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1 (1934) Oeuvre scientifique
i nous occupe, un gros intérêt. Vous savez tous, sans doute, que la réaction de dégénérescence est pathognomo- nique d'une l
modifi- cation de son excitabilité électrique, moins connue que la réaction de dégénérescence, mais tout aussi remarquable
leurs caractères. L'attitude du patient, sa physionomie, certaines réactions telles que les cris, les pleurs donnent, il est v
précis, circonstanciés ou lorsqu'ils s'ac- compagnent de certaines réactions dont j'ai déjà parlé brièvement. Je vais cherch
, est encore regrettable parce qu'elle détermine géné- ralement des réactions musculaires entravant l'observation de la contrac
arence : en employant certains moyens permettant de perce- voir des réactions motrices très légères, il se pourrait qu'on les m
la suite d'un choc d'une intensité insuffisante pour déterminer une réaction chez l'autre. b) Chez le premier sujet, avec un
ous constatons chez l'autre individu (aux réflexes forts), outre la réaction des fléchisseurs, des contractions dans d'autre
éloignés, dans le deltoïde par exemple. L'étendue du territoire des réactions motrices est donc variable. d) Chez le sujet au
une appréciation délicate, le temps perdu entre la percussion et la réaction est souvent beaucoup plus long que lorsqu'il s'
de l'« épuisement » les percussions successives donnant lieu à des réactions musculaires de plus en plus faibles on n'hésite
nsitives ; on l'observe non seulement dans les névrites graves avec réaction de dégénérescence, mais aussi dans les névrites d
scle qu'à celle du système nerveux ; l'absence des caractères de la réaction de dégénérescence et l'abolition de l'excita- b
, tandis que la môme manoeuvre du côté malade n'est suivie d'aucune réaction du côté sain ou ne détermine qu'une adduction m
sou- vent à une atrophie musculaire. Bien plus, l'amyotrophie sans réaction de dégénérescence, sans secousses fibrillaires
ud a appelé l'attention ; plus forte, elle détermine, en outre, des réactions dans les muscles du membre inférieur se manifes
ectivité est alors bilatérale. Il en résulte que l'absence de toute réaction motrice appréciable, après excitation de la par
ix). A vrai dire, il ne s'agit pas là d'un réflexe cutané, mais les réactions obtenues ainsi ne diffèrent pas de celles qu'on
' HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE io3 cussion et la réaction est d'une durée excessive, soit parce que le mode
proportion- nalité entre l'intensité de l'excitation et celle de la réaction , le rapport entre ces deux éléments peut varier
iques, je vais décrire les phénomènes que j'ai en vue. Il s'agit de réactions motrices consécutives à des excitations cutanées
citations profondes. Pour commencer, j'envisagerai unique- ment les réactions observées aux membres inférieurs du côté excité,
és par le pied, la jambe et la cuisse. Voici en quoi consistent ces réactions : sous l'influence d'excitations du mem- bre in
déterminer ainsi une sorte de contracture transitoire. Ce mode de réaction (triple flexion) susceptible d'être obtenue par d
d'une extension des trois segments. Voici une autre modalité de la réaction dont je m'occupe : le pincement de la peau de l
e proportionnalité entre l'intensité de l'excitation et celle de la réaction , le rapport entre ces deux éléments peut varier
t d'aller plus loin, je dois discuter les questions suivantes : les réactions signalées sont elles toutes pathologiques ? quelq
es caractères permettant d'affirmer la nature patholo- gique de ces réactions ou de quelques-unes d'entre elles ? Pour résoud
de la voie pyra- 13À.niNsx 1. 9 130 SÉMIOLOGIE midale. Ces deux réactions motrices se produisent généralement dans les mê
faisais déjà remarquer que le plus souvent l'extension des orteils ( réaction pathologi- que) est exécutée avec plus de lente
être d'accord avec les auteurs précédents sur le méca- nisme de ces réactions motrices, ne veut établir aucune distinction entr
es parties du pied et de la jambe peut provoquer à la fois ces deux réactions . Mais, encore une fois, l'une peut se produire
des plus franches ; il est à remarquer qu'il n'y avait pas trace de réaction de dégénérescence dans les muscles de la jambe. M
ide avec un réflexe plantaire en flexion bien qu'il n'existe pas de réaction de dégénérescence dans les muscles de la jambe.
logique se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la réaction , au lieu de s'opérer dans le muscle dont le ten
antérieurement ; d'autre part, rien n'au- torise à admettre que la réaction obtenue dans les expériences de Schaefer consti
'ai montré, en effet, que chez les hémiplégiques qui présentent ces réactions , extension des orteils et flexion du pied, cell
e, affection dans laquelle la voie pyramidale est intéressée. Les réactions décrites ultérieurement par Oppenheim sous la dén
nt assez étroit. Et quelles sont les relations entre ces diverses réactions et la surréflec- tivité tendineuse qui, elle au
ont énoncées. Auparavant, je dois compléter ce que j'ai dit sur les réactions obtenues par l'excitation du membre inférieur,
eurs anglais appellent « local sign » et qui consiste en ce que les réactions seraient différentes suivant les points excités
¡6 SÉMIOLOGIE réflexe(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réactions motrices réflexes et a eu surtout en vue celles
Riddoch et Farquhar Buzzard ont fait une étude appro- fondie de ces réactions motrices dans un travail dont j'ai donné déjà l
dit en passant, que son objection soit juste ; peu importe que les réactions motrices puissent être obtenues aussi par l'exc
d'aucune manifestation de ce côté, donne lieu du côté opposé à une réaction motrice brusque, en même temps qu'elle détermin
ie, l'excitation des téguments du membre inférieur est suivie d'une réaction motrice du membre supé- rieur du côté sain, dif
ains cas, nous avons été frappés par la constance avec laquelle ces réactions se produisaient. On pouvait à volonté, en pinça
fievue Neurologique, 3 mars I ! P, p. 3oo. 1554 ' SÉMIOLOGIE Ces réactions motrices diffèrent cliniquement de celles que nou
autres peuvent d'ail- leurs être associées. Nous pensons que les réactions observées chez les malades qui font l'objet de
ns. Au début de cette conférence, j'ai tracé un parallèle entre les réactions motrices consécutives aux excitations périphéri
action du tenseur du fascia lata ; mais ce qu'il y a de spécial aux réactions physiologiques, c'est qu'on ne les obtient que
ins amples. A l'état pathologique, la triple flexion (seule mode de réaction que j'envisage r : ï6 ,)6 SÉMIOLOGIE ici) sem
r excitation de l'abdomen ou du thorax. A l'état physiologique, ces réactions ancestrales se sont maintenues, mais ont subi d
s, ceux qui correspondaient aux centres spinaux, ils ont inhibé les réactions susceptibles d'être nuisibles à l'individu et ont
sse ou de l'abdomen ne pourrait avoir que des inconvénients ; cette réaction a donc été supprimée. Que sous l'influence d'une
me indépendamment de la volonté, cela ne peut être qu'utile ; cette réaction a donc été conservée. Mais il y a intérêt aussi,
ais il y a intérêt aussi, au point de vue de la marche, à ce que la réaction ne soit pas de longue durée; aussi la décontrac
saisit ainsi les raisons pour lesquelles, à l'état physiologique, les réactions motrices qui me paraissent ressortir aux réflex
e des orteils aux réflexes précédents.. Si à l'état pathologique la réaction habituelle des orteils, l'extension, peut être
Cette flexion des orteils ne serait-elle pas aussi le témoin d'une réaction ancestrale, ayant apparu toutefois à une périod
emment question, période où les orteils servaient de griffe ? Cette réaction avait aussi en partie la protection pour but, m
n'est pas contradictoire si l'on admet que la flexion des orteils, réaction physiologique il est vrai, est le reliquat d'un
orteils, réaction physiologique il est vrai, est le reliquat d'une réaction ancestrale, et si l'on se rappelle que chez l'adu
kowski ayant pour titre : « Sur les mouvements, les réflexes et les réactions musculaires du foetus humain de 2 à 3 mois et l
e chaque partie des téguments peut servir de zone réflexogène à des réactions motrices très variables, proches et lointaines, a
de défense ou d'automatisme médullaire de celle qui appartient aux réactions volontaires. Mais notre intention n'est pas de ra
, par Babinski). Ce mode d'excitation n'est suivi d'aucune sorte de réaction quand on pince le côté droit (côté anesthésié);
excitation de la peau du côté de la lésion et se traduisant par une réaction motrice du côté des troubles sensitifs. Cette réa
uisant par une réaction motrice du côté des troubles sensitifs. Cette réaction est accompagnée d'une grimace et d'une secousse
e malade accuse une sensation particulièrement désagréable. Cette réaction se laisse déclencher avec facilité quel que soit
é des excitations doit être ici considérablement accrue pour que la réaction se produise. Observation II. Il s'agit d'un mal
e ici cette observation; nous nous contenterons de noter que si les réactions motrices consécutives aux excitations n'ont pas
la distribution cutanée de la 2e racine cervicale, déterminait une réaction énergique dans tout le membre inférieur du côté
é. Le pincement du côté gauche (côté anesthésié) ne provoquait aucune réaction homo ou contralatérale. Quelques mois plus ta
ues mois plus tard, l'état du blessé s'étant notablement amélioré, la réaction motrice ci-dessus signalée a disparu ; il est à
uleurs existent encore. Le malade nie la syphilis ; d'ailleurs la réaction de Wassermann, faite à plusieurs reprises, s'es
uée à plusieurs travers de doigt au-dessus de l'ombilic; mais cette réaction est inconstante et relativement faible. ' Les e
èrement marquée dans le ter- ritoire hyperalgésique, mais les mêmes réactions peuvent être parfois provoquées par des excitat
vie d'aucun mou- vement de ce côté, donne lieu du côté opposé à une réaction motrice brusque, en même temps qu'elle détermin
ature de ces phénomènes ? On doit se demander s'il ne s'agit pas de réactions volontaires provoquées par des excitations déter-
stem, p. 352). Voici les raisons qui militent contre l'hypothèse de réaction volontaire : a) Il est à remarquer d'abord que
n. Il nous semble inadmissible qu'un phénomène aussi paradoxal, une réaction tellement différente des réactions voulues qu'o
un phénomène aussi paradoxal, une réaction tellement différente des réactions voulues qu'on exécute à la suite des excitation
volontaire. Il nous paraît donc incontestable qu'il s'agit là d'une réaction motrice involontaire, c'est-à-dire d'un mouveme
vue semblent liés, au moins pour une part, à l'hyperalgésie ; ;. la réaction motrice est d'autant plus forte que la douleur pr
ve et, comme on l'a vu dans l'observation II, la disparition de ces réactions spéciales semble avoir coïncidé avec la régress
La flexion du pied qui constitue, comme l'un de nous l'a montré, la réaction la plus caractéristique, le criterium des réflexe
i défaut. d) Enfin, ainsi que nous l'avons déjà fait ressortir, les réactions motrices, bien loin de se produire uniquement o
des grimaces, du spasme res- piratoire, du cri (étant admis que ces réactions sont réflexes), ainsi que ce fait que les réact
t admis que ces réactions sont réflexes), ainsi que ce fait que les réactions motrices du membre inférieur peuvent être déclen-
. Si le membre inférieur du côté de la lésion ne participe pas à la réaction motrice, c'est vraisemblablement parce que l'ex
inale. Et si l'excitation de la zone anesthésiée ne provoque aucune réaction motrice, c'est sans doute parce que dans son pa
s faits que nous venons de relater établit l'existence de certaines réactions motrices qu'il faut distin- guer d'une part des
lexes dits de défense ou d'automatisme médullaire, d'autre part des réactions motrices volontaires, et qui sont en quelque so
t qui sont en quelque sorte intermédiaires entre ces deux ordres de réactions ('). (') Dans l'hémiplégie liée à une lésion cé
aît parfois qu'après deux ou trois excitations suivies encore d'une réaction pupillaire ; c'est aussi pour ce motif que généra
pupilles examinées avant l'application du bandeau présentaient une réaction à la lumière faible mais nette, j'ai cru remarq
naux semi- circulaires produirait des mouvements différents ; or la réaction paraît être la même, que l'on excite l'un des t
nthe, en faisant passer un courant gal- vanique de courte durée, la réaction voltaïque conjuguée de la tête et des yeux fait
chaque épreuve ves- tibulaire, il se produit, en sens inverse de la réaction et après elle, une contre-réaction. Celle-ci,
ystagmus provoqué. Ce phénomène a donc les caractères d'une contre- réaction . Enfin la déviation angulaire se manifeste si on
qui, à une période donnée, offrent une très grande analogie avec la réaction de dégénérescence. Chez le lapin, j'ai observé
est la cause de ce phénomène ? Et d'abord quelle est la cause de la réaction de dégénérescence qui apparaît à la suite de cert
te de certaines lésions des nerfs ? On admet généralement que cette réaction , en parti- culier la modification qualitative d
erfs sont dégénérés. Mais si l'on consi- dère que les caractères de réaction de dégénérescence peuvent apparaître dans certa
orphologiques à peine appréciables, il y a lieu de penser que cette réaction de dégénérescence tient, au moins pour une part
221 t que sur les fibres musculaires, ce qui revient à dire que la réaction dite de dégénérescence ne serait, en partie au
action dite de dégénérescence ne serait, en partie au moins, que la réaction propre des fibres musculaires sans aucune inter
. Si cette idée était exacte, il serait légitime, pour expliquer la réaction de dégénéres- cence dans les muscles après la m
s delà contracti- lité électrique ayant aussi de l'analogie avec la réaction de dégénérescence. (2) J. Babinski, Société de
les muscles était brève et en éclair ; il n'y avait aucune trace de réaction lente ou d'inversion de la formule. Le nerf fac
éclatante ('). A PROPOS DE LA COMMUNICATION DU Dr BORDIER SUR LES RÉACTIONS ÉLECTRIQUES D'EIYPOTHERMIE LOCALE ? ) M. Bordie
iques que M. Bordier s'attache surtout. Il a observé, en hiver, des réactions électriques d'hypothermie locale dans les cas d
u du pied. Sous l'influence du réchauffement par la diathermie, les réactions électriques redeve- naient normales. MM. Babi
et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence. La surexcitabilité musculair
re est froid, et après réchauffement. Si la méconnaissance de ces réactions d'hypothermie locale fait courir le risque de c
ent, sous l'in- fluence de la réfrigération, présenter de pareilles réactions , expose à une erreur d'ordre inverse : il a con
DE DEUX COURANTS EN ÉLECTRODIAGNOSTIC ET EN ÉLECTROTHÉRAPIE(') LA RÉACTION FARADIQUE LATENTE, LA FARADO-GALVANISATION, LA
çaise d'Electrothérapie ('), nous avons attiré l'attention sur une réaction électrique nouvelle que nous avons appelée exci
ux, atteint depuis plusieurs mois d'une névrite des deux jambes. La réaction de dégénérescence paraît complète par l'explo-
t l'inexcitabilité faradique, la contraction lente, l'inversion, la réaction longitudinale. Mais si l'on fait traverser par
ulaire par. l'excitation du nerf sciatique poplité externe. Cette réaction pourrait être considérée comme un échelon entre l
te, on puisse obtenir la contraction des muscles présen- tant cette réaction , sans avoir recours à la voltaïsation ; nous y ve
ons. Peut-être pourrait-on formuler, provisoirement au moins, cette réaction de la manière suivante : (') Babinski, Delher
contraction lente au courant galvanique. La distinction de cette réaction d'avec la D. R, complète nous parait justifiée.
re en pareil cas ? Pratiquer une ponction lombaire et rechercher la réaction de Wassermann. Si le résultat est positif, le tra
En pratiquant la même épreuve au cou-de-pied droit, on observe des réactions analogues mais moins marquées. ' TORTICOLIS SPA
SMODIQUE 265 Les divers modes de la sensibilité sont normaux. Les réactions électriques des muscles se sont montrées absolume
esse Médicale, n° 46. CI,) Henri Meige, Dysphasie singultueuse avec réactions motrices tétaniformes et gestes stéréotypes. So
constatera en règle générale l'unilatéralité ou la prédominance des réactions du côté malade ou le plus atteint. Quand les lé
amen pratiqué par le Dr Parinaud le 7 octobre. « Pupilles dilatées, réactions pupillaires nulles ; la névrite persiste avec peu
un syndrome sympathique unilatéral caractérisé par des troubles des réactions sudorales, pilomotrices, vasomotrices et thermiqu
contractions toniques des muscles lisses et striés, la sudation, la réaction pilomotrice, les spasmes vasculaires ont une du
t cavités médullaires ; syndrome de compression lente de la moelle et réaction pilomotrice permanente. Mmc J. Dejerine et J. J
pas provoquer de contraction du deltoïde mais elle est suivie d'une réaction du grand pectoral, du triceps et peut-être du b
des muscles atrophiés est très affaiblie mais on ne constate pas de réaction de dégénérescence. La sensibilité objective est
on lombaire est pratiquée et on constate une lymphocytose nette; la réaction de Wassermann est positive dans le liquide céphal
ssion cervicale ; la lymphocytose du liquide céphalo-rachidien avec réaction de Wassermann positive, la constatation du signe
aires atrophiés il n'y avait ni abolition complète des réflexes, ni réaction de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté
écision. Le liquide céphalo-rachidien n'est pas xantochromique ; la réaction de Bordet- Wassermann est négative; il n'y a pa
e ce genre comporte des aléas ; elle s'attaque à un organe dont les réactions sont souvent très vives et elle est pratiquée d
n'avoir aucune action nocive. (1) M. de Martel avait déjà noté des réactions inflammatoires de la dure-mère à la suite d'injec
e, les excitations, même très fortes, ne donnent naissance à aucune réaction de ce genre. Les troubles de la sensibilité cut
ties du tronc préalablement mouillées. On pouvait obtenir ainsi une réaction très nette consistant en une extension de la jamb
l de M. Froin, interne de M. Widal : « Inflammations méningées avec réactions chromatique fibrineuse et cytologique du liquide
amoindrie sont plus ou moins hypoexcitables électriquement, mais la réaction de dégénérescence fait complète- ment défaut.
érent à cet égard, d'un caractère gai ou porté à la mélancolie, ses réactions seront différentes vis-à-vis de la persuasion.
onnes, une accéléra-- tion des battements cardiaques, ainsi que des réactions vasomotrices et, quand on n'analyse pas ces fai
ives ou émotives. Si en effet la suggestion peut réaliser de telles réactions , il est bien évident qu'elle ne peut le faire q
ène psychologique, mais d'une suggestion toute chargée de violentes réactions affectives, d'attente, d'inquiétude ou d'émotio
attaque hystérique il y avait à faire jouer le rôle principal à des réactions vaso-motrices anormales, on ne concevrait pas l
produire une abolition complète ou une très grande diminution de la réaction cutanée plantaire (réflexe cutané plantaire et
ou aux quelques premières excitations cutanées ne présente plus de réaction si l'on renouvelle ces excitations et s'il est,
é électrique des muscles (sur- excitabilité ou subexcitabilité sans réaction de dégénérescence, fusion anticipée des secouss
s, des modifications purement quantitatives et non qualitatives des réactions électriques (tels étaient aussi les résultats d
de l'atrophie musculaire de la cuisse, sans trouble appréciable des réactions électriques. L'examen de la hanche montre une l
excita- tions par piqûres des membres sains ne provoquaient aucune réaction ; le retour de la contracture, contemporain de
ort de réduction en pleine anesthésie et après disparition de toute réaction consciente provoquait un mouvement spasmodique
de tous les mouvements de la main et des doigts avec intégrité dos réactions électriques (main figée), Société de Neurologie,
des masses musculaires de la main, de l'avant-bras et du bras, sans réaction de dégénérescence. Les réflexes tendineux du me
vélait l'existence d'une lésion nerveuse et qu'elle équivalait à la réaction de dégénéres- cence : « Les praticiens n'ayant
remarquable lenteur; elle est aussi lente que dans bien des cas de réaction de dégénérescence caractérisée. Afin d'éta- bli
et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence. La surexcitabilité muscu- la
ie locale et qui disparait par le réchauffement. Il n'y a jamais de réaction de dégénérescence. Il y a parfois fusion antici
ale des autres parties du corps très émoussée, ce qui donnait à ces réactions douloureuses un cachet de sincérité. (') J. B
fonde à la main et à l'avant-bras. Il a été frappé par l'absence de réactions vis-à-vis d'excitants violents portant sur les ré
bserve : d'une part, dans le domaine du cubital, une paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles hypothénar, adducte
e, par une sorte de cycle admi- rable, cette même intensité dans la réaction chimique entraine une plus active production de
constate que la percussion du tendon du triceps crural provoque une réaction extrêmement forte suivie d'une augmentation de
t-être à l'usage d'engrais artificiels. D'une particula- rité de la réaction de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janv
e (Id.). t4o. Sur le réflexe cutané plantaire. Différences dans les réactions correspondant à des différences dans le siège d
Bulletin médical, 17 janvier 1910). 166. Hypotonicité musculaire et réaction de dégénérescence (Société de Neurologie, 10 fé
ibution à l'étude de la syphilis familiale. Recherches à l'aide de la réaction de Wassermann (en collaboration avec Barré. Id.
des Hôpitaux, 22 mars r g r 2). igo. Contribution à l'étude de la réaction de dégénérescence. Excitabilité faradique laten
vier 1917). 245. A propos de la communication du Dr Bordier sur les réactions électriques d'hypothermie locale (Bulletin de l
ux. Société de Neurologie, 12 janvier 1922). 269. Hyperalgésie et réactions hyperalgésiques dans l'hémiplégie cérébrale (en c
2 (1911) La pratique neurologique
ultanément, ce qui rend l'inspec- tion pupillaire plus facile et la réaction plus intense. Un appareil électrique ingénieux
age des deux moitiés de la rétine, mais avec une inégale intensité ( réaction hémianopique relative). La recherche de ce sign
uvent se produit une dégénéres- cence atrophique du nerf optique. Réaction hémiopique de Wernicke. - 11 est un symptôme sur
n du sang et du liquide céphalo-rachi- dien, recherche du spirille, réactions du sérum). B. Hémianopsie sans lésion organique
culose et la syphilis (li 10), sont les causes les plus fréquentes. Réaction méningée, vomissements, céphalée continue, para
a mort, la pupille se dilate à nouveau par paralysie et, perd toute réaction . Infections générales, syphilis, diphtérie. La
transmise aux deux centres excito-réffexes du mésen- cépbale, et la réaction pupillaire est bilatérale. Si la voie centripète
ntractée tant que l'observé maintient son attention sur la lumière. Réaction pupillaire myotonique. Elle se voit dans le myosi
sions épithéliales autour desquelles la cornée, suivant son mode de réaction habituel, s'infiltre et blanchit. La dessicca
étiques de la surdité, des bourdonnements, de l'exa- gération de la réaction galvanique, des hallucinations. Mais les conditio
ans sa thèse. On la voit survenir dans l'otite aiguë simple ou avec réaction mas- Ioïdienne, dans les mastoïdites compliquée
oies respiratoires supé- rieures doivent protéger le poumon, et les réactions nasales aux irritations sont d'ordre défensif.
te s'incline d'un côté. Si le pôle positif est placé de ce coté, la réaction est normale; si c'est le pôle négatif, la réactio
é de ce coté, la réaction est normale; si c'est le pôle négatif, la réaction est pathologique : il y à une lésion organique
généralement par la ponction lombaire; souvent en même temps, si la réaction était anormale, le vertige redevient normal ; c
tache ne. révèle aucune lésion de l'oreille moyenne ou externe; les réactions de Pinne et de AVeber indiquent une lésion de l
sou- vent dilatées, parfois rétrécies, quelquefois inégales. Leurs réactions sont atténuées ou nulles. Nous sommes frappés d
gent causal. De plus, beaucoup de médicaments déterminent les mêmes réactions morbides, et cela ne laisse point que de restre
s atteints présentent de l'atrophie, des secousses librillaires, la réaction de dégénérescence. Ces caractères se retrouvent
sculaire fait à peu près complètement défaut le plus souvent, et la réaction de dégé- nérescence manque toujours. Les troubl
ngue du bulbaire vrai par l'absence de secousses fibrillaires et de réaction de dégénérescence. ' L'hémorragie et le ramolli
é de la motilité. Elle consiste donc en un (rouble intellectuel des réactions motrices soumises à la volonté. Nous n'avons
allucinations, des modifications du pouls et de la circulation, des réactions mimiques. Le malade, qui présente des hallucina
vateur aura à l'aire la part des différences d'interprétation et de réaction personnelles qui varient il l'infini avec les s
souvent défectueux (chez un hémiplégique, par exemple), du mode de réaction , variable suivant les individus, l'âge et le se
deux avant-bras gauche et droit, par exemple, et t'ou détermine une réaction du côté sain seulement. 11 faut, au contraire,
r la région qui présente des troubles, pour obtenir de son côté une réaction équiva- lente. "2" Localisation de la percept
n a construit des appareils pour mesurer avec précision le temps de réaction , mais leur dispositif compliqué et leur prix élev
l'atteinte primordiale des éléments essentiels de la racine ou les réactions et les dégénérescences qui en résultent. Dans les
du système nerveux. On saura ainsi tenir compte des différences de réaction individuelle, facteur très important dans l'app
lus souvent, elle est diffuse et semble devoir être attribuée à des réactions inflammatoires passagères des méninges, ainsi q
ien se trouve tiraillé. On perçoit avec la main fixe la plus faible réaction du triceps). 4° Constatation du réflexe. Le réf
r la violence de la contraction du triceps et par la vivacité de la réaction ; les réflexes sont dits forts ou faibles, vifs ou
areil permettant de rechercher le seuil du réflexe et de mesurer la réaction (Bévue de Psychiatrie, juin 1908). Mais ce sont
entrmn- verte sans effort. A l'état normal il ne se produit aucune réaction , mais à l'état pathologique les deux lèvres se
ryngée ]mlbaire et pS('IHlo-bu]baire. Le réflexe palpébral est la réaction qui se produit quand on touche du doigt la corn
dierons successivement le signe de Kernig dans' la méningite ou les réactions méningées, puis dans les maladies du système ne
ois et Mauban. Achard et Paisseau ont publié des cas de ce genre. Réactions méningées des infections. On a pu observer, dans
ite et depuis, sa fréquence a montré qu'il s'agissait sans doute de réactions méningées légères. Dans la fièvre typhoïde, Net
e très important non seulement au point de vue du diagnostic de ces réactions méningées. mais encore comme particulièrement g
naire (Sainton et Voisin). On peut également le rencontrer dans les réactions méningées des intoxications, dans l'urémie (Thé
observé également dans le lumbago (Sainton et Voisin) en dehors des réactions cytologiques céphalo-rachidiennes. On l'a const
até le signe de Kernig dans les affections du cerveau en foyer sans réactions méningées, dans les hémorragies cérébrales, dans
ez des sujets normaux et être le plus souvent caractéristique d'une réaction méningée, qu'il s'agisse d'une méningite tubercul
l s'agisse d'une méningite tuberculeuse ou céré- bro-spinale, d'une réaction méningée infectieuse, légère ou d'une hémor- ra
nsité, la répartition des atrophies musculaires et des troubles des réactions électriques au niveau des muscles atteints. On
t que le malade est plus jeune. Enfin, chez le poliomyélitique, les réactions électriques ont une valeur précise, et la D. R.,
er à son niveau n'est point fatalement destiné à dis- paraître. Les réactions électriques, qui : ont une grande valeur pronosti
be de polichinelle, de l'aholition ou du moins de la diminution des réactions électriques; de l'autre côté se constatent de l
La para- plégie est totale, flasque d'emblée, l'atrophie rapide, la réaction de dégé- nérescence hâtive. Il y a des troubles
ue et cellulaire des circonvolutions, étude de la chroma- tolyse de réaction après section du faisceau pyramidal), sont arrivé
e se fait sur la pre- mière côte, ces troubles feront défaut. Les réactions électriques sont variables suivant l'intensité du
riques sont variables suivant l'intensité du trauma- tisme, mais la réaction de dégénérescence existe d'une façon presque co
le malade le veut ou le croit tel. L amyotrophie, les troubles des réactions électriques, les troubles des réflexes manquent
surtout sur l'examen électrique. Dans la forme grave, on observe la réaction de dégénérescence; dans la forme bénigne il ny a
érescence; dans la forme bénigne il ny a a pas de modifications des réactions électriques; dans la forme moyenne, le nerf res
bilité est modifiée, tant au point devuefaradiqueque galvanique, la réaction de dégénérescence est incom- plète. La paraly
cedestroubtes du goût et de l'ouïe; l'absence des modifications des réactions électriques. On donne encore comme signccaractens
é, comme dans toutes les paraly- sies périphériques, sur l'état des réactions électriques. La paralysie [G GCILLAIN ] li;)2
sance (Iluet) ('); il n'y a pas de modification qualitative, pas de réaction de dégénérescence. Ces règles souffrent cependa
cles, même les plus manifestement atro- phiés, avaient présenté une réaction électrique normale. Quant à l'absence de réacti
ient présenté une réaction électrique normale. Quant à l'absence de réaction de dégénérescence, elle avait été longtemps consi
ne musculaire; or les observations se multiplient aujourd'hui où la réaction de dégéné- rescence est signalée dans les myopa
hiques. Il semble bien que l'on doive admettre pour expliquer cette réaction de dégénérescence une participation, au moins acc
eux; des expériences récentes de Babinski (6), qui a constaté cette réaction anormale dans des muscles normaux une heure et
ou deux heures après la mort, paraissent en effet démontrer que la réaction de dégénérescence ne dépend pas de modifications
ques des muscles dont les nerfs sont dégénérés, mais qu'elle est la réaction propre aux fibres musculaires se contractant d'un
s fonc- tionnelle, du système nerveux. Mais si la présence de cette réaction a véritablement une grosse valeur pour indiquer
de toute influence héréditaire ou familiale, et d'autres symptômes ( réaction de dégénérescence dans le premier cas, contract
a raideur musculaire tétanique produite par la contraction et de la réaction élec- trique mvotonique qui caractérisent la ma
lition de toute contraction, dans les muscles moyennement atrophiés réaction de dégénérescence : c'est seulement dans cette
seulement dans cette dernière condition que l'on trouve toujours la réaction de dégénérescence. La réaction de dégénérescence,
ondition que l'on trouve toujours la réaction de dégénérescence. La réaction de dégénérescence, totale ou partielle, a été t
sculaires, modifications de l'excitabilité électrique (quoique sans réaction de dégé- nérescence)..La localisation est celle
onque des muscles ou d'une de ses portions. On ne constate pas de réactions fibro-musculaires , et à tout moment les articu
u'au lole négatif : c'est l'inverse de la formule normale, c'est la réaction de dégénéres- cence. Enfin la contractilité gal
contractilité galvanique diminue et disparait définitive- ment. La réaction de dégénérescence n'apparaît donc dans chaque m
compagne pas en géné- ral de contractions fibrillaires et jamais de réaction de dégénérescence. La paralysie et la contractu
'atrophie, mais jamais on n'observe de modification qualitative, de réaction de dégénérescence complète ou partielle. Les ré
a parfois des rétractions fibro-musculaires, exceptionnellement la réaction de dégénérescence, assez souvent une atrophie d
inconstants. Les contractions fibrillaires s'observent rarement; la réaction de dégénérescence s'observe au contraire plus sou
même degré l'en- semble des muscles d'un même serment de membre. La réaction de dégénérescence s'observe très fréquemment. I
tement ou souvent très rapidement, elle s'accompagne fréquemment de réaction de dégénérescence, des troubles trophiques cutané
isée par une paralysie flasque avec troubles sensitifs objectifs et réaction de dégénérescence, mais l'atrophie musculaire e
inateur; l'atrophie rapide de ces muscles est presque constante, la réaction de dégénérescence est fréquente, les troubles s
roncs nerveux ou des masses musculaires, très exceptionnellement de réaction de dégénérescence ; de plus, le pro- nostic en
nt; elle est rarement très intense ; elle ne s'accompagne jamais de réaction de dégénérescence. Elle est généralement statio
ois hyper- trophie vraie; rétractions fibre-musculaires; absence de réaction de dégé- nérescence, modifications électriques
de pseudo-hypertrophie ; pas de rétractions fibro-rauscu- laires ; réaction de dégénérescence; modification des réflexes tend
as de pseudo-hypertro- phie ; pas de rétractions fibro-musculaires; réaction de dégénérescence; modification des réflexes te
s de pseudo-hvper- trophie ; rétractions fibro-musculaires parfois; réaction de dégénérescence fréquente; abolition des réfl
es contractiles atteint un muscle sain et constitue soit un mode de réaction contre un obstacle, soit un mode d'adaptation à
ES. faire, beaucoup plus que de la contraction ; ils constituent la réaction myotonique d'Erb. La contractilité faradique et
muscles atrophiés eux-mêmes peuvent présenter los caractères de la réaction myotonique (Rossolimo, Lannois, Loi,lit-.Iacol)
ce de sar- coplasma que serait due, d'après les travaux récents, la réaction mvoto- nique : Botlazzi a fait voir en effet qu
es de Mlle Joteyko ont montré que les diverses particularités de la réaction myotonique d'Erb (réaction tardive, lente, prol
ré que les diverses particularités de la réaction myotonique d'Erb ( réaction tardive, lente, prolongée, tonique, etc.) étaie
ophie musculaire vraie chez un sujet qui nC11l'éseu- lait pas les réactions de la maladie de Thomsen. Remarquer surtout le
trophie consécutive à l'hypertrophie. Si nous nous rappelons que la réaction myotonique d'Erb peut s'ob- server dans différe
signaler et qui ne s'en - distinguent guère que par l'absence de la réaction myotonique et parfois par l'époque, plus ou moi
ique ( ? ). Généralisées ( ? ? ) : « hommes musclés » (Thomsen sans réaction myotonique ? ). 2" Hypertrophies préatrophiques
action. il' Contractilité électrique : lenteur de la décontraction ( réaction myotonique d'Erb). 4° Caractère familial et h
nts muscles s'atrophient, présentent des secousses librillaircs; la réaction de dégé- nérescence s'observe à leur niveau. Le
lésions extrinsèques du bulbe autres que les tumeurs provoquent des réactions complexes, les syndromes observés pouvant être su
ons à dessein insisté sur l'attitude, la démarche, le facies et les réactions émotives des pseudo-bulbaires : ce sont là en e
rophiques, ni de troubles électriques : l'atrophie musculaire et la réaction de dégénérescence font toujours défaut ('hez les
d se décèleront une atrophie musculaire notahle et des troubles des réactions électriques. Il peut à dire vrai se présenter d
t~pas rares. Les muscles présentent une altération spéciale de leur réaction élec- trique, altération tout à fait différente
n élec- trique, altération tout à fait différente de la D. R. Cette réaction myas- thénique (Jolly) est caractérisée par un
e, la pneumonie, la grippe, mais on est frappé par l'importance des réactions nerveuses. On recherchera les signes nerveux et
cérébelleuses. En résumé, ces derniers travaux semblent marquer une réaction contre l'opinion exclusive de Charcot qui niait
ui- vant le type. monoplégique, hémiplégique ou paraplégique. Les réactions électriques sont habituellement normales dans la
pour des ivrognes. La force musculaire est en général diminuée, les réactions électriques sont normales, les réflexes sont gé
igence, et il ne semble pas qu'il y ait davantage de troubles de la réaction électrique. Chez un enfant de 18 mois atteint de
Il n'y a guère de troubles de la sensibilité ni des réflexes ; les réactions électriques sont normales, mais il existe d'une
ntal du tiqueur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES TICS I. Caractères des réactions motrices. - Le tic est un mot- vement-convulsi-
et leurs sentiments que, dans leurs sensations mêmes et dans leurs réactions motrices, vaso-motrices, secrétoires et viscérale
ble de l'émotivité ('). Nous avons insisté, dans l'analyse tant des réactions motrices que de l'état mental du liqueur, sur l
'être qu'un moyen de défense contre une obsession quelconque ou une réaction contre l'obsession phobique du tic, contre la p
e troubles des réflexes, de la sensibilité, de la trophi- cité, des réactions électriques ; il peut ou non survenir chez des dé
ce de se reproduire. » De plus, on doit s'efforcer de maîtriser les réactions motrices et les contractions musculaires excess
issement, de raideur. Les caractères de début et d'évolution de ces réactions motrices, les phénomènes qui s'y trouvent assoc
étudier ; ils diffèrent tout autant chez les divers sujets que les réactions motrices elles-mêmes. Dans la grande majorité d
de troubles de la sensibilité objective, de la réflectivité ou des réactions électriques. Au contraire, on constate très ord
(Poore) et aussi des troubles de la contractilite électrique et la réaction de dégénérescence (l : ulenhnr, Benedikt, etc.)
e de la face. z Il existe des troubles assez caractéristiques de la réaction sudorale dans la paralysie faciale : c'est la r
tiques de la réaction sudorale dans la paralysie faciale : c'est la réaction la pilocarpine. Straus, en comparant la sudatio
les complica- tions urinaires des maladies nerveuses à cause de la réaction toujours vive, des troubles trophiques possible
tout un individu il t épui- sement rapide, ainsi que le précise la réaction électrique spéciale. Avec les lésions bulbaires
bulbaires se montrent l'atrophie, les secousses fibril- laires, la réaction de dégénérescence. Ces troubles ont pu survenir r
ropltit' faciale une hémiatroplue de la Lingue qui se présente sans réaction de dégénérescence, semblable en ce) : ) aux tro
e qu'un phénomène en quelque sorte local, ou s'accompagner de vives réactions générales : le malade fait de vains efforts de
sistance. , ' , Troubfes intellectuels. Lenteur ou insuffisance des réactions et des réponses aux tests concernant l'attentio
'Ilutchinson, le tibia en lame de sabre et, la dent en tournevis. RÉACTION DE WASSERMANN Le séro-diagnostic de la syphilis
es recherches pratiquées dans les maladies du système nerveux. La réaction de Wassermann se rencontre presque toujours chez
système nerveux où la syphilis ne pouvait être que soupçonnée : la réaction de Wassermann a apporté une preuve de syphilis.
re Marie considérait pour une partie comme syphilitiques ont eu une réaction positive fois sur 11. Chez les hémiplégiques vu
is sur 11. Chez les hémiplégiques vulgaires, Joltrain a rencontré 8 réactions positives sur 15. Dans la sclérose en plaques
tré 8 réactions positives sur 15. Dans la sclérose en plaques, la réaction a été positive dans les trois cas observés. Et
origine syphilitique de certaines scléroses en plaques. De même, la réaction était positive dans deux cas d'hydro- céphalie
e empêche la production de cette opalescence. Au contraire, la même réaction chez les paralytiques généraux provoque un trou
ngo-myélites et de myélites syphilitiques où ils ont constaté cette réaction de l'albumine. Guillain et Parant dans la même
ans la même séance de la Société de Neurologie ont constaté la même réaction seize fois sur seize paralytiques généraux exam
ychoses diverses examinées comparativement 1 n'ont pas montré celle réaction . Les auteurs montrent que la réaction de l'albu
ment 1 n'ont pas montré celle réaction. Les auteurs montrent que la réaction de l'albumine est parallèle à la lymphocytose.
on lombaire chez 18 ictériques. Dans trois cas, ils ont pu, par les réactions classiques de Gmelin et de Pettenkoll'er constate
s'agit d'un pigment dérivé de la toile ou du sérum sanguin, car les réactions chimiques n'étaient pas positives. Enfin Bard,
nstater la transformation de l'hémoglobine en pigment biliaire avec réaction nette de Gmelin et de Pettcnkoner. Recherche de
n de celle des autres humeurs de l'organisme. Séro-diagnoslic. La réaction de Wassermann, comme la réaction de Porges, peu
e l'organisme. Séro-diagnoslic. La réaction de Wassermann, comme la réaction de Porges, peuvent être faites pour le diagnost
énéraux. Enfin, dans le tabes, comme dans la paralysie générale, la réaction de Wassermmn a été trouvée dans le liquide céph
a moitié environ des cas de zona. Il s'agit donc dans ces cas d'une réaction méningée subaiguë, qui permettra d'appré- cier
ique complète le diagnostic. Enfin, Vincent et Bellolonl décrit une réaction pl'écipitante déterminée par le sérum spécifiqu
stic dans la paralysie infantile. Dans la paralysie infan- tile, la réaction méningée a été variable. Raymond et Sicard ont ob
tique, enfin que dans un certain nombre de cas il n'y ait pas eu de réaction méningée du tout ou qu'elle ait disparu. Cyto-d
s nerveuse. Sur huit syphilitiques examinés; deux ont pré- senté la réaction leucocytaire en même temps que de l'hypertension
iciels (roséole, plaques mu- queuses), sept seulement présentent la réaction méningée . Au contraire. sur cinquante-cinq att
syphilides papuleuses, miliaires, psoria- siformes, pigmentâmes, la réaction méningée existait quarante et une fois; des exa
existait quarante et une fois; des examens répétés montrent que les réactions augmentent ou diminuent parallèlement à la lési
t le lycose; 2° Sicard a indiqué comme- caractère différentiel la réaction à l'ioclure. L'iodure de potassium ingéré se re
ubles consécutifs à l'injection, qui étaient dus pour une part à la réaction méningée, résultant du contact de la solution a
is ou de stigmates cliniques nets, on ne manquera pas d'utiliser la réaction de Wassermann. Il faut, par contre, renoncer
hauteur du névraxe.) La symptomatologie toxique est démontrée parla réaction fébrile passa- gère mais vive que suscite l'inj
ne manière rapide sans lésion des cellules qui les entou- rent,sans réaction même des tissus qui les recouvrent, absolument à
étaniques, en dehors de certains cas pathologiques. En sommé, les réactions normales produites par l'excitation des nerfs u
s peuvent être résumées de la. façon suivante : Sur les muscles les réactions galvaniques normales correspondent sen- sibleme
s constituant par leurs groupements des syndromes comme celui de la réaction de dégénéres- cence. L'étude de ces réactions d
omes comme celui de la réaction de dégénéres- cence. L'étude de ces réactions des nerfs et des muscles est très impor- tante
e au point de vue du diagnostic et du pronostic. à CONSERVATION DES RÉACTIONS NORMALES L'excitabilité électrique reste généra
ions ne sont pas encore assez accen- tuées pour donner lieu à de la réaction de dégénérescence; parfois, aussi, dans le cour
ue fait bientôt place aux altérations plus complexes constituant la réaction de dégénérescence. Dans des paralysies toxiques
a diminution simple de l'excitabilité, soit pages manifestations de réaction de dégénérescence. Dans la tétanie, l'augmentat
bilité galvanique des nerfs observées dans ces conditions le nom de réaction de compres- sion. On a étendu la compréhension
de réaction de compres- sion. On a étendu la compréhension de cette réaction aux divers cas où on observe de l'augmentation
d'ouverture et on l'a modifiée en lui donnant par erreur le nom de réaction de Ricli. Nous ne croyons pas que cette hyperex
ité galvanique des nerfs pour les excitations d'ou- verture dans la réaction de Geigel dépende de la compression même des ne
ore elle montre les modifications qualitatives qui caractérisent la réaction de dégénéres- cence ; parfois, cependant, la ré
actérisent la réaction de dégénéres- cence ; parfois, cependant, la réaction de dégénérescence, est peu appa- rente, et on c
ence, est peu appa- rente, et on constate surtout la diminution des réactions électriques, toit que les altérations qualitati
ites lentement et séparément, de sorte que les manifestations de la réaction de dégéné- rescence sont masquées par les réact
festations de la réaction de dégéné- rescence sont masquées par les réactions des libres nerveuses et muscu- laires encore pe
ut ne trouver à la période initiale que de la diminution simple des réactions électriques sur certains muscles, alors que d'a
ectriques sur certains muscles, alors que d'autres présentent de la réaction de dé- générescence. On en peut, conclure que l
tions on peut aussi ne plus trouver que de la Cllllllllll- tion des réactions électriques lorsque, par suite de l'évolution de
tées au-dessous, ou les excitations des muscles, donnent lieu à des réactions peu diminuées ou même sensi- blement normales.
N DE L'ESClTADlLITIt 1245 lisamment prononcées pour entraîner de la réaction de dégénérescence ; le pronostic est alors plus
euses peuvent aussi ne donner lieu qu'à de la diminution simple des réactions électriques;. en est ainsi dans certains cas de
ans d'autres cas les mêmes genres de paralysies s'ac- compagnent de réaction de dégénérescence ; leur pronostic est plus grave
ronostic est plus grave et se trouve conditionné par le degré de la réaction de dégénérescence, ainsi que nous le verrons pl
excitabilité électrique sur certains ter- ritoires nerveux et de la réaction de dégénérescence sur d'autres nerfs et muscles
de leur évolution, alors qu'elles ont présenté antérieurement de la réaction de dégénérescence, Cette lyho-ecit,hilitls peut
électrique est souvent très prononcée. ALTÉRATIONS COMPLEXES DES RÉACTIONS ÉLECTRIQUES CONSTITUANT LES SYNDROMES DE DÉGÉNÉ
nt pour le diagnostic et le pronostic, il celles qui constituent la réaction de dégénérescence ou, pour mieux dire, les syndro
ue clinique nous aurons à distinguer la manière dont se comporte la réaction de dégénérescence dans les processus aigus et d
nformerons à un usage généralement admis qui consiste à désigner la réaction de dégéné- rescence par les initiales des mots
crit RD et tantôt DU; nous adopterons cette dernière abréviation. Réaction de dégénérescence dans les PROCESSUS AIGrs. t L
c- tères essentiels se montrent bien apparents. Les altérations des réactions électriques qui la font reconnaître sont alors
;'1 peu diverses modifications qu'il est important de connaître. RÉACTIONS DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1247 La DR ne reste donc pas
occuperons dès maintenant de la période d'état. Les altérations des réactions électriques qui caractérisent alors la DR sont
d'années sous les dénominations de déplacement des points moteurs, réaction de dégénérescence à distance, ou modifications de
éronier, les jumeaux, etc. 2. On voit parfois, dans ces formes de réaction de dégénérescence, la contraction rester assez
se montrent lentes et que PFC devient égale ou supérieure à NFC. RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE. 12f de la cathode reste habi
forte que l'excitation de l'anode, NFC>PFC('). Cet état de la réaction longitudinale n'est pas seulement, comme on l'a
ion, qu'apparaissent les altérations qualitatives de l'excitabilité RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1251 galvanique des muscles
l'aire rentrer ces modifications des secousses d'ouverture dans la réaction que l'on a appelée par erreur réaction de Rich et
ecousses d'ouverture dans la réaction que l'on a appelée par erreur réaction de Rich et que l'on aurait dû appeler réaction
a appelée par erreur réaction de Rich et que l'on aurait dû appeler réaction de Richard ( : elle réaction diffère complètement
de Rich et que l'on aurait dû appeler réaction de Richard ( : elle réaction diffère complètement des modifications des seco
difications des secousses d'ouverture observées dans la DR. Dans la réaction de Richard Geigel, il existe bien de l'augmenta
, mais elle devient de plus en plus faible et elle finit par dispa- RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1255 raitre à son tour. Il e
e, l'excitabilité électrique est souvent altérée dans le sens de la réaction de la dégénérescence. Mais, par suite de la longu
pour ainsi dire fibres par libres; de là il résulte qu'au début les réactions des fibres musculaires altérées qui devraient m
rées qui devraient manifester de la DR se trouvent masquées par les réactions des fibres restées saines; ces conditions ne pe
isant la DU. Le plus souvent, cependant, lorsqu'on a à examiner les réactions électriques dans les affections à processus chr
DR, on peut constater l'existence de celle-ci sur un certain nombre RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC.
e d'état ; mais, sur d'autres, le processus étant moins avancé, les réactions électriques se trouvent encore suffisamment dév
poque la DR se montre souvent plus manifeste. SIGNIFICATION DE LA RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC
la DR donne encore des indications pré- cieuses. Dans un examen des réactions électriques, on peut trouver sur certains muscl
ningites, les tumeurs, les fractures et les luxations de la colonne RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE .AU POT ^W'Du'DIAGN0^C. 12o7
vrites alcooliques, tuberculeuses, grippales, ou encore des polyné- RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC.
atologie habituelle, étaient reconnaissables. SIGNIFICATION DE LA RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU PRONOSTIC
se produit que lentement après de nombreux mois, souvent plusieurs RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU PRONOSTIC. 1
sie de moyenne intensité, ou celle-ci à une paralysie plus grave. RÉACTION MYOTONIQUE f La réaction myotonique (My R) cons
ou celle-ci à une paralysie plus grave. RÉACTION MYOTONIQUE f La réaction myotonique (My R) constitue un autre syndrome éle
observations de maladie de Thomsen (myotonie congénitale), mais la réaction myotonique n'est bien connue que depuis 1885, épo
ief ses divers caractères. Les caractères les plus importants de la réaction myotonique sont fournis, comme dans la réaction
us importants de la réaction myotonique sont fournis, comme dans la réaction de dégénérescence, par les altérations de l'exc
inalement la réparation est plus rapide et souvent plus complète. RÉACTION MYOTONIQUE. 1265 sont pas constantes, mais, qua
s existent, elles constituent un caractère assez important de cette réaction . Dans la réaction myotonique les modifications
nstituent un caractère assez important de cette réaction. Dans la réaction myotonique les modifications de l'excitabilité él
muscles, il convient, pour prendre une idée plus complète de cette réaction , de passer en revue les modifications de l'excita
ovoquant dans l'état normal qu'un tétanos incomplet. Dans le cas de réaction myotonique, si l'on prolonge quelque temps l'exci
res rapprochées mais distinctes les unes des autres; dans le cas de réaction myotonique, on voit souvent ces courants produi
ure à celle de la cathode, rappelant ainsi ce qu'on observe dans la réaction de dégénérescence. Cette action prédominante de
, si les courants ont une intensité modérée. On a dit que dans la réaction myotonique les courants galvaniques RÉACTION tr
On a dit que dans la réaction myotonique les courants galvaniques RÉACTION troTOwnrt;. 9s provoquaient seulement des secou
ent d'ailleurs moins constantes que les autres manifestations de la réaction myotonique. Elles sont parfois difficiles à fai
tions de l'excitabilité électrique et mécanique des muscles dans la réaction myotonique paraissent avoir une origine 111y'01)a
on de simulation. Il convient de se rappeler, quand on recherche la réaction myotonique, que les troubles de l'excitabilité
fluence de la répétition des excitations, divers carac- tères de la réaction myotonique peuvent être atténués; quelques-uns
t d'une façon transitoire. Avec E. Remak on pourrait admettre comme réaction myotonique incomplète la tendance à l'apparitio
ions aussi bien à NF qu'à PF, avec de faibles courants galvaniques, réaction qui a été signalée par Eulenburg dans la paramy
s de paramyotonie, d'autres membres atteints de myotonie vraie avec réaction myotonique complète. Il ne faut pas considére
complète. Il ne faut pas considérer comme des manifestations de la réaction myotonique la persistance des contractions téta
r en général des contractions toniques lentes et persistantes de la réaction myotonique; en effet, dans ces cas, l'excitabilit
des muscles aux conditions de l'excitabilité normale. Bien que la réaction myotonique paraisse plus spécialement sous la d
des troubles de l'appareil musculaire décrits par Schllltzc sous le RÉACTION MYASTHÉNIQUE. 1267 nom de myokymie (mouvements
que des muscles, rappelant quel- ques-unes des manifestations de la réaction myotonique, ont été constatées, mais nombre de
ion myotonique, ont été constatées, mais nombre de caractères de la réaction myotonique faisaient défaut. A la réaction myot
mbre de caractères de la réaction myotonique faisaient défaut. A la réaction myotonique on pourrait opposer la réaction neurot
e faisaient défaut. A la réaction myotonique on pourrait opposer la réaction neurotonique, ainsi nommée par Marina et E. Rem
s de l'excitabilité électrique rappelant par quelques caractères la réaction myotonique; elles s'en distinguaient par le fai
u lieu de dépendre princi- palement de l'excitation des muscles. La réaction neurotonique reste encore assez peu définie par
de l'atrophie musculaire probablement d'ori- gine myélopathique.) RÉACTION MYASTHÉNIQUE Sous le nom de réaction myasthéniq
'ori- gine myélopathique.) RÉACTION MYASTHÉNIQUE Sous le nom de réaction myasthénique Jolly a signalé des troubles de l'
ion spinale. Les modifications de l'excitabilité électrique dans la réaction myastlié- nique consistent essentiellement en l
contractilité musculaire. ·1. Il ne faudrait pas prendre pour de la réaction myasthénique des troubles de l'excitabilité éle
reil cas d'uu épuisement de la contraction musculaire comme dans la réaction myasthé- nique, mais d'un affaiblissement de l'
et graduellement, mais elle ne disparaissait pas complètement. La réaction myasthénique se rencontre fréquemment dans les pa
paraissent pas tout à fait. Il convient de rappeler aussi que cette réaction n'est pas constante dans toutes les paralysies
où le syndrome d'Erb-Goldllcun était bien accusé. Par contre, la réaction d'épuisement a été rencontrée, plus ou moins pr
lésions de la rétine ou du nerf optique, des modifications dans les réactions com- munément observées. De tous ces faits il n
peu sensibles envers les courants électriques, et l'examen de leurs réactions ne présente guère d'intérêt. Nerf acoustique.
- Parmi les appareils senso- riels, l'appareil auditif présente des réactions assez importantes il connaître au point de vue
importantes il connaître au point de vue électro-diagnostique. Ces réactions sont en rapport les unes avec les fonctions d'a
ions d'audition, les autres avec les fonc- tions d'équilibration. Réactions auditives. Dans l'état normal le courant faradiqu
dans l'état normal, NERF ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE. 1275 des réactions auditives. Pour en obtenir il faut employer de fo
ent l'observer cependant et même voir P F prédominer sur N F. Les réactions auditives provoquées par les courants galvaniques
acoustique. Pour les rechercher, de même que pour rechercher les réactions provoquées par les courants faradiques, quand il
rédo- minent dans l'oreille opposée, phénomène que Brenner à appelé réaction paradoxale de l'acoustique et que Erb a expliqu
oreille sur laquelle se produisent les sensations auditives dans la réaction paradoxale réagit comme si l'électrode indiffér
re, NO. Ainsi, lorsqu'on recherche comme nous venons de le dire les réactions auditives, deux ordres de cas peuvent se présen
ordres de cas peuvent se présenter : ou il ne se mani- feste pas de réactions auditives, ou il s'en produit. Dans le premier
erf auditif n'est pas complètement dégénéré. Vertige voltaïque. Les réactions électriques de l'appareil auditif en rapport av
peut les rechercher avec la méthode polaire, comme précédemment les réactions auditives. Mais en pratique, au point de vue de
cteurs électrolytiques. mais elle en diffère cependant par suite de réactions produites par le passage du courant. . La rés
sium également à 1 pour 100. , RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES RÉACTIONS ÉLECTRIQUES - . DE L'APPAREIL AUDITIF - ' 127
dans la pratique de l'électrodiagnostic, quand on doit explorer les réactions des nerfs et des muscles, il vaut mieux commenc
ue. ? 4' Auparavant il est important de pratiquer l'exploration des réactions des nerfs et des muscles, qui renseignera, comm
ncés aussi parfois, plus effacés d'autres fois. Les altérations des réactions électriques sont souvent moins accentuées dans
ivisées en deux grands groupes, les paralysies' dans lesquelles les réactions électriques sont bien conservées ou sont altéré
le persiste souvent une diminution simple plus ou moins accusée des réactions faradiques et galvaniques. Le même traitement
nerfs, ce sont des névral- gies sine rnale1'ÙI. dans lesquelles les réactions du nerf et des muscles ne présentent habituelle
é a agir moins sur les mus- des eux-mêmes, dont la puissance et les réactions électriques sont en général bien conservées pen
d'autres modes d'électrisation. Dans les paralysies hystériques les réactions électriques sont, comme nous l'avons vu, généra
les des mains, 698. Griffe, 699, 1059. Contractions fibrillaires. Réactions élec- triques, 700. Réflexes, 701. Atro- phie
i-mutité, 195, 196. Auditif (Appareil). Résultats de l'examen des réactions électriques, lu)77. Voy. Nerf. Audition color
. Voy. Stig- mates. - Dégénérescence (Altérations complexes des réactions électriques constituant les syndromes de -) 1 ?
t les syndromes de -) 1 ? r·G. Voy. Réac- tion de dégénérescence, Réactions élec- triques. Déglutition, troubles, 983.
ique et galvanique dans les états patho- logiques. Conservation des réactions nor- males, 1` ? l0. - Altérations simplement
e, 1243. - Altérations complexes des 158Í INDEX ALPHABETIQUE. réactions électriques, réactions de dégé- nérescence, 124
s complexes des 158Í INDEX ALPHABETIQUE. réactions électriques, réactions de dégé- nérescence, 1246, 1247. Réaction myo
réactions électriques, réactions de dégé- nérescence, 1246, 1247. Réaction myotonique, z Réaction myas- Ihénique, 1267.
réactions de dégé- nérescence, 1246, 1247. Réaction myotonique, z Réaction myas- Ihénique, 1267. Exploration des nerfs s
ilité, 505. radiothérapie, 1188. (Lésions de 1' -). Absence de la réaction de dégénérescence, '12fi6. Enfant. Valeur séméi
herche des corps étrangers par les rayons X, 1166. (Lésions de la réaction de dégéné- rescence, lu)56. - Maladies, Traite-
59. Müller (Liquide de -). Vo. Fixation. Muscles (Lésions des -), réaction de dégénérescence, 1259. - physiologie. Séméi
o-spinale, 814. .SïHp- TOMES bulbaires, symptômes spinaux, 815. - Réaction myasthénique. Diagnostic, 816. ' . Myasthénie
ie périodique, 814. Vertige paralysant, 814. Myasthénique. S'ciy. Réaction myasthé- nique... Mydriase, ses causes. Affec
culaire, 758. - particularités cli- niques, 742. Myotonique. Voy. Réaction myotonique. Myrtiforme. Innervation, physiologi
titielle, vertiges, 171. Nerf acoustique, exploration électrique, réactions auditives, 1272. - auditif, origine, trajet et
ygiens, névralgies, 595. - crâniens, paralysies, 625. -, lésions, réaction de dégénérescence, z)56. - de la sensibilité gé
laires et les apophyses épi- neuses, 608. - sensitifs de la peau, réactions électriques, 1269. - senso- riels, exploration
06. - Radio- diagnostic des troubles trophiques os- seux, 1175. - Réaction de dégéné- rescence, 1258. - Radiothérapie, 118
Autre mouvement associé, 480. - Caractères, 023. Pronostic de la réaction de dégénéres- cence, 1262. - Traitement électri
chroniqlle.- aiguë, 805. Poliomyélite, 505. - antérieure aiguë, réaction de dégénérescence, 1257. - Pronostic, 1261. - T
raitement par . l'électricité, 129G. - antérieure cIl1'o- nique , réaction de dégénérescence, 1257 '. - Polydactylie, 1015
ites, 505. - Atrophies secon- daires, 721. - Pseudo-tabes, 7G2. - Réaction de dégénérescence, 1258. z Pronostic, 1261. - T
dans les tumeurs de la z, 125. - Lésions, hémianeslhésie, 514. - Réaction de dégénérescence, 1256. Pseudo-appendicite h
ses, 544. Lésions. Formes cliniques. Valeur séméiologique, 545. - Réaction de dégénérescence au point de vue du pronostic,
nomènes oculaires, 75, 472. Raynaud. Voy. Gangrène symétrique. Réaction de dégénérescence, J ' : 14G. - Dans les proces
ves, 1247. - Déplacement des points moteurs, 1248. - Formes de la réaction par- tielle, 1249. - Période initiale de la I
9. (le Wassermann, l 113, 1152. myasthénique, caractères, 1207. Réaction ntlloloniqrtc, caractères, 1262. - Excitabilité
caractères, 1262. - Excitabilité des nerfs, des muscles, 1265. - Réaction incomplète, 1266. - neurotonique, 1267. , Réa
les, 1265. - Réaction incomplète, 1266. - neurotonique, 1267. , Réactions électriques. Conservation des réactions normale
- neurotonique, 1267. , Réactions électriques. Conservation des réactions normales, 1240. - Augmen- tation simple de l'ex
de convergence, 94. - Ralentissement des mouvements pupillaires, réaction mus- culaire myotonique, réflexe paradoxal, 05.
ypertrophie musculaire, 758. - particularités cli- niques, 742. - Réaction lI1)'otoniqlH', 1265. Thorax. Aplatissement c
ptosées, 994. - paroxystique avec ver- tige, 994. W Wassermann ( Réaction de ), llla, 1152. Weber (Syndrome de), ptosis
3 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
s égal à 0 de deux côtés. Il n'y a pas trace de stase papillaire. Réaction à la lumière presque abolie. Réaction à l'accom
trace de stase papillaire. Réaction à la lumière presque abolie. Réaction à l'accommodation normale. Pas de réaction émia
umière presque abolie. Réaction à l'accommodation normale. Pas de réaction émianopsique. Léger degré de strabisme divergen
es comme les incisives. Examen électrique (Professeur Mattirolo). - Réaction normale galvano- faradique sur les nerfs et les
pouls et enfin l'existence de la thermo-réaction de Cushing. Cette réaction a été principalement étudiée par Cushing du côté
avons relaté dans son histoire cli- nique, nous avons assisté à une réaction thermique particulièrement vio- lente : après d
ysio- logie du phénomène en question. Par syncynésie on entend la réaction motrice de certains muscles qui se manifeste au
la même explication aux cas de paralysie faciale périphérique avec réaction contro-latérale. M. Oppenheim, au contraire, cr
sain, ce qui nous parait d'autant plus probable étant donné que la réaction électrique contro-latérale a été trouvée dans des
aire n'est probablement jamais intéressé. BIBLIOGRAPHIE BERGONiÉ. Réactions anormales elc. Réunion biologique de Bordeaux, 1,
des yeux.* Les pupilles sont également étroites des deux côtés ; la réaction à la lumière v est bonne. Pas d'altérations in
t vacuolaire; nous ajouterions qu'il paraît exister une très légère réaction névroglique, si l'on ne savait que cette augmenta
sa- bre, etc... etc., que nous ne retrouvons pas chez ce malade. La réaction de Wassermann que M. le Docteur Nicolle a eu l'
cas de typhus pellagrique (24) nous force d'apercevoir une certaine réaction d'organisme sur une intoxication circulante réa
une certaine réaction d'organisme sur une intoxication circulante réaction dans une forme âprement exprimée par une accumula
d'attention, de ju- gement concernant les choses en général, ni de réactions causées par les émo- tions ; mais la malade se
le travail- lui-même qui était ;la cause de la psychose; c'était la réaction du sujet à son égard, provenant de son état men
ales dues il l'accident lui-même. La seconde scène du drame est une réaction contre l'absence réelle de signes physiques pou
années, des rhumes tous les hivers. Ce jeune homme n'avait pas de réactions affectives morbides. Il n'était pas suggestible
29 Fig. 32 14G BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX La réaction de Wassermann est négative. Ce cas d'instabilit
ables pratiquées sur des animaux d'ordre su- périeur ont produit un( réaction positive. Et surtout la clinique nous dit liés
droit de la femme qui cor- respond à la figure 10, dans lesquels la réaction électrique présente des signes de dégénération
fré- quente, comme je l'ai dit plus haut. Toutes les modalités de réaction électrique se trouvent dans la névrite lépreuse
ts lésionnés ou qui leur sont contigus. Nous avons déjà vu que la réaction par les courants d'induction se con- serve dans
rophies, dans la syringomyélie et dans certains cas d'atrophie avec réaction de dégénération partielle. Mais c'est préciséme
nts, car on s'exposerait à produire des eschares. Il n'y a pas de réaction faradique pour les muscles de la région anté- r
ltaïques, comme je lésai indiquées plus haut, sont très faibles. La réaction est plus apparente dans les muscles du mollet, qu
e que la nor- male. Et pour les péroniens, il existe une très bonne réaction , tant s'ils sont excités directement que s'ils
ans cette maladie, la mortification de ces organes et réveillent la réaction phlegmoneuse qui produit le ramollissement de t
s cependant altérée de plusieurs façons. Fréquence des crampes. « Réaction de dégénérescence dans les muscles en voie d'atro
es âgés l'un de 5 ans, l'autre de 7 ans. Chez nos deux malades, les réactions électriques des muscles atrophiés sont très alt
ches par l'amyotrophie : soit abolition de toute excitabilité, soit réaction de dégénérescence, soit diminution pure et simp
les et sous-corticales, a eu maintes fois l'occasion d'observer des réactions dégé- nératives très nettes au niveau du noyau
lus ou moins globale la substance même de ce noyau. En général, ces réactions secondaires étaient d'autant plus intenses que
lieu d'une lésion aussi vaste que celle-ci le point d'origine de la réaction dégénérative observée au niveau du noyau rouge.
beaucoup moins accusée au niveau des circonvolutions frontales. La réaction du noyau rouge dans ces diver- ses observations
très nelle du champ péri-capsulaire latéral. Pour Mingazinni, cette réaction atrophique du noyau rouge doit être attribuée plu
utions centrales et l'opercule rolandique, on observa également une réaction très manifesie au niveau du noyau rouge mais à to
du noyau rouge une atrophie et une dégénérescence très accusées. La réaction secondaire atteint le noyau rouge en suivant le
que ces régions se trouvent atteintes par les lésions frontales, la réaction que l'on observe au niveau du noyau rouge est d
res postérieure et postéro-médianë. Nous pouvons affirmer que cette réaction dégénérative du noyau rouge résulte du ramollis
sait le lohulefusiforme et la circonvolution de l'hippocampe. Celle réaction dégénérative était d'autant plus intense que ce
es localisations il n'en est que trois qui se caractérisent par une réaction nette au niveau du noyau rouge ; ce sont les lési
rmation atrophique assez accentuée de ce noyau. Nous croyons que la réaction dégénérative que présente le noyau rouge à cet
iellement de la lésion temporo-occipitale. Pour ce qui en est de la réaction déterminée par la lésion centrale siégeant dans l
u corps du ventricule latéral ainsi que du troisième ventricule. La réaction observée au niveau du noyau rouge n'intéresse que
nterne et de la capsule externe. Au niveau de la couche optique, la réaction dégénérative semble plus accen- tuée qu'auparav
ne lésion relativement récente, ce ramollissement a n déterminé une réaction dégénérative assez nette au niveau de la moitié p
ord avec von Monakow pour reconnaître qu'elles ne produisent aucune réaction appréciable au niveau du noyau 218 LA SALLE ARC
tale et de la première circonvolution limbique, et, dans ce cas, la réaction dégénérative au niveau du noyau rouge est des plu
faite de la pariétale ascen- dante), ce noyau ne présentait aucune réaction dégénérative manifeste. Lorsqu'il s'agit de déc
en du noyau rouge, que la zone grise neutro-tatérate participe à la réaction dégénérative, mais à un degré beaucoup moindre
de la dégénérescence secondaire du noyau rouge, nous dirons que la réaction dégénérative observée au niveau de ce LES CONNE
roïdie semble ici au tout premier plan. , Mais en dehors de cette réaction thyroïdienne il n'y a pas de signes d'altératio
de l'hyperalbuminose du liquide céphalo-rachidien pour affirmer une réaction endocranienne et par suite en raison de la symp
aIIlJ1l des fonctions de pilosité par dy"séc.é/ion endocri- nienne. Réaction hypophysnire avec hyperaibuminose racltidienne. S
hypoexcitabilité galvanique s'accentue ; on constate une ébauche de réaction lente sur ces muscles ainsi que sur ceux de l'émi
cles inversés par les cinq racines motrices du plexus brachial. Les réactions électriques confirment le fait. L'existence d'une
ifs, car toutes les impres- sions sensorielles s'accompagnent d'une réaction motrice et d'une image cénesthésique, qui peut
énomène hystérique peut être considéré, à cepnint de vue, comme une réaction d'adaptation, une réaction de défense (Claparèd
e considéré, à cepnint de vue, comme une réaction d'adaptation, une réaction de défense (Claparède) (1 ) vis à-vis des émoti
n sur la coïnci- dence dans les cas d'hystérie traumatique entre la réaction myasthénique et la présence de troubles vaso-mo
eux à l'appui de l'hypothèse que j'ai avancée dans l'étude de celle réaction , à savoir que chez beaucoup de sujets et en parti
de cette idée, que toute impres- sion cénesthésique se joint à une réaction vaso-motrice plus ou moins vive. L'on comprend
tion ordonnée n'est pas obtenue. Yeux. Les pupilles sont égales, la réaction à la lumière est bonne. Tous les mouvements des
ées. ' La sensibilité (superficielle et profonde) est intacte. La réaction des muscles au courant électrique est partout nor
ne posi- tion de flexion très prononcée. Ensuite, après un temps de réaction plus . xxvii 19 , VAN WOERKOM ou moins long
me suit toujours de son regard. Les pupilles sont étroites, pas de réaction à la lumière. Les muscles des extrémités et du
Huit jours après son admission à l'hôpital, le malade succombe. La réaction de Wassermann (sang, liquide cérébro-spinal) est
mazellen. A cette place les cellules névrogliques sont également en réaction : les noyaux sont plus grands et plus clairs, les
triceps, les muscles de l'avant-bras. Sur ces derniers muscles, les réactions sont plus nettes du côté droit que du côté gauc
lité sans DR. Sur le biceps, le long supina- teur, le deltoïde, les réactions galvaniques sont nulles ou extrêmement faibles.
galvaniques sont nulles ou extrêmement faibles. A l'avant-bras les réactions sont nettes à droite, faibles à gauche, avec tend
droite, faibles à gauche, avec tendance à l'inversion. On trouve la réaction de dégénérescence complète sur les émi- nences
oup les noyaux remplis de glycogène des cellules hépatiques ; or la réaction de glycogène a donné un résultat négatif. La na
lus rapide 8 centimètres cubes d'un liquide un peu jaunâtre. Pas de réaction au gaïac Pas de pigments biliaires. Après centr
'albumine, ni sucre, ni pigments biliaires. Urée : 30,7 0/00. Iode, réaction intense. Cristaux d'urates. Urobiline en très gra
due dans les 24 heures, 730 grammes. Couleur jaune clair, trouble ; réaction faiblement acide. Densité 1010 ; Urée 7.77 0/00 ;
dissoute = 0. Indol en grande quantité. Scatol en petite quantité. Réaction de l'iode négative. Histologie -du culot de cen
s, des paralysies des muscles moteurs de l'oeil, le nys- tagmus, la réaction hémiopique de Wernicke. L'incontinence vésicale
e présente un strabisme interne ; les pupilles sont égales, mais la réaction . la lumière est moins prompte du côté droit. L'ex
t douloureuses au toucher, mais hypoes- thésiques à la piqûre. La réaction de Wassermann s'est montrée négative à l'épreuve
polynucléose, etc.) ; d) Si la teneur en albumine était augmentée ( réaction de Nonne). Le résultat 1«(il tout à fait négati
es (ni lymphocytose, ni polynucléose, ni polycytose)'et en outre la réaction de Nonne fut toujours négative. Cependant, Hedl
nomène de Babinski. Intelli- gence peu développée, pupilles égales, réactions pupillaires normales, pas de limitation du cham
du champ visuel, pas de troubles de l'ouïe, de l'odorat ou du goût. Réaction de Wassermann négative dans le sang et dans le li
ermann négative dans le sang et dans le liquide céphalo-rachidien ; réaction de Nonne aussi négative, aucun changement des é
us les symptômes en foyer font totalement défaut, pas de papillite; réactions de Wassermann et de Nonne négatives. Dans l'ana
ctère par les phénomènes accessoires qui l'accom- pagnent et par la réaction de Wassermann. Parmi les affections cérébrales
it être aussi une conséquence de l'acidose ou, plus exactement, une réaction de l'orga- nisme tendant a neutraliser l'excès
toxines. L'attaque épileptique est donc vraiment une décharge, une réaction utile de l'organisme contre l'intoxication. Que
rien à leur valeur comme mécanisme d'expulsion de toxines et comme réaction utile. En effet, les malades regardent aussi le
toutes les formes d'épilepsie, il faut regarder l'attaque comme une réaction de l'organisme pour se débarrasser des toxines. L
; la suggestibilité; le rythme el la pé ? -iodicilé ; les promptes réactions et la tendance aux toxiques; ['hérédité anaphyl
ques; ['hérédité anaphylactique pour les-to : 1. : Ï- (¡ ! les; les réactions vaso-motrices et sécrétoires faciles ; la débilit
c.), apporte son appoint à la personnalité du dé- bile nerveux. * Réactions vaso-motl'ices. Vagotonie et sympathico4onie. On
ou de l'appareil endocrinique indique le ter- rain approprié à ces réactions , terrain qui n'est autre que la débilité nerveu
econnaissons en eux un état névropathique constitutionnel, avec des réactions neurasthéniques et hystéroïdes faciles, mais ce q
u jeu abdominal. En quoi consiste cette désharmonie ? Le maximum de réaction avec le minimum d'excitation. N'importe quelle
yxoïdiens, parce qu'ils sont aussi des psycho-névrotiques. Outre la réaction catarrhale des muqueuses aux circonstances élio
sa qualité de-sys- tème de défense de l'organisme. Eh ! bien, cette réaction facile se rencontre d'autant plus accentuée que
e plus, les notions que j'ai résumées dans un autre travail sur les réactions cliniques élé- mentaires du système nerveux gén
nctionnels qu'on observe fréquemment dans la débilité nerveuse. Ces réactions s'appellent : Réactions neurasthéniques. Réac
réquemment dans la débilité nerveuse. Ces réactions s'appellent : Réactions neurasthéniques. Réactions hystériques et hysté
erveuse. Ces réactions s'appellent : Réactions neurasthéniques. Réactions hystériques et hystéroïdes. Réactions convulsiv
Réactions neurasthéniques. Réactions hystériques et hystéroïdes. Réactions convulsives et motrices diverses. Voilà, comme
lle, si elle frappe le système nerveux total, par ordre la première réaction sera la neurasthé- nie. La cellule nerveuso int
thèse en question. Selon ma manière de voir, la neurasthénie est la réaction pathologique la plus élémentaire du système ner
comme les infections, l'alcoolisme, le tabagisme, etc., produit des réactions de défi- cit du côté de sa mentalité, et on obs
unité psychique ; celle de l'épileptique accueille le toxique, elsa réaction explosive, avec perle de connaissance, indique la
ique. Celle objection ne détruit pas la règle, car je parle ici des réactions générales et non des troubles d'origine locale.
cation populaire s'améliore. Aujourd'hui ce qui domine, ce sonl les réactions hysléroïdes, qui se confondent avec le nervosisme
ile, émotivité exagérée ; suggestibilité, rythme ou pé- riodicité ; réactions vaso-motrices et sécrétoires faciles; tendance au
4 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
jusque dans le tissu cellulaire sous- cutané, ne provoque aucune réaction , tandis qu'à gauche les pincements, et les piqûre
. 26 - CLINIQUE NERVEUSE. montrèrent de la mydriase, l'absence de réaction de la pupille à la lumière et à la corvergence,
nt la mort, on ne constate ni l'odeur acétonique de l'haleine ni la réaction caractéris- tique dans l'urine. Dans l'autre, a
, au contraire,.l'urine traitée par le perchlorure de fer donne. la réaction rouge-bourgogne TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈT
58 REVUE CRITIQUE. est précédé par une période d'excitation et de réaction avec élévation de la température qui n'existe j
oit présenter, pendant un temps plus ou moins long, l'odeur et la réaction spéciales de l'urine, et cela, à diverses reprise
té cellulaire est épuisée, que les tissus mal nourris n'ont plus de réaction , que le système nerveux affaibli est sans défen
L'absence de l'odeur chloroformique de l'haleine; L'absence de la réaction acétonémique dans l'urine. Le type est ainsi co
r expiré, carac- tère négatif qui a pour corollaire l'absence de la réaction de l'urine par le perchlorure de fer ou les aut
es accidents de collapsus. Par cette seule raison que l'odeur et la réaction de l'acétone font défaut, ces observations de c
ée, pour nous, par quatre ordres principaux de phénomènes : 1° La réaction spéciale de l'urine et l'odeur de l'haleine ; 2
dans les cas incomplets; mais l'odeur aigrelette de l'haleine ou la réaction de l'urine doivent de toute nécessité exister p
proquement, chaque fois que ces deux phénomènes existent, que la réaction symptomatique soit complète ou incomplète, le m
ison- ner autrement pour l'acétonémie. 1° ° Odeur de l'haleine et réaction de Tureiae. L'odeur de l'haleine a été comparée
n des deux procédés suivants : Le premier et le plus usité est la réaction que fournit le perchlorure de fer. Dans une uri
rend que, suivant la quantité d'acétone con- tenue dans l'urine, la réaction sera plus ou moins nette, et la teinte obtenue
autant qu'ils coexistent avec l'odeur éthérée de l'haleine ou de la réaction urinaire, car la dyspepsie n'est pas rare chez
facilement, pendant le coma, au-dessous de 36°. Outre cette légère réaction fébrile, les symptômes de la première période s
re l'odeur de l'haleine, nous pûmes constater à différentes fois la réaction de l'acétone dans les urines. 2° Acétonémie c
ndant tout ce temps, donne, en général, d'une manière régulière, la réaction rouge bourgogne par le perchlorure de fer; ce n
les plus ou moins éloignés, l'odeur aigrelette de l'haleine et la réaction acétonique de l'urine, en même temps que se mani-
issipent, TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 73 la réaction et l'odeur acétonique disparaissent, et le malade
s, des tentatives d'acétonémie, avec odeur spéciale de l'haleine et réaction acétonique de l'urine. Ces accès passagers coïn
pidement disparaître les troubles fonctionnels en même temps que la réaction acétonurique. En août 188a, à la suite de fatig
tée plus haut. Mais nous n'avons pas recherché chez cette malade la réaction acétonurique. Ce qui est certain, c'est que ces
ormications pas- sagères, évolution apyrétique, absence d'atrophie; réaction normale des muscles et des nerfs à l'égard du c
contractilité électrique n'est modifiée que quantitativement, sans réaction de dégénérescence. Les réflexes tendineux ne di
tion de certains autres, l'absence de contractions fibrillaires, de réaction de dégénérescence, la conservation des réflexes
ion de l'excitabilité électrique des mains et des pieds : jamais de réaction dégénérative; fonctionnement normal de la vessi
e, les locaux d'habitation n'ayant pas encore décelé d'ozone, 3° La réaction du papier d'épreuve qui ne dépasse pas le n° 10
ue, fournit généralement les résultats les plus favorables : 3o les réactions entre les n', 9 et 4, produisent des troubles d
'atrophie musculaire dégénératrice à proprement par- ler, jamais de réaction dégénérative ; quelquefois l'extrémité parétiqu
presque cer- tain, si l'on cherche et que l'on trouve d'un côté la réaction pupillaire, qui a été récemment indiquée par We
e spinale n'est jamais - appelée à l'activité, parce que toutes les réactions qui sont du « ressort de la moelle s'accompliss
où résulte le caractère intentionnel et réellement volontaire - des réactions . La conduite estregléeparlescirconstancespassées,
1883, de Jaksch annonçait qu'il avait souvent trouvé la diacéturie ( réaction de l'urine au perchlorure de fer, et présence d
echercher dans l'urine des aliénés l'acétone et le corps donnant la réaction au perchlorure de fer. M. Loehr a dans ce but i
réaction au perchlorure de fer. M. Loehr a dans ce but interrogé la réaction de Gerhardt au perchlorure de fer, celle de Lie
par l'acide* acétique). Il a, à plusieurs reprises, interrogé ces réactions tant dans l'urine que dans son produit de distill
linique variait. La conclusion est que, à l'exception d'un cas, ces réactions ne se montrent que chez des malades en état d'a
ingéré; chez elles, l'urine donnait simultanément très nettement la réaction Légal; chez elles, dès le premier jour de 278 S
AVANTES. l'abstinence absolue on vit concurremment apparaître et la réaction au perchlorure de fer et la réaction Légal. Che
concurremment apparaître et la réaction au perchlorure de fer et la réaction Légal. Chez les six autres, aucune réaction au
erchlorure de fer et la réaction Légal. Chez les six autres, aucune réaction au perchlorure de fer; la durée du refus absolu
du refus absolu d'aliments atteignit ici jusqu'à quatre jours; ;la réaction Légal dans l'urine se montra trois fois le prem
ec l'urine additionnée d'acide sulfurique) pré- senta nettement les réactions Lieben et Légal, dans tous les cas de refus con
iouri-iture, et cela dès le premier jour de con- tinence. Les mêmes réactions dans le produit de la distillation de l'urine s
ne époque où tous les repas subissaient le même sort, deux fois les réactions en question, tandis qu'à d'autres périodes, bie
s, l'urine réagissait au perchlorure de fer, et présentait aussi la réaction Légal; dans l'autre, elle ne fournit que la réact
ntait aussi la réaction Légal; dans l'autre, elle ne fournit que la réaction Légal. Dans le premier cas, l'urine exhalait au
observations ne nous ont pas permis d'établir avec certitude si les réactions de l'acétone fournies par l'urine, qui se montren
cas, le produit de la distillation de l'urine montra nettement les réactions Lieben et Légal quand l'abs- tinence fut suppri
e densité de 40311. : absence de sucre et d'albumine, absence de la réaction au per- chlorure de fer, absence de la réaction
mine, absence de la réaction au per- chlorure de fer, absence de la réaction Légal, mais le produit de la distillation décèl
de la réaction Légal, mais le produit de la distillation décèle les réactions Légal et Lieben. Ce jour-là, la patiente avait
l existait de la constipation. Avant cela, on n'avait obtenu aucune réaction , en dépit de plusieurs examens, même dans le pr
it de plusieurs examens, même dans le produit de distillation ; ces réactions manquèrent encore les'jours suivants ainsi que
étention qui n'avait jamais été poussée aussi loin' que suprci, les réactions en question firent constamment défaut. Eliminon
odeur de pommes du diabétique. Seifert vint alors qui trouva que la réaction au perchlorure de ' fer se montre chez les mala
Gesellschdft. su. Wi< ? 6u;'jy, 1882). Hoppe-Seyler trouva cette réaction dans l'urine d'un malade intoxiqué par l'acide
n même temps, le produit de distillation de son urine présentait la réaction l,iel)en (Zeilschi-. f. klin. Aled. VI, 5). Tuc
rine, du moins le produit de la distillation de l'urine fournit les réactions de l'acé- tone, au bout de vingt-quatre heures,
itiophobes, la co- loration au perchlorure de fer s'accompagne delà réaction Légal dans l'urine; d'autre part, l'une peut pe
ais le produit de la distillation offre, dans les deux cas, la même réaction . Ou bien, pour nous servir des termes de Jaksch
latine, M. Loehr a trouvé, à la phase de fièvre éle- vée, une forte réaction au perchlorure de fer en même temps que la réac
vée, une forte réaction au perchlorure de fer en même temps que la réaction Légal, plus tard le produit de la distillation de
plus tard le produit de la distillation de l'urine seul donnait les réactions Lésât et Lieben. Il doit donc y,avoir divers co
s en apparence les mêmes. Si l'on suppose que le corps qui donne la réaction au perchlorure de fer fournit, par une plus amp
de l'eau, soit avec de l'acide sulfurique dilué, z ne fournit ni la réaction Lieben, ni la réaction Légal. Le même essai sur
l'acide sulfurique dilué, z ne fournit ni la réaction Lieben, ni la réaction Légal. Le même essai sur les vomissements de l'
0 de l'ensemble de l'acide sulfurique. A raison de la similitude de réaction et de structure de la créatinine (Nobel, acéton
t de la distillation effectué qui toujours fournit positivement les réactions Lieben et Légal, alors que jamais il ne s'y mon
les réactions Lieben et Légal, alors que jamais il ne s'y montre la réaction rouge-brun au per.. chlorure de fer. Mais, pour
itié. En cette espèce, M. Loelir n'ajamais pu produire nettement la réaction iodoformique, même quand I s'était formé une tr
la réaction iodoformique, même quand I s'était formé une très belle réaction Légal, et quand la réac- tion au perchlorure de
d la réac- tion au perchlorure de fer faisait défaut, tandis que la réaction iodoformique se montre aussi bien que la réacti
ut, tandis que la réaction iodoformique se montre aussi bien que la réaction Légal quand on ajoute a l'urine normale de l'ac
a l'urine normale de l'acétone. Les corps qui donnent ces diverses réactions dans l'urine doivent donc être les éléments gén
c être les éléments générateurs de l'acétone. Le corps qui donne la réaction au per- chlorure de fer n'est pas, en tous cas,
femme que nous avons rapprochée de l'observation de Siemens, cette réaction se rencontra pendant la dernière pé- )iode sans
ion se rencontra pendant la dernière pé- )iode sans qu'on obtint la réaction plus sensible de Légal, et la réaction au perch
)iode sans qu'on obtint la réaction plus sensible de Légal, et la réaction au perchlorure de fer, si forte qu'elle fût souve
lation, soit en agissant directement sur sa substance, provoque une réaction de l'organe, qui se révèle par le trouble des f
gard des excitants physiologiques qui déchaînent toujours les mêmes réactions indiquées. Chaque exci- tant détermine dans la
sensibilité à la plante des pieds sous l'influence de la pression : réaction normale des pupilles. Le troisième tabétique ma
de la forme la plus légère, c'est-à-dire dépourvue d'atrophie et de réaction dégénérative des muscles paralysés. Ce qui prou
La peau conduit très peu Je courant élec- trique ; contractions et réactions normales des muscles et des nerfs à l'égard des
muscles et des nerfs à l'égard des deux espèces de courant; pas de réaction dé- générative. L'emploi du courant faradique d
t provoque une atrophie du système musculaire avec altération de la réaction électrique. L'issue favorable montre qu'on avai
ctionnelle. Il est à croire que la grossesse s'est traduite par une réaction sur le système ner- veux semblable à celle des
d'excitation d'ordre moteur, d'autre part par la persistance de la réaction réflexe à l'égard des nerfs sensoriels élevés e
deux mains et des muscles de la langue. inulle part il n'existe de réaction dégénérative,mais il faut employer de très forts
onction tout à fait contraire à l'attente et souvent cette fausse réaction reste persévérante. Il arrive bien quelquefois,
xième ordre ouverte, l'in- fluence extérieure aura d'autant plus de réaction qu'elle a moins d'étendue dans la substance cor
erveux centripète est déjà un peu plus grande, et par conséquent la réaction en est plus faible et naturellement plus étendu
parois d'une cavité contenant un liquide séro-citrin, sans odeur, à réaction acide. Le néoplasme offre un aspect lobulé. il
XVI. Sur LE rapport qui existe entre les phénomènes tendineux ET la réaction dégénérative ; par E. REll.IE (Arch. f. Psych.,
n nerf mixte entraî- nera la perte des phénomènes tendineux, que la réaction dégéné- 424 REVUE DE pathologie NERVEUSE. rat
doivent absolument manquer, même quand il ne se développera pas de réaction dégé- nérative partielle. Passant ensuite à ses
électrique; dans les altérations névritiques des nerfs mixtes avec réaction dégénérative consécutive des muscles,- même lorsq
nt toutes les fois que les muscles où on les provoque présentent la réaction dégénérative et même alors que la réaction dégé
s provoque présentent la réaction dégénérative et même alors que la réaction dégénérative a rétrocédé; peut- être faut-il ch
culier du phénomène du pied, ne peut se produire de concert avec la réaction dégénérative du système musculaire correspondant
La persis- tance des phénomènes tendineux, malgré l'existence d'une réaction dégé- iiérative partielle très nette du système
absence survit, dans le cas de retour à la normale, longtemps à la réaction dégénérative galvano- musculaire ; b, dans la n
absolue, et peut-être aussi dans la para- lysie centrale, mais sans réaction dégénérative subsidiaire. P. K. XXVII. Sur la v
acte très complexe, et qui comprend une action sur les sens et une réaction du cerveau. C'est le processus par lequel l'esp
par Jelm, 106. Raisonnement (psychologie du), par Binet, 447. Réaction de dégénérescence et phé- nomènes tendineux-, p
5 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
étendant successive- ment au thorax et aux membres supérieurs, avec réaction de dégénérescence et stigmates de dégénérescenc
reconnaître ceux de sa femme. Inégalité pupillaire, diminution de réaction des pupilles à la lumière, très légère faiblesse
ent d'une diminution de l'excitabilité faradique et galvanique sans réaction dégénérative. A la paralysie prennent part les
iculaire. Piltz prétend que les deux procédés déterminent les mêmes réactions des pupilles chez les malades à pupilles inerte
but de déterminer comment les choses se passent. Il a recherché la réaction des pupilles à la fermeture de l'orbiculaire et
ières simple, parce qu'il est plus facile à contrôler. Quant à la réaction des pupilles de Westphal et Piltz, elle cons- t
, elle cons- titue à la fois un phénomène prodromique, alors que la réaction à la lumière est encore bonne, à la fois un phé
iculaire donne à l'iris une activité exagérée, se traduisant par la réaction indiquée des pupilles. P. KERAVAL. 64 -il REVUE
ne psychopathie. Les actes d'un aliéné ne résultent pas toujours de réactions instinctives, d'émotions, d'idées associées, su
curable. Nous insistons surtout sur les faits suivants : - 1° La réaction méningée que l'on refuse à la névrite (avec rachi
iminuée chez d'autres, alors que d'autres encore présentent même la réaction de dégé- nérescence. M. BABINSKY montre que c
téréognostique. La percussion des tendons palmaires ne donne pas de réaction , pas plus que la percussion des bords radial et
s palmaires et des bords radial et cubi- tal ne donne lieu à aucune réaction . La percussion du nerf cubital dans la gouttièr
réaction. La percussion du nerf cubital dans la gouttière donne la réaction normale. Le malade est soumis aussitôt à une sé
porter sa boite de ce côté du corps. Pas de troubles de la vue. Les réactions pupillaires sont normales. Pas de troubles de l
à la percussion est normale des deux côtés. Il en est de même de la réaction sensitive et motrice du nerf cubital percuté au
on des muscles Fig. 15. 106 CLINIQUE NERVEUSE. donne lieu à des réactions normales. La percussion des tendons palmaires e
s palmaires et des bords radial et cubital ne donne lieu à aucune réaction . Le champ visuel est normal. Le même jour, no
telle qu'elle est acceptée par Sides, par exemple, c'est que toute réaction nerveuse est con- ditionnée par la formation et
l'oesophage et du pylore. Il coule d'abord un mucus assez épais, à réaction alcaline, puis après une ou deux excitations de
Pans, le 7 mars 1897. CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude des réactions de la peau chez les aliénés l ; Par le Il E.
on eu moins- son degré excessif, c'est-à-dire de l'absence de toute réaction de la peau. Relevons tout d'abord que si l'hyst
utement à la sénilité. Ainsi donc chez les vieillards en enfance la réaction de la peau est rarement normale et l'altération
tion qu'elle subit est toujours en moins, souvent absence totale de réaction , plus souvent encore affaiblissement. Ces résul
llé- 1 Voir Archives de Neurologie, n° 71, t. XII, p. 384, 1901. - RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 195 rations en moi
01. -RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 195 rations en moins, réactions affaiblies et absentes, nous voyons la sénilité
ept formes mentales. La plus rare après elle est l'absence de toute réaction qui se montre pourtant d'une fréquence égale à
it, si on embrasse tous les sujets, le simple affaiblissement de la réaction nor- male, néanmoins elle est inférieure à la d
la première de ces deux formes mentales égale à l'absence de toute réaction . Quant à la dermographie, si pour l'ensemble de
rnance des altérations de nature différente et à l'absence de toute réaction , inférieure à l'affaiblissement, elle arrive né
double forme, systématique. Il serait intéressant de rechercher les réactions de la peau dans chacune d'elles. Nous allons le
obtenons : ce 02 0 r S S c M 'S e m z > RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 197 7 Ce tableau m
e qui est dû à une assez forte proportion d'affaiblissement de la réaction de la peau chez les mélancoliques que suivent à
ments. Plus mar- quées sont les différences pour l'absence de toute réaction , car nous n'avons noté cette anomalie ni dans l
un lypémaniaque qui eut de la dermographie après avoir présenté une réaction au contraire affaiblie. VI. - Il serait aussi
- Il serait aussi bien intéressant de rechercher les variations des réactions de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINI
éanmoins ceux qui sont toujours restés à la même période ont eu les réactions suivantes de la peau. " RÉACTIONS DE LA PEAU CH
és à la même période ont eu les réactions suivantes de la peau. " RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 199 aurons toutes
u. " RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 199 aurons toutes les réactions de la peau que nous avons ren- contrées aux tro
fusion est très net et établit clairement que les altérations de la réaction de la peau croissent parallèlement à l'évolutio
e disposition pour étudier d'une façon complète l'évolu- tion de la réaction de la peau à toutes les périodes de la para- ly
os trois tableaux, car nous voyons là un paralytique chez lequel la réaction complètement nulle à la première période a repa
présenté de la dermographie à la phase inter- médiaire recouvrit la réaction normale à la phase ultime. VII. -- Enfin nous n
ommes demandés si l'ûge n'aurai L pas une influence marquée sur les réactions de la peau. C'est la forte proportion d'altérat
détail des altérations en moins absence et affai- blissement de la réaction et dans le détail des altérations en plus -- de
essive nous trouvons encore là la confirmation des faits que nous RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 201 l signalons. N
contraire, que chez les vieillards en enfance la normalité des réactions de la peau était assez rare, celles-ci étant
emment que les piqûres de puce sont héréditaires... pour le mode de réaction de l'individu, du moins. Mais cette prédispos
le s'éteint, comme le délire d'emblée du dégénéré, par l'absence de réaction émotive ferme et intense. Seulement, sous l'aigui
Le tremblement de la parole, de l'écriture, de la langue, l'inégale réaction des pupilles ont presque disparu; - 5° dans le
e spécifique de la paralysie générale : l'absence ou l'inégalité de réaction des pu- pilles à la lumière, et l'achoppement s
, sans troubles de la sensibilité, sans atrophie, sans troubles des réactions électriques, il existe seulement une extrême fa
e au composé ; et après avoir décrit l'irritabilité, cette première réaction de la vie végétale et animale, cette première m
ype sensoriel (auditif- visuel, etc.) que réalise un individu : les réactions en reçoivent le contre-coup. Ce sont des faits
t ; elles n'ont, par rapport à l'idée, que la valeur d'une simple réaction . - Cette manière de voir a été. contestée, et u
re est l'idée. La théorie émotive ou physiologique a donc été une réaction utile contre la doctrine exclusivement intellectu
estion, à savoir qu'une idée est toujours incapable de produire une réaction émotionnelle, soit, normale, soit pathologique.
at affectif ( tristesse, désespoir), lequel, ensuite, a provoqué la réaction organique (larmes, syncope) ? Soit encore cet e
tesse ci la joie. l'dlis, Alcali, 1900. 264 - PATHOLOGIE MENTALE. réactions paradoxales (vaso-constriction avec accélération
nt les sujets, des émotions de même nature peuvent s'accompagner de réactions vaso-motrices inverses, que les émotions de cou
siologique, ces mêmes auteurs ont trouvé expérimentalement que la réaction émotionnelle, que la conscience de l'état affecti
t, en quelque sorte, que le choc en retour d'un ensemble immense de réactions parties de l'écore, c'est-à-dire d'un état de c
ment complexe, intéressant à la fois, par une série d'actions et de réactions , toute la vie mentale et une partie des fonctio
le renforcement des impressions thermiques, il ne se produit pas de réaction , notamment pas de pigmentation cutanée. L'emp
ie. Il y a eu amé- lioration subjective passagère, diminution de la réaction myoto- nique. L'atrophie artificielle constatée
ent invariable- ment la formule inverse, AnSZ > KaSZ. Quant à la réaction dégé- nérative de la trichinose et de l'hystéri
e et dans ses méninges. C'est du cancer. P. Keraval. XXXVI. De la réaction dégénérative électrique de l'élévateur de la pa
est arrivé), et la réaction'est de plus en plus indistincte. Cette réaction ne se constate pas dans toutes les formes de bl
ieure de l'orbite. ' Dans l'espèce on est favorisé, pour obtenir la réaction , par ce fait que de forts trousseaux de fibres
, et, par suite sont aisément accessibles au courant électrique. La réaction par l'angle externe de l'orbite a évidemment li
, du triju- meau, des muscles de l'autre oeil. La suppression de la réaction à la lumière de la pupille, avec conservation f
réaction à la lumière de la pupille, avec conservation faible de la réaction à l'accommodation, notée quatre semaines après
: effectivement, aujourd'llui, l'amélioration étant progressive, la réaction a la lumière est en partie revenue. Localisat
influence de la fermeture énergique de l'autre oeil seul : c'est la réaction consensuelle de la pupille par l'o2-bieulaii-e.
ui tous avaient des pupilles de moyenne largeur ou très larges avec réaction à la lumière uve ou exagérée, on trouva le prem
me. Dans les deux cas cette ten- dance mydriatique est opposée à la réaction pupillaire de.l'orbicu- laire. Or dans le premi
eu ou pas à la lumière, la tendance à la dilatation, contraire à la réaction pupillaire de l'orbiculaire, fait défaut; mais il
de gens bien portants, de neurasthéniques, de paralytiques dont la réaction à la lumière est presque parfaite, il faut invoqu
lumière est presque parfaite, il faut invoquer l'exagération de la réaction pupillaire de l'orbiculaire, qui sur- compense
lysie unilatérale de l'iris, suite de traumatisme, dans laquelle la réaction des pupilles à la contraction simple de l'orbic
modifiée consensuellement par l'autre. Malgré la disparition de la réaction à la lumière et à l'accommodation, l'énergique fe
observe une marche régulière des troubles pupillaires : paresse des réactions à la lumière, inertie des pupilles, parésie à l
ue ces sujets empruntent aux persé- cutés-persécuteurs les modes de réaction qui passent pour carac- téristiques de cette ca
s tel ou tel processus infectieux : il indique simplement qu'il y a réaction inflammatoire ou irritative des méninges. La
e négation exprimées de la même façon, par les mêmes phrases, mêmes réactions , même évolution. Il ne saurait être question de
simple diminution de la contractilité galvanique et faradique, sans réaction de dégéné- rescence. Le traitement consista s
s dévier en même temps le globe oculaire en haut et en dehors). Les réactions électriques du nerf et des muscles indiquèrent
nt la gravité de ce second accès. Il y avait abolition complète des réactions faradique et galvanique du nerf et abolition fa
lvanique des muscles, avec inversion de la formule; c'est-à-dire la réaction de dégénérescence complète. Bien que j'aie comm
us-épineuse et la fosse sus-épineuse sont aplaties. Intégrité de la réaction électrique des muscles paralysés. Fléchit- on l
t non hypertro- phiés mais atrophiés. L'examen électrique révèle la réaction myotonique non seulement sur les muscles affect
température du corps à la périphérie, et par des différences de la réaction vaso-motrice de la peau. Si l'on prend la tempéra
ntaires modifica- tions quantitatives des réflexes cutanés et de la réaction vaso-mo- trice). Oppenheim, dans son Lehnbuch
actuellement quinze ans; la conservation des réflexes; l'absence de réaction dégénérative et de troubles de la sensibilité :
rt passagèrement, plus ou moins nettement les premiers stades de la réaction (grattage, incurvation latérale, fermeture des
Babinski. Il n'y avait ni atrophie des membres, ni modification des réactions électriques. On a noté de la faiblesse vésicale e
éressant par le caractère presqu'exclusivement psy- chopathique des réactions moibides, constitue un document de plus dans l'
des abcès est probablement grippale. Sur une forme particulière de réaction des cellules radiculaires après la rupture des
sous la forme de longs bâtonnets, faiblement colorés parfois. La réaction , dont nous venons de parler, nous permet de cons-
vec conservation de la vision centrale pour toutes les couleurs. La réaction pu- pillaire de Wernicke fait défaut, autrement
ux, et cela s'ap- ' plique en particulier à l'état des papilles. La réaction pupil- laire, dite de Wernicke, faisait défaut.
le existe pour 460 . CLINIQUE NERVEUSE. ` toutes les couleurs. La réaction pupillaire de Wernicke fait défaut. L'acuité
corticale ou sous-corticale que par deux caractères : . 1° Par la réaction pupillaire hémianopique de Wernicke, qu'on a re
rconstances normales. Le signe de Wernicke consiste en ce que cette réaction pupillaire fait défaut, quand la source SUR TRO
ticale. Toujours, à ce que l'on a prétendu, le signe de Werniqke ( réaction pupillaire hémianopsique) fait défaut, dans les c
ge mentale de ces pensées est assez intense elle se traduit par une réaction motrice qui consiste dans la diction des phrase
bio- logie. Il s'agissait d'une femme chez laquelle les temps de réaction simple et de choix étaient en rapport inverse de
aissance sont sou- ' Vaschide et Vurpas. De la vitesse des temps de réaction auditive simple ou de choix, en rapport avec le
cation de cet insuccès par les conditions, chez ces malades-là, des réactions qu'ils présentaient à la lumière, à l'accommoda
upille gauche plus large que la droite. Bord des pupilles anguleux. Réaction à la lumière; nulle ou à peu près à gauche; plu
à la lumière; nulle ou à peu près à gauche; plus accusée à droite. Réaction consensuelle : très faible à gauche, nulle à dr
la gauche. L'interversion de l'inégalité pupillaire émane ici de la réaction différente des deux yeux à l'accom- modation. -
ntraction bilatérale égale des pupilles à l'occlusion palpébrale et réaction bilatérale égale des. » pupilles à la lumière,
les, qu'on peut intervertir à cause de l'intensité différente de la réaction à la lumière et à l'accommodation des deux côté
pille large ou les deux pupilles étant insensibles à la lumière, la réaction de l'orbiculaire est plus pro- noncée sur la pu
pupille insensible à la lumière peut, en certains cas, produire la réaction consensuelle de l'autre pupille sensible à la lum
é l'attention à l'aide de différents tests : il a pris les temps de réaction de ces malades à l'aide du chronomètre électriq
ixer : la fatigue survient très rapidement. ' La durée des temps de réaction est considérablement allongée. La distraction n
ile d' - 173. Crucifiement d'un -, 17. Contribution à l'étude des réactions de la peau chez les -, par Marandon de 1<l
6 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te, et celle de la lésion qui est insi- dieuse. De même, le mode do réaction symptomatique de la rcl- lule nerveuse est fonc
es cellules de la corne antérieure et de la colonne de Clarke, avec réaction névroglique discrète. - Il est probable que le
peu retentissant, mais pro- voquant cependant dans certains cas des réactions assez violentes pour nécessiter l'internement ;
n coexistent. Les hallucinations sont envisagées comme des modes de réaction engendrés par la douleur morale ; elles sont su
roupes : 1° troubles intellectuels ; 2° troubles volon- taires ; 3° réactions affectives : 4° délire. la Dans les troubles in
oncourent aux actes ; la synthèse men- tale est affaiblie. 3° Les réactions affectives constituent le caractère même de la
méninge encéphalite diffuse est aussi paralytique. Toutefois, la réaction de la pupille dilatée à l'instillation d'atropine
mêmes instillations. Le signe d'A 1'g,ljll-Robe1'tson : perte de la réaction à la lumière avec conservation des mouvements 1
r, mais se présente avec des combinaisons diverses de lenteur de la réaction pu- pillaire à la lumière et de paresse il l'ac
es modifications des milieux de culture des germes. Enfin, vu les réactions histo-chimiques, ni l'aspect mor- phologique ni
u les réactions histo-chimiques, ni l'aspect mor- phologique ni les réactions bio-pathologiques ne sont spéci- fiques chez le
les toxines albuminoïdes. La destruction de cellules provoque deux réactions l'une, très forte, aboutit à la production d'un
t Laurès, des recherches très complètes sur la composition et les réactions du sang d'un certain nombre de sujets atteints
lages ; leur accumulation, toujours modérée, est due peut-être aune réaction inflammatoire, pluspro- bablementà une irritati
mence avec illusion ou hallucinations. Elle déterminedeux sortes de réaction : l'excitation ou l'apathie. Des actes délict
ez les lacunaires, ce qui frappe sur- tout c'est l'importance de la réaction encéphalitique intersti- tielle inflammatoire.
mmatoire. On peut différer d'avis sur la significa- cation de cette réaction , soutenir avec de bons arguments qu'elle est pr
naîtra après examen de mes préparations,c'est L la réalité de cette réaction névroglique toujours intense. La sclérose des s
ours l'état de spores, lesquelles dé- terminent une grave ettypique réaction locale..1. SG1,AS. XXXV. Contribution nouvelle
crises fut relativement restreint (25). et cette sorte d'absence de réaction doit, croyons- nous, être rapportée à la bromur
ardissement originaire du cerveau, ne doit pas faire préjuger d'une réaction unique ou identique. L'adultération est peut-êt
tifiée par l'asystématisalion des conceptions délirantes et par les réactions morbides qui portent déjà un cachet démentiel.
pus des abcès. Inoculation de sang à l'oreille d'un lapin; pas de réaction locale, mais paraplégie du train postérieur de
uvent curable, ne pro- voque, en effet, que très peu ou même pas de réaction ménin- gée lymphocytaire, la symbiose lympho-po
al des états psy- chiques, les expériences faites ont porté sur les réactions avec choix (\Vahl reactionen) sur les réactions
s ont porté sur les réactions avec choix (\Vahl reactionen) sur les réactions verbales (Worler reactionen), sur les réactions
reactionen) sur les réactions verbales (Worler reactionen), sur les réactions avec choix alter- nant avec les réactions verba
rler reactionen), sur les réactions avec choix alter- nant avec les réactions verbales ; surl'addition, etc ? En total il y a
des médecins et des étudiants en médecine. I. Recherches sur les réactions . RÉACTIONS AVEC CHOIX. On a eu, pour chaque r
ns et des étudiants en médecine. I. Recherches sur les réactions. RÉACTIONS AVEC CHOIX. On a eu, pour chaque recherche, 500
ctions. RÉACTIONS AVEC CHOIX. On a eu, pour chaque recherche, 500 réactions avec choix, ou verbales. Les épreuves avec du b
preuve normale et une épreuve avec du brome, dont les séries de 100 réactions avec choix alter- naient avec des séries de 100
es de 100 réactions avec choix alter- naient avec des séries de 100 réactions verbales. La méthode pour obtenir ces réactions
c des séries de 100 réactions verbales. La méthode pour obtenir ces réactions est celle-ci : on lisait avec la même rapidité
échaînement central des mouvements. 268 ÉTUDE CRITIQUE. Les 500 réactions avec choix n'ont pris que 40 minutes donc en mo
réactions avec choix n'ont pris que 40 minutes donc en moyenne 125 réactions chaque 10 minutes. Le sujet n° 1 présente des t
25 réactions chaque 10 minutes. Le sujet n° 1 présente des temps de réactions plus lon- gues parce qu'elle est la première ép
deux épreuves sont très différentes, même opposées. Dans un cas les réactions diminuent jusqu'à la 3'' section ; le maximum d
5 rs. Dans le second cas on voit au contraire un ralentissement des réactions qui, à la fin de la première moitié, est de 33
16 de sorte que le ralentissement total est de 49 c. Examinant les réactions mauvaises, on voit que les temps de réaction di
e 49 c. Examinant les réactions mauvaises, on voit que les temps de réaction diminuent dans la même mesure que le nombre des
temps de réaction diminuent dans la même mesure que le nombre des réactions mauvaises devient plus gros. Ce qui commence ex
de l'opération, et cela est confirmé encore parle grand nombre des réactions mauvaises. LES POISONS DE l'intelligence. 269
ce qui parait du plus haut intérêt, c'est le chiffre trop gros des réactions mauvaises dans le premier cas, qui ne font d'ai
ieures volontaires est facilité, de là l'abréviation des temps de réaction et les réactions mauvaises. Dans le second cas,
ires est facilité, de là l'abréviation des temps de réaction et les réactions mauvaises. Dans le second cas, au contraire, le
ternes autant que sur le déchaînement des mouvements volontaires. Réactions verbales. Ces recherches diffèrent des recherch
ne série normale préliminaire, de sorte qu'il y a ici seulement 400 réactions après la prise de l'al- cool. Cependant la duré
e l'influence observée est ap- proximativement la même que pour les réactions avec choix Les 400 réactions ont occupé un peu
proximativement la même que pour les réactions avec choix Les 400 réactions ont occupé un peu plus de 38 mi- nutes. En ce q
nce de l'exercice joue un rôle beaucoup plus grand ici que dans les réactions avec choix. L'abré- viation des temps monte ici
rience doit être considérée comme normale. L'examen des mauvaises réactions a peu d'importance ici, car on 270 étude crit
actement contraires à ceux des recherches cor- respondantes sur les réactions avec choix. Un premier sujet montre une réducti
ions avec choix. Un premier sujet montre une réduction des temps de réaction pro- portionnelle avec la durée de l'influence
itimer ici les mêmes conclusions sur les rapports entre le temps de réaction et les mauvaises réactions, que dans les réacti
usions sur les rapports entre le temps de réaction et les mauvaises réactions , que dans les réactions avec choix. Quant aux m
tre le temps de réaction et les mauvaises réactions, que dans les réactions avec choix. Quant aux mauvaises réactions, elle
s réactions, que dans les réactions avec choix. Quant aux mauvaises réactions , elles ne sont pas spécialement très significat
es seules. Il y a eu 7 paires de groupes, dont chacun contenait 100 réactions avec choix, et 100 réac- tions verbales. Toutes
ervalles et pauses - deux heures. On a com- mencé avec une série de réactions avec choix. La dose de 4 gr. de brome a été pri
se de 4 gr. de brome a été prise après l'exécution d'une série de réactions verbales et avec choix. Dans cet ordre de reche
ue l'augmentation de l'exercice ne peut se cons- tater que pour les réactions verbales,et presque pas pour les réactions avec
ns- tater que pour les réactions verbales,et presque pas pour les réactions avec choix. Le cas d'un sujet de Lcemald montre
ontre qu'il y a une tendance à l'abréviation des chiffres, dans les réactions avec choix, qui, bien que peu accen- tuée, se m
jusqu'à la fin. Plus éloquente est la réduction des temps dans les réactions verbales, quoiqu'il y ait ici même des oscillat
ne dégradation de l'exécution s'élève aussi le nombre des mauvaises réactions qui, dans la seconde moitié de la recherche, es
des jours nouveaux. Après l'assimilation du brome, la moyenne des réactions suivantes avec choix est de 21 cr, tandis qu'en
ntes avec choix est de 21 cr, tandis qu'en même temps le nombre des réactions mau- vaises monte. Mais cette augmentation des
au- sée par la prise du médicament. Dans des prochaines séries de réactions verbales et avec choix, l'influence du brome es
fluence du brome car elle s'y révèle encore au moyen des mauvaises réactions . Si l'on considère aussi le nombre des mots san
ce le choix, en le faisant. assimiler immé- diatement après les 200 réactions . Plusieurs raisons ont rendu cette expérience v
he d'une heure tous les quatre jours d'expérience, et on a pris 100 réactions , pendant 13 minutes, avant la marche, et 300 ré
n a pris 100 réactions, pendant 13 minutes, avant la marche, et 300 réactions , 42 minutes après. Tous les deux jours de brome
le rapport entre la quantité du travail et l'influence du temps de réaction . Le tableau X contient les données moyennes vra
X contient les données moyennes vraisem- blables de la totalité des réactions ainsi que le chiffre du LES POISONS DE l'inte
e du LES POISONS DE l'intelligence. 281 pourcentage des fausses réactions pour chaque épreuve préliminaire, dans la' prem
. II ; à Il t môme oscillation est soumise le chiffre des fausses réactions , qui vacillent entre ut,25 0/0 (B.I') et l4l,l :
plus saillants du tableau sont : tout d'abord le nombre des fausses réactions est plus gros pendant la marche que d'ordinaire
ans cette sorte d'expériences, exercent une influence favorable aux réactions fausses. Quoi qu'il en soit, l'explication n'a
différence entre les jours normaux et ceux avec du brome dans les réactions obtenues après la marche. En un mot, les résult
s concordantes entre l'abréviation et le prolonge- ment de temps de réaction . Les données finales ne sont cependant pas semb
rome, mais cela n'est pas non plus très probable car le chiffre des réactions fausses n'est pas diminué. Les trois épreuves d
s dont il s'agitooncordent, surtout dans le pourcentage des fausses réactions qui est presque le même (17, 0 0/(), 1G, 0/0, 1
raux et irréguliers, promis généralement, un exposé précis de leurs réactions , ce qu'aucun interrogatoire ne peut révéler.
qu'elle n'est non plus une entité morbide nette ; qu'elle est une réaction psycho-dynamique et queles stigmates qu'on lui at
° Il considère comme signes de certitude l'existence du bacille, la réaction à la tuberculine et la séroagglu- tination. S
une quinzaine de jours pour une tuberculose au premier degré, et la réaction paraît se conserver d'autant plus longtemps que
culines dans un but thérapeutique qui reste à atteindre ; mais la réaction thermique qui suit leur administration a fourni
qui se prêtent malaisément à l'auscultation, bien que l'absence de réaction ne permette pas d'affirmer un terrain indemne d
um sanguin, qui a le mérite d'être inof- fensif, et on a obtenu des réactions thermiques instruc- tives ; mais c'est un sujet
ur maximum 24 heures après l'in,jec- tion. ' 2° Les phénomènes de réaction toxique spécifique aussi bien de l'antisérum qu
unité de la personnalité et une prépondérance presque exclusive des réactions automatiques. Au total la mentalité de l'idiot
entis.cristallises ou catatoniques, à tous ceux qui man- quaient de réactions périphériques. Dans ces cas le jet d'eau agis-
Quelques semaines plus tard, l'état s'était beaucoup amélioré. les réactions électriques étaient presque normales, mais le réf
il y u plus de vingt ans. G. C. 1L. - Méningite tuberculeuse sans réaction leucocytaire du liquide céphalo-rachidien ; par
nce. Recrudescence depuis un mois. Jeune homme de 16 ans, signes de réaction mastoïdienne avec symptômes cérébraux de- puis
certaines substances nocives qui baignent le système nerveux. Les réactions de défense qui en découlent, comme l'hyperten-
tiles sur l'examen des sujets, les tests qu'on peut em- ployer, les réactions démentielles aux excitations diverses. L'histor
7 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
factive, etc . produit toujours, dans les mêmes conditions, la même réaction , c'est à celui qui soutient que ce mouve- ment
t très connu, un lézard en fer-blanc, rapporté d'Italie, dont les réactions provoquées lui semblent imiter avec une telle per
celles de la -limaille de fer à proximité d'un aimant. Nombre de réactions motrices de ce genre, où l'on a cru voir des ac
ables ou nuisibles aux organismes vivants, Loeb a pu déterminer des réactions destructives de leur conservation. Les amibes a
Elle reconnaîtrait pour cause la dénutrition qui provoquerait une réaction exagérée des éléments nerveux il l'excitation. En
eloppement des centres nerveux qui aurait été lui-même la cause des réactions névrogliques et des dilatations épendy- maires.
abondantes - 750 grammes par vingt-quatre heures sont claires, leur réaction acide; elles ne contiennent ni sucre, ni albumi
'Uexliüll, qui ont montré comment, chez les animaux inférieurs, des réactions d'apparence volon- taires sont réductibles à l'
iment de colère, de vengeance ou de défense, qui explique ici cette réaction . Dans nombre de crustacés et de vers, Bethe et
et ne peut être qu'un vaste complexus de réflexes organisés. Toute réaction phy- siologique est un syllogisme en acte. C'es
e et d'autres auteurs ont recherché dans leurs expériences. Toute réaction de l'animal doit pouvoir être attribuée, soit à c
corce cérébrale. Pour les bien connaître, il faudrait étu- dier les réactions d'un animal décortiqué : l'activité des centres
épourvus d'écorce proprement dite ne sont pas seulement capables de réactions appropriées, adaptées à des fins, dont les cond
éjugés, en d'autres termes, il faudrait se garder d'interpréter les réactions de ces orga- nismes, de ces vertébrés inférieur
e le demande, après avoir rappelé les expériences de Norman sur les réactions des vers à la division de leur corps en segment
t, c'est que l'enfant n'a pas à proprement parler de mentalité ; sa réaction vis-à-vis d'une impression est directe, unique,
echerches exposées dans ce travail montrent que les phé- nomènes de réaction et de réparation des cellules nerveuses après l
n du noyau et du nucléole de la cellule nerveuse aux pro- cessus de réaction et de réparation, après les solutions de conti-
ou tuberculeuse qui suit parfois la rougeole. L. Il. XXIX. Sur la réaction électrique myasthénique ou d'épuisement; par FL
re qui peuvent persister plusieurs jours. L'auteur a obtenu cette réaction dans trois cas de maladie d'Erb- Goldflamm ; da
parésie et d'impotence motrice volontaire. Dans ces derniers cas la réaction disparaissait après guérison et pouvait subir l
e la parésie. Dans deux cas de pseudo-h3'pertroplrie musculaire, la réaction était extrêmement prononcée. Par contre, elle n
dans l'hémiplégie cérébrale organique. L'auteur conclut que cette réaction n'est pas particulière à la maladie d'l : rb-CoId
eparu et lorsque la tension nerveuse a disparu, le malade subit une réaction qui agit sur la faculté du langage en abaissant
culaire considérable et dans le cas fatal, une dimi- nution dans la réaction des muscles au faradisme. Un des carac- tères l
ie complète sans atrophie mus- culaire et sans changements dans les réactions électriques. Westphal, en 48 îfi, définissant l
de ces lésions une atrophie musculaire et une modification dans les réactions électriques. Cependant l'atrophie musculaire et l
mettent pas de distinguer facilement de légers changements dans les réactions électriques. L'atrophie musculaire et les modif
Aucune douleur. Pas de lésions ophtalmoscopiques du fond de l'oeil. Réaction pupillaire normale. Un certain degré d'anesthés
du côté des pupilles : pas d'inégalité, pas de mydriase ni myosis. Réaction très nette à la lumière. La malade prétend ne r
aire est douloureuse et normale à droite; elle ne provoque aucune réaction à gauche (signe d'Abadie-Rocher). Le nez est bien
mètres cubes d'urine (dans les 24 heures) : densité à + 15 = 10 18, réaction acide, cou- leur jaune pâle et peu de sédiment
convaincre surtout avec un diapason (Hgger) -, est aussi nerveuse ( réaction douloureuse nulle par pression du cubi- 'LÔ(j C
latine sont insensibles à tout chatouillement ou pincement, à toute réaction thermique ou élec- trique. JS8 CLINIQUE NERVE
elle une sensation quelconque plus ou moins intense ou bien aucune réaction ne se produit, ou bien le mouvement de défense
t essaye de fuir, et de s'échapper de nos mains. En dehors de ces réactions particulièrement intenses à certaines impressio
de ces réactions particulièrement intenses à certaines impressions, réactions qui d'ailleurs sont rares, l'état de distractio
asmagorie kaleidoscopique. L'état mental de G... indépendamment des réactions motrices, ressemble assez à celui d'un individu
re de Schwei- gert. L'existence du réflexe oculo-iridien et de la réaction pupillaire aux excitations thermiques a été vér
2° De la paralysie du mouvement des deux pattes postérieures, avec réaction dégénérative des muscles paralysés. 3° De la pa
ie du mouvement aux extrémités inférieures, avec modification de la réaction électrique des muscles paralysés innervés par l
ement cellulaire et dont le degré d'activité mesure l'intensité des réactions fonctionnelles qui en résultent. La fièvre est co
nfiltration nucléaire (m. au carmin) est un processus secondaire de réaction contre les lésions cellulaires . Les vaisseaux
rtout de ces der- niers par la frayeur qui caractérise toutes leurs réactions . Ils sont SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 en proie à u
ue le peumocoque. Délire aigu et V pneumonie ne sont que le mode de réaction de l'organe infecté. \ La pathologie générale d
alée ne dépend pas directement du poison qui l'engendre, mais de la réaction qu'il il provoque sur un système nerveux à impr
laires font leur apparition. Absence temporaire et permanente de la réaction irienne à la lumière; pupilles ovales, ovoïdes,
nt dentelé dans sa forme. Pupilles myoliques, souvent punctiformes; réaction à la lumière absente par intermittence, jusqu'à
laire du quadriceps seraient donc de même nature. La différence des réactions musculaires dans les réflexes tendineux et les
ses fibres. Les réflexes patellaires, qui ne seraient ainsi que des réactions musculaires dépendraient de la tonicité du musc
d'en haut, elle considère l'ensemble des symptômes comme de simples réactions de l'idée. On lui objecte que l'idée ne devient
la rapidité des mouvements que sur leur énergie, sur le temps de réaction que sur le travail 2. Il n'est pas plus favorable
1899, p. 307.) °- J.-W. \Varren. The effect of purealcohol on llze réaction lime, wilh a description of a new chronoscope.
ication. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE, Contribution à l'étude des réactions de la peau chez les aliénés ; Par le D' E. MA
e D' E. MARANDON DE MOXTYEL, Médecin en chef de Ville-Evrard. Les réactions de la peau chez les aliénés ont été jusqu'ici t
pas la seule altération dont était susceptible chez les aliénés la réaction de la peau ; nous avons tout de suite vu qu'à c
l'alcool sur le travail. (C. R. Soc. de Biologie, 1900, p. 825.). RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 385 moins qui se p
deux degrés; le simple affaiblisse- ment plus ou moins marqué de la réaction normale et l'ab- sence totale de cette dernière
nfluence des excitations du tégument. La nature de cette singulière réaction cutanée est encore entourée d'une grande obscur
. 25 386 . CLINIQUE MENTALE. Voici ce très instructif tableau : RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 387 Antérieurement
ous avons ainsi procédé pour tous de la même manière. Jamais aucune réaction doulou- reuse ne s'est produite, avons-nous déj
-contraire, à six mois d'intervalle, de grandes variations dans les réactions de la peau chez 104 des 291 aliénés de toutes c
u, mais bien d'un état transitoire apparaissant et. disparaissant RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 389 sous l'influen
nt pas de dermographie il en est un certain nombre chez lesquels la réaction de la peau n'était pas pour cela normale : cert
ermographie selon qu'elle est d'intensité modérée ou excessive. . RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 391 la dermographi
malades suivis toute l'année, nous n'avions pas retrouvé l'été les réactions de la peau que nous avions constatées l'hiver.
ent d'apprécier les varia- tions apportées par les saisons dans les réactions de la peau chez les mêmes aliénés, ils ne nous
quand on les suit durant toute l'année, car tel malade qui aura une réaction normale l'hiver présentera une réaction altérée
car tel malade qui aura une réaction normale l'hiver présentera une réaction altérée l'été, c'est ainsi avons-nous dit plus
en moins, nous les retiendrons; mais 14 n'avaient présenté que des réactions normales, qui, peut-être, si ces sujets avaient
tabler que sur 312 cas. Ils nous fournissent le tableau suivant : RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 393 l'absence de t
t : RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 393 l'absence de toute réaction et celle qu'on rencontre le plus souvent, le si
lus souvent, le simple affaiblissement plus ou moins marqué de la réaction normale ; entre les deux se place la dermogra-
puisque la différence entre eux n'est que de 9 p. 100. Toutefois la réaction normale est plus fréquente que la réaction alté
9 p. 100. Toutefois la réaction normale est plus fréquente que la réaction altérée qui l'est le plus. Nous avons constaté
nés fournissent un très fort contingent d'altérations en plus des réactions de la peau comme nous l'établirons un peu plus
peu moins fréquente chez les aliénés que l'affaiblissement de la réaction normale, elle se montre encore chez eux dans un
plus de deux fois plus souvent avec le simple affaiblissement de la réaction normale qu'avec l'ab- sence totale de celle-ci.
ories, nous pouvons étudier les altérations en plus et en moins des réactions de la peau dans chacune des variétés mentales.
considérer comme plus particulièrement sujets aux altérations des réactions de la peau. Restent les altérations en moins. E
d'abord celle du degré inférieur : le simple affaiblissement de la réaction normale et nous constaterons, fait auquel on ne
cessif de normalité. Ajoutons que chez eux on trouve encore plus de réactions affaiblies que de dermographie. C'est dans la d
uteur rappelle sommairement ses propres travaux sur la question des réactions pupillaires et se propose dans le présent trava
lié ailleurs par l'auteur est un cas de mydriase alternant avec des réactions pupillaires nor- males, chez un sujet jeune (17
début, et aussi qu'elle peut coïncider pendant des -années avec la réaction pupillaire normale chez un sujet atteint de lés
: dans les cas binoculaires, on a constaté : 1° la perte totale des réactions , deux fois ; 2° les pupilles restant fixes à la
s à la lumière et paresseuses dans la convergence, une fois ; 4° la réaction à la lumière disparue, le réflexe de conver- ge
s ; fin insuffisance de réflexe à la lumière dans les deux yeux, la réaction de conver- gence et d'accommodation demeurant é
ns, c'est la grande fréquence de l'absence simultanée de toutes les réactions . C'est l'inverse de ce que l'on observe dans la
ce que l'on observe dans la paralysie générale où le plussouvent la réaction de convergence est conservée. L'auteur aborde e
ts, dans la majorité des cas de démence précoce avec altération des réactions pupillaires, soit comme cause prochaine, soit c
l'un des éléments prédispo- sants, l'insuffisance ou la perte de la réaction pupillaire, dans les cas d'affaiblissement ment
possèdent deux dans lesquels les malades sont répartis suivant leur réaction au point de vue de la sociabi- lité. Il existe
s auteurs se font de la nature des stéréotypies. Celles-ci sont des réactions automatiques qui résultent d'excitations d'orig
-Doken- Zoken. » Quelquefois les stéréotypies du langage sont des réactions de défense. Une persécutée chronique et mégalo-
s des aliénés, avec étude spéciale de l'état connu sous le nom de,« réaction à distance » ; par John 'foRNER. (The Journal o
enait des streptocoques en grand nombre, dont la morphologie et les réactions de coloration se rapportaient au streptococcus
on- tenait des diplocoques présentant l'aspect morphologique, les réactions de coloration et les caractères de culture du Dip
ian et le radial présen- taient des modifications qualitatives à la réaction . De la critique de son propre cas et de l'étude
s, trois fois par jour peuvent être nécessaires pour déterminer une réaction circulatoire ou de tempé- rature, tandis que da
46, 545. Statistique des - du canton de Zurich, par Sérieux, 166. Réactions de la peau chez les , par Marandon de Montre),
- hystérique dans l'histoire, «par Leroy, 506. M y 1,STIIF.NIQUE. Réaction électrique-, par Flora, 127. Myélite syphilit
8 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
tincfif. Chez le simulateur, comme chez le cataleptique, un tambour à réaction , fixé à l'extrémité du membre étendu [fig. 1, R),
ls dans les expériences sur l'immobilité cataleptique. R. Tambour à réaction de Marey. P. Pneumographe. C. Cylindre tournant.
psie hypnotique. I. Tracé du pneumographe. II. Tracé du tambour à réaction . tant quand il s'agit d'hystérie ou d'affection
cataleptique. I. Tracé de la respiration. II. Tracé du tambour à réaction . mules que l'artifice des malades voudrait y su
obines (appareil de du Bois-Reymond), ne produisait à peu près aucune réaction ; on eût dit que les muscles étaient absents. On p
ce dernier caractère, s'attendre à voir la galvanisation provoquer la réaction qui s'observe quand la nutrition des muscles est
et c'est là un caractère de ce qu'on appelle en électro-diagnostic la réaction de dégénérescence, il se produit une exaltation d
avait donc une modification quantitative et non pas qualitative de la réaction ; on peut, d'après cela, conclure qu'il s'agit d'u
enses. 1. M. Rùmpf a étudié, dans le service du professeur Erb, les réactions électriques des muscles dans les cas d'affections
ni dans le droit. Tous les autres muscles du membre présentent les réactions électriques normales. Il n'en aurait cependant pa
ation profonde de ces éléments dans la paralysie infantile, où il y a réaction de dégénérescence, à savoir exaltation de l'excit
au contraire, nous voyons que, par un traitement approprié, déjà les réactions électriques réapparaissent. Il s'agirait donc alo
s du cou et des membres supérieurs, avec diminution (non absence) des réactions faradique et galvanique. Quoi qu'il en soit, au
ance de l'électricité statique en électro-diagnostic. Dorénavant, aux réactions faradique et galvanique, il faut ajouter la réact
Dorénavant, aux réactions faradique et galvanique, il faut ajouter la réaction franklinique ou (plus euphoniquement) franklinien
minations. fiestera à déterminer la signification clinique de cette réaction . Venons-en au traitement du malade. Depuis la l
tements. La marche est plus facile, etc.; mais, chose remarquable, es réactions faradique et galvanique reparaissent, de plus en
ent des bobines, et 9 ou 10 milliampères. Point important, ces deux réactions ont reparu simultanément. Pour l'une comme pour l
'ailleurs, de recourir de temps à autre à l'exploration ordinaire des réactions . Reste à indiquer avec plus de précision commen
alysie faciale ancienne, d'origine périphérique, et dans laquelle les réactions électriques étaient complètement abolies. Mais,
a souvent à supporter des douleurs vives, fréquemment accompagnées de réaction fébrile. 2° Rhumatisme articulaire chronique pr
'agit de la hanche. Elle s'accompagne de douleurs peu intenses, et la réaction fébrile fait défaut. 3° Nodosités d'Heberden. —
nfirme pour toutes les articulations malades. Les modifications des réactions électriques que présentent les muscles sont ici e
e fait exception : c'est le vaste externe du côté droit, qui offre la réaction de dégénérescence, consistant en ce que l'excitab
que est exaltée. C'est là une exception unique ; partout ailleurs les réactions électriques indiquent une atrophie simple, sans a
r le simulateur et sur la cataleptique, on applique : 1° un tambour à réaction sur le bras étendu, pour permettre d'enregistrer
iendra : a. Sur la cataleptique, la plume qui correspond au tambour à réaction appliqué sur le bras, trace sur le cylindre enreg
KaSZ AnSZ. Ce rapport fait partie de ce qu'on appelle la formule des réactions normales; et si on trouve, en explorant un muscle
u'il y a inversion de la formule, et celte inversion fait partie delà réaction de dégénération; ou, en d'autres termes, la réact
fait partie delà réaction de dégénération; ou, en d'autres termes, la réaction ainsi obtenue correspond à une altération plus ou
il faut un courant plus fort que dans l'état normal pour obtenir une réaction ; mais les résultats sont parallèles, il n'y a pa
xpériences de Erb et de Ziemssen découle, en résumé, que l'absence de réaction faradique, la réaction galvanique persistant mais
Ziemssen découle, en résumé, que l'absence de réaction faradique, la réaction galvanique persistant mais modifiée en plus, indi
rieux, mais avec régénération possible ; qu'au contraire l'absence de réaction faradique et galvanique montre un état des plus g
Or, Messieurs, en pathologie humaine, ces modifications profondes des réactions électriques correspondant à un état grave de la n
ons. 2° Dans le domaine du plexus sacré, nous trouvons à droite des réactions normales. A gauche, le muscle moyen fessier est i
e répondent ni à la faradisation ni à la galvanisation, il y a là une réaction de dégénération surtout à gauche ; il n'y a donc
roduit qu'une contraction lente et faible. A droite, il y a aussi une réaction de dégénération, mais de dégénération moins compl
du membre. On rencontre dans ces cas des secousses fibrillaires et la réaction de dégénérescence dans quelques-uns des muscles a
ultats de l'électrisation de ces mêmes muscles qui ne donne jamais la réaction de la dégénérescence ; l'âge du début, toujours a
de une poire en caoutchouc communiquant par un tube avec le tambour à réaction d'un appareil enregistreur, on voit que dans les
lysés, circonstance qui, jointe à l'absence de toute modification des réactions électriques dans ces muscles, nous conduisais imm
sses musculaires ont conservé leur volume et leur relief normal ; les réactions électriques, tant faradiques que galvaniques, ne
e d'un traumatisme. L'absence d'atrophie et de toute modification des réactions électriques des muscles, dans un cas où la paraly
éflexes tendineux, d'atrophie musculaire et de toute modification des réactions électriques, la résolution absolue du membre cons
ticulière ; pas de troubles trophiques, pas de modifications dans les réactions électriques des muscles paralysés. — Diagnostic:
territoire des nerfs atteints ; troubles trophiques, modification des réactions électriques 2. Messieurs, La leçon d'aujourd'
soumis à un examen méthodique, n'ont présenté aucune modification des réactions électriques, soit faradiques, soit galvaniques: p
triques, soit faradiques, soit galvaniques: pas le moindre soupçon de réaction de dégénérescence Gharcot. Œuvres complètes, t.
hiés. Us présentent, à l'examen électrique, tous les caractères de la réaction de dégénérescence portée à son plus haut degré ;
relief normaux, ils ne présentent à aucun degré les caractères de la réaction de dégénérescence, les réflexes tendineux sont co
et profonde, ainsi que sur l'absence de troubles trophiques et de la réaction de dégénération dans les muscles du membre paraly
s, on observerait certainement, au bout de huit ou dix jours déjà, la réaction dégénérative à un degré très prononcé sur tous le
le. Je relèverai ensuite: d'abord l'absence de toute modification des réactions électriques, de toute atrophie des muscles alors
é au niveau des jointures ; pas d'amyotrophie, pas d'altératiorTdes réactions électriques, bien que le début de la maladie remo
te un certain degré d'amaigrissement, d'atrophie du membre ; mais les réactions électriques sont normales ; aucune trace, en part
ctions électriques sont normales ; aucune trace, en particulier de la réaction de dégénération. Il s'agit donc là, bien évidem
musculaires moins profondément intéressés surviendrait un travail de réaction , consistant en une sorte de myosite éliminatrice,
emier rang, l'existence de modifications profondes survenues dans les réactions électriques des muscles rétractés, et il n'est pa
laire; que celle-ci même, à la vérité toujours sans accompagnement de réaction dégénérative, peut, être parfois poussée fort loi
des troubles moteurs. D'ailleurs, pas d'atrophie des muscles dont les réactions électriques sont normales ; pas traces de paralys
l'épiglotte et le maintenir là, longtemps, sans provoquer la moindre réaction . Le goût est totalement perdu, un* pincée de sulf
certaines paralysies organiques Cependant les muscles présentent des réactions électriques absolument normales. Il en est de mêm
la profondeur lu pharynx et l'y maintenir sans déterminer la moindre réaction . Le malade n'est pas hypnotisable. Le 1er novem
élaboration mentale inconsciente. L'amyotrophie sans modification des réactions électriques s'est produite chez ce malade assez r
en proportion du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; 5° cette atrophie peut se dév
vons déjà dit plus haut qu'à l'examen électrique, il n'y avait pas de réaction de dégénérescence. Il s'agit donc d'une atrophie
ticulière ; pas de troubles trophiques, pas de modifications dans les réactions électriques des muscles paralysés. — Diagnostic :
territoire des nerfs atteints : troubles trophiques, modification des réactions électriques............. 299 VINGT ET UNIÈME LE
dans le), 143. Diathèse de contracture, 104, 415. E Electriques ( Réactions — des muscles dans les atrophies musculaires d'or
muscles dans les atrophies musculaires d'origine articulaire), 33; — Réactions — dans les atrophies musculaires du rhumatisme ch
tions — dans les atrophies musculaires du rhumatisme chronique, 56; — Réactions — dans l'atrophie musculaire consécutive à une co
3, 319 ; — Perte du sens musculaire. 304; — Pas de modification des réactions électriques, 305 ; — Diagnostic d'avec la névrite
9 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
les appareils circulatoire, respi. ratoire, digestif et urinaire. Réaction de Wassermann : négative. Observation II (PL I
popbyse : normale. Aucun autre fait ne mérite ici d'être mentionné. Réaction de Wassermann : négative. Observation III (Po
absolue de l'oeil gauche. Thyroïde imperceptible à la palpation. Réaction de Wassermann : positive. ? <- ' ? ? ¥..f(d
XXVIII. PL. IV Obs. V Obs. IV DYSTROPHIE GENITO-GLANDULAIRE 9 Réaction de Wassermann : négative. Examen radiographique
d'aucune façon que le patient se soumit à l'examen radiographique. Réaction de Wassermann : positive. Ohservation VI (PI. V
mains quand il étend les doigts. Etat mental parfait. Bien que la réaction de Wassermann se soit montrée négative, le traite
que les testicules diminuaient de grosseur. Etat mental inaltéré. Réaction de Wassermann positive. Obs. VI Obs. VIII O
éprouve à cet égard une complète aversion . Intelligence normale. Réaction de Wassermann négative. Examen radiographique :
: 12 SOUZA ET DE CASTRO Etat psychique : imbécillité manifeste. Réaction de Wassermann franchement positive. Examen radi
l n'a jamais eu de rela- tions sexuelles. Intelligence normale. Réaction de Wassermann négative. Observation XI (PI. VII
é le diagnostic du mal de Hodgkin (pseudo- leucémie lymphatique). Réaction de Wassermann positive. Interné depuis à l' « H
mentale, un caractère enfantin, comme celui d'un garçon de 8 ans. Réaction de Wassermann positive. Observation XIV (PI. VI
es ; à la lumière directe d'une lampe électrique, on ne voit aucune réaction . La paupière supérieure de l'oeil droit est un pe
'acte musculaire, le mouvement est accompli vivement,1 le» temps de réaction est court, l'amplitude est considérable ; par c
, auditives, etc., l'acte se poursuit plus lente- ment, le temps de réaction s'accroît, l'amplitude diminue ? i n t " Woodwo
tilité, de la sensibilité, de la trophicité, etc., la recherche des réactions électriques, sont indispensables pour aboutir à u
qu'une simple contusion. M. H. Meige mit en relief le fait que les réactions électriques sont peu touchées, la pression arté
de tous les mouvements de la main et des doigts, avec intégrité des réactions électriques (main figée). So- ciété de neurolog
réflexe tricipital. - 8. Excitabilité mécanique. - Brusquerie de la réaction des muscles de l'avant-bras, de l'éminence thén
uence de la première, et toutes deux pouvant être considérées comme réactions réflexes à la blessure. Les troubles parétiques
ctilité faradique des muscles tbénariens. , Galvanisation. Pas de réaction de dégénérescence. 10. Vaso-motricilé et tempér
e hypoes- thésie électrique très marquée. Galvanisation. - Pas de réaction de dégénérescence. 10. Vaso motricité et tempér
dans ceux qui sont innervés par le cubital. Galvanisation. Pas de réaction de dégénérescence. La différence entre la contr
re positive est minime; mais la première est plus forte. « Pas de réaction de dégénérescence au radial gauche, simplement un
modifications appréciables. , 2. Galvanisation.- Normale. Pas de réaction de dégénérescence. 10. Vaso-motricité et tempér
a face postérieure de l'avant-bras). 3° L'apparence est celle d'une réaction consécutive à une lésion sié- geant sur un tron
RMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 115 4° L'apparence est celle d'une réaction réflexe d'hypertonie et d'hy- potonie combinées
on du radial à la main). 0° L'apparence est à la fois celle d'une réaction réflexe et d'une inac- tivité fonctionnelle sur
probablement à cause de l'obstacle mécanique lui-môme s'opposant la réaction . Il y avait hyperexcitabilité mécanique : X (R.
) (thénar, hypo- thénar et interosseux : NF<NO<PF), III (0.) ( réaction de dégénérescence dans médian et cubital). 5°
t de nous avoir longuement induit en erreur; il n'est pas jusqu'aux réactions électriques qui ne nous aient DÉFORMATIONS DES
t mauvaises, cuir chevelu alopécique, sourcils rares. Cependant, la réaction du sang de Bordet-Wassermann chez lui s'est mon
eurs dans des cas analogues, et dont nous reparlerons plus loin. La réaction de Wassermann pratiquée chez lui s'est montrée né
n horizontal fixe. L'écriture se fait à peu près normalement. Les réactions électriques, que nous avons pratiquées le 19 nove
mill. - PF=5mill. Nerf médian et cubital et muscles tributaires : réactions absolument normales à l'avant-bras et à la main
xe des supplices de la race jaune. Evidemment leurs gestes et leurs réactions sont plus violents, plus intenses que les nôtres
as par cruauté, mais par justice qu'on agit. La brusquerie de leurs réactions semble quelquefois impulsive. Mais c'est moins
extraction de 25 centimètres cubes sous forte pression. 8. Aucune réaction méningée. Frisson dans la nuit et à 9 heures. T
es dans les mollets. Lagophtal- mos. On constate l'absence de toute réaction méningée. 26. Vers 2 heures du matin, ses voisi
que, un léger frottement par exemple, pro- voque, non seulement une réaction dans le membre excité, mais aussi dans le membr
stallation de l'hôpital auxiliaire ont empêché la détermination des réactions électriques alors qu'elles auraient été inté- r
istence d'une cellulo-névrile ; malheureusement, la recher- che des réactions électriques n'a pu être faite au moment de choix
édullaire. Rhuma- tismes ? Névrites. Arthrite sèche du genou. Puis, réaction médullaire ou polynévrite avec embarras gastriq
lynévrite avec embarras gastrique. Rhumatismes articulaires. Puis : réactions médullaires avec embarras gastrique. Fatigue géné
développées, encore parésie faciale du voile du palais, dysphagie. Réaction de Wassermann positive. A la ponction lombaire ly
on de Wassermann positive. A la ponction lombaire lympho- cytose et réaction de Nonne positive. Pendant le traitement par le m
que. A la ponction lombaire pression un peu augmentée et une faible réaction de Was- sermann. Guérison pendant le traitement
eux côtés. A la ponetion lombaire quantité d'albumine augmentée, la réaction de Wassermann douteuse, mais fortement positive
'une parésie des quatre membres. Il y avait le signe de Romberg. La réaction d'électricité nor- male et la sensibilité norma
mpagne de leucocytose. Un examen du sérum sanguin fut pratiqué ; la réaction de Wasserman s'y montra nettement et complèteme
, on ne connaissait ni la lymphocytose céphalo-rachi- dienue, ni la réaction de Wassermann. ( ! ) Bien que l'interprétation
ti- ble de déterminer à la fois une lymphocytose rachidienne et une réaction de Wasser- mann positive, soit que l'infection
à produire la déviation du complé- ment (on sait par exemple que la réaction de Wassermann est souvent positive au cours de
s s'y serait surajoutée ; c'est la syphilis qui aurait déterminé la réaction de Wassermann, c'est soit l'affection médullair
, avec ou sans lymphocytose,- le tout traduisant l'irritation et la réaction méningée. - Le facial arrive enfin à s'accole
. Nous n'avons à ce point de vue qu'une seule donnée fournie par la réaction de Wassermann. Cette dernière a été très nettemen
sont normaux. Attention et mémoire bonnes. Examens complémentaires. Réaction de Wasserman, négative. Examen des urines, rien
ricelle il y a quelques années, et prononce depuis lors ce mot). La réaction de Wassermann, faite dans le service de dermatolo
nt en pareil cas jusqu'à la fin de la vie. Quanta l'étiologie, la réaction de Wassermann a été négative; pas d'antécédents
evons faire remarquer que les tumeurs cérébrales ne donnent pas des réactions d'après leur grandeur. Ce paradoxe apparent dépen
es réactions d'après leur grandeur. Ce paradoxe apparent dépend des réactions inflammatoires plus ou moins intenses qui atteign
aient même l'impression de l'existence d'un abcès. Je pense que des réactions inflammatoires se sont produites dans ce cas, à
45 000 ; blancs : 400. Le liquide centrifugé clair, pas coloré. La réaction de glubuline (Nonne-Apelt) est négative. 25. La
ki se produit aux deux pieds. Les incoor- donnés. Mydriase et nulle réaction à la lumière-de la pupille droite. Fort myosis
39 degrés, mais s'accompagne quelquefois d'une exagération dans les réactions délirantes hypertoniques douloureuses». Dans le
se de Paris, 1902. - NETTER (A.), KOECHLIN (J.) et Salarier (M.). - Réactions méningées consécutives aux injections intrarach
one terminale inférieure de la région anidrosique. Il n'y a pas eu de réaction vaso-motrice. III. Adrénaline. Avant l'inje
à la minute). On voit à la fois la complexité et la délicatesse des réactions qu'entrai. nent les scalpels chimiques, tels qu
méthodes classi- ques ne révèle en général aucune modification des réactions . Il n'y a ni signe de dégénérescence, ni modifi
contraste singulière- ment avec l'absence de toute modification des réactions électriques. La participation du plexus brachia
peut d'ailleurs passer dans les cas qui nous occupent de ce type de réaction d'irritation à celui de la dégé- nérescence dan
omalie, la coexistence de symptômes cliniques impor- tants avec des réactions électriques normales. , Nous nous sommes enfin
ral, biceps. Douleurs spontanées légères. Au- cune modification des réactions électriques par les méthodes classiques. La par
culaire. L'examen électrique par les procédés classiques montre des réactions nor- males faradiques et galvaniques pour tous
diminue en général. Le long supinateur a, dans le cas présent, des réactions normales. 360 CHIRAY, BOURGUIGNON ET ROGER .
rédominant sur les muscles périscapulaires. Aucune modification des réactions électriques par les méthodes classiques. Aspect
s importants liés la la ligature de la sous-clavière. L'élude des réactions électriques faite le 28 juillet elle 15 novembre
28 juillet elle 15 novembre montre par les procédés classiques des réactions normales pour les trois nerfs du bras, à l'avan
urs reprises le 29 janvier, le 4 avril et le 21 août ont montré des réactions normales par les méthodes classi- ques au galva
trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rhumatisme chronique. Réactions électriques normales. Participation du plexus b
halanges. L'examen électrique par les méthodes classiques donne des réactions galva- niques et faradiques normales pour tous
ent enroué. Langue tirée droite, voile du palais normal. Pupilles à réactions égales. Pouls à il2. Em- pâtement de la nuque à
milliampères. Au niveau des muscles de la main on n'obtient pas de réaction certaine avec 10 milliampères. En résumé, l'e
la R. D. qu'à une époque où l'atrophie musculaire est telle que la réaction perd beaucoup de la valeur séméiologique. D.-
es supérieurs sont atrophiés d'une façon globale, sans troubles des réactions électriques. Il n'existe aucun symptôme d'ordre
hinctérien, aucun trouble visuel ; les pupilles sont égales, et les réactions pupillaires parfaitement normales. L'examen vis
n état génital. Examen radiographique : selle'turcique normale. , Réaction de Wassermann : positive.. - Observation XVIII
10 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
oint de son étendue. Alors, il se produit, et cela sans douleur, sans réaction d'aucune espèce, une chute du doigt ou bien encor
alade est d'ailleurs parfaitement musclé, sans être un athlète. Les réactions électriques des muscles de la main, qui paraissen
trique pratiqué par M. le Dr Vigouroux donne les résultats suivants : réactions électriques normales dans les muscles de la main
s de sciatique simple, non traumatique, dans lequel il a rencontré la réaction de dégénérescence limitée exclusivement aux muscl
s. Les points douloureux classiques étaient présents. Il existait une réaction de dégénérescence dans les gastrocnémiens, c'est-
tibial antérieur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une réaction de dégénérescence complète. Les péroniers latérau
Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux : Pas d'ano- malie de réaction dans les muscles de la région antéro-externe de l
Dr Vigouroux chez cette malade. Nous nous attendions à trouver là la réaction de dégénérescence comme dans le cas précédent. Bi
flexion sont des signes d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de réaction de dégénération permet peut-être de porter un pro
ité dominent toute la scène. Il s'agit cette fois d'une paralyse avec réaction de dégénération typique. Observation IX (person
Observation IX (personnelle). — Sciatique droite. — Paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles de la région antèro
, extenseurs des orteils, a apparu il y a trois mois. Il existe une réaction type de dégénérescence avec diminution de l'excit
édominent, bien qu'on n'ait pas constaté dans les muscles atteints la réaction de dégénérescence. Enfin dans I'Observation IX, l
les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réaction de dégénérescence. Puis d'autres désordres beauco
ux côtés. — Les réflexes patellaires sont égaux des deux côtés. — Les réactions électriques des muscles sont normales. Dans tou
nerte aujourd'hui. L'examen électrique nous a montré qu'il existe une réaction de dégénérescence dans les muscles tibial antérie
ue pour les muscles péroniers latéraux et triceps sural. A droite, la réaction de dégénérescence n'est que partielle clans les m
al, il existe de la rétention d'urine, une paralysie atrophique, avec réaction de dégénérescence des muscles innervés par le sci
part (polioencéphalomyélite). Description de deux cas. Absence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas
e l'ophthalmoplégie externe. Les muscles parésiés sont atrophiés sans réaction de dégénérescence. Comme signes fonctionnels il e
aiblissement parallèle des deux modes de l'excitation électrique sans réaction de dégénérescence, tandis que dans le type Duchen
réaction de dégénérescence, tandis que dans le type Duchenne-Aran la réaction de dégénérescence existe dans les muscles les plu
es les plus affectés. Mais on sait que dans la maladie de Duchenne la réaction de dégénérescence est difficile à trouver ; d'aut
emment de cause spinale, nous avons constaté plusieurs fois que cette réaction faisait complètement défaut. L'absence de ce sign
s unes, suivant des circonstances non encore analysées, entraînent la réaction de dégénérescence, tandis que les autres ne l'ent
omalie à l'exploration électrique, c'est-à-dire qu'il n'existe pas de réaction de dégénérescence, bien qu'il y ait un affaibliss
dégénérescence, bien qu'il y ait un affaiblissement très prononcé des réactions électriques, tant faradiques que galvaniques. R
nance de la paralysie dans les extenseurs, aucune trace enfin de la réaction de dégénérescence qui ne manquerait pas de se man
pilles étaient normales ; ni myosis, ni symptôme d'Ar-gill Robertson. Réaction lente à la lumière. Réflexes conservés. Aucune lé
ximum du courant faradique, plus faible pour les deux premiers. Mêmes réactions pour le courant galvanique. Thénar : inexcitable.
et : faible adduction du pouce et du petit doigt. Hypothénar : pas de réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la
réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la région) ; réaction faradique à peu près normale. Muscles abdominaux
itables électriquement, quel que soit le genre de courant employé; la réaction de dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont
rillaires dans les muscles atrophiés de ses membres supérieurs. Les réactions électriques des muscles n'ont pu être recherchées
dernière affection. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies des réactions électriques des muscles et en particulier de l'ab
éactions électriques des muscles et en particulier de l'absence de la réaction de dégénérescence, ainsi que de la présence des r
douter de l'origine centrale de la maladie. Pour ne parler que des réactions électriques, que voit-on en effet dans l'atroph
t-on en effet dans l'atrophie myopathique? une absence d'anomalie des réactions , mais une simple diminution de l'énergie des cont
te. D'autre part dans les atrophies d'origine myélopa-thique, si la réaction de dégénérescence se rencontre le plus souvent, o
s atrophiés, les uns réagissent normalement, les autres présentent la réaction de dégénérescence. On comprend d'après cela que l
tion de dégénérescence. On comprend d'après cela que les anomalies de réactions puissent manquer complètement, bien que des cas s
oi qu'il en soit, on ne saurait tirer de cette absence d'anomalie des réactions électriques (1) des conclusions légitimes contre
examens anatomo-pathologiques. (1) Ces considérations au sujet dos réactions électriques dans la polioencéphalite ont été rédi
minutieux du malade. Tout d'abord cette absence de troubles dans les réactions électriques dont nous parlions plus haut ne plaid
aque œil, produisant un léger strabisme convergent. En l'absence de réaction de dégénérescence dûment constatée, il est presqu
les muscles de l'éminence thénar de la main affectée les signes de la réaction de dégénérescence. Quelle est, Messieurs, la co
s accidents diabétiques. Il donne dans ce livre le signal d'une juste réaction contre la tendance que l'on a trop souvent à appl
l'avant-pied est tombant, et s'accompagnant de modifications dans les réactions électriques des muscles paralysés qui sont le siè
s réactions électriques des muscles paralysés qui sont le siège de la réaction de dégénérescence. Ajoutons à cela que dans tou
?) qu'il traita sans médecin et qui ne s'accompagnèrent que de peu de réaction générale. Il eut également de fréquentes débâcles
ieurs pratiqué par M. le D'' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A droite, réaction complète de dégénérescence dans le jambier antéri
excitabilité des autres muscles de la jambe et de la cuisse. A gauche réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur.
ceci aussi, à savoir qu'à l'examen électrique des muscles on note la réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'
s de la jambe droite, qui était et qui est encore la plus malade, une réaction de dégénérescence complète, et dans ceux de la ja
générescence complète, et dans ceux de la jambe gauche, seulement une réaction de dégénérescence partielle. Il n'en est plus de
ats du dernier examen pratiqué par M. Vigouroux le 15 mars 1890. La réaction de dégénérescence n'existe plus et on constate se
tteints : le buccina-teur et le grand zygomatique. Ajoutons que les réactions électro-musculaires sont parfaitement normales, b
e une paralysie périphérique au point de vue de son étendue et de ses réactions électriques. Quelquefois cette hémiplégie faciale
en électrique pratiqué par M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de* réaction . Sur un cas de paralysie radieulaire de la prem
sont altérés dans leur nutrition. L'exploration électrique décèle une réaction de dégénération de l'éminence thénar et de quelqu
nous étonner, quand nous trouvions, au bout d'une année à peine, une réaction de dégénérescence si profonde, et aussi quand nou
rapidement. Circonstance favorable, elle ne présente jusqu'ici aucune réaction de dégénérescence. Mais son existence seule est u
trophie musculaire avec secousses fîbril-laires et, au dernier terme, réaction dégénérative, absolument comme dans la sclérose a
ué par M. le Dr Vigouroux, le 8 mars 1890. Il montre qu'il existe une réaction de dégénérescence complète pour les muscles facia
part (polioencéphalomyélite). Description de deux cas. Absence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas
stériq ue, 290, 2tf7 ; distribution de l'anes-thésie dans la —, 293 ; réactions électro-musculaires dans la—, 296; - historique,
11 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
rien relevé de particulier, nous n'avons trouvé aucune trace de la réaction myasthénique. L'examen des viscères n'a permis
plantaires sont normaux. De profondes piqûres ne provoquent pas de réactions (perte de connaissance). Le ' même soir, la mal
gauches sont hypertrophiées, douloureuses, peu mobiles. 56 FLATAU Réaction de Pirquet positive. Pendant le séjour à l'hôpi
runs). L'année dernière nous avons eu recours systématiquement à la réaction de Pirquet et de Calmette pour déceler la forme
mette pour déceler la forme discrète de spondylite tuberculeuse. La réaction de Calmette fut bientôt mise de côté à cause de
inflammation de la conjonctive qui s'installa dans quelques cas. La réaction de Pirquet était en général très bien supportée.
n supportée. Bien qu'il nous soit encore difficile de dire si cette réaction a une valeur réelle, nous pou- vons affirmer qu
on hésitait entre la carie vertébrale et la tumeur de la moelle. La réaction de Pirquet était positive et dans la suite la m
ture non tuberculeuse (sclérose en plaques, hémiplégie, etc.) et la réaction fut pour la plupart négative. Quant aux autres
e). La sensibilité subjective n'a jamais paru altérée. Examen des réactions électriques. Nous avons employé dans l'examen é
s qualitatives sur les muscles. Les muscles du cou ont présenté des réactions électriques à peu près nor- males. Les altéra
ou- rant faradique. · Avec le courant continu,ces muscles ont des réactions lentes avec hypoexci- tabilité électrique assez
nt faradique. Sur les muscles de l'avant-bras, il y a production de réactions électriques très altérées avec prévalence de la
09 Les nerfs radial, cubital et médian au poignet ne donnent pas de réactions motrices. Aux extrémités inférieures,au-desso
, sur le droit interne et le droit externe, on note l'inversion des réactions normales avec réaction dégénérative assez prononc
t le droit externe, on note l'inversion des réactions normales avec réaction dégénérative assez prononcée. Le droit antérieu
lité électrique. Les muscles de la région pelvienne ont donné des réactions électriques à peu près normales. Observation
onservée. Rien d'anormal du côté des organes internes. Examen des réactions électriques. - Dans le territoire incurvé par le
ents bien précis. Nous avons pu relever une diminution certaine des réactions électriquès sur les mus- cles du cou,des épaule
aradique. Sur tous les muscles de l'avant-bras, on peut relever des réactions nette- ment altérées dans leur formule avec les
région soient encore valides : dans leur contraction volontaire, les réactions électriques sont constamment altérées avec hypo
et sur les muscles. Les muscles de la région pelvienne donnent des réactions inférieures à la normale sans altération de la
la minute), la respiration est paisible et nor- male. Examen des réactions électriques. Les muscles du cou, de la nuque, de
la région cervicale et de la ceinture scapulo-humérale démontrent des réactions électriques normales, soit avec le courant galv
nt électrique. Sur les muscles de l'avant-bras, on peut décéler des réactions de la contrac- tilité musculaire profondément t
ans leur formule avec les manifes- tations les plus évidentes de la réaction dégénérative. Dans la main on peut encore provo
'éminence thénar et hypo - thénar ; avec l'inversion complète de la réaction dégénérative, les petits muscles delà main sont
pour le quadriceps antérieur qui est altéré qualitative- ment avec réaction partielle de dégénérescence et très peu excitable
s muscles innervés par eux. Les jumeaux au contraire présentent des réactions relative- ment moins altérées. 122 BERTOLOTTI
uilibre statique, des contrac- tions fibrillaires, des troubles des réactions électriques, des troubles de la sensibilité obj
douleurs. Les fentes palpébrales et les pupilles sont normales. La réaction à la lumière est conservée. Les mouvements des
e) leur nombre est augmenté. En dehors de cet endroit nulle part de réaction du côté de la névroglie. On ne constate, pas no
mportants que nous fournit l'expérimentation chez les animaux ; les réactions histologiques consultables au microscope ne peuve
tritifs. Ces expériences jettent une vive lumière sur les premières réactions du protopiasmacetiu- laire à la plus légère mod
tant de la situation pendante avec inactivité ; ni modification des réactions élec- triques ; ni aucun trouble de la nutritio
ssant cependant sur l'articulation, l'absence de modifi- cation des réactions électriques... tout cela permettra de se rendre c
cer- tains individus l'harmonie des mouvements, la mesure dans les réactions et la décision rapide ; il y en a une déféctueu
nt comme s'il y avait une fuite d'énergie sur le trajet des grandes réactions réflexes, une dérivation trop abondante vers l'
me chez tous les imbéciles : les sommets sont au moins suspects. La réaction à la tuberculine, recherchée par l'épreuve cutané
e cutanée de von Piket, a été précocement et fortement positive. La réaction de Wasser- mann est négative. Le système loco
sente aucun signe, ni sur celui d'ostéo- syphilose du moment que la réaction de Wassermann, en plein accord avec les antécéd
anamnèse incomplète peuvent être facilement comblées à l'aide d'une réaction biologique très précieuse, la réaction de Wasse
ment comblées à l'aide d'une réaction biologique très précieuse, la réaction de Wassermann,.qui, ainsi que désormais tout le
e qu'elle puisse être ou même de la syphilis héréditaire. Or, cette réaction nous a donné, dans le cas actuel, un résultat c
us la main des cas d'ostéite déformante de Paget, leur appliquer la réaction de'Vassel'mann, car, évidemment, c'est surtout
e On peut eependan ta ffinner dès maintenant, que dans notre cas la réaction de Wassermann ayant été complètement négative,
cifique, et aussi dans le premier cas la lymphocytose intense et la réaction de Wassermann positive produi- tes par le liqui
che est plus grande que la droite. Le fond de l'oeil est normal. La réaction à la lumière est minime dans l'oeil droit, abol
ETUDE DE 1'1Tll¡ATI,\II (S. J(opcZj'lIski el J.Jarusi·usli). . Réactions de Suggestions diverses pendant ['Hypnose. », l
u segment postérieur de la capsule interne produisent d'une part la réaction et l'atrophie des cellules géantes dans la fron
pyramidal avec les cellules de Betz, j'ai utilisé la méthode de la réaction à distance, laquelle, comme on le sait, nous pe
dans six cas de lé-' sions de la capsule interne. J'ai constaté des réactions cellulaires et des lésions atrophiques des gran
clut qu'elles ne constituent rien autre qu'un cas particulier de la réaction que présente- tout neurone moteur ou sensitif a
yden a présenté en mon nom (3) des coupes de cerveaux démontrant la réaction des cellules géantes à la suite des lésions de la
ervice de ]'Hôpital Pantélimon. Ils arrivent à la conclusion que la réaction des cellules pyramidales géantes, suivie de leur
t Brodmann ? Pour répondre à ces questions, les auteurs étudient la réaction à dis- tance des cellules cérébrales après la s
capsule in- terne, le noyau lenticulaire et la couche optique, les réactions cellulaires ne se limitent plus aux pyramides g
droite et dans le lobule paracentral, les cellules de Betz sont en réaction ; les grandes cellules de la couche sous-granul
couche sous-granulaire de la pariétale ascendante sont également en réaction (fig. 6, PI. XXXIX). 3° Hélène T... Notes clini
ule paracentral du côté gauche beaucoup de cellules géantes sont en réaction ; très peu sont normales ; d'autres sont en voi
frontale ascendante et dans le lobule paracentral droit on voit une réaction intense des cellules géantes, quelques- unes, s
acentral, type 5 de Brod- mann, on voit également des phénomènes de réaction et d'atrophie dans quelques grandes pyramidales
cellules de Betz, légèrement diminuées comme nombre, sont toutes en réaction à dis- \"ou\elle Iconographie DE la SALPhTRIi.R
ules de Betz, ainsi que les grandes cellules sous-granulaires sont en réaction à distance. 7- Coupe du lobule paracentral du m
la frontale ascendante gauche on voit, en dehors de ces cellules en réaction , quelques pyramides géantes normales et un certai
u type 5, les grandes cellules sous-granuleuses sont éga- lement en réaction . 7° Tudora I... Notes cliniques. 50 ans,hémiplé
acentral, colorés au Nissl, la plupart des cellules de Betz sont en réaction . Le corps cellulaire est tuméfié, globuleux, en c
de la capsule interne qui sépare ces noyaux. Examen microscopique. Réaction et disparition des cellules de Betz du lobule par
coupes du lobule paracentral beau- coup de cellules de Betz sont en réaction , d'autres sont atrophiées. On y voit encore que
géantes de la frontale ascendante et du lobule paracentral sont en réaction , quelques-unes en voie d'atrophie. Les grandes
lobule paracentral gauche, la plupart des cellules de Betz sont en réaction , d'autres sont atrophiées. On y voit encore un
es de Betz sont disparues et celles qui per- sistent encore sont en réaction ou en voie d'atrophie pigmentaire. Dans la pari
et dans le lobule paracentral droit. Les lésions consistent dans la réaction et l'atrophie des cellules de Betz. Mais beauco
obtenues dans ces 20 cas d'hémiplégie résiduelle nous voyons que la réaction des cellules de Betz après les lésions de la ca
obule paracentral droit presque toutes les cellules de Betz sont en réaction , ainsi que les cellules géantes du type 5. Dans
ndante et dans le paracentral gauche il y a des cellules de Betz en réaction ^ mais la plupart d'entre elles sont atrophiées
hiées ; dans le type 5 de ce côté quelques cellules géantes sont en réaction et beaucoup ont disparu. 2° Tudora J... Notes c
ers hémorragi- ques punctiformes de l'écorce. Examen microscopique. Réaction , atro- phie et disparition des cellules de Betz
qu'en dehors des remarques que nous venons de faire relatives à la réaction des cellules de Betz consécutivement aux lé- si
es paracentraux on remarque quelques cellules de Betz présentant la réaction à distance, dont une même en achromatose. Dans
nt lombaire. Durée de la maladie : un mois. Exa- men microscopique. Réaction manifeste dans les cellules de Betz des lobules
le tiers supérieur des frontales ascendantes quelques cel- lules en réaction . Pas de réaction dans le reste des frontales asce
r des frontales ascendantes quelques cel- lules en réaction. Pas de réaction dans le reste des frontales ascendantes. 3° Pau
Dans les lobules paracentraux on voit quelques cellules géantes en réaction . Pas de lésions dans les frontales ascendantes.
cheval. - Examen microscopique. - Lésions manifestes consistant en réaction à distance et en atrophie des cellules de Betz de
orsal. Durée de la paraplégie, 8 mois. Examen microscopique. Légère réaction dans les cellules de Betz des lobules para- cen
voit dans les lobules paracentraux beaucoup de cellules de Betz en réaction , certaines présentent l'atrophie pigmentaire. P
raux et des parties supérieures des frontales ascen- dantes sont en réaction et atrophie pigmentaire. Quelques pyramides géant
O rieures, quoique le processus fût assez ancien, ne produit pas de réaction dans les centres moteurs cérébraux. On conçoit
et par conséquent avec les mouvements volontaires. Plus encore, la réaction cellulaire suivie dans les différentes portions
dans le lobule paracentral. Dans les paralysies pseudo-bulbaires la réaction et l'atrophie des cel- lules géantes de l'écorc
re, réagit faiblement à l'accommodation. On ne peut rien dire de la réaction à la convergence, vu l'impossibilité d'accomplir
lions n'a révélé aucun phénomène spécial. Il ne se produit pas de réaction cutanée à la tuberculine. Mensurations DU crâne
ement des muscles abdominaux du côté gauche avec modification de la réaction électrique. Dans un cas de Schultze ce stade du
im et Bruns, les muscles atrophiés ne présentent pas de troubles de réaction électrique. Dans nos cas il n'y avait pas de sy
certaine importance à l'absence complète ou presque complète de la réaction électrique dans les muscles atrophiés (Oppenhei
s supérieures, des atrophies muscu- laires (même accompagnées d'une réaction de dégénérescence du muscle releveur de l'anus,
u rectum, des atrophies musculaires peu prononcées, l'absence de la réaction de dégénérescence (Warrington). D'après l'opini
e, leur persistance dans la région de l'os sacral et du coccyx, une réaction de dé- générescence bien prononcée dans les mus
uvent qu'apparente. D'ailleurs, après l'absolutisme de Charcot, une réaction était inévitable : en clinique, comme dans toutes
Couleur : jaune clair. ' Aspect : limpide. ' Densité : 1015. Réaction : acide. Acidité exprimée en H' S0 : 0.833 0/00
! 350 gr. Couleur jaune paille. Aspect : limpide. Densité : 1.026. Réaction : acide. ,correspondante à 1,176 0/00 d'il' SO'
grammes. Couleur : jaune paille. Aspect : limpide. Densité : 1.012. Réaction : acide, correspondant Ù 1,3ï 0/00 de H'SO4. Ur
s presque tous les cas de tabes et de para- ]ysiegénéra)e,)orsque)a réaction pupillaire à la lumière faisait défaut.Les nerf
dre le squelette au cours du développement foetal et y produire une réaction , qu'il s'agisse de tuber- culose typique, néopl
intacte et les pupilles ne présentaient rien d'anor- mal dans leurs réactions à la lumière et à l'accomodation. Il faut noter
les autres. Cette multiplication cellulaire indique un processus de réaction à la périphé- rie des plaques. Les vaisseaux so
ou s'enfonçant vers la profondeur sous forme de pseudo-glandes. La réaction névroglique sous-jacente est peu intense. Moell
épendymaires, formations pseudo- glandulaires en particulier, avec réaction névroglique très marquée indi- quant « que ce n
de l'épithélium en pseudo-glandes s'enfonçant vers la profon- deur, réactions cellulaires et névrogliques dans la zone immédiat
ariablement une coloration verdâtre et que dans le cas actuel cette réaction est d'autant plus nette que les fibres voisines s
nt confirmées par d'autres recherches du même ordre. z Quant à la réaction qui s'observe au niveau du tapétum dans les cas
vons prati- LA MICROSOMIE ESSENTIELLE HMRRDO-FAMinAm lili5 que la réaction de Wasserm¡lI1n (méthode classique), et dans tous
12 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
noter aussi des dif- férences au point de vue de la motilité et des réactions électriques : dans les cas de pachyméningite le
cés, avec atrophies muscu- laires même assez accusées, sans que les réactions électriques présentent d'altérations accentuées
ns ; dans lespachymé- ningites, au contraire, les modifications des réactions électriques corres- pondent davantage aux troub
es- pondent davantage aux troubles moteurs et les manifestations de réaction de dégénérescence se montrent plus caractérisée
laire inférieur ne présen- tent pas d'altérations notables de leurs réactions , mais que les réactions des muscles du groupe r
n- tent pas d'altérations notables de leurs réactions, mais que les réactions des muscles du groupe radiculaire supérieur son
es définitives avec atrophie musculaire accompagnée de troubles des réactions électri- ques assez nets pour permettre de les
de vue de leur volume,- de leur force et de leurs fonctions ; leurs réactions électriques sont bonnes. Le deltoïde gauche est
igre que le droit, mais sa force et ses fonctions sont bonnes ; ses réactions électriques ne présentent actuellement aucune a
e même ; elles sont assez bonues comme volume, comme force et comme réactions électriques ; on n'y constate aucune trace de r
ce et comme réactions électriques ; on n'y constate aucune trace de réaction de dégénérescence. A l'avant-bras le long supinat
gri, mais il se contracte volontairement d'une façon manifeste, ses réactions faradiques et galvaniques sont encore affaiblie
r restent très paralysés, notablement atro- phiés et présentent une réaction de dégénérescence encore très accentuée. (Dans
ses, 1,8 série. Salpêtrière (1893-1894). UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉACTIONS ÉLECTRIQUES NORMALES PAR FÉLIX ALLARD. Nous
écartées l'une de l'autre, sont légèrement ailées. MYOPATHIE AVEC RÉACTIONS ÉLECTRIQUES NORMALES 29 Les membres supérieurs
lement en effet dans la 30 FÉLIX ALLARD . myopathie primitive les réactions électriques galvanique et faradique son quantit
que la diminution de la contractilité volontaire. Généralement les réactions électriques ne présentent pas d'altérations qua
pas d'altérations qualitatives comme celles qu'on rencontre dans la réaction de dégénéres- cence. On en a cependant signalé
dont les muscles présentaient en général une diminution simple des réactions électriques, mais dont le vaste interne de la c
presque complète des muscles des jambes avec l'in- tégrité de leurs réactions électriques, l'abolition de tous les réflexes ten
ns l'hypothèse de M. Marie, comment expliquer aussi l'intégrité des réactions électriques ? Ce ne seraient pas seulement des mo
les fléchisseurs, Rev. Neurologique, 1900, p. 218. MYOPATHIE AVEC RÉACTIONS ÉLECTRIQUES NORMALES 31 au cours de la présenta
peler que chez deux frères myopathiques présentés par M. Cestan les réactions électriques étaient remarquablement bien conser
'altérations qua- litatives plus ou moins semblables à celles de la réaction de dégénérescence. L'important est de suivre l'
périeurs ; Une diminution simple de l'excitabilité galvanique, sans réaction de dégé- nérescence. Cette diminution de l'ex
Diminution simple de l'excitabilité faradique et galva- nique sans réaction de dégénérescence. Intégrité de la sensibilité et
graphie de l'atrophie des membres qui a débuté par leur racine, les réactions électriques et l'absence de tremblements fibril
de la sensibilité, ni de secousses fibrillaires, ni de troubles des réactions électriques, donnant à la palpation une sensation
t la forme de leur crâne est normale. Nous signalerons l'absence de réaction de dégénérescence; non seulement l'in- version
ire est brève, sans cette lenteur spécifique en quelque sorte de la réaction de dégénérescence. « L'excitabilité électrique
électrique des muscles donne les résultats suivants : il existe la réaction de dégénérescence dans les muscles grand-fessiers
e la réaction de dégénérescence dans les muscles grand-fessiers, la réaction électri- que est éteinte ou très affaiblie dans
s grand-sciatiques, cruraux et tibiaux postérieurs, il n'y a pas de réaction faradique, ni galvanique avec 15 milliampères. Le
ut et toujours, aussi bien dans les muscles que dans les nerfs, les réactions électriques ont été normales. On peut donc dire q
ident qu'il ne s'agit pas d'une myopathie (douleurs, anes- thésies, réaction de dégénérescence, distribution spéciale de l'amy
ophie ; 2° Ré- action de dégénérescence ou plutôt modifications des réactions électri- ques ; 3° Fréquente existence de troub
es et ceux des cuisses. En effet dans ces derniers il n'y a plus de réaction de dégénérescence, mais bien absence à peu près
n de dégénérescence, mais bien absence à peu près complète de toute réaction électrique. Les troubles de la sensibilité sont
e excitabilité faradique affaiblie se contractent lentement et leur réaction tétanique cesse beaucoup plus tôt que dans les
lques-uns des phénomènes d'affaiblissement qualificatif en forme de réaction camcté1'isti- que de dégénérescence. Il faut au
teurs périphériques : on a découvert la contraction fibrillaire, la réaction de dégénérescence, l'affai- blissement et l'abo
égénéra tive, ce qu'on voit de l'examen microscopique et d'après la réaction de dégénérescence ; on est forcé de penser que
Tout cela se retrouve chez notre malade. f) Des modifications des réactions électriques : elles sont inconstantes. Elles pe
té de l'atrophie musculaire et des mo- difications qualitatives des réactions électriques (R. D.), l'apparition pré- coce d'u
musculaire progressive, l'absence de modifications qualitatives des réactions électriques, l'absence de troubles trophiques c
nticulaire, dans la couche optique ou dans la capsule interne, même réaction symptomatique. Il en sera encore de même quand
mènes indiquant que les tuniques vasculaires ont été le siège d'une réaction inflammatoire quelconque. Ce phénomène qui n'es
mage de corps granuleux. Dans un cas de ce genre, en présence d'une réaction sembla- ble le processus de périartérite est bi
stionnaire, et ne manifestant, par son faciès, son attitude, et ses réactions , qu'un état gé- néral d'engourdissement, d'iner
t de rigidité spastique avec athétose des pieds et des mains et les réactions électriques, les réflexes sont proba- blement n
s jambes. Le volume des mollets est normal, mais ils présentent des réactions de dégé- nérescence. Il est fort probable que n
finie. Si en un point se fait un contact avec un corps étranger, la réaction de l'organisme montre que le contact a été topogr
plasmi- que. Le contact s'est fait en tel point et non ailleurs, la réaction du plastide prouve que la définition topographi
nous laisser ou indifférents, ou passifs, ou provoquer en nous une réaction motrice. Dans le monde des perceptions sensorie
n avec tant de vivacité et de force, qu'elle provoquera en nous une réaction motrice qui, à l'état normal, sera le plus souv
ndantes du champ cortical des représentations d'attitude. Que cette réaction motrice parle d'une perception sensorielle, obj
'abord sur l'élément noble, mais qu'il s'est fait en même temps une réaction du tissu de soutien qui parait avoir touché d'u
ans exagération des phé- nomènes cérébraux; on en conclut que cette réaction est due seulement aux lésions pulmonaires et qu
il dit ne voir que du blanc. Les deux pupilles sont égales, mais la réaction à la lumière est paresseuse des deux côtés.'
ues exemples typiques montre et précise amplement les deux modes de réactions vaso-motrices des sujets. Tandis que chez l'un, L
reuse des « frères chinois » nous nous en tenions non seulement aux réactions verbales du sujet mais encore à leur mimique et
En échange Liao-Sienne- Chen a une sensibilité plus aiguisée et ses réactions psychosensorielles, telles que nous avons pu le
ger aux mouvements et modifications initiales. Il résulte alors des réactions communes, qui sont le commencement ou plutôt l'
s dissocie (Fig. 8). A mesure qu'on approche du ganglion on voit la réaction inflammatoire interstitielle augmenter. Les rac
, les méninges, les gaines péri-fasciculaires montrent une certaine réaction in- flammatoire (épaississement des gaines, exi
. Troubles sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite; absence de réaction à la lumière. Diminution considérable de l'acui
tion quelque peu excessive, ne pou- vaient manquer de provoquer une réaction , elle-même exagérée. C'est ainsi que nombre d'a
ée, car le malade réagit aux excitations cutanées. Mais son mode de réaction et tout à fait particulier et porte la marque du
habituel. Il semble que P.... s'applique à s'opposer à tout signe de réaction : C'est ainsi qu'une excitation cutanée légère
lement raidi à l'avance, qu'il est impossible de saisir un signe de réaction . D'ailleurs, lorsque P... consent à répondre, il
osif. D'autres fois, au contraire, il fait comme P ? et son mode de réaction ne consiste que dans une exagération manifeste du
de troubles de la sensibilité cutanée, sauf un retard énorme de la réaction à l'excitation. Réflexes tendineux très exagéré
tions de l'excitabilité mécanique et électri- que qui rappellent la réaction myotonique de la maladie deThomsen. Observation
ans l'abduction forcée. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 399 Réaction à la convergence normale. , La convergence est
éaction à la convergence normale. , La convergence est normale. ' Réaction de la pupille normale quand on projette la lumièr
très peu prononcée quand on la projette sur la rétine, donc pas de réaction hémianopsique, Le réflexe à l'accommodation e
e, qui jointe aux autres modifications, fait songer tout d'abord la réaction myotonique. En électrisant les muscles du molle
mécanique et électrique, nous retrou- vons chez Vig. comme dans la réaction myotonique; 10 Pour le muscle : L'augmentatio
e du courant, pendant la décontraction. ' 2° Pour le nerf : Des réactions normales, ou diminuées. Il manque il ce tableau
muscles donc' l'excitabilité est plutôt diminuée (1). A part les réactions électriques, un autre rapprochement peut être fai
ur tirer une conclusion de ces faits. Sommes-nous en présence de la réaction myotonique,ou d'une forme un peu particulière d
de la réaction myotonique,ou d'une forme un peu particulière de la réaction de dégénérescence ? La tétanisation faradique p
des muscles ; et si cette recherche aboutit à la constatation de la réaction de dégénérescence, faites des réserves relative
que parfois l'atrophie cellulaire puisse s'effectuer isolément sans réaction de la capsule. Quoi qu'il en soit, on peut, c
sant de physiologie nerveuse : doit-elle être interprétée comme une réaction du neurone irrité par la section, comme un proces
our' elle des' ex- citations physiologiques et ne provoquent pas de réactions physiologi- ques.. 1 " *' La manière propre d
Bernhardt consi- dérait comme formes frustes, en se basant sur les réactions électriques, des cas que nous ne pouvons faire
ns quantitatives et, par places, de modifications quantitatives des réactions électriques. L'abolition du réflexe achilléen ;
actère massif de cette atrophie ; La nature des modifications des réactions électriques ; Le refroidissement du membre para
révulsion sous forme de pointes de feu, dans l'espoir d'apaiser la réaction irritative que le foyer hémorrhagique est censé
de polyurie : 13 litres d'urine claire, de densité 1027, donnant la réaction du su- cre et déviant le polarimètre de 5 0/0.
rétraction (2 pl.), J, par Cestan et Lejosne, 38. Myopathie avec réactions électriques »or- males (Un cas de) (1 photocoll
VUR- pas, 247. TABLE DES AUTEURS ALLARD (FÉLIx). Myopathie avec réactions électriques normales (Un cas de) (1 phot.), 2
13 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
'ophie elle-même, n'y est pas rare et qu'elle peut s'accompagner de réaction de dégénérescence. La fièvre hystérique elle-mê
électrique pratiqué par M. Vigoureux donne les résultats suivants : réactions électriques normales. Pas d'atrophie. Anesthési
mum du courant faradique, plus faible pour les deux premiers. Mêmes réactions pour le courant galva- nique, Thénar : inexcita
: faible adduction du pouce et du petit doigt. IIypothénar : pas de réaction galvanique (à cause de la grande résistance de
réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la région). Réaction faradique à peu près normale. Muscles abdominau
les électrique- ment, quel que soit le genre du courant employé; la réaction de dégénérescence fait défaut. Les réflexes son
ssion sur les globes oculaires. Dans la période léthargique, aucune réaction aux diverses excitationssensitives et sensoriel
fille simple, sans culture, ne présente qu'un nombre restreint de réactions simples. Nous verrons au contraire notre troisièm
ième sujet, fille plus cultivée, plus intelligente, nous donner des réactions beau- coup plus complexes et plus variées. No
sion sur les globes oculaires. Pendant la phase léthargique, aucune réaction aux excita- tions sensitivo-sensorielles, comme
mples ; sons divers, musique rhythmée. La parole ne provoque aucune réaction ; oh a beau lui crier aux oreilles des mots sim
laires dans les muscles atrophiés de ses membres supérieurs. Les réactions électriques des muscles n'ont pu être recherchées
es ne réagissent plus au passage du courant, d'autres présentent la réaction de dégénérescence. Les réflexes patellaires sont
on font défaut. La perte des réflexes à gauche, sans atrophie, sans réaction musculaire anormale, prouve que la moitié gauch
ra- lisée et, fait intéressant à noter, elle ne s'accompagne pas de réaction de dégénérescence; les muscles atrophiés présen
ussi bien que les muscles abdominaux au tronc, ne présentent pas la réaction de dégénérescence. Les sterno-cléido-mastoïdien
- nime. L'adduction se fait bien; les adducteurs ont conservé leurs réactions électriques normales et paraissent encore ferme
e volume (1200 gr.), l'aspect, la couleur, la densité (1.019) et la réaction de l'urine sont normaux. Elle ne renferme aucun
e thénar a complètement dis- paru. Il s'agit d'atrophie simple sans réaction de dégénérescence (examen de M. Vigoureux). M
érieurs, de même que des droits inférieurs et obliques supérieurs). Réactions pupillaires complètement intactes. Aucune diffé
s l'atrophie musculaire d'origine myélo- pathique l'existence de la réaction de dégénérescence. Des différents cas précités,
e. Des différents cas précités, celui de Sachs est le seul où cette réaction de dégénéres- cence soit expressément signalée.
Chez ce dernier malade, M. Vigouroux a remarqué que l'anomalie de réaction se rapproche de la réaction de dégénérescence par
Vigouroux a remarqué que l'anomalie de réaction se rapproche de la réaction de dégénérescence par un point, il savoir la no
citabilité faradi- que, contrairement à ce que l'on observe dans la réaction de dégéné- rescence. Dans une affection connexe
de cause spinale, M. Vigoureux a constaté plusieurs fois que cette réaction faisait complètement défaut. L'ab- sence de ce
es, sui- vant des circonstances non encore analysées, entraînent la réaction de 2M ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
re un affaiblissement parallèle des deux modes d'exci- tation, sans réaction de dégénérescence. Les membres inférieurs très
ernière affection. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies des réactions électriques des muscles et en particulier de l'
ctions électriques des muscles et en particulier de l'absence de la réaction de dégénérescence, ainsi que de la présence des
douter de l'origine centrale de la maladie. Pour ne parler que des réactions électriques, que voit-on en effet dans l'atroph
n en effet dans l'atrophie myopathique ? une absence d'anomalie des réactions , mais une simple diminution de l'énergie des co
rophiés, les uns réagissent normalement, les autres présen- tent la réaction de dégénérescence. On comprend d'après cela que l
on de dégénérescence. On comprend d'après cela que les anomalies de réaction puissent manquer complètement, bien que des cas
qu'il en soit, on ne saurait tirer de cette absence d'anomalie des réactions électriques' des conclusions légitimes contre l
contre l'origine centrale de la 1 . Ces considérations au sujet des réactions électriques dans la polioencéphalite ont été ré
inutieux du malade. Tout d'abord cette absence de troubles dans les réactions électriques dont nous parlions plus haut ne pla
que oeil, produisant un léger strabisme convergent. En l'absence de réaction de dégénérescence dûment constatée, il est pres
ux yeux sont extrêmement limités. Pas de diplopie, pupilles égales, réaction normale à la lumière, accommodation normale. Doub
as de troubles de la sensibilité. Réflexe rotuliou conservé. Pas de réaction de dégénérescence. l'as de contractions fibrillai
ôté, un peu rétrécie, ne réagissait plus à la lumière; il droite la réaction pupillaire était insuffisante. Strabisme divergen
e avec balbutiement. Le pouls, la température, la sensi- bilité, la réaction électrique des muscles sont normaux. Le réflexe
ovoqué la moindre souffrance; ces plaques s'étaient produites, sans réaction , à la suite de traînées rouges irradiées le long
ntière de la contractilité faradique, constitue un type très net de réaction de dégénérescence. Il ne semble pas que la seco
Hutclaizsoz permettent d'af- J ! firmer le diagnostic. L'absence de réaction de dégénérescence, plu- sieurs fois constatée e
placement des différents seg- ments du membre intéressé. Le mode de réaction des muscles à l'exci- tant diffère suivant les
s. 3° L'examen électrique pourra être un précieux auxiliaire. Les réactions électriques se troublent assez rapidement dans le
ctro- cutanée. La sensibilité électro-musculaire persiste( ? ). Les réactions muscu- laires sont normales; la résistance élec
proportion du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégéné- rescence. ' « 5° Celte atrophie pe
iqué par M. Vigouroux a démontré très nette- ment l'existence de la réaction de dégénérescence. z Cc sont la trois ordres de
esquels l'examen élec- trique pratiqué par M. Vigouroux a montré la réaction de dégénéres- cence. Ajoutés au cas que nous ve
'ancienne formule, et de reléguer au rang des préjugés l'absence de réaction dégénérative dans l'amyotrophie des hystériques.
476. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 413 pour la réaction de dégénérescence et désormais la rechercher : on
ur différentielle absolue. Point n'est besoin, pour expliquer cette réaction de dégénérescence, d'admettre l'existence d'une
e Paris. 1890. . 4H NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de réaction de dégénérescence, de telle sorte que cette intég
é des nerfs vient en somme à l'appui de notre théorie. En effet, la réaction dégénérative existe dans l'amyotrophie hystériq
it-elle erronée que les faits n'en existeraient pas moins et que la réaction de dégénérescence dans l'amyotrophie hystérique
contractions fibrillaires, sans particularités au point de vue des réactions électriques. » Un autre hystérique de son service
sont nulle- ment comparables entre eux. En ne tenant compte que des réactions électro-musculaires et en nous plaçant au point
amyotrophies myopa- thiques ou arlliropatliiqties; 2° l'autre avec réaction de dégénérescence et avec ou sans secousses fib
cette amyotrophie était accompagnée de secousses fibril- laires, de réaction de dégénérescence, tous caractères qui, vu la loc
que, les résultats que nous consi- gnerons plus loin, en regard des réactions actuelles. Vers le milieu de l'année 1888, M...
deux années et demie d'intervalle). 1° Examen du mois d'avril 1888. Réaction de dégé- nérescence dans le premier radial exte
terne droit. Les interosseux et les muscles du pouce présentent des réactions électriques normales. ? 2. Exa- men du 19 août
rapidement ; elle s'est accompagnée de secousses fibrillaires et de réaction de dégénérescence. Puis, lentement, l'atrophie a
atrophie a rétrocédé, les mouvements de la main sont revenus et les réactions électriques dégénératives n'existent plus deux
ente comme les deux précédentes des secousses fibrillaires et de la réaction de dégénérescence. Par une coïncidence assez ét
même degré d'atrophie musculaire sans secousses fibrillaires, sans réaction de dégénérescence. Mais l'amyotropllie hystérique
cer quelques règles générales a ce sujet. A priori, l'atrophie avec réaction dégénérative paraît plus grave que l'amyotrophi
aralysie du, long péronier latéral qui s'accompagna d'atrophie avec réaction de dégénérescence. Au bout de dix-huit mois l'a
d'une variété nouvelle d'amyotrophie hysté- rique, d'atrophie avec réaction dégénérative. Cette variété repose sur i, quatr
ncantes. Il ne faudra donc plus s'autoriser de l'existence de cette réaction pour éliminer l'hystérie et rapporter les lésio
ue simulant l'amyotrophie infantile mais ne s'accompa- gnant pas de réaction de dégénérescence. En effet, électriquement par-
Aucun trouble électrique. 20 Membre inférieur. Du côté gauche, les réactions électriques sont absolument normales. Du côté d
cita- bilité électrique galvanique et faradique; presque égalité de réaction à l'anode et à la cathode. Pas de réaction de d
ique; presque égalité de réaction à l'anode et à la cathode. Pas de réaction de dégénérescence. 3° Membre sitpé- rieur droit
mbre sitpé- rieur droit. Le bras et l'avant-bras sonl normaux comme réactions . Main droite : le premier interosseux dorsal ré
osant sonlabsents; le court fléchisseur aussi ; il reste une petite réaction pour l'adducteur, sans anomalie. Hypothénar : far
ligeance de notre collègue et ami M. Aus- cher, 4 août 1890). (A) Réactions faradiques- (appareil à chariots de Dubois-Reymon
-membraneux, le groupe des adducteurs et le pédieux, diminution des réactions faradiques; les autres muscles ne répondent plu
s des orteils où elles sont très affaiblies. c. Muscles du tronc. Réactions abolies à gauche, diminuées à droite dans le tr
auche, diminuées à droite dans le trapèze et le grand dorsal. (B) Réactions galvaniques (pile de Gaiffe). a. Côté gauche. -
avec huit et dix éléments et NrC > PFC. b. Côte droit. Pas de réaction de dégénérescence. 4° Sensibilité. Les réflexes
1888, y. 83). 43R NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 1° La réaction de dégénérescence dans les masses musculaires e
marqué que dans la syringomyélie. Les se- cousses fibrillaires, les réactions de dégénérescence peuvent exister dans l'hystér
tères spé- ciaux ; ce n'est ni son siège, ni son degré, ni même ses réactions élec- triques qui pourrontmettre sur la voie. S
raît encore plus obtuse du côté droit que d'ordinaire. Les temps de réaction sont aussi modifiés. L'exploration répétée de l
14 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
eine importé d'Amérique, son usage s'était tellement répandu qu'une réaction violente ne tarda pas à se faire sentir. Les mo
n pratiqué le 30 août 1899 avait mon- tré la bonne conservation des réactions électriques et l'absence de DR dans le domaine
postérieure du deltoïde gauche, hypoexcitabi- lité surtout pour les réactions galvaniques. Membres inférieurs. - L'examen éle
s ces divers territoires nerveux et de l'évolu- tion suivie par les réactions électriques (comme pour la motilité volontaire) i
eure de la cuisse. A gauche, les cou- rants galvaniques donnent des réactions normales ; mais droite, dans les muscles antéro
bles des sphincters. Pas de troubles de la sensi- bilité objective. Réaction de dégénérescence (N. F. C. = P. F. C. dans les
membres du côté droit qui seuls se sont atrophiés en présentant la réaction de dégéné- rence, aussi est-il impossible, sans
ependant dans notre premier cas la dissémi- nation des troubles des réactions électriques sur les muscles de plusieurs territ
fférentiel ni dans la physionomie des troubles moteurs, ni dans les réactions électriques, puisque Etienne et Spillmann ont c
t plus. La sensi- bilité est intacte. les réflexes sont normaux, la réaction électrique est con- servée. Le pouls est accélé
igente, incertitude du regard cependant. Ophtalmoscopie négative. Réaction des pupilles à la lumière abolie : pupille droi
un bruit qui ressemble au craque- ment d'une articulation luxée. La réaction électrique du nerf, comme du mus- cle est dimin
des noyaux, affirmation, du reste, qui est basée tout autant sur la réaction physiologique expérimentale des éléments de ce
erprétation des faits obser- vés dans nos propres expériences. La réaction des cellules nerveuses, qui se manifeste à la sui
olution des blocs chromatiques, que Marinesco a dénommée « phase de réaction ». A celle première phase succède la phase de r
ieu, si la lésion n'a pas provoqué l'atrophie de la cellule par une réaction trop violente. Les cellules des neurones moteur
ophiaient fatalement et disparais- saient à la suite de la phase de réaction . Dans son rapport au Congrès de Moscou, Van Geh
a nature de la lésion. II résulte de ces faits que les processus de réaction , de réorganisation ou d'atrophie se présentent
einté de bleu uniformément. Les stades les plus divers de l'état de réaction sont réunis ici et l'on peut suivre le processu
la chromatolyse de la cellule normale jusqu'à la phase ultime de la réaction . Nous avons d'abord un type assez peu répandu f
èse de cette bordure compacte par une activité exceptionnelle de la réaction , qui est alors si rapide que les blocs n'ont pa
coupes de ce ganglion des cellules représentant le stade ultime de réaction , cellules dans lesquelles la fonte chromatique es
toplasma. Si bien que l'on finit par obtenir, au stade ultime de la réaction , des cellules pâles, uniformément gris-bleu sale
s observés dans nos expériences. Comme phase ultime du phénomène de réaction , nous obtenons une cellule allongée, ayant un p
iscontinu de blocs chromatiques, destinés à disparaître aussi si la réaction est très violente et brusque. Le noyau est vési
de cellules qui sont profondément lésées et qui ont franchi l'état de réaction pour passer à la désorganisation et à l'atrophi
it. Quelques cellules cependant sont arrivées an stade ultime de la réaction . Mais (PI. XLV,q.r. s),le plus grand nombre pré
se. Nous n'avons trouvé aucun gonflement quelconque des cellules en réaction dans le ganglion gauche, pas plus que dans le g
du processus de réparation. Les cellules qui sont aux confins de la réaction ,quiont atteint le stade ultime de la dissolutio
ant lequel a lieu la rotation vertigineuse. Quoi qu'il en soit, les réactions sont normales, aussi bien pour la rotation il d
stéréognostique sont intactes. Sensibilités spéciales. - Vue. - Les réactions pupillaires à l'accommoda- tio,n et à la conver
e rétrécissement du champ visuel ; dans les cas de SangerBrown, les réactions pupillaires il la lumière sont lentes ou abolies
nt compréhensible, et provoque parfois une salivation abondante. La réaction ptipillaire à la lumière et à l'accommodation est
leur exploration électrique pratiquée par M. Huet a montré que les réactions faradiques et galvaniques étaient seu- lement d
s les muscles de la main et de l'avant-bras, qu'il n'y avait pas de réaction de dégénérescence. Nous n'insisterons pas sur l
. UN CAS D'AV1YOTItOP111 L. PROGRESSIVE DITE ESSENTIELLE » AVEC RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE PAR J. ABADIE J. DENOYÉS
LXIII A 13 C D AMYOTROPHIE PROGRESSIVE « ESSENTIELLE » AVEC RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE (J. 9hadie et /. T)t)0)'f'.t.
que nous avons observées très nettement, per- mettent d'établir la réaction de dégénérescence. Toutes les secousses que nou
ue deux des caractères spécifiques : caractère familial, absence de réaction de dégéné- rescence. Il n'appartient pas dava
ccommodation. La lumière jetée sur l'oeil gauche n'y produit aucune réaction , mais elle produit la contraction consensuelle
xcitant la peau dans la nuque avec le courant faradique, on voit la réaction de la pupille droite, pendant que la gauche res
pratiqué à plusieurs reprises a montré la bonue conser- vation des réactions électriques et l'absence de DR dans le domaine de
s nerfs sensitifs articulaires sont altérés, il y a insuffisance de réactions vaso-motrices et troubles nutritifs de ces arti
s rachidiennes sont elles-mêmes fortement altérées à ce niveau : la réaction est moins violente et les phénomènes douloureux q
rsement arti- culaire, l'évolution à froid, et surtout l'absence de réactions douloureuses à la percussion violente, au tirai
nier lieu enfin, une injection de tuberculine et l'absence de toute réaction fébrile affirmerait le diagnos- tic d'une façon
les yeux tous les stades de la chromatolyse, depuis le début de la réaction jusqu'à la réparation com- plète ou l'atrophie
(PI. LXXVI, d) se trouvent à un moment critique, aux confins de la réaction : vont-elles réparer leurs pertes de substance ch
ces cellules sont au cent vingt-deuxième jour après le début de la réaction . Mais même dans les cas où la chromatolyse n'ét
des cellules saines et des cellules pathologiques, en raison de la réaction qui s'est produite dans le gan- glion plexiform
ussi de nombreuses cellules (Pl. LXXVII, d) arrivées au terme de la réaction , très pâles, déformées, presque complètement priv
on pas, comme on pourrait le supposer, aux confins de la période de réaction seulement; mais aussi lorsque la réparation des
il ne peut ni sauter ni courir..... Le choc des mus- cles donne une réaction exagérée à la plupart des muscles du membre infé
venir d'une part la notion anatomo-patliolo- gique, c'est-à-dire la réaction organique par laquelle se traduit la myélite ai
it la myélite aiguë et, d'autre part, les agents qui provoquent ces réactions . Nous espé- rons que cette étude va nous condui
à l'hôpital fut pris brusquement d'une paraplégie accom- pagnée de réaction générale : fièvre, etc., à laquelle vinrent s'ajo
s et postérieures (fig. 5). Si nous passons a présent à 1 étude des réactions organiques de la myé- lite aiguë étudiée au poi
semées de petits vaisseaux infiltrés de cellules embryonnaires. Les réactions vasculaires peuvent aller plus loin et il sepro
au moins dans quelques cas, un agent microbien. Les phénomènes de réaction ne se limitent pas seulement aux vaisseaux, mai
de la moelle sont intéressés. Aussi nous trouvons dès le début, une réaction manifeste de la part des cellules névrogliques ,
ébut, une réaction manifeste de la part des cellules névrogliques , réaction consistant dans la tuméfaction du noyau et du cor
quefois de vrais nodules et il est fort probable que dans ce cas la réaction des cellules névrogliques est due à leur excita
je 568 MARINESCO suis parvenu parfois à trouver des microbes. La réaction des cellules de névroglie est déjà manifeste ap
res. Je désire attirer l'attention du lecteur sur ce fait que cette réaction des cellules névrogliques dont nous venons de p
action des cellules névrogliques dont nous venons de parler est une réaction primaire, initiale, due à l'irritation nutritiv
rritation nutritive de ces cellules, et il faut la distinguer de la réaction secondaire, plus tardive des mêmes cellules qui
apparaît lorsque la fibre nerveuse est altérée. En dehors de ces réactions vasculaires et interstitielles, il se passe dans
nt négatif. L'absence de microbes dans un autre cas de myélite avec réaction vasculaire intense n'est pas un argument décisi
de la cellule nerveuse. C'est pour cette raison, je pense, que les réactions généralisées des vaisseaux sanguins et lymphati
épinière, j'ai constaté dans les trois cas de rage chez l'homme des réactions vasculaires plus ou moins intenses, sous forme
bro-spinal et plus particulièrement dans la moelle, j'ai trouvé une réaction vasculaire avec infiltration leucocytaire, et l'e
les ont montré qu'il y a des cas de myé- lite aiguë avec toutes les réactions organiques qui la caractérisent sans qu'on retr
is jamais chez ces animaux ainsi paralysés, nous» n'avons trouvé de réactions organiques de la myélite. Les hyperhémies ou le
mais au contraire comme une altération importante à côté des autres réactions organiques de la myélite ; des recherches expér
seulement très intense, mais elle constituera également la première réaction organique de la méningo-myélite. D'autre part, le
endymaire dans la propagation du .virus de la rage. J'ajoute que la réaction des cellules névrogliques est très accusée dans
très accusée dans les cas où la méningite est intense et que cette réaction est primaire, c'est-à-dire qu'elle ne dépend pa
seulement des foyers de nécrose et de ramollissement, mais aussi de réactions vasculaires très intenses dans le domaine des d
la substance grise, soit celle de la substance blanche, sans aucune réaction inflammatoire. Ceci ne diminue en rien la valeu
jectés dans le canal épen- dymaire déterminent presque toujours des réactions inflammatoires violen- tes. Quelle en est la ca
sent, s'y multiplient, d'une manière considérable, de sorte que les réactions orga- niques sont en rapport avec celte multipl
us avons trouvé dans tous les cas de myélite bien caractérisée, une réaction vascu- laire consistant dans l'hyperhémie, l'in
ition même de la myélite. La myélite aiguë n'est autre chose que la réaction générale et initiale de tous les éléments const
URE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 583 y avoir des phénomènes de réaction du côté des vaisseaux et des tissus conjonctifs
pendant 3 mois et, à l'autop- sie, j'ai trouvé que la plupart des réactions inflammatoires avaient dis- paru. Il n'y avait
re un foyer inflammatoire dans le cordon posté- rieur gauche et une réaction vasculaire manifeste. Fio. 17 B. Sic 17 C. -
585 dans les espaces lymphatiques des vaisseaux sans déterminer des réactions vasculaires et leucocytaires. Dans ce cas les m
t très variables comme aspect et comme nature : elles varient de la réaction sim- ple et passagère jusqu'à la dégénérescence
r toxine, mais qu'elles relèvent encore en partie tout au moins des réactions vascu- laires, surtout lorsque ces dernières em
ère et l'une de celles qu'on rencontre du reste dans la plupart des réactions de la cellule nerveuse, c'est la tuméfaction des
vacuolaire de ces élé- ments. Cette lésion,marquant le début de la réaction de la cellule nerveuse n'a pas été vue fréquemm
ïdien, on peut les résumer de la manière suivante : 1° phénomène de réaction du côté des vaisseaux donnant naissance à une i
ance à une infiltration diffuse ou nodulaire ; 2° des phénomènes de réaction progressive du côté des cellules névrogli- ques
érum à différents intervalles, je ne suis pas parvenu à arrêter les réactions organiques dues aux streptocoques. Toute- fois
x que dans certaines conditions spéciales. Marinesco z) admet une réaction pour les nerfs crâniens, mais quand on y regard
admettre ses conclusions. Flemming (2) en mars 1897 constate les réactions qui apparaissent du quatrième au septième jour
se réduire en poussière. La résection est constamment suivie d'une réaction dans les cellules d'origine des nerfs lésés, la
ndant certaines différences entre les processus de réparation et de réaction qui s'observent dans les unes et dans les autres.
ujourd'hui pour admettre que les deux phases caractéristiques de la réaction et de la réparation existent dans les cellules
rences que présentent la préco- cité, l'intensité et la durée de sa réaction chromatolytique. La réunion des deux bouts du n
réparation des pertes de substance chromatique suc- cèdeà celui de réaction . Il a lieu toutes les fois que les lésions n'ont
u vague, opinion qui 'était en outre corroborée par la précocité de réaction de ce noyau au trau- LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMAT
e de son nerf. Or, on admettaità cette époque que la rapidité de la réaction et l'absence de réparation caractérisait la natur
chez le chat. A quoi donc faut-il attribuer une telle différence de réaction selon les animaux ? Nous nous bornons à poser c
ent pendant le phénomène de la chromatolyse. 5. Les phénomènes de réaction et de réparation sont sensiblement diffé- rents
sont plus rapidement éprouvées, plus long- temps et profondément en réaction et en réparation que les cellules mo- trice. -
en photocollogr.), 41, 184, 243. Amyotrophie dite essentielle avec réaction de dégénérescence, par J. Abadie et J. Denoyé
DnKOYËsJ.etJ. Asrame. Un cas d'amyo- trophie dite essentielle avec réaction de dégénérescence (avec 1 pi. en photocol- lo
xxxi,xxxv, xxxvi,xxxvii, XXXVdII. 1. Amyotrophie progressive avec réaction de dégénérescence (ABADIE et DENOYÉS), LX111.
15 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
égèrement la bouche, mais plus l'effort était considérable, plus la réaction , c'est-à-dire la contracture, était violente. M
ments, pensées, volitions \ aboutissent toujours finale- ment à une réaction motrice, volontaire ou automatique, consciente
sens, avec toute raison, selon nous. Mais ce qu'on peut refuser aux réactions spinales, c'est la qualité d'être intentionnelles
rapides et trop diffus, où les images se transfor- ment aussitôt en réactions motrices, la désintégration des centres nerveux
uvements systématisés étudiés par Brugia et Marzocchi sont donc des réactions automatiques provoquées par des stimuli interne
de la base et du bulbe sur les centres moteurs pour y provoquer une réaction automatique cérébrale, phénomène d'autant plus
élé- ments moteurs de ces régions conservent encore la trace des réactions par lesquelles ils répondaient aux diverses inc
re définitive, non seulement des hallucinations, mais de toutes les réactions motrices qui, à quelque degré que ce soit, acco
produite par l'excitation de la partie antérieure (9, fig. i) et la réaction , par l'excitation de la partie postérieure (10,
irecte des membres opposés. A part cela, je n'ai pas pu obtenir une réaction constante a l'excitation du reste du lobe tempo
, peut-être même, ni l'une ni l'autre représente la vérité. Car les réactions des mem- bres qui résultent de l'excitation de
de la question importante et très discutée de la signification des, réactions motrices qui ré- sultent de l'excitation électr
ctement localisée de ces centres dont l'excitation donne lieu à des réactions motrices définies. Une observation attentive de
à des réactions motrices définies. Une observation attentive des réactions dans les différents or- dres d'animaux, et ce f
Centres visuels. - Je vais d'abord appeler votre attention sur les réactions produites par l'excitation de la région occipito-
ges et de son homologue dans les différents animaux inférieurs. Les réactions , comme nous l'avons déjà vu, sont des mouvement
tié latérale correspondante des deux rétines (loc. cIl., p. 5). Les réactions cependant seraient complètement empli- quées pa
ique causera non seulement l'hémiopie mais aussi la paralysie de la réaction re- flexe de la pupille à la lumière ; tandis q
ésion des centres corticaux cause l'hémiopie mais laisse intacte la réaction pupillaire. Mais ce signe demande un grand soin
miopie dû à une lé- sion du tractus. . J'ai 1 écemment vérifié la réaction pupillaire hémiopique chez deux singes chez les
dans les deux, avec une hémiopie droite, il y avait une absence de réaction pupillaire quand un fin réseau de lumière élect
ue était projeté sur la moitié gauche de chaque rétme tandis que la réaction avait lieu quand la lumière était projetée sur
omme d'hémiopie dépendant des lé- sions de l'hémisphère, j'ai vu la réaction pupillaire égale quel- que fut le côté éclairé.
suelles. Chez les lapins, le centre visuel, suivant l'homologie des réactions électriques, occuperait la région pai iéto-occi
sphère visuelle chez les animaux supérieurs, homme ou singe, aucune réaction des impressions rétiniennes excepté celle de la
poissons, les reptiles et les oiseaux, il est lies possible que des réactions sem- blables puissent être découveites chez les
ctus optiques et des nerfs optiques : et de même la destruction des réactions optiques amène une atrophie strictement confiné
ydre sur la phenylamine (ani- line). Mais ce ne sont pas les seules réactions qui puissent donner naissance à ce corps; il se
s l'eau bouillante, jusqu'à ce que l'eau mère ne pré- sente plus de réaction acide et ne contienne plus de traces d'aniline.
e contienne plus de traces d'aniline. On s'en assure au moyen de la réaction suivante que j'ai fait connaître : on opère, so
uge orangé très abondant et le liquide prend la même couleur. Cette réaction est d'une sensibilité telle qu'elle se produit
ement volatile, et donnant enfin, avec l'hypobromite de soude, la réaction que je viens d'indiquer. - Propriétés chimiques
ement l'excrétion de l'urée et de l'acide sulfurique, tandis que la réaction acide augmente dans des proportions considérables
des muscles dans la maladie de Thomsen. - L'orateur a constaté la réaction myotonique de Erb chez un de ces malades. Si l'on
un de ces malades. Si l'on répète plusieurs fois l'excitation cette réaction diminue. Que l'on provo- que la tétanisation du
s ressemblent traits pour traits à des convulsions hystériques ; la réaction des pupilles sub- siste, la connaissance est co
èvement de la montée. C'est là évidemment l'excès de chaleur dû aux réactions chimiques. Mais, on le voit, il est précédé par
iens citent les paroles au début de leur étude, l'intensité de la réaction émotive dépend, non de la sensation simple qui
ENTRE DE l'audition Monsieur le président, Messieurs, Parmi les réactions que produit l'excitation électrique de l'écorce
électrique de l'écorce il en est une ou plutôt il est une série de réactions qu'on peut presque considérer comme indiquant u
que considérer comme indiquant une sensation auditive sub- jective, réactions qui m'ont guidé dans mes premiers essais pour d
inge, comme je l'ai vu dans des expériences actuelles. Cependant la réaction ne reste pas toujours aussi complète, après la
ure de la troisième circonvolution externe ou supra-syl- vienne. La réaction commune à tous est le redressement de l'o- reil
d'une sensation visuelle subjective, nous avons, je pense, dans ces réactions des signes plus caractéristiques d'une sensatio
un côté, on a trouvé une diminution ou une abo- lition totale de la réaction auditive, quand l'oreille du même côté était bo
nt le sens de l'ouïe ; mais on ne saurait affirmer que l'absence de réaction des oreilles persiste pendant tout le temps que
pour savoir s'il était complètement sourd ou non. On considéra ces réactions comme de simples coincidences, car, en général,
it quant à la possession entière de leur faculté auditive. Et leurs réactions aux sons ne pouvaient être interpré- tées, en s
animaux dans les cages voisines. Le dixième jour, même état. Aucune réaction aux appels, aux frottements des pieds, etc., br
de la semaine suivante montrèrent l'irrégularité apparente de ses réactions . Il devint évident que lorsqu'on laissait l'anima
e répond à aucune des épreuves qui auparavant produisaient une vive réaction et qui invariablement attiraient l'attention des
res lobes cérébraux, peut être enlevée sans abolir complètement les réactions aux sons, nous avons quelques raisons de penser
t diminué, l'animal parait totalement sourd, il ne se montre aucune réaction aux bruits d'aucune sorte, même les plus grands
uent les trajets d'une sen- sation véritable comme distincte de ces réactions simplement d'ordre réflexe plus ou moins généra
s de celte affection ; mode spécial de la con- traction volontaire, réaction myotonique de la contraction élec- trique, lési
Contribution A la connaissance ET A la signification CLINIQUE DE la réaction IDIOMUSCULAIRE EN bourrelet ou contraction IDIO-
rche ensuite de la périphérie au centre. On en a une preuve dans la réaction dégénérative. Cette affection, généralement hér
et le cubital du côté était paralysée inté- gralement ; il y avait réaction dégénératrice complète; l'anes- thésie occupait
une paralysie périphérique au point de vue de son étendue et de ses réactions électriques. [Quelquefois cette hémiplégie faci
électrique pratiqué par M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de réaction . PATHOLOGIE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES EXCIT
ns ce fait DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 361 que la réaction (de la malade vis-à-vis d'une excitation sensori
une tentative que nous n'essaierons pas de faire, cette fixité des réactions est à rapprocher de celle que nous avons consta
du délire hystérique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de réaction à une excitation donnée. Toujours, même à de lo
du corps, il y avait une absence complète ou à peu près complète de réaction aux excitations sensitives. Les membres n'avaie
gauche fut détruite. - Le résultat fut une crande diminution des réactions tactiles et douloureuses sur la partie postérieur
sion de la lèvre et de la name du même côté. Parfois cependant la réaction est biletérale etcela spécialement chezlelapin. L
dant la réaction est biletérale etcela spécialement chezlelapin. La réaction est la même que celle obtenue en plaçant direct
rectement sous la na- rine une odeurforte. Je n'ai pas remarqué une réaction semblable par l'excitation des hippocampes. Mai
des hippocampes. Mais tandis que nous pouvons être certains par les réactions extérieures de la sensation olfactive subjectiv
avait pour un temps au moins un affaiblissement ou une abolition de réaction provoquée par les odeurs acres ou les saveurs d
. 36. LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 401\ loure'use produisait une réaction aussi vive que celle du côté sain. C'est dans c
rquée s'est établie dans les membres paralysés avec exagération des réactions tendineuses, comme dans le cas d'hémiplégie inc
n des centres moteurs. On peut observer l'absence ou le défaut de réaction des membres paralysés à l'excitation sensitive ;
eurs conclusions. Elles me semblent basées surtout sur le défaut de réaction aux excitants sensitifs qui peut aussi bien s'exp
l'accès il y a, dans la plupart des cas, dila- tation pupillaire et réaction plus prompte aux excitations. Les réflexes de l
- ques. La seconde, de nature dégénérative, se caractérise par la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés et d
16 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
yes, a révélé dans les deux cas, la présence du typanosome Cruzi. Réaction de Wassermann négative. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE D
pas provoquer de contraction du deltoïde mais elle est suivie d'une réaction du grand pectoral, du triceps et peut-être du b
des muscles atrophiés est très affaiblie mais on ne constate pas de réaction de dégénérescence. La sensibilité objective est
on lombaire est pratiquée et on constate une lymphocytose nette; la réaction de Wassermann est positive dans le liquide céphal
ssion cervicale ; la lymphocylose du liquide céphalo-rachidien avec réaction de Wassermann positive, la constatation du signe
res atrophiés il n'y avait ni abolition com- plète des réflexes, ni réaction de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté
mine dans le liquide considérablement augmentée, pas de pléacytose. Réaction de Pirquet positive. 7 mars. Application de l'a
l (4" et 5e vertèbres dorsales). Le prétendu résultat positif de la réaction de Pirquet, n'écarte que pour un instant l'idée
les douleurs et l'état général du malade, le résultat négatif de la réaction de Pirquet, l'absence de symptômes de tu- bercu
it lutter contre celle des civilisateurs... Je ne veux ni action ni réaction , la réaction serait un retour au passé qui est un
tre celle des civilisateurs... Je ne veux ni action ni réaction, la réaction serait un retour au passé qui est une erreur, l
outre : céphalée, vomissements, atrophie blanche des deux papilles. Réaction hémiopique de Wernicke abolie. Cas de Ettore Le
mouvements sont arythmiques et inconstants. Sensibilités normales. Réactions électriques des muscles également nor- males. ,
lulaires constatée dans les autres parties de la thyroïde comme une réaction contre celte altération des inclusions, comme l
inclusions, comme le signe d'une hyperplasie supplémentaire, d'une réaction contre l'altération des capsules surré- nales a
lose) il manque assez souvent toute trace chez les parents ; que la réaction de Wassermann essayée en quelques cas a donné u
ôté droit. Du côté gauche, l'excitation plantaire ne détermine aucune réaction . Pas de clonus du pied. Les mouvements volont
fond de l'oeil est normal, ainsi que l'examen laryngoscopique ; la réaction de Wassermanu (sang) est négative. On ne peut d
aussi bien le sang que le liquide cérébro-spinal ne présentaient la réaction de Wassermann. Selon Leube le liquide hydrocéph
ecter le manque de contractions fibrillaires et l'exis- tence de la réaction normale électrique. 1 Il est vrai qu'il existe
la fois. Même avec des courants faibles avec lesquels on produitdes réactions uniminusculaires du côté droit, on ne peut pas
nt tentes et traînantes. Il existe par conséquent des phénomènes de réaction de dégénérescence complète dans les muscles jam
courants faradiques et des courants galva- niques,, montre que les réactions sont normales pour les nerfs et pour tous les m
ux ou superficiel. Quoi qu'il en soit, en raison de l'absence de la réaction de dégénérescence, l'examen électrique seul ne
n du pouce ; l'adduction reste intacte, ainsi que la flexion (1) La réaction longitudinale n'existe pas. PARALYSIE ISOLÉE DU
malade a présenté ; chez lui ni hémiplégie, ni ictus. En outre, les réactions électriques des muscles para- lysés, avec ou sa
ité électrique des muscles ne se traduisent généralement pas par la réaction de dégénérescence. Les réactions électriques re
traduisent généralement pas par la réaction de dégénérescence. Les réactions électriques restent en général normales, et con
résultat d'une névrite ? Il est vrai, non seulement il n'y a pas de réaction de dégénéres- cence, mais encore il n'y a pas d
a pas de réaction de dégénéres- cence, mais encore il n'y a pas de réactions électriques du tout. Au début des névrites, il
le vienne à céder la place à une absence totale de n'importe quelle réaction ? Cela se voit effectivement, notamment dans ce
'une manière apoplectiforme et il était alors trop tard pour qu'une réaction électrique quelconque fût décelable. Nous n'env
puis longtemps préparé, ce qui nous explique l'absence complète des réactions électriques, l'inexcitabilité absolue du muscle p
une paralysie isolée du muscle grand denlelé. Ils signalent que les réactions faradiques étaient nulles, les réactions galvan
elé. Ils signalent que les réactions faradiques étaient nulles, les réactions galvaniques presque nulles, dans le muscle, et qu
ut fait comparable au leur à ce point de vue, bien que l'absence de réaction soit dans le nôtre plus absolue. « Il est possi
ois une altération de la formule qualitative; il n'y a pas trace de réaction de dégénérescence ; les réactions de l'électro-
qualitative; il n'y a pas trace de réaction de dégénérescence ; les réactions de l'électro-diagnostic sont dans notre cas parfa
articulations et qui évoluent lentement et. progressi- vement, sans réaction inflammatoire, sans hypertrophie des ganglions,
gauche. Le liquide céphalo-rachidien est clair et sans albumine ni réaction cytologi- que. La réaction de Wassermann dans l
-rachidien est clair et sans albumine ni réaction cytologi- que. La réaction de Wassermann dans le sang fut trouvée fortement
es (je syphilis tels que déformations tilriales, troubles laryngés, réaction de Wassermann et en même temps, outre quelques
quelconque, et chez lui il n'y a pas de symptômes de syphilis ; la réaction de Wassermann a été négative. Cet homme ne fa
bondance. Mais ce qu'il y a de plus intéressant à étudier, c'est la réaction nerveuse au niveau de la cicatrice. A la suit
nde opération les cylindraxes du bout central ont présenté une vive réaction régénérative ; nous les voyons, dans nos prépara-
du fragment nerveux, une nouvelle section du nerf est suivie d'une réaction régénérative d'une extraordinaire exubérance ;
a paralysie à plusieurs reprises. A la date du 20 février 1905, les réactions électriques n'avaient pas varié, malgré l'appar
de de la rachicentèse est clair, ne renferme aucun diplo- coque. La réaction albumineuse est loin d'être aussi abondante que d
lles de Koch étaient nombreux dans les tuberculomes enlevés, que la réaction polynucléaire et non lymphocy- taire était plus
e Koch qu'à des toxines.Lorsque ces dernières sont seules en jeu la réaction est lymphocy- taire, le processus est plus torp
e malade n'en présente aucun stigmate, et son sérum ne donne pas la réaction de Wassermann. La seule cause à retenir pourrai
osseuses et de l'arrêt intellectuel ; les premières résultant de la réaction de l'os à l'in- Nouvelle Iconographie UE la SAL
YCÉPHALIQUE 427 toxication rachitique, les secondes résultant de la réaction du tissu mé- ningé. A ce point de vue nos malad
onné une diminution de l'excitation galvanique et faradi- que, sans réaction de dégénération de Erh (Entartungs-Reaktion). L
ouleur jaune claire, aspect limpide, sans dépôt, odeur sui generis, réaction acide, densité à 15° 1010. Il y avait 10,61 0/0
tion des pupilles, dont la droite est plus large que la gauche ; la réaction à la lumière est affaiblie ; le visage est asymét
égion antéro-externe de la jambe : il n'existe à leur niveau aucune réaction de dégénérescence. Assez différente par ses car
i de ces constatations cliniques : il montre à droite des traces de réaction de dégénérescence au niveau de l'extenseur comm
par le peu d'intensité des amyotrophies, enfin par l'absence de la réaction de dégénérescence. (1) PIERRE Marie et Foix, L'
'ex- traction, le liquide se prend en un coagulum fibrineux massif. Réaction de Wassermann négative dans le sang et le liqui
liquide est sous petite pression, jaunâtre, faiblement opalescent. Réaction Nouue-Spelt franchement positive. Un quart d'he
n lombaire, on extrait un liquide cilrin sous pression diminuée. La réaction des globulines avec le sulfate d'ammonium donne u
l est à noter que la paraplégie fut signalée même dans les cas avec réaction méningée diffuse. La paraplégie peut présenter
d'une compression médullaire, d'une para- lysie ascendante ou d'une réaction méningée généralisée. Chez nos deux- premiers m
e et dès les pre- miers symptômes, le malade a présenté une intense réaction méningée. Il nous a été envoyé en pleine périod
f de tout néoplasme rachi- dien l'hyper-albuminose (spécialement la réaction des globulines) avec l'absence ou l'exiguïté de
ment la réaction des globulines) avec l'absence ou l'exiguïté de la réaction cytologique. Ce caractère, constaté après aussi
um f1brinenx, comme dans un liquide de pleurésie. Guinard met celle réaction , qu'il désigne aseptique, sur le compte de l'an
ie de la solution injectée. Il est hors de doule qu'en dehors de la réaction méningée, notre malade a présenté aussi des tro
s réac- tions électriques. Cette radiculite pourrait être due à une réaction inflam- matoire parallèle avec celle méningée o
'ils ont trouvées ; ensuite, celui de Froin, où il s'agissait d'une réaction méningée survenue chez une jeune fille à la suite
néoplasme ou autles agents irritants toxiques peuvent provoquer une réaction méningée à caractères identiques, parce que tou
ci que la symphyse méningée, le néoplasme et plus rarement quelques réactions généralisées des méninges constituent les trois
parenté de ces trois pigments est démontrée aussi par une série de réactions chimiques. « Eu effet, l'action des acides énergi
RADOVICI mentée et toujours proportionnelle avec l'intensité de la réaction mé- ningée. La quantité moyenne dans le tabes e
syndrome dont il s'agit est loin d'être toujours l'expression d'une réaction inflammatoire, ces chiffres nous démontrent que l
ible d'établir une formule précise. On note presque toujours que la réaction cytologique est faible, et en tous cas ne corresp
tion que nous de- vons considérer le résultat paradoxal de ces deux réactions comme un précieux élément de diagnostic des néo
minorachie, réunis par Raven (1912), 27 sont tout à fait exempts de réaction lymphocytaire, et dans les aulres le nombre des
ait faiblement exagéré. D'après cet auteur la dissociation des deux réactions serait un caractère différentiel pour toule com
in. Wochenschr., 19oi, n° 50. FROIN. - Inflammation méningée avec réactions chromatique, fibrineuse et leucocyli- que du li
ral. ' Thèse Paris, décembre 1904. - et IlAbIOND. - Evolution des réactions cellulaires et "érl1-/ib¡'ineu..e dans le liquide
Zeitschr. f. Ner- venhk., 1911, Bd 42 S. 85. SICARD et )''0[X. - Réaction du liquide céphalo-rachidien au cours des pachymé
17 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l. II. 1 2 ASSISTANCE. , dans tous les cas et à coup sûr quelles réactions se ma- nifesteront en vie familiale libre. '
de l'âme, l'âpreté des combats intérieurs, et aussi l'intensité des réactions réciproque; des co-êtres l'un sur l'autre ou du
e d'un accident passé inaperçu et ayant eu pour conséquen- ce des réactions in loco. Toutefois, l'absence complète d'anamnè
zone du membre supérieur, probablement par compression jointe à la réaction des parois du crâne : une lésion dans la substa
menté sur le chat : la section des racines postérieures produit des réactions bien différentes dans les deux prolongements de
lades particuliè- rement dangereux en raison de leurs tendances aux réactions vio- lentes, ainsi que des aliénés difficiles q
reux par un rapport médical motivé,en raison de leurs tendances aux réactions violentes ; « 4° Que dans l'article 35 ainsi co
la mentalité est constituée par l'exagération et la perver- sion de réactions psychiques et psycho-psychiques qu'on rencontre
ychiques qu'on rencontre chez l'individu normal, en particulier les réactions CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTE
anormal de l'individu à l'égard des exigences de la vie. Ce mode de réaction anormal est souvent la conséquence des entraves
cinés et les désen- chantés qui présentent encore la simplicité des réactions psychiques de l'enfant. D'' Terrien (de Nante
émotives. Notre collègue et quelques auteurs avec lui considère les réactions hystériques comme des réactions nor- males exag
ques auteurs avec lui considère les réactions hystériques comme des réactions nor- males exagérées. Mais quelles sont ces réa
ues comme des réactions nor- males exagérées. Mais quelles sont ces réactions ? Quel est leur caractère commun ? Leur nature
isagé aussi je me permets de vous soumettre l'idée suivante : Les réactions hystériques sont des réactions ayant la signi·
vous soumettre l'idée suivante : Les réactions hystériques sont des réactions ayant la signi· 152 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNI
152 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. fication de réactions de défense ou des phénomènes symboli- sant une
mènes symboli- sant une défense. Mais ce sont, pour la plupart, des réactions qui ne sont plus usitées chez l'individu normal
uelques-unes d'entre elles ne sont peut-être que la réviviscence de réactions ancestrales dont l'utilité biolo- gique ne se l
que le déséquilibré mental produit par ces troubles (primaires) de réaction inhibitive engendre des symptômes secondaires q
e des symptômes secondaires qui n'aient, eux, rien à faire avec des réactions de défense. M. Bon (Rome) a fait une enquête da
on de résistance du système nerveux d'abord, qui permet à certaines réactions de se produire, réactions qui sont peut-être pl
e nerveux d'abord, qui permet à certaines réactions de se produire, réactions qui sont peut-être plus intenses, mais non diff
gne d'atteinte du faisceau pyramidal, comme le réflexe classique. Réaction hémioptique de Wernicke. M. Dupuys-DuTEMPS mont
ment de la moitié anesthésiée de la rétine ; M. Déjérine a vu cette réaction très nette dans un cas de lésion calcarine. A
Lavastine et Leroy n'ont trouvé aucune lésion inflammatoire, aucune réaction méningée,ni conjonctivo-vasculaire; il existait
oupes de projection demeure- raient intacts. Il y aurait absence de réaction méningée, absence de toute lésion vasculaire :
gée, absence de toute lésion vasculaire : on ne trouverait pas de réaction des parois endothéliales, pas de diapédèse, pas
réduits à leur minimum ou ont disparu ; de là vient l'ab- sence de réaction lymphocytaire. Ils pensent que les constatation
nt. Secondairement aux malaises sensitifs, peuvent apparaître des réactions variées, d'ordre anxieux ou hypocondriaque. Le
ction causale. L'examen bactériologique du sang fut négatif. Pas de réaction leucocytaire dans le liquide céphalo-rachidien,
ur descendre jusqu'à son extrémité, avec contractions fibrillaires, réaction de dégéné- rescence. Presque pas de troubles se
nerveuses) peut se transformer en immo- bilité absolue (perte de la réaction à la convergence). La localisation de la lésion
raplégie dû à la myélomalacie, que des traînées cellulaires avec réactions scléreuses ayant amené le processus anatomopathol
à plus forte raison est-il impossible de synthétiser les modes de réaction de plusieurs individualités connexes. Pour cett
MENTALE. quantitatif, soit qualitatif des facultés intellectuelles. Réactions : menaces et violences ; idées de suicide, refu
grande importance symptomatique et diagnostique. C'est une de ces réactions , bris de carreaux dans un bureau de placement,
z la malade des gestes que nous croyons devoir considérer comme une réaction de défense. Ce sont d'ailleurs les mêmes que ce
uvais caractère et qu'il fallait lui donner un mari comme elle ; sa réaction de défense enfin pourrait être envisagée comme
gable, elle élabore, raisonne, réfléchit sans jamais cesser. 4° Les réactions enfin de notre malade diffèrent de celles des p
ubies ! Or, au lieu de trouver la cause de son internement dans une réaction contre ses persécu- teurs, elle la trouve dans
etc.) ; : 3 Evolution progressive du délire ; 4° Contingence des réactions pourtant mieux en rapport avec leur mobile.
dites ; 3° Fixité des conceptions mor- bides ; 4e Constance des réactions disproportionnée à leur mobile. « En résumé
e point un état congénital ? L. VA II L. XXVI. Le mécanisme de la réaction électrique de Jolly ; par M. Dott. Alberto SALO
to SALOON (Firenze). (Policlinico sez. medica, Vol. XIV 1907.) La réaction de Jolly par ses particularités bien définies par
phies mus- culaires d'origine médullaire, cérébellaire etc. Dans la réaction myasthénique on observe l'épuisement électrique
profonde des fibres striées et dans ce cas on observait une prompte réaction myasthénique galvanique. La réaction de Jolly a
cas on observait une prompte réaction myasthénique galvanique. La réaction de Jolly au contraire se caractérise seulement pa
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 363 riabilité de la réaction et pas toujours sont constantes ses relations a
fications électriques ob- servées dans le premier cas la définition réaction myasthénique est très exacte parce qu'elle révè
le révèle l'épuisement du muscle, on ne peut pas dire de même de la réaction de Jolly,dans laquelle nous obser- vons la norm
c- tion. Le galvanisme non seulement est impuissant à produire la réaction de Jolly mais aurait une influence favorable sur
favorable sur l'épuise- ment faradique (Murri). D'ailleurs dans la réaction de Jolly on ne peut pas admettre l'épuisement d
sme obéit parfaitement à la stimulation indirecte par le nerf. La réaction de Jolly même qu'on observe par la faradisation d
sait, s'épuisent toujours avant le nerf, ainsi le fait que,dans la réaction de Jolly, les nerfs, dans les points même inexc
affections du nerf. Le mé- canisme cependant de cette intéressante réaction serait parfaite- ment éclairci en supposant que
t observé par Flora, Alber- toni et par l'A. dans trois cas avec la réaction de Jolly. Notre hy- pothèse expliquerait toutes
liquerait toutes les particularités autrement inexpli- cables de la réaction de Jolly ; c'est-à-dife : 1° la perte d'excitabi-
e nerf et vice versa. 3° L'indépendance maintes fois observée de la réaction de Jolly avec l'asthénie, sa présence dans les
farado-musculaire sur les stimulis volontaires et galvaniques. La réaction de Jolly, essentiellement due à l'épuisement des
résident à l'appareil nerveux de la peau. L'origine corticale de la réaction de Jolly,déjà admise par Goldflam, s'accorderait
h. B. XXXIII. ZurPrüfung derPupillenreaktionén. (Sur l'examen des réactions pupillaires) ; par HEDDAEUS, d'Essen. (Ctnbl. f.
Psy. chi. XXIX, f. 213, p. 385 et 386, 15 mai 1906. L'absence de la réaction de convergence ou réaction à l'accom- modation
385 et 386, 15 mai 1906. L'absence de la réaction de convergence ou réaction à l'accom- modation d'un seul côté, indique une
lésion du M. 0. C., seul nerf que parcourt alors l'excitation. La réaction à la lumière intéresse au contraire deux nerfs (I
rité, on dit qu'il y a immobilité réflexe ou absolue,suivant que la réaction à la convergence est conservée ou a disparu. Qu
es déformations de l'épaule dans les diverses positions du bras, la réaction électrique de dégénéres- cence, la conservation
sa durée qui varie de quelques heures à deux jours, la tendance aux réactions violentes, l'amnésie de tout ce qui est survenu
ors qu'elle ne réveille plus, en surgissant dans la conscience, ses réactions habituelles ; le diagnostic est alors difficile
la cellule à compter de Fuchs et Rosenthal. D'après l'auteur,il y a réaction pathologique,par conséquent cy- to-diagnostic p
thologie mentale. 11J3 de doute, la rumination mentale, lès tics de réaction , de perfection- nement ou de défense,des phobie
e de l'idée obsédante, presque abandonnée actuellement, celle de la réaction émotionnelle, celle de l'aboulie. L'hérédité, l
e, dans lesquelles les troubles des perceptions com- '- mandent des réactions motrices diverses (impulsions homicides', suici
rois ans de paralysie double avec atrophie musculaire, troubles des réactions électriques dans la région du plexus sacré, ane
ait que lui donner une modalité particulière ; il s'agit donc d'une réaction fonctionnelle réflexe. 'J. PIOLET. SOCIÉTÉ D'
alcoolisme, 783 ('il, 40 %) nous en avons trouvé : a) tt)u4 avec réactions criminelles, soit comme fréquence. Go, 74 alcoo
e et craniectomie chez le chien, par Sicard et Bauer, p. 159. , Réaction . Voir 11'erl1lcke. Le mécanisme de la électriqu
le, par Spielme- yer, p. 369. Volonté. Voir Ugslèi ie. WEHMCKE. Réaction hémiopti- que de -. par Dupuys-Du- tcmps, p.
18 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cles pratiqué par M. Huet, n'a montré aucun trouble appréciable des réactions électri- ques. Somme toute, vous le voyez, au
d-t patlli)lo- gique n'a éte constaté. Les pupilles sont égales, la réaction à la-' lumière et à l'accommodation conservées
aillant les différences de mesures, de rythmes, de températures, de réactions motrices et sensibles qui caractérisent les deu
t du tissu conjonctif et qui avaient en certains points suscité une réaction névroglique secondaire. Le rôle du système conjon
t : l'aspect se rapproche de celui des idiots. Réflexes nor- maux ; réaction faradique normale. Voici ce que l'on constate à
: pupilles légèrement contractées également des deux côtés. Pas de réaction à la lumière. Ni strabisme, ni nystagmus. A l'o
u sujet aux troubles men- taux est surtout fonction de son degré de réaction mentale. - / Smox. XLIII. De quelques élément
flexes, en désignant à la fois le point d'excitation et le point de réaction , dans l'espèce ne pourrait-on pas dire : réflex
rnicheries. Signes physiques : pupilles dilatées et ' inégales; les réactions en sont conservées mais lentes. Accrocs nombreu
ysiques. Les pupilles égales et moyennement dilatées présentent une réaction faible à la lumière. A l'ophtalmos- cope les pa
3. Excitation intellec- avec agitation par intervalles. Quelquefois réactions violentes.- Signes physiques : léger tremblemen
est plus large; elles réa- glissent bien à la lumière toutes deux; réaction à l'accommodation lente. La malade dit voir mal
et rapide de la langue; inégalité pupillaire ; pupilles étroites à réaction lente tant à la lumière qu'à l'accommodation. '
érieure, pupilles inégales, celle de droite étant plus large : leur réaction à la lumière est abolie des deux côtés; la réac-
tre déformée, reste immobile à lalumière et à l'accommodation ; les réactions de la pupille gauche sont faibles. Parole lente
signes physiques ; dilatation pupillaire bilatérale avec absence de réaction à la lumière. Tremblement de la langue. Pas de
petite, réagit mal à la lumière ; les deux pupilles présentent leur réaction normale à l'accommodation. Tremblements fibrill
ormes et inégales ; leurs réac- tions à la lumière sont abolies, la réaction à l'accommodation est conservée. Troubles de la
en effet, que la cause est le plus sou- vent insignifiante, que la réaction est absolument dispro- portionnée. Si l'on se r
abituelle spéciale, se trouvent, en effet, réunies pour préparer la réaction , et le rôle de la frayeur n'apparaît plus qu'ac
même insignifiants, c'est évidemment parce que ces glandes et leurs réactions ne jouent qu'un rôle adjuvant dans l'excitence
ssons pas encore, d'une sensibilité spéciale et appelé à donner des réactions vives ou violentes sous l'influence d'excitence
s qu'elle envoie aux centres nerveux auront pour con- séquences des réactions d'autant plus accusées qu'elles agi- ront sur u
nerveux d'une impressionnabilité supé- rieure à la normale, d'où la réaction presque continue qui constitue le caractère épi
crue, comme cela arrive chez la femme aux époques menstruelles, les réactions du terrain nerveux épileptogène sont plus vives
ivité fonctionnelle du corps thyroïde de la femme qui est cause des réactions plus vives du système EPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET
juvant épileptogène, d'au- tant plus intense et plus rapide que les réactions bruyantes se produisaient antérieurement plus f
impressionnabilité méningo-cérébrale qui aura pour conséquence une réaction motrice, mais réaction qui sera limitée à une p
ingo-cérébrale qui aura pour conséquence une réaction motrice, mais réaction qui sera limitée à une petite région seulement,
scène pour plus de la moitié du temps; puis intervient une rapide réaction . C'est l'inverse, à une écrasante majorité, pour
ité, prédominant du côté droit. La pa- ralysie s'est accompagnée de réaction de dégénérescence et a guéri complètement en de
baissement très marqué de l'excitabilité électrique, par places une réaction de dégénérescence ; les organes pelviens étaient
que dans le domaine de tous les nerfs émanés du plexus brachial, la réaction de dégénérescence existait à des degrés divers;
ccentuée dans le domaine du circonflexe et du musculo-cutané, cette réaction existait nettement dans tous les muscles innerv
cutané plan- étaire est en flexion. - - - - Du côté des yeux, les réactions sont normales, il n'y a pas d'inégalité pupilla
s le domaine du radial, l'examen électrique nous a montré une forte réaction de dégénérescence. De même pour le tronc antéro
cence. De même pour le tronc antéro-externe, vous ne trouvez pas de réaction de dégénérescence et une parésie très peu prono
innervées par le mus- culo-cutané alors que le médian montre de la réaction de dégénérescence et de la parésie. Enfin pour
u vacuolaires, et présentent vis-à-vis des colorants ordinaires des réactions variées. Archive», 2- série, t. XVII. 19 4 1
ne vous étonnerai pas non plus en vous disant que les phénomènes de réaction à distance dues à des lésions périphériques son
étroits entre les nerfs crâniens et les racines rachidiennes, leurs réactions devant le cancer sont iden- tiques. Rappelez-vo
entre ces phénomènes. G. Carrier. XXX. Cécité corticale. Absence de réaction pupillaire ; par M. Jos- senaNn (Société des sc
de fixation. Elle ne dis- tinguait même pas le jour de la nuit. La réaction pupillaire fut recherchée cinq ou six fois. Tou
gauche. On ne note pas de raideur musculaire pen- dant le temps de réaction , pouvant entraver le mouvement. Les mouvements
utomatiques et les mouvements de défense s'opèrent avec le temps de réaction normal. Les muscles réagissent normalement à l'
issent normalement à l'exploration mécanique et électrique ; pas de réaction myotonique. Les mouvements passifs s'effectuent
RVEUSE. ' 327 - Le symptôme important est la différence du temps de réaction entre les actes volontaires et les automatiques
e les actes volontaires et les automatiques ; ce retard du temps de réaction dans un acte volontaire est dû, d'après P. Janet,
sur l'élimination de l'éther par les poumons. P.-Armand Delille. Réactions des méninges à certains poisons du bacille tuberc
ARALYSIE GÉNÉRALE. 359 l'échelle optométrique, et de cette façon la réaction lumi- neuse est isolée de la réaction accommoda
étrique, et de cette façon la réaction lumi- neuse est isolée de la réaction accommodative. D'autres procédés peuvent encore
egarder au loin; le diamètre des pupilles doit alors diminuer si la réaction de la pupille à la lumière existe. En résumé,
mporte dans la recherche du réflexe lumineux c'est d'éliminer toute réaction pupillaire à l'accom- modation. Nous avons di
lumière, bien à l'accommodation ; 3 mars 189G : absence complète de réaction des pupilles à la lumière avec réaction normale
189G : absence complète de réaction des pupilles à la lumière avec réaction normale à l'accommodation. 2°X..., paralysie gé
X..., paralysie générale (examen du Dr Schrameck), 30 octobre 1901, réactions pupillaires normales; 28 juil- let 1902, réflex
plus facilement chez les ataxiques que chez les sujets sains. Cette réaction n'est qu'une variété de contracture idiomuscula
elle au lieu d'être géné- ralisée. 3° L'exagération apparente de la réaction idiomuscu- laire dans le tabes démontre, d'aprè
plant l'intégrité des muscles dans le plus grand nombre des cas. La réaction n'est pas due à l'excitation des filets nerveux
due à l'excitation des filets nerveux cutanés ou musculaires. 4° La réaction idiomusculaire dans le tabès n'est pas plus forte
e cellules des imbéciles, la seconde, qu'il appelle le type vrai de réaction axonale, où les altérations sont beaucoup plus
toute son attention et fait des efforts intenses de mémoire. 21° La réaction de la fréquence respiratoire aux variations d'i
pparition. G. C. XXXXI. Diagnostic des méningites infantiles par la réaction du liquide céphalo-rachidien sur le sang du por
es méningites infantiles, le procédé de M. Bard : hématolyse par la réaction du liquide céphalo-rachidien sur le sang du por
ou la perversion de certains états physiologiques. i° L'énergie de réaction de la cellule corticale à l'égard des agents de
athologiques les plus variées peuvent en résulter. 5° La faculté de réaction d'un cerveau dépend de ses qualités ata- viques
intra ou extra-utérine ; 3° enfin les caractères individuels de la réaction du cerveau à l'égard du milieu ambiant. Ces éta
é commandant des idées de persécution confuses et détermi- nant des réactions assez violentes; ces idées délirantes semblaient
trêmement confuses qu'il pré- seule, ne déterminent chez lui aucune réaction . On voit qu'il s'agit en somme d'un état de con
s con- clure de son état présent à son état d'alors, les actions et réactions de M. N... en liberté paraissant à peu près ide
rtnul. visibles si l'on poursuit quelque temps l'étude des temps de réaction ; cet exercice est rapi iemeut pénible pour le m
e pour le malade qui peu : e à autre chose, bien que les temps de réaction fournis au début soient normaux. 11 est d'ailleur
nifestées par la pauvreté du délire et la très faible intensité des réactions à ce délire. Notons enfin le caractère impulsif
ces cas d'étudier avec soin les désirs, les émotions, les diverses réactions aux excitations que fournit la vie à l'asile, e
aordinaires. Ces idées de persécution sont en outre accompagnées de réactions violentes qui rendent ces malades dangereux. Et
idées de persécution tenaces et de longue durée, accompagnées de réactions violentes. Il n'est pas commun, en effet, de trou
mais ce qui domine ce sont les idées de persécution et surtout les réactions violentes qui sont pous- sées à un haut degré.
mps que des hallucinations multiples des idées de persécution et de réactions violentes durables. L'hérédité intervient sans
x mains et de synovites des poignets. Parmi les signes observés, la réaction de dégénérescence, l'hypoesthésie à disposition
estes revêt un aspect maniéré, artificiel et convenu. En dehors des réactions provenant de leurs idées délirantes, ils présente
Brissaud, 69. - verbale, par Brissaud, 173. corticale. Absence de réaction pupillaire, par Josserand, 325. Voir Tabès. L
lo-rachidien, par Dufour, 172- Diagnostic des - infantiles par la réaction du liquide céphalo- rachidien sur le sang du po
19 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rsécution. Hallucinations de l'ouïe et de la vue, s'accompagnant de réactions violentes, incohérence, amnésie progressive.
s de l'ouie, halluci- nations franches de la vue, s'accompagnant de réactions violentes. - Soixante-cinq examens périmétrique
eil droit, le lendemain hallucinations de la vue, accompagnées de réactions très violentes (le malade lance des pierres à ses
l'ouïe. Hallucinations ter- rifiantes de la vue, s'accompagnant de réactions violentes. 60 exa- mens périmétriques complets.
t la crise. (1) Nous n'avons noté que les hallucinations suivies de réactions violentes consignées sur les rapports des surve
- sis dans 25 % des cas. U Nous n'avons jamais pu constater ni la réaction para- doxale de la pupille (dilatation sous l'i
% des cas ; elle se manifestait généralement par la lenteur de la réaction à la fois à la lumière et à l'accommodation : l
tes. On rapporte à l'alcoolisme des troubles intellectuels ou des réactions , motrices ou morales, qui reconnais- sent souve
ystè- me nerveux central a permis de découvrir que les actions et réactions du neurocyme (onde nerveuse) obéissent à la loi f
parences fallacieuses et apprécier à sa juste valeur telle ou telle réaction de l'a- liéné dans une circonstance donnée ? L'
oup d'intermittents qui vivent en dehors des asiles parce que leurs réactions s ne les meLtcntpas en conflit violent avec la
r l'auscultation du muscle dans les paralysies,la contracture et la réaction de dégénéres- cence. Quelques considérations su
tiquc qui est continue et silencieuse. Aux signes déjà connus de la réaction de dégénérescence on peut ajoll- REVUE DE PATHO
édical, n° 52, 1906.) Les crises dites hystériques ne sont qu'une réaction psychody- namique d'origine émotive qui peut êt
uloureusement réveillé d'un lourd sommeil, mais le danger passé, la réaction s'est faite et aboutira probablement dans l'ave
de bons résultats par l'injection de bromhydrate de scopolamine. Réactions électriques dans le tétanos guéri. M. E. ! 30NN
du travail, étant donnée la nécessaire comple- xité croissante des réactions imposées par le milieu ? Cette question, quelqu
tamment pour les rapports entre les excitations sensorielles et les réactions motrices, pourra avoir partout d'elle-même les
tive que les sensations sont ordinairement le point de départ d'une réaction , soit « volon- taire » et précise (dans ce cas
re chacun le même nombre de points ; que l'on considère en effet la réaction viscérale comme primitive (.lames. Lange) ou se
entditintellectuel, souvent ici très faible et même négligeable, la réaction viscérale, inconnue dans ses détails, forme un
és du corps n'est que très rarement mise en jeu dans l'émotion. Les réactions vaso- motrices ne sont 'd'ailleurs qu'un facteu
e dans les cas envisagés, l'hyper- llhyroidie est la conséquence de réactions secondaires à l'hypo- tlryroidie. Déjà cette op
roïdie, le système nerveux est auto- inloxiqué, ce qui facilite les réactions morbides, et que le corps thyroïde auquel est s
minance pathogénique et laisse entrevoir un certain enchaînement de réactions . En lin de compte, à côté de l'orthothyroidie,
e l'ancienneté. Expériences ont porté sur la dose. Conclusions : la réaction propre de l'état actuel se distingue, à égalité
ion propre de l'état actuel se distingue, à égalité de doses, de la réaction propre de l'état ancien par une plus longue dur
ion vaso-cardiaque de l'atropine. Conclusions : Les va- riations de réaction , dues à la répétition de l'excitation, sont de
ongueur de la période d'attente, la rapidité de développement de la réaction , les caractères des réactions déterminées par l
te, la rapidité de développement de la réaction, les caractères des réactions déterminées par l'état et l'adaptation. Enfin,
. Nous avons vu en étudiant la forme neurasthénique (1) comme les réactions individuelles' sont variables ; nous avons vu é
- sion del'elatnzental,dans les conceptions délirantes etdans les réactions morbides. Troubles intellectuels. Lorsque le dé
une surveillance pro- longée de jour et de nuit pour constater les réactions anormales et les actes bizarres caractéristique
rbides non adéquates l'état de tristesse et d'abattement. Parmi ces réactions il faut signaler les impulsions, les grimaces,
tance capitale, met en évidence l'absence de concordance entre les réactions mimiques et l'attitude douloureuse du malade.
urce même, d'où l'effrolldrement ra- pide de l'édifice psychique. Réactions morbides. Tous les actes et toutes les réaction
ifice psychique. Réactions morbides. Tous les actes et toutes les réactions de ces malades portent l'empreinte de l'état me
tre dissocié, « rapport conscient entre l'im- pression perçue et la réaction qui s'ensuit » (p. 92). Ré- duisons pour plus d
es sur un Artiozaire divisé,en ses deux moitiés, et prouver que les réactions de chacune de cel- les-ci traduisaient la consc
lant de l'inanité de ses revendications et mettront obs- tacle aux réactions souvent terribles que provoquent les dénis de j
nt aussi la rétention. Diminution du sens musculaire et du temps de réaction . L'au- teur rappelle que, dès 1878, dans le il
rement sous l'influence de l'alcool chez un sujet sain. Le temps de réaction total à l'égard des stimulations visuelles ou a
ont il est la réponse, mais suffisant cependant pour déterminer des réactions subconscientes qui font croire à certains obser
u cerveau en activité normale. Le réveil cérébral s'accompagne de réactions motrices, sensitives, sensorielles, viscérales,
es an- nées, doit présenter, quand il recouvre ses fonctions, des réactions singulièrement longues et intenses. Je ne sau-
lièrement longues et intenses. Je ne sau- rais insister ici sur ces réactions qui se présentent dans un ordre parfaitement pr
ue,le nom- bre des centres atteints. On constate en outre que ces réactions ne sont autres que celles qu'on observe dans le
ement dans la forme et l'intensité des troubles hystériques, et les réactions du réveil nous font appa- raître nettement le r
s lorrains prédisposés déterminent les altérations du cortex et les réactions psychopathiclues constatées. Le sujet que concern
; e) l'insensibilité des pupilles à la lumière, la lenteur de leurs réactions , leur alternance rapide sont autant de signes dé-
, leur alternance rapide sont autant de signes dé- favorables. Leur réaction normale à la lumière et l'apparition pré- coce
JONNE et F. Rose sur un malade âge do quinze ans, avec troubles des réactions électriques, exagération des réflexes sans trou
; il l'est tantôt d'une façon passagère et s'accompagne alors de réactions transitoires, paroxystiques, dont il faut disti
organes pé- riphériques ; nous savons un peu mieux quelles sont les réactions mo- trices et sensitives de l'activité ou de l'
s générales employées pour le réveil des vigi- lambules, et que les réactions provoquées par ces excita- 456 CLINIQUE nerveus
itiquer cette théorie, qui consiste à regarder le sommeil comme une réaction de désintérêt, comme une fonction de défense qu
emploie chez un dormeur pour le ré- veiller,elles me présentent des réactions analogues- très amplifiées naturellement à cell
xcitabilité, de perceptivité, de sensibilité et de motricité, mêmes réactions sensiti- ves et motrices quand il reprend son a
rs cet état d'engourdissement cérébral tout (1) Ce réveil amène des réactions très spéciales que j'ai décrites en détail. Dan
fait encore certaines objections à cette théorie. On a dit que les réactions présentées par les sujets qui se réveillent éta
cette suggestion, j'aurais été bien embarrassé de la faire,car ces réactions , je ne les connaissais pas. Et ce (1) Les Phéno
qu'une difficulté beaucoup plus grande à l'hypnose. Et lorsque ces réactions se produisent sous l'influence unique d'excitat
près les soi-disant petits sujets. On retrouve chez eux toutes les réactions observées au maximum chez les grands, mais atté
r le cerveau ; et 2° l'interpré- tation de ces phénomènes comme des réactions dues au réveil de l'activité cérébrale. Sur l
omie » : la théorie explique la « souveraineté de la raison ». b. Réaction forcée de la personne humaine sur le milieu pou
QUES. 489 manières d'être, la même fixité que dans ses écrits ; ses réactions extérieures annoncent à première vue un dément,
relets et mé- nisques. L'hyperossification apparaît ainsi comme une réaction curatrice du processus raréfiant. De par l'anat
l'état sain la coloration de l'urine est extrêmement variable ; 3° Réaction : L'urine était acide 85 fois sur 100, probable
diabète sucré n'a été cons- taté. R. de MUSGRAVE CLAY. YXXV.-Une réaction du sérum appparaissant chez des sujets en état
it la technique employée et note les constata- tions suivantes : la réaction agglutinative s'est produite sans exception dan
noté en outre que les globules rouges d'un malade qui fournit cette réaction agglutinative sont proté- , gés non seulement c
comme réactif du sérum d'un malade atteint de folie circulaire, la réaction agglutinative ne se produit pas. L'au- teur rap
ions conservent leurs formes. Les nerfs ne sont pas douloureux. Les réactions électriques des muscles ne sont pas gravement m
et sur les cellules des , gaines vasculaires entraîne ici et là des réactions cellulaires spé- ciales suivant ces divers tiss
sur la « sensa- tion et le mouvement sur le travail et le temps de réaction » ont porté au loin et depuis plus de vingt ans
ndre, nous estimons néanmoins que le principe en est posé et qu'une réaction est en train de s'opérer. La possibilité d'inst
e la répétition de l'incitation sur les caractères 1 de certaines réactions nerveu- ses élémentaires. Contribution à l'ét
sur l'auscultation du dans les paralysies, la contrac- ture et la réaction de dégéné- rescence. Quelques considéra- tion
ce général de Nantes pendant l'année 1905 ; par Biaute, p. 346. Réactions électriques dans le tétanos guéri ; par Bonniot
ques dans le tétanos guéri ; par Bonniot, p. 156. - Voir Sérum. Réactions nerveuses. Voir "[dl/p- falioLL. Recherches c
é- ningites. Séquestration. L'affaire de ; p. 351. Sérum. Une réaction du ap- paraissant chez des sujets en état d'i
oles communales de Gand ; par Du- pureux, p. 494. Tétanos. Voir Réactions . Tics. Les chez les animaux ; par Depinay et
20 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e ne réagit pas directement à la lumière, mais elle est le siège de réactions synergiques quand on examine l'oeil droit. L'
il y a une contraction à peine perceptible de la pupille gauche; la réaction est plus nette dans l'accommoda- tion. Il exist
surcroit de force de résistance; mais celle-ci cède vite lorsque la réaction vient à l'emporter. Il ne faut pas croire non p
être que l'intermédiaire, et la mesure dans laquelle les simples réactions du système nerveux peuvent produire ces manifesta
s et les nerfs réagissent à l'excitation électrique. On trouve la « réaction rnyotonique ». Après trois semaines de traite-
vec Danilewsky et Bordier, nous entrons de nouveau dans l'étude des réactions du système nerveux. Le premier nous montre l'acti
lectrique utile et raisonné pour le choix du pôle actif suivant les réactions neuro- musculaires. Les règles tracées par l'au
résenté un très intéressant rapport sur la valeur séméiologique des réactions anormales des nerfs et des muscles. Il se pose d'
i nous constatons à la suite de l'excitation d'un nerf moteur une réaction musculaire anormale, celle-ci ne peut s'expliquer
xcité; altération du muscle. On peut donc poser comme règle que les réactions anormales sont toujours liées à une altération
oujours liées à une altération des organes explorés. Les diverses réactions décrites depuis trente ans (réactions de dégéné
rganes explorés. Les diverses réactions décrites depuis trente ans ( réactions de dégénérescence, myotonique, de compression,
uisement, etc.) sont des syndromes électriques consti- tués par des réactions élémentaires ou des successions de réac- tions
dent sans doute chacune leur signification propre. Dans l'étude des réactions anormales élémentaires il distingue deux catégo
e la secousse musculaire consécutive. L'hypoexcitabilité faradique ( réaction de Duchenne) se produit soit dans les altératio
oit lorsqu'il y a altération simultanée du nerf et du muscle. Cette réaction nous enseigne que l'organe moteur est altéré dans
ions voltaïques engendrent des réac- tions anormales nombreuses. La réaction d'Erb est symptomatique d'une altération du cor
e, situées en dehors de ce point, soit en amont, soit en aval. La réaction de Rich (R. de compression) semble répondre à une
es ne permet encore de rapporter à cette cause l'existence de cette réaction . Pour l'étude des modifications de la courbe de
r, puisque la paralysie musculaire s'accompagne d'un trouble -de la réaction pupillaire à la lumière comme à la convergence
la sensibilité; léger engourdissement de la sensibilité des doigts. Réaction lente des pupilles; l'odorat et l'ouïe sont un
OLOGIE NERVEUSE. 131 XLVIV. Observation DE diabète sucré grave avec réaction ÉLEC- trique LENTE ET prolongée ; par W. KAUSC
par une lenteur de contraction qui est l'élément fondamental de la réaction dégé- néralive. Il s'agit, en somme, dans la pl
ve. Il s'agit, en somme, dans la plupart des muscles affectés de la réaction dégénérative partielle, avec lenteur indirecte de
oïde malgré la paralysie totale du plexus. Il n'y a pas non plus de réaction dégénératrice des muscles atteints : la diminut
ale corticale, car les réflexes tendineux sont normaux ainsi que la réaction électrique des nerfs et des muscles. Comme le f
adducteurs et dans la région antéro-externe de la jambe; traces de réaction de dégéné- rescence. Pas de troubles électrique
à ses dé- buts des entraînements ; elle généralisa trop et une vive réaction se produisit; le congrès de Paris en 1889, reje
ttre que si les substances toxiques ne produisent pas en général de réaction inflammatoire bien manifeste, il est tout au mo
ts pourront être plus long- temps maintenus à leur premier stade de réaction sans aboutir au. stade de nécrose. La conséquen
grande du fait de l'irrégularité de répartition des lésions et des réactions diffé- rentes que peuvent présenter les divers
ns de l'excitabilité, n'offrant pas les caractères classiques de la réaction de dégénérescence (secous- ses tétaniques avec
uite, amena la paralysie complète du sciatique poplité externe avec réaction de dégénéres- cence complète. Cette paralysie é
u côté non traumatisé et de deux mois du côté malade. Ces sortes de réactions réflexes post-traumatiques ne sont pas exceptio
senta une para- lysie faciale double. L'examen électrique montra la réaction de dégénérescence complète à gauche, réactions
électrique montra la réaction de dégénérescence complète à gauche, réactions normales à droite. Le facial droit récupéra ses
ntre l'inutilité du traitement local dans les cas qui présentent la réaction de dé- générescence. Dans ces cas; le traitemen
z bien systématisé, avec tendances ambitieuses et propensions aux réactions violentes. On pourrait croire à l'existence d'une
es dans leur forme et leur constitution intime. Il n'y avait aucune réaction inflammatoire dans la pie-mère médullaire. Les
te n'a pu être reconnue; ils constituaient peut-être le début de la réaction inflammatoire des centres nerveux vis-à-vis du
pas neuropathique : l'exploration électrique ne décelant jamais de réaction de dégéné- rescence permettrait seule de l'affi
que nous ne con- naissons que peu ou point, sans compter le mode de réaction " purement personnel. Et que de causes d'erreur
tique reste encore aux modifications qua- litatives, notamment à la réaction dégénérative (Baierlacher, 1859) ; seulement el
de l'affection dans laquelle on constate telle ou telle forme de la réaction dégénérative. Bien plus, la même forme de réactio
elle forme de la réaction dégénérative. Bien plus, la même forme de réaction dégénérative se peut rencontrer aussi bien dans
miques en relation avec l'état électrique. On a montré que, dans la réaction dégénérative, l'excitabilité gal- vanique indir
erf et du muscle peut présenter un ralentissement de la réac- tion ( réaction dégénérative faradique). Mais on en est resté à l
ision empirique de : dégénérescence très grave caractérisée par une réaction dégénérative complète - dégénérescence très lég
une réaction dégénérative complète - dégénérescence très légère, à réaction dégénérative partielle - dégénérescence moyenne
gère, à réaction dégénérative partielle - dégénérescence moyenne, à réaction dégénérative faradique. On n'a pu exacte- ment
dans l'hémiplégie. Il faut compléter les éléments biologiques de la réaction dégéné- rative de transition par son étude au m
is et Remak se sont attachés (1888- 1893) à démontrer qu'il y avait réaction dégénérative complète, quaud le muscle, inexcit
a une très grande diminution de l'excitabilité faradomusculaire, la réaction électrique du muscle n'est justemeut point comp
iendrait de soumettre à un examen du même genre les formes dites de réaction dégénérative partielle. La réaction myasténique
même genre les formes dites de réaction dégénérative partielle. La réaction myasténique de Jolly et Fajerztajn, c'est la ré
partielle. La réaction myasténique de Jolly et Fajerztajn, c'est la réaction d'épuisement de Brenner et Benedikt, qui ne perme
en tracer les caractères distinctifs d'avec l'épuisement normal. La réaction neurotonique de Remak, ou celle de Marina, par
par des causes diffé- rentes ; elle est, en tout cas, parente de la réaction dégénérative partielle accompagnée de lenteur i
différents moments du pas, les oscillations, les compensations, les réactions qu'il entraîne, successivement, dans les marche
n de celles des signes mentionnés ci- dessus. Un sujet nerveux sans réaction pupillaire ou sans réflexes rotuliens n'est pre
out au moins ne soit plus en mesure de faire les frais de nouvelles réactions délirantes. PATHOLOGIE MENTALE. DU SENS TACTI
(1'en., fasc. 2, 1897.) L'épilepsie allonge notablement le temps de réaction , en raison surtout de l'affaiblissement de tous
fet de la convulsion épileptique, il y a un retard très notable des réactions , en rapport tant avec le ralentissement périphé
ntral. Sous l'action prolongée du bromure de potassium, le temps de réaction subit, par rapport à l'état intercalaire, un lége
echerches sur l'application à l'étude des origines nerveuses, de la réaction qui se produit dans la cellule nerveuse, après
e la chromatolyse qui caractérise les sections nerveuses ; 2° cette réaction ainsi produite peut servir à déterminer la topo
la section chez le chien du nerf facial supérieur, on constate une réaction très manifeste dans l'extrémité inférieure du n
tion très manifeste dans l'extrémité inférieure du noyau du facial, réaction diminuant à mesure qu'on se rap- proche de l'ex
tte branche. Lorsqu'on coupe le facial inférieur, les phénomènes de réaction se passent dans le groupe externe du noyau faci
ar excitation sensitive. Pour chaque sens excité il y a un temps de réaction vasculaire. Certaines excitations sensorielles
ions sensorielles sont moins capables que d'autres de provoquer des réactions vaso- motrices. J. SÉGLAS. xLlx. La toxicité
es aliénés l'appareil gastro-intestinal. J. Séglas. LU. LE temps DE réaction simple étudié dans SES rapports avec la courbe
l'attention se manifeste par une plus grande rapidité des temps de réaction , et par une plus grande régularité de la courbe
es sont familiers. Ses conclusions paraissent être celles-ci : « La réaction sociale pro- prement dite peut prendre trois fo
de succession, de déri- vation régulière, entre les trois formes de réaction sociale. Et il assigne comme base à l'administr
le et insipide, par Spanboc6 et Stemhaus, 130. - sucré grave avec réaction élec- trique lente et prolongée, par Kausch,
es. Trajet intra- médullaire des -, par Brian et Bonne, 491. 1. RÉACTION . Le temps de - simple, par Patnzi, 495. Rn'LE
21 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
nutrition une orientation nouvelle, peut en modifier puissamment la réaction vitale; J. Teissier et Roque (7) relatent des amé
rt. Avec le galvanique on observe l'effacement du point moteur avec réaction à distance et secousse lente (Ka CHC = An CHC).
action à distance et secousse lente (Ka CHC = An CHC). A gauche les réactions sont meilleures. Les muscles grand dorsal, gr
ents. Tous les muscles de l'avant-bras et de la main présentent des réactions élec- triques absolument normales. En résumé
fluence du courant électrique, ces faits joints à l'existence de la réaction partielle de dégénérescence sont très important
faitement intacte. A l'examen électrique on trouve les signes d'une réaction dégénérative par- tielle dans le domaine de la
muscles innervés par le spinal et par la moelle cervicale donne des réactions cadrant avec le tableau de la D. R.partielle. L
dès qu'il y a lésion périphérique, causant une incertitude dans la réaction du muscle, vis-à- vis du stimulus mental. Ces l
ent déchaîner des manifestations motrices, mais encore produire des réactions vaso-motri- ces très nettes, à tel point qu'on
itoire cutané correspondant, soit par des troubles trophiques et la réaction électrique de dégénérescence dans les muscles a
ubles de la sensibilité sur le territoire du radial droit, et de la réaction de dégéné- rescence sur les muscles innervés pa
'association corticaux; s'il est réduit à réagir de lui-même, cette réaction est déréglée, sensible aux moindres influences,
cornéenne ; Digère normalement. Urines normales ; , Bon sommeil. Réactions électriques normales. Traitement électrique : a
et la matière vivante, il se passe tout un ensemble d'actions et de réactions . Le protoplasme cellulaire, l'homme n'est qu'un o
réactions. Le protoplasme cellulaire, l'homme n'est qu'un organe de réaction vis-à-vis du milieu et les actions qui se produis
ns qui se produisent dans son intérieur ne sont elles-mêmes que des réactions conditionnées par. des influences exter- nes, t
es mouvements sont inconscients et involontaires et ne sont que des réactions mécaniques en présence d'excitations. Toujours la
distance, sans que pour cela les rapports entre l'excitation et la réaction aient cessé d'être de nature purement mécanique.
canique. Chaque exci- tation conditionnant en nature et en degré sa réaction spéciale, celle-ci peut toujours être considéré
l vient à atteindre la matière vivante, il y provoque également des réactions qui lui sont absolument personnelles et qui per
, si elles étaient connues, de remonter à leur origine. L'effet, la réaction peuvent donc être considérés comme des représen-
eur refuser cette fonction. Grâce à des ajustements intérieurs, les réactions sont strictement proportionnées aux actions et
tellectuelles. Celles-ci ne constituent à proprement parler que des réactions en présence d'excitations. La volonté n'est qu'
médiatement par l'intermédiaire de la moelle et y conditionnent les réactions qui leur sont propres; dans le second cas, les ex
les de les neutraliser, mais encore de conditionner elles-mêmes des réactions per- sonnelles. Les seules excitations extern
e fait que masquer, d'y découvrir un enchaî- nement d'actions et de réactions . Pour démontrer l'intervention d'un mécanisme r
également une origine purement réflexe. Autres excitations, autres réactions . La crédulité humaine qui, comme le ciel, ne co
est donc que les mêmes excitations conditionnent toujours les mêmes réactions . A ceux qui ont suivi pas à pas mes déductions,
ociale pour qu'on puisse être assuré, dans tous les cas, de voir la réaction en acte ou, tout au moins en pensée, suivre l'e
st complètement mécanique puisqu'il ne peut s'opérer qu'au moyen de réactions biologiques conditionnées par des équivalents m
rt avec sa composition, l'individu ne pourrait ma- nifester, si des réactions intellectuelles étaient possibles dans les condit
en plus, des altérations de nature atrophique, il existe un état de réaction inflammatoire qui a donné lieu à une production
embres inférieurs. Cette section trans- versale fut accompagnée des réactions habituelles en pareil cas, dégénérescence des s
se présen- tent avec une grande intensité, tantôt au contraire les réactions du tissu conjonctif péri-nerveuses sont à peu p
a- tion banale, telle que i'hématéine-éosine destinée à montrer les réactions inflammatoires, la disposition générale du tiss
d'étudier minutieusement non seulement les tra- jets, mais aussi la réaction , la croissance, la dégénérescence des axones les
admettre que toutes les névrites sont accompagnées de lésions ou de réactions de l'élément noble. Quelques exemples empruntés
un temps fort court, on peut observer après un temps suffisant des réactions très nettes des cylindraxes ; ceux-ci se divi-
comme en cas de compression mécani- que. Peut-être même le mode de réaction règle-t-il une partie de la symp- tomatologie e
e des cellules à myéline, leurs véritables cellules satellites. Les réactions très curieuses observées dans les centres nerveux
l'apparition des trou- Ides névritiques qui ne sont souvent que la réaction visible des troubles dynamiques de ces centres
troubles dynamiques d'ailleurs hypothétiques-devraient produire des réactions analogues à celles qui s'observent après section
diminution de l'excitabilité par le courant galvanique, mais pas de réaction de dégénérescence. Vers la fin du mois de novem
mencement de janvier l'examen électrique nous fait constater que la réaction de dégénérescence aux membres inférieurs manque t
e, jamais de fièvre. Le 19 janvier, les pupilles ne montrent aucune réaction pour la lumière (ce qu'elles ont fait les jours
Babinski il droite, mais pas à gauche. Les pupilles montrent une réaction normale pour la lumière. Il y a un cer- tain de
tincte, aussi aux méninges cérébrales (casXXVIl : les pupilles sans réaction pour la lumière ; cas XXVIII oedème des papille
x sont les mêmes que le 11 juin. Avec le courant d'induction il y a réaction des muscles abdominaux au-dessus, mais pas au-d
contractions rudimentaires. Il n'y a aucune autre altération de la réaction électrique que cette altération quantitative. O
de notre examen nous la voyons disparaître puis reparaître. ' Les réactions pupillaires sont toujours normales. Les trouble
rmer le diagnostic porté : il est établi en effet d'une part que la réaction d'épuisement n'est pas constant dans la myasthéni
s ; haut de 199 cen- timètres, probablement hérédo-sttplilitiqzce ; réaction de Wassermann po- sitive, signe d'A 7-gyll- Rob
e est minime ; le dynamomètre donne 45 à droite, 40 à gauche. La. réaction myasténique exécutée avec la méthode de Flora don
un caractère particulier si l'on excepte l'amplitude non commune. Réaction myasthénique (méthode de Flora) : négative. Exa
l'examen électrique n'a mis en relief aucun fait pathologique et la réaction myasthénique (méthode de Flora) a donné un résult
bien nettes, on ne peut admettre que des grains pulvérulents ; les réactions histo-clii- miques ayant pour but de déceler le
lle gauche deux fois plus large que celle du côté droit; absence de réaction la lumière pour les deux pupilles. Mimique pare
'autre part, il m'a été possible d'élimi- ner, en me fondant sur la réaction de Wassermann, l'existence d'une infection syph
notable aux os ni dans les articulations des mains et des pieds. La réaction de Wassermann pour la syphilis, pratiquée avec l'
on ; les mains et les pieds sont respectés. Il y a hypotrophie sans réaction dégénérative et avec une conservation médiocre
ts d'ostéite con- densante. Cette dernière ne représenterait qu'une réaction de l'organisme qui tend à la consolidation des
s ce cas, avait une importance considérable. Je veux parler de la réaction de Wassermann pour la syphilis. Dès qu'elle fut
a syphilis héréditaire, soit pour la syphilis constitutionnelle, la réaction de Wassermann a une telle importance, qu'un résul
xpérience, que l'épreuve eut, chez Lippi, un résultai négatif. Même réaction négative dans un très récent cas de Meier (Gesels
litique suivie de guérison), une étude systématiqne, à l'aide de la réaction de Wassermann pourrait seule nous donner de très
est faible et ir- régulier, 70. Les pupilles sont assez grandes, la réaction pour la lumière se maintient. Les mouvements de
à 150 millimètres. Pendant la ponction, le malade n'a montré aucune réaction . Des laxatifs (huile de ricin) et des lavements
aux spéciaux). Dans les urines, outre la quantité, la densité et la réaction , on déter- mina l'N total, l'N uréique par la m
u double le chiffre normal et presque tous les jours on observa une réaction très forte de l'indican du phénol et du scatol.
hénol et (en partie) indican. Ces substances donnèrent toujours des réactions si manifestes, telles qu'on en voit rarement le
d'après la théorie des ions doit être considéré comme un liquide à réaction neutre. Il est préférable donc de parler de la
ivement au soufre acide. Augmentation des éthers sulfuri- ques et réaction très évidente du scatol, du phénol et surtout d
itaire. Levi a eu en effet des résultats net- tement positifs de la réaction de Wassermann chez les deux soeurs Servi dont les
réditaire. Levi a eu cette année les mêmes résultats positifs de la réaction de Wassermann dans deux autres cas d'infantilis
bien conservées, mieux que dans les noyaux du toit ; il y a peu de réaction névroglique. - Globules. - Ils paraissent égale
des fragments de tu- meur par la méthode de Cajal, pour étudier les réactions cylindraxiles : la longue conservation de la pi
faible à droite et le réflexe du médium est égal des deux côtés. La réaction à la lumière et à l'accommodation des pu- pille
mètres et demi plus petite que de l'autre côté et qu'il y avait une réaction de dégénérescence aux muscles péroniers, mais que
plusieurs muscles une diminution de l'excitabilité, mais jamais de réaction nette de dégénérescence. Au bout de quelques
symptôme qu'une certaine diminution de l'excitabilité, mais pas de réaction de dégénérescence. La sensibilité tactile est u
veloppée aussi pour les autres parties des membres. Il n'y a aucune réaction de dégénérescence. L'état du malade s'est aggra
ie symétrique des quatre membres et des nerfs crâ- niens, jamais de réaction de dégénérescence à l'examen électrique, res- t
L.) et RIST (NI.). - Deux cas de poliomyélite antérieure aiguë sans réaction méningée cytologique chez un frère et une soeur,
1903, p. 623. 39. Guinon (L.) et PARIS. - Paralysie infantile avec réaction méningée, Bull. et Mém. de la Soc. méd., 1903,
vec la composition de la matière et est tout en affinité, action et réaction , pour aboutir à l'inconnu et à l'incompréhensible
irées ni deman- dées, qu'il ne connaît même pas et qu'il subit. Ces réactions succèdent 700 LEFÈVRE les unes aux autres en
sa composition en élé- ments inorganiques, l'être vivant, grâce aux réactions chimiques dont il est le siège, travaille à son
nl réunies en groupements atomiques caractéristiques de la vie. Aux réactions déjà mentionnées des corps chimiques inanimés v
t sur lesquelles la volonté n'a aucune prise. On n'a pas désiré ces réactions chimiques de la matière vivante ; on ne les conna
endrait sa source dans le chimisme du corps humain qui comprend les réactions des éléments inanimés que leur peu d'importance
- breux, si variés, si complexes qu'on ne peut guère en étudier les réactions et se faire ainsi une bonne idée du chimisme hu
res en agissant sur la cellule, déterminent au sein de celle-ci des réactions chimiques qui ont pour effer de libérer, de ren
Elle a des affinités spéciales à chacune de ses combinaisons et ses réactions se distinguent des réactions inorganiques comme
s à chacune de ses combinaisons et ses réactions se distinguent des réactions inorganiques comme celles-ci se différencient e
limites vitales, puisque leurs effets ne sont pas les mêmes. Leurs réactions varient naturellement comme la nature de leur c
otécutaire propre à chacune d'elles, les cellules développent leurs réactions spéciales chaque fois qu'elles subissent l'acti
RÉFLEXE 715 On connaît l'expérience de lagrenouille décapitée etses réactions réflexes quand on place une goutte d'acide sur
l'homme les commande et même sans qu'il y pense. Ce sont de simples réactions en présence d'ex- citations physiques ou chimiq
tique, parce qu'il ne consiste jamais qu'en une action suivie de la réaction qui lui est personnelle. XXII il m 718 LE
vre et, après des heures et des jours, on peutencore déterminer des réactions vitales, dans lesmuscles notamment. Il est donc
uisqu'il faut toujours qu'il y aitdes excitations d'une part et des réactions d'autre part et la raison, quand elle existe, n'e
est donc en rapport avec la nature de l'excitant et la nature de la réaction correspond à la na- ture de la pensée et, par c
utres cons- tituent des équivalents mécaniques des choses pensées ; réaction enchaînée au moyen de nerfs agissant sur les va
ysionomie engendre l'état de conscience qui lui correspond. Action, réaction enchaînée, réflexe. Tout l'organisme, intellect
22 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
ABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (Dé la Réaction myotonique). La maladie de Thomsen se caractéri
e des mouvements volontaires, ainsi que les divers phénomènes de la réaction myotonique. En recherchant chez ce malade les mod
ention jusqu'alors et qui nous paraissent devoir faire partie de la réaction myotonique. C'est le résultat des recher- ches,
cette étude. Mais, avant d'entrer dans l'exposé des détails de ces réactions électri- ques, rapportons d'abord l'observation
ous nous proposons d'étudier maintenant les divers phénomènes de la réaction myotonique, en faisant porter plus particulièreme
récédemment. Etudions, maintenant, sur des tracés myographiques les réactions que nous venons de constater par l'exploration
us avons choisi de préférence, parce qu'il présentait nettement les réactions à exa- miner, qu'il était facilement accessible
erfs faciaux étaient t en parfaite santé, il n'y avait pas trace de réaction de dégénérescence, seu- lement le nerf facial d
crit très justement l'allongement des paroles, qu'il attribue ci la réaction lente et graduelle qu'on observe au niveau des co
autant qu'on peut en juger chez ce petit malade, presque idiot. Les réactions électriques sont nor- males. Pieds et mains r
ABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (De la Réaction myotonique). - (suite '). La 3e série d'excitat
par comparaison avec la ligne A, la différence qui existe entre la réaction électrique des muscles dans la maladie de Thomsen
nditions, chez un individu normal. La figure 8 représente les mômes réactions , obtenues dans des conditions d'expérimentation
DE L'L,\CI'CABIL1T1 : ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 97 ces tracés que les réactions , que nous venons d'exposer s'y passent avec les
ques sur la diminution et la disparition de certains troubles de la réaction myotonique avait déjà été signalée par MM. Pitr
les troubles myotoniques des mouvements volon- taires et certaines réactions électriques des muscles, analogie mise en relief
Ut O S Fin. 12. -Boul... (Maladie de Thomsen), 25 sept. 1888. Réactions faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
sible et cela à peu près sans douleur, sans gonflement, sans aucune réaction fébrile ? Cela ne devait-il pas donner à réfléc
lacements qu'on imprime ainsi aux deux hanches ne provoquent aucune réaction douloureuse ; mais par contre ils s'accompagnen
delà destruction des capsules, des ligaments, s'accomplissent sans réaction inflammatoire. En résumé, voici un malade chez
blis. En somme, pas d'amyotrophie notable, si ce n'est aux mains. Réactions électriques des muscles ; d'après l'examen de M.
près l'examen de M. Vigoureux : lor et 20 interosseux normaux comme réaction , ainsi que t'éminencc tbénar. 3e et 4e in- tero
réaction, ainsi que t'éminencc tbénar. 3e et 4e in- terosseux sans réaction . Pas d'autre anomalie. Réflexes. H¡"l1exe rotul
ABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (De la Réaction myotonique). - (suite '). Pendant la seconde ex
M tj1 1. I : . 19. Boul... (Maladie de Thomsen), 1" oct. 1888. Réactions faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
. 177 aussitôt à l'état de repos. C'est cette dernière partie de la réaction muscu- laire qui se trouve surtout modifiée par
s égales ; tan- tôt NF l'emporte, tantôt PF. Dans ce dernier cas la réaction myotonique rappelle, dans une certaine mesure,
r cas la réaction myotonique rappelle, dans une certaine mesure, la réaction de dégénérescence, d'autant plus que ces secous
esser aussitôt la déviation. Dès lors peuvent se produire, soit des réactions fibreuses, soit des déformations osseuses vertébr
ITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES 1 DANS LA MALADIE DE THOMSEN. ` (De la Réaction myotonique). (Suite el fin '). La première plan
les suivants nous reproduisons, dans la figure 27, l'inscription de réactions galvani- ques de muscles normaux recueillie sur
ourants faradiques, présentait chez notre malade des troubles de la réaction myotonique beaucoup plus accusés que le muscle
oires. III Il nous resterait, pour faire une élude complète de la réaction myoto- nique, ai passer en revue les modificati
E L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 243 par lui sous le nom de réaction myotonique. La même constatation a été faite pa
, depuis le travail de Erb, des cas de maladie de Thomsen, et cette réaction paraît de plus en plus réellement spéciale à ce
ner cette étude, croyons-nous utile de résumer les caractères de la réaction myotonique d'Erb, en signalant, à l'occasion de
que d'Erb, en signalant, à l'occasion des diverses parties de cette réaction , les points particuliers que notre travail avai
ts particuliers que notre travail avait pour but d'exposer. Dans la réaction myotonique, MyR, les modifications de l'excitabil
té, constitue déjà par elle-même un des caractères importants de la réaction myotonique. Non moins remarquables sont les mod
Thomsen, dans l'excitabilité faradique des muscles, à propos de la réaction myotonique. Tontes ces modifications existaient
meture du courant, une prédomi- nance d'action bien accusée dans la réaction myotonique, cetteprédominance est moins marquée
ettent parmi les troubles de la contractilité galva- nique, dans la réaction myotonique, l'absence de secousse d'ouverture.
rnier trouble dans la contractilité galvanique des muscles, dans la réaction myotonique, est la production de mouvements ondul
ependant ces mouvements pa- raissent devoir être constants clans la réaction myotonique; ils exigent, parfois, pour être mis
des phénomènes d'un môme ordre. On voit par ce qui précède que la réaction myotonique, présente des caractères bien tranch
e des caractères bien tranchés qui la différencient nettement de la réaction de dégénérescence et des autres modifications a
ique des nerfs moteurs et des mus- cles. Ces modifications, dans la réaction myotonique, portent presque exclusivement sur l
e de Thomson, sont plus accusées. Ce qui fait l'importance de celle réaction myotonique c'est qu'elle est spéciale aux muscl
ves diverses, myopathies secondaires, né- vrites périphériques avec réaction de dégénérescence, ataxie locomotrice, ataxie d
dans tous ces cas (1) nous n'avons rien trouvé de comparable il la réaction myotonique. Aussi concevra-t-on facilement (1)
distinguer des contractions toniques, lentes et persistantes de la réaction myotonique. Pour ne parler que de l'excitabilité
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. que la constatation de celle réaction puisse être d'une grande importance dans certai
l'existence bien constatée des modifications qui constituent cette réaction , fournit des signes objectifs autorisant ;'1 af
Ces déformations se sont produites lentement, progressivement, sans réaction douloureuse. En 1887, au mois de mai, un panari
Examen électrique (pratiqué par M. Vigouroux). Aux mains, pas de réaction des intérosseux, excepté pour le premier de la ma
érosseux, excepté pour le premier de la main droite qui présente la réaction complète de dégénérescence. Aux jambes, le nerf s
ICONOGRAPHIE DE la salpètbièue. rite d'avoir continué chez nous la réaction commencée par Georget en 1831, en combattant la
la langue. Perception très nette du côté gauche. III. Nutrition ET réaction ÉLECTRIQUE. - L'aspect du membre inférieur droi
endue de la peau. M. le Dr Vigouroux, qui a bien voulu examiner les réactions électriques, a constaté ce qui suit : La sens
au typhus. Dans les cas ordinaires on ne parviendra qu'à modérer la réaction excessive. C'est dans l'hémiplégie cérébrale
23 (1913) Exposé des travaux scientifiques
qui, à une période donnée, offrent une très grande analogie avec la réaction de dégéné- rescence. Chez le lapin, j'ai obse
st la cause de ce phénomène ? Et d'abord, quelle est la cause de la réaction de dégénérescence qui apparaît à la suite de cert
te de certaines lésions des nerfs ? On admet généralement que cette réaction , en par- ticulier la modification qualitative d
rfs sont dégénérés. Mais si l'on considère que les caractères de la réaction de dégénérescence peuvent apparaître dans certa
orphologiques à peine appréciables, il y a lieu de penser que cette réaction de dégénérescence tient, au moins pour une part,
ue ne porte que sur les libres musculaires ; en d'autres termes, la réaction dite de dégé- nérescence ne serait, en partie a
tion dite de dégé- nérescence ne serait, en partie au moins, que la réaction propre des fibres musculaires. On pourrait donc
action propre des fibres musculaires. On pourrait donc expliquer la réaction de dégé- nérescence dans les muscles après la m
idité d'autant plus grande qu'ils sont d'un ordre plus élevé, cette réaction serait duc à la persistance de l'excitabilité é
, p. Cr3S) rapportent un cas d' « inversion du réflexe du radius et réaction de dégénérescence dans les muscles biceps et lo
éphale, se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la réaction , au lieu de s'opérer dans le muscle dont le tendo
rieur ; le pincement du côté de l'anesthésie ne pro- voquait aucune réaction homo ou contra-latérale. D. J ai étudié les réf
t parfois qu'après deux ou trois excita- tions suivies encore d'une réaction pupillaire. « Un excellent moyen de mettre en é
vanique et celui du faradique sont tous deux « distaux ». ' Cette réaction pourrait être considérée comme un échelon entre
le rechercher systéma- tiquement, en particulier dans les cas où la réaction de dégénérescence obtenue par les procédés habi
infailliblement guérir dans un délai de quelques semaines quand la réaction de dégénérescence fait défaut; ils four- nissen
entalement, chez l'animal, on soit en mesure d'obtenir une pareille réaction . De plus, il ne me semble pas prouvé qu'en pathol
affirmait n'avoir jamais eu la syphilis : enfin, la recherche de la réaction de `Vassermann dans le sang et dans le liquide cé
manifestation de syphilis, a, dans le sang, des anticorps dont une réaction de Wasser- mann positive décèle l'existence. No
e décèle l'existence. Nous avons relaté aussi des cas où cette même réaction s'observe chez un enfant en apparence d'une par
t trouvé, chez des enfants en apparence absolument sains, 8 fois la réaction de Wassermann positive, et 6 fois cette réactio
t sains, 8 fois la réaction de Wassermann positive, et 6 fois cette réaction négative. Mes observations surlaméningite syphi
riable, d'une couleur noirâtre, qui ne sont autre chose, comme leur réaction SCLÉROSE EN PLAOUES 103 l'indique. que des
ires atrophiés, il n'y avait ni abolition complète des réflexes, ni réaction de dégénérescence. 110 Enfin, nous avons consta
ement sur les modifications que subissent à l'état pathologique les réactions objectives provoquées par des excitants divers
tiques de l'ap- pareil labyrinthique. « J'estime qu'il existe une réaction galvanique qui permet d'atteindre le but visé;
er l'existence d'une lésion de l'appareil vestibulaire, alors que les réactions obte- nues par la méthode de Barany sont normal
nues par la méthode de Barany sont normales. En ce qui concerne les réactions électriques, voici les points que je relève dans
exagération des réflexes vaso-moteurs cutanés, et d'autre part des réactions émotives anormalement intenses et prolongées :
RIE. PITH1ATISMF. une accélération des battements cardiaques et des réactions vaso- motrices qui seraient ainsi les effets d'
a Salpêtrière, celle de Charcot; qu'elle ne pouvait plus imiter les réactions spasmodiques authentiques et sincères, comme la
eut-être à l'usage d'engrais artificiels. D'une particularité de la réaction de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janv
e (Id.). t4o. Sur le réllexe cutané plantaire. Différences dans les réactions correspondant t il des différences dans le sièg
Bulletin médical, 17 janvier igio). 166. Hypotonicité musculaire et réaction de dégénérescence (Société de Neuro- logie, 10
ution à l'étude de la syphilis familiale. Recherches à l'aide de la réaction de Wassermann (en collaboration avec Barré. Id.).
le des Hôpitaux, 22 mars 1(12). 190. Contribution à l'étude de la réaction de dégénérescence. Excitabilité fara- dique lat
24 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uivant les circonstances el les dispositions du sujet, qui sont des réactions d'urgence, pour résoudre la crise angoissante.
e droite est un peu plus étroite que celle du cuLe gau- clto ; leur réaction et leur acuité Aisuetie sont normales. L'ouïe,
recte sur les éléments infectieux en les fixant et en suscitant une réaction défensive leucocytaire favorable; l'interventio
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, qu'avec l'étude de la réaction pupillaire sous l'influence de l'oc- clusion pa
s moitiés des rétines aveugles ne produit sur les pupilles aucune réaction tandis que celui des moitiés des rétines qui voie
x en question. L'état ophtalmoscopique et l'anomalie spéciale de la réaction à la lumière des pupilles confirmèrent le diagn
des pupilles se rapproche delà dimension moyenne normale; alors la réaction à la convergence est généralement prompte quoiq
l'un de l'autre plaide la diminution si fréquemment adéquate de la réaction directe et indirecte à la lumière ainsi que du
atez l'inertie des deux pupilles à la lumière contrastant avec leur réaction à la cow er- gence, ne concluez pas hâtivement
ait bien dériver de l'immo- bilité réflexe même. En effet, outre la réaction il la lumière, les REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
odation et de convergence. Kirchner arrive sous l'in- fluence de la réaction à la fermeture palpébrale, à transformer mydria
greffe le droit supérieur ou le grand oblique ; il constate que la réaction à la convergence persiste in- 122 REVUE D'ANATO
fondé de la théorie précédente, etnon, comme le veut Marina, que la réaction à la convergence des pu- pilles soit indépendan
de chaux ainsi que dans les coques qui en proviennent, on trouve la réaction de l'albuminate de fer ; les vaisseaux décalci-
st pas augmentée ; on ne constate pas de bourrelet, non plus que la réaction d'excita- jon de Bechlerevv. De l'examen comple
nde musculaire ou contraction idiomusculaire, constitue un signe de réaction locale extérieure du muscle loca- lement excité
1 rc sacrées. 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. / Atrophie musculaire avec réactions électriques de la maladie de Thomsen. MM. Lor
rants calmes, mais dangereux, dont on redoute les évasions et les réactions violentes. L'auteur montre que les aliénés vici
ve de la résistance quand on veut les ouvrir ; con- servation de la réaction pupillaire ; conservation des réflexes patellai
de la sensibilité générale explique la fréquence et la violence des réactions hypochon- driaques (auto-mutilation). 11 en est
ndriaques, bien que très réelles, n'ont pas engendré directement la réaction médico-légale (neurasthéniques hypochondriaques
ypochondriaques kleptomanes). Le suicide figure au premier rang des réactions hypochon- driaques : persuadés de ne jamais gué
me hypochondriaque du délire de persécution qu i peut entraîner des réactions dangereuses, en particulier l'ho- micide, leque
fus des névrites ascendantes un syndrome à allures particulières, à réactions anatomo-physiologiques également spéciales, le
lulo-névrite,de neuronite motrice antérieure), au profit encore des réactions cellulaires à distance au cours des sections ne
91 qu'aux centres nerveux. Il n'est pas douteux cependant que les réactions histologiques et les symptômes cliniques ne soi
érique de la tétanine se fait sournoisement, insidieu- sement, sans réaction sensitive ni motrice ; et en cas de gué- rison
e syndrome une première étape principale et obligatoire, l'étape de réaction périphérique à ascension limitée ; une deuxième
ascension limitée ; une deuxième étape excep- tionnelle, l'étape de réaction à distance et de diffusion gan- glionnaire. Peu
ositifs de névrite, signalés plus haut. Anatomie pathologique. La réaction interstitielle du nerf périphérique est la cara
ruction secondaire des tubes nerveux. L'anatomie pathologique des réactions centrales à dis- tance, ou de propagations gang
n avis, expliquer la marche ultérieure du processus ; celle de la réaction toxique ascensionnelle des éléments inlra-ner-
veux (tissu conjonctif, vaisseaux, faisceaux nerveux) et celle delà réaction inflammatoire également ascensionnelle du tissu
es ; atrophie mus- culaire très marquée. Réflexes tendineux abolis. Réaction de dégénérescence complète de tous les groupes
peut être l'origine de troubles vasomoteurs amenant eux-mêmes des réactions émotionnelles comparables à l'éreuthose et à- l
e l'autre comme pour les rani- mer, représentant ainsi une sorte de réaction motrice contre une sensation d'engourdissement.
ation nedoit autant tenir compte des con- ditions sanitaires et des réactions individuelles. Selon l'ex-- pression de Scoutte
ion semble pouvoir être envisagé comme l'expression d'une salutaire réaction des énergies psychiques, que l'on se gardera de
ose, refroidissement des extrémités, etc.). Dans tous les cas, la réaction sera très attentivement surveillée, et le. plus p
les plus vitalisantes et les plus susceptibles de mettre en jeu les réactions organiques. - G. Hydrothérapie hygiénique. -La
té de leur action, mettent trop vivement en jeu les processus de la réaction gé- nérale et risquent d'en épuiser les sources
ont montré chez un même malade des variations très nettes dans les réactions de la pupille à la lumière. De plus, chez ces m
coce : 1° Le bacille et le staphylobacille étudiés provoquent une réaction spécifique des sérums, stigmate d'infection : ils
es de la corne anté- rieure et, dans de pareilles circonstances, la réaction à dis- tance est beaucoup influencée et la répa
ostic. Au point de vue du pronostic, on peut dire que, malgré leurs réactions souvent désordonnées et violentes et malgré cer
dans l'état actuel de nos conceptions sur la conscience, que les réactions spéciales, locales, soient associées. Grâce à ce
breux qui frappent et éveillent les sens à la naissance amènent des réactions ou fonctions qui mettent l'organe nouveau, le c
ervation de l'enfant et du foetus. 'Réactions au chaud et au froid, réaction à la douleur, mais pas de connaissance du monde
ue suffisant du cerveau (cinquième mois environ), il se produit des réactions vitales dont le caractère évolutif est marqué p
ère évolutif est marqué par la coordination et l'u- nification. Ces réactions préparent les voies de la cons- cience, mais ne
morale de l'enfant, 3° édit. Paris, 1903, p. 31. 292 PSYCHOLOGIE réactions physiologiques que le nouveau-né normal (1). Lo
été re- cueillis par M.IeD° Henri DEFLnuRiAN (L'anencéphale et ses réactions vitales. Tlièse de médecine de Bordeauv, 1903).
ntaire, nous ne possédons qu'une seule observation complète, où les réactions vitales soient soigneusement no - téeset mises
ase du crâne, on délimite assez bien la selle turcique » (2). Les réactions vitales de ce nouveau-né étaient il peu près id
érieures la conscience des fonctions. L'analogie observée entre les réactions vitales des monstres an encéphaliens et du nouv
a fonction de la cons- çience est de disjoindre, dans le temps, les réactions des sensations » (1), c'est-à-dire de transform
tations externes ou internes. A partir du mot ment où l'enfanta des réactions morphologiquement su- périeures à celles des in
absolument comparable à celle congénitale de la maladie de Thomsen. Réaction électrique myotonique. A l'examen biopsi- que,
ée par des paralysies musculaires avec asthénie sans atrophie, sans réactions électriques anormales, sans troubles de la sens
ées circulairement dans l'adventice de ceux-ci. ll n'y avait aucune réaction patholo- gique du tissu nerveux environnant. Di
oduction à cet intéressant tra- vail : l'auteur s'est assuré par la réaction de \\ïdal, l'examen pa- thologique du sang, l'e
t être considérée, au même litre que l'atrophie d'emblée, comme une réaction pri- mitive du processus myopathique. 1 Quell
re de mots reviennent cons- tamment ; toute pensée entraîne la même réaction vicieuse, c'est-à-dire l'articulation du même m
petite quantité. L'urobilinurie a diminué vers le 0 fé- vrier el sa réaction est peu sensible. (La malade absorbait par la s
chez lequel existaient, dans le domaine du trijumeau, de véritables réactions doulourcu- ses, distinctes des manifestations p
oses organiques graves, les recher- ches sur l'acétone, les corps a réaction diazoïque, l'allllnollia, que, les hcniolysincs
O\uquer, chez des prédisposés, des directions centrales, véritables réactions distance donlle méca- nisme palhogéniquc doit ê
is, dans les cas a évolution lente, l'abrutissement el le défaut de réaction peuvent aller jus- qu'à friser l'étal démentiel
plus fréquent que celui qu'on lui faisait jouer auparavant L par réaction contre la théorie unieiste de Louis et Olli- vi
nt, n'ont rien présenté d'anormal. Pas d'éruption cuta- née, aucune réaction locale,pas de persistance du nodule inflam- mat
s, 'par Foss, 17. 122. TaoatsE.r. ltropllit : musculaire ^ avec réactions électriques de - ]amatadiedo,par)or- tdt-.htC
25 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
e de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. — Réactions de la cellule hépatique relativement à la matière
ulations : Ie des granulations pigmentaires biliaires et possédant la réaction caractéristique; 2° des granulations à bords pâle
caractéristique; 2° des granulations à bords pâles; qui n'ont pas la réaction de la graisse et qui remplissent pour ainsi dire
bords sombres, brillants, offrant avec l'éther et l'acide osmique la réaction de la graisse. Ces granulations graisseuses se tr
Leuckhart (1). C'est ici le lieu d'appeler votre attention sur les réactions des cellules hépatiques, relativement à la matièr
glycogène se colore en rouge-brun. Schiff a émis l'o-pinion que cette réaction s'attachait aux granulations pâles, qui auraient
après M. Ranvier(3), dans les cellules lymphatiques qui présentent la réaction brun acajou, la matière glycogène se répand parto
sent aussi très volumineux. Klebs (1) et Rindfleisch assu-rent que la réaction glycogène, même avec une solution faiblement iodé
e d'abord, puis amère, d'une odeur musquée quand on la chauffe, d'une réaction neutre, d'un poids spécifique de i 020 à 1032 ; e
consistance visqueuse (par suite de l'adjonction delà mucine), d'une réaction alcaline, acide même, si la putréfaction s'en est
les sont souvent dentelés. Si ces caractères ne suffisaient pas, Line réaction pourrait être invoquée (1). a) L'acide sulfurique
iliaire. — De la bilirubine ; ses caractères physiques et chimiques. — Réactions qui permettent de la reconnaître : réaction de Gm
physiques et chimiques. —Réactions qui permettent de la reconnaître : réaction de Gme-lin.—La bilirubine provient de la matière
enue en dissolu-tion par les acides biliaires. Il est, Messieurs, une réaction qui permet de reconnaître la biliburine, même dan
aître la biliburine, même dans les solu-tions très étendues, c'est la réaction dite de Gmelin. Si on fait tomber goutte à goutte
successives offrant les colorations susdites dans l'ordre indiqué. La réaction de Gmelin est fort belle quand la bilirubine est
bilirubine est dissoute dans le chloroforme. Il est encore d'autres réactions plus ou moins intéressantes et plus ou moins fidè
de acétique chauffé avec la bilirubine donne une coloration verte. La réaction de Gmelin est commune, ainsi que l'a fait voir M.
ans l'intestin : l'urine, en pareille circonstance, offre toujours la réaction de Gmelin. Ces faits tendent à montrer, vous le v
e ; caractère de ces sels. — Acides glycocholique et taurocholique. — Réaction de Pettenkofer. — Lieu de formation des acides bi
sine. d) Les acides, les sels biliaires et l'acide cholique ont une réaction qui permet dé reconnaître leur présence dans les
ître leur présence dans les divers liquides de l'organisme : c'est la réaction de Petten-kofer. Ni la taurine, ni la glycocolle
tion de Petten-kofer. Ni la taurine, ni la glycocolle n'offrent cette réaction . Voici en quoi elle consiste: On traite la soluti
n, à la vérité, sans quelques difficul-tés pratiques, d'obtenir cette réaction avec l'urine des icté-rîques Dans l'ictère le plu
Dans l'ictère le plus vulgaire, on peut obtenir dans les urines la réaction de Petlenkofer. M. Hoppe Seyler, en 1858, a en ef
quantité suffisante pour s'accuser par leur saveur amère et par leur réaction spéciale. (Réaction de Pettenkofer.) Ce sujet a
pour s'accuser par leur saveur amère et par leur réaction spéciale. ( Réaction de Pettenkofer.) Ce sujet a été étudié avec bea
veraient les acides bi-liaires et capable par conséquent de donner la réaction de Pettenkofer. Fort de ces données, très intér
èrement mu-queux, un peu alcalin. L'acide nitrique n'y amenait aucune réaction ; il n'y existait pas trace de pigment biliaire.
que fit apparaître dans ce liquide incolore, un précipité gélatineux ( réaction de la mu-cine). Ce liquide n'était donc pas de la
x cas ^ictère spasmodique, apparu à la suite d'une cause morale, sans réaction fébrile, M. Bouchardat (1) a observé les chiffres
si que, d'ancienne date, tous les auteurs l'ont noté, s'effectue sans réaction , sans douleur, de manière à passer le plus souven
xe. 1° Dans certains cas, — ce sont de beaucoup les plus rares — la réaction inflammatoire se produit suivant le mode sur-aigu
ion verte, composée d'un liquide purulent mêlé de bile, ainsi que les réactions chimiques permirent à M. Mélm de s'en assurer. On
es restées saines. Il va sans dire que, dans l'étude histologique, la réaction iodée met nettement en relief les éléments altéré
qu'elle n'a rien de commun avec la cellulose et l'amidon, auxquels la réaction iodée l'avait fait comparer tout d'abord. Les ana
nce gélatineuse qui offrirerait, de la manière la plus frappante, les réactions de la matière amyloïde. M. Dickinson fonde, là-de
umière des tubuli, on trouve quelquefois des cylindres qui offrent la réaction par l'action de l'iode, mais ce caractère, ainsi
s, formant un magma qui remplit le calibre du conduit et pré-sente la réaction spéciale (A. Key), mais c'est là un fait très exc
petit rein rouge ; quelquefois il existe des kystes ; en tout cas, la réaction par l'iode permettra toujours de distinguer ce re
chez les album i nu ri qu es par maladie de Bright ; et, puisque ces réactions ne sont pas les mêmes que celles de l'albumine du
quatre fois le volume du liquide à examiner. Dans ces conditions, la réaction estprompte, et,auboufde quelques minutes, onpeutx
it être fondé à dire, d'une façon générale, qu'à ne considérer que la réaction chimique, l'existence d'une altération de l'alb
eur quantité est très faible. Plus tard, quand survient la période de réaction , alors que la cyanose cesse, et que le pouls se r
te de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. — Réactions de la cellule hépatique relativement à la matière
liaire. — De la bilirubine, ses caractères phy-siques et chimiques. — Réactions qui permettent de la reconnaître : réaction de Gm
y-siques et chimiques. — Réactions qui permettent de la reconnaître : réaction de Gmelin. — La bilirubine provient de la matière
de; caractères de ces sels. — Acides glycocliolique et taurocholique. Réaction de Pettenkofcr. — Lieu de formation des acides bi
26 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
faut admettre d'un côté une hypertension cérébrale etde l'autre une réaction inflammatoire des os du crâne, limitée, je le rép
, que la synostose doit être envisagée comme la consé- quence d'une réaction ostéogénique à la suite de l'hypertension cérébra
ade complètement guéri reprend ses occupations au magasin. 4 i. - Réaction de Wassermann négative. 30. Le malade est venu
upillaire est conservé à la lu- mière et à l'accommodation, mais la réaction est un peu lente. Les réflexes ten- dineux et c
aminé au microscope on constate une lymphocytose très abondante. La réaction des globulines est négative. Il accuse une fort
ense à la suite de la double coloration à l'hématuxiline-éosine. La réaction des glohulines est positive 50 MARINESCO ET GOL
deux cas, nous avons trouvé dans le liquide céphalo- rachidien, une réaction cellulaire très intense. Nous sommes d'avis que
l'examen cytologique du liquide. L'absence des microbes et de la réaction cellulaire dans les cavités con- tenant l'exsud
ormal comme dimensions. liéflexes rotuliens normaux des deux côtés. Réactions pupillaires intac- les. Pas de troubles oculair
on émotivité, ses frayeurs, ses larmes, les caractères mêmes de ses réactions et de ses tendances fémi- nines, son insuffisan
éennes et tuberculeuses. Nous n'avions pas eu le temps de faire une réaction de Wassermann chez notre malade, mais on ne ret
s régions les plus inférieures où ils ne peuvent que déterminer des réactions pathologiques. Dans le crâne, les organes les p
lieu du monde comme recevant des excitations et y répondant par des réactions (2) ». Et celle physiologie de la pensée fondée
urone ; c'est, d'une part, l'ultramicroscopie et, d'autre part, les réactions chromatiques qu'offrent les cellules nerveuses, e
ous avons constaté, exceptionnellement il est vrai, un phénomène de réaction de la cellule vivante, consistant dans la vaiia
iquent les aspects multiples ultra-mi- croscopiques et leur mode de réaction . Ces granulations jouent donc un rôle essentiel
n examen minutieux de la sensibilité révéla partout l'existence des réactions physiologiques normales. La musculature était p
glarc2vs ; au cours de l'exa- men de son pouvoir d'association, ses réactions furent normales. Durant ces conversations, Caro
s pas comme autorisé à une telle ingérence qui aurait pu amener des réactions désagréables. En tout cas, il me semble importa
isse et la jambe droites. Sphincters. - Pas de troubles vésicaux. Réactions électriques,faites avec le courant galvanique, le
uisse, prédominante à gauche. Contractions fibrillaires fréquentes. Réaction de dégénérescence partielle. Abolition des réflex
lité, ni d'in- coordination motrice. Pas de troubles sphinctériens. Réactions pupillaires normales. Résumé DE l'examen hist
en outre par l'abolition des réflexes tendineux, la diminution des réactions électriques, avec ou sans RD, la présence fréqu
ins. Ici contractions fibrillaires et douleurs. Chez tous deux, les réactions électriques sont affai- blies, ou même abolies,
ux nerfs crâniens, abolition des réflexes tendineux, diminution des réactions électriques, phéno- mènes douloureux sans troub
ans. Troubles de la sensibilité cutanée et profonde. Diminution des réactions électriques allant jusqu'à la RD. A l'examen hist
lements fibrillaires dans les muscles intercostaux ; diminution des réactions électriques ; pas de douleurs, réflexes pupilla
flexes tendineux. Intégrité de la sensibilité dans tous ses modes. Réactions électriques diminuées dans les muscles atrophié
faibles ; contractions fibrillaires daus la langue ; diminution des réactions électriques ; pas de troubles de la sensibilité ;
la main, puis de l'avant bras, sensibilité intacte ; diminution des réactions élec- triques ; mort à 7 ans. Examen histologiq
t aux pieds, sensations pénibles dans les jambes ; diminution de la réaction de la pupille droite à la lumière; altérations de
n de la réaction de la pupille droite à la lumière; altérations des réactions électriques allant jusqu'à la RD. Examen histolog
llant jusqu'aux mus- cles de l'épaule et du larynx ; diminution des réactions électriques, parfois RD. ; diminution de la sen
s et de la face : abolition des réflexes tendineux ; diminution des réactions électri- ques, parfois RD. Hypertrophie des tro
trophie simple, sans que les éléments interstitiels aient une autre réaction qu'une légère sclérose cicatricielle. Il y aura
tement détruits. Les colorations au carmin nous montrent une grosse réaction fibreuse interstitielle à l'inté- rieur de ces
aucun antécédent spécifique et n'en présente aucun stigmate, et la réaction de Wassermann est d'ailleurs négative ; de plus
tres, ni antécédents héréditaires ou personnels, ni stigma- tes, ni réaction de Wassermann ne permettent de croire à la spécif
refuser aujourd'hui tout droit de cause déterminante. En vérité la réaction ne serait-elle pas excessive ? (1) JACOT, L'ost
ré- flexes achilléens, chez un troisième de la lymphocytose et une réaction de Wassermann positive. " , La syphilis est i
ure, destruction uni ou bilatérale ne s'ac- compagnant ni de grande réaction inflammatoire, ni de très importante proliférat
s de causalité qui unissent ces deux éléments. Le gliome est-il une réaction secondaire contre l'invasion' primitive du tiss
à supposer qu'une telle poussée a été susceptible de provoquer une réaction névroglique intense. Le fait qu'à certains étages
s. Le fond des yeux sans changement ; les pupilles sont égales, la' réaction à la lumière et à l'accom- modation-bien conser
hie de petits muscles de la paume gauche du type Aran-Duchenne avec réaction de dégénérescence (muscles de l'éminence thénar
ent à expliquer l'atrophie de petits muscles de la main gauche avec réaction partielle ou totale de dégénérescence, ainsi que
quelque lymphocyte par millimètre cube à la cellule de Nageotte. Réaction de Wassermann. - Négative dans le sang et dans le
nn. - Négative dans le sang et dans le liquide céphalo-rachidien. Réaction à la tuberculine. Négative à un demi, à 1 et à 2
s deux côtés, mais existent. Il n'y a pas de signe de Babinski. Les réactions pupillaires sont normales. La sensibilité est n
. Parésie du moteur oculaire commun gauche. Inégalité pupillaire. Réaction à la lumière, perdue à droite, faible à gauche.
upillaire. Réaction à la lumière, perdue à droite, faible à gauche. Réaction à l'accommodation conservée avec signe de Roberts
des muscles inter- osseux. A l'examen électrique, on constate une réaction de dégénérescence complète pour les muscles de
Ces réflexes/sont exa- gérés à droite du fait de l'hémiplégie). Les réactions électriques''n'ont'pas été recherchées. En ré
ille), ce qui cadre bien avec l'intensité de l'atrophie et l'état des réactions électriques. En résumé, chez une malade attei
phocytes par champ d'immersion. Albumine sensiblement normale. Réaction de Wassermann positive. Est devenue négative à la
édian et du radial à )'avant-bras, pas d'altérations ac- cusées des réactions . A gauche : état sensiblement le même, pour le
ont confirmées par l'examen électrique qui montre : Du côté gauche, réactions électriques normales au courant faradique et gal-
ues normales au courant faradique et gal- vanique. Du côté droit, réaction électrique normale au niveau de l'éminence hypoth
iveau de l'opposant et de l'adducteur du pouce. Très affaiblie sans réaction de dégénérescence au niveau du court fléchisseu
(côté amyotrophié). A l'examen électrique on note : du côté gauche réactions normales, du côté droit : abolition de la contr
is au même titre que l'abducteur et l'opposant. Hypoexcitabilité et réactions lentes dans les mêmes muscles au courant gal- v
s autres groupes musculaires. Nous ajouterons enfin les troubles de réactions électriques. Par contre l'état des réllexes, l'
se et plus ou moins rapidement progressive. Les modifications des réactions électriques sont constantes. Elles vont de l'hy
iques sont constantes. Elles vont de l'hypoexcitabilité simple avec réaction de dégénérescence jusqu'à l'abo- lition complèt
avec réaction de dégénérescence jusqu'à l'abo- lition complète des réactions faradiques et galvaniques. Cette dernière est d
ogressive despetits muscles de la main constitue par son siège, ses réactions électriques, son évolution, une enfilé clinique p
men clinique général, procédés de laboratoire (ponction lombaire et réaction de Wassermann). En dehors de la syphilis on peu
oyen- nes ou petites. Tous ces follicules contiennent du colloïde à réactions tinctoria- les normales dans leur grande majori
de diminution de l'exci- tabilité des muscles et des nerfs ; pas de réaction de dégénérescence. A la face, pas de troubles m
27 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntre les conditions défavorables qui leur sont imposées. Mais cette réaction est d'autant plus marquée que la cause de déché
mêmes J'origine nerveuse, aussi ne saurait-on compter alors sur les réactions spontanées, et, en fait, les troubles de la coo
altération histologique de la fibre musculaire et modification des réactions élec- triques, peut s'observer, mais à titre de
e absence totale du faisceau pyramidal ; 2° il se manifesterait des réactions sensitivo-motrices malgré la dégéné- rescence d
tre dénommé : spongiopathie spondyioépiphysaire. 13. C. VIII. De la réaction des pupilles dans les états d'ivresse et de son
immédiatement après leur arrivée, une diminutiou mani- feste de la réaction des pupilles à la lumière, la plupart du temps
i s'accompagne d'une dilatation moyenne. Parfois, à ce moment, la réaction pupillaire est excessive. Chez un certain nombre
demeurent excita- bles et confus, la diminution ou la lenteur de la réaction pupil- laire subsiste, bien que moindre, six à
ns chez un dégénéré. 1 Sans doute, la diminution temporaire de la réaction des pupilles à la suite de l'ivresse est un sym
ant les phases de l'ivresse où s'est développée la diminution de la réaction pupil- laire. L'importance de ce signe en médec
éflexe des pupilles. , Eh bien, la voie centrifuge ayant perdu sa réaction à l'égard de la lumière, tandis qu'elle réagit
e partie du noyau sphinctérien lui-même. L'iné- galité et l'inégale réaction des pupilles de l'immobilité pupillaire réflexe
tence fonctionnelle au prorata de l'amaigrissement des muscles. Les réactions électriques ont été souvent rencontrées plus ou
nces naturelles ou sociales, que chaque homme subit, et aussi de la réaction de l'intelligence, et de la volonté contre l'élé-
tive. Nous signalerons l'absence habituelle d'hypoex- citabilité la réaction galvanique, contrairement aux notions admises à
on voit arriver très rapide- ment les idées mégalomaniaques ou les réactions délirantes. Comme MM. Marandon et Arnaud, nous
ujet passif jusqu'à l'hallucination provoquée et surtout jusqu'à la réaction . Doit-on dire dans ce cas, avec M. Marandon, qu
lement erreur de l'esprit chez le sujet passif, et commentjuger les réactions de ce genre de malades ? Il nous semble que le
ctif transmet ses conceptions déli- rantes, ses hallucinations, ses réactions à un ou plusieurs sujets passifs déjà délirants
st la mélancolie, De même l'acte impulsif est secondaire, c'est une réaction ; tandis que l'impulsion est primitive; cette de
lassitude. A cet instant lassitude de même genre des jambes sans la réaction myasthénique. Tendance à la fatigue des membres
avoisinant le tronc plus que de celles qui en sont éloignées. La réaction myasthénique, radicalement absente pendant les ci
n mois plus tard, et non dans tous les muscles myasthéniques. Cette réaction est indépendante du symptôme-fatigue; une fois,
ion, la lassitude musculaire disparaît ou décroit énormé- ment ; la réaction anormale aux courants faradiques peut- même fai
ux courants faradiques peut- même faire place à l'état normal. La réaction myasthénique de Jolly décelée chez cinq sujets su
, progressif et accompagné d'amai- grissement musculaire, mais sans réaction de dégénérescence ni troubles des réflexes du m
onstitution, de leur concentration, de la force de résistance et de réaction locale et individuelle du tissu. Le parenchyme
à une para- lysie totale; l'atrophie musculaire fait défaut et les réactions électriques sont normales. Cette forme de paral
éance du 3 février 1903. -PRÉSIDENCE DE M. PAULRtOOER. Des temps de réactions sensorielles chez qxelques aphasiques. 11\I. \I
Il résulte de leurs recherches que chez les aphasiques le temps de réaction auditive simple et de choix est beaucoup plus len
c relâchement des sphincters, irtégrité de toutes les sensibilités, réactions normales à la galvanisation et à la faradisatio
iminuée du côté gauche. Le muscle abducteur court du pouce donne la réaction de dégénérescence : dans les muscles triceps cr
et le spasme qu'ils résument nettement ainsi : « En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pa
'a jamais pris part, nous dirons : ce n'est pas un tic. Et si cette réaction motrice est la conséquence de t'irritât ! on path
bulbo-spinal, nou-. ajouterons : c'est un spasme. En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou
inctifs, nous pourrons ajouter : c'est un tic. » 11 y a parmi les réactions motrices de simples réflexes spinaux, parmi les
réflexes spinaux, parmi lesquels se rangent les spasmes et d'autres réactions coor- données en vue d'une fonction, des actes
cause d'un tic, n'a été démontrée de façon probante. L'étude de la réaction motrice du tic ne peut être faite d'une façon p
ules du groupe- ment intermédiaire du noyau du sciatique étaient en réaction , taudis que celles du groupement central du mêm
ntral. Chez le troisième chien les altérations correspondantes à la réaction du demi-membraneux étaient situées dans la moit
diminu- tion de sensibilité avec variations lentes de potentiel, la réaction de débilité est caractérisée par une inaptitude
tes au début de toute gliose, peuvent susciter secondaire- ment une réaction névroglique prononcée. (Revue neurologique, oct.
la serine. Nous avons observé, dans le service du Dr Joffroy cette réaction dans 16 cas de para- lysie générale. Au contrai
hoses diverses, démence précoce, mélan- colie, manie aiguë, etc; la réaction en question faisait défaut. La recherche de la
ne dans le liquide céphalo-rachidien est très facile à faire. Cette réaction est souvent en parallèle avec la lym- phocitose
ux, quoique les papilles des nerfs optiques soient très pâles et la réaction des pupilles est lente. Les réflexes patellaires
ferme le matériel nécessaire pour les recher- ches sur les temps de réaction , sur les associations : chronoscope de Hipp ave
un minimum d'intensité sur les membres qui n'ont jamais présenté la réaction de dégéné- rescence et ont vite récupéré leur m
d'une polynévrite à forme pseudo-tabétique mais sans troubles des réactions électriques et à pronostic très favorable. Y a-
idental med. Times, décembre 1901). LXXXI. Un cas de myopathie avec réactions électriques normales ; par F. ALIARD (Nouv. Ico
e-six ans ayant un père atteint de la même affection : amyotrophie, réaction de dégénérescence, troubles des sensibilités, l
tus auquel succéda une atrophie musculaire du type de Duchenne sans réaction de dégénérescence au niveau de tous les muscles
du sphincter irien des pupilles immobiles à la lumière, pendant la réaction à l'accomodation et à la con- vergence ; par M.
ion à l'accomodation et à la con- vergence ; par M. Rotumann. De la réaction neurotonique des pupilles; par J. PILTZ. (Neuro
la lumière soit d'un côté, soit des deux et présentant en outre une réaction lente quoique complète à l'accommodation et à la
bout de la raideur, ici, la répétition accélère sans la détendre la réaction . La raréfaction du tissu irien est juste le con
e paralysie complète du sphincter irien. 11 y a donc deux formes de réaction lente de la pupille à l'accommodation et à la c
ne affection du système ner- veux central : on a affaire alors à la réaction pupillaire neuroio- nique ; neurotoniques sont
à la réaction pupillaire neuroio- nique ; neurotoniques sont ici la réaction à la lumière, la réaction à l'accommodation, la
euroio- nique ; neurotoniques sont ici la réaction à la lumière, la réaction à l'accommodation, la réaction à la convergence
ont ici la réaction à la lumière, la réaction à l'accommodation, la réaction à la convergence, la réaction des pupilles par
re, la réaction à l'accommodation, la réaction à la convergence, la réaction des pupilles par contraction de l'orbiculaire.
des pupilles par contraction de l'orbiculaire. 20 L'expres- sion de réaction pupillaire myotonique convient aux cas où l'on
araît à l'examen des réflexes pupillaires encore conservés. 3° La réaction neurotonique et la réaction myotonique des pupill
xes pupillaires encore conservés. 3° La réaction neurotonique et la réaction myotonique des pupilles peu- vent être désignée
tonique des pupilles peu- vent être désignées sous le nom commun de réaction tonique, mou- vement tonique, forme tonique du
e cérébelleuse avec tendance à tomber à droite. Rétrécisse- ment et réaction lente de la pupille gauche. Trouble oculo-moteur
relles qui bien que fort élastiques la placent entre une période de réaction à manifestations multiples et une période d'écr
tières. 583 servation d' avec agraphie. par Stadelmann, 182. Voir Réactions sensorielles, Voir Mémoire. Apophyse mastoïde
o- pathiquf, par Crouzon, 296. Voir Sclérèn2c. Un cas de - avec réaction électriques normales, par Allard, 535. Une vari
la avec attitude cérébelleuse, par Léplne, 2GJ. Pupilles. De la réaction des - dans les éiats d'ivresse et de son impor-
l spasmodique. Lamnectomie. Gué- rison, par Z et Sicard, 294. Réactions sensorielles. Des temps de - chez quelques apha
28 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
onctions indispensables à la vie, et ne tuent avant que le cercle des réactions , des transports des matières morbides et des préd
it être dérangée sans douleur de cette position. D'ailleurs, point de réaction fébrile ; pouls régulier à soixante-quinze pulsat
dividus mourir dans le frisson. Suivent le mouvement centrifuge ou de réaction , la chaleur, le développement du pouls ; c'est da
queuse, qui sont si souvent funestes. L'état général, l'énergie de la réaction et surtout la douleur locale, quand elle existe,
ux. Tout le temps que les phénomènes locaux sont dominans , qu'il y a réaction énergique et régulière et du système nerveux et d
u sang : la plus petite évacuation sanguine peut détruire le reste de réaction qui anime encore l'économie ( sanglas frœnat ñerv
avages de l'état local et qui, d'une autre part, soutient la force de réaction vitale et permet à l'économie de suffire aux frai
ir tôt ou tard une médication propre à soutenir la vie, à obtenir une réaction sans désordre comme sans stupeur. Le but idéal de
rtie circonscrite du canal alimentaire, qui tue par les phénomènes de réaction ou sympathiques et presque jamais par l'altératio
s mécaniques. C'est encore l'espèce qui s'accompagne des symptômes de réaction générale les moins prononcés, celle qui imprime l
ns changement de couleur, sans injection vasculaire , sans travail de réaction quelconque : on dirait un corps inorganique qui s
e dè l'orifice pylorique OP. Des plaques rouges annoncent un reste de réaction vitale. La coupe montre l'hypertrophie de la memb
amment renouvelée, et le malade est privé avec son sang des moyens de réaction : c'est alors qu'on devra essayer des moyens préc
objecte que souvent le foyer gangreneux ne présente aucun travail de réaction dans ses parois, que le tissu sain entoure immédi
foncé offrant l'aspect étonné des cholériques arrivés à la période de réaction ; la peau est chaude, le pouls lent, large, mais p
état des viscères. C'est par le pouls que commence à se manifester la réaction , de même que c'est par lui que s'est manifestée l
le à la première sous le point de vue de l'intensité. Mal dirigée, la réaction peut être incomplète ou temporaire; elle peut dev
au matin, les vomissements, les selles et les crampes avaient cessé. Réaction ; face d'un rouge foncé et altérée ; langue jaunâ
impeurs alcooliques. A la visite de neuf heures du soir, un peu de réaction . Peau fraîche et non froide; le pouls est moins m
ype à cet égard. Choléra moyen très intense chez une femme débile ; réaction ; lutte pendant douze jours ; utilité de la métho
douze jours ; utilité de la méthode antiphlogistique a la suite de la réaction ; convalescence pénible traversée par de nombreux
es. de quinquina qu'on alternera avec la potion laudanisée. Le 17 , réaction ; mieux sensible ; face d'un rouge foncé; pouls p
ire dorsal ( elle n'a pas uriné depuis l'invasion). Persuadé que la réaction a amené une inflammation gastro-intestinale, je p
abituellement; mais cette terminaison fatale n'est pas inévitable. La réaction vitale peut encore triompher; et nous avons vu bo
e plusieurs jours d'un état désespéré. IX. Chez un grand nombre, la réaction commence, mais elle s'éteint presqu'immédiate-men
mmédiate-ment; l'état asphyxique reprend le dessus. Chez d'autres, la réaction a lieu , elle est complète , salutaire ; puis suc
yphoïde ou comateux auquel le malade succombe. Enfin à la suite de la réaction peut survenir une gastro-entérite chronique qui r
à peine deux ou trois selles liquides; la mort arrive sans la moindre réaction . Il est rare que dans le cours d'une épidémie, ce
ie et présente plus de prise aux agents thérapeutiques. La période de réaction si rare, au moins d'une manière franche, dans le
re formes de choléra, le malade ne peut échapper à la mort que par la réaction ; or, il est des choléras tellement intenses, que
e par la réaction; or, il est des choléras tellement intenses, que la réaction ne saurait être provoquée par aucune espèce de mo
plète du pouls aux radiales est regardée comme le signe certain d'une réaction impossible. Cette règle n'est pas sans exceptions
est pas sans exceptions : par opposition , on rencontre des cas où la réaction ne peut pas avoir lieu malgré la persistance du p
ersistance du pouls. Choléra asphyxique rapidement mortel; point de réaction ; pour toute lésion, quantité très considérable d
crétion folliculaire excessives de la muqueuse gastro-intestinale. La réaction n'a pas été possible. Chez Adéodat, la sécrétion
ra asphyxique survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction . Mort de la mère, mort de Venfant. Grande quantit
lus grave dans cette circonstance, la grossesse diminuant la force de réaction . La mort de l'enfant précède toujours celle de la
cause, mais à la fois par l'intensité de la cause et par la force de réaction ou d'insurrection de l'organisme. Or, cette force
orce de réaction ou d'insurrection de l'organisme. Or, cette force de réaction est en quelque sorte épuisée par le travail de l'
insi que j'ai vu périr sans crampes, sans angoisses , sans la moindre réaction , avec tendance manifeste à l'extinction, une femm
vasion d'un choléra violent. Le travail de l'accouchement suppose une réaction vitale; son absence suppose l'absence de toute ré
t suppose une réaction vitale; son absence suppose l'absence de toute réaction ; par cela même qu'une cholérique éprouve des doul
étaient écoulées. Evacuations alvines et vomissements teints de bile. Réaction vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimab
n quart de lavement a,vec amidon et laudanum, xv gouttes\ 2 heures. Réaction ; la malade se réchauffe; le pouls devient fort, d
odigués. Je crains que cet état ne soit du narcotisme. 6 heures. La réaction n'a pas été de longue durée. Le pouls est faible,
ne espèce de douleur; la douleur, qui est elle-même une expression de réaction , doit cesser lorsque cette réaction est épuisée ;
i est elle-même une expression de réaction, doit cesser lorsque cette réaction est épuisée ; c'est, comme on dit, le mieux de la
sèches sur le creux de Vestomac et sur les hypo-chondres. Point de réaction . L'e'tat de cette femme reste presque identiqueme
ieur. 20. Diminution des selles ; cessation des vomissements. 21. Réaction ; face colorée ; assoupissement; peau chaude; poul
XXIV. Dans le cas précédent, la malade a succombé après la période de réaction . Cette période est pleine de dangers, car il faut
semble donc que plus la maladie se sera prolongée après la période de réaction , et plus les traces de l'inflammation devront êtr
muqueuse : tandis que lorsque la mort a été voisine de la période de réaction , les lésions anatomiques ont été très prononcées.
la mort est le résultat de l'épuisement amené par la lutte, et que la réaction d'où dépend le retour à la santé, ne puisse se co
x, qui ayant échappé aux accidents cholériques de concentration et de réaction , s'éteignit le septième jour : point d'altération
organes, observées chez les individus qui succombent à la suite de la réaction . xive livraison. 8 Cholera asphyxique. Mieux
smes sur l'abdomen. Ventouses sèches au creux de l'estomac. Le 1 6. Réaction . La face n'est plus livide, mais rouge et foncée
sition ; ce n'est qu'à la suite d'une lutte longue, difficile, que la réaction que l'on a cherché à provoquer par toute sorte de
nts nécessite et quelle série d'indications présente cette période de réaction . Choléra très-grave arrêté à la première périod
ng du rachis. Eau de Seltz pour boisson. Le 19, au matin. Un peu de réaction ; chaleur naturelle; cependant la malade se plain
Je reviens aux lavements glacés et aux boissons froides. Le 20, la réaction est très prononcée ; le pouls a de l'ampleur et p
int de changement notable : la malade demande à boire froid. Le 14. Réaction depuis hier au soir ; face vultueuse; le pouls pe
iste à la période bleue et succombe plus ou moins long-temps après la réaction , on ne trouve plus de liquides, mais à leur place
fin de l'intestin grêle (liez Opermann, qui succomba à la suite de la réaction . La présence des ascarides lombricoïdes, signal
Chez la plupart des individus morts quelque temps après la période de réaction , j'ai trouvé une pulpe jaunâtre ou verdâtre, anal
le contient de l'urine chez les individus morts pendant la période de réaction . Des organes de la circulation et de la respira
ce de la bile, soit dans l'estomac, soit dans les intestins, après la réaction , coïncide souvent avec une terminaison fâcheuse.
Dans le choléra le plus asphyxique, il y a un degré en deçà duquel la réaction est possible, et au-delà duquel elle est impossib
l la réaction est possible, et au-delà duquel elle est impossible. La réaction développée peut être incomplète ou complète, temp
cholériques, soit algides, soit asphyxiques, il est bien rare que la réaction (i) Je rapprocherai encore le choléra de la Sue
elle des forces de la vie, que la mort arrive souvent sans la moindre réaction , malgré tous les efforts de l'art. Si la fluxio
ien qu'un grand nombre d'individus qui succombent au choléra après la réaction , présentent des traces non équivoques de l'infla
ygiéniques propres à maintenir le système nerveux dans un bon état de réaction . (1) Les cas de dysenterie observés a la suite
la vie pendant la période de concentration; i° diriger la période de réaction ; 3° dissiper les désordres fluxionnaires qui succ
de la période de concentration; i° la thérapeutique de la période de réaction ; 3° la thérapeutique des accidents consécutifs.
des cholériques; ce moyen serait précieux s'il pouvait développer la réaction , comme chez l'individu asphyxié par congélation;
apismes, en raison de la douleur vive qu'ils provoquent et de la vive réaction qui suit presque immédiatement leur emploi, ont é
use digestive, et que l'inflammation est imminente dans la période de réaction . Nous croyons aussi que les praticiens qui excl
é moins souvent des traces d'inflammation à la suite de la période de réaction , que la muqueuse intestinale. La formule suivante
rtes doses dans la période de concentration, il a paru s'opposer à la réaction , ou plonger les malades dans un état comateux da
très-chaudes, à la manière du thé ou du café ; et il m'a paru que la réaction se faisait plus promptement que lorsqu'on adminis
de toutes les manières, et on n'abandonnait le malade que lorsque la réaction était opérée, ou lorsqu'on avait acquis la triste
estion que d'un seul point de vue. Thérapeutique dans la période de réaction . La saignée que la plupart des praticiens tienn
que la plupart des praticiens tiennent en réserve pour la période de réaction , me parait formellement contre-indiquée au début
de réaction, me parait formellement contre-indiquée au début de cette réaction . J'ai eu la douleur de voir plusieurs fois la réa
début de cette réaction. J'ai eu la douleur de voir plusieurs fois la réaction cesser immédiatement après une saignée intempesti
is trop insister sur ce point : la saignée ne convient que lorsque la réaction étant bien franche, bien complète, exempte de sue
l'inconvénien^de la saignée, cependant il ne faut pas en abuser : la réaction , effort conservateur de la nature, doit être diri
le redire, l'économie épuisée ne réagit qu'incomplètement; ou bien la réaction a déterminé sur divers points des inflammations q
uence au summum d'intensité alors que se manifestent les symptômes de réaction . Thérapeutique dans la convalescence. Le chol
chappés au double danger de la période asphyxique et de la période de réaction , ont succombé convalescents, victimes d'erreurs d
le degré de gravité de la fluxion primitive, le désordre qui suit la réaction , le traitement primitif, le traitement consécutif
29 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
odateur, mais conservation de 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la réaction pupillaire réflexe. Cette atteinte des muscles so
P. K. VIII. Remarques SUR LE phénomène DU maxillaire inférieur ou réaction DU TENDON DU masséter, en CE QUI CONCERNE UN CAS
et générale- ment un claquement de dents convulsif s'ensuit. Cette réaction existerait dans la sclérose latérale amyotrophi
de la communication de Erb (Neurol. Centralbl., 18852) relative aux réactions électriques et aux altérations anato- miques dé
oite du facial inférieur. Inégalité pupil- laire (mydiase gauche) ; réaction à la lumière conservée. Contrac- ture de l'avan
s deux espèces de courants; heureusement qu'on ne constata pas de réaction dégénérative. Mentionnons enfin un réveil tardif
I. Examen graphique DE la contraction musculaire CONVULSIVE dans la réaction dégénérative; par P. Rosenbach et A. SCHTS- CHE
il se soit produit de modification de l'excitabilité électrique; la réaction dégénérative n'est pas sur- venue. M. Bruns m
ier. Intégrité de la sensibilité; intégrité des réflexes tendineux. Réaction dégé- nérative des muscles atrophiés. L'hérédit
sciatique simple, non traumatique, dans lequel il a ren- contré la réaction de dégénérescence limitée exclusive- ment aux m
s points douloureux .classi- ques étaient présents. Il existait une réaction de dégénérescence dans les gastrocnémiens, c'es
ibial antérieur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une réaction de dégénérescence complète. Les péroniers latér
. Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux : Pas d'anomalie de réaction dans les muscles de la région antéro-externe de l
Vigouroux chez cette malade. Nous nous attendions à trouver là la réaction de dégénérescence comme dans le cas pré- cédent
exion sont des signes d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de réaction de dégéné- ration permet peut-être de porter un
dominent toute la scène. Il s'agit cette fois d'une paralysie avec réaction de dégénération typique. Observation IX (person
lle). Sciatique droite. - Paralysie avec 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. réaction de dégénérescence des muscles de la région antéro
extenseurs des orteils, a apparu il y a trois mois. ' Il existe une réaction type de dégénérescence avec diminution de l'exc
ent, bien qu'on n'ait pas constaté dans les muscles at- teints la réaction de dégéné- rescence. Enfin dans l'OBSER- VATI
s muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réaction de dégénérescence. Puis d'autres désordres beau
GIE NERVEUSE. réflexes patellaires sont égaux des deux côtés. - Les réactions électriques des muscles sont normales. - Dans
se, on a trouvé : Quantité d'urines : 1 lit., 725 ; densité : 1018. Réaction acide; ni albumine ni sucre. Urée : 6 gr. 8 par
trajet du nerf para- lysé et intéresseront seulement la peau. 1 Réactions électriques, état des réflexes. - Les réac- tio
endu a cons- taté dans un cas de paralysie des extenseurs, que la réaction électrique était identique à celle de la para-
onoplégie bra- chiale, ont obtenu les mêmes résultats. Quant à la réaction de dégénérescence, elle n'avait pas été recherc
rmé, aplati, par atrophie notable du deltoïde, sensibilité intacte. Réactions électriques : contractilité faradique du delloi
, la disparition de la contractilité faradique et, dans un fait, la réaction de dégénéres- cence. Dans les observations si n
ypoexcitabilité du facial droit (douleurs erratiques). Le 16e jour, réaction dégénéra- tive ; néanmoins tout rentre dans l'o
au début, car on constate : absence de tremblements fibril- laires, réaction dégénérative complète, localisation et marche s
s de Neurologie, t. XV, p. 372. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 249 réactions tendineuses diffèrent des vrais mouvements réflex
l'on peut provoquer des mouve- ments antagonistes qui modifient ces réactions , on ne peut les arrêter elles-mêmes, car enfin
nt ces réactions, on ne peut les arrêter elles-mêmes, car enfin les réactions tendineuses sont exagérées par l'application de
de moti- lité, ni troubles de la sensibilité, ni modification de la réaction pupillaire, ni ataxie. Maints d'entre eux ont e
Prix : 8 fr. Pour nos abonnés ? 6 fr. HENRY (Ch.). Loi générale des réactions psycho-mot1'ices. Mémoire présenté au congrès d
p visuel, diminution de l'acuité visuelle, absence ou faiblesse des réactions pupillaires, défaut de convergence, etc. Tous n
complète ni absolue. Ces animaux , dans leur attitude et dans leurs réactions aux exci- tants périphériques, montraient les s
ation de tous les sens qu'à peine il reste- rait une place pour ses réactions adaptées à un but, qui survivent à l'ablation d
re, de la coordination du mou- vement d'expression émotionnelle, de réactions adaptées aux im- pressions reçues par leurs org
, sur l'unité et l'indivisibilité de l'intelligence, et que par une réaction contre l'organologie de Gall et de ses imi- tat
la localisation cérébrale exacte. Avant de discuter les différentes réactions spéciales et leur inter- prétation fonctionnell
éférence au courant faradique comme le plus capable de produire les réactions caraclériques des centres corticaux. Quand un a
és, l'anesthésie ne doit pas être poussée trop loin, car toutes les réactions cesseraient, ' Comptes rendus, March. 1879. *
es régions si voisines l'une de l'autre, ni de l'absence totale des réactions quand les électrodes sont appliqués sur la cour
it que, même après l'ablation de l'écorce, on obtient dé semblables réactions en plaçant les électrodes sur les fibres médull
nt qu'après quatre jours la plus forte excitation ne produit aucune réaction . Ce fait détruit com- 1 Le cerveau moteur (Arch
s et que le courant les traverse simplement. Et une comparaison des réactions respectives de l'écorce et des fibres médullair
moins excitables que celles de l'écorce 3 ; ainsi, pour produire la réaction habituelle, on doit se servir d'un courant plus
ont les mêmes que pour les nerfs. - Une autre différence entre la réaction de l'écorce et des fibres médullaires sous-jace
sion de plusieurs exci- tants, chacun insuffisant pour produire une réaction , l'écorce peut répondre par des spasmes tonique
Voilà l'esprit fondamental de ce mémoire. P. K. XL1V. DU TEMPS DE réaction D'UNE IMPULSION volontaire ET D'UN ARRÊt du mou
de chaque côté à celle de l'autre côté entraînera l'abolition de la réaction pupillaire sous REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
nyme à début brusque et d'emblée asso- ciée à une suppression de la réaction pupillaire constitue un syn- drome certain de l
e (voisine de la calotte) de la protubérance. On déchaîne les mêmes réactions quand on sectionne la protubérance; a mesure qu
) Il s'agit d'un neurasthénique, mal équilibré, excessif dans ses réactions , masturbaleur par inversion du sens génital qui,
obsessions chez un en- fant de dix ans, par Berger, 257; temps de réaction des volon- taires, Orchansky, 429. Incendie d
6. i Racines, anatomie des médul- 1 laires, par Siemerling, Si. Réactions ni : dégénérescence , par Rosenback, SeLtscUerb
30 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
en desquels elle s'effectue. Le muscle à l'état de repos présente une réaction alcaline; il devient acide lorsqu'il est fatigué.
sité contenue dans le péricarde et les synoviales offrent souvent une réaction acide. Chez les malheureux frappés par la foudre,
l fallait compter désormais avec la science d'outre-Rhin 1. Par une réaction bien naturelle, on a exagéré bientôt les tendance
EÇON De l'état fébrile chez les vieillards. Sommaire. — Défaut de réaction dans l'âge senile. — Les organes semblent souffri
ogiques inconnues à l'adulte ; mais encore nous voyons chez lui cette réaction générale, que nous sommes habitués à rencontrer e
l'occasion d'y revenir. Occupons-nous seulement de ces phénomènes de réaction sympathique, dont l'absence souvent absolue est b
é-nieusement Gillette (2), mais c'est en sens inverse. A cet âge, les réactions sont pour ainsi dire exagérées, tumultueuses, et
ltérations les plus graves. C'est donc par défaut que pèchent ici les réactions , et le mé-decin doit redoubler d'attention et ten
, il est vrai, ne permet pas de constater toute l'inten-sité de cette réaction (1): mais dans le rectum, il existe une températu
n de le démontrer. Voyons maintenant quels sont les carac-tères de la réaction générale dans cette phlegmasie, que nous avons ch
de 75 ans. Mort dans la défervescence. (Gharcot.) chez l'adulte, la réaction générale existe chez le vieil-lard ; mais elle es
le rem-placer par la sérosité d'un vésicatoire, qui donnera les mêmes réactions , pourvu qu'on ait eu soin de ne pas appliquer ce
ue renferme parfois la cavité articulaire, il offre assez souvent une réaction acide, et présente, au microscope, des débris épi
es accidents qui se localisent de préfé-rence au gros orteil. o° La réaction fébrile dont l'intensité est proportionnelle au n
ariétés. L'intensité des symptômes principaux, de la douleur, de la réaction générale, peut se trouver singulièrement amoindri
intensité; ils prennent la forme subaiguë, et sont accompagnés d'une réaction fébrile moins vive : leurs Giiaucot. CEuv. compl.
gement qui s'est opéré dans l'état constitutionnel se traduit par une réaction moins vive au mo-ment des accès, et dans leur int
du côté des médecins qui, subissant aujourd'hui l'entraînement d'une réaction trop radicale, ont été jusqu'à nier l'existence d
— Tophus. — Dépôts d'urate de soude dans les cartilages. — Douleur. — Réaction générale. — Phénomènes viscéraux. —Insuffisance d
me, bile, tartre) consti-tuent les symptômes de la goutte. Mais une réaction contre les anciennes idées se manifeste à partir
ibuer ce fâcheux privilège à leur structure si peu vasculaire et à la réaction relativement peu alcaline de leur tissu propre ;
s ainsi. 9° Enfin les symptômes de l'arthrite se manifestent, et la réaction générale est provoquée par les phénomènes locaux
liquide contenu dans la cavité synoviale. Il présente quelquefois une réaction acide, et tient en dissolution de l'albumine et d
s qui résultent, dans l'expression symptomatique d'une maladie, de la réaction lente ou de la réaction aiguë de l'organisme. N
expression symptomatique d'une maladie, de la réaction lente ou de la réaction aiguë de l'organisme. Nous arriverons, au contr
onsti-tuer exclusivement le rhumatisme articul^Piigu. 11 s'yjoint une réaction d'ensemble, qui se traduit par un état général tr
ire aigu. Le phénomène fondamental est ici la fièvre ; en effet, la réaction fébrile, marquée par une élévation plus ou moins
s jointures affectées (3). Les sudamina renferment un liquide dont la réaction est mani-festement acide ; et cette propriété des
e quel est, au point de vue chimique, le principe qui détermine cette réaction ; on l'a attribuée à l'acide lactique, mais sans p
— Physiol., t. I, p. 450. 5- Fuller, op. cit., p. 517. rait la même réaction . J'ai quelquefois noté ce dernier phéno-mène , ma
tout alors que les exsudats liquides des cavités séreuses offrent une réaction éminemment acide, ainsi que nous l'avons plu-sieu
; le mamelon tout entier est imprégné d'un liquide, qui présente une réaction sem-blable à celle du mucus. Telle est la premièr
modiques. — Causes accessoires. Symptômes généraux. — Hématologie. — Réaction générale. — Évolution rapide. — Évolution lente
ns l'auteur garde le silence sur ce point. B. Au point de vue de la réaction générale et de la marche des accidents, il y a li
al-caline ; 3° Les phosphates de soude et d'ammoniaque qui ont une réaction alcaline et une action spéciale sur l'excrétion u
illards.,— Maladies latentes. — Absence de commémoratifs. — Défaut de réaction gé-nérale. — Irrégularité des symptômes. — Exempl
graves pour-ront ne s'accuser que par des symptômes locaux ou par une réaction d'ensemble peu accentuée et hors de proportion av
s peu accentuée. A côté de ces cas en réalité assez nombreux, où la réaction générale pêche par défaut, il en est d'autres, et
happent pas. Car, Messieurs, cet isolement des organes," ce défaut de réaction , d'ensemble, que je vous signalais tout à l'heure
la plus haute importance, à mon avis, cette faiblesse relative de la réaction thermique n'est pas un caractère de l'âge sénile.
bord par un état lipothymique avec algidité centrale, suivi ou non de réaction . Magendie a démontré par des expériences dont M
pareil cas, il est en général transitoire et fait place bientôt à une réaction plus ou moins accusée ; d'autres fois cependant,
murexyde, avec sa belle coloration purpurine, prend naissance par la réaction de l'acide nitrique chaud et de l'am-moniaque sur
d'apparence calcaire qui existait à la surface de l'aorte, les mêmes réactions n'ont pas produit la coloration pourpre, et il n'
ion des matières grasses dans les os des sujets gout-teux (p. 218). Réactions chimiques de la synovie daus la goutte et le rhum
la synovie daus la goutte et le rhuma-tisme articulaire aigu. — Cette réaction acide du liquide synovial a déjà été notée dans l
altérations goutteuses, peut présenter, comme dans l'état normal, une réaction franchement alcaline. Il en est de même chez le
et ainsi que je l'ai cons-taté moi-même plusieurs fois, — tantôt une réaction alcaline, tantôt une réaction acide plus ou moins
é moi-même plusieurs fois, — tantôt une réaction alcaline, tantôt une réaction acide plus ou moins prononcée (p. 226-227). Uva
DEUXIÈME LEÇON de l'état fébrile chez les vieillards. Défaut de réaction dans l'âge sénile. — Les organes semblent souffri
— Tophus. — Dépots d'urate de soude dans les cartilages. — Douleur. — Réaction géné-rale. — Phénomènes viscéraux.— Insuffisance
odiques. — Causes accessoires. Symptômes généraux. — Hématologie. — Réaction générale. — Évo-lution rapide. — Évolution lente.
llards. — Mala-dies latentes. — Absence de commémoratifs. — Défaut de réaction géné-rale. — Irrégularité des symptômes. — Exempl
ri-que dans l'hypertrophie de la —, 500; embolies capillaires, 210. Réaction : chez les vieillards, 78, 290; chez les enfants,
ilitiques, 188; — lésions dans la goutte, asthérique, 392. Synovie, réaction chimique dans la goutte et le rhumatisme articula
31 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'idée fixe, l'affectivité impressionne le malade dans le sens d'une réaction agie en rapport avec le sens de l'idée; il se s
'obsession, l'affectivité impressionne le malade dans le sens d'une réaction contre le texte justement de l'idée qui lui est
le défaut de subjec- tivité. CONSIDÉRATIONS MÉDICO-LÉGALES. Les réactions médico-légales les plus fréquentes des mys- tiq
e son propre sui- cide avec les derniers meneurs. On le voit, ces réactions des mystiques sont caractérisées par une ténaci
délirants systématiques à des mélancoliques religieux simples, les réactions n'en sont pas moins dangereuses, ils tuent enco
Les mutilations, le suicide et l'homicide sont en quelque sorte des réactions banales chez eux, il s'ensuit la nécessité abso
ntats sur les autres malades et le personnel qu'au point de vue des réactions vis-à-vis d'eux-mêmes; il est des cas où les mo
inel, de Marcé, d'Esquirol, qui ont toujours insisté sur le mode de réaction du cerveau en présence de la souffrance physique.
agit plutôt d'un développement incomplet que d'une atrophie car les réactions électriques sont les mêmes à gauche et à droite
s de tétanos guéri par le sérum doit être publié, car selon lui, la réaction contre l'emploi de la sériiintliérapie est trop
ine. Le douzième jour on injecta le cinquième flacon. La période de réaction dura six heures et' fut très inquiétante ; l'en
cains, il faisait mine de les mépriser et de marcher du côté de la réaction . Du reste, en dehors de la politique, il n'avait
pression générale de l'organisme ne paraît donc pas exclusive de la réaction vaso-motrice qui caractérise l'urticaire artifi
oute infection, intoxication ou auto-intoxication pour éviter cette réaction épi- leptique. L'absence des convulsions infa
t tous sur le tracé pléthysmographique en vaso- constriction. Cette réaction vasculaire suit une loi fixe : le phéno- mène v
te cérébral. Quant au temps perdu, à l'intensité et à la durée de réaction , ils varient avec les individus. Les réactions
té et à la durée de réaction, ils varient avec les individus. Les réactions circulatoires peuvent se manifester seules ou s'a
compagner de phénomènes respiratoires : chez certains individus les réactions respiratoires prennent une importance telle que l
ées tristes), phénomène de vaso-constriction, parfois accompagné de réactions respiratoires importantes. Les réactions agréab
ion, parfois accompagné de réactions respiratoires importantes. Les réactions agréables dont l'origine remonte à la mise en a
à la mise en action des organes des sens provoquent en général des réactions vaso-dilatatrices. Les émotions désagréables du
Les émotions désagréables dues aux organes des sens provoquent des réactions inconstantes surtout en ce qui concerne le goût
onstric- tion. Les auditions agréables (musique) donnent lieu à des réactions diverses selon le morceau et l'aptitude du suje
pour tout nerf moteur cranien dont la section entraine toujours une réaction cellulaire précoce. M. Marinesco nie l'exactitu
ténique, tonique et statique » (Luciani), ou bien « un centre d'une réaction spéciale qui s'applique au maintien de l'équilibr
) dans la plupart des cas l'action du cervelet se concrète dans une réaction mise en jeu par des excitations périphériques e
béna3'emeut. Rarement la cérébralité est abaissée. La sensibilité, réaction électrique sont normales, les réflexes exagérés
lissement des mouvements du poignet et de la main, de l'oeil, de la réaction pupillaire. La malade reprend toute sa lucidité
moyens de défense chez les obsédés constituent un véritable mode de réaction psychique, bien différent de la réaction de déf
tuent un véritable mode de réaction psychique, bien différent de la réaction de défense des aliénés. Mais ces moyens protect
le tirer pour quelques instants de ses rêveries, et à provoquer une réaction en rapport avec les excitations que l'on fait a
ompagnée de troubles de la sensibilité, d'atrophie musculaire et de réaction de dégénérescence. Tous ces accidents rétrocédè
base de deux lobes frontaux pendant un temps très long sans aucune réaction psychique. F. Boissier. XXXIV. Deux cas d'épile
a section d'un nerf moteur est suivie des phénomènes connus de la réaction dégénérative, telle la modification de l'excitabi
ori s'attendre à une excitabilité de l'élévateur correspondant à la réaction dégénérative. Les faits n'ont pas confirmé cette
raction non plus dans un cas de blépha- roptose congénitale. Aucune réaction , dans un cas de paralysie de l'oculomoteur comm
aleur de la pau- pière supérieure est donc probablement un signe de réaction dégé- nérative dans les paralysies de moyenne g
dence. Il pense que ces ten- dances mystico-symbolistes forment une réaction naturelle con- tre le mouvement matérialiste ut
philitiques appliquée à des symptômes qui ne'sont, en fait, que des réactions du cerveau à l'égard de lésions probablement syph
Dans le voisinage des cysticerques on constate les phénomènes d'une réaction inflammatoire plus ou moins nettement accusée.
aux irritatifs marchent probablement de pair avec l'intensité de la réaction inflammatoire du voisinage de la tumeur ; ils rel
vent être mis sur le compte des mouvements actifs de ceux-ci ; la réaction inflammatoire du voisinage joue naturellement aus
en effet on doit admettre, ainsi qu'on l'a fait remarquer', que les réactions doivent rendre visibles en les exagérant les mo
méthode aussi incertaine que celle de Nissl, méthode basée sur une réaction (la coagu- lation par l'alcool) dont les condit
protoplasma nerveux. Dans les processus myélitiques ordinaires, ses réactions ne varient jamais. Malgré cette inertie nous le
tensive exclu- sivement motrice sans troubles de la sensibilité, ni réaction de dégénérescence, et seulement avec lésions mé
Dr 11RIESCO. En tenant compte de nos connaissances actuelles sur la réaction des différents neurones après la section de leu
voie de transformation clinique, des éléments chromatophiles. Cette réaction de la cellule nerveuse pyramidale, allant jusqu
thématiquement conduites) ; l'hyperexcitabilité longue conduit à la réaction de la fatigue nette du muscle. Puis, cette faible
he chro- nique conjonctival et bronchial. Mydriase avec perte de la réaction pupillaire, parfois permanente (quatre cas), av
cher l'hyperexcitabilité, puis, 1 hypoexcilabilité élec- trique, la réaction de fatigue, les parésies. Aux cellules du cerveau
es salines, en quantités relativement assez grandes, sans amener de réaction méningée vive et surtout persis- tante. La diff
rs céphaliques. A l'admission, on constate un état d'agitation avec réactions très violentes, hyperthermie : 38°,5. État hall
té frappée subitement il y a deux mois d'un accès d'agitation, avec réaction très violente, incohérence bruyante des idées.
t par une incohérence extrême de la gesticulation et des actes sans réactions motrices violentes, par un véri- table chaos de
es, visuelles, auditives, cutanées, etc.) et par suite toutes les réactions motrices. Il favorise le sommeil ; il diminue l'a
époque, de maintenir les aliénés au lit dans les hôpitaux, cette réaction a été excessive. « Dans certains états maniaque
en mouvement par une cause externe quelcon- que, et sans qu'aucune réaction musculaire intervienne; 3° La notion de positio
aussi une valeur pronostique par la constatation ou l'absence de la réaction de dégénérescence. (Revue neurologique, juillet
yeux (1/2 D), acuité normale à gauche, acuité d'un tiers à droite, réaction des pupilles à la lumière et à l'accommodation,
oisième racine lombaire jusqu'à la troisième racine sacrée ; il y a réaction dégénérative. Enfin on constate une arthropathi
. Cet accident, rare, expliquerait le début subit, l'atrophie et la réaction dégénérative. Il s'agit, en somme, d'un alcooli
riase au maximum de la pupille droite; conservation cependant de la réaction à la lumière. A 8 heures convulsions dans le br
t et à la pression, mais il n'existe ni troubles fonc- tionnels, ni réaction électrique anormale. C'est une névralgie. Au mi
atrophique isolée de la moitié gauche de la langue, accompagnée de réaction dégénérative complèle chez une personne saine s
réquentes angines. L'évo- lution, de concert avec l'existence de la réaction dégénérative, indique que les racines ou le tro
facial droit ; pas de déviation de la langue; con- servation de la réaction des pupilles. De temps à autre nystagmus intent
s de l'oeil n'étaient point paralysés. Vingt-quatre mois après, les réactions pupillaires faisaient tout à fait défaut, les m
32 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u mental et l'ins- truction des sujets, la durée et l'intensité des réactions psychiques, des phénomènes d'association et d'a
ovoquées par des interventions externes, les mesures pré- cises des réactions consécutives à des excitations déterminées. On
marche au moment de l'excitation, peut être arrêtée au moment de la réaction . Voici quelques exemples des questionnaires div
s transversales, on voit assez sou- vent non pas un noyau unique en réaction , mais deux noyaux. Ces ramifications secondaire
nent. Tous les muscles atteints répondent au courant faradique : la réaction de dégénéres- cence fait totalement défaut. O
pparurent des troubles mentaux sous la forme de catatonie agitée. Réactions électriques des emboliques. AIM. Babinski et De
triques des emboliques. AIM. Babinski et Delerme, ont recherché les réactions électriques dans divers cas d'embolies récentes
ons électriques dans divers cas d'embolies récentes des membres. La réaction de dégénérescence présente dans ces cas un type
nte dans ces cas un type particulier que les auteurs comparent à la réaction musculaire post-mmtena. Les tics du cheval. R
struit et civilisé. Note sur l'état des réflexes tendineux et des réactions électriques dans la maladie de Parkinson. M.
alades, aux différents degrés de la maladie on a examiné l'état des réactions électriques : pas de modifications qualitatives
. De l'anxiété; par le Dr Girard. L'anxiété est, pour l'auteur, une réaction instinctive, indépen- dante de la volonté, qui
ste sous l'influence de circons- tances extérieures diverses. Cette réaction se traduit par des 92 VARIA. désordres physiq
E. '121 1 bénéralement : lorsque, dans un liquide albumineux, cette réaction se produit, on est conduit à soupçonner la prés
cherche à se jeter par la fenêtre. Il est très anxieux et porté aux réactions violentes. Il aété considéré à l'infirmerie du
anguin humain normal à doses répétées et progressives ne produit ni réaction positive, ni réaction négative, pouvant se comp
doses répétées et progressives ne produit ni réaction positive, ni réaction négative, pouvant se comparer avec ce qui a été
nction d'assimilation et de désassimilation sont encore capables de réaction physiolo- giques, on obtient amélioration ou gu
atrophie de la langue, des lèvres, des muscles quelconques; pas de réaction décénéra- tive. Conservation du goût et del'odo
ui, au début ne présentait aucune ano- malie, a fini par révéler la réaction myasthénique des muscles palatins et masticateu
ité électrique, les tremble- ments fibrillaires, et d'autre part la réaction myasthénique, les changements observés dans l'é
upérieur et inférieur gauche. L'ex 'me" électrique ne décèle aucune réaction de dégénérescence dans les membres frappés d'asth
inique. Fort heureusement une secousse imprévue vint pro- voquer la réaction salutaire. Un matin, je devais retrouver mon re
diminué. Les pupilles sont un peu dilatées, surtout la droite : la réaction d'accom- modation est normale, mais la réaction
tout la droite : la réaction d'accom- modation est normale, mais la réaction à la lumière est paresseuse, 172 -REVUE DE PATH
euvent être intenses, en l'absence de toute lésion saisissable, les réactions cérébrales qui caractérisent le méningisme. y com
n'ont jamais amené chez le malade la moindre plainte ni la moindre réaction de défense : on aurait cru taillader un cadavre
que. Il relève d'une même localisation et d'une même modalité de réaction , sous des causes et des lésions diverses. La para
r Bethe, Apathy, Held, Danaggio, qui, en s'altérant, entraînent des réactions pathologi- ques de la part du protoplasme de nu
es, au moment où, établie définitivement, l'encéphalite suscite des réactions organiques moins vives, en dehors, bien entendu,
oir quelque chose de plus et cela de très bonne heure à à savoir la réaction névroglique. Les cellules endothéliales et les
ps, et peut-être même avant, que la diapédèse s'opère. Diapédèse et réaction névroglique par division directe des noyaux son
petites cellules rondes et de nodules infectieux témoignant d'une réaction interstitielle aiguë ou subaiguë des ganglions.
264 SOCIÉTÉS savantes. effet que l'excitation corticale produit des réactions vaso-motrices- on conçoit donc la possibilité d
ations qui en partent, et dont cha- cune peut être l'occasion d'une réaction motrice. Chacun de ces mouvements, provoquant à
ées de sensations olfac- tives réelles ou subjectives; 2 Pour des réactions réflexes : directement, par action vaso- motric
x, action réflexe démontrée expén- mentalement ; indirectement, par réaction secondaire des fonc- tions qu'une excitation de
n, et avec lui on peut décrire l'excitation simple, l'agitation par réaction et l'agitation automatique. L'agi- tation simpl
emble être un phénomène primi- tif. Par opposition, l'agitation par réaction peut être considérée 314 SOCIÉTÉS SAVANTES. c
profonde ; les halluci- nations terrifiantes peuvent provoquer des réactions motrices d'une violence extrême aussi bien que
tance totale et augmente la partie utile de la charge du coeur. Les réactions physiologiques salutaires de cette thérapeutiqu
eau dans laquelle on trempe le drap sous peine de ne pas obtenir la réaction que l'on recherche -, mais se servir d'eau à la
qui marchent de pair avec des modifications de leur exci- tabilité ( réaction de dégénérescence). Or, de mes recherches se dé-
asmatique. Ces faits étant établis, les phénomènes caractérisant la réaction de dé- générescence des muscles deviennent faci
scle lisse par son fonctionnement. Ce qui caractérise avant tout la réaction de dégénérescence d'Erb, c'est la perte de cor
n'ont jamais amené chez le malade la moindre plainte, ni la moindre réaction de défense : on aurait cru taillader un cada- v
un syndrome psychopathique, caractérisé par la na- ture puérile des réactions psychiques, par une sorte de régression de la m
langage et son intonation; par la suggestibilité et l'ensemble des réactions et de la conduite des petits enfants. Le langage
avec la plus fidèle exactitude 350 SOCIÉTÉS SAVANTES. toutes les réactions ingénues par lesquelles s'exprime la personna-
alade boude, fait la moue, entre dans des colères puériles, etc. La réaction em- prunte encore ici sa caractéristique à l'hu
onomie clinique d'un phénomène morbide porte toujours le cachet des réactions per- sonnelles du sujet qui en est atteint. De
ordinairement de constipation, la langue est chargée, l'urine a la réaction presque neutrale et est un peu trouble. 11 y a
laire n'exécute de mouvement de rotation dans l'orbite. Comme cette réaction pupil- laire a pu être engendrée en des cas où
réaction pupil- laire a pu être engendrée en des cas où les autres réactions des pupilles étaient éteintes, il y a lieu de c
' Impossible d'assigner au réflexe orbiculaire, pas plus qu'à la réaction pupillaire, de valeur diagnostique. C'est tout au
; la disparition des réflexes partellaires, du myosis, le défaut de réaction des pupilles. Membres inférieurs en adduction : d
chez les personnes dont les pupilles sont larges de surprendre une réaction à la dou- leur. Respiration et pouls. Dix obs
itations douloureuses se répercutent sur le tracé du pouls selon la réaction de l'activité cardiaque : la courbe est tantôt
ule- ment sur le système nerveux, mais sur les muscles striés. La réaction musculaire est alors altérée à des degrés variabl
cellulaires (fig. 38). Le pigment, par son aspect général et ses réactions histo- chimiques, doit être assimilé au pigment
oléculaire. Eo résumé, le siège, l'aspect histologique général, les réactions colo- rantes sont vraiment autant de caractères
rendre qu'il s'est agi là d'un travail de sclérose conjonctive sans réaction infectieuse. Les larges tractus fibreux qui dou
ques de signification plus générale ou que l'on saisisse dans les réactions mobiles de sa physionomie des traces d'expres-
dans la solitude ou en public, à voix haute ou basse, avec ou sans réactions mimiques. 1 484 CI INIQUE MENTALE. b) Carac
il parlera en pu- blic et à voix haute. De même il présente peu de réaction mimique dans les premiers temps; ce n'est que p
itations qui en partent, et dont chacune peut être l'occasion d'une réaction motrice. Chacun de ces mouve- ments provoquant
, 519. Parkinson. Noie sur l'état des ré- flexes tendineux et des réactions électriques dans la maladie de Parkinson, par
sous- corticaux sur la contraction de la - , par Erllaonn, 138. Réactions Voir Embo- tiques. - Voir l'arkiuson. ItECELI
33 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
epris ces expériences et, tout en con- venant que les phénomènes de réaction ou de déficit fonctionnels atteignent, en ce po
c l'organe périphérique, Masini tient pour Goltz contre Luciani. La réaction isolée comme la paré- sie de la corde du 'côté
n excite ce centre avec un courant plus intense, on détermine une réaction motrice bilatérale des muscles du larynx. Or, L
ale- ment la zone motrice, le cervelet n'a point de part dans les réactions motrices des membres, puisqu'il peut être entiè
s et bilatéraux, des contractures circonscrites, etc. En somme, les réactions motrices des membres correspondaient aux points
membres. En dehors de ces zones, la percussion ne provoquait aucune réaction motrice. Rainoidi aurait ainsi constaté une foi
pour produire le phénomène rolan- dique : il a déterminé les mêmes réactions de l'écorce en comprimant légèrement ou même en
moelle. P. K. IL Contribution A L'Éi'UDE des modifications DE la réaction dégénérative partielle; par M. BERNHARDT (Centr
ux, examinés à cet égard, se décomposent en : 28 p. 100 de parfaite réaction des pupilles à la lumière; 10 p. 100 de réactio
p. 100 de parfaite réaction des pupilles à la lumière; 10 p. 100 de réaction lente; 10 p. 100 de réaction extrêmement faible
es pupilles à la lumière; 10 p. 100 de réaction lente; 10 p. 100 de réaction extrêmement faible; 4 p. 100 de cas douteux; 47
0 de réac- tion totalement absente. Donc dans la moitié des cas, la réaction à la lumière a disparu complètement, ou elle es
plètement, ou elle est douteuse, plus de 61 p. 100 témoignent d'une réaction très notablement entra- vée. Chez la plupart de
corticaux de la sensibilité générale ou spéciale, déter- miner des réactions motrices, et, inversement, l'exci- tation ou le
été examinées à plusieurs reprises; leur densité est de 1018, leur réaction faiblement acide; elles ne renferment ni sucre,
e ses semblables. Les im- pressions sonores ne déterminaient aucune réaction motrice ; il est probable qu'il n'avait plus d'
qui, dans toute autre situation, n'avait déterminé chez elle aucune réaction , elle est prise, sept semaines après la sus- pe
cidents diabétiques. Il donne dans ce livre le signal 1 d'uue juste réaction contre la tendance que l'on a trop souvent à ap
t-pied est tom- bant, et s'accompagnant de modifications dans les réactions électriques des muscles paralysés qui sont le s
réactions électriques des muscles paralysés qui sont le siège de la réaction de dégénérescence. Ajoutons à cela que dans tou
u'il traita sans médecin et qui ne s'ac- compagnèrent que de peu de réaction générale. Il eut égale- ment de fréquentes débâ
pra- tiqué par M. le D'' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A droite, réaction complète de dégénérescence dans le jambier antéri
a- bilité des autres muscles de lajambe et de la cuisse. A gauche réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur.
i aussi, à savoir qu'à l'examen électrique des mus- cles on note la réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur et
érescence complète, et dans ceux de la jambe gauche, seulement, une réaction de dégéné- rescence partielle. Il n'en est plus
s du dernier examen pratique par M. Vigouroux le 15 mars 1890. La réaction de dégénérescence n'existe plus et on constate
proposé une correction impor- tante clans la mesure du temps de la réaction simple. D'après lui, la durée du temps de cette
emps de la réaction simple. D'après lui, la durée du temps de cette réaction dépend de la direction de l'attention : si elle
idérable que dans le cas où elle est concentrée sur le mouvement de réaction exigé par les conditions de l'expérience. 11 ap
é par les conditions de l'expérience. 11 appelle la première de ces réactions réaction sensorielle (il s'a- gissait dans son
conditions de l'expérience. 11 appelle la première de ces réactions réaction sensorielle (il s'a- gissait dans son expérienc
gissait dans son expérience de l'excitation auditive) ; la seconde, réaction musculaire. Il définit la réaction sensorielle,
citation auditive) ; la seconde, réaction musculaire. Il définit la réaction sensorielle, une réaction volontaire, tandis qu
conde, réaction musculaire. Il définit la réaction sensorielle, une réaction volontaire, tandis que la réac- tion musculaire
n musculaire est un réflexe cérébral. Lange veut dire par là que la réaction musculaire est un acte invo- lontaire, et, quoi
emps nécessaire pour sou accomplissement est le temps minimum d'une réaction simple. L'attention du sujet étant tournée vers
aire dont se compose un acte conscient est désigné sous le nom de réaction simple. Le temps de cette réaction a été déterm
cient est désigné sous le nom de réaction simple. Le temps de cette réaction a été déterminé par beaucoup de physiologistes.
s des actes inconscients les plus élémentaires, ou la durée de la réaction simple inconsciente; en d'autres termes, DE LA
e l'in- tluence de l'intensité de l'excitation sur la durée de la réaction simple, de ce qui est dû au sens du tact ou au
onscients. Voici une expérience fort simple qui permet d'étudier la réaction simple inconsciente : On prend la main du côt
t pas beaucoup de celles qui ont pour but la recherche du temps des réactions simples. D'abord, on cherche à déterminer la
ctions simples. D'abord, on cherche à déterminer la durée de la réaction simple consciente du côté normal, non anes- Ihé
. nous ayons employé les irritations tactiles, aussi bien pour la réaction musculaire que pour la réaction sen- sitive (ce
ations tactiles, aussi bien pour la réaction musculaire que pour la réaction sen- sitive (cette dernière porte le nom de réa
re que pour la réaction sen- sitive (cette dernière porte le nom de réaction senso- rielle chez L. Lange qui a étudié à ce p
ture des tra- cés noirs nous a montré que la durée du temps de la réaction simple inconsciente est moins longue que la dur
lus considérable dans le pre- mier. Cette diminution du temps de la réaction simple peut entrer dans le cadre des symptômes
nous répétons encore que la dimi- nution de la durée du temps de la réaction simple est un caractère inhérent à l'anesthésie
as perçues, même inconsciemment et il est impossible d'étudier la réaction inconsciente. Cette anesthésie grave influe sur
, 296. Psychoses (guérison brusque dans les), par Peretti, 270. Réaction dégénérative (modification de la), par Bernhard
34 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
es mêmes modifica- tions, chez certains hémiplégiques anciens, sans réaction de dégénéres- cence. Ainsi donc, voici un mal
chronique avec propa- gation aux tissus voisins et, peut-être, même réaction inflammatoire par suite des troubles de nutriti
it une disposition inverse. Mais il n'existait à cet endroit aucune réaction inflamma- toire de la dure-mère ni des racines,
3e lombaire, toutes les cellules de la corne antérieure ont subi la réaction à distance, c'est-à-dire sont gonflées, en chro
carmin permettent de constater dans la région sclérosée, une légère réaction névroglique. - Absence de toute névrite périphé
er que la sclérose paraît être déjà ancienne si l'on en juge par la réaction névroglique intense et par la rétraction des ti
TAT NORMAL. I. Nous avons recherché en premier lieu quelle était la réaction musculaire apparaissant la première dans le mem
e du pied par le grattage à l'aide d'une pointe mousse provoque des réactions , à la fois, dans les muscles des orteils, dans
uvements segmentaires du membre inférieur et non par telle ou telle réaction musculaire à l'exclusion des autres. La décompo
mal, l'excitation minima efficace de la plante du pied provoque des réactions musculaires simultanées dans les divers segments
I; ARTICULAIRE OU MUSCULAIRE 87 très diminuée; mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence; les muscles des parois abdom
non plus au travail inflammatoire propagé par contiguïté, mais à la réaction naturelle du cortex devant l'imprégnation diffu
ajoute-t-il, relève d'une même localisation, d'une même modalité de réaction , mais ne cor- respond ni à une même cause patho
raire exubérante ; tout phénomène interne ou externe provo- que des réactions volontaires non seulement immédiates et intenses,
urine dont voici les résultats : Volume des 24 heures, 2 litres 15, réaction neutre ; densité 1.020 ; urée par litre, 5. 76
n de l'urine par la levure de bière à 24.83. Après fermentation, la réaction au Fehling avait disparu ; après ébulli- tion d
t nier toutefois que l'organisme n'ait été le siège d'uu travail de réaction contre cette hypothyroïdie, travail qui a abouti
Troubles sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite ; absence de réaction à la lumière. Diminution considérable de l'acuité
essivement chez l'homme ; de ce que la première ne détermine aucune réaction dans le ganglion rachi- dien correspondant il n
e la moelle, et d'autre part la ré- partition des hémorrhagies, les réactions cellulaires immédiates, les per- turbations vas
uleur spontanée à la base du cou. L'examen de la sensibilité et des réactions vaso-motrices cutanées donne les résultats suiv
en, fait avec de forts grossissements, montre qu'il existe déjà une réaction inflammatoire dans les racines et dans la dure-mè
ment, sont nettement visibles dans les racines du Vle segment. La réaction inflammatoire paraît évidente aussi au niveau du
t deux domaines vascu- laires entièrement séparés (P. Marie). Les réactions cellulaires immédiates ont encore peu attiré l'at
et l'on voit apparaître des figures de neuronophagie, témoins de la réaction des éléments inters- titiels secondaire à la di
dilatation paralytique régionale qui contraste avec l'intégrité des réactions vaso-motrices des régions paraplégiques. En parti
it, le flot humain s'engageant dans un défilé trop étroit subit les réactions des murailles : ses vagues deviennent houleuses
double, donne à la physionomie l'aspect du faciès d'Hulchinson. Les réactions pupillaires sont normales et les pupilles égales
tractions fibrillaires, ni diminution d'excitabilité électrique, ni réaction de dégénéres- cence. Toutefois, la malade est o
aitement de repos, le plus absolu possible. L'investigation de la réaction myastbénique par le courant faradique, a été po
peu à peu, et s'éteignent totalement avant d'arriver à vingt ; les réactions paraissent normales clans les autres muscles. L
a vessie, ni au rectum; pasde signes d'atrophie muscu- laire, ni de réaction électrique de dégénération, si ce n'est quelques
électrique de dégénération, si ce n'est quelques muscles avec de la réaction myasthénique ; pas de modifications im- portant
, par les signes d'amyotrophie et les modifications respectives des réactions électriques, et toujours par le peu d'influence d
r son évolution continue et la présence d'atrophie musculaire et la réaction de dégénéralion, oulre que la paralysie de la lan
rd de la perception des sen- sations. Diminution d'acuité auditive. Réactions des pupilles bonnes. Secousses nystagmiformes.
e. Signe d'Argyll Ro- bertson. 1894. - Réflexes rotuliens abolis. Réactions pupillaires à l'accommodation et à la lumière d
esses. Troubles de la sensibilité au niveau des membres inférieurs, réactions pupillaires bonnes. Secousses nystagmiformes.
uche. Pas de dyschromatopsie, pas d'altération du fond de l'oeil. Réactions des pupilles : à la lumière, abolie de deux côtés
peut échapper. Brèves chez les uns, et rapidement dissipées par une réaction volontaire, ces éclipses se prolongent davantage
signalés. Le diagnostic de nature fut contrôlé et conlirmé par des réactions chimiques. Il s'agissait de dépôts constitués p
prolifération conjonctive secondaire, d'autres atrophie simple sans réaction conjonctive. Quant au début du processus, certa
s manifeste, un second processus, bien plus intense, de défense, de réaction des tissus qui se traduit par la formation de l
r un tissu né- vroglique émané de leur paroi sous l'influence d'une réaction inflammatoire secondaire ». Ce processus nouvea
eau où les lésions vasculaires occupent le pre- mier rang, et où la réaction névroglique leur est secondaire représente un typ
reliés à de très nombreux vaisseaux et qui par leur aspect et leurs réactions lristochimidues tranchent vivement sur le tissu n
Autour de cette perte de substance, à peu près vide, il n'y a nulle réaction névroglique, et elle paraît creusée à même le tis
ons malades les fibres nerveuses ont disparu (méth. de Pals mais la réaction névroglique est nulle ou très modérée, il n'y a n
qui circons- crivent les pertes de substance. Ici, il n'y a aucune réaction névroglique appa- rente. C'est encore le traj
les idées généralement acceptées à cette époque. Une tentative de réaction contre cette doctrine s'est manifestée depuis et
istique. C'est ainsi que la prolifération névroglique peut être une réaction d'irritation autour d'un canal central dilaté, au
éoformée, ne s'opposent à ce qu'on la considère comme l'effet d'une réaction secondaire. Rien ne la distingue le plus souven
que les néoplasies névrogliques ne peuvent susciter à leur tour une réaction névroglique inflammatoire et aboutir à la forma
ou la gliose, néoplasie névroglique primitive de l'in- flammation, réaction secondaire ; l'impossibilité de la résoudre dans
re soit envisagée comme un point faible particulièrement apte à une réaction morbide, cela ne nous parait point inadmissible
ces faits permettent de considérer à la rigueur comme l'effet d'une réaction secon- daire les modifications envisagées comme
d'albumine. L'examen électrique permet d'affirmer l'existence de la réaction myotonique. Avec le courant interrompu, lent (3
la musculature, de telle sorte que tout travail devient impossible. Réaction électrique myotonique. A l'examen biopsique, lési
ie congénitale), les frémissements et les spasmes mus- culaires, la réaction myotonique. Il n'est donc pas douteux qu'il ne
se à la cuisse et à la jambe. Les muscles atrophiés présentaient la réaction de dégénérescence et Hoffmann s'est prononcé pour
bilité faradique des muscles para- lysés avec tétanisation (durable réaction myotonique) pour les muscles de la cuisse. Depu
côté de fibres très atrophiées et d'infiltration interstitielle. La réaction électrique myotonique existe avec diminution qu
éflexes sontpeu alté- rés dans les processus psychopathiques. Les réactions pupillaires sont difficiles à saisir chez le chev
rose, etguérir non moins subitement sous l'influence d'une violente réaction psychique. Il en est de même de certains épanch
35 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
que, ses urines étaient normales. Voici, d'autre part, l'état des réactions électriques, relevé par M. Huet, il la date du
date du 12 octobre, un second examen a permis de constater que les réactions faradiques et galvaniques étaient sensiblement no
' membres supérieurs, sans la moindre trace de R. D. De même, les réactions faradiques et galvaniques étaient assez hien co
alvanique, avec quelques indices de R. D. Le 27 octobre, l'état des réactions électriques était à peu près le même.La 6 F. RA
les zygomatiques. Aux membres supérieurs et inférieurs, l'état des réactions électriques restait sensiblement le même qu'à l
ie et l'atrophie musculaire. Enfin, il n'est pas jusqu'à l'état des réactions électriques, qu'on ne puisse invoquer en faveur
t, dans les cas de poliomyélite antérieure aiguë, les anomalies des réactions électriques sont en raison directe du degré de
ur un cas de poliomyélite antérieure aiguë, pas de modification des réactions élec- triques ; parésie légère, signes en rappo
ec- triques ; parésie légère, signes en rapport avec une ébauche de réaction de dégénérescence ; paralysie complète, réactio
vec une ébauche de réaction de dégénérescence ; paralysie complète, réaction complète de dégénéres- cence ; enfin dans les m
tteint son maximum d'intensité, aux quatre membres et au tronc, les réactions galvaniques et faradiques étaient, il peu de ch
normales dans ces mêmes parties, sauf qu'on notait des indi- ces de réaction de R. D. à l'examen du vaste interne et du jambie
lques-uns de ces muscles ; dans les autres, les modi- fications des réactions électriques étaient moins bien accusées. Etiolo
de la rotule, 0,28. A 0,26 centimèt. du même point, 0,20. - 0,19. Réactions électriques. L'excitabilité faradique des muscl
xcitabilité faradique. Dans aucun des muscles atrophiés il n'y a de réaction de dégénérescence même partielle. Cependant, un
gnaler, très manifeste surtout aux muscles de la cuisse : à côté de réactions qualitatives normales pour des courants faibles
ophiques ; pas de modifica- tions du côté des sphincters. Enfin les réactions électriques nous ont per- mis de constater une
e constater une simple diminution de l'excitabilité électrique sans réaction de dégénérescence. En présence d'une affection
de troubles vaso- moteurs et trophiques, dans l'ahsence surtout de réaction de dégénéres- cence. Au contraire, ces symptôme
brillaires. C'est une atrophie simple et qui ne donne pas lieu à la réaction de dé- générescence ; l'excitabilité électrique
otre avis, méritent d'être examinés. Nous mentionnerons d'abord les réactions électriques anormales que nous avons observées.
on mécanique, ne se rencontre pas dans les myopa- thies. Il est une réaction particulière des muscles que l'on observe dans
aladie, et à laquelle ces phénomènes ressemblent beaucoup, c'est la réaction myotonique. En second lieu, il faut tenir compte
ent. Enfin nous n'ob- servons aussi qu'une hérédité relative et les réactions électriques ne se (1 ) Traité de médecine, Myop
ienne. Les muscles des cuisses sont excitables par la percussion. Réactions ÉLECTRIQUES. L'examen des muscles a été pratiqué
trophiés. Pas d'altération de l'excitabilité. Au courant galvanique réactions physiologiques, mais inexcitabilite abso- lue d
t plus petit, la croissance des ongles et la sudation exagérées, la réaction 'vaso-motrice retardée, la température plus bas
ion, ainsi qu'à l'adduction ou à l'abduction des doigts. Examen DES réactions électriques DU membre supérieur DROIT ET DU côté
uillet), par M. le professeur Bergokié. Io Aucun muscle ne donne la réaction de dégénérescence. 2° Conservation de l'excitab
ite : la main est constamment couverte de sueur. Si on recherche la réaction vaso-motrice, on constate l'apparition d'une raie
r. » Phosphates.............. 1 gr. 20 » Ni sucre, ni albumine. Réaction acide. Le sens génital est très développé. Cet
l et cubital ; (1) Fieux. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 125 4° Réaction d'Erb complète pour le biceps. Réaction incomplèt
USCULAIRE ET OSSEUSE 125 4° Réaction d'Erb complète pour le biceps. Réaction incomplète pour les au- tres muscles. ' Un mo
rritoire des 8e cervi- cale et 1" dorsale). Quinze jours après, les réactions électriques accusaient des lésions portant sur
ériphérique de l'oreille ; il faut néanmoins le considérer comme la réaction propre de certaines parties du vaste noyau inte
t dont le pneumogastrique est plus accessible et plus sujet à cette réaction . L'asthme d'origine nasale peut ne donner aucun
. de départ de l'irritation périphérique ou centrale qui éveille la réaction nucléaire symptomatique. Gowers pensait que sur d
ment à droite qu'à gauche. Il Examen électrique. Voici l'état des réactions électriques, tel qu'il nous a été fourni par no
triques, tel qu'il nous a été fourni par notre ami, M. le Dr Huet : Réactions faradiques et galvaniques sensiblement normales
uche, on obtient des contractions à 135 millimètres d'écar- tement. Réactions galvaniques également très diminuées tandis que,
cette mystérieuse affection'de l'âme dont les effets ont d'étranges réactions sur le corps. De là, ]esMM/a</M d'amour où,
me déjà anormalement frigide et refroidi, c'est un pur non-sens. La réaction ne se fait pas chez ces femmes et chez ces enfa
atrophie musculaire. L'examen électrique ne donne en aucun point la réaction de dégénérescence. Tous les muscles se contract
2) L'existence des contractions fibrillaires ; 3) L'existence de la réaction de dégénérescence; 4) L'absence d'hérédité ; -,
ente après un peu de fatigue. Les nerfs et les muscles offrent la réaction de dégénérescence, partielle chez les uns, plus
cousses d'ouverture ont disparu. Voici d'ailleurs cette étude des réactions électriques, faite par notre collègue M. le pro
otre collègue M. le professeur Guilloz. Membre supérieur gauche : réactions électriques : A. - 111uscles. 1° Electricité ga
sagère après fatigue. En somme, les nerfs et les muscles offrent la réaction de dégénérescence, partielle chez les uns, plus
La face amaigrie n'est pas intéressée par l'atrophie musculaire. Réaction de dégénérescence dans tous les muscles. RÉACTI
hie musculaire. Réaction de dégénérescence dans tous les muscles. RÉACTION ÉLECTRIQUE. 1° Electricité galvanique. A. Mus
qu'à un degré moindre au membre inférieur droit. Voici l'examen des réactions électriques qui nous a été donné par M. le D Hu
vement sans troubles de sensibilité, sans troubles trophiques, sans réaction de dégénérescence mais avec une exagération notab
de Vulpian où les contractions fibrillaires existent, où se voit la réaction de dégénérescence. Ce n'est pas une poliomyélite
s'est pas accompa- gnée de troubles de sensibilité, de troubles des réactions électriques, par AMYOTROPHIE DOUBLE DU TYPE SCA
ou tel groupe de muscles. Il s'agissait d'une atrophie simple, sans réaction de dégénéres- cence, sans contractions fibrilla
de la jambe. Atrophie simple, sans contractions fibrillaires, sans réaction de dégénérescence. Les réflexes rotuliens étaient
elle est diffuse. Il n'y a pas de contractions fibrillaires, pas de réaction de dégénérescence. Les réflexes rotuliens sont
par l'exagéra- tion des réflexes tendineux, de par l'absence de la réaction de dégénéres- cence. AuX'atrophiés musculaires
es. Ano- malies par excès et anomalies par défaut sont des modes de réaction con- traires qu'une même lésion peut engendrer.
e et trophoedeme chronique sont donc vraisemblablement des modes de réaction relevant d'une même perturbation trophique et du
énar, des interosseux palmaires et dorsaux, des lombri- caux. Mêmes réactions à gauche qu'à droite. Conservation de l'excitab
our le radial. Inexcitabilité à peu près complète du cubital. Mêmes réactions pour les deux membres. Excitabilité normale des
embres inférieurs. Courants galvaniques : impossible de trouver une réaction de dégéné- rescence nette sur les membres même
36 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ne toux. L'examen électrique ne démontre pas de changement dans les réactions fa- radiques et galvaniques. , La sensibilité
manque d'atrophie musculaire, de contractions fibril- laires et de réaction de dégénérescence ne nous permet pas de penser à
e de la langue, la diffi- culté de la déglutition sans atrophie, ni réaction de dégénérescence, la participation des nerfs c
l'aspect plutôt de la paralysiepseudo-bulhaire (absence d'atrophie, réaction électrique normale), le siège de l'inflammation d
ant ce diagnostic n'est pas accepté par Oppenheim (1) à cause de la réaction électrique restée normale. Brauer (2) mentionne
arésie droite sans atrophie, sans contractions fibrillaires et sans réaction de dégénérescence. Le développe- ment du bras d
ammation guérie avec perte de substance. Le manque d'atrophie et de réaction de dégénérescence prouve, que les noyaux des ne
tre attribué à une atrophie dégénéralive à cause de l'absence d'une réaction de dégé- nérescence. Il s'agit au contraire tou
oque manifeste sa présence il emprunte un ou plusieurs des modes de réaction par lesquels le cerveau peut manifester sa souf
cloche à toute volée, approcher un diapason sans obtenir la moindre réaction prouvant que la sensation est perçue. La percepti
pas compris, car aucun ordre n'était exécuté et il n'y avait aucune réaction aux injures, alors qu'elles étaient manifestes
On n'y voit pas d'amas de cellules embryonnaires; c'est un tissu de réaction arrivé à un stade avancé d'organisation. RÉSUMÉ
nerf périphérique ou de ses cellules d'ori- gine. La recherche des réactions électriques nous a montré qu'il existe une lé-
contractions toniques, autant qu'on peut s'en assurer. L'étude des réactions électriques dénote seulement une légère diminutio
c'est-à-dire que cette malade ne présente qu'un des symptômes de la réaction de dégénérescence. Il s'agit, comme on le voit,
e. Dans ces derniers cas, existent aussi quelques modifications des réactions électriques. Elles manqueraient tou- jours, dit
t combien il est difficile de déceler les légères modifications des réactions électriques, qui dépen- dent de tant de circons
avis, il y a toujours dans les cas de paralysie, un léger degré de réaction de dégénérescence, bien qu'il soit difficile de
s les plus graves sont ceux qui s'accompagnent de modifications des réactions électriques, ce qui indique toujours une lésion
entre nous qui fut, à l'Hôtel-Dieu, son chef de service ; et, par ses réactions émotives, il manifeste, à chaque fois que nous
volution démentielle continue et progressive, sans jamais offrir ni réaction éréthique, ni pro- cessus hallucinatoire, ni co
, par son hérédité, ni un déséquilibré mental, ni un prédisposé aux réactions psychopathiques. L'atteinte des fonctions men-
s défaut chez notre malade,-c'est.le caractère enfantin, puéril des réactions psychiques, marqué dans les répon- ses, dans l'
festait, à propos des faits courants de la vie quotidienne, par des réactions d'impatience et d'entêtement, futiles dans leur m
formation intracellulaire ressemblant à la kératine ou en donnant les réactions . Il nous est seulement permis de dire qu'il exi
es.» Nous avons cherché si ces corps concentriques présentaient une réaction histochimique particulière. Les acides sont san
aussi fortement que les globes et, point à noter, elle a les mêmes réactions colorantes. Du côté de la cavité, contrairement
par une substance d'apparence ho- mogène et vitrée, nedonnantpas la réaction graisseuse ou amyloïde, et ayant une affinité t
t fait intervenir cette dégénérescence par laquelle il explique les réactions elles caractères de ces corps. Nous avons ret
es grains. Ces corps, toujours d'après le savant anglais, ont des réactions coloran- tes très particulières. Ils prennent f
DUPRÉ ET DEVAUX flammatiolls de tous les tissus aboutissent à cette réaction phagocytaire. De- puis longtemps déjÙ,Cohnbeim
des cellules de la capsule de ces ganglions. Ici donc, on trouve la réaction de deux élé- ments différents, l'un d'origine m
uissante sur la névroglie et ne provoque chez cette dernière qu'une réaction proliférative. Cette conception nous parait d'a
l'épilepsie par exemple, ne supprime pas toute spontanéité dans la réaction qu'elle provoque. Elle épouse, comme un voile t
- temps, localisé toutes deux le terrain électif par excellence des réactions les plus délicates et les plus précoces aux imp
ques que l'on peut déclarer que, vis-à- vis des poisons faibles, la réaction de la substance grise est une véritable pierre
nte ans, on peut concevoir la méningite diffuse chronique comme une réaction naturelle à cette imprégnation mor- bifique, su
mmatoires chroniques ou subaiguës, parakystiques, qui traduisent la réaction locale de la méninge à l'épine irritative représe
les analogies cliniques des analogies histopathologiques, dans les réactions de l'écorce cérébrale aux différentes intoxicat
s qu'elle offre un indéniable intérêt, parce qu'elle témoigne d'une réaction diffuse des couches corticales à des influences i
94. - Les réflexes rotuliens sont maintenant absolument abolis. Les réactions pupillaires, tant à l'accommodation qu'à la lum
rès difficile, ataxique (possible seulement avec des béquilles). La réaction des pupilles est parfaite, pas de nystagmus. Le
culaires thermiques, la sen- sibilité à la douleur,-saisies par les réactions de défense - étaient con- servées. Le sujet a v
toute la hau- teur du névraxe et nous constatons parallèlement des réactions sensitivo- motrices. D'après les données histol
erve même de l'hyperesthésie en pinçant le petit doigt. L'étude des réactions électriques a donné le résultat suivant. Réaction
igt. L'étude des réactions électriques a donné le résultat suivant. Réaction fara- dique : nerf médian, normale; nerf cubita
petit doigt, court adducteur, pouce et tous les interosseux, abolie. Réaction galvanique : nerf médian, normale ; nerf cubita
pothénar on remar- quait aussi des contractions fibrillaires. Les réactions électriques donnèrent : muscle cubital antérieur,
lie, et galvanique augmentée avec CcN = ou < CcP ; c'est-à-dire, réaction de dégénérescence dans tous les muscles innervés
premiers lombricaux et les deux muscles de l'éminence thé- nar, les réactions électriques étaient normales. Par conséquent, l
on, leur atrophie consécutive avec des contractions fibrillaires et réaction de dégénérescence, les douleurs le long de son tr
antérieur réagissait bien à la galvanique et pas à la faradique; la réaction était très difficile à prendre dans le faisceau i
rendre dans le faisceau interne du fléchisseur profond ; il y avait réaction faradique dans les espaces interosseux 1er et ?
; il n'y en avait pas non plus dans l'ad- ducteur du pouce; mais la réaction était visible dans les muscles hypo- thénars, b
ction était visible dans les muscles hypo- thénars, bien que lente ( réaction de dégénération faradique de Remak). Dans tous
de Remak). Dans tous ces muscles la CcN = < CcP. Cet ensemble de réactions démontrait l'a- mélioration du nerf et de presq
us les intermédiaires. faut aussi rappeler la sclérodermie, mode de réaction du tissu cellulo-cutané diamétralement opposé à
e du mem- bre inférieur droit, qui s'est développée lentement, sans réaction et parait s'accroître encore actuellement. La c
'on atteint les couches musculaires profondes, la malade accuse une réaction qui démontre que l'anesthésie est surtout périp
augmentation de résistance des tissus comme cause de l'anomalie des réactions électriques, une telle interpré- tation n'est p
37 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ux jambes et aux cuisses, atrophie muscu- laire sans altération des réactions électriques, réflexes rotuliens exagérés, clo-
sujet est satisfaisant, une injection de tuberculine, en donnant la réaction fébrile caractéristique, montrera l'existence d
ale plutôt large, les globes oculaires grands, sans exophtalmie, la réaction pupillaire à la lumière et à la convergence est b
urine est jaune trouble, la quantité moyenne est de 800 grammes, la réaction alcaline, la densité 1.015 ; on trouve 3 gr. 84
ons les moyennes suivantes : quantité par 24 heures, 1.000 grammes, réaction alcaline ; densité, 1.016 ; urée, 6, 40; chlo-
e prête à la confusion. Nous traversons actuellement une période de réaction dans la conception anatomique et physiologique
rs de ces troubles à l'atrophie numérique, c'est l'absence de toute réaction fonctionnelle pa- thologique du côté des nerfs
rs, la contraction mus- culaire est normale ainsi que les réflexes. Réactions électriques normales. Enfin les troubles psychi
ités plus qu'aux racines des membres, une conservation relative des réactions élec- triques aux muscles des racines et une di
sen- sibilité aux cours des polynévrites ? Mais l'absence de toute réaction de dégénérescence à l'examen électrique des mus
r les poils, tantôt géné- ralisé, tantôt partiel. C'est souvent une réaction à un prurit intense en général sans lésion de l
sensibilité, de'paresthésies, prurit ou autres; l'impulsion est une réaction réflexe. Mais certains sujets atteints de troub
e gauche ou avec des individus parfaitement sains. La recherche des réactions électriques était confiée au Dr de Léon, électro-
e des plus distingués et des plus compétents, qui a pu constater la réaction de dégénérescence partielle dans tout le territoi
s et l'état moniliforme qui en résulte, sont des modes habituels de réaction du cylindraxe à l'égard des agents morbides les
ue, de l'hypoesthésie s'étendant jusqu'à la face, et l'ab- sence de réaction plantaire. 14. On constate, à droite, le signe
ctif. qui a frappé de mort les différentes cellules avant qu'aucune réaction défensive ou réparatrice ait pu se produire. Le
atoire localisé subaigu beaucoup plus lent, qui a permis toutes les réactions défensives dans les tissus intéressés. En résum
ut fut impossible. Les pupilles dilatées au maximum perdirent toute réaction à la lumière. En même temps on nota une légère di
tôme constant chez B... de la dilatation pupillaire et du manque de réaction à la lumière est peu en accord avec le fait quela
l'oeil droit diverge parfois en dehors et sa pupille est dilatée. La réaction à la lumière paraît abolie des deux côtés, mais
s- sissement et la formation de pinceaux de fibres (Chaslin). Cette réaction de son côté, augmentant la résistance des paroi
de facteurs pathologiques qui, suivant leur affinité spéciale ou la réaction particulière du sujet frappé, détermineront des
es membres inférieurs, les muscles sont mous, flasques, donnant une réaction très vive à l'excitation mécanique (augmentation
que. ? Dans le cerveau, on observe de nombreux corps amyloïdes, une réaction névroglique modérée, une atrophie des cel- ' Iu
ue à notre collègue, M. le professeur agrégé Guilloz, ainsi que les réactions ci-dessous, montre une exostose volumineuse app
e sa première radiographie mentionnée plus haut. Voici l'état des réactions électriques : 1° Excitabilité au courant faradi
, la multiplication des noyaux, ce qui implique un certain degré de réaction interstitielle. Les grosses fibres à myéline ne
M. Larat, montre à la date de l'entrée, qu'il n'existe pins aucune réaction ni l'excitation galvanique, ni à l'excitation f
âge de l'enfant ; les yeux son vifs, il n'y a pas de strabisme, les réactions pupillaires sont normales. L'intelligence paraî
ntre une lymphocytose légère du liquide céphalo-rachidien. 18. La réaction électrique, dans les muscles des membres, se fait
embres, se fait avec 9 ou 10 milliampères. On constate nettement la réaction de dégénérescence dans le groupe antéro-externe
xci- tabilité faradique et galvanique des muscles des membres, avec réaction de dégénérescence. La sensibilité était intac
aux membres inférieurs, ceux-ci très atrophiés présentaient soitla réaction de dégénérescence, soit une complète inexcitabili
l'amyotrophie était très marquée avec contractions fibrillaires et réaction de dégénérescence ; il y avait au contraire int
ment. Son développement intellectuel était normal. On constata la réaction de dégénérescence dans les muscles quadriceps e
E LA l'1tE\III : IiE ENFANCE £ -4Si 1 gned'atrophie'musculaire avec réaction de dégénérescence ou même inex- citabilité élec
nution de l'excitabilité électrique faradi- que et galvanique, sans réaction de dégénérescence bien nette, la mort se fit pa
ctilité faradi- que ; par l'excitation galvanique, on constatait la réaction de dégénéres- cence. . A propos de cette prés
ion considéra- ble de la contractilité faradique et galvanique sans réaction de dégénéres- cence. Cypho-scoliose. Ataxie des
uche, déformée, elliptique à grand axe oblique en bas et en dedans. Réaction pupillaire abolie pour la lumière, conservée pour
peau. Altération très marquée de la con- tractilité électrique sans réaction de dégénérescence (PI. LXXII E, F). Sensibilité
es lèvres. Altérations marquées de la contractilité électrique avec réaction partielle de dégénéres- cence. Incoordination m
ment une cypho-scoliose,du nystagmus dynamique et des troubles delà réaction pupillaire, variant depuis l'extrême lenteur de l
ses malades, mais il a observé une diminution de l'intensité de la réaction à la lumière : cette diminution est des plus mani
bien qu'il n'y eut chez elle pas de signe d'Argyll-Ro- bertson, la réaction à la lumière était extrêmement lente. Nous rapp
des 2", 38, e sacrées à gauche des 3e et 4e à droite; incontinence; réaction de dégéné- rescence dans les muscles paralysés.
de la main, non plus que dans le trapèze et le rhomboïde. A droite, réactions bien conservées, sans DR. Rien aux membres in
des membres supérieurs (atrophie musculaire, dans l'observation IX, réaction de dégénérescence dans l'observation X). A l'au
s; les racines antérieures, paraissent saines. Comment expliquer la réaction de dégénérescence musculaire observée cliniquem
RGIE DROITE ta l' Sur les bords, il n'existe pas de sclérose, ni de réaction leucocytaire. Il s'agit donc d'un foyer récent.
er. Il est d'ailleurs facile de les reconnaître à l'intensité de la réaction qui les accom- pagne et à leur peu de propagati
'autre part,on cons- state dans l'olive bulbaire du côté opposé, la réaction à distance des cellu- les nerveuses, et on ne v
llu- les nerveuses, et on ne voit pas dans l'écorce cérébelleuse de réaction à distance des cellules de Purkinje. Ces dive
vanique nous donne une excitabilité normale des muscles qui ont une réaction normale à l'examen faradique et une réaction dé-
es muscles qui ont une réaction normale à l'examen faradique et une réaction dé- générative totale des autres muscles (surto
té doit être exclue pas le fait que dans mon cas existait une forte réaction dégénérative et par la distribution irrégulaire d
ine ? Pour nous, cette dégénérescence traduit, en grande partie, la réaction corticipète qu'implique la lésion genouillée. L
nos résultats personnels nous oblignent à interpréter autrement les réactions consécutives aux lésions temporales superficielle
d'un ramollissement temporal intéressant les couches profondes, la réaction occipitale se cantonne presque exclusivement à la
que la dégénérescence cellulifuge ne traduit pas, à elle seuie, la réaction entière que détermine la lésion du neurone ; nous
escence cellulipète des radiations corti- cales, pour que la grosse réaction des régions postérieures trouve une expli- cati
moyen de résoudre ce problème difficile, ce serait de faire voir la réaction , non pas occipitale, mais simplement temporale,
la dégénérescence rétrograde en tant que phénomène particulier. Les réactions de ce genre au niveau du tronc encéphalique sont
s fibres du fais- ceau longitudinal inférieur un contingent dont la réaction est tellement cons- tante que nous l'avons indi
ie pyramidale. Quelque irrégulière que soit la topographie de cette réaction médullaire, quelque grandes les difficultés d'i
du lobe occipital. Ainsi qu'une lésion cérébrale se traduit par une réaction médullaire qui LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIE
38 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
visuelles, auditives, cutanées, etc.), et par conséquent toutes les réactions motrices. Il favorise le som- meil ; il diminue
uable; l'auteur indique les moyens à l'aide desquels il a étudié la réaction de la pilocarpine chez divers mélancoliques. R.
ns la sclérose latérale amyotrophique les racines s'atrophient sans réaction sclé- 72 SOCIÉTÉS SAVANTES. reuse, on en vien
i caractérise toute myélite aiguë, c'est un processus mul- tiple de réactions du côté des vaisseaux, du tissu interstitiel et d
foyers plus ou moins volumineux et à des nodules. Les phénomènes de réaction du côté des cellules nerveuses abou- tissent ra
a dans toute, myélite aiguë deux réac- tions leucocytaires : 1° une réaction précoce de défense, qui con- l siste dans l'émi
aires, réac- Lion qui a pour but de vaincre les microbes, et 2° une réaction leucocytaire tardive dont le rôle est d'enlever
condes pro- voquent des altérations parenchymateuses profondes sans réaction inflammatoire. 2° La moelle présente une rési
ins résistante encore que la substance blanche. Il s'ensuit que les réactions inflammatoires aiguës sont moins fré- quentes e
sions toxiques résidera uniquement dans la présence ou l'absence de réaction . 4° Un poison capable de provoquer la réaction
ence ou l'absence de réaction. 4° Un poison capable de provoquer la réaction inflammatoire dans un organe résistant, pourra
nophagie, ainsi que des nécroses partielles ou totales avec ou sans réaction inflammatoires. Ce processus donne lieu par la
e des cordons postérieurs. D'autre part, elles ne sont pas dus à la réaction que détermine la section d'un cylin- draxe dans
entrifuge des ganglions spinaux ou crâniens ne donne pas lieu à des réactions comme celle qui arrive après la section de 1 a
ère, dans le tubes, a pour expression clinique une amyotrophie sans réaction de dégénéres- cence. Les terminaisons et les li
e : clini- quement, l'amyotrophie se développe très lentement et la réaction de dégénérescence fait défaut; histologiquement
s granula, ou de la substance chromatique, les auteurs voient « une réaction de la cellule devenue anatomiquement visible, s
dans laquelle les auteurs ne voient qu'un signe anatomique d'une réaction plus ou moins aiguë de la cellule, un défaut d'ad
pas en réalité, dans ces cas, d'une névrite ascendante, mais d'une réaction du neurome sur un cylindraxe. Il lâut donc écar
dants. Avec la-méthode de Marchi, beaucoup de fibres présentent des réactions pathologiques et celles qui persistent avec leu
que du faisceau pyramidal dans sa partie médullaire peut amener des réactions cellulaires décelables dans les grandes cellule
férentes parties du corps, mais aussi la valeur ou l'équivalent des réactions produites par des effets de causes physiques et
(nasale, oculaire, auriculaire), peuvent seuls, sous l'effet d'une réaction pathologique de ces cavités, favoriser, par leu
atteinte, à l'àge de un an, d'une paralysie du plexus brachial avec réaction de dégénérescence limitée au groupe radiculaire
s, quelques-unes étaient légères, sans modifications accentuées des réactions élec- triques ; elles ont guéri rapidement et c
ent du côté des cellules des cornes antérieures correspondantes une réaction secondaire plus rapide et plus intense que les
Examen des yeux pratiqué le 20 octobre 1899 par le Dr 1 ubüaeau. « Réactions pupillaires lentes, surtout à la lumière. Il exis
tes, surtout à la lumière. Il existe une réelle différence dans les réactions pupillaires, suivant qu'il s'agit de la lumière
examen un' procédé d'investigation de* premier ordre, l'étude de la réaction , électrique des nerfs et,, des musclés, nous ne
ies, pertes des réflexes profonds suivie d'atrophie musculaire avec réaction électrique de dégénérescence, le tout accompagné
ait hypereslhésie à gauche pour les membres supérieur et inférieur, réaction normale pour -le tronc et la face. Aux membres
qui conserve la position qu'on lui donne. De ce même côté gauche la réaction aux excitations est difficile : pour la douleur c
îtres en la matière, Raymond et Chipault : il était trop gros et la réaction des tissus environnants faisait que, la lésion
ue dans le tissu voisin. Ils diffèrent des corps hyaloïdes par leur réaction à l'égard des agents colorants, par le nombre e
gnent ni par le carmin ni par l'aniline et ne répondent que par une réaction très faible à l'iode et à l'acide sulfurique. Bev
elle ne réagit plus : voilà le malheur. Si on pouvait réveiller les réactions , dis-je, il y aurait peut-être quelque chose à
a en effet montré des lésions de bacillose pulmonaire. L'absence de réactions cérébrales locales serait due à la lenteur du p
éri en trois mois, mais la diplégie faciale persiste avec signes de réaction de dégénérescence. Chez le second malade, la po
nataire aiguë, le délire à base d'interprétations s'accompagnent de réactions anxieuses qui n'ont de la mélancolie que l'appa
certaines fonctions (ménopause) que se montre la dépression, simple réaction cérébrale provoquée par cet amoindrissement che
e se rendort même en mangeant, réponses labo- rieuses mais exactes, réactions lentes, bave, éruption papulaire avec démangeai
ie ; 2° Les fonctions vésicales et rectales y sont normales ; 3° La réaction électrique des extrémités paralysées est d'habi
mités paralysées est d'habitude diminuée, mais jamais on ne voit de réaction dégénérative ; 4° On ne voit pas non plus d'atr
dont l'une est dilatée et l'autre contractée : 2° leur inégalité de réaction à la lumière, l'une répondant, l'autre ne répon
ll Robert- son (iridoplégie réflexe se manifestant par un défaut de réaction à la lumière, ordinairement bilatérale, mais no
ère, ordinairement bilatérale, mais non toujours). La lenteur de la réaction pupillaire à la lumière chez un syphilitique do
, avec perte des réflexes, peu d'altérations de la sensibilité, des réactions électriques nor- males, des sphincters intacts,
ais la (marche est lente, la sensibilité générale est atteinte, les réactions électriques sont nulles, il y a de l'alrophie;
la lumière et à l'accommodation ; leur inégalité et leur absence de réaction sont des signes de lésions profondes de dégénér
pouls est de 100 à 120 ; les réflexes patellaires sont absents. La réaction des pupilles est vive. Amaigrissement rapide. E
Température 36°-38°,4, P = 400-120 ; inéga- lité des pupilles, avec réaction très vive à la lumière. Mort le sixième jour.
la disparition complète de l'excitabilité galvanique, voire même la réaction de dégénérescence. Ainsi chez le malade affecté
t ambiant de la tempéra- ture influence dans une certaine mesure la réaction ; G° La fré- . quence et le caractère du pouls s
s, administrées pendant une longue période de temps, produisent une réaction suffisante; 12° 11 est absolument indispensable
air que les effets bienfaisants sont entièrement indépendants de la réaction de température; 23° Par conséquent l'idée direc
ssement des facultés, se montre de l'inégalité des pupilles dont la réaction à la lumière et à l'accommodation diminue : on
ncen- trique du champ visuel, une analgésie peu marquée, une vive réaction du cerveau sous le chloroforme. Les commémoratifs
oubles pupillaires (inégalité, troubles des réflexes, déformations, réaction paradoxale, etc.) en donne la physiologie patho
ent, l'altération se manifeste par la lenteur et la petitesse de la réaction . . Chez 12 mélancoliques séniles, Mignot trouve
ncore, il signale une variabilité très grande dans les troubles des réactions : par exemple, dans une observation, on voit un
39 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es animés peuvent 12 Z CLINIQUE MENTALE. « être engendrés par des réactions chimiques d'une façon gêné- « raie. L'accouchem
es d'une façon gêné- « raie. L'accouchement sera supprimé. Dans une réaction chi- a mique quandune couleur se produit, elle
t cette couleur. « Tous les êtres animés peuvent être créés par des réactions chi. « miques successives, ainsi naissent les s
e s'accompagnait d'atrophie des muscles du bras et de l'épaule avec réaction de dégénérescence, de troubles trophiques de la
ur aux deux bras. Ces paralysies s'accompagnent d'amyotrophie et la réaction de dégénérescence est constatée. Quelques obser
engendrée par un microbe lequel, suivant ses lieux d'habitat et les réactions qu'il provoque dans les tissus donne au tableau
figures. " DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 103 Enfin, Messieurs, les réactions électriques de ces nerfs et de ces muscles atro
a face, on trouvait, au mois de janvier dernier, une diminution des réactions faradiques et galvaniques portant sur les ramea
et frontaux. Depuis lors, les modifications qu'ont présentées ces réactions ont montré que nous assistions à la phase de ré
e domaine antibrachial et fait défaut au niveau du bras. Enfin, les réactions électriques des nerfs musculo- cutané et circon
erne et la pointe, comme il arrive dans le steppage. L'examen des réactions électriques, corroborant les résul- tats de la
ns le domaine du nerf cubital, surtout au niveau du coude, et de la réaction partielle de dégénérescence dans les muscles de
ence et les caractères de l'atrophie mus- culaire, les troubles des réactions électriques, l'existence de troubles de la sens
nt imputables au développement local du bacille lépreux amenant une réaction de voisinage et trou- blant en même temps la ci
, réunit un grand nombre de bacilles en une' masse zoogléique ; les réactions microchimiques sont les mêmes que celles du bac
vous dire, Messieurs, ce qu'est le bacille de lIaris'en et quelles réactions histologiques 'sa ' présence pro- DEUX CAS DE L
on sera bien réellement lépreuse, je veux dire qu'on y retrouve les réactions histologiques du léprome avec la cellule lépreu
s inoculés au sérum d'épileptiques, on voit qu'il s'agit d'une pure réaction locale, bien moins intense que dans les cas pré
fusions produiraient des effets spéciaux bien caractéristiques, des réactions toutes différentes de celles des solutions chlo
de prolification des ingrédients histolo- giques non nerveux et de réaction de l'appareil vasculaire sanguin et lymphatique
ns général, de celui de parabiose, et peut être considérée comme sa réaction universelle aux opérations les plus diverses. 3
dans la région des segments cervicaux 4-7. P. KIRAVAL. XXXVI. La réaction paradoxale des pupilles, avec observation perso
émoire dont voici les conclusions : Io Il existe diverses formes de réaction paradoxale des pu- pilles. Ce sont : a. La réac
erses formes de réaction paradoxale des pu- pilles. Ce sont : a. La réaction paradoxale des pupilles à l'accommo- dation. Le
estant les mêmes. Vysin qui l'a observée l'appelle perversion de la réaction pupillaire. b. La réaction paradoxale apparente d
l'a observée l'appelle perversion de la réaction pupillaire. b. La réaction paradoxale apparente des pupilles à la lumière.
d'emblée, par conséquent paradoxale, à la lumière (Burchard). c. La réaction paradoxale vraie des pupilles à la lumière. Dil
la pupille dans l'om- bre sans dilatation préalable (Piltz). II. La réaction paradoxale à l'accommodation n'a jusqu'ici été
dans les maladies fonc- tionnelles du système nerveux central ; la réaction paradoxale apparente à la lumière n'a été obser
à la lumière n'a été observée qu'en un cas diridectomie ; la vraie réaction paradoxale à la lumière est un phénomène très r
à la lumière est un phénomène très rare qui peut être simulé par la réaction à la convergence, à la divergence, à l'accomoda
a divergence, à l'accomodation, par l'hippus des pupilles, par la réaction à la chaleur ou réaction sympathique des pupilles
odation, par l'hippus des pupilles, par la réaction à la chaleur ou réaction sympathique des pupilles, par la réaction des p
réaction à la chaleur ou réaction sympathique des pupilles, par la réaction des pupilles sous l'influence de la contraction d
étant éliminées, il ne reste que cinq observations inattaquables de réaction paradoxale des pupilles à la lumière : celle de
es' réflexes tendineux, du triceps et du biceps du côté gauche. Une réaction de dégénérescence complète dans les muscles bic
ossible, est très rare. La psychose de KORSAKOFF apparaît comme une réaction du côté du système ner- veux sur la saturation
s et peuvent même offrir un certain degré de systématisation. Les réactions psycho-motrices les plus variées (excitation, dé-
S SAVANTES. 217 tions les plus pressantes, ne sont suivies d'aucune réaction mo- trice ou vaso-motrice. On peut alors dirige
ré) et, d'autre part, qu'il n'est pas absolument dé- montré que les réactions défensives de l'organisme, qu'on a l'ha- bitude
muscle et trouver dans la moelle un groupe de cellules nerveuses en réaction à distance, c'est prouver la rela- tion fonctio
de mastication, de la'gêne pour la première sécrétion matinale. La réaction myotonique existe chez lui et l'examen biopsiqu
fixation du regard, ce qui est facile, on obtient alors toutes les réactions qu'on obtient dans cet état, mais il est un poi
ent, l'eau qui la noie. Et - ces phénomènes entrainent avec eux les réactions ordinaires qui sont la terreur, ici rendue plus
t qu'affaiblis, ne l'ont pas complètement perdue. Myosis à gauche ; réaction des pupilles à la lumière normale des deux côté
la sécrétion pancréatique est active ou non. Si on n'obtient aucune réaction iodée dans la salive après l'administration de la
u mal chez les plus cultivés. A l'Asile on peut encore observer des réactions suicides à une période plus avancée, mais elles
celles qui attribuent à la suggestion ou à l'au- to-suggestion, les réactions présentées par les sujets qui se réveil- lent e
n très débile. l'. KIOEAVAL. V. Contribution à la casuistique de la réaction biologique des cheveux chez les aliénés; par W.
vient dans la catatonie, l'épilepsie, etc. PaulS Éamox. XX. De la réaction pupillaire prolongée aux toxiques comme signe p
litatives de l'excitabilité électri- que (aucune trace notamment de réaction dégénérative), par l'absence des convulsions br
icipe au pro- cessus morbide, fait déjà signalé par Roecke, mais la réaction paraît moins intense que dans le cerveau et se
le caractère orga- nique de l'hémispasme facial vrai; il traduit la réaction motrice du nerf facial. Au point de vue pathogé
ocytose, soit. que l'hémorrha- gie ait secondairement déterminé une réaction leucocytaire, soit que la méningite ait donné l
e pathologique de la générale. par blahaini, 403. générale Voir Réaction pupillaire. Fré- quence et évolution des lésion
lisme mental guéri par sug- gestion, par Leroy, 509. Pupilles. La réaction paradoxale des -, avec observation person- ne
une jeune fille hystérique et tuberculeuse, par Coulotijou, 2.3 Réaction pLp[LHi3E De la pro- longée aux toxiques comme
40 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
es supé- rieurs (surtout les avant-bras et les muscles de la main). Réaction de dégénéres- cence dans un grand nombre de mus
la nutrition des muscles, dénotés par l'atrophie considérable et la réaction électrique de dégénérescence. - II. LAMr, Anc
L'examen des mouvements actifs ou passifs, confirmé par l'étude des réactions électriques de ces muscles est absolument forme
son impotence fonc- tionnelle est tout » (2). Enfin, en outre des réactions électriques similaires et de l'absence de contr
cune altération qualitative, et rien qui rappelle plus ou moins la réaction de dégénérescence. Nous rapportons ci-dessous l
té, mesurée d'ailleurs à l'aide d'un galvanomètre apériodique). Les réactions rapportées ci-des- sous sont celles obtenues su
personnes avec les mêmes appareils, dans les mêmes conditions. Les réactions s'étant montrées à peu près identique- ment sem
tions que pour les membres supérieurs. Nous ne rappor- tons que les réactions du côté gauche, celles du côté droit étant d'aill
tats rapportés ci-dessous sont ceux fournis par le côté gauche; les réactions du côté droit sont sensiblement semblables. Gra
Fig. 51 Fig. 52. UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE. ACCOMPAGNÉE DE RÉACTIONS ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE , . TROUBLES DE LA
plus intéressantes de celle observation consiste en l'existence de réactions électriques qui n'ont pas encore été observées
prit est la suivante : . . 1° Les cas où les muscles présentent des réactions électriques anormales, ou dans lesquels ils ont
que M. Brissaud a déjà signalé le premier en 1890 la présence de la réaction de dégénérescence chez un myopalbiquc du type fac
les différentes espèces d'amyolro- phies que n'accompagnent aucunes réactions électriques anormales, ou seulement celles qui
ntes variétés on n'a pas noté de changements caractéris- tiques des réactions électriques. On prétend môme que la réaction de d
aractéris- tiques des réactions électriques. On prétend môme que la réaction de dé- générescence ne s'y observe jamais. C'
ion vertébrale. Examen électrique. A cette date (novembre 1889) les réactions élec- triques étaient sommairement les suivante
eux qu'innerve le nerf maxillaire inférieur. Dans le tableau I, les réactions normales des différents muscles sont représenté
une certaine sensibilité douloureuse dans (1) L'auteur entend par « réactions normales » celles qui se produisent chez les su-
. 192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE . TABLEAU 1 Il .. Réactions électriques de Suzan. S., âgée de 19 a))6'. ..
e déforma- tions considérables, et de modifications très nettes des réactions électriques. A l'âge de 20 uns environ, ont app
ents choréifol'mes qu'à tout autre espèce de tremblements. 6° Les réactions électriques n'étaient pas comparativement aussi a
tion progressivement envahissante. Les douleurs nerveuses, et les réactions électriques n'ont été observées que tardivement
veuses ont disparu maintenant et, pensant que la mo- dification des réactions électriques avait pu être transitoire et accident
tion, j'ai demandé au Dr Kilner de vouloir bien vérifier l'état des réactions musculaires aujour- d'hui. Cet examen a été fai
on gé- 196 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TABLEAU Il Réactions électriques de Suzan. S., à l' £ lge de 23 ans.
endant, ici, on cons- tate des modifications très notables dans les réactions électriques. Aussi peut-on se demander si, en d
z un malade GO à 80 cen- limolros, n'est pas sans présenter quelque réaction douloureuse. Mais alors les douleurs sont indép
turc. Comparez cette tolérance de 1'3rthropathie tabétique avec la réaction doulou- reuse de la moindre hydarthrose rhumati
DE LA SENSIBILITÉ 219 de J'oedème, par l'absence complète de toute réaction douloureuse locale, cette malade, tourmentée de
s le tableau clinique du tab('s sensitif. Elles accusent un mode de réaction spécial des éléments ana- tomiques, en présence
bras et au bras. La sensibilité des muqueuses paraît normale. Les réactions oculo-pupillaires ne paraissent pas altérées ; le
; le champs visuel est normal. Vue presbyte. Pupilles égales ; les réactions pupillaires existent, mais sont un peu paresseu
ires et suffisantes pour provoquer, de la part du centre spinal, la réaction nutritive normale. L'équilibre trophique est donc
es articulaires et surtout osseux, parce que les centres spinaux de réaction nutri- tive qui régissent l'équilibre fonctionn
ion très nette entre les artropathies suppurées secondairement avec réaction fébrile et les arthropathies suppurées d'emblée s
avec réaction fébrile et les arthropathies suppurées d'emblée sans réaction comme Karg en cite un exemple. Dans ce cas le
trophique cutané), qui a précédé t'arthropathie, il devrait y avoir réaction fébrile, et signes inflammatoires locaux. L'absen
blée sans Fig. 'il. 290 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE réaction ni locale, ni générale ou d'une arthropathie avec
ypes bien distincts tenant à la nature de l'infection ou au mode de réaction des tissus dystrophiés. Notons d'abord parmi ce
sur n'importe quelle articulation : parfois, fait sin- gulier, sans réaction locale ou générale; beaucoup plus souvent avec to
lent, met des mois et des années à se l'aire, presque toujours sans réaction locale ou générale et sans douleur. Ce processu
ment paralysés, mais encore atro- phiés, sans présenter du reste de réaction de dégénérescence. Les fourmille- ments signalé
hies dans l'art, par Henry MEIGE, 198. Amyotrophie primitive avec réactions élec- triques anormales, par T. Savill, 184.
nte de Paget, 15. SAVILL (T). Un cas d'amyotrophie primitive avec réactions électriques anormales, 184. SAYILL (T.) et H. M
41 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
mal ; nous nous ell'orcerons de reconnaître : a) Quelles sont les réactions qui appartiennent aux processus physiolo- gique
ceau de viande ou de pain devant l'oeil droit, on n'obtenait aucune réaction de l'animal, bien que l'animal vit sans doule l
dégénérés. Elle réagit en réalité à un processus irritatif et cette réaction , pour des causes diverses, peut être d'intensité
un motif absurde, il montre dans le fonctionnement en question, des réactions vraiment morbides.Chaque muqueuse sécrète le mu
sensibilité normale ou presque pour ce qu'on peut en juger par les réactions données par la malade. Les muscles des membres in
éremptoires pour reconnaître, au moins dans le cas particulier, une réaction imparfaite par application mal réussie de la mé
réaction imparfaite par application mal réussie de la méthode d'une réaction imparfaite à cause des modifications physico-chim
subies par le tissu. Dans le cas actuel cependant, avoir obtenu une réaction positive dans les racines médullaires et aussi
- geant presque pas de forme. On peut cependant ajouter que si la réaction histochimique, que nous avons obtenue dans un c
e des altérations primaires, est fondamentalement superposable à la réaction qui caractérise les dégénérations secondaires, le
u de fibres nerveuses gardant un cylin- draxe capable de donner une réaction positive vis-à-vis de la méthode, ainsi qu'il r
our toujours, du moins pour un temps très long, et par le manque de réaction au Marchi. , Les choses, au contraire, ne se pa
ons cellulaires secondaires aux alté- rations de leurs cylindraxes ( réaction à distance). On peut donc penser qu'une partie
erculeuse ; et que l'au- tre partie est au contraire à imputer à la réaction à distance consécutive aux profondes altération
on qu'à une véritable maladie de la fibre musculaire elle-même. Les réactions électriques furent examinées, mais la résistance
sent seule- ment légers. Ces muscles également donnaient une légère réaction galva- nique dans laquelle la fermeture de la c
fermeture de l'anode. Tant qu'on en peut juger, par conséquent, les réactions électriques étaient normales malgré les difficu
ait naturelle ; sa densité était de 1014, sa couleur jaune pâle, sa réaction acide; elle était claire, normale en quantité, et
ne permet pas de conclu- sion formelle à cause du grand nombre des réactions viscérales, on conçoit qu'il n'est pas possible
ssant de la joie exubérante à la dépression profonde, intensité des réactions affectives disproportionnées à leurs causes, ch
tion. Chez les basedowiens les impressions du dehors provoquent des réactions plus vives que chez les individus normaux. C'est
et appuie tout le poids du corps sur le membre sain ; alors par une réaction de circumduction, elle porte en avant la jambe pa
emaines après le début de la maladie, aucun muscle se présentait de réaction , même partielle, de dégénérescence, ce qui perm
I° paires). Absence de troubles paralytiques de la convergence. Les réactions pupillaires sont normales. Pas de lésions du fo
constatée au premier exa- men (inversion polaire). En somme, les réactions électriques ne sont que très légèrement modifiées
fection - infection légère vu le peu de modifications apportées aux réactions électriques - a inté- (1) MoRvAN, Contribution
lite antérieure aiguë, de déceler la lymphocytose, témoignage de la réaction méningée à l'infection en cause. UNIVERSITÉ DE
La percussion du tendon rotulien du côté droit produit nettement la réaction du côté gauche. Lorsque l'enfant pleure ou rit, o
e dont la tête a été sectionnée, une excitation légère provoque des réactions bilaté- rales. L'irradiation motrice se fait sa
us (prononciation à haute voix sans commentaire des mots suivants). Réaction (de la malade aux mots prononcés). Vérité. - Il
e aug- mentation des mononucléaires par égard aux polynucléaires. Réactions musculaires. Réaction myasténique positive.Pour c
mononucléaires par égard aux polynucléaires. Réactions musculaires. Réaction myasténique positive.Pour cette réaction, on a
es. Réactions musculaires. Réaction myasténique positive.Pour cette réaction , on a suivi la méthode Murri, qui fut ensuite l
. Rien de particulier. Même chose pour l'examen du sang. Absence de réaction myasthénique. Pression artérielle humérale droite
dow qui a été décrite sous le nom d'asthénique. J'ai recherché la réaction myasthénique dans quatre cas d'acromégalie je l
rouvé , un épuisement musculaire très prononcé, mais sans véritable réaction myasthénique; dans le quatrième je n'ai rien re
impor- tant, et leur sécrétion, au moins aux premiers temps de leur réaction , est sujette à des altérations par rapporta la
xophtalmie légère des deux côtés. OD. Acuité normale. Champ normal. Réaction pupillaire bunne. OG. Il est en strabisme diver
ais pouvant se mouvoir dans tous les sens. Pupilles assez dilatées. Réaction à la lumière douteuse, existe peut-être faiblem
. 2). ' L'épaississement épendymaire est général ; c'est un mode de réaction à la pression. Les mesures des coupes au plan
té re- couverte d'un feutrage de grosses cellules. C'est encore une réaction à la com- pression, analogue à l'épaississement
ts la surface ventriculaire était couverte de masses organisées. La réaction épendymaire à la pression se manifeste par la p
gauche; pupille gauche plus ouverte que la droite; diminution de la réaction à la lu- mière. Forte exagération des réflexes
l'aura gagné. Pour l'indifférent qui con- sidère les péripéties des réactions réciproques des éléments en présence, la condit
e les éléments en pré- sence, il y tout un ensemble d'actions et de réactions . Séparé de tou mi- lieu, isolé dans la nature,
ce d'une excitation ou d'un ensemble d'excitations données et toute réaction est un changement plus ou moins durable de l'or
avorable ou défavorable à l'être composé. Toutes choses égales, les réactions vitales maladives survivent biologiquement aux
uement aux conditions qui les ont fait naître, au même titre que la réaction de protection de l'élaboration persistante de l'a
on constate un fait général dont il faut chercher la cause dans les réactions cellulaires. Tout le monde peut remarquer l'inf
et non pas clans les choses ; dans la nature, il n'y a qu'action et réaction et, toutes choses égales, l'homme deviendra vicie
ment fait suffisamment comprendre qu'il ne s'agit ici encore que de réactions logiques et physiologiques même dans leurs produc
ôté interne du dos du pied (mars 1906). J'ai étudié il co moment la réaction , la composition, la flore microbienne de la lésio
les douleurs avaient complètement disparu. La plaque anémique, sans réaction alentour, se transforma peu à peu les jours sui
e de la guérison, de la même asepsie de la plaie, du même défaut de réaction dans les ganglions correspondants. M. Oudin avait
hèses : on peut parler N'influences trophiques, on peut par- ler de réactions vasomotrices, etc., mais la pathogénie réelle nou
es n'ont pas à leur disposition des substan- ces qui,sans avoir une réaction chimiquespéciale,sans lésion superficielle de l
s, de ses idées nouvel- les et suggestives, je vois un phénomène de réaction envers la tendance qui porta la même Ecole à l'
de la Neurologie moderne que fut M. Charcot. Mais je crois que la réaction suivra encore une fois, je crois que l'hystérie
42 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e mouvement d'élévation se font très lentement et difficilement, la réaction pupillaire à la lumière et à l'accommodation es
contractées, réagissent bien à la lumière, à l'accommodation et par réaction sensitive. Il ne présente aucun signe patholo
les malades atteints de paralysie faciale grave, c'est-à-dire avec réaction de dégéné- rescence complète d'emblée. Chez ces
e l'électricité doit être réservé aux cas de paralysie faciale avec réaction partielle de dégé- nérescence ou sans altératio
à la guôrison, du côté gauche où l'on constatait l'existence de la réaction complète de dégénérescence. , - A. FrriAYROU.
ournit : inexcitabilité faradique par action directe ou indirecte ; réaction dégénérative galvanique avec contraction lente
nsibles extrêmes ; l'exercice augmente mécaniquement la capacité de réaction des appareils coordinateurs et habitue les appa
est chez tous les deux normale ; aussi aucune insuffisance dans la réaction pupillaire pour la lumière et la con- vergence
uccessivement, soit simultanément, selon les circons- tances, trois réactions différentes : 1° Une réaction motrice, dans les
, selon les circons- tances, trois réactions différentes : 1° Une réaction motrice, dans les muscles desservis parle nerf
ndant de l'action des muscles de l'éminence hypothénar ; , 2° Une réaction purement sensible consistant dans la dou- leur
t, et aussi de vagues douleurs locales ; 3° Une autre et dernière réaction , qui consiste en flexion du bras, contorsions d
s exclamations de souffrance. Bier- nacki a désigné cette troisième réaction sous le nom mal choisi de réflexe. Disons sur
te, et nous ne parlerons que de la pré- sence ou de l'absence de la réaction douloureuse. Tel est le signe décrit par Bierna
xpériences mul- tiples on constata que : chez 58 d'entre eux, toute réaction douloureuse était absente ; chez 35 d'entre eux
, toute réaction douloureuse était absente ; chez 35 d'entre eux la réaction douloureuse existait à différents degrés. Chez
femmes, les chiffres correspondaient aune proportion de 56/100 sans réaction douloureuse, 36/100 avec réaction douloureuse e
aune proportion de 56/100 sans réaction douloureuse, 36/100 avec réaction douloureuse et 8/100 douteux : résultat presque
les formes de psychoses. Sur les 200 hommes, 0/100 présentaient une réaction doulou- reuse perceptible, 39/100 ne sentaient
100 femmes, les rapports numériques sont semblables, dans 07/100 réaction douloureuse perceptible ; 33/100 témoignent d'u
action douloureuse perceptible ; 33/100 témoignent d'une absence de réaction . Il y a donc une petite différence en faveur de
ence de réaction. Il y a donc une petite différence en faveur de la réaction douloureuse, ce qui peut s'expliquer par une pl
or, chez ces malades, 23, soit 74/100 montrèrent l'absence de la réaction douloureuse en question. Ce nombre vient con- f
abes. Ces résultats, conformes à ceux de Cramer, indiquent que la réaction douloureuse du cubital manque plus souvent chez
le font judicieusement remarquer Boedeker et Falkenberg, que cette réaction de Biernacki n'est pas inaccessible aux objecti
r désireux de fixer avec certitude la pré- sence ou l'absence de la réaction en chaque cas particulier, on est bien obligé d
es, régulières, réagissent bien directement et par association, par réaction sensitive, c'est-à-dire en piquant la malade su
éagissent direc- tement et par association à l'accommodation et par réaction sensi- tive. Le réflexe pharyngien est un peu d
issent bien directement et par association à l'accommodation et par réaction sensitive. Le malade reconnaît les couleurs et
ement et par association à la lumière et à l'accommo- dation et par réaction sensitive. Il n'y a pas de diplopie monocu- lai
fonctionner sous cette influence. Au moment de sevrage, la violente réaction organique que produit la reprise de l'activité
ant une excitation vive et soudaine de l'organisme, il provoque une réaction énergique. Mais cette réaction qui aboutit à l'
aine de l'organisme, il provoque une réaction énergique. Mais cette réaction qui aboutit à l'élimination des cellules glandu
diminution parallèle des excitabilités galvanique et faradique ; la réaction de dégénérescence faisait défaut, ce qui indiqu
r l'état de l'excitabilité électrique des nerfs et des muscles ; la réaction de dégénérescence, même partielle, est un signe d
par M. G. Marinbbco. [Presse médicale, 5 octobre.) A la phase de réaction a distance, qui se produit, à la suite de la se
Van Gehuchten admet que ces éléments subissent, après la phase de réaction , une phase de destruction ou de, dégénérescence a
et que les altérations cellulaires aient été la manifestation de la réaction à distance qui se produit dans toute cellule dont
doit sans doute être regardée comme un produit et une indication de réactions spéciales de l'organisme de l'épileptique, réac
indication de réactions spéciales de l'organisme de l'épileptique, réactions qui nous sont encore inconnues mais qui, après
u'autant que seront découverts la cause et le lieu d'origine de ces réactions anormales de l'organisme épileptique. (The alie
trefois en relation avec elle. Elle a, par moments encore, quelques réactions violentes quand on l'approche; de temps. en tem
confusion mentale avec, dans les sphères alfective et motrice, des réactions qui sont en rapport avec les perceptions fausse
e, l'agitation désordonnée de la malade n'étant, elle aussi, qu'une réaction secondaire et la fuite des idées n'étant, en ré
nérale ; idées délirantes d'ordre mélancolique ou mégalomaniaque, réactions en raison de ces troubles multiples et polymorphe
tif, une deuxième phase de troubles sensoriels prédomi- nants, avec réactions concordantes, mais troubles multiples, variés,
i ensuite nous l'exposons brusquement à la lumière en l'ouvrant, la réaction pupillaire de resserrement consécutif à une dil
déterminé les lésions en agissant directement sur la cellule parla réaction à distance sur le cylindraxe. Les expériences d
névrite. L'exploration électrique nous dévoila l'existence de la réaction de dégénérescence, mais elle ne nous servit pas p
ée par la pression surles troncs nerveux et la masse musculaire, la réaction de dégénérescence, la paralysie, l'amyotrophie, l
ainsi que diminution de l'excitabilité faradique et galvanique sans réaction de dégénérescence. Le tremblement du membre sup
t par intervalles chez les persécutés systématiques. En parlant des réactions de ces malades, nous devons une mention toute p
nter sur son triste- état. Mais ce sont là manifestement de simples réactions émotionnelles, très passagères d'ailleurs, prov
du sujet, suivant aussi leur degré d'intensité, donnent lieu à des réactions différentes, capables de changer complètement l
e pendant plusieurs heures. Excitabilité électrique normale, pas de réaction de dégénérescence. Les mouvements du membre inf
43 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
pas de contracture réelle et que la raideur musculaire n'est qu'une réaction de défense, d'opposition négativiste. Alimentatio
ocalisée et l'examen électrique ne mon- tre aucune modification des réactions normales. Dans les divers mouvements commandés
de troubles des réservoirs ; ni sucre, ni albumine dans les urines. Réactions électriques. - Les muscles dépendant du facial se
facial se contractent normalement par les courants faradiques. Les réactions des masséters et des temporaux sont au contrair
r droit de la parésie spasmodique avec mouve- ments choréiformes et réactions électriques normales. Le membre infé- rieur du
nfé- rieur du même côté est plus court que le gauche et présente la réaction de dégénérescence dans les muscles péroniers.
xterne et interne et des muscles tenseur du fascia lita et jumeaux, réaction de dégénérescence dans le muscle jambier antéri
e à celles des ganglions voisins. Et ceci nous explique pourquoi la réaction vicieuse du sympathique ainsi impressionné, se
ré la lésion névritique initiale. ' C'est sous l'influence de cette réaction du sympathique que s'établit dans la zone lésée
s vaso-constricteurs. Quoi qu'il en soit, et en tout cas, c'est une réaction défectueuse du sympathique aux excitations du p
tout étudiés par H. Meige, reconnaissant tous deux pour origine une réaction vicieuse du sympathi- que sur la formation de l
use du sympathi- que sur la formation de la lymphe des tissus, mais réaction vicieuse due à-une malformation congénitale ou
système sympathique dans les cas héréditaires ou familiaux, et une réaction vicieuse à un influx nerveux lui-même vicié par
le de la III' paire gauche, et une hémianopsie homonyme droite avec réaction hémiopique de l'oeil droit. L'auteur émet l'hyp
à un léger ptosis gauche et à une hémianopsie homonyme droite avec réaction hémiopique. L'auteur s'appuie sur la présence d
que. L'auteur s'appuie sur la présence du ptosis et sur celle de la réaction hémiopique (qu'il juge pathognomonique des lési
le de l'oculo-moteur commun droit, hémianopsie gauche homonyme avec réaction pupillaire hémiopique. En peu de temps les deux p
ouvons pas dans notre observation de renseignements re- latifs à la réaction hémiopique de Wernicke ; nous savons seulement qu
s dans notre cas les meilleures conditions pour la production de la réaction hémiopique qui, selon Wernicke et d'autres aute
grise et blanche, dus à la résorption des éléments al- térés, de la réaction inflammatoire autour des foyers, des dégénérescen
térations douteuses ou anciennes de la sensibilité objective, sans réaction de dégénération et d'un cours rapide ; la forme
e, avec des altérations profondes de la sensibilité objective, avec réaction de dégénérescence et évolution lente. Pour plus
ns les segments périphériques des extrémités, légère diminution des réactions électriques, galvaniques et faradiques, directes
vaniques et faradiques, directes et indirectes, sans aucun signe de réaction de dégénérescence. '. Le petit malade fut soumi
s tendineux, aucun trouble de la sensibilité, légère diminution des réactions électriques aux extrémités inférieures, réactions
re diminution des réactions électriques aux extrémités inférieures, réactions pres- que normales dans les supérieures. On c
ale en POLYNÉVRITE AIGUË INFANTILE 219 apparence ; diminution des réactions électriques, faradiques et galvaniques, directe
bilité électrique en apparence augmentée lorsqu'on fait l'étude des réactions . Elle fut soumise au même traitement que les ca
t, elle boitait un peu et tour- nait le pied gauche en dehors ; les réactions électriques du muscle droit anté- rieur et du n
e de la douloureuse, qui me parut diminuée dans la main droite. Les réactions élec- triques, faradiques et galvaniques révélè
vaniques révélèrent de la diminution aux quatre ex- trémités, et la réaction de dégénérescence aux muscles innervés par le ner
a position debout en se s'appuyant aux objets, ou murs voisins; les réactions électriques paraissaient être normales; l'atrophi
être normales; l'atrophie de l'éminence thénar s'améliorait et les réactions de l'opposant, du fléchisseur et du court abduc
xterne totale et complète à l'oeil gauche, et incomplète au droit ; réaction pupillaire à la lumière très sensible, et impos
\IGUE INFANTILE 221 1 existent avec inversion polaire, c'est-à-dire réaction complète de dégéné- rescence ; enfin anesthésie
ète de dégéné- rescence ; enfin anesthésie électrique à l'étude des réactions . J'ordonnai le même traitement que dans les cas
démontré Duchenne et Charcot, le sont définitivement. L'étude des réactions électriques est, sans doute, le moyen de la plus
e dans les muscles innervés par le médian droit du live cas, et les réactions galvaniques bien qu'inverties dans les pre- mie
ées seulement; enfin,dans les formes graves, il existe une complète réaction de dégénérescence ou une abolition de réaction,
existe une complète réaction de dégénérescence ou une abolition de réaction , bien plus étendue que dans la paralysie spinale
dans la polynévrite aiguë infantile généralisée, ou il n'y a pas de réaction de dégénération, et alors nous pouvons éliminer l
n obtient par l'atropine et l'iris est réduit à un mince liseré. La réaction à une lumière, même intense, est absolument nulle
on des collyres ; mais l'instillation d'eau pure ne provoque aucune réaction ; il en est de même de l'électricité. Dans l'
hyponchon- driaques ou mélancoliques, mais rarement surviennent les réactions sui- cides. En revanche, les réactions médico
s rarement surviennent les réactions sui- cides. En revanche, les réactions médico-légales fâcheuses autres ne sont pas rar
t sevré à temps, peut apparaître l'accès de manie haschichique. Les réactions actives s'accumulent alors avec une ra- pidité
nt puisqu'il n'y a guère d'atrophie musculaire ni de trou- bles des réactions électriques.. Voilà les seules localisations du
ires sont en général bilatéraux, ils ne sont pas très intenses, les réactions électriques sont peu troublées au ni- veau des
que la pupille droite était un peu plus large que la gauche, que la réaction des deux à la lumière était peu ample et paress
substance blanche se recon- ' (1) W c.noE, Société de Biologie, La réaction névroglique dans l'encéphalo-malacie, 18 févrie
rf médian on remarquait des corps arrondis ou ovales que, par leurs réactions , .11olseliewnilçoff' déclare être des corps hya
on entourage d'ailleurs en avait fait un jouet, il s'amusait de ses réactions d'imbécile, et c'est ainsi provoqué qu'un jour
entière sur tout le corps et dans toutes ses formes. L'examen des réactions pupillaires, du champ visuel et du fond de l'oeil
s ce moment cette violente action musculaire est corri- gée par une réaction légère : l'apposition de deux doigts de la main g
(trapèzes, deltoïdes, pectoraux), ne présentent pas d'anomalie des réactions électriques. Ces modifications observées dans l
ujours défaut, tandis qu'il existe toujours dans une paralysie avec réaction dégénérative. En examinant le mouvement des mus
44 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
idées, dans les actes qui ne sont plus que des'associations ou des réactions involontaires et'au- tomatiques : ainsi se prod
louses* angoissantes et insurmontables, abou- tissant parfois à des réactions impulsives criminelles irrésistibles. Il cite m
but, il y a toujours dilatation des pupilles. Un cas de perte de la réaction à l'accommodation avec conservation de la réactio
s de perte de la réaction à l'accommodation avec conservation de la réaction à la lumière (interruption des connexions entre
t; ? «i *' ">> " 'i ' i;- ' · ' , 1° De/Ia'*persistance de la réaction ' pupillaire aux'excitants cutanés sensitifs ma
aux mêmes excitants sans l'hypoalgésie ; 3° De l'absence de la même réaction dans les mêmes conditions avec .11yperalgésie.
suelle (synergique) des pupilles peut exister quand il n'y a pas de réaction à la lumière (des deux côtés). Dans la plupar
ations sen- , sérielles suivent une.loi conforme aux formules de la réaction élec- , trique du nerf auditif. , ? 1C), ' . f|
r- ; légère diminution de la force musculaire brute; légère ataxie; réaction dégénérative des muscles terminaux. Amélioratio
tête ou sur les épaules, le malade étant droit, et consiste dans la réaction tendant au redressement antagoniste de la colon
avant-bras et des bras et atrophies partielles, diminu- tion de la réaction électrique et réaction dégénérative par places,
et atrophies partielles, diminu- tion de la réaction électrique et réaction dégénérative par places, troubles de la sensibi
s des extrémités inférieures sont à un haut degré exagérés ; 6°, la réaction psychophysique de la sen- sation tactile^ et de
teur et de son innervation.' Le suc gastrique de ces malades a une réaction faiblement acide au tournesol, et réagit rarement
u début, les pupilles sont toujours dilatées. Un cas de perte de la réaction à l'accommodation avec conservation, de la réacti
de perte de la réaction à l'accommodation avec conservation, de la réaction à la lumière (interruption des connexions entre
enti·é`a.ééàm- modateur et le centre sphinctérien). Existence de la réaction pupii- laire sous l'influence, des, excitants j
nce, des, excitants jsensitifs malgré l'hypoalgésie : absence de la réaction pupillaire sous l'influencé des excitants s'en-
e' par excitation de l'autre,' peut exister quand il y,a perte' de, réaction à lalumière,celadesdeusc6tés(quelques,cas) ? h&
(quatre' a*cinq'semaines)Jpu)s il serproduit une diminution dans la réaction quantitative"auxl deux3 espèces de courants, la
ts, la REVUE D'ANalTO\fIEtET DE PHYSIOLOGIE, PATHOLOGIQUES .t 223 réaction quantitative gdemeurant intacte.-Au delà') d'uni
perfectionnement apporté aux instruments DE mensuration du temps de réaction ; par BEV : 1N Lexis. (The Journal of Mental Sci
ffets compliquent, dans une certaine mesure, la symptomatologie des réactions encéphaliques. De plus, tout événement psycho-p
vrir les fonctions normales des organes de l'homme par l'étude des réactions morbides provoquées dans ces organes en con- sé
à ceux de la destruction des tissus et compliquent à tel point les réactions fonction- nelles que toute tumeur cérébrale, qu
ets de la destruction limitée des centres nerveux, ont provoqué des réactions complexes- dont le point de départ ne peut pas
om- plexes qu'on arrivera à déterminer les lois qui régissent les réactions fonctionnelles des diverses parties de l'encéphal
es suivent aussi' une certaine<loi ? conforme aux formules de la réaction électrique du nerf acoust.ique.9m 91<th.ianiP
ie joigne ''dé Roniber ? lénère diminution de 1 , «". ler ? elle; réaction dégénéràtivépartièllê 'surtout/des musclêssJdes''
° . , '' r , n M.jRêdlich appelle l'attention' sur l'étude de. la réaction consen- suelle : c'est-à-dire sur la façon'dont
deux novauxdes deux oculo-üiolëurs. - t'-t- j' r ' , - Mais cette réaction consensuelle n'a pas lieu quand il 3` rigidité
ersécution avec tendances à la systématisation : interprétations et réactions carac- téristiques. Bouffées secondaires épisod
UR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 327 19 ? juin ? Les ^ réactions ? d'aspect' mélancolique' s'accentuent. P... pl
ôle . important/ dans -la genèse d'unsdélire de persécution et de réactions à forme mélancolique et enfin de la variété d'as-
nt avoir tenu sous leur dépendance les idées de persécution ,et les réactions violenies qui ·se,manifestaient. Puis les hallu
victime.'Les interprétations de ? ses 'sensations anormales,' les réactions provoquées par les' hallucinations,' l'attitude,1
u point de vue de leur'sensibilité/'on note ? à7droite ? absence de réaction à la lumière* et dans l'obscurité,1'' parésie a
umière. L'inégalité- pupillaire3 a presque disparu; à droite, toute réaction de la pupille fait'défaut.'à gauche, en' plus d
uche, contraction peu marquée, sous 1 influence de la lumière; mais réaction normale .a.1 l'accommodation. f; ? . , .. , , .
"' '" . `r . r, ? III. RELATIONS.ENTRE, L'EXCITANT ÉLECTRIQUE ET la réaction ? . T- NERVO-MUSCULAIRE ; par Mares. L'auteur q
sculaire. Il estproblable ajoute- t-il qu'il en est de même pour la réaction sensitive et que contrai- rement à la loi de We
de Fechner qui semblent indiquer un rapport entre l'excitant et la réaction physiologique, on ne distingue les divers excit
d'excitation les unes sur les autres et action électrotonique. z V. RÉACTIONS galvaniques DES organes DES sens ; * J * par pa
t r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I. RÉACTIONS ÉLECTRIQUES DANS LES MALADIES NERVEUSES. Dans l
le D'' C.Dana a communiqué les résultats de ses recherches sur les réactions , électriques dans les maladies à lésions,, spinal
cet ' instrument' l'auteur a pu' obtenir une' forme particulière de réaction qu'il nomme réaction diffusible.- Cette der- ni
uteur a pu' obtenir une' forme particulière de réaction qu'il nomme réaction diffusible.- Cette der- nière diffère des contr
res de la dégénérescence et serait un mode'particulier du mode de réaction de dégénérescence bien qu'on ne la rencontre pas
ains muscles adjacents. M. Leszinsky conclut de recherches sur 'les réactions électriques dans les névrites traumatiques que
nt'souvent'plus d'impor- tance au point de vue du pronostic que' la réaction de dégénéres- cence dont l'existence n'est pas
rtain nombre de paralysies faciales invétérées il n'a pu obtenir la réaction de dégénérescence.' "' ' ' "' « r;jr .« ? ? t ?
ouse 289. ' v. '' D1'3TROPIIIES musculaires progres- , sives avec réaction dégénérative, par, Iloppe, 187. ÉCOLES de gar
ECt'RODtAGNOSTIC,4t2. Electrique, relation entre l'excitant et la réaction nervo-musculaire, par Mares, r39 ; réactions -
ntre l'excitant et la réaction nervo-musculaire, par Mares, r39 ; réactions - dans les maladies nerveuses,' par Dana, 449
t.igion -de ,1a- ,'f par de Boeck. ' 295." «'«S" - "" Galvaniques réactions des organes ''des sens, par Kusselbach, 440.
erfectionnement h ? apporté dansées instruments de xj, du temps de. réaction ? par . Lewis, 224. , »fir , ? ? '.v v-ys Mic
45 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HAL, (Neurolog. Centralbl.. XV, 189G.) Observation I. Etude de la réaction électrique et mécanique du radical et des muscl
lésions secondaires, caractérisées tout d'a- bord par une phase de réaction et par une phase de dégénéres- cence. Au cours
ude des névrites dégénératives. Ces névrites s'accompagnent d'une réaction à distance dans les centres des nerfs lésés, on d
ui en sont atteints les lésions corres- pondant aux trois phases de réaction , de dégénérescence et de réparations. M. Marine
s faits à l'appui de cette manière de voir. La connaissance de la réaction à distance éclaire aussi d'un jour nouveau la q
re aussi d'un jour nouveau la question de la névrite ascendante. La réaction à dis- 60 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pa
e la moelle consécutives aux amputations on a souvent affaire à une réaction à distance et non à une névrite ascendante, com
s lésions vascu- laires qui font presque défaut dans les lésions de réaction à dis- tance ou lésions secondaires. Les lésion
! 'MH/tCt ? XVIII, N. F. vi, 1895.) Exaltation des études sur les réactions chromophiliques des cel- lules ! Nissl prétend
le professeur Ewetsky) fut cons- taté ce qui suit : la vue = 0, la réaction à la lumière conservée, le fond des yeux et les
supposition plaide l'atrophie dégénérative de certains muscles avec réaction de dégénérescence ou même avec abolition complète
ilité électrique des muscles de la langue était très abaissée et la réaction de dégénérescence était très marquée. Le palais
z la suite de ces injonctions réitérées il a constaté une série de réactions rap- pelant celles qui suivent le réveil nature
érie de réactions rap- pelant celles qui suivent le réveil naturel, réactions qui étaient accompagnées d'une régression de la
ession d'une ou des deux bandelettes optiques, avec abolition de la réaction pupillaire ; soit enfin, et c'est le cas plus c
de crochets bien nets. En quelques points, taches hémorra- giques. Réactions normales des pupilles ; il ne parait pas y avoir
ite, pas d'achromatopsie; aucun trouble de la musculature oculaire, réactions pupillaires normales. Examen opthalmoscopique.
du côté de la musculature oculaire. Un peu d'inégalité pupillaire. Réactions nor- males ; cependant quant on les expose à la
cllni.-l3epa d'épreuves d Ewald. Extraction une heure après. Aucune réaction au vert brillant. Réaction de Gunsburg négative.
wald. Extraction une heure après. Aucune réaction au vert brillant. Réaction de Gunsburg négative. Teinte jaune par le négat
ne, il n'y a aucun trouble dans la musculature oculaire ni dans les réactions pupil- laires. Pas de tremblement de la langue.
orme psycliopatllique. Le principal de ces caractère est le mode de réactions vis-à-vis des idées délirantes. Les actes délictu
plutôt que dans le délire, dans le caractère impulsif et la prompte réaction motrice an moindre stimulus : le délire paranoi
moyen. La pupille droite est plus large que la pupille gauche ; la réaction pour la lumière est normale. Les' réflexes pate
prédominance du côté opposé qu'on constate une légère mydriase. La réaction hémiopique pupillaire serait trouvée par l'auteur
olorés, ce qui prouve que quelques cellules de l'ecorce ont la même réaction chi- mique que la cellule de Purkinje. Le nombr
ion de l'excitabilité, c'est-à-dire une altération quantitative des réactions électriques des nerfs et des muscles du côté pa
est caractérisé par une faiblesse générale du tonus, associée à une réaction , à une irritabilité exagérées. L'rritabilité ne
Le temps qu'il emploie à les résoudre, c'est-à-dire la durée de la réaction psycho-physique ; 4° Noter les phénomènes conco
ment de honte qui lui laissait au front une violente rougeur. Cette réaction s'est produite au contact de 4 personnes différ
uent l'augmentation des habitudes psycho-motrices et la variété des réactions qui constitue les phénomènes psycho-moteurs. e)
différencié. Il distingue deux groupes parmi les instables, ceux à réactions rapides et délicatement adaptées (géniaux) et c
délicatement adaptées (géniaux) et ceux à instabilité aveugle ou à réactions destructives. Des personnes semblables réagisse
ne permettant aucune épargne d'énergie nerveuse et entrai- nant des réactions indues aux excitations extérieures ou internes
organique. Cet état affectif et émotionnel détermine chez nous des réactions spéciales en rapport avec le côté moteur, des r
ez nous des réactions spéciales en rapport avec le côté moteur, des réactions d'ordre psychomoteur qui, à leur tour, réagisse
us les mêmes qu'autrefois, les impressions sont changées quant à la réaction provoquée. « Elles se sont faites contraires, »
pressions qu'appor- tent les sens ne parviennent pas à éveiller des réactions mo- trices conscientes. C'est qu'une étroite re
véritablement les organes de l'intelli- gence. » C'est que des « réactions psychomotrices sont liées indisso- lublement au
ent aux images perçues » par une sorte d'imitation réflexe. « Ces réactions motrices, faiblement adhérentes au moi, en rais
rte de faiblesse irritable d'hyperesthésie morbide. Le malade a des réactions émotion- nelles exagérées et des inquiétudes re
à hurler et à mordre, se croient métamor- phosés en loups. * Les réactions inhibitoires qu'exercent les impulsions maladiv
ibition, sur laquelle nous avons insisté précédemment, anéantit ses réactions volontaires et le condamne à l'impé- nitence.
angement produit dans l'individualité amène au début des efforts de réaction , des états anxieux ; mais dès que les malades s
ctures qui existent souvent, par l'exagération des réflexes, par la réaction électrique normale. Les paralysies hystériques
'élément nerveux doivent toujours être considérées comme de simples réactions à des actions extérieures. Et par l'extérieur (
nt excitable par toute excitation, mais que ses qualités propres de réaction sensible sont réglées de telle manière qu'elles
pières supérieures étaient tombantes, les pupilles dilatées et sans réaction à la lumière, l'axe des yeux était dévié en ded
xes. Il est impossible de pousser plus avant les localisations. Les réactions électriques n'ont pu être recherchées. 16 sep
es ; ces fibrilles, nous le répétons, n'ont pas aux colo- rants les réactions du tissu conjonctif, mais bien celles de la sub
oumoins épaisses àtous les niveaux, aussi nous avons observé cette réaction du côté des cellules épendymaires sur laquelle no
condition essentielle de genèse pour ce qu'on pourrait appeler les réactions paradoxales. Plus le malade était religieux, ob
entaire que nous avons enregistré plus haut, on observera alors des réactions vraies, de vérita- bles volitions par lesquelle
hologiques, t. V, 1815 et 1833. 4G2 PATHOLOGIE MENTALE. tique aux réactions motrices qui font articuler automatique- ment d
cerveau droit du cerveau gauche. Et d'abord, ils diffèrent par leur réaction pathologique sur la moelle ; le plus souvent, l
ue les phénomènes de contracture ont apparu. La nature intime de la réaction cellulaire qui se produit à la suite de l'inocu
46 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
tendineux sont abolis des deux côtés. Les interosseux n'ont pas de réaction électrique, ni à droite ni à gauche, sauf le pr
ni à gauche, sauf le premier interosseux gauche lequel présente la réaction de dégéné- rescence à forme mixte. Il n'y a p
erosseux, et les muscles de l'éminence hypothénar qui présentent la réaction complète de dégénérescence. Rien à noter du côt
te de la diminution de la contractilité faradique, et souvent de la réaction de dégénérescence soit dans tous les muscles, s
r'M. Vigouroux, qui m'aremis'la note sui- vante : Absence totale de réaction (faradique et galvanique) dans les.muscles inne
l'obligeance de 11. Vigoureux). j\évrite dûcûhitàl.7auchë : Aucune réaction 'des iutcrosséw : imii;enée tléïiar ? illduc- Ú
contraction du court fléchisseur du petit Iloi1 el rien de plus. La réaction de dégénérescence est bien complète. l'as de réac
n de plus. La réaction de dégénérescence est bien complète. l'as de réaction faradique et réaction galvanique avec l'anode b
de dégénérescence est bien complète. l'as de réaction faradique et réaction galvanique avec l'anode bien plus forte qu'avec l
zone innervée par le cubital. L'examen électrique fait constater la réaction de dégénérescence type pour le premier inteross
urs et supérieurs au-dessus de la moyenne, présen- tant partout une réaction électrique normale ainsi qu'il résulte de l'exame
é se lit de droite à gauche). . NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES. 3 ! ) réaction chargé de poids que l'on fait tenir à la main, le
ment habituel des bobines. Ici M. Erb donne un tableau des diverses réactions électriques. Le ré- sumé des résultats obtenus
Si sur une cataleptique et sur un simulateur on place un tambour à réaction sur le bras étendu et un pneumographe sur la po
15. Fiv. 3. - Tracé obtenu sur la malade Ant. E... par le tambour à réaction placé sur la face dorsale de la main droite, le
'. Les bras de la malade sont étendus horizontalement, un tambour à réaction placé sur la main droite. Le tracé, pris pendan
nts de la sensibilité générale ou spé- ciale. L'étude du temps de réaction aux excitations cutanées (les yeux clos) donne
citations cutanées (les yeux clos) donne les résultats suivants : Réaction de la main droite : .' NOUVELLE ICONOGRAPHIE
té générale et spéciale et une augmentation de la durée du temps de réaction . ' L'absence du grand- pectoral n'est pas une a
ux cotes avec une prédominance pour la jambe contracturée. Mais les réactions des deux jambes laissent bien moins d'écart ent
es laissent bien moins d'écart entre elles qu'il n'y en a entre les réactions des deux jambes d'une part et celles des bras d
ieurs ? C'est probable. Tout ce qu'on peut affirmer, c'est que la réaction de dégénérescence n'existe pas pour les muscles
proportion du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; 5° cette atrophie peut se d
C'est donc d'une atrophie simple qu'il s'agit ; il n'existe pas de réaction de dégénérescence. Les faits étudiés par M. Bab
es 2C oc- tobre 1889 et 28 novembre 1889 par M. Vigouroux donne les réactions sui- vantes : Excitabilité éteinte dans les 3°
e très faible. Thénar, excitabilité faradique conservée. En résumé, réaction de dégénérescence très nette. Réflexes rotuli
vante 362 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. (18 avril) : « Réaction électrique nulle pour le thénar, normale pour les
reux pré- sentaient, dans les territoires musculaires atrophiés, la réaction de l'atrophie simple. Or, le malade de l'observ
mment au niveau des interosseux, les caractères les plus nets de la réaction de dégénérescence; chez les deux autres malades,
lors que tout plaide en faveur de la névrose. Évidemment non, et la réaction de dégéné- ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L
atiqué par M. Vigoureux a démontré très nettement l'existence de la réaction de dégénérescence. III On a pu remarquer, en
supérieurs qui sont gonflés jusqu'aux épaules sans rougeur vive ni réaction inflammatoire; impotence. On diagnostique rhumati
ois, il serait prématuré de rien conclure à cet égard, avant que la réaction ait été recherchée sur les individus absolument s
malade. En tous cas, la différence observée dans les deux modes de réaction , mon- tre bien qu'il ne s'agit pas d'exciation
es, saillie très faible. Enfin chez un 4° malade qui présentait une réaction cutanée d'intensité moyenne, après une série de
47 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
llL dill11llu('e cL présente des modili- ntliun" iii4li(ittaliL lit réaction de dt") : : ('I1('- rescence. La malade dit, en
eurée slalionnaire, tant au point de Mie esthétique, qu'à celui des réactions électrique*. Les sjmplomes n'ont subi aucune mo
es para- lysés qui sont innervés par le sciatique poplité externe ; réaction ilégénéralivc partielle des deux extenseurs pro
affection par les petits muscles des pieds, 1'tt-o de la malade, la réaction dégénérative partielle, les douleurs lancinanle
s ce serait aussi une forme atypique iL raison de l'existence de la réaction dégénérative de concert avec le début de la para-
est affecté d'une mydriase persistante de [' ! T'il gauche ; toute réaction à la lumière, à l'accommodalion, à la convergen
cte. Il n'y a ni ulcère gas- trique, ni ulcère intestinal/C'est une réaction insolite des mu- queuses. - P. KERAVAt . REVU
cs delà sensibilité, l'existence de contractions librillaires et de réaction de dégénérescence jus- Cilieiit le diagnostic d
ssants, fluctua- tions dans son intensité, prolongation du temps de réaction \0- lontaire, état (les rulleves tendineux très
atrophie des divers muscles de la main et du pied et avec traces de réaction de dégénérescence, ou (roubles objectifs de la
u troubles de la sensibilité, pas de signes du paralysie bulllaire. Réactions électriques simplement rlimintlucs sansR. 1). A
lles sont déformées et inégales, la pupille gauche plus grande; les réactions lumineuses sont très faibles et très lentes. Re
mais qui affectaient le plus souvent la forme mélancoli- que, avec réaction et suicide, dont le malade héritait directement
organismes dans le marasme ou défunts qui ne manifestent aucune des réactions de la \ il', Par des expé- riences bien conduit
eau peuvent il l'occasion y aboutir; c'est quand ils produisent une réaction inflammatoire très intense ou quand la yslil'l'
11 j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' 139 1 \ \L\'. Sur le temps de réaction aux stimulus électri- ques cutanés d'intensité
scles pos- térieurs de l'avant-bras sont atteints de paralysie avec réaction de dégénérescence. Formes frustes de lésions-
reparaissent souvent. IL s'agit néanmoins d'un délire actif, et les réactions delà malade il cette épo- que en témoignent lar
méconnu la signification quasi-spécifique de la sté- réotyllic. Une réaction motrice ne mérite le nom de sté- reotypic que s
cun contenu idéo- afl·ectif,cn un mot. C'cst d'après l'ensemble des réactions que présente le malade, d'après sa façon généra
mement vague et remarquablement élastique où l'on pourra voir les réactions conscientes et volontaires d'un délirant cou- d
istes. L'émotivité de l'hémiplégique, si elle est, à l'origine, une réaction logique et consciente -us-à-vis de son véritabl
trent chez l'hémiplégique, qui dédaigne presque toute tentative de réaction psycho-motrice, il en est quelques-uns qu'une irr
la sensibilité, de sensibilité à la pression des troncs nerveux, de réaction dégénérative, l'allure des réflexes, tout cela
la pression du muscle, tels sont les symptômes. Rien du côté de la réaction électrique. P. 11ERA\'AL. L1V.- Communication
- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 237 portent : l''quel'urine a une réaction acide plusou moins intense à la seconde période
côté, avait conclu que le syndrome (l'Erb-Goldflam, de même que la réaction de fatigue, pouvait se montrer au cours de dive
Dans l'article de M. le D1' Siiiioii, 1). 108 ligne 4 : au lieu de « réaction el suicide )', lire : réaction suicide. Page 11
iioii, 1). 108 ligne 4 : au lieu de «réaction el suicide )', lire : réaction suicide. Page 110, à la 3e ligne finale, au lie
et de celui du pied étaient conser- vées, quoiqu'encore en état de réaction chromai) tique. Ces faits paraissent à l'auteur
cherches'qui ont rendu possible l'explicalion du galvanoLuome, delà réaction de dégénérescence des muscles, des actions pola
[PllI' t'ail rl'ml1rquer que Il) réflexe qu'il a décrit est non une réaction musculaire, mais une contraction Ce sont les co
s contractions en rapport avec la percussion de l'os mataire. Celle réaction n'est pas, au reste, la réaction Iibrillaire de
percussion de l'os mataire. Celle réaction n'est pas, au reste, la réaction Iibrillaire de MacCarthv·. Le réflexe sus-orbit
OGIE MENTALE. 309 \ \ I ll. - Les névroses dans le milieu scolaire. Réactions réciproques entre élèves et maîtres au point de
divers, propre il la paralysie faciale périphérique accompagnée de réaction dégénéralive par- tielle ou complète. Il manque
he. Les milieux des deux yeux sont transparents. Pupilles dilatées. Réactions 31a lumière et. l'accommodation absentes dans l
E THÉRAPEUTIQUE. 321 modérément dilatées et égales avec perte de la réaction à la lumière. La ponction lombaire et mieux enc
sichiatrii, VI, 1902.) L'auteur préconise l'examen expérimental des réactions sen- sibles, delà mémoire, de l'association des
depuis, ont été et sont toujours insignifiantes comme quantité et réactions douloureuses. Etat actuel. (15-20 janvier 1\J05
'interprétations, des idées rétrospectives de per- sécution dont la réaction définitive menace d'être grave. Mais celle réac
écution dont la réaction définitive menace d'être grave. Mais celle réaction même, de par son caractère pat'oxys- tique et m
e et mal combiné tout il la l'ois, s'éloigne singulière- ment de la réaction froide et préméditée des persécutés chroniques
nfluence de l'accommodation semble évoluer sans trouble. Quant à la réaction de la pupille à REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
nque du trijumeau, pourvu qu'il ne se produise pas simultanément la réaction à la ferme- ture palpébrale, car alors celle-ci
upillaire d'origine sensible. On réussit donc à faire apparaître la réaction à la fermeture des paupières chez n'importe qui
précoces, par Dromard, 189. Stimulus électriques. Voir Temps de réaction . Stockes-Aiumo. La maladie de - , par Calvo,
7. ' Tmrs DYNASTIQUES. 25j.' 'l'r-S.cus. Voir Idiotie. TEMPS de réaction . Sur le - avec stimulus électriques cutanés d
48 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ngles normaux. Doigts malhabiles; cependant aucune modification des réactions électriques. Aux pieds, rien d'anormal. Visage
te. La barbe manque à peu près complètement. L'urine est claire, de réaction acide : densité 10,10, pas d'albumine. Urée 15,
grammes dans le tissu cellulaire sous-cutané au point de vue de la réaction thermique suivant la méthode du professeur Huti
illeurs, les muscles sont un peu diminués de volume seulement, sans réaction de dégénérescence. La su- dation est, en généra
ns ce sens. Il a été là, d'ailleurs, d'un plus grand secours que la réaction à l'eau salée. L'injection sous-cutanée du séru
huit heures. On ne sau- rait trop dans ces conditions,considérer la réaction comme positive : elle est faible et trop retard
alade sue également des deux côtés. Nous avons essayé d'examiner la réaction sudorale à la pilocarpine en injectant cinq mil
par M. Huet n'a montré aucun trouble qualitatif ou quantitatif des réactions électriques. L'épreuve de la pilocarpine faite
système sympathi- que qui la retourne à la périphérie sous forme de réaction anormale par excitation vasodilatatrice ou par
tatrice ou par paralysie vasoconstrictive. L'oedème est produit. La réaction des tissus environnants intervient. L'épine irrit
roche en proche s'effectuera, suivant des lignes seg- mentaires, la réaction sympathique jusqu'au jour où la moelle mieux édu-
nts, tout est survenu à peu près brusquement, il y a deux ans, sans réaction doulou- reuse ni inflammatoire. Depuis cette
ENNE DU NOYAU ROUGE 81 A gauche pupille de dimension ordinaire et à réactions normales. Fond de l'oeil normal. M. Dejerine
tubercules de différents âges ; un des lobes supérieurs montre une réaction fibreuse intense. Les ganglions trachéaux sont tu
s délabrements et les perforations les plus étendues. Avec moins de réaction osseuse, d'autres formes de syphilis crânienne
corce, déjà altérée probablement (malformation, hydrocéphalie) ; la réaction inflammatoire et la transformation fibreuse du
aire, il esl vrai, mais bien exacte aux centres nerveux, une faible réaction scléreuse, et une tendance peu accusée au ramol
etits muscles du pied chez une jeune fille de 15 ans avec steppage, réaction de dégéné- rescence partielle, douleurs, comme
ant ont élé signalées par Léri, Zimmerlin, Oppenheim, Hitzig. Les réactions électriques devraient toujours suivre parallèleme
taient conservées- [Scherb (1), Félix Allard (2)]. Mieux encore, la réaction de dégénérescence a été trouvée dans de nombreu
rtrophie des membres inférieurs, la disparition des réflexes et des réactions électriques, l'absence de contractions fibrillair
me le font les fibrilles des éléments cellulaires névrogliques. Les réactions de ces fibrilles., et aussi tous les stades int
es névrogliques, les fibrilles qui en émanent offrent cependant les réactions spécifiques bien connues aujourd'hui de la névr
dynamométrique dans le bras droit, et 92 kilogs dans le gauche. La réaction électrique des muscles du membre supérieur droit
obtient : NFC légèrement > PFC ; POC > NOC ; POC > PFC. Ces réactions sont égales des deux côtés et constantes, quell
attitudes vicieuses pour certains actes déterminés, l'intégrité des réactions électriques. l'absence des troubles de la sensi
istinclif est tiré de l'élude des troubles de la sensi- bilité, des réactions électriques, et des réflexes. Absents dans les ti
L'absence des modifications de la sensibilité, des réflexes et des réactions électriques chez notre malade, son hérédité névro
aux, de même que les réflexes tendineux des membres supérieurs, les réactions pupil- laires et la sensibilité cutanée. Le p
nt ne souffre d'aucune douleur, la langue est sensible à toutes les réactions de l'examen du quatrième sens (goût) ; elle est l
ts : volume d'urine excrété en 24 heures : 1100 centimètres cubes ; réaction acide ; densité : 1019; point cryoscopique, , ,
t ou ait eu des douleurs spontanées au niveau des membres, mais les réactions défensives qu'elle présente lorsqu'on comprime
par places, des petits îlots embryonnaires qu'il regarde comme une réaction inflammatoire. Malgré une résection aussi étel1
troubles moteurs et sensitifs qui ont été recherchés, ainsi que les réactions électriques, avec toute la minutie désirable. E
sissements nodu- laires leur donnant un aspect moniliforme. Leurs réactions colorantes sont un peu spéciales. Par la safranin
protoplasmiques. Le cylindraxe elle prolongement de Deiters ont des réactions absolu- ment différentes et ne sont pas la simp
et de leur répétition » (4). « La stéréotypie diffère du tic par sa réaction motrice; elle n'a jamais l'apparence convulsive
s, sa mangeoire, cela tous les jours, plusieurs fois par jour. La réaction motrice de l'habitude de lécher représente un mou
objectivement t de ce que serait un véritable tic de léchage par sa réaction motrice même qui ne présente aucun caractère co
e habitude morbide. Si nous ajoutons que ce geste, différent par sa réaction motrice particulière de l'acte vulgaire de léch
te normal (2) ; elles n'ont pas l'apparence convulsive. De telles « réactions motrices, devenues à la longue habituelles, inv
de lécher qui soit réellement paf' thologique par la modalité de sa réaction motrice. La gourmandise, la re- cherche d'une i
ouvent, d'après Nasse, peuvent survenir des accès d'angoisse et des réactions à la peur ; cependant ordinairement l'humeur des
49 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mêmes formes; c'est que les malades ont leur indi- vidualité : les réactions ne peuvent être que variables, tant qu'on n'a p
éveloppement appréciable. Le parasite possède dans les cultures les réactions colorantes v qu'il présente dans le sang. Il se
ne impression sur lui. Ainsi s'explique- rait et le défaut de toute réaction émotive et l'absence d'initiative, de vivacité
ttent pas de préciser. Il n'y a pas de vertige galvanique, mais les réactions vestibulaires sont intactes, il n'y a pas de si
tement dégénéré sans fibres à myéline, sans éléments nerveux, sans réaction névroglique proprement dite, mais avec une quanti
eux. = V = 1 (H in -f- 0,50). Pas de strabisme, fond d'oeil normal. Réactions pupillaires et réflexes normaux. Observation II
x =V - 3 - Hm + 0,50. Fond d'oeil et milieux 3 oculaires normaux. Réactions pupillaires normales. Le sujet fut soumis au tr
nomènes immédiats, peut persister, dans le sang, comme le prouve la réaction de Widal, ne saurait en pareil cas impres- sion
horizontal. Milieux et fond d'oeil 4 normaux. Emmétrope. Vue'= . Réactions pupillaires normales. Oscillations pendulaires
cas de paraplégie : dans l'un l'excitation du pied provoquait comme réaction unique une contraction réflexe du tenseur du fa
onde nature. Sous l'influence d'une excitation, il se produit une réaction qui est proportionnée à l'état congénital et év
ution, par 0 l'excitation accidentelle, et par 1, le résultat de la réaction , on a : N' -t E -+- 0) formule valable pour
e diminution de l'excitabilité électrique du tronc du facial, ou de réaction dégénérative typique, tandis que l'hypersécrétion
fit de l'examiner quelques instants, à son insu, pour constater les réactions extérieures habituelles des hallucinés. 168 SOC
'affaiblissement de la force musculaire, des pupilles étroites avec réaction faible et un léger trouble de la parole. Voul
n au cours de laquelle se suc- cédèrent les attitudes stupides, les réactions impulsives soudaines, l'agitation nocturne, cer
ssaire d'apporter au début de cette étude quelques précisions : Une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend
le ne prend pas et n'a jamais pris part n'est pas un tic ; si cette réaction motrice est la conséquence de l'irritation pathol
e d'un point quelconque de l'axe bulbo-spinal, c'est un spasme; une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a
n à peu près complète des ' tics. Les exemples de ces deux modes de réaction sont connus. Il arrive souvent que des enfants
ré de son compagnon ; les idées délirantes qu'il accepte avec leurs réactions morbides, qu'il fait siennes et qu'il défend av
rne un délire simultané chez les trois soeurs, ayant entraîné les réactions les plus bizarres, l'autre un délire communiqué
oire et souvent de tra- gique horreur, détermine chez le malade les réactions les plus inté- ressantes dans leur sincérité et
envahi. Au-dessus, on note de la dégénérescence rétrograde, et la réaction à distance des cellules d'origine. Enfin les él
nce endothéliale, sertis de quelques fibres fines, ayant toutes les réactions histochimiques de la névroglie; d'autres fois, il
dégénéres- cence caractérisée par l'homogénéisation des tissus avec réaction colorante élective en présence des couleurs aci
s centrales, à la formation de con- crétions dont les aspects etles réactions colorantes nous paraissent devoir être identifi
malades, mais cela à la condition qne ce massage tiendra compte des réactions propres au tabétique, lequel ne saurait être ma
l dans lesquels se manifestait aussi, de la façon la plus nette, la réaction réflexe qui caractérise le signe de Babin : ki.
et DUPUT-DUTEIfP3. Depuis trois ans, les auteurs ' ont recherché la réaction de la pupille à la lumière chez tous les ' mala
es dans le cerveau. 4° base synthétique. Elle présente toutes les réactions que Friedel attribue à la choline. Son chloroplat
n rose par le carmin, prenant le Golgi, elles présentent toutes les réactions chimiques et histochimiques des nucléines céréb
i nombreuses et si importantes ne l'ont pourtant pas conduite à des réactions dangereuses. Malgré la longue durée de son déli
pouce et de l'ar- ticulaire. Les muscles atrophiés fournissaient la réaction de la dégénérescence. Après quelques mois de tr
main droite) ; b. l'existence de contractions fibrillaires ; c. la réaction de dégéné- rescence ; d. l'absence d'hérédité;
out sous la pie- mère et autour des vaisseaux de celle-ci; début de réaction d'en- céphalite, surtout autour des artérioles
ire et provoqué par l'idée obsédante, dont il représente une simple réaction . C'est l'opinion la plus répandue aujourd'hui;
regarde l'émotion comme la consé- quence de l'idée dominante. « La réaction de la représenta- tion obsédante sur la vie émo
s la disparition de l'idée fixe. Enfin, si l'émotion n'était qu'une réaction de l'idée fixe, son intensité devrait nécessair
te et 3° quand elle se pro- longe outre mesure, en résumé quand ses réactions sont mal adaptées à l'intérêt de l'individu ou
e et est acceptée avec toutes ses déductions. Celte lutte, révolte, réaction contre l'obsession, l'a fait considérer comme u
ndirect; par A. Pieu. (7Veu ? -o. Cenlralbl., XIX, 1900.) Dans la réaction des pupilles, il faut tenir grand compte de la
orsal, s'il est escorté des douleurs fulgurantes, de. la lenteur de réaction des pupilles à la lumière, etc., il peut contri-
ion défectueuse qui en préjuge la nature. Au point de vue de leur réaction chimique, on peut diviser ces granulations en t
n. qui considère le phéno- mène de chromolyse en lui-même comme une réaction utile du neurone, réaction qui survient chaque
mène de chromolyse en lui-même comme une réaction utile du neurone, réaction qui survient chaque fois que ce neurone se trou
ogiques per- sonnelles, cette vue que la paralysie générale est une réaction de tous les tissus imprégnés de toxines ; il ét
que en raison de l'absence d'atrophie musculaire et de troubles des réactions électriques. Atrophie musculaire et poliomyélit
50 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
lque petite contrariété, il se met de mauvaise humeur, et alors, sa réaction habituelle est la bouderie. Dans ses premières
s dont un bon nombre sont dilatés. Il contient du colloïde avec des réactions colorantes normales. La coloration au schralacb
et dans la partie moyenne de la glande, qui attire l'attention par la réaction des cellules, la forme des follicules et l'hype
action indirecte, le trouble glandulaire ame- nant par exemple une réaction spéciale de la moelle osseuse (prolifération de
le grand intérêt qu'il y aurait à connaître d'une façon exacte les réactions de la moelle osseuse dans les différentes modifi-
hogène pourrait agir lui aussi par ce dernier mécanisme, ou bien la réaction médullaire pourrait être secondaire aux altérat
à par l'expression d'attente du visage, et par la promptitude de la réaction à l'excitation, abstraction faite de la guériso
nteurs sont de braves gens » soulève l'indignation. Ils écoutent sans réaction les remarques les plus paradoxales sur le nombr
sont modifiés dans leur structure, et jamais Fischer ne remarqua de réaction inflammatoire. A côté de ces formes délimitées,
exes rotuliens et achilléens normaux. Pas de signes de polynévrite. Réactions pupillaires à la lumière paresseuses des deux côt
at mythopathique en apparence acquis, mais, le plus souvent, simple réaction à l'amnésie d'un état my- thopathique antérieur
e atrophie ne s'accompagne pas de tremble- ments fibrillaires ni de réaction de dégénérescence. Les douleurs n'apparais- sen
du dos ; absence dans ces derniers de tremblements fibrillaires et de réaction 130 ELDAROFF électrique de dégénérescence. Le
ulaire, mais on n'a jamais observé de tremblement fibrillaire et de réaction électrique de dégénérescence. Tous les troubles
vements de cette partie étaient douloureux et très restreints. La réaction de Wassermann fut trouvée positive, malgré que le
le malade niait qu'il eût jamais contracté la syphilis. Vu cette réaction positive et le manque de signes d'une maladie que
, sauf tout à la fin de son existence, il ne présenta la lenteur de réaction , la difficulté associative des tumeurs cérébral
, son état civil, sa famille, la date, le lieu ne provoquent aucune réaction intelligente de sa part. Cependant, il exécute
m, 50, le gauche voit seulement passer la main. Pupilles larges, il réactions très faibles : strabisme divergent proba- bleme
les émi- grés hors du noyau dans le cytoplasma. Au point de vue des réactions tinc- toriales, ils se colorent en rouge par le
dépassent rarement le volume du nucléole » ; 5° Au point de vue des réactions colorantes, ils sont ampho- philes et pas acido
on peut voir des phénomènes de bourgeonnement mais, d'habitude, la réaction nucléolaire se limite à la simple hypertrophie.
à expliquer car il s'agit de deux forma- tions différentes par leur réaction colorante et peut-être par leurs pro- pl iétés
mécanique du nucléole qui n'a aucune importance au point de vue des réactions cellulaires, mais qu'il est utile de connaître
granulations oxyneutrophiles reste encore douteuse, l'identité des réactions colorantes de ces granulations avec certaines g
s pathologique, car probablement qu'une fois le nodule constitué la réaction vasculaire entre en jeu, les vaisseaux de nouve
a contractilité au niveau du sterno-mastoYdien grosse diminution et réaction de dégénérescence au niveau du trapèze. (1) Dan
que et galvanique est normale à droite, très diminuée à gauche avec réaction de dégénérescence. Au niveau de la langue les s
. ' Albumine sensiblement normale. Glycose en quantité normale. Réaction de Wassermann. Positive dans le sérum. Négative
4° L'absence de modification du liquide céphalo-rachidien. DO Une réaction de Wassermann positive dans le sérum, négative da
-rétinite) de nature très pro- bablement spécifique, a en outre une réaction de Wasserman positive dans le sérum (négative i
e. Abolition des olécrâniens ; l'excitation des radiaux donnent une réaction imperceptible. Trophicilé. Amyotrophie diffuse
écheresse de la peau. Sensibilité diminuée. - Variations dans les réactions de la malade, lorsque l'on pique diverses zones
psychiques. Démence. - Obtusion, apathie, torpeur, indiffé- rence. Réactions violentes : paroxysmes de colère, crises de larme
conservés. Les réflexes crémastériens et plantaires sont abolis. La réaction de Wassermann cherchée dans le sang a été posit
s dont le rôle est loin d'être méprisable. Il est certain que si la réaction psychique des nains achondroplasiques à leurs m
Une déformation physique peut en effet entraîner autre chose que la réaction salutaire que nous venons d'envisager, mais au
car le liquide examiné sur du linge (microsco- pie, recherche de la réaction de Florence) n'avait aucun rapport avec du sper
rescence morale et intellec- tuelle conduit plutôt à l'apathie. Les réactions vives de nos sujets, leurs craintes excessiveme
proprement dits. Enfin, si le myxoe- dème à lui seul peut créer des réactions aussi profondes, c'est à la faveur d'un état gé
à admettre que la castration de l'adulte peut provoquer une double réaction : l'une toute locale, mal étudiée, et sur- tout
par semaine, il vit les désirs devenir d'abord moins fréquents : les réactions provoquées s'accompagnaient encore de sensation
eurs et sen- sitifs, pas de troubles sensoriels ni pupillaires. Les réactions électriques sont normales. L'examen des viscè
ation, à noyau compact ; le colloïde l'intérieur ne présente pas de réaction anormale. Quelques vésicules présentent de lési
flammations des cellules endothéliales et tuméfaction du reticulum, réaction mononucléaire diffuse, macrophigique et pigment
éaction mononucléaire diffuse, macrophigique et pigmentaire. Pas de réaction myéloïde nette : rares polynucléaires éosinophi
erveuses, en signalant l'im- portance dans ces cas des troubles des réactions vaso-motrices et sudorales. Nous n'aurons en vu
ue concernant les troubles des sen- sibililés,les modifications des réactions vaso-motrices et sudorales, les altérations troph
51 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
minution de l'excitabilité faradique et galvanique des muscles sans réaction de dégénéres- cence ; néanmoins la forme de la
llai- res qui existaient dans les muscles de la main, et l'état des réactions élec- tro-musculaires. Bien que l'absence des
u'une anomalie bonne à connaître et c'est tout. La présence de la réaction de dégénérescence, ou plutôt de l'inversion de
s cas. En effet MM. Bédard et Ré- mond ont montré l'existence de la réaction de dégénérescence dans la pa- ralysie pseudo-hy
et Rémond. Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec réaction de dégénérescence (drch. 7éu. de méd., juillet 18
muscles. En 1889, MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'absence de la réaction de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont d
mpuissance motrice, que le muscle soit flaccide ou raide suivant la réaction spéciale du système nerveux. Mais la pathologie
ue les extenseurs. Les masses musculaires sont peu développées. Les réactions électriques fara- diques et galvaniques sont no
aisseuse. Ils provoquent dans les organes où ils se développent des réactions du tissu, variables suivant la structure de ceu
organes dont on connaît bien la struc- 1 ure. Mais, étant donné la réaction différente qu'elles provoquent dans les di ffér
autres organes, des altérations secondaires du tissu nerveux et des réactions irritatives interstitielles qui n'ont rien de car
s d'oscillations rapides et incessantes dans le sens trans- versal. Réactions pupillaires normales. Depuis quelques jours, Lé
on des principales lésions et l'étude des troubles sensitifs et des réactions électriques. La tête ne présente, à première vu
des muqueuses est normale. Organes génitaux. - La verge n'a plus de réactions sensitives. Les tes- ticules sont à peine sensi
ique conservée dans tous les muscles. Courants galvaniques. Partout réaction normale N F C > P F C, ex- 132 NOUVELLE ICON
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cepté au niveau de la main gauche où la réaction est nulle. Au niveau de la main droite, réactio
main gauche où la réaction est nulle. Au niveau de la main droite, réaction conservée uniquement à l'éminence thénar : en ce
e, réaction conservée uniquement à l'éminence thénar : en ce point, réaction ambiguë de dégénérescence N F C = P F C. A note
es fibres nerveuses ayant bien les apparences morphologiques et les réactions histo-chimiques des bacilles de Ilansen, nous cro
récents, pour la plu- pari mortels a brève échéance, avant que les réactions irritatives du tissu n'aient pour ainsi dire dé
ons se trouvera singulièrement modifié par l'entrée en scène de ces réactions secondaires ; pas toujours assez cependant pour
e ait été oblitérée par l'hypertrophie des tuniques du vaisseau. La réaction indiquée par M. Malassez pour différencier la név
ide d'un courant induit et d'un courant constant, a démontré que la réaction des muscles était absolument normale, mais les
a paralysie générale progressive, les muscles ne subis- sent pas de réaction de dégénérescence, comme on pourrait le croire à
ractère des pa- ralysies ; dans ces paralysies, on n'observe pas de réaction de dégénéres- cence et même pour la paralysie g
essive, l'observation a prouvé de la façon la plus évidente, que la réaction électrique des muscles affaiblis pouvait être n
avec opacité de la cornée (nérrite ancienne du trijumeau) perte des réactions pu- pillaires de l'oeil droit. Amb... 32 ans,
tre part que la cornée du côté gauche était insensible. A droite les réactions pu- pillaires sont abolies. Il existe actuellem
muscu- laire des avant-bras et des petits muscles de la main, sans réaction de dégéné- rescence. Phénomènes céphaliques : p
cles atrophiés de la main droite, et de la main gauche, mais pas de réaction de dé- générescence. Aux membres inférieurs,
scles, étant donné le peu de gravité de l'atrophie, et l'absence de réaction de dégénérescence; dételle sorte que les effets
r la convergence. Paraly- sie de l'accommodation. OEil droit. Les réactions pupillaires sont normales. Le malade accuse une
tarsienne en particulier. Pas la moindre atrophie musculaire ; les réactions électriques dos muscles sont normales. ' Les
musculaire est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des muscles ; les réactions électriques sont normales. La sensibilité est abs
main droite : 23, 43. Examen électrique (par M. le Dr Yigouroux). Réactions électriques normales. Les mouvements sont seule
au milieu duquel ap- paraît la couleur blanche de la sclérose. La réaction pupillaire est normale autant à la lumière qu'à l
52 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n est absolument normal ; dans aucun muscle, on n'a pu constater la réaction de dégénérescence. Il y a 'du côté paralysé aug
les courants faradiques et galvaniques montre qu'il n'y a pas de réaction de dégénérescence. La résistance électrique est
onnellement vif au bras droit, et le biceps du même côté donnait la réaction de dégénérescence. S'appuyant sur ces faits, et
éellement primitifs, parce qu'ils ont indirectement engen- dré, par réaction sur la connaissance du sujet, des entités vésa-
normaux et les malades ne présentaient aucune différence quant à la réaction . Il est à remarquer que chez certains mélanco-
ur les rapports qui existent entre les phénomènes ten- dineux et lu réaction dégénérative. - Mémoire publié à part'. Séance
ait atrophiés qui sont inexcitables par les cou- rants ; absence de réaction dégénérative ; cependant dans certains muscles
s une exagération considérable, et qu'il n'y avait aucune espèce de réaction dégénérative, sauf la constatation de An S Z un
ar Eichhorst, Struempell, Loewenfeld. M. l\IOEU. Remarques sur la réaction des pupilles - Cinq cents paralytiques généraux
des rayons lumi- neux. Sur cent quatre-vingt-neuf épileptiques, la réaction de la pupille se montra constante; un seul d'en
atteint de lésion cornéenne présentait une vive exagéra- tion de la réaction pupillaire, due probablement à une hyperes- thé
TROWITZ, En dehors de l'alcool, d'autres poisons peuvent nuire à la réaction des pupilles : voyez plutôt les morphino- manes
ation d'une alcoolique de trente-quatre ans, atteinte de délire, de réaction paresseuse des pupilles, de parésie des membres
. Le diagnostic différentiel réside dans l'examen élec- trique ; la réaction dégénérative ne survient jamais dans le tabes,
à son travail sur les rapports entre les phénomènes tendineux et la réaction dégénérative 2. M. llloer.t. Importance du mode
Amyotrophie légère du membre para- lysé, simple au point de vue des réactions électriques. Mouill... (François), âgé de vingt
minuée en proportion de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence; nous avons recherché soigneu
t, avec l'aidede M. Vigoureux, les différents caractères de cette réaction , le résultat a été, dans tous les cas, absolu-
s déjà dit plus haut qu'à l'examen élect trique il n'y·avait pas de réaction de dégénérescence.. Il s'agit donc d'une 'atrop
a veille de la mort, elle a diminuée et une légère manifestation de réaction de dégéné- ration est constatée. Les réflexes
quantité de l'urine pendant vingt-sept heures était 500 c. c. de réaction acide; poids spécifique 1,017. Les premiers jours
du palais, des organes de la déglutition. Il n'existe nulle part de réaction dégénérative. Malade en traitement. Le diagnost
(voir le mémoire), de l'absence de convulsions fibrillaires et de réaction dégénérative. Il est vrai que les petits muscles
que ne décèle aucune anomalie au point de vue- de la quantité de la réaction , mais, pour obtenir une contraction tonique à la
ralentissement du temps perdu, persistance de la con- traction) et réaction électrique myotonique. M. Erb a réséqué sur un
ésie de l'accommoda- teur de chaque côté, sans modification dans la réaction des pu- pilles ; presque en même temps, parésie
bilité étaient très accentues, les troubles de la molilllé et de la réaction électrique n'atteignant pas le degré qu'on a cou-
(névrite) jusque dans les plus fins ramuscules intramusculaires ( réaction dégénérative due à la myite ou nlyosite propagée)
r, les longs abducteur et extenseur du pouce. Atrophie extrême et réaction dégénérative complète des muscles malades. Le del
omb lèse-t-il le muscle avant de toucher le nerf; la présence d'une réaction dégénérative avant la paralysie ou même sans qu
l'utérus. Cependant, ces derniers quinze ans, il s'est produit une réaction , et l'hystérie chez les hommes adultes a été, p
sont plus restreints; on y aperçoit un tremblement con- tinuel. La réaction faradique et galvanique des nerfs et- des muscl
ompagnée de douleurs. Les muscles des jambes sont flasques, mais la réaction aux deux espèces de courants ne fait voir aucun
lle du chaud ou du froid, on constate que le temps exigé pour cette réaction est toujours beaucoup plus long quand il s'agit
tions fondamentales de la sensibilité, du sens musculaire, de la réaction électrique. Intégrité du facial. La maladie remon
tions sous-cutanées dans les), dans les simples), 406. Pupilles ( réaction des), 4 16. Restiforme (corps), 108. Rhéostat
53 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ments des mains, accélération du pouls, inégalité pupillaire, ou réaction pupillaire lente. Durée de un à quatre mois. Term
alades. Or, sur cinquante et un sujets, il n'a vu que trois fois la réaction anormale en question, explicable en chaque espè
ection des prolon- gements des cellules nerveuses : 1° une phase de réaction caracté- risée par la dissolution de la substan
deux extrémités des nerfs, empêche la réparation des altérations de réaction de la cellule et entraine sa mort. Il n'y a don
éphale, se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la réaction , au lieu de s'opérer dans les muscles dont le t
notent, dans la méralgie, le refroidissement local et l'absence de réaction sécrétoire à la pi- locarpine ; la guérison est
térieure. C'est en quelque sorte le choc en retour d'un ensemble de réactions parties de l'écorce. Outre d'ailleurs le centre
tous les modes est restaurée. 21-31 murs. Sentez votre cuisse : Les réactions continuent, identiques, plus intenses, au sur e
encives, dents, lèvres, langue, bouche, oesophage et estomac. Les réactions sont intéressantes pour ce qui concerne l'estomac
Sollier. Zoé a présenté pendant le travail de resensibilisation des réactions presque identiques dans leur nature et leur suc
rémission presque complète. Les pupilles présentèrent toujours des réactions normales dans les phases de rémission, et l'inéga
es. La densité moyenne pour le même nombre de malades, de 1.019. La réaction a toujours été acide. Le total des résidus étai
tion de la parole, la trémulation du langage et les anomalies de la réaction pupillaire. Ce dernier signe doit être étudié a
ar besoin d'explication provoquent la névrose chez un prédisposé. Réactions individuelles dans les intoxications. MM. JoFFROY
l y a chez l'homme une prédisposition héréditaire à présenter telle réaction plutôt que telle autre sous l'influence des poi
mortelle est restée sensible- ment constante au lieu que le mode de réaction individuelle a varié. F. Boissma. SOCIÉTÉ DE
effectuent bien mais, avec un léger nystagme au regard à gauche. La réaction des pupilles à la lumière et à l'accommodation
lle y revenir; il est pourtant un point qui, dans l'histoire de ces réactions délirantes, n'est pas complètement étudié, c'es
in février 1803. Dans ses crises panophobiques, ce malade, pour ses réactions défensives, se sert de tout ce qui lui tombe so
es, jamais rétrécies, rarement inégales et présentant un retard des réactions . Dans les névralgies, la pupille est très varia
ues) quand les pupilles sont larges ou moyennement dilatées, que la réaction à la conver- gence et à l'accommodation soit bi
. Ainsi parle M. Westpiul. AI. PILTZ rappelle qu'il s'agit là de la réaction paradoxale ou inverse des pupilles à la lumière
e du symptôme paraît généralement coïncider avec l'immobilité ou la réaction paresseuse des pupilles à la lumière, mais elle
onde forme apparaît le plus habituellement sur des pupilles dont la réaction à la lumière est troublée, mais se montre bien
nt que la première forme chez les individus sains doués d'une bonne réaction pupillaire à la lumière. Chez un tabétique aveu
oeil, le premier oeil restant dans le plan horizontal. C'est là la réaction consensuelle de la pupille par l'orbiculaire ; de
hérique incomplète, par lesion osseuse, de l'oculomoteur commun; la réaction pupillaire par la paupière permettrait, en quel
eint d'ophtalmoplégie incomplète du même oeil. La persistance de la réaction des pupilles par la paupière s'expliquerait, d'
tables parce qu'il y a eu névrite de l'oculomoteur commun, aussi la réaction est-elle fort énergique. P. Keraval. LVI. Une
es muscles. Caractère transitoire des parésies. Réflexes conservés. Réaction électrique normale. Etat psychique sain. Muscle
reçoit des filets nerveux étrangers au cubital ne présente pas de réaction de dégénérescence. M. Marie a vu des cas analog
de exprime une véritable douleur. Le pincement ne produit pas une réaction aussi vive. Des chocs sur les régions intercost
s vous me faites mal, lais- sez-moi. » Le pincement n'amène pas une réaction aussi marquée, et il semble que ce soit surtout
nce dans les phénomènes du délire. » Pour Calmeil il y a en somme réaction de l'estomac sur le cerveau. Pour Bail - ce son
onnaîtra par ce fait que la durée, l'intensité de la passion et les réactions qui en résultent, ne sont nullement en rap- por
u sommet. A droite, au sommet, quelques craquements. Etat mental. Réaction pour les événements du monde exté- rieur consid
des bras et des cuisses, les moindres attouchements provoquent une réaction très vive. 24 juin. La nuit a été meilleure que
male, et le frôlement, la piqûre, le pin- cement, n'amènent pas des réactions très vives. Il en est de même pour les chocs, m
sont propres (expériences de Gudden et Nicati). Chez le chien la réaction antéro-postérieure du chiasma, et la section tr
ence dans les axes des yeux pour la vision de loin, et conserve une réaction nette des pupilles à l'égard de la lumière. La
est simplement un peu plus dilatée; généralement rien du côté de la réaction des pupilles, quelquefois seulement réaction pu
ent rien du côté de la réaction des pupilles, quelquefois seulement réaction pupillaire hémiopique de Wilbrand. Ferrier a ch
mianopsie homonyme des deux yeux, avec, du côté opposé à la lésion, réaction pupillaire hémiopique : Ce qui prouve un entre-
ieur, incomplète dans le territoire du facial inférieur, mais pasde réaction dégénérative. La langue dévie un peu à gauche;
e chien tout au moins, et un groupe externe. L'étude des lésions de réaction à dis- tance produites par la section des diver
volume. Du talon à l'extrémité des orteils on mesure 11 inches 1/4. Réaction pupillaire se fait avec paresse. Pour l'oeil dr
état sain de l' - et de la folie, par Hunge, 246. Intoxication. Réactions individuel- les dans les -, par Joffroy et 1,
54 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
exaltait pour les motifs les .plus futiles et se traduisait par des réactions exces- sives. De 18S4 à 1895 : névralgies fac
atomo-pathologique se réduit ou à des lésions parenchymateuses avec réaction neuroglique sans participation du mésoderme, ou
e grave associée au delirium tremens. Après l'opération, lorsque la réaction a lieu, la peau est chaude et sèche et le pouls
une éponge de bain peut cependant suffire parfois à pro- voquer une réaction . A. Mare. 111. - Pathogénie de la déviation con
der ou suivre l'attaque banale d'hystérie. Il peut apparaître comme réaction émotive inverse. Il peut constituer à lui seul
e indiquait un système nerveux incapable de réagir. Car c'est à une réaction de la moelle qu'il faut at- tribuer la spasmodi
hilitique. Un autre point digne de remarque est l'intensité de la réaction dure-mérienne à un traumatisme relativement fai
ormales. Les circonstances ne nous ont pas permis de rechercher les réactions électriques. UN CAS DE MY0T0NIE CONGENITALE.
ment à l'excitation sensible bien localisée ; c'est un phénomène de réaction motrice extrêmement simple, in- variable, indép
s, alors que les courants faradiques et galvaniques indiquaient une réaction dé- "énérativo grave ou moyenne. Voici ses conc
s à l'ouverture isolée du courant faradique et qu'en tout cas cette réaction s'épuise bientôt (ce qui a lieu également pour
ocnémien s'est traduite par un son intense. Les muscles affectés de réaction dégénérative partielle fourni'- sent un son pou
t possible. L'excitation faradique directe ou indirecte du muscle à réaction électrique normale engendre un son très intense
consécutive à l'excitation galvanique d'un muscle qui présente la réaction dégénérative reste silencieuse. - L'excitation fa
erne la fermeture et l'ouverture des poings (figures). Absence de réaction myotonique ; les muscles ne se contractent point
u- teaux ou tout autre objet qu'elle rencontrait sous sa main. La réaction terminée, la femme P ? ne paraît plus se souvenir
éritable cercle vicieux s'établir entre les idées délirantes et les réactions de la malade. Cette femme croit que ses enfants
entretient de nouvelles idées délirantes qui produisent encore des réactions analogues, el ainsi de suite. La perle du sou
uit toujours une crise d'excitation survenant elle-même en tant que réaction émotive, il n'est peut-être pas impossible de l
e négativisme et d'opposi- tion (surtout de négativisme il litre du réaction de défense). La malade restait continuellcmcnt
ôté droit chez la plupart des'individus. A l'examen électrique, les réactions musculaires sont normales; la faradisation, bien
ve dans toutes les chorées, et l'examen électrique, en révélant des réactions électriques normales, a tranché la question.
ur le tracé sphygmographique. La rapidité et l'accentuation de la réaction n'ont aucun rapport avec l'intensité de la doul
se vérifient dans une série de diverses pulsations; il n'y a pas de réaction caractéristique de la douleur, mais celle doule
a douleur est le segment supérieur ou plateau du sphygmogramme ; la réaction vasculaire à la douleur physique est presque to
es (peur, crainte, doute, suspicion) n'ont pas montré de diffé- (le réaction qualitative appréciable. La vaso-constriction de
l n'est pas dû à un point de départ central, mais à un phénomène de réaction musculaire, dépendant du tonus et des condition
spéciales à la rage ou bien si elles constituent un mode spécial de réaction des cellules de la corne d'Ammon..1. S. LIV.
clérose en plaques. VI11. CLAUDE et Egger considèrent comme luis la réaction 111¡"lalIlI;lIique, l"épui;;(>IIIl'nl.l'al'i
la pupille droite est deve- nue totalement immobile à la lumière,sa réaction à l'accommoda- tion et à la convergence était c
se ci lente ; ces deux caractères sont ali- solument analogues à la réaction de dégénérescence par le courant galvanique.
raît dans le muscle franchement atrophié avant que l'on constate la réaction de dégénérescence électrique. 332 REVUE DE PA
contractions si l'on répète les chocs sur telle ou telle région. La réaction d'excitation apparaît quand la tétanie s'exaspè
alysie congénitale. La. malade est intéressante par ce fait que les réactions pupil- laires sont dissemhlahles dans les deux
sont dissemhlahles dans les deux yeux. Sur l'n'il gauche sain, les réactions pupillaires sontnormales. Sur l'oeil droit para-
lle neréagit directement ni à lalumière, ni à l'accom- modation. La réaction consensuelle à la lumière n'existe pas. Enfin l
; les couches les plus ex- ternes où s'organise progressivement la réaction défen- sive du tissu nerveux. - Nous devons à
s ont recherché quel est le sort d'une cellule qui, mise en état de réaction à distance par la section du nerf périphérique,
section de la moelle a une influence certaine sur les phénomènes de réaction de la cellule nerveuse à la suite dp la section
us, la section de la moelle empêche la répa, ration des cellules en réaction placées au-dessous de la section et les condamn
fférents cas et remarque qu'autour du tubercule solitaire il y aune réaction névroglique strictement limitée. Dans les ménin-
cle », il a comme avantage de céder très facilement son énergie aux réactions vitales; certains auteurs en font un agent de s
55 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
naturel d'admettre que, sous l'influence d'une même excitation, la réaction puisse être différente suivant le sujet, et que
léger rétrécissement du champ visuel. Il n'y a pas de troubles des réactions électriques. Les organes génitaux sont normaux.
rdre. Il s'agit là. en somme, d'un sujet chez lequel la plupart des réactions nerveuses se traduisent par l'hallucination de
lexes patellaires à droite, diminution des mêmes réflexes à gauche, réaction dégénérative sur plusieurs groupes de muscles q
s nerveuses normales présentent dans les ganglions et la moelle des réactions colorées différentes même à l'état nurmal. -Cou
76 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. opposé;- on ne remarque non plus aucune réaction de dégénéres- cence. Les mouvements ne sont t
s de l'exécution dite automatique, inconsciente, ont la mémoire des réactions nécessaires pour répon- dre à ces divers ordres
avaux de MM. Charcot et Pierret ont démontré qu'au point de vue des réactions patho- logiques il fallait distinguer, dans les
e la conservation des réflexes rotuliens, l'absence de troubles des réactions pupillaires auraient dû faire écarter l'hypothè
hes du facial droit. Il résulte de l'exploration électrique que les réactions faradiques sont légèrement diminuées. Pas d'alt
lade. Tous les muscles innervés parle facial gauche sont paralysés; réaction de dégéné- rescence très nette dans les muscles
ouroux, chef du service d'électrothérapie, révèle l'existence de la réaction , de dégé- nérescence dans tous les muscles inne
entation de l'excitabilité galvanique avec prédominance de l'anode ( réaction de dégénérescence com- plète). Observation VI
s muscles innervés par le facial droit participent à 1 hémiplégie ; réaction de dégénérescence com- plète. Observation IX.
au réveil, que L... s'en est aperçue. La paralysie est totale avec réaction de dégénérescence complète. Observation X. P...
aralysie porle sur tous les mus- cles innervés par le facial droit. Réaction de dégénérescence partielle. Observation XI.
e par M. le docteurVigou- roux, on trouve tous les caractères de la réaction de dégéné- rescence complète. - Dans les fait
Tous les muscles innervés par le facial gauche sont paralysés, les réactions électriques sont normales. 364 CLINIQUE NERVEUS
bureau où il travaillait. L'hémiplégie de la face est complète, les réactions électriques sont normales. L'observation qui
illait avec la figure paralysée. L'hémiplégie faciale est complète; réactions électriques normales. Nous avons déjà indiqué d
ause la rappor- ter ; l'exploration électrique nous apprend que les réactions fara- dique et galvanique sont conservées. Il
moins marquée se traduit par une série de modifications dans les réactions électriques. C'est sur ces variations dans l'ét
aissent dans les muscles les modifica- tions caractéristiques de la réaction de dégénérescence (secousse lente avec prépondé
ème groupe vien- nent se ranger les paralysies à forme grave avec réaction de dégénérescence complète; diminution, puis ab
ait les apparences d'une forme grave avec tous les caractères de la réaction de dégénérescence totale et qui guérit cependan
lequel il a signalé l'absence presque totale de modifications des réactions électriques. La paralysie faciale chez ce malad
avec l'intensité et la durée de la paralysie; au lieu de trouver la réaction de dégénérescence complète, on constatait au co
paralysies faciales ne s'accom- pagnant d'aucun changement dans les réactions élec- triques persister pendant des mois entier
e des fibres nerveuses comme nous l'enseigne d'ailleurs l'étude des réactions électriques. » En quoi l'existence de lésions a
droite du voile du palais, hémiatrophie du côté droit de la langue, réaction dégé- nérative partielle, légère blépharoptooe
des deux oculo-moteurs externes. Blé- pharoptose. Conservation delà réaction pupillaire. Légère névrite optique. Paralysie d
ité mécanique des extenseurs des doigts et des vastes de la cuisse. Réaction dégénérative du terri- toire du radial, des ext
tive périphérique du nerf médian, car les accidents, y compris la réaction dégénérative, n'ont pas dépassé le territoire de
lement éteinte et que les muscles qu'il innerve étaient affectés de réaction dégénérative. Au com- mencement de février, la
que fournit ce précieux procédé, l'auteur a pu étudier une foule de réactions fugitives, quan- tité de phénomènes qui sans ce
n prolonge l'action, on obtient une convulsion épileptiforme et des réactions orga- niques. C'est l'étude de ces deux dernier
re partie de l'ouvrage. Il faudrait citer surtout les principales réactions organiques constatées sur les organes respiratoir
met de nommer, avec M. Char- cot, ligne d'amputation. Du reste, les réactions électriques des muscles sont normales, quelle q
urs de l'humanité et tomba en disgrâce. Bientôt il se produisit une réaction dans l'enthousiasme qui s'était manifesté pour
56 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r l'épiglotte et la muqueuse pharyngienne sans provoquer la moindre réaction mus- culaire.- Les réflexes olécranien et patel
es de plomb, cépha- lalgies, paralysie typique des extenseurs, avec réaction dégénéra- tive, attaques épileptiformes, trembl
et exactement remplis, ou mieux être distillées immédiatement. La réaction iodoformée de Lieben est de toutes les réactions
s immédiatement. La réaction iodoformée de Lieben est de toutes les réactions proposées celle qui convient le mieux à déceler
très minimes quantités d'acétone. On peut aussi avoir recours à la réaction de Gunning. Là où ces deux réactions auraient é
n peut aussi avoir recours à la réaction de Gunning. Là où ces deux réactions auraient échoué, toutes les autres sont superfl
ux réactions auraient échoué, toutes les autres sont superflues. La réaction au perchlorure de fer n'a aucune valeur pour dé
premier cas, il existait une paralysie du grand dentelé droit, avec réaction dégénérative ; dans le second cas; c'était une
nérative ; dans le second cas; c'était une paralysie des péroniers ( réaction dégénérative). L'examen anato- mique des muscle
s des émotions, de mon- trer que ces conditions sont identiques aux réactions somatiques qui résultent des agents physiques e
er de la normale, est caractérisée par ce fait qu'elle entraîne des réactions mal adap- tées à l'intérêt de l'individu ou de
s, il convient d'ajouter l'absence de contractions fibrillaires, de réaction , de dégéné- rescence, etc., tous caractères qui
des contractions musculaires est un peu moindre du côté lésé. Les réactions électriques sont normales. Quelle est donc la s
uée l'examen électrique ne révèle en aucun muscle l'existence de la réaction de dégéné- rescence partielle et que le malade
jour que l'atrophie musculaire hystérique peut donner lieu à des réactions de dégénérescence ; cela étant dit, si vous env
(mastzlelen), mais bientôt, nous nous sommesren- du compte par les réactions de ces cellules qu'il s'agissait de cel- lules
usé à droite. Iris brun, pupilles égales, moyennement dila- tées, à réactions normales. Ne ? moyen, épaté à la base. Bouche m
Recherches de F. Henika et B. Worotynski, sur : 1° le temps de la réaction acoustique simple; - 2° le temps qu'il faut pour
de veille, se sentant en bonne santé, présentaient pour le temps de réaction simple, pour le temps d'apercep- tion et le tem
il faut, par rapport à l'état de veille, un temps plus grand pourla réaction simple, le temps d'aperception, le temps d'électi
nd plus court que dans l'état de veille. Elle abrège le temps de la réaction simple, le temps d'aperception, le temps d'élec
AS DE PARALYSIE ISOLÉE DU NERF MUSCULO-CUTANÉ AVEC REMARQUES SUR LA RÉACTION TRAUMATIQUE DES MUSCLES DE RUMPF ; par VINDSCII
es fibres du musculo-cutané dans le plexus avant dissociation. La réaction traumatique de Rumpf, c'est l'onde contractile co
que rien. Le traumatisme a augmenté l'excitabilité du nerf, d'où la réaction anormale du muscle. M. Bernhardt rappelle qu'
oxications que nous venons de passer en revue. M. A. Hoche. De la réaction galvanique de l'appareil visuel. Etablir : 10 s
notamment leshallucinés de la vue, il existe des modifications des réactions galvaniques de l'oeil (comme il en existe dans
te dans l'auditif chez les hallucinés de l'ouïe) ; 2° quelle est la réaction galvanique du nerf optique dans les cas de lésion
l'orateur. Mais il fallait, avant tout, déterminer la valeur de la réaction normale et les oscillations physiologiques de c
physiologiques de cette valeur, en un mot la formule normale de la réaction lumineuse galvanique. En procédant avec méthode
yeux réagissent sous l'influence de 1/20 à 1/10 de milliampère. La réaction se montre à un courant minimum chez les neurasthé
ains. Atrophie dégénérative progressive du système musculaire, avec réaction dégénérative ; en aucun cas il n'y eut de pseud
t tout est fini. Mais, dans quelques cas, il se produit un stade de réaction , constitué par de l'irritabilité, une tendance au
oires du pneumogastrique et sa branche cardiaque sont aussi prises. Réaction dégénérative des muscles accessibles à l'examen
C»il. Pas de différence dans les pupilles. 326 CLINIQUE NERVEUSE. Réactions normales. Pas de différence dans la grandeur de l
mais dans notre cas les réflexes tendineux ne'sont pas abolis, la réaction de dégénérescence manque totalement et l'atrophie
sie et une anesthésie complète de tout le membre, l'existence de la réaction de dégénérescence dans certains muscles atro- p
ition quoique peu pré- cise de l'esprit du malade. Les idées et les réactions dérivent du fonds du caractère et en portentl'e
émoratifs, l'absence de la fièvre, des troubles trophiques et de la réaction de dégénérescence, la conservation des réflexes
Vertige des ataxiques, par Grasset, 1, 179. Visuel (appareil), réaction galva- nique de l ? par Hoche, 280. Yeux, par
57 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
jambes également. Le malade est d'ailleurs parfaitement musclé. Les réactions électriques des muscles de la main, qui paraiss
- culature de la moitié droite du corps, la face exceptée. Pas de réaction de dégénérescence des muscles atrophiés. Réaction
exceptée. Pas de réaction de dégénérescence des muscles atrophiés. Réactions normales. Sensibilité générale. - 11 existe u
A. Méthode graphique. - Nous avons surtout fait usage du tambour à réaction de M. Marey. Ce tambour est monté sur une plaqu
ours et des mêmes styles. Nous avons toujours fixé sur le tambour à réaction des masses aussi faibles que possible. Les lieu
ns faire remarquer que la méthode d'inscription à l'aide du tambour à réaction ne nous a donné que le nombre, le rhythme et l'
enregistrées ne dépend pas seulement de la sensibilité du tambour à réaction , du poids de la masse métallique, elle varie égal
même de sa découverte, on a pu s'effrayer de ses empiètements et la réaction a suivi la découverte; nous n'avons ici à nous
semble, de sorte que la région est animée d'ondulations lentes. Les réactions 'électriques de ces muscles ne sont pas altérées,
ons paraissent n'être que secondaires et sont une conséquence de la réaction inflammatoire de la névroglie et des vaisseaux,
ns sont abolis. M. Erb peut constater à ce moment la présence de la réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur gau
Le membre supérieur droit est complètement indemne. Il existe de la réaction de dégénérescence (examen de Erb) dans les muscle
ésiés. 1 L'exploration électrique fit reconnaître l'existence de la réaction de dégénérescence (complète et partielle) dans
partielle) dans certains groupes. Aux extrémités inférieures, cette réaction intéressait seulement le territoire musculaire
v... mais n'ont pas les dimensions exagérées des mains. Du reste la réaction dynamométrique est égale à la moyenne à droite
tous les mouvements. L'examen dynamométrique et l'étude du temps de réaction , qui peuvent être pratiqués commodément à l'aid
able prédominant du côlé droit et un retard encore plus évident des réactions 1. L'aphasie hystérique ne fait pas exception à c
le de fournir une pression de plus de 50 grammes et que le temps de réaction était quatre fois plus long qu'à l'état normal.
e formellement paralytiques* et chez ,ces mêmes malades le temps de réaction peut rester longtemps à peu 'près normal. Cette
ssous de la moyenne normale; et chez ces mêmes malades le temps des réactions variait de O ? 181 à 0 ? ? 08, -c'est-à-dire qu
xamina, il constata, déplus, une égalité complète des pupilles avec réaction normale à la lumière. Sen- sation d'engourdisse
nous aurons signalé l'absence de céphalalgie, de vertiges, de toute réaction cérébrale en un mot et le bon état général du mal
par M. le Dr Vigou- roux le 8 mars 1890. Il montre qu'il existe une réaction de dégénéres- cence complète dans les muscles f
a sensibilité. Organes des sens normaux. Rien à l'ophtalmo- scope ; réaction pupillaire, acuité visuelle, accommodation normal
is double. Immobilité oculaire presque com- plète. Pupilles égales. Réaction à la lumière et à l'accommodation normale. Aprè
he; parésie de tous les muscles, plus prononcée à droite également. Réaction pupillaire bonne, accommodation normale. Des deux
soir que le matin. Parahsie complète de tous les muscles des yeux. Réaction pupillaire et accommodation conservées. - Signe
58 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
THOLOGIE NERVEUSE. lisée, parfois compliquée d'autres phénomènes de réaction émotive (besoin d'uriner, diarrhée subite, etc.
ecte; une disposition fréquente et violente à la rougeur, même avec réaction affec- tive intense, peut coïncider avec une ab
rve assez fréquem- ment des tentatives de suicide ou de mutilation, réactions rares dans le délire de persécution ordinaire,
dont laforme maniaque estla plus commune, s'accompagne toujours de réactions extrêmement dangereuses ; 22° la proportion des
ationnelle pour l'augmentation continuelle de la récolte et pour la réaction contre la sécheresse à l'aide de l'engraissemen
aralysie de l'hypo- glosse droit avec hémialrophie au début. Il y a réaction dégénéra- tive, la moitié de la langnemalade, n
le facial droit ainsi que du peaucier ; disparition complète de la réaction électrique de ces muscles; intégrité relative sim
ité 106 PATHOLOGIE NERVEUSE. générale ou spéciale, déterminer des réactions motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les
erposées, dont l'excitation prédominante ou élective pro- voque des réactions de nature correspondante. Le grand histologiste
ans la première série d'expé- riences (n° 1) une accélération de la réaction pendant la phase d'exaltation, un ralentissemen
la réaction pendant la phase d'exaltation, un ralentissement de la réaction pendant la phase de dépression. La différence m
e incontestablement un léger état fébrile qui, par son action et la réaction qu'il provoque est souvent très utile au malade
rouble ainsi les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 237 Î rentes réactions cérébrales normales qui concourentà la formation
ant la quantité de liquides alcooliques ingérés qui importe, que la réaction individuelle du sujet. 6° séance : 17 octobre 1
ance complète chez ces deux malades du caractère psychique et des réactions déterminées par le délire. Dans la seconde observ
été démontrée par Ramon y Cajal au moyen d'un autre procédé que la réaction noire par le chromate d'argent : il a réussi à le
x des dendrites se présentent avec les mêmes caractères que dans la réaction noire, c'est-à- dire constitués par un prolonge
ession d'un souvenir, l'exaltation de la pensée ou l'exagération de réactions motrices conscientes, etc., s'expliqueraient av
es autres éléments de la névroglie; ceux-ci échappent en effet à la réaction et par conséquent l'observation. Si, avec cette
s solides, car les goitres base- dowifiés offrent des signes et une réaction à la médication thy- roïdienne qui permettent d
xaminer électriquement notre malade nous a remis la note suivante : Réactions électriques en rapport avec le diagnostic de pa
s électriques en rapport avec le diagnostic de paralysie saturnine. Réaction de dégénérescence très prononcée à gauche dans
re dans les radiaux. Le long supinateur est indemne. A la main la réaction de dégénérescence est assez prononcée dans les mu
paralysés, mais en- core atrophiés. De plus, ils présentent tous la réaction de dégéné- rescence. Les autres muscles (de l'a
près trois mois, la motilité récupéré ses fonctions. P. K. XXXV. La réaction électrique NEUROTONIQUE; par E. REMAK. - Id., p
c point réflexes. D'ail- leurs, la détermination quantitative de la réaction sensible excen- trique du médian et du cubital
n'a révélé aucune différence évidente entre les valeurs limites; la réaction sensible en question n'existait plus, dit le pa
nt, alors que persistait la tétanisation. C'est donc une forme de réaction nerveuse nW1'otunique qui est l'opposé de la ré
une forme de réaction nerveuse nW1'otunique qui est l'opposé de la réaction myotonique. Elle indique probablement, dans l'e
u long abducteur du pouce. M. Marina revendique la parenté de cette réaction qu'il a décrite dans l'hystérie. (Rivisladi fre
eniatria, 1887, XIII, 2, et 1888, XIX, 3, 4.) 11 la rapproche de la réaction myotonique de la maladie de Thom- son et des mo
eindre un développement et une organisation convenable que s'il y a réactions volitives et hypertrophie de la conscience pers
muscles, et à peine perceptible des troncs nerveux; abolition de la réaction fara- dique de tous les muscles; diminution pro
éaction fara- dique de tous les muscles; diminution prononcée de la réaction galvanique de certains muscles avec réaction de
nution prononcée de la réaction galvanique de certains muscles avec réaction de dégénérescence. SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 1 V
s maladies (maladies humorales, maladies infectieuses, maladies à réactions nerveuses, maladies à dystrophie élémentaire, etc
(Belgique). C) Electricité médicale. I. La valeur séméiologique des réactions électriques des muscles et des nerfs. Rapporteu
bilité n'est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 461 pas atteinte ; les réactions électriques sont normales. Les muscles, - peu d
s le muscle ne répond pas à l'électricité, il est pro- bable que la réaction de dégénérescence est complèle. La paraly- sie
ons de quelques états psychiques, par Soukhanoff, 337. \rDLoowuE. Réaction électrique - , par Remak et Marina, 362. Nyst
59 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
gant. Il n'y a pas d'engorgement ganglionnaire, il existe fort peu de réaction fébrile. Les fausses membranes sont plusieurs foi
athique 1731. E.). Le choléra pestilentiel (1675), dans sa période de réaction , présente quelques traits de ressemblance avec la
travaux de Reinhardt et Leubuscher, et du docteur Hamernik) ; 2° Une réaction fébrile relativement modérée, quelle que soit l'i
rent au déclin de la fièvre, ou même pendant son cours, pourvu que la réaction ne soit pas très vive. La dose du médi-cament dev
emps de la fièvre typhoïde, et éclatent au milieu des symptômes de la réaction fébrile la plus intense. Il ne mérite cependant p
ible, et le malade meurt, sans qu'il se soit présenté aucun indice de réaction . C. Deuxième période. — a. Apparition de quelqu
on-dantes, et d'une coloration jaune clair. L'urine rare présente une réaction fortement acide et contient, de temps à autre, de
e, qu'elle foudroie, pour ainsi dire, les malades, et pré-vient toute réaction de l'organisme. Dans cette forme terrible de la m
la peste foudroyante (a.) s'amendent pour faire place aune période de réaction plus ou moins bien dessinée ; des bubons apparais
x, ce qu'est au typhus des camps, l'exanthème papuleux non précédé de réaction fébrile? Y. M. Gosse, loc. cit., p. 80, et Vall
lions du membre où siège la tumeur, s'enflamment et se tuméfient ; la réaction fébrile est alors souvent très intense, et elle p
ccession de trois périodes, dont la première est caractérisée par une réaction fébrile intense, avec injection prononcée des con
a face, une coloration rouge acajou, plus ou moins foncée, lorsque la réaction fébrile est violente, rosée seulement quand la fi
paraît être, dès l'origine, portée à un tel degré, qu'elle entrave la réaction de l'organisme. Le début peut être alors marqué p
cessairement dans un bref délai. Dans les cas heureux, il s'opère une réaction salutaire et la maladie reprend son cours; mais,
salutaire et la maladie reprend son cours; mais, le plus souvent, la réaction reste incomplète, faible, partielle, irrégulière,
des malades dont la température a été examinée, pendant la période de réaction (réaction typhoïde). L'algidité était à peine pro
s dont la température a été examinée, pendant la période de réaction ( réaction typhoïde). L'algidité était à peine prononcée ou
ous n'avons pas obtenu la coloration rose, un peu vineuse, qui est la réaction caractéristique des capsules surrénales à l'état
enté la moindre teinte bronzée de la peau. 1. Vulpian, Note sur les réactions propres aux capsules surrénales chez ks reptiles.
dis que les kystes acquièrent un volume quelquefois considérable sans réaction , et présentent une fluctuation plus évidente, plu
staux, même lorsqu'il était élendu. La forme de ces cristaux et leurs réactions rapprochent ce principe de la taurine, et nul aut
évrier, frisson violent de trois heures de durée, bientôt suivi d'une réaction fébrile in-tense. A partir de cette époque, il su
argent. Nous ajouterons d'ailleurs que le nitrate d'argent, dont la réaction est souvent acide, lorsqu'il n'est pas d'une pure
rendues deviennent parfaitement transparentes ; elles présentent une réaction alcaline, d'abord peu marquée, puis très intense,
le siège d'une effervescence très prononcée '. Chose remarquable, la réaction alcaline et aussi l'effervescence de l'urine pers
C'est en général de 2 à 4 jours seulement, après l'apparition de la réaction alcaline des urines, que les divers symptômes (ét
60 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
granulations hyalines, le protoplasma devient homogène, perdant ses réactions colorantes normales pour en acquérir d'autres,
ement granuleux avec con- servation du noyau, mais modification des réactions colo- rantes, ou bien c'est un gonflement, avec
à l'action excitatrice des contractions par la faradisation, pas de réaction de dégénérescence, réflexe patellaires atténués
ccidents bulbaires. Il y a diminution de l'excitabilité électrique, réaction dégénérative, absence des réflexes tendineux et
ition colorée). Effets psychiques de certaines substances, temps de réaction , mesures des réactions végétatives (respiration
psychiques de certaines substances, temps de réaction, mesures des réactions végétatives (respiration, pouls, fatigue des mu
galvanique se montre dans le degré le plus léger de la maladie ; la réaction de dégénérescence partielle et plus encore la r
maladie ; la réaction de dégénérescence partielle et plus encore la réaction de dégénéres- cence complète indiquent des lési
bles, fait rare dans les névrites péri- phériques. Le passage de la réaction de dégénérescence complète à la partielle est l
point de vue électrique vingt-cinq malades. Une fois seulement les réactions électriques ont été normales. C'était dans un c
pour qu'on en puisse tirer des conclusions. Chez huit malades les réactions étaient exagérées : chez deux pour les modes ga
ution de l'excitabilité. Dans cinq cas l'au- teur a pu constater la réaction de dégénérescence, mais dans un seul elle était
'étaient cinq cas de névrite avec amyotrophie marquée. En somme, la réaction de dégénérescence est exceptionnelle dans la sc
système circulatoire ; 2° l'étude expérimentale du rapport entre la réaction de l'écorce et l'excita- tion et l'apport du sa
rminée par l'excitation électrique reproduit d'une façon fidèle les réactions motrices et organiques de l'épilepsie essentiel
taines PORTIONS DES membres ; PERTE DE l'irritabilité faradique, ET réaction DE dégénérescence DES muscles DU côté paralysé; p
de l'arc réflexe ; telle la cécité totale avec con- servation de la réaction à la lumière, après la destruction des tubercul
uels il y a immobilité réflexe des pupilles avec conservation de la réaction à l'accommo- dation (tabes et paralysie général
érale 232 REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. de la réaction lumineuse directe, peuvent s'expliquer par des lé
qu'il y a eu aussi lésion des cellules, mais on ne possède point de réaction sensible et facile pour déceler ces fines altér
l. P. KERAVAL. XXX. Contribution A la question DU POLYMORPHISME DES réactions DE divers nerfs ou DE leurs terminaisons A L'éc
rrégulière rappelait, par son rythme, celle de Cheyne- Stockes. Les réactions psychiques étaient retardées, les plus simples
3. Dépression mélancolique. Vit à l'écart, affaissée, sans au- cune réaction physique ou mentale. Quelques périodes d'excita-
par E. WfifGHT. (Brnin, été et automne, 1895.) Les facteurs de la réaction émotive sont : 1° un violent stimulus sensoriel
et de 7 à 9 distances de bobines pour le courant faradique. Pas de réaction de dégénéres- cence. Affaiblissement de l'excit
apparences de la démence maniaque. En résumé : manie chronique avec réactions très violentes (présentant l'apparence d'une dé
iques généraux; chez 79 p. 100 les déments ordinaires présentent la réaction normale. En ce qui concerne la sensibilité cula
s cela, comme degré de fréquence, on constate la conservation de la réaction pupillaire associée à l'exa- gération du phénom
deux rameaux inférieurs de ce dernier, myosis avec diminution de la réaction à la lumière de la pupille droite. P. KERAY AL,
moitié gauche de la rétine gauche ne donnaient à l'éclairage aucune réaction pupillaire ; la partie droite de la rétine gauc
surtout si l'on examine avec soin les signes objectifs tels que la réaction pupillaire, les vaso-moteurs de la peau de la f
à la courbe en S. Celle- ci est donc la représentation typique des réactions de la matière vivante. Les résultats antérieu
ptique; du côté droit on note la perte du réflexe lumineux et de la réaction dans les mouvements de conver- gence. Pas de tr
ations des neurones entre eux et envisagés sous le rapport de leurs réactions de l'un à l'autre. I. Anatomie ET pathologie DU
a- dique est diminuée, il existe également une modification de la réaction galvanique N F C = N 0 C. C'est le premier degré
a réaction galvanique N F C = N 0 C. C'est le premier degré de la réaction de dégénérescence d'Erb. En résumé, l'examen él
gue de quelqu'une de ses phases. La caractéristique réside dans une réaction aperceptive persistante (bien qu'inégale dans s
e médian et le cubital sont complètement paralysés et présentent la réaction de dégénérescence ; il y a de l'analgésie. Cinq
ieux, 176. Duquet, 256. D' Tebaldi, 416. Nerfs. Polymoiphisme des réactions des divers -, par Lévy Dom, 233. Suture des -
61 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Spirites ; mari et son ami Allard; Préfecture de police. Nombreuses réactions . Néologismes. Début de la troi- sième période :
rmique pour le froid et pour la chaleur ? 6" quel est le c temps de réaction » au froid et au chaud dans les différentes par-
ins accentuée à la cuisse, où elle est localisée dans le triceps. Réactions électriques (faradiques et galvaniques) normales.
réquentes émissions d'urines, qui sont extrêmement claires, ont une réaction acide, une densité de 1,022, ne contiennent ni
le d'amende ou d'emprisonnement. L'auteur démontre que c'est là une réaction pathologique d'un esprit désé- quilibré ou doul
e principe de ce nouvel appareil est le même que celui du tambour à réactions verticales, de Marey ; l'appareil a le très gra
rnes antérieures. Aussi exis- tait-il de l'atrophie musculaire avec réaction de dégénérescence et flaccidité des membres par
stion. Il ne fut pas plus possible d'établir, une relation entre la réaction de la sensibilité du cubital et les autres symp
on de la sensibilité du cubital et les autres symptômes tels que la réaction pupillaire, la sensibilité à la douleur etc. L'
s moindres impressions faites sur la peau peuvent donner lieu à des réactions hors de propor- tion avec elles. Faisons rema
phase hallucinatoire pour continuer par la stupeur, entrecoupée de réactions , tantôt maniaques, tantôt de nature mélancoliqu
épôt peu abondant. Odeur ammoniacale accentuée. Consistance fluide. Réaction faiblement acide. Densité 1018. DE L'INTOXICATI
gère de i'Jdee ! <c/t. C'est parce qu'il y a instantanéité de la réaction verbale, qu'il y a 1 pénétration continue des e
niveau des éminences thénar et hypothénar et des inter- osseux avec réaction dé-énérative complète ; absence du phéno- mène
imprime de très rapides^ oscillations et qu'on'produit ainsi des réactions beaucoup plus considérables. Pour - transformer u
le courant de Morton. Réapparition des réflexes patellaires, de la réaction pupillaire, disparition des douleurs et paresth
es. Puis il faut savoir que la'névroglie' présente divers degrés de réaction . Prenons par exemple les noyaux de la couche opti
z bien. Au palper, on ne trouve pas d'atrophie musculaire, pas de réaction de dégénérescence à l'excitation électrique, mais
rs et qui fut suivi du rétablissement de la raison par une sorte de réaction . Esquirol distinguait de la démence chronique u
erminer un véritable épuisement du système nerveux qui favorise les réactions convulsives ». On sait que la morphinomanie pen
, chez une malade dont le sys- tème nerveux est déjà prédisposé aux réactions convulsives, facilitera l'apparition des accès.
ux que celles actuellement employées. On sait combien l'étude des réactions électriques de l'oeil est utile au diagnostic d
simple qui leur a servi dans leur Coi2tî-i- bution à l'élude de la réaction électrique de 1'oeil. Ils placent une large éle
et un rhéostat. Ils procèdent aux recherches dans l'ordre suivant : réaction minima, réaction oculaire pour une intensité de
ls procèdent aux recherches dans l'ordre suivant : réaction minima, réaction oculaire pour une intensité de 1 milliampère ;
ion minima, réaction oculaire pour une intensité de 1 milliampère ; réaction oculaire pour 2 milliam- pères. Les réactions p
ité de 1 milliampère ; réaction oculaire pour 2 milliam- pères. Les réactions polaires sont étudiées successivement : Ka Fe,
e neurasthénie. Dans les maladies organiques on observe souvent une réaction normale. Mais lorsqu'il y a anomalie, avec ou s
rédominance de la secousse négative d'ouverture, soit l'égalité des réactions d'ouverture o,p des réactions de ferme- ture, o
ative d'ouverture, soit l'égalité des réactions d'ouverture o,p des réactions de ferme- ture, ou les deux choses simultanémen
isuelle est normale on, n'observe pas d'altérations spéciales de la réaction galvanique. On trouve toujours une différence ent
s deux yeux; l'hyperesthésie est maxima dans la neurasthénie. Les réactions polaires sont à peu près identiques à celles de l
ès identiques à celles de l'état phy- siologique. Cependant pour la réaction minimum la secousse néga- tive d'ouverture se m
re prépondérante. Lorsqu'il y a diminution de l'acuité visuelle, la réaction est ordi- nairement normale ; on l'a cependant
neurasthénie. L'anisométropie n'influe pas sur la sensibilité de la réaction . Ces résultats correspondent à ceux déjà obtenu
culation et de la respiration, les modifications survenues dans les réactions électri- ques des nerfs périphériques et plus s
'irritabilité, et les périodes plus avancées par de la torpidité de réaction . » Quoi qu'il en soit, M. Clouston estime que,
ations thyroïdiennes provoque un véritable processus fébrile, et la réaction qui en résulte est favorable au malade; 2° la q
62 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eux côtés, mais cette recherche est rendue incertaine par le peu de réaction du malade, et surtout par le peu de précision d
surtout aux avant-bras et aux mains, et dans les muscles du thorax. Réaction de dégénérescence dans un grand nombre de muscl
enfin que, dans toutes les myopathies primitives généralisées, les réactions électriques étaient similaires, que les contrac
tion simplement quantitative, mais ne démontre rien qui rappelle la réaction de dégénérescence. Il y a surtout à retenir de
tées. C. > . XI. Un cas d'amyotrophie primitive accompagnée DE réactions ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE TROUBLES DE LA SENS
groupes, le premier comprend les cas où les muscles présentent des réactions électriques anormales, le second ceux où les mu
électriques anormales, le second ceux où les muscles présentent des réactions électriques normales plus ou moins intenses. A
s le second groupe, dans les myopathies primitives, il n'y a pas de réactions électriques anormales. A ce groupe appartiennent
moment de l'obser- vation, et surtout sans les modifications de la réaction électrique. Tous les autres caractères sont les
ve, malgré les anomc- lies en question. Mais les modifications de réaction électrique n'en sont pas moins l'indice d'une l
ont devenues chroniques en restant très légères. D'où les signes de réaction de dégénérescence qui sont leurs manifestations
leur maximum de netteté dans le tabes sensitif. Elles accusent une réaction spéciale des éléments anato- ' miques, en prése
ues articulaires etsurtout osseux, parce que les centres spinaux de réaction nutritive des os et des cartilages ne connaissent
uppurées d'emblée, lesquelles n'ont pas de gravité et évoluent sans réaction . Les arthropathies syringomyéliques dépendent d
que et faradique affaiblie dans les diverses parties des deltoïdes, réaction partielle de dégénéres- cence dans les mêmes mu
, 1.) Observation I. Troubles de la parole. Attaques congestives; réaction pupillaire défectueuse; nystagmus; strabisme dive
che; hémi- parésie droite. Atrophie des extenseurs de l'avanl-bras. Réaction pupillaire conservée. Intégrité de la parole. D
atho- géniques. Certes la question est des plus complexes, car la réaction parti- culière à chaque individu embrouille les
on à distance d'extrait thyroïdien provoque dans la glande même une réaction inflammatoire des plus vives : il y a là une vé
révélateur. Le syndrome de Graves est, dans cette conception, la réaction bulbo-protubérantielle suscitée par le poison thy
des cellules épithéliales. · La thyrocolloïne est le résultat de réactions secondaires qui se passent dans la petite cavit
plupart des symptômes du goitre exophtalmique, il faut souligner la réaction inflammatoire produite dans la glande elle-même
ttrait plus volontiers que les troubles observés ont été le mode de réaction d'un cerveau déjà malade (accès mé- lancolique)
symptômes moteurs prédominent; plu- sieurs muscles présentent de la réaction de dégénérescence. Le pronostic des polynévrite
tés avec rémission de deux ans. Pas d'atrophie musculaire; pas de réaction dégénérative, pas de tremblement intentionnel. En
née est altérée sur toute la surface du corps : à la piqûre, pas de réaction ou réaction très faible; au contact du doigt, l
rée sur toute la surface du corps : à la piqûre, pas de réaction ou réaction très faible; au contact du doigt, la sensibilit
éné- ralisation du traitement des psychoses aiguës par le lit, la réaction contre l'isolement cellulaire, la création d'étab
e ans, immobilité réflexe des pupilles, mydriase, disparition de la réaction des pupilles à laconvergence, parésie de l'acco
écorce du cerveau (toxine syphilitique), des tractus présidant à la réaction des pupilles ou de leurs noyaux, des fibres de tr
n à la convergence du côté droit avec conservation symétrique de la réaction à la lumière, un affaiblissement de la motilité
elquefois atrophie peu marquée des muscles, peu d'altérations de la réaction élec- trique, et pas d'altération de la substan
enfants montrent combien chez les quérulents symptômes maladifs et réactions nor- males peuvent s'entremêler. Les tendances
ifs. Dans la stupeur, les cutanés et mu- queux s'affaiblissent : la réaction à la douleur, faible en apparence, est bien con
gissent faiblement. L'examen avec le courant galvanique a fourni la réaction de dégénérescence pour un certain nombre de mus
, les symptômes d'asym- bolie deviennent plus nets; on constate des réactions erronées; parfois il semble que le patient ait
physiologie. Il esquisse l'histoire de l'évolution du mouvement de réaction qui s'est manifesté contre l'alcoolisme. Au déb
non paralytiques, d'autre part. Sur les 100 paralytiques hommes, la réaction à la douleur a suivi la pression du cubital che
63 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rone : la dégénérescence vallérienne de son bout périphérique et la réaction cellulaire avec atrophie du bout central de l'a
6 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. subit ainsi une réaction galvanique. Aussi dans la méthode double de Caj
n du dos par chute dans une cave; un cas d'atrophie musculaire sans réaction dégénératrice (Marie); quelque diminu- tion de
antes, absence de phénomène du genou- : inégalité des pupilles avec réaction paresseuse, atrophie des nerfs optiques ; alaxi
uveaux symptômes pupillaires dans le tabès. - M. PIL1'Z. A côté des réactions pupillaires bien connues à la lumière et à l'acco
ion du traitement des psychoses aiguës par le séjour au lit ; 1 - Réaction contre l'isolement cellulaire ; Création d'étab
el et de d'Arsonval et d'autre part des recherches de Ranke sur les réactions cellulaires, que toute cellule est une pile hyd
sants : 1° âge anormal auquel survint la maladie; 2° taudis que la réaction de dégénérescence existait dans les muscles tibia
jambe droite avaient recouvré presque toute leur force normale, la réaction de dégénérescence existait encore dans le groupe
s dans certains muscles mais resta définitive au niveau des autres. Réaction de dégénérescence, abolition des réflexes tendi
à un tempérament hystérique, à une déséquilibrée, chez laquelle les réactions ne sont pas normales et la force de résistance
ciation affective »,, une « discrépance » entre ces troubles et les réactions mimiques (« paramimie hébéphrénique»), une cert
rougeur émotive; par P. HARTENBERG, de Paris. La rougeur émotive, réaction émotionnelle, caractérisée par une vaso-dilalat
u sur et à mesure de leur répétition. En outre, elles appellent des réactions multiples. Les unes s'extériorisent sous la for
-mêmes ou que nous tenons de nos semblables, ces deux catégories de réactions se perfectionnent. Les réactions extériorisées
mblables, ces deux catégories de réactions se perfectionnent. Les réactions extériorisées ne sont plus réduites à de simples
t les actes aux buts à atteindre. Mouvements et actes éveillent des réactions internes ; à leur tour, celles-ci vont constitu
tions pas- SECTION DE NEUROLOGIE. 263 sées, sur les souvenirs des réactions intérieures et extérieures qui s'en sont suivie
es, sur la notion des rapports qui unissent ces sensa- tions et ces réactions , sur les aptitudes acquises pour satisfaire nos
l'inter médiaire desquels nous réfrénons et nous réglementons ces réactions . Nous serions également à même de localiser les t
des signes de modifications séniles du côté du cerveau : vertiges, réaction pupillaire paresseuse, parésie faciale, tremble
lière du phénomène de la cataphorèse tandis que Herrmann en fit une réaction physiologique. Meiromsky s'est attaché à déter-
tif qui donne la plus forte. Mais l'ana- logie de composition et de réaction de la salive sécrétée est com- plète pour les d
ant alternatif. II. Electrodiagnostic-. Lévi Sirugue a étudié les réactions électriques dans la maladie de Utllc et ne les
un malade atteint du syndrome ,1'rlr, mais qui ne présentait pas la réaction myasthéuique électrique de Jolly conclut qu'on
spond à plusieurs entités morbides. Dans un cas que j'ai observé la réaction de Jolly qui manquait dans les huit premiers jo
vi son cours habituel. Benedikt a continué ses recherches sur- la réaction lacunaire totale ou partielle dans un certain n
rophiés simples sans lésions de la moelle et que jusqu'à présent la réaction de dégénérescence ne peut être considérée comme
t à énoncer, c'est que, d'après mes expériences, dans le cerveau la réaction au liquide de différenciation d'un même système
partie, la différenciation est poussée à l'extrême. Pour- quoi ces réactions différentes des systèmes de fibres ? 2 SECTION
le corps optique. A travers tout le pied du pédoncule on trouve des réactions correspondantes. Les fibres qui rayonnent vers
e la substance grise nerveuse se prêle plus qu'aucune autre à cette réaction cavitaire, et cela sous l'incitation de causes
. Paris, 1900. (Archives d'électricité médicale.) 0 LEDUC (S.). - Réaction de l'urine dans les névropalhies. Effets psy- c
du réflexe plantaire, mais aussi un trouble dans la forme de cette réaction motrice. Ceci ressort encore des recherches réc
omanie, peuvent se rencontrer. La jalousie de l'inverti appelle des réactions dont la médecine légale peut avoir à s'oc- cupe
ROLOGIE. 497 lion est assez court pour exclure la possibilité d'une réaction par l'intermédiaire d'un centre nerveux. La « s
tanés comme des réflexes spinaux et on était d'avis que le temps de réaction des réflexes cutanés est le temps perdu le plus
ue le phénomène de Brissaud doit être considéré comme le minimum de réaction du réflexe cutané plantaire. Du réflexe i léo-m
racines antérieures de la moelle ; sous l'influence de la série des réactions Archives, 2e série, t. X. 33 51.4 REVUE D'ANA
64 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
, on ne se demande pas si le sujet est un névropathe prédisposé aux réactions cérébro-spinales, on explique tout par une soi-
ni la marche du délire, ni la nature des idées délirantes, ni les réactions qu'elles déterminent chez elle ne sont celles que
ffrances et peut permettre quelques efforts de résigna- tion. Les réactions que le délire provoque chez ces malades ont aus
étend que l'inspiration qui suit l'excitation du nerf vague est une réaction douloureuse et qu'on la supprime en anesthésian
urants faradiques; par Alfred liasr. (Neurol. Centralbl., 1882.) La réaction dégénérative aux courants faradiques (An S Z >
rate ? La' suppression si l)'rusqué,'duTfmé'dicambntl,entraînè' une réaction inverse duScûté 1 ? dé''lâ"circûlàtibri`; alors
ence qui sépare la substance blanche de la substance grise (aspect, réaction ; 'développement).Ranvier attribue aux cellules
ar le monde extérieur, soit que les incitations n'entraînent pas de réaction , soit que les sollicitations se pervertissent d
malades à l'égard des agents extérieurs, tandis que d'ordinaire la réaction qui répond au stimulus extérieur est anormale e
mplets ou imparfaits, une très faible excitation déchaîne une forte réaction du côté de la mimique. Les aparté sont bien sou
peuvent manifestement exercer une certaine influence sur le mode de réaction ] ? ii tout cas, des investigations de Pelizaus
soulevés retombent comme s'ils avaient la lourdeur du plomb; peu de réaction aux excitations douloureuses. Mort. Ixtopxti'.L
te hé- mianopsie est-elle exactement limitée par la verticale ( ? ) Réaction des deux pupilles normale, au moins quelque tem
ns toutes les modalités; aucune trace d'atrophie musculaire. Pas de réaction de dégénération lors de l'examen électrique; én
ineux ont absolument disparu. L'atrophie mus- culaire est générale; réaction dégénérative aux membres. Quand on agit sur les
muscles, des extrémités, la conservation des réflexes tendineux, la réaction dégénérative sans traces de contractures, des d
de l'avant-bras. L'examen révèle : une para- lysie atrophique avec réaction dégénérative complète du deltoide, du domaine d
sexcitationspbysioloiques. P. K. XLV. Sur DES modifications DE la réaction dégénérative par- TIELLLE ET sur L'OCCURRENCE D
01. Ce7tlz'(Llbl., 4883.) Ces modifications sont à rapprocher de la réaction dégénéra- tive faradique de E. Remak déjà trait
t dans l'état de veille; dans quelques cas, ils étaient exagérés. Réaction galvanique. L'auteur a trop peu de documents pour
un épuise- ment de l'excitabilité, qui souvent revêt la forme de la réaction la- cunaire de l3enediht; 3° d'une manière géné
rapprochant fréquemment de K S Z. Chez deux malades, le temps de la réaction latente fut visi- blement allongé. Au stade ini
e, parésie bilatérale de l'accom- modation, avec conservation de la réaction pupillaire. Du 10 au 16 octobre 1883, se dévelo
oit externe ; blépliaroptose bilatérale modérée. Conservation de la réaction pupillaire sous l'influence de la lumière; abse
semble à l'une des périodes de la convulsion des nerfs mourants ( réaction dégénérative, etc.). Cette profession de foi ém
sus-mentionnées, et l'on est en droit d'appliquer les notions de la réaction du nerf dégénéré (Benedikt, Brenner, Erb) à la
stades : un stade de mélancolie initiale qui.représente le mode de réaction du nerf simplement fatigué, c'est-à-dire de l'o
eux, et spécialement du cerveau, gêné dans sa nutrition; le mode de réaction , conforme à la loi de convulsi- 392 BIBLIOGRAPH
medico-tegauxsories états mentaux douteux, 360. Bestraint, 355. Réaction dégénérativeaux courants faradiyues 82. Récom
65 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
A l'examen électrique aucune altération de la con- tractilité. Les réactions électriques restèrent normales pendant toute la
z 6' PATHOLOGIE NERVEUSE. vives au niveau de l'apophyse mastoïde. Réactions électriques normales pendant tout le cours de l
aru la veille de la paralysie et ont persisté pendant quatre jours. Réactions électriques normales.- Gué- rison au bout de si
s du côté droit de la face sont paralysés. Intégrité par- faite des réactions électriques. Guérison en cinq semaines. Nous av
vail et il y a eu chez lui un véritable surmenage intellectuel. Les réactions électriques sont normales; elles ne subissent a
de la paralysie faciale du coté gauche ; l'hémiplégie est totale. Réactions électriques normales. Guérison complète au bout
est notablement diminuée à droite, pas de modifications dans les réactions galvaniques. - Au bout de quatre mois la guérison
ontractilité faradique, contractilité galvani- que normale ; pas de réaction de dégénérescence. Le malade est guéri au bout
ion à l'anode; en un mot, les muscles présentent les signes de la réaction de dégénérescence partielle. 0 10 pathologie NE
roit; pas de modifica- tions de la contractilité galvanique, pas de réaction de dégéné- rescence. La guérison ne survint q
n électrique ne nous révèle d'ailleurs aucune modification dans les réactions faradique et galvani- que et nous permet de por
ntractilité faradique, augmentation de la contractilité galvanique, réaction de dégé- nérescence. Les signes de la réactio
tilité galvanique, réaction de dégé- nérescence. Les signes de la réaction de dégénérescence ont disparu depuis le mois d'
traction plus forte à la fermeture avec l'anode qu'avec le cathode ( réaction de dégénérescence par- tielle). Au bout de troi
r est évidente. Un homme vaillant peut à la rigueur, supporter sans réaction nerveuse apparente une douleur de courte durée.
des adaptations internes subséquentes; il fournirait en outre à la réaction externe in- telligente de l'individu, par les i
peau ou des muqueuses. Réflexes tendineux, fonctions des muscles et réactions élec- triques ne présentant rien de pathologiqu
et grand dentelé avec perte absolue de la contractilité faradique, réaction de dégéné- rescence pour la contractilité galva
vésicaux, ni rectaux. Les muscles s'atrophient peu à peu et ont des réactions de dégénérescence partielle ou totale. 11 y a s
gions paralysées, et l'on n'a jamais constaté jusqu'à présent la réaction de dégénérescence, quelle que fût l'ancienneté
iels de l'avant-bras, ni avec celle des bran- ches profondes. Les réactions électriques méritent également d'être étudiées.
de la fibre musculaire. Les courants continus ne provoquent aucune réaction appré- ciable : avec une pile de Chardin de 12
, mais tout se passe comme à l'état normal et l'on n'observe pas la réaction de dégénérescence. Il semble cependant qu'il
aire, une paralysie motrice complète, une anesthésie moin- dre, des réactions électriques différentes. A plus forte raison, n
yménin- gite est d'amener une atrophie musculaire bilatérale avec réaction de dégénérescençe et fort peu de troubles sensiti
l'absence de troubles moteurs, la conservation des réflexes et des réactions électriques, tout milite en faveur de désordres
la facilité est plus ou moins grande, voilà tout. P. K. VIII. DES réactions galvano-électriques DES nerfs auditifs ET optiq
s la syringomyélie. Grïnther, l'élève d'Eu]), dans ses études de la réaction électrique dans l'atrophie musculaire « typique
s de l'épaule et du bras cor- respondants (type Duchenne-Erb.). Les réactions électriques ont toujours été normales. La guéri
Ardnt sur les - et les illusions, par Hoppe, 274. Hallucinés (des réactions galvanoé- lectriques des nerfs auditifs et op-
66 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
du deltoïde était très affaiblie; et on constatait les signes de la réaction partielle de dégél1eres- cence, plus ou moins a
, cependant, aucune secousse librillaire dans ces muscles. Mais les réactions idio-musculailes, provoquées par la percussion, y
musculaire. L'examen électrique, récemment pratiqué, montre que la réaction partielle de dégénérescence tend, à l'heure act
en électrique des muscles paralysés nous a révélé l'existence d'une réaction partielle de dégénérescence. Cette réaction dén
évélé l'existence d'une réaction partielle de dégénérescence. Cette réaction dénote, comme vous le savez, que les muscles para
e paralysie hystéro-traumatique. Mais d'abord la constatation de la réaction dégénérative permet de l'écarter d'emblée. D'autr
; l'atrophie muscu- laire est fort peu accusée, et les signes de la réaction de dégénérescence tendent, si je puis m'exprime
agération des réflexes tendi- neux, à la trépidation spinale et aux réactions normales des pupilles montre bien qu'on était e
vation II, en raison de l'âge du sujet), n'a révélé aucune trace de réaction de dégénérescence. Sans préjuger la nature inti
NFC reste > PFC, les contractions sont lentes. II y a donc de la réaction de dégéné- rescence partielle, plus ou moins ac
l'examen électrique pratiqué par M. Iluet a révélé les signes de la réaction de dégéné- rescence dans tous les muscles du gr
ervation du sciatique poplité externe, accompagnée des signes de la réaction de dégéné- rescence, et qui est cause, en majeu
ez l'homme, certaines modifications des re- flexes tendineux et des réactions électriques, et vous aurez une idée d'en- sembl
il n'y a rien de caractéristique dans^'étal des réflexes tendineux. Réactions électriques. - On en peut dire autant des modific
actions électriques. - On en peut dire autant des modifications des réactions électriques. t ... Ainsi l'excitabilité électri
exploration de certains nerfs et de leurs muscles, les signes de la réaction de dégénéres- cence ; notre malade en est un ex
lade en est un exemple.' Soit dit en passant, la constatation de la réaction de dégénérescence, coexistant avec de l'atrophi
s d'atro- phie musculaire ou seulement des traces, les signes de la réaction de dégénérescence faisant défaut. Mais je me ga
loration électrique des nerfs et des muscles donne les signes de la réaction de dégénérescence. La sensibilité est abolie da
ieds. L'examen électrique des muscles paraly- sés fait constater la réaction de dégénérescence. Les muscles delà face an- té
hyperesthésique et le sein hystérique n'est pas autre chose que la réaction d'un organe spécial, richement vas- LE SEIN HYS
. L'examen de l'urine indique l'absence d'albumine, mais -une forte réaction d'urobiline. ' 1 - ' ' Cet état reste station
'importance, pour juger de la nature de la maladie, que l'étude des réactions amenées dans les tissus par ces altérations.
nérer ; dans le deuxième cas au contraire nous sommes en face d'une réaction toute différente, les leucocytes ne sont plus l
ment atteinte, hypertrophie de certains muscles, réflexes conservés, réactions électriques normales. Troubles de la sensibilit
les montre que ceux-ci réagissent normalement et qu'il n'y a pas de réaction de dégénérescence, bien que la contractibitité fa
lière de l'amyotrophie, sur le caractère normal des réflexes et des réactions électriques, sur la per- sistance de faisceaux
'a donné lieu à aucune manifestation ni de résistance locale, ni.de réaction motrice involontaire ; le contact du bec de la
67 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
graves le pouls devient imperceptible. La force du pouls annonce la réaction . Certaines conditions prédispo- 4 Il. REVUE DE
ange rien à l'état des nerfs, et des muscles, et par conséquent les réactions électriques restent normales. Aussi étant donné
ue paralysie (hémiplégie, paraplégie, monoplégie), si on observe la réaction de la dégéné- rescence, on peut dire que la lés
s ou nerfs périphériques). Après avoir signalé les caractères de la réaction de dégénéres- cence, l'auteur envisage la valeu
ons des membres sont plus troublées, l'amyotrophie plus accusée, la réaction de dégéné- rescence s'est accentuée dans les mu
électrique; le rétlexe du palais mou manque; la langue présente une réaction partielle de dégénérescence ; la quantité d'uri
à la catégorie de la paralysie asthénique, vu qu'il existe ici une réaction de dégé- nérescence des muscles de la langue.
bserve un élargissement de la pupille et un affai- blissement de la réaction à la lumière. Durant toute la maladie la tempér
st plus grande à droite qu'à gauche pour le biceps. Il n'y a pas de réaction de MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 103 dégénéres
rs, suivant une marche lentement progres- sive et s'accompagnant de réaction de dégénérescence. Elle meurt de bronchopneumon
, membres postérieurs atteints ultérieurement, mais sans atrophie ; réactions électriques conservées. Difficulté dans la mict
rmé de deux substances, l'une chromatique, l'autre achromatique, de réactions différentes. Les alcalis dissol- vent la premiè
naire jusqu'à leurs terminaisons dans la moelle ou le bulbe : leurs réactions pathologiques sont donc les mêmes au niveau des
formules selon les aptitudes, l'âge, le degré d'intel- ligence, les réactions individuelles, de même qu'il appartient au chir
tile au diagnostic; ses observations le prouvent. L'existence de la réaction de dégénérescence permet d'éloigner l'idée d'hyst
til et les affirmations de Souques, qui tendraient à prouver que la réaction de dégéné- rescence est un signe sans valeur pu
ormale au bras et à l'épaule. Je consta- tais, le lendemain, que la réaction faradique n'avait pas disparu, les sphincters n
yomyélile antérieure il n'y a pas de troubles de la sensibilité, la réaction est nulle sous les courants faradiques; les réf
, sans dépôt, presque pas plus colorée que l'eau. Densité 9=,OU`3 Réaction très faiblement acide. Urée 1 ,28 par litre.
nt sans couleur, limpide, sans dépôt. Densité il + 15° = -) ? 002 Réaction très faiblement acide. 318 CLINIQUE NERVEUSE
l'hyposthénie sénile. 3° Considérés dès lors au critérium de leurs réactions respec- tives vis-à-vis du nycthémère, il sembl
manifesta- tions de cette sensibilité ont affecté même l'aspect de réactions complexes, déterminant des actes très compliqué
supinateur sont non seulement paralysés, mais encore atrophiés avec réaction de dégénérescence. Quant aux autres muscles, ce
on de l'idée fixe. - Notons enfin que, si l'émotion. n'était qu'une réaction de l'idée fixe, son intensité devrait nécessair
section nerveuse. Par conséquent, il n'existe pas de névrites sans réaction des cellules des nerfs atteints. J'ai montré au
on- sécutives à la dégénérescence des nerfs. Les modifications de réaction à distance que je viens de décrire peuvent, dan
l. I. D'après les nombreuses recherches des physiologistes sur la réaction duliquidesanguin, l'alcalinité du sangestdue au
ulièrement isochrones et inversement proportionnels. L'examen de la réaction urinaire, pratiqué concurremment * aux examens
de l'état général. · Le 10, injection de 40 cent. cubes suivie de réaction violente : frissons, sueurs, anurie. T. 38°. Au
er. Le 18, injection de 20 cent. cubes de solution à 1/10. Pas de réaction . Les 21, 22, 4; 27, 30, injections de 40 cent.
Les 1er, 3, ti, 7, 8, 11 août, injections de 30 cent. cubes. Pas de réactions . Etat de subexcilation persistant. Pas d'attaques
ctions,' 1.000 centimètres cubes de so- lution, 90 grammes de sels. Réaction fébrile à la suite des premières injections seu
tions comptant 1,020 cent. cubes de solution et 92 grammes de sels. Réaction fébrile à la suite des premières injections. Au
tions comportant 740 cent. cubes de solution et 64 grammes de sels. Réactions fébriles à la suite des premières injections. P
rtant 1,020 cent. cubes de solution alcaline et 92 grammes de sels. Réactions fébriles à la suite des premières injections se
it des injections, peuvent se résumer ainsi : Dans tous les cas : réaction fébrile fugace apparaissant moins d'une heure a
l'atonie et la dégénérescence. Spasme et contracture ne sont que la réaction des fibres musculaires lisses de l'appareil dig
68 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s autres qui caractérisent le fonds neu- rasthénique de la maladie ( réaction vaso-motrice exagérée, insta- bilité, bizarreri
psychique anormal dissemblable déterminera sur les deux organes une réaction semblable et deux psychoses homogènes. Il n'y a
du la mémoire, craint de ne pas recouvrer la santé. Intégrité de la réaction pupillaire et des réflexes. Le malade guérit et
, diminution de l'innervation du facial gauche, pupilles inégales à réaction paresseuse, le phénomène du genou manque à droi
ement subit de phénomènes morbides non pas par l'ap- parition d'une réaction inflammatoire autour du foyer hémorrha- gique,
du dos et en partie des membres inférieurs à évolution progressive. Réaction partielle de dégénérescence. Aucun phénomène de
atiques de la grenouille au courant dynamo ne diffère en rien de la réaction au courant constant et se conforme à la loi Pfl
t, ayant un poids spécifique de 1006,5. Il ne se produisit aucune réaction , et il s'ensuivit en même temps une amélioration
'urines. Mort à 75 c. c. avec convulsions toniques répétées. Pas de réaction . Par une erreur faite par la fille de service,
tion abondante de 350 grammes environ ; ni urobiline, ni albumine à réaction nettement acide, filtrées et neutralisées. Co
à son état normal. L'urine est très trouble, en petite quantité, à réaction nettement acide. Elle ne contient ni albumine,
heures du matin, au 2 avril même heure : Q = 1,200 c. c. environ, à réaction acide, filtrés avec soin. Lapin de 2 kil. 410
u 3 avril même heure. Son odeur est légèrement ammoniacale, mais sa réaction est nettement acide, elle est claire. Filtrée ave
, Lapin de 1 kil. 550. f " ' L'urine injectée a été naphtolée. Sa réaction est nettement acide, elle est non ammoniacale.
res de l'après-midi, le 1C" avril, l'urine est injectée. Elle est à réaction nettement acide; on la filtre avec le plus grand
avril même heure : Q = 850 ce. Lapin de 2,480 grammes. - Urines à réaction acide, filtrées avec soin. ' · Vers 15 c.c.,
2 dans l'après-midi. Elles sont claires, sans odeur ammoniacale, de réaction nettement acide, filtrées avec soin. Lapin de 1
nes pendant ces diverses manifestations. , - Urines naphtolées, à réaction nettement acide, contenant un peu de sang (comm
Il y avait donc plus de vingt-quatre heures après le dernier accès. Réaction acide, filtrée. ' DE LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ
e. Q = 1600 c. c. La surveillante affirme que rien n'a été perdu. A réaction acide, claires, non naphtolées, filtrées. - Lap
partir de 6 heures du matin, jus- qu'au 19 même heure. Naphtolées à réaction acide, filtrées. Tota- lité : 1.480 c. c. envir
ction... " . - - Urines recueillies du 26 au 27 avril. Naphtolées à réaction acide, filtrées. Q = 1.500 c. c. ... " Lapin
n place un prisme devant l'oeil, Fond de l'oeil tout à fait normal. Réaction parfaite des pupilles à l'accommodation et à la
e personnelle, les sensations pouvant toutefois donner lieu à des réactions étrangères à la conscience du sujet, dépendant d'
abituellement à les rassurer et à leur faire négliger, sans trop de réaction émotive, cette recherche regardée, jusque-là, c
culaires sont mobiles nor- malement dans toutes les directions. Les réactions pupillaires sont normales. Pas de nistagmus. -
écie, surtout du côté, affecté de migraine, et plus paresseuse à la réaction provoquée par la lumière; la fente palpébrale e
rs. La mémoire topographique et le sens chromatique étaient abolis. Réaction pupillaire bien faible à la lumière. Rien au fond
s à l'électricité, le jambier antérieur du même côté est affecté de réaction dégénérative : il en est de même pour l'opposan
es sujets en expérience étant isolés ou non (en ce dernier cas, les réactions étaient atténuées), on les soumet aux étincelles
amen galvanique et faradique comme présentant tous les signes de la réaction démé- néralive complète ou moyenne. Et notammen
s muscles se contractèrent len tement en un faisceau des plus nets ( réaction dégénérative de Fran- klin). Quelques autres ex
trac- tion certaine. Passons maintenant aux formes moyennes de la réaction dégé- néralive dont nous rappellerons les carac
'excitabilité faradique directe avec contraction musculaire rapide. Réaction dégénérative (lenteur de la contrac- tion, inve
uscles dégénérés dans la franklinisation ou, en d'autres termes, la réaction dégénérative de Franklin est très rare, même qu
e ne peut avoir de valeur électro- diagnostique. En quelques cas de réaction dégénérative à évolution graduelle, il a vu dis
tudie le rapport entre l'étendue de la perception et le temps de la réaction . Le Dr A. Lehmann fait connaitre les résultats
69 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
te dans les muscles atrophiés, actuellement du moins, aucune trace de réaction dégénérative, peut bien être considéré comme la c
'électrisation, j'en suis sûr, n'y montrerait aucune modification des réactions électriques ; la paralysie s'est développée progr
mpérature; — 4° Atrophie musculaire plus ou moins rapide parfois avec réactions dégénératives ; — 5° Quelquefois troubles trophiq
né la chose de près n'a pu retrouver là cependant la moindre trace de réaction de dégénération. Il faut donc admettre que si ici
econnue ces jours-ci mais aussi dans les premiers temps du mal, de la réaction de dégénération et enfin l'exagération du réflexe
ns la règle, ce genre d'atrophie musculaire ne s'accompagne pas de la réaction de dégénération; là, en général, toutes les réact
mpagne pas de la réaction de dégénération; là, en général, toutes les réactions persistent, elles sont seulement affaiblies paral
donné les résultats suivants le 10 novembre 1888: forme légère de la réaction de dégénérescence. — Pronostic, quant à la durée,
fìcile à déterminer. Ce sont, par exemple, l'atrophie musculaire avec réaction de dégénération plus ou moins prononcée ; l'absen
eds étaient chauds, œdématiés, tuméfiés. Joints aux modifications des réactions électriques, à la perte des réflexes rotuliens qu
ctrique pratiquée il y a quatre jours a fait reconnaître chez lui une réaction de dégénération prononcée. « De plus, quand à l
oir des cas de paralysie faciale qui, paraissant, au point de vue des réactions électriques, comporter un pronostic grave, guéris
ant rapidement, tandis que des paralysies dites bénignes, d'après les réactions électriques, peuvent exceptionnellement persister
es paralysies faciales, ne s'accompagnant d'aucun changement dans les réactions électriques, persister pendant des mois entiers e
sibilité de fermer l'œil droit, joue droite flasque et immobile. La réaction électrique indique une forme légère. Il a été imp
endant il s'agirait, d'après les indications fournies par l'étude des réactions électriques, d'une forme légère. ai), ueia soc.
tion expérimentale des nerfs moteurs, d'importantes modifications des réactions électriques se font reconnaître dès le quatrième
gluante. Le pied présente un léger équi-nisme. Pour ce qui est des réactions électriques, elles sont absolument nulles dans to
l'exploration électrique, elle amontré aux cuisses l'existence d'une réaction de dégénérescence très nette et complète, pour la
trophiques révélés par l'électro-diagnostic. Il existe, en effet, une réaction de dégénération bien nette sur les muscles antéri
prédominante les extenseurs des pieds et des mains symétriquement; la réaction de dégénération très accentuée dans la plupart de
ssique des douleurs fulgurantes; l'absence des troubles vési-caux, la réaction des masses musculaires, les rétractions fibro-ten
ncore assez volumineux. Aux cuisses, et aux membres supérieurs, les réactions électriques sont d'une façon générale assez peu m
plupart des muscles très atrophiés, les deltoïdes par exemple, où la réaction tant galvanique que faradique est absolument null
ypothénar de la main droite ; muscle grand-fessier du côté droit, les réactions soit faradiques, soit galvaniques font absolument
act. défaut. Les interosseux palmaires du côté gauche présentent la réaction de dégénérescence ; partout ailleurs, il y a seul
rant très fort. D. Les autres muscles explorés ne présentent pas de réactions électriques anormales. Il faut noter seulement qu
les atrophiés des membres supérieurs a fait trouver un peu partout la réaction de dégénération partielle. Les membres inférieu
ens exagérés ; mais, au membre supérieur, il y a une amyotrophie avec réaction de dégénérescence, surtout dans les muscles de la
hie musculaire, Myopathie.) Amyotrophie de cause articulaire, 75» — Réaction de dégénération, 77. — Théorie, 77. Amyotrophie
149, 407,416. —Mécanisme pathologique, 418. — Pathogénie, 409, 410. — Réactions électriques, 411. — Réflexes, 411.—Rôle des cellu
sie, 359. Edwards, 68. Effondrement des jambes, 157. Electriques ( Réactions ).— dans la paralysie alcoolique, 86, 383. — dans
. — Diagnostic, 414. Myopathies primitives, 414. — Etiolo-gie, 414. — Réactions électriques, 415. — Symptômes, 415. —Type sca-pul
s la mémoire dans la), 389. — Pied tombant, 382. — Pronostic, 391.— Réactions électriques, 383. — Réflexes, 86. — Retard dans l
143. — (Lésions de la) 141, 142, 408. — Période de réparation, 143. — Réactions électriques, 143. — Symptômes, 142. — Troubles tr
70 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ît facilement l'existence d'une luxation coxo-fémorale double, sans réaction locale. Le sujet peut marcher un peu avec desib
res légers,,diminution de, l'excitation électrique des muscles sans réaction de 'dégénérescence. Le traite- ment spécifique
^ certains sont impossibles;' par suite' d'impotence' muscu- laire. Réaction de dégénérescence sur certains muscles.' La sensi
eptionnels dans les myopathies : le frémissement vermiculaire et la réaction de dégénérescence. Les exceptions sont données
ts ni de mouvements anormaux.- Arthrite également indolore, et sans réaction de l'articulation tibio-tarsienne gauche. Il y,
3° on a également à'tenir compte de particularités quant au mode de réaction individuelle ,de,-rand, nombre d'entreeux;4°'ta
de mer sont indiqués pourrenforcer le système nerveux central. La réaction des'individus' est" d'ailleurstrès variable'et'éc
obe occipital. 11 y avait complète amaurose d'origine centrale ; la réaction pupillaire était conservée ; il n'y avait pas d'a
usculaire. Les réflexes tendi- neux ont toujours été conservés ; la réaction électrique n'a présenté aucune modification qua
lucinations négatives, les excitations ne produisent plus les mêmes réactions que précédemment. En discutant et interprétant
6) de deux tambours de de Marey, l'un* enregistreur M, l'autre N, à réaction , chargé de transmettre au tambour M, au moyen d
sensations., sont perçues lentement, faiblement, et déterminent une réaction , notamment de douleur, très légère; ceci est pr
avec le professeur Gauthier, épier et surprendre les actions et les réactions de la cellule vivante. Ce travail, si difficile
ui le rapproche de la manie. Chez les enfants particulièrement, les réactions provoquées par le rêve qui représente la phase
l'établissement de ces conditions de nutrition et secondairement de réaction autonome - n'est pas aussi évident, il' n'en es
ndi- viduel. ` Je ne suis donc pas de ceux qui, pour expliquer la réaction locale des cordons nerveux à l'encontre des act
ui va exciter la cellule motrice, laquelle est l'instru- ment de la réaction de l'être vivant déterminée par ses sensations.
uis amené à conclure des faits observés que, dans nombre de cas, la réaction du nerf, à rencontre des actions pathogènes qu'
cide picrique et le nitrate d'argent effectuent conjointement leurs réactions his- tochimiques ordinaires qui s'additionnent
s sont faites sur des régions non anes- thésiées, ont déterminé des réactions vasomotrices nulles ou très peu marquées; diver
ient le faire chez un simple dormeur; et sont le point de départ de réactions psy- chiques, intelligentes, nullement comparab
noter qu'elle est ammoniacale, mais cela est rare, même lorsque la réaction est alcaline. Réaction. La réaction est en effe
acale, mais cela est rare, même lorsque la réaction est alcaline. Réaction . La réaction est en effet fort variable : tantôt,
ela est rare, même lorsque la réaction est alcaline. Réaction. La réaction est en effet fort variable : tantôt, 372 CHIMIE
tantôt alcaline. D'après la statistique que nous avons établie, la réaction est faiblement acide dans les deux tiers des ca
és; rareté de la cécité complète; . 2° Peu de modifications de la réaction pupillaire, qui peut sub- sister malgré la céci
eux et de la syphilis nerveusejnalimie précoce. P. K. XXII. De la réaction des pupilles ET DE quelques autres PIICENO- mèn
bilité générale. Systématisation du délire plus étroite et modes de réaction . Observation I. Délire chronique à la deuxième
e : Hallucinations de l'ouïe : c'est le Parisien qui la poursuit. Réactions : déménagements, tentative de suicide, menaces de
tortures, le patient n'est pas éloigné d'entrer dans la période des réactions dangereuses. Depuis longtemps, en effet, le doute
fendre, dès maintenant il se lève, prêt à l'attaque. Les modes de réaction varient, en effet, avec les périodes de son dél
l'ouïe, systématisation rapide; c'est le parisien qui la poursuit. Réactions ^ déménagements; tentative de suicide, menaces d
enir naturellement l'origine d'une hyper- sécrétion urinaire. Cette réaction s'impose presque chez un tel sujet, étant donné
complexe de la lecture caractérisé par : a. de la dyslexie ; 6. une réaction ultérieure de l'intelligence qui semble ressais
concomitants ou 'consécutifs. Cette démonstration devra exercer une réaction profondesur l'intelligence et le groupement de
fectieuses et toxiques qui s'accompagnent de symptômes indiquant la réaction du cortex vis-à-vis de l'intoxi- cation général
71 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
te. Si l'arc nerveux n'était qu'un simple conducteur, l'énergie de la réaction n'étant modifiée par l'intervention d'aucun agent
mulation. Mais l'expérience démontre qu'il n'en est point ainsi ; une réaction forte peut suivre une stimulation faible, et réci
oquement à une stimulation faible peut dans certains cas succéder une réaction puissante. Ainsi la théorie dont nous parlons ne
sa charge. Telle est l'idée qu'il faut se faire des propriétés et des réactions des cellules nerveuses centrales. III. Nous avo
matière, et comment s'unissent-elles dans un système d'actions et de réactions réciproques? Voilà à quel abîme nous touchons; s'
ucteur et, si j'ose le dire, comme un répartiteur d'impressions et de réactions dans toute la série des segments du corps. Ces fa
substance qui conduit toutes les impressions, qui transmet toutes les réactions , n'est point directement excitable. On la coupe,
excitable. On la coupe, on la tranche, on la brûle, il ne s'ensuit ni réaction , ni douleur, et ces fibres par lesquelles nous se
f dans une cer-« laine étendue de son trajet, il y a sur-le-champ une réaction opérée. » C'est là le mot propre. Loc. cit. Premi
de M. Flourens, de Volkmann, de Van Deen, et de M. Brown Séquard. La réaction est directe. Ainsi divise-t-on la moelle dans un
ses. Mais évidemment aussi elle est un conducteur d'impressions et de réactions , et ce rôle paraît appartenir surtout à ses fasci
en général diffuses qui déterminent l'apoplexie, de la multitude des réactions des parties malades sur les parties saines et réc
notre propre nature, et, comme les chatouillements, ils éveillent des réactions et des sympathies générales, mais ordonnées cette
e, qu'ici les effets et les causes s'enchaînent naturellement, et les réactions que sollicitent les impressions douloureuses, se
e l'intelligence, mais en tant qu'ils éveillent le système entier des réactions automatiques, ils peuvent passer à bon droit pour
ouvent son esprit aura besoin d'intervenir. D'ailleurs, par suite des réactions multiples qui lient dans un seul système toutes n
ion de l'être sensible, c'est-à-dire toute excitation sollicitant une réaction corrélative, il en résulte une tendance nécessair
dépendance d'une seule cellule. De là, pour une impression isolée des réactions multiples, mais coordonnées cependant, toutes les
e des indices de mouvement et, si je puis ainsi dire, des ébauches do réaction . D'ailleurs la sensation et l'imagination se co
'une impression habituelle, déterminent le réveil en ramenant par une réaction subite l'âme à un objet défini. Le premier effet
uelque impression agit sur le corps de manière à déterminer certaines réactions dans la sphère de la vie organique, elle pourra ê
iblie où le corps semble si peu intéressé, qu'il n'en résulte que des réactions insensibles, incapables d'amener un résultat co
duction du lithotripteur, il y avait dans tout le corps du malade des réactions d'angoisse; il s'agitait et résistait avec énergi
t une sensation véritable est une tendance nécessaire; de plus, toute réaction étant en principe proportionnelle à la stimulatio
le sommeil ou clans les hallucinations, elles ne déterminent que des réactions faibles, ou pour mieux dire des indices de réacti
erminent que des réactions faibles, ou pour mieux dire des indices de réaction , dont le résultat demeure incomplet. Ainsi, à la
illant un sentiment homogène, répond un acte corrélatif. C'est là une réaction automatique, ce n'est point un instinct. Fuir la
mais non point instinctivement. L'instinct n'est point, en effet, une réaction produite à propos d'impressions extérieures. C'es
ral dans le sens du mouvement le plus fort. Ajoutez à cela le cri des réactions organiques, cette voix des émotions profondes, et
tat prolongé d'inspiration interrompu par de courtes expirations. Ces réactions ont un caractère hystérique et peuvent subir des
de l'intelligence; ainsi pourrait-on peut-être expliquer par elle ces réactions de l'âme qui dominent le corps au point de créer
72 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
troubles, psychiques ; seule une éroto- mane a- fait exception. La réaction anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' '
PATHOLOGIE MNTAI,E.lJwJJOE : n .IJI .troubles psychiquesiisolés,-la réaction . anxieuse, se;pro- duit d' ordinairel chez ,lIe
mblement sénile ou de la paralysie agitante, -et avec le, tambour à réaction dont nous avons fait usage, nous avons constaté
,¡,et, ! )1 ! llEl celu} des ;animaux ayant la naissance, donne les réactions du cerveau ,dySjR;H9; q n[ q™ 3,0,,Les plén,o,m
ré'actioh deenërativë ? L'cxcitabi)itédës'tr6ncs nerveux* a baisser réaction llegenel'a Ive, . ,eXCl a )1 l e, es troncs nerve
t ]aii-e. L excItabIlité ! eJectI'lquc 'a 'disparu et'Tôn'nbte [la1 réaction d . , '... l ? 1'" p' r'll ,hl' Ii Id;;ol ,. (f
gauche, kératite commen- çante à droite. Rien d'anormal quant à la réaction pupillaire ou à l'état oplttlralmoscopique. Exa
érien des deux côtés, la diminution du rétiexe plantaireigauche, la réaction dégônérativo de Krb l'électrisation du facial d
s à l'électrisation galvanique,' lés etéÍiséîirsr pré'sIÍiarit1la : réaction P.11 1 ,- . L't, ,t 'Il - i - ? Il -11 pi 'C'f
eux aussi, « vou- draient bien, mais ne peuvent pas vouloir 1 ». La réaction indivi- duelle ! du sujet est atténuée; c'est l
obéissaità tout autre ordre d'une manière automatique. En somme, la réaction individuelle, la volonté, n'est pas complètemen
n équilibre mental, réagit à chaque impression qu'il subit; mais la réaction n'est pas assez rapide pour qu'il ne tienne pas
enses, l'excitation la plus faible est immédiate- ment suivie d'une réaction dont la rapidité exclut l'idée de rai- sonnemen
e de la mobilité de ces sujets. Chez l'hypnotique somnambulisée, la réaction individuelle est suppri- mée, la volonté est an
mnambule ne peut plus, pendant une période indéter- minée, avoir de réactions propres et obéit passivement aux sugges- tions.
difications de la sensibilité qui comman- dent des modifications de réaction . Lorsque des hystériques hypnotisables ont serv
vacuolisées d'une couleur verte, sans passer au violet indiquant la réaction amyloïde. (Kurschmann : Die Beziehungen des met
. LXXIX.) Le picrocarminate et l'acide osmique donnaient aussi leur réaction connue; les vacuoles restaient alors incolores.
s, soit dans la forme du corps et des prolongements, soit dans leur réaction aux ma- tières colorantes. Avant de décrire l
ltérations inflamma- toires, mais qui sont distinctes aussi par les réactions chimiques, de la dégénérescence dite amyloïde.
, , '\ " . t . Il l ? r ? 1 Discussion : M. Reoat : demande si' la réaction dégénérative exis- tait, et si les nerfs périph
' >' n ,T' u : i l "f r\L'lfoeli : Remarques sur l'examen de la réaction des pupillts. (Publié in extenso 2.) i ' ? 1 Di
rieur du chiasma. M. Wernicke demande si l'auteur a remarqué que la réaction des pupilles soit différente selon qu'on éclair
es les plus sail- lants et les plus constants. P. K. XVIII. DE LA RÉACTION DES PUPILLES DES ALIÉNÉS SOUS L'INFLUENCE DE l'
la lumière. Elle fail exclusivement défaut chez les femmes dont la réaction pupillaire à la lumière est défectueuse. L'absenc
t la réaction pupillaire à la lumière est défectueuse. L'absence de réaction à l'éclairage et à l'excitation des nerfs sensibl
pour ceux qui pré- sentent le phénomène du genou. Aucune espèce de réaction pupillaire pendant l'épilepsie ou le coma qui s
n, de la moelle allongée, qu'il faut attribuer la disparition de la réaction pupillaire des paralytiques généraux. P. K. X
Finalement myosis. Pendant le myosis et la mydriase maxima, pas de réaction à la lumière. Avis pour la simulation. P. K.
ns modérément dures, élastiques, adhérant intimement aux os; pas de réaction inflammatoire même pour celle qui s'ouvrit spon
73 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
te de ses pieds et que ceux-ci ne sont pas ballants. D'ailleurs les réactions électriques sont bonnes. Mais ce que vous con
des explo- rations indécises, douteuses, inconstantes, à propos des réactions électriques, des réflexes cutanés de la zone hy
pas de paralysie des muscles extrinsèques, pas de modification des réactions papillaires, pas de diminution de l'acuité visu
er n'est point délimité exactement et à son pourtour tous signes de réaction inflammatoire font défaut. Il appartient sans d
appa- raît criblée de petites lacunes, sans membrane, sans zone de réaction , rondes, mais de dimensions variables. Ces lacu
tance cérébrale par un épais tégument de tissu conjonctif. Point de réaction inflammatoire. Poids total 1402 grammes. La t
stingue à peine le jour de la nuit. Pu- pilles généralement larges, réaction consensuelle à la lumière 0. Examen ophtalmosco
uvoir ne réussissent qu'à produire quelques mouvements de nystagmus Réaction pupillaire minime la lumière et à l'accommodation
ots de cellules infiltrées dans le tissu nerveux (fig. 6). Point de réaction inflammatoire. La série de coupes que nous repr
nsibilité normale. Pupille droite un peu plus grande que la gauche. Réactions bonnes. Bourdonnements dans l'oreille droite et
, que l'on voit en quelques rares points, ne paraissent être qu'une réaction inflammatoire banale et légère.Les cel- lules d
roscope on constate une atrophie simple des fibres musculaires avec réaction du tissu conjonctif en rapport avec les fibres
fièvre typhoïde, diagnostic qui fut plus tard confirmé par la séro- réaction de Vidal. La marche de l'infection typhique fut
500). L'examen des urines ne nous a permis de déceler qu'une faible réaction de l'albumine qui ne disparut qu'avec la guéris
ble réaction de l'albumine qui ne disparut qu'avec la guérison. Les réactions de l'indican et de l'éther sulfurique ne furent
s ne décela jamais d'albumine, pas même de traces ; au contraire la réaction de l'indican était très foncée ; la réac- tion
t par conséquent la douleur. Cette inflexion a été, au début, une réaction de défense. La lésion ma- térielle était minime
veux s'atrophie graduellement, avec peu de corps granu- leux et une réaction névroglique légère. » Pour Westphal, Raymond, N
altérée. Les pupilles sont inégales et ne présentent qu'une légère réaction a la distance ; immobilité à la lumière. Aucun tr
vers moments, par de multiples mécanismes lésionnels, entraîner des réactions d'apparence souvent aussi différente qu'un tabe
es sont égales ; leur contraction à la lumière est très rapide. Les réactions électriques, d'après un examen dû à l'obligeance
men dû à l'obligeance de M. Huet, sont absolument normales ; pas de réaction de dégénérescence, pas de réaction d'épuisement
sont absolument normales ; pas de réaction de dégénérescence, pas de réaction d'épuisement. MYASTHÉNIE HYPOTONIQUE MORTELLE
les. Il n'existe pas de phénomènes de dégénération, ni d'indices de réaction inflammatoire : la multiplication des noyaux est
ent doute de l'observation d'Higier (14) dans laquelle on trouva la réaction de l'indican et où le malade guérit avec la dés
intestinale : Dans mon observation les désordres intestinaux et les réactions de l'in- dican et des éthers sulfuriques eurent
après la guérison des lésions locales originales. La faiblesse des réactions de l'indican et des éthers sulfuriques nous pro
nent la commissure palpébrale gauche plus facilement que la droite. Réactions pupillaires peut-être un peu lentes à la lumière.
tement, d'où l'inclinaison du bassin en avant sur les cuisses ; les réactions électriques des muscles des gouttières vertébrale
endant l'excitation des interosseux, il se produit en même temps la réaction longi- tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du b
les phalanges des orteils un sillon se forme s'approfondissant sans réaction et sans dou- leur jusqu'à la chute de l'orteil.
cousses. Avec des courants continus faibles, nous n'avons pas eu de réaction de dégénérescence. Pas de troubles de la muscul
« Les tumeurs nous semblent l'expression graduelle d'une manière de réaction des éléments cellulaires, variété des états infla
retombe dans sa somnolence et se plaint de maux de tête atroces. La réaction pupillaire à la lumière est minime. La respirat
es (Pl. LXXV b et c). Les plexus choroïdes ne présentent que peu de réaction inflammatoire et à leur niveau les vaisseaux so
isé dans l'angle externe. Les pupilles sont égales ; elles ont leur réaction normale à la lumière. Il existe un trouble de l
es de l'épaule et du dos ; intégrité anatomique et fonc- tionnelle, réactions électriques. Si l'on interroge la physiologie de
ns notre cas, il n'existe pas de contrac- tions fibrillaires, ni de réaction de dégénérescence, ni d'altération des réflexes
M.... sont intacts. Amyotrophies. Le tremblement fibrillaire et la réaction de dégéné- rescence sont des signes constants d
çue nettement à la palpation et au pincement, enfin l'intégrité des réactions électriques des rhomboïdes et des portions moyenn
ès variés. Au niveau de la surface d'adhérence, s'établit alors une réaction inflammatoire, mais cette réaction est circonsc
d'adhérence, s'établit alors une réaction inflammatoire, mais cette réaction est circonscrite. Au niveau du crâne, elle peut
atio. Tübingen. 1898-99. M. O. H. de FLEURIAN. L'anencéphale et ses réactions vitales (sensitivo-motrices, en particulier). T
74 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
teints : le buccinateur et le grand zygomatique. Ajoutons que les réactions électro-musculaires sont parfaitement normales,
fixaient sur nous. DU DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITE. 29 9 Comme réactions , nous l'avons vue au début changer de place à l
pê- trière, il est toujours noté que « les muscles présentent des réactions électriques absolument normales' ». Chez un malad
signalé que les « muscles n'ont présenté aucune modification des réactions électriques, soit faradiques soit galvaniques. »
à l'observation, nous voyons que la violence des convulsions et des réactions motrices provoquées par les hallucinations étai
avec les réflexes et ne pas méprendre des simples réflexes pour la réaction de sen- sations aperçues. Freusberg, dans un ou
l'excita- tion de l'écorce, appartient au même titre que celle des réactions Archives, t. XXII. 7 98 REVUE CRITIQUE. mot
ervé (1878) que le courant le plus faible, capable de provoquer une réaction motrice des membres, est incapable de détermine
r une réaction motrice des membres, est incapable de déterminer une réaction du même genre dès qu'on l'applique aux centres
s bulbes oculaires et des paupières, et que, loin de voir, dans ces réactions mo- trices, des mouvements réflexes provoqués p
les caractérise. Les tracés sphygmographiques pris pour étudier les réactions vaso-motrices que provoquent chez ces individus
application de forts courants élec- triques n'était guère suivie de réaction , la vue d'une photo- graphie de femme nue, d'un
SOCIÉTÉS SAVANTES. J3U chancelante; ptosis peu prononcée à gauche; réaction faible des pupilles à la lumière; affaiblisseme
phies, perte des réflexes rotuliens, anesthésies et abolition de la réaction des pupilles à la lumière. Après la mort du suj
altérés dans leur nutri- tion. L'exploration électrique décèle une réaction de dégénération de l'éminence thénar et de quel
ous étonner, quand nous trouvions, au bout d'une année à peine, une réaction de dégénérescence si profonde, et aussi quand n
des asiles spéciaux pour cette catégorie de malades, internés après réactions violentes, soit éludiée au plus tôt. M. Charpen
et galvaniques; l'électri- cité statique ne provoque sur eux aucune réaction . C'est évidem- ment une dystrophie musculaire p
vacillant et en laissant tomber la pointe du pied, ataxie légère. Réaction pupillaire prompte; intégrité des mouvements des
es est très douloureuse. Légère albuminu- rie. Température normale. Réaction dégénérative dans le domaine du sciatique popli
ATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE. 349 ment à celle du côté gauche '. La réaction des muscles du côté droit de la face est consid
auche dans lequel la pupille du côté affecté était dilatée et d'une réaction lente, la conjonctive était pâle, la sécrétion de
bras ; c). Modifications profondes de la nutrition marquées par les réactions électriques. La réaction de dégénération est tr
rofondes de la nutrition marquées par les réactions électriques. La réaction de dégénération est très accusée dans tous les
thylique : on obtient dans ce cas le mercaptol éthylique d'après la réaction suivante : CoHoO' + 2 C'H'S2 = C"Il gest + 1120
coloré en jaune et cristallise par refroidissement. Voici quelques réactions qui permettront de caractériser le sulfonal. D'
de fer une coloration rouge caractéristique. ' On obtient la même réaction d'après RITSERT en substituant 394 REVUE PHARMA
75 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
st moins excitable qu'un deltoïde sain, sans cependant présenter de réactions anormales. SPASME MUSCULAIRE. 7 En somme, les
ble. Sensibilité intacte. Phéno- mène du genou difficile à obtenir. Réactions électriques conformes à la formule ordinaire, c
ent), dans le même temps où les courants galvaniques fournissent la réaction dégénérative dans les extenseurs de l'avant-bra
rajet du sciatique poplité externe droit : au bout de huit jours la réaction dégénérative est complète dans le départe- ment
ret demande les premières bases d'une doctrine qui se fonde sur les réactions diverses des différentes parties des centres ne
riase. Les pupilles sont égales, en état de contraction modérée. La réaction est faible pour la lumière, nulle quand on cher
le terrain est préparé, on l'a vu, une faible pression détermine la réaction vertigineuse. Cette pres- sion labyrinthique s'
soin d'associer les actions thérapeutiques, de telle sorte que les réactions provoquées ne se puissent nuire. 2° De l'hypere
é quand on interroge les muscles atrophiés, et cependant absence de réaction dégénérative. Après une série de mieux et de pl
nements. Voici en quoi consiste cette méthode : Étant données les réactions musculaires différentes obtenues par le passage d
re ou fermeture du courant), il y a tout avantage à enregistrer ces réactions , au moyen de la myogra- phie ; on a ainsi sur l
nc, sans aucun trouble de la sensibilité, ni des réflexes, avec les réactions électriques de l'hé- miplégie cérébrale. Aucun
anomalies, tant qu'il n'existe pas d'autres nludifica- tions de la réaction électrique, ne doivent pas être tenues pour le
par suite, elles ne suffisent pas pour démontrer l'existence de la réaction dégénéra- tive. Contribution ci la physiologi
ulations de l'écorce du cervelet présentent toutes ou la plupart la réaction évidente de la nucléine de Miescher, c'est-à-di
l'animal (chat, lapin, grenouille), sont moins accessibles à cette réaction qui s'effectue pour un très petit nombre dans l
eut n'en rester qu'un pâle vestige ou que facilement il présente la réaction de lanucléine. Les cellules elles- mêmes se com
tandis qu'il suffit d'un petit nombre d'éléments pour produire une réaction du côté opposé. Inversement, qu'une zone céphal
oins deux cas dans lesquels l'amélioration s'était traduite par les réactions électriques habituelles du cerveau, l'inexcitab
que et hemianopsique du même côté, l'examen démontre la lenteur des réactions pupil- laires, l'absence de lidspliènes'rétinie
oir ou en gris et fait apparaître' un double contour ; c'est'là une réaction qui appartient à la graisse et à la myéline. Pour
it un peu d'hypo- cxeitabilité aux courants continus entraînant des réactions iné- gales en des régions symétriques ou homola
ié, et tic demeure guérie en dépit de l'affection sexuelle et de sa réaction sur l'écono- 1;' P ? ......,,1, mie." L'inter
orte un cas analogue, dans lequel il n'opéra pas, à raison et de la réaction excessive que déterminait chez le malade le con
es dou- leurs ressenties dès lors jusqu'en juillet témoignent de la réaction du péritoine, l'inflammation de la séreuse se l
76 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
d'ordre psychique,essentiellement vivants, sont caractérisés par les réactions fatales et automatiques de notre senso-rium, en p
. Il serait, en effet, difficile de rendre plus claire l'étude de ces réactions de la cellule aux irritations extérieures. Ces ré
étude de ces réactions de la cellule aux irritations extérieures. Ces réactions et les mouvements qui les caractérisent constitue
nce, et que, suivant la nature des corps employés, ils présentent des réactions différentes. C'est à cette nouvelle méthode d'inv
nication lue a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887. Les réactions produites sur l'organisme hypnotisé par les actio
, la strychnine, la spartèine, le bromure de potassium produisent des réactions de cette espèce. Dans la seconde série de faits
a mémoire de ce qu'il a dit ou fait), il parle, il répond, et par ses réactions coordonnées il donne les illusions de la vie réel
ntôt l'action de la substance stimulatrice est lente à déterminer ses réactions . Elle semble s'accumuler pendant une ou deux minu
ssif ; l'émotion terrifiante s'élève d'un degré et le sujet subit une réaction qui dénote un sentiment de défense. Ce n'est plus
ci. Je me contente, pour le moment, de signaler à votre attention les réactions émotives produites sur l'organisme par quelques s
au côté droit, comme s'il s'agissait de la morphine, a mis en jeu des réactions contradictoires, une disparition des phénomènes d
cognac, vin, bière, champagne, alcools divers, etc. Le tableau des réactions personnelles du sujet est tout à fait différent d
gène et repasser ipso facto en période léthargique. J'ai obtenu des réactions semblables chez les mêmes sujets, en employant, c
d'autres habitudes d'esprit, vivant dans un autre milieu social, des réactions de même nature. Toutes ces réactions, toutes ces
dans un autre milieu social, des réactions de même nature. Toutes ces réactions , toutes ces mises en scène varient avec le terrai
vie factice et collatérale à la vie réelle et suscite à distance les réactions les plus surprenantes et les plus imprévues. Vi
orsque, suivant l'état des forces du sujet et suivant l'intensité des réactions auxquelles il s'est prêté, on juge que les expéri
roubler l'innervation du cœur, provoquer dans les centres moteurs des réactions d'une foudroyante intensité ; on peut donc, en ef
her. Le lendemain, il ne se souvenait de rien. Je le touchais, pas de réaction : j'approchais une lumière de ses yeux, les pupill
déclarai ne point reconnaître d'action spécifique, mais seulement des réactions banales qui se présentent à tout propos, dans ces
i un foyer d'irradiations lumineuses pour la peau du sujet. De là des réactions , de là des convulsions locales et généralisées qu
tube, demeuré en place pendant deux minutes, n'a donné lieu à aucune réaction .» ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE Séance du
l'excès l'excitabilité nerveuse. La pléthore sanguine en atténue les réactions . Sédentaire, ingrate, la profession est-elle de n
77 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
d'ordre psychique,essentiellement vivants, sont caractérisés par les réactions fatales et automatiques de notre senso-rium, en p
. Il serait, en effet, difficile de rendre plus claire l'étude de ces réactions de la cellule aux irritations extérieures. Ces ré
étude de ces réactions de la cellule aux irritations extérieures. Ces réactions et les mouvements qui les caractérisent constitue
nce, et que, suivant la nature des corps employés, ils présentent des réactions différentes. C'est à cette nouvelle méthode d'inv
nication lue a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887. Les réactions produites sur l'organisme hypnotisé par les actio
, la strychnine, la spartèine, le bromure de potassium produisent des réactions de cette espèce. Dans la seconde série de faits
a mémoire de ce qu'il a dit ou fait), il parle, il répond, et par ses réactions coordonnées il donne les illusions de la vie réel
ntôt l'action de la substance stimulatrice est lente à déterminer ses réactions . Elle semble s'accumuler pendant une ou deux minu
ssif ; l'émotion terrifiante s'élève d'un degré et le sujet subit une réaction qui dénote un sentiment de défense. Ce n'est plus
ci. Je me contente, pour le moment, de signaler à votre attention les réactions émotives produites sur l'organisme par quelques s
au côté droit, comme s'il s'agissait de la morphine, a mis en jeu des réactions contradictoires, une disparition des phénomènes d
cognac, vin, bière, champagne, alcools divers, etc. Le tableau des réactions personnelles du sujet est tout à fait différent d
gène et repasser ipso facto en période léthargique. J'ai obtenu des réactions semblables chez les mêmes sujets, en employant, c
d'autres habitudes d'esprit, vivant dans un autre milieu social, des réactions de même nature. Toutes ces réactions, toutes ces
dans un autre milieu social, des réactions de même nature. Toutes ces réactions , toutes ces mises en scène varient avec le terrai
vie factice et collatérale à la vie réelle et suscite à distance les réactions les plus surprenantes et les plus imprévues. Vi
orsque, suivant l'état des forces du sujet et suivant l'intensité des réactions auxquelles il s'est prêté, on juge que les expéri
roubler l'innervation du cœur, provoquer dans les centres moteurs des réactions d'une foudroyante intensité ; on peut donc, en ef
her. Le lendemain, il ne se souvenait de rien. Je le touchais, pas de réaction : j'approchais une lumière de ses yeux, les pupill
déclarai ne point reconnaître d'action spécifique, mais seulement des réactions banales qui se présentent à tout propos, dans ces
i un foyer d'irradiations lumineuses pour la peau du sujet. De là des réactions , de là des convulsions locales et généralisées qu
tube, demeuré en place pendant deux minutes, n'a donné lieu à aucune réaction .» ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE Séance du
l'excès l'excitabilité nerveuse. La pléthore sanguine en atténue les réactions . Sédentaire, ingrate, la profession est-elle de n
78 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e de la vessie. L'urine fraîche est neutre, mais elle prend vite la réaction alcaline. 9° jour. Sentiment de pesanteur aux m
lumineux, brun clair, d'aspect gras. Les bronches ne donnent pas la réaction de la matière amyloïde avec l'iode. La rate,
En six mois d'observa- tion il eut environ un accès par mois. La réaction des nerfs moteurs était normale. Le 3 novembre
rnier accès survint quatre jours avant le début du trai- tement. La réaction du système nerveux moteur par la recherche galv
qu'à ce qu'elle devienne claire et jaune, et que depuis ce temps la réaction locale est nulle ou au moins très rare. 2 Wie
les nerveuses ; c'est un appendice de M. W. à ses recherches sur la réaction liislocliimique des cellules et de leurs noyaux
ues apopluaiformea, tandis qu'on ne constate pas d'atrophie ni de réaction dégénérative de la langue. : 11. Joli%, admet une
es. Chaque jour, il déterminait la quantité d'urine, sa densité, sa réaction , l'élimination d'urée, de sulfates, phos- phate
, que l'on désigne sous le nom d'ozone ce qui dans l'air fournit la réaction connue sur le papier amidonné impré- gné d'iodu
minutes), elierellaità biense rendre compte sur le changement à la réaction galvanique et fara- dique produit dans les musc
n prononcées; , dans ses expériences, l'auteur observait souvent la réaction de dégéné- rescence, affaiblissement notable de
ues, soit toniques; 5° sur les nerfs fatigués, on observe ces mêmes réactions , mais le Lr ti-ait doit être beaucoup plus prol
, mais ils sont faibles et incertains. Intégrité de la sensibibité. Réaction dégénérative, mort subite; l'autopsie révèle un
ophient rapide- ment. Quatre semaines après le début des accidents, réaction dégénérative complète ou partielle, suivant leb
au, surtout de la sphère intellectuelle (démence primaire), soit la réaction de l'organe central contre l'ictus trauiuatique
d'imbécillité revêtant parfois la forme de la moral insanity et la réaction anormale des individus quant aux alcools et aux i
possibilité de tenir sa fourchette); démarche mal assurée, faible réaction et fréquemment inégalité des pupilles; émoussemen
upillaire (la pupille de gauche est la plus large), de l'absence de réaction de l'iris à la lumière, un liseré gingival bleu-g
bsolument incapable de tout travail physique, ne manifestant aucune réaction à l'égard du monde extérieur, s'améliora si bie
ion très nette de l'excitabilité réflexe de la peau qui entraîne la réaction des muscles sous-jacents. On a beau néanmoins p
sive, non compliquée. Les allures du phénomène du genou et de la réaction pupillaire dans l'atrophie spinale ont été soigne
cé des autres espaces ainsi que des éminences thénar et hypothénar. Réaction dégénérative des muscles atrophiés. La situatio
ormale; il en est de même des réflexes, des organes des sens, de la réaction électrique. Autopsie. Poids de l'encéphale, 470
79 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
res sont d'une autre na- ture. Ils ont leur point de départ dans la réaction inflammatoire excitée par les lésions produites
transitoire consécutive à l'extirpation d'un gyrus angulaire, à la réaction inflammatoire du lobe occipital, surtout à la l
gage articulé aux centres moteurs des lèvres et de la langue. Les réactions synergiques des muscles de l'oeil aux di- verse
ablation des centres sensoriels abolit également ces deux formes de réactions ner- veuses. Les observations cliniques et an
rant induit fort et prolongé ; comme résultat : absence complète de réactions motrices du côté des membres et des yeux. '. Ce
ÉS SAVANTES. 153 pilles. Mydriase bilatérale plus accusée à droite; réaction à la lumière paresseuse. Il semble au malade qu
us reviendrons. L'alcool, comme les autres réactifs, détermine deux réactions distinctes dans les cellules pyramidales de l'é
ou au moins très concentré, 96, 98 degrés centésimaux. Lorsque la réaction est terminée, l'alcool se sépare en deux couches;
hirurgien de connaître 362 PHYSIOLOGIE. le point d'où partent les réactions excito-motrices de l'écorce cérébrale, et auque
itation expérimentale ou leur irritation pathologique détermine des réactions motrices, simples ou convulsives, de la face, d
ne motrice ne serait qu'une manière de surface sensible, dont les réactions provoquées seraient identiques à des réflexes.
part d'incitations motrices volontaires, l'appareil incitateur de réactions motrices volontaires, dont les véritables appar
l'animal profondément narcotisé, sur la longue durée du retard des réactions déterminées par l'excitation de ces régions de
s, les parois et le fond du sillon crucial du chien, on obtient des réactions motrices correspondantes des membres du côté op
xcitabilité de la « zone motrice ». Suivant Horsley, la perte des réactions motrices de l'écorce est due à une lésion 'des
rrier a décrit ces mouvements, il les attribuait, on le sait, à des réactions réflexes des centres sensoriels de l'écorce, in
n centre quelconque de la zone excitable, 'on se fonde, non sur les réactions motrices des excita- lions électriques, mais su
. 408 PHYSIOLOGIE. l'écorce. François Franck a bien établi que la réaction directe est moins énergique que la réaction cro
ck a bien établi que la réaction directe est moins énergique que la réaction croisée, et que celle-là est en retard sur cell
minat, mais contenant une quantité considérable d'urates (1015), de réaction aigre, à teinte claire. Un gonflement, tout par
i sur un filtre, est soluble dans l'eau : cette solution fournit la réaction de Biuret au froid. Dans le cours de la maladie,
de la base au milieu du noyau caudé, on a de la peine à obtenir des réactions qui d'ailleurs ne durent qu'un moment. En s'adr
cette manière, cinq entendaient mais ne mani- festaient par aucune réaction les perceptions; rien ne trahissait que l'une q
80 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
yosis bilatéral. Signe d'Ar- yll-Robertson avec absence complète de réaction des pupilles. Rétrécissement irrégulier du cham
é droite du voile du palais est plus mince que la moitié gauche. La réaction électro-musculaire de la moitié droite de la fa
opsie gauche avec rotation habituelle de la tête à gauche - sous la réaction pupillaire de l'hémianopsie. Atrophie partielle d
phiques, qui s'étaient produits dans l'épaule gauche, cèdent aussi. Réaction dégénérative partielle du sous-épineux. En somm
nce, absence de douleurs, intégrité des sphincters et des viscères, réaction lente des pupilles, état normal de l'intelligen
dans les douleurs, ni dans les convulsions fibrillaires, ni dans la réaction dégénérative; l'exa- men anatomique lui-même ne
ensité, la répartition topographique en est elle- même inégale ; la réaction pupillaire à la lumière est très variable suiva
insi dire de paroxysmes réitérés très impé- tueux entre lesquels la réaction de la conscience sur les idées déli- rantes est
artiel de la folie, la lucidité de la conscience et l'absence de la réaction affective. Ces formes aiguës ont donc le droi
e considérer cette forme d'aliénation mentale comme un des modes de réaction du cerveau valide contre une série d'influences
er facteur, encore plus important, des troubles physiques, c'est la réaction mentale, trop souvent méconnue ou passée sous s
sées par le syndrôme de Ménière, révélait une lenteur marquée de la réaction lumineuse qu'il était difficile de considérer c
sagèrement de l'hyperaconsie et de la paralysie du voile du palais; réaction dégé- nérative d'abord partielle, puis complète
est le produit, et le produit unique, de l'excitation des nerfs. La réaction myotomique tient à une modification chimique de
sion des autres nerfs cérébraux. Pupilles égales; à la lumière leur réaction est conservée; point d'exophthal- mie. Léger so
es de Neurologie, 1890, p. 364), a cherché à déterminer le temps de réaction , c'est-à-dire le temps qui s'écoule entre le mo
nsible. Il y aurait ainsi un moyen de reconnaître objectivement une réaction sub- consciente d'une réaction consciente. Nous
yen de reconnaître objectivement une réaction sub- consciente d'une réaction consciente. Nous craignons seulement que le tem
d'une réaction consciente. Nous craignons seulement que le temps de réaction des phénomènes subconscients ne soit fort variabl
i l'en- toure s'y livre tout entier. C'est là que se manifeste la réaction pathologique du cerveau infirme dont je viens d
particulièrement caractérisée par des convulsions fibrillaires, la réaction dégénérative et des symptômes bulbaires. Cette dy
uées. Les fonctions psy- chiques, pendant l'hypnose, provoquent des réactions vasculaires, identiques à celles qui se produis
spasmodique, ni modification de l'excitabilité électrique ou de la réaction musculaire; on cons- tate simplement qu'à raiso
81 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les fibres qui vont se terminer dans cette zone. . P. K. XIII. La réaction chimique DE la substance GRISE; par 0. LANGENDO
ts, mais endormis par l'éther ou l'hydrate de chloral, ou morts, la réaction de l'écorce est alcaline à la condition que le
l'écorce par anémiation générale ou locale entraîne promptement une réaction acide; cette réaction se montre souvent dans le
n générale ou locale entraîne promptement une réaction acide; cette réaction se montre souvent dans les deux minutes qui sui
on locale des artères et ne fait que croître; chez l'animal tué, la réaction est toujours trouvée acide. Si l'on se hâte de
ificielle) ; dans le der- nier cas, l'auteur a réussi à obtenir une réaction neutre trente- huit minutes après avoir rétabli
ion de l'écorce; il a même provoqué le parfait rétablissement de la réaction alcaline chez des animaux qui avaient subi une
s d'un quart d'heure. Les nouveau-nés font exception à la règle; la réaction alcaline de l'écorce est chez eux, à ce point a
e que soit la légèreté avec laquelle on ait procédé, la perte de la réaction alcaline; il est probable, dit-il, que telle es
de comprendre la rapidité de cette genèse, de la disparition de la réaction acide, du retour à la réac- tion normale d'une
le, SOCIÉTÉS SAVANTES. 9< que de dissemblances dans le mode de réaction ! c'est une loi en pathologie, de ne pas mesure
nt rien d'anor- mal ; les pupilles sont égales des deux côtés, leur réaction à la lumière et à l'accommodation sont normales
abolis, des deux côtés. Il n'existe aucun trouble trophique, et les réactions électriques (sensibilité et contractilité) sont n
de faciale, tremblements et faiblesse des extrémités, mydriase avec réaction lente des pupilles, regard fixe avec diminution
nerf crural (absence du phénomène du genou; paralysie atro- phique, réaction dégénérative) et dans les deux mollets ; paralysi
ent plus sous le courant électrique, l'éminence thénar présente une réaction dégénérative absolue ou partielle ainsi que le
téraux, bien que les muscles correspondants ne présentassent pas de réaction dégénérative anatomique ouélectrique ; que, peu
pas cependant employer un rouge trop sombre, parce que le temps de réaction serait plus long que pour les autres couleurs d
on complète de toute excitabilité électrique, exceptionnel lementla réaction de dégénérescence; - 30 les , lésions trophique
s troubles de la sensibilité cutanée (tact, douleur, température, réaction électrique); elle est quelquefois exagérée ou per
ations surtout de l'ouïe, nature et évolution des idées délirantes, réactions du malade), de même que d'autres exemples nous
de la seringue. Après l'injection, se manifeste le plus souvent une réaction locale : tension, douleur au niveau du goitre,
iatrique de Berlin, 252; de tempé- rance, 467. Substance grise ( réaction chi- nuque delà), parLanguedorff, 87. Sugge
82 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
essant moyen de contrôle pour l'étude des sensations et la mesure des réactions . o Sur le terrain des applications pratiques, l
s éveillées par le son et, enfin, pendant tout ce procédé, il y a une réaction de notre moi, qui dirige notre attention vers ce
, conclut qu'elle était anémique, qu’il était nécessaire d’amener une réaction du sang par les organes génitaux. Quelques mois
l’automatisme le plus intense. Dans ces états d’hypnose profonde, les réactions sont différentes de ce qu’elles sont dans les éta
ent pas obtenu .de nos sujets les dissociations expérimentales et les réactions que nous avons observées. Il en est de la pratiqu
omédiens. D'aulres sujets répondent aux excitations musicales par des réactions motrices appropriées ; quand bien même leurs répo
de la musique s’exerce aussi sur l’imagination visuelle. Parfois les réactions motrices font défaut et, au lieu d’un acteur, nou
entir mécaniquement sur la circulation méningo-encéphalique. Pas de réaction locale ou générale. Aucun accident consécutif à l
semble symptomatique simulant une affection cérébrale grave et par la réaction extrêmement nette du malade au traitement suggest
ents permanents; les variations de cet état de sommeil provoquent des réactions spéciales qui ne sont autre chose que les attaque
res, etc.; ondulations sonores, lumineuses, thermiques, électriques ; réactions chimiques) sont transformés, dans la première par
ions électriques (électricité organique) thermiques (chaleur animale) réactions chimiques (assimilation, désassimilation, trophis
où les aliments, véritables réservoirs d’énergie, ébranlent, par les réactions chimiques qu’ils provoquent, les innombrables fil
(thermotropisme), des ondulations électriques (électrotropisme), des réactions chimiques (chimiotaxie). Une gromie à l'état de
Jean Demoor a montré qu’il y avait une similitude parfaite entre les réactions des neurones et celles des leucocytes et des amib
nant du dehors, pénétrant dans les ténèbres d’un esprit affaibli ; la réaction est quelquefois immédiate. De même que l’éclair
naissances, particulièrement eu cc qui concerne les sensations et les réactions nerveuses que nous croyons spéciales à telle mala
ême des troubles fonctionnels intenses sont capables de provoquer des réactions trophiaues ou vaso-motrices. Il faut supposer néa
oir central en est diminué d:autant. on comprend pourquoi le temps de réaction des réflexes est diminué chez beaucoup de ces mal
, constitue le moyen !e plus suret le plus rationnel de fortifier les réactions psychiques des malades, et de leur rendre par là
83 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ression sur les globes oculaires. Dans la période léthargique, aucune réaction aux diverses excitations sensitives et sensoriell
une fille simple, sans culture, ne présente qu'un nombre restreint de réactions simples. Nous verrons au contraire notre troisièm
isième sujet, fille plus cultivée, plus intelligente, nous donner des réactions beaucoup plus complexes et plus variées. Nous n
ession sur les globes oculaires. Pendant la phase léthargique, aucune réaction aux excitations sensitivo-sensorielles, comme che
simples ; sons divers, musique rhythmée. La parole ne provoque aucune réaction ; on a beau lui crier aux oreilles des mots simpl
nations. Cette concentration se manifeste aussi dans ce fait que la réaction de la malade vis-à-vis d'une excitation sensoriel
st une tentative que nous n'essaierons pas de faire, cette fixité des réactions est à rapprocher de celle que nous avons constaté
es du délire hystérique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de réaction à une excitation donnée. Toujours, même à de long
lle, et auxquelles elle participe comme principale actrice ; mais ses réactions motrices sont loin de répondre au tragique de ces
pas diriger réellement le délire, ni modifier à notre gré le mode de réaction du malade aux impressions que nous lui fournisson
ucinations spontanées ou provoquées ne permet pas, à cause du mode de réaction des sujets, de se faire une idée bien nette à ce
us est donnée de notre existence par la sensation de nos organes, nos réactions physiques vis-à-vis des agents extérieurs (cénest
Myosis bilatéral. Signe d'Ar-gyll-Robertson avec absence complète de réaction des pupilles.Rétrécissement irrégulier du champ v
bservait. Notre attention a été attirée en particulier sur le mode de réaction des éléments nerveux vis-à-vis des éléments tuber
fîbril-laires qui existaient dans les muscles de la main et Fêtât des réactions électro-musculaires. Bien que l'absence des con
qu'une anomalie bonne à connaître et c'est tout. La présence de la réaction de dégénérescence, ou plutôt de l'inversion de la
ces cas. En effet, MM. Bédard et Rémond ont montré l'existence de la réaction de dégénérescence dans la paralysie pseudo-hypert
et Rémond. — Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec réaction de dégénérescence. {Arch . géh. de méd., juillet
es muscles. En 1889, MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'absence de la réaction de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont d
formes de la —, 368, 383 ; Contractions fébrillaires dans la—,375 ; Réactions électromusculaires dans la —, 375; Faciès dans la
84 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
e, ni espérer grand'chose. 11 ne faudrait pas cependant, dans cette réaction , dépasser le but. Le périosten'est pas seulemen
os reconnaît, dans la grande majorité des cas, une cause locale. La réaction contre la cause locale n'est pas toujours immédia
les, les lympha-tiques, sont-ils plus fortement impressionnés, et une réaction mor-bide surviendra-t-elle plus facilement chez e
renoncer à de nouvelles tentatives d'extraction. — Il y a une légère réaction et le lendemain, le malade sort un peu mieux qu'a
ès un temps variable et quelquefois très-court, le malade est pris de réaction inflammatoire plus ou moins vive. Tantôt cette fo
ctéristique constante de la dé-générescence amyloïde, c'est-à-dire la réaction iodo-sulfurique. Un peu plus tard, en 1856, Wilks
poitrine et le ventre. Pupilles inégales, la droite plus grande, sans réaction à la lumière. A neuf heures, la température était
elle atteint près de 40° centigrades. 11 y a donc un certain degré de réaction fébrile, contrairement à la règle, comme nous le
éfaction du membre s'est effa-cée peu à peu ; l'ecchymose a pâli : la réaction fébrile est tombée : mais quelques vésicules d'he
ière habituelle, l'invasion des accidents n'est accom-pagnée d'aucune réaction fébrile ; cependant dans quelques cas exceptionne
e réaction fébrile ; cependant dans quelques cas exceptionnels, celte réaction se produit, et notre malade en offre un exemple,
Pouls à 80. 1er août. — Même pansement. A peine s'il y a une légère réaction fébrile. 2 août. — Pendant la nuit, il s'est pr
t. Sous son influence, il a vu les selles se modifier rapi-dement, la réaction s'établir et les malades entrer en convalescence.
s petit et très-faible. Peu de temps après la prise du médicament, la réaction s'établit. La préparation employée par M. Villema
oide ; voix éteinte ; anurie complète. Le hachisch fut administré: la réaction ne tarda pas à se produire et le malade guérit. (
tre les vomissements. « Le hachisch, dit-il, impuissant à produire la réaction , a prompte-ment diminué ou fait cesser les vomiss
85 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons à marcher, il reste en place. Nous pinçons la peau, mais pas de réaction ; cependant nous savons que les lapins ont la p
rieurs au con- - traire, on observait une certaine amélioration. La réaction de dégénérescence ne s'observait que dans peu d
tion est lente (du côté droit C 1 C= 21. Par conséquent, il y a une réaction de dégénérescence plus ou moins nettement accus
18. François Franck. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau ( Réactions volontaires et organiques) et sur l'epilepsie cér
rapidement et il s'éteignit dans le marasme sans avoir présenté de réaction fébrile, le 9 octobre 1887. A l'autopsie, nou
ieur gauche avec atrophie progressive du mollet et de la cuisse. La réaction élec- trique des muscles atrophiés a conservé s
s réflexes cutanés et des phénomènes tendineux ; conservation de la réaction faradique ; fièvre ; aucune espèce de phénomènes
illes deviennent de temps à autre sensibles à la lumière, mais leur réaction est purement clonique et non tonique; finalemen
nerf optique qui s'accentue de plus en plus. L'alter- native de la réaction pupillaire, permettent, de concert avec les aut
ormule. Pleine intégrité des nerfs crâniens et de l'état psychique. Réaction prompte des pu- pilles. Absence des réflexes te
eloppées. M. Benda réclame l'honneur d'avoir le premier reconnu les réactions chromatiques et d'avoir rattaché la présence de
'avoir rattaché la présence des granulations en question au mode de réaction spécial du corps cellulaire à l'égard des coule
s recherches dynamométriques, sur l'acuité auditive, surle temps de réaction des sensations auditives et tactiles pendant la
erver dans deux cas, sans d'autres symptômes deuté- ropathiques. La réaction à la lumière et à la conver- gence avait été co
re locale, des conditions défavorables de la circulation, etc.), la réaction altérée des nerfs vaso- moteurs de l'autre, dif
la paraly- sie. Dans les muscles atrophiés, on observe souvent la réaction de dégénérescence plus ou moins nettement accus
éralive des muscles en rapport avec la manifestation clinique de la réaction dégénéralive partielle. Les deux sciatiques pré
légie nucléaire externe de illcczulcczer (malgré la len- teur de la réaction pupillaire), à forme aiguë, complète ou presque
e, et qu'on trouve dans le produit de la distillation de l'acétone ( réactions upra).Or, fièvre et diabète mis à part, chez le
folie, même pour les esprits les plus indulgents, qu'il s'opère une réaction contre les idées du malade de la part des gens
supérieure du méridien verti- cal vers le côté de la cathode et une réaction uniforme du côté de l'anode; le nystagmus horiz
les troncs nerveux sont atteints à leur tour : douleurs spontanées, réaction dégénéra- tive, troubles de la sensibilité cuta
86 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
l semble que, contrairement à ce qui se passe à l'état normal, où les réactions individuelles s'adaptent aux causes qui les provo
une sensation de bien-être, pour la détermination du temps de simple réaction , de l'aperception et de calcul diffèrent très peu
chez les gens bien portants. 2° Dans l'état hypnotique, le temps de réaction simple d'aperception et de calcul est allongé de
celui de l'association, des idées (déduction faite du temps de simple réaction aux paroles) était dans l'état hypnotique avec su
s les cas, que les processus à l'état de vcîUe.Tandis que le temps de réaction simple et celui d'aperception et de calcul sont a
de ramener, dans la distribution des forces, l'harmonie rompue par la réaction de l'idée de reposer sur tous les tissus, — est l
lonté et se dérobait devant la conscience, momentanément incapable de réaction , en évoquant toutes les émotions antérieurement a
essé, il survint alors une des manifestations la plus étonnante de la réaction de la pensée sur l'organisme. Si, chez les dorm
pendantle cours de ces mêmes états, pour produire, par une semblable réaction de l'esprit sur le corps, des effets physiologiqu
yen âge, sonnèrent le tocsin et décidèrent de sauver la société de la réaction imminente. Cette sympathie ou antipathie aprioriq
portées sur les nerfs sensibles provoquent, chez l'homme endormi, des réactions réflexes, mais ne passent pas dans les cellules d
yeux. Nous ne pensons en somme qu'avec des souvenirs d'actions ou de réactions . Or, quels sont ces centres de souvenirs d'action
ions. Or, quels sont ces centres de souvenirs d'actions (sur nous) de réaction (de nous), dont le rôle est si prépondérant dans
définition de Bain, est un acte contenu ; il pense le souvenir de ses réactions verbales; il a une mémoire très développée, des m
sistante de cet acte (une mémoire de la sensation centripède et de la réaction centrifuge), mémoire qui n'est pas constituée par
t d'être moteur constituant déjà presque un commencement d'action, de réaction , une réaction embryonnaire; si on admet une trans
r constituant déjà presque un commencement d'action, de réaction, une réaction embryonnaire; si on admet une transmision explica
e de celui de la première) au moins supposera-t-on que les centres de réaction (centres moteurs) sont plus sujets, plus aptes à
ditifs). De là une deuxième recommandation : 2° Essayer d'abord des réactions motrices et éliminer à priori les personnes qui i
87 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
noy, de Genève, ayant pour titre : Observations sur quelques types de réaction simple. M. le secrétaire général fait un exposé
ine grippale. Le grand obstacle à la guérison était, chez X..., une réaction psychique congénitalement disproportionnée avec l
constitue le moyen le plus sûr et le plus rationnel de fortifier les réactions psychiques des malades, et de leur rendre par là
isible à l'association provoque, de la part de cette association, une réaction qui finit par l'empêcher. Spencer réduisait par s
ion. La liberté des maisons de jeu provoquerait infailliblement une réaction , disent les Spencériens. Des associations se form
e, reste lettre morte. Sans doute, l'excès du mal provoque déjà une réaction . Des associations se fondent contre l'alcoolisme,
suggestion. L'insomnie, le délire fébrile, la fièvre, la douleur, les réactions inflammatoires, les troubles trophiques les plus
unait avec sa famille d'un fort hou appétit. Il n'y eut ni* lièvre ni réaction d'aucune sorte. Le traitement psycho-thérapique e
ensibilité inconsciente. — Transfert de la sensibilité. — Temps de la réaction chez les hypnotisés. — Psychométrle. Mardi 30 M
. Lewis a lu un travail intéressant sur la comparaison du temps de la réaction chez différentes personnes. II a opéré sur des bl
. II a opéré sur des blancs, des nègres et des Indiens. La vitesse de réaction ou son a été notablement plus rapide chez l'Indie
Indien; le nègre et la femme blanche sont au contraire déshérités. La réaction aux excitations visuelles a été un peu plus rapid
sont indemnes. Les urines ne renferment ni sucre ni albumine Pas de réaction fébrile. Les téguments présentent une teinte pâ
s deux premiers jours qui suivent la cautérisation, il y a une légère réaction inflammatoire, avec une sensibilité variable. Pui
l est inégal et, suivant les jours ou les circonstances. les temps de réaction offrent, en ce qui le concerne, des variations pa
ent raison. Sur ces entrefaites, nous avons pu étudier à loisir les réactions nerveuses de la malade et nous convaincre que ces
oujours un auxiliaire utile au traitement. Elle réduit au minimum les réactions psychiques de la maladie locale, écarte d'emblée
ontraires, soit par action directe sédative sur ces organes, soit par réaction indirecte produite par la diminution de l'action
suggestive ; la suggestibilité individuelle n'est autre chose que la réaction de chaque cerveau aux diverses impressions. Et ce
88 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
nkysté : sa localisation dans la substance grise, son isolement, la réaction inflammatoire qui en résulte, semblent le démon
explique l'inégalité pupillaire et la dé- formation de l'iris; les réactions à la lumière et à la distance sont normales ainsi
âchoire qui sont affaiblis présentent en même temps un retard de la réaction volon- taire (2). J'ai fait remarquer que la co
te aucun trouble de la sensibilité. On a pris seulement le temps de réaction des deux index : le droit réagit en 0,"2),te gauc
e le pense, en explorant, chez d'anciens hémiplégiques, le temps de réaction des or- biculaires. On ne peut pas comparer l
réaction des or- biculaires. On ne peut pas comparer le temps de réaction aux deux yeux, parce que les mouvements isolés
e de fermer l'oeil du côté sain isolément. Mais l'étude du temps de réaction des deux orbiculaires agissant simultanément pe
et la malade va beaucoup mieux. 28 septembre. La recherche de la réaction électrique faradique amène la cyanose, la perte
vées, fixée à l'épine iliaque antérieure et supérieure et au fémur. Réactions électriques. - Contractions faradiques normales d
x, là où l'enfant avait été frappé par une vache. Etat général bon. Réactions électri- ques les mêmes. En 1883, aggravation l
citation faradique dans les muscles atrophiés, fibreux ou ossifiés. Réaction normale des muscles des membres supérieurs et inf
été dyspnéique. Les battements du coeur ne sont pas accélérés. Les réactions électriques n'ont pas été recherchées. Malgré
ar les autres organes fonction- nent bien. Sensibilité intacte. Réactions électriques. Le courant faradique faible donne un
ifications. Séborrhée assez abondante. Pupilles de dimensions et de réaction normales. Acuité visuelle normale. L'ouverture de
ant sur les parties ankylosées de la moitié inférieure du corps, la réaction douloureuse est toujours la même : « la douleur
e part à l'hypertrophie. En aucun point on ne découvre de traces de réaction inflammatoire : pas d'infiltration cellulaire,
e des muscles de la face, pratiqué par M. le Dr Debédat : à gauche, réaction absolument normale ; à droite, l'excitabilité est
t augmentée. Sensibilité. La piqûre sur la joue gauche provoque une réaction plus vive qu'a droite ; sur le front la sensati
RAZÈS ET C. CABANNES vements des globes sont normaux, ainsi que les réactions pupillaires à la lu- mière et à l'accommodation
certains mouvements, par certains actes ; il un mo- ment donné, la réaction , si compliquée qu'elle soit, va se produire d'une
ntractions obtenues sont lentes avec N F C P F C. Donc il y a de la réaction de dégénérescence dans ce muscle. Dans les port
ce muscle. Dans les portions moyenne et inférieure du trapèze, les réactions électriques sont fortement diminuées sans modif
dien, grand dorsal, grand rond, grand pectoral, deltoïde, etc., les réactions électriques sont normales en quantité et en quali
termine une douleur intense en même temps que se déclare une subite réaction manifestement hystérique (sensation de houle, b
èrement s'ils se trouvent dans le voisinage des masses osseuses. La réaction est bonne dans les muscles de la mimique, de l'
89 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
de son excellente monographie, prête une attention spéciale à la réaction musculaire qu'on constate après la trac- tion n
'anesthésie est plus étendue. Peu de temps après, il se produit une réaction dégénérative absolue des muscles paralysés et d
agit comme l'excitation faible chez l'individu sain, mais alors les réactions se font plus lentement (autonomie des centres n
surface du corps, la destruction de ces régulateurs engendre des réactions paresseuses et incomplètes, des stases et de l'hy
dépression psychi- que, demi coma (demi conscience, mais défaut de réaction des pupilles et de la cornée). Durée totale, de
excité, et un peu en avant; en même temps, inspiration convulsive, réaction contractile des téguments abdominaux qui repous
préparation conser- verait sa clarté pendant des mois, ainsi que sa réaction alca- line ; il ne s'y formerait pas d'acide br
réaction alca- line ; il ne s'y formerait pas d'acide bromhydrique ( réaction du violet^de méthyle). P. K. 1 : O 0 REVUE DE
s, bien connues, pour détermider le temps phy- siologique (temps de réaction d'Exner), faites par Helmholz, Dohders, Wundt e
mouvement qu'il lui faudra faire, et que, grâce à cela, le temps de réaction se raccourcit précisément du même laps de temps
cle.) 1 éléments Gaiffe 1 = 0,5 milliampères KSZ - Pas d'autres réactions . 8 éléments : I = 2,25 milliampères, KSZ Pa
réactions. 8 éléments : I = 2,25 milliampères, KSZ Pas d'autres réactions . . 12 éléments : I = 5 milliampères. KSZ KS
es mono-sodiqueset mono-potassiques. L'examen mi- croscopique et la réaction de la murexide confirment la présence d'urates
s épithéliales. 2° Examen physico-chimique : ' Densités 1031. 1 Réaction acide. L'acidité totale mesurée après l'éliminati
tion acide. L'acidité totale mesurée après l'élimination des sels à réaction amphotère, par la potasse et le chlorure de bar
des tendons sont visiblemet 308 PATHOLOGIE NERVEUSE. exagérés. La réaction des muscles et des nerfs sur les deux courants
t, cette futilité ? ou un état d'irrita- bilité émotive amenant une réaction disproportionnée à l'impression ou un affaiblis
ée, née à l'impro- viste dans un organisme sain, n'amenant aucune réaction et susceptible d'être mise au service de la pas
ien de l'état hypno- tique que de la bonne foi de la malade par les réactions neuro- musculaires bien connues maintenant. C
d'un myosis très net. 1 Voy. Archives de Neurologie, t. IV, p. 404. Réaction des pupilles chez les aliénés. z 414 REVUE
a), par Senator, 49 U. Psychoses combinées, par Siemens, 101. Réactions électro-magnétiques des nerfs et des muscles ma
90 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
forme Charcot-Marie; due manifestement à des lésions nerveuses avec réaction de dgé- nérescence et contractions librillaires
n, la démarche est incertaine; on constate 1 : signe de Romberg, la réaction dégénérative, la dispa- rition des réflexes pat
ces cas une combinaison de troubles fonction- nels organiques et de réactions moniales anormales; celles-ci sont les équivale
lles ne constituent d'ailleurs pas le symptôme maladif, ce sont les réactions pathologiques qu'elles provoquent qu'il faut con-
agistralement fixée; aussi vous ne tarderez pas à nous informer des réactions qu'elles déter- minent sur le mécanisme nerveux
s de l'infection et les neurologistes s'attachèrent à étu- dier ses réactions et ses altérations en présence des agents micro-
ant : Troubles. SOCIÉTÉS SAVANTES. 213 214 SOCIÉTÉS SAVANTES. réaction d'un centre moteur qui donne, sous l'influence de
d'aucune dou- leur, mais quelquefois il se produit à leur suite une réaction avec sensation d'onglée. Dans l'asphyxie loca
e brûlure, des élancements; après l'accès se déclare une période de réaction avec fourmillements insupportables, puis la pea
a cyanose de Raynaud se manifeste par accès suivis d'une période de réaction , qu'elle s'accompagne souvent de douleurs très
tend bien connaître, on remarque une diffé- rence sensible dans les réactions motrices ; elles ne vont pas d'ail- leurs jusqu
u système gastro-intestinal. Urine : Couleur, consistance, odeur, réaction , densité. Urine anormale : urée, phosphates, ch
les génitaux, certaines modifications des réflexes tendineux et des réactions élec- triques. Quelques mots sur les principaux
iphérique. Il se base sur le carac- tère normal des réflexes et des réactions électriques, sur la persis- tance de faisceaux
se embryonnaire, il s'agit là d'une dégénérescence provoquée par la réaction inflammatoire. La substance grise est particulièr
bilité est innervée dans tous ses modes. Aucun stigmate d'hystérie. Réaction hémiopique de la pupille à la lumière. Bien qu'
, c'est l'amaigrisse- ment rapide, les secousses fibrillaires et la réaction de dégénéres- cence ; 2° Des affections de la
es, c'est l'amyotrophie, qui ne montre ni secousses fibrillaires ni réaction de dégénérescence. (Revue Neurologique, février 1
cette dénomination tous les effets, transitoires ou permanents, de réaction , transformations ou traces d'un changement fonc-
se trouve contraste violem- ment avec ce qu'il attendait. D'où des réactions variées : défiance, colère, anxiété, idées de p
constantes mais d'origine se- condaire : ces lésions constituent la réaction nécessaire d'un centre en souffrance et ce n'es
cliromatopliiles subissent une dissolution plus ou moins complète, réaction à distance du nerf lésé, et la 2 ? que l'on pourr
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ressante à connaître qu'en raison des réactions motrices qu'elle enlraîne, elle peut s'associer
91 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
n apparition. La diplopie est l'un des plus fréquents. C'est là une réaction fondamentale sur laquelle insiste notre maître M.
, urinaire, génital. L'état général est bon. , Examen électrique. Réaction de dégénérescence légère du jambier antérieur g
égère du jambier antérieur gauche. Pas d'inversion de la formule de réaction , mais on a du côté gauche une contraction franc
m. A. A droite avec la même excitation il n'y a pas de contraction. Réactions faradiques normales peut-être un peu exagérées.
isation, appartenir aux dégénérescen- ces m situ, provoquées par la réaction inflammatoire intense du processus local. Les
ineux ; mydriase, accommodation fortement paresseuse et môme aucune réaction pendant la convergence. Pas de rétrécissement d
pendant 15 jours). Ces injections sont mal tolérées par suite d'une réaction douloureuse locale. Aussi n'amènent-elles pas l
d'éruption dans les autres régions, intégrité des muqueuses; pas de réaction générale. L'oedème des james est plus marqué que
l fut pour- tant frappé du peu de sensibilité de l'urèthre dont les réactions douloureuses étaient presque nulles en regard d
aine de la mort du foetus, le temps écoulé avant la fixation et les réactions particulières imputables il celle-ci. 11 nous s
nt des réflexes tendineux et cutanés. Pour ce qui est de l'état des réactions électriques, actuellement on constate d'une faç
s, actuellement on constate d'une façon très nette les signes de la réaction de dégénérescence partielle, dans l'extenseur c
arlant. Dans les muscles du mollet (jumeaux interne et externe) les réactions électriques sont normales au point de vue quantit
est presque égal à P.F.C., c'est-à-dire qu'il existe des traces de réaction de dégénérescence. A la cuisse, l'excitabilité él
e pas de modi- fications qualitatives. Aux membres supérieurs les réactions électriques sont normales. Voyons un peu commen
sensibilité, l'a- bolition des réflexes tendineux, les signes de la réaction de dégénéres- cence. ' Vers la même époque le
e d'atrophie musculaire, de la perte des réflexes, des signes de la réaction de dégénérescence. (1) Bailtox, paripheral Neur
92 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
is donné l'ordre de faire une première saignée immédiatement après la réaction qui suit le frisson. La saignée générale devait ê
is parotide, et, avec elle, prostration excessive sans aucun signe de réaction générale. La vie semble échapper par défaut de fo
l'intestin grêle d'un individu mort du choléra, pendant la période de réaction , le 21 décembre i832. Cette anse intestinale, not
ge dans le rectum. 4. La dysenterie légère s'accompagne rarement de réaction générale; tout semble se passer localement. La dy
fut moindre. Le i/j au matin, pour la première lois, je trouvai une réaction fébrile très prononcée, et cette réaction me donn
emière lois, je trouvai une réaction fébrile très prononcée, et cette réaction me donna un peu d'espérance. La teinte iclérique
une mèche fort mince propre à servir de filtre. Le ?5 décembre, la réaction fébrile continue, le pouls est plein, fort , à 12
if. Ce pouls fléchit immédiatement après une saignée intempestive; la réaction s'éteint, et le malade succombe beaucoup plus pro
parfaitement intactes. Cet état s'accompagne rarement d'une fièvre de réaction . Les malades guérissent spontanément par le seul
est considérablement tuméfié. L'état général est excellent. Point de réaction fébrile. La maladie est purement locale, et l'exa
r assis, ce qui me surprend et m'afflige ; car l'orthopnée, c'est une réaction . La cyanose et l'algidité me parurent venir de
z le malade par de trop abondantes saignées, craignez que la force de réaction ne vous fasse défaut, et que les accidens les plu
ons sanguines. Celles-ci ne peuvent trouver leur place que lorsque la réaction s'est opérée, et, si l'épanchement est très consi
ction s'est opérée, et, si l'épanchement est très considérable, cette réaction , qui est accompagnée de symptômes de compression
forte pression; soupçon de liquide dans la cavité abdominale ; légère réaction fébrile. Pour commémoratifs, je recueillis que
m, iv, v, p. i5. — Choléra moyen très intense chez une femme débile; réaction ; lutte pendant douze jours. Utilité de la méthode
uze jours. Utilité de la méthode anti phi ogis tique à la suite de la réaction . Convalescence pénible, traversée par de nombreux
aspliyxiquc.= Cas de choléra asphyxique rapidement mortel ; point de réaction ; pour toute lésion, quantiié considérable de liqu
ra asphyxique survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction . Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quanti
'étaient écoulées. Evacuations alvines et vomissemens teints de bile. Réaction vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimab
nflammation et eschares de l'intestin grêle. Dangers de la période de réaction . 14e liv., pl. 1, 11, ni, iv, v, p. 2g. — Choléra
. 1, 11, 11, iv, v, p. 3o. — Surveillance que nécessite la période de réaction . = Choléra très grave arrêté à la première périod
tement de la période de concentration. Thérapeutique de la période de réaction . 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 5t. — Thérapeut
, m, iv, y, p. 15. —Choléra moyen très intense chez une femme débile; réaction , lutte pendant douze jours ; utilité de la méthod
douze jours ; utilité de la méthode antiphlogistique à la suite de la réaction ; convalescence pénible traversée par de nombreux
asphyxique. = Cas de choléra asphyxique rapidement mortel ; point.de réaction ; pour toute lésion quantité considérable de liqu
ra asphyxique survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction . Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quanti
'étaient écoulées. Evacuations alvines et vomissemens teints de bile. Réaction vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimab
nflammation et escharcs de l'intestin grêle. Dangers de la période de réaction . 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 2g.— Choléra as
, pl. 1, n, m, iv, v, p. 3o.—Surveillance que nécessite la période de réaction . = Choléra très grave arralé à la première périod
ement de la période de concentration .^Thérapeutique de la période de réaction . 14e liv., pl. 1, n , m, iv, v, p. 5i. —Thérapeut
ement de l'aorte sans altération des parois. 40e liv., pl. m, P- 9- RÉACTION . De la réaction dans le choléra. 14e liv., pl. 1,
sans altération des parois. 40e liv., pl. m, P- 9- RÉACTION. De la réaction dans le choléra. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p.
1, m, iv, v, p. ig, 42. — Thérapeutique du choléra dans la période de réaction . 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i. — Réaction
a dans la période de réaction. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i. — Réaction des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv.,
ubercules cancéreux à la surface des reins. 23e liv., pl. v,p. 4. — Réaction des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv.,
. i, n, m, iv, v, p. ôo. — Avantages de la saignée dans la période de réaction . 14e liv., pl. i, n, m, iv, v. p. 5/, — Abcès hép
14e liv., pl. i, n, m , iv, v, ». ¿5.— Thérapeutique de la période de réaction du choléra. 14e liv., pl. i, n, ni, iv, V, ». 5
93 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
pas à reparaître, et alors deux cas peuvent se présenter : tantôt la réaction acquiert d'emblée les caractères plus ou moins tr
on le perçoit cepen-dant et il paraît mélangé de râles muqueux fins. Réaction fébrile de moyenne intensité ; prostration, pas d
lées, fondues en un magma, remplies de cristaux aciculés, offrant les réactions delà margarine sous l'influence de l'éther et de
diffère du pigment hématique par ses caractères morphologiques et ses réactions chimiques. — Mode de formation et caractères micr
anine. Mais ici encore la question pourrait être résolue à l'aide des réactions chimiques, car cette substance se dissout dans le
e potasse, ces particules prenaient une coloration d'un bleu intense, réaction qui établit d'une façon bien nette leur na-ture.
régale laissaient un résidu soluble dans l'acide fluorhydrique, etc., réaction caractéristique de la silice. anthracose des mo
semblance qui existe, au point de vue des caractères physiques et des réactions micro-chimiques, entre la matière caséeuse et la
s dispositions notées dans les globules blancs normaux soumis à cette réaction . D'autres globules ne font que pâlir, sans qu'auc
blancs, montrant les principales variétés qu'on remarque avant toute réaction , sont présentés dans la fig. 41, a. Les globules
dans le sang nous pa-raissent formés par une substance organique. Les réactions que nous avons indiquées n'appartiennent pas aux
cétique, sans dégagement de bulles de gaz (on n'a pas essayé d'autres réactions ), et surtout leurs for-mes, permettent de croire
es et se plaint de douleurs fixes dans les deux côtés de la poitrine. Réaction fébrile peu pronon-cée, pouls très petit, mais pe
n gauche. (Potion : tartre stibié, 0.10, diète). Le 23 et le 24, la réaction se prononce : la malade s'agite beau-coup et parl
rente-six heures, frisson violent. Utérus sensi- ble à la pression, réaction fébrile intense. Au bout de trois jours, la malad
âgé de trente ans, éprouve tout à coup un frisson violent suivi d'une réaction fébrile intense. L'aus-culation de la poitrine ne
'est que le malade est profondément anémique et qu'il présente peu de réaction fébrile. L'auscultation du cœur démontre l'existe
diffère du pigment hématique par ses caractères morphologiques et ses réactions chimiques. — Mode de formation et caractères micr
granu-lations de —, 329 ; — corpuscu-les, cellules de —, 326, 3."0 ; - réactions chimiques, 330 ; — nombre des grains de —, 30 ; —
94 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
êmes sensations produisent chez les animaux et chez l'homme les mêmes réactions réflexes * CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Soci
e pouvoir se paient et qu'ils peuvent être un jour suivis d'une forte réaction 1 Quant à l'Académie, elle méritera son titre de
doit être accompli. Il faut avoir une souplesse et une sensibilité de réactions nerveuses particulières. Or l'homme veut bien f
heuses tendances. Moins de science et plus de bon sens s'imposent. La réaction salutaire a été commencée par des maîtres comme R
u d'être conduit à la mort il allait gravir les degrés du pouvoir. La réaction fut si forte qu'il fut pris d'un accès de joie dé
it, à un individu atteint de débilité mentale ; irritabilité morbide, réaction impulsive, faiblesse et infidélité de la mémoire,
est également l'opinion de M. Sollier, mais c'est précisément sur les réactions et les sensations des centres modifiés, comme nou
vant son individualité, tel ou tel appareil symptomatique. « Quand la réaction se fait sous forme de crises de nerfs, on a appel
individus. Elle est constituée par l'exagération et la perversion de réactions psychiques et psycho-physiques normales, spéciale
e réactions psychiques et psycho-physiques normales, spécialement des réactions émotionnelles et des manifestations de la suggest
t, d'adaptation et le mécanisme du sommeil consiste en somme dans une réaction de désintérêt pour la situation présente. Par c
de l'intérêt momentané. Ici, de par le terrain, la prédisposition, la réaction de défense est exagérée, anormale, elle constitue
tel ou tel acte et les stigmates sont en somme la conséquence de ces réactions d'inhibition mentale défensive. Et, conséquent av
nadéquate, puisque les organes eux-mêmes ont été transformés, des réactions ancestrales de défense peaucière qui ont joué un
nces vont aux moyens doux, car un traitement qui laisse après lui des réactions douloureuses comme le galvanocautère par exemple,
lage de la pression artérielle, de la minéralisation organique, de la réaction urinaire, du sommeil et de l'état mental. Un chap
95 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du frappé est dans le plus profond coma. Cette différence dans la réaction de ces diverses parties de l'encéphale sous l'i
paralysie bulbaire progressive, Erb a même trouvé les signes de la réaction de dégénéres- cence, tels qu'il les signale dan
étion, sur la sensibilité, ou enfin ils consistent en phénomènes de réaction inflammatoire plus ou moins intenses et plus ou
ion des muscles, c'est une tendance à la sclérose qui imprime aux réactions un caractère d'élasticité tout particulier. L'h
, exagération des réflexes tendineux, diminution quantitative de la réaction électrique. Pas de trouble de la sensibilité, n
e diabétique ne sort plus. L'odeur caractéristique de l'haleine, la réaction des urines qui deviennent rouges par l'addition
les deux autres groupes de faits, l'urine et l'haleine offrant une réaction caractéristique, l'auteur pense qu'il s'opère dan
onservation constante de la motilité des extrémités ainsi que de la réaction pupillaire. On trouve à l'au- topsie dans le ve
alisée. P. K. XXXIV. LE traitement galvanique DU tabès dorsal ET la réaction anormale des nerfs cutanés SENSITIrS au courant
reprises sub- sidiaires, pour obtenir des effets satisfaisants. La réaction des nerfs de la peau offre, du reste, un moyen
mois, chez un même malade, fera place, pendant le traitement, à la réaction normale, dès que l'amélioration se fera sentir
oncerne la moelle, le cerveau, la sensibilité spéciale ou générale ( réactions électriques normales). Depuis le mois de novemb
immobilité des phénomènes, l'absence de caractère» géné- raux et de réactions morbides subjectives, la conservation de toutes
rie physiologique mise de côté, qu'il faut agir, sans solliciter la réaction volontaire des sujets, sans exiger de ces derni
, n'était que de lo p. 100. L'auteur rappelle, en terminant, que la réaction de la pupille, sous l'influence de la lumière,
ar Ross, 394. Tabes dorsal (le traitement galva- nique du et la réaction anor- male des nerfs cutanés sensitifs au cou
96 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
e foule de caractères, de rapports, de modifications, d'actions et de réactions qui nous échappent; elle sait que chaque jour nou
itude n'a pas-qualité pour déterminer la puissance des actions et des réactions des forces naturelles. Non, P. de Bonnïot, la m
t l'un était soustrait par suggestion à la douleur, ont manifesté de* réactions absolument différentes ; Tune suivant son cours n
s actes, un accroissement de l'impressionnabilité extérieure et de la réaction Habilité, si je puis ainsi m'exprimer, du système
ntal se résume en un mouvement giratoire, en une succession rapide de réactions : « réactions des idées sur les idées, des idées
en un mouvement giratoire, en une succession rapide de réactions : « réactions des idées sur les idées, des idées sur les sentim
reste, le médecin habitué à observer tous les jours la variabilité de réaction que présente la nature humrine, surtout quand l
épingle, la peau de l'avant-bras anesthésié sans provoquer la moindre réaction . Jeudi 7. — Nouvelle séance, faite en compagnie
si l'on veut, lui couper les jambes, sans qu'il sente rien. » Pas de réaction aux courants électriques; pas de sensibilité à la
rcu- laire* officielles en tont foi. Chez nous, c'est l'esprit de réaction coalisé ¦??? la routine qui s'efforce d'éterniser
t-il par occurrence d'une de ces natures malléables, craintives, sans réaction ? Les excès d; sévérité brisent le peu de ressort
s reçues par ses auto-suggestions, finit par se construire un mode de réaction à la suggestion, un ensemble d'obéissances et de
ertaine pression au niveau d'un tronc nerveux, on détermine les mômes réactions fonctionnelles que par l'électrisation du nerf. E
, mais une hyper-excitabilité cutano-musculairc qui provoque de vives réactions à la pression d'un muscle, au moindre contact de
jet a été observé avant toute éducation hypnotique et nous a donné la réaction de la grande hystérie. Et cependant. F... ne prés
i* Il y a des individus qui distinguent les corps d'après le genre de réactions qu'ils en éprouvent. Ces gens sont des sensitifs.
des nerfs est provoquée par quelque chose qui se produit là où il y a réaction chimique. Autre expérience.— Une meule à aiguis
97 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
lvanisation de l'encéphale à travers ses enveloppes a produit ici une réaction d'ensemble, quoique Charcot ait noté qu'elle a ét
male — l'expérience nous l'apprend — est suivie impitoyablement d'une réaction , d'un affaissement, d'une rétrocession de la forc
l'une était soustraite par suggestion a la douleur, ont manifesté des réactions absolument différentes, l'une suivant son cours n
rement suggestible. II est encore des occasions où notre pouvoir de réaction personnelle aux influences extérieures sera dimin
ues des émotions et de montrer que ces conditions sont identiques aux réactions tomatiques résultant do l'action des agents physi
aire. Je pique, je pince, j'électrise le coté anesthésie. sans aucune réaction Et cependant le jeune homme est très pusillanime;
du vinaigre introduit dans la narine gauche, ne détermine ni odeur ni réaction . J'introduis le papier au delà de la narine jusqu
otec- trice qui enkysle la balle ei la rend moffensive ; ou bien la réaction engendre du pue qui distend les tissus et se fait
s et déduire de cet examen la nature du mal. provoquer ou activer les réactions nécessaires à la restauration organique et foncti
enu une vérité scientifique qui se démontre rigoureusement, comme une réaction de chimie. Une nouvelle psychologie expérimentale
ux mômes excitations, même lorsqu'ils sont seuls. L'association de la réaction morbide de l'excitation une fois (1) Calderwood
14 février eut lieu la deuxième cautérisation, qui ne provoqua aucune réaction . En même temps j'eus l'idée de masser tous les
ons pu constater : Du côté des yeux seulement, une diminution de la réaction de la pupille gauche. Du côté du corps thyroïde,
donne les résultais suivants au point de vue do la sensibilité : La réaction semble nulle du côté droit; elle est au contraire
qui amènent une déviation de la commissure droite. Du coté gauche, la réaction est très nette et telle que chez un individu sain
s de l'avant-bras. Comme nous l'avions prévu, nous n'observons aucune réaction ; la main retombe inerte ou reste maintenue dans l
s les nerfs et les tendons touchés ne donnent pas à l'excitation leur réaction spéciale. La preuve éuit amplement faite. Nous
98 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
de l'enchaînement des idées, de leur génération réciproque, de leur réaction sur les sentiments et des sentiments sur elles,
{fig. 6, A), une série de petites oscillations qui sont dues à la' réaction des antagonistes, provoquant à leur tour le phé
de plomb (0,25 1,50 : 700 Aq.), il a constaté des paraplégies avec réaction de dégénérescence. Tel est le point de départ d
cétate deplomb, dans les expé- riences précédentes, aucune trace de réaction de dégénérescence, aucun changement quantitatif
que peuvent présenter ces organes, et par suite, des changements de réaction électrique qui sont liés à ces processus. Ainsi
ans trace de paralysie ou de faiblesse ; mais ils pré- sentaient la réaction de dégénérescence la plus prononcée. R. Y. XV
Enfin, ceux qui présentent les' phéI1,Õmèn'ésBol'n : " pletsidp'¡a réaction dégénérative demandent dé trois à'six'mois'1 po
ment aucune impression, tandis que du côté sensible il provoque les réactions ordinaires. Quand la sensibilité est rétablie d
leurs perdues par l'oeil malade. Le même auteur a constaté que la réaction électrique manque dans l'anesthésie sensorielle d
. Il y aurait à rechercher si, pour les sensibilités spéciales, les réactions électriques se rétablis- sent avant l'aptitude
yé le courant gal- vanique, il eut obtenu ce que l'on a appelé la « réaction de dégénération », qui prouve la dégénérescence
e avec les yeux fermés. Pas d'altérations de la sensibilité ni de réactions électriques aux membres inférieurs. Réflexes norm
her, mais il n'existe qu'une atrophie purement fonctionnelle, et la réaction faradique est normale. L'anesthésie par l'éth
igence de l'homme, sans pren- dre en considération les organes. Une réaction s'est faite, qui ne date pas de loin, et l'on a
ctuellement régnante, et contre laquelle il essaie de réagir. Cette réaction , cependant, n'est pas allée et ne pouvait pas a
reur, car une fois la simu- lation découverte, il pouvait être, par réaction , entraîné à croire à la pleine responsabilité.
arfaitement saines. , C. T. XII. RECHERCHES expérimentales SUR la réaction dégénéra- TIVE ; par CHR. LEEGAARD. (Deutsch. A
suppression de l'excitabilité faradique, tandis qu'augmentaient les réactions galvaniques directes tout en présentant une alt
que; cinquante-sept fois il y avait immobilité réflexe absolue ; la réaction à la lumière était faible, douze fois ; ce qui
e, douze fois ; ce qui donne un total de soixante et onze cas où la réaction était diminuée, contre treize où elle était nor
m- pel, à savoir que dans le myosis sénile, sans complication, la réaction réflexe des pupilles à la lumière est conservée.
l'immobilité réflexe et ordi- nairement aussi le myosis, toutes ces réactions pupillaires font défaut. Chez un de ces malades
orts médico-légaux, 490. Rapport médico-légal , par Péon , 613. Réaction 574. Récurrents (paralysiebilatérale des),
99 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
. - Les réflexes rotuliens sont complètement abolis des deux côtés. Réactions électriques. - Normales. Examen ophtalmoscopiqu
mêmes muscles avec prédominance de l'anode et con- traction lente ( réaction de dégénérescence). Cette observation présente
scles extenseurs et des péroniers n'a aucu- nement rétrocédé, et la réaction de dégénérescence des muscles affectés n'est pa
ère. Le 21 février, il était complètement guéri. L'anes- thésie, la réaction de dégénérescence n'existaient plus, les muscles
siste au même degré qu'au début, qui remonte à plusieurs années. La réaction électrique des muscles est parfaite. Ce malade,
constant. » (Charcot.) Cependant, il est des cas dans lesquels une réaction assez vive s'est montrée dans les premiers temp
ugmenta de volume; il devint très gros, globuleux, mais sans aucune réaction locale. 11 était indolent; le genou était le si
eux occupant le creux poplité était considérable. 11 n'y eut aucune réaction ; aussi je pus, quelques jours après, faire des
a mojndre pression. Pendant ce temps, il n'y eut aucun phénomène de réaction du côté de l'articulation du genou. Après quinz
nulle part atrophiés, et, en tout cas, nulle part on ne trouve les réactions électriques de dégénérescence; les réactions élec
part on ne trouve les réactions électriques de dégénérescence; les réactions élec- triques, au contraire, m'ont paru normale
tre la jambe droite et la jambe gauche, de différence notable comme réaction au point de vue qualitatif; mais elle est beaucou
100 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ment isolées dans un organisme tout à fait sain. Les actions et les réactions des diverses parties du système nerveux et même
connues; je cite parmi elles l'inté- grité de la nutrition et de la réaction électrique qui se rattache à la dernière. Bien
affective (Affectbetrag), dont le moi se délivre ou par la voie de réaction motrice ou par un travail psychique associatif.
valeur affective du trauma psychique n'a pas été éliminée par la réaction motrice adéquate ou par le travail psychique cons
ts spasmodiques et finalement contracture, dysphagie, lenteur de la réaction des pupilles, dimution de la sen- sibilité, asp
anche 1 et tout'autour. se iproduittune coloration purpurine. Cette réaction est dite réaction delà tunique musculeuse des;
tour. se iproduittune coloration purpurine. Cette réaction est dite réaction delà tunique musculeuse des; vaisseaux).paralys
ÉDATIVE DE LA DUBOISINE CHEZ LES ALIÉNÉS. 227 manie aiguë avec vive réaction anxieuse à peu près continue. Un et 2 milligram
sie géné- rale, l'orateur traite des caractères différentiels de la réaction pu- pillaire directe et de la réaction pupillai
ractères différentiels de la réaction pu- pillaire directe et de la réaction pupillaire synergique (consen- suelle), contras
lus sous l'influence de l'excitation de l'autre oeil, tandis que la réaction di- recte ou synergique de celui-ci se produit
teur commun; on constate exac- tement les mêmes contrastes entre la réaction pupillaire directe et la réaction pupillaire sy
ent les mêmes contrastes entre la réaction pupillaire directe et la réaction pupillaire synergique, mais le mécanisme n'est pa
énérale semble normale à droite, en tenant compte de la lenteur des réactions qui est le fait de son état cérébral; elle est
ués au-dessus du sein et dans la région ova- rienne, provoquent une réaction assez vive (zones hystérogènes). Un des phénomè
ix mois et qui lui ôtent toute énergie personnelle, tout pouvoir de réaction . Les voix qu'elle perçoit ont changé de nature.
W. DE Beciiterew (Neurolog. CelzGrul6l., 1893.) Etude du temps de réaction simple ; du temps de différencia- tion ; du tem
t les moments de la journée sont accusées. Aussi est-ce lé temps de réaction simple qui présente le moins d'oscillations et
me que le défaut 'de culture, intellectuelle, ralentit le temps des réactions psychiques (V tindt,'Ignatov, Rairriôndo); 10"l'a
nse que l'atropine, elle ne gêne pas les mouvements pupillaires, la réaction à la lumière et à la convergence. De plus, les
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