faible. Le cou est court, g
ns sont bien réglés. Les sphincters sont normalement inhibés. Les
réflexes
cutanés abdomiuaux et crémastériens sont normaux.
exuel est absent; pas d'érection, pas de désirs. Miction normale.
Réflexes
crémastériens faibles ; scrotal aboli. Extrémit
être portés en extension très forcée sur le dos de la paume. Les
réflexes
cubitaux et périosteux radiaux sont extrêmement f
énergie musculaire est très réduite. La mobilité est normale. Les
réflexes
patellaires et achilléens sont abolis. Les réfl
normale. Les réflexes patellaires et achilléens sont abolis. Les
réflexes
cutanés plantaires le sont de même. Station deb
uverts qu'avec les yeux fermés est complètement normale. L'état des
réflexes
est au contraire altéré : le réflexe pupillaire à
plètement normale. L'état des réflexes est au contraire altéré : le
réflexe
pupillaire à la lu- mière est aboli à droite ce
flexe pupillaire à la lu- mière est aboli à droite ce pendantque le
réflexe
l'accommodation est nor- 466 ETTURE LEVI ET GIU
rtson L'oeil gauche est amaurotique par le fait' d'un glaucome. Les
réflexes
tendineux très faibles aux extrémités su- périe
sont complètement abolis aux extrémités inférieures : aussi bien le
réflexe
achilléen que le patellaire font défaut des deux
e réflexe achilléen que le patellaire font défaut des deux côtés. Les
réflexes
cutanés abdominaux et crémastériens sont faible
Les réflexes cutanés abdominaux et crémastériens sont faibles, les
réflexes
scrotaux et plantaires font défaut. Il n'y a pa
es scrotaux et plantaires font défaut. Il n'y a pas de Babinski. Le
réflexe
plantaire nor- mal fait aussi défaut. A côté
Argyll-Robertson, la légère atrophie pupillaire, et l'abolition des
réflexes
tendineux aux extrémités inférieures. Nous nous
ez souvent des tares congénitales (Launois et Roy). L'abolition des
réflexes
tendineux aux extrémités inférieures ne doit pa
t noté dans leurs cas l'affaiblisse- ment ou l'abolition totale des
réflexes
tendineux aux extrémités inférieures quoique le
e tabes soit fruste, soit confirmé. . Quelquefois l'abolition des
réflexes
tendineux peut être liée au diabète coexistant,
us ve- nons de décrire (symptôme d'Argyll-Robertson ; abolition des
réflexes
patellaires et achilléens ; petitesse et atroph
ons papillaires, le symptôme d'Argyll- Robertson et l'abolition des
réflexes
tendineux. Le résultat très nettement positif d
te immobile, ne se courbe pas. La force physique est affaiblie. Les
réflexes
des muqueuses conjonctivale, na- sale et laryng
uqueuses conjonctivale, na- sale et laryngienne sont bien nets; les
réflexes
cutanés sont exagérés. Le ré- flexe plantaire p
épétés du pied ; ce phénomène est plus marqué du côté gauche. Les
réflexes
abdominaux sont nets. Le réflexe crémastérien est
plus marqué du côté gauche. Les réflexes abdominaux sont nets. Le
réflexe
crémastérien est aboli, car le muscle crémastér
aît suivant que l'excitation de la peau est forte ou faible. Tous les
réflexes
distendus, aussi bien aux bras qu'aux jambes, s
e la rotule, en haut et en bas et se répétant de temps en temps. Le
réflexe
scapulaire est aussi exagéré et se transmet du
courber le corps en avant. On se rend bien compte de la marche des
réflexes
. Pas de réflexe maxillaire. La sensibilité méca
en avant. On se rend bien compte de la marche des réflexes. Pas de
réflexe
maxillaire. La sensibilité mécanique des muscle
aumatisme. ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES 497 Les
réflexes
exagérés, les douleurs accusées par le malade à s
ère mais réagis- saient au contraire et bien à l'accommodation. Les
réflexes
rotuliens et achil- léens avaient disparu. Il n
à la lumière mais réagissant au contraire il l'accommodation. Les
réflexes
rotulien et achilléen étaient absents. Les réfl
modation. Les réflexes rotulien et achilléen étaient absents. Les
réflexes
cutanés, les réflexes abdominaux étaient exagérés
es rotulien et achilléen étaient absents. Les réflexes cutanés, les
réflexes
abdominaux étaient exagérés des deux côtés, le
utanés, les réflexes abdominaux étaient exagérés des deux côtés, le
réflexe
crémastérien était supprimé. Le réflexe plantaire
exagérés des deux côtés, le réflexe crémastérien était supprimé. Le
réflexe
plantaire en flexion. Etaient présents les sign
e que, dans le cas présent, il faut mettre les modifications de ces
réflexes
sur le compte du tabes lui-même et par suite el
telle façon un syndrome séquardien. D'autre part, comme pour les
réflexes
, nous ne pouvons pas attribuer une grande valeu
te des jambes. Ces vibrations agiraient comme un excitant d'ordre
réflexe
; elles servi- raient à charger d'énergie les ce
5 Les deux pupilles sont égales, elles réagissent à la lumière. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés ; le réflexe cutané pla
réagissent à la lumière. Les réflexes rotuliens sont exagérés ; le
réflexe
cutané plantaire est en flexion. le cré- mastér
ne peut constater aucune contraction des muscles abdominaux. Pas de
réflexes
abdominaux. La motilité des mem- bres inférieur
servée ; cependant, la jambe gauche est plus faible que l'autre. Le
réflexe
patellaire est très affaibli il gauche, à droite
es deux derniers doigts dans la paume de la main. A droite tous les
réflexes
étaient exagérés et le signe de BabinSKi positif,
froide et cyanosée. Le voile du palais est normal. La motilité
réflexe
se trouve actuellement exagérée aux quatre membre
té réflexe se trouve actuellement exagérée aux quatre membres ; les
réflexes
tendineux, faciles à provoquer, sont très brusque
. La force dynamométrique est de 30 à droite et de 40 à gauche. Les
réflexes
tendineux des muscles triceps et des supinateurs
ndineux des muscles triceps et des supinateurs sont exagé- rés. Les
réflexes
patellaires sont exagérés des deux côtés, mais pl
he, le signe de Babinski se produit nettement à droite, à gauche le
réflexe
plantaire ne se produit pas. 14 octobre. Rien d
t 40 degrés. Le signe de Babinski est manifeste des deux côtés, les
réflexes
rotuliens sont exagérés. 16 octobre, - Le malad
lonus du pied. Le signe de Babinski se produit des [deux côtés. Les
réflexes
abdominaux sont normaux. La sensibilité général
tions. La résistance musculaire semble être assez bien conservée.
Réflexes
. Les pupilles réagissent assez bien, les réflexes
z bien conservée. Réflexes. Les pupilles réagissent assez bien, les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés. Clonus
sont exagérés des deux côtés. Clonus très manifeste des pieds. Les
réflexes
cutanés ne se produisent pas. La sensibilité
ente aussi de légères oscillations. Pas de troubles des sphincters.
Réflexes
: les rotuliens sont absents ; le réflexe du tend
troubles des sphincters. Réflexes : les rotuliens sont absents ; le
réflexe
du tendon d'Achille est absent à droite, il s'o
n d'Achille est absent à droite, il s'obtient à peine à gauche. Les
réflexes
tendineux supérieurs sont faibles ; le radial d
te en outre le signe de Romberg. Rien par rapport aux réservoirs.
Réflexes
rotuliens et du tendon d'Achille absents des deux
n se manifeste à peine, les abdominaux manquent des deux côtés. Des
réflexes
des membres supérieurs sont évidents,seulemeut
évidents,seulemeut le bicipital qui est plus faible à droite et le
réflexe
du médium est égal des deux côtés. La réaction
s dans lesquels on remarquait aussi des secousses fibrillaires. Les
réflexes
rotuliens et achilléens de droite étaient dispa
s troubles des membres inférieurs se sont notablement accrus et les
réflexes
cutanés et pro/onds sont complètement disparus. E
mal ou distal de la paralysie, sans notable R. D. ; l'abolition des
réflexes
profonds, l'absence d'importants troubles sensi
Contre la sclérose latérale am y o trophique parlent l'abolition des
réflexes
profonds supérieurs et inférieurs, la marche de
t une réaction de dégénérescence aux muscles péroniers, mais que le
réflexe
patellaire était conservé. De même, le cas de
te ; cette dernière jambe était atrophique el flasque, toutefois le
réflexe
patellaire était conservé et l'exa- men électri
urs des racines vers les extrémités. La parésie est flasque, pas de
réflexes
teudiueux. Il y a une certaine ataxie du bras g
ras, mais il y a une faiblesse des muscles abdominaux ; toutefois les
réflexes
abdominaux sont vifs. Pendant les jours suiva
nts des cuisses sur le bassin il n'y a pas de dininution nette. Les
réflexes
patellaires sont conservés, les réflexes du tendo
s de dininution nette. Les réflexes patellaires sont conservés, les
réflexes
du tendon d'Achille ont disparu. Les réflexes t
s sont conservés, les réflexes du tendon d'Achille ont disparu. Les
réflexes
tendineux aux bras sont affaiblis. Les muscles ab
passées à la clinique, la faiblesse aug- mente encore un peu et les
réflexes
patellaires sont encore plus affaiblis. Après u
t des genoux, il n'y a qu'une parésie tout à fait légère. A droite,
réflexe
patellaire normal, affaibli à gauche. Le réflexe
it légère. A droite, réflexe patellaire normal, affaibli à gauche. Le
réflexe
du tendon d'Achille est normal des deux côtés.
he est légèrement parétique. Les muscles du tronc sont normaux. Les
réflexes
abdominaux conservés. Observation XXXVI. -J. A.
lui-même sans s'aider des bras. Pas de troubles de la vessie. Les
réflexes
patellaires et abdominaux sont conservés, mais le
ie. Les réflexes patellaires et abdominaux sont conservés, mais les
réflexes
du tendon dAchille et les réflexes plantaires o
ominaux sont conservés, mais les réflexes du tendon dAchille et les
réflexes
plantaires ont disparu. La sensibilité tactile
aralysie complète pour les mouvements des pieds et des orteils. Les
réflexes
patellaires ont disparu. Il peut encore s'asseo
'on peut constater quand il tousse ou essaye de s'asseoir. Pas de
réflexes
patellaires ou plantaires, pas de réflexes du ten
aye de s'asseoir. Pas de réflexes patellaires ou plantaires, pas de
réflexes
du tendon d'Achille, mais les réflexes abdomina
laires ou plantaires, pas de réflexes du tendon d'Achille, mais les
réflexes
abdominaux sont conservés. La sensibilité tacti
n restent complètement indemnes. INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
PAR le D L. LEFÈVRE (de Bruxelles). Si elle
unit et elles vivent dans le même voisinage sans se rapprocher. Les
réflexes
physiologiques qui en partent semblent se dével
à savoir que les manifestations humaines sont avant tout de nature
réflexe
et qu'en conséquence la réflexion est elle-même
e nature réflexe et qu'en conséquence la réflexion est elle-même un
réflexe
. L'homme ne réfléchit qu'aux réflexions déjà fa
ux détenteur d'un excellent ins- INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
695 trument. Ceux-là qui ont produit des idées
ondre. L'étude de l'instinct, de l'habitude, de l'automatisme et du
réflexe
présente un intérêt tout particulier pour le ph
u bien les uns ressortent-ils au INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
6H9 mécanisme, les autres à l'intelligence : ou
s, la langue a adopté les termes instinct, habitude, automatisme et
réflexe
qui ont entre eux des rapports étroits. Bien qu
on considère leur valeur respective,on remarque cepen- dant que le
réflexe
exprime un moyen ; l'automatisme, une manière d'ê
e expression psychologique qui synthétise l'activité automatique et
réflexe
d'un être dans l'accomplissement de ses fins na
tive, parce qu'elle dérive d'une INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
703 composition cellulaire héritée et héréditai
e générale, traduite par Ilédon. INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
705 organes sont donc doués de l'instinct de la
ionné chez les animaux supérieurs et inférieurs et que le mécanisme
réflexe
des pre- miers peut être remplacé chez quelques
ommode pour saisir toute l'élen- INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
707 due de signification du mot instinct est de
ratum organique qui le commande. INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
709 Mais, comme il se décompose lui-même en opé
) ; par leur manière d'être (au- INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
713 tomatique parce qu'elle est commandée par l
reste encore à dire que son fonctionnement repose sur un mécanisme
réflexe
et qu'il possède, par conséquent, une allure au
serves qui seront exposées dans quelques instants, par un mécanisme
réflexe
, c'est-à-dire que chacune de leurs cellules est
yée à un organe moteur sous forme de réponse motrice. Dans l'action
réflexe
, la sensibilité se transfor- me mécaniquement e
comparable à celle des courroies de transmission. Les phénomènes
réflexes
constituent donc des actes de physiologie nor-
our se transformer et s'étendre. INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
715 On connaît l'expérience de lagrenouille déc
5 On connaît l'expérience de lagrenouille décapitée etses réactions
réflexes
quand on place une goutte d'acide sur sa peau ;
e contact de l'acide s'est transformée en mouvement. Tel est l'acte
réflexe
. On frappe sur une louche de piano et, sous forme
son. Telle est une comparaison plus ou moins parfaite avec l'action
réflexe
. En expérimentant sur l'homme, on a obtenu des ré
ire, que toute l'activité instinc- tive est d'origine biologique et
réflexe
et que l'on peut écarter de sa mise en oeuvre t
de chercher la cause qui met en oeuvre la partie sensitive de l'arc
réflexe
qui constitue elle-même le principe de l'activité
ire la première excitation qui va automatiquement animer le premier
réflexe
et par suite un premier organe dont le fonction
urce de nou- velles excitations qui donnent naissance à de nouveaux
réflexes
, à de nou- veaux fonctionnements, à de nouvelle
eux de l'instinct, les phénomènes d'habitude sont réalisés par voie
réflexe
. Comme eux, ils se produisent sans que l'homme le
matique c'est- à-dire purement mécanique, machinale. Les phénomènes
réflexes
sont cons- cients ou inconscients suivant qu'il
rait nuire à l'intelligence de l'ensemble. En effet, tous les actes
réflexes
sont automatiques, mais tous les actes automatiqu
ctes automatiques ne se réalisent pas toujours grâce à un mécanisme
réflexe
. C'est là un moyen d'action déjà fort perfectio
'on peut observer même chez l'homme concurremment avec le mécanisme
réflexe
. INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET RÉFLEXE 717
mment avec le mécanisme réflexe. INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
717 Chez les animaux inférieurs, la réalisation
autres. De cette façon, un résultat analogue à celui fourni par le
réflexe
a été obtenu, mais par un autre moyen. Ainsi, p
lus con- testée, paraît-il, il faut reconnaître que l'importance du
réflexe
a été ma- nifestement exagérée. La chose parait
ire semble être admise. En tout cas, qu'il pro- cède d'un mécanisme
réflexe
, hormonique ou simplement physico-chimi- que, t
qu'il serait malaisé de lui re- INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
719' fuser. L'appétition instinctive ne pouvant
ie consciente qui n'existe pas chez le nou- veau-né, les phénomènes
réflexes
peuvent donner lieu à des idées cons- cientes.
ico-chimique de la matière correspondant à la réalisation de l'acte
réflexe
existe, mais dans le premier le résultat de cet
t du '( coup » qui actionnent l'acte de défense. C'est un mouvement
réflexe
simplement qui s'est déjà manifesté avant qu'on a
uccion et de préhension. Et tou- INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
721 tes ces fonctions s'accomplissent, l'enfant
s organismes extrêmement simples INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
723 (monères), amas globuleux composé d'un mucu
ent des mêmes causes et subissent les mêmes lois. Ce fonctionnement
réflexe
automatique un peu amendé par la raison chez qu
ne leur donnaient pas l'impulsion. Des fonctionnements médullaires
réflexes
comme des fonctionnements intellectuels réflexes
ements médullaires réflexes comme des fonctionnements intellectuels
réflexes
sont t les seuls possibles, puisqu'il faut touj
réactions d'autre part et la raison, quand elle existe, n'est qu'un
réflexe
discipliné, un courant nerveux éduqué qui prend n
aisseaux, les muscles, les glandes dont ils modifient l'équilibre ;
réflexe
. Et, si dans cet enchaînement, il y a un stade
e mécaniquement en mouvement. Si INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
727 cette opération s'accompagne de pensée, tan
la pensée est le plus souvent concomitante ou postérieure à l'acte
réflexe
. Être ennuyé par des choses ennuyeuses, attristé
'état de conscience qui lui correspond. Action, réaction enchaînée,
réflexe
. Tout l'organisme, intellectuel et physique, vi
tendues, générales dans tous les INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET
RÉFLEXE
729 domaines de la science. Ce n'est qu'en glan
olynévrite -) (1 pl.), par DUS'rIN, 349. Habitude, automatisme et
réflexes
, par Le z fèvre, 693. Hémiplégiques (Rire et
cervicale), par STCHERDAK, 283. Instinct, habitude, automatisme et
réflexes
, par Lefèvre, 693. Micromélie congénitale lim
us du né- vraxe) (1 pi.), par Alquier et Faure Beau- lieu, 109.
Réflexes
, automatisme, instinct el habitude, par Lefèvre
EV ces mouvements ; ensuite les mouvements de la respiration et les
réflexes
y attenant, les sécrétions directes et réflexes
respiration et les réflexes y attenant, les sécrétions directes et
réflexes
des glandes de la diges- tion, de la peau, des
e la peau, des glandes sexuelles et autres, la sécrétion directe et
réflexe
de l'urine, tous les phénomènes vasomoteurs et le
certain laps de temps mesurable. Prenons un processus de sécrétion
réflexe
quelconque, par exemple la sécrétion de la sali
que la sécrétion de la salive se manifeste. Par conséquent, l'acte
réflexe
physiologique pris comme exemple se compose des
de la moelle épinière chez la grenouille, aucune variation négative
réflexe
dans le n. ischiaticus et il l'explique par la
es postérieures de la moelle épinière, des contractions musculaires
réflexes
; et s'il n'a pas obtenu une variation négative
légie spasmodique, c'est-à-dire de contracture et d'exagération des
réflexes
tendineux. Les choses paraissaient bien établie
n suffit pour interpréter les phénomènes négatifs : l'abolition des
réflexes
et l'abolition de la rigidité ; mais elle ne rend
elle ne rend pas compte de ce phénomène positif : l'exagération des
réflexes
et la rigidité musculaire, ou la contracture, d
s Souny, p. 1050. (2) Cité d'après VAN Gehuchten, L'exagération des
réflexes
el la contracture. Journ. de neurologie, 1897.
excite la moelle, d'où le tonus exagéré (la contracture), d'où les
réflexes
tendineux exagérés ; et si toute la moelle est
la paraplégie flasque, plus de contracture, plus de tonus, plus de
réflexes
tendineux exagérés. M. van Gehuchten a apporté ce
le pied gauche traîne et repose sur le sol par son bord externe.
Réflexes
patellaires exagérés. Pas de clonus du pied. Sign
rente de la motilité ou de la force musculaire. Pas de contracture.
Réflexes
tendineux affaiblis des deux côtés. Pas de trou
ements concourant à rendre l'examen impossible ; il est de même des
réflexes
tendineux, qu'on ne peut provoquer. Pas d'atrophi
du genou gauche se font avec un peu moins de force qu'à droite ; le
réflexe
du tendon d'Achille, normal à droite, n'a pas é
ssus à cet endroit pouvait être la seule raison de cette absence du
réflexe
; le réflexe du gros orteil, à droite comme à g
droit pouvait être la seule raison de cette absence du réflexe ; le
réflexe
du gros orteil, à droite comme à gauche.provoqu
he et de fourmillement dans les extrémités de ce côté du corps. Les
réflexes
rotuliens paraissent égaux et normaux, ainsi que
t et s'écartent. Le phénomène d'Oppenheim est positif à gauche. Les
réflexes
cré- mastériens et abdominaux sont conservés.
spasmodique, avec cram- pes douloureuses, raideur, exagération des
réflexes
tendineux, ébauche de clonus, signe de Babinski
neux, ébauche de clonus, signe de Babinski bilatéral, abolition des
réflexes
cutanés (crémas- tériens, abdominal). Le malade
Aux membres supérieurs, rien à noter, qu'une légère exagération des
réflexes
tendineux. Rien non plus à la tête ; pas de troub
des deux côtés ; mais la percussion du tendon à gauche y produit le
réflexe
contralatéral. Le réflexe cutané plantaire, abo
cussion du tendon à gauche y produit le réflexe contralatéral. Le
réflexe
cutané plantaire, aboli à droite, se fait en exte
utané plantaire, aboli à droite, se fait en extension il gauche. Le
réflexe
anal manque. Il existe (Fig. 1) une anesthésie
e inférieur gauche avec atrophie rapide et abolition simultanée des
réflexes
rotulien, achilléen et plantaire limitée au dom
ceaux verticaux de la corne postérieure de Ki1- liker, collatérales
réflexes
) sont détruites, mais s'il n'y a pas de dégéné-
démonstration de la loi de Scherrington. A gauche l'abolition du
réflexe
rotulien me parait tenir aux lésions des 3e et
e trophisme, de circulation dans les membres, les doigts y compris.
Réflexe
olécrânien absent de même que les réflexes du poi
es, les doigts y compris. Réflexe olécrânien absent de même que les
réflexes
du poignet. 8. Les muscles innervés par le nerf
e fait paralytique caractéristique de l'intoxication saturnine. Les
réflexes
tendineux et périostiaux sont abolis. Les muscl
membre oscille en tous sens d'une façon analogue au bras droit. Les
réflexes
tendineux et périostaux sont éteints. Mêmes con
s sauf dans les muscles desservis par le sciatique poplité interne.
Réflexes
rotuliens et achilléens abolis. Sphincters normau
ux muscles du thorax. L'amyotrophie est accompagnée de la perte des
réflexes
et de RD. Pas de troubles notables de la sensib
- Considérations analomiques et physiologiques sur la moelle. Les
réflexes
tendineux et cutanés, autant que nous les connais
cle qui va se contracter. Nous n'avons qu'à citer comme exemples de
réflexes
tendi- neux, les réflexes le plus souvent reche
Nous n'avons qu'à citer comme exemples de réflexes tendi- neux, les
réflexes
le plus souvent recherchés le réflexe du tendon r
de réflexes tendi- neux, les réflexes le plus souvent recherchés le
réflexe
du tendon rotulien, le réflexe du tendon d'Achi
flexes le plus souvent recherchés le réflexe du tendon rotulien, le
réflexe
du tendon d'Achille, le réflexe du triceps brachi
s le réflexe du tendon rotulien, le réflexe du tendon d'Achille, le
réflexe
du triceps brachial, le réflexe du biceps brach
le réflexe du tendon d'Achille, le réflexe du triceps brachial, le
réflexe
du biceps brachial, etc. Seuls le réflexe des m
e du triceps brachial, le réflexe du biceps brachial, etc. Seuls le
réflexe
des muscles fléchisseurs et celui des muscles e
r toute la masse des tendons en même temps. La règle s'applique aux
réflexes
cutanés, et nous pouvons citer les réflexes cré
La règle s'applique aux réflexes cutanés, et nous pouvons citer les
réflexes
crémastériens, abdominaux (supérieur, moyen et
(supérieur, moyen et inférieur), fessiers, anal, qui tous sont des
réflexes
uni-musculaires. Mais Stembe1'g, dans son trava
scles sur de grandes surfaces, on a pu observer directement que les
réflexes
sont d'une façon constante multi-musculaires (c
s muscles, et très fréquemment bilatéraux (Doppelseitige). Dans les
réflexes
tendineux au sens le plus étroit, les muscles d
lus éloignés beaucoup plus faiblement. » « Chez l'homme sain, les
réflexes
tendineux sont, en général, moins- accentués ;
anmoins par une observation rigoureuse sur des gens maigres que les
réflexes
tendineux sont multi-musculaires en règle général
cles dont le tendon est percuté. » . Dans nos recherches sur les
réflexes
osseux, nous avons été frappé non seulement par
ontraction n'était pas unique. Par exemple, au membre supérieur, le
réflexe
osseux qu'on provoque par la percussion de l'apop
ion simultanée de deux muscles, le long supinateur et le biceps. Le
réflexe
osseux de l'épi- condyle, le coude étant porté
iologie et l'anatomie de la moelle. Quoique pour la production d'un
réflexe
osseux il y ait parti- cipation de plusieurs mu
ur collaboration est une seule fonction ; d'où la conclusion que le
réflexe
osseux égale une fonction. Le réflexe osseux de
n ; d'où la conclusion que le réflexe osseux égale une fonction. Le
réflexe
osseux de l'apophyse styloïde du radius représent
tyloïde du radius représente le mouve- ment de flexion du coude. Le
réflexe
osseux de l'épicondyle, quand le coude a été pr
excités, qui se traduit par l'action de porter le bras en avant. Le
réflexe
osseux de l'épitrochlée représente le mouvement
ui étend le coude et porte en arrière le membre supérieur, etc.. Le
réflexe
osseux en général, comme tous les autres réflexes
upérieur, etc.. Le réflexe osseux en général, comme tous les autres
réflexes
connus, tendineux et cutanés, ont un arc représ
ion produite par la percussion d'un point osseux ; 2° par un centre
réflexe
qui représente l'origine nucléaire intramédullair
elle fibre sensitive ; et 3° par une fibre (1) NOICA et STHOIINGEa,
Réflexes
osseux. Revue neurologique, p. 969, 1906 ; Noica,
ique, p. 969, 1906 ; Noica, . Contributions nouvelles à l'étude des
réflexes
osseux. Revue neurologique, n° 5, 15 mars 1901.
etc., nous avons cherché à indiquer quel arc correspond tel ou tel
réflexe
osseux. Certainement nos dénominations sont schém
e de multi-muscularité que nous avons constaté par la recherche des
réflexes
osseux, nous l'avons étudié plus loin encore, spé
s antérieures du deltoïde et du muscle grand pec- toral, mais si le
réflexe
est exagéré, on peut provoquer en plus une con-
LA CONTRACTURE 155 La percussion de la tubérosité interne du tibia (
réflexe
osseux de la 3e racine lombaire), peut provoque
, peut faire contracter en même temps le muscle triceps sural. Le
réflexe
osseux de la malléole externe est caractérisé par
ns cherché à donner une explication anatomique de la propagation du
réflexe
osseux des adducteurs, aux muscles quadriceps c
nt, et la propagation ne peut pas sauter par dessus un autre (1) Le
réflexe
rotulien, le réflexe conl),a-latéral des adducteu
ne peut pas sauter par dessus un autre (1) Le réflexe rotulien, le
réflexe
conl),a-latéral des adducteurs et le réflexe osse
Le réflexe rotulien, le réflexe conl),a-latéral des adducteurs et le
réflexe
osseux de la tubérosité interne du tibia. Revue
on peut les provoquer cher un homme normal par l'excitation de deux
réflexes
osseux, quand ils existent, et ils existent tou
du muscle deltoïde et même quelquefois du grandpectoral. L'au- tre
réflexe
se produit en percutant l'apophyse styloïde du cu
muscles fléchisseurs du poignet et des doigts. Le premier c'est le
réflexe
osseux des 5e est 6" racines cervicales, le sec
e réflexe osseux des 5e est 6" racines cervicales, le second est le
réflexe
de la Se racine cervicale. Passons maintenant
sural. La première attitude, nous ne pouvons pas la produire par un
réflexe
osseux, parce que nous ne connaissons pas le po
ve dans le deuxième segment sacré, il s'en suit que le deuxième arc
réflexe
LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 157 sacré doit
exe LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 157 sacré doit correspondre au
réflexe
osseux qui provoque la contracture du grand fes
er. L'extension du genou et l'adduction, nous les produisons par le
réflexe
osseux de la tubérosité interne du tibia (3e et 4
provoquer par la percussion de la malléole externe, c'est-à-dire le
réflexe
osseux du 1er segment sacré. Peut-on reproduire
raction du grand fessier (exten- sion de la cuisse),car ces centres
réflexes
ne se succèdent pas, il va d'autres centres ent
sera contraire à nos observations cliniques sur la propagation des
réflexes
. Même difficulté aux membres supérieurs. Mais
pourrait L se dissimuler sous l'oedème. Pas de modifications des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs ni aux membres
ue droite et du membre inférieur droit. Exagération transitoire des
réflexes
rotuliens. Les téguments de la région périnéale
t moyennement dilatées et réagissent à la lumière et à la distance.
Réflexe
consensuel normal. -' Ajoutons enfin que le mal
timètres du sommet de la cavité adénoïde : 258 BRISSAUD ET GY Les
réflexes
tendineux : rolulien, achilléeu, olécranieu, des
u, des extenseurs de l'avant-bras sont abolis des deux côtés. Les
réflexes
cutanés plantaires sont négatifs, abdominaux sont
s plantaires sont négatifs, abdominaux sont conservés ainsi que les
réflexes
crémastériens. De même pour les réflexes cornée
conservés ainsi que les réflexes crémastériens. De même pour les
réflexes
cornéen et pharyngien. Des troubles vaso-moteur
urs accusées par le malade au début de l'affection, sont nuls ; les
réflexes
rotuliens abolis. S'agit-il d'une polynévrite ?
du noyau avec atrophie. Comparer cette figure à la figure F. LES
RÉFLEXES
CONTROLATÉRAUX . LE REFLEXE PLANTAIRE CONTROLAT
ital Tenon. M. PIERRE WEIL, Interne des Hôpitaux. La notion des
réflexes
controlatéraux est relativement récente, et cela
depuis combien peu d'années nous connaissons le plus important des
réflexes
, le réflexe rotulien. Il n'y a"guère que 30 ans
en peu d'années nous connaissons le plus important des réflexes, le
réflexe
rotulien. Il n'y a"guère que 30 ans que Erb et
ulien. Il n'y a"guère que 30 ans que Erb et Westphal décrivaient le
réflexe
patellaire (1875), et c'est à cette époque que
tte époque que semble avoir été constaté, pour la première fois, un
réflexe
controlatéral. Westphal (1) signale en effet des
indale et Taylor (6), Russe), Ganault (7) poursuivent l'étude de ce
réflexe
, et essayent d'en préciser les conditions d'app
w York, mai 1894. (7) GANAULT, Contribution à l'étude de quelques
réflexes
dans l'hémiplégie organique. Th. Paris, 1898.
elques réflexes dans l'hémiplégie organique. Th. Paris, 1898. LES
RÉFLEXES
C0NTR0LATÉRAUX 271 réflexe rotulien : J. Valobr
gie organique. Th. Paris, 1898. LES RÉFLEXES C0NTR0LATÉRAUX 271
réflexe
rotulien : J. Valobra etVT.Bertolotti (1), entre
la crête du tibia ou de la rotule. M. Dejerine (2) signale un autre
réflexe
controlatéral, celui du tendon d'Achille. Dans
ion de celui du côté op- posé. Ganault, dans sa thèse, signale un
réflexe
controlatéral du crémaster : chez certains hémi
s avons recherché chez un certain nombre de sujets l'existence d'un
réflexe
controlatéral plantaire. Nous avons choisi, à cet
d provoquait la flexion des orteils des deux côtés, c'est-à-dire le
réflexe
controlatéral plantaire, tandis que l'attouchem
ffec- tion du système nerveux chez lesquels nous avons recherché le
réflexe
(1) Valobra et BE11TOLOrTI, Journal de l'Académ
e (27 hommes ; 30 femmes). 17 d'entre eux (29, 8 0/0) présentent le
réflexe
plantaire controlatéral ; 34 (59, 6 0/0) ne le pr
des malades indemnes d'affection avérée du système ner- veux ont le
réflexe
plantaire controlatéral. Nous avons évidemment es
mouvements de défense, qui ne nous intéressent pas, des mouvements
réflexes
sur lesquels seuls nous voulons attirer l'atten-
sur un point limité le mini- mum d'excitation, le premier mouvement
réflexe
ne portera plus seule- ment sur les muscles de
es antérieures de la moelle. Que devient chez les hémipégiques le
réflexe
plantaire controlatéral ? On sait que l'excitat
nt, mainte- nant que l'excitation part du côté indemne. Le terme de
réflexe
plantaire controlatéral « contraire, dissemblab
: 11 ont le signe de Babinski par excitation' du côté malade, et le
réflexe
plantaire controlatéral hétérogène par excitation
' du côté sain (= 68,7 0/0) ; 2 n'ont ni le signe de Babinski ni le
réflexe
plantaire controlatéral ; 1 a le signe de Babin
gne controlatéral; 1 n'a pas le signe de Babinski, mais présente le
réflexe
controlatéral. Il serait fort intéressant de
l serait fort intéressant de connaître avec exactitude la genèse du
réflexe
controlatéral dissemblable. Mais, à vrai dire, le
entourent, actuellement encore, le mécanisme de tous les mouvements
réflexes
, et (d'autre part les divergences des auteurs sur
es divergences des auteurs sur les relations qui existent entre les
réflexes
plantaires et les réflexes cutanés ou tendineux,
sur les relations qui existent entre les réflexes plantaires et les
réflexes
cutanés ou tendineux, ne facilitent certainemen
rer que si, chez l'animal, ou chez l'enfant nouveau-né, les centres
réflexes
sont médullaires, chez l'homme adulte ils sont
ico-dorsale provoque l'abolition permanente et complète de tous les
réflexes
clini- ques prouve nettement que le rôle physio
ysiologique des voies longues est indispensable à la production des
réflexes
tendineux et cutanés. »'Plus on envisage des êt
ge des êtres haut placés dans l'échelle animale, plus leurs centres
réflexes
semblent haut situés : le singe, après la section
tion de sa moelle, peut encore rééduquer ses fibres courtes, et ses
réflexes
peuvent reparaître après un laps de temps relat
rappel ancestral. Mais s'il semble que l'on puisse admettte que les
réflexes
chez l'homme ont des voies longues, où placer l
réflexes chez l'homme ont des voies longues, où placer les centres
réflexes
. Faut-il les localiser dans les masses grises s
admettre des centres différents pour les ré- flexes cutanés et les
réflexes
tendineux, mettre ceux-là dans la corticalité (
dans les ganglions opto-striés (Crocq) ? Faut-il alors assimiler le
réflexe
plan- LES RÉFLEXES CONTROLATÉRAUX 275 taire a
opto-striés (Crocq) ? Faut-il alors assimiler le réflexe plan- LES
RÉFLEXES
CONTROLATÉRAUX 275 taire aux réflexes culanés,p
imiler le réflexe plan- LES RÉFLEXES CONTROLATÉRAUX 275 taire aux
réflexes
culanés,puisqu'il se rapproche de ceux-ci par son
uisqu'il se rapproche de ceux-ci par son modede provocation, ou aux
réflexes
tendineux, dont il suit plutôt les variations ?
ous mèneraient loin de notre sujet : bornons-nous à admettre que le
réflexe
plantaire est un réflexe à voies longues. D'a
tre sujet : bornons-nous à admettre que le réflexe plantaire est un
réflexe
à voies longues. D'autre part, on sait que le p
me pyra- midal » : aussi, si le faisceau pyramidal est dégénéré, le
réflexe
en ex- tension pourra être constaté. - Enfin,
ions, nous croyons que l'on peut admettre l'explication suivante du
réflexe
plantaire hétérogène. Lors- que l'excitation in
le sait depuis longtemps, par l'exagération de ce côté de tous les
réflexes
, mais encore par l'apparition, selon la loi de
flexes, mais encore par l'apparition, selon la loi de Pflüger, d'un
réflexe
plantaire controlatéral. Que vont devenir ces
lüger, d'un réflexe plantaire controlatéral. Que vont devenir ces
réflexes
plantaires controlatéraux chez les para- plégiq
eaucoup plus. A droite et à gauche l'excitation du pied provoque le
réflexe
de Babinski, mais l'excitation du pied droit pr
ois l'altération du faisceau pyramidal qui suffit pour provoquer ce
réflexe
) ; or cette perturbation est de l'ordre de cell
c au niveau de l'extrémité du membre inférieur droit un mou- vement
réflexe
qui tient à la fois du réflexe plantaire normal (
embre inférieur droit un mou- vement réflexe qui tient à la fois du
réflexe
plantaire normal (extension du pied) et du réfl
ent à la fois du réflexe plantaire normal (extension du pied) et du
réflexe
pathologique (extension de l'orteil). Or est bien
ez celui-ci le membre est presque sain, et l'excitation provoque un
réflexe
plantaire controlatéral de flexion ; là il est
mode pathologique, celui du pied rappelle au contraire le mouvement
réflexe
normal. Nous croyons donc pouvoir avancer, comm
erveux, l'excitation de la plante d'un pied provoque des mouve- LES
RÉFLEXES
CONTROLATÉRAUX 277 ments de flexion des orteils
ATÉRAUX 277 ments de flexion des orteils des deux pieds, mouvements
réflexes
, et non de défense. Or ces sujets sont presque
ité a été exagérée par la décapitation, la loi de l'irradiation des
réflexes
de Pflüger. Chez les hémiplégiques, l'excitatio
nts bilatéraux de flexion des orteils, mettant ainsi en évidence le
réflexe
plantaire controlatéral hété- rogène ou dissemb
rogène ou dissemblable. Ce n'est en somme qu'un cas particulier du
réflexe
plantaire controlatéral de flexion étudié ci-dess
n, avec exten- sion également du pied sur la jambe (dissociation du
réflexe
pathologique ordinaire), tandis que l'excitatio
tion de la plante du pied du côté le plus atteint ne provoque aucun
réflexe
controlatéral. , Il semblerait donc que l'on pu
ration légère de l'excitabilité d'un faisceau pyramidal provoque le
réflexe
plantaire controlatéral de flexion, dont le réf
dal provoque le réflexe plantaire controlatéral de flexion, dont le
réflexe
controlatéral plantaire hétérogène n'est qu'une
ération plus marquée de l'ex- citabilité de ce faisceau provoque le
réflexe
plantaire controlatéral d'ex- tension (rare) ;
e profonde d'un faisceau pyramidal s'oppose à la production de tout
réflexe
controlatéral plantaire. L'étude des réflexes c
la production de tout réflexe controlatéral plantaire. L'étude des
réflexes
controlatéraux permettrait donc de dire quel est
. 290 ODDO lesquelles des douleurs fulgurantes et l'abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens existaient, à. l'exclus
e, il se plaint seulement de diminution des forces musculaires. Les
réflexes
tendineux sont abolis dans les deux membres inf
is dans les deux membres inférieurs. Pas de signes de Babinski. Les
réflexes
crémasté- riens, plantaires abdominaux sont con
ions nocturnes spontanées sont très fréquentes et douloureuses. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont totalement abolis.
git plus, en effet, ici, de ces signes limités à la suppression des
réflexes
et aux douleurs fulgurantes que Babinski désigne
dination motrice, myo- sis, troubles sphinctériens et abolition des
réflexes
. Quels sont les rapports de ce tabes avec la lé
les mouvements commandés, soit enfin dans les mouvements d'origine
réflexe
. Les points d'émergence des branches de la Va e
es conjonctives palpébrales sont pâles ; les bulbaires, normales. Les
réflexes
conjonctivaux et cornéens sont très vifs des de
lles parfaite- ment rondes et égales présentent, comme en 1907, les
réflexes
à la conver- gence normaux. L'accommodation n'e
aux. L'accommodation n'est pas démontrable à cause de la cécité. Le
réflexe
à la lumière était en 1907 très diminué à gauche
nfantile, sans le moindre soupçon de différenciation sexuelle, n Le
réflexe
pharyngé est vif ; on ne provoque pas facilement
yngé est vif ; on ne provoque pas facilement le vomisse- ment. Le
réflexe
massétérin est un peu exagéré. Le goût est norm
ence et pas même d'enurèse nocturne dans la première enfance. Les
réflexes
cutanés abdominaux, supérieurs et inférieurs, son
, supérieurs et inférieurs, sont également vifs des deux côtés. Les
réflexes
des muscles droits de l'abdomen sont un peu exa
ction des adducteurs des cuisses,également forte des deux côtés. Le
réflexe
anal est normal. Les règles font totalement déf
s dentelles. L'excitabilité musculaire mécanique est normale. Les
réflexes
cubitaux et radiaux sont également exagérés des d
is ils l'étaient davantage en 1907. Pas de clonus de la main. Les
réflexes
scapulaires sont aussi exagérés. Extrémités inf
tremblement^soit statiques soit cinétiques. Pas d'asynergie. Les
réflexes
patellaires étaient en 1907 également exagérés de
feste à gauche qu'à droite. On n'eut jamais de clonus rotulien. Les
réflexes
achilléens étaient en 1907 à peine exagérés ; c
'est pas assez mani- feste pour en obtenirun tracé graphique. Les
réflexes
plantaires sont vifs. Les symptômes de Babinski,
nce du front bombé ; leur mobilité est normale ; pas de nystagmus ;
réflexes
cornéo-con- jonctivaux et iridiens normaux ; le
amygdales sont un peu agrandies ; pas de végétations adénoïdes. Le
réflexe
pharyngien est normal. Déglutition et mastificati
sies. La mobilité et la sensibilité sont parfaitement normales. Les
réflexes
tendi- neux des extrémités supérieures et infér
di- neux des extrémités supérieures et inférieures plutôt vifs.' Le
réflexe
pharyn- gien et le réflexe conjonctival sont ab
érieures et inférieures plutôt vifs.' Le réflexe pharyn- gien et le
réflexe
conjonctival sont absents ; les abdominaux, norma
crémastérien, très faible; le scrotal, absent; le rectal, normal. Les
réflexes
plantaires sont vifs, en flexion. L'examen du
nférieur droit paraît un peu plus difficile à mouvoir. L'examen des
réflexes
et de la force musculaire ne permet cependant p
es orteils réagissent difficilement : il n'y a pas d'extension. Les
réflexes
rotuliens sont vifs et sen- siblement symétriqu
alysie faciale, de troubles de la sensibilité ni des sphincters. Le
réflexe
pharyngé est très diminué. L'examen du squelett
étend qu'on veut lui faire du mal ; crises d'angoisse. Dès 1906 :
réflexes
tendineux exagérés au bras et à la jambe gauches.
mars au 11 juin 1905 pour tuberculose pulmonaire. On a noté que les
réflexes
pupillaires étaient normaux. En août J905,appar
e, tomberait toujours en arrière joui à droite si on l'abandonnait.
Réflexes
pupillaires et patellaires normaux. Parésie du
te; diminution de la réaction à la lu- mière. Forte exagération des
réflexes
rotuliens, Babinski. Sensibilité conser- vée. F
droite qui est plus grande que la gauche et qui réagit moins bien.
Réflexes
rotuliens vifs des deux côtés. L'hémiplégie d
là ; nous n'avons encore considéré que la première partie de l'arc
réflexe
, son extrémité sensitive et les répercussions v
ogie nous a, du reste, donné une idée de la multi. tude des actions
réflexes
successives, combinées et enchevêtrées dont l'or-
si- déré ou tout autre excitant va, suivant sa nature et par action
réflexe
, rétrécir ou dilater la pupille, diriger l'oeil
res- sion. Se représente-t-on bien la formidable quantité d'actions
réflexes
nécessaires pour produire une telle révolution
qui ont pénétré dans l'organisme et y ont exercé des répercussions
réflexes
. Grâce à ce mécanisme physiologi- que, l'indivi
que l'enfant est muet parce qu'il est sourd. La parole n'est qu'un
réflexe
de l'audition. Il y a si longtemps déjà que j'ai
physi- ques et chimiques et grâce à une exaltation de l'automatisme
réflexe
, imitait, reproduisait ou transformait les idée
stème nerveux et de deux cellules nerveuses au moins, puisque l'arc
réflexe
com- prend au moins deux de ces éléments. En co
. Pas de tics, ni de grimaces. La sensibilité est conservée ; les
réflexes
sont normaux. Il n'y a rien à signa- ler du côt
ndocrânienne : céphalée, vomissements, exophtalmie, exagération des
réflexes
tendineux aux extrémités. Depuis deux ans ce ta
doulou- reux surtout, tandis que l'exophtalmie et l'exagération des
réflexes
sont restées inaltérées. CONTRIBUTION A L'ÉTU
à travers ceux-ci l'exophtalmie, la papillite et l'exagération des
réflexes
, doit au contraire être discutée à fond. Tout s
ôme en foyer. L'ataxie cérébelleuse et l'exagération unilatérale du
réflexe
patellaire (Grober) peuvent se trouver aussi bi
que (précédée de papillite), à l'exophtalmie et à l'exagération des
réflexes
, symptômes qui sont aujourd'hui évidents comme
ès la crise, on constate entre autres phénomènes de l'abolition des
réflexes
tendineux, le signe d'Argyll, un mal perforant pl
hypoesthésie gauche, ovaralgie dermographisme très évident,état des
réflexes
superficiels et profonds normal) ; la malade se
de me montrer un moment ses pieds, désirant examiner l'état de ses
réflexes
cutanés. Elle me prie de ren- voyer mon examen,
nsnrielle du côté gauche et d'un champ visuel très étroit. Tous les
réflexes
étaient normaux. Rien à l'examen de la motilité
iéillillypoesillésie d'un champ visuel très restreint, du défaut de
réflexe
pharyngien. On peut discuter sur la pathogénie
ombattants pour l'âme) (I pi.), 243. Klippel et Pierre \VEIL. Les
réflexes
contro- lateraux. Le réflexe plantaire controla
, 243. Klippel et Pierre \VEIL. Les réflexes contro- lateraux. Le
réflexe
plantaire controla- téral homogène et hétérogèn
psy- chique et la folie ( pl.), 162. Pierre Weil et Klippel. Les
réflexes
con- trolatéraux. Le réflexe plantaire contro-
), 162. Pierre Weil et Klippel. Les réflexes con- trolatéraux. Le
réflexe
plantaire contro- latéral homogène et hétérogèn
e congénitale du système ) (1 p1.), par AI'BRT et MORISETTI, 412.
Réflexes
controlaléraux. Le réflexe plan- taire contro-l
(1 p1.), par AI'BRT et MORISETTI, 412. Réflexes controlaléraux. Le
réflexe
plan- taire contro-laléral homogène et hétéro-
es plus bénins, la diplégie n'est décelée que par l'exagération des
réflexes
tendineux, par des dysbasies plus ou moins acce
le rire. Aucune anomalie appréciable du côté du facial supérieur.
Réflexes
.- Réflexes patellaires remarquablement exagérés d
Aucune anomalie appréciable du côté du facial supérieur. Réflexes.-
Réflexes
patellaires remarquablement exagérés des deux côt
la cuisse et, quelquefois, la flexion de la cuisse sur le bassin.
Réflexes
du tendon d'Achille aussi très exagérés, la percu
de légers mouvements d'extension des jambes sur les cuisses. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs ne donnent pas d
d'indications précises ; mais il semble qu'il y ait exagération du
réflexe
épitrochléen. Réflexes plantaires considérablem
s ; mais il semble qu'il y ait exagération du réflexe épitrochléen.
Réflexes
plantaires considérablement exagérés, sans toutef
sécutives à une excitation. Trépidation épileptoïde bien accentuée.
Réflexes
abdominaux des deux côtés, supérieurs et inférieu
oute la paroi abdominale et suscite encore, d'une façon intense, le
réflexe
crémastérien. Réflexes crémastériens, des deux
et suscite encore, d'une façon intense, le réflexe crémastérien.
Réflexes
crémastériens, des deux côtés, considérablement e
la face interne de la cuisse, depuis la base jusqu'au ge- nou ; ce
réflexe
est tellement exagéré que même les excitations su
ec une grande fa- cilité en s'appuyant légèrement sur ses coudes.
Réflexe
photo-moteur des deux côtés. Egalité des pupilles
en conservée. Il n'y a ni hypotonie ni atro- phie musculaire. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs et inférieurs so
bras. Il existe à l'avant-bras et à la main un peu de raideur. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont forts, les
deur. Les réflexes tendineux des membres inférieurs sont forts, les
réflexes
ten- diueux des membres supérieurs sont en part
membres supérieurs sont en partie exagérés en partie affaiblis. Le
réflexe
de flexion de l'avant-bras sur le bras est très f
grand pectoral, du triceps et peut-être du biceps. Par contre les
réflexes
tendineux et osseux ayant une localisation plus b
seux ayant une localisation plus basse sont nettement exagérés ; le
réflexe
d'extension de l'avant bras est très vif, on le
'état normal, donne lieu à une flexion de l'avant-bras. De même les
réflexes
des doigts et de la main sont exaltés et si on
r la flexion de l'avant-bras, il y a donc tendance à l'inversion du
réflexe
du radius surtout du côté droit. La flexion des d
quer parfois de la trépidation épileptoïde de la main droite. Les
réflexes
abdominaux et anal sont abolis ; le réflexe plant
de la main droite. Les réflexes abdominaux et anal sont abolis ; le
réflexe
plantaire se fait en extension des deux côtés.
des différents excitants sur les membres inférieurs et le tronc des
réflexes
de défense qui consistent comme d'habitude en u
ndant aux 2e et 3e dorsales (Voir schéma) on obtient des mouvements
réflexes
de défense aux membres supérieurs : ils consist
le. 14 BABINSKI, JUMENTé ET JARKOWSKI Plus tard l'exagération des
réflexes
tendineux, l'exaltation des réflexes de défense
KI Plus tard l'exagération des réflexes tendineux, l'exaltation des
réflexes
de défense nous conduisirent à reconnaître l'ex
ésion spi- nale. Enfin la lenteur de l'évolution, l'intensité des
réflexes
de défense, les phénomènes douloureux cadraient
é permettant de localiser la lésion. L'examen comparatif des divers
réflexes
tendineux et le siège de la limite supérieure d
flexes tendineux et le siège de la limite supérieure des mouvements
réflexes
de défense autorisait à supposer que la limite
égeait entre les 6" et 7e segments cervicaux. En effet alors que le
réflexe
du triceps (C 7) était nettement exagéré, le réfl
t alors que le réflexe du triceps (C 7) était nettement exagéré, le
réflexe
de flexion de l'avant-bras (C v) était considér
idérablement affaibli, en outre on pouvait provoquer des mouvements
réflexes
de défense non seulement sur les membres inféri
'1Lrdt les territoires dans lesquels un peut provoquer Irs mouvements
réflexes
de défense ltd.i. aux membres inférieurs, dont
upes musculaires atrophiés il n'y avait ni abolition com- plète des
réflexes
, ni réaction de dégénérescence. 4° Enfin nous a
tion de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté des mouvements
réflexes
de défense aux membres supérieurs que nous avon
irement écartés et agités de pe- tits mouvements involontaires. Les
réflexes
tendineux du côté droit sont plus forts que ceu
é, même léger, d'hémiparésie. Sensibilité égale des deux côtés. Les
réflexes
rotuliens sont un peu vifs, déterminant quelque
se trépidation à droite ; pas de clonus ni du pied,ni de la rotule.
Réflexe
plantaire de défense. Rien à l'examen du coeur,
on des côtes 6 et 7 à droite, paraît la plus douloureuse au malade.
Réflexes
patellaires vifs, le droit plus vif ; ré- ilexe
e se tromper dans l'indication des mouvements des pieds. Absence de
réflexes
abdominaux; réflexe crémastérien droit faible,
ndication des mouvements des pieds. Absence de réflexes abdominaux;
réflexe
crémastérien droit faible, le gauche plus vif.P
TUMEURS DE la MOELLE 39 mouvements involontaires, accroissement des
réflexes
tendineux, des deux côtés phénomène de Babinski
di, le même jour. Paralysie spasmodique ; mouvements involontaires;
réflexes
très vifs ; tem- pérature 38°, pouls 140. Etat
ravers. 4 avril. Pulsations du coeur égales. Paralysie spasmodique.
Réflexes
très vifs ; première apparition des phénomènes
on des articulations plus prononcées. Il s'assied seul sur son lit.
Réflexes
patellaires et achilléens très vifs ; symptôme de
patellaire et plantaire bilatéral ; phénomène de Babinski bilatéral ;
réflexes
abdominaux et crémastériens très faibles. Sensi
upérieurs, dans des proportions et avec une force suffi- sante. Les
réflexes
tendineux (m. tricip.) vifs, les périostaux des d
'aperçoit pas cependant de symptômes de parésie nettement indiqués.
Réflexes
patellaires considérablement accrus ; réflexes ac
nettement indiqués. Réflexes patellaires considérablement accrus ;
réflexes
achilléens des deux côtés très vifs sans clonus
réflexes achilléens des deux côtés très vifs sans clonus du pied ;
réflexe
plantaire sous forme de flexion dorsale du pied
ainsi que sur les vertèbres lombaires supérieures est douloureuse;
réflexes
de l'abdomen fai- bles, ceux du crémaster norma
souvent au sacrum. 24 septembre 1910. Clonus du pied bilatéral, le
réflexe
plantaire gau- che commence à apparaître sous l
es mouvements pour les pieds et les orteils (d'abord à droite). Les
réflexes
, la tension musculaire augmentent ; phénomène d
sans flaccidité, leur tension bien nettement accrue, ainsi que les
réflexes
tendineux; des deux côtés persistance du phénom
mais avec une certaine limitation et un faible degré de paralysie ;
réflexes
ab- dominaux (supérieurs seuls) faibles; réflex
ré de paralysie ; réflexes ab- dominaux (supérieurs seuls) faibles;
réflexes
patellaires etachittéens exagérés; clonus du pi
es deux côtés, dans les orteils, troubles profonds de la sensibilité;
réflexes
tendineux très vifs ; symptôme patellaire et cl
bilité musculaire dans les orteils continuait à être affaiblie. Les
réflexes
patellaires très vifs présentaient des symptômes
avec trépi- dation des pieds. Signe de Babinski bilatéral ; pas de
réflexes
abdominaux et ceux du crémaster faibles. Foncti
uscles que dans les mouvements violents du pied gauche et du genou.
Réflexes
pa- tellaires vifs avec trépidation ; réflexes
gauche et du genou. Réflexes pa- tellaires vifs avec trépidation ;
réflexes
achilléens vifs et faible clonus du pied ; le s
trace d'une affection de la moelle, il ne resta uniquement que des
réflexes
tendineux très prononcés, le signe de Ba- binsk
laires, comme il a été dit, se trouvait particulièrement accrue. Les
réflexes
patellaires très vifs ; des deux côtés trépidat
xes patellaires très vifs ; des deux côtés trépidation patellaire ;
réflexes
achilléens très accrus avec clonus des pieds.
accrus avec clonus des pieds. Signe de Babinski bilatéral ; pas de
réflexes
abdominaux. Sensibilité tactile légèrement affa
DT 27, 5 h. du soir. Paralysie flasque des extrémités inférieures ;
réflexes
tendineux manquent ; suppression complète de la
e supérieure, indiquée dans ta description de l'état présent ; faible
réflexe
plantaire bilatéral. 28-29. - Paralysie flasq
faible réflexe plantaire bilatéral. 28-29. - Paralysie flasque ;
réflexes
patellaires et achilléens très faibles ; tempér
ntion d'urine ; constipation. 31. - Paralysie flasque ; manque de
réflexes
patellaires ; réflexe achilléen gauche et plant
ipation. 31. - Paralysie flasque ; manque de réflexes patellaires ;
réflexe
achilléen gauche et plantaire gauche nuls ; pur
e, escarres, constipation grave rebelle, suppression com- plète des
réflexes
et de la sensibité sous loules ses formes, à part
ne peut pas remuer du tout le pied gauche ainsi que les or- teils.
Réflexes
patellaires bilatéraux très vifs avec une trépida
patellaires bilatéraux très vifs avec une trépidation patellaire ;
réflexes
achilléens de vivacité moyenne, sans clonus du pi
acité moyenne, sans clonus du pied ; signe de Babinski bilatéral.
Réflexes
abdominaux faibles. Toubles de la sensibilité ; d
vision. On trouve, du côté droit, une cécité absolue avec perte du
réflexe
lumineux direct et réflexe consensuel conservé,
droit, une cécité absolue avec perte du réflexe lumineux direct et
réflexe
consensuel conservé, et l'examen ophtalmoscopiq
s. Aucun trouble de la coordination, aucun mouvement anormal. II.
Réflexes
. - Tendineux : massétérin, olécrâniens, périosto-
e un peu plus vifs à gauche. Pas de clonus de la rotule ni du pied.
Réflexe
de Bechterew-Mendel en extension. Réflexe de Go
de la rotule ni du pied. Réflexe de Bechterew-Mendel en extension.
Réflexe
de Gordon en flexion. Cutanés : Plantaire, crém
spontané, amplifié.dans les mouvements pro- voqués de latéralité.
Réflexes
conjonctivo-cornéens normaux des deux côtés. Ré
latéralité. Réflexes conjonctivo-cornéens normaux des deux côtés.
Réflexes
pupillaires l'accommodo-convergencenormaux à droi
es pupillaires l'accommodo-convergencenormaux à droite et à gauche.
Réflexes
pupillaires à la lumière, directs et consensuels,
une action modératrice sur ces con- tractions. Il n'y avait que les
réflexes
roluliens qui étaient exagérés. La sensibilité
dans les deux cas, la force dynamométrique est aussi conservée, les
réflexes
ne présentent pas, en général, de modifications
ons et ces mouvements involontaires dis- paraissent complètement.
Réflexes
normaux. Sensibilités normales. La malade, aprè
les verres ou les assiettes, et elle écrit assez facilement. Les
réflexes
radiaux et tricipitaux sont vifs. Les autres norm
ner leurs secousses. La force musculaire n'est pas altérée. Les
réflexes
sont généralement normaux. Quelques auteurs ont
éralement normaux. Quelques auteurs ont observé une exagération des
réflexes
rotuliens. Chez notre seconde malade les réflex
e exagération des réflexes rotuliens. Chez notre seconde malade les
réflexes
radiaux et tricipitaux sont vifs; mais les rotu
e un spasme qui est le résultat de l'irritation d'un point de l'arc
réflexe
(Brissaud) et un tic qui provient toujours d'un
examen physique ne révèle rien qu'une exagération assez marquée des
réflexes
rotuliens, une sensation douloureuse persistante-
dente ensellure lombaire. Le ventre est adipeux et proéminent ; les
réflexes
abdominaux et crémastériens sont normaux. Après u
le type de main il trident. Les muscles sont bien développés et les
réflexes
tendineux et périostaux sont vifs. Extrémités
On ne note pas de laxité^dans les ligaments des articulations. Les
réflexes
patellaires et achilléens sont vifs, les plantair
eurs aussi bien qu'aux inférieurs. La sensibilité est parfaite. Les
réflexes
tendineux et périostaux sont vifs, surtout les
esticules : 5 centimètres. Pas de troubles de la sensibilité. Les
réflexes
rotuliens exagérés surtout du côté gauche. Les
bilité. Les réflexes rotuliens exagérés surtout du côté gauche. Les
réflexes
achilléens normaux. Les réflexes plantaires faibl
agérés surtout du côté gauche. Les réflexes achilléens normaux. Les
réflexes
plantaires faibles. Du côté droit nous pensons
lade ne présente pas de troubles de la sensibilité. L'existence des
réflexes
rotulien, achilléen et plantaire est resté douteu
affaiblie à cause d'une cataracte commençante. Au point de vue des
réflexes
, notons l'abolition des réflexes abdominaux, l'
e commençante. Au point de vue des réflexes, notons l'abolition des
réflexes
abdominaux, l'exagération du rotulien droit, ai
ainsi qu'on peut le voir sur les photographies. Pas de troubles des
réflexes
, de la sensibilité et de la motilité. Ponction
trouve d'oedème. La motilité et la sensibilité sont normales, le
réflexe
plantaire se fait en flexion à droite. Le systè
t des sensibilités thermiques, tactiles et stéréo- gnosiques. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont abolis à droite, trè
ant maintenant réussit à rester longuement debout sans soutien. Les
réflexes
rotuliens de gauche sont moins vivaces. Pouls e
les mouvements passifs et actifs des membres sont amé- liorés. Les
réflexes
superficiels sont vivaces des deux côtés ; on ne
douloureuse, la seule qu'on pût explorer, est bien conservée. Les
réflexes
rotuliens et les achilléens sont abolis à droite,
l per- sistait seulement un peu de fatigue après quelques pas ; les
réflexes
rotu- liens de gauche perdent la vivacité renco
onctions du petit malade. Il persiste seulement une exagération des
réflexes
superficiels, ahsents dans l'état aigu de la ma
uperficiels, ahsents dans l'état aigu de la maladie, tandis que les
réflexes
rotuliens et achilléens sont bilatéralement abs
sements, la rigidité de la nuque, le nystagmus, les variations, des
réflexes
des tendons, le vertige dans la position debout e
irement d'une polynévrite, laquelle porte avec elle l'abolition des
réflexes
, tandis que chez mon malade dans le membre infé
n observation. En outre, dans la myasthénie pseudo-paralytique, les
réflexes
sont généralement normaux, les altérations psyc
dans les articulations du genou et de la hanche sont conservés. Les
réflexes
rotulien et achilléen sont conservés. Le réflex
conservés. Les réflexes rotulien et achilléen sont conservés. Le
réflexe
plantaire de flexion est très diminué et l'excita
est aboli ; la taba- tière anatomique ne peut plus être creusée.
Réflexes
tendineux : achilléens, rotuliens, conservés ; le
s ; le phénomène de l'orteil se fait en flexion des deux côtés. Les
réflexes
radiaux de flexion de l'avant-bras sur le bras,
HIE DE L'ÉPAULE 243 la sensibilité influant sur tous les mouvements
réflexes
automatiques et volontaires. Nous venons d'ob
rs sont aussi pris actuellement (surtout le gauche) : abolition des
réflexes
du poignet et du coude, astéréognosie, signe de
- tion, le malade se trouvant en pleine conscience, l'abolition des
réflexes
rotuliens et les douleurs lombaires, tous sympt
nsignifiant horizontal de deux yeux. Hypoesthé- sie du Ve à droite.
Réflexe
cornéen du côté droit 0, du côté gauche -1-. Atro
nerf facial droit. Abaissement notable de l'ouïe du côté droit. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont à droite < qu'à g
de dimensions différentes. Nystagmus horizontal des deux côtés. Le
réflexe
cornéen gauche est faible. L'ouïe du côté gauche
. 1 248 RAIJ11SIE ET NEIDING Hémiparésie gauche assez légère. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont con- servés des de
fut notée quelques mois avant. Etat actuel. - Papillite double. Le
réflexe
cornéen est diminué du côté gau- che. Parésie d
hirniumoren. Fia. 3. 250 RAIMISTE ET NEIDING parésie gauche. Le
réflexe
rotulien est moins marqué à gauche qu'à droite.
Le malade ne peut ni se tenir debout, ni marcher sans être soutenu.
Réflexes
rotuliens tantôt + =, tantôt à gauche <qu'à dr
antérieures. L'état des racines postérieures, si intimement lié aux
réflexes
rotuliens a surtout fixé l'attention des auteur
ans les cas de tumeur intracra- nienne. Manière de se comporter des
Réflexes
, par CAilLa Angela, Revue Neurologique, 1912, n
gré de la stase papillaire et des lésions de la moelle dorsale. Les
réflexes
patellaires étaient conservés dans les cas de Jac
faisceaux postérieure). Dans un cas de Batten et Col- lier, où les
réflexes
patellaires étaient absents, on a noté une dégéné
dégénérescence des faisceaux postérieurs était plus prononcée, les
réflexes
patellaires, présents au commencement de la mal
ru dans la suite. Il est intéressant à noter que, dans nos cas, les
réflexes
patellaires étaient conservés malgré les lésion
ang-froid. L'examen somatique des divers organes est négatif. Les
réflexes
tendineux et pupillaires sont normaux. Aucune név
métrie faciale, pas d'hémiatrophie linguale, rien du côté des yeux.
Réflexes
à la lu- mière et à l'accommodation parfaitemen
ar suite d'une ancienne otite que la malade a eue dans l'enfance.
Réflexe
massétérin normal. Le réflexe du tendon rotulie
e la malade a eue dans l'enfance. Réflexe massétérin normal. Le
réflexe
du tendon rotulien est nettement exagéré à gauche
ien est nettement exagéré à gauche, quoique vif des deux côtés ; le
réflexe
du tendon achilléen, au contraire, est affaibli n
lléen, au contraire, est affaibli no- tamment du côté gauche. Les
réflexes
tendineux et périostés aux membres supérieurs son
On notait encore une double atrophie de la papille avec troubles du
réflexe
pupil.- laire. Ils rappellent à cette occasion
s,une paralysie de la corde vocale gau- che, mais sans troubles des
réflexes
tendineux et sans douleurs fulguran- tes. Le ma
s de vitiligo trouvèrent trois fois une diminution considérable des
réflexes
rotuliens. Chez un de ces trois malades on nota
clonus de la main extrêmement fort et durant plusieurs secondes. Le
réflexe
olécranien est très exagéré. La paralysie et la
ergique,' celle aux mouvements d'extension l'est beaucoup moins. Le
réflexe
patellaire est très exagéré, mais le phénomène du
idation rotulienne. A gauche la force musculaire est conservée ; le
réflexe
olécranien est exagéré, le réflexe rotulien est n
ce musculaire est conservée ; le réflexe olécranien est exagéré, le
réflexe
rotulien est normal. (1) Observation XXV de la
u de plu- sieurs muscles provoquée par la contraction volontaire ou
réflexe
d'un ou de plusieurs autres muscles. Ces mouvem
nt physiologique, dans le clignement volontaire, dans le clignement
réflexe
provoqué, dans la contraction synergique de l'o
r leur subordination étroite à certains mou- vements volontaires ou
réflexes
des paupières : c'est là un caractère essen- ti
ffectera la forme d'un blépharospasme clonique. A chaque clignement
réflexe
, apparaîtra une brusque occlusion de l'oeil acc
s et le labio-blépha- rospasme trouvent la leur dans la contraction
réflexe
de l'orbiculaire des paupières dans l'acte phys
s sont tous provoqués par la contraction, tantôt volontaire, tantôt
réflexe
, d'un ou de plusieurs muscles de l'hémiface cor
les quatre autres, le moindre mouvement de clignement volontaire ou
réflexe
entraînait aussitôt l'élévation en masse de la
globe oculaire avec la tête d'une épingle provoque un cligne- ment
réflexe
que l'on peut graduer pour ainsi dire par l'inten
de la motilité des globes oculaires. Les pupilles sont égales; les
réflexes
irienssont tous normaux; il n'existe pas de nys
réflexes irienssont tous normaux; il n'existe pas de nystagmus. Les
réflexes
cornéens sont nor- maux des deux côtés. Les réf
nystagmus. Les réflexes cornéens sont nor- maux des deux côtés. Les
réflexes
massétérins sont égaux des deux côtés. Le réfle
deux côtés. Les réflexes massétérins sont égaux des deux côtés. Le
réflexe
pharyngien est aboli. Le peaucier se contracte
nce normale. Pas de flexion combinée de la cuisse et du bassin. Les
réflexes
tendineux des radiaux, des palmaires, rotu- lie
ens, achilléens, sont plus vifs du côté droit que du côté gauche. Les
réflexes
plantaires sont égaux et identiques des deux cô
ux côtés ; on a, par grattage de la 386 PIIRES ET ABADIE plante :
réflexe
planti-crnral vif, réflexe planti-tibial moins vi
ge de la 386 PIIRES ET ABADIE plante : réflexe planti-crnral vif,
réflexe
planti-tibial moins vif, réflexe planti- digita
plante : réflexe planti-crnral vif, réflexe planti-tibial moins vif,
réflexe
planti- digital moins vif encore et en flexion
actions anormales, mais encore dans Ips mouve- ments volontaires ou
réflexes
ou dans les contractions électriques... Si on a
la région sus-orbitaireou l'apophyse zygomatique avec le marteau à
réflexe
, ou bien encore si on projette un courant d'air f
ciation des mou- vements que dans la contraction volontaire ou même
réflexe
de l'orbiculaire. » Plus loin, à propos d'une t
face : « Il est à remarquer que toutes les contractions spontanées,
réflexes
ou com- mandées de l'orbiculaire palpébral s'ac
hémiface droite avec la contraction de l'orbiculaire des paupières,
réflexe
ou volontaire. Ce rapport se démontre ainsi : i°
e parésie faciale droite. La motilité des membres est parfaite. Les
réflexes
sont normaux. Pas de troubles de la sensibilité
Obregia à la Réunion biologique de Bucarest sous le titre : Sur un
réflexe
pathologique particulier conjortclivo-men- tonn
par l'observateur. La manoeuvre à opérer est celle de la recherche du
réflexe
.pupillaire à la lumière. Il suffit quelquefois
bsolument guérie depuis plus de douze ans. La voie centripète de ce
réflexe
est, d'après l'auteur, représentée par les nerfs
'agit probablement pas, dans les cas relatés par cet au- teur, d'un
réflexe
a point de départ sensitif conjonctival, mais de
onnelles à la fréquence et à l'intensité du clignement palpé- bral,
réflexe
, volontaire ou provoqué. Toute excitation sensiti
s. Cette différence ne se perçoit pas aux membres inférieurs. Les
réflexes
sont vifs des deux côtés aux membres supérieurs.
n enfance. L'examen du système nerveux est entièrement négatif, les
réflexes
tendineux, cutanés et oculaires sont normaux. I
bjective et objective, superficielle et profonde, était parfaite.
Réflexes
. Les réflexes examinés ont donné le résultat suiv
jective, superficielle et profonde, était parfaite. Réflexes. Les
réflexes
examinés ont donné le résultat suivant : Réflex
. Réflexes. Les réflexes examinés ont donné le résultat suivant :
Réflexes
rotuliens, achilléens, des poignets très affaibli
mblement des muscles de la langue ; la parole est assez nette ; les
réflexes
des muqueuses sont conser- vés, les réflexes te
est assez nette ; les réflexes des muqueuses sont conser- vés, les
réflexes
tendineux diminués; toute la musculature est flas
La marche et l'attitude du malade debout n'ont rien de spécial. Les
réflexes
, quels qu'ils soient, sont normaux. Il n'existe
rtie postérieure de la jambe {genu recurvatvm) et de la cuisse. Les
réflexes
tendineux sont abolis aux membres inférieurs; les
sse. Les réflexes tendineux sont abolis aux membres inférieurs; les
réflexes
cutanés sont faibles. Le signe d' \ rgyll-Roht'
que le mouvement est fait un peu brusquement, surtout à droite. Les
réflexes
rotuliens sont tous les deux exagérés, le mouve
extension de la jambe est parfois accompagné d'une trépidation. Les
réflexes
achilléens sont de même exagérés. Le réflexe cr
'une trépidation. Les réflexes achilléens sont de même exagérés. Le
réflexe
crémastérien, aboli à gauche, est beaucoup diminu
exe crémastérien, aboli à gauche, est beaucoup diminué à droite. Le
réflexe
abdominal inférieur aboli, le supérieur maintenu.
ns seulement quel- que résistance à l'extension du genou droit. Les
réflexes
tendineux (rotuliens et achilléens) du membre i
ation épileptoïde. Babinski positif. r. A la jambe gauche les mêmes
réflexes
sont abolis. Clonus et Babinski absents. Les ré
che les mêmes réflexes sont abolis. Clonus et Babinski absents. Les
réflexes
crémastériens et cutanés abdominaux sont maintenu
Les réflexes crémastériens et cutanés abdominaux sont maintenus. Le
réflexe
épigastrique aboli. Le malade accuse des douleu
' SUR LE SYNDROME DE LA XANTOCHROMIE ET DE LA COAGULATION 489 Les
réflexes
achilléens sont abolis aux deux membres.Le phénom
ne paraplégie flasque. La mo- tilité active est tout à fait abolie.
Réflexes
rotuliens et achilléens abolis. Le phénomène de
chilléens abolis. Le phénomène de Babinski ne se produit pas. Les
réflexes
crémastériens sont abolis. Atrophie musculaire ma
'équilibre. La démarche se fait avec les genoux un peu fléchis. Les
réflexes
rotulien, achilléen et crémastérien sont reparus,
crémastérien sont reparus, mais en- core très faibles. De même les
réflexes
abdominaux. Pas de signe de Babinski, pas de tr
e nos cas). On a noté des paraplégies flasques avec aboli- tion des
réflexes
et résolution des sphincters (Froin, Cestan et Ra
as), de même que des paraplégies spasmodiques, avec exagération des
réflexes
, signe de Babinski, contracture musculaire (Bab
es phénomènes spastiques à un membre, pendant que l'autre avail les
réflexes
abolis et complète résolution musculaire. Les s
ssance. 4 CLINIQUE NERVEUSE. fermeture synergique volontaire et
réflexe
des deux yeux, le muscle orbiculaire de la part
ominante sur le membre inférieur ; contracture avec exagération des
réflexes
. Diminution de la sensibilité sous tous les mod
miplégie prédominante sur le membre supérieur. Sensibilité intacte.
Réflexes
tendineux exagérés. La face est très peu touché
ution et retard de la sensibilité. Contracture avec exagération des
réflexes
. Le facial inférieur est à peine touché ; la dé
érieur ; troubles de la sen- sibilité, contracture, exagération des
réflexes
. La paralysie faciale serait, au dire de la mal
lité ni de sensibilité des membres, mai- ! exagération manifeste du
réflexe
radial et du réflexe rotulien du côté gauche. S
é des membres, mai- ! exagération manifeste du réflexe radial et du
réflexe
rotulien du côté gauche. Sensibilité intacte. D
périeurs. Les pupilles sont égales, mais réagissent len- tement. Le
réflexe
pharyngien normal, le réflexe rotulien exagéré.
ales, mais réagissent len- tement. Le réflexe pharyngien normal, le
réflexe
rotulien exagéré. Les réflexes des extenseurs e
ent. Le réflexe pharyngien normal, le réflexe rotulien exagéré. Les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs aux membres su
s une éruption acnéi- forme. Les pupilles sont égales, dilatées, le
réflexe
lumineux est conservé, de même le réflexe corné
sont égales, dilatées, le réflexe lumineux est conservé, de même le
réflexe
cornéen. Le réflexe pharyngien est diminué. On
s, le réflexe lumineux est conservé, de même le réflexe cornéen. Le
réflexe
pharyngien est diminué. On observe des légers t
mbres sont lents. La force musculaire est notablement diminuée. Les
réflexes
rotuliens diminués. La marche est lente et diff
. La langue offre des légers tremblements. La parole est claire. Le
réflexe
pha- ryngien normal, le réflexe rotulien un peu
mblements. La parole est claire. Le réflexe pha- ryngien normal, le
réflexe
rotulien un peu exagéré. Les membres supérieurs
es membres supérieurs présentent des tremblements très marqués. Les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs normaux. La
tremblements aux extrémités. La force musculaire est diminuée. Les
réflexes
des fléchisseurs et des extenseurs sont augment
isseurs et des extenseurs sont augmentés.' La marche est bonne. Les
réflexes
rotuliens exagérés. La sensibilité générale à l
, la voûte du palais est pro- fonde. Les pupilles sont dilatées, le
réflexe
lumineux et accommo- dateur se fait normalement
emblements en masse des mains. La force musculaire est diminuée. Le
réflexe
rotulien est normal. La marche n'est aucunement
ciale. La voûte du palais est excavée. Les pupilles sont égales, le
réflexe
lumineux se produit normalement, le réflexe acc
upilles sont égales, le réflexe lumineux se produit normalement, le
réflexe
accommodateur ne se fait pas complète- ment. Le
alement, le réflexe accommodateur ne se fait pas complète- ment. Le
réflexe
pharyngien est diminué. Il n'existe pas de trem-
rieurs. La force musculaire est diminuée. La marche est normale. Le
réflexe
rotulien est aboli. La sensibilité générale à l
égales et réagissent bien à la lumière et à l'ac- commodation. Les
réflexes
des membres supérieurs et le réflexe rotulien s
e et à l'ac- commodation. Les réflexes des membres supérieurs et le
réflexe
rotulien sont normaux; elle n'a pas de tremblem
été piquée, elle dirige lentement sa main vers l'endroit piqué. Les
réflexes
pharyngien, rotulien et des extenseurs du bras
et à l'accommodation. Les réflexes' des membres supérieurs et les
réflexes
rotuliens sont normaux. Il n'est pas possible de
otuliens sont normaux. Il n'est pas possible de constater l'état du
réflexe
pharyngien, ni si la malade présente des tremble-
des doigts. La parole courante et normale. La marche est bonne. Le
réflexe
pharyngien parait un peu diminué, le réflexe cu
marche est bonne. Le réflexe pharyngien parait un peu diminué, le
réflexe
cubital, des extenseurs et fléchisseurs des doigt
, le réflexe cubital, des extenseurs et fléchisseurs des doigts, le
réflexe
rotulien sont conservés ; de même le réflexe pl
isseurs des doigts, le réflexe rotulien sont conservés ; de même le
réflexe
plantaire et crémasté- rien. La sensibilité g
déterminée. On a voulu la trouver dans la diminution des impulsions
réflexes
qui, venant des racines postérieures, tiennent
mnes. Sensibilités diverses REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 65 et
réflexes
normaux. Pas de troubles trophiques ni viscéraux,
E Bech- TEREW. (Cenh-a. f. Nervenheilk, XXI, N. F. ix, 1898.) Les
réflexes
cutanés, notamment abdominaux et épigastriques,
périodes de début du tabes, notablement-exa- gérés, tandis que les
réflexes
tendineux, achilléen et patellaire, sont épuisé
rvation d'épileptique alcoolique de quarante ans. Aux hyperhidroses
réflexes
(cl. IV) : a) il joint des formes en rapport av
s autres organes des sens, la motilité, la sensibilité, les actions
réflexes
ou dans les organes intérieurs. Comme traitemen
appa- rition complète. Celle-ci sera bénigne et transitoire si les
réflexes
au bout de quelques jours restent normaux, très
diplopie et signe de Rom- ])erg, mais en même temps exagération des
réflexes
rotuliens et parfois trépidation spinale. Enfin
douloureuses, troubles urinaires, troubles oculaires, abolition des
réflexes
rotuliens, incoordination motrice; puis les tro
nacki a désigné cette troisième réaction sous le nom mal choisi de
réflexe
. Disons sur le champ qu'on ne peut que s'associ
ui tendrait à faire croire qu'il s'agit de phénomènes semblables au
réflexe
patellaire. Il ne s'agit, ici, en effet, que de
sentaient des altérations du cordon postérieur, et chez lesquels le
réflexe
patellaire manquait ; or, chez ces malades, 23,
échit, dit-il, à l'importance généralement attribuée à l'absence du
réflexe
rotulien dans la paralysie générale, alors que
bsence du réflexe rotulien dans la paralysie générale, alors que ce
réflexe
ne manque que chez 20/100 des paraly- tiques gé
iénés non paralytiques, 8, c'est-à-dire 12/100 ne présentent pas de
réflexe
rotulien, il faudra bien admettre que des résul
ux. Les pupilles réagissent bien directement et par association. Le
réflexe
pharyngien est aboli; les réflexes des extenseurs
irectement et par association. Le réflexe pharyngien est aboli; les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs, normaux, de
es réflexes des extenseurs et des fléchisseurs, normaux, de même le
réflexe
rotulien. Il n'y a pas d'ovarie. Au coeur il n'
atée; elles réa- gissent bien. Des tremblements de la langue. Les
réflexes
des fléchisseurs et extenseurs des doigts, normau
Les réflexes des fléchisseurs et extenseurs des doigts, normaux; le
réflexe
rotulien exagéré, le réflexe plantaire diminué, l
et extenseurs des doigts, normaux; le réflexe rotulien exagéré, le
réflexe
plantaire diminué, le rétlexe crémastérien abol
deux côtés. Le signe de Biernaclii existe aussi de chaque côté. Le
réflexe
cubital des extenseurs et fléchisseurs conservé
ôté. Le réflexe cubital des extenseurs et fléchisseurs conservé. Le
réflexe
pharyngien normal; les réflexes rotulien, plant
enseurs et fléchisseurs conservé. Le réflexe pharyngien normal; les
réflexes
rotulien, plantaire etcrémastéricn diminués. Il
'y a pas de tremblements de la langue, des lèvres ni des doigts. Le
réflexe
pharyngien 'conservé. Les réflexes des extenseu
gue, des lèvres ni des doigts. Le réflexe pharyngien 'conservé. Les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs exagérés. Le
ervé. Les réflexes des extenseurs et des fléchisseurs exagérés. Les
réflexes
plantaire et crémastérien conservés. Le réflexe r
eurs exagérés. Les réflexes plantaire et crémastérien conservés. Le
réflexe
rotulien exagéré. Il n'y a pas de trépidation é
sensibilité générale à la douleur complètement abolie, de même les
réflexes
. On lui met douze ventouses scarifiées et on appl
les, réagissent bien directement (isolément) et par association. Le
réflexe
pharyngien aboli, le réflexe cubital est normal
ent (isolément) et par association. Le réflexe pharyngien aboli, le
réflexe
cubital est normal. Les réflexes des fléchisseu
on. Le réflexe pharyngien aboli, le réflexe cubital est normal. Les
réflexes
des fléchisseurs et des extenseurs un peu augme
s lèvres ni des doigts. Il y a tendance aux états -catatoniques. Le
réflexe
rotulien très augmenté; le réflexe plantaire es
ance aux états -catatoniques. Le réflexe rotulien très augmenté; le
réflexe
plantaire est aboli, le réflexe crémastérien bi
réflexe rotulien très augmenté; le réflexe plantaire est aboli, le
réflexe
crémastérien bien diminué. La sensibilité gén
taires. La parole n'est pas altérée. Les doigts tremblent moins. Le
réflexe
pharyn- gien diminué ; les réflexes des fléchis
. Les doigts tremblent moins. Le réflexe pharyn- gien diminué ; les
réflexes
des fléchisseurs et des extenseurs sont normaux
; les réflexes des fléchisseurs et des extenseurs sont normaux; le
réflexe
rotutien est diminué à droite, les réflexes pla
enseurs sont normaux; le réflexe rotutien est diminué à droite, les
réflexes
plantaire et crémastérien presque abolis. Il n'
iation. Il n'y a pas de tremblements de la langue ni des lèvres. Le
réflexe
pharyngien conservé. Les réflexes des extenseurs
nts de la langue ni des lèvres. Le réflexe pharyngien conservé. Les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs conservés. 1
léchisseurs conservés. 11 n'y a pas de tremblements des doigts. Les
réflexes
rotulien et plantaire conservés. Il n'y a pas de
de deux côtés. Il y a aussi un commencement de signe de Romberg. Le
réflexe
pharyngien aboli, les réflexes des extenseurs e
commencement de signe de Romberg. Le réflexe pharyngien aboli, les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs conservé ; l
boli, les réflexes des extenseurs et des fléchisseurs conservé ; le
réflexe
rotulien exagéré et surtout à gauche, le réflexe
eurs conservé ; le réflexe rotulien exagéré et surtout à gauche, le
réflexe
plantaire bien diminué, le réflexe crémastérien
exagéré et surtout à gauche, le réflexe plantaire bien diminué, le
réflexe
crémastérien un peu diminué à droite. La sens
égales, régulières, réagis- sent directement et par association; le
réflexe
pharyngien est diminué, les réflexes des extens
ectement et par association; le réflexe pharyngien est diminué, les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs normaux; les
minué, les réflexes des extenseurs et des fléchisseurs normaux; les
réflexes
rotulien et plantaire ne sont pas augmentés. Il n
ction sensitive, c'est-à-dire en piquant la malade sur le corps. Le
réflexe
pharyngien est conservé. Il y a des tremblement
La contraction idéo-musculaire est un peu augmentée, de même les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs sont augmentés
les réflexes des extenseurs et des fléchisseurs sont augmentés. Le
réflexe
rotulien est conservé. Le réflexe plantaire est a
s fléchisseurs sont augmentés. Le réflexe rotulien est conservé. Le
réflexe
plantaire est aboli. La sensibilité générale au
t par association à l'accommodation et par réaction sensi- tive. Le
réflexe
pharyngien est un peu diminué. Les réflexes des
réaction sensi- tive. Le réflexe pharyngien est un peu diminué. Les
réflexes
des extenseurs et des fléchisseurs normaux. Le
iminué. Les réflexes des extenseurs et des fléchisseurs normaux. Le
réflexe
rotulien légè- rement augmenté. Le réflexe plan
fléchisseurs normaux. Le réflexe rotulien légè- rement augmenté. Le
réflexe
plantaire conservé ainsi que la con- traction i
physiques. De pouls est petit et lent; les extrémités froides. Des
réflexes
et la sensibilité sont à l'état normal. La malade
cutanée est diminuée, mais il n'y a pas de plaques d'anesthésie. Le
réflexe
pharyngien est conservé. Les réflexes rotulien et
as de plaques d'anesthésie. Le réflexe pharyngien est conservé. Les
réflexes
rotulien et plantaire bien diminués, presque ab
a malade reconnaît bien les couleurs et différencie les nuances. Le
réflexe
pharyngien est conservé. Le réflexe rotulien es
t différencie les nuances. Le réflexe pharyngien est conservé. Le
réflexe
rotulien est normal, le réflexe plantaire diminué
réflexe pharyngien est conservé. Le réflexe rotulien est normal, le
réflexe
plantaire diminué. Il n'y a pas de tremblements
peu diminué. Il y a des tremblements de la langue et des doigts. Le
réflexe
pharyngien est conservé. La sensibilité général
st exagérée, la pression des troncs nerveux est doulou- reuse. Le
réflexe
pharyngien est diminué, le réflexe rotulien est e
nerveux est doulou- reuse. Le réflexe pharyngien est diminué, le
réflexe
rotulien est exagéré, le réflexe plantaire abol
réflexe pharyngien est diminué, le réflexe rotulien est exagéré, le
réflexe
plantaire aboli, le réflexe testiculaire diminué.
ué, le réflexe rotulien est exagéré, le réflexe plantaire aboli, le
réflexe
testiculaire diminué. II n'y a pas de trépidati
ne de Biernacki existe à droite et à gauche à l'état commençant. Le
réflexe
pharyngien est bien diminué. La contrac- tion i
t bien diminué. La contrac- tion idéo-musculaire est conservée; les
réflexes
des extenseurs, des fléchisseurs et des cubitau
es extenseurs, des fléchisseurs et des cubitaux sont augmentés; les
réflexes
rotuliens surtout bien augmentés; les réflexes
sont augmentés; les réflexes rotuliens surtout bien augmentés; les
réflexes
plantaires sont diminués, 'es réflexes erémasté
surtout bien augmentés; les réflexes plantaires sont diminués, 'es
réflexes
erémastériens conservés. Il n'y a pas de trépidat
staxis, des éternuements, l'oc- clusion des narines ou autres actes
réflexes
; 4° il existe dans certains cas une dépendance
la sensibilité à la jambe. Pas de syphilis dans ses anté- cédents.
Réflexes
parcellaires exagérés, convulsion clonique du pie
la droite. Pupilles égales, névrite optique à la première période.
Réflexe
rotulien exagéré. La sensibilité est émoussée :
s après l'injection la contraction pupillaire commence. Perte des
réflexes
palpébraux et cornéens une demi-heure après. Quel
lysés généraux alcoo- liques a d'ailleurs déjà été signalé pour les
réflexes
dans cette maladie'. ' Voir à ce sujet les qu
raux du début à la terminaison de la paralysie. Ils apportent, les
réflexes
étudiés chez les mêmes malades aux trois périodes
e in Arch. illéclic. Psycho., 1898; Evolution comparée de ces trois
réflexes
in Bulletin de la Soc. de blécl. ment, cle 13e1
missions à l'inverse de ce que nous avons souvent constaté pour les
réflexes
. X. Nous avons rencontré le sens tactile beauco
négalité pupillaire, troubles de l'accommodation, modifications des
réflexes
, trépidation épileptoïde, attaques apo- pleetif
t sans motifs et si impulsifs qu'ils paraissent avoir une ori- gine
réflexe
. La question se pose de savoir si pareille chos
émies par pro- pagation, pour lui substituer celle d'une irritation
réflexe
secon daire des nerfs ciliaires avec troubles v
essivement passés en revue, les para- lysies, les contractures, les
réflexes
tendineux, l'astasie et l'abasie, ce trouble fo
férieurs. Sentiment de lassi- tude dans les jambes. Exagération des
réflexes
rotuliens. Parésie des muscles obliques supérie
inférieurs. Sentiment de lassitude dans les jambes. Exagération des
réflexes
rotuliens, léger clonus des pieds. Hémicranie.
belleuse. Senti- ment de lassitude dans les jambes. Exagération des
réflexes
rotu- liens, clonus des pieds. Plantes voûtées.
intoxication rénale. L'inégalité pupillaire, avec état variable des
réflexes
lumi- neux et accommodatif, s'observe souvent d
'autre et jusque dans la même journée. Il en est de même des autres
réflexes
tendineux et cutanés, très variables, mais plus
es de préparation de la moelle accompagnent ce travail. XVIII. Le
réflexe
viril ou bulbo-caverneux; par le Dr Huches. En
de Biologie un travail établissant l'existence à l'état normal d'un
réflexe
ischio et bulbo-caverneux sous l'influence d'un
dans les cas de troubles des fonctions génitales, la présence de ce
réflexe
indique une ori- gine dynamique et permet un pr
dynamique et permet un pronostic favorable alors que l'ab- sence du
réflexe
est un signe de lésion organique et aggrave' le
sans connaître le travail d'Onanofî, l'auteur publiait sur ce même
réflexe
un mémoire intitulé : « Note sur le réflexe vir
ur publiait sur ce même réflexe un mémoire intitulé : « Note sur le
réflexe
viril. » Il joint, du reste, au présent travail
à cette question d'historique. Depuis les premiers travaux sur ce
réflexe
, M. Hughes a trouvé une meilleure méthode pour
urinaire, le tire, l'allonge avec force; dans ces conditions, le
réflexe
est, ou provoqué normalement, ou exagéré, ou ne s
tante d'un état morbide du centre génito-spinal ou de l'âge. , Ce
réflexe
demande, pour être recherché, une certaine expé-
iatement les impressions du monde extérieur. G. D. XX. Abolition du
réflexe
rotulien malgré l'intégrité relative de la moel
onnée : dans ces trois cas, la paralysie flasque avec abolition des
réflexes
s'est produite d'emblée et s'est maintenue jusqu'
état spasmodique, et s'est toujours accompagnée d'une abolition des
réflexes
tendineux. Dans les six cas la moelle lombo-sac
court de faiblesse générale et de troubles parétiques avec perte du
réflexe
patellaire, altérations des sensibilités, para-
la langue et une légère parésie du voile du palais. Exagération des
réflexes
tendi- ueux, hémihyperesthésie droite. Aucune l
trique profonde et l'exagération, la conservation ou la perte du
réflexe
abdominal. Il n'y a pas non plus de rapport néces
hypoesthésie au genou gauche. Inégalité pupillaire avec paresse du
réflexe
à la lumière. Cypho- scoliose, à concavité diri
us- cles des deux membres supérieurs, avec diminution notable des
réflexes
tendineux. Le genou gauche est tuméfié et déformé
iculation, mais une simple crépitation pendant les mouve- ments. Le
réflexe
rotulien droit est exagéré. Mal perforant à la ba
as de troubles sensitifs, pas d'amyo- trophies, pas de troubles des
réflexes
. La démarche est normale. Ankylose des articula
ableg Archives, 2° série, t. l'II, . 22 338 CLINIQUE MENTALE.
réflexes
de défense, en rapport avec ses illusions et hall
et réagissent convenablement à la lumière et à l'accommodation les
réflexes
patellaires sont normaux. Dans la nuit du 28
reproduisaient-le même phénomène. Cela a persisté plusieurs mois.
Réflexes
. Le patellaire n'existe plus d'aucun côté et le p
mouvements d'extension dorsale du pied et des doigts sont nuls ; le
réflexe
patellaire gauche est très exalté ; clo- nus du
pied. Le membre inférieur droit jouit de tous ses mouve- ments ; le
réflexe
de ce même côté est légèrement augmenté ; on ne
orrespondant à la peau située au-dessous du malléole interne. Les
réflexes
patellaires qui au début étaient abolis, s'exaltè
d'une façon plus marquée dans le côté gauche. Cette exagération de
réflexes
était accompagnée du clonus du pied, clonus qui
le était absolument cer- tain ; que dans les premières semaines les
réflexes
profonds furent nuls, mais qu'ils revinrent plu
re que la pupille ne réagit pas à l'accommodation de dis- tance, le
réflexe
lumineux étant complètement conservé. Ce dernie
une dilatation antérieure est bien manifeste. Donc, l'abolition du
réflexe
accommodaleur et la persis- tance du réflexe lu
Donc, l'abolition du réflexe accommodaleur et la persis- tance du
réflexe
lumineux méritent de figurer dans la symptomato
soit donc abolie ou au moins diminuée ; le contraire a lieu pour le
réflexe
lumineux qui est un phénomène bien plus physiqu
était mal ressentie ; pas de dissociation de la sensibilité. Pas de
réflexe
plantaire; abolition des réflexes tendineux.
ociation de la sensibilité. Pas de réflexe plantaire; abolition des
réflexes
tendineux. Iu° 1... présente aussi des troubles
bserve d'ordinaire chez les polynévritiques ; pas d'exagération des
réflexes
tendineux, au contraire; pas de trépidation épi
s spontanées et à la pression des troncs nerveux, exagération des
réflexes
tendineux ainsi que diminution de l'excitabilité
ictus, ayant res- pecté la face, ne s'accompagnant pas d'atrophie :
réflexes
exagérés et trépidation épileptoïdes plus marqu
com- plète portant sur la face et les membres avec exagération du
réflexe
tendineux et d'autre part du côté gauche un ptosi
extirpation totale ou partielle du cervelet augmente l'excitabilité
réflexe
; 6" Tous ces phénomènes se trou- vent en rappor
nuée : les contractions gal- vaniques sont parfois paresseuses. Les
réflexes
rotuliens font défaut. La sensibilité est norma
tude dans les mouvements surtout en ce qui concerne les jambes. Les
réflexes
rotuliens sont à peine esquissés. Les gas- troc
3 novembre 1898, on trouve une certaine faiblesse généralisée. Les
réflexes
rotuliens sont diminués ; les plantes des pieds
e cesse l'usage d'alcool. Etat présent. 30 I. 1899. Disparition des
réflexes
rotuliens; parésie atrophique des membres infér
large que la droite. Atrophie des muscles du mollet. Abolition des
réflexes
cutanés, crémastérien et abdominal. Les troncs
ureux à la palpation. Légère rétention d'urine et constipation. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Du côté psychique, tro
s rappellent que les troubles des sphincters et l'exagé- ration des
réflexes
peuvent se rencontrer dans la polynévrite (entr
e postérieur. La parole, dans le vrai sens du terme, n'est point un
réflexe
; c'est un processus psy- chique consistant en u
rcades dentaires. La déglutition au contraire, phénomène purement
réflexe
, s'exécute parfaitement. Il existe une légère sal
est apparue au moment où P... a repris possession de lui-même. Le
réflexe
pharyngien est conservé ; le réflexe rolulien est
ris possession de lui-même. Le réflexe pharyngien est conservé ; le
réflexe
rolulien est exagéré des deux côtés; les autres
nservé ; le réflexe rolulien est exagéré des deux côtés; les autres
réflexes
, tendineux et cutanés sont nor- maux. Les pupil
e, 1899, n° 4.) XLV. Un cas de tabes incipiens avec exagération des
réflexes
rotuliens et abolition du réflexe du tendon d'A
s incipiens avec exagération des réflexes rotuliens et abolition du
réflexe
du tendon d'Achille des deux côtés ; par Van Ge
lure de celte observation que l'affai- blissement ou l'abolition du
réflexe
du tendon d'Achille a une aussi grande importan
). A ce moment la paraplégie flaccide est complète, l'abolition des
réflexes
est absolue, l'atrophie muscu- laire considérab
nt la lésion doit être située au niveau ou au-dessous du centre des
réflexes
et qui, très probablement, a pour substratum an
érable du gros orteil. Le tremblement épileptoïde fait défaut et le
réflexe
rotulien droit est aboli. Les masses musculaire
limitées et d'une hyperesthésie cutanée et musculaire considérable.
Réflexes
rotuliens abolis, pupilles dilatées. Le 5, la têt
flasque des deux membres inférieurs, abolition presque complète des
réflexes
rotuliens, pas de convulsions, pas de con- trac
ent et directement en avant, comme dans la locomotion habi- tuelle.
Réflexes
rotuliens exagérés. Sous l'action des courants de
ue l'effort musculaire est moins marqué à gauche. L'exagération des
réflexes
a diminué. Sensibilité normale. En résumé, il
dans la paume de la main, saisissent difficilement les objets. Les
réflexes
sont exagérés. La sensibilité à la pression est
. La jambe gauche est légèrement fléchie, le pied en extension. Les
réflexes
, en particulier les réflexes rotuliens, sont ex
ent fléchie, le pied en extension. Les réflexes, en particulier les
réflexes
rotuliens, sont exagérés. Le clonus épileptoïde
us tard, contracture du membre inférieur droit avec exagération des
réflexes
rotuliens ; elle est moins prononcée à ganche.
ds; peau glacée, vaso-constriction considérable, absence de sueurs.
Réflexes
rotuliens abolis. Pieds en équin varus. Sensi-
tions gaies : il est plus efficace de produire d'abord une sorte de
réflexe
moteur et de créer une association synergique e
giques -dans un cas de - chez l'homme, par Tscllerniscllell, 332.
Réflexe
. Le viril ou bulbo-caver- neux, par Hughes, 305
lité locale, générale ou sensorielle; pas d'atrophie des muscles.
Réflexes
rotuliens très exagérés : le relèvement du pied p
ÊTRIÈRE. les membres inférieurs que nous avons décrites ont vu leur
réflexes
s'exa- gérer considérablement; sous l'influence
phénomènes d'engourdissement dans les membres supérieurs, dont les
réflexes
étaient devenus plus forts qu'à l'ordinaire. Ma
nse à l'ataxie locomotrice et l'on est tout étonné de trou- ver les
réflexes
exagérés et parfois de la trépidation spinale. En
n'existe cependant pas de douleurs spontanées. Absence absolue des
réflexes
rotuliens des deux côtés. Pas de troubles de se
n décembre, alors que l'amélioration s'accentue de plus en plus les
réflexes
rotuliens sont toujours absents. Le diagnostic
plaidaient encore en cette faveur, de même aussi que l'absence des
réflexes
rotuliens et peut- être les résultats de l'exam
t Bezançon ont noté l'absence de la réaction de dégénérescence. Les
réflexes
rotuliens ont disparu. Pas de troubles de la se
aralysé. ' MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 23
Réflexes
rotuliens diminués ( ? ) La sensibilité général
igine nerveuse organique, si l'on met à part les contractures dites
réflexes
par lésions des nerfs : traumatis- mes, affecti
s. C'est même celle contracture tardive, jointe à l'exagération des
réflexes
tendineux et parfois à l'asymétrie de la face, qu
alysie primitive ne tardera pas à être suivie d'une exagération des
réflexes
tendineux et de la contracture des muscles para-
e rencontrer de ces monoplégies avec contracture et exagération des
réflexes
tendineux, où le début a été brusque et spon- t
ns les mo- noplégies hystériques de constater les modifications des
réflexes
, l'atrophie musculaire et les troubles trophiqu
rme les yeux. Cette anesthésie est étendue il toute la peau. Pas de
réflexes
pharyn- giens. Pas de points hystérogénes. Si o
quoiqu'elle ne restitue pas la fonction des organes génitaux et les
réflexes
tendineux. La parésie de la vessie et l'inconti
it, la malade titube et tomberait si on ne la rete- nait pas. Les
réflexes
patellaires sont totalement.abolis. Les trouble
la douleur. La notion de la position des membres est conservée. Les
réflexes
patellaires sont abolis. Les réflexes cutanés (
es membres est conservée. Les réflexes patellaires sont abolis. Les
réflexes
cutanés (plantaire, crémastérien, épigastrique)
de son frère dont l'observation suit. Le pied gauche est normal. Le
réflexe
patellaine est aboli des deux côtes. Sauf cela,
ctions électriques fara- diques et galvaniques sont normales. Les
réflexes
patellaires complètement abolis. Les sensibilités
nt sur la déformation caractéristique des pieds, sur l'abolition du
réflexe
rotulien, sur le facies et l'arrêt de dé- velop
s. Soulevés ils retombent en masse. La paraplégie est flasque : les
réflexes
rotuliens sont abolis : pas d'épilepsie spinale.
ont indemnes. Pas de phénomènes cérébraux : rien dans les yeux, les
réflexes
pupillaires sont conservés. Le malade n'a jamais
ière qui mérite d'être considéré à part. Bien que doué de motricité
réflexe
, à cause de son noyau protubéranliel, ce muscle
la même dans toute l'étendue des deux mem- bres. Pas de paralysies.
Réflexes
rotuliens conservés. Pas de troubles sphinc- té
ui s'agitent dans divers sens. Pas de tremblement de la langue. Les
réflexes
rotuliens, pupillaires, testiculaires et abdomina
ilité, pas de dou- leurs rachidiennes spontanées ou provoquées. Les
réflexes
tendineux sont normaux aux membres inférieurs e
laire. - Aux mains le dynamomètre donne 50 à droite, 45 à gauche.
Réflexes
rotuliens : abolis. Réflexe du coude normal à gau
omètre donne 50 à droite, 45 à gauche. Réflexes rotuliens : abolis.
Réflexe
du coude normal à gauche diminué à droite. Réfl
uliens : abolis. Réflexe du coude normal à gauche diminué à droite.
Réflexe
du poignet également diminué à droite. Pas de t
s de flexion et d'extension des pieds seulement sont possibles. Les
réflexes
patellai- res sont très exagérés ; on produit t
ique : inégalité des pupilles, forme irrégulière, troubles dans les
réflexes
des muscles ciliaires et des sphincters iriens.
teur de parole) raideur de la nuque el exagération considérable des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs. Mort des suit
rs sont affaiblis également, mais il un degré beaucoup moindre. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés aux quatre membres (
vements des globes oculaires s'exécutent bien ; mais les mouvements
réflexes
de l'iris sous l'in- fluence de la lumière sont
flexes de l'iris sous l'in- fluence de la lumière sont abolis ; les
réflexes
accommodateurs sont affaiblis considérablement.
On note quelques secousses fibrillaires dans les muscles de l'épaule.
Réflexes
tendineux toujours très exagérés, même aux memb
vés sont franchement médullaires. Il ne s'agit pas du tabes, car le
réflexe
rotulien est exagéré, les signes de Romberj et
be droite est jetée en avant, fauche en décrivant un arc de cercle.
Réflexe
rotu- lien droit très exagéré, avec trépidation
Réflexe rotu- lien droit très exagéré, avec trépidation spinale.
Réflexe
rotulien gauche exagéré également; mais pas de tr
ulien gauche exagéré également; mais pas de trépidation de ce côté.
Réflexes
olécraniens normaux. Douleurs toujours très viv
ou, on arrive il triompher des efforts de résistance du malade. Les
réflexes
rotuliens sont très considérablement exagérés, et
érieurs, rien d'anormal autre qu'une exagération très no- table des
réflexes
tendineux aux coudes et aux poignets, mais le mal
maladie en jan- vier 1893 : paraplégie spasmodique exagération des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs anesthésie dan
uriner, mais il n'a jamais eu ni rétention, ni incontinence. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés des deux côtés ; pas
eux côtés ; pas de trépidation spinale. Aux membres supérieurs, les
réflexes
du coude et du poignet sont très notablement ex
t-bras surtout). 230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les
réflexes
tendineux aux membres supérieurs (coudes et poign
de dé- générescence. Aux membres inférieurs, rien d'anormal. Les
réflexes
sont présents, sans exagération ; la marche est
la parole très gênée. Le goût, Fouie, l'odorat sont parfaits. Le
réflexe
pharyngé est très exagéré. En mettant le doigt da
ant-bras est la même des deux côtés. OEil gauche : pupille normale,
réflexe
pupillaire paresseux mais présent ; très légère
ux fait découvrir une paralysie de l'ac- commodation avec perte des
réflexes
pupillaires, qu'il est permis de DE LA MÉNINGO-
pace de 24 heures. Paralysie flasque au début, avec exagération des
réflexes
tendineux et trépidation épileptoïde du pied pl
ilicale, sur le bas-ventre en particulier elle est très vive. Les
réflexes
rotuliens sont très forts des deux côtés. Par la
pied, on produit une tré- pidation épileptoïde très accentuée. Les
réflexes
plantaires sont très forts aussi. Comme doule
rinaud. OEil gauche. - Pupille plus large que la droite, absence de
réflexe
pupillaire pour la lumière ; réllexe affaibli,
ourdis- sement profond qui n'a rien de douloureux d'ailleurs. Les
réflexes
rotuliens sont toujours très forts malgré la flac
ssible par ['hyperesthésie cutanée aux cuisses et par l'intensité des
réflexes
cutanés. Au passage du moindre courant, il se p
es et continuelles dans les épaules et dans la racine des bras. Les
réflexes
tendineux sont toujours exagérés aux membres supé
aire ; les réactions électriques dos muscles sont normales. ' Les
réflexes
rotuliens sont exaltés au plus haut degré aux mem
ait pas de tonicité permanente très accentuée dans ces muscles. Le
réflexe
est plus fort il droite. De ce côté, on peut prod
ne présentent aucun trouble du mouvement et de la sensibilité ; les
réflexes
tendineux y sont normaux. Pas de sensibilité de
égie spamodique légère avec troubles vésicaux. 1 ? xa- aération des
réflexes
aux membres supérieurs. Disparition de tous les a
us tous ses modes, dans toute l'étendue des membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens sont considérablement exagérés des 2 cô
lité est normale. Mais on constate une exagération très marquée des
réflexes
tendineux, surtout il droite. Au coude, au poig
ux, surtout il droite. Au coude, au poignet, violentes contractions
réflexes
des muscles par la moindre percussion des tendo
couvrir une paralysie de l'accommodation, avec perte des mouvements
réflexes
de l'iris dans un des deux yeux. Grâce à l'inté
laires légers (inégalité pupillaire, anomalies dans les mouvements
réflexes
de l'iris) dans cinq observations de paraplégie
légie spasmodique ; dilatation pupillaire avec perle des mouvements
réflexes
de l'iris pour l'oeil gauche. Men... Eugène, 26
et se fléchissent tour il tour indépendamment de sa volonté. Les
réflexes
rotuliens sont très exaltés des deux côtés : la t
ici sous sa dépendance l'abolition presque complète des mouvements
réflexes
de l'iris : nous nous contentons de relever ce
membres supérieurs, se traduisant par l'exaltation considérable des
réflexes
tendineux, des raideurs passagères. Or les trou
analogue à celui du tabès dorsal spasmodique. - L'exaltation des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs dans la pa- ra
de sensibilité et sans troubles vé- sicaux. Exagération notable des
réflexes
aux membres supérieurs ; en un mot, tableau du
tableau du labes dorsal spasmodique. Dans les yeux : abolition des
réflexes
lumineux pupillaires, paresse des réflexes accomm
les yeux : abolition des réflexes lumineux pupillaires, paresse des
réflexes
accommodateurs. Pell... Philibert, 38 ans, menu
mais il n'y a pas il proprement parler de production de mouve- ment
réflexe
, car l'extension complète du membre ne le permet
maladroite, » On constate en outre une exagération très grande des
réflexes
au coude clan poignet dans les deux membres sup
éflexes au coude clan poignet dans les deux membres supérieurs. Ces
réflexes
sont aussi forts que dans la sclérose latérale
perversion de la sensibilité objective aux membres supérieurs. Le
réflexe
massétérin semble fort ; mais on ne saurait dire
dire s'il est exagéré d'une façon pathologique, tandis que pour les
réflexes
des membres supérieurs, cela ne fait pas de dou
s, il n'existe pas d'autre anomalie que la suivante. Les mouvements
réflexes
de l'iris ne se produisent pas du tout sous l'i
duisent pas du tout sous l'influence de la lumière : les mouvements
réflexes
de l'accommodation se pro- duisent très faiblem
bles de la sensibilité aux membres inférieurs, même exagération des
réflexes
aux membres supérieurs. Les troubles vésicaux s
si légers, qu'ils méritent il peine qu'on en parle. Les mouvements
réflexes
de l'iris sont toujours nuls pour la lumière, trè
paralysie flasque absolue des deux membres pelviens, avec perte des
réflexes
tendineux. La sensi- bilité y est abolie; et ce
itement. Paraplégie apoplec- ti fornze, accompagnée d'abolition des
réflexes
tendineux et de l'excitabilité électrique des m
re pressant, le malade avoue les antécé- dents ci-dessus notés. Les
réflexes
tendineux et la contractilité faradique sont en
es altérations de la substance grise rencontrées dans ce cas. Les
réflexes
tendineux sont régulièrement affaiblis, le plus s
t; et, dans les formes particulièrement graves, cette abolition des
réflexes
persiste jusqu'à la fin de la maladie. Les muscle
insi Oppenheim remarque que chez son malade, malgré l'abolition des
réflexes
rotuliens, on pouvait produire la trépidation d
le signe de Westphal fit place à une exaltation consi- dérable des
réflexes
rotuliens. Le diagnostic de tabes fut alors défin
nerveux. Jarisch et Finge n'ont-ils pas signalé une exagération des
réflexes
tendineux et cutanés accompagnant l'apparition
nts sont seulement limités par la raideur des muscles antagonistes.
Réflexes
un peu exagérés à droite. Points hystcrogcnes :
ONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE DE LA MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAHYPNOTIQUES ET DE L'ACTION DE LA SUGGESTIO
mes excitations. M. Charcot et ses élèves expliquent ce fait par un
réflexe
automatique sans intervention d'une cause psych
professeur Hogyes se sont occupé particulièrement des contractures
réflexes
des hystériques somnambules. Ils ont donné comm
éralisée. M. Horpes est aussi de l'avis de M. Charcot sur la natnre
réflexe
de ces contractures. Je ne veux pas détailler l
ns sensorielles quelconques peu- vent faire naître des contractures
réflexes
chez des sujets hystériques hyp- notisés. Mai
mployé comme excitation tactile le doigt ou le manche du marteau il
réflexes
; pour les ex- citations gustatives nous nous s
contractures, puisqu'elles se manifes- MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAIIYPNOTIQUES 307 taient constamment de la
si une surdité droite n'avait pas quelque influence sur les autres
réflexes
sensoriels du même côté ? Je signale tout d'abord
ôté ? Je signale tout d'abord le fail, que la production des autres
réflexes
est notoirement retardée, ou même empêchée. J'a
périences sugges- tives. Notamment, je veux parler des contractures
réflexes
produites par des excitations acoustiques, gust
ustatives, olfactives et tactiles et seulement à la fin aborder les
réflexes
optiques, lesquels sont plus compliqués que les a
tion très accentuée du goût, de l'odorat et de l'ouïe de ce côté. Les
réflexes
tendineux étaient fort exagérés. Il y avait un
ODUITES PAR LES EXCITATIONS VISUELLES. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAIIYPNOTIQUES 309 si Morphologie des cont
TACTILES ET GUSTATIVES UNILATÉRALES. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAIIYPNOTIQUES 311 « glabella ») donne naiss
EXCITATIONS AUDITIVES ET VISUELLES. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRADI PNOTIQUES 313 si même nous fermons ses
e pour les excitations olfactives. Excitations optiques. Tous les
réflexes
étudiés jusqu'ici, c'est-à-dire tactiles, acousti
e produisait une contracture bilatérale. Très différents sont les
réflexes
qui apparaissent à la suite de l'excita- tion d
unilatérale du nerf optique produit une contracture bilatérale. Le
réflexe
rétinien produit-il donc toujours une contracture
endanl que la moitié droite du corps reste flasque. En résumant les
réflexes
qui se rapportent à l'oeil droit, nous voyons q
hémicon- tracture gauche. Fig. 47. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAnYPNOTIQUES 315 Examinons maintenant l'oei
ns, de cécité hystérique. Malgré cet état nous pouvons produire les
réflexes
rétiniens. Et voici ce qu'on observe : 1. L'exc
produit une hémicon- tracture gauche. Ainsi en résumant tous les
réflexes
optiques, nous pouvons les grouper de la manièr
r la sémidécussation optique, nous ne pouvons chercher le motif des
réflexes
de la rétine que dans cette décussation même. P
cussation même. Par conséquent nouspouvons établir le mécanisme des
réflexes
rétiniens de la manière suivante. L'excitatio
autres déductions. Ces dernières ont prouvé avec précision, que les
réflexes
intrahypnotiquessont produits par un mécanisme
canisme cortical et ainsi nous sommes forcés de suppo- ser, que les
réflexes
de la réline passent aussi de l'écorce occipitale
e, les deux centres se trouvent excités en même temps. Par suite le
réflexe
suit en même temps les deux faisceaux pyramidau
x : le résultat ne peut être qu'une contracture bila- térale. Les
réflexes
du nerf optique nous donnent ainsi un moyen expér
En conduisant la carte excitante vers MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAUYPNOTIQUES 317 le centre, à 70-68° l'hype
oeil gauche : l'arc périphérique donne MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTIIAII1PNOTIQUES 319 une hémicontracture gauc
nous avons traité la morphologie bien compliquée, mais exacte, des
réflexes
de la rétine pendant l'hypnose. Mes conclusions d
au- che apparaît une hémicontracture gauche. 3. Ces relations des
réflexes
de la rétine trouvent leur explication dans la
sultat est inté- ressant, parce qu'en expliquant les relations, des
réflexes
énumérés avec la semidécussation du nerf optiqu
ier, que dans mes recher- ches il s'agit seulement des contractures
réflexes
; la vision ne joue aucun rôle en produisant ce
tractures réflexes ; la vision ne joue aucun rôle en produisant ces
réflexes
, car ces contractures mêmes apparaissent avec l
de la réline qui produisent Fig. 48. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTR.1U1'PNOTIQUES 3 : H seulement des réflexes
IE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTR.1U1'PNOTIQUES 3 : H seulement des
réflexes
, des autres parties dont l'excitation éveille une
rie. Et nous avons vu, que nous obtenons justement les contractures
réflexes
des parties les plus périphériques de la rétine q
es points moins sensi- bles de la rétine suffisaient à produire des
réflexes
optiques. De ce dernier fait nous pouvons concl
utrement je m'en rapporte à M. Heddens, selon qui la sensibilité de
réflexe
des yeux est liée évidemment à des filets nerveux
s sensibleà la lumière, néanmoins nous en pouvons recevoir tous les
réflexes
de la rétine. Pour résumer, j'exprimerai mon op
lant des sentiments de lumière et en même temps des mouvements, des
réflexes
; la moitié nasale de la rétine possède seuleme
a moitié nasale de la rétine possède seulement des fils donnant des
réflexes
. Le fascicule non croisé de l'opticus s'étend c
par des filets nerveux conduisant des sensations de lumière et des
réflexes
, il la moitié temporale avec des filets nerveux
temporale avec des filets nerveux donnant seulement des mouvements
réflexes
. Mêmes conclusions pour les parties homologues
es des troncs nerveux (phénomène facial) n'est pas aug- mentée. Les
réflexes
rotnlien et plantaire sont conservés, la sensibil
peau sur la face interne de l'articulation est presque normale. Le
réflexe
tendi- neux du muscle triceps du côté sain est
réflexe tendi- neux du muscle triceps du côté sain est fiasque; les
réflexes
rotuliens sont plus actifs. L'urine ne présente
45. Chm'cot..1. M. par Gilles de la Tourette, 241. Contractures
réflexes
. (Sur la morphologie des) par Schaffer, 322.
ux, dans laquelle on guérissait les pos- sédés, VII. Contractures
réflexes
, XLII à XLVI. Danse macabre du Bar, XVI. Défo
E DES FIGURES Champ visuel dans : lèpre nerveuse, 6. contractures
réflexes
, 47. Juif-Errant à la Salpêtrière, 20, 21, 22,
corps du muscle lui-même '. § 1. EXCITATION DU TENDON. ÉTUDE DES
RÉFLEXES
TENDINEUX DANS LA LÉTHARGIE HYSTÉRIQUE PROVOQUÉ
TENDINEUX DANS LA LÉTHARGIE HYSTÉRIQUE PROVOQUÉE. L'exagération des
réflexes
tendineux est un fait commun chez les malades a
e phénomène, et les connexions intimes qui font de l'exaltation des
réflexes
tendineux et de la contracture musculaire des f
e hypnotique, dont nous parlons, une exagération mar- quée de ces
réflexes
. En effet, sous l'influence des pratiques de l'
exes. En effet, sous l'influence des pratiques de l'hypnotisme, les
réflexes
tendineux 1 Dans ces recherches sur la contract
en le montrant intimement lié, pour une part, à l'exalta- tion des
réflexes
tendineux, dont il devient, dans le cas particu
uvelle manifestation d'un ordre plus élevé. Pour la production du
réflexe
tendineux de l'état normal plusieurs conditions
ment soudain de toute la masse du muscle. La contraction musculaire
réflexe
ne peut être produite par aucune excitation éle
toujours vive et très courte. Dans l'état de santé, la contraction
réflexe
du tri- ceps crural est facile à obtenir par la
ains états morbides caractérisés par un accroissement de l'activité
réflexe
de la moelle épinière, comme dans les paraplégi
e sait, marquées, dans la règle, par une abolition com- plète des
réflexes
tendineux, l'ataxie locomotrice par exemple.
peuvent également se grouper en deux catégories. Dans l'une, les
réflexes
tendineux subissent une exagération marquée qui
t nous nous occupons plus particulièrement ici. Dans l'autre, les
réflexes
tendineux sont complètement abolis comme dans l
es modalités diverses auxquelles peut don- ner lieu l'exaltation du
réflexe
tendineux dans l'hypno- tisme, reposent sur deu
sur deux points principaux : a) exten- sion, diffusion de l'action
réflexe
; b) modifications de la contraction musculaire
plusieurs chocs successifs portés sur le tendon. n) Diffusion du
réflexe
. Quelques malades sont à peine endormies qu'on
n du réflexe. Quelques malades sont à peine endormies qu'on voit le
réflexe
tendineux non seulement s'exagérer sur place et
cle directement intéressé, mais encore provoquer des contractions
réflexes
dans les membres éloignés du lieu de la percuss
côtés à la fois. Il suffit alors du moindre choc pour provoquer le
réflexe
, et, à la suite de la 4O . PHYSIOLOGIE PATHOLOG
e et qui depuis a quitté le service, présentait cette diffusion des
réflexes
d'une façon remarquable. Pen- dant la veille, l
sion des réflexes d'une façon remarquable. Pen- dant la veille, les
réflexes
rotuliens étaient peu exagérés, surtout à la ja
reste du corps ne participaient en aucune façon aux mouve- ments
réflexes
de la jambe sur laquelle portait l'excita- tion
rendre un compte exact. Cail.. est hémianes- thésique à gauche. Les
réflexes
tendineux sont exagérés, à l'état de veille, su
e tracé I (Fig. 1) obtenu pendant la veille démontre l'existence du
réflexe
rotulien. Un choc brusque, porté sur le tendon
uscle extenseur du triceps crural. On remarque sur ce tracé, que le
réflexe
rotulien ne retentit en aucune façon sur le bra
ps brachial trace une ligne droite (B. b.). Fig. 1. Diffusion des
réflexes
tendineux pendant la M/ta)'y : 'e/tf7'M" provoq
membres sont dans la résolusion la plus complète. Les caractères du
réflexe
tendineux éprouvent aussitôt les modifications
x éprouvent aussitôt les modifications sui- vantes. En outre que le
réflexe
rotulien paraît plus intense, qu'il s'obtient a
ien du côté droit. L'on conçoit fort bien que cette diffusion des
réflexes
tendineux se présente à des degrés variables su
pensons point, parce qu'elle est subor- donnée au degré d'activité
réflexe
de la moelle et que nos observations nous ont a
avons pu observer, contradic- toirement aux lois de Pflùger, que le
réflexe
rotulien se propage d'abord aux membres supérie
araît conforme à la loi de l'irradiation : nous avons vu souvent le
réflexe
rotulien retentir sur les membres supérieurs; m
embres supérieurs; mais, nous n'avons pas observé la diffusion du
réflexe
en sens inverse, c'est-à-dire du membre supérie
D'ailleurs, cette dernière loi de Pflùger qui veut que l'excitation
réflexe
se pro- page dans la moelle, toujours de bas en
ne faut pas oublier que la classification de Pflùger s'applique aux
réflexes
cutanés et qu'il s'agit ici de phénomènes réfle
r s'applique aux réflexes cutanés et qu'il s'agit ici de phénomènes
réflexes
d'un ordre différent. b) Modification de la con
es réflexes d'un ordre différent. b) Modification de la contraction
réflexe
qui suit le choc sur le tendon. En même temps q
le tendon. En même temps que, sous l'influence de l'hypnotisme, le
réflexe
tendineux tend à se généraliser, il arrive souv
esquisse de la contracture. Mais ces deux modes de l'exaltation des
réflexes
tendi- neux irradiation du réflexe et tendance
deux modes de l'exaltation des réflexes tendi- neux irradiation du
réflexe
et tendance à la contrac- ture qui, dans certai
façon très nette ces modifications de la contraction mus- culaire
réflexe
sans tendance à la généralisation. Les nombreus
g. 2) a été obtenu pendant l'état de veille. La secousse musculaire
réflexe
n'est pas unique, comme il arrive souvent, surt
t, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la contraction
réflexe
des extenseurs s'arrê- ter à mi-chemin dans son
. 1-'ig. ? .Ot ? ca<;oK, pendant la léthargie, de la contraction
réflexe
qui suit le choc du tendon. Tendance 6 la contr
la même malade, nous constatons qu'il n'y a pas d'irradiation du
réflexe
au bras du même côté. Deux tambours myographiqu
demeure éga- lement immobile, mais les caractères de la contraction
réflexe
du triceps crural sont considérablement modifié
ndépendam- mentles deuxmodifications principales que subissentles
réflexes
tendineux sous l'influence de l'hypnotisme : a)
exes tendineux sous l'influence de l'hypnotisme : a) irradiation du
réflexe
, chez Cail... ; b) tendance à la 4 Fi. ? Cont
caractères peuvent se montrer à la fois, et, en même temps que le
réflexe
irradié, on voit la contraction (du muscle dire
as sur la disposition des appareils enregistreurs. Chez Parm... les
réflexes
tendineux, pendant la veille, sont assez-dévelo
exes tendineux, pendant la veille, sont assez-développés, mais le
réflexe
rotulien ne se propage pas au membre supérieur
é. (Tracé I, Fig. 6.) Pendant la léthargie hystérique provoquée, le
réflexe
rotulien s'accuse encore davantage, et l'irradi
ement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la contraction
réflexe
du biceps brachial, aussi bien que celle du tri
t le membre supérieur animé, à chaque choc rotulien, de secousses
réflexes
, subir dans son attitude les modifications suiv
ns suivantes : il s'élève légèrement, le poing rig. 6- Diffusion du
réflexe
et tendance ii la contracture pendant la léthargi
esthésique totale et achromatopsique de l'oeil droit seulement. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux deux jambes, à droi
bras ils existent à un faible degré. Il n'y a point d'extension du
réflexe
rotulien aux membres supérieurs. La malade est
espiration est laborieuse. Nous pouvons observer une exaltation des
réflexes
tendineux facilement appréciable aux poignets e
et aux coudes où ils exis- taient peu accusés pendant la veille. Le
réflexe
rotulien produit à la fois un mouvement dans le
à la con- tracture. Les recherches faites au sujet de l'état des
réflexes
tendineux pendant la léthargie hystérique provo
ons suivantes : a) Pendant la léthargie hystérique provoquée, les
réflexes
tendineux s'exaltent et s'irradient, parfois mê
ieurs chocs successifs portés sur le tendon. Lorsque l'excitabilité
réflexe
existe à un haut degré, un seul choc suffit. Al
us des influences variées. C'est ainsi qu'après nos expériences les
réflexes
tendi- neux de l'état de veille sont toujours u
existe une différence entre les deux modalités de l'exaltation des
réflexes
tendi- neux : diffusion du réflexe et tendance
x modalités de l'exaltation des réflexes tendi- neux : diffusion du
réflexe
et tendance à la contracture. La diffusion des
diffusion du réflexe et tendance à la contracture. La diffusion des
réflexes
se rencontre souvent chez 56 PHYSIOLOGIE PATHOL
nd à se propager dans toute l'étendue des centres et la contraction
réflexe
, de même que la contracture, se généralise. Au
à provoquer, à l'aide d'un choc léger et rapide, une contraction
réflexe
qui présente, à peu de chose près, les mêmes ca
tracture. Il en résulte que, pour la pro- duction de la contracture
réflexe
par excitation tendi- neuse, non seulement le c
'être placé dans l'état de demi tension exigé pour la production du
réflexe
tendineux de l'état normal. Pour les tendons
plus accentuée, une exagération du phénomène connu sous le nom de
réflexe
du tendon. Il suit donc tout naturellement que
HYSTÉRIQUES. 61 I nitive rien d'insolite et doit être rapproché des
réflexes
tendineux dont il n'est, en quelque sorte, qu'u
ication d'un métal sur la peau, augmente notablement l'excitabilité
réflexe
chez les grenouilles décapitées. Schiff a, par
state que le doigt introduit dans l'arrière-bouche, détermine des
réflexes
violents, tandis qu'avant l'application, on pouva
ésiogènes, Paris, 1880. Boussi (R.).-Etude sur les troubles nerveux
réflexes
observés dans s les maladies utérines, thèse in
ans la sclérose en plaques, dans la para- lysie agitante; tantôt le
réflexe
tendineux était aboli, tantôt il subsistait ; t
t le tremblement, et que ces deux symptômes appartiennent, avec les
réflexes
tendi- neux et la contracture, à une catégorie
uées sur des singes, en commun avec le docteur Yeo. P. K. IV. Des
réflexes
; par le Dr Rumpf, de Düsseldorff. (Congrès de B
les-mêmes aussi que des phénomènes de transfert en rapport avec les
réflexes
vascu- laires. En effet, il a observé que les e
AS tendon reflex. (Des spasmes musculaires désignés sous le nom de
réflexes
tendi- neiix); par AUGUSTUS WALLER. (Tlie l3raa
à la cheville. Mais, malgré cette dissemblance apparente, les deux
réflexes
tendi- neux du genou et de la cheville, se prod
Waller donne, à l'appui de cette assertion un tableau où l'état des
réflexes
tendineux et leur durée ont été notés chez des
d'affec- tions diverses des centres nerveux. Dans tous ces cas, le
réflexe
est d'autant plus accentué que l'influence céré
uence cérébrale se fait moins sentir. De plus, la durée moyenne des
réflexes
du genou et de la cheville a été sensiblement l
observée est-elle d'origine purement périphérique, ou bien est-elle
réflexe
? Il y a, en faveur de la seconde opinion, de f
pas. Il fait remarquer que le temps perdu est trop court pour qu'un
réflexe
ait le temps de se produire. En outre, le temps
ique, et que le rôle de la moelle se borne à entretenir la tonicité
réflexe
, sans laquelle il n'y a pas de contraction 126
ut donné bref etsec et en quelques mots. Il y avait là un véritable
réflexe
. Je répétai ces expériences à loisir, de façon
, comme ailleurs, le résultat d'une excitation nerveuse de nature
réflexe
. . Quoi qu'il en soit, la contracture qui suit
des parties constituantes ; il est probable ,,que c'est là un acte
réflexe
. «- En 1871, M. Schmidt publie un cas de surdit
composent ; 230 1, T-. , REVUE CRITIQUE. j 'f c'était un acte de
réflexe
pour lui, nous le répétons. L'examen de l'ouïe,
sensible (rectum, vessie) sous l'influence de cette excitabilité
réflexe
entre en contracture (tunique musculeuse) ; la do
re' dails l'éxagézatzbn`pz·ononcéerdes- da ? zs 1 lâ catégorie des'
réflexes
tendineux. C'est la perturbation apportée dans
ineux. C'est la perturbation apportée dans les'tensions musculaires
réflexes
(tonicité) "qui constitué le*corps du "délit'me
dénie'au'x' coidons'latéÏà711k"dè, Ia"moeltë 'ià"Ë-ath76'énie'des
réflexes
? C'est ? suivant" lui ? à la 'lésion des" faisce
vent, l'exagération- des ré- flexes tendineux, les unes,' passives,
réflexes
ordinaires, s'éta- blissent graduellement et af
tent parfois les paralysies spasmodiques; rarement justiciables des
réflexes
tendineux, elles se lieraient, ou bien'à une ir
nt, ou bien'à une irritation motrice directe, ou bien à des actions
réflexes
issues des racines sensibles (dans ces cas-là o
alique. En même temps que s'opère cette centralisation, la fonction
réflexe
des ganglions nbn" éplialiqueà, îe propage dans
le cerveau et la moelle sont affec- tés sympathiquement, par action
réflexe
; mais, en outre, il faudrait 'tenir compte du
,, lllendelssohn, .119 ; ' spasmes (désignés sous / le nom ,, des
réflexes
tendineux), par A. - Waller, 124 ? ' 1%J , ,' '
31. tu '.Psychologie (mentale), 961., ,il 1- 11 . , IL . n i f,
Réflexes
, par Rumpf, 122; (teli- dineux), par A. Waller,
quand il avait bu. 4 THÉRAPEUTIQUE. rieurs normaux, ainsi que les
réflexes
; onychophagie bila- térale. Tous les ongles so
es de Grisai' avaient montré que l'essence de valériane diminue les
réflexes
, déprime en général les fonctions du système ne
a été observé par A. llTayor 3, c'est l'augmentation préalable des
réflexes
chez la grenouille. Ce fait indique que les phé
ique de M. le professeur Joffroy pour la recherche et la mesure des
réflexes
tendineux. Cet appareil, à percussion automatiq
antané est à peine perceptible, et chose intéres- sante à noter, le
réflexe
a lieu avec un contact d'une durée inap- précia
ans des positions déterminées sur le corps à nu. En recherchant les
réflexes
avec la force la plus faible, on peut établir u
uisqu'il permet de mettre en évidence la différence dans l'état des
réflexes
sur un même malade de chaque côté du corps sans q
tion de cet appareil se prête particulièrement à la re- cherche des
réflexes
du masséter, du carpe, etc, plus délicats à obt
re faiblesse du bras et de la jambe droite. Exagération de tous les
réflexes
tendineux sans trépidation spinale, sans signe
sième paire gauche; la pupille est en myosis, elle a perdu ses deux
réflexes
accomodateur et lumineux. La sixième paire et l
s les muscles innervés par la troisième paire droite. .L'étude du
réflexe
lumineux consensuel montre que : 10 l'excita- t
t se lever, s'asseoir sur son lit sans peine. Dynamomètre : 33. Les
réflexes
rotuliens sont Fig. 5. Ptosis et strabisme exte
ROUGE 85 exagérés des deux côtés, mais sans trépidation spinale. Le
réflexe
cutané plantaire se fait en flexion à gauche, l
on à gauche, la recherche donne des résultats douteux à droite. Les
réflexes
cutanés sont nettement diminués à droite. La se
ît intacte ; en outre, nous avons maintenant en notre possession un
réflexe
, le réflexe cutané plantaire, qui traduit d'une
en outre, nous avons maintenant en notre possession un réflexe, le
réflexe
cutané plantaire, qui traduit d'une manière dél
inconnue. Nous discuterons plus loin le rôle de centre tonique des
réflexes
qu'on lui a attribué. L'anatomie nous enseigne
aire chez lui ? Nous l'avons trouvé exagéré des deux côtés avec des
réflexes
vifs, mais sans trépidation spinale cependant.
n dysarthrie ; ils s'accompagnent d'une exagération généralisée des
réflexes
; ils siègent du côté opposé à la lésion pédonc
pathies. Pas de trou- bles digestifs, les selles sont bonnes. Les
réflexes
patellaires sont légèrement exagérés. Le chatouil
des centres nerveux se traduit d'autre part par l'exagé- ration des
réflexes
patellaires ; chez le second par des crises épi
sentiels simples ; 2. Les Nystagmus essentiels avec exagération des
réflexes
patellaires; 3. Les Nystagmus essentiels à ca
tagmus essentiels à caractère familial avec ou sans exagération des
réflexes
patellaires. Tous ces nystagmus ont pour caract
de leur caractère familial ou des autres symptômes (exagération des
réflexes
, inégalité pupillaire) qui les accompagnaient.
l ou d'une émotion. Le sujet ne présente pas de modifications des
réflexes
patellaires. Pas de clonus du pied. La sensibil
50). Pas de strabisme, fond d'oeil normal. Réactions pupillaires et
réflexes
normaux. Observation II. Ben. Francisque, âgé d
ètre pour adultes). Il n'y a pas de troubles de la sensibilité. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Il n'y a pas de clonu
faciale. Lej... a de l'inégalité pupillaire,. avec conservation des
réflexes
iriens. En résumé, sur 4 sujets, 3 présentent déj
ns du système nerveux central. B. -11'ystugmus avec exagération des
réflexes
. 013-ERV,%TION' I. /)... ilittî-the, huit ans e
e. La mère raconte que le nystagmus aurait toujours existé. ' Les
réflexes
rotuliens sont notablement exagérés. Il n'existe
idation épileptoïde du pied. 11 n'y a pas de signe de Babinski. Les
réflexes
oMo'6[)tte ? ! S sont également exagérés, mais da
pas de tremblement des mains. Il ne pré- sente pas de Romberg. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Mais on constate une
lade. Dans l'une des observations qui précèdent l'exagération des
réflexes
rotuliens est nettement accentuée. Dans la seco
= -^-. Lec- ture facile. Ni mouvements ni tremblements de la tête.
Réflexes
normaux (patellaires). Observation II. Liu...
n. Le jeune homme est entré au service comme engagé volontaire. Les
réflexes
patellaires n'ont pas été examinés. Observati
inférieurs. Il ne présente pas de troubles de la sen- sibilité. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Il ne présente pas de
très courtes semblant comme le nystagmus exister constamment. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Observation V. Rensei
déshabiller. Il présente un ganglion rétro-cervical à gauche. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Il ne parait pas existe
l n'a pas de polymicro adénopathie. La sensibilité est normale. Les
réflexes
patellaires sont normaux. ' Examen des yeux. Le
tremble pas. On constate une légère mais très nette exagération des
réflexes
des membres inférieurs (réflexes patellaires) a
re mais très nette exagération des réflexes des membres inférieurs (
réflexes
patellaires) avec une ébauche de trépidation ép
lexes patellaires) avec une ébauche de trépidation épileptoïde. Les
réflexes
des membres supérieurs sont également plus marq
vision de chaque oeil : emmétropie. Pas de tremblement de la tête.
Réflexes
oculaires normaux. Milieux oculaires normaux.
ate pas de tremblement des membres, pas de troubles vaso-moteurs.
Réflexes
patellaires. Le réflexe palellaire gauche est plu
des membres, pas de troubles vaso-moteurs. Réflexes patellaires. Le
réflexe
palellaire gauche est plus mar- qué qu'à droite
ué qu'à droite : ce signe est surtout sensible quand on percute les
réflexes
, l'enfant étant assis sur le bord d'une table. Av
- ressante du sujet de l'observation 3, ou bien l'exagération des
réflexes
avec tremblement épileptoïde du sujet de l'observ
centrale (inégalité pupillaire, asymétrie faciale, exagération des
réflexes
). De sorte que l'on pourrait, en se basant sur
stagmus essentiel avec symptômes nerveux spéciaux : exagération des
réflexes
, trépidation épileptoïde. 4e type. Manifestatio
dre que les phénomènes spasmodiques (contrac- ture, exagération des
réflexes
) s'observeraient. » b. La conduction défectueus
ormation : inégalité pupillaire, asymétrie faciale, exagération des
réflexes
. Toutefois on ne saurait rattacher ce vice de f
ec symptômes surajoutés spéciaux en particulier l'exagé- ration des
réflexes
pouvant déjà traduire une tendance à la 120 PAT
it d'une lésion organique ou d'une idéation quelconque. G.D. XI. Le
réflexe
du fascia lata; par J. Crocq. (Journ. de Neurolog
excitation du pied provoquait comme réaction unique une contraction
réflexe
du tenseur du fascia lata ; dans l'autre le réfle
une contraction réflexe du tenseur du fascia lata ; dans l'autre le
réflexe
coexistait avec celui de Babinski ; enfin chez
lui de Babinski ; enfin chez le troisième malade la conservation du
réflexe
du fascia lata coïncidait avec l'abolition du r
ent du plantaire. De ces faits M. Crocq tire la conclusion que le
réflexe
du fascia lata constitue le premier stade de la
r stade de la rétraction de la jambe : il fait partie du groupe des
réflexes
défensifs rapides dont les centres sont intra-m
les cas de lésion transversale complète de la moelle, alors que les
réflexes
tendineux et cutanés sont abolis. G. D. XII. Su
ans les par- ties correspondantes et accompagnée d'une abolition du
réflexe
achilléen et des réflexes cutanés abdominaux en
ondantes et accompagnée d'une abolition du réflexe achilléen et des
réflexes
cutanés abdominaux en même temps que d'une exag
réflexes cutanés abdominaux en même temps que d'une exagération des
réflexes
rotuliens. Cette malade ayant subi un an aupara
tion reste encore très obscure. G. D. XV. Contribution à l'étude du
réflexe
cutané du pied; par F. Sano. , ~ (Journal de Ne
rieurs et non à une paralysie des centres médullaires. G. D. XIX.
Réflexe
plantaire cortical et réflexe plantaire médullair
e des centres médullaires. G. D. XIX. Réflexe plantaire cortical et
réflexe
plantaire médullaire ; par J. Crocq. (Journal d
onclut de ses recherches qu'il existe deux variétés dis- tinctes de
réflexes
plantaires, ayant chacune leur signification pro-
physiologique qu'au point de vue ana- tomo-pathologique : 111 Le
réflexe
plantaire cortical ou réflexe plantaire normal de
vue ana- tomo-pathologique : 111 Le réflexe plantaire cortical ou
réflexe
plantaire normal de attouchement très léger ; `
ou réflexe plantaire normal de attouchement très léger ; ` 20 Le
réflexe
plantaire médullaire qui comprend : a) Le réfle
léger ; ` 20 Le réflexe plantaire médullaire qui comprend : a) Le
réflexe
du fascia lata ou réflexe plantaire normal de Bri
plantaire médullaire qui comprend : a) Le réflexe du fascia lata ou
réflexe
plantaire normal de Bris- su2cd, provoqué par u
et qui n'est que le premier stade du mouvement de défense ; b) Le
réflexe
dé fensif complet, provoqué par une excitation en
, de l'extenseur des orteils et en particulier du gros orteil (faux
réflexe
pathologique de Babinski), avec flexion de la c
e, etc. G. DENY. XX. La contraction paradoxale de Westphall et le
réflexe
plan- taire combiné ou paradoxo-normal ; par HE
la flexion des orteils ; c'est à ce phénomène qu'il donne le nom de
réflexe
plantaire combiné ou paradoxo-normal, parce qu'
et les fléchisseurs des orteils. G. D. XXI. Identité probable du
réflexe
antagoniste de Schoefer et du phénomène de Babi
e femme parésiée des quatre membres et des sphinc- ters l'examen du
réflexe
plantaire montrait des deux côtés le phé- nomèn
d'une manière très nette. On cons- tatait également l'existence du
réflexe
antagoniste sur lequel Schoefer a récemment att
t vient donc à l'appui de l'opinion de Babinski qui soutient que le
réflexe
de Schoefer n'est pas un réflexe tendineux, mais
on de Babinski qui soutient que le réflexe de Schoefer n'est pas un
réflexe
tendineux, mais un simple réflexe cutané que l'
réflexe de Schoefer n'est pas un réflexe tendineux, mais un simple
réflexe
cutané que l'on peut obtenir en irritant la peau
stait en même temps une légère contracture avec une exagération des
réflexes
tendineux au niveau des membres inférieurs. " G
étaient normales. Le signe de Rom- berg était légèrement accusé, le
réflexe
du genou un peu exagéré. Les pupilles étaient s
joue, par rapport à la sécrétion lacrymale chez l'homme, qu'un rôle
réflexe
; il est la branche conductrice centripète de l'
'un rôle réflexe; il est la branche conductrice centripète de l'arc
réflexe
, tandis que le facial représente la branche cen
notent la fréquence de troubles pupillaires variés, de troubles des
réflexes
et de la sensi- bilité cutanée. Ils notent par
s notent par ordre de fréquence : troubles de l'ac- commodation, du
réflexe
lumineux, dilatation pupillaire, déforma- tion
ion pupillaire, déforma- tion pupillaire, inégalité pupillaire. Les
réflexes
tendineux sont exagérés dans le tiers des cas.
nsibilité est diminuée dans plus de la moitié des cas, ainsi que le
réflexe
plantaire; le réflexe crémastérien, le réflexe
dans plus de la moitié des cas, ainsi que le réflexe plantaire; le
réflexe
crémastérien, le réflexe abdominal sont très so
es cas, ainsi que le réflexe plantaire; le réflexe crémastérien, le
réflexe
abdominal sont très souvent abolis, MM. Sérieux
tout au ralentissement des fonctions psychiques de ces malades. Les
réflexes
tendineux lui paraissent bien, par contre, en g
la langue, des mains et des muscles faciaux, lorsqu'elle parle. Les
réflexes
rotuliens sont très affaiblis ; les pupilles sont
mains tremblent. La force musculaire des mains est affaiblie.- Les
réflexes
patellaires exagérés, les pupilles réagissent à l
mblement des membres supérieurs. Ataxie des membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. La pupille gauche est pl
INIQUE MENTALE. vait constater alors, entre autres, l'abolition des
réflexes
rotuliens, le tremblement de la langue et des m
t général progressivement mauvais. Langue sèche ; 90 pul- sations ;
réflexes
rotuliens normaux ; alitement (fig. 23 et 24).
en particulier à noter, si ce n'est une exagé- ration manifeste des
réflexes
rotuliens. Quant aux troubles menstruels, ils p
mantes,' physiques et morales. Lutte des anciens, pour favoriser le
réflexe
musculaire; moyen intellectuel qui con- siste à
un animal plus élevé dans l'échelle animale. Pour ne parler que des
réflexes
tendineux, mes expé- riences prouvent que leurs
trouble psychosensoriel. La mimiqne est le type le plus parfait des
réflexes
corticaux résultant des émotions. , Chez l'êt
rme les yeux, la sensibilité est obtuse aux membres inférieurs, les
réflexes
patellaires paraissent normaux. G... n'accuse a
, le bras gauche soulevé retombe inerte ; sensibilité à la douleur,
réflexes
patellaires et cutanés amoindris de ce côté. Le
on de la faiblesse mus- culaire du côté gauche, avec diminution des
réflexes
tendineux. Les pupilles sont toujours inégales
us grande, pas de faiblesse musculaire appré- ciable ; seulement le
réflexe
rotulien est diminué à droite. C'est dans cet é
chez tous deux il y avait une légère inégalité pupillaire, avec un
réflexe
lumineux normal. Il eut été impossible de dif
suicides peuvent être exécutés avec tous les carac- tères des actes
réflexes
. 1 M. P. HARTENBERG (de Paris). La névrose d'an
ecture, d'une conversation, d'un rêve : c'est l'auto-accusation par
réflexe
psychi- que élémentaire, sans racines ni relati
Après le déjeuner le Congrès est entré en séance. Le mécanisme des
réflexes
et du tonus musculaire, par Chocq (de C Bruxell
mme, le tonus musculaire est exclusivement cortical, tandis que les
réflexes
se font par les trois étages : médullaire pour le
que les réflexes se font par les trois étages : médullaire pour les
réflexes
rapides de défense, lombaire pour les réflexes te
médullaire pour les réflexes rapides de défense, lombaire pour les
réflexes
tendineux, cortical pour les réflexes cutanés.
de défense, lombaire pour les réflexes tendineux, cortical pour les
réflexes
cutanés. M. le professeur Grasset, confondant a
Grasset, confondant absolument les manifesta- tions du tonus et des
réflexes
, admet que toutes peuvent se faire indistinctem
étages cérébro-spinaux. Cette manière de voir, soutenable pour les
réflexes
, à condition que l'on diffé- rencie les trois e
s réflexes, à condition que l'on diffé- rencie les trois espèces de
réflexes
cités plus haut, est, à mon avis, erronée en ce
les et nom- breux. M. Mendeissohn invoque la loi de diffusion des
réflexes
pour sou- tenir que ceux-ci peuvent se produire
ers l'encéphale et se localisent davantage. La loi de diffusion des
réflexes
con- cerne les animaux inférieurs, l'expériment
ullaire complète abolit définitivement chez l'homme le tonus et les
réflexes
(sauf les défensifs) dans le tronçon inférieur.
pendant de longues semaines, et jus- qu'à la mort, le tonus et les
réflexes
. Il donne ensuite l'observa- tion d'un malade a
nvoqués par MM. Bris- saud, Raymond et Cestan.pour admettre que les
réflexes
par- courent la voie extra-pyramidale ou rubro-
uve nettement que la destruction des noyaux rouges n'abolit pas les
réflexes
tendineux. 'SI. van Gehuchieti me reproche d'av
mond et Cestan prouve que la voie rubro-spinale n'est pas celle des
réflexes
et que, par conséquent, j'ai bien fait de ne pa
squels se manifestait aussi, de la façon la plus nette, la réaction
réflexe
qui caractérise le signe de Babin : ki. - L'int
atation que, dans les lésions organiques du sys- tème pyramidal, le
réflexe
de Babinski tout comme l'extension persistante
Déformation du thorax et de la colonne vertébrale déviés à droite.
Réflexes
exagérés aux deux- membres supérieurs et inféri
tteinte depuis deux mois d'hémi- plégie gauche avec exagération des
réflexes
d'origine syphilitique. Cette asymétrie dans la
pour l'examen des pupilles étroites. Ils n'ont jamais pu trouver un
réflexe
paradoxal de la pupille. Dans le tabes, lorsque
la règle de Babinski, à savoir pour l'coit malade, disparition du
réflexe
pupillaire lumineux direct et consensuel, pour ]'
ux direct et consensuel, pour ]'oeil sain, conservation de ces deux
réflexes
. Mais ils ont particulièrement' envisagé les ra
ilité bien conservée. Membres inférieurs également bien conformés ;
réflexes
patel- laires normaux. Thorax, pas de déforma
reconnaît pas d'autre cause qu'une contusion du bras droit. Action
réflexe
inté- ressante par elle-même et surtout par le
de mettre en doute l'atrophie du nerf optique, et, d'autre part, le
réflexe
lumineux était conservé et il était possible de r
uche, paralysie du muscle orbito-palpébrat' gauche, exagération des
réflexes
tendineux, diminution de la sensibilité aux bra
e point où est le siège du centre cilio-spinal. L'exagé- ration des
réflexes
tendineux dans les membres inférieurs, se compr
on d'une hémiplégie droile totale avec contracture, exagération des
réflexes
. L'autopsie montra l'existence d'un tubercule d
ifuge (Bach, Elschnig, Pick). P. hLUavat. XXVIII. De la valeur du
réflexe
scapulo-huméral; par W. de BËCHTE- kew. (0&
la suite de la discussion, l'auteur établit que la recherche de ce
réflexe
peut être utile, non seulement pour le diagnost
soit la constance, d'autant que rien n'est absolu en ce monde; les
réflexes
même aussi importants que le réflexe patellaire
n'est absolu en ce monde; les réflexes même aussi importants que le
réflexe
patellaire et achilléen, ne sauraient, on le sait
l'excitation des fibres radicu- laires motrices et à l'intervention
réflexe
des libres radiculaires sensitives, soit isolém
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 4H7 XXXIII. De l'épuisement des
réflexes
tendineux et de sa valeur diagnostique dans les
ssus morbide présente une certaine amélioration, on constate que le
réflexe
patellaire ne se produit qu'aux premiers coups
moins rapide et finalement par la disparition absolue temporaire du
réflexe
. Ce phénomène est l'indice du rétablissement, en
éflexe. Ce phénomène est l'indice du rétablissement, en ce cas, des
réflexes
tendineux depuis longtemps disparus, et subsiste
tades initiaux du tabes dorsal avant la complète disparition de ces
réflexes
, mais alors, en môme temps que se développe l'é
tat morbide, il s'accentue de plus en plus jusqu'à l'instant ou les
réflexes
disparaissent tout à fait. Quelle est donc la v
ble à celui de la forma- tion du reste du canal. E. B. XL. Sur le
réflexe
plantaire contra-latérale ; par les Drs Fartron e
t . Goldstein. (Journ. de Neurologie, 1902, n° 8). Sous le nom de
réflexes
plantaire contra-latéral, on désigne- le mouvem
la face plantaire du pied de l'autre côté. Il existe deux types du
réflexe
, plantaire contra-latéral : le type en flexion
t le type en extension. Le premier se produit, en général, quand le
réflexe
se fait de la même manière des deux côtés; au c
ux côtés; au contraire quand du côté correspondant à l'imitation le
réflexe
se fait en extension, le réflexe contra-latéral
ôté correspondant à l'imitation le réflexe se fait en extension, le
réflexe
contra-latéral se fait aussi en exten- sion. Le
t avec des caractères opposés à celui du côté de l'excitation. Ce
réflexe
ne se rencontre pas à l'état normal chez l'homme
i grande pour le diagnostic que le signe de Babinski. Pourquoi ce
réflexe
se produit-t-il dans certains cas d'hémiplégie
quatre membres, exagéra- tion des'réflexes rotuliens, abolition des
réflexes
plantaire et achilléen, etc. En même temps on c
ction du - à l'entre- croisement, par Roilitninn 593, Fascia Voir
Réflexe
. Fausse - grossesse, Voir Paralysie générale.
lanne, 249. men- tales. Voir Capsules surrénales. nerveuses. Voir
Réflexe
. Quel- TABLE DES MATIÈRES. 581 ques remarques
eux, pa,4 Illiilipl)e, Cestan et Oboi tlitir, 361. Scuoefer. Voir
Réflexe
. Science mentale. L'état présent de la -, par
roubles mentaux. VESTPHA1.L. La contraction parado- xale de et le
réflexe
plantaire combiné ou paradoxo-normal, par Hel
très nette. Au dynamomètre : main droite, 15; main gauche, 50. Les
réflexes
rotuliens sont inégaux, très diminués ci droite,
uliens sont inégaux, très diminués ci droite, normaux à gauche. Les
réflexes
tendineux du poignet et du coude sont égaux et
il porte une hémianesthésie typique du côté droit, qu'il a perdu le
réflexe
pharyngé, le sens musculaire et articulaire; qu'i
es- tablement de l'hémispasme glosso-labié, et de puistrois ans les
réflexes
sont plutôt diminués qu'exagérés. Les troubles
tremblement. Elle était l'an dernier agitée de fortes secousses. Les
réflexes
rotuliens, du coude et du poignet sont égaux de
me passé, l'hémiplégie sans paralysie faciale, sans exagération des
réflexes
, etc. Seuls les caractères du tremblement ÉTUDE
as de signe de Romberg. La marche est possible les yeux fermés. Les
réflexes
rotuliens et plantaires sont presque abolis à dro
e moteur, il ne lui reste que de l'hémi- parésie du côté droit. Les
réflexes
sont égaux et normaux. Au point de vue sensitif
uis trois ans ne s'accompagne ni de contracture ni d'exaltation des
réflexes
, au contraire. La dysarthrie elle-même rentre d
on- tracture. Au dynanomètre : main droite, 29; main gauche, 16. Le
réflexe
rotulien est très faible à droite, aboli à gauc
Les sens sont touchés. Le chatouille- ment du nez ne produit aucun
réflexe
ni à droite ni à gauche. L'ouïe est diminuée à
suivi d'hémiplégie et d'embarras de la parole. Or un an après, les
réflexes
sont pour ainsi dire abolis dans le côté paraly
té droit. Cette anesthésie esl étendue aux muqueuses. Abolition des
réflexes
patellaires. Pas de trépi- dation spinale ni de
bres supérieurs, la force musculaire est diminuée surtout à droite.
Réflexes
pupillaires normaux. L'ouïe est intacte. L'odorat
triques normales. Pas d'atrophie. Anesthésie plus marquée à droite.
Réflexes
rotuliens exagérés. Troubles oculaires. Réducti
atopsie complète bilatérale. Diplopie monoculaire et micropsie. Les
réflexes
pupillaires sont conservés. Le champ visuel pré
sens musculaire et articulaire. Anesthésie des muqueuses. Perte du
réflexe
pharyngé. L'ouïe est diminuée surtout du côté g
s infé- rieurs sont dans l'extension, les pieds en varus équin. Les
réflexes
sont normaux aux genoux. Les membres supérieurs
gauche. En outre il y a, à droite, un point ovarien. 2 mat 1889. Le
réflexe
rotulien est exagéré du côté gauche. Le membre
e aux genoux; les mollets semblent être dans un état de contraction
réflexe
, de demi-contracture. Pendant la marche, les os
bres; il était toutefois vite fatigué. Pas de signe de Romberg. Les
réflexes
tant plantaires que rotuliens sont exagérés, et
contracture, altérations de la parole et de la vue, exagération des
réflexes
, absence de troubles trophiques. L'analogie est g
la rigidité, et les pieds sont en extension sur le cou-de-pied. Les
réflexes
du genoitsont exagérés; il y a du clonus du pied
sont exagérés; il y a du clonus du pied et de la rotule. Absence de
réflexes
plantaires. Les réflexes abdominaux sont très m
clonus du pied et de la rotule. Absence de réflexes plantaires. Les
réflexes
abdominaux sont très marqués. Il n'y a ni dimin
a paralysie avec rigidité des membres inférieurs, l'exagération des
réflexes
rotuliens, la trépidation épileptoïde persistaien
i se tenir de- bout. La trépidation épileptoïde avait disparu : les
réflexes
plantaires étaient toujours absents. L'amélio
éres- sante il plusieurs titres. Il y avait d'abord exagération des
réflexes
et clonus du pied, ce qui est, dit-il, un accom
uer, dans les deux membres inférieurs, une violente trépidation. Le
réflexe
rotulien, loin d'être aboli comme dans la plupart
'avec un appui, raide et menacé de chute s'il fermait les yeux. Les
réflexes
rotuliens étaient exaltés et il y avait de la tré
aides et résistants. Les pieds sont en varus équin. Exagération des
réflexes
rotuliens des deux côtés et trépidation spéciale.
de exécute un mouve- ment. Les membres inférieurs ne tremblent pas.
Réflexes
rotuliens exagé- rés. Le 1G septembre, attctque
t incontestable. Pas de troubles de la sensibilité. Exagération des
réflexes
tendineux. Etat mental bizarre : le malade est
embarrassée ; il n'y a pas de troubles visuels. Mais la sensibilité
réflexe
tendineuse est excessivement développée, et il
et de la faiblesse dans les membres inférieurs avec exaltation des
réflexes
tendineux. Il survint quelques accès apoplectif
même la jambe droite était agitée d'un tremblement spastique et le
réflexe
patellaire, très exagéré. Le côté gauche était
ir les jambes, quoique M. Playfair le lui ait vu faire la veille. Les
réflexes
rotuliens étaient exagérés des deux côtés; il y
l lui semble que sa jambe gauche est plus faible que la droite. Les
réflexes
rotuliens existent des deux côtés ; il est plus
cée que ne l'est l'atrophie, mais sans inversion de la formule. Les
réflexes
tendineux sont absents aux membres supérieurs, le
ule. Les réflexes tendineux sont absents aux membres supérieurs, le
réflexe
patellaire est affaibli à droite, à peu près no
euse ou muscu- laire et aon de contraction spasmodique, puisque les
réflexes
tendi- neux, loin d'être exagérés, font défaut
ué par M. Cartaz le 7 juin 1890 a donné les' résultais sui- vants :
Réflexes
pharyngiens conservés. Sensibilité du voile du pa
Mensurations : 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs manquent totalem
s membres supérieurs manquent totalement. Aux membres inférieurs le
réflexe
rotulien droit est très affaibli, mais non comp
du courant employé; la réaction de dégénérescence fait défaut. Les
réflexes
sont absents aux membres supérieurs et il n'y a
'articulation des mots. Pas de secousses fibrillaires de la langue.
Réflexe
massétcrin conservé. Voici le résultat de l'exa
esthésie du voile et du pharynx, ainsi que de la base de la langue.
Réflexes
très peu prononcés. Sensibilité du larynx diminué
s encore pas d'autres troubles de la sensibilité, sauf l'absence du
réflexe
pharyngé qui a persisté. L'oedème disparait spo
'impotence de la main droite; le bras droit semble aussi parésié. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Au dynamomètre, la
ntracture à l'avant bras est telle qu'on ne peut, déterminer aucun-
réflexe
; par la percussion des tendons. Mais le trembleme
rchant, peut sauter à cloche-pied sur son pied gauche, etc. ' Les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés, mais plutôt affai
fait l'aspect de l'épilepsie spinale, avec cette différence que les
réflexes
tendineux sont dans ce cas plutôt diminués qu'exa
une idée de la situation. Pupilles égales, réagissant bien aux deux
réflexes
. Vue excellente, ouïe parfaite. (Goût et odorat
ellente, ouïe parfaite. (Goût et odorat n'ont pas été examinés.) Le
réflexe
pharyngien n'a pu être examiné, tant étaient pr
tions liées aux paraplégies spasmodiques de nature organique. Les
réflexes
rotuliens ne sont pas exagérés, quelquefois même
u pied fait cesser le tremblement au lieu de le renforcer. Si les
réflexes
se trouvent être exagérés, comme c'était le cas c
te, mais non pas spasmodique. Les pieds ne frottent pas le sol; les
réflexes
rotuliens sont notablement exagérés. La percuss
ES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 129 L'absence du nystagmus, l'état des
réflexes
tendineux, la recherche et la constatation de t
ectrique aussi, quoique la contracti- lité électrique soit normale.
Réflexes
normaux, peut-être un peu exagérés. ÉTUDE DES S
érieurs. La motricité est complètement abolie dans ces membres. Les
réflexes
rotuliens sont conservés. Chez S...er, qui est
sés, le tronc et les membres supérieurs sont nor- maux. Absence des
réflexes
tendineux et crémastérien. - L'anesthésie C1l-
encore complète dans les membres inférieurs, qui s'atrophient. Les
réflexes
sont toujours abolis. La limite supérieure de l
ont ri- gides ; ils sont atrophiés; la peau est sèche, ulcérée. Les
réflexes
sont toujours absents. La vessie retient partie
ature, fourmillements douloureux, rachialgie osseuse, abolition des
réflexes
, troubles électriques; 2° Des signes de qltasi-
, mais on n'y peut constater aucune trace d'atrophie véritable. Les
réflexes
tendineux du genou sont normaux; ceux des membr
s'ajoutèrent d'autres symptômes spinaux, comme la diminu- tion des
réflexes
tendineux et l'impuissance génésique. Il s'agit
du courant, d'autres présentent la réaction de dégénérescence. Les
réflexes
patellaires sont absents et les réflexes cutané
ion de dégénérescence. Les réflexes patellaires sont absents et les
réflexes
cutanés paresseux. Et cependant n'y a ni ataxic,
ens d'une paralysie nucléaire et d'une poliomyélite. La perte des
réflexes
pouvait faire penser à un tabes dorsal comme da
; mais tous les signes de cette affection font défaut. La perte des
réflexes
à gauche, sans atrophie, sans réaction musculai
té la goutte qui le tient aux pieds, il paraît qu'il marche bien.
Réflexes
patellaires normaux; ni engourdissement dans les
incontinence d'urine. Paraplégie flasque sans troubles trophiques.
Réflexes
rotuliens normaux. Symptômes hystériques. Rétré
psie binoculaire, diplopie monoculaire, micropsie, conservation des
réflexes
pupillaires, diminution de l'acuité visuelle. '
i semble pas que le côté gauche soit plus faible que l'autre. Les
réflexes
rotuliens sont très brusques, très exagérés, mais
faut. Il n'y a pas trace de contracture. Aux membres supérieurs les
réflexes
tendineux du coude et du poignet sont aussi not
ans, il fit ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 185 Les
réflexes
rotuliens sont très brusques; la percussion des t
debout, le tremblement ne se produit jamais; quoi qu'on fasse. Le
réflexe
rotulien du côté droit est exagéré et très brusqu
de coudre, d'écrire, etc. Il n'y a pas de trace de contracture; les
réflexes
tendineux du poignet et du coude sont normaux.
amomètre : main droite, 25 1<ilo;r.; main gauche, 25 kilogr. Les
réflexes
tendineux sont normaux. Face. La motilité des y
s, qu'ils ne réagissent plus du tout au passage du courant. - Les
réflexes
tendineux sont affaiblis ou supprimés au niveau d
t d'avoir constamment froid aux pieds et aux jambes. La perte des
réflexes
, l'absence de douleurs, de tremblement, de cont
me capital de la sclérose latérale amyotrophique, l'exagération des
réflexes
tendineux et en particulier du réflexe massétér
rophique, l'exagération des réflexes tendineux et en particulier du
réflexe
massétérin. Il existe des cas où ce dernier phé
amyotro- phique, caractérisée, d'autre part, par l'exagération des
réflexes
et la contracture; elle peut se rencontrer dans
ie dc la langue. Pas d'atrophie. Pas de troubles de la sensibilité.
Réflexe
rotuliou conservé. Pas de réaction de dégénéres
deux axes optiques; insensibilité complète à la lumière, perte des
réflexes
pupillaires sans myosis. Simultanément, para- l
embres. Le signe de Romberg est très net, ainsi que la suppression du
réflexe
tendineux. La marche est incertaine, mais nulle
I, p. 108. 1887). 240 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. du
réflexe
patellaire à droite. Assez souvent mictions invol
e des branches nerveuses du trijumeau au niveau des fosses nasales.
Réflexes
augmentés à gauche. Organes des sens : papille ga
sensi- bilité, la réaction électrique des muscles sont normaux. Le
réflexe
rotulien est plutôt exagéré. Cinq fois sur six
point douloureux, aucune trace d'induration ni d'épaississement. Le
réflexe
olécrânien (tendon du triceps) est un peu moins
accusé à gauche. Au membre inférieur, du reste parfaitement sain, le
réflexe
rotulien est un peu exagéré du côté gauche; il
la jambe fléchie au bord du lit. On ne provoque pas la trépidation
réflexe
. L'épaule droite paraît un peu tombante, surtou
it..é....électr.ique ne s'écarte pas non plus de l'étal normal. Les
réflexes
rotuliens sont abolis; mais les réflexes cutanés
plus de l'étal normal. Les réflexes rotuliens sont abolis; mais les
réflexes
cutanés des extrémités de la plante des pieds s
es cutanés des extrémités de la plante des pieds sont exagérés; les
réflexes
du crémaster et des muscles abdominaux font déf
d., 1880, t. XXVI, p. 588). DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 269 Les
réflexes
tendineux manquent, mais les réflexes cutanés vés
THALMOPLÉGIE EXTERNE. 269 Les réflexes tendineux manquent, mais les
réflexes
cutanés vésicaux et rec- taux sont intacts. Pas
sensibilité, de paralysie de la vessie ou 1 du rectum, la perte des
réflexes
, la présence de contractions fibrillaires ' dan
de même qu'aux déformations des orteils (pas d'atrophie musculaire,
réflexes
normaux, sensibilité idem). Il y a des deux côt
ans force. 2° Membre inférieur gauche. - Rien d'anormal à noter. Le
réflexe
rotulien est exalté à droite, normal à gauche.
sont raides, en extension incomplète, état qui empêche d'obtenir les
réflexes
rotuliens. Lorsqu'on cherche à étendre complète
s'immobilise en extension. Le' membre droit n'est pas atrophié. Les
réflexes
patellaires sont normaux. . Troubles de la sens
z bien, surtout à droite. Alors, on reconnaît une exagéra- tion des
réflexes
rotuliens, surtout à gauche, et on provoque des d
malade se sert de sa main et de son membre. Pas d'exal- tation des
réflexes
(coude et poignet de ce côté). Quand on passe la
able que le chatouillement de la plante des pieds ne produit pas de
réflexe
. Cependant la plante n'est pas insensible; elle
. On constate que sur les membres inférieurs, surtout à gauche, les
réflexes
rotu- liens sont exagérés; la trépidation est t
tout le côté gauche du corps, même de la face; elle a toujours les
réflexes
rotuliens exagérés et la trépi- dation épilepto
Encore de la trépidation du pied gauche, un peu moins à droite. Les
réflexes
rotuliens sont à peu près normaux. Epoques réguli
s, les yeux fermés, elle n'y réussit qu'après des tâtonnements. Les
réflexes
tendineux des membres inférieurs sont exagérés
mplète, paralysie des sphincters vésical et rectal, exagération des
réflexes
rotuliens et trépida- tion spinale, pouvait bie
'hyperesthésie aux deux genoux et au cou-de-pied de chaque côté. Le
réflexe
pharyngien existe. La sensibilité de la cornée es
lopie ». Pas d'atrophie des membres inférieurs mais exagération des
réflexes
sans trépidation spinale. 11 juillet 1887. Tr
rien de spécial. Les membres inférieurs ne sont pas atrophiés. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés surtout à droite. Pas de
s incomplète et très difficile, douloureuse si elle est forcée. Les
réflexes
rotuliens sont difficiles à explorer à cause de
in) février 1890) qu'en présence de la parésie, de l'exaltation des
réflexes
, des spasmes mus- culaires, des accès'de'trépid
ouble. Le goût, l'odorat, l'ouïe, le champ visuel, sont normaux. Le
réflexe
pharyngé est conserve'. Les membres inférieurs
nt abolis sauf au niveau des orteils où. ils sont très limités. Les
réflexes
rotuliens peuvent être obtenus : ils sont très
sez péniblement. 11 plie et étend ses membres sans aucune gêne. Les
réflexes
rotuliens sont encore exagérés, mais la trépida
n'est survenu et D... quitte la Salpêtrière entièrement guéri. Les
réflexes
rotuliens sont égaux des deux côtés, normaux, peu
d'abord; plus tard en présence des raideurs, de l'exaltation des
réflexes
, de la trépidation spinale et de l'absence de tou
. Ses principaux caractères sont les suivants : 1° Exaltation des
réflexes
tendineux. C'est là un signe constant. Je n'ai
ai jamais vu la diathèse de contracture coïncider avec la perte des
réflexes
tendineux. Mais le degré de l'exaltation peut êtr
altation peut être très variable. D'un autre côté, l'exaltation des
réflexes
tendineux ne comporte pas nécessairement l'état
E. 319 saurait trouver une plus élégante démonstration de la nature
réflexe
de tous ces phénomènes. Cette contracture, de
provoquée par une émotion, une excitation quelconque, d'une manière
réflexe
, et qui se rapporte évidemment à l'état de diat
ndre compte après une exploration grossière, la seule possible. Les
réflexes
rotuliens sont égaux des deux côtés, plutôt exagé
ire il l'axe du tronc. 2° Les troubles moteurs, l'exagération des
réflexes
, les trépidations spinales ne peuvent donner d'
s apparente que réelle; la paraplégie est latente, l'exaltation des
réflexes
en traduit souvent et les restes mal éteints et
spinales permettent d'éliminer l'hystérie. Quant aux paraplégies
réflexes
, elles sont très probablement de diverses natur
ceptionnel de trouver dans la névrose la perle ou la diminution des
réflexes
rotuliens, le signe de Romberg, etc. Il n'en
s'exécutent normalement dans les divers segments articulaires. Les
réflexes
rotuliens sont égaux des deux côtés; ils sont p
assifs s'exécutent sans raideur, sans craquements articulaires. Les
réflexes
tendineux, au niveau du coude et du poignet, sont
bé; si on lui dit de fermer les yeux, il tombe comme une masse. Les
réflexes
rotuliens sont normaux et égaux des deux côtés.
ontré (Thèse de Dubois). Il n'est pas enfin jusqu'à l'existence des
réflexes
rotuliens qui ne plaide encore contre le tabes
sait mal. Actuellement cette articulation est à demi ankylosée. Les
réflexes
rotuliens sont complètement abolis, ainsi du rest
réflexes rotuliens sont complètement abolis, ainsi du reste que les
réflexes
plantaires et olécraniens. L'anesthésie cutan
a conjonctive, la muqueuse buc- cale sont également insensibles. Le
réflexe
pharyngé est aboli. Sensation de tapis sous les
évrose hystérique. Reste le signe de Westphal. Mais on sait que les
réflexes
rotuliens peuvent manquer chez un sujet sain, q
à une sclérose des cordons postérieurs, mais la conserva- tion des
réflexes
et surtout la guérison spontanée ne s'accordent g
quelques anomalies qui auraient dû inspirer des réserves; ainsi les
réflexes
plantaires et rotu- liens étaient conservés, le
oir survenir les symptômes de l'hystérie. Il pense que la perte des
réflexes
rotuliens, les phénomènes pupillaires, les vert
re rapportés à l'hystérie. « Je n'ai jamais vu, dit-il, la perte du
réflexe
rotulien dans la névrose. » L'existence du tabè
t dans le tabès avec des caractères identiques. (c) L'abolition des
réflexes
rotntiens est exceptionnelle, si toutefois elle
iences ingénieuses démontrent d'une manière irréfragable la théorie
réflexe
depuis longtemps défendue par MM. Charcot et Vu
pas de rétrécissement du champ visuel, pas de dys- chromalopsie. Le
réflexe
pharyngé est conservé. 11 existe deux zones dou-
aire et obnubilation très marquée du sens articulaire. Abolition du
réflexe
pharyngé. - Une zone douloureuse, non hystérogène
roite sans lésions ophthalmoscopiques qui puissent l'expliquer. Les
réflexes
pupillaires sont normaux. l'i-oubles de la motr
33 cent.; cuisses, à droite, 42 cent., à gauche, 41 cent. 1/2. Les
réflexes
rotuliens sont assez forls, égaux de chaque côt
re, cette hémiplégie est flasque, avec refroidissement et perle des
réflexes
tendineux du membre. Or, ces caractères font ic
Côte droit. Pas de réaction de dégénérescence. 4° Sensibilité. Les
réflexes
patellaires et cutanés sont complètement abolis
étrale, nasale), on ne constate aucune mani- festation sensible. Le
réflexe
cornéen n'existe plus. Quant aux troubles sen-
maire. Atrophie progressive des muscles de la main. Exagération des
réflexes
tendineux des membres inférieurs, diminution aux
rt paroxystique. 460 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés, mais plus
bes. La suspension a amené la disparition de tous les symptômes, le
réflexe
rotulien lui-même a reparu. Quant à l'influence
t en ont rapporté des cas. Motschoutkovsky (1) a vu réapparaître le
réflexe
pupillaire, IIam- mond (5) signale la dispariti
pal aux méninges, quelques-uns faisaient tout dépendre d'une action
réflexe
, enfin il y en a qui l'ont considérée comme agi
sur les autres. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 3 avec exagération des
réflexes
et sans troubles de la sensi- bilité, on pourra
elle aussi le cas d'Habel (para- lysie flasque avec exagération des
réflexes
rotuliens), type de ce que l'un de nous a appel
une à l'autre : 1° la paraplégie spasmodique avec l'exagération des
réflexes
et le clonus ; 2° la paraplégie flaccide. La
a science, nous pouvons et nous devons admettre que l'abolition des
réflexes
qui accompagne la paraplégie flasque consécutiv
sque, nous observons une paraplégie spasmodique, et l'abolition des
réflexes
se trouve remplacée par une exagération considé
par une contracture permanente avec exagération considé- rable des
réflexes
et clonus du pied. Nous en avons une preuve nou
sensations de froid ou de chaud dans les membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés ; les réfl
férieurs. Les réflexes rotuliens sont exagérés des deux côtés ; les
réflexes
plantaires sont diminués des denx côtés. Le clo
ars, la jambe droite est toujours la plus mauvaise; exagération des
réflexes
des deux côtés et clonus du pied du côté droit.
IE SPASMODIQUE. 15 bles de la sensibilité, et qu'il est dit que les
réflexes
étaient diminués. D'ailleurs il suffira de ra
on est la condition nécessaire et suffisante de la conservation des
réflexes
. Quant aux troubles de la sensibilité (dissocia
uer, avec la spasticité des membres inférieurs et l'exagération des
réflexes
rotuliens cette curieuse dissociation de la sen
es racines dans le syndrome paraplégie flasque avec exagération des
réflexes
et dissociation syringomyélique de la sensibili
a paraplégie flaccides et à perpétuité flaccide, avec abolition des
réflexes
et perte totale de la sensibilité. Mais jusqu'à
ensibilité émoussée surtout aux membres inférieurs. Exagération des
réflexes
patellaires. La marche - HÉMORRAGIE MÉNINGÉE SP
dû rechercher si l'on ne se trouvait pas en présence d'une névrose
réflexe
, ou bien d'une pseudo-méralgie ; mais l'auteur ap
tic par exclusion et tenu compte de la possi- bilité d'une méralgie
réflexe
ou d'une pseudo-l11éralgie est arrivé à la conc
veau de la jambe droite, incontinence des matières, exagération des
réflexes
tendineux, etc. Tous ces accidents doivent être a
comateux, puis de parésie des bras et des jambes avec abolition des
réflexes
tendineux et cutanés. D'après l'auteur, cet enf
eint d'une faiblesse des quatre membres, avec abolition de tous les
réflexes
tendineux, exagération de l'excitabilité idio-m
ies. Il n'existait pas non plus de troubles de la sensibilité ; les
réflexes
étaient normaux ainsi que les sphinc- ters et l
signe de congestion ni d'hémorhagie cérébrales ; 3° l'abolition du
réflexe
palpébral ; 4° l'abolition du goût et des troub
ux de la mémoire visuelle commune (Dejerine). " G. D. X. État des
réflexes
dans la polynévrite; par M. DECROLY. (jours. de
s mollets s'ac- centuant par la pression des points de Valleix. Les
réflexes
ten- dineux étaient différemment modifiés : l'a
étermi- nées par la toxine tuberculeuse : quant à l'exagération des
réflexes
patellaires, il croit qu'elle peut être mise su
mouvements choréiques. Suit une étude très complète sur l'état des
réflexes
dans la chorée. Les réflexes peuvent donner lie
une étude très complète sur l'état des réflexes dans la chorée. Les
réflexes
peuvent donner lieu à des mouvements con- tradi
'ailleurs dans la chorée une indépendance relative des troubles des
réflexes
, qui ne correspondent pas comme localisation av
mpagne le texte. L'auteur développe une hypothèse sur la pathogénie
réflexe
du diabète avec schéma à l'appui. A. M. XXXII
t-il, notre diagnostic par l'immobilité pupillaire, l'altération du
réflexe
rotulien, l'analgésie des jambes, les change- m
oolisme chronique. Des troubles de l'excitabilité électrique et des
réflexes
, indépendants de la maladie actuelle, permettent
hénomène pupillaire à la fermeture des paupières de A. Westphal. Le
réflexe
paradoxal ou inverse des pupilles de Piltz est
it, de la faiblesse des sphincters persistante, de la diminution du
réflexe
tendineux patellaire à gauche, de l'absence des r
minution du réflexe tendineux patellaire à gauche, de l'absence des
réflexes
abdominaux et crémastériens, et des troubles se
ux 5 à 8, et, peut-être du premier segment dorsal; l'altération des
réflexes
patellaires abdominaux et crémastériens, les tr
avec le phlegmon antécédent, c'est une relation éloignée, médiate,
réflexe
. Les vasomoteurs étaient intéressés, ceux surto
t le débarrasser com- plètement des nausées. Légère exagération des
réflexes
tendineux et pharyngiens. Une autre observati
isse, elle cède à la selle, et libère sa victime. Tare héréditaire,
réflexes
tendineux et cutanés exagérés. L'oxalate de cér
inution de la force musculaire à gauche; 10° par une exagération du
réflexe
de la miction; 11° par une exagération du réfle
ne exagération du réflexe de la miction; 11° par une exagération du
réflexe
crémasté- rien et des réflexes de la douleur pl
a miction; 11° par une exagération du réflexe crémasté- rien et des
réflexes
de la douleur plus prononcée à gauche ; 12° par
des attaques épileptiformes, des contrac- tures avec abolition des
réflexes
et absence du clonus du pied; de la chorée fasc
limités. 1 Il n'y a aucune altération musculaire, aucun trouble des
réflexes
, de la contractilité électrique, ni de la sensi
ité de myopathie très accen- tuée, avec cette particularité que les
réflexes
sont abolis et que la contractilité électrique
M. Marie. En effet le sujet est trop paralysé et trop dépourvu de
réflexes
pour l'âge de- sa maladie. Paralysie infantile
de malade). Dès le début de l'examen de cette malade, en raison des
réflexes
tendineux, forts de l'épilepsie spinale et de l
tre très circonspect quand il s'agit de rattacher l'exagération des
réflexes
tendineux à l'hys- térie, et apporte, dans la d
anoff, la suspension peut produire «une exagération manifeste des
réflexes
rotuliens, et après quatre ou cinq -suspensions d
-céphalique occasionnées par la suspension dépendraient d'un acte
réflexe
produitpar l'action de la suspension sur les musc
des méninges et de la moelle épinière. » Cette extension agit par
réflexe
sur le centre vaso-moteur qui est excité d'autre
on du morphinisme : Gilles de la Tourette et Lagoudaki. Retour du
réflexe
rotulien : Erb, Althaus, Bonjour et Re- nault.
suspension, nous avons vu qu'Althaus a constaté même le retour des
réflexes
rotuliens. Marina publia également un cas sembl
a publia également un cas semblable. Re- nault trouva le retour des
réflexes
après 50 séances de sus- pension, Kirchener a v
exes après 50 séances de sus- pension, Kirchener a vu le retour des
réflexes
dans un cas de myélite. Nous avons constaté che
as de myélite. Nous avons constaté chez un tabétique le'retour de
réflexes
achilliens après trois mois d'extension (deux foi
ne dans le coup-de-pied gauche. Nous avons constaté le retour des
réflexes
achilliens. - Le 10 août 1901. - Le malade se p
taires sans difficultés et sans canne. Parmi les modifications des
réflexes
,- nous avons trouvé dans la littérature, que Do
trouvé dans la littérature, que Dona constata une exagération des
réflexes
produite par la suspension chez les ataxiques.
lexes produite par la suspension chez les ataxiques. Ascher a vu le
réflexe
rotulien revenir chez un alcoolique. Clarke con
evenir chez un alcoolique. Clarke constata une augmentation du même
réflexe
chez un ataxique soumis à la pendaison. Jiaroch
taxique soumis à la pendaison. Jiarochewsky nota une diminution des
réflexes
chez les hémiplégiques. Michel et 122 . THÉRAPE
et 122 . THÉRAPEUTIQUE. Vorothynsky trouvèrent une diminution des
réflexes
chez les myélites par compression, qu'ils soign
sus- pension tout en améliorant le labes ne fait pas revenir les
réflexes
rotuliens. Les douleurs fulgurantes et le signe
. Présente, cependant, nettement le signe de Westphal, la perte des
réflexes
achilliens, et légèrement le signe de Romberg e
nges nutritifs étant insuffisants il la fournir. G. DERNY. IX. Du «
réflexe
fémoral » par trouble de la conductibilité de la
l'excitation de la plante du pied produit chez les mêmes malades le
réflexe
extenseur des orteils de Babinsky. Voici mainte
s extrémités inférieures un peu raides, le phénomène du genou et le
réflexe
achilléen sont, des deux côtés, actifs. Parfois
On traite la colonne vertébrale, et la motilité s'améliore, mais le
réflexe
fémoral sous la forme de flexion plantaire des
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 135 En résumé le
réflexe
. fémoral porte, au pied, sur les fléchisseurs p
exe. fémoral porte, au pied, sur les fléchisseurs plantaires, et le
réflexe
plantaire correspond aux indication don- nées p
n au niveau de la hui- tième dorsale, plutôt plus bas, détermine le
réflexe
fémoral sous la forme de l'extension du triceps
égeant au-dessus, comme dans la dernière observation, provoque le
réflexe
fémoral sous la forme de flexion plantaire des or
s l'ex- périence VI. - C. C'est le nerf vague par lequel passe le
réflexe
qui va de l'écorce du cerveau aux glandes de l'
it eu une hémiplégie avec diplopie (hémiplégie spasmodique gauche),
réflexes
exagérés, tremblement intentionnel, diminution
l'âge de vingt ans de l'inégalité pupillaire et la suppression des
réflexes
. On peut dire qu'il y a des tabès graves quoi q
s exclusion des névralgies intercostales) est le point de départ du
réflexe
, qui détermine plutôt des attaques de petit mal
ne la para- plégie flaccide établie à perpétuité avec abolition des
réflexes
et perte totale de la sensibilité. Mais jusqu'à
e tels cas, au cours desquels M. Lortat l'attribue non à un trouble
réflexe
central, mais à ce que l'action des muscles ext
use, écartement des membres dans la station debout, abolition des
réflexes
à droite), et plus particulièrement l'hémiasynerg
é droite de la partie ventrale de la protubérance. La contraction
réflexe
des deux quadriceps fémoraux était produite par l
plégie spasmodique, plus pro- noncée du côté droit. Exagération des
réflexes
rotuhens, Phéno- mène du pied. Démarche spastiq
ne se produit pas de sensation si le poil n'est lui-même touché. Le
réflexe
pilaire est constitué par la contrac- tion d'un
ou de plusieurs muscles voisins du point d'excitation du poil : ce
réflexe
peut être net alors que la sensibilité pilaire es
bser- vée par lui dans les névrites traumatiques de concert avec le
réflexe
pilaire local, sur le territoire du nerf attein
s excessive, de l'ouïe. P. KERAVAL. XLII. Sur les modifications des
réflexes
pupillaires dans les mala- dies mentales; par S
REVUE D ANA TOmE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. - L'abolition des
réflexes
pupillaires est il placer en première ligne - a
la maladie. Souvent à ce signe sont associées des modifications du
réflexe
du genou et plus spécialement l'abo- lition de
ations du réflexe du genou et plus spécialement l'abo- lition de ce
réflexe
. Ce symptôme est habituellement bilatéral (une
inertie des pupilles, parésie à l'accomodation, enfin abolition du
réflexe
à l'accomodation. La « mydriase sautillante (S
ez deux malades. - En dehors de la paralysie générale, la perte des
réflexes
pupillaires est rare. Sur 9.160 aliénés ce sign
ensorielles' ou sensitives a été étudiée par \foeli. La perte de ce
réflexe
coïn- cide en général avec la perte des réflexe
eli. La perte de ce réflexe coïn- cide en général avec la perte des
réflexes
pupillaires. Parfois on a noté une exagération
rte des réflexes pupillaires. Parfois on a noté une exagération des
réflexes
pupillaires la suite de troubles circulatoires,
uents chez les sujets présentant le signe de Westphal. La perte des
réflexes
pupillaires n'est pas rare dans la démence séni
dans l'agonie, le dermographisme coïncidait avec l'exagération des
réflexes
. M. Durnm a observé le phénomène chez une hysté
un rapport bien étroit entre le dermographisme et l'exagération des
réflexes
. Le dermogra- phisme ne s'observe-t-il pas, en
st très complète, celle du pyramidal direct est très légère ; or le
réflexe
plantaire se faisait en flexion et il était int
nt se rattacher au tabes. Un présente'de la diplopie, un autre a le
réflexe
patellaire faible et de la diplopie, un troisième
xe patellaire faible et de la diplopie, un troisième a seulement le
réflexe
patellaire faible; le quatrième, enfin, présente
latérale, elle peut permettre dans les cas d'inégalité pupillaire à
réflexes
nor- maux de discerner quelle est, des deux pup
tte innervation ; elle précède l'affaiblissement de l'un ou de deux
réflexes
pupillaires et le signe d'Argyll. ' \111. ,Io
malie congénitale et de s tiéeliies îliennes, et alors même que les
réflexes
pupillaires sont encore intacts, être ' · consi
s troncs nerveux des extrémités, plus prononcée du côté gauche. Les
réflexes
sont normaux. Quan- tité de cicatrices. Traces
paré. Les muscles se contractent bien aux courants électriques. Les
réflexes
sont normaux. Il existe des traces de rachitism
che; paraplégie inférieure bien prononcée avec ataxie profonde. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Paralysie bila- térale
té amoindrie pendant l'apnée. Les troubles de la réflectivité : les
réflexes
rotuliens varient en raison inverse de la respi
éflexes rotuliens varient en raison inverse de la respiration ; les
réflexes
oculo-palpébraux suivent les mêmes oscillations
s cérébraux. Exploré par moi, il avait une abolition des mouvements
réflexes
et des mouvements associés de la moitié de la f
que, se dessina, en s'associant à l'ataxie, elle resta flasque; les
réflexes
tendineux furent modérément augmentés, la sensi
un signe objectif de l'hyperesthésie et de l'anesthésie, d'origine
réflexe
(augmenta- tion douloureuse du travail du coeur
comitants des muscles volontaires modifica- tions quantitatives des
réflexes
cutanés et de la réaction vaso-mo- trice). Op
soient elles-mêmes simultanément affectées. P. KERAVAL. LXXIII. Du
réflexe
scapulo-huméral ; par II. HAENEL. (Neurolog. ? Ce
-huméral ; par II. HAENEL. (Neurolog. ? Ceiitralbl ? XIX, 1900.) Le
réflexe
scapulo-huméral de Bechterew est-il un réflexe te
lbl ? XIX, 1900.) Le réflexe scapulo-huméral de Bechterew est-il un
réflexe
ten-' dineux ? Est-il un réflexe périostique ?
ulo-huméral de Bechterew est-il un réflexe ten-' dineux ? Est-il un
réflexe
périostique ? Est-il à la fois tendineux et /pé
tique ? Est-il à la fois tendineux et /périostique ? L'extension du
réflexe
au deltoïde et au biceps indique un réflexe pér
stique ? L'extension du réflexe au deltoïde et au biceps indique un
réflexe
périostique. L'adduction du bras, associée à une
as, associée à une faible rotation en dehors, serait en faveur d'un
réflexe
tendineux, mais le sous-épineux, qui est ici en
ù l'épine se détache du bord spinal, on obtient la propagation du
réflexe
au deltoïde et au biceps. En cet endroit, il n'y
ion des muscles deltoïde et biceps, éloi- gnés, émane sûrement d'un
réflexe
. L'étude statistique des réflexes de l'extrémit
éloi- gnés, émane sûrement d'un réflexe. L'étude statistique des
réflexes
de l'extrémité supérieure montre que le réflexe
de statistique des réflexes de l'extrémité supérieure montre que le
réflexe
scapulo-huméral ne peut servir d'élément de dia-
sérieux pour les maladies de cette région. Il manque quand d'autres
réflexes
sont très marqués, et, lorsqu'il existe, est souv
aturellement son exagération peut coexister avec l'augmentation des
réflexes
pathologiques. « Nous n'avons pas encore vu, dit
pathologiques. « Nous n'avons pas encore vu, dit M. Haenel, que le
réflexe
scapulo-huméral ait seul persisté alors que les
e le réflexe scapulo-huméral ait seul persisté alors que les autres
réflexes
étaient affaiblis ou absents : il fallait avoir
hologique, sur 120 malades, on en n'a trouvé que 3 chez lesquels le
réflexe
ait REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 385 été plus
tibles. Ces recherches confirment une fois de plus la loi que les
réflexes
diminuent en raison directe de l'augmentation d
tationnaire qui compte actuellement quinze ans; la conservation des
réflexes
; l'absence de réaction dégénérative et de troub
cté de titubation, de tremblement intentionnel, d'exagération des
réflexes
tendineux patellaires et podaliques allant jusqu'
l'oculomoteur commun, du pathétique, de l'oculomoteur externe, des
réflexes
tendineux. Le vertige est le fait immédiat de l
ontinence d'urine et des matières : un an plus tard, disparition du
réflexe
tendineux patellaire gauche, immobilité des pupil
ique. Le vent a aussi une influence qui paraît s'exercer par action
réflexe
sur le système nerveux périphérique en augmenta
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 douleur ou de température. Les
réflexes
du genou étaient abolis dans deux cas, légèreme
toutes les directions, et se tenir debout avec un peu d'aide. Les
réflexes
cutanés étaient conservés. On n'a pas cherché le
primiti- vement et uniquement musculaire, à savoir l'abolition des
réflexes
tendineux malgré l'intrégrité des muscles corre
ment des membres. Lors du premier examen de la malade on trouve des
réflexes
lents, des pupilles dilatées et de l'hyperesthé
à distinguer du tic en ce que le spasme qui est l'équivalent d'un
réflexe
physiologique provoqué, dans le cas actuel, par u
stéo-arthropathies simples. G. C. XVIII. Contribution à l'élude des
réflexes
dans la chorée de Syclenltutn; par le Dr P. Nic
, si dans la chorée, on pouvait tirer du symptôme, modification des
réflexes
, quelques indications positives, soit pour le d
ises d'une façon parfaite il arrive aux conclusions suivantes : les
réflexes
sont presque tou- jours modifiés dans la chorée
mme le démontrent ses divers symptômes; l'arc cérébral modé- rateur
réflexe
est excité et exerce une action plus intense que
ariables, et c'est dans ces formes seules qu'on peut rencontrer des
réflexes
normaux ou exagérés. Il n'y a pas concordance e
exagérés. Il n'y a pas concordance entre l'état des trois ordres de
réflexes
: cutanés, muqueux, tendineux. Chacun varie pou
anormaux « contractions toniques » se produisent et s'ajoutent aux
réflexes
tendineux proprement dits d'après M. Weill..
par un essai d'expli- cation pathogéuique de l'affaiblissement des
réflexes
. Il pourrait - être dû à l'intoxication de la p
épendance ma- nifeste de l'hémianopsie. ' Aux quatre membres, les
réflexes
tendineux se produi- saient avec une apparente
odui- saient avec une apparente exagération, surtout à droite; le
réflexe
massétérin s'exécutait avec une force normale.
amas gris centraux, ne participeraient qu'à l'exé- cution des actes
réflexes
, de ceux notamment qui se tradui- sent par des
musculaire. Par contre, à droite, on constate une exagéra- tion des
réflexes
tendineux, allant jusqu'à la trépidation spinal
n des réflexes tendineux, allant jusqu'à la trépidation spinale. Le
réflexe
crémastérien et le réflexe cutané abdomi- nal s
llant jusqu'à la trépidation spinale. Le réflexe crémastérien et le
réflexe
cutané abdomi- nal sont légèrement diminués.
ieur, et elle s'accom- pagne d'une exagération, très prononcée, des
réflexes
tendi- neux, qui va jusqu'à la trépidation spin
pilles, du tremblement des mains et de la langue, l'exagération des
réflexes
, le signe de Romberg peu accusé. Il parait y av
- tomique directe entre le centre primaire des fibres pupillaires
réflexes
d'un côté et le centre sphinctérien de l'autre cô
e agitante comme dans le tabès; la diminution voire l'abolition des
réflexes
s'observe dans les paralysies agitantes prolong
andé et lent, asynergie de la jambe droite, exagération de tous les
réflexes
tendineux, signe de Babinski. Le seul faisceau
avec le tremblement classique intentionnel, rémittent sans troubles
réflexes
ni sensitifs. Songeant aux deux théories pathogén
vical sont intéressés. 11 s'agit là d'une atrophie organique et non
réflexe
. , III. Souques présente un ancien foudroyé che
terne. ' M. DUPONT montre un appareil ingénieux pour examiner les
réflexes
oculaires. Une lampe électrique au fond d'un ento
ne aiguille chronométrique. A la constata- tion sur l'oeil libre du
réflexe
on lâche le bouton et l'aiguille s'ar- rête per
de seconde le temps écoulé entre la production de la lumière et' le
réflexe
pupillaire. M. Dupont a étudié ainsi les réflex
la lumière et' le réflexe pupillaire. M. Dupont a étudié ainsi les
réflexes
pour toutes les radiations lumineuses et autres
ts choréiformes, par P. Marie, 420. J3Ô TABLE DES MATIÈRES. Des
réflexes
dans la -, par Nicol- let, 427. - d'origine inf
11. Rachitisme. Voir Epilepsie. - fami- lial, par Zimmeru, 317.
Réflexes
. Etat des dans la poly- névrite, par Decroly, 4
ngue, des mains, des muscles de la face, achop- pement syllabique ;
réflexes
exagérés. Athérome artériel. Symptômes oculaire
bique ; réflexes exagérés. Athérome artériel. Symptômes oculaires. -
Réflexe
cornéen normal, inégalité pupil- laire en faveu
néen normal, inégalité pupil- laire en faveur de la pupille droite,
réflexe
pupillaire à la lumière et à l'accommodation no
de la langue, des petits muscles de la face, tremblement des mains.
Réflexe
rotulien exagéré. Grande faiblesse musculaire.
xagéré. Grande faiblesse musculaire. Gâtisme. Symptômes oculaires :
Réflexe
cornéen aboli, inégalité pupillaire en faveur d
Réflexe cornéen aboli, inégalité pupillaire en faveur de la droite,
réflexe
pupillaire aboli à la lumière et à l'accommodat
PATHOLOGIQUE. langue, embarras de la parole. Tremblement des mains.
Réflexes
rotuliens exagérés. Athérome artériel. / Symp
ns exagérés. Athérome artériel. / Symptômes oculaires. Abolition du
réflexe
cornéen. Inégalité pupillaire. Abolition desréf
lu- sieurs muscles ; ils ne représentent néanmoins encore que des
réflexes
dont le centre est dans la moelle. Plus tard, a
volontaires. Si nous sommes jusqu'ici impuissants à rétablir les
réflexes
musculo-tendineux abolis, nous pouvons dans une
ses des centres ner- veux : la musculature, les sensibilités et les
réflexes
sont demeurés intacts. L'autopsie montre des lé
ni des muscles de la queue. Les muscles paralysés s'atrophient. Les
réflexes
cutanés, exagéré par tout le corps ou en quelqu
aissent complète- ment dans les endroits totalement' paralysés. Les
réflexes
profonds fortement diminués ou absents, revienn
lorante. P. KERAVAL. XI. Contribution à la question de l'immobilité
réflexe
des pupilles ; par LEVIriSORN. (Centralblatt f.
i on u'a pas trouvé le lieu de la lésion qui produit l'im- mobilité
réflexe
des pupilles. Les cas favorables à la recherche
e celui-ci. Il est à penser que la lésion qui entraîne l'immobilité
réflexe
des pupilles où se trouve le foyer, se manifest
toutes les parties qui entrent en ligne de compte dans la genèse du
réflexe
pupillaire, y compris les fibres centripètes de
arrivé jusqu'alors à trouver une explication exacte de l'immobilité
réflexe
des pupilles qui soit en harmonie avec les résu
r d'explication exacte ni au phénomène de l'im- mobilité pupillaire
réflexe
unilatérale, ni à l'inégalité des pupilles et à
ilatérale, ni à l'inégalité des pupilles et à l'inégale sensibilité
réflexe
de l'immobilité pupillaire réflexe bilatérale,
illes et à l'inégale sensibilité réflexe de l'immobilité pupillaire
réflexe
bilatérale, d'après les théories les plus admis
e noyau sphinctérien, produire l'égalité parfaite de la sensibilité
réflexe
; où que gise la lésion dans le trajet centripè
prononcée d'un côté que de l'autre, l'inégalité de la sensibibililé
réflexe
est tout aussi impos- sible que l'inégalité des
pathique cervical. il n'a rien à faire avec l'immobilité pupillaire
réflexe
; l'instillation ' d'une solution faible de coc
ble d'admettre la théorie d'Heddoeus pour l'im- mobilité pupillaire
réflexe
unilatérale ; la branche de l'oculo-moteur comm
PATHOLOGIQUES. 95 La lésion exclusive du point de départ de la voie
réflexe
centrifuge ne cadrerait pas avec les manifestat
centrifuge ne cadrerait pas avec les manifestations de l'immobilité
réflexe
des pupilles. , Eh bien, la voie centrifuge a
ostenitsch). Le foyer morbide qui préside à l'immobilité pupillaire
réflexe
comprend donc une partie du noyau sphinctérien
alité et l'inégale réaction des pupilles de l'immobilité pupillaire
réflexe
uni et bilatérale s'expliquent alors par l'attein
'autre partie du sphincter transfor- merait l'immobilité pupillaire
réflexe
en immobilité pupillaire absolue. P. KER.1VAL.
it le plus intense et au mouvement sans que la sensibilité ni les
réflexes
ne soient nullement troublés; c'est un sommeil co
recherches gra- phiques sur le caractère de la secousse musculaire
réflexe
dont la -courbe représente une parabole dont la
caractère flasque de la paralysie, on cons- tate l'exagération des
réflexes
rotuliens, du clonus du pied et le signe de Bab
die psychische ? z, schluckst5ruazgeaz (Dysphagia psychica). Ueber
réflexe
un autlilz-und kopfgebicte. - Ueber zwang- serb
hésies mammaire et ovarienne ; pas d'hé- mianesthésie, abolition du
réflexe
pharyngien, pas de troubles oculaires, sauf un
de tout l'avant-bras. Le sens musculaire est conservé ainsi que les
réflexes
. Pas de douleurs, pas d'atrophie. Devant ce tab
ou qu'on lui parle de sa maladie. Sensibilité cutanée normale ; les
réflexes
sont impossibles à trouver, par suite d'un état
nt musculaire, mais sans réaction de dégénérescence ni troubles des
réflexes
du membre inférieur, s'étendant du pied à la cu
supinateur; prise à peu près totale des muscles interosseux, etc.).
Réflexes
tendineux plutôt exagérés. Réflexes cutanés exa-
des muscles interosseux, etc.). Réflexes tendineux plutôt exagérés.
Réflexes
cutanés exa- gérés. Pas de troubles objectifs d
ilité. Troubles oculaires (pupilles inégales avec mydriase gauche ;
réflexes
lumineux faibles ; réflexes accomodateurs énerg
upilles inégales avec mydriase gauche ; réflexes lumineux faibles ;
réflexes
accomodateurs énergiques; fond d'oeil normal).
s ce dernier cas l'électricité vient-elle exercer une action sur le
réflexe
moteur lui-même, en ce sens que, produisant une
duisant une action analgésique sur les extrémités périphériques, le
réflexe
moteur centrifuge perdrait parallèlement de son
rent, chaotique, de faits et d'hypothèses. P. Keraval. XVIII. Des
réflexes
musculo-tendineux complexes des extrémités infé
renflement lombaire se tra- duisent par une exagération franche des
réflexes
des extrémités inférieures accompagnée de phéno
ues. Ceux-ci dépendent dans une large mesure de l'hyperexcitabilité
réflexe
, grâce à laquelle de faibles excitations extéri
rocnémiens. Eh bien, dans l'es- pèce, en outre de l'exagération des
réflexes
tendineux et cutanés, il faut tenir compte de l
flexes tendineux et cutanés, il faut tenir compte de l'existence de
réflexes
musculo-tendineux complexes qui se manifestent
fait subir aux muscles des extrémités inférieures des malades. Ces
réflexes
sont au nombre de trois. REVUE D'ANATOMIE ET
rois. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 265 A. Le
réflexe
extenseur de la jambe s'exprime par l'extension
nt la jambe sur la cuisse, ou le pied sur la jambe. Cette extension
réflexe
convulsive se manifeste d'ordinaire au début de
on passive sur les gastrocné- miens. Toujours, quand on provoque ce
réflexe
, les extenseurs de la cuisse et les gastrocnémi
ouvement déterminé. J3. Moins constant, mais néanmoins fréquent, le
réflexe
fléchis- seur de la jambe se traduit par la con
ement tire sur les exten- seurs de la cuisse qui agissent, par voie
réflexe
, sur les fléchisseurs de l'extrémité. En quelqu
ment produit d'abord l'extension des gastrocné- miens qui, par voie
réflexe
, fait contracter les antagonistes, prin- cipale
doxale, qui n'a rien de paradoxal, car elle émane de la contraction
réflexe
ordinaire sous la dépendance de l'extension pas
oter la synergie des fléchisseurs de la cuisse et du pied. C'est un
réflexe
qui s'ob- tient constamment, mécaniquement, tou
isse, ni en choquant à l'aide du marteau le tendon patellaire. C.
Réflexe
adducteur de la jambe. Quand, les jambes étant
membres inférieurs se rapprochent. 11 s'en faut de beaucoup que ce
réflexe
soit aussi accentué et aussi fréquent que les d
s. Il ne se manifeste nettement que dans le cas d'hyperexcitabilité
réflexe
extrêmement marquée. Les réflexes précédents, s
dans le cas d'hyperexcitabilité réflexe extrêmement marquée. Les
réflexes
précédents, surtout les deux premiers, peuvent, e
incement des membres inférieurs. M. Bechterew les compare enfin aux
réflexes
de Schaeffer et de Cabienshy. P. KERAVAL. XIX
ylvienne antérieure, dans le point de Ferrier, détermine parfois le
réflexe
cortical gustatif, caractérisé par une faible c
onvolutions, plus développé est le sens du goût, et inversement. Le
réflexe
cortical gustatif ne s'observe que chez les chi
uger de l'intensité de ces sensations par toute sorte de mouvements
réflexes
dont le caractère dépend de diverses particu- l
onne naissance, si l'on en juge d'après les diffé- rents mouvements
réflexes
qui les traduisent. P. Keraval. XX. Tumeur du n
a dix-sept ans, présente des symptômes intermittents de tabes; ses
réflexes
rotuliens en particulier qui étaient abolis l'ann
intenses, une parésie avec anesthé- sie des membres inférieurs; les
réflexes
tendineux sont exagérés, le réflexe plantaire e
ie des membres inférieurs; les réflexes tendineux sont exagérés, le
réflexe
plantaire en flexion et le réflexe du facia lata
exes tendineux sont exagérés, le réflexe plantaire en flexion et le
réflexe
du facia lata sont abolis à droite et presque s
xe du facia lata sont abolis à droite et presque seuls à gauche, le
réflexe
crémastérien est plus REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 275 faible à droite qu'à gauche, enfin le
réflexe
abdominal inférieur est très faible. De l'analy
ne paralysie des muscles des jambes et des pieds avec abolition des
réflexes
rotuliens, sans amyotrophie, ni troubles de la
sur tout l'appareil articulaire. " G. D. XL. De l'exagération des
réflexes
tendineux dans les névrites périphériques; par
périphérique des membres infé- rieurs relaies dans ce travail, les
réflexes
rotuliens étaient exagérés et comme symptôme co
es réflexes rotuliens étaient exagérés et comme symptôme connexe le
réflexe
contralatéral. Il y a donc un étage de neurone
bref délai. G. D. XLI. La valeur clinique de la dissociation des
réflexes
tendineux et cutanés; par J. CROCQ. [Journal de
avail peuvent se résumer de la façon suivante : la dissociation des
réflexes
tendineux et cutanés est inconstante dans le ta
nécessaire. Dans quelques cas cependant c'est un spasme, un simple
réflexe
spinal, tel que le cliquotement des paupières q
doit plutôt être attribuée à l'auto-into- xication qu'à une action
réflexe
. M. H. XLIV. Un cas de sclérose en plaques à tr
progressive, avec intégrité de la face. Il y avait exagération des
réflexes
et trépidation épileptoïde mais absence d'ictèr
à la suite d'une évacuation peuvent être plutôt rattachés à un acte
réflexe
. M. H. LVII. Trois cas de polynévrite palustre
es et les extrémités des deux médians à la main, avec abolition des
réflexes
tendineux et cutanés, réac- tion de dégénéresce
a- sique {Revue neurologique, septembre 1902). E. B. LXII. Sur un
réflexe
anormal du facial inférieur dans un cas de para
é droite ou gauche du voile du palais, ou détermine une contraction
réflexe
bien marquée du facial inférieur du côté opposé
rieur. Après une discussion intéressante, l'auteur conclut que ce
réflexe
croisé du facial démontre : 1° Qu'il n'y a pas
origine corticale, comme Crocq et Jen- drassik l'admettent pour les
réflexes
cutanés; 2° que le voile du palais ne reconnaît
otrice dans le facial; 3° que dans la paralysie pseudo-bulbaire les
réflexes
à centre bul- baire sont exagérés (Revue neurol
at mental des malades, leur nutrition générale, leur pouls, leurs
réflexes
et leur force dynamométrique. L'affaiblissement i
ide ; la force dynamométrique a notable- ment augmenté ; l'état des
réflexes
est resté le même. Ce traitement peut rendre de
amen du liquide céphalo-rachidien n'a pas décelé de lymphocytoseles
réflexes
tendineux sont un peu forts partout, mais égale
égie et hémianesthésie gauche (de toutes espè- ces) ; abolition des
réflexes
patellaires ; hémianopsie gauche. Le malade ne
'a eu aucune action sur la névralgie). Toutefois, s'il n'y a pas de
réflexes
rotuliens, il n'existe ni signe de Romberg, ni
érieurs ». On constate à l'entrée de l'hyperesthésie "cutanée ; les
réflexes
sont très exagérés, la démarche est un peu spas
étant réellement diminuée. Paralysie flasque avec dissociation des
réflexes
. M. DÉJFRLNE présente une jeune femme syphiliti
normales à la galvanisation et à la faradisation, chez laquelle les
réflexes
tendineux sont abolis, les réflexes cutanés con
faradisation, chez laquelle les réflexes tendineux sont abolis, les
réflexes
cutanés conservés et le signe de Babinski très ne
pasmodique et ataxique; la malade ne peut marcher sans soutien. Les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés. Le phéno- mène
ires, point de tiraillements fibril- laires, ni de tremblement. Les
réflexes
des enveloppes muqueuses et des enveloppes cuta
e symp- tôme de Babinski apparaît quelquefois du côté gauche. Les
réflexes
tendineux sont un peu exagérés des deux côtés ; l
Les réflexes tendineux sont un peu exagérés des deux côtés ; les
réflexes
patellaires sont plus exagérés du côté droit que
é gauche; le membre inférieur gauche était en état de pied bot. Les
réflexes
tendineux sont un peu exagérés des deux côtés ;
cervicaux et dans les fléchisseurs de la main et de la plante. Les
réflexes
tendineux étaient exagérés sur la plante gauche p
fléchisseurs de la main, du bras, de la plante et de la jambe. Les
réflexes
tendineux sont plus exagérés du côté gauche que
nsignifiantes de la nuque et une démarche chance- lante ; manque de
réflexes
patellaires et exagération des réflexes plantai
e chance- lante ; manque de réflexes patellaires et exagération des
réflexes
plantaires avec flexion dorsale de tous les ort
uence de t'irritât ! on pathologique d'un point quelconque de l'arc
réflexe
bulbo-spinal, nou-. ajouterons : c'est un spasm
er : c'est un tic. » 11 y a parmi les réactions motrices de simples
réflexes
spinaux, parmi lesquels se rangent les spasmes
s ont acquis la fonction parfaite de leurs mouvements automatiques,
réflexes
et volontaires. Ce fait plaiderait contre l'exi
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 485 XXXIII. Le
réflexe
vulvo-anal ; par le Dr Rossolimo. Ce réflexe, d
QUES. 485 XXXIII. Le réflexe vulvo-anal ; par le Dr Rossolimo. Ce
réflexe
, dont la recherche paraît difficilement applicabl
e au membre inférieur droit. Il n'y a jamais eu aucune douleur; les
réflexes
sont exagérés, il y a un clonus du pied très ne
re incertain, vaguement ébrieux delà marche. Légère exagération des
réflexes
tendineux. Céphalée diffuse continue. A la ponc
tiques soient très pâles et la réaction des pupilles est lente. Les
réflexes
patellaires ne sont pas modifiés, ceux du tendo
aires ne sont pas modifiés, ceux du tendon d'Aciiille manquent; les
réflexes
des membres supérieurs sont normaux. Point de r
anquent; les réflexes des membres supérieurs sont normaux. Point de
réflexe
Babinski. Le malade ne peut longtemps retenir l
ance impérieuse, souvent même irrésistible, au retour vers le pur
réflexe
. Envisagées au point de vue de leur symptomatolog
tent trois types d'impulsions : 1° les impulsions motrices pures, à
réflexe
direct, sans action inhibitoire intermédiaire (id
, imbéciles, épileptiques) ; 2° les impulsions psycho-motrices, à
réflexe
retardé, avec intermédiaire émotif ou idéo-émotif
héniques, hystériques, maniaques) ; 3° les impulsions psychiques, à
réflexe
interrompu, avec intermédiaire idéo-émotif long
organiques. Des phénomènes tels que'l'exagération unilatérale d'un
réflexe
tendineux, l'abolition du réflexe pupillaire à
ue'l'exagération unilatérale d'un réflexe tendineux, l'abolition du
réflexe
pupillaire à la lumière, l'hypotonicité muscula
on- tinence des matières, incontinence d'urine, exagération des ,
réflexes
rotuliens, achilléens, épilepsie spinale légitime
parce que rarement l'hystérique consentira à n'être pas propre) les
réflexes
tendineux sont normaux, etc. Parmi les travau
ie avec paralysie mo- trice organique (contracture, exagération des
réflexes
, épilepsie spinale, etc.) et hé7zzi-azesthésie
ts pour l'examen du sang, de la sensibilité, du fond de l'oeil, des
réflexes
(appareil mul- tiplicateur des réflexes du Prof
ité, du fond de l'oeil, des réflexes (appareil mul- tiplicateur des
réflexes
du Professeur Sommer), pour la craniomé- trie,
PATHOLOGIE NERVEUSE. LXXIV. Paraplégie flasque avec exagération des
réflexes
rotuliens et trépidation épileptoïde ; par M. L
nicité des sphincters. Mais au lieu de présenter de l'abolition des
réflexes
, comme l'ont démontré les recherches de Bastian
istait chez la malade de M. Lannois une exagération manifeste des
réflexes
rotuliens et une trépidation épileptoïde indéfini
il tend àadmettreque la voie conductrice du tonus musculaire et des
réflexes
appartient aux voies longues, sauf dans certain
les voies courtes rappelées à l'exercice, a suffi pour don- ner des
réflexes
exagérés. L'auteur met aussi en évidence l'impo
phénomène de la dis- sociation de l'état du tonus musculaire et des
réflexes
tendineux. Les muscles sont séparés par la sect
ur centre tonique cérébral, d'où paralysie flasque, tansdis que les
réflexes
tendineux et quelques réflexes cutanés se font
ù paralysie flasque, tansdis que les réflexes tendineux et quelques
réflexes
cutanés se font pas les voies courtes médullair
es cause pas. Leur origine doit être recherchée dans une irritation
réflexe
du nerf laryngé supérieur ; 3° Il y a habituell
itatifs de l'excitabilité électrique et affaiblissement de tous les
réflexes
tendineux. R. C. LXXXVI. Sur les affections de
de penser à un trouble localisé dans la branche centrifuge de l'arc
réflexe
: il croit à une altération tonique du mouvement
pathologiques du centre irien ou de la branche centrifuge de l'arc
réflexe
du muscle irien. Mais il y a plusieurs espèces
forme myotonique du mouvement des pupilles apparaît à l'examen des
réflexes
pupillaires encore conservés. 3° La réaction ne
t un hoquet incessant. Sphère motrice normale. Affaiblissement du
réflexe
patellaire droit. Au commencement des fourmilleme
gie. Les mouvements des extrémités sont normaux. Affaiblissement du
réflexe
laryngé. Manque des réflexes de la fossette du
ités sont normaux. Affaiblissement du réflexe laryngé. Manque des
réflexes
de la fossette du coeur et abdominaux. Le sens ta
t d'affaiblissements des mouvements volontaires. Affaiblissement du
réflexe
cornéal gauche. Affaiblissement de tous les réf
aiblissement du réflexe cornéal gauche. Affaiblissement de tous les
réflexes
tendineux. Parfois des douleurs fulgurantes dans
es, observés chez les malades en question, étaient d'un carac- tère
réflexe
. Plusieurs remarques ont été encore faites par le
Séance du 7 mai 1903. Présidence DE 11. PAUL RICHER Abolition du
réflexe
pupillaire dans la syphilis. M. Polguère rappor
négalité pupillaire. Plusieurs autres ont une abolition complète du
réflexe
pupillaire sans aucun autre signe de tabès ou d
avec rigidité pupillaires et unelymphocitose toujours positive. Les
réflexes
tendineux sont diminués. M. Babinski fait de ce
s orteils (signe de Babinski). h1. G. M : 1RINRSCO. -J'ai étudié le
réflexe
plantaire sur 190 sujets, dont 130 atteints de
des orteils, tandis que l'excitation du bord interne produisait le
réflexe
normal en flexion. Le réflexe de Babinski n'a p
itation du bord interne produisait le réflexe normal en flexion. Le
réflexe
de Babinski n'a pas du tout la même significa-
inski n'a pas du tout la même significa- tion que l'exagération des
réflexes
et le clonus du pied. Différents états patholog
es. Dans les compressions progressives de la moelle épinière, les
réflexes
peuvent disparaître de même que le clonus du pied
Babinski a déjà fait son apparition, taudis que l'exagération des
réflexes
ne parait que beaucoup plus tard. Le sommeil ch
se, le signe de Babinski disparait avant ou en même temps que les
réflexes
cutanés normaux, tandis que l'exagération des réf
emps que les réflexes cutanés normaux, tandis que l'exagération des
réflexes
et le clonus persistent. On peut observer des p
à savoir : la disparition du signe de Babinski et l'apparition d'un
réflexe
plantaire en flexion, ou vice-versa, c'est- à-d
II. Ce phénomène de développement d'ordre inconscient, abso- lument
réflexe
, ne fait pas défaut chez l'enfant atteint de surd
(les - grand et petit pectoral, par Souques. 458. Myélites. Voir
Réflexes
. Coiitribii- Lion à l'étude anatomo-patliolo-
ises d'angoisse, ])arLon()e. 373. - fiasque avec dissociation des
réflexes
, par Déjerine, 3S1. i ? ciale. Voir Sommeil. -.
gale, par Gutlden, 91. Contribution a la question de l'immobilité
réflexe
des -, par Levinsohn, 93. Lenteur des à l'acc
arie Vaschitle, 292. Rééducation motrice. Voir Système nerveux.
Réflexes
. Des- musculo-tendinew complexes des extrémités
rmie : le chatouillement de la plante des pieds ne détermine pas de
réflexe
. On observe quelquefois de courtes transpiratio
s action sur les nerfs, moteurs ou sensitifs. Il diminue le pouvoir
réflexe
des centres nerveux, ralentit le pouls, et augm
ancet, septembre 1881.) L'auteur pense que quelquefois l'absence du
réflexe
patellaire est le seul symptôme du tabes. L'ata
égique chez lequel on ne trouva non seulement pas l'exagération des
réflexes
du côté paralysé, mais même , aucune réaction a
bservé plusieurs fois au début de la syphi- lis une exagération des
réflexes
cutanés et tendineux qui avait disparu sous l'i
fils. PnEvosT (J.-L ). Contribution à l'étude des phénomènes nommés
réflexes
tendineux. Broch. iu-S^ de 42 pages, avec une p
et Taller (A.). Nouvelles expériences sur les phé- nonzèzzes nommes
réflexes
tendineux. Brochure in-8- de 6 pages, 1881, Gen
agit là, ainsi que nous le verrons plus loin, de phénomènes d'ordre
réflexe
dont l'habitude facilite le développement et qu
à l'acquérir. A un premier degré, il consiste en une tendance des
réflexes
tendineux à provoquer une contracture plus ou m
culaire n'ont jamais été tentées sur elle. Pendant la veille, les
réflexes
tendineux sont exagérés aux genoux, mais sans i
de se trouve promptement endormie. Aussitôt nous constatons que les
réflexes
tendineux du poignet qui, tout à l'heure, exist
tion des tendons par percussion. Nous constatons de nouveau que les
réflexes
tendineux sont exagérés ; le mouvement qui suit
re, les trois degrés suivants : 1er degré : simple exaltation des
réflexes
tendineux; 3' degré : le réflexe tendineux donn
1er degré : simple exaltation des réflexes tendineux; 3' degré : le
réflexe
tendineux donne lieu à la contracture contractu
egré : le réflexe tendineux donne lieu à la contracture contracture
réflexe
par excitation tendineuse; 3° degré : contractu
ntracture réflexe par excitation tendineuse; 3° degré : contracture
réflexe
par excitation directe des masses mus- culaires
eloppée, présente quelques irrégularités. Caill... a conservé les
réflexes
tendineux du poignet assez exaltés surtout du c
lexes tendineux du poignet assez exaltés surtout du côté gauche. Le
réflexe
patellaire est tou- jours très exagéré. ' Le
le long du corps, Witt ? qui est assise s'affaisse de ce côté, les
réflexes
tendineux existent néan- moins. Tout le côté ga
recte ou indirecte des muscles n'amène plus leur contracture. Les
réflexes
tendineux n'en sont pas moins conservés. La résol
usqu'au niveau du sourcil gauche. Il n'y a pas d'achromatopsie. Les
réflexes
ten- 138 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. dineux son
es soulève, ils retombent inertes ; il n'y a pas de catalepsie. Les
réflexes
tendineux aux deux bras sont manifeste- ment ex
nsibilité a reparu partout; chaque piqûre donne lieu à un mouvement
réflexe
, indice que l'impression est perçue par le cent
sur l'autre suivant qu'on cherche à la redresser. Dans cet état les
réflexes
tendineux sont fort exagérés. Le choc sur le te
le. En somme, nous trouvons ici exagération et généralisation des
réflexes
tendineux, mais nulle tendance à la contracture.
le pincement ainsi qui la piqûre donnent naissance à des mouvements
réflexes
; la malade retire son membre, et la douleur se
' culaire ne change pas, pas de catalepsie possible, même état des
réflexes
, même résolution, Bientôt la malade est prise d
sent d'autre malaise qu'une grande fatigue. Nous constatons que les
réflexes
tendineux sont bien plus exagérés qu'avant l'ex
ctériser l'hypnotisme, un seul persiste, c'est i'e-xa- gération des
réflexes
tendineux qui se montre d'une façon très manife
he, analgésique du côté droit. Pas d'achromatopsie. Exagération des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs comme aux memb
erse, elle est endormie. La résolution musculaire est complète. Les
réflexes
tendineux ont subi une exaltation notable. Le m
es réflexes tendineux ont subi une exaltation notable. Le mouvement
réflexe
est plus étendu. La malaxation des masses mus
e de la somniatiou et de la perte de connaissance, l'exaltation des
réflexes
tendineux, simple ou accom- pagnée de tendance
; du reste dans l'hypnotisme, elle n'offre pas d'hyperexcitabilité
réflexe
notable; mais les réflexes tendineux sont exagé
e, elle n'offre pas d'hyperexcitabilité réflexe notable; mais les
réflexes
tendineux sont exagérés ; pas de somnambulisme pr
omme à droite on peut toucher la con- jonctive sans provoquer aucun
réflexe
, ni mouvement des pau- 172 CLINIQUE NERVEUSE.
njonctive, puis de la cornée, une bande de papier qui ne produit de
réflexe
, et ne détermine l'occlusion des paupières et l
Attaque apoplectique. - Hémiplégie gauche; Contracture ; Phénomènes
réflexes
. Alcoolisme. EJt'lepste; - Marche des accès; -
e membre correspondant du côté sain s'agiter de violents mouvements
réflexes
. T. R. 38°,6. Lavement purgatif; potion deTodd;
les sont exagérées. La sensibilité est normale des deux côtés ; les
réflexes
sont plus prononcés du côté gauche. (Vomitif; v
e de quinine, ne lui procure aucune sensation, aucun malaise, aucun
réflexe
. Le seul signe d'in- telligence qu'on signale e
mptômes, l'apparence cachec- tique et misérable, la persistance des
réflexes
cutanés et, par contraste, l'absence de réflexe
la persistance des réflexes cutanés et, par contraste, l'absence de
réflexes
tendineux ( ne reparaissant que bien aprèsleret
dit l'orateur en commençant, d'un cas-type de rigidité pupillaire
réflexe
: la pupille rétrécie ne se contracte plus sous l
té de la pupille est due à l'interruption de celle portion de l'arc
réflexe
qui lie le nerf optique à l'oculo-moteur, c'est-à
erf optique et de l'oculo-moteuiv M. REMAK insiste sur cette fixité
réflexe
même quand il y a dilatation pupillaire chez le
stépuisé par la communication de M. Westphal sur un cas de psychose
réflexe
' du moins en apparence. (Archiv. f. Psych. ii.
inférieures du nerf; il ne s'agit pas là de manifestations d'ordre
réflexe
puisque ni le chatouillement de la peau ni de l
. Mêmes phénomènes dans les nerfs du bras. Longue durée, absence de
réflexe
patellaire, sans symptômes du tabès au début. L
érée comme le fait ni d'une excitation nerveuse directe, ni d'une
réflexe
, mais bien d'une excitation musculaire. Même obse
ation avec les courants induits. CH. F. III. De la conservation des
réflexes
tendineux dans l'ataxie locomotrice progressive
e locomotrice progressive; par C. Tauus. Thèse de Paris, 1881. Le
réflexe
rotulien qui est le seul auquel on puisse attribu
e un certain nombre de cas d'ataxie loco- motrice dans lesquels les
réflexes
tendineux ne sont pas abolis. La persistance de
quels les réflexes tendineux ne sont pas abolis. La persistance des
réflexes
peut s'observer non seulement dans la pre- mièr
ticula- tions des extrémités supérieures. Il parait certain que les
réflexes
ont pu être abolis chez certains ataxiques et r
res inférieurs sont également atteints d'incoordination motrice, le
réflexe
n'est aboli que d'un seul côté. 11 peut même ar
éflexe n'est aboli que d'un seul côté. 11 peut même arriver que les
réflexes
, au lieu d'être abolis, soient exagérés. Le sig
ot a fait remarquer qu'il peut y avoir erreur sur la nature même du
réflexe
persistant dans l'ataxie. Il peut se faire que
faire que la percussion de la région sous-rotulienne pro- voque un
réflexe
du triceps sans qu'on doive attribuer cette réac-
tension de la jambe sur la cuisse serait due dans quelques cas à un
réflexe
cutané pro- voqué par l'excitation portée sur u
portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui paraît distinguer ce
réflexe
cutané du réflexe tendineux, c'est un certain r
aque d'hyperesthésie. Ce qui paraît distinguer ce réflexe cutané du
réflexe
tendineux, c'est un certain retard dans la prod
e localité est un moyen souvent efficace. Ch. F. V. Des accidents
réflexes
survenant après l'opération de l'empyème; par G
ouin, J. Simon ont publié des cas semblables. Ces accidents nerveux
réflexes
se montrent toujours après l'intervention, mais à
point de troubles de la sensibilité. A quoi sont dus les accidents
réflexes
? Est-ce à l'irritation du phrénique ou des ram
rvé toute sa force. Il en est de même des membres supérieurs. Les
réflexes
offrent une remarquable asymétrie. A gauche, il
ions musculaires. La trépidation du pied ne peut être provoquée; le
réflexe
rotulien a totalement disparu. A droite, les ré
provoquée; le réflexe rotulien a totalement disparu. A droite, les
réflexes
semblent présenter leur intensité normale ; peut-
3 au 31 mars, le malade commence à se lever avec des béquilles. Les
réflexes
, et en particulier le réflexe tendineux, ont re
e à se lever avec des béquilles. Les réflexes, et en particulier le
réflexe
tendineux, ont reparu dans le membre paralysé.
: le membre abdominal gauche reste très notablement parésié. Les
réflexes
sont normaux. L'hyperesthésie a disparu. Les se
cas de Boyer, Rosenthal et autres, de persister indéfiniment. Les
réflexes
étaient peut-être légèrement exaltés du côté an
ié, certainement diminués et presque abolis du côté paralysé, où le
réflexe
tendineux avaitentièrement disparu. Ce fait vau
gnalée au-dessous de la lésion une exagération bilatérale des actes
réflexes
(Brown- Séquard, etc.). L'hyperesthésie, comm
le corps étranger n'est pas arrivé dans le champ pu- pillaire. Le
réflexe
oculo-palpébral est obtenu aussi vite si, au li
état, on peut toucher impunément la conjonctive, sans provoquer de
réflexe
. 2° En agi- tant plusieurs fois un objet devant
tronc; 4° L'hyperexcitabilité neuro-musculaire n'existe pas. Les
réflexes
tendineux sont complètement abolis; 5° L'anesth
esquelles le spasme laryngé se montre à un degré peu ordinaire. Les
réflexes
tendineux sont manifestement exagérés aux genou
s. En premier lieu nous constatons une exagération très marquée des
réflexes
tendineux aux coudes et aux poignets. Aux genou
ouverts, l'état cataleptique véritable ne saurait être obtenu. Les
réflexes
tendineux persis- tent, et si les membres garde
yperexcitabilité neuro-musculaire existe à un degré quelconque. Les
réflexes
tendineux sont exaltés. 4° Que les yeux soient
tat de somniation ainsi produit se caractérise par l'exaltation des
réflexes
tendineux et par la tendance des muscles à la c
sser ; l'hyperexci- tabilité neuro-musculaire est conservée, et les
réflexes
ten- dineux persistent. Il est aisé de reconnaî
muniquées ne sont plus modifiées par la friction du membre; plus de
réflexes
tendineux, ni d'hyperexcitabilité neuro-muscula
se borne, le plus souvent, à la transforma- tion en contracture du
réflexe
tendineux. Mais parfois le phénomène peut deven
ste ni au cou, ni à la tête. 324 RECUEIL DE FAITS. Les mouvements
réflexes
provoqués par le chatouillement de la plante de
lante des pieds sont à peu près les mêmes à gauche et à droite ; le
réflexe
rotulien est un peu plus prononcé à droite qu'à
x, par suite de laquelle l'irritation du larynx provoque une action
réflexe
con- sidérable. L'anatomie pathologique se résu
ARD. XXIII. CONTRIBUTION A l'étude DES phénomènes NERVEUX, nommés
réflexes
tendineux ; par J.-L. Prévost. {Revue anéd. de
s. La première est en quelque sorte une revue, ayant pour objet les
réflexes
tendineux ; la seconde, contient les expérience
sclérose atteint la région lombaire (Westphal, Erb, Erlenmeyer). Le
réflexe
patellaire fait égale- ment défaut dans les pol
tion directe, produite par les vibrations du tendon. Erb en fait un
réflexe
déterminé par l'excitation de fibres nerveuses
bre du côté opposé, se rangent à l'idée qu'il s'agit d'un phénomène
réflexe
. Quelques auteurs ont cherché à résoudre la que
dantes. G. Burckhardt pense que les phénomènes tendi- neux sont des
réflexes
, dont les ganglions spinaux sont le centre ; Br
s, dont les ganglions spinaux sont le centre ; Brissaud en fait des
réflexes
médullaires ; Gowers pense que le clonus du pie
'excitation directe, tandis que le phénomène du genou est de nature
réflexe
; enfin, A. Waller rejette l'idée d'un réflexe
genou est de nature réflexe ; enfin, A. Waller rejette l'idée d'un
réflexe
et pense que la moelle n'agit qu'en maintenant
schiriew pense avoir démontré que les phénomènes tendineux sont des
réflexes
qui utilisent pour se produire la 6° paire lomb
il a entreprises dans le but d'élucider la question de la nature du
réflexe
tendineux. Par la première série de recherches,
l a confirmé les faits suivants : Il la section du crural abolit le
réflexe
du genou (Schulze et Fùrbringer) ; 2° la sectio
acine postérieure de la 6° paire lombaire, chez le lapin, abolit le
réflexe
du genou (Tschiriew) ; celle des racines postér
es racines du sciatique; dans ce cas on obtient une augmentation du
réflexe
, de même façon que lorsque, ainsi que l'a fait
du curare et des anesthésiques. Le premier de ces corps abolit le
réflexe
, ainsi que l'ont démontré Schulze et Fùrbringer.
expériences, M. Prévost, emploie un procédé nouveau pour l'étude du
réflexe
tendineux : l'anémie médullaire obtenue par la
faits, M. Prévost conclut que le phénomène du tendon est bien un
réflexe
, lequel est provoqué par l'excitation du tendon l
l'excitation du tendon lui- même, et non par celle de la peau ; ce
réflexe
use pour se produire de la 6° paire lombaire ch
, et même, en outre, tous les nerfs de ce membre, on abolit bien le
réflexe
de ce côté, mais sans détruire le mouve- ment d
faits sont de nature à faire subsister le doute entre la théorie du
réflexe
et celle de M. Waller. A. MAYOR. REVUE DE PATHO
sième paire avec les corps quadrijumeaux (le centre de l'expression
réflexe
des émotions d'après Ferrier), l'auteur passe à
d'une idée mentale, et considère les lobes optiques comme le centre
réflexe
com- mun à ces deux ordres d'impressions. 3°
e locomotrice (et syphilis), par Althaus. 3'9 - (conservation des
réflexes
tendineux dans l'), par Tlnème, S'il. Béribér
eaux (anatomie des tu- bercules antéiieurs) par Gan- sor, 3 iJ.
réflexes
tendineux (élude sur les', par Prévost, 353; -
roite et à gauche, mais ils sont plus intenses du côté droit. Les
réflexes
rotuliens sont vifs, mais il n'existe ni trépidat
n trouble dans leur force, leur musculature,leur sensibilité. leurs
réflexes
osseux. tendineux et cutanés. Au tronc, il n'y
côté droit, où existe le torticolis dont il a été parlé déjà. Les
réflexes
tendineux du long supinateur et du biceps sont no
ne une flexion de l'avant-bras sur le bras ; de même persistent les
réflexes
osseux de la tête humérale et de l'omo- plate.
nt les réflexes osseux de la tête humérale et de l'omo- plate. Le
réflexe
du tricèps brachial est complètement aboli. Sur
la force et les fonctions des divers muscles sont très bonnes. Les
réflexes
rotuliens sont normaux. A gauche les divers muscl
s- sifs imprimés à ses membres ne sont nul- lement limités. Les
réflexes
sont abolis. Le malade ne présente aucun troubl
in- tégrité de leurs réactions électriques, l'abolition de tous les
réflexes
tendi- neux des membres inférieurs, la rapidité
ctro- motrice de 9-15 volts et une intensité de 3-4 milliampères.
Réflexes
. - Les réflexes patellaire, plantaire, olécranien
de 9-15 volts et une intensité de 3-4 milliampères. Réflexes. - Les
réflexes
patellaire, plantaire, olécranien sont abolis, le
té de la sensibilité et des sphincters. Abolition ou diminution des
réflexes
tendineux. Ce résumé reproduit de la façon la p
41 dineuses. Les muscles ne sont pas douloureux à la pression. Les
réflexes
rotu- liens et du tendon d'Achille sont faibles
. La sensibilité est tout à fait normale sous tous les modes. Les
réflexes
cutanés (plantaire, crémastérien, cutané abdomina
s ; la limitation des mouvements est bien d'origine musculaire. Les
réflexes
osseux et tendineux sont très faibles. La peau
e est très affaiblie. On ne voit pas de pseudo- hypertrophie. Les
réflexes
du tendon d'Achille sont abolis; les réflexes rot
- hypertrophie. Les réflexes du tendon d'Achille sont abolis; les
réflexes
rotuliens sont très faibles. Les réflexes cut
chille sont abolis; les réflexes rotuliens sont très faibles. Les
réflexes
cutanés (plantaire, crémastérien, abdominal) sont
sses fibrillaires ; ils ne sont pas doulou- reux à la pression. Les
réflexes
osseux et tendineux sont abolis. La sensibilité
particuliers de cette atrophie musculaire modifiant au prorata les
réflexes
, ne s'accompagnant ni de troubles de la sensibi
uatre parvenus à l'âge adulte; mais elle n'est pas héréditaire. Les
réflexes
tendineux sont affaiblis au prorata de l'atroph
s tendineux sont affaiblis au prorata de l'atrophie musculaire; les
réflexes
cutanés sont normaux; le système osseux n'offre
nd aussi bien que les pupilles, la sensibilité, les mouvements, les
réflexes
. Les réflexes tendineux sont intacts aux membre
e les pupilles, la sensibilité, les mouvements, les réflexes. Les
réflexes
tendineux sont intacts aux membres supérieurs ; p
être très légèrement exagérés. Aux membres inférieurs, il manque le
réflexe
patellaire et le réflexe du tendon d'Achille. L
érés. Aux membres inférieurs, il manque le réflexe patellaire et le
réflexe
du tendon d'Achille. Les réflexes cutanés existen
manque le réflexe patellaire et le réflexe du tendon d'Achille. Les
réflexes
cutanés existent ; le plantaire est affaibli.
au tabès, notamment les douleurs fulgurantes et la suppression des
réflexes
tendineux, mais tout ce qui appartient, pour ai
'amyotro- phie). Il ne reste donc, - hormis les cas d'amyotrophie
réflexe
d'origine articu- laire, de syringomyélie, d'am
e dégénérescence. Il faut aussi noter l'affaiblissement de tous les
réflexes
tendineux. Si tout ce matériel, décrit en détai
réaction de dégénérescence, l'affai- blissement et l'abolition des
réflexes
tendineux, on a noté dans la même famille la dy
étroite bandelette con- ligué au bord interne. 3° L'abolition du
réflexe
achilléen. En d'autres termes, elle traduit une
tenu en extension provoquait de la douleur (signe de Lasègue). Le
réflexe
achilléen était aboli des deux côtés; les réflexe
e de Lasègue). Le réflexe achilléen était aboli des deux côtés; les
réflexes
rotu- liens étaient simplement affaiblis, les r
x côtés; les réflexes rotu- liens étaient simplement affaiblis, les
réflexes
des adducteurs étaient con- servés. En fait de
aiblis, les réflexes des adducteurs étaient con- servés. En fait de
réflexes
cutanés, étaient conservés : le crémastérien, le
servés : le crémastérien, le cutané abdominal ; étaient abolis : le
réflexe
plantaire, ainsi que le réflexe anal. Le mala
utané abdominal ; étaient abolis : le réflexe plantaire, ainsi que le
réflexe
anal. Le malade urinait toujours par regorgem
e ano-rectale était complète. Le sphincter anal élait relâché et le
réflexe
anal aboli. La verge était flasque; depuis son
de leur passage à travers le gros intestin. L'anus est relâché ; le
réflexe
anal est aboli ; z" Des troubles des fonctions
tologie des affections de la queue de cheval. d) Des troubles des
réflexes
tendineux; l'abolition du réflexe achilléen est
e de cheval. d) Des troubles des réflexes tendineux; l'abolition du
réflexe
achilléen est de règle, mais elle petit manquer
éen est de règle, mais elle petit manquer. Or la conservation de ce
réflexe
im- plique l'intégrité du cinquième segment lom
xe, comprise au-dessous du premier segment sacré, sont touchées. Le
réflexe
achilléen peut être exagéré, (trépidation spina
sacré. AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 91 En thèse générale, le
réflexe
rotulien est conservé. Quand il est aboli, c'es
en émanent. Chez notre malade, nous avons constaté l'abolition des
réflexes
achil- léens et un léger affaiblissement des ré
abolition des réflexes achil- léens et un léger affaiblissement des
réflexes
rotuliens. Le réflexe crémastérien est presque
hil- léens et un léger affaiblissement des réflexes rotuliens. Le
réflexe
crémastérien est presque toujours conservé; au co
éflexe crémastérien est presque toujours conservé; au contraire, le
réflexe
cutané plantaire est habituellement aboli. C'est
et ont une com- position normale. La sensibilité est intacte, les
réflexes
réguliers. On ne note rien d'intéressant du côt
trophie évidente. Si amyotrophie il y avait, elle serait légère et
réflexe
(mal- formation de la main). Les réflexes tendi
ait, elle serait légère et réflexe (mal- formation de la main). Les
réflexes
tendineux sont normaux. La main droite est arrê
érisées par des contractures dans les membres avec augmentation des
réflexes
et sans troubles du côté de la sensibilité ou d
ou 10 mois comme le prouveraient l'histologie et la persistance du
réflexe
deBabinsky jusqu'à cet âge ; cependant, le bébé
vements passifs une résistance spasmodique légère ; exagération des
réflexes
patel- laires. Pas d'atrophie musculaire, pas d
c athétose des pieds et des mains et les réactions électriques, les
réflexes
sont proba- blement normaux et fort difficiles
sensibilité générale extrême, l'enfant est très impressionnable, ses
réflexes
sont exagérés et amènent continuellement des se
uvenir, retrouver une image, - quand je veux maîtriser un mouvement
réflexe
, un trouble moral ou orga- nique - ou quand je
ion périphé- rique ou d'une imagination centrale, c'est toujours un
réflexe
, un acte moteur inconscient et involontaire dan
stinctes, dont l'une est consciente et l'autre pas ; et bien que le
réflexe
moteur qui part des zones sensorielles dites psyc
t extenseurs comme s'il se sentait peu solide sur les jambes. Les
réflexes
patellaires sont exagérés. Sensibilité subjecti
flexion de la jambe droite avec extension du gros orteil. , ? t Les
réflexes
tendineux sont normaux. Il n'y a pas de trouble
de plus grande faiblesse d'un côté que de l'autre ; d'ailleurs les
réflexes
tendineux sont faibles des deux côtés, mais éga
, mais la parésie des membres droits est peu sensible. Abolition du
réflexe
patellaire droit ( ? ) les pupilles sont dilatées
Pouls petit, bat 92. Respiration régulière à 26. L'exploration des
réflexes
est rendue difficile parce que le malade remue ;
pileptiforme dans la soirée. On peut constater ensuite que tous les
réflexes
cutanés et tendineux sont conservés. 18 Décembr
passé dans la nuit, mais il se plaint d'un violent mal de tête. Les
réflexes
tendineux sont notablement exagérés, le pouls e
n'oppose qu'une très faible résistance aux mouvements passifs. Les
réflexes
sont un peu exa- gérés à droite. Membre infér
aux mouvements paâsifs 4e >v flexion et d'extension. " ? ' Le
réflexe
patellaire est exagéré, et il y a de la trépidati
t aux réactions verbales du sujet mais encore à leur mimique et aux
réflexes
de leur physionomie ; les sujets n'étaient d'aill
usculaire est parfaitement conservé, jusqu'aux orteils. Il n'y a ni
réflexe
rotulien, ni achilléen. Ces réflexes manquent d'a
jusqu'aux orteils. Il n'y a ni réflexe rotulien, ni achilléen. Ces
réflexes
manquent d'ailleurs également à gauche, du côté
s réflexes manquent d'ailleurs également à gauche, du côté sain. Le
réflexe
cutané plantaire se fait nor- malement en flexi
membres xv 20 298 ' THOMAS ET HAUSER supérieurs. Abolition des
réflexes
patellaires. Retard très notable 'dans la perce
urs. Cyphoscoliose à convexité dirigée du côté droit. Abolition des
réflexes
rotuliens. Incoor- dination extrême aux membres
ntinence des urines et des matières. Cécité totale. Disparition des
réflexes
pupillaires à la lumière et à l'accommodation. Al
es classiques. Incoordination des membres inférieurs. Abolition des
réflexes
lumineux. Exophtalmie. Pas d'atrophie musculaire.
donnés. Incoordination légère des membres supérieurs. Abolition des
réflexes
tendineux aux quatre membres. Troubles très marqu
out très difficile les yeux fermés; signe de Romberg. Abolition des
réflexes
patellaires et du tendon d'A- chille. Troubles
on très légère, pas de troubles de la sensibilité. Conservation des
réflexes
tendineux. Diminution de l'acuité visuelle ; si
se dans les membres inférieurs. Pied-bot paralytique. Abolition des
réflexes
rotuliens. Douleurs dans les membres inférieurs.
membres supérieurs, ni incoordination ni atrophie, conservation des
réflexes
et de la sensibilité. Névralgies intercostales.
nation des membres inférieurs, troubles de la marche; abolition des
réflexes
tendineux aux membres supérieurs et in- férieur
ère avec affaiblissement sans atrophie ni hypotonie ; abolition des
réflexes
patellaires. Aux membres supérieurs pas d'incoord
par intervalles tremblement à larges oscillations de l'avant-bras ;
réflexes
ten- dineux conservés. Sensibilités superficiel
pas, la semelle frôlant le sol. Inégalité pupillaire, abolition des
réflexes
à la lumière et à la convergence ; diminution d
ation des membres inférieurs, mais pas de démarche caractéristique.
Réflexe
patellaire aboli. Pas d'a- trophie musculaire.
in- férieurs. Sensibilité profonde conservée. Inégalité pupillaire,
réflexe
à la lumière très diminué à gauche, aboli à dro
n- tensité et de fréquence. Etat actuel : avril 1898. Abolition des
réflexes
patellaires. Incoordination légère des membres
ux membres supé- rieurs : incoordination très légère, abolition des
réflexes
tendineux. Atro- phie des petits muscles de la
que par la mimique, avoir perçu les sensations provoquées (1). Les
réflexes
tendineux et cutanés sont très exagérés, pas de s
manifeste du négativis- me, de l'immmobilité et de la raideur. Les
réflexes
tendineux sont très exa- gérés, pas de signes d
ibilité cutanée, sauf un retard énorme de la réaction à l'excitation.
Réflexes
tendineux très exagérés. Pas de signes pupillai
existe enfin de l'anesthésie de la conjonctive et de l'abolition du
réflexe
pharyngien, du ré- flexe nasal, ainsi qu'une zo
le ; il n'y a pas d'atrophie musculaire, ni de signe de Babinski. Les
réflexes
tendineux, achilléen, patellaire, du poignet, o
éré : il présente d'indéniables stigmates d'hystérie (abolition des
réflexes
pharyngien et cornéen, zones hystéro- gènes, ré
ce diagnostic de syringomyélie, parce que, si nous avons trouvé des
réflexes
tendineux exagérés des deux (1) Déjerine ET SOT
rticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du doigt. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés et les cutanés abolis. Il
pasmodique sans titubation, ni incoordination, ni signe de Romberg,
réflexes
rotuliens exagérés, clonus du pied et signe des o
ges ; La conservation de la force musculaire. Il est vrai que les
réflexes
sont exagérés, tandis qu'ils sont, presque tou-
alé des cas de Friedreich avec conservation et même exagération des
réflexes
(Vizioli, Musso, Ormerod et Smi th, Seeligmüller,
ticolis, nous observons encore chez Vig : L'abolition de tous les
réflexes
tendineux, avec conservation des réflexes cutan
: L'abolition de tous les réflexes tendineux, avec conservation des
réflexes
cutanés ; Le pied-bot ; La scoliose ; L'a
de volonté, la déviation peut être corrigée, en partie seulement.
Réflexes
. - Tous les réflexes (2) tendineux sont abolis, a
ation peut être corrigée, en partie seulement. Réflexes. - Tous les
réflexes
(2) tendineux sont abolis, aux membres in- féri
un déplace- ment des orteils, ni en flexion, ni en extension. Les
réflexes
cutanés, crémastérien, abdominal sont plutôt exag
-9, p. Il. (2) Les auteurs ne signalent, en général, que l'état des
réflexes
rotuliens. M. Brissaud rapporte un cas où les r
e l'état des réflexes rotuliens. M. Brissaud rapporte un cas où les
réflexes
tendineux étaient abolis en même temps aux membre
la projette sur la rétine, donc pas de réaction hémianopsique, Le
réflexe
à l'accommodation est normal ; pas de signe d'Arg
'hyperexcitabdité galvanique. Alors que, par exemple, aux bras, les
réflexes
tendineux sont abolis, on ob- tient, par la per
dreich-hérédo- ataxie ; nous n'y reviendrons pas. La question des
réflexes
mérite de nous arrêter un instant. Les réflexes
. La question des réflexes mérite de nous arrêter un instant. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés chez Marie Fou,avec signe
ladie de Friedreich héréditaire» (1), dans lequel, précisément, les
réflexes
vont de l'exagération à l'abolition complète, e
Vig., en pré- sence de MM. Meige, Noguès et Cruchet. L'absence des
réflexes
rotuliens est constatée tout d'abord, mais une
e Jendrassik, les fait apparaître, mais très faiblement, les autres
réflexes
sont toujours nuls. Lors de nos premiers examen
nuls. Lors de nos premiers examens, nous avions toujours trouvé les
réflexes
rotuliens abolis, même avec le procéde de Jendr
les cas de Friedreich avec conservation ou simple dimi- nution des
réflexes
sont classiques (Vizioli, Musso, Massalongo, Orme
ssalongo, Ormerod, Smith). Ces deux derniers auteurs ont trouvé les
réflexes
conservés à un premier examen et abolis à un de
e dernière catégorie. Ils nous enseignent, du moins, que l'état des
réflexes
, dans le torticolis et les divers spasmes fonct
ut servir de base certaine au dia- gnostic différentiel, et que des
réflexes
plus ou moins normaux n'autori- sent pas à affi
evons noter, en terminant, chezFou. et Vigo l'antagonisme entre les
réflexes
tendineux et cutanés, l'exagération des premiers
e trouvons pas chez Vig. des signes bien manifestes de névrite. Les
réflexes
rotuliens sont abolis, mais cette abolition exist
es rotuliens sont abolis, mais cette abolition existe pour tous les
réflexes
tendineux, tant aux membres inférieurs qu'aux sup
meubles, et elle traînait les jambes, surtout celle de gauche. Les
réflexes
rotuliens étaient un peu exagérés ; les réflexes
lle de gauche. Les réflexes rotuliens étaient un peu exagérés ; les
réflexes
achilléens étaient nor- maux. La malade perda
ents segmentaires sont très affaiblis, surtout ceux du pied. ' Le
réflexe
rotulien est très affaibli à droite, aboli à gauc
Le réflexe rotulien est très affaibli à droite, aboli à gauche. Les
réflexes
'achilléens sont abolis des deux côtés. Les t
urine. AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 477 11 est à noter que le
réflexe
anal est aboli. A part cela, on ne constate pas
plus prononcée à gau- che, d'une eschare au siège, de (roubles des
réflexes
tendineux, d'une anesthésie en bande, anesthési
6 à gauche. La contractilité idio-musculaire persiste partout. Le
réflexe
rotulien est conservé, des deux côtés ; le réflex
iste partout. Le réflexe rotulien est conservé, des deux côtés ; le
réflexe
achilléen est aboli. En fait de troubles subj
cales avec la muqueuse de la dernière partie du gros intestin. Le
réflexe
anal est aboli. Depuis le début de sa maladie,
. Depuis le début de sa maladie, R... n'a plus eu d'érections. Le
réflexe
crémastérien est conservé. Résumé. - Donc, chez
t dans le domaine du grand sciati- que, à la cuisse. Abolition du
réflexe
achilléen. Douleurs intermittentes, à caractère
cale antécédente que la faiblesse du jet urinaire. - Abolition du
réflexe
anal. Suppression des érections. Diagnostic.
difications quantitatives des réactions électriques. L'abolition du
réflexe
achilléen ; l'abolition du réflexe anal. Une an
ions électriques. L'abolition du réflexe achilléen ; l'abolition du
réflexe
anal. Une anesthésie qui réalise la topographie
tions motrices de la vessie ; de même, il présente l'abo- lition du
réflexe
anal, en rapport avec l'anesthésie de la portion
tronc sur le bassin, et alors ils s'exécutent sans vi- gueur. Le
réflexe
patellaire et le réflexe achilléen sont abolis, à
alors ils s'exécutent sans vi- gueur. Le réflexe patellaire et le
réflexe
achilléen sont abolis, à gauche, de même que le
laire et le réflexe achilléen sont abolis, à gauche, de même que le
réflexe
cutané plantaire. La sensibilité objective est
sensation subjective de froid. On constate, en outre, l'abolition du
réflexe
rotulien, du réflexe achilléen et du réflexe cu
e froid. On constate, en outre, l'abolition du réflexe rotulien, du
réflexe
achilléen et du réflexe cutané plantaire et une c
outre, l'abolition du réflexe rotulien, du réflexe achilléen et du
réflexe
cutané plantaire et une certaine gêne de l'urin
à la symptomatologie des polynévrites ; L'abolition simultanée des
réflexes
rotulien et achilléen et du réflexe plantaire ;
s ; L'abolition simultanée des réflexes rotulien et achilléen et du
réflexe
plantaire ; Le caractère rudimentaire des tro
une quinte de toux. Il ne peut siffler; la voix est nasillarde ; le
réflexe
du voile du palais est aboli. Il y a des troubl
ont accomplis avec correction, mais avec un léger tremblement. Le
réflexe
crémastérien et le réflexe abdominal existent et
on, mais avec un léger tremblement. Le réflexe crémastérien et le
réflexe
abdominal existent et sont sembla- bles des deu
bdominal existent et sont sembla- bles des deux côtés. A gauche, le
réflexe
plantaire est normal ; adroite, on constate le
aire est normal ; adroite, on constate le phénomène des orteils. Le
réflexe
du tendon rotulien droit est normal; à gauche,
ne lieu à une contraction des adduc- teurs de la cuisse droite. Les
réflexes
achilléens sont normaux. Les réflexes 494 BABIN
teurs de la cuisse droite. Les réflexes achilléens sont normaux. Les
réflexes
494 BABINSKI ET NAGEOTTE tendineux du membre
ophiques. Sensibilité intacte. Pas de troubles sphinctériens. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés. Légère trépidation
mètre, 10 il D. et 20 à G. Aucun trouble de la sensibilité. Les
réflexes
tendineux des deux membres gauches sont très exag
térieures de la moelle épinière, possédant de nombreuses connexions
réflexes
, sont pauvres en appendices collaté- raux ; les
dres de cette dernière ; et elles dépen- dent aussi des excitations
réflexes
du côté du premier neurone sensitif. Des prolon
nt spécifiques; ainsi ces cellules servent non seulement de centres
réflexes
et de stations de trans- mission, mais elles on
n rôle subordonné ou bien destinées presque exclusivement aux actes
réflexes
, sont pauvres en appen- dices collatéraux, nous
tc. Organes des sens normaux. Sensibilité à tous les modes intacte.
Réflexes
normaux. Force musculaire au dynamomètre un peu
onne vertébrale, quand on percute la région lho ! '1tt : illur, Les
réflexes
cutanés sont sans changement ; les ré- flexes t
orts ; celui du tendon Il'Achille est d'une intensité moyenne ; les
réflexes
cubitaux de Jll',\ion pL ¡k déflexion du coud,
La sensibilité et les organes du mouvement ne sont pas changés. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Le pouls et la resp
s. L'examen de l'activité cardiaque ne dénote rien d'anormal. Les
réflexes
patellaircs sont un peu exagérés. Pour le reste,
s les étages successifs du nevraxe; et un appareil sensitivo-moteur
réflexe
involontaire formée d'une sériede fibres indire
l com- prend tous les troubles de la sensibilité et de la motricité
réflexes
ceux de la mémoire organique, de l'emotivite, r
ues. 39 manque. etc., sans parler des multiples affections des arcs
réflexes
primaires ou de ceux qui ressortissent au grand
parle àjuste titre M. Weygandt. P. 11ERAVAL. ^-sjV. Un phénomène
réflexe
original observé sur les extrémités dans les pa
it terminée,à une soudaine résistance qui résulte de la contraction
réflexe
des fléchisseurs ; on vainc -cette résistance e
d'anatomie ET de physiologie pathologiques. 41 . , \', - Nouveau
réflexe
de la face; par A. Fucus. (Neurolog. 'l" \ -, C
lévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Il s'agit d'un
réflexe
transmis par la branche supérieure sensitive du
du côté opposé, lorsque le sujet présente de l'hyperexcitabilité
réflexe
. Il était exagéré en deux cas de tétanie. P. Km,\
normaux ; par Marc Carthy. (Neurol.Centralblatt. \\I11, 1904.) - Du
réflexe
lombo-fémoral ; par W. M. BECTEREZ'. (Obosrênié
demi-fléchies. Cette position est la meilleure pour l'adulte. Le
réflexe
lombo-fémoral de Gechterew est quelque chose de s
uelque chose de sem- blable màis ils ne sont ni l'un ni l'autre des
réflexes
. Il est pro- bable qu'on excite mécaniquement l
n un cas de tumeur de la région dorsale de la moelle (autopsie), le
réflexe
était fort exagéré. Ainsi s'exprime M. CARTHY,
me M. CARTHY, ' M. DOCHTER> : \V fait observer que,lorsque les
réflexes
des extré- mités intérieures présentent une exa
intérieures présentent une exagération plus ou moins fran- che, le
réflexe
lombo-fémoral peut encore s'observer dans la po-
urs de la jambe. Dans un cas de diplégie spasmodique, on obtenaitle
réflexe
lom- bo-fémoral et dans la station debout, les
échis, et dans la situation assise. Chez les sujets à hyperactivité
réflexe
nette des extrémités inférieures, accompagnée de
exe nette des extrémités inférieures, accompagnée de clonis- me, le
réflexe
lombo-fémoral se traduit par des contractions clo
. (L. F. Ragozine.) , ,t z P. IFR.1V.11., s > . «^ \'Il. Les
réflexes
des segments éloignés des . extrémités supérieu
I. 1903). (Neurolaq. Cen- iralblatt XXIV. 1905.) . On connaît les
réflexes
produits par le heurt de l'extrémité in- férieu
ar le heurt de l'extrémité in- férieure du cubitus et du radius, le
réflexe
émané du tendon du supinateur, ainsi que le réf
t du radius, le réflexe émané du tendon du supinateur, ainsi que le
réflexe
palmaire de Stembo et llollzin- ger. M. Dechter
maire de Stembo et llollzin- ger. M. Dechterevv rappelle encore son
réflexe
carpophalangien, et le réflexe du poignet obten
r. M. Dechterevv rappelle encore son réflexe carpophalangien, et le
réflexe
du poignet obtenu par le heurt du tendon du muscl
oignet obtenu par le heurt du tendon du muscle cubital externe. Ces
réflexes
ne peuvent fournir d'indications dia- gnostique
b- sence d'un côté contrastant avec leur existence de l'autre. Le
réflexe
des fléchisseurs des doigts et du poignet s'obtie
hérique. Mais il faut encore le comparer à celui du côté sain. Le
réflexe
pronateur se produit aisément chez un grand nombr
e tiers moyen et même le tiers supérieur du cubitus ; c'est donc un
réflexe
périos- tique. On obtient encore parfois un fai
iculation du coude, par la contraction du rond pro- nateur, mais ce
réflexe
a moins d'importance pratique. Tous ces réflexe
- nateur, mais ce réflexe a moins d'importance pratique. Tous ces
réflexes
doivent être cherchés des deux côtés afin d'en
ompagnent presque toujours d'une diminution extrêmement marquée des
réflexes
tendineux et périostiques dans la partie du cor
; l'affaiblissement de la contractilité du diaphragme ab- sence des
réflexes
patellaires ; symptôme de lZahinsl : i; réflexe a
agme ab- sence des réflexes patellaires ; symptôme de lZahinsl : i;
réflexe
au froid net : incurvation de la colonne vertéb
oordination, ni troubles vésicaux, mais paraplégie spasmodique avec
réflexes
exagérés. Démence précoce. M. G. Ballet prése
attitudes du sens stéréognostique, delà sensibilité osseuse et des
réflexes
de l'avant-bras, lympho- cylose très faible, pa
oites et de la 11'0 à la 6' dorsales, diminution de la force et des
réflexes
des bras. Pas de douleur spontanée, mais douleu
, puis de lamar- che ; ébauche de signe de Romberg; exagération des
réflexes
et signes de Babinski ; pas d'asynergie cérébel
les autres segments Aucun trouble sensitif, subjectif ou objectif.
Réflexes
(des fléchis- seurs, biceps, triceps) forts des
e atrophie musculaire diffuse. Pas de troubles trophiques cutanés :
Réflexes
: Rotuliens légèrement augmentés des deux côtés
Toutefois l'anesthésie relevée à la jambe droite et l'abolition du
réflexe
cutané plantaire droit peuvent se rattacher aux
racine sacrée, faut-il cher- cher vraisemblablement l'abolition du
réflexe
achilléen droit, et l'affaiblissement du gauche
anifeste ; ou bien l'ex- cès de la douleur locale avait, par action
réflexe
sur les centres nerveux, amené cette prostratio
ni paralysie de l'accom- modation, ni atrophie des nerfs optiques ;
réflexes
patellaires normaux, il s'agit d'une personne s
ntribution à la question de la genèse du myosis dans l'immobibilité
réflexe
des pupilles, par IIeddoeus. (Centi-albl. XX711
IIeddoeus. (Centi-albl. XX7111. N. F. XVI, 19Uj.) Dans l'immobilité
réflexe
des pupilles typique, pitre, dit BACH, les pupi
lente, et la contraction présente un degré nor- mal. L'immobilité
réflexe
su peut aussi transformer en une inertie pupill
rocédergraduellementpour laisser la place à l'immobilité pupillaire
réflexe
typique. La même lésion peut présider aux deux
, mais elle a des sièges différents. Elle occupe, dans l'immobilité
réflexe
typique, les centres d'arrêt du bulbe ou les vo
u noyau de l'oculo-moteur commun. Peut-être aussi dans l'immobilité
réflexe
l'automatisme des mus- cles iriens (Lewandowssk
ussi les ex- plications d'Ueddoeus sur le mécanisme de l'immobilité
réflexe
sont-elles peu convaincantes (IIanRbuch d. ges.
auteurs imputent au centre célio-spinal le mye. sis de l'immobilité
réflexe
, et celle-ci à la région des tubercules quadrij
contracter à la convergence, vous pouvez diagnostiquer l'immobilité
réflexe
de A, c'est l'immobilité réflexe unilatérale.
pouvez diagnostiquer l'immobilité réflexe de A, c'est l'immobilité
réflexe
unilatérale. Si procédant de la même façon, vou
ction à la cow er- gence, ne concluez pas hâtivement à l'immobilité
réflexe
bilaté- rale, car vous pouvez avoir affaire à l
exe bilaté- rale, car vous pouvez avoir affaire à l'engourdissement
réflexe
des deux yeux par suppression de la fonction de
les pupilles sont très larges et s'il y a cécité. Dansl'immobilité
réflexe
propre des pupilles, celles-ci sont gé- néralem
alement étroites. Ce myosis pourrait bien dériver de l'immo- bilité
réflexe
même. En effet, outre la réaction il la lumière,
ccommodation ; à fortiori peut-il en être ainsi dans l'immobi- lité
réflexe
où le muscle qu'il s'agit de pousser à se contrac
i aux cas, rares d'ail- leurs, de myosis sans immobilité pupillaire
réflexe
, n'explique point pourquoi la pupille rétrécio
'immobilité ré- flexe unilatérale se complique de l'engourdissement
réflexe
de A, notamment par atrophie du nerf optique ;
l'excitation. 2. Ce phénomène, physiologique, appartient, comme les
réflexes
à tous les muscles striés de l'organisme animal
s psychoses aiguës l'onde musculaire accentuée et l'exagération des
réflexes
s'observent presque aussi souvent que chez les
ns ; il existe en sus du Lremllementdes mains, de l'exagération des
réflexes
patellaires, de la diminution du réflexe pharyn
ins, de l'exagération des réflexes patellaires, de la diminution du
réflexe
pharyngé. Aucun autre symptôme. Cette affection d
as de troubles trophiques, quelques contractions fibrillaires ; les
réflexes
ne sont pas sensiblement modifiés. Les facultés
ec thermo-anesthésie croisée. Ils montrent chez ce même malade un
réflexe
consistant dans une extension de la main avec fle
se trouvaient donc en dépendance étroite avec le fait initial elle
réflexe
génital n'était réveillé que par des idées se r
voir les malades gri- macer à l'occasion de leurs douleurs ; or ce
réflexe
a lieu très souvent du côté opposé au siège de
uvrir ; con- servation de la réaction pupillaire ; conservation des
réflexes
patellaires, accélération du pouls et des mouve
ut une différence de mois. Les lésions si in- SUR LE TEMPS PERDU DU
RÉFLEXE
ROTULIEN. 197 I téressanlesclo la méninge signa
4 aOitt. PRÉSIDENCE de M. GIRAUD. Recherches sur le temps perdu du
réflexe
rotulien. M. le Dr CASTE-, (de llennes).-J'ai c
ES ET NEUROLOGISTES, déments précoces qui, par leur exagération des
réflexes
et leur impassibilité, sont d'excellents sujets
n jeune homme atteint de paralysie spastique avec exagération des
réflexes
tendineux et amyotrophie du membre inférieur ga
che. Nous avons, dans tous les cas, observé que le temps perdu du
réflexe
rotulien varie presque du simple au double en sen
rêmement faible pour d'autres ; atrophie mus- culaire très marquée.
Réflexes
tendineux abolis. Réaction de dégénérescence co
qu'aucun muscle n'a été épargné ou tout au moins peu atteint. Le
réflexe
patellaire est indépendant de la surface du per
istait une relation entre la surface du percuteur et l'intensité du
réflexe
rotulien. La méthode de recherche a été très si
été très simple : sur une série de sujets, j'ai cherché le seuil du
réflexe
avec mon réuexomctre, en faisant varier la surf
ue la surface du per- cuteur n'a pas d'influence sur l'intensité du
réflexe
rotulien, du moins lorsque cette surface est as
mes présentant le signe de Ker- nig, nous avons trouvé six fois les
réflexes
exagérés, cinq fois le clonus du pied, et cinq
stigmates de la syphilis ; tremblement des mains et de la langue ;
réflexes
patellaires exagérés ; réflexes de Babinski ; p
blement des mains et de la langue ; réflexes patellaires exagérés ;
réflexes
de Babinski ; pupille gauche plus dilatée avec
binski ; pupille gauche plus dilatée avec un contour irré- gulier ;
réflexes
lumineux très atténués ; achoppement sylla- biq
s dans le tabes. Il s'agit donc là d'une moda- lité pathologique du
réflexe
lumineux bien distincte du signe d'Argyll, qui
- tentionnel, de la trépidation épileptoïde, avec exagération des
réflexes
, mais sans Babinski, de la diplopie, ainsi qu'une
a lan- gue et des lèvres, inégalité des pupilles, exagération des
réflexes
tendineux, affaiblissement mental, délires ab-
n- dance avec son propre corps. Les objets sont provoca- teurs de
réflexes
, l'animal les voit puisqu'il se dirige parmi eu
cience claire, est l'homme adulte, au bas se trouve l'être purement
réflexe
, embryon, foetus, nouveau-né. Ce qu'il convient
tte période de la vie correspond assez exac- tement à la genèse des
réflexes
corticaux, antérieurs aux réflexes volontaires,
z exac- tement à la genèse des réflexes corticaux, antérieurs aux
réflexes
volontaires, et postérieurs aux réflexes propre
corticaux, antérieurs aux réflexes volontaires, et postérieurs aux
réflexes
proprement dits ayant leur centre dans les part
int que le jeune enfant de Preyer tenait hypothèse. Ce qu'il dit du
réflexe
de Babinski est aussi exact du signe de Strumpc
es mou- vements de locomotion, 'c'est vers la 'même époque que le
réflexe
de la marche se transforme en mouvements volont
transforme en mouvements volontaires et conscients. 13aldin note ce
réflexe
comme douteux au huitième mois. Au neuvième, il
le corps. Rappro- - z citons encore ce fait de la transformation du
réflexe
,des orteils de l'extension en flexion, chez les
mouvement* d'extension du membre inférieur. Voir : Axnnu LÉni : Les
réflexes
des orteils chez les enfants. (Re- vue neurolog
lles conditions on conçoit aisément la possi- bilité dés mouvements
réflexes
. Mais il semble en être autrement pour les mouv
oquer une différence de na- turc. Un mouvement spontané n'est qu'un
réflexe
répon- dant à une excitation interne (2). La na
re bien la prédominance dcs mouvements spontanés sur les mouvements
réflexes
. Cette prédominance va s'atténuant à mesure que
bulbe, ce sont très probablement les cou- ches optiques, « centres
réflexes
du sens tactile dans lesquelles les , impressio
nier.Les différences que l'on observe, telles que l'exagération des
réflexes
et l'existence de réflexes idio-musculaires con
on observe, telles que l'exagération des réflexes et l'existence de
réflexes
idio-musculaires confirment le rôle que la phys
aux ganglions cérébraux. Les ganglions inférieurs sont des centres
réflexes
des- quels se distinguent les ganglions antérie
dt appelle « de coordination », bien que leur activité soit aussi
réflexe
par nature, mais avec un caractère de coor- din
férieures du système nerveux ne lui sont pas con- nues. Ce sont des
réflexes
; or « la fonction de la cons- çience est de di
les réactions des sensations » (1), c'est-à-dire de transformer le
réflexe
en acte volontaire. Il ne peut y avoir conscien
énomènes labétiformes (douleurs fulgurantes, steppage, abolition du
réflexe
rotulien) quien réalité reconnaissaient pour ca
e de Kernig, du myxoedème ( ? ) du triceps, et absence complète des
réflexes
rotu- liens et plantaires. Ponction lombaire le
es réactions doulourcu- ses, distinctes des manifestations purement
réflexes
, cet au- teur tendrait plutôt il admettre deux
activité Ù(' ! acOI1"Ciellce. P. 1\.l : R.\YAL. rI. De l'état des
réflexes
musculaires et autres de la face dans la démenc
VeH1'ulo ? (;aatnaLLl., \\Il, 10;1.) . L auteurpasse en rewe les
réflexes
: du maxillaire inférieur (pé- riosLitlue du ma
uscles qui entourent l'orifice huerai et. par suite, avant tout, le
réflexe
111l'IItollllit'r du ré- 111'\(' buccal. En que
a\ec relâchement musculaire et atonie complète, une exagération des
réflexe
» rotuliens avec trépidation nlrilyoLuirln inépu
: \u-[1amodi(IUe, sans tremblement voli- tionnel, ni exaltation des
réflexes
, ni nstagmus ; parconlre, perte de l'équilibre
e n'est pas modifiée, mais il y a une eva- gération très marquée du
réflexe
olecrauieu du coté paralysé. 0)')f)ne)iota ! de
· : connue dans leurs antipathies, présentent une exagération des
réflexes
psvehiques..Mais pourquoi les auteurs nient-ils l
d'une sensation de malaises et de fatigue intense. En général, les
réflexes
tendineux et le tonus musculaire sont di- minué
s aussi on peut voir l'hypotonie s'associer à une exa- gération des
réflexes
. La démarche esl, ou simplement vacillante, de
IcProf. Raymond. On constate alors : paraplégie spastique complète (
réflexes
patellaires exagérés, trépidation epitept,01de.
encore très faiblement possible l'extension et la flexion du pied.
Réflexe
rotulien et achittéen'aboli des deux côtés : ph
oscillations très fortes de température : persiste l'abolition des
réflexes
; les trouble» sphinctériens (rétention alterna
t au niveau de la zone d'entrée, sont intactes ; les collatéra- les
réflexes
sont lrès abondantes, la zone de Lissauerne parai
hériques ne nous permet pas d'exclure que peut-être l'abolition des
réflexes
est due aune névrite par laquelle on pu déjà ex
es inférieurs. Dans d'autres cas, on a intcr- prété l'abolition des
réflexes
comme l'expression d'une lésion des racines pos
lésion transverse incomplète de la moelle, explique l'abolition des
réflexes
patellaircs observée par l'cllet mé- ca1)iqllc
térieures ne nous per- met pas non plus d'expliquer l'abolition des
réflexes
par l'augmentation de la pression du liquide cc
on plus être ex- plique parla lésion de lapartiecellulairc de l'arc
réflexe
, les cellules lombaires s'étant montrées intact
ar trop hypothétique de Jendrassik suivant laquelle l'abolition des
réflexes
tiendrait il une lésion de la moelle lombaire n
re. , ' L'hypothèse la plus vraisemblable est que l'abolition des
réflexes
patellaires et achilléens peut être bien ex- pl
ensité, la conservation des racines postérieures, (tes collatérales
réflexes
, du, réseau myélinique de la co- lonne de Glark
l la cachexie, suffisent, nous croyons, à expli- quer l'absence des
réflexes
rotulicns dans notre cas, où la lésion cervical
urs spontanées également : pa- ralysie presque complète des jambes,
réflexes
rotuliens forts ; pas de clonus du pied, phénom
on constate alors une paraplégie presque complète avec contracture,
réflexes
roluliun. exagérés, clonus du pied bilatéral, p
Syphilis. Hémiplégie droite transitoire avec exagération énorme des
réflexes
. Aphasie persistante. Injection de 1 gr. 52 d'h
trois mois, la paralysie a céd partiellement, surtout à gauche. Les
réflexes
sont normaux, les troubles delà sensibilité ont c
me, avec double lésion mitrale,fatigue rapide, chu- tes fréquentes,
réflexes
exagérés. Ponction lombaire négative. Toxemie t
Romberg, ni asynergie céré- ])eIIeuse, ni paralysie. Abolition des
réflexes
rotulicns et achil- léens, signe de Babinski. N
t elles-mêmes en deux catégories : douleurs névriliques et douleurs
réflexes
, ces der- nières ayant pour point de départ une
'étlllle dn terme de sejnnctiva, par Gross, p. 386. De l'état des
réflexes
musculaires et autres de la face dans la para
rifiques, p. 335. Dressage. Psychologie du : l'exploitation des
réflexes
pour dominer l'adversaire, par Guenon, p. 141
que, par Dupré et Ca- mus, p. 133. - flasque avec exagéiation des
réflexes
ro- uillions et trépidation épilep- toido (ex
- par Reichardt, p, 117, Quel est l'état de la dans l'immobilité
réflexe
. typique des -, par Bach, p. 119. -. Voir Im
e l'asile-école de Bicêtre pour 1903, par Bour- neville, p. 60.
Réflexe
. Voir paralysie. Nou- veau = de la face, par Fu
ination motrice, pas de douleurs fulgurantes, pas d'abolition des
réflexes
rotuliens; qu'il y a eu, au contraire, dans les
ère contracture avec conservation, peut-êlre légère diminution, des
réflexes
rotu- liens. Enfin le malade gâte, grince des
côté opposé au point de pénétration du projectile. Fai- blesse des
réflexes
rotuliens. M"° A... est entrée à l'asile de Sai
st moins accentué. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité. Les
réflexes
rotuliens sont très faibles, presque nuls, des
rophie, portant surtout sur les membres supérieurs, exagération des
réflexes
tendineux, etc.). Dans cette forme très grave e
centres de projection servant à la sensation simple et au mouvement
réflexe
, involontaire, et des centres d'association, ser-
itre; mais les faits peuvent recevoir une autre interprétation : un
réflexe
parti de luit pouvait avoir provo- qué l'appari
raître tardivement. Cependant, il n'est pas défendu de penser qu'un
réflexe
parti du coeur ou de l'aorte peut détermi- ner
elon les auteurs, elle résulterait de l'interruption du courant des
réflexes
intercorticaux par suite de l'inhibition des ce
ement : T. s., 40°,5. P., 160. Finalement, dyspnée, disparition des
réflexes
cornéens. Mort le soir du dixième jour. Autopsie
roide ? Probablement en stimulant le système nerveux par excitation
réflexe
périphérique. Cet heureux résultat obtenu par l
de taches bleu- foncées, et de sensation de froid aux membres. Les
réflexes
cuta- nés sont légèrement allaiblis aux membres
bres inférieurs, on constate au contraire une légère exagération du
réflexe
rotulien du côté droit. Légère diminution de l'
e même cas, à différentes périodes de l'évolution de la maladie. Le
réflexe
rotulien est tantôt exagéré, tantôt aboli, sans
uche réagit lentement. Douleurs dans le dos et le tronc. Absence de
réflexes
patellaires. Autopsie. Un sarcome (à cellules r
la nuque et du dos, s'irradiant à la région du foie, l'absence des
réflexes
cutanés et tendineux. Elle dérive, suivant tout
Il existe un affaiblissement de la sensibilité dou- loureuse et des
réflexes
cutanés, le sens thermique est conservé. Traite
supérieurs, ataxie statique, embarras de la parole, aboli- tion des
réflexes
tendineux, avec conservation de la sensibilité,
Il steppe en marchant, la démarche est franchement spasmodique. Les
réflexes
profonds (osseux, tendineux, musculaires), sont
uit une secousse dans toute la jambe et même dans la jambe opposée.
Réflexes
cutanés (épigas- triques, abdominaux, plantaire
ras droit qui reste est une monoplégie brachiale corticale, car les
réflexes
tendineux sont normaux ainsi que la réaction él
quelques mouvements dans l'articu- lation du genou et du pied ; les
réflexes
patellaires sont complète- ment abolis, les réf
du pied ; les réflexes patellaires sont complète- ment abolis, les
réflexes
du tendon d'Achille sont conservés; phé- nomène
YRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE la MOELLE. 163 de 3 centimètres. Les
réflexes
cutanés sont normaux, excepté les abdominaux qu
s cutanés sont normaux, excepté les abdominaux qui font défaut. Les
réflexes
rotuliens sont abolis, ceux du tendon d'Achille
est presque absolue, même dans le domaine du plexus sacré; tous les
réflexes
des mem- bres inférieurs sont abolis; amyotropb
vée dans la région du nerf fémoro-cutané postérieur; aboli- tion du
réflexe
rotulien mais persistance de celui du tendon d'
RINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 179 de la sensibilité, des
réflexes
, de la contractilité électrique, avec atrophie
nt en très grand nombre. : l'impression morale, une action nerveuse
réflexe
, un état de shock ; l'opération en elle-même, l
ubles psychiques post-opératoires étaient dus à une action nerveuse
réflexe
, à un état de shock. Dans cet ordre d'idées, Vè
ait tomber dans la folie un cerveau déjà vacillant. Si cette action
réflexe
avait l'importance que veulent lui attribuer qu
ie, raideur des membres, exagération des SOCIÉTÉS SAVANTES. 225
réflexes
. Après une rémission de deux mois, elle tombe bru
st toujours suivie d'une paralysie spasmodique avec exagération des
réflexes
. Celte doctrine a été combattue dans ces derniè
s, qui ont relaté des cas de paraplégie flaccide avec abolition des
réflexes
, dans lesquels il existait une dégénérescence s
tous les signes d'une paraplégie spasmodique avec exagération des
réflexes
rotuliens, secousses musculaires, trépidation épi
paraplégie était devenue flasque, qu'au lieu d'être exagérés, les
réflexes
rotuliens étaient abolis, qu'il n'y avait plus de
és. C'est une parésie spasmodique généralisée, avec exagération des
réflexes
- et trépidation épileptoïde. La lésion, comme
ction ou compression du médian), ni par le mécanisme des paralysies
réflexes
, ni enfin par une forme d'hystéro-traumatisme.
tabétique. Paralysie périphérique d'origine traumatique. Troubles
réflexes
concomitants. M. Mally (de Paris) rapporte l'
de la trépidation épileptoïde des deux pieds, avec exagération des
réflexes
rotuliens, avec atrophie du triceps. Ces accide
traumatisé et de deux mois du côté malade. Ces sortes de réactions
réflexes
post-traumatiques ne sont pas exceptionnelles ; p
ent aussi- tôt rigides et les pieds se mettent en varus équin ; les
réflexes
pa- tellaires sont très exagérés; il y a du clo
cées par ce traitement. Les fonctions génitales restent intactes.
Réflexes
. - Les patellaires sont exaltés. Le crémastérien
sensibilité tactile est complète sur toute la surface cutanée. Les
réflexes
patellaires sont normaux. Le plantaire n'existe p
o- formation, soit d'une hémalomyélie. R. C. LVILCONSERVAT10N des
réflexes
P.1TELLAIRES dans LE tabès DORS.4LIS; par Ch. A
Nous. Iconogr. de la Salopé- trière, n° 2, 1898.) L'abolition des
réflexes
rotuliens e t la règle dans le tabès dor- salis
r leur part, ont rencontré six cas de labes avec conser- vation des
réflexes
. L'un de ces cas, avec autopsie et examen histo-
e gélatineuse, et dont la lésion détermine toujoursl'abo- lition du
réflexe
. Cette exception confirme donc non seulement la
u siège anatomique de la lésion, qui se traduit par l'abolition des
réflexes
patellaires. R. t : HAftoN. LV111. UN cas D'AMY
mment par Babinski. Il a, en outre, observé la même modification du
réflexe
plantaire dans trois cas de tabes dorsal spasmo
breuses observations accompagnent le texte A. V. LXXIV. Paralysie
réflexe
DU DELTOÏDE DE cause articulaire. Déplacement s
esthésie localisée ; l'excitabilité du mem- bre est exagérée et les
réflexes
du poignet et du coude sont aug- mentés, de soi
en là la paralysie spasmodique amyotrophique de Charcot, l'atrophie
réflexe
de cause articulaire. L'amyotrophie articulaire
es sensations tactiles et thermiques sont au contraire perçues. Les
réflexes
sont conservés et exagérés. L'in- telligence es
e dont la force est conservée de même que celle de la jambe gauche.
Réflexes
patellaires très vifs; accélération du pouls. B
onnés ci- dessus. Un sujet nerveux sans réaction pupillaire ou sans
réflexes
rotuliens n'est presque jamais un neurasthéniqu
le. Dou- leurs en ceinture. La sensibilité cutanée est normale. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. II. Serrurier, âgé d
d'engourdissement le matin. La sensibilité cutanée est normale. Les
réflexes
rotuliens sont exagé- rés. Impuissance génitale
même temps qu'hyperesthésie à la douleur de la même région. Pas de
réflexe
plantaire. Rien qu'une allusion au réflexe rotu
e la même région. Pas de réflexe plantaire. Rien qu'une allusion au
réflexe
rotulieu. Les réflexes abdominal et crémastérie
de réflexe plantaire. Rien qu'une allusion au réflexe rotulieu. Les
réflexes
abdominal et crémastérien font également défaut
parfois d'anesthésies (Obs.III). Des modifications dans l'état des
réflexes
cutanés et tendineux peuvent être observées dans
eurs, ataxie moins prononcée des membres supérieurs ; absence des
réflexes
rotuliens ; immobilité des pupilles à la lumière
emps qu'une rétention d'urine. Le 8 avril on constate l'absence des
réflexes
rotuliens, l'anesthésie complète des deux jambe
'hépato- toxémie, ou d'une simple action à distance, d'une action
réflexe
, sympathique, en un mot ? Cette hypothèse, en s
hologie mentale. Dans la pathologie du foie l'observation d'actions
réflexes
morbides n'est pas exceptionnelle. Les coliques
pendant à voir dans le cas présent un trouble mental sympathique ou
réflexe
. La nature de ce trouble mental est-elle du moi
. Il y a à cet égard une différence com- plète entre le tact et les
réflexes
, car nous avons vérifié dans nos recherches sur
' M. Gerest, à la théorie de l'auteur relative à l'exagération des
réflexes
et à la contracture chez le spasmodique et chez l
. Les pupilles sont égales, mais ne réagissent pas à la lumière. Le
réflexe
cornéen est aboli. Le jour suivant, l'enfant es
tention ORGANIQUE INCONSCIENTE. En premier lieu, nous trouvons deux
réflexes
qui ont pour but de limiter la quantité de lumi
ter la quantité de lumière arrivant jusqu'à la rétine : ce sont les
réflexes
irien et pigmentaire. 1° Réflexe irien il la lu
jusqu'à la rétine : ce sont les réflexes irien et pigmentaire. 1°
Réflexe
irien il la lumière. Lorsqu'on approche de l'oe
on. MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTENTION. 459 ' Le circuit de ce
réflexe
est aujourd'hui assez bien connu ; il comprend
its directement par la lumière, mais indirectement par un mécanisme
réflexe
. En effet a) la.- section du nerf optique empêc
descendre le pigment dans les deux yeux (analogie complète avec le
réflexe
consensuel de la pupille). Le point de départ d
avec le réflexe consensuel de la pupille). Le point de départ de ce
réflexe
peut même être en dehors de la rétine : une gre
e descendre le pigment (Van Ganderen Stort). Fig. 26. Circuits du
réflexe
irien à la lumière et du réflexe pigmentaire.
deren Stort). Fig. 26. Circuits du réflexe irien à la lumière et du
réflexe
pigmentaire. 460 PSYCHOLOGIE. Quelles son
xe pigmentaire. 460 PSYCHOLOGIE. Quelles sont les voies de ce
réflexe
? Nous ne savons rien encore à ce sujet. L'anal
réflexe ? Nous ne savons rien encore à ce sujet. L'analogie avec le
réflexe
irien rend très probable l'hypothèse suivante :
r le troncde ce nerf, puis les filets ciliaires' (V. fig. 26). Le
réflexe
irien à la lumière et le réflexe pigmentaire se
filets ciliaires' (V. fig. 26). Le réflexe irien à la lumière et le
réflexe
pigmentaire se produisent d'une façon absolumen
que le rayon lumineux arrive jusqu'à la rétine et que le circuit
réflexe
soif intact. Ce sont des réflexes complètement ad
usqu'à la rétine et que le circuit réflexe soif intact. Ce sont des
réflexes
complètement adaptés ; ils se rattachent à l'at
tention CONSCIENTE involontaire. Nous allons étudier maintenant des
réflexes
plus compli- qués, dans lesquels la conscience
ticale. On les considère plus généralement comme produits par un
réflexe
analogue au réflexe lumineux irien, et se pas-
nsidère plus généralement comme produits par un réflexe analogue au
réflexe
lumineux irien, et se pas- sant comme lui au ni
au niveau des ganglions de la base. Mais il est à remarquer que le
réflexe
irien lumineux se produit quel que soit l'état
lumineux se produit quel que soit l'état psychologique du sujet. Le
réflexe
accom- modateur ne se produit que lorsque nous
se produit que lorsque nous regardons, lorsque Fig. 27. Citcuitdes
réflexes
ayant pour but la convergence (M. eÀtl'lns.), l
ciente, ce qui suppose Fin tervention de la corticalité. Quant au
réflexe
irien qui accompagne le réflexe accom- modatcur
vention de la corticalité. Quant au réflexe irien qui accompagne le
réflexe
accom- modatcur, dans l'attention consciente, i
t dans les mêmes conditions. C'est bien à tort qu'on a considéré ce
réflexe
irien comme subordonné au réflexe accommodateur
bien à tort qu'on a considéré ce réflexe irien comme subordonné au
réflexe
accommodateur : ce sont simplement deux réflexe
mme subordonné au réflexe accommodateur : ce sont simplement deux
réflexes
parallèles. Il faut au contraire séparer nette-
ux réflexes parallèles. Il faut au contraire séparer nette- ment le
réflexe
irien lumineux du réflexe irien de l'attention
faut au contraire séparer nette- ment le réflexe irien lumineux du
réflexe
irien de l'attention consciente. Le premier a s
ens. (AI'ch. tl'Ophttlmo- logie, juin 1898.)" Fiv. 28. Circuit du
réflexe
prenant naissance au niveau de la rétine, et y
llicité d'une façon quelconque. Ici encore nous pouvons invoquer un
réflexe
ana- logue aux précédents. L'inllux nerveux app
arles voies de projection. Ce trajet complexe constitue la voie des
réflexes
cérébraux, qui sont tout le substratum des phén
brale a sensiblement la même structure en tous ses points; tous les
réflexes
cérébraux doivent se produire d'une façon analo
lifié de volontaire. Ce n'est cependant comme le premier qu'un acte
réflexe
, mais plus compliqué, ayant passé par les centr
e. Nous avons vu que l'attention était constituée pour une série de
réflexes
superposés, grâce auxquels l'influx MÉCANISME
Le mécanisme de l'attention est toujours le même, l'ori- gine du
réflexe
seul diffère. Dans le réflexe conscient et invo
est toujours le même, l'ori- gine du réflexe seul diffère. Dans le
réflexe
conscient et involontaire le plus souvent les c
ibres cen- trifuges correspondantes (V. fig. 27, 28 et 29). Dans le
réflexe
conscient et volontaire, l'influx, des centres
duisant tous sur le même type. Toute attention est le résultat d'un
réflexe
, qui a pour effet de faci- liter le passage de
aires de la paralysie générale proviennent aussi d'une irrita- tion
réflexe
des ascendantes, moins atteintes, par le processu
sera atteint. A. Blanc REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 475 5 X. Du
réflexe
patellaire étudié chez les mêmes malades aux troi
de l'auteur sont les suivantes : 1. Dans la paralysie générale, le
réflexe
patellaire est bien plus souvent anormal que no
ées l'emportent en fréquence sur les exagérations marquées. 3. Le
réflexe
patellaire esl plus souvent altéré à la première
4. C'est dans la forme dépressive de la paralysie générale que le
réflexe
palellaire est le plus souvent exagéré. 5. L'ex
réflexe palellaire est le plus souvent exagéré. 5. L'exagération du
réflexe
pateilaire est, au point de vue de la fréquence
du pronostic. 8. Il n'est pas exact de dire que la conservation du
réflexe
patellaire est toujours en rapport avec un mini
qu'appareute. 10. Chez les buveurs, comparés aux syphilitiquee, le
réflexe
patellaire serait plus souvent altéré, soit en
inière; par C$NI. (Riv. sp. di ? 6) ? fasc. III, 1897.) XLVIII. LES
réflexes
vasculaires dans les MEMBRES ET dans LE CER- ve
expériences, entreprises sur des enfants de treize ans environ. Les
réflexes
vasculaires chez l'homme suivent les lois fondame
ois fondamen- tales de localisation et d'irradiation, reconnues aux
réflexes
de la vie de relation. Le réflexe vasculaire lo
et d'irradiation, reconnues aux réflexes de la vie de relation. Le
réflexe
vasculaire localisé s'accomplit en un 494 REV
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. temps moindre que le
réflexe
vasculaire irradié. Le cerveau exerce une influ
re irradié. Le cerveau exerce une influence évidente sur l'activité
réflexe
de la moelle épinière, même en ce qui regarde l
éflexe de la moelle épinière, même en ce qui regarde les mouvements
réflexes
des vaisseaux sanguins. Le temps de réflectivit
d'environ trois secondes; pour la jambe d'environ cinq secondes. Le
réflexe
vascu- laire du cerveau par stimulus sensoriel
du cerveau par stimulus sensoriel demande un temps égal à celui du
réflexe
brachial pour la même excitation. Le sommeil pr
endant le sommeil, consécutifs aux excitations, sont sans doute des
réflexes
actives et autonomes. Le réflexe vasculaire dan
excitations, sont sans doute des réflexes actives et autonomes. Le
réflexe
vasculaire dans les membres par stimulus sensor
plit en un temps (quatre secondes pour le bras) plus long que le
réflexe
par excitation sensitive. Pour chaque sens excité
cine sensitive du nerf de la sep- tième paire. G. D. LV. Etat DES
réflexes
ET anatomie pathologique de la MOELLE LOMBO-SAC
st cependant pas suffisante pour expliquer l'abolition complète des
réflexes
des membres inférieurs, puisque les cellules de
oujours été trouvées intactes. L'auteur admet que si les mouvements
réflexes
sont abolis, malgré l'intégrité des neurones se
ersion dans l'huile. P. Keraval. LXIV. Des voies CONDUCTRICES DES
réflexes
dans la MOELLE ET du lieu DE transmission nÜLEx
ts entre le temps employé pour la transformation des excitations en
réflexes
et la force de l'excita- tion initiale ont démo
latérale ascendante et une collate- rale transverse (la collatérale
réflexe
) dont les arborescences termi- nales forment le
e l'excitation d'un tractus sensitif à un tractus moteur : c'est un
réflexe
. Mais les rameaux ascendants de ces fibres radi
es, Et c'est précisément à cet endroit de la moelle qu'ont lieu les
réflexes
normaux. Sans doute il peut y avoir transmissio
ilité par des con- nexions spéciales, de sorte que c'est la que les
réflexes
ont lieu le plus aisément. l'. IiLa.weL. LXV.
uadri- jumeaux sont des organes complexes servant, aux phénomènes
réflexes
qui peuvent être mis en action par les nerfs crân
s tubercules quadrijumeaux est ancienne. La couche optique sert aux
réflexes
psychiques qui expriment les émotions et comman
s qui y aboutissent y trouvent des nerfs moteurs, de sorte que le
réflexe
psychique s'y opère. Par contre, les trois centre
c les impressions sensibles ainsi que de certains mouvements innés (
réflexes
, impulsions, instincts). Ce n'est qu'à l'âge de
te des premiers temps du développement de l'enfant, est donc non un
réflexe
(Kussniaiil, Wernicke, l.ichtlieim), mais un proc
)a,p ? Muratow, 468. Statistique de la -, par Greidenberg, 470.
Réflexes
patellaires aux diverses éloques cle l, -, par
ien, 12. Tabès. Pathogéme et traitement du - , par de Benzi, 136.
Réflexe
patellaire dans le , par Achard et L. Levi, 2
otrice apparaissant dès qu'elle soulève ses membres, l'abolition du
réflexe
tendineux du ge- nou et du tendon d'Achille; c'
éflexe tendineux du ge- nou et du tendon d'Achille; c'est encore le
réflexe
cutané plantaire en MALADIE DE FRIEDREICH ET ll
otonicité très nette des divers muscles, pas d'atrophie musculaire,
réflexes
osseux et tendineux abolis. Un tremblement stat
e- rons sa maladie par ces symptômes : grosse ataxie, abolition des
réflexes
, parole scandée, nystagmus, psychisme légèremen
endante d'une ataxie progressivement croissante, avec abolition des
réflexes
tendineux; dans la sclérose en plaques, elle est
re en rapport avec une paraplégie spasmodique, avec exagération des
réflexes
, procédant suivant une marche irrégulière, interr
laires, et c'estle cas chez Louise V... D'autre part, l'abolition des
réflexes
n'a rien à voir avec les lésions du cervelet qu
Il n'y a pas de douleurs le long des membres ni en ceinture. Les
réflexes
patellaires sont exagérés des deux côtés, plus fo
forts à droite qu'à gauche. Il n'y a pas de trépidation spinale. Le
réflexe
Babinski existe. Les gros orteils ont une tenda
Il faut employer une certaine force pour les mettre en flexion. Les
réflexes
cutanés sont nuls ou indécis. Il n'y a pas d'at
s, douteuses, inconstantes, à propos des réactions électriques, des
réflexes
cutanés de la zone hyperesthésique de la limite s
nt serait également intacte, vu la persistance et l'exagération des
réflexes
patellaires et le fonctionnement normal des sph
clure toute affection purement fonctionnelle, hystérie, paraplégies
réflexes
, etc. Ce n'est pas un tabes, malgré l'ataxie et
région dorso-lombaire. L'intégrité des sphincters, l'exagération des
réflexes
patellaires indiquent l'état normal de la parti
e à se mouvoir difficilement ; il devient habituellement raide ; le
réflexe
rotulien s'y montre exagéré ». « La moelle, en
pendant quelques jours, ainsi que les trophiques ont tenu bon. Les
réflexes
patellaires, un instant troublés, amoindris, ont
mais n'a pas trace de tremblement volitionnel, pas d'exaltation des
réflexes
, pas de nystagmus. La neurologie a évolué depui
e spasmodicité véritable. D... marche plutôt comme un ataxique. Les
réflexes
sont diminués, le signe de Babinski est douteux,
miner, malgré de patientes recherches, dans quel sens se faisait le
réflexe
plantaire, tantôt en flexion, tantôt en extension
es troubles qui trahissent un déficit considérable dans les centres
réflexes
dont les incitations normales assurent les foncti
s se porte du côté opposé. Dans la marche, on dirait d'un véritable
réflexe
croisé, provoqué par le contact du pied opposé
le sol. Et de fait ne peut-on admettre qu'il s'agit là d'un de ces
réflexes
locomoteurs, liés à la coordination de la march
aire est beaucoup plus (1) PIIILIPI'SON, Contribution à l'étude des
réflexes
locomoteurs. Acad. des sciences, 5 janvier 1903
st une contraction soudaine, brusque, se produisant à la façon d'un
réflexe
qui serait provoqué par le contact du pied opposé
rmations thoraciques. Le système nerveux ne semble pas altéré : les
réflexes
sont normaux. Peut-être cependant, le syndrome
er tremblement statique agite la jambe lorsqu'elle est étendue. Les
réflexes
rotuliens,souvenez-vous tout à l'heure de ce fait
du tendon d'Achille sont difficiles apercevoir, surtout à gauche. Le
réflexe
cutané plantaire, difficile à mettre en lumière
ous le voyez, arrive difficilement à se toucher le bout du nez. Les
réflexes
du coude sont faibles, à gauche surtout ; il en
par une hésitation à atteindre le but indiqué. Affaiblissement du
réflexe
tendineux aux quatre membres. Lenteur et scansi
trême difficulté; il ne peut les tenir au moyen des deux mains. Les
réflexes
sont de plus en plus faibles. La parole est un
ent des 126 RAYMOND Le même syndrome, moins l'affaiblissement des
réflexes
tendineux, nous le retrouvons chez son cousin L
taxie des membres supérieurs, une légère scansion de la parole. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont normaux ; le réfle
e la parole. Les réflexes rotuliens et achilléens sont normaux ; le
réflexe
cutané plantaire est en flexion. Il ne présente a
ques, qu'il est indemme de toute manifestation cérébrale et que les
réflexes
sont t diminués ? De la maladie de Friedreich
atique, la démarche, l'incoordination motrice et l'affaissement des
réflexes
; mais il n'en a ni le début précoce, ni la scoli
dans la conservation et assez souvent aussi dans l'exagération des
réflexes
ro- tuliens ; quelquefois il existe d'autres ph
s. Enfin, à une date encore rapprochée du début de l'affection, les
réflexes
sont considérablement affaiblis, alors que leur e
et n'est-elle pas inconstante dans l'hérédo-ataxie ? Sur l'état des
réflexes
enfin ? On avait cru voir dans leur affaiblisseme
ur, atteinte au même âge de la même affection, ne possédait plus le
réflexe
rotulien. Messieurs, ces faits vous démontrent
ataxie cérébelleuse ; notamment, il présentait de l'exagération des
réflexes
tendineux et de l'atrophie des* nerfs optiques. O
Friedreich très complet, avec sco- liose, nystagmus, abolition des
réflexes
et douleurs fulgurantes. Vous voyez qu'ici l'hé
pupillaires; le signe d'Argyll fit toujours défaut. Eu égard aux
réflexes
, je dois dire qu'au moment de son entrée, notre
e dois dire qu'au moment de son entrée, notre malade présentait des
réflexes
tendineux normaux. Les réflexes patellaires éta
entrée, notre malade présentait des réflexes tendineux normaux. Les
réflexes
patellaires étaient même forts ; le réflexe pla
tendineux normaux. Les réflexes patellaires étaient même forts ; le
réflexe
plantaire resta en extension jusqu'à la fin de
cours des examens ultérieurs, je fis noter soigneusement l'état des
réflexes
et deux ans après son entrée, ils étaient déjà di
finirent par disparaître complètement ; ce furent, d'ailleurs, les
réflexes
patellaires qui persistèrent le plus longtemps,
le dé- but fréquent de la maladie de Friedreich par l'abolition des
réflexes
et des douleurs fulgurantes, ressortissant de l
. Il y aurait alors à décrire : Un type spinal où l'abolition des
réflexes
, la scoliose et le pied-bot joints au syndrome
oureuses à la pression ; marche spastique parétique ; légère ataxie ;
réflexes
rotuliens exagérés ; troubles des fonctions de
pieds du sol. En même temps ataxie, mouvements exagé- rés, Romberg.
Réflexes
patellaires très vifs, clonus du pied. Ecriture g
rs le but à atteindre, comme cela s'observe chez les ataxiques. Les
réflexes
patellaires restèrent très exagérés ; la contract
Parésie du facial gauche et de l'hypoglosse droit. Marche titubante.
Réflexes
rotuliens exagérés. Babinski faible des deux cô
e réa- gissant presque pas. Parésie de l'oculomoteur externe droit.
Réflexes
rotuliens exagérés. Station debout impossible ;
roite. Pas de troubles du goût, ni de l'odorat. L'exploration des
réflexes
profonds fait constater une exagération de tous
on des réflexes profonds fait constater une exagération de tous les
réflexes
tendineux ou périostés à droite. Les réflexes c
ération de tous les réflexes tendineux ou périostés à droite. Les
réflexes
cutanés ne sont pas abolis, le réflexe plantaire
ou périostés à droite. Les réflexes cutanés ne sont pas abolis, le
réflexe
plantaire se fait en flexion des deux côtés.
mètre donne 15 pour la main droite et 30 pour la main gauche. Les
réflexes
tendineux et osseux, normaux à gauche, sont nette
asson & Cie, Editeurs SYNDROME DE LA CALOTTE PÉDONCULAIRE 163
Réflexes
crémastériens, abdominaux, disparus à droite, per
- che .motrice du trijumeau à cette époque n'est pas intéressée, le
réflexe
massétérin se produit sans exagération. ' On
ent dilatées et inégales, la droite plus dilatée que la gauche, les
réflexes
à la lumière et à l'accommodation sont complète-
cou; doivent être réunies dans une synergie parfaite par des voies
réflexes
très courtes ? » Or il est certain que le mécanis
n du lit ; à plus forte raison, elle ne peut se tenir debout. Les
réflexes
rotuliens sont très faibles. Le réflexe cutané
eut se tenir debout. Les réflexes rotuliens sont très faibles. Le
réflexe
cutané plantaire droit est en extension ; le gauc
ni albumine, ni sucre. On ne note aucun trouble de sensibilité, les
réflexes
tendineux sont normaux, mais la main gauche ser
en quelques heures. L'examen de la sensibilité, de la motilité, des
réflexes
fut toujours négatif. Jamais je n'ai pu trouver
lité au contact, à la douleur, à la chaleur et légèrement diminuée.
Réflexes
superficiels et profonds normaux, Rien d'anorma
ionné une quatrième forme, la forme ata- xique ou forme spasmodique
réflexe
. Vivian Poore attribue la crampe professionnell
es troubles de causes centrales. Ces derniers agiraient d'une façon
réflexe
. Si V. Poore était allé trop loin, en attribuan
muscles de la jambe et du pied, rarement dans ceux de la cuisse. Le
réflexe
patellaire droit est un peu plus vif que le gau
parole, tremblement des mains plus marqué à droite, exagération des
réflexes
patellaires, léger atliérome artériel. (1) .o
ue sont le siège d'un tremblement spas- modique. A ce moment, les
réflexes
patellaires diminuent. Drap... mange ses matièr
arras de la parole, de l'inégalité pupillaire, de l'exagération des
réflexes
rotuliens. Alité en décembre 1900. Il est très
parole est incompréhensible. Tous ses membres sont en contracture;
réflexes
rotuliens très exagérés, clonus des rotules, tr
agérés, clonus des rotules, trépidation épileptoïde des deux pieds.
Réflexes
plantaires en flexion. Athérome des artères.
et de satisfaction. Les pupilles sont contractées et inégales, les
réflexes
pupillaires sont conservés. La langue est tremb
,la parole si embarrassée qu'elle est presque incompréhensible. Les
réflexes
patellaires sont très exagérés,sans qu'il y âit d
res sont très exagérés,sans qu'il y âit de clonus de la rotule. Les
réflexes
plantaires sont en flexion, les réflexes crémas-
e clonus de la rotule. Les réflexes plantaires sont en flexion, les
réflexes
crémas- tériens sont faibles. Les mouvements sp
ssible d'étendre les jambes. Les orteils sont en flexion forcée, le
réflexe
plantaire est nul des deux côtés, il existe une
pilles inégales. Embarras très marqué de la parole. Exagération des
réflexes
rotuliens, conservation des réflexes plantaires
de la parole. Exagération des réflexes rotuliens, conservation des
réflexes
plantaires et crémastériens. D'après les rens
i obligeait le malade à prendre l'attitude en chien de fusil. Les
réflexes
plantaires étaient en flexion, les réflexes patel
en chien de fusil. Les réflexes plantaires étaient en flexion, les
réflexes
patellaires impossibles .à constater. ' Le ma
e chargée et tremblante. Les pupilles sont larges et inégales ; les
réflexes
iriens sont abolis à la lumière et conservés à
servés à l'accommodation. La parole est hésitante, embarrassée. Les
réflexes
patellaires, plantaires et crémastériens sont nul
en outre de la cécité par atrophie du nerf optique, l'abolition des
réflexes
patellaires, les pupilles sont inégales, les réfl
abolition des réflexes patellaires, les pupilles sont inégales, les
réflexes
pupillaires n'exis- tent pas. Signe de Romberg.
inégalité pupillaire en faveur de la pupille gauche, abolition des
réflexes
pupillaires à la lumière et aux distances. Trembl
NE la langue, légers accrocs dans la parole, abolition complète des
réflexes
rotu- liens et achilléens, conservation du réfl
on complète des réflexes rotu- liens et achilléens, conservation du
réflexe
plantaire en flexion et du réflexe crémastérien
ens et achilléens, conservation du réflexe plantaire en flexion et du
réflexe
crémastérien, signe de Romberg et démarche atax
, tremblement de la langue, hésitations de la parole, abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens, conservation des réfle
e, abolition des réflexes rotuliens et achilléens, conservation des
réflexes
plantaires et crémastériens, pas de trouble de la
mence et euphorie, embarras de la parole, inégalité pupillaire. Les
réflexes
rotuliens sont abolis, les réflexes pupillaires l
role, inégalité pupillaire. Les réflexes rotuliens sont abolis, les
réflexes
pupillaires l'accommodation et à la distance so
es pupillaires l'accommodation et à la distance sont conservés. Les
réflexes
crémastériens et plantaires sont nor- maux. La
re 1902, les signes de tabes sont mani- festes. A la disparition du
réflexe
patellaire viennent s'ajouter le signe de Rombe
Romberg et un certain degré d'ataxie ; il talonne en marchant. Le
réflexe
pupillaire à la lumière existe encore; il est bea
aire à la lumière existe encore; il est beaucoup plus faible que le
réflexe
à la distance. Un an après son entrée, en mars 19
mes du tabes. A son entrée,Cor... ne présentait que l'abolition des
réflexes
tendineux; un an plus tard, il avait le syndrom
x : embarras de la parole; inégalité pupillaire ; il n'avait pas de
réflexes
rotuliens ; les réflexes crémastériens et plant
le; inégalité pupillaire ; il n'avait pas de réflexes rotuliens ; les
réflexes
crémastériens et plantaires étaient normaux. Il
embar- ras de la parole, tremblement de la langue, exagération des
réflexes
patellai- res. La pupille droite est en mydrias
tellai- res. La pupille droite est en mydriase, elle a conservé ses
réflexes
, la pupille gauche plus petite ne réagit plus.
l'asile ; il présentait en plus des signes de tabès : abolition des
réflexes
patellaires, signes d'Argyl-Hobertson, ptosis de
davantage. Pas de paralysie faciale ; la face est symétrique. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux quatre membres. Les
t animés de tremblement à oscillations éten- dues et rapides. Les
réflexes
pupillaires directs et croisés sont anormaux. Les
aît conservée sur tout le corps. La piqûre de la peau détermine des
réflexes
communs de protection, mais non différenciés ;
tude. Si une sensation persiste encore, celle-ci ne détermine qu'un
réflexe
commun de défense, non différencié. C'est ainsi
r été précédées des signes prémonitoires tels que l'exagération des
réflexes
tendineux, elles arrivent à immobiliser les div
s mouvements de l'é- paule, s'accompagnent de vives douleurs. Les
réflexes
sont exagérés à l'avant-bras ; il n'y a pas de tr
des douleurs provoquées il n'y a aucun trouble de sensibilité. Les
réflexes
rotuliens sont manifestement très exagérés, ils s
cilement s'en rendre compte par les photographies ci-jointes. Les
réflexes
patellaires sont un peu exagérés et d'ailleurs ég
Les réflexes patellaires sont un peu exagérés et d'ailleurs égaux. Le
réflexe
plantaire est normal ; le réflexe abdominal un
exagérés et d'ailleurs égaux. Le réflexe plantaire est normal ; le
réflexe
abdominal un peu lent. Les pupilles sont égales
ans la déglutition, ni dans la mastication, ni dans l'élocution. Le
réflexe
pharyngé est conservé. Il n'y a pas d'écoulemen
au front, aux mains, et parfois à la glotte. Dans ces cas, l'action
réflexe
nerveuse est certaine, et on ne peut pas songer
on sur le système nerveux de certaines substances, ou bien par voie
réflexe
à la suite d'excitations périphériques, nous sa
de la malade ne nous fait voir aucun stigmate d'hystérie. Tous les
réflexes
tendineux sont un peu forts, mais égaux des deu
es aux deux bases. Il est extrêmement sourd, comme son frère. Les
réflexes
pupillaires sont normaux. OBs. III. Bordier Lou
examen de leur système nerveux a montré son intégrité absolue ; les
réflexes
patellaire, achilléen, du membre supérieur, les r
olue ; les réflexes patellaire, achilléen, du membre supérieur, les
réflexes
cutanés et pupillaires, l'acuité visuelle sont
- spasmodique : il lève les pieds très haut et frappe le sol. Les
réflexes
tendineux du genou droit sont exagérés, leur rech
nski. Sphincters intacts. 31 mai 1899. Exagération considérable des
réflexes
patellaires. Achil- léens : signe de Babinski,
des jambes. Faiblesse des mains sans tremblement. Exagération des
réflexes
tendineux des membres supérieurs. Céphalée fron
. Pas d'ataxie. Raideur musculaire des jambes et de la nuque. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux quatre membres, la pe
endon rotulien détermine des secousses tétaniformes. Pas de clonus.
Réflexe
de Babinski à gauche seulement et peu net. Il e
QUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 407 Pas d'ataxie statique ou cinétique.
Réflexes
rotuliens très exagérés, la per- cussion du ten
u tendon provoque du tremblement et du tétanos. Clonus du pied. ,
Réflexe
de Babinski à gauche seulement; il est intermitte
d. , Réflexe de Babinski à gauche seulement; il est intermittent.
Réflexe
adducteur du pied des deux côtés. Réflexe abdom
t; il est intermittent. Réflexe adducteur du pied des deux côtés.
Réflexe
abdominal vif. Réflexe crémastérien vif. Mouvem
Réflexe adducteur du pied des deux côtés. Réflexe abdominal vif.
Réflexe
crémastérien vif. Mouvements continuels d'ascensi
ladroits. Pas d'ataxie. Troubles de la diadococinétie intenses.
Réflexes
très forts. Cou. Raideur. Difficulté des mouvem
es par le nez. Contracture des muscles élévateurs de la mâchoire.
Réflexe
massélérin fort. Yeux. - Muscles difficiles à e
le.¡; mouvements passifs, mais qui n'est pas du négativisme. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux quatre membres. Eba
nt exagérés aux quatre membres. Ebauche de clonus des deux côtés.
Réflexe
plantaire en extension à gauche. Sensibilité et
la langue. Tremblement et se- cousses dans la musculature faciale.
Réflexe
massétérin vif. , Parole lente, basse, nasonnée
élicats sont difficiles et s'accom- pagnent de mouvements associés.
Réflexes
tendineux vifs. Aux membres inférieurs, ni spas
n aux sphincters. Perte de l'équilibre quand le malade se retourne.
Réflexes
patellai- res vifs. Babinski. 1° M. Schl...,
Raideur du dos, du cou et des jambes, moins intense dans les bras.
Réflexes
très forts; Pas de clonus. Démarche spastique.
rébelleuse. Erb et Hodge observèrent des cas de Friedreich avec des
réflexes
normaux ou exagérés. Allan Star trouva les réfl
dreich avec des réflexes normaux ou exagérés. Allan Star trouva les
réflexes
abolis chez deux soeurs, exa- gérés chez la tro
ra montrèrent d'un autre côté des hérédo-ataxies cérébelleuses avec
réflexes
normaux ou abolis. Aussi Edinger veut-il réunir
ral ? C'est l'ÙTi- ritation subite et passagère des points d'un arc
réflexe
. Prenons la face comme exemple et d'abord en co
traction débute par l'orbiculaire des paupières, phénomène purement
réflexe
: la cornée, la sclérotique, la muqueuse pal- p
écharge aux muscles orbi- culaires qu'il commande. Voilà donc l'arc
réflexe
établi. On peut admettre en principe que toute
rès ré- duite pour les mouvements d'adduction et d'abduction. Les
réflexes
tendineux, rotuliens, achilléens, du coude, du po
lléens, du coude, du poignet, etc. sont disparus des deux côtés. Le
réflexe
de Babinski n'existe pas et pas davantage le ré
deux côtés. Le réflexe de Babinski n'existe pas et pas davantage le
réflexe
plantaire, mais il se produit une rétraction du p
nons la pointe de l'aiguille sur la peau de la plante du pied. Les
réflexes
cutanés, anal, crémastérien et abdominaux sont co
s de caractère fulgurant lui traversent les bras et le tronc. Les
réflexes
cutanés, crémastériens et abdominaux sont conserv
s réflexes cutanés, crémastériens et abdominaux sont conservés. Les
réflexes
tendineux, rotulien et celui du tendon d'Achille,
ceps, le second à cause de la rétraction du tendon d'Achille. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs ne se produisent
sthésie semblent plus fréquentes ; la conservation ou l'absence des
réflexes
se rencontre à peu près avec la même fréquence
tudes vicieuses consécu- tives aux arthrites, dues à la contracture
réflexe
destinée à l'immobilisa- tion instinctive, revê
nce. Au point de vue sensibilité, on note une diminution notable du
réflexe
pharyngé, mais pas son abolition, aucun stigmate
contre la paroi posté- rieure de t'arrière-bouche sans provoquer de
réflexe
. Celui-ci est nettement aboli, et l'expérience
er. La recherche de stigmates hystériques reste peu fructueuse. Les
réflexes
sont normaux, le cornéen en particulier, aucune
ryngien est indolent, et ne donne aucune sensation particulière. Le
réflexe
pharyngien est émoussé. Les monvements spontané
l fallait se demander la cause de ce torticolis. Etait-il d'ordre
réflexe
, y avait-il une lésion quelconque de voisinage
Sa sensibilité- est un peu émoussée par endroits, mais très peu, le
réflexe
pharyngien est conservé, les autres réflexes so
droits, mais très peu, le réflexe pharyngien est conservé, les autres
réflexes
sont normaux, aucun stigmate sensoriel. Quelque
e tardent pas un instant après à être complètement indolents. Les
réflexes
rotuliens sont légèrement exagérés. Pas de trépid
sont légèrement exagérés. Pas de trépidation épilep- toïde, pas de
réflexe
de Babinski. L'examen de la sensibilité au niveau
re. Les stigmates névropathiques sont recherchés avec attention. Le
réflexe
pharyngien existe, quoique sensiblement diminué
ion. Le réflexe pharyngien existe, quoique sensiblement diminué, le
réflexe
cornéen est nor- mal. La sensibilité paraît nor
tout au moins au bout d'un temps aussi long ; des troubles dans les
réflexes
, dans le fonctionnement des sphincters, dans la
ériphériques, flas- ques, avec atrophie musculaire et abolition des
réflexes
. De plus, l'enfant étant couchée sur le ventre,
sie 541 Notons encore que les testicules sont bien développés et le
réflexe
crémasté- rien normal. Le pouls = 84 par minu
opie homonyme pour parésie du membre droit externe gauche. Tous les
réflexes
tendineux sont exagérés. Clonus du pied à gauche.
Tous les réflexes tendineux sont exagérés. Clonus du pied à gauche.
Réflexe
de Babinski en extension de deux côtés. Sensi
ski en extension de deux côtés. Sensibilité assez bien conservée.
Réflexes
cutanés normaux, sauf les plantaires qui sont trè
me de ces membres. On ne peut pas à cause de l'oedème provoquer les
réflexes
rotuliens. Les réflexes achilléens sont exagé-
peut pas à cause de l'oedème provoquer les réflexes rotuliens. Les
réflexes
achilléens sont exagé- rés des deux côtés. De m
Les réflexes achilléens sont exagé- rés des deux côtés. De même les
réflexes
tendineux des membres supérieurs. Le réflexe ma
ux côtés. De même les réflexes tendineux des membres supérieurs. Le
réflexe
massétérin est un peu accentué bilatéralement. Ré
périeurs. Le réflexe massétérin est un peu accentué bilatéralement.
Réflexe
pha- ryngé normal. La parole est difficile, s
n- tentionnel, nistagmus, parole scandée, diplopie, exagération des
réflexes
tendi- neux, clonus du pied, extension des orte
par plaques, notre malade présentait une abolition per- sistante du
réflexe
rotulien droit avec persistance du réflexe achill
olition per- sistante du réflexe rotulien droit avec persistance du
réflexe
achilléen, tan- dis que le réflexe rotulien gau
tulien droit avec persistance du réflexe achilléen, tan- dis que le
réflexe
rotulien gauche était conservé. Nous continuons à
tronc. La sensibilité aux divers modes est partout conservée. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont douteux, ceux du bra
ens sont douteux, ceux du bras et de l'avant- bras sont abolis. Les
réflexes
cutanés (crémastérien et abdominal) et muqueux
tion des faisceaux blancs médullaires (exagération ou abolition des
réflexes
, douleurs, etc.) ou celle du cerveau lui-même :
n 32. Le langage est empâté. Tremblement de la langue et des mains.
Réflexes
patellaires très faibles. Réflexes pupillaires co
ement de la langue et des mains. Réflexes patellaires très faibles.
Réflexes
pupillaires conservés. L'urine con- tient de lé
4 jours le malade somnolent, parle souvent d'une voix empâtée. Les
réflexes
patellaires deviennent plus vifs. Le 1er avril
edeviennent prédominants : somnolence, maux de tête, diminution des
réflexes
lumineux, diplopie. Enfin à la période ultime : é
rmation. La musculature est par rapport à la taille nor- male ; les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés. Le corps thyroïde
de lésions de la cornée. Les pupilles sont égales ; elles ont leurs
réflexes
normaux. L'acuité est également normale (OD, 0G :
s ou vaso-moteurs. Rien à signaler pour les organes des sens. Les
réflexes
tendineux et cutanés sont normaux. Le réflexe cor
rganes des sens. Les réflexes tendineux et cutanés sont normaux. Le
réflexe
cornéen est conservé, le réflexe pharyngé plutô
dineux et cutanés sont normaux. Le réflexe cornéen est conservé, le
réflexe
pharyngé plutôt faible. Pas de stigmates physiq
fibrillaires, ni de réaction de dégénérescence, ni d'altération des
réflexes
; mais, en revanche, on constate une amyotrophie
pasmodique unilatérale avec affaiblissement, mais per- sistance des
réflexes
pupillaires. 111., Sabrazès pense que celle myd
s pupillaires. 111., Sabrazès pense que celle mydriase ressortit au
réflexe
pupillaire sensitif; l'excitation des terminais
es sensations désagréables qui l'accompagne esl le primum movens du
réflexe
dilatateur de la pupille du côté cor- respondan
résence. (Revue neurologique, août 1903.) E. B. XIII. Note sur un
réflexe
adducteur du pied ; par le De R. H1RSCHBERG.
te sur un réflexe adducteur du pied ; par le De R. H1RSCHBERG. Le
réflexe
adducteur du pied consiste dans un mouvement d'ad
hologique et se rencontrerait dans tous les cas où l'on constate le
réflexe
de Babinski. (Revue neurologique, août 1903). E
1903). E. B. II. Quelques nouvelles données sur la physiologie des
réflexes
ten- dineux ; par le professeur Stciierback.
des profondes terminaisons des nerfs mises en jeu pendant l'acte du
réflexe
rotulien. En même temps, les expériences citées
t des fléchisseurs. On s'expliquerait ainsi pourquoi la plupart des
réflexes
des membres inférieurs se passent dans le domai
s supérieurs, de l'asynergie cérébel- leuse et de l'exagération des
réflexes
tendineux. Il s'y joint : une céphalée occipita
ffit de se souvenir du mécanisme de l'éternuement. D'ailleurs les
réflexes
en série qui répondent aux excitations afférent
iculaires de la langue, parésie du facial inférieur droit. Tous les
réflexes
tendineux étaient exa- gérés, sans clonus net,
S. 85 des phénomènes de lésion des nerfs périphériques (manque de
réflexes
patellaires, douleur à la pression de certains tr
debout, ses jambes fléchissent tout de suite et il tombe. Point de
réflexes
pateliaires. Une dyspnée. Une salivation exagér
e 1 centimètre 1/2, mais elle apparaît à la seule inspection. Les
réflexes
sont diminués ou abolis au prorata de l'atro- p
les muscles innervés par les sciatiques poplités externes. ' Les
réflexes
rotuliens présentaient une légère exagération,
rophie musculaire superposable à la paralysie, en une abolition des
réflexes
tendineux en rapport avec l'amyotrophie, dans l
des membres inférieurs, nous n'avons pas constaté d'exagération des
réflexes
tendineux, pas plus qu'aucun signe despasmodici
occipito-pariétates joueraient très probablement le rôle de centres
réflexes
contrairement à la zone de la région motrice- D
KERAVAL. ( XXXII. Nouveaux éléments relatifs à la physiologie des
réflexes
profonds; par A.-K. Sciitsciiemiak. (Obozrénié
irhialtii, VII, 1902.) Nouvelles contributions à la physiologie des
réflexes
ten- dieux : par le même. (Neurolog. Centrulb.
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 157 vibrations du diapason sur le
réflexe
du genou chez 4fi lapins. L'application locale
l'extrémité en question. On obtient une exagération unilatérale du
réflexe
du genou, du clonus de cette articulation, à la p
rminaisons nerveuses profondes qui sont mises en action pendant les
réflexes
. Les expériences sont en faveur de l'opinion qu
chargeraient artificiellement de l'énergie ner- veuse les appareils
réflexes
et que la décharge dont elles sont également l'
rations locales, on obtient l'exagération unilatérale permanente du
réflexe
du genou, mais non le clonus ni le tremblement
al, ni sur le tonus muscu- laiie. Malgré l'exagération évidente des
réflexes
tendineux, le clo- nus du genou, la tonicité de
tion de l'éréthisme devenu continu et ferme. P. KERAVAL. XXXV. Du
réflexe
sous-épineux, réflexe de l'extrémité supérieure
venu continu et ferme. P. KERAVAL. XXXV. Du réflexe sous-épineux,
réflexe
de l'extrémité supérieure de l'homme, inconnu j
extrémité supérieure de l'homme, inconnu jusqu'ici; par Steiner. Du
réflexe
sous-épi- neux, par W. Pickett. Réplique à W. P
t; par Steiner. (Neu- 1'olog, Cenlralblalt. 18. 24. XXI. 1902.) Des
réflexes
sous-scapu- laire et pectoral; par \\ ? \1. Bec
nsion, de l'avant-bras (coaction du triceps bra- chial). Tel est le
réflexe
du muscle sous-épineux. Il faut frapper non où
pièce de 5 marks. La description pré- cédente indique que c'est un
réflexe
d'autant qu'il est exagéré d'un seul côté dans
ésions anatomiques cérébrales et spino- cervicales. Ce n'est pas un
réflexe
mécanique. Il existe constant. ment à l'état no
nt que la voie centripète est le nerf musculaire sen- sible, que le
réflexe
est musculaire. Les aponévroses n'y sont pour r
s 8 ans au maximum, il ne manquait jamais. 11 faut en distinguer le
réflexe
deltoïdien produit par la percussion des partie
e du tronc ou s'élève. , William Pickett revendique la paternité du
réflexe
sous-epiueux. (voy. On the scapulo-humeral refl
vu l'effet moteur du sous-épineux, mais vous n'avez pas dé- celé le
réflexe
clinique dont la nature a été élucidée par mes
à la cocaïne. ° M. Bechterew indique que dans ses recherches sur le
réflexe
sca- pulo-huméral il a attiré l'attention sur l
éflexe sca- pulo-huméral il a attiré l'attention sur la contraction
réflexe
du sous-épineux, etc.,etc. Est-ce un réflexe se
ion sur la contraction réflexe du sous-épineux, etc.,etc. Est-ce un
réflexe
semblable aux autres réflexes cérébro-spinaux ?
e du sous-épineux, etc.,etc. Est-ce un réflexe semblable aux autres
réflexes
cérébro-spinaux ? La contraction dépend-elle de
hologiques. Sa recherche peut être utile clini- quement. Un autre
réflexe
très important est celui du tendon du grand pec
pro- voque la contraction de lapo1'lion intérieure du deltoide. Le
réflexe
du pectoral, fort constant chez les gens bien p
t chez les gens bien portants, s'exagère de concert avec les autres
réflexes
dans toutes les affections cérébrales et dans l
ition anatomique du noyau du pectoral indique la localisation de ce
réflexe
dans la région des segments cervicaux 4-7. P. K
ée segmentaire du bras droit et de la jambe gauche, exagération des
réflexes
tendineux, et signe de Babinski à gauche, ongle
'hystérie ; les amyotrophies peuvent se classer parmi les atrophies
réflexes
par lésion articulaire. Sclérose en plaques che
t pas été soumis à la dégénéres- cence complète. L'exagération des'
réflexes
tendineux, du triceps et du biceps du côté gauc
des membres inférieurs sont normaux et la nutrition suffisante. Les
réflexes
patillaires et ceux du tendon d'Achille sont tr
deux côtés. Point de clonus. La sensibilité n'est pas troublée. Les
réflexes
cutanés sont assex vifs et égaux des deux côtés
trales. Une faiblesse, peu signifiante, des membres supérieurs. Les
réflexes
tendineux sont exagérés, les réflexes plantaire
des membres supérieurs. Les réflexes tendineux sont exagérés, les
réflexes
plantaires vifs. La conscience de la personnalité
om- plete inférieure jusqu'à'la région de la clavicule; manque de
réflexes
superficiels et des réflexes profonds dans tous l
à'la région de la clavicule; manque de réflexes superficiels et des
réflexes
profonds dans tous les mem- bres. Affaiblisseme
quents. Presque tous les auteurs ont constaté une exagé- ration des
réflexes
tendineux chez les sujets en état de stupeur ou
z les sujets en état de stupeur ou de demi-stupeur. Par contre, les
réflexes
cutanés ont été trouvés faibles ou abolis dans
les ou abolis dans la moitié environ des cas. Il en est de même des
réflexes
lumineux et accommodateurs de la pupille. La pupi
cengestion et d'anémie de la papille. Puis vien- nent les troubles
réflexes
: exagération des réflexes tendineux, diminutio
la papille. Puis vien- nent les troubles réflexes : exagération des
réflexes
tendineux, diminution de réflexes cutanés, vari
oubles réflexes : exagération des réflexes tendineux, diminution de
réflexes
cutanés, variabilité de l'état moyen de la pupi
régulateurs de l'état du som- meil, de la tonicité générale et des
réflexes
; les centres myosthé- niques, angiosthéniques,
ades à la piqûre au contact, à la température, sont accompagnées de
réflexes
dont le plus fréquent (75 à 78 p. 100 des cas)
es dont le plus fréquent (75 à 78 p. 100 des cas) est le clignement
réflexe
, puis viennent le larmoiement réflexe (47 p. 10
00 des cas) est le clignement réflexe, puis viennent le larmoiement
réflexe
(47 p. 100) et l'injection blé- pharo conjoncti
une douleur vive, très spéciale, rapidement accompagnée de tous les
réflexes
de défense (clignement, larmoiement, etc.). Mai
flectivité dans l'hystérie. M. CROCQ (de Bruxelles). L'examen des
réflexes
est considéré comme peu important dans le diagn
e peu important dans le diagnostic de l'hystérie ; l'aboli- tion du
réflexe
pharyngien, que l'on considérait comme presque
Après avoir rappelé l'état de nos connaissances actuelles sur les
réflexes
plantaires normaux (réflexes en flexion ou réflex
de nos connaissances actuelles sur les réflexes plantaires normaux (
réflexes
en flexion ou réflexe plan- taire cortical ; ré
tuelles sur les réflexes plantaires normaux (réflexes en flexion ou
réflexe
plan- taire cortical ; réflexe du fascia lala (
ires normaux (réflexes en flexion ou réflexe plan- taire cortical ;
réflexe
du fascia lala (BRISSAUD) ou réflexe plan- tair
réflexe plan- taire cortical ; réflexe du fascia lala (BRISSAUD) ou
réflexe
plan- taire médullaire ; réflexe plantaire défe
flexe du fascia lala (BRISSAUD) ou réflexe plan- taire médullaire ;
réflexe
plantaire défensif) et les réflexes plantaires
réflexe plan- taire médullaire ; réflexe plantaire défensif) et les
réflexes
plantaires pathologiques (phénomènes des orteil
as d'hystérie, choisis parmi les plus typiques. 1° L'abolition du
réflexe
pharyngien est fréquente dans l'hystérie (73 p.
propre à établir le diagnostic d'hystérie ; 2° L'exagération des
réflexes
tendineux (79 p. 100), plus fré- quente que l'a
réflexes tendineux (79 p. 100), plus fré- quente que l'abolition du
réflexe
pharyngien, constitue un signe au moins aussi p
ue un symptôme digne de remarque ; . 4° L'abolition simultanée du
réflexe
plantaire cortical ou réflexe en flexion et du
rque ; . 4° L'abolition simultanée du réflexe plantaire cortical ou
réflexe
en flexion et du réflexe plantaire médullaire o
imultanée du réflexe plantaire cortical ou réflexe en flexion et du
réflexe
plantaire médullaire ou réflexe du fascia lata
ortical ou réflexe en flexion et du réflexe plantaire médullaire ou
réflexe
du fascia lata est très fréquente (59 p. 100) :
(57,14 p. 100) ; Nous donnons à l'abolition simultanée de ces deux
réflexes
le nom de phénomène plantaire combiné. Ces ré
e de ces deux réflexes le nom de phénomène plantaire combiné. Ces
réflexes
étant d'une constance remarquable à l'état normal
de même que l'anesthésie plantaire peut exister sans altération des
réflexes
(35,56 p. 100) ; - 6° Le réflexe plantaire prof
eut exister sans altération des réflexes (35,56 p. 100) ; - 6° Le
réflexe
plantaire profond est souvent exagéré dans l'hys-
Ses modifications ne sont pas parallèles à celles des deux autres
réflexes
plantaires normaux : si, en effet, son abolition
vation (33,90 p. 100) ou même, avec l'exagération (22,03 p. 100) du
réflexe
plantaire profond ; 7° Le réflexe abdominal p
l'exagération (22,03 p. 100) du réflexe plantaire profond ; 7° Le
réflexe
abdominal présente des variations inconstantes :
nul dans les anesthésies ; 9° Nous n'avons jamais observé le vrai
réflexe
de Babinski en extension dans nos cas typiques
SAVANTES. 263 aussi importante que celle que l'on doit attribuer au
réflexe
des orteils en extension. L'7 ? t<Mca<t
nds ordres étiologiques principaux suivant qu'ils sont : A) D'ordre
réflexe
douloureux ou non doulou- l'eux; B) D'ordre org
ux, troubles de la 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. motilité, de l'activité
réflexe
, de la sensibilité, troubles trophi- ques et va
elle a peine à marcher, qu'elle steppe, son pouls est fréquent, ses
réflexes
abolis, la pression des masses mus- culaires n'
t jambes) avec parésie marquée et steppage. Il a de l'abolition des
réflexes
rotuliens et une série de phénomènes qui font p
bulbaires et cérébro-spinales sont abolies, elle en est réduite aux
réflexes
élémentaires. Et c'est parcequ'elle n'a plus au
en pareils cas, l'état de la sensibilité, des organes des sens, des
réflexes
, qui parfois permet de découvrir l'hystérie. 8°
s fibres acoustiques de Monakow. - P. KERAVAL. LI. De l'absence des
réflexes
patellaires en un cas de myélite dorsale par co
au du cinquième segment dorsal depuis 4 mois au moins. Au début les
réflexes
étaient exagérés. Ils disparurent complètement
cation générale de l'organisme : en ' effet, à l'époque où déjà les
réflexes
étaient absents il n'existait pas de tuberculos
récente, incomplète, s'accompagne cependant de la dispa- rition des
réflexes
tendineux patellaires, faire une ponction lombair
en ; par W. de Bechterew. (06oré- nié psichiatrii, VII, 1902.) - Du
réflexe
carpométacarpien, par le même. (Neurolog. Centr
Centralblatl, XXII, 1903.) Même article en russe et en allemand. Ce
réflexe
s'observe surtout dans les cas d'hémiparésie, d
n de toutes les phalanges, sauf du pouce. Quand l'hyperexcitabilité
réflexe
ést très exagérée, ce même mou- vement de flexi
arties de la main, entre autres, des tendons des fléchisseurs. Ce
réflexe
carpométacarpien provient de la transmission de
eurs des pha- langes digitales, entre autres aux interosseux. L'arc
réflexe
correspondant occupe le niveau de la première r
région du carpe et de la partie limitrophe du métacarpe en fait un
réflexe
périostiqne et non cutané. P. 1ERA\'dL. REVUE
l'atrophie avec raccourcissement et raideur de la jambe gauche : le
réflexe
patellaire y est très exa- géré, il existe du c
DE PATHOLOGIE MENTALE. simultanéité des contractions. L'absence des
réflexes
patellaires tient à ce que la myoclonie est gre
lysie générale, qui s'accompagne très souvent de disparition de ces
réflexes
. Silvestrini a du reste décrit un cas de myoclo
es. Silvestrini a du reste décrit un cas de myoclonie pure où les
réflexes
palellaires faisaient défaut. Les convulsions m
s auteurs ont encore voulu expliquer la neurasthénie par une action
réflexe
d'origine castro-intestinale (Leven), par les t
on la soutient ; si non elle a de la tendance à tomber en arrière.
Réflexes
augmentés. L'examen ophtalmoscopique montre de
rendre de la main et l'on est obligé de la nourrir à la cuiller. Le
réflexe
de la déglutition Archives, 2» série, t. XVIII.
eut alors de l'incontinence des urines et des matièles fécales. Le
réflexe
de la déglutition était cependant conservé et l
on du carpe. Membre- inférieur droit parésié, oedématié. Phénomènes
réflexes
augmentés. Clonus du pied. Signe de Romberg pos
lade d'y loger momentanément ce qu'il ne peut ava- ler de suite. Le
réflexe
pharyngien est aboli. L'estomac fait une légère
ervelet est demeurée sans résultat. Celle du sciatique a par action
réflexe
fait vivement contracter l'utérus. Celle du bou
s de groupes musculaires isolés, ou si elle actionne, par mécanisme
réflexe
, les centres corticaux. Mais nos connaissances
us l'action directe de ces centres sous-corticaux ou par excitation
réflexe
des centres corticaux.. Il y a lieu de croire à
lexe des centres corticaux.. Il y a lieu de croire à l'intervention
réflexe
de l'écorce dans la généralisation des convulsi
ernatives aient eu le temps d'évoluer. C - , G. D. LXXXVI. Sur le
réflexe
du fascia lata; par MM. DtûE et C¡OENAI5. (Jour
I5. (Journ. de Neurologie, 1902, n° 14.) De l'examen de l'état du
réflexe
du fascia lata dans 12 cas de lésions du cervea
bien nettes. Les particularités dignes d'être notées, c'est que le
réflexe
du fascia lata était aboli dans deux cas de com
lésions du faisceau moteur seul n'exercent sur la-production de ce
réflexe
qu'une influence assez restreinte se traduisent
les lésions destructives du faisceau sensoriel peuvent anéantir ce
réflexe
et enfin que la corticalité comprimée peut exerce
récoce, les auteurs ont constaté une diminution ou une abolition du
réflexe
du fascia lata avec conservation des réflexes c
on ou une abolition du réflexe du fascia lata avec conservation des
réflexes
cutanés, c'est-à-dire un syndrome qui serait l'
ans les affec- tions aussi bien corticales que cérébro-spinales, le
réflexe
du fascia lata suit une marche tout à fait para
s signes objectifs frustes de l'angoisse, ne sont pas des angoisses
réflexes
où le bulbe seul est intéressé. Les localisatio
sie à la face interne du bras et de l'avant-bras avec diminution du
réflexe
cutané plantaire, et dans le troisième une hypo
ensibilité y est diminuée au tact, à la température, à la douleur.-
Réflexe
rotulien exagéré; trépidation spinale. Réflexe
ture, à la douleur.- Réflexe rotulien exagéré; trépidation spinale.
Réflexe
de Babinski en extension. La marche se fait pres-
ique habituel : hypertonie musculaire, contracture, exagération des
réflexes
rotuliens, souvent trépida- tion épileptoïde et
iens, souvent trépida- tion épileptoïde et clonus de la rotule. Les
réflexes
cutanés sont souvent normaux; signe de Babinski
(contracture douloureuse des adduc- teurs) et de l'exagération des
réflexes
. Les auteurs pensent que l'hypothèse la plus vr
les divers malades observés et l'exagé- ration si marquée de leurs
réflexes
. G. C. LXIV. Gigantisme et acromégalie ; par LA
ant jusqu'à trois travers de doigt au-dessus du sein; abolition des
réflexes
cutanés et tendineux, incontinence des matières
pupillaire. A droite, ptosis et strabisme divergent. Abolition des
réflexes
pupillaires, rotuliens et plantaires. Troubles
d'erreur auxquelles 1'lippus peut donner lieu dans la recherche du
réflexe
lumineux. M. HASKOYEK (de Prague), dans une com
mme, par TABLE DES MATIÈRES. 533 Parhon et Goldstein, 280. Voir
Réflexes
. IOI'WCI ! RO[ \TOPS¡¡; et achromatop- sie, p
logique de la aigu ëdifftisel par Weill et Gallavardin, 65 - Voir
Réflexes
. Une observation de apoplectique, parFlatau,344
Voir Maladie de -. ]\ÜLECTI\ 1111. Voir Phénomène plan- laire.
Réflexe
. Note sur un - adducteur du pied, par Kirschber
que la con- tracture est due à l'exagération du tonus. Le centre du
réflexe
tonus est dans les cellules des cornes antérieu
rnes antérieures de la substance grise. Les voies centripètes de ce
réflexe
sont les prolongements cellulifuges des neurone
protubérance. L'écorce cérébrale a certainement une action sur les
réflexes
et sur le tonus; mais les réflexes complexes co
certainement une action sur les réflexes et sur le tonus; mais les
réflexes
complexes comme le tonus ont un centre régulate
it distinct du centre volontaire, . comme il est distinct du centre
réflexe
simple inférieur (médul- laire), et c'est ce ce
s'il ne s'y trouve pas quelque lésion en activité. Percutez leurs
réflexes
rotuliens, il vous arrivera plus souvent que vous
Ch.-K.). Some points of spécial inleresl in the study of Ihe deep.s
réflexes
of Ihe Lotuer extrcmilies. Brochure in-4° de 30 p
ont normaux. La luette est un peu déviée à droite. Les mouvements
réflexes
peuvent être considérés comme nor- maux des~deu
semblent relativement affaiblis à gauche : l'examen a porté sur les
réflexes
plantaire, abdominal, crémastérien, rotulien, c
s atrophiés qu'arrêtés dans leur accroissement, la conservation des
réflexes
, la répartition rigoureusement unilatérale des
s ; ils évoluent alors en vertu des associations habituelles; leurs
réflexes
parfois bien combinés, bien synthétisés, sont pro
eurs, pré- sentent en outre des nodosités ; ensuite disparition des
réflexes
tendineux, intégrité des organes pelviens, parf
ège dse mouvements convulsifs, tan- dis qu'en dehors des crises, le
réflexe
cutané plantaire était normal. J'ai observé dep
tières fécales, j'ai noté pendant une crise, outre une abolition de
réflexe
anal, le phénomène des orteils des deux côtés,
flexe anal, le phénomène des orteils des deux côtés, tandis que les
réflexes
tendineux ne présentaient pas de modification;
après le début de la crise, la malade ayant repris connaissance, le
réflexe
anal avait reparu et le réflexe cutané plantair
alade ayant repris connaissance, le réflexe anal avait reparu et le
réflexe
cutané plantaire était redevenu normal. J'ai ob
ets à des crises d'épilepsie dite idiopathique, et chez lesquels le
réflexe
cutané plantaire était normal en dehors des cri
tantôt bilatéral; il est parfois accompagné de l'exagération des
réflexes
tendineux et de trépidation épileptoide du pied,
et de trépidation épileptoide du pied, ainsi que de l'abolition du
réflexe
anal.' SOCIÉTÉS SAVANTES. -157 Dans l'hystéri
la constatation de ce signe pendant une crise chez un sujet dont le
réflexe
cutané plantaire est normal en dehors des crises,
ie com- plète : perte absolue de la motilité, de la sensibilité des
réflexes
dans les membres inférieurs; un tt aumatisme, c
ou exclusivement sensitifs, a vécu. Il n'y a plus que des centres
réflexes
(Exner) ou si l'on préfère des centres sensillv
ent établie la doctrine qui fait des centres corticaux, des centres
réflexes
ou sensitivo-moteurs. De même que les centres m
IOLOGIE NORMALE DES MOUVEMENTS OCULAIRES Les mouvements oculaires
réflexes
et inconscients, tels que le réflexe irien à la
ES Les mouvements oculaires réflexes et inconscients, tels que le
réflexe
irien à la lumière, ne nous occuperont pas; ils
noyaux gris de la base; l'écorce n'y a aucune part. I. Mouvements
réflexes
conscients involontaires. - L'oeil en tant qu'o
on cristallin accommode. Tous ces mouvements ont été involontaires,
réflexes
, mais conscients 2. Que s'est-il passé au point
Il est bien certain que ces mou- vements ne sont pas le résultat de
réflexes
se passant dans les noyaux de la base ; car ils
l'excitation de la zone inférieure, latéralement par ' Joanny Roux.
Réflexes
rélino-réliniens (arc. d'opht., juin 1898). Le
e aux auteurs qui placent dans les noyaux gris de la base le centre
réflexe
de ces mouvements. \ 3 Ceci pour répondre à ceu
nts. \ 3 Ceci pour répondre à ceux qui prétendraient que le circuit
réflexe
passe du centre visuel cortical aux circonvolut
des yeux ouverts d'un malade ; ils se ferment vivement : le centre
réflexe
a été le lobe occipital. En effet, ce réflexe e
vivement : le centre réflexe a été le lobe occipital. En effet, ce
réflexe
est aboli dans la cécité corticale, conservé dans
ous notre paupière : il pro- voquerà d'abord un clignement purement
réflexe
se passant dans les noyaux de la base; puis, en
examiné jusqu'ici que les mou- vements manifestement involontaires,
réflexes
, quoique cons- cients. Les mouvements dits volo
es mouvements dits volontaires ne sunt eux aussi que des mouvements
réflexes
, mais plus compliqués. Au point de vue psycholo
u point de vue psychologique, ils se distinguent des mouve- ments
réflexes
automatiques parce que : 1° ils sont précédés d
. A quoi cela répond-il au point de vue psychologique ? A un simple
réflexe
: excitation du nerf sen- soriel, conduction à
r Charcot et Pitres, 1 Cette bougie, par contre, provoque encore le
réflexe
irien lumineux, bien différent du réflexe, irie
ontre, provoque encore le réflexe irien lumineux, bien différent du
réflexe
, irien de la vision rapprochée (V. Dr J. Roux,
occipital comme centre de réflexion. C'est d'abord le clignement
réflexe
produit par une vive lumière; il est aboli dans
nt en même temps que la cécité corticale l'abolition des mouvements
réflexes
conscients étudiés plus haut (mouvement réflexe
ion des mouvements réflexes conscients étudiés plus haut (mouvement
réflexe
de-latéralité, convergence, contraction irienne
ision rapprochée, accommodation) avec conser- vation des mouvements
réflexes
inconscients (réflexe irien à la lumière, clign
modation) avec conser- vation des mouvements réflexes inconscients (
réflexe
irien à la lumière, clignement produit par la s
que sur les mouvements volontaires avec conservation des mouvements
réflexes
». « La malade, dont l'intel- lect et la volont
Par contre, de temps à autre, involontairement, sous une influence
réflexe
probablement, sont obtenus quelques mouvements pe
e ne peut pas fermer volontairement les paupières, mais l'occlusion
réflexe
se produit » . A l'autopsie : « Dans l'hémisphè
sur les mouvements volon- taires, avec conservation des mouvements
réflexes
». La malade qui « ne peut mouvoir volontaireme
e cependant « de temps à autre, involontairement sous une influence
réflexe
probablement quelques mouvements peu accusés de
es et limi- tés. Les mouvements des muscles jugaux sont abolis. Les
réflexes
de la luette et du voile palais sont conservés,
ression des mouvements volontaires avec conservation des mouvements
réflexes
. Là encore il faut admettre une suppression des
rôle de ceux-ci pour qu'on ne nous objecte pas que ce cli- gnement
réflexe
avait son siège dans les noyaux de la base : no
siège dans les noyaux de la base : nous'avons vu que ce clignement
réflexe
était supprimé quand le centre postérieur était
nor- male que nous avons laissé dans l'ombre. Tout mouvement est
réflexe
, avons-nous dit : le mouvement dit volontaire e
POPLEXIE PROGRESSIVE. 199 paupières avec conservation de mouvements
réflexes
coor- donnés, adaptés et conscients. Ces mouvem
niveau du membre supérieur qu'au niveau du membre infé- rieur. Les
réflexes
tendineux sont exagérés. Pas de contractures. T
complètement paralysé, la jambe restant un peu moins atteinte. Les
réflexes
demeurent exagérés. Pas de contractures. Tempér
n point intéressant et des plus nets, c'est l'exagération nette des
réflexes
des deux côtés, surtout des réflexes rotuliens.
c'est l'exagération nette des réflexes des deux côtés, surtout des
réflexes
rotuliens. Pouls 120, température axillaire 38°
ysie flasque totale à gauche ; la con- tracture a diminué à droite.
Réflexes
rotuliens encore exagérés des deux côtés mais u
dans le côté paralysé. Dans la plupart des observations l'état des
réflexes
n'a pas été noté ; dans les cas où on les a rec
le qui s'applique au maintien de l'équilibre c'est-à-dire un centre
réflexe
de l'équilibre » (Thomas). Pour contribuer à éc
l'oreille moyenne, rien, sauf une légère sclérose des deux tympans.
Réflexes
patellaires, achilléens et cubital, normaux. Au
agisse de la transmission par l'air ou par les os. Conservation des
réflexes
patellaires, achilléens, du coude ; à droite ab
es réflexes patellaires, achilléens, du coude ; à droite absence du
réflexe
radial. Pas de signe de Romberg ; elle se tient
- nution de la force musculaiie du côté gauche du corps. fous les
réflexes
sont exagérés. Signe de Romberg extrêmement marqu
abaissée. La sensibilité, réaction électrique sont normales, les
réflexes
exagérés. Les dstocies et les naissances avant te
ce, tendances agressives, gâtisme et insomnie; émaciation; perte du
réflexe
lumineux des pupilles; parésie du muscle droit
L'existence de ces lésions donne l'explication des troubles nerveux
réflexes
pour lesquels il est poursuivi. A certains mome
; dès lors, on ne saurait guère le rendie responsable d'impulsions
réflexes
irrésistibles. Le traitement devra être doublé ;
stème nerveux. Ganault (Ernest). Contribution à l'élude de quelques
réflexes
dans l'hémiplégie d'origine organique. Gau- che
elles. Giacometti (Jean). Valeur séméiologique de l'exagération des
réflexes
dans le mal de Pott. 1 Iscovescu (Maurice). C
rvée tout en étant notablement diminuée par rapport au côté sain.
Réflexes
. Normaux à gauche, ils sont légèrement exagérés a
he, ils sont légèrement exagérés a droite pour le membre inférieur (
réflexe
plantaire et rotulien). Au membre supérieur dro
ieur (réflexe plantaire et rotulien). Au membre supérieur droit, le
réflexe
des radiaux est très net. Phénomène des orteils
use est la constatation capitale en même temps que l'exagération du
réflexe
moteur par rapport à ce qui se passe du côté op
rs admettre la théorie de Yllüâer : « l'écoulement menstruel est un
réflexe
provoqué par l'excitation des extrémités termin
te action réagi- rait sur les centres nerveux et amènerait par voie
réflexe
la congestion des organes génitaux. » L'hémorra
a congestion des organes génitaux. » L'hémorragie serait due à un
réflexe
, dont l'origine serait la distension périodique d
Schiff place dans la protubé- rance et les pédoncules cérébraux. Le
réflexe
se produirait alors, qui, par les voies descend
es états psychiques, nous observons toujours une modi- fication des
réflexes
de l'innervation des vaisseaux ; ils sont tantô
antôt exagérés, tantôt abolis, et les rougeurs émotives, les sueurs
réflexes
, l'angoisse précordiale sont tantôt supprimées,
rait soit suppression du IDIOTIE CONGÉNITALE ET HYPOSPADIAS. 291'
réflexe
de la vaso-dilatation par inhibition, soit exagér
réflexe de la vaso-dilatation par inhibition, soit exagération du
réflexe
contraire de la vaso-constriction. Cette théori
tirerons la conclusion suivante : l'hémorragie mens- truelle est un
réflexe
, dont le point de départ réside dans les nerfs
a plupart des modifications psychiques ont une répercussion sur les
réflexes
, tantôt pour les produire, tantôt pour les empê
tantôt pour les empêcher. Pourquoi n'admettrions-nous pas que le
réflexe
menstruel est identique à celui de l'angoisse p
ssée ; les mouvements s'accomplissent avec assez de souplesse ; les
réflexes
sont nor- maux. Pas de troubles sensoriels. Dém
de La Biva l'absence du signe de Bechtereew (perte de l'expression
réflexe
des émotions dans la face du côté opposé à la l
un certain nombre 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de symptômes (
réflexes
du genou, anesthésies, contractures). Il insist
rouble trophique, rappelle à l'auteur une obser- vation de psychose
réflexe
issue d'une cicatrice très gonflée, et douloure
sée par : 1° de l'ataxie sta- tique et locomotrice, 2° l'absence de
réflexes
patellaires et achil- léens, 3° l'intégrité de
née, 4° des troubles dans la notion de position, 5° l'intégrité des
réflexes
vésicaux et rectaux, 6° du nystagmus, '7° un lé
éléré. Pas de tremblement; titubation, conservation de l'équilibre.
Réflexes
patellaires très 32G 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENT
éflexes patellaires très 32G 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. vifs,
réflexes
abdominaux et crémastériens faibles. Bien de cer-
es membres et du tronc sans H, D.; intégrité de la sensibilité, des
réflexes
rotuliens et des organes pelviens (les autres réf
ibilité, des réflexes rotuliens et des organes pelviens (les autres
réflexes
sont affaiblis), la température est normale. Ap
l'accident paraplégie inférieure complète, douleurs, abolition des
réflexes
rotuliens ; intégrité des sphincters. Au bout d
sauf à la plante du pied gauche où l'anes- thésie est complète. Les
réflexes
rotuliens sont intacts. Les sphinc- ters, touch
nes des deux jambes et aux plantes des pieds. Les sphincters et les
réflexes
rotuliens sont intacts. Diagnostic : Lésion pro
anges terminales des trois derniers doigts de la main gauche. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont exagérés ;
Les réflexes tendineux des membres supérieurs sont exagérés ; le
réflexe
rotulien est très abaissé du côté droit, et exagé
rotulien est très abaissé du côté droit, et exagéré à gauche ; les
réflexes
abdominal et crémastérien sont plus prononcés du
'entrée de la malade, le 8 décembre 1898, on constate l'absence des
réflexes
rotuliens, symptôme de Romberg peu prononcé. La
al. Analgésies de tout le corps, sauf le plan du front. Absence des
réflexes
pharyngés et plantaires. Surdité bilatérale (l'ex
la troisième semaine de l'injection, on observe une exagération des
réflexes
tendineux, surtout de l'arrière-train ; à la fi
in ; à la fin du premier mois et au commen- cement du deuxième, les
réflexes
disparaissent, pour réapparaître au commencemen
de juger de l'état de la sensibilité cutanée qui paraît diminuée.
Réflexes
patellaires abolis, réflexes plantaires conservés
ibilité cutanée qui paraît diminuée. Réflexes patellaires abolis,
réflexes
plantaires conservés; aboli- tion des réflexes
patellaires abolis, réflexes plantaires conservés; aboli- tion des
réflexes
crémastérien et abdominal. Pas d'atrophie des m
est chaude, la figure colorée et couverte de sueurs. Même état des
réflexes
. Le malade a vomi ce matin. La respiration est
ehuchten, la production d'une paraplégie flasque avec abolition des
réflexes
, à la suite d'une compression médul- laire, est
ces fibres produit la paraplégie spasmo- dique avec exagération des
réflexes
(fer degré). Quand la compres- sion augmente, e
re et de la moelle allongée, la para- plégie devient flasque et les
réflexes
tandineux sont abolis (2° degré). Si la compres
t moteurs. Le ganglion de l'isthme devient ainsi le centre d'un arc
réflexe
dont la branche afférente (tractus isthmotectal
tie absolue du même côté avec destruc- tion des sensibilités et des
réflexes
et diminution à droite. Coma et mort onze jours
MUSCULAIRE. 463 des mouvements volontaires et aussi des mouvements
réflexes
des membres toutes les fois que la contraction
s comme aussi pro- bablement ceux du nouveau-né sont des mouvements
réflexes
. Or, dit Claparède, pour passer du mouvement ré
es mouvements réflexes. Or, dit Claparède, pour passer du mouvement
réflexe
au mouvement volontaire on tourne dans un cercl
est point tout à fait ainsi. Sans doute il peut y avoir mou- vement
réflexe
en dehors de toute conscience, mais chez l'indivi
ors de toute conscience, mais chez l'individu normal les mouvements
réflexes
des membres donnent lieu à une représentation c
f que Claparède admet après Wundt et qui participerait à la fois du
réflexe
, car il ne pourrait être déterminé que d'une ma
ments du foetus sont certainement inconscients, mais les mouvements
réflexes
du nouveau-né donnent déjà lieu à des images mo
men avait donné les résultats suivants : (mai 1894). Abolition du
réflexe
rotulien (signe de Westphal). Impossibilité de
tenir debout les yeux fermés (signe de Rom- berg). Disparition du
réflexe
à la lumière et conservation du réflexe à l'acc
om- berg). Disparition du réflexe à la lumière et conservation du
réflexe
à l'accommodation (signe d'Argyll Robertson).
de vue des symptômes tabétiques nous notons : Absence complète des
réflexes
du genou, du tendon d'Achille. du coude et du p
tandis que leurs muscles étaient un peu atrophiés. Persistance des
réflexes
des muscles des bras, mais disparition des réfl
Persistance des réflexes des muscles des bras, mais disparition des
réflexes
patellaires. Kien du côté de la ~ vessie et du
e sensibilité à la douleur, par compression des mnscles; absence de
réflexes
patellaires ; atteinte des nerfs sensitifs et m
a luette à gauche; plaques d'analgésie disséminées; exagération des
réflexes
patellaires. Pas d'accidents cérébraux généraux
atteint à cause des phéno- mènes parétiques et de l'exagération des
réflexes
tendineux à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 495
nt le sciatique est particulièrement sensible ; de l'épuisement des
réflexes
tendineux patellaires; de l'hypoesthésie cutané
a diminué dans les ex- trémités, mais elle présente des variations.
Réflexes
tout à fait normaux. C'est tout au plus si, pen
de la déglutition paralysie flasque des deux jambes faiblesse des
réflexes
patellaires d'ailleurs égaux absence de réflexes
mbes faiblesse des réflexes patellaires d'ailleurs égaux absence de
réflexes
cutanés paralysie du bras droit et du bras gauc
as droit et du bras gauche (celui-ci est moins atteint) absence des
réflexes
du triceps brachial. Tous les mus- cles réagiss
te penche un peu à droite; paralysie flasque des deux bras ; pas de
réflexes
patellaires ; l'attention est difficile à conce
gestion. BIBLIOGRAPHIE. XIII. Education des dégénérés supérieurs.
Réflexe
de l'obéissance; par H. Thulié. (Revue de l'Eco
rable que sa' méthode fût généralisée. Un instinct étant une action
réflexe
plus ou moins compliquée, à laquelle la cons- c
aut décomposer l'instinct qu'on veut créer en en faisant d'abord un
réflexe
conscient; puis en multipliant la répétition de
de moins en moins nette, et finalement dis- parait. A ce moment le
réflexe
est absolument instinctif : c'est un véritable
es les circonstances de la vie, à l'école comme dans la société, le
réflexe
de l'obéissance le sou- mettra aux lois. M. Thu
e, signe d'Argyll, trémulation de^la langue, des lèvres, des mains;
réflexes
rotu- liens abolis, signe de Homberg ; paralysi
de la langue, accrocs de la parole; inégalité pupillaire ; Argyll ;
réflexes
tendineux légèrement exagérés. Cet état persist
embarras de la parole, pas de signes pupillaires, pas de troubles des
réflexes
. Attitudes cataleptiformes. Les membres conserv
Parole suspecte, traînante. Légère inégalité pupillaire D > G ;
réflexe
lu- mineux conservé à gauche ; plus lent et moi
gne d'Argyll ; tremblement de la langue. des mains, de l'écriture ;
réflexes
tendineux normaux. La démence s'accentue rapide
sses de la face ; nombreux accrocs* de la parole ; signe d'Argyll ;
réflexes
tendineux plutôt exagérés ; troubles de l'écrit
ce complète de sa situation. Inégalité pupillaire, signe d'Argyll ;
réflexes
tendineux normaux ; tremblement de la langue et
avait aucune anesthésie, aucun trouble des . sphincters et que les
réflexes
étaient conservés. Pour elle, il n'y avait aucune
cun trouble de la sensibilité ob- jective cutanée et profonde ; les
réflexes
rotuliens, appréciables aujourd'hui, sont norma
férieurs sont indemnes de tout trouble paralytique ou atrophique.
Réflexes
patellaires normaux. Pas de troubles sphinctérien
rillaires, l'intégrité de la sensibilité cutanée, l'état normal des
réflexes
rotuliens semblaient légitimer ce diagnostic. L
très légère à évolution lente el progressive, avec exagération des
réflexes
rotuliens et signe de Babinski; un type ataxo-spa
et qui tiennent plutôt du tremblement intentionnel que de l'ataxie.
Réflexes
rotuliens très forts. Pas de clonus du pied net.
l'ataxie. Réflexes rotuliens très forts. Pas de clonus du pied net.
Réflexes
cutanés plantaires en flexion. Les pupilles réa
du plan du lit. ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 69
Réflexes
rotuliens exagérés, avec réflexe contralatéral tr
VE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 69 Réflexes rotuliens exagérés, avec
réflexe
contralatéral très marqué des deux côtés ; pas
e contralatéral très marqué des deux côtés ; pas de clonus du pied.
Réflexe
cutané plantaire en extension des deux côtés. R
onus du pied. Réflexe cutané plantaire en extension des deux côtés.
Réflexes
tendineux des membres supérieurs pas exagérés. Ré
deux côtés. Réflexes tendineux des membres supérieurs pas exagérés.
Réflexe
pupillaire à la lumière et à l'accommodation co
qu'à l'état normal. Il n'y a pas d'hypotonie. Pupilles égales.
Réflexe
lumineux conservé des deux côtés. Réflexes rotu
tonie. Pupilles égales. Réflexe lumineux conservé des deux côtés.
Réflexes
rotuliens forts. Pas d'épilepsie spinale. Réflexe
des deux côtés. Réflexes rotuliens forts. Pas d'épilepsie spinale.
Réflexe
cutané plantaire en flexion à droite, en extens
cutané plantaire en flexion à droite, en extension à gauche. Pas de
réflexes
crémastériens. Réflexe abdominal conservé des d
exion à droite, en extension à gauche. Pas de réflexes crémastériens.
Réflexe
abdominal conservé des deux côtés. Pas de tro
. Eu le soutenant et en l'aidant il pouvait faire quelques pas. Les
réflexes
rotuliens étaient toujours forts des deux côtés ;
. Les réflexes rotuliens étaient toujours forts des deux côtés ; le
réflexe
cutané plantaire était en extension aussi à dro
t les malades : il s'agit de traînement et de bredouillement. Les
réflexes
rotuliens sont très forts ; chez deux malades en
liens sont très forts ; chez deux malades en outre (Obs. II-III) le
réflexe
cutané plantaire est en extension des deux côtés.
II) le réflexe cutané plantaire est en extension des deux côtés. Le
réflexe
pupillaire à la lumière et à l'accommodation est
xpliquer la légère spasmodicité dans les membres infé- rieurs et le
réflexe
cutané plantaire en extension. Les auteurs qui
é- rieurs, il existe des phénomènes marqués d'incoordination. Les
réflexes
tendineux rotuliens, achilléens, radiaux, sont ab
ux rotuliens, achilléens, radiaux, sont abolis des deux côtés ; les
réflexes
olécraniens persistent. Les réflexes abdominaux
abolis des deux côtés ; les réflexes olécraniens persistent. Les
réflexes
abdominaux sont conservés à droite et affaiblis à
du tabès, ce sont : les signes d'in- coordination, l'abolition des
réflexes
, les troubles de la sensibilité osseuse, les ph
le ; aucun trouble de coordination des membres, pas de paralysie.
Réflexes
tendineux. Le réflexe du genou est aboli tout à f
oordination des membres, pas de paralysie. Réflexes tendineux. Le
réflexe
du genou est aboli tout à fait à gauche; il est
à droite et ne peut être obtenu que par la manoeuvre de Jendrassik.
Réflexe
achilléen conservé des deux côtés, mais lent à se
ôtés, mais lent à se produire : le « temps perdu » parait augmenté.
Réflexe
olécranien normal. Réflexe massétérin nul des d
re : le « temps perdu » parait augmenté. Réflexe olécranien normal.
Réflexe
massétérin nul des deux côtés. Pas de troubles
la malade présente le signe d'Argyll Robertson,et une abolition du
réflexe
rotulien gauche,avec affaiblissement du côté droi
e ; le pied est celui dont la motilité est le plus compromise. Le
réflexe
rotulien est vif, exagéré et s'accompagne d'une t
ompagne d'une très légère con- traction des adducteurs à gauche. Le
réflexe
cutané plantaire est nettement en extension ave
es muscles est,suivant les points, ou très diminuée ou abolie. Le
réflexe
rotulien est aboli à gauche, mais la percussion d
percussion du tendon rotulien gauche donne naissance à droite à un
réflexe
controlatéral des adducteurs très énergique.
oite à un réflexe controlatéral des adducteurs très énergique. Le
réflexe
cutané plantaire, bien que plus faible qu'à droit
en que plus faible qu'à droite, est aussi en extension nette. Les
réflexes
abdominaux et crémastériens existent des deux côt
- flexe abdominal droit est un peu plus faible que le gauche. Les
réflexes
pupillaires sont conservés. Il n'existe, nulle
e, son réseau myélinique est légè- rement raréfié, les collatérales
réflexes
qui la traversent sont moins nom- breuses. La b
as de paralysie spinale infan- tile d'un seul membre inférieur avec
réflexe
cutané plantaire en extension, dans un cas du m
de l'intelligence et depuis l'âge de 12 ans, attaques d'épilepsie.
Réflexe
du triceps gauche exagéré, réflexe rotulien du
de 12 ans, attaques d'épilepsie. Réflexe du triceps gauche exagéré,
réflexe
rotulien du même côté, très faible. A l'autopsi
3e segment lombaire. On voit que dans ce cas l'extrême faiblesse du
réflexe
rotulien gauche était la seule manifestation cl
iparésie droite (avec légère rigidité muscu- laire, exagération des
réflexes
tendineux), el d'une paralysie flasque loca- li
gûs. La peau du membre inférieur gauche est cyanotiqueet froide. Le
réflexe
achilléen fort à droite, est aboli à gau- che.
supérieur (avec des mouvements choréo-athétosiques, exagération des
réflexes
tendineux, peu ou pas d'atrophie musculaire),;
accide du membre inférieur (avec atrophie musculaire, abolition des
réflexes
tendineux et de la R. D. dans les muscles de la
ure aiguë (atrophie muscu- laire, paralysie flaccide, abolition des
réflexes
rotulien, achilléen et cutané plantaire, abolit
valgus avec flexion dorsale du gros orteil ; exagération légère du
réflexe
rotulien et de l'achilléen, dimi- nution légère
égère du réflexe rotulien et de l'achilléen, dimi- nution légère du
réflexe
cutané plantaire ; pas d'atrophie musculaire, exc
une paralysie des extrémités inférieures, flaccide, avec perte des
réflexes
ro- tuliens. La voix était éteinte, la respirat
te, avec raccourcissement, forte atrophie musculaire, abolition des
réflexes
tendineux, pied équin ; cette paralysie date de C
la rate un peu volumineux. Pas de troubles de la sensibilité ou des
réflexes
. Etat intellectuel normal. Aucun stigmate d'hysté
nt la paupière gauche, la pupille droite se dilate et se contracte (
réflexe
consensuel) ; lorsqu'au contraire on ferme et on
l'ophtalmoscope, on ne constate aucune lésion du fond de l'oeil.
Réflexes
: le réflexe rotulien est très exagéré à droite,
pe, on ne constate aucune lésion du fond de l'oeil. Réflexes : le
réflexe
rotulien est très exagéré à droite, le contra-lat
géré à droite, le contra-latéral fort des deux côtés, ainsi que les
réflexes
du poignet et du coude. Le réflexe crémastérien
t des deux côtés, ainsi que les réflexes du poignet et du coude. Le
réflexe
crémastérien présent à droite, manque à gauche, m
manque à gauche, mais il existe là une grosse hernie inguinale ; le
réflexe
abdominal est présent et normal des deux côtés
le ; le réflexe abdominal est présent et normal des deux côtés ; le
réflexe
cutané plantaire se fait en extension à droite, e
e et immobile à la lumière et à l'accommodation ; perte à gauche du
réflexe
consensuel qui est conservé à droite) ; 3° une
l'accommodation. Mais nous ne savons pas si, pour l'oeil droit, le
réflexe
pupillaire à la lumière pouvait être obtenu par
ique, etqu'on pourrait à toute rigueur objecter que l'abolition des
réflexes
pupillaires et la paralysie de l'accommodation
tteint d'une paralysie flasque et d'une anesthésie complète. Pas de
réflexes
anx membres supérieurs et inférieurs. Le tronc
its expliquent la paralysie des membres supérieurs et l'absence des
réflexes
tendineux. Les vaisseaux de la substance grise
tômes de la paraplégie spasmodique chronique (exaltation énorme des
réflexes
, signe de Babinski, marche spasmodique et quel-
s quatre extrémités et des muscles dors lombaires, abolissement des
réflexes
tendineux, douleurs à la pression des troncs ne
ie des muscles fléchisseurs et extenseurs du tronc, suppression des
réflexes
tendineux, aucun trouble de la sensibilité, légèr
a partie antérieure et moyennede la cuisse gauche ; suppression des
réflexes
tendineux ; sensibilité objective normale en PO
extenseurs du tronc, avec inclinaison en avant, et suppression des
réflexes
tendineux. Trouvant que la recherche de la sens
s se font bien. Nulle part n'existe du tremblement ubrillaire ; les
réflexes
tendineux et périostés du poignet sont nuls, le
aire ; les réflexes tendineux et périostés du poignet sont nuls, le
réflexe
olécrânien est très affaibli, et on ne peut provo
le réflexe olécrânien est très affaibli, et on ne peut provoquer le
réflexe
de Bechterew. Ceinture pelvienne et membres i
tion sont très affaiblies, l'extension et l'abduction normales. Les
réflexes
rotuliens sont abolis ; les achilléens n'ont pu
pu être recherchés l'enfant ne voulant pas relâcher son pied ; les
réflexes
cutanés plantaire et crémastérien sont normaux.
sibilité est normale ; la force musculaire est peu développée ; les
réflexes
patellaires sont forts. La voix est aiguè et en f
peut s'en rendre compte par l'observation à la loupe oculaire. Les
réflexes
à la convergence et à la douleur, ainsi que le ré
ulaire. Les réflexes à la convergence et à la douleur, ainsi que le
réflexe
consensuel; 244 LAFON ET teulières n'existent
ile. La cornée et la con- jonctive ont gardé leur sensibilité et le
réflexe
cornéen est très vif. Le tonus oculaire est nor
la loupe oculaire, une légère contraction d'assez courte durée. Le
réflexe
à l'accommodation existe, mais très faible ; pas
durée. Le réflexe à l'accommodation existe, mais très faible ; pas de
réflexe
à la douleur. Sensibilité cornéenne, conjonctiv
as de réflexe à la douleur. Sensibilité cornéenne, conjonctivale et
réflexe
cornéen normaux. , L'examen de la réfraction à
ue. Acuité visuelle : MYDI\1ASE HYSTÉRIQUE 245 1") marquée. Les
réflexes
cutanés et tendineux sont normaux ; pas de troubl
l'étude qui va suivre, nous ne nous arrêterons pas à la paresse du
réflexe
photo-moteur gauche ; cette paresse n'a pas grand
est égal à celui de la pupille saine dans l'obscurité complète. Les
réflexes
à la lumière et à l'accommodation ont disparu,
flexes à la lumière et à l'accommodation ont disparu, tandis que le
réflexe
cutané serait conservé ( ? ). En outre, souvent
t intense, maximale ; tan- tôt, au contraire, elle est moyenne. Les
réflexes
à la lumière, à la con- vergence et à la douleu
r conséquence la production d'une mydriase maximale, avec perte des
réflexes
. Avant les travaux de Schultze (2), on était ob
du dilatateur de l'iris, d'où légère mydriase avec conservation des
réflexes
; cette dilatation est iden- dique à celle que
sphincter de l'iris produisent une mydriase maximale avec perte des
réflexes
. L'existence de cette dilatation paralytique to
eur, etc... La paralysie de ces filets ne fait qu'interrompre l'arc
réflexe
, mais le sphincter lui- même n'est pas atteint.
opes et les hypermétropes ; mais cette dilatation est légère et les
réflexes
sont conservés. D'autre part le malade a une myop
rtout dans les mouvements d'abduction et d'adduction du pied. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont très vils ; il exist
sans qu'il soit possible d'établir lit une sys- tématisation. Les
réflexes
tendineux et particulièrement le réflexe olécrâni
sys- tématisation. Les réflexes tendineux et particulièrement le
réflexe
olécrânien sont plutôt un peu forts du côté gau
t nésie est normale. ! Les réllexes abdominaux sont absents et le
réflexe
crémastérien affaibli des j deux côtés. Il n'
e la sensibilité au niveau de la cavité buccale et du pharynx ; les
réflexes
du voile du palais et du pharynx sont normaux. ,
résie du membre supérieur droit, -accompagnée d'affaiblissement des
réflexes
. 2° Les troubles sensilifs, en une hémi-hypoest
ion cervicale dorsale. La parésie du bras droit avec diminution des
réflexes
tendineux est une confirmation de l'atteinte im
ibrillaire de la langue. Dynamomètre : main gauche 10 ; droite, 36.
Réflexes
patettaires faibles. A... ne peut marcher que si
e durée. Un examen découvrit dans tous les quatre un haussement des
réflexes
rotuliens, dans deux cas le trouble de la sen-
le. La percussion du crâne ne révèle aucune zone douloureuse. Les
réflexes
rotuliens sont très vifs des deux côtés. A droite
de la pointe du pied amène deux ou trois secousses successives. Le
réflexe
cutané plantaire se fait en flexion de chaque côt
Le réflexe cutané plantaire se fait en flexion de chaque côté. Les
réflexes
cré- TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVO
ES 367 mastériens et abdominaux sont normaux. 11 en est de même des
réflexes
ten- dineux et osseux des membres supérieurs.
la main droite et prend l'habitude de se servir de la gauche. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés, mais plus
siedu côté droit, sans troubles subjectifs de la sensibilité. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Signe de Babinski à droi
alade n'est ni gai ni triste ; il est plus silencieux qu'autrefois.
Réflexes
rotuliens exagérés, plus à droite. Esquisse de cl
ransi- toires. II y avait en effet, chez ce malade, exagération des
réflexes
rotuliens et clonus du pied. Ces signes peuvent
e- ments sont, comme ceux des membres, difficiles et maladroits. Le
réflexe
mas- sétérin est exagéré. Il n'y a pas de paral
ar et sur les muscles interosseux et ex- tenseurs de la main. Les
réflexes
tendineux étaient abolis aux membres supérieurs.
bres inférieurs, il existait une légère parésie avec exagération des
réflexes
tendineux. (1) Chauffais et Griffon, Revue ne
i. En particulier on pourrait faire remarquer que l'exagération des
réflexes
tendineux des membres inférieurs cadre bien ave
ache sont moyennement fournies. Sensibilité générale normale. Les
réflexes
du coude et du poignet existent, ceux du genou fo
t épileptique, d'intelligence nulle, qui avait de l'exagération des
réflexes
, et les deux membres inférieurs en état de para
sens de la vue, tous les sens ont conservé leur intégrité. , Les
réflexes
profonds sont faibles aux membres supérieurs; aux
membres supérieurs; aux membres inférieurs on remarque l'absence du
réflexe
au-dessous et au-dessus de la ro- tule et du ré
e l'absence du réflexe au-dessous et au-dessus de la ro- tule et du
réflexe
achilléen ; on constate, au contraire, la présenc
et du réflexe achilléen ; on constate, au contraire, la présence des
réflexes
superficiels. , L'examen électro-faradique a
moelle in-toto. On remarque souvent dans l'acromégalie l'absence du
réflexe
rotulien ; et cela peut défendre de la compress
us mor- bide des os. Mais dans le cas actuel, outre l'abolition des
réflexes
rotulien et achilléen, nous avons une paralysie
dème d'origine traumatique et dont le mécanisme semble être d'ordre
réflexe
conformément à l'opinion de ce dernier auteur.
dant de toute pertur- bation pyramidale, du moins cliniquement. Les
réflexes
tendineux sont faibles tant aux membres supérie
r lui causent un sup- plice épouvantable et continuel. L'état des
réflexes
tendineux est resté le même ; en effet, les réfle
el. L'état des réflexes tendineux est resté le même ; en effet, les
réflexes
brachiaux, rotuliens sont très faibles, les ach
droite. , La sensibilité cutanée est normale des deux côtés. Les
réflexes
patellaires sont égaux et normaux ; le réflexe cu
des deux côtés. Les réflexes patellaires sont égaux et normaux ; le
réflexe
cubital du côté droit est un peu plus vif que c
ambe à la flexion ou à l'extension, qui s'oppose à la production du
réflexe
. Le tonus musculaire est donc anormal, et cette
soutenu que le phénomène de Charles Bell pouvait être attribué à un
réflexe
causé par la stimulation mécanique produite sur
'exclut pas que le phénomène de Bell soit seulement le produit d'un
réflexe
, mais il peut dépendre aussi d'une innervation
n, c'est-à-dire si le phénomène de Ch. Bell doit être attribué à un
réflexe
ou s'il dérive des centres nerveux supérieurs.
rté à conclure que le phénomène de Charles Bell n'est pas d'origine
réflexe
(col'1léale), mais qu'on doit l'attribuer à des
soit dans celui de v. Michel. Qu'il ne doive pas être attribué à un
réflexe
, nous sommes conduit à le soutenir, en outre de c
oment où l'individu revient à lui, et par conséquent où reparaît le
réflexe
coméal, les yeux reprennent tout de suile leur
leur appuyait notre opinion, le malade vivant, c'est l'existence du
réflexe
tendineux, du clonus du pied, lequel a précédé,
pied, lequel a précédé, puis accompagne les contractures. Quant au
réflexe
du tendon rotulien, on a vu dans l'observation
montré la sta- tistique de 0. Berger. Du reste, l'exagération de ce
réflexe
, qui accompagne d'ordinaire le syndrome cliniqu
tefois, le bras gauche a une tendance à la flexion permanente. Le
réflexe
tendineux du pied, que l'on ne constate pas à dro
trépidation épileptoïde du pied gauche est facilement provoquée; le
réflexe
du genou est exagéré du même côté. 25. Pour la
modifiée que quantitativement, sans réaction de dégénérescence. Les
réflexes
tendineux ne disparaissent en général que quand
araissent en général que quand les muscles sont très atrophiés; les
réflexes
cutanés, la sensibilité générale et spéciale, l
ns fibrillaires, de réaction de dégénérescence, la conservation des
réflexes
tendineux, la lenteur de l'évolution, les antéc
en nette dans la déiiiarche, mais comme une sorte de maladresse. Le
réflexe
du genou manque totalement des deux côtés; le r
aladresse. Le réflexe du genou manque totalement des deux côtés; le
réflexe
plantaire est conservé. Les grandes fonctions v
upilles irrégulières, tremblement de la langue ; écriture tremblée,
réflexes
normaux. L'agitation violente persiste jour et
ar cette affection, du trouble de nutrition de même ori- gine, d'un
réflexe
mental, tel que la crainte de voir s'aggraver les
inalement paralysie complote de la sensibilité, de la motilité, des
réflexes
sur la moitié inférieure du corps jusqu'à l'omb
efois l'extrémité parétique cesse de croître ; presque toujours les
réflexes
tendineux sont exagérés. Il reste fréquemment e
ouillement de la plante des pieds ; jamais il n'y a exagération des
réflexes
tendineux ; assez souvent même les réflexes sont
l n'y a exagération des réflexes tendineux ; assez souvent même les
réflexes
sont manifes- tement diminués. M. Holloender.
sych.), 1877, VIF, 238. . DU TABES COMBINÉ. 161 l'ataxie avec des
réflexes
tendineux exagérés, desparé- sies et des tensio
rémités inférieures, avec ten- sions musculaires et exagération des
réflexes
tendineux, mais aussi ataxie à un haut degré, t
mités supérieures l'ataxie est marquée, mais sans parésie et sans
réflexes
tendineux, légers troubles de la sensibilité et
L. XI. 11 l 163 PATHOLOGIE NERVEUSE. laires et l'exagération des
réflexes
. Il y a aussi des cas où le mélange des deux ty
as jetterait, je crois, une vive' lumière sur le caractère exact du
réflexe
rotulien... Quel est l'état du réflexe rotulien
re sur le caractère exact du réflexe rotulien... Quel est l'état du
réflexe
rotulien dans un cas d'ataxie qui s'est compliq
to- ]ogie du tabès combiné (douleurs lancinantes et abolition des
réflexes
tendineux) avec des lésions des cordons de Burd
t fermer les yeux, constate qu'il ne peut pas se tenir, explore les
réflexes
rotuliens qui étaient abolis, etc., diagnostiqu
sations douloureuses au niveau de toutes les piqûres. Abolition des
réflexes
rotuliens. Le matin, au réveil, il perd complèt
yeux, les douleurs ful- gurantes, les anesthésies, l'abolition des
réflexes
rotu- liens sont des signes très nets. Mais à c
s chez l'homme, il est probable qu'elles servent plutôt à des actes
réflexes
ou trophi- ques qu'à la vision. On ne sait pas
VEUSE. Examen dynamométrique : à gauche 38,34, à droite 35,34. Le
réflexe
du genou est notablement augmenté, mais égal des
variable de leurs rides normales. Pas de troubles des autres sens.
Réflexes
cutanés et tendineux commechez un individu sain.
IOLOGIE. 243 « vie de relation, suivant la phase, etc., de l'action
réflexe
: « conscience ou inconscience de son activité,
cérébrale qui prendra pro- « gressivement un caractère instinctif,
réflexe
, automatique, mé- « canique. Mais, en dépit du
contraction totale. Pour M. Reinhard, la contraction totale est un
réflexe
: elle émane de l'enveloppe et des cloisons sar
il se montre agité, anxieux, hypochondriaque; absence complète de
réflexe
tendineux rotulien. Au mois d'octobre 1880, lésio
rophie des racines'postérieures de la moelle lombaire. L'absence du
réflexe
tendineux rotulien fut par conséquent le signe
n spinale dont la délimitation explique le mutisme; l'absence de ce
réflexe
est en rapport avec la localisation dorsale inf
une sensation dou- loureuse, vive. Affaiblissement très marqué des
réflexes
cutanés et tendineux; le chatouillement de la p
lante des pieds se traduit par un mouvement associé du côté opposé;
réflexes
cornéens et nasaux très accentués. Excitabilité
et de la sensibi- lité des organes vasomoteurs et secrétoires, des
réflexes
cutanés et tendineux, de la force motrice; atte
nd de l'aeil, du champ visuel, de l'ouïe, des nerfs sensoriels, des
réflexes
, de la sensibilité et de la motilité générale.
tismes violents généralisés, pro- duits, par conséquent, par action
réflexe
; on les distinguerait en états de surexcitatio
dique. Dans un cas de tabes ataxique, il y avait conservation du
réflexe
patellaire, quoique la myélopathie eût commencé à
eurant sur le sol en flexion plantaire. Exagération très notable du
réflexe
patellaire, surtout au niveau du genou gauche.
inture, ni lancinantes; conservation, voire quelque exagération des
réflexes
patellaires. Le second malade, indemne aussi de
la jambe gauche est moins ataxique que la jambe droite ; absence de
réflexe
patellaire; conservation de la virilité, mais c
lité ; cons- tipation; myosis pupillaire très prononcée; absence de
réflexe
pa- stellaire ; signe de Romberg; intégrité de
é des organes paralysés ; conservation du phénomène du ge- nou, des
réflexes
plantaires eterémastériens; pas de troubles de
re quant à la pa- ralysie des extrémités, et rapide disparition des
réflexes
dans les membres inférieurs. Excitabilité élect
u sommeil (par absence d'excitation du bulbe), de la diminution des
réflexes
. Ce coma par exemple, se peut voir 1 Voy. archi
tion d'ordre moteur, d'autre part par la persistance de la réaction
réflexe
à l'égard des nerfs sensoriels élevés et par le
tout à fait constants, mais on note souvent de l'exagération des
réflexes
tendineux, et de la rigidité spasmodique; la mani
urant un jour entier; suscite-t-oti ces actes automatiques par voie
réflexe
, on note la même répéti- tion d'un mouvement sa
iformes en déployant une grande intensité, les autres sous forme de
réflexes
automatiques relativement violents sans but dét
pour ne déterminer que de faibles contractions. Absence complète de
réflexes
patellaires. En dernier lieu les symptômes spin
oration avec Berger, il ajoutait aussi une irritation des centres
réflexes
subcorticaux. Bubnoff et Heidenhain' croient qu
léthargie le cerveau est fonction- nellement absent et que l'action
réflexe
excito-motrice est accrue, comme chez la grenou
rrier, Heidenhain, Bernheim, etc.) con- sidèrent la marche comme un
réflexe
spinal (ou sub- cortical) en alléguant pour rai
re, lesquels sont considérés aussi par MM. Charcot et Richer' comme
réflexes
spinaux. En premier lieu, ils traitent des réfl
t Richer' comme réflexes spinaux. En premier lieu, ils traitent des
réflexes
tendineux, ils les trouvent exagérés. A mon avi
, il faut faire une diffé- rence entre les phénomènes décrits comme
réflexes
tendineux et entre les vrais réflexes tendineux
les phénomènes décrits comme réflexes tendineux et entre les vrais
réflexes
tendineux. Je crois qu'on peut prouver qu'ils o
e crois qu'on peut prouver qu'ils ont eu affaire à des mouvements
réflexes
de nature tout à fait différente. A quelque deg
s réflexes de nature tout à fait différente. A quelque degré que ce
réflexe
soit élevé, jamais on n'a vu ni une contraction
out ce que nous avons observé jusqu'ici touchant les phénomènes des
réflexes
tendineux. Même dans les cas où l'exagération d
quer la contraction du muscle, ce qui est la propriété générale des
réflexes
spinaux. Pour les autres phénomènes de l'hypere
culaire, il est aussi difficile à approuver l'hy- pothèse d'origine
réflexe
spinale. La contraction s'é- tend aussi aux mus
érante. Il arrive bien quelquefois, dans les cas où la fonc- tion
réflexe
de la moelle épinière est fortement accrue, que
rchent l'explication de ce fait dans une modification de l'activité
réflexe
qui ne serait pas uni- forme dans tous les poin
chez des malades atteints d'une énorme exagération de l'activité
réflexe
de la moelle épinière d'une cause quelconque, o
veau. Mais si l'hyperexcitabilité neuro-musculaire n'est point un
réflexe
spinal; où a-t-elle sa cause ? A mon avis, elle
ggestion ne sont proprement dits que les phénomènes de l'activité
réflexe
de la substance corticale. Dans le sens le plus
exe de la substance corticale. Dans le sens le plus étendu du terme
réflexe
, on peut nommer ainsi toute manifestation du sy
. influence extérieure. Un grand nombre des auteurs entendent par
réflexe
exclusivement l'activité réflexe delà moelle, c
d nombre des auteurs entendent par réflexe exclusivement l'activité
réflexe
delà moelle, c'est-à-dire des-parties sous-pédo
éponde apparem- ment indépendamment de notre volonté, ce sont les
réflexes
corticaux qu'on peut nommer phénomènes de sugge
'on peut nommer phénomènes de suggestion. La différence entre les
réflexes
du premier ordre (spinaux) et ceux du deuxième
ntérieures et de là dans les racines anté- rieures : c'est l'arc de
réflexe
du premier ordre; ou bien, passant par la subst
sceau pyramidal et arriver aux racines antérieures : voici l'arc de
réflexe
du deuxième ordre. Dans les circonstances norma
conditions anatomiques constituent une différence entre les deux
réflexes
. En effet, si l'irritation ne peut pas parvenir
effet plus fort dans celui du premier ordre. Donc, plus la voie du
réflexe
du cerveau est interrompue, plus le réflexe spi
. Donc, plus la voie du réflexe du cerveau est interrompue, plus le
réflexe
spinal devient fort et gagne en étendue. C'est
le, sur lequel se fonde l'influence inhibitive du cerveau sur les
réflexes
spinaux. Voyons à présent le réflexe du deuxièm
inhibitive du cerveau sur les réflexes spinaux. Voyons à présent le
réflexe
du deuxième ordre. L'irritation arrivée dans la
on qu'elle a moins d'étendue dans la substance corticale, donc le
réflexe
du deuxième ordre aura d'autant plus d'intensit
ar la vue, ils sont accablés très vite de sommeil. L'exagération du
réflexe
du premier ordre produit les phénomènes dont la
es phénomènes dont la loi de Pflùger est déduite; l'augmentation du
réflexe
du deuxième ordre peut être observée dans le so
de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire se fondent sur la fonction
réflexe
de l'écorce. Un réflexe spinal d'une pareille e
neuro-musculaire se fondent sur la fonction réflexe de l'écorce. Un
réflexe
spinal d'une pareille extension s'étendrait bie
es de sensibilité, jamais d'anes- thésie plantaire. Exagération des
réflexes
rotuliens surtout à gauche. Marche raide, en co
la trépidation épileptoïde, des contrac- tures, de l'exagération du
réflexe
rotulien; une perte de la sensibilité paraplégi
modique) ; en troisième lieu, nous parlerons à part de l'état des
réflexes
rotuliens qui ont une importance toute spéciale
ystèmes médul- laires paraît être absolument opposée. Ce sont les
réflexes
tendineux. On sait, en effet, que dans le tabes
exes tendineux. On sait, en effet, que dans le tabes ataxique les
réflexes
rotuliens sont abolis, tandis que dans le tabes
ver maintenant les renseignements. Dans 14 observations, l'état des
réflexes
rotuliens n'est pas expressément indiqué, soit
vait exagération, mais à des degrés divers. Dans un cas (n° 21) les
réflexes
sont indiqués comme « conservés, vifs » ; dans
(du moins avec une précision suffisante pour indiquer l'état des
réflexes
rotuliens dans les phases initiales). 398 MÉDEC
initiales). 398 MÉDECINE LÉGALE. Or, il est très possible que ces
réflexes
, exagérés au début, soient abolis à la fin. C
rvés assez long- temps pour qu'on pût constater : chez le 27, les
réflexes
tendineux conservés en juin 1880 disparus le 10
és en juin 1880 disparus le 10 janvier 1881 ; chez le 30, les mêmes
réflexes
con- servés avant janvier 1882 , disparus après
diagnostics de bonne heure, on pourra recueillir sur l'état de ces
réflexes
rotuliens des renseignements plus complets et p
e de la piqûre à la tête, au cou et aux mains ; 2° L'abolition du
réflexe
pharyngien ; 3° La douleur à lapression de la l
bre inférieur gauche. Le 24 décembre : torticolis du côté gauche Le
réflexe
rotulien droit est exagéré, tous les autres réf
côté gauche Le réflexe rotulien droit est exagéré, tous les autres
réflexes
tendineux et cutanés sont abolis. RAMOLLISSEM
géné- ralisées. Pas de coliques. Vomissements alimentaires. - Les
réflexes
tendineux musculaires et cutanés sont abolis. L
e faiblesse dans les membres . - Pas de trépidation plantaire. Le
réflexe
rotulien parait légèrement exagéré des deux côtés
t diminuée et l'intelligence affaiblie. Il pleure facile- ment. Les
réflexes
sont exagérés du côté paralysé, mais normaux à
us, l'électrisation de la moelle allongée peut bien agir par action
réflexe
. En résumé : L'innervation des paupières pendan
ation périphérique de la peau. Il met en relief les effets curatifs
réflexes
des deux sortes de courants qui agiraient par e
ortes de courants qui agiraient par excitation simple et par action
réflexe
spécifique. Toutes deux seraient capables d'exe
rants basé sur cette excitation, cède la place à l'action curatrice
réflexe
(par excitation périphérique). L'auteur avoue q
- tion : douleurs dans les membres, paresthésies, exagération des
réflexes
tendineux , immobilité pupillaire, atrophie muscu
te avec hébétude, fatigue, lassitude (intégrité des pupilles et des
réflexes
) ; à la dose de 0,04, on obtient le plus souven
s'organisent et que le raisonnement s'ensuive avec la fatalité d'un
réflexe
». La perception est l'acte qui se passe lorsqu
mblement à l'occasion des mouvements volontaires, exagéra- tion des
réflexes
tendineux, troubles de la parole et absence de
n'a eu que quelques douleurs vagues dans les mem- bres inférieurs.
Réflexes
rotuliens normaux. Pas de troubles de sensibilité
trière, n 1, 1891. (2) lbid. DE LA MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAIll'PNOTIQUIa.S ET DE l'action de la sug
on (1) Voy. le n° G de l'année 1893. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTItAHYPNOT1QUES 23 restait active pendant une
an. e) Les hallucinations négatives de la vue. La morphologie des
réflexes
optiques est compliquée, de même aussi les effe
. Ces résultats ultérieurs concordent mieux avec la morphologie des
réflexes
optiques. 1. Pendant une cécité droite suggérée
es, il est prouvé qu'avec une hallucination négative la contracture
réflexe
fait défaut, autant pour les hallucinations négat
ormante DE PAGET L. BATTAILLE ET Ci. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAiIYPNOTIQUES 25 du corps, l'effet est une
qu'après un temps deux ou trois fois plus long que de coutume. Les
réflexes
optiques sont totalement empêchés pendant une s
onyme rend plus difficile ou impossible le développement des autres
réflexes
sensoriales. Effet de la surdité suggérée sur l
autres réflexes sensoriales. Effet de la surdité suggérée sur les
réflexes
optiques produits par des excitations campimétr
ces par ordre. 1. En suggérant une surdité gauche, la contracture
réflexe
rétinienne Fig. 6. MORPHOLOGIE DES CONTRACTUR
ntracture réflexe rétinienne Fig. 6. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTRAHYPNOTIQUES 29 gauche fait défaut. Comme j
cet endroit est diminuée ; c'est pourquoi nous n'ob- servons pas de
réflexe
acoustique de l'oreille gauche. Puisque non seu
e réflexe acoustique de l'oreille gauche. Puisque non seulement les
réflexes
acoustiques, mais ceux des yeux font aussi défa
tracture apparaître pendant les excitations optiques. Quels sont les
réflexes
rétiniens qui sont en contact avec le lobe occi
ionnées antérieurement, trouvent un centre cor- tical « aveugle aux
réflexes
», tandisque lapartienasale de l'oeil droit et la
3. Une surdité totale. Effet de la suggestion d'une anosmie sur les
réflexes
optiques, a) En suggérant une anosmie droite, l
. Ce retard consiste en un rétrécissement considérable du champ des
réflexes
optiques, déterminé par la contracture droite,
émi- contractures droites surviennent promptement, car le champ des
réflexes
optiques déterminés par la contracture gauche,
hétéronymes, il faut encore Fig. 8. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES
RÉFLEXES
INTR AnYPNOTIQUES 31 faire une remarque importa
mple de la surdité, j'ai non seulement empêché le développement des
réflexes
, mais j'ai aussi altéré par cette suggestion le
sur ce sujet. Le phénomène principal et dominant est la contracture
réflexe
. Pourquoi et comment surviennent ces contractur
a- tions, transmissions limitées, expliquent aussi les contractures
réflexes
, parce que si un bruit se fait entendre auprès
i s'explique qu'un bruit subit et inat- tendu produise un mouvement
réflexe
clonique, et non une contracture to- nique. M
onne une autre explication ; d'après lui, la cause des contractures
réflexes
est une hyperexcitabilité de la substance grise
rexcitabilité de la substance grise qui exécute la transmission des
réflexes
. Les expériences instructives des M. Bubnoff et
l'écorce suffit pour déter- miner une contracture ; cette rigidité
réflexe
peut être obtenue aussi par les excitations des
nomènes qui consistent en ce que, par une suggestion éliminante, le
réflexe
correspondant fait défaut. Ce phé- nomène m'ava
défaut. Ce phé- nomène m'avait donné dès longtemps l'idée, que les
réflexes
intra-hypno- tiques se transmettent dans l'écor
une suggestion une partie senso- rielle de l'écorce, la contracture
réflexe
faisait défaut, je pensai à un mé- canisme cort
acoustique subcortical de telle sorte qu'elle a empêché la fonction
réflexe
. Nous serions convaincus de l'existence d'un mé
ence d'un mécanisme cortical, 1° si nous pouvions démontrer, que le
réflexe
ne se transmet pas par la voie subcorticale, ou,
ination, il se déve- loppe une hémicontracture : le mécanisme de ce
réflexe
est en tous cas cortical. L'hallucination est u
e la suggestion de la cécité droite a retardé le développe- ment du
réflexe
acoustique droit, de même qu'une surdité droite a
exe acoustique droit, de même qu'une surdité droite a empê- ché les
réflexes
optiques droits, etc. Comme règle générale, nous
iminante) peut retarder ou empêcher totalement le développement des
réflexes
obtenus par des autres sens. Il y a un phénom
ony- mes, c'est que le retard ou l'arrêt n'atteint toujours que les
réflexes
d'un côté, c'est-à-dire la partie sensorielle d
un hémisphère. Par exemple une anosmie droite suggérée ralentit les
réflexes
acoustiques droits, mais les vu 3 34 NOUVELLE
oits, mais les vu 3 34 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
réflexes
gauches sont intacts, parce que l'effet de l'élim
st indemne ; cette circonstance nous fait voir la prompti- tude des
réflexes
gauches. Nous devons donc conclure que l'altérati
es. Par la méthode que j'ai employée, il est prouvé : z10 Que les
réflexes
intrahypnoliques suivent un mécanisme cortical.
ontracture, et puisque celte altération musculaire est un phénomène
réflexe
, et par suite facile à préciser, nous ne pouvon
uver rien de mieux comme mesure de la suggestion. L'association des
réflexes
intrahypnotiques avec la suggestion, comme nous
. Il y a une symétrie absolue dans la distribution de l'atrophie.
Réflexes
tendineux du coude normaux. Troubles trophiques
s ils n'offrent pas d'atrophie systéma- tique, pas de douleurs. Les
réflexes
tendineux'sont normaux. La démarche n'offre rie
per ses matières, qu'elle ne peut retenir en cas de diarrhée. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés, surtout à gauche (deux o
roduit, de ce côté seulement, de la trépidation épi- leptoïde. Le
réflexe
plantaire est aboli des deux côtés. Pas de troubl
oubles oculaires ; jamais de diplopie; les pupilles sont égales, le
réflexe
lumineux est un peu affaibli. Pas de lésions du
uent une douleur qui empêche la malade de continuer le mouvement.
Réflexes
tendineux ou périostiques des membres supérieurs
urants plus forts à cause des douleurs provoquées et des mouvements
réflexes
qui empêchent dese rendre compte s'il y a ou non
pinateur et les radiaux. Les mains ne semblent pas intéressées. Les
réflexes
olécrâniens sout absents. 174 NOUVELLE ICONOGRA
esthésie légère généralisée, également marquée sur tout le corps.
Réflexes
. Tous les réflexes superficiels sont exagérés. Le
éralisée, également marquée sur tout le corps. Réflexes. Tous les
réflexes
superficiels sont exagérés. Les réflexes patell
corps. Réflexes. Tous les réflexes superficiels sont exagérés. Les
réflexes
patellaires existent, mais sont diminués des de
Neurol., 1893, n' 74. CHA.RCOT ? <4.) ? M/o<)'op7tt6 spinales
réflexes
d'origine aba1'ticulaÍr'e. Progr. med., 1893, p
uffrances. Les membres inférieurs principalement sont affectes. Les
réflexes
hatcllaires sont abolis, la pulpe digitale est en
t depuis un an 1/2) des mouvements chôréifor- mes, etc... ' : Les
réflexes
rotuliens sont abolis. ' ; : ' " : Du côté des
ues suivants : le signe do Romhcrg, du myosis bilatéral avec perte du
réflexe
lumineux, de l'atrophie papillaire avec un peu
et des douleurs fulgurantes typiques. De plus, on ne trouve pas les
réflexes
rotuliens mais les déformations des genoux rend
recherché. Quoique la sensibilité de cette région soit intacte, le
réflexe
plantaire n'existe pas. Le signe de Romborg ne
droit est atrophié dans son ensemble, mais celle atrophie d'origine
réflexe
(amputation des doigts) n'esl. pas très manifeste
s les muscles de la région postérieure de l'avant- bras droit. Le
réflexe
patellaire est un peu augmente : ') droite, norma
augmente : ') droite, normal il gaucho. Pas de clo- nus du pied. Le
réflexe
plantaire existe ; le réflexe tendineux du poigne
l gaucho. Pas de clo- nus du pied. Le réflexe plantaire existe ; le
réflexe
tendineux du poignet est affaibli à droite, nor
ui se passe dans l'organisme, et elle réagit en conséquence. L'acte
réflexe
,. simple ou complexe, est sa réponse à l'averti
phique est donc, comme l'a très justement établi Marinesco, un acte
réflexe
, et la nutrition de tous les éléments constitut
l'activité de l'élément, détermine aussi sa nutrition. Mais l'acte
réflexe
qui résume en lui seul tout phénomène trophique n
lui seul tout phénomène trophique n'est pas un acte simple. Un acte
réflexe
, quel qu'il soit, ne s'effectue pas invaria- bl
postérieure correspondent il la la région exci- tée. Parmi ces arcs
réflexes
, il en est un, ou plusieurs, dont le trajet a lon
Le faisceau pyra- midal n'est pas autre chose qu'un segment d'arcs
réflexes
; c'est un système de fibres chargées d'utiliser
ce grise de l'hémisphère, c'est-à-dire sur un point où le grand arc
réflexe
a fait escale. Si, dans le tabès, les fibres ce
ncoordination. La disjonction que je viens de faire entre les actes
réflexes
il court trajet et il long trajet chez les atax
'est l'équivalent du signe de Westphal caractérisé par l'absence du
réflexe
patellaire. Mais la contraction pupillaire, en
'onextatto subjective directe commande un grand nombre de fonctions
réflexes
et volontaires. a) On conçoit que l'analyse des
l'appropriation . Fig. 93. LE NERF LABYRINTHIQUE 359 simplement
réflexe
; quand le maintien ou la variation d'attitude cép
t sensorielles, mais régissant direc- tement une motricité purement
réflexe
et inconsciente dans son exercice intime, par u
siège des représentations d'attitudes, et tout à fait comparable au
réflexe
issu non des centres, mais de la périphérie sen
oeil n'est plus fixé par la vision et n'obéit qu'à l'ocnlomotricité
réflexe
issue des noyaux labyrinthiques. De plus l'orie
New-York, 2 octobre 1894 (V. Sem. mé- dicale du 21 octobre). (3)
Réflexes
auriculaires, Soc. d'Otologie de Paris, rév. 1S91
it les perceptions manoesthési- dues indispensables à la régulation
réflexe
de ces tensions. Cette régulation est avant tou
contient les centres manoes- ihésiques de la régulation vasomotrice
réflexe
. f) Les variations du rythme respiratoire et ca
ux du langage sont assez mal connus. i) Nous avons étudié ailleurs (
Réflexes
auriculaires) les voies réflexes d'un grand nom
us. i) Nous avons étudié ailleurs (Réflexes auriculaires) les voies
réflexes
d'un grand nombre d'irradiations d'origine laby
ou volontaire de l'équilibration. Il commande en oulre d'importants
réflexes
de régulation circulatoire et respiratoire, et
immobiles. Il est flasque, mais en immi- nence de contracture ; les
réflexes
olécrftnien et carpien sont exagérés. Quant au
il est simplement parésié et la malade s'en sert convenablement. Le
réflexe
rotulien est très exagéré mais sans trépidation
tulien est très exagéré mais sans trépidation spinale. Du reste, le
réflexe
rotulien du côté droit est également exalté. Ma
monotone. La contracture hémiplégique est complète : exagération du
réflexe
et clonus du pied gauche. ' 21 mars. - La mal
s'ac- centue. L'hémiplégie n'était pas spasmodique à ce moment. Les
réflexes
tendi- neux étaient égaux des 2 côtés il n'y av
état intellectuel est le même quoique avec moins d'inquiétude. Les
réflexes
patellaires sont exagérés du côté droit; il y a d
és du côté droit; il y a de la trépidation. Au membre supérieur ces
réflexes
sont impossibles à provoquer à cause de la raid
es environ elles émettaient une petite quantité d'urine, par action
réflexe
involontaire et non sentie, sans assistance des
et des membres (f. médullaires), indispensables il l'équilibration
réflexe
(vermis) et volontaire (pariétale ascendante), et
volontaire (pariétale ascendante), et en général à tout l'exercice
réflexe
ou volontaire de la motricité appropriée au maint
Pariétale ascendante, Note à la Soc. de Biologie, 29 juin 1894. (2)
Réflexes
auriculaires, Soc. d'Otologie de Paris, 2 février
TAILLE ET C" ÉDITFURS LE NERF LABYRINTHIQUE 353 dans cette voie
réflexe
une des sources de l'accommodation et de l'inter-
partout ou elle existait a per- sisté. Rien de nouveau du côté des
réflexes
ou delà vessie. 19. - Les contractions du quadr
l le frôlement du bout du doigt est senti comme contact simple. Les
réflexes
plantaires ont complètement reparu. La sensibil
ensitivo-moteur est à peu près stationnaire, de même que l'état des
réflexes
. Besoin d'uriner toutes les doux heures environ.
t de température de plusieurs degrés par rapport au pied droit. Les
réflexes
sont tous normaux, sauf les rotuliens, aussi diff
des muscles abdominaux. Le passage de l'urine u'est pas senti. Les
réflexes
rotuliens sont toujours il peu près absents.
une notable susceptibilité au froid du membre inférieur gauche. Les
réflexes
rotuliens sont redevenus, depuis un temps indét
avait pas d'autres troubles de la sensibi- ité (Fig. 97 et 98). Les
réflexes
du membre supérieur gauche et de toutes les aut
myopathies, 205. Schaffer. De la morphologie des contrac- tures
réflexes
intra-hypnotiques, 22. Souques (A.) Un cas de m
44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. de la parole, de l'exagération des
réflexes
, du tremblement. Mal- gré un traitement spécifi
echerches qu'il a faites, chez les mêmes malades, sur chacun de ces
réflexes
séparément, recherches qu'il a exposées dans pl
publiés antérieurement. Il compare la nature des altérations de ces
réflexes
, leur degré et leur fréquence relative aux dive
d'analyser, nous ne retiendrons que les points suivants : les trois
réflexes
sont, au cours de la périencéphalite chronique
pour faire le diagnostic, dans les cas douteux. Les troubles de ces
réflexes
ne fournissent aucune indi- cation relative au
paralysie générale et il n'est pas vrai que la conservation de ces
réflexes
se rencontre surtout avec un minimum de signes
minution de la force brute); parésie des péroniers; exagération des
réflexes
tendineux et hyperexcitabilité musculaire ; pseud
e et par des modifications du caractère, escortées d'une immobilité
réflexe
des pupilles, d'une exagération ou d'une absenc
bilité réflexe des pupilles, d'une exagération ou d'une absence des
réflexes
tendineux, de l'analgésie des jambes, de troubl
plètement. L'état physiqne et psychique était excellent. L'état des
réflexes
des membres inférieurs n'avait jamais varié »,
inerte, la papille a des bords peu accusés. Parésie faciale droite.
Réflexe
rotulien absent sur deux côtés. Affaiblissement
ésie de la face à droite, parésie des deux membres de ce même côté;
réflexe
rotulien totalement absent des deux côtés. 80 R
trois points qui étaient communs à ces deux cas : 1" l'absence de
réflexes
rotuliens au début de la maladie; 2° l'ataxie fro
musclcs du pharynx vint s'ajouter à l'ataxie des mouvements. Les
réflexes
patellaires étaient très exagérés. Quand on tapai
de la moelle (myélite transverse) la dissociation en question et le
réflexe
contralatéral. Minor, au Congrès de Moscou disait
Parmi les phénomènes cli- niques, abstraction faite de l'absence de
réflexe
rotulien, il faut attribuer une importance spéc
ontraction du peaucier du cou ; l'exploration gal- vanique, par les
réflexes
pénibles de la déglutition. Parfois cepen- dant
ne; les fibres saines sont d'un brun foncé. P. KERAVAL.. XXII. Un
réflexe
de l'éminence hypothénar ; par F. Holzinzer. (N
convergeant en un sillon sur l'éminence hypothénar. Il s'agit d'un
réflexe
du petit palmaire, -d'une contraction non convuls
la pression, le sillon se reforme mais pour peu de temps. Le même
réflexe
se produit quelquefois quand on comprime les te
sont évidemment les appareils tendineux qui sont les fauteurs de ce
réflexe
; il ne se produit du reste pas chez tout le monde
t le muscle, mais il faut auparavant que le muscle soit détendu. Le
réflexe
est plus fort et plus aisé à produire quand les
rdinaire, ont fourni les résultats suivants. Il existe un véritable
réflexe
pileux, à la région antérieure du front, surtou
SOCIÉTÉ NEUROLOGIQUE. Séance du i janvier 1900. Sur le prétendu
réflexe
antagoniste de Schaefer. M. BADtKSKr. M. Schaef
eurolo- gischcs Centralbllltt, appelle l'attention sur un phénomène
réflexe
dont voici la description : Lorsqu'on presse
du pied, ainsi qu'à une extension des orteils du côté paralysé. Ce
réflexe
pathologique, qui a ceci d'important au point d
e d'une affection grave de l'encéphale, se distinguerait des autres
réflexes
tendineux parce que la réaction, au lieu de s'o
se manifes- terait dans les antagonistes, d'où la dénomination de «
réflexe
antagoniste », que M. Schaefer propose de donne
s parties du membre inférieur et j'ai constaté les mêmes mouvements
réflexes
. Les membres de la Société peuvent vérifier le
enir assister à la séance. Rien n'autorise donc à soutenir que le
réflexe
de Schaefer soit un réflexe tendineux paradoxal
Rien n'autorise donc à soutenir que le réflexe de Schaefer soit un
réflexe
tendineux paradoxal. Il y a tout lieu d'admettre
paradoxal. Il y a tout lieu d'admettre qu'il s'agit simplement d'un
réflexe
cutané. En résumé ce prétendu réflexe antagonis
u'il s'agit simplement d'un réflexe cutané. En résumé ce prétendu
réflexe
antagoniste n'est autre chose que le phénomène
roubles oculaires, pas d'ataxie locomotrice des membres inférieurs.
Réflexe
patellaire aboli. M. P. Marie, Est-il bien ce
de était alcoolique, ce qui suffirait pour expliquer l'abolition du
réflexe
patellaire.. Origine des émotions. - M : MAUR
fet, c'est dès le début, lors de la première inhalation même, qu'un
réflexe
inhibiteur peut pro- duire une syncope mortelle
gions sensitives et sensorielles. Qu'il s'agisse'donc de mouvements
réflexes
, auto- matiques ou volontaires, le mécanisme es
flexes, auto- matiques ou volontaires, le mécanisme est le même. Le
réflexe
de la déglutition est empêché par l'anesthésie
rigidité musculaire accompagnée d'une exagération considérable des
réflexes
de la partie du névraxe située au-dessous du si
férieur de la moelle avec l'affaiblissement et même l'abolition des
réflexes
correspondants. Comme l'a dit Meynert, le corps
les centres thalamiques qui président aux fonctions automatiques et
réflexes
de l'organisme en rapport avec les sen- timents
e des neurones. Au moment où Golgi institua sa méthode, les actes
réflexes
du système nerveux étaient expliqués parles ana
té spéciale ; elle n'est qu'un pro- cessus qui ne diffère de l'acte
réflexe
qu'en ce que des neurones des centres d'associa
moteur et le neurone sensisif qui accomplissent à eux seuls l'acte
réflexe
. Entre cet acte le plus simple, le plus élémentai
res sont plus ou moins cariées. La voûte palatine est nor- male. Le
réflexe
pharyngien est très affaibli. Les masses muscul
es, au tiraillement, à l'insufflation ou à l'excitation légère. Les
réflexes
abdominaux sont très faibles. Les réflexes test
l'excitation légère. Les réflexes abdominaux sont très faibles. Les
réflexes
testiculaires ne sont pas constants, quand ils
ils se produisent, ils sont normaux. Les 196 CLINIQUE NERVEUSE.
réflexes
rotuliens sont eux aussi normaux. Le chatouilleme
er immédiatement le contenu de la vessie. Si le malade résiste, les
réflexes
se succèdent en courant inin- terrompu, le beso
upations urinaires ; il peut, lui aussi, être le point de départ du
réflexe
et produire le besoin d'uriner par son activité
ation faut-il donc fournir de la pollakiurie de notre malade ? Le
réflexe
de la miction est dû, pour Kûss et Duval à une ex
tapisse peuvent être, ensemble ou séparément, le point de départ du
réflexe
. Pour qu'il y ait pollakiurie, il faut donc une
musculaire que de lésions anatomiques. Les organes périphériques du
réflexe
sont sains, seule la fonction est perturbée. L'
ie musculaire; le malade est au con- traire fortement musclé. Les
réflexes
rotuliens et radiaux sont forts, mais il n'existe
génitale, du tremblement des mains et des bras, de l'exagération du
réflexe
rotulien; - au point de vue vasomoteur, froid a
e des muscles de l'oeil, et Ballet sur la diminution ou la perte du
réflexe
de l'accommodation. Les altérations ophthalmoscop
ntes, mais nullement pathognomoniques. Dans la majorité des cas les
réflexes
profonds sont exagérés durant la première pério
flexes profonds sont exagérés durant la première période; quant aux
réflexes
tendineux ils demandent à être mieux étudiés qu
d'amyotrophie. La sensibilité est normale. Il en est de même des
réflexes
tendineux. Outre le spasme, les seuls phénomènes
tatés sont les suivants : tandis qu'à droite la forme du pied et le
réflexe
cutané plantaire sont nor- maux, à gauche le gr
ou. J'attire en particulier l'attention de la Société sur l'état du
réflexe
cutané plantaire; l'excitation de la plante du
le spasme musculaire dépend de la même cause que le trouble dans le
réflexe
plantaire, et je ne vois aucune i aison pour su
d souvent l'attitude d'une main qui fait les « cornes ». L'état des
réflexes
diffère dans l'athétose ; je ne nie pas la prép
endant la crise on peut observer le signe des orteils, alors que le
réflexe
est normal en dehors des crises. 11 ne me parai
généralisée étendue même à la face avec mouvements athéto- siques,
réflexes
exagérés, secousses de toutle corps, sans douleur
des jambes. Parésie légère du nerf facial inférieur, absence des
réflexes
tendineux ; les réflexes cutanés sont plutôt exag
gère du nerf facial inférieur, absence des réflexes tendineux ; les
réflexes
cutanés sont plutôt exagérés. Inté- grité des s
amélioration progressive des mou- vements en haut. A ce moment les
réflexes
tendineux existent déjà, mais faibles. L'aute
re parésie du bras 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. droit. Prostration. Les
réflexes
tendineux sont plutôt exagérés. On institue un
trones nerveux et des muscles et certaine atrophie musculaire. Les
réflexes
patellaires sont exa- gérés. La mère du malad
a Société). Mains en griffes avec atrophie intense. Exagération des
réflexes
rotuliens. Clonus du pied gauche. Dissociation
: élimination moyenne, ni sucre, ni albumine. Système nerveux. -
Réflexes
rotuliens normaux. Force muscu- laire égale des
308 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tation et les
réflexes
: cependant elles réagissent très peu sous l'in
ations. Les troubles pupillaires (mydriase, inégalité, troubles des
réflexes
) sont fréquents dans les maladies communes; les
t subir, dans le cours de la maladie, le diamètre pupillaire et les
réflexes
est souvent un signe pronostique de valeur. Con-
bserve chez la plupart des malades atteints d'immobilité pupillaire
réflexe
(para- lytiques généraux, tabétiques, syphiliti
ère des paralytiques généraux (Charcot, Forel) qui est non point un
réflexe
lumineux mais le résultat d'un mouvement associ
t pas celui qui est produit par une excitation sen- sible d'origine
réflexe
, c'est celui qui est produit par un mouvement a
les racines nerveuses. On verrait si et à quel point les mouvements
réflexes
ont souffert. Bethe y aurait réussi trois fois,
n'est pas absolument nécessaire à la manifestation essen- tielle du
réflexe
, mais que le fonctionnement permanent de l'appare
lle du réflexe, mais que le fonctionnement permanent de l'appareil,
réflexe
central est impossible sans la cellule qui exerce
ssible, mais non prouvé par l'expérience chez l'écrevisse. Entre le
réflexe
simple d'un segment d'écrevisse et le jeu compl
thy). Il est à supposer que ces cellules-là sont l'intermédiaire de
réflexes
tout à fait diffus; c'est ce qui explique que les
nes sont reliées entre elles. Cela n'a plus lieu quand il s'agit de
réflexes
orientés dans une direction déterminée dans le sy
observations des autres hétérotopies vraies. P. KERAVAL. LIX. Des
réflexes
pupillaires dus à l'attention; par J. PILTZ. (Neu
n attention sur le chapeau, on obtient une mydriase corti- cale, un
réflexe
cortical dit d'attention, parce qu'il est en rapp
fait que le malade pré- sentait à la fois une exagération des deux
réflexes
rotuliens et une abolition des réflexes du tend
is une exagération des deux réflexes rotuliens et une abolition des
réflexes
du tendon d'Achille. La première condition de c
e de Westphal au niveau des segments médul- laires correspondant au
réflexe
rotulien (du deuxième au cinquième segment lomb
incipal des lésions. Quant à l'interprétation de l'exagéra- tion du
réflexe
rotulien, elle est difficile en l'absence de lési
a force des extrémités semble normale. Pas de troubles sensitifs.
Réflexes
. Réflexes superficiels normaux. Réflexes profonds
s extrémités semble normale. Pas de troubles sensitifs. Réflexes.
Réflexes
superficiels normaux. Réflexes profonds, légère
Pas de troubles sensitifs. Réflexes. Réflexes superficiels normaux.
Réflexes
profonds, légèrement exagérés, diminuant à la r
atrophie dans tous les muscles. Caractère transitoire des parésies.
Réflexes
conservés. Réaction électrique normale. Etat ps
bres inférieurs disparait bientôt et la démarche perd sa stabilité.
Réflexes
rotuliens sont conservés et, en apparence, ne s'é
l d'autres symptômes du tabes ; 2° La pseudo-méralgie radicu- laire
réflexe
d'origine viscérale en entendant ce mot de réflex
ie radicu- laire réflexe d'origine viscérale en entendant ce mot de
réflexe
dans le sens que lui a donné Héad. Le territoir
rale, il faut mobiliser celle- ci en présence d'une pseudo-méralgie
réflexe
, il faut traiter la lésion viscérale et d'ordin
eurs auteurs, l'excitation cutanée peut produire des hallucinations
réflexes
. D'autres phénomènes ont été observés, prouvant
costale ne réveillent aucune espèce d'hal- lucinations. Du côté des
réflexes
on trouve une exagération assez marquée, surtou
trouve une exagération assez marquée, surtout en ce qui concerne le
réflexe
patellaire. La malade ne présente pas en ce mom
le est impressionnée avec un retard plus ou moins considérable. Les
réflexes
rotu- liens sont absents, la force des contract
tingue clairement les malades atteints de tabès supérieur, avec les
réflexes
rotuliens élevés la conservation et même quelqu
rivé d'observer chez deux individus seulement le rétablissement des
réflexes
rotuliens dans les membres infé- rieurs, la sus
, par exemple, qui présente le signe de Robertson, l'abolition du
réflexe
rotulien et du réflexe du tendon d'Achille, qui e
ésente le signe de Robertson, l'abolition du réflexe rotulien et du
réflexe
du tendon d'Achille, qui est sujet à des crises
he est calleuse, toute la main gauche est cyanosée. Exagération des
réflexes
rotuliens (surtout du côté gauche) et du tendon
nerfs opti- ques, parésie légère de la main droite, exagération des
réflexes
du côté droit. A l'hôpital les accès légers se
aire n'est nulle part amoindrie ; il n'y a pas d'amaigrissement. Le
réflexe
rotulien est exagéré. 11 n'y a pas de réflexe pla
d'amaigrissement. Le réflexe rotulien est exagéré. 11 n'y a pas de
réflexe
plantaire, pas de trépidation épileptoïde. Les
, bien qu'elle soit un peu retardée. Légère inégalité pupillaire.
Réflexes
: Réflexe rotulien exagéré surtout à gauche. Pas
lle soit un peu retardée. Légère inégalité pupillaire. Réflexes :
Réflexe
rotulien exagéré surtout à gauche. Pas de réfle
ire. Réflexes : Réflexe rotulien exagéré surtout à gauche. Pas de
réflexe
plantaire. Pas de trépidation épileptoïde; réflex
à gauche. Pas de réflexe plantaire. Pas de trépidation épileptoïde;
réflexes
oculaires conservés. La respiration, le plus
t pour une fourchette, puis pour un couteau. Du côté des différents
réflexes
, on trouve le réflexe patellaire peu accusé, le
puis pour un couteau. Du côté des différents réflexes, on trouve le
réflexe
patellaire peu accusé, le réflexe pharyngien tr
différents réflexes, on trouve le réflexe patellaire peu accusé, le
réflexe
pharyngien très peu marqué, les réflexes planta
e patellaire peu accusé, le réflexe pharyngien très peu marqué, les
réflexes
plantaire et palmaire exagérés, au point qu'il
degré. Le tremblement et l'hyperesthésie ont diminué. Même état des
réflexes
. Rien aux différents appareils. 26. F... n'a pl
ieurs au pincement t et à la piqûre, sensibilité tactile conservée.
Réflexes
patellaires et plantaires normaux. Pas de dimin
On note une petite cicatrice au-dessous de la rotule gauche. Les
réflexes
sont normaux. Puberté : Pénil saillant, grandes
nique des muscles, réa- gissant normalement à l'électricité. Pas de
réflexes
tendineux, si ce n'est celui du tendon d'Achill
ndineux, si ce n'est celui du tendon d'Achille droit, normal, et le
réflexe
patellaire droit qui n'est que fort affaibli.
complète avec paralysie de la vessie et du rectum, exagération des
réflexes
rotuliens, abolition des réflexes crémasténen e
sie et du rectum, exagération des réflexes rotuliens, abolition des
réflexes
crémasténen et abdominal. Il existait en outre
ion des sensibilités comme dans la syringomiélie. ' Au début, les
réflexes
rotuliens sont exagérés, et quelquefois on cons
ataxo-spasmodique. Plus tard, la spas- ticité peut diminuer et les
réflexes
disparaitre. '. Au bout de quelques mois, les b
tômes oculaires et de douleurs ful- gurantes, par l'exagération des
réflexes
au début, par les progrès constants et rapides
asque complète, y compris le facial inférieur, avec exagération des
réflexes
tendineux et cutanés. Cette hémiplégie, qui occ
. Hémiparésie droite, à gauche la force musculaire conser- vée, les
réflexes
tendineux augmentés, sensibilité conservée. Ten-
Du tremblement intentionnel aux quatre membres. Une exagération des
réflexes
tendineux avec trépidation spinale aux membres
l'accommodation est susceptible, à la longue, de provoquer un état
réflexe
du sympathique aboutissant à un paroxysme con-
en foyers bien loca- lisés de ces ramollissements, sur la perte du
réflexe
lumineux consensuel. Chez^leur malade examiné u
lé, 226. Crémastlrien. Des troubles du ré- 11·ae patellaire et du
réflexe
- dans la paralvsie générale, par Jlarandou d
r Huet, 532. Paralysie générale. Troubles com- parés des dlvels
réflexes
aux trois périodes de la -, par llalandon de
152. Radial. Excitabilité électrique du - , par Gumpertz, 148.
Réflexe
. De l'éminence hypothénar. par Ilolzinqer, 1a7.
us durable dans le cas contraire, due à la.contraction probablement
réflexe
des vaso-moteurs cuta- nés au niveau précis de
e paraît être la papule ortiée, qu'elle soit spontanée c'est-à-dire
réflexe
, ou consécutive, comme dans le cas que nous env
tenterons de les énumérer tout simplement. Ce sont l'exaltation des
réflexes
, l'épilep- sie spinale aussi bien spontanée que
e commence à se développer, ce qui est indiqué par l'exaltation des
réflexes
et l'épi- lepsie spinale; un peu plus tard, les
a pas trace d'atrophie, les muscles sont même bien conservés. Les
réflexes
rotuliens sont légèrement augmentés des deux côté
nt augmentés des deux côtés; il n'y a pas de phénomène du pied. Les
réflexes
testiculaires (crémastes) sont normaux des deux
ceinture, douleurs fulgurantes, crises gastriques, aboli- tioit de
réflexes
, incontinence d'urine accidentelle, constipation
ire; pas de troubles vaso-moteurs. Il y a une abolition complète de
réflexes
, facilement couslalable par les procédés élémen
, en même temps qu'ils s'étendaient aux cuisses. 8° Abolition des
réflexes
. L'absence des symp- tômes de Westphal a été co
é constatée chez nos deux malades. Il n'en est pas de même pour les
réflexes
rotuliens du malade de M. Marie, qui étaient mê
le de notion précise de position des membres. Abolition de tous les
réflexes
, plantaires, crèmastériens et rotuliens. Picote
différentes positions que l'on imprime aux membres inférieurs. Les
réflexes
sont complètement abolis des deux côtés; la pro
que coup porté sur le tendon rotulien fait absolument défaut; les
réflexes
crémastériens n'existent pas; quand on titille la
les de la sensibilité et du sens musculaire aux membres supérieurs.
Réflexes
normaux. Pas do picotements. Il n'y a nulle par
n précise, des diverses positions imprimées aux membres. Retour de;
réflexes
rotuliens, crémastériens et plantaires presque
bilité, par des troubles du sens musculaire et par l'abolition des
réflexes
des membres inférieurs, sans aucune trace de pa
urésie légère du nenzGne inférieur droit. Secousses, exaltation des
réflexes
. Epilepsie spinale spontanée et difficilement p
s de contractures passagères. Il y a une exaltation très marquée du
réflexe
cremastérien plantaire et rotulien de ce ..memb
er boitement à peine perceptible. 11 y a une exaltation de tous les
réflexes
du membre droit facilement constatable par les
se la préexistence de la monoplégie spasmodique est l'exaltation du
réflexe
rotulien. Observation XXVI. Accident provoqué l
ovembre 1883). Parésie du membre infé- rieur gauche. Exaltation des
réflexes
. Épilepsic spinale spontanée et provoquée. Seco
nt boiter le malade. Il y a une exaltation très marquée de tous les
réflexes
, plantaires, rotuliens et crémastériens. Son memb
arche spasmodique unila- térale droite. Exaltation considérable des
réflexes
plantaires cré- m(istéi,iei2s et rotuliens Epil
aux supérieurs et à la face. Il y a une exaltation considérable des
réflexes
plantaires crémastériens et rotuliens. Un seul
de ce syndrome. Passons en revue ces symptômes. 1° Exaltation des
réflexes
. Ce signe n'a man- qué dans aucune de nos obser
t l'exci ta hil i té myél itique. Tous 74 CLINIQUE NERVEUSE. les
réflexes
crémastériens, plantaires ou rotuliens ont été
te époque, nous n'avons pas examiné le malade pour constater si les
réflexes
étaient exaltés; mais, malgré cela, on peut l'a
t l'affirmer, car cela ne saurait être autrement. L'exagération des
réflexes
chronologiquement se développe plus ou moins av
l'OBSERVATION XXV; il n'est resté qu'un certain degré d'exaltion de
réflexes
, qui révèle la préexistence de la monoplégie sp
au contraire, à se compléter et alors aux symptômes, exaltation des
réflexes
, épilepsie spinale, secousses, contractures pas
ivent de la lésion des cornes antérieures, à savoir : l'absence des
réflexes
et la myatrophie, les muscles mêmes bien conser
Ce membre est parétique. Il y a une exaltation très marquée de ses
réflexes
, facilement constatable par les procédés élémen
e spinale survient très rarement; impossible de la pro- voquer. Les
réflexes
sont bien moins exaltés. Nous avons conseillé à
ie spinale a disparu. 11 n'y a qu'un certain degré d'exaltation des
réflexes
, seul trait de passage de la parésie spasmodique
sion mé- ningée. Quant aux symptômes spastiques, exaltation des
réflexes
et. épilepsie spinale, ils sont déterminés par
e la conjonctive et même de la cornée. Plasticité cataleptique. Les
réflexes
ten- dineux sont abolis. L'hyperexcitabilité ne
T hypnotisme. 99 frémisssement presque incessant des paupières. Les
réflexes
tendineux sont exagérés; l'hyperexcitabilité ne
: nutrition du muscle, tension musculaire, motilité, excitabilité
réflexe
, mécanique, électrique. Nous signalerons plus par
système nerveux. Chez l'homme donc, suspension immédiate du pouvoir
réflexe
et pas d'agonie. Pour obtenir chez le chien les
outre les phénomènes indiqués plus haut, j'ai constaté l'absence du
réflexe
rolulien dans une jambe (dans l'autre l'examen
uche pour la droite et vice versa). Sens mus- culaire assez normal.
Réflexes
rotuliens totalement abolis dans les deux jambe
faits dans ces huit cas avec beaucoup de soin et par moi-même, les
réflexes
rotuliens, dans les huit cas, ont été examinés
sous les bras, et cela, grâce à une ataxie typique très forte. Les
réflexes
rotuliens sont abolis dans les deux jambes. A
ans les membres supérieurs, il faut remarquer l'absence complète du
réflexe
du tendon du muscle triceps dans le bras droit
endon du muscle triceps dans le bras droit et la conservation de ce
réflexe
dans le bras gauche (les arti- culations des de
ntarte. La sensibilité, en toutes ses branches, semble normale. Les
réflexes
rotuliens manquent absolument dans les deux jam
ration marquée de la sensibilité au froid dans les deux jambes. Les
réflexes
rotuliens manquent absolument. Antécédents. L
les jambes. Bientôt après l'apparition de la maladie, l'absence du
réflexe
rotu- lien fut constatée par les médecins. Et
nal urinaire et du rectum. Dans les deux jambes, absence totale des
réflexes
rotuliens. Antécédents. La malade, d'excellente
présence des douleurs ressemblant beaucoup aux crises néphrétiques.
Réflexes
rotuliens abolis dans les deux jambes. Antécéde
ine le contact des objets chauds. Force dans les jambes excellente.
Réflexes
rotuliens totalement abolis. Antécédents. La ma
possible atteintes de tabès. Je n'aurais pas regardé l'abolition du
réflexe
rotulien, remarquée chez tous les sujets, comme
goût et de l'odorat. La motilité est intacte des deux côtés, et les
réflexes
rotuliens sont normaux'. Dans l'histoire ci-des
s- déré l'hyperexcitabilité neuro-musculaire comme un phéno- mène
réflexe
dont le centre est dans la moelle ouïe cerveau et
faitement sa conclusion. Rôle de la commisssure postérieure dans le
réflexe
pupillaire. LeDr Darschkevitch, nie l'influence
réaction de la pupille la lumière ; suivant lui, l'abolition de ce
réflexe
dans les expériences faites jusqu'à présent, es
xie des membres supérieurs et faiblesse du membre inférieur gauche.
Réflexes
tendineux abolis partout. Sphincters intacts. S
lète- ment les paupières. Yeux presque immobiles, fixés en avant.
Réflexes
pupillaires normaux. En douze jours, ces symptô
ilité cutanée, tandis que le faisceau interne remplit des fonctions
réflexes
(par les fibres qui réunissent la corne postéri
sibilité. On peut admettre que les cordons de Goll servent à des
réflexes
cutanés nécessaires au maintien de l'équilibre, e
langue, quelques groupes musculaires étaient à l'état de rigidité.
Réflexes
cutanés et tendineux abolis. Abolition complète
ençant par les extrémités; les choses se passaient de même pour les
réflexes
. Pas de signes d'hystérie. C'était pourtant pro
t probablement croyons-nous un cas de para- lysie hystérique et les
réflexes
, ainsi que l'excitabilité électrique n'étaient
s de l'ani- mal, celui-ci ne fait aucun mouvement pour l'enlever.
Réflexe
anassétéarien. Ce réflexe existe chez tous les
i ne fait aucun mouvement pour l'enlever. Réflexe anassétéarien. Ce
réflexe
existe chez tous les hommes bien portants. M. I
avoir jamais vu se produire de mouvements cloniques en cherchant ce
réflexe
à l'état de santé. Application de la méthode
ucune action sur la dilatation de la pu- pille qui s'opère par voie
réflexe
. La dilatation directe de la pupille est produi
ille est produite par l'excitation du sympathique. La dilti- tation
réflexe
, par l'excitation des nerfs sensitifs. La dilata-
apidement à son maximum, et cesse plus rapidement que la dilatation
réflexe
. La dilatation réflexe atteint son maxi- mum le
, et cesse plus rapidement que la dilatation réflexe. La dilatation
réflexe
atteint son maxi- mum lentement, toujours après
ectionne le sympathique au cou, la période latente de la dilatation
réflexe
devient trois fois plus longue, l'amplitude de
t plus court; le rétrécissement mo- mentané manque. La dilatation
réflexe
peut s'opérer en l'abscence de toute communicat
: La période latente de la dilatation directe et de la dilata- tion
réflexe
est plus courte que la période latente de l'augme
VUE DE pathologie nerveuse. deux sympathiques ou cou, la dilatation
réflexe
de la pupille devient synchrone au rétrécisseme
, en effet la section des sympathiques n'a- bolit pas la dilatation
réflexe
. Le centre dilatateur de la pupille est situé d
e l'entrecroisement des pyramides abolit complètement la dilatation
réflexe
de la pupille par les excitations douloureuses.
des bras, des muscles de la nuque et du diaphragme. Disparition des
réflexes
tendineux. Aucun trouble de la sensibilité, ni
ion des réflexes tendineux. Aucun trouble de la sensibilité, ni des
réflexes
superficiels, ni de la fonction des nerfs crâni
B, un système d'association reliant l'appareil intellectuel à l'arc
réflexe
et se composant d'une partie centrifuge (systèm
E NERVEUSE. 293 d'une partie centripète (ruban de Reil) ; C, un arc
réflexe
qui com- prend aussi le premier relai central d
ue le centre intellectuel, poussant ses racines au travers de l'arc
réflexe
, crée le tronc de labase. Cha- cun des organes
es sens s'accentue et s'individualise dans le bout central de l'arc
réflexe
.. Enfin l'appareil intellectuel ressort net- te
Cervelet. Cervelet. L'appareil intellectuel se relie donc à l'arc
réflexe
: ), dans le' cerveau : par le système des pyra
hiv., t. 1,XXV.,p. 3tG). Elle est à peu près la même. Existence des
réflexes
tendineux rotuliens, à la condition, qu'on empl
Il s'agit pour l'auteur, d'une altération de cette portion de l'arc
réflexe
qui unit le centre optique au groupe des cellul
constate, en un tiers des cas, de l'exagération, même clonique, du
réflexe
tendineux patellaire, associée, en vingt- trois
en vingt- trois faits à du clonus podalique, à de l'exagération des
réflexes
, tendineux sur les extrémités supérieures, à de
n fait ne révélait de l'ataxie; enfin, chez les autres malades, les
réflexes
tendineux étaient affaiblis, ou n'avaient subi
ctions très violentes dans la région du muscle vaste interne. Les
réflexes
cutanés sont presque complètement abolis dans les
ont presque complètement abolis dans les plantes des pieds. * Les
réflexes
l'Ofztlte7tS sont totalement tibolib dans les deu
nt du sens musculaire dans les membres inférieurs et l'abolition de
réflexes
rotuliers, on y a trouvé la sensibilité normale
la maladie se termina en dix jours environ avec la réapparition des
réflexes
rotuliens. Nous n'avons pu trouver dans la litt
eux étaient parfaitement normaux, on remarquait, outre la perte des
réflexes
rotuliens, outre des four- millements, etc., un
Stiche, écrit Fuczek, werden niergends schmerzhaft empfuudeu »; les
réflexes
cutanés de la plante des pieds très amoindris;
n plan incliné ou descendre un escalier. Il y a une exaltation des.
réflexes
plantaires, crémaslériens et rotuliens, surtout
e. Dyscampsie légère des articulations. Se- cousses. Exaltation des
réflexes
.- Epilepsie spinale spontanée et provoquée. Rie
de provoquer ce tremblement. 11 y a une exaltation considérable des
réflexes
de ce membre. Son membre parétique parfois se f
rder à gauche, à droite, en haut, en bas, tandis que les mouvements
réflexes
ou inconscients paraissent s'exé- cuter assez .
njectée en solution à z1000 dans les veines amène l'exagération des
réflexes
, des contractions tétaniques et cloniques. Les
ération des réflexes, des contractions tétaniques et cloniques. Les
réflexes
à la douleur sont diminués; comme ces réflexes
et cloniques. Les réflexes à la douleur sont diminués; comme ces
réflexes
persistent chez les animaux décapités, on doit en
mouvements fibriNaircs, ni d'incoordination; sphincters normaux;
réflexes
papillaires intacts. Guérison après cinq mois.
a phériphérie et la parésie accompagne partout la paresthésie ; les
réflexes
cu- tanés et tendineux sont abolis ou diminués.
, sensibilité intacte, excitabilité électrique des muscles normale;
réflexes
tendineux abolis; acuité visuelle diminuée. Mor
tés et dans les muscles respirateurs. La sensibilité cutanée et les
réflexes
tendineux diminuent ; la température ne s'élève
meil; il n'y a pas d'anesthésie, ni de retard dans les mou- vements
réflexes
. Le retard des mouvements réflexes varie d'une
de retard dans les mou- vements réflexes. Le retard des mouvements
réflexes
varie d'une grenouille à l'autre, mais il est p
Atro- phie très marquée des membres droits, avec exagération des
réflexes
du même côté. Au bout de dix-huit mois, elle com-
s supérieurs de l'encéphale devenant ainsi incapables d'inhiber les
réflexes
et les impulsions); puis ceux de neurasthénie a
t pas en elles-mêmes parfaitement définies. M. Ribot admet que le
réflexe
est le type unique de toute action nerveuse, de
te action nerveuse, de toute vie de relation. Chez le nouveau-né le
réflexe
agit seul d'abord, et, en l'absence de tout éta
sse du caractère individuel, marquent le passage de l'état purement
réflexe
à l'élat volontaire. Accompagnés d'un état de c
ce immédiate et irrésistible à se traduire par des actes, comme les
réflexes
purs. Plus tard encore interviennent les idées
êmement intenses, passant à l'acte presque aussi rapidement que les
réflexes
, surtout quand ils s'accompagnent de sentiments
psychiques, anesthésie, lenteur des mouvements, exa- gérations des
réflexes
dus sans doute à une lésion organique. Le prono
re d'ailleurs un peu l'impotence de ce membre, cela est facile avoir.
Réflexes
rotuliens diminués, mais présents. La position
d'atrophie. « Pas d'anesthésie sur aucun autre point du corps. Les
réflexes
pharyngien et testiculaire sont normaux. Le réfle
nt du corps. Les réflexes pharyngien et testiculaire sont normaux. Le
réflexe
patellaire est plutôt exagéré. La sensibilité est
traire, la main gauche peut à peine exercer une force de 4 kil. Les
réflexes
tendineux du membre supérieur sont plus forts du
uer ce très léger trouble. L'odorat est normal des deux côtés. Le
réflexe
pharyngien est aboli à droite et à gauche. Le m
odique révélé par un certain degré de paraplégie avec exagération des
réflexes
rotuliens, une scoliose vertébrale très fréquente
it pas d'exister, s'il y avait réellement paraplégie spasmodique, les
réflexes
rotuliens, loin d'être exagérés, sont ici normaux
e la paralysie spasmodique de cause organique est parfaite. Alors les
réflexes
tendineux rotuliens sont exagérés et l'on obtient
membres inférieurs où la force est considérable des deux côtés. Les
réflexes
rotuliens, égaux des deux côtés, sont peut-être u
droite. — Odorat : très obnubilé à gauche, à peu près nul à droite.
Réflexe
pharyngien aboli surtout à droite. État d'énerv
ou, la jambe fléchie, est également douloureuse dans la hanche. Les
réflexes
rotuliens des deux côtés sont considérablement ex
hisseurs. Sensibilité moins nette qu'à la jambe droite. — Perte des
réflexes
. — Point douloureux péronier et fourmillements da
la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût sont parfaitement conservés. Les
réflexes
rotuliens sont extrêmement faibles des deux côtés
2° 0. entre la jambe droite et la gauche en faveur de cette dernière.
Réflexe
rotulien normal, un peu fort, des deux côtés. S
sceaux musculaires. —• Sens musculaire affaibli des deux côtés. — Les
réflexes
patellaires sont égaux des deux côtés. — Les réac
che dans un tapis, soit lorsqu'elle veut tourner sur elle-même. Les
réflexes
rotuliens sembleraient un peu exagérés du côté ma
nt un peu exagérés du côté malade. Pas de trépidation épileptoïde. Le
réflexe
pharyngien est totalement aboli. Sensibilité. —
ouble de la vision, nidiplopie, ni amblyopie, ni dyschromatopsie. Les
réflexes
pupillaires sont normaux. Il n'y a pas de rétréci
e, le stigmate de Chairou, à savoir une insensibilité avec absence de
réflexe
du pharynx. Donc, la zone cl'anes-thésie un peu p
aires ne semblait occasionner qu'une douleur insignifiante et que les
réflexes
rotuliens n'étaient nullement absents. Peut-être
uels avaient été mes doutes lorsque j'ai constaté la conservation des
réflexes
patellaires, l'absence des douleurs à la pression
inée, la face interne des cuisses), des escharres au talon ; enfin le
réflexe
rotu-lien est absent si le crural est lésé, conse
ophie grave dans le domaine des nerfs poplités, de la persistance des
réflexes
rotuliens, de l'absence de complication du côté d
peu altérée, de telle sorte que les mouvements d'accommodation et les
réflexes
pupillaires contrastent par leur intégrité, avec
nt de la sensibilité, pas de paralysie de la vessie et du rectum, les
réflexes
restant normaux, affaiblis ou supprimés. Ces cara
ipation des faisceaux latéraux et par conséquent sans exagération des
réflexes
). Ce malade qui vous a montré tout à l'heure le
s efforts ; bientôt les membres inférieurs sont pris à leur tour, les
réflexes
tendineux sont absents aux membres supérieurs, no
en effet, pour l'établir, de relever l'absence d'une exagération des
réflexes
tendineux. Ces rétractions se voient surtout dans
. Les muscles sont flasques et animés de secousses fi-brillaires. Les
réflexes
sont absents et il n'existe aucun trouble de la s
myosis, ni symptôme d'Ar-gill Robertson. Réaction lente à la lumière.
Réflexes
conservés. Aucune lésion du fond de l'oeil. Les f
culaire. Pas d'autres symptômes. Pupilles peu sensibles à la lumière.
Réflexes
rotuliens conservés. Depuis une quinzaine de jour
s de troubles de la sensibilité, ni sur la face ni dans la bouche. Le
réflexe
pharyngien est très développé. Pas de céphalée. P
bles vésicaux. Rien aux membres ; pas de parésie ni d'atrophie. Les
réflexes
rotuliens sont présents. L'appétit est conservé
pointe, à la base ou s'il est simplement d'origine inorganique. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs et inférieurs so
lexes tendineux des membres supérieurs et inférieurs sont normaux. Le
réflexe
massétérin semble un peu augmenté. A côté de ce
le. Les ré flexes tendineux sont absents aux membres supérieurs, le
réflexe
patellaire est affaibli à droitej à peu près norm
ndineuse ou musculaire et non de contracture spasmodique, puisque les
réflexes
tendineux, loin d'être exagérés, font défaut aux
ratiqué par M. Cartaz le 7 juin 1890 a donné les résultats suivants :
Réflexes
pharyngiens conservés. Sensibilité du voile du pa
des membres supérieurs manquent totalement. Aux membres inférieurs le
réflexe
rotulien droit est très affaibli, mais non complè
re de courant employé; la réaction de dégénérescence fait défaut. Les
réflexes
sont absents aux membres supérieurs et il n'y a n
otation, inclinaison latérale, s'exécutent avec leur force normale.
Réflexes
. — Le réflexe patellaire est aboli des deux côtés
aison latérale, s'exécutent avec leur force normale. Réflexes. — Le
réflexe
patellaire est aboli des deux côtés. Le réflexe d
ale. Réflexes. — Le réflexe patellaire est aboli des deux côtés. Le
réflexe
du poignet est très faible. Les réflexes abdomina
est aboli des deux côtés. Le réflexe du poignet est très faible. Les
réflexes
abdominal et crémastérien sont conservés. L'atr
'articulation des mots. Pas de secousses fibrillaires de la langue.
Réflexe
massétérin conservé. Voici le résultat de l'exa
esthésie du voile et du pharynx, ainsi que de la base de la langue.
Réflexes
très peu prononcés. Sensibilité du larynx diminué
is, mais on n'y peut constater aucune trace d'atrophie véritable. Les
réflexes
tendineux du genou sont normaux ; ceux des membre
l'observation. Mais la lésion s'était accentuée du côté du bulbe : le
réflexe
pharyngien était diminué, les mouvements des lèvr
tôme capital de la sclérose latérale amyotrophique, l'exagération des
réflexes
tendineux et en particulier du réflexe massétérin
otrophique, l'exagération des réflexes tendineux et en particulier du
réflexe
massétérin. Il existe des cas où ce dernier phé
rale amyotrophique, caractérisée, d'autre part, par l'exagération des
réflexes
et la contracture ; elle peut se rencontrer dans
ype Du-chenne-Aran, avec secousses fibrillaires, sans exagération des
réflexes
, d'une évolution symétrique et lente. 2° Troubl
étriques et unilatérales, douleurs à caractère fulgurant; absence des
réflexes
rotuliens. — Un mot d'Historique : travaux de Ray
ois devoir particulièrement insister. Je veux parler de l'absence des
réflexes
rotu-liens, qui existe dans un assez grand nombre
aralysies dans le diabète (p. 35) ' Ch. Bouchard. — De la perte des
réflexes
roluliens dans le diabète sucré. (Associât, franc
nt? Enfin quand il s'agit de l'importante découverte de la perte du
réflexe
rotulien dans nombre de cas de diabète, M. Leyden
appartient à César. Mais j'en reviens à la question de l'absence des
réflexes
rotuliens chez les diabétiques. La découverte d
en somme reconnaît aujourd'hui que, dans certains cas de diabète, les
réflexes
tendineux sont absents. Mais quelle est la signif
lement plus vraisemblable. En tous cas, cliniquement, l'absence des
réflexes
rotuliens caractérise des cas graves de diabète;
t, 1885, n° 8.) * Pierre Marie et Georges Guinon. — Sur la perte du
réflexe
rotulien dans le diabète sucré. [Rev. de méd., 18
le diabète sucré. [Rev. de méd., 1886.) 3 Nivière. — De la perte du
réflexe
rotulien dans le diabète sucré. Th. Paris, 1889.
des douleurs fulgurantes et diverses dysesthésies, 2° l'abolition des
réflexes
rotuliens. D'où une certaine analogie avec le tab
résence de douleurs fulgurantes et du signe de Romberg, l'absence des
réflexes
rotuliens, la démarche ataxique, devraient rendre
i il existe des douleurs fulgurantes, des analgésies, l'abolition des
réflexes
patellaires. Là aussi, on a dit que lorsque la pa
l'on observe. Dans tous ces pseudo-tabes, on rencontre l'absence des
réflexes
rotuliens, des douleurs plus ou moins fulgurantes
par des débâcles. Point de phénomènes laryngés, absence complète des
réflexes
rotuliens qui ne reparaissent pas par le procédé
issent pas par le procédé de Jendrassik. Signe de Romberg très net.
Réflexe
pupillaire absolument normal pour la lumière et l
d'abord à la paralysie alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des
réflexes
rotuliens ne vous détournent pas de cette idée. L
cotome central. Le goût, l'ouïe, l'odorat sont affaiblis à gauche. Le
réflexe
pharyngien Fig. 37. — Anesthésie de la face et
oit du corps est redevenue normale ainsi que la force musculaire; les
réflexes
sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d'atrop
nsibilité conjonctivale et cornéenne est abolie à gauche, quoique les
réflexes
s'y produisent ; à droite elle est normale. Les d
sol, le genou fléchit à peine, la démarche est lente et boiteuse. Le
réflexe
rotulien est fort exagéré et on provoque avec la
ervé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et
réflexes
occupant surtout le membre inférieur du côté oppo
du défaut de coordination motrice, par l'exagération considérable du
réflexe
rotulien et la trépidation épi-leptoïde provoquée
existe une légère scoliose lombaire à concavité tournée à gauche. Les
réflexes
rotulien et olécrânien sont très exagérés. L'épil
la position assise, lorsque la pointe du pied appuie sur le sol. Les
réflexes
plantaires sont exagérés. Les mouvements du bra
côté paralysé, de la rigidité, de la contracture, une exaltation des
réflexes
avec trépidation spinale, peut-être quelques trou
rieur du côté paralysé, la participation de la face, l'exaltation des
réflexes
, la trépidation spinale, tout en somme justifie c
s sensible de la force dynamométrique et compliquée d'exagération des
réflexes
tendineux et d'atrophie musculaire en masse. Cett
de la main gauche se rapproche aujourd'hui de celle du côté sain. Les
réflexes
sont devenus normaux, les troubles vaso-moteurs d
mblent plus, que sa démarche est facile quoique un peu titubante. Les
réflexes
rotu-liens sont encore exagérés, mais la trépidat
e est représentée par une paraplégie spasmodique avec exagération des
réflexes
rotuliens et trépidation spinale,par du nystagmus
s persistantes de la main droite, dont nous avons parlé plus haut. Le
réflexe
rotulien, à peu près normal à gauche, est très fo
des poids; son sternum est couvert de pytiriasis versicolor. — Pas de
réflexe
pharyngien, pas de troubles de la sensibilité gén
étriques et unilatérales, douleurs à caractère fulgurant; absence des
réflexes
rotu-liens. — Un mot d'historique : travaux de Ra
ésions nerveuses secondaires, 259 ; — névralgies symétriques, 263 ; —
réflexes
rotuliens, 265 ; — paraplégie par névrite, 271 ;
15. R Ramollissement du cerveau par artérite syphilitique, 387.
Réflexes
rotuliens dans le diabète, 265. S Sciatique :
oup le plus souvent c'est la paralysie flasque avec abolition des
réflexes
. Elle peut affecter la forme d'une hémiplégie com
ralysies spasmodiques, avec raideurs, contractures, exagération des
réflexes
. En dehors du ramollissement ancien par thrombo
caractères que nous indiquions au début : flaccidité, abolition des
réflexes
, absence de troubles objectifs de la sensibilité.
voix n'est pas modifié. Il n'y a aucun trouble de la déglutition.
Réflexe
pharyngé normal. Le facial supérieur paraît intac
mbe droite un peu moins forte; il n'y a pas d'incoordination. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés des deux côtés, un p
provoque en outre quelques secousses de tré- panation épileptique.
Réflexes
plantaires également exagérés. Les deux membres
es inférieurs (phénomènes spasmo- diques, raideurs, exagération des
réflexes
, troubles de la sensibilité) et des sphincters,
ec ceux du droit externe opposé, mais seulement dans les mouvements
réflexes
. Dans les mou- vements volontaires, l'incitatio
est faible, la parole hésitante. Les pupilles dilatées et inégales,
réflexes
rotuliens conservés intactes. Idées hypocon- dr
minution de la tonicité musculaire est en rapport avec la perte des
réflexes
tendineux. (Archiv f. kl. met ? XXXIII). L'aute
ême pour les 48 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
réflexes
tendineux. En général, l'angle de réflexion de la
amaigris. L'hypotonie parait marcher de pair avec la diminution des
réflexes
. Mais l'extensibilité passive semble n'avoir au
us podalique, ce phénomène est dû à l'exagération des excitabilités
réflexes
. Aussi le trouve-t-on, comme le premier, dans l
éraux. Mais il y a des cas où le clonus podalique existe, et non ce
réflexe
rotulien, parce que le crural, qui innerve les mu
gions chez le même malade il n'y a pas la moindre hyperexcitabilité
réflexe
, qui est en faveur de lésion organique du systè
elquefois dans des affections fonctionnelles avec hyperexcitabilité
réflexe
(hystérie, névrose traumatique), et c'est alors
lonus musculaire des extrémités inférieures : une hyperexcitabilité
réflexe
du système nerveux, car ils sont toujours accom
veux, car ils sont toujours accompagnés d'une forte exagération des
réflexes
tendineux l'existence d'une affection organique
chatouillement dans la muqueuse nasale. Quelle que soit la théorie (
réflexe
ou transmission régionale), il faut, pour produir
Les troi- sièmes, aux cellules des cornes antérieures (collatérales
réflexes
). Les quatrièmes s'étendent jusqu'à la commissu
aiblesse musculaire dans les membres inférieurs ; 2° exagération du
réflexe
rotulien du côté de la lésion; 3° déviation conju
UE. 73 On cherchera d'abord à supprimer les causes d'excitabilité
réflexe
qui entrent en jeu dans la production des attaque
ent de l'épilepsie. Pour supprimer les diverses causes d'excitation
réflexe
qui jouent un si grand rôle dans la production
Le sens musculaire est affaibli dans les extré- mités droites; les
réflexes
tendineux du côté droit, surtout le réflexe rot
ré- mités droites; les réflexes tendineux du côté droit, surtout le
réflexe
rotulien, sont exagérés. Pendant cinq jours l
mobile pendant les mouvements volontaires ainsi qu'à l'excitabilité
réflexe
; son excitabilité élec- trique était totalement
ie-mère, est de beau- coup la plus importante dans le mécanisme des
réflexes
céré- braux. C'est là, en effet, que se fait la
1 modiques : raideurs musculaires, contractures, exagération des
réflexes
, souvent trépidation épileptoïde. Elles sont ha
marche n'est pas troublée, mais il y a une exagération manifeste du
réflexe
rotulien a droite. Aucun trouble du langage.
centre. L'hémiplégie persiste au même degré, avec exagération des
réflexes
rotutiens. Il n'y a toujours aucun trouble de la
e ce côté. Pas de dyspnée. La sensibilité est un peu moindre, et le
réflexe
cornéen diminué du côté droit de la face. Exagé
e réflexe cornéen diminué du côté droit de la face. Exagération des
réflexes
et trépidation épileploide du côté droit. Incon
L'hémiplégie persiste avec les mêmes caractères ; exagération des
réflexes
et trépidation épileptoïde à droite. Toujours auc
re les neurones, ouverture de voies collatérales pour le trajet des
réflexes
cérébraux un instant supprimés; la guérison peu
troubles de la vue, des vertiges. Démarche ébrieuse, abolition des
réflexes
rùtttlicns, troubles visuels en disproportion a
e à ses membres. Pas de paralysie faciale. Abolition complète des
réflexes
rotuliens. Aucun trouble des divers modes de la
. Aucun stigmate d'hystérie si ce n'est une diminution notable du
réflexe
pharyngien et un clignottement marqué des paupièr
prononcée; le moindre effort amène une fatigue rapide et l'épuisé.
Réflexes
rotuliens abolis. Aucun trouble de la sensibi
HILIS. 123 faciale droite. La démarche est légèrement ébrieuse; les
réflexes
rotuliens complètement abolis. Aucun trouble
ieuse. La station debout est facile les yeux ouverts ou fermés. Les
réflexes
rotuliens sont toujours abolis. Asthénie assez
s de paraphasie. Les ^réponses qu'on obtient, paraissent uniquement
réflexes
. Aussi est- il très difficile de se rendre comp
éger degré de paralysie faciale, et de parésie du membre supérieur.
Réflexes
rotuliens abolis. Il n'y a plus de cépha- lalgi
famille. L'activité cardiaque est accélérée pendant l'attaque. Les
réflexes
restent normaux. Assez rare chez les jeunes fem
si limitées au côté droit. La force musculaire est con- servée. Les
réflexes
tendineux du membre inférieur droit sont légère
sa coexistence avec des crises épileptiformes, ou l'exagération des
réflexes
tendineux du membre inférieur droit semblent se
e la pupille gauche ; la réaction pour la lumière est normale. Les'
réflexes
patellaires sont très exagérés ; phénomène du p
que des muscles extenseurs et adducteurs des cuisses; abolition des
réflexes
patellaires; exagéra- tion du réflexe du tendon
s des cuisses; abolition des réflexes patellaires; exagéra- tion du
réflexe
du tendon d'Achille (trépidation spinale du côté
ons l'observation. Dans l'autre forme, l'atrophie est générale. Les
réflexes
sont exagérés, et les muscles atrophiés présent
xcitants trop énergiques rien que par la mise en activité d'actions
réflexes
appropriées sans qu'il y ait chez eux ni consci
égion dorsale de la moelle. G. D. XLVI. LE mécanisme DES mouvements
réflexes
; UN cas DE compression DE la moelle dorsale ave
exes; UN cas DE compression DE la moelle dorsale avec abolition DES
réflexes
; par A. van Gehuchten. (JOUril. de neurologie e
te des réilexes tendineux, viscéraux et cutanés, à l'excep- tion du
réflexe
plantaire, qui peut persister, et du réflexe à la
és, à l'excep- tion du réflexe plantaire, qui peut persister, et du
réflexe
à la douleur, qui persiste d'une façon constant
viennent d'une façon incontestable dans le mécanisme des mouvements
réflexes
. G. DERNY. XLVII. SUR L'ENTRE-CROISEMENT INCOMP
mps ignorée des sujets mêmes qui en sont atteints ; conservation du
réflexe
à la lumière ; coexistence habituelle de l'anes
ion des mouvements et non à la paralysie ; dans les deux, enfin, le
réflexe
patellaire est aboli. Ces points de ressemblanc
douloureux disparaissent quand l'anesthésie cutanée se montre ; les
réflexes
étaient totalement abo- lis tandis que d'ordina
de la base avec photophobie, strabisme, pupilles irrégulières avec
réflexes
presque abolis, respi- ration irrégulière, poul
nce, et perte du contrôle exercé par les centres supérieurs sur les
réflexes
à la-façon d'un shock » affectant les centres n
ant. On constata en outre une aboli- » .tion ou. une diminution des
réflexes
cutanés et tendineux des .membres inférieurs, u
, bradylalie, tremblement intentionnel des membres, exagération des
réflexes
Chez les trois il y a contraction, toutefois pl
ibrillaire et fasciculaire des muscles au toucher ; exagération des
réflexes
, trépidation épileptoïde du pied. Cet élat alla
g, lesquels poisons n'agissent sans doute qu'en provoquant par voie
réflexe
cette congestion ou cette anémie cérébrale. Que
au début de l'as- phyxie par immersion, il y a, et cela à cause des
réflexes
cutanés et pulmonaires, rapidité plus grande du
vec eux de l'incoordination motrice du tabès, des chorées, des tics
réflexe
, symptomatique, neurasthénique, hysté- rique. O
que évolue diflé- remment suivant la cause; ainsi, dans l'épilepsie
réflexe
, l'intelli- gence reste longtemps normale, tand
se tenir debout. Pieds yiolacés, en légère rotation interne. Les
réflexes
rotuliens sont conservés. L'enfant est complète
s exagération pendant les mouvements intentionnels. Pas d'atrophie.
Réflexe
patellaire exagéré, clonus des deux pieds, visi
but de l'affection. Névrite optique. Elocution scandée, explosive ;
réflexes
symétriquement exagérés. Incoordi- nation, déma
assise à terre. Incoordination très prononcée, pseudo-nystagmus,
réflexes
exagérés. IV. Garçon, dix-neuf ans, arriéré; di
e, tronc légèrement penché en avant, tête un peu tournée à gauche ;
réflexes
augmentés ; mort de tuberculose. Autopsie : c
s. Parmi ces derniers, M. Bechtereff insiste surtout sur l'état des
réflexes
cutanés (abdominaux tout particu- lièrement) qu
out particu- lièrement) qui peuvent être exagérés contrairement aux
réflexes
tendineux; sur la percussion indolore du nerf c
centrique du champ visuel avec dyschromatopsie et micropsie gauche,
réflexe
pharygien diminué, anesthésies par- tielles (su
s successives. Mais si les organes et fonc- tions les plus simples (
réflexes
) se transmettent directement et sans l'interven
UE DES thèses DE Bordeaux (suite)1. , , . 14. Essai critique sur le
réflexe
cutané abdominal (réflexe de Rose- bach) ; par
(suite)1. , , . 14. Essai critique sur le réflexe cutané abdominal (
réflexe
de Rose- bach) ; par M. E.-P.-X. MAYER. Le ré
ané abdominal (réflexe de Rose- bach) ; par M. E.-P.-X. MAYER. Le
réflexe
abdominal existe à peu près constamment chez l'
nt des excitations sen- sorielles comme aux mouvements automatiques
réflexes
qui en sont les résultats, mais ils ne se recon
indisso- lublement aux images perçues » par une sorte d'imitation
réflexe
. « Ces réactions motrices, faiblement adhérente
bles de l'esprit ne font que suivre et s'adapter, comme des actions
réflexes
automatiques, aux troubles émotifs pri- mitifs
mal que penser c'était se retenir d'agir. Pour Setchenoff, c'est un
réflexe
réduit à ses deux premiers tiers. Se figurer un
force est d'admetlre que l'excitation qui dètenoiitie d'une manière
réflexe
l'activité de la cellule piriforme et la ro; du
re par les contractures qui existent souvent, par l'exagération des
réflexes
, par la réaction électrique normale. Les paraly
cellules motrices, la cause ne doit être cherchée ni dans l'action
réflexe
des excitations périphériques (Marinesco), ni dan
ruction de la cellule d'origine du nerf, c'est que les collatérales
réflexes
, les fibres des pyramides, et d'autres fibrille
tmcapparate voit Reize), et qui, principalement dans les phénomènes
réflexes
, joue- 1 aient un rôle important. Les fibrilles
nsoriels, les dendrites n'intervenaient pas comme éléments de l'arc
réflexe
: l'éminent histologiste leur refusait donc toute
s, mais l'acuité visuelle et auditive est normale. De même pour les
réflexes
, la force musculaire est cependant sensiblement
tanée, anesthésie profonde, paralysie vaso-motrice, exagération des
réflexes
tendineux. R. Du côté opposé, à droite : Anesthés
on notable; on note de l'inégalité des pupilles, la disparition des
réflexes
rotuliens, des grimaces en excès, des contracti
. On note des altérations dans les pupilles et une dimi- nution des
réflexes
patellaires; ensuite dénutrition rapide, refus
t d'une façon brusque, une paraplégie inférieure avec abolition des
réflexes
pa- tellaires. 422 sociétés savantes. A l'a
mplet laisse sans explication entre autres le fait de l'absence des
réflexes
rotuliens (la moelle n'a pas été examinée par l
et KojEWNtKow échangent des opinions en ce qui concerne l'état des
réflexes
dans lacompres- sion de la moelle. En outre, on
les ganglions sympa- tliiqties. Foi,i ? ie ai2atoiniqiie; 2° D'un
réflexe
parti d'extrémités nerveuses comprimées, tirail
d'un polype ou d'une hypertrophie de la muqueuse nasale, etc. Forme
réflexe
; 424 BIBLIOGRAPHIE. 3° D'une intoxication thy
s sensibilités profondes et des sensibilités icflexes; contractions
réflexes
très douloureuses des muscles des membres infér
Pas de trouble de la station debout, pas de signe de Romberg. Le=
réflexes
rotuliens sont exagérés, il y a de la trépidation
e : le malade ne peut exécuter le plus léger mouvement des orteils.
Réflexes
rotuliens très exagérés; trépidation épileptoïde
orteils. Réflexes rotuliens très exagérés; trépidation épileptoïde
réflexe
plantaire conservé, mais faible; réflexe crémasté
s; trépidation épileptoïde réflexe plantaire conservé, mais faible;
réflexe
crémastérien faible; réflexe bulbo-caverneux bi
flexe plantaire conservé, mais faible; réflexe crémastérien faible;
réflexe
bulbo-caverneux bien conservé. La sensibilité c
ral deltoïde, grand dentelé et muscles de la ceinture scapulaire.
Réflexes
: tendineux ne peuvent être provoqués. Pas de con
primés à ses membres. Il conserve tou- jours les mêmes contractions
réflexes
douloureuses. Il lui semble parfois sentir ses
sion n'atteint pas toute la hauteur de la moelle ; les contractions
réflexes
douloureuses qui se produisent quelque- fois pa
t quelque- fois par un simple contact prouvent l'intégrité de l'arc
réflexe
. Cet arc réflexe est intact au moins jusqu'à la
ar un simple contact prouvent l'intégrité de l'arc réflexe. Cet arc
réflexe
est intact au moins jusqu'à la limite intérieure
profonde de la racine de la cuisse provoque encore des contractions
réflexes
. Il est impossible de pousser plus avant les lo
raisons suivantes : a). Non seulement il y avait exagération des
réflexes
tendi- neux, ce qui se voit aussi dans la ménin
t manquer dans les lésions médullaires transverses; mais tous les
réflexes
cutanées étaient exagérés, un contact qui n'était
u par le malade provoquait cependant des contrac- tions musculaires
réflexes
. Cela nous indiquait que l'arc réflexe sensitiv
ontrac- tions musculaires réflexes. Cela nous indiquait que l'arc
réflexe
sensitivo-moteur était intact dans toute la pojrt
nation motrice au début, souvent des troubles de la sensibi- lité
réflexe
; plus tard, les troubles delà sensibilité conscie
as, il n'y eut à aucun moment de l'incoordination, les sensibilités
réflexes
étaient exagérées, les sensibilités conscientes
peau de la racine du membre on provoquait encore des con- tractions
réflexes
, preuve de l'intégrité de l'arc sensitivo- mote
assifs imprimés aux mem- bres étaient douloureux ; les contractions
réflexes
se produi- sant sous l'influence des moindres e
autrefois de la sécrétion. A. Fenayrou. LXXX1. L1 TIIÎ : OaIE des
réflexes
; par M. DEMASSARY. (Presse médicale, 5 février
veux et distingué l'arc médullaire, substratum anatomique de l'acte
réflexe
simple, inconscient, el l'arc cérébral, représe
s susceptibles de produire soit la diminution ou la suppression des
réflexes
, soit leur exagération. D'une façon générale, l
gération. D'une façon générale, la diminution ou la disparition des
réflexes
provient d'une lésion de l'arc médullaire périp
ompression de la moelle) ; parfois mais rarement, l'exagération des
réflexes
est due à un retard dans le développement du fa
bolition du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 483
réflexe
pharyngé plus fréquente chez les hémiplégiques ga
te pas nécessairement la lésion de celui-ci. Ce sont les épilepsies
réflexes
, preuves évidentes que la zone épileptoèiie peu
de très près des convulsions corticales. On connaît des épilepsies
réflexes
par- tielles, à type brachial, d'origine oculai
égie ou l'hémiplégie peuvent même accompagner ces accès d'épilepsie
réflexes
et il peut être difficile de dire si l'épi- lep
es et il peut être difficile de dire si l'épi- lepsie est d'origine
réflexe
ou corticale, d'autant plus que le trau- matism
vient une lésion déchargeante. Ce qui peut caractériser l'épilepsie
réflexe
, c'est l'existence de spasmes unilatéraux du mê
dominant dans s les spasmes, peut-il aussi caractériser l'épilepsie
réflexe
, et rendre suspecte l'origine exclusivement cor
nèse de l'écorce du cervelet. Auge (Frédéric). De l'observation des
réflexes
pupillaire et cor- néen pendant la chloroformis
t de la sciatique rebelle par le hersage. Mayxele (Lucien). Rôle du
réflexe
dans l'étiologie d'un syndrome de Basedow-Grave
égénérescence des voies chez les cobaves, par Souklianoff, 215.
RÉFLEXES
. Mécanisme des , par van Gehucliten, 215. - cut
t pas non plus de troubles de la gustation et de l'audi- tion. Le
réflexe
plantaire se produisait sous la forme de la flexi
lantaire se produisait sous la forme de la flexion des orteils. Les
réflexes
tendineux étaient abolis partout,au cou-de-pied,
es sont très sensibles à la pression, surtout à droite. Quant aux
réflexes
rotuliens, ils sont abolis des deux côtés. En fai
lr. : 00. Ad. : 38. métrique. A gauche : 33. A g. : 50. A . : 3t.
Réflexes
. Normaux. Idem. Idem. Excitabilités Normales. N
) est normale. Pas de déformations de la . colonne vertébale.
Réflexes
. Tous les réflexes du tronc, de même que des orga
s de déformations de la . colonne vertébale. Réflexes. Tous les
réflexes
du tronc, de même que des organes pel- viens so
ga S. Jliclcel . Nicolas S. que la coordination des mouvements.
Réflexes
tendi- manifestement exa- exagéré. fortement exag
exagéré lieux : patellaire. géré. Clonus du pied. fait défaut.
Réflexes
cula- Le réflexe plan- nés. taire est normal.
patellaire. géré. Clonus du pied. fait défaut. Réflexes cula- Le
réflexe
plan- nés. taire est normal. Excitabilité nor
pement considéra- ble de la musculature des jambes. Exagération des
réflexes
rotutiens. Sen- sation de lassitude dans les ja
tion de lassitude dans les jambes. Plantes voûtées. Exagération des
réflexes
rotuliens. Léger clonus des pieds. Léger embarr
eule jambe. Sensation de lassitude dans les jambes. Exagération des
réflexes
rotuliens. Clonus du pied. Plantes voûtées. Dév
; 60 Sensation de lassitude dans les jambes : 7° Exagération des
réflexes
rotuliens chez tous les trois malades et clo- n
ère enfance et se caractérise en première ligne par l'ab- sence des
réflexes
rotuliens, sans parler d'autres symptômes. z 20
agitation de l'enfant ne permet pas de les déterminer exactement.
Réflexes
. - Exagération des réflexes rotuliens. Langage.
ermet pas de les déterminer exactement. Réflexes. - Exagération des
réflexes
rotuliens. Langage. Intelligence . - Outre les
e l'oedème sur la face dorsale et de l'hy- perkératose plantaire.
Réflexes
: rotuliens normal à droite, faible à gauche ;
ation de l'engourdissement des membres inférieurs et exaltation des
réflexes
rotuliens. La discussion de cette observation s
'vaso-motrice retardée, la température plus basse. Exagération des
réflexes
périostiques des poignets droit et gauche. '
a région dorsale. Hyperesthésie lt la piqûre de V hémithorax droit.
Réflexes
rotuliens, plantaires, testiculaires exagérés . T
inutes après, appa- raissent des papules à droite comme à gauche.
Réflexes
. - Les muscles de l'avant-bras ne sont pas hypere
ibilité thermique est normale et égale à droite comme à gauche. Les
réflexes
plantaires, vifs des deux côtés et les réflexes t
comme à gauche. Les réflexes plantaires, vifs des deux côtés et les
réflexes
testiculaires éga- lement très vifs des deux cô
ement très vifs des deux côtés ne s'épuisent que difficilement. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés des deux côtés. Dé
ble an chatouillement. Hyperesthésie à la piqûre des deux côtés. Le
réflexe
abdominal est normal. Examen des yeux. - La vue
ilité linguale. Quelques légers sillons disséminés sur la langue.
Réflexe
pharyngien très vif. Pas de paralysie du voile du
iation des traits. Aucun trouble de la muscu- lature de la face. Le
réflexe
massétérin ne se produit pas. Le malade lit trè
douleurs qui dureraient encore et iraient en s'amendant. Tous les
réflexes
inférieurs sont restés très vifs. D'ailleurs, le
s amyotrophies considérées naguère comme étant simplement d'origine
réflexe
correspondent à une altération atrophique des cel
a moelle cervicale nous parait d'autant moins douteuse que tous les
réflexes
moteurs et sensitifs sont considérablement exag
gment métamérique correspondant non seulement en vertu du mécanisme
réflexe
que l'on invoque pour expliquer les cas d'amyot
es images d'attitudes segmentaires indispensables à l'équilibration
réflexe
,- et, d'autre part, vers le cerveau, par voie c
les images d'attitudes céphaliques indispensables à l'équilibration
réflexe
, - et d'autre part, vers le cerveau, par voie c
vers les centres nucléaires des cornes antérieures, formant un arc
réflexe
d'une extrême brièveté. De môme nous trouverons a
usculaire, de ces circonvolutions centrales est partie une série de
réflexes
comme il en part de tout autre point de la péri
lontaire du regard, et l'action de l'oculomotricité n'a ici rien de
réflexe
ni de compensateur. Quand le mouvement de la tête
u'une période d'irritation précède la suppression de l'irritabilité
réflexe
. C'est à cette période qu'ap- partient le verti
partient le vertige, et qu'il faut aussi rapporter les irradiations
réflexes
si remarquables au niveau de l'appareil oculomo
ige est parfois remplacé par l'éblouisse- ment, c'est-à-dire par un
réflexe
oculomoteur irradié à son tour des noyaux du ve
à cette période qu'appartiennent le plus grand nombre des troubles
réflexes
que je vais énumérer. Jemebornerai à relever
e de l'oculomoteur externe, paralysie passagère, comme la paralysie
réflexe
, d'origine purement labyrinthique, se retrouve da
e nystagmus vertical, beaucoup plus rare, s'expliquerait par le jeu
réflexe
d'autres muscles. J'en ai observé deux cas, dont
endre un compte exact de l'état fonctionnel de son oculo- motricité
réflexe
. Quand les paupières sont fermées, ou dans l'ob
t aussi une véritable incohérence de l'exercice de l'oculomotricité
réflexe
. Mon malade eut à peine fermé les paupières, tr
on et de l'appropriation oculomotrices. Ces troubles oculomoteurs
réflexes
, apparaissant quand l'ocul01l10tricité cesse d'
ses associations, que l'enjambement internucléaire des irradiations
réflexes
dont nous avons vu un exemple remarquable plus
ais vus intéressés, peuvent ainsi se trouver pris par l'irradiation
réflexe
issue de l'appareil ampullaire, et réa- liser l
pour m'efforcer d'être complet, les variations dans l'excitabilité
réflexe
de la moelle au cours d'affections labyrinthiques
d'affections labyrinthiques, et particulièrement les variations du
réflexe
rotulien, et l'inégalité patellaire apparaissan
s dans le tabes. Mais je ne pense pas que les troubles oculomoteurs
réflexes
d'origine rétinienne, à part l'appareil de l'ac
orrespondant. Peut-être ces troubles vasculaires et périvascùlaires
réflexes
dans le domaineoptique ouoculomoteuret d'origine
st ce fait que, dans le tabes, on trouve (1) BONNIER, Variations du
réflexe
patellaire au cours de certaines cc/jeclions laby
utant de la rougeur, qui s'observe dans les mêmes conditions : deux
réflexes
vaso-moteurs de sens inverse qui se succèdent pre
frottements. Il est plus souvent limité quand il se présente à titre
réflexe
dans des affections très diverses d'ailleurs :
une irritation des fibres des nerfs sensitifs, soit par une action
réflexe
, soit par une lé- sion centrale, irritation cor
ination, il a de temps en temps des secousses dans les membres. Les
réflexes
rotuliens sont conservés. Il existe quelques pl
ques secousses nystagmiformes, aucune lésion du fond de toit. Les
réflexes
sont abolis aux membres supérieurs. Les réflexes
ond de toit. Les réflexes sont abolis aux membres supérieurs. Les
réflexes
du genou et du tendon d'Achille le sont égaleme
du genou et du tendon d'Achille le sont également. La recherche du
réflexe
plantaire est douloureuse ; il y a extension à
paralysie de la troisième paire gauche), pas de dyschromatopsie. Le
réflexe
du poignet et celui du coude sont abolis, la perc
rcussion du triceps donne toutefois la flexion de l'avant-bras. Les
réflexes
rotuliens et celui du tendon d'Achille sont abo
rotuliens et celui du tendon d'Achille sont abolis également. Le
réflexe
plantaire a lieu en flexion, il n'y a pas de trép
droit fait constater un rétrécissement considérable (Fig. 1). Les
réflexes
du coude, du poignet, du genou et de l'articulati
et, du genou et de l'articulation tibio-tar- sienne sont abolis. Le
réflexe
plantaire a lieu en flexion, il n'y a pas de trép
ue les pupilles sont égales, elles réagissent aux distances mais le
réflexe
lumineux est perdu. A l'ophtalmoscope, le nerf op
UPERFICIELLES 339 du genou et du talon sont abolis. La recherche du
réflexe
plantaire provoque une sensation de brûlure san
u membre est conservée, les mouvements des orteils sont libres, les
réflexes
sont normaux. La sensibilité tactile et muscula
rent enjeu. Sensibilité conservée au tact, au froid, à la piqûre.
Réflexes
normaux. Pas de phénomène du pied. Vue normale.
laire se manifeste nettement dans le grand pectoral. Abolition du
réflexe
rotulien ; pas de fourmillement, pas de sensation
e pas actuellement. Face : atrophie musculaire. . Abolition des
réflexes
. Le malade quitte le service à la fin de novemb
à la partie moyenne, 53 centimètres des deux côtés. Abolition des
réflexes
patellaires et plantaires. Pas d'atrophie appréci
marche encore facilement : tous les mouvements sont possibles ; les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Pas de phénomènes du p
de cauchemar, pas de céphalée ; la mé- moire est bien conservée.
Réflexes
patellaires exagérés légèrement, pas de phénomène
s, vésicales, rectales, douleurs lancinantes ou térébrantes, etc.
Réflexes
patellaires normaux ; pas de phénomènes du pied.
es policliniques du mardi. G. G. (2) Charcot, Amyotrophies spinales
réflexes
d'origine articulaire. Progrès médical, 1893, p
, aucun trouble trophique sur les membres supérieurs du malade. Les
réflexes
tendineux du poignet sont très exagérés à droite
tendineux du poignet sont très exagérés à droite et à gau- che, les
réflexes
olécraniens exagérés aussi. Les réllexes cutanés
anés et périos- tiques sont exagérés de même. Cette exagération des
réflexes
se retrouve quoiqu'à un degré moindre au membre
ns réaction de dégénérescence mais avec une exagération notable des
réflexes
tendineux. La question se posait de savoir de que
uements dans l'articulation scapulo-humé- rale, par ce fait que les
réflexes
sont très exagérés, répond bien à la descrip- t
atrophies musculaires d'origine articulaire et abarticulaires dites
réflexes
dont le pronostic n'est pas un pronostic très gra
ns réaction de dégénéres- cence, sans contractions fibrillaires. Le
réflexe
rotulien était notablement exagéré du côté mala
ans contractions fibrillaires, sans réaction de dégénérescence. Les
réflexes
rotuliens étaient exagérés des deux côtés, mais
e contractions fibrillaires, pas de réaction de dégénérescence. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés. Il n'ex
, qui est le point de départ d'une amyotrophie avec exagération des
réflexes
et ab- sence de troubles de sensibilité. Quand
eur Raymond rapportait récemment encore des exemples d'amyotrophies
réflexes
d'origine articulaire (2). Dans l'une de ses obse
(1) CHARCOT, loc. cit. (2) Raymond, Atrophie musculaire d'origine
réflexe
. Bulletin médical, 28 mars 189'7 . RAYMOI : OE,
Bulletin médical, 28 mars 189'7 . RAYMOI : OE, Atrophie musculaire
réflexe
. Journal de médecine et de chirurgie prati- tiq
table d'atrophie musculaire ainsi qu'une certaine exagé- ration des
réflexes
. On trouvera dans une policlinique de Charcot (-1
illeurs nous croyons inutile demultiplierlescitations d'atro- phies
réflexes
d'origine articulaire ; il s'agit là de faits bie
ns les muscles en voie d'amaigrissement, de par l'exagéra- tion des
réflexes
tendineux, de par l'absence de la réaction de dég
dité avec laquelle ces atrophies peuvent se produire. 4° La théorie
réflexe
est la théorie admise aujourd'hui par la plupart
aître chez les animaux l'impotence fonctionnelle, l'exagération des
réflexes
, l'atrophie musculaire. Dans aucune de ses expé
ns les examens anatomiques va nous expliquer pourquoi les atrophies
réflexes
peuvent guérir. Les examens histologiques de Va
loc. cil. 396 G. GUILLAIN à une lésion articulaire est de nature
réflexe
elle dépend du retentisse- ment de la lésion lo
ire ne peut s'expliquer que par une action dynamique, par un simple
réflexe
dû li l'irritation des filets terminaux des ner
ssotsky(4). On peut se demander si, dans le cas des atrophies dites
réflexes
, la fibre musculaire altérée quant à sa trophic
nous a paru intéressante à rappeler dans cette étude des atrophies
réflexes
, d'autant qu'il parait y avoir dans les phéno-
e exerce son action trophique normale, il faut que les collatérales
réflexes
de Külliker n'amènent pas une irritation anormale
rritation anormale. Mais on peut se demander comment une irritation
réflexe
unilatérale peut amener, comme dans l'observati
es entre les deux moitiés de la moelle. La loi de la sy- métrie des
réflexes
de Ptlûger succède d'ailleurs à la loi de localis
la nature et la symptomatologie clinique des atrophies musculaires
réflexes
. Chez un ma- lade tel que celui que nous avons
culaire bilatérale scapulo-humérale avec une grande exagération des
réflexes
tendineux, il était important de savoir reconnaît
admettent que la tumeur hypophysaire irrite à distance, par action
réflexe
, la zone psycho- motrice, et est ainsi la cause
é pupillaire, la pupille droite étant plus large que la gauche. Les
réflexes
sont normaux. A l'ophtalmoscope, les nerfs opti
ision ; pas de diplopie, de dyschromatopsie, ni de nystagmus. Les
réflexes
sont abolis aux membres supérieurs et inférieurs,
. Les réflexes sont abolis aux membres supérieurs et inférieurs, le
réflexe
plantaire est en flexion, il n'y a pas de clonu
- nute. Du côté des yeux, on remarque de l'inégalité pupillaire, le
réflexe
lumi- neux est aboli, la pupille droite se cont
e, pas de dyschromatopsie, pas de lésion du fond de l'oeil. , Les
réflexes
sont abolis aux poignets, aux coudes, aux genoux,
aux poignets, aux coudes, aux genoux, aux tendons d'Achille. Les
réflexes
plantaires ont lieu en flexion. Il n'y a pas de
A l'ophtal- moscope décoloration grisâtre des nerfs optiques. Les
réflexes
du poignet et du coude sont abolis des deux côtés
oignet et du coude sont abolis des deux côtés, il en est de même du
réflexe
rotulien et de celui du tendon d'Achille. Les réf
st de même du réflexe rotulien et de celui du tendon d'Achille. Les
réflexes
plantai- res ont lieu en flexion ; pas de trépi
peu dilaté. A l'ophtalmoscope pas de lésion du nerf optique. Les
réflexes
du poignet et du coude sont abolis des deux côtés
Les réflexes du poignet et du coude sont abolis des deux côtés. Le
réflexe
patellaire existe, un peu diminué cependant à g
tendon d'A- chille est diminué à droite, il persiste il gauche. Le
réflexe
du gros orteil a lieu en flexion à droite, il e
ion fait sur la constatation de phénomènes tels que l'abolition des
réflexes
tendineux, les douleurs fulgu- rantes, le signe
cas de tabès supérieur, de tabes cervical lorsque l'aboli- tion du
réflexe
patellaire, les douleurs fulgurantes, l'incoordin
la main gauche. Le pied droit est aussi notablement plus froid. Les
réflexes
tendineux sont exagérés ; il n'y a pas de tremble
upille gauche est un peu déformée et plus petite que la droite ; le
réflexe
à la convergence est conservé. Il existe une hémi
'il désigne, sauf rares ex- ceptions où le mot est dit, d'une façon
réflexe
. Secondement comme L... comprend parfaitement u
passifs sont obtenus sans résistance quand la malade est calme. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés, il y a ébauche de
ent; les 2 derniers doigts sont en demi-flexion non réductible. Les
réflexes
tendineux sont exagérés ; en dehors de ce derni
dimi- nution notable de l'ouïe à droite, et l'abolition complète du
réflexe
pha- ryngien. En l'absence même d'autres stigma
s cubitaux qui sont insensibles, indurés et augmentés de calibre.
Réflexes
plantaire et rotulien vifs à gauche. ' 490 sabr
nes normales comme quantité ne contiennent ni sucre, ni albumine.
Réflexes
: périostique nul au membre supérieur droit, cons
se tenir sur un pied, que les yeux soient ouverts ou fermés. Les
réflexes
rotuliens sont complètement abolis. Que je vous
usion des yeux sur les mouve- ments et l'équilibre, l'abolition des
réflexes
rotuliens, la di- plopie, la miction retardée ;
n tabès sensitif réduit aux douleurs fulgurantes, à l'abolition des
réflexes
rotuliens, à la perte de la sensibilité. J'en a
té, sous ses divers modes, est intacte; pas de zone hystérogène; le
réflexe
pharyngien seul fait défaut. Sur le côté gauc
du jaune disparaît alors que le rouge etle bleu sont con- servés ;
réflexe
pharyngien aboli; le goût, l'ouïe, l'odorat norma
traumatisme, ces deux cas établis- sent que la doctrine des spasmes
réflexes
, appliquée aux tics localisés, est insuffisante
s de ce côté ; la main apprécie imparfaitement la forme des objets.
Réflexes
pharyngien et conjonctival abolis; -force muscu
cre cette contracture de ses fléchisseurs en étendant les doigts.
Réflexes
. Le patellaire existe des deux côtés et il a une
s et il a une in- tensité normale. Le clonus du pied est absent. Le
réflexe
du poi- gnet est très faible; l'olécranien est
présence du spasme glosso-labié, sur la faiblesse et absence des
réflexes
tendineux, malgré l'état spasmodique des muscles
ostic erroné. Cette erreur pouvait être raffermie par l'absence des
réflexes
abdominal et plantaire qui, selon Rosen- bach,
ies de ses membres gauches situés dans les différentes positions.
Réflexes
. Conjonclival, très faible des deux côtés; le réf
positions. Réflexes. Conjonclival, très faible des deux côtés; le
réflexe
de la cornée est conservé. Le réflexe massétéri
rès faible des deux côtés; le réflexe de la cornée est conservé. Le
réflexe
massétérin est absent des deux côtés. Le réflex
e est conservé. Le réflexe massétérin est absent des deux côtés. Le
réflexe
pharyngien fait absolument défaut. L'on peut in
pharyngienne sans provoquer la moindre réaction mus- culaire.- Les
réflexes
olécranien et patellaire sont un peu exa- gérés
dant la différence entre les deux côtés est à peine appréciable. Le
réflexe
du poignet est éga- lement un peu plus fort du
xe du poignet est éga- lement un peu plus fort du côté paralysé. Le
réflexe
crémasté- rique est très vivace des deux côtés.
ance aux mouvements qu'on lui imprime dans une direction opposée.
Réflexes
. Les réflexes abdominal et plantaires se rétablir
ments qu'on lui imprime dans une direction opposée. Réflexes. Les
réflexes
abdominal et plantaires se rétablirent après l'
res se rétablirent après l'apparition de lasensibilité tactile. Les
réflexes
pharyngiens conjonctivaux sont encore absents.
sont encore absents. Jamais on n'a observé le clonus - du pied. Les
réflexes
tendineux ont toujours été plus forts du côté g
té opposé prédominant dans le membre supérieur avec exagération des
réflexes
, l'attitude du bras, la déviation de la colonne
caractère contradictoire de l'hémiplégie. En effet, tandis que les
réflexes
olécranien et patellaire étaient exagérés, le m
servée plusieurs fois 3 ; ' 6° Pour ce qui est de l'exagération des
réflexes
, bien que rare- ' Il ne faut pas considérer cec
a été contracturé des troubles de sensibilité, de l'exagération des
réflexes
tendineux, compagnons ordinaires de la contract
imple affaissement, avec somnolence quelquefois et conservation des
réflexes
, puis en résolution, coma, attaques épileptifor
les nerveuses entraînant la diminution de fonction. P. K. VII. LE
réflexe
anal ; sa physiologie ET sa pathologie; par G. Ro
plume, 'on touche la peau et la muqueuse de l'anus. Le centre de ce
réflexe
est la troisième ou 108 REVUE D'ANATOMIE ET DE
la queue, montre qu'au-dessus du milieu du renflement lombaire le
réflexe
augmente d'intensité pour disparaître, lorsque l'
t la cinquième paire radiculaire postérieure; nous voyons que l'arc
réflexe
anal émane de la quatrième paire radiculaire sa
-dire au niveau de la troisième paire de racines sacrées. Le centre
réflexe
anal occupe en réalité le milieu des territoire
oires du renflement lombaire qui renferment une série de centres de
réflexes
des organes du bassin ; il est situé au-dessous
des organes du bassin ; il est situé au-dessous de tous les autres
réflexes
musculo-cutanés connus. Le réflexe anal est exa
au-dessous de tous les autres réflexes musculo-cutanés connus. Le
réflexe
anal est exagéré : chez les neurasthésiques à réf
és connus. Le réflexe anal est exagéré : chez les neurasthésiques à
réflexes
cutanés excessifs ; dans la myélite transverse
Chez vingt paralytiques généraux atteints d'immobilité pupillaire
réflexe
, il y avait intégrité de la partie périphérique d
me nerveux, soit un affaiblissement progressif avec exagération des
réflexes
, tremblements, émaciation albuminurie, élévatio
ue (calhétérisation journalière), des décubitus vont se former. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés. La sensibilité es
ularités suivantes : 1, nys- tagmus ; 2, pupille droite élargie; 3,
réflexes
patellaires exagérés, avec trépidation spinale.
avec trépidation spinale. L'auteur explique 1, le mydriasis par un
réflexe
du plexus bronchialis sur les rami communicantes
sur les rami communicantes du sym- pathique et 2, l'exagération des
réflexes
tendineux par l'hypertonie des grandes cellules
accepter comme prouvée l'explication du Dr Mouratow sur l'ori- gine
réflexe
du mydriasis, d'autant plus que le rapporteur n'a
L'exci- tabilité électrique des muscles est normale. Exagération du
réflexe
tendineux rotulien et plantaire. Trépidation ré
Exagération du réflexe tendineux rotulien et plantaire. Trépidation
réflexe
des deux côtés. Divers degrés de troubles de la
de l'excitabilité électrique, suppose que l'atrophie est d'origine
réflexe
. M. le Dr RoTU mettant' en vue l'autopsie de Sc
out de même la question sur le rapport du a ganglion habenulaë » au
réflexe
pupil- laire ne peut être envisagée comme résol
un amaigrissement très marqué des muscles du fémur, exagération des
réflexes
rotuliens, clonus du pied, tous ces symptômes b
pporté, grâce au développement d'amyotrophie et d'exa- gération des
réflexes
. L'exagération des réflexes, observée parfois d
nt d'amyotrophie et d'exa- gération des réflexes. L'exagération des
réflexes
, observée parfois dans les neurites, devrait tr
tes. 1139 vrait être envisagée comme résultat d'excitation par voie
réflexe
des centres vaso-moteurs des muscles.. II). M
men, vous remarquerez que les membres inférieurs sont raides, les
réflexes
tendineux, les réflexes rotuliens en par- ticul
que les membres inférieurs sont raides, les réflexes tendineux, les
réflexes
rotuliens en par- ticulier, sont exagérés, très
uvements d'élé- vation de la rotule brusques et très étendus. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés, mais d'une ma- ni
r tout d'abord l'hypothèse d'une lésion né- vritique que l'état des
réflexes
tendineux et la con- tractilité électrique des
nt à la fois par de l'a- trophie des muscles et de l'exaltation des
réflexes
ten- dineux, c'est précisément le cas de la scl
LINIQUE NERVEUSE. tractions fibrillaires manifestes et qu'enfin les
réflexes
tendineux comme ceux des membres inférieurs son
s'agit donc évidemment d'une atrophie qui tend à se généraliser. Le
réflexe
massétérin n'est pas-exagéré; il n'y a aucun tr
Dutil, Nouvelle Iconographie, 1889), joints à l'exagéra- tion des
réflexes
qu'on observe parfois chez les hysté- riques so
u pied gauche sont un peu moins énergiques, moins résistants. Les
réflexes
rotuliens, les réflexes tendineux des membres sup
peu moins énergiques, moins résistants. Les réflexes rotuliens, les
réflexes
tendineux des membres supé- rieurs sont exagéré
urs sont exagérés, mais sensiblement égaux à droite et à gauche. Le
réflexe
massetérin n'existe pas. Pas de trouble de la pho
petite, symétrique, mais un peu tournée vers la gauche. Sensibilité
réflexe
du voile du palais conservée. Voûte palatine un
fessiers agissent bien; leur volume ne présente rien d'anormal. Les
réflexes
tendineux existent au genou. Ils sont absents a
mobile à volonté par l'occlusion des oreilles. Pressions positives,
réflexes
normaux, aération facile, aspect normal, pâleur
tés : D/ tube = B, D/ or. - B, D/ oreille opposée = B, c'est-à-dire
réflexes
intacts, D.V. central. Tympans normaux et mobil
e le manche du marteau; pressions positives à droite et à gauche.
Réflexes
excellents ; D/ or. opposée = il, droiteet gauche
s positives, D/ tube = B, D/ os. = B, mais D/ or opposé = 0, pas de
réflexe
. Pas de vertige provoqué par les pressions. Mob
positives, et de même l'accommodation binauriculaire est nulle, le
réflexe
est perdu. Pas de vertiges après l'épreuve. Opa
auche; les mouvements des tympans et des étriers sont normaux ; les
réflexes
aussi. C'est une émotive, et une épuisée dont t
de vue de la séméiotique, j'insiste sur la valeur de cette perte du
réflexe
optique. R = 0, de l'action synergique de l'ore
: nous savons que dans l'hémi-surdité hystérique entre autres les
réflexes
de l'accommodation binauriculaire fonctionnent no
u côté sain en agissant par pression sur le côté sourd. Or, ici, ce
réflexe
est perdu ; il y a donc autre chose ; c'est sur
donc autre chose ; c'est sur le trajet des con- ducteurs des actes
réflexes
que se trouve sans doute la lésion; et probable
se plaint en poussant les cris que nous avons signalés plus haut.
Réflexes
. Abolition complète du réflexe rotulien tant à dr
ue nous avons signalés plus haut. Réflexes. Abolition complète du
réflexe
rotulien tant à droite qu'à gauche. L'introduct
semble produire une impression désagréable, mais ne provoque pas le
réflexe
nauséeux. Ouïe : R... entend également très bien
toutefois, cette frayeur, excessivement passagère, semble purement
réflexe
et disparaît aussitôt que l'acte qui l'a provoq
convulsions. Hyperexcitabilité mécanique à gauche, exagération des
réflexes
. Convulsions pharyngées, dysphagie, dyspnée, ph
ffort. On cons- tate à cette époque : cicatrice pénienne, paralysie
réflexe
despupilles avec myosis, hypoalgésie et ralenti
ons douloureuses dans les jambes, hypéresthésie au ni- veau du dos;
réflexes
cutanés normaux, absence complète des réflexes
u ni- veau du dos; réflexes cutanés normaux, absence complète des
réflexes
du tendon d'Achille, réflexes patellaires moindre
cutanés normaux, absence complète des réflexes du tendon d'Achille,
réflexes
patellaires moindres à droite qu'à gauche, mais
e ; en aucun cas il n'y eut de pseudo-hypertrophie. Disparition des
réflexes
tendi- neux et des réflexes cutanés; les nerfs
de pseudo-hypertrophie. Disparition des réflexes tendi- neux et des
réflexes
cutanés; les nerfs ne sont, pas plus que des ma
nalons en passant les pages sur le langage émotionnel et le langage
réflexe
, pour en arriver à un chapitre des plus intéres-
les troubles de la sensibilité sont très fréquents; tandis que les
réflexes
cutanés sont abolis, les réflexes tendineux sont
nt très fréquents; tandis que les réflexes cutanés sont abolis, les
réflexes
tendineux sont ordinairement exaltés. Comme t
égion. La sensibilité y est normale comme partout ailleurs. i , 1
Réflexes
. Les réflexes du coude de ce malade (tendon du tr
ibilité y est normale comme partout ailleurs. i , 1 Réflexes. Les
réflexes
du coude de ce malade (tendon du tri- ceps) son
ther est reconnu à droite comme à gauche. L'am- moniaque produit un
réflexe
énergique avec larmoiement des deux côtés aussi
spinale par lésion de la corne antérieure; mais dans notre cas les
réflexes
tendineux ne'sont pas abolis, la réaction de dé
épaule. Pas d'hémianesthésie. On constate en même temps la perte du
réflexe
pharyngien, de la dyschromatopsie et de l'anosm
péresthésie en manche de veste de la partie supérieure du membre.
Réflexes
tendineux normaux, pas de tremblement de la main
i il y a peu de troubles manifestes de la sensibilité. Absence du
réflexe
pharyngien. Perte de l'odorat des deux côtés. G
perma- nent du champ visuel, de la dyschromatopsie, l'absence de
réflexe
pharyngien, ta perte de l'odorat, le spasme gloss
nche de la papille; 5° troubles urinaires, miction dif- ficile ; 6°
réflexe
rotulien un peu brusque, mais pas de trépidation,
quatre malades. Les dix-huit autres sont sans troubles tropiques.
Réflexes
tendineux. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HY
bilité mécanique des muscles du tronc et des membres, ainsi que les
réflexes
tendineux sont augmentés; la force muscu- laire
ement concentrique et persistant du champ visuel, l'exagération des
réflexes
tendineux, le caractère et la localisation part
disposition qui parait constante dans la maladie de Friedreich. Les
réflexes
son nor- maux. La sensibilité est partout conse
tes sous l'influence desquelles on voit apparaître l'exagération du
réflexe
rotulien et l'affaiblisse- ment musculaire géné
trophiques et de la réaction de dégénérescence, la conservation des
réflexes
tendineux, la répartition de l'anesthésie, etc.
énomènes de réflectibi- lité accrue que trahissent l'exagération du
réflexe
rotulien, du réflexe massétérin et la trépidati
lité accrue que trahissent l'exagération du réflexe rotulien, du
réflexe
massétérin et la trépidation épileptoide ; d'autr
se- ment concentrique du champ visuel =, la dyschromatopsie, ' Le
réflexe
massétérin aurait été seulement constaté jusqu'ic
émotionné. En plus des troubles de la fonction visuelle, on note :
réflexe
pharyngien aboli; dimi- nution de l'acuité audi
s de l'olfaction, surtout prononcée à gauche; le goût est obnubilé;
réflexes
rotuliens et des fléchisseurs de la main exagér
, dans la présence de troubles sensoriels et dans l'exagération des
réflexes
^ tendineux... Archives, t. XXV. 29 450 REVUE
istiques, tels que parésie avec sensibilité normale exagération des
réflexes
tendineux, augmentation de l'excitabilité direc
sme amenant l'atrophie est différent; elle se produit d'une manière
réflexe
par l'entremise des racines postérieures. M.
ral, inflamma- tion de la névroglie dans le, par Gierlich, 283.
Réflexe
anal, par Rossolimo, 107. Résistance éleotrique
. Dans l'ataxie locomotrice il y a habituelle- ment disparition, du
réflexe
rotulien ; chez Delannoy, les réflexes sont nor
uelle- ment disparition, du réflexe rotulien ; chez Delannoy, les
réflexes
sont normaux. Interrogé sur les faits qui l'amè
ontractions par la faradisation, pas de réaction de dégénérescence,
réflexe
patellaires atténués, sensibilité conservée, inte
un commencement de décoloration de la papille, l'atténuation des
réflexes
et une difficulté à marcher les yeux fermés. (Bri
culaires et spasmes convulsifs, les anesthésies et modifications de
réflexes
. A. M. XVIII. Traumatisme du front SUIVI d'apha
de l'excitabilité électrique, réaction dégénérative, absence des
réflexes
tendineux et, en partie, des réflexes cutanés, in
ion dégénérative, absence des réflexes tendineux et, en partie, des
réflexes
cutanés, intégrité de la sensibilité et des sph
sti- mulus cortical et périphérique, provoquant le rire par action
réflexe
. Le fou rire accompagnant les affections organi
nce et ne répondant que fort mal aux questions qu'on lui posait. Le
réflexe
du genou était exagéré, un peu plus à gauche qu
flexe du genou était exagéré, un peu plus à gauche qu'à droite, les
réflexes
plantaires étaient conservés, mais peu marqués.
e, les réflexes plantaires étaient conservés, mais peu marqués. Les
réflexes
crémastériens et abdo- minaux manquaient : les
arqués. Les réflexes crémastériens et abdo- minaux manquaient : les
réflexes
profonds des bras étaient à peu près normaux. I
du côté gauche de la face; la jambe gauche est un peu faible, et le
réflexe
du genou y est exa- géré. - Il n'y a pas de cép
As. TouLOUSE présente un marteau percuteur pour l'exploration des
réflexes
, dû à son invention. Marcel BRL11D. 84 -,t SOCI
cerveau. Fonctions psychologiques des parties cen- trales ; actions
réflexes
et automatiques; innervation, énergie spé- cifi
perte précoce et permanente REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. '137 du
réflexe
du genou, la'démarche ataxique, l'engourdissement
'épilepsie idiopathique diminue chaque jour. Ce sont les épilepsies
réflexes
et les épilepsies relevant d'une lésion organiq
, et dans les doigts les mouvements actifs manquent totalement. Les
réflexes
patellaires n'existent pas. Les muscles de la j
ement inces- sant empêchait d'examiner le fond de l'oeil ; tous les
réflexes
parais- saient normaux, et aucun autre muscle q
lui ont fait écarter l'hypothèse du rachitisme. R. M. C. XII. LE
réflexe
du genou au point DE VUE du diagnostic; par Wil
111. LESZYNS61. (The Neiv-York Médical Journal, 29 juin 1895.) Le
réflexe
du genou, quand il est bien observé, fournit au d
gnostic des éléments importants : il dépend de l'intégrité de l'arc
réflexe
ayant pour siège le troisième ou quatrième segmen
r le rechercher (les jambes étant croisées) est suffisante quand le
réflexe
est suffi- samment actif, car alors la position
e, de manière que ses pieds ne touchent pas le sol. La recherche du
réflexe
doit toujours être bilatérale : il faut en outr
vient aussi de réitérer les épreuves. L'absence ou l'exagération du
réflexe
du genou ne doit jamais être considérée comme p
ne doit jamais être considérée comme pathognomonique. L'absence du
réflexe
est d'ailleurs beaucoup plus significative que
sverse) pro- voque une interruption dans le trajet sensoriel, et le
réflexe
est aboli ; ces lésions sont les seules lésions
seules lésions sensorielles qui donnent lieu à cette disparition du
réflexe
. Une lésion intéressant la portion motrice de l
tion du réflexe. Une lésion intéressant la portion motrice de l'arc
réflexe
(poliomyélite antérieure aiguë ou chro- nique,
affectant les nerfs cruraux antérieurs) déterminera l'abolition du
réflexe
. L'abolition du réflexe du genou, accompagnée d
raux antérieurs) déterminera l'abolition du réflexe. L'abolition du
réflexe
du genou, accompagnée de douleurs intenses, aig
ce tabétique ou une lésion des racines postérieures. L'abolition du
réflexe
du genou accompagnée d'une diminution de la rés
- tôme vésical - correspond à la névrite multiple. L'abolition du
réflexe
du genou, avec paralysie flasque, atrophie, et
avoir énoncé ces propositions, l'auteur insiste sur ce point que le
réflexe
du genou n'est pas nécessairement aboli dans tous
ement aboli dans tous les cas de tabes. Il étudie ensuite l'état du
réflexe
du genou dans un certain nombre de maladies, pa
diabète. " Il examine ensuite la signification de l'exagération du
réflexe
, et signale la fréquence de cette exagération c
ution consécutive de l'action cérébrale de contrôle sur les centres
réflexes
inférieurs. La dégénérescence primitive ou seco
es cordons latéraux s'accompagne ordinairement d'une exagération du
réflexe
du côté de la lésion; il en est de même dans ce
les cordons postérieurs ont été les pre- miers intéressés; alors le
réflexe
manque. Comme le réflexe est souvent très accus
été les pre- miers intéressés; alors le réflexe manque. Comme le
réflexe
est souvent très accusé ou exagéré dans la neur
ilatérale et d'intensité uni- forme. L'exagération unilatérale du
réflexe
du genou a souvent une signification pathologiq
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XIII. HÉMIPLÉGIE gauche : PERTE DES
réflexes
superficiels ET PRO- FONDS ; ATROPHIE musculair
nuleux. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XVI. REVUE DE L'INFLUENCE DES facteurs
réflexes
ET toxiques SUR LA PRODUCTION DE LA FOLIE Er DE
es vues les plus nouvelles relatives à l'influence des stimulations
réflexes
et des agents toxiques sur la folie et l'épilep
ats morbides qui se rattachent à la gestation. Les causes d'ordre
réflexe
sont celles qui exercent surtout leur influence
re l'éclampsie; d'autre part, il faut se souvenir que beau- coup de
réflexes
pathologiques ont une origine toxémique, bien q
mère ensuite les divers points d'où peuvent partir les stimulations
réflexes
généra- trices de l'épilepsie vraie; les source
trices de l'épilepsie vraie; les sources les plus ordinaires de ces
réflexes
épileptogènes sont les troubles de l'appareil de
es optiques sur une certaine étendue du segment centripète de l'arc
réflexe
; telle la cécité totale avec con- servation de
tubercules quadrijumeaux. Les cas dans lesquels il y a immobilité
réflexe
des pupilles avec conservation de la réaction à l
ion est directement accessible à l'oeil. L'intervention de l'action
réflexe
est écartée, car, après la section du sciatique,
l'hystérie ait son siège dans les ovaires, pas plus que l'épilepsie
réflexe
ou les né- vroses réflexes n'ont leur siège dan
ans les ovaires, pas plus que l'épilepsie réflexe ou les né- vroses
réflexes
n'ont leur siège dans les organes qui provoquent
mentèrent même de fréquence, ce qu'il faut attribuer à l'excitation
réflexe
déterminée par les suites de l'opération. Mais
ions partant sur les organes périphériques dans les cas d'épilepsie
réflexe
, à condition que l'ap- parition des accès ne so
relèvent des autres nerfs crâniens étaient normales, ainsi que les
réflexes
tant profonds que superficiels. La mort survint
tte colonne. 3° Dans le pharynx et les parties molles du palais, le
réflexe
de la nausée paraît être placé sous la dépendan
sont alors libérés de tout contrôle : de là aussi l'exagération des
réflexes
et l'incoordination. L'absence ou la dimi- nuti
pas le tremblement des mains. Des deux côtés, exagération légère du
réflexe
du genou. Pupilles dilatées, globes oculaires u
éristiques de la maladie, et de bien plus longtemps, l'abolition du
réflexe
du genou et des autres réflexes; il montre l'im
bien plus longtemps, l'abolition du réflexe du genou et des autres
réflexes
; il montre l'importance des troubles oculaires
ec sensation de froid et de pression aux extrémités inférieures; le
réflexe
du genou n'était que très légèrement diminué, s
et se dirigent généralement du côte sain vers le côté malade. Les
réflexes
tendineux étaient normaux dans 10 cas, exagérés
troubles de l'intelligence et des sensations, et la variabilité des
réflexes
tendineux. L'auteur termine son travail par le
osis, mydriase, pupille d'Argyll-Hobertson, perte de la sensibilité
réflexe
à la lumière et il l'accommodation); 3° paralys
es osseuses, et elle se double des crises choréiformes, athétoides,
réflexes
, avec troubles de la sensibilité, qui sont de l
ubles de la sensibilité, qui sont de l'amyotaxie, de l'hyperkinésie
réflexe
. Observation II. - Il s'agit en ce cas d'une so
s symptômes incontestables de sclérose en plaques : exagération des
réflexes
, tremblement inten- tionnel, nystagmus, décolor
iolent stimulus sensoriel ; 2° une extrême tension dans les centres
réflexes
; 3° un débordement d'influx nerveux d'abord da
des muscles volontaires. C'est cette haute tension dans les centres
réflexes
qui constitue l'essence physio- logique de l'ém
réflexes qui constitue l'essence physio- logique de l'émotion. Les
réflexes
viscéraux .sont secondaires, ils sont une manif
rive à perdre son pouvoir émotionnel par le fait du remplacement du
réflexe
somatico-vis- céral par un réflexe somatique sp
l par le fait du remplacement du réflexe somatico-vis- céral par un
réflexe
somatique spécialisé. Le bond d'un lapin pro- v
pécialisé. Le bond d'un lapin pro- voque chez le chasseur novice un
réflexe
général, sursaut, palpita- tion, tremblement, e
lement, etc. ; plus tard il ne produira chez ce même chasseur qu'un
réflexe
adapté au tir. L'influx se trouve donc cana- li
terminés. Il faut pour cela qu'il existe un système de contrôle des
réflexes
, sans lequel du reste la vie ne serait qu'un ch
ion : venue d'en haut elle exerce une action continue sur le centre
réflexe
médullaire avec la faculté de se relâcher évent
éventuellement ; de cette manière, tout stimulus pour provoquer le
réflexe
doit avoir préalablement sou- levé tout un poid
avoir préalablement sou- levé tout un poids mort d'inhibitions. Ce
réflexe
des muscles volon- taires représente donc une d
lions supérieures, son contrôle lui est surtout intrinsèque, et le
réflexe
dû seulement à une extrême accumulation de force
'habitude contre l'émo- tion consiste non dans la substitution d'un
réflexe
à un autre, mais bien d'un état de faible tensi
appements on peut reconstituer l'image de tous les états émotifs ou
réflexes
imaginables. F. BOISSIER. LIX. Sur l'épilepsie
t fonctionnelles, dépendant d'une émotion morale ou d'une affection
réflexe
. La symptomatologie des névroses traumatiques e
s de la langue. La luetle occupe une position parfaitement normale.
Réflexe
pharyngien paresseux. Anesthésie de la muqueuse
cune modification, sauf un refroidissement des pieds. Abolition des
réflexes
tendineux et périostiques aux membres supérieurs,
PATHOLOGIE MENTALE. 34b 5 directement, soit indirectement (par voie
réflexe
) les fonctions cor- ticales, et, par suite, d'a
XIV, 1895.) - Démence avec idées de grandeur, immobilité pupillaire
réflexe
, hypoalgésie dans les jambes (moindre à la parl
tra une hémianesthésie complète du côté droit, de l'abolition des
réflexes
. La surdité et l'aphasie ont rapidement cédé à un
la loca- lisation et de la pression l'étaient moins. Absence des
réflexes
cornéen et conjonctival gauches, troubles de la
lité ; signes d'ataxie dans le membre inférieur gauche, absence des
réflexes
abdominaux, souffle systolique à l'auscultation d
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXIII. DE QUELQUES phénomènes
réflexes
peu connus dans LES maladies nerveuses, ET DE l
diagnostique DU phénomène DU PIED, ainsi QUE DES modifications DES
réflexes
tendineux ET cutanés; par W. DE BECIITEIIEW. (N
on n'a lieu que lentement. C'est, dil M. de Bechterew, un phénomène
réflexe
par élongation du tendon du biceps qui, transmi
acter le muscle élongé. B. Dans la névrite 7 ? îullilociilciii,e le
réflexe
du genou est très ralenti. La percussion produi
rcussion produit d'abord un ralentissement, puis une disparition du
réflexe
. Après quelque temps de répit, une nouvelle exp
eil cas des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 375
réflexes
cutanés et de la sensibilité (observation). Cet é
lexes cutanés et de la sensibilité (observation). Cet épuisement du
réflexe
tendineux patellai1'e s'observerait aussi dans la
tes les six à sept minutes, par exemple, détermine la contrac- tion
réflexe
des muscles de la jambe pouvant aller à la flexio
s hémiplégiques, ainsi que dans les cas où il y a exagéra- tion des
réflexes
tendineux. D. Le phénomène podnlzqzte est-il dû
rganiques du sys- tème nerveux central (Bechterew). L'asymétrie des
réflexes
tendi- neux, malgré sa grande valeur diagnostiq
u système nerveux. Il faut aussi se préoccuper de l'asymétrie des
réflexes
cutanés que l'on rencontre dans l'hémianesthésie
ous les éléments d'appréciation symptomalique. Si, par exemple, les
réflexes
tendineux sont exagérés et qu'il y ait en même
tendineux sont exagérés et qu'il y ait en même temps diminution des
réflexes
cutanés dans la moitié du corps paralysée, on a
a affaire à une affection organique. D'autre part, l'asymétrie des
réflexes
cutanés n'élimine pas absolument la possibilité
d'une névrose (névrose traumatique). En revanche, l'a- symétrie des
réflexes
cutanés dans l'hémianesthésie et l'hyperes- thé
tique n'est jamais dégénéré, l'intelligence peut être diminuée, les
réflexes
tendineux sont normaux ou exagérés; il peut sur
du tronc à partir de la troi- sième côte et des jambes; absence des
réflexes
tendineux; paralysie de la vessie et du rectum;
la un nouveau cas de compression de la moelle avec abo- lition des
réflexes
tendineux; fait paradoxal en apparence et qui 3
it un rôle considérable dans la production et la régularisation des
réflexes
médullaires. M. Egger n'admet pas cette théorie
ires. M. Egger n'admet pas cette théorie; pour lui, l'abolition des
réflexes
est due à une action traumatique, que subit la
ement le long de la plante du pied, comme on fait pour provoquer le
réflexe
plantaire cutané, au moment même le malade a pa
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 395 tactile, sans que le
réflexe
ait lieu; puis cinq ou six secondes plus tard,
noyaux oculomoteurs peuvent ainsi se trouver pris par l'irradiation
réflexe
issue de l'appareil ampullaire, et téaliser les
ésinté- - gration a'.omique, donc une excitation non suivie d'effet
réflexe
, mais enregistrant une impression dans l'écorce
et une atrophie du nerf optique; du côté droit on note la perte du
réflexe
lumineux et de la réaction dans les mouvements de
dans les mouvements de conver- gence. Pas de troubles de la parole.
Réflexes
rotuliens conservés. Syphilis probable mais non
dent au tabès spasmodique. On a de la parésie, de l'exagération des
réflexes
, des phénomènes de trépidation épileptoïde et d
en raison du degré de cette atrophie qui n'est jamais absolue ; les
réflexes
diminuent ou sont abolis ; il n'y a aucun phéno
e; les mouvements du pied et des orteils ont peu d'amplitude. Les
réflexes
tendineux paraissent normaux ( ? ). Organes gén
froid. Le chatouillement de la plante des pieds n'est pas perçu. Le
réflexe
rotulien, conservé à gauche, est très affaibli
ient des relations anatomiques étendues destinées à la transmission
réflexe
des impulsions motrices, car les fibres acousti
es étant en relation avec ces cellules, il existe une communication
réflexe
commune oculo-auditive. En effet des fibres du
us tard survint une hémiplégie droite complète avec exagération des
réflexes
. On nota aussi de violents maux de tête, des vo
de l ? par Mannesco et P. Sérieux, 169. In- fluence des facteurs
réflexes
sur la production de la folie et de l ? par B
patholo- gie de la -, par Andriezen, 137. Influence des facteurs
réflexes
et toxiques sur la production de l'épilepsie
la parésie des membres inférieurs avec abolition presque totale des
réflexes
patellaires. Les trou- bles de la parole sont t
excitation des nerfs sensitifs du tendon d'Achille et l'appela « le
réflexe
antagonistique », parce que le muscle qui se co
de lésion locale ne pouvait être décelé, S. diagnostiqua grâce à ce
réflexe
une lésion en foyer qui fut ensuite vérifiée.
int de départ de l'excitation n'est pas le tendon mais la peau ; le
réflexe
variait en effet d'un individu à un autre, ce qui
en effet d'un individu à un autre, ce qui est un des caractères des
réflexes
cutanés (Strumpell), et était pro- duit, d'autr
flexion plantaire. Dans 45 cas le signe de Babinski fut positif. Le
réflexe
pathologique du dos du pied serait donc plus,fr
l est plus net du côté où prédominent les trou - blés moteurs. Le
réflexe
de Mendel aurait une certaine valeur dans les cas
urasthénie, diagnostic qu'il mit en doute à cause de la présence du
réflexe
pathologique du dos du pied ; on vit.en effet, ap
401, 6 fig.) Trois cas de paralysie générale avec état variable des
réflexes
: 1° Femme de 50 ans; douleurs fulgurantes. Pen
nomènes du genou manquent des deux côtés ; trois mois plus tard, le
réflexe
pa- tellaire droit reparaît, 3 jours après une
très légère des deux cordons postérieurs. 3° Homme de 38 ans; les
réflexes
patellaires varient d'abord par périodes d'un m
l y avait dans la moelle lombaire supérieure,du côté où manquait le
réflexe
patellaire de la dégénération de la zone de Wes
cette occasion un cas d'Achard et Lévi : tabes, conser- vation des
réflexes
patellaires ; dégénération des cordons posté- r
eurs peut être quelquefois assez légère pour permettre le retour du
réflexe
patellaire sous l'influence d'une cause exagéra
ur du réflexe patellaire sous l'influence d'une cause exagérant les
réflexes
; la dégénération quelque légère qu'elle fût, é
le fût, était pourtant plus avan- cée à gauche (côté où manquait le
réflexe
.) Cn. Bonne. VII. Tabes dorsalis und das Kniewi
t l'ataxie et les troubles du sens musculai- re et la diminution du
réflexe
rotulien ; peut être- masqué par les hyperostos
n. de la Salp. 1906, n° 5.) F. TISSOT. XVII. Sur les rapports des
réflexes
cutanés avec la sensibi- lité ; par Noic.l. (Jo
sensibihté générale dans tousses modes et une intégrité de tous les
réflexes
cutanés sauf les crémastériens. D'autre part ch
taté, quatre mi- nutes après l'injection, une abolition de tous les
réflexes
cutanées avec conservation de la sensibilité su
servation de la sensibilité superficielle et profonde ainsi que des
réflexes
tendineux. De ces deux faits l'auteur conclut à
conclut à l'existence de voies de con- duction différentes pour les
réflexes
cutanés et pour la sensibilité générale, confor
e et la fente palpébrale gauches sont plus petites qu'à droite ; le
réflexe
cornéen manque ; abolition du goût sauf pour le
Par elle, dans l'état d'hypnose il devient possible de cultiver le
réflexe
de l'obéissance qui par beaucoup d'aspects pré-
par beaucoup d'aspects pré- sente des analogies frappantes avec le
réflexe
de la suggestibilité que nous avons précédemmen
s qui à l'état de veille en paraissaient dépourvus. A la culture du
réflexe
de l'obéis- sance, il convient d'ajouter d'autr
osisme caractérisé par un défaut de régulation dans les pro- cessus
réflexes
élémentaires. Elle lire son caractère propre de l
fonctions, et cela, grâce à la modification primitive des processus
réflexes
et aux dépens d'autres perceptions et aper- cep
hystérie. Il est im- possible de modifier par suggestion l'état des
réflexes
tendi- neux, cutanés, pupillaires. Les troubl
nés, pupillaires. Les troubles circulatoires, les troubles dans les
réflexes
vaso-moteurs peuvent, il est vrai, apparaître s
lien dans une « modification plus ou moins durable du ré- gime des
réflexes
cérébraux » qui, suivant qu'ils seraient inhi-
ie et de la confiance, qui agissent principalement en relâchant les
réflexes
de défense des ma- lades, s'expliqueraient faci
rité du contour, anisocorie, réac- tion paradoxale. Exagération des
réflexes
musculo-tendineux anesthésies ou hyperesthésies
nt le signe d'Argyll uni ou bilatéral, avec ou sans l'abolition des
réflexes
et quelques douleurs' fulgurantes, les injectio
-trois ans et tabétique depuis l'âge de quarante-huit ans, dont les
réflexes
rotuliens n'ont disparu qu'à la fin de la malad
ne dystrophie médullaire dont le résultat a été l'exa- gération des
réflexes
. Ce cas était, en outre, remarquable par la fai
i- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 163 tion des
réflexes
rotuliens, troubles viscéraux et signe d'Ar- gy
de son opinion émise antérieurement que le signe de Babinski est un
réflexe
cutané. dont l'arc est formé par la 5e racine lom
cutané. dont l'arc est formé par la 5e racine lombaire et le centre
réflexe
par le 5e segment médullaire lombaire. Danger d
ne de chair de poule sur un territoire limité; il ajoute, propos du
réflexe
cutané plantaire que, quand il n'est pas net.on
nt du gros orteil, signe d'atteinte du faisceau pyramidal, comme le
réflexe
classique. Réaction hémioptique de Wernicke.
ivi d'autopsie. Communication de M. LnEnwTTE. Deux cas d'arthrite
réflexe
d'origine nasale. Cas communiqués par M. BONNIE
Ce malade présente une démarche spasmodique, avec exa- gération des
réflexes
, trépidation épileptoïde, signe de Ba- binski.
on ne constate pas dans ces paralysies de grosses alté- rations des
réflexes
et il y a déjà vingt ans que j'ai répété qu'il n'
distinguer avec précision des ré- flexes cutanés en tendineux, des
réflexes
inférieurs ou supérieurs, qu'il est puéril de c
nfluence do la volonté, puis même sous l'influence d'une excitation
réflexe
; c'est la paralysie. D'autre part, l'exagéra
st extrêmement difficile, démarche « en canard ». Exagé- ration des
réflexes
-rotuliens, trépidation épileptoïde, réflexe de
». Exagé- ration des réflexes -rotuliens, trépidation épileptoïde,
réflexe
de Babinski. Les phénomènes sensitifs concomi
taient en flexion avec contracture que l'on arrivait à vaincre. Les
réflexes
rotuliens étaient très affaiblis. Mais il exist
tait très accentué et le signe de Babinski se faisait en extension.
Réflexe
achilléen con- servé. La malade se plaignait
c en forme de ceinture, large de 10-12 centimètres, exagération des
réflexes
rotuliens, absence des réflexes abdominaux et p
10-12 centimètres, exagération des réflexes rotuliens, absence des
réflexes
abdominaux et plantaires. Les organes génitaux
904. Bien que très dément,il était encore suffisamment orienté. Les
réflexes
étaient presque abolis, la démarche lente el ti
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. quer l'abolition des
réflexes
patellaires, il faut supposer que les ganglions
Lokalisation der reflektorischen Pupillen- starre. Sur l'immobilité
réflexe
de la pupille et sa localisation ; par L. BACH,
6-27 mai 1906.) D'après Bach, on ne sait pas encore si l'immobilité
réflexe
de la pupille (à l'excitation lumineuse directe
inférieure de la moelle cervicale, d'un centre d'inhibition pour le
réflexe
lumineux et la dilatation pupillaire. Bumke r
entre dans la région des quadrijumeaux, tandis que la deuxième voie
réflexe
admise par Bach est tout hypothéti- que. La cau
ement une lésion du cerveau postérieur, ou bien un trouble de l'arc
réflexe
cérébral générale- ment admis. B.a vu souvent m
culaires pour les mouvements volontaires ; intégrité des mouvements
réflexes
.' MM. CANTONNET et M. LANDOLT citent le cas d'u
lycérine) Narcose immédiate et prolongée, trismus, myosis, cyanose,
réflexe
aboli, analgésie. Pendant 48 heures déglutition
douleur dans les jambes ; seule- ment quelques douleurs gastriques.
Réflexes
rotuhens presque nul hypoalgésie à la piqûre et
S. 0. à Karlsruhe, 1905.) Ch. B. XXVIII. Audition et clignotement
réflexes
, par le Dr J. Sn- BRAZES (Gaz. hebd. des scienc
let etc., etc.Si l'ouie n'est pas perdue, un clignotement palpébral
réflexe
marque immédiatement chaque bruit. Dr SABRAZES.
te de la dimi- nution de leur contrôle cérébral ? L'exagération des
réflexes
tendi- neux niée par M. Babinski, mais acceptée
x yeux à la lumière puis à l'obscurité, on dit qu'il y a immobilité
réflexe
ou absolue,suivant que la réaction à la converg
l'éclairage alternatif, le diagnostic se pose entre l'im- mobilité
réflexe
des deux pupilles et le trouble fonctionnel des f
produire artificiellement chez l'homme l'exagération unilatérale du
réflexe
rotulien ; bien mieux, il l'a produite chez un
e rotulien ; bien mieux, il l'a produite chez un tabétique dont les
réflexes
rotuliens étaient considérablement affaiblis. C
lle indique une lésion organique ; mais la présence de ce phénomène
réflexe
n'exclut pas la possibilité d'une lésion médull
on du dynamisme nerveux caractéri- sée par un trouble du régime des
réflexes
corticaux ou sous-corti- caux. Ceux-ci, inhibés
eux plus ou moins durables dans les divers domaines qui règlent ces
réflexes
». Le Prof. Raymond établit le diagnostic de l'
telé et dans la production de laquelle intervient en outre l'action
réflexe
et compensatrice des muscles voisins. La cause de
ieurs. Le signe principal est la diminution puis la disparition des
réflexes
tendineux ; les autres signes, moins constants
veille règlent les fonctions vésicales, transforme la miction en un
réflexe
médullaire ; le sommeil anormal étant constaté
N- TIER. (Bulletin médical, 10 juillet 1907.) Ce sont d'abord les
réflexes
que l'on doit rechercher sur le mem- bre nu, av
exes que l'on doit rechercher sur le mem- bre nu, avec un marteau à
réflexes
et les muscles étant placés dans le relâchement
dues à Babinski : 1° loi des différences indivi- duelles : un même
réflexe
n'est pas d'intensité égale chez tous les sujet
; 2° égalité bilatérale.Il est parfois impossible de décider si les
réflexes
sont simplement forts ou s'ils sont exagérés, mai
trépidation de la main. Si mainte- nant il y a inégalité entre les
réflexes
des deux côtés et si du côté ou les réflexes so
a inégalité entre les réflexes des deux côtés et si du côté ou les
réflexes
sont les plus faibles, ils paraissent égaux ou su
a dire que de l'autre côté ils sont exagérés. En ce qui concerne le
réflexe
rotulien on ne devra affirmer l'exis- tence de
exe rotulien on ne devra affirmer l'exis- tence de l'exagération de
réflexe
et en faire état pour le diagnos- tic que si on
bilité pathologique des ce-ities nerveux exa- gérée exagération des
réflexes
achilléens; trépidation épileptoïde du pied lég
pileptoïde du pied légitime et parfaite signe de Babinski. Pour les
réflexes
achilléens il faut tenir compte des causes d'er
s causes d'erreur qui sont au nom- bre de trois principales : 10 Le
réflexe
existe et paraît aboli par con- traction perman
ction permanente consciente ou inconsciente du biceps sural ; 2° le
réflexe
aboli paraît exister, on constate même parfois le
, on constate même parfois le ré- flexe du paradoxal la contracture
réflexe
des fléchisseurs du pied étant prise pour celle
les mouvements des paupières, l'examen électrique des muscles, les
réflexes
consécutifs à la percussion des muscles et du p
faciale, par excitation du trijumeau ou de l'optique,à produire des
réflexes
anormaux : mouvement brusque de la tête en arri
lusion des paupières devenue impossible ; il compara ces mouvements
réflexes
aux mouvements de défense que l'on peut observe
on par le nerf facial 3H4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. le centre
réflexe
de ce nerf, c'est-à-dire le bulbe, devient partic
s douleurs et des paresthésies qui s'irradient dans les doigts. Les
réflexes
olécraniens et les réflexes des poignets sont c
es qui s'irradient dans les doigts. Les réflexes olécraniens et les
réflexes
des poignets sont conservés, ils sont un peu pl
t conservés, ils sont un peu plus forts, du côté gauche, surtout le
réflexe
olécranien ; les réflexes roluliens ont une moy
peu plus forts, du côté gauche, surtout le réflexe olécranien ; les
réflexes
roluliens ont une moyenne intensité à égal degr
oluliens ont une moyenne intensité à égal degré des deux côtés. Les
réflexes
achil- léens sont abolis. Les réflexes pharyngi
al degré des deux côtés. Les réflexes achil- léens sont abolis. Les
réflexes
pharyngien et conjonctival, ainsi que les réfle
sont abolis. Les réflexes pharyngien et conjonctival, ainsi que les
réflexes
cutanés, sont normaux. Pas de troubles de la mi
ainsi que le signe de Romberg,sont encore plus manifestes. Tous les
réflexes
profonds des extrémités supérieures sont abolis ;
les réflexes profonds des extrémités supérieures sont abolis ; les
réflexes
rotuliens sont très faibles et difficiles à provo
alisée aux parties périphériques des extré- mités. En revanche, les
réflexes
rotuliens ont disparu complètement et la parési
mais elle s'est améliorée aussi. Pas d'atrophies muscu- laires. Les
réflexes
profonds des membres supérieurs et inférieurs f
s mouvements des orteils se font bien ; on peut obte- nir un faible
réflexe
rotulien et olécranien. L'ataxie des extrémités
i troubles quelconques de la sen- sibilité cutanée et profonde. Les
réflexes
rotuliens et les réflexes profonds des extrémit
la sen- sibilité cutanée et profonde. Les réflexes rotuliens et les
réflexes
profonds des extrémités supérieures sont assez
ieures sont assez faibles, mais on les obtient. très facilement. Le
réflexe
achilléen, très faible, es apparu du côté gauch
s les articulations des extré- mités ; 2° l'abolition graduelle des
réflexes
profonds (ro- tulien, olécranien), avec lesquel
ca- ractérisée par l'ataxie, le signe de Romberg, l'abolition des
réflexes
profonds et l'anesthésie vibratoire de toutes l
l'ataxie même et à cause de l'abolition graduelle concomitante des
réflexes
profonds. Ainsi le diagnostic définitif dans no
es objectifs du côté du système nerveux (du côté de la pupille, des
réflexes
, de quelques nerfs crâniens) très importants po
leur a été longtemps abolie au niveau des membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens abolis ( ? ) jusque vers l'âge de 2 ans
taire est bien cambrée. Les mouvements volon- taires, provoqués, ou
réflexes
sont normaux. Pas de malfor- mations congénital
e est conservée et qu'il y a seulement impossibilité de modérer les
réflexes
et les actes volontaires ; que, chez le neurast
eur tire de ce travail est que si l'épilepsie peut d'être d'origine
réflexe
, soit périphérique, soit centrale (com- me dans
s crises épileptiques. - L'auteur conclut de ces faits que si les
réflexes
tendineux sont complètement abolis,ce qui est t
t avec une lésion de la moelle correspondant à la racme de leur arc
réflexe
, ils ne réapparaissent jamais, même s'il survie
même s'il survient une hémiplégie; par con- tre,si quelques-uns des
réflexes
tendineux sont encore conservés, même à l'état
modalité particulière ; il s'agit donc d'une réaction fonctionnelle
réflexe
. 'J. PIOLET. SOCIÉTÉ D'Itl'l'0lC1GIC l : 'l' DE
myclo- pathque, par Leclerc et Rou- bicr. Arthrite. Deux cas d'
réflexe
d'origine nasale, par Bonnier, p. 168. Audi
es pour les mouvements volontai- res ; intégrité des mouvements
réflexes
, par Cantonnl'l el Lau- dolt, p. 303. myélopath
tique, par Domingos Januaribe, p. 307. Pupille. Sur l'immobilité
réflexe
de la et sa localisation, par Blach, p. 300.
, p. 362. Sur l'examen des pupillaires, par Hed- daeus, p. 367.
Réflexe
. Sur le de Schaefer, par Lasarew, p. 54. Sur le
r et Jambon, p. 234. SAI,-IION. \'oir .Syphilis. Schaefer. Voir
Réflexe
. Sclérose en plaques et syphilis, par Catala,
m de Roux, voir Paralysies. Sels. Voir Tétanie. Sensibilité. Voir
Réflexes
. Sinus caverneux. Voir Phlébite. SOCIÉTÉ \IÉD
rsqu'il a un point d'appui, la rampe de l'escalier par exemple. Les
réflexes
rotuliens existent, mais sont peu marqués. Pas
L'acuité auditive est diminuée, du fait d'une otite ancienne. Les
réflexes
rotuliens sont normaux, les réflexes crémastérien
fait d'une otite ancienne. Les réflexes rotuliens sont normaux, les
réflexes
crémastérien et abdominal sont abolis. Le squ
uïe, l'odorat, le goût consenés. Il y a une no- table diminution du
réflexe
pharyngé. Il n'y a actuellement que des trouble
if d'exemption suffisant. La force musculaire est mé- diocre. Les
réflexes
sont à peu près normaux : le réllexe patel laire
de contractions apparentes; le rél1exe pharyngien est affaibli, le
réflexe
crémastérien normal. - S... présente du dermogr
97 (anal. Bulletin médical, p. 767). 17. E. Wertiieiuer. Inhibition
réflexe
du tonus et des mouvements de l'estomac. Archiv
trouble de la motilité'ni de la sensibilité desmembres inférieurs,
réflexes
patellaires normaux, aucun trouble des sphincters
sa douleur se traduit-il de tout autre manière. Ce n'est plus le
réflexe
purement moteur qui fait brusquement détendre l
Isola : Vision centrale et périphérique perdue. Pupilles dilatées,
réflexes
lumineux et de l'accommodation perdus. Il n'y a
A la face, rien. Jamais de contractures, jamais de convulsions. Les
réflexes
tendineux conservés, les rotuliens quelque peu
x conservés, les rotuliens quelque peu exagérés, pas de clonus. Les
réflexes
cutanés normaux ; réflexe de Babinski physiologiq
quelque peu exagérés, pas de clonus. Les réflexes cutanés normaux ;
réflexe
de Babinski physiologique; sphincters : la mala
perçue confusément et se traduit par des plaintes et des mouvements
réflexes
.- te degré : intelligence abolie, aucune excitati
nsée, ne parle spontanément, mémoire diminuée, céphalalgie diffuse,
réflexes
rotuliens normaux, pas de paralysie, pas de con-
lit, il peut mouvoir avec énergie les deux membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens et testiculaires sont abolis. Les ong
Il n'a pas été constaté d'autres troublas de la sensibilité. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. Pas de troubles vésicaux
. Impossibilité de se tenir sur le pied gauche seul. Abolition du
réflexe
rotulien des deux côtés. Aucun trouble des memb
; pas de strabisme, pas de nystagmus, pas de ptose palpébrale. Les
réflexes
iriens sont abolis à la lumière, conservés à l'
vralgies dentaires. Le yoile du palais, le pharynx sont normaux. Le
réflexe
pharyngien est conservé. Il n'existe rien de
une adipose sous-cutanée de plusieurs centimètres d'épaisseur. Les
réflexes
abdominaux sont abolis. La percussion forte du
jambe et donnant il celui-là le caractère du pied tabétique. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. Les réflexes plantaires so
aractère du pied tabétique. Les réflexes rotuliens sont abolis. Les
réflexes
plantaires sont conservés. Les ongles sont dyst
sens musculaire. Hy- potonie manifeste. Signe de Romberg. * - c)
Réflexes
rotuliens et réflexes du tendon d'Achille abolis.
potonie manifeste. Signe de Romberg. * - c) Réflexes rotuliens et
réflexes
du tendon d'Achille abolis. Le phénomène des or
es inférieurs. Anesthésie oculaire, pas d'anesthésie pharyngée. Les
réflexes
tendineux sont abolis. L'hypotonie est remarqua
Les autres signes du tabes chez cette malade, sont : l'abolition des
réflexes
rotuliens et du tendon d'Achille, le signe d'Ar
pêché de marcher très bien jusqu'au moment de son arthropathie. Son
réflexe
rotulien est aboli à droite, impossible à détermi
e dans la marche, mais on ne constate ni steppage, ni abolition des
réflexes
des tendons rotulien et d'Achille ni signe de R
s, mais tout particulièrement des muscles innervés par le radial. Les
réflexes
osseux et tendineux du poignet sont abolis. On
ve avec peine les jam- bes au-dessus du plan du lit. Abolitions des
réflexes
tendineux. Pas de réac- tion de dégénérescence.
urdissements des extrémités. Pa résie des extenseurs. Abolition des
réflexes
tendineux.Perte de l'excitabilité des ' LA POLY
u cubital gauche. Diminution de la sensibilité pour tous les-modes.
Réflexes
normaux. Mais, huit jours après, apparition des m
Entre à Saint-Louis pour une parésie généralisée^avec abolition des
réflexes
rotuliens mais sans troubles pupillaires, et sans
épaules ; atrophie musculaire de ces derniers muscles Abolition des
réflexes
rotulien et plantaire. Douleurs à la pression d
tion des troubles moteurs. Parésie des 4 membres avec abolition des
réflexes
tendi- neux ; atrophie musculaire avec RD., hyp
bras et jambes ; le sens musculaire est intact, sans ataxie. Pas de
réflexe
plantaire ; réflexe rotulien normal. Pas de troub
sens musculaire est intact, sans ataxie. Pas de réflexe plantaire ;
réflexe
rotulien normal. Pas de troubles de la vue ni d
s perte de la contractilité galvanique et faradique, sans perte des
réflexes
tendineux; par l'expérimentation, il en a fixé
asses musculaires, engourdisse- ments des extrémités, abolition des
réflexes
tendineux, atrophie muscu- laire, intégrité des
ression des nerfs et des masses musculaires, avec une abolition des
réflexes
tendineux et une atro- phie musculaire avec DR.
de l'oculo-moteur gauche.' La sensibilité paraissait intacte. Les
réflexes
rotuliens n'étaient ni exa- gérés ni diminués.
les vaso-moteurs ou trophiques du côté des membres paralysés. Les
réflexes
plantaires du côté droit étaient à peu près aboli
u près abolis, les ré- flexes rotuliens des deux côtés normaux, les
réflexes
tendineux du membre supérieur paralysé conservé
adultes elle atteint 50 et plus. La sensi- bilité est intacte. les
réflexes
sont normaux, la réaction électrique est con- s
conservés, la force,à l'épreuve de la ré- sistance, est diminuée.
Réflexes
. Cornéen conservé, pupillaire conservé, pharyngé
ed et peut se tenir sur le pied malade, même les yeux fermés. Les
réflexes
rotuliens étaient normaux, ceux du poignet égalem
rès légers mouvements sans direction particulière d'ailieurs. Les
réflexes
tendineux sont très peu augmentés et irréguliers.
un certain degré de con- tracture dans l'extension. Les mouvements
réflexes
sont complètement abolis dans le membre supérie
exion des orteils qui sont évidemment une ébauche d'athétose. Les
réflexes
sont à peu près normaux. Il n'y a pas d'atrophie
mais il est incapable de mouvoir en rien le poignet, les doigts. Le
réflexe
rotulien est exagéré des deux côtés, surtout à ga
ut à gauche, il y a clonus marqué de la cheville du côté gauche. Le
réflexe
plantaire est absent gauche, exagéré à droite.
de t'hyperesthésie à gauche Il est incapable de retarder l'effet du
réflexe
de la miction. 230 RENÉ MARTIAL Au mois d'aoû
quille, la jambe gauche étant notablement plus courte que l'autre les
réflexes
du genou sont exagérés, surtout à droite. Les m
la main de ce côté est le siège d'une trépidation sponta- née. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés. La contracture est
eu de force. Le membre inférieur gauche est raidi en extension. Les
réflexes
sont très exagérés. La trépidation épileptoïd
antaire avec anesthésie au pied gauche. Il a de l'exa- gération des
réflexes
rotuliens et de la trépidation épileptoïde. Il
ouges de pigmentation sur le thorax ; pas de nævi étendus. Tous les
réflexes
sont conservés. Pas de troubles de sensibilité.
culations (genoux, hanches, épaules, coudes, etc.) sont li- bres.
Réflexes
. - Les pupilles punctiformes réagissent à la conv
issent à la convergence et à l'ac- commodation ; elles ont perdu le
réflexe
lumineux. Réflexe pharyngien conservé. Réflex
nce et à l'ac- commodation ; elles ont perdu le réflexe lumineux.
Réflexe
pharyngien conservé. Réflexes abdominaux nuls d
elles ont perdu le réflexe lumineux. Réflexe pharyngien conservé.
Réflexes
abdominaux nuls des deux côtés. Réflexes rotuli
exe pharyngien conservé. Réflexes abdominaux nuls des deux côtés.
Réflexes
rotuliens abolis. Réflexes plantaires conservés
flexes abdominaux nuls des deux côtés. Réflexes rotuliens abolis.
Réflexes
plantaires conservés ; la malade retire la jambe
riostique. Paralysie des muscles de l'oeil droit avec abolition des
réflexes
pupillaires. Spondylolisthèse du corps de la cinq
ation du visage nor- male. Ataxie des deux jambes. Abolition ries
réflexes
rotuliens. Douleurs lanci- nantes dans les extr
ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES ' 263 tement des vertèbres.
Réflexes
pupillaires abolis. Phénomène de Romberg. Dou-
- cle est diminuée quantitativement, conservée qualitativement. Les
réflexes
plantaires, rotuliens, testiculaires sont aboli
est perçue comme un contact. Analgésie périostique. Abolition des
réflexes
plantaires et rotuliens. Conservation des réflexe
e. Abolition des réflexes plantaires et rotuliens. Conservation des
réflexes
cutanés. La vessie et le rectum sont sains.
mbe est difficile les yeux ouverts, impossible les yeux fermés. Les
réflexes
rotuliens sont abolis, avec conservation intégral
est conservé. Pas d'erreur de localisations de ces sensations. Les
réflexes
plantaires, les réflexes abdominaux sont conservé
ur de localisations de ces sensations. Les réflexes plantaires, les
réflexes
abdominaux sont conservés : ces derniers ne son
lles sont égales, elles présentent le signe d'Argyll Robertson. Les
réflexes
abdominaux sont ir- réguliers, tantôt très vifs
de s'accroupir pour uriner. Les érections sont toujours nulles. Les
réflexes
rotuliens sont abo- lis, les plantaires aussi.
upilles sont inégales, la droite est plus petite que la gauche' Les
réflexes
iriens sont abolis à la lu- mière et à l'accomm
Pas de chute ni de dystro- phie des ongles. Abolition complète des
réflexes
rotuliens. La sensibilité cutanée est normale s
t insensibles à la lumière. Le réllexe pharyngien est conservé. Les
réflexes
abdominaux supérieurs et infé- rieurs sont très
abdominaux supérieurs et infé- rieurs sont très vifs. Abolition dès
réflexes
rotuliens et testiculaires. Conserva- tion des
olition dès réflexes rotuliens et testiculaires. Conserva- tion des
réflexes
plantaires au chatouillement. La sensibilité test
plus grande que la droite. Les ré- flexes iriens sont normaux. Les
réflexes
abdominaux sont conservés, nullement exagérés.
conservés, nullement exagérés. Les testiculaires sont normaux. Les
réflexes
rotuliens sont abolis, les réflexes plantaires
testiculaires sont normaux. Les réflexes rotuliens sont abolis, les
réflexes
plantaires conservés. 288 JEAN ABADIE La sens
ouble, la droite cependant est un peu plus large que la gauche. Les
réflexes
iriens à la lumière, à l'accommo- dation, à la
salivation n'est pas exagérée. Rien à noter au voile du palais. Le
réflexe
pharyngien est aboli. Il n'existe pas d'amaigri
La sensibilité épigastrique profonde à la douleur est conservée. Les
réflexes
abdominaux supérieurs et inférieurs sont exagér
Les réflexes abdominaux supérieurs et inférieurs sont exagérés. Les
réflexes
testiculaires sont normaux. La sensibilité test
lit : il conserve toujours très nettement le sens de position. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. les réflexes plantaires so
tement le sens de position. Les réflexes rotuliens sont abolis. les
réflexes
plantaires sont vifs. La station debout sur les
sous tous ses modes (tact, douleur, température) est normale. Les
réflexes
olécranien et du goignet sont exagérés ; il n'y a
t intacts, tous les mou- vements exécutés au lit sont corrects. Les
réflexes
tendineux sont exagérés des deux côtés, il n'y
enverser des objets au moment de les saisir ou de les porter. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont exagérés (r
orter. Les réflexes tendineux des membres supérieurs sont exagérés (
réflexe
du poignet, réflexe olécranien). Depuis plusi
tendineux des membres supérieurs sont exagérés (réflexe du poignet,
réflexe
olécranien). Depuis plusieurs mois, il éprouve
la gauche. Pas d'incoordination, les yeux ouverts ou fermés. Les
réflexes
tendineux sont exagérés (patellaire, du tendon d'
andée, traînante; les se- cousses nystagmiformes, l'exagération des
réflexes
complètent le tableau clinique qui rentre dans
conservée, le sens muscu- laire intact, le vertige inconstant. Les
réflexes
rotuliens sont conservés ou exagérés. La sensib
le une grande incertitude et une ataxie manifeste de ses mains. Les
réflexes
tendineux du coude et du poignet sont normaux. Da
uche, parfois même en arrière, de sorte qu'il menace de tomber. Les
réflexes
du genou et du ten- don d'Achille existent sans
xes du genou et du ten- don d'Achille existent sans exagération, le
réflexe
crémastérien est plus facile à provoquer à gauc
e crémastérien est plus facile à provoquer à gauche qu'à droite. Le
réflexe
cutané plantaire est normal des deux côtés. L
ne nous y attarderons pas ; nous signalerons seulement l'absence du
réflexe
rotulien des deux côtés, la faiblesse de réflex
ement l'absence du réflexe rotulien des deux côtés, la faiblesse de
réflexe
du tendon d'Achille, la perte complète de la sens
; elles diffèrent cependant au point de vue clinique par l'état des
réflexes
patellaires qui sont exagérés chez la malade de
onstant dans l'hé- rédo-ataxie. Dans la maladie de Friedreich les
réflexes
sont abolis ; ils ont été trouvés - exagérés da
e généra- lisée ne diffère que par le plus ou moins d'intensité des
réflexes
rotuliens : cette conclusion semble exagérée et
ues, exceptionnels dans l'atrophie du cervelet ; l'exagération- des
réflexes
est plus considérable dans le premier cas. Babi
ulière- ment favorables à la théorie qui fait du cervelet un centre
réflexe
de l'équilibration (Flourens, Thomas). L'asthén
oite, en raison sans doute de l'otite moyenne signalée plus haut. Les
réflexes
rotuliens sont très affaiblis. Il n'y.a pas de
e malade a toujours un peu de diarrhée. Aux membres inférieurs, les
réflexes
patellaires sont très diminués ; à droite la di
nt très diminués ; à droite la disparition est presque complète. Le
réflexe
plantaire est très affaibli et les orteils se f
tact, à la piqûre, au chaud, au froid est par- tout normale. Les
réflexes
tendineux du membre malade sont encore sensibles,
les, ils M8 GASNE i. sont normaux partout ailleurs, ainsi que les
réflexes
cutanés (plantaire, crémastérien etc.). Aucun
e de la sensibilité cutanée ou profonde, la persistance de tous les
réflexes
, le fonctionnement parfait de tous les viscères
té est normale, ni douleurs spontanées, ni troubles sensoriels. Les
réflexes
tendineux sont normaux. Pas de troubles vaso-mo
broyer dans ses larges mains. Et rien n'est plus vrai que son geste
réflexe
et sa mimique angoissée. Derrière le patient,
ervés par le moteur oculaire com- mun gauche; sont paralysés. Les
réflexes
de la pupille droite sont normaux. La pupille gau
la force musculaire et la sensibilité sont partout conservées, les
réflexes
sont normaux, pas la moindre atrophie ; pas de
araître une faiblesse mus- culaire très marquée et une démence. Les
réflexes
rotuliens étaient exagérés. Deux ans avant la m
conscience, avec convulsions et confusion mentale consécutive. Les
réflexes
rotuliens étaient très affaiblis. Six semaines av
racte bien à la lumière et pour l'accommodation. Les cligne- .ments
réflexes
sont moins étendus il droite et quand la malade r
. Bon état général : aucune lésion vésicale : ni sucre ni albumine.
Réflexes
tendineux abolis; réflexe crémastérien aboli à
lésion vésicale : ni sucre ni albumine. Réflexes tendineux abolis;
réflexe
crémastérien aboli à gauche, très léger à droit
x abolis; réflexe crémastérien aboli à gauche, très léger à droite.
Réflexes
cutanés, surtout le réflexe plantaire, un peu d
n aboli à gauche, très léger à droite. Réflexes cutanés, surtout le
réflexe
plantaire, un peu diminués, sans dysesthésie no
tilité, des sens spéciaux ou de la sensibilité générale, l'état des
réflexes
ou les complications trophiques. Cependant nos
vaso-moteurs de la moelle : ceux-ci réagissent à leur tour par voie
réflexe
sur la périphérie et font naître dans les tissus
ropathie tabétique est due à une insuffisance de nutrition de cause
réflexe
. Si l'insuffisance d'excitation sensitive existe
ne réaction exagérée à la plupart des muscles du membre infé rieur.
Réflexe
rotulien exagéré des deux côtés ; il en est de mê
ieur. Réflexe rotulien exagéré des deux côtés ; il en est de même des
réflexes
des tendons du poignet. Réflexe abdominal exagé
deux côtés ; il en est de même des réflexes des tendons du poignet.
Réflexe
abdominal exagéré des deux côtés Ré- flexe imag
rmique) jus- qu'au membre supérieur est sérieusement atteinte. Le
réflexe
rotulien est augmenté. Observation XXII. Brow
ar impossibilité de tenir un porte- plume de dimensions moyennes.
Réflexes
. - Pas modifiés. ' Membres inférieurs.- Il n'ex
ment debout sur la jambe droite et n'oscille pas les yeux fermés.
Réflexes
: égaux des 2 côtés. - - Sensibilité. - Le mala
te montre une légère faiblesse, le malade l'accuse de lui-même. Les
réflexes
du triceps, patellaire, abdominal et crémastérien
volonté du malade. La sensibilité est diminuée à gauche.... ' Le
réflexe
abdominal gauche n'existe pas, à droite il est tr
e réflexe abdominal gauche n'existe pas, à droite il est très net, le
réflexe
crémastérien est à peine sensible à gauche, il
le à gauche, il est bon à droite. Le patellaire manque à gauche. Le
réflexe
plantaire est beaucoup plus vif à droite qu'à g
is eu d'aphasie. La langue est très légèrement déviée à droite. Les
réflexes
musculaires et osseux sont exagérés dans toute l'
cousses, muscles sur les masses de l'avant-bras. Artères dures.
Réflexes
tendineux, patellaire exagéré à gauche, crémastér
ien paraît aboli (hernie inguinale double). Cubital du poignet, les
réflexes
sont brusques et suivis d'un tremblement marqué
côté droit. Le sens stéréognostique est supprimé du côté gauche.
Réflexes
: pupillaire] : droit, très peu accentué ; gauche
comme névrite ascendante véritable certains cas de paraplégie, dite
réflexe
. Un des cas les plus dé- monstratifs à cet égar
e aiguë, paraplégie complète, troubles sphinctériens, abolition des
réflexes
tendineux, dans les membres para- lysés, trou
ron 2 millimètres de diamètre de chaque côté; elles sont rondes. Le
réflexe
lumineux est normal des deux côtés. Le réflexe
lles sont rondes. Le réflexe lumineux est normal des deux côtés. Le
réflexe
à l'accommodation est très difficile à rechercher
aitement. ÉTUDE SUR L'OPHT1L11LOPLÉGIE CONGÉNITALE 621 i Tous les
réflexes
sont intacts ; le réflexe palpébral se produit tr
T1L11LOPLÉGIE CONGÉNITALE 621 i Tous les réflexes sont intacts ; le
réflexe
palpébral se produit très bien. La sensibilité
mètre est de 2 millimètres (Cabannes), de 3 millimètres (Gast). Les
réflexes
pupillaires à la lumière et à l'accommodation s
onvergence (,le' cas de Heuck). Dans le dernier cas de Gourfein, le
réflexe
lumineux est le seul qu'on obtienne ; le jeune
enne ; le jeune âge du malade n'a pas permis de se rendre compte du
réflexe
de l'accommodation. Dans deux observations (Sch
ve'pas ailleurs d'autres lésions musculaires. La sensibilité et les
réflexes
sont normaux. L'intelligence est normale. Aucun
ient aussitôt, sans garder l'empreinte. Il n'y a ni exagération des
réflexes
, ni trépidation épileptoïde. -- Rien aux organe
de quelques centimètres la jambe gauche au-dessus du plan du lit.
Réflexes
? Le réflexe rotulien est exagéré des deux côtés,
ntimètres la jambe gauche au-dessus du plan du lit. Réflexes ? Le
réflexe
rotulien est exagéré des deux côtés, trépidation
s sont sensi- blement égales, mais contractées et irrégulières. Les
réflexes
pupil- laires sont lents. La langue est saburra
ouble de la parole, mais le malade cherche ses mots, parle peu. Les
réflexes
patellaires sont conservés. Les réflexes cutané
e ses mots, parle peu. Les réflexes patellaires sont conservés. Les
réflexes
cutanées sont faibles. La sensibilité générale
Le malade qui est d'origine suisse parle assez mal le français. Les
réflexes
patellaires sont fai- bles, les réflexes planta
assez mal le français. Les réflexes patellaires sont fai- bles, les
réflexes
plantaires sont nuls et les crémastériens normaux
u mouvement : influence du cerveau sur le phénomène du genou et les
réflexes
pupillaires, signifi- cation des mouvements d'e
ts d'expression des mains et des jambes, modifications diverses des
réflexes
patellaires mises en évidence à l'aide de l'app
on- nées fournies par les appareils de M. Sommer pour l'étude des
réflexes
et des mouvements d'expression. Par contre, les m
Sensibilité normale à la piqûre, au pincement, à la température.
Réflexes
rotuliens semblant disparus ainsi que les réflexe
la température. Réflexes rotuliens semblant disparus ainsi que les
réflexes
olécra- niens ( ? ) ; réflexe pharyngien normal
iens semblant disparus ainsi que les réflexes olécra- niens ( ? ) ;
réflexe
pharyngien normal. Pas de trépidation spinale.
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Théorie des
réflexes
cutanés et tendineux basée sur la nature foncti
eau des autres cellules. G. DENY. III. Le mécanisme du tonus et des
réflexes
dans l'état actuel de la science ; par J. Crocq
au Congrès de Limoges, sur le mécanisme du tonus musculaire, des
réflexes
et de la contracture. Parmi ces critiques, les pl
a moelle provoque chez l'homme une abolition totale du tonus et des
réflexes
avec persistance seulement de cer- tains réflex
e du tonus et des réflexes avec persistance seulement de cer- tains
réflexes
défensifs; les autres affirment avec Brissaud, Gr
n complète de la moelle ne donne lieu à l'abolition du tonus et des
réflexes
que lorsque cette section est brusque ; il y au
urait au contraire conservation et même exagération du tonus et des
réflexes
lorsqu'elle est lente et pro- gressive. Ces d
n complète de la moelle ne donne lieu à l'abolition du tonus et des
réflexes
que si la lésion est brusque, considèrent comme
en tant que groupes accouplés, consiste à déter- miner des actions
réflexes
analogues à celles que déterminent les arcs réf
er des actions réflexes analogues à celles que déterminent les arcs
réflexes
sensitivo-moteurs des divers segments de la moell
n que, si l'on va au fond des choses, on constate que ses fonctions
réflexes
et ses fonctions d'inhibition différent plutôt
ent plutôt par leur degré que parleur nature propre des fonc- tions
réflexes
et des fonctions d'inhibition des ganglions qui s
ciaux et de la moelle ; . 12° Finalement, l'inhibition et l'action
réflexe
étant la propriété spéciale de toute substance
degré le plus faible ou la forme la plus élémentaire d'irritabilité
réflexe
. H. DEMusGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur cér
blement de la langue, tremblement des mains, exagération légère des
réflexes
rotuliens, incertitude motrice dans l'obscurité
a maladie de Friedreich (conservation de l'intelligence, migraines,
réflexes
abolis d'un côté chez un malade) ; et des signe
e chancelante ; l'enfant ne peut se porter sur la jambe malade. ,
Réflexe
du genou absent à gauche, légèrement exagéré à dr
ro- phiés et ont perdu toute excitabilité électrique. Absence des
réflexes
du genou. Il. DE Musgrave-Clay. XIII. Tétanos;
adiculaires de la sensibilité. Incoordination légèie. Abolition des
réflexes
tendineux. Signe d'Arôyll-lobertson. C'est donc
avec troubles des mouvements des membresinfé- rieurs abolition des
réflexes
tendineux et douleurs lancinantes des membres i
et douleurs lancinantes des membres inférieurs. Cette abolition des
réflexes
tendineux est due évidemment à l'altération des
un arabe syphilitique, instruit et civilisé. Note sur l'état des
réflexes
tendineux et des réactions électriques dans la
qu'on trouve dans certaines hémiplé- gies avec contractures. Les
réflexes
tendineux ont été trouvés, exagérés chez 26 mala-
tous les muscles d'un segment de membre. Deux fois on a observé le
réflexe
paradoxal. Le réflexe cutané plantaire a déterm
segment de membre. Deux fois on a observé le réflexe paradoxal. Le
réflexe
cutané plantaire a déterminé la flexion de l'orte
Ce symptôme est parfois assez intense pour rendre la recherche des
réflexes
ten- dineux très difficile, et j'ai eu plusieur
l'occasion d'observer des tiqueurs chez qui l'on pouvait croire les
réflexes
rotuliens abolis; il n'en était rien ; un état
exagération du tonus s'opposaient simplement à la manifestation du
réflexe
. De la même façon, si l'on commande à ces malad
s patellaires sont conservés (le gauche est un peu plus fort). Le
réflexe
plantaire est normal. Il n'y a pas de troubles de
sont contractées, mais la droite est légèrement plus grande. Les
réflexes
pupillaires sont conservés, mais faibles, surtout
. Les réflexes pupillaires sont conservés, mais faibles, surtout le
réflexe
1.4'2 CLINIQUE NERVEUSE. lumineux. La langue
fibrillaire très accusé. La parole est extrêmement embarrassée. Les
réflexes
patellaires sont nuls. Le réflexe plantaire en
est extrêmement embarrassée. Les réflexes patellaires sont nuls. Le
réflexe
plantaire en flexion à gauche, est en extension
éflexe plantaire en flexion à gauche, est en extension à droite. Le
réflexe
crémastérien est nul. La sensibilité générale n
e, tremblement de la langue, embairas de la parole, exagération des
réflexes
patellaires, affaiblisse- ment intellectuel et
e, le voile du palais pendant la phonation, les cordes vocales ; le
réflexe
palatin est faible ou absent : le réflexe phary
, les cordes vocales ; le réflexe palatin est faible ou absent : le
réflexe
pharyngien existe. Aucune atrophie de la langue,
érieurs sont affectés de semblable manière. Nul affaiblissement des
réflexes
patellaires. La piqûre est plus vivement ressen
à un âge avancé. Il apparaît seul sous la forme de dmii- nution du
réflexe
de la déglutition, ou associé à une obssession, à
a sortie de l'hôpital, on ne constatait plus qu'une exagération des
réflexes
tendineux et un-certain degré d'affaiblis- seme
à la Salpètiière, le professeur Raymond note : sensibilité normale,
réflexes
normaux, pas de troubles tro- phiquesni vaso-mo
des deux manifestations initiales de cette affection, abolition du
réflexe
rotulien et douleurs fulgu- rantes. Serait-ce
tre, surtout à gauche, comme un homme ivre, vertiges fréquents. Les
réflexes
tendineux sont lous exagérés ; les réflexes cut
vertiges fréquents. Les réflexes tendineux sont lous exagérés ; les
réflexes
cutanés réagissent normalement, le réflexe de BuG
ont lous exagérés ; les réflexes cutanés réagissent normalement, le
réflexe
de BuGiusl,i est en flexion. Il existe de V hyp
titubante, vertigineuse, le nystagmus permanent, l'exagération des
réflexes
tendineux coïncidant avec l'hypotonie musculair
sillon orbitaire droit. Les sensations sont un peu émoussées, et le
réflexe
plantaire gauche un peu diminué. Les pupilles s
ire siège primitivement dans .le cerveau et non pas des convulsions
réflexes
dont la cause peut siéger en un point presque q
rottement de la plante du pied avec une épingle peut produire comme
réflexe
une abduction des orteils en éventail. Cet écar
développé. C'est donc un bon signe qui peut se rencontrer là où le
réflexe
en extension des orteils fait défaut, ce qu'arr
s intérieurs, entraînant de la dysbasie spasmodique et titu- bante.
Réflexes
très exagères : signe de Babinski à gauche. Agé-
adial supérieur, sans paralysie ni atrophie, mais avec abolition du
réflexe
du triceps brachial. Ce dernier phéno- mène car
nce se localise à la partie supé- rieure seulement de l'olive. Le
réflexe
de 8(iliiisl. chez les enfants. M. A. LFRI, com
e. Léri signale enfin l'existence tout à fait exceptionnelle d'un
réflexe
« en abduction » du gros orteil sans en pouvoir f
ngue DÉLIRE ET PETIT BRIGHTISME. 20S saburrale et tremblante. Les
réflexes
patellaires sont un peu forts les réflexes plan
rrale et tremblante. Les réflexes patellaires sont un peu forts les
réflexes
plantaires en flexion, les réflexes crémastériens
tellaires sont un peu forts les réflexes plantaires en flexion, les
réflexes
crémastériens faibles. Il n'y a pas de troubles
e ces muscles, qui amène les crises laryngées, par perturbation des
réflexes
glottiques, et des fonctions motrices respirato
sations olfac- tives réelles ou subjectives; 2 Pour des réactions
réflexes
: directement, par action vaso- motrice sur les
rectement, par action vaso- motrice sur les centres nerveux, action
réflexe
démontrée expén- mentalement ; indirectement, p
ES. 277 -1 présenté des anesthésies ainsi que des modifications des
réflexes
et suivis néanmoins de guérison. Principes d'
Sans doute les premiers vomissements de la grossesse sont d'origine
réflexes
. Mais chez certaines nerveuses, ces vomissement
qui a pu donner lieu, dans un nombre de cas, à l'exagération des
réflexes
et à l'extension des orteils : un tableau cliniqu
part : sensibilité des barres, inégale de l'un à l'autre côté ; les
réflexes
sont normaux plusieurs suent exagérément. On re
hésitante, la malade ne peut se tenir debout les yeux fermés ; les
réflexes
rotuliens et achil- léens sont complètement abs
ky, pour qui les changements organiques n'exis- tent qu'à l'état de
réflexes
. rad 1 Pour W. James, les causes générales des
ur le pied droit seul; la coordination du mouvement est normale. Le
réflexe
pharyngien est normal, les réflexes rotuliens s
ion du mouvement est normale. Le réflexe pharyngien est normal, les
réflexes
rotuliens sont très affaiblis, presque com- UN
iblesse surtout dans le côté droit 'du corps, joint à l'absence des
réflexes
rotuliens. Mon opinion etait.)asuivante : ! aco
n. Les mouvements affaiblis du côté droit du corps et l'absence des
réflexes
rotuliens (si toutefois ce dernier phénomène n'
1 de tables de Jager. Il se manifesta au surplus vers ce temps des
réflexes
rotuliens jusqu'alors fort affaiblis. Le 28 décem
masculin, avant cf ié, avalé, produit des mouvements musculaires et
réflexes
normaux. Région faciale du ei,^trie et nez bien
e, d'artériosclérose, d'arthrite déformante. P. Keiuval. XXVI. Le
réflexe
corné o-mandibulaire, par F. de SOELDER. (iyell-
ontraction du ptérygoidien externe du côté de la cornée excitée. Le
réflexe
est lent. En répétant l'excitation, il s'épuise
res incoercibles. Chez ceux qui sont à cet égard plus tolérants, le
réflexe
cornéo-maudibulaire appa- rait net dans la moit
quissé chez la plupart des autres. La branche centripète de l'arc
réflexe
doit occuper la portion sensitive du trijumeau;
; la branche centrifuge en occuperait la portion motrice. Le centre
réflexe
réside problablement dans le noyau moteur de la
oidien externe, le contact de la cornée produisant simultanément le
réflexe
cornéen et le réflexe cornéo- mandibulaire. N'a
tact de la cornée produisant simultanément le réflexe cornéen et le
réflexe
cornéo- mandibulaire. N'arrive-t-il pas souvent
res des paupières ? Ce sont des mouvements associés préformés. Ce
réflexe
cornéo-mandibulaire persiste quelquefois alors qu
Ce réflexe cornéo-mandibulaire persiste quelquefois alors que le
réflexe
cornéen a disparu, dans les cas de coma consécuti
syphilitique de la protubérance, à l'épilepsie : dans ces cas-là le
réflexe
en ques- tion était le seul que l'on pût obteni
le seul que l'on pût obtenir. P. KERAVAL. XXVII. De la fatigue des
réflexes
tendineux et de la valeur diagnos- tique de ce
REVUE D' ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 431 XXVIII. Le
réflexe
trigémino-facial et le phénomène de Westphal et
al et Pilz, par H. Lasacz. (Nezi7,olog. Centralbl. XXI, 1902). Le
réflexe
sus-orbitaire de Mac Carthy, Bechterew, Iludovern
s; pour les autres régions, cela dépend de l'état de l'excitabilité
réflexe
et non seulement selon les indivi- dus mais aus
né, même chez l'adulte à fermer ses yeux alterna- tivement.C'est un
réflexe
, car on peut le provoquer en frappant sur le ma
aralysé, dans les cas d'hyperexcitabitité s'entend. Cest bien là du
réflexe
. Lorsque la paralysie faciale s'améliore. ce de
facial et trijumeau. La résection du trijumeau fait disparaître le
réflexe
. En même temps que ce réflexe, on voit la pupil
tion du trijumeau fait disparaître le réflexe. En même temps que ce
réflexe
, on voit la pupille d'abord dimi- nuer puis se
es étaient éteintes, il y a lieu de croire qu'elle procède d'un arc
réflexe
périphérique. ' Impossible d'assigner au réflex
procède d'un arc réflexe périphérique. ' Impossible d'assigner au
réflexe
orbiculaire, pas plus qu'à la réaction pupillai
difficile, on constate le signe de llom- berg ; la disparition des
réflexes
partellaires, du myosis, le défaut de réaction
euvent se résumer ainsi : le, cas : homme atteint de manie, cicité,
réflexe
» pupillaires abolis, réflexe du genou aboli, pas
cas : homme atteint de manie, cicité, réflexe» pupillaires abolis,
réflexe
du genou aboli, pas d'ata- xie, syphilis. 2e ca
pas d'ata- xie, syphilis. 2e cas : homme de 39 ans, démena cécité,
réflexes
pupillaires paresseux, puis abolis, pas d'ataxi
cécité, réflexes pupillaires paresseux, puis abolis, pas d'ataxie,
réflexe
du genou bien conservé ; syphilis. 31 cas : hom
genou bien conservé ; syphilis. 31 cas : homme de 33 ans, dément,
réflexes
pupillaires abolis, puis reparus normalement; vis
alement; vision défec- tueuse, puis améliorée, sensations normales,
réflexe
du genou con- servé,syphilis.-4°cas : llomme de
ilis.-4°cas : llomme de 48 ans, vision défectueuse, puis améliorée,
réflexes
pupillaires normaux, démarche ataxique, sen- sa
exes pupillaires normaux, démarche ataxique, sen- sations normales,
réflexe
du genou conservé, syphilis. Dans le premier ca
che plutôt que par l'incoordination du mouvement des jambes. Les
réflexes
du genou ont présenté chez ces malades des condit
esthé- sie généiale du tronc; elle faisait complètement défaut. Les
réflexes
pupillaires et la vision ont également présenté
Si l'on consi- dère ces derniers comme étant surtout des ganglions
réflexes
, tan- dis que les premières seraient surtout de
aisé- ment quetaprédominanoedessymptômesvisuets sur les symptômes
réflexes
, et réciproquement varie suivant que c'est l'un o
t). Souvent on pense à une névrite multiple, et la di- minution des
réflexes
qui est assez commune tend à confirmer ce diagn
e certaines idées délirantes de sorcellerie et de persé- cution. Le
réflexe
du genou est ordinairement exagéré, bien qu'il
xiste une hémiparaplégie droite avec héiniatieslliébie croisée. Les
réflexes
sont nota- blement exagérés a droite, et le mem
e qui explique la mono- plégie motrice directe et l'exagération des
réflexes
allant jusqu'à l'opportunité de contracture.- L
usuelle, se trouve souvent chez les aliénés. Ils parlent le langage
réflexe
mais aucune idée ne correspond à leurs paroles.
troubles spéciaux de la conscience, de manifestations du langage
réflexe
. ' IV. Valeur PRONOSTIQUE La valeur pronotiqn
l'indépendance primitive qu'elle a chez les animaux et chez le les
réflexes
tendineux abandonnent leur voie longue eucéph.d
le problème de l'action d'une section complète de la moelle sur les
réflexes
tendineux, M. Itaymond estime qu'un nou- veau f
ra- pl ? ie flaccide et à perpétuité llaccide, avec abolition des
réflexes
et perte totale de la sensibilité, est le fait de
taldesapha- siques, par ylarie(P.) et Vaschide, MS. Babinski Le
réflexe
de - chez les enfants, par Lerl, 180. Billet.
e et poitant sur la sphère génitale, par Vidal, 183. Pilz. Voir
Réflexes
. PoLiOMYELrrE.Laantérieureainnc del'adtilte,p
UTEURS ET DES COLLABORATEURS. ,1,0\1,s. Le mécanisme, du - et des
réflexes
(fait, l'etat de la science, par Cruoq, 56. Sur
onne- ment des organes nerveux, par Durante, 530, WESTpmL. Voir
Réflexes
. T : 113L11 DES AUTEURS ET DES CUL1113Ult\'l'l'
ni parésie, ni paralysie des membres ou de la face. La parole, les
réflexes
oculaires ne paraissaient pas modifiés. L'intel
s n'avons pu déceler aucun signe de syphilis ou de tuberculose. Les
réflexes
tendineux, cutanés et oculaires sont normaux ;
cause mécanique, aurait retenti sur la main opposée par un trouble
réflexe
de l'acrométagénèse. Celte interprétation nous
de ceux où le spasme est le résultat d'une irritation primitive ou
réflexe
du neurone central ou périphérique de la septième
des membres supérieurs et inférieurs. et du tronc sont normaux. Les
réflexes
tendineux (olécraniens, rotuliens, achilléens)
osseux (radiaux) sont normaux et égaux des deux côtés du corps. Les
réflexes
plantaires sont en flexion. Les réflexes abdomi
des deux côtés du corps. Les réflexes plantaires sont en flexion. Les
réflexes
abdominaux, crémastériens, le pharyngien, les r
issent bien à la lumière, à l'accommodation et à la convergence. Le
réflexe
consensuel est conservé. Les sensibilités super
la commissure buccale. Le même fait a été observé dans la fermeture
réflexe
des yeux. Les syncynésies entre les deux orbicu
vrait faire bonne garde pour apercevoir les dangers. De itteme le
réflexe
de clignement de lui est bilatéral, car il se pro
eux moitiés du cerveau, A vrai dire, 1\1. Oppenheim soutient que ce
réflexe
, dans les cas de paralysie fa- ciale périphériq
t Saenger nous font observer qu'il y a toujours un certain degré de
réflexe
consen- suel. Ils ont trouvé cela même dans des
éaction à la lumière v est bonne. Pas d'altérations in fundo. Les
réflexes
abdominaux ne sont pas provoqués, les crémastérie
uvements passifs ne se heurtent pas à une résistance augmentée. Les
réflexes
plantaires ont le type normal. Les réflexes pat
sistance augmentée. Les réflexes plantaires ont le type normal. Les
réflexes
patellaires sont présents, pas très vifs. Les tré
nne. Pas de parésies, pas de trémulations, pas de raideur, tous les
réflexes
sont excitables, pas exagérés. Les forces dimin
a tension artérielle ou du pouls, tant pédieux que radial. Tous les
réflexes
étaient normaux, même les réflexes cutanés plan
ant pédieux que radial. Tous les réflexes étaient normaux, même les
réflexes
cutanés plantaires. Comme autres signes physi
en station horizontale. Pas de troubles de la sensibilité cutanée.
Réflexes
rotuliens très augmentés. Pas de troubles des org
paraesthésie de la jambe gauche dont le vo- plume a un peu diminué.
Réflexe
rotulien droit plus vif que le gauche. Pendant
ression intraartPrielle entre le côté sain et le c4té atteint et le
réflexe
glutéal unilatéral, un des symptômes objectifs de
t volontaire; les muscles sont nettement en état de contracture.Les
réflexes
rotu- liens et achilléens sont exagérés des deu
danse de la rotule, et de la trépidation épileptoïde du pied. Le
réflexe
cutané plantaire se fait à droite et à gauche en
e un mouvement net mais léger de retrait du membre inférieur. Les
réflexes
crémastériens sont abolis ; l'excitation de la zo
zone abdominale SUà-ItlârII1111e ne donne liau à aucune contraction
réflexe
visible dans la même région, mais on observe à
s retrouvent le repos, en flexion, mais si l'on recherche l'état du
réflexe
cutané plantaire, le membre examiné se retire bru
éfense, est telle qu'elle empêche d'apprécier commodément l'état du
réflexe
plantaire isolé : il y a presque toujours en mê
vement est alors si léger qu'on peut douter de son existence. Les
réflexes
rotuliens et achilléens qui étaient exagérés ne s
ourcis- seurs amène avec une égale facilité le même résultat. Ces
réflexes
cutanés de défense peuvent être produits par les
e région. Il nous a été impossible de produire le moindre mouvement
réflexe
du membre inférieur eu excitant la peau des régio
eur eu excitant la peau des régions abdominale et thoracique. Les
réflexes
cutanés abdominaux inférieurs qui étaient modifié
dont nous nous occupons. - Notons enfin que chez notre malade res
réflexes
cutanés de défense provo- qués ne prenaient nai
ûre, au contact, à la chaleur, ne nous a rien révélé d'anormal. Les
réflexes
cutanés et ten- dineux sont normaux et il n'exi
rien d'a- normal, sinon de l'amaigrissement, de l'hypotonie et des
réflexes
exagérés. Examen psychique. Aucun défaut marqué
urs, elle était en bonne santé. La sensibilité était normale, les
réflexes
faibles, les fonctions cérébrales nor- males au
i des cas d'incapacité liés à des symptômes résultant d'irritations
réflexes
. Deux cas, opposés feront bien voir cette disti
qui altère bien peu son altitude. Diminution, presqu'abolition du
réflexe
rotulien. Pendant la marche avec les yeux fermé
roduisent les secousses s'il y a de l'excitabilité morbide de l'arc
réflexe
correspondant. Parfois, sur un membre paralysé,
tique, on trouve toutes les attitudes que l'on peut imaginer. Les
réflexes
tendineux sont, dans beaucoup de cas, exagérés ;
il en est ainsi. pour le lépreux des figures 1, 1', 22 et 23. Le
réflexe
tendineux de flexion de l'avant-bras est celui qu
bstitution des anciens. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX 163 Le
réflexe
du tendon d'Achille se trouve bien des fois moins
des jambes ne sont pas atrophiés, on peut alors obser- ver aussi ce
réflexe
exagéré. C'est ainsi que j'ai eu l'occasion de le
nte la supraréflectivité rotulienne. On sait que l'exagération du
réflexe
tendineux constitue un signe qui indique l'état
ans des cas de névrites algiques. S'il est certain que l'absence du
réflexe
achilléen est pour nous d'une grande importance p
les lépreux dans ces mêmes régions de supriréllectivité. Mais ces
réflexes
tendineux exagérés offrent tous les caractères pr
ement primitive, le spasme apparaît par l'excitation de la peau. Le
réflexe
a pour point de départ un certain degré d'excitat
point de départ un certain degré d'excitation cutanée. La secousse
réflexe
gagne rapidement les trois articles qui, comme on
ude forcée par le spasme. Voilà comment dans certaines occasions le
réflexe
de défense et d'automatisme médullaire, comme l'a
des fibres sensitives tendino-musculaires pro- duit la contraction
réflexe
exagérée. Dans la lèpre nerveuse on trouve le p
lièrement leur volume. Le phénomène de la différence d'intensité du
réflexe
rotulien entre les deux côtés, comme on le voit
e. Mais si, dans le tabès, la présence ou la majeure appa- rence du
réflexe
correspond au côté qui est encore le moins frappé
ans la lèpre c'est le contraire ; la normalité existe du côté où le
réflexe
est moins apparent. Cela se comprend si l'on re
'un nerf ou d'un mus- cle, ou que l'on cherche franchement l'action
réflexe
, toujours est-il que le résultat est la plus gr
s organes des sens, du côté des yeux particulièrement. L'examen des
réflexes
donne des résultats intéressants. Chez F..., les
xamen des réflexes donne des résultats intéressants. Chez F..., les
réflexes
tendineux sont abolis au niveau du tendon d'Achil
c cou tro- laté- ral des adducteurs très marqué des deux côtés, les
réflexes
olécraniens etradiaux normauxà droite et vifs à
mais elle a été signalée cependant dans quelques observations. Les
réflexes
cutanés crémaslériens et abdominaux sont très net
flexes cutanés crémaslériens et abdominaux sont très nets. Seul, le
réflexe
plantaire n'existe pas, ce qui semble dû à l'atro
t leur sont compa- rables Comme les troubles trophiques, moteurs et
réflexes
, ils diminuent de bas en haut et disparaissent
entaux mentionnés par Westph1l1 et Berto- lotti ; l'exagération des
réflexes
et le signe de Babinski, cités la première par
tic est facile en raison des phénomènes concomitants : sen- sitifs,
réflexes
, moteurs, électriques ; en raison de la discordan
ain- tenir sans aide ; il ne peut marcher sans ses béquilles. Les
réflexes
tendineux sont tous abolis. Aux pieds et aux main
: l'une, la voie cortico-rubro-spinale laquelle régit le mouvement
réflexe
ou automatique, l'autre, la voie cortico spi- n
n qu'à la naissance, nos mou- vements sont pour la plupart purement
réflexes
ou automatiques, les fibres nerveuses provenant
mnolence à ces moments est invincible. Pas de troubles moteurs.
Réflexes
cutanés, tendineux et muqueux normaux. Pas de tro
qûre que la face antérieure du bras droit sauf sur le bord interne.
Réflexes
: Mêmes résultats que précédemment. Troubles tr
la réversion, à l'atavisme (Claparède), d'un trouble du régime des
réflexes
corticaux ou sous-corti- caux (Raymond), d'un r
u régime des réflexes corticaux ou sous-corti- caux (Raymond), d'un
réflexe
émotif exagéré (Bernheim), d'une perver- sion d
uit-elle ou se convertit-elle en des phénomènes somatiques ou en un
réflexe
émotif exagéré ? Il ne suffit pas de nous dire
rpeur du cerveau organique dans la thèse de Sollier, le trouble des
réflexes
corticaux ou sous-corticaux dans celle de Raymond
Extrémités supérieures. Il n'y a pas d'atrophies localisées. Les
réflexes
sont présents, ils ne sont pas exagérés. .4 gau
de donner des positions contre nature aux membres inférieurs. Les
réflexes
patellaires sont présents, ils ne sont pas exagér
s réflexes patellaires sont présents, ils ne sont pas exagérés. Les
réflexes
plantaires ont le type normal. Malgré les contrac
s excitations de la plante du pied ne provo- quent pas un véritable
réflexe
de Babinski. Le réflexe des raccourcisseurs est
te du pied ne provo- quent pas un véritable réflexe de Babinski. Le
réflexe
des raccourcisseurs est provoqué par des excita
. fin opposition à la grave perturbation des mouvements actifs, les
réflexes
(Il Voyez ce sujet l'article de GREGOR et Scuu.
ent peut-être, mais où elles sont alors masquées par l'adipose. Les
réflexes
rotuliens sont un peu vifs, mais égaux ; les réll
liens sont un peu vifs, mais égaux ; les réllexes achilléens et les
réflexes
crémastériens existent ; tous les autres réflexes
achilléens et les réflexes crémastériens existent ; tous les autres
réflexes
tendineux (ra- diaux, cubito-pronateurs, tricip
- diaux, cubito-pronateurs, tricipitaux) et cutanés sont abolis. Le
réflexe
plan- taire se fait en flexion ; il n'y a pas d
e droite est légèrement irrégulière ; l'accummodo- convergence, les
réflexes
lumineux direct et consensuel sont normaux. Le
ières ; la pupille droite est beaucoup plus large que la gauche. Le
réflexe
lumineux direct, le réflexe consensuel sont nuls
t beaucoup plus large que la gauche. Le réflexe lumineux direct, le
réflexe
consensuel sont nuls ; l'accommodo- convergence
dineux rotuliens, tricipitaux, radiaux sont abolis, de même que les
réflexes
cutanés crémastériens. Les réllexes cutanés abdom
s lors d'excitations de la piaule. On ne note ni clonus du pied, ni
réflexes
de défense. Les troubles des sphincters, les tr
ubles moteurs. Celait, en quelquesorle, un chapitre des paraplégies
réflexes
, les seules, pour ainsi dire, qui, dans le dédale
u alourdie, sans caractère spastique. Pas de Romberg, pas d'ataxie.
Réflexe
rotulien à droite un peu mou, à gauche plutôt exa
t exagéré, carac- tère légèrement spastique. Pas de clonus du pied.
Réflexe
plantaire; adroite la piqûre provoque un redres
lleura ! (e au pinceau ni à ,la piqûre. Sens musculaire intact. Les
réflexes
cutanés ne peuvent pas être pro'- voqués. » L
itudes), sauf cependant au niveau des néoformations cutanées. Les
réflexes
tendineux existent ; ils sont vifs, surtout les r
anées. Les réflexes tendineux existent ; ils sont vifs, surtout les
réflexes
achilléens ; pas de clonus, ni d'extension d'or
léens ; pas de clonus, ni d'extension d'orteil, pas de troubles des
réflexes
cutanés. Du côté des organes des sens, aucun si
ction de Wassermann s'est montrée négative à l'épreuve du sérum. Le
réflexe
oculo-cardiaque est normal ; le ralentissement es
s les régions pigmentées présentent de l'hypo ou hyperesthésie. Les
réflexes
sont normaux aux membres inférieurs. Il n'y a pas
inférieurs. Il n'y a pas de signe de Babinski, ni de clonus. Les
réflexes
abdominaux sont normaux. Aux membres supérieurs
s réflexes abdominaux sont normaux. Aux membres supérieurs tous les
réflexes
tendineux sont abolis : le tricipital 1 seul ex
meur unique, mais une pigmentation déjà diffuse et des troubles des
réflexes
. DEUX CAS DE NEUROFIBROMATOSE FAMILIALE 331 L
e encore, de préférence, accompagnée de différences de vivacité des
réflexes
tendineux droits et gauches. Toutefois, dans la
lument pas mouvoir les membres très contractures du côté gauche. Le
réflexe
de la plante du pied gauche montre à l'état con
EPSIE r313 forme du phénomène de Babinski, spasmes unilatéraux avec
réflexes
augmentés, parésie légère, elc. Si ces symptôme
une moitié du corps une augmentation de symptômes d'hyper- tension (
réflexes
augmentés, phénomène de Babinski), on pouvait voi
les attaques on ne constate même ni aug- mentation unilatérale des
réflexes
, ni le phénomène de Babinski. Intelli- gence pe
DE QUELQUES FORMES D ? PILEPSIE 379 ni augmentation unilatérale des
réflexes
tendineux ; pour la déviation du regard et du v
ies en zones radiculaires. Il insiste sur l'extrême variabilité des
réflexes
, en par- ticulier dans les compressions du renf
muscu- laire, lequel n'est pas en rapport constant avec l'état des
réflexes
. Enfin apparaît l'atrophie musculaire. Fickle
NERVEUX S savons seulement que la spasmodicité avec exaltation des
réflexes
, le signe de Babinski et la rétention des réser
point de compression : les paralysies flasques avec aboli- tion des
réflexes
, atrophie musculaire et anesthésie à topographie
en grimpant le long de ses jambes, comme un myo- pathique, mais le
réflexe
rotulien droit était exagéré ; le palper révélait
s, atrophie muscu- laire sans altération des réactions électriques,
réflexes
rotuliens exagérés, clo- nus, intégrité des rés
dans sa thèse (i) « un cas de paraplégie flasque avec abolition des
réflexes
rotuliens et tlaermo-aneslhésie à partir de l'omb
s, rapidement, une paraplégie complète, flasque, avec abolition des
réflexes
tendineux, atrophie musculaire, anesthésie remon-
ble : la paraplégie est spasmodique avec clonus, exagé- rations des
réflexes
; signes d'une sciatique double, hypoesthésie pou
sie pour tous les segments du gauche ; affaiblissement notable des
réflexes
rotuliens et achilléens, orteil en flexion, réf
nt notable des réflexes rotuliens et achilléens, orteil en flexion,
réflexes
crémastérien et abdominal nuls. Hypoestbésie po
gie est, d'ordinaire spasmodique, avec contracture, exagération des
réflexes
rotuliens, clonus, signe de Babinski. Elle peut
ibilité d'une 12 ALQUIER atrophie musculaire avec exagération des
réflexes
et la première observa- tion de M. Brissaud : «
moindre degré, d'abduction des cuisses, flasque, avec abolition des
réflexes
tendineux et cutané plantaire. L'atrophie muscu
iculté qu'éprouvait le malade à se retourner, en raison des douleurs.
Réflexes
(1) V. aussi : ITALO Rossi, Archives de Neurolo
sarthrique. La spasmodicité était caractérisée par l'exaltation des
réflexes
, du clonus et le signe de Babinski à gauche. L'au
aux membres inférieurs, ataxie, légère parésie avec exagération des
réflexes
, clonus, signe de Babinski net à gauche, douteux
ki net à gauche, douteux à droite. Inégalité pupillaire, lenteur du
réflexe
lumineux. Bien que le malade soit alcoolique, l
s, et grosse impotence, pleurer spasmodique, simple exagération des
réflexes
rotuliens. Dans l'autre, dont M. Brissaud n'aff
ras,avec très légère atro- phie de l'éminence thénar; intégrité des
réflexes
olécranien et des radiaux, pas d'inégalité pupi
éminences thénar et hypothénar (v. pl. IV), avec affaiblissement des
réflexes
olécrâniens et du poignet. Membres inférieurs
inférieurs : parésie surtout des fléchisseurs, avec exagération des
réflexes
rotuliens. Dissociation syringomyélique de la s
ur exagérée aux membres supérieurs, et de froid aux inférieurs, les
réflexes
du poignet sont plutôt forts, réflexes rotuliens
de froid aux inférieurs, les réflexes du poignet sont plutôt forts,
réflexes
rotuliens exagérés, signe de Babinski à gauche
le, il en résulte une paralysie des quatre membres et du tronc, les
réflexes
sont exaltés aux inférieurs. Il peut survenir d
e paralysie flasque, avec alrophie musculaire, et l'exagération des
réflexes
des membres inférieurs (cas de Touche, de Long
une paraplégie spasmodique des membres inférieurs : exagération des
réflexes
rotuliens, signe de Babinski, etc. 2° La paraly
gie, d'abord incomplète puis complète, flasque avec exagération des
réflexes
rotuliens, clonus du pied, anesthésie complète,
, Paget ou autre. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité ni des
réflexes
; les contractions élec- triques sont normales,
souvent chez nos malades, souffrant de la maladie, de Basedow. Les
réflexes
vasculaires pathologiques rappelleront à votre
n. Pas d'atrophie musculaire marquée ni de déviations osseuses. Les
réflexes
patellaire et plantaire sont diminués. La sensi
ques irrégularités, la tension artérielle n'est pas modifiée. Les
réflexes
patellaire et plantaire qui étaient diminués avan
ués avant le traitement thyroïdien sont manifestement exagérés. Les
réflexes
pupillaires sont normaux à la lumière, mais- il
éminences thénar et hypothénar des deux côtés, ju- meaux droits.
Réflexes
: patellaire normal, plantaire exagéré. Les pupil
y a aucune paralysie, aucune contrac- ture, aucune modification des
réflexes
ou de la contraction électrique, ce qui est par
inte au degré du défaut de longueur. La contraction musculaire, les
réflexes
, la contractilité électrique n'offrent rien d'ano
. D'ailleurs, la contraction mus- culaire est normale ainsi que les
réflexes
. Réactions électriques normales. Enfin les trou
. Il existe chez cette malade une exagération manifeste de tous les
réflexes
tendineux et osseux et plus particulièrement de
tous les réflexes tendineux et osseux et plus particulièrement des
réflexes
rotuliens et achilléens ; on a même observé du
exister actuel- lement. Le signe de Babinski est en flexion et les
réflexes
cutanés sont nor- maux. Il n'y a aucun trouble
lectrique sont conservées. Pas d'a- nesthésie ou d'hyperesthésie.
Réflexes
tendineux et cutanés normaux. Pas de troubles t
té, de'paresthésies, prurit ou autres; l'impulsion est une réaction
réflexe
. Mais certains sujets atteints de troubles ment
occipital. 2° Cas : Ro... Hémiplégie gauche, hémianopsie à gauche,
réflexe
plantaire en flexion des deux côtés, paralysie
e méningitique. Ni sucre ni albumine dans les urines, abolition des
réflexes
tendineux. 8. Troubles sphinctériens. 9. - Lé
serve au membre inférieur de la contracture et de l'exagération des
réflexes
tendineux ; au membre supérieur, une monoplégie
ngue, des bras et des jambes. Marche presque impossible, spastique.
Réflexes
patellaires exagérés. Urine, rien de particulier.
mbe gauche se rétractent, la sensibilité objective est intacte. Les
réflexes
tendineux,forts au début, disparaissent. Plus tar
uble des sphincters pas plus que de la sensibilité objec- tive. Les
réflexes
tendineux et cutanés sont normaux, l'intelligence
tion on sent la corde des adducteurs plus ou moins prononcée. Les
réflexes
tendineux et cutanés sont normaux, ces derniers s
profondeur. Le sens articulaire est absolument normal. L'examen des
réflexes
tendineux apprend que ceux-ci sont conservés, a
ion. Dès que l'atrophie est extrême le phéno- mène disparait. Les
réflexes
cutanés persistent normaux ainsi que le phénomène
a malade aura présenté des ictères succes- sifs et l'exaltation des
réflexes
tendineux,les phénomènes de Babinski, d'Op- pen
gique, elle pré- sentait le phénomène de Babinski, l'exaltation des
réflexes
tendineux, signes qui éloignent l'idée d'une af
ole scandée caractéristi- que, instabilité mentale, exagération des
réflexes
, tuméfaction énorme du genou droit. X... est
écuté. Persistance du sens musculaire sous toutes ses formes. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés avec tendance à la contra
uliens sont exagérés avec tendance à la contracture du côté droil ;
réflexes
crémastérien et cutané abdominal très nets ; trem
et cutané abdominal très nets ; tremblement épi- leptoïde du pied ;
réflexe
de Babinski en extension. Les réflexes tendineux
ement épi- leptoïde du pied ; réflexe de Babinski en extension. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont également
puisse trouver chez le malade de troubles de la sensi- bilité, des
réflexes
ou delà trophicité ; ils sont absolument indolore
ture dans la jambe droite, le clonus du pied et l'exa- gération des
réflexes
tendineux des deux côtés. Le réflexe plantaire
pied et l'exa- gération des réflexes tendineux des deux côtés. Le
réflexe
plantaire était aboli à gauche, très vif à droite
343 dans la langue et les masséters, parole scandée, exagération du
réflexe
rotulien, diminution de l'acuité visuelle, nyst
Il fut examiné à cette époque et l'on constata de l'exagération des
réflexes
patellaires et du clonus du pied. Il continua à
mble assez bien conservé.Leder- mographisme est très apparent. Le
réflexe
plantaire est en extension des deux côtés. Les
parent. Le réflexe plantaire est en extension des deux côtés. Les
réflexes
abdominaux et crémastériens sont abolis bilatéral
éflexes abdominaux et crémastériens sont abolis bilatéralement. Les
réflexes
rotuliens sont forts des deux côtés. Le clonus
deux côtés. Le clonus du pied existe de même des deux côtés. Les
réflexes
du poignet et du coude sont un peu forts, mais l'
e. Les mouvements de la tête restent toujours bien conservés. Les
réflexes
olécraniens sont conservés des deux côtés, mais n
iens sont conservés des deux côtés, mais ne sont pas exa- gérés. Le
réflexe
du poignet existe à gauche non exagéré, mais il f
s du pied, signe de Babinski des deux côtés. Légère exagération des
réflexes
des membres supérieurs . Affaiblissement de la vu
in droite est nettement amoindrie. Face. Rien de remarquable. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés. Il y a du clonus du
ns sont très exagérés. Il y a du clonus du pied très mar- qué. Le
réflexe
de Babinski est présent des deux côtés. Le réflex
s mar- qué. Le réflexe de Babinski est présent des deux côtés. Le
réflexe
du poignet est plus fort à gauche qu'à droite.
moteurs qu'on considère comme de l'ataxie. Exagération de tous les
réflexes
tendi- veux. Clonus du pied et extension du gro
sion des nerfs de la base, les symptômes méningés, l'altération des
réflexes
pupillaires, l'atrophie du nerf optique, la cép
n marchant et chancelait. Il présentait encore de l'exagération des
réflexes
tendineux une légère contracture des membres, de
la fin l'associa- tion se systématise et se change en un véritable
réflexe
involontaire et iné- vitable. C'est le processu
auche sont flasques; il existe une certaine rai- deur à droite. Les
réflexes
patellaires et les réflexes des poignets sont vif
te une certaine rai- deur à droite. Les réflexes patellaires et les
réflexes
des poignets sont vifs des deux côtés, principa
tation plantaire détermine à gauche de l'extension en éventail ; le
réflexe
est indifférent à droite. Le réflexe cutané abd
e l'extension en éventail ; le réflexe est indifférent à droite. Le
réflexe
cutané abdominal est aboli à gauche. ' La tempé
ue de souplesse. Cependant, le malade réagit encore aux piqûres. Le
réflexe
plan- taire est en extension et éventail comme
iné. C'est un lacunaire présentant de la démarche à petits pas, des
réflexes
rotuliens vifs des deux côtés, un réflexe plantai
marche à petits pas, des réflexes rotuliens vifs des deux côtés, un
réflexe
plantaire en flexion à droite, indifférent à ga
ne raideur des quatre membres, beaucoup plus prononcée à droite. Le
réflexe
plantaire est en extension à gauche, douteux à dr
leurs membres. Mais cette agitation était ir- raisonnée et presque
réflexe
, le malade ne pouvant ni reconnaître la nature
es d'une section complète de la moelle ; à savoir : abo- lition des
réflexes
cutanés et tendineux au-dessous de la région lésé
drome de l'épicône, avec cette différence que chez notre malade les
réflexes
rotuliens étaient abolis. Quelque temps avant sa
ercostaux se dépriment et que le thorax s'aplatit latéralement. Les
réflexes
tendineux (patellaire, acliilléen, olécranien, ra
e sans pseudo-hypertrophie ni adipose muscu- laire, l'abolition des
réflexes
, l'existence de contractions fibrillaires, et c
réagissent faiblement à l'excitation fa- radique ou galvanique, lès
réflexes
rotuliens sont abolis ou diminués. Cette alonie
au niveau des plaques que nous décrirons tout à l'heure. Etat des
réflexes
. Les réflexes tendineux sont normaux. Il n'exis
plaques que nous décrirons tout à l'heure. Etat des réflexes. Les
réflexes
tendineux sont normaux. Il n'existe pas de scol
énéral est excellent; la nutrition est bonne. La sensibilité et les
réflexes
sont normaux partout, sauf au membre supérieur dr
normaux partout, sauf au membre supérieur droit où il n'y a pas de
réflexe
du poignet et où le réflexe olécranien est à peu
mbre supérieur droit où il n'y a pas de réflexe du poignet et où le
réflexe
olécranien est à peu près nul. L'intelligence e
pupilles légèrement inégales, la gauche plus étroite, présente des
réflexes
lumineux et accommodateurs affaiblis. Ces lésions
de vue somatique, sauf une certaine vivacité, sans exagération, des
réflexes
rotuliens. Au point de vue intellectuel,c'est u
érales de circulation, respiration ou digestion. Pas d'anomalie des
réflexes
, force musculaire au-dessous de la moyenne à la
lson. Surdité. Pa- ralysie de la corde vocale gauche. Abolition des
réflexes
palellaires et olécra- niens ainsi que du réfle
e. Abolition des réflexes palellaires et olécra- niens ainsi que du
réflexe
cutané plantaire. Altérations considérables des
, la sensi- bilité est intacte sous tous ses modes. Abolition des
réflexes
patellaire et olécranien, ainsi que du réflexe cu
odes. Abolition des réflexes patellaire et olécranien, ainsi que du
réflexe
cutané plantaire. Sens musculaire normal. Eta
Les deux pupilles présentent, du reste, un certain degré de myosis.
Réflexe
lumineux aboli, réflexe accommodatif con- servé
tent, du reste, un certain degré de myosis. Réflexe lumineux aboli,
réflexe
accommodatif con- servé (signe d'Argyll-Roberts
ont été les suivants : Tout d'abord le myosis s'est accentué et le
réflexe
lumineux est complètement éteint depuis un an.
'autre part on constate encore la présence de quelques collatérales
réflexes
. L'aspect est à peu près le même au niveau de l
ophie des cornes postérieures est la même : les fibres collatérales
réflexes
sont presque complètement disparues. xx 33
ées sur le bord interne de la corne posté- rieure. Les collatérales
réflexes
sont rares. Les colonnes de Clarke apparais- se
habituel. Mais, comme sur les coupes précédentes, les collatérales
réflexes
sont très diminuées. Le réseau des colonnes de
es sont très clairsemées dans la zone de Lissauer, les collatérales
réflexes
font presque complètement défaut. Dans les se
res de la zone de Lissauer sont très clairsemées ; les collatérales
réflexes
sont absentes. Dans les segments supérieurs de
égers mouvements cloréjformes de la tète et du tronc. Abolition des
réflexes
patellaires et olécraniens, ainsi que du réflexe
nc. Abolition des réflexes patellaires et olécraniens, ainsi que du
réflexe
cutané plantaire. Myosis avec réflexe lumineux
et olécraniens, ainsi que du réflexe cutané plantaire. Myosis avec
réflexe
lumineux très lent. Nystagmus dynamique. Contract
'une cataracte de l'oeil gauche. A droite, il existe du myosis ; le
réflexe
lumineux est conservé mais il est extrêmement l
E ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 501 myosis, à gauche légère mydriase.
Réflexe
lumineux aboli. Réflexe de la con- vergence con
FANCE 501 myosis, à gauche légère mydriase. Réflexe lumineux aboli.
Réflexe
de la con- vergence conservé. Signe d'Argyll-Ro
ux la même déformation des pieds, la cyphoscoliose, l'abolition des
réflexes
, la diminution de la sensibilité, la difficulté
n qu'elle est envisagée chez les tabétiques, lorsque l'abolition du
réflexe
à la lumière n'est pas encore complète. L'absen
ysie, presque complète des membres inférieurs, avec exagération des
réflexes
rotuliens, orteil indifférent, pas de troubles sp
isparaissant graduellement entro l'ombilic et l'appendice xyphoïde.
Réflexes
abdominaux nul. La région dor- sale moyenne pré
minant dans les fléchisseurs des divers segments. Exagé- ration des
réflexes
rotuliens ; orteil indifférent. Masses musculaire
e complète des membres inférieurs, avec spasmodicité,exaltation des
réflexes
rotuliens,signe de Babinski bilatéral, amaigris
ût 1905 , QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE z3 peine.
Réflexes
: rotuliens forts ; achilléens, fort à droite, fa
n des triceps brachiaux, une légère ataxie avec affaiblissement des
réflexes
tendineux; aux membres inférieurs, parésie surt
s inférieurs, parésie surtout des fléchisseurs avec exagération des
réflexes
rotuliens ; troubles sensitifs avec dissociatio
uche s'affaiblit ; en trois jours, il se paralyse complètement; les
réflexes
sont forts, avec signe de Babinski bi- latéral
plète des membres inférieurs, très spasmodique, avec exaltation des
réflexes
, signes de Babinski et d'Oppenheim particulière
resque complète à droite,moins marquée à gauche, avec abolition des
réflexes
. Babinski douteux, soubresauts musculaires à droi
, quand il tournait, il serait tombé, si on ne l'avait soutenu. Les
réflexes
tendineux étaient moins forts à droite qu'à gauch
Les réflexes tendineux étaient moins forts à droite qu'à gauche. Le
réflexe
cutané plantaire était en flexion des deux côtés.
imi- nuée des deux côtés. Quelques jours avant l'ictus mortel, le
réflexe
rotulien était rial à droite et très fort à gau
les interosseux). Absence complète des symptômes oculo-pupillaires,
réflexes
des articulations supérieures faibles, mais pré
ence pour les dé- terminer soit après l'inactivité, soit par action
réflexe
sur la moelle. La première possibilité doit êtr
en ; et encore s'il est vrai que l'expression histopathologique des
réflexes
sensitifs et vaso-moteurs anormaux qui produise
ment dans la moelle, un système compliqué de collatérales, de voies
réflexes
, auquel l'élément pyra- midal contribue largeme
u lemniscus et elles jouent plutôt le rôle de collatérales ou voies
réflexes
. Il en est de même pour la voie auditive, le le
ion organique spinale (impuissance motrice, rigidité, exagération des
réflexes
tendineux, conservation du relief musculaire). Or
Contractions provoquées par l'étincelle électrique. — Exagération des
réflexes
tendineux. — Atrophie musculaire simple. — Pas de
aitement. Toutefois, auparavant, faisons remarquer l'exaltation des
réflexes
tendineux des membres inférieurs. Est-ce une part
particularité du sujet, ou bien y a-t-il un état morbide d'excitation
réflexe
exagérée dans toute l'étendue de la moelle, en de
statique. Romain Yicounoux. laires produisent encore, par action
réflexe
, une contracture limitée aux muscles de la jointu
présentent la rigidité spasmodique à l'état latent. — Exagération des
réflexes
tendineux chez les hystériques. II. Tic non dou
aplégie avec flaccidité des membres, il y a seulement exagération des
réflexes
tendineux; dans une deuxième période, vous voyez
à, pour ainsi dire à l'état latent, comme le montre l'exagération des
réflexes
tendineux (phénomène du pied, phénomène du genou)
palement, mais quelquefois un peu partout, il existe une excitabilité
réflexe
exagérée, bien que l'on trouve une parésie, une f
ns les muscles extenseurs des articulations malades.— Exagération des
réflexes
tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une co
il existe une contracture à l'état latent. — Contracture spasmodique,
réflexe
d'origine articulaire. Messieurs, Je vais vou
mployé du télégraphe, comme un fait fort intéressant, l'exaltation du
réflexe
tendineux, marqué non seulement sur le membre mal
. Eh bien ! ce même phénomène révélant l'exaltation de l'excitabilité
réflexe
se retrouve chez le malade queje vous montre aujo
er à cette extension. Pour bien apprécier maintenant l'exaltation des
réflexes
rotuliens, je fais placer le malade assis sur le
n'est pas sans intérêt d'ajouter que, en dehors de cette excitabilité
réflexe
exagérée, marquée par l'exaltation des réflexes t
de cette excitabilité réflexe exagérée, marquée par l'exaltation des
réflexes
tendineux, caractère qui se retrouve aussi bien d
est, si je ne me trompe, cette contraction spasmodique, involontaire,
réflexe
, qui est invoquée par la plupart des chirurgiens,
soires, on est donc conduit à admettre que la contracture spasmodique
réflexe
est, en pareil cas, l'agent principal delà déviat
es contractures, relèvent d'une affection spinale déterminée par voie
réflexe
; et de mettre en relief, enfin, la relation qui
és l'un de l'autre. CINQUIÈME LEÇON I. Amyotrophie et contracture
réflexes
d'origine articulaire. — II. Migraine ophthalmiqu
ale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire chronique. — Contracture
réflexe
d'origine articulaire. — Déformations dans le rhu
cause une affection spinale développée suivant le mécanisme des actes
réflexes
. — II. Paralysie générale progressive. — Migraine
trine de Hunter, ces contractures s'établissent par le fait d'un acte
réflexe
développé en conséquence de la lésion articulaire
(de Boulogne) d'abord, et décrits par lui, sous le nom de contracture
réflexe
dorigine articulaire, puis par M. Dubrueil, de Mo
aussi, la contracture spasmo-dique des muscles, développée par action
réflexe
, en correspondance des lésions articulaires. J'
u'un rôle tout à fait effacé. La contraction musculaire, par action
réflexe
, force aveugle et qui n'a rien de providentiel, e
cause une affection spinale développée suivant le mécanisme des actes
réflexes
. Et ceci nous conduit à relever encore une fois
a contracture musculaire et y prédisposent, à savoir l'exaltation des
réflexes
, se trouvent en quelque sorte combinées à l'amyot
hémiplégique, avec exaltation, ou, au contraire, avec disparition des
réflexes
tendineux, est un phénomène qui s'observe quelque
née est celle où l'expérimentation (Goltz, Badge) place le centre des
réflexes
vési-caux, et cette région occupe l'extrémité inf
périences auxquelles je fais allusion placent également le centre des
réflexes
relatifs aux muscles du rectum, et de ceux qui pr
ique, est obnubilée sur presque toute l'étendue du membre gauche. Les
réflexes
cutanés sont normaux, à droite et à gauche. Les
auche. Les réflexes cutanés sont normaux, à droite et à gauche. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés à droite, normaux à gauch
par la paralysie des sphincters vésical et anal et par l'asthénie des
réflexes
génitaux, sera établie plus péremptoirement encor
sous le nom de strychnisme, et qui pourra expliquer l'exaltation des
réflexes
rotuliens, surtout du côté droit. Mais, au niveau
extension des membres sont énergiques, il n'y a pas d'exagération des
réflexes
; il n'existe aucun trouble fonctionnel ni de la
'amélioration s'est faite à peu près parallèlement; l'exagération des
réflexes
tendineux a disparu, la rigidité musculaire ou, a
ée, comme nous allons le voir tout à l'heure. Pas de modification des
réflexes
rotuliens, à droite et à gauche. L'existence de
t est totalement aboli, l'insensibilité de la langue est complète, le
réflexe
pharyngien n'existe plus, la muqueuse pituitaire
ues, ne sont en rien modifiées. Très légère augmentation relative des
réflexes
tendineux du coude et de l'avant-bras. Anes-thési
t au moins, de contracture et par l'exagération nettement accusée des
réflexes
tendineux ; elle ne se fût pas accompagnée enfin
du côté correspondant de la face; l'absence d'exaltation marquée des
réflexes
tendineux, d'atrophie musculaire et de toute modi
té de la monoplégie dans la paralysie infantile spinale. Mais ici les
réflexes
tendineux, au coude et au poignet, sont conservés
nt, avec conservation du relief des muscles et légère exagération des
réflexes
tendineux. Voilà les points les plus saillants qu
s de la réaction de dégénérescence portée à son plus haut degré ; les
réflexes
tendineux sont abolis : la peau, enfin, est froid
nt à aucun degré les caractères de la réaction de dégénérescence, les
réflexes
tendineux sont conservés, les téguments ne présen
res. quatre mois une atrophie manifeste de ces muscles. De plus les
réflexes
tendineux seraient dès l'origine abolis. Enfin, t
aucune résistance aux mouvements qu'on leur imprime. En outre, si les
réflexes
sont conservés chez notre malade, ils ne sont pas
squ'à toucher l'épiglotte ne provoque chez notre malade aucun acte de
réflexe
. Ce phénomène est, vous le savez, commun dans l'h
de la flaccidité absolue du membre sans changement marqué du côté des
réflexes
tendineux; puis la perte du sens musculaire porté
e pharynx jusqu'à l'épiglotte, ne détermine pas la production d'actes
réflexes
. Enfin, et c'est sur ce point seulement que le ca
race d'expression douloureuse ou même d'une sensation quelconque. Les
réflexes
tendineux du poignet et du coude se montrent, en
étendue du membre et se répandant même au-delà, l'amoindrissement des
réflexes
tendineux et, enfin, la perte totale du sens musc
e supérieur (épaule, coude, poignet, doigts). — La sensibilité et les
réflexes
tendineux disparaissent simultanément dans les pa
erte du sens musculaire, enfin de la diminution ou de l'abo-ition des
réflexes
tendineux, dans les segments du membre frappés d'
es perpendiculaires au grand axe du membre 2, perte ou diminution des
réflexes
tendineux, 1. Ce dernier fait n'est pas constan
des réflexes tendineux, 1. Ce dernier fait n'est pas constant; les
réflexes
tendineux se montrent quelquefois manifestement e
ens et de toutes les façons, sans provoquer la moindre trace d'action
réflexe
. Tout ce qui précède nous conduit à conclure :
les, vraisemblablement, sont le résultat d'une participation par voie
réflexe
des centres nerveux. On peut, croyons-nous, sans
diverses jointures, extrêmement limités. Au coude et au poignet, les
réflexes
tendineux sont manifestement exagérés et l'on pro
t fléchisseurs, par exemple ; elle s'accompagne d'une exagération des
réflexes
tendineux, de la trépidation épileptoïde provoqué
la participation des centres nerveux, suivant le mécanisme des actes
réflexes
. Par ce côté, comme, du reste, par l'ensemble des
us les caractères de la paralysie spasmodique ; pas d'exagération des
réflexes
rotuliens, pas de trépidation par redressement de
me, on peut comparer le processus dont il s'agit à une sorte d'action
réflexe
, dans laquelle le centre de l'arc diastaltique es
trapèze peut élever l'épaule. La paralysie est du genre flasque, les
réflexes
tendineux ne sont pas exaltés; ils seraient plutô
ine, et aussi l'abolition ou la diminution des actes d'ordre purement
réflexe
, qui, en pareille occurrence, s'ajoutent à la par
e hémiplégie, mais plutôt une monoplégie brachio-crurale. Quand aux
réflexes
tendineux, ils ne sont pas, vous le voyez, exagér
nel, que trouvons-nous? Une monoplégie associée avec diminution des
réflexes
tendineux, à début brusque, sans phénomènes céréb
Yulpian soutiennent depuis longtemps, comme reconnaissant une origine
réflexe
et résultant d'une modification dans l'état des c
'autre a l'écoulement habituel. On constate une absence complète de
réflexe
du voile du palais, du pharynx et du larynx; l'an
ne sonde laryngée, toucher les cordes vocales sans provoquer d'action
réflexe
. Si l'on examine le larynx, on trouve les cordes
En plongeant le doigt dans le pharynx, on constate qu'il y a peu de
réflexes
. L'examen laryn-goscopique n'a pas été pratiqué.
étrécissement du champ visuel à droite. Pas de dischromatopsie. Les
réflexes
du voiie du palais sont peu prononcés ; degré ass
la parole. Chez Gué..., pendant cet état de mutisme, la sensibilité
réflexe
du voile du palais est conservée, comme, du reste
'arrière-gorge, chatouiller l'épiglotte, sans provoquer de mouvements
réflexes
, sans que la malade en éprouve aucune gêne. L'exa
dmettre que ces derniers ne sont mis en fonction que par une sorte de
réflexe
parti des premiers. Cette théorie, M. le professe
ticulation a son existence propre et peut fonctionner sans aucun acte
réflexe
parti du centre de l'audition verbale. On peut
Contractions provoquées par l'étincelle électrique. — Exagération des
réflexes
tendineux. — Atrophie musculaire simple. — Pas de
présentent la rigidité spasmodique à l'état latent. — Exagération des
réflexes
tendineux chez les hystériques. II. Tic non doulo
les muscles extenseurs des articulations malades. — Exagération des
réflexes
tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une co
il existe une contracture à l'état latent. — Contracture spasmodique,
réflexe
d'origine articulaire............................
............... ül CINQUIÈME LEÇON. I. amyotrophie et contracture
réflexes
d'origine articulaire. — II. migraine ophtiialmiq
ale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire chronique. — Contracture
réflexe
d'origine articulaire. — Déformations dans le rhu
cause une affection spinale développée suivant le mécanisme des actes
réflexes
. — II. Paralysie générale progressive. — Migraine
e supérieur (épaule, coude, poignet, doigts). — La sensibilité et les
réflexes
tendineux disparaissent simultanément dans les pa
la Salpê- trière, 4. Contracture d'origine traumatique, 39, 97; —
réflexe
d'origine articulaire, 59, 61; — Simulation de la
359, 360, 397. — Paralysies —, 335. R Railway spine, 250, 355.
Réflexes
(Exagération des) — dans l'atrophie musculaire co
Membres supérieurs et inférieurs réguliers ; mouvements souples,
réflexes
normaux. Organes génitaux. Seins nuls ; aréoles
bien musclés et n'offrent rien à signaler. Pas d'onycophagie Les
réflexes
sont normaux, peut-être un peu exagères. Le '40
provo- qués faciles dans la flexion, difficiles dans l'extension.
Réflexes
patcllaires et plantaires exagérés. L'exagération
« méconnues jusqu'à présent ». 1 IX. Technique pour l'examen des
réflexes
; Par CROUZON. Les réflexes usuels étudiés en
1 IX. Technique pour l'examen des réflexes; Par CROUZON. Les
réflexes
usuels étudiés en clinique sont les réflexes te
es; Par CROUZON. Les réflexes usuels étudiés en clinique sont les
réflexes
tendineux, cutanés et pupillaires. Réflexes t
en clinique sont les réflexes tendineux, cutanés et pupillaires.
Réflexes
tendineux Pour l'étude des réflexes tendineux, il
dineux, cutanés et pupillaires. Réflexes tendineux Pour l'étude des
réflexes
tendineux, il est utile et presque nécessaire d
avec les doigts, avec le dos d'un couteau, avec une cuiller, etc.
Réflexe
rotulien. Les positions à donner au malade sont
laisser ses jambes molles. On percute alors le tendon rotulien. Le
réflexe
se perçoit : a) par le mouvement de propulsion
tion sous la main. Quand le malade est couché, pour rechercher le
réflexe
, on passe la main sous la cuisse du malade, on
sur la cuisse. Re/7exe contralateral des adducteurs (P. Marie). Au
réflexe
rotulien doit être joint le réflexe contralatér
l des adducteurs (P. Marie). Au réflexe rotulien doit être joint le
réflexe
contralatéral des adducteurs. 80 Examen des réf
t être joint le réflexe contralatéral des adducteurs. 80 Examen des
réflexes
. Ce réflexe consiste, en effet, dans uue contra
réflexe contralatéral des adducteurs. 80 Examen des réflexes. Ce
réflexe
consiste, en effet, dans uue contraction des addu
ssis, on lui fait prendre la même position que pour la recherche du
réflexe
rotulien en lui faisant z écarter légèrement le
endon rotulien une adduction légère de la cuisse du côté opposé. Ce
réflexe
n'est bien apparent que lorsqu'il est exagéré.
extension de la jambe gauche et, en même temps, du côté droit le
réflexe
contralatéral qui consiste en une adduction de
réflexe contralatéral qui consiste en une adduction de la cuisse.
Réflexe
achillèen. Le réflexe du tendon d'Achille doit êt
qui consiste en une adduction de la cuisse. Réflexe achillèen. Le
réflexe
du tendon d'Achille doit être recherché de la f
cal vers le plan horizontal. Sans entrer ici dans le séméiologic du
réflexe
achilléen, nous ne pouvons mieux mettre sa vale
gna- lant sa disparition précoce dans le tabès alors même que les
réflexes
rotuliens existent encore (Habinski). Quand le
e que les réflexes rotuliens existent encore (Habinski). Quand le
réflexe
est exagéré, la percussion peut faire appa- rai
es d'extension rythmiques et saccadées qui constituent le clonus.
Réflexes
du coude et du poignet. - Pour chercher le réflex
uent le clonus. Réflexes du coude et du poignet. - Pour chercher le
réflexe
du coude, on place l'avant-bras en demi-flexion
et on le soutient de façon à le laisser clans le relâchement. On
Réflexes
cutanés. 81 percute le tendon du triceps brachi
produit un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le bras. Les
réflexes
du poignet se recherchent aussi, le membre étan
it la contraction des muscles correspondant aux tendons percutés.
Réflexe
)nn.ssc<o'm. Nous rapprochons des réflexes ten
aux tendons percutés. Réflexe )nn.ssc<o'm. Nous rapprochons des
réflexes
tendi- neux le réflexe du masséter. On le produ
éflexe )nn.ssc<o'm. Nous rapprochons des réflexes tendi- neux le
réflexe
du masséter. On le produit en percutant direc-
choc, puis est soulevée par la contraction du masséter : c'est le
réflexe
. Réflexes cutanés. Réflexe plantaire. - On le
s est soulevée par la contraction du masséter : c'est le réflexe.
Réflexes
cutanés. Réflexe plantaire. - On le recherche e
a contraction du masséter : c'est le réflexe. Réflexes cutanés.
Réflexe
plantaire. - On le recherche en chatouillant légè
ur. On devra éviter de confondre l'extension des orteils, phénomène
réflexe
indépen- dant de la volonté, avec les mouvement
le pied sur la jambe et simule ainsi l'extension des orteils. Le
réflexe
plantaire peut être diminué ou aboli et il y a
nnées c'était le seul point que pouvait éclairer la recherche de ce
réflexe
. Sa valeur s'est accrue depuis que ]3abiiisli a
e pyramidal » et qu'il est lié le plus souvent à une 8 ? Examen des
réflexes
. affection organique du système nerveux : hémip
s l'hystérie. On voit donc de quelle importance est sa recherche.
Réflexe
cré11wslérie11. On chatouille avec une épingle la
n successivement sur chacune des cuisses pour observer chacun des
réflexes
. On peut les provoquer aussi en serrant violem-
muscu- laires de la face interne de la cuisse au-dessus du genou.
Réflexes
abdominal et niga.clridttn. : - Un les recherche
éale : on sent une con- traction musculaire due au bulbocacrneux.
Réflexe
anal. Il consiste dans la contraction et l'élévat
le flanc, la jambe de ce côté allon- gée, l'autre jambe fléchie.
Réflexes
pharyngé et pnlpèbral. - Nous joignons ces deux
fléchie. Réflexes pharyngé et pnlpèbral. - Nous joignons ces deux
réflexes
aux réflexes cutanés. Le réflexe pharyngé s'obtie
flexes pharyngé et pnlpèbral. - Nous joignons ces deux réflexes aux
réflexes
cutanés. Le réflexe pharyngé s'obtient en chato
lpèbral. - Nous joignons ces deux réflexes aux réflexes cutanés. Le
réflexe
pharyngé s'obtient en chatouillant le pharynx a
le de picotement, des nau- sées et quelquefois des vomissements. Ce
réflexe
fait défaut dans l'hystérie, dans les paralysie
faut dans l'hystérie, dans les paralysies pharyngées bulbaires ou
Réflexes
PL'PILLAIBES. 83 pseudo-butbaires. Le réflexe l
ngées bulbaires ou Réflexes PL'PILLAIBES. 83 pseudo-butbaires. Le
réflexe
lJalpéb1'a1 est la réaction d'oc- clusion de la
e la paupière qui se produit quand on touche du doigt la cornée. Ce
réflexe
disparait dans le sommeil chloro- formique, dan
ique, dans le coma épileptique, dans le coma apoplec- tique, etc.
Réflexes
pupillaires. Il existe de nombreux réflexes pup
poplec- tique, etc. Réflexes pupillaires. Il existe de nombreux
réflexes
pupillaires : à la lumière, ex l'accommodation,
dation, à la douleur, à l'effort d'occlusion des paupières, etc. Le
réflexe
lumineux est le seul important en clinique : so
Sensibilité normale à la piqûre, au pincement, à la température.
Réflexes
rotuliens semblant disparus ainsi que les réflexe
la température. Réflexes rotuliens semblant disparus ainsi que les
réflexes
olécra- niens ( ? ) ; réflexe pharyngien normal
iens semblant disparus ainsi que les réflexes olécra- niens ( ? ) ;
réflexe
pharyngien normal. Pas de trépidation spinale.
aires et provoqués s'exé- cutent bien ; voûte plantaire régulière ;
réflexes
diminués. Sensibilité générale. A la températur
ments humides, dont l'action calmante, en cas d'exagéra- tion des
réflexes
, est si manifeste, ne présentent aucun avan- ta
che du bout des pieds » qu'il soulève péniblement et tombe souvent.
Réflexes
naturels (Fig. 27). État mental. Ler.. est tr
es, paralysie avec contracture de quatre mem- bres. Exagération des
réflexes
. Chez les deux malades, idiotie profonde. Aut
menls de l'articulation ti bio-tarsienne sont très limités. Les
réflexes
sont légère- ment exasrérés. . La sensibilité
ts sont très limi- tés et on ne peut redresser le pied bot. Les
réflexes
du poignet et rotulien sont exagérés. Pas de
en flexion. Les réllexes du poignet sont exagérés, ainsi que les
réflexes
rotuliens. Il n'y a pas de clonus du pied. Les
i que les réflexes rotuliens. Il n'y a pas de clonus du pied. Les
réflexes
plantaires sont en flexion. Le malade est atteint
est presque irréductible aux membres inférieurs. La recherche des
réflexes
est difficile il cause de la contracture. Le faci
membres supérieurs sont contractures en flexion. (1,'ig. 38.) Les
réflexes
plantaires sont en flexion. Il n'y a pas de clo-
s plantaires sont en flexion. Il n'y a pas de clo- nus du pied. Les
réflexes
rotuliens ne sont pas perceptibles : il en est
xes rotuliens ne sont pas perceptibles : il en est de même pour les
réflexes
du poignet. Février. L'état général est toujour
pilles normales, réagissant bien à la lumière et à l'accommodation.
Réflexes
rotuliens très vifs des deux côtés. Pas de trembl
ôtés. Pas de tremblement des mains, des paupières, ni de la langue.
Réflexes
testiculaires très faibles (sensibilité testicu
deux testicules sont petits, presque atrophiés, surtout le droit).
Réflexe
abdominal faible. l'as de dilatation de l'estom
ù nous recueillions nos observations, étudier expérimentalement les
réflexes
vaso-moteurs chez nos obsédés, soit durant la c
s obsédantes. Ici, le phénomène émotif se pro- duit à la façon d'un
réflexe
immédiat. Le phénomène intellec- tuel n'est que
l'élément émotionnel, de les appuyer sur l'étude expérimentale des
réflexes
vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE. moteurs dans la
écurrent) ; depuis au moins un an, myosis bilatéral avec immobilité
réflexe
des pupilles, paralysie de l'oculomoteur extern
y a cyanose faciale sans perte de connaissance, sans disparition du
réflexe
cornéen. Durée une demi à une minute. Ces accès
laisser dans la pathogénie de tels cas un certain rôle au pouvoir
réflexe
excito-moteur de la moelle déchainé sous l'influn
des troubles les plus divers de la motilité, de la sensibilité, des
réflexes
des sens spéciaux. Au point de vue pathogénique
s des mains. En 1892, rigidité plus prononcée avec exagérations des
réflexes
et parésie sans atrophie des membres inférieurs
ophie des membres inférieurs; parésie atrophique avec abolition des
réflexes
des mem- bres supérieurs; troubles de la sensib
ements automatiques, tremblements, hébétude, liyperexcitabilité des
réflexes
tendineux, hypertermie, attaques d'épilepsie jack
erlach. On expliquait par ces anastosmoses fibrillaires les actions
réflexes
du cerveau et de la moelle, et les rapports fonct
apports histolo- giques peut rendre raison du mécanisme des actions
réflexes
, qu'on avait jusqu'ici cherché dans des prétend
lles ne sauraient intervenir ni dans la production des mou- vements
réflexes
, ni dans celle des mouvements volontaires. « La
nière de voir, dit Nansen, relativement à la com- position des arcs
réflexes
et à l'importance physiologique des cellules ne
on directe avec les tubes nerveux sensitifs ou centripètes. » L'arc
réflexe
est constitué : 1° par le nerf centripète et ses
urs possèdent une importance directe, aussi peu pour les mouvements
réflexes
que pour les mouvements volon- taires, ce que l
arienne, la pression de cette région provoque et arrête les crises.
Réflexes
tendineux exagérés. L'amaurose gauche devient c
otionnels ont déprimé la cérébralité et excité à l'excès le pouvoir
réflexe
médullaire. Le processus irritatif gagne le bulbe
ctibilité de dendrites dans les deux sens ; ainsi se produisent les
réflexes
simples, les trans- missions rudimentaires comm
sie du train pos- térieur (motilité, sensibilité) ; persistance des
réflexes
cutanés, abdominaux crémastériens, etc... affai
crémastériens, etc... affaiblissement, voire complète abolition des
réflexes
tendineux, notamment du réflexe patellaire (dan
ment, voire complète abolition des réflexes tendineux, notamment du
réflexe
patellaire (dans le cas de section élevée de la
éflexe patellaire (dans le cas de section élevée de la moelle); ces
réflexes
sont au REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATH
ns opérés dans les régions hautes de la moelle présentent encore le
réflexe
dit de grattement, c'est-à-dire que lorsqu'on f
ces mouvements rythmiques produit le grattement du ventre. Le même
réflexe
s'observe aussi chez cer- tains chiens normaux.
rve aussi chez cer- tains chiens normaux. On obtient aussi d'autres
réflexes
compli- qués, du même genre, par des piqûres su
ouvements du coït par excitation du gland - ceux du sphincter anal (
réflexe
anal) par l'introduction du doigt, etc.. Dans t
ystème nerveux. XIII. Essai sur LE rôle PSYCHOLOGIQUE DE l'action
RÉFLEXE
; par Joseph 1\1 A TIIIS. L'action réflexe n'e
YCHOLOGIQUE DE l'action RÉFLEXE; par Joseph 1\1 A TIIIS. L'action
réflexe
n'est pas l'acte le plus élémentaire d'où déri-
les émotions, la volonté ne sont pas uniquement constitués par des
réflexes
. L'action réflexe est complexe par sa nature, e
olonté ne sont pas uniquement constitués par des réflexes. L'action
réflexe
est complexe par sa nature, elle est psychique co
ous montre comment les actes volontaires et cons- cients deviennent
réflexes
par l'habitude. Sans négliger la part que jouen
flexes par l'habitude. Sans négliger la part que jouent les actions
réflexes
dans la vie physiologique, où elles assurent la
logique, où elles assurent la conservation de l'espèce, les actions
réflexes
, au point de vue psychologique, ont deux rôles
e de perfectionnement. En fixant les .résultats acquis, les actions
réflexes
sont pour les êtres vivants une condition de pr
ologique, serait des plus faciles sans la défense que lui oppose le
réflexe
tussigène, le réflexe naso- bronchique, la vibr
lus faciles sans la défense que lui oppose le réflexe tussigène, le
réflexe
naso- bronchique, la vibratilité des épithélium
nalière d'infections pulmonaires succé- dant à des troubles nerveux
réflexes
, démontrent les relations entre les infections
ure- ment dynamiques, en particulier par ceux résultant d'actions
réflexes
à point de départ voisin (pneumonie contusive), o
roupes : 1° opérations ayant pour but de supprimer les causes dites
réflexes
; 2° trépanation, avec ou sans ablation des tum
qui touche les opérations ayant pour but de remédier à l'épilepsie
réflexe
, l'auteur demande seulement qu'on veuille bien
pas perdre de vue les trois propositions suivantes : 1° L'épilepsie
réflexe
est tellement rare qu'elle ne dépasse certainemen
. 2o Dans les cas chroniques où l'épilepsie est réellement de cause
réflexe
, l'habitude convulsive est tellement établie qu
convulsive est tellement établie que la suppression de l'irritation
réflexe
ne pourra que rarement modifier la marche de la
ans lesquels une opération quelconque dirigée contre une cause dite
réflexe
, a réellement guéri l'épi- lepsie, est étonnamm
né- rale et non limitée à un ou plusieurs groupes musculaires. Le
réflexe
du genou d'ailleurs est exagéré. D'autre part il
veux. Dans deux on signale un cas de diabète dans la famille. Le
réflexe
du genou était exagéré dans cinq cas, insuffisant
) de la majeure partie du corps 30 diminution ou augmen- tation des
réflexes
; 4° diminution de la vision, se terminant par u
s.) B. Sensibilité générale. 26 CLINIQUE NERVEUSE. Abolition du
réflexe
olfactif. Diminution ou absence de l'éternuemen
Langue saburrale névropathique. (Sphère du trijumeau.) Abolition du
réflexe
pharyngien. Abolition du réflexe salivaire. E
hère du trijumeau.) Abolition du réflexe pharyngien. Abolition du
réflexe
salivaire. Exagération du réflexe salivaire (su
éflexe pharyngien. Abolition du réflexe salivaire. Exagération du
réflexe
salivaire (surtout dans les perversions du goût
out dans les perversions du goût.) Troubles probables de l'action
réflexe
de la gustation sur les sécrétions gastriques.
temps avec des odeurs fortes la disparition de l'éternuement et du
réflexe
que ces odeurs provoquent normalement ainsi que
odeurs provoquent normalement ainsi que l'abolition de leur action
réflexe
vaso-motrice du nez à la conjonctive. Plusieurs
cours de leurs coryzas. z CLINIQUE NERVEUSE. Du côté du goût les
réflexes
sont difficiles à mettre en évi- dence, la volo
cées dans la bouche provoquent également à l'état normal une action
réflexe
sur la sécrétion salivaire ; avec l'ageustie ta
sur ce point et encore bien plus lorsqu'il s'agit de la sécrétion
réflexe
du suc gastrique. Il parait seulement fort vraise
265 Du côté de la pituitaire on trouvait chez lui l'abolition du
réflexe
au chatouillement, une diminution de la sensibili
ccès des troubles persistent du côté de la pituitaire (abolition du
réflexe
nasal, anesthésie nasale, hémianosmie). En tr
d'un tabes masqué par le délire et qu'on recherche l'abolition des
réflexes
, les troubles de la sensibilité, les dou- leurs
ique » démontre l'inté- grité de la nutrition de cet organe, si les
réflexes
persistent, la seule conclusion logique est d'i
es de la corne antérieure : elles constituent la voie ordinaire des
réflexes
: d'où les noms de collatérales réflexes, de fi
uent la voie ordinaire des réflexes : d'où les noms de collatérales
réflexes
, de fibres réfCeo-motriees (Kël- liker) ou sens
u'un pareil schéma, à peine suffisant pour expliquer les mouvements
réflexes
, ou automatiques les plus simples, est beaucoup
même muscle ou au même groupe musculaire. Du côté de la lésion les
réflexes
pro- fonds sont exagérés, les superficiels dimi
it à la région cervicale, il y avait du myosis et de l'abolition du
réflexe
cilio- spinal du côté de la lésion ; les trois
est le phénomène subjectif, le fait de conscience qui accompagne un
réflexe
de défense ou de prophy- laxie suscité par une
on intense menaçant l'existence d'une partie de notre organisme. Ce
réflexe
est conscient parce qu'il n'est pas complètemen
Cet état se maintient durant quelques jours sans modifications. Les
réflexes
du genou, d'abord faibles, dispa- raissent ; my
les distin- guent des appareils sensoriels Il en résulte que l'arc
réflexe
simple doit être modifié et complété : il serai
direct avec le mécanisme musculaire. Notre conception du double arc
réflexe
peutse rapporter aussi à tous les appareils per
veux atteint et se montrent immédiatement; elles ne sont donc point
réflexes
. D'ail- leurs, la détermination quantitative de
mptômes; marche de la maladie; troubles somatiques prédominants ; -
réflexes
patellaires; - résul- tats de l'autopsie. Grâce
à l'asile il - vingt-deux ans. Aspect infantile. Pupilles inégales,
réflexes
pares- seux, tremblement des muscles de la face
la face et de la langue. Hésita- tion de la parole. Exagération des
réflexes
. Epilepsie spinale. Mort dans le marasme paraly
de l'écriture, tremblement des muscles de la face, exagération des
réflexes
, clonus du pied, trou- bles vésicaux, accès pas
suelle. Atrophie optique. Céphalée, douleurs fulgurantes, perte des
réflexes
. A vingt-six ans accès d'excitation, troubles d
sie, dès le début, d'un côté du corps ou au niveau d'un membre. Les
réflexes
ont fait défaut dans 7 cas; ils étaient exagéré
te forme ne s'accompagne pas de folie épileptique. 4° L'épilepsie
réflexe
, par excitation périphérique (cicatrices). 5° L
- sie et l'inégalité pupillaire ont été fréquemment observés. Les
réflexes
étaient le plus souvent exagérés, jamais absents.
érée, dans les endroits où l'atrophie cutanée est plus marquée. Les
réflexes
tendineux sont un peu exagérés et du côté droit p
n peu exagérés et du côté droit plus que du côté gauche, surtout le
réflexe
rotulien. Des maux de têle fréquents, des verti
ie musculaire surtout dans la région des grandes articulations; les
réflexes
ten- dineux et cutanés, qui existaient au comme
lepsies par fractures, les épilep- sies toxiques, et les épilepsies
réflexes
, dont le champ s'accroît constamment au dépends
sonné de 70 cas d'épilepsie symptomatique et de 46 cas d'épilepsies
réflexes
l'auteur montre que la première est réductible
e surface de réception de l'irritation et la transmettant au centre
réflexe
. Il faut en somme une lésion irrita- tive, agis
ance. Enfin s'il n'est pas abso- lument prouvé que dans l'épilepsie
réflexe
une irritation périphé- bibliographie. 423 ri
trice de l'attaque est toujours le résultat d'une vaso-constriction
réflexe
. 424 varia. L'irritation se propage de la pér
ULENI1URG de Berlin (Allemagne). III. Pathogénie et séméiologie des
réflexes
. Rapporteur : profes- seur Mendelssohn, de Sain
maintiennent toujours froides et sont légèrement atrophiées. Les
réflexes
patellaires sont exagérés des deux côtés et le cl
ute à droite. Pas d'incoordination dans les extrémités supérieures.
Réflexes
cutanés et tendineux conservés. Amé- lioration
réilexes profonds sont un peu faibles, mais ils existent tous; les
réflexes
superficiels sont normaux. La sensibilité n'est
e de cas de chorée pris en bloc. R. DE IUSGR : 1VE-CLAY. LXII. LE
réflexe
radio-bicipital ; par le D'' X. FR.11\COTTE. (B
ent, de Belgique, mars 1896.) L'auteur de ce travail a recherché le
réflexe
radio-bicipital d'une part, sur 427 malades ord
chez 100 aliénés. Sur 270 femmes appartenant au premier groupe, le
réflexe
a manqué 43 fois, soit à peu près dans 16 p. 10
s 41 p. 100 des cas. Dans le second groupe formé de 100 aliénés, le
réflexe
a manqué chez 6 femmes sur 45 (soit dans 13 p.
res mon- trent une différence assez notable quant à la fréquence du
réflexe
radio-bicipital en faveur du sexe féminin. Il l
, les névropathes, les paralytiques généraux, etc. L'exagération du
réflexe
d'un seul côté indiquera généralement un état d
a paralysie agitante, etc. Il y a généralement concordance entre le
réflexe
radio-bicipital 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
OLOGIE NERVEUSE. et le phénomène du genou. D'après M. Francottc, ce
réflexe
ne doit pas être considéré comme le résultat d'
com- muniqué au muscle, mais constitue véritablement un phénomène
réflexe
à point de départ osseux ou périostique. G. D.
de la contracture des adducteurs. La sensibilité est normale. Les
réflexes
rotuliens sont seuls notablement exagérés. Du c
caux, les contractures des membres inférieurs, les exagérations des
réflexes
rotuliens. Ces phénomènes sont de nature à appu
uleurs, incoordination, ataxie, contractions spasmodiques, troubles
réflexes
, se rattachent à des lésions plus étendues ou à
on bien différente intéressant les cordons moteurs. - L'étude des
réflexes
est d'un précieux secours. L'absence du réflexe
s. - L'étude des réflexes est d'un précieux secours. L'absence du
réflexe
rotulien indique une lésion des cornes postérieur
leurs très fortes siégeant surtout à la face interne des hanches;
réflexes
rotuliens all'aiblis. A la fin du mois d'août phé
ne des deux bras. Paralysie de la vessie et du rectum. Abolition du
réflexe
rotulien et de celui du tendon d'Achille, con-
on d'Achille, con- 478 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. servation du
réflexe
planlnire. Phénomènes mal définis dans la pupil
es postérieures. Trajet des - chez l'homme, par Marguliès, 136.
Réflexe
. Rôle psychologique de l'action -, par 1\1athis
uit ans. Paraplégie hys- térique avec signe de Bomberg et perte des
réflexes
patellaires ; guéri en quinze jours par l'hydro
e siège de crampes. 117 a une exagération très mamfeste de tous les
réflexes
tendineux (genou, poignet, coude). Les muscles
s qui relèvent de la sclérose latérale. En effet, l'exagération des
réflexes
tendineux et la contrac- ture, qui sont le fait
ion, ne sauraient coexister avec la flaccidité et l'aboli- tion des
réflexes
qui sont, au contraire, les symptômes accoutumé
paralysie avec contracture des quatre membres, et l'exagération des
réflexes
tendineux. Il en était à peu près de même dans
contracture en flexion des membres inférieurs; 3° conservation des
réflexes
tendineux, qui étaient un peu exagérés. Abchi
r les points qui, très vraisemblablement, livrent passage à l'arc
réflexe
correspondant aux réflexes tendineux des membre
raisemblablement, livrent passage à l'arc réflexe correspondant aux
réflexes
tendineux des membres supérieur et inférieur.
rieurs sans contrac- ture, sans rigidité des muscles, et absence de
réflexes
rotuliens. Il est vraisemblable qu'il faut cher
e postérieure occupe toute la hauteur de la moelle, l'abolition des
réflexes
est la règle et les membres ordinairement flasq
par une épingle et la pi- qûre du visage n'amènent aucun mouvement
réflexe
. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité musculaire (t
centrale sans s'entrecroiser. Il 11 existe pour chaque oeil un arc
réflexe
indépendant qui passe par le nerf optique dans
u nerf moteur ocu- laire commun du même côté. ,'i0 Entre les arcs
réflexes
des deux côtés il existe un lien qui sert à tra
réflexes des deux côtés il existe un lien qui sert à transmettre le
réflexe
d'un oeil avec la pupille de l'autre. Ce lien r
ulaire commun. (Le 6 6 manque dans l'original). il Les centres du
réflexe
servant à rétrécir la pupille ne se trouvent pa
erf sympathique, mais agit d'une façon indépendante en déprimant le
réflexe
lumineux de la pupille. 13° L'immobilité pupi
nt le réflexe lumineux de la pupille. 13° L'immobilité pupillaire
réflexe
dépend, selon toute probabilité, tlesprocessusp
te probabilité, tlesprocessuspatholoiques qui interrompent l'arc du
réflexe
lumi- neux sur sa voie, il partir du chiasma et
ULENBURG. (Neurologisches Centra/bill/t, IS82.) La phase latente du
réflexe
tendineux rotulien ne dépasse pas chez l'adulte
es tendineux ne sauraient être rat- tachés a des processus purement
réflexes
, qu'ils constituent des manifestations complexe
la lésion des fibres radiculaires postérieures. La phase latente du
réflexe
du ten- don d'Achille égale 3/62 de seconde. El
mouvements volontaires de la bouche et de la langue. La déglutition
réflexe
subsistait. Pas de troubles de la sensibilité d
. 157 toucher ou même le saisir avec les doigts sans provoquer de
réflexe
. La déglutition est très difficile; ainsi la ma
. Le bras gauche est- rigidedans l'extension comme dans la flexion.
Réflexes
exagérés. Immobilité de la face. Cou raide. Mou
inguer de la paralysie bulbaire progressive : la con- servation des
réflexes
, l'absence d'atrophie musculaire et la' conserv
tractilité électrique. Dans la ma- ladie de Duchenne, en effet, les
réflexes
ont souvent disparu, les muscles sont toujours
de la salive hors la bouche, gène de la déglutition, diminution des
réflexes
. Parésie générale. A l'AUTOPSIE, kyste dans cha
actuel : Faiblesse plus grande de la main droite et diminution des
réflexes
. Paralvsie faciale inférieure droite. Pas de dé
iminution de la sensibilité dans ses di- vers modes, exagération du
réflexe
patellaire, trépidation spi- nale. A l'AUTOPS
t homme d'apparence robuste, paraplégie com- plète, exagération des
réflexes
rotuliens, pas de trépidation du pied, légère a
t, mais prononce mal un mot tant soit peu long. Affaiblissement des
réflexes
pha- ryngiens. A l'AUTOPSIE, petite cavité ky
de ta- bétique par M. Fano. Faiblesse de la jambe droite dont le
réflexe
rotulien est exagéré. Pas d'affaiblissement bien
continence d'urine par moments ; - toux laryngée; - suppression des
réflexes
rotulif'ns : - symptômes oculaires : paralysie
ent inégales, celle de droite étant un peu plus dilatée; absence de
réflexes
pour la lumière; atrophie de la papule au début
re très obs- cure. M. Pierret pense qu'il s'agit là de paralysies
réflexes
. « Les expériences de Harless Cyon, dit-il, dém
p de leur irritabilité. D'un autre côté, l'existence des paralysies
réflexes
, si bien indiquées par M. Brown-Sequard, fait v
à l'extension est égale de chaque côté aux membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens sont normaux. Fauv... accuse un engou
constante : un certain nombre de sujets ont conservé la sensibilité
réflexe
de la vessie qui se contracte spontanément, qua
l, la vessie est fort peu sensible au con- tact et il semble que le
réflexe
de la miction s'opère plutôt par l'intermédiair
siège de la compression, c'est-à-dire suivant que la sensi- bilité
réflexe
, persiste ou non. Dans l'ataxie locomotrice, la
sens musculaire est atteint plus que la motilité. La sensibilité
réflexe
de la vessie ou des sphincters ne peut être abo
duire de différentes façons : Il Tantôt il y a simple irritabilité
réflexe
de la vessie, les besoins d'uriner sont fréquents
river jusqu'à l'état de distension moyenne, que déjà la contraction
réflexe
se produit; 2° tantôt le besoin est non seuleme
la 0 élexe de grave. b) Dans d'autres cas, répondant à la paralysie
réflexe
de. Brown-Séquard, les symptômes sont beaucoup
fection des voies urinaires (Charcot). On a expliqué ces paralysies
réflexes
par un phénomène d'arrêt dû à l'irritation des
ures; sans cette précaution, leur vessie qui a perdu l'excitabilité
réflexe
se laisserait distendre jusqu'à l'incontinence
u'à l'incontinence par regorgement. D'autres fois, la sen- sibilité
réflexe
persistant, la miction se fait d'une manière in-
quoiqu'il ne manque pas l'urc. Forte hyperesthésie du côté gauche;
réflexes
tendineux (à gauche) très exagérés. Les ligaments
avec con- tractures dans les poignets et les pieds, exagération des
réflexes
tendineux, diminution quantitative de la réacti
Gêne de la déglutition (toux au moment du pas- sage des liquides).
Réflexes
conservés ainsi que la sensibilité. Pas de trou
n du côté du facial supérieur. Paralysie faciale inférieure gauche.
Réflexes
conservés, ainsi que la contractilité électriqu
on des doigts). Sensibilité conservée dans tous ses modes ainsi que
réflexes
et contractilité faradique. Pas de contractures
a jambe gauche. - Pas de troubles de la sensibilité. Exagération du
réflexe
patellaire. Pas de con- tracture ni d'épilepsie
res du côté gauche qui retombent, inertes, dès qu'on les soulève;
réflexes
cutanés et tendineux conservés ; sensibilité dimi
racture en extension de la jambe et impossi- bilité de provoquer le
réflexe
patellaire, en raison de la raideur de l'articu
tres aliénés, 471) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIX. SUR quelques
réflexes
pendant l'enfance; par A. EULENBURG. (Neurolog.
.) Les recherches que l'auteur a entreprises sur la fréquence des
réflexes
tendineux, osseux, tégumentaires, pupillaires che
omène du genou unilatéral, 23 fois le phénomène du pied, 10 fois le
réflexe
tibial des deux côtés, 6 fois le réflexe tibial d
nomène du pied, 10 fois le réflexe tibial des deux côtés, 6 fois le
réflexe
tibial d'un seul côté, 124 fois les réflexes ab
s deux côtés, 6 fois le réflexe tibial d'un seul côté, 124 fois les
réflexes
abdominaux, nasaux, cornéens et pupillaires, 11
réflexes abdominaux, nasaux, cornéens et pupillaires, 119 fois les
réflexes
auriculaires. P. K. XX. SUR UNE SOURCE D'ERREUR
t absent, 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. il faut s'occuper des
réflexes
cutanés qui, ainsi qu'on le voit, donnent aisém
la pathogénie des phénomènes tendineux. Résultent-ils d'une action
réflexe
, ou doit-on les considérer comme issus d'une co
es de strychnine, bien que celle-ci provo- quât l'hyperexcilabililé
réflexe
accoutumée. La seule expérience dans laquelle l
es faits cliniques n'imposent aucunement l'hypothèse d'un processus
réflexe
, ainsi que le démontre le non-parallélisme des
un processus réflexe, ainsi que le démontre le non-parallélisme des
réflexes
cutanés et des phénomènes tendineux. La section d
eures supprime le phénomène du genou, non par interruption de l'arc
réflexe
, mais par anéantissement de la tonicité muscula
rifuge émanée des parties détruites, mais d'une excitation centrale
réflexe
; l'excitation aurait été transmise au centre pa
auche, convulsions cloniques légères dans le bras droit, absence de
réflexes
cutanés et tendineux. T. 39 Analgésie. Le lende
h. u. Nervenk, XII, 2.) Pour savoir dans quelle mesure l'absence du
réflexe
tendi- neux rotulien (phénomène du genou) dépen
trois cent soixante-quinze filles), il'Àrl'a trouvé l'absence de ce
réflexe
que cinq fois. Il s'est alors enquis de la géné
II. Enfant de huit ans et demi. Absence complète et per- manente du
réflexe
rotulien. Le réflexe existe chez les deux frères.
s et demi. Absence complète et per- manente du réflexe rotulien. Le
réflexe
existe chez les deux frères. Mère bien portante
exe existe chez les deux frères. Mère bien portante mais rebelle au
réflexe
en question. Grand-père maternel et deux oncles
ne du genou. Père bien portant, mais ne manifestant pas non plus le
réflexe
. La grand'mère est la soeur du bisaïeul de l'en
e l'ensemble de ces renseignements la con- clusion que l'absence du
réflexe
rotulien témoigne simplement de la névropathie
ds comme cloués au sol) avec anesthésie, analgésie, disparition des
réflexes
dans les deux jambes, sans ataxie ni signe deRo
e jours y compris les altérations du tronc), par la disparition des
réflexes
tendi- neux, l'absence de rigidités ou contract
nces secondaires des cordons postérieurs expliquent et l'absence de
réflexes
ten- dineux et celle des raideurs et contractur
arie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 343 XXXVII. Contribution .1. L'ÉTUDE DES
réflexes
cutanés ET TENDINEUX; par A. ScuVARZ. (Arcle. f
l'étude et la discussion de quinze observations, les divers centres
réflexes
spéciaux sont en rapport avec différents centre
pport avec différents centres encéphaliques, et, si chaque genre de
réflexes
médullaires présente une allure variée, c'est q
entraîne au contraire après elle une hyperexcitabilité des centres
réflexes
spéciaux. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉD
et admise grâce aux travaux de 111LVosiu et Loiseau, sur les folies
réflexes
ou sympathiques, grâce aux recherches sur les e
ps quelques signes d'altérations spinales; absence ou diminution du
réflexe
tendineux rotulien, parésie des jambes entraîna
'un côté), de la pa- résie des extrémités inférieures, l'absence de
réflexe
rotulien des deux côtés. Un cinquième qui, vers
ntes atteintes d'atrophie papillaire, six ne tradui- saient plus le
réflexe
rotulien, tandis que. chez celles qui se trou-
toute affection intra-oculaire, la proportion, dans l'absence de ce
réflexe
tendineux, n'était que de lo p. 100. L'auteur r
: 2 fr. ; pour nos abonnés 1 fr. 35. PLUYAlID (P.-J.) - Étude des
réflexes
tendineux dans la fièvre typhoïde. Un volume in
et en Norwège), par Claus, 278, 398. TABLE DES MATIERES. 421
Réflexes
(sur quelques - dans l'en- fance), par Eulenbur
rvés par les branches extrinsèques de la troisième paire. » « Les
réflexes
lumineux et accommodateur sont conservés. Les fil
n, de la digestion et les fonctions urinaires étaient normales. Les
réflexes
rotu- liens étaient égaux des deux côtés. Il n'
nue « bien plus lourde que l'autre ». La sensibilité cutanée et les
réflexes
étaient normaux. Une fois, en examinant la jamb
ien, même motilité, même absence de troubles- de sensibilité, mêmes
réflexes
rotuliens un peu forts. La main gaucho n'amène qu
u'aux muscles périphériques. Ce sont les centres ner- veux pour les
réflexes
d'origine corticale (Van Gehuchten). Tout le re
ensitivo-motrices et celles-là permettent de maîtriser le mouvement
réflexe
et de provoquer le mouvement volontaire. C'est
seul peut nous permettre de conduire à bonne fin. CONSERVATION DES
RÉFLEXES
PATELLAIRES DANS LE TABES DORSALIS UN CAS AVE
AVEC AUTOPSIE. PAR Ch. ACHARD et LÉOPOLD-LÉVI. L'abolition des
réflexes
rotuliens, signalée par Westphal en 187, est la
s dans son Traité des maladies dit système nerveux. L'abolition des
réflexes
, qui manquait d'abord, apparut en même temps qu
xie locomotrice confirmée, il signale deux fois la conservation des
réflexes
patellaires. Hamilton (2) cite quatre cas de tabe
réflexes patellaires. Hamilton (2) cite quatre cas de tabes où les
réflexes
rotuliens étaient présents, deux fois même ils ét
érés. Gowers (3) a observé 3 exemples de tabès avec persistance des
réflexes
du genou. Dans une des observations, il vit se pr
des observations, il vit se produire la dispa- rition graduelle des
réflexes
. Berger (4) a constaté l'existence des réflexes
rition graduelle des réflexes. Berger (4) a constaté l'existence des
réflexes
dans une proportion de 2,4 0/0. Dans 4 cas arri
e proportion de 2,4 0/0. Dans 4 cas arrivés à la période d'état, le
réflexe
patellaire n'était aboli que d'un seul côté. Une
un seul côté. Une fois, il eut l'occa- sion de voir réapparaître le
réflexe
rotulien d'un côté où il avait constaté sa disp
s l'inspiration de Charcot, a rapporté 13 faits de conservation des
réflexes
tendineux dans l'ataxie locomotrice, dont six l
. klin. Med , vol. 28, 4S î9). (2) Hamilton, Valeur de l'absence du
réflexe
tendineux comme signe diagnostique de l'ataxie
f. Psych. u. Nervenheil., 1879, no 4). (5) Thième, Conservation des
réflexes
tendineux dans l'alaxie locomotrice (thèse de P
sthésie au niveau des deux der- niers doigts de la main droite. Les
réflexes
patellaires sont conservés : normal à droite, d
es membres inférieurs, pas désigne de Romberg à aucun exercice. Les
réflexes
1'oluliens sont conservés. Il faut noter en out
urs fulgurantes. Pas d'incoor- dination des membres inférieurs. Les
réflexes
rolulims sont conservés, même exagérés, sans tr
fulgurantes dans les membres inférieurs, la démarche tabétique. Les
réflexes
sont conservés ; le gauche est exagéré. Oss. V.
e plus large. Elles ne réagissent ni à la lumière, CONSERVATION DES
RÉFLEXES
PATELLAIRES DANS LE TABES DORSALIS 85 ni à l'ac
es phénomènes vési- caux existent dans deux observations. Quant aux
réflexes
, toujours pré- sents, ils sont exagérés dans un
ils sont exagérés dans un cas, inégaux deux fois, soit que l'un des
réflexes
ait diminué et tende à disparaître, soit qu'au co
xes ait diminué et tende à disparaître, soit qu'au contraire un des
réflexes
soit exagéré. Quant aux cas où l'autopsie a été
e IIuhlings Jackson (2) et Taylor, ont trait à la réapparition d'un
réflexe
patellaire dans le tabes à la suite d'une complic
lus importants, concernent des observations au cours desquelles les
réflexes
rotuliens sont restés conservés ou ont disparu se
) a eu le mérite de préciser la région de la moelle par où passe le
réflexe
rotulien. Nous avons eu l'occasion d'examiner l
gnostic de tabes avait été porté pendant la vie. La persistance des
réflexes
, constatée à maintes reprises, avait cependant fa
ion de Westphal, a donné la raison anatomique de la conservation du
réflexe
ro- tulien. Ous. VII. -Em... Louis, âgé de 56
récis sur ses antécédents : il (1) GoLDFLAM, Sur la réapparition du
réflexe
tendineux dans le tabès dorsalis (Ber- liner kl
, 1891). (2) IluGiii.i ? Gs Jackson et TAYLOR, Un cas de retour des
réflexes
patellaires après hé- miplégie chez un tabéliqu
olumineuse, mais ne déborde pas les côtes gauches. CONSERVATION DES
RÉFLEXES
PATELHIRES DANS LE TABES DORSALIS 87 Le malade
it surtout, il a un délire presque continuel, mais peu agité. Les
réflexes
l'outiens, examinés à différentes reprises, et da
un ressaut en dedans. MASSON & Ue, Editeurs. CONSERVATION DES
RÉFLEXES
PATELLAIRES DANS LE TABES DORSALIS 89 rieure. E
a figure précédente. MASSON & Cie, Editeurs. CONSERVATION DES
RÉFLEXES
PATELLAIRES DANS LE TABES DORSALIS 91 Comment i
S DANS LE TABES DORSALIS 91 Comment interpréter la conservation des
réflexes
rotuliens dans notre cas ? z A l'état normal,
es réflexes rotuliens dans notre cas ? z A l'état normal, la voie
réflexe
sensitivo-motrice (protoneurone centri- pète, n
eur périphérique) est nécessairement étroite, en ce qui concerne le
réflexe
patellaire ; et si cette voie est interrompue en
u'on s'attache surtout dans le tabes, pour expliquer l'abolition du
réflexe
. A ce point de vue, il est bon de tenir compte de
il est bon de tenir compte de cas, comme celui de Westphal, où les
réflexes
rotuliens étaient abolis, et où les racines pos-
sion radicu- laire n'est pas au moins la seule cause de la perte du
réflexe
. Il est possi- ble, d'autre part, que, dans les
itives, certaines fibres soient plus directement affectées à l'acte
réflexe
. Cette hypothèse s'appuie d'ail- leurs sur une
sceau réflexo-moteur de cet auteur. Nous venons de voir pourquoi le
réflexe
rotulien est habituellement absent dans le tabe
préter sa présence exceptionnelle. Dans certains cas de tabes, le
réflexe
rotulien, d'abord aboli, a reparu du fait d'une
pliquer cette réappari- tion, Goldflam (5) admet que l'abolition du
réflexe
rotulien dans le tabes est d'origine médullaire
- tivité médullaire, l'action inhibitrice devient insuffisante ; le
réflexe
réap- paraît. (1) Rnuox Y Canal, Aiiatoinie f
(5) Goldflam, lac. cil. 92 CII. ACHAIID ET L. LÉVI Les cas où le
réflexe
est conservé sans avoir jamais disparu s'appuient
ste dans la moelle une zone dont la lésion détermine l'abolition du
réflexe
. Placée à l'union des régions lombaire et dorsa
ès cet auteur, toujours intéressée dans tous les cas de tabes où le
réflexe
rotulien a dis- paru. Elle est d'autant plus in
lexe rotulien a dis- paru. Elle est d'autant plus intéressée que le
réflexe
rotulien a disparu depuis plus longtemps. Inv
otulien a disparu depuis plus longtemps. Inversement, lorsque les
réflexes
ont été conservés jusqu'à la mort, la zone d'en
ppuie son opinion sur trois autres cas. Dans l'un dû à Schmidt, les
réflexes
disparurent t quelques jours seulement avant la
te de la zone.Westplial vit, dans un cas personnel, l'abolition des
réflexes
survenir il droite 2 mois, à gauche H jours ava
urnit ultérieurement une nouvelle observation démonstrative (4). Le
réflexe
rotulien était conservé d'un seul côté. La compar
rale se retrouva chez un malade de Pick (5), âgé de 60 ans, dont le
réflexe
rotulien était aboli à gauche. On le déterminait
a chez un sujet de 42 ans, tuberculeux, syphi- litique, la perte du
réflexe
patellaire d'un côté, la diminution de l'autre.
s, buveur, avait comme unique symptôme l'abolition uni- latérale du
réflexe
rotulien : La zone de Westphal était atteinte de
(6) Nonne, Deutsche med. Wochenschrift, XV, 1889. CONSERVATION DES
RÉFLEXES
PATELLAIRES DANS LE TABES DORSALIS 93 côté. Et
e de 48 ans, syphilitique, tuberculeux, alcoolique. L'abolition des
réflexes
, seul symp- tôme nerveux, était en rapport avec
e conservation ? En réalité, les cas de tabes avec conservation des
réflexes
ne sont pas exceptionnels. Mais il mesure que l
ont pas exceptionnels. Mais il mesure que la maladie progresse, les
réflexes
dispa- raissent. Chez notre malade, le tabes ét
ileptiques, la soeur du malade est aussi nerveuse (hystérique). Les
réflexes
cutanés et tendineux sont très faibles, les réf
stérique). Les réflexes cutanés et tendineux sont très faibles, les
réflexes
vasculaires sont exagérés. On observe sur les deu
En explo- rant le système nerveux nous avons constaté que tous les
réflexes
cutanés, tendineux et vasculaires, sont considé
ent, il y a eu plusieurs fois des intervalles d'une demi-année. Les
réflexes
ten- dineux cutanés et vasculaires sont considé
ème cas nous pou- vons remarquer que l'exagération considérable des
réflexes
cutanés tendi- neux et vasculaires était accomp
ité des muscles et des nerfs, du côté gauche est aussi diminuée. Le
réflexe
pharyngien est conservé et même exagéré. Les ré
i diminuée. Le réflexe pharyngien est conservé et même exagéré. Les
réflexes
cutanés, vasculaires et tendineux sont considérab
eu, pour la main gauche elle égale 50, pour la main droite 150. Les
réflexes
tendineux, cutanés et vasculaires sont très exagé
ès exagérés, surtout au 102 A. LINDETREM côté gauche du corps. Le
réflexe
du gosier est conservé. L'excitabilité des nerf
La parole est hésitante. Tremblement fibrillaire de la langue. Les
réflexes
sont normaux ainsi que la sensibilité. L'examen d
, à la température paraît normale dans tout le membre inférieur. Le
réflexe
patellaire ne diffère pas de celui du côté gauc
us les mouvements des doigts de la main et du bras sont libres. Les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés, ni absolument,
es et cela bien que l'amaigris- sement ne soit pas bien prononcé.
Réflexes
rotulien et plantaire droits légèrement exagérés.
st impossible, l'incoordination aug- mente. Vacillation de la tête.
Réflexe
rotulien aboli. Les membres supérieurs, pendant
s. - Du côté des membres inférieurs, il y a abolition com- plète du
réflexe
rotulien ; l'incoordination est extrême, semblabl
a été pratiqué. Rien du côté des organes génito-urinaires, sauf le
réflexe
crémastérien aboli et la pression testiculaire
riait rarement, mais les derniers jours de sa vie il gémissait. Les
réflexes
rotuliens et tendineux étaient augmentés et l'e
réflexes rotuliens et tendineux étaient augmentés et l'excitabilité
réflexe
générale était fort exagérée : lorsqu'on provoq
générale était fort exagérée : lorsqu'on provoquait des mouvements
réflexes
d'un seul mem- bre (avec une piqûre ou avec une
possible de provoquer le phénomène de la trépidation spinale ; les
réflexes
cutanés étaient normaux. Il n'existait pas de t
l'autre, et elle tombe tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. ' Les
réflexes
tendineux sont peut-être un peu affaiblis. Réca
de prime abord l'idée d'une lésion du cer- velet. L'exagération des
réflexes
tendineux, sans trépidation spinale, dé- pose d
t personne. Paralysie spasmodique des deux jambes et du hras droit.
Réflexes
des genoux et du poignet exagérés. Trépidation
t. Réflexes des genoux et du poignet exagérés. Trépidation spinale.
Réflexes
cutanés conservés (1). HYDROCÉPHALIE Me voici
atrophies musculaires, suite d'affections articulaires, la théorie
réflexe
est communément invoquée. Cette théorie fait in
a formule de Marinesco (2) : L'équilibre trophique est dû à un acte
réflexe
. Brissaud (3) dit de même, à propos des arthropat
mssAUn, Leçons sur les maladies nerveuses, p. 315. (1) A la théorie
réflexe
, Durante cherche à substituer la théorie de la dé
rapide que du côté sain. L'hypertrophie serait due à une irritation
réflexe
du centre trophique, l'atrophie à une diminution
ttre qu'elle provienne d'une atrophie pigmentaire simple à cause du
réflexe
lumineux inaccoutumé et de la couleur crayeuse de
ls peuvent siéger sur presque toute la surface du corps. Etat des
réflexes
. Le réflexe pharyngien est très fort, si bien que
éger sur presque toute la surface du corps. Etat des réflexes. Le
réflexe
pharyngien est très fort, si bien que l'on a dû
caïne pour la recherche des exostoses par le toucher pharyngien. Le
réflexe
rotulien est fort des deux côtés. Le réflexe abdo
toucher pharyngien. Le réflexe rotulien est fort des deux côtés. Le
réflexe
abdominal existe à gauche, n'existe pas à droit
és. Le réflexe abdominal existe à gauche, n'existe pas à droite. Le
réflexe
crémastérien est faible des deux côtés. Le réfl
pas à droite. Le réflexe crémastérien est faible des deux côtés. Le
réflexe
du fascia lata,le réflexe de Babinski n'existent
rémastérien est faible des deux côtés. Le réflexe du fascia lata,le
réflexe
de Babinski n'existent pas. Pas de clonus du pi
scles de la paroi en cette région. Cette contracture est peut- être
réflexe
et provoquée par les douleurs qui sans cesse se r
gauche. La sensibilité électrique est normale des deux côtés. Le
réflexe
pharyngien est normal ainsi que le réflexe palpéb
rmale des deux côtés. Le réflexe pharyngien est normal ainsi que le
réflexe
palpébral. Les réflexes au chatouillement nasal
Le réflexe pharyngien est normal ainsi que le réflexe palpébral. Les
réflexes
au chatouillement nasal et auriculaire existent
, fait 2 kilomètres pour aller à l'école). Pas de contractures. Les
réflexes
plantaires et rotuliens sont normaux. Pas d'iné
modérément développé. Il n'y a pas d'in- coordination motrice; les
réflexes
du genou sont faibles. Les pupilles et la vi- s
nte du pied gauche. Il y a une exagération considérable de tous les
réflexes
tendineux du côté gauche, soit au bras, soit à
dant pas indemne ; lui aussi présente une exagération nota- ble des
réflexes
et de la trépidation épileptoïde au membre supéri
se laisse partout piquer, même fortement, presque sans réagir. Les
réflexes
conjonctival et palpé- brale existent très mani
conjonctival et palpé- brale existent très manifestes, ainsi que le
réflexe
pharyngien. Pas d'ovarie. Le réflexe abdominal
très manifestes, ainsi que le réflexe pharyngien. Pas d'ovarie. Le
réflexe
abdominal paraît plus marqué à droite qu'à gauche
a 4 4 centimètres de différence avec le côté sain) exagération des
réflexes
, etc. Or cette malade porte depuis sa naissance u
ac- commodation ou des variations d'éclairage. 456 CU. FÉH1 Les
réflexes
tendineux sont exagérés. Il existe un certain deg
ments articulaires. par Cn. rrns. (1 fig.), 454. Conservation des
réflexes
dans le tabès dorsalis. Un cas avec autopsie, p
13. TABLE DES AUTEURS Actlann et Léopold Lévi. Conservation des
réflexes
dans le tabes dorsalis..Un.cas avec autopsie (9
epsie (1 phot.), 446. Léopold Lévi et A. Achard. Conservation des
réflexes
dans le tabes dorsalis. Un cas avec autopsie (9
- miopie permanente (.1. JOFFROY), I. Tabès avec conservation des
réflexes
(Achard ct Léopold Ltsw), 1, XI, XII. Tubercu
cons- ciente pendant le sommeil. Si comme le dit M. L. Guinon, le
réflexe
cérébral qui, en temps normal, dirige le centre m
le séance de suggestion suffit à rétablir le méca- nisme troublé du
réflexe
cérébro-médullaire et la guérison est obtenue.
, il n'y a ni atrophie, ni incoordination musculaire, cependant les
réflexes
sont très diminués, La sensibilité, au contrair
: signe de Romberg, la réaction dégénérative, la dispa- rition des
réflexes
patellaires, finalement une paralysie complete
s attaques cessent quand on comprime les testicules. Diminution des
réflexes
tendineux dans les membres inférieurs, surtout
neux dans les membres inférieurs, surtout à gauche; exagération des
réflexes
crémaslé- riens ; hyperesthésie générale. Il ex
es, ralentit la respiration. Anaphro- disiaque. Atténue les actions
réflexes
. A ce dernier titre a été préconisé dans le tét
t pas être prononcés. Le masque est sans expression comme figé; les
réflexes
sont ralentis notablement des deux côtés, la fa
, les sens spéciaux sont, sinon abolis, du moins très diminués. Les
réflexes
tendineux sont exagérés, les réflexes pharyngie
, du moins très diminués. Les réflexes tendineux sont exagérés, les
réflexes
pharyngiens et palpébraux abolis. Les mâchoires
lles sessiles, palais ogival et asymétrique, etc. Motilité normale,
réflexes
tendineux exagérés, réflexes palpébraux et phar
et asymétrique, etc. Motilité normale, réflexes tendineux exagérés,
réflexes
palpébraux et pharyngien abolis. Toutes les var
mpulsion instinctive et l'actuation s'est effectuée à la façon d'un
réflexe
simple, sans contrôle. C'est en résumé là un fait
l'anosmie fut trouvée complète dans 57 à 72 p. 100 des cas. III.
Réflexes
dans la folie. - L'auteur a examiné les réflexes
100 des cas. III. Réflexes dans la folie. - L'auteur a examiné les
réflexes
rotuliens et les réflexes de l'iris (accommodat
s dans la folie. - L'auteur a examiné les réflexes rotuliens et les
réflexes
de l'iris (accommodation à la lumière et à la d
la distance). Ces derniers sont bien moins souvent modifiés que les
réflexes
rotuliens, lesquels sont exagérés fréquemment.
ible, des modifications du phénomène du genou. Le plus souvent le
réflexe
est exagéré ; 3° L'absence du réflexe du genou
u genou. Le plus souvent le réflexe est exagéré ; 3° L'absence du
réflexe
du genou chez un aliéné, doit, si l'on a élimin
t autres symptômes de la paralysie générale ; 6° L'exagération du
réflexe
rotulien n'a d'importance au point de vue du di
du diagnostic que dans des cas exceptionnels ; 7° L'exagération du
réflexe
rotulien peut, par exemple, associée d'autres s
oïas aiguës; 8° Au cours de la paranoïa chronique, l'exagération du
réflexe
rotulien peut faire redouter, quand elle accomp
a neurasthénie parait s'accompagner toujours de l'exagéra- tion des
réflexes
; 10" Les cas de paralysie générale dans lesque
se compliquer plus rarement d'accès d'agitation ; ii° La perte du
réflexe
du genou, après une atlaque épileptique, permet
iminer la simulation. 11 n'en est pas de même de l'exa- gération du
réflexe
. Discussion. M. Koppen fait quelques remarques
les fléchisseurs des doigts et des mains, facilite la production du
réflexe
patellaire. D'autre part, l'exagéra- tion du to
l'exagéra- tion du tonus peut mettre obstacle à la production de ce
réflexe
, qui ne peut ainsi se manifester qu'à la faveur
'à la faveur d'une tonicité déter- minée du quadriceps. La perte du
réflexe
à l'état physiologique, doit vraisemblablement
ibuée à des états passagers de contracture musculaire. L'absence du
réflexe
du genou dans la manie chronique, la paranoïa,
use dans une tendance à la contracture qui a été méconnue. Quand le
réflexe
patellaire manque d'une façon permanente, il fa
précèdent, sur les chiffres traduisant la fréquence de l'absence du
réflexe
du genou dans les psychoses fonctionnelles. M
de vue scientifique ; on constate en effet, en s'en servant, que le
réflexe
existe en réalité alors qu'il paraît faire défaut
à pied pour venir à l'asile, on observe souvent une exagération des
réflexes
. Pour ap- précier à sa juste valeur la signific
dans lesquelles l'auteur de la communication a noté l'absence du
réflexe
patellaire. Depuis qu'on connaît ce signe, il l'a
un seul cas de psychose fonctionnelle dans lequel faisait défaut le
réflexe
du genou. Il va sans dire qu'on a éliminé les c
ralytique général. Souvent il m'est arrivé de mettre eu évidence le
réflexe
du genou dans des cas où des confrères avaient
genou dans des cas où des confrères avaient noté l'absence de ce
réflexe
. Pour ce qui concerne la démence sénile, on sai
ce réflexe. Pour ce qui concerne la démence sénile, on sait que le
réflexe
patellaire peut disparaître à un âge avancé; ma
M. NEISSEIi. Dans toutes les recherches qui portent sur l'état des
réflexes
, il faut tenir compte, si l'on veut avoir des rés
men. D'après les documents qui nous ont été présentés, l'absence du
réflexe
pa- tellaire parait un signe des plus important
conditions spéciales dans lesquelles se manifeste l'exagération du
réflexe
du genou. En résumé, chez un malade qui n'est p
nsiste sur ce fait que dans les cas qu'il a observés, l'absence des
réflexes
n'était pas liée à la paralysie générale. M. JO
fréquent d'observer des modi- ficalions passagères dans l'état des
réflexes
, qui sont dues à des modifications du tonus.
zek sur la néces- sité d'examiner à différentes reprises l'état des
réflexes
chez un même sujet. Il répond à M. Smith qu'il
ges. Gand, 1895. Imprimerie Vander Haeghen. - Francotte (X.). -Le
réflexe
radio-bicipital. Brochure in-8° de 9 pa- ges.-
plante du pied, comme on pro- cède ordinairement pour provoquer le
réflexe
plantaire/ cetté légère friction produit chez l
exe se ? ,otaz est vif des deux côtés. Extrémités inférieures. Le
réflexe
rotulien est aboli des deux côtés, ainsi que le
rieures. Le réflexe rotulien est aboli des deux côtés, ainsi que le
réflexe
plantaire. Sensibilité. Le sens du toucher est
de la moitié supé- rieure des cuisses, des deux côtés. Abolition du
réflexe
pharyngé, du réflexe cornéen. La pression sur l
eure des cuisses, des deux côtés. Abolition du réflexe pharyngé, du
réflexe
cornéen. La pression sur l'hypocondre gauche fait
nations peuvent être ainsi distinguées en directes et indirectes ou
réflexes
(Kahlbaul11). Quant à la question controversée
lles représentent tou- jours l'ébauche de mouvements volontaires ou
réflexes
, elles restent souvent localisées à la face, en
de : La vue, l'ouïe, du goût, de l'odorat, de la sensibilité, des
réflexes
, des fonctions motrices, des fonctions sécréloire
trophiques, certains troubles génitaux, certaines modifications des
réflexes
tendineux et des réactions élec- triques. Quelq
trophie marquée de tout le membre inférieur gauche. Exagération des
réflexes
rotuliens. Marche en steppage. M. Raymond analy
sentent plus les piqûres, d'autres la chaleur, le contact, etc. Les
réflexes
cutanés sont en partie conservés. Vaste eschare
èbre dorsale, elle comprenait tous les modes de la sensibilité, les
réflexes
cutanés n'en étaient pas moins conservés. Malgr
droite, face légèrement atteinte, hypertrophie de certains muscles,
réflexes
conservés, réac- tions électriques normales. Tr
centrale ou périphérique. Il se base sur le carac- tère normal des
réflexes
et des réactions électriques, sur la persis- ta
hyperesthésique et au dessus enfin la sensibilité est normale. Les
réflexes
rotuliens complètement abolis. Incontinence d'u
e étude. C. XXXV. UN cas dk tabès SUPÉRIEUR avec conservation DES
RÉFLEXES
; par M. E. LENOBLE, interne de la clinique des ma
té sans cependant pré- senter le signe de Romberg. Conservation des
réflexes
patellaires. Absence de troubles de la sensibil
ptômes qui donne à la physionomie un aspect étrange. Les mouvements
réflexes
et d'accommodation de la pupille sont con- serv
rieurs. Les membres inférieurs sont faibles mais non atrophiés. Les
réflexes
tendineux, abolis aux membres supérieurs, sont
es sont indemnes puisqu'il n'y a ni contracture, ni exagération des
réflexes
tendineux, ni troubles vésicaux ou rectaux. Ce so
n droit sont atrophiés ; contractions fibrillaires sur ces muscles.
Réflexe
rotulien exagéré. Excitabilité électrique diminué
u côté droit. La sensibilité au tact et à la douleur est conservée.
Réflexes
rotuliens exagérés, surtout à gau- che. Le mala
ce moment : les membres inférieurs complètement paralysés, inertes,
réflexes
rotuliens diminués. Anes- thésie absolue des mê
rate REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 normaux. Urines normales.
Réflexes
patellaires exagérés, les autres réflexes norma
normaux. Urines normales. Réflexes patellaires exagérés, les autres
réflexes
normaux. L'attaque convulsive du soir dure une ou
puis une hémiparésie droite avec contractures. Du côte parésié les
réflexes
sont exagérés mais la sensibilité est innervée
èrent environ une heure et demie et s'accom- pagnèrent de perte des
réflexes
pupillaire et cornéen, de perte de la conscienc
tion physique du cerveau, d'une manifestation épileptique (perte du
réflexe
cornéen, des réflexes pupillaires, abolition de
eau, d'une manifestation épileptique (perte du réflexe cornéen, des
réflexes
pupillaires, abolition de la conscience; émission
essives, les émotions, la peur, les substances toxiques, les causes
réflexes
et les traumatismes. VARIA. 331 La classifica
e gauche balance dans tous les sens et reste complètement inerte.
Réflexes
. Les réflexes rotuliens et cutanés plantaires son
ce dans tous les sens et reste complètement inerte. Réflexes. Les
réflexes
rotuliens et cutanés plantaires sont absents de
lles sont d'un diamètre moyen et égales des deux côtés. Absence des
réflexes
pupillaires à la lumière et à l'accommodation.
est pas capable de faire un mouvement quelconque avec ses jambes.
Réflexes
. Les réflexes rotuliens et plantaires sont absent
ble de faire un mouvement quelconque avec ses jambes. Réflexes. Les
réflexes
rotuliens et plantaires sont absents. Il n'y a
n est plus accentuée dans la jambe gauche que dans la droite. Les
réflexes
rotuliens et plantaires sont complètement abolis.
moindre obstacle la fait trébucher; la malade tombe souvent. Les
réflexes
sont totalement abolis. Le réflexe rotulien, comm
la malade tombe souvent. Les réflexes sont totalement abolis. Le
réflexe
rotulien, comme le réflexe plantaire. Pas de tr
Les réflexes sont totalement abolis. Le réflexe rotulien, comme le
réflexe
plantaire. Pas de troubles du côté des sphincters
e le malade pour le mettre dans la petite voiture de pro- menade.
Réflexes
. Les réflexes rotuliens, plantaires et crémastéri
ur le mettre dans la petite voiture de pro- menade. Réflexes. Les
réflexes
rotuliens, plantaires et crémastériens sont abo
l entende pour savoir s'il urine. Pas d'im- puissance génésique. Le
réflexe
scrotal est très vif des deux côtés. Extrémités
tte le pied en dehors et frappe lourde- ment du talon le sol. Les
réflexes
rotuliens et plantaires sont abolis. L'examen d
monter, ni descendre un escalier. On est obligé de le porter. Les
réflexes
rotulien, plantaire et crémastérien sont complète
bras de la personne qui l'accompagne et s'appuie sur une canne. Les
réflexes
rotuliens, plantaires et crémastériens sont tot
Caractérisé par la mydriase paralytique avec iridoplégie partielle
réflexe
exagération de l'excitabilité muscu- laire, tré
litiques prépondérants. Troisième groupe. Myosis avec iridoplégie
réflexe
totale, absence ou forte atténuation du réflexe
is avec iridoplégie réflexe totale, absence ou forte atténuation du
réflexe
patéllaire, manque d'équi- libre, ataxie et ane
pe. Symptômes oculaires tardifs : mydriase paralytique, iridoplégie
réflexe
partielle à la lumière seulement; paralysie ata
moins d'un an la paralysie des membres inférieurs devint complète.
Réflexes
conservés, mais pour les provoquer il faut une
uvement volontaire est impossible, on peut provoquer des mouvements
réflexes
en pinçant la peau de la plante des pieds. Sens
omiques et physio- logiques sur l'innervation de la vessie, sur les
réflexes
urinaires ; médullaire et cérébraux, insistant
on le col se contracte seul et il y a spasme. Or. quand les centres
réflexes
urinaires ont été hyperexc;tés, ils provoquent
mouvements du bateau qui troublent le fonc- tionnement des centres
réflexes
et qui, par suite, provoquent le spasme du col.
ès diminuée dans les fléchisseurs, conservée dans les ex- tenseurs.
Réflexes
, les uns conservés, les autres abolis ou diminués
rs. Réflexes, les uns conservés, les autres abolis ou diminués ; le
réflexe
pharyngien persiste, celui du genou est seulement
misphères. (Revue neurologique, juin 1896.) E. B. LX. Leçon sur les
réflexes
; par le Dr HDGHES. L'auteur admet l'existence h
t l'action de la volonté, qui peut exagérer, diminuer ou abolir les
réflexes
(vé- sical, rectal, vénérien, etc.). (The alien
des membres; if s'installe de la contracture avec exagération des
réflexes
. L'aphasie prend la forme d'aphasie transcortical
u latah (des Malais), états caractérisés par des impulsions quabi
réflexes
. Otto Stoll leur attribue, notamment aux deux der
s; pupilles rétrécies, réagissant mal, pas de trouble de la parole,
réflexe
du genou normal. Démence accentuée avec idées h
n fonc- tlUlll1elle des - clans les muscles, par Polmanti. 485.
Réflexes
. Leçons sur les -, par lIufihes, 4601 1181'0S
he que du côté droit par le grattage des raies vaso-motrices. Les
réflexes
tendineux sont exagérés du côté malade. En redr
uche du corps a une température plus basse que le côté droit. - Les
réflexes
tendineux sont plus faibles à gauche. - Il y a
ndre, avec l'hypothèse de lé- sion organique, l'affaiblissement des
réflexes
tendineux 26 CLINIQUE ! OERYEUSE, - DE l/ ATROP
re, dont le début remonte à plus de huit mois, exagération de ces
réflexes
et contracture ? Ainsi donc, il nous semble qu'
t des maladies du système nerveux tout entier. La considération des
réflexes
rotuliens est au contraire un symptôme qui, dan
ic que nous étu- dions. La loi de Westphal sur l'abolition de ces
réflexes
dans le tabes ataxique est très généralement vr
tabes ataxique, la conservation, ou mieux encore, l'exagération des
réflexes
tendineux, il faut se méfier et penser plutôt à
L'inverse a beaucoup moins d'importance. Sans doute l'abolition des
réflexes
rotuliens coïncidant avec des symptômes de tabe
jamais ces paraplégies complètes avecanesthésie, exagération des
réflexes
et paralysie des sphincters qui montrent que la
onséquence de cette circonstance par l'augmentation des fonctions
réflexes
. Mais nous n'avons pas sur quoi fonder la le
4 pathologie NERVEUSE. supposition d'une exagération de la fonction
réflexe
dans la moelle, ou bien dans les organes subcor
s organes subcorticaux pendant la léthargie, parce que, à cause des
réflexes
corticaux considérablement élevés, une investig
sens est impossible. Pendant la catalepsie, nous ne trouvons pas de
réflexes
du premier ordre, et dans le somnambulisme, nou
sans troubles de la sensibilité générale, sans perturbation dans le
réflexe
tendineux patellaire, sans clonisme podalique,
ment conservés. L'auteur signale d'autre part l'extrême paresse des
réflexes
cru- raux profonds, et l'abolition presque comp
presque complète duréflexe du genou des deux côtés; en revanche le
réflexe
du triceps, aboli à gauche, était très exceptio
daltonisme, dyschromatopsie, inégalité pupillaire, exagération des
réflexes
tendineux, tempé- rature axillaire de 37°2 à 37
° et 3°; ces lésions récentes peuvent être influencées par l'action
réflexe
de l'agent électrique sur les vaisseaux sanguin
e du côté de la sensibilité; le phénomène du genou a disparu; les
réflexes
cutanés persistent. Malgré l'institution d'un tra
Aux questions de MM. AtENDEL et REMAK, M. WESTPHAL répond que les
réflexes
tendineux des membres supérieurs ne présen- tai
dis que les muscles respirateurs, continuant à fonctionner par voie
réflexe
, conser- vent leur aptitude pleine et entière.
ait hésiter qu'entre une contracture spasmodique ou uue contracture
réflexe
consé- cutive à une lésion du noau du laryngé s
uler l'opinion que les crises laryngées émanent d'une contrac- ture
réflexe
des adducteurs des cordes vocales, dueà une excit
ères atfections, un peut en l'em- ployant réveiller l'apparition du
réflexe
tendineux rotulien inva- riablement absent dans
s plus que dans la névrite du crural, tl n'a pu faire reparaître le
réflexe
rotulien. M. QPPENHEIÙf. Les vieux foyers de po
n du pneumo-gastrique qui entraînent du ralentissement du pouls. Le
réflexe
rotulien a fait défaut dans ces observations, s
. Saric signale d'après il. Jolfroy la fréquence de l'abolition des
réflexes
rotuliens dans la chorée. Rapprochant ce phénom
; au point de vue électrique, il s'agit d'une atrophie simple; les
réflexes
tendineux sont plus faibles à gauche qu'à droit
é du côté gauche, l'hémianesthésie était sensitivo-sensorielle, les
réflexes
étaient abolis à gauche, il y avait une hyperes
ance de la paralysie dans le membre inférieur, et la diminution des
réflexes
tendineux du côté paralysé dans une hémiplégie
. La contractilité faradique, est conservée du côté paralysé. - Les
réflexes
tendineux sont conservés. 5 février. Le membre
se une certaine douleur, au niveau de l'extrémité des doigts. Les
réflexes
du coude et du poignet sont exagérés à gauche.
ée du malade à la Salpêtrière ; nous y reviendrons plus loin. Les
réflexes
tendineux du coude et du poignet sont con- serv
quées sur les figures 13 et 14. Le sens musculaire est aboli. Les
réflexes
tendineux sont affaiblis à droite. Le membre su
ian soutiennent depuis long- temps, comme reconnaissant une origine
réflexe
et résultant d'une modification dans l'état des
re manifestation de réaction de dégéné- ration est constatée. Les
réflexes
de la peau et des tendons ont fortement diminué.
les muscles paralysés sont tendus, on constate de l'exagération des
réflexes
tendineux, de l'épilepsie spinale, des tremblem
aire de la cavité arachnoïdienne. P. K. XVII. Un cas de convulsions
réflexes
statiques ; par A. I : RLE\llE1'b : R. (Ceiiti-
E1'b : R. (Ceiiti-albl. f. \'erverlheilk., 1885.) Les convulsions
réflexes
statiques sont celles qui surviennent à l'occas
de sustentation ; gâtisme. Le malade finit par s'aliter, perte des
réflexes
, analgésie. Pendant les deux derniers jours, co
servation, il s'agit d'un tabes trau- matique avec conservation des
réflexes
patellaires des deux côtés; dégénérescence clas
one radiculaire moyenne peut être, par suite, atteinte sans que les
réflexes
patel- laires disparaissent forcément; impossib
nt certains symptômes cardinaux (douleurs lancinantes, absence de
réflexe
patellaire, diminution de la sensibilité à la dou
faiblissement des quatre membres, signe de Romberg, disparition des
réflexes
tendineux, fièvre (P = 100. T = 38). Sur cet en
nt de boire et de manger seul, de la diplopie, de la diminution des
réflexes
sphinctériens anovési- caux (constipation), de
genou; 2° que, dans ces conditions, le phénomène du genou et les
réflexes
tendineux en général n'acquièrent leur degré de
re avec fièvre ; quelques accidents ataxi- formes ; disparition des
réflexes
patellaires, conservation des réflexes cutanés;
- formes ; disparition des réflexes patellaires, conservation des
réflexes
cutanés; parésie vésico-rectale; les muscles et l
lité électrique, troubles minimes de la sensibilité, suppression du
réflexe
patellaire) et 230 revue DE pathologie nerveuse
te multiloculaire (dissémination des phénomènes, con- servation des
réflexes
cutanés, sensibilité à la pression des gros tro
onsidération, comme dans l'observation précédente, l'exagération du
réflexe
patel- laire (indice d'affection cérébro-spinal
laire (indice d'affection cérébro-spinale) ; la lenteur relative du
réflexe
qui s'étend ensuite très loin (indice d'affection
vec contracture des mem- bres inférieurs, exagération excessive des
réflexes
tendineux, clonus dorsal des deux pieds, troubl
és inférieures avecpertedela sensibilité, suppression partielle des
réflexes
patellaires et des réflexes cutanés, parésie vési
sensibilité, suppression partielle des réflexes patellaires et des
réflexes
cutanés, parésie vésicale (rétention d'urine) e
ts violents, mais de courte durée. Intégrité de la sensibilité, des
réflexes
cutanés et tendineux (très nets). Mort, le 6 ja
pas la main même quand on transperce la peau avec une épingle. Les
réflexes
tendineux de la rotule sont extrêmement exagéré
paralysée ; les piqûres d'épingles n'y causent aucune douleur; les
réflexes
tendineux du genou sont considérable- ment exag
'examine, la jambe droite était aussi tout à fait para- lysée ; les
réflexes
cutanés sont exagérés; la sensibilité tactile e
presque nulle; les mou- vements passifs causent des douleurs. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés ; sur le pied droit
re bras; la sensibilité musculaire persiste dans le côté droit. Les
réflexes
tendineux du triceps sont très exagérés. L'exci-
n'a perdu que la sensation de la douleur et de la température. Les
réflexes
tendineux des jambes sont fortement exagérés; o
iblie ; le dyna- momètre ne marque que 30; pas de contractures; les
réflexes
tendineux sont exagérés des deux côtés; le nerf
cause de l'hémiasnesthé- sie et surtout de l'hémiopie. Ensuite, les
réflexes
ten- dineux si exagérés, la démarche caractéris
e de 5°; pas de paralysies et de con- tracture musculaire; mais les
réflexes
tendineux sont exagérés. Le malade lui-même se
'ailleurs l'anesthésie de la muqueuse du pharynx est constatée. Les
réflexes
tendineux du genou et du tendon d'Achille sont
tions du goût sont troublées : il dit que la quinine est acide; les
réflexes
de la muqueuse du pharynx sont tout à fait abol
le et douloureuse .est très peu émoussée; le tact est conservé. Les
réflexes
de la rotule ne présentent rien d'anormal. La m
des jambes; les muscles des membres inférieurs sont relâchés ; les
réflexes
de la plante du pied n'existent que sur le droi
ue normal ; le goût aussi ; la sensibilité cutanée est intacte; les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés. On ne remarque
ment de la conjonctive avec le doigt ou une épingle ne donne pas de
réflexe
; l'introduction du doigt dans l'arrière- bouche
ère- bouche et l'irritation de sa muqueuse restent également sans
réflexe
. En outre, on constate une diplopie monoculaire.
sordre, comme dans le cas précédent : il ne trouve pas son nez. Les
réflexes
tendi- neux du genou et du tendon d'Achille son
que inditlérente à la douleur, elle se plaint souvent du froid. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Rien ne parait l'intér
vait aucune altération de la sensibilité dans le côté droit, et les
réflexes
superficiels et profonds étaient exagérés dans
ns, excepté la perte du sens mus- culaire dans le pouce gauche. Les
réflexes
profonds étaient exa- gérés dans le membre supé
membre, le côté du cou, et s'étendre de la main à la blessure. Les
réflexes
profonds étaient très exagérés du côté gauche d
et que les mouvements des doigts étaient un peu gênés. De plus, les
réflexes
profonds étaient encore exagérés. De plus, en jui
la vision, l'autre commande aux mouvements de la pupille, par voie
réflexe
; peut-être y a-t-il un troisième système ayant un
Il relève la sensibilité ' l'homme normal. 3n Il exerce une action
réflexe
, en dilatant la pupille, venant à bout du myosi
teint présentait de la tension mus- culaire et de l'exagération des
réflexes
tendineux. Intégrité par- faite dela sensibilit
lle s'accompagnait d'une légère tension musculaire. Persistance des
réflexes
tendineux parfois même exagérés. Jamais d'altéra-
ongrès des naturalistes et mé- decins allemands, 401. Convulsions
réflexes
statiques, 210. Corps calleux (fonctions du),
e ; pas d'anesthésie d'ailleurs, pas de rigidité, pas d'atrophie, les
réflexes
tendineux étaient absents. Je n'avais pas encore
Hôpitaux, 9 novembre 1888, Gaz. hebdom., 23 novembre 1888. tion des
réflexes
soit aux membres supérieurs, soit aux inférieurs.
vec perte du sens musculaire, absence de rigidité et d'exaltation des
réflexes
, alors que l'hémiplégie date de plus d'un mois, e
ieur, fait déjà connu de Galien ; — à un moment donné exagération des
réflexes
tendineux, ten-danceà la contracture ; — 2° La pe
as traces de paralysie motrice, pas d'atrophie, pas d'exagération des
réflexes
; — 4° Quelquefois troubles trophiques cutanés, (e
sté autrefois? Nous n'avons pas de renseignements^ cet égard. — 3° Le
réflexe
rotulien est notablement exagéré ; pas de trépida
droit: 1° Pas de troubles du mouvement, jamaisiln'èn a existé ; — 2°
Réflexes
tendineux normaux ; —3° Pas de modification du se
emps du mal, de la réaction de dégénération et enfin l'exagération du
réflexe
rotulien du côté malade, beaucoup moins accentué
nération plus ou moins prononcée ; l'absence ou l'affaiblissement des
réflexes
rotuliens, quand, bien entendu, il s'agit des mem
douloureuse également est la percussion des tendons rotuliens. Les
réflexes
tendineux, comme du reste les réflexes cutanés, s
n des tendons rotuliens. Les réflexes tendineux, comme du reste les
réflexes
cutanés, sont abolis. Nous donnons maintenant l
s. Joints aux modifications des réactions électriques, à la perte des
réflexes
rotuliens que nous avons pu constater, ces symptô
peut s'en assurer en approchant vivement un doigt de l'œil gauche, le
réflexe
du clignement n'a pas lieu. En outre le malade ne
30° au plus. Il reste, vous le voyez, bien au-dessous de la normale;
Réflexes
rotuliens conservés, plutôt un peu faibles. Nou
mpris celui qui détermine le tonus musculaire, et y compris aussi les
réflexes
tendineux, cessent rapidement d'exister. Cependan
complète,absolue.Le membre est aujourd'hui flasque, atrophié (1), les
réflexes
cutanés et tendineux font complètement défaut, la
eux ans après le début; flaccidité, algidité des membres, absence des
réflexes
de tout genre, rien n'y manque et pour ce qui est
se vulgaire. La malade étant assise de nouveau, on constate que les
réflexes
rotuliens sont absents et que la forae de résista
les caractères de l'état normal. 2° Les pupilles sont inégales, le
réflexe
lumineux y fait défaut tandis que les réflexes de
illes sont inégales, le réflexe lumineux y fait défaut tandis que les
réflexes
de la convergence persistent (Signe d'Argyll Robe
ngt et Argyll Robertson : Insensibilité à la lumière, conservation du
réflexe
pour l'accommodation. — Dans quelques cas Myosi
très vraisemblablement de la sclérose en plaques qu'il s'agit. Les
réflexes
pupillaires sont normaux : pas de myosis spasmodi
ment intentionnel très manifeste dans le membre supérieur gauche. Les
réflexes
tendineux rotuliens et ceux de l'avant-bras sont
Affection purement nerveuse. Aucune lésion organique,conservation du
réflexe
binauriculaire et de la motilité normale des appa
transmission.Montre à 45 à droite, à 20 à gauche DV =0 par faiblesse.
Réflexes
intacts. 2. Voir Leçons du mardi 1888-89. Leçon
rande difficulté à tirer la langue. — Je vous ferai remarquer que les
réflexes
rotuliens sont abolis ; — rien à l'auscultation d
connu, mais 11, n'est guè;-e douteux que, s'il eût été mis en jeu, le
réflexe
rotu lien se fût montré exagéré. ture,bien qu'a
nt sans laisser d'autres traces que cette exagération persistante des
réflexes
rotuliens sur laquelle je viens d'appeler votre a
oindre qu'elle ne l'était avant le 9 décembre; j'en dirai autant, des
réflexes
rotuliens et du phénomène du pied. Ils sont sensi
examen antérieur avait révélé déjà un certain degré d'excitation des
réflexes
rotuliens. Mais on ne saurait, en pareille matièr
eurs aux mouvements qu'on veut leur imprimer, est énergique et si les
réflexes
rotuliens sont exagérés, on ne retrouve pas, par
xtrêmement accusé, et aussi prononcé à droite qu'à gauche. D G Le
réflexe
pharyngien est affaibli à gauche ; le goût est tr
ée à un très haut degré et le signe de Romberg est très prononcé. Les
réflexes
rotuliens sont absents ; il y a une diminution tr
n'a pas eu d'effet sur le poids du corps, non plus que sur l'état des
réflexes
rotuliens qui restent toujours absents. Aucune mo
de souffre de fourmillements et d'une sensation de froid. Absence des
réflexes
rotuliens. Signe de Romberg ; papilles normales :
Par contre, le traitement paraît n'avoir eu aucune influence sur les
réflexes
rotuliens qui sont toujours abolis. Troisième m
roduire à la suite de trois suspensions une exagération manifeste des
réflexes
rotuliens, et, après quatre ou cinq suspensions,
rg nettement prononcé. Impuissance complète depuis un an. Absence des
réflexes
rotuliens. La première suspension a eu lieu le
: Le malade a eu pour la première fois depuis un an une érection. Les
réflexes
rotuliens sont toujours absents. Le malade fait r
g; puis,le malade étant assis,on peut reconnaître que l'absence des
réflexes
rotuliens persiste. — S'adressant au malade : Vou
e produire il y a cinq ou six ans. Démarche tabétique datant d'un an.
Réflexes
rotuliens absents. Signe de Romberg. Signe d'Argy
hent plus le sommeil. Le signe de Romberg a en grande partie disparu.
Réflexes
rotuliens toujours absents. M. Charcot, s'adres
ncontinence d'urine. Sensation de coton dans les pieds et les jambes;
réflexes
rotuliens absents, pas de signe de Romberg. Erect
on douloureuse et ob-tusion de la sensibilité de la plante des pieds.
Réflexes
rotuliens absents. Signe de Romberg très net. Dif
mberg a disparu òu, tout au moins, il est devenu fort peu accusé. Les
réflexes
rotuliens sont toujours absents. Cinquième mala
nement du malade, reparaissent plus fréquentes et plus soutenues. Les
réflexes
rotuliens font toujours défaut. Il ne me paraît
cile, très incoordonnée : signe de Romberg très accentué, absence des
réflexes
rotu-liens, anesthésie plantaire. Début du trai
s un phénomène tardif. Dans aucun cas, nous n'avons vu reparaître les
réflexes
rotuliens.Les troubles vésicaux ont été modifiés
lade atteint de sclérose en plaques avec exagération considérable des
réflexes
rotuliens étant soumis au traitement, il survint
rême du tympan gauche. Obstruction des deux trompes, étriers mobiles.
Réflexes
auriculaires: l'épreuve binauriculaire réussit pa
s ataxique n'est chez notre malade nullement en jeu : à la vérité les
réflexes
rotuliens font défaut chez lui, mais il n'a jamai
omitants de la sensibilité, sans parésie vesicale, etc,, etc., et les
réflexes
rotuliens sont très faibles. Plusieurs fois, il y
coup plus accentuée dans un quatrième cas : absence ou diminution des
réflexes
rotuliens; pas de troubles de la sensibilité quel
mais ne sont cependant pas absolument flasques; absence complète des
réflexes
rotuliens ; réflexes cutanés nuls. L'examen élect
nt pas absolument flasques; absence complète des réflexes rotuliens ;
réflexes
cutanés nuls. L'examen électrique ne donne rien q
e exception d'ailleurs n'est pas tout à fait rare dans l'espèce, —les
réflexes
rotuliens ont persisté ; ils se montrent même un
dans les cuisses et dans les mollets ; pas de troubles vésicaux. Les
réflexes
rotuliens sont normaux et la station debout n'est
, son pied sur le soàl la manière d'un corps inerte (signe de Todd) ;
réflexe
rotulien très faible de ce côté, normal à droite.
ble que l'arrivée de ceux-ci dans l'estomac provoque immédiatement un
réflexe
qui aboutit à une régurgitation alimentaire ; et
point de vue, ou constate par la percussion du tendon rotulien que le
réflexe
, non seulement n'est pas absent, mais encore est
l'on sait que dans le tabès, même le plus légitime,la persistance du
réflexe
rotulien n'est pas, tant s'en faut, chose rarissi
ys-téro-traumatique développée chez notre malade, sur un membre où le
réflexe
rotulien n'était pas aboli aurait-elle pu se prod
alement si, sur ce même membre, conformément à la règle ordinaire, le
réflexe
rotulien par le fait de la lésion spinale tabétiq
ution très prononcée du goût des deux côtés delà langue. Abolition du
réflexe
pharyngien. Odorat très diminué surtout à gauche.
nt libres de tout accident nerveux ; pas de douleurs fulgurantes. Les
réflexes
rotuliens ont persisté : en un mot, aucun symptôm
médical, 1879, p. 317. cubital, symétriquement des deux côtés. Les
réflexes
rotuliens sont absents. Atrophie, également prono
nseignerlemé-canisme, ont abouti, en conséquence d'une sorte d'action
réflexe
psychique, à la production dans les membres intér
es de troubles quelconques de la sensibilité cutanée ou profonde. Les
réflexes
rotuliens sont normaux; peut-être y a-t-il une lé
membres inférieurs ; d'ailleurs pas d'exagération ni d'abolition des
réflexes
, aucun des symptômes pouvant révéler une lésion o
s par le Dr Erlenmeyer dans son travail sur les convulsions statiques
réflexes
, lesquelles paraissent se rapporter au sujet qui
des divers modes de la sensibilité, y compris le sens musculaire, des
réflexes
tendineux, de la nutrition des muscles, etc., etc
ens, qui est la caractéristique de cegenre de contracture de plus les
réflexes
rotuliens sont complètement supprimés, contrairem
surtout la non-existence de la contracture spasmOdique, l'absence de
réflexes
rotuliens et du phénomène du pied ; la paralysie
gnement de secousses fibrillaires, sans exagération ou diminution des
réflexes
tendineux, portant sur l'avant-bras droit, surtou
r en terminant ce bref exposé de l'état actuel de notre homme que les
réflexes
tendineux nuls chez lui aux genoux, se montrent n
es, de rigidité musculaire et aussi d'une exagération même minime des
réflexes
tendineux ; nous aurions pu vous faire remarquer
sence de troubles permanents de la sensibilité, pas d'exagération des
réflexes
tendineux ; participation bulbaire non constante,
que les mouvements de flexion et d'extension sont très affaiblis. Le
réflexe
tendineux est normal ; il n'y a pas d'amaigrissem
omotrice, soit au contraire de la paraplégie spasmodique ; ainsi, les
réflexes
sont présents ; ils ne sont pas exagérés; il n'y
ignait avec la main ; l'enfant se faisait un jeu de cet exercice. Les
réflexes
étaient normaux. Les fonctions des réservoirs éta
us l'avons déjà dit, n'a laissé aucune trace, aucune modification des
réflexes
tendineux dans les membres du côté gauche. Le dyn
els ne laissent rien à désirer. Il n'y a ni paralysie, ni ataxie. Les
réflexes
patellaires sont parfaitement normaux des deux cô
es d'impuissance motrice plus ou moins prononcée, avec exaltation des
réflexes
tendineux et tendant au développement de phénomèn
ar et hypothénar, avec secousses fibrillaires et sans exagération des
réflexes
tendineux, sont les premiers qui attirent l'atten
s avant-bras, les bras, les épaules et quelques muscles du tronc. Les
réflexes
tendineux, comme vous pouvez le constater, ne son
it se dessiner des secousses fibrillaires très accusées. Peut-être le
réflexe
rotulien est-il un peu exagéré de ce côté là : à
e généralisée. type Aran-Duchenne ; l'absence d'une exagération des
réflexes
tendineux soit dans les membres atrophiés, soit d
es anomalies qu'on y observe consistent en une légère exagération des
réflexes
rotuliens, sans accompagnement de trépidation spi
dant d'une canne ; il boite et traîne un peu le pied par moments. Les
réflexes
tendineux sont conservés et d'intensité normale.
est apparue une paraplégie lombaire spasmodique avec exagération des
réflexes
tendineux et trépidation épileptoïde. On lui ap
a à apparaître ; la contracture des membres inférieurs s'atténua, les
réflexes
tendineux diminuèrent d'intensité, la trépidation
ur ne pas dire plus, c'était : 1° la disparition de l'exagération des
réflexes
rotuliens et de la trépidation spinale; 2° la sen
ctérisée par une parésie des membres inférieurs, avec exagération des
réflexes
tendineux. Aujourd'hui, il n'y a que des vestiges
a que des vestiges de la paralysie lombaire marquée seulement par des
réflexes
rotuliens exagérés ; mais, au membre supérieur, i
pporte une pression beaucoup plus forte que celui du côté droit. Le
réflexe
rotulien est sensiblement diminué à gauche. Le
droit. Le réflexe rotulien est sensiblement diminué à gauche. Le
réflexe
crémastérien est nul à gauche, très prononcé à dr
logique, 418. — Pathogénie, 409, 410. — Réactions électriques, 411. —
Réflexes
, 411.—Rôle des cellules des cornes antérieures, 4
. — (Langue dans la), 38. Chorée molle, 38, 108. — Parole, 171. —
Réflexes
, 171. — Terminaison. 39. Chorée. — (Mort dans l
Pied tombant, 382. — Pronostic, 391.— Réactions électriques, 383. —
Réflexes
, 86. — Retard dans les sensations, 388. — Rétract
du, 182. Pott. — (Paraplégie par mal de), 175,176.— Guérison,177.—
Réflexes
, 178. — Trépidation spinale, 178. — Pathogénie de
'oxyde de carbone, 370. Raymond 195, 200, 203, 418. Raynaud, 332.
Réflexes
. — dans la chorée molle, 171.— Dans laparalysieal
opératoire, 203, 204 sq. — Miction, 202, 210, 212, 213, 214, 216. —
Réflexes
, 201, 202, 216. — Statistique, 218 sq. — Signe de
165. Tabes et hystérie. —161,277, sq. 281.— Stigmates, 281, 282. —
Réflexes
, 282. Tabes. — et maladie de Basedow, 243. — et
155, 157.— Période préataxique, 333. — (Rachialgie dansle), 153. —
Réflexes
, 157. — Réflexes exagérés, 278. — Sensitif (tabès
de préataxique, 333. — (Rachialgie dansle), 153. — Réflexes, 157. —
Réflexes
exagérés, 278. — Sensitif (tabès)499. — Signe d'A
n phénomènes doulou- reux (céphalalgie), en phénomènes d'irritation
réflexe
(vomis- sements), et en phénomènes sensoriels (
et titubant par moments. Cependant il n'a jamais fait de chutes. Le
réflexe
rotulien est normal des deux côtés. Il n'y a pa
l'encéphale et de la moelle et détermi- nerait l'ensemble d'actions
réflexes
qui constituent les accidents épileptiques. Ceu
t sont très marqués. Dans le premier cas on a affaire à l'épilepsie
réflexe
, dans le second à une intoxication, sans préjug
différente dans ces deux espèces d'épi- lepsie. Dans l'épilepsie
réflexe
l'état de l'intelligence reste très longtemps n
sement complet et à la démence. C'est qn'en effet, dans l'épilepsie
réflexe
, qu'elle soit locale, généralisée ou même génér
es déterminantes distinctes; ce qui permet d'admettre une épilepsie
réflexe
et une épilepsie par intoxica- tion, celle-ci p
parvenons à un heureux résultat que si la maladie est d'ori- gine
réflexe
et non d'origine symptomatique d'empoisonne- me
non d'origine symptomatique d'empoisonne- ment. Si cette épilepsie
réflexe
revêt à un certain moment donné la forme d'épil
ur son état gastri- que d'abord. Cette distinction de l'épilepsie
réflexe
à aura, ne s'accompa- gnant pas d'état gastriqu
à aura, ne s'accompa- gnant pas d'état gastrique et de l'épilepsie
réflexe
à aura s'ac- compagnant d'état gastrique, par c
parésie des membres supérieur et inférieur, exagération extrême des
réflexes
tendineux, patellaire et clonus podaliques,hype
oitedu tronc, jusqu'au niveau de la deuxième vertèbre lombaire. Les
réflexes
rotuliens sont normaux des deux côtés, il n'y a
e, et que dans le tabes moteur, les seules fibres de la sensibilité
réflexe
sont atteintes. Comment, avec cette théorie, ex
iste, elle est due à des complications ? Par les arcs diastaltiques
réflexes
. La voie réflexe n'est pas unique, il existe un
à des complications ? Par les arcs diastaltiques réflexes. La voie
réflexe
n'est pas unique, il existe une voie simple et
e des racines postérieures aux racines antérieures il existe un arc
réflexe
simple, il en existe d'autres qui parcourent un
l repart pour aboutir aux racines antérieures. Cet arc diaslaltique
réflexe
constitue le système pyramidal. Si dans le tabe
entretenir la fonction trophique des muscles, alors même que l'arc
réflexe
direct est interrompu. Un malade atteint, au co
Le sujet peut à peine esquisser le mouvement d'écartement des bras,
réflexes
conservés aux coudes et aux poignets. Engourdisse
tre, on a peine à les séparer. Trépidation spinale, exagération des
réflexes
, les pieds sont en équin direct, le tendon d'Ac
t raides, en extension constante. La sensibilité est conservée, les
réflexes
sont normaux. Même traite- ment que dans le cas
s est tout à fait insensible et le chatouillement ne provoque aucun
réflexe
. Au dynamomètre la main droite ne donne qu'une pr
près M. Germain Sée, le bromure de potassium diminue l'excitabilité
réflexe
de la moelle sans la détruire ; il diminue les
es détermi- nantes, peut être divisée en deux classes : épilepsie
réflexe
, épilepsie par intoxication; 3° L'épilepsie réf
s : épilepsie réflexe, épilepsie par intoxication; 3° L'épilepsie
réflexe
ne s'accompagne pas de troubles gastro-intestin
ut relever d'une auto ou d'une hétéro-infection; . 6° L'épilepsie
réflexe
peut se transformer en épilepsie infectieuse et
eil que, en frappant le tendon tricipital, on obtient non un simple
réflexe
, mais une alternative de tensions dans les musc
ce procédé on constate aussi d'une manière frappante l'existence du
réflexe
croisé dans l'exagération de l'excitabilité ré-
l'exagération de l'excitabilité ré- flexe, ainsi que l'existence du
réflexe
tendineux dans certains cas où par la méthode o
Deux observations de tumeurs cérébrales avec absences partielles de
réflexes
, lésion récente des cordons postérieurs qui paraî
tenait à l'atteinte indirecte de la capsule interne. L'absence des
réflexes
patellaires pourrait s'expliquer par la lésion
les sont trop minimes pour qu'on y puisse rattacher l'abolition des
réflexes
patellaires; cette abolition résulte plutôt de
e supérieure. Il y a restitution du mouvement volontaire par action
réflexe
, par suite du voisinage des noyaux moteurs du t
montré hünrazzini; est probablement en rapport avec les mécanismes
réflexes
de la moelle. P. S. XXIV. CONNEXIONS centrales
e la malade. La paralysie est flasque; pas de trace de raideur; les
réflexes
rotuliens sont abolis à gauche, très faibles à
rier, elle était dans l'état suivant : La paralysie est absolue. Le
réflexe
rotu- lien du côté gauche est aboli, du côté dr
e. Les autres syptômes précédemment cités persistent. Cependant les
réflexes
rotuliens sont abolis des deux côtés. La limite
s cas de myélites, c'est la variabilité de quelques symptômes : les
réflexes
rotuliens, par exemple, et la sensibilité dissoci
s symptômes sont plus marqués du côté gauche que du côté droit. Les
réflexes
de la plante des pieds sont exagérés, de même l
oit. Les réflexes de la plante des pieds sont exagérés, de même les
réflexes
rotuliens. Il y a trépidation de pied. La force
ets chauds comme les froids. - 12. II. Eschare sur l'os sacrum. Les
réflexes
s'exécutent après la moindre excita- tion aux e
ment, les troubles sensoriels cutanés, la suppres- sion de certains
réflexes
, le rétrécissement du champ visuel me paraissen
sychiques ont un rôle important (soucis, surmenage). La perte - des
réflexes
pupillaires est un symptôme de lésion en foyer. C
pupillaires est un symptôme de lésion en foyer. Chez -l'animal ces
réflexes
peuvent être localisés au niveau des ganglions
tremblement, la parésie des membres inférieurs, l'exagé- ration des
réflexes
patellaires, les troubles des réflexes pupillaire
érieurs, l'exagé- ration des réflexes patellaires, les troubles des
réflexes
pupillaires, de l'embarras de la parole. Dans p
mer égaies, ne réagissent ni à la lumière ni à l'accommodation. Les
réflexes
patellaires sont abolis; le signe de Romberg es
douleurs anciennes qu'il accusait va- guement, sont l'abolition des
réflexes
patellaires et quelques mictions involontaires.
s chez ces malades. Tous les paralytiques généraux qui n'ont pas de
réflexes
ne sont donc certainement pas des tabé- tiques,
tabes et la paralysie générale. Quant à la cause de l'abolition des
réflexes
dans le cas actuel, il est certain qu'elle ne d
rfs, ni à une altération des racines, ni à une atteinte aux centres
réflexes
. 11 semble s'agir ici d'une action purement dyn
ue de la méninge enflammée; d'ailleurs les exemples d'abolition des
réflexes
au cours de la méningite spinale ne sont pas ex
rieurs sont le siège d'une incoordination motrice considérable, les
réflexes
rotuliens sont abolis; la sensibilité est à peu
hir les bras. Léger retard de la perception aux membres inférieurs.
Réflexes
rotuliens abolis. Iné- galité pupillaire; signe
ires; 3° le mécanisme par lequel ils se produisent est un mécanisme
réflexe
ayant pour point de départ les nerfs articulair
pure et simple des membres inférieurs, accompagnée d'exaltation des
réflexes
rotuliens et de clonus des pieds ; les troubles s
s séreuses et les tissus superficiels ne produisent pas une douleur
réflexe
à distance, mais locale; 5° les phénomènes de v
qu'il n'y a aucune relation entre elle et les phénomènes de douleur
réflexe
; 6° l'auteur se propose 320 REVUE DE PATHOLOGIE
t et s'accompagnèrent d'a- trophie des muscles et d'exagération des
réflexes
profonds. L'affec- tion gagna le membre supérie
c. La neurasthénie est donc une maladie du tonus. Le tonus est un
réflexe
(Broudgeest), il faut donc provoquer ce réflexe p
us. Le tonus est un réflexe (Broudgeest), il faut donc provoquer ce
réflexe
par stimula- tion méthodique, périphérique (fri
du paralytique général : la dou- leur ne provoque pas, chez lui, le
réflexe
périphérique vaso-moteur. Contribution à l'étud
e. La vue, l'ouïe, l'odorat, le goût semblent bien con- servés. Les
réflexes
accommodateurs etlumineuxsont normaux. Pas d'in
communication. Pas de tremblement de la langue, ni des lèvres. Les
réflexes
rotuliens sont conservés; les réflexes cutanés
a langue, ni des lèvres. Les réflexes rotuliens sont conservés; les
réflexes
cutanés sont modérément et également prononcés
mi, parésie probable de l'accommodation. A quatorze ans, immobilité
réflexe
des pupilles, mydriase, disparition de la réactio
résie de l'accommodation, démarche spasmodique avec exagération des
réflexes
tendineux malgré la bonne conservation de la fo
blement aux mouvements intentionnels, une petite augmen- tation des
réflexes
patellaires avec hyperexcitabilité idiomusculaire
base du cerveau caractérisé en particulier par la disparition des
réflexes
patellaires. La moelle paraissait normale et cepe
cis qui doivent être examinés un à un. P. S. XLIX. SUR l'état DES
réflexes
dans la section TRANSVERSE totale DE la MOELLE;
eure de la moelle, il y a presque toujours une perte définitive des
réflexes
profonds des jambes avec paralysie flasque, et
paralysie générale plus précoce, 50 p. 100 avaient de l'immobilité
réflexe
des pupilles. P. K. 406 REVUE DE PATHOLOGIE MEN
alement des jambes qui ne peuvent plus le supporter. - En outre les
réflexes
rotuliens sont complètement abolis. Le coeur pa
aisant; mais le malade essaie vaine- ment de marcher. Même état des
réflexes
tendineux. Les mains restent violacées. - Mydri
peu près complètement rétabli. Il est à remarquer cependant que les
réflexes
rotuliens restent abolis; que la pression des m
ans la transmission des im- pressions) ; d'ordinaire, abolition des
réflexes
. c). Troubles vaso- moteurs et trophiques (cyan
tissant en dernier terme au retour à l'asile. J. Séglas. LVI. Les
réflexes
superficiels ET PROFONDS comme moyen DE D1.\- g
, la sensibilité à la douleur est la plupart du temps diminuée, les
réflexes
cutanés et muqueux faibles, les idio-musculaire
ndineux accentués, le plantaire souvent t marqué. Après l'accès, le
réflexe
plantaire est encore plus éner- gique avec trem
e initiale, la sensibilité à la douleur est quelquefois abolie, les
réflexes
culanés sont affaiblis ou font défaut; le plant
sième période, la sensibilité à la douleur devient très faible, les
réflexes
cutanés et muqueux nuls, les tendineux faibles
congestifs, la sensibilité à la dou- leur est faible ou nulle, les
réflexes
cutanés ou muqueux manquent, les tendineux et i
coolique, exagération fréquente de la sensibilité à la douleur, des
réflexes
plantaire, idio-musculaire, tendineux; les autr
ibles. - Dans la folie pella- greuse, hypoalgésie : atténuation des
réflexes
culanés ou muqueux, exagération des tendineux,
aque, hyperalgésie; rapidité REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 469 des
réflexes
cutanés et muqueux, exagération des tendineux et
a folie hystérique, faiblesse de la sensi- bilité à la douleur, des
réflexes
cutanés ; les muqueux et idio-mus- culaires son
le patellaire rapide. Dans la manie, sensibilité à la douleur vive;
réflexes
cutanés et muqueux normaux, ainsi que les idio-
lancolie, la sensibilité à la douleur est normale, ou exagérée; les
réflexes
culanés et muqueux normaux, les tendineux et id
réaction à la douleur, faible en apparence, est bien conservée; les
réflexes
tendineux et musculaires sont exagères. Dans la
agères. Dans la neurasthénie, hyperalgésie, exagération de tous les
réflexes
. Dans la paranoïa, les réflexes restent normaux
ralgésie, exagération de tous les réflexes. Dans la paranoïa, les
réflexes
restent normaux, la sensibilité à la douleur es
a sensibilité à la douleur est au-dessous de la normale; les autres
réflexes
ra- pides, les tendineux vifs. - Dans l'idiotie
l'idiotie, la sensibilité à la douleur est faible, de même que les
réflexes
cutanés et muqueux; les idio- musculaires et le
s les démences secon- daires, hypoalgésie, faiblesse ou absence des
réflexes
cutanés, faiblesse des muqueux : les tendineux
exagérés. , A remarquer la façon différente dont se comportent les
réflexes
cutanés et tendineux représentés évidemment dan
res pour la sensibilité générale : la diminution ou l'abolition des
réflexes
cutanés prouve qu'il s'y trouve des centres coo
es coordinateurs ou excitateurs correspondants; l'exagération des
réflexes
tendineux, qu'il existe des fibres psychomotrices
cérébelleuse de l'ataxie cérébelleuse et spinale; que l'absence du
réflexe
rotulien peut être un signe important en faveur
sens survenant par intervalles. Inégalité pupillaire, abolition du
réflexe
pupillaire à droite, parésie faciale, troubles
parole, tremblement] des - lèvres et de la langue, exagération des
réflexes
rotuliens, démarche à la fois spastique et paré
lysie du moteur oculaire commnn droit coïnci- dant avec la perte du
réflexe
pupillaire du côté gauche. A l'au- topsie on tr
s, 391. Cordons postérieurs de la-, par C. illayer, 398. Etat des
réflexes
dans la section transversale totale de la -,
cture des extenseurs du pied, pins marquée à droite qu'à gauche. Le
réflexe
rotulien était exa- géré adroite, diminué à gau
. Le réflexe rotulien était exa- géré adroite, diminué à gauche. Le
réflexe
plantaire était dimi- nué du côté droit. Pas
e tabétique est manifeste : Signe d'Argyll Robertson, abolition des
réflexes
rotuliens, ataxie au dé- but. Aucun médicament
ccentués, il y a de l'inégalité pupillaire et des modifications des
réflexes
palellaires. Le diagnostic de paralysie général
ce, en raison d'une hémiparésie avec aphasie sans exagération des
réflexes
et sans extension des orteils malgré une certaine
RES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 91 me n'a aucune signification si les
réflexes
pupillaires sont normaux,car l'inégalité pupill
il s'accompagne, chez les paralyti- ques généraux, d'altération des
réflexes
soit 11 la lumièl'e, soitàl'accommodationou mêm
l'instillation d'atropine est faible et s'accompagne de troubles du
réflexe
con- sensuel. En revanche, ainsi que Toulouse e
, l'ophtalmoplégie interne suit une marche progressive : parésic du
réflexe
pupiliaire à la lumière, puis paralysie de ce m
résic du réflexe pupiliaire à la lumière, puis paralysie de ce même
réflexe
: parésie de l'accom- ll1odation,puis paralysie
même réflexe : parésie de l'accom- ll1odation,puis paralysie de ce
réflexe
accommodateur, très souvent aussi le trouble oc
ué. Le fazcx.l°gllRobettson,qui se caractérise par l'ab- sence du
réflexe
à la lumière en même temps qu'il y a parésie du
sence du réflexe à la lumière en même temps qu'il y a parésie du
réflexe
àl'accommodation, estun symptôme encore plus fr
emière période il faut signaler aussi : la per- te de la dilatation
réflexe
aux excitants périphéri- ques qui résulte, de l
qu'il y ait aucun changement dans l'éclairage ; la disparition dit
réflexe
à la dou- leur qui est souvent très précoce ; l
à la dou- leur qui est souvent très précoce ; les altérations du
réflexe
de Galassi ou rétrécissement de la pupille quan
ssi ou rétrécissement de la pupille quand la paupière se ferme ; le
réflexe
de Piltz ou rétrécissement pupillaire et moment
r à l'un d'eux isolé- ment. Il faut noter encore : L'abolition du
réflexe
consen- suel qui indique une lésion périphériqu
a préséance, ensuite les trou- bles moteurs, sensitifs, sensoriels,
réflexes
, etc., et, cela fait, d'envisager les lésions m
le rapport une brève indication sur l'état de la réflectivité : le
réflexe
des or- teils serait ordinairement en extension
gies lacunaires.De mon observation il résulte,au con- traire,que le
réflexe
de Babinski se produit, habituellement, en flex
gée peut être hy- peresthésique ou hypoesthésique ; 2° parce que le
réflexe
d'ex- pulsion que détermine le chatouillement d
rmale ; mais une sensation exa- gérée, ou diminuée, ou ralentie, le
réflexe
qui en résulte sur- vient en retard, ou mal à p
ue le larynx n'échappe point à la règle commune. La perturbation du
réflexe
de la toux s'explique aussi par la perturbation
éflexe de la toux s'explique aussi par la perturbation générale des
réflexes
dans le tabès. Le réflexe 138 CONGRÈS DES MÉD
e aussi par la perturbation générale des réflexes dans le tabès. Le
réflexe
138 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROL
ES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. patellaire, la plupart des
réflexes
tendineux sont abolis, les réflexes pupillaires
S. patellaire, la plupart des réflexes tendineux sont abolis, les
réflexes
pupillaires sont troublés, etc. Enfin, les musc
que : l'incoordination, l'a- tonie, le relâchement, l'abolition des
réflexes
sont, précisé- ment, le contraire du spasme, Si
ouvent par la dysestliésie, l'incoordination et la perturbation des
réflexes
, qui se produisent dans cette région, comme dan
en, à diminuer l'hyperexcitabilité de la muqueuse, à régulariser le
réflexe
normal de la respiration et de la toux. Tout ce
large mesure, les muscles qui interviennent dans le mécanisme de ce
réflexe
étant soumis à l'action de l'intelligence et de
esco). Xll. La cause de l'amyolrophie est la rupture d'un équilibre
réflexe
bensitivo-moteur (Chatin). L'auteur a fait port
cesser le régime. Dès le 5 décembre, (i ma- lades n'avaient plus de
réflexe
pharyngien et, le 11 dé- cembre, l'abolition en
nomènes de tétraplégie spasmodique. (Con- tracture, exagération des
réflexes
tendineux, trépidation épiléptoïde, signe de Ba
laire est presque nulle. Lasla- tion debout lui est impossible. Les
réflexes
tendineux, rotuliens et achilléens sont exagéré
, maison nepeut défléchir les doigts qu'avec beaucoup de peine. Les
réflexes
ten- dineux du coude et du poignet sont exagéré
gnets. Les pieds et les mains sont froids et remplis de sueurs. Les
réflexes
abdo- minaux, inférieurs et moyens, sont abolis
. Les réflexes abdo- minaux, inférieurs et moyens, sont abolis, les
réflexes
épigaslri- ques sont diminués, les réflexes cre
oyens, sont abolis, les réflexes épigaslri- ques sont diminués, les
réflexes
cremasteriens abolis. 11 n'existe pas de troubl
e trouble desensibilité, le sens mus- culaire est revenu aussi. Les
réflexes
rotuliens et achillécns très légèrement exagéré
le signe de liabinski existe encore et une ébau- che de clonus. Les
réflexes
crémastériens et abdominaux se pro- duisent trè
du faisceau pyramidal. Pour Westphal et Strümpel, l'exagération des
réflexes
tendineux serait aussi indépendante d'une dégén
esse d'exercer son action sur le centre médullaire.producteur des
réflexes
, à cause de la rupture des fils qui le liaient
qués immédiatement de contrac- ture,convulsions et exagérations des
réflexes
tendineux. Dans ces cas l'apoplexie cérébrale e
es convulsions et des contractions accompagnées del'exagération des
réflexes
tendineux, tous ces phénomènes produits par une
igne de Babinski des deux cotés, mais quand il est revenu guéri, le
réflexe
n'existait plus du côté droit et se produisait
té. archives, 2' série 1906 t. XXII. 13 194 RECUEIL DE FAITS.
Réflexes
. Ils ont été difficiles à rechercher, on raison d
à rechercher, on raison de l'état de spasme de tout le corps : les
réflexes
réfutions étaient un peu exagérés. Il n'y avait
t de départ une irritation quelconque placée sur le trajet de l'arc
réflexe
: voie centripète trigémellaire, noyau central,
de- bout impossible. En même temps, on constata une abolition des
réflexes
tendineux et une perte de la contractilité électr
Il est une série d'observations pour lesquelles on doit invoquer un
réflexe
partant de l'oreille et agissant sur les noyaux d
ctement par saprésence même sans intervention probablement par voie
réflexe
: l'intervention peut d'ailleurs être pour son
sait d'ail- leurs combien est riche la symptomatologie des troubles
réflexes
dans le décours des pleurésies (par exemple la
ecousses musculaires dont le malade a conscience, d'exagération des
réflexes
patellaires et d'autres réflexes musculaires et
de a conscience, d'exagération des réflexes patellaires et d'autres
réflexes
musculaires et parfois de trépidation épiloploidc
e pathologique. (Revue de méd., juin-1900.) . L. Wahl. XXVII. Les
réflexes
dans l'épilepsie (Ibidem). Les auteurs donnent
. Les auteurs donnent les opinions des maîtres sur ce sujet : Les
réflexes
sont augmentés passagèrement après l'attaque (L.
aque (L. ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 227 Ilirtl. Après l'attaque,
réflexes
quelquefois absents, plus souvent exagérés et i
plus souvent exagérés et il y a trépidation épileptoide (Osier).
Réflexe
pat. absent pendant quelques minutes, exagéré au
côté vers lequel était tournée la tête pendant l'accès (Gowers).
Réflexes
cutanés absents immédiatement après l'attaque, ré
ou ab- sents (Strumpell). Les auteurs ont toujours observé et le
réflexe
pat. et le ré- flexe plant. Entre les accès ils
ls sont exagérés, le plus souvent absents. Dans ce dernier cas, les
réflexes
réapparaissent rapidement. Dans l'état de mal l
cas, les réflexes réapparaissent rapidement. Dans l'état de mal les
réflexes
sont souvent très actifs. Dans le post-ictus, s
très actifs. Dans le post-ictus, suivant la profondeur du coma,les
réflexes
sont affaiblis ou même absents. Cette variation
ma,les réflexes sont affaiblis ou même absents. Cette variation des
réflexes
s'explique par une irrita- tion initiale de l'a
tion des réflexes s'explique par une irrita- tion initiale de l'arc
réflexe
primaire ou secondaire avec parésie de l'appare
es et médullaires se fatiguent, le tonus musculaire néces- saire au
réflexe
s'affaiblit. Puis petit à petit, ce tonus revient
xe s'affaiblit. Puis petit à petit, ce tonus revient et avec lui le
réflexe
Valeur pronostique : L'absence des réflexes ind
revient et avec lui le réflexe Valeur pronostique : L'absence des
réflexes
indique un épuise- ment très prononcé et le pro
tagion mentale », ils se proposent d'étudier la contagion des actes
réflexes
, des états émotifs, des per- ceptions,des senti
s fonctions des cordes vocales et des mouvements des arytenoïdes.
Réflexes
. Tous les reflexes tendineux et cutanés étaient
ses de l'orhiculaire. Ce symptôme serait différent du « nastag- mus
réflexe
» de Dernheimer (Klin. llonatsbl. ? Augenheilhun-
orde vocale gauche, de la trachée jusqu'au troisième anneau. Pas de
réflexe
pharyngé à gauche, ni de réflexe par contact mê
jusqu'au troisième anneau. Pas de réflexe pharyngé à gauche, ni de
réflexe
par contact même prolongé des parties anesthési
i s jusqu'à leur mort, l'auteur se croit en droit d'affirmer que le
réflexe
accommodateur est altéré dans tous les cas de p
quand elle suit tout son cours. Dans la presque totalitédcscas les
réflexes
accommodateurs des deux yeux sont simultanément
simultanément atteints d'un trouble identique, l'exagération de ces
réflexes
étant d'ailleurs tout à fait excep- tionnelle.A
ues. Mêmes remarquas pour les mem- bres inférieurs ; pas d'ataxie ;
réflexes
rotulien et plantaire peu marqués. Thorax sym
leur sont particulièrement sensibles à la pres- sion. Abolition du
réflexe
hatcllaire. Atrophie considérable du quadriceps
élioré. les réactions électriques étaient presque normales, mais le
réflexe
patellaire était toujours aboli. K. passe en
'à s'en aller, elle survient peu de lemps après la dis- parition du
réflexe
oculaire et persiste encore lorsque celui-ci est
,ne se manifeste pas ; il convient donc de les distinguer. 5" Les
réflexes
tendineux de la trépidation épileploide ne sui-
igine. Le centre du clonus du pied est donc différent du centre des
réflexes
rotuliens;il est vraisembablement intermédiai-
vraisembablement intermédiai- re entre celui-ci et les centres des
réflexes
organiques de la cir- culation et de la respira
le névraxe ailleurs qu'aux cordons postérieurs ; exagération des
réflexes
rotuliens, nystagmus. L'hystérie est enfin affi
gmates hystériques : insensibilité cornéenne, anesthésie pharyngée,
réflexes
rotuliens exagérés. File présente de grandes cr
ruratlon, par J. Voisin, R. Voi- sin et Rendu, p. 161. -. Voir
Réflexes
. Contribution au trai- tement de 1' -, par la m
econnaissance. Deuxième note sur la fausse -, par Féré, p. 155.
Réflexes
. Le, - dans l'épilepsie, parLenobleetAunqreau p
ans l'articulation coxo-fémorale, bien moins dans les autres. Les
réflexes
rotuliens sont très affaiblis; ceux des tendons
sont très affaiblis; ceux des tendons d'Achille sont exagérés. Les
réflexes
cutanés n'ont pas subi de DE LA GLIOMATOSE MEDU
brement les pieds ; l'atrophie disparut presque complètement; et le
réflexe
rotu- lien réapparut du côté droit. Cette améli
s. L'atrophie musculaire des extrémi- tés inférieures a disparu. Le
réflexe
du tendon d'Achille est conservé, le rotulien e
he aussi bien les yeux fermés. Pas de dou- leurs en ceinture. Les
réflexes
rotuliens sont conservés à droite un peu plus
ions du dos, de la poitrine et des membres supérieurs : 2-3°. Les
réflexes
cutanés à la douleur sont abaissés et les tactile
uleur sont abaissés et les tactiles sont sensiblement marqués. Le
réflexe
testiculaire est exagéré et accompagné de contrac
che, même dans le cas où l'excitation vient de la cuisse gauche. Le
réflexe
abdominal ne se produit pas. Réflexes tendineux
ient de la cuisse gauche. Le réflexe abdominal ne se produit pas.
Réflexes
tendineux. Le réflexe du tendon d'Achille des deu
che. Le réflexe abdominal ne se produit pas. Réflexes tendineux. Le
réflexe
du tendon d'Achille des deux côtés est nettemen
éflexe du tendon d'Achille des deux côtés est nettement accusé : le
réflexe
rotulien est exagéré des deux côtés et accompag
nt des mouvements convulsifs des muscles fléchisseurs du genou. Les
réflexes
tendineux dans les membres supérieurs ne sont p
'affection pro- gresse, le malade peut à peine se tenir debout, les
réflexes
ont disparu; il déchire ses vêtements, est tout
rouve en dehors de cette ligne. Or, pour qu'il y ait disparition du
réflexe
tendineux rotulien, il faut et il suffit que la
ui prouvent que la névrite radiculaire du plexus brachial peut être
réflexe
et provenir en particulier d'une irritation du
La première de ces deux observations est un exemple d'hémi- plégie
réflexe
, la voici brièvement résumée : « Phtisie pulmonai
ceaux latéraux des pyramides qu'il faut attribuer l'exagération des
réflexes
en général, celle des réflexes tendineux en par
l faut attribuer l'exagération des réflexes en général, celle des
réflexes
tendineux en particulier, tenant à la lésion non
lasque des jambes, de parésie des bras, d'anesthésie, d'absence des
réflexes
cutanés et des phénomènes tendineux ; conservatio
de l'appareil musculaire; mais on ne retrouva pas l'exagération du
réflexe
patellaire signalée comme constante par M. Char
comme constante par M. Charcot. En revanche, dans quelques cas, ce
réflexe
avait diminué du côté malade. On réséqua des mor-
disparu; à la cuisse, elle a sim- plement diminué; conservation des
réflexes
et de la sensibilité. C'est une contracture myo
t de l'état psychique. Réaction prompte des pu- pilles. Absence des
réflexes
tendineux. Intégrité des fonctions de la vessie
a percussion du tendon rotulien gauche, on provoque l'exaltation du
réflexe
du genou' qui est moindre qu'à droite. La sen
85. - Para- plégie spasmodique : démarche spastique; exaltation des
réflexes
; secousses; contractures passagères ; dyscamps
marcher sur un plan incliné, sous peine de tomber. Les mouvements
réflexes
provoqués par diverses excitations de la peau e
membre : toutefois le malade marche sans appui. Tous les mouvements
réflexes
provoqués par les diverses excita- tions de la
llement de la plante du pied se trouvent augmentés. L'exaltation du
réflexe
rotulien est telle que lorsqu'on frappe sur le
à son membre droit. Il y a une exagération manifeste de mouvements
réflexes
facile- ment constatable par les diverses excit
frappe le tendon rotulien gauche, on trouve aussi une exaltation du
réflexe
corres- pondant, et à chaque coup, le membre dr
paraplégie spas- modique proexistente est une légère exaltation du
réflexe
rotulien des deux côtés ; pas de troubles troph
née et suivie d'un priapisme qui a duré seize jours. État actuel.
Réflexes
exaltés. Le nommé N. Gerassimis, de l'lie decha
e époque son état maladif. Etat actuel. Exaltation considérable des
réflexes
. Observation VU. Accident provoqué le 24 mai 18
pointe de ses souliers, qui s'use rapidement. Tous les mouvements
réflexes
, provoqués par diverses excitations et surtout
s répétés, provoquer la trépidation épileptoïde. L'exaltation des
réflexes
rotuliens existe encore, mais bien moindre. Les
e la paraplégie spastique du malade était une petite exaltation des
réflexes
rotuliens, surtout à droite. Observation VIII.
sans bâton; sa démarche est fortement spasmodique. Les mouvements
réflexes
examinés par les procédés habituels sont trouvés
is- tance considérable sans opposition de sa part. Les mouvements
réflexes
sont presque tous exaltés. Il y a une exagération
ont presque tous exaltés. Il y a une exagération considé- rable des
réflexes
rotuliens. L'excitabilité de la moelle épinière e
sont bien plus paralysés que les extenseurs. Tous les mouvements
réflexes
du membre inférieur gauche sont exagérés. Le ré
es mouvements réflexes du membre inférieur gauche sont exagérés. Le
réflexe
crémastérien est très exalté. Il y a une augmen
mastérien est très exalté. Il y a une augmentation très marquée des
réflexes
rotuliens des deux côtés, mais surtout à gauche
l se fati- guait, et surtout le membre droit. 11 y a exaltation des
réflexes
rotuliens des deux côtés, mais un peu plus gran
ment guéri. Il y avait, toutefois, un certain degré d'exaltation du
réflexe
rotulien droit, qui seul trahissait pour ainsi
el (20 juillet 1886). Très léger boitement à droite, exaltation des
réflexes
et trépidation épileptoïde. Diminution de la se
le membre droit en marchant. Il y a une exaltation très marquée des
réflexes
rotuliens, plus grande à droite. Tous les mouve
e des réflexes rotuliens, plus grande à droite. Tous les mouvements
réflexes
sont un peu exagérés. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLO
rvalles éloignés, un petit tremblement qui, avec l'exaltation des
réflexes
, surtout du membre droit, constituait tout le t
mblement fasciculaire dans les muscles de l'épaule. Exagération des
réflexes
du genou. Dans tout le reste, les membres inférie
jective du côté gauche; clo- nus plantaire du même côté. Les autres
réflexes
ne sont pas exa- gérés. Tremblement fnsciculair
. Dans les observations de Zacher et de Fürstner, cette paralysie
réflexe
des nerfs vaso-moteurs s'éten- dait à une plus
s fibrillaires et fascieullaires sont loin d'être rares. L'état des
réflexes
cutanés et tendi- neux présente des variations
ctions du diaphragme, avec les résultats de leur action locale ou
réflexe
par ininzition, d'où surtout proviennent le verti
as de paralysie des membres supérieurs ni inférieurs. Abolition des
réflexes
rotuliens. Exagération de la contractilité galv
soit dans le centre vaso-moteur lui-même, soit comme manifestation
réflexe
. Du reste, quand l'érythème noueux coïncide ave
e simple, il y a lieu de penser, quand il n'y a pas infection, à un
réflexe
vaso-moteur vers la peau. En outre , l'étroites
ble d'écrire. Con- servation de sa force, exagération excessive des
réflexes
, incerti- tude dans les mouvements quand on lui
ment ; nous remarquons seulement un cer- tain degré d'exaltation de
réflexes
, ébauche du syn- drome spastique qui commençait
spéciale de chaque symp- tôme de ce syndrome. 1). Exaltation des
réflexes
roluliens. C'est un signe qui n'a manqué dans a
RVEUSE. spasmodique, mais une seule fois; tantôt l'exaltation des
réflexes
est telle que chaque coup est suivi de deux ou
ement d'adduction de la cuisse droite. Tous les autres mouvements
réflexes
provoqués par diverses excitations de la peau,
aturellement le syndrome spasmodique, c'est- à-dire, exaltation des
réflexes
, épilepsie spinale tant provoquée que spontanée
apparition. A ce mo- ment, il est presque inutile d'ajouter que les
réflexes
sont et doivent être exagérés. Il est des cas o
on n'était pas là pour constater s'il y avait de l'exaltation des
réflexes
rotuliens; toutefois, on peut affirmer que cela
ffirmer que cela ne saurait être autrement. L'exaltation même des
réflexes
dans le syndrome spasmodique, au point de vue c
, ayant laissé à titre de souvenir un certain degré d'exaltation du
réflexe
rotulien droit. Chez le malade de )'OBSERVATiON
ure, le signe de Romberg, l'incoordination motrice et l'absence des
réflexes
font absolument défaut à la forme centrale spin
ou pyramidales, c'est-à-dire myathro- phies, absence des mouvements
réflexes
, n'ont jamais existé. On a pu facilement remarq
asmodique, d ! /scampsMa)'<;'cuc[/t'e, secousses, exaltation des
réflexes
, épilepsie spinale aussi bien spontanée que provo
able des symptômes spasmodiques qui sont réduits à l'exaltation des
réflexes
et ft l'épilepsie spinale. Amélioration très gr
nt en extension pendant quelques minutes, surtout la nuit. Tous les
réflexes
et plus spé- cialement les réflexes rotuliens s
utes, surtout la nuit. Tous les réflexes et plus spé- cialement les
réflexes
rotuliens sont considérablement augmentés, surt
rarement. Les secousses sont bien plus rares et moins intenses. Les
réflexes
n'ont pas subi de grandes modifica- tions, étan
sans inclination du corps. Il y a une exaltation considé- rable des
réflexes
rotuliens. Les coups du marteau percuteur por-
e marcher dans l'obscurité. Anesthésie en plaques. Exaltation des
réflexes
rotuliens, clonus des pieds spontané et provoqué.
lémentaire qui consiste à relever brus- quement l'avant-pied. Les
réflexes
rotuliens plantaires sont très exagéré-. Un coup
1885). Allures de démarche spas- modique ci droite, exaltation des
réflexes
rotuliens, contractures passagères, secousses,
t le malade tremble de son membre gauche. Il y a une exaltation des
réflexes
rotuliens bien plus marquée à la jambe droite q
des mouvements passifs, on sent une résistance notable. Tous les
réflexes
crémastériens, plantaires etrotuliens sont très
r le membre droit. Il y a une exaltation très marquée de tous les
réflexes
facilement constatable par les procédés les plus
lle avec symptômes carac- téristiques du tabès (oculaires, perte du
réflexe
ro- tulien, douleurs, ataxie, etc.) le diagnost
cervelet servant de facteur intermédiaire (épilepsie symptomatique
réflexe
)'. Pour M. Hitzig2, « les mouvements irrésistib
r ainsi de longues années en station, la sensibilité cutanée et les
réflexes
persistant intacts. Les membres inférieurs sont
ve, troubles de la sensibilité cutanée, diminution et abolition des
réflexes
tendineux. P. K. XXIII. Un cas DE paralysie pro
urs dans les jambes qui oscillent pour un rien; absence à droite du
réflexe
tendineux patellaire, miction involontaire goutte
l'excitabilité galva- nique et faradique ; notable exagération des
réflexes
tendineux. Les contractions sont et toniques et
moitié gauche du larynx, avec anesthésie et perte de l'excitabilité
réflexe
. Nystagmus rota- toire en regardant de côté. Ev
. Essai de sémèiologie. Deszoi, : Déviations de la taille d'origine
réflexe
. Laurent : De la méthode révulsive dans le trai
me. Colin : De la nature infectieuse du tétanos. Nimère : Perte des
réflexes
tendineux dans le diabète sucré. - Ilamaide : C
nt grosses et font saillie dans l'isthme du gosier. Il n'y a pas de
réflexe
pharyngien. Le menton est rond, très régulier
un peu moindre à droite. Il est impossible de. constater l'état des
réflexes
, l'enfant rai- dissant ses jambes malgré elle.
et de celle du trijumeau : il ne peut fermer l'aeil, est privé du
réflexe
palpl'hra], de l'action trophique des fibres du t
partielle des deux extenseurs propres du gros orteil. Intégrité des
réflexes
tendineux et de la sensibilité, mais il y a eu
iiduc. L'intégrité des triceps fémoraux explique la persistance des
réflexes
palellairrs. Mais ce serait aussi une forme aty
s de la prédisposition né, ropalhir¡ue et rIe l'h prrexcila- hilité
réflexe
, des altérations insignifiantes suffisent à décha
vêt la forme de torticolis .mental avec geste antagoniste..Mai* les
réflexes
sont exagérés des deux côtés. La ponction lombair
nt long entre l'incitation volontaire el le début du mouvement. Les
réflexes
tendineux, peu exagérés au membre inférieur, so
nt de sensations pal'eslhésiqul's des extrémités, d'aho- liliou des
réflexes
acbilléens,de diminution des renexesrotutiens,
atrophie rapide, amaigrissement des quadriceps et marche difficile.
Réflexes
tendineux abolis, contractions lilrrillai- res,
ont très faibles et très lentes. Relevons enfin une exagération des
réflexes
rotuliens. A côté de ces troubles, le malade ac
l'oeil, il rentre dans les centres des mouvements involontaires ou
réflexes
ceci- tés par les représentations visuelles. Qu
ntre sous corticatproprededivergencedesyeuxjouant le rôle de centre
réflexe
, en relation avec les mêmes noyaux des nerfs ab
de la scissure de sylvius avec la première temporale ; il doit être
réflexe
, en relation avec le cen- tre cortical de la vu
'un il ferme involontairement l'autre. Et, par contre, la fermeture
réflexe
des paupières demeure intacte. Ce symptôme pren
tions conscientes et volontaires d'un délirant cou- doyer le spasme
réflexe
d'un malade agité de secousses convulsivcs. Alo
t pé- ('iphériqul',dans l'aorte.11 est donc non le nerf sensitif ou
réflexe
du myocarde, mais le nerf sensitif de l'aorte.
- terne, le nerf dépresseur. Cette excitation diminue, par action
réflexe
, l'activité du centre vaso-moteur. Les vaisseaux
pression des troncs nerveux, de réaction dégénérative, l'allure des
réflexes
, tout cela élimine une lésion des nerfs. Tout por
ment inten- tionnel, parole stridente et saccadée ; exagération des
réflexes
tendineux et réflexe de Rabinski, nystagmus. L'
arole stridente et saccadée ; exagération des réflexes tendineux et
réflexe
de Rabinski, nystagmus. L'intelligence est norm
me famille paraissent nor- maux mais ont de l'exagération de divers
réflexes
: ce qui indi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 24
ectricité donne des rendions nor maies. L. \\" \\\1'. - Epilepsie
réflexe
par rétrécissement spasmodi- que de l'oesophage
idemment i·ltilt·ltti- ques (perle de connaissance, etc.), qui sont
réflexes
, car ils ne se montrent que pendant le repas so
e Vhalistérése inflammatoire ; T cela n'a rien d'extraordinaire, de
réflexe
; c'est dû il l'ostéomyé- lite, à rh) pl'¡'élli
nsèques de l'oeil n'est établie, pas plus que l'immobilité purement
réflexe
des pupilles avec conservation de l'accommodati
onnel avec démarche légèrement spasmodique, exagération de tous les
réflexes
tendineux, clonus du pied et nystagmus. Il s'ag
présomption d'atteinte pyra- midale consiste dans l'exagération des
réflexes
. La malade pré- seule l'écriture spéculaire spo
Diminution simple de la contraclililé faradique el galvanique. Les
réflexes
sont exagérés sans qu'on constate d'ailleurs ni
ni alaxie, ni signe de Homberg, ni dysarthrie. Mais l'abolition des
réflexes
achilléens eL rotuliens persiste, ainsi qu'une at
auclie présente une taie ancienne et centrale de la cornée ; les
réflexes
irions sont normaux ; il existe quelques opacités
ammaires sont douloureuses au palper, surtout du côté gauche. Les
réflexes
rotuliens et triripitaux sont il peu près égaux d
ce. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES LVI.- Un
réflexe
auriculaire ; par W. Alter. (Neurolog. CantmslG
branche antérieure de l'auriculaire postérieur du facial, c'est un
réflexe
. 11 manque, chez les gens bien portants et chez
es de la face aux muscles de l'oreille. 11 peut arri\er que la zone
réflexe
soit plus étendue et que la piqûre du territoir
e lixe à la- pointe de la corne latérale. P. KERAVAL. ' LXVll. Du
réflexe
acromial ; par W. de BECHTEREW, (Ne/(- 9-olog.
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 207 LXYII1. Du
réflexe
lombo-fémoral ; par W. RECHTEREW. (Neurolog. Ce
log. Centralbl. XXI. 1902.) C'est la répétition de l'article russe,
réflexe
sacrofémoral de /'0o : )'f ? )('/);f;<r/t VI
VI. 19011, déjà analysé.. P. Keraval. LXIX. Nouveaux détails sur le
réflexe
sus-orbitaire ; par Me. C\RTHY. - Réplique à Hu
l, Ce¡¡(rlllbl, XXl. 1\J0 ? ) L'l1u[PllI' t'ail rl'ml1rquer que Il)
réflexe
qu'il a décrit est non une réaction musculaire,
on n'est pas, au reste, la réaction Iibrillaire de MacCarthv·. Le
réflexe
sus-orbitairc n'a pas lieu quand le sus-orbitaire
. Ces cen- tres primaires procédaient non seulement à des processus
réflexes
inconscients, mais à des processus psychiques a
que les centres sous-corticaux ont servi de préférence àl'ac- thite
réflexe
inconsciente. La division du travail avec les wen
hatique de Marie et Guillain. 11.(. LXXVlll. -- Etude graphique des
réflexes
plantaires à l'é- tat normal et dans quelques a
AB.11>IE. (Nouv. Iconogr. de la 8(ilpèt-iè)-e, n° 1, la04.) Le
réflexe
plantaire peut se décomposer, au point de vue ana
.(yttf{X, sié- geant dans les muscles qui agissent sur les orteils,
réflexe
plantai- crural dans les muscles de la cuisse,
les orteils, réflexe plantai- crural dans les muscles de la cuisse,
réflexe
plccnti-tibial dans les muscles de la jambe. L'
réflexe plccnti-tibial dans les muscles de la jambe. L'étude de ces
réflexes
à l'aide du m)o- graphe et d'après une techniqu
ue et clinique.. L'a- nalyse graphique de ces différents mouvements
réflexes
montre que l'extension du gros orteil - signe d
t qu'à la goutte. Prise d'un accès de colère, elle subit par action
réflexe
de la congestion cérébrale généralisée ; mais l
rs 1903. P. Keraval. LXI11. Le premier symptôme et l'importance des
réflexes
achilléens dans le tabès; par S. Goluflam. (Neu
seules plus de dix ans avant que les signes objectifs lini- mobihte
réflexe
des pupilles, absence du réflexe du tendon d'A-
les signes objectifs lini- mobihte réflexe des pupilles, absence du
réflexe
du tendon d'A- chille d'un cote, troubles de la
nt troublent la nutri- tion du patient. Comme le dit Habinski, le
réflexe
du tendon cl'.I cleille a une plus grande impor
réflexe du tendon cl'.I cleille a une plus grande importance que le
réflexe
patellairp, car il est plus souvent altéré que
n stade précoce, avant même l'apparition du signe de \1'usLphal. Le
réflexe
achilléen a la même valeur physiologique que le
usLphal. Le réflexe achilléen a la même valeur physiologique que le
réflexe
patellaire. P. KERAYAL. LXI\ ? Contribution c
t la sensibilité thermique au niveau de la main (1). Adroite, les
réflexes
abdominaux du bras et du poignet, du genou etdu
, ont également disparu dans la moitié droite. Il en est de même du
réflexe
pharyngien. Du côté de la motilité, on ne note
tains idiots, réduits iL la moelle et au bulbe, et par suite aux
réflexes
rudimentaires, se sont. dans l'évolution embryo
otule demeurant inactives, on lit agir le vihratcurelecfrique ; les
réflexes
patellaires et achil- ]{'ens repal'lIl'l'nL Le
es seanccsal'aided'unvibrateurpuissant faisaient re- apparaître les
réflexes
. Agissant dès lors tantôt sur le genou droit, 3
malade sortit guéri conservant seule- ment un peu d'exagération des
réflexes
. Au point de vue du traitement sérothérapique M
1 ? Juin 1305 No 114 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Le
réflexe
lumineux dans la paralysie généràTÎ, Par le \)'
on. Tous, en effet, avaient suivi Musch qui le premier étudia les
réflexes
dans la paralysie générale mais qui se borna ;i
Ainsi nous procédâmes et sur 30 paralytiques nous avons examiné les
réflexes
irions du début à la fin de la périencéphalite
car il.mous a semblé qu'il était inutile de rechercher l'état du
réflexe
quand aucune modification ne se reproduisait ni a
r maladie, mais encore d'indiquer combien parmi eux conservent le
réflexe
toujours normal et combien toujours anormal. de
rcourue tout entière est quant, à la normalité et à l'anormalité du
réflexe
: le réflexe lumineux dans I.1 paralysie généra
tière est quant, à la normalité et à l'anormalité du réflexe : le
réflexe
lumineux dans I.1 paralysie générale, 1L) 420 C
bservé, j'ai tout lieu de ne pas croire il l'abolition d'emblée des
réflexes
iriens dans la paralysie générale. J'estime qu'
absolue, il faudrait avoir la pa- tience et le loisir d'examiner le
réflexe
tous les jours et même plutôt deux fois qu'une
bas dans un autre ta- bleau ; il en résulte que si on ne cherche le
réflexe
qu'une fois, on a toutes les chances de le trou
éa- lité, l'exagération seule manque a la phase ultime ; quand le
réflexe
est altéré, ce qui est le cas presque constant,
nce vis-a-vis du corps étranger est la diminution de la sensibilité
réflexe
du pharynx jointe à la diminution de la sensibi
\11'll. \. F. XV, l'.104,nom9.) L'auteur s'occupe successivement du
réflexe
lumineux galva- nique, de sa méthode d'examen p
n rapport avec les processus nerveux et psychi- que des aliénés, du
réflexe
cortico-céréhral de la pupille, enfin du phénom
é précède l'effet moteur. Ce mou- vement irien est-il l'analogue du
réflexe
à la lumière de la pu- pille ? Cette explicatio
est soumise àun éclairage intense, et,en même temps, sa sensibilité
réflexe
s'épuise ; c'est l'inverse pour la fer- meture
mi lesquelles des médecins, M. Cumke conclut, en ce qui concerne le
réflexe
pupillaire ro)'cM)'c'6;Yf ! : 1° La di- mension
anique, fermer la paupière et quand la paupière se ferme par action
réflexe
. La pupille se di- late quand il y a excitation
stacle mécanique, ainsi qu'à l'occasion delà ferme- ture palpébrale
réflexe
émanée du nerf optique ou du trijumeau. La cont
pupilles qui survient en l'espèce est généra- lement surchargée du
réflexe
lumineux et simultanément entra- vée par toute
oit à l'artério-sclérose géné- ralisée. De Grandmaison a étudié les
réflexes
de ces malades. Peken, puis Peinard, ont décrit
rt cachectique ; signes généraux des contractures : exagération des
réflexes
rotuliens ; trépidation épileptoïde, clonus de
ion de la fente palbébrale et enfoncement de l'mil sans trouble des
réflexes
lumineux, et à gauche une anesthésie totale y com
iblesse, de l'insomnie. Bientôt la démarche devint spasmodique, les
réflexes
s'exagé- rèrenl, le clonus se ntuulra avec lége
obilisation des globes en dehors, léger nystagmus sans troubles des
réflexes
ni de l'acuité., Sur cinq enfants vivants, troi
de la face et des membres, aucun trouble de la sensibilité, ni des
réflexes
ni des vasomoteurs. Une lésion de l'angle bulbo
au traitement de l ? par le sé- rum sanguin, par Gerhartz, 150.
réflexe
par rétrécisse- ment spasmodique de l'rosa, p
ioli, 330. générale, Voir jVeK)'o./7& ? 7/M. Géné- rale. Voir
Réflexe
. Bulbo- spinale asthénique, 455. Obser- vatio
392. REcKLimGU.»sr.x. Maladie de , par Chiray et Coryllos, 251.
Réflexe
. Un auriculaire, par Aller, 290. Du acromial,
, nerveux. Voir Préparations histologiques. -, pyramidal. Voir
Réflexes
. Tabès. La genèse du -, par Pandy, 243. avec
s le domaine moteur du trijumeau, par P. Marie et Léri, 249. Voir
Réflexes
. Accidents syphilitiques Pc n- dant le-, par
il mène de- puis quelques mois, ou pour quelque autre raison. Les
réflexes
rotuliens sont presque abolis ; les réflexes achi
lque autre raison. Les réflexes rotuliens sont presque abolis ; les
réflexes
achilléens et tricipi- taux sont très affaiblis
e. Il existe une sensible dilatation pupillaire de deux côtés. Le
réflexe
lumineux et le réflexe accommodateur de l'iris so
ible dilatation pupillaire de deux côtés. Le réflexe lumineux et le
réflexe
accommodateur de l'iris sont presque abo- lis à
entation du diamètre antéro-postérieur du thorax, la diminution des
réflexes
tendineux surtout des rotuliens, qui sont presque
pas d'obtenir à ce point de vue des renseignements plus précis. Le
réflexe
rotulien est conservé bien que le mouvement de la
e une contraction des adducteurs et du droit interne de deux côtés (
réflexe
contra-latéral de Pierre Marie). CONTRIBUTION
e Pierre Marie). CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTEOMALACIE 37 Le
réflexe
achilléen ne se produit pas (à cause de la rétrac
neuse ( ? ) du côté droit et de la paralysie du côté gauche). Les
réflexes
tricipitaux existent. Les réflexes massétérin et
a paralysie du côté gauche). Les réflexes tricipitaux existent. Les
réflexes
massétérin et zygomatique sont exagérés. La p
ussion des différents autres muscles détermine leur contraction. Le
réflexe
plantaire ne se produit pas. ' La percussion de
liose et en même temps une paraplégie avec pied-bot, exagération du
réflexe
rotulien mais sans troubles de la sensibilité et
l'opinion que cette der- nière serait la conséquence d'un phénomène
réflexe
à point de départ ovarien et grâce auquel il se
t les signes de polynévrite, et en particulier, l'abo- · lition des
réflexes
rotuliens. « Souvent la presbyophrénie (1) s'ob
e service, atteint d'une hémiparésie gau- che, avec exagération des
réflexes
tendineux, plus marquée à gauche, signe de Babi
le est légèrement euphorique. Signes de polynévrite : abolition des
réflexes
rotuliens et achilléens, douleurs à la malaxati
aux questions, parle avec une abondance intarissable. Diminution des
réflexes
réfutions et disparition des achilléens, douleu
onnaître dans l'assistance un médecin étranger qu'on lui désigne.
Réflexes
rotuliens et achilléens normaux. Pas de signes de
ourrait se contenter de ce diagnostic, si l'examen systématique des
réflexes
ne mettait en évidence un autre élément : la po
ra- dique et galvanique dans les muscles atrophiés. Exagération des
réflexes
tendi- neux aux membres inférieurs. Le système
bjectivement normal ; il existe pourtant une faible exagération des
réflexes
rotuliens. -- Le compte-rendu de l'autopsie, fa
a gauche. ; les pupilles ne réagissent pas à la lumière. Absence de
réflexes
rotuliens. Ataxie des extrémités inférieures ;
ans la sphère sensitive ou motrice, sauf une faible exagération des
réflexes
tendineux. 23° Troubles trophiques. Dans presqu
seulement. La sensibilité se conserve presque partout intacte, les
réflexes
existent du côté sain. Il n'y a aucun signe de
x aisselles, au pubis. Les orteils ont une teinte asphyxique. Les
réflexes
rotuliens sont normaux, ainsi que les différents
e, INJECTIONS JUERCURIELLES ET HÉMIPLÉGIE 1 (¡5 avec abolition du
réflexe
lumineux du côté gauche myotique, un tremblement
tremblement marqué de la langue et des lèvres, une exagération des
réflexes
rotuliens, sur- tout à droite, une hémiparésie
rapides. Les membres inférieurs sont raides, surtout le droit, les
réflexes
rotuliens vifs et égaux des deux côtés ; il n'y
égaux des deux côtés ; il n'y a pas de trépidation épileptoïde. Le
réflexe
cutané plantaire se fait, à gauche, en flexion
ieurs, la contracture est plus marquée à gauche qu'il droite et les
réflexes
tendineux paraissent normaux. Le malade élève con
la lumière. Le côté droit du corps est fortement contracture ; les
réflexes
rotu- liens sont égaux, mais la contracture dim
mais assez souvent immobilité, le plus souvent flexion légère. Les
réflexes
rotuliens paraissent égaux des deux côtés. Dans
complet, sans déviation de la tête. Il y a hémiplégie gauche, avec
réflexe
rotulien exagéré et Babinski posi- tif de ce cô
exe rotulien exagéré et Babinski posi- tif de ce côté. A droite les
réflexes
sont normaux. 2. Coma moins profond ; mêmes sig
m- bres des deux côtés et serre assez fortement le dynamomètre. Les
réflexes
ten- dineux rotuliens, achilléens, olécràniensp
issent un peu plus brusques et plus forts à droite qu'à gauche. Les
réflexes
abdominaux existent, et le signe de Babinski es
la moitié du corps, orteil indifférent, sans exagération nette des
réflexes
tendineux. Enfin, la malade semblait atteinte d
teurs, en particu- lier, pas d'ataxieou d'asynergie ; intégrité des
réflexes
et de la sensibilité, sauf Fig. t. Obs. 1.- Pos
le côté droit de la face, pour la piqûre surtout, avec intégrité du
réflexe
cornéen. La percussion crânienne est douloureuse
é des sensibilités profondes. A gauche, très légère exagération des
réflexes
tendineux, sans le signe de Babinski, mais, ave
ée intense, des vomissements, vertiges, titubation, exagération des
réflexes
, légère exophtalmie, névrite optique bilatérale
sements, stase papillaire bilatérale, surdité gauche, abolition des
réflexes
rotuliens des deux côtés, faiblesse vésicale, a
latérale, tituba lion en station debout et marche, penche a droite,
réflexe
patellaire dr. plus fort qu'à g. Raideur de nuq
n larges carrés ou écailles bien limités par des plis profonds. ,
Réflexes
. Réflexes rotuliens exagérés des deux côtés, plus
arrés ou écailles bien limités par des plis profonds. , Réflexes.
Réflexes
rotuliens exagérés des deux côtés, plus à droite
eux côtés, plus à droite qu'à gauche. Pas de clonus vrai du pied.
Réflexes
achilléens normaux. MouVËHH Iconographie de la
l, Pal ASPECT PARTICULIER DE LA MAIN DANS LA SYRINGOMYELIE 211 Le
réflexe
cutané plantaire se fait avec flexion des orteils
taire se fait avec flexion des orteils à droite et à gauche. , Le
réflexe
crémastérien et le' réflexe cutané abdominal sont
es orteils à droite et à gauche. , Le réflexe crémastérien et le'
réflexe
cutané abdominal sont présents; à gauche le réf
astérien et le' réflexe cutané abdominal sont présents; à gauche le
réflexe
crémastérien est plus évident qu'à droite. Le r
à gauche le réflexe crémastérien est plus évident qu'à droite. Le
réflexe
du radius est aboli à droite, faible à gauche ; l
oite. Le réflexe du radius est aboli à droite, faible à gauche ; le
réflexe
du triceps brachial existe, mais très faible.
che ; le réflexe du triceps brachial existe, mais très faible. Le
réflexe
pharyngé est conservé. Les pupilles se contract
ade « névralgique » : les douleurs, les hyperesthésies, la rigidité
réflexe
des muscles dépendent de l'inflammation des mén
re penser à un étatspasmo- dique ou à une démarche lacunaire. Les
réflexes
tendineux sont conservés, ceux du poignet sont un
ux sont conservés, ceux du poignet sont un peu forts, ainsi que les
réflexes
rotuliens, mais sans différence d'un côté à l'aut
s réflexes rotuliens, mais sans différence d'un côté à l'autre. Les
réflexes
achilléens existent, les réflexes abdominaux égal
fférence d'un côté à l'autre. Les réflexes achilléens existent, les
réflexes
abdominaux également. Il n'y a pas de clonus du
flexes abdominaux également. Il n'y a pas de clonus du pied, pas de
réflexes
des raccourcisseurs. Le signe de Babinski se fa
rale. ' Au reste notre malade ne présente aucun signe de tabes. Les
réflexes
sont conservés, il n'y a pas de douleurs fulgur
2 ou 3 heures de repos. La sensibilité générale est intacte. Les
réflexes
rotulieus et achilléens paraissent normaux. La
La force musculaire des mains et des pieds est bien conservée. Les
réflexes
tendineux sont affaiblis. La sensibilité est comp
physique, par le pincement, la percussion lors de la recherche des -
réflexes
tendineux, l'excitation d'un point cutané quelc
nt parkinsonien. - Réflectivité cutanée très exagérée : ce sont des
réflexes
cutanés non adap- tés ; par exemple, un pinceme
teurs et des muscles de la face interne des jambes. Abolition des
réflexes
cutanés adaptés. Disparition du réflexe cutané
des jambes. Abolition des réflexes cutanés adaptés. Disparition du
réflexe
cutané abdominal. Phénomène de l'orteil en ex
dée, explosive. Pas d'aphonie. Pas de troubles de la déglutition.
Réflexe
massetérin conservé. Troubles psychiques. Démen
nt. 340 KTtkNNEETGrEmA Eu 1J0, apparition du clonus à gauche. Les
réflexes
tendineux sont notés comme moins vifs. L'affaib
ment la contracture en flexion du type Babinski avec abolition des
réflexes
tendineux, doul l'exagération caractérise les dég
ion caractérise les dégénérations py- ramidales, et exagération des
réflexes
cutanés de défense. En réalité, notre malade co
arder en divers sens, nous dit que très souvent il voit double. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont abolis. Les réflexes
voit double. Les réflexes rotuliens et achilléens sont abolis. Les
réflexes
abdominaux sont t conservés. Les réflexes créma
hilléens sont abolis. Les réflexes abdominaux sont t conservés. Les
réflexes
crémastériens et plantaires sont abolis. La réact
r. Il faut donc le considérer comme l'expression d'une excita- tion
réflexe
continue des extrémités des nerfs sensitifs. Forc
ntes et des retards dans l'émission d'urine. Bien que l'absence du-
réflexe
patellaire ne fut pas observée, ce tableau rapp
mais la ménopause à son début doit en être rendue reponsable. Les
réflexes
cutanés, tendineux sont normaux. Le système pil
imbriquées sur la ligne médiane. Les pupilles sont égales et leurs
réflexes
conservés. Le nez est large ;i sa hase. Les den
nsibilité sensorielle nous signalons la diminution de l'ouïe. Les
réflexes
présentent les caractères normaux. Pouls, 78 pa
vir. Trem- blements de la langue et des doigts (peu prononcés). Les
réflexes
rotuliens exagérés, celui plantaire aboli, les
s, celui plantaire aboli, les réllexes abdominaux sont normaux. Les
réflexes
pupillaires normaux. La sensibilité douloureuse
normale. Pas de trouble de la motilité, ni de la sensibilité, ni des
réflexes
. La croissance est régulière. L'intelligence es
yant la dimension d'une cerise, mais sensibles ; prostate normale ;
réflexes
génitaux abolis ; frigidité totale. Thyroïde
res des testicules syphi- litiques ; la frigidité est absolue ; les
réflexes
sont normaux. L'intelligence est faible, la mém
quide prostatique. La verge mesure 6 à 7 centimètres. Abolition des
réflexes
crémastériens, les réflexes bulbo-caverneux sont
mesure 6 à 7 centimètres. Abolition des réflexes crémastériens, les
réflexes
bulbo-caverneux sont très faibles. Pas de troub
ment atrophiée : impuissance et frigidité absolue depuis 2 ans. Les
réflexes
cutanés de la région génitale sont abolis. Aucu
de consistance normale, mais il a perdu sa sensibilité spéciale. Le
réflexe
crémastérien, faible à droite, est presque aboli
ticules atro- phiés et mousjde la grosseur d'une petite olive ; les
réflexes
crémastériens sont Nouvelle Iconographie DE la
tructure osseuse normale. Le système ne> veux est normal par ses
réflexes
et parla recherche de la sensibilité : l'oeil d
ne petite noix ; la verge est réduite dans toutes ses dimensions, les
réflexes
crémastérieus sont abolis ; pas d'éjaculations,
hémianopsie) comme les autres sens ; la sensibilité parfaite et les
réflexes
conservés aux membres et aux yeux. Le tube dige
ensibilité, sauf une paresse de la sensibilité. Pas de troubles des
réflexes
moteurs et sen- sitifs, pas de troubles sensori
il, il sent des douleurs très gran- des du côté du bassin. Tous les
réflexes
tendineux et cutanés sont abolis des deux côtés
les et réagissent à la lumière et à l'accommodation à distance. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont abolis. Les réflex
n à distance. Les réflexes rotuliens et achilléens sont abolis. Les
réflexes
cutanés abdominaux sont seuls conservés. Aux memb
anés abdominaux sont seuls conservés. Aux membres supé- rieurs, les
réflexes
sont normaux. Les sensibilités superficielles s
nous ne pouvons pas plier son genou, si le malade résiste. Tous les
réflexes
tendineux des membres inférieurs et des membres s
es inférieurs et des membres supé- rieurs sont abolis ; de même les
réflexes
cutanés, sauf que peut-être de temps en temps,
cutanés, sauf que peut-être de temps en temps, on observe un léger
réflexe
crémastérien gauche. - Quand le malade soulève
eure du vaste interne. Excitations mécaniques sans résultat. Pas de
réflexes
tendineux, ni de secousses fibrillaires ; dans
massage de ses muscles; - l'excitation mécanique ne produit rien; -
réflexes
rotulienstrès augmentés; muscles volumineux et
btient suivant les cas des résultats un peu différents : tantôt les
réflexes
tendineux existent à peine, tantôt ils sont aug
l'état normal, et que, comme nous l'avons vu chez notre malade, les
réflexes
tendi- neux ne présentent rien de pathologique.
ontinuation des mouve- ments ; elle s'accompagne d'une excitabilité
réflexe
exagérée se traduisant par l'augmentation du ph
om- prendre. C'est ainsi que le spasme, ou la contraction brusque
réflexe
du tenseur du marteau, tout étant disposé d'ail
de la sensation provoquée. Aussi était- il facile de déterminer le
réflexe
plantaire. A côté de ces troubles de la motilit
vergent (lésions musculaires) ; l'exagération excessive de tous les
réflexes
cutanés et tendi- neux, accompagnée de douleurs
alancements intentionnels de la tête et du cou, l'exa- gération des
réflexes
tendineux, la contraction musculaire para- doxa
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 91 tachant parfaitement comme les
réflexes
exagérés à la forme cérébrale (Ordenstcin, l3am
thermique, électrique du nerf olfactif ne 'provoque ni douleur, ni
réflexe
, mais bien une sensation odorante phosphorée; m
dans des conditions analogues, met en évidence la fonction motrice
réflexe
du tubercule bi ju- meau antérieur, les relatio
rche nor- male, absence de troubles du côté delà sensibilité, et de
réflexes
patellaires ; une paralysie vésicale modérée av
emeurée stàtionnaire. Le professeur Schultze rapproche l'absence de
réflexe
patel- laire de la dégénérescence des cordons p
osseur d'un fort tuyau de plume d'oie, douloureuse à la pression.
Réflexes
tendineux : faibles à droite, nuls à gauche ; -r.
moitié droite du tronc y compris les deux extrémités du même côté.
Réflexes
cutanés des deux jambes normaux ; absence de ré
du même côté. Réflexes cutanés des deux jambes normaux ; absence de
réflexe
patel- laire des deux côtés. Sensibilité électr
r celles de Vulpian qui démontrent que l'association des mouvements
réflexes
des paupières se fait par des fibres commissura
sera pas encore résolue. Ces mouvements se produisent par influence
réflexe
ou volontaire, ils supposent donc de nouvelles
un peu de tremblement général et d'incerti- tude de la parole. Les
réflexes
tendineux sont conservés, sans exagération. J
ontractées et un peu inégales. Celle de droite est plus grande. Les
réflexes
sont abolis pour la lumière et la convergence q
ditions, la station, les pieds étant rapprochés, est difficile. Les
réflexes
tendineux sont abolis, pas de douleurs fulguran
nt pas quand les mouvements se précisent pour un but déterminé. Les
réflexes
tendineux persistent sans exagéra- tion, pas de
on de se moucher fort. Les conditions du développement du vertige
réflexe
, celui que cause le bruit, les cris violents chez
que chose dans cette évolution morbide. Il en est de la sensibilité
réflexe
comme de la sensibilité acoustique : certains s
its montre qu'il y a des organismes plus disposés aux excitations
réflexes
(tabétiques), d'autres à la douleur (hypéresthé
ontaire avec les membres du côté gauche. Pas d'hé- mianesthésie. Le
réflexe
rotulien est exagéré du côté gauche. Il existe
le coma. On constate nettement l'existence d'une hémiplégie droite.
Réflexe
rotulien aboli à droite, considérablement dimin
lexe rotulien aboli à droite, considérablement diminué à gauche. Le
réflexe
au chatouillement de la plante du pied est exag
e DES mouvements DHH respiration ordinaire. Ces mouvements sont-ils
RÉFLEXES
? par AUSTIQ Flint. (The Bi-aii ? , t. IV, p. 4
liers, les mouvements inspiratoires. Ces mouvements ne sont pas des
réflexes
au vrai sens dumot; 3° la théorie du réflexe em
ments ne sont pas des réflexes au vrai sens dumot; 3° la théorie du
réflexe
empruntant la voie des pneumo-gas- triques n'es
nerf, l'augmentalion REVUE DE PHYSIOLOGIE. 235 de l'excitabilité
réflexe
qui s'observe au-dessous de la section n'est pa
d'employer la méthode de Setsehenow, qui comparait les durées d'un
réflexe
avant et après la décapitation, il emploie la m
commence l'expérience, après l'avoir laissé reposer. L'excitabilité
réflexe
se conserve pendant un temps qui varie de six à
ce du traumatisme, elles ne sauraient expliquer l'accroissement des
réflexes
, attendu que cet accroissement s'observe dans d
es nerveuses. En dernière analyse, l'augmentation de l'excitabilité
réflexe
, ou, si l'on veut, la concentration de la force
die. C'est cette irritation qui engendre d'abord des manifestations
réflexes
d'ordre vaso-moteur, puis des troubles de nutri
'à la troisième côte, à gauche jusqu'à l'ombilic. Exagéra- tion des
réflexes
cutanés. La sensibilité électrique est partout
ours après, brusquement, de paraplégie flasque avec abolition des
réflexes
, contractions fibrillaires, rétention urinaire et
que; diplopic transitoire ; surdité ; il n'est pas fait mention des
réflexes
ten- dineux que pour sa part IIadden a toujours
t la face et le tronc, sans aucun trouble de la sensibilité, ni des
réflexes
, avec les réactions électriques de l'hé- miplég
al . 2 mars. -,Même état de la motilité~et de la sensibilité. Les
réflexes
tendineux absents deux jours auparavant ont re-
malléoles de la jambe gauche. ' 1 12 na·s. Motilité, sensibilité,
réflexes
comme la veille. Mais l'oedëme limité hier au p
est complètement flasque. Il y existe une exagé- ration notablo du'
réflexe
patollaire. , ou La sensibilité est intacte com
ant. deux pu ·3trois,econaes,Soyyent, au début de l'exploration, le
réflexe
lÎc tait, très violentet après quelques .minute
é 'néuro-'1 ,...,.j ? <6'CM ? < ? est- nm phénomène de nature
réflexe
Jl) ! -,qv,n >. -M- ^iLtilï - 'i ''«. ! } " "
»' t)Ij ? ,I"i ! i Les faits,, qui plaident en.faveur,,de.la nature
réflexe
du phénomène, de, ,1'hyperexcitabilitén neuro-m
|»m ! ? f";n'iim Ot)lllJ.l'»D '31j1JH .1 -\ phénomène est de nature
réflexe
., , J')uupi')o)6/d yigiMiUil ul itiiibiioq /ii'
les antagonistes. 4 ? c) L'étude détaillée quetylousl ? qyslfite du
réflexe
, tendineux pendant la léthargie hystérique et l
quelle'1 nous i sommes' n arrives ? 'qui' fait 'de t'exagération'du
réflexe
tendineux 1 lé, premier 'degré de'L'hyperexcita
centre' nerveux. - m ,n ....' / 1. 'j -If l\) 1)( ? Un phénomène'
réflexe
normal exige, ;pour sethro- 'duire ? l'iiltégri
uivant "la'nature'de là lilly'aura'abolitio'ii ou-exaltation 'du'
réflexe
. Dans't'ataxie locomotrice, -par exemple ? les
s anté- 'rieures'so'nt'détruites et, eartàiit,, abo 1 i t l.dii des
réflexes
. '-Dans'testrychnisme au 'contraire;' l'excitab
l'excitabilité'; du centre moteur estlexaltée ; d'oùH'suit que les
réflexes
sont exagérés. '} rt(m t ! y/n rlJ· y j'}'1·I '
lilsiéurs'secridesl(3;3;=.N)i entre l'excitation ët'Icrniôuvéinnt t
réflexe
? t'.t) ')14 lllu dn'i'i iJIm- %' ! hhr")'toqqtnë
* ^phénomène- '7'ya< ? ? e neùrôlmùs- , , , , czclaare est-il un
réflexe
cutané ? ', . .' h'')t'h ? )'j ? ' lit, 1 ? 'i'
t Caluieil'avaient remarqué ce premier fait : que les- contractions
réflexes
, lorsque l'excitation 31 G PHYSIOLOGIE PATHOLOG
.«>iL ? i'«- = ! ,»->u , La, cinquième, loi de Pflü-ersurjles
réflexes
,, dit que. les mouvements ,réflexes sont locaux
inquième, loi de Pflü-ersurjles réflexes,, dit que. les mouvements ,
réflexes
sont locaux .ou généraux : et, que ceux, qui, s
phénomènederiiyperexcitabiliténeurd-musculairédans1 le cadre des
réflexes
cutanés.- Cette expérienc'e"est']a' suivante ?
* ...' · I ' ni . - 't I...' ? ll.JI w Dans l'état léthargique, les
réflexes
tendineux sont .' y <) ; ' .t , t v 1 . - Il
. , .. , i ? . ' - "I contracture., Dans l'état somnambulique, les
réflexes
. I 1 i 1 " i i ? ... - f f <tt' 4. ) t t 11
trent t ? si ? juoUrUh& ? ii.dans la catégorietdes phénomènes
réflexes
; mais, .malgré ` 4les `difficiiltést qui`e : is
insensible au chatouillement avec les ^barbes (d'une, plume. ? Les
réflexes
tendineux sont.exagerés ? Point d'épilepsie spi
s, decontractions fibril- laires et fascictilaires. Exagération des
réflexes
tendineux, delà 'T... a été revue à la clinique
e pathologie nerveuse. 355 contraction idio-musculairc. Trépidation
réflexe
. Nul chan- gement cependant dans la contractili
à celle qui permet la guérison des paralysies et des amyotro- phies
réflexes
, la guérison de la paralysie générale spinale an-
parole traînée, convulsive, chevrotante), de l'exagération dans les
réflexes
tendineux. Pachyméningite hémor- rbagique, atro
l'excitabilité est augmentée jusqu'au tétanisme, manifestation des
réflexes
associés, tel est le bilan du somnambulisme en
es deux observations publiées ont ceci de particulier que seule des
réflexes
tendineux a permis le diagnostic de l'altéralioni
ais qu'en aucun cas, la folie ne procède sympathiquement, paraction
réflexe
, delà lésion génitale. On trouve toujours d'autre
NCE REFLEXE; par,VVESTPII : 1L : XXII. Cas de psychose en apparence
réflexe
; parWESTPiiAL : Société de psychiatrie et des m
tremblements des jambes dans la station debout, de l'exagération du
réflexe
, rotulien (sans.ataxie, ni adynamie), de la pré
aniaque qui'manipule ses excréments est en proie a une excitabilité
réflexe
du cerveau qui réclame la fois un régime toniqu
délire), ou des hallucina- tions, ou ne sensations pénibles (action
réflexe
); 'en' tout cas) il' faut combattre les process
x,,(de Goll, ,Ldté LBur; dach, etc..) s'oppose à la disparition des
réflexes
tendineux; on concoi tf (j Li' i 1, tv,, aiine,
'il , ~ .1' .1 T ' "| cent dans- sa, fonction normale d'arrêter les
réflexes
.' La, , "Il Il <... j^^ ..14, i;,.........In
n pareille circonstance on puisso soutenir l'opinion de la psychose
réflexe
. M. Furstner objecte à 11. \Iendel que ses insu
e vomissement ou le lavage , d'où relâchement brutal et contraction
réflexe
violente de ses parois, ou bien réplétion énorm
départ d'actes dangereux, qui affectent le caractère de véritables
réflexes
, et excluent toute idée de responsabilité. A pr
ez les ataxiqucs ; par Balacakis. Thèse de Paris, 1883. Etude des
réflexes
tendineux tluiis la fièvre typhoïde; par PLUYAUD.
auck, 372; - des prisons, par lürn, 379 ; - psychose en apparence
réflexe
, parVestphaI.378. Psychoses et blessures de t
s et blessures de tète, 389, 393. Recensement des aliénés, 399.
Réflexes
inhibitoires (centres des), par James, 234. R
ques. Tous les mouvements de la langue sont [normaux, abolition des
réflexes
plantaires et patellaires du côté gauche. 30
isant le plus souvent, mais d'une façon intempestive, quelque geste
réflexe
ou automatique de la vie ordinaire. » Vous voye
ontraire diminution d'action des centres modérateurs des mouvements
réflexes
, centres admis par Ferrier et aussi par d'autre
vation de 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la réaction pupillaire
réflexe
. Cette atteinte des muscles soumis à la volonté
ent pathogène, il existe ou non des signes physiques. Selon que les
réflexes
psy- chiques sont accentués ou non, on emploier
lles réagissent à la lumière, pendant la conver- gence, ou par voie
réflexe
, on en note la mobilité ou l'immobilité absolue
(oculomoteur commun et grand sympathique) ; ceux de la sensibilité
réflexe
E. R. proviennent de l'at- teinte des fibres ce
e l'at- teinte des fibres centripètes. Quant à l'immobilité fixe et
réflexe
, adhuc sub judice lis est ! P. K. XX. La DURÉ
la, dans quelques cas, il est extrêmement difficile de provoquer le
réflexe
tendineux patellaire; dans un cas même on ne l'
t de ceux de la nuque ; parésie avec contracture et exagération des
réflexes
tendineux des extrémités droites, sans trouble
bres : anesthésie légère et passagère ; pas d'atrophie musculaire ;
réflexes
normaux; les sphincters gardent leur tonicité :
ans aucun point douloureux ; pas d'atrophie des membres inférieurs;
réflexes
normaux. Ici encore, sous l'influence du traite
ccompagnée de sensations particulières, toujours d'ordre subjectif.
Réflexes
normaux ; - pas d'anesthésie : - pas d'atrophie
L. (Arch. f. Psych., XVIII, 2.) - Contribution A la localisation du
réflexe
TENDINEUX PATELLAIRE, AVEC REMARQUES RELATIVES
l ne présentait de phénomène du genou qu'à droite ; à gauche pas de
réflexe
tendineux patel- laire. Or, l'autopsie révèle q
érieures, le maître lui-même fait des réserves sur la pathogénie du
réflexe
patellaire et la physiologie de la moelle à son
94 REVUE d'anatomie et DE physiologie pathologique. XX. LE langage
réflexe
; par George M. ROf3EnTSON. (The Journal of Men
gence peuvent en réalité être presque entiè- rement automatiques et
réflexes
; 2° que nous trouvons en acti- vité, dans le l
té, dans le langage, toutes les causes qui tendent à développer les
réflexes
; 3° que dans l'état de santé, il y a communément
ue dans l'état de santé, il y a communément inhi- bition du langage
réflexe
, lequel peut toutefois, dans des con- ditions e
nifestement ; 4° que dans certaines affections mentales, le langage
réflexe
s'observe sous un forme exagérée ; 5° que la vo
éflexe s'observe sous un forme exagérée ; 5° que la voie du langage
réflexe
est une voie bien organisée, qui résiste énergi
lfalblissement des facultés mentales; démarche alaxique; absence du
réflexe
du genou ; conservation des réflexes superficie
; démarche alaxique; absence du réflexe du genou ; conservation des
réflexes
superficiels; anesthésie partielle; absence de
ction des cordons latéraux, landis que d'autre part, l'abolition du
réflexe
du genou, l'ataxie, la diminution de la sensibi
mbarras de la parole, aphasie ; parésie des membres; exagéiafion du
réflexe
du genou; pupilles régulières, congestion de la
ien qu'on dut ramener à-l'asile. Les pupilles étaient inégales, les
réflexes
tendineux pal.ellaires exagérés, le tact et la
nts mer- veilleux, les bizarreries de caractère, les hallucinations
réflexes
, les sensations spinales irradiées (télégraphiq
nte rien de particulier. Intégrité de la sensibilité; intégrité des
réflexes
tendineux. Réaction dégé- nérative des muscles
n trouble de nutrition, ainsi que le montre l'épuisement précoce du
réflexe
tendineux patellaire. nI. PELMAN. lI. Riege a,
a vue, l'ouïe, l'odorat, le goût sont parfaitement conservés. Les
réflexes
rotuliens sont extrêmement faibles des deux côtés
C. entre la jambe droite et la gauche en faveur de cette dernière.
Réflexe
rotulien normal, un peu fort, des deux côtés.
le domaine du sciatique poplité externe. 182 PATHOLOGIE NERVEUSE.
réflexes
patellaires sont égaux des deux côtés. - Les réac
e bientôt à gauche et tomberait de ce côté si on ne la retenait. Le
réflexe
rotulieu est également exagéré des deux côtés.
'intervient plus, et grâce à une certaine diminution de la motilité
réflexe
. Enfin . il arrive fréquemment, au moment de la
ntéresseront seulement la peau. 1 Réactions électriques, état des
réflexes
. - Les réac- tions électriques n'ont été que pe
observation. Pas plus que la contractilité électrique, l'état des
réflexes
n'a été noté attentivement ; la plupart des obs
observations sont muettes sur ce point . Dans un cas (Rendu), les
réflexes
tendineux étaient exagérés d'une façon apprécia
rfois il a rencontré une hémianesthésie complète avec diminution du
réflexe
; dans un petit nombre de cas, il note 1 Goening
ffaire à une épilepsie franchement trauma- tique ou à une épilepsie
réflexe
. Prescription des bromures. Sup- pression de l'
oubles cérébraux. Accidents du côté de la motilité de l'oeil et des
réflexes
tendineux. P. K. XXXVI. UNE FORME particulière
accoutumés. P. K. L. Cas rare DE NÉVRITE ascendante avec paralysie
réflexe
(ex- pression consacrée) DE la moelle; par TUIS
dorsales inférieures et de la première lom- baire ; disparition du
réflexe
patellaire; démarche ataxique; signe de Romberg
; KBr 6 grammes. Il ne s'agissait pas le moins du monde d'accidents
réflexes
, puisque les mouvements naturels de la lan- gue
nt avec l'hyperhydrose droite). P. K. LVI. UN cas grave d'épilepsie
réflexe
: contracture EN flexion UNI- latérale du GROS
(Cent ? f. Ndvenh : , 1886.) Le phénomène du- maxillaire inférieur (
réflexe
massétérin) ' est un phénomène tendineux etnonp
NERVEUSE. 249 réactions tendineuses diffèrent des vrais mouvements
réflexes
des muscles volontaires en ce sens qu'elles ne
cussion des os, tendons ou autres tissus, dé- termine de véritables
réflexes
, mais la période latente de la contraction est
période latente de la contraction est alors plus lente que celle du
réflexe
tendineux normal et l'hyperexcitabililà descent
ent réagir, il ne s'agit pas le moins du monde de la propagation de
réflexes
intraspinaux, car, si on l'on prend soin d'évit
on du choc à travers les os, on voit qu'on a affaire à une sorte de
réflexe
croisé par suite de l'exa- gération de la tonic
omènes tendineux, tout en étant en relation intime avec la tonicité
réflexe
des muscles, représentent au plus haut point l'
ire, ce qui ne nuit en rien à la valeur clinique de l'allure de ces
réflexes
dans des conditions anormales. P. K. L'X. La sp
ec amaigris- sement des extrémités droites; perte de l'excitabilité
réflexe
du pharynx chez un homme de vingt et un ans. Di
oplégie externe avec ataxie des membres inférieurs, exagération des
réflexes
patellaires, chez un homme de vingt-huit ans. A
ations). Or, cette disparité précède la complète disparition de ces
réflexes
tendineux ; elle constitue en fomme un symptôme
Ce centre vésical de la couche optique a en même temps une fonction
réflexe
; il suffit de faibles excitations cutanées pou
férents troubles de la marche, de la sensibilité, du mouvement, des
réflexes
, du langage, les troubles trophiques, etc., son
ommeil, on re- marqua une diminution de la salive, une abolition du
réflexe
cornéen, une respiration plus bruyante et un po
ais sans provoquer de nausées, sans donner naissance à un mouvement
réflexe
quelconque ; des attaques hystériques caracté-
par Goltz : « Les deux animaux étaient essentiellement des machines
réflexes
errant, mangeant, buvant. Tous deux étaient ent
siun que la différence n'est pas essentielle entre la simple action
réflexe
et l'acte le plus élevé de l'intelligence, passan
Méd., t. LXI.) XLVII. DE l'immobilité fixe DES pupilles D'ORIGINE
réflexe
; par P .-J .l\IOEBIUS. -ID.; par E, HEDDOEUS. (
, 1888 et 1889.) , M. Heddoeus désigne sous le nom de sensibilité
réflexe
l'aptitude d'un oeil à conduire l'excitation lu
aptitude d'un oeil à conduire l'excitation lumineuse aux centres du
réflexe
pupillaire, il la devrait à des fibres spéciale
is. - Il convient d'après lui de distinguer entre l'engourdissement
réflexe
unilatéral caractérisé par l'égalité des pu- pi
réagissent pendant cette fonction, et l'immobilité fixe unilatérale
réflexe
de la pupille. Dans ce dernier cas, les pupille
ito- motrice directe, ce dernier agit comme organe d'excitabilité
réflexe
. P. K. XLIX. Un cas DE DÉGÉNÉRESCENCE secondair
perpétue à la période d'atrophie du tissu nerveux. L'intégrité des
réflexes
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
ccupe la partie antérieure du territoire. Ce sont là des phénomènes
réflexes
qu'il convient d'imputer aux racines ascendante
u moment où les lames de la calotte sont sol- licitées. Les centres
réflexes
de la protubérance possèdent la valeur d'une st
c ceux de l'adulte. Observation III. -- Une observation de psychose
réflexe
avec remar- ques sur le délire traumatique ou n
ngoisse, de l'agitation, avec une sorte d'aura prémonitoire. Délire
réflexe
pur chez un névropathe. Il le compare au délire
parole, hallucinations, du clonisme podalique, de l'exagération des
réflexes
patellaires. Il le rapproche d'un cas de délire
du stertor et de l'assoupissement. Les pupilles sont rétrécies, les
réflexes
cornéens disparaissent, en même temps que la fa
ue gué- rie par trépanation, par Woelckers, 239; - cas grave d' -
réflexe
par Eulenburg, 2f7; - rapports entre certaine
pour les), 457. KI)1ÉSIOETlIÉSlor.JÈRE, par Hitzig, 433. Langage
réflexe
, par Robertson, 94. Langue, convulsion idiopath
ubles psychiques, par Korsakow, î : 4; ascendante a \ec paralysie
réflexe
de la moelle, par 'l'Ilissen, 2H; - troubles me
actions ni : dégénérescence , par Rosenback, SeLtscUerbal : , 90.
Réflexe
, massétérien, pal Watte- ville, 72; - localisat
symétrie apparente. Point hyperes- thésique sur le pariétal gauche;
réflexes
rotuliens égaux des 40 pathologie NERVEUSE. d
admettre que quelquefois l'éclampsie est causée par l'irritation
réflexe
des nerfs de l'utérus ou du plexus sacré. On
t donné bref et sec et en quelques mots. Il y avait là un véritable
réflexe
. » Disons encore que le jumping semblait hérédi
ches : REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 79 néralement par voie
réflexe
des mouvements d'inspiration beaucoup plus rare
up plus rarement des arrêts on expiration. Cette variété d'effets
réflexes
s'explique par la présence de fibres inspiratrice
eut-être l'athétose a-t-elle aussi le coeur pour ori- gine : action
réflexe
par l'intermédiaire du nerf vague gauche qui se
ait en vue. Les deux premières leçons sont consacrées à l'étude des
réflexes
tendineux, aux précautions à prendre pour les r
tamment en Angleterre), que les phénomènes tendineux sont d'origine
réflexe
. Envisageant le signe du tendon rotulien dans l
hors de tout autre trouble nerveux, la coïncidence del'abolition du
réflexe
rotu- lien avec la présence de douleurs à carac
sés par la perte de la sensi- bilité, des douleurs, l'abolition des
réflexes
tendineux et la para- lysie motrice ; l'auteur
n cas de paralysie hystérique, l'auteur n'a observé l'abolition des
réflexes
, c'est là une donnée impor- tante puisqu'à elle
accès,il se produit un moment d'accalmié.fNous explorons alors les
réflexes
tendineux, et nous coiistatbnsiqu'ili'sont mani
èle'at)tpla pointe du pied, de l'épilepsie spinale. Toutefois;' les
réflexes
semblent plus forts à gauche qu'à droite, parti
lexes semblent plus forts à gauche qu'à droite, particulièrement le
réflexe
patellaire; la percussion du tendon rqtu.lie/ij
ante-sept ans. - Apoplexie; hémiplégie droite complète ; mouvements
réflexes
nuls, déviation conju- guée des yeux et du cou
re supérieur gauche paralysé, mais encore sensible ; des mouvements
réflexes
et spontanés y sont facilement produits. Membre
lacé par une masse de noyaux ayant proliféré. Id. 11f. C. XXV. Le
réflexe
du genou D\NS L pahvlysië générale; par W. Ju-
nts travaux sur la paralysie générale, a étudié avec soin l'état du
réflexe
du genou dans cette maladie; il constate d'abor
du réflexe du genou dans cette maladie; il constate d'abord que ce
réflexe
peut être normal, exagéré, diminué, ou ab- sent
t sur des hommes, il a trouvé que le groupe des cas dans lesquelsle
réflexe
était normal et le groupe de. ceux où il manqua
tement dépassaient respectivement en nombre le groupe des cas où le
réflexe
était nettement exagéré. 11 faut noter encore q
où le réflexe était nettement exagéré. 11 faut noter encore que ce
réflexe
peut varier chez le même individu à diffé- rent
i- le-provoque; on peut même quelquefois constater l'existence d'un
réflexe
, exagéré dans son étendue, tout en étant tardif
étant tardif dans son apparition. Enfin, l'activité des mouvements
réflexes
provoqués ( par. certaines im- pressions superf
a peau il est pas nécessairement en rapport^avec nnten- 1 sité du
réflexe
d(i çenou, ? "-l"l, 1 1 dit , , pi@ofoiid' k;b'
8 a'résume comme' il°suit les rapports qui existent entre l'état du
réflexe
du genou et les principaux'faits ou symptômes qui
, t 9( r (I r ( n , z ? ,'<* 1° Etiolonic. Dans le groupe ou le
réflexe
manque, c est 1 alcoo- - lisiue qûi joûëlé rolé
es, peut-être 'cëpendantùn pëumoihs marqués''daus° te groûjie ôù le
réflexe
e manque.q r ŸYbI 'I91v(,&t,9J5t : 1Su AJ)S
Uni tl> l'tlPjojll différence, elle est au profit du groupe ouïe
réflexe
, manque ? ;,«f fl r tr -'r·h /IIy h F7Jl ' JI I
esll : jles,sont untpeunplus,fréquentes dans le groupe où manque le
réflexe
; en ? revanche, les attaques ,quasi- s3,neopal
us dé fréquence, de pré- cocité fit d'intensité, dans les cas où;le
réflexe
fait défaut ? io, ciz 9° Douleur. 'Les douleurs
i'autre'sdnt'ptus souvent dimihuéés'ou absentes'dans léscas'ôù le
réflexe
fait défaût'qué`dhnsjceux où il est exagéré."0 ?
st, un peu"'plus" souvent absente ou anaiblie dans le groupe où le'
réflexe
est nul. ' ? 1;EVUDEP1'HOLOG1H IL11 ? 1LE. 21 t
du même côté. Pupilles égales, répondant, uni peu;à;la lumière; ;
réflexes
cutanés conservés; Le malademe reprend pas connai
pervertissent dans leur trajet d'entrée ou de sortie, soit que les
réflexes
mimiques s'exécutent trop facilement, la physio
genou chez 1 ? >9 p. 103 d'adulles; qu'Eulemburg a vu manquer ce
réflexe
tendineux chez 4,8 p. 100 d hommes faits (Verlu
liarcot). livperestliésie générale fréquente; hyperexcitabilité des
réflexes
. Troubles des sens ; vue : oeil morne reprenant s
ontaires est beaucoup plus prononcée lorsqu'il se sent observé. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés. L'excitabilité mé-
adie de Thomsen, nous appellerons l'attention sur l'exagération des
réflexes
qui, pourtant, n'a pas été si- gnalée dans cett
ence de tout phénomène permanent du côté du membre (exagération des
réflexes
, parésie) à la suite des crises éloigne l'hypot
e n'a pas d'anesthésie; elle a seulement une exagération notable du
réflexe
tendineux avec tendance à la trépidation spinal
aciles; mouvements communiqués complets. Pas d'épilepsie spinale;
réflexe
tendineux également développé de deux côtés. Pas
prouvent que les fibres centripètes, qui servent à la con- traction
réflexe
de la pupille, ne parcourent pas la bandelette,
s extrémités à l'occasion des mouvements voulus ; hyperexcitabilité
réflexe
et mécanique des muscles et des nerfs; contract
vée presque par- 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tout, mais les
réflexes
cutanés sont soit anéantis soit affaiblis, et l
mais les réflexes cutanés sont soit anéantis soit affaiblis, et les
réflexes
tendineux ont absolument disparu. L'atrophie mus-
, suivi d'atrophie des muscles, des extrémités, la conservation des
réflexes
tendineux, la réaction dégénérative sans traces
convulsions toniques par périodes; augmentation très prononcée des
réflexes
tendineux; tension musculaire forte; intégrité de
ophiques. Jusqu'ici l'autopsie manque. P. K. LI. SUR une convulsion
réflexe
saltatoire; par A. K,ST. (lVC2l7·Jl. Centrnl6l.
la sensibilité et de l'excitabilité électl ique ; l'exagération des
réflexes
tendineux dans les membres atteints et dans les
iii, p. 251. 3t6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. llexes cutanés, un
réflexe
crémastérien très accusé. Un traitement tonique
ateur, détermine la guérison ; elle s'annonce parla disparition des
réflexes
tendineux. P. K. l11. Sur les altérations DE te
peler les observations faites sur ce sujet par M. Richer.. Action
réflexe
. Si l'on admet, comme il parait logique de l'ad-
- laire. Dans le plus grand nombre des cas, l'auteur a trouvé les
réflexes
tendineux identiques à ceux que l'on constatait d
es et des actions est sus- pendue ; « 3° En conséquence, l'action
réflexe
par laquelle l'écorce céré- brale répond aux su
que la conscience persiste, la perception de cette action cérébrale
réflexe
et automatique donne au sujet l'impression de d
s très vives et très frappantes; « G0 Il se peut qu'une imitation
réflexe
inconsciente soit le seul phénomène mental qui
e a atteint l'écorce, exciter l'idéation et des actions musculaires
réflexes
avec ou sans conscience et d'une façon tout à f
ais non quand on la fait marcher, les yeux fer- més : la force, les
réflexes
tendineux, la sensibilité n'ont éprouvé aucune
que les cordons postérieurs demeuraient indemnes, et tandis que les
réflexes
tendineux persis- taient. Ces allures permirent
t, que ces convulsions devaieut être confondues avec des mouvements
réflexes
consécutifs à une sensation tactile violente et
nte et propagée, Hitzig répond qu'il ne connait pas de mouvements
réflexes
simplement originaires d'excitations tactiles, et
s d'excitations tactiles, et qu'il n'a jamais observé de mouvements
réflexes
qui aient quelque ressem- blance avec les effet
antes ; t. VIII, p. 90 et auties passim. 37 'f sociétés savantes.
réflexe
à l'écorce pour le reporter ailleurs sans précise
éciser autrement l'endroit. Les fibres centripètes conductrices des
réflexes
monte- raient avec les cordons postérieurs de l
aient encore dans les profondeurs et aborderaient le nouveau centre
réflexe
de Schiff ; de ce centre partiraient les fibres
ie, ni atrophie musculaire, ni contracture*. Dans quelques cas, les
réflexes
tendineux étaient exagérés au début de l'affect
ation, en pressant le ventre de certains muscles, on déchaînait des
réflexes
marqués sur des groupes musculaires éloignés. H
ensations olfactives. M. Zacher (d'Heidelberg). Sur les allures des
réflexes
dans la pa- ralysie progressive et sur les trou
pas d'ataxie, pas de troubles du sens musculaire ; conservation des
réflexes
crémastériens. Au bout de quatorze jours, améli
e la vie végétative; de là, les actes volontaires ou involontaires,
réflexes
ou réfléchis. Ici encore, c'est la loi de convuls
s et alié- listes de l'Allemagne du Sud- Ouest, 305. Convulsion
réflexe
saltatoire, 345. Corps restiforme,.79. Cortic
générale (sur la patholo- gie de la), par Wiglesworth, 201 ; (le
réflexe
du genou dans la), par Mickie, 209 ; (chez la
uements dans les genoux. 6 CLINIQUE NERVEUSE. Réflectivité. Les
réflexes
patellaires sont conservés, marqué surtout à ga
es réflexes patellaires sont conservés, marqué surtout à gauche; le
réflexe
pharyngé est exagéré. Le réflexe cor- néen exis
ervés, marqué surtout à gauche; le réflexe pharyngé est exagéré. Le
réflexe
cor- néen existe. On constate le réflexe planta
e pharyngé est exagéré. Le réflexe cor- néen existe. On constate le
réflexe
plantaire. Il n'existe pas de troubles trophiqu
pense que la douleur liée aux affections viscérales est une douleur
réflexe
due à l'irritation des nerfs périphériques qui
ntre la peau et les organes sous- jacents. Dans ce cas l'irritation
réflexe
se produit en sens contraire, voilà tout. On co
al, rétention d'urine, urticaire par pression, absence de sudation,
réflexes
cutanés plan- taires et crémastériens persistan
dation, réflexes cutanés plan- taires et crémastériens persistants,
réflexes
profonds, patellaire, ou du coude, absents. Au-
iter les con- tradictions apparentes entre les faits. P. S. X. LE
réflexe
PILOMOTEUR ou chair DE poule; par James Mac- .
lésions de la cornée. ' ' P. S. . XIII. Classification DES actes
réflexes
; par FRASER HARRIS. (Beain, part. II, 1894, p.
1894, p. 232.) L'auteur fait d'abord deux grandes divisions en : 1°
Réflexes
périphéro-moteurs et 2° centro-moteurs. Dans
iphéro-moteurs et 2° centro-moteurs. Dans les premiers il place les
réflexes
: a, excito-moteurs ; b, algio-moteurs et c, se
s : a, excito-moteurs ; b, algio-moteurs et c, sensori-moteurs. Les
réflexes
excito-moteurs comprennent les excito-musculair
ndulaires, les sensori-vasculaires et les seusori-mélaboliques. Les
réflexes
centro-moteurs com- prennent deux groupes : a,
ifficulté. Entre alors à l'hôpital où on constate : exagération des
réflexes
, paraplégie, douleurs vives et lancinantes dans
mois, paraplégie complète pour la motilité et pour la sensibilité,
réflexes
très exagérés. Rétention d'urine et des fèces.
nsibilité, force musculaire. Les. artères battent norma- lement. Le
réflexe
rotulien est exagéré des deux côtés; à droite,
ulier la pédieuse, battent normalement. Peut-être l'exagération des
réflexes
est-elle plus marquée; toutefois, la trépidatio
période delà ménopause. Les règles sont irrégulières et rares. Les
réflexes
cornéen et pharyngé sont abolis. Elle a de l'ov
s, etc. ; il croit à une auto-intoxication. A. Marie. IV. RETOUR DU
réflexe
PATELLAIRE dans LE tabès après UNE attaque D'HÉ
scendantes dans le côté de la moelle lombaire, auquel correspond le
réflexe
reparu. A. Marie. V. PSAMMOME du corps pituitai
la moitié, et leurs mouvements dimi- nués. Pas de contractures. Le
réflexe
patellaire normal peut être un peu augmenté. Le
. Diplopie. Signe de Romberg; ataxie des quatre membres; absence de
réflexes
, réflexes pupil- laires abolis; ouïe normale; g
. Signe de Romberg; ataxie des quatre membres; absence de réflexes,
réflexes
pupil- laires abolis; ouïe normale; goût; touch
ut brusque des accidents, paralysie, puis atrophie, exagération des
réflexes
dans les membres inférieurs, douleurs vives au po
00. L'analgésie existait aussi bien chez les paralytiques privés du
réflexe
tendineux patellaire que chez ceux présentant u
eulement à apprendre à parler. Tête un peu petite. Pour obtenir des
réflexes
tendineux, il faut la sur- prendre, sans quoi,
endineux, il faut la sur- prendre, sans quoi, la raideur arrête ces
réflexes
; autrement ils sont actifs. L'intelligence ne
ues. · SOCIÉTÉS SAVANTES. 145 18 avril, disparition permanente du
réflexe
patellaire du côté droit. Température vespérale
, qui pré- sente la série des phénomènes suivants : Exagération des
réflexes
rotu- liens avec une esquisse de trépidation sp
s elles-mêmes des membres dans le froid par exemple. L'excitation
réflexe
vaso-motrice est transmise le plus sou- vent au
DE RAYNAUD ET ERYTIIR0111ELALGIE. 183 spinal du centre de l'action
réflexe
, la symétrie des phénomènes. Il s'appuyait pour
seaux de la peau, mais la cause la plus active doit être une action
réflexe
vaso-constrictive très énergique provoquée par
fluence de l'émotion ou de l'idée fixe. Ils ont donc comme cause un
réflexe
dont le point de départ est dans les centres ne
exe dont le point de départ est dans les centres nerveux eux-mêmes (
réflexe
interne). Suivant que l'émotion est plus ou moi
oteur des centres médul- laires, soit à une modification directe ou
réflexe
des ganglions situés sur le trajet des fibres n
-Lespinasse). Notre cas montre d'ailleurs d'une façon très nette le
réflexe
à point de départ central (émotion, idée fixe)
remblement, résistance aux excitations électriques, exagération des
réflexes
, troubles vaso- moteurs, etc. Ces signes de név
Troubles somatiques relativement minimes (analgésie, diminution des
réflexes
cutanés) pas de troubles moteurs sensitifs ou s
nt : l'infection, l'auto-intoxication, l'épuisement, une irritation
réflexe
; 4° l'hérédité joue un rôle important, mais seco
tations répétées ; or celles-ci pensons-nous doivent être d'ordre
réflexe
, provoquées dans la grande majorité des cas par l
e par elle-même. Ces diverses causes agiraient sur la contractilité
réflexe
des vaisseaux du cerveau par l'intermédiaire de
nomi- nation. Tandis que ce dernier attribue les accès à l'action
réflexe
du pneumouasirique excité, le premier entrevoit l
ion locale surtout des ter- minaisons du nerf vague avec phénomènes
réflexes
, ne repousse pas l'idée d'une intoxication. I
s qu'une paralysie flaque des extrémités inférieures avec perte des
réflexes
patellaires, paralysie de la vessie et du rectu
des extrémités inférieures. L'auteur insiste sur la disparition des
réflexes
et la persistance de la paralysie flasque des e
ré la dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux, tous les
réflexes
cutanés et tendineux des régions sous-jacentes à
arésiées, froides, avec de 1'li-%pei,exciLatioii des muscles et des
réflexes
tendineux. Autopsie. Pie-mère épaissie. L'artère
ralysie des jambes, des bras, des muscles du tronc, disparition des
réflexes
tendineux, des réflexes cutanés, oedème des pie
bras, des muscles du tronc, disparition des réflexes tendineux, des
réflexes
cutanés, oedème des pieds et des jambes, sensib
l. Hoffiiiann. « i ' ' '"I M. Geriiardt. De la manière d'être des
réflexes
dans lca section lrcazs- verse de la moelle ? L
dant quatre ans et demi, il y eut, jusqu'à la mort, exagération des
réflexes
de la partie du corps sous-jacentt- à l'in- ter
lle survécut onze ans à cette muti- lation et, jusqu'à sa mort, les
réflexes
tendineux furent abolis dans les extrémités inf
des bains de sel tièdes. Le résultat fut extrêmement heureux ; les
réflexes
patellaires repa- rurent bien qu'encore faibles
il subit deux fois par jour le courant de Morton. Réapparition des
réflexes
patellaires, de la réaction pupillaire, dispari
ressions' tactiles tactilité généralement bonne signe de ltomberg -
réflexe
plantaire, tantôt absent, tantôt très faible ré
de ltomberg - réflexe plantaire, tantôt absent, tantôt très faible
réflexe
patellaire à gauche normal, à droite exagéré réfl
ôt très faible réflexe patellaire à gauche normal, à droite exagéré
réflexe
du tendon d'Acliille à gauche normal, à droite
pasmodique des bras et des jambes avec exagération considérable des
réflexes
profonds une légère ataxie de la jambe gauche d
tanée des cordons postérieurs n'em- pêchait point l'exagération des
réflexes
tendineux de se produire. La syringomyélie a ét
roite est.presque,toujours)plus'petite< que' lat gauche : I Les -
réflexes
pupillaires de l'oeil droit sont'aussi altérés,
te toujours en con- traction f exagérée ^c'est * un"1 trouble dés" "
réflexes
"1 par'spasme plutôt que parparalysief Cette'exa
he la malade la contracture spasmodique s'accuse notable- ment. Les
réflexes
patellaires sont très exagérés. Trépidation épi-
utanée est obtuse mais conservée sur toute la surface du corps. Les
réflexes
plantaires sont affaiblis; les membres supérieu
ts athétosiques, pas de raideur. Il y a seulement exagération des
réflexes
tendineux. La physionomie est empreinte d'hébétud
ine et qu'on la touche, la contracture spasmodique s'exagère. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés, il y a de la trépid
ralise. Pas d'atrophie musculaire. La sensibilité est diminuée, les
réflexes
plantaires n'existent pour ainsi dire pas. Les
s supérieurs sont également raides surtout quand on les touche; les
réflexes
tendineux sont aussi exagérés. Quand on lui dem
mois après, cette malade présentait de la démarche spasmodique; les
réflexes
tendineux étaient exagérés et on constatait déj
is fléchir le genou et constater une exagération considé- rable des
réflexes
rotuliens. Quand on fait mouvoir progressivement
la phalange des index commence à se luxer sur le métacarpien. Le
réflexe
olécranien est aussi exagéré; la sensibilité est
que, plus accusée du côté qui fut pris. Vient-on à recher- cher des
réflexes
? Tous sont déjà exagérés, sauf toutefois les r
- cher des réflexes ? Tous sont déjà exagérés, sauf toutefois les
réflexes
plantaires. C'est qu'en effet chez les épileptiqu
côtés. Les membres supérieurs ne sont pas encore atteints, mais les
réflexes
tendineux y sont déjà quelque peu exagérés. L'i
les genoux se touchent, les pieds sont en varus équin bien net. Les
réflexes
tendineux sont considérablement augmentés même
pupilles contractées, la droite un peu plus que la gauche, mais le
réflexe
pupillaire conservé. Pas d'anesthésie du côté g
rendre les contrac- tions convulsives involontaires et de caractère
réflexe
qui accom- pagnent parfois l'ataxie et qui ont
ysie de Landry; la netteté des symptômes sensoriels et l'absence de
réflexes
ainsi que les symptômes ultérieurs de paralysie
tablit. L'hypnotisme ne fut pas employé. L'orateur a recherché le
réflexe
pharyngien chez deux cents per- sonnes normales
ntre chez dix hystériques il existait. Ce qui enlève à la portée du
réflexe
pha- ryugien chez les hystériques une partie de
- disposés, est arrivée au degré voulu pour déterminer une action
réflexe
, les vertiges, les accès paraissent, puis le déli
ganisme diminue, l'état saburral s'amende, et bientôt les accidents
réflexes
de l'irritation des DE L'INTOXICATION DANS L'ÉP
uches hydrofaradiques sont indiquées lorqu'on veut réagir par voie,
réflexe
sur le système REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. - 463
r la nutrition, sur le système nerveux, la sensibilité cutanée, les
réflexes
sécrétoires et vaso-moteurs, mais elle a l'inconv
ent conduire a la déter- mination de l'origine des troubles nerveux
réflexes
; C . .' ' - ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 467 2
cientifiquement recherché toutes les sources possibles d'irritation
réflexe
, et qu'on n'y a pas remédié, dans la mesure où
lleurs important, avant de rechercher les autres causes de troubles
réflexes
périphériques ou d'instituer un traitement opht
importance du surmenage oculaire considéré comme agent d'irritation
réflexe
. L'examen ophtalmoscopique doit être pratiqué a
d, maladie de - et l'érythro- mélalgie, par L. Levi, 1, 102, 166.
Réflexes
, classification des actes- , par Marris, 38 ; r
. Les pieds sont douloureux. Le port de la chaus- sure est pénible.
Réflexes
tendineux normaux, égaux. Réflexes cutanés con-
t de la chaus- sure est pénible. Réflexes tendineux normaux, égaux.
Réflexes
cutanés con- servés. Etat général satisfaisan
s, elles réagissent bien à la lu- mière et à l'accommodation ; Le
réflexe
patellaire est manifestement exagéré et brusque d
nifestement exagéré et brusque des deux côtés. Il en est de même du
réflexe
achilléen. On ne constate ni trémulation épilep-
ne constate ni trémulation épilep- toïde, ni signe de Babinski. Le
réflexe
pharyngien est aboli. Réflexe crémas- térien ex
ilep- toïde, ni signe de Babinski. Le réflexe pharyngien est aboli.
Réflexe
crémas- térien exagéré. Battement rythmique des
tion de six lobes de thyroïde par jour, produisit l'exagération des
réflexes
tendi- neux et du clonus passager du pied ainsi
euse est à peu près intacte à la face antérieure des phalanges. Les
réflexes
rotuliens sont un peu exagérés. Il n'y a pas de c
u des bords supérieurs des deux trapèzes. Vertiges. Exagération des
réflexes
. Le malade se plaint en ou- SYRINGOMYÉLIE DU TY
droit. Agitation fièvre, subdélire nocturne. Abolition complète des
réflexes
rotuliens. Pas de clonus, ni de réflexe de Babi
ne. Abolition complète des réflexes rotuliens. Pas de clonus, ni de
réflexe
de Babinski. Persistance du réflexe du fascia lat
rotuliens. Pas de clonus, ni de réflexe de Babinski. Persistance du
réflexe
du fascia lata. Les pupilles réagissent bien de
ements des yeux se font dans tous les sens et sont synergiques. Les
réflexes
cornéens et conjonc- tivaux sont conservés. '
travaux les plus pénibles de son quartier. Pas de tremblement. Les
réflexes
patellaires, et idio-musculaires sont normaux.
es mollets, participation des muscles du bassin et conservation des
réflexes
patellaires pouvant faire rattacher le cas à un
ine des membres à la périphérie comme dans la myopathie. L'état des
réflexes
n'a pas mieux soutenu la critique qu'en a faite L
et Déjerine où manifestement existaient des altéra- tions de l'arc
réflexe
. Même remarque pour les contractions fibrillair
beaucoup de lenteur les objets usuels qu'on met dans sa main. Les
réflexes
tendineux sont totalement abolis aux membres supé
ont totalement abolis aux membres supérieurs et inférieurs. - Les
réflexes
cutanés plantaire et crémastérien sont normaux.
- Les réflexes cutanés plantaire et crémastérien sont normaux. Le
réflexe
abdominal est très affaibli. Pas de contraction
ostérieur du crâne. - Rétractions tendineuses. Abolition totale des
réflexes
tendi- neux. - Abolition presque complète de l'
, la fausse hypertrophie des membres inférieurs, la disparition des
réflexes
et des réactions électriques, l'absence de contra
la présence des contractions fibrillaires, l'abolition précoce des
réflexes
dans la myopathie. La disposition un peu irrégu
si s'appli- quer aux cas où l'on a trouvé une abolition précoce des
réflexes
? Tout cela, bien entendu, n'est qu'une hypothè
ide céphalo- rachidien, des troubles urinaires et une abolition des
réflexes
tendineux des membres inférieurs ; celte malade
as de signe de Romberg ; pas de claudication , pas de steppage. Les
réflexes
périostiques et tendineux sont abolis aux deux
s réflexes périostiques et tendineux sont abolis aux deux poignets.
Réflexes
plantaires vifs. Réflexes rotuliens abolis. Réf
tendineux sont abolis aux deux poignets. Réflexes plantaires vifs.
Réflexes
rotuliens abolis. Réflexe testiculaire vif à ga
deux poignets. Réflexes plantaires vifs. Réflexes rotuliens abolis.
Réflexe
testiculaire vif à gauche, normal à droite ; réfl
otuliens abolis. Réflexe testiculaire vif à gauche, normal à droite ;
réflexe
abdominal vif à gauche, normal à droite. L'ex
ts suivants : 0 G : V = 1. Acuité chromatique normale. Abolition du
réflexe
pupillaire à la lumière et à la convergence. La
es troubles oculaires avec diplopie caractérisés par l'abolition du
réflexe
pupillaire à la lumière et il la convergence à ga
périeur et du droit interne du même côté ; . . 3° L'abolition des
réflexes
rotuliens. Cet homme n'a pas eu de maladies vén
troubles oculaires, par des crises gastriques, par l'abolition des
réflexes
tendineux. Le signe de Romberg, l'incoordinatio
ar une bride. La sensibilité, dans tous ses modes, est intacte. Les
réflexes
cutanés et tendineux sont normaux. Aux rensei
che, et produite par le contact d'une boule d'eau chaude. , « Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Urines et selles invol
au dynamomètre. , Membres inférieurs. Paralysie complète, fiasque.
Réflexes
rotuliens exagérés. Anestbésie en aires. Pas de
ion organique du système nerveux. Sans doute, au premier abord, les
réflexes
semblaient plutôt exagérés et même il y avait d
en temps, une ébauche de clonus du pied. Mais cette exagération des
réflexes
était très irrégulière; elle s'accompagnait de
- ganique à tremblement. En effet, il n'y a aucune modification des
réflexes
, il n'y a même pas cette exagération des réflex
modification des réflexes, il n'y a même pas cette exagération des
réflexes
que nous avons notée chez la jeune femme. Il n'
sie ni de zones bystérogènes. Aucun stigmate d'hystérie. Tous les
réflexes
sont intacts et égaux des deux. côtés. Troubles
té très communs au contraire dans les névrites, pas de troubles des
réflexes
, sécrétoires ou trophiques, à peine quelques tr
une lésion nerveuse centrale qui s'accompagnerait d'exagération des
réflexes
ou des lésions médullaires ordinairement symétriq
ctions électriques. l'absence des troubles de la sensibilité et des
réflexes
, enfin" l'évolution générale de la maladie, jus
des troubles de la sensi- bilité, des réactions électriques, et des
réflexes
. Absents dans les tics, affection sine materia
supérieur droit. L'absence des modifications de la sensibilité, des
réflexes
et des réactions électriques chez notre malade,
e et le pied droit tend à se tourner en dehors. Au demeurant, les
réflexes
rotuliens sont égaux et normaux, de même que le
rant, les réflexes rotuliens sont égaux et normaux, de même que les
réflexes
tendineux des membres supérieurs, les réactions p
tonicité; ils se contractent bien, ne sont nullement atro- phiés.
Réflexe
rotulien conservé intact des deux côtés. - Réflex
t atro- phiés. Réflexe rotulien conservé intact des deux côtés. -
Réflexe
crémastérien normal. Sensibilité au contact e
ne ; léger nystagmus ; aucun trouble moteur du globe oculaire. Le
réflexe
pupillaire à la^lumière est supprimé; le réflexe
globe oculaire. Le réflexe pupillaire à la^lumière est supprimé; le
réflexe
à l'accommoda- tion persiste. Pas de rétrécis
trophiques. Restent alors le tabes et une myélite syphilitique. Les
réflexes
tendineux étaient conservés, il n'y avaitpas cl
e de la réunion de ces signes positifs et malgré la persistance des
réflexes
rotuliens on peut admettre un tabes fruste. IL
ipe de chacun de ces symptômes : les douleurs sont moins vives, les
réflexes
sont tantôt abolis, tantôt seulement diminués.
auche dilatée. Ptosis et strabisme con- vergent surtout à droite.
Réflexes
pupillaires. réflexes rotuliens et réflexes plant
et strabisme con- vergent surtout à droite. Réflexes pupillaires.
réflexes
rotuliens et réflexes plantaires abolis. Il y a d
rgent surtout à droite. Réflexes pupillaires. réflexes rotuliens et
réflexes
plantaires abolis. Il y a des troubles de la se
précoces, un idiot dans la descendance, la diplopie, l'absence des
réflexes
pupillaires (Babinski)], ne serait-il pas bon d
n terminant que la sensibilité cutanée est un peu émoussée, que les
réflexes
cutanés sont vifs, les réflexes pupillaires norma
utanée est un peu émoussée, que les réflexes cutanés sont vifs, les
réflexes
pupillaires normaux et les réflexes tendineux t
réflexes cutanés sont vifs, les réflexes pupillaires normaux et les
réflexes
tendineux très affaiblis. Les résultats fournis
augmentée. L'excitabilité vaso-motrice de la peau également. Les
réflexes
tendineux vifs. L'excitabilité mécanique des mu
it considérer aussi le phénomène précité comme l'analogue du spasme
réflexe
saltatoire. C'est pourquoi je ne m'en suis plus
peau et de l'excitabilité mécanique des muscles, et outre les vifs
réflexes
tendineux, l'examen somatique reste négatif.
nt re- connaissables et se distinguent nettement des actes purement
réflexes
d'origine bulbo-médullaire. Nous avons relevé,
bles de coopérer à un tic de léchage, et, de plus, la recherche des
réflexes
généraux, des troubles trophiques, vaso-moteurs
s du cheval. Rép. Vélérin., août 1903. 376 RUDLER ET CHOMEL Les
réflexes
généraux (1) sont normaux; seul le 1'éflexe lomba
sécutives sans prendre le pas. Peurs visuelles (objets blancs). '
Réflexes
normaux ; seul le réflexe lombaire est exagéré; d
as. Peurs visuelles (objets blancs). ' Réflexes normaux ; seul le
réflexe
lombaire est exagéré; dynamomètre cau- dal fort
ffectueux pour l'homme qui le soigne. Très franc, pas de phobies.
Réflexes
normaux. Pas d'anesthésie nasale. Sensibilité des
t de l'instabilité motrice et de l'im- patience dans l'isolement.
Réflexes
normaux. Hyperesthésie du nez. Mauvaise sécrétion
n de fer, automobiles). Réflectivité normale, sauf exagération du
réflexe
lombaire. Anesthésie du bout du nez et des barr
inte de l'homme se dissipe sous l'influence des bons traitements.
Réflexes
normaux; irritabilité du rein due à une ancienne
pas et se couvre alors de sueurs très abondantes. Pas de phobies.
Réflexes
normaux. Sensibilité normale du nez et des barres
l'obstacle. Affecteuse pour l'homme qui la soigne. Pas de phobies.
Réflexes
normaux. Hyperexcitabilité de l'encolure, de l'ép
bilité motrice extrême pendant l'isolement. Phobies nombreuses. '
Réflexes
normaux. Anesthésie du bout du nez et de la barre
mment à taquiner, sans les arracher,les sourcils du côté droit. -
Réflexes
normaux. Sensibilité normale, sauf celle de la la
'épingle provoque dans les deux membres inférieurs des mou- vements
réflexes
assez étendus. La déglutition est normale, la r
one de quatre travers de doigts au-dessous de l'ombilic. Mouvements
réflexes
, comme la veille. Rétention d'urine persistante
n ; elle s'est étendue à la face antérieure des cuisses. Mouvements
réflexes
très accen- tués. 10° jour. L'hyperesthésie e
uillement de la plante des pieds provoque encore des con- tractions
réflexes
dans les muscles de la cuisse. 167° jour. - Au
elle entend moins la montre à gauche; anosmie à gauche, agueusie.
Réflexes
tendineux. Rotuliens un peu exagérés; au poignet
dernière catégorie de 828 révélait chez deux sujets l'absence de ce
réflexe
tendineux. Or, l'un de ces six individus, avait e
supérieures, des troubles légers de la sensibilité, l'ab- sence des
réflexes
tendineux, rarement la rigidité et la contrac-
ifférentes de diverses mala- dies que compliquent des actes nerveux
réflexes
distincts; 2° Pour diagnostiquer et classer ces
s mêmes résultats que pour l'atrophie mus- culaire progressive, les
réflexes
tendineux du poignet existaient alors même que
pports de la trépidation épileptoïde du PIED avec l'exagération DES
réflexes
rotuliens ; par M. de FLEURY. (Revue de médecin
881, n° 8.) La trépidation épileptoïde du pied et l'exagération des
réflexes
rotuliens sont tenus pour des phénomènes du mêm
uma- tisme chronique; avec affaiblissement ou abolition des mêmes
réflexes
dans la fièvre typhoïde et sa convalescence. L'an
répidation épileptoïde du pied. Elle est sans rapport aussi avec le
réflexe
achillien. D. B. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
perte du goût, léger affai- blissement de l'ouïe, conservation des
réflexes
des deux yeux. Conjonctivite, bientôt suivie de
qu'une paralysie unilatérale du nerf en question ne supprime pas le
réflexe
palpébral spontané ou provoqué, même d'origine
r ces parties on note : intégrité delà sensibilité, exagération des
réflexes
tendineux, production de convulsions et même d'ép
rieurs à entrer en suractivité, détermine au moyen d'une excitation
réflexe
, par la voie du système vaso-moteur, l'afflux d
l'apport du sang artériel à l'écorce du cerveau, de l'excitabilité
réflexe
et de la chaleur du corps; 20 La durée de l'ac-
is une partie de son sens musculaire et de sa sensibilité, mais les
réflexes
patellaires n'ont pas reparu. Le jour suivant,
nde eut raison du spasme de la glotte et, par suite, de l'arrêt des
réflexes
thoraciques. Discussion : M. FUI : 11 ? TNE
araissent, selon lui, démontrer l'existence d'une simple excitation
réflexe
par laquelle certaines parties sont mises en mo
M. llowcst : v (d'Ileidellrer). Recherches expérimentales sur lrs
réflexes
tendineux. Ses recherches seraient aptes dès l'ab
s dès l'abord à confirmer l'hypothèse de Tschirjew, d'api es lequel
réflexes
tendineux et tonicité musculaire constituent de
s lequel réflexes tendineux et tonicité musculaire constituent deux
réflexes
musculaires ayant des voies de transmission ide
sécutivement une contraction modérée mais continue, tandis que le
réflexe
tendineux émane de l'excitation de l'appareil de
Mommsen montrent que toute circons- tance qui modifie la force d'un
réflexe
musculaire, modifie dans le même sens celle du
a force d'un réflexe musculaire, modifie dans le même sens celle du
réflexe
tendineux (section du nerf, section des racines
sculaire, Brondgcest a prouvé qu'il existe ou peut exister un tonus
réflexe
des muscles du squelette, mais il n'existe pas
temps facile de constater chez une grenouille décapitée un tonus
réflexe
, et pour les fléchisseurs de la partie postérieur
pareils centripètes par lesquels s'entre- tient l'activité du tonus
réflexe
de Brondgeest occupent le muscle lui-même; on t
onus évident. Les arguments cliniques invoqués contre l'identité du
réflexe
tendineux et du tonus musculaire ne prouvent ri
udence on arrive à régler nettement et facile- ment les allures des
réflexes
tendineux d'un homme, il est, par contre, toujo
ur le vivant; cela n'a rien d'étonnant lorsqu'on songe que le tonus
réflexe
des muscles du squelette d'un homme normal peut
nt-elles été proclamées. On a finalement objecté contre la nature
réflexe
des réflexes tendineux que cliniquement ils ne ma
té proclamées. On a finalement objecté contre la nature réflexe des
réflexes
tendineux que cliniquement ils ne mar- client p
tendineux que cliniquement ils ne mar- client pas parallèlement aux
réflexes
cutanés ; cette objec- tion n'a pas de poids po
beau dès lors frapper sur lui, il ne se produit pas de convulsions
réflexes
du triceps. Donc le simple contact méca- nique
act méca- nique est incapable, à lui seul, de produire le processus
réflexe
; il faut encore que le tendon puisse vibrer.
L L'influence du travail neruo-musculeclre et de la fatigue sur les
réflexes
tendineux et sur l'excitabilité électrique des mu
et nerfs « fatigués »; 7° au commencement du travail (fatigue), les
réflexes
tendineux sont exagérés; ils diminuent proporti
ue et peuvent atteindre une disparition complète. D'autre part, ces
réflexes
se rétablirent plus vite que l'excitabilité mus
e font considérer comme propre à un état des muscles mais pas comme
réflexe
nerveux. ' F. Kaun. VIII. De l'ataxie paralyt
s cla- vicules. Respiration diaphragmatique; abolition du pouvoir
réflexe
. ' Mort le lendemain de l'accident. Ni fracture
ion visible, le caillot sanguin, il n'en est pas de même du pouvoir
réflexe
. La sup- pression de la fonction delà moelle co
. Sensibilité générale et spéciale normale; pas d'exagération des
réflexes
. Marche régulière, normale. Le dynamomètre donne,
membre inférieur, qui est en demi flexion, raideur articulaire. Les
réflexes
tendineux sont exagérés à droite, et il existe
es de Neurologie. 2 Idem. HEbUE DE l'A'l'HUI.UUIE \EIiVEUE. 255
réflexes
tendineux patellaires, de l'intégrité de la sensi
stologique. L'épilepsie n'était que l'expression d'une excitabilité
réflexe
témoignant de l'insuffi- sance des centres d'ar
rait. 11 pose les conclusions suivantes : 10 le phénomène du genou (
réflexe
tendineux patellaire) peut être produit par cers
émoral ; - 3° comme maintenant, d'après Kronecker et Stiplin- « les
réflexes
ne sont dégagés que par des heurts répétés sur
ne s'oppose à ce qu'on interprète le phénomène du genou comme un
réflexe
. P. K. XXVII. Sur un cas de paralysie spinale s
hent aMa : aM<t ? M coHM<Mes.I. En premier lieu, l'allure des
réflexes
tendineux et cutanés, au moment ou à la suite d
e minutieuse el judicieuse aboutit aux conclusions suivantes. Les
réflexes
tendineux paraissent toujours exagérés sur la moi
itation se compliquent de phénomènes paralytiques, inversement, les
réflexes
tendineux sont plus faibles ou disparaissent co
que de la paralysie de la motilité. Relations homologues entre les
réflexes
cutanés et l'état de la sensibilité, c'est-à-di
s réflexes cutanés et l'état de la sensibilité, c'est-à-dire que le
réflexe
cutané, et en parti- culier le réflexe crémasté
ibilité, c'est-à-dire que le réflexe cutané, et en parti- culier le
réflexe
crémastérien est affaibli ou nul dans la région o
nt de la parésie motrice du même côté, de sorte que l'abolition des
réflexes
cutanés devient un signe de parésie. La genèse
e ou à distance des centres corticaux en connexion avec les centres
réflexes
de la moelle; elle n'im- plique aucunement l'id
musculaires qui très fréquemment accompagnent l'hyperexcita- bilité
réflexe
et celle-ci; les faits démontrent que ce sont de
epsie consécutive aux blessures cepttatiques, ainsi que les pshoses
réflexes
prenant leur point de dépatt L dans les cicatri
s psychoses traumatiques primitives, de même que dans les psvehoses
réflexes
, pro- portiunuellement favorable. Quinze cas de
es et d'escarres graves de décubi- tus. Ajoutons que les mouvements
réflexes
disparais- sent rapidement et que l'excitabilit
ne ôte à la polyurie un caractère de certitude complète. Le pouvoir
réflexe
du centre spinal paraît résister davantage, car
us cons- tatons son existence chez notre malade, au moins pour le
réflexe
plantaire. Les deux moitiés de la moelle ne son
ologie. Les spinaux, qui forment le premier groupe, sont réduits au
réflexe
simple; leur domaine se trouve limité à la moel
ot complet. Pour les seconds, les spinaux cérébraux postérieurs, le
réflexe
part de l'écorce cérébrale postérieure et aboutit
'excitabilité méca- nique, exagération très nette de l'excitabilité
réflexe
de la peau qui entraîne la réaction des muscles
articipent aux phé- nomènes, et il n'existe pas d'hyperexcitabilité
réflexe
du côté de la peau. Cette observation rentrerai
l existait aussidel'hyperexcitabilité cutanée, de la diminution des
réflexes
tendineux; la guérison eut lieu par galvanisati
et au repos. Sensibilité tout à fait normale; il en est de même des
réflexes
, des organes des sens, de la réaction électriqu
lards, par lllm- bius, 252. liaison et folie. par Tebaldi, 441.
Réflexes
rotuliens et trépidation épileptoide, par de Fl
Réflexes rotuliens et trépidation épileptoide, par de Fleury, 62.
Réflexes
tendineux (recherches ex- périmentales sur les)
us musculaire. Il paraît êtrè le ré- sultat d'un phénomène d'action
réflexe
permanente ! Il est probable que, de la membran
V19J}0lY 1111- »- UI"-f"lh-1' )V 'lS6l'to C /)11.. JJ : J ? (,. - i
réflexe
, et que la section. des nerfs sensitifs^ provenan
gine cérébrale; dans l'autre, d'origine spinale; dans l'un, l'arc
réflexe
dont l'intégrité est nécessaire au tonus est al
acines antérieures. II. de BOXER REVUE DE PHYSIOLOGIE I. Effets
RÉFLEXES
DE La ligature D'UN pneumogastrique SUR LE COEU
osé était intact. » Ce ralentissement du coeUl'résulte d'une action
réflexe
dont la voie est précisément le nerf en expérie
; 2° Par une section du nerf assez subite pour précéder l'action
réflexe
centrifuge, cas dans lequel il n'y a pas de ralen
ée. Le mécanisme de ces contractions spasmodiques est rattaché à un
réflexe
dans lequel l'hyperesthésie de la région anale
piqûre d'une aiguille n'est pas perçue du côté gauche du corps. Les
réflexes
peuvent être provoqués par le chatouillement 14
epuis longtemps, il semble bien démontré que souvent ces paralysies
réflexes
étaient l'expression d'une myélite dont les pre
u'il soit encore relié par les nerfs à la moelle. Cette contraction
réflexe
, si bien étudiée par les Allemands sous le nom
t dû à l'excitation électrique du biceps; le second, à l'excitation
réflexe
produite.par la contraction du triceps. Ce dern
ant, par conséquent, et c'est précisément cette seconde contraction
réflexe
du biceps qui est indiquée ici par le deuxième
e dans 'des conditions telles qu'il ne pouvait plus se produire 'de
réflexe
; aussi la courbe ne présente- t-elle plus ces
action mécanique la contrac- tion musculaire, cause déterminante du
réflexe
tendineux. }-1" 1 ? l, J - On saisit l'extrém
- PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 199 mènes,' certainement d'ordre
réflexe
, se produisent, et c'est précisément ce qui fai
mbres j inférieurs, Un¡choc"sur, le) tendon rotulien provoquait des
réflexes
pendant que des tambours explorateurs enregistr
strocnémien, puis est repoussé par le pied, grâce à la' contraction
réflexe
de ces muscles, si i ? l'H11 f . les tend de
la fig. 7 ? mais nous nous trouvons ici dans 'des conditions'où le'
réflexe
tendineux est exagéré, * et chaque contraction
jambe fig.n 1/ ,. A : J., contrac- tion'qui est elle-même d'origine
réflexe
, provoque une petite secousse secondaire des mu
14 210 PATHOLOGIE' INTERNEE ' est le point de départ du phénomène
réflexe
.' Chacun 1 , i";i .' j;u,'i'i : ,i . -h ... d
il s'agit de porter la main au visage, fait naître des contractions
réflexes
du triceps, et vice versa. il , l .i ` i Dans
é (bande de caoutchouc), elle détermine une série de contractions
réflexes
, toujours rhythmées, et de nombre à peu près, c
halations, par choc chloroformique initial, produisant la syn- cope
réflexe
ou l'apnée réflexe ; 2° avant narcose complète,
chloroformique initial, produisant la syn- cope réflexe ou l'apnée
réflexe
; 2° avant narcose complète, par choc c/¡[01'of
e s'accompagne pas de contracture musculaire. VIII. DE LA PARALYSIE
RÉFLEXE
ET DE LA NÉVRITE MIGRATRICE; par TREUB. (Archiu
tendent à rien moins qu'à ruiner de fond en comble les para- lysies
réflexes
et à montrer que la plupart d'entre elles sont
st plus excitable, indirectement (nou- velle piqûre ) ni par action
réflexe
( excitation du bout cen- tral du nerf dépresse
, soit directement (par piqûre du centre intact), soit par action
réflexe
(excitation du bout central du nerf dépresseur du
la narcotisation, l'irritatiom del'laumuqueuse1 nasale,provoqua,un
réflexe
dans la, moitié droite de la face ! et non, 1.d
la droite. Pas d'atrophie, ni de. troubles deila sensibilité. n Le
réflexe
rotulien est un peu exagéré. Rien du, côté des. m
alade pouvait marcher, mais en chancelant un peu. Pas de paralysie;
réflexe
ro- tulie,n 1 np ? naI. ,Le 11, octobre, il eut
ce 1 " -/«'" 1 s ,1 1.. 111 c tllm ? Jr ? t.ht.tt ? tt 11 cul" du
réflexe
rotunen dans le diagnostic des aneotions nerveuse
du réflexe rotunen dans le diagnostic des aneotions nerveuses du
réflexe
, rotulien dans le diagnostic des affections nerve
PATHOLOGIE NERVEUSE. 309 Erb, Wéstphal admettent que'l'absence 'du"
réflexe
tendineux est un signe patliognomonique d'ataxi
ier). M.Hughesindiquequelquescas dans lesquels il y eut absence. du
réflexe
rotulien, sans ataxie et quelques-uns dans'lesq
x observations qu'il donne, M. Hughes, conclut que : l'abolition du
réflexe
tendineux du genou a une grande valeur dans le
uelles on observetau contraire la per- sistancé ou l'exagération du
réflexe
rotulien ! " ? H. DE B. 'inc-.iq1 1 a , ! ! ) .
t très probable que les méninges sont affectées. Dans trois cas, le
réflexe
rotulien' était exagéré; dans deux, il manquait
.1` âàà ? 3%1 laire devint suffisant pour provoquer la contraction "
réflexe
de la vessie qui ne pouvait encore se faire spo
hallucination assez impérative pour dominer l'é- nergie des actions
réflexes
, si celles-ci n'étaient déjà affai- blies. Quan
t intéressants pour servir de contribution à l'étude des affections
réflexes
, et pourraient sans doute être comparés aux sym
ques de l'électri- cité sont presque tous, sinon tous, de caractère
réflexe
; 6° il est difficile de donner des indications
s membres, une impression douloureuse, sur la peau, suscitait des
réflexes
. A l'autopsie, on découvrit les deux lobes fron
n) et à la douleur, se montrait émoussée, mais la sensibilité aux
réflexes
restait normale. Les facultés intellectuelles r
côtés, il n'y a pas de paralysie ni de contracture des jambes; les
réflexes
plantaires sont normaux. Le bras gauche parait
même que le cervelet en est l'organe central d'où partent alors les
réflexes
coordina- teurs des mouvements. L. L. VII. SU
souvent, elle est due à des lésions vaso-dilata- trices directes ou
réflexes
. La vaso-dilatation est directe, lors- qu'elle
ut périphérique bien isolé de certains nerfs. Elle est indirecte ou
réflexe
, lorsque l'exitation porte sur la moelle ou le
par- tie normale, en partie quelque peu diminuée ; l'irritabilité
réflexe
n'est pas accrue; le phénomène rotulien existe la
a face et les modifications de la pupille sont des actions purement
réflexes
. Les fonctions vitales persistent un peu plus l
lques hémorroïdes. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité, ni des
réflexes
des membres inférieurs. Il est à noter que le p
fections dont les caractères principaux sont : 1° l'exagération des
réflexes
, spinaux qui se produisent soit à la suite d'ex
rshall Hall, Flechsig, Pierret, Türck qui se sont occupés des actes
réflexes
médullaires et des modifications qu'ils subissent
du docteur Shaw, il ajoute qu'il n'a pas observé chez son malade le
réflexe
tendineux. CH. F. XLV. SUR UNE FORME ENCORE PEU
; il en est de même probablement de la sensibilité à la douleur. Le
réflexe
cutané de la plante du pied existe, mais le rot
la sensibilité ni de réactions électriques aux membres inférieurs.
Réflexes
normaux. Surdité complète des deux oreilles. La
grand sympathique; d'autre part, sur les phénomènes d'épi- lepsie
réflexe
produits par des lésions irritatives plus ou moin
era la contracture per- manente dans un cas, et suspendra le spasme
réflexe
dans l'autre. En dehors de la contracture absol
s l'attaque d'hémiplégie. M. Brissaud passe ensuite à l'étude des
réflexes
tendineux, étude qui lui servira à édifier la p
es exécutées pour la plupart suivant la méthode graphique. C'est le
réflexe
du genou qui en a fait l'objet principal. L'aut
ncipal. L'auteur admet et défend par de solides arguments la nature
réflexe
de ce phénomène déjà éta- blie par Tschirjew, m
i-ci donne 32 à 3t mil- lièmes de seconde pour la longueur du temps
réflexe
, M. Bris- saud lui assigne 48 à 52 millièmes de
imenté sur des sujets atteints de tabes dorsal spasmodique dont les
réflexes
sont toujours exagérés. Voici quels sont les ca
ur aux ré- flexes tendineux dans l'hémiplégie : La durée du temps
réflexe
est moins longue du côté con- tracturé, elle es
ro ? et+/> JreJ que'temps l'obj'et de recherches .suivies sur le
réflexe
, . ,, . ,,^ aomvu' a9b« 8- ? uni"y=B;s} po^no «
)).\ ? r,u ? c<,< ire ? ? tH ? ti ? t,'i q -<t)tJf ruer le
réflexe
patellaire. Mais le malade1- déclare que ces }
f9'SfS 29'taStf9SU vA tut 29 ? S1S30SC(559;19 »»\3»'V 30juillet.-Le
réflexe
patellaire est absolumaaeabôli«"des deux côtés.
ns, fortes à,, droite. qu'à, aauche. "J- ? j.jj-Bintt.T ? )jt\ Le
réflexe
rotulien est aboli ; par instants les muscles de
gnièrexitid3hémorrhagiqaië,bondantesparrl ! anus)aAbôlitidn'dttb
réflexe
patellaire. Myosis..s*mû[ sauplaup nJ/examinai
s talons du'HlaHeabolitionrdes'fréflexes) tendineux du genou et des
réflexes
plantaires ; diminution de la sensibilité âI ?
de nature vaso-paralytique, résultant du retentisse- ment, par voie
réflexe
, de l'irritation des faisceaux radiculaires pos
entrerait dans le cadre ordinaire des phénomènes congestifs d'ordre
réflexe
, comme on les voit survenir fréquemment à la su
ais on peut objecter à ces expériences qu'il s'agit là d'une action
réflexe
, vaso-dilatatrice et non d'effets vaso-moteurs
eures, troubles de la sensibilité des mêmes régions, exagération du
réflexe
tendineux, incontinence d'urine. III. De tabe
e problématique. Enfin, il fait ressortir la disparition tardive du
réflexe
patellaire, la décroissance par zônes de la sen
veau : de là une sensation douloureuse extrême et l'exagération des
réflexes
, mais, en revanche, l'aug- mentation des résist
ations publiées en entier. P. K. LXXXV. MYOSIS spinal ET immobilité
réflexe
DE la PUPILLE ; par WILLELMERB, professeur à l'
h. of lL; New-York, oct. 1880, p. 105.) Le myosis avec immobilité
réflexe
de la pupille, signalé et décrit par Argyll Rob
sions que Vincent. Il résume ainsi ces conclusions : L'immobilité
réflexe
de la pupille, son inexcitabilité à la lu- mièr
cas de tabes ataxique; cinquante-sept fois il y avait immobilité
réflexe
absolue ; la réaction à la lumière était faible,
autres, à la période ataxique. Le myosis avec immobilité pupillaire
réflexe
existe-t-il chez des individus en bonne santé ?
thologique. Mais jamais Erb n'a vu dans ces conditions l'immobilité
réflexe
associée au rétrécissement pupillaire, et il co
à savoir que dans le myosis sénile, sans complication, la réaction
réflexe
des pupilles à la lumière est conservée. 600 RE
dimensions moyennes. Un malade, tabétique avec myosis-et immobilité
réflexe
, est réveillé par une double excitation. On l'a
ation des pupilles. Chez les tabétiques qui présentent l'immobilité
réflexe
et ordi- nairement aussi le myosis, toutes ces
ujets sains. A tous les points de vue, le mot immobilité pupillaire
réflexe
adopté par Erb est donc correct; il s'applique
lexe adopté par Erb est donc correct; il s'applique aussi bien au
réflexe
par excitation cutanée que par excitation lumineu
e que par excitation lumineuse, à la contraction qu'à la dilatation
réflexe
des pupilles. On peut dire qu'il y a abolition
latation réflexe des pupilles. On peut dire qu'il y a abolition des
réflexes
pupillaires. N'est-ce pas là un phénomène analo
ue à cet autre symptôme important du tabes ataxique, l'abolition du
réflexe
tendineux ? 2 C. T. LXXXVI. Remarques SUR la pa
arition dans un cas type d'ataxie locomotrice datant de dix ans, du
réflexe
rotulien, dont l'absence avait été dûment const
même temps qu'une amélioration générale produite par le nitrate. Le
réflexe
tendineux était mèmeplus prononcé qu'à l'état n
normal; cepen- dant l'anesthésie intense persistait. Le retour du
réflexe
concordant avec une diminution des doubles obje
nes ; elles agissent sur le système nerveux central soit par action
réflexe
, soit par l'épuisement produit par la grossesse
stence de la chorée, à la trépi- dation spontanée ou provoquée, aux
réflexes
tendineux, à l'action des métaux sur les modifi
hiff, 578. Lunettes (emploi des) dans certains cas de céphalalgie
réflexes
, par Read, 616. Lypémanie (étude clinique sur
hénie (conséquences de la), par G. Beard, 470. Névrite (paralysie
réflexe
et), mi- , gratrice, par Treub, 278. Névrite
n de la moelle dans un cas de), par B. Bramwell, 573. Paralysie
réflexe
et névrite migra- trice, par Treub, 278. Para
574. Récurrents (paralysiebilatérale des), par Ormerod, 465.
Réflexe
rotulien (abolition du), par Hughes, 308. Réu
e droite, finalement contracture en flexion des membres inférieurs.
Réflexes
tendineux forts. Rien aux membres supérieurs. A
de la malade que de son anxiété qui s'accroît pendant l'examen. Les
réflexes
rotuliens sont forts, les réflexes plantaires e
s'accroît pendant l'examen. Les réflexes rotuliens sont forts, les
réflexes
plantaires exagérés, la sensibilité est intacte
espiration dans les ictus pourrait être rapporté aussi à une action
réflexe
du trijumeau; ce phénomène a été en effet const
ans un centre sensoriel, se décharge par la moitié motrice de l'arc
réflexe
, sans le concours des fibres, qui se rapportent
s est en rap- port plus intime avec la première moitié de notre arc
réflexe
« double » et l'autre avec sa portion motrice,
de la vessie s'y ajoute. L'atrophie musculaire est peu marquée; les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Analgésie. Etat géné
ecommander le calme, de façon à éviter toutes causes d'exci- tation
réflexe
. Rechercher certaines conditions suffisantes pour
incompréhensible. La sensibilité d'ailleurs était intacte, mais le
réflexe
massétérin très exagéré provoquait une sorte de t
eur excitabilité' électrique très diminuée avec traces de R. D. Les
réflexes
du coude et du poignet étaient manifestement ex
rophiés et ne présentaient pas des troubles élec- triques, mais les
réflexes
roluliens étaient très forts et il y avait de la
te. Du reste la main droite est déjà moins forte que la gauche, les
réflexes
sont très exagérés et il y a des tremblements f
assez grande atrophie de la langue, plus marquée du côté droit ; le
réflexe
pharyngien existe ; les muscles postérieurs du
ieurs avec diminution de l'excitabilité électrique, exagération des
réflexes
, diminution de la sensibilité dans les memhres in
e ne peut pas écarter et rapprocher ses doigts. En même temps les
réflexes
tendineux sont exagérés aux membres supérieurs,
in, même le grand pectoral; aux membres inférieurs, exagération des
réflexes
rotuliens sans trépidation épileptoïde. L'excit
escence. Cette association de l'amyotrophie et de l'exagération des
réflexes
tendineux nous fait porter le diagnostic de scl
nne, non liée aux faisceaux pyramidaux, donc sans exagération des
réflexes
tendineux. Vous aurez d'avance une idée de ce c
i l'atro- phie musculaire n'est pas accompagnée d'exagération des
réflexes
tendineux; c'est la poliomyélite chronique seule
ilisme. Avec le diabète, non seulement on rencontre l'abolition des
réflexes
rotuliens, non seulement le pseudo-tabes qui ti
doigts, surtout du médius et de l'annulaire droits. Il n'y a pas de
réflexes
tendineux. La sensibilité au tact et à la tem-
arquée au niveau des extrémités. - Il n'y a pas d'exagé- ration des
réflexes
rotuliens. La sensibilité à la douleur est asse
membres paralysés étaient raides, légèrement con- tracturés, leurs
réflexes
étaient exagérés. On constatait une légère flex
ssi son traitement doit-il viser à diminuer les causes d'excitation
réflexe
(diète, occupations, médicaments). Le petit mal e
e se présentèrent des symptômes organiques tels que l'ab- sence des
réflexes
pupillaires et patellaires, l'ataxie, etc. Il fut
vie de parésie droite qui s'amende rapidement. Sensibilité intacte,
réflexes
nor- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. '147 maux à l'exception de
réflexe
patellaire qui manque absolument jusqu'à la fin
cou ; dévia- tion de la tête et des yeux à gauche avec contracture;
réflexes
patellaire augmentés. Pas de paralysie. Autopsi
he et affaiblissement des membres du même côté, langue non déviée ;
réflexe
patellaire nul ; démarche chancelante. Névrite
onvulsions fréquentes mais de natures et d'intensité variables ; G°
réflexe
patellaire tan- tôt accru, tantôt normal, souve
erventions portant sur des régions périphériques éloignées, sources
réflexes
des attaques. Le discrédit actuel de ce dé- par
brûlure dans la gorge, diminution de la sensibilité et de l'action
réflexe
du voile du palais ; crises de gastralgie et vo
nels du cerveau et qui ni'ntéressent que secondairement les centres
réflexes
subordonnés, les muscles, la peau, les os, les,in
sacrée ; elle doit jouer un grand rôle dans la diffusion rapide des
réflexes
dont le point de départ, l'impression périphé-
bres radiculaires moyennes explique bien la disparition de certains
réflexes
dès le début du tabès (réflexes tendineux, rotu
que bien la disparition de certains réflexes dès le début du tabès (
réflexes
tendineux, rotulien, etc.) : on sait, en effet,
. Ce groupe est spécialement chargé du premier temps de tout acte
réflexe
, c'est-à-dire de l'apport de l'impression périphé
ar GnOEui'NER. (1\'curoloy. Centralbl., XV, 1896.) Le vomissement
réflexe
provient d'excitations périphériques allant fra
rovient d'excitations périphériques allant frapper certains centres
réflexes
bulbaires. Ces derniers peuvent être directemen
v-térie, la neuras- thénie,le goitre exophthalmique. Le vomissement
réflexe
d'origine périphérique a pour agents excitateur
s mouvements respiratoires complètent le diagnostic. Le vomissement
réflexe
a disparu sous l'influence d'une cure à Nauheim
randes névroses. Comme dans ces dernières, polyurie et tachycardie.
Réflexes
tendineux et cutanés, vifs mais normaux. Bien a
e contractures dans les membres, pas de fai- blesse musculaire. Les
réflexes
du genou et du pied sont normaux, le réflexe ph
lesse musculaire. Les réflexes du genou et du pied sont normaux, le
réflexe
pharyngien semble conservé, de même le réflexe oc
ied sont normaux, le réflexe pharyngien semble conservé, de même le
réflexe
oculo- palpébral. Pas de strabisme, la sensibil
et non nasillarde ; le pouls, la température, tout est normal; les
réflexes
sont conservés. Etait-ce là aussi une para- lys
aps détermine une violente douleur. Je note un peu d'exagération du
réflexe
rotulien. Les renseignements donnés par la fami
s étaient allongés et inerte ? . C'était une paralysie flasque, les
réflexes
étaient conservés, la sensibilité était diminué
ensibilité, la réaction est nulle sous les courants faradiques; les
réflexes
sont ordinairement abolis, ou tout au moins dim
ous nous trouvons nettement en face d'une paralysie hystérique; les
réflexes
sont conservés. Au bout de cinq HYSTÉRIE INFANT
e présente d'ailleurs pas d'autres accidents nerveux, ni troubles
réflexes
, ni troubles de la parole. L'absence des phénom
toujours intacte; il en fut de même des sphincters, par contre les
réflexes
rotuliens furent abolis dès le commencement de
égie, sauf en ce qui concerne la paralysie du droit supérieur et du
réflexe
lumineux du côté droit. Le diagnostic de migrai
sculaire plus ou moins généralisée d'exagé- ration considérable des
réflexes
et d'affaiblissement de l'influence de la volon
émarche à apparence spasmodique, et une exa- gération manifeste des
réflexes
patellaires mais sans trépidation épileptoïde.
euro- logist, avril 1897.) E. B. XXII. Convulsions épileptiformes
réflexes
d'origine PRÉPUTI : 1LE par le Dr HODGDON. La
convulsions épileptiformes REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3 : 27 7
réflexes
se produisent consécutivement à l'irritation de c
très étroit, l'auteur pensa que ces crises pouvaient être d'origine
réflexe
et pratiqua sur-le-champ la circoncision. L'enfan
incomplète de connais- sance. Libération. P. K. XXIV. Contracture
réflexe
respiratoire; par M. EDEL. (Cent1'albl. f. Nerv
, pas de commémoratif héréditaire névropathique et hystéropathique,
Réflexes
normaux. P. Keraval. XXV. D'une forme peu con
t dues à une diminution de conductibilité desvoies motrices del'arc
réflexe
psychique ; 3° celles qu'entretient une peur au
e et à gauche, la pression de cette zone déterminant des mouvements
réflexes
, des contrac- tures brusques des quatre membres
ns digestives paraissent normales, l'enfant telle avec avidité. Les
réflexes
tendineux sont exaltés. L'enfant est toujours ass
pas pourtant la possibilité des cas d'épilepsie générale d'origine
réflexe
ou d'ori- gine toxique. - M. \1'cmFr;Ir.»IFR
omplet. Les convulsions débutaient ordinairement du côté droit. Les
réflexes
sont exagérés. La sensibilité est conservée. Hémi
ce sa danse, c'est un balancement régulier de tout le corps. Pas de
réflexes
pharyngiens, il a eu fréquemment des crises de
nerfs ne se contractent pas à la pression (signe de 131ernachi). Le
réflexe
pharyngien diminué. Le réflexe des fléchisseurs
a pression (signe de 131ernachi). Le réflexe pharyngien diminué. Le
réflexe
des fléchisseurs et extenseurs exa- géré. Le ré
en diminué. Le réflexe des fléchisseurs et extenseurs exa- géré. Le
réflexe
rotulien très exagéré. Le plantaire diminué. La
rce, des centres de coor- dination sensitivo-motrice, dont les arcs
réflexes
, plus ou moins compliqués, sont destinés à l'ex
on de la lamelle cérébelleuse. L'équilibre serait maintenu par voie
réflexe
au moyen d'exci- tations musculaires continues
que, et son étude ne vise que l'épilepsie d'origine traumatique ou,
réflexe
, la REVUE DE thérapeutique. 409 seule sur laq
ion avec le Dr Peterson; 2° il pense avoir démontré que l'épilepsie
réflexe
se rencontre dans un bien plus grand nombre de
st dans l'erreur lors- qu'il dit que la suppression de l'irritation
réflexe
ne modifie que rarement la marche de la maladie
oculaire a com- plètement guéri ou notablement amélioré l'épilepsie
réflexe
; d'autres observateurs ont constaté des résult
malade' avait pris soin d'éviter de nouvelles sources d'irritation
réflexe
; 16° il voudrait que le lecteur fût bien pénétré
oigneusement, intelligemment et vainement cherché toutes les causes
réflexes
possibles. H. DE 1\IUSGItAVE-CLAY. REVUE DE T
st que la com- plète évolution des arcs fonctionnels psycho-moteurs
réflexes
, arrêtés dans leur route physiologique à l'indi
ÉTÉS SAVANTES. 439 On constate un steppape très caractéristique. Le
réflexe
de Westphal disparu, les réflexes cutané planta
steppape très caractéristique. Le réflexe de Westphal disparu, les
réflexes
cutané plantaire et abdominal sont conservés. P
. ? VII. Quant aux phénomènes cliniques, en dehors de la perte du
réflexe
rotulien, déjà connue dans les localisations les
tales sur l'innervation vaso-motrice du foie (3e et 4e mémoires :
Réflexes
vaso-constricteurs) ; par MM. Ch.-A. François-Fra
l'homme ; par MM. E. Long et Max. Egger; Contribution à l'étude du
réflexe
pharyngien étudié sur les mêmes malades aux tro
s systèmes musculaire et arti- culaire- sont normaux, ainsi que les
réflexes
rotuliens. Du côté du système circulatoire, nou
ua non de l'alaxie. A côté de cela, dans la sclérose en plaques les
réflexes
des téguments cuta- nées manquent souvent. Sur
00 n'en présentaient plus, tandis que sur 185 personnes saines, ces
réflexes
ne manquaient que chez 25, soit 13,5 p. 100. P.
, de rigidités et de crampes de ces extrémi- tés, d'augmentation du
réflexe
patellaiie, de nystagmus, de ver- tiges violent
e; l'hérédité des caractères acquis se réduit pour lui à une action
réflexe
spéciale du système nerveux sur les cellules ge
-, par Boody, 160. 552 TABLE DES MATIERES. Emétique. Névroses -
réflexes
, par Grueuper, 233. Encéphalite hémorragique
rien pu modifier notre diagnostic. l'époque dont je vous parle, les
réflexes
tendineux étaient très exagé- rés ; il y avait
ontre, l'oedème des téguments masquait l'atrophie des muscles ; les
réflexes
tendineux, exagé- rés jusque [Il, étaient aboli
ur une partie de la poitrine. De plus si, dans l'hystérie, certains
réflexes
sont abolis, tel le réflexe pharyngé, d'autres
De plus si, dans l'hystérie, certains réflexes sont abolis, tel le
réflexe
pharyngé, d'autres persistent, ainsi le réflexe
sont abolis, tel le réflexe pharyngé, d'autres persistent, ainsi le
réflexe
pupillaire sensitif. Pitres, Onanolf 0111 bleu mi
u'on imprimait à ses membres. Le sens musculaire était diminué. Les
réflexes
étaient abolis. A l'autopsie, ou a trouvé la pa
e. Je vous ferai remarquer en outre que, depuis quelques jours, les
réflexes
tendineux, exagérés jusque l;i, sont abolis. Ce f
e aiguë infectieuse ayant abouti à la désorganisation du centre des
réflexes
. En tont état de cause, un dénouement fatal à b
é ultérieurement. UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DES
RÉFLEXES
. PAR E. LENOBLE , Interne de la Clinique de
re mydriase gauche. Ligne d'Argyll à droite. - A gauche, les deux
réflexes
sont abolis. Examen du fond de l'oeil. La papil
ophie, pas de paralysie. Pas de perte de la force musculaire. Les
réflexes
patellaires sont conservés. Il n'existe pas de
n'existe pas de trépidation épileptoïde. Aux membres supérieurs les
réflexes
sont également conservés sans aug- mentation ni
e n'en pré- sente aucun des grands symptômes. La conservation des
réflexes
patellaires n'est pas non plus une objection ir
intacte. En outre il n'y a pas de troubles des sphincters. Les
réflexes
tendineux sont exagérés. Examen du système nerv
ibilité sous ses trois formes ne présente pas de modifications. Los
réflexes
cutanés sont conservés, les réflexes rotuliens so
ente pas de modifications. Los réflexes cutanés sont conservés, les
réflexes
rotuliens sont exagérés. L'examen des yeux fait
- Les pupilles sont inégales : la pupille droite est en myosis. Les
réflexes
lu- mineux et accommodateurs sont conservés de
Fic.. 4. Trépidation du pied dans la myélite transverse. FIG. 5.
Réflexe
rotulien exagéré dans la myélite transverse. , 't
de faire inscrire à l'appareil aussi bien de fortes secousses d'un
réflexe
rotulien exagéré que les tremblements de la scl
s courbes de la majeure partie des hyperkinèses ainsi que de divers
réflexes
tendineux et cutanés en pre- nant pour objet de
u cou et de la face né présente également aucune altération. ' III.
Réflexes
. Les réflexes roluliens sont complètement abolis
face né présente également aucune altération. ' III. Réflexes. Les
réflexes
roluliens sont complètement abolis : il n'exist
asses musculaires des membres inférieurs ne sont pas atrophiées. Le
réflexe
rotulien est il peu près normal <1 gauche, exa
surdité et cécité, vertiges, démarche ataxique; conserva- tion des
réflexes
rotuliens. Intelligence intacte. Le 12 novembre
vements sont abolis. Paralysie du voile du palais avec perte de ses
réflexes
, cependant la déglutition est normale; la contrac
tonus exagéré des muscles. Il existe en effet de l'exagération des
réflexes
rotuliens et do la trépidation spinale des côté
ilité. Les ré- flexes plantaires et crémastériens sont diminués. Le
réflexe
abdominal est forint. Aux membres supérieurs,
ués. Le réflexe abdominal est forint. Aux membres supérieurs, les
réflexes
tendineux sont augmentés, il y à moins de raide
auche est plus dilatée que la droite ; des deux côtés, ab- sence de
réflexe
lumineux ; mydriase, accommodation fortement pare
is et guérit sous l'influence du traitement ' antisyphilitique. Les
réflexes
rotuliens étaient forts mais non très exagérés.
s égales, réagissant bien à la lumière et à l'accommodation ? ' \
Réflexes
rotuliens très exagérés, trépidation épileptoïde
ité de l'écriture. 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Le
réflexe
rotulien est normal à gauche ; un peu diminué à d
Le réflexe rotulien est normal à gauche ; un peu diminué à droite ;
réflexes
olécrâniens normaux. ' , A quoi donc attribue
es- sent assez vite de la fatigue dans les membres inférieurs. Le
réflexe
rotulien gauche est un peu fort ; le droit normal
n verticale, produit immédiatement la chute (signe de Romberg). Les
réflexes
rotuliens sont abolis des deux côtés. Les membr
ant sur le sol il la moindre fatigue. La malade ne peut courir. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés, surtout à gauche ;
es des cuisses et des jambes ont conservé leur volume normal. Les
réflexes
rotuliens sont très forts, surtout à gauche où il
lorsqu'elle ferme les yeux ; le signe de Romberg n'existe plus. Le
réflexe
rotulien est normal à droite, toujours un peu for
ru au début de l'affection ont reparu. Pas de signe de Romberg. Les
réflexes
rotuliens sont normaux, le gauche étant un peu
u dilatée, la droite très dilatée. Elles sont absolument immobiles (
réflexes
lumineux et accommodateur abolis). Il n'y a pas
Pas de signe de Romberg. Les ré- llexes rotuliens sont abolis, les
réflexes
plantaire et pharyngien conservés. L'atrophie d
- rents muscles de la jambe, leur impuissance est complète. ' Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés. Le réflexe cutané
nce est complète. ' Les réflexes rotuliens sont très exagérés. Le
réflexe
cutané plantaire est normal. - Il existe enfin
qu'on la répète sur l'homme. Nos anesthésiés ont donc conservé leurs
réflexes
et leur tonus. 194 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
e ces excitations, or, celle-ci ne parait pas nécessaire pour qu'un
réflexe
moteur ou tonique suive normalement l'excitation.
t l'impotence sont un peu plus accentuées qu'à droite ; à gauche le
réflexe
rotulien est aboli, à droite il persiste un peu
férieurs ; la malade ne pouvait ni marcher, ni se tenir debout. Les
réflexes
rotuliens étaient abolis, ainsi que le réflexe
se tenir debout. Les réflexes rotuliens étaient abolis, ainsi que le
réflexe
plantaire. La sensibilité à la douleur était co
utent d'une façon tout à fait normale. On en peut dire autant des
réflexes
tendineux et cutanés. Pour ce qui est de l'état
ante. A cette période d'état, elle s'accompagne d'une abolition des
réflexes
tendineux, des signes de la réac- tion de dégén
t les jambes leur devient insupportable. De même, à l'abolition des
réflexes
cutanés, qu'on observe habituellement à la péri
ement à la période d'état, peut succéder l'exagération de ces mêmes
réflexes
. Enfin à un moment donné une insomnie absolue p
manifestations céphaliques telles que l'a- maurose, l'abolition des
réflexes
pupillaires, la gêne de la déglutition, j'aurai
paupières. Une atrophie énorme s'empara des muscles paralysés. Les
réflexes
tendineux étaient abolis. Les pupilles, dilatée
tre on a constaté des troubles de la sensibilité, l'a- bolition des
réflexes
tendineux, les signes de la réaction de dégénéres
es du tronc. L'atrophie s'empara ensuite des muscles paralysés. Les
réflexes
tendineux étaient abolis. Les troncs nerveux étai
res ; elle s'est accompagnée d'atrophie musculaire, de la perte des
réflexes
, des signes de la réaction de dégénérescence.
qu'à des troubles oculaires tels que la diplopie, l'aboli- tion des
réflexes
pupillaires, l'amaurose. Bref il peut se consti
ibilité se dissipent plus tardivement encore ; en dernier lieu, les
réflexes
tendineux réapparaissent. Le retour à l'état nor-
, associée il des manifestations tabétiques telles que la perte des
réflexes
tendineux, le phénomène de Romberg, l'anesthésie,
CALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 345 ceptionnel, l'abolition des
réflexes
pupillaires ; dans les deux cas, les troubles d
portante dans le tableau morbide. Dans les deux cas l'abolition des
réflexes
tendineux est habituelle. - Quels que soient le
ue qui, par- tie du milieu du poignet, atteint l'épi trochlée. Le
réflexe
pharyngien est aboli. La malade ne présente pas d
e professeur P. Raymond, 5. Tabes supérieur avec conservation des
réflexes
(un cas de), par E. LEXOBLE, 17. Troubles tro
élique, 49. LENOBLE (E.). Tabes supérieur avec con- servation des
réflexes
, 17. LONDE (A.). Application de la méthode de
ue.de. dysenterie qui,fait.faire à,la paralysie de rapides progrès.
Réflexe
rotulien aboli, réflexe plantaire affaibli. ! E
it.faire à,la paralysie de rapides progrès. Réflexe rotulien aboli,
réflexe
plantaire affaibli. ! En novembre, le malade, p
1889. C'était un homme d'une bonne santé à. part son épilepsie.1 :
Réflexe
rotulien .normal.- La paralysie survient lentem
o- vembre. Sensibilité.; tactile.) amoindrie ? pas ! d'analgésie. t
Réflexe
rotulien aboli. - Le malade ne recommença à mar
se' tenir sur ses jambes, bien LI s1on 1- aliment.atiotil fût' e' !
Réflexe
, et rotulien aboli.' Réaction-' électrique null
5 Pas de tr6ub)ësde)a .sensibittté. Pas,'d'atrophie(-des muscles. r
Réflexes
rotuliens très* exagérés," trépidation , spinal
nomène pupillaire ; pas de troubles sensitifs, absence complète des
réflexes
rotuliens; troubles urinaires légers,,diminutio
lancinantest qui feraient penser' au tabès,'mais l'exagération, des
réflexes
i éclaire le . diagnostic. Le traitement-, écho
de faire. un seul pas ? Le. signe de Romberg est très accusé ? Les
réflexes
, patellaires sont abolis. Dpuleurs, fulgurantes
ements restreints de flexion et d'extension, sont encore possibles.
Réflexe
patellaire complètement aboli, sensibilité norm
alade a une déformation semblable d'un pied et que,, chez elle, les
réflexes
patellaires sont abolis. -L -i ' ... .. i in f
s comme le strabisme qui, eux, furent transitoires. Exagération des
réflexes
tendineux et mort par maladie intercurrente, ér
sement, vertiges, dyspnée, accélération du pouls, exagé- ration des
réflexes
, tremblements musculaires, etc. La durée des ac
ied. Croise bien les jambes; 5° Exa- gération considérable des deux
réflexes
rotuliens. Le choc du ten- don détermine non se
nt des membres supérieurs. 25 octobre 1893. Exagération de tous les
réflexes
tendineux. Trépidation du pied. Impossibilité p
rges oscillations irrégulières de tous les muscles. Conservation du
réflexe
plantaire. Le malade est arrivé à cet état grad
ans attaques congestives ni épileptiformes dans ces derniers temps.
Réflexes
pupillaires à l'accommodation et à la lumière d
z vive. Parfois, cette douleur est spontanée, avec des irradiations
réflexes
. L'origine de cette douleur doit être le plexus
derniers jours, un symp- tôme quelconque de parésie musculaire. Les
réflexes
tendi- neux ont toujours été conservés ; la réa
l of insanity, 1893.) E. B. VI. De la morphologie des contractures-
réflexes
intrahypnotiques et de l'action de la suggestio
ènes de la contracture muscu- 126 REVUE DE thérapeutique. ' laire
réflexe
, c'est-à-dire qu'une excitation quelconque de la
llant des sentiments de lumière et en même temps des mouvements des
réflexes
; la moitié nasale de la rétine possède seulemen
a moitié nasale de la rétine possède seulement des fils donnant des
réflexes
. Le follicule non croisé du nerf optique s'éten
par des filets nerveux conduisant des sensations de lumière et des
réflexes
, à la moitié temporale avec des filets nerveux do
temporale avec des filets nerveux donnant seulement des mouvements
réflexes
. Enfin, la conclusion générale de toutes les ex
xpériences et de tous les phénomènes observés est celle-ci : 10 les
réflexes
intrahypnoti- ques suivent un trajet cortical;
s fonc- tionnels vésico-rectaux, atténuation de l'hyperexcitabilité
réflexe
des membres inférieurs. Si l'on joint à la susp
ur de l'oeil, inégalité et déformation des pu- pilles, troubles des
réflexes
dans les muscles ciliaires, dans l'iris); 5° tr
euse, sans paralysie, sans nystagmus, la diminution ou l'absence du
réflexe
rotulien, la persistance des réflexes cutanés, un
la diminution ou l'absence du réflexe rotulien, la persistance des
réflexes
cutanés, une parole lente, mais bien articulée,
ra- lysie, la tonicité , musculaire augmente sans exagération des
réflexes
tendineux, une scoliose se produit ; enfin un ama
retrouvons à Bonn totalement anesthésique (cornée comprise); aucun
réflexe
pharyngien, ni selérotical. Champ visuel réduit
ent en équilibre assez facilement quand ses yeux sont voilés. Les
réflexes
sont tous conservés et d'intensité normale. Parmi
t d'intensité normale. Parmi les tendineux, je citerai notamment le
réflexe
patellaire, qui est très apparent. Les autres,
mment le réflexe patellaire, qui est très apparent. Les autres, les
réflexes
antibrachiaux et du poignet sont à peine sensib
men, au cours duquel je lui avais soulevé la robe pour explorer ses
réflexes
du genou,' elle refusa de revenir causer,avec m
t anai- blissements des extrémités, ataxie, modification des divers
réflexes
, palpitations et troubles vaso-moteurs(cyanoses
signe d'Argyll Robertson, parésie vésicale, abolition complète des
réflexes
tendineux. D'autre part, le diabète est démontr
lement intentionnel, la parole nettement scandée, l'exagération des
réflexes
tendineux, la démarche spas- - modique légèreme
l est difficile de leur fléchir la jambe étendue sur la cuisse. Les
réflexes
tendineux sont exagérés et les masses musculair
e; il y a même apnée du côté gauche. P. K. - XLVI. DES allures du
réflexe
Y.1TELL<11RE dans LE diabète sucré; par K. G
LE diabète sucré; par K. GRUBE. (Neurolog. Ccnt·albl., 4893.) Ce
réflexe
faisait défaut chez 10 malades sur 131, soit 7,6
général ni troubles trophiques, ni pied bot, en même temps que les
réflexes
rotuliens sont conservés ou exagérés et que se
tout dans l'irrégularité et l'inégalité de la voix, exagération des
réflexes
: début après vingt- deux ans par l'incertitude
tantôt ouverts, avec une fixité et une sensibilité telles que tout
réflexe
palpébral était aboli; puis racontant qu'elle a
ance du noyau est donc absolument neutrophile. P. K. T XIX. LES
réflexes
DE la rétine pendant l'hypnose; par K. SCUAFFER.
FER. (Neurolog. Centwlbl., 1893.) Nouvelle étude des contractures
réflexes
dans l'hysléro-épilepsie sous l'influence d'une
s chargées de la sensation lumineuse et simultanément des actions
réflexes
. Il n'envoie à la moitié nasale que des fibres ch
Il n'envoie à la moitié nasale que des fibres chargées des actions
réflexes
. Le faisceau entre-croisé du nerf optique droit e
it des fibres char- gées de la sensation lumineuse et des fonctions
réflexes
; il n'envoie à la moitié temporale que des fibr
n'envoie à la moitié temporale que des fibres chargées de l'action
réflexe
. Le faisceau non entre-croisé du nerf optique g
che des fibres chargées et de la sensation lumineuse et de l'action
réflexe
; il n'envoie à la moitié nasale que des fibres
n'envoie à la moitié nasale que des fibres chargées de la fonction
réflexe
. Le faisceau entre-croisé du nerf optique gauch
che des fibres chargées de la sensa- tion lumineuse et du mouvement
réflexe
; il n'envoie à la moitié temporale que des fibr
envoie à la moitié temporale que des fibres chargées de la fonction
réflexe
. L'étude de la suggestion sur les réflexes ains
s chargées de la fonction réflexe. L'étude de la suggestion sur les
réflexes
ainsi provoqués est éga- lement pleine d'intérê
le que la suggestion de la surdité à gauche supprime la contracture
réflexe
gauche, c'est-à-dire que par la modification dy
p de l'écorce auditif droit, il y a suppression de l'action optico-
réflexe
du champ visuel central droit. Evidemment les réf
ction optico- réflexe du champ visuel central droit. Evidemment les
réflexes
rétiniens sont en rapport avec le lobe occipita
sont en rapport avec le lobe occipital droit, c'est-à-dire que les
réflexes
obtenus par les moitiés rétinienne temporale de;
c'est que la suggestion de la surdité bilatérale supprime tous les
réflexes
rétiniens. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS D
ère, plus jeune que sa soeur de dix ans, offre de l'exagération des
réflexes
rotu- hens, du tremblement intentionnel, un lég
te commu- nication qu'on trouvera dans notre prochain numéro. DES
réflexes
vasomoteurs A LONG trajet dans quelques affection
t Comte (de Paris). Nous avons fait une série de recherches sur les
réflexes
vasomoteurs qui se produisent à la fois dans un
ltats constatés par nous chez les malades sont les suivants : Les
réflexes
(vasoconstricteurs) font défaut quand on porte l'
es rameaux nerveux terminaux du vestibule par lesquels l'excitation
réflexe
est transmiseaux centres cérébelleux coordinate
t le chatouillement et la paresthésie laryngés, la diminution des
réflexes
, de la sensation de contact, de la sensibilité do
l'éblouissement pour cause occasionnelle. P. K. LXII. Contracture
réflexe
DE la langue, DES LÈVRES et- DU pharynx OCCASIO
ois d'exis- tence. P. K. LXIV. Contribution A la localisation DES
réflexes
cutanés SPI- NAUX DES extrémités inférieures; p
ormuler une loi rela- tive à la localisation périphérique des zones
réflexes
. Il dit en substance qu'une zone limitée en hau
on voit la jambe s'étendre par contraction du triceps crural. Ce
réflexe
fémoral n'a lieu que sous l'influence d'excitants
d ou le côté interne de la jambe, c'est-à-dire quand on provoque le
réflexe
plantaire maximum par intervention du psoas. Ma
é avec laquelle les zones excitées provoquent les divers mouvements
réflexes
prouve qu'il y a des carrefours réflexes qui se
uent les divers mouvements réflexes prouve qu'il y a des carrefours
réflexes
qui servent de moteurs, et que par leur intermé
nes ne sont pas dus simplement dans l'espèce, à l'hyperexcitabilité
réflexe
pathologique de la moelle lombaire. P. K. ' L
férent aux émotions. Actes peu pondérés (disparition des sensations
réflexes
communes) semble vivre en rêve quoique éveillé.
ions, c'est-à-dire qu'elles représentent l'influence exercée sur le
réflexe
cérébro-psychique et sur la direction centrifuge
e par les perceptions aperçues. Suivant le décor et la nature de ce
réflexe
le mouvement consécutif à la sensation organiqu
ci- dessous suffira : ÉTUDE DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE. 4S5 Les
réflexes
sont normaux. Pas de troubles sphinctériens. Les
en apparence contradictoires peuvent s'expliquer en admettant qu'un
réflexe
, parti de ces régions extra-bulbaires, vient. a
es ? On peut sup- poser que l'idée fixe est le point de départ d'un
réflexe
cortical qui vient aboutir aux centres vaso-mot
ation systé- matique des cordons de Goll. (Perte correspondante des
réflexes
patellaires, pouvant dans d'autres cas relever
ion mentale morbide, par Ma- randon de Montyel, 409. Contractures
réflexes
intraliypnoti- queset action de lasuggestion, e
pnoti- queset action de lasuggestion, etc., par Seliafier, 1'2à; -
réflexes
de la langue, etc., par Gallerani et Pa- cino
famille, par Boucliaud, 136. Dmu'sre, tabes et - par Blocq, 209;
réflexe
patellaire dans le -, par Grube, 213; altératio
ontribution à l'étude médico-légale de la -, par Camu- set, 51.
RÉFLEXE
patellaire dans le diabète, par Grube,'113; les
tome central. Le goût, l'ouïe, l'odorat sont affaiblis à gauche. Le
réflexe
pharyngien est totalement aboli du même côté. I
eds et aux jambes restent com- plètement ignorées. (Voir ftg. 1.)
Réflexes
rotuliens : légèrement exagérés. Troubles vaso-
ensible, au toucher. L'é- piglotte, les cornées sont insensibles. -
Réflexes
rotuliens ; dimi- nués. tG. - Nous essayons d
peau, un abais- sement de la température cutanée, une abolition des
réflexes
, des troubles de lacontractilité électrique, to
dé l'abaissement de la température cu- tanée, de la diminution des
réflexes
, nous voyons que ces phé- nomènes peuvent se re
roit est exagérée, du côté gauche elle est complètement aholie. Les
réflexes
de toutes les espèces dans les extrémités postéri
omplète. Les phénomènes de sensibilité sont restés les mêmes. Les
réflexes
cu- tanés de la patte droite postérieure sont
lle est complète- ment invisible aux piqûres et aux pincements, Les
réflexes
cuta- nés, dans les extrémités postérieures, so
En percutant l'os sacré, on remarque que les mouvements ré- flexes (
réflexes
du périoste) sont plus exagérés dans le pied gauc
uatre-vingt-dix-sept jours), d'autres mouvements que des mouvements
réflexes
. Dans là cicatrice, formée à l'endroit de la se
s ce cas : comment ne pas mêler les mouvements volontaires avec les
réflexes
et ne pas méprendre des simples réflexes pour l
ments volontaires avec les réflexes et ne pas méprendre des simples
réflexes
pour la réaction de sen- sations aperçues. Freu
servations, d'animaux nouveau-nés, c'est que chez ces derniers, les
réflexes
sont beaucoup plus vifs et c'est pourquoi il es
egré d'hyperesthésie surtout loca- lisée au niveau des orteils. Les
réflexes
sont intacts; il n'y a jamais eu de contracture
tte malade ne présentent, en effet, ni atrophie ni contracture. Les
réflexes
tendineux sont conservés; il n'y a pas de trépi
ce D. En d'autres termes, les épilepsies d'o- rigine corticale sont
réflexes
. Du cerveau part simplement l'excitation capabl
urs autonomes, qu'ils ne provoquent des mouvements que par action
réflexe
, et que cette action s'exerce sur d'autres centre
e titre que les surfaces sensibles périphériques dans l'épilepsie
réflexe
; la zone motrice ne faisait que donner le signal
essentielle l'écorce cérébrale : elle est toujours directe, jamais
réflexe
. Deux ans plus tard, au congrès de phréniatrie
et que, loin de voir, dans ces réactions mo- trices, des mouvements
réflexes
provoqués par des sensations subjectives, les a
été trouvée amoin- drie et plus émoussée encore après les accès. Le
réflexe
patel- laire, toujours exagéré, l'est encore pl
s exagéré, l'est encore plus après les convulsions. Tous les autres
réflexes
, en général, sont affaiblis dans les pé- riodes
is ce spasme des artères cérébrales peut résulter de l'excitation
réflexe
du centre vaso-moteur de la moelle allongée. D'ap
enlève des parties de l'écorce, puis les hémisphères cérébraux, ces
réflexes
convulsifs reparaissent ensuite : l'épi- lepsie
ls le cherchent dans le cerveau moyen. L'excitabi- lité des centres
réflexes
de cette région déterminerait, sous l'influence
tabli que la moelle allongée est le siège d'un centre de mouvements
réflexes
généraux ? La théorie bulbaire ne saurait expli
l'accès convulsif, que l'irritation provocatrice soit directe ou
réflexe
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
amp d'une flexion [extrême; 3° une forme irradiée, l'exagération du
réflexe
gagnant, par le tronc, l'autre côté du corps su
les deux extrémités; 4° une forme tonique, la jambe, à la suite du
réflexe
, demeurant raide en extension. P. K. X. Un ca
du côté lésé que du côté opposé. Tous ces phénomènes sont d'ordre
réflexe
. Le tractus sensitif qui préside aux mouvements
rien à voir avec le pied du pédoncule, mais il est possible que le
réflexe
passe par la REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE
pendant la vie) une paraplégie inférieure avec atrophies, perte des
réflexes
rotuliens, anesthésies et abolition de la réact
o a fait une communication « sur la physiologie et la pathologie du
réflexe
anal ». L'état du réflexe anal peut (au milieu
« sur la physiologie et la pathologie du réflexe anal ». L'état du
réflexe
anal peut (au milieu d'autres signes) aider le
te de substance se trouvent d'autres déterminés par une in- fluence
réflexe
du système nerveux, on peut, à l'aide de l'hypno-
iques et qui en réalité se trouvent sous la dépendance d'un trouble
réflexe
d'une fonction nerveuse. A côté de la possibili
le genou fléchit à peine, la démarche est lente et boi- teuse. Le
réflexe
rotulien est fort exagéré et on provo- que avec
vé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et
réflexes
occupant surtout le membre inférieur du côté op
ielles autour de ces corps étrangers qui déterminent les phénomènes
réflexes
de la convulsion. De là des épilepsies plus ou
e pied droit postérieur. 19. - Les mouvements sont plus libres. Les
réflexes
cutanés ainsi que les réflexes tendineux sont c
Les mouvements sont plus libres. Les réflexes cutanés ainsi que les
réflexes
tendineux sont conservés. L'hyperesthésie à la
ifficulté des mouvements dans les deux extrémités postérieures. Les
réflexes
des extrémités postérieures, les réflexes cutan
rémités postérieures. Les réflexes des extrémités postérieures, les
réflexes
cutanés ainsi que les réflexes tendineux sont rés
xes des extrémités postérieures, les réflexes cutanés ainsi que les
réflexes
tendineux sont réservés des deux côtés; du côté
complète et une anesthésie des deux extré- mités postérieures. Les
réflexes
sont réservés. Les organes pelviens sont en bon
tés dont les mouve- ments volontaires sont parfaitement libres. Les
réflexes
cutanés et tendineux sont les mêmes des deux cô
té gauche est un peu exagérée. Du côté droit, elle est annulée. Les
réflexes
et les organes pelviens sont sans chan- gements
roite. Les mouvements volontaires du côté droit sont affaiblis. Les
réflexes
des extrémités postérieures et les organes pelv
jambe gauche postérieure est plus maigre que la jambe droite et les
réflexes
sont plus sensibles. Quant à la sen- sibilité,
es nerfs sensitifs et moteurs et de la diminution de l'excitabilité
réflexe
. Inférieure à l'hyoscine, quant à la certitude
ilité musculaire de la même jambe devenue ataxique; exagération des
réflexes
tendineux de ce membre. M. ŸBSTPÜAL. Chez un
cours de tous les muscles du corps. Sensibilité intacte; absence de
réflexes
1 Voy. Archives de Neurologie, Revues analytiqu
analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 271 patellaires'; persistance des
réflexes
cutanés. Léger nystagmus hori- zontal des deux
ation. Quelle est donc la nature' de cette affection ? L'excitation
réflexe
de la période active de la dentition peut, dans
où M. le professeur 13ouchard' signala l'absence fré- quente des
réflexes
rotuliens dans le diabète sucré. Cette découver
depuis lors occupés de ce sujet. Il est certain que la perte des
réflexes
rotuliens jointe, chez un diabétique, à l'exist
lt;t;e ! M da;t. ! di'a&ee fMo'c. 1 Bouchard. - De la perle des
réflexes
roluliens dans le diabète sucre. (Association f
IVoch, 1885, n° 8.) 3 P. Marie et Georges Guinon. - De la perte du
réflexe
rotulien dans le diabète sucré. (Rev. de méd.,
n'a pas d'enfants. On ne trouve ni anesthésie cutanée, ni perte du
réflexe
pharyngé, ni rétrécissement du champ visuel, ni
diminué du côté droit et le goût à peu près perdu du même côté. Les
réflexes
rotuliens sont absents. Les urines ont été exam
aminé, outre les symptômes précédents, on constatait : la perte des
réflexes
rotuliens, le signe de Romberg, une sensation d
embre supérieur gauche pendant, flasque, très amaigri ; absence des
réflexes
; 2° mou- vement : Tous les mouvemeuts du bras,
é droit. L'acuité auditive est égale des deux côtés mais faible. Le
réflexe
pharyngien est aboli. Le goût, parait très obtu
clavicule gauche. Membres supérieurs. Bien conformés et développés.
Réflexes
du coude et du poignet égaux et normaux. Memb
et du poignet égaux et normaux. Membres inférieurs, bien conformés.
Réflexes
patellaires et plantaires diminués du côté droi
iparésie à droite avec diminution de la sensibilité spéciale et des
réflexes
rotulien et plantaire du même côté; contracture
gré del'excita- bilité du malade. Il coïncide avec l'exagération du
réflexe
tendi- neux palellaire et s'accompagne d'hypere
réflexe tendi- neux palellaire et s'accompagne d'hyperexcitabilité
réflexe
des pupilles, tandis que la catalepsie de l'iri
ndis que la catalepsie de l'iris marche de pair avec l'ab- sence de
réflexe
tendineux du genou. P. Keraval. REVUE D'ANATOMI
aciale périphé- rique. En revanche l'hystérie pure peut, par action
réflexe
, produire des symptômes corticaux en apparence.
taxie, les douleurs lanci- nantes. Nous avons essayé de rappeler le
réflexe
tendineux patel- laire absent chez un paralytiq
ral et un délirant systéma- tique chronique, cela sans résultat. Ce
réflexe
reparut en revanche chez un dément alcoolique q
409. Pupilles, incertitude convulsive des - , par Danisch, 398.
Réflexe
anal, par Rossolimo, 148. ItIGIDITÉ articulaire
iasque et inerte; le malade ne peut en aucune façon le soulever; le
réflexe
rotulien est absent. Le bras gauche peut exécut
elques légers mouvements de redressement du pied) avec abolition du
réflexe
rotulien. Le membre supérieur droit est égale
e de la sensibilité à la douleur, au froid, à la chaleur, perle des
réflexes
cutanés et du sens musculaire dans tout le membre
ade peut mettre pied à terre et progresser, jusqu'à l'époque où les
réflexes
1. Clinical lectures on parahjsis, 2' édition.
he. L'odorat est diminué à droite; de ce côté le goût est aboli; le
réflexe
pharyngé persiste. Les réflexes rotuliens sont ex
te; de ce côté le goût est aboli; le réflexe pharyngé persiste. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés des deux côtés sans tré
nir debout, car elle manque de base de sustentation suffisante. Les
réflexes
tendineux sont normaux; des deux côtés il n'exist
ES RÉTRACTIONS FIllI\O-TENDI1\EUSES. 37 pèche d'apprécier l'état du
réflexe
tendineux ; cependant, lorsqu'on essaye de redr
tions données aux doigts, ou aux divers segments des membres. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. Le réflexe plantaire per
vers segments des membres. Les réflexes rotuliens sont abolis. Le
réflexe
plantaire persiste; le réflexe crémastérien et le
s réflexes rotuliens sont abolis. Le réflexe plantaire persiste; le
réflexe
crémastérien et le réflexe cutané abdominal per
bolis. Le réflexe plantaire persiste; le réflexe crémastérien et le
réflexe
cutané abdominal persistent également. Il n'y
e la bouche. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. Il n'existe pas d'autres
e trébuche. La malade ne peut s'accroupir sans risquer une chute.
Réflexes
tendineux. - Ils sont complètement abolis au geno
existe un léger degré descoliose lombaire à concavité gauche. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. Les troublesde la parole,
envahit la jambe et le pied dans leur totalité (fig. 22, 23). Le
réflexe
pharyngien persiste. Le coût, l'odorat et l'ouï
e seize ans. Le voile du palais ne présente rien de particulier; le
réflexe
pharyngé esl un peu émoussé; le goût est normal
extrémité d'une tige rigide par des ligaments peu résistants. Les
réflexes
rotuliens sont absents. Les réflexes cutanés sont
igaments peu résistants. Les réflexes rotuliens sont absents. Les
réflexes
cutanés sont normaux. Les membres supérieurs so
leurs. Tous les modes de sensibilité et sens musculaire indemnes.
Réflexes
. - Les réflexes rotuliens sont complètement aboli
modes de sensibilité et sens musculaire indemnes. Réflexes. - Les
réflexes
rotuliens sont complètement abolis des deux côtés
bres inférieurs, accompagnée du signe de Romberg et de l'absence du
réflexe
patellaire; progression lente de cette instabil
mélioration s'esl faite à peu près parallèlement, l'exagération des
réflexes
tendineux a disparu. La rigidité musculaire, ou
e claquement du tendon d'Achille. On peut de plus constater que les
réflexes
tendineux ne sont pas exagérés et qu'il n'existe
lique est le plus souvent bilatérale et accompagnée d'abolition des
réflexes
. 1. C'est ce qui eut lieu dans le cas de M. Gér
'oplitalmoscopc on ne constate aucune lésion du fond de l'oeil. Les
réflexes
pupillaires sont conservés. « II y a rétrécis
ans, mais il n'en présente plus actuellement. Pas de nystagmus. Les
réflexes
pupil- laires sont conservés. Pas de lésions du
s en ceinture; incoordination des membres inférieurs; abolition des
réflexes
rotuliens : signe de Rombcrg. Les troubles trop
augmenter secon- dairement la contracture musculaire. En effet, les
réflexes
tendineux sont exagérés dans le cas de contract
hez la plupart des individus. Les poils du pubis sont abondants. Le
réflexe
crémastérien ne peut êlre provoqué (n'a été d'ail
é imparfait, cependant il n'y ajamais eu de catarrhe nasal. VI. Les
réflexes
superficiels sont présents. Le réflexe plantaire
de catarrhe nasal. VI. Les réflexes superficiels sont présents. Le
réflexe
plantaire est très sensible. Le réflexe crémast
erficiels sont présents. Le réflexe plantaire est très sensible. Le
réflexe
crémastérien est exagéré à gauche, normal ou infé
st exagéré à gauche, normal ou inférieur à la normale, à droite. Le
réflexe
abdominal est très marqué des deux côtés. Le ré
, à droite. Le réflexe abdominal est très marqué des deux côtés. Le
réflexe
épigastrique est absent. Le réflexe scapulaire es
très marqué des deux côtés. Le réflexe épigastrique est absent. Le
réflexe
scapulaire est présent et tout au moins normal.
ent. Le réflexe scapulaire est présent et tout au moins normal. Les
réflexes
tendineux sont absolument absents partout. VII.
tous les signes d'ataxie locomotrice qu'il présente : abolition des
réflexes
, incoor- dination motrice, signe de Romberg, (r
émur gauche, en 1882. Plus tard, douleurs fulgurantes. Pertes des
réflexes
tendineux, signe d'Argyll Robertson, perle des me
ner rapidement sans chercher un appui avec les mains. Abolition des
réflexes
rotuliens. Le malade ne peut rester dans la stati
s, tout le bord interne du pied gauche s'est tuméfié. Abolition des
réflexes
rotuliens. Aujourd'hui on constate, au niveau d
on très marquée au 'niveau des membres supérieurs. - Diminution des
réflexes
tendineux. III IV. Anatomie pathologique. - M
3° ou enfin, le système nerveux manifesterait son action par voie
réflexe
. Buzzard est un des rares auteurs qui, en Angle
artifice destiné à allonger -le pas qu'exécute le membre malade. -
Réflexes
. - Réflexe patellaire complètement aboli à droite
tiné à allonger -le pas qu'exécute le membre malade. -Réflexes. -
Réflexe
patellaire complètement aboli à droite. Trouble
t se livrer que difficilement. L'émotion augmente ce phénomène. Les
réflexes
rotuliens sont un peu amoindris des deux côtés.
termittentes au niveau des épaules, des coudes et des genoux. Les
réflexes
tendineux sont très forts des deux côtés; il n'y
t du côté où siège l'anesthésie cuta- née. c) Une exagération des
réflexes
tendineux, des deux côtés ou seulement du côté
où siège la paralysie motrice. On a aussi observé l'exagération des
réflexes
cutanés, mais cela n'est pas constant. d) Une p
es et des crampes de plus en plus fréquentes. Des deux côtés, les
réflexes
rotuliens étaient exagérés ; des deux côtés, on
a plus grande facilité le phénomène de la trépidation spinale. Le
réflexe
plantaire, aboli à droite, ne se produisait que t
roite, ne se produisait que très faible- ment à gauche. De même, le
réflexe
crémastérien était aboli à droite, mais il étai
de la jambe sur la cuisse qui est la moins gênée. L'exaltation des
réflexes
rotuliens et la trépidation épileptoïde persisten
thésie profonde ; La paralysie vaso-motrice ; . L'exagération des
réflexes
tendineux. Du côté opposé, nous constatons :
t du rectum. Des deux côtés le malade présente de l'exagération des
réflexes
tendineux, ce qui est la règle dans le cas d'un
it guère vraisemblable. Il ne pouvait être question d'une épilepsie
réflexe
d'origine intestinale. Bref, nous ne savions trop
x ; les pupilles réagissent bien à la lumière et l'accommodation. Les
réflexes
des membres inférieurs sont exagérés ; les réfl
ommodation. Les réflexes des membres inférieurs sont exagérés ; les
réflexes
tendineux aux membres supérieurs diminués. Le m
. se plaint continuellement de sensations de froid aux mains. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs sont abolis, les
ins. Les réflexes tendineux des membres supérieurs sont abolis, les
réflexes
patel- laires exagérés. Le malade marche sans d
Mackensie qui ont fait des travaux remarquables soit sur la douleur
réflexe
, soit sur les réflexes vaso-moteurs et trophiqu
des travaux remarquables soit sur la douleur réflexe, soit sur les
réflexes
vaso-moteurs et trophiques cutanés, comme le zo
ne présente aucun trouble moteur, ni trophique, ni vaso-moteur. Ses
réflexes
tendineux sont peut-être un peu forts, mais égaux
ont le siège d'un nystagmus transversal à grandes oscillations. Les
réflexes
rotuliens sont normaux. On trouve a l'auscultat
r de cette hypothèse, que son ma- lade âgé de 58 ans présentait des
réflexes
exagérés, de la contracture des adducteurs, des
expli- cation dans l'état de l'axe médullaire. Et d'autre part les
réflexes
sont normaux, il n'existe ni contracture, ni tr
uniquement, après une durée de dix ans et plus, par l'abolition du
réflexe
lumineux et patellaire, le signe de Romberg, quel
uche la sen- sibilité n'était pas encore normale. L'exagération des
réflexes
subsistait surtout à gauche ; de ce côté on pou
la parésie du membre inférieur gauche, ainsi que l'exagération des
réflexes
cutanés; à droite il avait de l'hypoesthésie, d
esthésie, bordée en haut par une étroite bande d'hyperesthésie. Les
réflexes
tendineux étaient exagérés. Les fonctions de la
ère, jusqu'à la hauteur de la seconde vertèbre lombaire. L'état des
réflexes
est à noter : les réflexes plantaire, crémastér
la seconde vertèbre lombaire. L'état des réflexes est à noter : les
réflexes
plantaire, crémastérien et abdominal étaient beau
rien et abdominal étaient beaucoup plus prononcés qu'à droite où le
réflexe
addominal était même aholi, le réflexe rotulien
prononcés qu'à droite où le réflexe addominal était même aholi, le
réflexe
rotulien était exagéré à droite, affaibli à gau
stitué le phénomène inverse. Le membre était fortement atrophié. Le
réflexe
rotulien était exagéré de ce même côté gauche. A
réflexe rotulien était exagéré de ce même côté gauche. A droite les
réflexes
tendineux était normaux; la sensibilité superfi
étaient associées de l'incoordination motrice, de l'exagération des
réflexes
tendineux, l'a- bolition du sens musculaire et
membres supérieurs tout se réduisait à une certaine exagération des
réflexes
tendineux à droite. A cette observation on peut
ui remontait jusqu'à la hauteur de la 2° côte, de l'exagération des
réflexes
, une élévation de la température lo- cale, appr
l'hyperesthésie; de ce même côté on constatait de l'exagération des
réflexes
, de la parésie motrice, (1) Riegkl. Ein Fall vo
ainsi dire convulsives . Elles se produisent par une sorte d'action
réflexe
dont le point de départ est dans les jointures
ÉLIES 201 fonctionnent synergiquement, ce qui arrive dans les actes
réflexes
élémen- taires. Il ne faut pas, cependant, pens
ubles variables des membres inférieurs, quelquefois exagération des
réflexes
rotuliens et diminution de l'autre, le second, cu
nce hypothénar, griffe d'extension, et comportant l'exagération des
réflexes
rotuliens; le troisième, radio-tabétique, carac
e de flexion, et s'accompagnant de la diminution ou de la perte des
réflexes
patellaires. M. BRISS1UD à son tour, dans son t
ant le plus souvent, mais d'une façon intempes- tive, quelque geste
réflexe
ou automatique de la vie ordinaire. » C'était l
nique simple et le tic. Dans le spasme simple, il y a uniquement un
réflexe
. Dans le tic « an lieu d'un centre réflexe muscu-
le, il y a uniquement un réflexe. Dans le tic « an lieu d'un centre
réflexe
muscu- culaire, on voit agir un centre fonction
dans un passage important : « rien ne peut empêcher le spasme, acte
réflexe
. Peut-on arrêter le bol alimentaire à son entrée
» Ici encore, des réserves me semblent nécessaires. Il y a bien des
réflexes
vrais bulbo-médullaires, sur lesquels la volont
t ne sont pas des actes corticaux; il en est ainsi de la marche des
réflexes
défensifs... L'inhibition est possible parce qu
tic est un acte complexe ou associé (c'est ce qui le différencie du
réflexe
pur). Mais il y a plusieurs grands groupes de cen
ne cérébral. L'axe bulbomédullaire sert de centre non seulement aux
réflexes
sim- ples (mouvements simples succédant à une i
e à vos yeux le schéma, sont beaucoup plus compliqués que les actes
réflexes
sim- ples, et même que les actes associés d'ori
rer qu'il y a trois espèces de tic : le tic bulbomédullaire (spasme
réflexe
), le tic psychique (ou mental vrai) et le tic p
sans atrophie marquée ; pas d'arthrite du coude ni radio-carpienne.
Réflexes
très exagérés. t ails. III. Hémiplégie droite
e secousses fibrillaires. Début lent et progressif des ar- thrites.
Réflexes
olécraniens et rotuliens exagérés. Membre infér
éflexes olécraniens et rotuliens exagérés. Membre inférieur gauche.
Réflexe
rotulien exagéré. Flaccidité musculaire sans at
masse de tous les muscles de la main. Le malade marche en fauchant.
Réflexes
rotu- liens très forts sans trépidation. Un peu
éveloppement. Enfin. à 'droite on constatait un affaiblissement des
réflexes
tendineux et cutanés, et un certain degré d'ane
sthésie croisée, de l'hyperesthésie directe et de l'exagération des
réflexes
tendineux du côté de la paralysie motrice, qu'on
les plus nombreuses , d'après Cajal. c) Les collatérales longues ou
réflexes
motrices, qui se terminent par des arborisation
st en flexion, mais seu- lement de la 2e phalange sur la lre. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. Il n'existe pas de troub
out le membre, surtout pour la main, à se refroidir facilement. Les
réflexes
rotuliens sont normaux. Il est encore à noter l
sculaires et en traînant des mouvements particuliers des doigts. Le
réflexe
tendineux du poignet est d'ailleurs aboli. En c
gauche permettant encore en partie les mouvements ; exagération des
réflexes
sans contracture. Amaigrissement généralisé des
me son bras gauche avec la main droite; peut le porter sur la tête.
Réflexes
exagérés. Trépidation spinale du membre inférie
uche est plus grande que la pupille droite, la vision mauvaise. Les
réflexes
rotuliens sont faibles. ? Au point de vue psychiq
t plat; les orteils, sur- tout le gros sont un peu en massue. Les
réflexes
rotuliens paraissent diminués. Phénomènes subje
rapport de Massalongo, cité plus loin ; cet auteur admet la théorie
réflexe
de Brissaud. DE L'AlIT11ROPATIIIE NERVEUSE VRAI
L. DE L'ATITHROPATHIE NERVEUSE VRAIE 389 gique avec abolition des
réflexes
. Facies très caractérisé, hypertrophie du systè
ulaire ; ce qui est nerveux c'est la contracture, l'exagération des
réflexes
, l'atrophie musculaire et la névrite, ces deux
genoux et grimper le long d'un objet stable. Diminution notable du
réflexe
patellaire. Pas de clonus du pied. Dans les c
res supérieurs. On constate encore actuellement la diminu- tion des
réflexes
et des secousses fibrillaires accusées. La marc
embres et douleurs en ceinture. Démarche incertaine. Abolition du
réflexe
patellaire gauche, diminution du réflexe droit. A
e incertaine. Abolition du réflexe patellaire gauche, diminution du
réflexe
droit. Attaques z épileptiformes subintrantes,
s jours. Pourtant la malade calcule encore assez correctement. Le
réflexe
rotulien gauche est aboli ; le droit persiste enc
sans délire. Pupilles punctiformes. Signe de Romberg. Abolition des
réflexes
. Mort dans un accès d'excita- tion mégalo-mania
ieurs et, à un bien moindre degré, dans ses membres supérieurs. Les
réflexes
sont abolis. , La sensibilité n'est pas notab
rtiste incomparable..., etc. » Les pupilles sont punctiformes ; les
réflexes
sont abolis. Le 7 le malade ne peut plus quitte
' ' ,, i' . - ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. Il 1 i»
réflexes
, épilepsie spinale, abolition de la sensibilité d
es inférieurs ' (contact^' piqûre,' chaleur', sens musculaire). Les
réflexes
sontèxàérés;iléziste même de l'épi- lepsie spin
e' pénible surtout, par lé' fait^dé l'affaiblissement* général. Les
réflexes
sont très fortement ' ela ? é se suitout 'a gau
ent les douleurs, ies,troubles de la marche et même l'abolition^des
réflexes
, éii"l'alîsëüé d ûne névrite phériphériquei suf
as de troubles urinaires et ia sensibilité est normale partout.,Les
réflexes
, tendineux, surtout, ceux des membres. inférieu
trois malades l'auteur trouva un myosis bilatéral avec absence des
réflexes
tendineux palellaires. y P. K. XLII. Seize obse
du cou- rant électrique ne provoque pas l'hallucination par action
réflexe
(sur le trijumeau) car la piqûre chez les mêmes
anomalie de l'humeur.. Mémoire des faits anciens, exagération, des
réflexes
patellaires, sensibilité à la pression des nerf
ysie des membres inférieurs avec oedème musculaire, disparition des
réflexes
patellaires et de la sensibilité électrique, tr
ifique seraient : 1° la paraplégie spasmodique avec exagération des
réflexes
et contractures musculaires bien moins marquées
et contractures musculaires bien moins marquées que l'excitabilité
réflexe
; 20 les parésies vésicales, les dysesthésies et
ndes plus ou moins supportables ainsi que l'exagération possible du
réflexe
dorso-spinal (back symptom). Ce dernier se décè
inal-cérébral antérieur, c'est-à-dire que « le point de dé- part du
réflexe
se trouve, comme normalement, dans les cen- tre
tains de ses centres, les plus inférieurs, d'une'manière pure- ment
réflexe
, sans' que le cerveau intervienne '.aucunement.
oration. En mai' 1887; ataxie, signe de Romberg, myosis, immobilité
réflexe
'des 'pupilles ? signe de Westpbal, atrophie des
13 .194 jREVUE DE PATHOLOGIE ? NERVEUSE. tère spasmodique; 5° les
réflexes
thermiques des extrémités inférieures sont à un
lement. dans 'le membre inférieur; il persiste de l'exagération des
réflexes
dans le côté opposé au siège de la tumeur. ' Un
me, unique, l'examen ophtalmosco- pique, restant j négatif i eti le
réflexe
) pupillaire intact, on devra la rapporter, à.-
et deilà jambe gauche ! Nul autre trouble de la sensibilité, ni des
réflexes
.'Intégrité des organes des sens et des organes in
s artères, et grâce peut-être aussi à' des phénomènes d'excitation,
réflexe
peu connus. · us,9q-) M'rijtif(fL-M Mt'ov asl z
nt physique; folie épileptique; épilepsie corticale; disparition'du
réflexe
tendi- neux patellaire. A : l'autopsie on const
ent prêt à instaler lé poyumeut,inloli3sq-azDSa èJrbà^ri *b llG-L
Réflexes
chez les partygMes'net'etua ? ? 141 : ' SOLLIERI
la'proportion- suivante1 : réfle1x6'rotùli(,,n,'312 foisl sur 100;
réflexe
pupillaire," 69 fois''sur'100; ? réflexe pharyn
li(,,n,'312 foisl sur 100; réflexe pupillaire," 69 fois''sur'100; ?
réflexe
pharyngien, 54 fois'sur 100; réflexe massétérin
pillaire," 69 fois''sur'100; ? réflexe pharyngien, 54 fois'sur 100;
réflexe
massétérinf 92foisur' 100'L'altérationdu réflexe
, 54 fois'sur 100; réflexe massétérinf 92foisur' 100'L'altérationdu
réflexe
pharyn- gien ne peutr avoir, aucune valeur.au.
tic r)2 ? Il n'existe aucune corrélation entre l'état de ces divers
réflexes
, idonM'umpeut êtret aboli 1 tandis 5 queg l'aut
ES : 231 f4° Il n'y a aucun parallélisme entre lai modification des
réflexes
et l'évolution de la' paralysiegénérale : 93zoq
' de M'. Sotlier me semblent exactes sauf celles qui concernent les
réflexes
pupillaires d'accommodation, qui me semblent au
progresse la paralysie générale. M. Voisin demande si l'état des
réflexes
a été examiné dans les trois phases de la malad
une thèse que M. Renaud a faite, d'après mes indications sur les
réflexes
oculaires dans la paralysie générale. Il n'y a pa
de la, marche, de la nutrition et de'la,tonicité musculaire,. des,
réflexes
et. des diffé- rentes sensibilités., Un.chapitr
â'sûi`vce'dësfÿêuâ Lés bras et lés jambes étaient moins raides, les
réflexes
normaux.flm8vor' sv 91 81l9lu-fft 1 1 ', ,trlrx r
culièrement marqué pour.'la : vue et l'ouïe : 1'" * > ' 'rif Les
réflexes
patellaire,iplantaire etpupillaire'étaient;Hen ap
Meynert. t Les hallucinations (ne, proviennent point, d'une, action
réflexe
, de l'action,dôuoureuseldue ùLllexcitationfdul4
? J* ' -t ? J ? Jt<- ! LA. Contribution, a l immobilité FIXE et
réflexe
DES pupilles dans la paralysie' progressive; pa
ment deux groupes : o ? A. Les unes relatives aux modifications des
réflexes
envisagés 'aux différentes périodes de la paral
llélisme entre l'altération dés rétlexes i oeulaireslet celle; des.
réflexes
) tendineux : 1 Cette), altération-^ va., en progr
première, et la deuxième.période,'au point de.vue5de, l;examen des
réflexes
. 1V ! tÂLchaqué période'êl'exagérationtesti plu
1V ! tÂLchaqué période'êl'exagérationtesti plus' marquée pour- les
réflexes
des membres supérieurs que pour ceux 'des membres
règleTgénérate ''persistance d'altérations marquées dans l'état des
réflexes
.10,1,- m>' ' ? *(, .. SOCIÉTÉS^ SAVANTES. (3
.10,1,- m>' ' ? *(, .. SOCIÉTÉS^ SAVANTES. (307 ? Vil.'Moins les
réflexes
tendineux,"1 les-réflexes cutanés "et muqdeux "
- » 'ijiljjj, -'111 ^j«iAf i' t^SJ-'i ? fil j'm| dtt')' 11 9rIV.tLe
réflexes
, tendineux sont altérés 8lors<p ? litÔ, les'ré
ration des réflexestendinepxteonsiste,suetoutlenLexa- gération; Les
réflexes
tendineux sont exagérés, 65 fois, p.i00 ? abo-
'c'est-a.-dire 4 fois plussouvent, exagérés qu'abolis. jp,.# VI. Le
réflexe
massétérin est presque toujours exagéré, presque
B 292t'i9`Ilti9 331tptJë sidoiarN' jue-VII.- Les j altérations des·,
réflexes
;oculairesnsestraduisent,plus souvent; par, J'ab
? s4 fc '1* L'abolition duréllexesaccommodatif,avec conservation du
réflexe
lumineux, n'a.pas été rencontrée ? nl àjivijagf
qu'eaagéré.zut inigfiieidialiga esq taoe sa zy71slltquq ? r IX. Le
réflexe
pharyngien, altéré dans.la'moitié : des cas ? est
..i 3tln9 yl(ftif037OLjfi oafie'isTiib ab gbq s v'n si tiï XI : Les
réflexes
cutané/ plantaire^ pharyngien etjpalpébraliont
nmoins appréciable, par un bon éclairage. M. Ballet, ajoute quejce,
réflexe
4 étant' d'ordre- cortical ne doit d'ailleurs r
étant' d'ordre- cortical ne doit d'ailleurs rpasnêtre"comparé ,aux
réflexes
tendineuxwrais,x 9b ini's'i aabb eoquplrfil -i-au
sion des,. ? dents est tellement fortetque je ne peux l'empêcher. »
Réflexes
pu ? 2 pillaires paresseux. Parésie-des deuxcôt
spasmodique) mais tremble en 'masse (mouvement 'de) trombone) ? Le
réflexe
massétérin fest exa- 11-éré."Iln'yà a pas de' t
es,- tremble- , ment des'doigts et , de la ^langue, exagération des
réflexes
); la marche de la maladie, avec une période, de
ellement.' '" tr ' ! ·,m · af 1 *1 " I" ]0- < Il le, . ' ActiOI2
réflexe
? Cette, théorie fournit une explication du méca-
ette, théorie fournit une explication du méca- · nisme. de l'action
réflexe
: l'impression périphérique, qui donne naissanc
flexe : l'impression périphérique, qui donne naissance.au mouvement
réflexe
après j s'être propagée jusqu'au centre par vib
s;'de là;`le=temps nécessaire "là l'accomplissement d'une^'acli on1
réflexe
? Si1' rinijaression^ périphé- rique'est trop f
la brique, du par- quet, sur un tapis,' une natte, elc- , , , lut
Réflexes
conjonctival, cornéen, pituitaire, pharyngien con
Réflexes conjonctival, cornéen, pituitaire, pharyngien conservés ;
réflexe
plantaire très net des deux côtés ; réflexe patel
pharyngien conservés ; réflexe plantaire très net des deux côtés ;
réflexe
patellaiée,marqué à droite,'moins accusé à'gauc
essives des différents muscles. La marche n'est pas modi- fiée, les
réflexes
rotuliens persistent toujours. *.J"n Le trouble
équilibre est plus instable. 1-Force et sens musculaires conservés,
réflexe
plantaire intact, réflexes £ rotuliens, légèrem
e. 1-Force et sens musculaires conservés, réflexe plantaire intact,
réflexes
£ rotuliens, légèrement diminués; état)général
constatée, toujours elle avait été' pré- cédée, soit delà perte des
réflexes
téùdineux'sbit-dest douleurs fulgurantes '. Or;
èn (dehors- de tout' signe de* valeur;1 comme l'aboli-'0 lion ! du-
réflexe
patellaire; l'absence f, dul'sign eY de' Romberg
égalité des pupilles; un seul de ceux-ci pré- sentait la paralysie
réflexe
bilatérale, chez les 34 autres, on cons- tatait
ales et parmi ceux-là il y avait quatre cas d'immobilité pupillaire
réflexe
bilatérale. Les 30 autres étaient atteints d'inég
pendant la phonation.' Exagération', de la sensibilité .tactile' et
réflexe
du voile du palaiset'dupalais.Diffculté de la.
rfs sensitifs pour l'abolir ensuite presque entièrement; par action
réflexe
, il provoque des changements mo- léculaires dan
logie de la -, par Kaes, 44; chez les Arabes, '233; immobilité et
réflexes
des ( pupilles dans la , par Redlieli, 294; é
Erb,' par Kowa- lewsky, 193. - - i" y. 1 Paralytiques GÉNÉNA ux,
réflexes
chez les -, par Sollier, 230; manière d'être
aires, soit en l'excitant du côté paralysé. Cette exagération des
réflexes
tendineux n'est autre chose qu'une manifestatio
embre supérieur droit. ' La trépidation du pied et l'exagération du
réflexe
rotulien avec la généralisation du tremblement
ssifs, on éprouve une résistance très manifestement anormale. Les
réflexes
tendineux sont exagérés au bras droit ; mais ils
traitement, l'état général s'améliora rapi- dement, l'excitabilité
réflexe
des membres inférieurs s'amenda. Quand il vint
près nulle. Dans le membre inférieur gauche, qui était le siège de
réflexes
patellaires bien plus exagérés encore que le dr
une lésion capable de déterminer une exagération de l'excitabilité
réflexe
. 66 RECUEIL DE FAITS. Un autre malade que nou
ez les hystériques, chez lesquelles il existe une hyperexcitabilité
réflexe
analogue due à un simple trouble fonctionnel. I
ieuse. Si la protubérance est àbon droit considérée comme un centre
réflexe
, nul ne songe plus à y placer le siège des sens
t et un ans, aujourd'hui l'ataxie a gagné les mains, il a perdu ses
réflexes
tendineux, etc. Le deuxième enfant était une fi
, il a de temps en temps un peu d'incoordina- tion ; il a perdu ses
réflexes
, sa parole est légèrement troublée, etc. Le plu
té : parole scandée, un peu d'instabilité de la marche, perte des
réflexes
. Ainsi sur huit enfants, qui ont atteint adulte,
- vent aussi paralysée, et il ya dysurie, rétention d'urine. -Les
réflexes
cutanés sont augmentés, et les réflexes tendineux
ie, rétention d'urine. -Les réflexes cutanés sont augmentés, et les
réflexes
tendineux di- minués ou même abolis; cet antago
ouleurs fulgu- rantes, la dysurie, la constipation, l'extinction du
réflexe
ten- dineux, les vertiges. Mais c'est avec l'al
lations des paupières, névralgie intercostale gauche. Extinction du
réflexe
tendineux; exagération des ré- ilexes cutanés;
uence de la lu- mière; la névralgie intercostale s'est dissipée, le
réflexe
tendineux a reparu des deux côtés du corps, et
utscii demande quels sont les cas récents de guérison des psychoses
réflexes
(sympathiques) par l'extirpation de la cica- lr
eux, M. Fournier attache une importance considérable à l'absence du
réflexe
rottilieii qu'il a toujours constatée quand il
e ses (lll ? lexes,1858. 1 Boussi. Etude sur les troubles nerveux
réflexes
observés dans les maladies utérines. Thèse de P
issement du champ visuel, dyschromatopsie, diplopie, disparition du
réflexe
du genou avant même l'apparition des douleurs f
, tardive, et quelquefois variable chez le même malade. Les actions
réflexes
sont presque toujourscon- servées, mais général
qui glissent sur le terrain des crises vaso-motrices spontanées et
réflexes
. Mais, en somme, les trois groupes représentent
lement vingt-quatre ans. On relève chez elle de l'hyperexcitabilité
réflexe
, se manifestant par exemple au moindre bruit im
ysie de l'élévateur du voile du palais de ce côté. L'exagération du
réflexe
rotulien a également persisté. M. BERINHARDT ne
la maladie de Ménière, Rev. de,M, é,,d., 1884). ,J C'est le vertige
réflexe
. 1, ('fez d Le médecin qui observe le vertige d
débuta par la jambe gauche, puis prit la jambe droite. L'irritation
réflexe
était tellement accrue, que le plus léger souff
exagérée dos deux côtés où l'on voit des contractions fibrillaires.
Réflexes
nor- maux. Ce n'est qu'après le développement d
du côté droit. Le sens de la température est normal à gauche. Les
réflexes
tendineux, normaux à gauche, sont très aug- men
ne un clonus dorsal, soudain et énergique du pied droit; les autres
réflexes
de la jambe n'ont pas lieu. L'excitabilité fara
laire ne s'entrecroisent pas. Il faut noter aussi l'exagération des
réflexes
tendineux du côté parésié et la conservation de
lu- ment toute traction sur le tendon d'Achille et par suite tout
réflexe
tendineux. On peut encore, le membre étant plac
citation et il l'avait mise en contraste avec le phénomène du pied (
réflexe
du tendon de Erb) qui consiste dans la contract
ons du système nerveux central, et spécialement l'exagéra- tion des
réflexes
spinaux, il conviendrait d'ajouter les désigna-
à un point donné de la face par un mouvement rapide de la main. Les
réflexes
tendineux et pupillaires sont normaux. Sous l'i
fficulté à apprécier de faibles différences de poids ; abolition du
réflexe
pupillaire et des réflexes tendineux. C. T. X
les différences de poids ; abolition du réflexe pupillaire et des
réflexes
tendineux. C. T. XXVII. Importance DU diagnosti
lité décroît, et on a beaucoup exagéré la fréquence des convulsions
réflexes
. Chez les enfants au-dessous de trois ans, en d
e la microcéphalie, les convulsions sont presque toujours d'origine
réflexe
; surtout si elles se répètent dans un court esp
ysie ou à l'excitation du nerf vague. Ces phénomènes sont d'origine
réflexe
et se passent tout entiers dans la sphère du ne
re du nerf vague (irritation de ses rameaux sensitifs, ou paralysie
réflexe
de ses rameaux car- diaques). Les phénomènes d'
et des fourmillements dans les pieds, les mains et les jambes. Les
réflexes
du tendon rotulien et de la peau faisaient défaut
la force dans les jambes, mais la der- nière fois qu'on le vit, le
réflexe
tendineux faisait encore dé- faut. Le Dr IIende
EUSE. 381 du territoire anesthésié étant parfaitement définies. Les
réflexes
plantaires, patellaires et crémastériques étaie
s inférieures. Disparition 3J 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des
réflexes
tendineux. Troubles de sensibilité ( ? ) dans les
nce des rubans externes des cordons postérieurs, comme l'absence de
réflexes
patellaires. Les tremblements à l'occasion de m
bromure agirait plutôt sur les cellules corticales. P. K. XVI. LE
RÉFLEXE
TENDINEUX DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE DES aliéné
(Archives o f nechzite. New-Yorh, août 1881). M. Shaw a étudié le
réflexe
tendineux, sur soixante et onze hommes et sur o
it exagéré. La moelle a été examinée dans dix- huit cas ; quand les
réflexes
étaient normaux, la moelle n'of- frait aucune l
nt dans la flexion et la jambe dans l'extension), une diminution du
réflexe
ten- dineux du genou, une absence du clonus de
forme rhumatismale de la), par Vesselle, 263. Paralysie générale (
réflexe
tendi- neux dans la), 387. Paralysie générale
, chez les épileptiques en dehors des attaques), par Marie, 42.
Réflexe
tendineux dans la paralysie générale.387. Res
ive, trau^-matique qui devient le point de départ d'impressions et de
réflexes
variables, qui peuvent être dues à l'impressionna
pressionnabilité ou à la réflectivité exagérée du sujet ; ce sont des
réflexes
pathologiques qui ne sont pas plus fictifs que le
sont des réflexes pathologiques qui ne sont pas plus fictifs que les
réflexes
physiologiques. Un névropathe par droit de naissa
aggraver entretenir la maladie. Cet élément nerveux, qui n'est qu'ur
réflexe
, une irradiation, un dynamisme surajouté estjusti
s centripètes du nerf vague qui, transmise au bulbe, produit par acte
réflexe
la contraction des muscles expirateurs. Or l'em
'un processus nerveux. Que les périphéries du nerf vague agissent par
réflexe
sur le centre respiratoire du bulbe et déterminen
respiratoires se montrent profonds, d'ailleurs assez réguliers. Les
réflexes
tendineux se montrent remarquablement exaltés et,
'intelligence et ne répond à aucune excitation venue du dehors. Les
réflexes
sont abolis, l'hyperexcitabilité neuro-musculaire
roseau flexible balancé par une brise légère. Pendant ce temps, les
réflexes
ne sont ni abolis ni modifiés ; l'hyper-excitabil
ue épileptique, celle-ci étant, comme on l'a déjà dit, le triomphe du
réflexe
; il n'en est pas toujours ainsi, témoin l'observ
localisée ou, si l'on veut, localisée aux sources mêmes de notre vie
réflexe
; c'est la peur physique, la peur bulbaire, avec
e sous les deux bras, elle ne marche pas, elle se laisse traîner. Les
réflexes
sont normaux. Pas d'anesthésîe. Léger rétrécissem
e du cerveau. Fonctions psychologiques des parties centrales; actions
réflexes
et automatiques ; innervation, énergie spécifique
dyschromatopsie et de diplopie monoculaire qui disparaissent, mais le
réflexe
pupillaire à la lumière reste absent. 2° L'ceil
Il offre surtout une dilatation pupillaire intense avec perte du
réflexe
à la lumière cl abolition à peu près complète du
vec perte du réflexe à la lumière cl abolition à peu près complète du
réflexe
accommodaleur. La dilatation pupillaire se modifi
l'hémianopsie est dans le cortex ou près du cortex. Dans son cas, le
réflexe
pupillaire était intact, la lésion siégeait donc
itiative cérébrale. Le tonus musculaire, on le sait, est un phénomène
réflexe
spinal. Or, le cerveau a une influence modératric
ne réflexe spinal. Or, le cerveau a une influence modératrice sur les
réflexes
spinaux; ceux-ci sont accrus quand la moelle est
résistance moindre pour réagir contre les impulsions automatiques ou
réflexes
, prédisposés à l'accomplissement des mouvements i
possède des cylindraxes émissifs qui permettent .certains mouvements
réflexes
: tels les mouvements de tête, les clignements d'
Si 2 et 3 sont lésés, les sons entendus peuvent provoquer quelques
réflexes
(expériences physiologiques). La destruction du
inaire. Toute image perçue sur la rétine pourrait ensuite, par action
réflexe
, venir impressionner une plaque photographique. V
se, la sensibilité d'ordre animal est abolie à son tour ; la motilité
réflexe
disparait aussi ; les réflexes communs disparaiss
mal est abolie à son tour ; la motilité réflexe disparait aussi ; les
réflexes
communs disparaissent successivement, ne laissant
s communs disparaissent successivement, ne laissant subsister que les
réflexes
instinctifs, ou essentiels à l'entretien de la vi
de mouvements même automatiques. Or, le centre de toutes les actions
réflexes
communes se trouve dans la moelle ou dans les gan
du sommeil, dans la léthargie, dont le dernier terme est le coma, les
réflexes
vitaux eux-mêmes sont abolis : de là, la suspensi
culatoires, d'où résultent des stases vasculaires ; la suspension des
réflexes
des divers organes détermine le relâchement des s
rs organes détermine le relâchement des sphincters. Le siège de ces
réflexes
vitaux est dans le bulbe et les ganglions du gran
ire que l'on pourrait appeler aussi période narco-anesthésique. Les
réflexes
périphériques disparaissent, la sensibilité insti
sparaissent, la sensibilité instinctive est abolie, d'où l'absence de
réflexe
palpébral, le myosis constaté chez les sujets sou
et le bromure de potassium : ce dernier diminuant surtout les actions
réflexes
, le chloral provoquant la somnolence. Mais c'es
et agissant primitivement sur les centres de la vie animale, sur les
réflexes
communs, par la suspension de. la sensibilité d'a
bromures à hautes doses ; ce sont des médicaments modifiant les actes
réflexes
, et c'est probablement là le secret de leur effic
idus, comme les autres facultés ; ainsi, quand on nous chatouille, le
réflexe
est la règle ; c'est que la sensation ne passe qu
le constatons dans certaines affections de la moelle épinière, où les
réflexes
sont exagérés par suite delà suppression de la co
ue la strychnine ou le bromure de potassium, qui modifient le pouvoir
réflexe
en agissant sur les lieux de contact des prolonge
sur les nerfs sensibles provoquent chez l'homme endormi des réactions
réflexes
, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorc
régions ; au-dessous d'elle est le monde des neurones des phénomènes
réflexes
; au-dessus, le mond&des phénomènes psychique
nd&des phénomènes psychiques ou cérébraux. Dans le sommeil, les
réflexes
ne sont pas abolis ; il n'y a donc pas d'interrup
les articulations de neurone à neurone sur le domaine des phénomènes
réflexes
. Les actes cérébraux ne sont pas complètement abo
la pensée rêvée. Inversement, dans le monde des neurones des actes
réflexes
, il n'est pas à croire que toutes les communicati
s les communications persistent comme à l'état de veille. Si certains
réflexes
persistent et sont même plus faciles, d'autres au
rd le sommeil du cerveau, elle abolit la sensibilité ; mais, quand le
réflexe
cornéen disparait, déjà il y a menace de danger p
exe cornéen disparait, déjà il y a menace de danger par abolition des
réflexes
essentiels à la vie de l'ensemble de l'organisme;
'organisme; que la chloroformisation aille plus loin encore, tous les
réflexes
essentiels seront suspendus, entre autres celui d
t au-dessous de la normale. Elles réagissent à la lumière, quoique le
réflexe
lumineux paraisse légèrement diminué. Après atr
ait jamais été aussi complète. Mais rien de tout cela n'existait. Les
réflexes
pupillaires était parfaitement conservés des deux
ares) s'accompagne toujours de lésions atrophiques de la papille. Les
réflexes
pupillaires étaient normaux. • Et puis, je le rép
tés. Douleur dans le côté droit du thorax. Pas de zones hystérogènes.
Réflexe
pharyngien aboli. Réflexe conjonctivo-cornéen dim
droit du thorax. Pas de zones hystérogènes. Réflexe pharyngien aboli.
Réflexe
conjonctivo-cornéen diminué à gauche, aboli à dro
aboli. Réflexe conjonctivo-cornéen diminué à gauche, aboli à droite.
Réflexes
rotuliens normaux. Rétrécissement concentrique du
ctobre 1893.— Pas d'anesthesie à la douleur, au tact. Conservation du
réflexe
palpébral. Conservation de la contractilîté pupil
bservations à notre connaissance relatent les modifications de ce
réflexe
chez les sujets atteints de sciatique. Elles sont
de ce nerf. On ne pourrait in- voquer en pareil cas qu'un phénomène
réflexe
. Or, si l'irritation douloureuse du sciatique,
rente. Enfin, en admettant, à l'extrême rigueur, qu'une contracture
réflexe
des muscles -du tronc puisse être déterminée pa
e d'une con- traction musculaire généralisée, mais peu intense. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés à droite comme à gauche
se des muscles entraînant l'attitude décrite, par l'exagération des
réflexes
rotuliens, enfin par le tremblement épileptoïde
ureuses des membres inférieurs peu- vent provoquer l'exagération du
réflexe
patellaire ; nous en avons encore eu la preuve
-Séquard ont adopté la dénomination peu satisfaisante de névralgies
réflexes
. Notre maître, M. Jaccoud, les a appelées névra
axie loco· motrice. Tous les mouvements parfaitement normaux. Les
réflexes
rotuliens de même. Le malade saute à pieds join
ement normaux. La percussion du crâne n'est nulle part douloureuse.
Réflexes
rotuliens absolument normaux. Pas de clonus du
parfaitement bien et avec force. Pas trace de parésie ni d'ataxie.
Réflexes
cutanés normaux. Les réflexes plantaires ne son
ce. Pas trace de parésie ni d'ataxie. Réflexes cutanés normaux. Les
réflexes
plantaires ne sont pas exagérés. Nulle part des
e ne peut réveiller la contractibi- lité musculaire. Les mouvements
réflexes
des membres inférieurs ont totalement disparu.
nt par un tremblement qui ressemblait à un frissonnement très fort.
Réflexes
très exaltés. Vers le troisième mois, l'animal
t restée essentiellement dans le même état ; en ce qui concerne les
réflexes
tendineux et l'atrophie musculaire, il. n'en es
raite par la sonde est légèrement colorée de sang. Les mouve- ments
réflexes
sont très diminués; les réflexes crémastériens fa
colorée de sang. Les mouve- ments réflexes sont très diminués; les
réflexes
crémastériens faibles. 3 août. L'état de la sen
rable du syndrome spasmodique réduit simplement à l'exaltation des
réflexes
à l'épilepsie spinale et une amélioration très
res centri- pètes, et ces fibres elles-mêmes, qui agissent par voie
réflexe
sur le processus pathologique. P. K. IV. DE l
Gerlach. On expliquait par ces anastomoses fibrillaires les actions
réflexes
du cerveau et de la moelle, et les rapports fon
ports histolo- giques peut rendre raison du mécanisme des actions
réflexes
, qu'on avait jusqu'ici cherché dans les pré- te
elles ne sauraient intervenir ni dans la production des mouvements
réflexes
ni dans celle des mouvements volontaires. (1 La
ivement à la composi- LES FONCTIONS DU CERVEAU. 191 lion des arcs
réflexes
et à l'importance physiologique des cellules ne
n directe avec les tubes nerveux sensitifs ou centripètes.» L'arc
réflexe
est constitué : 1° par le nerf centripète et ses
urs possèdent une importance directe, aussi peu pour les mouvements
réflexes
que pour les mouvements volontaires, ce que l'o
eu, nous pourrions citer plus d'un travail récent où les mouvements
réflexes
, automatiques, invo- lontaires, qui servent à l
upille immobile, mais encore sensible à lumière : exa- gération des
réflexes
tendineux; émission de 3 à 5 litres d'urine (sa
sensibilité, pas de douleurs, pas de paresthésie ; disparition des
réflexes
patellaires, pas de paralysie, pas de symptômes o
'elle présentait, on notait l'ab- sence ou plutôt la diminution des
réflexes
. L'auteur rapproche cette affection des tics co
rapport avec une impotence fonctionnelle complète; exagération des
réflexes
patellaires, hyperexcitabilité considérable des m
s ne rencontre-t-on pas à déjouer la simulation ? L'exagération des
réflexes
tendineux n'a rien d'uni- voque. Les anesthésie
lité électrique; sensibilité des os à la pression; conservation des
réflexes
patellaires. Et cependant, on ne constatait dan
s devoir particulièrement insister. Je veux parler de l'absence des
réflexes
rotu- liens, qui existe dans un assez grand nom
iabétiques parétiques ou paraplégi- 1 Ch. Bouchard. De la perte des
réflexes
rotuliens dans le diabète sucre. (Associât, fra
? Enfin quand il s'agit de l'importante découverte de la perte du
réflexe
rotulien dans nombre de cas de diabète, M. Leyd
ppartient à César. Mais j'en reviens à la question de l'absence des
réflexes
rotuliens chez les diabétiques. La découverte
somme reconnaît aujourd'hui que, dans certains cas de diabète, les
réflexes
tendineux 1 Raven. Drit. méd.jour., 1887. '-
h ft, 1885, n°8.) 3 Pierre Marie et Georges Guinon. Sur la perte du
réflexe
rotulien flans le diabète sucré. (Rev. de méd.,
en flans le diabète sucré. (Rev. de méd., 1886.) 4 De la perte du
réflexe
rotulien dans le diabète sucré. Th, Paris, 1889.
ment plus vraisemblable. En tous cas, cliniquement, l'absence des
réflexes
rotuliens caractérise des cas graves de diabète
douleurs fulgurantes et diverses dysesthésies, 2° l'abolition des
réflexes
rotuliens. D'où une certaine analogie avec le t
nce de douleurs fulgu- rantes et du signe de Romberg, l'absence des
réflexes
rotuliens, la démarche ataxique, devraient rend
n observe. Dans tous ces pseudo-tabes, ou rencontre l'absence des
réflexes
rotuliens, des douleurs plus ou moins fulgurant
ar des débâcles. Point de phénomènes laryngés, absence complète des
réflexes
rotuliens qui ne repa- raissent pas par le proc
sent pas par le procédé de Jendrassik. Signe de Romberg très net.
Réflexe
pupillaire absolument normal pour la lumière et l
abord à la paralysie alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des
réflexes
rotuliens ne vous détournent pas de cette idée.
ès de la bouche. 11 n'existe pas de troubles de la sensibilité. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. 11 n'existe pas d'autres
t et l'odorat sont abolis ; la muqueuse buccale est insensible ; le
réflexe
pharyngé conservé à gauche est aboli à droite.
une réaction volontaire, tandis que la réac- tion musculaire est un
réflexe
cérébral. Lange veut dire par là que la réactio
s soient, se propagent par les nerfs périphériques vers les centres
réflexes
propre- ment dits; de là, transformées, coordon
résente, dans certains cas, de telles dissocia- tions des appareils
réflexes
ou de leurs centres de per- ception qu'il appar
s nor- males. - Gâtisme. Diminution de la sensibilité générale. -
Réflexes
paresseux et retardés. Démarche incertaine. - Amé
en outre au vomissement initial, ce qui prouve qu'il n'est qu'un
réflexe
et qu'il ne provient point de l'excitation du bul
influence de la volonté ; il est probable qu'il s'agit d'une action
réflexe
, mais il n'en est pas moins établi que cet endr
nsation auditive subjective. Cette sensation provoquait, par action
réflexe
, les 1 Sui cenlri psico-sensori corticali. (riz
Sans nier absolument que ces réaclions représentent des mouvements
réflexes
consé- cutifs à des sensations subjectives, les
ère qui ne peut être franchie que chez les animaux vivants où les
réflexes
existent. 4° Théorie du refroidissement et de l
t sa queue sont insensibles. Con- servation relative des mouvements
réflexes
de la queue. Paralysie véscale et anale. Tempér
rieure du sillon est un trou borgne. Sensibilité générale normale.-
Réflexe
tendineux à peu près nul. - Odorat, légère perv
s être accompagné. Signe de Romberg très accentué ; abolition des
réflexes
rotuliens ; signe d'A. Robertson. Troubles vésica
8." - .. ' ? 13G REVUE CRITIQUE. n'a jamais observé le retour des
réflexes
rotuliens. Voici dn reste comment il s'exprime
un phénomène tardif. Dans aucun cas, nous n'avons vu reparaître les
réflexes
rotuliens. Les troubles vésicaux ont été modifi
a pas eu d'effet sur le poids du corps, non plus que sur l'état des
réflexes
rotuliens qui restent toujours absents. Aucune
es, signe de Romberg, impuissance sexuelle depuis un an, absence de
réflexes
rotuliens; dès la 2" séance, l'améliora- tion s
ec douleurs fréquentes, démarche tabétique depuisun an, absence des
réflexes
rotuliens, signe de Romberg, signe d'Argyl Robe
oujours absentes. Le signe de Bomberg est presque disparu, mais les
réflexes
ne sont pas revenus. - Le troisième malade depu
parfois, sensation de coton dans les membres inférieurs, absence de
réflexes
rotuliens, érections rares et imparfaites. La m
es, ne présente plus que de la contraction pupillaire, l'absence du
réflexe
patellaire, et un peu d'incontinence d'urine, q
lement que jadis. Absence, même par la manoeuvre de Jendrassik, des
réflexes
patellaires. Les mains sont fortement engourdie
trice. Mouvements et dé- marche incertains. Persistance normale des
réflexes
patellaires. Ni ataxie, ni troubles de la sensi
atiquées sur les terminaisons nerveuses et il étudie les mouvements
réflexes
(inconscients). Il fait ensuite l'élude des act
tions nécessaires pour la transforma- tion d'une excitation en acte
réflexe
ou en mouvement conscient, l'auteur observe qu'
stphal. M. Thomson communique à la Société un exemple de psychose
réflexe
traumatique dont voici le résumé. Le 5 septembre
t conservée; les doigts sont ani- més d'un léger tremblement. Les
réflexes
rotuliens sont forts à droite. Il n'y a pas de tr
es aliments, bref, exécuter tous les mouvements auto- matiques et
réflexes
, tous les mouvements associés et profondément o
sensible, dont les réactions provoquées seraient identiques à des
réflexes
. Il y a la théorie de Munk, pour qui la prétend
du corps, ne détermine des mouvements ni directement ni d'une façon
réflexe
, mais par évocation de ces images ou représenta
mes, autonomes, incline décidément vers la théorie de l'influence
réflexe
des éléments excitables de l'écorce, et pour qu
e action motrice, par un mode assimilable au méca- nisme purement
réflexe
. » C'est bien cela. Ces points de l'écorce sont
corce céré- 366 PHYSIOLOGIE. brale comme analogues aux mouvements
réflexes
, la différence essentielle entre les mouvements
différence essentielle entre les mouvements ainsi provoqués et les
réflexes
ordinaires consisterait dans le point de départ
n pariéto-occipitale, par un mécanisme analogue à celui des centres
réflexes
médullaires (Recherches expérimentales sur le m
ont qu'à la manière des sensations qui déterminent des mouvements
réflexes
'. Quant à la théorie que Tam- burini, Luciani
s, de la zone motrice, ne semblent pas être de nature ataxique ou
réflexe
. Albertoni et Michiel il, Lussana et Lemoigne 2,
ant ainsi les mouvements volontaires des mouvements automatiques ou
réflexes
, peut laisser croire qu'il les tient en effet p
e l'écorce, ce qui permet de- les assimiler à des centres d'actions
réflexes
, non à des. centres moteurs, etc., le professeu
é, durant tant d'années, par son adversaire. « S'il s'agissait de
réflexes
, dit-il, les contractions ne devraient plus se
après l'ablation de l'écorce, puisque l'écorce représente le centre
réflexe
, ce qui n'est point-le- cas. C'est'évidemment p
que, dans son hypothèse la plus récente, Schiff a situé ce centre
réflexe
ailleurs que dans l'écorce, mais sans 1 Schiff
u et absolument inex- ploré, Schiff imagine l'existence d'un centre
réflexe
sous-cortical de perceptions tactiles (Tastcent
ripètes, les autres, les voies centrifuges ou kinésodiques d'un arc
réflexe
, grâce auquel les sensations tactiles, qui règl
endantes et descendantes se rencontrent et coïncident est le centre
réflexe
de la sensibilité tactile. Il ne faut plus le c
ni lui faisaient cette autre critique : L'hypothèse de « mouvements
réflexes
» se heurte contre le fait de la décomposition,
ocalisées de l'écorce. Ni la forme ni les caractères des mouvements
réflexes
ne présen- tent rien de semblable. Au fond, l'h
e du cerveau. Dans le premier cas, ce qui se produit, ce sont des
réflexes
communs des membres, dans le second, des mouvem
-attribués à l'action des courants induits sur le fameux .centre
réflexe
inconnu ! En d'autres termes, la section des vo
Horsley ? Que, sans discuter les opi- nions de Schiff sur la nature
réflexe
des effets de l'excitation de la zone motrice,
alpébraux qu'on détermine ainsi, ne sont sans doute pas de nature
réflexe
(Ferrier), mais impliquent l'existence, dans les
crit ces mouvements, il les attribuait, on le sait, à des réactions
réflexes
des centres sensoriels de l'écorce, interprétat
vés dans l'ex- citation du lobe occipital ne peuvent être de natuie
réflexe
, c'est-à-dire résulter de sensations optiques s
FONCTIONS DU CERVEAU. 399 n'ont rien qui ressemble à des mouvements
réflexes
généraux. Or ces points excito-moteurs n'appart
culaire dans les membres du côté prétendu sain, l'exagération des
réflexes
tendineux, la trépidation épileptoïde du pied,
anesthésies et des paresthésies, de même des hallucinations; les
réflexes
sont le plus souvent intacts. Dans des cas bien
rtaine valeur. 11 est probable que leur genèse est non directe mais
réflexe
, et que l'intervention du trajet intracérébral
ijumeaux postérieurs est aussi, suivant toutes probabilités d'urdre
réflexe
. M. Thomas a observé sur lui-même un léger degr
xcitation de la moelle avec troubles de la seiisiblité atteinte des
réflexes
tendineux, suppression totale ou exagération ex
oculaires, du pus muscu- laire, de la sensibilité, l'abolition des
réflexes
. L'hémiplégie dans la sclérose en plaques prése
ues présente des attaques répétées, transitoires, l'exagération des
réflexes
, le nystagmus, la précocité extrême de l'épilep
difficiles par la roideur des articulations, mais non abolis; les
réflexes
, la sensibilité, le sens musculaire sont intacts;
quirol. 150. Psvchralgie crurale, par Pollosson, 437. Psychose (
réflexe
traumatique), par Ttomson, 296 ; (cas de mort
comme clouées, suivant l'expression de la malade. Exagération des
réflexes
rotuliens. Pas de tremblement épileptoïde spontan
on à la malade le voile du palais se relève à peine. La sensibilité
réflexe
du voile du palais est un peu diminuée, mais no
ents fibrillaires au niveau des deltoïdes et des pectoraux. ' Les
réflexes
tendineux au niveau du poignet (face dorsale et
ue ceux du pied droit, mais il en existe encore quelques-uns. Les
réflexes
rotuliens sont assez brusques, mais n'ont pas u
ait été recherché à plusieurs reprises avec le plus grand soin. Les
réflexes
cutanés plantaires existent. Quant aux réflexes
lus grand soin. Les réflexes cutanés plantaires existent. Quant aux
réflexes
abdominaux, on ne les constate pas, mais ils so
ressente est un serrement au niveau do la ré- gion sternale. Les
réflexes
tendineux sont exagérés aux membres supé- rieur
on de ce muscle et avec plus d'in- tensité qu'à l'état normal. Le
réflexe
cutané de la plante du pied est conservé. Le ré
t normal. Le réflexe cutané de la plante du pied est conservé. Le
réflexe
guttural est, lui aussi, conservé; quand la malad
années des symptômes bien marqués d'ataxie locomotrice; absence des
réflexes
du genou, démarche ataxique, parésiedel'oculo-m
rs, tels que Schleich, Conradi, Otto et Valentin. L'irritabilité du
réflexe
diminue après un poids qui atteint la moitié de
s que peut subir le nerf sciatique de la grenouille. L'irritabilité
réflexe
diminue après un poids excédant 400 gr. L'irrit
d'embarras de la parole. Il y avait une exaltation considérable des
réflexes
, surtout des rotuliens, facilement constatable pa
es paralysies associées des yeux, le regard vague, l'exaltation des
réflexes
, l'épilepsie spinale, et enfin n un certain deg
a convergence, l'insuffisance des droits internes, l'exaltation des
réflexes
, l'épilepsie spinale, la faiblesse des membres in
due. Voici un malade atteint d'une myélite qui a inter- rompu l'arc
réflexe
; dans ces conditions, la moelle n'interve- nant
action des vaisseaux profonds). Conclusion : Chez l'homme sain, les
réflexes
vascu- laires parent aux inconvénients des acti
hyperthermie sur un large circuit ambiant par dilatation vasculaire
réflexe
; même phénomène par application de neige, de gl
îne tendineuse sous-jacente tuméfiée par la diathèse). P. K. XV. LE
réflexe
DE la RÉGION DE L'HYPOCHONDRE ; par C. Reinhard
qu'on repousse en dedans et au-dessous du bord libre des côtes. Le
réflexe
consiste en une inflexion très prompte et assez
x-ci perçoivent assez souvent le dia- phragme qui descend. Quand ce
réflexe
est doué d'une force. moyenne, il y a concours
dorsal entrent ' en jeu. Le patient n'éprouve aucune sensation. Ce
réflexe
diffère des réflexes des téguments abdominaux p
jeu. Le patient n'éprouve aucune sensation. Ce réflexe diffère des
réflexes
des téguments abdominaux par sa promptitude, so
ommeil, sa production par l'acte de s'habiller, son indépendance du
réflexe
Archives, t. X. 7 98 REVUE DE PATHOLOGIE NERV
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tégumentairc. Il est donc analogue aux
réflexes
tendineux ou tout au moins, aux réflexes muscul
. Il est donc analogue aux réflexes tendineux ou tout au moins, aux
réflexes
musculaires ou aponévrotiques. - P. K. XVI. U
. f. Nerven7eillc., 1884.) Décidément, le phénomène du genou est un
réflexe
. Ainsi, un homme de cinquante-cinq ans, neurast
e. 8° Un état patholo- gique des ganglions spinaux peut, par action
réflexe
sur la moelle, être 106 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
bides spinaux. De même, une affection de la moelle peut, par action
réflexe
sur le cerveau, déter- miner des symptômes céré
sur le cerveau, déter- miner des symptômes cérébraux. Le processus
réflexe
est toujours ascen- dant. Presque toujours, l'o
ais il faut, pour cela qu'ils ne soient pas produits par une action
réflexe
émanée de la queue de cheval ma- lade, c'est-à-
de l'électrisation du revête- ment cutané, c'est-a dire à l'action
réflexe
du courant.- 15, On ren- contre 11 cet égard de
la cir- culation cérébrale, les maladies qui retentissent par voie
réflexe
sur les centres nerveux, et enfin les blessures
attitudes vicieuses consécutives, et conjointement exagération des
réflexes
tendineux, du phénomène du genou, etc. ». C'e
s deux observations, il ne soit même pas fait mention de l'état des
réflexes
tendineux; leur étude eût certainement permis d
ues, pas de sensation de lassitude ni de courbature musculaire. Les
réflexes
rotuliens sont normaux, sans exagération ni dimin
nt normaux, sans exagération ni diminu- tion. Il en est de même des
réflexes
au chatouillement de la plante des pieds et des
e même des réflexes au chatouillement de la plante des pieds et des
réflexes
testiculaires. , On ne constate chez notre mala
puis des bras, sans contractures et avec affaiblissement rapide des
réflexes
tendineux. En même temps, on nota de famine san
la malade le jouet passif de ses sensatipqs anormales, et de ses
réflexes
exagérés, de ses conceptions hypochondriaques ima
remières semaines 'de la vie, c'est un, , ! l¡tom1l : le végétatif,
réflexe
(1 observ.); à un degré plusvélevé, op'a sous l
M. Rmccn. Dans un cas il y avait exagération tout à fait énorme des
réflexes
tendineux. , ' i r, M'. WITKOWSKI n'a encore pa
rébrale. , M. Chrisliani a cherché d'abord à déterminer l'influence
réflexe
du nerf optique sur l'action du pneumogastrique
ns du centre respiratoire lui-même ne paraissent pas être de nature
réflexe
. , En poursuivant ces recherches, M. Christian
e dans les fléchisseurs. La force muscu- naire est affaiblie et les
réflexes
des tendons sont visiblemet 308 PATHOLOGIE NERV
ffaiblissement des forces musculaires et une grande exagération des
réflexes
des tendons, en un mot, tous les traits caracté
gi- dité et de contractures des muscles et d'agrandisse- ment des
réflexes
des tendons. A la compression de la colonne dor
modique : légère raideur des membres du côté droit. De ce côté, les
réflexes
tendineux sont très développés au coude, au poi
minution de l'excitabilité faradique sur la production à la face de
réflexes
croisés (électrisation faradique ou galva- niqu
ontracture exces- sive des deux membres inférieurs, exagération des
réflexes
tendineux, chez une fillette de cinq ans, attei
teurs nerveux). Le chapitre II traite du p ! iéno- mène vaso-moteur
réflexe
paradoxal. Toute neurasthénie céré- brale, dit
mpagne en même temps de symptômes spinaux, indique qu'il y a action
réflexe
sur la moelle, d'où l'utilité d'appliquer au ce
. rants, à la moelle telle autre sorte d'électricité. Même action
réflexe
de la queue de cheval par rapport à l'axe médulla
s écouter et leur vie, purement végétative, est réduite aux simples
réflexes
. Pourquoi »ont : ils aussi relégués dans la moe
s mouvements. Ce sont d'abord des mouvements analogues à de simples
réflexes
, se passant dans le segment d'un membre ou dans
nomie; enfin, de pures excitations cutanées provoquent toujours des
réflexes
tout spéciaux, localisés, circonscrits. Sur vin
qu'une légère pression sur la région médiane du vertex a une action
réflexe
simultanée sur les deux hémisphères, tandis que
hémisphères, tandis que la pression uni- latérale n'a qu'une action
réflexe
unilatérale croisée, sur l'hémi- sphère du côté
aphasie, 22 . Hypnotisme, par Finkelbul'g, 1,t.5. Ihpoehondre (
réflexe
de la région de l'J, 97. Hypertrophie muscula
. Inclinaison remar- quable du tronc du côté opposé. Diminution des
réflexes
tendi- 12 PATHOLOGIE NERVEUSE. neux du côté
n'a pas survécu. 1 DE l'astasie ET DE l'abasie 21 l'excitabilité
réflexe
de la moelle bien plutôt qu'à la perturbation d
e se traîner au lieu de marcher. 11 n'y avait pas d'exagération des
réflexes
, ni d'anesthéaies. Le champ visuel n'a pu être
ibilité générale et spéciale est conservée dans tous ses modes. Les
réflexes
tendi- neux sont forts des deux côtés; il n'y a
ir : le malade lui-même peut les fléchir, on constate alors que les
réflexes
rotuliens sont exagérés; on ne peut démontrer l
hystérogène. Les membres inférieurs ne sont ni mous, ni roides; les
réflexes
tendineux sont normaux; il n'y a pas de trépida
es sauts... et ainsi de suite. Aucune douleur. Etat actuel. - Les
réflexes
palellaires sont très exagérés; la cuisse se so
èrement diminuée du côté gauche. Le sens musculaire est intact. Les
réflexes
tendineux sont pres- que complètement abolis. 1
l'aine (sensibilité cutanée et articulaire et sens musculaire.) Les
réflexes
sont normaux. La puissance musculaire est très
e celles qui ressortis- sent à une lésion nerveuse centrale d'ordre
réflexe
. Les éphidroses partielles de la face sont cert
rophie du membre supérieur droit, les forces y sont conservées. Les
réflexes
du coude, des fléchis- seurs, du genou, sont no
faut-il admettre que la dilatation pu- pillaire tenait à une action
réflexe
déterminée par la douleur. En effet, d'après le
règle absolue. Dans ces cas, la sudation est généralement d'ordre
réflexe
et elle succède à une excitation des nerfs du g
vante. D. - Dans cette quatrième classe, l'éphidrose est d'ordre
réflexe
. On la rencontre ordinairement chez des sujets
e sont les nerfs du goût qui interviennent comme point de départ du
réflexe
. Le malade mange, et aussitôt on voit perler su
lésion antérieure et dans lesquels l'éphidrose est d'ordre purement
réflexe
, sans excitation préalable des fibres sudorales
73 sensibilité générale qui sont le point de départ de l'ac- tion
réflexe
et peut-être aussi les filets viscéraux du symp
des nerfs de la face (facial ou surtout tri- jumeau) ; 4° Trouble
réflexe
dont le point de départ réside dans une excitat
doigts, et cette atti- tude peut persister des heures entières. Les
réflexes
rotuliens sont très exagérés et le simple relèv
es accidents tabétiques : telle est, par exemple, l'exagération des
réflexes
tendineux si accusés des extrémités; ce n'est alo
lequel il existait, depuis longues années, un tabès avec absence de
réflexes
. Plus tard apparurent des accidents paralytique
it produit d'accidents spasmodiques, et notamment d'exagération des
réflexes
tendi- neux. Maintenant est-ce que, étant don
nes; parésie musculaire, surtout de la jambe droite; épuisement des
réflexes
patellaires à droite, diminution des mêmes réfl
épuisement des réflexes patellaires à droite, diminution des mêmes
réflexes
à gauche, réaction dégénérative sur plusieurs g
e tous les nerfs moteurs crâniens sont complète- ment normales. Les
réflexes
du genou sont conservés ; ils manquent dans les
conservés ; ils manquent dans les tendons du triceps brachial; les
réflexes
plantaires cutanés n'ont pas subi de changeme
les réflexes plantaires cutanés n'ont pas subi de changement; les
réflexes
abdominaux sont nettement accusés des deux côté
in, les organes des sens et la sphère psychique sont nor- maux. Les
réflexes
tendineux sont conservés. A la face, sur la poi-
degré peu marqué. Point de phénomènes d'hypertonie musculaire. Les
réflexes
tendineux sont conservés dans la rotule ; ils s
vés dans la rotule ; ils sont faibles dans le tendon d'Achille; les
réflexes
cutanés sont conservés. Sensibilité. - Le malad
ante; toutefois, elle paraît d'habitude aggraver le désordre. Les
réflexes
tendineux sont normaux dans la majo- rité des c
membres inférieurs. Enfin, il existe d'autres signes : absence des
réflexes
, troubles oculaires, douleurs fulgurantes, trou
urs; de plus, le nystagmus, l'embarras de la parole, la perte des
réflexes
, la marche même de la maladie ne permettront pa
l'affection dé- crite par M. Bamberger sous le nom de convulsion
réflexe
saltatoire (Saltatorisch Reflexkrampf). Il s'agit
est qu'il s'agit là d'un phénomène relevant de l'exa- gération des
réflexes
tendineux et plus précisément, suivant Erb, d'u
. - Pas de nouveaux accès. La sensibilité cutanée avait disparu, le
réflexe
tendineux 234 CLINIQUE NERVEUSE. rotulien é
l présentait ainsi les phénomènes de la fausse catalepsie. Tous les
réflexes
étaient exagérés : la simple per- cussion d'un
lète. Dans les cas légers, les dor- meurs peuvent encore par action
réflexe
mise en oeuvre par la perception sensitive, ret
tion motrice. Pas de troubles de la vue, ni de troubles trophiques.
Réflexes
rotu- liens conservés. Mort de pleurésie tuberc
ie sur les pieds. Le chatouillement plantaire est bien perçu et les
réflexes
consé- cutifs à ce chatouillement sont normaux.
t les réflexes consé- cutifs à ce chatouillement sont normaux. - Le
réflexe
crémas- térien est conservé : le soulèvement du
le soulèvement du testicule est plus fort à droite qu'à gauche. Les
réflexes
rotuliens ne sont pas abolis. Ils persistent mê
on de dénivellement persiste. Le signe de Romberg est très net. Les
réflexes
rotuliens sont conservés. Les piqûres sont touj
a sensibilité à la pression et sa con- sistance sont normales. Le
réflexe
au chatouillement plantaire est aboli. Le réflexe
sont normales. Le réflexe au chatouillement plantaire est aboli. Le
réflexe
rotulien est normal à gauche et légèrement affa
tic porté durant sa vie; dire, par exemple, que la conservation des
réflexes
rotuliens, l'absence de troubles des réactions
aux à la folie et que Morselli 3 divise en états d'excitabi- 1 lité
réflexe
exagérée des muscles (tétanie), états d'exagérati
uvements, la force musculaire sont conservées. Il en est de même du
réflexe
à la lumière et du réflexe d'accommodation. D
sont conservées. Il en est de même du réflexe à la lumière et du
réflexe
d'accommodation. Dans l'acte de la préhension (
roubles de la vue : diplopie, amblyopie, nystagmus, exagération des
réflexes
pupillaires sous l'influence de la lumière, qui
que centrifuge)- excitation sen- sitive, périphérique et psychique (
réflexe
centripète) - excitation véritablement inlrapsy
arésie gauche. Intégrité des nerfs crâniens, de la sensibilité, des
réflexes
, de l'excitabilité élec- trique. Discussion :
endance aux vertiges subjectifs, une exa- gération déjà marquée des
réflexes
, de l'impotence sexuelle, de l'incapacité de tr
e. Diagnostic : sclérose en plaques. Une plaque occupe l'ap- pareil
réflexe
, qui suivant le nerf crural gagne le quadriceps f
ui suivant le nerf crural gagne le quadriceps fémo- ral, puisque le
réflexe
tendineux rotulien a disparu. Une autre plaque
ssions. Paresthésie. Trouble accusé du sens de position. Absence de
réflexes
cutanés et tendi- neux. Disparition de l'excita
ue d'un côté. - Un paralytique général ne présentait pas du tout de
réflexe
tendineux rotulien à gauche; ce réflexe subsist
e présentait pas du tout de réflexe tendineux rotulien à gauche; ce
réflexe
subsistait à droite. Le microscope révéla qu'à
ée de la paralysie. Lors de paralysies rigides, avec exaltation des
réflexes
tendi- neux, les membres se contracturent dans
s sécheresse manifeste. Pas de signe de Romberg. Absence totale des
réflexes
rotuliens. La force musculaire générale est aff
de celui-ci. En résumé, si quelques accidents nerveux : perte du
réflexe
rotalien, troubles de la sensibilité, frigidité
inégales et le signe d'Argyll Robertson est très net. Absence des
réflexes
rotuliens. Signe de Romberg. L'incoordination mot
voir marcher pour reconnaître la démarche classique du tabes. Les
réflexes
rotuliens sont abolis totalement, même par le pro
est très incertaine. Incoordination mo- trice très nette. Perte des
réflexes
aux bras et aux genoux. Anes- thésie de la plan
e trouve ni ovarie, ni zone hystérogène en aucun point du corps. Le
réflexe
pharyngien persiste ainsi que la sensibilité co
vant qu'en arrière de façon à dessiner une botte à l'écuyère. Les
réflexes
cutanés sont normaux. Les réflexes du genou et
ner une botte à l'écuyère. Les réflexes cutanés sont normaux. Les
réflexes
du genou et du coude sont très exagérés, de même
t involontaire (sollicitation extérieur) ou volontaire' elle est un
réflexe
vasomoteur qui entraine l'afflux du courant san-
force musculaire a diminué. Aucun trouble de la sensibilité ni des
réflexes
. C'est une affection de même nature que la paraly
les, état normal de l'intelligence et de la parole, disparition des
réflexes
patellaires,' signe de Romberg peu marqué ; hyp
es, de contractures, de troubles de la sensibilité, de troubles des
réflexes
. Le frère le plus atteint (quarante ans), ayant
des pieds, sous forme de douleurs térébrantes et une diminution des
réflexes
; comme troubles moteurs, une dimi- nution notab
la vio- lence et la persistance des douleurs et la disparition des
réflexes
crématériens et abdominaux indiquent qu'il s'ag
ces découvertes. P. K. XLII. DE l'hypérexcitabilité généralisée DES
réflexes
produite PAR la QUININE; par A. ERLENMEYER. (Ce
a percussion des deux côtés, on arrive au même résultat. Tous les
réflexes
sont exagérés. On administre 1 gr. 50 de chloral,
uppression de l'action cérébrale se traduit par une exagération des
réflexes
. Mais pour- quoi le cerveau seul a-t-il été tou
roite est plus dilatée. Elles réagissent à l'accommodation, mais le
réflexe
est aboli pour la lumière (signe de A. Robertso
, suicide ou homicide, l'acte, chez ces sujets, est pour ainsi dire
réflexe
, qu'il s'accompagne ou non de l'état de conscie
et avec la spontanéité qui lui conserve le caractère d'un véritable
réflexe
. Chez les dégénérés, en outre de la mélancolie
tique. Ces sujets agissent par suite d'une impulsion, d'unesorte de
réflexe
; chez eux, les centres instinctifs ne sont pas
de toute sorte : fourmillements, engourdissements. 3° La perte du
réflexe
rotalien. Ce symptôme signalé dans le diabète p
it dès le jeune âge du tremblement de l'écriture. Chez le même, les
réflexes
rotuliens sont notablement exagérés. Examinons
L'excitabilité électrique des nerfs et des muscles est normale. Les
réflexes
plantaire et scapulaire sont les seuls réflexes s
es est normale. Les réflexes plantaire et scapulaire sont les seuls
réflexes
superficiels que l'on puisse provoquer. Ils par
ous l'influence du stimulus habituelle. On n provoque facilement le
réflexe
du genou, qui paraît normal. La coordination mu
s de la iiiotilité (tremblement, blépharospasme), l'exagération des
réflexes
1'01 u- liens, etc. De plus, l'auteur a pu cons
il n'en faut pas inférer qu'il y a psychose pour cela. Quant aux
réflexes
tendineux, leur intensité présente de très gran
devant les assistants ou seuls; l'anxiété ou l'émotion exagère ces
réflexes
. C'est ainsi qu'on provoquera d'une façon passagè
int. Il en est de même de l'exagération soi-disant pathologique des
réflexes
que l'on constate chez les individus affaiblis pa
ie. L'examen complet des organes internes, de la sensibilité, des
réflexes
cutanés et tendineux, de la tonicité musculaire,
lesquels, outre les symptômes habi- tuels, il y avait abolition des
réflexes
patellaires. Ces observateurs ont dans leur ser
de tétanie; au début de la maladie, on constatait l'abolition des
réflexes
patellaires, et, l'amélioration étant survenue, l
ontractilité galvanique et faradique n'était que diminuée. Tous les
réflexes
des muscles atrophiés et sains des extrémités sup
uscles atrophiés et sains des extrémités supérieures, ainsi que les
réflexes
rotuliens sont exagérés; celui du tendon d'Achi
idérablement diminuée. Exagé- SOCIÉTÉS SAVANTES. · 257 ration des
réflexes
tendineux, périostiques et aponévrotiques dans
ux, périostiques et aponévrotiques dans les extrémités supérieure»;
réflexes
plantaires, patellaires et du tendon d'Achille
atellaires et du tendon d'Achille exagérés. Dans les deux cas, le
réflexe
de la mâchoire inférieure était assez prononcé.
as d'autres symptômes du côté du système nerveux. L'exagération des
réflexes
tendineux serait, d'après la pathogénie général
fesseurs KOJEVNIKOFF et KORSAKOFF. L'existence de l'exagération des
réflexes
tendineux dans des cas de névrites mul- tiples,
la pression et oedème des pieds. Sensibilité et sphincters normaux,
réflexes
tendi- neux abolis, atroph'e et faiblesse des m
vent très visibles. D'abord vous n'ignorez pas que la plupart des
réflexes
sont conservés dans l'anesthésie hystérique. M. C
pour provoquer la contraction des muscles sous-jacents. C'est le
réflexe
abdominal de Rosenbach dont la conservation était
xe abdominal de Rosenbach dont la conservation était évi- dente. Le
réflexe
crémastérien se manifestait aussi bien, quand o
on touchait la face interne de la cuisse gauche insensible'. Les
réflexes
circulatoires vaso-moteurs sont aussi parfaitemen
NIQUE NERVEUSE. dernière au moyen d'un appareil fort ingénieux. Les
réflexes
pupillaires à la lumière et à l'accommodation s
le -voir, même pour l'oeil amaurotique d'Isabelle et cependant ces
réflexes
dépendent de la sensibilité rétinienne. Vous sa
er fortement même leur bras gauche anesthésique 1. Ce sont là des
réflexes
que vous considérez comme tout à fait organique
ce complète avec laquelle le sujet la supporte, la conservation des
réflexes
, etc. Je vous demanderai de quel droit vous sép
e, intégrité de la sensibilité tactile et thermique. Diminution des
réflexes
superfi- ciels du côté malade, exagération des
inution des réflexes superfi- ciels du côté malade, exagération des
réflexes
tendineux contras- tant avec la flaccidité des
bras droit ; exten- sion tonique de la jambe gauche; exagération du
réflexe
rotulien à gauche. Dans l'après-midi, la malade
BIBLIOGRAPHIE. 441 viennent d'être mentionnés plutôt par un spasme
réflexe
de tous les muscles du larynx, spasme, qui pour
t ensuite ceux constatés par le médecin, ceux de la motilité et des
réflexes
qui tous consti- tuent les signes directs. L'ét
erew, 397. RAYNAUD (maladies de), par Raw, 219; Macpherson, 222
Réflexes
, exagérés par la quinine, par l : rlenmeyer, 11
vée; il apprécie bien la sensation des corps chauds ou froids. Le
réflexe
de la plante du pied est modifié en ce sens qu'il
ent t le chatouillement comme un contact simple. Quant aux autres
réflexes
, on se trouve dans de trop mauvaises conditions p
ance grise seule, en notant l'absence de douleurs, l'abolition du
réflexe
plantaire et l'absence de tout phénomène con- v
es, rentrant dans la catégorie de 68 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
réflexes
, faiblesse pour ce qui a trait aux fonctions d.'o
s appartiennent ou tout au moins se rapprochent de la catégorie des
réflexes
, et comme telles ne sont qu'une des manifestati
lation de la connais- sance, faiblesse des membres, disparition des
réflexes
patellaires, douleurs dans les muscles et les t
pas recouvrer la santé. Intégrité de la réaction pupillaire et des
réflexes
. Le malade guérit et reprend son activité. Fin
lsif, et dépendant probablement d'une hyperexcitabilité des centres
réflexes
spinaux, englobant aussi ceux du bulbe. Le chlora
tation ; il est donc probable que l'élément sensitif de l'appareil
réflexe
est plus atteint que son élément moteur. P. K.
cu- lation (anémie), de la tonicité musculaire, d'exagération des
réflexes
. 1 Eh bien ! cette paralysie peut guérir sponta
Réaction partielle de dégénérescence. Aucun phénomène de rigidité.
Réflexes
tendineux des membres supérieurs absents, réfle
ène de rigidité. Réflexes tendineux des membres supérieurs absents,
réflexes
rotuliens présents et normaux. Rien à noter du
dans les parties plus ou moins périphériques du membre. Absence de
réflexes
patellaires. Ni douleur, ni anesthésie. Altératio
vulsion tonique, franche et intense. Exophtalmie brusque. Perte des
réflexes
cor- riéens ; deux ou trois inspirations rares
arrière. Exorbitisme consi- dérable et brusque, perte immédiate du
réflexe
cornéen. L'in- jection continue, l'animal repre
en apparence. La respiration est lente et irrégulière, profonde, le
réflexe
cornéen est paresseux. . " , A 72 c. c., l'an
evé d'un bloc sur la planchette.' ' Exorbitisme énorme : perte du
réflexe
cornéen. La pupille se dilate. Les mouvements r
ulsions toniques. Exophtalmie intense etbrusque. Perte immédiate du
réflexe
cornéen. Mort. Une miction d'urines troubles da
toxique. très vio- lente. Exophtalmie brusque, perte inmmédiate du
réflexe
cornéen. Mort. Pas de miction ni de défécation
stérieur et les bras. Trismus. Exophtalmie. -A 220 c. c., perte des
réflexes
cornéens; A 235 c. c., mort sans nouvelles conv
ctère précis à 430. A 580, on arrête l'injection. L'animal dont les
réflexes
cornéens sont lents et paresseux depuis quelque
ulières dans le tracis pos- térieur. Exophtalmie énorme, paresse du
réflexe
cornéen ; à partir de 230, quatre à cinq secous
toniques francs se répètent jusqu'à la mort. Exophtalmie énorme, le
réflexe
cornéen, de plus en plus faible, disparait. La
ations, qui augmentent lorsqu'il la tire au dehors. Il n'y a pas de
réflexe
pharyugien, les réflexes sont légèrement augmen-
orsqu'il la tire au dehors. Il n'y a pas de réflexe pharyugien, les
réflexes
sont légèrement augmen- tés, surtout à gauche,
isuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de troubles moteurs.
Réflexes
normaux. L'aspect de la face est le même qu'à l
donne tête, oreilles, pattes, comme s'il était mort. Diminution des
réflexes
tendineux; ralentissement de la res- piration.
es méthodiques de vivisection des auteurs, il résulte que le centre
réflexe
principal de la sécrétion lacrymale occupe les
res. Rien du côté de la sensibilité; pas de spasme; exagération des
réflexes
tendineux. Délire intense; désordre excessif da
1889. 270 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. droite ; exagération des
réflexes
tendineux du même côté ; gâtisme. Quatre semain
d'une fracture de la jambe gauche, on constate : dis- parition des
réflexes
tendineux, analgésie, ralentissement des sen- s
nt à l'insensibilité des muqueuses. Intégrité de la molilité et des
réflexes
. Titube, mais marche les yeux fermés. Dysaconsi
tiques généraux. Du reste il n'y a pas de trouble de la parole. -
Réflexes
. Ils sont égaux des deux côtés et parfaitement no
x côtés et parfaitement nor- maux. Le clonus du pied est absent. Le
réflexe
pharyngé est très affaibli. En chatouillant la
nous ferons remarquer, en général, que l'absence d'exagération des
réflexes
, des parésies ou paralysies persis- tantes, de
rcussion sur le crâne reste sans effet. Il manque l'exagération des
réflexes
qui est un phénomène presque constant, selon Fo
n'ai paspu le faire parce que le tremblement s'arrêta tout desuite.
Réflexes
. Les réflexes conjonctivaux et pharyngiens sont a
faire parce que le tremblement s'arrêta tout desuite. Réflexes. Les
réflexes
conjonctivaux et pharyngiens sont ab- sents. Le
exes. Les réflexes conjonctivaux et pharyngiens sont ab- sents. Les
réflexes
tendineux sont tout à fait normaux. Pas de dif-
lue d'altération trophique de la main et du bras, l'inté- grité des
réflexes
et surtout les circonstances qui leur ont donné
dynamométrique marque 23 à la main droite, 23 à la main gauche. ,
Réflexes
. - Sont absents les réflexes du poignet, le clonu
la main droite, 23 à la main gauche. , Réflexes. - Sont absents les
réflexes
du poignet, le clonus du pied, le réflexe conjo
exes. - Sont absents les réflexes du poignet, le clonus du pied, le
réflexe
conjonctival et le réflexe pharyngien des deux cô
flexes du poignet, le clonus du pied, le réflexe conjonctival et le
réflexe
pharyngien des deux côtés. Le réflexe olécranie
le réflexe conjonctival et le réflexe pharyngien des deux côtés. Le
réflexe
olécranien est absent à gauche, très faible à dro
Le réflexe olécranien est absent à gauche, très faible à droite; le
réflexe
abdominal crémastérique, le glutée et les patella
e, on n'observe pas des lésions de motilité ni de l'exagération des
réflexes
. La force musculaire pour, vrai dire est un peu
essous de la proportion désirable pour son âge. Pour ce qui est des
réflexes
, non seulement ils ne sont pas exagérés, mais l
i est des réflexes, non seulement ils ne sont pas exagérés, mais le
réflexe
olécranien est absent à gauche. 2° L'attaque es
téristique, il présente à ne pas s'y tromper la démarche de Tood.
Réflexes
. - Le réflexe du poignet, l'olécrânien et le pate
présente à ne pas s'y tromper la démarche de Tood. Réflexes. - Le
réflexe
du poignet, l'olécrânien et le patellairebieu c
ebieu conservés, un peu plus vifs à droite, sans être exagérés ; le
réflexe
conjonctival est aboli à droite, très faible à
si- toire un trouble passager fonctionnel, maintes fois de nature
réflexe
, provoqué par un trouble de la circulation. Mais,
et Fothergill considéraient le scotôme scintillant comme un trouble
réflexe
lié aux troubles de la digestion, et Baralt dan
e les troubles gastriques ou la migraine sont le point de départ du
réflexe
qui provoque le trouble vaso- moteur dans l'app
un instant à ces paroles de Baralt, pour voir comme la théorie des
réflexes
s'y trouve mal déterminée, ce qui ressort encor
ie du trijumeau ? » Evidemment, d'après les lois physiologiques des
réflexes
, tout ce que l'on pourrait avancer serait que :
estifs, 'sur le trijumeau en cas de migraine) puisse provo- quer le
réflexe
moteur sur les vaisseaux des organes de la vision
ue, comment croire que la névralgie est le point de départ de l'arc
réflexe
? Et quand les nausées et le vomissement marque
dans ces troubles moteurs de l'appareil digestif, la décharge du
réflexe
provoqué par les troubles sensitifs de l'appareil
devraient s'accompagner d'une mydriase maxima, avec aboli- tion du
réflexe
pupillaire et de troubles de la motilité des yeux
trouble vaso-moteur cérébral peut être envisagé comme un phénomène
réflexe
. Dans d'autres cas, par exemple lorsque l'accès
ologiques : respiration, diges- tion, n'ont jamais été changés. Les
réflexes
restent tout à fait normaux aux genoux, aux yeu
nt-bras, différence de 1/3 de centimètre en faveur du côté droit. -
Réflexes
rotuliens normaux. Troubles de la sensibilité.
appartenant en propre : vertige spécial, nystagmus, exagération des
réflexes
, etc. De plus, il n'y a dans les antécédents pe
les accidents du tabès et de la paralysie générale : diminution du
réflexe
patellaire douleurs lancinantes signe de Romberg
ux ans, atteint de syphilis. Le tabès se manifesta par l'immobilité
réflexe
des pupilles, la chute des dents, l'impuissance
t par l'atrophie myopathique (en collaboration avec M. BABINSKI; le
réflexe
bulbo-caverneux; etc., etc. Cette perte est viv
ment. On pouvait observer encore qu'il marchait à petits pas. Les
réflexes
rotuliens des membres inférieurs étaient affaibli
ux côtés. 11 n'avait ni déviation de la bouche, ni de la langue. Le
réflexe
pharyngien était diminué. L'autopsie nous a m
la force musculaire du membre supé- rieur droit est affaiblie. Les
réflexes
rotuliens des membres inférieurs sont exagérés.
e. Les réflexes rotuliens des membres inférieurs sont exagérés. Les
réflexes
des membres supérieur et inférieur du côté droit
s que ceux du côté gauche. Sur les membres inférieurs on observe le
réflexe
contralatéral des deux côtés. 3° Le phénomène d
amers ou salés. Le contact de la luette ne produit pas le mouvement
réflexe
du voile du pa- lais, il faut une excitation fo
'odorat est totalement aboli. Pas de trouble du côté de l'ouïe. Les
réflexes
rotuliens et cutanés sont nor- maux, il n'y a p
alade. , 1 7° Symptômes physiques. Pas de paralysie. Diminution des
réflexes
rotuliens, Pupilles dilatées, inégales (pupille
lade marche avec peine et chan- celle si on lui ferme les yeux. -
Réflexes
rotuliens exagérés, trépidation spinale du pied.
troubles de la sensibilité per- sistent ainsi que l'exagération des
réflexes
et les troubles sphipctériens. Puis de nouveau
hystérique : hyperesthésie mammaire et verté- brale ; abolition du
réflexe
pharyngien : tremblement fibrillaire de la langue
on & Ci, Editeurs DERMOGRAPHISME CHEZ LES ÉPILEPTIQUES 209 Le
réflexe
rotulien est normal, ainsi que les réflexes : pla
LES ÉPILEPTIQUES 209 Le réflexe rotulien est normal, ainsi que les
réflexes
: plantaire de Babinski, abdominal,radial, etc.
que les réflexes : plantaire de Babinski, abdominal,radial, etc. Le
réflexe
tricipital est un peu faible, le pharyngien peu
uement d'irritation intestinale d'ordre mécanique déter- minant des
réflexes
pathologiques plus ou moins complexes. Pour M. Ch
mpter. Sommeil bon. Pas de rêves ni de cauchemars. IX. Motilité. Le
réflexe
crémastérien est exagéré, surtout à gauche. Par
es sur les conducteurs cen- trifuges, d'où exagération à gauche des
réflexes
provoqués par les impres- sions douloureuses, e
ît donc due à l'existence de neuro-diélectriques au-dessus de l'arc
réflexe
qui préside à l'accommodation et à la convergen
vent lésés à la fois chez un même malade. L'exagération de certains
réflexes
n'est que le corollaire de la lésion des neuron
neurones des mouvements volontaires et les neurones des mouvements
réflexes
situés sous la dépendance de ceux-ci qu'est due
itées. C'est à ces neuro-diéléctriques qu'est due l'exagération des
réflexes
douloureux (à gauche), et du réflexe crémasté-
qu'est due l'exagération des réflexes douloureux (à gauche), et du
réflexe
crémasté- rien (plus marqué à gauche). Mais ici
xcitation, un nombre considérable d'ondulations nerveuses. Un autre
réflexe
fut exagéré chez notre malade pendant une période
inution de la force musculaire à gauche. 10° Par une exagération du
réflexe
de la miction. 91° Par une exagération du réfle
ne exagération du réflexe de la miction. 91° Par une exagération du
réflexe
crémastérien et des réflexes de la douleur, plu
la miction. 91° Par une exagération du réflexe crémastérien et des
réflexes
de la douleur, plus prononcée à gauche. 12° P
ncombrer ce travail. L'examen du système moteur nous montre que les
réflexes
patellaire, mas- sétérin, ainsi que ceux du poi
Il nous a été impossible d'observer, fait d'ailleurs assez normal, le
réflexe
idio-musculaire. Les réflexes vaso-moteurs para
rver, fait d'ailleurs assez normal, le réflexe idio-musculaire. Les
réflexes
vaso-moteurs paraissent normaux. L... a toujours
ade est droi- tier. Tous les mouvements sont aisés et précis. Les
réflexes
tendineux (soléaire, rotulien, olécranieu) sont d
otulien, olécranieu) sont de forme et d'in- tensité normales. Les
réflexes
cutanés aussi. Les orteils se fléchissent quand o
ut bien celle de la compression cérébrale, ou celle de l'irritation
réflexe
à distance. Dans l'observation si intéressante
tit pas, lentement, ayant de la rétropulsion tous les 5 ou 6 pas.
Réflexes
rotuliens légèrement exagérés à droite. Pas de ph
galité pupillaire, la pupille gauche est plus dilatée, abolition du
réflexe
à la lumière. Les papilles sont entièrement décol
uche. Du côté droit, hémiplégie avec contracture et exagération des
réflexes
. Du côté gauche exagération des réflexes mais s
racture et exagération des réflexes. Du côté gauche exagération des
réflexes
mais sans impotence fonctionnelle. Dans les membr
il gauche, décri- vent un demi-cercle en dehors. Signe de Romberg.
Réflexes
très faibles, parti- culièrement à gauche, mais
t lui. Chutes fréquentes par manque d'équilibre et éblouissement.
Réflexe
plantaire affaibli à droite, nul à gauche. Oscill
e. Pas d'atrophie musculaire. Examen de llT. P. Londe, 894. - Les
réflexes
rotuliens sont maintenant absolument abolis. Le
t intacts. Déglutition normale. Relèvement du gros orteil. Tous les
réflexes
sans exception sont abolis. Parole. La gêne de
sont pâles. La parole est explosive, considérablement altérée. Les
réflexes
tendineux et cuta- nés conservés, plutôt exagér
itaux de notre anen- céphale nous avons remarqué (1) l'existence de
réflexes
soit simples soit associés, la coordination des
on à la fin de la crise. Les membres inférieurs étaient raides, les
réflexes
palellaires étaient de la sorte difficiles à étud
es réflexes palellaires étaient de la sorte difficiles à étudier, les
réflexes
de l'avant-bras étaient exagérés. On relevait a
ses modes, mais elle a de l'hémianestllésie profonde à droite. Les
réflexes
tendineux (rotulien, bras et avant-bras) sont e
t exagérés, mais il n'y a ni trépidation ni phénomène du genou. Les
réflexes
conjonctival et pharyngien sont diminués, le réfl
du genou. Les réflexes conjonctival et pharyngien sont diminués, le
réflexe
cornéen est conservé. Zones hyperesthésiques
. Il n'y a pas d'atrophie musculaire aux différents segments et les
réflexes
ten- dineux sont normaux. Membres inférieurs.
sse et des jambes ont subi une atropliie extrêmement marquée. Les
réflexes
rotuliens sont entièrement abolis. Les réflexes a
ment marquée. Les réflexes rotuliens sont entièrement abolis. Les
réflexes
achilléens sont impossibles à obtenir. Le réfle
ment abolis. Les réflexes achilléens sont impossibles à obtenir. Le
réflexe
plantaire existe, mais il est difficile de dire
dans le tabès; on se rappelle d'autre part que la malade avait les
réflexes
rotuliens abolis. En tout cas, il ne s'agit là
é lyonnaise, faisait remarquer chez son malade de l'exagération des
réflexes
et de la contracture des adducteurs, et en usait
s lésions osseuses. Quant aux vues théoriques basées sur l'état des
réflexes
, elles tombent si l'on parcourt l'ensemble des
es-unes ne notent que des douleurs fulgurantes, dans plusieurs, les
réflexes
sont portéscomme normaux (Gilles de la Tourelle
Lévi). Chez notre malade, ils étaient abolis. Les modifications des
réflexes
, dans la maladie de Paget, nous paraissent dépe
ésions vasculaires. Prédominent-elles sur les cordons latéraux, les
réflexes
seront exagérés, sur les cordons postérieurs, i
èrement plus gros et longs. La sensibilité cutanée est intacte, les
réflexes
normaux ; le réflexe plantaire se fait en flexi
ongs. La sensibilité cutanée est intacte, les réflexes normaux ; le
réflexe
plantaire se fait en flexion. Il ne semble pas
n trouble de la sensibilité dans les autres parties du corps. Les
réflexes
rotuliens n'ont pu être provoqués et les explorat
dique pour les nerfs et les muscles du membre inférieur gauche. Les
réflexes
rotuliens sont perceptibles et même un peu exag
se sert bien de ses deux mains, mais elle est plutôt droitière. Les
réflexes
tendineux sont normaux et égaux. Bien que la di
'existe aucun trouble de la sensibilité, ni des sens spéciaux, ni des
réflexes
. A part les lésipns banales de la tuberculose p
seulement, et laissant intactes la musculature, la sensibilité, les
réflexes
. La généralisation de l'affection à la totalité d
lade semble d'ailleurs exagérer légèrement l'impotence du membre.
Réflexes
rotuliens diminués, mais présents. La position de
extension des divers segments de ce membre sont peu énergiques. Les
réflexes
tendineux sont affaiblis mais égaux des deux cô
ur,- courants continus et inter- mittents). ' . ' ' , ... : - Les
réflexes
tendineux sont pourtant abolis; mais cela paraît
se pro- duire, mais avec cette différence que chez nos malades. les
réflexes
tendineux n'étaient pas exagérés. Ce tremblem
pagne presque toujours d'une exa- gération plus ou moins grande des
réflexes
rotuliens, en un mot c'est une paraplégie spasm
pupillaire, pas d'asymétrie chro- motique des iris. Exagération du
réflexe
massétérin, surtout à gauche. Le maxillaire inf
tendon du triceps et des tendons des 11échiseurs donnent lieu à des
réflexes
assez forts, mais qui diffèrent peu de ceux du
ramené à la rectitude. La contracture est peu marquée; toutefois le
réflexe
patel- laire est plus exagéré que les réflexes
marquée; toutefois le réflexe patel- laire est plus exagéré que les
réflexes
tendineux du membre supérieur. Le redressement
poids; son sternum est couvert de pytiriasis vcrsicolor. - Pas de
réflexe
pharyngien, pas de troubles de la sensibilité gén
sensibilités spéciales, il est impossible de les apprécier. - Les
réflexes
rotuliens sont normaux et le réflexe pharyngien n
sible de les apprécier. - Les réflexes rotuliens sont normaux et le
réflexe
pharyngien n'est pas aboli. Le pouls est à 70
n'a pu constater une influence quelconque sur le rétablissement du
réflexe
patellaire ou sur les phénomènes pupillaires...
encore généralisée, mais plus accentuée aux membres inférieurs. Les
réflexes
rotuliens sont abolis. M. Erb peut constater à
jambes, et de l'absence de contraction dans ceux des cuisses. Les
réflexes
tendineux sont abolis. Sensibilité intacte. Pas d
es atrophiés présentent des contractions fibrillaires notables. Les
réflexes
cutanés sont intacts. Les fonctions de la vessi
elle sorte que son tronc arrive à former un Lavée les jambes. Les
réflexes
cutanés sont conservés à la plante du pied et aux
n de la fente palpébrale s'effectuent le plus souvent d'une manière
réflexe
: si ces mouvements peuvent s'exécuter aussi so
n droite et la main gauche amènent toutes deux le chiffre 25. Les
réflexes
rotuliens sontforts des deux côtés. Il en est de
réflexes rotuliens sontforts des deux côtés. Il en est de même des
réflexes
tendineux de l'avant-bras et du coude. A tous c
sident a)a sécrétion du mucus, tout en y provoquant, par une action
réflexe
,' l'hy- peractivité du champ sécrétoire. Mais
uns après les autres. La sensibilité a toujours été conservée, Les
réflexes
étaient intenses. Embarras de la parole. 10 jan
bduction. Il en est de même aux membres inférieurs (Fig. 63 et 63).
Réflexes
rotu- liens abolis. Pas de contractions fibrill
ables. Il peut se tenir debout les yeux fermés sans osciller. Les
réflexes
rotuliens font complètement défaut; il en est de
s réflexes rotuliens font complètement défaut; il en est de môme du
réflexe
crémastérien et abdominal. Bien qu'il n'y ait p
nctive et de la cornée, dont le con- tact ne provoque ni douleur ni
réflexe
palpébral, bien qu'il soit perçu. Pas de phénom
es inférieurs; il présente des troubles vésicaux, une abolition des
réflexes
, une démarche légèrement ataxique, enfin des lé
ons persistantes de la main droite dont nous as parlé plus haut. Le
réflexe
rotulien, à peu près normal à gauche, est très
malade, il s'agissait de scialique spasmodique avec exagération des
réflexes
rotuliens et trépidation spinale. Ce sont là
er est en effet par elle-même capable de provoquer des phéno- mènes
réflexes
. Les malades soumis à des doses élevées ou même
coup on verra se développer une exagération morbide des phénomènes
réflexes
. On peut se représenter que certaines portions
du droit externe. Grand oblique normal. Pupilles : des deux côtés
réflexe
lumineux conservé. Réflexe aecommodateur très d
blique normal. Pupilles : des deux côtés réflexe lumineux conservé.
Réflexe
aecommodateur très diminué. L'état de l'accommo
sa mémoire a un peu faibli. Sensibilité de la face parfaite. - Les
réflexes
rotuliens sont conservés, et il n'y a aucun sympt
sis, ni symptôme d'Argyll Robertson. Réac- tion lente à la lumière.
Réflexes
conservés. Aucune lésion du fond de l'oeil. Les
laire. Pas d'autres symptômes. Pupilles peu sensibles à la lumière.
Réflexes
rotuliens conservés. Depuis une quinzaine de jour
s de troubles de la sensibilité, ni sur la face ni dans la bouche. Le
réflexe
pharyngien est très développé. Pas de céphalé
ubles vésicaux. Rien aux membres; pas de parésie ni d'atrophie. Les
réflexes
rotuliens sont présents. L'appétit est conser
inte, à la base ou s'il est simplement d'origine inorganique. Les
réflexes
tendineux des membres supérieurs et inférieurs so
xes tendineux des membres supérieurs et inférieurs sont normaux. Le
réflexe
massélérin semble un peu augmenté. III PO1.I0
r des soins a de X... après bien d'autres, crut à une contraction
réflexe
des masséters produite par l'affection alvéolaire
rçut très nettement, dans ces recherches, la preuve que les actions
réflexes
suscitées par les im- pressions des sens dans l
x- pliquent soit par un état de la nutrition, soit par de simples
réflexes
. Point d'action spontanée des cen- tres nerveux
lement l'écorce céré- brale, considéré comme le siège de l'activité
réflexe
, fonction fondamentale de toute vie de relation
de transmis- sion, et ne sont plus que le siège de quelques actes
réflexes
définitivement organisés. Mais, outre que ces ,
es actes réflexes définitivement organisés. Mais, outre que ces ,
réflexes
spinaux sont les plus anciens titres de noblesse
elligence, - qui n'est qu'une « complexité croissante de sensations
réflexes
corticales », - il est permis de voir, dans cet
cérébrale; celle-ci prendrait peu à peu « le caractère instinctif,
réflexe
, automatique, mécanique; » elle arriverait ains
force irré- sistible. L'individu assiste à ce déchaînement de ses
réflexes
psychiques avec la conscience de son impuis- sa
circulation sont l'effet, et non la cause déterminante, des actions
réflexes
cérébrales provoquées par les perceptions. Bian
s inférieurs ; presque de l'incontinence d'urine; exagé- ration des
réflexes
rotuliens ; trépidation épileptoïde. La marche
ble d'être exprimé en termes physiologiques, ou bien être de nature
réflexe
et alors ne différer nullement des mouvements p
concorde avec l'hypothèse que dans un cas les mouvements étaient
réflexes
et dans l'autre directs. Le fait qu'on obtient to
squ'a ce que le doigt touchât presque la conjonctive, alors, par le
réflexe
ordinaire, l'oeil se fermait. Une demi-heure pl
'y avait aucun ptosis, les mouvements des yeux étaient normaux, les
réflexes
cun- jouctivaux conservés, la sensibilité était
épileptique, dont la genèse psychique est incontestée, parait être
réflexe
et traumatique; ainsi, parmi les invalides alle
us; intégrité despupilles et des muscles des yeux; conservation des
réflexes
ten- dineux fort actifs, persistance normale de
rantes, de l'analgésie, de l'impotence génitale, la disparition des
réflexes
tendineux. Intégrité de l'intelligence, delà paro
onnels ; elle est indécise, un peu faible et surtout tremblante. Le
réflexe
rotulien fait défaut du côté gauche; il persist
ne lance pas la jambe en avant et il ne talonne pas : il steppe. Le
réflexe
rotulien manque à gauche ; mais, il per- siste
ue à gauche ; mais, il per- siste à droite (dans le tabès, les deux
réflexes
sont en général abolis simultanément, bien avan
ination motrice n'ait commencé à se manifester). Cette absence du
réflexe
du côté gauche, est liée, selon toute vraisemblan
iée, selon toute vraisemblance, non pas à une diminution du pouvoir
réflexe
lui-même, comme dans le tabès, c'est-à-dire, à
trophiques' p. 381, et Déroche. - Tu. Paris, 1870 (Des amyotrophies
réflexes
). 182 CLINIQUE NERVEUSE. CENTRES TROPHIQUES DE
votre attention. Vous connaissez cette atrophie muscu- laire,. dite
réflexe
, qui succède à certains traumatismes, plus. DE
nnexions relativement assez directes par le chemin nerveux de l'arc
réflexe
. Aucune névrite n'est capable de produire des a
cadence et la régularité des secousses musculaires. La con- vulsion
réflexe
saltatoire de Bamberger, se traduit par de la p
toire de Bamberger, se traduit par de la paralysie spasmodique, des
réflexes
exaltés de la trépidation épileptoïde. VII. -
nférieurs. Il est difficile de discerner le sim- ple tressaillement
réflexe
de l'audition propre. Il n'est pas non plus fac
s étaient ou une simple coïncidence, ou simplement de la nature des
réflexes
qui peuvent arriver chez les animaux, même aprè
ation véritable comme distincte de ces réactions simplement d'ordre
réflexe
plus ou moins générales. Il ne semble pas que les
ion autour du ventre, juste au-dessus de l'ombilic. Il n'y avait ni
réflexe
abdominal, ni crémastérien du côté gauche, mais
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 263 jambe droite est parétique et raide. Le
réflexe
patellaire est très, exagéré et il y a une cont
nique à son membre. Il y a de la faiblesse de la jambe gauche et le
réflexe
patellaire est augmenté. Il n'y a pas une analg
D'après cette observation, les fibres qui président à la genèse du
réflexe
tendineux patellaire ne sont pas réunies en trous
provoquent les sensa- tions. L'écorce motrice arrête le centre des
réflexes
musculaires dont dépend le phénomène tendineux,
ques pour les sensations douloureuses. Parole et voix normales. Les
réflexes
cutanés paraissent intacts; les réflexes patell
role et voix normales. Les réflexes cutanés paraissent intacts; les
réflexes
patellaires sont exagérés ; le phénomène du pie
s analogues. Procédant par déduction, il étudie succes- sivement le
réflexe
élémentaire pour passer de là à l'analyse du mo
t du corps est redevenue normale ainsi que la force musculaire; les
réflexes
sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d'atr
ilité conjonctivale et corezérazze est abolie à gauche, quoique les
réflexes
s'y produisent ; à droite elle est normale. Les
connus. Pas de syphilis. La démarche est celle d'un parétique. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. La sensibilité cutanée
sur la poitrine, la face et la tête. Le 8 avril, en examinant le
réflexe
rotulien, on provoque une attaque de nerfs qui
ie. Les attaques peuvent se produire avec un aimant, l'examen des
réflexes
palellaires, par des attouchements sur le vertex,
nant qu'une émotion violente se traduise quelquefois par une action
réflexe
, assez puissante pour troubler la fonction de l
orrespond à celui des combinaisons musculaires synergiques purement
réflexes
des différents segments du corps, tandis que le
e des accès. Les actes impulsifs sont, on le comprend, un phénomène
réflexe
de l'idée obsédante, ils n'en sont que le dével
rtout après l'accès et avec phénomènes de latéralité. Du coté des
réflexes
l'ouverture de la pupille, durant le calme, est n
- tation pupillaire et réaction plus prompte aux excitations. Les
réflexes
de la conque auriculaire, des narines, du voile d
t plus rapides, surtout le plantaire, après la phase convulsive. Le
réflexe
rotulien est en général plus vif que chez les i
ne représentent que des manifestations diverses d'une excitabilité
réflexe
exagérée, dont la variété est uniquement déterm
e dans l'état hypno- tique, soit par augmentation de l'excitabilité
réflexe
, soit par les stimulus employés agissant alors
e propriété de-produire une certaine augmentation de l'excitabilité
réflexe
, et une augmentation notable de la suggesti- bl
s la plus satis- faisante serait, d'après l'auteur, la théorie dite
réflexe
. Les nerfs centripètes qui se distribuent dans
iance l'existence de pro- cessus psychiques inconscients. Les actes
réflexes
simples ne sont pas des actes psychiques, pas p
ls sont inconscients. Les actes automatiques peuvent être des actes
réflexes
compliqués ou, au contraire, résulter d'actes vo-
le- ment l'apparition de mouvements rythmiques, ondulatoires. Les
réflexes
cutanés sont normaux. Les réflexes rotuliens para
ts rythmiques, ondulatoires. Les réflexes cutanés sont normaux. Les
réflexes
rotuliens paraissent abolis à un examen rapide
on met les muscles dans le relâchement et si l'on cherche alors les
réflexes
en ayant soin d'éviter un moment où le triceps
ceps fémoral soit en état de spasme myotonique, on constate que ces
réflexes
rotuliens sont conservés, mais toutefois notable-
'acuité visuelle de l'oeil gauche est notablement diminuée (1). Les
réflexes
pupillaires sont normaux. L'ouïe est un peu aff
ous croyons plutôt que les maux de dents aient provoqué, par action
réflexe
, la contracture chez notre hystéri- NOUVELLE Ic
t. Sensibilité générale bien conservée. Pas de troubles tropbiques.
Réflexes
des poignets normaux. Ré- flexes rotuliens diff
e type le plus commun c'est la flexion de l'avant-bras sur le bras.
Réflexes
. La rigidité dont nous venons de parler peut dans
s venons de parler peut dans cer- ,%*^tains cas rendre l'examen des
réflexes
tendineux très difficiles. Massalongo, affirme
des réflexes tendineux très difficiles. Massalongo, affirme que les
réflexes
sont très souvent exagérés, toujours lorsqu'il y
aut de relâchement des muscles, qu'il était difficile d'obtenir les
réflexes
. Une autre particularité très notée dans quelqu
cas et notamment par Adser- sen ; c'est qu'il peut arriver que les
réflexes
ne soient pas exagérés mais qu'en cherchant à l
n très difficile ; le phénomène du pied n'existe pas, même avec des
réflexes
rotuliens exagérés. Quant aux réflexes cutanés
n'existe pas, même avec des réflexes rotuliens exagérés. Quant aux
réflexes
cutanés et pupillaires ils n'ont offert aucune an
des mouvements intentionnels est limitée il cause de la raideur.
Réflexes
rotuliens conservés ; plutôt exagérés il gauche ;
- formation aux pieds. Pas de déviation de la colonne vertébrale.
Réflexes
. Les réflexes rotuliens sont difficiles à provoqu
aux pieds. Pas de déviation de la colonne vertébrale. Réflexes. Les
réflexes
rotuliens sont difficiles à provoquer à cause de
de certains muscles de l'oeil amenant la diplopie; 3° l'absence des
réflexes
rotuliens ; 4° la parésie vésicale, qui constitue
us sommes en présence d'une arthropathie tabétique des hanches. Les
réflexes
tendineux rotuliens sont conservés, comme vous
constatait en effet, chez ce mégissier, la même conserva- tion des
réflexes
rotuliens, des (roubles vésicaux, des douleurs fu
e la partie correspondante du rachis par une sorte de « contracture
réflexe
qui entraînerait une attitude un peu spéciale,
énar. 3e et 4e in- terosseux sans réaction. Pas d'autre anomalie.
Réflexes
. H¡"l1exe rotulien exagéré des deux côtés, surtou
e un grand nombre de symptômes caractéristiques du tabès : perte du
réflexe
pupillaire, signes de Romberg, douleurs fulgurant
de Romberg, douleurs fulgurantes, crises viscérales. abolition des
réflexes
rotuliens, etc. Mais ce qui nous intéresse c'est
illet 48afi. (3) In th. de Besson, Déviation de la taille d'origine
réflexe
(Paris, 1888). (4) Duret, Déformation de la rég
te de ces contractures il est souvent très difficile d'examiner les
réflexes
tendineux. L'athétose s'accom- pagne presque to
dans le membre affecté la trépidation épileptoïde, l'exagération du
réflexe
rotulien et un état de contracture des muscles
e que le tronc penchait vers le côté malade. Aucune exagération des
réflexes
associée à la sciatique. En interrogeant le mal
et c'est seulement le soir qu'il éprouve un peu de bien-être. Les
réflexes
tendineux sont normaux. Il n'y a pas de trouble d
e déformation notable. Au dynamomètre M. D. = 17. - M. G. - 16. Les
réflexes
tendineux du poignet ne sont pas augmentés ; le r
- 16. Les réflexes tendineux du poignet ne sont pas augmentés ; le
réflexe
rotulien est également fort des deux côtés. L
DIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' CIL111C01' (Suite '). Les
réflexes
tendineux et rotuliens très exagérés dans la sclé
ient le signe de Romberg, les verliges, le nyslagmus, l'absence des
réflexes
rotuliens, le pied-bot, la scoliose; les pre- m
am- nestiques ou actuels d'hémiplégie spasmodique : exagération des
réflexes
tendineux, trépidation épileptoïde, arrêt de dé
uble la rai- `deur est moins prononcée mais plus généralisée, Les
réflexes
et en particulier les réflexes rotuliens sont tou
prononcée mais plus généralisée, Les réflexes et en particulier les
réflexes
rotuliens sont toujours exagé- rés dans le tabe
deux côtés. Pas de zones hystérogènes, pas de points douloureux. Le
réflexe
pharyngien est absent : Du côté des sens : l'ou
tréci à 40° à droite, à 35° à gauche, les pupilles sont égales, le
réflexe
cor- néen conservé. Le sens musculaire et artic
ifeste. La marche est pénible et le sujet se fatigue très vite. Les
réflexes
tendineux sont normaux, égaux des deux côtés, les
ite. Les réflexes tendineux sont normaux, égaux des deux côtés, les
réflexes
cutanés conservés. L'état général est satisfa
es mêmes régions qu'à gau- che. Sensibilité diminuée à la face. Les
réflexes
du poignet et du coude sont exagérés. Sensibili
e musculaire y est normale à droite et à gauche. 1 1 . J l' . Les
réflexes
sont un peu exagérés des deux côtés, sans trépida
mais cette rigidité empêche de se rendre bien compte de l'état des
réflexes
roi tuliens. Pas de phénomènes du pied. Pas d'i
NCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 333 hémianesthésie sensitivo-sensorielle,
réflexe
pharyngien aboli. Un seul peut suffire, le rétr
à cause de la contracture des muscles et de leur instabilité. Les
réflexes
sont normaux du côté gauche, la force musculaire
rises. Pendant les crises, sensation d'étouffement à la gorge. Le
réflexe
pharyngien est conservé. SENSIBILITÉ spéciale.
qui est plus pro- longée au bout de quelque temps ; les mouvements
réflexes
sont exagérés, les mouvements actifs et passifs
aît le clonus de la main ou du pied et l'exagération des mouvements
réflexes
. Le mouvement actif que regagne le malade est e
'est un trouble de l'innervation. Chez les tabétiques l'innervation
réflexe
automa- tique de la station est affaiblie grâce
circulation intra- musculaire. Il est aussi possible que, par voie
réflexe
, ils aillent exciter les centres trophiques méd
te une rétraction manifeste du tendon d'Achille des deux côtés. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés ; on cons- tate de la t
fant mais, cependant, ils semblent être en extension constante. Les
réflexes
tendineux semblent forts autant qu'il est possibl
de la sensibilité sous ses divers modes jointe il l'exagération des
réflexes
tendi- neux, à la trépidation spinale et aux ré
nt égales,' légèrement contractées et insensibles à la lumière. Les
réflexes
rotuliens étaient abolis aux deux genoux. Le mala
lèvres, de l'incontinence des matières fécales, de l'abolition des
réflexes
rotuliens, mais des trou- bles de la marche peu
'examen de ce même membre nous fait constater.une exigé- ration des
réflexes
rotuliens et des réflexes cutanés plantaires; par
nous fait constater.une exigé- ration des réflexes rotuliens et des
réflexes
cutanés plantaires; par contre on constate la p
es réflexes cutanés plantaires; par contre on constate la perte des
réflexes
du tendon d'Achille. De plus, l'examen électriq
partir du 1/3 inférieur de la jambe gauche et sur le dos du pied.
Réflexe
patellaire gauche un peu diminué, le droit, est n
je ne pus étudier la force du membre infé ienr droit, ni l'étal du
réflexe
rotulien. Enfin, la cuisse était le siège d'un
étillement au niveau des mus- cles ; on constate une diminution des
réflexes
tendineux, le signe de Rom- ber, une incoordina
e. Cette atrophie est, le plus souvent, irréparable. , Troubles des
réflexes
tendineux. On a noté : L'intégrité des réflexes
e. , Troubles des réflexes tendineux. On a noté : L'intégrité des
réflexes
tendineux ; / L'affaiblissement des réflexes pa
té : L'intégrité des réflexes tendineux ; / L'affaiblissement des
réflexes
patellaires, allant jusqu'à l'abolition com- pl
agération des réflexes'patellaires, coïncidant avec l'abolition des
réflexes
du tendon d'Achille. / Bref, il n'y a rien de c
d'Achille. / Bref, il n'y a rien de caractéristique dans^'étal des
réflexes
tendineux. Réactions électriques. - On en peut
ns qui intéressent isolément la région des centres de l'innervation
réflexe
de la vessie et du rectum, ou les nerfs qui en
parties de la vessie et du rectum sont transformées en contractions
réflexes
de ces mêmes organes.. , Il en était ainsi da
g) : Paralysie totale des membres inférieurs, avec suppression des
réflexes
, atrophie des muscles paralysés; l'exploration
ans une observation d'Eybert (Des diarrhées néV1'opathiques d'origine
réflexe
, Th. Lyon, 1892, p. 56) relative à une femme de
r- sale et 8e cervicale ne détermina aucun phénomène vaso-moteur ou
réflexe
et que d'autre part, l'électrisation, même avec
es correspondantes, tout en ne provoquant également aucun phénomène
réflexe
, parut produire, surtout pour la 8e racine anté-
on du dos du poignet ne provoquait plus d'extension de la main. Les
réflexes
des membres inférieurs étaient nor- maux. La mi
nde ; il se tient debout, les yeux fermés, sans osciller. Seuls les
réflexes
tendineux, aux membres inférieurs, ^sont altéré
x, aux membres inférieurs, ^sont altérés. Très diminué à droite, le
réflexe
rotulien est pour ainsi dire aboli du côté gauc
lexe rotulien est pour ainsi dire aboli du côté gauche. De même les
réflexes
du tendon d'Achille sont affaiblis des deux côt
gé- nitaux significatifs. Ajoutez à ce complexus la diminution des
réflexes
rotuliens et \ous aurez le tableau morbide dans
a pression. Le bras droit est un peu plus faible que le gauche. Les
réflexes
tendineux et cutanés sont exal- tés et semblabl
ilités générale et spéciale (tact, température), sont normales. Les
réflexes
des membres sont très exagérés de deux côtés. A d
ure normale étant = 3. maxima - G... , . z minima 1... - (2) Le
réflexe
normal étant représenté par le chiffre 3. maxim
6 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE' cas. Pendant la vie, les
réflexes
rotuliens avaient été constatés normaux. Il n'a
férieurs étaient oedéma- tiés à un tel degré que l'appréciation des
réflexes
rotuliens était impos- sible. NOUVELLE Iconog
tres troubles trophiques qu'un léger amaigrissement de la main. Les
réflexes
tendineux sont exaltés du côté droit mais le cl
rès, ceux du pied gauche entrèrent en contracture. Mais la synergie
réflexe
ne s'arrêta pas là ; presque aussitôt les deux
ade ne sent rien à 50°. Elle com- mence un peu à sentir vers 85°.
Réflexes
^ Pharyngien aboli. Rotuliens normaux ; un peu plu
pieds « sautent tout seuls » suivant l'expression de la malade. Les
réflexes
rotuliens sont abolis, il n'y a pas de trépidatio
es mêmes résultats. L'examen de la sensibilité provoque de nombreux
réflexes
cutanés dont la malade n'a pas conscience, car
es paralysés sont entrés dans un état de relâchement extrême et les
réflexes
tendineux ont complètement disparu, ce qui prou
st pas besoin d'une lésion transverse totale pour abolir le pouvoir
réflexe
des centres médullaires. Les réflexes cutanés p
totale pour abolir le pouvoir réflexe des centres médullaires. Les
réflexes
cutanés persistaient encore il est vrai. Les réfl
ullaires. Les réflexes cutanés persistaient encore il est vrai. Les
réflexes
se compor- taient de même dans l'observation qu
sans que la malade en ait conscience. La paralysie est flasque; les
réflexes
cutanés et tendineux sont abolis; pourtant lors
orps n'existe pas pour la malade, qui ne souffre pas. Néanmoins les
réflexes
cutanés persistent et il arrive fréquemment que
oite, face légère- ment atteinte, hypertrophie de certains muscles,
réflexes
conservés, réactions électriques normales. Trou
de ne plus montrer aucune secousse dans les masses musculaires. Les
réflexes
rotuliens sont conservés, le gauche est un peu pl
ion très particulière de l'amyotrophie, sur le caractère normal des
réflexes
et des réactions électriques, sur la per- sista
" - 5-- ÉTUDE MORPHOLOGIQUE SUR LA MALADIE DE PARKINSON 365 Les
réflexes
sont conservés. Il est pénible pour la malade d
e moyenne de la cuisse. Les réactions électriques sont normales ; les
réflexes
tendineux et cutanés sont également normaux. Il
est normale, les réactions électriques sont totalement perdues et les
réflexes
ont disparu, ce qui n'est point le cas chez notre
qu'à l'excitation auditive perçue, mon sujet a réagi au moins par un
réflexe
moteur d'articulation. Tout en dormant, un de m
r des mouvements est perdu. De plus, la tonicité, la motricité et les
réflexes
ne sont pas troublés de la même manière que dans
erté de ses mouvements; elle tire bien la langue et peut marcher; les
réflexes
tendineux sont normaux, à droite et à gauche; le
archer; les réflexes tendineux sont normaux, à droite et à gauche; le
réflexe
rotulien semble exagéré, mais c'est une apparence
, mais c'est une apparence et non une réalité ; il faut se défier des
réflexes
forts : ils répondent à un véritable tremblement
tremblement de la tonicité. Il n'y a pas de trépidation spinale ; le
réflexe
des orteils est en flexion: il n'y a pas de chute
ffaiblissement monolatéral du sens de l'ouïe, l'abolition de certains
réflexes
avec conservation de certains autres, la pollakiu
uérie pour bien des années. Odeurs et troubles digestifs Quelques
réflexes
bizarres d'origine nasale. Nous les empruntons à
mets savoureux « fait venir l'eau à la bouche ». Mais cette sécrétion
réflexe
peut atteindre chez certaines personnes des propo
ent pendant le sommeil. A gauche, parésie flasque, hypéresthésie.
Réflexe
rotulien exagéré légèrement à gauche. Pas de si
uche. Pas de signe de Babinski. — Pas de trépidation épileploïde.
Réflexes
, pharyngé, cornéen abolis. — Pas de dermographie.
fois créée, la vue de ses bras cedé-matiés éveillait chez le sujet le
réflexe
de vaso-motricité qui se maintenait par associati
supprimer la vue, et par cela même l'association des idées, moteur du
réflexe
, sera toujours le moyen de les guérir. PSYCHOLO
et dont elle était débarrassée, menacent de se réveiller, par action
réflexe
. De nouveau, j'endors donc celle malade, ains
il n'y a pas abolition des mouvements ni de la plus grande partie des
réflexes
. En somme, si l'on veut bien tenir compte que l'h
érience. Il ne suffit pas de dire qu'elle s'applique à propos; car le
réflexe
purement instinctif s'applique, lui aussi, à prop
ervation; il peut être considéré essentiellement comme un ensemble de
réflexes
; mais ces mouvements seuls ne suffisent pas à re
olutionnistes ont répondu par l'affirmative et ils entendaient que le
réflexe
môme peut se transformer et s'est transformé de t
voyons de grandes objections à cette théorie. Comment admettre que le
réflexe
proprement dit devienne de l'intelligence, puisqu
e réflexe proprement dit devienne de l'intelligence, puisque, dans le
réflexe
il n'y a rien qui puisse se développer en intelli
sidérée, on comprend qu'elle ne peut être appelée à se substituer aux
réflexes
utiles aux espèces de l'instinct primitif. Elle c
nts nouveaux qu'elle commande, souvent répétés, tendent à devenir des
réflexes
particuliers qui constituent ce qu'on appelle auj
industries animales. • Ainsi l'intelligence serait sortie, non du
réflexe
mais de la mémoire fonctionnelle. Il faut suppo
vie, chez les êtres les plus infimes. Elle a certainement précédé le
réflexe
qui ne peut se produire sans le secours d'un syst
la jambe; il y a eu arrêt de développement de tout le côté droit. Les
réflexes
sont exagérés à droite. En somme, il y a eu, au m
fin, les fonctions de la moelle épinière s'affaiblissent ; le pouvoir
réflexe
apparaît plus ou moins diminué, car on peut touch
isi et vaincu, et cet état de peur provoque chez lui l'inhibition des
réflexes
. Danilewsky admet un développement phylogéné-tiqu
ngue, parfois même un souffle suffisent pour provoquer des mouvements
réflexes
chez la grenouille sans hémisphères. On observe l
des hémisphères, la peau se trouve dans un état d'hyperex-citabilité
réflexe
, même pendant l'hypnose. De là il résulte que l'a
e plus, que les hémisphères exercent une fonction inhibitrice sur les
réflexes
. L'inhibition concerne aussi bien les excitations
uche de force. Par cette brèche, on verse des aliments liquides et le
réflexe
de la déglutition s'accomplit. Si une contracture
lewsky, Verworn prétend que chez les animaux dits « hypnotisés », les
réflexes
ne sont point diminués, ou plutôt que la diminuti
les réflexes ne sont point diminués, ou plutôt que la diminution des
réflexes
dans cet état provient uniquement de l'effet de l
es expériences m'ont montré que, dans l'état de torpeur profonde, les
réflexes
sont toujours très considérablement abaissés, mêm
Chez les animaux, le phénomène principal se réduirait simplement à un
réflexe
tonique de position, lequel prête à l'animal l'at
ux, Verworn admet que tout se passe dans la station centrale pour les
réflexes
de la position du corps. Or nous savons que cette
ion centrale se trouve dans le cervelet; là serait le centre pour les
réflexes
de position du corps et pour la contraction toniq
1901). — Grenouille profondément endormie depuis dix minutes. Pas de
réflexe
palpebral. Respiration à peine perceptible. On fa
et chasse toute espèce de pensée, pour n'être plus qu'une « machine à
réflexes
», ainsi que je le lui ai suggéré. La guérison
est prise, à intervalles à peu près réguliers, de crises convulsives
réflexes
, sans jamais recouvrer la connaissance, puis le p
re main. Il y a de l'anesthésie cornéenne, une exagération légère des
réflexes
et une diminution de la sensibilité. La contractu
rynx. La déglutition des aliments froids se fait avec difficulté. Les
réflexes
rotuliens et achilléens sont très nets ; à noter
sont très nets ; à noter aussi la trépidation épileptoïde du pied, le
réflexe
simultané de Babinsky et la démarche spastique as
est excessive, par places, surtout du côté gauche à la poitrine. Les
réflexes
conjonctivaux, cornéens et pharyngiens sont nets.
a pas de rétrécissement du champ visuel (examiné sans périmètre). Les
réflexes
tendineux sont forts et proportionnellement égaux
rdonnées qui aboutissent, suivant que l’incoordination automatique et
réflexe
est plus ou moins grande, au balbutiement, au bre
résent, on n’avait considéré que deux sortes d’actes : 1° Les actes
réflexes
bien étudiés par les physiologistes dont le type
n étudiés par les physiologistes dont le type nous est fourni par les
réflexes
médullaires. A ces actes, on peut rattacher les a
s montre l’acte commis par le cerveau sous une forme rappelant l’acte
réflexe
: 1° Une sensation centripète ; 2° L’excitati
c forme. L’acte suggéré comble clone l’hiatus qui exisle entre l’acte
réflexe
d'une part. l'acte voulu «le l’autre. • • La
pirations, par un affaissement du thorax, enfin par une diminution du
réflexe
palellaire. Il s’agit donc bien d'un vrai chang
ntaux ou raisonnés. Aucun lien ne rattachait ces derniers aux actes
réflexes
. Ceux-ci comme étant d'essence trop humble occupa
ts nouveaux permirent de combler l’abîme qui existait entre les actes
réflexes
, actes nerveux les plus humbles, et les actes vol
uées. Passons donc en revue ces divers modes d’actes qui partent du
réflexe
pour aboutir à la volonté : 1° Tout d'abord 1’a
rtent du réflexe pour aboutir à la volonté : 1° Tout d'abord 1’acfe
réflexe
lui-même (2). Les physiologistes en ont étudié le
lui-même (2). Les physiologistes en ont étudié les lois. Dans l’acte
réflexe
médullaire, une sensation peut amener non seuleme
peau que brûle une goutte d’acide sulfurique. Nous arrivons aux actes
réflexes
supérieurs, simulant l’intelligence. Ces réflexes
arrivons aux actes réflexes supérieurs, simulant l’intelligence. Ces
réflexes
ont pour centre, la moelle allongée, la protubéra
ader); ses mouvement sont donc coordonnés, pourtant ils sont purement
réflexes
et dûs à la sensation (t) Au début l'hypnotisme
facultés intellectuelles, ce n’était plus qu’un automate, une machine
réflexe
compliquée. Les actes produits par un animal dé
arde l’immobilité. * • • 2° Il convient de rapprocher des actes
réflexes
supérieurs : a) Les actes habituels. Tout acte
es divers actes, nous en saisirons de suite les différences. L’acte
réflexe
est caractérisé par : 1° La sensation provoque
x vient exciter un neurone sensitif : sensations S : Fig. I. Acte
réflexe
simple. P, sensation déterminant un courant ner
courant nerveux centrifuge. 3° Ccllc-ci transmet l’excitation à un (
réflexes
simples) (Fig. 1) ou à un grand nombre de neurone
nombre de neurones moteurs M(Fig. 2) d’où l'acte. Qu’il s’agisse de
réflexes
médullaires ou d'actes cérébraux automatiques, d’
cte volontaire a-t-il été reconnu plus long à se produire, que l'acte
réflexe
. La caractéristique de l’acte volontaire, consi
f transmet son excitation aux neurones moteurs. L’acte causé par le
réflexe
, l’imitation ou la suggestion est fatal. Au contr
ins vrai que l'acte volontaire n’est pas fatal dans le sens den actes
réflexes
, imités ou suggérés;ilestsimplcmentdéterminé.
différence dans les actes considérés. J’introduis dans le schéma des
réflexes
le neurone -J- et ce seul changement me donne l’a
e vous présenter mon rapport. M. Regnault admet en principe que les
réflexes
sont médullaires. C’est là une opinion qui ne peu
z l’homme, l’intervention du cerveau dans l’accomplissement des actes
réflexes
et, si nous consentons, jusqu’à plus ample inform
es et, si nous consentons, jusqu’à plus ample informé, à dire que les
réflexes
tendineux sont médullaires, des faits nouveaux no
sont médullaires, des faits nouveaux nous obligent à croire, que des
réflexes
cutanés sont plutôt d’origine cérébrale (Sherring
. M. Félix Regnault. — Vous dites : on tend à admettre que certains
réflexes
ont une origine cérébrale ; ce n’est donc pas abs
897. Elle présente des stigmates manifestes d’hystérie : abolition du
réflexe
pharyngien, points douloureux le long du rachis,
à bout. Chacun de ces conducteurs constitue dans son ensemble un arc
réflexe
, et la vie n’est ainsi qu’un complexus de réflexe
son ensemble un arc réflexe, et la vie n’est ainsi qu’un complexus de
réflexes
, dont les uns sont inconscients, les autres en pa
ents. Dans l’état actuel de la science, ont peut admettre que l’arc
réflexe
le plus complet, est formé des neurones suivants
t de troubles fonctionnels et il guérira rapidement. Notons que ses
réflexes
sont normaux ; sa force musculaire est conservée
des neurones de mouvement. I. — Les paralysies hystériques. Dans le
réflexe
complet à sommet cérébral, les ondulations nerveu
itre ne me paraît être qu’une illusion provenant de ce que les grands
réflexes
, ceux qui effectuent dans le cerveau une partie d
et surtout par la voie cérébelleuse. De là le tonus musculaire et les
réflexes
immédiats. La contracture n’est que l’exagérati
n est diminué d:autant. on comprend pourquoi le temps de réaction des
réflexes
est diminué chez beaucoup de ces malades, et pour
bres musculaires. C’est la crainte de la douleur qui provoque le même
réflexe
dans les deux cas. Mais si nous supprimons cett
phénomène résulte uniquement d’une inversion dans la transmission du
réflexe
initial, inversion corrigible psychiquement. To
erminer elle-même un point unique dont le contact engendrait tous les
réflexes
pénibles dans lesquels consistait sa maladie. Trè
défaut et que si quelques-uns les croient encore incapables d’actions
réflexes
, impulsives,d’émotivité, c’est qu’ils les ont peu
caces et môme dangereuses ; la raie, en se contractant, sous l’action
réflexe
vaso-motrice, rejette les hématozoaires dans le t
. 253. FIGURES ET PORTRAITS CONTENUS DANS LE TEXTE FIGURES Acte
réflexe
simple, 172. Acte réflexe compliqué, 173. Act
S CONTENUS DANS LE TEXTE FIGURES Acte réflexe simple, 172. Acte
réflexe
compliqué, 173. Acte suggéré, 173. Acte volon
'applica-tion, d'exciter dans les membres supérieurs des mouvements
réflexes
. Je vous rappellerai aussi que, dans les expérien
temporaire, con-tracture permanente des membres, exaltation des actes
réflexes
. — Troubles de la mixtion ; — théorie de Budge. —
n dont la substance grise à son tour devient le siège, les propriétés
réflexes
s'exaltent dans le segment inférieur de la moelle
myélite spontanée. Il en est de même de l'exaltation des propriétés
réflexes
de la moelle. Il ne faudrait pas néanmoins cherch
articulier, qu'ils sont modifiés dans l'état normal par une influence
réflexe
, qui leur est communiquée par les nerfs centripèt
l'urèthre, aurait également pour résultat de laisser subsister l'acte
réflexe
qui commande l'occlusion constante du sphincter;
Si, par contre, la lésion siège plus bas, les conditions de l'acte
réflexe
dont il s'agit ne subsistent plus , le sphincter
ment, d'un amoindrissement et même de la suppression totale des actes
réflexes
1. b) La compression subie par les filets nerve
ses musculaires, avec diminu-tion de la réaction faradique. Les actes
réflexes
dans les mem-bres paralysés sont amoindris et sup
n'être pas notablement modifiée ; enfin, non seulement les phénomènes
réflexes
persistent dans ces membres, mais encore ils s'y
extrême, résultat de la perte de la tonicité des muscles ; les actes
réflexes
sont plus 1 Pathology of the spinal Cord. In Me
cter anal et vésical, l'obnubilation ou même la suppression des actes
réflexes
2. Si Jally 1858; — R. Thompson. Med. Times J.
es impressions sensitives, que les impulsions motrices volontaires et
réflexes
doivent nécessairement, elles aussi, passer par l
ôme dans les cas les plus graves. Enfin, Vexaltation des propriétés
réflexes
, les différentes formes de l'épilepsie spinale qu
laccidité des membres, avec abolition ou diminution de l'excitabilité
réflexe
, mais — et c'est là un point sur lequel j'insiste
des d'exci-tation de la peau ne provoquent aucune trace de mouvements
réflexes
. Le malade n'accuse aucune sensation pénible da
pression de la tonicité musculaire et des autres mo-des de l'activité
réflexe
, peut être considérée, d'après les vues physiolog
ne excitation des ten-dons. D'après M. Erb, il s'agirait là d'un acte
réflexe
dont le point de d'part serait une irritation des
duisent la trépidation et il ne se refuse pas à voir là un exemple de
réflexe
tendineui ; mais il cite d'un autre côté des fait
vocatrice unique du phénomène a été une légère irritation de la peau (
réflexe
cutané). Pour ce qui est de la théorie de M. West
se produit en outre, des secousses musculaires déterminées par action
réflexe
, les divers phénomènes de dysesthésie sur lesquel
légie avec flaccidité : exaltation, puis abolition de l'ex-citabilité
réflexe
; — contracture permanente ; —escarres. — Siège e
tion de l'inflammation des nerfs à la moelle. Paraplégies urinaires
réflexes
. — Symptômes. — Interprétation de M. Brown-Séquar
lte forme de paraplégie urinaire, dési-gnée sous le nom de paraplégie
réflexe
, qui a été surtout l'occasion des discussions aux
e s'accompagne, à un moment donné, d une exaltation de l'excitabilité
réflexe
, la- 1 Transad, of the pathol. Society of Londo
tableau, tracé par M. Brown-Séquard, de ce qu'il nomme la paraplégie
réflexe
, a eu assez de retentissement pour qu'il ne soit
arétique des membres que d'une paralysie proprement dite ; le pouvoir
réflexe
de la moelle n'est jamais accru ; jamais la paral
et c'est en conséquence de l'anémie spinale ainsi développée par voie
réflexe
que se pro-duirait la paraplégie. La validité de
qui, s'ils ne dévoilent pas complètement le mécanisme des paraplégies
réflexes
, en dé-montrent cependant tout au moins, si je ne
ar exemple, momentanément, le jeu des fonctions motrices et des actes
réflexes
. Si, l'encéphale étant détruit, chez une grenou
ans sa région inférieure, par l'application d'un caustique, les actes
réflexes
sont atténués, à un degré remarquable, dans les m
é gauche, par exemple, tant que l'irritation persiste, les mouvements
réflexes
sont abolis dans le membre inférieur du côté droi
ourantl. 1 Herzen. — Expér. sur les centres modérateurs de l'action
réflexe
. Turin, 1864. Les expériences de M. Lewisson 1
ière par cet expérimentateur, c'est la non-existence d'une paraplégie
réflexe
consécutive à l'extirpation du rein. L'expé-rienc
l'ap-plication de ces résultats à l'explication des paraplégies dites
réflexes
, prête à la critique. On objectera entre autres q
la sonde renfermaient du sang. —7e jour, dis-parition des mouvements
réflexes
aux membres inférieurs ; formation d'une escarre
temporaire, con-tracture permanente des membres, exaltation des actes
réflexes
. —Troubles de la miction; — théorie de Budge. — M
ie avec flaccidité ; — exaltation, puis abolition de l'excitabilité
réflexe
; — contracture permanente; eschares. — Siège et n
tion de l'inflammation des nerfs à la moelle. Paraplégies urinaires
réflexes
. — Symptômes. — Interprétation de M. Brown-Séquar
Consécu-tive aux lésions de l'intestin, 338 ; — Del'utérus, 338. —
Réflexes
, 325, 333. — Saturnme,3'i, — Urinaires, 322. Pe
Troubles du) dans la com-pression de la moelle, loi. (V. Douleurs.)
Réflexes
(Exaltation des phénomè-nes), 128, 144, 166. Re
mais l'anesthésie aux divers modes n'est pas aussi prononcée. Les
réflexes
tendineux sont abolis des deux côtés. Les inter
e sont pas tranchées, mais l'insensibilité va en s'atténuant. Les
réflexes
tendineux sont conservés. A la main droite la pea
de dégénérescence type pour le premier interosseux seulement. Les
réflexes
tendineux sont abolis à droite. 11 n'existe pas d
les jambes deviennent rapidement bleuâtres pendant la marche. Les
réflexes
sont conservés, sinon légèrement exagérés. Pas de
n piquant la jambe et surtout la cuisse gauches, que la contraction
réflexe
se 'produit plus intense, dans le membre infé-
lation est saine. Si, avant de faire lever la malade on examine les
réflexes
rotuliens; on constate que ceux-ci sont très ex
he présente une certaine diminution de la contractilité volontaire.
Réflexes
exagérés à droite. Paralysie vésicale. Le côté
embre. - Même état au point de vue des phénomènes médullaires : les
réflexes
au chatouillement restent exagérés du côté droit.
tte hyperesthésieest étroi- tement liée au retour de l'excitabilité
réflexe
. Les fonctions sensitives et motrices des membr
ur ni aux poumons. La température et le pouls étaient nor- maux. Le
réflexe
rotulien existait. Pas d'anesthésie de la peau. U
aux jointures. La sensibilité est partout normale, de même que les
réflexes
cutanés et ten- dineux. Il n'existe pas de trou
nt assez volumineux. Excitabilité mécanique des muscles normale, le
réflexe
tendineux du'triceps existe. ' , Légers troub
s malades, même chez les plus améliorés, au bont de trois mois, les
réflexes
rotuliens n'ont reparu ; de même, les signes pu
de atteint de sclérose en plaques avec exagération considérable des
réflexes
rotuliens, ayant été soumis au traitement, il s
0 SN i.R ET PAPI', EDITEURS DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES. 111
Réflexes
tendineux normaux, réflexe pharyngien conservé. A
DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES. 111 Réflexes tendineux normaux,
réflexe
pharyngien conservé. Aucun trouble du goût, ni
En promenant un papier sur la cornée, on détermine des mouvements
réflexes
et du larmoiement, sans qu'il y ait de sensation
ls le diagnostic avait été attribué la plupart du temps à une cause
réflexe
, alors que les stigmates concomitants donnaient
emi de largeur autour du rebord orbi- taire. Il y a persistance des
réflexes
cornéen et conjonctival ; une tête d'épingle mi
degré d'incoordination qui rend la marche lente et hé- sitante. Les
réflexes
rotuliens sont complètement abolis. , Les micti
ts atteints d'hémiplégie cérébrale avec contracture secondaire. Les
réflexes
tendineux ne 'sont nullement exagérés.' · . - '
sement concentrique du champ visuel, il gauche à 40, à droite à 70.
Réflexe
rotulien droit normal; réflexe gauche très diminu
suel, il gauche à 40, à droite à 70. Réflexe rotulien droit normal;
réflexe
gauche très diminué. En examinant attentivement
oit par excitation directe de l'organe, soit par l'intermédiaire de
réflexes
d'origine variable, centrale ou périphé- rique.
également provoquer la contracture sous l'influence du diapason par
réflexe
auriculaire. Dans ce cas intervient directement
e cas intervient directement une influence psychique déterminant le
réflexe
central qui produit la contracture. C'est en
ats, on peut en conclure que la contracture survient par suite d'un
réflexe
de l'excitation du nerf acoustique portée sur le
A droite, hyperesthésie avec exagération extraordinaire de tous les
réflexes
cutanés; hyperesthésie auditive. Hyperexcitabilit
xcitation du nerf acoustique. Ces contractures sont le produit d'un
réflexe
central. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T II. PL. XXXVI
ique conservée. En résumé, réaction de dégénérescence très nette.
Réflexes
rotuliens un peu exagérés à gauche ; forts à droi
s rares et moins fortes. La trépidation spinale et l'exagération du
réflexe
rotulien sont toujours très marquées à droite.
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE, ration très considérable des
réflexes
rotuliens. Mais la seule durée de l'affection é
coup plus soutenable pour la sclérose en plaques. L'exagération des
réflexes
rotuliens jointe au nys- tagmus plaidait en fav
. L'atrophie ne porte pas sur les muscles des membres inférieurs.
Réflexes
des membres supérieurs normaux. Réflexes rotulien
es des membres inférieurs. Réflexes des membres supérieurs normaux.
Réflexes
rotuliens très exagérés des deux côtés, mais sa
upilles inégales (plus petite à gauche). - Nystagmus très prononcé.
Réflexe
pupillaire plus faible à gauche. - Paupière supér
d. Les muscles du tronc et des membres sont violemment secoués, les
réflexes
cutanés et tendineux sont diminués ou même abol
eprenait aussitôt de plus belle. Dans l'intervalle des attaques les
réflexes
tendi- neux n'étaient pas exagérés pathologique
des premiers, et qui a le mieux satisfait l'esprit, est le schéma des
réflexes
que nous donnons ici (fig. 1). Une sensation D, p
mouvement chez un animal décapité. Toutes les lois de Pflüger sur les
réflexes
de la moëlle peuvent se traduire d'une façon sati
un ensemble qui paraît rationnel. Reportez-vous au schéma de l'acte
réflexe
. Au lieu qu'il y ait continuité entre d et S, ent
médullaires et aboutit à la cellule bulbaire B, centre de nouveaux
réflexes
. Le cylindraxe de B se met en rapport avec la c
mouvement volontaire a été reconnu plus long à se produire que l'acte
réflexe
. On voit que le courant sensitif, au lieu de pass
riations. Opposons l'acte volontaire à l'involontaire. En dehors du
réflexe
dont le courant est médullaire ou bulbaire, nous
sation ne provoque pas d'associations d'idées et provoque de suite le
réflexe
centrifuge, l'acte est involontaire. Tel est l'ac
e à gauche. Sensibilités olfactive et gustatïve abolies à gauche.
Réflexe
pharyngien diminué. Les règles sont en retard.
table des symptômes neurasthéniques. Aucun stigmate d'hystérie. Les
réflexes
sont normaux. La sensibilité au contact et à la d
occasionnelles. Le mal de mer finalement n'est autre chose qu'un acte
réflexe
, dont le point de départ est une série d'excitati
ssayer de créer par la suggestion hypnotique un centre inhibitoire du
réflexe
naupathique. J'y ai pleinement réussi. Je vou
oqué, indépendamment de toute suggestion. _ Psychopathies urinaires
réflexes
Par M. le Dr Ed. Laoelouze. La fréquence des
tation venue soit de l'écorce cérébrale — antérieure ou postérieure :
réflexe
descendant — soit de la périphérie : réflexe asce
érieure ou postérieure : réflexe descendant — soit de la périphérie :
réflexe
ascendant. Les excitations venues du cerveau an
i résultent des organes, des sens, appétits, instincts, etc ('). Le
réflexe
descendant aboutit à la moelle qui produit à son
rés et du plexus hypogastrique (a), l'érection et l'éjaculation. Le
réflexe
ascendant venu de la périphérie de l'extrémité ra
évocation d'images psychiques qui sont ici le dernier terme de l'acte
réflexe
au lieu d'en être le premier élément, comme dans
ur citer un exemple, que l'état de répéltion de la vessie provoque le
réflexe
génito-spinal, l'érection matinale accompagnée
dorat avait été aboli expérimentalement. (2) Nerf érecteur (3) Le
réflexe
peut se compliquer davantage et porter sur le cœu
une méditation profonde un attouchement provoque, faute d'un arrêt du
réflexe
de défense, un soubresaut général. Chez notre mal
les. La sensation détermine immédiatement le mouvement : il s'agit du
réflexe
. Le courant sensilif apporte la sensation â une c
l n'est pas épuisé, il s'irradie aux autres cellules nerveuses. Les
réflexes
simples : dilatation de l'iris, contraction de l'
, se comprennent immédiatement, mais il n'en va plus de même dans les
réflexes
complexes et coordonnés qui prennent l'allure de
ion unique. Le cerveau peut exécuter des actes semblables aux actes
réflexes
médullaires : ce sont les actes automatiques habi
utant plus facile qu'il a été plus souvent répété. D'ailleurs, l'acte
réflexe
médullaire, au début, peut de même être hésitant
en série ou en batterie). Comme nous l'avons vu pour l'acte complexe
réflexe
ou automatique, la cellule intellectuelle A provo
lus variés, les anesthésies, les "sécrétions gastro-intestinales, les
réflexes
, la fonction urinaire, la fonction menstruelle, l
Pas d'hallucinations de l'ouïe, de l'odorat, ni du goût. Examen des
réflexes
. — Réflexes pupillaires à l'accommodation, à la l
inations de l'ouïe, de l'odorat, ni du goût. Examen des réflexes. —
Réflexes
pupillaires à l'accommodation, à la lumière, à la
illaires à l'accommodation, à la lumière, à la douleur : conservés.
Réflexe
pharyngien : conservé. Réflexes abdominaux supé
lumière, à la douleur : conservés. Réflexe pharyngien : conservé.
Réflexes
abdominaux supérieur et inférieur : abolis des de
Réflexes abdominaux supérieur et inférieur : abolis des deux côtés.
Réflexe
fessier : aboli des deux côtés. Réflexe patellair
ieur : abolis des deux côtés. Réflexe fessier : aboli des deux côtés.
Réflexe
patellaire : faible et lent. Réflexe plantaire :
fessier : aboli des deux côtés. Réflexe patellaire : faible et lent.
Réflexe
plantaire : conservé. Pas de tremblement épil
é, à l'abstinence des bromures ; car, si ces médicaments jugulent les
réflexes
tant normaux que pathologiques, ils exercent égal
manifestations intellectuelles, qui sont, en somme, elles aussi, des
réflexes
. On a objecté au professeur Spehl que le succès
alopsie. Sensibilité normale de l'ouie et de l'odorat. Exagération du
réflexe
rolalicn du côté gauche. Absence de zones hystéro
oite contrastant avec une notable hypoesthésie à gauche, abolition du
réflexe
pharyngé. De là, pour peu que tarde le retour à l
it placé dans les conditions capables de mettre en jeu les phénomènes
réflexes
d'où résulte l'émotivité morbide, sa peur apparaî
ur de contrôle peuvent être exprimées incontinent en actes ; c'est un
réflexe
sensilipo-moteur ; exemple : quelqu'un nous pince
interpose entre elle et l'acte, la parole qui lui succèdent, c'est un
réflexe
sensitivo-idéo-moteur ; nous avons conscience de
ssons. La réflexion modère ainsi l'automatisme cérébral. La loi des
réflexes
domine la physiologie nerveuse. Elle se confond a
Psychologie expérimentale comparée, 254. Psychopathies urinaires
réflexes
, par le Dr Ed. Lagelouze, 141. Psychoses de la
? I ? llse) ? d',l¡ll1 part, et de Goltz, Grerlach, Henle (actions
réflexes
simples), 'd'autre part. Maigre, une expérience
au trijumeau, M ? l1.o ? 1 ! n4, souscrire Q;1 e`ysténce' dè ? ôles
réflexes
dans ces racines la rapidité'et la multitude'des
éaction pupillaire ou à l'état oplttlralmoscopique. Exagération des
réflexes
patellaires à gauche" La; molililé r dos extrém
t;'perto du sens musculaire. A ces phénomènes s'ajoute l'absence de
réflexe
nabdominal et crémastérien des deux côtés, la d
,'let -lest deux faisceaux ! du'ruban'de Reil dans'la'cal6tte;.vdie
réflexe
de Meynert ! 'Les fibres dé'la'calbtté nes'entr
,nl,l 'H'II' , '[ iD'fÚiel1j : ës acompagnée de la disparition des'
réflexes
patel- .intérieures, accompagnée de la disparit
cun des phénomènes qui accom- pagnent ordinairement l'effort.' Les,
réflexes
tendineux sont abolis, l'hyperexcitabilité neur
. A l'état normal, le temps qui s'écoule entre l'excitation et le
réflexe
est assez long pour qu'on ait pu croire à un libr
exemple, qui jouit d'une véritable hyperexcitabilité psychique, les
réflexes
sont plus brusques, parce que les sensa- tions
ssives,,mais dangereuse pour la sécurité du malade, exagération des
réflexes
, insomnie, refus de nourriture, dysphagie, cons
ude des atrophies musculaires à distance, appelées encore atrophies
réflexes
; par Deschamps. Thèse de Paris, 4883. Essai sur
le, mais il y a de temps en temps delà diplopie transitoire. · Le
réflexe
rotulien est totalement aboli des deux côtés. L
le plan du lit. Les mouve- ments volontaires sont impossibles; les
réflexes
tendineux ro- tuliens sont abolis et les réflex
impossibles; les réflexes tendineux ro- tuliens sont abolis et les
réflexes
au chatouillement de la plante des pieds sont t
lus accentués; le chatouillement de la plante des pieds produit des
réflexes
très marqués à droite, très peu à gauche; il n'
marqués à droite, très peu à gauche; il n'y a pas d'exagération des
réflexes
rotuliens. Le bras droit soulevé retombe aussit
1\IExivnr. (Jahrb. f. Psych., Ill, 3.) L'auteur part de l'étude des
réflexes
. Les uns se manifestent par des mouvcments de p
si aux processus d'arrêt vaso-moteurs. La sensation qui entraine le
réflexe
de pré- hension développe un mécanisme inverse
mbes, puis des, avant- bras. Dès le troisième jour, disparition des
réflexes
tendineux ro- tuliens;puis,faibles accès dcfièv
int de bien bonne heure ,par rapport à la,.displai,iLi.oii 1 del.c-
réflexe
et qu'une lésion brusque aussi prononcée survenue
en des segments haut placés a bien pu exercer une influence sur le.
réflexe
rotulien. , , '\ " . t . Il l ? r ? 1 Discuss
umière les points suivants relatifs à la tonicité musculaire et aux
réflexes
tendineux. L'excès de tension musculaire du tét
s de tension musculaire du tétanos rhumatismal s'oppose à ce que le
réflexe
tendineux se manifeste ; il n'est d'ail- leur '
il- leur 'pas prouvé que la tonicité musculaire soit un phénomène
réflexe
. Les expériences dans lesquelles on essaie chez l
xcitant les nerfs moteurs et les provoquer ensuite par le choc, les
réflexes
tendineux restent sans effet. Enfin l'expressio
nsformer en convulsions spasmodiques (Westphal). La tonicité est un
réflexe
; aussi l'in- terruption des voies centripètes
oies centripètes entraîne-t-elle la cessation de la tonicité et des
réflexes
, tendineux, mais, sans que nécessairement les d
celé (Se- nator). La tonicité musculaire facilite le dégagement des,
réflexes
, elle rend possible l'excitation des terminaiso
ois sur 68 opérations). C'est là, d'après les auteurs, un phénomène
réflexe
lié, sans doute, à une irritation du grand symp
e générale; par Grégoire. Thèse de Paris, 1883. Des cardiopathies
réflexes
d'origine brachiale ; par LASSÈGUE. Thèse de Pa
ieds et des jambes; incoordination motrice depuis dix-huit mois).
Réflexes
rotuliens abolis des deux côtés. Myosis (pupill
ores. Le malade n'offrait aucune particularité dans sa démarche. Le
réflexe
patellaire était absent des deux côtés; on trou
la nuit. 9 janvier 1883. Incoordina- tion motrice, abolition des
réflexes
patellaires. Signe d'Argyll Robert- son, pupi
e, de troubles des fonctions urinaircs et génitales, de perte des
réflexes
patellaires, etc. Elle présente en outre, des a
mplètement abolis depuis le dernier accouchement. Aboli- tion des
réflexes
patellaires. Il existe dans le genou gauche d
symptôme d'atrophie; leur contractilité électrique est intacte; les
réflexes
cutanés sont normaux, tandis que les réflexes t
ique est intacte; les réflexes cutanés sont normaux, tandis que les
réflexes
tendineux sont notablement exagérés : un léger
e trace d'atrophie ; leur contractilité électrique est normale, les
réflexes
tendineux sont exagérés. La sensibilité, étud
es articulations du genou et du pied la résistance des muscles. Les
réflexes
tendineux sont très exagérés : un .coup sur le
détermine aussi des contractions musculaires très prononcées ; les
réflexes
cu- tanés, au contraire, ne sont pas exagérés,
andis que, dans les autres muscles du corps, elle est intacte ; les
réflexes
cutanés de cette région no sont pas exagérés, t
ut le corps du reste, faisait de rapides pro- grès ; les mouvements
réflexes
provoqués par un choc sur les tendons ou les mu
culièrement sur les muscles de l'épaule et du cou (sur la face, ces
réflexes
ne se produisaient pas) ; les mouvements volont
tre les deux ordres de manifestations; il ne s'agit plus de simples
réflexes
. La moelle et la moelle allongée se font pour l
ctions toniques sont plus rares. De ces symptômes, les uns sont des
réflexes
issus des troubles de la sensibilité avec lesqu
des mélan- coliques, chez 24 p. 100 des maniaques; ce n'est pas un
réflexe
, car elle coïncide avec la diminution de la sen
eux, il y aurait le plus généra- lement diminution on abolition des
réflexes
tendineux ; il se range plutôt à l'avis de Sepp
onclusions suivantes : 10 Chez les pellagreux, à la 3° période, les
réflexes
tendineux manquent rarement, et quand cela a li
on de l'excitabilité ré- flexe de la moelle. 2° L'exagération des
réflexes
tendineux est au contraire fréquente et a lieu
ans des proportions moins notables. 4° L'examen de l'excitabilité
réflexe
des tendons détruit une des analogies qui peuve
tude des atrophies musculaires à distance appelées encore atrophies
réflexes
; par Deschamps. Thèse de Paris, 4883. Eisai sur
la langue, diminution de la sensibilité générale, exagération des
réflexes
tendineux, digestions pénibles. Insomnie. Otite'
1906. Affaissement, dimi- nution de la sensibilité générale et des
réflexes
tendineux, gastrn. entérite ancienne, pharyngit
Voûte palatine élevée. Diminution de la sensibilité générale et des
réflexes
tendineux. Cyanose des extrémités. Insomnie. Anor
egard sans expression. Diminution de la sensibilité générale et des
réflexes
tendineux, attitude figée, mutisme, gâtisme. Ce
vultueuse, diminution de la sensibilité générale. Exa- gération des
réflexes
tendineux. Désordre des idées, grandilo- quence
on continue, diminution de la sensibilité générale, exagération des
réflexes
ten- dineux. Voix de polichinelle. Désordre des
e des actes, diminution de la sensibilité générale. Exagération des
réflexes
tendineux. Hypermnésie, association automatique
nérale. Tremblement fin des doigts et de la langue. Exagération des
réflexes
tendineux. Logorrhée. Hypermnésie. Idées de per
énéralisé, diminu- tion de la sensibilité générale. Exagération des
réflexes
tendineux. Insomnie. Logorrhée, idées de satisf
illet 1906. Affaissée, diminution de la sensibilité générale et des
réflexes
tendineux, cyanose des extrémités, anorexie, dige
e la langue, diminution de la sensibilité générale. Exagération des
réflexes
tendineux. Idées délirantes absurdes de satisfact
de la langue diminution de la sensibilité générale. Exagération des
réflexes
ten- dineux. Inégalité pupillaire. (séjour aux
parler d'irrégularité, d'inégalité des pupilles, ou de troubles des
réflexes
. Bien des inégalités pupillaircs constatées son
en tant que symptôme isolé ne s'accom- pagnant pas de troubles des
réflexes
à la lumière ou à l'accomodation, on ne la renc
due uniquement, comme cela parait être probable, à des troubles des
réflexes
ou à toute autre cause, est un signe plus fréqu
alement franc, c'est-à-dire avec conservation à peu près absolue du
réflexe
àl'accommodation; quelque- lois la pupille réag
le (dilatation sous l'influence de la lu- mière), ni l'abolition du
réflexe
consensuel. 2° Examen du fond de l'eil. L'exame
inégales (7 %) ; jamais nous n'avons constaté l'absence d'un des
réflexes
soif à la lumière, soit à l'accommodation. En re-
squ'un seul jéflexe était diminué, il s'agissait le plus souvent du
réflexe
lumineux. 2° Examen du fond de l'oeil, Le fond
état de dilatation moyenne. Dans aucun cas nous n'avons trouvé les
réflexes
à la lumière ou à l'accommodation complètement
, ni d'immobilité complète à la lumière, ou à l'ac- commodation. Le
réflexe
se faisait lentement ou incom- plètement dans 3
à l'accommodation, ce qui tient peut-être à ce que, pour obtenir ce
réflexe
, il faut faire intervenir l'in- telligence du s
., mars 1895. LEVINSOHN. Contribution à la question de l'immobilité
réflexe
des pupilles. Cerztralbl., f. Nervenlaeilk., XX
Mémoire de la Société de biologie, 1868. MARANDON DE Montyel. Le
réflexe
lumineux dans la paralysie générale. A. N. juin 1
di frein., t. XX, fasc. III-IV. SiEMERLUNG.Surles modifications des
réflexes
pupillaires dans les - maladies mentales. AU. Z
culo-mo- trices, ou do l'embarras de la parole ou des anomalies des
réflexes
. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXII-Diseours président
t donc dans une dépendance étroite avec la première sensation et le
réflexe
génital n'était réveillé que par des idées se r
vue les muscles, les nerfs et les neurocymes (ondes nerveuses), les
réflexes
, les instincts ou auto- matismes hérités, les e
as, pendant les accès de pa- ralysie, on observait l'exagération du
réflexe
rotulien au lieu de l'abolition de ce réflexe,
vait l'exagération du réflexe rotulien au lieu de l'abolition de ce
réflexe
, observée ordinairement : outre cela, l'excitab
d'une syringomyélie : atrophie scapulo-huniérale, exagéra- lion des
réflexes
, )))perest)tesie et dissociations, douleurs profo
et 'AUBINEAU sur un cas de nystagmus miJoclonie. Dissociation des
réflexes
tendineux el cutanés dans l'hémiplégie organiqu
chaque oeil. Les conditions présidant dans les centres à la genèse
réflexe
des mouvements par l'excitation lumineuse seront
oint de départ (dans la portion interne de chaque centre visuel) du
réflexe
aboutissant à la contraction des deux droits inte
ur des. parois des vis- cères sont organisés de telle sorte que les
réflexes
dont ils sont t le centre sont toujours diffus.
sa propre innervation. Il y a ainsi une intrication complète d'ares
réflexes
; c'est ce qui rend l'interprétation des faits
s la mélancolie anxieuse. Le dermographisme et les trou- bles des
réflexes
n'aident pas toujours à faire le diagnos- tic d
'anime, toute sa ligure se contracte nombreux spasmes de la lace.
Réflexe
conjonctiva1 normal, mydriase, pas d'Argyll ; réf
s de la lace. Réflexe conjonctiva1 normal, mydriase, pas d'Argyll ;
réflexe
rotulien et des poignets normaux ; réflexe crém
mydriase, pas d'Argyll ; réflexe rotulien et des poignets normaux ;
réflexe
crémastérien aboli ; ré- Ilexe plantaire, norma
rien aboli ; ré- Ilexe plantaire, normal à droite, aboli à gauche ;
réflexes
massé- térins normaux ; pas de dermographisme ;
xes massé- térins normaux ; pas de dermographisme ; pas de clonus ;
réflexe
abdominal normal à droite, aboli à gauche, sens
is pourtant se manifester à l'extérieur non seulement par des actes
réflexes
tels que la mimique, ou par des actes appris et c
la motricité des deux membres gauches à la motricité volontaire et
réflexes
de la moi- tié gauche de la face. Les zones ane
des excitants est telle que l'on ne puisse admettre un simple lien
réflexe
entre eux et les manifestations somatiques,rien
nues depuis long- temps pour telles, suivant qu'on les applique aux
réflexes
inconscients ou aux actes conscients. 3° Il e
du moi mais n'en différerait pas essen- tiellement, de même que le
réflexe
instantané ne diffère pas eqzpn- tiellement de
nements fournis parl'examen du fond de [l'oeil, des pupilles et des
réflexes
pupil- laires ; 6° effet des convulsions épilep
, -puisqu'il faut lui rapporter les troubles de la sensibilité, des
réflexes
, de la parole, de la marche, qui cessaient (1 e
n'a pas constaté (au contraire) la diminution ni l'abolition des
réflexes
profonds qui ont été signalés. Au point de vue me
uinze ans, avec troubles des réactions électriques, exagération des
réflexes
sans trouble de la sensibilité ; ils posent la qu
nisme mitral. La malade présente en outre des troubles mo- teurs et
réflexes
indiquant une lésion du faisceau pyramidal. Les
i ceux que l'on observe le plus souvent signalons l'exagération des
réflexes
tendineux , le clonus du pied, l'aboli- tion de
ation des réflexes tendineux , le clonus du pied, l'aboli- tion des
réflexes
cutanés abdominaux, le phénomène du gros orteil
s. La contractilité idio-musculaire est augmentée. Conservation des
réflexes
; intégrité des réservoirs. Extension progressi
eau cas de tabes. - M. NoïcA : Sur le phénomène de dissociation des
réflexes
cutanés et tendineux produit expérimentalement
subitement à la suite d'une attaque et d'une émotion. Enfin, les
réflexes
vaso-moteurs ne sont pas toujours normaux, il ne
légie des membres inférieurs, rigidité des muscles et abolition des
réflexes
cutanés et tendineux du côté gauche. La convale
t de lésions de régions déterminées du système nerveux; 2" la forme
réflexe
; 3° la forme essentielle. Cette dernière forme
ans les extrémités supérieures et inférieures, absence complète des
réflexes
patellaires. M. S. KIRILTSEFF. Contribution ci
ux n'est pour rien dans la production de ce phéno- mène. Tous les
réflexes
, à part celui des masséters, qui est normal, sont
r, même très légèrement, le tendon ou le muscle, pour provoquer ces
réflexes
. Les réflexes cutanés sont aussi très exagérés
égèrement, le tendon ou le muscle, pour provoquer ces réflexes. Les
réflexes
cutanés sont aussi très exagérés : le chatouill
che. La sensibilité est encore normale dans tout le reste du corps.
Réflexes
rotulien et plantaire exagérés. A gauche, on
loureuse ; tous. lestphéno- mènes observés étaient symétriques; les
réflexes
superficiels étaient abolis ; l'atyôphiéjet la
ents), en¡ recherchant : '1 ? \ , ? t « ? ,') 1°' L'exagération des
réflexes
du revêtement abdominal ? - - B ..12° L'impossi
s un état de bromisme imminent, état qui se reconnaît à la perte du
réflexe
pharyngien. Seguin donne la préférence au bromu
lques maladies du système nerveux. - 1893 : Amyo- trophies spinales
réflexes
d'origine abarlicaclccire; Arthropathies syrin-
Chaque tentative pareille est accompagnée des mêmes phénomènes. Les
réflexes
tendineux sont exagérés dans les quatre membres
ue. Vertiges disparus, parole moins scandée, démarche plus normale,
réflexes
moins exagérés. Traite- ment : septième injecti
encore un léger tremblement qui ressemble à celui des alcooliques,
réflexes
normaux; le nystagmus n'est plus constant et à
othèse de l'entre-croisement partiel des fibres qui transmettent le
réflexe
pupillaire. Voici un malade atteint d'une paral
ent de la face ni des membres, aucune trace de contracture et les
réflexes
patellaires sont normaux. Les pupilles réagisse
PATHOLOGIE MENTALE. 321 XX. D'une NOUVELLE méthode DE recherche DES
réflexes
tendineux et DE LEUR modification dans LES mala
ndividu sain que chez Y aliéné. En outre non seulement la force des
réflexes
cutanés et tendineux est modifiée chez l'aliéné
éné, mais la durée de la période latente (temps perdu), la durée du
réflexe
lui-même, et le carac- tère de la courbe obtenu
rtains cas les ré- flexes patellaires sont inégaux; en d'autres, ce
réflexe
est diminué, parfois celui-ci disparaît tempora
telle ou telle forme de maladie mentale. Chez l'épilep- tique, les
réflexes
patellaires sont remarquablement altérés; exa-
stent longtemps sans revenir. En d'autres cas, après l'attaque, les
réflexes
tendineux sont temporairement renforcés ou le c
t ou trop accusé ou moindre qu'avant l'attaque. La modification des
réflexes
immédiatement après l'at- taque (exagérés ou di
lusions : 1° Pendant la période tonique de l'accès d'épilepsie, les
réflexes
patel- laires peuvent ne pas être conservés car
ès d'épilepsie on observe d'ordinaire ou une totale disparition des
réflexes
ou une diminution plus ou moins considérable de c
onsidérable de ceux-ci. - 3° Cette disparition ou la diminution des
réflexes
a lieu d'habitude presque aussitôt ou quelques
la cessation de la période clonique. 4° La complète disparition des
réflexes
patellaires à la suite des accès d'épilepsie du
dure ordinairement quelques minutes, une à douze. 5o La normale des
réflexes
patellaires s'établit lentement et graduel- lem
ement après l'accès; en quelques cas de disparition persistante des
réflexes
, le réflexe patellaire reprend sa force normale,
'accès; en quelques cas de disparition persistante des réflexes, le
réflexe
patellaire reprend sa force normale, seulement en
rce normale, seulement en une- demi-heure, - 60 En quelques cas, le
réflexe
disparu, puis revenu après l'accès, acquiert te
qui se complique d'érysipèle. Vers la fin de la maladie disparut le
réflexe
patellaire. Les trois cordons sont lésés. On y
le tableau de la paralysie spinale spasmodique ; si, plus tard les
réflexes
patellaires disparais- sent, on est autorisé à
phie sur la névrose traumatique, il y a une observation d'épilepsie
réflexe
, dans laquelle les convulsions hémilatérales fu
at normal. Il faut signaler encore des maux de tête, l'abolition du
réflexe
de la conjonctive gauche, une certaine difficul
x-ci, comme tous les autres muscles, ont la flaccidité normale. Les
réflexes
rotuliens sont manifeste- ment exagérés, surtou
réflexes rotuliens sont manifeste- ment exagérés, surtout à droite.
Réflexes
plantaire et crémasté- rien à peu près normaux.
'. - Pour compléter cette analogie, mentionnons l'exagération des
réflexes
tendineux et les raideurs tétaniques, le premier
on med. Journal, 26 mai 92. Tumeur du cervelet avec exagération des
réflexes
. 3 V. cependant libhler (trav. analysé in R. de
rencontrer réunis dans la sclérose cérébelleuse l'exa- gération des
réflexes
, les raideurs tétaniques, les trépidations épil
s. Mais on ne peut encore localiser avec certitude que la perte des
réflexes
patellaires; elle tient très probablement à la
avait de l'anosmie gauche. Rien de parti- culier dans la démarche.
Réflexes
tendineux normaux. Quelques jours plus tard, hé
l'oeil gauche ne perçoit plus rien. Surdité à droite. Abolition du
réflexe
du genou et anesthésie droite. La malade rentre
alysie complète avec incontinence urinaire et fécale, abolition des
réflexes
plantaires, exagération des réflexes rotuliens et
naire et fécale, abolition des réflexes plantaires, exagération des
réflexes
rotuliens et ab- sence du clonus du pied. La se
passager des mains. Les ré- flexes cutanés sont restés normaux, les
réflexes
tendineux ont été exagérés. Un tiers des malade
es deux côtés sont tout à fait symétriques. Je n'ai pas examiné les
réflexes
. Pas de troubles marqués de la sen- sibilité sa
ut, l'orbiculaire des paupières et des lèvres n'est pas touché. Les
réflexes
sont diminués. Pas de secousses fibriliaires. Q
gt;r ? * 'fC "ICI ? ) . ->1( t . 1 Quatorze jours après l'ictus,
réflexes
itendineuxi égaux des deux côtés et un peu dimi
; en revanche, l'atrophie précocerdu nerf f optique et l'immobilité
réflexe
des pupilles relèvent du tabès : Hôff mann,a"se
mécanisme de l'activité mentale prend les allures de l'excitabilité
réflexe
; elle est comparable à l'hyperexcitabilité mot
, les accidents paraplégiques reparaissent.il ade l'aboli- tion des
réflexes
rotuliens; la démarche est celle du steppeur; il
ites jusqu'ici sur les symptômes médullaires (paraly- sies et actes
réflexes
). La troisième partie traite de la même façon l
ystérogènes et hystéro-fréna- trices, points ovariens, abolition du
réflexe
pharyngien, rétrécis- sement concentrique du ch
s et lés' veines des parois de la cavité -par Tro- lard, 43. 1,
RÉFLEXES
? d'une' nOIIVellc'-méthodr "de recherche des ?
ations, mais sont produits par la simple mise en jeu des mécanismes
réflexes
de la moelle épinière, de la même façon que les
ts résultants de l'ex- citation des centres moteurs comme de nature
réflexe
, tandis que l'affection de la motilité résultan
a- topsie. Pas de troubles sensitifs de la peau ou des muqueuses.
Réflexes
tendineux, fonctions des muscles et réactions éle
cas les crises épileptiques. Il s'agirait en un mot d'une épilepsie
réflexe
. Cet accident est certainement plus rare que le
vent le cou et la poitrine découverts. G. DENY. VI. SUR L1 perte DU
réflexe
rotulien dans le diabète sucré; par P. Marie et
ment utile de diagnostic à tenter chez les diabétiques le rappel du
réflexe
rotulien aboli par le procédé de Jendrassik, so
diabétiques. Le taux de la mortalité chez les diabétiques privés du
réflexe
patellaire est le double au moins du taux de la
che et la décou- verte de la glycosurie, commandées par la perte du
réflexe
rotu- lien. Le signe de Westphall imposera donc
te de l'absence de céphalalgie, de contracture et d'exagération des
réflexes
. (Médical Record. New-York, janvier 1887.) A. R
es ressemblent à ceux de l'ataxie locomotrice. Il y a abolition des
réflexes
tendineux et une ataxie très marquée sans grand
e rigidité musculaire sous l'influence des mou- vements passifs ;
réflexes
tendineux normaux, réflexes cutanés abolis ; se
'influence des mou- vements passifs ; réflexes tendineux normaux,
réflexes
cutanés abolis ; sens musculaire perdu. La sens
fonctions motrices sont intactes du côté analgésique, ainsi que les
réflexes
tendineux. Quelques semaines plus tard, le memb
muscles de la cuisse subissent un certain degré d'atrophie, et les
réflexes
tendineux s'exagèrent. Cette période d'aggravatio
très spéciale, l'absence de troubles moteurs, la conservation des
réflexes
et des réactions électriques, tout milite en fave
senté ni phénomènes ataxiques, ni contracture, ni exagération des
réflexes
tendineux. Il ne s'étonne pas, enfin, de voir gué
n latérale du cou. Intégrité de l'odorat, de l'ouïe, du goût, des
réflexes
tendineux et cutanés. En décembre, sentiment de p
ques minutes, depuis les orteils jusqu'àla hanche; augmentation des
réflexes
tendineux ; le clonus podalique existe des deux
réflexes tendineux ; le clonus podalique existe des deux côtés, le
réflexe
plantaire est plus fort à droite, l'excitabilit
rs diverses ; démarche incertaine et chancelante; exagération des
réflexes
tendineux ; aucune anomalie de la motilité ni de
t psychique; nulle part d'anesthésie ; force égale des deux côtés ;
réflexes
tendineux, phénomène du genou et phénomène du p
t une fonction de la cellule nerveuse centrale sur la voie de l'arc
réflexe
. De cette définition découle l'application de t
t la mort par asphyxie ou syncope, coïncidant avec l'exagération du
réflexe
masseterin, et si l'on voulait attendre le déve
ncée par des raideurs nocturnes des membres et de l'exagération des
réflexes
. P. B. V. Contribution à l'étude de la descen
s et altérations trophiques de la peau de la main droite, perte des
réflexes
cutanés et diminution des réflexes tendineux, r
u de la main droite, perte des réflexes cutanés et diminution des
réflexes
tendineux, répondait une gliomatose accom- pagn
dans le muscle pectoral et les muscles du thorax du même côté. Les
réflexes
tendineux et aponévrotiques sont exagérés dans le
ils le sont très peu dans les mus- cles de l'avant-bras gauche. Le
réflexe
rotulien est considérable- ment exagéré à droit
nsidérable- ment exagéré à droite, il est peu apparent à gauche; le
réflexe
du tendon d'Achille est exagéré des deux côtés.
pied est nettement accusée à droite ; elle l'est moins à gauche. Le
réflexe
aponévrotique dans les membres inférieurs est exa
roit; il ne peut être produit la partie antérieure de la jambe. Les
réflexes
tactiles de la plante du pied sont variables. T
Les pupilles sont égales, moyennement dila- tées, contractiles; le
réflexe
à la lumière et le réflexe d'accommoda- tion so
moyennement dila- tées, contractiles; le réflexe à la lumière et le
réflexe
d'accommoda- tion sont conservés sans être exag
. Le chatouillement de la plante des pieds produit des mou- vements
réflexes
considérables. La recherche du réflexe rotulien e
ds produit des mou- vements réflexes considérables. La recherche du
réflexe
rotulien est très difficile, car le malade cont
'HIC et l'ouïe sont bonnes; le goût et l'odorat sont conservés. Les
réflexes
tendineux sont plutôt exagérés. - Poids, 43 kilog
nts sont exagérés et provoquent par tout son corps des mouvements
réflexes
de la plus grande étendue. Quand il veut, par exe
bres dans des atti- tudes extrêmes. Au repos, nulle exagération des
réflexes
; parfois nul mouvement; il reste accroupi dans
qu'il Il'' puisse pas les nommer ; il n'y a pas de nyslagmus, le
réflexe
Il la lumière et le réflexe d'accommodation sont
nommer ; il n'y a pas de nyslagmus, le réflexe Il la lumière et le
réflexe
d'accommodation sont intacts. La sensibilité gé
ne parait très obtuse. L'examen au lit permet de constater que le
réflexe
rotulien est Conservé des deux côtés, qu'il en
s présentent nombre de symptômes communs (allures des pupilles, des
réflexes
, et autres phénomènes spinaux). Enfin les altér
onnaissent une cause générale constante : la contraction musculaire
réflexe
. Désireux de vérifier cette théorie M. Duzea a
, 275. Psychoses (étude des - dans l'ai- mée), par Sommer, 275.
Réflexe
rotulien (sur la perle du - dans le diabète suc
réduits à deux, savoir : une certaine augmentation de l'excitabilité
réflexe
et une augmentation en général considérable de la
vue physiologique que psychologique ou thérapeutique. L'irritabilité
réflexe
exagérée des sujets s'étend à la totalité de leur
ic, les troubles de la sensibilité sont des premiers à envisager, les
réflexes
oculaire et pharyngien sont de ceux que l'on inte
carccttc exploration super- ficielle peut très bien provoquer des
réflexes
oculaires et pharyngiens, alors qu'il existe des
rçus et induiront en erreur. J'ai constaté, en effet, relativement au
réflexe
oculaire, que dans un certain nombre de cas, le b
esthésie, de sorte que le moindre contact de l'instrument provoque un
réflexe
très violent, tandis que la cornée elle-même est
on sur un point anesthésié et sur un point sensible qui provoquera le
réflexe
. Pour ce qui concerne le réflexe pharyngien, je
n point sensible qui provoquera le réflexe. Pour ce qui concerne le
réflexe
pharyngien, je signalerai les diverses observatio
uelque peu la langue en explorant le voile du palais on provoquait un
réflexe
énergique. Enfin un phénomène encore plus délicat
es cas, comme pour ceux que je signalais tout à l'heure concernant le
réflexe
oculaire, une exploration peu attentive, ou faite
rument trop volumineux, devait le plus souvent provoquer le mouvement
réflexe
, et empêchait de constater un trouble de la sensi
de rechercher les troubles de la sensibilité. 2" L'exploration des
réflexes
oculaire et pharyngien a une très grande importan
ée de la muqueuse, à l'exclusion de toute autre. 4° Relativement au
réflexe
oculaire, il faut examiner les deux yeux et explo
rer successivement les différentes parties de la cornée. 5" Pour le
réflexe
pharyngien il faut examiner le palais, le voile d
sale sans éveiller la moindre sensation ; abolition de la sensibilité
réflexe
de la moelle constatée par la titillation de la p
r aucun état délirant quelconque. D'autre part, sa sensibilité et ses
réflexes
n'offrent rien d'anormal. (1} Présentation de m
amp visuel. Si l'on pince la peau, la pupille se dilate d'une manière
réflexe
, mais aucune douleur n'est perçue : cette hémiane
rçue : cette hémianesthésie est d'origine fonctionnelle. En outre les
réflexes
sont normaux. Nous sommes donc en présence d'une
eil phénomène se produit chez elle. Pas de zones hystérogènes : les
réflexes
cornéens et pharyngé conservés. En revanche, ch
ia-tique mettre le cautère aux points de Valleix. Elle agit alors par
réflexe
comme décongestionnant ; 4° Elle peut constitue
re l'hémoptysie, et qui réussissait parfois, en déterminant un spasme
réflexe
des vaisseaux du poumon. D'ailleurs, on abusait d
plégie brachiale flasque et complète, de plusieurs mois de durée; les
réflexes
tendineux et osseux du membre paralysé sont norma
ait d?une lésion cérébrale, le membre devrait être contracture et les
réflexes
tendineux exagérés ; si elle était due aune névri
les réflexes tendineux exagérés ; si elle était due aune névrite, les
réflexes
tendineux seraient affaiblis ou abolis et il y au
s, contrairement à la plupart de mes collègues, que l'exagération des
réflexes
tendineux ne peut être provoquée par l'hystérie (
stérie ('). Je dis qu'il est impossible d'exagérer par suggestion les
réflexes
tendineux et de ramener à l'état normal, par la p
lexes tendineux et de ramener à l'état normal, par la persuasion, des
réflexes
tendineux exagérés ; donc ce phénomène ne peut êt
de plus qu'il n'existe pas de faits bien nets où une exagération des
réflexes
tendineux aurait accompagné une paralysie hystéri
ptoides, des paralysies transitoires, hémiplégies ou monoplégies. Les
réflexes
tendineux et osseux sont normaux. Mais il existe
prime et paraissent d'une grande légèreté quand on les soulève. — Les
réflexes
tendineux sont abolis. Il y a analgésie complète,
s muqueuses accessibles à l'exploration est également complète. — Les
réflexes
tendineux sont exagérés. L'hyper-excitabilité neu
les signes essentiels du tabès : douleurs fulgurantes, abolition des
réflexes
, symptôme d'Arghyll-Robertson, incontinence d'uri
te, celle de la catalepsie, le fonctionnement psychique est borné aux
réflexes
seulement, le sujet cataleptisé est un automate q
us profond encore du sommeil hypnotique, le sujet a perdu jusqu'à ses
réflexes
et n'a conservé de la vie que les fonctions végét
es premières impressions provoquent des manifestations qui deviennent
réflexes
par leur répétition, ensuite les liens de cause à
chinalement, c'est de l'imitation. L'imitation pure se rapproche d'un
réflexe
cérébral. Il crie: « en avant! « Le soldat avan
se rapportant à cette affection (incoordination généralisée, perte du
réflexe
lumineux, tremblement de la langue, etc., etc.),
ut de l'anesthésie par l'acide carbonique, on constate ces mouvements
réflexes
. Réflexes généraux pendant l'état d'hypnose Par
thésie par l'acide carbonique, on constate ces mouvements réflexes.
Réflexes
généraux pendant l'état d'hypnose Par M. le docte
reprenait le cours de son sommeil à peine interrompu. Ces phénomènes
réflexes
survenant dans le cours du sommeil par l'influenc
réactionnels du début de l'état d'), par Bérillon, p. 337. Hypnose (
Réflexes
généraux pendant l'état d'), par Corinin, p. 31
très douloureuses a la m.oindre compression. Sensibilité de la peau ;
réflexes
de la peau et des tendons normaux. L'examen élect
matérielles, mais qui, en réalité, tenaient à un trouble fonctionnel
réflexe
du système nerveux. 14. — En dehors des cas de
néralement éteintes ; elles peuvent même cesser de produire les actes
réflexes
, et je n'hésite pas à répéter que, pour soutenir
'idée, que la volonté la rejette, le premier mouvement, involontaire,
réflexe
, aura toujours été une tendance à l'acte de se le
su, en dehors de notre volonté. Tels sont d'abord tous les phénomènes
réflexes
d'origine cérébrale. L'action des centres nerveux
igestion, se passe en dehors du domaine do la conscience. Ce sont des
réflexes
de la vie végétative, dont je ne veux pas m'occup
inconscients. Premièrement, il existe toute une série de mouvements
réflexes
, qui ne se compliquent d'aucun élément psychique.
ous les mouvements très conformes au but et effectués par les centres
réflexes
du cerveau et de la moelle épinière surtout. Ces
res réflexes du cerveau et de la moelle épinière surtout. Ces centres
réflexes
transmettent l'excitation des voies sensibles aux
ent, par cela môme, toute une série de différents mouvements purement
réflexes
. Ces mouvements sont possibles dans l'absence com
es expériences, de la spontanéité complète et de la nature absolument
réflexe
desdits phénomènes. Delbœuf a bien cherché à les
s manœuvres hypnotiques produisent une augmentation de l'excitabilité
réflexe
, dans laquelle la suggestüntité peut aussi rentre
en dernière analyse, qu'une plus grande facilité à la production des
réflexes
psychiques. De même, les phénomènes musculaires
uz et tout particuliers, ne servent qu'à mettre en jeu l'excitabilité
réflexe
exagérée. En effet, pour produire dans la période
hénomène n'est donc évidemment qu'une manifestation de l'excitabilité
réflexe
neuro-musculaire exagérée, manifestation qui est
une excitation faible, mais prolongée, et l'on, a obtenu, comme effet
réflexe
, une faible contracture générait des muscles dans
t, mais plutôt de simples manifestations musculaires par excitabilité
réflexe
exagérée, manifestations qui durent autant que du
spécial, mais seulement une nouvelle manifestation de l'excitabilité
réflexe
, et provoquée par les stimulations spéciales empl
effets de l'action des divers stimulants employés sur l'excitabilité
réflexe
augmentée, effets qui varient, nou pas en raiso
t hypnotique, surtout dans la grande hystérie, qui esl l'excitabilité
réflexe
exagérée, dont les manifesta lions peuvent varier
de l'hypnotisme, c'est-à-dire comme manifestations de l'excitabilité
réflexe
augmentée, qui constitue la condition propre, ess
veille. 2° Ou bien parce que dans l'étal hypnotique, l'excitabilité
réflexe
étant toujours plus ou moins augmentée (el elle e
érie, qui se réduisent tous dans les manifestations de l'excitabilité
réflexe
exagérée ; phénomènes qui, ou préexistent (dans l
s ne préexistent point; c'est-à-dire que le haut degré d'excitabilité
réflexe
ne préexiste pas, condition première pour qu'ils
ent être réduits à deux : une certaine augmentation de l'excitabilité
réflexe
et une augmentation, d'ordinaire notable, de la s
: Le malade ne peut se tenir debout lorsqu'il a les yeux fermés; les
réflexes
rotuliens sont abolis: il porte à demeure dans le
ment et il souffrait d'une constipation opiniâtre. Dés ce moment, les
réflexes
rotuliens étaient abolis; il ne se tenait plus de
ique de l'ataxie; sensation de la marche dans du colon; abolition des
réflexes
rotuliens; rétention d'urine complète; élancement
ique avaient continué les suggestions pendant mon absence. Seuls, les
réflexes
rotuliens n'avaient pas reparu. L'aneslhésie plan
enfin contre la rétention d'urine. La persistance de l'abolition des
réflexes
nous permettait de contrôler avec plus de précisi
bre, je fais constater par plusieurs médecins l'abolition complète du
réflexe
rotulien cher le malade. Puis il est hypnotisé pr
e tendon rotulien de légères percussions, je lui suggère le retour du
réflexe
. La réapparition du réflexe ne se manifeste d'abo
percussions, je lui suggère le retour du réflexe. La réapparition du
réflexe
ne se manifeste d'abord que d'une façon peu marqu
ues jours, nous fûmes surpris de constater que cette réapparition des
réflexes
n'avait été que passagère. Cette rechute nous per
ynamogé-niques de la suggestion, car au bout de quelques séances, les
réflexes
sont réapparus et se sont maintenus, comme vous p
ile; car elle a supprimé l'idée même en même temps que l'acte presque
réflexe
qui le réalisait. Mais alors même que l'hypnose p
vernal. Au retour de la sensibilité au froid, il se produit, par voie
réflexe
, une augmentation de chaleur, et alors l'animal,
orte, et les seuls signes présents étaient une giande exagération des
réflexes
tendineux et deux points sensibles au côté gauche
i fourmillements ni engourdissement dans les membres douloureux. Le
réflexe
patellaire est exagéré du côté droit; les autres
oureux. Le réflexe patellaire est exagéré du côté droit; les autres
réflexes
tendineux sont normaux. Quand le malade, couché o
des douleurs, l'influence suspensive de la marche, la persistance des
réflexes
tendineux, l'absence de tout antre phénomène tabé
essentiellement special et ganglionnaire, chef lequel les phénomènes
réflexes
sont facilement exagérés, mais à qui ia vie intel
ouvrir en raison du spasme des muscles orbiculaires ; exagération des
réflexes
tendineux, diminution ou abolition des réflexes c
res ; exagération des réflexes tendineux, diminution ou abolition des
réflexes
cutanés, intégrité des fonctions des sphincters ;
le blépharospasme, le bon fonctionnement des sphincters et l'état des
réflexes
. Vespaslen thaumaturge. « Pendant les mois qu
rtance parmi les causes de la stérilité et qui sont dus à des actions
réflexes
trop peu connues. Il existe, chez la femme, des r
éniable sur les organes générateurs. Il y a encore une autre action
réflexe
qui est trop peu connue, ou du moins dont on n'ut
rectement sur les nerfs du larynx et du pharynx produit une influence
réflexe
sur les organes de la génération. J'ai eu l'occ
rganes de la génération. J'ai eu l'occasion d'utiliser cette action
réflexe
dans des cas de douleurs utérines avec succès, ce
avec succès, ces résultats méritent d'être poursuivis. L'influence
réflexe
soit du corps thyroïde, soit des nerfs du larynx
et qu'on l'abandonne, il reprend aussitôt sa position antérieure. Ses
réflexes
tendineux sont très exagérés. Pendant ces vingt
rapie et de la confiance qui agissent principalement en relâchant les
réflexes
de défense des malades, s'expliquerait bien, dit-
se produit chaque fois qu'on veut transformer un acte automatique ou
réflexe
en un acte volontaire et intelligent, qu'il s'agi
. Par elle, dans l'état d'hypnose, il devient possible de cultiver le
réflexe
de l'obéissance qui, par beaucoup d'aspects, prés
ui, par beaucoup d'aspects, présente des analogies frappantes avec le
réflexe
de la suggestibilité. Xous avons donné à nos proc
e. 11 est môme très remarquable de constater avec quelle intensité le
réflexe
d'obéissance se manifeste, dans l'état d'hypnotis
sance des suggestions et d'en augmenter l'efficacité- A la culture du
réflexe
de l'obéissance, il convient d'ajouter d'autres i
tions produisent chez les animaux et chez l'homme les mêmes réactions
réflexes
* CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hyp
ées, au pied gauche, de douleurs atroces s'accompagnant de mouvements
réflexes
assez étendus. Je laisserai de côté tous les au
tivement, que peu de temps, et ne s'accompagnent jamais de mouvements
réflexes
étendus. Pour toutes ces raisons, nous penson
ous-claviculaires, l'expiration est prolongée, le pouls est à 90, les
réflexes
cutanés sont augmentés d'intensité. Ces signes
; le pouls est à 80 ; il existe un léger tremblement des doigts ; les
réflexes
tendineux sont vifs ; le réflexe pharyngien est a
léger tremblement des doigts ; les réflexes tendineux sont vifs ; le
réflexe
pharyngien est aboli ; la sensibilité à la douleu
n'est pas une maladie... n'est pas Une névrose primitive... C'est un
réflexe
émotif et rien de plus » et ce réflexe, exagéré c
névrose primitive... C'est un réflexe émotif et rien de plus » et ce
réflexe
, exagéré chez les sujets hystérisables, peut se
pouillée du reste de ses manifestations. Dire que tout se réduit à un
réflexe
exagéré n'est pas une bien claire explication ; l
l'a fait observer M. Claparède est précisément de savoir pourquoi ce
réflexe
est exagéré chez certains individus alors qu'il n
dénote une hémi-anesthésie droite presque complète, une abolition du
réflexe
pharyngien et un point ovarien droit, pas de dysc
ervosisme, caractérisé par un défaut de régulation dans les processus
réflexes
élémentaires, psychique ou organiques. Elle tire
qui relèvent d'une simple perturbation permanente dans les processus
réflexes
élémenfaires réservant l'épithète d'hystérique au
nt, se résume en une modification plus ou moins durable du régime des
réflexes
cérébraux, laissant ceux-ci sans frein correcteur
lière du dynamisme nerveux, caractérisée par un trouble du régime des
réflexes
corticaux ou sous-cortiaux.Ceux-ci, inhibés ou ex
rveux plus ou moins durables dans les divers domaines que règlent ces
réflexes
. » Bien que nos connaissances sur le régime nor
ces réflexes. » Bien que nos connaissances sur le régime normal des
réflexes
corticaux et sous - corticaux soient encore bien
de défense est exagérée, anormale, elle constitue pour ainsi dire un
réflexe
de dégoût psychique comparable à ce qu'est, par e
n réflexe de dégoût psychique comparable à ce qu'est, par exemple, le
réflexe
du vomissement pour le corps. Elle entraine le dé
l'aphonie est absolue, et la parole est exclusivement chuchottée. Les
réflexes
pupillaires, rotuliens, plantaires, sont conservé
s paresthésies par illusion ou par hallucination, il en est d'origine
réflexe
qui ont pour point de départ une affection d'un o
ntral : la suggestibilité. Mais combien d'hommes, dont l'excitabilité
réflexe
est naturellement exagérée, sont suggealibles à l
par ce mot,. on n'entend qu'un état physiologique d'hyperexcitabilité
réflexe
du système nerveux, parlant un état de suggestibi
tre, à la manière d'un réactif puissant, en augmentant l'excitabilité
réflexe
des sujets. Si ces stigmates étaient restes laten
t où la douleur soit plus aiguë. Pas d'hyperesthésie épineuse. Le
réflexe
pharingien est conservé; le réflexe cornéen parai
as d'hyperesthésie épineuse. Le réflexe pharingien est conservé; le
réflexe
cornéen parait un peu diminué. Le champ visuel es
même à une distance de quelques centimètres de l'oreille gauche. Le
réflexe
cornéen et le réflexe pharyngien sont presque nul
quelques centimètres de l'oreille gauche. Le réflexe cornéen et le
réflexe
pharyngien sont presque nuls. Le 25 juin, celle
manifeste: les Jambes fléchissent et sont prises de tremblement. Le
réflexe
corneen est diminué. Le réflexe pharyngien est
et sont prises de tremblement. Le réflexe corneen est diminué. Le
réflexe
pharyngien est aboli. Le réflexe rotulien est a
réflexe corneen est diminué. Le réflexe pharyngien est aboli. Le
réflexe
rotulien est aboli. On trouve une zone assez ét
at causé sans doute par les troubles gastriques retentissant par voie
réflexe
sur les capillaires du poumon, augmentant la tens
le allongée les excitations lumineuses qui provoquent le resserrement
réflexe
de la pupille. 11 est donc bien établi que les
sie totale de toute la région bucco-pharyngienne avec suppression des
réflexes
. Dans ces conditions, les représentations motri
périmentaux constituent autant d'exemples très frappants de ces actes
réflexes
désignés par M. le professeur Ch. Richet sous le
ctes réflexes désignés par M. le professeur Ch. Richet sous le nom de
réflexes
psychiques. En effet, il s'agit bien là d'un acte
le nom de réflexes psychiques. En effet, il s'agit bien là d'un acte
réflexe
dans lequel l'excitation périphérique repose surt
'intervention de l'intelligence n'enlève pas à ces actes le caractère
réflexe
, car ils sont involontaires, et même dans une cer
perdu le pouvoir modérateur qu'il exerce habituellement sur les actes
réflexes
et on ne peut reprocher au sommeil provoqué d'êtr
oindre pression était douloureuse et provoquait un gémissement. Les
réflexes
tendineux du genou étaient complètement abolis, e
urir d'une maladie du cœur comme sa mère. Sueurs pendant la nuit. Les
réflexes
teudineux sont normaux. La malade est bien hypn
utanée. Douleur ovarienne bi-latérale à la pression. Conservation des
réflexes
rotuliens. Pas de trépidation des pieds provoquée
gauche, Pas 4e douleur spinale. Conservation et même exagération des
réflexes
. Pas de trépidation des pieds provoquée par la fl
tout le corps, respirant à peine. Le pouls bat à Ï6. Conservation des
réflexes
sous-rotuliens. Intégrité de la coutractilité é
usculaire, l'analgésie de la peau et des muqueuses, l'exagération des
réflexes
tendineux et l'hyperexcitabilité neuro-musculaire
atons alors ni hyperexcitabilité neuro-musculaire, ni exagération des
réflexes
tendineux. Est-ce la léthargie? dans cet état com
les de la même École, dressée par imitation à réaliser des phénomènes
réflexes
dan» un certain ordre typique, ce n'était plus un
rétréci a droite qu'à gauche. La motilité, le sent musculaire, les
réflexes
étaient normaux. Le sommeil hyp-notique ne se man
M... (Prit par Coppey n!s.( La motilité, le sens mosculaire et les
réflexes
tonl normaux. Par la fixation d'un objet brillant
côtés. La molilité est intacte, le sens musculaire conservé, les
réflexes
sont normaux ; l'intelligence est vive. La malade
récis. La motilité est intacte ; le sens musculaire est normal; les
réflexes
sont sains: l'intelligence est vive. Les attaqu
ls sont rétrécis. La motilitéest intacte; le sens musculaire et les
réflexes
sont normaux; l'Intel- ligence est bien développé
reil musculaire est intact, le sens musculaire est bien conservé, les
réflexes
sont normaux ; l'Intelligence est vive, la mémoir
nettement cette sensation à la main appliquée i plat. Exagération du
réflexe
rotulien. Trépidation du pied. Absence d'atrophie
s diminuer d'intensité. A l'examen de la malade, on constate que le
réflexe
cornion est conservé; on ne peut naturellement re
réflexe cornion est conservé; on ne peut naturellement rechercher le
réflexe
pharyngien à cause du tris-mus des mâchoires. E
ations avec sa mère, sa sœur et d'autres femmes proches parentes. Les
réflexes
rotuliens sont exagérés. Pas de troubles digestif
'où dérivent les mouvements de convergence des globes oculaires et le
réflexe
pupillaire à l'accommodation. Il faut bien dist
tendre, une hémianopsie homonyme latérale droite avec conservation du
réflexe
de Wernicke, c'est-à-dire avec réaction pupillair
étaient variables et dus, selon toute vraisemblance, à des phénomènes
réflexes
ou de compression, et non à une lésion du faiscea
donc, de par ces notions expérimentales et cliniques, comme un centre
réflexe
, qui reçoit par les voies afférentes les différen
pprentissage. Les neurones intermédiaires d'association servent aux
réflexes
variés de l'équilibration (troubles oculo-moteurs
s délocalisation dérivent directement du cervelet, en tant que centre
réflexe
de l'équilibration, ou indirectement, par compres
tion conjuguée de la tête et des yeux, le nystagmus, l'exagération du
réflexe
patellaire du côté de la lésion; parmi les second
l traduit alors une infection vestibulaire. Exagération homonyme du
réflexe
patellaire. — L'influence de l'abcès cérébelleux
e du réflexe patellaire. — L'influence de l'abcès cérébelleux sur les
réflexes
tendineux s'explique par les connexions anatoiniq
qui a déterminé les deux conditions nécessaires pour la production du
réflexe
, à savoir, un arc réflexe indemne et une certaine
onditions nécessaires pour la production du réflexe, à savoir, un arc
réflexe
indemne et une certaine distension tonique du mus
scle. La clinique constate que, dans les affections du cei^elet, le
réflexe
patellaire est régulièrement et manifestement exa
ylite tuberculeuse ». Acland et Ballance donnent à l'exagération du
réflexe
patellaire du côté de la lésion, à la parésie hom
ori paradoxale. On ne peut, en effet, pour expliquer l'exagération du
réflexe
patellaire, invoquer l'augmentation du tonus, pui
sie par hypotonie. On devrait plutôt admettre l'abolition homonyme'du
réflexe
patellaire coexistant avec l'hémiparésie homonyme
logie et de clinique. La diminution ou l'exagération bilatérale des
réflexes
patellaires est un signe d'hypertension crânienne
e absolue, ou à une organisation spécialement liée avec les fonctions
réflexes
. La parésie ou la paralysie de la VI6 paire est
baur (C), Traité d'anatomie humaine. Paris 1889. Geiiuciiten (Van),
Réflexes
cutanés et tendineux. Comptes-rendus du Congrès I
▲