i nous occupe, un gros intérêt. Vous savez tous, sans doute, que la
réaction
de dégénérescence est pathognomo- nique d'une l
modifi- cation de son excitabilité électrique, moins connue que la
réaction
de dégénérescence, mais tout aussi remarquable
leurs caractères. L'attitude du patient, sa physionomie, certaines
réactions
telles que les cris, les pleurs donnent, il est v
précis, circonstanciés ou lorsqu'ils s'ac- compagnent de certaines
réactions
dont j'ai déjà parlé brièvement. Je vais cherch
, est encore regrettable parce qu'elle détermine géné- ralement des
réactions
musculaires entravant l'observation de la contrac
arence : en employant certains moyens permettant de perce- voir des
réactions
motrices très légères, il se pourrait qu'on les m
la suite d'un choc d'une intensité insuffisante pour déterminer une
réaction
chez l'autre. b) Chez le premier sujet, avec un
ous constatons chez l'autre individu (aux réflexes forts), outre la
réaction
des fléchisseurs, des contractions dans d'autre
éloignés, dans le deltoïde par exemple. L'étendue du territoire des
réactions
motrices est donc variable. d) Chez le sujet au
une appréciation délicate, le temps perdu entre la percussion et la
réaction
est souvent beaucoup plus long que lorsqu'il s'
de l'« épuisement » les percussions successives donnant lieu à des
réactions
musculaires de plus en plus faibles on n'hésite
nsitives ; on l'observe non seulement dans les névrites graves avec
réaction
de dégénérescence, mais aussi dans les névrites d
scle qu'à celle du système nerveux ; l'absence des caractères de la
réaction
de dégénérescence et l'abolition de l'excita- b
, tandis que la môme manoeuvre du côté malade n'est suivie d'aucune
réaction
du côté sain ou ne détermine qu'une adduction m
sou- vent à une atrophie musculaire. Bien plus, l'amyotrophie sans
réaction
de dégénérescence, sans secousses fibrillaires
ud a appelé l'attention ; plus forte, elle détermine, en outre, des
réactions
dans les muscles du membre inférieur se manifes
ectivité est alors bilatérale. Il en résulte que l'absence de toute
réaction
motrice appréciable, après excitation de la par
ix). A vrai dire, il ne s'agit pas là d'un réflexe cutané, mais les
réactions
obtenues ainsi ne diffèrent pas de celles qu'on
' HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE io3 cussion et la
réaction
est d'une durée excessive, soit parce que le mode
proportion- nalité entre l'intensité de l'excitation et celle de la
réaction
, le rapport entre ces deux éléments peut varier
iques, je vais décrire les phénomènes que j'ai en vue. Il s'agit de
réactions
motrices consécutives à des excitations cutanées
citations profondes. Pour commencer, j'envisagerai unique- ment les
réactions
observées aux membres inférieurs du côté excité,
és par le pied, la jambe et la cuisse. Voici en quoi consistent ces
réactions
: sous l'influence d'excitations du mem- bre in
déterminer ainsi une sorte de contracture transitoire. Ce mode de
réaction
(triple flexion) susceptible d'être obtenue par d
d'une extension des trois segments. Voici une autre modalité de la
réaction
dont je m'occupe : le pincement de la peau de l
e proportionnalité entre l'intensité de l'excitation et celle de la
réaction
, le rapport entre ces deux éléments peut varier
t d'aller plus loin, je dois discuter les questions suivantes : les
réactions
signalées sont elles toutes pathologiques ? quelq
es caractères permettant d'affirmer la nature patholo- gique de ces
réactions
ou de quelques-unes d'entre elles ? Pour résoud
de la voie pyra- 13À.niNsx 1. 9 130 SÉMIOLOGIE midale. Ces deux
réactions
motrices se produisent généralement dans les mê
faisais déjà remarquer que le plus souvent l'extension des orteils (
réaction
pathologi- que) est exécutée avec plus de lente
être d'accord avec les auteurs précédents sur le méca- nisme de ces
réactions
motrices, ne veut établir aucune distinction entr
es parties du pied et de la jambe peut provoquer à la fois ces deux
réactions
. Mais, encore une fois, l'une peut se produire
des plus franches ; il est à remarquer qu'il n'y avait pas trace de
réaction
de dégénérescence dans les muscles de la jambe. M
ide avec un réflexe plantaire en flexion bien qu'il n'existe pas de
réaction
de dégénérescence dans les muscles de la jambe.
logique se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la
réaction
, au lieu de s'opérer dans le muscle dont le ten
antérieurement ; d'autre part, rien n'au- torise à admettre que la
réaction
obtenue dans les expériences de Schaefer consti
'ai montré, en effet, que chez les hémiplégiques qui présentent ces
réactions
, extension des orteils et flexion du pied, cell
e, affection dans laquelle la voie pyramidale est intéressée. Les
réactions
décrites ultérieurement par Oppenheim sous la dén
nt assez étroit. Et quelles sont les relations entre ces diverses
réactions
et la surréflec- tivité tendineuse qui, elle au
ont énoncées. Auparavant, je dois compléter ce que j'ai dit sur les
réactions
obtenues par l'excitation du membre inférieur,
eurs anglais appellent « local sign » et qui consiste en ce que les
réactions
seraient différentes suivant les points excités
¡6 SÉMIOLOGIE réflexe(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des
réactions
motrices réflexes et a eu surtout en vue celles
Riddoch et Farquhar Buzzard ont fait une étude appro- fondie de ces
réactions
motrices dans un travail dont j'ai donné déjà l
dit en passant, que son objection soit juste ; peu importe que les
réactions
motrices puissent être obtenues aussi par l'exc
d'aucune manifestation de ce côté, donne lieu du côté opposé à une
réaction
motrice brusque, en même temps qu'elle détermin
ie, l'excitation des téguments du membre inférieur est suivie d'une
réaction
motrice du membre supé- rieur du côté sain, dif
ains cas, nous avons été frappés par la constance avec laquelle ces
réactions
se produisaient. On pouvait à volonté, en pinça
fievue Neurologique, 3 mars I ! P, p. 3oo. 1554 ' SÉMIOLOGIE Ces
réactions
motrices diffèrent cliniquement de celles que nou
autres peuvent d'ail- leurs être associées. Nous pensons que les
réactions
observées chez les malades qui font l'objet de
ns. Au début de cette conférence, j'ai tracé un parallèle entre les
réactions
motrices consécutives aux excitations périphéri
action du tenseur du fascia lata ; mais ce qu'il y a de spécial aux
réactions
physiologiques, c'est qu'on ne les obtient que
ins amples. A l'état pathologique, la triple flexion (seule mode de
réaction
que j'envisage r : ï6 ,)6 SÉMIOLOGIE ici) sem
r excitation de l'abdomen ou du thorax. A l'état physiologique, ces
réactions
ancestrales se sont maintenues, mais ont subi d
s, ceux qui correspondaient aux centres spinaux, ils ont inhibé les
réactions
susceptibles d'être nuisibles à l'individu et ont
sse ou de l'abdomen ne pourrait avoir que des inconvénients ; cette
réaction
a donc été supprimée. Que sous l'influence d'une
me indépendamment de la volonté, cela ne peut être qu'utile ; cette
réaction
a donc été conservée. Mais il y a intérêt aussi,
ais il y a intérêt aussi, au point de vue de la marche, à ce que la
réaction
ne soit pas de longue durée; aussi la décontrac
saisit ainsi les raisons pour lesquelles, à l'état physiologique, les
réactions
motrices qui me paraissent ressortir aux réflex
e des orteils aux réflexes précédents.. Si à l'état pathologique la
réaction
habituelle des orteils, l'extension, peut être
Cette flexion des orteils ne serait-elle pas aussi le témoin d'une
réaction
ancestrale, ayant apparu toutefois à une périod
emment question, période où les orteils servaient de griffe ? Cette
réaction
avait aussi en partie la protection pour but, m
n'est pas contradictoire si l'on admet que la flexion des orteils,
réaction
physiologique il est vrai, est le reliquat d'un
orteils, réaction physiologique il est vrai, est le reliquat d'une
réaction
ancestrale, et si l'on se rappelle que chez l'adu
kowski ayant pour titre : « Sur les mouvements, les réflexes et les
réactions
musculaires du foetus humain de 2 à 3 mois et l
e chaque partie des téguments peut servir de zone réflexogène à des
réactions
motrices très variables, proches et lointaines, a
de défense ou d'automatisme médullaire de celle qui appartient aux
réactions
volontaires. Mais notre intention n'est pas de ra
, par Babinski). Ce mode d'excitation n'est suivi d'aucune sorte de
réaction
quand on pince le côté droit (côté anesthésié);
excitation de la peau du côté de la lésion et se traduisant par une
réaction
motrice du côté des troubles sensitifs. Cette réa
uisant par une réaction motrice du côté des troubles sensitifs. Cette
réaction
est accompagnée d'une grimace et d'une secousse
e malade accuse une sensation particulièrement désagréable. Cette
réaction
se laisse déclencher avec facilité quel que soit
é des excitations doit être ici considérablement accrue pour que la
réaction
se produise. Observation II. Il s'agit d'un mal
e ici cette observation; nous nous contenterons de noter que si les
réactions
motrices consécutives aux excitations n'ont pas
la distribution cutanée de la 2e racine cervicale, déterminait une
réaction
énergique dans tout le membre inférieur du côté
é. Le pincement du côté gauche (côté anesthésié) ne provoquait aucune
réaction
homo ou contralatérale. Quelques mois plus ta
ues mois plus tard, l'état du blessé s'étant notablement amélioré, la
réaction
motrice ci-dessus signalée a disparu ; il est à
uleurs existent encore. Le malade nie la syphilis ; d'ailleurs la
réaction
de Wassermann, faite à plusieurs reprises, s'es
uée à plusieurs travers de doigt au-dessus de l'ombilic; mais cette
réaction
est inconstante et relativement faible. ' Les e
èrement marquée dans le ter- ritoire hyperalgésique, mais les mêmes
réactions
peuvent être parfois provoquées par des excitat
vie d'aucun mou- vement de ce côté, donne lieu du côté opposé à une
réaction
motrice brusque, en même temps qu'elle détermin
ature de ces phénomènes ? On doit se demander s'il ne s'agit pas de
réactions
volontaires provoquées par des excitations déter-
stem, p. 352). Voici les raisons qui militent contre l'hypothèse de
réaction
volontaire : a) Il est à remarquer d'abord que
n. Il nous semble inadmissible qu'un phénomène aussi paradoxal, une
réaction
tellement différente des réactions voulues qu'o
un phénomène aussi paradoxal, une réaction tellement différente des
réactions
voulues qu'on exécute à la suite des excitation
volontaire. Il nous paraît donc incontestable qu'il s'agit là d'une
réaction
motrice involontaire, c'est-à-dire d'un mouveme
vue semblent liés, au moins pour une part, à l'hyperalgésie ; ;. la
réaction
motrice est d'autant plus forte que la douleur pr
ve et, comme on l'a vu dans l'observation II, la disparition de ces
réactions
spéciales semble avoir coïncidé avec la régress
La flexion du pied qui constitue, comme l'un de nous l'a montré, la
réaction
la plus caractéristique, le criterium des réflexe
i défaut. d) Enfin, ainsi que nous l'avons déjà fait ressortir, les
réactions
motrices, bien loin de se produire uniquement o
des grimaces, du spasme res- piratoire, du cri (étant admis que ces
réactions
sont réflexes), ainsi que ce fait que les réact
t admis que ces réactions sont réflexes), ainsi que ce fait que les
réactions
motrices du membre inférieur peuvent être déclen-
. Si le membre inférieur du côté de la lésion ne participe pas à la
réaction
motrice, c'est vraisemblablement parce que l'ex
inale. Et si l'excitation de la zone anesthésiée ne provoque aucune
réaction
motrice, c'est sans doute parce que dans son pa
s faits que nous venons de relater établit l'existence de certaines
réactions
motrices qu'il faut distin- guer d'une part des
lexes dits de défense ou d'automatisme médullaire, d'autre part des
réactions
motrices volontaires, et qui sont en quelque so
t qui sont en quelque sorte intermédiaires entre ces deux ordres de
réactions
('). (') Dans l'hémiplégie liée à une lésion cé
aît parfois qu'après deux ou trois excitations suivies encore d'une
réaction
pupillaire ; c'est aussi pour ce motif que généra
pupilles examinées avant l'application du bandeau présentaient une
réaction
à la lumière faible mais nette, j'ai cru remarq
naux semi- circulaires produirait des mouvements différents ; or la
réaction
paraît être la même, que l'on excite l'un des t
nthe, en faisant passer un courant gal- vanique de courte durée, la
réaction
voltaïque conjuguée de la tête et des yeux fait
chaque épreuve ves- tibulaire, il se produit, en sens inverse de la
réaction
et après elle, une contre-réaction. Celle-ci,
ystagmus provoqué. Ce phénomène a donc les caractères d'une contre-
réaction
. Enfin la déviation angulaire se manifeste si on
qui, à une période donnée, offrent une très grande analogie avec la
réaction
de dégénérescence. Chez le lapin, j'ai observé
est la cause de ce phénomène ? Et d'abord quelle est la cause de la
réaction
de dégénérescence qui apparaît à la suite de cert
te de certaines lésions des nerfs ? On admet généralement que cette
réaction
, en parti- culier la modification qualitative d
erfs sont dégénérés. Mais si l'on consi- dère que les caractères de
réaction
de dégénérescence peuvent apparaître dans certa
orphologiques à peine appréciables, il y a lieu de penser que cette
réaction
de dégénérescence tient, au moins pour une part
221 t que sur les fibres musculaires, ce qui revient à dire que la
réaction
dite de dégénérescence ne serait, en partie au
action dite de dégénérescence ne serait, en partie au moins, que la
réaction
propre des fibres musculaires sans aucune inter
. Si cette idée était exacte, il serait légitime, pour expliquer la
réaction
de dégénéres- cence dans les muscles après la m
s delà contracti- lité électrique ayant aussi de l'analogie avec la
réaction
de dégénérescence. (2) J. Babinski, Société de
les muscles était brève et en éclair ; il n'y avait aucune trace de
réaction
lente ou d'inversion de la formule. Le nerf fac
éclatante ('). A PROPOS DE LA COMMUNICATION DU Dr BORDIER SUR LES
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES D'EIYPOTHERMIE LOCALE ? ) M. Bordie
iques que M. Bordier s'attache surtout. Il a observé, en hiver, des
réactions
électriques d'hypothermie locale dans les cas d
u du pied. Sous l'influence du réchauffement par la diathermie, les
réactions
électriques redeve- naient normales. MM. Babi
et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec
réaction
de dégénérescence. La surexcitabilité musculair
re est froid, et après réchauffement. Si la méconnaissance de ces
réactions
d'hypothermie locale fait courir le risque de c
ent, sous l'in- fluence de la réfrigération, présenter de pareilles
réactions
, expose à une erreur d'ordre inverse : il a con
DE DEUX COURANTS EN ÉLECTRODIAGNOSTIC ET EN ÉLECTROTHÉRAPIE(') LA
RÉACTION
FARADIQUE LATENTE, LA FARADO-GALVANISATION, LA
çaise d'Electrothérapie ('), nous avons attiré l'attention sur une
réaction
électrique nouvelle que nous avons appelée exci
ux, atteint depuis plusieurs mois d'une névrite des deux jambes. La
réaction
de dégénérescence paraît complète par l'explo-
t l'inexcitabilité faradique, la contraction lente, l'inversion, la
réaction
longitudinale. Mais si l'on fait traverser par
ulaire par. l'excitation du nerf sciatique poplité externe. Cette
réaction
pourrait être considérée comme un échelon entre l
te, on puisse obtenir la contraction des muscles présen- tant cette
réaction
, sans avoir recours à la voltaïsation ; nous y ve
ons. Peut-être pourrait-on formuler, provisoirement au moins, cette
réaction
de la manière suivante : (') Babinski, Delher
contraction lente au courant galvanique. La distinction de cette
réaction
d'avec la D. R, complète nous parait justifiée.
re en pareil cas ? Pratiquer une ponction lombaire et rechercher la
réaction
de Wassermann. Si le résultat est positif, le tra
En pratiquant la même épreuve au cou-de-pied droit, on observe des
réactions
analogues mais moins marquées. ' TORTICOLIS SPA
SMODIQUE 265 Les divers modes de la sensibilité sont normaux. Les
réactions
électriques des muscles se sont montrées absolume
esse Médicale, n° 46. CI,) Henri Meige, Dysphasie singultueuse avec
réactions
motrices tétaniformes et gestes stéréotypes. So
constatera en règle générale l'unilatéralité ou la prédominance des
réactions
du côté malade ou le plus atteint. Quand les lé
amen pratiqué par le Dr Parinaud le 7 octobre. « Pupilles dilatées,
réactions
pupillaires nulles ; la névrite persiste avec peu
un syndrome sympathique unilatéral caractérisé par des troubles des
réactions
sudorales, pilomotrices, vasomotrices et thermiqu
contractions toniques des muscles lisses et striés, la sudation, la
réaction
pilomotrice, les spasmes vasculaires ont une du
t cavités médullaires ; syndrome de compression lente de la moelle et
réaction
pilomotrice permanente. Mmc J. Dejerine et J. J
pas provoquer de contraction du deltoïde mais elle est suivie d'une
réaction
du grand pectoral, du triceps et peut-être du b
des muscles atrophiés est très affaiblie mais on ne constate pas de
réaction
de dégénérescence. La sensibilité objective est
on lombaire est pratiquée et on constate une lymphocytose nette; la
réaction
de Wassermann est positive dans le liquide céphal
ssion cervicale ; la lymphocytose du liquide céphalo-rachidien avec
réaction
de Wassermann positive, la constatation du signe
aires atrophiés il n'y avait ni abolition complète des réflexes, ni
réaction
de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté
écision. Le liquide céphalo-rachidien n'est pas xantochromique ; la
réaction
de Bordet- Wassermann est négative; il n'y a pa
e ce genre comporte des aléas ; elle s'attaque à un organe dont les
réactions
sont souvent très vives et elle est pratiquée d
n'avoir aucune action nocive. (1) M. de Martel avait déjà noté des
réactions
inflammatoires de la dure-mère à la suite d'injec
e, les excitations, même très fortes, ne donnent naissance à aucune
réaction
de ce genre. Les troubles de la sensibilité cut
ties du tronc préalablement mouillées. On pouvait obtenir ainsi une
réaction
très nette consistant en une extension de la jamb
l de M. Froin, interne de M. Widal : « Inflammations méningées avec
réactions
chromatique fibrineuse et cytologique du liquide
amoindrie sont plus ou moins hypoexcitables électriquement, mais la
réaction
de dégénérescence fait complète- ment défaut.
érent à cet égard, d'un caractère gai ou porté à la mélancolie, ses
réactions
seront différentes vis-à-vis de la persuasion.
onnes, une accéléra-- tion des battements cardiaques, ainsi que des
réactions
vasomotrices et, quand on n'analyse pas ces fai
ives ou émotives. Si en effet la suggestion peut réaliser de telles
réactions
, il est bien évident qu'elle ne peut le faire q
ène psychologique, mais d'une suggestion toute chargée de violentes
réactions
affectives, d'attente, d'inquiétude ou d'émotio
attaque hystérique il y avait à faire jouer le rôle principal à des
réactions
vaso-motrices anormales, on ne concevrait pas l
produire une abolition complète ou une très grande diminution de la
réaction
cutanée plantaire (réflexe cutané plantaire et
ou aux quelques premières excitations cutanées ne présente plus de
réaction
si l'on renouvelle ces excitations et s'il est,
é électrique des muscles (sur- excitabilité ou subexcitabilité sans
réaction
de dégénérescence, fusion anticipée des secouss
s, des modifications purement quantitatives et non qualitatives des
réactions
électriques (tels étaient aussi les résultats d
de l'atrophie musculaire de la cuisse, sans trouble appréciable des
réactions
électriques. L'examen de la hanche montre une l
excita- tions par piqûres des membres sains ne provoquaient aucune
réaction
; le retour de la contracture, contemporain de
ort de réduction en pleine anesthésie et après disparition de toute
réaction
consciente provoquait un mouvement spasmodique
de tous les mouvements de la main et des doigts avec intégrité dos
réactions
électriques (main figée), Société de Neurologie,
des masses musculaires de la main, de l'avant-bras et du bras, sans
réaction
de dégénérescence. Les réflexes tendineux du me
vélait l'existence d'une lésion nerveuse et qu'elle équivalait à la
réaction
de dégénéres- cence : « Les praticiens n'ayant
remarquable lenteur; elle est aussi lente que dans bien des cas de
réaction
de dégénérescence caractérisée. Afin d'éta- bli
et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec
réaction
de dégénérescence. La surexcitabilité muscu- la
ie locale et qui disparait par le réchauffement. Il n'y a jamais de
réaction
de dégénérescence. Il y a parfois fusion antici
ale des autres parties du corps très émoussée, ce qui donnait à ces
réactions
douloureuses un cachet de sincérité. (') J. B
fonde à la main et à l'avant-bras. Il a été frappé par l'absence de
réactions
vis-à-vis d'excitants violents portant sur les ré
bserve : d'une part, dans le domaine du cubital, une paralysie avec
réaction
de dégénérescence des muscles hypothénar, adducte
e, par une sorte de cycle admi- rable, cette même intensité dans la
réaction
chimique entraine une plus active production de
constate que la percussion du tendon du triceps crural provoque une
réaction
extrêmement forte suivie d'une augmentation de
t-être à l'usage d'engrais artificiels. D'une particula- rité de la
réaction
de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janv
e (Id.). t4o. Sur le réflexe cutané plantaire. Différences dans les
réactions
correspondant à des différences dans le siège d
Bulletin médical, 17 janvier 1910). 166. Hypotonicité musculaire et
réaction
de dégénérescence (Société de Neurologie, 10 fé
ibution à l'étude de la syphilis familiale. Recherches à l'aide de la
réaction
de Wassermann (en collaboration avec Barré. Id.
des Hôpitaux, 22 mars r g r 2). igo. Contribution à l'étude de la
réaction
de dégénérescence. Excitabilité faradique laten
vier 1917). 245. A propos de la communication du Dr Bordier sur les
réactions
électriques d'hypothermie locale (Bulletin de l
ux. Société de Neurologie, 12 janvier 1922). 269. Hyperalgésie et
réactions
hyperalgésiques dans l'hémiplégie cérébrale (en c
ultanément, ce qui rend l'inspec- tion pupillaire plus facile et la
réaction
plus intense. Un appareil électrique ingénieux
age des deux moitiés de la rétine, mais avec une inégale intensité (
réaction
hémianopique relative). La recherche de ce sign
uvent se produit une dégénéres- cence atrophique du nerf optique.
Réaction
hémiopique de Wernicke. - 11 est un symptôme sur
n du sang et du liquide céphalo-rachi- dien, recherche du spirille,
réactions
du sérum). B. Hémianopsie sans lésion organique
culose et la syphilis (li 10), sont les causes les plus fréquentes.
Réaction
méningée, vomissements, céphalée continue, para
a mort, la pupille se dilate à nouveau par paralysie et, perd toute
réaction
. Infections générales, syphilis, diphtérie. La
transmise aux deux centres excito-réffexes du mésen- cépbale, et la
réaction
pupillaire est bilatérale. Si la voie centripète
ntractée tant que l'observé maintient son attention sur la lumière.
Réaction
pupillaire myotonique. Elle se voit dans le myosi
sions épithéliales autour desquelles la cornée, suivant son mode de
réaction
habituel, s'infiltre et blanchit. La dessicca
étiques de la surdité, des bourdonnements, de l'exa- gération de la
réaction
galvanique, des hallucinations. Mais les conditio
ans sa thèse. On la voit survenir dans l'otite aiguë simple ou avec
réaction
mas- Ioïdienne, dans les mastoïdites compliquée
oies respiratoires supé- rieures doivent protéger le poumon, et les
réactions
nasales aux irritations sont d'ordre défensif.
te s'incline d'un côté. Si le pôle positif est placé de ce coté, la
réaction
est normale; si c'est le pôle négatif, la réactio
é de ce coté, la réaction est normale; si c'est le pôle négatif, la
réaction
est pathologique : il y à une lésion organique
généralement par la ponction lombaire; souvent en même temps, si la
réaction
était anormale, le vertige redevient normal ; c
tache ne. révèle aucune lésion de l'oreille moyenne ou externe; les
réactions
de Pinne et de AVeber indiquent une lésion de l
sou- vent dilatées, parfois rétrécies, quelquefois inégales. Leurs
réactions
sont atténuées ou nulles. Nous sommes frappés d
gent causal. De plus, beaucoup de médicaments déterminent les mêmes
réactions
morbides, et cela ne laisse point que de restre
s atteints présentent de l'atrophie, des secousses librillaires, la
réaction
de dégénérescence. Ces caractères se retrouvent
sculaire fait à peu près complètement défaut le plus souvent, et la
réaction
de dégé- nérescence manque toujours. Les troubl
ngue du bulbaire vrai par l'absence de secousses fibrillaires et de
réaction
de dégénérescence. ' L'hémorragie et le ramolli
é de la motilité. Elle consiste donc en un (rouble intellectuel des
réactions
motrices soumises à la volonté. Nous n'avons
allucinations, des modifications du pouls et de la circulation, des
réactions
mimiques. Le malade, qui présente des hallucina
vateur aura à l'aire la part des différences d'interprétation et de
réaction
personnelles qui varient il l'infini avec les s
souvent défectueux (chez un hémiplégique, par exemple), du mode de
réaction
, variable suivant les individus, l'âge et le se
deux avant-bras gauche et droit, par exemple, et t'ou détermine une
réaction
du côté sain seulement. 11 faut, au contraire,
r la région qui présente des troubles, pour obtenir de son côté une
réaction
équiva- lente. "2" Localisation de la percept
n a construit des appareils pour mesurer avec précision le temps de
réaction
, mais leur dispositif compliqué et leur prix élev
l'atteinte primordiale des éléments essentiels de la racine ou les
réactions
et les dégénérescences qui en résultent. Dans les
du système nerveux. On saura ainsi tenir compte des différences de
réaction
individuelle, facteur très important dans l'app
lus souvent, elle est diffuse et semble devoir être attribuée à des
réactions
inflammatoires passagères des méninges, ainsi q
ien se trouve tiraillé. On perçoit avec la main fixe la plus faible
réaction
du triceps). 4° Constatation du réflexe. Le réf
r la violence de la contraction du triceps et par la vivacité de la
réaction
; les réflexes sont dits forts ou faibles, vifs ou
areil permettant de rechercher le seuil du réflexe et de mesurer la
réaction
(Bévue de Psychiatrie, juin 1908). Mais ce sont
entrmn- verte sans effort. A l'état normal il ne se produit aucune
réaction
, mais à l'état pathologique les deux lèvres se
ryngée ]mlbaire et pS('IHlo-bu]baire. Le réflexe palpébral est la
réaction
qui se produit quand on touche du doigt la corn
dierons successivement le signe de Kernig dans' la méningite ou les
réactions
méningées, puis dans les maladies du système ne
ois et Mauban. Achard et Paisseau ont publié des cas de ce genre.
Réactions
méningées des infections. On a pu observer, dans
ite et depuis, sa fréquence a montré qu'il s'agissait sans doute de
réactions
méningées légères. Dans la fièvre typhoïde, Net
e très important non seulement au point de vue du diagnostic de ces
réactions
méningées. mais encore comme particulièrement g
naire (Sainton et Voisin). On peut également le rencontrer dans les
réactions
méningées des intoxications, dans l'urémie (Thé
observé également dans le lumbago (Sainton et Voisin) en dehors des
réactions
cytologiques céphalo-rachidiennes. On l'a const
até le signe de Kernig dans les affections du cerveau en foyer sans
réactions
méningées, dans les hémorragies cérébrales, dans
ez des sujets normaux et être le plus souvent caractéristique d'une
réaction
méningée, qu'il s'agisse d'une méningite tubercul
l s'agisse d'une méningite tuberculeuse ou céré- bro-spinale, d'une
réaction
méningée infectieuse, légère ou d'une hémor- ra
nsité, la répartition des atrophies musculaires et des troubles des
réactions
électriques au niveau des muscles atteints. On
t que le malade est plus jeune. Enfin, chez le poliomyélitique, les
réactions
électriques ont une valeur précise, et la D. R.,
er à son niveau n'est point fatalement destiné à dis- paraître. Les
réactions
électriques, qui : ont une grande valeur pronosti
be de polichinelle, de l'aholition ou du moins de la diminution des
réactions
électriques; de l'autre côté se constatent de l
La para- plégie est totale, flasque d'emblée, l'atrophie rapide, la
réaction
de dégé- nérescence hâtive. Il y a des troubles
ue et cellulaire des circonvolutions, étude de la chroma- tolyse de
réaction
après section du faisceau pyramidal), sont arrivé
e se fait sur la pre- mière côte, ces troubles feront défaut. Les
réactions
électriques sont variables suivant l'intensité du
riques sont variables suivant l'intensité du trauma- tisme, mais la
réaction
de dégénérescence existe d'une façon presque co
le malade le veut ou le croit tel. L amyotrophie, les troubles des
réactions
électriques, les troubles des réflexes manquent
surtout sur l'examen électrique. Dans la forme grave, on observe la
réaction
de dégénérescence; dans la forme bénigne il ny a
érescence; dans la forme bénigne il ny a a pas de modifications des
réactions
électriques; dans la forme moyenne, le nerf res
bilité est modifiée, tant au point devuefaradiqueque galvanique, la
réaction
de dégénérescence est incom- plète. La paraly
cedestroubtes du goût et de l'ouïe; l'absence des modifications des
réactions
électriques. On donne encore comme signccaractens
é, comme dans toutes les paraly- sies périphériques, sur l'état des
réactions
électriques. La paralysie [G GCILLAIN ] li;)2
sance (Iluet) ('); il n'y a pas de modification qualitative, pas de
réaction
de dégénérescence. Ces règles souffrent cependa
cles, même les plus manifestement atro- phiés, avaient présenté une
réaction
électrique normale. Quant à l'absence de réacti
ient présenté une réaction électrique normale. Quant à l'absence de
réaction
de dégénérescence, elle avait été longtemps consi
ne musculaire; or les observations se multiplient aujourd'hui où la
réaction
de dégéné- rescence est signalée dans les myopa
hiques. Il semble bien que l'on doive admettre pour expliquer cette
réaction
de dégénérescence une participation, au moins acc
eux; des expériences récentes de Babinski (6), qui a constaté cette
réaction
anormale dans des muscles normaux une heure et
ou deux heures après la mort, paraissent en effet démontrer que la
réaction
de dégénérescence ne dépend pas de modifications
ques des muscles dont les nerfs sont dégénérés, mais qu'elle est la
réaction
propre aux fibres musculaires se contractant d'un
s fonc- tionnelle, du système nerveux. Mais si la présence de cette
réaction
a véritablement une grosse valeur pour indiquer
de toute influence héréditaire ou familiale, et d'autres symptômes (
réaction
de dégénérescence dans le premier cas, contract
a raideur musculaire tétanique produite par la contraction et de la
réaction
élec- trique mvotonique qui caractérisent la ma
lition de toute contraction, dans les muscles moyennement atrophiés
réaction
de dégénérescence : c'est seulement dans cette
seulement dans cette dernière condition que l'on trouve toujours la
réaction
de dégénérescence. La réaction de dégénérescence,
ondition que l'on trouve toujours la réaction de dégénérescence. La
réaction
de dégénérescence, totale ou partielle, a été t
sculaires, modifications de l'excitabilité électrique (quoique sans
réaction
de dégé- nérescence)..La localisation est celle
onque des muscles ou d'une de ses portions. On ne constate pas de
réactions
fibro-musculaires , et à tout moment les articu
u'au lole négatif : c'est l'inverse de la formule normale, c'est la
réaction
de dégénéres- cence. Enfin la contractilité gal
contractilité galvanique diminue et disparait définitive- ment. La
réaction
de dégénérescence n'apparaît donc dans chaque m
compagne pas en géné- ral de contractions fibrillaires et jamais de
réaction
de dégénérescence. La paralysie et la contractu
'atrophie, mais jamais on n'observe de modification qualitative, de
réaction
de dégénérescence complète ou partielle. Les ré
a parfois des rétractions fibro-musculaires, exceptionnellement la
réaction
de dégénérescence, assez souvent une atrophie d
inconstants. Les contractions fibrillaires s'observent rarement; la
réaction
de dégénérescence s'observe au contraire plus sou
même degré l'en- semble des muscles d'un même serment de membre. La
réaction
de dégénérescence s'observe très fréquemment. I
tement ou souvent très rapidement, elle s'accompagne fréquemment de
réaction
de dégénérescence, des troubles trophiques cutané
isée par une paralysie flasque avec troubles sensitifs objectifs et
réaction
de dégénérescence, mais l'atrophie musculaire e
inateur; l'atrophie rapide de ces muscles est presque constante, la
réaction
de dégénérescence est fréquente, les troubles s
roncs nerveux ou des masses musculaires, très exceptionnellement de
réaction
de dégénérescence ; de plus, le pro- nostic en
nt; elle est rarement très intense ; elle ne s'accompagne jamais de
réaction
de dégénérescence. Elle est généralement statio
ois hyper- trophie vraie; rétractions fibre-musculaires; absence de
réaction
de dégé- nérescence, modifications électriques
de pseudo-hypertrophie ; pas de rétractions fibro-rauscu- laires ;
réaction
de dégénérescence; modification des réflexes tend
as de pseudo-hypertro- phie ; pas de rétractions fibro-musculaires;
réaction
de dégénérescence; modification des réflexes te
s de pseudo-hvper- trophie ; rétractions fibro-musculaires parfois;
réaction
de dégénérescence fréquente; abolition des réfl
es contractiles atteint un muscle sain et constitue soit un mode de
réaction
contre un obstacle, soit un mode d'adaptation à
ES. faire, beaucoup plus que de la contraction ; ils constituent la
réaction
myotonique d'Erb. La contractilité faradique et
muscles atrophiés eux-mêmes peuvent présenter los caractères de la
réaction
myotonique (Rossolimo, Lannois, Loi,lit-.Iacol)
ce de sar- coplasma que serait due, d'après les travaux récents, la
réaction
mvoto- nique : Botlazzi a fait voir en effet qu
es de Mlle Joteyko ont montré que les diverses particularités de la
réaction
myotonique d'Erb (réaction tardive, lente, prol
ré que les diverses particularités de la réaction myotonique d'Erb (
réaction
tardive, lente, prolongée, tonique, etc.) étaie
ophie musculaire vraie chez un sujet qui nC11l'éseu- lait pas les
réactions
de la maladie de Thomsen. Remarquer surtout le
trophie consécutive à l'hypertrophie. Si nous nous rappelons que la
réaction
myotonique d'Erb peut s'ob- server dans différe
signaler et qui ne s'en - distinguent guère que par l'absence de la
réaction
myotonique et parfois par l'époque, plus ou moi
ique ( ? ). Généralisées ( ? ? ) : « hommes musclés » (Thomsen sans
réaction
myotonique ? ). 2" Hypertrophies préatrophiques
action. il' Contractilité électrique : lenteur de la décontraction (
réaction
myotonique d'Erb). 4° Caractère familial et h
nts muscles s'atrophient, présentent des secousses librillaircs; la
réaction
de dégé- nérescence s'observe à leur niveau. Le
lésions extrinsèques du bulbe autres que les tumeurs provoquent des
réactions
complexes, les syndromes observés pouvant être su
ons à dessein insisté sur l'attitude, la démarche, le facies et les
réactions
émotives des pseudo-bulbaires : ce sont là en e
rophiques, ni de troubles électriques : l'atrophie musculaire et la
réaction
de dégénérescence font toujours défaut ('hez les
d se décèleront une atrophie musculaire notahle et des troubles des
réactions
électriques. Il peut à dire vrai se présenter d
t~pas rares. Les muscles présentent une altération spéciale de leur
réaction
élec- trique, altération tout à fait différente
n élec- trique, altération tout à fait différente de la D. R. Cette
réaction
myas- thénique (Jolly) est caractérisée par un
e, la pneumonie, la grippe, mais on est frappé par l'importance des
réactions
nerveuses. On recherchera les signes nerveux et
cérébelleuses. En résumé, ces derniers travaux semblent marquer une
réaction
contre l'opinion exclusive de Charcot qui niait
ui- vant le type. monoplégique, hémiplégique ou paraplégique. Les
réactions
électriques sont habituellement normales dans la
pour des ivrognes. La force musculaire est en général diminuée, les
réactions
électriques sont normales, les réflexes sont gé
igence, et il ne semble pas qu'il y ait davantage de troubles de la
réaction
électrique. Chez un enfant de 18 mois atteint de
Il n'y a guère de troubles de la sensibilité ni des réflexes ; les
réactions
électriques sont normales, mais il existe d'une
ntal du tiqueur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES TICS I. Caractères des
réactions
motrices. - Le tic est un mot- vement-convulsi-
et leurs sentiments que, dans leurs sensations mêmes et dans leurs
réactions
motrices, vaso-motrices, secrétoires et viscérale
ble de l'émotivité ('). Nous avons insisté, dans l'analyse tant des
réactions
motrices que de l'état mental du liqueur, sur l
'être qu'un moyen de défense contre une obsession quelconque ou une
réaction
contre l'obsession phobique du tic, contre la p
e troubles des réflexes, de la sensibilité, de la trophi- cité, des
réactions
électriques ; il peut ou non survenir chez des dé
ce de se reproduire. » De plus, on doit s'efforcer de maîtriser les
réactions
motrices et les contractions musculaires excess
issement, de raideur. Les caractères de début et d'évolution de ces
réactions
motrices, les phénomènes qui s'y trouvent assoc
étudier ; ils diffèrent tout autant chez les divers sujets que les
réactions
motrices elles-mêmes. Dans la grande majorité d
de troubles de la sensibilité objective, de la réflectivité ou des
réactions
électriques. Au contraire, on constate très ord
(Poore) et aussi des troubles de la contractilite électrique et la
réaction
de dégénérescence (l : ulenhnr, Benedikt, etc.)
e de la face. z Il existe des troubles assez caractéristiques de la
réaction
sudorale dans la paralysie faciale : c'est la r
tiques de la réaction sudorale dans la paralysie faciale : c'est la
réaction
la pilocarpine. Straus, en comparant la sudatio
les complica- tions urinaires des maladies nerveuses à cause de la
réaction
toujours vive, des troubles trophiques possible
tout un individu il t épui- sement rapide, ainsi que le précise la
réaction
électrique spéciale. Avec les lésions bulbaires
bulbaires se montrent l'atrophie, les secousses fibril- laires, la
réaction
de dégénérescence. Ces troubles ont pu survenir r
ropltit' faciale une hémiatroplue de la Lingue qui se présente sans
réaction
de dégénérescence, semblable en ce) : ) aux tro
e qu'un phénomène en quelque sorte local, ou s'accompagner de vives
réactions
générales : le malade fait de vains efforts de
sistance. , ' , Troubfes intellectuels. Lenteur ou insuffisance des
réactions
et des réponses aux tests concernant l'attentio
'Ilutchinson, le tibia en lame de sabre et, la dent en tournevis.
RÉACTION
DE WASSERMANN Le séro-diagnostic de la syphilis
es recherches pratiquées dans les maladies du système nerveux. La
réaction
de Wassermann se rencontre presque toujours chez
système nerveux où la syphilis ne pouvait être que soupçonnée : la
réaction
de Wassermann a apporté une preuve de syphilis.
re Marie considérait pour une partie comme syphilitiques ont eu une
réaction
positive fois sur 11. Chez les hémiplégiques vu
is sur 11. Chez les hémiplégiques vulgaires, Joltrain a rencontré 8
réactions
positives sur 15. Dans la sclérose en plaques
tré 8 réactions positives sur 15. Dans la sclérose en plaques, la
réaction
a été positive dans les trois cas observés. Et
origine syphilitique de certaines scléroses en plaques. De même, la
réaction
était positive dans deux cas d'hydro- céphalie
e empêche la production de cette opalescence. Au contraire, la même
réaction
chez les paralytiques généraux provoque un trou
ngo-myélites et de myélites syphilitiques où ils ont constaté cette
réaction
de l'albumine. Guillain et Parant dans la même
ans la même séance de la Société de Neurologie ont constaté la même
réaction
seize fois sur seize paralytiques généraux exam
ychoses diverses examinées comparativement 1 n'ont pas montré celle
réaction
. Les auteurs montrent que la réaction de l'albu
ment 1 n'ont pas montré celle réaction. Les auteurs montrent que la
réaction
de l'albumine est parallèle à la lymphocytose.
on lombaire chez 18 ictériques. Dans trois cas, ils ont pu, par les
réactions
classiques de Gmelin et de Pettenkoll'er constate
s'agit d'un pigment dérivé de la toile ou du sérum sanguin, car les
réactions
chimiques n'étaient pas positives. Enfin Bard,
nstater la transformation de l'hémoglobine en pigment biliaire avec
réaction
nette de Gmelin et de Pettcnkoner. Recherche de
n de celle des autres humeurs de l'organisme. Séro-diagnoslic. La
réaction
de Wassermann, comme la réaction de Porges, peu
e l'organisme. Séro-diagnoslic. La réaction de Wassermann, comme la
réaction
de Porges, peuvent être faites pour le diagnost
énéraux. Enfin, dans le tabes, comme dans la paralysie générale, la
réaction
de Wassermmn a été trouvée dans le liquide céph
a moitié environ des cas de zona. Il s'agit donc dans ces cas d'une
réaction
méningée subaiguë, qui permettra d'appré- cier
ique complète le diagnostic. Enfin, Vincent et Bellolonl décrit une
réaction
pl'écipitante déterminée par le sérum spécifiqu
stic dans la paralysie infantile. Dans la paralysie infan- tile, la
réaction
méningée a été variable. Raymond et Sicard ont ob
tique, enfin que dans un certain nombre de cas il n'y ait pas eu de
réaction
méningée du tout ou qu'elle ait disparu. Cyto-d
s nerveuse. Sur huit syphilitiques examinés; deux ont pré- senté la
réaction
leucocytaire en même temps que de l'hypertension
iciels (roséole, plaques mu- queuses), sept seulement présentent la
réaction
méningée . Au contraire. sur cinquante-cinq att
syphilides papuleuses, miliaires, psoria- siformes, pigmentâmes, la
réaction
méningée existait quarante et une fois; des exa
existait quarante et une fois; des examens répétés montrent que les
réactions
augmentent ou diminuent parallèlement à la lési
t le lycose; 2° Sicard a indiqué comme- caractère différentiel la
réaction
à l'ioclure. L'iodure de potassium ingéré se re
ubles consécutifs à l'injection, qui étaient dus pour une part à la
réaction
méningée, résultant du contact de la solution a
is ou de stigmates cliniques nets, on ne manquera pas d'utiliser la
réaction
de Wassermann. Il faut, par contre, renoncer
hauteur du névraxe.) La symptomatologie toxique est démontrée parla
réaction
fébrile passa- gère mais vive que suscite l'inj
ne manière rapide sans lésion des cellules qui les entou- rent,sans
réaction
même des tissus qui les recouvrent, absolument à
étaniques, en dehors de certains cas pathologiques. En sommé, les
réactions
normales produites par l'excitation des nerfs u
s peuvent être résumées de la. façon suivante : Sur les muscles les
réactions
galvaniques normales correspondent sen- sibleme
s constituant par leurs groupements des syndromes comme celui de la
réaction
de dégénéres- cence. L'étude de ces réactions d
omes comme celui de la réaction de dégénéres- cence. L'étude de ces
réactions
des nerfs et des muscles est très impor- tante
e au point de vue du diagnostic et du pronostic. à CONSERVATION DES
RÉACTIONS
NORMALES L'excitabilité électrique reste généra
ions ne sont pas encore assez accen- tuées pour donner lieu à de la
réaction
de dégénérescence; parfois, aussi, dans le cour
ue fait bientôt place aux altérations plus complexes constituant la
réaction
de dégénérescence. Dans des paralysies toxiques
a diminution simple de l'excitabilité, soit pages manifestations de
réaction
de dégénérescence. Dans la tétanie, l'augmentat
bilité galvanique des nerfs observées dans ces conditions le nom de
réaction
de compres- sion. On a étendu la compréhension
de réaction de compres- sion. On a étendu la compréhension de cette
réaction
aux divers cas où on observe de l'augmentation
d'ouverture et on l'a modifiée en lui donnant par erreur le nom de
réaction
de Ricli. Nous ne croyons pas que cette hyperex
ité galvanique des nerfs pour les excitations d'ou- verture dans la
réaction
de Geigel dépende de la compression même des ne
ore elle montre les modifications qualitatives qui caractérisent la
réaction
de dégénéres- cence ; parfois, cependant, la ré
actérisent la réaction de dégénéres- cence ; parfois, cependant, la
réaction
de dégénérescence, est peu appa- rente, et on c
ence, est peu appa- rente, et on constate surtout la diminution des
réactions
électriques, toit que les altérations qualitati
ites lentement et séparément, de sorte que les manifestations de la
réaction
de dégéné- rescence sont masquées par les réact
festations de la réaction de dégéné- rescence sont masquées par les
réactions
des libres nerveuses et muscu- laires encore pe
ut ne trouver à la période initiale que de la diminution simple des
réactions
électriques sur certains muscles, alors que d'a
ectriques sur certains muscles, alors que d'autres présentent de la
réaction
de dé- générescence. On en peut, conclure que l
tions on peut aussi ne plus trouver que de la Cllllllllll- tion des
réactions
électriques lorsque, par suite de l'évolution de
tées au-dessous, ou les excitations des muscles, donnent lieu à des
réactions
peu diminuées ou même sensi- blement normales.
N DE L'ESClTADlLITIt 1245 lisamment prononcées pour entraîner de la
réaction
de dégénérescence ; le pronostic est alors plus
euses peuvent aussi ne donner lieu qu'à de la diminution simple des
réactions
électriques;. en est ainsi dans certains cas de
ans d'autres cas les mêmes genres de paralysies s'ac- compagnent de
réaction
de dégénérescence ; leur pronostic est plus grave
ronostic est plus grave et se trouve conditionné par le degré de la
réaction
de dégénérescence, ainsi que nous le verrons pl
excitabilité électrique sur certains ter- ritoires nerveux et de la
réaction
de dégénérescence sur d'autres nerfs et muscles
de leur évolution, alors qu'elles ont présenté antérieurement de la
réaction
de dégénérescence, Cette lyho-ecit,hilitls peut
électrique est souvent très prononcée. ALTÉRATIONS COMPLEXES DES
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES CONSTITUANT LES SYNDROMES DE DÉGÉNÉ
nt pour le diagnostic et le pronostic, il celles qui constituent la
réaction
de dégénérescence ou, pour mieux dire, les syndro
ue clinique nous aurons à distinguer la manière dont se comporte la
réaction
de dégénérescence dans les processus aigus et d
nformerons à un usage généralement admis qui consiste à désigner la
réaction
de dégéné- rescence par les initiales des mots
crit RD et tantôt DU; nous adopterons cette dernière abréviation.
Réaction
de dégénérescence dans les PROCESSUS AIGrs. t L
c- tères essentiels se montrent bien apparents. Les altérations des
réactions
électriques qui la font reconnaître sont alors
;'1 peu diverses modifications qu'il est important de connaître.
RÉACTIONS
DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1247 La DR ne reste donc pas
occuperons dès maintenant de la période d'état. Les altérations des
réactions
électriques qui caractérisent alors la DR sont
d'années sous les dénominations de déplacement des points moteurs,
réaction
de dégénérescence à distance, ou modifications de
éronier, les jumeaux, etc. 2. On voit parfois, dans ces formes de
réaction
de dégénérescence, la contraction rester assez
se montrent lentes et que PFC devient égale ou supérieure à NFC.
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE. 12f de la cathode reste habi
forte que l'excitation de l'anode, NFC>PFC('). Cet état de la
réaction
longitudinale n'est pas seulement, comme on l'a
ion, qu'apparaissent les altérations qualitatives de l'excitabilité
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1251 galvanique des muscles
l'aire rentrer ces modifications des secousses d'ouverture dans la
réaction
que l'on a appelée par erreur réaction de Rich et
ecousses d'ouverture dans la réaction que l'on a appelée par erreur
réaction
de Rich et que l'on aurait dû appeler réaction
a appelée par erreur réaction de Rich et que l'on aurait dû appeler
réaction
de Richard ( : elle réaction diffère complètement
de Rich et que l'on aurait dû appeler réaction de Richard ( : elle
réaction
diffère complètement des modifications des seco
difications des secousses d'ouverture observées dans la DR. Dans la
réaction
de Richard Geigel, il existe bien de l'augmenta
, mais elle devient de plus en plus faible et elle finit par dispa-
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1255 raitre à son tour. Il e
e, l'excitabilité électrique est souvent altérée dans le sens de la
réaction
de la dégénérescence. Mais, par suite de la longu
pour ainsi dire fibres par libres; de là il résulte qu'au début les
réactions
des fibres musculaires altérées qui devraient m
rées qui devraient manifester de la DR se trouvent masquées par les
réactions
des fibres restées saines; ces conditions ne pe
isant la DU. Le plus souvent, cependant, lorsqu'on a à examiner les
réactions
électriques dans les affections à processus chr
DR, on peut constater l'existence de celle-ci sur un certain nombre
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC.
e d'état ; mais, sur d'autres, le processus étant moins avancé, les
réactions
électriques se trouvent encore suffisamment dév
poque la DR se montre souvent plus manifeste. SIGNIFICATION DE LA
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC
la DR donne encore des indications pré- cieuses. Dans un examen des
réactions
électriques, on peut trouver sur certains muscl
ningites, les tumeurs, les fractures et les luxations de la colonne
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE .AU POT ^W'Du'DIAGN0^C. 12o7
vrites alcooliques, tuberculeuses, grippales, ou encore des polyné-
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC.
atologie habituelle, étaient reconnaissables. SIGNIFICATION DE LA
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU PRONOSTIC
se produit que lentement après de nombreux mois, souvent plusieurs
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU PRONOSTIC. 1
sie de moyenne intensité, ou celle-ci à une paralysie plus grave.
RÉACTION
MYOTONIQUE f La réaction myotonique (My R) cons
ou celle-ci à une paralysie plus grave. RÉACTION MYOTONIQUE f La
réaction
myotonique (My R) constitue un autre syndrome éle
observations de maladie de Thomsen (myotonie congénitale), mais la
réaction
myotonique n'est bien connue que depuis 1885, épo
ief ses divers caractères. Les caractères les plus importants de la
réaction
myotonique sont fournis, comme dans la réaction
us importants de la réaction myotonique sont fournis, comme dans la
réaction
de dégénérescence, par les altérations de l'exc
inalement la réparation est plus rapide et souvent plus complète.
RÉACTION
MYOTONIQUE. 1265 sont pas constantes, mais, qua
s existent, elles constituent un caractère assez important de cette
réaction
. Dans la réaction myotonique les modifications
nstituent un caractère assez important de cette réaction. Dans la
réaction
myotonique les modifications de l'excitabilité él
muscles, il convient, pour prendre une idée plus complète de cette
réaction
, de passer en revue les modifications de l'excita
ovoquant dans l'état normal qu'un tétanos incomplet. Dans le cas de
réaction
myotonique, si l'on prolonge quelque temps l'exci
res rapprochées mais distinctes les unes des autres; dans le cas de
réaction
myotonique, on voit souvent ces courants produi
ure à celle de la cathode, rappelant ainsi ce qu'on observe dans la
réaction
de dégénérescence. Cette action prédominante de
, si les courants ont une intensité modérée. On a dit que dans la
réaction
myotonique les courants galvaniques RÉACTION tr
On a dit que dans la réaction myotonique les courants galvaniques
RÉACTION
troTOwnrt;. 9s provoquaient seulement des secou
ent d'ailleurs moins constantes que les autres manifestations de la
réaction
myotonique. Elles sont parfois difficiles à fai
tions de l'excitabilité électrique et mécanique des muscles dans la
réaction
myotonique paraissent avoir une origine 111y'01)a
on de simulation. Il convient de se rappeler, quand on recherche la
réaction
myotonique, que les troubles de l'excitabilité
fluence de la répétition des excitations, divers carac- tères de la
réaction
myotonique peuvent être atténués; quelques-uns
t d'une façon transitoire. Avec E. Remak on pourrait admettre comme
réaction
myotonique incomplète la tendance à l'apparitio
ions aussi bien à NF qu'à PF, avec de faibles courants galvaniques,
réaction
qui a été signalée par Eulenburg dans la paramy
s de paramyotonie, d'autres membres atteints de myotonie vraie avec
réaction
myotonique complète. Il ne faut pas considére
complète. Il ne faut pas considérer comme des manifestations de la
réaction
myotonique la persistance des contractions téta
r en général des contractions toniques lentes et persistantes de la
réaction
myotonique; en effet, dans ces cas, l'excitabilit
des muscles aux conditions de l'excitabilité normale. Bien que la
réaction
myotonique paraisse plus spécialement sous la d
des troubles de l'appareil musculaire décrits par Schllltzc sous le
RÉACTION
MYASTHÉNIQUE. 1267 nom de myokymie (mouvements
que des muscles, rappelant quel- ques-unes des manifestations de la
réaction
myotonique, ont été constatées, mais nombre de
ion myotonique, ont été constatées, mais nombre de caractères de la
réaction
myotonique faisaient défaut. A la réaction myot
mbre de caractères de la réaction myotonique faisaient défaut. A la
réaction
myotonique on pourrait opposer la réaction neurot
e faisaient défaut. A la réaction myotonique on pourrait opposer la
réaction
neurotonique, ainsi nommée par Marina et E. Rem
s de l'excitabilité électrique rappelant par quelques caractères la
réaction
myotonique; elles s'en distinguaient par le fai
u lieu de dépendre princi- palement de l'excitation des muscles. La
réaction
neurotonique reste encore assez peu définie par
de l'atrophie musculaire probablement d'ori- gine myélopathique.)
RÉACTION
MYASTHÉNIQUE Sous le nom de réaction myasthéniq
'ori- gine myélopathique.) RÉACTION MYASTHÉNIQUE Sous le nom de
réaction
myasthénique Jolly a signalé des troubles de l'
ion spinale. Les modifications de l'excitabilité électrique dans la
réaction
myastlié- nique consistent essentiellement en l
contractilité musculaire. ·1. Il ne faudrait pas prendre pour de la
réaction
myasthénique des troubles de l'excitabilité éle
reil cas d'uu épuisement de la contraction musculaire comme dans la
réaction
myasthé- nique, mais d'un affaiblissement de l'
et graduellement, mais elle ne disparaissait pas complètement. La
réaction
myasthénique se rencontre fréquemment dans les pa
paraissent pas tout à fait. Il convient de rappeler aussi que cette
réaction
n'est pas constante dans toutes les paralysies
où le syndrome d'Erb-Goldllcun était bien accusé. Par contre, la
réaction
d'épuisement a été rencontrée, plus ou moins pr
lésions de la rétine ou du nerf optique, des modifications dans les
réactions
com- munément observées. De tous ces faits il n
peu sensibles envers les courants électriques, et l'examen de leurs
réactions
ne présente guère d'intérêt. Nerf acoustique.
- Parmi les appareils senso- riels, l'appareil auditif présente des
réactions
assez importantes il connaître au point de vue
importantes il connaître au point de vue électro-diagnostique. Ces
réactions
sont en rapport les unes avec les fonctions d'a
ions d'audition, les autres avec les fonc- tions d'équilibration.
Réactions
auditives. Dans l'état normal le courant faradiqu
dans l'état normal, NERF ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE. 1275 des
réactions
auditives. Pour en obtenir il faut employer de fo
ent l'observer cependant et même voir P F prédominer sur N F. Les
réactions
auditives provoquées par les courants galvaniques
acoustique. Pour les rechercher, de même que pour rechercher les
réactions
provoquées par les courants faradiques, quand il
rédo- minent dans l'oreille opposée, phénomène que Brenner à appelé
réaction
paradoxale de l'acoustique et que Erb a expliqu
oreille sur laquelle se produisent les sensations auditives dans la
réaction
paradoxale réagit comme si l'électrode indiffér
re, NO. Ainsi, lorsqu'on recherche comme nous venons de le dire les
réactions
auditives, deux ordres de cas peuvent se présen
ordres de cas peuvent se présenter : ou il ne se mani- feste pas de
réactions
auditives, ou il s'en produit. Dans le premier
erf auditif n'est pas complètement dégénéré. Vertige voltaïque. Les
réactions
électriques de l'appareil auditif en rapport av
peut les rechercher avec la méthode polaire, comme précédemment les
réactions
auditives. Mais en pratique, au point de vue de
cteurs électrolytiques. mais elle en diffère cependant par suite de
réactions
produites par le passage du courant. . La rés
sium également à 1 pour 100. , RÉSULTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES - . DE L'APPAREIL AUDITIF - ' 127
dans la pratique de l'électrodiagnostic, quand on doit explorer les
réactions
des nerfs et des muscles, il vaut mieux commenc
ue. ? 4' Auparavant il est important de pratiquer l'exploration des
réactions
des nerfs et des muscles, qui renseignera, comm
ncés aussi parfois, plus effacés d'autres fois. Les altérations des
réactions
électriques sont souvent moins accentuées dans
ivisées en deux grands groupes, les paralysies' dans lesquelles les
réactions
électriques sont bien conservées ou sont altéré
le persiste souvent une diminution simple plus ou moins accusée des
réactions
faradiques et galvaniques. Le même traitement
nerfs, ce sont des névral- gies sine rnale1'ÙI. dans lesquelles les
réactions
du nerf et des muscles ne présentent habituelle
é a agir moins sur les mus- des eux-mêmes, dont la puissance et les
réactions
électriques sont en général bien conservées pen
d'autres modes d'électrisation. Dans les paralysies hystériques les
réactions
électriques sont, comme nous l'avons vu, généra
les des mains, 698. Griffe, 699, 1059. Contractions fibrillaires.
Réactions
élec- triques, 700. Réflexes, 701. Atro- phie
i-mutité, 195, 196. Auditif (Appareil). Résultats de l'examen des
réactions
électriques, lu)77. Voy. Nerf. Audition color
. Voy. Stig- mates. - Dégénérescence (Altérations complexes des
réactions
électriques constituant les syndromes de -) 1 ?
t les syndromes de -) 1 ? r·G. Voy. Réac- tion de dégénérescence,
Réactions
élec- triques. Déglutition, troubles, 983.
ique et galvanique dans les états patho- logiques. Conservation des
réactions
nor- males, 1` ? l0. - Altérations simplement
e, 1243. - Altérations complexes des 158Í INDEX ALPHABETIQUE.
réactions
électriques, réactions de dégé- nérescence, 124
s complexes des 158Í INDEX ALPHABETIQUE. réactions électriques,
réactions
de dégé- nérescence, 1246, 1247. Réaction myo
réactions électriques, réactions de dégé- nérescence, 1246, 1247.
Réaction
myotonique, z Réaction myas- Ihénique, 1267.
réactions de dégé- nérescence, 1246, 1247. Réaction myotonique, z
Réaction
myas- Ihénique, 1267. Exploration des nerfs s
ilité, 505. radiothérapie, 1188. (Lésions de 1' -). Absence de la
réaction
de dégénérescence, '12fi6. Enfant. Valeur séméi
herche des corps étrangers par les rayons X, 1166. (Lésions de la
réaction
de dégéné- rescence, lu)56. - Maladies, Traite-
59. Müller (Liquide de -). Vo. Fixation. Muscles (Lésions des -),
réaction
de dégénérescence, 1259. - physiologie. Séméi
o-spinale, 814. .SïHp- TOMES bulbaires, symptômes spinaux, 815. -
Réaction
myasthénique. Diagnostic, 816. ' . Myasthénie
ie périodique, 814. Vertige paralysant, 814. Myasthénique. S'ciy.
Réaction
myasthé- nique... Mydriase, ses causes. Affec
culaire, 758. - particularités cli- niques, 742. Myotonique. Voy.
Réaction
myotonique. Myrtiforme. Innervation, physiologi
titielle, vertiges, 171. Nerf acoustique, exploration électrique,
réactions
auditives, 1272. - auditif, origine, trajet et
ygiens, névralgies, 595. - crâniens, paralysies, 625. -, lésions,
réaction
de dégénérescence, z)56. - de la sensibilité gé
laires et les apophyses épi- neuses, 608. - sensitifs de la peau,
réactions
électriques, 1269. - senso- riels, exploration
06. - Radio- diagnostic des troubles trophiques os- seux, 1175. -
Réaction
de dégéné- rescence, 1258. - Radiothérapie, 118
Autre mouvement associé, 480. - Caractères, 023. Pronostic de la
réaction
de dégénéres- cence, 1262. - Traitement électri
chroniqlle.- aiguë, 805. Poliomyélite, 505. - antérieure aiguë,
réaction
de dégénérescence, 1257. - Pronostic, 1261. - T
raitement par . l'électricité, 129G. - antérieure cIl1'o- nique ,
réaction
de dégénérescence, 1257 '. - Polydactylie, 1015
ites, 505. - Atrophies secon- daires, 721. - Pseudo-tabes, 7G2. -
Réaction
de dégénérescence, 1258. z Pronostic, 1261. - T
dans les tumeurs de la z, 125. - Lésions, hémianeslhésie, 514. -
Réaction
de dégénérescence, 1256. Pseudo-appendicite h
ses, 544. Lésions. Formes cliniques. Valeur séméiologique, 545. -
Réaction
de dégénérescence au point de vue du pronostic,
nomènes oculaires, 75, 472. Raynaud. Voy. Gangrène symétrique.
Réaction
de dégénérescence, J ' : 14G. - Dans les proces
ves, 1247. - Déplacement des points moteurs, 1248. - Formes de la
réaction
par- tielle, 1249. - Période initiale de la I
9. (le Wassermann, l 113, 1152. myasthénique, caractères, 1207.
Réaction
ntlloloniqrtc, caractères, 1262. - Excitabilité
caractères, 1262. - Excitabilité des nerfs, des muscles, 1265. -
Réaction
incomplète, 1266. - neurotonique, 1267. , Réa
les, 1265. - Réaction incomplète, 1266. - neurotonique, 1267. ,
Réactions
électriques. Conservation des réactions normale
- neurotonique, 1267. , Réactions électriques. Conservation des
réactions
normales, 1240. - Augmen- tation simple de l'ex
de convergence, 94. - Ralentissement des mouvements pupillaires,
réaction
mus- culaire myotonique, réflexe paradoxal, 05.
ypertrophie musculaire, 758. - particularités cli- niques, 742. -
Réaction
lI1)'otoniqlH', 1265. Thorax. Aplatissement c
ptosées, 994. - paroxystique avec ver- tige, 994. W Wassermann (
Réaction
de ), llla, 1152. Weber (Syndrome de), ptosis
s égal à 0 de deux côtés. Il n'y a pas trace de stase papillaire.
Réaction
à la lumière presque abolie. Réaction à l'accom
trace de stase papillaire. Réaction à la lumière presque abolie.
Réaction
à l'accommodation normale. Pas de réaction émia
umière presque abolie. Réaction à l'accommodation normale. Pas de
réaction
émianopsique. Léger degré de strabisme divergen
es comme les incisives. Examen électrique (Professeur Mattirolo). -
Réaction
normale galvano- faradique sur les nerfs et les
pouls et enfin l'existence de la thermo-réaction de Cushing. Cette
réaction
a été principalement étudiée par Cushing du côté
avons relaté dans son histoire cli- nique, nous avons assisté à une
réaction
thermique particulièrement vio- lente : après d
ysio- logie du phénomène en question. Par syncynésie on entend la
réaction
motrice de certains muscles qui se manifeste au
la même explication aux cas de paralysie faciale périphérique avec
réaction
contro-latérale. M. Oppenheim, au contraire, cr
sain, ce qui nous parait d'autant plus probable étant donné que la
réaction
électrique contro-latérale a été trouvée dans des
aire n'est probablement jamais intéressé. BIBLIOGRAPHIE BERGONiÉ.
Réactions
anormales elc. Réunion biologique de Bordeaux, 1,
des yeux.* Les pupilles sont également étroites des deux côtés ; la
réaction
à la lumière v est bonne. Pas d'altérations in
t vacuolaire; nous ajouterions qu'il paraît exister une très légère
réaction
névroglique, si l'on ne savait que cette augmenta
sa- bre, etc... etc., que nous ne retrouvons pas chez ce malade. La
réaction
de Wassermann que M. le Docteur Nicolle a eu l'
cas de typhus pellagrique (24) nous force d'apercevoir une certaine
réaction
d'organisme sur une intoxication circulante réa
une certaine réaction d'organisme sur une intoxication circulante
réaction
dans une forme âprement exprimée par une accumula
d'attention, de ju- gement concernant les choses en général, ni de
réactions
causées par les émo- tions ; mais la malade se
le travail- lui-même qui était ;la cause de la psychose; c'était la
réaction
du sujet à son égard, provenant de son état men
ales dues il l'accident lui-même. La seconde scène du drame est une
réaction
contre l'absence réelle de signes physiques pou
années, des rhumes tous les hivers. Ce jeune homme n'avait pas de
réactions
affectives morbides. Il n'était pas suggestible
29 Fig. 32 14G BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX La
réaction
de Wassermann est négative. Ce cas d'instabilit
ables pratiquées sur des animaux d'ordre su- périeur ont produit un(
réaction
positive. Et surtout la clinique nous dit liés
droit de la femme qui cor- respond à la figure 10, dans lesquels la
réaction
électrique présente des signes de dégénération
fré- quente, comme je l'ai dit plus haut. Toutes les modalités de
réaction
électrique se trouvent dans la névrite lépreuse
ts lésionnés ou qui leur sont contigus. Nous avons déjà vu que la
réaction
par les courants d'induction se con- serve dans
rophies, dans la syringomyélie et dans certains cas d'atrophie avec
réaction
de dégénération partielle. Mais c'est préciséme
nts, car on s'exposerait à produire des eschares. Il n'y a pas de
réaction
faradique pour les muscles de la région anté- r
ltaïques, comme je lésai indiquées plus haut, sont très faibles. La
réaction
est plus apparente dans les muscles du mollet, qu
e que la nor- male. Et pour les péroniens, il existe une très bonne
réaction
, tant s'ils sont excités directement que s'ils
ans cette maladie, la mortification de ces organes et réveillent la
réaction
phlegmoneuse qui produit le ramollissement de t
s cependant altérée de plusieurs façons. Fréquence des crampes. «
Réaction
de dégénérescence dans les muscles en voie d'atro
es âgés l'un de 5 ans, l'autre de 7 ans. Chez nos deux malades, les
réactions
électriques des muscles atrophiés sont très alt
ches par l'amyotrophie : soit abolition de toute excitabilité, soit
réaction
de dégénérescence, soit diminution pure et simp
les et sous-corticales, a eu maintes fois l'occasion d'observer des
réactions
dégé- nératives très nettes au niveau du noyau
lus ou moins globale la substance même de ce noyau. En général, ces
réactions
secondaires étaient d'autant plus intenses que
lieu d'une lésion aussi vaste que celle-ci le point d'origine de la
réaction
dégénérative observée au niveau du noyau rouge.
beaucoup moins accusée au niveau des circonvolutions frontales. La
réaction
du noyau rouge dans ces diver- ses observations
très nelle du champ péri-capsulaire latéral. Pour Mingazinni, cette
réaction
atrophique du noyau rouge doit être attribuée plu
utions centrales et l'opercule rolandique, on observa également une
réaction
très manifesie au niveau du noyau rouge mais à to
du noyau rouge une atrophie et une dégénérescence très accusées. La
réaction
secondaire atteint le noyau rouge en suivant le
que ces régions se trouvent atteintes par les lésions frontales, la
réaction
que l'on observe au niveau du noyau rouge est d
res postérieure et postéro-médianë. Nous pouvons affirmer que cette
réaction
dégénérative du noyau rouge résulte du ramollis
sait le lohulefusiforme et la circonvolution de l'hippocampe. Celle
réaction
dégénérative était d'autant plus intense que ce
es localisations il n'en est que trois qui se caractérisent par une
réaction
nette au niveau du noyau rouge ; ce sont les lési
rmation atrophique assez accentuée de ce noyau. Nous croyons que la
réaction
dégénérative que présente le noyau rouge à cet
iellement de la lésion temporo-occipitale. Pour ce qui en est de la
réaction
déterminée par la lésion centrale siégeant dans l
u corps du ventricule latéral ainsi que du troisième ventricule. La
réaction
observée au niveau du noyau rouge n'intéresse que
nterne et de la capsule externe. Au niveau de la couche optique, la
réaction
dégénérative semble plus accen- tuée qu'auparav
ne lésion relativement récente, ce ramollissement a n déterminé une
réaction
dégénérative assez nette au niveau de la moitié p
ord avec von Monakow pour reconnaître qu'elles ne produisent aucune
réaction
appréciable au niveau du noyau 218 LA SALLE ARC
tale et de la première circonvolution limbique, et, dans ce cas, la
réaction
dégénérative au niveau du noyau rouge est des plu
faite de la pariétale ascen- dante), ce noyau ne présentait aucune
réaction
dégénérative manifeste. Lorsqu'il s'agit de déc
en du noyau rouge, que la zone grise neutro-tatérate participe à la
réaction
dégénérative, mais à un degré beaucoup moindre
de la dégénérescence secondaire du noyau rouge, nous dirons que la
réaction
dégénérative observée au niveau de ce LES CONNE
roïdie semble ici au tout premier plan. , Mais en dehors de cette
réaction
thyroïdienne il n'y a pas de signes d'altératio
de l'hyperalbuminose du liquide céphalo-rachidien pour affirmer une
réaction
endocranienne et par suite en raison de la symp
aIIlJ1l des fonctions de pilosité par dy"séc.é/ion endocri- nienne.
Réaction
hypophysnire avec hyperaibuminose racltidienne. S
hypoexcitabilité galvanique s'accentue ; on constate une ébauche de
réaction
lente sur ces muscles ainsi que sur ceux de l'émi
cles inversés par les cinq racines motrices du plexus brachial. Les
réactions
électriques confirment le fait. L'existence d'une
ifs, car toutes les impres- sions sensorielles s'accompagnent d'une
réaction
motrice et d'une image cénesthésique, qui peut
énomène hystérique peut être considéré, à cepnint de vue, comme une
réaction
d'adaptation, une réaction de défense (Claparèd
e considéré, à cepnint de vue, comme une réaction d'adaptation, une
réaction
de défense (Claparède) (1 ) vis à-vis des émoti
n sur la coïnci- dence dans les cas d'hystérie traumatique entre la
réaction
myasthénique et la présence de troubles vaso-mo
eux à l'appui de l'hypothèse que j'ai avancée dans l'étude de celle
réaction
, à savoir que chez beaucoup de sujets et en parti
de cette idée, que toute impres- sion cénesthésique se joint à une
réaction
vaso-motrice plus ou moins vive. L'on comprend
tion ordonnée n'est pas obtenue. Yeux. Les pupilles sont égales, la
réaction
à la lumière est bonne. Tous les mouvements des
ées. ' La sensibilité (superficielle et profonde) est intacte. La
réaction
des muscles au courant électrique est partout nor
ne posi- tion de flexion très prononcée. Ensuite, après un temps de
réaction
plus . xxvii 19 , VAN WOERKOM ou moins long
me suit toujours de son regard. Les pupilles sont étroites, pas de
réaction
à la lumière. Les muscles des extrémités et du
Huit jours après son admission à l'hôpital, le malade succombe. La
réaction
de Wassermann (sang, liquide cérébro-spinal) est
mazellen. A cette place les cellules névrogliques sont également en
réaction
: les noyaux sont plus grands et plus clairs, les
triceps, les muscles de l'avant-bras. Sur ces derniers muscles, les
réactions
sont plus nettes du côté droit que du côté gauc
lité sans DR. Sur le biceps, le long supina- teur, le deltoïde, les
réactions
galvaniques sont nulles ou extrêmement faibles.
galvaniques sont nulles ou extrêmement faibles. A l'avant-bras les
réactions
sont nettes à droite, faibles à gauche, avec tend
droite, faibles à gauche, avec tendance à l'inversion. On trouve la
réaction
de dégénérescence complète sur les émi- nences
oup les noyaux remplis de glycogène des cellules hépatiques ; or la
réaction
de glycogène a donné un résultat négatif. La na
lus rapide 8 centimètres cubes d'un liquide un peu jaunâtre. Pas de
réaction
au gaïac Pas de pigments biliaires. Après centr
'albumine, ni sucre, ni pigments biliaires. Urée : 30,7 0/00. Iode,
réaction
intense. Cristaux d'urates. Urobiline en très gra
due dans les 24 heures, 730 grammes. Couleur jaune clair, trouble ;
réaction
faiblement acide. Densité 1010 ; Urée 7.77 0/00 ;
dissoute = 0. Indol en grande quantité. Scatol en petite quantité.
Réaction
de l'iode négative. Histologie -du culot de cen
s, des paralysies des muscles moteurs de l'oeil, le nys- tagmus, la
réaction
hémiopique de Wernicke. L'incontinence vésicale
e présente un strabisme interne ; les pupilles sont égales, mais la
réaction
. la lumière est moins prompte du côté droit. L'ex
t douloureuses au toucher, mais hypoes- thésiques à la piqûre. La
réaction
de Wassermann s'est montrée négative à l'épreuve
polynucléose, etc.) ; d) Si la teneur en albumine était augmentée (
réaction
de Nonne). Le résultat 1«(il tout à fait négati
es (ni lymphocytose, ni polynucléose, ni polycytose)'et en outre la
réaction
de Nonne fut toujours négative. Cependant, Hedl
nomène de Babinski. Intelli- gence peu développée, pupilles égales,
réactions
pupillaires normales, pas de limitation du cham
du champ visuel, pas de troubles de l'ouïe, de l'odorat ou du goût.
Réaction
de Wassermann négative dans le sang et dans le li
ermann négative dans le sang et dans le liquide céphalo-rachidien ;
réaction
de Nonne aussi négative, aucun changement des é
us les symptômes en foyer font totalement défaut, pas de papillite;
réactions
de Wassermann et de Nonne négatives. Dans l'ana
ctère par les phénomènes accessoires qui l'accom- pagnent et par la
réaction
de Wassermann. Parmi les affections cérébrales
it être aussi une conséquence de l'acidose ou, plus exactement, une
réaction
de l'orga- nisme tendant a neutraliser l'excès
toxines. L'attaque épileptique est donc vraiment une décharge, une
réaction
utile de l'organisme contre l'intoxication. Que
rien à leur valeur comme mécanisme d'expulsion de toxines et comme
réaction
utile. En effet, les malades regardent aussi le
toutes les formes d'épilepsie, il faut regarder l'attaque comme une
réaction
de l'organisme pour se débarrasser des toxines. L
; la suggestibilité; le rythme el la pé ? -iodicilé ; les promptes
réactions
et la tendance aux toxiques; ['hérédité anaphyl
ques; ['hérédité anaphylactique pour les-to : 1. : Ï- (¡ ! les; les
réactions
vaso-motrices et sécrétoires faciles ; la débilit
c.), apporte son appoint à la personnalité du dé- bile nerveux. *
Réactions
vaso-motl'ices. Vagotonie et sympathico4onie. On
ou de l'appareil endocrinique indique le ter- rain approprié à ces
réactions
, terrain qui n'est autre que la débilité nerveu
econnaissons en eux un état névropathique constitutionnel, avec des
réactions
neurasthéniques et hystéroïdes faciles, mais ce q
u jeu abdominal. En quoi consiste cette désharmonie ? Le maximum de
réaction
avec le minimum d'excitation. N'importe quelle
yxoïdiens, parce qu'ils sont aussi des psycho-névrotiques. Outre la
réaction
catarrhale des muqueuses aux circonstances élio
sa qualité de-sys- tème de défense de l'organisme. Eh ! bien, cette
réaction
facile se rencontre d'autant plus accentuée que
e plus, les notions que j'ai résumées dans un autre travail sur les
réactions
cliniques élé- mentaires du système nerveux gén
nctionnels qu'on observe fréquemment dans la débilité nerveuse. Ces
réactions
s'appellent : Réactions neurasthéniques. Réac
réquemment dans la débilité nerveuse. Ces réactions s'appellent :
Réactions
neurasthéniques. Réactions hystériques et hysté
erveuse. Ces réactions s'appellent : Réactions neurasthéniques.
Réactions
hystériques et hystéroïdes. Réactions convulsiv
Réactions neurasthéniques. Réactions hystériques et hystéroïdes.
Réactions
convulsives et motrices diverses. Voilà, comme
lle, si elle frappe le système nerveux total, par ordre la première
réaction
sera la neurasthé- nie. La cellule nerveuso int
thèse en question. Selon ma manière de voir, la neurasthénie est la
réaction
pathologique la plus élémentaire du système ner
comme les infections, l'alcoolisme, le tabagisme, etc., produit des
réactions
de défi- cit du côté de sa mentalité, et on obs
unité psychique ; celle de l'épileptique accueille le toxique, elsa
réaction
explosive, avec perle de connaissance, indique la
ique. Celle objection ne détruit pas la règle, car je parle ici des
réactions
générales et non des troubles d'origine locale.
cation populaire s'améliore. Aujourd'hui ce qui domine, ce sonl les
réactions
hysléroïdes, qui se confondent avec le nervosisme
ile, émotivité exagérée ; suggestibilité, rythme ou pé- riodicité ;
réactions
vaso-motrices et sécrétoires faciles; tendance au
jusque dans le tissu cellulaire sous- cutané, ne provoque aucune
réaction
, tandis qu'à gauche les pincements, et les piqûre
. 26 - CLINIQUE NERVEUSE. montrèrent de la mydriase, l'absence de
réaction
de la pupille à la lumière et à la corvergence,
nt la mort, on ne constate ni l'odeur acétonique de l'haleine ni la
réaction
caractéris- tique dans l'urine. Dans l'autre, a
, au contraire,.l'urine traitée par le perchlorure de fer donne. la
réaction
rouge-bourgogne TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈT
58 REVUE CRITIQUE. est précédé par une période d'excitation et de
réaction
avec élévation de la température qui n'existe j
oit présenter, pendant un temps plus ou moins long, l'odeur et la
réaction
spéciales de l'urine, et cela, à diverses reprise
té cellulaire est épuisée, que les tissus mal nourris n'ont plus de
réaction
, que le système nerveux affaibli est sans défen
L'absence de l'odeur chloroformique de l'haleine; L'absence de la
réaction
acétonémique dans l'urine. Le type est ainsi co
r expiré, carac- tère négatif qui a pour corollaire l'absence de la
réaction
de l'urine par le perchlorure de fer ou les aut
es accidents de collapsus. Par cette seule raison que l'odeur et la
réaction
de l'acétone font défaut, ces observations de c
ée, pour nous, par quatre ordres principaux de phénomènes : 1° La
réaction
spéciale de l'urine et l'odeur de l'haleine ; 2
dans les cas incomplets; mais l'odeur aigrelette de l'haleine ou la
réaction
de l'urine doivent de toute nécessité exister p
proquement, chaque fois que ces deux phénomènes existent, que la
réaction
symptomatique soit complète ou incomplète, le m
ison- ner autrement pour l'acétonémie. 1° ° Odeur de l'haleine et
réaction
de Tureiae. L'odeur de l'haleine a été comparée
n des deux procédés suivants : Le premier et le plus usité est la
réaction
que fournit le perchlorure de fer. Dans une uri
rend que, suivant la quantité d'acétone con- tenue dans l'urine, la
réaction
sera plus ou moins nette, et la teinte obtenue
autant qu'ils coexistent avec l'odeur éthérée de l'haleine ou de la
réaction
urinaire, car la dyspepsie n'est pas rare chez
facilement, pendant le coma, au-dessous de 36°. Outre cette légère
réaction
fébrile, les symptômes de la première période s
re l'odeur de l'haleine, nous pûmes constater à différentes fois la
réaction
de l'acétone dans les urines. 2° Acétonémie c
ndant tout ce temps, donne, en général, d'une manière régulière, la
réaction
rouge bourgogne par le perchlorure de fer; ce n
les plus ou moins éloignés, l'odeur aigrelette de l'haleine et la
réaction
acétonique de l'urine, en même temps que se mani-
issipent, TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 73 la
réaction
et l'odeur acétonique disparaissent, et le malade
s, des tentatives d'acétonémie, avec odeur spéciale de l'haleine et
réaction
acétonique de l'urine. Ces accès passagers coïn
pidement disparaître les troubles fonctionnels en même temps que la
réaction
acétonurique. En août 188a, à la suite de fatig
tée plus haut. Mais nous n'avons pas recherché chez cette malade la
réaction
acétonurique. Ce qui est certain, c'est que ces
ormications pas- sagères, évolution apyrétique, absence d'atrophie;
réaction
normale des muscles et des nerfs à l'égard du c
contractilité électrique n'est modifiée que quantitativement, sans
réaction
de dégénérescence. Les réflexes tendineux ne di
tion de certains autres, l'absence de contractions fibrillaires, de
réaction
de dégénérescence, la conservation des réflexes
ion de l'excitabilité électrique des mains et des pieds : jamais de
réaction
dégénérative; fonctionnement normal de la vessi
e, les locaux d'habitation n'ayant pas encore décelé d'ozone, 3° La
réaction
du papier d'épreuve qui ne dépasse pas le n° 10
ue, fournit généralement les résultats les plus favorables : 3o les
réactions
entre les n', 9 et 4, produisent des troubles d
'atrophie musculaire dégénératrice à proprement par- ler, jamais de
réaction
dégénérative ; quelquefois l'extrémité parétiqu
presque cer- tain, si l'on cherche et que l'on trouve d'un côté la
réaction
pupillaire, qui a été récemment indiquée par We
e spinale n'est jamais - appelée à l'activité, parce que toutes les
réactions
qui sont du « ressort de la moelle s'accompliss
où résulte le caractère intentionnel et réellement volontaire - des
réactions
. La conduite estregléeparlescirconstancespassées,
1883, de Jaksch annonçait qu'il avait souvent trouvé la diacéturie (
réaction
de l'urine au perchlorure de fer, et présence d
echercher dans l'urine des aliénés l'acétone et le corps donnant la
réaction
au perchlorure de fer. M. Loehr a dans ce but i
réaction au perchlorure de fer. M. Loehr a dans ce but interrogé la
réaction
de Gerhardt au perchlorure de fer, celle de Lie
par l'acide* acétique). Il a, à plusieurs reprises, interrogé ces
réactions
tant dans l'urine que dans son produit de distill
linique variait. La conclusion est que, à l'exception d'un cas, ces
réactions
ne se montrent que chez des malades en état d'a
ingéré; chez elles, l'urine donnait simultanément très nettement la
réaction
Légal; chez elles, dès le premier jour de 278 S
AVANTES. l'abstinence absolue on vit concurremment apparaître et la
réaction
au perchlorure de fer et la réaction Légal. Che
concurremment apparaître et la réaction au perchlorure de fer et la
réaction
Légal. Chez les six autres, aucune réaction au
erchlorure de fer et la réaction Légal. Chez les six autres, aucune
réaction
au perchlorure de fer; la durée du refus absolu
du refus absolu d'aliments atteignit ici jusqu'à quatre jours; ;la
réaction
Légal dans l'urine se montra trois fois le prem
ec l'urine additionnée d'acide sulfurique) pré- senta nettement les
réactions
Lieben et Légal, dans tous les cas de refus con
iouri-iture, et cela dès le premier jour de con- tinence. Les mêmes
réactions
dans le produit de la distillation de l'urine s
ne époque où tous les repas subissaient le même sort, deux fois les
réactions
en question, tandis qu'à d'autres périodes, bie
s, l'urine réagissait au perchlorure de fer, et présentait aussi la
réaction
Légal; dans l'autre, elle ne fournit que la réact
ntait aussi la réaction Légal; dans l'autre, elle ne fournit que la
réaction
Légal. Dans le premier cas, l'urine exhalait au
observations ne nous ont pas permis d'établir avec certitude si les
réactions
de l'acétone fournies par l'urine, qui se montren
cas, le produit de la distillation de l'urine montra nettement les
réactions
Lieben et Légal quand l'abs- tinence fut suppri
e densité de 40311. : absence de sucre et d'albumine, absence de la
réaction
au per- chlorure de fer, absence de la réaction
mine, absence de la réaction au per- chlorure de fer, absence de la
réaction
Légal, mais le produit de la distillation décèl
de la réaction Légal, mais le produit de la distillation décèle les
réactions
Légal et Lieben. Ce jour-là, la patiente avait
l existait de la constipation. Avant cela, on n'avait obtenu aucune
réaction
, en dépit de plusieurs examens, même dans le pr
it de plusieurs examens, même dans le produit de distillation ; ces
réactions
manquèrent encore les'jours suivants ainsi que
étention qui n'avait jamais été poussée aussi loin' que suprci, les
réactions
en question firent constamment défaut. Eliminon
odeur de pommes du diabétique. Seifert vint alors qui trouva que la
réaction
au perchlorure de ' fer se montre chez les mala
Gesellschdft. su. Wi< ? 6u;'jy, 1882). Hoppe-Seyler trouva cette
réaction
dans l'urine d'un malade intoxiqué par l'acide
n même temps, le produit de distillation de son urine présentait la
réaction
l,iel)en (Zeilschi-. f. klin. Aled. VI, 5). Tuc
rine, du moins le produit de la distillation de l'urine fournit les
réactions
de l'acé- tone, au bout de vingt-quatre heures,
itiophobes, la co- loration au perchlorure de fer s'accompagne delà
réaction
Légal dans l'urine; d'autre part, l'une peut pe
ais le produit de la distillation offre, dans les deux cas, la même
réaction
. Ou bien, pour nous servir des termes de Jaksch
latine, M. Loehr a trouvé, à la phase de fièvre éle- vée, une forte
réaction
au perchlorure de fer en même temps que la réac
vée, une forte réaction au perchlorure de fer en même temps que la
réaction
Légal, plus tard le produit de la distillation de
plus tard le produit de la distillation de l'urine seul donnait les
réactions
Lésât et Lieben. Il doit donc y,avoir divers co
s en apparence les mêmes. Si l'on suppose que le corps qui donne la
réaction
au perchlorure de fer fournit, par une plus amp
de l'eau, soit avec de l'acide sulfurique dilué, z ne fournit ni la
réaction
Lieben, ni la réaction Légal. Le même essai sur
l'acide sulfurique dilué, z ne fournit ni la réaction Lieben, ni la
réaction
Légal. Le même essai sur les vomissements de l'
0 de l'ensemble de l'acide sulfurique. A raison de la similitude de
réaction
et de structure de la créatinine (Nobel, acéton
t de la distillation effectué qui toujours fournit positivement les
réactions
Lieben et Légal, alors que jamais il ne s'y mon
les réactions Lieben et Légal, alors que jamais il ne s'y montre la
réaction
rouge-brun au per.. chlorure de fer. Mais, pour
itié. En cette espèce, M. Loelir n'ajamais pu produire nettement la
réaction
iodoformique, même quand I s'était formé une tr
la réaction iodoformique, même quand I s'était formé une très belle
réaction
Légal, et quand la réac- tion au perchlorure de
d la réac- tion au perchlorure de fer faisait défaut, tandis que la
réaction
iodoformique se montre aussi bien que la réacti
ut, tandis que la réaction iodoformique se montre aussi bien que la
réaction
Légal quand on ajoute a l'urine normale de l'ac
a l'urine normale de l'acétone. Les corps qui donnent ces diverses
réactions
dans l'urine doivent donc être les éléments gén
c être les éléments générateurs de l'acétone. Le corps qui donne la
réaction
au per- chlorure de fer n'est pas, en tous cas,
femme que nous avons rapprochée de l'observation de Siemens, cette
réaction
se rencontra pendant la dernière pé- )iode sans
ion se rencontra pendant la dernière pé- )iode sans qu'on obtint la
réaction
plus sensible de Légal, et la réaction au perch
)iode sans qu'on obtint la réaction plus sensible de Légal, et la
réaction
au perchlorure de fer, si forte qu'elle fût souve
lation, soit en agissant directement sur sa substance, provoque une
réaction
de l'organe, qui se révèle par le trouble des f
gard des excitants physiologiques qui déchaînent toujours les mêmes
réactions
indiquées. Chaque exci- tant détermine dans la
sensibilité à la plante des pieds sous l'influence de la pression :
réaction
normale des pupilles. Le troisième tabétique ma
de la forme la plus légère, c'est-à-dire dépourvue d'atrophie et de
réaction
dégénérative des muscles paralysés. Ce qui prou
La peau conduit très peu Je courant élec- trique ; contractions et
réactions
normales des muscles et des nerfs à l'égard des
muscles et des nerfs à l'égard des deux espèces de courant; pas de
réaction
dé- générative. L'emploi du courant faradique d
t provoque une atrophie du système musculaire avec altération de la
réaction
électrique. L'issue favorable montre qu'on avai
ctionnelle. Il est à croire que la grossesse s'est traduite par une
réaction
sur le système ner- veux semblable à celle des
d'excitation d'ordre moteur, d'autre part par la persistance de la
réaction
réflexe à l'égard des nerfs sensoriels élevés e
deux mains et des muscles de la langue. inulle part il n'existe de
réaction
dégénérative,mais il faut employer de très forts
onction tout à fait contraire à l'attente et souvent cette fausse
réaction
reste persévérante. Il arrive bien quelquefois,
xième ordre ouverte, l'in- fluence extérieure aura d'autant plus de
réaction
qu'elle a moins d'étendue dans la substance cor
erveux centripète est déjà un peu plus grande, et par conséquent la
réaction
en est plus faible et naturellement plus étendu
parois d'une cavité contenant un liquide séro-citrin, sans odeur, à
réaction
acide. Le néoplasme offre un aspect lobulé. il
XVI. Sur LE rapport qui existe entre les phénomènes tendineux ET la
réaction
dégénérative ; par E. REll.IE (Arch. f. Psych.,
n nerf mixte entraî- nera la perte des phénomènes tendineux, que la
réaction
dégéné- 424 REVUE DE pathologie NERVEUSE. rat
doivent absolument manquer, même quand il ne se développera pas de
réaction
dégé- nérative partielle. Passant ensuite à ses
électrique; dans les altérations névritiques des nerfs mixtes avec
réaction
dégénérative consécutive des muscles,- même lorsq
nt toutes les fois que les muscles où on les provoque présentent la
réaction
dégénérative et même alors que la réaction dégé
s provoque présentent la réaction dégénérative et même alors que la
réaction
dégénérative a rétrocédé; peut- être faut-il ch
culier du phénomène du pied, ne peut se produire de concert avec la
réaction
dégénérative du système musculaire correspondant
La persis- tance des phénomènes tendineux, malgré l'existence d'une
réaction
dégé- iiérative partielle très nette du système
absence survit, dans le cas de retour à la normale, longtemps à la
réaction
dégénérative galvano- musculaire ; b, dans la n
absolue, et peut-être aussi dans la para- lysie centrale, mais sans
réaction
dégénérative subsidiaire. P. K. XXVII. Sur la v
acte très complexe, et qui comprend une action sur les sens et une
réaction
du cerveau. C'est le processus par lequel l'esp
par Jelm, 106. Raisonnement (psychologie du), par Binet, 447.
Réaction
de dégénérescence et phé- nomènes tendineux-, p
étendant successive- ment au thorax et aux membres supérieurs, avec
réaction
de dégénérescence et stigmates de dégénérescenc
reconnaître ceux de sa femme. Inégalité pupillaire, diminution de
réaction
des pupilles à la lumière, très légère faiblesse
ent d'une diminution de l'excitabilité faradique et galvanique sans
réaction
dégénérative. A la paralysie prennent part les
iculaire. Piltz prétend que les deux procédés déterminent les mêmes
réactions
des pupilles chez les malades à pupilles inerte
but de déterminer comment les choses se passent. Il a recherché la
réaction
des pupilles à la fermeture de l'orbiculaire et
ières simple, parce qu'il est plus facile à contrôler. Quant à la
réaction
des pupilles de Westphal et Piltz, elle cons- t
, elle cons- titue à la fois un phénomène prodromique, alors que la
réaction
à la lumière est encore bonne, à la fois un phé
iculaire donne à l'iris une activité exagérée, se traduisant par la
réaction
indiquée des pupilles. P. KERAVAL. 64 -il REVUE
ne psychopathie. Les actes d'un aliéné ne résultent pas toujours de
réactions
instinctives, d'émotions, d'idées associées, su
curable. Nous insistons surtout sur les faits suivants : - 1° La
réaction
méningée que l'on refuse à la névrite (avec rachi
iminuée chez d'autres, alors que d'autres encore présentent même la
réaction
de dégé- nérescence. M. BABINSKY montre que c
téréognostique. La percussion des tendons palmaires ne donne pas de
réaction
, pas plus que la percussion des bords radial et
s palmaires et des bords radial et cubi- tal ne donne lieu à aucune
réaction
. La percussion du nerf cubital dans la gouttièr
réaction. La percussion du nerf cubital dans la gouttière donne la
réaction
normale. Le malade est soumis aussitôt à une sé
porter sa boite de ce côté du corps. Pas de troubles de la vue. Les
réactions
pupillaires sont normales. Pas de troubles de l
à la percussion est normale des deux côtés. Il en est de même de la
réaction
sensitive et motrice du nerf cubital percuté au
on des muscles Fig. 15. 106 CLINIQUE NERVEUSE. donne lieu à des
réactions
normales. La percussion des tendons palmaires e
s palmaires et des bords radial et cubital ne donne lieu à aucune
réaction
. Le champ visuel est normal. Le même jour, no
telle qu'elle est acceptée par Sides, par exemple, c'est que toute
réaction
nerveuse est con- ditionnée par la formation et
l'oesophage et du pylore. Il coule d'abord un mucus assez épais, à
réaction
alcaline, puis après une ou deux excitations de
Pans, le 7 mars 1897. CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude des
réactions
de la peau chez les aliénés l ; Par le Il E.
on eu moins- son degré excessif, c'est-à-dire de l'absence de toute
réaction
de la peau. Relevons tout d'abord que si l'hyst
utement à la sénilité. Ainsi donc chez les vieillards en enfance la
réaction
de la peau est rarement normale et l'altération
tion qu'elle subit est toujours en moins, souvent absence totale de
réaction
, plus souvent encore affaiblissement. Ces résul
llé- 1 Voir Archives de Neurologie, n° 71, t. XII, p. 384, 1901. -
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 195 rations en moi
01. -RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 195 rations en moins,
réactions
affaiblies et absentes, nous voyons la sénilité
ept formes mentales. La plus rare après elle est l'absence de toute
réaction
qui se montre pourtant d'une fréquence égale à
it, si on embrasse tous les sujets, le simple affaiblissement de la
réaction
nor- male, néanmoins elle est inférieure à la d
la première de ces deux formes mentales égale à l'absence de toute
réaction
. Quant à la dermographie, si pour l'ensemble de
rnance des altérations de nature différente et à l'absence de toute
réaction
, inférieure à l'affaiblissement, elle arrive né
double forme, systématique. Il serait intéressant de rechercher les
réactions
de la peau dans chacune d'elles. Nous allons le
obtenons : ce 02 0 r S S c M 'S e m z >
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 197 7 Ce tableau m
e qui est dû à une assez forte proportion d'affaiblissement de la
réaction
de la peau chez les mélancoliques que suivent à
ments. Plus mar- quées sont les différences pour l'absence de toute
réaction
, car nous n'avons noté cette anomalie ni dans l
un lypémaniaque qui eut de la dermographie après avoir présenté une
réaction
au contraire affaiblie. VI. - Il serait aussi
- Il serait aussi bien intéressant de rechercher les variations des
réactions
de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINI
éanmoins ceux qui sont toujours restés à la même période ont eu les
réactions
suivantes de la peau. " RÉACTIONS DE LA PEAU CH
és à la même période ont eu les réactions suivantes de la peau. "
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 199 aurons toutes
u. " RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 199 aurons toutes les
réactions
de la peau que nous avons ren- contrées aux tro
fusion est très net et établit clairement que les altérations de la
réaction
de la peau croissent parallèlement à l'évolutio
e disposition pour étudier d'une façon complète l'évolu- tion de la
réaction
de la peau à toutes les périodes de la para- ly
os trois tableaux, car nous voyons là un paralytique chez lequel la
réaction
complètement nulle à la première période a repa
présenté de la dermographie à la phase inter- médiaire recouvrit la
réaction
normale à la phase ultime. VII. -- Enfin nous n
ommes demandés si l'ûge n'aurai L pas une influence marquée sur les
réactions
de la peau. C'est la forte proportion d'altérat
détail des altérations en moins absence et affai- blissement de la
réaction
et dans le détail des altérations en plus -- de
essive nous trouvons encore là la confirmation des faits que nous
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 201 l signalons. N
contraire, que chez les vieillards en enfance la normalité des
réactions
de la peau était assez rare, celles-ci étant
emment que les piqûres de puce sont héréditaires... pour le mode de
réaction
de l'individu, du moins. Mais cette prédispos
le s'éteint, comme le délire d'emblée du dégénéré, par l'absence de
réaction
émotive ferme et intense. Seulement, sous l'aigui
Le tremblement de la parole, de l'écriture, de la langue, l'inégale
réaction
des pupilles ont presque disparu; - 5° dans le
e spécifique de la paralysie générale : l'absence ou l'inégalité de
réaction
des pu- pilles à la lumière, et l'achoppement s
, sans troubles de la sensibilité, sans atrophie, sans troubles des
réactions
électriques, il existe seulement une extrême fa
e au composé ; et après avoir décrit l'irritabilité, cette première
réaction
de la vie végétale et animale, cette première m
ype sensoriel (auditif- visuel, etc.) que réalise un individu : les
réactions
en reçoivent le contre-coup. Ce sont des faits
t ; elles n'ont, par rapport à l'idée, que la valeur d'une simple
réaction
. - Cette manière de voir a été. contestée, et u
re est l'idée. La théorie émotive ou physiologique a donc été une
réaction
utile contre la doctrine exclusivement intellectu
estion, à savoir qu'une idée est toujours incapable de produire une
réaction
émotionnelle, soit, normale, soit pathologique.
at affectif ( tristesse, désespoir), lequel, ensuite, a provoqué la
réaction
organique (larmes, syncope) ? Soit encore cet e
tesse ci la joie. l'dlis, Alcali, 1900. 264 - PATHOLOGIE MENTALE.
réactions
paradoxales (vaso-constriction avec accélération
nt les sujets, des émotions de même nature peuvent s'accompagner de
réactions
vaso-motrices inverses, que les émotions de cou
siologique, ces mêmes auteurs ont trouvé expérimentalement que la
réaction
émotionnelle, que la conscience de l'état affecti
t, en quelque sorte, que le choc en retour d'un ensemble immense de
réactions
parties de l'écore, c'est-à-dire d'un état de c
ment complexe, intéressant à la fois, par une série d'actions et de
réactions
, toute la vie mentale et une partie des fonctio
le renforcement des impressions thermiques, il ne se produit pas de
réaction
, notamment pas de pigmentation cutanée. L'emp
ie. Il y a eu amé- lioration subjective passagère, diminution de la
réaction
myoto- nique. L'atrophie artificielle constatée
ent invariable- ment la formule inverse, AnSZ > KaSZ. Quant à la
réaction
dégé- nérative de la trichinose et de l'hystéri
e et dans ses méninges. C'est du cancer. P. Keraval. XXXVI. De la
réaction
dégénérative électrique de l'élévateur de la pa
est arrivé), et la réaction'est de plus en plus indistincte. Cette
réaction
ne se constate pas dans toutes les formes de bl
ieure de l'orbite. ' Dans l'espèce on est favorisé, pour obtenir la
réaction
, par ce fait que de forts trousseaux de fibres
, et, par suite sont aisément accessibles au courant électrique. La
réaction
par l'angle externe de l'orbite a évidemment li
, du triju- meau, des muscles de l'autre oeil. La suppression de la
réaction
à la lumière de la pupille, avec conservation f
réaction à la lumière de la pupille, avec conservation faible de la
réaction
à l'accommodation, notée quatre semaines après
: effectivement, aujourd'llui, l'amélioration étant progressive, la
réaction
a la lumière est en partie revenue. Localisat
influence de la fermeture énergique de l'autre oeil seul : c'est la
réaction
consensuelle de la pupille par l'o2-bieulaii-e.
ui tous avaient des pupilles de moyenne largeur ou très larges avec
réaction
à la lumière uve ou exagérée, on trouva le prem
me. Dans les deux cas cette ten- dance mydriatique est opposée à la
réaction
pupillaire de.l'orbicu- laire. Or dans le premi
eu ou pas à la lumière, la tendance à la dilatation, contraire à la
réaction
pupillaire de l'orbiculaire, fait défaut; mais il
de gens bien portants, de neurasthéniques, de paralytiques dont la
réaction
à la lumière est presque parfaite, il faut invoqu
lumière est presque parfaite, il faut invoquer l'exagération de la
réaction
pupillaire de l'orbiculaire, qui sur- compense
lysie unilatérale de l'iris, suite de traumatisme, dans laquelle la
réaction
des pupilles à la contraction simple de l'orbic
modifiée consensuellement par l'autre. Malgré la disparition de la
réaction
à la lumière et à l'accommodation, l'énergique fe
observe une marche régulière des troubles pupillaires : paresse des
réactions
à la lumière, inertie des pupilles, parésie à l
ue ces sujets empruntent aux persé- cutés-persécuteurs les modes de
réaction
qui passent pour carac- téristiques de cette ca
s tel ou tel processus infectieux : il indique simplement qu'il y a
réaction
inflammatoire ou irritative des méninges. La
e négation exprimées de la même façon, par les mêmes phrases, mêmes
réactions
, même évolution. Il ne saurait être question de
simple diminution de la contractilité galvanique et faradique, sans
réaction
de dégéné- rescence. Le traitement consista s
s dévier en même temps le globe oculaire en haut et en dehors). Les
réactions
électriques du nerf et des muscles indiquèrent
nt la gravité de ce second accès. Il y avait abolition complète des
réactions
faradique et galvanique du nerf et abolition fa
lvanique des muscles, avec inversion de la formule; c'est-à-dire la
réaction
de dégénérescence complète. Bien que j'aie comm
us-épineuse et la fosse sus-épineuse sont aplaties. Intégrité de la
réaction
électrique des muscles paralysés. Fléchit- on l
t non hypertro- phiés mais atrophiés. L'examen électrique révèle la
réaction
myotonique non seulement sur les muscles affect
température du corps à la périphérie, et par des différences de la
réaction
vaso-motrice de la peau. Si l'on prend la tempéra
ntaires modifica- tions quantitatives des réflexes cutanés et de la
réaction
vaso-mo- trice). Oppenheim, dans son Lehnbuch
actuellement quinze ans; la conservation des réflexes; l'absence de
réaction
dégénérative et de troubles de la sensibilité :
rt passagèrement, plus ou moins nettement les premiers stades de la
réaction
(grattage, incurvation latérale, fermeture des
Babinski. Il n'y avait ni atrophie des membres, ni modification des
réactions
électriques. On a noté de la faiblesse vésicale e
éressant par le caractère presqu'exclusivement psy- chopathique des
réactions
moibides, constitue un document de plus dans l'
des abcès est probablement grippale. Sur une forme particulière de
réaction
des cellules radiculaires après la rupture des
sous la forme de longs bâtonnets, faiblement colorés parfois. La
réaction
, dont nous venons de parler, nous permet de cons-
vec conservation de la vision centrale pour toutes les couleurs. La
réaction
pu- pillaire de Wernicke fait défaut, autrement
ux, et cela s'ap- ' plique en particulier à l'état des papilles. La
réaction
pupil- laire, dite de Wernicke, faisait défaut.
le existe pour 460 . CLINIQUE NERVEUSE. ` toutes les couleurs. La
réaction
pupillaire de Wernicke fait défaut. L'acuité
corticale ou sous-corticale que par deux caractères : . 1° Par la
réaction
pupillaire hémianopique de Wernicke, qu'on a re
rconstances normales. Le signe de Wernicke consiste en ce que cette
réaction
pupillaire fait défaut, quand la source SUR TRO
ticale. Toujours, à ce que l'on a prétendu, le signe de Werniqke (
réaction
pupillaire hémianopsique) fait défaut, dans les c
ge mentale de ces pensées est assez intense elle se traduit par une
réaction
motrice qui consiste dans la diction des phrase
bio- logie. Il s'agissait d'une femme chez laquelle les temps de
réaction
simple et de choix étaient en rapport inverse de
aissance sont sou- ' Vaschide et Vurpas. De la vitesse des temps de
réaction
auditive simple ou de choix, en rapport avec le
cation de cet insuccès par les conditions, chez ces malades-là, des
réactions
qu'ils présentaient à la lumière, à l'accommoda
upille gauche plus large que la droite. Bord des pupilles anguleux.
Réaction
à la lumière; nulle ou à peu près à gauche; plu
à la lumière; nulle ou à peu près à gauche; plus accusée à droite.
Réaction
consensuelle : très faible à gauche, nulle à dr
la gauche. L'interversion de l'inégalité pupillaire émane ici de la
réaction
différente des deux yeux à l'accom- modation. -
ntraction bilatérale égale des pupilles à l'occlusion palpébrale et
réaction
bilatérale égale des. » pupilles à la lumière,
les, qu'on peut intervertir à cause de l'intensité différente de la
réaction
à la lumière et à l'accommodation des deux côté
pille large ou les deux pupilles étant insensibles à la lumière, la
réaction
de l'orbiculaire est plus pro- noncée sur la pu
pupille insensible à la lumière peut, en certains cas, produire la
réaction
consensuelle de l'autre pupille sensible à la lum
é l'attention à l'aide de différents tests : il a pris les temps de
réaction
de ces malades à l'aide du chronomètre électriq
ixer : la fatigue survient très rapidement. ' La durée des temps de
réaction
est considérablement allongée. La distraction n
ile d' - 173. Crucifiement d'un -, 17. Contribution à l'étude des
réactions
de la peau chez les -, par Marandon de 1<l
te, et celle de la lésion qui est insi- dieuse. De même, le mode do
réaction
symptomatique de la rcl- lule nerveuse est fonc
es cellules de la corne antérieure et de la colonne de Clarke, avec
réaction
névroglique discrète. - Il est probable que le
peu retentissant, mais pro- voquant cependant dans certains cas des
réactions
assez violentes pour nécessiter l'internement ;
n coexistent. Les hallucinations sont envisagées comme des modes de
réaction
engendrés par la douleur morale ; elles sont su
roupes : 1° troubles intellectuels ; 2° troubles volon- taires ; 3°
réactions
affectives : 4° délire. la Dans les troubles in
oncourent aux actes ; la synthèse men- tale est affaiblie. 3° Les
réactions
affectives constituent le caractère même de la
méninge encéphalite diffuse est aussi paralytique. Toutefois, la
réaction
de la pupille dilatée à l'instillation d'atropine
mêmes instillations. Le signe d'A 1'g,ljll-Robe1'tson : perte de la
réaction
à la lumière avec conservation des mouvements 1
r, mais se présente avec des combinaisons diverses de lenteur de la
réaction
pu- pillaire à la lumière et de paresse il l'ac
es modifications des milieux de culture des germes. Enfin, vu les
réactions
histo-chimiques, ni l'aspect mor- phologique ni
u les réactions histo-chimiques, ni l'aspect mor- phologique ni les
réactions
bio-pathologiques ne sont spéci- fiques chez le
les toxines albuminoïdes. La destruction de cellules provoque deux
réactions
l'une, très forte, aboutit à la production d'un
t Laurès, des recherches très complètes sur la composition et les
réactions
du sang d'un certain nombre de sujets atteints
lages ; leur accumulation, toujours modérée, est due peut-être aune
réaction
inflammatoire, pluspro- bablementà une irritati
mence avec illusion ou hallucinations. Elle déterminedeux sortes de
réaction
: l'excitation ou l'apathie. Des actes délict
ez les lacunaires, ce qui frappe sur- tout c'est l'importance de la
réaction
encéphalitique intersti- tielle inflammatoire.
mmatoire. On peut différer d'avis sur la significa- cation de cette
réaction
, soutenir avec de bons arguments qu'elle est pr
naîtra après examen de mes préparations,c'est L la réalité de cette
réaction
névroglique toujours intense. La sclérose des s
ours l'état de spores, lesquelles dé- terminent une grave ettypique
réaction
locale..1. SG1,AS. XXXV. Contribution nouvelle
crises fut relativement restreint (25). et cette sorte d'absence de
réaction
doit, croyons- nous, être rapportée à la bromur
ardissement originaire du cerveau, ne doit pas faire préjuger d'une
réaction
unique ou identique. L'adultération est peut-êt
tifiée par l'asystématisalion des conceptions délirantes et par les
réactions
morbides qui portent déjà un cachet démentiel.
pus des abcès. Inoculation de sang à l'oreille d'un lapin; pas de
réaction
locale, mais paraplégie du train postérieur de
uvent curable, ne pro- voque, en effet, que très peu ou même pas de
réaction
ménin- gée lymphocytaire, la symbiose lympho-po
al des états psy- chiques, les expériences faites ont porté sur les
réactions
avec choix (\Vahl reactionen) sur les réactions
s ont porté sur les réactions avec choix (\Vahl reactionen) sur les
réactions
verbales (Worler reactionen), sur les réactions
reactionen) sur les réactions verbales (Worler reactionen), sur les
réactions
avec choix alter- nant avec les réactions verba
rler reactionen), sur les réactions avec choix alter- nant avec les
réactions
verbales ; surl'addition, etc ? En total il y a
des médecins et des étudiants en médecine. I. Recherches sur les
réactions
. RÉACTIONS AVEC CHOIX. On a eu, pour chaque r
ns et des étudiants en médecine. I. Recherches sur les réactions.
RÉACTIONS
AVEC CHOIX. On a eu, pour chaque recherche, 500
ctions. RÉACTIONS AVEC CHOIX. On a eu, pour chaque recherche, 500
réactions
avec choix, ou verbales. Les épreuves avec du b
preuve normale et une épreuve avec du brome, dont les séries de 100
réactions
avec choix alter- naient avec des séries de 100
es de 100 réactions avec choix alter- naient avec des séries de 100
réactions
verbales. La méthode pour obtenir ces réactions
c des séries de 100 réactions verbales. La méthode pour obtenir ces
réactions
est celle-ci : on lisait avec la même rapidité
échaînement central des mouvements. 268 ÉTUDE CRITIQUE. Les 500
réactions
avec choix n'ont pris que 40 minutes donc en mo
réactions avec choix n'ont pris que 40 minutes donc en moyenne 125
réactions
chaque 10 minutes. Le sujet n° 1 présente des t
25 réactions chaque 10 minutes. Le sujet n° 1 présente des temps de
réactions
plus lon- gues parce qu'elle est la première ép
deux épreuves sont très différentes, même opposées. Dans un cas les
réactions
diminuent jusqu'à la 3'' section ; le maximum d
5 rs. Dans le second cas on voit au contraire un ralentissement des
réactions
qui, à la fin de la première moitié, est de 33
16 de sorte que le ralentissement total est de 49 c. Examinant les
réactions
mauvaises, on voit que les temps de réaction di
e 49 c. Examinant les réactions mauvaises, on voit que les temps de
réaction
diminuent dans la même mesure que le nombre des
temps de réaction diminuent dans la même mesure que le nombre des
réactions
mauvaises devient plus gros. Ce qui commence ex
de l'opération, et cela est confirmé encore parle grand nombre des
réactions
mauvaises. LES POISONS DE l'intelligence. 269
ce qui parait du plus haut intérêt, c'est le chiffre trop gros des
réactions
mauvaises dans le premier cas, qui ne font d'ai
ieures volontaires est facilité, de là l'abréviation des temps de
réaction
et les réactions mauvaises. Dans le second cas,
ires est facilité, de là l'abréviation des temps de réaction et les
réactions
mauvaises. Dans le second cas, au contraire, le
ternes autant que sur le déchaînement des mouvements volontaires.
Réactions
verbales. Ces recherches diffèrent des recherch
ne série normale préliminaire, de sorte qu'il y a ici seulement 400
réactions
après la prise de l'al- cool. Cependant la duré
e l'influence observée est ap- proximativement la même que pour les
réactions
avec choix Les 400 réactions ont occupé un peu
proximativement la même que pour les réactions avec choix Les 400
réactions
ont occupé un peu plus de 38 mi- nutes. En ce q
nce de l'exercice joue un rôle beaucoup plus grand ici que dans les
réactions
avec choix. L'abré- viation des temps monte ici
rience doit être considérée comme normale. L'examen des mauvaises
réactions
a peu d'importance ici, car on 270 étude crit
actement contraires à ceux des recherches cor- respondantes sur les
réactions
avec choix. Un premier sujet montre une réducti
ions avec choix. Un premier sujet montre une réduction des temps de
réaction
pro- portionnelle avec la durée de l'influence
itimer ici les mêmes conclusions sur les rapports entre le temps de
réaction
et les mauvaises réactions, que dans les réacti
usions sur les rapports entre le temps de réaction et les mauvaises
réactions
, que dans les réactions avec choix. Quant aux m
tre le temps de réaction et les mauvaises réactions, que dans les
réactions
avec choix. Quant aux mauvaises réactions, elle
s réactions, que dans les réactions avec choix. Quant aux mauvaises
réactions
, elles ne sont pas spécialement très significat
es seules. Il y a eu 7 paires de groupes, dont chacun contenait 100
réactions
avec choix, et 100 réac- tions verbales. Toutes
ervalles et pauses - deux heures. On a com- mencé avec une série de
réactions
avec choix. La dose de 4 gr. de brome a été pri
se de 4 gr. de brome a été prise après l'exécution d'une série de
réactions
verbales et avec choix. Dans cet ordre de reche
ue l'augmentation de l'exercice ne peut se cons- tater que pour les
réactions
verbales,et presque pas pour les réactions avec
ns- tater que pour les réactions verbales,et presque pas pour les
réactions
avec choix. Le cas d'un sujet de Lcemald montre
ontre qu'il y a une tendance à l'abréviation des chiffres, dans les
réactions
avec choix, qui, bien que peu accen- tuée, se m
jusqu'à la fin. Plus éloquente est la réduction des temps dans les
réactions
verbales, quoiqu'il y ait ici même des oscillat
ne dégradation de l'exécution s'élève aussi le nombre des mauvaises
réactions
qui, dans la seconde moitié de la recherche, es
des jours nouveaux. Après l'assimilation du brome, la moyenne des
réactions
suivantes avec choix est de 21 cr, tandis qu'en
ntes avec choix est de 21 cr, tandis qu'en même temps le nombre des
réactions
mau- vaises monte. Mais cette augmentation des
au- sée par la prise du médicament. Dans des prochaines séries de
réactions
verbales et avec choix, l'influence du brome es
fluence du brome car elle s'y révèle encore au moyen des mauvaises
réactions
. Si l'on considère aussi le nombre des mots san
ce le choix, en le faisant. assimiler immé- diatement après les 200
réactions
. Plusieurs raisons ont rendu cette expérience v
he d'une heure tous les quatre jours d'expérience, et on a pris 100
réactions
, pendant 13 minutes, avant la marche, et 300 ré
n a pris 100 réactions, pendant 13 minutes, avant la marche, et 300
réactions
, 42 minutes après. Tous les deux jours de brome
le rapport entre la quantité du travail et l'influence du temps de
réaction
. Le tableau X contient les données moyennes vra
X contient les données moyennes vraisem- blables de la totalité des
réactions
ainsi que le chiffre du LES POISONS DE l'inte
e du LES POISONS DE l'intelligence. 281 pourcentage des fausses
réactions
pour chaque épreuve préliminaire, dans la' prem
. II ; à Il t môme oscillation est soumise le chiffre des fausses
réactions
, qui vacillent entre ut,25 0/0 (B.I') et l4l,l :
plus saillants du tableau sont : tout d'abord le nombre des fausses
réactions
est plus gros pendant la marche que d'ordinaire
ans cette sorte d'expériences, exercent une influence favorable aux
réactions
fausses. Quoi qu'il en soit, l'explication n'a
différence entre les jours normaux et ceux avec du brome dans les
réactions
obtenues après la marche. En un mot, les résult
s concordantes entre l'abréviation et le prolonge- ment de temps de
réaction
. Les données finales ne sont cependant pas semb
rome, mais cela n'est pas non plus très probable car le chiffre des
réactions
fausses n'est pas diminué. Les trois épreuves d
s dont il s'agitooncordent, surtout dans le pourcentage des fausses
réactions
qui est presque le même (17, 0 0/(), 1G, 0/0, 1
raux et irréguliers, promis généralement, un exposé précis de leurs
réactions
, ce qu'aucun interrogatoire ne peut révéler.
qu'elle n'est non plus une entité morbide nette ; qu'elle est une
réaction
psycho-dynamique et queles stigmates qu'on lui at
° Il considère comme signes de certitude l'existence du bacille, la
réaction
à la tuberculine et la séroagglu- tination. S
une quinzaine de jours pour une tuberculose au premier degré, et la
réaction
paraît se conserver d'autant plus longtemps que
culines dans un but thérapeutique qui reste à atteindre ; mais la
réaction
thermique qui suit leur administration a fourni
qui se prêtent malaisément à l'auscultation, bien que l'absence de
réaction
ne permette pas d'affirmer un terrain indemne d
um sanguin, qui a le mérite d'être inof- fensif, et on a obtenu des
réactions
thermiques instruc- tives ; mais c'est un sujet
ur maximum 24 heures après l'in,jec- tion. ' 2° Les phénomènes de
réaction
toxique spécifique aussi bien de l'antisérum qu
unité de la personnalité et une prépondérance presque exclusive des
réactions
automatiques. Au total la mentalité de l'idiot
entis.cristallises ou catatoniques, à tous ceux qui man- quaient de
réactions
périphériques. Dans ces cas le jet d'eau agis-
Quelques semaines plus tard, l'état s'était beaucoup amélioré. les
réactions
électriques étaient presque normales, mais le réf
il y u plus de vingt ans. G. C. 1L. - Méningite tuberculeuse sans
réaction
leucocytaire du liquide céphalo-rachidien ; par
nce. Recrudescence depuis un mois. Jeune homme de 16 ans, signes de
réaction
mastoïdienne avec symptômes cérébraux de- puis
certaines substances nocives qui baignent le système nerveux. Les
réactions
de défense qui en découlent, comme l'hyperten-
tiles sur l'examen des sujets, les tests qu'on peut em- ployer, les
réactions
démentielles aux excitations diverses. L'histor
factive, etc . produit toujours, dans les mêmes conditions, la même
réaction
, c'est à celui qui soutient que ce mouve- ment
t très connu, un lézard en fer-blanc, rapporté d'Italie, dont les
réactions
provoquées lui semblent imiter avec une telle per
celles de la -limaille de fer à proximité d'un aimant. Nombre de
réactions
motrices de ce genre, où l'on a cru voir des ac
ables ou nuisibles aux organismes vivants, Loeb a pu déterminer des
réactions
destructives de leur conservation. Les amibes a
Elle reconnaîtrait pour cause la dénutrition qui provoquerait une
réaction
exagérée des éléments nerveux il l'excitation. En
eloppement des centres nerveux qui aurait été lui-même la cause des
réactions
névrogliques et des dilatations épendy- maires.
abondantes - 750 grammes par vingt-quatre heures sont claires, leur
réaction
acide; elles ne contiennent ni sucre, ni albumi
'Uexliüll, qui ont montré comment, chez les animaux inférieurs, des
réactions
d'apparence volon- taires sont réductibles à l'
iment de colère, de vengeance ou de défense, qui explique ici cette
réaction
. Dans nombre de crustacés et de vers, Bethe et
et ne peut être qu'un vaste complexus de réflexes organisés. Toute
réaction
phy- siologique est un syllogisme en acte. C'es
e et d'autres auteurs ont recherché dans leurs expériences. Toute
réaction
de l'animal doit pouvoir être attribuée, soit à c
corce cérébrale. Pour les bien connaître, il faudrait étu- dier les
réactions
d'un animal décortiqué : l'activité des centres
épourvus d'écorce proprement dite ne sont pas seulement capables de
réactions
appropriées, adaptées à des fins, dont les cond
éjugés, en d'autres termes, il faudrait se garder d'interpréter les
réactions
de ces orga- nismes, de ces vertébrés inférieur
e le demande, après avoir rappelé les expériences de Norman sur les
réactions
des vers à la division de leur corps en segment
t, c'est que l'enfant n'a pas à proprement parler de mentalité ; sa
réaction
vis-à-vis d'une impression est directe, unique,
echerches exposées dans ce travail montrent que les phé- nomènes de
réaction
et de réparation des cellules nerveuses après l
n du noyau et du nucléole de la cellule nerveuse aux pro- cessus de
réaction
et de réparation, après les solutions de conti-
ou tuberculeuse qui suit parfois la rougeole. L. Il. XXIX. Sur la
réaction
électrique myasthénique ou d'épuisement; par FL
re qui peuvent persister plusieurs jours. L'auteur a obtenu cette
réaction
dans trois cas de maladie d'Erb- Goldflamm ; da
parésie et d'impotence motrice volontaire. Dans ces derniers cas la
réaction
disparaissait après guérison et pouvait subir l
e la parésie. Dans deux cas de pseudo-h3'pertroplrie musculaire, la
réaction
était extrêmement prononcée. Par contre, elle n
dans l'hémiplégie cérébrale organique. L'auteur conclut que cette
réaction
n'est pas particulière à la maladie d'l : rb-CoId
eparu et lorsque la tension nerveuse a disparu, le malade subit une
réaction
qui agit sur la faculté du langage en abaissant
culaire considérable et dans le cas fatal, une dimi- nution dans la
réaction
des muscles au faradisme. Un des carac- tères l
ie complète sans atrophie mus- culaire et sans changements dans les
réactions
électriques. Westphal, en 48 îfi, définissant l
de ces lésions une atrophie musculaire et une modification dans les
réactions
électriques. Cependant l'atrophie musculaire et l
mettent pas de distinguer facilement de légers changements dans les
réactions
électriques. L'atrophie musculaire et les modif
Aucune douleur. Pas de lésions ophtalmoscopiques du fond de l'oeil.
Réaction
pupillaire normale. Un certain degré d'anesthés
du côté des pupilles : pas d'inégalité, pas de mydriase ni myosis.
Réaction
très nette à la lumière. La malade prétend ne r
aire est douloureuse et normale à droite; elle ne provoque aucune
réaction
à gauche (signe d'Abadie-Rocher). Le nez est bien
mètres cubes d'urine (dans les 24 heures) : densité à + 15 = 10 18,
réaction
acide, cou- leur jaune pâle et peu de sédiment
convaincre surtout avec un diapason (Hgger) -, est aussi nerveuse (
réaction
douloureuse nulle par pression du cubi- 'LÔ(j C
latine sont insensibles à tout chatouillement ou pincement, à toute
réaction
thermique ou élec- trique. JS8 CLINIQUE NERVE
elle une sensation quelconque plus ou moins intense ou bien aucune
réaction
ne se produit, ou bien le mouvement de défense
t essaye de fuir, et de s'échapper de nos mains. En dehors de ces
réactions
particulièrement intenses à certaines impressio
de ces réactions particulièrement intenses à certaines impressions,
réactions
qui d'ailleurs sont rares, l'état de distractio
asmagorie kaleidoscopique. L'état mental de G... indépendamment des
réactions
motrices, ressemble assez à celui d'un individu
re de Schwei- gert. L'existence du réflexe oculo-iridien et de la
réaction
pupillaire aux excitations thermiques a été vér
2° De la paralysie du mouvement des deux pattes postérieures, avec
réaction
dégénérative des muscles paralysés. 3° De la pa
ie du mouvement aux extrémités inférieures, avec modification de la
réaction
électrique des muscles paralysés innervés par l
ement cellulaire et dont le degré d'activité mesure l'intensité des
réactions
fonctionnelles qui en résultent. La fièvre est co
nfiltration nucléaire (m. au carmin) est un processus secondaire de
réaction
contre les lésions cellulaires . Les vaisseaux
rtout de ces der- niers par la frayeur qui caractérise toutes leurs
réactions
. Ils sont SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 en proie à u
ue le peumocoque. Délire aigu et V pneumonie ne sont que le mode de
réaction
de l'organe infecté. \ La pathologie générale d
alée ne dépend pas directement du poison qui l'engendre, mais de la
réaction
qu'il il provoque sur un système nerveux à impr
laires font leur apparition. Absence temporaire et permanente de la
réaction
irienne à la lumière; pupilles ovales, ovoïdes,
nt dentelé dans sa forme. Pupilles myoliques, souvent punctiformes;
réaction
à la lumière absente par intermittence, jusqu'à
laire du quadriceps seraient donc de même nature. La différence des
réactions
musculaires dans les réflexes tendineux et les
ses fibres. Les réflexes patellaires, qui ne seraient ainsi que des
réactions
musculaires dépendraient de la tonicité du musc
d'en haut, elle considère l'ensemble des symptômes comme de simples
réactions
de l'idée. On lui objecte que l'idée ne devient
la rapidité des mouvements que sur leur énergie, sur le temps de
réaction
que sur le travail 2. Il n'est pas plus favorable
1899, p. 307.) °- J.-W. \Varren. The effect of purealcohol on llze
réaction
lime, wilh a description of a new chronoscope.
ication. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE, Contribution à l'étude des
réactions
de la peau chez les aliénés ; Par le D' E. MA
e D' E. MARANDON DE MOXTYEL, Médecin en chef de Ville-Evrard. Les
réactions
de la peau chez les aliénés ont été jusqu'ici t
pas la seule altération dont était susceptible chez les aliénés la
réaction
de la peau ; nous avons tout de suite vu qu'à c
l'alcool sur le travail. (C. R. Soc. de Biologie, 1900, p. 825.).
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 385 moins qui se p
deux degrés; le simple affaiblisse- ment plus ou moins marqué de la
réaction
normale et l'ab- sence totale de cette dernière
nfluence des excitations du tégument. La nature de cette singulière
réaction
cutanée est encore entourée d'une grande obscur
. 25 386 . CLINIQUE MENTALE. Voici ce très instructif tableau :
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 387 Antérieurement
ous avons ainsi procédé pour tous de la même manière. Jamais aucune
réaction
doulou- reuse ne s'est produite, avons-nous déj
-contraire, à six mois d'intervalle, de grandes variations dans les
réactions
de la peau chez 104 des 291 aliénés de toutes c
u, mais bien d'un état transitoire apparaissant et. disparaissant
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 389 sous l'influen
nt pas de dermographie il en est un certain nombre chez lesquels la
réaction
de la peau n'était pas pour cela normale : cert
ermographie selon qu'elle est d'intensité modérée ou excessive. .
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 391 la dermographi
malades suivis toute l'année, nous n'avions pas retrouvé l'été les
réactions
de la peau que nous avions constatées l'hiver.
ent d'apprécier les varia- tions apportées par les saisons dans les
réactions
de la peau chez les mêmes aliénés, ils ne nous
quand on les suit durant toute l'année, car tel malade qui aura une
réaction
normale l'hiver présentera une réaction altérée
car tel malade qui aura une réaction normale l'hiver présentera une
réaction
altérée l'été, c'est ainsi avons-nous dit plus
en moins, nous les retiendrons; mais 14 n'avaient présenté que des
réactions
normales, qui, peut-être, si ces sujets avaient
tabler que sur 312 cas. Ils nous fournissent le tableau suivant :
RÉACTIONS
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 393 l'absence de t
t : RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 393 l'absence de toute
réaction
et celle qu'on rencontre le plus souvent, le si
lus souvent, le simple affaiblissement plus ou moins marqué de la
réaction
normale ; entre les deux se place la dermogra-
puisque la différence entre eux n'est que de 9 p. 100. Toutefois la
réaction
normale est plus fréquente que la réaction alté
9 p. 100. Toutefois la réaction normale est plus fréquente que la
réaction
altérée qui l'est le plus. Nous avons constaté
nés fournissent un très fort contingent d'altérations en plus des
réactions
de la peau comme nous l'établirons un peu plus
peu moins fréquente chez les aliénés que l'affaiblissement de la
réaction
normale, elle se montre encore chez eux dans un
plus de deux fois plus souvent avec le simple affaiblissement de la
réaction
normale qu'avec l'ab- sence totale de celle-ci.
ories, nous pouvons étudier les altérations en plus et en moins des
réactions
de la peau dans chacune des variétés mentales.
considérer comme plus particulièrement sujets aux altérations des
réactions
de la peau. Restent les altérations en moins. E
d'abord celle du degré inférieur : le simple affaiblissement de la
réaction
normale et nous constaterons, fait auquel on ne
cessif de normalité. Ajoutons que chez eux on trouve encore plus de
réactions
affaiblies que de dermographie. C'est dans la d
uteur rappelle sommairement ses propres travaux sur la question des
réactions
pupillaires et se propose dans le présent trava
lié ailleurs par l'auteur est un cas de mydriase alternant avec des
réactions
pupillaires nor- males, chez un sujet jeune (17
début, et aussi qu'elle peut coïncider pendant des -années avec la
réaction
pupillaire normale chez un sujet atteint de lés
: dans les cas binoculaires, on a constaté : 1° la perte totale des
réactions
, deux fois ; 2° les pupilles restant fixes à la
s à la lumière et paresseuses dans la convergence, une fois ; 4° la
réaction
à la lumière disparue, le réflexe de conver- ge
s ; fin insuffisance de réflexe à la lumière dans les deux yeux, la
réaction
de conver- gence et d'accommodation demeurant é
ns, c'est la grande fréquence de l'absence simultanée de toutes les
réactions
. C'est l'inverse de ce que l'on observe dans la
ce que l'on observe dans la paralysie générale où le plussouvent la
réaction
de convergence est conservée. L'auteur aborde e
ts, dans la majorité des cas de démence précoce avec altération des
réactions
pupillaires, soit comme cause prochaine, soit c
l'un des éléments prédispo- sants, l'insuffisance ou la perte de la
réaction
pupillaire, dans les cas d'affaiblissement ment
possèdent deux dans lesquels les malades sont répartis suivant leur
réaction
au point de vue de la sociabi- lité. Il existe
s auteurs se font de la nature des stéréotypies. Celles-ci sont des
réactions
automatiques qui résultent d'excitations d'orig
-Doken- Zoken. » Quelquefois les stéréotypies du langage sont des
réactions
de défense. Une persécutée chronique et mégalo-
s des aliénés, avec étude spéciale de l'état connu sous le nom de,«
réaction
à distance » ; par John 'foRNER. (The Journal o
enait des streptocoques en grand nombre, dont la morphologie et les
réactions
de coloration se rapportaient au streptococcus
on- tenait des diplocoques présentant l'aspect morphologique, les
réactions
de coloration et les caractères de culture du Dip
ian et le radial présen- taient des modifications qualitatives à la
réaction
. De la critique de son propre cas et de l'étude
s, trois fois par jour peuvent être nécessaires pour déterminer une
réaction
circulatoire ou de tempé- rature, tandis que da
46, 545. Statistique des - du canton de Zurich, par Sérieux, 166.
Réactions
de la peau chez les , par Marandon de Montre),
- hystérique dans l'histoire, «par Leroy, 506. M y 1,STIIF.NIQUE.
Réaction
électrique-, par Flora, 127. Myélite syphilit
tincfif. Chez le simulateur, comme chez le cataleptique, un tambour à
réaction
, fixé à l'extrémité du membre étendu [fig. 1, R),
ls dans les expériences sur l'immobilité cataleptique. R. Tambour à
réaction
de Marey. P. Pneumographe. C. Cylindre tournant.
psie hypnotique. I. Tracé du pneumographe. II. Tracé du tambour à
réaction
. tant quand il s'agit d'hystérie ou d'affection
cataleptique. I. Tracé de la respiration. II. Tracé du tambour à
réaction
. mules que l'artifice des malades voudrait y su
obines (appareil de du Bois-Reymond), ne produisait à peu près aucune
réaction
; on eût dit que les muscles étaient absents. On p
ce dernier caractère, s'attendre à voir la galvanisation provoquer la
réaction
qui s'observe quand la nutrition des muscles est
et c'est là un caractère de ce qu'on appelle en électro-diagnostic la
réaction
de dégénérescence, il se produit une exaltation d
avait donc une modification quantitative et non pas qualitative de la
réaction
; on peut, d'après cela, conclure qu'il s'agit d'u
enses. 1. M. Rùmpf a étudié, dans le service du professeur Erb, les
réactions
électriques des muscles dans les cas d'affections
ni dans le droit. Tous les autres muscles du membre présentent les
réactions
électriques normales. Il n'en aurait cependant pa
ation profonde de ces éléments dans la paralysie infantile, où il y a
réaction
de dégénérescence, à savoir exaltation de l'excit
au contraire, nous voyons que, par un traitement approprié, déjà les
réactions
électriques réapparaissent. Il s'agirait donc alo
s du cou et des membres supérieurs, avec diminution (non absence) des
réactions
faradique et galvanique. Quoi qu'il en soit, au
ance de l'électricité statique en électro-diagnostic. Dorénavant, aux
réactions
faradique et galvanique, il faut ajouter la réact
Dorénavant, aux réactions faradique et galvanique, il faut ajouter la
réaction
franklinique ou (plus euphoniquement) franklinien
minations. fiestera à déterminer la signification clinique de cette
réaction
. Venons-en au traitement du malade. Depuis la l
tements. La marche est plus facile, etc.; mais, chose remarquable, es
réactions
faradique et galvanique reparaissent, de plus en
ent des bobines, et 9 ou 10 milliampères. Point important, ces deux
réactions
ont reparu simultanément. Pour l'une comme pour l
'ailleurs, de recourir de temps à autre à l'exploration ordinaire des
réactions
. Reste à indiquer avec plus de précision commen
alysie faciale ancienne, d'origine périphérique, et dans laquelle les
réactions
électriques étaient complètement abolies. Mais,
a souvent à supporter des douleurs vives, fréquemment accompagnées de
réaction
fébrile. 2° Rhumatisme articulaire chronique pr
'agit de la hanche. Elle s'accompagne de douleurs peu intenses, et la
réaction
fébrile fait défaut. 3° Nodosités d'Heberden. —
nfirme pour toutes les articulations malades. Les modifications des
réactions
électriques que présentent les muscles sont ici e
e fait exception : c'est le vaste externe du côté droit, qui offre la
réaction
de dégénérescence, consistant en ce que l'excitab
que est exaltée. C'est là une exception unique ; partout ailleurs les
réactions
électriques indiquent une atrophie simple, sans a
r le simulateur et sur la cataleptique, on applique : 1° un tambour à
réaction
sur le bras étendu, pour permettre d'enregistrer
iendra : a. Sur la cataleptique, la plume qui correspond au tambour à
réaction
appliqué sur le bras, trace sur le cylindre enreg
KaSZ AnSZ. Ce rapport fait partie de ce qu'on appelle la formule des
réactions
normales; et si on trouve, en explorant un muscle
u'il y a inversion de la formule, et celte inversion fait partie delà
réaction
de dégénération; ou, en d'autres termes, la réact
fait partie delà réaction de dégénération; ou, en d'autres termes, la
réaction
ainsi obtenue correspond à une altération plus ou
il faut un courant plus fort que dans l'état normal pour obtenir une
réaction
; mais les résultats sont parallèles, il n'y a pa
xpériences de Erb et de Ziemssen découle, en résumé, que l'absence de
réaction
faradique, la réaction galvanique persistant mais
Ziemssen découle, en résumé, que l'absence de réaction faradique, la
réaction
galvanique persistant mais modifiée en plus, indi
rieux, mais avec régénération possible ; qu'au contraire l'absence de
réaction
faradique et galvanique montre un état des plus g
Or, Messieurs, en pathologie humaine, ces modifications profondes des
réactions
électriques correspondant à un état grave de la n
ons. 2° Dans le domaine du plexus sacré, nous trouvons à droite des
réactions
normales. A gauche, le muscle moyen fessier est i
e répondent ni à la faradisation ni à la galvanisation, il y a là une
réaction
de dégénération surtout à gauche ; il n'y a donc
roduit qu'une contraction lente et faible. A droite, il y a aussi une
réaction
de dégénération, mais de dégénération moins compl
du membre. On rencontre dans ces cas des secousses fibrillaires et la
réaction
de dégénérescence dans quelques-uns des muscles a
ultats de l'électrisation de ces mêmes muscles qui ne donne jamais la
réaction
de la dégénérescence ; l'âge du début, toujours a
de une poire en caoutchouc communiquant par un tube avec le tambour à
réaction
d'un appareil enregistreur, on voit que dans les
lysés, circonstance qui, jointe à l'absence de toute modification des
réactions
électriques dans ces muscles, nous conduisais imm
sses musculaires ont conservé leur volume et leur relief normal ; les
réactions
électriques, tant faradiques que galvaniques, ne
e d'un traumatisme. L'absence d'atrophie et de toute modification des
réactions
électriques des muscles, dans un cas où la paraly
éflexes tendineux, d'atrophie musculaire et de toute modification des
réactions
électriques, la résolution absolue du membre cons
ticulière ; pas de troubles trophiques, pas de modifications dans les
réactions
électriques des muscles paralysés. — Diagnostic:
territoire des nerfs atteints ; troubles trophiques, modification des
réactions
électriques 2. Messieurs, La leçon d'aujourd'
soumis à un examen méthodique, n'ont présenté aucune modification des
réactions
électriques, soit faradiques, soit galvaniques: p
triques, soit faradiques, soit galvaniques: pas le moindre soupçon de
réaction
de dégénérescence Gharcot. Œuvres complètes, t.
hiés. Us présentent, à l'examen électrique, tous les caractères de la
réaction
de dégénérescence portée à son plus haut degré ;
relief normaux, ils ne présentent à aucun degré les caractères de la
réaction
de dégénérescence, les réflexes tendineux sont co
et profonde, ainsi que sur l'absence de troubles trophiques et de la
réaction
de dégénération dans les muscles du membre paraly
s, on observerait certainement, au bout de huit ou dix jours déjà, la
réaction
dégénérative à un degré très prononcé sur tous le
le. Je relèverai ensuite: d'abord l'absence de toute modification des
réactions
électriques, de toute atrophie des muscles alors
é au niveau des jointures ; pas d'amyotrophie, pas d'altératiorTdes
réactions
électriques, bien que le début de la maladie remo
te un certain degré d'amaigrissement, d'atrophie du membre ; mais les
réactions
électriques sont normales ; aucune trace, en part
ctions électriques sont normales ; aucune trace, en particulier de la
réaction
de dégénération. Il s'agit donc là, bien évidem
musculaires moins profondément intéressés surviendrait un travail de
réaction
, consistant en une sorte de myosite éliminatrice,
emier rang, l'existence de modifications profondes survenues dans les
réactions
électriques des muscles rétractés, et il n'est pa
laire; que celle-ci même, à la vérité toujours sans accompagnement de
réaction
dégénérative, peut, être parfois poussée fort loi
des troubles moteurs. D'ailleurs, pas d'atrophie des muscles dont les
réactions
électriques sont normales ; pas traces de paralys
l'épiglotte et le maintenir là, longtemps, sans provoquer la moindre
réaction
. Le goût est totalement perdu, un* pincée de sulf
certaines paralysies organiques Cependant les muscles présentent des
réactions
électriques absolument normales. Il en est de mêm
la profondeur lu pharynx et l'y maintenir sans déterminer la moindre
réaction
. Le malade n'est pas hypnotisable. Le 1er novem
élaboration mentale inconsciente. L'amyotrophie sans modification des
réactions
électriques s'est produite chez ce malade assez r
en proportion du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de
réaction
de dégénérescence ; 5° cette atrophie peut se dév
vons déjà dit plus haut qu'à l'examen électrique, il n'y avait pas de
réaction
de dégénérescence. Il s'agit donc d'une atrophie
ticulière ; pas de troubles trophiques, pas de modifications dans les
réactions
électriques des muscles paralysés. — Diagnostic :
territoire des nerfs atteints : troubles trophiques, modification des
réactions
électriques............. 299 VINGT ET UNIÈME LE
dans le), 143. Diathèse de contracture, 104, 415. E Electriques (
Réactions
— des muscles dans les atrophies musculaires d'or
muscles dans les atrophies musculaires d'origine articulaire), 33; —
Réactions
— dans les atrophies musculaires du rhumatisme ch
tions — dans les atrophies musculaires du rhumatisme chronique, 56; —
Réactions
— dans l'atrophie musculaire consécutive à une co
3, 319 ; — Perte du sens musculaire. 304; — Pas de modification des
réactions
électriques, 305 ; — Diagnostic d'avec la névrite
les appareils circulatoire, respi. ratoire, digestif et urinaire.
Réaction
de Wassermann : négative. Observation II (PL I
popbyse : normale. Aucun autre fait ne mérite ici d'être mentionné.
Réaction
de Wassermann : négative. Observation III (Po
absolue de l'oeil gauche. Thyroïde imperceptible à la palpation.
Réaction
de Wassermann : positive. ? <- ' ? ? ¥..f(d
XXVIII. PL. IV Obs. V Obs. IV DYSTROPHIE GENITO-GLANDULAIRE 9
Réaction
de Wassermann : négative. Examen radiographique
d'aucune façon que le patient se soumit à l'examen radiographique.
Réaction
de Wassermann : positive. Ohservation VI (PI. V
mains quand il étend les doigts. Etat mental parfait. Bien que la
réaction
de Wassermann se soit montrée négative, le traite
que les testicules diminuaient de grosseur. Etat mental inaltéré.
Réaction
de Wassermann positive. Obs. VI Obs. VIII O
éprouve à cet égard une complète aversion . Intelligence normale.
Réaction
de Wassermann négative. Examen radiographique :
: 12 SOUZA ET DE CASTRO Etat psychique : imbécillité manifeste.
Réaction
de Wassermann franchement positive. Examen radi
l n'a jamais eu de rela- tions sexuelles. Intelligence normale.
Réaction
de Wassermann négative. Observation XI (PI. VII
é le diagnostic du mal de Hodgkin (pseudo- leucémie lymphatique).
Réaction
de Wassermann positive. Interné depuis à l' « H
mentale, un caractère enfantin, comme celui d'un garçon de 8 ans.
Réaction
de Wassermann positive. Observation XIV (PI. VI
es ; à la lumière directe d'une lampe électrique, on ne voit aucune
réaction
. La paupière supérieure de l'oeil droit est un pe
'acte musculaire, le mouvement est accompli vivement,1 le» temps de
réaction
est court, l'amplitude est considérable ; par c
, auditives, etc., l'acte se poursuit plus lente- ment, le temps de
réaction
s'accroît, l'amplitude diminue ? i n t " Woodwo
tilité, de la sensibilité, de la trophicité, etc., la recherche des
réactions
électriques, sont indispensables pour aboutir à u
qu'une simple contusion. M. H. Meige mit en relief le fait que les
réactions
électriques sont peu touchées, la pression arté
de tous les mouvements de la main et des doigts, avec intégrité des
réactions
électriques (main figée). So- ciété de neurolog
réflexe tricipital. - 8. Excitabilité mécanique. - Brusquerie de la
réaction
des muscles de l'avant-bras, de l'éminence thén
uence de la première, et toutes deux pouvant être considérées comme
réactions
réflexes à la blessure. Les troubles parétiques
ctilité faradique des muscles tbénariens. , Galvanisation. Pas de
réaction
de dégénérescence. 10. Vaso-motricilé et tempér
e hypoes- thésie électrique très marquée. Galvanisation. - Pas de
réaction
de dégénérescence. 10. Vaso motricité et tempér
dans ceux qui sont innervés par le cubital. Galvanisation. Pas de
réaction
de dégénérescence. La différence entre la contr
re positive est minime; mais la première est plus forte. « Pas de
réaction
de dégénérescence au radial gauche, simplement un
modifications appréciables. , 2. Galvanisation.- Normale. Pas de
réaction
de dégénérescence. 10. Vaso-motricité et tempér
a face postérieure de l'avant-bras). 3° L'apparence est celle d'une
réaction
consécutive à une lésion sié- geant sur un tron
RMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 115 4° L'apparence est celle d'une
réaction
réflexe d'hypertonie et d'hy- potonie combinées
on du radial à la main). 0° L'apparence est à la fois celle d'une
réaction
réflexe et d'une inac- tivité fonctionnelle sur
probablement à cause de l'obstacle mécanique lui-môme s'opposant la
réaction
. Il y avait hyperexcitabilité mécanique : X (R.
) (thénar, hypo- thénar et interosseux : NF<NO<PF), III (0.) (
réaction
de dégénérescence dans médian et cubital). 5°
t de nous avoir longuement induit en erreur; il n'est pas jusqu'aux
réactions
électriques qui ne nous aient DÉFORMATIONS DES
t mauvaises, cuir chevelu alopécique, sourcils rares. Cependant, la
réaction
du sang de Bordet-Wassermann chez lui s'est mon
eurs dans des cas analogues, et dont nous reparlerons plus loin. La
réaction
de Wassermann pratiquée chez lui s'est montrée né
n horizontal fixe. L'écriture se fait à peu près normalement. Les
réactions
électriques, que nous avons pratiquées le 19 nove
mill. - PF=5mill. Nerf médian et cubital et muscles tributaires :
réactions
absolument normales à l'avant-bras et à la main
xe des supplices de la race jaune. Evidemment leurs gestes et leurs
réactions
sont plus violents, plus intenses que les nôtres
as par cruauté, mais par justice qu'on agit. La brusquerie de leurs
réactions
semble quelquefois impulsive. Mais c'est moins
extraction de 25 centimètres cubes sous forte pression. 8. Aucune
réaction
méningée. Frisson dans la nuit et à 9 heures. T
es dans les mollets. Lagophtal- mos. On constate l'absence de toute
réaction
méningée. 26. Vers 2 heures du matin, ses voisi
que, un léger frottement par exemple, pro- voque, non seulement une
réaction
dans le membre excité, mais aussi dans le membr
stallation de l'hôpital auxiliaire ont empêché la détermination des
réactions
électriques alors qu'elles auraient été inté- r
istence d'une cellulo-névrile ; malheureusement, la recher- che des
réactions
électriques n'a pu être faite au moment de choix
édullaire. Rhuma- tismes ? Névrites. Arthrite sèche du genou. Puis,
réaction
médullaire ou polynévrite avec embarras gastriq
lynévrite avec embarras gastrique. Rhumatismes articulaires. Puis :
réactions
médullaires avec embarras gastrique. Fatigue géné
développées, encore parésie faciale du voile du palais, dysphagie.
Réaction
de Wassermann positive. A la ponction lombaire ly
on de Wassermann positive. A la ponction lombaire lympho- cytose et
réaction
de Nonne positive. Pendant le traitement par le m
que. A la ponction lombaire pression un peu augmentée et une faible
réaction
de Was- sermann. Guérison pendant le traitement
eux côtés. A la ponetion lombaire quantité d'albumine augmentée, la
réaction
de Wassermann douteuse, mais fortement positive
'une parésie des quatre membres. Il y avait le signe de Romberg. La
réaction
d'électricité nor- male et la sensibilité norma
mpagne de leucocytose. Un examen du sérum sanguin fut pratiqué ; la
réaction
de Wasserman s'y montra nettement et complèteme
, on ne connaissait ni la lymphocytose céphalo-rachi- dienue, ni la
réaction
de Wassermann. ( ! ) Bien que l'interprétation
ti- ble de déterminer à la fois une lymphocytose rachidienne et une
réaction
de Wasser- mann positive, soit que l'infection
à produire la déviation du complé- ment (on sait par exemple que la
réaction
de Wassermann est souvent positive au cours de
s s'y serait surajoutée ; c'est la syphilis qui aurait déterminé la
réaction
de Wassermann, c'est soit l'affection médullair
, avec ou sans lymphocytose,- le tout traduisant l'irritation et la
réaction
méningée. - Le facial arrive enfin à s'accole
. Nous n'avons à ce point de vue qu'une seule donnée fournie par la
réaction
de Wassermann. Cette dernière a été très nettemen
sont normaux. Attention et mémoire bonnes. Examens complémentaires.
Réaction
de Wasserman, négative. Examen des urines, rien
ricelle il y a quelques années, et prononce depuis lors ce mot). La
réaction
de Wassermann, faite dans le service de dermatolo
nt en pareil cas jusqu'à la fin de la vie. Quanta l'étiologie, la
réaction
de Wassermann a été négative; pas d'antécédents
evons faire remarquer que les tumeurs cérébrales ne donnent pas des
réactions
d'après leur grandeur. Ce paradoxe apparent dépen
es réactions d'après leur grandeur. Ce paradoxe apparent dépend des
réactions
inflammatoires plus ou moins intenses qui atteign
aient même l'impression de l'existence d'un abcès. Je pense que des
réactions
inflammatoires se sont produites dans ce cas, à
45 000 ; blancs : 400. Le liquide centrifugé clair, pas coloré. La
réaction
de glubuline (Nonne-Apelt) est négative. 25. La
ki se produit aux deux pieds. Les incoor- donnés. Mydriase et nulle
réaction
à la lumière-de la pupille droite. Fort myosis
39 degrés, mais s'accompagne quelquefois d'une exagération dans les
réactions
délirantes hypertoniques douloureuses». Dans le
se de Paris, 1902. - NETTER (A.), KOECHLIN (J.) et Salarier (M.). -
Réactions
méningées consécutives aux injections intrarach
one terminale inférieure de la région anidrosique. Il n'y a pas eu de
réaction
vaso-motrice. III. Adrénaline. Avant l'inje
à la minute). On voit à la fois la complexité et la délicatesse des
réactions
qu'entrai. nent les scalpels chimiques, tels qu
méthodes classi- ques ne révèle en général aucune modification des
réactions
. Il n'y a ni signe de dégénérescence, ni modifi
contraste singulière- ment avec l'absence de toute modification des
réactions
électriques. La participation du plexus brachia
peut d'ailleurs passer dans les cas qui nous occupent de ce type de
réaction
d'irritation à celui de la dégé- nérescence dan
omalie, la coexistence de symptômes cliniques impor- tants avec des
réactions
électriques normales. , Nous nous sommes enfin
ral, biceps. Douleurs spontanées légères. Au- cune modification des
réactions
électriques par les méthodes classiques. La par
culaire. L'examen électrique par les procédés classiques montre des
réactions
nor- males faradiques et galvaniques pour tous
diminue en général. Le long supinateur a, dans le cas présent, des
réactions
normales. 360 CHIRAY, BOURGUIGNON ET ROGER .
rédominant sur les muscles périscapulaires. Aucune modification des
réactions
électriques par les méthodes classiques. Aspect
s importants liés la la ligature de la sous-clavière. L'élude des
réactions
électriques faite le 28 juillet elle 15 novembre
28 juillet elle 15 novembre montre par les procédés classiques des
réactions
normales pour les trois nerfs du bras, à l'avan
urs reprises le 29 janvier, le 4 avril et le 21 août ont montré des
réactions
normales par les méthodes classi- ques au galva
trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rhumatisme chronique.
Réactions
électriques normales. Participation du plexus b
halanges. L'examen électrique par les méthodes classiques donne des
réactions
galva- niques et faradiques normales pour tous
ent enroué. Langue tirée droite, voile du palais normal. Pupilles à
réactions
égales. Pouls à il2. Em- pâtement de la nuque à
milliampères. Au niveau des muscles de la main on n'obtient pas de
réaction
certaine avec 10 milliampères. En résumé, l'e
la R. D. qu'à une époque où l'atrophie musculaire est telle que la
réaction
perd beaucoup de la valeur séméiologique. D.-
es supérieurs sont atrophiés d'une façon globale, sans troubles des
réactions
électriques. Il n'existe aucun symptôme d'ordre
hinctérien, aucun trouble visuel ; les pupilles sont égales, et les
réactions
pupillaires parfaitement normales. L'examen vis
n état génital. Examen radiographique : selle'turcique normale. ,
Réaction
de Wassermann : positive.. - Observation XVIII
oint de son étendue. Alors, il se produit, et cela sans douleur, sans
réaction
d'aucune espèce, une chute du doigt ou bien encor
alade est d'ailleurs parfaitement musclé, sans être un athlète. Les
réactions
électriques des muscles de la main, qui paraissen
trique pratiqué par M. le Dr Vigouroux donne les résultats suivants :
réactions
électriques normales dans les muscles de la main
s de sciatique simple, non traumatique, dans lequel il a rencontré la
réaction
de dégénérescence limitée exclusivement aux muscl
s. Les points douloureux classiques étaient présents. Il existait une
réaction
de dégénérescence dans les gastrocnémiens, c'est-
tibial antérieur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une
réaction
de dégénérescence complète. Les péroniers latérau
Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux : Pas d'ano- malie de
réaction
dans les muscles de la région antéro-externe de l
Dr Vigouroux chez cette malade. Nous nous attendions à trouver là la
réaction
de dégénérescence comme dans le cas précédent. Bi
flexion sont des signes d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de
réaction
de dégénération permet peut-être de porter un pro
ité dominent toute la scène. Il s'agit cette fois d'une paralyse avec
réaction
de dégénération typique. Observation IX (person
Observation IX (personnelle). — Sciatique droite. — Paralysie avec
réaction
de dégénérescence des muscles de la région antèro
, extenseurs des orteils, a apparu il y a trois mois. Il existe une
réaction
type de dégénérescence avec diminution de l'excit
édominent, bien qu'on n'ait pas constaté dans les muscles atteints la
réaction
de dégénérescence. Enfin dans I'Observation IX, l
les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et
réaction
de dégénérescence. Puis d'autres désordres beauco
ux côtés. — Les réflexes patellaires sont égaux des deux côtés. — Les
réactions
électriques des muscles sont normales. Dans tou
nerte aujourd'hui. L'examen électrique nous a montré qu'il existe une
réaction
de dégénérescence dans les muscles tibial antérie
ue pour les muscles péroniers latéraux et triceps sural. A droite, la
réaction
de dégénérescence n'est que partielle clans les m
al, il existe de la rétention d'urine, une paralysie atrophique, avec
réaction
de dégénérescence des muscles innervés par le sci
part (polioencéphalomyélite). Description de deux cas. Absence de la
réaction
de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas
e l'ophthalmoplégie externe. Les muscles parésiés sont atrophiés sans
réaction
de dégénérescence. Comme signes fonctionnels il e
aiblissement parallèle des deux modes de l'excitation électrique sans
réaction
de dégénérescence, tandis que dans le type Duchen
réaction de dégénérescence, tandis que dans le type Duchenne-Aran la
réaction
de dégénérescence existe dans les muscles les plu
es les plus affectés. Mais on sait que dans la maladie de Duchenne la
réaction
de dégénérescence est difficile à trouver ; d'aut
emment de cause spinale, nous avons constaté plusieurs fois que cette
réaction
faisait complètement défaut. L'absence de ce sign
s unes, suivant des circonstances non encore analysées, entraînent la
réaction
de dégénérescence, tandis que les autres ne l'ent
omalie à l'exploration électrique, c'est-à-dire qu'il n'existe pas de
réaction
de dégénérescence, bien qu'il y ait un affaibliss
dégénérescence, bien qu'il y ait un affaiblissement très prononcé des
réactions
électriques, tant faradiques que galvaniques. R
nance de la paralysie dans les extenseurs, aucune trace enfin de la
réaction
de dégénérescence qui ne manquerait pas de se man
pilles étaient normales ; ni myosis, ni symptôme d'Ar-gill Robertson.
Réaction
lente à la lumière. Réflexes conservés. Aucune lé
ximum du courant faradique, plus faible pour les deux premiers. Mêmes
réactions
pour le courant galvanique. Thénar : inexcitable.
et : faible adduction du pouce et du petit doigt. Hypothénar : pas de
réaction
galvanique (à cause de la grande résistance de la
réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la région) ;
réaction
faradique à peu près normale. Muscles abdominaux
itables électriquement, quel que soit le genre de courant employé; la
réaction
de dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont
rillaires dans les muscles atrophiés de ses membres supérieurs. Les
réactions
électriques des muscles n'ont pu être recherchées
dernière affection. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies des
réactions
électriques des muscles et en particulier de l'ab
éactions électriques des muscles et en particulier de l'absence de la
réaction
de dégénérescence, ainsi que de la présence des r
douter de l'origine centrale de la maladie. Pour ne parler que des
réactions
électriques, que voit-on en effet dans l'atroph
t-on en effet dans l'atrophie myopathique? une absence d'anomalie des
réactions
, mais une simple diminution de l'énergie des cont
te. D'autre part dans les atrophies d'origine myélopa-thique, si la
réaction
de dégénérescence se rencontre le plus souvent, o
s atrophiés, les uns réagissent normalement, les autres présentent la
réaction
de dégénérescence. On comprend d'après cela que l
tion de dégénérescence. On comprend d'après cela que les anomalies de
réactions
puissent manquer complètement, bien que des cas s
oi qu'il en soit, on ne saurait tirer de cette absence d'anomalie des
réactions
électriques (1) des conclusions légitimes contre
examens anatomo-pathologiques. (1) Ces considérations au sujet dos
réactions
électriques dans la polioencéphalite ont été rédi
minutieux du malade. Tout d'abord cette absence de troubles dans les
réactions
électriques dont nous parlions plus haut ne plaid
aque œil, produisant un léger strabisme convergent. En l'absence de
réaction
de dégénérescence dûment constatée, il est presqu
les muscles de l'éminence thénar de la main affectée les signes de la
réaction
de dégénérescence. Quelle est, Messieurs, la co
s accidents diabétiques. Il donne dans ce livre le signal d'une juste
réaction
contre la tendance que l'on a trop souvent à appl
l'avant-pied est tombant, et s'accompagnant de modifications dans les
réactions
électriques des muscles paralysés qui sont le siè
s réactions électriques des muscles paralysés qui sont le siège de la
réaction
de dégénérescence. Ajoutons à cela que dans tou
?) qu'il traita sans médecin et qui ne s'accompagnèrent que de peu de
réaction
générale. Il eut également de fréquentes débâcles
ieurs pratiqué par M. le D'' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A droite,
réaction
complète de dégénérescence dans le jambier antéri
excitabilité des autres muscles de la jambe et de la cuisse. A gauche
réaction
partielle de dégénérescence du jambier antérieur.
ceci aussi, à savoir qu'à l'examen électrique des muscles on note la
réaction
de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'
s de la jambe droite, qui était et qui est encore la plus malade, une
réaction
de dégénérescence complète, et dans ceux de la ja
générescence complète, et dans ceux de la jambe gauche, seulement une
réaction
de dégénérescence partielle. Il n'en est plus de
ats du dernier examen pratiqué par M. Vigouroux le 15 mars 1890. La
réaction
de dégénérescence n'existe plus et on constate se
tteints : le buccina-teur et le grand zygomatique. Ajoutons que les
réactions
électro-musculaires sont parfaitement normales, b
e une paralysie périphérique au point de vue de son étendue et de ses
réactions
électriques. Quelquefois cette hémiplégie faciale
en électrique pratiqué par M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de*
réaction
. Sur un cas de paralysie radieulaire de la prem
sont altérés dans leur nutrition. L'exploration électrique décèle une
réaction
de dégénération de l'éminence thénar et de quelqu
nous étonner, quand nous trouvions, au bout d'une année à peine, une
réaction
de dégénérescence si profonde, et aussi quand nou
rapidement. Circonstance favorable, elle ne présente jusqu'ici aucune
réaction
de dégénérescence. Mais son existence seule est u
trophie musculaire avec secousses fîbril-laires et, au dernier terme,
réaction
dégénérative, absolument comme dans la sclérose a
ué par M. le Dr Vigouroux, le 8 mars 1890. Il montre qu'il existe une
réaction
de dégénérescence complète pour les muscles facia
part (polioencéphalomyélite). Description de deux cas. Absence de la
réaction
de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas
stériq ue, 290, 2tf7 ; distribution de l'anes-thésie dans la —, 293 ;
réactions
électro-musculaires dans la—, 296; - historique,
rien relevé de particulier, nous n'avons trouvé aucune trace de la
réaction
myasthénique. L'examen des viscères n'a permis
plantaires sont normaux. De profondes piqûres ne provoquent pas de
réactions
(perte de connaissance). Le ' même soir, la mal
gauches sont hypertrophiées, douloureuses, peu mobiles. 56 FLATAU
Réaction
de Pirquet positive. Pendant le séjour à l'hôpi
runs). L'année dernière nous avons eu recours systématiquement à la
réaction
de Pirquet et de Calmette pour déceler la forme
mette pour déceler la forme discrète de spondylite tuberculeuse. La
réaction
de Calmette fut bientôt mise de côté à cause de
inflammation de la conjonctive qui s'installa dans quelques cas. La
réaction
de Pirquet était en général très bien supportée.
n supportée. Bien qu'il nous soit encore difficile de dire si cette
réaction
a une valeur réelle, nous pou- vons affirmer qu
on hésitait entre la carie vertébrale et la tumeur de la moelle. La
réaction
de Pirquet était positive et dans la suite la m
ture non tuberculeuse (sclérose en plaques, hémiplégie, etc.) et la
réaction
fut pour la plupart négative. Quant aux autres
e). La sensibilité subjective n'a jamais paru altérée. Examen des
réactions
électriques. Nous avons employé dans l'examen é
s qualitatives sur les muscles. Les muscles du cou ont présenté des
réactions
électriques à peu près nor- males. Les altéra
ou- rant faradique. · Avec le courant continu,ces muscles ont des
réactions
lentes avec hypoexci- tabilité électrique assez
nt faradique. Sur les muscles de l'avant-bras, il y a production de
réactions
électriques très altérées avec prévalence de la
09 Les nerfs radial, cubital et médian au poignet ne donnent pas de
réactions
motrices. Aux extrémités inférieures,au-desso
, sur le droit interne et le droit externe, on note l'inversion des
réactions
normales avec réaction dégénérative assez prononc
t le droit externe, on note l'inversion des réactions normales avec
réaction
dégénérative assez prononcée. Le droit antérieu
lité électrique. Les muscles de la région pelvienne ont donné des
réactions
électriques à peu près normales. Observation
onservée. Rien d'anormal du côté des organes internes. Examen des
réactions
électriques. - Dans le territoire incurvé par le
ents bien précis. Nous avons pu relever une diminution certaine des
réactions
électriquès sur les mus- cles du cou,des épaule
aradique. Sur tous les muscles de l'avant-bras, on peut relever des
réactions
nette- ment altérées dans leur formule avec les
région soient encore valides : dans leur contraction volontaire, les
réactions
électriques sont constamment altérées avec hypo
et sur les muscles. Les muscles de la région pelvienne donnent des
réactions
inférieures à la normale sans altération de la
la minute), la respiration est paisible et nor- male. Examen des
réactions
électriques. Les muscles du cou, de la nuque, de
la région cervicale et de la ceinture scapulo-humérale démontrent des
réactions
électriques normales, soit avec le courant galv
nt électrique. Sur les muscles de l'avant-bras, on peut décéler des
réactions
de la contrac- tilité musculaire profondément t
ans leur formule avec les manifes- tations les plus évidentes de la
réaction
dégénérative. Dans la main on peut encore provo
'éminence thénar et hypo - thénar ; avec l'inversion complète de la
réaction
dégénérative, les petits muscles delà main sont
pour le quadriceps antérieur qui est altéré qualitative- ment avec
réaction
partielle de dégénérescence et très peu excitable
s muscles innervés par eux. Les jumeaux au contraire présentent des
réactions
relative- ment moins altérées. 122 BERTOLOTTI
uilibre statique, des contrac- tions fibrillaires, des troubles des
réactions
électriques, des troubles de la sensibilité obj
douleurs. Les fentes palpébrales et les pupilles sont normales. La
réaction
à la lumière est conservée. Les mouvements des
e) leur nombre est augmenté. En dehors de cet endroit nulle part de
réaction
du côté de la névroglie. On ne constate, pas no
mportants que nous fournit l'expérimentation chez les animaux ; les
réactions
histologiques consultables au microscope ne peuve
tritifs. Ces expériences jettent une vive lumière sur les premières
réactions
du protopiasmacetiu- laire à la plus légère mod
tant de la situation pendante avec inactivité ; ni modification des
réactions
élec- triques ; ni aucun trouble de la nutritio
ssant cependant sur l'articulation, l'absence de modifi- cation des
réactions
électriques... tout cela permettra de se rendre c
cer- tains individus l'harmonie des mouvements, la mesure dans les
réactions
et la décision rapide ; il y en a une déféctueu
nt comme s'il y avait une fuite d'énergie sur le trajet des grandes
réactions
réflexes, une dérivation trop abondante vers l'
me chez tous les imbéciles : les sommets sont au moins suspects. La
réaction
à la tuberculine, recherchée par l'épreuve cutané
e cutanée de von Piket, a été précocement et fortement positive. La
réaction
de Wasser- mann est négative. Le système loco
sente aucun signe, ni sur celui d'ostéo- syphilose du moment que la
réaction
de Wassermann, en plein accord avec les antécéd
anamnèse incomplète peuvent être facilement comblées à l'aide d'une
réaction
biologique très précieuse, la réaction de Wasse
ment comblées à l'aide d'une réaction biologique très précieuse, la
réaction
de Wassermann,.qui, ainsi que désormais tout le
e qu'elle puisse être ou même de la syphilis héréditaire. Or, cette
réaction
nous a donné, dans le cas actuel, un résultat c
us la main des cas d'ostéite déformante de Paget, leur appliquer la
réaction
de'Vassel'mann, car, évidemment, c'est surtout
e On peut eependan ta ffinner dès maintenant, que dans notre cas la
réaction
de Wassermann ayant été complètement négative,
cifique, et aussi dans le premier cas la lymphocytose intense et la
réaction
de Wassermann positive produi- tes par le liqui
che est plus grande que la droite. Le fond de l'oeil est normal. La
réaction
à la lumière est minime dans l'oeil droit, abol
ETUDE DE 1'1Tll¡ATI,\II (S. J(opcZj'lIski el J.Jarusi·usli). .
Réactions
de Suggestions diverses pendant ['Hypnose. », l
u segment postérieur de la capsule interne produisent d'une part la
réaction
et l'atrophie des cellules géantes dans la fron
pyramidal avec les cellules de Betz, j'ai utilisé la méthode de la
réaction
à distance, laquelle, comme on le sait, nous pe
dans six cas de lé-' sions de la capsule interne. J'ai constaté des
réactions
cellulaires et des lésions atrophiques des gran
clut qu'elles ne constituent rien autre qu'un cas particulier de la
réaction
que présente- tout neurone moteur ou sensitif a
yden a présenté en mon nom (3) des coupes de cerveaux démontrant la
réaction
des cellules géantes à la suite des lésions de la
ervice de ]'Hôpital Pantélimon. Ils arrivent à la conclusion que la
réaction
des cellules pyramidales géantes, suivie de leur
t Brodmann ? Pour répondre à ces questions, les auteurs étudient la
réaction
à dis- tance des cellules cérébrales après la s
capsule in- terne, le noyau lenticulaire et la couche optique, les
réactions
cellulaires ne se limitent plus aux pyramides g
droite et dans le lobule paracentral, les cellules de Betz sont en
réaction
; les grandes cellules de la couche sous-granul
couche sous-granulaire de la pariétale ascendante sont également en
réaction
(fig. 6, PI. XXXIX). 3° Hélène T... Notes clini
ule paracentral du côté gauche beaucoup de cellules géantes sont en
réaction
; très peu sont normales ; d'autres sont en voi
frontale ascendante et dans le lobule paracentral droit on voit une
réaction
intense des cellules géantes, quelques- unes, s
acentral, type 5 de Brod- mann, on voit également des phénomènes de
réaction
et d'atrophie dans quelques grandes pyramidales
cellules de Betz, légèrement diminuées comme nombre, sont toutes en
réaction
à dis- \"ou\elle Iconographie DE la SALPhTRIi.R
ules de Betz, ainsi que les grandes cellules sous-granulaires sont en
réaction
à distance. 7- Coupe du lobule paracentral du m
la frontale ascendante gauche on voit, en dehors de ces cellules en
réaction
, quelques pyramides géantes normales et un certai
u type 5, les grandes cellules sous-granuleuses sont éga- lement en
réaction
. 7° Tudora I... Notes cliniques. 50 ans,hémiplé
acentral, colorés au Nissl, la plupart des cellules de Betz sont en
réaction
. Le corps cellulaire est tuméfié, globuleux, en c
de la capsule interne qui sépare ces noyaux. Examen microscopique.
Réaction
et disparition des cellules de Betz du lobule par
coupes du lobule paracentral beau- coup de cellules de Betz sont en
réaction
, d'autres sont atrophiées. On y voit encore que
géantes de la frontale ascendante et du lobule paracentral sont en
réaction
, quelques-unes en voie d'atrophie. Les grandes
lobule paracentral gauche, la plupart des cellules de Betz sont en
réaction
, d'autres sont atrophiées. On y voit encore un
es de Betz sont disparues et celles qui per- sistent encore sont en
réaction
ou en voie d'atrophie pigmentaire. Dans la pari
et dans le lobule paracentral droit. Les lésions consistent dans la
réaction
et l'atrophie des cellules de Betz. Mais beauco
obtenues dans ces 20 cas d'hémiplégie résiduelle nous voyons que la
réaction
des cellules de Betz après les lésions de la ca
obule paracentral droit presque toutes les cellules de Betz sont en
réaction
, ainsi que les cellules géantes du type 5. Dans
ndante et dans le paracentral gauche il y a des cellules de Betz en
réaction
^ mais la plupart d'entre elles sont atrophiées
hiées ; dans le type 5 de ce côté quelques cellules géantes sont en
réaction
et beaucoup ont disparu. 2° Tudora J... Notes c
ers hémorragi- ques punctiformes de l'écorce. Examen microscopique.
Réaction
, atro- phie et disparition des cellules de Betz
qu'en dehors des remarques que nous venons de faire relatives à la
réaction
des cellules de Betz consécutivement aux lé- si
es paracentraux on remarque quelques cellules de Betz présentant la
réaction
à distance, dont une même en achromatose. Dans
nt lombaire. Durée de la maladie : un mois. Exa- men microscopique.
Réaction
manifeste dans les cellules de Betz des lobules
le tiers supérieur des frontales ascendantes quelques cel- lules en
réaction
. Pas de réaction dans le reste des frontales asce
r des frontales ascendantes quelques cel- lules en réaction. Pas de
réaction
dans le reste des frontales ascendantes. 3° Pau
Dans les lobules paracentraux on voit quelques cellules géantes en
réaction
. Pas de lésions dans les frontales ascendantes.
cheval. - Examen microscopique. - Lésions manifestes consistant en
réaction
à distance et en atrophie des cellules de Betz de
orsal. Durée de la paraplégie, 8 mois. Examen microscopique. Légère
réaction
dans les cellules de Betz des lobules para- cen
voit dans les lobules paracentraux beaucoup de cellules de Betz en
réaction
, certaines présentent l'atrophie pigmentaire. P
raux et des parties supérieures des frontales ascen- dantes sont en
réaction
et atrophie pigmentaire. Quelques pyramides géant
O rieures, quoique le processus fût assez ancien, ne produit pas de
réaction
dans les centres moteurs cérébraux. On conçoit
et par conséquent avec les mouvements volontaires. Plus encore, la
réaction
cellulaire suivie dans les différentes portions
dans le lobule paracentral. Dans les paralysies pseudo-bulbaires la
réaction
et l'atrophie des cel- lules géantes de l'écorc
re, réagit faiblement à l'accommodation. On ne peut rien dire de la
réaction
à la convergence, vu l'impossibilité d'accomplir
lions n'a révélé aucun phénomène spécial. Il ne se produit pas de
réaction
cutanée à la tuberculine. Mensurations DU crâne
ement des muscles abdominaux du côté gauche avec modification de la
réaction
électrique. Dans un cas de Schultze ce stade du
im et Bruns, les muscles atrophiés ne présentent pas de troubles de
réaction
électrique. Dans nos cas il n'y avait pas de sy
certaine importance à l'absence complète ou presque complète de la
réaction
électrique dans les muscles atrophiés (Oppenhei
s supérieures, des atrophies muscu- laires (même accompagnées d'une
réaction
de dégénérescence du muscle releveur de l'anus,
u rectum, des atrophies musculaires peu prononcées, l'absence de la
réaction
de dégénérescence (Warrington). D'après l'opini
e, leur persistance dans la région de l'os sacral et du coccyx, une
réaction
de dé- générescence bien prononcée dans les mus
uvent qu'apparente. D'ailleurs, après l'absolutisme de Charcot, une
réaction
était inévitable : en clinique, comme dans toutes
Couleur : jaune clair. ' Aspect : limpide. ' Densité : 1015.
Réaction
: acide. Acidité exprimée en H' S0 : 0.833 0/00
! 350 gr. Couleur jaune paille. Aspect : limpide. Densité : 1.026.
Réaction
: acide. ,correspondante à 1,176 0/00 d'il' SO'
grammes. Couleur : jaune paille. Aspect : limpide. Densité : 1.012.
Réaction
: acide, correspondant Ù 1,3ï 0/00 de H'SO4. Ur
s presque tous les cas de tabes et de para- ]ysiegénéra)e,)orsque)a
réaction
pupillaire à la lumière faisait défaut.Les nerf
dre le squelette au cours du développement foetal et y produire une
réaction
, qu'il s'agisse de tuber- culose typique, néopl
intacte et les pupilles ne présentaient rien d'anor- mal dans leurs
réactions
à la lumière et à l'accomodation. Il faut noter
les autres. Cette multiplication cellulaire indique un processus de
réaction
à la périphé- rie des plaques. Les vaisseaux so
ou s'enfonçant vers la profondeur sous forme de pseudo-glandes. La
réaction
névroglique sous-jacente est peu intense. Moell
épendymaires, formations pseudo- glandulaires en particulier, avec
réaction
névroglique très marquée indi- quant « que ce n
de l'épithélium en pseudo-glandes s'enfonçant vers la profon- deur,
réactions
cellulaires et névrogliques dans la zone immédiat
ariablement une coloration verdâtre et que dans le cas actuel cette
réaction
est d'autant plus nette que les fibres voisines s
nt confirmées par d'autres recherches du même ordre. z Quant à la
réaction
qui s'observe au niveau du tapétum dans les cas
vons prati- LA MICROSOMIE ESSENTIELLE HMRRDO-FAMinAm lili5 que la
réaction
de Wasserm¡lI1n (méthode classique), et dans tous
noter aussi des dif- férences au point de vue de la motilité et des
réactions
électriques : dans les cas de pachyméningite le
cés, avec atrophies muscu- laires même assez accusées, sans que les
réactions
électriques présentent d'altérations accentuées
ns ; dans lespachymé- ningites, au contraire, les modifications des
réactions
électriques corres- pondent davantage aux troub
es- pondent davantage aux troubles moteurs et les manifestations de
réaction
de dégénérescence se montrent plus caractérisée
laire inférieur ne présen- tent pas d'altérations notables de leurs
réactions
, mais que les réactions des muscles du groupe r
n- tent pas d'altérations notables de leurs réactions, mais que les
réactions
des muscles du groupe radiculaire supérieur son
es définitives avec atrophie musculaire accompagnée de troubles des
réactions
électri- ques assez nets pour permettre de les
de vue de leur volume,- de leur force et de leurs fonctions ; leurs
réactions
électriques sont bonnes. Le deltoïde gauche est
igre que le droit, mais sa force et ses fonctions sont bonnes ; ses
réactions
électriques ne présentent actuellement aucune a
e même ; elles sont assez bonues comme volume, comme force et comme
réactions
électriques ; on n'y constate aucune trace de r
ce et comme réactions électriques ; on n'y constate aucune trace de
réaction
de dégénérescence. A l'avant-bras le long supinat
gri, mais il se contracte volontairement d'une façon manifeste, ses
réactions
faradiques et galvaniques sont encore affaiblie
r restent très paralysés, notablement atro- phiés et présentent une
réaction
de dégénérescence encore très accentuée. (Dans
ses, 1,8 série. Salpêtrière (1893-1894). UN CAS DE MYOPATHIE AVEC
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES NORMALES PAR FÉLIX ALLARD. Nous
écartées l'une de l'autre, sont légèrement ailées. MYOPATHIE AVEC
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES NORMALES 29 Les membres supérieurs
lement en effet dans la 30 FÉLIX ALLARD . myopathie primitive les
réactions
électriques galvanique et faradique son quantit
que la diminution de la contractilité volontaire. Généralement les
réactions
électriques ne présentent pas d'altérations qua
pas d'altérations qualitatives comme celles qu'on rencontre dans la
réaction
de dégénéres- cence. On en a cependant signalé
dont les muscles présentaient en général une diminution simple des
réactions
électriques, mais dont le vaste interne de la c
presque complète des muscles des jambes avec l'in- tégrité de leurs
réactions
électriques, l'abolition de tous les réflexes ten
ns l'hypothèse de M. Marie, comment expliquer aussi l'intégrité des
réactions
électriques ? Ce ne seraient pas seulement des mo
les fléchisseurs, Rev. Neurologique, 1900, p. 218. MYOPATHIE AVEC
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES NORMALES 31 au cours de la présenta
peler que chez deux frères myopathiques présentés par M. Cestan les
réactions
électriques étaient remarquablement bien conser
'altérations qua- litatives plus ou moins semblables à celles de la
réaction
de dégénérescence. L'important est de suivre l'
périeurs ; Une diminution simple de l'excitabilité galvanique, sans
réaction
de dégé- nérescence. Cette diminution de l'ex
Diminution simple de l'excitabilité faradique et galva- nique sans
réaction
de dégénérescence. Intégrité de la sensibilité et
graphie de l'atrophie des membres qui a débuté par leur racine, les
réactions
électriques et l'absence de tremblements fibril
de la sensibilité, ni de secousses fibrillaires, ni de troubles des
réactions
électriques, donnant à la palpation une sensation
t la forme de leur crâne est normale. Nous signalerons l'absence de
réaction
de dégénérescence; non seulement l'in- version
ire est brève, sans cette lenteur spécifique en quelque sorte de la
réaction
de dégénérescence. « L'excitabilité électrique
électrique des muscles donne les résultats suivants : il existe la
réaction
de dégénérescence dans les muscles grand-fessiers
e la réaction de dégénérescence dans les muscles grand-fessiers, la
réaction
électri- que est éteinte ou très affaiblie dans
s grand-sciatiques, cruraux et tibiaux postérieurs, il n'y a pas de
réaction
faradique, ni galvanique avec 15 milliampères. Le
ut et toujours, aussi bien dans les muscles que dans les nerfs, les
réactions
électriques ont été normales. On peut donc dire q
ident qu'il ne s'agit pas d'une myopathie (douleurs, anes- thésies,
réaction
de dégénérescence, distribution spéciale de l'amy
ophie ; 2° Ré- action de dégénérescence ou plutôt modifications des
réactions
électri- ques ; 3° Fréquente existence de troub
es et ceux des cuisses. En effet dans ces derniers il n'y a plus de
réaction
de dégénérescence, mais bien absence à peu près
n de dégénérescence, mais bien absence à peu près complète de toute
réaction
électrique. Les troubles de la sensibilité sont
e excitabilité faradique affaiblie se contractent lentement et leur
réaction
tétanique cesse beaucoup plus tôt que dans les
lques-uns des phénomènes d'affaiblissement qualificatif en forme de
réaction
camcté1'isti- que de dégénérescence. Il faut au
teurs périphériques : on a découvert la contraction fibrillaire, la
réaction
de dégénérescence, l'affai- blissement et l'abo
égénéra tive, ce qu'on voit de l'examen microscopique et d'après la
réaction
de dégénérescence ; on est forcé de penser que
Tout cela se retrouve chez notre malade. f) Des modifications des
réactions
électriques : elles sont inconstantes. Elles pe
té de l'atrophie musculaire et des mo- difications qualitatives des
réactions
électriques (R. D.), l'apparition pré- coce d'u
musculaire progressive, l'absence de modifications qualitatives des
réactions
électriques, l'absence de troubles trophiques c
nticulaire, dans la couche optique ou dans la capsule interne, même
réaction
symptomatique. Il en sera encore de même quand
mènes indiquant que les tuniques vasculaires ont été le siège d'une
réaction
inflammatoire quelconque. Ce phénomène qui n'es
mage de corps granuleux. Dans un cas de ce genre, en présence d'une
réaction
sembla- ble le processus de périartérite est bi
stionnaire, et ne manifestant, par son faciès, son attitude, et ses
réactions
, qu'un état gé- néral d'engourdissement, d'iner
t de rigidité spastique avec athétose des pieds et des mains et les
réactions
électriques, les réflexes sont proba- blement n
s jambes. Le volume des mollets est normal, mais ils présentent des
réactions
de dégé- nérescence. Il est fort probable que n
finie. Si en un point se fait un contact avec un corps étranger, la
réaction
de l'organisme montre que le contact a été topogr
plasmi- que. Le contact s'est fait en tel point et non ailleurs, la
réaction
du plastide prouve que la définition topographi
nous laisser ou indifférents, ou passifs, ou provoquer en nous une
réaction
motrice. Dans le monde des perceptions sensorie
n avec tant de vivacité et de force, qu'elle provoquera en nous une
réaction
motrice qui, à l'état normal, sera le plus souv
ndantes du champ cortical des représentations d'attitude. Que cette
réaction
motrice parle d'une perception sensorielle, obj
'abord sur l'élément noble, mais qu'il s'est fait en même temps une
réaction
du tissu de soutien qui parait avoir touché d'u
ans exagération des phé- nomènes cérébraux; on en conclut que cette
réaction
est due seulement aux lésions pulmonaires et qu
il dit ne voir que du blanc. Les deux pupilles sont égales, mais la
réaction
à la lumière est paresseuse des deux côtés.'
ues exemples typiques montre et précise amplement les deux modes de
réactions
vaso-motrices des sujets. Tandis que chez l'un, L
reuse des « frères chinois » nous nous en tenions non seulement aux
réactions
verbales du sujet mais encore à leur mimique et
En échange Liao-Sienne- Chen a une sensibilité plus aiguisée et ses
réactions
psychosensorielles, telles que nous avons pu le
ger aux mouvements et modifications initiales. Il résulte alors des
réactions
communes, qui sont le commencement ou plutôt l'
s dissocie (Fig. 8). A mesure qu'on approche du ganglion on voit la
réaction
inflammatoire interstitielle augmenter. Les rac
, les méninges, les gaines péri-fasciculaires montrent une certaine
réaction
in- flammatoire (épaississement des gaines, exi
. Troubles sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite; absence de
réaction
à la lumière. Diminution considérable de l'acui
tion quelque peu excessive, ne pou- vaient manquer de provoquer une
réaction
, elle-même exagérée. C'est ainsi que nombre d'a
ée, car le malade réagit aux excitations cutanées. Mais son mode de
réaction
et tout à fait particulier et porte la marque du
habituel. Il semble que P.... s'applique à s'opposer à tout signe de
réaction
: C'est ainsi qu'une excitation cutanée légère
lement raidi à l'avance, qu'il est impossible de saisir un signe de
réaction
. D'ailleurs, lorsque P... consent à répondre, il
osif. D'autres fois, au contraire, il fait comme P ? et son mode de
réaction
ne consiste que dans une exagération manifeste du
de troubles de la sensibilité cutanée, sauf un retard énorme de la
réaction
à l'excitation. Réflexes tendineux très exagéré
tions de l'excitabilité mécanique et électri- que qui rappellent la
réaction
myotonique de la maladie deThomsen. Observation
ans l'abduction forcée. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 399
Réaction
à la convergence normale. , La convergence est
éaction à la convergence normale. , La convergence est normale. '
Réaction
de la pupille normale quand on projette la lumièr
très peu prononcée quand on la projette sur la rétine, donc pas de
réaction
hémianopsique, Le réflexe à l'accommodation e
e, qui jointe aux autres modifications, fait songer tout d'abord la
réaction
myotonique. En électrisant les muscles du molle
mécanique et électrique, nous retrou- vons chez Vig. comme dans la
réaction
myotonique; 10 Pour le muscle : L'augmentatio
e du courant, pendant la décontraction. ' 2° Pour le nerf : Des
réactions
normales, ou diminuées. Il manque il ce tableau
muscles donc' l'excitabilité est plutôt diminuée (1). A part les
réactions
électriques, un autre rapprochement peut être fai
ur tirer une conclusion de ces faits. Sommes-nous en présence de la
réaction
myotonique,ou d'une forme un peu particulière d
de la réaction myotonique,ou d'une forme un peu particulière de la
réaction
de dégénérescence ? La tétanisation faradique p
des muscles ; et si cette recherche aboutit à la constatation de la
réaction
de dégénérescence, faites des réserves relative
que parfois l'atrophie cellulaire puisse s'effectuer isolément sans
réaction
de la capsule. Quoi qu'il en soit, on peut, c
sant de physiologie nerveuse : doit-elle être interprétée comme une
réaction
du neurone irrité par la section, comme un proces
our' elle des' ex- citations physiologiques et ne provoquent pas de
réactions
physiologi- ques.. 1 " *' La manière propre d
Bernhardt consi- dérait comme formes frustes, en se basant sur les
réactions
électriques, des cas que nous ne pouvons faire
ns quantitatives et, par places, de modifications quantitatives des
réactions
électriques. L'abolition du réflexe achilléen ;
actère massif de cette atrophie ; La nature des modifications des
réactions
électriques ; Le refroidissement du membre para
révulsion sous forme de pointes de feu, dans l'espoir d'apaiser la
réaction
irritative que le foyer hémorrhagique est censé
de polyurie : 13 litres d'urine claire, de densité 1027, donnant la
réaction
du su- cre et déviant le polarimètre de 5 0/0.
rétraction (2 pl.), J, par Cestan et Lejosne, 38. Myopathie avec
réactions
électriques »or- males (Un cas de) (1 photocoll
VUR- pas, 247. TABLE DES AUTEURS ALLARD (FÉLIx). Myopathie avec
réactions
électriques normales (Un cas de) (1 phot.), 2
'ophie elle-même, n'y est pas rare et qu'elle peut s'accompagner de
réaction
de dégénérescence. La fièvre hystérique elle-mê
électrique pratiqué par M. Vigoureux donne les résultats suivants :
réactions
électriques normales. Pas d'atrophie. Anesthési
mum du courant faradique, plus faible pour les deux premiers. Mêmes
réactions
pour le courant galva- nique, Thénar : inexcita
: faible adduction du pouce et du petit doigt. IIypothénar : pas de
réaction
galvanique (à cause de la grande résistance de
réaction galvanique (à cause de la grande résistance de la région).
Réaction
faradique à peu près normale. Muscles abdominau
les électrique- ment, quel que soit le genre du courant employé; la
réaction
de dégénérescence fait défaut. Les réflexes son
ssion sur les globes oculaires. Dans la période léthargique, aucune
réaction
aux diverses excitationssensitives et sensoriel
fille simple, sans culture, ne présente qu'un nombre restreint de
réactions
simples. Nous verrons au contraire notre troisièm
ième sujet, fille plus cultivée, plus intelligente, nous donner des
réactions
beau- coup plus complexes et plus variées. No
sion sur les globes oculaires. Pendant la phase léthargique, aucune
réaction
aux excita- tions sensitivo-sensorielles, comme
mples ; sons divers, musique rhythmée. La parole ne provoque aucune
réaction
; oh a beau lui crier aux oreilles des mots sim
laires dans les muscles atrophiés de ses membres supérieurs. Les
réactions
électriques des muscles n'ont pu être recherchées
es ne réagissent plus au passage du courant, d'autres présentent la
réaction
de dégénérescence. Les réflexes patellaires sont
on font défaut. La perte des réflexes à gauche, sans atrophie, sans
réaction
musculaire anormale, prouve que la moitié gauch
ra- lisée et, fait intéressant à noter, elle ne s'accompagne pas de
réaction
de dégénérescence; les muscles atrophiés présen
ussi bien que les muscles abdominaux au tronc, ne présentent pas la
réaction
de dégénérescence. Les sterno-cléido-mastoïdien
- nime. L'adduction se fait bien; les adducteurs ont conservé leurs
réactions
électriques normales et paraissent encore ferme
e volume (1200 gr.), l'aspect, la couleur, la densité (1.019) et la
réaction
de l'urine sont normaux. Elle ne renferme aucun
e thénar a complètement dis- paru. Il s'agit d'atrophie simple sans
réaction
de dégénérescence (examen de M. Vigoureux). M
érieurs, de même que des droits inférieurs et obliques supérieurs).
Réactions
pupillaires complètement intactes. Aucune diffé
s l'atrophie musculaire d'origine myélo- pathique l'existence de la
réaction
de dégénérescence. Des différents cas précités,
e. Des différents cas précités, celui de Sachs est le seul où cette
réaction
de dégénéres- cence soit expressément signalée.
Chez ce dernier malade, M. Vigouroux a remarqué que l'anomalie de
réaction
se rapproche de la réaction de dégénérescence par
Vigouroux a remarqué que l'anomalie de réaction se rapproche de la
réaction
de dégénérescence par un point, il savoir la no
citabilité faradi- que, contrairement à ce que l'on observe dans la
réaction
de dégéné- rescence. Dans une affection connexe
de cause spinale, M. Vigoureux a constaté plusieurs fois que cette
réaction
faisait complètement défaut. L'ab- sence de ce
es, sui- vant des circonstances non encore analysées, entraînent la
réaction
de 2M ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
re un affaiblissement parallèle des deux modes d'exci- tation, sans
réaction
de dégénérescence. Les membres inférieurs très
ernière affection. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies des
réactions
électriques des muscles et en particulier de l'
ctions électriques des muscles et en particulier de l'absence de la
réaction
de dégénérescence, ainsi que de la présence des
douter de l'origine centrale de la maladie. Pour ne parler que des
réactions
électriques, que voit-on en effet dans l'atroph
n en effet dans l'atrophie myopathique ? une absence d'anomalie des
réactions
, mais une simple diminution de l'énergie des co
rophiés, les uns réagissent normalement, les autres présen- tent la
réaction
de dégénérescence. On comprend d'après cela que l
on de dégénérescence. On comprend d'après cela que les anomalies de
réaction
puissent manquer complètement, bien que des cas
qu'il en soit, on ne saurait tirer de cette absence d'anomalie des
réactions
électriques' des conclusions légitimes contre l
contre l'origine centrale de la 1 . Ces considérations au sujet des
réactions
électriques dans la polioencéphalite ont été ré
inutieux du malade. Tout d'abord cette absence de troubles dans les
réactions
électriques dont nous parlions plus haut ne pla
que oeil, produisant un léger strabisme convergent. En l'absence de
réaction
de dégénérescence dûment constatée, il est pres
ux yeux sont extrêmement limités. Pas de diplopie, pupilles égales,
réaction
normale à la lumière, accommodation normale. Doub
as de troubles de la sensibilité. Réflexe rotuliou conservé. Pas de
réaction
de dégénérescence. l'as de contractions fibrillai
ôté, un peu rétrécie, ne réagissait plus à la lumière; il droite la
réaction
pupillaire était insuffisante. Strabisme divergen
e avec balbutiement. Le pouls, la température, la sensi- bilité, la
réaction
électrique des muscles sont normaux. Le réflexe
ovoqué la moindre souffrance; ces plaques s'étaient produites, sans
réaction
, à la suite de traînées rouges irradiées le long
ntière de la contractilité faradique, constitue un type très net de
réaction
de dégénérescence. Il ne semble pas que la seco
Hutclaizsoz permettent d'af- J ! firmer le diagnostic. L'absence de
réaction
de dégénérescence, plu- sieurs fois constatée e
placement des différents seg- ments du membre intéressé. Le mode de
réaction
des muscles à l'exci- tant diffère suivant les
s. 3° L'examen électrique pourra être un précieux auxiliaire. Les
réactions
électriques se troublent assez rapidement dans le
ctro- cutanée. La sensibilité électro-musculaire persiste( ? ). Les
réactions
muscu- laires sont normales; la résistance élec
proportion du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de
réaction
de dégéné- rescence. ' « 5° Celte atrophie pe
iqué par M. Vigouroux a démontré très nette- ment l'existence de la
réaction
de dégénérescence. z Cc sont la trois ordres de
esquels l'examen élec- trique pratiqué par M. Vigouroux a montré la
réaction
de dégénéres- cence. Ajoutés au cas que nous ve
'ancienne formule, et de reléguer au rang des préjugés l'absence de
réaction
dégénérative dans l'amyotrophie des hystériques.
476. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 413 pour la
réaction
de dégénérescence et désormais la rechercher : on
ur différentielle absolue. Point n'est besoin, pour expliquer cette
réaction
de dégénérescence, d'admettre l'existence d'une
e Paris. 1890. . 4H NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de
réaction
de dégénérescence, de telle sorte que cette intég
é des nerfs vient en somme à l'appui de notre théorie. En effet, la
réaction
dégénérative existe dans l'amyotrophie hystériq
it-elle erronée que les faits n'en existeraient pas moins et que la
réaction
de dégénérescence dans l'amyotrophie hystérique
contractions fibrillaires, sans particularités au point de vue des
réactions
électriques. » Un autre hystérique de son service
sont nulle- ment comparables entre eux. En ne tenant compte que des
réactions
électro-musculaires et en nous plaçant au point
amyotrophies myopa- thiques ou arlliropatliiqties; 2° l'autre avec
réaction
de dégénérescence et avec ou sans secousses fib
cette amyotrophie était accompagnée de secousses fibril- laires, de
réaction
de dégénérescence, tous caractères qui, vu la loc
que, les résultats que nous consi- gnerons plus loin, en regard des
réactions
actuelles. Vers le milieu de l'année 1888, M...
deux années et demie d'intervalle). 1° Examen du mois d'avril 1888.
Réaction
de dégé- nérescence dans le premier radial exte
terne droit. Les interosseux et les muscles du pouce présentent des
réactions
électriques normales. ? 2. Exa- men du 19 août
rapidement ; elle s'est accompagnée de secousses fibrillaires et de
réaction
de dégénérescence. Puis, lentement, l'atrophie a
atrophie a rétrocédé, les mouvements de la main sont revenus et les
réactions
électriques dégénératives n'existent plus deux
ente comme les deux précédentes des secousses fibrillaires et de la
réaction
de dégénérescence. Par une coïncidence assez ét
même degré d'atrophie musculaire sans secousses fibrillaires, sans
réaction
de dégénérescence. Mais l'amyotropllie hystérique
cer quelques règles générales a ce sujet. A priori, l'atrophie avec
réaction
dégénérative paraît plus grave que l'amyotrophi
aralysie du, long péronier latéral qui s'accompagna d'atrophie avec
réaction
de dégénérescence. Au bout de dix-huit mois l'a
d'une variété nouvelle d'amyotrophie hysté- rique, d'atrophie avec
réaction
dégénérative. Cette variété repose sur i, quatr
ncantes. Il ne faudra donc plus s'autoriser de l'existence de cette
réaction
pour éliminer l'hystérie et rapporter les lésio
ue simulant l'amyotrophie infantile mais ne s'accompa- gnant pas de
réaction
de dégénérescence. En effet, électriquement par-
Aucun trouble électrique. 20 Membre inférieur. Du côté gauche, les
réactions
électriques sont absolument normales. Du côté d
cita- bilité électrique galvanique et faradique; presque égalité de
réaction
à l'anode et à la cathode. Pas de réaction de d
ique; presque égalité de réaction à l'anode et à la cathode. Pas de
réaction
de dégénérescence. 3° Membre sitpé- rieur droit
mbre sitpé- rieur droit. Le bras et l'avant-bras sonl normaux comme
réactions
. Main droite : le premier interosseux dorsal ré
osant sonlabsents; le court fléchisseur aussi ; il reste une petite
réaction
pour l'adducteur, sans anomalie. Hypothénar : far
ligeance de notre collègue et ami M. Aus- cher, 4 août 1890). (A)
Réactions
faradiques- (appareil à chariots de Dubois-Reymon
-membraneux, le groupe des adducteurs et le pédieux, diminution des
réactions
faradiques; les autres muscles ne répondent plu
s des orteils où elles sont très affaiblies. c. Muscles du tronc.
Réactions
abolies à gauche, diminuées à droite dans le tr
auche, diminuées à droite dans le trapèze et le grand dorsal. (B)
Réactions
galvaniques (pile de Gaiffe). a. Côté gauche. -
avec huit et dix éléments et NrC > PFC. b. Côte droit. Pas de
réaction
de dégénérescence. 4° Sensibilité. Les réflexes
1888, y. 83). 43R NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 1° La
réaction
de dégénérescence dans les masses musculaires e
marqué que dans la syringomyélie. Les se- cousses fibrillaires, les
réactions
de dégénérescence peuvent exister dans l'hystér
tères spé- ciaux ; ce n'est ni son siège, ni son degré, ni même ses
réactions
élec- triques qui pourrontmettre sur la voie. S
raît encore plus obtuse du côté droit que d'ordinaire. Les temps de
réaction
sont aussi modifiés. L'exploration répétée de l
eine importé d'Amérique, son usage s'était tellement répandu qu'une
réaction
violente ne tarda pas à se faire sentir. Les mo
n pratiqué le 30 août 1899 avait mon- tré la bonne conservation des
réactions
électriques et l'absence de DR dans le domaine
postérieure du deltoïde gauche, hypoexcitabi- lité surtout pour les
réactions
galvaniques. Membres inférieurs. - L'examen éle
s ces divers territoires nerveux et de l'évolu- tion suivie par les
réactions
électriques (comme pour la motilité volontaire) i
eure de la cuisse. A gauche, les cou- rants galvaniques donnent des
réactions
normales ; mais droite, dans les muscles antéro
bles des sphincters. Pas de troubles de la sensi- bilité objective.
Réaction
de dégénérescence (N. F. C. = P. F. C. dans les
membres du côté droit qui seuls se sont atrophiés en présentant la
réaction
de dégéné- rence, aussi est-il impossible, sans
ependant dans notre premier cas la dissémi- nation des troubles des
réactions
électriques sur les muscles de plusieurs territ
fférentiel ni dans la physionomie des troubles moteurs, ni dans les
réactions
électriques, puisque Etienne et Spillmann ont c
t plus. La sensi- bilité est intacte. les réflexes sont normaux, la
réaction
électrique est con- servée. Le pouls est accélé
igente, incertitude du regard cependant. Ophtalmoscopie négative.
Réaction
des pupilles à la lumière abolie : pupille droi
un bruit qui ressemble au craque- ment d'une articulation luxée. La
réaction
électrique du nerf, comme du mus- cle est dimin
des noyaux, affirmation, du reste, qui est basée tout autant sur la
réaction
physiologique expérimentale des éléments de ce
erprétation des faits obser- vés dans nos propres expériences. La
réaction
des cellules nerveuses, qui se manifeste à la sui
olution des blocs chromatiques, que Marinesco a dénommée « phase de
réaction
». A celle première phase succède la phase de r
ieu, si la lésion n'a pas provoqué l'atrophie de la cellule par une
réaction
trop violente. Les cellules des neurones moteur
ophiaient fatalement et disparais- saient à la suite de la phase de
réaction
. Dans son rapport au Congrès de Moscou, Van Geh
a nature de la lésion. II résulte de ces faits que les processus de
réaction
, de réorganisation ou d'atrophie se présentent
einté de bleu uniformément. Les stades les plus divers de l'état de
réaction
sont réunis ici et l'on peut suivre le processu
la chromatolyse de la cellule normale jusqu'à la phase ultime de la
réaction
. Nous avons d'abord un type assez peu répandu f
èse de cette bordure compacte par une activité exceptionnelle de la
réaction
, qui est alors si rapide que les blocs n'ont pa
coupes de ce ganglion des cellules représentant le stade ultime de
réaction
, cellules dans lesquelles la fonte chromatique es
toplasma. Si bien que l'on finit par obtenir, au stade ultime de la
réaction
, des cellules pâles, uniformément gris-bleu sale
s observés dans nos expériences. Comme phase ultime du phénomène de
réaction
, nous obtenons une cellule allongée, ayant un p
iscontinu de blocs chromatiques, destinés à disparaître aussi si la
réaction
est très violente et brusque. Le noyau est vési
de cellules qui sont profondément lésées et qui ont franchi l'état de
réaction
pour passer à la désorganisation et à l'atrophi
it. Quelques cellules cependant sont arrivées an stade ultime de la
réaction
. Mais (PI. XLV,q.r. s),le plus grand nombre pré
se. Nous n'avons trouvé aucun gonflement quelconque des cellules en
réaction
dans le ganglion gauche, pas plus que dans le g
du processus de réparation. Les cellules qui sont aux confins de la
réaction
,quiont atteint le stade ultime de la dissolutio
ant lequel a lieu la rotation vertigineuse. Quoi qu'il en soit, les
réactions
sont normales, aussi bien pour la rotation il d
stéréognostique sont intactes. Sensibilités spéciales. - Vue. - Les
réactions
pupillaires à l'accommoda- tio,n et à la conver
e rétrécissement du champ visuel ; dans les cas de SangerBrown, les
réactions
pupillaires il la lumière sont lentes ou abolies
nt compréhensible, et provoque parfois une salivation abondante. La
réaction
ptipillaire à la lumière et à l'accommodation est
leur exploration électrique pratiquée par M. Huet a montré que les
réactions
faradiques et galvaniques étaient seu- lement d
s les muscles de la main et de l'avant-bras, qu'il n'y avait pas de
réaction
de dégénérescence. Nous n'insisterons pas sur l
. UN CAS D'AV1YOTItOP111 L. PROGRESSIVE DITE ESSENTIELLE » AVEC
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE PAR J. ABADIE J. DENOYÉS
LXIII A 13 C D AMYOTROPHIE PROGRESSIVE « ESSENTIELLE » AVEC
RÉACTION
DE DÉGÉNÉRESCENCE (J. 9hadie et /. T)t)0)'f'.t.
que nous avons observées très nettement, per- mettent d'établir la
réaction
de dégénérescence. Toutes les secousses que nou
ue deux des caractères spécifiques : caractère familial, absence de
réaction
de dégéné- rescence. Il n'appartient pas dava
ccommodation. La lumière jetée sur l'oeil gauche n'y produit aucune
réaction
, mais elle produit la contraction consensuelle
xcitant la peau dans la nuque avec le courant faradique, on voit la
réaction
de la pupille droite, pendant que la gauche res
pratiqué à plusieurs reprises a montré la bonue conser- vation des
réactions
électriques et l'absence de DR dans le domaine de
s nerfs sensitifs articulaires sont altérés, il y a insuffisance de
réactions
vaso-motrices et troubles nutritifs de ces arti
s rachidiennes sont elles-mêmes fortement altérées à ce niveau : la
réaction
est moins violente et les phénomènes douloureux q
rsement arti- culaire, l'évolution à froid, et surtout l'absence de
réactions
douloureuses à la percussion violente, au tirai
nier lieu enfin, une injection de tuberculine et l'absence de toute
réaction
fébrile affirmerait le diagnos- tic d'une façon
les yeux tous les stades de la chromatolyse, depuis le début de la
réaction
jusqu'à la réparation com- plète ou l'atrophie
(PI. LXXVI, d) se trouvent à un moment critique, aux confins de la
réaction
: vont-elles réparer leurs pertes de substance ch
ces cellules sont au cent vingt-deuxième jour après le début de la
réaction
. Mais même dans les cas où la chromatolyse n'ét
des cellules saines et des cellules pathologiques, en raison de la
réaction
qui s'est produite dans le gan- glion plexiform
ussi de nombreuses cellules (Pl. LXXVII, d) arrivées au terme de la
réaction
, très pâles, déformées, presque complètement priv
on pas, comme on pourrait le supposer, aux confins de la période de
réaction
seulement; mais aussi lorsque la réparation des
il ne peut ni sauter ni courir..... Le choc des mus- cles donne une
réaction
exagérée à la plupart des muscles du membre infé
venir d'une part la notion anatomo-patliolo- gique, c'est-à-dire la
réaction
organique par laquelle se traduit la myélite ai
it la myélite aiguë et, d'autre part, les agents qui provoquent ces
réactions
. Nous espé- rons que cette étude va nous condui
à l'hôpital fut pris brusquement d'une paraplégie accom- pagnée de
réaction
générale : fièvre, etc., à laquelle vinrent s'ajo
s et postérieures (fig. 5). Si nous passons a présent à 1 étude des
réactions
organiques de la myé- lite aiguë étudiée au poi
semées de petits vaisseaux infiltrés de cellules embryonnaires. Les
réactions
vasculaires peuvent aller plus loin et il sepro
au moins dans quelques cas, un agent microbien. Les phénomènes de
réaction
ne se limitent pas seulement aux vaisseaux, mai
de la moelle sont intéressés. Aussi nous trouvons dès le début, une
réaction
manifeste de la part des cellules névrogliques ,
ébut, une réaction manifeste de la part des cellules névrogliques ,
réaction
consistant dans la tuméfaction du noyau et du cor
quefois de vrais nodules et il est fort probable que dans ce cas la
réaction
des cellules névrogliques est due à leur excita
je 568 MARINESCO suis parvenu parfois à trouver des microbes. La
réaction
des cellules de névroglie est déjà manifeste ap
res. Je désire attirer l'attention du lecteur sur ce fait que cette
réaction
des cellules névrogliques dont nous venons de p
action des cellules névrogliques dont nous venons de parler est une
réaction
primaire, initiale, due à l'irritation nutritiv
rritation nutritive de ces cellules, et il faut la distinguer de la
réaction
secondaire, plus tardive des mêmes cellules qui
apparaît lorsque la fibre nerveuse est altérée. En dehors de ces
réactions
vasculaires et interstitielles, il se passe dans
nt négatif. L'absence de microbes dans un autre cas de myélite avec
réaction
vasculaire intense n'est pas un argument décisi
de la cellule nerveuse. C'est pour cette raison, je pense, que les
réactions
généralisées des vaisseaux sanguins et lymphati
épinière, j'ai constaté dans les trois cas de rage chez l'homme des
réactions
vasculaires plus ou moins intenses, sous forme
bro-spinal et plus particulièrement dans la moelle, j'ai trouvé une
réaction
vasculaire avec infiltration leucocytaire, et l'e
les ont montré qu'il y a des cas de myé- lite aiguë avec toutes les
réactions
organiques qui la caractérisent sans qu'on retr
is jamais chez ces animaux ainsi paralysés, nous» n'avons trouvé de
réactions
organiques de la myélite. Les hyperhémies ou le
mais au contraire comme une altération importante à côté des autres
réactions
organiques de la myélite ; des recherches expér
seulement très intense, mais elle constituera également la première
réaction
organique de la méningo-myélite. D'autre part, le
endymaire dans la propagation du .virus de la rage. J'ajoute que la
réaction
des cellules névrogliques est très accusée dans
très accusée dans les cas où la méningite est intense et que cette
réaction
est primaire, c'est-à-dire qu'elle ne dépend pa
seulement des foyers de nécrose et de ramollissement, mais aussi de
réactions
vasculaires très intenses dans le domaine des d
la substance grise, soit celle de la substance blanche, sans aucune
réaction
inflammatoire. Ceci ne diminue en rien la valeu
jectés dans le canal épen- dymaire déterminent presque toujours des
réactions
inflammatoires violen- tes. Quelle en est la ca
sent, s'y multiplient, d'une manière considérable, de sorte que les
réactions
orga- niques sont en rapport avec celte multipl
us avons trouvé dans tous les cas de myélite bien caractérisée, une
réaction
vascu- laire consistant dans l'hyperhémie, l'in
ition même de la myélite. La myélite aiguë n'est autre chose que la
réaction
générale et initiale de tous les éléments const
URE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 583 y avoir des phénomènes de
réaction
du côté des vaisseaux et des tissus conjonctifs
pendant 3 mois et, à l'autop- sie, j'ai trouvé que la plupart des
réactions
inflammatoires avaient dis- paru. Il n'y avait
re un foyer inflammatoire dans le cordon posté- rieur gauche et une
réaction
vasculaire manifeste. Fio. 17 B. Sic 17 C. -
585 dans les espaces lymphatiques des vaisseaux sans déterminer des
réactions
vasculaires et leucocytaires. Dans ce cas les m
t très variables comme aspect et comme nature : elles varient de la
réaction
sim- ple et passagère jusqu'à la dégénérescence
r toxine, mais qu'elles relèvent encore en partie tout au moins des
réactions
vascu- laires, surtout lorsque ces dernières em
ère et l'une de celles qu'on rencontre du reste dans la plupart des
réactions
de la cellule nerveuse, c'est la tuméfaction des
vacuolaire de ces élé- ments. Cette lésion,marquant le début de la
réaction
de la cellule nerveuse n'a pas été vue fréquemm
ïdien, on peut les résumer de la manière suivante : 1° phénomène de
réaction
du côté des vaisseaux donnant naissance à une i
ance à une infiltration diffuse ou nodulaire ; 2° des phénomènes de
réaction
progressive du côté des cellules névrogli- ques
érum à différents intervalles, je ne suis pas parvenu à arrêter les
réactions
organiques dues aux streptocoques. Toute- fois
x que dans certaines conditions spéciales. Marinesco z) admet une
réaction
pour les nerfs crâniens, mais quand on y regard
admettre ses conclusions. Flemming (2) en mars 1897 constate les
réactions
qui apparaissent du quatrième au septième jour
se réduire en poussière. La résection est constamment suivie d'une
réaction
dans les cellules d'origine des nerfs lésés, la
ndant certaines différences entre les processus de réparation et de
réaction
qui s'observent dans les unes et dans les autres.
ujourd'hui pour admettre que les deux phases caractéristiques de la
réaction
et de la réparation existent dans les cellules
rences que présentent la préco- cité, l'intensité et la durée de sa
réaction
chromatolytique. La réunion des deux bouts du n
réparation des pertes de substance chromatique suc- cèdeà celui de
réaction
. Il a lieu toutes les fois que les lésions n'ont
u vague, opinion qui 'était en outre corroborée par la précocité de
réaction
de ce noyau au trau- LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMAT
e de son nerf. Or, on admettaità cette époque que la rapidité de la
réaction
et l'absence de réparation caractérisait la natur
chez le chat. A quoi donc faut-il attribuer une telle différence de
réaction
selon les animaux ? Nous nous bornons à poser c
ent pendant le phénomène de la chromatolyse. 5. Les phénomènes de
réaction
et de réparation sont sensiblement diffé- rents
sont plus rapidement éprouvées, plus long- temps et profondément en
réaction
et en réparation que les cellules mo- trice. -
en photocollogr.), 41, 184, 243. Amyotrophie dite essentielle avec
réaction
de dégénérescence, par J. Abadie et J. Denoyé
DnKOYËsJ.etJ. Asrame. Un cas d'amyo- trophie dite essentielle avec
réaction
de dégénérescence (avec 1 pi. en photocol- lo
xxxi,xxxv, xxxvi,xxxvii, XXXVdII. 1. Amyotrophie progressive avec
réaction
de dégénérescence (ABADIE et DENOYÉS), LX111.
égèrement la bouche, mais plus l'effort était considérable, plus la
réaction
, c'est-à-dire la contracture, était violente. M
ments, pensées, volitions \ aboutissent toujours finale- ment à une
réaction
motrice, volontaire ou automatique, consciente
sens, avec toute raison, selon nous. Mais ce qu'on peut refuser aux
réactions
spinales, c'est la qualité d'être intentionnelles
rapides et trop diffus, où les images se transfor- ment aussitôt en
réactions
motrices, la désintégration des centres nerveux
uvements systématisés étudiés par Brugia et Marzocchi sont donc des
réactions
automatiques provoquées par des stimuli interne
de la base et du bulbe sur les centres moteurs pour y provoquer une
réaction
automatique cérébrale, phénomène d'autant plus
élé- ments moteurs de ces régions conservent encore la trace des
réactions
par lesquelles ils répondaient aux diverses inc
re définitive, non seulement des hallucinations, mais de toutes les
réactions
motrices qui, à quelque degré que ce soit, acco
produite par l'excitation de la partie antérieure (9, fig. i) et la
réaction
, par l'excitation de la partie postérieure (10,
irecte des membres opposés. A part cela, je n'ai pas pu obtenir une
réaction
constante a l'excitation du reste du lobe tempo
, peut-être même, ni l'une ni l'autre représente la vérité. Car les
réactions
des mem- bres qui résultent de l'excitation de
de la question importante et très discutée de la signification des,
réactions
motrices qui ré- sultent de l'excitation électr
ctement localisée de ces centres dont l'excitation donne lieu à des
réactions
motrices définies. Une observation attentive de
à des réactions motrices définies. Une observation attentive des
réactions
dans les différents or- dres d'animaux, et ce f
Centres visuels. - Je vais d'abord appeler votre attention sur les
réactions
produites par l'excitation de la région occipito-
ges et de son homologue dans les différents animaux inférieurs. Les
réactions
, comme nous l'avons déjà vu, sont des mouvement
tié latérale correspondante des deux rétines (loc. cIl., p. 5). Les
réactions
cependant seraient complètement empli- quées pa
ique causera non seulement l'hémiopie mais aussi la paralysie de la
réaction
re- flexe de la pupille à la lumière ; tandis q
ésion des centres corticaux cause l'hémiopie mais laisse intacte la
réaction
pupillaire. Mais ce signe demande un grand soin
miopie dû à une lé- sion du tractus. . J'ai 1 écemment vérifié la
réaction
pupillaire hémiopique chez deux singes chez les
dans les deux, avec une hémiopie droite, il y avait une absence de
réaction
pupillaire quand un fin réseau de lumière élect
ue était projeté sur la moitié gauche de chaque rétme tandis que la
réaction
avait lieu quand la lumière était projetée sur
omme d'hémiopie dépendant des lé- sions de l'hémisphère, j'ai vu la
réaction
pupillaire égale quel- que fut le côté éclairé.
suelles. Chez les lapins, le centre visuel, suivant l'homologie des
réactions
électriques, occuperait la région pai iéto-occi
sphère visuelle chez les animaux supérieurs, homme ou singe, aucune
réaction
des impressions rétiniennes excepté celle de la
poissons, les reptiles et les oiseaux, il est lies possible que des
réactions
sem- blables puissent être découveites chez les
ctus optiques et des nerfs optiques : et de même la destruction des
réactions
optiques amène une atrophie strictement confiné
ydre sur la phenylamine (ani- line). Mais ce ne sont pas les seules
réactions
qui puissent donner naissance à ce corps; il se
s l'eau bouillante, jusqu'à ce que l'eau mère ne pré- sente plus de
réaction
acide et ne contienne plus de traces d'aniline.
e contienne plus de traces d'aniline. On s'en assure au moyen de la
réaction
suivante que j'ai fait connaître : on opère, so
uge orangé très abondant et le liquide prend la même couleur. Cette
réaction
est d'une sensibilité telle qu'elle se produit
ement volatile, et donnant enfin, avec l'hypobromite de soude, la
réaction
que je viens d'indiquer. - Propriétés chimiques
ement l'excrétion de l'urée et de l'acide sulfurique, tandis que la
réaction
acide augmente dans des proportions considérables
des muscles dans la maladie de Thomsen. - L'orateur a constaté la
réaction
myotonique de Erb chez un de ces malades. Si l'on
un de ces malades. Si l'on répète plusieurs fois l'excitation cette
réaction
diminue. Que l'on provo- que la tétanisation du
s ressemblent traits pour traits à des convulsions hystériques ; la
réaction
des pupilles sub- siste, la connaissance est co
èvement de la montée. C'est là évidemment l'excès de chaleur dû aux
réactions
chimiques. Mais, on le voit, il est précédé par
iens citent les paroles au début de leur étude, l'intensité de la
réaction
émotive dépend, non de la sensation simple qui
ENTRE DE l'audition Monsieur le président, Messieurs, Parmi les
réactions
que produit l'excitation électrique de l'écorce
électrique de l'écorce il en est une ou plutôt il est une série de
réactions
qu'on peut presque considérer comme indiquant u
que considérer comme indiquant une sensation auditive sub- jective,
réactions
qui m'ont guidé dans mes premiers essais pour d
inge, comme je l'ai vu dans des expériences actuelles. Cependant la
réaction
ne reste pas toujours aussi complète, après la
ure de la troisième circonvolution externe ou supra-syl- vienne. La
réaction
commune à tous est le redressement de l'o- reil
d'une sensation visuelle subjective, nous avons, je pense, dans ces
réactions
des signes plus caractéristiques d'une sensatio
un côté, on a trouvé une diminution ou une abo- lition totale de la
réaction
auditive, quand l'oreille du même côté était bo
nt le sens de l'ouïe ; mais on ne saurait affirmer que l'absence de
réaction
des oreilles persiste pendant tout le temps que
pour savoir s'il était complètement sourd ou non. On considéra ces
réactions
comme de simples coincidences, car, en général,
it quant à la possession entière de leur faculté auditive. Et leurs
réactions
aux sons ne pouvaient être interpré- tées, en s
animaux dans les cages voisines. Le dixième jour, même état. Aucune
réaction
aux appels, aux frottements des pieds, etc., br
de la semaine suivante montrèrent l'irrégularité apparente de ses
réactions
. Il devint évident que lorsqu'on laissait l'anima
e répond à aucune des épreuves qui auparavant produisaient une vive
réaction
et qui invariablement attiraient l'attention des
res lobes cérébraux, peut être enlevée sans abolir complètement les
réactions
aux sons, nous avons quelques raisons de penser
t diminué, l'animal parait totalement sourd, il ne se montre aucune
réaction
aux bruits d'aucune sorte, même les plus grands
uent les trajets d'une sen- sation véritable comme distincte de ces
réactions
simplement d'ordre réflexe plus ou moins généra
s de celte affection ; mode spécial de la con- traction volontaire,
réaction
myotonique de la contraction élec- trique, lési
Contribution A la connaissance ET A la signification CLINIQUE DE la
réaction
IDIOMUSCULAIRE EN bourrelet ou contraction IDIO-
rche ensuite de la périphérie au centre. On en a une preuve dans la
réaction
dégénérative. Cette affection, généralement hér
et le cubital du côté était paralysée inté- gralement ; il y avait
réaction
dégénératrice complète; l'anes- thésie occupait
une paralysie périphérique au point de vue de son étendue et de ses
réactions
électriques. [Quelquefois cette hémiplégie faci
électrique pratiqué par M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de
réaction
. PATHOLOGIE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES EXCIT
ns ce fait DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 361 que la
réaction
(de la malade vis-à-vis d'une excitation sensori
une tentative que nous n'essaierons pas de faire, cette fixité des
réactions
est à rapprocher de celle que nous avons consta
du délire hystérique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de
réaction
à une excitation donnée. Toujours, même à de lo
du corps, il y avait une absence complète ou à peu près complète de
réaction
aux excitations sensitives. Les membres n'avaie
gauche fut détruite. - Le résultat fut une crande diminution des
réactions
tactiles et douloureuses sur la partie postérieur
sion de la lèvre et de la name du même côté. Parfois cependant la
réaction
est biletérale etcela spécialement chezlelapin. L
dant la réaction est biletérale etcela spécialement chezlelapin. La
réaction
est la même que celle obtenue en plaçant direct
rectement sous la na- rine une odeurforte. Je n'ai pas remarqué une
réaction
semblable par l'excitation des hippocampes. Mai
des hippocampes. Mais tandis que nous pouvons être certains par les
réactions
extérieures de la sensation olfactive subjectiv
avait pour un temps au moins un affaiblissement ou une abolition de
réaction
provoquée par les odeurs acres ou les saveurs d
. 36. LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 401\ loure'use produisait une
réaction
aussi vive que celle du côté sain. C'est dans c
rquée s'est établie dans les membres paralysés avec exagération des
réactions
tendineuses, comme dans le cas d'hémiplégie inc
n des centres moteurs. On peut observer l'absence ou le défaut de
réaction
des membres paralysés à l'excitation sensitive ;
eurs conclusions. Elles me semblent basées surtout sur le défaut de
réaction
aux excitants sensitifs qui peut aussi bien s'exp
l'accès il y a, dans la plupart des cas, dila- tation pupillaire et
réaction
plus prompte aux excitations. Les réflexes de l
- ques. La seconde, de nature dégénérative, se caractérise par la
réaction
de dégénérescence dans les muscles atrophiés et d
yes, a révélé dans les deux cas, la présence du typanosome Cruzi.
Réaction
de Wassermann négative. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE D
pas provoquer de contraction du deltoïde mais elle est suivie d'une
réaction
du grand pectoral, du triceps et peut-être du b
des muscles atrophiés est très affaiblie mais on ne constate pas de
réaction
de dégénérescence. La sensibilité objective est
on lombaire est pratiquée et on constate une lymphocytose nette; la
réaction
de Wassermann est positive dans le liquide céphal
ssion cervicale ; la lymphocylose du liquide céphalo-rachidien avec
réaction
de Wassermann positive, la constatation du signe
res atrophiés il n'y avait ni abolition com- plète des réflexes, ni
réaction
de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté
mine dans le liquide considérablement augmentée, pas de pléacytose.
Réaction
de Pirquet positive. 7 mars. Application de l'a
l (4" et 5e vertèbres dorsales). Le prétendu résultat positif de la
réaction
de Pirquet, n'écarte que pour un instant l'idée
les douleurs et l'état général du malade, le résultat négatif de la
réaction
de Pirquet, l'absence de symptômes de tu- bercu
it lutter contre celle des civilisateurs... Je ne veux ni action ni
réaction
, la réaction serait un retour au passé qui est un
tre celle des civilisateurs... Je ne veux ni action ni réaction, la
réaction
serait un retour au passé qui est une erreur, l
outre : céphalée, vomissements, atrophie blanche des deux papilles.
Réaction
hémiopique de Wernicke abolie. Cas de Ettore Le
mouvements sont arythmiques et inconstants. Sensibilités normales.
Réactions
électriques des muscles également nor- males. ,
lulaires constatée dans les autres parties de la thyroïde comme une
réaction
contre celte altération des inclusions, comme l
inclusions, comme le signe d'une hyperplasie supplémentaire, d'une
réaction
contre l'altération des capsules surré- nales a
lose) il manque assez souvent toute trace chez les parents ; que la
réaction
de Wassermann essayée en quelques cas a donné u
ôté droit. Du côté gauche, l'excitation plantaire ne détermine aucune
réaction
. Pas de clonus du pied. Les mouvements volont
fond de l'oeil est normal, ainsi que l'examen laryngoscopique ; la
réaction
de Wassermanu (sang) est négative. On ne peut d
aussi bien le sang que le liquide cérébro-spinal ne présentaient la
réaction
de Wassermann. Selon Leube le liquide hydrocéph
ecter le manque de contractions fibrillaires et l'exis- tence de la
réaction
normale électrique. 1 Il est vrai qu'il existe
la fois. Même avec des courants faibles avec lesquels on produitdes
réactions
uniminusculaires du côté droit, on ne peut pas
nt tentes et traînantes. Il existe par conséquent des phénomènes de
réaction
de dégénérescence complète dans les muscles jam
courants faradiques et des courants galva- niques,, montre que les
réactions
sont normales pour les nerfs et pour tous les m
ux ou superficiel. Quoi qu'il en soit, en raison de l'absence de la
réaction
de dégénérescence, l'examen électrique seul ne
n du pouce ; l'adduction reste intacte, ainsi que la flexion (1) La
réaction
longitudinale n'existe pas. PARALYSIE ISOLÉE DU
malade a présenté ; chez lui ni hémiplégie, ni ictus. En outre, les
réactions
électriques des muscles para- lysés, avec ou sa
ité électrique des muscles ne se traduisent généralement pas par la
réaction
de dégénérescence. Les réactions électriques re
traduisent généralement pas par la réaction de dégénérescence. Les
réactions
électriques restent en général normales, et con
résultat d'une névrite ? Il est vrai, non seulement il n'y a pas de
réaction
de dégénéres- cence, mais encore il n'y a pas d
a pas de réaction de dégénéres- cence, mais encore il n'y a pas de
réactions
électriques du tout. Au début des névrites, il
le vienne à céder la place à une absence totale de n'importe quelle
réaction
? Cela se voit effectivement, notamment dans ce
'une manière apoplectiforme et il était alors trop tard pour qu'une
réaction
électrique quelconque fût décelable. Nous n'env
puis longtemps préparé, ce qui nous explique l'absence complète des
réactions
électriques, l'inexcitabilité absolue du muscle p
une paralysie isolée du muscle grand denlelé. Ils signalent que les
réactions
faradiques étaient nulles, les réactions galvan
elé. Ils signalent que les réactions faradiques étaient nulles, les
réactions
galvaniques presque nulles, dans le muscle, et qu
ut fait comparable au leur à ce point de vue, bien que l'absence de
réaction
soit dans le nôtre plus absolue. « Il est possi
ois une altération de la formule qualitative; il n'y a pas trace de
réaction
de dégénérescence ; les réactions de l'électro-
qualitative; il n'y a pas trace de réaction de dégénérescence ; les
réactions
de l'électro-diagnostic sont dans notre cas parfa
articulations et qui évoluent lentement et. progressi- vement, sans
réaction
inflammatoire, sans hypertrophie des ganglions,
gauche. Le liquide céphalo-rachidien est clair et sans albumine ni
réaction
cytologi- que. La réaction de Wassermann dans l
-rachidien est clair et sans albumine ni réaction cytologi- que. La
réaction
de Wassermann dans le sang fut trouvée fortement
es (je syphilis tels que déformations tilriales, troubles laryngés,
réaction
de Wassermann et en même temps, outre quelques
quelconque, et chez lui il n'y a pas de symptômes de syphilis ; la
réaction
de Wassermann a été négative. Cet homme ne fa
bondance. Mais ce qu'il y a de plus intéressant à étudier, c'est la
réaction
nerveuse au niveau de la cicatrice. A la suit
nde opération les cylindraxes du bout central ont présenté une vive
réaction
régénérative ; nous les voyons, dans nos prépara-
du fragment nerveux, une nouvelle section du nerf est suivie d'une
réaction
régénérative d'une extraordinaire exubérance ;
a paralysie à plusieurs reprises. A la date du 20 février 1905, les
réactions
électriques n'avaient pas varié, malgré l'appar
de de la rachicentèse est clair, ne renferme aucun diplo- coque. La
réaction
albumineuse est loin d'être aussi abondante que d
lles de Koch étaient nombreux dans les tuberculomes enlevés, que la
réaction
polynucléaire et non lymphocy- taire était plus
e Koch qu'à des toxines.Lorsque ces dernières sont seules en jeu la
réaction
est lymphocy- taire, le processus est plus torp
e malade n'en présente aucun stigmate, et son sérum ne donne pas la
réaction
de Wassermann. La seule cause à retenir pourrai
osseuses et de l'arrêt intellectuel ; les premières résultant de la
réaction
de l'os à l'in- Nouvelle Iconographie UE la SAL
YCÉPHALIQUE 427 toxication rachitique, les secondes résultant de la
réaction
du tissu mé- ningé. A ce point de vue nos malad
onné une diminution de l'excitation galvanique et faradi- que, sans
réaction
de dégénération de Erh (Entartungs-Reaktion). L
ouleur jaune claire, aspect limpide, sans dépôt, odeur sui generis,
réaction
acide, densité à 15° 1010. Il y avait 10,61 0/0
tion des pupilles, dont la droite est plus large que la gauche ; la
réaction
à la lumière est affaiblie ; le visage est asymét
égion antéro-externe de la jambe : il n'existe à leur niveau aucune
réaction
de dégénérescence. Assez différente par ses car
i de ces constatations cliniques : il montre à droite des traces de
réaction
de dégénérescence au niveau de l'extenseur comm
par le peu d'intensité des amyotrophies, enfin par l'absence de la
réaction
de dégénérescence. (1) PIERRE Marie et Foix, L'
'ex- traction, le liquide se prend en un coagulum fibrineux massif.
Réaction
de Wassermann négative dans le sang et le liqui
liquide est sous petite pression, jaunâtre, faiblement opalescent.
Réaction
Nouue-Spelt franchement positive. Un quart d'he
n lombaire, on extrait un liquide cilrin sous pression diminuée. La
réaction
des globulines avec le sulfate d'ammonium donne u
l est à noter que la paraplégie fut signalée même dans les cas avec
réaction
méningée diffuse. La paraplégie peut présenter
d'une compression médullaire, d'une para- lysie ascendante ou d'une
réaction
méningée généralisée. Chez nos deux- premiers m
e et dès les pre- miers symptômes, le malade a présenté une intense
réaction
méningée. Il nous a été envoyé en pleine périod
f de tout néoplasme rachi- dien l'hyper-albuminose (spécialement la
réaction
des globulines) avec l'absence ou l'exiguïté de
ment la réaction des globulines) avec l'absence ou l'exiguïté de la
réaction
cytologique. Ce caractère, constaté après aussi
um f1brinenx, comme dans un liquide de pleurésie. Guinard met celle
réaction
, qu'il désigne aseptique, sur le compte de l'an
ie de la solution injectée. Il est hors de doule qu'en dehors de la
réaction
méningée, notre malade a présenté aussi des tro
s réac- tions électriques. Cette radiculite pourrait être due à une
réaction
inflam- matoire parallèle avec celle méningée o
'ils ont trouvées ; ensuite, celui de Froin, où il s'agissait d'une
réaction
méningée survenue chez une jeune fille à la suite
néoplasme ou autles agents irritants toxiques peuvent provoquer une
réaction
méningée à caractères identiques, parce que tou
ci que la symphyse méningée, le néoplasme et plus rarement quelques
réactions
généralisées des méninges constituent les trois
parenté de ces trois pigments est démontrée aussi par une série de
réactions
chimiques. « Eu effet, l'action des acides énergi
RADOVICI mentée et toujours proportionnelle avec l'intensité de la
réaction
mé- ningée. La quantité moyenne dans le tabes e
syndrome dont il s'agit est loin d'être toujours l'expression d'une
réaction
inflammatoire, ces chiffres nous démontrent que l
ible d'établir une formule précise. On note presque toujours que la
réaction
cytologique est faible, et en tous cas ne corresp
tion que nous de- vons considérer le résultat paradoxal de ces deux
réactions
comme un précieux élément de diagnostic des néo
minorachie, réunis par Raven (1912), 27 sont tout à fait exempts de
réaction
lymphocytaire, et dans les aulres le nombre des
ait faiblement exagéré. D'après cet auteur la dissociation des deux
réactions
serait un caractère différentiel pour toule com
in. Wochenschr., 19oi, n° 50. FROIN. - Inflammation méningée avec
réactions
chromatique, fibrineuse et leucocyli- que du li
ral. ' Thèse Paris, décembre 1904. - et IlAbIOND. - Evolution des
réactions
cellulaires et "érl1-/ib¡'ineu..e dans le liquide
Zeitschr. f. Ner- venhk., 1911, Bd 42 S. 85. SICARD et )''0[X. -
Réaction
du liquide céphalo-rachidien au cours des pachymé
l. II. 1 2 ASSISTANCE. , dans tous les cas et à coup sûr quelles
réactions
se ma- nifesteront en vie familiale libre. '
de l'âme, l'âpreté des combats intérieurs, et aussi l'intensité des
réactions
réciproque; des co-êtres l'un sur l'autre ou du
e d'un accident passé inaperçu et ayant eu pour conséquen- ce des
réactions
in loco. Toutefois, l'absence complète d'anamnè
zone du membre supérieur, probablement par compression jointe à la
réaction
des parois du crâne : une lésion dans la substa
menté sur le chat : la section des racines postérieures produit des
réactions
bien différentes dans les deux prolongements de
lades particuliè- rement dangereux en raison de leurs tendances aux
réactions
vio- lentes, ainsi que des aliénés difficiles q
reux par un rapport médical motivé,en raison de leurs tendances aux
réactions
violentes ; « 4° Que dans l'article 35 ainsi co
la mentalité est constituée par l'exagération et la perver- sion de
réactions
psychiques et psycho-psychiques qu'on rencontre
ychiques qu'on rencontre chez l'individu normal, en particulier les
réactions
CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTE
anormal de l'individu à l'égard des exigences de la vie. Ce mode de
réaction
anormal est souvent la conséquence des entraves
cinés et les désen- chantés qui présentent encore la simplicité des
réactions
psychiques de l'enfant. D'' Terrien (de Nante
émotives. Notre collègue et quelques auteurs avec lui considère les
réactions
hystériques comme des réactions nor- males exag
ques auteurs avec lui considère les réactions hystériques comme des
réactions
nor- males exagérées. Mais quelles sont ces réa
ues comme des réactions nor- males exagérées. Mais quelles sont ces
réactions
? Quel est leur caractère commun ? Leur nature
isagé aussi je me permets de vous soumettre l'idée suivante : Les
réactions
hystériques sont des réactions ayant la signi·
vous soumettre l'idée suivante : Les réactions hystériques sont des
réactions
ayant la signi· 152 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNI
152 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. fication de
réactions
de défense ou des phénomènes symboli- sant une
mènes symboli- sant une défense. Mais ce sont, pour la plupart, des
réactions
qui ne sont plus usitées chez l'individu normal
uelques-unes d'entre elles ne sont peut-être que la réviviscence de
réactions
ancestrales dont l'utilité biolo- gique ne se l
que le déséquilibré mental produit par ces troubles (primaires) de
réaction
inhibitive engendre des symptômes secondaires q
e des symptômes secondaires qui n'aient, eux, rien à faire avec des
réactions
de défense. M. Bon (Rome) a fait une enquête da
on de résistance du système nerveux d'abord, qui permet à certaines
réactions
de se produire, réactions qui sont peut-être pl
e nerveux d'abord, qui permet à certaines réactions de se produire,
réactions
qui sont peut-être plus intenses, mais non diff
gne d'atteinte du faisceau pyramidal, comme le réflexe classique.
Réaction
hémioptique de Wernicke. M. Dupuys-DuTEMPS mont
ment de la moitié anesthésiée de la rétine ; M. Déjérine a vu cette
réaction
très nette dans un cas de lésion calcarine. A
Lavastine et Leroy n'ont trouvé aucune lésion inflammatoire, aucune
réaction
méningée,ni conjonctivo-vasculaire; il existait
oupes de projection demeure- raient intacts. Il y aurait absence de
réaction
méningée, absence de toute lésion vasculaire :
gée, absence de toute lésion vasculaire : on ne trouverait pas de
réaction
des parois endothéliales, pas de diapédèse, pas
réduits à leur minimum ou ont disparu ; de là vient l'ab- sence de
réaction
lymphocytaire. Ils pensent que les constatation
nt. Secondairement aux malaises sensitifs, peuvent apparaître des
réactions
variées, d'ordre anxieux ou hypocondriaque. Le
ction causale. L'examen bactériologique du sang fut négatif. Pas de
réaction
leucocytaire dans le liquide céphalo-rachidien,
ur descendre jusqu'à son extrémité, avec contractions fibrillaires,
réaction
de dégéné- rescence. Presque pas de troubles se
nerveuses) peut se transformer en immo- bilité absolue (perte de la
réaction
à la convergence). La localisation de la lésion
raplégie dû à la myélomalacie, que des traînées cellulaires avec
réactions
scléreuses ayant amené le processus anatomopathol
à plus forte raison est-il impossible de synthétiser les modes de
réaction
de plusieurs individualités connexes. Pour cett
MENTALE. quantitatif, soit qualitatif des facultés intellectuelles.
Réactions
: menaces et violences ; idées de suicide, refu
grande importance symptomatique et diagnostique. C'est une de ces
réactions
, bris de carreaux dans un bureau de placement,
z la malade des gestes que nous croyons devoir considérer comme une
réaction
de défense. Ce sont d'ailleurs les mêmes que ce
uvais caractère et qu'il fallait lui donner un mari comme elle ; sa
réaction
de défense enfin pourrait être envisagée comme
gable, elle élabore, raisonne, réfléchit sans jamais cesser. 4° Les
réactions
enfin de notre malade diffèrent de celles des p
ubies ! Or, au lieu de trouver la cause de son internement dans une
réaction
contre ses persécu- teurs, elle la trouve dans
etc.) ; : 3 Evolution progressive du délire ; 4° Contingence des
réactions
pourtant mieux en rapport avec leur mobile.
dites ; 3° Fixité des conceptions mor- bides ; 4e Constance des
réactions
disproportionnée à leur mobile. « En résumé
e point un état congénital ? L. VA II L. XXVI. Le mécanisme de la
réaction
électrique de Jolly ; par M. Dott. Alberto SALO
to SALOON (Firenze). (Policlinico sez. medica, Vol. XIV 1907.) La
réaction
de Jolly par ses particularités bien définies par
phies mus- culaires d'origine médullaire, cérébellaire etc. Dans la
réaction
myasthénique on observe l'épuisement électrique
profonde des fibres striées et dans ce cas on observait une prompte
réaction
myasthénique galvanique. La réaction de Jolly a
cas on observait une prompte réaction myasthénique galvanique. La
réaction
de Jolly au contraire se caractérise seulement pa
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 363 riabilité de la
réaction
et pas toujours sont constantes ses relations a
fications électriques ob- servées dans le premier cas la définition
réaction
myasthénique est très exacte parce qu'elle révè
le révèle l'épuisement du muscle, on ne peut pas dire de même de la
réaction
de Jolly,dans laquelle nous obser- vons la norm
c- tion. Le galvanisme non seulement est impuissant à produire la
réaction
de Jolly mais aurait une influence favorable sur
favorable sur l'épuise- ment faradique (Murri). D'ailleurs dans la
réaction
de Jolly on ne peut pas admettre l'épuisement d
sme obéit parfaitement à la stimulation indirecte par le nerf. La
réaction
de Jolly même qu'on observe par la faradisation d
sait, s'épuisent toujours avant le nerf, ainsi le fait que,dans la
réaction
de Jolly, les nerfs, dans les points même inexc
affections du nerf. Le mé- canisme cependant de cette intéressante
réaction
serait parfaite- ment éclairci en supposant que
t observé par Flora, Alber- toni et par l'A. dans trois cas avec la
réaction
de Jolly. Notre hy- pothèse expliquerait toutes
liquerait toutes les particularités autrement inexpli- cables de la
réaction
de Jolly ; c'est-à-dife : 1° la perte d'excitabi-
e nerf et vice versa. 3° L'indépendance maintes fois observée de la
réaction
de Jolly avec l'asthénie, sa présence dans les
farado-musculaire sur les stimulis volontaires et galvaniques. La
réaction
de Jolly, essentiellement due à l'épuisement des
résident à l'appareil nerveux de la peau. L'origine corticale de la
réaction
de Jolly,déjà admise par Goldflam, s'accorderait
h. B. XXXIII. ZurPrüfung derPupillenreaktionén. (Sur l'examen des
réactions
pupillaires) ; par HEDDAEUS, d'Essen. (Ctnbl. f.
Psy. chi. XXIX, f. 213, p. 385 et 386, 15 mai 1906. L'absence de la
réaction
de convergence ou réaction à l'accom- modation
385 et 386, 15 mai 1906. L'absence de la réaction de convergence ou
réaction
à l'accom- modation d'un seul côté, indique une
lésion du M. 0. C., seul nerf que parcourt alors l'excitation. La
réaction
à la lumière intéresse au contraire deux nerfs (I
rité, on dit qu'il y a immobilité réflexe ou absolue,suivant que la
réaction
à la convergence est conservée ou a disparu. Qu
es déformations de l'épaule dans les diverses positions du bras, la
réaction
électrique de dégénéres- cence, la conservation
sa durée qui varie de quelques heures à deux jours, la tendance aux
réactions
violentes, l'amnésie de tout ce qui est survenu
ors qu'elle ne réveille plus, en surgissant dans la conscience, ses
réactions
habituelles ; le diagnostic est alors difficile
la cellule à compter de Fuchs et Rosenthal. D'après l'auteur,il y a
réaction
pathologique,par conséquent cy- to-diagnostic p
thologie mentale. 11J3 de doute, la rumination mentale, lès tics de
réaction
, de perfection- nement ou de défense,des phobie
e de l'idée obsédante, presque abandonnée actuellement, celle de la
réaction
émotionnelle, celle de l'aboulie. L'hérédité, l
e, dans lesquelles les troubles des perceptions com- '- mandent des
réactions
motrices diverses (impulsions homicides', suici
rois ans de paralysie double avec atrophie musculaire, troubles des
réactions
électriques dans la région du plexus sacré, ane
ait que lui donner une modalité particulière ; il s'agit donc d'une
réaction
fonctionnelle réflexe. 'J. PIOLET. SOCIÉTÉ D'
alcoolisme, 783 ('il, 40 %) nous en avons trouvé : a) tt)u4 avec
réactions
criminelles, soit comme fréquence. Go, 74 alcoo
e et craniectomie chez le chien, par Sicard et Bauer, p. 159. ,
Réaction
. Voir 11'erl1lcke. Le mécanisme de la électriqu
le, par Spielme- yer, p. 369. Volonté. Voir Ugslèi ie. WEHMCKE.
Réaction
hémiopti- que de -. par Dupuys-Du- tcmps, p.
cles pratiqué par M. Huet, n'a montré aucun trouble appréciable des
réactions
électri- ques. Somme toute, vous le voyez, au
d-t patlli)lo- gique n'a éte constaté. Les pupilles sont égales, la
réaction
à la-' lumière et à l'accommodation conservées
aillant les différences de mesures, de rythmes, de températures, de
réactions
motrices et sensibles qui caractérisent les deu
t du tissu conjonctif et qui avaient en certains points suscité une
réaction
névroglique secondaire. Le rôle du système conjon
t : l'aspect se rapproche de celui des idiots. Réflexes nor- maux ;
réaction
faradique normale. Voici ce que l'on constate à
: pupilles légèrement contractées également des deux côtés. Pas de
réaction
à la lumière. Ni strabisme, ni nystagmus. A l'o
u sujet aux troubles men- taux est surtout fonction de son degré de
réaction
mentale. - / Smox. XLIII. De quelques élément
flexes, en désignant à la fois le point d'excitation et le point de
réaction
, dans l'espèce ne pourrait-on pas dire : réflex
rnicheries. Signes physiques : pupilles dilatées et ' inégales; les
réactions
en sont conservées mais lentes. Accrocs nombreu
ysiques. Les pupilles égales et moyennement dilatées présentent une
réaction
faible à la lumière. A l'ophtalmos- cope les pa
3. Excitation intellec- avec agitation par intervalles. Quelquefois
réactions
violentes.- Signes physiques : léger tremblemen
est plus large; elles réa- glissent bien à la lumière toutes deux;
réaction
à l'accommodation lente. La malade dit voir mal
et rapide de la langue; inégalité pupillaire ; pupilles étroites à
réaction
lente tant à la lumière qu'à l'accommodation. '
érieure, pupilles inégales, celle de droite étant plus large : leur
réaction
à la lumière est abolie des deux côtés; la réac-
tre déformée, reste immobile à lalumière et à l'accommodation ; les
réactions
de la pupille gauche sont faibles. Parole lente
signes physiques ; dilatation pupillaire bilatérale avec absence de
réaction
à la lumière. Tremblement de la langue. Pas de
petite, réagit mal à la lumière ; les deux pupilles présentent leur
réaction
normale à l'accommodation. Tremblements fibrill
ormes et inégales ; leurs réac- tions à la lumière sont abolies, la
réaction
à l'accommodation est conservée. Troubles de la
en effet, que la cause est le plus sou- vent insignifiante, que la
réaction
est absolument dispro- portionnée. Si l'on se r
abituelle spéciale, se trouvent, en effet, réunies pour préparer la
réaction
, et le rôle de la frayeur n'apparaît plus qu'ac
même insignifiants, c'est évidemment parce que ces glandes et leurs
réactions
ne jouent qu'un rôle adjuvant dans l'excitence
ssons pas encore, d'une sensibilité spéciale et appelé à donner des
réactions
vives ou violentes sous l'influence d'excitence
s qu'elle envoie aux centres nerveux auront pour con- séquences des
réactions
d'autant plus accusées qu'elles agi- ront sur u
nerveux d'une impressionnabilité supé- rieure à la normale, d'où la
réaction
presque continue qui constitue le caractère épi
crue, comme cela arrive chez la femme aux époques menstruelles, les
réactions
du terrain nerveux épileptogène sont plus vives
ivité fonctionnelle du corps thyroïde de la femme qui est cause des
réactions
plus vives du système EPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET
juvant épileptogène, d'au- tant plus intense et plus rapide que les
réactions
bruyantes se produisaient antérieurement plus f
impressionnabilité méningo-cérébrale qui aura pour conséquence une
réaction
motrice, mais réaction qui sera limitée à une p
ingo-cérébrale qui aura pour conséquence une réaction motrice, mais
réaction
qui sera limitée à une petite région seulement,
scène pour plus de la moitié du temps; puis intervient une rapide
réaction
. C'est l'inverse, à une écrasante majorité, pour
ité, prédominant du côté droit. La pa- ralysie s'est accompagnée de
réaction
de dégénérescence et a guéri complètement en de
baissement très marqué de l'excitabilité électrique, par places une
réaction
de dégénérescence ; les organes pelviens étaient
que dans le domaine de tous les nerfs émanés du plexus brachial, la
réaction
de dégénérescence existait à des degrés divers;
ccentuée dans le domaine du circonflexe et du musculo-cutané, cette
réaction
existait nettement dans tous les muscles innerv
cutané plan- étaire est en flexion. - - - - Du côté des yeux, les
réactions
sont normales, il n'y a pas d'inégalité pupilla
s le domaine du radial, l'examen électrique nous a montré une forte
réaction
de dégénérescence. De même pour le tronc antéro
cence. De même pour le tronc antéro-externe, vous ne trouvez pas de
réaction
de dégénérescence et une parésie très peu prono
innervées par le mus- culo-cutané alors que le médian montre de la
réaction
de dégénérescence et de la parésie. Enfin pour
u vacuolaires, et présentent vis-à-vis des colorants ordinaires des
réactions
variées. Archive», 2- série, t. XVII. 19 4 1
ne vous étonnerai pas non plus en vous disant que les phénomènes de
réaction
à distance dues à des lésions périphériques son
étroits entre les nerfs crâniens et les racines rachidiennes, leurs
réactions
devant le cancer sont iden- tiques. Rappelez-vo
entre ces phénomènes. G. Carrier. XXX. Cécité corticale. Absence de
réaction
pupillaire ; par M. Jos- senaNn (Société des sc
de fixation. Elle ne dis- tinguait même pas le jour de la nuit. La
réaction
pupillaire fut recherchée cinq ou six fois. Tou
gauche. On ne note pas de raideur musculaire pen- dant le temps de
réaction
, pouvant entraver le mouvement. Les mouvements
utomatiques et les mouvements de défense s'opèrent avec le temps de
réaction
normal. Les muscles réagissent normalement à l'
issent normalement à l'exploration mécanique et électrique ; pas de
réaction
myotonique. Les mouvements passifs s'effectuent
RVEUSE. ' 327 - Le symptôme important est la différence du temps de
réaction
entre les actes volontaires et les automatiques
e les actes volontaires et les automatiques ; ce retard du temps de
réaction
dans un acte volontaire est dû, d'après P. Janet,
sur l'élimination de l'éther par les poumons. P.-Armand Delille.
Réactions
des méninges à certains poisons du bacille tuberc
ARALYSIE GÉNÉRALE. 359 l'échelle optométrique, et de cette façon la
réaction
lumi- neuse est isolée de la réaction accommoda
étrique, et de cette façon la réaction lumi- neuse est isolée de la
réaction
accommodative. D'autres procédés peuvent encore
egarder au loin; le diamètre des pupilles doit alors diminuer si la
réaction
de la pupille à la lumière existe. En résumé,
mporte dans la recherche du réflexe lumineux c'est d'éliminer toute
réaction
pupillaire à l'accom- modation. Nous avons di
lumière, bien à l'accommodation ; 3 mars 189G : absence complète de
réaction
des pupilles à la lumière avec réaction normale
189G : absence complète de réaction des pupilles à la lumière avec
réaction
normale à l'accommodation. 2°X..., paralysie gé
X..., paralysie générale (examen du Dr Schrameck), 30 octobre 1901,
réactions
pupillaires normales; 28 juil- let 1902, réflex
plus facilement chez les ataxiques que chez les sujets sains. Cette
réaction
n'est qu'une variété de contracture idiomuscula
elle au lieu d'être géné- ralisée. 3° L'exagération apparente de la
réaction
idiomuscu- laire dans le tabes démontre, d'aprè
plant l'intégrité des muscles dans le plus grand nombre des cas. La
réaction
n'est pas due à l'excitation des filets nerveux
due à l'excitation des filets nerveux cutanés ou musculaires. 4° La
réaction
idiomusculaire dans le tabès n'est pas plus forte
e cellules des imbéciles, la seconde, qu'il appelle le type vrai de
réaction
axonale, où les altérations sont beaucoup plus
toute son attention et fait des efforts intenses de mémoire. 21° La
réaction
de la fréquence respiratoire aux variations d'i
pparition. G. C. XXXXI. Diagnostic des méningites infantiles par la
réaction
du liquide céphalo-rachidien sur le sang du por
es méningites infantiles, le procédé de M. Bard : hématolyse par la
réaction
du liquide céphalo-rachidien sur le sang du por
ou la perversion de certains états physiologiques. i° L'énergie de
réaction
de la cellule corticale à l'égard des agents de
athologiques les plus variées peuvent en résulter. 5° La faculté de
réaction
d'un cerveau dépend de ses qualités ata- viques
intra ou extra-utérine ; 3° enfin les caractères individuels de la
réaction
du cerveau à l'égard du milieu ambiant. Ces éta
é commandant des idées de persécution confuses et détermi- nant des
réactions
assez violentes; ces idées délirantes semblaient
trêmement confuses qu'il pré- seule, ne déterminent chez lui aucune
réaction
. On voit qu'il s'agit en somme d'un état de con
s con- clure de son état présent à son état d'alors, les actions et
réactions
de M. N... en liberté paraissant à peu près ide
rtnul. visibles si l'on poursuit quelque temps l'étude des temps de
réaction
; cet exercice est rapi iemeut pénible pour le m
e pour le malade qui peu : e à autre chose, bien que les temps de
réaction
fournis au début soient normaux. 11 est d'ailleur
nifestées par la pauvreté du délire et la très faible intensité des
réactions
à ce délire. Notons enfin le caractère impulsif
ces cas d'étudier avec soin les désirs, les émotions, les diverses
réactions
aux excitations que fournit la vie à l'asile, e
aordinaires. Ces idées de persécution sont en outre accompagnées de
réactions
violentes qui rendent ces malades dangereux. Et
idées de persécution tenaces et de longue durée, accompagnées de
réactions
violentes. Il n'est pas commun, en effet, de trou
mais ce qui domine ce sont les idées de persécution et surtout les
réactions
violentes qui sont pous- sées à un haut degré.
mps que des hallucinations multiples des idées de persécution et de
réactions
violentes durables. L'hérédité intervient sans
x mains et de synovites des poignets. Parmi les signes observés, la
réaction
de dégénérescence, l'hypoesthésie à disposition
estes revêt un aspect maniéré, artificiel et convenu. En dehors des
réactions
provenant de leurs idées délirantes, ils présente
Brissaud, 69. - verbale, par Brissaud, 173. corticale. Absence de
réaction
pupillaire, par Josserand, 325. Voir Tabès. L
lo-rachidien, par Dufour, 172- Diagnostic des - infantiles par la
réaction
du liquide céphalo- rachidien sur le sang du po
rsécution. Hallucinations de l'ouïe et de la vue, s'accompagnant de
réactions
violentes, incohérence, amnésie progressive.
s de l'ouie, halluci- nations franches de la vue, s'accompagnant de
réactions
violentes. - Soixante-cinq examens périmétrique
eil droit, le lendemain hallucinations de la vue, accompagnées de
réactions
très violentes (le malade lance des pierres à ses
l'ouïe. Hallucinations ter- rifiantes de la vue, s'accompagnant de
réactions
violentes. 60 exa- mens périmétriques complets.
t la crise. (1) Nous n'avons noté que les hallucinations suivies de
réactions
violentes consignées sur les rapports des surve
- sis dans 25 % des cas. U Nous n'avons jamais pu constater ni la
réaction
para- doxale de la pupille (dilatation sous l'i
% des cas ; elle se manifestait généralement par la lenteur de la
réaction
à la fois à la lumière et à l'accommodation : l
tes. On rapporte à l'alcoolisme des troubles intellectuels ou des
réactions
, motrices ou morales, qui reconnais- sent souve
ystè- me nerveux central a permis de découvrir que les actions et
réactions
du neurocyme (onde nerveuse) obéissent à la loi f
parences fallacieuses et apprécier à sa juste valeur telle ou telle
réaction
de l'a- liéné dans une circonstance donnée ? L'
oup d'intermittents qui vivent en dehors des asiles parce que leurs
réactions
s ne les meLtcntpas en conflit violent avec la
r l'auscultation du muscle dans les paralysies,la contracture et la
réaction
de dégénéres- cence. Quelques considérations su
tiquc qui est continue et silencieuse. Aux signes déjà connus de la
réaction
de dégénérescence on peut ajoll- REVUE DE PATHO
édical, n° 52, 1906.) Les crises dites hystériques ne sont qu'une
réaction
psychody- namique d'origine émotive qui peut êt
uloureusement réveillé d'un lourd sommeil, mais le danger passé, la
réaction
s'est faite et aboutira probablement dans l'ave
de bons résultats par l'injection de bromhydrate de scopolamine.
Réactions
électriques dans le tétanos guéri. M. E. ! 30NN
du travail, étant donnée la nécessaire comple- xité croissante des
réactions
imposées par le milieu ? Cette question, quelqu
tamment pour les rapports entre les excitations sensorielles et les
réactions
motrices, pourra avoir partout d'elle-même les
tive que les sensations sont ordinairement le point de départ d'une
réaction
, soit « volon- taire » et précise (dans ce cas
re chacun le même nombre de points ; que l'on considère en effet la
réaction
viscérale comme primitive (.lames. Lange) ou se
entditintellectuel, souvent ici très faible et même négligeable, la
réaction
viscérale, inconnue dans ses détails, forme un
és du corps n'est que très rarement mise en jeu dans l'émotion. Les
réactions
vaso- motrices ne sont 'd'ailleurs qu'un facteu
e dans les cas envisagés, l'hyper- llhyroidie est la conséquence de
réactions
secondaires à l'hypo- tlryroidie. Déjà cette op
roïdie, le système nerveux est auto- inloxiqué, ce qui facilite les
réactions
morbides, et que le corps thyroïde auquel est s
minance pathogénique et laisse entrevoir un certain enchaînement de
réactions
. En lin de compte, à côté de l'orthothyroidie,
e l'ancienneté. Expériences ont porté sur la dose. Conclusions : la
réaction
propre de l'état actuel se distingue, à égalité
ion propre de l'état actuel se distingue, à égalité de doses, de la
réaction
propre de l'état ancien par une plus longue dur
ion vaso-cardiaque de l'atropine. Conclusions : Les va- riations de
réaction
, dues à la répétition de l'excitation, sont de
ongueur de la période d'attente, la rapidité de développement de la
réaction
, les caractères des réactions déterminées par l
te, la rapidité de développement de la réaction, les caractères des
réactions
déterminées par l'état et l'adaptation. Enfin,
. Nous avons vu en étudiant la forme neurasthénique (1) comme les
réactions
individuelles' sont variables ; nous avons vu é
- sion del'elatnzental,dans les conceptions délirantes etdans les
réactions
morbides. Troubles intellectuels. Lorsque le dé
une surveillance pro- longée de jour et de nuit pour constater les
réactions
anormales et les actes bizarres caractéristique
rbides non adéquates l'état de tristesse et d'abattement. Parmi ces
réactions
il faut signaler les impulsions, les grimaces,
tance capitale, met en évidence l'absence de concordance entre les
réactions
mimiques et l'attitude douloureuse du malade.
urce même, d'où l'effrolldrement ra- pide de l'édifice psychique.
Réactions
morbides. Tous les actes et toutes les réaction
ifice psychique. Réactions morbides. Tous les actes et toutes les
réactions
de ces malades portent l'empreinte de l'état me
tre dissocié, « rapport conscient entre l'im- pression perçue et la
réaction
qui s'ensuit » (p. 92). Ré- duisons pour plus d
es sur un Artiozaire divisé,en ses deux moitiés, et prouver que les
réactions
de chacune de cel- les-ci traduisaient la consc
lant de l'inanité de ses revendications et mettront obs- tacle aux
réactions
souvent terribles que provoquent les dénis de j
nt aussi la rétention. Diminution du sens musculaire et du temps de
réaction
. L'au- teur rappelle que, dès 1878, dans le il
rement sous l'influence de l'alcool chez un sujet sain. Le temps de
réaction
total à l'égard des stimulations visuelles ou a
ont il est la réponse, mais suffisant cependant pour déterminer des
réactions
subconscientes qui font croire à certains obser
u cerveau en activité normale. Le réveil cérébral s'accompagne de
réactions
motrices, sensitives, sensorielles, viscérales,
es an- nées, doit présenter, quand il recouvre ses fonctions, des
réactions
singulièrement longues et intenses. Je ne sau-
lièrement longues et intenses. Je ne sau- rais insister ici sur ces
réactions
qui se présentent dans un ordre parfaitement pr
ue,le nom- bre des centres atteints. On constate en outre que ces
réactions
ne sont autres que celles qu'on observe dans le
ement dans la forme et l'intensité des troubles hystériques, et les
réactions
du réveil nous font appa- raître nettement le r
s lorrains prédisposés déterminent les altérations du cortex et les
réactions
psychopathiclues constatées. Le sujet que concern
; e) l'insensibilité des pupilles à la lumière, la lenteur de leurs
réactions
, leur alternance rapide sont autant de signes dé-
, leur alternance rapide sont autant de signes dé- favorables. Leur
réaction
normale à la lumière et l'apparition pré- coce
JONNE et F. Rose sur un malade âge do quinze ans, avec troubles des
réactions
électriques, exagération des réflexes sans trou
; il l'est tantôt d'une façon passagère et s'accompagne alors de
réactions
transitoires, paroxystiques, dont il faut disti
organes pé- riphériques ; nous savons un peu mieux quelles sont les
réactions
mo- trices et sensitives de l'activité ou de l'
s générales employées pour le réveil des vigi- lambules, et que les
réactions
provoquées par ces excita- 456 CLINIQUE nerveus
itiquer cette théorie, qui consiste à regarder le sommeil comme une
réaction
de désintérêt, comme une fonction de défense qu
emploie chez un dormeur pour le ré- veiller,elles me présentent des
réactions
analogues- très amplifiées naturellement à cell
xcitabilité, de perceptivité, de sensibilité et de motricité, mêmes
réactions
sensiti- ves et motrices quand il reprend son a
rs cet état d'engourdissement cérébral tout (1) Ce réveil amène des
réactions
très spéciales que j'ai décrites en détail. Dan
fait encore certaines objections à cette théorie. On a dit que les
réactions
présentées par les sujets qui se réveillent éta
cette suggestion, j'aurais été bien embarrassé de la faire,car ces
réactions
, je ne les connaissais pas. Et ce (1) Les Phéno
qu'une difficulté beaucoup plus grande à l'hypnose. Et lorsque ces
réactions
se produisent sous l'influence unique d'excitat
près les soi-disant petits sujets. On retrouve chez eux toutes les
réactions
observées au maximum chez les grands, mais atté
r le cerveau ; et 2° l'interpré- tation de ces phénomènes comme des
réactions
dues au réveil de l'activité cérébrale. Sur l
omie » : la théorie explique la « souveraineté de la raison ». b.
Réaction
forcée de la personne humaine sur le milieu pou
QUES. 489 manières d'être, la même fixité que dans ses écrits ; ses
réactions
extérieures annoncent à première vue un dément,
relets et mé- nisques. L'hyperossification apparaît ainsi comme une
réaction
curatrice du processus raréfiant. De par l'anat
l'état sain la coloration de l'urine est extrêmement variable ; 3°
Réaction
: L'urine était acide 85 fois sur 100, probable
diabète sucré n'a été cons- taté. R. de MUSGRAVE CLAY. YXXV.-Une
réaction
du sérum appparaissant chez des sujets en état
it la technique employée et note les constata- tions suivantes : la
réaction
agglutinative s'est produite sans exception dan
noté en outre que les globules rouges d'un malade qui fournit cette
réaction
agglutinative sont proté- , gés non seulement c
comme réactif du sérum d'un malade atteint de folie circulaire, la
réaction
agglutinative ne se produit pas. L'au- teur rap
ions conservent leurs formes. Les nerfs ne sont pas douloureux. Les
réactions
électriques des muscles ne sont pas gravement m
et sur les cellules des , gaines vasculaires entraîne ici et là des
réactions
cellulaires spé- ciales suivant ces divers tiss
sur la « sensa- tion et le mouvement sur le travail et le temps de
réaction
» ont porté au loin et depuis plus de vingt ans
ndre, nous estimons néanmoins que le principe en est posé et qu'une
réaction
est en train de s'opérer. La possibilité d'inst
e la répétition de l'incitation sur les caractères 1 de certaines
réactions
nerveu- ses élémentaires. Contribution à l'ét
sur l'auscultation du dans les paralysies, la contrac- ture et la
réaction
de dégéné- rescence. Quelques considéra- tion
ce général de Nantes pendant l'année 1905 ; par Biaute, p. 346.
Réactions
électriques dans le tétanos guéri ; par Bonniot
ques dans le tétanos guéri ; par Bonniot, p. 156. - Voir Sérum.
Réactions
nerveuses. Voir "[dl/p- falioLL. Recherches c
é- ningites. Séquestration. L'affaire de ; p. 351. Sérum. Une
réaction
du ap- paraissant chez des sujets en état d'i
oles communales de Gand ; par Du- pureux, p. 494. Tétanos. Voir
Réactions
. Tics. Les chez les animaux ; par Depinay et
e ne réagit pas directement à la lumière, mais elle est le siège de
réactions
synergiques quand on examine l'oeil droit. L'
il y a une contraction à peine perceptible de la pupille gauche; la
réaction
est plus nette dans l'accommoda- tion. Il exist
surcroit de force de résistance; mais celle-ci cède vite lorsque la
réaction
vient à l'emporter. Il ne faut pas croire non p
être que l'intermédiaire, et la mesure dans laquelle les simples
réactions
du système nerveux peuvent produire ces manifesta
s et les nerfs réagissent à l'excitation électrique. On trouve la «
réaction
rnyotonique ». Après trois semaines de traite-
vec Danilewsky et Bordier, nous entrons de nouveau dans l'étude des
réactions
du système nerveux. Le premier nous montre l'acti
lectrique utile et raisonné pour le choix du pôle actif suivant les
réactions
neuro- musculaires. Les règles tracées par l'au
résenté un très intéressant rapport sur la valeur séméiologique des
réactions
anormales des nerfs et des muscles. Il se pose d'
i nous constatons à la suite de l'excitation d'un nerf moteur une
réaction
musculaire anormale, celle-ci ne peut s'expliquer
xcité; altération du muscle. On peut donc poser comme règle que les
réactions
anormales sont toujours liées à une altération
oujours liées à une altération des organes explorés. Les diverses
réactions
décrites depuis trente ans (réactions de dégéné
rganes explorés. Les diverses réactions décrites depuis trente ans (
réactions
de dégénérescence, myotonique, de compression,
uisement, etc.) sont des syndromes électriques consti- tués par des
réactions
élémentaires ou des successions de réac- tions
dent sans doute chacune leur signification propre. Dans l'étude des
réactions
anormales élémentaires il distingue deux catégo
e la secousse musculaire consécutive. L'hypoexcitabilité faradique (
réaction
de Duchenne) se produit soit dans les altératio
oit lorsqu'il y a altération simultanée du nerf et du muscle. Cette
réaction
nous enseigne que l'organe moteur est altéré dans
ions voltaïques engendrent des réac- tions anormales nombreuses. La
réaction
d'Erb est symptomatique d'une altération du cor
e, situées en dehors de ce point, soit en amont, soit en aval. La
réaction
de Rich (R. de compression) semble répondre à une
es ne permet encore de rapporter à cette cause l'existence de cette
réaction
. Pour l'étude des modifications de la courbe de
r, puisque la paralysie musculaire s'accompagne d'un trouble -de la
réaction
pupillaire à la lumière comme à la convergence
la sensibilité; léger engourdissement de la sensibilité des doigts.
Réaction
lente des pupilles; l'odorat et l'ouïe sont un
OLOGIE NERVEUSE. 131 XLVIV. Observation DE diabète sucré grave avec
réaction
ÉLEC- trique LENTE ET prolongée ; par W. KAUSC
par une lenteur de contraction qui est l'élément fondamental de la
réaction
dégé- néralive. Il s'agit, en somme, dans la pl
ve. Il s'agit, en somme, dans la plupart des muscles affectés de la
réaction
dégénérative partielle, avec lenteur indirecte de
oïde malgré la paralysie totale du plexus. Il n'y a pas non plus de
réaction
dégénératrice des muscles atteints : la diminut
ale corticale, car les réflexes tendineux sont normaux ainsi que la
réaction
électrique des nerfs et des muscles. Comme le f
adducteurs et dans la région antéro-externe de la jambe; traces de
réaction
de dégéné- rescence. Pas de troubles électrique
à ses dé- buts des entraînements ; elle généralisa trop et une vive
réaction
se produisit; le congrès de Paris en 1889, reje
ttre que si les substances toxiques ne produisent pas en général de
réaction
inflammatoire bien manifeste, il est tout au mo
ts pourront être plus long- temps maintenus à leur premier stade de
réaction
sans aboutir au. stade de nécrose. La conséquen
grande du fait de l'irrégularité de répartition des lésions et des
réactions
diffé- rentes que peuvent présenter les divers
ns de l'excitabilité, n'offrant pas les caractères classiques de la
réaction
de dégénérescence (secous- ses tétaniques avec
uite, amena la paralysie complète du sciatique poplité externe avec
réaction
de dégénéres- cence complète. Cette paralysie é
u côté non traumatisé et de deux mois du côté malade. Ces sortes de
réactions
réflexes post-traumatiques ne sont pas exceptio
senta une para- lysie faciale double. L'examen électrique montra la
réaction
de dégénérescence complète à gauche, réactions
électrique montra la réaction de dégénérescence complète à gauche,
réactions
normales à droite. Le facial droit récupéra ses
ntre l'inutilité du traitement local dans les cas qui présentent la
réaction
de dé- générescence. Dans ces cas; le traitemen
z bien systématisé, avec tendances ambitieuses et propensions aux
réactions
violentes. On pourrait croire à l'existence d'une
es dans leur forme et leur constitution intime. Il n'y avait aucune
réaction
inflammatoire dans la pie-mère médullaire. Les
te n'a pu être reconnue; ils constituaient peut-être le début de la
réaction
inflammatoire des centres nerveux vis-à-vis du
pas neuropathique : l'exploration électrique ne décelant jamais de
réaction
de dégéné- rescence permettrait seule de l'affi
que nous ne con- naissons que peu ou point, sans compter le mode de
réaction
" purement personnel. Et que de causes d'erreur
tique reste encore aux modifications qua- litatives, notamment à la
réaction
dégénérative (Baierlacher, 1859) ; seulement el
de l'affection dans laquelle on constate telle ou telle forme de la
réaction
dégénérative. Bien plus, la même forme de réactio
elle forme de la réaction dégénérative. Bien plus, la même forme de
réaction
dégénérative se peut rencontrer aussi bien dans
miques en relation avec l'état électrique. On a montré que, dans la
réaction
dégénérative, l'excitabilité gal- vanique indir
erf et du muscle peut présenter un ralentissement de la réac- tion (
réaction
dégénérative faradique). Mais on en est resté à l
ision empirique de : dégénérescence très grave caractérisée par une
réaction
dégénérative complète - dégénérescence très lég
une réaction dégénérative complète - dégénérescence très légère, à
réaction
dégénérative partielle - dégénérescence moyenne
gère, à réaction dégénérative partielle - dégénérescence moyenne, à
réaction
dégénérative faradique. On n'a pu exacte- ment
dans l'hémiplégie. Il faut compléter les éléments biologiques de la
réaction
dégéné- rative de transition par son étude au m
is et Remak se sont attachés (1888- 1893) à démontrer qu'il y avait
réaction
dégénérative complète, quaud le muscle, inexcit
a une très grande diminution de l'excitabilité faradomusculaire, la
réaction
électrique du muscle n'est justemeut point comp
iendrait de soumettre à un examen du même genre les formes dites de
réaction
dégénérative partielle. La réaction myasténique
même genre les formes dites de réaction dégénérative partielle. La
réaction
myasténique de Jolly et Fajerztajn, c'est la ré
partielle. La réaction myasténique de Jolly et Fajerztajn, c'est la
réaction
d'épuisement de Brenner et Benedikt, qui ne perme
en tracer les caractères distinctifs d'avec l'épuisement normal. La
réaction
neurotonique de Remak, ou celle de Marina, par
par des causes diffé- rentes ; elle est, en tout cas, parente de la
réaction
dégénérative partielle accompagnée de lenteur i
différents moments du pas, les oscillations, les compensations, les
réactions
qu'il entraîne, successivement, dans les marche
n de celles des signes mentionnés ci- dessus. Un sujet nerveux sans
réaction
pupillaire ou sans réflexes rotuliens n'est pre
out au moins ne soit plus en mesure de faire les frais de nouvelles
réactions
délirantes. PATHOLOGIE MENTALE. DU SENS TACTI
(1'en., fasc. 2, 1897.) L'épilepsie allonge notablement le temps de
réaction
, en raison surtout de l'affaiblissement de tous
fet de la convulsion épileptique, il y a un retard très notable des
réactions
, en rapport tant avec le ralentissement périphé
ntral. Sous l'action prolongée du bromure de potassium, le temps de
réaction
subit, par rapport à l'état intercalaire, un lége
echerches sur l'application à l'étude des origines nerveuses, de la
réaction
qui se produit dans la cellule nerveuse, après
e la chromatolyse qui caractérise les sections nerveuses ; 2° cette
réaction
ainsi produite peut servir à déterminer la topo
la section chez le chien du nerf facial supérieur, on constate une
réaction
très manifeste dans l'extrémité inférieure du n
tion très manifeste dans l'extrémité inférieure du noyau du facial,
réaction
diminuant à mesure qu'on se rap- proche de l'ex
tte branche. Lorsqu'on coupe le facial inférieur, les phénomènes de
réaction
se passent dans le groupe externe du noyau faci
ar excitation sensitive. Pour chaque sens excité il y a un temps de
réaction
vasculaire. Certaines excitations sensorielles
ions sensorielles sont moins capables que d'autres de provoquer des
réactions
vaso- motrices. J. SÉGLAS. xLlx. La toxicité
es aliénés l'appareil gastro-intestinal. J. Séglas. LU. LE temps DE
réaction
simple étudié dans SES rapports avec la courbe
l'attention se manifeste par une plus grande rapidité des temps de
réaction
, et par une plus grande régularité de la courbe
es sont familiers. Ses conclusions paraissent être celles-ci : « La
réaction
sociale pro- prement dite peut prendre trois fo
de succession, de déri- vation régulière, entre les trois formes de
réaction
sociale. Et il assigne comme base à l'administr
le et insipide, par Spanboc6 et Stemhaus, 130. - sucré grave avec
réaction
élec- trique lente et prolongée, par Kausch,
es. Trajet intra- médullaire des -, par Brian et Bonne, 491. 1.
RÉACTION
. Le temps de - simple, par Patnzi, 495. Rn'LE
nutrition une orientation nouvelle, peut en modifier puissamment la
réaction
vitale; J. Teissier et Roque (7) relatent des amé
rt. Avec le galvanique on observe l'effacement du point moteur avec
réaction
à distance et secousse lente (Ka CHC = An CHC).
action à distance et secousse lente (Ka CHC = An CHC). A gauche les
réactions
sont meilleures. Les muscles grand dorsal, gr
ents. Tous les muscles de l'avant-bras et de la main présentent des
réactions
élec- triques absolument normales. En résumé
fluence du courant électrique, ces faits joints à l'existence de la
réaction
partielle de dégénérescence sont très important
faitement intacte. A l'examen électrique on trouve les signes d'une
réaction
dégénérative par- tielle dans le domaine de la
muscles innervés par le spinal et par la moelle cervicale donne des
réactions
cadrant avec le tableau de la D. R.partielle. L
dès qu'il y a lésion périphérique, causant une incertitude dans la
réaction
du muscle, vis-à- vis du stimulus mental. Ces l
ent déchaîner des manifestations motrices, mais encore produire des
réactions
vaso-motri- ces très nettes, à tel point qu'on
itoire cutané correspondant, soit par des troubles trophiques et la
réaction
électrique de dégénérescence dans les muscles a
ubles de la sensibilité sur le territoire du radial droit, et de la
réaction
de dégéné- rescence sur les muscles innervés pa
'association corticaux; s'il est réduit à réagir de lui-même, cette
réaction
est déréglée, sensible aux moindres influences,
cornéenne ; Digère normalement. Urines normales ; , Bon sommeil.
Réactions
électriques normales. Traitement électrique : a
et la matière vivante, il se passe tout un ensemble d'actions et de
réactions
. Le protoplasme cellulaire, l'homme n'est qu'un o
réactions. Le protoplasme cellulaire, l'homme n'est qu'un organe de
réaction
vis-à-vis du milieu et les actions qui se produis
ns qui se produisent dans son intérieur ne sont elles-mêmes que des
réactions
conditionnées par. des influences exter- nes, t
es mouvements sont inconscients et involontaires et ne sont que des
réactions
mécaniques en présence d'excitations. Toujours la
distance, sans que pour cela les rapports entre l'excitation et la
réaction
aient cessé d'être de nature purement mécanique.
canique. Chaque exci- tation conditionnant en nature et en degré sa
réaction
spéciale, celle-ci peut toujours être considéré
l vient à atteindre la matière vivante, il y provoque également des
réactions
qui lui sont absolument personnelles et qui per
, si elles étaient connues, de remonter à leur origine. L'effet, la
réaction
peuvent donc être considérés comme des représen-
eur refuser cette fonction. Grâce à des ajustements intérieurs, les
réactions
sont strictement proportionnées aux actions et
tellectuelles. Celles-ci ne constituent à proprement parler que des
réactions
en présence d'excitations. La volonté n'est qu'
médiatement par l'intermédiaire de la moelle et y conditionnent les
réactions
qui leur sont propres; dans le second cas, les ex
les de les neutraliser, mais encore de conditionner elles-mêmes des
réactions
per- sonnelles. Les seules excitations extern
e fait que masquer, d'y découvrir un enchaî- nement d'actions et de
réactions
. Pour démontrer l'intervention d'un mécanisme r
également une origine purement réflexe. Autres excitations, autres
réactions
. La crédulité humaine qui, comme le ciel, ne co
est donc que les mêmes excitations conditionnent toujours les mêmes
réactions
. A ceux qui ont suivi pas à pas mes déductions,
ociale pour qu'on puisse être assuré, dans tous les cas, de voir la
réaction
en acte ou, tout au moins en pensée, suivre l'e
st complètement mécanique puisqu'il ne peut s'opérer qu'au moyen de
réactions
biologiques conditionnées par des équivalents m
rt avec sa composition, l'individu ne pourrait ma- nifester, si des
réactions
intellectuelles étaient possibles dans les condit
en plus, des altérations de nature atrophique, il existe un état de
réaction
inflammatoire qui a donné lieu à une production
embres inférieurs. Cette section trans- versale fut accompagnée des
réactions
habituelles en pareil cas, dégénérescence des s
se présen- tent avec une grande intensité, tantôt au contraire les
réactions
du tissu conjonctif péri-nerveuses sont à peu p
a- tion banale, telle que i'hématéine-éosine destinée à montrer les
réactions
inflammatoires, la disposition générale du tiss
d'étudier minutieusement non seulement les tra- jets, mais aussi la
réaction
, la croissance, la dégénérescence des axones les
admettre que toutes les névrites sont accompagnées de lésions ou de
réactions
de l'élément noble. Quelques exemples empruntés
un temps fort court, on peut observer après un temps suffisant des
réactions
très nettes des cylindraxes ; ceux-ci se divi-
comme en cas de compression mécani- que. Peut-être même le mode de
réaction
règle-t-il une partie de la symp- tomatologie e
e des cellules à myéline, leurs véritables cellules satellites. Les
réactions
très curieuses observées dans les centres nerveux
l'apparition des trou- Ides névritiques qui ne sont souvent que la
réaction
visible des troubles dynamiques de ces centres
troubles dynamiques d'ailleurs hypothétiques-devraient produire des
réactions
analogues à celles qui s'observent après section
diminution de l'excitabilité par le courant galvanique, mais pas de
réaction
de dégénérescence. Vers la fin du mois de novem
mencement de janvier l'examen électrique nous fait constater que la
réaction
de dégénérescence aux membres inférieurs manque t
e, jamais de fièvre. Le 19 janvier, les pupilles ne montrent aucune
réaction
pour la lumière (ce qu'elles ont fait les jours
Babinski il droite, mais pas à gauche. Les pupilles montrent une
réaction
normale pour la lumière. Il y a un cer- tain de
tincte, aussi aux méninges cérébrales (casXXVIl : les pupilles sans
réaction
pour la lumière ; cas XXVIII oedème des papille
x sont les mêmes que le 11 juin. Avec le courant d'induction il y a
réaction
des muscles abdominaux au-dessus, mais pas au-d
contractions rudimentaires. Il n'y a aucune autre altération de la
réaction
électrique que cette altération quantitative. O
de notre examen nous la voyons disparaître puis reparaître. ' Les
réactions
pupillaires sont toujours normales. Les trouble
rmer le diagnostic porté : il est établi en effet d'une part que la
réaction
d'épuisement n'est pas constant dans la myasthéni
s ; haut de 199 cen- timètres, probablement hérédo-sttplilitiqzce ;
réaction
de Wassermann po- sitive, signe d'A 7-gyll- Rob
e est minime ; le dynamomètre donne 45 à droite, 40 à gauche. La.
réaction
myasténique exécutée avec la méthode de Flora don
un caractère particulier si l'on excepte l'amplitude non commune.
Réaction
myasthénique (méthode de Flora) : négative. Exa
l'examen électrique n'a mis en relief aucun fait pathologique et la
réaction
myasthénique (méthode de Flora) a donné un résult
bien nettes, on ne peut admettre que des grains pulvérulents ; les
réactions
histo-clii- miques ayant pour but de déceler le
lle gauche deux fois plus large que celle du côté droit; absence de
réaction
la lumière pour les deux pupilles. Mimique pare
'autre part, il m'a été possible d'élimi- ner, en me fondant sur la
réaction
de Wassermann, l'existence d'une infection syph
notable aux os ni dans les articulations des mains et des pieds. La
réaction
de Wassermann pour la syphilis, pratiquée avec l'
on ; les mains et les pieds sont respectés. Il y a hypotrophie sans
réaction
dégénérative et avec une conservation médiocre
ts d'ostéite con- densante. Cette dernière ne représenterait qu'une
réaction
de l'organisme qui tend à la consolidation des
s ce cas, avait une importance considérable. Je veux parler de la
réaction
de Wassermann pour la syphilis. Dès qu'elle fut
a syphilis héréditaire, soit pour la syphilis constitutionnelle, la
réaction
de Wassermann a une telle importance, qu'un résul
xpérience, que l'épreuve eut, chez Lippi, un résultai négatif. Même
réaction
négative dans un très récent cas de Meier (Gesels
litique suivie de guérison), une étude systématiqne, à l'aide de la
réaction
de Wassermann pourrait seule nous donner de très
est faible et ir- régulier, 70. Les pupilles sont assez grandes, la
réaction
pour la lumière se maintient. Les mouvements de
à 150 millimètres. Pendant la ponction, le malade n'a montré aucune
réaction
. Des laxatifs (huile de ricin) et des lavements
aux spéciaux). Dans les urines, outre la quantité, la densité et la
réaction
, on déter- mina l'N total, l'N uréique par la m
u double le chiffre normal et presque tous les jours on observa une
réaction
très forte de l'indican du phénol et du scatol.
hénol et (en partie) indican. Ces substances donnèrent toujours des
réactions
si manifestes, telles qu'on en voit rarement le
d'après la théorie des ions doit être considéré comme un liquide à
réaction
neutre. Il est préférable donc de parler de la
ivement au soufre acide. Augmentation des éthers sulfuri- ques et
réaction
très évidente du scatol, du phénol et surtout d
itaire. Levi a eu en effet des résultats net- tement positifs de la
réaction
de Wassermann chez les deux soeurs Servi dont les
réditaire. Levi a eu cette année les mêmes résultats positifs de la
réaction
de Wassermann dans deux autres cas d'infantilis
bien conservées, mieux que dans les noyaux du toit ; il y a peu de
réaction
névroglique. - Globules. - Ils paraissent égale
des fragments de tu- meur par la méthode de Cajal, pour étudier les
réactions
cylindraxiles : la longue conservation de la pi
faible à droite et le réflexe du médium est égal des deux côtés. La
réaction
à la lumière et à l'accommodation des pu- pille
mètres et demi plus petite que de l'autre côté et qu'il y avait une
réaction
de dégénérescence aux muscles péroniers, mais que
plusieurs muscles une diminution de l'excitabilité, mais jamais de
réaction
nette de dégénérescence. Au bout de quelques
symptôme qu'une certaine diminution de l'excitabilité, mais pas de
réaction
de dégénérescence. La sensibilité tactile est u
veloppée aussi pour les autres parties des membres. Il n'y a aucune
réaction
de dégénérescence. L'état du malade s'est aggra
ie symétrique des quatre membres et des nerfs crâ- niens, jamais de
réaction
de dégénérescence à l'examen électrique, res- t
L.) et RIST (NI.). - Deux cas de poliomyélite antérieure aiguë sans
réaction
méningée cytologique chez un frère et une soeur,
1903, p. 623. 39. Guinon (L.) et PARIS. - Paralysie infantile avec
réaction
méningée, Bull. et Mém. de la Soc. méd., 1903,
vec la composition de la matière et est tout en affinité, action et
réaction
, pour aboutir à l'inconnu et à l'incompréhensible
irées ni deman- dées, qu'il ne connaît même pas et qu'il subit. Ces
réactions
succèdent 700 LEFÈVRE les unes aux autres en
sa composition en élé- ments inorganiques, l'être vivant, grâce aux
réactions
chimiques dont il est le siège, travaille à son
nl réunies en groupements atomiques caractéristiques de la vie. Aux
réactions
déjà mentionnées des corps chimiques inanimés v
t sur lesquelles la volonté n'a aucune prise. On n'a pas désiré ces
réactions
chimiques de la matière vivante ; on ne les conna
endrait sa source dans le chimisme du corps humain qui comprend les
réactions
des éléments inanimés que leur peu d'importance
- breux, si variés, si complexes qu'on ne peut guère en étudier les
réactions
et se faire ainsi une bonne idée du chimisme hu
res en agissant sur la cellule, déterminent au sein de celle-ci des
réactions
chimiques qui ont pour effer de libérer, de ren
Elle a des affinités spéciales à chacune de ses combinaisons et ses
réactions
se distinguent des réactions inorganiques comme
s à chacune de ses combinaisons et ses réactions se distinguent des
réactions
inorganiques comme celles-ci se différencient e
limites vitales, puisque leurs effets ne sont pas les mêmes. Leurs
réactions
varient naturellement comme la nature de leur c
otécutaire propre à chacune d'elles, les cellules développent leurs
réactions
spéciales chaque fois qu'elles subissent l'acti
RÉFLEXE 715 On connaît l'expérience de lagrenouille décapitée etses
réactions
réflexes quand on place une goutte d'acide sur
l'homme les commande et même sans qu'il y pense. Ce sont de simples
réactions
en présence d'ex- citations physiques ou chimiq
tique, parce qu'il ne consiste jamais qu'en une action suivie de la
réaction
qui lui est personnelle. XXII il m 718 LE
vre et, après des heures et des jours, on peutencore déterminer des
réactions
vitales, dans lesmuscles notamment. Il est donc
uisqu'il faut toujours qu'il y aitdes excitations d'une part et des
réactions
d'autre part et la raison, quand elle existe, n'e
est donc en rapport avec la nature de l'excitant et la nature de la
réaction
correspond à la na- ture de la pensée et, par c
utres cons- tituent des équivalents mécaniques des choses pensées ;
réaction
enchaînée au moyen de nerfs agissant sur les va
ysionomie engendre l'état de conscience qui lui correspond. Action,
réaction
enchaînée, réflexe. Tout l'organisme, intellect
ABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (Dé la
Réaction
myotonique). La maladie de Thomsen se caractéri
e des mouvements volontaires, ainsi que les divers phénomènes de la
réaction
myotonique. En recherchant chez ce malade les mod
ention jusqu'alors et qui nous paraissent devoir faire partie de la
réaction
myotonique. C'est le résultat des recher- ches,
cette étude. Mais, avant d'entrer dans l'exposé des détails de ces
réactions
électri- ques, rapportons d'abord l'observation
ous nous proposons d'étudier maintenant les divers phénomènes de la
réaction
myotonique, en faisant porter plus particulièreme
récédemment. Etudions, maintenant, sur des tracés myographiques les
réactions
que nous venons de constater par l'exploration
us avons choisi de préférence, parce qu'il présentait nettement les
réactions
à exa- miner, qu'il était facilement accessible
erfs faciaux étaient t en parfaite santé, il n'y avait pas trace de
réaction
de dégénérescence, seu- lement le nerf facial d
crit très justement l'allongement des paroles, qu'il attribue ci la
réaction
lente et graduelle qu'on observe au niveau des co
autant qu'on peut en juger chez ce petit malade, presque idiot. Les
réactions
électriques sont nor- males. Pieds et mains r
ABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (De la
Réaction
myotonique). - (suite '). La 3e série d'excitat
par comparaison avec la ligne A, la différence qui existe entre la
réaction
électrique des muscles dans la maladie de Thomsen
nditions, chez un individu normal. La figure 8 représente les mômes
réactions
, obtenues dans des conditions d'expérimentation
DE L'L,\CI'CABIL1T1 : ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 97 ces tracés que les
réactions
, que nous venons d'exposer s'y passent avec les
ques sur la diminution et la disparition de certains troubles de la
réaction
myotonique avait déjà été signalée par MM. Pitr
les troubles myotoniques des mouvements volon- taires et certaines
réactions
électriques des muscles, analogie mise en relief
Ut O S Fin. 12. -Boul... (Maladie de Thomsen), 25 sept. 1888.
Réactions
faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
sible et cela à peu près sans douleur, sans gonflement, sans aucune
réaction
fébrile ? Cela ne devait-il pas donner à réfléc
lacements qu'on imprime ainsi aux deux hanches ne provoquent aucune
réaction
douloureuse ; mais par contre ils s'accompagnen
delà destruction des capsules, des ligaments, s'accomplissent sans
réaction
inflammatoire. En résumé, voici un malade chez
blis. En somme, pas d'amyotrophie notable, si ce n'est aux mains.
Réactions
électriques des muscles ; d'après l'examen de M.
près l'examen de M. Vigoureux : lor et 20 interosseux normaux comme
réaction
, ainsi que t'éminencc tbénar. 3e et 4e in- tero
réaction, ainsi que t'éminencc tbénar. 3e et 4e in- terosseux sans
réaction
. Pas d'autre anomalie. Réflexes. H¡"l1exe rotul
ABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (De la
Réaction
myotonique). - (suite '). Pendant la seconde ex
M tj1 1. I : . 19. Boul... (Maladie de Thomsen), 1" oct. 1888.
Réactions
faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
. 177 aussitôt à l'état de repos. C'est cette dernière partie de la
réaction
muscu- laire qui se trouve surtout modifiée par
s égales ; tan- tôt NF l'emporte, tantôt PF. Dans ce dernier cas la
réaction
myotonique rappelle, dans une certaine mesure,
r cas la réaction myotonique rappelle, dans une certaine mesure, la
réaction
de dégénérescence, d'autant plus que ces secous
esser aussitôt la déviation. Dès lors peuvent se produire, soit des
réactions
fibreuses, soit des déformations osseuses vertébr
ITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES 1 DANS LA MALADIE DE THOMSEN. ` (De la
Réaction
myotonique). (Suite el fin '). La première plan
les suivants nous reproduisons, dans la figure 27, l'inscription de
réactions
galvani- ques de muscles normaux recueillie sur
ourants faradiques, présentait chez notre malade des troubles de la
réaction
myotonique beaucoup plus accusés que le muscle
oires. III Il nous resterait, pour faire une élude complète de la
réaction
myoto- nique, ai passer en revue les modificati
E L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 243 par lui sous le nom de
réaction
myotonique. La même constatation a été faite pa
, depuis le travail de Erb, des cas de maladie de Thomsen, et cette
réaction
paraît de plus en plus réellement spéciale à ce
ner cette étude, croyons-nous utile de résumer les caractères de la
réaction
myotonique d'Erb, en signalant, à l'occasion de
que d'Erb, en signalant, à l'occasion des diverses parties de cette
réaction
, les points particuliers que notre travail avai
ts particuliers que notre travail avait pour but d'exposer. Dans la
réaction
myotonique, MyR, les modifications de l'excitabil
té, constitue déjà par elle-même un des caractères importants de la
réaction
myotonique. Non moins remarquables sont les mod
Thomsen, dans l'excitabilité faradique des muscles, à propos de la
réaction
myotonique. Tontes ces modifications existaient
meture du courant, une prédomi- nance d'action bien accusée dans la
réaction
myotonique, cetteprédominance est moins marquée
ettent parmi les troubles de la contractilité galva- nique, dans la
réaction
myotonique, l'absence de secousse d'ouverture.
rnier trouble dans la contractilité galvanique des muscles, dans la
réaction
myotonique, est la production de mouvements ondul
ependant ces mouvements pa- raissent devoir être constants clans la
réaction
myotonique; ils exigent, parfois, pour être mis
des phénomènes d'un môme ordre. On voit par ce qui précède que la
réaction
myotonique, présente des caractères bien tranch
e des caractères bien tranchés qui la différencient nettement de la
réaction
de dégénérescence et des autres modifications a
ique des nerfs moteurs et des mus- cles. Ces modifications, dans la
réaction
myotonique, portent presque exclusivement sur l
e de Thomson, sont plus accusées. Ce qui fait l'importance de celle
réaction
myotonique c'est qu'elle est spéciale aux muscl
ves diverses, myopathies secondaires, né- vrites périphériques avec
réaction
de dégénérescence, ataxie locomotrice, ataxie d
dans tous ces cas (1) nous n'avons rien trouvé de comparable il la
réaction
myotonique. Aussi concevra-t-on facilement (1)
distinguer des contractions toniques, lentes et persistantes de la
réaction
myotonique. Pour ne parler que de l'excitabilité
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. que la constatation de celle
réaction
puisse être d'une grande importance dans certai
l'existence bien constatée des modifications qui constituent cette
réaction
, fournit des signes objectifs autorisant ;'1 af
Ces déformations se sont produites lentement, progressivement, sans
réaction
douloureuse. En 1887, au mois de mai, un panari
Examen électrique (pratiqué par M. Vigouroux). Aux mains, pas de
réaction
des intérosseux, excepté pour le premier de la ma
érosseux, excepté pour le premier de la main droite qui présente la
réaction
complète de dégénérescence. Aux jambes, le nerf s
ICONOGRAPHIE DE la salpètbièue. rite d'avoir continué chez nous la
réaction
commencée par Georget en 1831, en combattant la
la langue. Perception très nette du côté gauche. III. Nutrition ET
réaction
ÉLECTRIQUE. - L'aspect du membre inférieur droi
endue de la peau. M. le Dr Vigouroux, qui a bien voulu examiner les
réactions
électriques, a constaté ce qui suit : La sens
au typhus. Dans les cas ordinaires on ne parviendra qu'à modérer la
réaction
excessive. C'est dans l'hémiplégie cérébrale
qui, à une période donnée, offrent une très grande analogie avec la
réaction
de dégéné- rescence. Chez le lapin, j'ai obse
st la cause de ce phénomène ? Et d'abord, quelle est la cause de la
réaction
de dégénérescence qui apparaît à la suite de cert
te de certaines lésions des nerfs ? On admet généralement que cette
réaction
, en par- ticulier la modification qualitative d
rfs sont dégénérés. Mais si l'on considère que les caractères de la
réaction
de dégénérescence peuvent apparaître dans certa
orphologiques à peine appréciables, il y a lieu de penser que cette
réaction
de dégénérescence tient, au moins pour une part,
ue ne porte que sur les libres musculaires ; en d'autres termes, la
réaction
dite de dégé- nérescence ne serait, en partie a
tion dite de dégé- nérescence ne serait, en partie au moins, que la
réaction
propre des fibres musculaires. On pourrait donc
action propre des fibres musculaires. On pourrait donc expliquer la
réaction
de dégé- nérescence dans les muscles après la m
idité d'autant plus grande qu'ils sont d'un ordre plus élevé, cette
réaction
serait duc à la persistance de l'excitabilité é
, p. Cr3S) rapportent un cas d' « inversion du réflexe du radius et
réaction
de dégénérescence dans les muscles biceps et lo
éphale, se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la
réaction
, au lieu de s'opérer dans le muscle dont le tendo
rieur ; le pincement du côté de l'anesthésie ne pro- voquait aucune
réaction
homo ou contra-latérale. D. J ai étudié les réf
t parfois qu'après deux ou trois excita- tions suivies encore d'une
réaction
pupillaire. « Un excellent moyen de mettre en é
vanique et celui du faradique sont tous deux « distaux ». ' Cette
réaction
pourrait être considérée comme un échelon entre
le rechercher systéma- tiquement, en particulier dans les cas où la
réaction
de dégénérescence obtenue par les procédés habi
infailliblement guérir dans un délai de quelques semaines quand la
réaction
de dégénérescence fait défaut; ils four- nissen
entalement, chez l'animal, on soit en mesure d'obtenir une pareille
réaction
. De plus, il ne me semble pas prouvé qu'en pathol
affirmait n'avoir jamais eu la syphilis : enfin, la recherche de la
réaction
de `Vassermann dans le sang et dans le liquide cé
manifestation de syphilis, a, dans le sang, des anticorps dont une
réaction
de Wasser- mann positive décèle l'existence. No
e décèle l'existence. Nous avons relaté aussi des cas où cette même
réaction
s'observe chez un enfant en apparence d'une par
t trouvé, chez des enfants en apparence absolument sains, 8 fois la
réaction
de Wassermann positive, et 6 fois cette réactio
t sains, 8 fois la réaction de Wassermann positive, et 6 fois cette
réaction
négative. Mes observations surlaméningite syphi
riable, d'une couleur noirâtre, qui ne sont autre chose, comme leur
réaction
SCLÉROSE EN PLAOUES 103 l'indique. que des
ires atrophiés, il n'y avait ni abolition complète des réflexes, ni
réaction
de dégénérescence. 110 Enfin, nous avons consta
ement sur les modifications que subissent à l'état pathologique les
réactions
objectives provoquées par des excitants divers
tiques de l'ap- pareil labyrinthique. « J'estime qu'il existe une
réaction
galvanique qui permet d'atteindre le but visé;
er l'existence d'une lésion de l'appareil vestibulaire, alors que les
réactions
obte- nues par la méthode de Barany sont normal
nues par la méthode de Barany sont normales. En ce qui concerne les
réactions
électriques, voici les points que je relève dans
exagération des réflexes vaso-moteurs cutanés, et d'autre part des
réactions
émotives anormalement intenses et prolongées :
RIE. PITH1ATISMF. une accélération des battements cardiaques et des
réactions
vaso- motrices qui seraient ainsi les effets d'
a Salpêtrière, celle de Charcot; qu'elle ne pouvait plus imiter les
réactions
spasmodiques authentiques et sincères, comme la
eut-être à l'usage d'engrais artificiels. D'une particularité de la
réaction
de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janv
e (Id.). t4o. Sur le réllexe cutané plantaire. Différences dans les
réactions
correspondant t il des différences dans le sièg
Bulletin médical, 17 janvier igio). 166. Hypotonicité musculaire et
réaction
de dégénérescence (Société de Neuro- logie, 10
ution à l'étude de la syphilis familiale. Recherches à l'aide de la
réaction
de Wassermann (en collaboration avec Barré. Id.).
le des Hôpitaux, 22 mars 1(12). 190. Contribution à l'étude de la
réaction
de dégénérescence. Excitabilité fara- dique lat
uivant les circonstances el les dispositions du sujet, qui sont des
réactions
d'urgence, pour résoudre la crise angoissante.
e droite est un peu plus étroite que celle du cuLe gau- clto ; leur
réaction
et leur acuité Aisuetie sont normales. L'ouïe,
recte sur les éléments infectieux en les fixant et en suscitant une
réaction
défensive leucocytaire favorable; l'interventio
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, qu'avec l'étude de la
réaction
pupillaire sous l'influence de l'oc- clusion pa
s moitiés des rétines aveugles ne produit sur les pupilles aucune
réaction
tandis que celui des moitiés des rétines qui voie
x en question. L'état ophtalmoscopique et l'anomalie spéciale de la
réaction
à la lumière des pupilles confirmèrent le diagn
des pupilles se rapproche delà dimension moyenne normale; alors la
réaction
à la convergence est généralement prompte quoiq
l'un de l'autre plaide la diminution si fréquemment adéquate de la
réaction
directe et indirecte à la lumière ainsi que du
atez l'inertie des deux pupilles à la lumière contrastant avec leur
réaction
à la cow er- gence, ne concluez pas hâtivement
ait bien dériver de l'immo- bilité réflexe même. En effet, outre la
réaction
il la lumière, les REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
odation et de convergence. Kirchner arrive sous l'in- fluence de la
réaction
à la fermeture palpébrale, à transformer mydria
greffe le droit supérieur ou le grand oblique ; il constate que la
réaction
à la convergence persiste in- 122 REVUE D'ANATO
fondé de la théorie précédente, etnon, comme le veut Marina, que la
réaction
à la convergence des pu- pilles soit indépendan
de chaux ainsi que dans les coques qui en proviennent, on trouve la
réaction
de l'albuminate de fer ; les vaisseaux décalci-
st pas augmentée ; on ne constate pas de bourrelet, non plus que la
réaction
d'excita- jon de Bechlerevv. De l'examen comple
nde musculaire ou contraction idiomusculaire, constitue un signe de
réaction
locale extérieure du muscle loca- lement excité
1 rc sacrées. 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. / Atrophie musculaire avec
réactions
électriques de la maladie de Thomsen. MM. Lor
rants calmes, mais dangereux, dont on redoute les évasions et les
réactions
violentes. L'auteur montre que les aliénés vici
ve de la résistance quand on veut les ouvrir ; con- servation de la
réaction
pupillaire ; conservation des réflexes patellai
de la sensibilité générale explique la fréquence et la violence des
réactions
hypochon- driaques (auto-mutilation). 11 en est
ndriaques, bien que très réelles, n'ont pas engendré directement la
réaction
médico-légale (neurasthéniques hypochondriaques
ypochondriaques kleptomanes). Le suicide figure au premier rang des
réactions
hypochon- driaques : persuadés de ne jamais gué
me hypochondriaque du délire de persécution qu i peut entraîner des
réactions
dangereuses, en particulier l'ho- micide, leque
fus des névrites ascendantes un syndrome à allures particulières, à
réactions
anatomo-physiologiques également spéciales, le
lulo-névrite,de neuronite motrice antérieure), au profit encore des
réactions
cellulaires à distance au cours des sections ne
91 qu'aux centres nerveux. Il n'est pas douteux cependant que les
réactions
histologiques et les symptômes cliniques ne soi
érique de la tétanine se fait sournoisement, insidieu- sement, sans
réaction
sensitive ni motrice ; et en cas de gué- rison
e syndrome une première étape principale et obligatoire, l'étape de
réaction
périphérique à ascension limitée ; une deuxième
ascension limitée ; une deuxième étape excep- tionnelle, l'étape de
réaction
à distance et de diffusion gan- glionnaire. Peu
ositifs de névrite, signalés plus haut. Anatomie pathologique. La
réaction
interstitielle du nerf périphérique est la cara
ruction secondaire des tubes nerveux. L'anatomie pathologique des
réactions
centrales à dis- tance, ou de propagations gang
n avis, expliquer la marche ultérieure du processus ; celle de la
réaction
toxique ascensionnelle des éléments inlra-ner-
veux (tissu conjonctif, vaisseaux, faisceaux nerveux) et celle delà
réaction
inflammatoire également ascensionnelle du tissu
es ; atrophie mus- culaire très marquée. Réflexes tendineux abolis.
Réaction
de dégénérescence complète de tous les groupes
peut être l'origine de troubles vasomoteurs amenant eux-mêmes des
réactions
émotionnelles comparables à l'éreuthose et à- l
e l'autre comme pour les rani- mer, représentant ainsi une sorte de
réaction
motrice contre une sensation d'engourdissement.
ation nedoit autant tenir compte des con- ditions sanitaires et des
réactions
individuelles. Selon l'ex-- pression de Scoutte
ion semble pouvoir être envisagé comme l'expression d'une salutaire
réaction
des énergies psychiques, que l'on se gardera de
ose, refroidissement des extrémités, etc.). Dans tous les cas, la
réaction
sera très attentivement surveillée, et le. plus p
les plus vitalisantes et les plus susceptibles de mettre en jeu les
réactions
organiques. - G. Hydrothérapie hygiénique. -La
té de leur action, mettent trop vivement en jeu les processus de la
réaction
gé- nérale et risquent d'en épuiser les sources
ont montré chez un même malade des variations très nettes dans les
réactions
de la pupille à la lumière. De plus, chez ces m
coce : 1° Le bacille et le staphylobacille étudiés provoquent une
réaction
spécifique des sérums, stigmate d'infection : ils
es de la corne anté- rieure et, dans de pareilles circonstances, la
réaction
à dis- tance est beaucoup influencée et la répa
ostic. Au point de vue du pronostic, on peut dire que, malgré leurs
réactions
souvent désordonnées et violentes et malgré cer
dans l'état actuel de nos conceptions sur la conscience, que les
réactions
spéciales, locales, soient associées. Grâce à ce
breux qui frappent et éveillent les sens à la naissance amènent des
réactions
ou fonctions qui mettent l'organe nouveau, le c
ervation de l'enfant et du foetus. 'Réactions au chaud et au froid,
réaction
à la douleur, mais pas de connaissance du monde
ue suffisant du cerveau (cinquième mois environ), il se produit des
réactions
vitales dont le caractère évolutif est marqué p
ère évolutif est marqué par la coordination et l'u- nification. Ces
réactions
préparent les voies de la cons- cience, mais ne
morale de l'enfant, 3° édit. Paris, 1903, p. 31. 292 PSYCHOLOGIE
réactions
physiologiques que le nouveau-né normal (1). Lo
été re- cueillis par M.IeD° Henri DEFLnuRiAN (L'anencéphale et ses
réactions
vitales. Tlièse de médecine de Bordeauv, 1903).
ntaire, nous ne possédons qu'une seule observation complète, où les
réactions
vitales soient soigneusement no - téeset mises
ase du crâne, on délimite assez bien la selle turcique » (2). Les
réactions
vitales de ce nouveau-né étaient il peu près id
érieures la conscience des fonctions. L'analogie observée entre les
réactions
vitales des monstres an encéphaliens et du nouv
a fonction de la cons- çience est de disjoindre, dans le temps, les
réactions
des sensations » (1), c'est-à-dire de transform
tations externes ou internes. A partir du mot ment où l'enfanta des
réactions
morphologiquement su- périeures à celles des in
absolument comparable à celle congénitale de la maladie de Thomsen.
Réaction
électrique myotonique. A l'examen biopsi- que,
ée par des paralysies musculaires avec asthénie sans atrophie, sans
réactions
électriques anormales, sans troubles de la sens
ées circulairement dans l'adventice de ceux-ci. ll n'y avait aucune
réaction
patholo- gique du tissu nerveux environnant. Di
oduction à cet intéressant tra- vail : l'auteur s'est assuré par la
réaction
de \\ïdal, l'examen pa- thologique du sang, l'e
t être considérée, au même litre que l'atrophie d'emblée, comme une
réaction
pri- mitive du processus myopathique. 1 Quell
re de mots reviennent cons- tamment ; toute pensée entraîne la même
réaction
vicieuse, c'est-à-dire l'articulation du même m
petite quantité. L'urobilinurie a diminué vers le 0 fé- vrier el sa
réaction
est peu sensible. (La malade absorbait par la s
chez lequel existaient, dans le domaine du trijumeau, de véritables
réactions
doulourcu- ses, distinctes des manifestations p
oses organiques graves, les recher- ches sur l'acétone, les corps a
réaction
diazoïque, l'allllnollia, que, les hcniolysincs
O\uquer, chez des prédisposés, des directions centrales, véritables
réactions
distance donlle méca- nisme palhogéniquc doit ê
is, dans les cas a évolution lente, l'abrutissement el le défaut de
réaction
peuvent aller jus- qu'à friser l'étal démentiel
plus fréquent que celui qu'on lui faisait jouer auparavant L par
réaction
contre la théorie unieiste de Louis et Olli- vi
nt, n'ont rien présenté d'anormal. Pas d'éruption cuta- née, aucune
réaction
locale,pas de persistance du nodule inflam- mat
s, 'par Foss, 17. 122. TaoatsE.r. ltropllit : musculaire ^ avec
réactions
électriques de - ]amatadiedo,par)or- tdt-.htC
e de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. —
Réactions
de la cellule hépatique relativement à la matière
ulations : Ie des granulations pigmentaires biliaires et possédant la
réaction
caractéristique; 2° des granulations à bords pâle
caractéristique; 2° des granulations à bords pâles; qui n'ont pas la
réaction
de la graisse et qui remplissent pour ainsi dire
bords sombres, brillants, offrant avec l'éther et l'acide osmique la
réaction
de la graisse. Ces granulations graisseuses se tr
Leuckhart (1). C'est ici le lieu d'appeler votre attention sur les
réactions
des cellules hépatiques, relativement à la matièr
glycogène se colore en rouge-brun. Schiff a émis l'o-pinion que cette
réaction
s'attachait aux granulations pâles, qui auraient
après M. Ranvier(3), dans les cellules lymphatiques qui présentent la
réaction
brun acajou, la matière glycogène se répand parto
sent aussi très volumineux. Klebs (1) et Rindfleisch assu-rent que la
réaction
glycogène, même avec une solution faiblement iodé
e d'abord, puis amère, d'une odeur musquée quand on la chauffe, d'une
réaction
neutre, d'un poids spécifique de i 020 à 1032 ; e
consistance visqueuse (par suite de l'adjonction delà mucine), d'une
réaction
alcaline, acide même, si la putréfaction s'en est
les sont souvent dentelés. Si ces caractères ne suffisaient pas, Line
réaction
pourrait être invoquée (1). a) L'acide sulfurique
iliaire. — De la bilirubine ; ses caractères physiques et chimiques. —
Réactions
qui permettent de la reconnaître : réaction de Gm
physiques et chimiques. —Réactions qui permettent de la reconnaître :
réaction
de Gme-lin.—La bilirubine provient de la matière
enue en dissolu-tion par les acides biliaires. Il est, Messieurs, une
réaction
qui permet de reconnaître la biliburine, même dan
aître la biliburine, même dans les solu-tions très étendues, c'est la
réaction
dite de Gmelin. Si on fait tomber goutte à goutte
successives offrant les colorations susdites dans l'ordre indiqué. La
réaction
de Gmelin est fort belle quand la bilirubine est
bilirubine est dissoute dans le chloroforme. Il est encore d'autres
réactions
plus ou moins intéressantes et plus ou moins fidè
de acétique chauffé avec la bilirubine donne une coloration verte. La
réaction
de Gmelin est commune, ainsi que l'a fait voir M.
ans l'intestin : l'urine, en pareille circonstance, offre toujours la
réaction
de Gmelin. Ces faits tendent à montrer, vous le v
e ; caractère de ces sels. — Acides glycocholique et taurocholique. —
Réaction
de Pettenkofer. — Lieu de formation des acides bi
sine. d) Les acides, les sels biliaires et l'acide cholique ont une
réaction
qui permet dé reconnaître leur présence dans les
ître leur présence dans les divers liquides de l'organisme : c'est la
réaction
de Petten-kofer. Ni la taurine, ni la glycocolle
tion de Petten-kofer. Ni la taurine, ni la glycocolle n'offrent cette
réaction
. Voici en quoi elle consiste: On traite la soluti
n, à la vérité, sans quelques difficul-tés pratiques, d'obtenir cette
réaction
avec l'urine des icté-rîques Dans l'ictère le plu
Dans l'ictère le plus vulgaire, on peut obtenir dans les urines la
réaction
de Petlenkofer. M. Hoppe Seyler, en 1858, a en ef
quantité suffisante pour s'accuser par leur saveur amère et par leur
réaction
spéciale. (Réaction de Pettenkofer.) Ce sujet a
pour s'accuser par leur saveur amère et par leur réaction spéciale. (
Réaction
de Pettenkofer.) Ce sujet a été étudié avec bea
veraient les acides bi-liaires et capable par conséquent de donner la
réaction
de Pettenkofer. Fort de ces données, très intér
èrement mu-queux, un peu alcalin. L'acide nitrique n'y amenait aucune
réaction
; il n'y existait pas trace de pigment biliaire.
que fit apparaître dans ce liquide incolore, un précipité gélatineux (
réaction
de la mu-cine). Ce liquide n'était donc pas de la
x cas ^ictère spasmodique, apparu à la suite d'une cause morale, sans
réaction
fébrile, M. Bouchardat (1) a observé les chiffres
si que, d'ancienne date, tous les auteurs l'ont noté, s'effectue sans
réaction
, sans douleur, de manière à passer le plus souven
xe. 1° Dans certains cas, — ce sont de beaucoup les plus rares — la
réaction
inflammatoire se produit suivant le mode sur-aigu
ion verte, composée d'un liquide purulent mêlé de bile, ainsi que les
réactions
chimiques permirent à M. Mélm de s'en assurer. On
es restées saines. Il va sans dire que, dans l'étude histologique, la
réaction
iodée met nettement en relief les éléments altéré
qu'elle n'a rien de commun avec la cellulose et l'amidon, auxquels la
réaction
iodée l'avait fait comparer tout d'abord. Les ana
nce gélatineuse qui offrirerait, de la manière la plus frappante, les
réactions
de la matière amyloïde. M. Dickinson fonde, là-de
umière des tubuli, on trouve quelquefois des cylindres qui offrent la
réaction
par l'action de l'iode, mais ce caractère, ainsi
s, formant un magma qui remplit le calibre du conduit et pré-sente la
réaction
spéciale (A. Key), mais c'est là un fait très exc
petit rein rouge ; quelquefois il existe des kystes ; en tout cas, la
réaction
par l'iode permettra toujours de distinguer ce re
chez les album i nu ri qu es par maladie de Bright ; et, puisque ces
réactions
ne sont pas les mêmes que celles de l'albumine du
quatre fois le volume du liquide à examiner. Dans ces conditions, la
réaction
estprompte, et,auboufde quelques minutes, onpeutx
it être fondé à dire, d'une façon générale, qu'à ne considérer que la
réaction
chimique, l'existence d'une altération de l'alb
eur quantité est très faible. Plus tard, quand survient la période de
réaction
, alors que la cyanose cesse, et que le pouls se r
te de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. —
Réactions
de la cellule hépatique relativement à la matière
liaire. — De la bilirubine, ses caractères phy-siques et chimiques. —
Réactions
qui permettent de la reconnaître : réaction de Gm
y-siques et chimiques. — Réactions qui permettent de la reconnaître :
réaction
de Gmelin. — La bilirubine provient de la matière
de; caractères de ces sels. — Acides glycocliolique et taurocholique.
Réaction
de Pettenkofcr. — Lieu de formation des acides bi
faut admettre d'un côté une hypertension cérébrale etde l'autre une
réaction
inflammatoire des os du crâne, limitée, je le rép
, que la synostose doit être envisagée comme la consé- quence d'une
réaction
ostéogénique à la suite de l'hypertension cérébra
ade complètement guéri reprend ses occupations au magasin. 4 i. -
Réaction
de Wassermann négative. 30. Le malade est venu
upillaire est conservé à la lu- mière et à l'accommodation, mais la
réaction
est un peu lente. Les réflexes ten- dineux et c
aminé au microscope on constate une lymphocytose très abondante. La
réaction
des globulines est négative. Il accuse une fort
ense à la suite de la double coloration à l'hématuxiline-éosine. La
réaction
des glohulines est positive 50 MARINESCO ET GOL
deux cas, nous avons trouvé dans le liquide céphalo- rachidien, une
réaction
cellulaire très intense. Nous sommes d'avis que
l'examen cytologique du liquide. L'absence des microbes et de la
réaction
cellulaire dans les cavités con- tenant l'exsud
ormal comme dimensions. liéflexes rotuliens normaux des deux côtés.
Réactions
pupillaires intac- les. Pas de troubles oculair
on émotivité, ses frayeurs, ses larmes, les caractères mêmes de ses
réactions
et de ses tendances fémi- nines, son insuffisan
éennes et tuberculeuses. Nous n'avions pas eu le temps de faire une
réaction
de Wassermann chez notre malade, mais on ne ret
s régions les plus inférieures où ils ne peuvent que déterminer des
réactions
pathologiques. Dans le crâne, les organes les p
lieu du monde comme recevant des excitations et y répondant par des
réactions
(2) ». Et celle physiologie de la pensée fondée
urone ; c'est, d'une part, l'ultramicroscopie et, d'autre part, les
réactions
chromatiques qu'offrent les cellules nerveuses, e
ous avons constaté, exceptionnellement il est vrai, un phénomène de
réaction
de la cellule vivante, consistant dans la vaiia
iquent les aspects multiples ultra-mi- croscopiques et leur mode de
réaction
. Ces granulations jouent donc un rôle essentiel
n examen minutieux de la sensibilité révéla partout l'existence des
réactions
physiologiques normales. La musculature était p
glarc2vs ; au cours de l'exa- men de son pouvoir d'association, ses
réactions
furent normales. Durant ces conversations, Caro
s pas comme autorisé à une telle ingérence qui aurait pu amener des
réactions
désagréables. En tout cas, il me semble importa
isse et la jambe droites. Sphincters. - Pas de troubles vésicaux.
Réactions
électriques,faites avec le courant galvanique, le
uisse, prédominante à gauche. Contractions fibrillaires fréquentes.
Réaction
de dégénérescence partielle. Abolition des réflex
lité, ni d'in- coordination motrice. Pas de troubles sphinctériens.
Réactions
pupillaires normales. Résumé DE l'examen hist
en outre par l'abolition des réflexes tendineux, la diminution des
réactions
électriques, avec ou sans RD, la présence fréqu
ins. Ici contractions fibrillaires et douleurs. Chez tous deux, les
réactions
électriques sont affai- blies, ou même abolies,
ux nerfs crâniens, abolition des réflexes tendineux, diminution des
réactions
électriques, phéno- mènes douloureux sans troub
ans. Troubles de la sensibilité cutanée et profonde. Diminution des
réactions
électriques allant jusqu'à la RD. A l'examen hist
lements fibrillaires dans les muscles intercostaux ; diminution des
réactions
électriques ; pas de douleurs, réflexes pupilla
flexes tendineux. Intégrité de la sensibilité dans tous ses modes.
Réactions
électriques diminuées dans les muscles atrophié
faibles ; contractions fibrillaires daus la langue ; diminution des
réactions
électriques ; pas de troubles de la sensibilité ;
la main, puis de l'avant bras, sensibilité intacte ; diminution des
réactions
élec- triques ; mort à 7 ans. Examen histologiq
t aux pieds, sensations pénibles dans les jambes ; diminution de la
réaction
de la pupille droite à la lumière; altérations de
n de la réaction de la pupille droite à la lumière; altérations des
réactions
électriques allant jusqu'à la RD. Examen histolog
llant jusqu'aux mus- cles de l'épaule et du larynx ; diminution des
réactions
électriques, parfois RD. ; diminution de la sen
s et de la face : abolition des réflexes tendineux ; diminution des
réactions
électri- ques, parfois RD. Hypertrophie des tro
trophie simple, sans que les éléments interstitiels aient une autre
réaction
qu'une légère sclérose cicatricielle. Il y aura
tement détruits. Les colorations au carmin nous montrent une grosse
réaction
fibreuse interstitielle à l'inté- rieur de ces
aucun antécédent spécifique et n'en présente aucun stigmate, et la
réaction
de Wassermann est d'ailleurs négative ; de plus
tres, ni antécédents héréditaires ou personnels, ni stigma- tes, ni
réaction
de Wassermann ne permettent de croire à la spécif
refuser aujourd'hui tout droit de cause déterminante. En vérité la
réaction
ne serait-elle pas excessive ? (1) JACOT, L'ost
ré- flexes achilléens, chez un troisième de la lymphocytose et une
réaction
de Wassermann positive. " , La syphilis est i
ure, destruction uni ou bilatérale ne s'ac- compagnant ni de grande
réaction
inflammatoire, ni de très importante proliférat
s de causalité qui unissent ces deux éléments. Le gliome est-il une
réaction
secondaire contre l'invasion' primitive du tiss
à supposer qu'une telle poussée a été susceptible de provoquer une
réaction
névroglique intense. Le fait qu'à certains étages
s. Le fond des yeux sans changement ; les pupilles sont égales, la'
réaction
à la lumière et à l'accom- modation-bien conser
hie de petits muscles de la paume gauche du type Aran-Duchenne avec
réaction
de dégénérescence (muscles de l'éminence thénar
ent à expliquer l'atrophie de petits muscles de la main gauche avec
réaction
partielle ou totale de dégénérescence, ainsi que
quelque lymphocyte par millimètre cube à la cellule de Nageotte.
Réaction
de Wassermann. - Négative dans le sang et dans le
nn. - Négative dans le sang et dans le liquide céphalo-rachidien.
Réaction
à la tuberculine. Négative à un demi, à 1 et à 2
s deux côtés, mais existent. Il n'y a pas de signe de Babinski. Les
réactions
pupillaires sont normales. La sensibilité est n
. Parésie du moteur oculaire commun gauche. Inégalité pupillaire.
Réaction
à la lumière, perdue à droite, faible à gauche.
upillaire. Réaction à la lumière, perdue à droite, faible à gauche.
Réaction
à l'accommodation conservée avec signe de Roberts
des muscles inter- osseux. A l'examen électrique, on constate une
réaction
de dégénérescence complète pour les muscles de
Ces réflexes/sont exa- gérés à droite du fait de l'hémiplégie). Les
réactions
électriques''n'ont'pas été recherchées. En ré
ille), ce qui cadre bien avec l'intensité de l'atrophie et l'état des
réactions
électriques. En résumé, chez une malade attei
phocytes par champ d'immersion. Albumine sensiblement normale.
Réaction
de Wassermann positive. Est devenue négative à la
édian et du radial à )'avant-bras, pas d'altérations ac- cusées des
réactions
. A gauche : état sensiblement le même, pour le
ont confirmées par l'examen électrique qui montre : Du côté gauche,
réactions
électriques normales au courant faradique et gal-
ues normales au courant faradique et gal- vanique. Du côté droit,
réaction
électrique normale au niveau de l'éminence hypoth
iveau de l'opposant et de l'adducteur du pouce. Très affaiblie sans
réaction
de dégénérescence au niveau du court fléchisseu
(côté amyotrophié). A l'examen électrique on note : du côté gauche
réactions
normales, du côté droit : abolition de la contr
is au même titre que l'abducteur et l'opposant. Hypoexcitabilité et
réactions
lentes dans les mêmes muscles au courant gal- v
s autres groupes musculaires. Nous ajouterons enfin les troubles de
réactions
électriques. Par contre l'état des réllexes, l'
se et plus ou moins rapidement progressive. Les modifications des
réactions
électriques sont constantes. Elles vont de l'hy
iques sont constantes. Elles vont de l'hypoexcitabilité simple avec
réaction
de dégénérescence jusqu'à l'abo- lition complèt
avec réaction de dégénérescence jusqu'à l'abo- lition complète des
réactions
faradiques et galvaniques. Cette dernière est d
ogressive despetits muscles de la main constitue par son siège, ses
réactions
électriques, son évolution, une enfilé clinique p
men clinique général, procédés de laboratoire (ponction lombaire et
réaction
de Wassermann). En dehors de la syphilis on peu
oyen- nes ou petites. Tous ces follicules contiennent du colloïde à
réactions
tinctoria- les normales dans leur grande majori
de diminution de l'exci- tabilité des muscles et des nerfs ; pas de
réaction
de dégénérescence. A la face, pas de troubles m
ntre les conditions défavorables qui leur sont imposées. Mais cette
réaction
est d'autant plus marquée que la cause de déché
mêmes J'origine nerveuse, aussi ne saurait-on compter alors sur les
réactions
spontanées, et, en fait, les troubles de la coo
altération histologique de la fibre musculaire et modification des
réactions
élec- triques, peut s'observer, mais à titre de
e absence totale du faisceau pyramidal ; 2° il se manifesterait des
réactions
sensitivo-motrices malgré la dégéné- rescence d
tre dénommé : spongiopathie spondyioépiphysaire. 13. C. VIII. De la
réaction
des pupilles dans les états d'ivresse et de son
immédiatement après leur arrivée, une diminutiou mani- feste de la
réaction
des pupilles à la lumière, la plupart du temps
i s'accompagne d'une dilatation moyenne. Parfois, à ce moment, la
réaction
pupillaire est excessive. Chez un certain nombre
demeurent excita- bles et confus, la diminution ou la lenteur de la
réaction
pupil- laire subsiste, bien que moindre, six à
ns chez un dégénéré. 1 Sans doute, la diminution temporaire de la
réaction
des pupilles à la suite de l'ivresse est un sym
ant les phases de l'ivresse où s'est développée la diminution de la
réaction
pupil- laire. L'importance de ce signe en médec
éflexe des pupilles. , Eh bien, la voie centrifuge ayant perdu sa
réaction
à l'égard de la lumière, tandis qu'elle réagit
e partie du noyau sphinctérien lui-même. L'iné- galité et l'inégale
réaction
des pupilles de l'immobilité pupillaire réflexe
tence fonctionnelle au prorata de l'amaigrissement des muscles. Les
réactions
électriques ont été souvent rencontrées plus ou
nces naturelles ou sociales, que chaque homme subit, et aussi de la
réaction
de l'intelligence, et de la volonté contre l'élé-
tive. Nous signalerons l'absence habituelle d'hypoex- citabilité la
réaction
galvanique, contrairement aux notions admises à
on voit arriver très rapide- ment les idées mégalomaniaques ou les
réactions
délirantes. Comme MM. Marandon et Arnaud, nous
ujet passif jusqu'à l'hallucination provoquée et surtout jusqu'à la
réaction
. Doit-on dire dans ce cas, avec M. Marandon, qu
lement erreur de l'esprit chez le sujet passif, et commentjuger les
réactions
de ce genre de malades ? Il nous semble que le
ctif transmet ses conceptions déli- rantes, ses hallucinations, ses
réactions
à un ou plusieurs sujets passifs déjà délirants
st la mélancolie, De même l'acte impulsif est secondaire, c'est une
réaction
; tandis que l'impulsion est primitive; cette de
lassitude. A cet instant lassitude de même genre des jambes sans la
réaction
myasthénique. Tendance à la fatigue des membres
avoisinant le tronc plus que de celles qui en sont éloignées. La
réaction
myasthénique, radicalement absente pendant les ci
n mois plus tard, et non dans tous les muscles myasthéniques. Cette
réaction
est indépendante du symptôme-fatigue; une fois,
ion, la lassitude musculaire disparaît ou décroit énormé- ment ; la
réaction
anormale aux courants faradiques peut- même fai
ux courants faradiques peut- même faire place à l'état normal. La
réaction
myasthénique de Jolly décelée chez cinq sujets su
, progressif et accompagné d'amai- grissement musculaire, mais sans
réaction
de dégénérescence ni troubles des réflexes du m
onstitution, de leur concentration, de la force de résistance et de
réaction
locale et individuelle du tissu. Le parenchyme
à une para- lysie totale; l'atrophie musculaire fait défaut et les
réactions
électriques sont normales. Cette forme de paral
éance du 3 février 1903. -PRÉSIDENCE DE M. PAULRtOOER. Des temps de
réactions
sensorielles chez qxelques aphasiques. 11\I. \I
Il résulte de leurs recherches que chez les aphasiques le temps de
réaction
auditive simple et de choix est beaucoup plus len
c relâchement des sphincters, irtégrité de toutes les sensibilités,
réactions
normales à la galvanisation et à la faradisatio
iminuée du côté gauche. Le muscle abducteur court du pouce donne la
réaction
de dégénérescence : dans les muscles triceps cr
et le spasme qu'ils résument nettement ainsi : « En présence d'une
réaction
motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pa
'a jamais pris part, nous dirons : ce n'est pas un tic. Et si cette
réaction
motrice est la conséquence de t'irritât ! on path
bulbo-spinal, nou-. ajouterons : c'est un spasme. En présence d'une
réaction
motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou
inctifs, nous pourrons ajouter : c'est un tic. » 11 y a parmi les
réactions
motrices de simples réflexes spinaux, parmi les
réflexes spinaux, parmi lesquels se rangent les spasmes et d'autres
réactions
coor- données en vue d'une fonction, des actes
cause d'un tic, n'a été démontrée de façon probante. L'étude de la
réaction
motrice du tic ne peut être faite d'une façon p
ules du groupe- ment intermédiaire du noyau du sciatique étaient en
réaction
, taudis que celles du groupement central du mêm
ntral. Chez le troisième chien les altérations correspondantes à la
réaction
du demi-membraneux étaient situées dans la moit
diminu- tion de sensibilité avec variations lentes de potentiel, la
réaction
de débilité est caractérisée par une inaptitude
tes au début de toute gliose, peuvent susciter secondaire- ment une
réaction
névroglique prononcée. (Revue neurologique, oct.
la serine. Nous avons observé, dans le service du Dr Joffroy cette
réaction
dans 16 cas de para- lysie générale. Au contrai
hoses diverses, démence précoce, mélan- colie, manie aiguë, etc; la
réaction
en question faisait défaut. La recherche de la
ne dans le liquide céphalo-rachidien est très facile à faire. Cette
réaction
est souvent en parallèle avec la lym- phocitose
ux, quoique les papilles des nerfs optiques soient très pâles et la
réaction
des pupilles est lente. Les réflexes patellaires
ferme le matériel nécessaire pour les recher- ches sur les temps de
réaction
, sur les associations : chronoscope de Hipp ave
un minimum d'intensité sur les membres qui n'ont jamais présenté la
réaction
de dégéné- rescence et ont vite récupéré leur m
d'une polynévrite à forme pseudo-tabétique mais sans troubles des
réactions
électriques et à pronostic très favorable. Y a-
idental med. Times, décembre 1901). LXXXI. Un cas de myopathie avec
réactions
électriques normales ; par F. ALIARD (Nouv. Ico
e-six ans ayant un père atteint de la même affection : amyotrophie,
réaction
de dégénérescence, troubles des sensibilités, l
tus auquel succéda une atrophie musculaire du type de Duchenne sans
réaction
de dégénérescence au niveau de tous les muscles
du sphincter irien des pupilles immobiles à la lumière, pendant la
réaction
à l'accomodation et à la con- vergence ; par M.
ion à l'accomodation et à la con- vergence ; par M. Rotumann. De la
réaction
neurotonique des pupilles; par J. PILTZ. (Neuro
la lumière soit d'un côté, soit des deux et présentant en outre une
réaction
lente quoique complète à l'accommodation et à la
bout de la raideur, ici, la répétition accélère sans la détendre la
réaction
. La raréfaction du tissu irien est juste le con
e paralysie complète du sphincter irien. 11 y a donc deux formes de
réaction
lente de la pupille à l'accommodation et à la c
ne affection du système ner- veux central : on a affaire alors à la
réaction
pupillaire neuroio- nique ; neurotoniques sont
à la réaction pupillaire neuroio- nique ; neurotoniques sont ici la
réaction
à la lumière, la réaction à l'accommodation, la
euroio- nique ; neurotoniques sont ici la réaction à la lumière, la
réaction
à l'accommodation, la réaction à la convergence
ont ici la réaction à la lumière, la réaction à l'accommodation, la
réaction
à la convergence, la réaction des pupilles par
re, la réaction à l'accommodation, la réaction à la convergence, la
réaction
des pupilles par contraction de l'orbiculaire.
des pupilles par contraction de l'orbiculaire. 20 L'expres- sion de
réaction
pupillaire myotonique convient aux cas où l'on
araît à l'examen des réflexes pupillaires encore conservés. 3° La
réaction
neurotonique et la réaction myotonique des pupill
xes pupillaires encore conservés. 3° La réaction neurotonique et la
réaction
myotonique des pupilles peu- vent être désignée
tonique des pupilles peu- vent être désignées sous le nom commun de
réaction
tonique, mou- vement tonique, forme tonique du
e cérébelleuse avec tendance à tomber à droite. Rétrécisse- ment et
réaction
lente de la pupille gauche. Trouble oculo-moteur
relles qui bien que fort élastiques la placent entre une période de
réaction
à manifestations multiples et une période d'écr
tières. 583 servation d' avec agraphie. par Stadelmann, 182. Voir
Réactions
sensorielles, Voir Mémoire. Apophyse mastoïde
o- pathiquf, par Crouzon, 296. Voir Sclérèn2c. Un cas de - avec
réaction
électriques normales, par Allard, 535. Une vari
la avec attitude cérébelleuse, par Léplne, 2GJ. Pupilles. De la
réaction
des - dans les éiats d'ivresse et de son impor-
l spasmodique. Lamnectomie. Gué- rison, par Z et Sicard, 294.
Réactions
sensorielles. Des temps de - chez quelques apha
onctions indispensables à la vie, et ne tuent avant que le cercle des
réactions
, des transports des matières morbides et des préd
it être dérangée sans douleur de cette position. D'ailleurs, point de
réaction
fébrile ; pouls régulier à soixante-quinze pulsat
dividus mourir dans le frisson. Suivent le mouvement centrifuge ou de
réaction
, la chaleur, le développement du pouls ; c'est da
queuse, qui sont si souvent funestes. L'état général, l'énergie de la
réaction
et surtout la douleur locale, quand elle existe,
ux. Tout le temps que les phénomènes locaux sont dominans , qu'il y a
réaction
énergique et régulière et du système nerveux et d
u sang : la plus petite évacuation sanguine peut détruire le reste de
réaction
qui anime encore l'économie ( sanglas frœnat ñerv
avages de l'état local et qui, d'une autre part, soutient la force de
réaction
vitale et permet à l'économie de suffire aux frai
ir tôt ou tard une médication propre à soutenir la vie, à obtenir une
réaction
sans désordre comme sans stupeur. Le but idéal de
rtie circonscrite du canal alimentaire, qui tue par les phénomènes de
réaction
ou sympathiques et presque jamais par l'altératio
s mécaniques. C'est encore l'espèce qui s'accompagne des symptômes de
réaction
générale les moins prononcés, celle qui imprime l
ns changement de couleur, sans injection vasculaire , sans travail de
réaction
quelconque : on dirait un corps inorganique qui s
e dè l'orifice pylorique OP. Des plaques rouges annoncent un reste de
réaction
vitale. La coupe montre l'hypertrophie de la memb
amment renouvelée, et le malade est privé avec son sang des moyens de
réaction
: c'est alors qu'on devra essayer des moyens préc
objecte que souvent le foyer gangreneux ne présente aucun travail de
réaction
dans ses parois, que le tissu sain entoure immédi
foncé offrant l'aspect étonné des cholériques arrivés à la période de
réaction
; la peau est chaude, le pouls lent, large, mais p
état des viscères. C'est par le pouls que commence à se manifester la
réaction
, de même que c'est par lui que s'est manifestée l
le à la première sous le point de vue de l'intensité. Mal dirigée, la
réaction
peut être incomplète ou temporaire; elle peut dev
au matin, les vomissements, les selles et les crampes avaient cessé.
Réaction
; face d'un rouge foncé et altérée ; langue jaunâ
impeurs alcooliques. A la visite de neuf heures du soir, un peu de
réaction
. Peau fraîche et non froide; le pouls est moins m
ype à cet égard. Choléra moyen très intense chez une femme débile ;
réaction
; lutte pendant douze jours ; utilité de la métho
douze jours ; utilité de la méthode antiphlogistique a la suite de la
réaction
; convalescence pénible traversée par de nombreux
es. de quinquina qu'on alternera avec la potion laudanisée. Le 17 ,
réaction
; mieux sensible ; face d'un rouge foncé; pouls p
ire dorsal ( elle n'a pas uriné depuis l'invasion). Persuadé que la
réaction
a amené une inflammation gastro-intestinale, je p
abituellement; mais cette terminaison fatale n'est pas inévitable. La
réaction
vitale peut encore triompher; et nous avons vu bo
e plusieurs jours d'un état désespéré. IX. Chez un grand nombre, la
réaction
commence, mais elle s'éteint presqu'immédiate-men
mmédiate-ment; l'état asphyxique reprend le dessus. Chez d'autres, la
réaction
a lieu , elle est complète , salutaire ; puis suc
yphoïde ou comateux auquel le malade succombe. Enfin à la suite de la
réaction
peut survenir une gastro-entérite chronique qui r
à peine deux ou trois selles liquides; la mort arrive sans la moindre
réaction
. Il est rare que dans le cours d'une épidémie, ce
ie et présente plus de prise aux agents thérapeutiques. La période de
réaction
si rare, au moins d'une manière franche, dans le
re formes de choléra, le malade ne peut échapper à la mort que par la
réaction
; or, il est des choléras tellement intenses, que
e par la réaction; or, il est des choléras tellement intenses, que la
réaction
ne saurait être provoquée par aucune espèce de mo
plète du pouls aux radiales est regardée comme le signe certain d'une
réaction
impossible. Cette règle n'est pas sans exceptions
est pas sans exceptions : par opposition , on rencontre des cas où la
réaction
ne peut pas avoir lieu malgré la persistance du p
ersistance du pouls. Choléra asphyxique rapidement mortel; point de
réaction
; pour toute lésion, quantité très considérable d
crétion folliculaire excessives de la muqueuse gastro-intestinale. La
réaction
n'a pas été possible. Chez Adéodat, la sécrétion
ra asphyxique survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de
réaction
. Mort de la mère, mort de Venfant. Grande quantit
lus grave dans cette circonstance, la grossesse diminuant la force de
réaction
. La mort de l'enfant précède toujours celle de la
cause, mais à la fois par l'intensité de la cause et par la force de
réaction
ou d'insurrection de l'organisme. Or, cette force
orce de réaction ou d'insurrection de l'organisme. Or, cette force de
réaction
est en quelque sorte épuisée par le travail de l'
insi que j'ai vu périr sans crampes, sans angoisses , sans la moindre
réaction
, avec tendance manifeste à l'extinction, une femm
vasion d'un choléra violent. Le travail de l'accouchement suppose une
réaction
vitale; son absence suppose l'absence de toute ré
t suppose une réaction vitale; son absence suppose l'absence de toute
réaction
; par cela même qu'une cholérique éprouve des doul
étaient écoulées. Evacuations alvines et vomissements teints de bile.
Réaction
vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimab
n quart de lavement a,vec amidon et laudanum, xv gouttes\ 2 heures.
Réaction
; la malade se réchauffe; le pouls devient fort, d
odigués. Je crains que cet état ne soit du narcotisme. 6 heures. La
réaction
n'a pas été de longue durée. Le pouls est faible,
ne espèce de douleur; la douleur, qui est elle-même une expression de
réaction
, doit cesser lorsque cette réaction est épuisée ;
i est elle-même une expression de réaction, doit cesser lorsque cette
réaction
est épuisée ; c'est, comme on dit, le mieux de la
sèches sur le creux de Vestomac et sur les hypo-chondres. Point de
réaction
. L'e'tat de cette femme reste presque identiqueme
ieur. 20. Diminution des selles ; cessation des vomissements. 21.
Réaction
; face colorée ; assoupissement; peau chaude; poul
XXIV. Dans le cas précédent, la malade a succombé après la période de
réaction
. Cette période est pleine de dangers, car il faut
semble donc que plus la maladie se sera prolongée après la période de
réaction
, et plus les traces de l'inflammation devront êtr
muqueuse : tandis que lorsque la mort a été voisine de la période de
réaction
, les lésions anatomiques ont été très prononcées.
la mort est le résultat de l'épuisement amené par la lutte, et que la
réaction
d'où dépend le retour à la santé, ne puisse se co
x, qui ayant échappé aux accidents cholériques de concentration et de
réaction
, s'éteignit le septième jour : point d'altération
organes, observées chez les individus qui succombent à la suite de la
réaction
. xive livraison. 8 Cholera asphyxique. Mieux
smes sur l'abdomen. Ventouses sèches au creux de l'estomac. Le 1 6.
Réaction
. La face n'est plus livide, mais rouge et foncée
sition ; ce n'est qu'à la suite d'une lutte longue, difficile, que la
réaction
que l'on a cherché à provoquer par toute sorte de
nts nécessite et quelle série d'indications présente cette période de
réaction
. Choléra très-grave arrêté à la première périod
ng du rachis. Eau de Seltz pour boisson. Le 19, au matin. Un peu de
réaction
; chaleur naturelle; cependant la malade se plain
Je reviens aux lavements glacés et aux boissons froides. Le 20, la
réaction
est très prononcée ; le pouls a de l'ampleur et p
int de changement notable : la malade demande à boire froid. Le 14.
Réaction
depuis hier au soir ; face vultueuse; le pouls pe
iste à la période bleue et succombe plus ou moins long-temps après la
réaction
, on ne trouve plus de liquides, mais à leur place
fin de l'intestin grêle (liez Opermann, qui succomba à la suite de la
réaction
. La présence des ascarides lombricoïdes, signal
Chez la plupart des individus morts quelque temps après la période de
réaction
, j'ai trouvé une pulpe jaunâtre ou verdâtre, anal
le contient de l'urine chez les individus morts pendant la période de
réaction
. Des organes de la circulation et de la respira
ce de la bile, soit dans l'estomac, soit dans les intestins, après la
réaction
, coïncide souvent avec une terminaison fâcheuse.
Dans le choléra le plus asphyxique, il y a un degré en deçà duquel la
réaction
est possible, et au-delà duquel elle est impossib
l la réaction est possible, et au-delà duquel elle est impossible. La
réaction
développée peut être incomplète ou complète, temp
cholériques, soit algides, soit asphyxiques, il est bien rare que la
réaction
(i) Je rapprocherai encore le choléra de la Sue
elle des forces de la vie, que la mort arrive souvent sans la moindre
réaction
, malgré tous les efforts de l'art. Si la fluxio
ien qu'un grand nombre d'individus qui succombent au choléra après la
réaction
, présentent des traces non équivoques de l'infla
ygiéniques propres à maintenir le système nerveux dans un bon état de
réaction
. (1) Les cas de dysenterie observés a la suite
la vie pendant la période de concentration; i° diriger la période de
réaction
; 3° dissiper les désordres fluxionnaires qui succ
de la période de concentration; i° la thérapeutique de la période de
réaction
; 3° la thérapeutique des accidents consécutifs.
des cholériques; ce moyen serait précieux s'il pouvait développer la
réaction
, comme chez l'individu asphyxié par congélation;
apismes, en raison de la douleur vive qu'ils provoquent et de la vive
réaction
qui suit presque immédiatement leur emploi, ont é
use digestive, et que l'inflammation est imminente dans la période de
réaction
. Nous croyons aussi que les praticiens qui excl
é moins souvent des traces d'inflammation à la suite de la période de
réaction
, que la muqueuse intestinale. La formule suivante
rtes doses dans la période de concentration, il a paru s'opposer à la
réaction
, ou plonger les malades dans un état comateux da
très-chaudes, à la manière du thé ou du café ; et il m'a paru que la
réaction
se faisait plus promptement que lorsqu'on adminis
de toutes les manières, et on n'abandonnait le malade que lorsque la
réaction
était opérée, ou lorsqu'on avait acquis la triste
estion que d'un seul point de vue. Thérapeutique dans la période de
réaction
. La saignée que la plupart des praticiens tienn
que la plupart des praticiens tiennent en réserve pour la période de
réaction
, me parait formellement contre-indiquée au début
de réaction, me parait formellement contre-indiquée au début de cette
réaction
. J'ai eu la douleur de voir plusieurs fois la réa
début de cette réaction. J'ai eu la douleur de voir plusieurs fois la
réaction
cesser immédiatement après une saignée intempesti
is trop insister sur ce point : la saignée ne convient que lorsque la
réaction
étant bien franche, bien complète, exempte de sue
l'inconvénien^de la saignée, cependant il ne faut pas en abuser : la
réaction
, effort conservateur de la nature, doit être diri
le redire, l'économie épuisée ne réagit qu'incomplètement; ou bien la
réaction
a déterminé sur divers points des inflammations q
uence au summum d'intensité alors que se manifestent les symptômes de
réaction
. Thérapeutique dans la convalescence. Le chol
chappés au double danger de la période asphyxique et de la période de
réaction
, ont succombé convalescents, victimes d'erreurs d
le degré de gravité de la fluxion primitive, le désordre qui suit la
réaction
, le traitement primitif, le traitement consécutif
odateur, mais conservation de 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la
réaction
pupillaire réflexe. Cette atteinte des muscles so
P. K. VIII. Remarques SUR LE phénomène DU maxillaire inférieur ou
réaction
DU TENDON DU masséter, en CE QUI CONCERNE UN CAS
et générale- ment un claquement de dents convulsif s'ensuit. Cette
réaction
existerait dans la sclérose latérale amyotrophi
de la communication de Erb (Neurol. Centralbl., 18852) relative aux
réactions
électriques et aux altérations anato- miques dé
oite du facial inférieur. Inégalité pupil- laire (mydiase gauche) ;
réaction
à la lumière conservée. Contrac- ture de l'avan
s deux espèces de courants; heureusement qu'on ne constata pas de
réaction
dégénérative. Mentionnons enfin un réveil tardif
I. Examen graphique DE la contraction musculaire CONVULSIVE dans la
réaction
dégénérative; par P. Rosenbach et A. SCHTS- CHE
il se soit produit de modification de l'excitabilité électrique; la
réaction
dégénérative n'est pas sur- venue. M. Bruns m
ier. Intégrité de la sensibilité; intégrité des réflexes tendineux.
Réaction
dégé- nérative des muscles atrophiés. L'hérédit
sciatique simple, non traumatique, dans lequel il a ren- contré la
réaction
de dégénérescence limitée exclusive- ment aux m
s points douloureux .classi- ques étaient présents. Il existait une
réaction
de dégénérescence dans les gastrocnémiens, c'es
ibial antérieur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une
réaction
de dégénérescence complète. Les péroniers latér
. Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux : Pas d'anomalie de
réaction
dans les muscles de la région antéro-externe de l
Vigouroux chez cette malade. Nous nous attendions à trouver là la
réaction
de dégénérescence comme dans le cas pré- cédent
exion sont des signes d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de
réaction
de dégéné- ration permet peut-être de porter un
dominent toute la scène. Il s'agit cette fois d'une paralysie avec
réaction
de dégénération typique. Observation IX (person
lle). Sciatique droite. - Paralysie avec 170 PATHOLOGIE NERVEUSE.
réaction
de dégénérescence des muscles de la région antéro
extenseurs des orteils, a apparu il y a trois mois. ' Il existe une
réaction
type de dégénérescence avec diminution de l'exc
ent, bien qu'on n'ait pas constaté dans les muscles at- teints la
réaction
de dégéné- rescence. Enfin dans l'OBSER- VATI
s muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et
réaction
de dégénérescence. Puis d'autres désordres beau
GIE NERVEUSE. réflexes patellaires sont égaux des deux côtés. - Les
réactions
électriques des muscles sont normales. - Dans
se, on a trouvé : Quantité d'urines : 1 lit., 725 ; densité : 1018.
Réaction
acide; ni albumine ni sucre. Urée : 6 gr. 8 par
trajet du nerf para- lysé et intéresseront seulement la peau. 1
Réactions
électriques, état des réflexes. - Les réac- tio
endu a cons- taté dans un cas de paralysie des extenseurs, que la
réaction
électrique était identique à celle de la para-
onoplégie bra- chiale, ont obtenu les mêmes résultats. Quant à la
réaction
de dégénérescence, elle n'avait pas été recherc
rmé, aplati, par atrophie notable du deltoïde, sensibilité intacte.
Réactions
électriques : contractilité faradique du delloi
, la disparition de la contractilité faradique et, dans un fait, la
réaction
de dégénéres- cence. Dans les observations si n
ypoexcitabilité du facial droit (douleurs erratiques). Le 16e jour,
réaction
dégénéra- tive ; néanmoins tout rentre dans l'o
au début, car on constate : absence de tremblements fibril- laires,
réaction
dégénérative complète, localisation et marche s
s de Neurologie, t. XV, p. 372. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 249
réactions
tendineuses diffèrent des vrais mouvements réflex
l'on peut provoquer des mouve- ments antagonistes qui modifient ces
réactions
, on ne peut les arrêter elles-mêmes, car enfin
nt ces réactions, on ne peut les arrêter elles-mêmes, car enfin les
réactions
tendineuses sont exagérées par l'application de
de moti- lité, ni troubles de la sensibilité, ni modification de la
réaction
pupillaire, ni ataxie. Maints d'entre eux ont e
Prix : 8 fr. Pour nos abonnés ? 6 fr. HENRY (Ch.). Loi générale des
réactions
psycho-mot1'ices. Mémoire présenté au congrès d
p visuel, diminution de l'acuité visuelle, absence ou faiblesse des
réactions
pupillaires, défaut de convergence, etc. Tous n
complète ni absolue. Ces animaux , dans leur attitude et dans leurs
réactions
aux exci- tants périphériques, montraient les s
ation de tous les sens qu'à peine il reste- rait une place pour ses
réactions
adaptées à un but, qui survivent à l'ablation d
re, de la coordination du mou- vement d'expression émotionnelle, de
réactions
adaptées aux im- pressions reçues par leurs org
, sur l'unité et l'indivisibilité de l'intelligence, et que par une
réaction
contre l'organologie de Gall et de ses imi- tat
la localisation cérébrale exacte. Avant de discuter les différentes
réactions
spéciales et leur inter- prétation fonctionnell
éférence au courant faradique comme le plus capable de produire les
réactions
caraclériques des centres corticaux. Quand un a
és, l'anesthésie ne doit pas être poussée trop loin, car toutes les
réactions
cesseraient, ' Comptes rendus, March. 1879. *
es régions si voisines l'une de l'autre, ni de l'absence totale des
réactions
quand les électrodes sont appliqués sur la cour
it que, même après l'ablation de l'écorce, on obtient dé semblables
réactions
en plaçant les électrodes sur les fibres médull
nt qu'après quatre jours la plus forte excitation ne produit aucune
réaction
. Ce fait détruit com- 1 Le cerveau moteur (Arch
s et que le courant les traverse simplement. Et une comparaison des
réactions
respectives de l'écorce et des fibres médullair
moins excitables que celles de l'écorce 3 ; ainsi, pour produire la
réaction
habituelle, on doit se servir d'un courant plus
ont les mêmes que pour les nerfs. - Une autre différence entre la
réaction
de l'écorce et des fibres médullaires sous-jace
sion de plusieurs exci- tants, chacun insuffisant pour produire une
réaction
, l'écorce peut répondre par des spasmes tonique
Voilà l'esprit fondamental de ce mémoire. P. K. XL1V. DU TEMPS DE
réaction
D'UNE IMPULSION volontaire ET D'UN ARRÊt du mou
de chaque côté à celle de l'autre côté entraînera l'abolition de la
réaction
pupillaire sous REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
nyme à début brusque et d'emblée asso- ciée à une suppression de la
réaction
pupillaire constitue un syn- drome certain de l
e (voisine de la calotte) de la protubérance. On déchaîne les mêmes
réactions
quand on sectionne la protubérance; a mesure qu
) Il s'agit d'un neurasthénique, mal équilibré, excessif dans ses
réactions
, masturbaleur par inversion du sens génital qui,
obsessions chez un en- fant de dix ans, par Berger, 257; temps de
réaction
des volon- taires, Orchansky, 429. Incendie d
6. i Racines, anatomie des médul- 1 laires, par Siemerling, Si.
Réactions
ni : dégénérescence , par Rosenback, SeLtscUerb
en desquels elle s'effectue. Le muscle à l'état de repos présente une
réaction
alcaline; il devient acide lorsqu'il est fatigué.
sité contenue dans le péricarde et les synoviales offrent souvent une
réaction
acide. Chez les malheureux frappés par la foudre,
l fallait compter désormais avec la science d'outre-Rhin 1. Par une
réaction
bien naturelle, on a exagéré bientôt les tendance
EÇON De l'état fébrile chez les vieillards. Sommaire. — Défaut de
réaction
dans l'âge senile. — Les organes semblent souffri
ogiques inconnues à l'adulte ; mais encore nous voyons chez lui cette
réaction
générale, que nous sommes habitués à rencontrer e
l'occasion d'y revenir. Occupons-nous seulement de ces phénomènes de
réaction
sympathique, dont l'absence souvent absolue est b
é-nieusement Gillette (2), mais c'est en sens inverse. A cet âge, les
réactions
sont pour ainsi dire exagérées, tumultueuses, et
ltérations les plus graves. C'est donc par défaut que pèchent ici les
réactions
, et le mé-decin doit redoubler d'attention et ten
, il est vrai, ne permet pas de constater toute l'inten-sité de cette
réaction
(1): mais dans le rectum, il existe une températu
n de le démontrer. Voyons maintenant quels sont les carac-tères de la
réaction
générale dans cette phlegmasie, que nous avons ch
de 75 ans. Mort dans la défervescence. (Gharcot.) chez l'adulte, la
réaction
générale existe chez le vieil-lard ; mais elle es
le rem-placer par la sérosité d'un vésicatoire, qui donnera les mêmes
réactions
, pourvu qu'on ait eu soin de ne pas appliquer ce
ue renferme parfois la cavité articulaire, il offre assez souvent une
réaction
acide, et présente, au microscope, des débris épi
es accidents qui se localisent de préfé-rence au gros orteil. o° La
réaction
fébrile dont l'intensité est proportionnelle au n
ariétés. L'intensité des symptômes principaux, de la douleur, de la
réaction
générale, peut se trouver singulièrement amoindri
intensité; ils prennent la forme subaiguë, et sont accompagnés d'une
réaction
fébrile moins vive : leurs Giiaucot. CEuv. compl.
gement qui s'est opéré dans l'état constitutionnel se traduit par une
réaction
moins vive au mo-ment des accès, et dans leur int
du côté des médecins qui, subissant aujourd'hui l'entraînement d'une
réaction
trop radicale, ont été jusqu'à nier l'existence d
— Tophus. — Dépôts d'urate de soude dans les cartilages. — Douleur. —
Réaction
générale. — Phénomènes viscéraux. —Insuffisance d
me, bile, tartre) consti-tuent les symptômes de la goutte. Mais une
réaction
contre les anciennes idées se manifeste à partir
ibuer ce fâcheux privilège à leur structure si peu vasculaire et à la
réaction
relativement peu alcaline de leur tissu propre ;
s ainsi. 9° Enfin les symptômes de l'arthrite se manifestent, et la
réaction
générale est provoquée par les phénomènes locaux
liquide contenu dans la cavité synoviale. Il présente quelquefois une
réaction
acide, et tient en dissolution de l'albumine et d
s qui résultent, dans l'expression symptomatique d'une maladie, de la
réaction
lente ou de la réaction aiguë de l'organisme. N
expression symptomatique d'une maladie, de la réaction lente ou de la
réaction
aiguë de l'organisme. Nous arriverons, au contr
onsti-tuer exclusivement le rhumatisme articul^Piigu. 11 s'yjoint une
réaction
d'ensemble, qui se traduit par un état général tr
ire aigu. Le phénomène fondamental est ici la fièvre ; en effet, la
réaction
fébrile, marquée par une élévation plus ou moins
s jointures affectées (3). Les sudamina renferment un liquide dont la
réaction
est mani-festement acide ; et cette propriété des
e quel est, au point de vue chimique, le principe qui détermine cette
réaction
; on l'a attribuée à l'acide lactique, mais sans p
— Physiol., t. I, p. 450. 5- Fuller, op. cit., p. 517. rait la même
réaction
. J'ai quelquefois noté ce dernier phéno-mène , ma
tout alors que les exsudats liquides des cavités séreuses offrent une
réaction
éminemment acide, ainsi que nous l'avons plu-sieu
; le mamelon tout entier est imprégné d'un liquide, qui présente une
réaction
sem-blable à celle du mucus. Telle est la premièr
modiques. — Causes accessoires. Symptômes généraux. — Hématologie. —
Réaction
générale. — Évolution rapide. — Évolution lente
ns l'auteur garde le silence sur ce point. B. Au point de vue de la
réaction
générale et de la marche des accidents, il y a li
al-caline ; 3° Les phosphates de soude et d'ammoniaque qui ont une
réaction
alcaline et une action spéciale sur l'excrétion u
illards.,— Maladies latentes. — Absence de commémoratifs. — Défaut de
réaction
gé-nérale. — Irrégularité des symptômes. — Exempl
graves pour-ront ne s'accuser que par des symptômes locaux ou par une
réaction
d'ensemble peu accentuée et hors de proportion av
s peu accentuée. A côté de ces cas en réalité assez nombreux, où la
réaction
générale pêche par défaut, il en est d'autres, et
happent pas. Car, Messieurs, cet isolement des organes," ce défaut de
réaction
, d'ensemble, que je vous signalais tout à l'heure
la plus haute importance, à mon avis, cette faiblesse relative de la
réaction
thermique n'est pas un caractère de l'âge sénile.
bord par un état lipothymique avec algidité centrale, suivi ou non de
réaction
. Magendie a démontré par des expériences dont M
pareil cas, il est en général transitoire et fait place bientôt à une
réaction
plus ou moins accusée ; d'autres fois cependant,
murexyde, avec sa belle coloration purpurine, prend naissance par la
réaction
de l'acide nitrique chaud et de l'am-moniaque sur
d'apparence calcaire qui existait à la surface de l'aorte, les mêmes
réactions
n'ont pas produit la coloration pourpre, et il n'
ion des matières grasses dans les os des sujets gout-teux (p. 218).
Réactions
chimiques de la synovie daus la goutte et le rhum
la synovie daus la goutte et le rhuma-tisme articulaire aigu. — Cette
réaction
acide du liquide synovial a déjà été notée dans l
altérations goutteuses, peut présenter, comme dans l'état normal, une
réaction
franchement alcaline. Il en est de même chez le
et ainsi que je l'ai cons-taté moi-même plusieurs fois, — tantôt une
réaction
alcaline, tantôt une réaction acide plus ou moins
é moi-même plusieurs fois, — tantôt une réaction alcaline, tantôt une
réaction
acide plus ou moins prononcée (p. 226-227). Uva
DEUXIÈME LEÇON de l'état fébrile chez les vieillards. Défaut de
réaction
dans l'âge sénile. — Les organes semblent souffri
— Tophus. — Dépots d'urate de soude dans les cartilages. — Douleur. —
Réaction
géné-rale. — Phénomènes viscéraux.— Insuffisance
odiques. — Causes accessoires. Symptômes généraux. — Hématologie. —
Réaction
générale. — Évo-lution rapide. — Évolution lente.
llards. — Mala-dies latentes. — Absence de commémoratifs. — Défaut de
réaction
géné-rale. — Irrégularité des symptômes. — Exempl
ri-que dans l'hypertrophie de la —, 500; embolies capillaires, 210.
Réaction
: chez les vieillards, 78, 290; chez les enfants,
ilitiques, 188; — lésions dans la goutte, asthérique, 392. Synovie,
réaction
chimique dans la goutte et le rhumatisme articula
'idée fixe, l'affectivité impressionne le malade dans le sens d'une
réaction
agie en rapport avec le sens de l'idée; il se s
'obsession, l'affectivité impressionne le malade dans le sens d'une
réaction
contre le texte justement de l'idée qui lui est
le défaut de subjec- tivité. CONSIDÉRATIONS MÉDICO-LÉGALES. Les
réactions
médico-légales les plus fréquentes des mys- tiq
e son propre sui- cide avec les derniers meneurs. On le voit, ces
réactions
des mystiques sont caractérisées par une ténaci
délirants systématiques à des mélancoliques religieux simples, les
réactions
n'en sont pas moins dangereuses, ils tuent enco
Les mutilations, le suicide et l'homicide sont en quelque sorte des
réactions
banales chez eux, il s'ensuit la nécessité abso
ntats sur les autres malades et le personnel qu'au point de vue des
réactions
vis-à-vis d'eux-mêmes; il est des cas où les mo
inel, de Marcé, d'Esquirol, qui ont toujours insisté sur le mode de
réaction
du cerveau en présence de la souffrance physique.
agit plutôt d'un développement incomplet que d'une atrophie car les
réactions
électriques sont les mêmes à gauche et à droite
s de tétanos guéri par le sérum doit être publié, car selon lui, la
réaction
contre l'emploi de la sériiintliérapie est trop
ine. Le douzième jour on injecta le cinquième flacon. La période de
réaction
dura six heures et' fut très inquiétante ; l'en
cains, il faisait mine de les mépriser et de marcher du côté de la
réaction
. Du reste, en dehors de la politique, il n'avait
pression générale de l'organisme ne paraît donc pas exclusive de la
réaction
vaso-motrice qui caractérise l'urticaire artifi
oute infection, intoxication ou auto-intoxication pour éviter cette
réaction
épi- leptique. L'absence des convulsions infa
t tous sur le tracé pléthysmographique en vaso- constriction. Cette
réaction
vasculaire suit une loi fixe : le phéno- mène v
te cérébral. Quant au temps perdu, à l'intensité et à la durée de
réaction
, ils varient avec les individus. Les réactions
té et à la durée de réaction, ils varient avec les individus. Les
réactions
circulatoires peuvent se manifester seules ou s'a
compagner de phénomènes respiratoires : chez certains individus les
réactions
respiratoires prennent une importance telle que l
ées tristes), phénomène de vaso-constriction, parfois accompagné de
réactions
respiratoires importantes. Les réactions agréab
ion, parfois accompagné de réactions respiratoires importantes. Les
réactions
agréables dont l'origine remonte à la mise en a
à la mise en action des organes des sens provoquent en général des
réactions
vaso-dilatatrices. Les émotions désagréables du
Les émotions désagréables dues aux organes des sens provoquent des
réactions
inconstantes surtout en ce qui concerne le goût
onstric- tion. Les auditions agréables (musique) donnent lieu à des
réactions
diverses selon le morceau et l'aptitude du suje
pour tout nerf moteur cranien dont la section entraine toujours une
réaction
cellulaire précoce. M. Marinesco nie l'exactitu
ténique, tonique et statique » (Luciani), ou bien « un centre d'une
réaction
spéciale qui s'applique au maintien de l'équilibr
) dans la plupart des cas l'action du cervelet se concrète dans une
réaction
mise en jeu par des excitations périphériques e
béna3'emeut. Rarement la cérébralité est abaissée. La sensibilité,
réaction
électrique sont normales, les réflexes exagérés
lissement des mouvements du poignet et de la main, de l'oeil, de la
réaction
pupillaire. La malade reprend toute sa lucidité
moyens de défense chez les obsédés constituent un véritable mode de
réaction
psychique, bien différent de la réaction de déf
tuent un véritable mode de réaction psychique, bien différent de la
réaction
de défense des aliénés. Mais ces moyens protect
le tirer pour quelques instants de ses rêveries, et à provoquer une
réaction
en rapport avec les excitations que l'on fait a
ompagnée de troubles de la sensibilité, d'atrophie musculaire et de
réaction
de dégénérescence. Tous ces accidents rétrocédè
base de deux lobes frontaux pendant un temps très long sans aucune
réaction
psychique. F. Boissier. XXXIV. Deux cas d'épile
a section d'un nerf moteur est suivie des phénomènes connus de la
réaction
dégénérative, telle la modification de l'excitabi
ori s'attendre à une excitabilité de l'élévateur correspondant à la
réaction
dégénérative. Les faits n'ont pas confirmé cette
raction non plus dans un cas de blépha- roptose congénitale. Aucune
réaction
, dans un cas de paralysie de l'oculomoteur comm
aleur de la pau- pière supérieure est donc probablement un signe de
réaction
dégé- nérative dans les paralysies de moyenne g
dence. Il pense que ces ten- dances mystico-symbolistes forment une
réaction
naturelle con- tre le mouvement matérialiste ut
philitiques appliquée à des symptômes qui ne'sont, en fait, que des
réactions
du cerveau à l'égard de lésions probablement syph
Dans le voisinage des cysticerques on constate les phénomènes d'une
réaction
inflammatoire plus ou moins nettement accusée.
aux irritatifs marchent probablement de pair avec l'intensité de la
réaction
inflammatoire du voisinage de la tumeur ; ils rel
vent être mis sur le compte des mouvements actifs de ceux-ci ; la
réaction
inflammatoire du voisinage joue naturellement aus
en effet on doit admettre, ainsi qu'on l'a fait remarquer', que les
réactions
doivent rendre visibles en les exagérant les mo
méthode aussi incertaine que celle de Nissl, méthode basée sur une
réaction
(la coagu- lation par l'alcool) dont les condit
protoplasma nerveux. Dans les processus myélitiques ordinaires, ses
réactions
ne varient jamais. Malgré cette inertie nous le
tensive exclu- sivement motrice sans troubles de la sensibilité, ni
réaction
de dégénérescence, et seulement avec lésions mé
Dr 11RIESCO. En tenant compte de nos connaissances actuelles sur la
réaction
des différents neurones après la section de leu
voie de transformation clinique, des éléments chromatophiles. Cette
réaction
de la cellule nerveuse pyramidale, allant jusqu
thématiquement conduites) ; l'hyperexcitabilité longue conduit à la
réaction
de la fatigue nette du muscle. Puis, cette faible
he chro- nique conjonctival et bronchial. Mydriase avec perte de la
réaction
pupillaire, parfois permanente (quatre cas), av
cher l'hyperexcitabilité, puis, 1 hypoexcilabilité élec- trique, la
réaction
de fatigue, les parésies. Aux cellules du cerveau
es salines, en quantités relativement assez grandes, sans amener de
réaction
méningée vive et surtout persis- tante. La diff
rs céphaliques. A l'admission, on constate un état d'agitation avec
réactions
très violentes, hyperthermie : 38°,5. État hall
té frappée subitement il y a deux mois d'un accès d'agitation, avec
réaction
très violente, incohérence bruyante des idées.
t par une incohérence extrême de la gesticulation et des actes sans
réactions
motrices violentes, par un véri- table chaos de
es, visuelles, auditives, cutanées, etc.) et par suite toutes les
réactions
motrices. Il favorise le sommeil ; il diminue l'a
époque, de maintenir les aliénés au lit dans les hôpitaux, cette
réaction
a été excessive. « Dans certains états maniaque
en mouvement par une cause externe quelcon- que, et sans qu'aucune
réaction
musculaire intervienne; 3° La notion de positio
aussi une valeur pronostique par la constatation ou l'absence de la
réaction
de dégénérescence. (Revue neurologique, juillet
yeux (1/2 D), acuité normale à gauche, acuité d'un tiers à droite,
réaction
des pupilles à la lumière et à l'accommodation,
oisième racine lombaire jusqu'à la troisième racine sacrée ; il y a
réaction
dégénérative. Enfin on constate une arthropathi
. Cet accident, rare, expliquerait le début subit, l'atrophie et la
réaction
dégénérative. Il s'agit, en somme, d'un alcooli
riase au maximum de la pupille droite; conservation cependant de la
réaction
à la lumière. A 8 heures convulsions dans le br
t et à la pression, mais il n'existe ni troubles fonc- tionnels, ni
réaction
électrique anormale. C'est une névralgie. Au mi
atrophique isolée de la moitié gauche de la langue, accompagnée de
réaction
dégénérative complèle chez une personne saine s
réquentes angines. L'évo- lution, de concert avec l'existence de la
réaction
dégénérative, indique que les racines ou le tro
facial droit ; pas de déviation de la langue; con- servation de la
réaction
des pupilles. De temps à autre nystagmus intent
s de l'oeil n'étaient point paralysés. Vingt-quatre mois après, les
réactions
pupillaires faisaient tout à fait défaut, les m
u mental et l'ins- truction des sujets, la durée et l'intensité des
réactions
psychiques, des phénomènes d'association et d'a
ovoquées par des interventions externes, les mesures pré- cises des
réactions
consécutives à des excitations déterminées. On
marche au moment de l'excitation, peut être arrêtée au moment de la
réaction
. Voici quelques exemples des questionnaires div
s transversales, on voit assez sou- vent non pas un noyau unique en
réaction
, mais deux noyaux. Ces ramifications secondaire
nent. Tous les muscles atteints répondent au courant faradique : la
réaction
de dégénéres- cence fait totalement défaut. O
pparurent des troubles mentaux sous la forme de catatonie agitée.
Réactions
électriques des emboliques. AIM. Babinski et De
triques des emboliques. AIM. Babinski et Delerme, ont recherché les
réactions
électriques dans divers cas d'embolies récentes
ons électriques dans divers cas d'embolies récentes des membres. La
réaction
de dégénérescence présente dans ces cas un type
nte dans ces cas un type particulier que les auteurs comparent à la
réaction
musculaire post-mmtena. Les tics du cheval. R
struit et civilisé. Note sur l'état des réflexes tendineux et des
réactions
électriques dans la maladie de Parkinson. M.
alades, aux différents degrés de la maladie on a examiné l'état des
réactions
électriques : pas de modifications qualitatives
. De l'anxiété; par le Dr Girard. L'anxiété est, pour l'auteur, une
réaction
instinctive, indépen- dante de la volonté, qui
ste sous l'influence de circons- tances extérieures diverses. Cette
réaction
se traduit par des 92 VARIA. désordres physiq
E. '121 1 bénéralement : lorsque, dans un liquide albumineux, cette
réaction
se produit, on est conduit à soupçonner la prés
cherche à se jeter par la fenêtre. Il est très anxieux et porté aux
réactions
violentes. Il aété considéré à l'infirmerie du
anguin humain normal à doses répétées et progressives ne produit ni
réaction
positive, ni réaction négative, pouvant se comp
doses répétées et progressives ne produit ni réaction positive, ni
réaction
négative, pouvant se comparer avec ce qui a été
nction d'assimilation et de désassimilation sont encore capables de
réaction
physiolo- giques, on obtient amélioration ou gu
atrophie de la langue, des lèvres, des muscles quelconques; pas de
réaction
décénéra- tive. Conservation du goût et del'odo
ui, au début ne présentait aucune ano- malie, a fini par révéler la
réaction
myasthénique des muscles palatins et masticateu
ité électrique, les tremble- ments fibrillaires, et d'autre part la
réaction
myasthénique, les changements observés dans l'é
upérieur et inférieur gauche. L'ex 'me" électrique ne décèle aucune
réaction
de dégénérescence dans les membres frappés d'asth
inique. Fort heureusement une secousse imprévue vint pro- voquer la
réaction
salutaire. Un matin, je devais retrouver mon re
diminué. Les pupilles sont un peu dilatées, surtout la droite : la
réaction
d'accom- modation est normale, mais la réaction
tout la droite : la réaction d'accom- modation est normale, mais la
réaction
à la lumière est paresseuse, 172 -REVUE DE PATH
euvent être intenses, en l'absence de toute lésion saisissable, les
réactions
cérébrales qui caractérisent le méningisme. y com
n'ont jamais amené chez le malade la moindre plainte ni la moindre
réaction
de défense : on aurait cru taillader un cadavre
que. Il relève d'une même localisation et d'une même modalité de
réaction
, sous des causes et des lésions diverses. La para
r Bethe, Apathy, Held, Danaggio, qui, en s'altérant, entraînent des
réactions
pathologi- ques de la part du protoplasme de nu
es, au moment où, établie définitivement, l'encéphalite suscite des
réactions
organiques moins vives, en dehors, bien entendu,
oir quelque chose de plus et cela de très bonne heure à à savoir la
réaction
névroglique. Les cellules endothéliales et les
ps, et peut-être même avant, que la diapédèse s'opère. Diapédèse et
réaction
névroglique par division directe des noyaux son
petites cellules rondes et de nodules infectieux témoignant d'une
réaction
interstitielle aiguë ou subaiguë des ganglions.
264 SOCIÉTÉS savantes. effet que l'excitation corticale produit des
réactions
vaso-motrices- on conçoit donc la possibilité d
ations qui en partent, et dont cha- cune peut être l'occasion d'une
réaction
motrice. Chacun de ces mouvements, provoquant à
ées de sensations olfac- tives réelles ou subjectives; 2 Pour des
réactions
réflexes : directement, par action vaso- motric
x, action réflexe démontrée expén- mentalement ; indirectement, par
réaction
secondaire des fonc- tions qu'une excitation de
n, et avec lui on peut décrire l'excitation simple, l'agitation par
réaction
et l'agitation automatique. L'agi- tation simpl
emble être un phénomène primi- tif. Par opposition, l'agitation par
réaction
peut être considérée 314 SOCIÉTÉS SAVANTES. c
profonde ; les halluci- nations terrifiantes peuvent provoquer des
réactions
motrices d'une violence extrême aussi bien que
tance totale et augmente la partie utile de la charge du coeur. Les
réactions
physiologiques salutaires de cette thérapeutiqu
eau dans laquelle on trempe le drap sous peine de ne pas obtenir la
réaction
que l'on recherche -, mais se servir d'eau à la
qui marchent de pair avec des modifications de leur exci- tabilité (
réaction
de dégénérescence). Or, de mes recherches se dé-
asmatique. Ces faits étant établis, les phénomènes caractérisant la
réaction
de dé- générescence des muscles deviennent faci
scle lisse par son fonctionnement. Ce qui caractérise avant tout la
réaction
de dégénérescence d'Erb, c'est la perte de cor
n'ont jamais amené chez le malade la moindre plainte, ni la moindre
réaction
de défense : on aurait cru taillader un cada- v
un syndrome psychopathique, caractérisé par la na- ture puérile des
réactions
psychiques, par une sorte de régression de la m
langage et son intonation; par la suggestibilité et l'ensemble des
réactions
et de la conduite des petits enfants. Le langage
avec la plus fidèle exactitude 350 SOCIÉTÉS SAVANTES. toutes les
réactions
ingénues par lesquelles s'exprime la personna-
alade boude, fait la moue, entre dans des colères puériles, etc. La
réaction
em- prunte encore ici sa caractéristique à l'hu
onomie clinique d'un phénomène morbide porte toujours le cachet des
réactions
per- sonnelles du sujet qui en est atteint. De
ordinairement de constipation, la langue est chargée, l'urine a la
réaction
presque neutrale et est un peu trouble. 11 y a
laire n'exécute de mouvement de rotation dans l'orbite. Comme cette
réaction
pupil- laire a pu être engendrée en des cas où
réaction pupil- laire a pu être engendrée en des cas où les autres
réactions
des pupilles étaient éteintes, il y a lieu de c
' Impossible d'assigner au réflexe orbiculaire, pas plus qu'à la
réaction
pupillaire, de valeur diagnostique. C'est tout au
; la disparition des réflexes partellaires, du myosis, le défaut de
réaction
des pupilles. Membres inférieurs en adduction : d
chez les personnes dont les pupilles sont larges de surprendre une
réaction
à la dou- leur. Respiration et pouls. Dix obs
itations douloureuses se répercutent sur le tracé du pouls selon la
réaction
de l'activité cardiaque : la courbe est tantôt
ule- ment sur le système nerveux, mais sur les muscles striés. La
réaction
musculaire est alors altérée à des degrés variabl
cellulaires (fig. 38). Le pigment, par son aspect général et ses
réactions
histo- chimiques, doit être assimilé au pigment
oléculaire. Eo résumé, le siège, l'aspect histologique général, les
réactions
colo- rantes sont vraiment autant de caractères
rendre qu'il s'est agi là d'un travail de sclérose conjonctive sans
réaction
infectieuse. Les larges tractus fibreux qui dou
ques de signification plus générale ou que l'on saisisse dans les
réactions
mobiles de sa physionomie des traces d'expres-
dans la solitude ou en public, à voix haute ou basse, avec ou sans
réactions
mimiques. 1 484 CI INIQUE MENTALE. b) Carac
il parlera en pu- blic et à voix haute. De même il présente peu de
réaction
mimique dans les premiers temps; ce n'est que p
itations qui en partent, et dont chacune peut être l'occasion d'une
réaction
motrice. Chacun de ces mouve- ments provoquant
, 519. Parkinson. Noie sur l'état des ré- flexes tendineux et des
réactions
électriques dans la maladie de Parkinson, par
sous- corticaux sur la contraction de la - , par Erllaonn, 138.
Réactions
Voir Embo- tiques. - Voir l'arkiuson. ItECELI
epris ces expériences et, tout en con- venant que les phénomènes de
réaction
ou de déficit fonctionnels atteignent, en ce po
c l'organe périphérique, Masini tient pour Goltz contre Luciani. La
réaction
isolée comme la paré- sie de la corde du 'côté
n excite ce centre avec un courant plus intense, on détermine une
réaction
motrice bilatérale des muscles du larynx. Or, L
ale- ment la zone motrice, le cervelet n'a point de part dans les
réactions
motrices des membres, puisqu'il peut être entiè
s et bilatéraux, des contractures circonscrites, etc. En somme, les
réactions
motrices des membres correspondaient aux points
membres. En dehors de ces zones, la percussion ne provoquait aucune
réaction
motrice. Rainoidi aurait ainsi constaté une foi
pour produire le phénomène rolan- dique : il a déterminé les mêmes
réactions
de l'écorce en comprimant légèrement ou même en
moelle. P. K. IL Contribution A L'Éi'UDE des modifications DE la
réaction
dégénérative partielle; par M. BERNHARDT (Centr
ux, examinés à cet égard, se décomposent en : 28 p. 100 de parfaite
réaction
des pupilles à la lumière; 10 p. 100 de réactio
p. 100 de parfaite réaction des pupilles à la lumière; 10 p. 100 de
réaction
lente; 10 p. 100 de réaction extrêmement faible
es pupilles à la lumière; 10 p. 100 de réaction lente; 10 p. 100 de
réaction
extrêmement faible; 4 p. 100 de cas douteux; 47
0 de réac- tion totalement absente. Donc dans la moitié des cas, la
réaction
à la lumière a disparu complètement, ou elle es
plètement, ou elle est douteuse, plus de 61 p. 100 témoignent d'une
réaction
très notablement entra- vée. Chez la plupart de
corticaux de la sensibilité générale ou spéciale, déter- miner des
réactions
motrices, et, inversement, l'exci- tation ou le
été examinées à plusieurs reprises; leur densité est de 1018, leur
réaction
faiblement acide; elles ne renferment ni sucre,
e ses semblables. Les im- pressions sonores ne déterminaient aucune
réaction
motrice ; il est probable qu'il n'avait plus d'
qui, dans toute autre situation, n'avait déterminé chez elle aucune
réaction
, elle est prise, sept semaines après la sus- pe
cidents diabétiques. Il donne dans ce livre le signal 1 d'uue juste
réaction
contre la tendance que l'on a trop souvent à ap
t-pied est tom- bant, et s'accompagnant de modifications dans les
réactions
électriques des muscles paralysés qui sont le s
réactions électriques des muscles paralysés qui sont le siège de la
réaction
de dégénérescence. Ajoutons à cela que dans tou
u'il traita sans médecin et qui ne s'ac- compagnèrent que de peu de
réaction
générale. Il eut égale- ment de fréquentes débâ
pra- tiqué par M. le D'' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A droite,
réaction
complète de dégénérescence dans le jambier antéri
a- bilité des autres muscles de lajambe et de la cuisse. A gauche
réaction
partielle de dégénérescence du jambier antérieur.
i aussi, à savoir qu'à l'examen électrique des mus- cles on note la
réaction
de dégénérescence dans le jambier antérieur et
érescence complète, et dans ceux de la jambe gauche, seulement, une
réaction
de dégéné- rescence partielle. Il n'en est plus
s du dernier examen pratique par M. Vigouroux le 15 mars 1890. La
réaction
de dégénérescence n'existe plus et on constate
proposé une correction impor- tante clans la mesure du temps de la
réaction
simple. D'après lui, la durée du temps de cette
emps de la réaction simple. D'après lui, la durée du temps de cette
réaction
dépend de la direction de l'attention : si elle
idérable que dans le cas où elle est concentrée sur le mouvement de
réaction
exigé par les conditions de l'expérience. 11 ap
é par les conditions de l'expérience. 11 appelle la première de ces
réactions
réaction sensorielle (il s'a- gissait dans son
conditions de l'expérience. 11 appelle la première de ces réactions
réaction
sensorielle (il s'a- gissait dans son expérienc
gissait dans son expérience de l'excitation auditive) ; la seconde,
réaction
musculaire. Il définit la réaction sensorielle,
citation auditive) ; la seconde, réaction musculaire. Il définit la
réaction
sensorielle, une réaction volontaire, tandis qu
conde, réaction musculaire. Il définit la réaction sensorielle, une
réaction
volontaire, tandis que la réac- tion musculaire
n musculaire est un réflexe cérébral. Lange veut dire par là que la
réaction
musculaire est un acte invo- lontaire, et, quoi
emps nécessaire pour sou accomplissement est le temps minimum d'une
réaction
simple. L'attention du sujet étant tournée vers
aire dont se compose un acte conscient est désigné sous le nom de
réaction
simple. Le temps de cette réaction a été déterm
cient est désigné sous le nom de réaction simple. Le temps de cette
réaction
a été déterminé par beaucoup de physiologistes.
s des actes inconscients les plus élémentaires, ou la durée de la
réaction
simple inconsciente; en d'autres termes, DE LA
e l'in- tluence de l'intensité de l'excitation sur la durée de la
réaction
simple, de ce qui est dû au sens du tact ou au
onscients. Voici une expérience fort simple qui permet d'étudier la
réaction
simple inconsciente : On prend la main du côt
t pas beaucoup de celles qui ont pour but la recherche du temps des
réactions
simples. D'abord, on cherche à déterminer la
ctions simples. D'abord, on cherche à déterminer la durée de la
réaction
simple consciente du côté normal, non anes- Ihé
. nous ayons employé les irritations tactiles, aussi bien pour la
réaction
musculaire que pour la réaction sen- sitive (ce
ations tactiles, aussi bien pour la réaction musculaire que pour la
réaction
sen- sitive (cette dernière porte le nom de réa
re que pour la réaction sen- sitive (cette dernière porte le nom de
réaction
senso- rielle chez L. Lange qui a étudié à ce p
ture des tra- cés noirs nous a montré que la durée du temps de la
réaction
simple inconsciente est moins longue que la dur
lus considérable dans le pre- mier. Cette diminution du temps de la
réaction
simple peut entrer dans le cadre des symptômes
nous répétons encore que la dimi- nution de la durée du temps de la
réaction
simple est un caractère inhérent à l'anesthésie
as perçues, même inconsciemment et il est impossible d'étudier la
réaction
inconsciente. Cette anesthésie grave influe sur
, 296. Psychoses (guérison brusque dans les), par Peretti, 270.
Réaction
dégénérative (modification de la), par Bernhard
es mêmes modifica- tions, chez certains hémiplégiques anciens, sans
réaction
de dégénéres- cence. Ainsi donc, voici un mal
chronique avec propa- gation aux tissus voisins et, peut-être, même
réaction
inflammatoire par suite des troubles de nutriti
it une disposition inverse. Mais il n'existait à cet endroit aucune
réaction
inflamma- toire de la dure-mère ni des racines,
3e lombaire, toutes les cellules de la corne antérieure ont subi la
réaction
à distance, c'est-à-dire sont gonflées, en chro
carmin permettent de constater dans la région sclérosée, une légère
réaction
névroglique. - Absence de toute névrite périphé
er que la sclérose paraît être déjà ancienne si l'on en juge par la
réaction
névroglique intense et par la rétraction des ti
TAT NORMAL. I. Nous avons recherché en premier lieu quelle était la
réaction
musculaire apparaissant la première dans le mem
e du pied par le grattage à l'aide d'une pointe mousse provoque des
réactions
, à la fois, dans les muscles des orteils, dans
uvements segmentaires du membre inférieur et non par telle ou telle
réaction
musculaire à l'exclusion des autres. La décompo
mal, l'excitation minima efficace de la plante du pied provoque des
réactions
musculaires simultanées dans les divers segments
I; ARTICULAIRE OU MUSCULAIRE 87 très diminuée; mais il n'y a pas de
réaction
de dégénérescence; les muscles des parois abdom
non plus au travail inflammatoire propagé par contiguïté, mais à la
réaction
naturelle du cortex devant l'imprégnation diffu
ajoute-t-il, relève d'une même localisation, d'une même modalité de
réaction
, mais ne cor- respond ni à une même cause patho
raire exubérante ; tout phénomène interne ou externe provo- que des
réactions
volontaires non seulement immédiates et intenses,
urine dont voici les résultats : Volume des 24 heures, 2 litres 15,
réaction
neutre ; densité 1.020 ; urée par litre, 5. 76
n de l'urine par la levure de bière à 24.83. Après fermentation, la
réaction
au Fehling avait disparu ; après ébulli- tion d
t nier toutefois que l'organisme n'ait été le siège d'uu travail de
réaction
contre cette hypothyroïdie, travail qui a abouti
Troubles sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite ; absence de
réaction
à la lumière. Diminution considérable de l'acuité
essivement chez l'homme ; de ce que la première ne détermine aucune
réaction
dans le ganglion rachi- dien correspondant il n
e la moelle, et d'autre part la ré- partition des hémorrhagies, les
réactions
cellulaires immédiates, les per- turbations vas
uleur spontanée à la base du cou. L'examen de la sensibilité et des
réactions
vaso-motrices cutanées donne les résultats suiv
en, fait avec de forts grossissements, montre qu'il existe déjà une
réaction
inflammatoire dans les racines et dans la dure-mè
ment, sont nettement visibles dans les racines du Vle segment. La
réaction
inflammatoire paraît évidente aussi au niveau du
t deux domaines vascu- laires entièrement séparés (P. Marie). Les
réactions
cellulaires immédiates ont encore peu attiré l'at
et l'on voit apparaître des figures de neuronophagie, témoins de la
réaction
des éléments inters- titiels secondaire à la di
dilatation paralytique régionale qui contraste avec l'intégrité des
réactions
vaso-motrices des régions paraplégiques. En parti
it, le flot humain s'engageant dans un défilé trop étroit subit les
réactions
des murailles : ses vagues deviennent houleuses
double, donne à la physionomie l'aspect du faciès d'Hulchinson. Les
réactions
pupillaires sont normales et les pupilles égales
tractions fibrillaires, ni diminution d'excitabilité électrique, ni
réaction
de dégénéres- cence. Toutefois, la malade est o
aitement de repos, le plus absolu possible. L'investigation de la
réaction
myastbénique par le courant faradique, a été po
peu à peu, et s'éteignent totalement avant d'arriver à vingt ; les
réactions
paraissent normales clans les autres muscles. L
a vessie, ni au rectum; pasde signes d'atrophie muscu- laire, ni de
réaction
électrique de dégénération, si ce n'est quelques
électrique de dégénération, si ce n'est quelques muscles avec de la
réaction
myasthénique ; pas de modifications im- portant
, par les signes d'amyotrophie et les modifications respectives des
réactions
électriques, et toujours par le peu d'influence d
r son évolution continue et la présence d'atrophie musculaire et la
réaction
de dégénéralion, oulre que la paralysie de la lan
rd de la perception des sen- sations. Diminution d'acuité auditive.
Réactions
des pupilles bonnes. Secousses nystagmiformes.
e. Signe d'Argyll Ro- bertson. 1894. - Réflexes rotuliens abolis.
Réactions
pupillaires à l'accommodation et à la lumière d
esses. Troubles de la sensibilité au niveau des membres inférieurs,
réactions
pupillaires bonnes. Secousses nystagmiformes.
uche. Pas de dyschromatopsie, pas d'altération du fond de l'oeil.
Réactions
des pupilles : à la lumière, abolie de deux côtés
peut échapper. Brèves chez les uns, et rapidement dissipées par une
réaction
volontaire, ces éclipses se prolongent davantage
signalés. Le diagnostic de nature fut contrôlé et conlirmé par des
réactions
chimiques. Il s'agissait de dépôts constitués p
prolifération conjonctive secondaire, d'autres atrophie simple sans
réaction
conjonctive. Quant au début du processus, certa
s manifeste, un second processus, bien plus intense, de défense, de
réaction
des tissus qui se traduit par la formation de l
r un tissu né- vroglique émané de leur paroi sous l'influence d'une
réaction
inflammatoire secondaire ». Ce processus nouvea
eau où les lésions vasculaires occupent le pre- mier rang, et où la
réaction
névroglique leur est secondaire représente un typ
reliés à de très nombreux vaisseaux et qui par leur aspect et leurs
réactions
lristochimidues tranchent vivement sur le tissu n
Autour de cette perte de substance, à peu près vide, il n'y a nulle
réaction
névroglique, et elle paraît creusée à même le tis
ons malades les fibres nerveuses ont disparu (méth. de Pals mais la
réaction
névroglique est nulle ou très modérée, il n'y a n
qui circons- crivent les pertes de substance. Ici, il n'y a aucune
réaction
névroglique appa- rente. C'est encore le traj
les idées généralement acceptées à cette époque. Une tentative de
réaction
contre cette doctrine s'est manifestée depuis et
istique. C'est ainsi que la prolifération névroglique peut être une
réaction
d'irritation autour d'un canal central dilaté, au
éoformée, ne s'opposent à ce qu'on la considère comme l'effet d'une
réaction
secondaire. Rien ne la distingue le plus souven
que les néoplasies névrogliques ne peuvent susciter à leur tour une
réaction
névroglique inflammatoire et aboutir à la forma
ou la gliose, néoplasie névroglique primitive de l'in- flammation,
réaction
secondaire ; l'impossibilité de la résoudre dans
re soit envisagée comme un point faible particulièrement apte à une
réaction
morbide, cela ne nous parait point inadmissible
ces faits permettent de considérer à la rigueur comme l'effet d'une
réaction
secon- daire les modifications envisagées comme
d'albumine. L'examen électrique permet d'affirmer l'existence de la
réaction
myotonique. Avec le courant interrompu, lent (3
la musculature, de telle sorte que tout travail devient impossible.
Réaction
électrique myotonique. A l'examen biopsique, lési
ie congénitale), les frémissements et les spasmes mus- culaires, la
réaction
myotonique. Il n'est donc pas douteux qu'il ne
se à la cuisse et à la jambe. Les muscles atrophiés présentaient la
réaction
de dégénérescence et Hoffmann s'est prononcé pour
bilité faradique des muscles para- lysés avec tétanisation (durable
réaction
myotonique) pour les muscles de la cuisse. Depu
côté de fibres très atrophiées et d'infiltration interstitielle. La
réaction
électrique myotonique existe avec diminution qu
éflexes sontpeu alté- rés dans les processus psychopathiques. Les
réactions
pupillaires sont difficiles à saisir chez le chev
rose, etguérir non moins subitement sous l'influence d'une violente
réaction
psychique. Il en est de même de certains épanch
que, ses urines étaient normales. Voici, d'autre part, l'état des
réactions
électriques, relevé par M. Huet, il la date du
date du 12 octobre, un second examen a permis de constater que les
réactions
faradiques et galvaniques étaient sensiblement no
' membres supérieurs, sans la moindre trace de R. D. De même, les
réactions
faradiques et galvaniques étaient assez hien co
alvanique, avec quelques indices de R. D. Le 27 octobre, l'état des
réactions
électriques était à peu près le même.La 6 F. RA
les zygomatiques. Aux membres supérieurs et inférieurs, l'état des
réactions
électriques restait sensiblement le même qu'à l
ie et l'atrophie musculaire. Enfin, il n'est pas jusqu'à l'état des
réactions
électriques, qu'on ne puisse invoquer en faveur
t, dans les cas de poliomyélite antérieure aiguë, les anomalies des
réactions
électriques sont en raison directe du degré de
ur un cas de poliomyélite antérieure aiguë, pas de modification des
réactions
élec- triques ; parésie légère, signes en rappo
ec- triques ; parésie légère, signes en rapport avec une ébauche de
réaction
de dégénérescence ; paralysie complète, réactio
vec une ébauche de réaction de dégénérescence ; paralysie complète,
réaction
complète de dégénéres- cence ; enfin dans les m
tteint son maximum d'intensité, aux quatre membres et au tronc, les
réactions
galvaniques et faradiques étaient, il peu de ch
normales dans ces mêmes parties, sauf qu'on notait des indi- ces de
réaction
de R. D. à l'examen du vaste interne et du jambie
lques-uns de ces muscles ; dans les autres, les modi- fications des
réactions
électriques étaient moins bien accusées. Etiolo
de la rotule, 0,28. A 0,26 centimèt. du même point, 0,20. - 0,19.
Réactions
électriques. L'excitabilité faradique des muscl
xcitabilité faradique. Dans aucun des muscles atrophiés il n'y a de
réaction
de dégénérescence même partielle. Cependant, un
gnaler, très manifeste surtout aux muscles de la cuisse : à côté de
réactions
qualitatives normales pour des courants faibles
ophiques ; pas de modifica- tions du côté des sphincters. Enfin les
réactions
électriques nous ont per- mis de constater une
e constater une simple diminution de l'excitabilité électrique sans
réaction
de dégénérescence. En présence d'une affection
de troubles vaso- moteurs et trophiques, dans l'ahsence surtout de
réaction
de dégénéres- cence. Au contraire, ces symptôme
brillaires. C'est une atrophie simple et qui ne donne pas lieu à la
réaction
de dé- générescence ; l'excitabilité électrique
otre avis, méritent d'être examinés. Nous mentionnerons d'abord les
réactions
électriques anormales que nous avons observées.
on mécanique, ne se rencontre pas dans les myopa- thies. Il est une
réaction
particulière des muscles que l'on observe dans
aladie, et à laquelle ces phénomènes ressemblent beaucoup, c'est la
réaction
myotonique. En second lieu, il faut tenir compte
ent. Enfin nous n'ob- servons aussi qu'une hérédité relative et les
réactions
électriques ne se (1 ) Traité de médecine, Myop
ienne. Les muscles des cuisses sont excitables par la percussion.
Réactions
ÉLECTRIQUES. L'examen des muscles a été pratiqué
trophiés. Pas d'altération de l'excitabilité. Au courant galvanique
réactions
physiologiques, mais inexcitabilite abso- lue d
t plus petit, la croissance des ongles et la sudation exagérées, la
réaction
'vaso-motrice retardée, la température plus bas
ion, ainsi qu'à l'adduction ou à l'abduction des doigts. Examen DES
réactions
électriques DU membre supérieur DROIT ET DU côté
uillet), par M. le professeur Bergokié. Io Aucun muscle ne donne la
réaction
de dégénérescence. 2° Conservation de l'excitab
ite : la main est constamment couverte de sueur. Si on recherche la
réaction
vaso-motrice, on constate l'apparition d'une raie
r. » Phosphates.............. 1 gr. 20 » Ni sucre, ni albumine.
Réaction
acide. Le sens génital est très développé. Cet
l et cubital ; (1) Fieux. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 125 4°
Réaction
d'Erb complète pour le biceps. Réaction incomplèt
USCULAIRE ET OSSEUSE 125 4° Réaction d'Erb complète pour le biceps.
Réaction
incomplète pour les au- tres muscles. ' Un mo
rritoire des 8e cervi- cale et 1" dorsale). Quinze jours après, les
réactions
électriques accusaient des lésions portant sur
ériphérique de l'oreille ; il faut néanmoins le considérer comme la
réaction
propre de certaines parties du vaste noyau inte
t dont le pneumogastrique est plus accessible et plus sujet à cette
réaction
. L'asthme d'origine nasale peut ne donner aucun
. de départ de l'irritation périphérique ou centrale qui éveille la
réaction
nucléaire symptomatique. Gowers pensait que sur d
ment à droite qu'à gauche. Il Examen électrique. Voici l'état des
réactions
électriques, tel qu'il nous a été fourni par no
triques, tel qu'il nous a été fourni par notre ami, M. le Dr Huet :
Réactions
faradiques et galvaniques sensiblement normales
uche, on obtient des contractions à 135 millimètres d'écar- tement.
Réactions
galvaniques également très diminuées tandis que,
cette mystérieuse affection'de l'âme dont les effets ont d'étranges
réactions
sur le corps. De là, ]esMM/a</M d'amour où,
me déjà anormalement frigide et refroidi, c'est un pur non-sens. La
réaction
ne se fait pas chez ces femmes et chez ces enfa
atrophie musculaire. L'examen électrique ne donne en aucun point la
réaction
de dégénérescence. Tous les muscles se contract
2) L'existence des contractions fibrillaires ; 3) L'existence de la
réaction
de dégénérescence; 4) L'absence d'hérédité ; -,
ente après un peu de fatigue. Les nerfs et les muscles offrent la
réaction
de dégénérescence, partielle chez les uns, plus
cousses d'ouverture ont disparu. Voici d'ailleurs cette étude des
réactions
électriques, faite par notre collègue M. le pro
otre collègue M. le professeur Guilloz. Membre supérieur gauche :
réactions
électriques : A. - 111uscles. 1° Electricité ga
sagère après fatigue. En somme, les nerfs et les muscles offrent la
réaction
de dégénérescence, partielle chez les uns, plus
La face amaigrie n'est pas intéressée par l'atrophie musculaire.
Réaction
de dégénérescence dans tous les muscles. RÉACTI
hie musculaire. Réaction de dégénérescence dans tous les muscles.
RÉACTION
ÉLECTRIQUE. 1° Electricité galvanique. A. Mus
qu'à un degré moindre au membre inférieur droit. Voici l'examen des
réactions
électriques qui nous a été donné par M. le D Hu
vement sans troubles de sensibilité, sans troubles trophiques, sans
réaction
de dégénérescence mais avec une exagération notab
de Vulpian où les contractions fibrillaires existent, où se voit la
réaction
de dégénérescence. Ce n'est pas une poliomyélite
s'est pas accompa- gnée de troubles de sensibilité, de troubles des
réactions
électriques, par AMYOTROPHIE DOUBLE DU TYPE SCA
ou tel groupe de muscles. Il s'agissait d'une atrophie simple, sans
réaction
de dégénéres- cence, sans contractions fibrilla
de la jambe. Atrophie simple, sans contractions fibrillaires, sans
réaction
de dégénérescence. Les réflexes rotuliens étaient
elle est diffuse. Il n'y a pas de contractions fibrillaires, pas de
réaction
de dégénérescence. Les réflexes rotuliens sont
par l'exagéra- tion des réflexes tendineux, de par l'absence de la
réaction
de dégénéres- cence. AuX'atrophiés musculaires
es. Ano- malies par excès et anomalies par défaut sont des modes de
réaction
con- traires qu'une même lésion peut engendrer.
e et trophoedeme chronique sont donc vraisemblablement des modes de
réaction
relevant d'une même perturbation trophique et du
énar, des interosseux palmaires et dorsaux, des lombri- caux. Mêmes
réactions
à gauche qu'à droite. Conservation de l'excitab
our le radial. Inexcitabilité à peu près complète du cubital. Mêmes
réactions
pour les deux membres. Excitabilité normale des
embres inférieurs. Courants galvaniques : impossible de trouver une
réaction
de dégéné- rescence nette sur les membres même
ne toux. L'examen électrique ne démontre pas de changement dans les
réactions
fa- radiques et galvaniques. , La sensibilité
manque d'atrophie musculaire, de contractions fibril- laires et de
réaction
de dégénérescence ne nous permet pas de penser à
e de la langue, la diffi- culté de la déglutition sans atrophie, ni
réaction
de dégénérescence, la participation des nerfs c
l'aspect plutôt de la paralysiepseudo-bulhaire (absence d'atrophie,
réaction
électrique normale), le siège de l'inflammation d
ant ce diagnostic n'est pas accepté par Oppenheim (1) à cause de la
réaction
électrique restée normale. Brauer (2) mentionne
arésie droite sans atrophie, sans contractions fibrillaires et sans
réaction
de dégénérescence. Le développe- ment du bras d
ammation guérie avec perte de substance. Le manque d'atrophie et de
réaction
de dégénérescence prouve, que les noyaux des ne
tre attribué à une atrophie dégénéralive à cause de l'absence d'une
réaction
de dégé- nérescence. Il s'agit au contraire tou
oque manifeste sa présence il emprunte un ou plusieurs des modes de
réaction
par lesquels le cerveau peut manifester sa souf
cloche à toute volée, approcher un diapason sans obtenir la moindre
réaction
prouvant que la sensation est perçue. La percepti
pas compris, car aucun ordre n'était exécuté et il n'y avait aucune
réaction
aux injures, alors qu'elles étaient manifestes
On n'y voit pas d'amas de cellules embryonnaires; c'est un tissu de
réaction
arrivé à un stade avancé d'organisation. RÉSUMÉ
nerf périphérique ou de ses cellules d'ori- gine. La recherche des
réactions
électriques nous a montré qu'il existe une lé-
contractions toniques, autant qu'on peut s'en assurer. L'étude des
réactions
électriques dénote seulement une légère diminutio
c'est-à-dire que cette malade ne présente qu'un des symptômes de la
réaction
de dégénérescence. Il s'agit, comme on le voit,
e. Dans ces derniers cas, existent aussi quelques modifications des
réactions
électriques. Elles manqueraient tou- jours, dit
t combien il est difficile de déceler les légères modifications des
réactions
électriques, qui dépen- dent de tant de circons
avis, il y a toujours dans les cas de paralysie, un léger degré de
réaction
de dégénérescence, bien qu'il soit difficile de
s les plus graves sont ceux qui s'accompagnent de modifications des
réactions
électriques, ce qui indique toujours une lésion
entre nous qui fut, à l'Hôtel-Dieu, son chef de service ; et, par ses
réactions
émotives, il manifeste, à chaque fois que nous
volution démentielle continue et progressive, sans jamais offrir ni
réaction
éréthique, ni pro- cessus hallucinatoire, ni co
, par son hérédité, ni un déséquilibré mental, ni un prédisposé aux
réactions
psychopathiques. L'atteinte des fonctions men-
s défaut chez notre malade,-c'est.le caractère enfantin, puéril des
réactions
psychiques, marqué dans les répon- ses, dans l'
festait, à propos des faits courants de la vie quotidienne, par des
réactions
d'impatience et d'entêtement, futiles dans leur m
formation intracellulaire ressemblant à la kératine ou en donnant les
réactions
. Il nous est seulement permis de dire qu'il exi
es.» Nous avons cherché si ces corps concentriques présentaient une
réaction
histochimique particulière. Les acides sont san
aussi fortement que les globes et, point à noter, elle a les mêmes
réactions
colorantes. Du côté de la cavité, contrairement
par une substance d'apparence ho- mogène et vitrée, nedonnantpas la
réaction
graisseuse ou amyloïde, et ayant une affinité t
t fait intervenir cette dégénérescence par laquelle il explique les
réactions
elles caractères de ces corps. Nous avons ret
es grains. Ces corps, toujours d'après le savant anglais, ont des
réactions
coloran- tes très particulières. Ils prennent f
DUPRÉ ET DEVAUX flammatiolls de tous les tissus aboutissent à cette
réaction
phagocytaire. De- puis longtemps déjÙ,Cohnbeim
des cellules de la capsule de ces ganglions. Ici donc, on trouve la
réaction
de deux élé- ments différents, l'un d'origine m
uissante sur la névroglie et ne provoque chez cette dernière qu'une
réaction
proliférative. Cette conception nous parait d'a
l'épilepsie par exemple, ne supprime pas toute spontanéité dans la
réaction
qu'elle provoque. Elle épouse, comme un voile t
- temps, localisé toutes deux le terrain électif par excellence des
réactions
les plus délicates et les plus précoces aux imp
ques que l'on peut déclarer que, vis-à- vis des poisons faibles, la
réaction
de la substance grise est une véritable pierre
nte ans, on peut concevoir la méningite diffuse chronique comme une
réaction
naturelle à cette imprégnation mor- bifique, su
mmatoires chroniques ou subaiguës, parakystiques, qui traduisent la
réaction
locale de la méninge à l'épine irritative représe
les analogies cliniques des analogies histopathologiques, dans les
réactions
de l'écorce cérébrale aux différentes intoxicat
s qu'elle offre un indéniable intérêt, parce qu'elle témoigne d'une
réaction
diffuse des couches corticales à des influences i
94. - Les réflexes rotuliens sont maintenant absolument abolis. Les
réactions
pupillaires, tant à l'accommodation qu'à la lum
rès difficile, ataxique (possible seulement avec des béquilles). La
réaction
des pupilles est parfaite, pas de nystagmus. Le
culaires thermiques, la sen- sibilité à la douleur,-saisies par les
réactions
de défense - étaient con- servées. Le sujet a v
toute la hau- teur du névraxe et nous constatons parallèlement des
réactions
sensitivo- motrices. D'après les données histol
erve même de l'hyperesthésie en pinçant le petit doigt. L'étude des
réactions
électriques a donné le résultat suivant. Réaction
igt. L'étude des réactions électriques a donné le résultat suivant.
Réaction
fara- dique : nerf médian, normale; nerf cubita
petit doigt, court adducteur, pouce et tous les interosseux, abolie.
Réaction
galvanique : nerf médian, normale ; nerf cubita
pothénar on remar- quait aussi des contractions fibrillaires. Les
réactions
électriques donnèrent : muscle cubital antérieur,
lie, et galvanique augmentée avec CcN = ou < CcP ; c'est-à-dire,
réaction
de dégénérescence dans tous les muscles innervés
premiers lombricaux et les deux muscles de l'éminence thé- nar, les
réactions
électriques étaient normales. Par conséquent, l
on, leur atrophie consécutive avec des contractions fibrillaires et
réaction
de dégénérescence, les douleurs le long de son tr
antérieur réagissait bien à la galvanique et pas à la faradique; la
réaction
était très difficile à prendre dans le faisceau i
rendre dans le faisceau interne du fléchisseur profond ; il y avait
réaction
faradique dans les espaces interosseux 1er et ?
; il n'y en avait pas non plus dans l'ad- ducteur du pouce; mais la
réaction
était visible dans les muscles hypo- thénars, b
ction était visible dans les muscles hypo- thénars, bien que lente (
réaction
de dégénération faradique de Remak). Dans tous
de Remak). Dans tous ces muscles la CcN = < CcP. Cet ensemble de
réactions
démontrait l'a- mélioration du nerf et de presq
us les intermédiaires. faut aussi rappeler la sclérodermie, mode de
réaction
du tissu cellulo-cutané diamétralement opposé à
e du mem- bre inférieur droit, qui s'est développée lentement, sans
réaction
et parait s'accroître encore actuellement. La c
'on atteint les couches musculaires profondes, la malade accuse une
réaction
qui démontre que l'anesthésie est surtout périp
augmentation de résistance des tissus comme cause de l'anomalie des
réactions
électriques, une telle interpré- tation n'est p
ux jambes et aux cuisses, atrophie muscu- laire sans altération des
réactions
électriques, réflexes rotuliens exagérés, clo-
sujet est satisfaisant, une injection de tuberculine, en donnant la
réaction
fébrile caractéristique, montrera l'existence d
ale plutôt large, les globes oculaires grands, sans exophtalmie, la
réaction
pupillaire à la lumière et à la convergence est b
urine est jaune trouble, la quantité moyenne est de 800 grammes, la
réaction
alcaline, la densité 1.015 ; on trouve 3 gr. 84
ons les moyennes suivantes : quantité par 24 heures, 1.000 grammes,
réaction
alcaline ; densité, 1.016 ; urée, 6, 40; chlo-
e prête à la confusion. Nous traversons actuellement une période de
réaction
dans la conception anatomique et physiologique
rs de ces troubles à l'atrophie numérique, c'est l'absence de toute
réaction
fonctionnelle pa- thologique du côté des nerfs
rs, la contraction mus- culaire est normale ainsi que les réflexes.
Réactions
électriques normales. Enfin les troubles psychi
ités plus qu'aux racines des membres, une conservation relative des
réactions
élec- triques aux muscles des racines et une di
sen- sibilité aux cours des polynévrites ? Mais l'absence de toute
réaction
de dégénérescence à l'examen électrique des mus
r les poils, tantôt géné- ralisé, tantôt partiel. C'est souvent une
réaction
à un prurit intense en général sans lésion de l
sensibilité, de'paresthésies, prurit ou autres; l'impulsion est une
réaction
réflexe. Mais certains sujets atteints de troub
e gauche ou avec des individus parfaitement sains. La recherche des
réactions
électriques était confiée au Dr de Léon, électro-
e des plus distingués et des plus compétents, qui a pu constater la
réaction
de dégénérescence partielle dans tout le territoi
s et l'état moniliforme qui en résulte, sont des modes habituels de
réaction
du cylindraxe à l'égard des agents morbides les
ue, de l'hypoesthésie s'étendant jusqu'à la face, et l'ab- sence de
réaction
plantaire. 14. On constate, à droite, le signe
ctif. qui a frappé de mort les différentes cellules avant qu'aucune
réaction
défensive ou réparatrice ait pu se produire. Le
atoire localisé subaigu beaucoup plus lent, qui a permis toutes les
réactions
défensives dans les tissus intéressés. En résum
ut fut impossible. Les pupilles dilatées au maximum perdirent toute
réaction
à la lumière. En même temps on nota une légère di
tôme constant chez B... de la dilatation pupillaire et du manque de
réaction
à la lumière est peu en accord avec le fait quela
l'oeil droit diverge parfois en dehors et sa pupille est dilatée. La
réaction
à la lumière paraît abolie des deux côtés, mais
s- sissement et la formation de pinceaux de fibres (Chaslin). Cette
réaction
de son côté, augmentant la résistance des paroi
de facteurs pathologiques qui, suivant leur affinité spéciale ou la
réaction
particulière du sujet frappé, détermineront des
es membres inférieurs, les muscles sont mous, flasques, donnant une
réaction
très vive à l'excitation mécanique (augmentation
que. ? Dans le cerveau, on observe de nombreux corps amyloïdes, une
réaction
névroglique modérée, une atrophie des cel- ' Iu
ue à notre collègue, M. le professeur agrégé Guilloz, ainsi que les
réactions
ci-dessous, montre une exostose volumineuse app
e sa première radiographie mentionnée plus haut. Voici l'état des
réactions
électriques : 1° Excitabilité au courant faradi
, la multiplication des noyaux, ce qui implique un certain degré de
réaction
interstitielle. Les grosses fibres à myéline ne
M. Larat, montre à la date de l'entrée, qu'il n'existe pins aucune
réaction
ni l'excitation galvanique, ni à l'excitation f
âge de l'enfant ; les yeux son vifs, il n'y a pas de strabisme, les
réactions
pupillaires sont normales. L'intelligence paraî
ntre une lymphocytose légère du liquide céphalo-rachidien. 18. La
réaction
électrique, dans les muscles des membres, se fait
embres, se fait avec 9 ou 10 milliampères. On constate nettement la
réaction
de dégénérescence dans le groupe antéro-externe
xci- tabilité faradique et galvanique des muscles des membres, avec
réaction
de dégénérescence. La sensibilité était intac
aux membres inférieurs, ceux-ci très atrophiés présentaient soitla
réaction
de dégénérescence, soit une complète inexcitabili
l'amyotrophie était très marquée avec contractions fibrillaires et
réaction
de dégénérescence ; il y avait au contraire int
ment. Son développement intellectuel était normal. On constata la
réaction
de dégénérescence dans les muscles quadriceps e
E LA l'1tE\III : IiE ENFANCE £ -4Si 1 gned'atrophie'musculaire avec
réaction
de dégénérescence ou même inex- citabilité élec
nution de l'excitabilité électrique faradi- que et galvanique, sans
réaction
de dégénérescence bien nette, la mort se fit pa
ctilité faradi- que ; par l'excitation galvanique, on constatait la
réaction
de dégénéres- cence. . A propos de cette prés
ion considéra- ble de la contractilité faradique et galvanique sans
réaction
de dégénéres- cence. Cypho-scoliose. Ataxie des
uche, déformée, elliptique à grand axe oblique en bas et en dedans.
Réaction
pupillaire abolie pour la lumière, conservée pour
peau. Altération très marquée de la con- tractilité électrique sans
réaction
de dégénérescence (PI. LXXII E, F). Sensibilité
es lèvres. Altérations marquées de la contractilité électrique avec
réaction
partielle de dégénéres- cence. Incoordination m
ment une cypho-scoliose,du nystagmus dynamique et des troubles delà
réaction
pupillaire, variant depuis l'extrême lenteur de l
ses malades, mais il a observé une diminution de l'intensité de la
réaction
à la lumière : cette diminution est des plus mani
bien qu'il n'y eut chez elle pas de signe d'Argyll-Ro- bertson, la
réaction
à la lumière était extrêmement lente. Nous rapp
des 2", 38, e sacrées à gauche des 3e et 4e à droite; incontinence;
réaction
de dégéné- rescence dans les muscles paralysés.
de la main, non plus que dans le trapèze et le rhomboïde. A droite,
réactions
bien conservées, sans DR. Rien aux membres in
des membres supérieurs (atrophie musculaire, dans l'observation IX,
réaction
de dégénérescence dans l'observation X). A l'au
s; les racines antérieures, paraissent saines. Comment expliquer la
réaction
de dégénérescence musculaire observée cliniquem
RGIE DROITE ta l' Sur les bords, il n'existe pas de sclérose, ni de
réaction
leucocytaire. Il s'agit donc d'un foyer récent.
er. Il est d'ailleurs facile de les reconnaître à l'intensité de la
réaction
qui les accom- pagne et à leur peu de propagati
'autre part,on cons- state dans l'olive bulbaire du côté opposé, la
réaction
à distance des cellu- les nerveuses, et on ne v
llu- les nerveuses, et on ne voit pas dans l'écorce cérébelleuse de
réaction
à distance des cellules de Purkinje. Ces dive
vanique nous donne une excitabilité normale des muscles qui ont une
réaction
normale à l'examen faradique et une réaction dé-
es muscles qui ont une réaction normale à l'examen faradique et une
réaction
dé- générative totale des autres muscles (surto
té doit être exclue pas le fait que dans mon cas existait une forte
réaction
dégénérative et par la distribution irrégulaire d
ine ? Pour nous, cette dégénérescence traduit, en grande partie, la
réaction
corticipète qu'implique la lésion genouillée. L
nos résultats personnels nous oblignent à interpréter autrement les
réactions
consécutives aux lésions temporales superficielle
d'un ramollissement temporal intéressant les couches profondes, la
réaction
occipitale se cantonne presque exclusivement à la
que la dégénérescence cellulifuge ne traduit pas, à elle seuie, la
réaction
entière que détermine la lésion du neurone ; nous
escence cellulipète des radiations corti- cales, pour que la grosse
réaction
des régions postérieures trouve une expli- cati
moyen de résoudre ce problème difficile, ce serait de faire voir la
réaction
, non pas occipitale, mais simplement temporale,
la dégénérescence rétrograde en tant que phénomène particulier. Les
réactions
de ce genre au niveau du tronc encéphalique sont
s fibres du fais- ceau longitudinal inférieur un contingent dont la
réaction
est tellement cons- tante que nous l'avons indi
ie pyramidale. Quelque irrégulière que soit la topographie de cette
réaction
médullaire, quelque grandes les difficultés d'i
du lobe occipital. Ainsi qu'une lésion cérébrale se traduit par une
réaction
médullaire qui LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIE
visuelles, auditives, cutanées, etc.), et par conséquent toutes les
réactions
motrices. Il favorise le som- meil ; il diminue
uable; l'auteur indique les moyens à l'aide desquels il a étudié la
réaction
de la pilocarpine chez divers mélancoliques. R.
ns la sclérose latérale amyotrophique les racines s'atrophient sans
réaction
sclé- 72 SOCIÉTÉS SAVANTES. reuse, on en vien
i caractérise toute myélite aiguë, c'est un processus mul- tiple de
réactions
du côté des vaisseaux, du tissu interstitiel et d
foyers plus ou moins volumineux et à des nodules. Les phénomènes de
réaction
du côté des cellules nerveuses abou- tissent ra
a dans toute, myélite aiguë deux réac- tions leucocytaires : 1° une
réaction
précoce de défense, qui con- l siste dans l'émi
aires, réac- Lion qui a pour but de vaincre les microbes, et 2° une
réaction
leucocytaire tardive dont le rôle est d'enlever
condes pro- voquent des altérations parenchymateuses profondes sans
réaction
inflammatoire. 2° La moelle présente une rési
ins résistante encore que la substance blanche. Il s'ensuit que les
réactions
inflammatoires aiguës sont moins fré- quentes e
sions toxiques résidera uniquement dans la présence ou l'absence de
réaction
. 4° Un poison capable de provoquer la réaction
ence ou l'absence de réaction. 4° Un poison capable de provoquer la
réaction
inflammatoire dans un organe résistant, pourra
nophagie, ainsi que des nécroses partielles ou totales avec ou sans
réaction
inflammatoires. Ce processus donne lieu par la
e des cordons postérieurs. D'autre part, elles ne sont pas dus à la
réaction
que détermine la section d'un cylin- draxe dans
entrifuge des ganglions spinaux ou crâniens ne donne pas lieu à des
réactions
comme celle qui arrive après la section de 1 a
ère, dans le tubes, a pour expression clinique une amyotrophie sans
réaction
de dégénéres- cence. Les terminaisons et les li
e : clini- quement, l'amyotrophie se développe très lentement et la
réaction
de dégénérescence fait défaut; histologiquement
s granula, ou de la substance chromatique, les auteurs voient « une
réaction
de la cellule devenue anatomiquement visible, s
dans laquelle les auteurs ne voient qu'un signe anatomique d'une
réaction
plus ou moins aiguë de la cellule, un défaut d'ad
pas en réalité, dans ces cas, d'une névrite ascendante, mais d'une
réaction
du neurome sur un cylindraxe. Il lâut donc écar
dants. Avec la-méthode de Marchi, beaucoup de fibres présentent des
réactions
pathologiques et celles qui persistent avec leu
que du faisceau pyramidal dans sa partie médullaire peut amener des
réactions
cellulaires décelables dans les grandes cellule
férentes parties du corps, mais aussi la valeur ou l'équivalent des
réactions
produites par des effets de causes physiques et
(nasale, oculaire, auriculaire), peuvent seuls, sous l'effet d'une
réaction
pathologique de ces cavités, favoriser, par leu
atteinte, à l'àge de un an, d'une paralysie du plexus brachial avec
réaction
de dégénérescence limitée au groupe radiculaire
s, quelques-unes étaient légères, sans modifications accentuées des
réactions
élec- triques ; elles ont guéri rapidement et c
ent du côté des cellules des cornes antérieures correspondantes une
réaction
secondaire plus rapide et plus intense que les
Examen des yeux pratiqué le 20 octobre 1899 par le Dr 1 ubüaeau. «
Réactions
pupillaires lentes, surtout à la lumière. Il exis
tes, surtout à la lumière. Il existe une réelle différence dans les
réactions
pupillaires, suivant qu'il s'agit de la lumière
examen un' procédé d'investigation de* premier ordre, l'étude de la
réaction
, électrique des nerfs et,, des musclés, nous ne
ies, pertes des réflexes profonds suivie d'atrophie musculaire avec
réaction
électrique de dégénérescence, le tout accompagné
ait hypereslhésie à gauche pour les membres supérieur et inférieur,
réaction
normale pour -le tronc et la face. Aux membres
qui conserve la position qu'on lui donne. De ce même côté gauche la
réaction
aux excitations est difficile : pour la douleur c
îtres en la matière, Raymond et Chipault : il était trop gros et la
réaction
des tissus environnants faisait que, la lésion
ue dans le tissu voisin. Ils diffèrent des corps hyaloïdes par leur
réaction
à l'égard des agents colorants, par le nombre e
gnent ni par le carmin ni par l'aniline et ne répondent que par une
réaction
très faible à l'iode et à l'acide sulfurique. Bev
elle ne réagit plus : voilà le malheur. Si on pouvait réveiller les
réactions
, dis-je, il y aurait peut-être quelque chose à
a en effet montré des lésions de bacillose pulmonaire. L'absence de
réactions
cérébrales locales serait due à la lenteur du p
éri en trois mois, mais la diplégie faciale persiste avec signes de
réaction
de dégénérescence. Chez le second malade, la po
nataire aiguë, le délire à base d'interprétations s'accompagnent de
réactions
anxieuses qui n'ont de la mélancolie que l'appa
certaines fonctions (ménopause) que se montre la dépression, simple
réaction
cérébrale provoquée par cet amoindrissement che
e se rendort même en mangeant, réponses labo- rieuses mais exactes,
réactions
lentes, bave, éruption papulaire avec démangeai
ie ; 2° Les fonctions vésicales et rectales y sont normales ; 3° La
réaction
électrique des extrémités paralysées est d'habi
mités paralysées est d'habitude diminuée, mais jamais on ne voit de
réaction
dégénérative ; 4° On ne voit pas non plus d'atr
dont l'une est dilatée et l'autre contractée : 2° leur inégalité de
réaction
à la lumière, l'une répondant, l'autre ne répon
ll Robert- son (iridoplégie réflexe se manifestant par un défaut de
réaction
à la lumière, ordinairement bilatérale, mais no
ère, ordinairement bilatérale, mais non toujours). La lenteur de la
réaction
pupillaire à la lumière chez un syphilitique do
, avec perte des réflexes, peu d'altérations de la sensibilité, des
réactions
électriques nor- males, des sphincters intacts,
ais la (marche est lente, la sensibilité générale est atteinte, les
réactions
électriques sont nulles, il y a de l'alrophie;
la lumière et à l'accommodation ; leur inégalité et leur absence de
réaction
sont des signes de lésions profondes de dégénér
pouls est de 100 à 120 ; les réflexes patellaires sont absents. La
réaction
des pupilles est vive. Amaigrissement rapide. E
Température 36°-38°,4, P = 400-120 ; inéga- lité des pupilles, avec
réaction
très vive à la lumière. Mort le sixième jour.
la disparition complète de l'excitabilité galvanique, voire même la
réaction
de dégénérescence. Ainsi chez le malade affecté
t ambiant de la tempéra- ture influence dans une certaine mesure la
réaction
; G° La fré- . quence et le caractère du pouls s
s, administrées pendant une longue période de temps, produisent une
réaction
suffisante; 12° 11 est absolument indispensable
air que les effets bienfaisants sont entièrement indépendants de la
réaction
de température; 23° Par conséquent l'idée direc
ssement des facultés, se montre de l'inégalité des pupilles dont la
réaction
à la lumière et à l'accommodation diminue : on
ncen- trique du champ visuel, une analgésie peu marquée, une vive
réaction
du cerveau sous le chloroforme. Les commémoratifs
oubles pupillaires (inégalité, troubles des réflexes, déformations,
réaction
paradoxale, etc.) en donne la physiologie patho
ent, l'altération se manifeste par la lenteur et la petitesse de la
réaction
. . Chez 12 mélancoliques séniles, Mignot trouve
ncore, il signale une variabilité très grande dans les troubles des
réactions
: par exemple, dans une observation, on voit un
es animés peuvent 12 Z CLINIQUE MENTALE. « être engendrés par des
réactions
chimiques d'une façon gêné- « raie. L'accouchem
es d'une façon gêné- « raie. L'accouchement sera supprimé. Dans une
réaction
chi- a mique quandune couleur se produit, elle
t cette couleur. « Tous les êtres animés peuvent être créés par des
réactions
chi. « miques successives, ainsi naissent les s
e s'accompagnait d'atrophie des muscles du bras et de l'épaule avec
réaction
de dégénérescence, de troubles trophiques de la
ur aux deux bras. Ces paralysies s'accompagnent d'amyotrophie et la
réaction
de dégénérescence est constatée. Quelques obser
engendrée par un microbe lequel, suivant ses lieux d'habitat et les
réactions
qu'il provoque dans les tissus donne au tableau
figures. " DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 103 Enfin, Messieurs, les
réactions
électriques de ces nerfs et de ces muscles atro
a face, on trouvait, au mois de janvier dernier, une diminution des
réactions
faradiques et galvaniques portant sur les ramea
et frontaux. Depuis lors, les modifications qu'ont présentées ces
réactions
ont montré que nous assistions à la phase de ré
e domaine antibrachial et fait défaut au niveau du bras. Enfin, les
réactions
électriques des nerfs musculo- cutané et circon
erne et la pointe, comme il arrive dans le steppage. L'examen des
réactions
électriques, corroborant les résul- tats de la
ns le domaine du nerf cubital, surtout au niveau du coude, et de la
réaction
partielle de dégénérescence dans les muscles de
ence et les caractères de l'atrophie mus- culaire, les troubles des
réactions
électriques, l'existence de troubles de la sens
nt imputables au développement local du bacille lépreux amenant une
réaction
de voisinage et trou- blant en même temps la ci
, réunit un grand nombre de bacilles en une' masse zoogléique ; les
réactions
microchimiques sont les mêmes que celles du bac
vous dire, Messieurs, ce qu'est le bacille de lIaris'en et quelles
réactions
histologiques 'sa ' présence pro- DEUX CAS DE L
on sera bien réellement lépreuse, je veux dire qu'on y retrouve les
réactions
histologiques du léprome avec la cellule lépreu
s inoculés au sérum d'épileptiques, on voit qu'il s'agit d'une pure
réaction
locale, bien moins intense que dans les cas pré
fusions produiraient des effets spéciaux bien caractéristiques, des
réactions
toutes différentes de celles des solutions chlo
de prolification des ingrédients histolo- giques non nerveux et de
réaction
de l'appareil vasculaire sanguin et lymphatique
ns général, de celui de parabiose, et peut être considérée comme sa
réaction
universelle aux opérations les plus diverses. 3
dans la région des segments cervicaux 4-7. P. KIRAVAL. XXXVI. La
réaction
paradoxale des pupilles, avec observation perso
émoire dont voici les conclusions : Io Il existe diverses formes de
réaction
paradoxale des pu- pilles. Ce sont : a. La réac
erses formes de réaction paradoxale des pu- pilles. Ce sont : a. La
réaction
paradoxale des pupilles à l'accommo- dation. Le
estant les mêmes. Vysin qui l'a observée l'appelle perversion de la
réaction
pupillaire. b. La réaction paradoxale apparente d
l'a observée l'appelle perversion de la réaction pupillaire. b. La
réaction
paradoxale apparente des pupilles à la lumière.
d'emblée, par conséquent paradoxale, à la lumière (Burchard). c. La
réaction
paradoxale vraie des pupilles à la lumière. Dil
la pupille dans l'om- bre sans dilatation préalable (Piltz). II. La
réaction
paradoxale à l'accommodation n'a jusqu'ici été
dans les maladies fonc- tionnelles du système nerveux central ; la
réaction
paradoxale apparente à la lumière n'a été obser
à la lumière n'a été observée qu'en un cas diridectomie ; la vraie
réaction
paradoxale à la lumière est un phénomène très r
à la lumière est un phénomène très rare qui peut être simulé par la
réaction
à la convergence, à la divergence, à l'accomoda
a divergence, à l'accomodation, par l'hippus des pupilles, par la
réaction
à la chaleur ou réaction sympathique des pupilles
odation, par l'hippus des pupilles, par la réaction à la chaleur ou
réaction
sympathique des pupilles, par la réaction des p
réaction à la chaleur ou réaction sympathique des pupilles, par la
réaction
des pupilles sous l'influence de la contraction d
étant éliminées, il ne reste que cinq observations inattaquables de
réaction
paradoxale des pupilles à la lumière : celle de
es' réflexes tendineux, du triceps et du biceps du côté gauche. Une
réaction
de dégénérescence complète dans les muscles bic
ossible, est très rare. La psychose de KORSAKOFF apparaît comme une
réaction
du côté du système ner- veux sur la saturation
s et peuvent même offrir un certain degré de systématisation. Les
réactions
psycho-motrices les plus variées (excitation, dé-
S SAVANTES. 217 tions les plus pressantes, ne sont suivies d'aucune
réaction
mo- trice ou vaso-motrice. On peut alors dirige
ré) et, d'autre part, qu'il n'est pas absolument dé- montré que les
réactions
défensives de l'organisme, qu'on a l'ha- bitude
muscle et trouver dans la moelle un groupe de cellules nerveuses en
réaction
à distance, c'est prouver la rela- tion fonctio
de mastication, de la'gêne pour la première sécrétion matinale. La
réaction
myotonique existe chez lui et l'examen biopsiqu
fixation du regard, ce qui est facile, on obtient alors toutes les
réactions
qu'on obtient dans cet état, mais il est un poi
ent, l'eau qui la noie. Et - ces phénomènes entrainent avec eux les
réactions
ordinaires qui sont la terreur, ici rendue plus
t qu'affaiblis, ne l'ont pas complètement perdue. Myosis à gauche ;
réaction
des pupilles à la lumière normale des deux côté
la sécrétion pancréatique est active ou non. Si on n'obtient aucune
réaction
iodée dans la salive après l'administration de la
u mal chez les plus cultivés. A l'Asile on peut encore observer des
réactions
suicides à une période plus avancée, mais elles
celles qui attribuent à la suggestion ou à l'au- to-suggestion, les
réactions
présentées par les sujets qui se réveil- lent e
n très débile. l'. KIOEAVAL. V. Contribution à la casuistique de la
réaction
biologique des cheveux chez les aliénés; par W.
vient dans la catatonie, l'épilepsie, etc. PaulS Éamox. XX. De la
réaction
pupillaire prolongée aux toxiques comme signe p
litatives de l'excitabilité électri- que (aucune trace notamment de
réaction
dégénérative), par l'absence des convulsions br
icipe au pro- cessus morbide, fait déjà signalé par Roecke, mais la
réaction
paraît moins intense que dans le cerveau et se
le caractère orga- nique de l'hémispasme facial vrai; il traduit la
réaction
motrice du nerf facial. Au point de vue pathogé
ocytose, soit. que l'hémorrha- gie ait secondairement déterminé une
réaction
leucocytaire, soit que la méningite ait donné l
e pathologique de la générale. par blahaini, 403. générale Voir
Réaction
pupillaire. Fré- quence et évolution des lésion
lisme mental guéri par sug- gestion, par Leroy, 509. Pupilles. La
réaction
paradoxale des -, avec observation person- ne
une jeune fille hystérique et tuberculeuse, par Coulotijou, 2.3
Réaction
pLp[LHi3E De la pro- longée aux toxiques comme
es supé- rieurs (surtout les avant-bras et les muscles de la main).
Réaction
de dégénéres- cence dans un grand nombre de mus
la nutrition des muscles, dénotés par l'atrophie considérable et la
réaction
électrique de dégénérescence. - II. LAMr, Anc
L'examen des mouvements actifs ou passifs, confirmé par l'étude des
réactions
électriques de ces muscles est absolument forme
son impotence fonc- tionnelle est tout » (2). Enfin, en outre des
réactions
électriques similaires et de l'absence de contr
cune altération qualitative, et rien qui rappelle plus ou moins la
réaction
de dégénérescence. Nous rapportons ci-dessous l
té, mesurée d'ailleurs à l'aide d'un galvanomètre apériodique). Les
réactions
rapportées ci-des- sous sont celles obtenues su
personnes avec les mêmes appareils, dans les mêmes conditions. Les
réactions
s'étant montrées à peu près identique- ment sem
tions que pour les membres supérieurs. Nous ne rappor- tons que les
réactions
du côté gauche, celles du côté droit étant d'aill
tats rapportés ci-dessous sont ceux fournis par le côté gauche; les
réactions
du côté droit sont sensiblement semblables. Gra
Fig. 51 Fig. 52. UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE. ACCOMPAGNÉE DE
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE , . TROUBLES DE LA
plus intéressantes de celle observation consiste en l'existence de
réactions
électriques qui n'ont pas encore été observées
prit est la suivante : . . 1° Les cas où les muscles présentent des
réactions
électriques anormales, ou dans lesquels ils ont
que M. Brissaud a déjà signalé le premier en 1890 la présence de la
réaction
de dégénérescence chez un myopalbiquc du type fac
les différentes espèces d'amyolro- phies que n'accompagnent aucunes
réactions
électriques anormales, ou seulement celles qui
ntes variétés on n'a pas noté de changements caractéris- tiques des
réactions
électriques. On prétend môme que la réaction de d
aractéris- tiques des réactions électriques. On prétend môme que la
réaction
de dé- générescence ne s'y observe jamais. C'
ion vertébrale. Examen électrique. A cette date (novembre 1889) les
réactions
élec- triques étaient sommairement les suivante
eux qu'innerve le nerf maxillaire inférieur. Dans le tableau I, les
réactions
normales des différents muscles sont représenté
une certaine sensibilité douloureuse dans (1) L'auteur entend par «
réactions
normales » celles qui se produisent chez les su-
. 192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE . TABLEAU 1 Il ..
Réactions
électriques de Suzan. S., âgée de 19 a))6'. ..
e déforma- tions considérables, et de modifications très nettes des
réactions
électriques. A l'âge de 20 uns environ, ont app
ents choréifol'mes qu'à tout autre espèce de tremblements. 6° Les
réactions
électriques n'étaient pas comparativement aussi a
tion progressivement envahissante. Les douleurs nerveuses, et les
réactions
électriques n'ont été observées que tardivement
veuses ont disparu maintenant et, pensant que la mo- dification des
réactions
électriques avait pu être transitoire et accident
tion, j'ai demandé au Dr Kilner de vouloir bien vérifier l'état des
réactions
musculaires aujour- d'hui. Cet examen a été fai
on gé- 196 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TABLEAU Il
Réactions
électriques de Suzan. S., à l' £ lge de 23 ans.
endant, ici, on cons- tate des modifications très notables dans les
réactions
électriques. Aussi peut-on se demander si, en d
z un malade GO à 80 cen- limolros, n'est pas sans présenter quelque
réaction
douloureuse. Mais alors les douleurs sont indép
turc. Comparez cette tolérance de 1'3rthropathie tabétique avec la
réaction
doulou- reuse de la moindre hydarthrose rhumati
DE LA SENSIBILITÉ 219 de J'oedème, par l'absence complète de toute
réaction
douloureuse locale, cette malade, tourmentée de
s le tableau clinique du tab('s sensitif. Elles accusent un mode de
réaction
spécial des éléments ana- tomiques, en présence
bras et au bras. La sensibilité des muqueuses paraît normale. Les
réactions
oculo-pupillaires ne paraissent pas altérées ; le
; le champs visuel est normal. Vue presbyte. Pupilles égales ; les
réactions
pupillaires existent, mais sont un peu paresseu
ires et suffisantes pour provoquer, de la part du centre spinal, la
réaction
nutritive normale. L'équilibre trophique est donc
es articulaires et surtout osseux, parce que les centres spinaux de
réaction
nutri- tive qui régissent l'équilibre fonctionn
ion très nette entre les artropathies suppurées secondairement avec
réaction
fébrile et les arthropathies suppurées d'emblée s
avec réaction fébrile et les arthropathies suppurées d'emblée sans
réaction
comme Karg en cite un exemple. Dans ce cas le
trophique cutané), qui a précédé t'arthropathie, il devrait y avoir
réaction
fébrile, et signes inflammatoires locaux. L'absen
blée sans Fig. 'il. 290 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
réaction
ni locale, ni générale ou d'une arthropathie avec
ypes bien distincts tenant à la nature de l'infection ou au mode de
réaction
des tissus dystrophiés. Notons d'abord parmi ce
sur n'importe quelle articulation : parfois, fait sin- gulier, sans
réaction
locale ou générale; beaucoup plus souvent avec to
lent, met des mois et des années à se l'aire, presque toujours sans
réaction
locale ou générale et sans douleur. Ce processu
ment paralysés, mais encore atro- phiés, sans présenter du reste de
réaction
de dégénérescence. Les fourmille- ments signalé
hies dans l'art, par Henry MEIGE, 198. Amyotrophie primitive avec
réactions
élec- triques anormales, par T. Savill, 184.
nte de Paget, 15. SAVILL (T). Un cas d'amyotrophie primitive avec
réactions
électriques anormales, 184. SAYILL (T.) et H. M
mal ; nous nous ell'orcerons de reconnaître : a) Quelles sont les
réactions
qui appartiennent aux processus physiolo- gique
ceau de viande ou de pain devant l'oeil droit, on n'obtenait aucune
réaction
de l'animal, bien que l'animal vit sans doule l
dégénérés. Elle réagit en réalité à un processus irritatif et cette
réaction
, pour des causes diverses, peut être d'intensité
un motif absurde, il montre dans le fonctionnement en question, des
réactions
vraiment morbides.Chaque muqueuse sécrète le mu
sensibilité normale ou presque pour ce qu'on peut en juger par les
réactions
données par la malade. Les muscles des membres in
éremptoires pour reconnaître, au moins dans le cas particulier, une
réaction
imparfaite par application mal réussie de la mé
réaction imparfaite par application mal réussie de la méthode d'une
réaction
imparfaite à cause des modifications physico-chim
subies par le tissu. Dans le cas actuel cependant, avoir obtenu une
réaction
positive dans les racines médullaires et aussi
- geant presque pas de forme. On peut cependant ajouter que si la
réaction
histochimique, que nous avons obtenue dans un c
e des altérations primaires, est fondamentalement superposable à la
réaction
qui caractérise les dégénérations secondaires, le
u de fibres nerveuses gardant un cylin- draxe capable de donner une
réaction
positive vis-à-vis de la méthode, ainsi qu'il r
our toujours, du moins pour un temps très long, et par le manque de
réaction
au Marchi. , Les choses, au contraire, ne se pa
ons cellulaires secondaires aux alté- rations de leurs cylindraxes (
réaction
à distance). On peut donc penser qu'une partie
erculeuse ; et que l'au- tre partie est au contraire à imputer à la
réaction
à distance consécutive aux profondes altération
on qu'à une véritable maladie de la fibre musculaire elle-même. Les
réactions
électriques furent examinées, mais la résistance
sent seule- ment légers. Ces muscles également donnaient une légère
réaction
galva- nique dans laquelle la fermeture de la c
fermeture de l'anode. Tant qu'on en peut juger, par conséquent, les
réactions
électriques étaient normales malgré les difficu
ait naturelle ; sa densité était de 1014, sa couleur jaune pâle, sa
réaction
acide; elle était claire, normale en quantité, et
ne permet pas de conclu- sion formelle à cause du grand nombre des
réactions
viscérales, on conçoit qu'il n'est pas possible
ssant de la joie exubérante à la dépression profonde, intensité des
réactions
affectives disproportionnées à leurs causes, ch
tion. Chez les basedowiens les impressions du dehors provoquent des
réactions
plus vives que chez les individus normaux. C'est
et appuie tout le poids du corps sur le membre sain ; alors par une
réaction
de circumduction, elle porte en avant la jambe pa
emaines après le début de la maladie, aucun muscle se présentait de
réaction
, même partielle, de dégénérescence, ce qui perm
I° paires). Absence de troubles paralytiques de la convergence. Les
réactions
pupillaires sont normales. Pas de lésions du fo
constatée au premier exa- men (inversion polaire). En somme, les
réactions
électriques ne sont que très légèrement modifiées
fection - infection légère vu le peu de modifications apportées aux
réactions
électriques - a inté- (1) MoRvAN, Contribution
lite antérieure aiguë, de déceler la lymphocytose, témoignage de la
réaction
méningée à l'infection en cause. UNIVERSITÉ DE
La percussion du tendon rotulien du côté droit produit nettement la
réaction
du côté gauche. Lorsque l'enfant pleure ou rit, o
e dont la tête a été sectionnée, une excitation légère provoque des
réactions
bilaté- rales. L'irradiation motrice se fait sa
us (prononciation à haute voix sans commentaire des mots suivants).
Réaction
(de la malade aux mots prononcés). Vérité. - Il
e aug- mentation des mononucléaires par égard aux polynucléaires.
Réactions
musculaires. Réaction myasténique positive.Pour c
mononucléaires par égard aux polynucléaires. Réactions musculaires.
Réaction
myasténique positive.Pour cette réaction, on a
es. Réactions musculaires. Réaction myasténique positive.Pour cette
réaction
, on a suivi la méthode Murri, qui fut ensuite l
. Rien de particulier. Même chose pour l'examen du sang. Absence de
réaction
myasthénique. Pression artérielle humérale droite
dow qui a été décrite sous le nom d'asthénique. J'ai recherché la
réaction
myasthénique dans quatre cas d'acromégalie je l
rouvé , un épuisement musculaire très prononcé, mais sans véritable
réaction
myasthénique; dans le quatrième je n'ai rien re
impor- tant, et leur sécrétion, au moins aux premiers temps de leur
réaction
, est sujette à des altérations par rapporta la
xophtalmie légère des deux côtés. OD. Acuité normale. Champ normal.
Réaction
pupillaire bunne. OG. Il est en strabisme diver
ais pouvant se mouvoir dans tous les sens. Pupilles assez dilatées.
Réaction
à la lumière douteuse, existe peut-être faiblem
. 2). ' L'épaississement épendymaire est général ; c'est un mode de
réaction
à la pression. Les mesures des coupes au plan
té re- couverte d'un feutrage de grosses cellules. C'est encore une
réaction
à la com- pression, analogue à l'épaississement
ts la surface ventriculaire était couverte de masses organisées. La
réaction
épendymaire à la pression se manifeste par la p
gauche; pupille gauche plus ouverte que la droite; diminution de la
réaction
à la lu- mière. Forte exagération des réflexes
l'aura gagné. Pour l'indifférent qui con- sidère les péripéties des
réactions
réciproques des éléments en présence, la condit
e les éléments en pré- sence, il y tout un ensemble d'actions et de
réactions
. Séparé de tou mi- lieu, isolé dans la nature,
ce d'une excitation ou d'un ensemble d'excitations données et toute
réaction
est un changement plus ou moins durable de l'or
avorable ou défavorable à l'être composé. Toutes choses égales, les
réactions
vitales maladives survivent biologiquement aux
uement aux conditions qui les ont fait naître, au même titre que la
réaction
de protection de l'élaboration persistante de l'a
on constate un fait général dont il faut chercher la cause dans les
réactions
cellulaires. Tout le monde peut remarquer l'inf
et non pas clans les choses ; dans la nature, il n'y a qu'action et
réaction
et, toutes choses égales, l'homme deviendra vicie
ment fait suffisamment comprendre qu'il ne s'agit ici encore que de
réactions
logiques et physiologiques même dans leurs produc
ôté interne du dos du pied (mars 1906). J'ai étudié il co moment la
réaction
, la composition, la flore microbienne de la lésio
les douleurs avaient complètement disparu. La plaque anémique, sans
réaction
alentour, se transforma peu à peu les jours sui
e de la guérison, de la même asepsie de la plaie, du même défaut de
réaction
dans les ganglions correspondants. M. Oudin avait
hèses : on peut parler N'influences trophiques, on peut par- ler de
réactions
vasomotrices, etc., mais la pathogénie réelle nou
es n'ont pas à leur disposition des substan- ces qui,sans avoir une
réaction
chimiquespéciale,sans lésion superficielle de l
s, de ses idées nouvel- les et suggestives, je vois un phénomène de
réaction
envers la tendance qui porta la même Ecole à l'
de la Neurologie moderne que fut M. Charcot. Mais je crois que la
réaction
suivra encore une fois, je crois que l'hystérie
e mouvement d'élévation se font très lentement et difficilement, la
réaction
pupillaire à la lumière et à l'accommodation es
contractées, réagissent bien à la lumière, à l'accommodation et par
réaction
sensitive. Il ne présente aucun signe patholo
les malades atteints de paralysie faciale grave, c'est-à-dire avec
réaction
de dégéné- rescence complète d'emblée. Chez ces
e l'électricité doit être réservé aux cas de paralysie faciale avec
réaction
partielle de dégé- nérescence ou sans altératio
à la guôrison, du côté gauche où l'on constatait l'existence de la
réaction
complète de dégénérescence. , - A. FrriAYROU.
ournit : inexcitabilité faradique par action directe ou indirecte ;
réaction
dégénérative galvanique avec contraction lente
nsibles extrêmes ; l'exercice augmente mécaniquement la capacité de
réaction
des appareils coordinateurs et habitue les appa
est chez tous les deux normale ; aussi aucune insuffisance dans la
réaction
pupillaire pour la lumière et la con- vergence
uccessivement, soit simultanément, selon les circons- tances, trois
réactions
différentes : 1° Une réaction motrice, dans les
, selon les circons- tances, trois réactions différentes : 1° Une
réaction
motrice, dans les muscles desservis parle nerf
ndant de l'action des muscles de l'éminence hypothénar ; , 2° Une
réaction
purement sensible consistant dans la dou- leur
t, et aussi de vagues douleurs locales ; 3° Une autre et dernière
réaction
, qui consiste en flexion du bras, contorsions d
s exclamations de souffrance. Bier- nacki a désigné cette troisième
réaction
sous le nom mal choisi de réflexe. Disons sur
te, et nous ne parlerons que de la pré- sence ou de l'absence de la
réaction
douloureuse. Tel est le signe décrit par Bierna
xpériences mul- tiples on constata que : chez 58 d'entre eux, toute
réaction
douloureuse était absente ; chez 35 d'entre eux
, toute réaction douloureuse était absente ; chez 35 d'entre eux la
réaction
douloureuse existait à différents degrés. Chez
femmes, les chiffres correspondaient aune proportion de 56/100 sans
réaction
douloureuse, 36/100 avec réaction douloureuse e
aune proportion de 56/100 sans réaction douloureuse, 36/100 avec
réaction
douloureuse et 8/100 douteux : résultat presque
les formes de psychoses. Sur les 200 hommes, 0/100 présentaient une
réaction
doulou- reuse perceptible, 39/100 ne sentaient
100 femmes, les rapports numériques sont semblables, dans 07/100
réaction
douloureuse perceptible ; 33/100 témoignent d'u
action douloureuse perceptible ; 33/100 témoignent d'une absence de
réaction
. Il y a donc une petite différence en faveur de
ence de réaction. Il y a donc une petite différence en faveur de la
réaction
douloureuse, ce qui peut s'expliquer par une pl
or, chez ces malades, 23, soit 74/100 montrèrent l'absence de la
réaction
douloureuse en question. Ce nombre vient con- f
abes. Ces résultats, conformes à ceux de Cramer, indiquent que la
réaction
douloureuse du cubital manque plus souvent chez
le font judicieusement remarquer Boedeker et Falkenberg, que cette
réaction
de Biernacki n'est pas inaccessible aux objecti
r désireux de fixer avec certitude la pré- sence ou l'absence de la
réaction
en chaque cas particulier, on est bien obligé d
es, régulières, réagissent bien directement et par association, par
réaction
sensitive, c'est-à-dire en piquant la malade su
éagissent direc- tement et par association à l'accommodation et par
réaction
sensi- tive. Le réflexe pharyngien est un peu d
issent bien directement et par association à l'accommodation et par
réaction
sensitive. Le malade reconnaît les couleurs et
ement et par association à la lumière et à l'accommo- dation et par
réaction
sensitive. Il n'y a pas de diplopie monocu- lai
fonctionner sous cette influence. Au moment de sevrage, la violente
réaction
organique que produit la reprise de l'activité
ant une excitation vive et soudaine de l'organisme, il provoque une
réaction
énergique. Mais cette réaction qui aboutit à l'
aine de l'organisme, il provoque une réaction énergique. Mais cette
réaction
qui aboutit à l'élimination des cellules glandu
diminution parallèle des excitabilités galvanique et faradique ; la
réaction
de dégénérescence faisait défaut, ce qui indiqu
r l'état de l'excitabilité électrique des nerfs et des muscles ; la
réaction
de dégénérescence, même partielle, est un signe d
par M. G. Marinbbco. [Presse médicale, 5 octobre.) A la phase de
réaction
a distance, qui se produit, à la suite de la se
Van Gehuchten admet que ces éléments subissent, après la phase de
réaction
, une phase de destruction ou de, dégénérescence a
et que les altérations cellulaires aient été la manifestation de la
réaction
à distance qui se produit dans toute cellule dont
doit sans doute être regardée comme un produit et une indication de
réactions
spéciales de l'organisme de l'épileptique, réac
indication de réactions spéciales de l'organisme de l'épileptique,
réactions
qui nous sont encore inconnues mais qui, après
u'autant que seront découverts la cause et le lieu d'origine de ces
réactions
anormales de l'organisme épileptique. (The alie
trefois en relation avec elle. Elle a, par moments encore, quelques
réactions
violentes quand on l'approche; de temps. en tem
confusion mentale avec, dans les sphères alfective et motrice, des
réactions
qui sont en rapport avec les perceptions fausse
e, l'agitation désordonnée de la malade n'étant, elle aussi, qu'une
réaction
secondaire et la fuite des idées n'étant, en ré
nérale ; idées délirantes d'ordre mélancolique ou mégalomaniaque,
réactions
en raison de ces troubles multiples et polymorphe
tif, une deuxième phase de troubles sensoriels prédomi- nants, avec
réactions
concordantes, mais troubles multiples, variés,
i ensuite nous l'exposons brusquement à la lumière en l'ouvrant, la
réaction
pupillaire de resserrement consécutif à une dil
déterminé les lésions en agissant directement sur la cellule parla
réaction
à distance sur le cylindraxe. Les expériences d
névrite. L'exploration électrique nous dévoila l'existence de la
réaction
de dégénérescence, mais elle ne nous servit pas p
ée par la pression surles troncs nerveux et la masse musculaire, la
réaction
de dégénérescence, la paralysie, l'amyotrophie, l
ainsi que diminution de l'excitabilité faradique et galvanique sans
réaction
de dégénérescence. Le tremblement du membre sup
t par intervalles chez les persécutés systématiques. En parlant des
réactions
de ces malades, nous devons une mention toute p
nter sur son triste- état. Mais ce sont là manifestement de simples
réactions
émotionnelles, très passagères d'ailleurs, prov
du sujet, suivant aussi leur degré d'intensité, donnent lieu à des
réactions
différentes, capables de changer complètement l
e pendant plusieurs heures. Excitabilité électrique normale, pas de
réaction
de dégénérescence. Les mouvements du membre inf
pas de contracture réelle et que la raideur musculaire n'est qu'une
réaction
de défense, d'opposition négativiste. Alimentatio
ocalisée et l'examen électrique ne mon- tre aucune modification des
réactions
normales. Dans les divers mouvements commandés
de troubles des réservoirs ; ni sucre, ni albumine dans les urines.
Réactions
électriques. - Les muscles dépendant du facial se
facial se contractent normalement par les courants faradiques. Les
réactions
des masséters et des temporaux sont au contrair
r droit de la parésie spasmodique avec mouve- ments choréiformes et
réactions
électriques normales. Le membre infé- rieur du
nfé- rieur du même côté est plus court que le gauche et présente la
réaction
de dégénérescence dans les muscles péroniers.
xterne et interne et des muscles tenseur du fascia lita et jumeaux,
réaction
de dégénérescence dans le muscle jambier antéri
e à celles des ganglions voisins. Et ceci nous explique pourquoi la
réaction
vicieuse du sympathique ainsi impressionné, se
ré la lésion névritique initiale. ' C'est sous l'influence de cette
réaction
du sympathique que s'établit dans la zone lésée
s vaso-constricteurs. Quoi qu'il en soit, et en tout cas, c'est une
réaction
défectueuse du sympathique aux excitations du p
tout étudiés par H. Meige, reconnaissant tous deux pour origine une
réaction
vicieuse du sympathi- que sur la formation de l
use du sympathi- que sur la formation de la lymphe des tissus, mais
réaction
vicieuse due à-une malformation congénitale ou
système sympathique dans les cas héréditaires ou familiaux, et une
réaction
vicieuse à un influx nerveux lui-même vicié par
le de la III' paire gauche, et une hémianopsie homonyme droite avec
réaction
hémiopique de l'oeil droit. L'auteur émet l'hyp
à un léger ptosis gauche et à une hémianopsie homonyme droite avec
réaction
hémiopique. L'auteur s'appuie sur la présence d
que. L'auteur s'appuie sur la présence du ptosis et sur celle de la
réaction
hémiopique (qu'il juge pathognomonique des lési
le de l'oculo-moteur commun droit, hémianopsie gauche homonyme avec
réaction
pupillaire hémiopique. En peu de temps les deux p
ouvons pas dans notre observation de renseignements re- latifs à la
réaction
hémiopique de Wernicke ; nous savons seulement qu
s dans notre cas les meilleures conditions pour la production de la
réaction
hémiopique qui, selon Wernicke et d'autres aute
grise et blanche, dus à la résorption des éléments al- térés, de la
réaction
inflammatoire autour des foyers, des dégénérescen
térations douteuses ou anciennes de la sensibilité objective, sans
réaction
de dégénération et d'un cours rapide ; la forme
e, avec des altérations profondes de la sensibilité objective, avec
réaction
de dégénérescence et évolution lente. Pour plus
ns les segments périphériques des extrémités, légère diminution des
réactions
électriques, galvaniques et faradiques, directes
vaniques et faradiques, directes et indirectes, sans aucun signe de
réaction
de dégénérescence. '. Le petit malade fut soumi
s tendineux, aucun trouble de la sensibilité, légère diminution des
réactions
électriques aux extrémités inférieures, réactions
re diminution des réactions électriques aux extrémités inférieures,
réactions
pres- que normales dans les supérieures. On c
ale en POLYNÉVRITE AIGUË INFANTILE 219 apparence ; diminution des
réactions
électriques, faradiques et galvaniques, directe
bilité électrique en apparence augmentée lorsqu'on fait l'étude des
réactions
. Elle fut soumise au même traitement que les ca
t, elle boitait un peu et tour- nait le pied gauche en dehors ; les
réactions
électriques du muscle droit anté- rieur et du n
e de la douloureuse, qui me parut diminuée dans la main droite. Les
réactions
élec- triques, faradiques et galvaniques révélè
vaniques révélèrent de la diminution aux quatre ex- trémités, et la
réaction
de dégénérescence aux muscles innervés par le ner
a position debout en se s'appuyant aux objets, ou murs voisins; les
réactions
électriques paraissaient être normales; l'atrophi
être normales; l'atrophie de l'éminence thénar s'améliorait et les
réactions
de l'opposant, du fléchisseur et du court abduc
xterne totale et complète à l'oeil gauche, et incomplète au droit ;
réaction
pupillaire à la lumière très sensible, et impos
\IGUE INFANTILE 221 1 existent avec inversion polaire, c'est-à-dire
réaction
complète de dégéné- rescence ; enfin anesthésie
ète de dégéné- rescence ; enfin anesthésie électrique à l'étude des
réactions
. J'ordonnai le même traitement que dans les cas
démontré Duchenne et Charcot, le sont définitivement. L'étude des
réactions
électriques est, sans doute, le moyen de la plus
e dans les muscles innervés par le médian droit du live cas, et les
réactions
galvaniques bien qu'inverties dans les pre- mie
ées seulement; enfin,dans les formes graves, il existe une complète
réaction
de dégénérescence ou une abolition de réaction,
existe une complète réaction de dégénérescence ou une abolition de
réaction
, bien plus étendue que dans la paralysie spinale
dans la polynévrite aiguë infantile généralisée, ou il n'y a pas de
réaction
de dégénération, et alors nous pouvons éliminer l
n obtient par l'atropine et l'iris est réduit à un mince liseré. La
réaction
à une lumière, même intense, est absolument nulle
on des collyres ; mais l'instillation d'eau pure ne provoque aucune
réaction
; il en est de même de l'électricité. Dans l'
hyponchon- driaques ou mélancoliques, mais rarement surviennent les
réactions
sui- cides. En revanche, les réactions médico
s rarement surviennent les réactions sui- cides. En revanche, les
réactions
médico-légales fâcheuses autres ne sont pas rar
t sevré à temps, peut apparaître l'accès de manie haschichique. Les
réactions
actives s'accumulent alors avec une ra- pidité
nt puisqu'il n'y a guère d'atrophie musculaire ni de trou- bles des
réactions
électriques.. Voilà les seules localisations du
ires sont en général bilatéraux, ils ne sont pas très intenses, les
réactions
électriques sont peu troublées au ni- veau des
que la pupille droite était un peu plus large que la gauche, que la
réaction
des deux à la lumière était peu ample et paress
substance blanche se recon- ' (1) W c.noE, Société de Biologie, La
réaction
névroglique dans l'encéphalo-malacie, 18 févrie
rf médian on remarquait des corps arrondis ou ovales que, par leurs
réactions
, .11olseliewnilçoff' déclare être des corps hya
on entourage d'ailleurs en avait fait un jouet, il s'amusait de ses
réactions
d'imbécile, et c'est ainsi provoqué qu'un jour
entière sur tout le corps et dans toutes ses formes. L'examen des
réactions
pupillaires, du champ visuel et du fond de l'oeil
s ce moment cette violente action musculaire est corri- gée par une
réaction
légère : l'apposition de deux doigts de la main g
(trapèzes, deltoïdes, pectoraux), ne présentent pas d'anomalie des
réactions
électriques. Ces modifications observées dans l
ujours défaut, tandis qu'il existe toujours dans une paralysie avec
réaction
dégénérative. En examinant le mouvement des mus
idées, dans les actes qui ne sont plus que des'associations ou des
réactions
involontaires et'au- tomatiques : ainsi se prod
louses* angoissantes et insurmontables, abou- tissant parfois à des
réactions
impulsives criminelles irrésistibles. Il cite m
but, il y a toujours dilatation des pupilles. Un cas de perte de la
réaction
à l'accommodation avec conservation de la réactio
s de perte de la réaction à l'accommodation avec conservation de la
réaction
à la lumière (interruption des connexions entre
t; ? «i *' ">> " 'i ' i;- ' · ' , 1° De/Ia'*persistance de la
réaction
' pupillaire aux'excitants cutanés sensitifs ma
aux mêmes excitants sans l'hypoalgésie ; 3° De l'absence de la même
réaction
dans les mêmes conditions avec .11yperalgésie.
suelle (synergique) des pupilles peut exister quand il n'y a pas de
réaction
à la lumière (des deux côtés). Dans la plupar
ations sen- , sérielles suivent une.loi conforme aux formules de la
réaction
élec- , trique du nerf auditif. , ? 1C), ' . f|
r- ; légère diminution de la force musculaire brute; légère ataxie;
réaction
dégénérative des muscles terminaux. Amélioratio
tête ou sur les épaules, le malade étant droit, et consiste dans la
réaction
tendant au redressement antagoniste de la colon
avant-bras et des bras et atrophies partielles, diminu- tion de la
réaction
électrique et réaction dégénérative par places,
et atrophies partielles, diminu- tion de la réaction électrique et
réaction
dégénérative par places, troubles de la sensibi
s des extrémités inférieures sont à un haut degré exagérés ; 6°, la
réaction
psychophysique de la sen- sation tactile^ et de
teur et de son innervation.' Le suc gastrique de ces malades a une
réaction
faiblement acide au tournesol, et réagit rarement
u début, les pupilles sont toujours dilatées. Un cas de perte de la
réaction
à l'accommodation avec conservation, de la réacti
de perte de la réaction à l'accommodation avec conservation, de la
réaction
à la lumière (interruption des connexions entre
enti·é`a.ééàm- modateur et le centre sphinctérien). Existence de la
réaction
pupii- laire sous l'influence, des, excitants j
nce, des, excitants jsensitifs malgré l'hypoalgésie : absence de la
réaction
pupillaire sous l'influencé des excitants s'en-
e' par excitation de l'autre,' peut exister quand il y,a perte' de,
réaction
à lalumière,celadesdeusc6tés(quelques,cas) ? h&
(quatre' a*cinq'semaines)Jpu)s il serproduit une diminution dans la
réaction
quantitative"auxl deux3 espèces de courants, la
ts, la REVUE D'ANalTO\fIEtET DE PHYSIOLOGIE, PATHOLOGIQUES .t 223
réaction
quantitative gdemeurant intacte.-Au delà') d'uni
perfectionnement apporté aux instruments DE mensuration du temps de
réaction
; par BEV : 1N Lexis. (The Journal of Mental Sci
ffets compliquent, dans une certaine mesure, la symptomatologie des
réactions
encéphaliques. De plus, tout événement psycho-p
vrir les fonctions normales des organes de l'homme par l'étude des
réactions
morbides provoquées dans ces organes en con- sé
à ceux de la destruction des tissus et compliquent à tel point les
réactions
fonction- nelles que toute tumeur cérébrale, qu
ets de la destruction limitée des centres nerveux, ont provoqué des
réactions
complexes- dont le point de départ ne peut pas
om- plexes qu'on arrivera à déterminer les lois qui régissent les
réactions
fonctionnelles des diverses parties de l'encéphal
es suivent aussi' une certaine<loi ? conforme aux formules de la
réaction
électrique du nerf acoust.ique.9m 91<th.ianiP
ie joigne ''dé Roniber ? lénère diminution de 1 , «". ler ? elle;
réaction
dégénéràtivépartièllê 'surtout/des musclêssJdes''
° . , '' r , n M.jRêdlich appelle l'attention' sur l'étude de. la
réaction
consen- suelle : c'est-à-dire sur la façon'dont
deux novauxdes deux oculo-üiolëurs. - t'-t- j' r ' , - Mais cette
réaction
consensuelle n'a pas lieu quand il 3` rigidité
ersécution avec tendances à la systématisation : interprétations et
réactions
carac- téristiques. Bouffées secondaires épisod
UR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 327 19 ? juin ? Les ^
réactions
? d'aspect' mélancolique' s'accentuent. P... pl
ôle . important/ dans -la genèse d'unsdélire de persécution et de
réactions
à forme mélancolique et enfin de la variété d'as-
nt avoir tenu sous leur dépendance les idées de persécution ,et les
réactions
violenies qui ·se,manifestaient. Puis les hallu
victime.'Les interprétations de ? ses 'sensations anormales,' les
réactions
provoquées par les' hallucinations,' l'attitude,1
u point de vue de leur'sensibilité/'on note ? à7droite ? absence de
réaction
à la lumière* et dans l'obscurité,1'' parésie a
umière. L'inégalité- pupillaire3 a presque disparu; à droite, toute
réaction
de la pupille fait'défaut.'à gauche, en' plus d
uche, contraction peu marquée, sous 1 influence de la lumière; mais
réaction
normale .a.1 l'accommodation. f; ? . , .. , , .
"' '" . `r . r, ? III. RELATIONS.ENTRE, L'EXCITANT ÉLECTRIQUE ET la
réaction
? . T- NERVO-MUSCULAIRE ; par Mares. L'auteur q
sculaire. Il estproblable ajoute- t-il qu'il en est de même pour la
réaction
sensitive et que contrai- rement à la loi de We
de Fechner qui semblent indiquer un rapport entre l'excitant et la
réaction
physiologique, on ne distingue les divers excit
d'excitation les unes sur les autres et action électrotonique. z V.
RÉACTIONS
galvaniques DES organes DES sens ; * J * par pa
t r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I.
RÉACTIONS
ÉLECTRIQUES DANS LES MALADIES NERVEUSES. Dans l
le D'' C.Dana a communiqué les résultats de ses recherches sur les
réactions
, électriques dans les maladies à lésions,, spinal
cet ' instrument' l'auteur a pu' obtenir une' forme particulière de
réaction
qu'il nomme réaction diffusible.- Cette der- ni
uteur a pu' obtenir une' forme particulière de réaction qu'il nomme
réaction
diffusible.- Cette der- nière diffère des contr
res de la dégénérescence et serait un mode'particulier du mode de
réaction
de dégénérescence bien qu'on ne la rencontre pas
ains muscles adjacents. M. Leszinsky conclut de recherches sur 'les
réactions
électriques dans les névrites traumatiques que
nt'souvent'plus d'impor- tance au point de vue du pronostic que' la
réaction
de dégénéres- cence dont l'existence n'est pas
rtain nombre de paralysies faciales invétérées il n'a pu obtenir la
réaction
de dégénérescence.' "' ' ' "' « r;jr .« ? ? t ?
ouse 289. ' v. '' D1'3TROPIIIES musculaires progres- , sives avec
réaction
dégénérative, par, Iloppe, 187. ÉCOLES de gar
ECt'RODtAGNOSTIC,4t2. Electrique, relation entre l'excitant et la
réaction
nervo-musculaire, par Mares, r39 ; réactions -
ntre l'excitant et la réaction nervo-musculaire, par Mares, r39 ;
réactions
- dans les maladies nerveuses,' par Dana, 449
t.igion -de ,1a- ,'f par de Boeck. ' 295." «'«S" - "" Galvaniques
réactions
des organes ''des sens, par Kusselbach, 440.
erfectionnement h ? apporté dansées instruments de xj, du temps de.
réaction
? par . Lewis, 224. , »fir , ? ? '.v v-ys Mic
HAL, (Neurolog. Centralbl.. XV, 189G.) Observation I. Etude de la
réaction
électrique et mécanique du radical et des muscl
lésions secondaires, caractérisées tout d'a- bord par une phase de
réaction
et par une phase de dégénéres- cence. Au cours
ude des névrites dégénératives. Ces névrites s'accompagnent d'une
réaction
à distance dans les centres des nerfs lésés, on d
ui en sont atteints les lésions corres- pondant aux trois phases de
réaction
, de dégénérescence et de réparations. M. Marine
s faits à l'appui de cette manière de voir. La connaissance de la
réaction
à distance éclaire aussi d'un jour nouveau la q
re aussi d'un jour nouveau la question de la névrite ascendante. La
réaction
à dis- 60 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pa
e la moelle consécutives aux amputations on a souvent affaire à une
réaction
à distance et non à une névrite ascendante, com
s lésions vascu- laires qui font presque défaut dans les lésions de
réaction
à dis- tance ou lésions secondaires. Les lésion
! 'MH/tCt ? XVIII, N. F. vi, 1895.) Exaltation des études sur les
réactions
chromophiliques des cel- lules ! Nissl prétend
le professeur Ewetsky) fut cons- taté ce qui suit : la vue = 0, la
réaction
à la lumière conservée, le fond des yeux et les
supposition plaide l'atrophie dégénérative de certains muscles avec
réaction
de dégénérescence ou même avec abolition complète
ilité électrique des muscles de la langue était très abaissée et la
réaction
de dégénérescence était très marquée. Le palais
z la suite de ces injonctions réitérées il a constaté une série de
réactions
rap- pelant celles qui suivent le réveil nature
érie de réactions rap- pelant celles qui suivent le réveil naturel,
réactions
qui étaient accompagnées d'une régression de la
ession d'une ou des deux bandelettes optiques, avec abolition de la
réaction
pupillaire ; soit enfin, et c'est le cas plus c
de crochets bien nets. En quelques points, taches hémorra- giques.
Réactions
normales des pupilles ; il ne parait pas y avoir
ite, pas d'achromatopsie; aucun trouble de la musculature oculaire,
réactions
pupillaires normales. Examen opthalmoscopique.
du côté de la musculature oculaire. Un peu d'inégalité pupillaire.
Réactions
nor- males ; cependant quant on les expose à la
cllni.-l3epa d'épreuves d Ewald. Extraction une heure après. Aucune
réaction
au vert brillant. Réaction de Gunsburg négative.
wald. Extraction une heure après. Aucune réaction au vert brillant.
Réaction
de Gunsburg négative. Teinte jaune par le négat
ne, il n'y a aucun trouble dans la musculature oculaire ni dans les
réactions
pupil- laires. Pas de tremblement de la langue.
orme psycliopatllique. Le principal de ces caractère est le mode de
réactions
vis-à-vis des idées délirantes. Les actes délictu
plutôt que dans le délire, dans le caractère impulsif et la prompte
réaction
motrice an moindre stimulus : le délire paranoi
moyen. La pupille droite est plus large que la pupille gauche ; la
réaction
pour la lumière est normale. Les' réflexes pate
prédominance du côté opposé qu'on constate une légère mydriase. La
réaction
hémiopique pupillaire serait trouvée par l'auteur
olorés, ce qui prouve que quelques cellules de l'ecorce ont la même
réaction
chi- mique que la cellule de Purkinje. Le nombr
ion de l'excitabilité, c'est-à-dire une altération quantitative des
réactions
électriques des nerfs et des muscles du côté pa
est caractérisé par une faiblesse générale du tonus, associée à une
réaction
, à une irritabilité exagérées. L'rritabilité ne
Le temps qu'il emploie à les résoudre, c'est-à-dire la durée de la
réaction
psycho-physique ; 4° Noter les phénomènes conco
ment de honte qui lui laissait au front une violente rougeur. Cette
réaction
s'est produite au contact de 4 personnes différ
uent l'augmentation des habitudes psycho-motrices et la variété des
réactions
qui constitue les phénomènes psycho-moteurs. e)
différencié. Il distingue deux groupes parmi les instables, ceux à
réactions
rapides et délicatement adaptées (géniaux) et c
délicatement adaptées (géniaux) et ceux à instabilité aveugle ou à
réactions
destructives. Des personnes semblables réagisse
ne permettant aucune épargne d'énergie nerveuse et entrai- nant des
réactions
indues aux excitations extérieures ou internes
organique. Cet état affectif et émotionnel détermine chez nous des
réactions
spéciales en rapport avec le côté moteur, des r
ez nous des réactions spéciales en rapport avec le côté moteur, des
réactions
d'ordre psychomoteur qui, à leur tour, réagisse
us les mêmes qu'autrefois, les impressions sont changées quant à la
réaction
provoquée. « Elles se sont faites contraires, »
pressions qu'appor- tent les sens ne parviennent pas à éveiller des
réactions
mo- trices conscientes. C'est qu'une étroite re
véritablement les organes de l'intelli- gence. » C'est que des «
réactions
psychomotrices sont liées indisso- lublement au
ent aux images perçues » par une sorte d'imitation réflexe. « Ces
réactions
motrices, faiblement adhérentes au moi, en rais
rte de faiblesse irritable d'hyperesthésie morbide. Le malade a des
réactions
émotion- nelles exagérées et des inquiétudes re
à hurler et à mordre, se croient métamor- phosés en loups. * Les
réactions
inhibitoires qu'exercent les impulsions maladiv
ibition, sur laquelle nous avons insisté précédemment, anéantit ses
réactions
volontaires et le condamne à l'impé- nitence.
angement produit dans l'individualité amène au début des efforts de
réaction
, des états anxieux ; mais dès que les malades s
ctures qui existent souvent, par l'exagération des réflexes, par la
réaction
électrique normale. Les paralysies hystériques
'élément nerveux doivent toujours être considérées comme de simples
réactions
à des actions extérieures. Et par l'extérieur (
nt excitable par toute excitation, mais que ses qualités propres de
réaction
sensible sont réglées de telle manière qu'elles
pières supérieures étaient tombantes, les pupilles dilatées et sans
réaction
à la lumière, l'axe des yeux était dévié en ded
xes. Il est impossible de pousser plus avant les localisations. Les
réactions
électriques n'ont pu être recherchées. 16 sep
es ; ces fibrilles, nous le répétons, n'ont pas aux colo- rants les
réactions
du tissu conjonctif, mais bien celles de la sub
oumoins épaisses àtous les niveaux, aussi nous avons observé cette
réaction
du côté des cellules épendymaires sur laquelle no
condition essentielle de genèse pour ce qu'on pourrait appeler les
réactions
paradoxales. Plus le malade était religieux, ob
entaire que nous avons enregistré plus haut, on observera alors des
réactions
vraies, de vérita- bles volitions par lesquelle
hologiques, t. V, 1815 et 1833. 4G2 PATHOLOGIE MENTALE. tique aux
réactions
motrices qui font articuler automatique- ment d
cerveau droit du cerveau gauche. Et d'abord, ils diffèrent par leur
réaction
pathologique sur la moelle ; le plus souvent, l
ue les phénomènes de contracture ont apparu. La nature intime de la
réaction
cellulaire qui se produit à la suite de l'inocu
tendineux sont abolis des deux côtés. Les interosseux n'ont pas de
réaction
électrique, ni à droite ni à gauche, sauf le pr
ni à gauche, sauf le premier interosseux gauche lequel présente la
réaction
de dégéné- rescence à forme mixte. Il n'y a p
erosseux, et les muscles de l'éminence hypothénar qui présentent la
réaction
complète de dégénérescence. Rien à noter du côt
te de la diminution de la contractilité faradique, et souvent de la
réaction
de dégénérescence soit dans tous les muscles, s
r'M. Vigouroux, qui m'aremis'la note sui- vante : Absence totale de
réaction
(faradique et galvanique) dans les.muscles inne
l'obligeance de 11. Vigoureux). j\évrite dûcûhitàl.7auchë : Aucune
réaction
'des iutcrosséw : imii;enée tléïiar ? illduc- Ú
contraction du court fléchisseur du petit Iloi1 el rien de plus. La
réaction
de dégénérescence est bien complète. l'as de réac
n de plus. La réaction de dégénérescence est bien complète. l'as de
réaction
faradique et réaction galvanique avec l'anode b
de dégénérescence est bien complète. l'as de réaction faradique et
réaction
galvanique avec l'anode bien plus forte qu'avec l
zone innervée par le cubital. L'examen électrique fait constater la
réaction
de dégénérescence type pour le premier inteross
urs et supérieurs au-dessus de la moyenne, présen- tant partout une
réaction
électrique normale ainsi qu'il résulte de l'exame
é se lit de droite à gauche). . NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES. 3 ! )
réaction
chargé de poids que l'on fait tenir à la main, le
ment habituel des bobines. Ici M. Erb donne un tableau des diverses
réactions
électriques. Le ré- sumé des résultats obtenus
Si sur une cataleptique et sur un simulateur on place un tambour à
réaction
sur le bras étendu et un pneumographe sur la po
15. Fiv. 3. - Tracé obtenu sur la malade Ant. E... par le tambour à
réaction
placé sur la face dorsale de la main droite, le
'. Les bras de la malade sont étendus horizontalement, un tambour à
réaction
placé sur la main droite. Le tracé, pris pendan
nts de la sensibilité générale ou spé- ciale. L'étude du temps de
réaction
aux excitations cutanées (les yeux clos) donne
citations cutanées (les yeux clos) donne les résultats suivants :
Réaction
de la main droite : .' NOUVELLE ICONOGRAPHIE
té générale et spéciale et une augmentation de la durée du temps de
réaction
. ' L'absence du grand- pectoral n'est pas une a
ux cotes avec une prédominance pour la jambe contracturée. Mais les
réactions
des deux jambes laissent bien moins d'écart ent
es laissent bien moins d'écart entre elles qu'il n'y en a entre les
réactions
des deux jambes d'une part et celles des bras d
ieurs ? C'est probable. Tout ce qu'on peut affirmer, c'est que la
réaction
de dégénérescence n'existe pas pour les muscles
proportion du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de
réaction
de dégénérescence ; 5° cette atrophie peut se d
C'est donc d'une atrophie simple qu'il s'agit ; il n'existe pas de
réaction
de dégénérescence. Les faits étudiés par M. Bab
es 2C oc- tobre 1889 et 28 novembre 1889 par M. Vigouroux donne les
réactions
sui- vantes : Excitabilité éteinte dans les 3°
e très faible. Thénar, excitabilité faradique conservée. En résumé,
réaction
de dégénérescence très nette. Réflexes rotuli
vante 362 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. (18 avril) : «
Réaction
électrique nulle pour le thénar, normale pour les
reux pré- sentaient, dans les territoires musculaires atrophiés, la
réaction
de l'atrophie simple. Or, le malade de l'observ
mment au niveau des interosseux, les caractères les plus nets de la
réaction
de dégénérescence; chez les deux autres malades,
lors que tout plaide en faveur de la névrose. Évidemment non, et la
réaction
de dégéné- ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L
atiqué par M. Vigoureux a démontré très nettement l'existence de la
réaction
de dégénérescence. III On a pu remarquer, en
supérieurs qui sont gonflés jusqu'aux épaules sans rougeur vive ni
réaction
inflammatoire; impotence. On diagnostique rhumati
ois, il serait prématuré de rien conclure à cet égard, avant que la
réaction
ait été recherchée sur les individus absolument s
malade. En tous cas, la différence observée dans les deux modes de
réaction
, mon- tre bien qu'il ne s'agit pas d'exciation
es, saillie très faible. Enfin chez un 4° malade qui présentait une
réaction
cutanée d'intensité moyenne, après une série de
llL dill11llu('e cL présente des modili- ntliun" iii4li(ittaliL lit
réaction
de dt") : : ('I1('- rescence. La malade dit, en
eurée slalionnaire, tant au point de Mie esthétique, qu'à celui des
réactions
électrique*. Les sjmplomes n'ont subi aucune mo
es para- lysés qui sont innervés par le sciatique poplité externe ;
réaction
ilégénéralivc partielle des deux extenseurs pro
affection par les petits muscles des pieds, 1'tt-o de la malade, la
réaction
dégénérative partielle, les douleurs lancinanle
s ce serait aussi une forme atypique iL raison de l'existence de la
réaction
dégénérative de concert avec le début de la para-
est affecté d'une mydriase persistante de [' ! T'il gauche ; toute
réaction
à la lumière, à l'accommodalion, à la convergen
cte. Il n'y a ni ulcère gas- trique, ni ulcère intestinal/C'est une
réaction
insolite des mu- queuses. - P. KERAVAt . REVU
cs delà sensibilité, l'existence de contractions librillaires et de
réaction
de dégénérescence jus- Cilieiit le diagnostic d
ssants, fluctua- tions dans son intensité, prolongation du temps de
réaction
\0- lontaire, état (les rulleves tendineux très
atrophie des divers muscles de la main et du pied et avec traces de
réaction
de dégénérescence, ou (roubles objectifs de la
u troubles de la sensibilité, pas de signes du paralysie bulllaire.
Réactions
électriques simplement rlimintlucs sansR. 1). A
lles sont déformées et inégales, la pupille gauche plus grande; les
réactions
lumineuses sont très faibles et très lentes. Re
mais qui affectaient le plus souvent la forme mélancoli- que, avec
réaction
et suicide, dont le malade héritait directement
organismes dans le marasme ou défunts qui ne manifestent aucune des
réactions
de la \ il', Par des expé- riences bien conduit
eau peuvent il l'occasion y aboutir; c'est quand ils produisent une
réaction
inflammatoire très intense ou quand la yslil'l'
11 j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' 139 1 \ \L\'. Sur le temps de
réaction
aux stimulus électri- ques cutanés d'intensité
scles pos- térieurs de l'avant-bras sont atteints de paralysie avec
réaction
de dégénérescence. Formes frustes de lésions-
reparaissent souvent. IL s'agit néanmoins d'un délire actif, et les
réactions
delà malade il cette épo- que en témoignent lar
méconnu la signification quasi-spécifique de la sté- réotyllic. Une
réaction
motrice ne mérite le nom de sté- reotypic que s
cun contenu idéo- afl·ectif,cn un mot. C'cst d'après l'ensemble des
réactions
que présente le malade, d'après sa façon généra
mement vague et remarquablement élastique où l'on pourra voir les
réactions
conscientes et volontaires d'un délirant cou- d
istes. L'émotivité de l'hémiplégique, si elle est, à l'origine, une
réaction
logique et consciente -us-à-vis de son véritabl
trent chez l'hémiplégique, qui dédaigne presque toute tentative de
réaction
psycho-motrice, il en est quelques-uns qu'une irr
la sensibilité, de sensibilité à la pression des troncs nerveux, de
réaction
dégénérative, l'allure des réflexes, tout cela
la pression du muscle, tels sont les symptômes. Rien du côté de la
réaction
électrique. P. 11ERA\'AL. L1V.- Communication
- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 237 portent : l''quel'urine a une
réaction
acide plusou moins intense à la seconde période
côté, avait conclu que le syndrome (l'Erb-Goldflam, de même que la
réaction
de fatigue, pouvait se montrer au cours de dive
Dans l'article de M. le D1' Siiiioii, 1). 108 ligne 4 : au lieu de «
réaction
el suicide )', lire : réaction suicide. Page 11
iioii, 1). 108 ligne 4 : au lieu de «réaction el suicide )', lire :
réaction
suicide. Page 110, à la 3e ligne finale, au lie
et de celui du pied étaient conser- vées, quoiqu'encore en état de
réaction
chromai) tique. Ces faits paraissent à l'auteur
cherches'qui ont rendu possible l'explicalion du galvanoLuome, delà
réaction
de dégénérescence des muscles, des actions pola
[PllI' t'ail rl'ml1rquer que Il) réflexe qu'il a décrit est non une
réaction
musculaire, mais une contraction Ce sont les co
s contractions en rapport avec la percussion de l'os mataire. Celle
réaction
n'est pas, au reste, la réaction Iibrillaire de
percussion de l'os mataire. Celle réaction n'est pas, au reste, la
réaction
Iibrillaire de MacCarthv·. Le réflexe sus-orbit
OGIE MENTALE. 309 \ \ I ll. - Les névroses dans le milieu scolaire.
Réactions
réciproques entre élèves et maîtres au point de
divers, propre il la paralysie faciale périphérique accompagnée de
réaction
dégénéralive par- tielle ou complète. Il manque
he. Les milieux des deux yeux sont transparents. Pupilles dilatées.
Réactions
31a lumière et. l'accommodation absentes dans l
E THÉRAPEUTIQUE. 321 modérément dilatées et égales avec perte de la
réaction
à la lumière. La ponction lombaire et mieux enc
sichiatrii, VI, 1902.) L'auteur préconise l'examen expérimental des
réactions
sen- sibles, delà mémoire, de l'association des
depuis, ont été et sont toujours insignifiantes comme quantité et
réactions
douloureuses. Etat actuel. (15-20 janvier 1\J05
'interprétations, des idées rétrospectives de per- sécution dont la
réaction
définitive menace d'être grave. Mais celle réac
écution dont la réaction définitive menace d'être grave. Mais celle
réaction
même, de par son caractère pat'oxys- tique et m
e et mal combiné tout il la l'ois, s'éloigne singulière- ment de la
réaction
froide et préméditée des persécutés chroniques
nfluence de l'accommodation semble évoluer sans trouble. Quant à la
réaction
de la pupille à REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
nque du trijumeau, pourvu qu'il ne se produise pas simultanément la
réaction
à la ferme- ture palpébrale, car alors celle-ci
upillaire d'origine sensible. On réussit donc à faire apparaître la
réaction
à la fermeture des paupières chez n'importe qui
précoces, par Dromard, 189. Stimulus électriques. Voir Temps de
réaction
. Stockes-Aiumo. La maladie de - , par Calvo,
7. ' Tmrs DYNASTIQUES. 25j.' 'l'r-S.cus. Voir Idiotie. TEMPS de
réaction
. Sur le - avec stimulus électriques cutanés d
ngles normaux. Doigts malhabiles; cependant aucune modification des
réactions
électriques. Aux pieds, rien d'anormal. Visage
te. La barbe manque à peu près complètement. L'urine est claire, de
réaction
acide : densité 10,10, pas d'albumine. Urée 15,
grammes dans le tissu cellulaire sous-cutané au point de vue de la
réaction
thermique suivant la méthode du professeur Huti
illeurs, les muscles sont un peu diminués de volume seulement, sans
réaction
de dégénérescence. La su- dation est, en généra
ns ce sens. Il a été là, d'ailleurs, d'un plus grand secours que la
réaction
à l'eau salée. L'injection sous-cutanée du séru
huit heures. On ne sau- rait trop dans ces conditions,considérer la
réaction
comme positive : elle est faible et trop retard
alade sue également des deux côtés. Nous avons essayé d'examiner la
réaction
sudorale à la pilocarpine en injectant cinq mil
par M. Huet n'a montré aucun trouble qualitatif ou quantitatif des
réactions
électriques. L'épreuve de la pilocarpine faite
système sympathi- que qui la retourne à la périphérie sous forme de
réaction
anormale par excitation vasodilatatrice ou par
tatrice ou par paralysie vasoconstrictive. L'oedème est produit. La
réaction
des tissus environnants intervient. L'épine irrit
roche en proche s'effectuera, suivant des lignes seg- mentaires, la
réaction
sympathique jusqu'au jour où la moelle mieux édu-
nts, tout est survenu à peu près brusquement, il y a deux ans, sans
réaction
doulou- reuse ni inflammatoire. Depuis cette
ENNE DU NOYAU ROUGE 81 A gauche pupille de dimension ordinaire et à
réactions
normales. Fond de l'oeil normal. M. Dejerine
tubercules de différents âges ; un des lobes supérieurs montre une
réaction
fibreuse intense. Les ganglions trachéaux sont tu
s délabrements et les perforations les plus étendues. Avec moins de
réaction
osseuse, d'autres formes de syphilis crânienne
corce, déjà altérée probablement (malformation, hydrocéphalie) ; la
réaction
inflammatoire et la transformation fibreuse du
aire, il esl vrai, mais bien exacte aux centres nerveux, une faible
réaction
scléreuse, et une tendance peu accusée au ramol
etits muscles du pied chez une jeune fille de 15 ans avec steppage,
réaction
de dégéné- rescence partielle, douleurs, comme
ant ont élé signalées par Léri, Zimmerlin, Oppenheim, Hitzig. Les
réactions
électriques devraient toujours suivre parallèleme
taient conservées- [Scherb (1), Félix Allard (2)]. Mieux encore, la
réaction
de dégénérescence a été trouvée dans de nombreu
rtrophie des membres inférieurs, la disparition des réflexes et des
réactions
électriques, l'absence de contractions fibrillair
me le font les fibrilles des éléments cellulaires névrogliques. Les
réactions
de ces fibrilles., et aussi tous les stades int
es névrogliques, les fibrilles qui en émanent offrent cependant les
réactions
spécifiques bien connues aujourd'hui de la névr
dynamométrique dans le bras droit, et 92 kilogs dans le gauche. La
réaction
électrique des muscles du membre supérieur droit
obtient : NFC légèrement > PFC ; POC > NOC ; POC > PFC. Ces
réactions
sont égales des deux côtés et constantes, quell
attitudes vicieuses pour certains actes déterminés, l'intégrité des
réactions
électriques. l'absence des troubles de la sensi
istinclif est tiré de l'élude des troubles de la sensi- bilité, des
réactions
électriques, et des réflexes. Absents dans les ti
L'absence des modifications de la sensibilité, des réflexes et des
réactions
électriques chez notre malade, son hérédité névro
aux, de même que les réflexes tendineux des membres supérieurs, les
réactions
pupil- laires et la sensibilité cutanée. Le p
nt ne souffre d'aucune douleur, la langue est sensible à toutes les
réactions
de l'examen du quatrième sens (goût) ; elle est l
ts : volume d'urine excrété en 24 heures : 1100 centimètres cubes ;
réaction
acide ; densité : 1019; point cryoscopique, , ,
t ou ait eu des douleurs spontanées au niveau des membres, mais les
réactions
défensives qu'elle présente lorsqu'on comprime
par places, des petits îlots embryonnaires qu'il regarde comme une
réaction
inflammatoire. Malgré une résection aussi étel1
troubles moteurs et sensitifs qui ont été recherchés, ainsi que les
réactions
électriques, avec toute la minutie désirable. E
sissements nodu- laires leur donnant un aspect moniliforme. Leurs
réactions
colorantes sont un peu spéciales. Par la safranin
protoplasmiques. Le cylindraxe elle prolongement de Deiters ont des
réactions
absolu- ment différentes et ne sont pas la simp
et de leur répétition » (4). « La stéréotypie diffère du tic par sa
réaction
motrice; elle n'a jamais l'apparence convulsive
s, sa mangeoire, cela tous les jours, plusieurs fois par jour. La
réaction
motrice de l'habitude de lécher représente un mou
objectivement t de ce que serait un véritable tic de léchage par sa
réaction
motrice même qui ne présente aucun caractère co
e habitude morbide. Si nous ajoutons que ce geste, différent par sa
réaction
motrice particulière de l'acte vulgaire de léch
te normal (2) ; elles n'ont pas l'apparence convulsive. De telles «
réactions
motrices, devenues à la longue habituelles, inv
de lécher qui soit réellement paf' thologique par la modalité de sa
réaction
motrice. La gourmandise, la re- cherche d'une i
ouvent, d'après Nasse, peuvent survenir des accès d'angoisse et des
réactions
à la peur ; cependant ordinairement l'humeur des
mêmes formes; c'est que les malades ont leur indi- vidualité : les
réactions
ne peuvent être que variables, tant qu'on n'a p
éveloppement appréciable. Le parasite possède dans les cultures les
réactions
colorantes v qu'il présente dans le sang. Il se
ne impression sur lui. Ainsi s'explique- rait et le défaut de toute
réaction
émotive et l'absence d'initiative, de vivacité
ttent pas de préciser. Il n'y a pas de vertige galvanique, mais les
réactions
vestibulaires sont intactes, il n'y a pas de si
tement dégénéré sans fibres à myéline, sans éléments nerveux, sans
réaction
névroglique proprement dite, mais avec une quanti
eux. = V = 1 (H in -f- 0,50). Pas de strabisme, fond d'oeil normal.
Réactions
pupillaires et réflexes normaux. Observation II
x =V - 3 - Hm + 0,50. Fond d'oeil et milieux 3 oculaires normaux.
Réactions
pupillaires normales. Le sujet fut soumis au tr
nomènes immédiats, peut persister, dans le sang, comme le prouve la
réaction
de Widal, ne saurait en pareil cas impres- sion
horizontal. Milieux et fond d'oeil 4 normaux. Emmétrope. Vue'= .
Réactions
pupillaires normales. Oscillations pendulaires
cas de paraplégie : dans l'un l'excitation du pied provoquait comme
réaction
unique une contraction réflexe du tenseur du fa
onde nature. Sous l'influence d'une excitation, il se produit une
réaction
qui est proportionnée à l'état congénital et év
ution, par 0 l'excitation accidentelle, et par 1, le résultat de la
réaction
, on a : N' -t E -+- 0) formule valable pour
e diminution de l'excitabilité électrique du tronc du facial, ou de
réaction
dégénérative typique, tandis que l'hypersécrétion
fit de l'examiner quelques instants, à son insu, pour constater les
réactions
extérieures habituelles des hallucinés. 168 SOC
'affaiblissement de la force musculaire, des pupilles étroites avec
réaction
faible et un léger trouble de la parole. Voul
n au cours de laquelle se suc- cédèrent les attitudes stupides, les
réactions
impulsives soudaines, l'agitation nocturne, cer
ssaire d'apporter au début de cette étude quelques précisions : Une
réaction
motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend
le ne prend pas et n'a jamais pris part n'est pas un tic ; si cette
réaction
motrice est la conséquence de l'irritation pathol
e d'un point quelconque de l'axe bulbo-spinal, c'est un spasme; une
réaction
motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a
n à peu près complète des ' tics. Les exemples de ces deux modes de
réaction
sont connus. Il arrive souvent que des enfants
ré de son compagnon ; les idées délirantes qu'il accepte avec leurs
réactions
morbides, qu'il fait siennes et qu'il défend av
rne un délire simultané chez les trois soeurs, ayant entraîné les
réactions
les plus bizarres, l'autre un délire communiqué
oire et souvent de tra- gique horreur, détermine chez le malade les
réactions
les plus inté- ressantes dans leur sincérité et
envahi. Au-dessus, on note de la dégénérescence rétrograde, et la
réaction
à distance des cellules d'origine. Enfin les él
nce endothéliale, sertis de quelques fibres fines, ayant toutes les
réactions
histochimiques de la névroglie; d'autres fois, il
dégénéres- cence caractérisée par l'homogénéisation des tissus avec
réaction
colorante élective en présence des couleurs aci
s centrales, à la formation de con- crétions dont les aspects etles
réactions
colorantes nous paraissent devoir être identifi
malades, mais cela à la condition qne ce massage tiendra compte des
réactions
propres au tabétique, lequel ne saurait être ma
l dans lesquels se manifestait aussi, de la façon la plus nette, la
réaction
réflexe qui caractérise le signe de Babin : ki.
et DUPUT-DUTEIfP3. Depuis trois ans, les auteurs ' ont recherché la
réaction
de la pupille à la lumière chez tous les ' mala
es dans le cerveau. 4° base synthétique. Elle présente toutes les
réactions
que Friedel attribue à la choline. Son chloroplat
n rose par le carmin, prenant le Golgi, elles présentent toutes les
réactions
chimiques et histochimiques des nucléines céréb
i nombreuses et si importantes ne l'ont pourtant pas conduite à des
réactions
dangereuses. Malgré la longue durée de son déli
pouce et de l'ar- ticulaire. Les muscles atrophiés fournissaient la
réaction
de la dégénérescence. Après quelques mois de tr
main droite) ; b. l'existence de contractions fibrillaires ; c. la
réaction
de dégéné- rescence ; d. l'absence d'hérédité;
out sous la pie- mère et autour des vaisseaux de celle-ci; début de
réaction
d'en- céphalite, surtout autour des artérioles
ire et provoqué par l'idée obsédante, dont il représente une simple
réaction
. C'est l'opinion la plus répandue aujourd'hui;
regarde l'émotion comme la consé- quence de l'idée dominante. « La
réaction
de la représenta- tion obsédante sur la vie émo
s la disparition de l'idée fixe. Enfin, si l'émotion n'était qu'une
réaction
de l'idée fixe, son intensité devrait nécessair
te et 3° quand elle se pro- longe outre mesure, en résumé quand ses
réactions
sont mal adaptées à l'intérêt de l'individu ou
e et est acceptée avec toutes ses déductions. Celte lutte, révolte,
réaction
contre l'obsession, l'a fait considérer comme u
ndirect; par A. Pieu. (7Veu ? -o. Cenlralbl., XIX, 1900.) Dans la
réaction
des pupilles, il faut tenir grand compte de la
orsal, s'il est escorté des douleurs fulgurantes, de. la lenteur de
réaction
des pupilles à la lumière, etc., il peut contri-
ion défectueuse qui en préjuge la nature. Au point de vue de leur
réaction
chimique, on peut diviser ces granulations en t
n. qui considère le phéno- mène de chromolyse en lui-même comme une
réaction
utile du neurone, réaction qui survient chaque
mène de chromolyse en lui-même comme une réaction utile du neurone,
réaction
qui survient chaque fois que ce neurone se trou
ogiques per- sonnelles, cette vue que la paralysie générale est une
réaction
de tous les tissus imprégnés de toxines ; il ét
que en raison de l'absence d'atrophie musculaire et de troubles des
réactions
électriques. Atrophie musculaire et poliomyélit
lque petite contrariété, il se met de mauvaise humeur, et alors, sa
réaction
habituelle est la bouderie. Dans ses premières
s dont un bon nombre sont dilatés. Il contient du colloïde avec des
réactions
colorantes normales. La coloration au schralacb
et dans la partie moyenne de la glande, qui attire l'attention par la
réaction
des cellules, la forme des follicules et l'hype
action indirecte, le trouble glandulaire ame- nant par exemple une
réaction
spéciale de la moelle osseuse (prolifération de
le grand intérêt qu'il y aurait à connaître d'une façon exacte les
réactions
de la moelle osseuse dans les différentes modifi-
hogène pourrait agir lui aussi par ce dernier mécanisme, ou bien la
réaction
médullaire pourrait être secondaire aux altérat
à par l'expression d'attente du visage, et par la promptitude de la
réaction
à l'excitation, abstraction faite de la guériso
nteurs sont de braves gens » soulève l'indignation. Ils écoutent sans
réaction
les remarques les plus paradoxales sur le nombr
sont modifiés dans leur structure, et jamais Fischer ne remarqua de
réaction
inflammatoire. A côté de ces formes délimitées,
exes rotuliens et achilléens normaux. Pas de signes de polynévrite.
Réactions
pupillaires à la lumière paresseuses des deux côt
at mythopathique en apparence acquis, mais, le plus souvent, simple
réaction
à l'amnésie d'un état my- thopathique antérieur
e atrophie ne s'accompagne pas de tremble- ments fibrillaires ni de
réaction
de dégénérescence. Les douleurs n'apparais- sen
du dos ; absence dans ces derniers de tremblements fibrillaires et de
réaction
130 ELDAROFF électrique de dégénérescence. Le
ulaire, mais on n'a jamais observé de tremblement fibrillaire et de
réaction
électrique de dégénérescence. Tous les troubles
vements de cette partie étaient douloureux et très restreints. La
réaction
de Wassermann fut trouvée positive, malgré que le
le malade niait qu'il eût jamais contracté la syphilis. Vu cette
réaction
positive et le manque de signes d'une maladie que
, sauf tout à la fin de son existence, il ne présenta la lenteur de
réaction
, la difficulté associative des tumeurs cérébral
, son état civil, sa famille, la date, le lieu ne provoquent aucune
réaction
intelligente de sa part. Cependant, il exécute
m, 50, le gauche voit seulement passer la main. Pupilles larges, il
réactions
très faibles : strabisme divergent proba- bleme
les émi- grés hors du noyau dans le cytoplasma. Au point de vue des
réactions
tinc- toriales, ils se colorent en rouge par le
dépassent rarement le volume du nucléole » ; 5° Au point de vue des
réactions
colorantes, ils sont ampho- philes et pas acido
on peut voir des phénomènes de bourgeonnement mais, d'habitude, la
réaction
nucléolaire se limite à la simple hypertrophie.
à expliquer car il s'agit de deux forma- tions différentes par leur
réaction
colorante et peut-être par leurs pro- pl iétés
mécanique du nucléole qui n'a aucune importance au point de vue des
réactions
cellulaires, mais qu'il est utile de connaître
granulations oxyneutrophiles reste encore douteuse, l'identité des
réactions
colorantes de ces granulations avec certaines g
s pathologique, car probablement qu'une fois le nodule constitué la
réaction
vasculaire entre en jeu, les vaisseaux de nouve
a contractilité au niveau du sterno-mastoYdien grosse diminution et
réaction
de dégénérescence au niveau du trapèze. (1) Dan
que et galvanique est normale à droite, très diminuée à gauche avec
réaction
de dégénérescence. Au niveau de la langue les s
. ' Albumine sensiblement normale. Glycose en quantité normale.
Réaction
de Wassermann. Positive dans le sérum. Négative
4° L'absence de modification du liquide céphalo-rachidien. DO Une
réaction
de Wassermann positive dans le sérum, négative da
-rétinite) de nature très pro- bablement spécifique, a en outre une
réaction
de Wasserman positive dans le sérum (négative i
e. Abolition des olécrâniens ; l'excitation des radiaux donnent une
réaction
imperceptible. Trophicilé. Amyotrophie diffuse
écheresse de la peau. Sensibilité diminuée. - Variations dans les
réactions
de la malade, lorsque l'on pique diverses zones
psychiques. Démence. - Obtusion, apathie, torpeur, indiffé- rence.
Réactions
violentes : paroxysmes de colère, crises de larme
conservés. Les réflexes crémastériens et plantaires sont abolis. La
réaction
de Wassermann cherchée dans le sang a été posit
s dont le rôle est loin d'être méprisable. Il est certain que si la
réaction
psychique des nains achondroplasiques à leurs m
Une déformation physique peut en effet entraîner autre chose que la
réaction
salutaire que nous venons d'envisager, mais au
car le liquide examiné sur du linge (microsco- pie, recherche de la
réaction
de Florence) n'avait aucun rapport avec du sper
rescence morale et intellec- tuelle conduit plutôt à l'apathie. Les
réactions
vives de nos sujets, leurs craintes excessiveme
proprement dits. Enfin, si le myxoe- dème à lui seul peut créer des
réactions
aussi profondes, c'est à la faveur d'un état gé
à admettre que la castration de l'adulte peut provoquer une double
réaction
: l'une toute locale, mal étudiée, et sur- tout
par semaine, il vit les désirs devenir d'abord moins fréquents : les
réactions
provoquées s'accompagnaient encore de sensation
eurs et sen- sitifs, pas de troubles sensoriels ni pupillaires. Les
réactions
électriques sont normales. L'examen des viscè
ation, à noyau compact ; le colloïde l'intérieur ne présente pas de
réaction
anormale. Quelques vésicules présentent de lési
flammations des cellules endothéliales et tuméfaction du reticulum,
réaction
mononucléaire diffuse, macrophigique et pigment
éaction mononucléaire diffuse, macrophigique et pigmentaire. Pas de
réaction
myéloïde nette : rares polynucléaires éosinophi
erveuses, en signalant l'im- portance dans ces cas des troubles des
réactions
vaso-motrices et sudorales. Nous n'aurons en vu
ue concernant les troubles des sen- sibililés,les modifications des
réactions
vaso-motrices et sudorales, les altérations troph
minution de l'excitabilité faradique et galvanique des muscles sans
réaction
de dégénéres- cence ; néanmoins la forme de la
llai- res qui existaient dans les muscles de la main, et l'état des
réactions
élec- tro-musculaires. Bien que l'absence des
u'une anomalie bonne à connaître et c'est tout. La présence de la
réaction
de dégénérescence, ou plutôt de l'inversion de
s cas. En effet MM. Bédard et Ré- mond ont montré l'existence de la
réaction
de dégénérescence dans la pa- ralysie pseudo-hy
et Rémond. Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec
réaction
de dégénérescence (drch. 7éu. de méd., juillet 18
muscles. En 1889, MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'absence de la
réaction
de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont d
mpuissance motrice, que le muscle soit flaccide ou raide suivant la
réaction
spéciale du système nerveux. Mais la pathologie
ue les extenseurs. Les masses musculaires sont peu développées. Les
réactions
électriques fara- diques et galvaniques sont no
aisseuse. Ils provoquent dans les organes où ils se développent des
réactions
du tissu, variables suivant la structure de ceu
organes dont on connaît bien la struc- 1 ure. Mais, étant donné la
réaction
différente qu'elles provoquent dans les di ffér
autres organes, des altérations secondaires du tissu nerveux et des
réactions
irritatives interstitielles qui n'ont rien de car
s d'oscillations rapides et incessantes dans le sens trans- versal.
Réactions
pupillaires normales. Depuis quelques jours, Lé
on des principales lésions et l'étude des troubles sensitifs et des
réactions
électriques. La tête ne présente, à première vu
des muqueuses est normale. Organes génitaux. - La verge n'a plus de
réactions
sensitives. Les tes- ticules sont à peine sensi
ique conservée dans tous les muscles. Courants galvaniques. Partout
réaction
normale N F C > P F C, ex- 132 NOUVELLE ICON
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cepté au niveau de la main gauche où la
réaction
est nulle. Au niveau de la main droite, réactio
main gauche où la réaction est nulle. Au niveau de la main droite,
réaction
conservée uniquement à l'éminence thénar : en ce
e, réaction conservée uniquement à l'éminence thénar : en ce point,
réaction
ambiguë de dégénérescence N F C = P F C. A note
es fibres nerveuses ayant bien les apparences morphologiques et les
réactions
histo-chimiques des bacilles de Ilansen, nous cro
récents, pour la plu- pari mortels a brève échéance, avant que les
réactions
irritatives du tissu n'aient pour ainsi dire dé
ons se trouvera singulièrement modifié par l'entrée en scène de ces
réactions
secondaires ; pas toujours assez cependant pour
e ait été oblitérée par l'hypertrophie des tuniques du vaisseau. La
réaction
indiquée par M. Malassez pour différencier la név
ide d'un courant induit et d'un courant constant, a démontré que la
réaction
des muscles était absolument normale, mais les
a paralysie générale progressive, les muscles ne subis- sent pas de
réaction
de dégénérescence, comme on pourrait le croire à
ractère des pa- ralysies ; dans ces paralysies, on n'observe pas de
réaction
de dégénéres- cence et même pour la paralysie g
essive, l'observation a prouvé de la façon la plus évidente, que la
réaction
électrique des muscles affaiblis pouvait être n
avec opacité de la cornée (nérrite ancienne du trijumeau) perte des
réactions
pu- pillaires de l'oeil droit. Amb... 32 ans,
tre part que la cornée du côté gauche était insensible. A droite les
réactions
pu- pillaires sont abolies. Il existe actuellem
muscu- laire des avant-bras et des petits muscles de la main, sans
réaction
de dégéné- rescence. Phénomènes céphaliques : p
cles atrophiés de la main droite, et de la main gauche, mais pas de
réaction
de dé- générescence. Aux membres inférieurs,
scles, étant donné le peu de gravité de l'atrophie, et l'absence de
réaction
de dégénérescence; dételle sorte que les effets
r la convergence. Paraly- sie de l'accommodation. OEil droit. Les
réactions
pupillaires sont normales. Le malade accuse une
tarsienne en particulier. Pas la moindre atrophie musculaire ; les
réactions
électriques dos muscles sont normales. ' Les
musculaire est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des muscles ; les
réactions
électriques sont normales. La sensibilité est abs
main droite : 23, 43. Examen électrique (par M. le Dr Yigouroux).
Réactions
électriques normales. Les mouvements sont seule
au milieu duquel ap- paraît la couleur blanche de la sclérose. La
réaction
pupillaire est normale autant à la lumière qu'à l
n est absolument normal ; dans aucun muscle, on n'a pu constater la
réaction
de dégénérescence. Il y a 'du côté paralysé aug
les courants faradiques et galvaniques montre qu'il n'y a pas de
réaction
de dégénérescence. La résistance électrique est
onnellement vif au bras droit, et le biceps du même côté donnait la
réaction
de dégénérescence. S'appuyant sur ces faits, et
éellement primitifs, parce qu'ils ont indirectement engen- dré, par
réaction
sur la connaissance du sujet, des entités vésa-
normaux et les malades ne présentaient aucune différence quant à la
réaction
. Il est à remarquer que chez certains mélanco-
ur les rapports qui existent entre les phénomènes ten- dineux et lu
réaction
dégénérative. - Mémoire publié à part'. Séance
ait atrophiés qui sont inexcitables par les cou- rants ; absence de
réaction
dégénérative ; cependant dans certains muscles
s une exagération considérable, et qu'il n'y avait aucune espèce de
réaction
dégénérative, sauf la constatation de An S Z un
ar Eichhorst, Struempell, Loewenfeld. M. l\IOEU. Remarques sur la
réaction
des pupilles - Cinq cents paralytiques généraux
des rayons lumi- neux. Sur cent quatre-vingt-neuf épileptiques, la
réaction
de la pupille se montra constante; un seul d'en
atteint de lésion cornéenne présentait une vive exagéra- tion de la
réaction
pupillaire, due probablement à une hyperes- thé
TROWITZ, En dehors de l'alcool, d'autres poisons peuvent nuire à la
réaction
des pupilles : voyez plutôt les morphino- manes
ation d'une alcoolique de trente-quatre ans, atteinte de délire, de
réaction
paresseuse des pupilles, de parésie des membres
. Le diagnostic différentiel réside dans l'examen élec- trique ; la
réaction
dégénérative ne survient jamais dans le tabes,
à son travail sur les rapports entre les phénomènes tendineux et la
réaction
dégénérative 2. M. llloer.t. Importance du mode
Amyotrophie légère du membre para- lysé, simple au point de vue des
réactions
électriques. Mouill... (François), âgé de vingt
minuée en proportion de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de
réaction
de dégénérescence; nous avons recherché soigneu
t, avec l'aidede M. Vigoureux, les différents caractères de cette
réaction
, le résultat a été, dans tous les cas, absolu-
s déjà dit plus haut qu'à l'examen élect trique il n'y·avait pas de
réaction
de dégénérescence.. Il s'agit donc d'une 'atrop
a veille de la mort, elle a diminuée et une légère manifestation de
réaction
de dégéné- ration est constatée. Les réflexes
quantité de l'urine pendant vingt-sept heures était 500 c. c. de
réaction
acide; poids spécifique 1,017. Les premiers jours
du palais, des organes de la déglutition. Il n'existe nulle part de
réaction
dégénérative. Malade en traitement. Le diagnost
(voir le mémoire), de l'absence de convulsions fibrillaires et de
réaction
dégénérative. Il est vrai que les petits muscles
que ne décèle aucune anomalie au point de vue- de la quantité de la
réaction
, mais, pour obtenir une contraction tonique à la
ralentissement du temps perdu, persistance de la con- traction) et
réaction
électrique myotonique. M. Erb a réséqué sur un
ésie de l'accommoda- teur de chaque côté, sans modification dans la
réaction
des pu- pilles ; presque en même temps, parésie
bilité étaient très accentues, les troubles de la molilllé et de la
réaction
électrique n'atteignant pas le degré qu'on a cou-
(névrite) jusque dans les plus fins ramuscules intramusculaires (
réaction
dégénérative due à la myite ou nlyosite propagée)
r, les longs abducteur et extenseur du pouce. Atrophie extrême et
réaction
dégénérative complète des muscles malades. Le del
omb lèse-t-il le muscle avant de toucher le nerf; la présence d'une
réaction
dégénérative avant la paralysie ou même sans qu
l'utérus. Cependant, ces derniers quinze ans, il s'est produit une
réaction
, et l'hystérie chez les hommes adultes a été, p
sont plus restreints; on y aperçoit un tremblement con- tinuel. La
réaction
faradique et galvanique des nerfs et- des muscl
ompagnée de douleurs. Les muscles des jambes sont flasques, mais la
réaction
aux deux espèces de courants ne fait voir aucun
lle du chaud ou du froid, on constate que le temps exigé pour cette
réaction
est toujours beaucoup plus long quand il s'agit
tions fondamentales de la sensibilité, du sens musculaire, de la
réaction
électrique. Intégrité du facial. La maladie remon
tions sous-cutanées dans les), dans les simples), 406. Pupilles (
réaction
des), 4 16. Restiforme (corps), 108. Rhéostat
ments des mains, accélération du pouls, inégalité pupillaire, ou
réaction
pupillaire lente. Durée de un à quatre mois. Term
alades. Or, sur cinquante et un sujets, il n'a vu que trois fois la
réaction
anormale en question, explicable en chaque espè
ection des prolon- gements des cellules nerveuses : 1° une phase de
réaction
caracté- risée par la dissolution de la substan
deux extrémités des nerfs, empêche la réparation des altérations de
réaction
de la cellule et entraine sa mort. Il n'y a don
éphale, se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la
réaction
, au lieu de s'opérer dans les muscles dont le t
notent, dans la méralgie, le refroidissement local et l'absence de
réaction
sécrétoire à la pi- locarpine ; la guérison est
térieure. C'est en quelque sorte le choc en retour d'un ensemble de
réactions
parties de l'écorce. Outre d'ailleurs le centre
tous les modes est restaurée. 21-31 murs. Sentez votre cuisse : Les
réactions
continuent, identiques, plus intenses, au sur e
encives, dents, lèvres, langue, bouche, oesophage et estomac. Les
réactions
sont intéressantes pour ce qui concerne l'estomac
Sollier. Zoé a présenté pendant le travail de resensibilisation des
réactions
presque identiques dans leur nature et leur suc
rémission presque complète. Les pupilles présentèrent toujours des
réactions
normales dans les phases de rémission, et l'inéga
es. La densité moyenne pour le même nombre de malades, de 1.019. La
réaction
a toujours été acide. Le total des résidus étai
tion de la parole, la trémulation du langage et les anomalies de la
réaction
pupillaire. Ce dernier signe doit être étudié a
ar besoin d'explication provoquent la névrose chez un prédisposé.
Réactions
individuelles dans les intoxications. MM. JoFFROY
l y a chez l'homme une prédisposition héréditaire à présenter telle
réaction
plutôt que telle autre sous l'influence des poi
mortelle est restée sensible- ment constante au lieu que le mode de
réaction
individuelle a varié. F. Boissma. SOCIÉTÉ DE
effectuent bien mais, avec un léger nystagme au regard à gauche. La
réaction
des pupilles à la lumière et à l'accommodation
lle y revenir; il est pourtant un point qui, dans l'histoire de ces
réactions
délirantes, n'est pas complètement étudié, c'es
in février 1803. Dans ses crises panophobiques, ce malade, pour ses
réactions
défensives, se sert de tout ce qui lui tombe so
es, jamais rétrécies, rarement inégales et présentant un retard des
réactions
. Dans les névralgies, la pupille est très varia
ues) quand les pupilles sont larges ou moyennement dilatées, que la
réaction
à la conver- gence et à l'accommodation soit bi
. Ainsi parle M. Westpiul. AI. PILTZ rappelle qu'il s'agit là de la
réaction
paradoxale ou inverse des pupilles à la lumière
e du symptôme paraît généralement coïncider avec l'immobilité ou la
réaction
paresseuse des pupilles à la lumière, mais elle
onde forme apparaît le plus habituellement sur des pupilles dont la
réaction
à la lumière est troublée, mais se montre bien
nt que la première forme chez les individus sains doués d'une bonne
réaction
pupillaire à la lumière. Chez un tabétique aveu
oeil, le premier oeil restant dans le plan horizontal. C'est là la
réaction
consensuelle de la pupille par l'orbiculaire ; de
hérique incomplète, par lesion osseuse, de l'oculomoteur commun; la
réaction
pupillaire par la paupière permettrait, en quel
eint d'ophtalmoplégie incomplète du même oeil. La persistance de la
réaction
des pupilles par la paupière s'expliquerait, d'
tables parce qu'il y a eu névrite de l'oculomoteur commun, aussi la
réaction
est-elle fort énergique. P. Keraval. LVI. Une
es muscles. Caractère transitoire des parésies. Réflexes conservés.
Réaction
électrique normale. Etat psychique sain. Muscle
reçoit des filets nerveux étrangers au cubital ne présente pas de
réaction
de dégénérescence. M. Marie a vu des cas analog
de exprime une véritable douleur. Le pincement ne produit pas une
réaction
aussi vive. Des chocs sur les régions intercost
s vous me faites mal, lais- sez-moi. » Le pincement n'amène pas une
réaction
aussi marquée, et il semble que ce soit surtout
nce dans les phénomènes du délire. » Pour Calmeil il y a en somme
réaction
de l'estomac sur le cerveau. Pour Bail - ce son
onnaîtra par ce fait que la durée, l'intensité de la passion et les
réactions
qui en résultent, ne sont nullement en rap- por
u sommet. A droite, au sommet, quelques craquements. Etat mental.
Réaction
pour les événements du monde exté- rieur consid
des bras et des cuisses, les moindres attouchements provoquent une
réaction
très vive. 24 juin. La nuit a été meilleure que
male, et le frôlement, la piqûre, le pin- cement, n'amènent pas des
réactions
très vives. Il en est de même pour les chocs, m
sont propres (expériences de Gudden et Nicati). Chez le chien la
réaction
antéro-postérieure du chiasma, et la section tr
ence dans les axes des yeux pour la vision de loin, et conserve une
réaction
nette des pupilles à l'égard de la lumière. La
est simplement un peu plus dilatée; généralement rien du côté de la
réaction
des pupilles, quelquefois seulement réaction pu
ent rien du côté de la réaction des pupilles, quelquefois seulement
réaction
pupillaire hémiopique de Wilbrand. Ferrier a ch
mianopsie homonyme des deux yeux, avec, du côté opposé à la lésion,
réaction
pupillaire hémiopique : Ce qui prouve un entre-
ieur, incomplète dans le territoire du facial inférieur, mais pasde
réaction
dégénérative. La langue dévie un peu à gauche;
e chien tout au moins, et un groupe externe. L'étude des lésions de
réaction
à dis- tance produites par la section des diver
volume. Du talon à l'extrémité des orteils on mesure 11 inches 1/4.
Réaction
pupillaire se fait avec paresse. Pour l'oeil dr
état sain de l' - et de la folie, par Hunge, 246. Intoxication.
Réactions
individuel- les dans les -, par Joffroy et 1,
exaltait pour les motifs les .plus futiles et se traduisait par des
réactions
exces- sives. De 18S4 à 1895 : névralgies fac
atomo-pathologique se réduit ou à des lésions parenchymateuses avec
réaction
neuroglique sans participation du mésoderme, ou
e grave associée au delirium tremens. Après l'opération, lorsque la
réaction
a lieu, la peau est chaude et sèche et le pouls
une éponge de bain peut cependant suffire parfois à pro- voquer une
réaction
. A. Mare. 111. - Pathogénie de la déviation con
der ou suivre l'attaque banale d'hystérie. Il peut apparaître comme
réaction
émotive inverse. Il peut constituer à lui seul
e indiquait un système nerveux incapable de réagir. Car c'est à une
réaction
de la moelle qu'il faut at- tribuer la spasmodi
hilitique. Un autre point digne de remarque est l'intensité de la
réaction
dure-mérienne à un traumatisme relativement fai
ormales. Les circonstances ne nous ont pas permis de rechercher les
réactions
électriques. UN CAS DE MY0T0NIE CONGENITALE.
ment à l'excitation sensible bien localisée ; c'est un phénomène de
réaction
motrice extrêmement simple, in- variable, indép
s, alors que les courants faradiques et galvaniques indiquaient une
réaction
dé- "énérativo grave ou moyenne. Voici ses conc
s à l'ouverture isolée du courant faradique et qu'en tout cas cette
réaction
s'épuise bientôt (ce qui a lieu également pour
ocnémien s'est traduite par un son intense. Les muscles affectés de
réaction
dégénérative partielle fourni'- sent un son pou
t possible. L'excitation faradique directe ou indirecte du muscle à
réaction
électrique normale engendre un son très intense
consécutive à l'excitation galvanique d'un muscle qui présente la
réaction
dégénérative reste silencieuse. - L'excitation fa
erne la fermeture et l'ouverture des poings (figures). Absence de
réaction
myotonique ; les muscles ne se contractent point
u- teaux ou tout autre objet qu'elle rencontrait sous sa main. La
réaction
terminée, la femme P ? ne paraît plus se souvenir
éritable cercle vicieux s'établir entre les idées délirantes et les
réactions
de la malade. Cette femme croit que ses enfants
entretient de nouvelles idées délirantes qui produisent encore des
réactions
analogues, el ainsi de suite. La perle du sou
uit toujours une crise d'excitation survenant elle-même en tant que
réaction
émotive, il n'est peut-être pas impossible de l
e négativisme et d'opposi- tion (surtout de négativisme il litre du
réaction
de défense). La malade restait continuellcmcnt
ôté droit chez la plupart des'individus. A l'examen électrique, les
réactions
musculaires sont normales; la faradisation, bien
ve dans toutes les chorées, et l'examen électrique, en révélant des
réactions
électriques normales, a tranché la question.
ur le tracé sphygmographique. La rapidité et l'accentuation de la
réaction
n'ont aucun rapport avec l'intensité de la doul
se vérifient dans une série de diverses pulsations; il n'y a pas de
réaction
caractéristique de la douleur, mais celle doule
a douleur est le segment supérieur ou plateau du sphygmogramme ; la
réaction
vasculaire à la douleur physique est presque to
es (peur, crainte, doute, suspicion) n'ont pas montré de diffé- (le
réaction
qualitative appréciable. La vaso-constriction de
l n'est pas dû à un point de départ central, mais à un phénomène de
réaction
musculaire, dépendant du tonus et des condition
spéciales à la rage ou bien si elles constituent un mode spécial de
réaction
des cellules de la corne d'Ammon..1. S. LIV.
clérose en plaques. VI11. CLAUDE et Egger considèrent comme luis la
réaction
111¡"lalIlI;lIique, l"épui;;(>IIIl'nl.l'al'i
la pupille droite est deve- nue totalement immobile à la lumière,sa
réaction
à l'accommoda- tion et à la convergence était c
se ci lente ; ces deux caractères sont ali- solument analogues à la
réaction
de dégénérescence par le courant galvanique.
raît dans le muscle franchement atrophié avant que l'on constate la
réaction
de dégénérescence électrique. 332 REVUE DE PA
contractions si l'on répète les chocs sur telle ou telle région. La
réaction
d'excitation apparaît quand la tétanie s'exaspè
alysie congénitale. La. malade est intéressante par ce fait que les
réactions
pupil- laires sont dissemhlahles dans les deux
sont dissemhlahles dans les deux yeux. Sur l'n'il gauche sain, les
réactions
pupillaires sontnormales. Sur l'oeil droit para-
lle neréagit directement ni à lalumière, ni à l'accom- modation. La
réaction
consensuelle à la lumière n'existe pas. Enfin l
; les couches les plus ex- ternes où s'organise progressivement la
réaction
défen- sive du tissu nerveux. - Nous devons à
s ont recherché quel est le sort d'une cellule qui, mise en état de
réaction
à distance par la section du nerf périphérique,
section de la moelle a une influence certaine sur les phénomènes de
réaction
de la cellule nerveuse à la suite dp la section
us, la section de la moelle empêche la répa, ration des cellules en
réaction
placées au-dessous de la section et les condamn
fférents cas et remarque qu'autour du tubercule solitaire il y aune
réaction
névroglique strictement limitée. Dans les ménin-
cle », il a comme avantage de céder très facilement son énergie aux
réactions
vitales; certains auteurs en font un agent de s
naturel d'admettre que, sous l'influence d'une même excitation, la
réaction
puisse être différente suivant le sujet, et que
léger rétrécissement du champ visuel. Il n'y a pas de troubles des
réactions
électriques. Les organes génitaux sont normaux.
rdre. Il s'agit là. en somme, d'un sujet chez lequel la plupart des
réactions
nerveuses se traduisent par l'hallucination de
lexes patellaires à droite, diminution des mêmes réflexes à gauche,
réaction
dégénérative sur plusieurs groupes de muscles q
s nerveuses normales présentent dans les ganglions et la moelle des
réactions
colorées différentes même à l'état nurmal. -Cou
76 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. opposé;- on ne remarque non plus aucune
réaction
de dégénéres- cence. Les mouvements ne sont t
s de l'exécution dite automatique, inconsciente, ont la mémoire des
réactions
nécessaires pour répon- dre à ces divers ordres
avaux de MM. Charcot et Pierret ont démontré qu'au point de vue des
réactions
patho- logiques il fallait distinguer, dans les
e la conservation des réflexes rotuliens, l'absence de troubles des
réactions
pupillaires auraient dû faire écarter l'hypothè
hes du facial droit. Il résulte de l'exploration électrique que les
réactions
faradiques sont légèrement diminuées. Pas d'alt
lade. Tous les muscles innervés parle facial gauche sont paralysés;
réaction
de dégéné- rescence très nette dans les muscles
ouroux, chef du service d'électrothérapie, révèle l'existence de la
réaction
, de dégé- nérescence dans tous les muscles inne
entation de l'excitabilité galvanique avec prédominance de l'anode (
réaction
de dégénérescence com- plète). Observation VI
s muscles innervés par le facial droit participent à 1 hémiplégie ;
réaction
de dégénérescence com- plète. Observation IX.
au réveil, que L... s'en est aperçue. La paralysie est totale avec
réaction
de dégénérescence complète. Observation X. P...
aralysie porle sur tous les mus- cles innervés par le facial droit.
Réaction
de dégénérescence partielle. Observation XI.
e par M. le docteurVigou- roux, on trouve tous les caractères de la
réaction
de dégéné- rescence complète. - Dans les fait
Tous les muscles innervés par le facial gauche sont paralysés, les
réactions
électriques sont normales. 364 CLINIQUE NERVEUS
bureau où il travaillait. L'hémiplégie de la face est complète, les
réactions
électriques sont normales. L'observation qui
illait avec la figure paralysée. L'hémiplégie faciale est complète;
réactions
électriques normales. Nous avons déjà indiqué d
ause la rappor- ter ; l'exploration électrique nous apprend que les
réactions
fara- dique et galvanique sont conservées. Il
moins marquée se traduit par une série de modifications dans les
réactions
électriques. C'est sur ces variations dans l'ét
aissent dans les muscles les modifica- tions caractéristiques de la
réaction
de dégénérescence (secousse lente avec prépondé
ème groupe vien- nent se ranger les paralysies à forme grave avec
réaction
de dégénérescence complète; diminution, puis ab
ait les apparences d'une forme grave avec tous les caractères de la
réaction
de dégénérescence totale et qui guérit cependan
lequel il a signalé l'absence presque totale de modifications des
réactions
électriques. La paralysie faciale chez ce malad
avec l'intensité et la durée de la paralysie; au lieu de trouver la
réaction
de dégénérescence complète, on constatait au co
paralysies faciales ne s'accom- pagnant d'aucun changement dans les
réactions
élec- triques persister pendant des mois entier
e des fibres nerveuses comme nous l'enseigne d'ailleurs l'étude des
réactions
électriques. » En quoi l'existence de lésions a
droite du voile du palais, hémiatrophie du côté droit de la langue,
réaction
dégé- nérative partielle, légère blépharoptooe
des deux oculo-moteurs externes. Blé- pharoptose. Conservation delà
réaction
pupillaire. Légère névrite optique. Paralysie d
ité mécanique des extenseurs des doigts et des vastes de la cuisse.
Réaction
dégénérative du terri- toire du radial, des ext
tive périphérique du nerf médian, car les accidents, y compris la
réaction
dégénérative, n'ont pas dépassé le territoire de
lement éteinte et que les muscles qu'il innerve étaient affectés de
réaction
dégénérative. Au com- mencement de février, la
que fournit ce précieux procédé, l'auteur a pu étudier une foule de
réactions
fugitives, quan- tité de phénomènes qui sans ce
n prolonge l'action, on obtient une convulsion épileptiforme et des
réactions
orga- niques. C'est l'étude de ces deux dernier
re partie de l'ouvrage. Il faudrait citer surtout les principales
réactions
organiques constatées sur les organes respiratoir
met de nommer, avec M. Char- cot, ligne d'amputation. Du reste, les
réactions
électriques des muscles sont normales, quelle q
urs de l'humanité et tomba en disgrâce. Bientôt il se produisit une
réaction
dans l'enthousiasme qui s'était manifesté pour
r l'épiglotte et la muqueuse pharyngienne sans provoquer la moindre
réaction
mus- culaire.- Les réflexes olécranien et patel
es de plomb, cépha- lalgies, paralysie typique des extenseurs, avec
réaction
dégénéra- tive, attaques épileptiformes, trembl
et exactement remplis, ou mieux être distillées immédiatement. La
réaction
iodoformée de Lieben est de toutes les réactions
s immédiatement. La réaction iodoformée de Lieben est de toutes les
réactions
proposées celle qui convient le mieux à déceler
très minimes quantités d'acétone. On peut aussi avoir recours à la
réaction
de Gunning. Là où ces deux réactions auraient é
n peut aussi avoir recours à la réaction de Gunning. Là où ces deux
réactions
auraient échoué, toutes les autres sont superfl
ux réactions auraient échoué, toutes les autres sont superflues. La
réaction
au perchlorure de fer n'a aucune valeur pour dé
premier cas, il existait une paralysie du grand dentelé droit, avec
réaction
dégénérative ; dans le second cas; c'était une
nérative ; dans le second cas; c'était une paralysie des péroniers (
réaction
dégénérative). L'examen anato- mique des muscle
s des émotions, de mon- trer que ces conditions sont identiques aux
réactions
somatiques qui résultent des agents physiques e
er de la normale, est caractérisée par ce fait qu'elle entraîne des
réactions
mal adap- tées à l'intérêt de l'individu ou de
s, il convient d'ajouter l'absence de contractions fibrillaires, de
réaction
, de dégéné- rescence, etc., tous caractères qui
des contractions musculaires est un peu moindre du côté lésé. Les
réactions
électriques sont normales. Quelle est donc la s
uée l'examen électrique ne révèle en aucun muscle l'existence de la
réaction
de dégéné- rescence partielle et que le malade
jour que l'atrophie musculaire hystérique peut donner lieu à des
réactions
de dégénérescence ; cela étant dit, si vous env
(mastzlelen), mais bientôt, nous nous sommesren- du compte par les
réactions
de ces cellules qu'il s'agissait de cel- lules
usé à droite. Iris brun, pupilles égales, moyennement dila- tées, à
réactions
normales. Ne ? moyen, épaté à la base. Bouche m
Recherches de F. Henika et B. Worotynski, sur : 1° le temps de la
réaction
acoustique simple; - 2° le temps qu'il faut pour
de veille, se sentant en bonne santé, présentaient pour le temps de
réaction
simple, pour le temps d'apercep- tion et le tem
il faut, par rapport à l'état de veille, un temps plus grand pourla
réaction
simple, le temps d'aperception, le temps d'électi
nd plus court que dans l'état de veille. Elle abrège le temps de la
réaction
simple, le temps d'aperception, le temps d'élec
AS DE PARALYSIE ISOLÉE DU NERF MUSCULO-CUTANÉ AVEC REMARQUES SUR LA
RÉACTION
TRAUMATIQUE DES MUSCLES DE RUMPF ; par VINDSCII
es fibres du musculo-cutané dans le plexus avant dissociation. La
réaction
traumatique de Rumpf, c'est l'onde contractile co
que rien. Le traumatisme a augmenté l'excitabilité du nerf, d'où la
réaction
anormale du muscle. M. Bernhardt rappelle qu'
oxications que nous venons de passer en revue. M. A. Hoche. De la
réaction
galvanique de l'appareil visuel. Etablir : 10 s
notamment leshallucinés de la vue, il existe des modifications des
réactions
galvaniques de l'oeil (comme il en existe dans
te dans l'auditif chez les hallucinés de l'ouïe) ; 2° quelle est la
réaction
galvanique du nerf optique dans les cas de lésion
l'orateur. Mais il fallait, avant tout, déterminer la valeur de la
réaction
normale et les oscillations physiologiques de c
physiologiques de cette valeur, en un mot la formule normale de la
réaction
lumineuse galvanique. En procédant avec méthode
yeux réagissent sous l'influence de 1/20 à 1/10 de milliampère. La
réaction
se montre à un courant minimum chez les neurasthé
ains. Atrophie dégénérative progressive du système musculaire, avec
réaction
dégénérative ; en aucun cas il n'y eut de pseud
t tout est fini. Mais, dans quelques cas, il se produit un stade de
réaction
, constitué par de l'irritabilité, une tendance au
oires du pneumogastrique et sa branche cardiaque sont aussi prises.
Réaction
dégénérative des muscles accessibles à l'examen
C»il. Pas de différence dans les pupilles. 326 CLINIQUE NERVEUSE.
Réactions
normales. Pas de différence dans la grandeur de l
mais dans notre cas les réflexes tendineux ne'sont pas abolis, la
réaction
de dégénérescence manque totalement et l'atrophie
sie et une anesthésie complète de tout le membre, l'existence de la
réaction
de dégénérescence dans certains muscles atro- p
ition quoique peu pré- cise de l'esprit du malade. Les idées et les
réactions
dérivent du fonds du caractère et en portentl'e
émoratifs, l'absence de la fièvre, des troubles trophiques et de la
réaction
de dégénérescence, la conservation des réflexes
Vertige des ataxiques, par Grasset, 1, 179. Visuel (appareil),
réaction
galva- nique de l ? par Hoche, 280. Yeux, par
jambes également. Le malade est d'ailleurs parfaitement musclé. Les
réactions
électriques des muscles de la main, qui paraiss
- culature de la moitié droite du corps, la face exceptée. Pas de
réaction
de dégénérescence des muscles atrophiés. Réaction
exceptée. Pas de réaction de dégénérescence des muscles atrophiés.
Réactions
normales. Sensibilité générale. - 11 existe u
A. Méthode graphique. - Nous avons surtout fait usage du tambour à
réaction
de M. Marey. Ce tambour est monté sur une plaqu
ours et des mêmes styles. Nous avons toujours fixé sur le tambour à
réaction
des masses aussi faibles que possible. Les lieu
ns faire remarquer que la méthode d'inscription à l'aide du tambour à
réaction
ne nous a donné que le nombre, le rhythme et l'
enregistrées ne dépend pas seulement de la sensibilité du tambour à
réaction
, du poids de la masse métallique, elle varie égal
même de sa découverte, on a pu s'effrayer de ses empiètements et la
réaction
a suivi la découverte; nous n'avons ici à nous
semble, de sorte que la région est animée d'ondulations lentes. Les
réactions
'électriques de ces muscles ne sont pas altérées,
ons paraissent n'être que secondaires et sont une conséquence de la
réaction
inflammatoire de la névroglie et des vaisseaux,
ns sont abolis. M. Erb peut constater à ce moment la présence de la
réaction
de dégénérescence dans le jambier antérieur gau
Le membre supérieur droit est complètement indemne. Il existe de la
réaction
de dégénérescence (examen de Erb) dans les muscle
ésiés. 1 L'exploration électrique fit reconnaître l'existence de la
réaction
de dégénérescence (complète et partielle) dans
partielle) dans certains groupes. Aux extrémités inférieures, cette
réaction
intéressait seulement le territoire musculaire
v... mais n'ont pas les dimensions exagérées des mains. Du reste la
réaction
dynamométrique est égale à la moyenne à droite
tous les mouvements. L'examen dynamométrique et l'étude du temps de
réaction
, qui peuvent être pratiqués commodément à l'aid
able prédominant du côlé droit et un retard encore plus évident des
réactions
1. L'aphasie hystérique ne fait pas exception à c
le de fournir une pression de plus de 50 grammes et que le temps de
réaction
était quatre fois plus long qu'à l'état normal.
e formellement paralytiques* et chez ,ces mêmes malades le temps de
réaction
peut rester longtemps à peu 'près normal. Cette
ssous de la moyenne normale; et chez ces mêmes malades le temps des
réactions
variait de O ? 181 à 0 ? ? 08, -c'est-à-dire qu
xamina, il constata, déplus, une égalité complète des pupilles avec
réaction
normale à la lumière. Sen- sation d'engourdisse
nous aurons signalé l'absence de céphalalgie, de vertiges, de toute
réaction
cérébrale en un mot et le bon état général du mal
par M. le Dr Vigou- roux le 8 mars 1890. Il montre qu'il existe une
réaction
de dégénéres- cence complète dans les muscles f
a sensibilité. Organes des sens normaux. Rien à l'ophtalmo- scope ;
réaction
pupillaire, acuité visuelle, accommodation normal
is double. Immobilité oculaire presque com- plète. Pupilles égales.
Réaction
à la lumière et à l'accommodation normale. Aprè
he; parésie de tous les muscles, plus prononcée à droite également.
Réaction
pupillaire bonne, accommodation normale. Des deux
soir que le matin. Parahsie complète de tous les muscles des yeux.
Réaction
pupillaire et accommodation conservées. - Signe
THOLOGIE NERVEUSE. lisée, parfois compliquée d'autres phénomènes de
réaction
émotive (besoin d'uriner, diarrhée subite, etc.
ecte; une disposition fréquente et violente à la rougeur, même avec
réaction
affec- tive intense, peut coïncider avec une ab
rve assez fréquem- ment des tentatives de suicide ou de mutilation,
réactions
rares dans le délire de persécution ordinaire,
dont laforme maniaque estla plus commune, s'accompagne toujours de
réactions
extrêmement dangereuses ; 22° la proportion des
ationnelle pour l'augmentation continuelle de la récolte et pour la
réaction
contre la sécheresse à l'aide de l'engraissemen
aralysie de l'hypo- glosse droit avec hémialrophie au début. Il y a
réaction
dégénéra- tive, la moitié de la langnemalade, n
le facial droit ainsi que du peaucier ; disparition complète de la
réaction
électrique de ces muscles; intégrité relative sim
ité 106 PATHOLOGIE NERVEUSE. générale ou spéciale, déterminer des
réactions
motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les
erposées, dont l'excitation prédominante ou élective pro- voque des
réactions
de nature correspondante. Le grand histologiste
ans la première série d'expé- riences (n° 1) une accélération de la
réaction
pendant la phase d'exaltation, un ralentissemen
la réaction pendant la phase d'exaltation, un ralentissement de la
réaction
pendant la phase de dépression. La différence m
e incontestablement un léger état fébrile qui, par son action et la
réaction
qu'il provoque est souvent très utile au malade
rouble ainsi les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 237 Î rentes
réactions
cérébrales normales qui concourentà la formation
ant la quantité de liquides alcooliques ingérés qui importe, que la
réaction
individuelle du sujet. 6° séance : 17 octobre 1
ance complète chez ces deux malades du caractère psychique et des
réactions
déterminées par le délire. Dans la seconde observ
été démontrée par Ramon y Cajal au moyen d'un autre procédé que la
réaction
noire par le chromate d'argent : il a réussi à le
x des dendrites se présentent avec les mêmes caractères que dans la
réaction
noire, c'est-à- dire constitués par un prolonge
ession d'un souvenir, l'exaltation de la pensée ou l'exagération de
réactions
motrices conscientes, etc., s'expliqueraient av
es autres éléments de la névroglie; ceux-ci échappent en effet à la
réaction
et par conséquent l'observation. Si, avec cette
s solides, car les goitres base- dowifiés offrent des signes et une
réaction
à la médication thy- roïdienne qui permettent d
xaminer électriquement notre malade nous a remis la note suivante :
Réactions
électriques en rapport avec le diagnostic de pa
s électriques en rapport avec le diagnostic de paralysie saturnine.
Réaction
de dégénérescence très prononcée à gauche dans
re dans les radiaux. Le long supinateur est indemne. A la main la
réaction
de dégénérescence est assez prononcée dans les mu
paralysés, mais en- core atrophiés. De plus, ils présentent tous la
réaction
de dégéné- rescence. Les autres muscles (de l'a
près trois mois, la motilité récupéré ses fonctions. P. K. XXXV. La
réaction
électrique NEUROTONIQUE; par E. REMAK. - Id., p
c point réflexes. D'ail- leurs, la détermination quantitative de la
réaction
sensible excen- trique du médian et du cubital
n'a révélé aucune différence évidente entre les valeurs limites; la
réaction
sensible en question n'existait plus, dit le pa
nt, alors que persistait la tétanisation. C'est donc une forme de
réaction
nerveuse nW1'otunique qui est l'opposé de la ré
une forme de réaction nerveuse nW1'otunique qui est l'opposé de la
réaction
myotonique. Elle indique probablement, dans l'e
u long abducteur du pouce. M. Marina revendique la parenté de cette
réaction
qu'il a décrite dans l'hystérie. (Rivisladi fre
eniatria, 1887, XIII, 2, et 1888, XIX, 3, 4.) 11 la rapproche de la
réaction
myotonique de la maladie de Thom- son et des mo
eindre un développement et une organisation convenable que s'il y a
réactions
volitives et hypertrophie de la conscience pers
muscles, et à peine perceptible des troncs nerveux; abolition de la
réaction
fara- dique de tous les muscles; diminution pro
éaction fara- dique de tous les muscles; diminution prononcée de la
réaction
galvanique de certains muscles avec réaction de
nution prononcée de la réaction galvanique de certains muscles avec
réaction
de dégénérescence. SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 1 V
s maladies (maladies humorales, maladies infectieuses, maladies à
réactions
nerveuses, maladies à dystrophie élémentaire, etc
(Belgique). C) Electricité médicale. I. La valeur séméiologique des
réactions
électriques des muscles et des nerfs. Rapporteu
bilité n'est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 461 pas atteinte ; les
réactions
électriques sont normales. Les muscles, - peu d
s le muscle ne répond pas à l'électricité, il est pro- bable que la
réaction
de dégénérescence est complèle. La paraly- sie
ons de quelques états psychiques, par Soukhanoff, 337. \rDLoowuE.
Réaction
électrique - , par Remak et Marina, 362. Nyst
gant. Il n'y a pas d'engorgement ganglionnaire, il existe fort peu de
réaction
fébrile. Les fausses membranes sont plusieurs foi
athique 1731. E.). Le choléra pestilentiel (1675), dans sa période de
réaction
, présente quelques traits de ressemblance avec la
travaux de Reinhardt et Leubuscher, et du docteur Hamernik) ; 2° Une
réaction
fébrile relativement modérée, quelle que soit l'i
rent au déclin de la fièvre, ou même pendant son cours, pourvu que la
réaction
ne soit pas très vive. La dose du médi-cament dev
emps de la fièvre typhoïde, et éclatent au milieu des symptômes de la
réaction
fébrile la plus intense. Il ne mérite cependant p
ible, et le malade meurt, sans qu'il se soit présenté aucun indice de
réaction
. C. Deuxième période. — a. Apparition de quelqu
on-dantes, et d'une coloration jaune clair. L'urine rare présente une
réaction
fortement acide et contient, de temps à autre, de
e, qu'elle foudroie, pour ainsi dire, les malades, et pré-vient toute
réaction
de l'organisme. Dans cette forme terrible de la m
la peste foudroyante (a.) s'amendent pour faire place aune période de
réaction
plus ou moins bien dessinée ; des bubons apparais
x, ce qu'est au typhus des camps, l'exanthème papuleux non précédé de
réaction
fébrile? Y. M. Gosse, loc. cit., p. 80, et Vall
lions du membre où siège la tumeur, s'enflamment et se tuméfient ; la
réaction
fébrile est alors souvent très intense, et elle p
ccession de trois périodes, dont la première est caractérisée par une
réaction
fébrile intense, avec injection prononcée des con
a face, une coloration rouge acajou, plus ou moins foncée, lorsque la
réaction
fébrile est violente, rosée seulement quand la fi
paraît être, dès l'origine, portée à un tel degré, qu'elle entrave la
réaction
de l'organisme. Le début peut être alors marqué p
cessairement dans un bref délai. Dans les cas heureux, il s'opère une
réaction
salutaire et la maladie reprend son cours; mais,
salutaire et la maladie reprend son cours; mais, le plus souvent, la
réaction
reste incomplète, faible, partielle, irrégulière,
des malades dont la température a été examinée, pendant la période de
réaction
(réaction typhoïde). L'algidité était à peine pro
s dont la température a été examinée, pendant la période de réaction (
réaction
typhoïde). L'algidité était à peine prononcée ou
ous n'avons pas obtenu la coloration rose, un peu vineuse, qui est la
réaction
caractéristique des capsules surrénales à l'état
enté la moindre teinte bronzée de la peau. 1. Vulpian, Note sur les
réactions
propres aux capsules surrénales chez ks reptiles.
dis que les kystes acquièrent un volume quelquefois considérable sans
réaction
, et présentent une fluctuation plus évidente, plu
staux, même lorsqu'il était élendu. La forme de ces cristaux et leurs
réactions
rapprochent ce principe de la taurine, et nul aut
évrier, frisson violent de trois heures de durée, bientôt suivi d'une
réaction
fébrile in-tense. A partir de cette époque, il su
argent. Nous ajouterons d'ailleurs que le nitrate d'argent, dont la
réaction
est souvent acide, lorsqu'il n'est pas d'une pure
rendues deviennent parfaitement transparentes ; elles présentent une
réaction
alcaline, d'abord peu marquée, puis très intense,
le siège d'une effervescence très prononcée '. Chose remarquable, la
réaction
alcaline et aussi l'effervescence de l'urine pers
C'est en général de 2 à 4 jours seulement, après l'apparition de la
réaction
alcaline des urines, que les divers symptômes (ét
granulations hyalines, le protoplasma devient homogène, perdant ses
réactions
colorantes normales pour en acquérir d'autres,
ement granuleux avec con- servation du noyau, mais modification des
réactions
colo- rantes, ou bien c'est un gonflement, avec
à l'action excitatrice des contractions par la faradisation, pas de
réaction
de dégénérescence, réflexe patellaires atténués
ccidents bulbaires. Il y a diminution de l'excitabilité électrique,
réaction
dégénérative, absence des réflexes tendineux et
ition colorée). Effets psychiques de certaines substances, temps de
réaction
, mesures des réactions végétatives (respiration
psychiques de certaines substances, temps de réaction, mesures des
réactions
végétatives (respiration, pouls, fatigue des mu
galvanique se montre dans le degré le plus léger de la maladie ; la
réaction
de dégénérescence partielle et plus encore la r
maladie ; la réaction de dégénérescence partielle et plus encore la
réaction
de dégénéres- cence complète indiquent des lési
bles, fait rare dans les névrites péri- phériques. Le passage de la
réaction
de dégénérescence complète à la partielle est l
point de vue électrique vingt-cinq malades. Une fois seulement les
réactions
électriques ont été normales. C'était dans un c
pour qu'on en puisse tirer des conclusions. Chez huit malades les
réactions
étaient exagérées : chez deux pour les modes ga
ution de l'excitabilité. Dans cinq cas l'au- teur a pu constater la
réaction
de dégénérescence, mais dans un seul elle était
'étaient cinq cas de névrite avec amyotrophie marquée. En somme, la
réaction
de dégénérescence est exceptionnelle dans la sc
système circulatoire ; 2° l'étude expérimentale du rapport entre la
réaction
de l'écorce et l'excita- tion et l'apport du sa
rminée par l'excitation électrique reproduit d'une façon fidèle les
réactions
motrices et organiques de l'épilepsie essentiel
taines PORTIONS DES membres ; PERTE DE l'irritabilité faradique, ET
réaction
DE dégénérescence DES muscles DU côté paralysé; p
de l'arc réflexe ; telle la cécité totale avec con- servation de la
réaction
à la lumière, après la destruction des tubercul
uels il y a immobilité réflexe des pupilles avec conservation de la
réaction
à l'accommo- dation (tabes et paralysie général
érale 232 REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. de la
réaction
lumineuse directe, peuvent s'expliquer par des lé
qu'il y a eu aussi lésion des cellules, mais on ne possède point de
réaction
sensible et facile pour déceler ces fines altér
l. P. KERAVAL. XXX. Contribution A la question DU POLYMORPHISME DES
réactions
DE divers nerfs ou DE leurs terminaisons A L'éc
rrégulière rappelait, par son rythme, celle de Cheyne- Stockes. Les
réactions
psychiques étaient retardées, les plus simples
3. Dépression mélancolique. Vit à l'écart, affaissée, sans au- cune
réaction
physique ou mentale. Quelques périodes d'excita-
par E. WfifGHT. (Brnin, été et automne, 1895.) Les facteurs de la
réaction
émotive sont : 1° un violent stimulus sensoriel
et de 7 à 9 distances de bobines pour le courant faradique. Pas de
réaction
de dégénéres- cence. Affaiblissement de l'excit
apparences de la démence maniaque. En résumé : manie chronique avec
réactions
très violentes (présentant l'apparence d'une dé
iques généraux; chez 79 p. 100 les déments ordinaires présentent la
réaction
normale. En ce qui concerne la sensibilité cula
s cela, comme degré de fréquence, on constate la conservation de la
réaction
pupillaire associée à l'exa- gération du phénom
deux rameaux inférieurs de ce dernier, myosis avec diminution de la
réaction
à la lumière de la pupille droite. P. KERAY AL,
moitié gauche de la rétine gauche ne donnaient à l'éclairage aucune
réaction
pupillaire ; la partie droite de la rétine gauc
surtout si l'on examine avec soin les signes objectifs tels que la
réaction
pupillaire, les vaso-moteurs de la peau de la f
à la courbe en S. Celle- ci est donc la représentation typique des
réactions
de la matière vivante. Les résultats antérieu
ptique; du côté droit on note la perte du réflexe lumineux et de la
réaction
dans les mouvements de conver- gence. Pas de tr
ations des neurones entre eux et envisagés sous le rapport de leurs
réactions
de l'un à l'autre. I. Anatomie ET pathologie DU
a- dique est diminuée, il existe également une modification de la
réaction
galvanique N F C = N 0 C. C'est le premier degré
a réaction galvanique N F C = N 0 C. C'est le premier degré de la
réaction
de dégénérescence d'Erb. En résumé, l'examen él
gue de quelqu'une de ses phases. La caractéristique réside dans une
réaction
aperceptive persistante (bien qu'inégale dans s
e médian et le cubital sont complètement paralysés et présentent la
réaction
de dégénérescence ; il y a de l'analgésie. Cinq
ieux, 176. Duquet, 256. D' Tebaldi, 416. Nerfs. Polymoiphisme des
réactions
des divers -, par Lévy Dom, 233. Suture des -
Spirites ; mari et son ami Allard; Préfecture de police. Nombreuses
réactions
. Néologismes. Début de la troi- sième période :
rmique pour le froid et pour la chaleur ? 6" quel est le c temps de
réaction
» au froid et au chaud dans les différentes par-
ins accentuée à la cuisse, où elle est localisée dans le triceps.
Réactions
électriques (faradiques et galvaniques) normales.
réquentes émissions d'urines, qui sont extrêmement claires, ont une
réaction
acide, une densité de 1,022, ne contiennent ni
le d'amende ou d'emprisonnement. L'auteur démontre que c'est là une
réaction
pathologique d'un esprit désé- quilibré ou doul
e principe de ce nouvel appareil est le même que celui du tambour à
réactions
verticales, de Marey ; l'appareil a le très gra
rnes antérieures. Aussi exis- tait-il de l'atrophie musculaire avec
réaction
de dégénérescence et flaccidité des membres par
stion. Il ne fut pas plus possible d'établir, une relation entre la
réaction
de la sensibilité du cubital et les autres symp
on de la sensibilité du cubital et les autres symptômes tels que la
réaction
pupillaire, la sensibilité à la douleur etc. L'
s moindres impressions faites sur la peau peuvent donner lieu à des
réactions
hors de propor- tion avec elles. Faisons rema
phase hallucinatoire pour continuer par la stupeur, entrecoupée de
réactions
, tantôt maniaques, tantôt de nature mélancoliqu
épôt peu abondant. Odeur ammoniacale accentuée. Consistance fluide.
Réaction
faiblement acide. Densité 1018. DE L'INTOXICATI
gère de i'Jdee ! <c/t. C'est parce qu'il y a instantanéité de la
réaction
verbale, qu'il y a 1 pénétration continue des e
niveau des éminences thénar et hypothénar et des inter- osseux avec
réaction
dé-énérative complète ; absence du phéno- mène
imprime de très rapides^ oscillations et qu'on'produit ainsi des
réactions
beaucoup plus considérables. Pour - transformer u
le courant de Morton. Réapparition des réflexes patellaires, de la
réaction
pupillaire, disparition des douleurs et paresth
es. Puis il faut savoir que la'névroglie' présente divers degrés de
réaction
. Prenons par exemple les noyaux de la couche opti
z bien. Au palper, on ne trouve pas d'atrophie musculaire, pas de
réaction
de dégénérescence à l'excitation électrique, mais
rs et qui fut suivi du rétablissement de la raison par une sorte de
réaction
. Esquirol distinguait de la démence chronique u
erminer un véritable épuisement du système nerveux qui favorise les
réactions
convulsives ». On sait que la morphinomanie pen
, chez une malade dont le sys- tème nerveux est déjà prédisposé aux
réactions
convulsives, facilitera l'apparition des accès.
ux que celles actuellement employées. On sait combien l'étude des
réactions
électriques de l'oeil est utile au diagnostic d
simple qui leur a servi dans leur Coi2tî-i- bution à l'élude de la
réaction
électrique de 1'oeil. Ils placent une large éle
et un rhéostat. Ils procèdent aux recherches dans l'ordre suivant :
réaction
minima, réaction oculaire pour une intensité de
ls procèdent aux recherches dans l'ordre suivant : réaction minima,
réaction
oculaire pour une intensité de 1 milliampère ;
ion minima, réaction oculaire pour une intensité de 1 milliampère ;
réaction
oculaire pour 2 milliam- pères. Les réactions p
ité de 1 milliampère ; réaction oculaire pour 2 milliam- pères. Les
réactions
polaires sont étudiées successivement : Ka Fe,
e neurasthénie. Dans les maladies organiques on observe souvent une
réaction
normale. Mais lorsqu'il y a anomalie, avec ou s
rédominance de la secousse négative d'ouverture, soit l'égalité des
réactions
d'ouverture o,p des réactions de ferme- ture, o
ative d'ouverture, soit l'égalité des réactions d'ouverture o,p des
réactions
de ferme- ture, ou les deux choses simultanémen
isuelle est normale on, n'observe pas d'altérations spéciales de la
réaction
galvanique. On trouve toujours une différence ent
s deux yeux; l'hyperesthésie est maxima dans la neurasthénie. Les
réactions
polaires sont à peu près identiques à celles de l
ès identiques à celles de l'état phy- siologique. Cependant pour la
réaction
minimum la secousse néga- tive d'ouverture se m
re prépondérante. Lorsqu'il y a diminution de l'acuité visuelle, la
réaction
est ordi- nairement normale ; on l'a cependant
neurasthénie. L'anisométropie n'influe pas sur la sensibilité de la
réaction
. Ces résultats correspondent à ceux déjà obtenu
culation et de la respiration, les modifications survenues dans les
réactions
électri- ques des nerfs périphériques et plus s
'irritabilité, et les périodes plus avancées par de la torpidité de
réaction
. » Quoi qu'il en soit, M. Clouston estime que,
ations thyroïdiennes provoque un véritable processus fébrile, et la
réaction
qui en résulte est favorable au malade; 2° la q
eux côtés, mais cette recherche est rendue incertaine par le peu de
réaction
du malade, et surtout par le peu de précision d
surtout aux avant-bras et aux mains, et dans les muscles du thorax.
Réaction
de dégénérescence dans un grand nombre de muscl
enfin que, dans toutes les myopathies primitives généralisées, les
réactions
électriques étaient similaires, que les contrac
tion simplement quantitative, mais ne démontre rien qui rappelle la
réaction
de dégénérescence. Il y a surtout à retenir de
tées. C. > . XI. Un cas d'amyotrophie primitive accompagnée DE
réactions
ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE TROUBLES DE LA SENS
groupes, le premier comprend les cas où les muscles présentent des
réactions
électriques anormales, le second ceux où les mu
électriques anormales, le second ceux où les muscles présentent des
réactions
électriques normales plus ou moins intenses. A
s le second groupe, dans les myopathies primitives, il n'y a pas de
réactions
électriques anormales. A ce groupe appartiennent
moment de l'obser- vation, et surtout sans les modifications de la
réaction
électrique. Tous les autres caractères sont les
ve, malgré les anomc- lies en question. Mais les modifications de
réaction
électrique n'en sont pas moins l'indice d'une l
ont devenues chroniques en restant très légères. D'où les signes de
réaction
de dégénérescence qui sont leurs manifestations
leur maximum de netteté dans le tabes sensitif. Elles accusent une
réaction
spéciale des éléments anato- ' miques, en prése
ues articulaires etsurtout osseux, parce que les centres spinaux de
réaction
nutritive des os et des cartilages ne connaissent
uppurées d'emblée, lesquelles n'ont pas de gravité et évoluent sans
réaction
. Les arthropathies syringomyéliques dépendent d
que et faradique affaiblie dans les diverses parties des deltoïdes,
réaction
partielle de dégénéres- cence dans les mêmes mu
, 1.) Observation I. Troubles de la parole. Attaques congestives;
réaction
pupillaire défectueuse; nystagmus; strabisme dive
che; hémi- parésie droite. Atrophie des extenseurs de l'avanl-bras.
Réaction
pupillaire conservée. Intégrité de la parole. D
atho- géniques. Certes la question est des plus complexes, car la
réaction
parti- culière à chaque individu embrouille les
on à distance d'extrait thyroïdien provoque dans la glande même une
réaction
inflammatoire des plus vives : il y a là une vé
révélateur. Le syndrome de Graves est, dans cette conception, la
réaction
bulbo-protubérantielle suscitée par le poison thy
des cellules épithéliales. · La thyrocolloïne est le résultat de
réactions
secondaires qui se passent dans la petite cavit
plupart des symptômes du goitre exophtalmique, il faut souligner la
réaction
inflammatoire produite dans la glande elle-même
ttrait plus volontiers que les troubles observés ont été le mode de
réaction
d'un cerveau déjà malade (accès mé- lancolique)
symptômes moteurs prédominent; plu- sieurs muscles présentent de la
réaction
de dégénérescence. Le pronostic des polynévrite
tés avec rémission de deux ans. Pas d'atrophie musculaire; pas de
réaction
dégénérative, pas de tremblement intentionnel. En
née est altérée sur toute la surface du corps : à la piqûre, pas de
réaction
ou réaction très faible; au contact du doigt, l
rée sur toute la surface du corps : à la piqûre, pas de réaction ou
réaction
très faible; au contact du doigt, la sensibilit
éné- ralisation du traitement des psychoses aiguës par le lit, la
réaction
contre l'isolement cellulaire, la création d'étab
e ans, immobilité réflexe des pupilles, mydriase, disparition de la
réaction
des pupilles à laconvergence, parésie de l'acco
écorce du cerveau (toxine syphilitique), des tractus présidant à la
réaction
des pupilles ou de leurs noyaux, des fibres de tr
n à la convergence du côté droit avec conservation symétrique de la
réaction
à la lumière, un affaiblissement de la motilité
elquefois atrophie peu marquée des muscles, peu d'altérations de la
réaction
élec- trique, et pas d'altération de la substan
enfants montrent combien chez les quérulents symptômes maladifs et
réactions
nor- males peuvent s'entremêler. Les tendances
ifs. Dans la stupeur, les cutanés et mu- queux s'affaiblissent : la
réaction
à la douleur, faible en apparence, est bien con
gissent faiblement. L'examen avec le courant galvanique a fourni la
réaction
de dégénérescence pour un certain nombre de mus
, les symptômes d'asym- bolie deviennent plus nets; on constate des
réactions
erronées; parfois il semble que le patient ait
physiologie. Il esquisse l'histoire de l'évolution du mouvement de
réaction
qui s'est manifesté contre l'alcoolisme. Au déb
non paralytiques, d'autre part. Sur les 100 paralytiques hommes, la
réaction
à la douleur a suivi la pression du cubital che
rone : la dégénérescence vallérienne de son bout périphérique et la
réaction
cellulaire avec atrophie du bout central de l'a
6 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. subit ainsi une
réaction
galvanique. Aussi dans la méthode double de Caj
n du dos par chute dans une cave; un cas d'atrophie musculaire sans
réaction
dégénératrice (Marie); quelque diminu- tion de
antes, absence de phénomène du genou- : inégalité des pupilles avec
réaction
paresseuse, atrophie des nerfs optiques ; alaxi
uveaux symptômes pupillaires dans le tabès. - M. PIL1'Z. A côté des
réactions
pupillaires bien connues à la lumière et à l'acco
ion du traitement des psychoses aiguës par le séjour au lit ; 1 -
Réaction
contre l'isolement cellulaire ; Création d'étab
el et de d'Arsonval et d'autre part des recherches de Ranke sur les
réactions
cellulaires, que toute cellule est une pile hyd
sants : 1° âge anormal auquel survint la maladie; 2° taudis que la
réaction
de dégénérescence existait dans les muscles tibia
jambe droite avaient recouvré presque toute leur force normale, la
réaction
de dégénérescence existait encore dans le groupe
s dans certains muscles mais resta définitive au niveau des autres.
Réaction
de dégénérescence, abolition des réflexes tendi
à un tempérament hystérique, à une déséquilibrée, chez laquelle les
réactions
ne sont pas normales et la force de résistance
ciation affective »,, une « discrépance » entre ces troubles et les
réactions
mimiques (« paramimie hébéphrénique»), une cert
rougeur émotive; par P. HARTENBERG, de Paris. La rougeur émotive,
réaction
émotionnelle, caractérisée par une vaso-dilalat
u sur et à mesure de leur répétition. En outre, elles appellent des
réactions
multiples. Les unes s'extériorisent sous la for
-mêmes ou que nous tenons de nos semblables, ces deux catégories de
réactions
se perfectionnent. Les réactions extériorisées
mblables, ces deux catégories de réactions se perfectionnent. Les
réactions
extériorisées ne sont plus réduites à de simples
t les actes aux buts à atteindre. Mouvements et actes éveillent des
réactions
internes ; à leur tour, celles-ci vont constitu
tions pas- SECTION DE NEUROLOGIE. 263 sées, sur les souvenirs des
réactions
intérieures et extérieures qui s'en sont suivie
es, sur la notion des rapports qui unissent ces sensa- tions et ces
réactions
, sur les aptitudes acquises pour satisfaire nos
l'inter médiaire desquels nous réfrénons et nous réglementons ces
réactions
. Nous serions également à même de localiser les t
des signes de modifications séniles du côté du cerveau : vertiges,
réaction
pupillaire paresseuse, parésie faciale, tremble
lière du phénomène de la cataphorèse tandis que Herrmann en fit une
réaction
physiologique. Meiromsky s'est attaché à déter-
tif qui donne la plus forte. Mais l'ana- logie de composition et de
réaction
de la salive sécrétée est com- plète pour les d
ant alternatif. II. Electrodiagnostic-. Lévi Sirugue a étudié les
réactions
électriques dans la maladie de Utllc et ne les
un malade atteint du syndrome ,1'rlr, mais qui ne présentait pas la
réaction
myasthéuique électrique de Jolly conclut qu'on
spond à plusieurs entités morbides. Dans un cas que j'ai observé la
réaction
de Jolly qui manquait dans les huit premiers jo
vi son cours habituel. Benedikt a continué ses recherches sur- la
réaction
lacunaire totale ou partielle dans un certain n
rophiés simples sans lésions de la moelle et que jusqu'à présent la
réaction
de dégénérescence ne peut être considérée comme
t à énoncer, c'est que, d'après mes expériences, dans le cerveau la
réaction
au liquide de différenciation d'un même système
partie, la différenciation est poussée à l'extrême. Pour- quoi ces
réactions
différentes des systèmes de fibres ? 2 SECTION
le corps optique. A travers tout le pied du pédoncule on trouve des
réactions
correspondantes. Les fibres qui rayonnent vers
e la substance grise nerveuse se prêle plus qu'aucune autre à cette
réaction
cavitaire, et cela sous l'incitation de causes
. Paris, 1900. (Archives d'électricité médicale.) 0 LEDUC (S.). -
Réaction
de l'urine dans les névropalhies. Effets psy- c
du réflexe plantaire, mais aussi un trouble dans la forme de cette
réaction
motrice. Ceci ressort encore des recherches réc
omanie, peuvent se rencontrer. La jalousie de l'inverti appelle des
réactions
dont la médecine légale peut avoir à s'oc- cupe
ROLOGIE. 497 lion est assez court pour exclure la possibilité d'une
réaction
par l'intermédiaire d'un centre nerveux. La « s
tanés comme des réflexes spinaux et on était d'avis que le temps de
réaction
des réflexes cutanés est le temps perdu le plus
ue le phénomène de Brissaud doit être considéré comme le minimum de
réaction
du réflexe cutané plantaire. Du réflexe i léo-m
racines antérieures de la moelle ; sous l'influence de la série des
réactions
Archives, 2e série, t. X. 33 51.4 REVUE D'ANA
, on ne se demande pas si le sujet est un névropathe prédisposé aux
réactions
cérébro-spinales, on explique tout par une soi-
ni la marche du délire, ni la nature des idées délirantes, ni les
réactions
qu'elles déterminent chez elle ne sont celles que
ffrances et peut permettre quelques efforts de résigna- tion. Les
réactions
que le délire provoque chez ces malades ont aus
étend que l'inspiration qui suit l'excitation du nerf vague est une
réaction
douloureuse et qu'on la supprime en anesthésian
urants faradiques; par Alfred liasr. (Neurol. Centralbl., 1882.) La
réaction
dégénérative aux courants faradiques (An S Z >
rate ? La' suppression si l)'rusqué,'duTfmé'dicambntl,entraînè' une
réaction
inverse duScûté 1 ? dé''lâ"circûlàtibri`; alors
ence qui sépare la substance blanche de la substance grise (aspect,
réaction
; 'développement).Ranvier attribue aux cellules
ar le monde extérieur, soit que les incitations n'entraînent pas de
réaction
, soit que les sollicitations se pervertissent d
malades à l'égard des agents extérieurs, tandis que d'ordinaire la
réaction
qui répond au stimulus extérieur est anormale e
mplets ou imparfaits, une très faible excitation déchaîne une forte
réaction
du côté de la mimique. Les aparté sont bien sou
peuvent manifestement exercer une certaine influence sur le mode de
réaction
] ? ii tout cas, des investigations de Pelizaus
soulevés retombent comme s'ils avaient la lourdeur du plomb; peu de
réaction
aux excitations douloureuses. Mort. Ixtopxti'.L
te hé- mianopsie est-elle exactement limitée par la verticale ( ? )
Réaction
des deux pupilles normale, au moins quelque tem
ns toutes les modalités; aucune trace d'atrophie musculaire. Pas de
réaction
de dégénération lors de l'examen électrique; én
ineux ont absolument disparu. L'atrophie mus- culaire est générale;
réaction
dégénérative aux membres. Quand on agit sur les
muscles, des extrémités, la conservation des réflexes tendineux, la
réaction
dégénérative sans traces de contractures, des d
de l'avant-bras. L'examen révèle : une para- lysie atrophique avec
réaction
dégénérative complète du deltoide, du domaine d
sexcitationspbysioloiques. P. K. XLV. Sur DES modifications DE la
réaction
dégénérative par- TIELLLE ET sur L'OCCURRENCE D
01. Ce7tlz'(Llbl., 4883.) Ces modifications sont à rapprocher de la
réaction
dégénéra- tive faradique de E. Remak déjà trait
t dans l'état de veille; dans quelques cas, ils étaient exagérés.
Réaction
galvanique. L'auteur a trop peu de documents pour
un épuise- ment de l'excitabilité, qui souvent revêt la forme de la
réaction
la- cunaire de l3enediht; 3° d'une manière géné
rapprochant fréquemment de K S Z. Chez deux malades, le temps de la
réaction
latente fut visi- blement allongé. Au stade ini
e, parésie bilatérale de l'accom- modation, avec conservation de la
réaction
pupillaire. Du 10 au 16 octobre 1883, se dévelo
oit externe ; blépliaroptose bilatérale modérée. Conservation de la
réaction
pupillaire sous l'influence de la lumière; abse
semble à l'une des périodes de la convulsion des nerfs mourants (
réaction
dégénérative, etc.). Cette profession de foi ém
sus-mentionnées, et l'on est en droit d'appliquer les notions de la
réaction
du nerf dégénéré (Benedikt, Brenner, Erb) à la
stades : un stade de mélancolie initiale qui.représente le mode de
réaction
du nerf simplement fatigué, c'est-à-dire de l'o
eux, et spécialement du cerveau, gêné dans sa nutrition; le mode de
réaction
, conforme à la loi de convulsi- 392 BIBLIOGRAPH
medico-tegauxsories états mentaux douteux, 360. Bestraint, 355.
Réaction
dégénérativeaux courants faradiyues 82. Récom
A l'examen électrique aucune altération de la con- tractilité. Les
réactions
électriques restèrent normales pendant toute la
z 6' PATHOLOGIE NERVEUSE. vives au niveau de l'apophyse mastoïde.
Réactions
électriques normales pendant tout le cours de l
aru la veille de la paralysie et ont persisté pendant quatre jours.
Réactions
électriques normales.- Gué- rison au bout de si
s du côté droit de la face sont paralysés. Intégrité par- faite des
réactions
électriques. Guérison en cinq semaines. Nous av
vail et il y a eu chez lui un véritable surmenage intellectuel. Les
réactions
électriques sont normales; elles ne subissent a
de la paralysie faciale du coté gauche ; l'hémiplégie est totale.
Réactions
électriques normales. Guérison complète au bout
est notablement diminuée à droite, pas de modifications dans les
réactions
galvaniques. - Au bout de quatre mois la guérison
ontractilité faradique, contractilité galvani- que normale ; pas de
réaction
de dégénérescence. Le malade est guéri au bout
ion à l'anode; en un mot, les muscles présentent les signes de la
réaction
de dégénérescence partielle. 0 10 pathologie NE
roit; pas de modifica- tions de la contractilité galvanique, pas de
réaction
de dégéné- rescence. La guérison ne survint q
n électrique ne nous révèle d'ailleurs aucune modification dans les
réactions
faradique et galvani- que et nous permet de por
ntractilité faradique, augmentation de la contractilité galvanique,
réaction
de dégé- nérescence. Les signes de la réactio
tilité galvanique, réaction de dégé- nérescence. Les signes de la
réaction
de dégénérescence ont disparu depuis le mois d'
traction plus forte à la fermeture avec l'anode qu'avec le cathode (
réaction
de dégénérescence par- tielle). Au bout de troi
r est évidente. Un homme vaillant peut à la rigueur, supporter sans
réaction
nerveuse apparente une douleur de courte durée.
des adaptations internes subséquentes; il fournirait en outre à la
réaction
externe in- telligente de l'individu, par les i
peau ou des muqueuses. Réflexes tendineux, fonctions des muscles et
réactions
élec- triques ne présentant rien de pathologiqu
et grand dentelé avec perte absolue de la contractilité faradique,
réaction
de dégéné- rescence pour la contractilité galva
vésicaux, ni rectaux. Les muscles s'atrophient peu à peu et ont des
réactions
de dégénérescence partielle ou totale. 11 y a s
gions paralysées, et l'on n'a jamais constaté jusqu'à présent la
réaction
de dégénérescence, quelle que fût l'ancienneté
iels de l'avant-bras, ni avec celle des bran- ches profondes. Les
réactions
électriques méritent également d'être étudiées.
de la fibre musculaire. Les courants continus ne provoquent aucune
réaction
appré- ciable : avec une pile de Chardin de 12
, mais tout se passe comme à l'état normal et l'on n'observe pas la
réaction
de dégénérescence. Il semble cependant qu'il
aire, une paralysie motrice complète, une anesthésie moin- dre, des
réactions
électriques différentes. A plus forte raison, n
yménin- gite est d'amener une atrophie musculaire bilatérale avec
réaction
de dégénérescençe et fort peu de troubles sensiti
l'absence de troubles moteurs, la conservation des réflexes et des
réactions
électriques, tout milite en faveur de désordres
la facilité est plus ou moins grande, voilà tout. P. K. VIII. DES
réactions
galvano-électriques DES nerfs auditifs ET optiq
s la syringomyélie. Grïnther, l'élève d'Eu]), dans ses études de la
réaction
électrique dans l'atrophie musculaire « typique
s de l'épaule et du bras cor- respondants (type Duchenne-Erb.). Les
réactions
électriques ont toujours été normales. La guéri
Ardnt sur les - et les illusions, par Hoppe, 274. Hallucinés (des
réactions
galvanoé- lectriques des nerfs auditifs et op-
du deltoïde était très affaiblie; et on constatait les signes de la
réaction
partielle de dégél1eres- cence, plus ou moins a
, cependant, aucune secousse librillaire dans ces muscles. Mais les
réactions
idio-musculailes, provoquées par la percussion, y
musculaire. L'examen électrique, récemment pratiqué, montre que la
réaction
partielle de dégénérescence tend, à l'heure act
en électrique des muscles paralysés nous a révélé l'existence d'une
réaction
partielle de dégénérescence. Cette réaction dén
évélé l'existence d'une réaction partielle de dégénérescence. Cette
réaction
dénote, comme vous le savez, que les muscles para
e paralysie hystéro-traumatique. Mais d'abord la constatation de la
réaction
dégénérative permet de l'écarter d'emblée. D'autr
; l'atrophie muscu- laire est fort peu accusée, et les signes de la
réaction
de dégénérescence tendent, si je puis m'exprime
agération des réflexes tendi- neux, à la trépidation spinale et aux
réactions
normales des pupilles montre bien qu'on était e
vation II, en raison de l'âge du sujet), n'a révélé aucune trace de
réaction
de dégénérescence. Sans préjuger la nature inti
NFC reste > PFC, les contractions sont lentes. II y a donc de la
réaction
de dégéné- rescence partielle, plus ou moins ac
l'examen électrique pratiqué par M. Iluet a révélé les signes de la
réaction
de dégéné- rescence dans tous les muscles du gr
ervation du sciatique poplité externe, accompagnée des signes de la
réaction
de dégéné- rescence, et qui est cause, en majeu
ez l'homme, certaines modifications des re- flexes tendineux et des
réactions
électriques, et vous aurez une idée d'en- sembl
il n'y a rien de caractéristique dans^'étal des réflexes tendineux.
Réactions
électriques. - On en peut dire autant des modific
actions électriques. - On en peut dire autant des modifications des
réactions
électriques. t ... Ainsi l'excitabilité électri
exploration de certains nerfs et de leurs muscles, les signes de la
réaction
de dégénéres- cence ; notre malade en est un ex
lade en est un exemple.' Soit dit en passant, la constatation de la
réaction
de dégénérescence, coexistant avec de l'atrophi
s d'atro- phie musculaire ou seulement des traces, les signes de la
réaction
de dégénérescence faisant défaut. Mais je me ga
loration électrique des nerfs et des muscles donne les signes de la
réaction
de dégénérescence. La sensibilité est abolie da
ieds. L'examen électrique des muscles paraly- sés fait constater la
réaction
de dégénérescence. Les muscles delà face an- té
hyperesthésique et le sein hystérique n'est pas autre chose que la
réaction
d'un organe spécial, richement vas- LE SEIN HYS
. L'examen de l'urine indique l'absence d'albumine, mais -une forte
réaction
d'urobiline. ' 1 - ' ' Cet état reste station
'importance, pour juger de la nature de la maladie, que l'étude des
réactions
amenées dans les tissus par ces altérations.
nérer ; dans le deuxième cas au contraire nous sommes en face d'une
réaction
toute différente, les leucocytes ne sont plus l
ment atteinte, hypertrophie de certains muscles, réflexes conservés,
réactions
électriques normales. Troubles de la sensibilit
les montre que ceux-ci réagissent normalement et qu'il n'y a pas de
réaction
de dégénérescence, bien que la contractibitité fa
lière de l'amyotrophie, sur le caractère normal des réflexes et des
réactions
électriques, sur la per- sistance de faisceaux
'a donné lieu à aucune manifestation ni de résistance locale, ni.de
réaction
motrice involontaire ; le contact du bec de la
graves le pouls devient imperceptible. La force du pouls annonce la
réaction
. Certaines conditions prédispo- 4 Il. REVUE DE
ange rien à l'état des nerfs, et des muscles, et par conséquent les
réactions
électriques restent normales. Aussi étant donné
ue paralysie (hémiplégie, paraplégie, monoplégie), si on observe la
réaction
de la dégéné- rescence, on peut dire que la lés
s ou nerfs périphériques). Après avoir signalé les caractères de la
réaction
de dégénéres- cence, l'auteur envisage la valeu
ons des membres sont plus troublées, l'amyotrophie plus accusée, la
réaction
de dégéné- rescence s'est accentuée dans les mu
électrique; le rétlexe du palais mou manque; la langue présente une
réaction
partielle de dégénérescence ; la quantité d'uri
à la catégorie de la paralysie asthénique, vu qu'il existe ici une
réaction
de dégé- nérescence des muscles de la langue.
bserve un élargissement de la pupille et un affai- blissement de la
réaction
à la lumière. Durant toute la maladie la tempér
st plus grande à droite qu'à gauche pour le biceps. Il n'y a pas de
réaction
de MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 103 dégénéres
rs, suivant une marche lentement progres- sive et s'accompagnant de
réaction
de dégénérescence. Elle meurt de bronchopneumon
, membres postérieurs atteints ultérieurement, mais sans atrophie ;
réactions
électriques conservées. Difficulté dans la mict
rmé de deux substances, l'une chromatique, l'autre achromatique, de
réactions
différentes. Les alcalis dissol- vent la premiè
naire jusqu'à leurs terminaisons dans la moelle ou le bulbe : leurs
réactions
pathologiques sont donc les mêmes au niveau des
formules selon les aptitudes, l'âge, le degré d'intel- ligence, les
réactions
individuelles, de même qu'il appartient au chir
tile au diagnostic; ses observations le prouvent. L'existence de la
réaction
de dégénérescence permet d'éloigner l'idée d'hyst
til et les affirmations de Souques, qui tendraient à prouver que la
réaction
de dégéné- rescence est un signe sans valeur pu
ormale au bras et à l'épaule. Je consta- tais, le lendemain, que la
réaction
faradique n'avait pas disparu, les sphincters n
yomyélile antérieure il n'y a pas de troubles de la sensibilité, la
réaction
est nulle sous les courants faradiques; les réf
, sans dépôt, presque pas plus colorée que l'eau. Densité 9=,OU`3
Réaction
très faiblement acide. Urée 1 ,28 par litre.
nt sans couleur, limpide, sans dépôt. Densité il + 15° = -) ? 002
Réaction
très faiblement acide. 318 CLINIQUE NERVEUSE
l'hyposthénie sénile. 3° Considérés dès lors au critérium de leurs
réactions
respec- tives vis-à-vis du nycthémère, il sembl
manifesta- tions de cette sensibilité ont affecté même l'aspect de
réactions
complexes, déterminant des actes très compliqué
supinateur sont non seulement paralysés, mais encore atrophiés avec
réaction
de dégénérescence. Quant aux autres muscles, ce
on de l'idée fixe. - Notons enfin que, si l'émotion. n'était qu'une
réaction
de l'idée fixe, son intensité devrait nécessair
section nerveuse. Par conséquent, il n'existe pas de névrites sans
réaction
des cellules des nerfs atteints. J'ai montré au
on- sécutives à la dégénérescence des nerfs. Les modifications de
réaction
à distance que je viens de décrire peuvent, dan
l. I. D'après les nombreuses recherches des physiologistes sur la
réaction
duliquidesanguin, l'alcalinité du sangestdue au
ulièrement isochrones et inversement proportionnels. L'examen de la
réaction
urinaire, pratiqué concurremment * aux examens
de l'état général. · Le 10, injection de 40 cent. cubes suivie de
réaction
violente : frissons, sueurs, anurie. T. 38°. Au
er. Le 18, injection de 20 cent. cubes de solution à 1/10. Pas de
réaction
. Les 21, 22, 4; 27, 30, injections de 40 cent.
Les 1er, 3, ti, 7, 8, 11 août, injections de 30 cent. cubes. Pas de
réactions
. Etat de subexcilation persistant. Pas d'attaques
ctions,' 1.000 centimètres cubes de so- lution, 90 grammes de sels.
Réaction
fébrile à la suite des premières injections seu
tions comptant 1,020 cent. cubes de solution et 92 grammes de sels.
Réaction
fébrile à la suite des premières injections. Au
tions comportant 740 cent. cubes de solution et 64 grammes de sels.
Réactions
fébriles à la suite des premières injections. P
rtant 1,020 cent. cubes de solution alcaline et 92 grammes de sels.
Réactions
fébriles à la suite des premières injections se
it des injections, peuvent se résumer ainsi : Dans tous les cas :
réaction
fébrile fugace apparaissant moins d'une heure a
l'atonie et la dégénérescence. Spasme et contracture ne sont que la
réaction
des fibres musculaires lisses de l'appareil dig
s autres qui caractérisent le fonds neu- rasthénique de la maladie (
réaction
vaso-motrice exagérée, insta- bilité, bizarreri
psychique anormal dissemblable déterminera sur les deux organes une
réaction
semblable et deux psychoses homogènes. Il n'y a
du la mémoire, craint de ne pas recouvrer la santé. Intégrité de la
réaction
pupillaire et des réflexes. Le malade guérit et
, diminution de l'innervation du facial gauche, pupilles inégales à
réaction
paresseuse, le phénomène du genou manque à droi
ement subit de phénomènes morbides non pas par l'ap- parition d'une
réaction
inflammatoire autour du foyer hémorrha- gique,
du dos et en partie des membres inférieurs à évolution progressive.
Réaction
partielle de dégénérescence. Aucun phénomène de
atiques de la grenouille au courant dynamo ne diffère en rien de la
réaction
au courant constant et se conforme à la loi Pfl
t, ayant un poids spécifique de 1006,5. Il ne se produisit aucune
réaction
, et il s'ensuivit en même temps une amélioration
'urines. Mort à 75 c. c. avec convulsions toniques répétées. Pas de
réaction
. Par une erreur faite par la fille de service,
tion abondante de 350 grammes environ ; ni urobiline, ni albumine à
réaction
nettement acide, filtrées et neutralisées. Co
à son état normal. L'urine est très trouble, en petite quantité, à
réaction
nettement acide. Elle ne contient ni albumine,
heures du matin, au 2 avril même heure : Q = 1,200 c. c. environ, à
réaction
acide, filtrés avec soin. Lapin de 2 kil. 410
u 3 avril même heure. Son odeur est légèrement ammoniacale, mais sa
réaction
est nettement acide, elle est claire. Filtrée ave
, Lapin de 1 kil. 550. f " ' L'urine injectée a été naphtolée. Sa
réaction
est nettement acide, elle est non ammoniacale.
res de l'après-midi, le 1C" avril, l'urine est injectée. Elle est à
réaction
nettement acide; on la filtre avec le plus grand
avril même heure : Q = 850 ce. Lapin de 2,480 grammes. - Urines à
réaction
acide, filtrées avec soin. ' · Vers 15 c.c.,
2 dans l'après-midi. Elles sont claires, sans odeur ammoniacale, de
réaction
nettement acide, filtrées avec soin. Lapin de 1
nes pendant ces diverses manifestations. , - Urines naphtolées, à
réaction
nettement acide, contenant un peu de sang (comm
Il y avait donc plus de vingt-quatre heures après le dernier accès.
Réaction
acide, filtrée. ' DE LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ
e. Q = 1600 c. c. La surveillante affirme que rien n'a été perdu. A
réaction
acide, claires, non naphtolées, filtrées. - Lap
partir de 6 heures du matin, jus- qu'au 19 même heure. Naphtolées à
réaction
acide, filtrées. Tota- lité : 1.480 c. c. envir
ction... " . - - Urines recueillies du 26 au 27 avril. Naphtolées à
réaction
acide, filtrées. Q = 1.500 c. c. ... " Lapin
n place un prisme devant l'oeil, Fond de l'oeil tout à fait normal.
Réaction
parfaite des pupilles à l'accommodation et à la
e personnelle, les sensations pouvant toutefois donner lieu à des
réactions
étrangères à la conscience du sujet, dépendant d'
abituellement à les rassurer et à leur faire négliger, sans trop de
réaction
émotive, cette recherche regardée, jusque-là, c
culaires sont mobiles nor- malement dans toutes les directions. Les
réactions
pupillaires sont normales. Pas de nistagmus. -
écie, surtout du côté, affecté de migraine, et plus paresseuse à la
réaction
provoquée par la lumière; la fente palpébrale e
rs. La mémoire topographique et le sens chromatique étaient abolis.
Réaction
pupillaire bien faible à la lumière. Rien au fond
s à l'électricité, le jambier antérieur du même côté est affecté de
réaction
dégénérative : il en est de même pour l'opposan
es sujets en expérience étant isolés ou non (en ce dernier cas, les
réactions
étaient atténuées), on les soumet aux étincelles
amen galvanique et faradique comme présentant tous les signes de la
réaction
démé- néralive complète ou moyenne. Et notammen
s muscles se contractèrent len tement en un faisceau des plus nets (
réaction
dégénérative de Fran- klin). Quelques autres ex
trac- tion certaine. Passons maintenant aux formes moyennes de la
réaction
dégé- néralive dont nous rappellerons les carac
'excitabilité faradique directe avec contraction musculaire rapide.
Réaction
dégénérative (lenteur de la contrac- tion, inve
uscles dégénérés dans la franklinisation ou, en d'autres termes, la
réaction
dégénérative de Franklin est très rare, même qu
e ne peut avoir de valeur électro- diagnostique. En quelques cas de
réaction
dégénérative à évolution graduelle, il a vu dis
tudie le rapport entre l'étendue de la perception et le temps de la
réaction
. Le Dr A. Lehmann fait connaitre les résultats
te dans les muscles atrophiés, actuellement du moins, aucune trace de
réaction
dégénérative, peut bien être considéré comme la c
'électrisation, j'en suis sûr, n'y montrerait aucune modification des
réactions
électriques ; la paralysie s'est développée progr
mpérature; — 4° Atrophie musculaire plus ou moins rapide parfois avec
réactions
dégénératives ; — 5° Quelquefois troubles trophiq
né la chose de près n'a pu retrouver là cependant la moindre trace de
réaction
de dégénération. Il faut donc admettre que si ici
econnue ces jours-ci mais aussi dans les premiers temps du mal, de la
réaction
de dégénération et enfin l'exagération du réflexe
ns la règle, ce genre d'atrophie musculaire ne s'accompagne pas de la
réaction
de dégénération; là, en général, toutes les réact
mpagne pas de la réaction de dégénération; là, en général, toutes les
réactions
persistent, elles sont seulement affaiblies paral
donné les résultats suivants le 10 novembre 1888: forme légère de la
réaction
de dégénérescence. — Pronostic, quant à la durée,
fìcile à déterminer. Ce sont, par exemple, l'atrophie musculaire avec
réaction
de dégénération plus ou moins prononcée ; l'absen
eds étaient chauds, œdématiés, tuméfiés. Joints aux modifications des
réactions
électriques, à la perte des réflexes rotuliens qu
ctrique pratiquée il y a quatre jours a fait reconnaître chez lui une
réaction
de dégénération prononcée. « De plus, quand à l
oir des cas de paralysie faciale qui, paraissant, au point de vue des
réactions
électriques, comporter un pronostic grave, guéris
ant rapidement, tandis que des paralysies dites bénignes, d'après les
réactions
électriques, peuvent exceptionnellement persister
es paralysies faciales, ne s'accompagnant d'aucun changement dans les
réactions
électriques, persister pendant des mois entiers e
sibilité de fermer l'œil droit, joue droite flasque et immobile. La
réaction
électrique indique une forme légère. Il a été imp
endant il s'agirait, d'après les indications fournies par l'étude des
réactions
électriques, d'une forme légère. ai), ueia soc.
tion expérimentale des nerfs moteurs, d'importantes modifications des
réactions
électriques se font reconnaître dès le quatrième
gluante. Le pied présente un léger équi-nisme. Pour ce qui est des
réactions
électriques, elles sont absolument nulles dans to
l'exploration électrique, elle amontré aux cuisses l'existence d'une
réaction
de dégénérescence très nette et complète, pour la
trophiques révélés par l'électro-diagnostic. Il existe, en effet, une
réaction
de dégénération bien nette sur les muscles antéri
prédominante les extenseurs des pieds et des mains symétriquement; la
réaction
de dégénération très accentuée dans la plupart de
ssique des douleurs fulgurantes; l'absence des troubles vési-caux, la
réaction
des masses musculaires, les rétractions fibro-ten
ncore assez volumineux. Aux cuisses, et aux membres supérieurs, les
réactions
électriques sont d'une façon générale assez peu m
plupart des muscles très atrophiés, les deltoïdes par exemple, où la
réaction
tant galvanique que faradique est absolument null
ypothénar de la main droite ; muscle grand-fessier du côté droit, les
réactions
soit faradiques, soit galvaniques font absolument
act. défaut. Les interosseux palmaires du côté gauche présentent la
réaction
de dégénérescence ; partout ailleurs, il y a seul
rant très fort. D. Les autres muscles explorés ne présentent pas de
réactions
électriques anormales. Il faut noter seulement qu
les atrophiés des membres supérieurs a fait trouver un peu partout la
réaction
de dégénération partielle. Les membres inférieu
ens exagérés ; mais, au membre supérieur, il y a une amyotrophie avec
réaction
de dégénérescence, surtout dans les muscles de la
hie musculaire, Myopathie.) Amyotrophie de cause articulaire, 75» —
Réaction
de dégénération, 77. — Théorie, 77. Amyotrophie
149, 407,416. —Mécanisme pathologique, 418. — Pathogénie, 409, 410. —
Réactions
électriques, 411. — Réflexes, 411.—Rôle des cellu
sie, 359. Edwards, 68. Effondrement des jambes, 157. Electriques (
Réactions
).— dans la paralysie alcoolique, 86, 383. — dans
. — Diagnostic, 414. Myopathies primitives, 414. — Etiolo-gie, 414. —
Réactions
électriques, 415. — Symptômes, 415. —Type sca-pul
s la mémoire dans la), 389. — Pied tombant, 382. — Pronostic, 391.—
Réactions
électriques, 383. — Réflexes, 86. — Retard dans l
143. — (Lésions de la) 141, 142, 408. — Période de réparation, 143. —
Réactions
électriques, 143. — Symptômes, 142. — Troubles tr
ît facilement l'existence d'une luxation coxo-fémorale double, sans
réaction
locale. Le sujet peut marcher un peu avec desib
res légers,,diminution de, l'excitation électrique des muscles sans
réaction
de 'dégénérescence. Le traite- ment spécifique
^ certains sont impossibles;' par suite' d'impotence' muscu- laire.
Réaction
de dégénérescence sur certains muscles.' La sensi
eptionnels dans les myopathies : le frémissement vermiculaire et la
réaction
de dégénérescence. Les exceptions sont données
ts ni de mouvements anormaux.- Arthrite également indolore, et sans
réaction
de l'articulation tibio-tarsienne gauche. Il y,
3° on a également à'tenir compte de particularités quant au mode de
réaction
individuelle ,de,-rand, nombre d'entreeux;4°'ta
de mer sont indiqués pourrenforcer le système nerveux central. La
réaction
des'individus' est" d'ailleurstrès variable'et'éc
obe occipital. 11 y avait complète amaurose d'origine centrale ; la
réaction
pupillaire était conservée ; il n'y avait pas d'a
usculaire. Les réflexes tendi- neux ont toujours été conservés ; la
réaction
électrique n'a présenté aucune modification qua
lucinations négatives, les excitations ne produisent plus les mêmes
réactions
que précédemment. En discutant et interprétant
6) de deux tambours de de Marey, l'un* enregistreur M, l'autre N, à
réaction
, chargé de transmettre au tambour M, au moyen d
sensations., sont perçues lentement, faiblement, et déterminent une
réaction
, notamment de douleur, très légère; ceci est pr
avec le professeur Gauthier, épier et surprendre les actions et les
réactions
de la cellule vivante. Ce travail, si difficile
ui le rapproche de la manie. Chez les enfants particulièrement, les
réactions
provoquées par le rêve qui représente la phase
l'établissement de ces conditions de nutrition et secondairement de
réaction
autonome - n'est pas aussi évident, il' n'en es
ndi- viduel. ` Je ne suis donc pas de ceux qui, pour expliquer la
réaction
locale des cordons nerveux à l'encontre des act
ui va exciter la cellule motrice, laquelle est l'instru- ment de la
réaction
de l'être vivant déterminée par ses sensations.
uis amené à conclure des faits observés que, dans nombre de cas, la
réaction
du nerf, à rencontre des actions pathogènes qu'
cide picrique et le nitrate d'argent effectuent conjointement leurs
réactions
his- tochimiques ordinaires qui s'additionnent
s sont faites sur des régions non anes- thésiées, ont déterminé des
réactions
vasomotrices nulles ou très peu marquées; diver
ient le faire chez un simple dormeur; et sont le point de départ de
réactions
psy- chiques, intelligentes, nullement comparab
noter qu'elle est ammoniacale, mais cela est rare, même lorsque la
réaction
est alcaline. Réaction. La réaction est en effe
acale, mais cela est rare, même lorsque la réaction est alcaline.
Réaction
. La réaction est en effet fort variable : tantôt,
ela est rare, même lorsque la réaction est alcaline. Réaction. La
réaction
est en effet fort variable : tantôt, 372 CHIMIE
tantôt alcaline. D'après la statistique que nous avons établie, la
réaction
est faiblement acide dans les deux tiers des ca
és; rareté de la cécité complète; . 2° Peu de modifications de la
réaction
pupillaire, qui peut sub- sister malgré la céci
eux et de la syphilis nerveusejnalimie précoce. P. K. XXII. De la
réaction
des pupilles ET DE quelques autres PIICENO- mèn
bilité générale. Systématisation du délire plus étroite et modes de
réaction
. Observation I. Délire chronique à la deuxième
e : Hallucinations de l'ouïe : c'est le Parisien qui la poursuit.
Réactions
: déménagements, tentative de suicide, menaces de
tortures, le patient n'est pas éloigné d'entrer dans la période des
réactions
dangereuses. Depuis longtemps, en effet, le doute
fendre, dès maintenant il se lève, prêt à l'attaque. Les modes de
réaction
varient, en effet, avec les périodes de son dél
l'ouïe, systématisation rapide; c'est le parisien qui la poursuit.
Réactions
^ déménagements; tentative de suicide, menaces d
enir naturellement l'origine d'une hyper- sécrétion urinaire. Cette
réaction
s'impose presque chez un tel sujet, étant donné
complexe de la lecture caractérisé par : a. de la dyslexie ; 6. une
réaction
ultérieure de l'intelligence qui semble ressais
concomitants ou 'consécutifs. Cette démonstration devra exercer une
réaction
profondesur l'intelligence et le groupement de
fectieuses et toxiques qui s'accompagnent de symptômes indiquant la
réaction
du cortex vis-à-vis de l'intoxi- cation général
te. Si l'arc nerveux n'était qu'un simple conducteur, l'énergie de la
réaction
n'étant modifiée par l'intervention d'aucun agent
mulation. Mais l'expérience démontre qu'il n'en est point ainsi ; une
réaction
forte peut suivre une stimulation faible, et réci
oquement à une stimulation faible peut dans certains cas succéder une
réaction
puissante. Ainsi la théorie dont nous parlons ne
sa charge. Telle est l'idée qu'il faut se faire des propriétés et des
réactions
des cellules nerveuses centrales. III. Nous avo
matière, et comment s'unissent-elles dans un système d'actions et de
réactions
réciproques? Voilà à quel abîme nous touchons; s'
ucteur et, si j'ose le dire, comme un répartiteur d'impressions et de
réactions
dans toute la série des segments du corps. Ces fa
substance qui conduit toutes les impressions, qui transmet toutes les
réactions
, n'est point directement excitable. On la coupe,
excitable. On la coupe, on la tranche, on la brûle, il ne s'ensuit ni
réaction
, ni douleur, et ces fibres par lesquelles nous se
f dans une cer-« laine étendue de son trajet, il y a sur-le-champ une
réaction
opérée. » C'est là le mot propre. Loc. cit. Premi
de M. Flourens, de Volkmann, de Van Deen, et de M. Brown Séquard. La
réaction
est directe. Ainsi divise-t-on la moelle dans un
ses. Mais évidemment aussi elle est un conducteur d'impressions et de
réactions
, et ce rôle paraît appartenir surtout à ses fasci
en général diffuses qui déterminent l'apoplexie, de la multitude des
réactions
des parties malades sur les parties saines et réc
notre propre nature, et, comme les chatouillements, ils éveillent des
réactions
et des sympathies générales, mais ordonnées cette
e, qu'ici les effets et les causes s'enchaînent naturellement, et les
réactions
que sollicitent les impressions douloureuses, se
e l'intelligence, mais en tant qu'ils éveillent le système entier des
réactions
automatiques, ils peuvent passer à bon droit pour
ouvent son esprit aura besoin d'intervenir. D'ailleurs, par suite des
réactions
multiples qui lient dans un seul système toutes n
ion de l'être sensible, c'est-à-dire toute excitation sollicitant une
réaction
corrélative, il en résulte une tendance nécessair
dépendance d'une seule cellule. De là, pour une impression isolée des
réactions
multiples, mais coordonnées cependant, toutes les
e des indices de mouvement et, si je puis ainsi dire, des ébauches do
réaction
. D'ailleurs la sensation et l'imagination se co
'une impression habituelle, déterminent le réveil en ramenant par une
réaction
subite l'âme à un objet défini. Le premier effet
uelque impression agit sur le corps de manière à déterminer certaines
réactions
dans la sphère de la vie organique, elle pourra ê
iblie où le corps semble si peu intéressé, qu'il n'en résulte que des
réactions
insensibles, incapables d'amener un résultat co
duction du lithotripteur, il y avait dans tout le corps du malade des
réactions
d'angoisse; il s'agitait et résistait avec énergi
t une sensation véritable est une tendance nécessaire; de plus, toute
réaction
étant en principe proportionnelle à la stimulatio
le sommeil ou clans les hallucinations, elles ne déterminent que des
réactions
faibles, ou pour mieux dire des indices de réacti
erminent que des réactions faibles, ou pour mieux dire des indices de
réaction
, dont le résultat demeure incomplet. Ainsi, à la
illant un sentiment homogène, répond un acte corrélatif. C'est là une
réaction
automatique, ce n'est point un instinct. Fuir la
mais non point instinctivement. L'instinct n'est point, en effet, une
réaction
produite à propos d'impressions extérieures. C'es
ral dans le sens du mouvement le plus fort. Ajoutez à cela le cri des
réactions
organiques, cette voix des émotions profondes, et
tat prolongé d'inspiration interrompu par de courtes expirations. Ces
réactions
ont un caractère hystérique et peuvent subir des
de l'intelligence; ainsi pourrait-on peut-être expliquer par elle ces
réactions
de l'âme qui dominent le corps au point de créer
troubles, psychiques ; seule une éroto- mane a- fait exception. La
réaction
anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' '
PATHOLOGIE MNTAI,E.lJwJJOE : n .IJI .troubles psychiquesiisolés,-la
réaction
. anxieuse, se;pro- duit d' ordinairel chez ,lIe
mblement sénile ou de la paralysie agitante, -et avec le, tambour à
réaction
dont nous avons fait usage, nous avons constaté
,¡,et, ! )1 ! llEl celu} des ;animaux ayant la naissance, donne les
réactions
du cerveau ,dySjR;H9; q n[ q™ 3,0,,Les plén,o,m
ré'actioh deenërativë ? L'cxcitabi)itédës'tr6ncs nerveux* a baisser
réaction
llegenel'a Ive, . ,eXCl a )1 l e, es troncs nerve
t ]aii-e. L excItabIlité ! eJectI'lquc 'a 'disparu et'Tôn'nbte [la1
réaction
d . , '... l ? 1'" p' r'll ,hl' Ii Id;;ol ,. (f
gauche, kératite commen- çante à droite. Rien d'anormal quant à la
réaction
pupillaire ou à l'état oplttlralmoscopique. Exa
érien des deux côtés, la diminution du rétiexe plantaireigauche, la
réaction
dégônérativo de Krb l'électrisation du facial d
s à l'électrisation galvanique,' lés etéÍiséîirsr pré'sIÍiarit1la :
réaction
P.11 1 ,- . L't, ,t 'Il - i - ? Il -11 pi 'C'f
eux aussi, « vou- draient bien, mais ne peuvent pas vouloir 1 ». La
réaction
indivi- duelle ! du sujet est atténuée; c'est l
obéissaità tout autre ordre d'une manière automatique. En somme, la
réaction
individuelle, la volonté, n'est pas complètemen
n équilibre mental, réagit à chaque impression qu'il subit; mais la
réaction
n'est pas assez rapide pour qu'il ne tienne pas
enses, l'excitation la plus faible est immédiate- ment suivie d'une
réaction
dont la rapidité exclut l'idée de rai- sonnemen
e de la mobilité de ces sujets. Chez l'hypnotique somnambulisée, la
réaction
individuelle est suppri- mée, la volonté est an
mnambule ne peut plus, pendant une période indéter- minée, avoir de
réactions
propres et obéit passivement aux sugges- tions.
difications de la sensibilité qui comman- dent des modifications de
réaction
. Lorsque des hystériques hypnotisables ont serv
vacuolisées d'une couleur verte, sans passer au violet indiquant la
réaction
amyloïde. (Kurschmann : Die Beziehungen des met
. LXXIX.) Le picrocarminate et l'acide osmique donnaient aussi leur
réaction
connue; les vacuoles restaient alors incolores.
s, soit dans la forme du corps et des prolongements, soit dans leur
réaction
aux ma- tières colorantes. Avant de décrire l
ltérations inflamma- toires, mais qui sont distinctes aussi par les
réactions
chimiques, de la dégénérescence dite amyloïde.
, , '\ " . t . Il l ? r ? 1 Discussion : M. Reoat : demande si' la
réaction
dégénérative exis- tait, et si les nerfs périph
' >' n ,T' u : i l "f r\L'lfoeli : Remarques sur l'examen de la
réaction
des pupillts. (Publié in extenso 2.) i ' ? 1 Di
rieur du chiasma. M. Wernicke demande si l'auteur a remarqué que la
réaction
des pupilles soit différente selon qu'on éclair
es les plus sail- lants et les plus constants. P. K. XVIII. DE LA
RÉACTION
DES PUPILLES DES ALIÉNÉS SOUS L'INFLUENCE DE l'
la lumière. Elle fail exclusivement défaut chez les femmes dont la
réaction
pupillaire à la lumière est défectueuse. L'absenc
t la réaction pupillaire à la lumière est défectueuse. L'absence de
réaction
à l'éclairage et à l'excitation des nerfs sensibl
pour ceux qui pré- sentent le phénomène du genou. Aucune espèce de
réaction
pupillaire pendant l'épilepsie ou le coma qui s
n, de la moelle allongée, qu'il faut attribuer la disparition de la
réaction
pupillaire des paralytiques généraux. P. K. X
Finalement myosis. Pendant le myosis et la mydriase maxima, pas de
réaction
à la lumière. Avis pour la simulation. P. K.
ns modérément dures, élastiques, adhérant intimement aux os; pas de
réaction
inflammatoire même pour celle qui s'ouvrit spon
te de ses pieds et que ceux-ci ne sont pas ballants. D'ailleurs les
réactions
électriques sont bonnes. Mais ce que vous con
des explo- rations indécises, douteuses, inconstantes, à propos des
réactions
électriques, des réflexes cutanés de la zone hy
pas de paralysie des muscles extrinsèques, pas de modification des
réactions
papillaires, pas de diminution de l'acuité visu
er n'est point délimité exactement et à son pourtour tous signes de
réaction
inflammatoire font défaut. Il appartient sans d
appa- raît criblée de petites lacunes, sans membrane, sans zone de
réaction
, rondes, mais de dimensions variables. Ces lacu
tance cérébrale par un épais tégument de tissu conjonctif. Point de
réaction
inflammatoire. Poids total 1402 grammes. La t
stingue à peine le jour de la nuit. Pu- pilles généralement larges,
réaction
consensuelle à la lumière 0. Examen ophtalmosco
uvoir ne réussissent qu'à produire quelques mouvements de nystagmus
Réaction
pupillaire minime la lumière et à l'accommodation
ots de cellules infiltrées dans le tissu nerveux (fig. 6). Point de
réaction
inflammatoire. La série de coupes que nous repr
nsibilité normale. Pupille droite un peu plus grande que la gauche.
Réactions
bonnes. Bourdonnements dans l'oreille droite et
, que l'on voit en quelques rares points, ne paraissent être qu'une
réaction
inflammatoire banale et légère.Les cel- lules d
roscope on constate une atrophie simple des fibres musculaires avec
réaction
du tissu conjonctif en rapport avec les fibres
fièvre typhoïde, diagnostic qui fut plus tard confirmé par la séro-
réaction
de Vidal. La marche de l'infection typhique fut
500). L'examen des urines ne nous a permis de déceler qu'une faible
réaction
de l'albumine qui ne disparut qu'avec la guéris
ble réaction de l'albumine qui ne disparut qu'avec la guérison. Les
réactions
de l'indican et de l'éther sulfurique ne furent
s ne décela jamais d'albumine, pas même de traces ; au contraire la
réaction
de l'indican était très foncée ; la réac- tion
t par conséquent la douleur. Cette inflexion a été, au début, une
réaction
de défense. La lésion ma- térielle était minime
veux s'atrophie graduellement, avec peu de corps granu- leux et une
réaction
névroglique légère. » Pour Westphal, Raymond, N
altérée. Les pupilles sont inégales et ne présentent qu'une légère
réaction
a la distance ; immobilité à la lumière. Aucun tr
vers moments, par de multiples mécanismes lésionnels, entraîner des
réactions
d'apparence souvent aussi différente qu'un tabe
es sont égales ; leur contraction à la lumière est très rapide. Les
réactions
électriques, d'après un examen dû à l'obligeance
men dû à l'obligeance de M. Huet, sont absolument normales ; pas de
réaction
de dégénérescence, pas de réaction d'épuisement
sont absolument normales ; pas de réaction de dégénérescence, pas de
réaction
d'épuisement. MYASTHÉNIE HYPOTONIQUE MORTELLE
les. Il n'existe pas de phénomènes de dégénération, ni d'indices de
réaction
inflammatoire : la multiplication des noyaux est
ent doute de l'observation d'Higier (14) dans laquelle on trouva la
réaction
de l'indican et où le malade guérit avec la dés
intestinale : Dans mon observation les désordres intestinaux et les
réactions
de l'in- dican et des éthers sulfuriques eurent
après la guérison des lésions locales originales. La faiblesse des
réactions
de l'indican et des éthers sulfuriques nous pro
nent la commissure palpébrale gauche plus facilement que la droite.
Réactions
pupillaires peut-être un peu lentes à la lumière.
tement, d'où l'inclinaison du bassin en avant sur les cuisses ; les
réactions
électriques des muscles des gouttières vertébrale
endant l'excitation des interosseux, il se produit en même temps la
réaction
longi- tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du b
les phalanges des orteils un sillon se forme s'approfondissant sans
réaction
et sans dou- leur jusqu'à la chute de l'orteil.
cousses. Avec des courants continus faibles, nous n'avons pas eu de
réaction
de dégénérescence. Pas de troubles de la muscul
« Les tumeurs nous semblent l'expression graduelle d'une manière de
réaction
des éléments cellulaires, variété des états infla
retombe dans sa somnolence et se plaint de maux de tête atroces. La
réaction
pupillaire à la lumière est minime. La respirat
es (Pl. LXXV b et c). Les plexus choroïdes ne présentent que peu de
réaction
inflammatoire et à leur niveau les vaisseaux so
isé dans l'angle externe. Les pupilles sont égales ; elles ont leur
réaction
normale à la lumière. Il existe un trouble de l
es de l'épaule et du dos ; intégrité anatomique et fonc- tionnelle,
réactions
électriques. Si l'on interroge la physiologie de
ns notre cas, il n'existe pas de contrac- tions fibrillaires, ni de
réaction
de dégénérescence, ni d'altération des réflexes
M.... sont intacts. Amyotrophies. Le tremblement fibrillaire et la
réaction
de dégéné- rescence sont des signes constants d
çue nettement à la palpation et au pincement, enfin l'intégrité des
réactions
électriques des rhomboïdes et des portions moyenn
ès variés. Au niveau de la surface d'adhérence, s'établit alors une
réaction
inflammatoire, mais cette réaction est circonsc
d'adhérence, s'établit alors une réaction inflammatoire, mais cette
réaction
est circonscrite. Au niveau du crâne, elle peut
atio. Tübingen. 1898-99. M. O. H. de FLEURIAN. L'anencéphale et ses
réactions
vitales (sensitivo-motrices, en particulier). T
teints : le buccinateur et le grand zygomatique. Ajoutons que les
réactions
électro-musculaires sont parfaitement normales,
fixaient sur nous. DU DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITE. 29 9 Comme
réactions
, nous l'avons vue au début changer de place à l
pê- trière, il est toujours noté que « les muscles présentent des
réactions
électriques absolument normales' ». Chez un malad
signalé que les « muscles n'ont présenté aucune modification des
réactions
électriques, soit faradiques soit galvaniques. »
à l'observation, nous voyons que la violence des convulsions et des
réactions
motrices provoquées par les hallucinations étai
avec les réflexes et ne pas méprendre des simples réflexes pour la
réaction
de sen- sations aperçues. Freusberg, dans un ou
l'excita- tion de l'écorce, appartient au même titre que celle des
réactions
Archives, t. XXII. 7 98 REVUE CRITIQUE. mot
ervé (1878) que le courant le plus faible, capable de provoquer une
réaction
motrice des membres, est incapable de détermine
r une réaction motrice des membres, est incapable de déterminer une
réaction
du même genre dès qu'on l'applique aux centres
s bulbes oculaires et des paupières, et que, loin de voir, dans ces
réactions
mo- trices, des mouvements réflexes provoqués p
les caractérise. Les tracés sphygmographiques pris pour étudier les
réactions
vaso-motrices que provoquent chez ces individus
application de forts courants élec- triques n'était guère suivie de
réaction
, la vue d'une photo- graphie de femme nue, d'un
SOCIÉTÉS SAVANTES. J3U chancelante; ptosis peu prononcée à gauche;
réaction
faible des pupilles à la lumière; affaiblisseme
phies, perte des réflexes rotuliens, anesthésies et abolition de la
réaction
des pupilles à la lumière. Après la mort du suj
altérés dans leur nutri- tion. L'exploration électrique décèle une
réaction
de dégénération de l'éminence thénar et de quel
ous étonner, quand nous trouvions, au bout d'une année à peine, une
réaction
de dégénérescence si profonde, et aussi quand n
des asiles spéciaux pour cette catégorie de malades, internés après
réactions
violentes, soit éludiée au plus tôt. M. Charpen
et galvaniques; l'électri- cité statique ne provoque sur eux aucune
réaction
. C'est évidem- ment une dystrophie musculaire p
vacillant et en laissant tomber la pointe du pied, ataxie légère.
Réaction
pupillaire prompte; intégrité des mouvements des
es est très douloureuse. Légère albuminu- rie. Température normale.
Réaction
dégénérative dans le domaine du sciatique popli
ATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE. 349 ment à celle du côté gauche '. La
réaction
des muscles du côté droit de la face est consid
auche dans lequel la pupille du côté affecté était dilatée et d'une
réaction
lente, la conjonctive était pâle, la sécrétion de
bras ; c). Modifications profondes de la nutrition marquées par les
réactions
électriques. La réaction de dégénération est tr
rofondes de la nutrition marquées par les réactions électriques. La
réaction
de dégénération est très accusée dans tous les
thylique : on obtient dans ce cas le mercaptol éthylique d'après la
réaction
suivante : CoHoO' + 2 C'H'S2 = C"Il gest + 1120
coloré en jaune et cristallise par refroidissement. Voici quelques
réactions
qui permettront de caractériser le sulfonal. D'
de fer une coloration rouge caractéristique. ' On obtient la même
réaction
d'après RITSERT en substituant 394 REVUE PHARMA
st moins excitable qu'un deltoïde sain, sans cependant présenter de
réactions
anormales. SPASME MUSCULAIRE. 7 En somme, les
ble. Sensibilité intacte. Phéno- mène du genou difficile à obtenir.
Réactions
électriques conformes à la formule ordinaire, c
ent), dans le même temps où les courants galvaniques fournissent la
réaction
dégénérative dans les extenseurs de l'avant-bra
rajet du sciatique poplité externe droit : au bout de huit jours la
réaction
dégénérative est complète dans le départe- ment
ret demande les premières bases d'une doctrine qui se fonde sur les
réactions
diverses des différentes parties des centres ne
riase. Les pupilles sont égales, en état de contraction modérée. La
réaction
est faible pour la lumière, nulle quand on cher
le terrain est préparé, on l'a vu, une faible pression détermine la
réaction
vertigineuse. Cette pres- sion labyrinthique s'
soin d'associer les actions thérapeutiques, de telle sorte que les
réactions
provoquées ne se puissent nuire. 2° De l'hypere
é quand on interroge les muscles atrophiés, et cependant absence de
réaction
dégénérative. Après une série de mieux et de pl
nements. Voici en quoi consiste cette méthode : Étant données les
réactions
musculaires différentes obtenues par le passage d
re ou fermeture du courant), il y a tout avantage à enregistrer ces
réactions
, au moyen de la myogra- phie ; on a ainsi sur l
nc, sans aucun trouble de la sensibilité, ni des réflexes, avec les
réactions
électriques de l'hé- miplégie cérébrale. Aucun
anomalies, tant qu'il n'existe pas d'autres nludifica- tions de la
réaction
électrique, ne doivent pas être tenues pour le
par suite, elles ne suffisent pas pour démontrer l'existence de la
réaction
dégénéra- tive. Contribution ci la physiologi
ulations de l'écorce du cervelet présentent toutes ou la plupart la
réaction
évidente de la nucléine de Miescher, c'est-à-di
l'animal (chat, lapin, grenouille), sont moins accessibles à cette
réaction
qui s'effectue pour un très petit nombre dans l
eut n'en rester qu'un pâle vestige ou que facilement il présente la
réaction
de lanucléine. Les cellules elles- mêmes se com
tandis qu'il suffit d'un petit nombre d'éléments pour produire une
réaction
du côté opposé. Inversement, qu'une zone céphal
oins deux cas dans lesquels l'amélioration s'était traduite par les
réactions
électriques habituelles du cerveau, l'inexcitab
que et hemianopsique du même côté, l'examen démontre la lenteur des
réactions
pupil- laires, l'absence de lidspliènes'rétinie
oir ou en gris et fait apparaître' un double contour ; c'est'là une
réaction
qui appartient à la graisse et à la myéline. Pour
it un peu d'hypo- cxeitabilité aux courants continus entraînant des
réactions
iné- gales en des régions symétriques ou homola
ié, et tic demeure guérie en dépit de l'affection sexuelle et de sa
réaction
sur l'écono- 1;' P ? ......,,1, mie." L'inter
orte un cas analogue, dans lequel il n'opéra pas, à raison et de la
réaction
excessive que déterminait chez le malade le con
es dou- leurs ressenties dès lors jusqu'en juillet témoignent de la
réaction
du péritoine, l'inflammation de la séreuse se l
d'ordre psychique,essentiellement vivants, sont caractérisés par les
réactions
fatales et automatiques de notre senso-rium, en p
. Il serait, en effet, difficile de rendre plus claire l'étude de ces
réactions
de la cellule aux irritations extérieures. Ces ré
étude de ces réactions de la cellule aux irritations extérieures. Ces
réactions
et les mouvements qui les caractérisent constitue
nce, et que, suivant la nature des corps employés, ils présentent des
réactions
différentes. C'est à cette nouvelle méthode d'inv
nication lue a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887. Les
réactions
produites sur l'organisme hypnotisé par les actio
, la strychnine, la spartèine, le bromure de potassium produisent des
réactions
de cette espèce. Dans la seconde série de faits
a mémoire de ce qu'il a dit ou fait), il parle, il répond, et par ses
réactions
coordonnées il donne les illusions de la vie réel
ntôt l'action de la substance stimulatrice est lente à déterminer ses
réactions
. Elle semble s'accumuler pendant une ou deux minu
ssif ; l'émotion terrifiante s'élève d'un degré et le sujet subit une
réaction
qui dénote un sentiment de défense. Ce n'est plus
ci. Je me contente, pour le moment, de signaler à votre attention les
réactions
émotives produites sur l'organisme par quelques s
au côté droit, comme s'il s'agissait de la morphine, a mis en jeu des
réactions
contradictoires, une disparition des phénomènes d
cognac, vin, bière, champagne, alcools divers, etc. Le tableau des
réactions
personnelles du sujet est tout à fait différent d
gène et repasser ipso facto en période léthargique. J'ai obtenu des
réactions
semblables chez les mêmes sujets, en employant, c
d'autres habitudes d'esprit, vivant dans un autre milieu social, des
réactions
de même nature. Toutes ces réactions, toutes ces
dans un autre milieu social, des réactions de même nature. Toutes ces
réactions
, toutes ces mises en scène varient avec le terrai
vie factice et collatérale à la vie réelle et suscite à distance les
réactions
les plus surprenantes et les plus imprévues. Vi
orsque, suivant l'état des forces du sujet et suivant l'intensité des
réactions
auxquelles il s'est prêté, on juge que les expéri
roubler l'innervation du cœur, provoquer dans les centres moteurs des
réactions
d'une foudroyante intensité ; on peut donc, en ef
her. Le lendemain, il ne se souvenait de rien. Je le touchais, pas de
réaction
: j'approchais une lumière de ses yeux, les pupill
déclarai ne point reconnaître d'action spécifique, mais seulement des
réactions
banales qui se présentent à tout propos, dans ces
i un foyer d'irradiations lumineuses pour la peau du sujet. De là des
réactions
, de là des convulsions locales et généralisées qu
tube, demeuré en place pendant deux minutes, n'a donné lieu à aucune
réaction
.» ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE Séance du
l'excès l'excitabilité nerveuse. La pléthore sanguine en atténue les
réactions
. Sédentaire, ingrate, la profession est-elle de n
d'ordre psychique,essentiellement vivants, sont caractérisés par les
réactions
fatales et automatiques de notre senso-rium, en p
. Il serait, en effet, difficile de rendre plus claire l'étude de ces
réactions
de la cellule aux irritations extérieures. Ces ré
étude de ces réactions de la cellule aux irritations extérieures. Ces
réactions
et les mouvements qui les caractérisent constitue
nce, et que, suivant la nature des corps employés, ils présentent des
réactions
différentes. C'est à cette nouvelle méthode d'inv
nication lue a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887. Les
réactions
produites sur l'organisme hypnotisé par les actio
, la strychnine, la spartèine, le bromure de potassium produisent des
réactions
de cette espèce. Dans la seconde série de faits
a mémoire de ce qu'il a dit ou fait), il parle, il répond, et par ses
réactions
coordonnées il donne les illusions de la vie réel
ntôt l'action de la substance stimulatrice est lente à déterminer ses
réactions
. Elle semble s'accumuler pendant une ou deux minu
ssif ; l'émotion terrifiante s'élève d'un degré et le sujet subit une
réaction
qui dénote un sentiment de défense. Ce n'est plus
ci. Je me contente, pour le moment, de signaler à votre attention les
réactions
émotives produites sur l'organisme par quelques s
au côté droit, comme s'il s'agissait de la morphine, a mis en jeu des
réactions
contradictoires, une disparition des phénomènes d
cognac, vin, bière, champagne, alcools divers, etc. Le tableau des
réactions
personnelles du sujet est tout à fait différent d
gène et repasser ipso facto en période léthargique. J'ai obtenu des
réactions
semblables chez les mêmes sujets, en employant, c
d'autres habitudes d'esprit, vivant dans un autre milieu social, des
réactions
de même nature. Toutes ces réactions, toutes ces
dans un autre milieu social, des réactions de même nature. Toutes ces
réactions
, toutes ces mises en scène varient avec le terrai
vie factice et collatérale à la vie réelle et suscite à distance les
réactions
les plus surprenantes et les plus imprévues. Vi
orsque, suivant l'état des forces du sujet et suivant l'intensité des
réactions
auxquelles il s'est prêté, on juge que les expéri
roubler l'innervation du cœur, provoquer dans les centres moteurs des
réactions
d'une foudroyante intensité ; on peut donc, en ef
her. Le lendemain, il ne se souvenait de rien. Je le touchais, pas de
réaction
: j'approchais une lumière de ses yeux, les pupill
déclarai ne point reconnaître d'action spécifique, mais seulement des
réactions
banales qui se présentent à tout propos, dans ces
i un foyer d'irradiations lumineuses pour la peau du sujet. De là des
réactions
, de là des convulsions locales et généralisées qu
tube, demeuré en place pendant deux minutes, n'a donné lieu à aucune
réaction
.» ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE Séance du
l'excès l'excitabilité nerveuse. La pléthore sanguine en atténue les
réactions
. Sédentaire, ingrate, la profession est-elle de n
e de la vessie. L'urine fraîche est neutre, mais elle prend vite la
réaction
alcaline. 9° jour. Sentiment de pesanteur aux m
lumineux, brun clair, d'aspect gras. Les bronches ne donnent pas la
réaction
de la matière amyloïde avec l'iode. La rate,
En six mois d'observa- tion il eut environ un accès par mois. La
réaction
des nerfs moteurs était normale. Le 3 novembre
rnier accès survint quatre jours avant le début du trai- tement. La
réaction
du système nerveux moteur par la recherche galv
qu'à ce qu'elle devienne claire et jaune, et que depuis ce temps la
réaction
locale est nulle ou au moins très rare. 2 Wie
les nerveuses ; c'est un appendice de M. W. à ses recherches sur la
réaction
liislocliimique des cellules et de leurs noyaux
ues apopluaiformea, tandis qu'on ne constate pas d'atrophie ni de
réaction
dégénérative de la langue. : 11. Joli%, admet une
es. Chaque jour, il déterminait la quantité d'urine, sa densité, sa
réaction
, l'élimination d'urée, de sulfates, phos- phate
, que l'on désigne sous le nom d'ozone ce qui dans l'air fournit la
réaction
connue sur le papier amidonné impré- gné d'iodu
minutes), elierellaità biense rendre compte sur le changement à la
réaction
galvanique et fara- dique produit dans les musc
n prononcées; , dans ses expériences, l'auteur observait souvent la
réaction
de dégéné- rescence, affaiblissement notable de
ues, soit toniques; 5° sur les nerfs fatigués, on observe ces mêmes
réactions
, mais le Lr ti-ait doit être beaucoup plus prol
, mais ils sont faibles et incertains. Intégrité de la sensibibité.
Réaction
dégénérative, mort subite; l'autopsie révèle un
ophient rapide- ment. Quatre semaines après le début des accidents,
réaction
dégénérative complète ou partielle, suivant leb
au, surtout de la sphère intellectuelle (démence primaire), soit la
réaction
de l'organe central contre l'ictus trauiuatique
d'imbécillité revêtant parfois la forme de la moral insanity et la
réaction
anormale des individus quant aux alcools et aux i
possibilité de tenir sa fourchette); démarche mal assurée, faible
réaction
et fréquemment inégalité des pupilles; émoussemen
upillaire (la pupille de gauche est la plus large), de l'absence de
réaction
de l'iris à la lumière, un liseré gingival bleu-g
bsolument incapable de tout travail physique, ne manifestant aucune
réaction
à l'égard du monde extérieur, s'améliora si bie
ion très nette de l'excitabilité réflexe de la peau qui entraîne la
réaction
des muscles sous-jacents. On a beau néanmoins p
sive, non compliquée. Les allures du phénomène du genou et de la
réaction
pupillaire dans l'atrophie spinale ont été soigne
cé des autres espaces ainsi que des éminences thénar et hypothénar.
Réaction
dégénérative des muscles atrophiés. La situatio
ormale; il en est de même des réflexes, des organes des sens, de la
réaction
électrique. Autopsie. Poids de l'encéphale, 470
res sont d'une autre na- ture. Ils ont leur point de départ dans la
réaction
inflammatoire excitée par les lésions produites
transitoire consécutive à l'extirpation d'un gyrus angulaire, à la
réaction
inflammatoire du lobe occipital, surtout à la l
gage articulé aux centres moteurs des lèvres et de la langue. Les
réactions
synergiques des muscles de l'oeil aux di- verse
ablation des centres sensoriels abolit également ces deux formes de
réactions
ner- veuses. Les observations cliniques et an
rant induit fort et prolongé ; comme résultat : absence complète de
réactions
motrices du côté des membres et des yeux. '. Ce
ÉS SAVANTES. 153 pilles. Mydriase bilatérale plus accusée à droite;
réaction
à la lumière paresseuse. Il semble au malade qu
us reviendrons. L'alcool, comme les autres réactifs, détermine deux
réactions
distinctes dans les cellules pyramidales de l'é
ou au moins très concentré, 96, 98 degrés centésimaux. Lorsque la
réaction
est terminée, l'alcool se sépare en deux couches;
hirurgien de connaître 362 PHYSIOLOGIE. le point d'où partent les
réactions
excito-motrices de l'écorce cérébrale, et auque
itation expérimentale ou leur irritation pathologique détermine des
réactions
motrices, simples ou convulsives, de la face, d
ne motrice ne serait qu'une manière de surface sensible, dont les
réactions
provoquées seraient identiques à des réflexes.
part d'incitations motrices volontaires, l'appareil incitateur de
réactions
motrices volontaires, dont les véritables appar
l'animal profondément narcotisé, sur la longue durée du retard des
réactions
déterminées par l'excitation de ces régions de
s, les parois et le fond du sillon crucial du chien, on obtient des
réactions
motrices correspondantes des membres du côté op
xcitabilité de la « zone motrice ». Suivant Horsley, la perte des
réactions
motrices de l'écorce est due à une lésion 'des
rrier a décrit ces mouvements, il les attribuait, on le sait, à des
réactions
réflexes des centres sensoriels de l'écorce, in
n centre quelconque de la zone excitable, 'on se fonde, non sur les
réactions
motrices des excita- lions électriques, mais su
. 408 PHYSIOLOGIE. l'écorce. François Franck a bien établi que la
réaction
directe est moins énergique que la réaction cro
ck a bien établi que la réaction directe est moins énergique que la
réaction
croisée, et que celle-là est en retard sur cell
minat, mais contenant une quantité considérable d'urates (1015), de
réaction
aigre, à teinte claire. Un gonflement, tout par
i sur un filtre, est soluble dans l'eau : cette solution fournit la
réaction
de Biuret au froid. Dans le cours de la maladie,
de la base au milieu du noyau caudé, on a de la peine à obtenir des
réactions
qui d'ailleurs ne durent qu'un moment. En s'adr
cette manière, cinq entendaient mais ne mani- festaient par aucune
réaction
les perceptions; rien ne trahissait que l'une q
yosis bilatéral. Signe d'Ar- yll-Robertson avec absence complète de
réaction
des pupilles. Rétrécissement irrégulier du cham
é droite du voile du palais est plus mince que la moitié gauche. La
réaction
électro-musculaire de la moitié droite de la fa
opsie gauche avec rotation habituelle de la tête à gauche - sous la
réaction
pupillaire de l'hémianopsie. Atrophie partielle d
phiques, qui s'étaient produits dans l'épaule gauche, cèdent aussi.
Réaction
dégénérative partielle du sous-épineux. En somm
nce, absence de douleurs, intégrité des sphincters et des viscères,
réaction
lente des pupilles, état normal de l'intelligen
dans les douleurs, ni dans les convulsions fibrillaires, ni dans la
réaction
dégénérative; l'exa- men anatomique lui-même ne
ensité, la répartition topographique en est elle- même inégale ; la
réaction
pupillaire à la lumière est très variable suiva
insi dire de paroxysmes réitérés très impé- tueux entre lesquels la
réaction
de la conscience sur les idées déli- rantes est
artiel de la folie, la lucidité de la conscience et l'absence de la
réaction
affective. Ces formes aiguës ont donc le droi
e considérer cette forme d'aliénation mentale comme un des modes de
réaction
du cerveau valide contre une série d'influences
er facteur, encore plus important, des troubles physiques, c'est la
réaction
mentale, trop souvent méconnue ou passée sous s
sées par le syndrôme de Ménière, révélait une lenteur marquée de la
réaction
lumineuse qu'il était difficile de considérer c
sagèrement de l'hyperaconsie et de la paralysie du voile du palais;
réaction
dégé- nérative d'abord partielle, puis complète
est le produit, et le produit unique, de l'excitation des nerfs. La
réaction
myotomique tient à une modification chimique de
sion des autres nerfs cérébraux. Pupilles égales; à la lumière leur
réaction
est conservée; point d'exophthal- mie. Léger so
es de Neurologie, 1890, p. 364), a cherché à déterminer le temps de
réaction
, c'est-à-dire le temps qui s'écoule entre le mo
nsible. Il y aurait ainsi un moyen de reconnaître objectivement une
réaction
sub- consciente d'une réaction consciente. Nous
yen de reconnaître objectivement une réaction sub- consciente d'une
réaction
consciente. Nous craignons seulement que le tem
d'une réaction consciente. Nous craignons seulement que le temps de
réaction
des phénomènes subconscients ne soit fort variabl
i l'en- toure s'y livre tout entier. C'est là que se manifeste la
réaction
pathologique du cerveau infirme dont je viens d
particulièrement caractérisée par des convulsions fibrillaires, la
réaction
dégénérative et des symptômes bulbaires. Cette dy
uées. Les fonctions psy- chiques, pendant l'hypnose, provoquent des
réactions
vasculaires, identiques à celles qui se produis
spasmodique, ni modification de l'excitabilité électrique ou de la
réaction
musculaire; on cons- tate simplement qu'à raiso
les fibres qui vont se terminer dans cette zone. . P. K. XIII. La
réaction
chimique DE la substance GRISE; par 0. LANGENDO
ts, mais endormis par l'éther ou l'hydrate de chloral, ou morts, la
réaction
de l'écorce est alcaline à la condition que le
l'écorce par anémiation générale ou locale entraîne promptement une
réaction
acide; cette réaction se montre souvent dans le
n générale ou locale entraîne promptement une réaction acide; cette
réaction
se montre souvent dans les deux minutes qui sui
on locale des artères et ne fait que croître; chez l'animal tué, la
réaction
est toujours trouvée acide. Si l'on se hâte de
ificielle) ; dans le der- nier cas, l'auteur a réussi à obtenir une
réaction
neutre trente- huit minutes après avoir rétabli
ion de l'écorce; il a même provoqué le parfait rétablissement de la
réaction
alcaline chez des animaux qui avaient subi une
s d'un quart d'heure. Les nouveau-nés font exception à la règle; la
réaction
alcaline de l'écorce est chez eux, à ce point a
e que soit la légèreté avec laquelle on ait procédé, la perte de la
réaction
alcaline; il est probable, dit-il, que telle es
de comprendre la rapidité de cette genèse, de la disparition de la
réaction
acide, du retour à la réac- tion normale d'une
le, SOCIÉTÉS SAVANTES. 9< que de dissemblances dans le mode de
réaction
! c'est une loi en pathologie, de ne pas mesure
nt rien d'anor- mal ; les pupilles sont égales des deux côtés, leur
réaction
à la lumière et à l'accommodation sont normales
abolis, des deux côtés. Il n'existe aucun trouble trophique, et les
réactions
électriques (sensibilité et contractilité) sont n
de faciale, tremblements et faiblesse des extrémités, mydriase avec
réaction
lente des pupilles, regard fixe avec diminution
nerf crural (absence du phénomène du genou; paralysie atro- phique,
réaction
dégénérative) et dans les deux mollets ; paralysi
ent plus sous le courant électrique, l'éminence thénar présente une
réaction
dégénérative absolue ou partielle ainsi que le
téraux, bien que les muscles correspondants ne présentassent pas de
réaction
dégénérative anatomique ouélectrique ; que, peu
pas cependant employer un rouge trop sombre, parce que le temps de
réaction
serait plus long que pour les autres couleurs d
on complète de toute excitabilité électrique, exceptionnel lementla
réaction
de dégénérescence; - 30 les , lésions trophique
s troubles de la sensibilité cutanée (tact, douleur, température,
réaction
électrique); elle est quelquefois exagérée ou per
ations surtout de l'ouïe, nature et évolution des idées délirantes,
réactions
du malade), de même que d'autres exemples nous
de la seringue. Après l'injection, se manifeste le plus souvent une
réaction
locale : tension, douleur au niveau du goitre,
iatrique de Berlin, 252; de tempé- rance, 467. Substance grise (
réaction
chi- nuque delà), parLanguedorff, 87. Sugge
essant moyen de contrôle pour l'étude des sensations et la mesure des
réactions
. o Sur le terrain des applications pratiques, l
s éveillées par le son et, enfin, pendant tout ce procédé, il y a une
réaction
de notre moi, qui dirige notre attention vers ce
, conclut qu'elle était anémique, qu’il était nécessaire d’amener une
réaction
du sang par les organes génitaux. Quelques mois
l’automatisme le plus intense. Dans ces états d’hypnose profonde, les
réactions
sont différentes de ce qu’elles sont dans les éta
ent pas obtenu .de nos sujets les dissociations expérimentales et les
réactions
que nous avons observées. Il en est de la pratiqu
omédiens. D'aulres sujets répondent aux excitations musicales par des
réactions
motrices appropriées ; quand bien même leurs répo
de la musique s’exerce aussi sur l’imagination visuelle. Parfois les
réactions
motrices font défaut et, au lieu d’un acteur, nou
entir mécaniquement sur la circulation méningo-encéphalique. Pas de
réaction
locale ou générale. Aucun accident consécutif à l
semble symptomatique simulant une affection cérébrale grave et par la
réaction
extrêmement nette du malade au traitement suggest
ents permanents; les variations de cet état de sommeil provoquent des
réactions
spéciales qui ne sont autre chose que les attaque
res, etc.; ondulations sonores, lumineuses, thermiques, électriques ;
réactions
chimiques) sont transformés, dans la première par
ions électriques (électricité organique) thermiques (chaleur animale)
réactions
chimiques (assimilation, désassimilation, trophis
où les aliments, véritables réservoirs d’énergie, ébranlent, par les
réactions
chimiques qu’ils provoquent, les innombrables fil
(thermotropisme), des ondulations électriques (électrotropisme), des
réactions
chimiques (chimiotaxie). Une gromie à l'état de
Jean Demoor a montré qu’il y avait une similitude parfaite entre les
réactions
des neurones et celles des leucocytes et des amib
nant du dehors, pénétrant dans les ténèbres d’un esprit affaibli ; la
réaction
est quelquefois immédiate. De même que l’éclair
naissances, particulièrement eu cc qui concerne les sensations et les
réactions
nerveuses que nous croyons spéciales à telle mala
ême des troubles fonctionnels intenses sont capables de provoquer des
réactions
trophiaues ou vaso-motrices. Il faut supposer néa
oir central en est diminué d:autant. on comprend pourquoi le temps de
réaction
des réflexes est diminué chez beaucoup de ces mal
, constitue le moyen !e plus suret le plus rationnel de fortifier les
réactions
psychiques des malades, et de leur rendre par là
ression sur les globes oculaires. Dans la période léthargique, aucune
réaction
aux diverses excitations sensitives et sensoriell
une fille simple, sans culture, ne présente qu'un nombre restreint de
réactions
simples. Nous verrons au contraire notre troisièm
isième sujet, fille plus cultivée, plus intelligente, nous donner des
réactions
beaucoup plus complexes et plus variées. Nous n
ession sur les globes oculaires. Pendant la phase léthargique, aucune
réaction
aux excitations sensitivo-sensorielles, comme che
simples ; sons divers, musique rhythmée. La parole ne provoque aucune
réaction
; on a beau lui crier aux oreilles des mots simpl
nations. Cette concentration se manifeste aussi dans ce fait que la
réaction
de la malade vis-à-vis d'une excitation sensoriel
st une tentative que nous n'essaierons pas de faire, cette fixité des
réactions
est à rapprocher de celle que nous avons constaté
es du délire hystérique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de
réaction
à une excitation donnée. Toujours, même à de long
lle, et auxquelles elle participe comme principale actrice ; mais ses
réactions
motrices sont loin de répondre au tragique de ces
pas diriger réellement le délire, ni modifier à notre gré le mode de
réaction
du malade aux impressions que nous lui fournisson
ucinations spontanées ou provoquées ne permet pas, à cause du mode de
réaction
des sujets, de se faire une idée bien nette à ce
us est donnée de notre existence par la sensation de nos organes, nos
réactions
physiques vis-à-vis des agents extérieurs (cénest
Myosis bilatéral. Signe d'Ar-gyll-Robertson avec absence complète de
réaction
des pupilles.Rétrécissement irrégulier du champ v
bservait. Notre attention a été attirée en particulier sur le mode de
réaction
des éléments nerveux vis-à-vis des éléments tuber
fîbril-laires qui existaient dans les muscles de la main et Fêtât des
réactions
électro-musculaires. Bien que l'absence des con
qu'une anomalie bonne à connaître et c'est tout. La présence de la
réaction
de dégénérescence, ou plutôt de l'inversion de la
ces cas. En effet, MM. Bédard et Rémond ont montré l'existence de la
réaction
de dégénérescence dans la paralysie pseudo-hypert
et Rémond. — Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec
réaction
de dégénérescence. {Arch . géh. de méd., juillet
es muscles. En 1889, MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'absence de la
réaction
de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont d
formes de la —, 368, 383 ; Contractions fébrillaires dans la—,375 ;
Réactions
électromusculaires dans la —, 375; Faciès dans la
e, ni espérer grand'chose. 11 ne faudrait pas cependant, dans cette
réaction
, dépasser le but. Le périosten'est pas seulemen
os reconnaît, dans la grande majorité des cas, une cause locale. La
réaction
contre la cause locale n'est pas toujours immédia
les, les lympha-tiques, sont-ils plus fortement impressionnés, et une
réaction
mor-bide surviendra-t-elle plus facilement chez e
renoncer à de nouvelles tentatives d'extraction. — Il y a une légère
réaction
et le lendemain, le malade sort un peu mieux qu'a
ès un temps variable et quelquefois très-court, le malade est pris de
réaction
inflammatoire plus ou moins vive. Tantôt cette fo
ctéristique constante de la dé-générescence amyloïde, c'est-à-dire la
réaction
iodo-sulfurique. Un peu plus tard, en 1856, Wilks
poitrine et le ventre. Pupilles inégales, la droite plus grande, sans
réaction
à la lumière. A neuf heures, la température était
elle atteint près de 40° centigrades. 11 y a donc un certain degré de
réaction
fébrile, contrairement à la règle, comme nous le
éfaction du membre s'est effa-cée peu à peu ; l'ecchymose a pâli : la
réaction
fébrile est tombée : mais quelques vésicules d'he
ière habituelle, l'invasion des accidents n'est accom-pagnée d'aucune
réaction
fébrile ; cependant dans quelques cas exceptionne
e réaction fébrile ; cependant dans quelques cas exceptionnels, celte
réaction
se produit, et notre malade en offre un exemple,
Pouls à 80. 1er août. — Même pansement. A peine s'il y a une légère
réaction
fébrile. 2 août. — Pendant la nuit, il s'est pr
t. Sous son influence, il a vu les selles se modifier rapi-dement, la
réaction
s'établir et les malades entrer en convalescence.
s petit et très-faible. Peu de temps après la prise du médicament, la
réaction
s'établit. La préparation employée par M. Villema
oide ; voix éteinte ; anurie complète. Le hachisch fut administré: la
réaction
ne tarda pas à se produire et le malade guérit. (
tre les vomissements. « Le hachisch, dit-il, impuissant à produire la
réaction
, a prompte-ment diminué ou fait cesser les vomiss
ons à marcher, il reste en place. Nous pinçons la peau, mais pas de
réaction
; cependant nous savons que les lapins ont la p
rieurs au con- - traire, on observait une certaine amélioration. La
réaction
de dégénérescence ne s'observait que dans peu d
tion est lente (du côté droit C 1 C= 21. Par conséquent, il y a une
réaction
de dégénérescence plus ou moins nettement accus
18. François Franck. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau (
Réactions
volontaires et organiques) et sur l'epilepsie cér
rapidement et il s'éteignit dans le marasme sans avoir présenté de
réaction
fébrile, le 9 octobre 1887. A l'autopsie, nou
ieur gauche avec atrophie progressive du mollet et de la cuisse. La
réaction
élec- trique des muscles atrophiés a conservé s
s réflexes cutanés et des phénomènes tendineux ; conservation de la
réaction
faradique ; fièvre ; aucune espèce de phénomènes
illes deviennent de temps à autre sensibles à la lumière, mais leur
réaction
est purement clonique et non tonique; finalemen
nerf optique qui s'accentue de plus en plus. L'alter- native de la
réaction
pupillaire, permettent, de concert avec les aut
ormule. Pleine intégrité des nerfs crâniens et de l'état psychique.
Réaction
prompte des pu- pilles. Absence des réflexes te
eloppées. M. Benda réclame l'honneur d'avoir le premier reconnu les
réactions
chromatiques et d'avoir rattaché la présence de
'avoir rattaché la présence des granulations en question au mode de
réaction
spécial du corps cellulaire à l'égard des coule
s recherches dynamométriques, sur l'acuité auditive, surle temps de
réaction
des sensations auditives et tactiles pendant la
erver dans deux cas, sans d'autres symptômes deuté- ropathiques. La
réaction
à la lumière et à la conver- gence avait été co
re locale, des conditions défavorables de la circulation, etc.), la
réaction
altérée des nerfs vaso- moteurs de l'autre, dif
la paraly- sie. Dans les muscles atrophiés, on observe souvent la
réaction
de dégénérescence plus ou moins nettement accus
éralive des muscles en rapport avec la manifestation clinique de la
réaction
dégénéralive partielle. Les deux sciatiques pré
légie nucléaire externe de illcczulcczer (malgré la len- teur de la
réaction
pupillaire), à forme aiguë, complète ou presque
e, et qu'on trouve dans le produit de la distillation de l'acétone (
réactions
upra).Or, fièvre et diabète mis à part, chez le
folie, même pour les esprits les plus indulgents, qu'il s'opère une
réaction
contre les idées du malade de la part des gens
supérieure du méridien verti- cal vers le côté de la cathode et une
réaction
uniforme du côté de l'anode; le nystagmus horiz
les troncs nerveux sont atteints à leur tour : douleurs spontanées,
réaction
dégénéra- tive, troubles de la sensibilité cuta
l semble que, contrairement à ce qui se passe à l'état normal, où les
réactions
individuelles s'adaptent aux causes qui les provo
une sensation de bien-être, pour la détermination du temps de simple
réaction
, de l'aperception et de calcul diffèrent très peu
chez les gens bien portants. 2° Dans l'état hypnotique, le temps de
réaction
simple d'aperception et de calcul est allongé de
celui de l'association, des idées (déduction faite du temps de simple
réaction
aux paroles) était dans l'état hypnotique avec su
s les cas, que les processus à l'état de vcîUe.Tandis que le temps de
réaction
simple et celui d'aperception et de calcul sont a
de ramener, dans la distribution des forces, l'harmonie rompue par la
réaction
de l'idée de reposer sur tous les tissus, — est l
lonté et se dérobait devant la conscience, momentanément incapable de
réaction
, en évoquant toutes les émotions antérieurement a
essé, il survint alors une des manifestations la plus étonnante de la
réaction
de la pensée sur l'organisme. Si, chez les dorm
pendantle cours de ces mêmes états, pour produire, par une semblable
réaction
de l'esprit sur le corps, des effets physiologiqu
yen âge, sonnèrent le tocsin et décidèrent de sauver la société de la
réaction
imminente. Cette sympathie ou antipathie aprioriq
portées sur les nerfs sensibles provoquent, chez l'homme endormi, des
réactions
réflexes, mais ne passent pas dans les cellules d
yeux. Nous ne pensons en somme qu'avec des souvenirs d'actions ou de
réactions
. Or, quels sont ces centres de souvenirs d'action
ions. Or, quels sont ces centres de souvenirs d'actions (sur nous) de
réaction
(de nous), dont le rôle est si prépondérant dans
définition de Bain, est un acte contenu ; il pense le souvenir de ses
réactions
verbales; il a une mémoire très développée, des m
sistante de cet acte (une mémoire de la sensation centripède et de la
réaction
centrifuge), mémoire qui n'est pas constituée par
t d'être moteur constituant déjà presque un commencement d'action, de
réaction
, une réaction embryonnaire; si on admet une trans
r constituant déjà presque un commencement d'action, de réaction, une
réaction
embryonnaire; si on admet une transmision explica
e de celui de la première) au moins supposera-t-on que les centres de
réaction
(centres moteurs) sont plus sujets, plus aptes à
ditifs). De là une deuxième recommandation : 2° Essayer d'abord des
réactions
motrices et éliminer à priori les personnes qui i
noy, de Genève, ayant pour titre : Observations sur quelques types de
réaction
simple. M. le secrétaire général fait un exposé
ine grippale. Le grand obstacle à la guérison était, chez X..., une
réaction
psychique congénitalement disproportionnée avec l
constitue le moyen le plus sûr et le plus rationnel de fortifier les
réactions
psychiques des malades, et de leur rendre par là
isible à l'association provoque, de la part de cette association, une
réaction
qui finit par l'empêcher. Spencer réduisait par s
ion. La liberté des maisons de jeu provoquerait infailliblement une
réaction
, disent les Spencériens. Des associations se form
e, reste lettre morte. Sans doute, l'excès du mal provoque déjà une
réaction
. Des associations se fondent contre l'alcoolisme,
suggestion. L'insomnie, le délire fébrile, la fièvre, la douleur, les
réactions
inflammatoires, les troubles trophiques les plus
unait avec sa famille d'un fort hou appétit. Il n'y eut ni* lièvre ni
réaction
d'aucune sorte. Le traitement psycho-thérapique e
ensibilité inconsciente. — Transfert de la sensibilité. — Temps de la
réaction
chez les hypnotisés. — Psychométrle. Mardi 30 M
. Lewis a lu un travail intéressant sur la comparaison du temps de la
réaction
chez différentes personnes. II a opéré sur des bl
. II a opéré sur des blancs, des nègres et des Indiens. La vitesse de
réaction
ou son a été notablement plus rapide chez l'Indie
Indien; le nègre et la femme blanche sont au contraire déshérités. La
réaction
aux excitations visuelles a été un peu plus rapid
sont indemnes. Les urines ne renferment ni sucre ni albumine Pas de
réaction
fébrile. Les téguments présentent une teinte pâ
s deux premiers jours qui suivent la cautérisation, il y a une légère
réaction
inflammatoire, avec une sensibilité variable. Pui
l est inégal et, suivant les jours ou les circonstances. les temps de
réaction
offrent, en ce qui le concerne, des variations pa
ent raison. Sur ces entrefaites, nous avons pu étudier à loisir les
réactions
nerveuses de la malade et nous convaincre que ces
oujours un auxiliaire utile au traitement. Elle réduit au minimum les
réactions
psychiques de la maladie locale, écarte d'emblée
ontraires, soit par action directe sédative sur ces organes, soit par
réaction
indirecte produite par la diminution de l'action
suggestive ; la suggestibilité individuelle n'est autre chose que la
réaction
de chaque cerveau aux diverses impressions. Et ce
nkysté : sa localisation dans la substance grise, son isolement, la
réaction
inflammatoire qui en résulte, semblent le démon
explique l'inégalité pupillaire et la dé- formation de l'iris; les
réactions
à la lumière et à la distance sont normales ainsi
âchoire qui sont affaiblis présentent en même temps un retard de la
réaction
volon- taire (2). J'ai fait remarquer que la co
te aucun trouble de la sensibilité. On a pris seulement le temps de
réaction
des deux index : le droit réagit en 0,"2),te gauc
e le pense, en explorant, chez d'anciens hémiplégiques, le temps de
réaction
des or- biculaires. On ne peut pas comparer l
réaction des or- biculaires. On ne peut pas comparer le temps de
réaction
aux deux yeux, parce que les mouvements isolés
e de fermer l'oeil du côté sain isolément. Mais l'étude du temps de
réaction
des deux orbiculaires agissant simultanément pe
et la malade va beaucoup mieux. 28 septembre. La recherche de la
réaction
électrique faradique amène la cyanose, la perte
vées, fixée à l'épine iliaque antérieure et supérieure et au fémur.
Réactions
électriques. - Contractions faradiques normales d
x, là où l'enfant avait été frappé par une vache. Etat général bon.
Réactions
électri- ques les mêmes. En 1883, aggravation l
citation faradique dans les muscles atrophiés, fibreux ou ossifiés.
Réaction
normale des muscles des membres supérieurs et inf
été dyspnéique. Les battements du coeur ne sont pas accélérés. Les
réactions
électriques n'ont pas été recherchées. Malgré
ar les autres organes fonction- nent bien. Sensibilité intacte.
Réactions
électriques. Le courant faradique faible donne un
ifications. Séborrhée assez abondante. Pupilles de dimensions et de
réaction
normales. Acuité visuelle normale. L'ouverture de
ant sur les parties ankylosées de la moitié inférieure du corps, la
réaction
douloureuse est toujours la même : « la douleur
e part à l'hypertrophie. En aucun point on ne découvre de traces de
réaction
inflammatoire : pas d'infiltration cellulaire,
e des muscles de la face, pratiqué par M. le Dr Debédat : à gauche,
réaction
absolument normale ; à droite, l'excitabilité est
t augmentée. Sensibilité. La piqûre sur la joue gauche provoque une
réaction
plus vive qu'a droite ; sur le front la sensati
RAZÈS ET C. CABANNES vements des globes sont normaux, ainsi que les
réactions
pupillaires à la lu- mière et à l'accommodation
certains mouvements, par certains actes ; il un mo- ment donné, la
réaction
, si compliquée qu'elle soit, va se produire d'une
ntractions obtenues sont lentes avec N F C P F C. Donc il y a de la
réaction
de dégénérescence dans ce muscle. Dans les port
ce muscle. Dans les portions moyenne et inférieure du trapèze, les
réactions
électriques sont fortement diminuées sans modif
dien, grand dorsal, grand rond, grand pectoral, deltoïde, etc., les
réactions
électriques sont normales en quantité et en quali
termine une douleur intense en même temps que se déclare une subite
réaction
manifestement hystérique (sensation de houle, b
èrement s'ils se trouvent dans le voisinage des masses osseuses. La
réaction
est bonne dans les muscles de la mimique, de l'
de son excellente monographie, prête une attention spéciale à la
réaction
musculaire qu'on constate après la trac- tion n
'anesthésie est plus étendue. Peu de temps après, il se produit une
réaction
dégénérative absolue des muscles paralysés et d
agit comme l'excitation faible chez l'individu sain, mais alors les
réactions
se font plus lentement (autonomie des centres n
surface du corps, la destruction de ces régulateurs engendre des
réactions
paresseuses et incomplètes, des stases et de l'hy
dépression psychi- que, demi coma (demi conscience, mais défaut de
réaction
des pupilles et de la cornée). Durée totale, de
excité, et un peu en avant; en même temps, inspiration convulsive,
réaction
contractile des téguments abdominaux qui repous
préparation conser- verait sa clarté pendant des mois, ainsi que sa
réaction
alca- line ; il ne s'y formerait pas d'acide br
réaction alca- line ; il ne s'y formerait pas d'acide bromhydrique (
réaction
du violet^de méthyle). P. K. 1 : O 0 REVUE DE
s, bien connues, pour détermider le temps phy- siologique (temps de
réaction
d'Exner), faites par Helmholz, Dohders, Wundt e
mouvement qu'il lui faudra faire, et que, grâce à cela, le temps de
réaction
se raccourcit précisément du même laps de temps
cle.) 1 éléments Gaiffe 1 = 0,5 milliampères KSZ - Pas d'autres
réactions
. 8 éléments : I = 2,25 milliampères, KSZ Pa
réactions. 8 éléments : I = 2,25 milliampères, KSZ Pas d'autres
réactions
. . 12 éléments : I = 5 milliampères. KSZ KS
es mono-sodiqueset mono-potassiques. L'examen mi- croscopique et la
réaction
de la murexide confirment la présence d'urates
s épithéliales. 2° Examen physico-chimique : ' Densités 1031. 1
Réaction
acide. L'acidité totale mesurée après l'éliminati
tion acide. L'acidité totale mesurée après l'élimination des sels à
réaction
amphotère, par la potasse et le chlorure de bar
des tendons sont visiblemet 308 PATHOLOGIE NERVEUSE. exagérés. La
réaction
des muscles et des nerfs sur les deux courants
t, cette futilité ? ou un état d'irrita- bilité émotive amenant une
réaction
disproportionnée à l'impression ou un affaiblis
ée, née à l'impro- viste dans un organisme sain, n'amenant aucune
réaction
et susceptible d'être mise au service de la pas
ien de l'état hypno- tique que de la bonne foi de la malade par les
réactions
neuro- musculaires bien connues maintenant. C
d'un myosis très net. 1 Voy. Archives de Neurologie, t. IV, p. 404.
Réaction
des pupilles chez les aliénés. z 414 REVUE
a), par Senator, 49 U. Psychoses combinées, par Siemens, 101.
Réactions
électro-magnétiques des nerfs et des muscles ma
forme Charcot-Marie; due manifestement à des lésions nerveuses avec
réaction
de dgé- nérescence et contractions librillaires
n, la démarche est incertaine; on constate 1 : signe de Romberg, la
réaction
dégénérative, la dispa- rition des réflexes pat
ces cas une combinaison de troubles fonction- nels organiques et de
réactions
moniales anormales; celles-ci sont les équivale
lles ne constituent d'ailleurs pas le symptôme maladif, ce sont les
réactions
pathologiques qu'elles provoquent qu'il faut con-
agistralement fixée; aussi vous ne tarderez pas à nous informer des
réactions
qu'elles déter- minent sur le mécanisme nerveux
s de l'infection et les neurologistes s'attachèrent à étu- dier ses
réactions
et ses altérations en présence des agents micro-
ant : Troubles. SOCIÉTÉS SAVANTES. 213 214 SOCIÉTÉS SAVANTES.
réaction
d'un centre moteur qui donne, sous l'influence de
d'aucune dou- leur, mais quelquefois il se produit à leur suite une
réaction
avec sensation d'onglée. Dans l'asphyxie loca
e brûlure, des élancements; après l'accès se déclare une période de
réaction
avec fourmillements insupportables, puis la pea
a cyanose de Raynaud se manifeste par accès suivis d'une période de
réaction
, qu'elle s'accompagne souvent de douleurs très
tend bien connaître, on remarque une diffé- rence sensible dans les
réactions
motrices ; elles ne vont pas d'ail- leurs jusqu
u système gastro-intestinal. Urine : Couleur, consistance, odeur,
réaction
, densité. Urine anormale : urée, phosphates, ch
les génitaux, certaines modifications des réflexes tendineux et des
réactions
élec- triques. Quelques mots sur les principaux
iphérique. Il se base sur le carac- tère normal des réflexes et des
réactions
électriques, sur la persis- tance de faisceaux
se embryonnaire, il s'agit là d'une dégénérescence provoquée par la
réaction
inflammatoire. La substance grise est particulièr
bilité est innervée dans tous ses modes. Aucun stigmate d'hystérie.
Réaction
hémiopique de la pupille à la lumière. Bien qu'
, c'est l'amaigrisse- ment rapide, les secousses fibrillaires et la
réaction
de dégénéres- cence ; 2° Des affections de la
es, c'est l'amyotrophie, qui ne montre ni secousses fibrillaires ni
réaction
de dégénérescence. (Revue Neurologique, février 1
cette dénomination tous les effets, transitoires ou permanents, de
réaction
, transformations ou traces d'un changement fonc-
se trouve contraste violem- ment avec ce qu'il attendait. D'où des
réactions
variées : défiance, colère, anxiété, idées de p
constantes mais d'origine se- condaire : ces lésions constituent la
réaction
nécessaire d'un centre en souffrance et ce n'es
cliromatopliiles subissent une dissolution plus ou moins complète,
réaction
à distance du nerf lésé, et la 2 ? que l'on pourr
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ressante à connaître qu'en raison des
réactions
motrices qu'elle enlraîne, elle peut s'associer
n apparition. La diplopie est l'un des plus fréquents. C'est là une
réaction
fondamentale sur laquelle insiste notre maître M.
, urinaire, génital. L'état général est bon. , Examen électrique.
Réaction
de dégénérescence légère du jambier antérieur g
égère du jambier antérieur gauche. Pas d'inversion de la formule de
réaction
, mais on a du côté gauche une contraction franc
m. A. A droite avec la même excitation il n'y a pas de contraction.
Réactions
faradiques normales peut-être un peu exagérées.
isation, appartenir aux dégénérescen- ces m situ, provoquées par la
réaction
inflammatoire intense du processus local. Les
ineux ; mydriase, accommodation fortement paresseuse et môme aucune
réaction
pendant la convergence. Pas de rétrécissement d
pendant 15 jours). Ces injections sont mal tolérées par suite d'une
réaction
douloureuse locale. Aussi n'amènent-elles pas l
d'éruption dans les autres régions, intégrité des muqueuses; pas de
réaction
générale. L'oedème des james est plus marqué que
l fut pour- tant frappé du peu de sensibilité de l'urèthre dont les
réactions
douloureuses étaient presque nulles en regard d
aine de la mort du foetus, le temps écoulé avant la fixation et les
réactions
particulières imputables il celle-ci. 11 nous s
nt des réflexes tendineux et cutanés. Pour ce qui est de l'état des
réactions
électriques, actuellement on constate d'une faç
s, actuellement on constate d'une façon très nette les signes de la
réaction
de dégénérescence partielle, dans l'extenseur c
arlant. Dans les muscles du mollet (jumeaux interne et externe) les
réactions
électriques sont normales au point de vue quantit
est presque égal à P.F.C., c'est-à-dire qu'il existe des traces de
réaction
de dégénérescence. A la cuisse, l'excitabilité él
e pas de modi- fications qualitatives. Aux membres supérieurs les
réactions
électriques sont normales. Voyons un peu commen
sensibilité, l'a- bolition des réflexes tendineux, les signes de la
réaction
de dégénéres- cence. ' Vers la même époque le
e d'atrophie musculaire, de la perte des réflexes, des signes de la
réaction
de dégénérescence. (1) Bailtox, paripheral Neur
is donné l'ordre de faire une première saignée immédiatement après la
réaction
qui suit le frisson. La saignée générale devait ê
is parotide, et, avec elle, prostration excessive sans aucun signe de
réaction
générale. La vie semble échapper par défaut de fo
l'intestin grêle d'un individu mort du choléra, pendant la période de
réaction
, le 21 décembre i832. Cette anse intestinale, not
ge dans le rectum. 4. La dysenterie légère s'accompagne rarement de
réaction
générale; tout semble se passer localement. La dy
fut moindre. Le i/j au matin, pour la première lois, je trouvai une
réaction
fébrile très prononcée, et cette réaction me donn
emière lois, je trouvai une réaction fébrile très prononcée, et cette
réaction
me donna un peu d'espérance. La teinte iclérique
une mèche fort mince propre à servir de filtre. Le ?5 décembre, la
réaction
fébrile continue, le pouls est plein, fort , à 12
if. Ce pouls fléchit immédiatement après une saignée intempestive; la
réaction
s'éteint, et le malade succombe beaucoup plus pro
parfaitement intactes. Cet état s'accompagne rarement d'une fièvre de
réaction
. Les malades guérissent spontanément par le seul
est considérablement tuméfié. L'état général est excellent. Point de
réaction
fébrile. La maladie est purement locale, et l'exa
r assis, ce qui me surprend et m'afflige ; car l'orthopnée, c'est une
réaction
. La cyanose et l'algidité me parurent venir de
z le malade par de trop abondantes saignées, craignez que la force de
réaction
ne vous fasse défaut, et que les accidens les plu
ons sanguines. Celles-ci ne peuvent trouver leur place que lorsque la
réaction
s'est opérée, et, si l'épanchement est très consi
ction s'est opérée, et, si l'épanchement est très considérable, cette
réaction
, qui est accompagnée de symptômes de compression
forte pression; soupçon de liquide dans la cavité abdominale ; légère
réaction
fébrile. Pour commémoratifs, je recueillis que
m, iv, v, p. i5. — Choléra moyen très intense chez une femme débile;
réaction
; lutte pendant douze jours. Utilité de la méthode
uze jours. Utilité de la méthode anti phi ogis tique à la suite de la
réaction
. Convalescence pénible, traversée par de nombreux
aspliyxiquc.= Cas de choléra asphyxique rapidement mortel ; point de
réaction
; pour toute lésion, quantiié considérable de liqu
ra asphyxique survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de
réaction
. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quanti
'étaient écoulées. Evacuations alvines et vomissemens teints de bile.
Réaction
vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimab
nflammation et eschares de l'intestin grêle. Dangers de la période de
réaction
. 14e liv., pl. 1, 11, ni, iv, v, p. 2g. — Choléra
. 1, 11, 11, iv, v, p. 3o. — Surveillance que nécessite la période de
réaction
. = Choléra très grave arrêté à la première périod
tement de la période de concentration. Thérapeutique de la période de
réaction
. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 5t. — Thérapeut
, m, iv, y, p. 15. —Choléra moyen très intense chez une femme débile;
réaction
, lutte pendant douze jours ; utilité de la méthod
douze jours ; utilité de la méthode antiphlogistique à la suite de la
réaction
; convalescence pénible traversée par de nombreux
asphyxique. = Cas de choléra asphyxique rapidement mortel ; point.de
réaction
; pour toute lésion quantité considérable de liqu
ra asphyxique survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de
réaction
. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quanti
'étaient écoulées. Evacuations alvines et vomissemens teints de bile.
Réaction
vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimab
nflammation et escharcs de l'intestin grêle. Dangers de la période de
réaction
. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 2g.— Choléra as
, pl. 1, n, m, iv, v, p. 3o.—Surveillance que nécessite la période de
réaction
. = Choléra très grave arralé à la première périod
ement de la période de concentration .^Thérapeutique de la période de
réaction
. 14e liv., pl. 1, n , m, iv, v, p. 5i. —Thérapeut
ement de l'aorte sans altération des parois. 40e liv., pl. m, P- 9-
RÉACTION
. De la réaction dans le choléra. 14e liv., pl. 1,
sans altération des parois. 40e liv., pl. m, P- 9- RÉACTION. De la
réaction
dans le choléra. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p.
1, m, iv, v, p. ig, 42. — Thérapeutique du choléra dans la période de
réaction
. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i. — Réaction
a dans la période de réaction. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i. —
Réaction
des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv.,
ubercules cancéreux à la surface des reins. 23e liv., pl. v,p. 4. —
Réaction
des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv.,
. i, n, m, iv, v, p. ôo. — Avantages de la saignée dans la période de
réaction
. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v. p. 5/, — Abcès hép
14e liv., pl. i, n, m , iv, v, ». ¿5.— Thérapeutique de la période de
réaction
du choléra. 14e liv., pl. i, n, ni, iv, V, ». 5
pas à reparaître, et alors deux cas peuvent se présenter : tantôt la
réaction
acquiert d'emblée les caractères plus ou moins tr
on le perçoit cepen-dant et il paraît mélangé de râles muqueux fins.
Réaction
fébrile de moyenne intensité ; prostration, pas d
lées, fondues en un magma, remplies de cristaux aciculés, offrant les
réactions
delà margarine sous l'influence de l'éther et de
diffère du pigment hématique par ses caractères morphologiques et ses
réactions
chimiques. — Mode de formation et caractères micr
anine. Mais ici encore la question pourrait être résolue à l'aide des
réactions
chimiques, car cette substance se dissout dans le
e potasse, ces particules prenaient une coloration d'un bleu intense,
réaction
qui établit d'une façon bien nette leur na-ture.
régale laissaient un résidu soluble dans l'acide fluorhydrique, etc.,
réaction
caractéristique de la silice. anthracose des mo
semblance qui existe, au point de vue des caractères physiques et des
réactions
micro-chimiques, entre la matière caséeuse et la
s dispositions notées dans les globules blancs normaux soumis à cette
réaction
. D'autres globules ne font que pâlir, sans qu'auc
blancs, montrant les principales variétés qu'on remarque avant toute
réaction
, sont présentés dans la fig. 41, a. Les globules
dans le sang nous pa-raissent formés par une substance organique. Les
réactions
que nous avons indiquées n'appartiennent pas aux
cétique, sans dégagement de bulles de gaz (on n'a pas essayé d'autres
réactions
), et surtout leurs for-mes, permettent de croire
es et se plaint de douleurs fixes dans les deux côtés de la poitrine.
Réaction
fébrile peu pronon-cée, pouls très petit, mais pe
n gauche. (Potion : tartre stibié, 0.10, diète). Le 23 et le 24, la
réaction
se prononce : la malade s'agite beau-coup et parl
rente-six heures, frisson violent. Utérus sensi- ble à la pression,
réaction
fébrile intense. Au bout de trois jours, la malad
âgé de trente ans, éprouve tout à coup un frisson violent suivi d'une
réaction
fébrile intense. L'aus-culation de la poitrine ne
'est que le malade est profondément anémique et qu'il présente peu de
réaction
fébrile. L'auscultation du cœur démontre l'existe
diffère du pigment hématique par ses caractères morphologiques et ses
réactions
chimiques. — Mode de formation et caractères micr
granu-lations de —, 329 ; — corpuscu-les, cellules de —, 326, 3."0 ; -
réactions
chimiques, 330 ; — nombre des grains de —, 30 ; —
êmes sensations produisent chez les animaux et chez l'homme les mêmes
réactions
réflexes * CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Soci
e pouvoir se paient et qu'ils peuvent être un jour suivis d'une forte
réaction
1 Quant à l'Académie, elle méritera son titre de
doit être accompli. Il faut avoir une souplesse et une sensibilité de
réactions
nerveuses particulières. Or l'homme veut bien f
heuses tendances. Moins de science et plus de bon sens s'imposent. La
réaction
salutaire a été commencée par des maîtres comme R
u d'être conduit à la mort il allait gravir les degrés du pouvoir. La
réaction
fut si forte qu'il fut pris d'un accès de joie dé
it, à un individu atteint de débilité mentale ; irritabilité morbide,
réaction
impulsive, faiblesse et infidélité de la mémoire,
est également l'opinion de M. Sollier, mais c'est précisément sur les
réactions
et les sensations des centres modifiés, comme nou
vant son individualité, tel ou tel appareil symptomatique. « Quand la
réaction
se fait sous forme de crises de nerfs, on a appel
individus. Elle est constituée par l'exagération et la perversion de
réactions
psychiques et psycho-physiques normales, spéciale
e réactions psychiques et psycho-physiques normales, spécialement des
réactions
émotionnelles et des manifestations de la suggest
t, d'adaptation et le mécanisme du sommeil consiste en somme dans une
réaction
de désintérêt pour la situation présente. Par c
de l'intérêt momentané. Ici, de par le terrain, la prédisposition, la
réaction
de défense est exagérée, anormale, elle constitue
tel ou tel acte et les stigmates sont en somme la conséquence de ces
réactions
d'inhibition mentale défensive. Et, conséquent av
nadéquate, puisque les organes eux-mêmes ont été transformés, des
réactions
ancestrales de défense peaucière qui ont joué un
nces vont aux moyens doux, car un traitement qui laisse après lui des
réactions
douloureuses comme le galvanocautère par exemple,
lage de la pression artérielle, de la minéralisation organique, de la
réaction
urinaire, du sommeil et de l'état mental. Un chap
du frappé est dans le plus profond coma. Cette différence dans la
réaction
de ces diverses parties de l'encéphale sous l'i
paralysie bulbaire progressive, Erb a même trouvé les signes de la
réaction
de dégénéres- cence, tels qu'il les signale dan
étion, sur la sensibilité, ou enfin ils consistent en phénomènes de
réaction
inflammatoire plus ou moins intenses et plus ou
ion des muscles, c'est une tendance à la sclérose qui imprime aux
réactions
un caractère d'élasticité tout particulier. L'h
, exagération des réflexes tendineux, diminution quantitative de la
réaction
électrique. Pas de trouble de la sensibilité, n
e diabétique ne sort plus. L'odeur caractéristique de l'haleine, la
réaction
des urines qui deviennent rouges par l'addition
les deux autres groupes de faits, l'urine et l'haleine offrant une
réaction
caractéristique, l'auteur pense qu'il s'opère dan
onservation constante de la motilité des extrémités ainsi que de la
réaction
pupillaire. On trouve à l'au- topsie dans le ve
alisée. P. K. XXXIV. LE traitement galvanique DU tabès dorsal ET la
réaction
anormale des nerfs cutanés SENSITIrS au courant
reprises sub- sidiaires, pour obtenir des effets satisfaisants. La
réaction
des nerfs de la peau offre, du reste, un moyen
mois, chez un même malade, fera place, pendant le traitement, à la
réaction
normale, dès que l'amélioration se fera sentir
oncerne la moelle, le cerveau, la sensibilité spéciale ou générale (
réactions
électriques normales). Depuis le mois de novemb
immobilité des phénomènes, l'absence de caractère» géné- raux et de
réactions
morbides subjectives, la conservation de toutes
rie physiologique mise de côté, qu'il faut agir, sans solliciter la
réaction
volontaire des sujets, sans exiger de ces derni
, n'était que de lo p. 100. L'auteur rappelle, en terminant, que la
réaction
de la pupille, sous l'influence de la lumière,
ar Ross, 394. Tabes dorsal (le traitement galva- nique du et la
réaction
anor- male des nerfs cutanés sensitifs au cou
e foule de caractères, de rapports, de modifications, d'actions et de
réactions
qui nous échappent; elle sait que chaque jour nou
itude n'a pas-qualité pour déterminer la puissance des actions et des
réactions
des forces naturelles. Non, P. de Bonnïot, la m
t l'un était soustrait par suggestion à la douleur, ont manifesté de*
réactions
absolument différentes ; Tune suivant son cours n
s actes, un accroissement de l'impressionnabilité extérieure et de la
réaction
Habilité, si je puis ainsi m'exprimer, du système
ntal se résume en un mouvement giratoire, en une succession rapide de
réactions
: « réactions des idées sur les idées, des idées
en un mouvement giratoire, en une succession rapide de réactions : «
réactions
des idées sur les idées, des idées sur les sentim
reste, le médecin habitué à observer tous les jours la variabilité de
réaction
que présente la nature humrine, surtout quand l
épingle, la peau de l'avant-bras anesthésié sans provoquer la moindre
réaction
. Jeudi 7. — Nouvelle séance, faite en compagnie
si l'on veut, lui couper les jambes, sans qu'il sente rien. » Pas de
réaction
aux courants électriques; pas de sensibilité à la
rcu- laire* officielles en tont foi. Chez nous, c'est l'esprit de
réaction
coalisé ¦??? la routine qui s'efforce d'éterniser
t-il par occurrence d'une de ces natures malléables, craintives, sans
réaction
? Les excès d; sévérité brisent le peu de ressort
s reçues par ses auto-suggestions, finit par se construire un mode de
réaction
à la suggestion, un ensemble d'obéissances et de
ertaine pression au niveau d'un tronc nerveux, on détermine les mômes
réactions
fonctionnelles que par l'électrisation du nerf. E
, mais une hyper-excitabilité cutano-musculairc qui provoque de vives
réactions
à la pression d'un muscle, au moindre contact de
jet a été observé avant toute éducation hypnotique et nous a donné la
réaction
de la grande hystérie. Et cependant. F... ne prés
i* Il y a des individus qui distinguent les corps d'après le genre de
réactions
qu'ils en éprouvent. Ces gens sont des sensitifs.
des nerfs est provoquée par quelque chose qui se produit là où il y a
réaction
chimique. Autre expérience.— Une meule à aiguis
lvanisation de l'encéphale à travers ses enveloppes a produit ici une
réaction
d'ensemble, quoique Charcot ait noté qu'elle a ét
male — l'expérience nous l'apprend — est suivie impitoyablement d'une
réaction
, d'un affaissement, d'une rétrocession de la forc
l'une était soustraite par suggestion a la douleur, ont manifesté des
réactions
absolument différentes, l'une suivant son cours n
rement suggestible. II est encore des occasions où notre pouvoir de
réaction
personnelle aux influences extérieures sera dimin
ues des émotions et de montrer que ces conditions sont identiques aux
réactions
tomatiques résultant do l'action des agents physi
aire. Je pique, je pince, j'électrise le coté anesthésie. sans aucune
réaction
Et cependant le jeune homme est très pusillanime;
du vinaigre introduit dans la narine gauche, ne détermine ni odeur ni
réaction
. J'introduis le papier au delà de la narine jusqu
otec- trice qui enkysle la balle ei la rend moffensive ; ou bien la
réaction
engendre du pue qui distend les tissus et se fait
s et déduire de cet examen la nature du mal. provoquer ou activer les
réactions
nécessaires à la restauration organique et foncti
enu une vérité scientifique qui se démontre rigoureusement, comme une
réaction
de chimie. Une nouvelle psychologie expérimentale
ux mômes excitations, même lorsqu'ils sont seuls. L'association de la
réaction
morbide de l'excitation une fois (1) Calderwood
14 février eut lieu la deuxième cautérisation, qui ne provoqua aucune
réaction
. En même temps j'eus l'idée de masser tous les
ons pu constater : Du côté des yeux seulement, une diminution de la
réaction
de la pupille gauche. Du côté du corps thyroïde,
donne les résultais suivants au point de vue do la sensibilité : La
réaction
semble nulle du côté droit; elle est au contraire
qui amènent une déviation de la commissure droite. Du coté gauche, la
réaction
est très nette et telle que chez un individu sain
s de l'avant-bras. Comme nous l'avions prévu, nous n'observons aucune
réaction
; la main retombe inerte ou reste maintenue dans l
s les nerfs et les tendons touchés ne donnent pas à l'excitation leur
réaction
spéciale. La preuve éuit amplement faite. Nous
de l'enchaînement des idées, de leur génération réciproque, de leur
réaction
sur les sentiments et des sentiments sur elles,
{fig. 6, A), une série de petites oscillations qui sont dues à la'
réaction
des antagonistes, provoquant à leur tour le phé
de plomb (0,25 1,50 : 700 Aq.), il a constaté des paraplégies avec
réaction
de dégénérescence. Tel est le point de départ d
cétate deplomb, dans les expé- riences précédentes, aucune trace de
réaction
de dégénérescence, aucun changement quantitatif
que peuvent présenter ces organes, et par suite, des changements de
réaction
électrique qui sont liés à ces processus. Ainsi
ans trace de paralysie ou de faiblesse ; mais ils pré- sentaient la
réaction
de dégénérescence la plus prononcée. R. Y. XV
Enfin, ceux qui présentent les' phéI1,Õmèn'ésBol'n : " pletsidp'¡a
réaction
dégénérative demandent dé trois à'six'mois'1 po
ment aucune impression, tandis que du côté sensible il provoque les
réactions
ordinaires. Quand la sensibilité est rétablie d
leurs perdues par l'oeil malade. Le même auteur a constaté que la
réaction
électrique manque dans l'anesthésie sensorielle d
. Il y aurait à rechercher si, pour les sensibilités spéciales, les
réactions
électriques se rétablis- sent avant l'aptitude
yé le courant gal- vanique, il eut obtenu ce que l'on a appelé la «
réaction
de dégénération », qui prouve la dégénérescence
e avec les yeux fermés. Pas d'altérations de la sensibilité ni de
réactions
électriques aux membres inférieurs. Réflexes norm
her, mais il n'existe qu'une atrophie purement fonctionnelle, et la
réaction
faradique est normale. L'anesthésie par l'éth
igence de l'homme, sans pren- dre en considération les organes. Une
réaction
s'est faite, qui ne date pas de loin, et l'on a
ctuellement régnante, et contre laquelle il essaie de réagir. Cette
réaction
, cependant, n'est pas allée et ne pouvait pas a
reur, car une fois la simu- lation découverte, il pouvait être, par
réaction
, entraîné à croire à la pleine responsabilité.
arfaitement saines. , C. T. XII. RECHERCHES expérimentales SUR la
réaction
dégénéra- TIVE ; par CHR. LEEGAARD. (Deutsch. A
suppression de l'excitabilité faradique, tandis qu'augmentaient les
réactions
galvaniques directes tout en présentant une alt
que; cinquante-sept fois il y avait immobilité réflexe absolue ; la
réaction
à la lumière était faible, douze fois ; ce qui
e, douze fois ; ce qui donne un total de soixante et onze cas où la
réaction
était diminuée, contre treize où elle était nor
m- pel, à savoir que dans le myosis sénile, sans complication, la
réaction
réflexe des pupilles à la lumière est conservée.
l'immobilité réflexe et ordi- nairement aussi le myosis, toutes ces
réactions
pupillaires font défaut. Chez un de ces malades
orts médico-légaux, 490. Rapport médico-légal , par Péon , 613.
Réaction
574. Récurrents (paralysiebilatérale des),
. - Les réflexes rotuliens sont complètement abolis des deux côtés.
Réactions
électriques. - Normales. Examen ophtalmoscopiqu
mêmes muscles avec prédominance de l'anode et con- traction lente (
réaction
de dégénérescence). Cette observation présente
scles extenseurs et des péroniers n'a aucu- nement rétrocédé, et la
réaction
de dégénérescence des muscles affectés n'est pa
ère. Le 21 février, il était complètement guéri. L'anes- thésie, la
réaction
de dégénérescence n'existaient plus, les muscles
siste au même degré qu'au début, qui remonte à plusieurs années. La
réaction
électrique des muscles est parfaite. Ce malade,
constant. » (Charcot.) Cependant, il est des cas dans lesquels une
réaction
assez vive s'est montrée dans les premiers temp
ugmenta de volume; il devint très gros, globuleux, mais sans aucune
réaction
locale. 11 était indolent; le genou était le si
eux occupant le creux poplité était considérable. 11 n'y eut aucune
réaction
; aussi je pus, quelques jours après, faire des
a mojndre pression. Pendant ce temps, il n'y eut aucun phénomène de
réaction
du côté de l'articulation du genou. Après quinz
nulle part atrophiés, et, en tout cas, nulle part on ne trouve les
réactions
électriques de dégénérescence; les réactions élec
part on ne trouve les réactions électriques de dégénérescence; les
réactions
élec- triques, au contraire, m'ont paru normale
tre la jambe droite et la jambe gauche, de différence notable comme
réaction
au point de vue qualitatif; mais elle est beaucou
ment isolées dans un organisme tout à fait sain. Les actions et les
réactions
des diverses parties du système nerveux et même
connues; je cite parmi elles l'inté- grité de la nutrition et de la
réaction
électrique qui se rattache à la dernière. Bien
affective (Affectbetrag), dont le moi se délivre ou par la voie de
réaction
motrice ou par un travail psychique associatif.
valeur affective du trauma psychique n'a pas été éliminée par la
réaction
motrice adéquate ou par le travail psychique cons
ts spasmodiques et finalement contracture, dysphagie, lenteur de la
réaction
des pupilles, dimution de la sen- sibilité, asp
anche 1 et tout'autour. se iproduittune coloration purpurine. Cette
réaction
est dite réaction delà tunique musculeuse des;
tour. se iproduittune coloration purpurine. Cette réaction est dite
réaction
delà tunique musculeuse des; vaisseaux).paralys
ÉDATIVE DE LA DUBOISINE CHEZ LES ALIÉNÉS. 227 manie aiguë avec vive
réaction
anxieuse à peu près continue. Un et 2 milligram
sie géné- rale, l'orateur traite des caractères différentiels de la
réaction
pu- pillaire directe et de la réaction pupillai
ractères différentiels de la réaction pu- pillaire directe et de la
réaction
pupillaire synergique (consen- suelle), contras
lus sous l'influence de l'excitation de l'autre oeil, tandis que la
réaction
di- recte ou synergique de celui-ci se produit
teur commun; on constate exac- tement les mêmes contrastes entre la
réaction
pupillaire directe et la réaction pupillaire sy
ent les mêmes contrastes entre la réaction pupillaire directe et la
réaction
pupillaire synergique, mais le mécanisme n'est pa
énérale semble normale à droite, en tenant compte de la lenteur des
réactions
qui est le fait de son état cérébral; elle est
ués au-dessus du sein et dans la région ova- rienne, provoquent une
réaction
assez vive (zones hystérogènes). Un des phénomè
ix mois et qui lui ôtent toute énergie personnelle, tout pouvoir de
réaction
. Les voix qu'elle perçoit ont changé de nature.
W. DE Beciiterew (Neurolog. CelzGrul6l., 1893.) Etude du temps de
réaction
simple ; du temps de différencia- tion ; du tem
t les moments de la journée sont accusées. Aussi est-ce lé temps de
réaction
simple qui présente le moins d'oscillations et
me que le défaut 'de culture, intellectuelle, ralentit le temps des
réactions
psychiques (V tindt,'Ignatov, Rairriôndo); 10"l'a
nse que l'atropine, elle ne gêne pas les mouvements pupillaires, la
réaction
à la lumière et à la convergence. De plus, les
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