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1 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
du système nerveux. Cette preuve faite, il est évident que la grande question qui s’agite depuis si longtemps entre les nombreu
nt et plus facilement à leur but. Occupons-nous plutôt à élucider les questions si obscures encore, de la science des sciences :
a police, le parquet, les tribunaux, qui, n’ayant point à examiner la question scientifique, n’avaient qu’à constater une contra
nt des notaires, des épiciers ou des chiffonniers, cela ne ferait pas question . Le seul point légal douteux était celui-ci : l
ait pas là. Les avocats avaient.mission de s’occuper, non pas de la question de droit, mais de la question de doctrine, et le
ent.mission de s’occuper, non pas de la question de droit, mais de la question de doctrine, et le tribunal, a. laissé départ et
t de votre enthousiasme. Vous souriez, docteur; mais sans discuter la question du magnétisme déjà agitée plusieurs fois entre no
ement d’elle-même. Bien qu’elle sache parler, elle répondra peu à vos questions , parce qu’elle ignore votre langage, n'étant poin
a n’est pas, parce que, dans l’espèce, cela 11e peut être. S’il était question d’une théorie, d’un principe, d’une doctrine, ou
étaient assez savants pour les femmes ? — Voyez Barthès qui, à cette question , ce médicament me convient-il? que lui adressait
, il disait de celui-ci ; « Je l'inviterai donc à résoudre les deux questions sui-« vantes, afin de savoir si, comme on le dit,
l ne bougeait pas. La jeune fille, assez stupéfiée, lui fil plusieurs questions , en le tenant toujours par la main ; il y répondi
es actes sous l’influence d’un songe; quant à moi, je considère celte question comme extrêmement sérieuse, et si la mort de l’en
mort de l’enfant s’ensuit, une enquête aura lieu. 11 ne saurait être question de caution dans une si sérieuse allaire. La préve
érapeutique des plus précieuses. Ce fait est-il vrai ? Voilà toute la question . Cette question est résolue par le témoignage a
us précieuses. Ce fait est-il vrai ? Voilà toute la question. Cette question est résolue par le témoignage affirmatif d’une ma
fet quelconque? et surtout guérissent-ils? C’est à mes yeux, la seule question vraiment importante. C’était ma conclusion dans
r mot la réponse de M. Devergie aux auteurs du rapport sur le viol en question : « Je crois qu’une jeune fille de dix-huit ans p
u’ils touchent de très-près au magnétisme dont l’auteur du travail en question était cependant l’antagoniste. L’étendue du doc
au médecin qu’elle désirait entendre de la musique. Le jeune homme en question fut mandé ; il chanta plusieurs romances... L’émo
res merveilleuses que tout le monde admire. » L’avocat, abordant la question de droit relative à l’application de la loi pénal
n, avocat-général, a donné des conclusions longuement motivées sur la question de droit soulevée par M* Margerand, et a conclu à
. 11 est assez remarquable que M. Enfantin, en discutant cette grande question ! réfute comme incomplètes les solutions données p
de faire pousser, sur cet arbuste, des prunes au lieu de roses. Cette question malencontreuse fit tout manquer; mais c'est déjà
crois que tout le monde comprendra son silence. Si le ro- sier en question n’est qu’un canard de la môme famille que les pet
, Médecin homeeopalhe. » ÉTUDES. DU SOMMEIL ET DES SONGES. La question du sommeil et des songes est aussi intéressante q
relations da corps et de l’âme quelques données propres à éclairer la question ? Or ce n’est qu’à la fin de son livre que M. Lem
ais ne peut-elle pas s’isoler partiellement ? Ceci est une tout autre question . Pour la résoudre, il faudrait d’abord déterminer
10 octobre 1857. Hippocrate a jeté un coup-d’œil lumineux sur cette question du sommeil, et, s’il n'admet pas la séparation pa
diaire de cet agent. Peut-être l’au-leur croyait-il ne pas avancer la question en rangeant ces phénomènes dans la catégorie géné
urrents, partant de deux points opposés, s’avancèrent vers l’objet en question , en brandissant des charbons enchantés et en réci
uvoir fonder un dispensaire magnétique à Francfort. « A la première question , je répondrai que mes recherches, concernant les
enir cette déplorable indifférence, ou même ce cruel dédain, pour une question qui renferme en elle la solution des problèmes le
je donnerai pour le moment le nom de fluide vital, ou biod? C’est une question à laquelle je répondrai lorsque les physiciens m’
Cependant, pour en revenir aux expériences rapportées plus haut, une question se présentait alors naturellement à moi. Puisque
. Gromier, comme on voit par son titre, embrasse un vaste ensemble de questions , bien qu’il n’ait que peu de pages à leur consac
ai ainsi acquis la conviction de l’existence du côté phénoménal de la question . Que ceux qui doutent encore prennent la même pei
s ridicule ; quand le diable fut mis au rebut, il ne fut plus du tout question de possession : maintenant qu’on veut remettre à
ns votre numéro du 10 février, il convient de dire un mot de quelques questions accessoires soulevées par cet honorable écrivain.
ces morales et politiques, par M. Lêlut, sur le concours relatif à la question du sommeil. On a souvent dit et l’on répète tou
trangère à cette branche d’études, et en 1851 elle mit au concours la question du sommeil; voici quel était son programme : « Qu
érieuses. Une des classes de l’institut allait donc enfin aborder ces questions épineuses pour lesquelles le monde officiel éprou
peu de chose près, écarté du concours. Cette sorte d’exclusion par la question préalable serait peut-être légitime, si le progra
ence d’indignité à un dissident, il aurait mieux valu, en mettant une question à l’étude, déclarer nettement d’avance qu’on ne s
magnétique, que l’âme acquiert les nouveaux pouvoirs dont il est déjà question dans l’analyse du Mémoire précédent, et auxquels
sciences la quadrature du cercle, il ne lui fallait rien moins que la question proposée par l'Académie des sciences morales et p
psychologique : il faut y marcher avec précaution. 11 ne saurait être question d’y tout admettre, mais on ne doit pus non plus t
une partie de la science. Son devoir est donc de recueillir, sur les questions philosophiques, toutes les lumières, tous les doc
et souvent élevés vers le ciel, la pupille immobile, et peuvent, aux questions faites par celui (pii les a mis dans cet état, ré
s auges.. Le mémoire lu à l’institut se rapporte à peu près aux mêmes questions , et il suffirait qu’il émanât de la plume érudite
la magie n’avait pas un côté vrai et ne touchait pas aux plus hautes questions qu’il soit permis à notre faiblesse d'agiter. L
me montrer enthousiaste, vague ou indécis, j’avais posé nettement la question scientifique du magnétisme. Avant de rien décider
e chiffre de la date. — (Jusque-là rien quede très-ordinaire.) — A ma question : Pourriez-vous nous dire comment est M. Henri en
n'est pas amusant d’être là, je ne voudrais pas être à sa place.—A ma question : A quel jour sommes-nous ? elle répondit immédia
rites) voyageaient pendant le sommeil magnétique. Je ne résous pas la question , j’attends la solution si on peut me la donner,
ur l’autre, du mode et des conditions de sa transmission, etc., etc., questions d’ordinaire (1) « S'il est possible, ce que nou
e dollars, sans compter la glorification de leur doctrine. Quant à la question très-secondaire de savoir si l’interposition de l
bissent ses elfe tse t leur donne-t-il des pouvoirs supérieurs? A ces questions , le monde savant a répondu jusqu’à ce jour par un
riences innombrables ont été faites sur toutes sortes de sujets et de questions , et le résultat a toujours été confirmatif. Sous
énérales, vagues et incertaines. A l’occasion de la complicité, une question de droit qui a un grand intérêt pratique, a été s
es instants ? Avec quel monde, avec quels êtres est-elle en rapport ? Questions qui ne sont pas delà compétence de ïa psychologie
ue celui de la communauté de doctrines ? Peut-être encore. Mais cette question , faute de renseignements certains, ne sera pas tr
ans les pratiques du magnétisme ; et plusieurs années avant qu’il fût question d’esprits frappeurs en Amérique, certains magnéti
taine combinaison de mots au moyen de laquelle la manière de faire la question suffit pour dicter la réponse. On vit par là qu’o
difficulté à vaincre pour se rendre compte de la nature des effets en question ... Comment ne pas comprendre que l’émanation fl
ntre elles et cette autorité, ou même dans leurs rangs? L’autorité en question nous est dévolue, en notre qualité d’esprit-direc
de cette lucidité anticipant sur les événements ? Nous traiterons la question de la divination dans un prochain numéro de notre
docteur Verdier entra dans une dissertation très-intéressante sur la question du magnétisme animal, et tendant à démontrer l’ab
ctime. Ses partisans le défendent avec plus de chaleur que jamais, la question reste enveloppée de ténèbres, et en attendant qu’
tations. C’est par l’étude îles faits, que doit se résoudre cette question toujours controversée. Refuser la vérification, c
me la lucidité, y a-t-il ou n'y a-t-il pasmentambulation ? thaï U the question . « Recevez, monsienr le baron, l’assurance de m
oulait soutenir l’auteur ; elle nous inspira le le désir d’étudier la question . Mais alors Mlle Prudence voyageait; nous ne pouv
aussi,est-il donc infaillible? Non, sans doute. Consultez sur la même question , sur le même fait, trois ou quatre somnambules,
’aide d’expériences magnétiques, dans lesquelles il ne sera nullement question de vue anormale. Les magnétiseurs, il est vrai, a
re du défi, ce n’est pas le magnétisme à proprement parler qui est en question , ce n’est pas non plus le somnambulisme , ce
e prix de 3,000 fr. ne sera pas gagné, soit ; mais ce n’est là qu’une question fort secondaire. L’essentiel est de vérifier la r
ateurs n’est point un obstacle insurmontable. 11 est à désirer qu’une question aussi controversée et aussi importante que celle
le fait et nous venons ajouter à la liste. Le voyageur dont il est question commençait à gravir le Junjind , un des monts app
ie, qui est, sans contredit, le plus grand des mystères. il Cette question , la voici ; « Le fluide vital survit-il à celui
is encore celui qui a été absorbé par un corps inorganique. « Cette question , qui, jusqu’à présent, n’a point été posée, queje
nd à élucider et peut-être même à résoudre dans le sens affirmatif la question ardue que je leur pose ici, je m’estimerais trôs-
rmer dans le silence et cesser mes publications. « Mais comme cette question , bien que liée à celle qui nous occupe ici, n’est
pris mon nom et le sujet de ma visite, chacun m’entoura, m’accabla de questions sur le nouveau phénomène qui bouleversait toutes
. « Mais, me dira peut-être le lecteur impatient, vous sortez de la question que vous avez posée vous-même, et de la secondair
ni dans celui des spectateurs, s’il était possible de poser quelques questions de physique, auxquelles il me fût chaque fois cat
r le m )ins autant que lui ! « Cependant, quand je vins à poser de3 questions d’un autre ordre, c’est-à-dire sur la thérapeutiq
quant au traitement que j’avais à entreprendre, je reviens enfin à la question qui fait le sujet principal de cette lettre, et j
nomme beaucoup d’autres dont elle revendique l’autorité. C’est une question fort épineuse que celle des oracles, et sur laque
idus doués d’une science surhumaine, en état de donner sur toutes les questions des solutions parfaitement justes, on agissait sa
it combien il est difficile de prononcer un pareil jugement. Aussi la question n’a-t-elle cessé d’être vivement débattue jusqu’i
. » Cette académie a eu encore à s'occuper tout dernièrement de cette question , à propos d’une communication faite par M. Jobert
naison forme un langage et dénote l’action d’un être intelligent. Les questions auxquelles répondent les Esprits leur sont adress
il en est ainsi, vous pouvez soustraire au médium la connaissance des questions , et vous verrez si elles continuent à parvenir à
ements ne pussent échapper aux regards. On avait laissé en réserve la question de la cause des bruits, et l’on s’occupait du mod
s formaient par leur ensemble des discours suivis et des réponses aux questions qui étaient faites à haute voix. On voulut s'assu
que les réponses n’étaient justes que quand le médium connaissait les questions , que les coups étaient produits par des moyens do
uent à des Esprits ce qui, en réalité, n’est dû qu’à eux-mêmes. Cette question est, au fond, la même que celle des tables tourna
ès de la science : peut-être aussi trouvera-t-on enfin la solution de questions tant controversées» Mais n’esl-il pas à craindre
munications intellectuelles, M. Matthieu sait également que quand une question posée à l’Esprit supposé n était pas connue du mé
lement somnambule. Cependant elle répondait avec netteté à toutes les questions qu’on lui adressait. Seulement il m’a paru que se
ivra à l'esprit de raillerie, et qu’un jour il servira à élucider des questions importantes. «Pour nous, au moment actuel, tout
s pour le 8 juin, car elle avait à statuer non plus seulement sur les questions d’exercice illégal de la médecine et de complicit
ont il se sert pour arriver à formuler ses ordonnances. Enfin, sur la question des dommages-intérêts réclamés par les médecins p
er avec les médecins, ils me prièrent de lui adresser encore quelques questions sur l’origine de son mal ; mais j’eus beau crier
çus dans une autre chambre dont la porte était ouverte, l’individu en question , qui se trouvait là par hasard et qui était plong
ner des nombres exacts dès que le médium n’a plus eu connaissance des questions écrites. Du rapprochement de ces deux genres d'
unité. L’arbitraire est toujours mauvais ; il serait à désirer que la question fût clairement vidée, qu’on sût enfin ce qui est
ant, nous dit-on, l’intention d’appeler et de remettre ainsi li*ut en question , nous croyons devoir omettre les détails et jiîêm
les discuter. Maisil nous semble opportun de traiter, à ce sujet, la question d'une manière générale. Dans l’état actuel de n
t au consultant une réponse présentée comme contenant la solution des questions proposées ; quand le jugement ajoute que le préve
hideux qui méritent le titre à'escroc»... Nous n’avons envisagé la question qu’au point de vue légal et abstraction faite de
ur eux une rôverie.qui les effraya apparemment, car ils scindèrent la question par le mépris, et allèrent à tâtons chercher aill
araître gênée le moins du monde. Quand elle avait répondu à quelque question , elle paraissait oublier, un instant après, qu’il
'expérience suivie, parce qu'on observa que, quand on multipliait les questions , elle était contrariée; elle tenait, avant tout,
scurieuse: chacune des personnes de la société pose sur un papier une question . Le papier est plié en quatre et mis dans un chap
quatre et mis dans un chapeau. Le magnétiseur, qui ne connaît pas la question , prend un des papiers pliés et demande à l’oiseau
L’oiseau avait voulu dire que l'amitié était préférable. » « A une question posée de la même manière, l'oiseau sort la lettre
sort et vient former le mot volonté, en omettant l’.N déjà sorti. La question posée était celle-ci : « Quelle puissance le fait
ait agir ? » « Les expériences se sont arrêtées là. Mais à d’autres questions les oiseaux ont toujours répondu de la même maniè
ques qui donnent de tels résultats. Qu’y a-t-il au fond de tout cela? Question terrible. L’oiseau répond lorsqu'on lui demande «
ne s’était pas trompé une seule fois. Voici le plus fort : Trois questions sont écrites sur trois carrés de papier. Ces papi
réfeu serre dans sa main fermée, sans l’avoir lu. Savez-vous quelle question renferme ce billet? i — Oui, répond l’oiseau.
ttre par lettre le mot Dieu. On ouvre le papier, il contenait cette question : — Qui vous a instruits? On tire le second b
le cardinal. Le cardinal reste immobile. — Savez vous quelle est la question qu’on vous adresse? -Oui. — Voulez-vous y rép
rton portant ce mot : « Assez. » Le billet ouvert, il contenait une question de controverse religieuse. Le cardinal s’abstin
it, nous terminons ce petit préambule pour entrer franchement dans la question . Tome SVltt. — N° 65. — 2»Série. — 10 Aoci 1859
ion , surtout de ce genre, prend des formes tant soit peu acerbes, la question s’envenime, et il n'y a plus moyen de la résoudre
ême sur le minéral. « On nous objectera peut-être que l'identité en question n’est pas rigoureusement nécessaire pour la produ
et nous croyons devoir répétor que nous ne cherchons il traiter cette question qu'au point do vue magnétique. généreuse, et
« Rien n’est donc plus rationnel, selon nous, que d’admettre, dans la question qui nous occupe , une âme unique animant tout dan
s plus distingués de l’institut, et nous sommes persuadé que si cette question n’est pour M. l’abbé qu’une question de science,
ous sommes persuadé que si cette question n’est pour M. l’abbé qu’une question de science, s’il n’en fait pasufie affaire de spé
humaine. Pour que le public fût bien à même de se-prononcer sur cette question délicate, il faudrait que les auteurs des relatio
t-ils qu'il ne cherchât pas à s’en garantir? Je soumets seulement ces questions aux naturalistes et recommande ce sujet aux inves
nvenimée. N'est-il pas à désirer qu’enfin la lumière se fasse sur une question aussi controversée? Bien des magnétistes désespèr
. Ce n'est pas par des écrits qu'on peut aujourd’hui faire avancer la question , c’est par des faits nombreux, éclatants, saisiss
a conviction est assise sur une preuve irréfutable. Le phénomène en question , tel qu’il est décrit, est très-loin dfi pouvoir
e, s’il y a peut-être exagération dans le compte rendu, le fond de la question doit être vrai au point de vue magnétique; car, e
de son maître. Je dois dire, avant tout cependant, que le moine en question n’a aucune idée du magnétisme, mais il veut et ce
tre en relation avec les Esprits de leurs parents et amis décédés. La question était de savoir quelle était la cause de ces coup
que le concours matériel de sa présence. Ainsi faites à l’Esprit des questions inconnues du médium, ou bien invitez l’Esprit à s
re de spiritualisme, on ne pourra plus alléguer que les phénomènes en question ne peuvent avoir lieu que devant un nombre très-r
a gracieuseté de cet envoi (1). Bien qu’étranger depuis longtemps aux questions de magnétisme animal, je n'en lis pas moins avec
e M. le docteur Charpignon. Dans cette explication antérieure, il est question d’une bague que porterait notre médium, M1" Iluet
rence? Je ne vois guère que M"e Huet elle-même qui puisse trancher la question , et je me propose de la lui soumettre à la premiè
du Journal du Magnétisme, pages 18 et suivantes. Voici ce dont il est question : En voyageant à travers les déserts, il aperçu
sur la destinée de certains personnages. Le bokle donne, à toutes ces questions , des réponses qui sont regardées comme des oracle
une affaire d'un intérêt peu ordinaire, peut-être unique. Une grande question scientifique était posée à la justice, après avoi
eut y croire lui-même. Le magnétisme existerait-il réellement? que de questions ne s’adressa-t-il pas ! il est comme magnétisé lu
ions quotidiennes, il récitait des fragments de leçons, répondait aux questions qui lui étaient faites, et il écrivit même sur l'
p transparents, et nilaques-tion de fait, ni, à plus forte raison, la question de doctrine, n’ont pu être élucidées. Il n’existe
premières. Enfin d’autres vont plus loin et tranchent hardiment la question en affirmant, comme par exemple un certain A. d’O
cine à sortir de sa majestueuse apathie pour s’occuper de cette grave question ; il ignore les expériences faites dans les hôpit
qu’on n’est pas en état de justifier. Le témoin déclare que « ni la question de fait, ni à plus forte raison la question de do
émoin déclare que « ni la question de fait, ni à plus forte raison la question de doctrine n’ont pu être élucidées. i> Si la
e raison la question de doctrine n’ont pu être élucidées. i> Si la question n’a pu être élucidée, elle reste donc douteuse, e
us de présomption de vérité. Du reste, puisqu’on vient de dire que la question de doctrine n'a pu être élucidée, il s’ensuit que
air et qui ne-peut manquer de bien mettre les juges au courant de la1 question . Le magnétisme n’existe pas (c'est entendu) : mai
uges, comme vous pensez, étaient dans un grand embarras; trancher la question du magnétisme par un arrêt, c’était grave. Décide
enir deux médecins. C’ était la meilleure façon de ne pas trancher la question . Les docteurs déclarèrent l’un et l’autre, en se
l leur donne absolument gain de cause, car j’avoue que si l’enfant en question n’est pas épileptique, je ne comprends pas commen
t avec le jour des occupations assez sérieuses pour qu’il ne fût plus question des fantômes de la nuit. Mais, par une précaution
t étroitement gardé sa ni espoir de grâce (7 avril 1791). doie en question a été racontée devant les juges par l’accusé ou p
nses de la voyante jetèrent toute l’assistance dans l’admiration. Les questions , dans cette circonstance et dans d’autres, tendai
a courtoisie qui les caractérisait de leur vivant, et répondirent aux questions qu’on leur fit (leurs réponses sont rapportées p.
qu’il pourra leur inspirer le désir d’étudier plus à fond les graves questions qu’il a effleurées ; mais il n’a pas dissipé les
entrée, augmentée ou diminuée ? Il aurait fallu répondre à toutes ces questions . Si ce n’est qu'une hypothèse , il faudrait qu’el
s qui ont changé sa manière de voir, il admet la réalité des mains en question (p. 295 et Zi 56), seulement il ne les regarde qu
a lumière astrale. C’est encore cette lumière qui vient éclairer la question si ardue du vampirisme. Depuis long-temps, les ho
â« StRiE. — 25 Octobre 1859. 20 dans le livre même la réponse aux questions qu’il veut bien nous faire. Pour ce qui est du
umble serviteur, « Éliphas Lévi. » Réponse. — «Laissons de côté les questions personnelles et ne nous occupons que de la vérité
Avant d'aborder les phénomènes du biod, ou fluide vital, il est une question préalable qui s’offre naturellement à l'esprit et
à la mort; » mais lorsqu’il s’agit d'aborder le point principal de la question , il est forcé de reconnaître que le principe, la
combien, malgré toutes leurs recherches, et leurs expériences, cette question conserve encore à leurs yeux de lacunes et d’obsc
re résolu, et sur lequel nous avons plus d’une fois insisté. C’est la question de savoir pourquoi le cœur séparé du corps de l’a
uelle disait ; j’y parvins tout de suite, et je pus l'interroger. Mes questions me firent penser qu’il ne s’agissait que d’uii dé
. Le sommeil me parut profond, et toutefois la malade répondait à mes questions . Je voulus naturellement pousser plus loin l’expé
jets qui s’attribuent le sommeil lucide, combien on a de dents. Cette question si simple avait, en effet, troublé la lucidité d’
re, remercie M. Cerise d’avoir porté devant la société l’intéressante question des phénomènes nerveux extraordinaires, et de l'a
’un des angles de l’appartement à ma droite, conséquemment la dame en question me tournait le dos, et entre nous deux, tout le l
, la dame s’affaisse sur son siège, on s'empresse autour d’elle ; les questions se précipitent: « Qu’avez-vous ? vous trouvez-vou
eut l’intéresser davantage, car tout est renfermé pour lui dans cette question malheureusement insoluble : Que mis-je cl que ser
urs efforts aux nôtres pour élucider autant que possible l’importante question qui nous occupe en ce moment, nous espérons que,
prits forment l'objet principal : pour y arriver, l’auteur traite les questions les plus élevées de physique et de cosmogonie, re
er, de l'électricité, des propriétés essentielles de la matière, à la question des tables. Mais ces préliminaires, quand même on
très-curieux et très-instructif. M. Goupy discute encore une foule de questions concernant la religion, la morale, l’éducation, l
s les savants n’ont-ils pas fait preuve de légèreté en délaissant des questions demeurées indécises, en n’appliquant, pas leurs e
M. Goupy n'a pas réussi à dissiper tous les nuages qui enveloppent la question des tables, 011 peut dire au moins qu'il a réuni
erminée quant aux faits particuliers, sauf à reprendre l’examen de la question générale si de nouvelles expériences venaient app
les , est venu recommencer un débat stérile et scandaleux sur des questions de personnes : ne pouvant se résigner à avouer un
ière. L’accusé, interrogé par M. le président, répond aveccalme aux questions qui lui sont posées sur scs antécédents, sur ses
851, l’Académie des Sciences morales et politiques mit au concours la question du sommeil et de toutes ses variétés, ce qui comp
taient, il fallut bien que la docte assemblée s’occupât de ces graves questions auxquelles elle était restée étrangère ; bien plu
ance dans la véracité de celui qui la rapporte, et c’est toujours une question scabreuse de laquelle on ne doit pas faire dépend
’exposer à supprimer l’usage pour mieux corriger l’abus. C'est là une question fort délicate qui a été traitée plusieurs fois da
braver les anathèmes académiques, et qu’on ne peut traiter à fond les questions concernant le physique ou le moral de l’homme, sa
s midi, nouvel accès.—Magné tisation suivie de lucidité. « Première question . — Où est le siège de votre maladie? « Réponse.
e un ver qui va du milieu de la tête jusque vers le nez. « Deuxième question .— Comment peut-on vous débarrasser de cet insecte
ait faire une incision et saisir le ver avec une pince. « Troisième question . — Quand reviendront les accès ? « Réponse. — A
re indiquée, et je la magnétisai de suite ; je lui adressai les mêmes questions ; les réponses furent analogues. La malade nous d
e nous annonce de nouveau un accès et la menstruation pour le 16. « Question . — Ne pourrait-on rien faire pour augmenter le fl
se la malade à 3 heures du soir, en présence de M. Gros. u Première question . —A quelle heure voulez-vous être magnétisée dema
e magnétisée demain ? a Réponse. — A 5 heures du soir. « Deuxième question . — Pourquoi toussez-vous après chaque magnétisati
la poitrine une espèce de crampe qui me fait tousser. « Troisième question . — Vous prétendez être guérie par quatre magnétis
« Réponse. — Cet accès sera provoqué par les règles. " Quatrième question . — Faudra-t-il vous magnétiser pendant l’accès ?
l vous magnétiser pendant l’accès ? n Réponse. — Oui. « Cinquième question .—Aurez-vous encore des accès après le 16? « Rép
ères secousses nerveuses qui iront toujours en diminuant. n Sixième question . — Croyez-vous que quatre magnétisations suffiron
audra faire une incision sur la tête et extraire le ver. n Septième question . — Trouverai-je l’insecte? n Réponse. — Oui. «
me question. — Trouverai-je l’insecte? n Réponse. — Oui. « Huitième question .—Pourrez-vous me diriger pendant l’opération ?
ous me diriger pendant l’opération ? « Réponse. — Oui. « Neuvième question .—Comment l’insecte a-t-il pu trouver le crâne ?
lequel passe une artériole et l’insecte passe à travers. n Dixième question . —D'où vient-il que l’insecte a pu traverser le c
uir chevelu ? a Réponse. — Le magnétisme l’a trop affaibli. a Onzième question .—Si on n’enlevait pas l’insecte, qu’ar-riverait-i
ectei eprendrait ses forces et les accès reviendraient. « Après ces questions , la malade demande une demi-heure de sommeil, pui
résence de MM. les docteurs Neser et Gros. — Je renouvelle toutes les questions de la veille ; les réponses sont les mômes. La ma
agnétiser, après 5 minutes de passes, elle est endormie. a Première question . — Cet accès sera-t-il le dernier? « Réponse. —
n. — Cet accès sera-t-il le dernier? « Réponse. — Oui. « Deuxième question . — Quelle est la cause de cet accès ? n Réponse
s ? n Réponse. — Les règles et la faiblesse des nerfs. «Troisième question .—Pourquoi ne vous êtes-vous plus frappé la tête ?
« Réponse. — Parce que l’insecte ne me fait plus mal. n Quatrième question . — Pourquoi vous frappiez-vous la tète dans vos a
s vos autres accès? « Réponse. — Pour tuer l'insecte. « Cinquième question .—Le magnétisme n’a-t-il pas une fâcheuse influenc
vos nerfs ? « Réponse. — Au contraire, il les fortifie. « Sixième question . — Voulez-vous qu’on vous magnétise encore ? «
tise encore ? « Réponse. — Oui, tous les quinze jours. « Septième question . —Serez-vous lucide ? « Réponse. — Oui. « Hui
tième question. —Serez-vous lucide ? « Réponse. — Oui. « Huitième question . — Comment cet insecte est-il entré dans votre tê
l’insecte ? « Réponse. — Je ne le vois pas clairement. « Dixième question . — Combien de temps voulez-vous dormir ? i Répo
peau froide. La malade a des vertiges. Je la magnétise. « Première question . — D’oii vient cette oppression ? « Réponse.— J
reviendra-t-elle? «■Réponse. — EDtre 10 et 11 heures. « Troisième question ». — Que faut-il faire? « Réponse. —Me donner un
aut-il faire? « Réponse. —Me donner un bain de pieds. « Quatrième question . — Et les règles ? « Réponse. —Elles ne sont pa
les règles ? « Réponse. —Elles ne sont pas revenues. « Cinquième, question .— Quand reviendront-elles? « Réponse. Je ne les
’;iurai de la pesanteur dans les membres et des vertiges. « Sixième question . —Et les accès? « Réponse. — Je n’en aurai plus
rêve immédiatement. A 5 heures du soir, je la magnétise. « Première question . — Qu’avez-vous? « Réponse. — Je suis malade, j
Je suis malade, j’ai des vertiges, le sang me travaille. « Deuxième question . — Quel rapport y a-t-il entre votre état actuel
mon système nerveux, et par là mon époque menstruelle. « Troisième question . — Votre santé se rétablira-t-elle ? « Réponse.
emie du soir, j’aurai un coup d’apoplexie qui me tuera. « Quatrième question . — Ne peut-on pas prévenir cette apoplexie ? «
A cinq heures du soir, je la magnétise en présence de sa mère. A une question que je lui adresse en aile- mand comme toujou
is l’appétit ne reviendra pas et je serai toujours plus faible. » « Question . — Combien de jours durera encore votre maladie a
s six jours 2 « Réponse lente, incertaine. — Encore sept jours. « Question .— Et après ? u Réponse.— Je ne vois plus rien.
rs. « Question.— Et après ? u Réponse.— Je ne vois plus rien. « Question . — Quelle sera la marche de la maladie ? u Répo
rs plus faible jusqu’au 3 février. Au delà, je ne vois plus rien. « Question . — Mais vous avez dit. que vos règles reviendraie
rier ? « Réponse. — Oui, si cette maladie n’était pas surveaae. « Question . —Quelle maladie avez-vous? Réponse. —Une infla
vez-vous? Réponse. —Une inflammation de la substance cérébrale. « Question .—Dois-je vous magnétiser encore quelquefois ? «
abondantes que depuis bien des années. «P. S.—L’insecte dont il est question dans cette observation a été examiné par une pers
ns présenté à nos lecteurs divers documents pouvant servir à juger la question si controversée des coups mystérieux (1) ; nous a
irurgien , une communication des plus extraordinaires dont il ait été question depuis longtemps. Un médecin ou un chirurgien d
d’être en quelque sorte absorbée dans la contemplation de l’objet en question , elle regardait ce qui l’entoure, était distraite
l se place vis-à-vis de la personne qui désire éprouver les effets en question , et la prie de le regarder attentivement, ou quel
ièrement le dernier, me semblent propres à égarer vos lecteurs sur la question essentielle du spiritualisme moderne, que M. Mori
s’en référait à M. Dubois (d’Amiens) ou à Montègre. «La brochure en question fut envoyée d’Amérique par moi à M. Morin, il y a
du médium, ou s’ils procèdent d’une intelligence étrangère. Toute la question est là. « Et d’ailleurs, n’y eût—il s dans les
st-il venu à écrire un semblable article? Pour l'intelligence de la question et pour éclairer l'opinion de vos lecteurs, qu'il
ns naturels qu’il avait à signaler pour l’explication du phénomène en question , l’assurant que s’il en était ainsi, nous renonce
aire insérer dans votre journal une lettre où, désertant les faits en question , il accumule à mon adresse les invectives les plu
i bien juge ? 11 y a tout lieu de le croire. (,>ue, désertant la question , il m'accable d'outrages; que, pour avoir inséré
nérales formulées dans une autre correspondance où il n’est nullement question de lui, je ne puis que le plaindre sincèrement d’
lo spiritualisme, 208. Sommeil (du), des rèves et du somnambulisme. Question mise au concours par l'Académie des sciences mora
rapport de M. le Dr Lélut, sur les divers mémoires traitant de ladite question , par M. Morin, 149. — Examen des idées de M. le D
Réfutation du rapport de M. le Dr Lélut, sur le concours relatif à la question du sommeil, par M. Morin, 149. Spiritualisme. O
t à M. le baron du Potet, 659. — Réflexions et commentaires sur cette question , par M. Morin , 309, 312, 459, 636. FAITS ET EX
2 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
mené au palais des Sociétés Savantes une affluence considérable. La question des enfants et des adolescents anormaux y a été t
oit les enfants anormaux de l'Assistance. M. le Dr Doyen, abordant la question du traitement chirurgical des arriérés, a préconi
int de vue des effets d'impression, parce qu'il ne saurait alors être question de faire emploi de deux couleurs différentes. Il
animité. La société se constitue en comité secret pour discuter une question de psychologie sexuelle. La séance est levée à
les de la ville de Paris, Régamey se donna tout entier, des lors, aux questions d'enseignement. Les travaux qu'il fit paraitre à
ssistent en grand nombre â la séance annuelle et met en discussion la question des enfants et des adolescents anormaux qui a don
nd de Gros en 1860, alors que les recherches de Braid réveillaient la question du magnétisme : « Le braidisme nous fournit la ba
t l'âme de l'enseignement chez les anormaux. Elle sera coupée par des questions , par des repos, par un chant ou l'audition d'un m
e, qui a mis à l'ordre du jour de sa séance annuelle cette importante question , ne peut-que rendre hommage à cette décision. L
s asiles, tout groupement d'anormaux — et pour les pauvres, c'est une question de conscience — doit être surveillé par une commi
qu'il pourra entreprendre pour les anormaux. D'autant plus que là, la question d'instruction se complète de celle d'éducation. O
sait que dans les établissements universitaires, l'éducation est une question complètement dédaignée. Personne ne s'en soucie e
anormaux constituée par M. le ministre de l'Instruction publique. La question de la sélection de ces enfants y a fait l'objet d
écoles de la Ville de Paris se sont émus de cette situation et que la question a déjà été abordée à leur société. Un exemple mon
t passager et qui pourrait être qualifiés du nom de faux anormaux. La question soulevée aujourd'hui à la Société ne peut être ép
e d'améliorer l'état des enfants arriérés par une opération ? Cette question est d'une grande importance sociale, puisqu'il su
e en dehors d'une surveillance continuelle. Je laisserai de côté la question de l'épilepsie, qui est cependant une complicatio
sion intra-cérébrale ; mais nous n'avons pas à étudier aujourd'hui la question de l'épilepsie. Nous allons tâcher de détermine
icipalité et le comité local. Vendredi 2 Août : Le matin à 9 heures : questions à l'ordre du jour : La paresse et la mollesse che
ses. Visites scientifiques. Samedi 3 Août : Le matin à 9 heures : question à l'ordre du jour : Les enfants indisciplinés. —
à Laon et au château de Coucy. Lundi 5 Août : Le malin à 9 heures : question à l'ordre du jour : L'enseignement scientifique,
ection, sous la présidence de M. Mardi 6 Août : Le matin à 9 heures : questions à l'ordre du jour : La refonte des programmes de
nications diverses seront, autant que possible, faites à la suite des questions mises à l'ordre du jour auxquelles elles se ratta
elles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxquels incombe la d
nnelles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxquels incombe la dél
toute l'infanterie (avril 1905). S'inspirant de l'importance de la question de visibilité, mise en relief par les enseignemen
des lois de contraste. Dans toute création d'uniforme il y a donc une question intéressante dont on pourrait tenir compte, c'est
plus perfectionnés et les plus complets pour défendre sa patrie. La question d'habillement est une des pierres de l'édifice ;
re fixée de traitement et occupe autant que possible la même chambre, question d'habitude favorable à la suggestion. Cette dispa
llemagne, Par M. le Dr Witry, de Trêves. L'épidémie religieuse en question a éclaté au commencement de juin 1907 à Cassel et
te ans. Ayant, comme vous le savez, tout particulièrement étudié la question des sommeils pathologiques, j'ai pris l'habitude
éteil (1) Parle Dr L. Dufestel, Médecin inspecteur des Ecoles. La question des Enfants anormaux est toute d'actualité : Les
barrasser afin de pouvoir enseigner tranquillement. L'intérêt de la question nous a fait accepter avec empressement l'invitati
35 à 40 je crois) ne peuvent répondre d'une façon catégorique à cette question . Que deviendront ces élèves quand ils seront rend
minel. De cette discussion me parait ressortir que' la réponse à la question que nous avons posée dès le début : « Le débile e
singulièrement d'un établissement d'aliénés. La complexité de la question explique la diversité des conceptions, des opinio
ale. Et, dans cette voie, on me parait avoir, en général, délimité la question d'une façon trop étroite : ou bien, comme cela se
sont en jeu. Il ne me parait, cependant, y avoir aucun doute sur lu question : le débile n'est pas, par définition, un aliéné,
hite. L'étude de M. Stigter sur les rêves remet à l'ordre du jour une question actuellement un peu délaissée. Elle mérite qu
tin le congrès de genève-lausanne L'expertise médico-légale et la question de la responsabilité par M. le Dr Paul Farez
i avait provoqué tant d'adhésions, c'était, à coup sûr, l'intérèl des questions à l'ordre du jour et des communications inscrites
être vice-président de notre Société. Enfin, chose curieuse, une des questions mises à l'ordre du jour pour l'an prochain est ce
ie y occupa une place relativement restreinte et qu'il y fut fort peu question de psychothérapie. Parmi les communications qui
tte opinion que M. Raymond vient d'exprimer magistralement, sur cette question , la vérité clinique actuelle : « les faits sont l
sie-abasie et sur ¡a psychothérapie, en Vendée — a aussi traité cette question des troubles iroohiques dans l'hystérie ; et il a
t-il, avec l'hypothèse ci-dessus. » l'aborde enfin la troisième des questions mises a l'ordre du jour du Congrès de Genève-Laus
'étendre quelque peu: Il s'agit de l'Expertise mèdiço-légale et de td question de responsabilité. il. le professeur Gilbert Ba
uter des fluctuations ambiantes;... il faut soigneusement séparer les questions doctrinales qui varient et les faits qui restent
refuser de répondre. C'est catégorique ! Portée sur ce terrain, la question fut, vous le pensez bien, chaudement discutée. On
sses et les Belges n'ont aucunement qualité pour se prononcer sur une question qui intéresse un article du Code français. Ce n'e
te mise en demeure de résoudre catégoriquement par oui ou par non une question qui semble mal posée. Si les arguments et les vue
es prétentions, il est incompétent pour solutionner avec autorité une question de cette nature. Et, je vous le demande à tous, q
conditions que je vous ai exposées, n'a pas définitivement tranché la question ; l'incident n'est pas clos ; la discussion reste
, morale, logique, dialectique, etc. ; on renvoyait au philosophe des questions que l'on déclarait hors de la compétence médicale
l'action ; que le mot responsabilité n'y est pas écrit ; 2° que les questions de responsabilité qu'il s'agisse de la responsabi
erminations et les actes desdits inculpés, n'a pas à connaître de ces questions ; Emet le vœu : Que les magistrats dans leurs
Code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre lesdites questions qui excèdent sa compétence. » (à suivre) L'
peut-être, si je ne m'adressais à un auditoire éclairé que toutes les questions d'ordre supérieur intéressent certainement. C'e
Genèse de l'hystérie (1) par M. le Dr Terrien, de Nantes. Celte question de la genèse de l'hystérie est extrêmement import
it complet, il faut rechercher la nature de ce trouble. La première question que vous devez poser à ces malades est celle-ci :
i n le congrès de genève-lausanne L'expertise médico-légale et la question de la responsabilité par M. le Dr Paul Farez (Sui
. Si, tout d'abord, on veut se montrer tellement pointilleux sur la question de compétence, cela pourrait entraîner très loin.
de la responsabilité. Le juge et le jury doivent se prononcer sur la question des circonstances atténuantes. Mais ces circonsta
a brèche que vous avez ouverte. Revenons à la médecine légale. La question de la responsabilité morale, dites-vous, n'a pas
ce, et tant d'autres. Si, restant dialecticien, vous attendez que ces questions soient résolues pour vous prononcer dans la prati
mêmes de la pratique ? Vous avez beau vous récuser : en fait, cette question vitale de la responsabilité se pose à propos de t
devra s'adresser ; Taylor, que vous citez, n'a-t-il pas écrit : « La question de savoir si l'accusé est un agent responsable es
pondre simplement : « Vous, médecin, vous refusez de répondre à cette question , pour ne pas faire de la métaphysique ; mais je f
dévié, vous pénétrez sur le terrain juridique, vous traitez une autre question que celle que vous avez posée, vous êtes en dehor
nd, tout le monde est complètement d'accord. « Ce n'est donc qu'une question de mot », a dit avec autant d'exactitude que d'à-
la réflexion, l'on se rend compte qu'il ne répond qu'à un coté de la question ; il s'applique exactement à quelques cas, non à
oisin, c'est à lui-même que la justice en demande compte. Alors cette question se pose : « X..., est-il responsable de ce méfait
r honneur) qui consentent à répondre de cette manière simpliste à une question aussi simpliste ; en effet, les choses sont plus
; ils font appel aux cliniciens-psychologues ; ils multiplient leurs questions , les diversifient, les précisent. Pour répondre à
apprécie les atténuations de la responsabilité ; et il tranche cette question non pas au point de vue moral, mais au point de v
vrai que le médecin légiste ne deviendra faillible qu'en abordant la question de la responsabilité et sera-t-il infaillible jus
ment sur le même individu ; allez jusqu'à leur interdire d'aborder la question de la responsabilité ; vous constaterez de très n
la responsabilité ; elles apparaissent bien avant qu'on aborde cette question , dès qu'on s'attaque à la complexité psychopathol
re plutôt philosophique. » Ces contradictions ne sont pas dues à la question surajoutée de la responsabilité ; elles sont inbé
telles que nous les désirons. Il n'y a pas, au moins pour certaines questions complexes de la psychopatho-logie, une certitude
un psychologue éprouvé. En tout état de cause, c'est lui qui, sur la question de responsabilité, c'est-à-dire d'itnputabillté,
ien en vue, sur une estrade élevée, pose au malade, coram populo, les questions les plus indiscrètes sans se préoccuper de son hu
et l'ennui des ouvrages scientiliques où l'aridité des propos et des questions qui y sont méthodiquement exposés fatigue bien vi
nt gravés dans la mémoire des élèves sous forme de chansons et chaque question , chaque règle s'apprend de la sorte comme un prov
savent rien, ils ne peuvent traiter, d'une façon approfondie, aucune question scientifique ou littéraire . Quelle perte de te
t intéressé par la forme que par le fond. Posez-lui par exemple une question : au lieu de vous répondre, il commence par répét
e une question : au lieu de vous répondre, il commence par répéter la question en ânonnant ; il la répétera à satiété, prononçan
re, je ne veux pas entrer dans des détails. Qu'il me suffise dans une question aussi complexe et délicate de dire qu'à mon humbl
acune, principalement à Paris, à Lyon et à Bordeaux. A Bordeaux, la question des enfants anormaux a déjà presque une histoire.
était l'état de notre malade au moment où elle a commis l'incendie en question , essayons de reconstituer l'enchaînement des fait
sychologie a décidé de mettre à l'ordre du jour de cette réunion, une question qui intéresse tous les esprits animés de l'amour
progrès. Il s'agit de savoir dans quelles limites, en dehors de toute question politique ou religieuse, un gouvernement absolu a
imordial auquel tout homme peut légitimement prétendre ? Telle est la question qui sera soulevée parM. le professeur UbeydOullah
années précédentes, les sujets de ces conférences se rapporteront aux questions psychologiques les plus variées et seront traités
esseur Gilbert Ballet, au sujet de l'Expertise médico-légale et de la question de la responsabilité. Ce rapport sera imprimé in-
éfinition et la nature de Vhystérie, on a, de nouveau, soulevé la question très controversée des troubles trophiques dans l'
recueillir avec soin, d'en dresser le bilan et de tenir à jour cette question si intéressante. Comme préambule et pour mémoir
r encore l'expérience de M. Podiapolsky, lequel a beaucoup étudié ces questions . En 1900, ayant hypnotisé un paysan .1. K., not
soit pas interrompue entre l'hypnotiseur et le sujet. Il y a là une question de mise au point en deçà et au-delà de laquelle o
ar auto-suggestion le souvenir de ces événements. Dr Bérillon. — La question soulevée parle Dr Regnault pourrait provoquer une
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
une conférence accompagnée de projections, le Df Bérillon traitera la question de l'hypnotisme chez les animaux. * M. le Dr
enceau, président du conseil des ministres, au moment où il étudie la question des délinquants mineurs. Il constaterait les résu
ainsi qu'il suit : Dr Paul Fabez. — L'expertise médico-légale et la question de la responsabilité. Discussion. — D' Bérillon,
qu'il m'est impossible de répondre quoi que ce soit de précis à cette question sans voir la malade. J'ajoute cependant cette rem
fesses j'aperçois à la place de l'anus, une large bouche béante. A la question : « Pouvez-vous contracter l'anus ? », la malade
r. Ce cas, examiné en lui-même, me parut soulever nécessairement deux questions : 1° Est-il justiciable de l'hypnose?2» Quel résu
e communication ou plus exactement ce travail récapitulatif comme une question nouvelle. Vous savez tous qu'elle a déjà fait l'o
ns des conditions nuisibles pour leur santé. Sans vouloir trancher la question , avant de nouvelles expériences, nous pensons qu'
lte idée, donner des preuves du contraire. Xous reviendrons sur cette question dans une étude sinon sur les grossesses nerveuses
issons à d'autres plus autorisés le soin de répondre, de trancher ces questions , il nous a semblé utile, en tout cas, de discuter
des chimistes. L'hygiène alimentaire paraît n'Être aujourd'hui qu'une question de pesées, d'analyses et de calories. Il est te
ble. L'homme est vraiment un homme. L'expertise médico-légale et la question de la responsabilité (i) \Sutte de la discussio
allet, chargé de traiter le sujet : « L'expertise médico-légale et la question de fa responsabilisé, » le fit - dans un éloquent
'action ; que le mot « responsable n'y est pas écrit ; R 2° Que les questions de responsabilité, qu'il s'agisse de la respon-«
minations et les actes desdits « inculpés, n'a pas à connaître de ces questions ; « Emet le vœu : « Que les magistrats dans l
de pénal et ne demandent « pas au médecin expert de résoudre lesdites questions qui excèdent sa « compétence. » (1) Voir le Rap
rbitre ; partant il n'y avait rien de choquant à poser à un expert la question de responsabilité. Cet expert n'aurait pas eu mêm
iscute volontiers, n'estimant pas, comme l'honorable M. Ballet, quela question de responsabilité soit du domaine exclusif de la
même praticien, n'en saurait faire fi. M. Farez pose avant tout la question de compétence : en matière de responsabilité, qui
fficulté d'ordre pratique. A merveille ! Et c'est pour résoudre une question de pratique que vous lui demanderiez de résoudre
dopte volontiers la conclusion de Taylor que M. Farez rapporte : « La question de savoir si l'accusé est un agent responsable es
on ne les eût mis dans la pratique en demeure de se prononcer sur une question beaucoup plus difficile, je dirai plus étrange, q
le. Mais nous ne nous entendons pas, car voici comment il présente la question : « X est-il responsable ? Tel acte doit-il être
ndra, je l'espère, où nous n'aurons plus à nous prononcer même sur la question de la responsabilité entière. Ce jour-là, les mag
-elle due à une simple maladie de la volonté ? Si vous jugez que la question puisse intéresser vos lecteurs, peut-être voudrie
égénérés et son traitement . psychothérapique, nous avons envisagé la question sous de différents points de vue. Les enquêtes qu
sabilité de la situation ? J'avoue mon impuissance à répondre à cette question et je fais appel pour la résoudre au savoir et à
on-responsabilité du prévenu résulte de son incapacité à répondre aux questions du juge. — L'excuse n'est admise qu'en cas de fol
action ; que le mot responsabilité n'y est pas écrit ; « 2° que les questions de responsabilité qu'il s'agisse de la responsabi
erminations et les actes desdits inculpés, n'a pas à connaître de ces questions ; « Emet le vœu : « Que les magistrats dans l
Code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre lesdites questions qui excèdent sa compétence. » De la lecture de
en est pas fait mention dans le Code pénal ; le second, c'est que les questions de responsabilité sont d'ordre métaphysique. En
orme. En effet, je soutiens, d'une façon formelle, que d'une part, la question de la responsabilité est inscrite dans le Gode et
hode historique et de remonter simplement à l'origine juridique de la question . S'il est un sujet sur lequel les médecins légi
liénation mentale. Après les discussions assez confuses auxquelles la question de la responsabilité pénale vient de donner Heu,
enu par le magistrat. Cet interrogatoire, qui comprend l'ensemble des questions du juge et des réponses de l'accusé, était, chez
lièrement, c'est que l'inculpé soit capable de comprendre le sens des questions qui lui sont posées et aussi d'y répondre d'une f
sables d'une part, les 'responsables de l'autre, est évidente. La question de la responsabilité se trouve donc nettement ins
ans laquelle se trouvait l'inculpé de répondre d'une façon sensée aux questions du juge. Sous ce rapport, tous les textes assim
l'aliéné comme déjà assez puni par sa manie (furor) (e). Lorsque la question de la folie était posée, le juge avait le devoir
ués et que le pouvoir de discernement parait complètement aboli. La question de la folie criminelle avait été complètement rés
d'une façon sensée, intelligente, logique, réfléchie, normale, à des questions catégoriques. C'est à la conservation de l'inte
encée le mois dernier, à propos de l'expertise médico-légale et de la question de la responsabilité, continue. Prennent la par
été. La séance est levée à 6 h. 45. L'expertise médico-légale et la question de la responsabilité (') (Suite de la discussio
nc être dans l'expertise contradictoire. L'expertise médicale et la question de la responsabilité 1 par M. le Dr Etienne Jou
n cas de tic de la face guéri par suggestion. La société reprend la question de l'expertise médico-légale et de la responsabil
ns la loi musulmane. Discussion, MM. Bérillon et Scié-ton-fa. Cette question de la responsabilité est maintenue à l'ordre du j
t cherche à se débarrasser de ce contact, qui semble douloureux. A ma question : d Que re s sentez-vous ? » Vous l'entendez me r
à, sans qu'il soit nécessaire d'intervenir autrement, il ne sera plus question de ce crapaud gênant ; il aura disparu en même te
anniversaire de la naissance de Mahomet. 11 a été décidé que diverses questions de grand intérêt psychologique seraient mises à l
ériques, l'auteur y renonce d'autant plus volontiers que c'est là une question secondaire et que toutes ses recherches de physio
uisible aux autres. Les juristes méthodistes musulmans résolvent la question d'irresponsabilité de la personne en se basant su
ès avoir établi l'irresponsabilité du fou par ce verset, discutent la question logiquement. La raison étant l'œil intérieur de
l'homme en général. Les juristes méthodiques ne discutent point cette question avec les théoriciens aussi longtemps que la préte
ousera de bon cœur son fiancé. Je l'éveille et lui remet le papier en question . Elle partit et depuis quatre mois elle est une é
que les divers auteurs ont données de la psychogénie de l'anomalie en question . Les premières notions relatives à l'érythropho
; leur influence sur le caractère de l'activité », Dril traite cette question en déUîl, et il cite des cas d'impulsions au suic
l'usage chez les Kirguises. manquait souvent. Il ne pouvait être question de chercher à obtenir l'amnésie au réveil. J'ai p
encontrer un autre cas de « viii-ligo. * Il me semble pourtant que la question mérite une attention spéciale et une vérification
rimantes ou enthousiastes. Il est donc nécessaire de poser d'abord la question de la psychologie du combattant sur son vrai terr
nications importantes figureront à l'ordre du jour. En particulier la question de l'homosexualité, envisagée au point de vue de
leurs communications personnelles. Le Dr Bérillon fera sur la même question , à l'aide de projections, une présentation de doc
son malade, le médecin doit rester absolument neutre dans toutes les questions politiques ou religieuses. . H. HUCHARD. Aucu
s à appareil symptom,atique hystérogène de ceux qui n'en ont pas ; la question , vous le voyez, reste entière. Je ne saisis pas t
la possibilité de guérir l'infirme et surtout un jour de sabbat ! La question perfide est prête : « Est-il permis de guérir le
bbat», demandent les pharisiens, ce à quoi Jésus répond par une autre question : « Est-il permis de faire du bien le jour du sab
le est précisément la maladie dont elle parle ? Pour moi toutes ces questions sont résolues parles remarquables Ira-vaux du pro
ermettre, moi, naturaliste adonné à la psycho-biologie, d'aborder ces questions de dermatologie. C'est le XIII' chapitre du Lév
ige de lèpre » : de même dans d'autres endroits de la Bible où il est question de la lèpre, on note la blancheur comme un signe
comme nous l'avons déjà (1) S'appuyanl sur le fait qu'il est aussi question de couleur rouge dans ces versets quelques auteur
morphea alba. Mais il n'y a presque pas de doute possible qu'il soit question de la couleur d'une cicatrice récente riche en va
onneur de vous demander de vouloir bien participer à nos travaux. Les questions suivantes, inspirées par le souci de l'actualité,
techniques, ainsi qu'à toutes les personnes qui s'intéressent aux questions d'enseignement, de se réunir et de délibérer en c
stions d'enseignement, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxquels incombe la dél
ontact les personnalités nombreuses à Paris qu'intéressent toutes les questions éminemment actuelles qui touchent à l'Islam. Le z
J'incline à penser que, s'il n'a pas abordé ce redoutable côté de la question , c'estmoins par la crainte de s'exposer à commett
e un délit de lèse-majesté, que par celle de ne pouvoir apporter à la question de solu-lution satisfaisante. Cependant, la réu
bles, qualifiés par leur valeur morale et par leur rang social, d'une question de cet ordre, il est probable qu'elle serait quel
s de la Conférence internationale que se trouverait la solution de la question posée par le professeur Ubeyd Oullah à l'Ecole de
avail du professeur Brissaud sur la sinistrose et pour répondre à une question de M. le Dr Granjux, M. le D' Bérillon étudie dan
agnin, Paul Farez et Bérillon. La société décide de maintenir cette question à l'ordre du jour. M. le Président met aux voix
gne à l'idée d'être pris pour un dégénéré. Nous reviendrons sur cette question de l'onychophagie dans notre prochain numéro. L
limitent ou défendent les sifflets et sirènes des chemins de fer. La question est donc née. Là où, en plus d'une chose désagréa
Je devoir du médecin de combattre contre. Le Visage spectral , La question que nous avons soulevée dans les deux précédents
throphobie (L'), par Ossokine, p. 304 Expertise médico-légale et la question de la responsabilité (L'), par Paul Farez, p. 97,
par Bérillon, p. 7. Responsabilité (L'expertise médico-légale et la question de la), par Paul Farez, p. 97, 129. Responsabil
3 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
in impérieux qu'ils en éprouvent. Voici du reste, pour répondre à nos questions , ce qu'elle a écrit très vite en caractères parfa
ci une petite expérience qui nous permettra de répondre à la première question . Je place sous ses yeux une feuille administrativ
us avez compris, Messieurs, que les attaques dont il a été si souvent question dans le cours de notre récit ne sont autres que d
ontrent si fréquemment efficaces. Le type d'attaque dont il est ici question , et que nous avons pris l'habitude de désigner so
tement consciente, et répond tranquillement et nettement à toutes mes questions . Cela fait, j'essaie de l'hypnotiser. Elle para
ccupé chassera une mouche de son front sans la sentir, répondra à des questions qu'il n'a pas entendues, ou, comme Biren, duc de
. le Dr BÉRILLON, secrétaire général, 40 bis, rue de Rivoli, Paris. QUESTIONS MISES A L'ORDRE DU JOUR (Premiere liste) Question
e Rivoli, Paris. QUESTIONS MISES A L'ORDRE DU JOUR (Premiere liste) Question I De la nécessité d'interdire les séances publi
ns la réglementation de l'hypnotisme. Rapporteur : M. le Dr Ladamf. Question IL Rapports de la suggestion et du somnambulism
dans les états hypnotiques. Rapporteur : M. le Professeur Liégeois. Question III. Indications de l'hypnotisme et de la sugge
tement des maladies mentales. Rapporteur : M. le Dr Auguste Voisin. Question IV. Applications de la suggestion à la pédiatri
e des enfants vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M. le Dr Berillon. Question V. Valeur relative des divers procédés destinés
s à M. Ch. Richet. secrétaire général, 15, rue de l'Université. Les questions que porte le programme du Congrès sont les suivan
r que des universitaires et des latinistes faisaient preuve, dans ces questions si complexes que soulève l'étude de l'hypnotisme,
un traite élémentaire d'hygiène scolaire. C'est l'exposé critique des questions d'ordre pédagogique qui ont eu en ces dix dernièr
'état exact et complet de la science sur la matière. L'examen de la question tant de fois reprise du surmenage cérébral s'impo
umains, plus physiologiques, plus efficaces de la per suasion. Deux questions afférentes plutôt à l'éducation qu'à l'instructio
ps de nervosisme, les enfants sont de plus en plus prédisposés. Une question , toute d'actualité, enfin, clôt le volume : celle
Dr Bérillon a eu le mérite d'aborder et de résoudre cette importante question , tt nos lecteurs sont au courant de ses travaux.
sur l'hypnotisme, est déjà bien connu de ceux qui s'occupent de cette question . A (1) Berlin, Fischers Medizinische Buchhandlu
entre les deux écoles sont exposées avec clarté; l'auteur nie que la question de simulation sépare les partisans de Paris et de
ans celle-ci ; cependant c'est absolument indifférent pour décider la question de la simulation. I1 n'est pas douteux que des si
ionale. Parmi les nombreuses communications annoncées. se trouve la question de l'emploi de la suggestion pour guérir de l'hab
, M. D.. Edinburg. — In-8°, 17 pages. Edimbourg. 1889. Réponse à la question : L'influence de l'hypnotisme est-elle nuisible?
e détaillé du Congrès. Il est inutile d'insister sur l'importance des questions générales pour lesquelles de remarquables rapport
ale dei Prisons de Paris. Un romancier célèbre a un jour posé cette question : Peut-on amener un individu à commettre un crime
ative dans son roman. Puis le même romancier s'est posé cette seconde question : Peut-on, au moyen de la suggestion, arracher so
ientifiquement. Je ne retiendrai ici que cette seconde partie de la question : Peut-on faire parler, au moyen de la suggestion
nscience ou à la volonté qui le tient sous sa dépendance. Aussi, à la question que j'ai posée dès le début: Peut-on, par l'hypno
nte, est, à ses yeux, un stigmate assez significatif pour trancher la question . En ce qui a trait à la genèse des accidents, le
sont-ils alcooliques ? Sont-ils hystériques? » Pour répondre à ces questions , nous pouvons nous appuyer sur des preuves positi
. le Dr BÉRILLON, secrétaire général, 40 bis. rue de Rivoli. Paris. QUESTIONS MISES A L'ORDRE DU JOUR (Première Liste) Question
e Rivoli. Paris. QUESTIONS MISES A L'ORDRE DU JOUR (Première Liste) Question I. De la nécessité d'interdire les séances publ
ns la réglementation de l'hypnotisme. Rapporteur : M. le Dr Ladame. Question II. Rapports de la suggestion et du somnambulis
ans les états hypnotiques. Rapporteur .- M. le Professeur Liégeois. Question III. Indications de l'hypnotisme et de la sugge
tement des maladies mentales. Rapporteur : M. le Dr Auguste Voisin. Question IV. Applications de la suggestion à la pédiatri
e des enfants vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M. le Dr Bérillon. Question V. Valeur relative des divers procédés destinés
de responsabilité qui incombe à l'hypnotisé délinquant ? Exposé de la question . 2. M. le Dr Bérillon (de Paris-. — Les attenta
alcooliques. M. Motet. — La loi française est restée muette sur la question d'excuse tirée de l'état d'ivresse de l'auteur d'
nts, venus de tous les points du monde, d'échanger leurs vues sur des questions d'un intérêt primordial. Plusieurs de ces Congr
l'Hypnotisme expérimental et thérapeutique. A des titres divers, les questions étudiées dans ces trois Congrès méritent d'attire
l'histoire des origines de l'hystérie elles permettent d'envisager la question sous un aspect à part. Ceci justifie les développ
ent. Si les médecins écoutaient leurs intérêts pécuniaires dans cette question , ils prêcheraient au contraire, avec M. Delbœuf,
posé les bases, bases chancelantes et discutables résumées en treize questions qui viennent de faire l'objet des plus vives cont
s. » C'est en somme un acte de loi et un encouragement. La deuxième question est celle-ci : Existe-t-il des caractères analomi
des suppliciés soient mis à la disposition des anthropologisles. La question qui prédomine au Congrès est toujours celle des c
s caractères propres aux criminels. C'est qu'il y a là, en effet, une question , qui prime toutes les autres: c'est de savoir si
ogie cruminelles dans les hôpitaux d'aliénés et dans les prisons. (3e question ) Il termine en appelant l'attention « sur l'impor
isons ce que les aliénistes font dans les asiles d'aliénés. Mais la question des caractères anatomiques revient sur le tapis a
Turin) sur les Organes et fonctions des sens chez les criminels. (6e question ) — je ne voudrais diminuer en rien b valeur des p
lle de la classe ds délinquants à laquelle appartient un coupable (7e question ; me semble se trouver, lui, beaucoup plus près de
rapport sur La criminalité dans ses rapports avec l'ethnographie. (9e question ). Lui aussi il admet le type criminel et il le re
générés chez qui l'harmonie morale estrompue. C'était là la cinquième question ; De l'enfance des criminels dans ses rapports av
r ni colère ni mépris, mais seulement de la commisération, (quatrième question : Des conditions déterminantes du cime et de leur
libre arbitre, contre cette négation du vice et de la vertu. (Dixième question ) : Les anciens et les nouveaux fondements de la r
anter et amener la reforme du code d'instruction criminelle. (Onzième question : Du procèscriminel considère au point de vue de
e dans la partie du droit civil qui concerne les personnes. (Douzième question : De l'anthropolorgie au point de vue de us appli
au point de vue de us applications juridiques aux législations et aux questions de de droit civil.) M. Van Hamel (d'Amsterdam)
siste encore dans un ouvrage actuellement sous presse, (1) (Treizième question : Du système cellulaire considéré au point de vue
. Semal (de Mons) traite : De la libération conditionnelle. (Huitième question ). Selon lui, la nécessité d'un examen psycho-mora
En voila bien long déjà sur ce congrès où tant de hautes et graves questions ont été agitées et non résolues, tant de problème
général du Congres, indique les raisons qui ont présidé au choix des questions , et fixe l'organisation des travaux. Le bureau
illier, Langlois, Saint-Hi laire. Essai d'une terminologie dans les questions d'hypnotisme M. Richet. rapporteur fait ressort
à la constitution d'une espèce particulière de maladie mentale. La question est donc à l'étude et mérite de devenir l'objet d
rès. Dans ce rapport très abrégé, mon but n'est pas d'étudier cette question d'une manière approfondie, mais de signaler brièv
eaucoup trop vaste et trop étendu, de folie héréditaire? Telle est la question que nous devons nous poser actuellement. Le pre
enter la sug gestibilité au point de vue thérapeutique : telle est la question sur laquelle je suis appelé à donner mon apprécia
. nons opérons chacun à notre manière par suggestion. C'est aussi une question de sagacité personnelle et d'observation psychiqu
pourtant rien affirmer à ce sujet, car là aussi, il y a peut-être une question de mode, mais quelle consolation pour les nez de
s leur raconter ce qui venait de lui arriver. Ce n'est que pressée de questions par ses derniers, qui lui trouvaient depuis quelq
ation pendant le sommeil naturel, sans que le sujet s'éveille ? Cette question , dont il est facile de comprendre toute l'importa
, qui est quelquefois de 4 gramme et plus par jour ? » C'est là une question complexe sur laquelle notre enquête a principalem
ar tout le monde. Peut-être aurai-je ainsi attiré l'attention sur une question pénitentiaire et médico-légale d'un haut intérêt.
ope par suggestion. Le sens olfactif présentait chez la personne en question la même hypéracuité par suggestion. Elle reconnai
anières de suggestion. Ce point est bien acquis et il n'est nullement question de le diminuer. Toutefois, je le prie de me perme
malades pour la première fois en catalepsie hypnotique. Il n'est pas question de mettre ici en cause une suggestion antérieure
ggestion. Mais il y a dans votre rapport un autre passage où il est question non plus seulement d'électrotherapie, mais encore
d à ce qui est de l'hypnose expérimentale chez les animaux, c'est une question trop vaste et encore trop obscure, pour être abor
endaient pas de l'hystérie. M. Aug. Voisin. — Je suis heureux de la question qui m'est posée, et il m'est facile d'y répondre
ous les autres moyens avaient échoué. Ce n'est plus ici seulement une question médicale ou hygiénique ou pédagogique, mais une q
eulement une question médicale ou hygiénique ou pédagogique, mais une question d'humanité, de charité. Voici comment nous procéd
e des spiritueux, ou qui n'en ont fait qu'un usage insignifiant. La question qui se présente est celle-ci : le passage subit d
mplir un travail que je constatais. La valeur du travail n'est pas en question , mais le travail existait ; il a été deux fois ju
ée naturellement par beaucoup de personnes. Le savant préoccupé d'une question y pense dans lesilence et le recueillement de la
trois, lui-même, incriminé, réveillé, aussitôt que je lui taisais une question relative à la scène dont il avait été l'auteur co
aient avoir été là et vu M. Semai prendre la photographie du sujet en question . L'expérience ne réussit pas toujours de la mêm
alade et ramener son instinct sexuel dans la voie nornale : c'est une question qui ne pourra être examinée que dans plusieurs an
anthopologie criminelle tenu à Paris en 1889 Rapport sur la cinquième question , par le Dr Magnan: De l'enfance des crimineles da
Dés son arrivée, plusieurs détenus se sont empressés de l'accabler de questions infimes. Sans la moindre pudeur, il y répondait a
on, au somnambulisme et aux divers étals hypnotiques. Il classe les questions a examiner sous quatre chefs principaux: 1° sugge
lles; 2° expertises médico-légales ; 3° jurisprudence criminelle ; 4° Questions diverses. § 1. SUGGESTIONS CRIMINELLES. La pr
§ 1. SUGGESTIONS CRIMINELLES. La première et la plus importante des questions médico-légales que soulève l'hypnotisme, comprend
même temps qus la gravité et le danger de pareilles suggestions. La question a été reprise en 1884, dans une lecture sur la su
. On n'en veut retenir ici que ce qui touche au côté médico-légal des questions soulevées par l'hypnotisme. A ce point de vue,
vrir ? Avant d'exa- (1) Rapport de M. le professeur BERSHEIM sur la question II. (2) t vol. in-8, Pub, 1887. Plon et Nourrit.
Nourrit. (3) Gazette des Hôpitaux.8 nov. 1887. p. 1125. miner cette question , le Rapporteur fait remarquer que ces conclusions
l de M. le Docteur Paul Garnier ; ordonnance de non-lieu (2). § IV. QUESTIONS DIVERSES La question de la suggestion, malgré s
Garnier ; ordonnance de non-lieu (2). § IV. QUESTIONS DIVERSES La question de la suggestion, malgré son importance, n'est pa
'ampleur et d'éloquence pour que nous puissions essayer de ramener la question à ce qu'elle a de fondamental et de pratique ?
n à ce qu'elle a de fondamental et de pratique ? En somme, toute la question soulevée par le rapport revient aux deux suivante
t), cela suffit pour que le médecin doive se préoccuper de la seconde question . 2°En médecine légale, comment un expert pourra
lité de l'état sugge-tible chez l'accusé? C'est là qu'intervient la question des stigmates physiques et des trois états. Elt-i
ation. Tels me paraissent être les points vraiment importants de la question qui intéressent pratiquement tous les médecins.
on de M. Charcot, intitulée « Spiritisme et htstérie » (1). où il est question de plusieurs individus d'une même famille, 'qui à
ans lequel le mensonge est impossible. Malgré que j'ai traité cette question , d'une manière très étendue dans mon livre précéd
éjà souffrante à cette époque pendant six mois. Il a été trois fois question de la marier, mais cette pensée l'a tellement éne
ortie définitive de la malade. 26 Juin. Sa mère m'apprend qu'il est question de projets de mariage et elle me demande de lui e
pratique. Des exercices immodérés de l'Esprit. A une époque où la question du surmenage intellectuel est à l'ordre du jour,
ellectuel est à l'ordre du jour, et prime en quelque sorte toutes les questions pédagociques, il est curieux de faire une incursi
dans les vieux auteurs et d'y rechercher comment ils envisageaient la question . A ce titre, nous reproduisons un chapitre de la
es soins qui leur sont nécessaires, il n'en est pas moins vrai que la question du traitement des aliènes a pris, dans ces derniè
amené sur l'hypnotisme l'attention des journalistes. Tout d'abord, la question de l'interdiction des séances publiques d'hypnoti
é dans l'Eclair, et qui nous parait résumer parfaitement l'état de la question : — « Qui sollicite l'interdiction des séances
produire les paroles prêtées à des hommes dont la compétence, sur les questions d'hypnotisme et de celles responsabilité qui y so
Dr Bérillon, interviewé par des rédacteurs de l'Echo de Paris sur la question de savoir si l'on ne pourrait trouver dans des su
tiques l'explication des actes de Gabrielle Bompard, a fait sur leurs questions des réponses qu'ils ont résumées ainsi : — « Vo
mbarrasseriez beaucoup, si vous me mettiez en demeure de trancher ces questions . C'est là une théorie séduisante en ce qu'elle do
ns qu'il n'était pas sans intérêt d'ouvrir de nouveau le débat sur la question de la responsabilité. Les conclusions formulées p
ble pour ne pas s'imposer à l'attention de tous ceux que préoccupe la question de la responsabilité humaine. André PRESSAT.
as été faite jusqu'à présent. Il me parait cependant que c'est la une question très importante et j'oserais même dire de premier
e sur l'application de l'hypnotisme I.es recherches, auxquelles les questions suivantes se rattachent, tendent à établir par un
position leurs notes ou leurs travaux d'ensemble déjà publiés sur les questions demandées. — M. Schrenck-Notzing demande d'employ
us la présidence de M. le docteur Dumontpallier, ont étudié à fond la question de l'hypnotisme. Le docteur Guermonprez s'y trouv
st A eux, « A leurs progrès dans l'avenir que je porte mon toast. » Questions à résoudre Un de nos correspondants d'Angleterr
e discussion pour et contre dans les journaux anglais, et beaucoup de questions ont été soulevées a ce propos. (1) Comptes rend
? Un de vos savants lecteurs aurait-il l'obligeance de répondre A ces questions ? Recevez, Monsieur le directeur, l'assurance de
CKEY (de Londres). Nous accueillerons avec plaisir les réponses aux questions que posera notre confrère anglais. Méfaits de m
li un concours international pour le meilleur travail original sur la question de l'hypnotisme, nous sommes heureux d'apprendre
x. Cette interdiction devrait mime être étendue, d'après le projet en question â toute personne douée d'un caractère violent ou
e de Jésus, traitant, avec l'assentiment de l'archevêque de Paris, la question de l'hypnotisme médical, laissait tomber, du haut
ERNHEIM Les expériences auxquelles vous avez assisté, soulèvent les questions les plus graves que l'homme puisse se poser! Libr
re bras? Des crimes peuvent-ils être commis par suggestion? A cette question , l'Ecole de Nancy répond par l'affirmative. MM. L
ge nos autres idées sur l'hypnotisme et la suggestion, est.pour cette question , de l'opinion professée à Paris. MM. Dumontpallie
ont de notre avis. On voit combien les esprits sont divisés sur cette question fondamentale qui n'est pas encore résolue, il fau
; la conscience morale n'existe pas pour rejeter la suggestion. Une question à laquelle je ne puis répondre est celle-ci : La
seurs ne sont pas des criminels. D'ailleurs si un homme versé dans la question de l'hypnotisme avait abusé de son pouvoir pour s
ce, me fournit aujourd'hui l'occasion de vous entretenir de la grosse question médico-légale de la responsabilité des névrosées.
ngestionnée, l'insensibilité complète; la malade ne répond jamais aux questions . Durée: demi-heure à trois ou quatre heures. Arrê
thésie complète. Durant le sommeil, elle cause et répond à toutes les questions ; quand on lui demande ce qu'elle fait, elle répo
une fille à plusieurs reprises et on lui pose, durant le sommeil, des questions sur le viol dont elle a été victime : chaque fois
mènes accomplis étaient du ressort de son imagination personnelle. De question en question, M. Rauzier finit par lui faire avoue
lis étaient du ressort de son imagination personnelle. De question en question , M. Rauzier finit par lui faire avouer qu'un sien
attention près de s'éteindre ; 4° Dans l'étude médico-légale de ces questions , quand il s'agit notamment d'apprécier la vivacit
ienne, ont attiré l'attention de tous les médecins autrichiens sur la question de l'application thérapeutique de la suggestion d
ibiioire sur la suggestion en détruisant complètement le souvenir des questions posées pendant le sommeil. Après ces accès d'hyst
sprit aucun penchant contraire capable de le contre-balancer. Cette question de suicide chez le vieillard, plus encore que che
r, sous le titre de: Prix lamier, l'auteur du meilleur travail sur la question vivante : « Quelles sont les conséquences héréd
e psichiatr., XI. 2, p. 1-33 ; 3, p. 1-46; TOKARSKY : [Réponse à la question . L'influence de l'hypnotisme est-elle nuisible ?.
sera utile à beaucoup d'entre vous, et vous invitera à étudier cette question intéressante du transfert. La découverte du tra
tait en hypnose somnambulique. Elle m'entendait, elle répondait à mes questions , et l'analgésie du côté gauche était assez marqué
té présents et avoir vu M. Semal prendre la photographie du malade en question , j'eus beau leur dire que cela n'était pas, que t
! Qu'est-ce qui vous est arrivé, quand je vous ai vue ?» Je répète la question en la regardant. Sa physionomie change d'expressi
uggérés. Un publiciste distingué, M.Henri de Parville! auquel nulle question scientifique n'est étrangère, a compris ce sujet
éléments d'appréciation me feraient défaut pour résoudre cette grave question . Je ferais de la justice humaine et ce n'est pas
hénomènes hypnotiques chez les sujets normaux. En d'autres termes, la question de savoir si l'hypnose est un phénomène physiolog
découragé; il a un profond dégoût de l'existence. Il n est plus alors question de «es persécutions récentes. Le 28 décembre, u
ence, il s'agit moins de ma personne que du rapporteur de la première question du Congrès international de l'Hypnotisme, qu'on d
les frais. M. Delbœuf change d'attitude. Il s'efforce de déplacer la question . Il s'arroge le droit de haut justicier, devant l
e D..... et l'on s'aperçoit de suite, quand on est au courant de la question , que l'auteur de Magnétiseurs et Médecins s'est i
peut lire entre autres, dans sa brochure. « Enfin, répondant à une question , d'ailleurs indiscrète, j'ai dit que « M. Charcot
'argumentation tout entière de M. Delbœuf repose, en effet, sur cette question , qui est pour lui fondamentale. C'est ici qu'il c
médecins par M. Delbœuf, accusations que le rapporteur de la première question ne pouvait manquer de relever sans faillir a son
. Nous nous étions demande en lisant la note du Temps si le Juge en question n'exprimait pas une idée généralement admise au p
traduit devant les tribunaux. Comme il a pu démontrer qu'a part cette question de l'isolement radical, les enfants avaient été t
bac vient d'ouvrir un nouveau concours dans le ]uel nous trouvons les questions suivantes qui peuvent intéresser nos lecteurs. —
couvertes de la physiologie ont porté la lumière dans ces ténébreuses questions . Le diable a dû battre en retraite devant les p
de ces deux maladies con-vulsives. On comprend l'importance de cette question pour l'institution d'un traitement, surtout lorsq
cations se produisent. L'HYPNOTISME AU CONSEIL MUNICIPAL DE PARIS Question de M. Despres relative â des expériences d'hypnot
Préfet et incidemment à M. le directeur de l'Assistance publique une question sur des faits dont les journaux politiques entret
des idées fantaisistes de M. Desprès. M. Alphonse HUMBERT. — Cette question n'est pas urgente. M. JACQUES. — Nous avons bea
Vous avez deux tribunes A votre disposition, M. Després; poser votre question à la Chambre. M. DESPRÈS. — Cela n'est pas de s
prendre pour empêcher les journaux de parler. Messieurs, c'est une question qui échappe A ma compétence et à mon action et je
sonnes qualifiées par leurs études ou leur situation pour étudier ces questions , pour s'y intéresser sont parfaitement à leur pla
magistrats et tous ceux qui peuvent apporter quelque lumière dans la question , puissent assister a ces expériences. Je prie le
seil municipal a les départager. (Rires) M.després .— Ce n'est pas la question ! M. DESCHAMPS. — Ne demandez donc pas l'avis d
avis des médecins! M. Albert PÉTROT. — Ne les consultez pas sur une question médicale. (Rires.) M. Alphonse Humbert- — La qu
z pas sur une question médicale. (Rires.) M. Alphonse Humbert- — La question pjsée par M. Despres n'est pas de la compétence d
adémie de médecine, il est libre de la lui porter. M. DESPRÉS. — Ma question se résume à ceci : Les malades doivent-ils être d
riences et nos hôpitaux ne sont pas des laboratoires. « Et puis, la question de l'hypnotisme se présente dans l'armée sous une
us complet et le plus consciencieux qui ait paru sur cette importante question que M. Liégeois examine sous toutes ses faces. Pa
ques et qui souleva, à cette époque, d'importantes discussions. Cette question amena même une polémique dans les journaux, polém
suggestion. Nous arrivons maintenant à la partie médico-légale, aux questions de jurisprudence que soulève la suggestion hypnot
M. Liégeois doit être le vade-me-cum de tous ceux que préoccupent les questions de responsabilité judiciaire. Dr Emile Laurent.
1889, sociétés d'éditions scientifiques.4 Rue Antoine Dubois}.. La question de l'origine des sexes a justement préoccupé les
ui et d'après les statisques des auteurs qui se sont occupés de et la question , un excédant de garçons supérieur au rapport norm
gres de l'Hypnotisme). CH. RICHET Essai d'une terminologie dans les question d'hypnotisme.. (Congrès de Psycho-logie physiolog
r apparition et de leur disparition. Enfin l'œdème bleu dont il est question actuellement et qui n'est qu'une forme spéciale m
dre mon rôle à vous offrir un résumé succinct de l'état présent de la question en appuyant sur les points litigieux les plus imp
ssortir davantage leur défaut de pénétration et leurs erreurs dans la question qui nous occupe. 2° Les élèves de Charcot qui n
hénomènes de la grande hypnose ni de faire matière à discussion de la question soulevée par Luys et Binswanger, savoir s'il ya u
elui d'un homme éveillé. Nous touchons maintenant, messieurs, a une question des plus difficiles et des plus compliquées de l'
est superflu, il n'y aurait qu'à éviter toute suggestion nuisible. La question s'il y a différence entre le sommeil provoque par
vorable. L'hospitalisation des épileptiques est une des plus graves questions qui puissent préoccuper actuellement le corps méd
Congres aura lieu a Rouen, du 4 au 8 août. Le programme comprend : 1° Questions de pathologie mentale. Relation de la paralysie g
ie mentale. Relation de la paralysie générale et de la syphilis. — 2° Question de médecine légale. — Le projet de révision de la
me du Congrès de l'hypnotisme, 61. Puel (le docteur), nécrologie, 255 Questions a résoudre, 252, Réaction (suggestion et), 231.
e), 256. Tatouages (les) . par Variot. 284. Terminologie dans les questions d'hypnotisme, par Ch. Richet 90. Thérapeutique
4 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
la suggestion comme mobile de la complicité de Gabrielle Fenayrou. La question ne se posa pas. Pas d'hystérie, pas d'hypnotisme.
. Lorsque la nouvelle affaire Bompard vint passionner les esprits, la question de responsabilité moral qui ne s'était pas posée
ade et à ramener son instinct sexuel dans la voie normale ? voilà une question qui ne pourra être jugée que dans plusieurs année
rendu l'équilibre psychique qui me laisait défaut. » Pour juger la question , la dernière lettre du malade, contenant des déta
rendre quelque aliment liquide et répondre brièvement à deux ou trois questions ; après quoi elle se rendormait. A part cela, son
ne sont pas, certes, les moins intéressantes, puisque aujourd'hui la question de l'instruction prime tout. Eh bien ! le Dr Emil
u point de vue psychique. 11 traite, d'ailleurs, magistralement cette question , accumulant les observations. Je ne crains pas de
mes extérieures, la conformation physique du criminel ne sont que des questions secondaires; ce qu'il faut analyser cl mettre à n
ement l'objet d'un important chapitre. Le Dr Émile Laurent étudie les questions surtout au point de vue estétique et il consacre
utique de la suggestion. Trop souvent les romanciers ont abordé les questions concernant l'hypnotisme sans s'être donné la pein
n approfondir aucun, ils ont cru pouvoir émettre leur opinion sur des questions extrêmement ardues et complexes, par ta seule rai
inique de l'hypnotisme avant d'en parler et de ne pas avoir abórdeles questions qui nous intéressent sans les avoir, sommairement
avril, celte Société ¦ mi» en cencoun, peur le» prix A . ire Ic» deux question » suivante» : l" L'épidémie d'injtuen-a '-. 1889-9
rlin d'un grand nombre de nos collaborateurs nous (ait prévoir que la question de l'hypnotisme y sera sérieusement abordée et qu
ientifique. Là, les étroites discussions d'Ecole, dans lesquelles les questions do personnes jouent toujours un rôle prépondérant
s éminents, appartenant â toutes les nationalités, ont acquis sur les questions d'hypnotisme unes compétence indiscutable. Beauco
lendemain il me reprocha de l'avoir réveillé pour lui faire une telle question . Evidemment il ignorait avoir parlé dans son somm
le sait, des points de contact nombreux et il n'est peut-être pas de questions plus intéressantes que celles qui touchent à U fo
men-tal? Les nuances de degrés sont bien difficiles à saisir dans ces questions . En tout cas, à sa sortie de prison les mois d
s de maladies cérébrales, de folie héréditaire, de délire alcoolique, questions importantes, qu'on les envisage soit au point de
l. Il s'attache surtout à transporter sur le terrain médico-légal les questions consacrées dans la deuxième partie à la descripti
inique. Sans vouloir faire autre chose que d'eflleurer l'importante question de la responsabilité partielle, le Dr P. Garnier,
res, à la Société, et, si le temps le permet, d'aborder les délicates questions des honoraires et du secret professionnel. I- —
mais qu'avez-vous présent ? — Rien, répondis-je, un peu étonné de la question . — Eh bien ! vous avez eu tort; vous venez de che
ée à l'hypnotisme et à la suggestion. Apès un historique rapide de la question . M. Dèjcrinc a comparé te» théories de la Salpêtr
dans l'état hypnotique. Il a ainsi ouvert au coté médico-légal de la question un horizon beaucoup plus large que celui auquel j
ement parallèles (Mœbius). Aussi ai-jc pensé que, pour résoudre cette question , il y ' avait lieu d'instituer des expériences dé
éciable. Le livre récent de Preyer « l'Hypnotisme » ne tranche pas la question de savoir si, dans l'hypnose, l'excitabilité musc
es, elles donnent lieu à une augmentation de poids plus grande. Cette question a une haute importance pour déterminer à quel mom
fluences extérieures amoindrie? A propos du sommeil, on a agité une question qui a la plus haute importance pour l'éducation r
pprendra à diminuer la morbidité constatée. Plus on approfondit ces questions , et plus on reconnaît combien est vrai ce que Jea
r. Ce n'est pas là le seul côté pratique du livre de M. Féré, les questions du traitement de l'épilepsie, de l'assistance des
maladie aiguë dans la production d'accidents de même nature remet la question à l'ordre du jour. Déjà il a été soutenu par le d
r indemne de tare héréditaire en rapport direct avec les syndromes en question , le sujet ne s'en est pas moins montré essentiell
la question diversement résolue par les observateurs, ¿tte importante question est celle-ci : Ces hystéries toxiques, traumatiqu
e la Section de l'esprit essentiellement scientifique avec lequel les questions ont été traitées, remarque dans les différents di
argé par le comité d'organisation d'un rapport sur cette intéressante question des névroses traumatiques. La lec- ture de ce rap
la discussion qui vient d'avoir lieu n'a pas fait avancer beaucoup la question ; il s'élève contre la dénomination de névrose tr
matique. Il voudrait qu'une commission fût nommée pour résoudre cette question . M. Benedikt (de Vienne) propose que la questio
our résoudre cette question. M. Benedikt (de Vienne) propose que la question de la simulation soit discutée de concert avec la
vieux fonds de boutique. » En toute circonstance, le professeur en question ne man que jamais l'occasion de combattre l'hypno
al succès. Cependant, des nombreux travaux qui ont été publies sur la question , il résulte, dés à présent, qu'il y a des affecti
noncer sur les conclusions d'un rapport présenté par nous sur la même question (3), les adoptait d l'unanimité et décidait qu'en
gue anglais, mais il est plus complet et mentionne presque toutes les questions de psychologie expérimentale. Il pourra parfaitem
éparées, n'ayant jamais vu. ni entendu, ni lu quelque chose sur cette question : en étudiant l'effet des boules colorées et des m
nte Inquisition universelle, on discute, depuis quelques temps, cette question : L'hypnotisme, considéré en lui-même et dans ses
a la doctrine catholique? Une réponse partielle sera donnée à cette question tandis qu'elle continue d'être un sujet d'étude p
atanisme, afin de condamner seulement ce qui est condamnable. Ces Questions qui, depuis quelqucs années, passionnent les sava
les condamnent pas et laissent au Saint-Siège le soin de juger cette question . Les phénomènes hypnotiques ont lait naître le
trouve un article concernant l'intention de l'Eglise de soumettre la question de l'hypnotisme au jugement de la Sainte Inquisit
pour la solution du problème, mais pour les progrès pratiques de ces questions ; nous voudrions voir les savants italiens s'y int
né par les nations étrangères, l'Eglise a, pour ainsi dire, résolu la question , puisque selon l'opinion de la Sainte Inquisition
bien sont grandes les divergences des aliénistes qui ont étudié cette question . Pour ne parler d'abord que des plus modernes, vo
'autres obsessions panophobiques du même genre : aucune n'a trait aux questions maladives" de la Fragesucht. On n'a pas assez f
ore signalé le fait que la maladie toute entière pouvait consister en questions insolubles poursuivant sans cesse le malade, qui
lret. a-t-pris pour son mémoire un titre qui ne préjugeait en rien la question . Les réflexions que cet éminent clinicien présent
ropre termes que c'est « une . bsession avec conscience sous forme de question ou de doute.» Il n' y a pas un root dans ses troi
e l'auteur appelle Schimpfreden in Frageform (Insulteur sous forme de questions ) ! Tous deux enfin sont des hallucinés. Meschede
symptôme observé. Il s'agirait plutôt d'un Fragezwang ". espèce de t. question forcée " qui se ferait sentir dans les cercles d'
ques, parmi lesquelles il faut ranger la folie du doute sous forme de questions : 2° celles qui produisent certaines actions dans
, il ne craint jamais d'oublier quelque chose et jamais ne se pose de questions . En venant me consulter, accompagné de son père
mille. Il offre lui-même le tvpe de la mélancolie, répond à peine aux questions qu'on lui pose et n'ouvre la bouche que pour des
lle. Education négligée. Obsessions depuis son enfance, sous forme ie questions métaphysiques et religieuses. Jamais d'hallucinat
idées " qu'elle ne pouvait chasser. Elle se posait toutes espèces de questions et cherchait en vain des réponses. Ces questions
it toutes espèces de questions et cherchait en vain des réponses. Ces questions étaient surtout relatives aux choses de l'autre m
ni d'appréhensions quelconques. Mais toujours des idées sous forme de questions qui parfois deviennent si pressantes qu'elles l'e
n plus. Dé quelle se mettait à lire ou à quelque autre occupation les questions la tourmentaient sans relâche, â tel point qu'e
s'est pas fait tout seul? Est-ce qu'il y a un Dieu? Puis d'autres questions meUphysiques ou religieuses. Comment peut-on di
ue du à l'hyper hernie du cerveau. Un point connexe à celui-ci est la question du sommeil chez les morphinomanes. L'hyperhèmie c
dié chez les animaux M. Joiy. — Apre» avoir fait l'historique de la question . M. Joly cite de nombreuses observation» qu> d
à pensée ». Démonstration des mouvements inconscients. Histoire de la question , de Chevreul à Preyer. Leçon. — Sur les dangers
le sommeil naturel. Ces expériences si intéressantes ont soulevé les questions les plus graves que l'homme puisse se poser. Les
l'observation des faits, qui, sans avoir vu et observé, tranchent la question du haut de leur incompétence. Voici, par exemple
ujet plus sérieux, etc. (Médecine moderne N" 11, 1890.) Ht voilà la question tranchée ! Chose singulière! il y a nombre d'an
ision un jurisconsulte eminent (2) « il n'y a pas, en philosophie, de question plus obscure, plus controversée que celle du libr
e celle du libre arbitre; par contre, il n'y a pas en légis-lature de question plus claire et moins discutée ». «Pendant que l
ggestion hypnotique. Les expérimentateurs qui se sont occupés de la question peuvent}' d'après leurs affirmations, être rang
t pour lui un danger réel à le faire. » Bien que l'historique de la question ait été fait d'une façon magistrale par M. le pro
x sur l'hypnotisme, les tout récents surtout, n'ont guère êclairci la question .. On peut même se demander s'ils ne l'ont pas, à
maladie. On va voir. par Li suite, que la simulation, dont il est ici question est. au premier chef, la conséquence d'un état mo
était complètement sorti de sa torpeur, et consentait à répondre aux questions qu'on lui adressait. Il nous réveil alors ce qui
sont timides, craintifs et inquiets; ils répondent difficilement aux questions qu'on leur pose semblent ne pas les comprendre,
ait être atteint par la loi. « Enfin, pour revenir à notre première question , où commencera le délit ? « Nous croyons que le
trouver dans la bouche de M. Lockroy des idées bien profondes sur la question de l'hypnotisme L'honorable député qui a eu longt
s de plus qu'à la Chambre des députés, il était permis de traiter les questions les plus graves au pied levé, sans s'être donné l
uchet », qui montrera â quel point de vue je me suis placé dans celle question , je tiens cependant â vous demander une légère re
ue celle .du développement didac-tique, Schopenhauer épanche, sur les questions les plus diverses de métaphysique, d'art et de
le moindre rapport avec l'hypnotisme. Dans l'espèce la somnambule en question a agi auusi mal que le ferait un médecin qui a hé
.e. Med. Ug. J. Keu-Yotk VU jSjgJJ. BIHOERJ S» i «Ut acti.e'. de la question Je l'hypnotisme. Med. Corr-F... ltarlt _•«¦;«.
procès criminel est venu, fort mal i propos, remettre sur le tapis la question de l'hypnotisme. Pendant plus d'un mois, les lect
iqué tout à coup d'un élément nouveau. Tout d'abord, il n'avait été question que de discuter sur le degré de responsabilité de
u'il en est ainsi; mais il est prélérabled'attendre, pour trancher la question , que des observations nouvelles aient été recueil
issait s'entretenir avec son ancien amant, j'essayai de lui faire des questions et des réponses en rapport avec ses conceptions d
vec elle comme si j'étais réellement M. X..., et elle répondait à mes questions comme si elle était encore en relations suivies a
à M. Pitres, elle n'en avait jamais entendu parler. Je la pressai de questions et je m'aperçus qu'il était impossible de rappele
a forme fran-cisée. Lohée pour désigner l'effluve spécial dont il est question dans ce mémoire. tances inorganiques : les diam
u sujet fera pardonnera ce volume ses imperfections. Comme première question , je veux traiter ici de la faron dont se présente
re sur ses sources une enquête aussi approfondie que possible ; comme question connexe, j'examinerai si la production de l'efflu
i offrirez ce breuvage » — « Oui, monsieur «. — Mais M. D... fait une question que je n'avais pas prévue, il demande ce que cont
rez que c'est de l'eau sucré >. Et M0"* C... répond à une nouvelle question : • C'est de l'eau sucrée ». Très bravement, M. D.
de l'hvp-Dotisme ». Le lecteur qui voudra bien relire le passage en question dans le numéro du 1" mars 1890, verra (pie je n'a
». Les nombreux médecins étrangers qui sont venus étudier à Nancv la question de l'hypnotisme, el qui affirment hautement, qui
e métaphore, — à plusieurs reprises, toujours à projios de celle même question , — et sans résultat. Car lui soutient que ses exp
sarcasme* pour avoir accepté d'essayer de faire la lainière sur cette question troublante de la suggestion criminelle. Comm-ti
à l'observation des dits, qui. sans avoir vu et observé, tranchent la question du haut de leur incompétence. • Voici, par exem
plus sérieux, etc. (Médecine moderne, n°11, 1890 ) » « Et voila la question tranchée! « Chose singulière! Il y a nombre d'a
us lui «von* adresses. Il est à peine besoin de dire qu'aucune de ce* question * n'a eu de rapport ave- les fais* de l'instructio
ensuite le travail de MM. Brouardel, Motet et Ballet, dans lequel la question de la suggestion criminelle est posée et l'examen
DÊJËBJNE, profewor agrégé i la Faculté de Médecine. On sait que la question de l'hypnotisme est envisagée sous des aspects tr
es, et tout dernièrement encore, à l'occasion d'un procès célèbre, la question du crime par suggestion a été soulevée devant la
ssises. Laissant de coté pour le moment la partie médico-légale de la question sur laquelle je reviendrai tout à l'heure, il fau
ces deux Écoles? Il est assez difficile de répondre d'emblée à celte question . Ce n'est certainement pas à une différence dans
voulu et qu'il aurait pu agir autrement ». (Beaunîs.) En résumé, la question se pose snr le terrain suivant: Peut-on. oui ou n
, lorsque, fortune inespérée, l'affairo Gouffé vint remettre toute la question sur le tapis. Et quel public on allait avoir : le
car il prétend maintenant « qu'en réalité, dan» le procès bouffé, la question n'a nullement porté sur les doctrines divergentes
âce aux dessins en quefiion, qui sont exécutés d'après nature et sans questions suggestives, des documents nouveaux permettant d'
able découverte. C'est k Petelin qu'une cataleptique répondait à la question : « Que pensez-vous de la médecine ? — C'est un b
le, en 1784, l'année même où paraissait le livre de Pdtelin sur celle question . Petelin était un homme d'un grand caractère, de
à l'Académie de médecine, où sa parole fait autorité dans toutes les questions qui relèvent de la médecine legale et de la médec
e américains offre un prix de 2,000 francs au meilleur mémoire sur la question que voici : — L'usage habituel de l'opium, sous u
a legale, t. VII, fasc. 3. 1890.) ?ender. — Sur l'état actuel de la question de rhypnotisme. (Med. Corr. Bt. des Wurtt. aerzit
age son opinion et non la mienne. C'est à tort qu'on a transformé une question de fait en une question d'Ecole. Que l'accusée, d
a mienne. C'est à tort qu'on a transformé une question de fait en une question d'Ecole. Que l'accusée, dénuée de sens moral, ait
ieuse, aux suggestions de ses propres instincts pervers, c'est là une question de fait que les débats n'ont pas éclair-cie ; ce
estion de fait que les débats n'ont pas éclair-cie ; ce n'est pas une question de doctrine. Quand le défenseur de Gabrielle Bo
infirmités, absence de sens moral et suggestibili lé? Voilà toute la question . Et c'est sur ce point que toute la discussion do
tion. Et c'est sur ce point que toute la discussion doit porter. La question est, je l'avoue, difficile à résoudre. Mes honora
ndu, par l'affirmative, trop catégoriquement, à mon avis. C'est une question de psychologie. Or, voici ce que disent les psych
re de résister aux impulsions ou suggestion? mauvaises. Voila pour la question du procès : Parlant de là, M. Gilles de La Tour
relle a cru devoir ajouter les lignes suivantes : « Nous croyons la question doctrinale vidée ; nous nous réservons de revenir
rage son opinion et non la mienne. Cest à tort qu'on a transformé une question de fait en question d'École. » C'est donc à tort
non la mienne. Cest à tort qu'on a transformé une question de fait en question d'École. » C'est donc à tort que M. Liégeois s'ex
: ¦ I. M. Liégeois, dans sa déposition au procès, a exposé : 1° une question de doctrine, qui est celle-ci : La suggestion hyp
par l'École de Nancy, ou au moins par beaucoup de ses adeptes. 2° Une question de fait : C'est l'application de la doctrine au c
douleurs. Elle ne peut pas ouvrir les yeux, mais répond à toutes les questions qu'on lui adresse. A H h. 1/4 la tète se montre,
e vue remarquable et avec une originalité îare. On a publié sur cette question des livres plus riches en faits, en documents per
es doctrines de l'école positiviste, M. Tarde aborde immédiatement la question de la responsabilité. Pour lui, la responsabili
re duquel il a agi, est aussi semblable que possible i l'eut moyen en question . 2° Il faut que la personne, cause de l'acte incr
ourgeois ignorants et imbéciles qui, souvent, ne comprennent rien aux questions qu'on leur pose et répondent au petit bonheur, mê
e civile : là il retrouve son pôle. Il n'est si mince et si byzantine question de procédure qui ne le captive, où il ne soit cha
où il ne soit charmé de découvrir un côté délicat ; si par hasard, la question est neuve, ce qui, à cette heure, signifie oiseus
nt tout sociale. Le second chapitre tout entier est consacré a. des question » de statistique crimiuelle. Celle-ci montre, depu
uelques pages très substantielles. Le troisième chapitre aborde les questions de criminalité : le degré requis de conviction ju
on à l'égard des motifs invoqués par eux pour établir que le sujet en question simulait l'hypnose. Cest tout au plus si l'un ou
r moi. M. Masoin a soutenu qu'il simulait l'hypnose. C'était donc one question de fait et facile à résoudre. Eh bîenl le tribu
avoir fait condamner comme escroc un irresponsable, un innocent: La question a une importance beaucoup plus grande qu'elle n'e
Lyon 189!. — Ce Congrès se réunira à Lyon, le lundi 3 août 1891. les questions de programme sont : l° Du rôlede l'alcoolisme d
pileptiques. — Rapporteur, M. le Dr P. Lacour. Les rapports sur ces questions seront envoyés à chaque membre adherent un mois a
e, les membres presque inertes. Elle parlait cependant, répondait aux questions qu'on lui posait, mais sans ouvrir les yeux. Il
aurait pu tout « aussi bien ôlro malade plus longtemps. « Le cas en question ne peul être considéré comme une expérience pour
t ici ni le lieu ni le moment de repreudre l'examen d'une aussi grave question . J. Dklbœuf. ACCOUCHEMENT PENDANT LE SOMMEIL HY
Lohée croître graduellement à l'avant des doigts. — J'expérimentai la question sur un tube de verre de i pouce. Livré à lui-même
r passée, fixe de nouveau, et après 2 m. ferme Les yeux et dort. A ma question : « Dormez-vous? » elle répond : « Oui, madame, u
appelé au môme succès. C'est un exposé méthodique et complet de la question , c'est une étude tout à la fois pratique et scien
de son livre, de très curieuses et originales considérations sur les questions que peul soulever ¦ ta neurasthénie au point de v
iologique, qui aura lieu à Londres en 1892, des rapports sur les deux questions suivantes: 1- Hérédité; 2° Hallucinations télépal
ncluante, savoir si Sylvain V... était hypnoli-sable; c'est une autre question dont la solution, affirmative sans doute (puisque
publierons la date et le programme des cours qui seront faits sur ces questions , aussi bien en France qu'à l'Etranger. Belgique
e : « La conférence des avocats de Paris a discuté lundi dernier la question suivante : L'individu non médecin, qui se livre s
hysiologique a nommé récemment une commission pour s'occuper de celte question . Cette commission est composée de MM. Sully-Prudh
ourage de leur opinion, qui ne craignent pas les préjugés, lorsque la question d'humanité est en jeu. Ils ne reculent certaineme
, les centres spinaux s'éman-cipant. éclatent les crises génitales en question qui sont suivies d'un état de dépression mélancol
& l'obéissance passive des hypnotisés, M. Delbceuf s'est posé les questions suivantes : « L'hypnotisé ne sait-il pas qu'on lu
clinique deux malades extrêmement intéressantes au point de vue de la question obscure du somnambulisme et de l'état mental qu'o
'un état absolument naturel, travaillant, parlant, répondant bien aux questions qu'on lui pose, au moins dans un interrogatoire s
publierons la date et le programme des Cours qui seront faits sur ces questions , aussi bien en France qu'a l'Etranger. qués. ph
rès bien ce que l'Église peut perdre en abordant l'élude de pareilles questions , nous ne voyons pas ce qu'elle peut y gagner. A
re fois, la Cour d'appel de Paris vient d'avoir à se prononcer sur la question du secret professionnel imposé aux médecins, &
le montant de la prime stipulée par ee contrat ? La réponse à cette question en certainement 1res délicate, car si, d'une part
vec activité et intelligence à la publication mensuelle de loules les questions qui intéressent l'hypnotisme et la psychologie, p
ion. Rapport au Parcjuet de Zurich. (Burb*u in.) En réponse aux questions que vous m'avez posées par votre honorée du 10 co
une demi-heure. Alors elle parle haut, en bon allemand, et répond aux questions qui lui sont posées. Elle ne se promène pas en
endort, la réveille et lui commande ce qu'il faut qu'elle réponde aux questions qui lui sont posées. 3* Elle et son mari affirm
ersonne. Un peu avant neuf heures, nous fîmes pénétrer les malades en question dans la chambre à coté. A neuf heures, après l'
ie. Peu après elle se met à parler le même langage dont il a déjà été question , se plaint de mauvaise position et demande un ore
mes deux mains, sur lesquelles sa tète est appuyée (elle répond à ma question , si elle les sent? par un signe de tète) et décla
mme si deux esprits s'étaient disputés à cause d'elle. A une de mes questions elle répond qu'elle ne veut pas entendre parler d
bles et qui excluent absolument le soupçon de simulation. Donc, aux questions qui m'ont été posées, je répondrai de la manière
dans un sommeil somnambulique, et qu'alors elle a répondu à diverses questions qui lui ont été posées sans pouvoir, à l'état de
e à un coït ou à un contact imaginaire ». Mais, dans tous ces cas, la question est assez complexe et il est difficile de faire l
eçon clinique à l'étudo expérimentale des suggestions criminelles. La question de savoir si un sujet peut commettre un crime ou
des travaux, qui rempliront plusieurs séances. Parmi les principales questions mises à l'ordre du jour, se trouvent les suivante
ation du deuxième Congrès international de l'Hypnotisme en 1892; 3° Questions mises à l'étude : ?. « Des rapports de l'hystér
5 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
odermique, par l'estomac ou par les poumons; c'est simplement une question de dose. Administrée à des doses toxiques, l'ac
at mental du sujet ne nous permet pas d'élucider complètement cette question . Notons seulement que, chez cette malade, l'acé
édi- cament ? Nous laissons à nos confrères le soin déjuger cette question . MÉDECINE LÉGALE DU DIAGNOSTIC MÉDtCO-LÉGAL D
ions psychiques à l'époque des incendies, qui répond à toutes les questions : « Je ne suis pas coupable, je ne sais de quoi
pris de tremblements. Je crus qu'il parle- rait et je le pressai de questions ; il n'en fut rien, il. se remit vite de son émo
tes ces formes aient été étudiées en France, on n'a pas envisagé la question sous le même aspect ; aussi éprouve-t-on parfoi
'ordre du jour, et se rapportant directement à LA PARANOÏA. 63 la question de la Paranoïa, il nous a semblé qu'une revue des
is, à l'aide de la méthode de Weigert, dans le but d'élucider cette question . Les fibres des cordons postérieurs traversent-
nts, ne saisit plus le sens de ce qu'on lui dit, mais distingue les questions et les injonctions d'après le ton de la parole
lui; ce faisceau, pourvu de myéline bien plus tôt que le cordon en question , semble, chez le nouveau-né d'un mois, Archives
veuses des vacuoles arti- ficielles. P. K. XII. Contribution A la QUESTION DES conducteurs optiques dans LE cerveau de l'h
ne un adulte, suivre toujours à l'oeil nu l'atrophie de l'organe en question au-delà des bandelettes optiques, qu'il s'agiss
ber- cules quadrijumeaux et des couches optiques. Si la malade en question eût vécu, il est probable que la dégénérescence s
Séance du lundi 25 octobre 18886. Présidence de M. Semelaigne. La question du délire chronique mise à l'ordre du jour de la
et Westphal; MM. Pelman et Westphal sont élus. M. SCHUKLE. Sur la question de limiter le droit au mariage à l'égard des pe
tenant un compte exact desdivers éléments qui entrent enjeu dans la question . Et, pour ce, il convient de fournir aux asiles
d'années, qu'il conviendrait de répondre, du moins à une partie des questions . Toute tentative d'instruction au sein du publi
résistance à l'égard d'un acci- dent nouveau. M. de GUDDEN. De la question de la localisation des fonctions dans l'écorce
doute les couches supérieures de fibres nerveuses du tuber- cule en question sont diminuées, mais ce déficit n'a pas de rappor
té une atrophie anatomique depuis J'écorce jusqu'à la bandelette en question ; or, pareille altération ne se voit point et n
ntacts. Intacts aussi sont les noyaux des nerfs moteurs, qu'il soit question du lapin, du chien, du chat. Quant au centre
e trouve à l'extrémité du lac de Bienne. A cette époque, il n'était question que du jeûne prodigieux d'une jeune fille, et p
de l'humanité, de la société, de la famille, une loi qui touche aux questions les plus élevées de la morale, de la sécurité,
a compléter con- formément à des besoins nouveaux et reconnus. La question ainsi posée, pouvions-nous l'accepter ? La loi de
llement servir de base et de solide point d'appui à nos études ? La question était grave, la réponse ne pouvait être improvi
affirmer la guérison et fixer l'heure de la délivrance, ne sont pas questions que le simple bon sens puisse résoudre. En leur
er des lumières spéciales, et l'on peut dire sans hésitation que la question des aliénés n'a en réalité qu'une base solide :
ou pour lui-même, la contrainte s'impose. Isolement, con- trainte, questions graves, difficiles et neuves, soulevant à chaque
ifficiles et neuves, soulevant à chaque pas des problèmes délicats; questions médicales sans doute, mais aussi questions d'Et
des problèmes délicats; questions médicales sans doute, mais aussi questions d'Etat, de capacité, de liberté, et, comme telles
: le pouvoir judi- ciaire. Isolement, contrainte, il sera beaucoup question d'eux dans le cours de nos débats. Pour le mo
p et s'empreint d'une extrême délicatesse quand il faut résoudre la question de savoir ce qu'il faut faire d'un aliéné crimi
avis de la commission permanente. La nouveauté de la plupart de ces questions dans notre légis- lation, leurs conséquences fi
uer en partie aux dépenses de la surveillance et du contrôle. Cette question finan- cière, ce budget des recettes et des dép
userais de son attention si je venais reprendre à cette tribune les questions préliminaires, les précédents historiques ou le
préoccupations, l'attention du législateur ne s'étendit pas sur les questions dont la solution est devenue de plus en plus urge
loi nouvelle sur les aliénés. Je pourrais signaler. encore d'autres questions nouvelles dont la commission a eu à se préoccup
pareils faits de se produire en réglant, dans la loi, une pareille question . ' M. Paris. Comment empêcherez-vous ces aliéné
n pour éclairer cette situation. La commission du Sénat a vu là une question qui exigeait un examen très attentif et dont la
pas d'autre chose. Mais le projet du Gouvernement ayant soulevé la question des aliénés, traitée même seule, dans des asile
éments essentiels de l'in- novation dont il s'agit. Lorsque cette question viendra en discussion, on verra que l'idée de l
facile préparation des lois. Le rapport dont j'ai été chargé sur la question qui nous occupe a été déposé sur le bureau de M
rendaient impraticable. Messieurs, tant d'erreurs ont cours sur les questions de cette nature, que je voudrais dire un mot de
e administration à côté de celle du préfet. Messieurs, lorsque la question se discutera, je crois pouvoir af- firmer que c
ébrale. Aucun mémoire n'ayant été adressé, l'Académie remet la même question au concours pour 1887. FAITS DIVERS 1 '13 Pri
'chef de clinique de la Faculté. Les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : Ventricule latéral ; Diagnostic diffé
de laMaestre et Rendu. Les candidats étaient au nombre de 14. La question écrite a été : Artères de l'encéphale, circulatio
crite a été : Artères de l'encéphale, circulation céré- brale ; les questions restées dans l'urne étaient : Substance grise de
ne étaient : Substance grise de la moelle; Lobe cérébral antérieur. Questions orales : 1° Symp- tômes et marche de la scarlat
ériode de la phthisie pulmonaire ; frac- tures de la clavicule; Les questions restées dans l'urne étaient : 10 Diagnostic de
oires sont : MM. Lwotf, Caryophillis, Thenet, Gil- bert et Mary. La question écrite a été remarquablement traitée de l'avis
pellée de nouveau, elle répond : « Que me dites- vous ? » A la même question , elle dit : « Je ne com- prends pas ». Si l'on
s avoir eu beaucoup de difficulté à comprendre la première de nos questions , nous l'avoir fait répéter deux ou trois fois,
péter deux ou trois fois, elle y répond, et, quelles que soient les questions ultérieures que nous lui adressons, elle suit s
très facilement l'entête des feuilles d'observation, ainsi que les questions que nous lui adressons par écrit; elle y répond
ne le rend inapproprié qu'en tant qu'il s'agit de répondre à une question parlée qu'on ne comprend pas. Si la question es
it de répondre à une question parlée qu'on ne comprend pas. Si la question est écrite, le malade la comprend (n'ayant pas
s puissante, telle que l'audition même du mot : c'est là une simple question de degré dans l'excitabilité du centre de la mé
rapprocherai de cet exemple ces cas d'écholaliques qui. répètent la question posée sans l'avoir comprise, la comprennent en
re. Tel est le malade de M"° Skwortzoff' : « Avant de répondre à la question , ce malade répétait la même question et réponda
ff' : « Avant de répondre à la question, ce malade répétait la même question et répondait en- suite : Comment ça va-t-il ? I
s, en abon- dante quantité, dans ces dernières années n'a traité la question et d'une manière absolument satisfaisante... '
,'ÉPILEPSIE. '2) ! 1 semblant à un accès ou bien enfin la fièvre en question se sépare nettement d'une façon bien déterminée
n parue en France, et constitue une monographie très complète de la question , basée qu'elle est sur tous les cas épars jusqu
d un adolescent de quinze à seize ans; il répond intelligemment aux questions qu'on lui adresse. Sa parole'toutefois est traî
ascendantes des triju- meaux sans toucher aux noyaux des cordons en question . Névrite parenchymateuse des nerfs péronier, cr
s et Pierret, Eisenlolir, F.-C. Mueller, sans autrement trancher la question . P. K. IV. Anévrismes DES PLUS PETITS vaisseaux
s, M. Engelskjoen répond, quoiqu'il produise des observations, à la question par la question. A l'examen pratique de décider
répond, quoiqu'il produise des observations, à la question par la question . A l'examen pratique de décider de la véracité ou
s avez entendu, messieurs, deux importantes communications sur la question à l'ordre du jour. M. Falret, qui a pris le pre
ante : la mélancolie anxieuse. Je puis dire qu'il n'est nulle- ment question d'attribuer au délire chronique ce qui ne saurait
re, il consentait à nous donner son adhésion sur le fond même de la question , ce dont il ne faut pas désespérer, je pense qu
t que mon collègue incrimine la loi concernant la procédure dans la question de l'interdiction pour cause de maladie mentale
ce ne serait que pour savoir si l'aliénation mentale s'accroît, la question des rapports entre le crime et la folie, etc.,
sujet lui-même est très étendu et très complexe ; qu'il soulève des questions très diverses et multiples, les uns d'assistanc
la sûreté des personnes. La commission reste convaincue que sur ces questions si diverses elle n'appelle le Sénat à poser des
des législateurs de 1838. Au point de vue du nombre des aliénés, la question qui nous occupe était bien loin d'avoir la grav
ennes et chez un peuple voisin où l'on examine avec soin toutes les questions d'un véritable intérêt social, surtout lorsqu'e
on au Sénat d'avoir répondu par une explica- tion aussi longue à la question de M. Bardoux, mais j'ai cru néces- saire d'app
au point de vue de l'humanité comme au point de vue financier, une question dont l'étude pra- tique s'imposera désormais pl
vent acquérir sans cela ? J'ai nommé les crétins : mais sur cette question , qui touche plus SÉNAT. 267 particulièrement
re à faire. , J'en viens, messieurs, aux jeunes épileptiques; cette question n'est assurément pas moins grave, comme questio
pileptiques; cette question n'est assurément pas moins grave, comme question sociale et question économique, que celle des j
stion n'est assurément pas moins grave, comme question sociale et question économique, que celle des jeunes idiots. Je ne ve
ons en ce moment le temps de discuter. Je ne veux rien dire de la question médicale, qui est des plus ardues. Je me borne
ssion soulève, pour ainsi dire, d'une manière secondaire une grosse question : une question de droit administratif, celle de
pour ainsi dire, d'une manière secondaire une grosse question : une question de droit administratif, celle de savoir à qui inc
savoir si l'obligation de l'assistance sera imposée à l'Etat. Cette question peut venir à l'occasion d'une loi générale. Je cr
avardie. , M. DE GAVARDIE. Messieurs, cet article, 1 ee soulève des questions bien délicates. Je voudrais tâcher de faire tou
accepter le troisième paragraphe. Quel est, en effet, l'état de la question ? On reconnaît que les asiles d'aliénés doivent
d'approbation.) Il nous a semblé qu'il ne fallait pas trancher une question aussi importante que celle-là, incidemment et s
voulais soumettre à l'attention du Sénat. Ce paragraphe soulève une question de principe extrêmement grave. Si nous croyons
r M. le ministre, la commission n'y voit pas d'inconvé- nient. La question des dépenses à laquelle M. le ministre vient de
ses à laquelle M. le ministre vient de toucher est, d'ailleurs, une question qu'il faudra bien 'traiter au cours de la discu
ne s'agit pas de dépenses considérables et qui puissent engager la question du principe même de 1 assistance de» aliénés. Lor
nnées par l'honorable rapporteur ne me paraissent pas répondre à la question spéciale qui a été posée par M. de Gavardie. Si j
r M. de Gavardie. Si je ne fais pas d'erreur sur la portée de cette question , je crois que, dans tous les cas, la question p
ur la portée de cette question, je crois que, dans tous les cas, la question pouvait se poser en ces termes, voici en quoi e
ais plus songé que l'article que nous examinons a trait à une autre question que celle dont nous venons de parler et dont il
u'on ne peut pas trancher par avance, en votant sur l'article 4, la question même de l'existence de ce comité. (Assentiment au
ervation qui a été présentée par M. de Gavardie, et de l'autre à la question que vient de m'adresser l'honorable M. Paris. L
ui leur avait été accordée, et la régie prendra fin également. La question soulevée par l'honorable M. Paris ne se posera mê
venu avec un département. Je ne veux pas soulever actuellement la question fort grave de savoir s'il est bon de conserver
la commission propose l'abroga- tion totale. M. LE Rapporteur. La question qui vient d'être portée à la tri- bune aurait t
la peine de la suspension pendant un délai de six mois.. > La question que j'ai posée à la commission, et à laquelle M.
asiles privés. Les explications qui viennent d'être fournies sur la question posée par notre honorable collègue M. Lacombe et
son, parce qu'il s'agit d'un asile absolument privé. Quand il est question au contraire d'un asile privé faisant fonc- tio
rois que nous sommes d'accord sur l'idée. Il ne restera plus qu'une question de rédaction; au surplus, la relation entre ce
ait pu croire un seul instant que les proches parents dont il a été question tout à 1 heure, qui sont dispensés de la survei
ent d'être renvoyé à la commission. Ces deux articles soulèvent une question extrêmement grave : c'est celle de la situation
République devait avoir lieu dans le délai d'un mois. En résumé, la question qui se pose est celle de savoir si l'aliéné trait
demande à la commission de se pro- noncer sans équivoque sur cette question de principe dans l'article qu'elle aura à vous
M. le MINISTRE DE l'intérieur. Je n'ai pas été entendu, sur cette question , par la commission. Le projet a été déposé par un
exposés compacts de l'état actuel de la science sur ces différentes questions auxquelles les auteurs ont souvent donné une no
r les renseignements nécessaires. Mais la manière de résoudre les questions médico-légales variant selon les législations, c'
n des deux sciences et rendre facilement assimilables pour tous les questions scientifiques ou légales les plus diver- gentes
riage, la séparation de corps et le divorce. Viennent ensuite les questions soulevées par la grossesse, l'avortement, l'accou
l'objet d'une observation très détaillée; mais ce sont surtout les questions relatives à l'alié- nation mentale, aux névrose
indique les prin- cipes généraux delà déontologie. Ces différentes questions sont toutes très clairement posées et nettement
de connaissance commune chez beaucoup de ceux qui s'intéressent aux questions scientifiques et philosophiques. An succès du c
contenant des mélanges malsains. M. Mierzejewsky aborde ensuite la question des mesures à prendre pour lutter avec ces caus
malades de cet établissement d'attester que la maladie mentale en question est incurable ». « Le conjoint qui introduit une
et Charpentier propose, comme sujet du concours du Prix Aubanel, la question suivante qui est adoptée : « Du rôle de l'héréd
pâle, les pupilles contractées; il reste debout, ne répond pas aux questions , prend des mains des enfants sa casquette tombé
minute) qui durent de 6 à 10 minutes. Le malade ne ré- pond pas aux questions , puis après 2 à 3 minutes, tandis qu'il essayai
la compression de l'orteil ; à ce moment il répon- dait encore aux questions , puis après s être incliné à gauche, .il tombe
Anesthésie -Analgésie. - Cyanose des extrémités. Répond à peine aux questions , ne parle pas de ses hallucinations. Pupilles é
ême état. Se tient immobile comme une statue, ne répondant plus aux questions qu'on lui pose. Est très malpropre. Hydrothérap
ngé le matin, il répond nettement : « du bifteck ». On le presse de questions , on lui parle en souriant et. en lui cares- san
ata en juin s'est maintenue. Le malade répond de temps en temps aux questions 362 CLINIQUE MENTALE. qu'on lui pose. Mange l
sement graduel.-Gargouillement aux sommets. - Quand on le presse de questions , il dit : Laissez-moi tranquille, je souffre tr
pas ; il est incapable de répéter ce que je dis, de répondre à mes questions . J'élève la voix, je crie, je me rapproche de lui
aitement les mots que je prononce, qu'il il répond correctement aux questions , qu'il répète mes paroles sans difficulté; et c
renait parfaitement, et répon- dait sans erreur, sans retard, à mes questions . On nous laissa seuls un instant. J'en profitai
VERBALE. 373 ment, syllabe par syllabe. Je lui pose ainsi diverses questions auxquelles il répond correctement, répétant aus
ne façon très nette, très lente; par- fois il me fallait répéter la question . Si le malade ne comprenait pas, ce n'estpas pa
avons passés en revue. Il est évident que dans le cas actuel, la question a été nettement perçue par l'entendement ; que
dant de l'avoir publié pour que tous ceux qui s'intéressent à ces questions en comprennent la grande importance et rendent
ches ; nous ne pouvons qu'en signaler la nécessité pour résoudre la question de savoir si la sclérose latérale amyotropique
le parait être aussi l'opinion de M. J. Falret 6, qui reprend cette question en 1878 et fait des persécuteurs une modalité d
dire impossible. On trouvera des documents fort intéressants sur la question qui nous occupe dans le travail de M. Legrain q
rons cependant le reproche de ne pas nous donner l'historique de la question , qui, si elle n'a pas été considérée sous cet a
ste peu de chose à dire sur les travaux français se rapportant à la question de la Paranoia et nous terminerons cette revue
à notre connaissance, depuis la composition de ce mé- moire, sur la question de la Paranoia, nous citerons : Po ? 11, Riv. sp.
; le tissu conjonctif néoformé a dessiné les petits néo- plasmes en question , mais il a fini par décheoir en certains points.
propagé de la zone marginale aux fibres intérieures de la corne en question . Les grosses fibres radiculaires sont dans le tab
l il serait exagéré d'attacher de l'importance car il a trait à une question de mots sans retentis- sement sur le fond même
et 12. SOCIÉTÉS SAVANTES. 427 M. DAUTREBENTE est d'accord sur la question de fond avec MM. Magnan, Garnier et Briand. Elè
d'aliénés infirmes ou dans des succursales du même établissement. Question première. Les malades en conflit avec la Loi ont-
d'autres B. Proportion des désordres occasionnés par les malades en question . Tableau indiquant séparément les individus non
les crimi- nels aliénés provoquent toute espèce de perturbations. Question deuxième. Ces personnages particulièrement diffic
fuite et de suicide. M. REfNHARD. L'expérience que j'ai faite de la question à l'asile de Friedrichsberg (Hambourg) me montr
nconvénients. Où les opinions commencent à se diviser, c'est sur la question d'élimination. Doit-on annexer aux asiles d'ali
rrière de crimes. Il faut compter que 20/, environ de l'effectif en question exigent une claustration particulière en même t
un régime psy- chopathologique particulier. M. Meschede. Toute la question est là. L'asile d'aliénés dans lequel on veut t
emagne toute une série d'établissements dans lesquels le système en question serait applicable. Il serait encore intéressant
ld. Revues analytiques. 438 SOCIÉTÉS SAVANTES. la restriction en question . Quant aux modifications architectu- rales, ell
pas paraître apporter à la tribune une aussi grande ignorance des questions que j'ai à y traiter. Puisque j'ai parlé de Ség
ncert avec M. le ministre de l'intérieur, l'examen du paragraphe en question , et je viens faire connaître au Sénat le résult
nner lieu. Mais, bien qu'aucune équivoque ne pût naître sur cette question de principe, que la charge des malades ou infir
de mots. D'une part, il est impossible, en fait au Gouvernement (la question de principe étant écartée) d'assumer l'obligati
ement étant la même que celle de la commission sur le fond des deux questions , sur l'intérêt qui s'attache à l'éduca- tion de
peut lire sans porter im- médiatement le plus grand intérêt à cette question , sans être saisi par le sujet quand je me suis
Lacombe était inscrit avant vous. M. de Marcère. C'est une simple question que je veux adresser à la commission. M. LE P
Gouverne- 452 2 SÉNAT. ment. Je me bornerai donc à répondre à la question qui m'a été directement adressée par l'honorabl
re d'aliéna- tion mentale ? Et puisqu'on a porté à cette tribune la question de ce qu'il convient de faire au sujet de l'ali
ment connexes. Je crois, messieurs, avoir suffisamment répondu à la question que m'a posée M. de Marcère. Je n'entrerai pas
s'est portée aussi sur l'aliéné lui-même ? 11 n'a pas été seulement question de sauvegarder sa liberté, mais de songer à sa
Rivière a eu le mérite de faire un exposé méthodique et clair de la question . La perte de la sensibilité spéciale du testicule
merican Journal of insamty. Utica, N. York, janvier 87, p. 392). La question de l'éclairage électrique des asiles de la Sein
s les membres de la commission ayant signé Je premier rap- port. La question a été mûrement étudiée, avant d'en arriver à la
e écrite a eu lieu lundi dernier. Les candidats ont eu à traiter la question écrite suivante : lobe frontal, anatomie et phy-
suivante : lobe frontal, anatomie et phy- siologie. Les deux autres questions restées dans l'urne étaient : pie-mère cérébral
6 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
rquable et légitime retentisse ment : il en a été de même d'une autre question délicate et difficile que vous avez récemment por
cemment portée à votre ordre du jour. Ce n'est cependant pas que la question de la publicité des séances de l'hypnotisme soit
que la question de la publicité des séances de l'hypnotisme soit une question nouvelle : elle a été, tout récemment encore, jug
s persuadé, comme vous, que c'est la vraie manière de débrouiller une question , de former les convictions, de formuler des propo
lée. Mais, qu'il me permette de le faire remarquer: là n'est pas la question . La véritable question est de savoir si, par l'hy
ermette de le faire remarquer: là n'est pas la question. La véritable question est de savoir si, par l'hypnotisme, on peut attei
isans des séances publiques d'hypnotisme sont tous d'accord sur cette question . Et, chose plus remarquable encore, ceux-là qui v
e liberté. Il ne nous est donc pas permis de nous désintéresser d'une question de cette importance. Les médecins ont le droit
core dans l'avenir. Sans doute, il y aura encore des dangers, mais la question est la même pour l'hypnotisme que pour les poison
des événements naturels. Ce dernier point nous obligera d'aborder une question qu'on a l'habitude aujourd'hui d'écarter comme mé
cela, — les 400 pages dans lesquelles sont traitées ces scientifiques questions . Tout en me défendant de vouloir être désagréable
nt répétés alors, comme le P. de Bonniot les répète aujourd'hui. La question vraiment intéressante pour les lecteurs de la Rev
Non, P. de Bonnïot, la multitude n'a rien à décider sur une pareille question ! La science elle-même, qui, relativement à la som
— Voilà ce que nous nous proposons d'examiner. D'essence médicale, la question est assurément, aussi, de portée pédagogique. E
par la relation de faits instructifs autant que variés, ont placé la question sur son véritable terrain. Tout récemment enfin.
atière était punissable, il serait certainement complice; mais que la question est de savoir s'il peut être considéré comme co-a
isme. A l'heure actuelle, après les importants travaux publiés sur la question , il n'est plus permis à personne, aux magistrats
ions de la mémoire qui laissent intacte la faculté de raisonnement. QUESTIONS Vous sentez — vous bien ? Comment vous appe-l
consultation dont il a pu être témoin. Pour la cystite dont il a été question , il a fait des inductions d'après la position de
de la maladie de cette femme; il est bon d'ajouter que la personne en question souffrait de la tête et que le bonnet avait pu la
e est la raison capitale qui, dominant le jugement de l'Eglise sur la question qui nous occupe, le met forcément, comme nous l'a
déraisonnements qu'est faite l'opinion de l'Eglise sur la plupart des questions scientifiques. On s'étonnerait volontiers de les
douleurs temporales, celle-là de douleurs intercostales. Pressées de questions , elles finissent par faire l'aveu de leur superch
0 Revue Je l'Hypnotisme. Juillet 1888. N* 1, p. 14- » Le livre en question me parait d'une grande importance pour l'histoire
inistes de m'en avertir, si par hasard ils rencontraient le volume en question . s» Je serai particulièrement reconnaissant a c
ce livre ou un extrait exposant d'une façon assez complète le fait en question et de nature a pouvoir être inséré dans l'Archiv
mmation s'arrête et la plaie se guérit. Ces points admis, surgit la question de savoir quel est le mécanisme de cette action d
ui avait été faite pendant son sommeil. Nous passons à un autre, même question ; un peu d'hésitation avant de répondre : a Non,
out de la salle, près d'un jeune malade à qui on renouvelle les mêmes questions . Il déclare me reconnaître : c'est moi qui l'ai p
at ordinaire, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse cire question d'état normal. Ces gens-là dorment, 3lors même qu
lus de trois ou quatre minutes pour les mettre dans cet et ai. • La question de la sympathie et de la vue des organes a été* p
etteté (i), > La Society for psychical researches a étudié cette question pendant trois ans, de iS85 à 1886, et a publié le
e ou deux minutes. Un silence absolu fut observé, à l'exclusion d'une question nécessaire : « Sentez-vous quelque chose? » Cette
sion d'une question nécessaire : « Sentez-vous quelque chose? » Cette question était prononcée par M. Smith, puisque le sujet pa
iés pour l'exploitation d'un cabinet de consultations magnétiques, la question se pose encore assez souvent devant les tribunaux
ituer des expériences contradictoires. Elle pensa que, dans une telle question , on ne saurait prendre assez de précautions. Elle
la situation qui lui avait été faiic. L'avenir dira qui a vu jus». La question est posée et fera son chemin. Qu'il lui soit perm
rien ne s'adresse à son honorabilité ou à sa bonne foi. ? Reste la question de médecine légale? Ici il laisse la parole a M.
d'avoir fait condamner on innocent, acquitter un coupable. Dans la question de suggestion. tout est exploité. Que M. Luys nou
definseur sympathique et disert, mêlant adroitement le sentiment à la question de droit. » (Après diversesconsîdérationsgénéra
réelle alternent, chez le même sujet, des accès de chorée simulée, la question se complique, cela va de soi. L'affectation du
dé a renier la possibilité du miracle, mais seulement à en écarter la question comme insoluble à son point de vue, ou à en rejet
e est la raison capitale qui, dominant le jugement de l'Eglise sur la question qui nous occupe, le met forcément, comme mous tav
'en joindre utilement un autre où seraient spécialement discutées les questions qui se rattachent i l'étude icientifique de l'hyp
, est nomme chevalier de la Légion d'honneur. Concours. — Parmi les questions mises au concours par l'Institut des sciences, ar
Coup du lapin, roman social, par Félix Fabart. — Traite, entre autres questions , du magnétisme et de l'hypnotisme. — Marpon et Fl
de somnambulisme, ce jeune homme répondait avec justesse à toutes les questions qui lut étaient posées : qu'il prédisait l'avenir
permis de nous assurer que, malgré ses efforts pour trouver dans nos questions les éléments d'une réponse plausible, malgré de v
(i), Afin de bien nous diriger, de bien nous orienter dans la grave question qui nous occupe, la question de l'hypnotisme, je
ger, de bien nous orienter dans la grave question qui nous occupe, la question de l'hypnotisme, je crois devoir vous exposer d'a
ant d'entrer dans les considérations que j'ai à vous soumettre sur la question de l'hypnotisme. Quel est le point de départ de
gré d'intelligence chez les animaux. Peu importe, d'ailleurs, pour la question qui nous occupe. Ce que vous produisez quand vous
sont-ils accessibles aux influences magnétiques ou hypnotiques? Grave question , considérablement débanue; ce fait est affirmé pa
même des actes très extraordinaires; il peut quelquefois répondre aux questions qu'on lui pose, et il peut vivre pendant longtemp
es de l'hypnotisme, n'a pas hésité a traiter devant les fidèles cette question délicate, difficile, obscure encore et qui sembla
un pas en avant, le docte et vénéré prélat essaye même de trancher la question de fond, si obscure aux yeux même des hommes du m
le Saint-Siège a condamné. Le Saint-Siège se réserve, avec raison, la question morale, et il abandonne la question scientifique
Siège se réserve, avec raison, la question morale, et il abandonne la question scientifique aux savants. Les faits justifien
aitons qu'elle soit entendue et respectée de tous. I I Les graves questions soulevées par l'hypnotisme sont entrées dans le d
l ou un lucre honteux, a frappé beaucoup d'esprits et nous a valu des questions , des observations bienveillantes auxquelles nous
médecine mentale à l'Université catholique de Louvain, a traité cette question et a demandé, dans un mémoire présenté à l'Académ
ité. Ou bien, c'est à un sujet a constitution nerveuse; et alors, une question se pose : Est-ce un hystérique, c'est-à-dire un m
au 32 septembre dernier, on aagité, dans une séance intéressante, la question de savoir si l'étude de la médecine et l'exercice
hypnotisme pour m'éviter les douleurs de l'enfantement i Telle est la question posée par une femme M. Hugues Le Roux, le spiritu
livre sera demain! dans les mains de tous ceux que préoccupe la grave question deJ Ja responsabilité humaine. En le lisant, ils
D' Dupouy.) cause qu; la conséquence de celle-là. Mais ce sont là questions d'ordre exclusivement clinique; le diagnostic pos
-il bon d'enseigner les dogmes aux petits enfants? L'importance de la question est capitale, Esquiros (t) se la pose. Voici en q
de nos idée» »; il n'hésite pas à le déclarer. Sur cette scabreuse question , Bain (t) n'est pas moins explicite. Selon lui, ¦
eu du dîner, quand vous avez fait ample connaissance, vient la grande question , qu'on ne peut presque éviter : f Que pensez-vous
pathic ? » C'est le moment de se bien tenir, cher confrère, car cette question a été entendue des voisins qui lèvent la tête, vo
vous ne trouverez rien à répondre; aussi je vous engage à esquiver la question , car vous n'aurez pas le dessus si vous essayez d
ladie. Cet exposé est très incomplet et cependant je passe, car ces questions intéressent peu le public. Ce qui l'intéresse dav
ne va pas à l'aventure ; elle pose a l'organisme animal ou humain des questions précises et n'accepte que des réponses nettes. Qu
(des Vosges*, est l'exposé e plus complet que l'on ait fait sur cette question : en nous montrant le danger, il nous signale auss
e distraction était d'aller le dimanche, après midi, discuter sur des questions de métaphysique avec de* amis. « et encore, disai
otisme que je vais m'occupcr, et encore je ne pense pas traiter cette question dans toute son étendue. Je désire surtout justifi
usions formulées par la Commission. On a agité, ici et ailleurs, la question de compétence. Il me semble qu'il s'est établi à
nte à l'hystérie ou à i'épilepsie. Du reste, il n'est pas seulement question ici de troubles nerveux proprement dits ; on est
es. Ils devraient être les premiers, ce me semble, à demander que ces questions , si belles et si graves, soient traitées d'une ma
de 1 hypnotisme peut être abordée de divers côtés ù la fois; Comme la question est complexe, comme ello touche à divers ordres d
; à propos des conséquences fâcheuses des exhibitions hypnotiques, la question tout entière a fait l'objet d'un long et sérieux
s en citations, il ne serait venu à l'idée de personne de soulever la question de l'interdiction aux Chambres législatives, et n
avril dernier, auquel je renvoi pour le reste. Tout en rcservjnt la question hygiénique, je persiste donc à croire que les fai
D' DESPLATS Professeur à la Faculté" libre de médecine de Lille La question des doses a, pour le public, encore plus d'import
er, avec une grande larg;ur de vues, plusieurs pages importantes à la question de l'hypnotisme. De ce qu'a dit l'honorable acadé
ique de Nancy, en août 1886, que fut posée, pour Ja première fois, la question de savoir s'il ne serait pas utile de se servir d
x Hémcnt. inspecteur général de l'Université. Par sa nouveauté, cette question excita au plus haut point l'intérêt; et pourtant,
c'était déjà beaucoup. Car ces paroles furent forigMe première de la question que, par son initiative, M. Béril-lon mit au jour
ations que j'ai prises dans ces dernières années, pour éclairer cette Question d'éducation et de moralisation des jeunes gens, à
ici un compte rendu des observations que j'ai pu faire à propos de la question pédagogique qui fut posée au Congrès de Nancy. Je
i3i, {4) Revue de rHypnotisme, décembre, p. 164, 1S86. fait des questions niaises, crie pour des riens, etc. — Mis 435 fois
lètement remis. Tels sont les quelques matériaux que j'apporte à la question soulevée au congrès de Nancy par M. Bérilion, et
ut besoin d'une suggestion spéciale. Tous ont été interloqués par une question : « Comment pouvez-vous voir que vous n'avez plus
décembre 18S8J. Il y a juste cinquante ans (c'était en i83"), la question fut solennellement soulevée et agitée ici même. O
istingués collègues. Mais si l'on doit s'astreindre, dans une telle question , à bien établir la barrière qui sépare le positif
r que si l'on s'en réfère aux enquêtes minutieuses poursuivies sur la question , les dangers que l'hypnotisme fait courir a la so
isse encore en observation. L'ivresse est dissipée. Anna répond a nos questions , et nous l'étu-afions alors d'un peu plus près.
ositions variables. Pendant ces crises, la malade ne répond pas aux questions qu'on lnt adresse et qu'elle semble ne pas entend
la malade, qui s'endormait quelques instants après. Elle entend nos questions et y repond. Pour bien nous assurer que nous n'ét
s: magistralement a la Faculté de médecine, M. Brouardc!. traitant la question de l'exercice illégal de la médecine, ne pouvait
nte a H. le Professeur DELBlKLT Il est utile que je revienne sur la question . l'interprétation donnée par M. Delbœuf pouvant,
orporels à récole, ce substantiel mémoire livre, sans compter, sur la question , des documents aussi variés que précis. Empiriq
r; nous n'irons pas sur leurs brisées. A présent qu'on attribue aux questions d'enseignement l'intérêt hors ligne qu'elles comp
es règles de sa profession, il ne leur appartient pas de trancher des questions d'ordre scientifique, d'appréciation et de pratiq
ausé avec elle pendant quelques minutes et fixé son attention par les questions que je lui adressais, je cessai toute conversatio
ses interlocuteurs, les justes appréciations de son jugement sur les questions qu'on lui adresse, la rapprochent à tel point de
nsible aux diverses excitations du dehors, elle cesse de répondre aux questions qu'on lui adresse : mais, plus le cercle de son a
lle et vous... M. X... commence l'expérience... Il adresse diverses questions à Alix, qui n'entend pas et ne répond rien : dés
és que M. X... se met au contact de ma main, elle répond à toutes les questions qui lui sont faites. Vingt fois l'expérience est
logie ne pouvaient expliquer. Je le gardai Jonc dans ma mémoire comme question à étudier, me proposant de l'expérimenter de nouv
qui elle se trouve actuellement. Elle répond rapidement à toutes les questions qu'on lui adresse, le plus souvent avec impatienc
et, tout en disant, j'approchais mon doigt indicateur de la table en question , qu'elle ne voyait même pas. Dès que mon doigt to
dans sa concision, répond de la manière la plus démonstrative à cette question que nous nous adressions tout à l'heure : Quel es
ils dans un travail ultérieur, qui sera précédé de l'historique de la question . D'ailleurs, une partie des faits auxquels je vai
s. |886, p. i44. pour la réussite des expériences dont il va être question . Ces états d'esprit sont provoqués par l'opérateu
Pînel. De pou s, etc.. etc. Après avoir retracé l'historique de la question , rappelé les études expén-roentales de la Salpctr
tières médicales et pharmacologie; a» Thérapeutique proprement dite.— Questions générales proposées: Antithermiques analgésiques;
signalé une carte, avouant avoir ressenti la secousse annoncée. A la question : « Etes—vous sûr de n'avoir pas été le sujet d'u
??? halluciaations auditives, mais le dispositif dont il vient d'eire question n'est pas propice à leur produc-non. Cependant qu
gnétisme, qui jouit d'une grande réputation de mystère. Dès qu'il est question de magnétisme animal, les personnages les plus in
jouer la comédie. J'approche successivement de mon nez les pièces en question , je Lais semblant de les flairer avec la plus gra
Dans tout acte de suggcsiioade la nature de ceux dont il vient d'être question . Üy a deux personnes ¦en présence, l'opérateur et
uggestion veuillent bien répéter les expériences dont il vient d'être question , en les variant et en les appliquant à un grand n
s cutanées, les stigmates de Lourdes, la diarrhée suggérée, etc. La question ne peut donc être limitée à une question de conce
diarrhée suggérée, etc. La question ne peut donc être limitée à une question de conception ou de perception, de réalité ou de
5 : Zur Psychologie des Hypnose*. Notre collègue, très versé sur lès questions psychologiques et sur l'hypnotisme, a su cependan
elobservateur.carqui peutaffirmerqu'ilnes'cst jamais tromré? Mais les questions de terminologie tiennent une très grande place «L
éalité des effets produits par l'aimant sur le corps humain ; mais la question est encore (1) La Grande Hystérie, 2« édition,
n voit que les différents observateurs qui ont étudié le phénomène en question sont d'accord sur un très grand nombre de points
re de points importants. La discussion principale a porté ici sur une question de mots, qu'il serait urgent de faire cesser. .
ageons vivement à les suivre tous les médecins qui s'intéressent à la question de l'hypnotisme. Paralysies hystéro-traumatique
t dans des salles sepa-rées, aux séances de la matinée consacrées aux questions particulières laissées au choix des membres du co
: les séances du jour seront communes et réservées à h discussion des questions posées par le Comité d'organisation du congrès.
qui se sont sérieusement et scientifiquement occupés de cette grande question , on trouve encore parmi eux un désaccord profond.
, en toute simplicité, vous exposer ma pensée et mon jugement sur ces questions difficiles. L'idée que je m'en fais est basée tou
ersellement démontrée, puisque Babinski a cru utile de revenir sur la question et de faire, en faveur cl à la louange du grand h
Salpêirièrc, MM. Paul Richor et Gilles de la Tourelle; l'exposé de la question , habilement tracé par ces deux auteurs, est tout
l'Académie condamne solennellement le magnétisme animal, jette sur la question le voile de la chose jugée, et refuse nettement d
rit par la grande corporation médicale, persiste jusqu'en 1860, où la question reparaît sous une face nouvelle, la face des appl
rès bien dit Babinski. il fallait un certain courage pour relever une question mal famée et marcher a rencontre des préjugés enr
ggestions involontaires, inconscientes (il ne peut être en la matière question que de celles-là), la suggestion mutuelle des mal
, le Congrès garderait un caractère intime. On n'y aborderait que les questions se rapportant aux applications physiologiques, cl
plus souvent exempts d'hystérie. Ce dernier mot soulève une double question sur laquelle je dois m'arrêter un instant : Les h
ble de baser sur des chiffres, même approximatifs, la réponse à cette question . Mais la chose est si claire, si évidente, s'impo
qu'à mettre en parallèle le petit nombre de pages consacrées à cette question dans l'article « Hypnotisme » du Dictionnaire (2
ussit à provoquer par la suggestion un prurit véritable. Le malade en question était extrêmement épuisé par l'insomnie : mainten
7 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
s étudiés par eux au contrôle des hommes compétents. Envisageant la question à un point de vue élevé et faisant abstraction de
quelques-ans des mystères de l'âme humaine. Mais s'il en est que la question de l'hypnotisme doive préoccuper à plus d'un titr
l'obsession de penser constamment à un certain sujet, à une certaine question , souvent, du reste, sans la moindre importance. I
oi. M. Masoin a sou-« tenu qu'il simulait l'hypnose. C'était donc une question de fait et facile à « résoudre. Eh bien 1 le Trib
t les fonction? do rapporteur à l'Académie royale de Médecine pour la question des dangers de l'hypnotisme, comme en prononçant
t de citer son nom dans une série d'articles publiés par la Revue des Questions scientifiques. Au Congrès de l'Hypnotisme, le bur
Brouardel, accaparé par M. Delbœuf, est opposé à M. Liégeois en cette question : l'éminent doyen do la Faculté do Paris ne méc
cette date, le livre si intéressant de M. Liégeois, avec la lettre en question , n'était pas encore livré au commerce, en Belgiqu
ofesseur de Nancy; mais celte partie communiquée ne touchait pas à la question des séances publiques : elle concernait certaines
M. Ballet l'a dît fort justement et en termes des plus éloquents, la question ne peut être complètement tranchée par des expéri
isation du deuxième Congrès international do l'Hypnotisme on 1802; 3° Questions mises à l'étude : a. « Des rapports de l'hystér
moteurs des yeux semblent confirmer cette localisation. Le malade eu question a eu eu particulier ce ptosls special qui est le
e de l'espèce humaine. Dans ce second volume sont aussi traitées la question de la médecine légale de l'hypnotisme et celle du
sme et celle du zoomagnétisme. Bien que l'auteur n'ait pu résoudre la question de la lucidité, il l'a examinée sérieusement et a
nda quand on l'endormirait à nouveau. Klle répondit négativement à la question que je lui fis, si elle avait entendu ce que je l
ans le sommeil hypnotique, il se conduisait comme un illuminé. Sur la question de sa responsabilité, je m'en rapportais à l'opin
l émit appelé à donner son témoignage. Je disais encore ceci : « La question a une importance beaucoup plus grande qu'elle n'e
Puis il donne ta parole à M. le professeur Bemheim sur la première question mise à l'ordre du Jour : Des rapports de l'hyst
ue contestables, n est-il pas préférable, pour chercher à résoudre la question , d'analyser les caractères appartenant à l'hypnot
ie, alors nous sommes tous hystériques à nos heures ; ce n'est qu'une question de définition ! M. Bkrillon. — Ce qui tendrait
aujourd'hui devant la Société, un dernier et important tribut à cette question de l'influence psychique de la mère sur le fœtus;
us sur des dormeuses au plus haut degré, que repose la solution de la question d'avenir des influences maternelles. Pour moi, le
ieu d'avoir recours à l'hypnotisme, ou devra tout d'abord élucider la question de la susceptibilité. 7. — Il n'existe pas de m
s des aliments, la peur et l'état d'inquiétude intérieure. 16. — La question de la valeur thérapeutique de l'hypnotisme dans l
tif à l'hypnotisme. Ce projet de îoiaété déposé le 15 avril 1890 La question qu'il avait pour but de trancher préoccupait vive
ommission spéciale que l'Académie avait nommée pour l'examen de cette question , l'honorable M. Masoin, après avoir indiqué l'iui
es pratiques qui donnent naissance à une pareille situation. C'est la question que se pose l'honorable rapporteur de l'Académie,
incères que le sujet, très léger, très insouciant, ne portail à celte question aucune espèce d'intérêt. Ses souvenirs étaient pr
ur.) Cet ouvrage fera connaître au public français tout un ordre de questions très nouvelles encore pour lui et qui préoccupent
ENTAL ET THÉRAPEUTIQUE LA LECTURE DES PENSÉES(1) HISTORIQUE DE LA QUESTION Par H. Jean TARCNANOFF. professeur de physiolog
malheureusement il n'a pas profité de ces appareils pour résoudre la question principale, et précisément pour mettre en lumière
ne doit pas oublier que c'est précisément grâce à cette lacune que la question reste jusqu'à présent ouverte pour beaucoup de pe
versité de Louvain. Mon cher Directeur, Enfin, Dieu soit loué! la question des dangers de l'hypnotisme vient de faire un pas
o ». Maintenant, voici qu'à mon tour, humble victime de cette funeste question , je suis frappé de folie et d'épilepsie, d'aprè
s le professeur de Liège prouve qu'il n'a pas môme compris comment la question se posait devant le tribunal. Aussi je l'engage à
ns à la cinquième preuve. Ici M. Delbœuf déplace encore une fois la question : il ne s'agissait pas a de certaines difficultés
re réponse : In caudabovis venenwn. Depuis plusieurs mois, il était question d'organiser dans les prisons de Belgique un servi
yant pu l'expérimenter suffisamment. Afin de tacher de résoudre une question , à mon avis une des plus importantes, à savoir s'
a créé. Soit. C'est là de lauto-suggestion. Mais on m'a posé cette question : ¦ Quelqu'un me dit, par exemple, M. Carnot est
e sacrifié, parce qu'il est sans protection, je prononce la phrase en question ; il se peut que ces mots, interrogés par lui, lui
ypnotisme. M. Aug. Voisin (de Paris).—Je discuterai spécialement la question de savoir si un crime peut être commis sous l'inf
suggère l'acte illicite. M. Benedickt (de Vienne). — J'étudie cette question depuis 1867 et je ne suis pas encore arrivé à me
. E. Habt (de Londres). — Je m'occupe aussi depuis longtemps de cette question , et les essais que j'ai faits comme étudiant â l'
des coutumes et des institutions. Il indique particulièrement, comme questions à traiter : a, relations entre le* contes europée
est le maître du monde ». LA LECTURE DES PENSÉES HISTORIQUE DE LA QUESTION Par M. Jean de TARCHANOFF, professeur de physio
leur ignorance complète. VI Nous voyons ainsi qu'il ne peut être question d'induction ou de rayonnement de la force psychiq
avais toutes les raisons morales de croire à la sincérité du sujet en question , j'admettrais volontiers que j'ai affaire là à de
des dans le sommeil le plus profond, répondent d'une voix douce à mes questions et à mes recommandations. Le spectacle de ce ca
irmer- Des Suggestions criminelles, Par le Dr BERILLON. Une des questions qui doivent, à juste titre, tenir une grande plac
o en vous exprimant quelques-unes de mes idées personnelles sur celte question si iotéressante. Je crois que, pour que la ques
elles sur celte question si iotéressante. Je crois que, pour que la question puisse être utilement étudiée, il faut s'applique
, ils avaient pris la résolution absolue de ne pas avouer le péché en question ». Le P. Didon avait raison. Ce n'est donc pas
te à cet égard. M. Balle: . — Je ne veux pas traiter aujourd'hui la question des suggestions criminelles au point de vue scien
e pratiquei qu'il soit bon de beaucoup nous étendre sur ce côté de la question . Je ne nie pas la possibilité des suggestions cri
ccroître le nombre. M. Bbrillos. — Noua n'avons jusqu'ici abordé la question des suggestions criminelles qu'au point de vue do
ustifie la circonspection de M. Ballet; mais il y un autre côté de la question qui n'est pas moins intéressant. Vous vous souven
Attg. Voisin. — Je croîs que le devoir du médecin est d'envisager la question des suggestions criminelles sous toutes ses faces
malades, mais rien de plus. Je n'ai pas non plus voulu dire que la question des suggestions criminelles ne devait pas nous pr
« considérer comme absolument résolue, en laveur de l'affirmative, la question c de l'obéissance passive des hypnotisés ». Ces
e spontané et provoqué, ainsi qu'à ses études sur Fhvpnoiisme. que la question doit de a cire pas complètement oubliée pendant v
en votre pouvoir? Est-ce que je ne m'endormirai pas en pleine rue? » Questions plus saugrenues les unes que les autres. D'autr
tibilité! » J. Delbœuf. LA LECTURE DES PENSÉES HISTORIQUE DE la QUESTION Par h. Ji«» m TARCnANOFF. professeur de phyricl
l'on s'est proposé. Sans exercice, sans habitude, il ne saurait être question de résoudre les problèmes médités; un lecteur des
e. Après tout ce qui a été dit, on conviendra avec moi que toute la question s'explique simplement, et qu'il n'est pas besoin,
, directeur de l'Institut psychiatrique de Reggio-Emilia. Parmi les questions qui ont rapport à l'hypnotisme, il y en a une qui
c acharnement sur ce terrain, et chacune des deux écoles pense que la question est déjà définitivement résolue chacune dan» son
pour une base solide contre toute possibilité de simulation dans les questions médico-légales. Plusieurs publications, qui vie
lusieurs publications, qui viennent de paraître et qui traitent cette question , soit en défendant les deux doctrines: Bernheim (
ation : Grasset (5), démontrent l'importance que l'on attache a cette question , qui a été aussi le sujet de discussions assez vi
lque contribution qui, peut-être, pourrait concourir à résoudre celle question aussi ardue et discutée. Si de l'ensemble des f
81, lorsque nous avons commencé nos recherches, il n'était pas encore question de suggestion dans la production des phénomènes h
, on arriverait à produire tous les phénomènes somaliques dont il est question .il ne serait par cela aucunement prouvé qu'ils so
oins connue on moins appréciable. Qu'il se garde surtout d'aborder la question de responsabilité, car il règne sur ce point spéc
ophismes on entendrait les faire passer pour les amener à résoudre la question de responsabilité légale ou morale, entière ou pa
ure à l'hôpital, au moyen de précautions diverses, qu'il ne peut être question de supercherie; on constate l'existence d'une pol
'est passé pendant le som- meil. Les malade» répondent à tontes les question » qu'on leur adresse, avec plus ou moins de lenteu
et les dangers véritables de l'hypnotisme, le côté médico-légal de la question , le transfert selon Luys, les effets des médicame
citer la curiosité et pour provoquer les recherches. Elle soulève les questions les plus élevées, les problèmes les pins graves;
et les jours suivants, sous la présidence de M. Sidgwick. Parmi les questions mises a l'ordre du jour se trouvera celle des hal
nos confrères d'outre-Manche attachent une certaine importance. La question de I"hérédité est aussi de celles qui seront mité
la Gazette Médicale de Liège, mieux placée que nous pour apprécier la question , des réserves devraient être apportées à l'applic
uis quelque temps, auprès du Parlement belge. A peine a-t-il réglé la question de l'assistance gratuite des indigents, qu'il s'o
jeune, ministre de la Justice, répondit de la manière suivante : La question de savoir s'il sera permis a lout magnétiseur d'h
nces d'hypnotisme sur un enfant ou sur un aliéné. Ceci n'est plus une question de confiance. Le médecin, sous le régime de not
de son cabinet, pour être témoin de l'administration du médicament en question , qu'il connaît ou qu'il ne connaît pas. » La th
ette raison qu'il n'est pas possible de considérer comme terminée une question aussi intéressante et énigma-tique. Il faut bie
Le cas suivant, observé par moi-même, attira mon attention sur cette question : La femme d'un de mes amis, enceinte de deux m
is Mme C... dans son second accouchement. Dès que l'enfant fut né, la question ordinaire: « Tout va bien? me fut faite, et je ré
ession d'une certaine connaissance indistincte de soi-même, c'est une question trop difficile pour qu'elle puisse être résolue i
impressions extérieures. Si nous sommes d'accord avec cet auteur, la question cesse d'être obscure pour nous, ou d'exister dans
légalement commettre le crime ou le délit de faux témoignage, que la question des faux témoignages suggérés est sans intérêt po
il ail exercé une influence prépondérante sur l'issue de la cause. La question a donc conservé tout son intérêt ; car bien que d
is ni Bourdin, ni Collineau, n'ont abordé le côté psychologique de la question ; ils se sont bornés à signaler des faits utiles
soin de faire un long appela ses souvenirs, il répond, à mes diverses questions , qu'il s'est levé la malin à sept heures et qu'il
, je fais signe à un autre étudiant d'aller prendre le thermomètre en question . L'enfant voit le manège. Cependant, lorsqu'on l'
nces qui en résulteraient pour le témoin lni-même, il s'agit là d'une question plus générale : celle de la possibilité de suggér
e faux témoignage n'est pas autre chose. Quand on s'occupe de cette question , on est trop souvent tenté de faire, et le jury f
ocent accusé et atteindre le suggestionneur coupable. En résumé, la question se réduit à celles-ci : Est-il possible d'endormi
gnage suggéré et à découvrir le suggestionneur? De la solution de ces questions pourront dépendre les modifications à apporter a
nfluences qui ont pu agir sur tel ou tel témoin, et d'appeler sur ces questions l'attention des jurés et des magistrats; nécessit
hoses, des folies. Les auteurs qui se sont occupés dernièrement de la question sont tous de cet avis et, comme dit très bien Pic
idualité. En Amérique et en Angleterre, de même qu'en Allemagne, la question est justement tranchée dans le sens que j'indique
tile d'y insister. Une autre cause, — caractérisque de l'endroit en question — est l'impuissance de l'autorité à frapper les e
xagère encore celle espèce de sau- ' vagerie. Le groupe ethnique en question a de la répugnance pour les travaux de culture; i
es Maladies de l'esprit, résume l'état actuel de la scienee sur cette question si troublante des altérations de l'être psychique
à 9 heures. L'Hypnotisme à la Chambre des Députés d'Autriche. La question de l'hypnotisme commence à intéresser les législa
eproché violemment aux Universités leur indifférence à l'égard de ces questions , déclarant que cette indifférence n'était rien mo
faire tout ce qui est en leur pouvoir pour encourager l'étude do ces questions et en tirer parti pour l'humanité. La loi sur l
t condamnés, se greffe souvent une tuberculose ultime. Une dernière question se présente, à laquelle je veux répondre. Il peut
lle ne se souvenait pas d'avoir entendu parler ni d'avoir répondu aux questions qui lui avaient été adressées, mais elle se souve
dre a quelques objections soulevées par le professeur Bernheim sur la question de la neurasthénie. Mais, en réalité, je n'ai rie
nervous exhaustion », épuisement nerveux, l'état moibide dont il est question ; c'est qu'il avait voulu décrire un état clinique
ettre en doute son authenticité. Je reviendrai d'ailleurs sur cette question dans une prochaine séance, apportant à l'appui de
pas ses contemporains, mais assurément celui qui le portera. Cette question m'a intéressé et je suis allé recueillir quelques
ypnose, elle n'est en rapport qu'avec moi, et ne répond nullement aux questions de sa mère qui l'accompagne. Je fais alors une
RAPHlSME, ETC.) Par M. le Dr CHATELAIN, de Paris. Il a beaucoup été question , dans le cours de ces dernières années, d'un phén
t renouvelées dans tous les congres et dans toutes les réunions où la question do l'hypnotisme a été remise sur le lapis. Malgré
ion, n'ayant jamais été hospilalisées et tout à fait ignorantes de la question de l'hypnotisme. Ces malades sont atteintes de
me exercé en dehors de certaines conditions. Le Sénat est saisi de la question . Nous voulons examiner aujourd'hui quel sera le
tainement condamné ? Ou bien, surtout lorsque la défense soulèvera la question , seia-t-on forcé de rechercher si les phénomène»
ur que la loi puisse trouver son application. Il ne saurait y avoir question de punir pour avoir hypnotisé si, dans l'espèce p
fendre jusqu'au bout et soulevant devant la juridiction répressive la question suivante : les personnes soumises aux expériences
ble que le gouvernement aurait mieux fait de s'abstenir, parce que la question n'est pas mûre, et qu'il vaut mieux assurément n'
par les expériences ». On a voulu trop faire, plus que l'état de la question ne le permettait; c'est pour cela que la loi, vou
nous nous jugeons et reconnaissons tous incompétents pour trancher la question ... Ce sont des incompétents qui doivent prendre l
s étions sénateur — quel orgueilleux souhait ! — nous déclarerions la question trop peu élucidée et nous refuserions de voter un
s qui s'étaient mis à parler, aussi s'empressa-t-on de leur pofer des questions . Il ne fallait pas perdre l'occasion qui, peut-êt
terTail souvent, en effet, que les démoniaque! ne répondaient pas aux questions qu'on leur posait, et l'on en concluait que le* J
impossibilité de parler. On demanda donc à la malade, en adressant la question à l'esprit malin qui la possédait : ¦ El qui es-t
quoique le monde médical commence néanmoins à se préoccuper de cette question ; mais il faut avouer que l'ignorance est encore t
six livres. U me semble que ce cas répond assez affirmativement à la question de Shakspeare : Peux-tn, dans ton ministère, su
voyant la stupéfaction de ceux qui l'entouraient et l'assaillaient de questions , lui demandant « si elle avait ressenti quelque d
ndre jusqu'au bout et a soulevant devant la juridiction répressive la question suivante : « Les per- • sonnes soumises aux exp
avec qui il avait eu des difficultés, s'occupait passionnément de la question hypnotique, lisait beaucoup de livres de magnétis
la Société que des communications peuvent être laite» sur toutes les questions de psychologie physiologique ou pathologique V Be
, dentiste i Skofde (Suéde). L'hypuolismoest devenu aujourd'hui une question delà plus grande importance. De nombreux traités
n de la souffrance, mais qui est le plus souvent décisif quand il est question de diminuer ou même défaire disparaître l'anxiété
esme instant iceox démons dirent à la déposante (qui avait fait cette question indiscrète) : P....., carogne (et autres injures
nsait-on, qui pouvaient parlor des langues étrangères et répondre aux questions qui leur étaient posée* dans une langue censée in
, nous voyous que, dans la séance du Consistoire du 7 octobre, il fut question de réunir les démoniaques dans une même localité
endredi, à quatre heures et demie, il étudiera chez Luuciani diverses questions de psychologie physiologique* relatives au cervel
s causes de l'impuissance virile sont multiples et il ne saurait être question do traiter tous les cas d'une manière uniforme.
rbette. Il s'est passé là des monstruosités. Puis M. Joly aborde la question du premier délii. Que faire du criminel qui début
ux systèmes qui doivent s'appuyer l'un sur l'autre. Enfin, reste la question des grands criminels qu'il faut à tout jamais exc
rands criminels qu'il faut à tout jamais exclure de la société, et la question des récidivistes qu'il faut à tout prix amender.
erver un sort pareil à des membres quelconques de leur espèce? s La question de la récidive est bien plus complexe et bien plu
rnière séance je lui fais, quand elle arrive à ma consultation, cette question : « Kh bien! comment cela va-t-il? » — ¦ Je vais
, minislro de la Justice. — L'honorable M. Grosfils o*t revenu sur la question irè* grave de savoir ce qu'il faut entendre par l
on peut s'hypnotiser soi-même. M. Magis. — Je ne discuterai pas la question avec vous : je serais battu d'avance -, mais je m
m'immiscer dans les querelles entre hypnotiseurs : ce n'est pas là la question . Mais il s'agit d'une science qui n'est pas enc
ent charmés, enchaînés, et le possédé muet, incapable de répondre aux questions les plus pressantes. Dans ce cas on savait de bon
e de M. le Dr Olinto del Torto, a pour but d'étudier spécialement les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
8 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ct, a pu être utilisée au point de vue pédagogique. En remettant en question le grave problème de la responsabilité humaine, l
te des côtés multiples sous lesquels peut être utilement envisagée la question . Psychologues, médecins, pédagogues, magistrats
ychiatrie, me faisant l'honneur de suivre ma clinique pour étudier la question de l'hypnotisme, je voulus, devant lui, expérimen
elez ce détail? » Si l'accusateur tombe dans le piège et confirme, la question est par cela même jugée. 5° L'examen médical du
. 5° L'examen médical du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je crois, dans la majorité des cas, d'
ble, au premier abord, que tienne soit plus facile que de trancher la question par l'expérience; il n'en est rien cependant, par
le de faire remarquer au lecteur réellement désireux d'approfondir la question , que le livre est parsemé de résumes nombreux qui
a ces enfants, c'est la faculté d'arrêter leur attention sur une même question . L'effort nécessaire pour approfondir un sujet le
eux d'une indulgence relative assez grande. — Concours. — Parmi les questions que la Société contre l'abus du tabac met au conc
e française qu'il appartienne, qui fera le meilleur mémoire sur cette question : » La cachexie nicotique : ses symptômes, sa mar
par M. le Dr Depierris, à l'auteur du travail le plus méritant sur la question suivante : « Des effets du tabac sur la santé d
ont ses effets sur les contractions utérines ? Telles sont les deux questions que je me suis propose d'étudier chez une jeune m
parole, ses traits s'animent, elle devient attentive, elle répond aux questions qu'on lui adresse, elle prend part à la conversat
sage était calme, elle répondait fort tranquillement à chacune de nos questions , s'interrompant à peine quand survenait une doule
koe, tous trois médecins aliénistes, qui ont pris en main cette grave question . Selon eux. il ne suffit pas de garder les dipsom
'un magistrat ou d'un médecin inspecteur des asiles d'aliénés. » La question que M. Darymple proposait était trop neuve et tro
n tint-il là pour l'instant, tout en se promettant bien de ramener la question un jour ou l'autre devant le Parlement. De ce q
ier M. de Rochas renferme les documents les plus intéressants sur les questions qui passionnent aujourd'hui l'esprit public. Le
corps humains. Ce sont des pages bien séduisantes et qui touchent les questions encore mystérieuses ; il nous est difficile de le
ns prophétiques, le délire, les hallucinations, les métamorphoses. La question si ancienne des oracles reçoit une explication sa
description rapide de l'hypnotisme et de la suggestion, il aborde les questions médico-légales qui s'y rattachent. En droit pén
d'obligations contractées pendant l'hypnose. Avant de résoudre ces questions de médecine légale, l'auteur expose les condition
l a consenti à se trouver placé dans l'état d'inconscience Í Graves questions dont l'ensemble constitue une thèse que l'auteur
ifestations évidentes de la suggestion. Telles sont, en résumé, les questions principales traitées par le docteur Campili. Son
y a pas grand'chose à réformer de ce côté. J'ai hâte d'arriver à la question des programmes. La conclusion de M. Lagneau ins
à un des moindres intérêts du livre. Il faut revenir bien vite à la question du rapport, car c'est la clef do voûte de l'édifi
oujours inopportune et souvent puérile de la presse mondaine dans des questions qui lui sont étrangères. Elle est l'origine d'err
is longtemps, à son caractère, à ses vivacités, et de m'occuper de la question religieuse. J'obtiens rapidement le sommeil hyp
manifestation de la suggestion des milieux ?. Au premier examen, la question semble paradoxale. Mais, si, nous dépouillant de
ranlent ! - Ne savons-nous pas tous que si nous avons sur certaines questions une dose naturelle d'indifférence, qui, au point
s. Ceux d'entre vous qui suivent avec un certain intérêt toutes les questions afférentes à ce sujet ne sont pas sans savoir que
vois M. X... » et il désigne par son nom la personne indifférente en question . Je cesse le contact, et après quatre ou cinq sec
e demande avec un certain nombre d'orateurs qui ont déjà abordé cette question , sont-ils bien réellement, dans le cours de l'ann
brale est toujours un souhait inavoué de bonheur. Et, ù côté de ces questions si vivantes et si contemporaines, rappelons-nous
nos écoliers et la somme d'efforts destinée à l'accomplir, et que la question du surmenage, telle qu'on l'a entendue jusqu'ici,
rendre une part active a l'agitation suscitée dans les esprits par la question de l'hypnotisme. Une de ses meilleures revues s
ctuel sur la développement des affections mentales et nerveuses. La question si actuelle et si importante du surmenage intelle
eptembre, promet d'être des plus intéressants, tant par l'intêrêt des questions mises a l'ordre du jour, que par le nombre d'inst
épublique, en 1848, jusqu'en 1852. Il s était spécialisé dans les questions de mécanique animale et d'oph-thalmologie. Parmi
'hypnotisme au point de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil nerveux, ils se livrèrent à une serie
tance des substances toxiques et médicamenteuses, a appelé, sur cette question si délicate, l'attention du monde scientifique.
arcot, ne renferme aucun homme ayant prouvé qu'il ait acquis, sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, la moindre compéten
nambulisme lucide, et alors il entend ce qu'on lui dit, il répond aux questions et, quoique n'enregistrant dans son for intérieur
sur lequel on opère, et on peut dire que si, dans les expériences en question , les phénomènes émotifs réac-tionnels de la phase
dans les actes de la vie sociale. Il ne s'agit pas seulement de la question de ces suggestions - imposées à certains sujets q
ts toute part de responsabilité, mais bien d'un ordre tout nouveau de questions médico-légales qui, à propos de l'action des subs
t d'un coup s'imposer à l'attention des médecins légistes. Voici la question nouvelle qui se pose : On peut donc, à l'aide d
équences qu'elle renferme. Mais que faire en présence de toutes ces questions multiples qui surgissent au sujet des pratiques d
ravaux viennent d'appeler l'attention du monde savant sur la délicate question de l'action à distance des médicaments. Noua croy
vidence cette forme spéciale de l'im-pressionnabilité. Ce point de la question nécessite des recherches qui sont à faire tout en
Le procès dura longtemps. A plusieurs reprises l'accusé fut mis à la question . Finalement, il fut condamné à être brûlé vif.
alcool. La séance du 10 septembre a été consacrée tout entiere à la question des asiles pour les ivrognes. Plusieurs orateurs
déjà en Amérique, en Angleterre, en Suisse et en Allemagne, et il est question d'en fonder de nouveaux, l'urgence de ces fondati
sont tournés en bas. D'où vient cette différence d'action ? C'est la question que les auteurs se sont posée et dont ils croient
aite sur un sujet hypnotisé, Mme F... Dans celle du matin, il n'a été question que des actions polaires proprement dites, fourni
ont émis leur avis sur l'hypnotisme au point de vue médico-légal, la question n'est pas encore tranchée. Pour certains auteurs,
que M. le professeur Layet, qui devait traiter dans cette section la question des dangers sociaux de l'hypnotisme, en ait été e
araîtront. M. Drouineau (de la Rochelle). — Je ne crois pas que les questions d'hypnotisme doivent occuper longuement la sectio
pnotisme doivent occuper longuement la section d'hygiène. Ce sont des questions qui passionnent trop l'opinion publique et qui ne
uses. M. Burot.—Je suis vraiment étonné que M. Drouineau déplace la question de responsabilité légale que je viens de poser, p
aments à distance. Je me suis fait un scrupule de ne pas agiter cette question au Congrès, mais, puisque je suis attaqué, on me
tout souhaiter, c'est que les médecins ne se désintéressent pas d'une question scientifique qui mérite d'être étudiée par eux to
des sciences une série de lectures destinées à résoudre l'importante question de savoir si nous avons un double appareil cérébr
que d'autres expérimentateurs voudront bien achever d'élucider cette question . L.-Ci de Rochas Chef du Génie à Grenoble. NO
t Burot d'abord, confirmée par M. Luys, existe-t-elle réellement ? La question est trop importante, trop grosse de conséquences
ous connaissions comme un observateur sagace et très au courant de la question de l'hypnotisme, nous apprit, à M. Lièbeault et à
tuite, ce trouble correspondait à l'action réelle du médicament. La question nous a paru jugée, pour ce qui concerne l'action
le voisinage ont été très nombreux, et il a déjà été plus d'une lois question de taire enfermer Mme N... dans un asile d'aliéné
nd nombre de personnes qui se livrent aux travaux des champs. Mais la question n'est pas la. Il n'est jamais venu à notre pens
e professeur Charcot et ses élèves se préoccupèrent à leur tour de la question . Voici ce qu'enseigne M. Charcot : Il y a deux
s. Peu après la publication des premières recherches de Charcot, la question de l'hypnotisme fut vulgarisée en Allemagne à la
d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru concluant. Il ne saurait être question d'ivresse d'une façon positive. Dans une autre
M. Constantin Paul. — 11 nous reste fort a apprendre sur toutes ces questions . On est arrivé à expliquer par les lois de la pol
incapables de donner un avis sensé ; mais il parait que, quand ;l est question des phénomènes les plus délicats et les plus obsc
ie physiologique de Wundt, nous donne aujourd'hui un résumé des mêmes questions , dû au professeur Sergi (de Rome). Dans un volume
férence dans laquelle est traitée, à un point de vue général, une des questions dont la solution préoccupe le plus les savants qu
motte était aujourd'hui un aliéné, un malade, et cependant toutes les questions lui ont été posées comme à un aliéné ordinaire, e
valériane, etc. Si parmi les assistants, connaissant la substance en question , il en est qui, frappés par ces premières manifes
son immobilité. Une fois revenue à elle, Berthe répond aux premières questions du commissaire en déclarant qu'elle ne connaît pa
dence apparente des faits. 11 court chez Mme Chassin. Il la presse de questions sur l'emploi de la soirée pendant laquelle a été
lui seul a le bénéfice. Tout l'intérêt repose dans la réponse à cette question : Le sujet exécutera-t-il, ou non, la suggestion
'auteur, si je réponds à ces excitations par une étude vraie. Autre question : l'étude est-elle vraie ? En la lisant, je me
dans l'imagination. On ne peut nier que M. Belot se soit servi de la question scientifique; il faut aussi reconnaître qu'en mêm
ivier. — Pour la seconde fois, je tiens à entretenir l'Académie de la question , pour moi si capitale, de la non-contagiosité de
e la famille. J'ai refusé ce certificat, pensant qu'il y avait là une question d'hygiène publique. M. Corsil. — Je demande la
t pas été retrouvés par tous les auteurs qui se sont occupés de cette question et il y a un doute absolu à ce sujet. On ne sai
de-t-il pour proposer cette abrogation ? C'est ici que se présente la question a résoudre : la pelade est-elle ou non contagieus
Une femme peut-elle être accouchée sang le savoir? Telle est la question qui a été plusieurs fois posée en cour d'assises,
is il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet état. Or la question médico-légale se pose ordinairement ainsi : Une f
u se douter d'une substitution d'enfant, si elle avait eu lieu ? La question rappelée par M. Brouardel n'a donc pas perdu de s
ns l'article qui précède, il n'est pas douteux, que la jeune fille en question ne présente les symptômes ou plutôt les stigmates
hérapie est indiqué, et le cas où cette méthode doit être rejetée; la question des indications primant toutes les autres. Car il
e les effets de la thérapeutique qu'il a employée. L'historique de la question , la lente vulgarisation de l'électricité, la desc
La Société a décidé de laisser jusqu'à nouvel ordre en discussion la question du Délire chronique. Société de psychologie phy
actuellement je me contenterai d'indiquer ce qui se rapporte à cette question unique (1). Dans ces treize premières expérienc
tée un instant que j'étais resté dans la maison. Je laisse de côté la question de sa bonne foi. Sa bonne foi consciente n'est pa
bien faites. Le hasard ne donne pas de semblables coïncidences. La question n'est donc pas de savoir si le hasard peut donner
Si j'étais sûr de n'avoir donné aucune indication d'aucune espèce, la question pour moi serait jugée ; car, faisant une expérien
peu plus naïf ou un peu plus aveugle que je ne le suis. Je laisse la question en suspens et je formulerai ainsi ma conclusion f
titude que je crois à des faits habituels. Si je voulais traiter la question théoriquement, ce qu'à Dieu ne plaise ! je ferais
de tout autres résultats. Il y a donc lieu, non pas de regarder la question comme jugée, mais d'expérimenter encore, pour se
sser les défectuosités de nos tentatives, à M. Janet ci à moi, en une question si difficile. APPENDICE Je dois à l'obligea
fait observer, est, au point de vue du recrutement, considérable. La question de l'épilcpsic se pose à chaque instant devant le
on lui en faire porter la responsabilité ? Je ne discuterai pas cette question en ce moment. Je me bornerai à vous dire que
sion du passage de Donato à Turin, l'auteur passe en revue toutes les questions qui touchent à l'hypnotisme. Il nous apprend dans
la veille, état dont la limite est si difficile à établir, soulève la question philosophique du libre arbitre. Les lecteurs conn
la Salpêtrière, conduites avec une méthode rigoureuse et abordant la question par le côté clinique et nosographique, déterminen
rs déjà nommés : notamment de l'imagination. Pour ce qui regarde la question de l'imagination et des soi-disant malades imagin
le.sommeil nerveux, rien ne réveille, excepté le souffle. Ceci est question d'éducation : comme on peut endormir par plusieur
t de somnambulisme; mais un seul fait ne suffit pas pour résoudre une question si importante, et que je laisse pour le moment de
« Je savais que-l'Académie de médecine de Belgique était saisie de la question et qu elle aurait à se prononcer dans un délai ra
que. M. Rommeiaere constate que l'Académie n'a pas été saisie de la question , aucune communication à ce sujet ne lui ayant été
ans les intentions du gouvernement de voir l'Académie s'occuper de la question , puisqu'il croit qu'elle en est saisie. Dans ce
Secrétaire propose de nommer une commission chargée d'examiner cette question et de faire un rapport dans la prochaine séance.
s de l'année sous les neiges, en sont les ordinaires victimes. Sur la question de savoir dans quelles parties de la France l'hys
ment convoqué à Madrid, en avril et mai prochains, pour y traiter les questions théoriques et cliniques relatives à l'obstétrique
é à la hauteur de ses devanciers, au point de vue de l'importance des questions scientifiques qui y ont été abordées et traitées.
isin. A la section de pédagogie, présidée par M. Compayré, député, la question de la suggestion appliquée á la pédagogie a été t
e suffisante en la matière et s'abstenir de jugement précipité sur la question . Si nous réussissons, à Nancy, a influencer pre
ion de foi sommaire sur la matière. Aucune discussion ne tranchera la question ni pour, ni contre nous. Ce sont des faits que no
alles. La physionomie est maussade, sombre; elle ne répond a aueune question ; elle ne veut pas se laisser examiner; elle résis
s. — La suggestion a réussi. La malade est calme: elle répond à mes questions : elle me dit qu'elle a des rages qui la portent à
son entrée, sa physionomie est sombre, elle ne répond presque pas aux questions : elle accuse des douleurs dans la région précordi
s analogues. Mais l'Académie elle-même n'a pas cru devoir entendre la question au delà des limites dans lesquelles le gouverneme
conçu d'après la méthode physiologique et embrassant la totalité des questions . f L'Allemagne a le grand livre de Wundt. encor
es méthodes, l'éducation d'un autre milieu, ils donnent souvent à des questions rebattues un regain de fraîcheur et d'originalité
ées des anciens sur la nature de l'hystérie les ont entraînés, sur la question du régime alimentaire qui convient aux hystérique
C'est dans cet ordre que sont étudiées successivement les différentes questions qui se rattachent à la folie erotique. Ce livre e
n ce moment pour vous envoyer quelques vues d'ensemble sur les graves questions que soulève la suggestion ; peut-être pourrai-je
que vous vous êtes montré trop pressé. Cela dit, voici le passage en question : Quand j'ai commencé, vers le mois d'octobre 1
onserve la position fatigante qu'on donne aux bras ou aux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il ne répond pas. Pendant le somm
us avions cru devoir jusqu'alors négliger le côté psychologique de la question . Mais aujourd'hui que les applications de la su
qu'il s'agit de creuser. La médecine s'en est donc saisie comme d'une question de physiologie, de pathologie, de thérapeutique,
ion de la loi communale ? — Nous ne le pensons pas. Mais c'est là une question qui sort de notre compétence et qu'il ne nous app
ales, tantôt locales, ont été prises pour interdire les spectacles en question . Les autorités communales ne paraissent pas aujou
hez quelques hommes de science, au point qu'ils semblent en faire une question personnelle. Mais on nous rendra du moins cette j
Mais on nous rendra du moins cette justice, que nous avons traite la question au point de vue scientifique en nous appuyant sur
i chez les assistants. D'ailleurs, en mettant à l'ordre du jour une question qui n'a pas été soulevée par une demande du gouve
étiseurs. C'est le seul point sur lequel je veux lui répondre, car la question de savoir si l'Académie a le droit de s'occuper d
que l'Académie a chargé une commission de faire un rapport sur cette question . Je connais, pour ma part, cinq ou six cas, mai
cy et par les savants français et étrangers qui se sont occupés de la question ; et il résume, dans les deux propositions suivant
conde, la profession est-elle de nature à favoriser la pléthore? — La question est là. Et c'est là qu'est la pierre de touche po
DANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. Lu question de l'hypnotisme n'avait pas encore été traitée ju
9 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ct, a pu être utilisée au point de vue pédagogique. En remettant en question le grave problème de la responsabilité humaine, l
te des côtés multiples sous lesquels peut être utilement envisagée la question . Psychologues, médecins, pédagogues, magistrats
ychiatrie, me faisant l'honneur de suivre ma clinique pour étudier la question de l'hypnotisme, je voulus, devant lui, expérimen
elez ce détail? » Si l'accusateur tombe dans le piège et confirme, la question est par cela même jugée. 5° L'examen médical du
. 5° L'examen médical du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je crois, dans la majorité des cas, d'
ble, au premier abord, que tienne soit plus facile que de trancher la question par l'expérience; il n'en est rien cependant, par
le de faire remarquer au lecteur réellement désireux d'approfondir la question , que le livre est parsemé de résumes nombreux qui
a ces enfants, c'est la faculté d'arrêter leur attention sur une même question . L'effort nécessaire pour approfondir un sujet le
eux d'une indulgence relative assez grande. — Concours. — Parmi les questions que la Société contre l'abus du tabac met au conc
e française qu'il appartienne, qui fera le meilleur mémoire sur cette question : » La cachexie nicotique : ses symptômes, sa mar
par M. le Dr Depierris, à l'auteur du travail le plus méritant sur la question suivante : « Des effets du tabac sur la santé d
ont ses effets sur les contractions utérines ? Telles sont les deux questions que je me suis propose d'étudier chez une jeune m
parole, ses traits s'animent, elle devient attentive, elle répond aux questions qu'on lui adresse, elle prend part à la conversat
sage était calme, elle répondait fort tranquillement à chacune de nos questions , s'interrompant à peine quand survenait une doule
koe, tous trois médecins aliénistes, qui ont pris en main cette grave question . Selon eux. il ne suffit pas de garder les dipsom
'un magistrat ou d'un médecin inspecteur des asiles d'aliénés. » La question que M. Darymple proposait était trop neuve et tro
n tint-il là pour l'instant, tout en se promettant bien de ramener la question un jour ou l'autre devant le Parlement. De ce q
ier M. de Rochas renferme les documents les plus intéressants sur les questions qui passionnent aujourd'hui l'esprit public. Le
corps humains. Ce sont des pages bien séduisantes et qui touchent les questions encore mystérieuses ; il nous est difficile de le
ns prophétiques, le délire, les hallucinations, les métamorphoses. La question si ancienne des oracles reçoit une explication sa
description rapide de l'hypnotisme et de la suggestion, il aborde les questions médico-légales qui s'y rattachent. En droit pén
d'obligations contractées pendant l'hypnose. Avant de résoudre ces questions de médecine légale, l'auteur expose les condition
l a consenti à se trouver placé dans l'état d'inconscience Í Graves questions dont l'ensemble constitue une thèse que l'auteur
ifestations évidentes de la suggestion. Telles sont, en résumé, les questions principales traitées par le docteur Campili. Son
y a pas grand'chose à réformer de ce côté. J'ai hâte d'arriver à la question des programmes. La conclusion de M. Lagneau ins
à un des moindres intérêts du livre. Il faut revenir bien vite à la question du rapport, car c'est la clef do voûte de l'édifi
oujours inopportune et souvent puérile de la presse mondaine dans des questions qui lui sont étrangères. Elle est l'origine d'err
is longtemps, à son caractère, à ses vivacités, et de m'occuper de la question religieuse. J'obtiens rapidement le sommeil hyp
manifestation de la suggestion des milieux ?. Au premier examen, la question semble paradoxale. Mais, si, nous dépouillant de
ranlent ! - Ne savons-nous pas tous que si nous avons sur certaines questions une dose naturelle d'indifférence, qui, au point
s. Ceux d'entre vous qui suivent avec un certain intérêt toutes les questions afférentes à ce sujet ne sont pas sans savoir que
vois M. X... » et il désigne par son nom la personne indifférente en question . Je cesse le contact, et après quatre ou cinq sec
e demande avec un certain nombre d'orateurs qui ont déjà abordé cette question , sont-ils bien réellement, dans le cours de l'ann
brale est toujours un souhait inavoué de bonheur. Et, ù côté de ces questions si vivantes et si contemporaines, rappelons-nous
nos écoliers et la somme d'efforts destinée à l'accomplir, et que la question du surmenage, telle qu'on l'a entendue jusqu'ici,
rendre une part active a l'agitation suscitée dans les esprits par la question de l'hypnotisme. Une de ses meilleures revues s
ctuel sur la développement des affections mentales et nerveuses. La question si actuelle et si importante du surmenage intelle
eptembre, promet d'être des plus intéressants, tant par l'intêrêt des questions mises a l'ordre du jour, que par le nombre d'inst
épublique, en 1848, jusqu'en 1852. Il s était spécialisé dans les questions de mécanique animale et d'oph-thalmologie. Parmi
'hypnotisme au point de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil nerveux, ils se livrèrent à une serie
tance des substances toxiques et médicamenteuses, a appelé, sur cette question si délicate, l'attention du monde scientifique.
arcot, ne renferme aucun homme ayant prouvé qu'il ait acquis, sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, la moindre compéten
nambulisme lucide, et alors il entend ce qu'on lui dit, il répond aux questions et, quoique n'enregistrant dans son for intérieur
sur lequel on opère, et on peut dire que si, dans les expériences en question , les phénomènes émotifs réac-tionnels de la phase
dans les actes de la vie sociale. Il ne s'agit pas seulement de la question de ces suggestions - imposées à certains sujets q
ts toute part de responsabilité, mais bien d'un ordre tout nouveau de questions médico-légales qui, à propos de l'action des subs
t d'un coup s'imposer à l'attention des médecins légistes. Voici la question nouvelle qui se pose : On peut donc, à l'aide d
équences qu'elle renferme. Mais que faire en présence de toutes ces questions multiples qui surgissent au sujet des pratiques d
ravaux viennent d'appeler l'attention du monde savant sur la délicate question de l'action à distance des médicaments. Noua croy
vidence cette forme spéciale de l'im-pressionnabilité. Ce point de la question nécessite des recherches qui sont à faire tout en
Le procès dura longtemps. A plusieurs reprises l'accusé fut mis à la question . Finalement, il fut condamné à être brûlé vif.
alcool. La séance du 10 septembre a été consacrée tout entiere à la question des asiles pour les ivrognes. Plusieurs orateurs
déjà en Amérique, en Angleterre, en Suisse et en Allemagne, et il est question d'en fonder de nouveaux, l'urgence de ces fondati
sont tournés en bas. D'où vient cette différence d'action ? C'est la question que les auteurs se sont posée et dont ils croient
aite sur un sujet hypnotisé, Mme F... Dans celle du matin, il n'a été question que des actions polaires proprement dites, fourni
ont émis leur avis sur l'hypnotisme au point de vue médico-légal, la question n'est pas encore tranchée. Pour certains auteurs,
que M. le professeur Layet, qui devait traiter dans cette section la question des dangers sociaux de l'hypnotisme, en ait été e
araîtront. M. Drouineau (de la Rochelle). — Je ne crois pas que les questions d'hypnotisme doivent occuper longuement la sectio
pnotisme doivent occuper longuement la section d'hygiène. Ce sont des questions qui passionnent trop l'opinion publique et qui ne
uses. M. Burot.—Je suis vraiment étonné que M. Drouineau déplace la question de responsabilité légale que je viens de poser, p
aments à distance. Je me suis fait un scrupule de ne pas agiter cette question au Congrès, mais, puisque je suis attaqué, on me
tout souhaiter, c'est que les médecins ne se désintéressent pas d'une question scientifique qui mérite d'être étudiée par eux to
des sciences une série de lectures destinées à résoudre l'importante question de savoir si nous avons un double appareil cérébr
que d'autres expérimentateurs voudront bien achever d'élucider cette question . L.-Ci de Rochas Chef du Génie à Grenoble. NO
t Burot d'abord, confirmée par M. Luys, existe-t-elle réellement ? La question est trop importante, trop grosse de conséquences
ous connaissions comme un observateur sagace et très au courant de la question de l'hypnotisme, nous apprit, à M. Lièbeault et à
tuite, ce trouble correspondait à l'action réelle du médicament. La question nous a paru jugée, pour ce qui concerne l'action
le voisinage ont été très nombreux, et il a déjà été plus d'une lois question de taire enfermer Mme N... dans un asile d'aliéné
nd nombre de personnes qui se livrent aux travaux des champs. Mais la question n'est pas la. Il n'est jamais venu à notre pens
e professeur Charcot et ses élèves se préoccupèrent à leur tour de la question . Voici ce qu'enseigne M. Charcot : Il y a deux
s. Peu après la publication des premières recherches de Charcot, la question de l'hypnotisme fut vulgarisée en Allemagne à la
d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru concluant. Il ne saurait être question d'ivresse d'une façon positive. Dans une autre
M. Constantin Paul. — 11 nous reste fort a apprendre sur toutes ces questions . On est arrivé à expliquer par les lois de la pol
incapables de donner un avis sensé ; mais il parait que, quand ;l est question des phénomènes les plus délicats et les plus obsc
ie physiologique de Wundt, nous donne aujourd'hui un résumé des mêmes questions , dû au professeur Sergi (de Rome). Dans un volume
férence dans laquelle est traitée, à un point de vue général, une des questions dont la solution préoccupe le plus les savants qu
motte était aujourd'hui un aliéné, un malade, et cependant toutes les questions lui ont été posées comme à un aliéné ordinaire, e
valériane, etc. Si parmi les assistants, connaissant la substance en question , il en est qui, frappés par ces premières manifes
son immobilité. Une fois revenue à elle, Berthe répond aux premières questions du commissaire en déclarant qu'elle ne connaît pa
dence apparente des faits. 11 court chez Mme Chassin. Il la presse de questions sur l'emploi de la soirée pendant laquelle a été
lui seul a le bénéfice. Tout l'intérêt repose dans la réponse à cette question : Le sujet exécutera-t-il, ou non, la suggestion
'auteur, si je réponds à ces excitations par une étude vraie. Autre question : l'étude est-elle vraie ? En la lisant, je me
dans l'imagination. On ne peut nier que M. Belot se soit servi de la question scientifique; il faut aussi reconnaître qu'en mêm
ivier. — Pour la seconde fois, je tiens à entretenir l'Académie de la question , pour moi si capitale, de la non-contagiosité de
e la famille. J'ai refusé ce certificat, pensant qu'il y avait là une question d'hygiène publique. M. Corsil. — Je demande la
t pas été retrouvés par tous les auteurs qui se sont occupés de cette question et il y a un doute absolu à ce sujet. On ne sai
de-t-il pour proposer cette abrogation ? C'est ici que se présente la question a résoudre : la pelade est-elle ou non contagieus
Une femme peut-elle être accouchée sang le savoir? Telle est la question qui a été plusieurs fois posée en cour d'assises,
is il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet état. Or la question médico-légale se pose ordinairement ainsi : Une f
u se douter d'une substitution d'enfant, si elle avait eu lieu ? La question rappelée par M. Brouardel n'a donc pas perdu de s
ns l'article qui précède, il n'est pas douteux, que la jeune fille en question ne présente les symptômes ou plutôt les stigmates
hérapie est indiqué, et le cas où cette méthode doit être rejetée; la question des indications primant toutes les autres. Car il
e les effets de la thérapeutique qu'il a employée. L'historique de la question , la lente vulgarisation de l'électricité, la desc
La Société a décidé de laisser jusqu'à nouvel ordre en discussion la question du Délire chronique. Société de psychologie phy
actuellement je me contenterai d'indiquer ce qui se rapporte à cette question unique (1). Dans ces treize premières expérienc
tée un instant que j'étais resté dans la maison. Je laisse de côté la question de sa bonne foi. Sa bonne foi consciente n'est pa
bien faites. Le hasard ne donne pas de semblables coïncidences. La question n'est donc pas de savoir si le hasard peut donner
Si j'étais sûr de n'avoir donné aucune indication d'aucune espèce, la question pour moi serait jugée ; car, faisant une expérien
peu plus naïf ou un peu plus aveugle que je ne le suis. Je laisse la question en suspens et je formulerai ainsi ma conclusion f
titude que je crois à des faits habituels. Si je voulais traiter la question théoriquement, ce qu'à Dieu ne plaise ! je ferais
de tout autres résultats. Il y a donc lieu, non pas de regarder la question comme jugée, mais d'expérimenter encore, pour se
sser les défectuosités de nos tentatives, à M. Janet ci à moi, en une question si difficile. APPENDICE Je dois à l'obligea
fait observer, est, au point de vue du recrutement, considérable. La question de l'épilcpsic se pose à chaque instant devant le
on lui en faire porter la responsabilité ? Je ne discuterai pas cette question en ce moment. Je me bornerai à vous dire que
sion du passage de Donato à Turin, l'auteur passe en revue toutes les questions qui touchent à l'hypnotisme. Il nous apprend dans
la veille, état dont la limite est si difficile à établir, soulève la question philosophique du libre arbitre. Les lecteurs conn
la Salpêtrière, conduites avec une méthode rigoureuse et abordant la question par le côté clinique et nosographique, déterminen
rs déjà nommés : notamment de l'imagination. Pour ce qui regarde la question de l'imagination et des soi-disant malades imagin
le.sommeil nerveux, rien ne réveille, excepté le souffle. Ceci est question d'éducation : comme on peut endormir par plusieur
t de somnambulisme; mais un seul fait ne suffit pas pour résoudre une question si importante, et que je laisse pour le moment de
« Je savais que-l'Académie de médecine de Belgique était saisie de la question et qu elle aurait à se prononcer dans un délai ra
que. M. Rommeiaere constate que l'Académie n'a pas été saisie de la question , aucune communication à ce sujet ne lui ayant été
ans les intentions du gouvernement de voir l'Académie s'occuper de la question , puisqu'il croit qu'elle en est saisie. Dans ce
Secrétaire propose de nommer une commission chargée d'examiner cette question et de faire un rapport dans la prochaine séance.
s de l'année sous les neiges, en sont les ordinaires victimes. Sur la question de savoir dans quelles parties de la France l'hys
ment convoqué à Madrid, en avril et mai prochains, pour y traiter les questions théoriques et cliniques relatives à l'obstétrique
é à la hauteur de ses devanciers, au point de vue de l'importance des questions scientifiques qui y ont été abordées et traitées.
isin. A la section de pédagogie, présidée par M. Compayré, député, la question de la suggestion appliquée á la pédagogie a été t
e suffisante en la matière et s'abstenir de jugement précipité sur la question . Si nous réussissons, à Nancy, a influencer pre
ion de foi sommaire sur la matière. Aucune discussion ne tranchera la question ni pour, ni contre nous. Ce sont des faits que no
alles. La physionomie est maussade, sombre; elle ne répond a aueune question ; elle ne veut pas se laisser examiner; elle résis
s. — La suggestion a réussi. La malade est calme: elle répond à mes questions : elle me dit qu'elle a des rages qui la portent à
son entrée, sa physionomie est sombre, elle ne répond presque pas aux questions : elle accuse des douleurs dans la région précordi
s analogues. Mais l'Académie elle-même n'a pas cru devoir entendre la question au delà des limites dans lesquelles le gouverneme
conçu d'après la méthode physiologique et embrassant la totalité des questions . f L'Allemagne a le grand livre de Wundt. encor
es méthodes, l'éducation d'un autre milieu, ils donnent souvent à des questions rebattues un regain de fraîcheur et d'originalité
ées des anciens sur la nature de l'hystérie les ont entraînés, sur la question du régime alimentaire qui convient aux hystérique
C'est dans cet ordre que sont étudiées successivement les différentes questions qui se rattachent à la folie erotique. Ce livre e
n ce moment pour vous envoyer quelques vues d'ensemble sur les graves questions que soulève la suggestion ; peut-être pourrai-je
que vous vous êtes montré trop pressé. Cela dit, voici le passage en question : Quand j'ai commencé, vers le mois d'octobre 1
onserve la position fatigante qu'on donne aux bras ou aux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il ne répond pas. Pendant le somm
us avions cru devoir jusqu'alors négliger le côté psychologique de la question . Mais aujourd'hui que les applications de la su
qu'il s'agit de creuser. La médecine s'en est donc saisie comme d'une question de physiologie, de pathologie, de thérapeutique,
ion de la loi communale ? — Nous ne le pensons pas. Mais c'est là une question qui sort de notre compétence et qu'il ne nous app
ales, tantôt locales, ont été prises pour interdire les spectacles en question . Les autorités communales ne paraissent pas aujou
hez quelques hommes de science, au point qu'ils semblent en faire une question personnelle. Mais on nous rendra du moins cette j
Mais on nous rendra du moins cette justice, que nous avons traite la question au point de vue scientifique en nous appuyant sur
i chez les assistants. D'ailleurs, en mettant à l'ordre du jour une question qui n'a pas été soulevée par une demande du gouve
étiseurs. C'est le seul point sur lequel je veux lui répondre, car la question de savoir si l'Académie a le droit de s'occuper d
que l'Académie a chargé une commission de faire un rapport sur cette question . Je connais, pour ma part, cinq ou six cas, mai
cy et par les savants français et étrangers qui se sont occupés de la question ; et il résume, dans les deux propositions suivant
conde, la profession est-elle de nature à favoriser la pléthore? — La question est là. Et c'est là qu'est la pierre de touche po
DANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. Lu question de l'hypnotisme n'avait pas encore été traitée ju
10 (1934) Oeuvre scientifique
tion est d'écarter autant que possible de mon enseignement toute question susceptible d'être étudiée dans un livre aussi bi
elle du long supinateur ; faites exécuter ce mouvement au malade en question et vous constaterez que le long supinateur reste
s un bras ou dans une jambe et que vous constatiez que le membre en question soit oedématié, ou encore qu'il se développe des
renseignements qu'il fournit soit spontanément, soit en réponse aux questions qui lui sont posées. Voici quelques exemples de
e trouver quelques jours après l'entrée à l'hôpital de la malade en question et me tint ce langage : a Vous êtes dans l'erre
urnis par un sujet de bonne foi peuvent être inexacts parce que les questions posées par les personnes avec lesquelles il s'est
médiatement la nature de son mal et il répond affirmativement à ses questions ; il craindrait de passer autrement pour un sot
il craindrait de passer autrement pour un sot, surtout si les mêmes questions lui sont posées plusieurs fois. Il se persuade
, «qu'est-ce que je viens de faire ? » et jamais je ne lui pose ces questions : « Sentez- « vous ce que je fais ? » ou encore
nt, il s'agissait là d'une paraplégie par suggestion, créée par les questions pressantes et malencontreuses d'un père jouant, p
impotente. En réalité ce sont eux je n'en doute pas qui, par leurs questions , leur attitude, leurs propos inconsidérés, ont ca
s mythomanes sur lesquels j'ai appelé votre attention. C'est là une question qui mérite d'être posée et discutée, car toutes
es médecins savent mieux qu'autrefois éviter dans leurs examens les questions , les propos suscep- tibles de donner prise à ce
ignes subjectifs est faite par lui sans la prudence requise, si les questions qu'il pose sont, en quelque sorte, tendancieuse
s'agit bien d'un mou- vement réflexe ou d'un mouvement volontaire, question importante à résoudre, car il est à peine besoi
x qui, par l'intermédiaire de ces réflexes, répond avec netteté aux questions posées. Précieuses sont les révélations que l'o
sauf le tiers inférieur de la région cubitale dont il vient d'être question à propos du réflexe d'extension. Ordinairement,
x conclusions suivantes : Les cinq réflexes cardinaux dont il a été question précédemment exis- tent dans l'immense majorité
illes erreurs est proportionnée à la valeur clinique du symptôme en question . L'erreur qui consiste à méconnaître l'irréflec
ou même impossible de se former une opinion ferme. Cela devient une question d'impression qui a d'autant plus de chances d'êtr
1870. Cet auteur, en 1881, revenait plus particulièrement sur cette question et établissait que l'absence du réflexe rotulie
localisées. Nous ne les passerons pas toutes en revue ; il ne sera question ici que de la sciatique, qui est la plus commun
iégeant au-dessus des centres des réflexes tendineux ? Telle est la question que nous allons dis- cuter. Il est incontesta
flexes au-dessous de la lésion. Après la publication de Bastian, la question fut reprise expéri- mentalement, et voici les d
xpérimentale et ce que l'on observe chez l'homme ? Nous poserons la question sans la résoudre. On a rapporté un grand nombre
s longue, se comporter comme dans la forme habituelle dont il a été question précédemment. Mais contrairement à ce qui a lieu
ne nécessairement une hémiplégie organique permanente. Telle est la question que nous discuterons. Il importe avant tout d'é
egarde la première variété, je puis répondre par l'affirmative à la question posée. J'ai relaté (') l'observation d'un malade
r, ou bien d'un syndrome, comme d'autres le soutiennent ? C'est une question que nous n'avons pas à discuter ici. Quoi qu'
oute son intensité, le « réflexe paradoxal du coude » dont il a été question précédemment. Ce signe, comme nous l'avons vu,
ue toujours « l'inversion du réflexe du radius » dont il a déjà été question à propos de l'irréflectivité pure, mais qui acq
. Ces réflexes sont-ils susceptibles d'être exagérés ? C'est là une question complexe à laquelle il est impossible de répond
M. van Wonrkom, comme MM. Marie et Foix, englobe avec les réflexes en question l'extension réflexe du gros orteil. En se plaça
OLOGIE Mettons enfin en parallèle à la fois les trois phénomènes en question . Les divers modes suivant lesquels ils peuvent
réflexes de défense. Me voici maintenant en mesure de répondre à la question que j'ai posée après avoir montré que la contra
XES TENDINEUX ET HYSTÉRIE Avant de terminer, je désire examiner une question , longtemps contro- versée, sur laquelle il impo
posée depuis près de vingt ans, mon premier travail relatif à cette question datant de t83(2). Je suis revenu sur ce sujet à
ns partagent ma manière de voir. J'aurais donc le droit de tenir la question pour résolue et de la passer sous silence. Cepe
nnaître que je me suis trompé. Mais, jusqu'à maintenant, quoique la question ait été posée depuis plus de dix ans, personne n'
lors, il n'a été enregistré aucun fait infirmant mon opinion. La question me paraît donc définitivement jugée. Au point d
ale ou sous-corticale. Mais je ne m'attarderai pas à discuter cette question , pas plus que celle de la nature de cette lésio
conçoit qu'un défaut d'immobilisation de la cuisse, dans l'acte en question , doive entraver l'inclinaison du tronc en avant
t du tronc qui exprime simplement et avec précision le mouvement en question . Il est facile de comprendre pourquoi le mouvem
les lu5 t SEMIOLOGIE traités classiques on ne discute même pas la question de savoir si ce trouble peut servir à différenc
on plusieurs fois de suite et en même temps cherchez, en posant des questions au malade, à détourner son attention de ce que vo
En quoi consiste cette perturbation, ou, ce qui constitue la même question , en raison de quel état d'esprit un individu est-
ion que j'en ai donnée est juste, est dû à ce que dans les actes en question la contraction du peaucier est faible ou nulle
par imitation, au moins d'une manière approximative, le trouble en question ; aussi, quoique je ne l'aie jamais observé dans
effets soumis à la même variabilité. J'ai été amené à aborder la question du mécanisme des troubles hysté- riques. Comme
ion mentale, ni fabulation, ni hallucinations. Une des malades en question , examinée avec le Dr Langlois, agrégé de la Facul
e restait immobile, gardant le silence et se comportant comme si la question avait été adressée à une autre per- sonne. .l
, ou bien elle disait simplement : « Voilà ; c'est fait. » Comme la question de l'électrothérapie avait été discutée devant el
en quelque sorte et nous avaient demandé instamment d'éviter toute question pouvant détromper les malades et les troubler dan
as l'intention d'aborder ici l'étude du mécanisme des phénomènes en question . Il nous snllit d'indiquer que les diverses dénom
e ce réel discrédit. Pourtant, depuis une quinzaine d'années, cette question a été l'objet de nouvelles recherches. Schaef
ai cependant, jusqu'à plus ample informé, qu'il en est ainsi (cette question n'a, du reste, qu'une importance secondaire au
Paris, où l'on trouvera des renseignements complémentaires sur cette question . Voir également : Nicaud, T'lèse de Paris, juil
rtir le contraste essentiel entre les deux formes de contracture en question . Elle remplit d'ailleurs les condi- tions d'une
uite qu'il n'en est pas ainsi ; mais je crois pou- voir dire que la question est fort simple en ce qui regarde la clinique,
oie pyramidale. Mais, avant d'aller plus loin, je dois discuter les questions suivantes : les réactions signalées sont elles
st rapide, de courte durée, tandis que chez les malades dont il est question , l'attitude en flexion obtenue par l'excitation p
orteils ressemble à celle de la triple flexion. Mais envisageant la question du point de vue clinique et, comme je l'ai dit
ut guère subsister. Il écrit en effet : « J'arrive maintenant à une question encore plus importante peut-être que les précéden
is de ce travail le passage suivant : « Le fait intéressant pour la question qui nous occupe me semble être celui-ci : la po
dissoluble. » Contrairement à l'usage suivant lequel l'exposé d'une question est généralement précédé de l'indication des no
présenté au Congrès de Médecine de Paris en août 1900, entre autres questions qu'il aborde sur les réflexes cutanés et les ré
t devenues bien plus rares depuis que la connaissance des signes en question s'est répandue parmi les praticiens. Dans la pa
que, notamment dans les cas de compression de la moelle ? C'est une question que nous avons cherché à résoudre, Jarkowski et
eux que le chloroforme. Je ne puis entrer dans les détails de cette question ; je me contenterai de livrer comme document l'o
flexes de défense. « Me voici maintenant en mesure de répondre à la question que j'ai posée après avoir montré que la contra
es d'étiologie, de pronostic, de signification physiologique. (1) Questions de Neurologie d'Actualité. basson et Cie, éditeur
. Mais c'est là un point tout à fait secondaire. Pour le fond de la question , M. Foix confirme mes observations. Au contrair
bservations et à de nouvelles discussions. Le dernier mot sur cette question ne parait pas avoir été dit. Dans une communi
e programme. Je me suis proposé de traiter dans cette Conférence la question des réflexes de défense surtout en clinicien, e
ire quelques mots du méca- nisme de ces réflexes dont il a été déjà question , du reste. Vous avez vu que MM. Marie et Foix o
justesse, on peut se demander si, dans la genèse des phénomènes en question , l'élément « irritation » ne peut pas jouer aus
produite par le reliquat de la lésion ? Considérant maintenant la question d'un autre point de vue, je sou- mettrai quelqu
plus avancée que les réflexes de défense dont il a été précédemment question , période où les orteils servaient de griffe ? C
plantaire. ('2) Communication orale. 158 SÉMIOLOGIE de cette question l'objet de sa Thèse inaugurale ; mais l'extension
que dans son parcours centripète elle est arrêtée par le barrage en question et ne par- vient pas au centre encéphalique.
? J'avoue n'être pas en mesure de répondre catégoriquement à cette question . L'examen de l'oeil, pratiqué d'une manière com
e par le fez Chaillous, a donné un résultat négatif ; le trouble en question ne me parait donc pas lié à quel- que affection
és qui sont dus à la compression du récurrent ? Pour résoudre cette question , il faut de nouvelles observations ; j'in- vite
tre en parallèle. ... En résumé, les symptômes dont il vient d'être question ne sont pas, sans doute, absolument identiques
un cérébelleux d'autre part, on pourrait inférer que le trouble en question relève de l'une ou de l'autre cause. Mais ce que
ère, et les genoux sont portés en avant. Au contraire, le malade en question garde les jambes verti- cales et à peu près imm
n conçoit qu'un défaut d'immobilisation de la cuisse dans l'acte en question doive entraver l'inclination du tronc en avant et
régulatrice combinée à l'action excito-motrice dont il vient d'être question (action excito-motrice de renfort ayant pour co
ébelleuses, il en est peu qu'on puisse utiliser pour résoudre cette question . En effet, dans beaucoup d'observations on trouve
us nous occuperons d'abord des compen- sations et des associations, questions connexes sur lesquelles la pathologie expérimen
lorsqu'on les a détruits, on ne peut plus provoquer le phénomène en question , tan- dis que la destruction de la majeure part
e de Thomsen et il y est particulièrement accentué. Le phénomène en question , dans les cas que je présente, est facile à met
este dans les muscles du mollet, je disais ceci : « Le phénomène en question , dans les cas que je présente, est facile à mettr
ractures, les unes, qui ne s'accompagnent d'aucun des caractères en question , sont d'ordre psychopathique, hystérique, pithiat
ation commises en faisant des recherches bibliographiques sur cette question , ce qui tient sans doute à ce qu'on publie de p
e paralysie générale. Il répond cependant correctement aux quelques questions que je lui pose. Etant trop occupé ce jour pour
is son intelligence semble intacte, et il répond correcte- ment aux questions qu'on lui adresse. Il faut noter cependant une ap
'a trouvé normal. Le malade semble obnubilé, déprimé, ne répond aux questions qu'on lui pose que si on y met de l'insistance,
on doit être faite en temps opportun. Or, le plus ordinairement, la question de l'interven- tion, quand elle est soulevée, l
u'il s'est agi parfois d'une simple coïncidence, car les malades en question , ceux, en particulier, chez lesquels la néoplas
du reste préciser la nature. Je ne discuterai pas aujourd'hui la question du traitement; j'aurai peut-être l'occasion de
entes ? Je ne suis pas en mesure de résou- dre pour le moment cette question qui demande de nouvelles recherches. Je me cont
ologique, n° 4, avril 19211. A la dernière séance de la Société, la question de la section du spi- nal comme traitement du t
ce de la malade extrêmement pénible, je lui proposai l'opération en question qu'elle accepta et qui fut pratiquée par le 1) Ba
pas en mesure de répondre simplement un « oui » ou un « non » à une question concernant son état. Il est à remarquer que ce
ARKINSONIEN 277 l'aisance avec laquelle le sujet répond à certaines questions et l'impossi- bilité dans laquelle il se trouve
rkinsoniens ». « Quand il (le malade) veut parler ou répondre à une question , il en est pour ainsi dire toujours incapable,
marquée quand le malade est obligé de réfléchir pour répondre à une question ; elle s'atténue au contraire jusqu'à disparaître
quelque soit l'idée qu'on puisse se faire de leur mécanisme intime, question que nous n'avons pas l'intention de discuter.
nce de la persuasion, on n'est pas en droit de ranger le trouble en question dans la classe des manifestations hystériques,
l'équilibre volitionnel est réalisé. Ce n'est là, du reste, qu'une question de définition de mot. il J SYNDROME Cls'11131
ents tra- vaux français et étrangers. Mais, comme les phénomènes en question ne sont pas constants dans les affections attei
cause psychique nous a donné, dans le cas pathologique dont il est question ici, exactement les mêmes résultats que les réf
e vue de ce qui m'oc- cupe principalement ici, que sur ces diverses questions il soit impossible de se prononcer. Ce sont l
otilité volon- taire et leur autonomie en augmente l'intérêt. Une question se présente tout naturellement à l'esprit : s'agi
rolongée la fatigue et les diverses réponses qu'elle fait alors aux questions qu'on lui pose ne sont pas en tous points conco
inférieurs est aussi normale. La malade délire et ne répond pas aux questions qu'on lui pose. A la fin de février, l'attitude
onc qu'une contracture très forte, d'origine organique il n'est pas question ici, bien entendu, de contracture hystérique n'
tous les cas de paraplégie spasmodique de la forme dont il est ici question . Il est difficile de ne pas être frappé par ce
xacte que ce syndrome doit avoir en nosologie, ce qui constitue une question controversée (2), je rappel- lerai seulement qu
emme, qui présente à un degré très marqué la forme de paraplégie en question , sont dans un état de raideur qui rend l'explora-
téguments, ils sont toujours notablement exagérés. Les réflexes en question peuvent varier dans leur forme suivant le point
ffer et de l'empêcher de s'engourdir. C'est dire qu'il ne peut être question ici d'un syndrome provoqué par une immobilisati
syphilis cérébro-spinale que de tabès ; sans discuter à fond cette question , je me contenterai de faire remarquer que le tabè
s y invitent pas et qui se montrent même parfois fort surprises des questions qu'on leur pose à cet égard. Tel individu, par
genre d'erreur : une excitation de la peau au-dessus de la zone en question peut, surtout si elle est douloureuse, donner l
était possible de déclencher les réflexes de défense. « C'est une question que nous avons cherché à résoudre, Jarkowski el m
avec certitude les compressions de ce genre, et voilà une première question qu'il faut tâcher de résoudre. C'est bien moins
) et l'épreuve de Sicard-Forestier. Les données séméio- logiques en question conduisaient déjà au diagnostic probable de compr
i parmi les causes susceptibles de pro- voquer les complications en question et dont la plupart paraissent impos- sibles à é
e donnée pratique à retenir- qu'un résultat négatif de l'épreuve en question n'est pas en oppo- sition avec le diagnostic de
s d'avec celles qui siègent en dehors des mé- ninges ? C'est là une question que de nouvelles observations pourront seules r
t un peu plus complexe, sans être, croyons-nous, inextricable. Deux questions se posent. Première question : Pourquoi, malgré
tre, croyons-nous, inextricable. Deux questions se posent. Première question : Pourquoi, malgré l'existence incontestable d'un
ion du mouvement d'extension du pied à celui de flexion. Deuxième question : Mais, et nous arrivons ainsi au point le plus d
Fig. 68. 428 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE tumeurs en question , il nous est arrivé de constater au niveau de la
ène. Quelle est l'origine de cette méningite fibrineuse ? C'est une question qui ne peut être pour le moment résolue d'une m
ge d'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, le signe en question fait défaut. » Cette notion, confirmée d'abord
i les signes que j'ai passés en revue se trouvent les caractères en question : ce sont l'unilatéralité des mouvements anorma
ation du noyau du facial ou du nerf dans son trajet bulbaire. Une question doit être maintenant posée. L'hémispasme avec les
es des affections indépendantes ? Nous ne discuterons pas ici cette question , qui est traitée dans les ouvrages que nous avons
que de la localisation de l'affection, (') Pour l'historique de la question et la description complète de la myopathie, voir
ains muscles sont-ils réfractaires à V affection ? } Ce sont là des questions qui doivent être posées. - La myopathie étant u
li- querait très bien les anomalies. Voici maintenant deux autres questions qui peuvent être posées au sujet des myopathies
ystrophie musculaire progressive nous permettent de fournir sur ces questions quel- ques données nouvelles. Nous présentons
éfinie, dans son esprit, à sa façon. Mais pour s'entendre sur les questions relatives à l'hystérie, qui sont encore l'objet
les caractères de la définition proposée; c'est tout bonnement une question d'observation et d'expérimentation cliniques.
t nécessaire que la relation de cause à effet entre les troubles en question et une manifes- DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE 463
ses prédécesseurs en montrant que les phénomènes névropathiques en question étaient communs chez l'homme, chez l'enfant, av
rd, sans compter les attaques et les anesthésies dont il a été déjà question , les paralysies qui pourraient revêtir toutes sor
utenu par le D" Bernheim, de Nancy. L'interrogatoire du malade, les questions qu'on lui pose ordi- nairement, quand on explor
, qu'est-ce que je viens de faire ? », et jamais je ne lui pose ces questions : « Sentez-vous ce que je fais ? » ou encore : «
ontrac- tures, l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle dont il a été question plus haut, que les médecins sont unanimes à con
; le guérisseur agit par persuasion. D'ailleurs, ce n'est là qu'une question secondaire au point de vue de la délimitation d
ures. Les limites de cette conférence m'empêchent de discuter cette question dans ses détails (') et je me contenterai d'attir
urir les bulletins de la Société de Neuro- logie de Paris, où cette question a été discutée plusieurs fois ; néanmoins, il y
ent étrangère à cette névrose. Je ne m'attarderai pas à discuter la question de la folie hystérique ; je suis d'avis que cet
pourrait avoir le même effet et il ne saurait, en pareil cas, être question de fièvre hystérique. L'hystérie. malgré l'élim
tout simplement des accidents simulés. Voici mon opinion sur cette question , qui mérite d'être posée et discutée. De l'obse
- nément sous l'influence de l'autosuggestion, mais ce n'est qu'une question de nuances et nous avons vu, du reste, que les
il est vrai, tend à accepter cette manière de voir. Je prévois une question que vous serez tenté de me faire : si hypnotiser,
subconscient ; c'est en quelque sorte un demi-simulateur. Aussi la question de la simulation doit-elle se poser toutes les
s qui semblent le plus attachés à la conception traditionnelle. Une question importante qui est un complément de celle que nou
t préférable de donner à ce mot un sens péjoratif. C'est encore une question de convention. Mais ce qui est inconteslable, c
érent de la suggestion ? Il est encore impossible de résoudre cette question d'une façon définitive. Je suis arrivé, par exe
te la manoeuvre un grand nombre de fois, et, en même temps, par des questions et des ordres de toute sorte, je cherche à déto
t la plus intéressante pour le médecin, l'idée que les accidents en question peuvent, sous l'in- fluence de la persuasion se
créée par les ten- tatives de suggestion que les manifestations en question se développent, et celles-ci, une fois qu'elles
si l'on continuera à faire usage du mot hystérie. Ce n'est plus une question de logique, mais encore simple affaire de conve
, en se fondant sur de pareils faits, que les états nosologiques en question se composent de deux ordres de manifestations,
surveillera attentivement ses paroles, se rappelant toujours qu'une question mal posée ou une ré- flexion inopportune peut ê
eptionnel. Il serait bon aussi, à cette occa- sion, de reprendre la question fondamentale en médecine légale, des rap- ports
orme très commune où le sujet, les yeux fermés, parle et répond aux questions qu'on lui pose. DE L'HYPNOTISME EN THÉRAPEUTIQU
tement ce que l'on pensait autre- fois ? Nous allons discuter cette question point par point. 5m HYST £ RIE-PITHlJ1TfSME R
choisi, il commence par rire, par affirmer qu'ignorant l'idiome en question , il ne peut me satisfaire. J'insiste, je lui ré
c) Dans l'état dit léthargique, le sujet est-il inconscient ? A cette question je répondrai encore par la négative. Les consid
nner à lui, soit en la violant pendant le sommeil léthargique ! Ces questions ont été posées déjà devant les tribunaux et elles
elle tenait à ce qu'on ignorait l'action inconsciente que, par ses questions et par son attitude, le médecin peut avoir sur la
l'opinion unani- mement admise autrefois ! Avant d'aborder cette question , il importe de la poser en termes précis. Sans
ignements très circonstanciés qu'il nous a four- nis en réponse aux questions que nous lui avons posées, n'a pas vu se dévelo
e n'ont pas cessé de provoquer des commotions morales. Une nouvelle question se pose. Les états affectifs, que nous avons dis-
faible soit-il. De plus, dans les faits considérés ici, il n'est pas question d'idées de ce genre ; il s'agit d'idées qui env
on des phénomènes psycho-somatiques explique bien des erreurs. « La question nous paraît d'ailleurs moins insoluble qu'on ne l
notre observation depuis quinze ans, et jamais l'hémianesthésie en question n'a cessé, lors de nos exa- mens souvent répété
années, n'ayant pas rencontré de sujets présentant les stigmates en question , je n'ai pas eu l'occasion de faire disparaître
f YS l' l l ! l B - P l TIll lt l' 1 S M E Il y a beaucoup d'autres questions relatives à l'hystérie qui pourraient être disc
lui appartiennent. Les troubles ne présentant pas les attributs en question ne peuvent être rangés dans ce groupe. Doivent
état d'hébétude dans lequel l'homme ne remue pas, ne répond pas aux questions , la tachycardie, la tachypnée, la miction. A ce
isme local (plaie par balle, plaie par éclat d'obus, contusion), la question est relativement simple : les douleurs, les troub
d'obus de gros calibre, de minenwerfer et de mines souterraines, la question est plus complexe. Les associations hystéro-org
indications pratiques et en nous arrêtant tout particulièrement aux questions qui, étant encore l'objet de controverses, méri
ispositif dont l'emploi lui aurait permis pensait-il de résoudre la question en litige. Voici comment il procéda dans un cas o
dont nous venons de nous occuper. Les faits dont il vient d'être question n'autorisent donc pas à admettre que la contrac
ssion au cours de laquelle Roger fit les remarques suivantes : « La question des oedèmes hystériques me parait actuellement
déjà formulé cette objection pour l'un de ces faits à propos de la question de la persistance des contractures pendant le s
réflexe dépendant d'une perturbation du système sympathique. Cette question , d'importance pri- mordiale tant au point de vu
: « Réformes, Incapacités, Gra- tifications dans les Névroses » les questions dont nous nous sommes occupés dans ce livre ont
déclarant que, pour les accidents hystériques purs, il ne doit être question ni de réforme, ni de gratification, les représent
même que cette pathogénie soit encore contestable, les troubles en question , quelle que soit la dénomination qu'on leur donne
de simples rétractions tendineuses. Pour résoudre cette dernière question , il nous parut bon de soumettre ce malade à la
s hystériques ? S'agit-il de phénomènes d'un autre ordre ? C'est la question qui a préoccupé tous ces auteurs. Ils la résolv
as seule en cause. Examinant de nouveau les malades dont il a été question précédem- ment et chez lesquels l'observation p
e nous faisons d'ailleurs des réserves. « On sait, écrit-il, que la question de l'abolition des réflexes cutanés et notamment
formule qui permette de résoudre toujours d'une manière précise la question posée. Nous devons nous bor- ner à donner quelq
apables de produire une paraplégie crurale. Les troubles moteurs en question , ne s'accompagnant du reste d'aucun des signes
ennent au système céré- bro-spinal ou au système sympathique, et la question est de peu d'impor- tance étant donné les relat
autorisé que les moyens employés d'ordinaire contre les troubles en question sont généralement inefficaces et que, faite avec
au qu'elles occupent. Je ne m'occuperai pas ici de cette première question . Je me contenterai de faire remarquer que, si l
'agisse pas là d'une nouveauté et, sans faire l'historique de cette question , je rappellerai que c'est à Gowers que revient
nde importance pra- tique si la deuxième hypothèse se vérifiait. La question ne peut être résolue pour le moment, mais en fa
s se passent parfois ainsi, mais comme je l'ai dit, il ne peut être question ici de mal de Pott. En réalité, en dehors du ma
11 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ns quelques explications pour bien préciser ma manière de voir sur la question débattue. * * * Tout d'abord, afin de proveni
(signes parlés, écrits, visuels, auditifs, tactiles, etc.) qu'il est question . * Opérant sur un individu que j'ai soumis pr
is. Notre Société ayant pour mission et pour coutume d'envisager la question de l'hypnotisme à tous ses points de vue, il m'a
ant son feu entre cette parente et sa femme. Dans la conversation, la question de l'hypnotisme ayant été de nouveau abordée, ces
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ous avons reçu de lui des mémoires originaux ayant trait à toutes les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychothéra
convictions, la largeur de vues avec laquelle il abordait toutes les questions , lui avaient créé, même parmi ses adversaires sci
depuis le premier congrès de psychologie tenu à Paris en 1889. Les questions de psychologie les plus diverses ont été abordées
et de psychologie de Paris. Parmi les discussions soulevées par des questions d'hypnotisme, nous citerons celle à laquelle a do
, de Lausanne, et Vogt, d'Alexanderbaden. On peut regretter que les questions d'hypnotisme et de psychothérapie n'aient pu être
n exercée directement sur l'homme par l'homme et par le milieu. Les questions d'hypnotisme et de psychothérapie et de psycholog
attribuer au courant qui, en Allemagne, entraine les esprits vers les questions philosophiques. Les professeurs Lipps et Stümpf,
iseur sur sur ces sujets? C'est ici le nœud et le point délicat de la question . Allant au-devant de nos interrogations, M. Dor
ubconsciences ? Je ne le pense pas ; d'abord parce que dans le cas en question nous supposons que l'amorçage par la superconscie
oprement dite ? Je vais jeter un coup d'œil sur ce nouveau côté de la question . » - Mes excellents amis de l'École de Nancy
bservations assez nombreuses et longtemps continuées pour résoudre la question aux yeux des sceptiques, elle a déjà montré « jus
parties brusquement interrompues, nous obtînmes, après de nombreuses questions , cet aveu qu'elle éprouvait, dans une voilure fer
Bechterew, qui relate le fait, a pu se rendre compte que la femme en question dilatait sa pupille droite à volonté. En outre, l
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
qu'au Congrès qui se tiendra à Toulouse en 1897, seront traitées les questions suivantes : 1° Diagnostic différentiel de la pa
sepsie. Inutile de dire qu'il ne connaissait pas le premier mot de la question . Nous ne pouvons que regretter d'avoir vu un espr
blications de l'Ecole de Paris sur l'hypnotisme, M. Richet plaçait la question sur un terrain rigoureusement scientifique. En i8
t la plus grande place,dans les rapports et dans les discussions, aux questions d'hypnotisme relatives à la pratique journalière
énérales sur l'hypnotisme : « En fait d'hypnotisme, il y a bien des questions déjà résolues. Personne n'ose plus parler de simu
ntat à la pudeur ont été prononcées sur des témoignages d'enfants. La question présentait donc un grand intérêt, car notre commu
ignages des enfants a été soumise à une plus juste appréciation. La question des faux témoignages suggérés chez les adultes re
influences qui ont pu agir sur tel ou tel témoin et d'appeler sur ces questions l'attention des jurés et des magistrats. 5° La
, dans les siècles passés, à recourir aux ordalies, aux tortures, aux questions ordinaire et extraordinaire. La connaissance des
punir avec le bénéfice de la loi Bérenger, mais s'il y a récidive, la question d'internement doit se poser. Pour les autres, m
pour entraîner notre conviction scientifique. Pour répondre à cette question , nous trouvons d'abord des documents très importa
e sujet passif ; 2° le sujet actif connaît les faits ou les objets en question , parce qu'il les a appris ou les a vus d'une faço
es cheveux ; elle était concentrée en elle-même, ne répondait pas aux questions qu'on lui adressait. - 19 mai. — On suggestionn
ses, en particulier de chancres mous. Congrès de Moscou Voici les questions proposées par les alienistes et neuropathologiste
où elles sont guérissables au stade inguérissable, en rapport avec la question des guérisons tardives et de la démence précoce ;
entaux ; 5° Transformation des asiles d'aliénés, en rapport avec la question du traitement parle repos au lit et l'installatio
senté aux savants étrangers et russes qui auront à choisir, parmi ces questions , 6 des plus intéressantes (3 pour les maladies me
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
du travers de disser. ter, dans le silence du cabinet, sur toutes les questions dont d'autres ont fait l'objet d'études approfond
nce de la presse sur la genèse de la criminalité? Incidemment cette question a été posée aux précédents congrès d'Anthropologi
on n'en avait pas fait l'objet d'un rapport. Pour l'avenir de cette question , il est heureux qu'elle se discute pour la premiè
ssant de leur pleine raison. Cependant— et c'est en quelque sorte une question de dose individuelle — s'il suffit d'un seul appe
le terrain et amener la prédisposition. Il est un autre côté de la question que je ne puis passer sous silence.. Voici un ind
c'est la maladie qui sommeille. » Legrand du Saulle expose ainsi la question : « C'est d'abord avec une répulsion profonde que
sses2. » Paul Moreau de Tours nous présente ainsi la solution de la question : « Quelle est la cause déterminante la plus gé
dont le mode d'action est le moins mystérieux ? Pour répondre à cette question , qu'il nous suffise de rappeler ce qui se passe d
prendra la société pour arriver à ce but? Avant de répondre à cette question , examinons un peu la législation de la presse dan
e qu'auparavant, mais sur le dos des colporteurs. . En Autriche, la question a fait un pas de plus. Al'instigation de M. Lamma
ective à cette proposition. Cependant il est très important que cette question ait été posée aussi nettement devant une chambre
iative d'un congrès international de la presse et qu'ils posent cette question . Je ne doute pas un seul moment que la masse des
du degré de sens-moral dont est capable l'agent, et avant toute autre question , celle de la responsabilité doit se poser, à moin
econd doit sauvegarder la société ; mais dans l'expertise médicale la question n'est pas posée sur ce terrain. Avant toute procé
la question n'est pas posée sur ce terrain. Avant toute procédure une question préalable doit être résolue : un tel jouit-il oui
Régnault, ont prétendu que le bon sens pouvait suffire à résoudre la question . Vraiment, de tels magistrats nous font un peu l'
eine? Or, nous le repétons, avant toute procédure il faut résoudre la question primordiale : Un tel est-il responsable ? Et si c
dre la question primordiale : Un tel est-il responsable ? Et si cette question est posée au magistrat, pourra-t-il en donner une
ilité est indiscutable, et parce qu'il répond encore à peu près à des questions simples et qu'il avoue son délit avec une ingénui
agistrats. » Les citations que nous venons de faire montrent que la question que nous avons abordée a déjà fait un grand pas,
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
lieu d'en ajouter une nouvelle, le somnambulisme alcoolique ? Cette question présente évidemment un haut intérêt au point de v
ons pu faire pour le déterminer à parler, il n'a jamais répondu à nos questions . 11 paraissait avoir complètement perdu l'usage d
s tard, il présente des troubles intellectuels si prononcés qu'il est question de le placer à Maréville. Il lui est tout à fait
inement conscients de la veille. Mais, au point de vue pratique, la question est en somme oiseuse : car, si chez le somnambule
rsonnelle de l'opérateur, tout à fait distincte de la suggestion ? La question , à notre avis, doit rester ouverte : ceux-là se t
oduisit d'ailleurs invariablement chaque fois que je lui posais cette question dans la suite. Après un quart d'heure environ de
nt très saillant de ce côté. La présence de ces lésions soulève des questions très délicates. Leur siège était tel, qu'on conço
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
). Je citerai, parmi ceux que j'ai sous les yeux : Essai sur quelques questions de grammaire raisonnèe : i" série, langue grecque
en ce peu de pages, si difficile d'exposer seulement les principales questions soulevées, que nous devons nous borner aune simpl
sai de logique scientifique : Prolégomènes .suivis d'une Etude sur la question du mouvement, considérée dans ses rapports avec l
reprises, le savant professeur de Liège a consacrées à d'importantes questions de biologie, sont, croyons-nous, de celles qui lu
rôni'-noùs ? Revue philosophique, 1891, I, 243. mémoire sur cette question : Pourquoi mourons-nous ?x II est le complément d
, en font d'admirables sujets d'observation etd'expérience. Nombre de questions inabordables avec les autres êtres, à cause des e
rand, qui la combattait fortements. Et, un peu plus tard — tant cette question de la liberté sollicite les penseurs, — M. Dubois
Félix Regnault. Un acte étant donné, quelle en est la cause ? Cette question , simple en apparence, peut recevoir un grand nomb
les, tandis que la maladie des tics est tenace ; or, chez le sujet en question , par différents moyens de traitement, en particul
n fils le Dr Jean Charcot était absent de Paris. Mis au courant de la question dès son retour, il s'est empressé de se rendre au
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
, il se procura les deux seuls ouvrages que possédât alors, sur cette question , la bibliothèque de sa ville natale : le Traité d
Hyp-nolisme devant les Chambres législatives belges2. Entre temps, la question avait été résolue, contrairement à ses vues, par
te opinion. Dans la polémique par lui soutenue, en Belgique, sur la question des représentations publiques d'hypnotisme, Delbœ
au commencement de 1892, j'ai exposé dans la Revue philosophique2 la question des suggestions criminelles, la plus grave assuré
lée qui devait se réunir à Munich, un Rapport sur l'Etat actuel de la question des suggestions criminelles. La même demande avai
a publié, dans la Revue de l'Hypnotisme, de nombreux articles sur les questions les plus diverses. En voici le relevé: 1° Les s
arwinisme et les plus épineux problèmes de biologie, sans compter les questions grammaticales et philologiques. Partout, il a enf
, et j'y souscris entièrement. Sans doute, dans le grand nombre des questions traitées par Delbœuf, il n'a pu se croire assuré
oir pour lui une si haute estime, l'auteur traite à fond la difficile question de philosophie naturelle qu'il a abordée. Voici l
nt valable ? Alexandre Dumas père a déjà résolu, il y a longtemps, la question au point de vue pratique dans son roman de Monte-
matière la difficulté n'est pas seulement l'expression des idées, la question médico-légale est de décider si l'état mental du
s dans le texte. Le livre écrit par le Dr Félix Regnault touche aux questions les plus importantes de la vie sociale, et il a r
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
t adopté. La séance entière est consacrée à l'étude de l'importante question mise à l'ordre du jour : De la capacité civile de
également à nos confrères le chapitre où il est tout particulièrement question du haschiche et de ses effets hypnotiques. « Il y
ldiz, nos confrères trouveront un chapitre où il est assez longuement question de l'état hypnotique provoqué par lu musique. L
pendant devant les Tribunaux qui m'amène à soumettre à la Société la question suivante : « Un morphinomane doit-il être considé
t de besoin revient avec périodicité constante. Si j'ai souleva cette question , c'est parce que nous savons tous que beaucoup d'
nullement Identité entre folie et morphi-nomanie. m. Bérillon. — La question que j'ai soulevée avait sa raison d'être, puisqu'
hologie expérimentale, c'est-à-dire depuis une quinzaine d'années, la question est en permanence à l'ordre du jour. Feuilletez,
ent les autoriser sans-condition. C'est donc surtout, à mon sens, une question de circonstances et de mesure. Or, Sganarelle,
arcot, Liébeault, Dumontpalier, Bernheim, et bien d'autres encore. La question est trop complète et trop haute pour qu'on puisse
es tenu de ne point manquer d'esprit. Répondez avec bonne grâce à une question posée sans amertume. Vous dites au cours- de.vo
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ce médicale se tiendra à Bruxelles au mois d'août prochain. Parmi les questions mises à l'ordre du jour, citons : L'hypnotisme et
t dans ce sommeil, tu auras conscience de m'obéir, tu répondras à mes questions et tu guériras : allons, dors, dors. » Et variant
regard), de la perception rétinienne (acuité visuelle, champ visuel), questions trop spéciales pour y insister outre mesure, me c
it d'une façon remarquable : il répondait rapidement et nettement aux questions posées, et son facies n'exprimait plus l'hébé
cet ouvrage furent vendus en peu de mois. A la séance dont il a été question plus haut, Braid avait observé que la condition m
elle proprement dite, (Par exemple : recherche de la solution d'une question difficile, participation à une discussion ardue,
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme çtde la psychologie
e m'empresse de le reconnaître, puisque je ne m'occupe que peu de ces questions , ils seraient dus au vif désir de devenir mère. E
informer si son mari en avait encore pour longtemps à vivre. Et à mes questions sur ce changement moral et physique elle me répon
essionnable, plus névropathique si j'osais ainsi dire. Une dernière question se présente : pour ramener les règles chez Emma X
mme MM. Variot et Jullien, poursuivi d'intéressantes études sur cette question . Ce concours ne leur serait certainement pas re
dit-il, il est obligé de traduire en grec, sa langue maternelle, les questions qui lui sont posées en français; enfin, il lui es
sujet y sont devenues plus intenses, je crois expliquer clairement la question et la rendre intelligible à la conception imparti
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ril. Des conférences complémentaires et exercices pratiques sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
crétaire général propose de mettre à l'ordre du jour de la Société la question de la suggestion envisagée au point de vue de la
de la captation des testaments. Cette proposition est adoptée. Une question , posée par M. le Dr Pau de Saint-Martin, au sujet
er, A. Voisin, Desjardin de Régla et Valentin, d'où il résulte que la question de l'influence à distance du fluide nerveux sur l
un seul instant. Ces faits apportent ainsi la meilleure réponse à la question souvent posée : " Les résultats des applications
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent do l'hypnotisme etde la psychologie
anc. Des conférences complémentaires et exercices pratiques sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ux, nous devons signaler les suivants : IV. — Médecine mentale. — i1* question : De la responsabilité, notamment de la responsab
sabilité partielle. Rapporteur : M. le Br de Bœck, de Bruxelles. 2e question : L'hypnotisme dans ses rapports avec la criminal
ification usuelle. Les rapports du moral et du physiquo forment une question très ancienne dont la solution unique n'a jamais
itales, les fleuves baignant ces capitales, etc. Il sait répondre aux questions sur les guerres de Trente ans et de Sept ans, sur
onnu, comme par exemple d'un grand homme étranger, il vous accable de questions sur la biographie de ce dernier, et toutes les pa
onvient de meubler ou de développer l'intelligence de l'enfant; cette question est ussurément l'une de celles qui embarrassent l
au seuil même de la vie ou moralement abandonnés. Parmi les diverses questions traitées, signalons les suivantes : de l'éducatio
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
. Rapporteur : Dr Milne Bramwell, de Londres (Angleterre). — II. La question des suggestions criminelles. Ses origines, son ét
12 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
encore des expériences plus décisives? lui demandai-je. » « A cette question , les lilles qui étaient présentes s’enfuirent dan
se réaliser à la lettre. » On le voit, dans tout ceci, il n’est pas question d’esprits ; les auteurs ne mettent en jeu que les
, c’est un sacerdoce. Après avoir traité, à sa façon, les plus graves questions de morale, de religion, de science sociale, il a
n but sérieux, il a voulu appeler l’attention du public sur la grande question de la divination ; il a voulu relever les science
nne les moyens de soulever le voile qui nous en dérobe la vue ? A ces questions le savant hausse les épaules de pitié, ne daigne
concilier le libre arbitre et la pré* vision, peu importe quant à la question qui nous occupe. Ne croit-on que ce qu’on expliqu
, que c’eut sa destinée, que rien ne peut la détourner ; fatiguée des questions qui lui sont adressées, et persuadée que son arrê
t donne sa propre manière de voir à cet égard. C’est là le nœud de la question . Voyons comment il l’interprète. « Je crois, di
, et dans un langage plus mesuré, les droits du magnétisme dans cette question . Si, au lieu d’invoquer des suppositions métaphys
x , que je reçus effectivement quelques jours après. Le monsieur en question n’était autre que ma femme, partie de Lyon depuis
était enceinte... Rassuré sur ce point, M. Monnereau recommença ses questions : « Ma mie ; es-tu bien sûre que cette dame soi
e M. Magendie n’ont pas non plus donné la solution de ce problème. La question est-elle entièrement neuve? Il n’en est heureusem
ans une pile. « Cette découverte dominera la plus grande partie des questions médicales. Elle r. déjà jeté de vives lumières su
de quelque point de vue qu’ils envisagent cette grande et importante question . « Je crois avoir suffisamment démontré, dans l
I)r (’.arpenter, Cyclopœdia of Anatomy and Physiology, dans lequel la question du somnambulisme est largement traitée. Voici cet
les événements du jour précédent ; et, si 011 l’encourageait par des questions qui la guidassent, elle rendait un compte très-di
tat de sommeil parlant ; et, si l’interlocuteur lui adres- sait des questions ou observations qui ¡rentraient pas dans le cours
si dans la tendance de la part des assistants à venir en aide par des questions suggestives ou dirigeantes et par leur disposit
bras que le sujet tient hori- zontalement étendu sur une table. Aux questions posées, telles que celles-ci : «Combien ai-je d
l’extatique revint au somnambulisme. Le grand Condé lui fit alors les questions suivantes : « Est-ce bien l’esprit de Charles q
e lu dernièrement à la Société par M. Arnette, me semble répondre aux questions que je viens de poser et servir de conclusion à m
thèse, dit-on, à l’aide de laquelle on peut expliquer le phénomène en question . Mais sur quoi repose-t-elle cette hypothèse? sur
pe, j’espère que l’analyse à laquelle je me suis livré simplifiera la question , et qu’à ce titre vous voudrez bien lui faire un
nt à extraire de chacun de ces chapitres tout ce qui se rattache à la question du magnétisme humain, traitée avec tant de profon
nt dans le vif de la matière, pose et résout très-nettement la grande question physiologique du fluide nerveux ou principe vital
que et satisfaisante qu’on peut en donner. Nous l’avons dit, plus une question est compliquée et renferme de relations, c’est-à-
réunir de connaissances pour l’embrasser dans toutes ses parties. La question de l’électrisation humaine est de ce genre; tous
araissent indispensables pour étudier et expliquer convenablement une question si épineuse. On comprendra l’importance de cette
résultats nouveaux de la science ! Qu’on en juge par l’histoire de la question présente. A en croire certains auteurs, il fallai
, et le somnambulisme qui l’accompagne quelquefois, existent, est une question qui ne peut être résolue que par les faits eux-mê
érience personnelle que tout homme peut avoir en tout temps sur cette question , nous disons que celui qui, dégagé de tout préjug
nt à présent, et s’il m’arrive de pouvoir donner une solution à cette question , il faudra qu’elle soit aussi évidente et aussi i
et précisée. Il me confia en secret le nom de la victime dont il est question . Je vous en ferai part à vous seul quand l’occasi
osé d’un fait de clairvoyance qui, par sa coïncidence avec le pari en question , a promptement fait disparaître l’impression fâc
« Peu de jours après ceci, il arriva que la femme du propriétaire en question tomba malade, se plaignant, dit-on, de douleurs
minutes de passes magnétiques, profondément endormi et répondant aux questions que lui adressait le docteur; parlant de sa malad
e me hâtai d’appeler tout le monde de la maison, et je renouvelai mes questions , qui furent suivies des mêmes réponses. Je repris
es n'aurait pas dû se placer à un point de vue unique et n’étudier la question du magnétisme que du côté qui pouvait satisfaire
i le concours de la physiologie, qu’il considère ici comme hors de la question , parceque «enfermée dans la recherche des causes
ans des tissus, a-t-on défini et trouvé quelle était sa nature? Et la question n’est-elle pas seulement déplacée? Ainsi, quand l
Quant à nous, nous pensons que le ma-gétisme est appelé à élucider la question si controversée de l’existence d'un agent impondé
qu’une pensée dirigée vers un certain but? 11 y a dans cette seule question , envisagée sous ce jour nouveau, matière à d’impo
et qui en citent de nombreux exemples. Sans nous prononcer sur cette question , nous nous bornerons à dire que nous croyons tout
ne nous sentons point disposés à suivre M. Ragon dans une voie où la question théologique nous semble mêlée à un tel point avec
e où la question théologique nous semble mêlée à un tel point avec la question scientifique, qu’il y aurait des volumes de contr
ous répondrons hardiment, et de la manière la plus affirmative, à une question de l’auteur, et qui semble l’embarrasser et le la
indiquée, et je la ir.a-gnétisai de suite ; je lui adressai les mômes questions ; les réponses furent analogues. La malade nous d
cte reprendrait ses forces, et les accès reviendraient. » Après ces questions , la malade demande une demi-heure de sommeil, pui
se en présence de JIM. les D" Xeser et Gros. Je renouvelle toutes les questions de la veille, les réponses sont les mêmes. La mal
. A cinq heures du soir, je la magnétise en présence de sa mère. A ma question , que je lui adresse en allemand, comme toujours,
’honorable M. Ogier taille et rogne en plein drap dans les difficiles questions soulevées par le phénomène des tables tournantes,
aphe dans lequel M. Ogier croit traiter et trancher en trois pages la question des medium, il affirme : 1“ Que l’esprit d’un c
après un examen léger de quelques semaines que l’on peut trancher ces questions . 11 faut, ou ne pas s’en mêler, ou s’en occuper
e. 11 n’est pas exact de dire que j’ai la prétention de trancher la question des médiums. Je déclare au contraire n'avoir pas
mesméristes, praticiens ou littérateurs, ont passé à côté des grandes questions métaphysiques, physiologiques et physiquesdontils
pôtres. « L’attention publique est vivement excitée ; il n’est plus question que du fameux baquet de Mesmer. La vogue y attire
a été inspirée par la lecture de diverses publications récentes où la question du magnétisme est traitée d'un point de vue ultra
ARIÉTÉS. Tribunaux. — Voici le compte rendu du procès dont il a été question dans notre dernier numéro : TRIBUNAL CORRECTION
n’intenta point de poursuite. Elle a payé 10 fr. « N’a-t-il pas été question d’une consultation générale du prix de 50 fr., au
la Liberté, atteste que sa femme a consulté Mm* Mongruel sur diverses questions de famille, et que celle-ci a fait preuve d’une r
omnambule, qu’elle ne dort pas, qu’elle n’est pas lucide. Or, si la question scientifique du magnétisme .était mise en jeu, le
en jeu, le tribunal ne saurait s’ériger en académie pour trancher la question qui préoccupe si vivement tous les savants de not
pres aveux, à une peine sévère ; « Attendu que, sans entrer dans la question délicate de sa- voir quelle est la valeur scien
olonté. » Voilà donc le dernier mot de l’Académie sur les faits en. question ; voilà jusqu’où va la science officielle dans son
ULAIRE. Messieurs et chers collègues, En choisissant l’importante question qui fait le sujet de la thèse que je viens aujour
juin lSjS. 11 vanciers et moi et trouveront beaucoup à dire sur une question dont l'étendue n’a pour ainsi dire point de limit
édecin parent de sa femme afin qu’il me fit l’ouverture de l’abcès en question . Après l’opération, ce médecin me déclara que je
i il n’est pas de semaine que nous n’ayons à subir et à répondre à la question suivante : Le diable n’y est pour rien, au moinsf
te : Le diable n’y est pour rien, au moinsf Ne croyez pas que celte question nous soit adressée par des personnes de peu d’édu
, pendant que ce monsieur était en train de vouloir élucider quelques questions de métaphysique, Cesprit lui déclare se nommer Sa
de pareils faits. On l’isola complètement, et je crois même qu’il fut question de l’exorciser. Le Diable, avant de le quitter, f
ouvrir pour nous éclairer. « Cet aveu n’est pas sans portée dans la question , ajoute leDr Bellanger; M. Second aura des advers
chiques et que l’âme y entre pour quelque chose, il n’en est pas même question . M. Amédée Jacques, dont nous avons, dans le temp
fois constaté l’exactitude; et tout porte à croire que si la dame en question avait, dans son état de saturation magnétique, do
ante, qui est inédite et fait connaître l’opinion de Puységur sur des questions qui ont été vivement agitées dans ces derniers te
e n’est même dangereux, aujourd'hui d’aborder; telles sont toutes les questions relatives aux divers cultes des hommes envers la
els on a l’appui desquels toutes les religions du monde sont fondées; questions qui ne pouvant tendre qu’à diviser les lionnnes n
Société du Mesmérisme de Paris, ce 17 mai 1855. BIBLIOGRAPHIE. LA QUESTION DES ESPRITS, ses progrès dans la science, etc., p
ppements à des doctrines qui, en jetant de nouvelles lumières sur une question ardue, en bâteraient la solution. Al. de Mirvil
mon appel, dans un ouvrage qu’il vient de publier sous le titre de la Question des Esprits, etc., a bien voulu consacrer quelque
sible que je suis à cette faveur, je vois néanmoins avec peine que la question n’est pas encore tranchée comme il serait à désir
chure ; car, tandis que SI. de Mirville nous dit que la somnambule en question avait évoqué le P. Mario, ma brochure porte le co
n langage, me dit ne devoir rien personne et que, quant à l’argent en question , il l’avait donné au P. Mario, avant de mourir, p
n dans ce rapport une seule ligne où il soit dit que la somnambule en question ait évoqué le P. Mario? Ne voit-on pas, au contra
avante division d’âge ou d’époque servirait beaucoup pour élucider la question ? Qu’il nous représente ensuite la pythie du templ
er. Partant de cette idée que le fœtus était iiiuri. ¡I fut fortement question de provoquer l’avortement, considérant la présenc
Votre très-humble et tout dévoué, J. GRAVÉ. ÉTUDES ET THÉORIES. QUESTIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME ANIMAL (1). L’Ame, les
ue nous appelons de tous nos vaux l’examen des hommes sérieux sur les questions qui précèdent. Ce ne sont ni des incrédules ni de
phénomènes sous silence ; mais a-t-il agi loyalement? C’est une autre question . Quant à ne point magnétiser qui l’on veut, M.
hose à l’expérimentation ; tandis que la physiologie éclaire déjà les questions complexes de l’action des nerfs, nous voyons auto
ues des crimes. Laissons cela et passons à la dernière partie de la question au point de vue de M. Segond : « du degré d’utili
degré d’utilité pratique du magnétisme animal, * qu’il divise en deux questions techniques : l’une relative à son emploi comme pr
l écrit ceci : « Je me débarrasserai tout d’abord de cette dernière question (celle de la thérapeutique), afin de me consacrer
e me plaçai en face d’elle complètement endormie, et je commençai mes questions ordinaires. Réveillée quelques instants après,
enons de le dire, nous n’aborderons pas le point de vue général de la question , regardant comme mis hors de doute, par des expér
la bénédiction. Mais entrons plus profondément dans l’examen de la question . La magnétisation, au point de vue spécial que
s réciproques de l’éducation familiale et de l’éducation publique. La question est loin d’avoir une importance aussi générale qu
e. 11 y a plus de quatre-vingt-dix-neuf familles sur cent pour qui la question est oiseuse; il leur est matériellement impossibl
gardes-malades et les remèdes. Ce serait ici le lieu de traiter la question de l’initiation, qui rentre dans le cadre de l’éd
première fois, elle souffrait d’un relâchement de matrice. Après les questions d’usage, elle fut magnétisée. — La clairvoyance q
u magnétisé auraient besoin d’explications qui se rattacheraient à la question du rôle de la volonté dans la magnétisation et no
oli de visage. (I) Je n’avais plus entendu parler de la personne en question depuis que j’avais noté le fait. La citation que
e du jour par MM. de Mirville et de Gasparin. Tout en regardant cette question des maléfices comme très-importante au point de v
. Nous ne pouvons donc nous empêcher de jeter un coup d'œil sur cette question . Quoiqu’il en soit delà fonction primitive des
était alors chapelain catholique à Londres; et, préoc- cupé de cos questions déinonologiqucs, il assistait ii une séant e exce
nous étendre davantage sur ce point. M. de Mirville a traité de la question magnétique au point de vue démonologique. Nous cr
e vue démonologique. Nous croyons qu’il serait utile de considérer la question démonologique au point de vue magnétique, et nous
Les jugements sur cette matière n’ont pas tous été d’accord, et la question n’a pas épuisé tous les degrés de juridiction. Le
r le soulagement de ses semblables. Mais nous sommes convaincu que la question bien présentée serait immédiatement, et sans diff
e dictionnaire n’ont définis, des mots qui ne peuvent qu’obscurcir la question . J’ai le bon droit et la justice pour moi ; je ti
ant. Le magnétisme présente bien des faits qui peuvent éclairer cette question ; mais les hommes spéciaux en dédaignent l’étude,
’influence du ragle. » Cette observation peut servir à résoudre une question de médecine légale qui peut à chaque instant être
uite de plaintes émanant des médecins de l’endroit. C’est une grave question pour les juges que l’application de la lucidité s
loi qui régit cette matière. HÉBERT (de Garnay). BIBLIOGRAPHIE. QUESTION DES ESPRITS; ses progrès dans la science; examen
veilles qu’il enfante, il tient aux sciences occultes, il soulève les questions les plus ardues, celles du surnaturel, de la magi
tournantes et parlantes, les coups mystérieux ont remis en faveur la question des esprits en général. L’occasion était belle po
hoppement pour les mé-« téorologistes de bonne foi: devant toutes les questions « qu’ils soulèvent, la science reste muette. »
il s’exprime de la manière la plus explicite. Ainsi il nous raconte ( Question dis Esprits, p. 187), d’après un ouvrage encore i
scère et qui causaient la névrose stomacale (Des Esprits, chap. IV, — Question des Esprits, p. 73). Des hommes commettent des
e recherches, tant de fatigues? D’un mot, M. de Mirville a tranché la question . Le magnétisme est de la diablerie. Pour lui, ce
esprit qui ment ne rentre jamais dans celle des esprits de vérité. » { Question des Esprits, p. 17.) ]\i le bon sens, ni la rai
aque, prétend que nous sommes un protestant de Yéglise du magnétisme ( Question des Esprits, p. 206)... Le magnétisme estune scie
que l’opération fût faite. Elle dit qu’elle l’ignorait et fit la même question . Comme on ne lui répondit point, elle regarda les
elle avait senti quelque chose, elle répondit : « Rien ; » et à cette question : quelle était la dernière chose dont elle se sou
ionomie propre. « Après le début si instantané dont il vient d’être question , l’intelligence resta principalement affectée pen
gardent comme des oracles infaillibles, les consultent sur toutes les questions et acceptent toutes leurs réponses avec une confi
roit en état de résoudre péremptoirement et à première vue toutes les questions , et ouvre un cabinet de consultation où le public
morales et politiques, sur le concours ouvert il y a deux ans sur la question du sommeil; et il prouve que le somnambulisme est
exceptionnelles. M. de Séréa cru devoir faire une excursion sur la question des tables tournantes et parlantes : il n’a guère
t un simple regret que nous manifestons ici. S’il y a des points, des questions , des principes sur lesquels il n’est pas permis d
n très-véritable savant, l’honorable M. Tliury, de Genève, clans la question passionnante et naguère, encore si controversée d
ET THÉORIES. nE I,A SUGGESTION. Plus ou creuse cette inépuisable question du magnétisme et plus on fait, chaque jour, de se
s organes de celui-ci; résolvant ainsi et d’un seul coup cette grande question qui depuis les temps les plus reculés a été l’obj
Garnay), qui s’est spécialement occupé de l’étude de cette importante question dans un cours fait l’été dernier : Etant donné
e importance bien plus grande et qui se rattachent naturellement à la question que nous traitons. Nous avons parlé du fanatisme,
. Pour nous, sans avoir la présomption de trancher de nous-même une question d’un ordre si élevé, nous nous contentons de la p
lameurs. Ainsi l’on peut conjecturer que, dans un avenir prochain, la question magnétique pourra être sérieusement.débattue dans
celles des autres organes médicaux et une appréciation plus saine des questions controversées, c'est ce qui a eu lieu en effet po
cle du rédacteur en chef, M. A. Déchambre, ne faisait qu’effleurer la question . Il s’agissait de l’ouvrage du général Noizet, et
était préparée de longue date. « De l’année 1662 à 1666, il n’était question en Angleterre que des cures extraordinaires opéré
activité invisible démontrée par des effets visibles. Le phénomène en question n’est peut-être qu’un de ces effets, certainement
mots en rejetant le magnétisme animal comme promoteur du phénomène en question . Mais le magnétisme animal est l’action à distanc
onsabilité; aussi reproduisons-nous aujourd’hui ses paroles : « Aux questions posées par M. le docteur Ridard, nous ijourrion
à peu de chose; et le retard, qui aura été apporté à la solution des questions posées par (1) Voy. ci-dessus, page 363. M. l
e récompense. Toutefois, l’insertion dans son journal de l’article en question est une manifestation favorable, un acheminement
a peur font céler? Hé bien ! nous aborderons petit à petit ces hautes questions , la lumière se fera au milieu des ténèbres, et le
** se meuvent dans une mimique méditative très-absorbée ; parfois des questions et des réponses à demi voix se succèdent, s’entre
’a fait pirouetter au milieu de la chambre. Il atteste que la main en question est ferme et tangible comme celle d’une personne
e aperçut l’énorme main noire tirant la robe de la dame dont il a été question : il assure que cette main était entourée d’une a
des journaux, des brochures, des livres où sont discutées ces grandes questions , et que des établissements sont fondés spécialeme
T (de Gamay). SPIRITUALISME AMÉRICAIN. AVANT- PROPOS. On met rn question s'il peut y avoir en celle vie un pur acte d'inte
n hypers sur un homme atteint d’un violent rhumatisme. Ce sont là des questions de fait qu’il serait facile de résoudre et qui mé
ion de cette faculté ne ferait-elle pas faire un assez grand pas à la question si controversée du magnétisme ? Une fois qu’il se
attention publique, sont à peu près délaissées. Toutefois, les hautes questions que soulève ce singulier phénomène ne sont pas su
es, et qu’en en augmentant le nombre, on est loin de faire avancer la question . 11 est évident que si le fluide magnétique anima
ce qui se disait dans la chambre ; elle questionnait et répondait aux questions avec autant de liberté et de facilité qu’avant le
nquiétudes s’il voulait bien me donner des éclaircissements sur cette question . — Henry A. Wise éprouvera certainement une déf
n Apollonius, et il le vit apparaître. 11 lui adressa mentalement des questions , et il entendit en lui— même une voix qui lui (it
(le) spirituel est-il une chimère ? Réflexions sérieuses sur cette question plaisante, par un habitant du monde visible. — Me
nambule, avec préface du Dr P. M***. — Mention par M. Bruyas, 28. Question (la) des Esprits, ses progrès dans la science,
de M. Amédée (Jacques), 182 ; — de M. le Dr Segond, 309, 337, 365. Questions relatives au magnétisme animal. Mémoire par M. le
13 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
et l’on était loin du progrès qu’a fait de nos jours cette importante question des esprits. Après les visions, les apparitions
oses les plus secrètes et les mieux cachées, le don de répondre à des questions faites en des langues Quant aux autres phénomèn
iscours les plus savants, les plus éloquents, sur une foule de hautes questions morales et religieuses, et vous n’aurez encore qu
ution de mort, ordonne que ledict Boullé sera submis et appliqué à la question ordinaire pour avérer ses complices, et a différé
ontément! Mais, fermer les yeux à la lumière, déserter l’examen d'une question de peur d’être obligé de lui donner une conclusio
t leur avait fait perdre terre. Mais, que disons-nous ? 11 est bien question des lumières du siècle et de la sagesse de nos tr
jongleurs. C'est ce qui s'appelle trancher un peu commodément sur une question aussi grave qu’importante et qui demande avant to
du Journal du Magnétisme plusieurs articles très-intéressants sur la question de savoir si, dans les cas de vision d’objets élo
on de prendre part. MM. G... de C... et Lamothe ne tranchent pas la question d’une manière absolue, mais ils penchent pour l'a
pas exiger de déplacement de sa part ; elle est donc en dehors de la question qui nous occupe, c’est une autre opération. En
omaine assez peu défriché des explications. Mais d’abord, comme ces questions touchent à beaucoup de choses, il est nécessaire
nsmet au corps, et il en résulte ce que vous savez. 11 n'est pas plus question dans tout cela de vomissements d’âme que quand un
taires de suggestions ; s’il lui arrive quelquefois de répondre à vos questions d’une manière opposée ou non conforme à l’idée qu
arce qu’elle rejette absolument le témoignage des somnambules (sur la question seulement qui nous occupe, je suppose) que l’opin
exactitude de mes observations et sur la fidélité de mes gens, « La question de l’origine spirituelle des fiwts n’est point so
fiwts n’est point soulevée ici; ils’agi* simplementen ce moment d’une question de fraude ou de bonne foi. Si, après ce qui vient
t le congrès scientifique d’Albany. Voici la traduction du passage en question : «...... J'exposai » dit-il, « un fait simple
, et comprenant plusieurs parties, contralto, ténor et basse. Sur les questions qu'on lui fit, elle répéta les paroles qu’elle di
cisme; mais la cause du mouvement des tables amenant naturellement la question d’intervention d’êtres extra-humains, plus d’un o
plus d’un rapport. Nous nous permettrons, à ce sujet, d’adresser une question préala- e- H y a environ trois ans que M. de Ga
nt partie de la chaîne, se lai— sait, par conjecture, un avis sur les questions qui étaient posées, et influençait /es réponses d
s au juste à laquelle de ces langues appartenaient les quatre mots en question . Mais l’auteur avoue (page 84) qu’il connaissait
fit trouver si extraordinaire que la table ait répondu exactement aux questions concernant sa famille. Il ne peut donc répondre q
re un de ses bras comme un balancier, et à attendre une réponse à une question faite par la pensée. Il obtint ainsi des réponses
voulu faire voir qu’il n’est pas exact de dire que les phénomènes en question ne puissent s’expliquer que par l’action des espr
as existé. SI, pour vous assurer de son identité, vous lui faites des questions sur le* particularité* de » Vte, la corbeille fai
es que ne connaît pas le médium, mais ils ne comprennent môme pas les questions qui leur sont faites dans ces langues. N’est-il'p
igé d’abréger cette no- (I) Au lieu d« faire 4 la sainte Vierge des questions dont la réponse est cennue d’avance, M. Girard de
lices. C’est dans le for intérieur de la conscience que se jugent ces questions ; à Dieu seul il peut être réservé de punir ces té
ls que nous avons donnés. NoUs faisons des vœux pour que lè tiôsor en question soit aussi véridique. (Salut public, de Lyon.)
vants expliquent tout, et, pour prouver leur puissant savoir dans les questions difficiles, ils appellent à leur secours la fanta
ur quoi on se fonde pour l’attribuer aux esprits, car il n'en est pas question , et on ne dit rien de leur concours. On ne peut r
une trace. Cette assertion tranchante est démentie pari’expérience en question ; il est au contraire rigoureusement démontré que
ttachent au spiritualisme : d’abord les hiérarchies célestes, ¡mis la question de la préexistence des esprits, le dogme de l’imm
elevant les points les plus puissants de son livre. Et d’abord sur la question des expériences, côté le plus délicat au moins po
t-être pas plus d'accord avec l’un qu’avec l'autre. Revenant sur la question des mauvais esprits, nous dirons qu'il est fâcheu
Cette opinion est, croyons-nous, celle de tout magnétiseur. Sur la question de la préexistence des âmes et la métemp-sychose,
xistence des âmes et la métemp-sychose, ce n’est pas faire avancer la question que rapporter l’opinion des anciens ; MM. Cahagne
ête. Nous lui demandons encore de s’expliquer; car, de nos jours, ces questions sont trop vitalespour qu’il soit permis, après le
umineux ouvrages, traite de toutes les sciences et discute à fond les questions les plus ardues. Il serait à désirer que les deux
ement dicté sans aide humain. M. Jourdan, sans ce préoccuper de cette question , fait le plus pompeux éloge des idées grandioses
je serai capable de répondre de la manière la plus satisfaisante aux questions qu’on m’adressera. » Elle termina ce discours e
voyons avec plaisir cette nouvelle tribune ouverte à la discussion de questions très-controversées et dont la solution intéresse
ur d’uu livre ou sur une feuille de papier pliée ; qui répondit à une question que les intelligences supérieures peuvent seules
ents ont un vice capital, c’est qu’ils supposent résolu ce qui est en question , c’est-à-dire d’abord la réalité des faits qu’il
mêmes possédés par les diables qu’ils voulaient chasser. Quant à la question pécuniaire, certes le désintéressement est une be
age de dire qu’un fait négatif ne prouve rien, s’il est isolé, que la question demeure entière, et que ceux qui cherchent sincèr
ut endormi (magnétiquement parlant) et qu’on lui eut adressé quelques questions plus ou moins en usage chez tous les expérimentat
moins en usage chez tous les expérimentateurs, M. Roberaud lui fit la question suivante : — Savez-vous et pouvez-vous nous dire
famille. Ainsi ferait le magnétisme ; on pourrait faire ressortir une question de l’économie politique; en montrant les avantage
eaubriand, Ftnclon, Voltaire et tant d'autres daignent répondre à nos questions par le moyen de plusieurs médiums qui sont de not
surtout à propos des points sur lesquels on adresse ordinairement des questions aux esprits de T'aulrc monde! On doit moins s’éto
nôtre. La critique de la partie du livre de !& Girard où ri est question du magnétisme-, du somnambulisme, de3 po'scs-
q agents de la nature, au lieu de quatre. Comme nous touchons à des questions brûlantes, qui sont des bornes aussi délicates qu
et à éloigner les autres. Je me permettrai donc d’examiner ces deux questions capitales savoir, les rapports du magnétisme avec
viens auprès de lui à une heure, je le sauverai. Il ne nie fit aucune question ;• je ne lui donnai aucun renseignement. jeme bor
us l’avez trouvée hostile, méfiante, et vous la croyez votre ennemie! Question d’individus, question de tempaJ Examinez un peu.
ile, méfiante, et vous la croyez votre ennemie! Question d’individus, question de tempaJ Examinez un peu. La doctrine admet des
ois du magnétisme , quand 011 confond l'analogie avec l’identité ; la question des miracles est surabondante, et c’est l’ensembl
ns ces derniers temps, de se prononcer sur le magnétisme, a résolu la question dans le même sens que moi. En lui-même, in se, le
ment de signaler deux lacunes regrettables. Y la piigo 7. stir la question relative aux différentes hypothèses pour explique
étudiant doit connaître au moins l’énoncé. A la page f>, où il est question de l'imagination, il aurait été bon de faire sais
urais trop répéter aux mesméristes qui veulent gravir le sommet de la question , ce que je me répète fréquemment à moi-inôme : Ra
a somnambule. A la lin delà séance, on nie demanda si j’avais quelque question à faire. Une seule observation, répondis-jo, et l
connues. « Relativement ¡t ces faits, dit-il, la science se pose deux questions : Sont-ils certains? Ont-ils une suffisante expli
ient les plus dangereuses, et que, puisqu’elles avaient répondu à mes questions , il fallait les traiter avec douceur et les renvo
peu près comme le christianisme naissant dans les catacombes. Cette question de l’origine du sabbat a du reste été fort bien c
nnes, quelque saines d’esprit qu’elles soient, et étrangères même aux questions que nous traitons en ce moment, qui n’aient l
eligieuse dont nous venons de produire le résumé. Car si le moteur en question est un fluide, la somme des effets produits sera
anter et rire d'un fléau et de pareille ignorance! Mais, du reste, la question n’a pas fait un pas, point un seul ! On en est re
dre d’une personne sans oreilles? le voici : après lui avoir crié mes questions et vu que l’isolement était complet, je songeai à
me, ma fille, ma sœur, ma grand’-mère étaient présentes, à toutes ces questions la réponse fut affirmative. J’éprouvais un bien-ê
vec moi, si ma femme et mes enfants étaient avec lui, et à toutes ces questions je reçus une réponse affirmative; lui ayant expri
sous la table, et la séance continua ; tous les assistants firent des questions et reçurent des réponses. Une demi-heure après av
roduites ne pourront jamais être effacées... Après les répétitions de questions et réponses, la guitare fut pincée par Diou sait
t être faite sans causer de perte à personne. J’ai souvent posé cette question à des esprits, sans en obtenir de réponse satisfa
rmine ainsi : « Je répète à ceux (pii veulent juger impartialement la question de savoir où le possible est relégué dans cette c
e et dans l’autre ?... M. Mabru fait voir combien il connaît peu la question , quand il fait dépendre l’existence du magnétisme
’erreur que nous venons de signaler, M. Ma-bru, persuadé que toute’la question du magnétisme était concentrée dans le seul fait
t y en avoir deux, trois..., un plus grand nombre, ce qui rendrait la question de plus en plus embarrassante. 11 faut donc que d
fondation de prix est une manière vraiment scientifique cCattaquer la question ; c’est un moyen d’éprouver les prétentions, de c
u mot Nature du Dictionnaire des Sciences naturelles.) Au reste, la question de savoir de quelle nature est l’agent nerveux, e
i contre. Je ne connais rien du magnétisme ; je n’ai pas étudié cette question d’une manière spéciale ; je n’ai pas suivi les éc
prémisses posées, je n’hésite pas à entrer de plein- pied dans la question du magnétisme ; et j’y suis encouragé par deux mo
RROQUIER, CHIRURGIEN CHEF-INTERNE. En fait de médecine légale, les questions les plus délicates et les plus difficiles sont in
ccomplissement du crime. Mais jamais, jusqu’à présent, il n’avait été question de l'emploi du magnétisme. Nous croyons donc bien
que sa grossesse datait de quatre mois à quatre mois et demi.) 2m° question : Dire si la jeune Marguerite A... a pu être défl
stion : Dire si la jeune Marguerite A... a pu être déflorée ? Cette question touche un point tout-àrfait neuf de la médecine l
utes réserves, uous croyons qu’il nous est possible de résoudre cette question , sans nous en tenir à des appréciations personnel
te et Broquieu. Depuis lors, nous avons eu occasion de soumettre la question à un homme dont l’autorité ne saurait être méconn
ls là où manque le savoir. Nous ne voulons point ici entrer dans la question du possible en magnétisme ; nous donnons seulemen
ble et les détails, — car le sujet embrasse à la fois les plus hautes questions de physiologie, de psychologie, de métaphysique e
, elle aurait écrit certains mots, certaines phrases en réponse à des questions posées. » Êtes-vous bien sûr, cher et honoré doct
mission ou par extension du principe spirituel, cela importe peu : la question , pour nous, est entièrement dans la cause efficie
its de cet ordre (1) C'est afin de ne point sortir du terrain où la question se trouvai placée, que j'avais raisonné jusqu'ici
nétisme. L’auteur traite avec talent, et d’une manière succincte, les questions théoriques, passe en revue les tables tournantes,
nouvelée entre les dogmatiques et les empiriques, a éclairci bien dps questions , mais sans les résoudre. Cependant, plusieurs
la conversation contemporaine , et, en dépit des sceptiques, une des questions les plus intéressantes et peut-être les plus grav
ne demoiselle Angélique donnait des consultations sur toute espèce de questions ; elle avait pour magnétiseur et pour pitre un jo
t obscurcir ou voiler à nos yeux la lumière pure de la vérité dans la question qui nous occupe, viennent principalement de trois
que et satisfaisante qu'on peut en donner. Nous l’avons dit, plus une question est compliquée et renferme de relations, c’est-à-
pour l’embrasser dans toutes ses parties et l'éLudier avec succès. La question de l’électrisation humaine est de ce genre : tous
araissant indispensables pour étudier et expliquer convenablement une question si épineuse. On comprendra l’importance de cette
ne et le somnambulisme qui l’accompagne quelquefois existent, est une question qui ne peut être résolue que par les faits eux-mê
érience personnelle que tout homme peut avoir en tout temp3 sur cette question , nous disons que celui qui, dégagé de tout préjug
pières, des bras, des jambes, difficulté de (I) On peut dire que la question lo l'éleclrisalion humaine est to nbéc dans rense
r, serait erreur, mensonge! ou l'œuvre d'une puissance diabolique, la question de ¡’électrisation humaine demeurerait intacte, p
t quelques faits anciens qui peu vent servir à éclairer cette immense question . Nous extrayons ce récit d’un ouvrage intitulé :
igures effarées ; il vont trouver leur hôte, et tous lui font la même question d’un air mystérieux et lugubre : N’avez-vous rien
i, en attendant, quelques documents qui pourront servir à éclairer la question . Lors du concile de Nicée, tenu en 325, trois d
on intelligence, voilà une vérité incontestable. Mais quand, dans une question , il se rencontre plusieurs effets ou plusieurs or
rentes. C’est encore une vérité qui a toute la valeur d’un axiome. La question de l’électrisation humaine est une question compl
la valeur d’un axiome. La question de l’électrisation humaine est une question complexe renfermant plusieurs ordres de phénomène
ge n’est pas moins estimé que connu et qui répond directement à notre question . « Le magnétisme animal, dit l’abbé Guillois, est
Mais nous ne sommes pas tout à fait réduits à cette extrémité dans la question qui nous occupe; un grand nombre d’expériences et
mblable à celle des corps chauds ou électrisés. En résumé, si cette question appartient plus à la logique des faits qu’à celle
érité de vouloir se prononcer ici d’une manière absolue ; et comme la question n'est pas de nature à être décidée de sitôt, si j
, quelle est donc la valeur morale qu’il convient de lui donner? La question ainsi posée d’une manière générale est facile à r
en aucun point de vue les atteindre, mais aujourd’hui là n’est pas la question .... d M. le Président interrompant le défenseur
s saisir l’occasion pour me livrer à un examen tout particulier de la question . J’avais en réserve, pour les puissances invisibl
sais pas. —Qui sont-ils? > Je ne sais pas.—Qui sont-ils?—Et chaque question est flanquée d’évocations, de menaces et de cris.
n suis sur le chapitre des merveilles, en voici une autre. — 11 n’est question dans tout l’arrondissement de Saint-Lvs que'de la
ent aucun résultat. Pourtant la malade devint en état de répondre aux questions par des signes de tête, mais sans pouvoir encore
’avait vue dans son rêve un vieux sac de toile renfermant la somme en question . (Communiqué par des personnes dignes de foi.)
n Le fait est que les traités d’anatomie ne disaient rw touchant ma question . Et plus tard, bêlas l ia physiologie, livcçs et
is malheureusement, dans les exemples que prend M. Auguez,,. il n'est question ni de magnétisme, ni de somnambulisme, ainsi que
lucidité, le lecteur se trouve plus avancé et voie plus clair dans la question . L auteur, à la suite d'observations peut-être
nes et tout ce qui peut être cachédans la terre. Il ne répond pas aux questions insignifiantes ou oiseuses fartes sous le prétext
pincée est restée longtemps visible. Lorsqu’il est embarrassé sur une question ; lorsqu'il veut se lever de son fauteuil pour ma
a mit en rapport magnétique avec la visiteuse, qui posa de nouveau sa question sous la même forme i — Puis-je devenir riche pa
ainsi parlé , la somnambule s’arrêta, et la visiteuse ne fit plus de questions nouvelles. Elle se leva toute frémissante d’émoti
i m’offrez votre amitié et me demandez mon opinion personnelle sur la question . Ami inconnu, je vous affirme que chez M. M... et
sion qui règne parmi les spiritualistes, principalement sur la grande question du sort de l’âme humaine après la mort. Les spiri
tion des Esprits supérieurs, toujours prêts à répondre sur toutes les questions ... non susceptibles de vérification ; mais, chose
stes fassent de même. Que toutes les personnes qui s’intéressent à la question soient convoquées pour former un jury d’enquête d
non l’Esprit qui conduit sa main. — Posez sous les yeux du médium des questions écrites ; vous verrez comment il y répondra: puis
rrez comment il y répondra: puis posez les papiers contenant d’autres questions , au dos du médium, de manière qu’aucun membre de
artiers différents, évoquez le même Esprit, et adressez-lui les mêmes questions qui seront formulées dans des paquets cachetés qu
tantôt elle paraissait être en somnambulisme, parlait, répondait aux questions , se levait, exécutait les mouvements qu’on lui in
mis, le paganisme est-il vrai ou faux ? Le revenant laisse toutes ces questions indécises, et son indécision reflète celle de son
e homme. Al. Park, sans laisser apercevoir son but, sans poser de ces questions qui font pressentir la réponse, interrogea le jeu
u’effectivement il n’avait pas dormi. Mais en lui faisant différentes questions , 011 s’assura qu’il 110 s’était pas aperçu de bru
i, au bout de cinq minutes, fut endormi. M. Jones lui fit différentes questions ; la plupart des réponses furent exactes. M. Colly
ns le public. M. Vshburner, dans son premier essai, n’aborde pas la question du spiritualisme; il s’occupe beaucoup, il est vr
udrais essayer, mais je n’ose. J’attends votre avis. » Telle est la question délicate que l’on veut bien m’adresser. Une parei
gnétiseurs ont souvent reproché aux savants de ne pas s’occuper de la question du magnétisme. Ces reproches, |ui ont parfois le
s, faisons avec certains lucides. On voit quel intérêt l’étude de ces questions a pour la science magnétique, et combien de parei
ques voix isolées. Et cependant il semble que ce soit là une de ces questions de principe qui demanderaient tout d’abord à être
l’an dernier, 6 des conférences bien dirigées, pleines d'intérét. Les questions d’ordre scientifique y ont élé débattues; mais l'
iciel ! Mais que voulez-vous? Quand 011 vous voit traiter les grandes questions humanitaires ainsi que vous le faites, on a bien
me elle peut guérir, et il n’est pas douteux que l’in- 'lividu en question n’eût succombé si l’on n'eût employé ce ce traite
les yeux des praticiens les plus consommés, de telle sorte que la question de responsabilité a complètement changé de face;
L’Acidémie a déclaré, il y a déjà quelque temps, qu’à l’avenir toute question , tout ouvrage concernant le magnétisme serait rej
étrangères à la Société et qui s'étaient spécialement occupées de la question . La réunion fut nombreuse ; il s’y trouva des sec
ager. Si, comme le prétendent les spiritualistes, les phénomènes en question sont dus à des êtres extra-humains, l’objection à
ire ; les spiritualistes doivent la désirer, puisque, si les faits en question sont réels, elle ne pourra que leur donner une co
es coups fortement frappés sur le parquet; les spectateurs feront des questions au moyen de billets pliés, et les réponses seront
tique peut-elle être violée à son Insu ? Rapport affirmatif sur cette question , par MM. les docteurs Coste et Bro-quier, suivi
14 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n m'étendre plus longuement là-dessus ? Je réponds brièvement à vos questions dernières. Quand je souffre physiquement du coe
! Et cependant c'est le chicanier qui avait raison, car le maire en question fut, pour détournements et faux, finalement con
lC6E. (Neurolog. Centralbl, XV, 1896.) Remaniement critique de la question . Tous les cas de folie morale se peuvent ramene
on sans intérêt, aux nombreux documents qui existent déjà sur cette question , d'ailleurs très complexe, de l'influence des p
re pas plus que sous la dictée, en omettant syllabes et mots. A des questions simples formulées par écrit il répond par écrit
sence de répu- gnance ou de peur de la part du sujet pour l'acte en question . Au contraire, ces individus brûlent du désir d
bétique il y a une modification dans la constitution des muscles en question sinon une atrophie, au moins une diminution de le
ison. Un très fort grossissement permet, par le mélange colorant en question , de facilement reconnaître dans les granulations
ique à la tranquillité du malade. Sur la demande de M. CHRISTIAN la question posée par M. Garnier figurera à l'ordre du jour
7 femmes) pour lesquels existe un personnel de 244 gardiens. 11 est question de réserver cet asile spécial aux seuls aliénés n
Tout cela est profondément regrettable. On argue qu'il y a là une question d'ordre et que le directeur est chargé d'assurer
ÉS. ment à son visa les prescriptions médicales car il y a là une question budgétaire, et il aura ainsi le droit, tout aussi
heures. Mais ce n'est encore là pour empêcher l'inconvénient qu'une question de mesure et d'avertissement aux familles qui s
rveuse, de Vissl, de Benda, de Lugaro, etc. Il n'y a pas jusqu'à la question des mouvements amiboïdes du protoplasma cellula
u'à la question des mouvements amiboïdes du protoplasma cellulaire, question que l'on ne fait remonter qu'à Rabl-Ruckhardt e
onctionnels dont il faut admettre l'existence ? Quant à la première question , celle de l'origine des fibres nerveuses dans l
en apparence exclusive de l'écorce cérébrale ne repose que sur une question de degré d'intensité qui masque, pour ce que nous
des différents sens, est entièrement de plain-pied avec cette autre question : comment du proloplasma primordial, avec son c
les manifestations physiologiques du système nerveux, et partant la question des localisations fonctionnelles du cerveau. Au
ipito-temporal au lobe frontal. P. KEKAVAL. II. Contribution A la QUESTION DES dégénérescences secondaires dans la substan
n épaisseur; celle-ci a produit la première. La dégénérescence en question occupe toute la hauteur de la moelle. Dans le seg
à mesure qu'on se rapproche du cerveau, se rapprochent du ruban en question ; au niveau du tiers moyen de la protubérance, i
fibres de la virgule de Schultze ne prennent pas part à la zone en question . Les fibres de la zone médiane siègent, au-dess
l degré d'in- tensité, on rencontre la dégénérescence du système en question du côté de la lésion; - 3° par quoi est produit
prédisposé. Le président remercie M. Briaud de sa communication. Questions au sujet d'un cas de médecine légale en matière
, mé- moire portant le n°3. Prix Civrieux, 1,000 francs (annuel). Question : de l'hallucina- tion dans les maladies mental
d'infanterie, à Montpellier. Prix Falret, 900 francs (bisannuel). - Question : le morphinisme et la morphinomanie. Huit mémo
e et la morphinomanie. Huit mémoires ont élé présentés sur. cette question . L'Académie partage le prix de la manière suivant
nle, de Paris, mémoire n° 4. Prix Lefèvre, 1,800 francs (triennal). Question : de la mélanco- lie. Trois mémoires ont été ad
tténuant la marcheterrihle. Prix Civrieux, 1,000 francs (annuel). - Question : des obsessions 'en pathologie mentale. Prix
ns 'en pathologie mentale. Prix Falret, 900 francs (bisannuel). - Question : les somnam- bulistes. Pria; Théodore Ilerpi
et les maladies nerveuses. Prix Orfila, 2,000 francs (bisannuel). Question : de la Coque du Levant et de la picrotoxine. T
t clos fin février 1899. Prix de l'Académie, 1,000 francs (annuel). Question : physio- logie et pathologie de la glande thyr
athologie de la glande thyroïde. Prix Curieux, 800 francs (annuel). Question : du nervosisme. Pr·ixThéodore Ilenpin (de Genè
et les maladies nerveuses. Prix Lefèure, 1,800 francs (triennal). Question : de la mélan- colie. REVUE DES THÈSES DE BOR
urdes-muettes de Bor- deaux, et jugeant, de façon définitive, cette question souvent si discutée de la consanguinité dans se
l'incompatibilité des deux fonctions. Eh bien ! la réponse à cette question ne saurait faire aucun doute. Ces deux fonction
bien spécifiée dans l'affiche du prochain con- cours. Une seconde question nous avait été posée par l'administration. L'ar
nt de valeur symbolique 2. III. Existait-il, chez l'alcoolique en question , des halluci- nations psycho-motrices constitué
des représentations mimiques ? Il fut impossible de résoudre cette question à cause de la difficulté insurmontable de lui f
Il est même facile, avec ces mêmes données en main, de préjuger la question de localisation de ces centres dans la cappe de
- nie attribue aussi ses obsessions à des Invisibles. Ce sont des questions relatives à des chiffres, des lettres ou des mots
de cinq ans, nous avons recueilli le squelette entier de D... La question qui nous intéressait surtout, c'était de savoir q
t de 86 cas, comprenant plus de 100 ponctions ; mais jusqu'ici la question n'a guère été étudiée qu'en Allemagne. L'expérien
ew-Yod¡ Journal., 19 sep- tembre 1896.) Bon et clair exposé de la question , où l'auteur se prononce en faveur des interven
applanies, et perdraient se leur impor- tance, concernant plus une question de nom'que de fait. En ce qui concerne l'étiolo
oint essen- tiel de l'enseignement du poète est renfermé dans cette question , qu'il laisse à ses lecteurs le soin de résoudr
luence des maladies aiguës sur l'évolution des affections mentales, question qui malgré de nombreuses recherches, demeure en
ant été déposé, le prix Aubanel est reporté à l'année prochaine. La question à traiter est la suivante : Des rapports des an
a été fondée à Dresde, le 7 mars 1894, pour étudier les nombreuses questions qui intéres- sent à la fois les juristes et les
uliénés. - Quand il s'agit de découvrir l'auteur d'un incendie, une question se pose : qui a pu avoir intérêt à commettre ce
tâche que de déclarer si tel sujet est malade d'esprit ou non; les questions de respon- sabilité et de capacité ne le regard
ituellement des appréciations qui puissent servir à la solution des questions légales qui leur sont posées. Les juristes parl
WEBER, il propos de l'interdiction des buveurs d'habitude, pose la. question de savoir si le nouveau code civil permettra au
e actuellement de les réunir et de les coordonner en une loi. Les questions les plus importantes sont celles de l'interdictio
r les choses où la mémoire n'intervient pas. Il comprend toutes les questions , yrépond correctement et calcule bien. Il a con
la méthode de Weigert. (Réponse négative.) 3. M. GOTTLOB. Sur la question de la capacité des épileptiques ci prêter serme
juridictions. Sa soeur et son père signent avec lui les mémoires en question . Nicolas est interné en 1888 à l'asile de Merzig.
mères ou douces, il est facile de mesurer le degré des symptômes en question en suivant la technique employée chaque jour po
e goût dans le tabes, prend ainsi plus d'importance. Le délire en question comporte un autre enseignement pra- tique pour
ules ganglionnaires se montrent égale- ment lésées. De sorte que la question de localisation ne peut se poser que relativeme
e poser que relativement à son siège premier, dès le début.-Cette question revient donc à se demander où débutent les lésion
t et de l'odorat n'échappent pas à cette loi générale. La seconde question mérite de retenir plus longtemps notre attentio
remière paire ? Il est actuellement très facile de répondre à cette question . Le trijumeau tient sous sa dépen- dance en ce
n asociacibzz y aten- ciôn (1895), Ramon y Cajal a traité les trois questions suivantes, d'une importance capitale pour l'étu
arriverait dans l'hypothèse de M. Duval (où il n'est pas d'ailleurs question des cellules de névroglie). III. Pour la théori
é très lointain de l'organisation des vertébrés pour la solution de questions de phylogénie et d'on- togénie. Comment, d'autr
.) M. Maudsley a ouvert cette discussion par une exposition de la question où l'on retrouve les qualités dominantes de ses t
qui est général et unique. Or la responsabilité de l'accusé est une question de fait, non de droit, et il appartient au jury
t il appartient au jury seul de la résoudre comme toutes les autres questions de fait du procès. Si le juge veut réel- lement
'aliénation mentale ce qu'il fait lorsque les débats impliquent des questions de mécanique, d'électricité ou de navigation, a
autre tort des médecins en justice c'est d'aborder trop souvent la question de la responsabilité des aliénés au point de vu
double travail M. Wood-Renton, en sa qualité de légiste, aborde la question sur le terrain juridique, où nous ne pouvons le
onsabilité loin de l'at- ténuer. La responsabilité pour lui est une question de fait et échappe à une théorie juridique géné
uels, héréditaires, accidentels, sociaux, physiques et moraux de la question doivent être mis en balance et l'observation médi
ar des toxines. M. Ar.T (Uchtspringe). Contribution à l'élude de la question des infirmiers. M. All présente le plan d'un pe
n de la Maison nationale de Charenton. Le programme comprendra : 1° Questions mises il l'ordre du jour : Pathologie mentale.
s collègues de France ont réalisé à Paris en 1889. Le programme des questions générales qui seront traitées au Congres a été
a été arrêté comme suit : 1. Bactériologie et Toxicologie. - ire question : Les facteurs internes de la putréfaction des
Malvoz, professeur de bactériologie à l'Université de Liège. 2nvc question : Le rôle et les devoirs du médecin légiste dans
e médecine légale et de bactériologie à l'Université de Gand. 3 ? question : La toxicologie de l'acétylène. Rapporteur : M.
ylène. Rapporteur : M. le Dr Van Vyve, médecin-légiste, Anvers. 4mo question : L'intoxica- tion par l'oxyde de carbone. Rapp
urs de médecine légale à l'Université de Gand. II. législation. 1re question : Les aliénés criminels et les maisons-asiles.
r : M. de Busschere, conseiller à la cour d'appel de Bruxelles. 2me question : Le secret professionnel médical devant la jus
vocats près la cour d'appel de Bruxelles. III. Médeciae légale. 1 ? question : La docimasie pulmonaire. Rapporteur : : \1. l
ofesseur de médecine légale à l'Université libre de Bruxelles. 2rao question : La valeur médico- légale des ecchymoses sous-
médecine légale à l'Université de Liège. IV. Médecine mentale. ire question : De la responsabilité, notamment de la respons
a clinique de psychiatrie à l'hôpital Saint-Jean, Bruxelles. - 2mue question : L'hypnotisme dans ses rapports avec la crimin
ouloir bien, de son côté, lui faire connaître, avant le 15 mai, les questions qu'il désirerait traiter personnellement au cou
ison nationale de Charenton il s'intéres- sait particulièrement aux questions relatives a l'aliénation mentale et à l'organis
giques, phy- siologiques et biologiques ? Après avoir répondu à ces questions , appliquons les résultats reçus à l'explication
r sommes nullement d'avis que la nouvelle théorie puisse décider la question de la nature intime des phénomènes psy- chiques
qui existe dans d'autres cas ? En exa- minant, pour élucider cette question , des moelles provenant d'in- dividus non tabéti
férence évidente entre les valeurs limites; la réaction sensible en question n'existait plus, dit le patient, alors que persis
caux moteurs ordinaires. Chez tous les autres animaux dont il a été question dans ce mémoire, l'auteur a constaté que : 1° cer
ogie expérimentale, ni la médecine clinique. Tout se résout par une question de degré pour l'homme comme pour les animaux in
ie) demeurée saine. Enfin le cas de Hoche éclaire complè- tement la question en montrant à la suite d'une lésion cervicale d
istinctes jusqu'à un certain point de celles de la psychonéurose en question , bien que pouvant se confondre par certains côt
fasc. 3.) Ce travail, le plus complet que nous connaissions sur la question de la paralysie générale juvénile, se divise en
et considère que le médecin-légiste doit chercher à ré- soudre ces questions : 1° Comment reconnaître la nature épileptique
tuée le matin. - Dans les psychoses épileptiques il ne saurait être question , le plus souvent, d'une éclipse de la conscience,
, une influence étiologique considérable. M. A. Hoche (Strasbourg). Questions médico-légales relatives aux anomalies de la sp
es attentats aux moeurs (para- graphe 175). Sans vouloir aborder la question au point de vue du droit criminel, l'auteur con
récentes publications sur le tribadisme qu'on a voulu annexer à la question des a Urninâe » ; ceux-ci sont sans doute digne
peut récidiver, même après un long intervalle. Pour élucider cette question , Kraepelin a rassemblé 63 cas de catatonie. L'a
'un semestre. » M. LUDWIG lit les conclusions de son rapport sur la question des infirmiers. 1° Les appointements des infi
50 marks environ). Discussion. M. rüasTnEn. Il convient, dans cette question du personnel de surveillance, de distinguer les
ettre à leur possesseur qu'avec mon assentiment. Il ne saurait être question , dans toute cette organisation, de pression exerc
quartiers. Il trouve juste de faire participer à la répartition en question les infir- miers qui n'ont qu'une année de serv
fonctionnaires reconnue aux agents du personnel de surveillance. La question du personnel est doublement délicate quand on a
miers ne doivent pas être mariés. Discussion. M. TuczEK. Dans cette question , il faut encore tenir compte des différences su
mariés ; mais ces cas doivent rester l'exception. M. FÙRSTNER. La question importante est de savoir si le ménage de ces in
si souvent les meilleurs sujets. M. KRAEPELIN. La solution de cette question du mariage des infirmiers dépend de cette autre
n de cette question du mariage des infirmiers dépend de cette autre question : veut-on conserver un 400 SOCIÉTÉS SAVANTES.
l'asile et pour le personnel. Discussion. - M. Ganser. Voilà une question capitale. Les infir- miers devraient ne rester
ais que faire SOCIÉTÉS SAVANTES. 401 des infirmiers éliminés ? La question est à étudier. On pourrait s'inspirer de ce qu'
ËMMiNGHAus. Dans les cliniques, on n'a pas à se préoccuper de cette question : la plupart des infirmiers s'en vont avant que
'a pas constaté ces troubles d'une façon fréquente. M. Ganser. La question de l'avenir réservé aux infirmières devenues ma
nérescence hyaline et la dégénérescence colloïde. Répondant à une question de M. Kraepelin, il déclare que les cas de dégé-
ELIV fait remarquer que les psychoses survenant à l'âge dont il est question dans les observations précédentes, présentent s
ettre qu'il en est de même dans les autres cellules ner- veuses. La question n'est .d'ailleurs pas résolue si, dans tous les
uses motrices avec les fibrilles de Max Schultze. Pour résoudre ces questions , de meilleures méthodes de coloration sont néce
t indiquait, d'après l'auteur, une origine toxique de la maladie en question . La discussion ont pris part MM. les professeur
asiles d'aliénés de la Seine. Messieurs, Plusieurs fois il a été question d'agrandir l'asile de Villejuif. On nous a prop
par exemple l'em- ploi de la brique blanche >. c Saisie de la question au cours de sa visite du 23 octobre der- nier à
dès qu'il s'agit d'élever un pavillon entier de malades agitées, la question n'est plus entière; car il y a déjà un établisse-
des malades comme primordial, et, selon moi, il est engagé dans la question . Je demande que l'on s'en tienne aux conditions
agistrales leçons de M. le professeur Fouruier, il semble que cette question passionne davantage en ce moment les auteurs ét
Les nombreux travaux qui ont été publiés depuis vingt ans sur les questions les plus diverses touchant à la morphinomanie é
propagation rapide forment un des côtés les plus intéressants de la question , dont l'étude se termine par une statistique de m
it, au cours de ces dernières- ' Nous reviendrons bientôt sur cette question . (Note de la Rédaction.) 426 VARIA. années, d
et SVOLFS; - Hypnologie : MM. les D'S L. DE lIIOOR et VAN VELEN. Questions mises à l'ordre du jour. A) Neurologie : - I. Le
eur : profes- seur Mendelssohn, de Saint-Pétersbourg (Russie). IV. ( Question à fixer ultérieurement). Rapporteur : professeu
Rapporteur : Dr 1111LNE-BnAruwELL, de Londres (Angleterre). II. La question des suggestions criminelles. Ses origines, son
actuel. Rapporteur : professeur Liégeois, de Nancy (France), Les questions mises à l'ordre du jour peuvent être l'objet de
t être discutés par tous les membres pré- sents. Indépendamment des questions traitées par les rapporteurs, les membres du Co
éance du 30 novembre 1896. Si j'y reviens aujourd'hui, c'est que la question me paraît avoir un sérieux intérêt, à la fois t
rrait caractériser cliniquement et anato- miquement les variétés en question en les désignant ainsi : variété ataxique ou cé
d du papier). Sa conversation est limitée à des réponses faites aux questions qu'on lui pose, et dans les termes mêmes de ces
aites aux questions qu'on lui pose, et dans les termes mêmes de ces questions . La faculté d'écrire spontané- 458 REVUE DE PAT
uvriers livré à un travail physique. Sa fréquence ne dépend pas des questions d'économie. Elle est plus générale chez les fem
rès violents après la ménopause. L'auteur traite en dernier lieu la question du rapport entre la neurasthénie et les boisson
anisme peut-on expliquer cette déviation spéciale ? Il ne peut être question , dans une névrite périphérique, des contraction
se rendre compte de ce qui se passe autour d'eux et répondre aux questions qu'on leur pose. Mais malgré cette persistance ap
autopsie démontre .que le pus du sinus a dû pénétrer par le trou en question entre les première et deuxième frontales, coule
ement conique, composé d'un tissu muqueux qui subdivise l'organe en question en série de lamelles à forme triangulaire. Le
masse de substance nerveuse si précieuse pour l'organisme. Quelques questions furent posées par MM. Pribytkolf, Iïornilolf et
pourrait plutôt supposer ici l'origine parasitaire de la maladie en question . Selon M. Mouratoff les cas cités ne présentent
renait même pendant ses occupations. Dans tout le reste le sujet en question était bien portant. Ces accès de sommeil arrive
rcolepsie doit être regardée comme une impulsion irrésistible. A la question , adres- sée par M. Rossolimo, l'auteur répondit
te par personne jusqu'à présent. Concernant la communication, des questions furent adressées par M. le professeur Korsakoff,
mières blessées et devenues invalides, par Edel, 384. Infirmiers. Question des z. parAlt, t, 332; par 397. Interdiction.
Perversion et déprava- tion - chez l'homme, par Des- champs, 148. Questions médico- légales relatives aux anomalies de la
15 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
rise nerveuse ; c’est alors qu’il commença à parler et à répondre aux questions qui lui étaient faites. « On lui demanda : «
it si positif, si froidement matérialiste, a vu surgir de nouveau les questions qui passionnaient les âges de foi et de mysticism
bles ne sont pas conformes ii la doctrine catholique : c’est juger la question par la question. « Il y a eu, dit-il, des répon
conformes ii la doctrine catholique : c’est juger la question par la question . « Il y a eu, dit-il, des réponses immorales, i
uement. 11 convient donc de suspendre notre jugement sur les êtres en question . Leur langage suffit pour nous autoriser àadmetti
nt ce sujet qu’à un point de vue spécial. Ce n’est pas seulement la question des esprits qui doit occuper notre bibliographie
in cache une république ou n’est point un royaume. Pour nous, cette question ne fait plus l’objet d’un doute; nous reconnaisso
une manière moins satisfaisante. Celse aura la parole sur la première question , il nous dira qu'Asclépiade, endormant au moyen d
vint d’un bond se coller la poitrine à la mienne. Je lui adressai les questions suivantes : — Comment se fait-il que vous vous
crédules autant qu’on peut l’être, j’endormis mon sujet et lui fis la question suivante : — Croyez-vous qu’il y ait parmi nous
prise fut des plus grandes en se trouvant devant la jeune personne en question , et il allait s’informer du motif qui lui avait f
omènes, croient converser avec les esprits. On adresse à la table une question , avec ordre de frapper du pied eu cas d’affirmati
qu’écrivait ii M. du Potet l’un des premiers apôtres du phénomène en question : Perpignan , 2“ décembre 185.”. .....Dois-je
heront le bandeau qui couvre mes yeux, lin attendant je m’adresse ces questions : Est-ce de l’électricité vitale? Est-ce de l
’Observatoire impérial. » D'OURCHtS. Palis, U juin ISô:.. Cette question des tables, qu’on pouvait croire éteinte au point
remarquable pour répondre, sous l’influence du fluide magnétique, aux questions qui lui étaient adressées, s'est livrée, sur cett
ux sexes et même des enfants; « Attendu que, dans ces réunions, des questions inconsidérées, indécentes et immorales étaient fa
interprété elle-même les prétendues réponses faites par sa table aux questions qui lui étaient posées par elle-même ou par d’aut
erché un observateur honnête qui se soit donné la peine d’étu-dier la question , et qui n’ait pas acquis des preuves irréfragable
ouvrages que nous possédons sur l’iEumi-nisme ne font qu'effleurer la question de la médecine spiri-tualiste. Presque exclusivem
exacte avec celles des convulsionnaires de Saint-Médard? Voici les questions habituelles que M"' de Saint-Amour adressait à se
ction divine. Nous nous abstiendrons d’un jugement définitif dans une question qui ressort entièrement de la juridiction théolog
es pour résoudre ce problème. L'intervention des esprits dans cette question ne nous paraît pas sérieuse. Si Dieu, dans sa sag
répondent, dit-on, au moyen de signes convenus d’avance, aux diverses questions qu’on leur adresse. « Ces expériences commencèr
si tout se réunit pour vous faire repousser les pratiques dont il est question ; tout vous les montre impies, superstitieuses, c
Messieurs, je 11e suis pas venu devant le tribunal pour discuter une question déjà présentée à sa barre; je n’en reconnais pas
a liante graxité , car, en ce qui concerne M"" Roger, 111acliente, la question n’a pas été décidée par la Cour de cassation ; ma
es anatomiques et physiologiques peuvent être pour élucider certaines questions relativ es au magnétisme. 2° Attraction du peti
action du petit doigt. Indépendamment du signe dont il vient d’être question , il en est un autre dont je me sers depuis quelqu
doigt. Av ec un peu d'attention, 011 évitera de commettre l'erreur en question : que l’on attende que le petit doigt soit complè
ste, pour apprécier à sa juste valeur l'influence héréditaire dans la question qui nous occupe, il me semble que l’hérédité du c
Les tables tournent-elles? les tables 11e tournent-elles pas ? ; La question vient d’être décidée par une autorité presque inf
n’avons donc point à discuter avec MM. Babinet, Moigno ét C1', sur la question de savoir si le miracle est ridicule. Un fait est
é, et j’étais obéi. Il serait puéril d’insister davantage sur cette question . Prétendre exclure l’action de la volonté, dans l
personnes dont les mains reposaient encore sur la - table, fit cette question d’un ton assez ennuyé : « Es-tu un mauvais espr
deux. » Pas de réponse. J’enlevai de nouveau mon chapelet. La même question fut répétée, et la table, frappant deux coups, mi
nomène des tables tournantes et parlantes ayant fait surgir la grande question du commerce avec les esprits, on devait s’attendr
cel examen nous mènerait beaucoup trop loin. Nous nous bornerons aux questions qui rentrent dans la spécialité de notre Journal.
ète nos pensées. Le questionneur répond d’avance men-« talement «\ la question qu’il pose; et, celte réponse inen-n taie, l’obje
ontre le magnétisme. Elle devient plus obscure quand elle aborde la question de la nature du magnétisme, quand elle se demandé
spectueusement à votre honorable corps que les phénomènes dont il est question existent bien réellement, et que leur origine mys
nstitutions de s'adresser aux représentants du peuple pour toutes les questions que l’on présume loyalement devoir conduire à la
ssion scientifique soit nommée pour procéder à l’étude complète de la question , et afin qu’un crédit soit alloué pour permettre
e veille, dans celui du sommeil et dans le somnambulisme naturel. Les questions les plus ardues de métaphysique y sont discutées
ve, l’auteur ne diffère de la plupart des magnétologiies, que sur une question de plus ou de moins, sur le point précis où doit
urs idées, au lieu d’exprimer les inspirations des esprits. Une des questions les plus délicates que présente cette matière, es
le récit d’une expérience qui, je crois, pourra servir à élucider la question . Je me trouvais dans une société où l'on obtena
es index, et qui se mettait en mouvement et écrivait les réponses aux questions posées par les spectateurs. J’appelai Voltaire,
s convaincre que tu n’es pas un mauvais esprit? » Avant même que la question fût terminée, la corbeille écrit le mot Dieu, en
é par un de ses membres, car c’est l'histoire qui parle et tranche la question . Mesmer employait l'eau magnétisée, en boisson
psychologiques obtenus à 1 aide (les tables, ils appartiennent à la question de l’existence «les esprits super-terrestres, et
nes du somnambulisme magnétique. Je ne traiterai donc point ici cette question que je regarde comme incidente ; je nie bornerai
tables tournantes. Chacun adressait à la table mise en mouvement des questions plus ou moins inconvenantes. Enfin Mussard, princ
ns ces expériences, se distinguait entre tous par l’immoralité de ces questions . De plus, 11 prêtait à la table des réponses po
'à l’état de simple énoncé. Quant au somnambulisme, il en est à peine question , et seulement comme fuit physiologique. Une tel
pays où bien des susceptibilités seraient mises èn émoi par certaines questions que soulève l’étude du magnétisme transcendant. N
par A. Monm. — Prix : 12 fr. par an. Qu’est-ce que la magie? Grande question qui faisait rire de dédain la philosophie sceptiq
yant aucunement besoin de douches, qui ne craignent pas de traiter la question des esprits, les unes soutenant l’affirmative, sa
comme manœuvre infernale, a contribué à accréditer les évocations. La question posée actuellement et vivement débattue est donc
ue nous avons sous les yeux se trouve une étude fort bien laite de la question des poursuites judiciaires contre les somnambules
ns le monde magnétique, vous n’ayez point pris sur vous de décider la question . Loin de partager la manière de voir de ces imp
ai eu l’honneur d’avoir avec vous, que vous n’avez cessé d’étudier la question et d’y appliquer votre attention. La haute posi
e, l’article de M. Babinet, pour y trouver, non pas la solution des questions auxquelles je m’étais laissé d’abord entraîner pa
es questions auxquelles je m’étais laissé d’abord entraîner par lui — questions tout à fait étrangères au phénomène des tables to
es d’hébétude, et seront obligés de faire un effort pour répondre aux questions qu’on leur adressera. On pourra leur faire exécut
e dois faire mention d’un genre de mouvement des tables dont il a été question plus ou moins sérieusement. Des objets matériels
e contentent de répondre plus ou moins juste, par oui et par non, aux questions qu’on leur pose. Les autres, plus explicites, rép
mouvement. Ainsi donc, les mouvements d’un meuble, les réponses aux questions , les discours spontanés pourront provenir, soit d
j’ai eu par le meuble actionné des réponses (fausses ou vraies) à mes questions mentales, posées sans que personne fut prévenu. L
manquât pas, il fallait qu'à un moment de la séance, antérieur à mes questions , j’eusse demandé si j’étais en rapport avec la ch
I. Des communications spirituelles. Il y a tout naturellement une question préliminaire : Peut-il y avoir des communications
stion préliminaire : Peut-il y avoir des communications spirituelles? Question complexe. — Y a-t-il des intelligences en dehors
onfiance serait due aux communications de cet ordre? Répondre à ces questions serait sans doute au-dessus de nos forces; cese
de genre affectueux ; mais toutes les fois que j’ai interrogé sur des questions que ni moi, ni mes coopérateurs n’étions capables
ces communications, qui seraient d’un haut intérêt pour l’étude de la question qui nous occupe en ce moment. Sans formuler de
ur le discuter, pour l’analyser. Je me contenterai de poser certaines questions , de développer certaines considérations qu’il me
veuille bien ne pas trop s’étonner du terrain où nous transportons la question . Où finit le réel ? Où commence le fantastique
n métaphysicien de bonne foi ne pourra répondre catégoriquement à ces questions . J’ai un sujet magnétique, somnambule ou non, m
r du terrain, nous pouvons même dire que d’un pôle à l’autre il n’est question que de cet agent merveilleux. Le monde s’est ému
vent de base àl ordre social, en même temps qu’il sert à élucider les questions les plus hautes de la philosophie, il se rend acc
ient Être accordés à l’auteur du meilleur mémoire sur cette difficile question . Eh bien 1 parmi ceux qui lui ont été présentés,
e repose tout le crédit, l’espèce de célébrité dont jouit l’auteur en question . 11 n’y a rien dans ce qu’il a dit ou fait qui ne
é mesmérienne, et le triomphe de celle-ci est à peine aujourd’hui une question de temps. Grâces vous en seront rendues, Messie
point un mystère. Sitôt en somnambulisme, on lui présente l’objet en question : son premier mouvement fut 1111 mouvement d’effr
re somnambule qui, ayant aussi été mise en rapport avec la cravate en question , fissura, après avoir réfléchi long- temps, que
bien déterminée Ïui préside aux actes ordinaires de la vie? Dans la question ont il s’agit, s’il fallait s’étudier, je dis qu’
ques lignes éloquentes par leur simplicité. La guérison dont il est question est une de celles qui feront éternellement honneu
is à un demi-jour plutôt qu’à une lumière vive. Dans les réponses aux questions que nous lui adressâmes, nous apprîmes qu’une dou
e tombe dans le somnambulisme, est parfaitement isolée, ne répond aux questions des personnes présentes que lorsque ces personnes
comme moi élèves de M. Philips, professeur d’électrobiologie. Il fut question de faire tourner et répondre une table. Nous prim
réflexions que renferme cette trop longue lettre et l’importance des questions qu’elle soulève, engageassent la rédaction du Jou
ans le débat et à donner franchement et résolûment son avis sur cette question capitale qui domine et résume toutes les autres :
comte L. de MESLON. Rauzan, G mai 185t. Donner son avis sur cette question ne serait point terminer le débat, mais ajouter s
t-il un intérêt réel, pour la science et l’art de guérir, à ce que la question du magnétisme animal soit élucidée par les médeci
lucide? « Combien peu de praticiens sont à même de répondre à cette question ! « L’incrédulité, le dédain, le sarcasme ne so
nsu de ces êtres qu’on les influence. Et les curas... ? Évidemment la question n’est qu’effleurée. 2° Qu'est-ce que le somnamb
on action agit sur bien des cerveaux à l’endroit du progrès, dans les questions qui nous occupent ; car il suffit d'en toucher un
es les théories mécaniques du mesmérisme sont dans la réponse à cette question . La dent du chien apporta dans la circulation un
c elle, comme le fluide nerveux lui-même. C’est là tout le nœud de la question ; car si vous agissez avec un courant trop fort,
ivent de Dieu,, il se sert, pour faire apercevoir le vrai point de la question ,, d’une de ces comparaisons qui lui sont si famil
Grande-Bretagne. J’ai donné un aperçu des péripéties qu’a subies la question des établissements hospitaliers du magnétisme; la
ait quel flux de bavardage inonda notre mobilier. Mais qui répond nos questions ? qui parle dans les tables? Ce n’est pas le bois
n démon, un ange gardien, l’âme errante d’un trépassé. On adresse des questions , suivant la croyance générale du cercle, et presq
s digressions à son sujet. On va faire beaucoup de bruit autour de la question , on va chercher bien loin, par delà le monde visi
onséquence il ne sera pas plus difficile d’obtenir des réponses à mes questions , et qui refléteront toujours la pensée ou au moin
la vérité, je résolus d’essayer. A deux expériences, à la première question : Qui es-tu? je reçus un mot démon, parfaitement
disant qu’il serait plus agréable de causer avec un bon esprit. A la question : Qui es-tu ? nous eûmes ange pour réponse. C’éta
dai s’il voulait que je fisse venir chez lui une somnambule ; à cette question , il sourit. Je vis que j’avais encore affaire à u
emières, à l’action réparatrice du magnétisme. La maladie dont il est question datait à peu près d’une douzaine d’années. D’aprè
e qui se distribue rue d’Orléans-Saint-IIo-noré, 17, et dont il a été question dans notre Chronique du (> décembre, nous somm
ndissement de Valogncs, du 12 mai, consacre plusieurs colonnes à la question des tables parlantes et des esprits. Il parle inc
stai à la seconde, nous pouvons certifier que M. Napier ne fit aucune question propre à guider le sujet, qu’il se borna à dire d
« moi ce que vous voyez, ne vous embrouillez pas. » Il ne fit que les questions strictement nécessaires, et aucune ne pouvait gui
substance de ses idées sur la classification possible du phénomène en question . «La clairvoyance, dit-il, se présente sous dif
pouvoir donner à ses compatriotes une idée de l’état où se trouve la question du magnétisme en France. 11 rend compte des vis
le monde, à ce moment là, voulait expérimenter. 11 n’y est absolument question que des premiers essais, dont tous les journaux a
ofond sommeil, répondit d’uno façon lente et insignifiante à quelques questions que je lui fis. La connaissance étant revenue e
écarte les paupières, sont tournées en haut; elle ne répond à aucune question , ne manifeste aucun signe de sensibilité lorsque
s... » (nouvelle pause de plusieurs minutes). En vain lui fait-on des questions étrangères, elle poursuit toujours la même idée.
Elle était étrangère à tout ce qui l’entourait, ne répondant à aucune question , 11e s’occupant ni des cris, ni de l'allaitement
re sans aucun organe auditif circonscrit. C’est pour résoudre cette question qu’il fit les expériences précédemment rapportées
prenant un autre livre sans l’ouvrir, a posé à une table tournante la question suivante : « Quelles sont les lettres formant l
n cause ; et s’il m’était prouvé qu’ici cette intervention a lieu, la question rentrerait pour moi dans le domaine de la théolog
e du lustre que Mesmer répandait sur Vienne, avait mis au concours la question du magnétisme animal. » Or, à cette date. (1820
, en tête desquels nous placerons Galvani, — sans vouloir décider une question de priorité, — admet une électricité animale prop
abituellement le nom de l’esprit qui a parlé. Parfois elle répond aux questions par oui et non. 11 lui arrive d’écrire des commun
rner les maladies et de répondre d’une manière si exacte à toutes les questions qui lui étaient posées : « C’est mon ange gardi
t en foule chez mon père. Le jeune enfant , accablé de demandes et de questions de tous genres sur la politique, la médecine, la
ns un grand salon. Nous n’essaierons pas de rappeler ici toutes les questions qui furent adressées à l’enfant, ainsi que les ré
faites ce que vous voudrez, et faites pour le mieux. » A toutes les questions qu’on peut lui faire, elle répond avec justesse,
ait point en souci et n'allait pas même le voir ; après deux ou trois questions faites aux parents comme pour la forme, U tirait
sien. Elle lisait ces chiffres, et la langue interne dont il a été question plus haut, dans des cercles que nous portons inté
ettre eu usage. Deleuze, dont l’esprit méthodique a élucidé tant de questions , s’était appliqué à l’étude des bases d’un traite
reconnaissons. On nous dit : Vous ne donnez point votre avis sur les questions à l’ordre du jour ; vous n’entrez dans le débat q
sophique et médicale du magnétisme animal, une série d’articles où la question du magnétisme est traitée avec un talent remarqua
direct du magnétisme ; dans son livre, il ne consacre à cette grande question que quelques lignes où il se montre fort dédaigne
ême. Ceci posé, nous ferons reiflMquer que quand on veut discuter une question , il faut l’aborder franchement et sérieusement, e
e personnage dont la présence était ainsi indiquée, et l’on fit cette question : « Est-ce un parent de M. Barlett ? « — Non.
assignées par l’omniscience académique; ce n'est plus pour eux qu’une question archéologique, que le souvenir confus d’une vieil
, et qui sont attribués à l’intervention des esprits; alors surgit la question immense du surnaturel ; la science épouvantée est
rnaturel au-dessus de tout examen; nous pensons qu’en posant mieux la question , on l’aurait mis hors du débat. 11 y a donc néces
l soit surnaturel, et l’idée de surnaturel est antiscientifique. La question de surnaturel n’implique -pas, comme beaucoup de
urnaturel n’implique -pas, comme beaucoup de personnes le croient, la question des esprits. S'il existe, en dehors de l’humanité
ne dispensation spéciale de Dieu. Mais quand il s’agit d’élaborer une question scienti-que, il faut toujours partir du doute abs
aucoup la tâche de M. de Gasparin, qui examine fort laborieusement la question si les esprits auxquels il donne (à tort suivant
n, acte 11, scène lr«. parin n'a fait, du reste, qu’effleurer cette question épineuse qui méritait cependant toutes ses médita
tre et ne traitera-t-il pas ses collègues en écoliers? A toutes ces questions , l’avenir répondra; en attendant, Lyon possède un
teur l’ayant prié d’écrire le premier vers du poëme dont il avait été question , on obtint un vers, puis un second, un troisième,
autres exemples à notre connaissance. On est amené par là à poser ces questions : Qu’est-ce que le monde des esprits, où est-il,
t ses erreurs et ses imperfections? Dans le sommeil, il n’en est plus question . Dans la veille, l'intelligence a beau sollicit
uvement des esprits à la recherche de l’inconnu ? Les savants ! belle question , ma foi ! ils se reposent. 11 m’est donc bien pe
, présente la défense. « La déclaration du jury, affirmative sur la question principale , est négative sur la circonstance agg
ons dire que la suite est traitée avec non moins de clarté. C’est une question posée de bonne foi, étudiée avec conscience et fr
des facultés extraordinaires, et que si au lieu de 1 appliquer à des questions oiseuses, comme on le fait trop souvent, on l’exe
e leur donner une nouvelle extension, un nouveau perfectionnement. La question : «Comment voit-on dans l’état magnéti-gnétique?»
t ni par mes sens, ni par un voyage de mon âme que j’ai vu l’objet en question . Les sens ne sont affectés que par un objet prése
mineuses? L’intervention du fluide vital n’a donc pas fait avancer la question . Poursuivons l’analyse du système de M. Garcin.
remplir cette fonction. Dans la seconde partie, M. Garcin aborde la question spéciale du magnétisme. Suivant lui, le fluide vi
hangé ses instruments, mais sans en être plus dégagée du corps, et la question de l’immatérialité de l’âme demeurerait intacte.
tacte. M. Garcin n’a pas cru déroger en consacrant un chapitre à la question des communications avec les esprits, et nous le f
tionnelle que l’auteur propose une explication scientfique du fait en question . Une fois ces généralités posées, M. L*** passe
e j’aie persisté si longtemps dans cette sorte d’apostolat? C’est une question que je me suis souvent adressée, question toujour
orte d’apostolat? C’est une question que je me suis souvent adressée, question toujours suivie d’un moment de découragement et d
11 n’y aura d’enterré que leur réputation. Mais ici n’est point la question . J’instruirai donc le procès de tous ces félons
ant de la tisane de réglisse. » Quatre ans plus tard, lorsqu'il fut question du mariage de la princesse, l’auteur note que la
maréchal de Stainville demanda s’il ne pourrait pas lui adresser des questions . M. de Puységur lui répondit qu’il en était parfa
même un homme bienveillant pour le magnétisme. Le maréchal répéta sa question . « — J’ai besoin de penser quelques minutes ava
s Sa Sainteté, prenant intérêt à mes explications, me fit beaucoup de questions sur le magnétisme, sur la manière dont je l’emplo
l’observateur eût-il de l’autorité sur le public, comme à côté de la question de capacité surgit aussitôt, quand il s’agit de t
estion de capacité surgit aussitôt, quand il s’agit de témoignage, la question de véracité, c'est seulement pour ceux qui connai
e fort lucide sans aucun souvenir. Sans se concerter avec moi sur les questions (car ils étaient alors fort incrédules), M. et Mr
16 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
encore The Pedago- gical Seminary , importante revue consacrée aux questions pédagogiques depuis 1891. Les élèves, suivant
permettant de conclure que les cerveaux contenus dans les boites en question n'étaient point normaux, et que bonne partie RE
Les progrès de* la' médecine alié- niste ont avancé'aujourd'hui la question ? 1--01 '4 ''f >ax->'>0 £ z' ". Parmi
? >* ""don airrn f' (3sssilalr'^<9V < Aspect médical de la question : Il est"1 faut "de"1 juger' la' folie d'après
d'après le témoignage du médecin. ., On poserait au jury, les deux questions : z ", ? ? 1° L'accusé a-t-il la maladie du cer
", 20 Le.crime est-il le résultat de' cette maladie ? y; w ,.Les, questions sont simples; les difficultés naîtraient seulemen
''M ? 1Ll. i l-p«n.- i -- i L- . 1 , Conclusions. Le mécanicien en question est atteint d'une affec- : tion du système. nerve
concilier avec l'intérêt personnel du client..) j s ( , <, ' La question des assurances sur la vie et du secret profession
e du sang examiné. Dans le' numéro précédent, deux 'études sur la question ; l'une de Marshall EWELL, Etude micrométrique d
an procliain,(1893). à Ialrsruhe. On. y traitera officiellement les questions suivantes : 1° Des quartiers de surveillance co
1 ? lue .=9 »-,i-, r.Sio 1° Un asile public du genre choisi pour la question proposée,^ dois avoir une proportion de 10 p. 1
du lundi 6 août au samedi 11. Le Congrès discutera spécialement les questions sui- vantes : 1° Pathologie mentale : Des rap
t-docent, de l'Université de Genève (Suisse). Les rapports, sur ces questions , seront adressés en temps utile aux adhérents.
mmunications, ou leur intention de prendre part à la discussion des questions générales indiquées ci- dessus. Le montant de l
Drs Maupate, interne : a Vannes, Chocreux, interne à Bailleul. Les questions traitées^ ont été pour la composition écrite :
t étiolo- gie ; - Fracture du radius, diagnostic et traitement. Les questions restées dans l'urne ont été pour l'épreuve clin
nterne de Charenton), Charuel (ancien interne de Pains (Meuse). Les questions Liréès au sort, ont été, pour l'épreuve écrite
le : Broncho-pneumonie ; Hématurie au point de vue chirurgical. Les questions restées dans l'urne étaient pour l'épreuve écri
decin de Bicêtre, suppléant. e 1 . , , i . 1 - Epreuve écrite. La question tirée au sort a été : Anatomie et physiologie d
u sort a été : Anatomie et physiologie du lobe frontal. Deux autres questions avaient été mises dans l'urne : Pneumogastrique
l'urne : Pneumogastrique, cellules nerveuses. » " Epreuve orale. La question traitée a été : La mort dans le dia- bète. Les
le. La question traitée a été : La mort dans le dia- bète. Les deux questions restées dans l'urne étaient : Mal de Pott dorsa
chef; Brun, médecin en chef, suppléant. '" Epreuve' écrite . 'La question tirée au sort a été : Anatomie et physiologie d
e au sort a été : Anatomie et physiologie du cervelet.` Deux autres questions avaient été mises dans l'urne : Capsule interne
dans l'urne : Capsule interne, sinus cérébraux. Epreuve orale. La, question , tirée au, sort a été : Diagnostic différentiel
e au, sort a été : Diagnostic différentiel des méningites. Les deux questions restées dans l'urne étaient : Indications et' c
ont été reçus. Deux ont dépassé les deux tiers du maximum. a Les questions écrites ont été : à Bordeaux : Circonvolutions cé
cer- veau, nerf trijumeau. , Les candidats ont eu à traiter comme question de pathologie : à Bordeaux : Signes et prophyla
ntpellier : Signes et diagnostic de la pleurésie. - · · Parmi les questions restées dans l'urne se trouvaient : Etiologie e
s. Il est à souhaiter que la future loi sur les aliénés règle cette question et que dans les quartiers d'hospices comme dans
tion si intéressante. 1 Mais en présence de ces lésions, une double question se pose : S'agit-il d'altérations caractérisant
larvé et se pré- senter sous forme de névroses, dont il ne sera pas question ici. Je me borne à mentionner les troubles vaso
n'était que la punition de ses fautes. Enfin il n'est pas jusqu'aux questions des exorcistes aux possédées qui ne furent posé
me de la même époque, on trouva le même but de dénigrement dans les questions posées. L'exorciste demanda au démon Verrine qu
ction. (Revue neurologique, 1893.) E. BLIN. XI. Contribution A la question de la paralysie générale PRO- GRESSIVE DES alié
ter plus spécia- lement à certaines formes phychopathiques, mais la question n'est encore guère étudiée. CAMUSE. XI. Épile
s cas d'algidité vient de faire paraître un travail où il étudie la question del'hypotermie chez les aliénés. Après un histo
gislation actuelle ne permet pas cette création. M. CHRISTIAN. La question soulevée par M. Ballet est de celles qui préocc
ceux qui se sont montrés dangereux pour autrui ? , M. JOFFROY. La question à se poser en face de chacun de ces tarés est c
ande que dans la prochaine séance on s'oc- cupe parallèlement d'une question de science et d'une question d'organisation gén
ance on s'oc- cupe parallèlement d'une question de science et d'une question d'organisation générale. Par exemple, de la que
ience et d'une question d'organisation générale. Par exemple, de la question du personnel des infirmiers. Cette vieille ques
exemple, de la question du personnel des infirmiers. Cette vieille question est toujours nouvelle. La nou- velle loi lui do
nne ne le demande, à se charger du rapport. Adopté. M. MENDEL.-La question scientifique que l'on pourrait simultané- ment
Rhin et de la Westphalie tenu récemment à Dusseldorf et traite la question examinée par ce congrès relative à la culpabilité
bilité dans l'état d'ivresse. Sur la proposition de lt.OEuEeE cette question sera pour la prochaine séance rapportée par MM.
autopsie s'il y a lieu, avec un modèle de conclusions contenant les questions auxquelles l'expert doit répondre. La façon très
ans ses recherches une telle netteté, une telle pénétration que les questions les plus ardues, les plus complexes, devenaient
e et le crétinisme ou qu'en intervenant d'une façon active dans les questions à l'ordre du jour, notamment dans la discussion
et la folie circu- laire, Baillarger la folie à double forme. Cette question toute nou- velle, quoique peu familière, on peu
es, donnent une idée d'ensemble de chaque mémoire, si bien 'que les questions les plus ardues deviennent accessibles à ceux m
épartemental d'aliénés de Bron, à Lyon ; 5° outre les trois grandes questions qui doivent être traitées par de savants alié-
es aliénés, Paris, 1893; une Étude physiologique sur le sommeil; la Question de survie des fonctions et des organes chez les
la composition écrite ; 7 seulement ont subi toutes les épreuves. Question écrite : Cordons postérieurs de la moelle (anatom
dans l'urne : Nerf facial, anatomie et physiologie ; 4° ventricule. Questions orales : Colique hépa- tique ; Etranglement her
ations de quelque durée sur ses sens; elle ne répond plus alors aux questions posées. La malade trie des laines appartenant a
d«hui, eeL...,-elle les écrit sans tâtonner. Lorsque les lettres en question commencent un mut, elle hésite davantage, comme d
images verbales. Je l'interroge sur le calcul et lui pose diverses questions qu'elle résout ainsi : AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGR
t elle bouderait de longues heures. C'est pour cela, à cause de mes questions qui mettent en lumière sa faiblesse de mémoire
des de ce genre ' pourrait donner quelques renseignements sur cette question , si les recherches en cette matière étaient moi
miner. Dans, quelle classe d'amnésies faut-il ranger ce cas ? Cette question n'est autre, en 'résumé, que celle du mécanisme
e que ces' souvenirs ne'réapparaitront plus. 11 ne peut donc être question ^ ici d'amnésie par mode dit hystérique;^ je'ne pe
l'aâréable ? 3os ? >.u... - -r ,* t i* a , ' t- ? ? ,, 'A ces questions ? je répondrai en toute sincérité on a conservé
nnaissance de cause, et le clergé lui-même était très divisé sur la question de la possession : l'immense majo- rité l'accep
ien cependant. L'échec retentissant, que leur infligeait l'arrêt en question , ne fit qu'accroître leur ténacité à le battre
ESCHFELD (British 3[ed. JOtll' ? 2., 2 juin 1894.) .. Revue de la question à propos d'une observation détaillée avec prépa
es applaudissements, le Congrès aborde la discussion de la première question générale. - - ' -' , ' ? RAPPORTS DE L HYSTERIE
excessives. Ce sont là des caractères très vagues. M. JoprRoy. La question que nous avons à discuter aurait tout aussi bie
alade était inquiète, souffrante, répondait d'un air maussade à nos questions . Nous retirâmes le thermomètre au moment voulu
teint, ainsi qu'en témoigneut les troubles psychiques dont il a été question plus haut. Nous connaissons aussi des cas dans
omplexe auquel se rattachent SOCIÉTÉS SAVANTES. 241 de nombreuses questions théoriques et pratiques. Mais c'est là une tâch
rs arguments. - Il ne faut pas perdre de vue, dans l'étude de cette question , que le cylindre-axe, partie essentielle du ner
e comme constituant tout le substratum anatomique de l'affection en question ; elles en représentent seulement les alté- rati
logique, c'est-à-dire à l'hypothèse. Encore est-il qu'en prenant la question de cette façon, on arrive à conclure que toute
t le sujet en quel- ques heures, ces auteurs, dis-je, ont fait à la question des névrites un grand tort qu'il faut maintenan
nalogues et locales des nerfs. Bref, je conclus en affirmant que la question des névrites péri- phériques ne mérite pas d'êt
/Z. Séance du 7 août (soir). PnËS)DEKCE nE 111. Pierret. DEUXIÈME QUESTION DE L'ASSISTANCE ET DE LA LÉGISLATION RELATIVES
u'il conviendrait de leur appliquer. - , , Législation pénale. La question de la législation pénale de l'ivresse a été l'o
ue le nombre des cabarets n'est qu'un des facteurs en cause dans la question de l'alcoolisme, et de l'autre que, dans les pa
(de Paris). La création d'asiles spéciaux pour les buveurs est une question neuve en France. En 1889, le Congrès de médecin
ion. En 1892 le Conseil supérieur de l'Assistance publique a mis la question à l'étude. Dans l'ordre pratique le Conseil gén
sur le vaste domaine de Ville-Evrard. On peut ramener à cinq les questions qu'il pose : 1° doit-on construire un asile d'alc
éciaux pour le traitement de l'ivro- gnerie. Ceci dit, j'aborde les questions soulevées par M. Deschamps. .Ma tâche se trouve
mmission n'avait pas été consultée. Du reste, n'ayant pas étudié la question de l'organisation d'un établissement pour les alc
der au Congrès ce qu'il faut entendre par alcooliques. C'est là une question qui aurait dû , être préalablement tranchée. No
jet ainsi que le Dr Bourneville qui propose de voter d'abord sur la question de principe de séquestration et de la nécessité
ile de créer un asile pour eux. L'ordre est interverti, la première question passe au deuxième rang. La discussion d'hier re
la fin de novembre; que le Congrès n'a pas à s'im- miscer dans les questions particulières ce qui aurait assurément de grave
e qui aurait assurément de graves inconvénients, mais à traiter des questions générales intéressant tous les pays. M. Briss
t .naturel de le chercher dans les centres trophiques des fibres en question , dans les gan- glions cérébro-spinaux. Cependan
ctuels, si intense parfois que les malades, lorsqu'on leur pose une question , l'oublient immédiatement, comme ils perdent le s
té; on lui parle, il n'a pas l'air de comprendre et fait répéter la question . Avant d'y ré pondre, il a l'air de réfléchir,
ier, même si le malade parait lucide et répond assez exactement aux questions , l'inconscience est la règle. Mais chez un épil
19 l\ ? i i ASILES D'ALIÉNÉS. z du département d'Eure-ef-Loir. La question la plus importante est si d'abord celle-ci : le
n'est pas dans cette courte notice qu'il convient de discuter cette question , je dirai seulement qu'il existe, sous ce rapport
e Remontrances faites à Sa Majesté pour protester contre l'arrêt en question . Elle se terminait après un exposé très succinc
ble, dans l'explosion et la propagation ultérieure de la maladie en question . Ce fait important n'avait pas échappé à la sag
de fléchir le corps au-dessous d'un angle de 110°. P. K. ' Il. La QUESTION du ruban DE REIL dans l'écorce ; par Hoesel. (N
e ; par Hoesel. (Nezt ? -olog. CentralGl., 1893.) Contribution A la QUESTION du ruban DE REIL cortical. RÉPLIQUE; par MAHAIM
r M. Jendrassik lui ont permis d'éclairer quelques détails de cette question et de dresser avec beaucoup de probabilité la v
de à multiplier, additionner, soustraire, diviser, à répondre à une question simple : qu'est-ce que cet objet ? où est cet obj
veau projet de la commission législative actuelle remettent tout en question en vou- lant nous ramener au statu quu dont nos
de leur donner une force indis- cutable, je devais revenir sur une question capitale pour nous. Je vous rappellerai très br
aire à l'aide d'une méthode nouvelle fait faire un pas de plus à la question . Nous venons de voir que le corps biconique éta
n'y a pas de différence histologique précise et que dans le cas en question il manquait le goitre et les déformations squelel
l'Institut, lit une note pour le sujet ci- dessus. Position de la question . L'intérêt au point de vue clinique est dans la
s, documentée pathologiquement), au point de vue histo- rique de la question capitale de la responsabilité de Charles VI dan
ment un travail assidu et continuel de plusieurs années. Toutes les questions concernant la pathologie nerveuse y sont traité
x seuls n'empêche pas M... de compter, de répondre comme devant aux questions qu'on lui pose. Seuls les mouvements volontaire
qui caractérisent objectivement cet état. Sans rien préjuger de la question , ce sommeil semble déjà se différencier beaucou
on l'a surprise, dans son som- meil naturel, parlant de la scène en question , du gendarme, du rappel de son père, de son éma
nou- velle attaque, en rappelant le délire, vint tout remettre en question . Ces variations de l'état somnambulique constatée
d'albuminu- riques dans les paralytiques généraux. Ici encore la question n'est point résolue vu la contradiction absolue
ns pour le moment, vu le peu de documents que nous possédons sur la question , impossible d'essayer de nous faire une opinion
ieu tout récem- ment à Lyon, M. le professeur Pierret a soulevé une question qui lui a semblé devoir être, de nouveau et à p
urable, puis, dans l'affirmative, elle met en charge les meubles en question chez des parents, qui s'y refusent trop souvent
ntentionnellement à ces faits. Je ne veux point toucher encore à la question de la vente et de la location des biens immobil
oumis la difficulté à des magistrats qui ont eu a s'oc- cuper de la question au point de vue pratique et qui nous ont exprimé
ne m'arrête point à ces difficultés. Le- volume des mobi- liers en question , même au complet, n'est jamais considérable, vo
. Mais, inversement, quand après avoir effleuré la zone fémorale en question , on excite, subsidiairement la plante du pied o
ction ou de tutelle, afin qu'on les fasse figurer sur les livres en question . De cette façon, on aura une statistique complè
surviennent dans la paralysie générale, dans leurs rapports avec L question DE la syphilis; par (CEKE. (Allg. Zeitsch. ? Ps
se développe chez des hystériques. P. K. XXVI. CONTRIBUTION A la question de la 'paranoïa; par SCHULE. (Allg. Zeitsch. f.
premiers apôtres du no- restraiut, et Graeser. Nous y traitâmes des questions anatomiques, cliniques, statistiques. Nouvelle
x psychiatres seuls, dans laquelle seront traitées spécialement les questions psychopathologiques. En mai 1886 a lieu le prem
se rallie aux conclusions précédentes. Mais sur le fond même de la question générale, MM. NissLE,KtOEu- sra, l3evn, Kariier
qui décide de la continuation ou de la suspension de la visite. en question . Il est indispensable de noter la date de chaque
simple chapitre de la dégénérescence. Discussion. M. Wilser. Cette question a un rapport étroit avec la théorie de l'hérédi
seignements pour les Archives de Neurologie, en ce qui concerne les questions spéciales abordées dans quelques sections. C'es
l'ouverture de la séance parle Jury. Pour les épreuves orales, la question sortie est la même pour ceux des candidats qui
ont appelés dans la même séance. Elle est tirée au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées par le Jury avant
ar le Jury avant d'entrer en séance.. Pour les épreuves orales, les questions seront rédigées par le Jury, chaque jour d'épre
euve, au nombre de trois, avant d'entrer 430 VARIA. en séance. La question tirée au sort est la même pour tous les can- di
st le même pour tous les candidats; il est tiré au sort entre trois questions qui seront rédi- gées et arrêtées par le Jury a
tirer l'attention sur sa fréquence et ses caractères propres. Cette question a été reprise l'an dernier par M. Mathieu' et s
e. Mais ce sont surtout les recherches de Kahler qui ont élucidé la question . Reprenant l'expérience fameuse de Claude Berna
LITE SYPHILITIQUE ; Par H. LA111Y 1 HISTORIQUE. Etat actuel DE la QUESTION . La syphilis médullaire n'a été l'objet que d'u
ession (Vidai de Cassis). De myélite syphilitique, il n'était pas question ; et lorsque dans une autopsie de paraplégie syph
tion définitive que la bactériologie pourra fournir un jour à cette question , empreinte sans doute d'un scepti- cisme exagér
} 2° La pie-mère, point de départ de l'infiltration cellulaire en question , présentait par endroits de véritables granulatio
n d'être une entre les savants d'un même pays. L'historique de la question , tracé par Cramer', rend compte de l'indécision
itations. Cet historique montre aussi d'emblée que les délires en question ont été appelés paranoïa, Wahnsinn, VerrMC/te,
, que l'on rencontre parfois, entant que caractère de la maladie en question , débilité, suivant lui, préalable et non conséc
ayer les progrès de l'avenir. Il faut, pour certaines des formes en question , attendre la découverte de lésions anatomiques
isir la différence et la parenté des deux éléments pathologiques en question . Ainsi jles malades affectés de delirium tremen
l'habitude de désigner sous le nom d'anoia acuta. Il n'en sera pas question ici. A côté de ces formes morbides constituées
butant. Les scrupules qui le hantent proviennent justement de la question qui se rattache au délire hallucinatoire ou confu
c établi que les formes aiguës des troubles psychiques, dont il est question ici, envisagées au point de vue des symptômes,
saderie, et de la sensiblerie qui se manifestent à l'occasion de questions indifférentes. Ceci s'observe surtout chez la fem
difficultés que l'on éprouve à comprendre et à faire comprendre les questions relatives à la classification clinique, ont leur
i, la condition préliminaire à remplir pour mettre du jour dans les questions de la psychiatrie spéciale, n'a pas jusqu'ici é
progrès de l'étude à la fois clinique et anatomo-pathologique de la question . Le résumé de tant de travaux sous une forme à
ons, les aliénés le disent eux-mêmes. (P. K.) . 528 faits divers. question tout le monde est d'accord. Or le personnel relig
par un dévoûment supérieurs à celui du personnel laïque. C'est une question de choix et de surveillance. Le directeur-médec
on était en droit de prévoir il y a deux ans, lorsqu'on agita cette question . Ainsi au le, avril 1892, les deux établissemen
17 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
noncer sur les conclusions d'un rapport présenté par nous sur la même question , les adoptaient à l'humanité ét décidaient qu'en
e professeur Delbœuf, je me crois tenu de préciser mon opinion sur la question soulevée, et de vous en résumer les motifs. Apr
al) tombe par cela même sous l'influence absolue de la suggestion. La question qui fait l'objet de votre discussion avec M. Delb
émérite, ne saurait refuser de reconnaître que, pour répondre à cette question , c'est à l'expérience seule qu'il faut demander l
pp. 521-553, 1894). broch. p. 14. c'est que, dans l'expérience en question , le sujet était tombé dans l'état d'hébétude hypn
ontrer qu'en exposant, dans cette lettre, mon opinion sur l'imposante question débattue entre vous et M. le professeur Delbœuf,
e seconde séance de sommeil que cette jeune fille ne répond pas à mes questions et à mes recommandations et ne fait aucun mouveme
l'hypnotisme. Max Nordau : Une famille névropathique. Manouvrier : Questions relatives à la différence intellectuelle des sexe
sur le massage et sur son application dans chaque cas déterminé. Cinq questions au moins sont posées. Ces examens sont publics et
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
est d'ailleurs un garçon intelligent et qui répond avec précision aux questions . Le soir de son entrée à l'hôpital, la températ
tout cela me faisait penser à une auto-suggestion. Pour résoudre la question , j'interroge l'enfant sur ses antécédents, sur le
'atelier avec tes camarades, tu es guéri, tu travailles. Je répète la question : Où es tu? Il répond: à l'atelier. Je le fais se
timents honnêtes, et déterminer des actes impulsifs? Voilà les graves questions qui s'imposent aux méditations de tous les hommes
igmates de dégénérescence, il était classé parmi les épileptiques. La question est devenue plus complexe. On peut envisager actu
L'hypnotisation pourrait peut-être, dans ces cas, aider à résoudre la question . VARIÉTÉS Saint Ignace de Loyola. Un très g
es aussi bien que de ses paroles. » Au point de vue légal, toute la question est de décider si Hamlet savait qu'en vengeant so
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
illmann ; secrétaire général : M. Simon; trésorier : M. Staher. Les questions qui y seront traitées sont les suivantes : Coag
sont d'ordre dynamique et non liés à une lésion d'organe, mais cette question est trop importante pour être traitée accessoirem
t de la plus grande importance de savoir, surtout au moment où il est question de reviser la loi de 1838, que les fous peuvent c
e dont il est soupçonné d'être l'auteur. Enfin, il faut le presser de questions , et chercher ainsi (ce qui est bien difficile) à
e son confrère et lui, un deuxième expert serait appelé à trancher la question . C'est là, d'ailleurs, ce qui se fait souvent pou
question. C'est là, d'ailleurs, ce qui se fait souvent pour d'autres questions de médecine légale. Anorexie mentale. M. Paul
des médecins et des jurisconsultes souvent associés dans l'étude des questions de responsabilité et de médecine légale. M. le Dr
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ce travail d'une lecture très attachante et éminemment instructif, la question des asiles de traitement des buveurs en Suisse, e
dées du Prof. Forel (de Zurich) dont on connaît la compétence dans la question de l'assistance des alcooliques ; le projet de cr
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
esne, œuvre du statutaire Desvergne et de l'architecte Debrie. Il est question d'élever un autre monument au Dr Duchesne, dans s
de la fréquence de l'onychophagie dans les écoles et qu'il n'en soit question dans aucun traité de pédagogie. » Cependant l'i
tion dans aucun traité de pédagogie. » Cependant l'importance de la question ressort suffisamment des statistiques du Dr Béril
du quart, tantôt de la moitié. Pour ma part, je n'ai pu étudier la question comme je l'aurais voulu, largement et à fond, je
qu'on peut être inquiet sans oppression, sans tremblement: c'est une question de susceptibilité bulbaire; l'inquiétude purement
n quelque sorte sublimée à tel point que toute conversation où il est question d'une guérison possible, lui permettant de repren
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ses lecteurs, sous le titre « Un problème de morale », l'intéressante question suivante : « A-t-on le droit d'avoir recours à
e nom de dipsomanie. Ainsi que l'indiquaient les termes mêmes de la question posée, les scrupules de l'interrogateur touchant
l m'a paru qu'il suffirait, pour résoudre le problème, de trancher la question préjudicielle qu'elle soulève, à savoir que l'emp
ule persuasion. Cette proposition devrait m'amener à traiter ici la question — encore ouverte, — de la distinction du vice et
le. Ce point de pratique a une grande importance lorsque le malade en question n'est pas hypnotisable. Il faut tenir grand com
uestion n'est pas hypnotisable. Il faut tenir grand compte dans ces questions de l'existence simultanée de plusieurs névroses e
te la curieuse observation d'un inculpé auto-accusateur. Le malade en question avait dès l'abord fréquenté un milieu criminel po
ance de l'hérédité dans la psychopathologie; données statistiques, la question de l'hérédité des qualités acquises, relations ps
nsidérable. La durée du congrès sera trop courte pour que beaucoup de questions soient traitées d'une façon suffisante. Dès à p
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ie de Moscou. M. Kogevnikoff vient de publier l'histoire du malade en question dans la Medicinskoie Obozrénié, et il nous semble
rnal que nous empruntons les détails qui vont suivre : Le malade en question , professeur à l'Université de Moscou, est âgé de
de psychologie, groupant tous ceux qui se préoccupent de l'éternelle question des rapports du physique et du moral, est appelée
portantes réunions scientifiques de Paris. Grâce à elle, une foule de questions qui apparaissaient revêtues des allures du mervei
uliers de la provocation du sommeil physiologique (1). La malade en question , âgée de 77 ans, était devenue amau-rotique en pe
de dix à quarante. J'expliquais assez minutieusement l'expérience en question et tout ce que je croyais important à faire pour
iminer autant que possible son influence sur le sommeil de la nuit en question . Par la même raison, je recommandais aux aidants
urs remplissait un questionnaire contenant de vingt-deux à vingt-sept questions , sans compter les questions secondaires. Il va sa
aire contenant de vingt-deux à vingt-sept questions, sans compter les questions secondaires. Il va san3 dire que le rêve de la de
ertaine importance, je renvoyais le questionnaire pourvu de nouvelles questions auxquelles je recevais d'ordinaire la réponse le
ces différentes manières, j'ai fait subir une flexion aux membres en question , et, en analysant les rêves des personnes dormant
t par des expériences parallèles. a) Comment savoir si le membre en question a été tranquille ou s'est déplacé pendant le rêve
membre ; dans le second, d'un mouvement actuel. La solution de cette question n'est pas absolument nécessaire pour nos expérien
ne disait avoir senti, le lendemain, une courbature dans le membre en question ; ainsi le résultat, dans ces cas, accusait une in
2° On rêve que le corps se trouve dans une position où le membre en question joue un rôle prépondérant ; le membre présente —
autres parties du corps ne s'accommodent pas réellement au membre en question , mais cette opération a lieu seulement dans l'esp
une autre personne (ou un animal) dans la position ou le mouvement en question . Voici les faits psychiques qui rendent possible
aires que nous-mêmes. 40 On rêve quelquefois que les mouvelments en question (Cf. n° 2) sont empêchés. Ce genre de rêves est u
ou plusieurs quantités faisant des multiples du nombre des doigts en question . Cela accuse un calcul mental fait pendant le som
is qui ne se rapportent pas directe-ment à la perception du membre en question . Ces différents genresde rêves d'origine muscul
rétation de celle-ci, on peut rêver très indistinctement du membre en question sans être capable d'associer sa sensation à la no
marques sensorielles ; en conséquence on voit, en réve, le membre en question comme appartenant à une autre personne (ou à un a
Les rêves chez les hystériques Par le D'Escasde de Meissières. La question des rêves chez les hystériques présente un très g
la valeur de leur témoignage ? Quelle sera leur responsabilité ? La question est assez difficile à résoudre, mais il faut reco
résultats. L'auteur se demande si les actes d'imitation dont il est question dans ces deux endémies étaient réellement inconsc
seigné autant qu'un professionnel peut l'être, sur toutes les grandes questions qui ont agité le monde scientifique dans ce derni
tuai une lame de cuivre, elle réagit aussitôt. Il ne pouvait être ici question de suggestion, pas plus que d'auto-suggestion...
pose à l'apoplexie. M. Schule, de Fribourg, a essayé de résoudre la question par la chimie. Chez deux sujets, dont l'estomac
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
uleux et étant d'ordre tout différent. Le jeune homme dont il va être question , était atteint depuis plus de onze ans de paralys
erveuse et guérie par la suggestion. Après un historique rapide de la question , l'auteur étudie les caractères cliniques des pse
NCE Les images rétiniennes. Le Journal des Débats revient sur une question bien ancienne déjà et toujours bien controversée.
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
la Faculté de Médecine de Bordeaux. Le programme comprendra : 1° Questions à discuter : Pathologie mentale. — Pathogénie e
équence, la perte irrémédiable du fonctionnement cérébral normal. Une question qui se pose de suite est celle-ci : Dans des affe
squels il n'avait pas la moindre raison de douter. L'un des fakirs en question était resté enterré six semaines, l'autre dix jou
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
si elle était vraie. Nous avons donc à nous poser encore une série de questions . 4* Dans le sommeil ordinaire, la non réception
fait l'interruption, la désarticulation ou la demi-désarticulation en question . Mais ce n'est pas à dire qu'il n'y ait pas, pend
érillon ne comporte donc aucune charge pour le budget; il répond à la question , si actuelle, de l'encom- brement dos Faculté
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
-même, mais encore en ce que M. Delbœuf est appelé à répondre à celte question : ß Les sujets de Donato dorment-ils ou bien simu
ncouragements étaient allés spontanément à ceux qui s'occupent de ces questions . C'est que M. Marion était doué d'un esprit vraim
rincipaux points qui méritent de fixer notre attention. La première question qui se pose est celle de savoir si la flj Mauri
z notre malade, relève de la dégénérescence ou dc l'hystérie. Cette question ne laisse pas que d'être assez difïicile à résoud
l'hystérie comme une modalité de la dégénérescence. Si on l'admet, la question que nous nous posons n'a plus sa raison d'être, p
ès probants à cet égard. M. Pierre Janet s'est également occupé de la question dans ses nombreux travaux sur la psychologie de l
on d'un simple fait, soulever à nouveau dans son ensemble la délicate question de l'hypno-thérapie dans les maladies mentales. J
drais, pour finir, attirer l'attention sur le côté médico-légal de la question . Ce point a une importance particulière, en effet
é do médecine de Paris. pour trancher, d'une façon définitive, la question de ces faits douteux et embarrassants. Voici d'
aigre, le regard vague et fixe, trop fixe même, pleurant à la moindre question qu'on lui posait, il vint vers moi, et, peut-être
premier promoteur de ces applications de l'agent hypnotique ? Cette question est incontestablement d'un réel intérêt et vérita
et nous pensons que c'est à notre initiative et à nos travaux sur la question que la pédagogie suggestive doit d'être entrée da
M. Tissié. Je remercie M. Régis d'avoir établi ma priorité dans la question si intéressante et si grave à la fois de l'influe
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ations d'hypnotisme devrait être modifiée. Après avoir discuté la question des dangers de l'hypnotisme en général et des rep
e appel, et M. Crocq fils se trouve appelé comme expert à examiner la question de savoir s'il était possible d'exécuter sans l'i
base les faits relatés par l'Auteur du mémoire, M. Masoin discute la question de savoir quelle attitude l'Académie doit adopter
notre jeune et distingué Confrère d'avoir porté devant l'Académie une question intéressante et neuve ; aussi la Commission vous
iner quelle attitude l'Académie compte adopter sur le fond même de la question soulevée. A cet égard, messieurs, la Commission v
stamment autour de lui des regards hébétés, il ne répond à toutes les questions qu'on lui fait que par une imitation du bruit qui
nimal à la Compagnie qui avait effectué le transport. Consulté sur la question de responsabilité, je déclarai que ces troubles a
sont imbéciles parce qu'ils dorment plus longtemps. Grave et épineuse question ! Madame Marie .Manacéine nous recommande, si n
journal. Le livre vaut la peine d'être lu; outre que le mystère de la question a par soi-même je ne quoi d'attirant qui pique et
nquet annuel de la Société aura lieu le même jour, après la séance. Questions générales mises à l'ordre du jour. M. Bérillon.
'étudier le développement spontané du langage chez les enfants. Cette question est évidemment très intéressante et en même temps
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, avait pris pour sujet la question toute d'actualité de G/iypnoitsme et de la sugges
'avocat désigne tout particulièrement pour l'étude de cette poignante question de l'irresponsabilité des criminels, a recueilli,
1 pages. V. Oliveira et Companhia. Bahia, 1895. Pioger (D' J.) — La question sanitaire. 1 vol. in-8 de 239 pages. V. Giard et
18 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que d'aborder, en ce moment, à propos d'une simple observation, une question complexe et diffi- cile. Nous ferons seulement
elation quelconque, soit directe, soit indirecte avec la maladie en question . Il a commencé à travailler dans l'air comprimé a
ne seule où l'on observe des troubles vésicaux, qui, dans le cas en question , ont consisté en la nécessité d'uriner dès le b
TIT HYPNOTISME. 93 l'initiative de notre maître, M. Charcot, que la question fit un pas décisif; on peut dire que M. Charcot
scepticisme à l'égard de faits que l'on voit sans cesse remis en question . Notre but est principalement de rappeler et de
urs fâcheuses, car elles entravent le progrès, en obscurcissant une question si simple en elle-même et où tout s'explique, q
e recherches scientifiques ou de constata- tions médico-légales, la question de preuve reste la question capitale. Si la r
u de constata- tions médico-légales, la question de preuve reste la question capitale. Si la réalité -de l'état hypnotique
issent pas assez sûrs pour servir à des expériences relatives à des questions de physiologie ou de psychologie. En l'absence
be frontal (terminaison probable). P. Keraval II. Contribution A la question DES dégénérescences secondaires dans LE pédoncu
plan inférieur de la protubérance} ce qui prouve que le segment en question ne se termine pas dans la couche intermédiaire
travaux du congrès se composeront : Io De communications sur les questions proposées par le comité ; 2" de communications
Pour faciliter les discussions, les rapports sur ces différentes questions devront être publiés dans le n° de mai des annale
s1. Les membres du congrès qui désireront prendre la parole sur ces questions du programme, ou faire des communications sur d
e autre le soir. Celle du soir sera consacrée à la discussion des questions du programme et à la lecture des communications
la parturiton, la période puerpérale, la lactation, l'onanisme. Les questions suivantes sont discutées : folie de la masturba
. Quelques propositions destinées ci servir de fil d'Ariane dans la question en suspens ; Qu'a-t-on fait- jusqu'ici dans les
n asile ? Quand a-t-il besoin d'y êlre transporté ? Ce sont là deux questions qu'a le premier à décider le médecin traitant.
eut donc renvoyer pour une raison ou pour une autre aux sociétés en question leurs malades. Il faudrait plutôt pratiquer la
és pour la première fois. Les sociétés savantes. 127 individus en question étaient presque toujours absolument sains d'esp
suivre leur destinée ? La loi n'ayant rien prévu ni réglé sur cette question , les règles du transfèrement ont beaucoup varié
un guide aussi sûr qu'utile. Après avoir reconnu l'importance de la question du transfère- ment des aliénés, sous le régime
âcheu- ses qu'inutiles. Il était donc nécessaire de décider cette question dans la loi et de déterminer avec précision que
seront pas exigées. Voilà, messieurs, les motifs pour lesquels la question du transfèrement des aliénés a dû prendre place d
l s'agit des internements d'office, monsieur de Gavardie. C'est une question bien différente de celles qui ont été mises en
sont plus les mêmes. M. Paris. Monsieur le président, il y a une question qui devrait être bien précisée. Les internement
dans les hôpitaux ou hospices civils ordinaires, adû exami- ner la question de savoir si elle pouvait proposer de consacrer e
nts spéciaux créés par la loi. L'expérience avait déjà résolu cette question par la négative en démontrant, suivant les aveu
'être contraire à la loi. Je n'ai pas à m'occuper de cette dernière question en ce moment. L. Mais je l'indique, parce qu'en
de ces quartiers ou locaux sont confiés au préfet. Cette dernière question des expertises médico-légales en matière d'alié
vée, ne l'oubliez pas se con- tentera de répondre négativement à la question de culpabilité qui lui aura été posée. Or, il n
tude de la vie, cet homme ne soit pas responsable de ses actes ? La question peutne pas avoir étéplaidée ; dans tous les cas
nt lui-même. Tel est l'objet de la première partie (A) du volume en question , dans laquelle l'in- terrogatoire que comporte
ledit M. Moebius, on ne saurait consacrer que quelques mots à cette question . Ainsi la guérison des accidents par l'administ
maux par M. Loye et grâce auxquelles il a pu étudier une importante question , celle du noeud vital, puis les observations de
ponsable lorsqu'il est reconnu coupable ? Pour la solution de cette question , M. Féré se récuse, à juste titre, à mon avis,
peine (20 octobre 1888), M. Lié- geois a fait paraître sur la même question un important ouvrage dans lequel, ainsi qu'il f
devant la compétence duquel nous nous inclinions à l'avance, les questions juridiques qui se rattachent au viol chez les inc
s ayant déterminé des accidents graves chez leurs sujets ; sur la question de savoir si les hypnotiseurs non médecins commet
ivre consacré à l'hypnotisme médico-légal. Eh bien, de toutes ces questions , M. Liégeois n'a cure : le livre dans sesgrande
lui. Quant au délit d'exercice illégal de la médecine, quant à la question qui se pose partout aujourd'hui de l'interdiction
ation de l'hypnotisme. »Nous reviendrons sur ce dernier point de la question qui mérite après les exploits de ces empi- riqu
Liégeois aurait été le premier à s'occuper du côté juridique de la question , car il laisse complètement ignorer à ses lecte
- 162 VARIA. l'accompagne. Elle n'avait pas à se préoccuper de la question de principe, c'est-à-dire du recrutement des mé
Anne', Vancluse et Ville-Evrard, malgré son vif désir, parce que la question était soumise à l'étude de la Commis- sion mini
ssurer un nombre suffisant de candidats. Or, un examen rapide de la question en fait apercevoir de suite toutes les difficul
es inspecteurs généraux indique qu'il y aura deux épreuves : 1° une question écrite, éliminatoire dans le cas où le nombre d
r à trois pour une place; 2° une épreuve orale, comprenant : a) une question de pathologie interne ou exlerne ; 6) une quest
prenant : a) une question de pathologie interne ou exlerne ; 6) une question portant sur la pathologie mentale et la médecin
insi cet article : Les épreuves seront au nombre de quatre : 1° une question écrite, portant sur l'analomie et la physiologi
heures au candidat. Le maximum des points sera de trente; 21 Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ord
heures au candidat. Le maximum des points sera de trente. 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie o
ves : 1° Epreuve écrite : Cervelet (Anatomie et Physio- logie); les questions restées dans l'urne étaient : Bulbe, circon- vo
cervical. 20 Ep. orale : 1 : r3·sipéle et ses com- plications ; les questions restées dans l'urne étaient : Etiologie et pro-
in, Sérieux, internes des asiles de la Seine, et le Dr Com- bemale. Question : La question sortie de l'urne est la suivante :
nternes des asiles de la Seine, et le Dr Com- bemale. Question : La question sortie de l'urne est la suivante : Nerf facial
au central. La composition écrite a eu lieu lundi 10 dé- cembre. La question donnée a été : Cordon postérieur de la moelle {
physiologie). Les candidats sont au nombre de 17 pour 8 places. Les questions restées dans l'urne étaient : ÀV. moteur oculai
. moteur oculaire commun (a. et p.); Corps striés (a. et p.). Les questions posées à l'épreuve orale ont été : 1° luxation de
écessaire qu'il soit admis dans un asile d'aliénés. Si le malade en question a déjà été traité ou observé par un autre médec
grès médical, ilo 1 : 1, 1888. 176 . FAITS DIVERS. 'l'elle est la question brûlante qui a dû être soumise il la séance de
s. Et cependant, malgré cette masse de données sta- tistiques, la question du rôle étiologique de la syphilis dans le tabe
l en Allemagne et Nothnagel et Leyden à Vienne. Vu cet état de la question , il nous semble que de nouvelles données statis
vent fournir de nouveaux points de départ pour la solution de cette question , ne peuvent être regardées comme superflues et
nu dans ces cas-là l'existence du tabes ? Passons maintenant à la question qui nous inté- resse tout particulièrement dans
s entre la troisième.et la seizième année après l'in- fection. La question du rapport entre la syphilis et le labes a été
n'y avait absolument pas d'hé- rédité nerveuse; il ne pouvait être question d'abus de spiritueux (abus qui, on le sait, est
19N PATHOLOGIE NERVEUSE. plus diverses pour arriver à résoudre la question de l'étiologie du tabes. Au premier plan figure
mpell, dans la Centralblatt de Mendel, 1888, n° 5); puis vient la question du sexe (ici se rattache la statistique du tabe
nt travail de Ballet et Landouzy). .Quelques-uns vont même, dans la question de l'étio- Jogie du tabes et de la paralysie pr
lité des individus examinés; et pourtant il me semble que c'est une question inté- ressante. En effet, si nous faisons une a
Mais ces données ne se rapportent cependant pas exactement à notre question en ce qu'il s'agit de syphilis dans l'état actu
e que chez les Russes. Ce fait a une immense impor- tance pour la question de l'étiologie du tabes : il est une nouvelle p
Dans î cas, il n'y a pour sûr pas eu de syphilis; Dans 3 cas, la question sur la syphilis était restée sans ré- ponse.
l'anamnèse. Il y avait 5 femmes atteintes de tabes. Dans un cas, la question sur l'exis- tence antérieure de la syphilis éta
nd : « Que me dites- 1 U2 PATHOLOGIE NERVEUSE. vous ? » A la même question , elle dit : « Je ne comprends pas. » Si on la p
rès facilement l'en-tête des feuilles d'observations, ainsi que les questions qu'on lui adresse par écrit; elle y répond, soi
uxquelles les différents physiologistes sont arrivés, laissent la question de localisation de la lésion de l'aphasie sen-
de son développement et devenir complète. Par contre, la surdité en question survient brusquement dans quelques minutes ou
si l'hypnotisme est une réalité ou une jonglerie; elle porte sur la question de savoir quelle est la cause, quelle est la ge
xclut celle du second. C'est ici, il faut bien le remarquer, que la question se complique. Nous sommes tout disposés à admet
évelopper indépendamment de toute suggestion. En ce qui concerne la question des phases constituantes du grand hypnotisme no
eu connaissance que par un article de journal. Il ne peut pas être question ici de suggestion. - « Bien plus, j'ai fait l
téristiques des trois états du grand hypnotisme. Il ne pouvait être question dans ces expériences d'une suggestion donnée au
l'aimant, quoique je ne me sois pas occupé dans ce travail de cette question ; mais la netteté de GRAND ET PETIT HYPNOTISME.
de voir ailleurs ce qu'on observe à la Salpêtrière. Mais sur ces questions comme sur bien d'autres, pour se former une opi
rs ou presque toujours des hystériques avérés et qu'il ne peut être question d'une simple coïncidence. Nous rappellerons de
n), même dans ces maladies à lésions. P. K. IV. Contribution a la question de l'acoustique; par A. Fonix. ' HEPLIQL'LB AUX
tion fonctionnelle d'ailleurs. P. Keraval. XIX. Contribution A L4 question DE la localisation du phénomène du genou dans l
os- sière altération de la forme du crâne (il ne saurait être ici question de finesse) diagnostiquer les anomalies morpholog
ui d'unebrachy- céphalie caractérisée par ce fait qu'ici l'index en question exprime la hauteur absolue du crâne. d. De la
ver le nom, après avoir cherché, réfléchi, s'être posé une série de questions , il s'en tiendra à un synonyme. (Notons qu'il s
espacées d'intervalles de lucidité pure. M. Jartrowitz. Toute cette question de la paranoia qui aujourd'hui embrasse des for
es voies de défense des deux parties entraînèrent dix procès sur la question d'interdiction et trois instances en divorce. 3
tement dangereuse. Quel système conviendrait-il'd'adop- ter ? Cette question a été examinée bien avant que le projet de loi
avec le gouver- nement, avec tous ceux qui se sont occupés de cette question délicate, que cet individu qui n'est pas dans u
n'y a pas de motifs; le jury a été appeler à se prononcer sur cette question ; l'accusé est-il coupable d'avoir commis tel c
laquelle le président de la cour d'assises devrait poser au jury la question d'irresponsabilité à raison de l'état mental de
couvre trop facilement sa liberté. Mais au lieu de faire décider la question par la cour d'as- sises statuant en chambre du
l, sont de nature à démontrer l'impor- tance et la difficulté de la question qu'il s'agit'de résoudre. Qu'il y ait quelque c
la dégénération soit simul- tanée sur tout le trajet des fibres. La question de la nature de la dégénération se pose enfin.
décerner. Prix pro- posés pour 1890. Prix AUD.1NEL : 2,400 francs. Question : Des difficultés du diagnostic différentiel de
vec les diverses formes de la folie. Prix Beluomme. 1,000 francs. Question : De Vêlai mental et du délire chez les idiots et
L'extirpation de la zone céré- brale symétrique droite élucidera la question . Cette seconde opération est suivie non seuleme
général franchement au médecin. AI. Charcot et ses élèves, dans la question de la réunion des données relatives à l'hérédit
IOLOGIE DU TABES. 367 et de diabétiques, etc. En ce qui concerne la question que nous traitons, cela se voit par la comparai
bes, chez un troisième de la paralysie progressive, ceci. c'est une question tout à fait à part. II. ATAXIE PROGRESSIVE ET
i le tabes est la suite d'une infection syphilitique antérieure, la question suivante se pose : cette cause E'IEDE DE LETIOL
s comme cause du développement du tabes vulgaire. En discutant la question du mode d'action de la syphilis causant dans l'
s mouvements les plus grands obstacles, de sorte qu'il ne peut être question 'non seulement de faiblesse parétique, mais mêm
l'on considère ainsi notre cas, il acquiert de l'importance dans la question de l'étiologie du tabes; grâce à ce cas, on est
oire, il avait une loquacité intarissable, il parlait si vite et de questions si différentes, que c'est à peine si ses compagno
malade avait une loquacité intarissable; il parlait si vite et de questions si différentes les unes des autres que c'est av
ES SCAPHANDRES. 409 de symptôme prodromique, comme dans le cas en question , parait démontrer que la manie transitoire peut
e depuis fort longtemps par tous les auteurs qui ont écrit sur la question . J'entends les douleurs musculaires ou articula
seront rapportées plus loin, les expériences quej'ai pris sur cette question auprès des compagnons des scaphandriers frappés
la paralysie. Paralysie diplaléotique. M. Noriiiloff a discuté la question des paralysies diphtéritiques à propos de l'obs
s conclusions du rap- port de M. Vallon, propose aux concurrents la question suivante : De l'état mental et du délire chez l
d'une classification et il nous fait part de ses travaux sur cette question importante. On peut se sentir attiré par cette
la considère avec tous ceux qui ont traité 494 BIBLIOGRAPHIE. la question comme une psychose impulsive déterminée bien plus
par des conclusions conformes à la théorie. N'y a-t-il là qu'une question de forme, un procédé d'exposition qu'il était loi
Ribot a voulu étudier la pathologie de la volonté sans toucher à la question du libre arbitre, poser la question sous une form
e la conscience en général, ce qui ne nous paraît pas élucider la question . Il faut absolument quand on aborde l'examen des
asiles de France et de l'étranger, toute personne s'intéressant aux questions relatives à l'aliénation mentale. La souscripti
Le Comité appelle plus particulièrement l'attention sur les trois questions principales qui seront soumises aux discussions d
ons principales qui seront soumises aux discussions du Congrès. Ces questions , dont on trouvera plus loin l'énumération, sero
t surtout pour mission d'exposer l'état actuel de la science sur la question dont ils seront chargés. En dehors des questi
la science sur la question dont ils seront chargés. En dehors des questions portées sur le programme, d'autres travaux conc
es du Congrès qui voudront prendre la parole dans la discussion des questions du programme, de même que ceux qui désireront f
que tous ceux qui s'intéressent aux études de médecine mentale, aux questions si délicates d'assistance publi- que, de législ
Le Secrétaire général, Dr Ant. RITTI. Le Président, Dr J. FALRET. Questions posées par LE Comité d'organisation. I. Pathologi
19 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
is l'atrophie. Ach. Foville fils, la même année, s'occupait de la question : « L'oeil peut être le premier lésé, on peut voi
apille tout entière. A mesure que nous observions ces lésions, deux questions se présentaient à notre esprit : De quel agent
Par le D'J. SÉGLAS, Médecin de l'hospice de Bicêtre. S'il est une question sujette, aujourd'hui encore, à bien des controv
la peut avoir quelque intérêt, mais ce n'est qu'une des faces de la question . Une autre, non moins intéressante et beaucoup
ère opinion dénote une connaissance par trop stiperfi- cielle de la question , la seconde ne tient compte que des débuts, des
s; aussi n'abor- derons-nous que deux des chapitres de cette grosse question . Nous parlerons d'abord de la rééducation motri
depuis plusieurs années nous confier la direction. Aujourd'hui la question est assez avancée pour qu'il soit possible d'en p
vec quelles chances de succès. Nous ne nous étendrons pas sur cette question de diagnostic, car elle nous conduirait à passe
moyens de contention actif des articulations. Pour le mus- cle, la question essentielle au point de vue qui nous inté- ress
t que ce dernier est une résultante complexe d'actions diverses, la question se posera, souvent difficile à résoudre, de sav
. Nous les rappellerons pour- tant, car il n'est pas douteux que la question est complexe. Tout d'abord, on peut se demander
rce qu'il représente un des chapitres aujourd'hui bien connus de la question . La rééducation des ataxiques n'est plus mainte
sommes parti- culièrement consacré depuis plusieurs années a. cette question 'dont nous voulons exposer l'état actuel. Le
u tabes mérite- rait au contraire de nous arrêter longuement. Cette question 70 O THÉRAPEUTIQUE. fera en effet l'objet de
d viennent les exer- cices de station et de marche. Il ne peut être question d'énu- mérer ici les multiples exercices que l'
, à une seule, l'existence de l'ataxie ; il est bien évident que la question de rééducation ne se pose pas en cas de tabes f
que la gravité des cas parût les expliquer. Aujourd'hui, si cette question de pronostic est délicate, nous avons néanmoins
quel il peut espérer voir changer ses conditions d'existence. Une question souvent posée est celle de savoir si la réé- du
s qui conviennent aux ataxiques. Nous dirons quelques mots de cette question importante : tout d'abord il ne faudrait pas pe
traitement hydrominéral. Pour ce qui est de l'élongation, toute la question est de savoir à quels procédés on a recours car
expérimentales produites chez les ascendants. Il y a là une grosse question , sou- vent débattue jadis, relative aux lois de
ssais que des physiologistes avaient déjà faits d'autre façon. La question est celle-ci, en somme : des lésions accidentelle
ion ? Jusqu'à présent, les savants qui s'étaient intéressés à cette question y avaient très générale- ment répondu par la né
uer à la détermination bien nette du tableau anatomopathologique en question . Un seul caractère parait fixe, c'est la petite
de l'excès de matière colorante. P. KERAVAL. XI. Contribution à la question de l'immobilité réflexe des pupilles ; par LEVI
omique nous manquent. Ce n'est pas étonnant, car, si le symptôme en question peut, pendant des années, précéder d'autres man
iaire, et, par suite, ne desservent qu'indirectement les muscles en question . Donc, quand le noyau de l'accommodation est in
Cette communication et la discussion qui l'accompagne soulèvent la question des classes spéciales et du départ à faire entre
is d'une étude historique et critique des travaux consacrés à cette question d'une déconcertante complexité. Ce n'est que de
u mauvais suivant les circonstances. B. Perez serre de plus près la question : il y a. pour lui. les vifs, les ardents. les
comprend trois parties. Dans la première, après un historique de la question , l'auteur met au point la question si délicate
mière, après un historique de la question, l'auteur met au point la question si délicate de l'acoumètrie. La deuxième partie
ernet, Gimbal, Ex-cequo : Masselon, n° 1, Maibois, n° 2. Textes des questions choisies par le jury (Sorties ou non sorties de
natomie et physiologie du système nerveux). Les nerfs de la langue. Questions restées dans l'urne : 10 Les centres corticaux;
lacement et sortie dans les asiles publics et privés (Législation). Questions restées dans l'urne : 1°Quelles sont les obliga
de juillet 1902 des Archives (p. 71). varia. 117 Épreuve orale : ( Question portant sur la médecine et la chirurgie en géné
médecine et la chirurgie en général). (5 séances). Première séance. Questions sorties : Point de côté; fracture du col du fém
éance. Questions sorties : Point de côté; fracture du col du fémur. Questions restées dans l'urne : 1° Rétrécissement de l'oe
mptômes et diagnostic). Mal perforant plantaire. Deuxième séance. Question sortie : Symptômes et diagnostic du goitre exop
uestion sortie : Symptômes et diagnostic du goitre exophtalmique. - Questions restées dans l'urne : .' 1" Symp- tômes et trai
xication saturnine. Hydrocèle, étiologie, diagnostic et traitement. Questions restées dans l'urne : 1° Séméiologie des vomissem
les anales : symptômes, diagnostic, traitement. Quatrième séance. Questions sorties : Hématurie : Etiologie et traitement.
estions sorties : Hématurie : Etiologie et traitement. Dyssenterie. Questions restées dans l'urne : 1° Dia- gnostic différent
nostic et traitement des fractures de l'olécrane. Cinquième séance. Questions sorties : Cirrhose hépatique : étiologie et dia
épatique : étiologie et diagnostic. Rétrécissement de l'oesophage. - Questions restées dans l'urne. : 1° Pleurésies purulentes
et Vigoureux, 18 candidats étaient inscrits. 16 ont pris part à la question écrite, laquelle était : Luxation de l'épaule ;
était : Luxation de l'épaule ; complications de la fièvre typhoïde. Questions restées dans l'urne : Symptômes et diagnostic d
, 19; et Artarit, 14. -Séance du 13 décembre : Région ro- landique. Questions restées dans l'urne : Nerf moteur oculaire comm
du quatrième ventricule. M. Privât de Fortunié, 15; M. Viollet, 16 Question de garde (séance du 7 décembre) i Diagnostic et t
décembre) i Diagnostic et traite- ment de l'occlusion intestinale. Questions restées dans l'urne : Des signes de l'accouchem
qu'il soit accordé deux minutes de reflexion avant l'épreuve de la question de garde et que cette ques- tion porte sur la m
l'ÉTUDE DES FOLIES PAR CONTAGION. 133 cherche à mettre au point la question . Il met en évidence les trois grandes condition
« elle entend ces individus frapper au plafond; » c'est l'homme en question qui dit derrière sa fille : « j'ai tout ce qu'i
guement les considérations médico- légales que peut faire naître la question des folies par con- tagion, il est un fait cepe
t irresponsables. ' Dans les folies simultanées et communiquées, la question n'est pas à discuter, puisque les codélirants s
sion prend le caractère pathologique ; la différence est une simple question de degré, mais cette question de degré est sous
ogique ; la différence est une simple question de degré, mais cette question de degré est sous la dépen- dance d'un état déf
e. Assez intelligente, elle répond avec précision et lucidité à nos questions , de sorte que rien ne trahit un trouble quelcon
cution suit sans lutte ni réflexion préalable. A la suite de nos questions sur l'idée qui s'est emparée de son cerveau, la
x, coïnci- dence qui n'est point constante du tout. L'accident en question est manifestement d'origine vasomo- trice ; il
ur l'autre hypothèse, devant les opinions si diverses émises sur la question ; il cite, en effet, un cas publié récemment par
s plus intéressants, pose, devant la Société de médecine légale, la question de savoir si l'on est auto- risé, dans certains
l'on a sous sa garde ». Les personnes désignées par l'article en question sont : le père et la mère pour leurs enfants mi
nce de la para- lysie générale au début dans les prisons, c'est une question dis- cutée, mais qui ne lui parait pas avoir de
venue à son heure pour montrer tout l'intérêt qui s'attache à cette question . La longue discussion qui a été ouverte devant
té soutenues où les auteurs ont envisagé des côtés différents de la question * , des leçons cliniques 2 sont venues consacrer
ance de ce sujet. Notre intention en revenant aujourd'hui sur cette question 1 Thèse de Truelle, 189S. Thèse Margoliez, 1898
ratoires chirurgicales et psychoses d'asile post-opératoires; et la question se com- plique encore de la doctrine infectieus
en se bornant à montrer que cette catégorie existe réellement. A la question posée : l'opération a-t-elle chez eux engendré
ux aliénistes, ils ont fixé définitivement ce point culminant de la question . M. Truelle, disciple distingué de M. Magnan, a
ourra que se féliciter que les aliénistes aient fixé ce point de la question . Il reste à trouver quelles sont les tares phys
. La réunion de ces deux variétés de psychoses vient obscurcir la question au point de vue de la prophylaxie de la sympto-
des conceptions et des réponses, qui sont souvent tout à côté de la question . Asymétrie faciale droite. Voix nasillarde. Tro
a tension continuelle du ventre et de l'anamnèse perfide. Après des questions répétées elle se rappela enfin que les douleurs
a plus grande lenteur. A quelle intensité faut-il s'arrêter ? Cette question est sans doute l'une des plus importantes, atte
é parfaitement indiquée du reste par ceux qui se sont occupés de la question , mais dont l'évaluation est impossible. Les sen
ades avec soin et si l'on ne se borne pas à leur poser cette simple question : « souffrez-vous encore ? » on apprendra d'abo
sa- tions gustatives. 3. La destruction de la région gustative en question , d'un côté se traduit parla perte complète du goû
ule espèce de saveur, celle-ci demeurant indemne quand l'endroit en question est con- servé : Hermann a, d'ailleurs, publié
s méninges. (Revue neurologique, juillet 1901.) E. B. XXV. Sur la question de la valeur clinique de la contraction idio- m
. naed. Jourra., novembre 1901.) L'auteur examine successivement la question en se plaçant au point de vue de l'agent provoc
articulièrement aortiques dans le tabes, se pose naturel- lement la question de savoir si, par hasard, la lésion du système
urrait trouver au dehors un écho dangereux. M. TOULOUSE. Des deux questions soulevées par M. Marchand il en est une de réso
égions du cervelet. Puisque la lésion du cervelet chez le malade en question n'était pas grande, donc ou ne peut pas expliqu
s d'indications nettes sur l'existence de l'hystérie dans le cas en question . , Dr V. Weidenhamuer pense que les oscillation
er d'une manière plus détaillée et plus circonstanciée le malade en question . SOCIÉTÉS SAVANTES. 305 Etalprésent, 29 octob
idengammer se basant sur la connaissance personnelle des malades en question , ne peuvent pas être d'accord avec le diagnosti
e ce réseau, ici aussi, comme dans les travaux précédents sur cette question , l'auteur pense que ce réseau n'a pas de rappor
de ce réseau. Le Dr MINOR et le D Mouravieff ont proposé plusieurs questions au rapporteur. V. Mouravieff. S. Soukhanoff.
s destinées à améliorer le sort de ses malades. Ses travaux sur les questions médico-admi- nistratives ayant trait à l'assist
ire contre l'oubli. Son nom restera toujours attaché à l'importante question de l'intervention chirurgicale chez les aliénée
d'améliorer le sort des malades et de sa connaissance profonde des questions d'assistance des aliénées. P. Sérieux. Dans l
d'anthropologie criminelle de 1893, l'auteur a été chargé de cette question pour le Congrès de 1901 dans lequel il résume l
comme Président M. Bayssellance, ancien maire de Bordeaux. ' Les questions suivantes qui ferontl'objet de rapports imprimés
r avance, seront discutées dans les assemblées générales : PEMIÈRF. QUESTION . Assistance publique : des moyens pratiques d'é
ent entre l'assistance publique et la bienfaisance privée. Deuxième question . - Assistance et édtcea- 'lion des enfants anor
bègues, sourds-muets, aveugles, epilepliques et autres). Troisième question . Instruction profession- 'Meee<s : <t;a&l
iscuteront plus particulièrement dans leurs séances respectives les questions suivantes : Première Section : Enfants ET Adole
aire, à une influence de la pensée sur le corps. Pour l'étude d'une question qui intéresse tout le monde, la Société a cru p
donc qu'il n'y ait eu qu'une simple coïncidence entre la prière en question et l'une de ces rémissions. Mais il se peut aus
des paralysies oeulo-motrices graves et à la perte de l'oeil. La question est donc de savoir actuellement, si, en pré- 33
ne sais plus... je n'ai plus d'idées ». C'est sa seule réponse aux questions que nous lui posons relativement à ses antécéde
nts démontrent d'une manière très claire que l'anomalie sexuelle en question n'est qu'un des nombreux symptômes de dégéné- r
S SAVANTES. XVII. Vitiligo chez une folle ; par le Dr ROUDNEW. La question des rapports du vitiligo avec les maladies nerveu
4 BIBLIOGRAPHIE. de folie infantile suivi de la bibliographie de la question . A côté de Vidiotie qu'il a décrite avec tant d
Nous rapporterons successivement plusieurs lettres pour préciser la question . Tans, le 20 février 1903. Mon cher ami, Vo
B0111t\ENILLC. Nous publierons d'autres lettres pour bien fixer la question dans les esprit». FAITS DIVERS. Un assassin
ait accumulé dans la Clinique psychiatrique de Moscou concernant la question sur la manie. Nous avons exclu de ce matériel t
me l'une des mala- dies mentales la plus fréquente. Concernant la question , à quel âge le plus souvent peut se manifester
tivement absolue et moins rela- tive. Pour répondre à la première question ou, autrement dit, 1 Mendel. Leilfaden der Psyc
non identique chez les aliénistes d'envisager la forme morbide en question . Cette considération a obligé Michelson et Tsch
vail présent, dans notre esprit surgissaient encore certes d'autres questions , par exemple sur la fréquence des accès dans la
cette maladie, etc.; mais nous avons décidé de ne pas toucher à ces questions , car en examinant quelques-unes de ces question
pas toucher à ces questions, car en examinant quelques-unes de ces questions , nous n'avons reçu rien de nouveau et en examin
tendance fâcheuse et d'apporter un peu d'ordre et de clarté dans la question , que Sigmund Freud, de Vienne, a proposé en 189
l'abandonnera plus. Elle vit dans une inquiétude continuelle. Mille questions se posent à son esprit, auxquelles son esprit e
ENCE. 447 luette bifide est à la gueule de loup complète. C'est une question de mesure, et il ne faut pas trop s'étonner qu'
nts points que les études antérieures ont établis relativement à la question de l'in- fluence que le cerveau exerce sur l'in
nt et exclusivement destinée aux aliénés, maison dont il n'est plus question dans les documents du xvt° siècle. A la fin du
ne personne responsable, comme la matrone assis- tante dont il. été question plus haut. S'il fallait montrer par un argument
e à une personne étrangère à la médecine. Enfin, l'auteur aborde la question du personnel. Les qualités nécessaires pour fai
ents et des stimulants. Il doit aussi répondre par écrit à ces deux questions : Le personnel de nuit s'est-il bien acquitté de
es, démence précoce, mélan- colie, manie aiguë, etc; la réaction en question faisait défaut. La recherche de la serine dans
l'obtention du diplôme, ils sont constamment tenus en éveil par des questions posées sur les différents cours de la semaine, ta
usieurs remarques par différents membres de la société, et quelques questions ont été posées au rapporteur. ' Elude sur les
nko et le Dr N. Pos'rovsKY ont aussi pris part aux débats. Il a été question [ensuite des moyens pour éterniser la mémoire d
ues). Pour ce qui touche au traitement, les auteurs examinent les questions de l'internement, de l'isolement simple, de la ps
n des nom- breux et délicats problèmes que soulève l'étude de cette question n'a été laissé dans l'ombre, mais pour plusieur
énistes, neurologues, psychologues, tous ceux qui s'intéressent aux questions de psychopathologie liront et consulteront avec
par )Iussy étaient graves, ils lui ont infligé un an de prison. La question n'en demeure pas moins très curieuse et à étudi
arait être la moins irrégulière. Mais il serait désirable que cette question fut tranchée par un texte précis quand on s'occ
rechercher si le plus récent, celui de M. Bernheim, apporte- sur la question des idées nouvelles, contradictoires ou complém
s du dortoir est réservé à un infirmier. Les deux grandes salles en question reçoivent la lumière de trois côtés ; la ventil
rd son poli et son aspect antérieurs et conserve les odeurs. - La question du confort n'a pas été négligée. Les lits métalli
névrite blennorrhagique est-elle spécifique ? Ce sont là autant de questions sans réponse à l'heure actuelle. (Revue neurologi
ès des physiologistes de Turin 1901). Io. Le nombre des champs en question est vraisemblablement arrêté à 36. 2°. La premi
re visuelle de la raie de Vicq d'Azyr est le champ n° 4. La zone en question est le n° 8. Le déve- loppement histologique de
stème nerveux central, M. Piltz en vient au phénomène pupillaire en question décrit par lui, Stras- burger, Saenger et Nonne
logique de tous ces troubles. M. G. Ballet. - Le malade dont il est question dans cette observation est très intéressant : 1
inférieure et d'une série de photographies concernant la malade en question et aussi les cas des autres auteurs. , Discus
ssible qu'une partie des phéno- mènes, observés chez les malades en question , étaient d'un carac- tère réflexe. Plusieurs re
rvient à sur- monter à un degré assez considérable la difficulté en question . Le procédé de Soor.trwoFF consiste en ceci, qu
la discussion, MM. Fh. Rybalioff et W. Roth. En discutant sur la question d'éterniser la mémoire du défunt professeur A.
des maladies mentales, sur les étabtiasements d'aiiéiiés et sur la question de l'internement. Le volume se termine par un a
règle générale il se couchent à huit heures et se lèvent à six. La question de savoir si ce séjour au lit ne pourrait pas ê
era pas actuellement examinée ; et l'auteur se bornera à étudier la question , grave entre toutes, de la surveillance des mal
dix heures de séjour au lit. il n'y a pas bien longtemps que cette question est soulevée. Dans un passé qui n'est pas bien
u personnel de nuit dans la proportion de deux à dix ou douze, la question de savoir comment ou surveillera ce personnel s'i
x qui l'ont précédé, il échappe à toute analyse. li. M. C. VI. La question des retraites : son influence sur les fonctionnai
rançaise (Sessioza de Bruxelles).. , Le programme comprendra : 1° Questions mises à l'ordre du jour parle Congrès de Grenob
la France au niveau des nations les plus favorisées (Voir sur cette question le livre remarquable d'Ed. Séguin). LES alién
ment loca- lisé au -, par Guillam, 385. MALADIES mentales. Sur la question de la valeur clinique de la con- traction idi
on impor- tance médico-légale, par Gutlden, 91. Contribution a la question de l'immobilité réflexe des -, par Levinsohn,
phihtiques. par l'otowsky, 306. infectieuse, par Esquerdô, 300. Questions de retraites, par 0'\eill, j7 : . ( Queue de
20 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
pendant à démontrer régulièrement qu'il en est réellement ainsi. La question qui se présente à nous en ce moment, est celle-ci
Actuellement, je veux diriger votre attention sur un autre côté de la question . 2e Malade. Tout à l'heure, je vous rappelais
raître chez elle le phénomène somatique qui caractérise la période en question . Un simple frôlement d'un membre, une passe faite
on désigne sous le nova. Point d'Erb. Mais le mouvement de défense en question diffère, chez notre malade, du mouvement physiolo
ble le bien établir, c'est que cette même demoiselle X... dont il est question , changeait quelquefois ses exclamations articulée
mémoire de mon ancien chef de clinique M. le docteur Babinski, où la question est traitée avec grand soin. Ce travail a été p
sérieusement progressé. Il faut arriver jusqu'à Valleix pour voir la question du diagnostic des névralgies s'enrichir de la not
op oubliée parfois cependant, cle la méthode clinique dans toutes les questions de ce genre. Il a bien fait ressortir ce qu'à ce
rma qui s'ouvrit spontanément. C'est huit jours après l'accident en question , alors que fa fièvre avait cessé complètement, qu
ccident qui souvent menace la vie, suffisent à produire la névrose en question ; l'action chirurgicale du traumatisme, ou autrem
vation va montrer que chez notre malade, l'apparition des névroses en question , dans les circonstances où elles se sont produite
ndre son parti. Mais je ne veux pas m'appesantir maintenant sur ces questions relatives à la névrose traumatique ; ces question
maintenant sur ces questions relatives à la névrose traumatique ; ces questions je les ai touchées déjà bien des fois ; vous les
a pas, certainement, à ceux d'entre vous qui sont au courant déjà des questions de ce genre et ils ne manqueront pas d'en faire l
traumatisme, tous agents provocateurs de l'hystérie. Ce sont là des questions qui devront nous occuper tout à l'heure. Au préal
remarquable, vous trouverez les caractères du spasme glosso-labié en question parfaitement indiqués dans plusieurs observations
venait pas à l'instant un scrupule. La raison en est que le malade en question m'a été adressé par un de mes élèves fort versé d
videmment, d'après tout cela, vous l'avez compris, il ne saurait être question dans notre cas, de sommeil naturel et il y a lieu
er l'évolution, il arrive, clis-je, que chez ces sujets les points en question peuvent être utilisés soit pour provoquer le somm
16e volume, année 1885, p. 159.) Consultez également sur cette même question les « Lezione cliniche » publiées par le Dr Milio
ne pas insister un instant. En premier lieu j'irai au-devant d'une question que certainement vous vous êtes tous posée pendan
t nous, une fois de plus, ce matin. Ce n'est pas d'hystérie qu'il est question cette fois, mais bien d'une affection d'un ordre
physiologiques.D'ailleurs, ¦quoi qu'il en puisse être, la théorie en question paraît être aujourd'hui fondée autrement que sur
èlement. Eh bien, malgré tout cela, je le répète, les amyotrophies en question sont fort rebelles. Je puis en parler en connaiss
bien d'un steppage conséquence d'une paraplégie alcoolique qu'il est question ici ; cela ne sera pas, je pense, très difficile
uleurs, les picotements, les crampes, surtout nocturnes,dont il a été question déjà. En même temps ces membres s'affaiblissent e
consolation que serait survenu l'accès délirant dont il vient d'être question . II Telle est la part, et vous voyez qu'elle
ion binoculaire deux centres distints? Je laisserai pour le moment la question sans solution, car il s'agit seulement pour nous
'existence d'une plaque hypéresthésiquehystérogène dont il a été déjà question du reste plus haut, située sur le tronc dans la r
11 ne nous reste plus, messieurs, pour en finir, qu'à envisager les questions relatives au pronostic et au traitement. C'est l'
ement de son état mental. Toujours est-il qu'il paraît comprendre les questions qu'on lui adresse ; sur la demande qu'on lui en f
tégorie, c'est-à-dire un cas de chorée mortelle sans complication. La question à examiner est celle-ci. Comment, dans quelles ci
t d'une façon très accentuée dans l'hérédité de notre malade. Autre question : Quels sont, étant donnée la chorée chez un adul
estigation clinique. La plupart des auteurs qui se sont occupés de la question , ont fait des remarques analogues et plusieurs d'
moment nous échappe. Mais en voilà assez pour aujourd'hui sur cette question des « chorées sans complication terminées par la
. 1886) par une observation, que, par exception, le rétrécissement en question précède l'accès, à titre d'aura et cesse après lu
rge. De cela suit que l'on est porté à supposer que les cauchemars en question sont liés jusqu'à un certain point au développeme
e quelque importance. Une fois debout, elle commença à répondre à mes questions et d'un air fort étonné faisant signe qu'elle ne
jamais senti son estomac » et il est bien établi que la dyspepsie en question ne date que du jour ou les symptômes de neurasthé
plication qui s'observe. Mais en voilà assez pour le moment sur ces questions que je: reprendrai certainement par la suite avec
enfance (1). Immédiatement, ceux d'entre vous qui sont au courant des questions qui se rattachent à ce sujet, si je leur annonce
domestique ; elle va nous faire jconnaître elle-même en répondant aux questions que je vais lui adresser devant vous, les princip
ntaires : elle ne permet pas, en tout cas, de confondre les crises en question avec les attaques épileptiformes qui se montrent
te comparaison les symptômes oculaires tabétiques. Il ne saurait être question ici, remarquezde bien, que d'une esquisse à trait
telés, rappelant ce qu'on voit dans l'ataxie. Il ne saurait donc être question ici, vous le Fig. 36. voyez, de ce rétrécisse
n outre du nystagmus et des divers phénomènes oculaires dont il a été question plus haut, on peut relever encore aujourd'hui une
un peu de rétention d'urine. Les douleurs en cein- 1. Il n est pas question dans. l'observation du phénomène du genou, lequel
ncés à l'avenant ; or vous savez que ce n'est point de cela qu'il est question ici. D'ailleurs, le mode de limitation de l'ins
champ visuel et aussi par une série d'autres phénomènes dont il sera question dans un instant. En somme, messieurs, il n'est
is aujourd'hui entrer dans de plus longs développements concernant la question de théorie et je reviens au côté pratique. Il est
miques et cliniques et c'est à juste titre, hélas I que la maladie en question est généralement réputée pour incurable, du moins
tabétiques : le corset ou la suspension elle-même ? Pour éclairer la question on résolut de traiter un certain nombre d'ataxiqu
lles. C'est contre ces deux symptômes tabétiques que le traitement en question parait avoir l'influence la plus marquée. La co
tenus. Notre confrère devait tout naturellement se préoccuper de la question théorique ; comment agit la suspension? C'est, su
s n'êtes sans doute pas sans avoir entendu dire qu'il est quelquefois question dans les écrits pornographiques de certaines susp
Au malade: Comment s'est produite la fracture de la jambe dont il est question dans votre observation? Le malade : J'étais ass
fisamment prolongées et suffisamment multipliées, il est une foule de questions qui se présentent à l'esprit et auxquelles nous n
pplication serait de nul effet,ou peut-être même nuisible. Toutes ces questions là et d'autres encore, qui constituent à l'heure
nzième ou vingtième séance. Il est difficile de se prononcer sur la question de savoir si les ataxiques entachés de syphilis s
isodes" qui sont, en quelque sorte, dans la logique de la diathèse en question . C'est dans ce sens, et non pas à titre d'événe
ai jamais vu se produire rien de semblable, bien que le traitement en question ait été inauguré il y a plus de 15 ans et que, de
les choses de plus près, on reconnaît ce qui suit : le tremblement en question , étudié aux mains, avec le secours de la méthode
es caractères-là, permettrait d'affirmer l'existence de la maladie en question , alors même que l'exophthalmie et le goitre y fer
l là d'un symptôme particulier lié à la maladie de Basedow? C'est une question qui se présentera de nouveau un peu plus loin.
s connus (1), Je crois pouvoir émettre l'opinion que le syndrome en question représente une forme particulière de paraplégie q
in impérieux qu'ils en éprouvent. Voici du reste, pour répondre à nos questions , ce qu'elle a écrit très vite en caractères parfa
ci une petite expérience qui nous permettra de répondre à la première question . Je place sous ses yeux une feuille administrativ
us avez compris, Messieurs, que les attaques dont il a été si souvent question dans le cours de notre récit ne sont autres que d
ontrent si fréquemment efficaces. Le type d'attaque dont il est ici question et que nous avons pris l'habitude de désigner sou
t les plus envahissantes de la clinique (1). I. Mais ce sont là des questions sur lesquelles j'aurai l'occasion de revenir : j'
ne large place légitimement conquise. Le complexus symptomatique en question répond assurément à une espèce morbide dont la fi
maux étranges qui marchent en séries. Interrogé à l'improviste sur la question de savoir si les images qui passent devant ses ye
e dans la plupart des autres services du même hôpital. L'hôpital en question est, vous le savez, situé dans un faubourg très p
o-neurasthénie, ou que celle-ci, inversement, conduit au vagabondage? Question délicate, intéressante au premier chef, au point
ant. Malbeureusement,je commis l'imprudence delui adresser quelques questions qui lui parurent sans doute indiscrètes : il fit
qu'à l'état de conjecture vraisemblable. Je serais heureux de voir la question soumise à une vérification en règle; il y a là po
t degré, les rêves des alcooliques. Interrogé à l'improviste sur la question de savoir de quel côté par rapport à lui se prése
s'offre à nous au jour d'hui. Voici l'énumération des stigmates en question . — Diminution de la sensibilité cutanée dans tous
intempérance » n'est pour rien dans le développement de la maladie en question . Nous lui délivrerons en outre un deuxième certif
n nosographie qu'en zoologie et en botanique,projette souvent sur les questions les plus ardues une vive lumière. En somme, messi
. Pas de maladies nerveuses antérieures à l'affection dont il va être question , pas d'épilepsie en particulier, pas d'hystérie.
nge pas pour cela de caractère. Il n'y a donc là en définitive qu'une question de degré. Voici l'indication de quelques autres
ans le jardin ; là elle marche les yeux ouverts, ne répondant pas aux questions qu'on lui adresse, sautant par-dessus les bancs q
r qu'elle se constitue jamais. Je viens de signaler, Messieurs, des questions qui me paraissent dignes de tout votre intérêt ;
fait que le malade, presque inconscient d'ailleurs, ne répond pas aux questions qu'on lui adresse : tantôt il est froid, algide,
aucoup moins facile à comprendre, A ce propos, puisqu'il vient d'être question d'anatomie pathologique je rappellerai que, depui
ste clans la prédominance de ces symptômes de collapsus dont il a été question plus haut. Le sujet est algide, cyanose, ses trai
avait eu lieu il y a onze ans, inauguré par les crises gastriques en question qui ont persisté, à l'état d'isolement, pendant s
troisième année. Nous allons maintenant adresser au malade quelques questions ; ses réponses nous mettront, je pense mieux à mê
'émaciation, de la prostration et de l'anémie profondes dont il a été question plus haut, tous les svmptômes à relever sont rela
t qu'il se tienne dans la station debout. En somme, les mouvements en question ne sont autres que ceux de la marche elle-même,
malades sont privés du contrôle de la vue. Je suis revenu sur cette question de l'abasie dans mon enseignement de 1883-84 à pr
excellente mise au point de tous les documents qui se rapportent à la question (1). Tout récemment, ces jours-ci même, M. le p
bstacle, cherche à reprendre son équilibre. Les secousses dont il est question , rythmées comme l'est elle-même la marche normale
usqu'à un certain point comme des actes de compensation. La malade en question , comme les autres du même groupe, pouvait sans la
sion ne sera pas étroitement localisée dans tel ou tel des centres en question , et s'étendra aux parties voisines, on devra s'at
j'ai présentées à plusieurs reprises clans mon enseignement sur cette question -là, développées avec talent dans le travail de M.
core parfaitement renseignés sur tous les points qui concernent cette question -là. On peut tenir cependant pour définitivement a
médiats parmi lesquels figurent le coma, puis l'amnésie dont il a été question tout à l'heure ; certaines anesthésies absolues o
linique, particulièrement intéressante à consulter. Les paralysies en question sont, tantôt des monoplégies, comme cela s'est vu
fo-carbonée,etc peuvent occasionner le développement de la névrose en question . Il était à prévoir qu'il en serait de même de l'
la névrose chez un sujet prédisposé. Les amnésies, les paralysies en question , méritent véritablement, par conséquent, d'être q
jour qu'il traversait une place, il fut pris du malaise dont il a été question tout à l'heure, puis de suffocation. Bientôt sa v
jet d'une démonstration clinique. Donc, l'étude de la paraplégie en question va nous occuper principalement ici, mais nous ne
fibro-tendineuse dans les paralysies alcooliques. La rétraction en question , disais-je alors, n'est pas exclusivement propre
t dans son vice. Il a terminé l'histoire en se suicidant. A part la question des récidives, le pronostic de la paralysie alcoo
ue,quelleque soit la solution qui, dans l'avenir, sera donnée à cette question , nous voilà dès à présent amenés bien loin de l'i
et, si cela est, quel est le genre de cette relation? Telles sont les questions intéressantes qui vont se présenter à nous, chemi
ci ce qu'il raconte concernant cette paralysie d'enfance dont il sera question plus d'une fois encore par la suite. Elle se sera
cipalement, du moins à l'origine, les cornes antérieures. Cesontlàdes questions qui se présentent naturellement à l'esprit et don
iste en aucun point du corps, à part les fourmillements dont il a été question , aucun trouble permanent de la sensibilité cutané
la lésion spinale datant de l'enfance. Ce sont là, vous le savez, les questions dont nous devons nous appliquer maintenant à cher
e, un caractère absolu. Peu nous importe, du reste ; les secousses en question sont dans notre cas, je le répète, on ne peut plu
spinale protopathique. IV Il ne nous reste plus désormais qu'une question à toucher. La tephro-myélite antérieure chronique
tardive que chez les autres sujets. Il n'y a là en définitive qu'une question du plus au moins. La conclusion de tout ceci do
boire, mais il a refusé.Par moments, il répondait tout de travers aux questions qui lui étaient adressées et prononçait des parol
é de documents de bon aloi, et qui, on peut le dire, renferme sur ces questions -là, tout ce qu'on savait de positif, à l'époque t
utefois n'est pas à discuter, que notre malade a assisté. Une autre question se présente. D...cy a-t-il été réellement frappé
repris ses sens, et nous avons relevé que chez lui, l'état mental en question s'est prolongé jusqu'au moment où, fort tard dans
x, ainsi que l'ont reconnu tous les auteurs qui se sont occupés de la question , sont relativement très sensibles aux effets de l
'existence chez lui d'un bégaiement assez prononcé dont il a été déjà question . Il est apparu le lendemain de l'accident, peu ap
r le membre de l'électrisation faradique. Plusieurs fois le malade en question a éprouvé des crises convulsives, débutant par la
ué du champ visuel ; un tremblement des extrémités dont il a déjà été question et enfin une diminution du goût et de l'odorat, s
ns ces mouvements aucune trace d'incoordination ; mais, lorsqu'il est question de se tenir debout et de marcher, c'est tout autr
uelque insistance que l'on mette à pincer, à comprimer les régions en question , on ne provoque pas les symptômes de l'aura hysté
r la main gauche. Vous avez certainement compris, messieurs, que la question à résoudre est celle-ci : l'hémi-hyperesthésie ai
ceau sensitif? Dans ce dernier cas, les troubles de la sensibilité en question seraient vraisemblablement contemporains des Fi
ion ne sera pas étroitement localisée clans tel ou tel des centres en question et s'étendra aux parties voisines, on devra s'att
nique, dont l'intérêt principal est qu'il nous conduit à signaler des questions pendantes, des desiderata, et qu'il montre bien q
présent se rapproche beaucoup, vous le voyez, de celui dont il a été question précédemment. Cr...t nous fournit l'occasion de
sens pas suffisamment préparé, cette fois encore, pour répondre à la question d'une façon catégorique. Il ne serait certainemen
que nous essaierons tout d'abord de le traiter (1). 1. Le malade en question , O...L, a voulu quitter le service à la fin du mo
Je viens de dire que l'introduction dans la clinique de la maladie en question était de date toute récente : cela est parfaiteme
sont loin de méconnaître que le diagnostic dans les circonstances en question , pourra encore, parfois, rencontrer des difficult
diagnostic. On a beaucoup discuté, déjà, messieurs, la plupart des questions relatives au diagnostic différentiel de la syring
point négliger et qui commandent certaines vérifications dont il sera question par la suite, on peut affirmer, dis-je, que le di
ades sans qu'ils en aient été avertis par aucune douleur. C'est une question fort discutée encore que celle de savoir si la ma
e de la syringomyélie ou au contraire occuper une place à part. Cette question je la laisserai de côté pour le moment, afin de n
s'accompagner de lésions trophiques viscérales. En effet le sujet en question a succombé inopinément à une péritonite, survenue
du centre gris. Dans un cas observé à la Salpê-trière, dont il a été question déjà, une perforation de la vessie suivie de péri
produits. Gela est évidemment dans la logique des choses. Sur cette question du diagnostic de la syringornyélie,nous nous born
s par une paralysie de cette même main droite, dont il est de nouveau question aujourd'hui, survenue tout à coup pendant le somm
lant de l'hystérie masculine, dont il a été, d'ailleurs, bien souvent question pendant toute la durée du cours. Il faut voir là
pect assez robuste. Il est intelligent ; il répond avec précision aux questions qu'on lui pose, mais d'une voix cassée et qui tre
t absolument invincible. D'ailleurs le chloroforme devait résoudre la question ; toute contracture spasmodique se résout absolum
une intervention chirurgicale du même genre que celles dont il a été question , et dont mon collègue, M. Terrillon, voudra encor
21 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
omic \ ' pathologique à la clinique des maladies * mentales. La question des rapports de la paralysie générale et du tab
s des aliénistes de Toulouse', M. Arnaud abordait incidemment cette question dans son rapport sur le diagnostic de la paraly
nérale, mais sans en montrer les incertitudes persistantes. Cette question date, non de Baillarger; comme on le répète tou
er', un peu plus tard, aborda nettement et crut pouvoir résoudre la question . Il avait, pensait-il, réuni cinq exemples d'as
ubliés. Baillarger est beaucoup plus circonspect pour résoudre la question de l'influence que les deux maladies ont sur la
é soit ce diagnostic qu'il aurait dû porter. Quoi qu'il en soit, la question des rapports du tabes et de la paralysie généra
te association devait être extrêmement rare ; il revenait sur cette question en 1894 au Congrès de Clermont- Ferrand ' et pu
s surviennent des symptômes nouveaux qui remettent le diagnostic en question . Le malade sans doute ne parle presque plus ; m
re le faisceau de Goll intact et le ruban sain dont il vient d'être question . Cette Pig. 3. - Moelle dorsale. 14 CLINIQU
série des étages, que l'on arrive à se convaincre que la moelle en question dif- fère essentiellement d'une moelle de tabes
, elle existe à droite aussi bien qu'à gauche; c'est simplement une question de degré. Tels sont les faits : dégénérescence
ésion puisse devenir exogène. Il nous paraît qu'ainsi comprise la question s'éclaire com- plètement ; étant donné le fait
et de la paralysie générale : On ne pourra arriver à résoudre cette question « qu'au moyen d'observations nou- velles et de
le Délire des négations, nous trouvons les travaux suivants sur la question : Francotte. Obser- vation pour servir il. l'hi
e affirmative puis sans forme négative, en général à la suite d'une question qu'on lui a posée. C'est dans un état d'anxiété
trous dans la porte (en montrant le luda : ), on les a retirés. » - Question : « Quel eudroit est-ce, ici ? » Réponse : a Ce
uel eudroit est-ce, ici ? » Réponse : a Ce n'est rien. Je répète la question en insistant). Aulrefois cela s'appelait Saint-Yo
des quiproquos, des plaisanteries. Elle répond convenablement aux questions posées sur son âge, sa famille, sa maladie, etc..
t peu favorable, en tant que guérison com- plète. 11 ne peut être question que d'une guérison avec déficiences. Enfin l'au
ion spasmodiquedes capillaires ou passage du sang par paralysie; la question n'est pas résolue. Il y a peut-être lieu de fai
es méningites; d'autre part, dans l'étiologie des deux syndromes en question , figurent des facteurs communs, toxi- infection
ger, sous le nom de syrien- gomélie avec 7 ? 2ac ? ,osotnie. . La question de pathogénie de ce phénomène, à savoir s'il s'ag
? Il nous suffira pour l'instant de chercher une réponse à cette question . Nous pourrons nous demander, après, si ces modi-
. Est-ce bien de cela qu'il s'agit ici ? Nous nous pose- rons cette question tout à l'heure. Les lésions vasculaires ne s'ob
nc pas exactement ce que signifie la dégénération pyramidale, et la question est plus complexe qu'on ne le penserait après u
de réaliser l'isolement des cou- rants nerveux ? On le voit, cette question du rôle patholo- gique de la prolifération névr
invoquer encore dans ces cas l'intervention d'agents toxiques ? La question des auto-intoxications dans les maladies mental
'aurais déclaré incurable, à l'exemple de tous mes collègues, si la question de curabilité m'avait été posée; une fièvre typ
s que des cas isolés ; il n'en va pas de même à l'étranger où cette question est étudiée avec soin. En Angleterre, notamment
. La malade est devenue plus calme, mais elle répond encore mal aux questions qu'on lui pose, fait des grimaces, ne veut pas
borner, ainsi que le dit un Anglais, John Bullen, qui a étudié ces questions comme Kean, à constater les expériences de la n
ons anormales des nerfs et des muscles. Il se pose d'abord les deux questions suivantes : le muscle répond-il directement aux
es corps genouillés. La névrite op- tique émane de l'encéphalite en question d'autant qu'il y a eu infec- tion. - 5° Les par
es des cornes antérieures ; mais ce courant rencontre l'obstacle en question (la lésion) et il se fait au-dessus de celui-ci
pendant l'accès. L'opium, en paralysant des éléments musculaires en question , de même que les muscles involontaires de l'int
du financier de 1897. Nomination d'une Commission pour le choix des questions à mettre à l'ordre du jour du Congrès de 1899.
s questions à mettre à l'ordre du jour du Congrès de 1899. Première question : La troubles psychiques postopératoires. Rappp
ur, M, Rayneau. Discussion. Mardi 2 août. Matin, 9 heures. Deuxième question : Du rôle des aj'tél'ites dans la pathologie di
scussion. - Soir, 2 heures : Suite de la discussion sur la deuxième question . Communications diverses. 7 heures. Banquet par
scription du Congrès. Mercredi 3 août. - Matin, 9 heures. Troisième question : te délires transitoires au point de vue médic
our 1899. Election du président et du secrétaire général. Choix des questions à mettre à l'ordre du jour, Nomination des rappor
13 mai 1898, pour l'élection du bureau de la section et le choix de questions à proposer pour sujets de rapports. Le bureau
rrnox et Gilbert Ballet; Secrétaire général : M. Ant. RLTTI. Puis 9 questions ont été proposées parmi lesquelles le Comité de
lieu le 18 juin 1898. 19 membres du Comité y assistaient. Voici les questions qui ont élé adoptées : Pathologie mentale : P
e vue iiiédico-légal. 11 a été décidé, en outre, que chacune de ces questions serait traitée par trois rapporteurs, dont deux
mptes et les budgets de la Société et donne son avis sur toutes les questions qui lui sont soumises par le Conseil d'administ
section : Patronage des mendiants, des vagabonda et des aliénés; 4' question : Quel don être le rôle du patronage il l'égard
ir d'y répandre quelque lumière. Il nous reste encore à aborder une question qui surgit toute seule, si on jette un coup d'o
as, Wiclimanii 2, Zerratll3 et d'autres en ont rapporté aussi. La question a été mise en lumière par ICronthal4 quia a aus
ées scientifiques positives, et pro- jeter une vive lumière sur des questions obscures. Les travaux de Ribot, de Richet, de F
blisse sans effort. La véritable mission du médecin-expert dans les questions relatives à l'aliéna- tion mentale, est surtout
ofiter de votre réunion pour appeler l'attention du Congrès sur ces questions d'ordre supérieur. Je ne doute pas qu'elles reç
encer vos travaux, je cède la parole au rappor- teur de la première question , M. le D1' Reyneau, d'Orléans, dont vous avez l
es psychiques post-opénatoires. SOCIÉTÉS SAVANTES. 209 Première question : Les troubles psychiques post-opératoires. 11.
rons enfin les conclusions qui semblent se dégager de l'étude de la question . Historique. Bien qu'Ambroise Paré et Schrcelte
n (1819) qui, le premier, attira véri- tablement l'attention sur la question en décrivant ce qu'il appelait le délire nerveu
éclarant qu'il se confond avec le délirium tremens. ' Dès lors la question provoque surtout à l'étranger une quantité cons
médecine de New-York trente-huit cas nouveaux. Des mémoires sur la question sont aussi publiés par Glaeveche en Allemagne,
es troubles toxiques, infectieux ou autres, ne rentrent pas dans la question . L'opé- ration en elle-même peut-elle produire
us relatifs à la pratique des chirurgiens civils, et il n'est point question d'observations recueillies par des chirurgiens
e qu'ils avaient à subir. Je conclus donc, comme M. Rayneau, que la question primordiale est celle du terrain. M. GARNIER
de dépossession >. Un travail d'ensemble a été publié sur cette question , l'année der- nière, par M. Chuison, élève de M
ici. Séance du 2 août (soir). -- Présidence DE M. Motet. Deuxième question : Les délires transitoires au point de vue- méd
ons émises par les auteurs. Cela fait, après avoir bien délimité la question , il trace la conduite- de l'expert dans les cas
oires et arrive- enfin à exposer la façon dont il faut concevoir la question . C'est là- la partie essentielle du rapport, no
tude nous- entraînerait beaucoup trop loin ; il faudrait aborder la question des intervalles lucides, question complexe qui
rop loin ; il faudrait aborder la question des intervalles lucides, question complexe qui ne rentre pas dans notre cadre et
les troubles mentaux à début brusque, mais à. évolution durable. La question se trouve donc parfaitement limitée 230 SOCIÉ
nant un dernier point qui me parait être le véri- table noeud de la question ; existe-t-il des cas dans lesquels ni l'examen
athique. Ce doute, je le traduis SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 par les questions suivantes qui me serviront de conclusions : 10
é sur l'action de la glande thyroïde sur la croissance. Troisième question : Du rôle des artérites dans la pathologie du s
mination de bleu de méthylène. M. le D1' J. Voisin a fait sur cette question une communication que nous avons inséré plus ha
t un devoir pour eux. Désignation du siège du Xe Congrès, choix des questions et des rapporteurs. Le Congrès s'occupe ensui
TE (de Blois). M. BOUIINEVILLE ne veut faire aucune objection aux questions choisies. Mais il estime qu'il devrait toujours
estions choisies. Mais il estime qu'il devrait toujours y avoir une question médico-administrative. M. Régis objecte que d
un qua- 254 SOCIÉTÉS SAVANTES.. trième rapport portant sur une question administrative et comme exemple il cite ces deu
t sur une question administrative et comme exemple il cite ces deux questions : 1° Du régime alimentaire dans les asiles; 2°
ments et des murs de clôture, la mise en vigueur de l'opendoor. Ces questions ont déjà longuement été examinées aux congrès d
paration des fonctions de directeur et de mé- decin en chef est une question d'opportunité; en principe la réu- nion vaut mi
1 KTKnASNOPOLiE (gouvernement d'Ekaterinoslaw) ; par D. SBARSEY. ( Questions de neurologie et de psych. méd., t. II, 1897, p.
s sans aucun ordre dans les idées ; elle ne répond que rarement aux questions qu'on lui adresse, le plus souvent ses réponses
bsolu de spontanéité; elle tente bien quelquefois une réponse à nos questions , mais elle s'embrouille dès les premiers mots e
ais elle s'embrouille dès les premiers mots et s'arrête. Pressée de questions , elle finit cependant par dire : « Il y a des m
idées est moindre, elle répond assez raisonnablement aux premières questions qu'on lui pose, mais, après quelques instants de
état physique, ce qui prouve bien qu'il ne peut réellement pas être question ici de folie tuberculeuse, de folie causée par
es et les vacuoles, que les auteurs qui ont précédemment étudié ces questions , ne paraissent pas avoir vues nettement, ont ét
stater leurs connexions. ' On trouvera des renseignements sur cette question dans les nom- breuses observations d'hémiplégie
nerveuses et les éléments de la couche péri- phérique. La couche en question comprend : » 1° Des éléments névrogliques et ly
lus supérieure de la moelle thoracique. Les lésions radiculaires en question sont également accentuées à droite et à gauche.
onstitution du système nerveux dans le temps et le lieu et toute la question de l'hérédité. P. KERAVAL. XVI. LES documents b
edical Journal, décembre 1896.) L'auteur étudie particulièrement la question au point de vue anatomo-pathologique. Il rappel
Jour, de Neurologie et d'llypnologie, 1S97, nos 23 et 24.) Les deux questions envisagées dans ce travail sont : te celle des
iologiques entre ces deux processus. En ce qui concerne la première question , l'auteur admet qu'en dehors de certains états
rie, d'épilepsie, de l'alcoolisme, etc. Relativement à la seconde question , l'auteur croit que les rêves peuvent produire
à son arrivée, d'épilepsie ; hébété, il répond difficile- ment aux questions posées et ne peut donner de renseignements sur
haut intérêt scientifique, soit qu'il s'agisse des rapports sur les questions du programme arrêté à l'avance, soit qu'il s'ag
s questions du programme arrêté à l'avance, soit qu'il s'agisse des questions traitées sous l'initiative personnelle des memb
nt également défaut. t. . Le symptôme essentiel de l'affection en question est l'immobilité limitée ou absolue de la colon
e). Enfin, M. le Secrétaire général donne lecture de la liste des questions et fait connaître les noms des rapporteurs qui on
le Président et à M. le Secrétaire général, approuvant le choix des questions fait par le Comité, et se sont inscrits pour pr
erons dans quelques considérations générales sur l'en- semble de la question . I. Le rôle de l'insuffisance hépatique dans
le est lésée et quand son fonctionnement est altéré, les toxines en question ne sont plus détruites, elles s'accumulent dans
ns ce cas, le délire est-il lié au trouble hépatique ? C'est là une question qui se pose ; mais l'urobilinurie, d'autre part
e Méd., mai 1896). ' HÉPATISME ET PSYCHOSES. 355 On voit que la question n'est pas simple et renferme bien des inconnues
361 L'examen psychologique de ce cas n'est pas sans soulever des questions intéressantes. Et tout d'abord la forme mentale
nous semble pas démontré, en effet, que les troubles psychiques en question soient un cas de folie du type confusion mental
mixte, démente ou en rémission ? Le tableau suivant répond à cette question . Nous avons pensé que l'état de calme et d'agit
'avance- ment de la science ; tous ceux qui ont eu à s'occuper de questions de statistique doivent reconnaître combien ils so
comme je l'ai déjà exposé, ce fait n'intéresse pas directement la question de l'augmentation dont nous nous occupons. Il r
ion de l'augmentation dont nous nous occupons. Il ressortit à cette question toutefois d'ajouter que quoique les statistique
difficultés du diagnostic entre le tic et le spasme de la face, la question n'est cependant pas insoluble, si l'on prend so
met ! , journ., 3 sept. 1898.) Le Dr Mercier (de Londres) pose les questions suivantes : Dans 440 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE
sabilité établi par la loi de 1843, suffit pour résoudre toutes les questions : « « L'accusé au moment où il a commis son cri
sence d'un malade atteint de mélancolie, se pose immé- diatement la question de savoir si ce malade devra être soigné chez l
atteint par la rédaction ou la publication simultanée de certaines questions relatives aux connais- sances indispensables po
eu en honneur l'encéphalite comme cause du ramollissement*. Mais la question n'en resta pas ' liokitanslcy. Lelerbttcle der
er ? t0 ? Analomie. 3 Auf. 1806. Mil II. 1 Celui qu'intéresse cette question trouvera dans la thèse de Poumeau Uu rôle de l'
ractent, de façon à faire converger les axes visuels sur l'objet en question , afin que son image optique vienne se placer su
l'attention automatique. Ce n'est pas le lieu de discuter ici cette question , ni de prendre la défense du déterminisme. Nous
par dégénérescence diffuse de l'écorce (Jluratow). Le syn- drome en question nécessite, pour qu'il se produise, deux condi-
plus qu'auxmusiciennes audi- tives et intellectives. L'obsession en question est parfois si opiniâtre qu'elle dure nuit et j
ellectuelles mais l'observation clinique montre que ce n'est qu'une question de degré; que, dans tout cas de folie le sens m
cins, de légistes et d'administrateurs qu'il revient de résoudre la question . Un progrès peut être apporté par l'obligation im
mélancolie, par exemple, il n'y a qu'une différence de degrés et la question se pose toujours de la même façon, savoir où dé
iques, voire quel- ques mois plus tard : la vibration du marteau en question provoque le retour d'une voix tenant tels ou te
flil- Xervenheitk, XX, N. F., vin, 1897.) Examen méthodique de la question de l'épilepsie en général. REVUE DE PATHOLOGI
mai 1896, la malade n'exprime que quelques mots en rapport avec la question qu'on lui adresse, sous la forme de verbigération
-t-il un organe nécessaire à la vie ? L'auteur a voulu reprendre la question à sa base et toutes ses expériences ont été établ
peuvent coexister et coexistent très probablement, de sorte que la question en dernière analyse se ramène à voir lequel des
sme intime de l'action protectrice de l'appareil capsulaire, toutes questions dont l'étude, par des méthodes variées et sur d
ils ne peuvent avoir de valeur étiologique pour la forme morbide en question . J. SÉGLAS. LIV. Recherches SUR L'ORIGINE RÉELL
PATHOLOGIQUES. 1199 Les coupes placées dans la solution de tanin en question sont chauffées au bain-marie pendant une à deux
rolubérantiels, de ces fibres qui s'épanouissant dans les noyaux en question où, de concert avec les cellules de ceux-ci, el
cal à angle droit dans la subslanee blanche de la circonvolution en question ; tout à fait en arrière, la dégénérescence se pe
V6M)'00 ? Centralbl., XVI, 1897.) Après avoir résumé l'état de la question clinique dans ses rap- ports avec les localisat
e médiane et épargnent les régions latérales; dans l'observation en question , en outre, il y avait une dissociation de la se
ulement de lésions cérébrales notamment de lésions paralyti- ques ? Questions qui infirmeraient les calculs de l'auteur. RE
Ne ! l1'olo ? Cenlralbl., XVf, 1897.) C'est l'hivernage dont il est question ici. Le hérisson (Erinacoeus europoeus), mainte
association aura donc une grande importance, parce que le centre en question renferme l'assemblage des diverses excitations
orairement. Ce petit ouvrage est une excellente mise au point de la question des états neurasthé- niques, tous les points de
t encore la valeur pour le praticien et l'élève. F. Boisson. 111. Questions de neurologie et 'de psychologie médicale. Journa
direction de M. le professeur Sikorsky. (Kiew, t. II, 1897.) Les Questions de neurologie, elc..., entrent dans leur troisièm
ie se bornent habituellement à traiter et analyser les faits et les questions concernant ces deux branches de la science médi
de la besogne en écrivant des articles origi- naux sur différentes questions et en faisant des quantités d'ana- lyses. L'énu
ssent. Tous les lecteurs de l'Intermédiaire pourront bénéficier des questions et des réponses qu'il publiera, et nous ne dout
22 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qui nous donnât ces mou- vements. Après une étude laborieuse de la question , nous sommes heureusement parvenu à la résoudre
en pendant les mouvements de notre ap- pareil. La solution de cette question est très importante. Car si nous arrivons à pro
es sont déjà combattues par les au- teurs qui se sont occupés de la question . Il n'y eu a qu'une seule qui vaudrait la peine
s probable. En ce qui concerne les autres affections spinales, la question seule du tabes pourrait être soulevée ici; mais
on des douleurs ; la ther- manesthésie viendrait-elle à manquer, la question d'une affection anatomique ne pourrait pas même
'être, dans l'exa' men de leurs malades, assez peu préoccupés de la question de la dégénérescence en général. Quant à l'hy
e. Menstruation régulière. Le 22 du même mois elle écrit : a Il est question de me voir mourir d'un moment à l'autre, on veu
351(AUL, Boeumler, SCIIULTZE. M. Rumpf (de Bonn). Contribution à la question de l'intoxication chronique par la syphilis, av
at sur les animaux, il n'existe pas de documents anatomiques sur la question . En commun avec K. Middetdorpf, M. Kast s'est e
n articulaire. M. DE RECKUNGHAUfEN. Les altérations articulaires en question ne sont pas telles que les mouvements en soient
montrant exactement les mêmes conditions. Le système des fibres en question ne s'entoure dans toute la série animale que très
nerveuses ganglionnaires dans les inflammations. Il s'agit de la question de la prolifération des cellules nerveuses gangli
leuse, de la substance cellulaire, sont incapables de décider de la question . A l'aide des méthodes de coloration de Nissl,
ne de Grenadier. Discussion. M. C. BENDA, qui s'est occupé de cette question depuis plusieurs années, et a exécuté de nombre
ns chromatiques et d'avoir rattaché la présence des granulations en question au mode de réaction spécial du corps cellulaire
ations d'Adamkie- wicz) ; leur occurrence est simplement liée à des questions d'âge, etc.. que M. Benda se réserve de dévelop
ts auxquels la préparation de cette loi a donné lieu, c'est sur les questions qui vont être dé- battues aujourd'hui que les d
l'article 14. C'est, en effet, un prin- cipe de notre droit que les questions d'Etat, de capacité et de liberté individuelle
re du conseil, peut-elle être jamais com- pétente pour trancher une question que le médecin seul connaît et peut résoudre ?
avoir une expertise médico-légale; mais, dans les conditions où la question se pré- sente dans le projet de loi, comment tr
posée devant le tribunal et qui n'est jamais en définitive, qu'une question de diagnostic médical n'arrivât pas à ce tribunal
n à laquelle ces articles vont donner lieu, car ils contiennent des questions trop importantes pour n'être pas très attentive
ier d'ob- servation ! Messieurs on peut parler librement dans ces questions -là z il faut être véritablement étranger à la p
nous prou- ver qu'il était véritablement aliéné, l'excitait par des questions insidieuses et quelquefois cruelles, pour le fa
aussi bien du pouvoir judiciaire que du pouvoir administratif. La question qui a provoqué ce dissentiment et qui se présente
société, sans lequel tout deviendrait funeste ? Pour répondre à ces questions , messieurs, demandons- nous ce qui est ici le p
e soit nettement établi. En sorte que tout le débat roule sur cette question précise qui est le fond de l'amendement. Qui do
s dangereux ou un homme sain d'esprit. Il semble, messieurs, que la question posée de la sorte ne coin- porte qu'une réponse
infaillible, et que la lumière d'une raison droite projette sur ces questions une clarté qui en dissipe les ténèbres et qui p
donner la peine de parcourir avec un peu d'attention l'article en question et l'article suivant. Pour protéger la liberté
nc l'avis du médecin inspecteur qui est le document capital dans la question . J'en tire cet argument contre le système du pr
RDIE. Et tous les petits expéditionnaires seront mêlés à ces graves questions , avec ce beau système-là ! M. Combes. Mais, mes
s qu'on écarte la solution la plus naturelle et la plus simple, I,t question se complique d'inconvénients. C'est là un inconvé
ux réflexions du Sénat. Nous avons traité dans cette en- ceinte des questions nombreuses, qui touchaient à des juridic- tions
e nos juge- ments ? A quel principe avons-nous ramené sans cesse la question débattue ? N'est-ce pas à la compétence ? Et, p
pas à la compétence ? Et, pour généraliser, qui niera que dans les questions complexes où plusieurs pouvoirs se disputeront
n sur plusieurs bancs.) Permettez-moi de poser une dernière fois la question avec netteté : elle sera résolue par cela même.
jet, l'auteur nous donne un historique complet quoique rapide de la question , puis en arrive à la symptomatolo- gie qui est
e but principal parait être de pré- senter un tableau complet de la question , l'auteur met-il décote, presque de parti pris,
l utile à consulter en somme et qui résume bien l'état actuel de la question . P. S. II. Le somnambulisme provoqué; par Beaun
aucoup de bruit autrefois. L'observation de Félida X... le sujet en question a été prise pour la première fois en 1858 et su
sera-t-il consulté avec fruit par tous ceux qui s'occuperont de ces questions de psy- chologie physiologique. P. S. V. Cont
ges spinales. Un premier chapitre est consacré à l'historique de la question ; les premiers faits appartiennent à Dnplay et M
raît que la seule affirmation de M. Bourelly ne saurait trancher la question , P. B. XI. Traumatisme et Neuropathie ; par M.
t Neuropathie ; par M. C. Bataille. Th. Paris, 1887. S'il est une question intéressante en neuro-pathologie, c'est à coup
les tolérer que pour des raisons tout ex- ceptionnelles. , . « La question de la durée de la mise en observation est digne
famille ou la commune paieront, si le malade est ou non dangereux, questions qui paraissent plus importantes que la question
ou non dangereux, questions qui paraissent plus importantes que la question d'assistance, que la question d'humanité. Il sera
ui paraissent plus importantes que la question d'assistance, que la question d'humanité. Il serait beau- coup plus simple et
at mental du malade. c Mon collègue désirant rester seul juge de la question de savoir si les réclamations de pareille natur
ique a touché un grand nombre de sujets, et traité ou posé diverses questions relatives à l'administration des asiles. Il a sur
icat d'aliénation mentale ou d'éclairer une cour de justice sur une question de pathologie mentale. 142 FiAITS DIVERS. S
ts travaux qui ont été publiés jusqu'à présent sur les accidents en question ; II. La clinique qui constitue, on va le voir,
E. le voilier. Quelle est la cause de ces différences ? Voilà une question qui n'a pas été étudiée. Voyage en barque. Dans
· rompue en avant par un des plis de passage dont il vient d'être question . La troisième frontale, dont le pied et la moitié
e expliqués par une lésion unique, pour l'exactitude absolue sur la question des rapports entre le siège de la lésion et cel
e les faits anatomo- cliniques sont assez nombreux pour trancher la question de la topographie du faisceau pyramidal. A l'éc
mière partie de la leçon XVIII. : Voir pour l'étude détaillée de la question des dégénérescences des- cendantes fasciculées,
onctions motrices du cerveau, Paris, 1887. (Pour l'historique de la question : la deuxième partie de la leçon YXV1LL) 1 Bris
ont il s'agit et qui répondait d'une façon incohérente à toutes les questions qu'on lui posait était oui ou non idiot. La cho
manente. Enfin les psychia- tres n'ont pas le droit d'ignorer cette question dont les magistrats se préoccupent. 11111. Gn
est toute relative. On ne sait en réalité rien de certain sur celle question de la volition. C'est de la question de la réflex
lité rien de certain sur celle question de la volition. C'est de la question de la réflexion au ' Voy. 1(evties analytiques.
est chargé de composer une commission qui voudra bien traiter la question suivante : Faut-il introduire dans le Code pénal
élancolie. C'est elle qui fournit le moins d'exemples à la thèse en question , parce qu'il est bien rare qu'au dehors on puis
esure thérapeutique ? Eh ! sans doute. Puissions-nous traiter celte question corrélative plus tard ! 1 Discussion. M. PELMAN
u'on puisse établir plus tard une statistique instructive sur cette question . M. GRASHEY. Des rapports de service dans les a
iété invite « le bureau à collaborer à la rédaction de la motion en question comme il convient. » 11f. H. LOEER. Comme quo
n'importe qui, mais, dès que l'observation a montré que le sujet en question n'et pas fou, une plus longue détention est en
Voici donc les quatre propositions fondamentales que comporte la question à l'étude : 10 La Société Psychiatrique de Berlin
ens qui ne sont pas médecins. Présidence de M. MENDEL. Première question . ii-l-C)t y2l établir ci coup sûr qu'il y avait e
est adoptée telle qu'elle a été proposée par M. LOEiiR. Deuxième question , relative à l'ingérence de la police dans rffd-
ier 1887. Présidence DE AIM. LCEHR et Zinn. Discussion. Troisième question , relative a la nécessité du cer- tificat d'un m
continue et active; de la nos propositions relatives à la quatrième question . Cette surveillance doit porter et sur les séqu
ar suite, devient libre d'introduire l'inslance en interdiction, la question de sé- questration arbitraire n'a plus de raiso
conduit. La police n'a donc à intervenir que quand se dressent des questions de danger public, de fugues par défaut de surve
rivés , il faut leur épargner des vexations superflues. Quatrième question relative à la surveillance des asiles privés. S
s du magistrat, éclairera sa religion quand il prendra en mains les questions de droit de quelques malades. Au Physikus ou co
Physikus ou conseiller médical du gouvernement seront laissées les questions d'administration pure et d'hygiène. M. SCANDE
n. Dans aucun cas, ce ne sera une décision. (Bruit.) 11 faut que la question soit bien posée. M. le commissaire du ; Gouvern
interné ou laissé en liberté. 11 y avait deux moyens de résoudre la question . Le premier, c'était de ne pas s'écarter beauco
à prescrire, vous êtes certains que le tribunal sera éclairé sur la question de la maladie; il ne l'est que par les disposit
n n'a fait un effort aussi considérable et n'a fait accomplir à une question , d'un seul coup, un aussi grand progrès. Et la
le Rapporteur. C'est vrai 1 M. Testelin. Mais ici, il s'agit d'une question de malades, car, au bout du compte, qu'est-ce q
e définition de criminels. Je dis donc que puisqu'il s'agit d'une question médicale, c'est la médecine qui devrait avoir l
s en chef. Art. 7. Les épreuves sont au nombre de quatre : 1" Une question écrite portant sur i'ftM(f<om<e et la physi
is heures aux candidats. Le maximum des points sera de 30; 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie o
l'autre; s'il y a contagion, il n'y a pas contagion intégrale. La question n'est pas neuve. Sans chercher à en faire un no
'autrefois, il a trouvé un regain de vigueur à notre époque, où les questions relatives à l'hypnotisme, au, spiritisme, etc.,
nnu. Est-il besoin de soulever à propos du délire com- muniqué la question médico-légale ? Un récent procès a amené devant
ns qu'au point de vue médico-légal, il est illogique de soulever la question de responsabilité tant pour le délirant actif q
aillées dans les autopsies faites jusqu'à présent répondant à cette question . Jl est très possible que ce soient des particu
se nous donnent jus- tement l'espoir d'atteindre la solution de ces questions physiologiques. Dans ces cas, la nature fait
sthésie partielle est juste, nous avons peu d'espoir de résoudre la question de l'existence de conducteurs spécifiques par l
'ilrclc, Bouchard, Charcot, Flechsig ont tranché les deux premières questions . Les troubles moteurs posl-béiiiiplégiques se j
es feuilles statistiques envoyées aux membres de la Société, sur la question de l'aliénation mentale d'après sa répartition pr
société intéressée à la 4o4 SOCIETES SAVANTES. solution de celle question . Sur le souhait de l'assemblée, nl1(. Finkelnhu
pas de raison d'être en ce qui concerne la surveillance. Quant à la question de science, tous les médecins pra- ticiens doiv
. M. Combes. C'est encore un manque de logique. Il y a encore une question d'état également engagée dans l'affaire. M. DEL
lade, et que la chambre du conseil n'a rien avoir dans une pareille question . Messieurs, s'il s'agissait en effet d'un simpl
e commencement de ce siècle, démontre que là, comme dans toutes les questions médicales et techniques, il y a, d'une part, l'
in, messieurs, dans ce cas douteux, qui est-ce qui peut trancher la question ? Les médecins ne sont pas d'accord ; un médeci
raisonnable, sensé et pratique. Aussi, lorsqu'il s'est agi de cette question , nous avons appelé au sein de la com- mission l
ous prie, messieurs, de laisser M. de Gavar- die s'expliquer sur la question de clôture. SÉNAT. 4G7 M. Di.(j\\AHDOE. Je vo
. » M. de Gavardie. Je demande la parole sur la proposition de la question . (Nouvelles exclamations à gauche.) M. le Prési
résident. La parole est à M. de Gavardie sur la proposi- tion de la question . M. de Gavardie. Messieurs, ne croyez pas que j
ulait changer deux mots seulement à son amendement, je crois que la question pourrait être posée d'une manière plus nette et
nients de la publicité de la chambre du conseil. Voilà comment la question doit être posée. Et remarquez, mes- sieurs, que
ce n'est pas du tout une interprétation telle que je la pose, de la question M. de Gavardie. Mais, monsieur le président, je
t de faire un sous-amendement et de dire que je ne pose pas bien la question ; vous ne pouvez pas interpeller vos collègues
drait cependant la peine ; mais je voudrais adresser à mon tour une question à la commis- sion. « Le tribunal statue d'urgen
nce également considérable, sera obligé de statuer d'urgence sur la question maintenue ou de sortie des aliénés. Voilà un
rt du temps, bien préparés à remplacer le ministère public dans des questions de cette gravité ? Evidemment non. Voilà déjà u
même, ajoutait-il, moins considérable statueront seulement sur la question d'entrée et non pas sur la question de sortie. (D
ble statueront seulement sur la question d'entrée et non pas sur la question de sortie. (Dénéga- tions à gauche.) Vous n'ave
énat. 47'1 nients de cette multiplicité de jugements rendus. Sur la question d'entrée, encore peut-on dire, jusqu'à un certa
messieurs que ce sera, dis-je, le même jugement qui statuera sur la question d'entrée et de sortie ! 1 M. Munier. Si l'indiv
de statuer, dans une même séance et par un même jugement, sur une question de maintenue ou de sortie. M. Munier. Mais c'es
érêt à ce que ce juge- ment d'homologation soit rendu ? C'était une question , et cette question pourra encore être soulevée
- ment d'homologation soit rendu ? C'était une question, et cette question pourra encore être soulevée au moment de la 2e dé
liberté indivi- duelle. Vous ne pouvez pas, selon moi, décider une question de cette nature sans appeler l'intéressé devant
résent ou représenté. On ne peut pas laisser un tribunal juge de la question de savoir si l'individu prétendu aliéné compara
du conseil. Mais, c'e.-t parce qu'il ne s'y agite pas toujours des questions aussi graves que celle-là. D'ailleurs, un avoca
is j'en ai dit assez, et je la retiens. (Sourires.) Je reviens à la question , qui me parait extrêmement grave. Voyez, mes- s
ce décisive, et trancher, au mépris des droits les plus sacrés, des questions de cette gravité par des dispositions qui tourn
alheureusement, quoique la terminaison ait été fatale, il n'est pas question d'au- topsie, en sorte que les hypothèses de l'
a circonvolution de Broca ? M. Hervé s'est attaché à l'étude de ces questions , en s'appuyant, avec la conviction qui règne à
re partie du mémoire est consacrée à l'étude médico- légale et à la question si importante de la responsabilité des aliénés.
23 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
est vrai que leur amour-propre ne s’est pas trouvé en jeu dans cette question , et s’ils ont réfuté avec aigreur les effets du s
Le savant théologien A. Tostat, évêque d’Avila, rapporte, dans ses Questions sur la Génèse, qu’il existait en Espagne beaucoup
variation atmosphérique, une émotion vive, la fatigue qui résulte de questions oiseuses, indiscrètes ou trop prolongées, etc., d
e la commune et même des étrangers qui la traversaient. « Pressé de questions de toute nature auxquelles il répondait avec un g
née par la môme congrégation sur le même sujet, en réponse à quelques questions qui lui avaient été adressées de Belgique, et c’e
a vie du bienheureux Alphonse de Liguori, et dont il devait avoir été question dans le procès de sa béatification. Le fait, clan
t en partie justifié ce pronostic, l’auteur a voulu traiter à fond la question . Il s’exprime ainsi, dans le même journal, à la d
et puni par notre législation criminelleV « Nous examinerons cette question , sans manquer au respect que commandent les décis
dit l’Ecriture. (( 11 est facile de comprendre la difficulté de la question à l embarras des juges. Recourons au texte du
ans le cas de mauvaise foi démontrée. n Alors revient de nouveau la question de savoir s’il y a une science réelle au fond du
supercherie et un charlatanisme. « Nous retombons toujours dans la question scientifique, que nous n’avons pas, quant à nous,
z de détail pour exprimer toute ma pensée, et, si je ne me trompe, la question sera présentée à un point de vue nouveau. Mon but
e relatif au magnétisme. Cela ne portera aucun préjudice à l’œuvre en question , et nos lecteurs seront préparés à la juger. Vo
ie, bruits qui allèrent en redoublant; or ces bruits répondirent, aux questions qui furent faites par les assistants. F. SOEHNÉ
mal, selon que le magnétisme se trouve bien ou mal appliqué. La seule question qui semble agiter maintenant les gens de bon sens
ac-« cin, et tout récemment la vapeur, encourageât à éclairer la (i question et à la constater par des expériences réfléchies
tet, Crespy-le-Prince, Üutell et deux autres personnes. Le singe en question était une femelle de jocko, une des espèces les p
n observe dans l’espèce humaine, il aurait fallu, pour résoudre cette question , continuer l’expérience ; mais la guenon mourut a
médecins, de malades, d’expérimentateurs instruits sur la matière en question . Alors, Monseigneur, j’ai dû changer de parti, et
donner à la loi est celle du jugement ou celle de l’arrêt. « Cette question ne peut s’éclairer de la jurisprudence de la cour
e ne l’étaient dans le temps, pour la Sorbonne et les parlements, les questions d’antimoine, de quinquina, d’inoculation , de vac
seigneur, Votre Grandeur ne croyait pas devoir provoquer la mesure en question , qu’elle veuille, je l’en prie de nouveau, conser
ale. Voici le fait, tel que le rapporte le signataire de la lettre en question , liomuie honorablement connu, du reste, et qui af
nt sur une colonne à trois ou quatre pieds, comme celle dont il a été question ), et, en vertu de sa tendance à l’orientation mag
cupent de la chose , ceux-ci pour, ceux-là contre, de sorte que cette question , tant méprisée dans le commencement, se trouve p
ment mon passé, et savait très-bien ce qu’il disait. Eu réponse à mes questions mentales, 011 cita des noms propres, des dates, e
s 1111 sens favorable, mais en restant au dessous de la réalité, La question du somnambulisme, renvoyée au lundi suivant, n’a
anes, de ce qui se passe, et surtout de les engager à entreprendre la question d'une manière scientifique, ce qui n’a pas été fa
ner par l’étrangeté et le merveilleux des phénomènes dont il est tant question dans ce moment, des tables mouvantes et roulantes
ken; la Gazette d'Augsbourg donne le pas à la danse des tables sur la question d’Orient ; le Lloyd de Vienne oublie presque la
des ministres lui-même, quand il est réuni, ne laisse pas reposer les questions courantes pour faire tourner la table officielle
de deux coups : il n’y avait que cinquante touches. Mais ceci est une question secondaire, ou, pour mieux dire, réservée ; il s’
rôle de l’observation la plus méticuleuse, qu'il faudra étudier la. question , pour découvrir la cause mouvante, la loi du phén
core là? » lin coup de marteau fut la réponse. Il lui fit cette autre question : « Quel est mon nom ? » Là-dessus, il prononça u
des choses plus merveilleuses encore, et il y réussit. Jamais aucune question ne l’embarrassa; toujours il répondit juste. Voic
ne l’embarrassa; toujours il répondit juste. Voici quelques-unes des questions qui, suivant les documents officiels, lui ont été
esprit, et les réponses succédaient., sans le moindre intervalle, aux questions . Il indiqua, par le nombre de coups frappés, le n
es présentes, et combien il y en avait au dehors, sur la prairie. Aux questions à lui adressées sur la couleur des cheveux des pe
bitants de Dibbesdorf de ne pas sortir de leurs demeures. Le valet eu question , si violemment soupçonné par les deux savants, f
r l'esprit. Quelle ne fut pas leur stupéfaction, quand toutes leurs questions furent suivies de réponses ! Force fut donc ces m
sez importante à signaler. C’est que si, en Allemagne, il n’est point question d’esprits frappeurs avant 1761 , on en parlait en
n, dans lequel on voit que l’Esprit répondait par de petits coups aux questions qui lui étaient adressées. Ce livre est dédié a
vient docilement se rendre à ses désirs. Bien plus, elle répond à ses questions , satisfait sa curiosité, lui donne même des solut
ante minutes. Remarque. Les quatre personnes dont il vient d’être question m’ont présenté chacune un phénomène remarquable,
Actes, ch. xii, v. lï. I. Qu'est-ce que le magnétisme? A cette question , les uns répondent : C'est un fluide — C'est Câme
’avoir ingéré de l’eau de Cologne persista. On a fait souvent cette question , sur laquelle les magné-tistes sont partagés :
rrière mon mince travail. Quoi qu’il en soit, mon but est rempli : la question était nébuleuse, j’ai tâché de l’éclaircir. A.
ar M. Aubin-Gautliier qu’avant peu le gouvernement ferait élucider la question magnétique, ne prétendent pas au titre de discour
serez étonnée, peut-être, de me voir cette attitude passive dans une question sijpalpitante; et, en vous rappelant ma croyance
nt moral, accompagné du plus odieux matérialisme. Or, le phénomène en question , si on l’envisage comme le signe sensible de cett
que je n’hésite pas à regarder comme une autorité péremptoire dans la question . Je veux parler de Saint-Martin, le philosopjw in
est la puissance qui réglera l’action de l’esprit ? Ils éludent cette question , parce que pour y répondre il faudrait formuler u
nistres et des ministres infidèles. » Peu de médecins ont abordé la question magnétique avec alitant de franchise et l’ont tra
re coopérateur, de son côté, n’exerce pas de pression, vous faites la question mentalement ou clans une langue qu’il ne comprend
le frappe des coups, non pas au hasard, mais' régulièrement, à chaque question . Si, par exemple, vous êtes convenu que la lettre
onses étaient nettes et concordantes ; plusieurs s’appliquaient à des questions mentales faites par des spectateurs. La corbeille
dont j’ai été témoin s’est terminée d’une façon inattendue. Plusieurs questions sont restées sans réponse : après dix ou douze mi
n, la corbeille s’est remise en marche ; mais au lieu de répondre aux questions , elle a parcouru le papier avec une rapidité qui
ar une intervention spéciale de Dieu en dérogeant à ces lois. Dans la question qui nous occupe, il n’y a rien de semblable. Tous
’homme communique avec les esprits ; et si, comme nous le pensons, la question est résolue affirmativement, il faudra s’applaudi
ccultes qui devait réunir les faits et dires relatifs au phénomène en question et autres analogues. Maintenant nous allons en ex
é sa conviction, l’auteur aborde le fait de la réponse des tables aux questions qu'on leur pose, et s’exprime ainsi : « Mais ce
centre de gravité, obéit au moindre commandement, et répond même aux questions qu’on lui adresse, pourvu qu’on se borne à lui de
ts qu’on leur commande, la précision et l’exactitude des réponses aux questions qu’on leur adresse, est un ordre de faits encore
tes provoque, et le meuble ne peut satisfaire et ne satisfait qu’aux questions dont le résultat est connu, sans jamais pouvoir p
édire l’inconnu. « — Je vais citer ici quelques-unes des nombreuses questions , avec leurs réponses, que nous avons, dans divers
xpliquant d'abord, pour la règle du lecteur, qu’avant de formuler une question , nous leur ordonnons de frapper un coup pour dire
dresse au prophète (qui ne prédit pourtant par l’avenir) une foule de questions sur sa santé et les moyens de la rétablir. Voici
uisées par Y expérience lui rendaient si nécessaire. « La phrase en question était ainsi conçue : Si la guérison des malades é
me en général. Il nous reste à examiner les termes dans lesquels la question a été présentée au Saint-Siège, pour connaître le
dement du magnétiseur, ils reprennent leur sensibilité, répondent aux questions qu’il leur adresse, et à celles des personnes pré
u’elles se prêteront volontiers à l’expérience lorsqu’il ne sera plus question de les endormir. « Je vous parle donc, Messieur
me aussitôt en somnambulisme lucide; elle se mit à répéter toutes les questions qu’on lui adressa et y répondit. Elle signala la
ât point, qu’un d’entre eux prendrait la direction, et que toutes les questions adressées à la table le seraient par lui. Un mons
pération commença aussitôt dans le silence le plus profond. Après des questions adressées à la table qui tournait parfaitement, e
. » Le directeur fit ensuite aux deux autres membres de la chaîne des questions semblables ; il lui fut répondu par l’un : « L'ho
lus général, le magnétisme embrasse deux choses bien distinctes : une question physiologique et une question de thérapeutique. S
rasse deux choses bien distinctes : une question physiologique et une question de thérapeutique. Sous ce dernier point de vue, n
— An ! je veux bien : C e 1 s e. — Et où le voyez-vous ? — Cette question !..... chez vous, puisque vous le lisiez tout à
s de communications spirituelles, vient d’arriver à Paris. — Il est question de fonder à Paris un organe spécial du somnambuli
la contagion de l’incrédulité; il a gardé un silence prudent sur ces questions qu’il trouvait compromettantes et dont il aurait
esprits; on se trouva amené comme malgré soi à envisager cette grande question qu’on avait crue indigne de fixer l’attention ; o
ion toujours faite du dogme théologique) ont bien peu fait avancer la question , n’ont soulevé qu’un bien petit coin du voile ! I
e rien à y gagner ; car il lui resterait à prouver que les Esprits en question sont radicalement mauvais, et que, quand une pers
es services utiles en mettant les lecteurs à même de réfléchir sur la question des Esprits ; il servira même, nous le croyons, l
profane ne devait jamais lire. Quoi qu'il en soit, j’entrerai dans la question , je parlerai des esprits sans corps et du démon.
(tout à fait hors de la portée des yeux les plus clairvoyants) cette question : « Mon cher ami, veux-tu que nous descendions po
vais écrit, et écrit lui-même précipitamment ces mots en réponse à ma question : « Je le veux bien. » Aussitôt, quittant le papi
du papier, douze heures, trois heures. » Je lui fais aussitôt cette question : « Comment as-tu senti qu’il y avait du papier
x entrait dans la chambre au moment où j’adressais au jeune homme les questions les plus inattendues et sans aucune liaison : «
’assurer que le malade ne lisait pas, par un habile clignotement, les questions qu’on lui adressait par écrit. Les yeux bandés, c
l’ordinaire il ne supportait pas qu’on le touchât, il répondit à ces questions , que M. Roux écrivit lui-mfime : « Depuis combi
e en interposant un carton entre les yeux et le papier sur lequel les questions devaient être écrites. J’en demandai la permissio
sots? M. le doyen Lordat me paraît avoir parfaitement répondu à ces questions . Les considérations qu’il présente me paraissent
que nous ne saurions nommer, parce qu’il nous est inconnu? Toutes ces questions sont insolubles. » {Recherches sur Centendement h
thèses propres à donner une explication satisfaisante du phénomène en question . C’est avec de pareils hommes que les sciences gr
ébris de billets brûlés dans un tuyau de poêle. L’accusée, pressée de questions , avoua sa culpabilité. « La décision du jury ne
ER. ÉTUDES ET THÉORÎES. 1° DE LA ROTATION DES PERSONNES. • La question de la rotation des tables semble épuisée aux yeux
faire part de ce qu’elles éprouvent, 011 conçoit la polémique sur la question de savoir si elles ont été poussées par les mains
La main se met en mouvement et trace plusieurs mots en réponse à nos questions ; l’écriture, quoique tremblée, est nette et parf
ologiste chrétien qui vivait au deuxième siècle, dans lequel il est question d'opérations magiques et de divination à l’aide d
it malin, et engage le clergé à se prononcer contre les phénomènes en question . Cette appréciation d’un écrivain anonyme a pu
e termine à peu près comme les précédentes, elle répond nettement aux questions qu’on lui adresse, et le calme de sa voix n’est n
ue à quoi que ce soit. «Permettez, Monsieur, qu’avant d’aborder les questions techniques, j’insiste sur ces observations généra
nts, inexplicables, et qui n’en sont pas moins réels. Le phénomène en question n’est pas indifféremment et également produit par
pouvait enfin se débarrasser des « bandes d’illuminés» et de leurs questions importunes ! Dorénavant on ne parlera plus, on ne
par le Journal du Loiret du 9 mai s’exprime ainsi sur le fond de la question : « En présence des convictions bien arrêtées d
trouve un point d’appui, quelque faible qu’il soit, le tremblement en question n’a pas lieu. « Or, dans ce cas, nous avions et
M* Bacot; les secondes par M" de Peyronnv, qui avait à traiter cette question intéressante : L’emploi du magnétisme, moyennant
nent-ils lieu à la qualification d’escroquerie? Pour résoudre cette question , il faut examiner la condition constitutive de l’
imaginaire; mais sait-on s’il est réel ou faux? C’est précisément la question . J’affirme, moi, prévenu, qu’il est réel. Je le p
mière fois qu’un savant «lu xix' siècle discute la grande et délicate question du magnétisme animal.» On pourrait croire, d’aprè
osée sur le papier, se meut d’elle-même et répond avec la plume à mes questions . J’entends une voix dans mon oreille. « Cette v
r certaines qualités?... Nous ne chercherons pas ici à résoudre cette question ardue, dont la discussion a exercé beaucoup d’esp
ensemble au jardin, que dès qu’elle se trouverait près de l’herbe en question elle éprouverait une vive démangeaison àla main,
nt, et que le mouvement est dû à une autre force. C’est là toute la question . Le moteur peut être invisible, sans qu’il y ait
la lettre de M. Foucault est le dernier mot des corps savants sur la question qui nous occupe, nous sommes en droit de dire que
ans votre journal? — Dame! il faut bien détourner l’attention de la question d’Orient, et puis la police me paie pour cela.
bles qui en ont trois, et par ce moyen obtiennent des réponses^ à des questions posées très-sérieusement. « 11 n’est pas mutile
ouver sur-le-champ, à l’aide d’un somnambule, la réponse à toutes les questions , la solution de tous les problèmes, la connaissan
ais elle n’a voulu répondre à personne. Je me suis approché, et à mes questions elle a répondu avec le plus grand calme. Surpris
temps elle a été d’une lucidité vraiment extraordinaire. Une série de questions a été posée par les personnes de la maison, qui é
ent de mon domicile, le sujet n’en pouvait avoir connaissance; sur la question que je lui posai, à savoir depuis quel jour j’ava
histoire. En sera-t-il de même des tables ? Je l’ignore. Mais déjà la question est entrée dans une phase nouvelle : nous voyons
ution du problème. C’est de M. Foucault que je veux parler. « Cette question , dit, en parlant de l’homéopathie, un philosophe
opathie, un philosophe mis en scène par M. le Dr Aussandon (1), cette question est plus difficile à résoudre que celle des table
eux personnes suffisent pour former la chaîne électrique. On fait des questions à la table et elle répond. Les cercles élevés de
graves sujets; la raison philosophique s’est efforcée de résoudre les questions qui intéressent à un si haut degré l’individu aus
ans toutes les parties de son ouvrage. 11 passe en revue une foule de questions ; il les tranche pour la plupart sans les discute
les haines et la colère du Père Roberti, jésuite (le môme dont il est question au commencement de cet article). Roberti attaqua
présence des controverses, il me vint à l’idée d’adresser quelques questions sur ces phénomènes à M"' L...... que j’avais mi
les ne peuvent, comme quelques personnes l’ont prétendu, répondre aux questions qui pourraient leur être faites soit oralement, s
sultat d'un effort de volonté de la part de la personne qui a fait la question . Les tables s’arrêtent dès que la volonté cesse :
a déclaré qu’après avoir reçu d’une table tournante les réponses aux questions qu’il lui avait faites, il lui vint à l’idée de f
ent pousser des cris pendant la magnétisation à distance, lui fit les questions suivantes : « Vous souffrez beaucoup? Quel effe
l'affliction une jeune veuve et toute une famille. Voici comment la question fut posée au somnambule : — Pouvez-vous nous di
regrette d’avoir à peine le temps d’indiquer les faces diverses de la question intéressante que présente la cause. « Le magnét
article ; aussi M. du Potet a-t-il cru devoir adresser au journal en question la lettre suivante : A Monsieur le Réducteur en
ns lequel l’auteur, M. A. de M., se propose d’étudier le phénomène en question . Dans ce but, une enquête est ouverte dans le jou
ion. Par exemple, savoir mon-adresse, le moindre hasard ou la moindre question suffit. a — D'accord. « — A mon air, à ma tou
dition du succès. Voici deux faits qui contribueront à élucider cette question . Premier cas. La lettre suivante, adressée à
ien constaté. Ne rien négliger de tout ce qui pourrait éclairer cette question nous paraît être aujourd’hui un devoir. Lecteur
veugle des savants à cet égard, 471 ; — par M. le Dr Piégu, sur les questions de physique et de physiologie, 491. Voy. Electro-
24 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux de Paris, médecin suppléant des hôpitaux de Nantes. S'il est une question qui semble résolue, et sur laquelle tous les pa
ien- nent au facial inférieur. Malgré l'unanimité des auteurs, la question , à notre avis, mérite d'être reprise, et peut-êtr
hez l'autre ? Il est inadmissible qu'il s'agisse uniquement d'une question d'anatomie, et que cette lésion respecte toujours
Récemment MM. Pugliese et V. Milla étudièrent soigneu- sement la question et à eux revient l'honneur d'avoir attiré de no
gine cérébrale. Sans vouloir refaire ici tout l'historique de cette question , rappelons que la coïncidence d'un ptosis et d'
avec lésion cérébrale très combinée ; Landouzy 1 a consacré à cette question un cha- pitre de sa thèse et y est revenu dans
Parfois elle se couche par terre et refuse de se mettre au lit. Aux questions que nous lui posons elle répond directement et
directement et sans hésiter. Les réponses données correspondent aux questions posées. La mémoire est complètement conservée t
es faits récents qu'anciens. La malade nous répond exactement aux questions de son âge, du nombre de ses enfants, sur l'époqu
à l'examen, sans prononcer aucun mot. Elle répond difficilement aux questions posées, elle paraît réfléchir longtemps à la ré
s répétons plusieurs fois la demande qu'elle nous répond enfin à la question posée. Les réponses sont très courtes, les plus
i arrive quelque chose de mal. Elle répond très difficilement aux questions , nous devons insister près d'une demi-heure pou
omme si. quelqu'un la menaçait. Autant on insiste de- plus avec les questions et l'examen, autant l'anxiété et l'inquiétude d
ond de suite à nos queslions, mais la réponse ne correspond pas aux questions que nous lui posons. La mémoire est diminuée ta
un mot de lui que par des menaces. 5. Il commence à répondre aux questions , quoique avec quelques hésitations; il. demande
ne parle pas, répond avec grande difficulté seu- lement à quelques questions , surtout à celles qui se rapportent à son état
son raisonnement, la malade gardant un mutisme obstiné à toutes nos questions , sauf quelques chuchotements incompréhensibles.
lui dit et répond difficilement, et seulement après insistance, aux questions qu'on lui pose. Si nous persistons plus longtem
post-opératoire ; par le Dr Picqué. En examinant l'historique de la question , on voit, d'une part, les psychologues et les m
tabès de Duchenne ? Que faut-il penser du labes héréditaire ? A ces questions sont consacrées les leçons suivantes. Un père est
permanente des pu- pilles ; surtout le coma urémique ou diabétique, question qui sera généralement tranchée par l'examen des
rence entre le vertige aigu et le vertige chronique et abordant la question diagnostique, montre que l'on peut presque consid
e soixante-dix ans, est excessivement faible et n'a pu répondre aux questions qui lui ont été posées. Breton prétend que sa m
défense dans le sens le plus large du mot. Il n'en sera donc plus question dans la suite, et nous ne parlerons que de la pré
23, soit 74/100 montrèrent l'absence de la réaction douloureuse en question . Ce nombre vient con- firmer les données de Bie
voix basse et dans un Ion plaignant. Elle répond difficilement aux questions posées. Elle est complètement dépour- vue de vo
e, sans énergie et sans volonté pour exécuter quoi que ce soit. Aux questions qu'on lui pose, il est impossible d'avoir un mo
e, la perception parait cou- servée, malgré qu'il ne répond pas aux questions . On ne peut pas découvrir un délire, ni rien sa
ntal est complètement rétabli. Il parle et répond immédiatement aux questions . Il ne garde plus cette immobilité opiniâtre, m
ans résignation. Il reste les yeux fermés, ne veut pas répondre aux questions , ainsi il nous est impossible d'apprendre s'il
e. Elle se soumet difficilement à l'examen et est récalcitrante aux questions . La volonté est conservée, mais elle exécute tr
e que nous lui disons. Elle nous répond négativement à toutes nos questions , en disant qu'elle a déjà répondu à d'autres doct
feste dans tous ses mouvements et tous ses actes. Il répond à nos questions , mais seulement après de longues insistances et a
s insistances et après que nous ayons répété plusieurs fois la même question . L'associa- tion des idées et l'idéation sont a
tout ce qui l'en- toure. La perception est normale, elle répond aux questions avec beaucoup de difficulté et seulement si nou
de difficulté et seulement si nous insistons longlemps sur la même question . La parole très lente et basse, presque imper-
lentement et sans énergie ce qui nous lui disons. Elle répond à nos questions mais seulement après de longues insistances et to
le dit qu'elle est mieux chez nous, elle répond plus rapidement aux questions . Elle mange et de bon appétit. Ce mieux est pou
nt pour les faits récents qu'anciens. Il répond difficile- ment aux questions . L'attention lui manque. Il nous dit qu'il a eu
isme complet, le regard fixé à terre, sans répondre à aucune de nos questions ; nous ne pouvons même pas le décider à nous fa
s faire un signe d'affirmation ou de négation. Insistant dans nos questions et nous adressant d'une façon bien douce, ou en
venable, l'altitude est tranquille, il est obéissant; il répond aux questions , mais il s'ar- rête parfois au cours de sa narr
'avait pu accoucher que d'un enfant idiot, tandis que le rejeton en question est manifestement intelligent et bien constitué
on des choses les plus élémentaires et ne pouvait répondre qu'aux questions les plus simples. Au point de vue de la mentalité
urs amis, et si ces lettres ne partent pas toutes, cela tient à des questions de convenance, ou de secret médical. Quant à répo
ssistance familiale, la création d'hospices incurables, sont là des questions trop com- plexes pour être étudiées ici, mais n
est extrêmement complexe, les données de Quaiu jettent sur cette question plus de lumière que celles très insuffisantes des
uses précautions requises, a cherché sur le macaque la solution des questions suivantes : 1° le nombre exact des racines rach
e racine prise a part. Même résumée en un tableau, la réponse à ces questions représente une ampleur telle que force nous est
lecteur à l'article lui-même, ne fût-ce que pour une seule de ces questions ; chaque muscle exige à lui seul tout un tableau.
nante. 158 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. La question de la disposition des sillons, qui rend souvent l
dions d'association. S'il est vrai que les centres d'association en question soient aussi innervés par des fibres de la cour
u, comme le soutiennent la plupart des auleurs qui ont étudié celte question , de prohiber systématiquement la médication thy
et. -Peut-être ? Mais je ne pourrais répondre avec cer- titude à la question de M. Briand ; ce que je peux dire, c'est que j
er et les rapports sardes et français d'il y a cinquante ans sur la question du crétinisme en Savoie, lteverdin et Koeherpou
ion des enfants en général, l'auteur fait un court historique de la question touchant l'amélioration des faibles d'esprit; i
chef, directeur de l'asile de Biois. Le programme comprendra : 1° questions mises à l'ordre du jour : Pathologie mentale :
lle-ci est normale. D'un autre côté si nous serrons de plus près la question , nous relevons dans nos 1.256 constatations 862
jours resta immobile, refusant de remuer et répondant à toutes les questions : je suis mort. Par une étrange contra- diction
mble de la maladie. Les deux tableaux qui suivent répondent à cette question par l'affirma- tive. Certes, dans l'immense maj
ppel l'ont placé au premier rang des chercheurs originaux sur ces questions . Il pousse l'analyse des lésions histologiques
mélancolique au début serait surveillé et soigné jusqu'à ce que la question de la curabilité ait été déter- minée. De cette
et si impulsifs qu'ils paraissent avoir une ori- gine réflexe. La question se pose de savoir si pareille chose ne peut se re
a voix à celle des nombreux mé- decins qui se sont occupés de cette question , pour signaler le péril national résultant des
ospices de cercles (Kreisp- / ! t : <yMHM(«M6n) voici comment la question peut être comprise. Ces établissements ont bon
tout ce qu'il faut ; on la construirait en construisant l'asile en question . On } pourrait encore faire l'essai d'une colon
ions annuelles de directeurs-médecins. Ce conseil s'oc- cuperait de questions d'assistance et de questions de droit et d'or-
médecins. Ce conseil s'oc- cuperait de questions d'assistance et de questions de droit et d'or- ganisation. examinait, par ex
peuvent être exposés aux manifestations de l'hérédo-syphilis. La question ne lui semble pas d'ailleurs comporter une répons
uivant la nature de leurs antécé- dents héréditaires. Il y a là une question d'espèce. C'est pourquoi M. Arnaud demande à la
M. Arnaud demande à la Société de maintenir à son ordre du jour la question de la descendance des paralytiques généraux. M.
eut donc engendrer un paralytique général. M. Curistian trouve la question intéressante, mais d'une solution difficile. Il
raitée avec succès par l'hypnotisme. Il expose à ce propos toute la question des phobies en général et de l'agoraphobie en par
ments spéciaux de l'Europe. Je vous prie de m'aider à répondre à la question relative à la France. Le Danemark a maintenant
ui sont actuellement dans le Workhouse de Leicester. Le projet en question est le résultat d'une enquête instituée sur le. C
sont que des modalités ; aussi avons- nous seulement en vue ici une question de séméiologie. Nous esquisserons d'abord un co
e. (Paris, 1845.) Nous y avons puisé largement. Mais un côté dqja question qui a été peu abordé jusqu'ici, c'est l'étude d
es par une mélancolie ou une manie 3... » Avant d'en finir avec ces questions délicates de nomenclature nous croyons devoir p
t là, certainement, de phénomènes identiques comme localisation, la question de leur nature exacte et distincte, étant mise
n. Qu'il s'agisse de souvenirs, d'appré- ciations de sensations, de questions à saisir, d'idées à expri- mer, tout est diffus
tellement frappante qu'aucun des auteurs qui se sont occupés de la question n'a hésité. Partout et toujours, ils ont conclu
rimitives symptonaaliques et secon- daires. Mais ce n'est là qu'une question purement théorique. Ce qui importe, c'est que l
n s'appuyant sur des considérations d'ordre différent. « La seule question à se poser serait celle de savoir si ces rêves
ors que déjà il ne répondait plus, dans l'état délirant, à aucune question , tellement son obtusion était extrême, dans l'éta
s, on le voit sur leur physionomie étonnée; on peut le conclure des questions qu'ils font, mais surtout des détails qu'ils do
chaque jour sans interruption, en procédant' des choses simples aux questions plus difficiles, ramène peu à peu toutes les fa
u présent travail, deux lettres de Brown-Sequard, relatives à cette question d'historique. Depuis les premiers travaux sur c
nt senti que vu. L'importance de ce signe peut être grande dans les questions de viol, de paternité ou de capacité sexuelle.
e la parole pour arriver à émettre les sons qui composent le mot en question , et pour placer les sons dans un ordre déterminé
avec les émotions sexuelles; par le Dr Havelock Ellis. C'est une question depuis longtemps controversée que celle des rap
auteur rapproche son cas de ceux qui ont été déjà publiés sur cette question , et il remarque un ensemble de faits suffisamme
rs arrêts des cours et tribunaux qui ont eu à intervenir dans cette question ; il interprtèe juridi- quement l'article 16 de
A. Prix DE l'académie DE médecine. Pria; Civrieux : 1.000 francs. Question : Des obsessions en pathologie mentale. Un prix
M. le Dr Manheimer (Marcel), de Paris. Prix Portai : 600 francs. Question : Des lésions des centres nerveux et des reins,
es Dri Enriquez et Hallion (de Paris). Prix Falret : 900 francs.- Question : Les somnnnzbulistes. L'Aca- démie ne décerne
ordeaux). 336 FAITS DIVERS. Pria; de l'Académie : 1.000 francs. Question : Des myélites infectieuses au point de vue cli
son attention : elle répond enchantant et sans aucune précision aux questions qu'on lui pose; en même temps, elle se livre à
t, mais incomplètement, elle répond assez correc- tement à quelques questions simples; les hallucinations avec troubles de la
qu'à ce tableau clinique. , De la Mélancolie, il ne peut en être question que pour l'éliminer aussitôt : si, en effet, à
amena son placement d'office à l'asile Sainte-Anne. Dès lors, la question du diagnostic s'éclaire d'un nouveau jour; nous
Aubanel sembla se raidir contre la mauvaise fortune, il porta la question devant le' Conseil d'État qui, après en avoir dél
Ritti, Joffroy, Régis, Arnaud, est également chargée de choisir les questions mises à l'étude pour le prochain Congrès de 190
gie générale qui pouvaient aider à mettre un peu d'ordre dans une question aussi complexe, cette question l'est certainement
der à mettre un peu d'ordre dans une question aussi complexe, cette question l'est certainement ; car, les éléments de sa di
entant pas à lui seul toute l'École ' française ; et même sur cette question itous-les élèves de M. Magnan ne sont pas. d'ac
ratifs, et ce faisant, il n'a fait que mettre au point l'étal de la question . M. Régis répond en quelques mots au rapport du
comme le dit M. Anglade dans son historique, qu'a aucun moment, la question des délires secon- daires n'a été envisagée en
e Krafft Ebing, ces malades ne sont pas des déments, carie sujet en question , à 60 ans d'ape, et après 30 ans de délire, a p
t fait, en ces termes, un remarquable exposé de l'état actuel de la question : M. Ballet. Lorsqu'en 1889 Ko'rsakofl' décrivi
s lésions par de nombreuses et très belles projections. Une seconde question se pose, plus délicate, c'est de savoir si la s
lié à un état infectieux. Le D1' Anglade demande à poser quelques questions à M. Ballet à propos des lésions cellulaires qu
ablir de lien entre ses phrases; elle ne répondait que très mal aux questions posées. Amnésie, absence absolue de volonté; la
eu recours aux boissons alcooliques ; il ne pouvait être non plus question de névrite saturnine, ni de névrite diphtérique.
s et plus). Bien entendu, nous n'avons pas songé au béri- béri. Une question se posait : Avions-nous affaire à une névrite d
s précautions employées dans les hôpitaux. M. Vallon. Au fond, la question de la chirurgie des aliénés se ramène à un poin
ces ultérieures; il a dû mettre au point, et il a réussi, l'une des questions les plus discutables et des moins étudiées on n
depuis longtemps et nous savions qu'en le désignant pour traiter la question des aliénés méconnus et condamnés, il saurait pro
c l'au- torité incontestable et incontestée, qui lui appartient, la question des psychoses poly-névritiques ; ce qu'il y ava
par M. 1011S1EOFF, président : Après avoir fait l'historique de la question d'après les données de la législation et de la
et précis; 4° Les erreurs d'expeitise sont possibles dans d'autres questions judi- ciaires jugeant le divorce ; il faut seul
les et, 20 rendant impossible la coha- bitation conjugale. Ces deux questions doivent être décidées par des experts, au nombr
e description plus détaillée des lésions médullaires dans le cas en question . S. SOUIirIAN01·r· et N. Orloff. Contribution c
t))'tt ! f/ : t6. Après avoir indiqué les points controversés de la question , les auteurs s'efforcent de démontrer que les t
. l3ora. XI. Les alcooliques persécutés ; par le D'' Cololian. La question de l'alcoolisme est plus que jamais d'actualité e
nt être aussi satisfaits que possible de ses services ; il est même question pour lui d'un avancement. Les considérations
iècle. Ensuite, il vint une période de silence pendant laquelle ces questions sont tombées dans l'oubli, en laissant le champ
syclio- pliysiologique du développement du langage chez l'enfant, question totalement négligée par les auteurs que nous veno
llente; pas de convulsions ni de manifestations hystériques ' Cette question est traitée en détail dans notre travail : Spasli
nd sans trop de difficulté bien que laconiquement, mais dès que les questions portent sur sa vie passée, sur les circonstance
e importance à ce fait, nous HYSTÉRIE MALE. 465 croyons que nos questions éveillent en lui des souvenirs pénibles et nous
dents ; il répond par écrit avec facilité et précision'à toutes les questions que nous lui posons sur ses antécédents. Mais à
pas il est vrai quand on l'interroge, mais il reste muet, que les questions portent sur son état présent ou qu'elles aient tr
aillées à l'emporte-pièce au sein du pro- toplasma cellulaire. La question de la vacuolisation du protoplasma des cellules n
tions qu'on rencontre chez les auteurs qui se sont occupés de cette question . Toutes ces formes et variétés pourraient bien
ses caractères morphologiques et culturaux, le micro- organisme en question diffère donc de tous les autres micio-orga- nis
rouver des éléments d'appréciation importants pour l'étude de cette question si grave « les aliénés condamnés n, d'une part, d
mettrait donc fin à cet état anormal, en construisant le barrage en question . Eh bien, rien n'est plus simple. Il suffirait
les médecins de régiment pourront trancher au pied levé toutes les questions de responsabilité; loin de la ; il y aura toujo
niions est non pas de résoudre complè- tement et définitivement des questions d'essence si complexe, mais d'éclairer la relig
rés dans la région du Sud-Est. » M. le Président estime que cette question ne se rattache pas à la question en discussion
M. le Président estime que cette question ne se rattache pas à la question en discussion et qu'elle devrait être ajournée qu
au pronostic de l'épilepsie générale. Dans le chapitre I, il est question des innombrables médications proposées jusqu'à
imes dans certains pays d'Europe. Puis.il s'occupe longuement de la question au point de vue anthropologique; sa conclusion,
25 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sseur RAYMOND, 12 décembre 1902)' t Messieurs, Il existe dans les questions les mieux connues, les plus fouillées, des poin
qu'elle est maintenant dans une sorte de torpeur; en lui posant des questions répétées, j'arrive cependant à l'en faire sorti
arrive cependant à l'en faire sortir, et même si je lui adresse une question très S 6 CLINIQUE NERVEUSE. .simple, j'obtien
Je vous répète que je compte d'ailleurs revenir sur ces diverses questions dans une de mes prochaines leçons. Je tiens auj
elques auteurs, particulièrement M. Nageotte, se sont occupés de la question , mais seulement, d'une façon inci- dente. Voi
; je vais vous montrer son importance majeure relativement à cette question . Auparavant, je tiens encore à vous dire que d'
a pathogénie des lésions des cordons postérieurs, mais c'est là une question qui ne peu^ encore, être tranchée pour le momen
. lOUfi1'IOLF, Agrégé de la faculté 1 Moscou. 11 est connu que la question concernant la catatonie, comme forme morbide, j
de mon ouvrage ne consiste pas dans l'examen de l'histoire de cette question , mais vu que divers auteurs, sous le nom de cat
ns exclusivement sur le côté clinique de son ouvrage. L'auteur en question regarde comme symptôme détermi- natif des forme
troisièmes, enfin, tout en admettant l'indépendance de la forme en question , donnent une autre explication aux symptômes et
rdre. A l'entrée du médecin, il tâche encore plus de se cacher. Aux questions qu'on lui adresse, il répond : « pourquoi est-c
e répond pas si ou lui demande son nom ou son nom ~de famille. A la question , qui donc il est ? Il répond : « Peut-être je s
hique du malade, ne peut-on pas admettre ici une mélancolie ? Cette question est d'autant plus légitime, que dans la mélanco
présentations est très limité et leur cours très lent. A toutes les questions , répond de mauvaise grâce, d'une manière monosy
fois prise, durant plusieurs journées, sans qu'on ne l'y force. Aux questions , répond lentement par des monoyllabes. Le malad
avoir sous l'oeil afin de l'empêcher d'approcher les fenêtres. A la question pourquoi il veut faire cela, il ne répondait ri
, il répond d'une manière monosyllabique et de mauvaise grâce. A la question pourquoi il se tient toujours à la même place,
mois de janvier 1885. Ici, nous nous rencontrons de nouveau avec la question ; qui concerne tous les catatoniques; avons-nou
mme entité morbide. ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. ' 33 Cette question admet une résolution différente, en dépen- danc
ion des données anato-- miques tant soit peu définies concernant la question de la catatonie. Les observations de Kahlbaum
épisodiques délirantes, qui, souvent, comme l'auteur de la forme en question l'indique, portent un caractère mélancolique.
cardinal et avec une issue terminale constante. - C'est une autre question , si on peut regarder la catatonie comme un grou
moment nous ne pouvons pas encore donner de réponse définie à cette question . Il faut dire qu'on doit se rapporter avec beau
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 45 Il discute ensuite la question des rapports entre les altérations de ces cellu
c, de nature cérébrale. R. de Musgrave-Clay. V. Contribution à la question de la théorie histologique du som- meil, par W.
on lumineuse du nerf optique au noyau de l'oculomoteur commun. La question des relations de l'ensemble de ces éléments avec
a 5e et de la 7e paire; par D.-J. Mac C.\IiTHY. Contribution à - la question du réflexe sus-orbitaire; par C. HuDovERNiG. (Neu
11 n'est pas 58 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. question de troubles psychiques. Les symptômes cliniques o
ement à lire sans comprendre-le sens de ce qu'il lit : le centre en question est déjà plus actif, mais il ne l'est pas encor
la maladie de Friedreich et l'hérédo-ataxie. R. Charron. XIV. La question de l'aphasie motrice sous-carticale, par le Dr
r les Dra CESTAN et HUET. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 71 - La question se pose actuellement de savoir si la topographie
ilitiques non justiciables des antisyphi- litiques. A l'heure où la question est discutée chez nous, il est inté- ressant-de
The Journal of Mental Science. Juillet 1902). Très bon résumé de la question , suivi de huit observations. R. M.-C. VIII. U
rare dans la plupart des lésions intra-craniennes, en revanche, la question d'intervention est souvent posée, et la solution
le sujet n'a eu ni gigantisme ni acromé- galie. Pour les auteurs la question d'âge du malade est peut-être fort importante p
ns pas que, jusqu'ici, rien n'ait été écrit de plus complet sur une question d'un aussi haut intérêt, puisqu'elle n'a pas se
omplète ou incomplète (ou même absente). ' L'auteur étudie alors la question des relations entre l'amnésie et l'état de la c
pour cette épreuve; - 3° Une - épreuve orale de dix minutes sur une question de garde. Il sera laissé aux candidats deux min
e l'épreuve. Il sera accordé quinze- points pour rette épreuve. Par question de garde on doit entendre une épreuve orale rel
st le même pour tous les candidats. Il est tiré au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées par le jury imméd
tement avant l'ouverture de la séance. Pour les épreuves orales, la question sortie est la même pour ceux des can- didats qu
pas de la faire subir à tous dans la même séance; dans ce cas, les questions sont rédigées par le jury chaque jour d'épreuve
Oh ! le bel oeuf ! FAITS DIVERS. 93 Et, s'emparant de l'objet en question , elle s'enfuit à toutes jam- bes. Arrêtée quelq
térature médicale des crétins dans la descendance des épileptiques ( question sur laquelle je reviendrai plus loin) ou des ép
de l'épilepsie. La - plupart des auteurs ont négligé ce côté de la question , et cependant nous sommes persuadé qu'il n'est
e fait de rester soudain immobile, les yeux fermés, de répondre aux questions de l'hypnotiseur, d'accomplir des actes commandés
optiques, Grasset constate avec tous les auteurs ayant étudié cette question , que l'oeil du sujet hypnotisé se comporte en t
ypmptômes indépendants de toute suggestion » (p. 331). Telle est la question que se pose l'auteur et à laquelle il répond af
vrier 1902). Après un court historique du sujet, l'auteur aborde la question du traitement du crétinisme et du myxoedème par
reprises le prévenu avait jetés après les avoir lacérés. Pressé de questions , celui-ci finit par avouer que les vêtements de
nique. Les qualités spéciales phy- siques ou morales de l'objet- en question ou les conditions de l'existence expliquent alo
onvaincants, décousus et mal étayés, il faudrait se rappeler que la question de l'auto-intoxication n'en est qu'à ses débuts
us cérébelleux des- cendants. P. Keraval. XXII. Contribution à la question des relations entre les rêves et les conception
l'urémie. Excellent effet de la lombo-ponction; par G. ScnEne. La question de la lombo-ponction dans l'urémie cérébrale est
nosologiques spéciales des psychoses ? ? La réponse à la première question ne peut qu'être insuffisante, car on ne trouve
mais encore certains médecins. M. Vallon. Dans un cas pareil, si la question de la prédispo- sition héréditaire n'est pas po
st parce qu'ils sont des juges et non des médecins. M. Ballet. La question soulevée par la malade de M. Briand doit être e
des difficultés insurmonta- bles, on peut dire également que cette question envisagée au point de vue purement médical est
est déjà manifestée bruyamment en maintes circonstances, alors la question est des plus simples et tout ,le monde sera d'acc
nettement affir- mée, les preuves paraissent moins décisives et la question est déjà moins facile à trancher. Enfin il es
vient de nous être rapportée. M. Briand. On ne peut résoudre une question par une péti- tion de principe et cependant c'e
Pour terminer et insister encore davantage sur les obscurités de la question , j'ajouterai que la prédisposition peut exister e
4. ïO - SOCIÉTÉS SAVANTES. dans la claudication intermittente. La question se pose si dans le pied tabétique ces deux mome
oiseraient. Psemlo-oedème catatonique. JI. DIDE revient sur cette question , rapprochant ce phénomène de l'asphyxie symétri
(fonte paralytique). - Cette rapide énumération indique combien la question a été traitée à fond : de nombreuses observatio
es classiques de Claude Bernard, Brown-Séquard, Snellen rajeunit la question en faisant entrer en ligne de compte la notion
), Ducosté (Urbain). Les 19 candidats ont remis une copie. Les deux questions restées dans l'urne étaient les suivantes : 1°
tine. b) diagnostic et traitement de la hernie crurale étranglée. Questions orales : Nerf glosso-pharingien, Nerfs du coew',
glosso-pharingien, Nerfs du coew', Cordons antérieurs de la moelle. Questions de garde : De la con- duite à tenir en présence
aub'ert, titulaires et Charasse suppléant. Le concours comprend une question écrite d'anatomie, une question écrite de patholo
suppléant. Le concours comprend une question écrite d'anatomie, une question écrite de pathologie interne et de pathologie e
on écrite de pathologie interne et de pathologie externe, enfin une question de garde. Distinctions honorifiques. Nous appre
n tout à fait disparues. , En présence de ces phénomènes, plusieurs questions se posent. S'agit-il là du manque de quelque sé
en est-il directement absorbé par l'intestin ? A la première de ces questions (manque d'une sécrétion nécessaire), on peut ré
upporter tout cela à cause de l'incapacité spéciale des médecins en question . P. K1OEAVAL. VI. Une paille dans la législatio
.-F. InrLarr. (Obozrénié 11sichiall'ii : VII, 1902). - Résumé de la question suivi de 4 observations personnelles avec deux
la discussion, M. Clouston présente sa communication sous forme de questions : 1° Possède- t-on actuellement les ressources
ces malades viendront-ils se faire soigner à l'hôpital ? A ces deux questions tous les médecins qui font de la consultation d
ires en- voyés pour les prix à décerner en 1904. Prix M&eme ? Question : Valeur diagnostique des symptômes oculaires a
été fEDICO-PSYCIIOLOGIQUE Année 1904. Prix Aubanel. - 1.000 francs. Question : Va- leur diagnostique des symptômes oculaires
pathologie mentale. , Année 1905. - Prix Belhomme. - 900 francs. - Question : De l'association des idées chez l'idiot et l'
gie mentale ou nerveuse. - 7 ? KSeme/'< ? ) ! e. - 500 francs. - Question : Des sorties à titre d'essai, au point de vue cl
adresse des auteurs. LE R. P. Guillaume Hahn, S. J. Le Revue des questions scientifiques dans son numéro de janvier, annon
aujourd'hui et je vous renverrai, si vous désirez approfondir cette question , aux travaux de Charcot sur la paraplégie doulo
une origine complexe que tous les auteurs qui se sont occupés de la question leur accordent. A côté des toxines produites'pa
erfs dans la carcinose, n'est pas un fait de pur hasard ; c'est une question réglée avant tout d'une part par la variété his
ommises. Il me reste, Messieurs, à vous entretenir d'une dernière question : c'est l'atteinte par le cancer des racines rach
Pour ne parler que des auteurs qui ont particulièrement étudié la question , citons Romak qui rapporte un cas d'amyo- troph
thyroïdiens, et la paralysie des nerfs oculaires ? Telles sont les questions que pose M. Duplant, tout en faisant cette rest
te sur le terrain cli- nique et réserve le côté physiologique de la question ? G. Carrier. XXXI. Troubles du mouvement che
t f. Nervenhrilkunde. XXV, N. F. XIII, 1903).- Quelques mots sur la question de l'hystérie, réplique au mé- moire de Nissl;
e de trouver des adhé- rences aussi étendues que celles dont il est question dans l'obser- vation de M. Tissot. 340 SOCIÉT
ui-même le pacte de ne plus parler. En tout cas ce fait soulève une question importante de mé- decine légale. Supposons qu'à
l'année précédente, tant en France qu'à l'étranger, sur toutes les questions se rattachant de près ou de loin à la psychologie
e au 7 Août, sous la présidence de M. le professeur Rnis- sauD. Les questions suivantes sont l'objet de rapports : 1° Psy- ch
jets que nous avons observés depuis que nous nous occupons de cette question . Les nombreuses malades impulsives, que nous av
ent et l'affolement moteur pendant l'excitation sexuelle. Une autre question nous semble mériter également quelques recherch
imentales, capables d'éclairer et même de trancher, si possible, la question suivante : l'état de l'anémie cir- culatoire pe
iques du tétanos. Pour les auteurs qui ont étudié ultérieurement la question , comme pour eux,les lésions cellulaires,observé
polynévrites d'autre origine. On peut donc se demander, sans que la question soit encore tranchée, s'il n'existe pas une « psy
ette nature avec bourse séreuse au niveau -du coude. Le malade en question faisait des bagues de goulots de bou- teilles;
présentent ce durillon sans avoir de la névrite. Chez le malade en question , le diabète semble avoir agi comme seconde caus
à l'origine des processus morbides. M. H. G. WILSON pense que cette question ne peut être envisagée que comme une question c
ILSON pense que cette question ne peut être envisagée que comme une question controversée : il serait plutôt toxémiste, mais
éréditaire dans la genèse de la folie. Mais en somme le noeud de la question se trouve dans la proposition suivante : « Au d
Depuis, elle a écrit un nombre considérable de pages, traitant des questions les plus diverses. Ce sont de véritables livres
états de conscience. L'histologie patho- logie s'est occupée de la question , mais elle ne fait que débuter dans cette voie.
ur général président. Elles sont au nombre de six, savoir : Il, Une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie
ois heures aux candidats; le maximum des points sera de 30 ; 2° Une question écrite portant sur l'or- ganisation des asiles
reuves orales et cliniques. Ces épreuves sont éliminatoires. 4° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie e
rendre sa liberté. Au début, c'est-à-dire au mois de février, cetie question l'embarrassa, il n'y répondit pas immédiatement
mativement, mais d'un air embarrassé. Le lendemain il me dit que ma question l'avait surpris, et il m'interrogea pour savoir
st de deux minutes. Le malade, comme on le voit, a été guidé par la question qu'il m'avait posée touchant les noms propres.
de la mémoire sans les remarquer; le malade répond correctement aux questions qu'on lui pose lou- chant ses souvenirs, parce
éjà fait remarquer que le sujet ne comprenait pas toujours bien les questions qu'on lui pose; lorsqu'on lui explique ce qu'il
ue le malade n'est pas affaibli parce qu'il répond correctement aux questions d'un examen très superficiel; mais il importe d
semble tout d'abord confirmer la théorie de Ma- gnan. Le malade en question , en effet, d'après ses antécé- dents héréditair
ées, il n'en est pas de même en ce qui concerne leur pathogénie. La question , pourquoi chez tel alcoolique chronique apparaî
sibilité générale normale. Elle reconnaît les médecins ; répond aux questions posées et fait un récit très précis en ce qui c
e, d'où elle aurait vu un attroupement et en même temps la femme en question , toute couverte de sang, qui cherchait à se réf
e d'énergie sortante ; mais il se sépare complètement de lui sur la question de l'accumulation d'énergie. Chaque pensée, cha
périodiques. La réponse que l'auteur se propose de faire à cette question lui a été suggérée par deux passages de la Psycho
nt fort controversé est le champ de bataille de la neurologie. La question de l'existence des centres moteurs ou même des ce
à l'ablation de l'aire Rolandique, et c'est la seconde de ces deux questions qu'il se propose d'étudier d'abord, sa solution
actions résultant de l'éducation. Et ceci amène naturellement à la question du rôle joué par la volition dans l'exécution du
le celles- ci progres- sent. Pendant dix ans le gliome du malade en question , malgré sa situation en pleine zone motrice, a
e dans quelques consi- dérations, sans vouloir toutefois aborder la question des théories du sommeil, sur la nature du somme
nor. Au sujet des préparations démontrées furent proposées quelques questions par P.-A. PREOBRGENSEY et par W. A, MOURATOFF.
pas tout de même diminuer la signi- fication de l'hôpital. Sur la question du développement des dendrites des cellules nerve
d'envisager, comme urémiques, les accès observés chez la malade en question . G.-J. PII.IBYTKOFF se souvient d'un cas de cou
ction du contenu des événements. S'10 sociétés savantes. Sur la question de la parasitologie du sang dans l'épilepsie. B
ment, dans un autre centre, qui est resté intacte chez le malade en question . A. 13FasrrIN, M. MOLTCIIAKOFF, S. Soukiianoff.
avoir rappelé en indiquant leur sens les travaux récents sur cette question et fait une large part à ceux de Weismann, l'au
ement pour la com- modité et la brièveté du langage). Bien d'autres questions se posent en foule, sans qu'il soit possible ac
héréditaire ». Si l'on exa- mine maintenant chez ces 965 malades la question de sexe, on trouve 419 hommes et 546 femmes (so
ons pas repro- duire, que si les auteurs sont un peu divisés sur la question de savoir si l'influence paternelle agit plus p
uble mental chez les sujets à prédisposition héréditaire, c'est une question controversée, et qui restera probablement telle
es cas accompagnés d'idiotie ou d'imbécillité (dont il vient d'être question ), le nombre des cas de folie épileptique relevés
et 484 femmes (soit 30,13 p. 100.) 1 L'auteur aborde ensuite une question de la plus haute impor- tance, celle de savoir
euves paraissent se prêter à d'antres interprétations. Examinons la question de l'alcoolisme, qui est bien un type d'acquisi
e nutrition s'exerçant direc. tement sur le germe plasmatique. La question a été examinée jusqu'ici au point de vue de l'hér
nce héréditaire à la folie, l'esprit passe tout naturellement à une question plus large, celle de l'amélioration possible de
Reynolds et Shair. Il est à noter que le principe ne fut pas mis en questions , mais seulement la question de savoir s'il conv
oter que le principe ne fut pas mis en questions, mais seulement la question de savoir s'il convenait d'établir l'hôpital psyc
ont fait l'objet du rapport par Robert Jones de Claybury. Les mêmes questions sont en même temps, on le voit à l'ordre du jou
le déli- rium tremens et le délire aigu, par Carrier. 421. Sur la question du développement des dendrites des - spinales
ire, pr Siorch, 3 : 31. Htlpllll'p de Nissl. Quelques mots sur la question de l'hysléiie, réplique au mé- moire de Nss).
tigue mentale sur la - par Ob,ict, 388. Rêves. Contribution à la question des relations entre les rêves et les concepti
des préparations du - des épileptiques, par Bemstein, 504. Sur la question de laparasi- tologie du dans l'épilepsie, par
26 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
chez l'homme, j'observais avec intérêt tout ce qui touche à cette question . J'ai d'abord reconnu, comme le disait Beau, qu
telligent, qui avait répondu d'une façon intéressante à toutes mes questions , ne pouvait pas arriver à com- prendre celle-ci
nos études. Archives, 1. XIV. 4 50 PSYCHOPHYSIQUE. rapports en question , telle est la tâche que se propose la psychophy
idérée comme science expéri- mentale. - Mais les deux phénomènes en question , le premier seulement est susceptible de mesure
ment pour être perçu, doit être plus considérable que le bruit en question est plus intense. On parvient ainsi à éta- blir
i les auteurs qui ont surtout LE SENS MUSCULAIRE. 83 étudié cette question , il faut placer Ludwig on 1852 dans son Traité
n. (Uzterszcch. ùber den Erregungsvnrgang., p. 239.) Enfin, cette question a été remise en honneur aujourd'hui par l'école
jusqu'à l'évidence que lorsque ce sens manque, les mouve- ments en question ne peuvent être exécutés qu'à une condi- tion,
ou ont encore cours sur le sens muscu- laire. Comme on le voit, la question est loin d'être élucidée d'une façon définitive
E. 1ù1 permettra d'arriver à des données plus positives sur cette question des plus intéressantes tant au point de vue du mé
me cela se voit souvent dans l'hystérie. Chez le malade dont il est question on n'a obtenu aucun résultat même par des appli
t mental est pourtant tout à fait normal. Passons maintenant à la question des troubles trophiques. Les phlyctènes, les ul
esneurologistes ont fait quelque notable progrès dans l'étude de la question . Le point le plus important est la preuve donné
rt de ces aliénés sont originaires du département et de la ville en question . Cette triste situation des aliénés devient enc
00 fr.) VI. Après ce rapport M. KOJEVNIKOFF aborde l'intéressante question d'enseignement clinique des maladies mentales. Sa
semblables en Russie. IX. M. 1111NOR traite ensuite l'importante question du traitement des alcooliques dans les établiss
ion à part pour les malades violents, criminels ou non. Xi. La même question est traitée ensuite par M. JAKOVENM dans une co
s cliniques et les maisons d'aliénés, considérant, en somme, que la question du traitement régulier et de l'assistance des a
vent êlre apportees à son texte. Cherchons donc bien il préciser la question . Il y a un aliéné 1 Voy. Archives de Neurologie
seconde hypothèse, ce malade tranquille et pour lequel il n'est pas question de séquestration est soigné dans d'au- tres con
s. (Vive ap- probation sur tous les bancs.) Il y a maintenant une question que j'ai provisoirement laissée de côté et que
rnement. M. le commissaire du Gouverne- ment a nettement précisé la question que soulève l'article 7 en ce moment en discuss
rera cette nécessité ? M. LE Ministre DE l'intérieur. Messieurs, la question soumise à l'heure actuelle au Sénat a une gravi
arvaise et celle qu'a apportée à cette tribune M. La- combe. Sur la question de principe posée par l'article 7 décidant qu'i
arrêtées par la commission, au sujet de cette surveillance; mais la question qu'il est néces- saire de trancher immédiatemen
abréger sa vie par de mauvais traitements. C'est, messieurs, cette question de principe que vous allez voter; si vous n'ado
résigner à cet abandon; je vous en conjure, messieurs, examinez la question sous tous ses aspects, pesez tous les arguments
ission ? ' ! M. de Gavanntc, de sa place. Jusqu'à présent, la vraie question , à mon point de vue, n'a pas été complètement t
oint de vue, n'a pas été complètement traitée, je veux parler de la question de principe qu'exposait tout à l'heure M. le mi
absolument nécessaire qu'il fasse connaitre son opinion dans cette question . (Sourires.) J'ai vérifié, dis-je, les statistiqu
avardie. Je vaisy arriver. Je suis d'ailleurs beaucoup plus dans la question que vous ne le pensez. Je dis que c'est votre R
l vaudrait beaucoup mieux, ce me semble, mettre d'abord aux voix la question de principe sous forme do suppression de l'arti
tier ou de paragraphes de ce même article, et de cette manière la question se posait d'une façon très simple. 11 m'est arriv
ent et qu'il voudrait maintenir. Pourquoi ne pas voter, quand une question de principe est nettement posée comme elle l'a
me degré inclusivement », car je reconnais que c'est là une seconde question et qn'ily a des séna- teurs qui pourraient voul
DELSOL, à la tribune. Messieurs, je monte à la tribune pour que la question soit nettement posée. L'honorable M. Lacombe pr
Delsol, il vaudrait mieux réserver cette partie de l'amendement. La question est déjà assez compli- quée comme cela. M. Mo
LET. Messieurs, je n'ai demandé la parole que pour une SENAT. 159 question de mise en oeuvre de ce qui me parait être la pen
rouve pas d'une façon assez complète. Il y a, m'a-t-il semblé, deux questions bien distinctes dont nous avons à nous occuper
viens de dire qu'il était par- faitement exact que, en dehors de la question que vous avez adressée à M. Lacombe, la rédacti
être complètement justifiée. M. DE GAVARD1E. C'est justement là la question ! M. DELSOL. Dans tous les cas, il est possible
is deux ans, grâce aux travaux de M. Charcot et de ses élèves, la question a fait assez de progrès pour avoir pris droit d
s, ne paraissant point émotive, répondant avec calme et netteté aux questions qu'on lui pose, bien équili- brée au physique e
ieux aux particularités cliniques de ce cas. Ainsi, il ne peut être question d'une névrite radicu- laire du plexus brachial,
otilité, dans un territoire anatomique déter- miné. Il ne peut être question non plus d'une altération d'un hémisphère céréb
e proposition n'a pas soulevé de contradiction. Je reprends cette question aujourd'hui, pensant qu'il ne m'est pas permis
ues : elles ont toutes pour elles une part de vérité. La première question qui se pose est celle-ci : la pa- ralysie génér
me des malades semblables aux autres. Fréquence. - Il est une autre question , d'un inté- rêt plus immédiat et plus pratique,
Si incomplets que soient ces chiffres, - et l'on sait combien les questions d'hérédité sont difficiles à élu- cider, ils me
générale : c'est ce que je me suis souvent demandé. En résumé, la question des rapports de la paralysie générale avec les
ie d'apparence si diverse. Les auteurs qui se sont occupés de cette question ont généralement cédé à la tendance d'invoquer
présentant aucune tare, ni congénitale, ni 1 J'ai déjà touché cette question de surmenage dans une noie que j'ai lue à la So
res, ne savait pas compter spontanément ; il répondaitassez mal aux questions qu'on lui posait, ne disant que oui ou non, et
légale militaire, l'existence de l'hystérie soulève une importante question . Il conviendrai ! , dit M. Duponchel, de complé
e monde peut donc s'halluciner en se mettant dans les conditions en question ; la facilité est plus ou moins grande, voilà t
nceptions orgueilleuses; si dans les notes médicales il est à peine question de cette tendance, cela tient surtout à ce que,
viduelle; son inexpérience, son ignorance à peu près complète de la question qu'il prétendait traiter, eurent été fort excus
éviter au convalescent certain entou- rage interlope dont il a été question dans les journaux. D'accord avec la famille, on
te du libre arbitre, mais ils ne purent répondre unanime- ment à la question formulée par le président du tribunal. L'accusé
t comme aliéné. Mais j'avais souscrit à sa détention. III. FALK, La question relative à la capacité pour un individu donné d
ment, est ou non capable de partici- per aux débats. Le banquier en question était complètement affaibli intellectuellement,
capable de partici- ciper aux débats qui peut saisir la réponse aux questions qu'on lui adresse et la portée des accusations.
te gémit, se prend la tête dans les mains, répond quelques mots aux questions qu'on lui adresse ; on constate aussi des tremb
dépend d'hal- lucinations. Conclusions : le mutisme (il n'est pas question ici d'aphasie) dépend : 1° d'un affaiblissement
ication «sur le izo-2esti,aiiit». Dans un historique succinct de la question , l'auteur a démontré que ce principe dont la pr
é. Beaucoup d'autres spécialistes out émis leurs opinions sur cette question délicate, et presque tous ont affirmé que dans
Boutzké, Korsakoff, Litvinolfet Konstanlinowsky pour étudier cette question de législation et présenter les conclusions au pr
e proposition tendant à faire entrer dans les travaux du Congrès la question de la prostitution et de son .importance dans l
erg, LitviuofF, Steinberg, Ragosine et Maltzeff) pour étudier cette question et élaborer un schéma définitif pour le prochai
ongrès a été consacrée uniquement aux communications concernant les questions scientifiques de la psy- chiatrie. XXVII. M.
ié récemment décrit par M. le profes- seur Charcot. En somme, cette question de l'apoplexie hystérique offre, comme on a pu
ns signaler, comme s'y rattachant d'une façon accessoire, plusieurs questions qui n'y ont été qu'effleurées : nous citerons p
voir, cet article est comme une table des matières de toutes les questions qui sont réservées à la réglementation administra
ion l'a laissé à la place qu'il occupe ; mais il est évident que la question de la taxe elle-même, n'ayant pas été l'objet d
M. de Gavardie. M. le rapporteur vient de répondre lui-même à la question . Il nous a dit : C'est le résumé de la loi; c'est
terprétation qu'ils n'acceptent pas. M. LE Rapporteur. Toutes les questions relatives à la réglemen- tation administrative
sont parfaitement déterminées. Il ne reste à statuer que sur cette question importante, traitée dans le para- graphe 5, de
E Président. Mon devoir est d'empêcher les orateurs de sortir de la question , ce que vous faites continuellement. M. DE Gava
C'est celle du règlement, ce n'est pas la mienne. Vous sortez de la question , et je vous y rappelle. M. de GAVARDOE, Oh ! je
ations à gauche.) Mais oui ! Et vous voyez bien que je suis dans la question , monsieur le président. Voilà des règlements d'
t elle était l'objet; mais puisque vous la remettez tout entière en question , je vais discuter cet article-là. Vous dites :
(Assez ! assez ! ) M. le Président. Je vous prie de rentrer dans la question , mon- sieur de Gavardie. M. de Gavardie. Vous
toute éducation arti- ficielle, dans le sommeil provoqué ? Voilà la question , grave entre toutes, que les chercheurs contemp
ncontestablement M. Charcot qui a inauguré l'étude de ce côté de la question et en a révélé l'im- portance, dans ces belles
tat de somnam- bulisme provoqué. C'est ainsi que sont nées sur la question qui nous occupe deux opinions absolument contra
ns sont abolis, à l'exception de l'ouïe : F... entend et répond aux questions qu'on lui fait. Chose remarqua- ])le ! pendant
conservée : elle entend ce qu'on lui dit et répond parfaitement aux questions qu'on lui pose. Quelquefois même, elle parle alor
t beaucoup, se dit très souffrante, ne répond que difficilement aux questions qu'on lui pose. Pour la réveiller, il faut une
arrivant. Elle parait très excitée et répond avec volubilité aux questions qu'on lui pose pendant son sommeil. Nous essayons
lition de l'ouïe et de l'in- telligence, car elle ne répond pas aux questions qu'on lui fait. L'ordre de s'endormir l'oeil ou
; tous les observateurs sont d'accord sur ce point, que la loi en question n'est acceptable en tout cas, que dans des limi
es les différences données entre l'objet et le fond. - Toutes ces questions étant résolues pour la série du noir, du gris e
recherches sur ce sujet.-rorster', le premier qui ait traité cette question dans des conditions pathologiques mesure le sen
ver. Enfin nous citerons Wolfssberg2 comme s'étant oc- cupé de la question ; cet auteur définit le sens de la lumière de l
maintenant procéder à l'examen des travaux publiés jusqu'ici sur la question . Fôrster. a déterminé, à l'aide de son photomèt
constants subjectifs dans la sphère de la sensibilité, dont il sera question plus bas. La moitié gauche du corps est frileus
une force médiocre, a un fond d'intelligence ; il répond à quelques questions en bredouillant. Le certificat de police mentio
de deux catégories : dansjl'une, le long du sillon longitudinal en question , existe un trousseau puissant qui s'entre- croi
repris la re- vision. Lorsque le législateur de 1838 traita cette question de l'adminis- tration provisoire des biens, il
'administration des biens des aliénés. On le sentit dès qu'il fut question de s'occuper de la mise en pratique de la loi,
cette en- ceinte une lutte qui rappellera celles auxquelles la même question a donné lieu dans la Chambre de 1837 et 1838, e
», la commission y a trouvé une raison de plus d'in- sister sur la question du contrôle et de la surveillance. Suivant elle
rédaction de l'amendement de M. Bardoux. Il n'y est pas, en effet, question SENAT. 431 1 du concours; mais sur ce point l
ipe avait sa consécration dans un paragraphe de l'article 11. Celte question du concours sera reprise par le Sénat lorsque n
ur le bon ordre du débat, il vaudrait mieux ajourner l'examen de la question que l'amendement soulève, jus- qu'au moment où
ns les deux der- nières phrases du premier alinéa la solution de la question con- tenue dans notre amendement, il était néce
tait nécessaire ou bien de sai- sir immédiatement le Sénat de celte question , ou bien de faire des réserves qui nous permett
ébat serait prématuré aujourd'hui, parce que, pour tran- cher celte question , qui est une question de principe il nos yeux,
aujourd'hui, parce que, pour tran- cher celte question, qui est une question de principe il nos yeux, il est indispensable q
teur de la commis- sion vous a fait un exposé des antécédents de la question soulevée par l'article 11 du projet de loi. Cet
unanimité dans les sentiments de tous ceux que préoccupait la grave question des aliénés. Le second point, celui qui touche
' 28 434 SÉNAT. sance des progrès considérables réalisés dans la question des aliénés en Angleterre ; après avoir vu fonc
conflits pouvaient naître, et il fallait bien se garder dans cette question , d'ébranler l'autorité du Gouvernement, parce que
fin à leur sortie. Je ne veux pas soulever actuellement la grosse question que M. Combes indique dans son amendement, cell
ition de l'honorable M. Bardoux. Cette partie nous semble viser une question de procédure de pla- cement qui trouvera sa pla
e telle soit l'intention de la commission; comme, d'ailleurs, cette question de capacité du mandataire sera discutée à propo
s les lacunes de la loi de 1838 étaient là. Lorsqu'on parlera de la question des con- cours publics, si d'autres ne le font
des inconvénients. Mais tant que vous n'aurez pas statué sur cette question de la nomination des direc- teurs vous n'aurez
appeler, en quelques mots, votre attention sur un autre côté de la question , sur l'utilité de votre intervention au point d
ns un livre vieux de deux siècles, dû à John Smith Berkeley, il est question d'une famille de Slimbridge, dont tous les memb
27 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
affec- tion. Comme tous ceux qui avant nous se sont occupés de la question , nous avons dans certains cas trouvé des vaisse
la vision. Revue neurolog., mars 1895. LEVINSOHN. Contribution à la question de l'immobilité réflexe des pupilles. Cerztralb
ançaises telles que les ont fixées les leçons de Charcot. (1). La question des fugues des aliénés n'a donc pas, à pro- pre
ie ou si celle-ci, inversement conduit au vagabondage. » (2). Cette question délicate)) comme le disait Charcot, a été abord
hypothétique. Meige, dans sa thèse sur le Juif Errant a abordé la question du vagabondage de race. Les opinions sur ce poi
nement des fonctions cérébrales supé- rieures, et par conséquent la question de savoir s'il faut ou s'il ne faut pas donner
séparant l'âme de l'activité cérébrale.com- pliquait inutilement la question ; mais le monisme scientifique permet de simpli
ulles nerveuses par phagocytose. M. Sano trans- forme cette obscure question en un lumineux chapitre d'histologie pathologiq
ique de ces travaux ; il en trouve 329 ayant trait plus ou moinsàla question , parmi lesquels 206 à la n8ul'ono[lha-' gieseul
est la fréquence et la répartition du phénomène ? Pour résoudre la question , Jl.Sanu a entrepris des travaux personnels consi
ontrôle et la critique des expérimentateurs, BIBLIOGRAPHIE. SJ la question de la neuronophagie pourra enfin être envisagée s
son contenu très bien choisi et intéressant, traite des différentes questions de la patho- logie nerveuse et mentale. Dans
des muscles, contrairement à la règle générale était conservée. La question de paralysie pério- dique, exposée dans toute s
fensif, plus utile que le traitement éner- gique. Quanta la seconde question sur la simulation par l'hysté- rie des différen
de la part de l'entourage, et des mé- decins qui, parfois par leurs questions répétées avec persistance peuvent créer à leur
une femme guérie par l'hypnotisme ; l'auteur développe en détail la question générale des anomalies sexuelles chez les fem-
erait d'être citée en entier. Dans la 14e leçon, l'auteur traite la question de la polynévrite infectieuse sensitive, c'est-
mme, prise soudain d'un accès de fièvre, avait décroché le fusil en question et l'avait chargé, adossé la crosse de 01. 1'.\
pour cette épreuve ;-3° Une épreuve orale, de cinq minutes, sur une question , dite de « Garde », après cinq minutes de prépara
est le même pour tous les candidats. Il est tiré au sort entre cinq questions rédigées et arrêtées par le jury, aussitôt avant
itôt avant l'ouver- ture de la séance. Pour les épreuves orales, la question sortie est la même pour tous les candidats, et
Nos lecteurs savent que ce projet date de 1902. Depuis 1862, il est question de refaire la loi de 1838, mais je crois inutil
t historique : je préfère entrer dès mainte- nant dans le vif de la question . On connaît l'économie générale de la loi Dubie
st un grand fait qui nous semble dominer tout le dé- bat : c'est la question de responsabilité.Le Préfet est au- jourd'hui c
ouse, avait, en 1903, consulté tous les médecins d'asiles sur cette question si controversée : sur 36 réponses, 18 sont fran
e les éviter à l'ave- nir, pour que j'hésite à poser ici toutes ces questions , que le législateur de 1838 avait si fâcheuseme
troitement délimitées par le Règlement du servi- ce intérieur. La question des médecins-adjoints me paraît avoir été supér
assée. Aussi peut-il trancher en connaissance de cause une foule de questions et rendre indirectement au malade une série de
lle-ci ? Il est dit qu'elle aura un avis consultatif sur toutes les questions d'ordre médical. Questions d'ordre médical est
aura un avis consultatif sur toutes les questions d'ordre médical. Questions d'ordre médical est bien vague, et avis consult
urveillance doit-elle donner son avis ? Mes confrères savent que la question n'est pas oiseuse. Es pérons que le règlement d
il semble cependant qu'il y a ici une confusion dans la loi. Il est question de placements volontaires ; si le maire in- ter
matiques avaient été indûment placés dans un asile d'aliénés. Cette question des délires symptomatiques avait déjà bien des
ROBENT JoxEs. (The Journal of Mental Science, Avril 1904.) Cette question alors nouvelle aété51souveilt étudiée depuis qu'i
ctuel, la lésion des centres corticaux ne saurait être invoquée. La question de l'influence de la cynesthésie organique SOCI
des idées de persécution et de richesse, vans pouvoir répondre à la question qu'ils se posent, relativement à l'éliologie du
1. Grasset identifie avec sa demi-responsabilité, ("est, dil-il une question exclusivement mé- dicale. Dans le chapitre IC
nique : il n'y a que des gens plus ou moins raisonnables. c'est une question de degré, sans ligne de démarcation possible. A
uelle doit être la conduite de la so- ciété vis-à-vis d'eux ? Cette question est l'objet du chap. V. La nocivité des demi-fo
s de ceux qui nient la responsabilité atténuée : il faut séparer la question médicale de la responsabilité atténuée de la co
e professeur Prévost, de Genève. 1. Rapports et discussions sur les questions choisies par le con- grès de Lille : a) Psychia
er. de Berne. c) Médecine légale. L'ex- pertise médico-légale et la question de responsabilité, Happol'- leur : M. le Dr Gil
ico-psychologique, hygiénique, théra- peutique et légal, toutes les questions relatives à la folie, aux névroses convulsives,
ent dans la suite, ne fut naturellement pas écouté : D. négligea la question primordiale de la persistance de la conscience,
de la connaissance temporaire,par le sujet,des résultats qu'il est question d'obtenir, et s'en tint à ses conclusions antér
critique ; voici l'indication des observations se- rapportant à la question de l'indépendance des hémisphères, qu'il soulev
présente le travail le plus important qui ait paru jusqu'ici sur la question ; celle-ci y est réso- lue affirmativement d'ap
éduites à néant par P. Janet (1894, p. 415 à 419). Entre temps,la question du dualisme cérébral et des rapports de chaque
de la métaphysique » ; et s'il apporte une solution à cer- taines questions « éternellement discutées »,c'est « aux faits e
ple- xité croissante des réactions imposées par le milieu ? Cette question , quelque vaine qu'elle paraisse,l'Auteur ne pou
ne autre évolution dont le résultat est de foute importance pour la question du duplicisme, quoi- que l'Auteur n'ait pas mêm
pas à répondre, contrai- rement à l'Auteur du livre, à l'insidieuse question posée dans la préface ; mais il ne sera peut-êt
par la forme du corps et de ses cavités propres ; la seconde est en question pour l'unité ou la dualité, la symétrie ou la dys
avait le droit de se faire attendre : notons qu'il est précisément question de la bi-individua- lité, de l'existence de ce
ectives demi-maîtresses, sans même songer à soulever à l'ocasion la question de la paternité, ils vont jusqu'.à se prêter ob
outre les «centres de perception» qui sont ceux dont il a été déjà question (calcannes, TI et T2 etc.), il existe des «cent
'est le jury qui, dans tous les cas, sera appelé à prononcer sur la question de responsabilité de l'accusé ! - D'où lui vien
aissent préférables. Les art. 3S et 39 sont ceux qui traitent de la question des asiles ou quartiers spéciaux, dits de sûret
u quartiers spéciaux, dits de sûreté, pour alié- nés' criminels. La question est de celles qui ont été le plus débattues dan
essai ne sera qu'un trompa-l'oeil. Cette pratique soulève une autre question : quelle peut être la capacité civile et la res
ce n.'est plus LA REVISION DE LA Loi DU 30 JUIN 1838. 221 qu'une question de proportion. Tous ces criminels alcoo- hques
tous les médecins,tous les hommes de loi qui se sont occupés de la question réclamaient depuis longtemps. Nous demandons qu
rs d'hospices. Enfin, il rè- gle au grand avantage des médecins, la question des retraites. Sur ce point, nous n'avons qu'à
Dubief reviendra une fois encore devant l'assemblée législative. La question des aliénés est jugée par tous si délicate,elle
des médecins de l'asile ; il y a un avis consultatif sur toutes les questions d'ordre médical. Le médecin-directeur en fait par
c. - Les éléments d'ww1'sychothémpie prevetilive. M. Héru-lon. La question de l'entraînement domine toute la psychologie.
zaux, Voisin et 1tairegeati, la Société dé- cide de maintenir cette question il son ordre du jour. Delà valeur suggestive de
et ont le plus grand dédain pour l'écri- ture. Aussi de toutes les questions qu'on doit poser à un malade atteint de névrose
nts pour celle épreuve. 3* Une épreuve orale de dix minutes sur une question de garde. Sur ces dix minutes, cinq pourront êt
réflexion. Il sera accordé quinze points pour cette épreuve. Par question de garde on doit entendre une épreuve orale relat
le même pour tous les Candi- dats ; il est tiré au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées par le .fury immé
édiatement axant l'ouverture de la séance. Pour l'épreuve orale, la question sortie e>t la même pour ceux des Candidats q
pas de la faire subir à tous dans la même séance ; dans re cas, les questions sont rédigées par le Jury chaque jour d'épreu-
s de la manière suivante : , 270 , VARIA. .VARIA. 271 lui les questions relatives à l'éducation, au traitement, à l'étude
'adjuval. - Les candi- dats au nombre de 26, ont eu à traiter comme question d'anato- mie et de physiologie : Nerf optique,
mie et de physiologie : Nerf optique, anatomie et physiologie. -' Questions restées dans l'urne ; 1° Capsule interne : anatom
; 2° racines des nerfs rachidiens : anatomie et plysio- gie. -Comme question d'Administration et de législation : 1° Respons
hef dans les cas d'évasion, suicide, ou d'accidents graves. - Les questions restées dans l'urine étaient : 1° Conditions juri
uer un « oui » ou un « non » ou un simple mouvement de tète par des questions simples et sou- vent répétées. Si on ne réussit
père était le bon Dieu - ma mère est morte folle. Après plusieurs questions , il donne enfin le vrai nom de son pète. Il déc
nt la création de « l'état fort » au cours duquel les sensations en question ont été reçues : ce mécanisme est d'observation
nt de paralysie générale et par conséquent peu propre à l'étude des questions ici envisagées eldéjà abordées à propos des agn
r une cause accessoire. L'Auteur a d'ailleurs compliqué lui-même la question des personnalités en admettant la possibilité d
clusion à laquelle s'arrête naturellement l'Auteur sans dire que la question avait été soulevé dès 1889 et résolue dans un s
dans ce chapitre, M. Pierre Janet. Celui-ci avait même envisagé la question précisément à l'occasion de la critique d'une t
u co-être est connue au moins d'elle-même, sans examiner toutes ces questions qui,disons le par anticipation, ne sont même pa
ans le même ? Il arrive souvent, d'ailleurs, que l'on réponde à une question sans interrompre l'acte d'écrire, de même que,
ience du co-être à sa plus grande simplicité, laissant de côté la question de l'indépendance,et voyons si cette conscience
](\6); elles envisagent lea consé- quences lointaines de l'acte en question , « prendront connais- sance du milieu et de la
nt où il est longtemps rudimentaire, chez l'adulte - surtout, où la question devient particulièrement pressante : dans les a
e Sénat a voté un projet en 1886. Tous ceux qui s'occupent de cette question connaissent les rapports successifs do Gambotta
s le droit de priver de sa li- berté un membre de la société. Cette question a été Ion guement controversée, tous les argume
et tout le monde est d'accord sur ce point, le dernier mot dans la question doit revenir aux médecins puisqu'il s'agit ici
ré-central,post-central, et de transition de l'écorce dont il a été question , et c'est ainsi qu'il est obvié à la séparation a
l'Administration su- périeure. « .le suis armé à dessein à cette question de retraite pour l'aire remarquer un oubli qui
t tombé dans une sorte de stupeur, répétant seulement, à toutes les question » qu'on lui posait : « Je suis perdu : j'ai tuâm
'enfant. L'adapta- tion de l'organisme au travail. Jeudi 23 mais La question des enfants anormaux'. Iitablissements médico-p
iologique de l'hyst 1-7 .ÉY;QA , , Par le 1l° Pnu. SOLLII ? R. La question de la nature de l'hystérie est plus que jamais
fait d'explication. Seulement il faut toujours en revenir à cette question : pourquoi perd-on ou exagère-t-on son pouvoir
ntres de projection ou dans les centres supérieurs, psychiques ? La question vaut la peine d'être discutée sinon résolue. Tr
ans de l'hystérie psy- chique ne paraissent pas avoir vu toutes les questions psychologiques 'que cela soulève et qui sont d'
ntradictoir es comme une théorie psychologique de l'hystérie ? La question se pose d'ailleurs immédiatement de savoir si l
; comment se fait l'évocation des repré- sentations, ce sont là des questions que j'ai traitées ail- leurs (1) et qui, dans l
nement » à tomber sur cette conception, comme s'il s'agissait d'une question personnelle entre nous. Je ne sais si j'ai mis
ur, s'apprêtant à une « démonstration rigoureuse » formule enfin la question : « Comment se sera formée cette personne humai
trueuse qu'on tend à croire à une inadvertance qui aurait laissé la question ouverte. Les deux coêtres sont « en relations r
mation de la conscience » (chap. V, p. 114 à 141) : il n'est plus question , dans ce titre, de la biindividualité originelle
i délibère, com- prend et veut ». (p. 114). Les points délicats, la question de la dualité de la conscience dans la première
de la conscience dans la première période puis dans la seconde, la question de la coopération (su- perposition partielle !
iénistes les plus remarquables de France et de l'Etran- ger, sur la question de la réunion des fonctions. De ce rapport, je
caractère essentiellement médical. Nous ne trai- terons pas ici la question de savoir, si un médecin peut administrer sans
source de conflits où le bien-être des malades disparaît devant les questions d'intérêt per- sonnel,elle porte trop souvent e
« L'Inspecteur général Constans, en 1888, a longuement traité la question de savoir s'il convenait mieux pour les asiles
de la méconnaissance des avis médicaux par les directeurs dans une question si importante : « Tout cela montre la prépondér
37. En toute matière criminelle, le président, après avoir posé les questions résultant de l'acte d'accusation et des débats,
sférer dans l'asile de leur département. t. Les aliénés dont il est question dans les deux paragraphes pré- cédents seront i
iquées. G. DERNY. ASILES D'ALIENES 1. -Sur quelques aspects de la question des aliénés colo- niaux ; par 113. Dr A. l\IAIl
(The Journal of mental Science, avril 1906.) Travail concernant des questions d'administration intérieure des asiles. R. M. C
otubérantielle. MM. Souques et CI.. rapportent deux cas sur celte question ; / bibliographie. 441 L Un signe de paralys
as certaines que possède aujourd'hui la science sur les différentes questions envi- sagées jci, -vient décondenser ses recher
907 pour l'emploi DE médecin-adjoint DES ASILES PUBLICS D'ALENES. Questions traitées : 1° Epreuves écrites. Anatômic et physi
ats ont eu à traiter : Gangrène pulmonaire.Rcten- tion d'urine. Les questions restées dans l'urne étaient : Com- plications d
ux. Les onze can- didats ont eu à traiter : Artères cérébrales. Les questions restées dans l'urne étaient : Cordons postérieu
s de la lII'1elle : méninges crâniennes. v 448 faits divers. La question de garde que les candidats ont eu à traiter était
s étrangers des voies digestives et aériennes supérieures. Les deux questions restées dans l'une étaient : Métrorrhagies, Coma.
époque où il a commencé à y tomber. Il n'y a, en effet, là qu'une question de différence dans la durée de son état, entre
endant fait certaines criti- ques qui m'amènent à revenir sur cette question . M. Claparède (de Genève), m'ayant particulière
différen- cie l'hystérie du sommeil normal. Et c'est là toute la question . » Mais où M.Claparède prend-il que j'ai iden-
i est bien quelque chose en vérité. M. Claparède pense que toute la question est de savoir en quoi consiste ce sommeil. Cela
de vue d'une théorie du sommeil. Pour moi,j'avoue que c'est là une question secondaire ; lors- qu'un homme dort, je n'ai pa
ion totale de la situation présente, n'éclaircit pas beaucoup ni la question du sommeil normal, ni celle du sommeil cérébral
é positive, pour la bonne raison que je n'ai même pas soulevé cette question qui ne se pose pas à mon avis. Il est rare en e
. Mais avant de les interpréter il faut d'abord les constater. La question comporte en effet . deux choses : 1° l'existence
ionnels hys- tériques, j'abandonne d'autant plus volontiers cette question secondaire que je l'ai présentée avec beaucoup
mes et de ses effets ? La foule de ceux qui n'ont jamais soulevé la question de la li- berté mais la résoudraient affirmativ
e mérite pas d'être prise au sérieux, il n'en est pas de même de la question de l'indépendance fonctionnelle relative des hémi
isent, à vrai dire, le caractère de de notre collègue : aborder une question bien précise, l'étu- dier sous toutes ses faces
de Bordeaux un rap- port où il donne d'abord un rapide aperçu de la question des anormaux psychiques et la solution qui lui
un tel effort de\rail être repris et encouragé par tous ceux que la question intéresse. 512 bibliographie. Le D' Régis don
médecins spéciaux et par les directeurs des écoles spéciales. Celte question si importante du choix et de la formation des m
tents bibliographie. 513 Espérons que tous ceux qu'intéressent la question de l'éducation des anormaux et dont l'avis sera
, affirme M. Belugou. Médecin de La Malou, il est compétent dans la question et l'ouvrage qu'il présente aujour- d'hui au mo
nombreux phénomènes occultes n'est pas impossible et ce sont là des questions dignes de tenter les savants qui veulent travai
usiasme, la persévérance et les idées prati- ques de Séguin. , La question de l'éducation, base du traitement de l'idiotie,
séance. XL Dans la séance des sections seront traitées d'abord les questions pour lesquelles un ou plusieurs rapporteurs aur
ts du Congrès et, éventuellement, de ceux des Congrès suivants. Les questions suivantes seront traitées par MM. les rapporteu
1er rapport, il. GILBERT Ballet : L'expertise médico- légale et la question de responsabilité. Discussion. Soir : Promenade
Voir Loi. Voir Paralysie gé- nérale. Sur quelques aspects de la question des - coloniaux ; Archives, 3° série, 1907, t.
28 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
le tribunal de commerce de Paris. Les arbitres jugeront toutes les questions qui leur seront déférées, comme amiables composit
lui est inconnu. Il répond avec la plus grande lucidité à toutes les questions qu’on lui adresse sur toutes choses; il découvre
des rédacteurs du Constitutionnel, ils envisagent tous de travers la question qui nous occupe. Ces messieurs ne sont pas seulem
aux dépens. » Que faut-il conclure de ce dénoûment? Tranche-t-il la question si grave du magnétisme? La somnambule est-elle ou
r, quelque bornée que soit l’étendue de ses capacités sur toute autre question . Or, est-il permis de faire défendre l’emploi de
orter sur son lit. Aussitôt qu’il fut couché il devint sourd à toutes questions et insensible aux piqûres par tout le corps. Je m
étaient toujours convulsés, la prunelle dirigée en haut. Pressé de questions , il répondit précisément comme un somnambule magn
yeux pour les ouvrir, et, par moments, répondit correcte- ment aux questions qui lui étaient adressées. A la fin il s’éveilla
’anesthésie magnétique, ce qui est la chose la moins importante de la question quoique la plus frappante. Ce n’est que de ces
es, obtenues par son entremise sur le continent, avant qu’il fût même question de l’appliquer à la chirurgie. La partie la plu
serviteur, Calcutta, le 1er mars 1847. James Esdaile. La grande question de savoir si l’on peut faire des expériences magn
hil volitum quin præ-cognitum. Or, lors de la confection de la loi en question , les législateurs ne connaissaient pas la médecin
eil, c’est votre avis, Monsieur, que je viens vous demander sur cette question : Quel serait servir le plus la cause du magnét
nt de fâcheux résul-lais et de compromettants abus? Or c’est là une question qu'il n’appartient pas à ma faiblesse de décider,
du journal). Iteviic «les Journaux. — Le fameux Raspail a abordé la question du magnétisme dans sa Revue, élémentaire de Médec
de la philosophie; on ajourne aux temps calmes la solution des hautes questions , on ne s'occupe que d'une seule chose : établir l
bstension laissent voir que l’auteur est tout à fait au-dessous de la question . N’envisager que le côté moral de la magnétisatio
tion doive ou non conduire à quelque chose d’utile, ce n’était pas la question du moment : celui qui, le premier, vit le couverc
s faits magnétiques de M. Dumas, a refusé l’insertion de l’épî-tre en question . — Le Constitutionnel du 2 février résume, d’ap
mois à celle qui nous avait causé tant d’inquiétude; ainsi la grande question de l’applicabilité médicale et chirurgicale du me
ient de suivre une marche toute contraire; elle a évoqué cette grande question que toutes ses sœurs ont dédaignée. La première e
ecine pour encourager les efforts du docteur Johnstonc dans le cas en question , etc. » l’our copie conforme : le secrétaire du
sage suivant-: « Depuis la1 relation de l’opération précitée, cette question A été sérieusement examinée par l’école d*e médec
et pourra lui donner une foible idée de la manière dont on traite une question qui, loin d’être décidée, n’a pu encore obtenir d
, n’est-ce pas absolument ira verba magistrorum; peut-on dire «pie la question ait été seulement ébauchée, et doit-on regarder c
il n’a quà l’accepter, du moins ne pourra-t-il pas dire qu’il soit question , dans (oui cela, d’imitation, d'imagination ni d’
i-devant, page 183). Il résulte de celte communication que le fait en question est connu de temps immémorial, que la première re
de Lyon, qui l’a accueilli avec une faveur marquée, quoiqu’il y soit question de passes, expression caractéristique des procédé
ettre qui concerne la magnétisation des animaux. L’auteur du livre en question n’y devra voir qu’une marque de notre amour de la
MARCBAL(de Calvi). \ vol. in-12. Paris, )8Îî. L’auteur du livre en question se présentant aux .suffrages des électeurs pour l
d’un parti politique; mais nous n’avons point à nous prononcer sur la question délicate de savoir si elle est ou non apocryphe.
’est un de ces esprits aventureux qui sondent et résolvent toutes les questions avec un sens étrange, original. Son ouvrage nous
leurs de profession, une impuissante et peu honorable caste. Toute la question se réduirait à un effort nécessaire pour leur pro
J’étais depuis longtemps dans l’habitude de magnétiser la personne en question , M.Vankirk, et la susccpli-bilité infinie, l’exal
nser que 1 on pourrait tirer quelques bons résultats d’une série de questions bien dirigées proposées à mon intelligence dans l
Dieu, n’y a-t-il rien d’irrespectueux? (Je fus forcé de répéter cette question , pour que le somnambule pût tout à fait saisir ma
urs travaux. Yoilà déjà longtemps que je voulais vous soumettre une question qui m’a semblé de quelque portée, et au sujet de
imerai heureux, si, partant de ces données, on parvient à résoudre ma question , ou à un résultat quelconque dont l’humanité pu
st bien évident cpie sa guérison complète n’est plus désormais qu’une question de temps. Ce commencement de succès devant inspir
ême de pouvoir vous répondre d’une manière satisfaisante à toutes ces questions , mais je ne sais trop si je pourrai suffire à la
ver le remède au mal. Mais le moyen de les lever? Voilà maintenant la question . Pour cela il faudrait pouvoir magnétiser la vill
voir repoussées, les occasions où le public est appelé a examiner les questions dans lesquelles elles jouent un rôle. » Ainsi,
re attente ne fut point trompée ; mais sans doute ma solution à votre question vous rappellera celle de M. Gerenf... sur le paup
physiologie, la psychologie et la métaphysique. En général toutes les questions de ce genre ont été traitées avec plus d’étendue
CORRESPONDANCE. Toulouse. — Madame de S......i — La réponse à voire question sera dans l’analyse des Arcanes. — Point encore r
une école de village, et pourtant son ouvrage traite des plus hautes questions de théologie, psychologie, métaphysique, cosmogon
nement du magnétisme, 126. Ecole de Médecine de Madras. — Evoque la question du magnétisme et fait des expériences concluantes
seulement. Je dis seulement, car on remarquera qu’il n’est point ici question du somnambulisme, qui est un résultat de l’action
ral, à la psychologie et à la physiologie en particulier? Voilà les questions que soulèvent les ouvrages indiqués ci-dessus, vo
ons que soulèvent les ouvrages indiqués ci-dessus, voilà du moins les questions que je me propose d’examiner à propos de ces ouvr
éristiques parmi ceux que la littérature étrangère nous offre sur ces questions . J’ai besoin de m’expliquer d’abord sur la conv
rait d’autant plus longue qu’elle offrirait moins l’état actuel de la question . Ce qu’il faut entendre surtout, c’est ce que p
. Ce qui empêche la plupart des juges d’arriver à la vérité sur cette question , c’est le soin qu’ils prennent pour demeurer purs
aminer gravement, conclure philosophiquement, et pouvoir dire, sur la question du magnétisme, ce qu ils ontditsurla question de
et pouvoir dire, sur la question du magnétisme, ce qu ils ontditsurla question de la phrénologie; il faut pouvoir dire : Voilà q
dmet pas le merveilleux. II en est de même chez nous. S’il est encore question de l’ancien fluide, c’est par voie d’image, c’est
réellement à son service. Mais ici s’élèvent tout de suite ces deux questions : N’est-ce pas là une puissance énorme, qui ne sau
personnelles, c’est-à-dire la moralité elle-même? 11 est vrai que les questions ne tuent pas les faits, et, quant au premier poin
émané de lui, mais d’après un rapport qui, sans le mettre lui-mème en question , montre qu’il y a eu erreur ou fraude dans une sé
vante, après y avoir consacré vingt-deux séances et embrassé soit des questions , soit des sujets (malades ou somnambules) auxqu
doivent être acceptées comme celles de la science elle-même, sur les questions spéciales dont on s’est occupé. Les conclusions d
uméro.) Le Gérant, HÉBERT (de Garnay). L’anti-mngnéfismc. — Cette question simple" VARIÉTÉS. en apparence se complique à
n langage de convention, mimique, digital ou parlé, dans lequel toute question contient sa solution au moyen d’un artifice qui c
vés. Pourenregistrertous les documents propres à l’éluci-dation d’une question si controversée, nous transcrivons les passages s
contre le magnétisme. Je réfléchis un instant sur la manière dont les questions étaient posées, puis je sollicitai une nouvelle é
e Ilusson, qui, dans son extase magnétique, déclare que l’individu en question était blessé très-grièvement, en tel endroit du b
— Le Kabalixte annonce dans son deuxième numéro, qu il traitera la question du magnétisme et du somnambulisme au point de vue
evée qu’elle soit, permettrait encore d'expérimenter sur une série de questions d’un haut intérêt. Mais, quand même on en ferait
ent stipulée ou hautement exigée à la porte d’entrée. Là n’est pas la question ; la question est dans la sincérité des assertion
u hautement exigée à la porte d’entrée. Là n’est pas la question ; la question est dans la sincérité des assertions, dans la vér
n son nom, l’utilité des conseils donnés sous son manteau, qui est la question . Le magnétisme s’évertue à se dire à la fois vé
toutes les classes de la société, en ce qui concerne les plus graves questions et les plus graves doctrines, peut-il se trouver
ns les ont jugées. Et adhuc sub judice lis est. Si cela prouve que la question n’est pas aisée, cela prouve aussi qu’il est néce
ellement produits. En matière de forces mystérieuses, il n’y a pas de question jugée. On dit, avec une apparence de raison, po
ence doit à son tour partager avec le pays le droit d'apprécier les questions de physiologie et de psychologie. Cela n’est que
nte-t-il une phase nouvelle? Si je disais qu’oui, je préjugerais la question . Tout ce que je dis, en comparant ce qui se publi
ment aux yeux de la foi, nullement aux yeux de la critique. C’est une question d’autorité de témoignage, car le voyant seul voit
ou la discussion donnera gain de cause à l’au»eur du mémoire; car la question sera bientôt jugée en dernier ressort. Laissons
vous lui aurez remis. — Je dois vous écrire pour la rectification en question . — Bonjour de M. Du..l. Saussens —M” de S......
endant, c’est avec une grande réserve que nous abordons cette immense question , tant même la description des phénomènes est emba
et ce serait encore trop long : il faut que je me borncà ce que la question a de plus simple. Je demanderai donc de suite à l
reste, je conseillerai à ceux qui voudraient méditer sérieusement la question de puiser dans les écrivains consciencieux qui on
tet par un des savants les plus connus de Bruxelles. » La lettre en question est celle où M. Jobard traite du Magnétisme de la
nant en revue les ouvrages des plialanstériens qui ont traité la même question . Nous espérons montrer par ces citations que le m
ée dans le second; celte disposition suffît pour expliquer le fait en question , puisque l’on croyait, naguère encore, que les ma
uisse jamais la regarder comme dangereuse, à moins qu’on n’examine la question d'incapacité et la part de l’opérateur, ce qui, d
publié, j’ai traité d'une manière complète tout ce qui a rapport à la question si controversée du magnétisme. Physiologie, médec
nctions troublées par les affections de celui-là? Pour résoudre cette question il faudrait apprécier la différente nature des ag
t connaître ces phénomènes extraordinaires, ces trois magnétiseurs en question m’ont proposé un moment d’être dorénavant bienvei
us tard, quelques lumières au milieu des ténèbres qui environnent ces questions toutes palpitantes encore d’actualité puisque les
du démon ou démonologie : il est très-facile de répondre à une telle question . » Chaque cas de possession donnait lieu à une,
brûlé en 1611), Gaufridy, en proie à la fièvre de la terreur et de la question , racontait-il que le diable lui était apparu pour
de témoins, les uns aidés un peu, il est vrai, par l’influence de la question , les autres volontairement et librement, en ont
riminel, aux prises avec la sorcellerie, avait souvent à résoudre les questions les plus épineuses. Ainsi une possession était co
emment encore, accusait un individu d’ètre la cause de sa possession. Question de savoir si ces révélations arrachées aux posséd
r de cette influence malveillante. Sachez encore que la personne en question est un homme de trente-quatre ans, célibataire, h
pour le rendre plus naturel, je vais laisser parler le personnage en question , comme s’il recommençait l’exposé des événements
ert depuis peu. C’était un courant de fluide qui, partant du point en question , venait aboutir à ma personne et établissait entr
sur moi d'un endroit différent. En fixant mes regards à la fenêtre en question , je remarquai derrière l’une des vitres une planc
lité. Disons d’abord que M. llenouard n’a pas cru devoir traiter la question du magnétisme; il n’en parle que par incidence. C
oduction à l’intérieur comme à l’extérieur des habitations. C’est une question de temps que je n’ai pas résolue. J’ai goûté pe
ochement et augmentait au contraire par I’éloi-gnement d,: l’objet en question . Quelquefois même mes recherches étaient infructu
tendant, Monsieur le Baron , je désirerais avoir votre avis sur cette question qui m’intéresse si vive- ment; il me sera fort
dans le cas actuel, ainsi que les ouvrages qui traiteraient de cette question . Pensez-vous qu’il soit possible de faire cesse
oulu m’accompagner dans cette circonstance, pour connaître le fait en question et m’éclairer de ses conseils, consentit à l’admi
(Suite.) Avant d’entrer plus avant dans l’examen de cette grande question des hallucinations magnétiques, je dois faire con
pirent d’un bout à l’autre la sincérité la plus grande. Ceci est la question la plus délicate , la plus embarrassante et la mo
, la plus embarrassante et la moins soluble, peut-être, de toutes les questions magnétiques. En effet, il est impossible , lorsqu
par voie indirecte. Je vous prie également de ne signer l’article en question que par l’initiale de mon nom , en y joignant sim
jour l’homme domptera la plupart des animaux. L’auteur du livre en question , parlant d’un de ses confrères, grand partisan d
de la vie intellectuelle, il réclame l’isolement le plus absolu. Des questions inconsidérées , la présence de personnes malveill
, et le magnétiseur la mit en rapport avec lui. Le somnambule, à la question que lui adressa la dame, répondit que si elle vou
s plus élevés, le docteur Charpignon a fait, pour traiter cette grave question , une troisième partie, qu’il a appelée avec bonh
e la foi, la modification du moral par le magnétiseur, sont autant de questions qui ont été brillamment élucidées par le raisonne
naturel. Un sait com- bien les idées actuelles sont portées vers la question de l'intervention des esprits dans le magnétisme.
étique, et nous croyons qu’il aura beaucoup aidé à éclairer sur celte question , qui, selon lui, préoccupe trop aujourd'hui les
énomènes de psychologie, que ceux publiés jusqu’à ce jour. Il y est question des affaires du ciel; ce sont aussi des Arcanes.
r. — Je vous écrirai aussitôt que j'aurai pu rechercher les liv. en question . Sauiien». — M'"« de S.......i. — Reçu ; merci.
oignées ; 4° *a communication de pensée, qui permet de répondre à des questions posées mentalement ; 5° la prévision , ou faculté
e le clairvoyant qui, dans l’intervalle, pourrait lire la sentence en question deviendrait propriétaire desdits billets. « M.
la guérison des maladies. « M. Mott remarque que, comme toutes les questions débattues on public, celle-ci a été mêlée à une f
ertaine du progrès de nos idées. Pourquoi faut-il qu’il soit toujours question du somnambulisme, qui n’olfre qu’une lumière fuga
nnable, intelligent.» Après une discussion approfondie des diverses questions que le magnétisme soulève; après la citation des
i a opposé, comme bien plus vraisemblable, la production du fluide en question par les actions chimiques de la respiration. D’ap
vant avec la longue vue du somnambulisme, nous sortirons peut-être la question du cercle étroit où les savants la tournent en va
qu’il n’en résulte rien de fâcheux pour le magnétisé. Il y a là une question de principes. La force vitale peut-elle être lésé
ntôt tel, que c’était la copie fidèle de ce qu’éprouvait le malade en question . Des doses minimes de mercure soluble la guériren
la différer. Vous lui direz seulement que la maladie de l’individu en question est entrée dans une nouvelle phase ; il n’accuse
qui se trouve précisément dans le même état que l'obsédé dont il est question dans le Mémoire de M. M*"; mais il est bien plus
ons attribuées au magnétisme. Cette science fera surgir bien d’autres questions plus épineuses encore, el c’est de leur solution
e l’esprit; tout est muet quand nous interrogeons les hommes. A cette question les gens d’esprit cessent d’en avoir; lorsqu’ils
t si familière, servait d’interprète; il a posé au patient toutes les questions que les assistants ont formulées. « Le principa
29 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
de Lombroso étant toujours considérable, H serait utile d'examiner la question et voir si la relation qu'il nous fait de ses séa
perie ; mais, dans chaque cas doit être posée avant toute autre cette question : Si les choses ne peuvent pas s'expliquer par l'
ces ont été faites en plein jour. Si nous nous posons maintenant ta question , les phénomènes sur lesquels s'appuie Lombroso so
ite comment le pigeon peut-il reconnaître son chemin? Ce sont là deux questions des plus intéressantes au point de vue physiologi
audrait dire; mais invoquer la faculté de retour, c'est répondre à la question par la question. C'est produire le pendant i la f
is invoquer la faculté de retour, c'est répondre à la question par la question . C'est produire le pendant i la fameuse venu dorm
able. II.COMMENT LE PIGEON RECONNAIT-IL SON CHEMIN ? C'est là une question très difficile à résoudre et qui embarrasse forte
nd nombre d'animaux et en particulier aux oiseaux migrateurs. Celle question de physiologie est donc bien d'un intérêt général
s ces faits, citons pour être complet les hypothèses faites sur cette question . *** M. le Dr C. Viguier croit à l'existence
oordination. Un certain nombre de médecins se sont occupés do cette question des rapports de l'écriture avec le cerveau au poi
on, Amédée Mathieu, tels sont les divers auteurs qui ont étudié cette question . Les travaux d'Erlenmeyer et de Vogt sont ceux
enmeyer et de Vogt sont ceux qui semblent avoir le plus approfondi la question ; ils se rattachent au système de Brocca, en cher
ère gauche. Mais nous pouvons écrire avec la main gauche ; alors la question s'étend aux mouvements de l'écriture en général e
ues mètres. » M. le professeur Caustier se hâte trop de trancher la question de la vue à l'aide de la rotondité de la terre. I
able éloignée se mit en mouvement dam la direction de celui-ci. Une question va se poser a priori à tout la monde : n'y eut-il
le secrétaire général a répondre à notre confrère que l'empirique en question usurpe un titre qui n'existe pas officiellement e
Percussion à gauche du centre de Broca ; B... répond sur le champ aux questions . Mais la voix est bien faible et on n'entend qu'à
ie de l'hypoglosse, l'aphasie, etc. De simulation, il ne saurait être question , « car la malade ne connaissait pas la théorie de
sonnable, c'est ne pas dire grand'chose; car qu'est-ce que la raison? Question , d'école, thèse à ratiocina lions, prétexte a dév
soient, ne sauraient exercer beaucoup d'influence sur la solution des questions scientifiques. N'est-il pas de beaucoup préférabl
e d'un travail a été faite, que chacun de ceux qui s'intéressent à la question en fasse son profit dans son for inté- rieur? S
s phénomènes de transmission de pensée. Hâtons-nous d'ajouter que ces questions , d'un ordre particulièrement délicat, ont été abo
justement l'objection qu'on ne cesse d'opposer à l'étude de certaines questions et qui consiste à dire : « Puisqu'on n'a rien tro
s avons éprouvé en entendant le même orateur nous apporter sur chaque question une opinion souvent plus humouristique que ration
intacte. Il répond très bien par écrit; on répète à dessein les mêmes questions sous plusieurs formes; il ne se contredit pas. La
u'il pouvait parler. Je lui fis d'abord répondre : Oui, a certaines questions , en l'obligeant â répéter ce mot après moi. Je vo
je fus certain qu'il pourrait parler facilement. Je lui fis quelques questions banales auxquelles il répondit correctement, puis
r que, depuis la première séance d'hypnotisation, il n'avait plus été question de l'ouïe et de la parole dans les suggestions. L
de la physiologie; c'en est la partie la plus obscure, et la première question qui se pose est de savoir te lien qui unit l'espr
qué, soit même à l'état de veille. Il a semblé à l'auteur que cette question était de nature à intéresser à la fois, chez tous
, professeur à l'Université de liège. Dans ce travail, il n'est pas question des suggestions dites à échéance, comme en ont fa
servi de lten eutre tous les membres du Congrès qui s'intéressent aux questions d'hypnotisme. Une visite au National Hospital d
es décisives faites au moyen de courants électriques, que la femme en question se trouvait réellement actionnée par une force in
ns certaines maladies, ainsi que la possibilité d'une psychothérapie, questions trop négligées depuis longtemps. On aura à faire
que trop bien, beaucoup de savants et de médecins n'ont pas, sur ces questions , l'opinion assurée que des recherches pratiques s
somnambulisme, de la doctrine de Charcot. Toutes ces choses sont des questions non comprises dans le sujet qui m'occupe. La do
ns chaque cas spécial l'état normal. Cela est-il possible? Voilà la question qui se pose. Mon expérience me répond affirmative
ce dans ce qu'elle ne laisit pas. et surtout parce qu'elle y voit une question d'autorité, et parce que, de droit, dans leur qua
a été appliquée la plupart du temps — est une affaire d'autorité, une question de prépondérance du médecin vis-à-vis de son mala
r l'hypnotisme sont venues éclairer d'un jour nouveau beaucoup de ces questions considérées comme appartenant au domaine du merve
x médecins et aux éludants an enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
le a décidé la création aux Etats-Unis d'une Société pour l'étude des question » psychologiques. Le Comité d'organisation est r
à ce mouvement et que l'idée de publier un Journal spécial sur cette question n'ait pas été plus tôt imitée. Nous exprimons à
création, à Florence, d'une société fondée dans le but d'étudier les questions qui reliront de l'hypnotisme. Cette société, qaî
Asiles publics d'aliénés. Directeur de la Revue de l'Hypnotisme. La question du morphtnisme ou de la morpbinomanie. qui en est
re éminent confrère le Dr Jennings, dont la compétence sur toutes ces questions est si grande. Le Dr Jennings a pu constater comm
ne devrait faire autorité que dans sa spécialité, l'artiste dans les questions d'art, le savant en matière de vérité scientifiqu
« Je ne désire pas entamer une discussion avec M. Bernheim sur uue question de bibliographie, ni sur un problème psychologiqu
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
es pour expliquer les caractères du phénomène nouveau dont il est ici question . Notre conclusion, d'accord avec ces prémisses,
ées à l'unanimité. La Société décide de mettre à l'ordre du jour la question suivante : La Klep-tomanie et le vol dans les gra
oliclinique qu'il dirige a Amsterdam des données qui élucideraient la question : Auquel des deux courants, galvanique ou bien fa
ques? Il a étendu ses recherches, en 1887, par l'élude de cette autre question : L'application de courants électriques quelconqu
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
e est bigote et naïve, y arrivent, comme le centurion dont il est Ici question , avec la conviction qu'il suffit d'un mol pour qu
is seulement de réunir des documents capables de servir à éclairer la question , à la lumière des faits d'observation ou d'expéri
e, non seulement aux médecins, mais à tous ceux qui s'intéressent aux questions psychiques, à ceux qui ont à s'occuper de l'influ
e l'existence d'un contre des images motrices graphiques. Le cas en question met eu outre en relief, ce qui. je crois, n'avait
e, de l'ouïe et de la parole, par conséquent qu'elle ait simulé. La question de la simulation cher les hystériques est trop bi
ordonné les promenades, la campagne, le grand air. Les crises dont il question se sont reproduites alors très fréquemment, surto
irer que des paroles incohérentes. Ou a dû si souvent lui poser celte question qu'il eu est probablement devenu idiot. Au fur
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
rses attitudes psychiques. Il est certain « qu'il s'agit plus d'une question de méthode dans l'ordonner des objets que « d'u
« d'une diversité d'objets à recueillir; mais, dans la science, les questions de « méthode sont aussi importantes que les que
science, les questions de « méthode sont aussi importantes que les questions de fait... « Il serait .intéressant d'avoir un
tive. Après avoir étudié, dans un chapitre préliminaire, toutes les questions générales qui se rattachent à ta psychothérapie,
e paraitront peut-être intéressants au point de vue psychique. A la question , peut-être un peu imprudente : Si elle reprenait
aller consulter deux des personnalités les plus autorisées dans celte question . Le rédacteur du Bulletin Médical a interrogé MM.
au Sénat, et M. Brouardel, ont répondu : * Dans l'état actuel de ta question , le ministère public et la jurisprudence sont dan
des êtres d'avec ses congénères ? Ce n'est d'ailleurs au fond qu'une question de définition. Sans doute, notre organisme maté
uvent efficace. D'une portée plus vaste encore, elle éclaire bien des questions obscure ? dans l'histoire de l'homme et de l'huma
d'un dernier coup d'oeil, en nous scrutant nous-mêmes, j'entends une question qui impérieusement se dresse devant moi ! L'homme
ais avec foi dans l'intelligence qui règle notre destinée ! Certaines questions sollicitent avec obstination notre curiosité inqu
28, rue Serpente, sous la présidence de M. le Dr Dumonlpillier : 1° Question à l'ordre du jour : Kleptomanie et vol dans les g
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
se réunira à La Rochelle du 1er juin au 6 août 1893; il discutera les question » suivantes : 1° Pathologie : Des auto-intoxicat
feste chez quelques chiens à la moindre contrariété. Chez l'animal en question , le phénomène était très marqué dès le moment où
nce apparente, sont de la même essence que la paralysie dont il a été question tout à l'heure. La science a démontré que la para
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
e ruiner sous peu ». Il y avait dans cette réponse, en dehors de la question scientifique proprement dite, une attaque violent
cientifique de M. Dejerine n'étaient en cause ». et par suite, que la question ne pouvait être portée que sur le terrain de la l
en, traduite plus exactement, que ce dernier S'était borné à po»er la question sans la résoudre aucunement en 1889. tandis que l
contre l'abus du tabac, vient d'ouvrir un nouveau concours. Voici les questions qui intéressent nos lecteurs : N° 1. Prix médec
dix ans. Nous aurons à en discuter plus loin la vâleur. Aune autre question , elle répond qu'elle a beaucoup souffert pendant
l'enfant n'avait aucun intérêt dans l'espèce, il n'y avait pas là une question de dommages, comme celle que nous allons retrouve
histoire des hystériques ». Je cite, comme très appropriée au fait en question , cette phrase que je trouve dans une excellente t
ie de la candeur enfantine. Sans vouloir reprendre l'historique de la question , j'aurai occasion de citer, chemin faisant, les o
ma connaissance, en ont traité. Je n'insisterai pas davantage sur la question de savoir jusqu'à quel point cette enfant a menti
e de cet anus me frappe, mais je ne crois pas devoir insister sur des question * indiscrètes. Des suppositoires à l'idioforme amé
, cervicaux. Le traitement anti-syphilitique est institue. Malgré des questions pressantes, l'enfant nie toute contagion. Le 21
ue l'on suggestionne volontairement ou qui sont suggestionnés par des questions indiscrètes qu'ils finissent par prendre pour la
sassiné une jeune fille. Lasègue (2j cite un enfant à qui on fait des questions et qui répond toujours oui. Il compromet un indiv
es entendre. Il est plutôt à penser que c'est en répondant à diverses questions posées indiscrètement que cette entant a appris l
res rendez-vous en lardant trop à vous en aller. « Résolue aussi la question des préparatifs, qui arrêtent tant de gens sur le
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
s : l'individu en état de somnambulisme parait endormi, il répond aux questions qu'on lui pose et exécute aveuglément les ordres
r, il a l'attention et l'oreille fixés sur lui. Souvent il répond aux questions , il répond presque toujours si on insiste et si o
nombre de ces manifestations les symptômes cataleptoïdes dont il est question ». Dans cet état cataleptoïde, il n'y a général
ffèrent de la catalepsie véritable eu ce que les sujets répondent aux questions , ils obéissent aux ordres qu'on leur donne; malgr
sensiblement. la sensibilité restant intacte, la malade entendait les questions et y répondait parfaitement mais elle n'exécutait
mplètement absente; la personne obéissait aux ordres et répondait aux questions , les membres soulevés retombaient inertes, tous p
bulisme avec perte de sensibilité et suggestibilité : elle répond aux questions et l'on peut, en lui ouvrant les yeux, provoquer
publiée in extenso dans la Revue de l' Hypnotisme, j'avais posé deux questions : La chorée est-elle toujours de nature rhumati
ure rhumatismale? Quelle que doive être la réponse à cette première question de thérapeutique psychique, c'est-à-dire suggesti
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ui trahissait assez nettement l'incompétence de nos confrères sur les questions de somnambulisme et d'automatisme cérébral. Nous
c'est surtout Pitres qui. il y a peu de temps, s'est occupé de cette question : « Je désigne, dit Pitres, sous le nom générique
veuille, en comprimant ces zones hypnogènes. Pitres s'est posé cette question et voici comment il y répond : « Pour répondre av
et voici comment il y répond : « Pour répondre avec certitude à cette question , les expériences fig- 31. - Zones hypnogènes. d
re n'est-il pas absolument irréprochable ». Pitres ne résoud pas la question , il doute; cependant si l'on expérimente sur José
ern-heim. Delbœuf, Dechas. Beaunis. Luys, Pitres, etc.. ont repris la question et sont arrivés aux conclusions suivantes : 1°
t soit en communication avec l'extérieur et qu'il puisse répondre aux questions ; ceci nous conduit à penser que la mémoire des ch
venir de ce qu'ils ont fait ou appris pendant qu'ils dormaient? Cette question résolue affirmativement par les auteurs doit être
réveil de ce qui s'est passé pendant le sommeil? Pour résoudre cette question , voyons les phénomènes qu'ont présentés les perso
perdait pas complètement connaissance et pouvait encore répondre aux questions qu'on lui adressait. Ces attaques augmentèrent de
. Dans le récit de cette partie de l'observation il n*a été nullement question de ces phénomènes de transfert ; nous pouvons don
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
30 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
0 août, sera présidée par 31. le professeur Beauvisage. sénateur. Les questions mises à l'ordre du jour sont les suivantes : 1°
taires ; sa suppression ou sa transformation. Indépendamment de ces questions , diverses communications seront faites par M. Lef
orme de procès. L'auteur ne s'est pas dit que le « magnétiseur » en question , opérant dans une salle de spectacle, n'avait d'a
iégeois fut le premier légiste à s'être occupé scientifiquement de la question médicale de l'hypnotisme. Tandis que le Dr Béri
eiller la célébrité procurée par de retentissantes polémiques sur une question de médecine. Il ne songeait guère à l'hypnotism
ur le juge, pour l'expert, pour l'avocat, à connaître ces importantes questions . Si la législation actuelle contient dans les dif
'en décider : laissons aux médecins le soin de discuter ces délicates questions . Ds ne m'en voudront pas de constater que la méde
de l'auditoire en observant que la défense ayant à faire trancher nne question de médecine, n'avait trouvé, pour soutenir un sys
s, on s'étonne de n'en trouver que deux consacrées à cette importante question . Et pourtant, est-ce que la suggestion ne sera
le témoin ne peut être déconcerté dans son système mensonger par des questions publiquement adressées, et quelles facilités de s
es ? Je n'en ai pas trouvé. Un docteur en médecine objecterait que la question ne pouvait pas se poser : les médecins seuls conn
erait précieux, puisqu'il fait l'éducation du juge sur cette délicate question . En l'absence d'une jurisprudence, constatons q
te que je trouve en partie la cause de mon surmenage cérébral. » La question ainsi posée demandait des explications ; voici do
M. F. me raconta. Il y a un an il avait déjà étudié longuement cette question et il avait dessiné un schéma par lequel il arriv
re de croquis, aucun ne donnait le résultat cherché ! Ainsi donc la question se posait de la façon suivante : Il s'agissait de
ens. Bien que la société ait mis à l'ordre du jour cette importante question de la rééducation de la volonté par la psychothér
e que parce que les médecins ignorent tout ce qui se rapporte à cette question . J'ajouterai en terminant que si je considère l
connaît pas les dispositions mentales, ne doitdonc s'exprimer, sur la question alimentaire, qu'avec une certaine réserve. J'ai e
Les communications et les discussions se sont groupées autour de 3 questions principales : 1o Les enfants anormaux : 2° l'éd
bègues de Paris. Les conclusions de la section sur cette importante question peuvent se résumer en quelques mots : Les arrié
é d'anthropologie de Paris, en le complétant sur certains points. Les questions suivantes ont été examinées dans tous leurs détai
n documents et en faits expérimentaux avec l'historique complet de la question et des vues originales, ce livre mérite une place
t moderne marche dans ce sens. Mais nous ne pourrons répondra à cette question qu'à la fin de notre quadruple enquête. Pour le m
l'on a fait une fois, et que dans l'ordre du miracle il ne peut être question de facile ou de difficile, le thaumaturge serait
t vu surgir une étoile ? M. A. France nous fournit ht réponse à cette question : « C'était certes un miracle pour les astronom
le spectacle de la douleur d'autrui. jette une clarté de plus sur la question des Irresponsables devant la Loi. Par la connai
n-hurg s'occnpe très sériensement du côté purement pathologique de la question et arrive a des conclusions qni concernent la dir
ble de notre époque sur la matière. Il aborda ensuite la troublante question de l'hystérie et du témoignage d'enfants, pour ci
e dangers? « Il n'est personne qui ne réponde affirmativement à cette question . ” « Il y a eu de par le monde, et il y a encor
Bans le premier essai que nons avons consacré à cette intéressante question , nous observions que le mobile originel, qui nous
e nécessaire de la logique, de la méthode et du bon sens. Encore la question de la responsabilité (A propos d'un livre récent
it. Si j'ai pris la plume au sujet de ce livre, c'est à cause d'une question incidente soulevée aux pages 51-54. A propos de
s 51-54. A propos de son rapport au Congrès de Genève, relatif a la question médico-légale de la responsabilité, M. Gilbert Ba
ité scientifique ». (1) Paul Farez. L'expertise médico-légale et la question de la responsabilité. Rev. de l'Hypn. octobre et
tres encore, beaucoup plus nombreux, se préoccupent fort peu de cette question . Aucun d'eux, sous aucune forme, ne m'a jamais de
Toute science qui sort de son champ limité, pour se prononcer sur des questions qui ne relèvent pas de sa compétence, devient, pa
ceux de la physiologie, ni.-par conséquent, le physiologiste sur les questions morales ou philosophiques. Mais, dans l'étude d
oblige à agir comme s'il avait résolu, d'une manière indubitable, ces questions supra, niéta ou extra-scientifiques, à propos des
a quelques siècles. — depuis longtemps il n'en est plus sérieusement question et c'est à peine si les manuels les plus élémenta
; c'est « un phénomène qui procède d'un autre phénomène. » La seule question pratique intéressante, à ce point de vue, est la
choix entre l'un des deux termes de l'alternative. Là est toute la question , très restreinte, on le voit. Elle ne met pas «
e science aux passions politico-religieuses ! Or, au fond, c'est la question religieuse, c'est-à-dire une question extra-scien
euses ! Or, au fond, c'est la question religieuse, c'est-à-dire une question extra-scientifique, qui obsède le savant qu'est B
é des cheveux, des excréments, etc., quelle dit provenir du diable en question . Il est impossible, par aucune raillerie, ancnn
judicieuse des mesures préventives et thérapeutiques que gît toute la question de la prophylaxie des maladies mentales et de la
psychologie dont certains cliniciens ont fait preuve en abordant des questions auxquelles aucune de leurs études antérieures ne
t possible qu'un certain nombre de médecins, absolument ignorants des questions philosophiques, aient vu dans cette phrase l'expr
Voici ce que j'écrivais dans le tome II de la Folie de Jésus : « La question du libre arbitre est à l'ordre du jour. « A un
tes, du quinquina ou des injections hypodermiques salines. Reste la question du repos psychique et de la rééducation de l'atte
: décider le malade a se corriger. Il devra l'amener à considérer la question alimentaire comme très importante et digne de mér
s : le rapport de 31. Laignel Lavastine, cherche a résoudre la double question des troubles psychiques dans les syndromes glandu
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
a pour sujet : Les causes psychologiques de l'erreur judiciaire. La question abordée par M. Gnilbermet est de celles qui doive
auditeurs. Désireux de connaître les opinions du professeur sur celte question d'actualité. Je m'étais également rendu dans son
sou accent, je 6nppose que c'est nn Belge ». Devant l'insuccès de mes questions , Je jugeai inutile d'insister et m'appliquai à pr
arguments destinés à persuader, à déterminer, il ne saurait plus être question de suggestion. S'efforcer, comme on l'a encore
inspirateur de l'Ecole de-?vancy que j'ai été amené à reprendre cette question d'un intérêt si capital Je l'ai fait dans un trav
esoin d'être aidé. * Un de ses parents, médecin très versé dans les questions de psychothérapie, l'a suggestionné, à l'état de
a narcose éthyl-méthylique (1 ). (1) Pour la documentation de cette question , voir : 1. Paul Fasez. Somnoforme et suggestion
'une séance de la Société de neurologie, dans laquelle fut traitée la question des troubles vaso-moteurs par suggestion et auto-
savoir individualiser. En 1903, j'avais guéri la jeune paysanne en question d'un mutisme hystérique dont elle fut brusquement
rel par un sommeil hypnotique diurne. Or. à 4 h. de l'après-midi à la question si «-lie dormait bien. B. répondit: « Je suis fat
tence des troubles vaso-moteurs dont il s'agit, je voudrais poser les questions suivantes : Io Avec quel instrument et de quell
it constituer l'état le plus favorable pour obtenir les phénomènes en question . 4° Chez les sujets particulièrement sensibles
eut pas ne pas obéir, il est suggestionné. La Société décide que la question sera maintenue à 1 ordre du jour. CHIMIQUE ET
aisemblables calculs. S'il est de nos lecteurs qui s'intéressent a la question , je leur serais reconnaissant de signaler les cas
nous bornerons à rappeler que le professeur Brissaud dans toutes les questions qu'il a abordées a donné la marque d'un esprit vé
alisation si rapide de l'hypnotisme dans les cas dont il vient d'être question , je ferai observer que les sujets avaient été sou
ile de rappeler les théories principales qui ont été émises sur cette question . C'est le 1M Regnard qui le premier, en 1877. s
e Neurologie du 9 avril 1908, et sans insister davantage sur les sept questions importantes discutées et connues partout, je dira
et si je vous cite tous ces auteurs, c'est pour bien démontrer que la question d'hystérie n'est pas tout à fait résolue, ni même
Janet) et qui peut prendre place parmi les réponses faites à la 3raP question posée à la Société de Neurologie du 9 Avril 190s.
ndataires ? Que faudrait-il enfin exiger d'eux ? . . Poser toutes ces questions n'est certes pas les résoudre, mais c'est déjà se
nt le chemin parcouru et montrent la voie que l'on va suivre. Mais la question abordée par lui est si neuve que les lecteurs ont
Ces connaissances modifient nos idées sur la responsabilité humaine, question posée journellement devant les tribunaux. Ce n'es
mputables au chagrin, nous posons dans ce sens quelques discrètes questions , il nous est fait une réponse d'abord réservée pu
nos collègues MM. Lé-pinay et Grollet, qui traitent à notre Ecole les questions de psychologie comparée, à compléter leur enseign
e notre collègue Guilhermet sur la psychologie du criminel et sur les questions de psychologie qui se rattachent à la jurispruden
ourtoisie et de sa bienveillance. Son constant souci de présenter les questions les plus ardues sous un jour aimable prouve bien
abusivement intervenir tous les artifices de la parole. Il n'est plus question d'observations réfléchies, ni de documents po
s sur le terrain de l'erreur judiciaire en matière criminelle, que de questions soulevées '? que de difficultés pour les résoudre
ême qu'à ce point de vue spécial, nous n'ayons perdu du terrain. La question de la responsabilité pénale intervient également
Dès que l'hgpersuggeslibililê fait défaut, il ne saurait plus être question d'état ligpnoïde. Les états hypnoïdes pathologi
'état normal, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse être question d'état normal. Ces gens-là, passez-moi le mot, do
hystérique et l'hypnotisme est revenu à maintes reprises sur la même question . En 1885. dans un travail intitulé : Des zones hy
à quelqu'un l'idée de discuter sa compétence hors de pair sur une des questions qui se rattachent aux intoxications par les narco
de dénior-phinisation exempte de souffrances. Ce que je sais de la question de la morphinomanie. je le dois à son enseignemen
aire à son mari l'aveu de ses sensations et sachant que j'étudiais la question sexuelle, elle vint me demander mon avis. Je do
tion du public. Il faut en finir avec cette hypocrisie concernant les questions sexuelles. Il serait aussi désirable que les méde
sexuelles. Il serait aussi désirable que les médecins étudiassent ces questions plus profondément, en sorte que par leur sympathi
cieux et satisfaisant qu'il sollicite. Par ces moyens seulement, la question sexuelle, qui sert à présent de stimulant à des a
pable de donner des renseignements précis et immédiats sur toutes les questions se rattachant a l'histoire religieuse. D'ordina
rme théologique une allure plus moderne. En s'affranchissant de toute question de doctrine, ils essayèrent de présenter a leur f
de sa manière de les exprimer ; le médecin cherche a élucider par des questions précises et directes tout ce que les paroles du m
wenfeld et Seif, j'ai communiqué une série d'observations sur la même question Aujourd'hui, devant la haute compétence de cett
et, sans s'arrêter devant le scandale, se lie avec le jeune homme en question . Et quel est son trouble son épouvante, quand ell
primordiales pour lui et qu'instinctivement il passe sous silence les questions qui le tourmentent le plus. Et ces dernières ne s
et ne sont pas nettement formulées dans sa conscience. Posez-lui une question qui le touche'à son point sensible, et il se tair
e avec leurs amis. Les entretiens avec le médecin éclairent alors les questions qui les torturent et sur offrent un excellent dér
ssez compte. Leur suggestibilité s'en est exaltée ; ils répondent aux questions et subissent les suggestions curatives tout comme
ie d'un interrogatoire prolongé, l'intimidation et le réveil, par les questions posées de grandes émotions dont les plus profonde
les manier. Je me propose d'apporter de nouvelles contributions à la question mise à l'ordre du jour par notre société. Socié
a folie vous gagne, c'est la « roller-skatingonianie ». La première question que l'on pose est « Savez-vous rinker ? » Les con
le représentant comme ayant agi sous l'influence d'une suggestion. La question si controversée des suggestions criminelles est d
s donner leur opinion sur ce point. Pour le professeur Cappellati, la question n'est pas douteuse. Xaumoff se trouvait, par le f
i rapporte les paroles et les actes de Mahomet, élucide de nombreuses questions sur lesquelles le Livre ne s'est pas exprimé dire
e sa foi et s'irrite assez facilement de la voir critiquer, c'est une question d'amour-propre très différente du fanatisme propr
de l'étranger sont Invités à. assister a cette importante réunion. Question générale mise à l'ordre du jour : La prophylaxi
t des affections fonctionnelles Sont déjà inscrits pour traiter cette question les D™ Jules Voisin, Paul Hagnln, Bérlllon. Paul
perversion, d'ordre purement moral. Si le legs avait été accepté, la question aurait peut-être été élucidée. Elle reste encore
ance de M. Bent-Barde n'a d'égale que son art admirable d'exposer les questions . « Quelque temps après, écrit-Il, le professeur
ales de l'hypnotisme et raconter les rivalités qui, à propos de cette question psychologique, ont existé entre les écoles de la
t à noter d'abord que je ne connaissais en aucune façon l'individu en question , je n'avais jamais entendu parler de lui. Mais de
fférentes éditions qui s'étaient succédées dans la journée il n'était question que de lui, de sa famille, de tous ceux qui étaie
tuellement l'article du journal qui indique la forme sous laquelle la question m'était posée et ma réponse .exacte : LE caract
erghem (Discours de M. le Dr van), p. 67. Responsabilité (Encore la question de la), par Paul Farez, p. 115. Réplique du Dr
31 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
doivent tendre tous les efforts du clinicien. D'un autre côté cette question des localisations cérébrales vient d'entrer dans
rontal ? Combien d'observations, propres à éclairer ces intéressantes questions de localisation, sont demeurées sans valeur, parc
présentent-ils autant de centres fonctionnels distincts? C'est là une question que la seule considération des dispositions archi
ieures de l'encéphale. Messieurs, Avant de serrer de plus près la question qui, dans ces leçons préliminaires, nous sert d'o
e sortir du chaos, où elle était restée pendant longtemps plongée, la question des localisa-tions spinales. B. Les lésions sys
éré dans les Archives de physiologie (1874), et où l'historique de la question est exposé dans tous ses détails (2). J'ai cru
ostérieure — il est des er, s dis-je, dans lesquels l'oblitération en question ou bien reste sans résultat appréciable, ou bien
ne sont pas d'accord. M. Heubner prétend que les communications en question sont très faciles, qu'elles se font par l'intermé
r une partie, du membre inférieur. Dans ce cas, la circon-volution en question est remplacée par une plaque jaune dé- Fiff. 16
, fig. 70; p. 85, fig. 63 ; p. 119, fig. 82 ; p . 127, Il n'est pas question de fibres pédonculaires provenant du pied de la c
en dehors du noyau lenticulaire, dans l'espace virtuel dont il a été question plusieurs fois déjà ; en outre, le troisième segm
le, s'efforçant, de son côté, d'une façon indépendante, d'éclairer la question qui nous occupe. Toutintéressantes qu'elles soien
urrait invoquer à cet égard ne sont pas suffisamment explicites et la question , jusqu'à plus ample informé, doit rester en suspe
en-trevoir déjà le mécanisme de la production de l'hémianesthé-sie en question . Il est cependant un certain nombre de traits r
ésion cérébrale en foyer, du côté gauche, devrait, dans la théorie en question , entraîner la suppression ou l'obscurcis- (1) V
croisement complet. On peut dire qu'en somme, à l'heure qu'il est, la question est loin d'être résolue. On ne saurait donc voi
reil de la vision avec l'écorce grise du cerveau ? Pour aborder cette question , il nous faut, au préalable, étudier l'origine de
figurée dans le tra-vail de Meynert (fig. 249, II, R), le faisceau en question est situé entre le corps genouillé externe et le
ait les nerfs optiques à la con-dition des autres nerfs? C'est là une question qui, actuelle-ment, paraît fort difficile à résou
gi-que auront vraisemblablement le premier pas dans la solu-tion delà question en litige. Déjà les expériences de Flourens ont m
que je viens d'énumérer, à la condition toutefois que les lésions en question produisent la destruction ou la brusque compressi
ermine une pa-résie analogue, mais plus accentuée. Il ne saurait être question , quant à présent, du noyau lenti-culaire dont l'a
nt à entretenir la relation entre l'un quelconque des centres gris en question , et les parties périphériques, tandis que cela ne
Io Arrêtons-nous tout d'abord devant un fait qui domine réellement la question : les lésions cérébrales en foyer, con-sidérées r
nvahissement, par exemple, des cornes grises antérieures dont il sera question plus loin, est incontestablement un des arguments
é-corce grise ? Les faits que j'ai réunis dans le but d'étudier cette question plaident en faveur de la seconde hypothèse. Ces o
çon incidente, à titre d'éléments pouvant contribuer à la solution de questions plus générales, D'ailleurs, malgré l'intérêt qui
doivent être doués encore d'autonomie fonctionnelle. Pour éclairer la question , c'est ici le lieu d'interroger la clinique. L'ob
M. Flechsig qui portent sur une soixantaine de cas. Les variétés en question , d'après M. Flechsig, peuvent d'ailleurs être ram
ube des Allemands). Au-dessus de ces parties, se voit sur la coupe en question la section verticale des tubercules quadrijumeaux
s les diverses régions du névraxe. L'hypothèse à laquelle l'auteur en question paraît avoir été conduit d'après la somme des fai
Il est inutile de revenir une fois de plus sur l'historique do cette question . Nous rappellerons seulement qu'après les travaux
des lésions descendantes consécutives. Vous le voyez, Messieurs, une question de lo-calisation domine en quelque sorte la situa
la nature de la dégénération au point de vue anatomique, c'est là une question que je réserve. Est-elle le résultat d'un process
période, le processus deviendrait actif dans une deuxième? Voilà des questions intéressantes sans doute, mais, Fig. 57. — A, d
in temps aux dégé-nérations? Je le répète, il s'agit là surtout d'une question de siège ou, autrement dit, de localisation, et c
rd'hui sur un assez grand nombre de bonnes observations, la région en question pourrait être consi-dérée comme une sorte de carr
dans le pied du pédoncule par les trois faisceaux dont il a été déjà question : 1° en dedans, un faisceau correspondant à tout
n tiers postérieur, repré-sente la face postérieure de la pyramide en question . 11 est facile de comprendre, sans qu'il soit néc
Telle est, en résumé, Messieurs, la formule qui, relative-ment à la question qui nous occupe, exprime en quelque sorte l'éta
rties inférieures de la moelle dor-sale ou au-dessous. Le faisceau en question , que M. Flechsig désigne sous le nom de faisceau
rnard sur la Phyiologie du système nerveux tout ce qui concerne cette question , sur laquelle je me conten-terai de rappeler un i
qui l'on doit de si importantes re-cherches relativement à toutes les questions que nous agitons en ce moment ont été encore plus
ement ce sujet; mais, il importe maintenant, je crois, d'envisager la question non plus par-tiellement) mais dans une vue d'ense
quelquefois Panatomie normale, et qu'alors elle peut même décider des questions que celle-ci, livrée à ses propres forces, ne ser
coupes durcies et reproduites photographiquement dans le tra-vail en question . Permettez-moi d'exposer quelques-uns des résul
s'exerce. Mais nous verrons que les faits pathologiques résolvent la question que l'expérience physiologique laisse indécise.
symptômes. I. .Vous n'ignorez pas, sans doute, Messieurs, que la question que je vais aborder a été traitée d'une façon trè
e complication fortuite, le malade vivra. Mais voici, Messieurs, la question fort importante qui se présente à Fesprit du méde
est inutile, pour le moment, d'entrer dans plus de détails, Or, la question en litige est la suivante : le malade vivra, il r
n du malade des indices ca-pables de lui fournir la solution de cette question fort difficile, ne manquera pas, fût-ce même inst
imitant le contour externe du noyau lenticulaire. Quand le foyer en question est encore récent, pourpeu que l'épanchement soit
graves ; le malade succombe le plus habituellement, et par là même la question se trouve résolue. Si l'inondation ventriculair
'un mouvement volontaire. Provoquée ou spontanée, la trépidation en question est un phénomène d'ordre réflexe, j'aurai à le dé
e le montrer, àla même catégorie que ceux* dont il va être maintenant question et qui ont été récemment, introduits dans la sémé
l dure plus longtemps.Enfin, la forme de la contrac-tion du muscle en question est notablement différente,encesens qu'elle paraî
tion, parce qu'ils sont de nature à jeter une certaine lumière sur la question de théorie, encore fort controversée. A. Je par
141. par la méthode expérimentale, l'interprétation du phénomène en question est devenue très simple. Une autre remarque de
imitive. B. 1° Ce fait suffit déjà pour montrer que le phénomène en question est tout autre que celui qui produit les déformat
éléments nerveux au sein du fais-ceau pyramidal induré ? C'est là une question incontestable-ment fort intéressante, mais bien o
elle ou généralisée de l'un des hémisphères cérébraux. Les lésions en question sont généralement cortica-les, c'est-à-dire qu'el
là une entreprise toujours délicate, et, dans le cas particulier, les questions qui vont se présenter à nous ne sauraient, faute
, on pourrait ad-mettre même que la lésion irritative dont il est ici question provoque également une exaltation de ce mode de l
es celles qui, antérieure- ment, ont été proposées pour résoudre la question en litige ; c'est surtout parce qu'elle me semble
sceaux pyramidaux. Notez bien, Messieurs, ce fait que la paralysie en question n'a rien d'une paralysie avec contracture. Mais
e, il est clair que l'autonomie clinique n'est qu'une apparence. La question n'est donc pas encore décidée. Je ferai remar-que
e cet exposé qui, au premier abord, semble viser principalement une question de pure théorie, nous avons rencontré déjà et nou
palement fondée, quant à présent, sur le fait anatomo-pathologïque en question ; il ne sera donc pas sans intérêt de rechercher
aisceau antérieur du côté opposé. Dans ces descriptions, il n'est pas question de fibres mettant en communication directe le fai
anatomie normale, réduite à ses propres ressources, puisse décider la question : mais il n'est pas invraisemblable que dans les
s et la variabilité de leur siège, que les symptômes de la maladie en question sont eux-mêmes variés et nombreux; troubles cépha
tain nombre d'auteurs se sont appliqués à démontrer que la maladie en question n'est qu'une construc-tion nosographique artifici
uchenne (de Boulogne) et Heine. C'est, dans le groupe dont il est ici question , une ma-ladie modèle pour l'étude anatomo-physiol
systématique irritative des cornes grises antérieures. La maladie en question a été aussi désignée quel-quefois sous le nom d'a
problème de la paralysie spasmodique. Or, l'histoire de la malade en question permet de saisir les con-ditions de la combinaiso
s'est présentée de montrer, à côté de la malade dont il vient d'être question , un homme atteint d'accidents absolument identiqu
tuent un des éléments principaux de la détermination de la maladie en question , ont permis aux cliniciens qui viennent d'être no
harcot a profité de la présence des deux malades dont il vient d'être question , pour mettre une fois déplus en évidence l'exacti
se en compter les cas. La statistique fournira donc la solution de la question en litige. * Or, en établissant le relevé des o
: sans comp-ter les observations de M. Leyden lui-même, dont il sera question plus loin, onze cas sont relatés avec les détails
érale amyotrophique, au même titre que les deux malades dont il a été question tout d'abord : et, bien que l'autopsie n'ait pas
ite ? Et les réflexes tendineux ont-ils été étudiés ? Il n'en est pas question ; 3° Dans un autre des cas du même groupe (Pick
confinent à la contracture. Quant aux réflexes, il n'en est pas plus question dans cette observation que dans la précédente.
32 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alaisé en l'absence de celte notion étiologique. Et cependant cette question de diagnostic anatomique et topographique des h
e et de localisation. Il est bien certain que dans notre cas, où la question d'une intervention avait été agitée, celle-ci,
recherches, il convient de résu- mer brièvement l'état actuel de la question , en rapportant les appréciations contenues dans
ion, formes calmes ou agitées ? Le tableau suivant répond à cette question : 28 CLINIQUE MENTALE. Un premier fait intére
ée dans les antécédents, a peut-être joué un rôle, 1 Voir sur cette question les 20 volumes de nos Comptes rendus de nicutre
r John Carswell. (The Journal of Mental Science, juillet t8cJ8.) La question est traitée presque exclusivement au point de vue
ique, juin 1899.) Il y a lieu tout d'abord, quand on envisage cette question de distinguer parmi ceux qui abusent des boisso
jusqu'à guérison complète ou supposée complète. G. DERNY. 111. La question des asiles pour alcoolisés incurables ; par le
tes et des directeurs de pénitenciers, ainsi que des experts sur la question de l'abstinence de l'alcool. G. D. IV. L'alco
ands sacrifices du gouvernement et les efforts de la société. Cette question pèche en principes et en détails. Parmi les déf
s sont nécessaires, l'asile fermé comme les autres modes, c'est une question de diagnostic et d'espèces. » D. M. VI(LLa st
favorable au mariage des épileptiques. L'auteur dissocie d'abord la question pour arriver à une synthèse finale. Dans l'infl
in, Marchand, \\-ah (76) ; en cinquième ligne, M. Ameline (72) ; la question écrite était : Le lobe frontal. Rappelons que
M. Brunet; en troisième ligne, cx-xruo : MM. Rodiet et Ricoux ; la question écrite était : Portion cervicale du grand sympa-
. Sans m'engager en rien dans la bibliographie déjà connue de celle question , rappelons en route les vingt-cinq insuccès sig
outait pas, répondait évasivement par des monosyllabes à toutes les questions , se négligeait, abîmait ses vêtements, restait
E. gauche convulsé lui fait très mal, et cela pour répondre à une question qu'elle a pu répéter après. A ce moment en palpan
ant de croire à la gué- rison ; et on peut avec Winkler dire que la question thérapeu- tique des épilepsies n'est pas toute
upillaire à la lumière. Or, sur ce point, aussi nombreuses sont les questions que l'on doit se poser, aussi significatif est
cervical, conducteur réunissant ces deux centres ? Voilà autant de questions posées et non résolues encore par les physiolog
midal. L'anatomie pathologique est seule capable d'élucider cette question , et c'est dans ce but que nous avons cru utile
famille et celle de son mari, elle a très bien répondu à toutes nos questions , mais elle était dans une bonne période, car depu
émoires pleins d'intérêt au double point de vue de l'histoire de la question et de son analyse scientifique, constituent le
a cellule, l'isolement en cellule, à la pluralité des 146 agités en question , et a permis de remplacer les cellules par des
yant pour substratum un état morbide de la substance nerveuse. La question de savoir si cet état morbide a pour siège le neu
es, ce mémoire tire d'excellents éclaircissements pour la difficile question médico-légale des névroses traumatiques. Discut
frontales, occipitales. P. KERAVAL. XVIII. Petite contribution à la question du tabes syphilitique; par E. A. IlouEn. (Neuro
quantité, l'intensité de la faiblesse de l'individu. » I;h bien, la question est justement de savoir si l'alcoolisme est alo
de Neurologie et les nombreux travaux de M. Ilourneville sur cette question , démontrant, par des faits, l'inutilité de la c
ut à la nécessité de faire appel à la statistique pour trancher une question qui ne saurait être résolue par de simples souv
pathologie; re- produisant chacune une mise au point parfaite de la question traitée, complétées et éclairées par des vues p
leçon suivante permet au professeur d'établir l'état actuel de la question de la sclérose en plaques chez l'enfant, où son e
hallucinations du moignon ; puis une mise au point par- faite de la question de la myoclonie. La paralysie générale juvénile,
ogramme des travaux de la section. Exposé et dis- cussion d'une des questions mises à l'ordre du jour et ayant fait l'objet d
it l'objet d'un rapport. Communications diverses. Rapports. - Les questions suivantes, mises à l'ordre du jour, ont été l'o
1° Nomina- tion du bureau ; 2° Discours du président ; 3° Première question , Pathologie mentale. Psychoses de la puberté. R
u Congrès. Samedi 4 août. Séance du matin, à 9 heures. - Deuxième question . Anatomie pathologique. Anatomie pathologique de
res. Continuation de la discussion. Communications diverses sur les questions d'anatomie et de phy- siologie pathologiques. A
guérison du malade, la sécurité publique doivent l'emporter sur les questions d'ar- gent. Les faits ci-après sont également d
ies, à l'organisation du service médical, en un mot pour toutes les questions d'hospitalisation et de traitement des sujets a
les pages qui vont suivre nous nous proposons d'exami- ner les deux questions , étroitement liées, des petits hôpitaux de trai
le et de l'organisation de ces cliniques nous paraît d'ailleurs une question d'actualité. D'une part, en effet, la réorganis
cliniques psychiatriques universitaires. D'autre part, certaines questions sur lesquelles on discute encore actuellement che
ule, du traitement par le lit, des quartiers spéciaux d'agités, ces questions ont été tranchées dans la plupart des cliniques
est appliqué d'une façon rigou- reuse. On a cessé de discuter cette question à l'étranger. 200 ' ENSEIGNEMENT. du professe
ranger. 200 ' ENSEIGNEMENT. du professeur de -Würzbourg sur cette question des quartiers d'agités et de l'isolement en cel
firmiers. La chose est d'autant plus regrettable que les malades en question ne sont pas à même, en raison de leur état ment
coustique sans soustraire, dans une certaine mesure, les malades en question à la surveillance qu'ils réclament. Nous verron
complet, s'il devient nécessaire de fermer la porte des chambres en question , on le fait pour un laps de temps qui ne dépass
uer. En pratique, M. Rieger insiste sur ce point, - les chambres en question sont pour ainsi dire inemployées ; elles n'entr
ion des serviteurs est de un pour trois malades. - ? Voir sur cette question : P. Sérieux. La clinique de psychiatrie de l'u
; l'Histoire de la psychologie et de l'esthétique en Allemagne ; la Question des infirmiers; l'Eglise et l'Etat, leur interv
idiotie epileptique. Son intelligence est nulle. 11 ne répond aux questions qu'on lui adresse que par des sons inarticulés.
est d'ordinaire fatale, ne sert absolument à rien pour éclairer la question . Elle n'est pas toujours fatale, nous le savons
brièvement les travaux publiés en France et à l'étranger sur celte question , toute d'actualité, et résumé les observations
époque et un peu plus tard, une com- mission spéciale examina cette question , et le D1' Mercier, après avoir conclu que la l
e ceux 234 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. qui ont le plus étudié cette question : on va voir quelle contradic- tion il implique
sion et retarde l'accomplissement des réformes nécessaires. Cette question d'ailleurs comporte des solutions diverses suivan
la plus cruelle des infortunes, la perte de la raison ? 2 Quatre questions étaient à l'ordre du jour : 1° Les psychoses de
quels s'effectue leur synergie, leur associa- TION. Messieurs, la question des centres d'association figure au nombre de c
té par les anatomistes les plus compétents. Il est à prévoir que la question soulèvera un conflit d'opinions. Je manquerais
° Congrès international de Paris. , (Présenté par M. SERBSKI.) La question de traitement des aliénés par l'alitement pro-
mands. Beaucoup d'auteurs ont consacré leurs travaux à à - cette question , mais je ne veux pas entrer dans les détails de
crois de mon devoir de décrire en quelques mots l'évolu- tion de la question parmi les aliénistes russes. Comme partout, le
térêt particulièrement vif a été excité en Russie pour le régime en question par les communications du doc- teur A.-A. Govsé
rapports ont ainsi inspiré toute une série de communications sur la question . Il s'en suivit un grand nombre d'articles des
des aliénistes russes pour ce régime grandissait toujours et cette question fut mise à l'ordre du joùr à la section des mal
gime d'alitement. Les uns pensaient que l'introduction du régime en question créait une nouvelle ère dans la psychia- trie e
é thérapeutique dans les cas isolés. Cependant ces deux côtés de la question doivent être bien distincts. Par un « système »
ipe des cellules n'est pas une condition fondamentale du système en question . 11 va sans dire qu'ici, comme dans tout autre
iale de la surveillance comme un élément né- cessaire du système en question , mais l'essentiel pour moi, c'est que tous les
une série de mesures positives et le perfectionnement du système en question . C'était précisément l'idée qui nous guidait, n
éveille l'énergie. La seconde objection que l'on fait au système en question c'est que, en cas, qu'il est suivi par de la co
e, autant que je sache, et cependant on se pose involontairement la question , si le séjour au lit par trop prolongé ne pourr
. J'en parle davantage dans un article plus long consacré à cette question . De même je ne puis aborder ici qu'en passant l
à cette question. De même je ne puis aborder ici qu'en passant la question de savoir quelles seraient les modifications qu
toirs communs, où les malades sont alités. CONCLUSIONS 1. Dans la question du traitement des maladies mentales par le repo
ipe des cellules n'est pas une condition fondamentale du système en question , mais il contribue puissamment au développement
RAPEUTIQUE. dans les chambres séparées, cela a dans le système en question une importance secondaire. Le maintien forcé au l
a communication ci-dessus citée de MM. Gilbert et Castaigne, il est question de deux autres cas ayant donné lieu à des sympt
. Ces conférences sont d'ail- leurs inédites, car je ne juge pas la question assez mûre, les conclusions assez solides pour
natomie pathologique de l'idiotie. M. TOULOUSE a soulevé ensuite la question de la Paralysie géné- mie infantile et discuté
ion de la Paralysie géné- mie infantile et discuté avec M. Régis la question de l'idiotie par méningo-encéphalite-diffuse, a
6 août. Présidence de M. Magnan. Cette séance est consacrée à la 3° question générale : De l'ulile- lement dans le traitemen
w. Voici maintenant les conclusions du second rapport sur la même question , par M. le D'' Cl. 1\ct=sEa (de Leubus) : 1° Il
ividualisation la plus précise est une nécessité absolue dans cette question » ; ; 8° D'une part, aussi longtemps qu'il exis
ncitation quelconque est fournie au mécanisme du lan- gage, par une question , par exemple. On pourrait interpréter ce fait d
que la doctrine des neurones peut jeter une vive lumière sur celte question , et nous prenons le postulat suivant pour base
aux mouvements de l'écriture. La discussion porte seulement sur la question de savoir, si l'écriture possède un centre auto
aturelle. L'Écriture en miroir ; par Paul SOLDER (de Paris). ' La question est beaucoup plus complexe qu'elle ne parait. Ni
que cette classification, puisque la dénomination n'implique qu'une question de prédominance de l'un des éléments. Seule la
a lucidité avec laquelle les malades peuvent répondre à cer- taines questions et manifester leurs conceptions maladives. Parfoi
mélancolie ou à la cata- tonie ? On ne peut encore, trancher cette question , bien que la pre- mière hypothèse soit plus pro
ralysies. Sans nous arrêter plus longtemps sur l'historique de la question , nous devons faire remarquer, que la paternité de
ralysés. » M. Gilles de la Tourette 2 écrit dans son ouvrage sur la question , que, « la mobilisation précoce des articulatio
iplégiques par la mobilisation et la mécanothérapie rationnelle. La question s'est développée également au delà de nos front
sances techniques. Mais avant de conclure, nous devons répondre aux questions suivantes, que chacun de ceux qui nous lisent a
n ? et peut-il être à la portée de tout le monde ? Le traitement en question est dirigé, comme nous l'avons déjà fait remarq
r à cette psy- chose dans le cadre neurologique et sur l'examen des questions médico-légales qu'elle soulève2. M. Hitzig cons
e- ment désigné comme expert par les tribunaux prussiens dans les questions de névrose traumatique. Le service d'électrothé
qui a été fait dans le courant de cette année sur cette importante question . 398 REVUE D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉ
cent les régions intermé- diaires qui ont une nature- mixte), et la question anatomique se pose désormais en ces termes : le
sultats auxquels nous sommes arrivé dans nos recher- ches sur cette question : la somme des fibres de projection réunies dan
au; par 0. N'OGT (de Berlin). En anatomie du cerveau, trois grandes questions intéressent le neurologi-te : la cellule'et ses
maine des anatomistes et des anatomo-patliologistes, l'étude de ces questions doit être laissée, pour une grande part, aux ne
re, nous ne devons pas perdre nos forces en traitant chacun la même question . Il y a tant de questions à éliminer dans l'ana
rdre nos forces en traitant chacun la même question. Il y a tant de questions à éliminer dans l'anatomie du cerveau, que chac
ais pour éviter que différents travailleurs s'occupent de la même question , il faut que les besognes soient distribuées; 3°
rationnelle; elle doit tenir compte de l'importance des différentes questions à résoudre, du matériel qui existe, et des résu
particularités caractéristiques au cerveau humain. Pour toutes ces questions , les méthodes qui donnent vraiment de bons résul-
e peine, peut servir il la solution de SECTION DE NEUROLOGIE. 417 questions de différents ordres; mais jusqu'à maintenant de
qu'à maintenant de telles pièces n'ont servi qu'à la solution de la question qui intéressait spécialement leur possesseur et
t spécialement leur possesseur et ont été perdues pour les autres questions . Cela n'arriverait pas si ces pièces étaient dans
l'époque où je suis ce plan. Mes expériences se rapportent à trois questions : 1° à la collec- tion du matériel. J'ai trouvé
fesseur GRASSr.T (de Montpellier). Je n'ai pas voulu entrer dans la question théorique, mais simplement faire connaître un p
veau. M. le professeur RAYMOND (de Paris). Je voudrais ramener la question , un instant, sur le terrain clinique. En 1885, j'
an. Cette séance a été occupée par la lecture des rapports sur la question de l'alitement. Nous avons reproduit l'analyse de
t peut quelquefois permettre l'emploi des narcotiques. M. Régis. La question de l'alitement dans les psychoses est inséparab
nfin, des obsédés impulsifs. Mais aujourd'hui [que les termes de la question sont mieux précisés, c'est vraiment à cette der
s ce genre, m'ont paru néanmoins trop incomplètes, pour résoudre la question de l'efficacité qu'elles peuvent avoir dans le
hives, 2° série, t. X. 29 - 150 CLINIQUE NERVEUSE. cette dernière question , mais aussi par les renseignements contradictoi
ntre des opi- nions discordantes et de trancher, d'un seul coup, la question d'une manière irrévocable. Ce modeste travail
l'on voit que les résultats des auteurs sont loin de concorder. La question semble donc être à reprendre, d'autant plus que
point de vue, d'une législation nouvelle ni spéciale. Quant à la question de la liberté individuelle elle ne se pose pas da
-ci dès que les circonstances le permettent. D1' 'V.IllL. II La question d'assistance et d'éducation des enfants arriérés,
ce n'est pas la première fois qu'elle s'occupe en Congrès de cette question . A Rouen en 1896. à Rennes en 1898, elle a émis
grettable l'indifférence que profes- sent en France, il l'égard des questions d'enseignement, la plupart des médecins. A pr
tion de ces établissements. Le rapport que nous avons déposé sur la question à la Ve Com- mission du Congrès de la Ligue de
rapporteur et du secrétaire, n'a pu éclairer ni mettre au point la question . Nous avons pu, en lisant les 1 Sous la dénomin
e générale des congressistes s'était montrée indifférente sur une question d'une aussi grave importance au point de vue hu
faire à la Ve Commission du Congrès, un rapport préalable sur une question ainsi formulée : Education des enfants anormaux
Après avoir parlé des avettgles et des sourds-muets, il a exposé la question qui nous intéresse dans les termes sui- vants :
nts ou sections. » Comme pour les aveugles et les sourds-muets la question est encore pendante. Conclusion.- Dans ces co
si j'en avais eu con- naissance. Toutefois, puisqu'il s'agit d'une question de priorité, je dois dire que mes recherches su
on propre sexe. Il est à peine besoin de dire qu'il ne saurait être question , ici, que de l'inverti constitutionnel et non du
arait pas avoir suffisamment insisté sur le côté médico-légal de la question , celui cependant qui était en discus- sion. I
- légaux. Il y a donc là, comme toujours, en médecine légale, une question d'espèce et de mesure, et dans chaque cas, il con
e demi-membraneux. , Communications diverses. Etui actuel de la question des rapports des réflexes palelluires après la
, nous n'en finirions jamais. Je me borne donc à adresser une seule question à M. Sherrington, et cela, puisqu'il le désire,
n existe des variétés, des formes nombreuses. Si sur cette première question je me trouve en désaccord avec M. Marie, je sui
hez un individu sain les doigts de pieds ne s'étendent. C'est cette question qu'examine M. Colin en ayant soin détenir solid
e dans l'écorce et dans la couche optique. Chez les deux malades en question cette infirmité datait de l'enfance et tenait a
es - tendineux, par Jen- drassll : , 495; par Sherrington, 4 ! G. Question des rapports des pa- tellaires après la section
par Bruce, 509. Tabès, avec paralysie bulbaire, par Bloch, 155. Question du syphi- litique, par Homen, 156. Luxa- tion
33 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ont été que très brièvement présentées, lors de la communication en question . Jusqu'à une époque toute récente, les troubles
que toute description didactique une idée exacte des troubles en question . Nous avons cru devoir nous servir du terme bég
ice, accompagnée d'écholalie et de copro- lalie. Guinon a repris la question dans la Revue de médecine de 1886 et a intitulé
nace. Les tics de l'enfance sont remplacés chez la jeune fille en question , par la projection de la jambe droite, phénomène
u sujet n'est pas absolument normal. - Les troubles psychiques en question peuvent être fort atté- nués, et il ne faudrait
n certain embarras. « Pardonnez-moi, monsieur, de vous adresser une question , sans avoir l'honneur d'être connu de vous. »
les dépister chez les tiqueux. Vous trouverez un bon résumé de la question dans l'article de Guinon. 1 Il y a d'abord l'ob
pas de raison à cette répugnance, tantôt c'est parce que l'objet en question a appartenu à une personne qui leur est antipat
de dégager des indications opératoires. P. K. XV. Contribution A la QUESTION DE l'action DU SEIGLE ERGOTÉ ET DE SES PRINCIPE
hérapie de concert ou non avec les réconfortants moraux ; c'est une question d'indication. Enfin l'ob.-ervation de M. Langre
tés chez les animaux mutilés). P. Keraval. II. Contribution .1 LA question du trajet profond DES fibres RADI- CULAIIiES PO
r physiologique des cordons de Goll. P. K. III. Contribution A la QUESTION DU territoire QUI DONNE naissance aux fibres DE
rveau ; par C. Eckiiard. (Neurol. Centralbl., z CONTRI- bution A LA QUESTION DES CASES DE l'ÉCORCE QUI EXCITENT LA SÉCRÉ- TI
ande au mem- bre postérieur gauche ; - 2° après les extirpations en question , l'examen du pédoncule cérébral révèle qu'il n'
de folie systématique chronique, deux présentaient l'atrophie en question , mais ils étaient alcooliques ; les deux autres n
it avec de menus détails l'évolution générale des divers organes en question les uns par rapport aux autres en suivant pas à
pour dormir, il provoque une série de tableaux par le mécanisme en question , qui consiste, en dernière analyse, en des phén
congeslifs plus ou inoins per- sistants ; 3° Si les hématomes en question se rencontrent plus fréquem- ment dans la paral
y mettant sa note personnelle, l'auteur établit que la guérison en question a toute chance de réussir lorsque la maladie me
eux (extatique). P. K. 110 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIV. La QUESTION DE LA LOI SUR LES ALIENES EN AUTRICHE; par 11f.
aration. Le devoir des spécialistes est de prendre position dans la question , en indiquant au légis- lateur les desiderata,
excitation périphérique anor- male. P. il XVII. Contribution A la question DES rapports QUI existent ENTRE la syphilis et
es idées délirantes reviennent et persistent. Notons que la dame en question n'était pas hystérique et qu'au- cune indicatio
u 4,50 p. 100. L'infection psycho-pathologique masque cette grave question de l'hérédité ; l'atavisme est patent. Les folies
es et les agents mécaniques de la folie. Meynert a fait faire à- la question de l'hérédité un pas de géant quand il a examiné
peuvent commettre les infirmiers. Le bureau est invité à étudier la question et à pré- senter un rapport dans la prochaine s
'y a pas d'oblitération. M. THOMSEN. De {'importance pratique de la question de la para- lysie générale et de la syphilis. C
professeur pense qu'il n'est pas exact d'inféoder le syn- drome en question à la syringomyélie, car les symptômes bulbo- sp
ouvent à la chorée, et fait un exposé suc- cinct de l'état de cette question encore peu vulgarisée, en y jo : - gluant plusi
urs. L'auteur à propos de cette observation fait l'historique de la question , au point de vue symp- tomatique et pathogéniqu
pileptiques depuis laquelle il u'a rien été fait de mieux sur cette question et qui a servi de base aux travaux ultérieurs.
- quable qui fait de ce livre un des meilleurs ouvrages sur cette question . On doit d'ailleurs adresser des éloges à 111. Ja
italières, mais encore par les savants et les gens du monde que ces questions , ainsi que M. Paul BRU -les a traitées dans l'H
ci-dessus désignés.' Les épreuves sont au nombre de quatre : 1° Une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie
is heures aux candidats. Le maximum des points sera de 30; - 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie o
aussi avoir été le premier à poser les indications de ce genre de questions . Elles se résument en ces trois mots : alitement,
'étaient fait ins- crire et ont pris part à toutes les épreuves. La question , écrite au sort, a été : « Nerf cubital. » Les
. La question, écrite au sort, a été : « Nerf cubital. » Les autres question * restées dans l'urne étaient : « Dure-mère crân
ne étaient : « Dure-mère crânienne et nerf pneumogastrique. Pour la question orale elle a été : « Symptômes et diagnostic de
ettre les conseils de comté en mesure d'arriver à la solution de la question de la vente publique des bois- sons alcooliques
ntroduire un bill portant que, jusqu'à la solution définitive de la question , aucune nouvelle patente pour cabarets ne sera
une des dernières séances du Conseil municipal de Paris, a posé une question à l'administration relativement à des expériences
irecteur de l'Assistance publique a répondu qu'il laisse de côté la question concernant la presse, laquelle échappe complète
ppliquer aux faits que nous avons observés et où il n'est nullement question de compression survenue dans le bassin, bien qu
M. le professeur Charcot'. A la suite de cette leçon, où il était question pour la première fois de cette com- plication d
eint : riant toujours, et souvent sans aucun motif, elle répond aux questions avec un plaisir évident ; elle met même dans se
étude générale du tremblement; vous trouverez cette intéressante question très approfondie dans un remarquable article du
ose en plaques. Ici, les deux maladies doivent être mises hors de question . A quel type exceptionnel avons-nous affaire ?
ver que cinq cas. ' Il , , 1. . Enfin, Démange étudie avec soin la- question en z, dans .la. Revue de Médecine.}], conclut q
e, et voisine par sa nature, de la para- lysie agitante. Le fait en question nous ouvre des horizons nouveaux : le trembleme
ts urinaires. Je ne veux pas traiter ici, incidemment, cette grosse question de la nutrition dans les maladies du système ne
évrose, une lésion organique qui les provoque et les entretient. La question est souvent délicate, quelquefois insoluble. Pe
mment écrit Blocq dans le Mercredi médical (26 février 1890) : « La question des rapports qui existent entre l'hystérie et l
cordons latéraux. Vous entrevoyez de la sorte les difficultés de la question . Il ne servirait de rien de nier ces réalités;
enus hémiplégiques à la suite de l'asphyxie par le charbon. Cette question a été bien étudiée récemment par Poelchen qui r
x ne répond plus à l'excitation électrique, non plus que le nerf en question . Atrophie correspondante. Patho- génie : portde
t aussi à supposer que dans la maladie de Basedow l'insuffisance en question n'est pas absolument pro- portionnelle à l'exop
permet pas de dire davantage. L'autopsie seule pourrait éclairer la question . P. KERAVAL. XLIV. UN cas d'hypéridrose unilaté
de Kandinsky'. On sait que M. Hoppe a publié un mémoire sur la même question 2. La critique présente se termine par une invi
secondaire,-les états dégénératifs. P. K. XXV. CONTRIBUTION A la QUESTION DE la relation entre la para- LYSIE PROGRESSIVE
toujours indemne. Fina- lement hémiparésie avec ataxie de la main. Question de toxines, encore indéchiffrable. P. K. XXXI
estations psychiques. P. K. XXXVI. CONTRIBUTION A UNE REVUE DE la QUESTION relative A la SÉ- QUESTRATION DES criminels ali
et ne plus reconnaître les personnes de son entourage, telle est la question . Ce symptôme est tout aussi fréquent chez le mé
. Psych., XVIII, 3.) En réalité, l'auteur traite dans ce mémoire la question suivante : Des modifications de la résistance q
é du courant, on évitera toujours les inconvénients du procédé en question . Le courant augmente manifestement l'action du ch
rs expériences de vivisection, il résulte que le centre effectif en question occupe la profondeur de la partie antérieure de
e de Rouen. Le bureau étant constitué, on passe à la discussion des questions inscrites à l'ordre du jour. M. DUBUISSON lit
ort ardu à établir. Il faudrait s'entendre là-dessus et ajouter des questions au questionnaire en préparation. M. MALF1LATR
de M. Bourneville sur ce sujet. Il trace un historique rapide de la question ; énumère les observations pu- bliées ici, rapp
emander si on la croit bonne. On procède alors au vote sur les deux questions de savoir : 1° Si les criminels, devenus aliéné
n mentale. Il est important, au point de vue médico-légal, dans les questions d'indemnité, d'établir les rapports entre le trau
ité indirecte. Mais il ne me paraît pas heureux d'en appe- ler à la question de l'hérédité de la tuberculose. De nouvelles 1
ectus. Enfin les faisceaux ascendants sont, quand l'alté- ration en question est avancée, réduits de volume et de quantité.
FAITS DIVERS. -299' Les épreuves sont au nombre de quatre : 19 Une question écrite portant sur l'anatomie et sur la physiol
is heures aux candidats. Le maxi- mum des points sera de 30. 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie o
malade a conservé toute son intelligence; il comprend très bien les questions qu'on lui pose; répond par écrit et ne présente
à présenter un aspect sympto- matique qui rappellera l'affection en question , soit grâce à la faculté d'imitation que nous p
ec ou sans réserves, et par- fois il sera impossible de résoudre la question . Quoi qu'il en soit, c'est en suivant la méthod
e cours de la migraine ophthalmique hystérique ou à sa suite. Cette question ne manque pas d'intérêt, si on se rappelle que,
s excitants fournis par les deux yeux ? Nous ne déciderons point la question , mais rappellerons seulement quelques faits sui
st clair sur fond noir ou tout au moins obscur. Les deux valeurs en question - celle de la percepti- bilité différentielle e
d blanc on réciproquement. Ajoutons que toutes les fois, qu'il sera question dans la suite d'acuité visuelle, il faudra ente
nous permettent toujours d'énumérer trois cas, pour lesquels cette question comporte l'affirmative. 1° Tous les cas de (r
he. Dans la deuxième partie de ce travail où nous traite- ions la question de la percéptibilité différentielle pour la lum
rse Archives, t. XX. 25 386 CLINIQUE MENTALE. a lieu, c'est une question dont la solution n'a pas pu nous être donnée pa
ujet et les nombreux problèmes non encore résolus que soulève cette question , que la force et le temps me permettraient à pe
orce et le temps me permettraient à peine d'exposer suffisamment la question , je ne me contenterai pas de répéter les idées qu
uvent contri- buer, j'espère, à la solution de quelques-unes de ces questions controversées. Je me propose dans ces lectures
entre dans les ganglions mésencéphaliques. On a beaucoup discuté la question du sens de la vue chez les pigeons ainsi opérés
odifica- tions secondaires qui se passent du côté de la plaie. La question de savoir si les lapins ou les autres rongeurs pe
s obs- tacles ou qu'ils n'étaient pas situées sur leur chemin. La question n'est pas une de celles que l'on peut dire défini
e s'adapte aux choses extérieures. Je ne discuterai pas non plus la question controversée de savoir si les actions des centr
'absence complète des hémisphères cérébraux, il reste tou- jours la question de savoir si les lésions n'ont pas causé une pert
considère que ses propres expé- riences n'ont fait que soulever la question de localisation, et on pensait généralement que
s points essentiels, mon attention fut attirée spécialement vers la question des localisations et je fus conduit à explorer
et du muscle ciliaire indique que les noyaux centraux des nerfs en question sont lésés. S'il est vrai qu'une alté- ration d
les faisceaux de Burdach. La résection unilatérale des racines en question , entraîne l'exclusive dégénérescence du cordon po
uit au point de vue pratique. Quand les deux phénomènes morbides en question sont bilaté- raux, le diagnostic entre eux deux
s d'aspects statistiques anato- mopathologiques, ou cliniques de la question . P. KERAVAL. LI. DE l'action DE L'ÉCORCE DU c
e; ils sont groupés le long des bords inféro-latéraux du losange en question , depuis le ren- nement des cordons grêles jusqu
is premiers chapitres contiennent principalement l'historique de la question ; le quatrième est spécialement dévolu à la cliniq
un chapitre absolument neuf concernant la note médico-légale de la question . Enfin,' les deux derniers cha- Ë1BL10GRAPHIE 4
constitue le premier travail d'ensemble qu'on ait produit sur cette question , nous sommes moins disposés à la critique, et c
che âledicine, 468 vol.) Les auteurs se sont proposé d'éclaircir la question de savoir s'il existe un rapport de causalité e
idiot ou exposés de sa part à des brutalités ou à des attentats. La question de l'as- sistance des enfants idiots, arriérés
t d'un quartier spécial pour les idiots, mais qu'il ne saurait être question de ce travail pour cette année, le programme de
iots. VARIA. 451 I Dans le département de la Seine-Inférieure, la question parait plus avancée. Nous avons reçu en effet d
es spéciales pour ces enfants. On se préoccupe égale- ment de cette question en Angleterre, ainsi que l'indique l'ex- trait
ujet; un comité est formé par la Société de charité pour étudier la question , et un certain nombre de dames appartenant au C
il a causé la mort prématurée d'un jeune homme plein d'avenir, » LA QUESTION DES ASILES D'ALIÉNÉS AU CONSEIL GÉNÉRAL DU NORD.
formuler le voeu. (Bulletin médical.) - Nous reviendrons sur celte question . LES INCENDIES DANS LES ETABLISSEMENTS HOSPITAL
ien et paraît très surpris de l'acte insensé qu'il a commis. \ La question DES asiles pour les IVROGNES. Le Dr GRA1'TSERS se
s comme incurables et enfermés définitivement. - L'étude de cette question s'imposera un jour dans notre pays, surtout dan
ucinations et serait heureux qu'on lui répondît par oui ou non à la question sui- vante : Avez-vous jamais, étant complèteme
ion. Le jury a cependant rendu un verdict affirmatif sur toutes les questions . Le procureur général s'est alors levé et a dit
34 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
nts en tous ordres, un enseignement pratique permanent sur toutes les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychothérapi
dans la Reuue Thomiste, professeur à l'Université de Fribourg, sur la question de l'hypnotisme envisagée dans ses rapporls avec
, en soi, ni préternatu-relle, ni diabolique. En ce qui concerne la question de moralité, nous observons que ce n'est point un
cessai d'affirmer la disparition de la céphalée et de harceler de mes questions la malade, jusqu'à ce qu'elle eût consenti à décl
ait pensé que peut-être il existait une ovarite ou une salpingite. La question de la laparotomie avait été agitée. Cette jeune f
llai le repos au lit. Trois jours après cette alerte, il n'était plus question de fausse couche. Le repos au lit, cependant, fut
nnes, et, bien que la menstruation fût restée régulière, il avait été question , l'année dernière, de pratiquer une laparotomie d
lier Wetterstrand et Bonjour, ont soutenu l'opinion contraire. Or, la question de savoir si l'état de sommeil provoqué est doué,
é est grande. La malade se prête avec une certaine appréhension à mes questions . Intelligence nette. La mémoire, peu exercée, est
vier). — C'est une jeune fille assez intelligente, répondant bien aux questions qu'on lui pose. On trouve à la partie supérieure
il était alors en mesure de donner ses théories concernant toutes les questions relatives à l'hypnotisme et au mesmérisme, et qu'
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
une cause matérielle, ne peut-il rendre des services? C'est là une question importante, qui s'est posée certainement dans vos
nières séances ont remis à l'ordre dujourde la Société l'intéressante question des phobies. Je profile de l'occasion qui m'est o
ision, du manque d'initiative des phobiques, et se pose uniquement la question de savoir si, oui ou non, n les phobies neurasthé
pendant sa dernière maladie? — Oui. Un tribunal peut-il trancher la question de savoir si l'on peut, après avoir placé une per
ne machine, les actes qui lui auront été commandés ?— Non. Ces deux questions , qui nous mettent en présence do problèmes extrêm
t descendants, ot l'époux de « la personne incapable. » La premîèro question était soulevée par les consorts Péricr, parce que
chie, est entaché de nullité (art. 901, C. Civil). « Attendu que la question de savoir si l'on peut, après avoir placé « une p
o- • pathes, et, qu'à côté de ces deux écoles ainsi divisées sur la question t importante de l'application de l'auto-suggestio
le Tribunal ne saurait, sans une certaine « inquiétude, trancher une question si grave et si troublante... » Gaston Thomas, A
oduite dans l'état hypnotique, » Mes propres observations sur cette question m'ont conduft à des conclusions plus avancées enc
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
e les débats sur l'hypnotisme ont eu toute l'ampleur que comporte une question aussi intéressante. Les organisateurs du congrès
nt peut-être inspirés par leur défaut d'expérience personnelle sur la question . N'est-il pas essentiellement humain de dédaigner
premier? Ne s'agit-il pas là, comme pour toute les médications, d'une question de posologie? Il appartient au psychothérapeute d
onclure que de l'application de l'hypnotisme dans les maladies en question , on pourrait toujours obtenir des résultats favor
au jour indiqué. Nous pensons que ces faits suffisent pour écarter la question de coïncidences. Dans l'observation II, nous av
té et la grande compétence de M. le professeur Stumpf dans toutes les questions philosophiques et pédagogiques, nous l'avions lou
rticles parus dans divers journaux français qui se sont occupés de la question , me décident à prendre encore une fois la parole
resque entièrement ignorées ? Il serait difficile de répondre à cette question . La vérité est que ses ouvrages sont depuis longt
nce où il est rare de rencontrer, mémo parmi les plus intéressés à la question , quelqu'un qui se souvienne qu'une traduction des
{Illustres médecins et naturalistes) ces lignes qui répondent à votre question : a Quand Dupuytren entrait dans un appartement
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
mental et thérapeutique __ 12e- année. — N° 4. Octobre 1897. LA QUESTION DES SUGGESTIONS CRIMINELLES ses origines, son é
ées et qui représentent la doctrine de l'Ecole de Nancy, sur la grave question des suggestions criminelles, n'ont rencontre aucu
re des adeptes, il fauê bien l'avouer, ceux-là nient la lumière. La question entre désormais dans une phase nouvelle ; dans ce
n courant d'opinions auquel nous sommes lier d'avoir contribué. Cette question des irresponsables devant la loi, si elle n'est p
érite d'être prise en considération comme facteur étiologique dans la question qui nous occupe. — Il nous faut différencier dans
onnement cellulaire et à fortiori pour l'emprisonnement collectif, la question est done jugée. A chaque Dauphin jadis, était a
rps ; à chaque minute, il s'attend à être interrogé: il craint que la question posée ne le prenne au dépourvu ; il a peur de ne
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
as pris la montre parce que cela aurait été mal de le faire. D'autres questions révélèrent le fait qu'elle avait parfaitement com
itement compris que la suggestion était de nature expérimentale. A la question : pourquoi elle n'avait pas obéi, puisqu'elle sav
u cette doctrine, à aucune époque ; depuis mes premiers écrits sur la question en 1883, jusqu'à mon dernier (Piapportau Congrès
témoignent d'une parfaite conscience de leur être ; ils répondent aux questions qui leur sont adressées; ils savent qu'ils dormen
re la Leçon VIII de ce livre, il se convaincra qu'il m'a prêté sur la question des suggestions criminelles une conception erroné
dans le même degré de l'hypnotisme (1) » Ce n'est là au fond qu'une question de mot ; il y a plus, cependant. J'ai démontré, e
ve, en l'excitant, à le faire manifester par gestes et à répondre aux questions ; on arrive, au réveil, à lui faire raconter tout
voulu rectifier quelques assertions du Dr Milne Bramwell et mettre la question au point. Proclamons hautement avec lui que Braid
en la conscience du sujet ; pendant le jour, il répond à peu près aux questions élémentaires qu'on lui pose tout en lâchant conti
nches, et peu de temps après son lever, que survenait le phénomène en question . Pendant qu'elle était occupée à faire le ménage
la personnalité, loin d'être purement subjectif comme l'impression en question , n'est même jamais connu du sujet que d'une façon
complissement de crimes ou de délits ont été jusqu'ici fort rares. Là question est cependant si importante, étant donné l'état a
qu'il est tout naturel qu'un Congrès de médecine légale ait porté la question à son ordre du jour, afin de bien fixer l'étendue
le ferons dans un travail ultérieur, plus complet, consacré à la môme question . L'éducation de la volonté et la lutte contre l
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
la section de pédagogie, nous avons eu l'honneur de soulever la grave question de l'emploi de la suggestion comme moyen d'éducat
e, n'avait encore été soumise au contrôle d'une société savante. La question était donc absolument neuve. Plusieurs psychologu
le domaine de la pratique. C'est par nos travaux personnels sur cette question , que l'orthopédie mentale est devenue une science
turellement, les recherches du fonctionnement matériel des organes en question . Le goût a été trouvé tantôt exagéré, tantôt dimi
inés, sont perverties chez les délirants chroniques systématiques-Les questions de dates, d'époques, de lieux n'existent plus ou
e similitude. Or, depuis de longues années, chaque fois que le mot en question revient dans son chant, il éclate immédiatement e
n, Boirac, Dérillon, Archambaud, Colas, Ilartenberg et Valentin. La question de l'utilité pratique du sommeil provoqué est mis
ir le temps nécessaire, répond M. James Sawyer, qui a développé cette question dans une conférence faite à Birmingham sur la lon
rapporte une conversation qu'il eut avec Alex, de llumboldt sur cette question du sommeil. — Quand j'ai commencé à vieillir, dit
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
soit permis do le faire remarquer tout d'abord, c'est là trancher la question par la question ; c'est résoudre le problême, ava
le faire remarquer tout d'abord, c'est là trancher la question par la question ; c'est résoudre le problême, avant même d'en avo
grés aussi dans le sommeil naturel. Je ne puism'etendre ici sur cette question . entretiennent habilement dans le public, voi
vec M. Bernheim. C'est un danger, je crois, d'ouvrir ainsi, sur des questions aussi délicates, un débat de personnalités devant
lité des faits. Si M. Bernheim diflère de M. Licbeault pour certaines questions d'adaptation pratique, si M. Bernheim préfère l'e
tre collègue, je le convierais à ne plus introduire dans le débat des questions subsidiaires qui ne sont pas susceptibles d'être
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
des maladies nerveuses et mentales, sur les mesures de restriction en question et de demander surtout à nos maîtres de l'hypnoth
s mesures de précaution sont nécessaires ou non. La réponse à cette question est d'une double importance : ou elle calmera l'e
, la réfutation devient trop facile. J'examinerai tout à l'heure la question de savoir si des expériences négatives peuvent ja
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
vais prendre soin de préciser le côté proprement psychologique de la question . » ». La conscience (*) peut, à ce qu'il semb
eux de Crookes eldcGurney, Myers etPodinore qui se rapportent à cette question . Il faut avoir confiance dans la science, et atte
ni prouvé, ni puni. Mais je ne veux pas revenir longuement sur cette question , que j'ai déjà élucidée ; je n'en veux, en ce mom
îl m'avait confié quelques-uns de ses manuscrits sur cette importante question . De nombreuses observations y démontraient l'exis
ersisté, et, après six années.de souffrances physiques et morales, la question d'une laparotomie avait été agitée afin de reconn
construit selon son imagination et sa mémoire apparaît et répond aux questions qui lui sont adressées. Ces scènes sont assez dra
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
es.) Des conférences complémentaires et exercices pratiques sur les questions qui relèvent de 1 hypnotisme et delà psychologie
il veut bien s'astreindre à cette règle du synchronisme dont il a été question plus haut. Soit, dira-ton, les diverses syllabe
Dans un nouvel article qui, je l'espère, sera le dernier sur cette question , je discuterai les diverses critiques qu'on ne sa
onque, comme Ora pro nobis. — Le timbre de la cloche était une grosse question au moyen-âge, el l'art de la cloche un art import
eut-être comprendra-t-on l'intérêt de premier ordre qui s'attache aux questions que nous nous efforçons depuis longtemps d'élucid
sommes attachés, dans les pages qui précèdent, à l'examen de ces deux questions : 1° Dans certaines circonstances données, un h
ou d'une rade que de les dissimuler. Mais, si graves que suient les questions ainsi abordées, elles ne donneraient cependant qu
ns de l'hystérie les troubles convulsifs du premier âge. C'est ta une question qui nous parait demander une démonstration plus p
u le substitut de la (1) Lorsque, tout récemment, j'ai exposa cette question à la tribune delà Société d'hypiiotogie et de psy
t Augustin : Delà correction et de la grâce, où il émettait sur cette question les mêmes idées que Jansen. Il compo-ait encore
ement des troubles des centres nerveux, prétend que lu jeune fille en question est à l'abri de toute espèce de maladie et pourra
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
que mon travail et prétend rectifier mes assertions afin de placer la question sous son véritable jour. Ainsi, dit-il, Braid pro
de conscience peuvent être obtenues si on stimule ces sujets par des questions , et qu'ensuite ils peuvent raconter ce qui s'est
de rien après le réveil». Ils peuvent être questionnés, tourmentés de questions , pendant ce sommeil, et toutefois restent inertes
consiste en ce que l'état mental du sujet n'a pas été étudié par des questions pendant l'hypnose. Mes expériences sur ce sujet o
hysiologiques. — 4° Applications pédagogiques et sociologiques. Les questions suivantes seront l'objet de rapports généraux :
ris, Maloine, 1898. — Le Dr Levillain, qui a déjà écrit, sur diverses questions relatives au système nerveux, de nombreux travaux
e peu présumer de son utilité. (t) Les références relatives i colto question so trouvent dans les noies d'un orticlo que j'ai
l'écriture; M. Obici l'a d'ailleurs déjà utilisé pour l'étude de deux questions spéciales, l'écriture chez les jeunes enfants et
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
dans l'hypnose, par le Dr Bourdon, 178. Suggestions criminelles (la question dea), par le Dr Liégeois, 98. Suggestion mental
35 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s camarades, apparaît calme, obéissante et passive. Elle saisit les questions simples, connaît les objets usuels, et bien que
t que pour 3 d'entre elles ; . les trois épileptiques dont il a été question plus haut et dont l'une était en outre porteur
ma témérité de modestie. J'ai posé d'a- bord aux maîtres de simples questions . Je me suis pénétré de leurs conseils, y compri
is, si tranchant, avait rêvé ? M. Janet allait lui-même trancher la question : Voici ce que ce savant me faisait l'honneur d
elle-même ». Il appert donc très nettement de ce qui précède que la question de l'indépendance fonctionnelle des deux cervea
la duplicité organique. § 3. DUPLICITÉ organique. Voilà bien une question de grande importance et propre à in- téresser m
poches branchia- les ancestrales ». Si cette opinion est fondée, la question serait dès lors vidée dans le sens de la dualit
qui précède, je pourrais cesser de parler des organes médians : la question qui les concerne se trouve tranchée par une for
en conséquence leur forme dans le sens de la larve normale : simple question d'adaptation; mais elles ne puuvaientse fabriqu
uf, qu'en l'esprit de quelques lecteurs il reste une équivoque : La question , en effet, n'est pas tranchée de savoir si les
aux expériences de tératogénie qui « satisfont la curiosité sur la question des origines » et qu'il avait aussi, de son côt
s troubles profonds de la mémoire. Il est incapable de répondre aux questions qu'on lui pose et reste immobilisé dans son lit
rveillance à laquelle une chute n'eût pas échappé. Les accidents en question ne semblent donc pas attribuables à un traumati
T. mettent ce point en lumière d'une facon inattendue. (1) Sur la question de la fonction nerveuse trophique. 58 REVUE D'A
(Nouv. Icon. de la Salp. 1906, no 5.) Résumé bibliographique de la question et exposé de recherches personnelles expériment
urologie, 1906, n° 24.) On sait que les auteurs sont divisés sur la question de savoir si ce sont les mêmes éléments nerveux
ilis ; par CATALA. (Nouv. Icon. de la Salpêtrière,1906, n° 4.) La question des rapports de la sclérose en plaques et de la s
e de Basedow ; par Parrhon et llAnBG.(L'Encéphale,190G, n° 5.) La question des rapports de la maladie de Basedow et des trou
qu'un traitement moral par la persuasion. M. SÉGLAS pense que la question de sortie est plus délicate que celle de l'entr
u'on leur parle d'âme à âme, de pensée à pensée ; chez la malade en question , les hallucinations psychiques dominent t les a
s et que leur place est assurément dans l'asile spécial dont il est question . M. BRIAND insiste sur la nécessité qu'il y a d
eures ? Comment cela se fait-il que les « hommes me répondent à ces questions que j'ai mis le (eu chez «moi dans.du foin ou d
ait l'état de notre malade au moment où elle a commis l'incendie en question , es- savons de reconstituer l'enchaînement des
és diverses, de ce fractionne- ment du moi, ne fait que déplacer la question et que le seul fait de ne pouvoir tracer les li
ures. Séance du ICI' août [soir). L'expertise médico-légale et la question de la responsabilité ; par le Prof. GILBERT Bal
vidualité propre et n'est que subordonnée à la précédente. Or les questions de responsabilitité morale ne regardent pas le
nsable qu'en tant qu'il est con- sidéré comme une cause libre ; ces questions sont donc d'ordre métaphysique et non d'ordre m
avis, vise un point de fait.d'ordre exclusivement médical et non la question de responsabilité ; c'est arbitrairement qu'on
ntrairement à la lettre et à l'esprit de la loi, d'introduire cette question dans les ordonnances, les jugements à fin d'exp
aujourd'hui couramment même par ceux qui se rendent compte que les questions de responsabilité ne sont pas du domaine médica
é de cette nocuité. S'il n'a pas à s'immiscer di- rectement dans la question d'application de la peine, il doit s'abstenir p
n partie, au légitime désir qu'a le médecin expert de répondre à la question posée par les ju- ges, dans la forme même où el
on du rapport du Dr Gilbert Ballet sur l'expertise mé- dicale et la question de responsabilité ; Par le Dr Grasset (de Montp
, notre éminent collègue le Dr Gilbert Ballet pose admirablement la question comme le Congrès de Lille le souhaitait : En ma
sablité ou sur le de- gré de la responsabilité d'un inculpé ; « les questions de res- 118 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET
sont pas du domaine médical ». La réponse est aussi franche que la question est nette. - Avec la même franchise et la même
losophe, la seconde au magistrat ou au lé- gislateur ; aucune n'est question médicale ; donc, le médecin n'a rien à voir dan
par suite le médecin, s'il ne peut pas résoudre à lui seul toute la question , doit intervenir et apporte un document précieu
n autre élément, celui même que vise le magistrat quand il pose ses questions au médecin expert : ce sujet est-il ou non resp
sister » aux forces qui le sollicitaient vero le mal ? Voilà une question qu'il faut résoudre pour établir la responsabilit
et le devoir d'y répondre. Gilbert Ballet nous dit que, dans cette question , le magis- trat ne devrait pas employer le mot
e paraissent déjà bien justifier l'intervention du médecin dans les questions de res- ponsabilité, je demande la permission d
en voulant réduire le rôle et l'intervention du médecin dans ces questions de responsabilité, alors que le progrès social me
rt du Professeur Gilbert Ballet sur l'expertise médico-légale et la question de responsabilité : . Le XVIIe Congrès des mé
la folie; cela fient non à une ma- nière différente d'envisager la question de responsabilité, mais bien à des divergences
bsisterait-il pas ? M. I RnNCOTTL (de Liège). Je suis d'avis que la question de responsabilité pénale est de la compétence d
errain rigoureusement médical, l'expert aliéniste peut répondre aux questions de responsabilité. J'estime, en outre, qu'il se
, c'est sous cette forme que je voudrais voir poser aux experts les questions qu'ils ont à résoudre sur la capacité mentale d
M. Bernheim (de Nancy). Nous n'avons pas le moyen de résoudre la question de responsabilité atténuée et je serais prêt à
action; que le moL«responsabilitér,n'y est pas écrit ; 2° Que les questions de responsabilité,qu'il s'agisse de la responsa
e pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre les dites questions qui excèdent sa compétence. Le témoignage des e
plus déplorables phases du sujet. C'est nécessaire de considérer la question bien en face. L'experf-médccin,quand il paraît
r la réputation de toute leur profession. . Une loi abolissant la question de l'hypothèse comme fac- teur dans les cas cri
aleux sur ce que le public et le jury considère comme une et même question . Tout conseil sait que les médecins en général
es prisons'comme ils le méritent, mais il est en lutte avec la même question qui con- fronte actuellement les cours,et que l
s, il n'y a là qu'une constatation secondaire au point de vue de la question qui divise actuellement les aliénistes, à savoi
M. Schnyder de Berne,et M. Claude,de Paris. Il était utile qu'une question aussi délicate fût étudiée et mise au point par
sont peu claires, ces définitions, elles ne font qu'embrouiller une question déjà fort embrouillée d'avance. Je retiendrai d
placé que personne pour apporter une saine appréciation dans cette question , car je n'avais pas en face de moi cette hystér
r cela, que la volonté soit réellement maîtresse des plié- mènes en question , c'est-à-dire qu'elle soif capable d'en déter-
de Boulogne-slr-Seine). - Ce qui cause la confusion actuelle sur la question de l'hystérie, c'est l'intro- duction dans son
encore les arrêts de fonctions qui les déterminent. C'est donc une question de résistance du système nerveux d'abord, qui p
sante communication et le félicite d'avoir renouvelé l'aspect d'une question qui semblait classée. Il croit aussi que l'infe
arer l'histogenèse générale de l'histogenèse propre du cortex ; les questions soulevées dans chacune sont en effet très disti
us complexe. L'auteur accorde une place importante à l'examen de la question des genèses tardives,et de celle de la valeur d
tives aux lésions en foyer. Les auteurs qui ont tenté d'élucider la question en étudiant les phénomènes histologiques de la
graphes distincts, l'embryologie comparée et l'étude de certaines questions encore neuves et très controversées. Ainsi, en se
couche chez 172 BIBLIOGRAPHIE. l'adulte. Il examine également la question du changement de direc- tion des neuroblastes p
changement de direc- tion des neuroblastes pendant leur migration ; question encore dis- cutée, les uns admettant la rotatio
ux comme le premier formé. L'auteur a eu soin de matérialiser ces questions par des schémas, où il met en présence les opinio
des cellules à neurite corticifuge ; à ce sujet, est exa- minée la question du sens de la conduction dans les axones, den-
ort d'experts aliénistes. Le prévenu Thirion est-il un t'eu ? Cette question posée aux mé- decins aliénistes les plus éminen
si c'est une aura sensorielle. Certains auteurs ont étudié cette question des trou- bles oculaires précurseurs de l'accès
d'ensemble (13) et dans un autre travail d'Alz- heimer(14). Il est question dans ces ouvrages de lésions trouvées principal
herches montrent qu'il faut être circonspect car il pourrait être question dans nombre d'observations de syndromes cliniqu
s chez les déments précoces, il pourrait n'y avoir là qu'une simple question de degré. De même, ils tiennent, avec raison, u
ger le rapport et la consultation ; 4° Une épreuve écrite sur une question relative aux soins à don- ner aux différentes c
artivé à constater que l'in- firmerie en général est bien moins une question de dévoue- ment qu'une question de connaissance
merie en général est bien moins une question de dévoue- ment qu'une question de connaissances rationnelles du malade. Donnez
s, et qui sut comprendre que l'assistance des aliénés doit être une question essentiellement et purement médicale, c'est-à-d
gné l'an dernier est M. le Dr CULLERRE. Enfin elle fixe les trois questions qui seront l'objet de rapports au Con- grès de
se compléter pour ainsi dire, s'ils veulent réussir à résoudre les questions difficiles que non seulement la science,mais au
re autres des épileptiques et des alcooliques - que dans les autres questions le congrès produira des résultats fructueux. Pu
ctionnels hys- tériques, j'abandonne d'autant plus volontiers cette question se- condaire que je l'ai représentée avec beauc
difficiles de l'as- sistance publique et d'examiner les différentes questions qui pourront lui être renvoyées. Art. 2. Cett
ayant répondu très franchement et .d'une façon précise à toutes les questions qui lui avaient été posées, il est devenu possi
A l'étude DES perversions sexuelles 259 qu'au moyen d'une série de questions spéciales qu'on a pu éta- blir chez elle les se
aucuns symptômes de sadisme ni de masochisme. Il n'est pas non plus question d'inver- sion sexuelle. ' OBs. Il. Un cas d'h
cant. La malade tâ- chait toujours d'amener la conversation sur les questions con- cernant les organes génitaux et manifestai
avec ses amis le convain- quent de plus en plus qu'ils comprend les questions de la vie sexuelle tout autrement que tout le m
fet, après avis du conseil général. En voyant se succéder sur cette question , sous forme d'articles ou de délibérations, les
sourds-muets et aveu- gles peuvent recevoir l'enseignement. ' La question ayant été reprise en 1904, une Commission fut c
tablir sur les bases que paraît avoir approuvées le Parlement ; les questions concernant les sourds-muets et les aveugles con
s cas de tumeurs, d'empyème ventriculaire, etc. Il n'est donc point question ici d'un hydrocéphalus ex vacuo. Bien des point
. Le Congrès de Genève-Lausanne ; l'expertise médico-légale et la question de la responsabilité. M. Paul FAREZ, délégué de
essentiel- les de l'honorabilité professionnelle ; 3° d'étudier les questions qui se rapportent aux divers modes d'assistance
chologie, se signale par l'étude nouvelle que vient de faire sur la question le professeur Mairet.Elle paraît à un moment où l
ntenu dans le n° 9 des Archives et vous donner mon sentiment sur la question des retraites des médecins d'Asile. Voici bient
attributions que le contrôle, l'étude et les propositions de toutes questions intéressant le service médical dans l'asile entie
Au médecin en chef reviendrait en- core l'étude et la solution des questions générales intéressant les deux services à la fo
tles raisons de la conspiration ambiante, qu'elle ne posait pas les questions , et qu'elle y répondait seulement par intervall
on intellectuelle, cause avec volubilité, répond avec précision aux questions posées. Alsacienne d'origine, elle parle et écr
ne sais au juste», répètc-t-elle 'e toujours, quand on la presse de questions .Quoi qu'il en soit, si elle ne trouve pas exact
t exécuté devant nous ce geste spontanément quand on la pressait de questions sur un point 358 PATHOLOGIE MENTALE. donné, n
thodes d'éducation des idiots et des imbéciles, de répondre à cette question . Or cela n'est pas toujours facile. On pourra rec
ale, bibliographique et critique, qui met au point et à sa place la question des encéphalites aiguës dégénéra- tives.Il y a
émique assez virulent entre les deux savants mai- tres au sujet des questions relatives à la pathogènie de l'hystérie. M. Ber
côté opposé. Kunig rappelle à propos de ce cas ses travaux sur la question (Nrlg. Ctrbl., 1892 et Arch. f. Psych.,XXXI) ;
tit nombre de cas. 4° Amnésie dans les vésanies. Cette partie de la question est plus intéressante au point de vue psycholog
al le peut de même, et ainsi se trouve résolue par l'affirmative la question de savoir si l'homme est responsable. On nous p
sponsabilité. Les conséquences philosophiques sont relatives : à la question de l'innéité du bien et du mal, et à celle de l
concours, dans le Numéro des Etudiants de nov. 1907, notamment les questions données à l'é- crit et à l'oral depuis une diza
des formes évolutives, il ne suffit peut-être pas d'avoir résolu la question de « l'mtervalle lucide ni de cons- tatei, long
les stades de débul;mais elle ne pénè- tre pas dans le coeur de la question et ne justifie pas ses préten- tions à avoir po
redouter un pronostic désobligeant ; voici donc celle du concept en question : « Déplacement du- rable du point de vue duque
et la peine. Il n'a pas craint d'aborder à ce propos « l'an- tique question de la libre détermination de la volonté », non sa
du droit attribue la responsabilité pénale ? Telle est en somme la question posée par le législateur. » Dans les`deux der
) -1 *; Î-0 Malgré tous les travaux et discussions qu'a suscités la question , / le rôle du traumatisme dans la genèse des ma
ésenté lui-même dès la naissance des accidents spécifiques. Cette question des rapports entre les traumatismes crâniens et
éer. Mais le doute n'est pas de mise sur le terrain pratique, où la question se réduit à savoir si le trau- matisme a occasi
Dans ce travail, le Prof, fait une mise au point de l'importante question des névroses. Ce groupepathologiquedesnévroseseng
vue critique mettant à contribution tous les tra- vaux parus sur la question et sur les questions connexes, travaux dont est
à contribution tous les tra- vaux parus sur la question et sur les questions connexes, travaux dont est donnée la bibliograp
1907. Présidence de Jl. Voisin. L'e.rpertise médico-légale et la question de la responsabilité. Il. Paul FARez. - Si, com
e la responsabilité. Il. Paul FARez. - Si, comme on le soutient, la question de la responsabilité est une question de métaph
Si, comme on le soutient, la question de la responsabilité est une question de métaphysique, elle sera également métaphysiq
forte). En somme, l'expert est amené non pas à se prononcer sur une question de métaphysique, mais simplement il formuler un
ment, d'une mesure de préservation sociale.- La discussion de cette question est main- tenue à l'ordre du jour de la Société
'inculpé soit jugé, c'est donc qu'il soit capable de comprendre les questions qui lui sont posées et d'y répondre avec raison
jà assez puni par sa manie (furor), disait Modestinus. Lorsque la question de la folie était posée, on prescrivait au juge
rage de leur persécuteur ; et à leur propos se posent de délicates questions médico-légales. Un grand nombre de ces déshérit
ne pas laisser soupçonner « la tare alcoolique » est tel que les questions sur l'hérédité restent moins souvent sans réponse
ger le rapport et la consultation ; 4° Une épreu- ve écrite sur une question relative aux soins à donner aux diffé- rentes c
Le - de Genève- I.-111%'ilille ; l'expertise médico- légale et la question de respon. al)ilité, par Farez, p. 307. Rappo
te, par Pachantoni, p. 296. Expertise \I1.1)ICO-LÉG1LH. - et la question de la responsabi- lité, par G. Ballet, p. 115,
36 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
trame dont la blessure du crâne serait le premier ? Telle est la question que je me suis proposé d'exa- miner. Il m'a sem
bus, etc. Faut-il incriminer le traumatisme ? De la réponse à cette question dépendra la valeur du secours ou de la pension
térieur. Qu'arrive- t-il quand il y a eu simple commotion ? Cette question avait déjà préoccupé Morgagni : « Bérenger, dit
ans celle des sensations brutes de la vue ? Avant de répondre à ces questions , Luciani nous convie à exa- miner les faits, j'
, selon nous, des dernières recherches de ce physiologiste. Trois questions ont été surtout ici bien étudiées : Dans quelle
auteurs italiens, est celle-ci : « Aujour- d'hui, la solution de la question des localisations céré- brales ne consiste pas
dans chaque hémisphère, avec les deux rétines. III. La troisième question , celle de la nature des centres corticaux de la
si profonde de l'intelligence, comprennent encore pour- tant les questions qu'on leur adresse. Enfin, on sait que l'amnési
avait l'ouïe intacte et répondait « aussi bien que possible » aux questions , a même inspiré à Seppilli une hypo- thèse orig
à notre regretté et illustre maître Paul Bert, qui a fait sur cette question des re- cherches si belles, si étendues, et qui
Là, nous trouvons les nombreuses théories qui ont été émises sur la question qui nous occupe, théories que nous allons retra
péremptoire par les auteurs qui ont écrit en dernier lieu sur la question . Voici son remarquable passage que nous reprodu
nts brusques de pression. Maintenant nous arrivons à une deuxième question non moins intéressante. Est-ce à la présence de
sont tout à fait opposés. Le Dr Magnin, qui a si bien étudié cette question dans sa thèse inaugurale ', a fait remarquer qu
ir dans les veines est pour bien peu de chose dans les accidents en question . Or, la clinique, non moins que l'expérience ét
es. Tout naturellement, nous sommes amené à l'étude d'une quatrième question . Est-ce tous ou un seul des trois gaz du sang q
I. Bernard et de l'auteur, démontrent simplement que le ganglion en question possède une certaine puissance trophique- auton
ent, on pourrait penser, dans les traumatiques dont il vient d'être question , non plus à des troubles émanés du cerveau, mai
ue fournit des présomptions en faveur de l'innervation du muscle en question ; elle prouve en tout cas que tout le peaucier n
ital Wenzal-llanhe une 'succursale de cette section de l'hôpital en question ; on y trouve actuellement 90 malades. Le chiff
commencé la construction du nouvel asile de la ville, mais il était question de ne l'élever que par annuités. Et cependant,
veut dire que M. Wernicke ne se trouve pas encore dans son élément. Questions de budget et d'administration probablement (Red.)
Ce travail est, on le voit, le remède le plus complet de toutes les questions relatives à l'étiologie de l'hystérie. Charpentie
demment l'éducation qui est destinée à jouer un rôle énorme dans la question des enfants criminels. 11 aborde ensuite, dans
des et des plus variées observe-t-ou alors ? L'auteur analyse cette question avec beaucoup de détail. Il prend dans ce but d
omplet notre quartier de sûrelé. Pour répondre à une autre de vos questions , les pavillons avec noms laïques, ont élé ainsi
r à une situation aussi déplorable. Il serait bon de soumettre la question au Conseil supérieur de l'assistance publique qui
de Genève a pris enfin une mesure analogue. Il y a là une véritable question d'hygiène publique. On attend toujours à Paris
e Paris en 1889. - Par- ticipation de l'Italie. - On : -ait que les questions d'anthropologie criminelle sont à l'ordre du jo
Ferri, Il. Gurofalo, G. Sergi.et 17 faits DIVERS Mayor. Parmi les questions proposées, nous relevons les suivantes : stigma
de l'anthropologie aux recher- ches de la police (on sait que cette question est entrée à notie e préfecture de police dans
r l'automne prochain, à une date encore à déterminer, à Novare. Les questions proposées, qui ont été fixées à Sienne, sont le
burn {M anches med. Chron. 1889) contient un exposé assez net de la question , bien que le terme d'hystérie se fasse bien dif
elle a cependant bon nombre de partisans. Enfin en Allemagne, cette question se met peu à peu à l'ordre du jour : Leyden, Op
casion d'observer un cas presque identique chez un militaire. Une question d'une grande importance est celle de l'âge auqu
active me paraît absolument indiquée. , C'est presque toujours la question du trépan qui se pose dans ce cas. Or, avec les
it y revenir. Médecine légale. Tout problème médico-légal est une question d'espèce, il demande à être étudié en lui-même.
gle dont il ne faut jamais se départir. Ce n'est guère que pour des questions de responsabilité civile que le médecin légiste
as d'autres constitutionnelles (hérédité, etc.). C'est toujours une question de diagnostic médical, et j'ai essayé de montre
on tour à éclaircir d'une vive lumière l'étiologie des accidents en question , est l'ex- périence. Or, grâce à ces deux sourc
faut nous appuyer pour faire une étude complète et précise de cette question qui est au fond si pratique et si intéressante,
en durée aux immersions antérieures à son accident; il ne peut être question du nombre des immersions comme cause de l'accid
l'élément étiologique unique dans la production de l'accident en question . Jamais ce scaphandrier à cette profondeur n'a
'histoire de la même obser- vation, suffit à rejeter dans le cas en question l'action étiologique des causes qui agissent en
séjour étant égal en durée, sans ancun accident. Il ne peut être question du nombre des immersions comme cause de 220 CLI
'avaient pas chargé leur estomac avant l'immersion, il ne peut être question dans l'étiologie de ces accidents des causes qu
té de la décompression ne sont pas à considérer, car le plongeur eu question a été atteint à la suite de la troisième immers
it identiques, sans aucun accident. Ajoutons qu'il ne peut pas être question des causes qui agissent en s'opposant à l'élimi
aboutissent en fin de compte au même effet que celles dont il a été question précédemment, seulement par une voie différente
ent obligé de chercher ailleurs la véritable cause de l'accident en question , qui n'est autre que le refroidissement; en eff
II. : : 1.) Accident de /'Observation XLVII. - Le scaphan- drier en question a été atteint dans les circonstances suivantes
ur et une décompression toujours brusque, tandis que le plongeur en question a fait dans le cours de son travail un grand no
tion profonde des facultés intellectuelles, cependant il répond aux questions qui lui sont adressées et, souvent, d'une façon
vants anglais, après quoi une quantité de travaux traitant de cette question parut en France et en Amérique. La littérature
er sous silence le travail du D'' Bourneville, qui en rattachant la question du myxoedème à l'idiotie, change et élargit la
l'hystérie et de l'idiotie, participa à l'éclaircissement de cette question . Il publia d'abord, avec d'Olier, un cas remarqua
du professeur Charcot dans laquelle le célèbre professeur traite la question de la thérapie du myxoedème; il nomme, comme ag
M. Bourneville etBricon', 1, qui traite d'un autre point de vue, la question du myxoedème. Ce travail a pour but de prouver
es sujets n'ayant pas atteint le plem développement physique. Cette question provoqua une polémique animée autant entre chir
en donne le meilleur exemple. Concernant le côté pathologique de la question nous devons rappeler qu'on s'intéressait sérieu
ressait sérieusement, il y a vingt et vingt- cinq ans de cela, à la question de la dyscrasie crétinoïde, et qu'on tâchait de
sa résorption, intoxiquait tout l'organisme. De cette manière cette question fut mise de côté sans être éclaircie et décidée
thyroïde, empoisonne librement le cerveau. Dans tous les cas, cette question resta non décidée et donna naissance à une séri
-EDING (7a/t)'&KC/to ? Psychiatrie, VIII, 1. 2) L'abstinence en question n'est nuisible que chez les névropathes à besoi
einal fait ensuite voter par le Congrès un voeu tendant à ce que la question de l'aliénation des détenus fasse l'objet d'une
nièrement au Sénat, on donne une aussi grande importance dans cette question de l'internement des fous à l'élément administr
ui icste toujours inactif. M. Ballet fait observer que dans cette question on ne peut se baser sur l'anatomie pathologique
- ques autres personnes et de consigner leurs réponses à ces deux questions : 1° Avez-vous eu des hallucinations ? 2° Si oui,
Après la lecture d'un rapport de 1f. CH. Ricult sur l'intéressante question de la TERMINOLOGIE DE l'hypnotisme, le Congrès dé
E L'ALCOOLISME Tenu il Paris du 29 juillet au 1" àoùt 1889. Trois questions étaient posées : 1° alcool, criminalité et folie
cooliques dans certaines maisons de retraite, à l'étranger. A cette question peut se rattacher la suivante : DES boissons sa
M. LIÉGEOIS, professeur de droit à Nancy, lit son rapport sur la question suivante : des rapports DE la SUGGESTION ET DU SO
tain nombre et appelle en outre l'attention du Congrès sur quelques questions connexes, telles que les fausses accusations de
ANTHROPOLOGIE CRIMINELLE Tenu à Paris du 10 au 17 août 1889. A la question posée : existe-t-il un TYPE de l'homme criminel ?
ée dans les facultés de Droit. SOCIÉTÉS SAVANTES. 293 (D'autres questions fort importantes ont encore été traitées à ce C
ne seule qui nous intéresse au premier chef, car il s'agit là d'une question encore très contro- versée tant en France qu'à
uer en doute, pour juger de l'importance qu'elle doit avoir dans la question . M. LACASSAGNE (de Lyon) demande si ce qu'il ap
Mais il existe une sorte de contradiction entre l'interprétation en question et le paragraphe 708 qui attribue une responsab
lés avec soin. S'ils ne sont pas tous également instructifs, si aux questions précises qui avaient été posées ils ne réponden
récède que la situation est triste; indigne d'une démocratie où les questions d'assistance préoccupent si jus- tement le parl
euse à la commission administrative. , 31 VARIA. 8 Si, pour des questions qui se rattachent directement à leurs fonctions
il ne faut pas craindre de crier un peu fort; que, surtout dans les questions d'as- sistance et d'hygiène, la franchise admin
ubliée par le Médical Standard, de Chicago, et dans laquelle il est question de l'hygiène et de l'organisation du « Cook conen
d'une pure combinaison pathologique, mais encore soulève quelques questions intéressantes à un point de vue pratique qu'il
350 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. rose lobaire de l'enfance ? Ce sont deux questions que nous ne pouvons trancher. Les scléroses lob
r MM. Jendrassik et Marie et par M. Richar- dière dans sa thèse. La question du rapport de ces plaques cicatricielles avec l
l'esprit la plupart de ces difficul- tés quand on aborde ces hautes questions de physio- logie cérébrale. La clarté de l'espr
la dialectique ne sont ici d'aucun secours pour l'avancement des questions . Les solutions qu'on serait tenté de propo- ser
té et de franchise, est toujours d'une correction parfaite dans les questions de psychologie physiologique. Par volontaire, i
ce, Maurice Schiff, tient une si grande place dans l'étude de cette question (qu'il a d'ailleurs traitée à l'origine dans de
n, l'écorce a été trouvée mécaniquement inexcitable. Cf., pour la question de l'excitabilité de l'écorce cérébrale, en Itali
connues de Luciani sur le sujet de ce chapitre'. Voici d'abord deux questions qu'il s'était posées et qu'il a- résolues au po
un sans en léser fatalement plusieurs autres ? La réponse à cette question ne peut être douteuse chez les auteurs LES FONC
très lente à répondre et cela après avoir répété plusieurs fois la question « quoi ? qu'est-ce ? » Ce n'est qu'après mainte
« quoi ? qu'est-ce ? » Ce n'est qu'après maintes répétitions de la question , qu'elle répondait par monosyllabes et encore p
at notable '. A. RAOULT. 1 Nous reviendrons prochainement sur cette question . SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ IÉDICO-PSYCII 0 L
ibrine, avec ou sans addition d'un gramme des quatre narcotiques en question , on voit que le pouvoir digestif du suc gastriq
Observation III. Ataxie, suite de scarlatine. Tout en réservant la question de l'ataxie produite par des affections en foyer,
1888.' -PRÉSIDENCE DE M. iESTPH 1L Rapport de la Commission sur la question suivante : de l'atté- nutation de la responsabi
rement en évidence les lacunes de la loi. B. M. Grashey traite la question , surlout au point de vue de l'applicatiou jurid
erie et de perte de la rai- son. L'article premier du paragraphe en question exempte de la responsabilité l'intoxiqué revenu
die mentale, n'est pas admis. Après avoir tracé l'histoire de cetle question dans les divers pays, et en avoir disséqué les
mme motif de divorce, une affection somatique, ce qui laisseiait la question en suspens. Discussion . M. Mcschede. Le divo
ur les personnes de l'entourage. M. SCIlOEFk : n. -C'esL surtout la question sociale qui importe ici. C'est elle qu'il faut
evoir en y faisant quelque attention. Quoique cela, les articles en question devraient spécifier plus ex- pressément les div
s décisions suivantes : «Le bureau est invité à faire progresser la question psychiatrique con- formément aux opinions émise
lle et se rallie aux propositions du rapporteur ; la conduite de la question e-t laissée au bureau. M. FINKELI\DURG. De la
de 7 à 13 ans, soixante pour cent des élèves méritant la moyenne en question ; quatre pour cent n'avaient pas d'aptitudes mu
ncoren'est-elleqne fugitive. A l'unanimité les vingt-cinq idiots en question jouissent agréablement des variantes du ca- ril
à la suite de blessures céphali- ques, dans leurs rapports avec la question de la responsabilité soli- daire. - Il s'agit d
ffection psychique avec les lésions cardiaques ? 11 ne saurait être question ici d'une maladie mentale occasionnée par une a
ncé pour que l'on entende la lecture du travail de M. BRosus sur la question des gardiens. (Allg . Zeitsch., f. Psych., XLV,
tous les détenus mourant pendant la durée de leur peine. Quant à la question de la remi,e aux médecins des corps des supplic
37 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
résentait cette pâleur extrême unilatérale de la face dont il a été question plus haut. L'intensité en était si marquée qu'e
t-il ici un tout autre procès ? ' Appliquons- nous à résoudre cette question , en tant que la théorie contem- poraine des neu
t le perfectionnement de den- drites fines est complètement hors de question . Ce n'est qu'à force d'être incitée par des imp
Ladreit de Lacharrière est le premier qui ait vraiment traité cette question dans une étude 2 où il démontré que le développ
, quoique enten- dant, et cette fois, on a pu apprendre au sujet en question à parler d'une manière des plus satisfaisantes
'apprendre également à parler aux deux jeunes muets dont il est ici question . Nous devons dire, il est vrai, que l'enseignem
M. le Dr J. Grancher à la Faculté de Médecine de Paris, le sujet en question intéressa d'une manière particulière le savant
ectuel du jeune D... Il nous fut bientôt facile de répondre à cette question . L'examen de l'état physique et intellectuel de
us permet de répondre aujourd'hui d'une manière affirmative à cette question . Mais avant d'indiquer les résultats obtenus au
e titulaire est M. A. Dubranle, Censeur des études. Les procédés en question sont également décrits dans un intéressant ouvrag
s par les mots et la valeur des propositions et des phrases par des questions multipliées portant d'abord sur les idées forme
u moment du fait, sont également saisis avec facilité. Il n'est pas question , bien en- tendu, dans ce premier enseignement t
mment à M. le D' Bourneville, qui se consacre avec tant de zèle aux questions d'assis- tance et d'éducation relatives aux enf
Raymond aime à revenir. Dans les leçons que nous allons résumer la question est abordée par des voies bien différentes puis
te; c'est une dégénérescence ascendante. La réponse à la première question est donc facile; la lésion des faisceaux pyrami
oit l'oeil strabique se déplacer légèrement au delà de la limite en question et faire un écart en adduction. Un autre exemple
devant la Cour suprême qui convoquera un jury à l'effet de juger la question de folie. Cette possibilité d'appel n'est pas s
ant été déposé, le prix Aubanel est reporté à l'année prochaine. La question à traiter reste la même : Rapport des auto-into
gence, les fonctions sensorielles et les facultés artistiques ? La question n'est pas résolue ; mais on ne doit rien négliger
de vue plus élevé et n'envisageant que le côté humanitaire de la question , nous pouvons affirmer hautement que notre expéri
l'endroit et du caractère des changements morbides dans le cas en question . M. KORNILOFF hésite à rapporter totalement ce
rouve qu'il serait plus juste de donner dans ce cas à la maladie en question , le nom de paralysie asthénique générale et non
halite hémorragique aiguë, décrite par Strumpell. D'ici surgit la question , a-t-on le droit de séparer l'une de l'autre ce
s, rappro- chés et discutés, pour établir l'état actuel de diverses questions de la'neuropathologie et donner son avis person
uestions de la'neuropathologie et donner son avis personnel sur ces questions . L'ouvrage débute par une étude très remarquabl
le nerveuse d'ori- gine, ont changé singulièrement la face de cette question . A propos d'un fait clinique des plus intéressa
erture. -- Constitution du bureau. Soir : Discussion de la première question : diagnostic de la paralysie générale. Rapporte
orteur : M. Arnaud. Mardi 3 août. Matin : Discussion de la deuxième question : hystérie infantine. Rapporteur : M. Bézy. Soi
infantine. Rapporteur : M. Bézy. Soir : Discussion de la troisième question ; organisation médicale des asiles d'aliénés. R
ésident et du secrétaire général pour le Congres de 1898. Choix des questions à mettre à l'ordre du jour. Nomination des rapp
sal. » Outre les trois thèmes de programme énumérés ci-dessus, la question suivante, qui en fait également partie, sera disc
upés, pour- raient servir de base à une nouvelle monographie sur la question . BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Aimi : (IL). Élude
neu- ropathologie contemporaine. Combinez ces trois aspects de la question : symptomato- logie, physiologie et anatomie, e
e- loppement des maladies du système nerveux. C'est là une grosse question très fouillée et bien faile. Mais le chapitre d
'athérome aortique, mais comme il est en même temps tuberculeux, la question est complexe et la démonstration ne serait pas
ens, 1897, p. 303. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 121 ment de cette question M.Grasset aurait dû étudier dans autant de chap
de deux états morbides absolument différents, et il n'y a pas là de question plus ou moins doctrinale à soutenir ou à défend
u depuis ces leçons, Brault étudie, dans une série de chapitres, la question de savoirs'il existe une relation entre les art
fira à vous montrer tout de suite cette utilité et ses limites : la question du traitement du tabès. C'est là une grosse que
s limites : la question du traitement du tabès. C'est là une grosse question que je viens d'étudier de près pour le congrès
orpeur intellectuelle et somnolence persistante, pas de réponse aux questions , mais parfois réponses spontanées. Après deux m
e entr'ouverts, inertie, connaissane conservée réponses exactes aux questions posées. Pas d'autre paralysie qu'une impossibil
g consacre une importante étude critique et expérimen- tale à cette question d'histologie du système nerveux, qui suscite ac
liqueur de Millier. On constate des modifications artificielles en question limitées au 8e segment dorsal ; elles sont impu
chez les sujets normaux. 3° Chez les idiots, la différence est une question de degré et non de nature. 4° Dans un cas comme
excitabilité électrique. Ferrier cependant y a placé les centres en question ainsi que le centre des mouvements des yeux, to
oires. L'auteur a fait des expériences dans le but d'élucider cette question ; il a cherché où étaient situés les centres de
ite le chef du jury et un ou deux jurés posèrent au malade quelques questions , et s'étant ainsi assurés qu'il consentait à être
G,) Les confrères allemands qui ne sont plus ont déjà, dans cette question vitale, réclamé ce que nous exigeons de nouveau é
s groupes de trois à quatre auditeurs et faire de la répétition par questions et réponses. II. Faut-il mettre un manuel ent
atrie, d'électricité médicale ET D'HIPNOLOGIE. Indépendamment des questions mises à l'ordre du jour, les membres adhérents
sivement sa topo- graphie et ses caractères histologiques; ces deux questions se posent chaque fois qu'on veut aborder l'étud
mo-pathologique d'une affection ner- veuse quelconque ? Ce sont les questions posées par la deuxième partie de notre problème
lésion de la deuxième étape anatomique de la maladie. Une dernière question reste à résoudre : Comment se prend le cordon d
tuellement, le problème est posé, c'est tout. Dans une aussi grosse question , il faut beaucoup d'observations, patiemment et
ui vise l'organisation du personnel des asiles publics d'aliénés, question d'une importance capitale et qui mérite d'être ex
nistrateur préparé par ses études à l'examen et à la discussion des questions médicales, non pas pour intervenir dans le serv
lité; ces commissions n'étant pas administratives. II. Dans cette question de l'organisation du personnel médico-administr
inaux ! Encore une fois, je ne suis pas rassuré et je crains que la question d'économie ne prime tout. Que fera-t ni alors d
'en sort aucune amélioration. Car, qu'on ne s'illusionne pas, cette question de l'organisation médicale est chose capi- tale
300 aliénés, ou ce qui serait mieux encore, il mon avis, n'était la question d'argent, cette division aussi entendue appliquée
énés, d'une analyse si pénétrante, d'une logique très serrée, où la question est traitée d'une façon si magistrale, si compl
es maladies mentales et nerveuses..Ne sont-ce pas là, en effet, des questions sociales pressantes qui s'imposent à la sol- li
médecine de Toulouse; Faire[, médecin de la Salpêtrière. Première QUESTION : - Paralysie générale. Après la lecture par M.
adjoint de la maison de santé de Vanves (Seine), sur la première question du Congrès : Diagnostic de la paralysie générale.
s). - Du rapport de M. Arnaud, qui est un exposé très complet de la question du diagnostic de la paralysie générale, il résu
ogique des pseudo-paralysies générales n'a pas éclairé davantage la question ; elle n'a fait qu'accentuer avec plus de vigueu
mardi, à 8 heure» du matin. Séance du 3 août (matin). Deuxième question . - Sur l'hystérie infantile sa iicitui e et ses c
ieux se borner à un simple exposé montrant les grandes lignes de la question . Tous les auteurs que nous allons citer donnent
- nologique et par pays d'origine, montrent bien les phases de la question et le point où elle était au moment où parut cet
tout de l'hystérie chez les petites filles ; en dé- cembre 1884, la question fait un pas avec la thèse de Casaubont, t, inti
tile et de sa fréquence au-dessous de l'âge de cinq ans. Cette même question est soulevée la même année devant l'Aca- démie
'Académie en 1892. Nous reviendrons sur ces travaux en discutant la question de l'âge du début de l'hystérie infantile. En j
nt les vues exprimées récemment par M. le professeur Joffroy sur la question , a combattu les conclusions qui suivent, tendant
eut-être inspirés par leur défaut d'expérience person- nelle sur la question . N'est-il pas essentiellement humain de dédaign
mier. Ne s'agit-il pas là, comme pour toutes les médications, d'une question de posologie ? 11 appartient au psychothérapeute
t hystérique. Séance du soir. - Présidence DE M. Ritti. Troisième question . - Organisation et administration des asiles. R
siles d'aliénés. Le rapporteur a eu quelques contradicteurs sur des questions secondaires; mais, contre la division des fonct
été à peu près unanimement d'accord. M. Dou- trebente a, sur cette question , exposé les inconvénients graves qui résultaien
er que c'est en participant à quelque degré à l'étude de toutes les questions vitales qui se tranchent dans les commissions q
ts. M. UUUTREBENTE prenant à partie M. Marandon DE Montyel sur la question de l'open door, reproduit les arguments déjà déve
ement M. le Dr Marandon et que l'open-cloor n'a rien à voir avec la question du nombre des médecins traitants. M. le Dr Du
ongrès de 1898 est sûr d'un grand succès, d'autant que le choix des questions mises à l'étude et des rapporteurs ne laissent
t surveiller. Les réformateurs laissent assez volontiers de côté la question d'argent. Elle a cependant son importance. J'ai
donner à chaque médecin ces organes indispensables, il ne peut être question d'une simple division; il n'y aurait qu'une cho
restera de temps pour tous les autres. LE Président rappelle que la question il l'ordre du jour étant celle de' l'Oprn-door
dra probablement pas ce que nous avons. Et voilà que tout à coup la question de la réor- ganisation médicale et administrati
et d'attributions qui devrait légitime- ment leur revenir dans des questions qui demandent leur concours réciproque. L'art
il des aptitudes spéciales ? Quels sont ses antécédents ? Autant de questions que le médecin peut se poser, mais qu'il ne peu
le, qu'elle n'existe en fait-que sur le papier. Mais laissons cette question de visite et de sortie pour en arriver à un vis
rer tout simplement que nous sommes loin d'avoir clairement fixé la question des rapports des causes et de la symptomatologi
Etait-ce une fièvre grippale ? Etait-ce une fièvre hystérique ? La question me semble assez difficile à résoudre. Combien d
cin-directeur de l'asile d'Angers, secrétaire géné- ral, choisi les questions générales suivantes et les rapporteurs : 1° Tro
ferons dans un travail ultérieur, plus complet, consacré à la même question . M. Carrier 1rt un rapport sur la paralysie gén
connus dont il rapporte un certain nombre d'observations. C'est une question qui se rattache à celle des aliénés méconnus et
les tribunaux. M. Drouineau aurait désirer voir établir dans cette question une statistique des vagabonds aliénés traités à
nérale ne se cache pas une diversité de nature. Pour élucider cette question , nous avons réuni toutes nos observations de pa
lésion de la cinquième et sixième racines cervicales, le malade en question a encore une atrophie du muscle triceps. Ce muscl
on voit nettement que la particularité principale de la maladie en question consiste en un relâchement lent, provoqué par le
clinique avec tous les symptômes caractéristiques de la maladie en question , mais, comme dans le premier cas, sans tare hér
Le cas du rapporteur présente une combinaison des deux maladies en question . 350 SOCIÉTÉS SAVANTES. Chez une femme de vin
moins marqués. L'auteur note le manque de données concernant cette question (un cas décrit par Potain et deux autres par La
ution à la palhogénir. de la sclérose en plaques en rapport avec la question des différentes lésions de luzzévro- glie. Le r
: l°la signification des vaisseaux et 2° le rapport du processus en question à la glio-e et au gliome. Le cas suivant a serv
t cité, en abrégé, encore deux cas de sa clinique, ayant rapport la question , l'auteur formula les conclusions suivantes : l
n résumé concis, l'au- teur discute avec une remarquable logique la question actuellement si controversée de l'alcoolisme, m
tion de la qualité du toxique, l'élimination des impuretés, est une question secondaire ; il est dangereux parce qu'il tendr
ue psychique dans diverses affections ner- veuses. C'est la vieille question , toujours d'actualité, des rapports du moral et
. Membre de la Société médico-psychologique, rapporteur d'une des questions mises à l'ordre du jour du Congrès des médecins a
du moins, elle continue son thème commencé sans se préoccuper de la question posée, à moins que cette question .présente que
commencé sans se préoccuper de la question posée, à moins que cette question .présente quelques rapports avec le sujet qui l
c'estce sujet qu'elle abordera tout d'abord; elle ne répond pas aux questions posées; troisième phase, ce sont alors de grand
bord l'interro- gatoire du petit malade est toujours incomplet, les questions posées ne sont pas comprises; les réponses sont
voulu considérei dans le présent travail que lu côté clinique de la question , nous serons heureux pourtant d'entretenir nos
ême d'une façon succincte, de l'étendue et de la multi- plicité des questions abordées. Les questions à l'ordre du jour ont f
e, de l'étendue et de la multi- plicité des questions abordées. Les questions à l'ordre du jour ont fait l'objet de rapports
jà pro- posée à Rome en 1893. Quoi qu'il en soit, les principales questions au programme pour la section de Neurologie et P
si l'une de ces deux « facultés » est supérieure à l'autre, est une question factice, déraisonnable, puisqu'il n'y a pas de
uelle Oll monoidéique. (Obses- sion proprement dite). - La première question qui se pose ici est celle de savoir si l'obsess
és impulsifs, sont-ils res- ponsables de leurs actes ? C'est là une question des plus délicates à résoudre. Lorsqu'il s'ag
efani, de Séglas, de Catsaras. M. Séglas surtout s'est occupé de la question , et, dans plusieurs travaux, a démontré que l'h
torturé par lenr pensée morbide et se posent indéfiniment les mêmes questions . Mais, même dans ces cas, les paroxysmes ne fon
git-il d'un déplacement passif ? Il est difficile de trancher cette question . Quand la plus grande partie de la substance chro
ifes- tations exclut tout doute sur la nature de la maladie. - La question , s'il y a dans la paralysie musculaire hypertroph
rapporteur. i 11, En tête, nous trouvons la syphilis et la grave question du trai-' tendent spécifique dans le tabes. On
étiques : Vivez comme des vieux. Dans ce paragraphe rentre aussi la question du régime des tabé- tiques ; j'entends les tabé
du degré de l'alcalescence du sang. Pour nous éclairer sur cette question nous avons établi, aux différentes saisons, des
t obsédantes : aussi 494 RECUEIL DE FAITS. répond-il fort mal aux questions qu'on lui pose. Une de ses préoc- cupations est
faut que, en vertu d'une organisation particulière, l'événement en question fasse revivre la silhouette commémoralive du trau
ut -cinq jours après son entrée. A l'autopsie, un examen du nerf en question ne révèle rien de particulier, mais au niveau d
ré un geste de défense contre la cause terrifiante. Le sentiment en question a tellement exagéré l'innervation des centres m
é) et criminelle (respon- ScLbiltté); par M. J.-F. SUTHERLAND. La question que l'auteur a l'honneur de soumettre à l'appréci
isolement du concert euro- péen des nations civilisées n'est qu'une question de très peu de temps; 2° restrictions apportées
termes de l'arrêté du 8 octobre 1879, qui réglait antérieurement la question , M. le professeur Bail, titulaire de la chaire de
asiles et à leur propre avantage'. BOURNEVILLE. Contribution A la question DES gardiens; par H, HOUPPE. (Cel1tl'albl. 1 '
ant atteinles dans une assez forte proportion. Ducamp. XIV. De la question de l'étiologie du crime et de la dégénérescence,
aux écoles primaires pour les enfants arriérés. On sait que cette question est actuellement à l'ordre du jour un peu partout
e distingué qui a consacré les loisirs de sa retraite à l'étude des questions pénitentiaires et de l'enfance cri- minelle, en
porter en faveur de l'enfance coupable et malheureuse, il aborde la question si délicate du discernement. Après avoir démont
re, la séance est levée à midi. La majorité des enfants dont il est question devraient être examinés d'une façon complète. S
malades, nous ne pouvons donner une réponse scientifique aux deux questions . 3° et 4° Si les rapports sexuels sont physiolo
38 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- blèmes de la thérapeutique. Sans entrer dans l'historique de la question , que nous avons traitée ailleurs ', nous rappel
tuer cette jeune fille » (il s'agit de la jeune fille dont il a été question plus haut) ; il pro- teste de son innocence. No
n extra médullaire intéressant les filets radiculaires des nerfs en question , c'est-à-dire certains nerfs de la queue de cheva
aule droite est la plus haute. Il faudrait donc pour résoudre cette question , multiplier les observations. Je dirai en termina
'irritation spinale considérée comme névrose généralisée. C'est une question semblable à celle qui se pose pour les cas dans
s ont été contradictoires ; cependant, en général, le traitement en question aurait donné a ta plupart des observateurs des
roportion des améliorations et des guéri- sons dues à la méthode en question , d'après les observations de Wulff, de Benneke
nique à la faculté de Lyon. La Société met au concours pour 1897 la question suivante : Des auto- intoxications dans les dél
à indiqués, demande qu'on mette, de nouveau, à l'ordre du jour, les questions qu'il a SOCIÉTÉS SAVANTES. 67 déjà posées à c
outre de leurs résultats anatomo-pathologiques, les expériences en question pouvaient donner lieu à d'autres constatations. L
ussion : M. OEBFKE demande si l'on peut affirmer que le ma- lade en question n'était ni un alcoolique, ni un syphilitique. M
dans la criminalité, l'importance que leur attribue Lom- broso. La question n'a d'ailleurs pas été encore suffisamment étu-
st leur importance numérique et quel intérêt so- cial s'attache aux questions d'assistance, de traitement et d'éduca- tion de
t, qu'intéressent et BIBLIOGRAPHIE. 75 que doivent intéresser les questions d'assistance et d'enseignement. Tous les médeci
euve écrite était le suivant : Cordon postérieur de la moelle.- Les questions restées dans l'urne étaient : Circonvolutions cér
le a eu pour sujet : Erysipèle, symptômes et traitement. Les autres questions proposées étaient : Rougeole, symptômes et diag
ner. Ont été admis, par ordre de mérite : MM. Toy, Roux, DoDERO. La question écrite : Cordon postérieur de la moelle. Questi
Roux, DoDERO. La question écrite : Cordon postérieur de la moelle. Question orale : Signes et diagnostic du mal de Bright.
tre et qui nous ont paru légitimer notre interprétation. Dans une question beaucoup plus simple et qui ne peut être séparé
l'étude même que nous avons entreprise de donner un résumé de cette question . II. Kôlliker1, Ramon y Cajal 2, van Gehuchte
ù la compression siégeait assez haut pour qu'il ne puisse plus être question de dégénérescence traumatique, il est impossible
e la lésion destructive de la moelle et dans ce cas il ne peut être question de filets coccygiens. Quon se reporte aux obser
uche reste plus faible ; il persiste de l'hébétude, S... répond aux questions tout de travers et avec un rire niais. Deux jou
dans les vaisseaux de la pie-mère. M. Bondurant pose de nouveau la question de la nature de l'hématome et de la néomembrane
e la Clinique des maladies nerveuses à la S,dpêlrièl'c. Parmi Pes questions que le médecin pose au malade pour établir son
vent il est assez difficile d'être exactement renseigné soit que la question ne soit pas posée d'une manière suffisamment cl
donnant, comme conclusion à son rapport, les réponses suivantes aux questions posées par le tribunal : 1° La maladie mentale do
lte nature. Malgré ses cinq condamnations antérieures, le malade en question continuera, dès l'expiration de sa peine, à êtr
s des centres supérieurs et moyens. M. rllcti\-l3aown.r. fait de la question un historique détaillé et richement documenté,
utomne 1895.) Ce long mémoire est une revue générale complète de la question . L'auteur examine d'abord les formes étendues :
moins vrai que le médecin doit se faire une idée personnelle sur la question s'il veut tenir un rôle d'expert, s'il veut exa
ment un problème qui devient de plus en plus important, à savoir la question du mariage pour ceux qui sont affligés de signe
nistes allemands de Weimar (1891), Botel a fait un rapport sur la question concluant à ce que les mesures recommandées par
ux des maladies ; instructions spéciales données au personnel. La question a été également mise à l'étude au congrès de Ha-
s à ce poiut de vue, au moins une fois par an. L'auteur a étudié la question dans un asile neuf, bien aménagé au point de vu
0,37 p. 100 en 1892, de 24,24 p. 100 en 1893 et de 24 en 1894. La question des mesures à prendre contre les ravages que caus
ET 14 SEPTEMBRE 1895. Séance du 13 septembre. M. Siemens. Sur la question de la réforme'du régime des aliénés en Allemagn
. L'attention des médecins a depuis longtemps été attirée sur cette question sans que des réformes sérieuses aient été appor-
demandé que l'examen de Kreis- physicus porte entre autres sur des questions de médecine mentale et que les candidats aient
MM. Grashey et LUDWIG sont désignés pour faire un rapport sur la question du personnel de surveillance, pour le prochain Co
t du pronostic. L'auteur a recueilh de nombreux documents sur cette question dans divers asiles. Après avoir rappelé brièvem
névrites, un certain nombre de patients qui présentent le signe en question d'une façon permanente. Parmi eux se trouvent six
ces lésions sont banales chez les vieillards et, chez les sujets en question , elles n'étaient pas très prononcées. Les modi-
qu'il y a pour les médecins aliénistes à échanger leurs vues sur la question du délire des quérulanls et signale, parmi les
s pathologiques. Cependant, en raison de la confusion que le mot en question éveille dans l'esprit du public, il y aurait li
çon extraordinaire; souvent aussi les connaissances si étendues des questions de droit qu'on a attribuées à ces maladies se r
ient à coeur, mais avec cela ils sont incapables de s'en tenir à la question en cause; leurs preuves con- sistent dans une p
dit plus haut, qu'il y a souvent une certaine débilité mentale. Une question difficile à ré- soudre est de savoir s'il y a d
as, comme on l'a affirmé, qu'il y ait tou- jours dans la maladie en question des conceptions délirantes pro- prement dites.
n s'appuyant sur la symptoma- tologie et le développement du cas en question dans son entier. Le mot de « querulantenwahn »
tes. 14-1 I mations). L'affirmation de Siemerling que la maladie en question ne survient que chez des débiles me parait cont
ser de la classe des persécutés dans celle des dégénérés. La même question se pose pour les hallucinations de la sensibi-
les n'existent pas chez tous les persécutés : ici se pose encore la question du rapport des idées de grandeur et des hallucina
elle, et qui sont loin d'être des déments. J'aborde maintenant la question de l'évolution du délire de per- sécution, et e
ie de la salle Poirel, rue Victor-Poirel. Soir, 2 heures : Première question du programme. Pathogénie et physiologie patholo
: Discussion du premier rapport (suite). Soir, 2 heures : Deuxième question du programme. De la sémeiologie des tremblement
Lamacq. Discussion. - Mardi, 4 août. Matin, 9 heures : Troisième question du pro- gramme. De l'internement des aliénés da
seul point de vue médical sans parler du côté philanthropique de la question . CULLERRE. Progrès de la psychiatrie en Améri
du D'' Frenkel, parue l'année dernière toute la bibliographie de la question est épuisée. Dans notre travail actuel, basé su
expérience de plus de cinq ans, nous nous proposons de reprendre la question pour compléter la méthode et reviser sur certai
ion motrice, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'il ait appris l'exercice en question le plus parfaitement possible. Aux tabétiques
e nos organes des sens est indispensable. Pour ne pas compliquer la question nous n'envisagerons que la vue, le tact et la s
r le même sujet, appelé l'attention pour la première fois sur cette question si importante. L'expé- rience de ces dernières
-indications de la méthode de Frenkel. Mais nous répétons que cette question est loin d'être épuisée. Comme dans toute métho
s. L'accueil fait à ce discours indiquait, en quelque sorte, que la question était tranchée. Nous ne pouvons que nous en fél
des Congrès annuels, une réunion dans laquelle ils discuteront les questions professionnelles qui les concernent plus spécia
ns aliénistes seuls, il devait tout d'abord n'y être traité que des questions se rattachant directement à la psychiatrie. S
des infections accidentelles des centres nerveux. Ainsi, dans cette question limitée, mais extrêmement impor- tante de l'éti
es en directes et indirectes ou réflexes (Kahlbaul11). Quant à la question controversée des hallucinations auditives centr
ue. Pour l'hallucination périphérique, l'auteur aborde ensuite la question de localisation sensorielle. Les bruits, lesparol
confirmative de M. le Dr Lapointe, une discus- sion s'engage sur la question de l'évolution anormale et des rémissions ou in
ntéres- sant de les comparer. Séance du 3 août (soir). deuxième QUESTION .DU programme. Séméiologie des tremblements. M
Séance du mardi 4 août (matin). Présidence DE M. Vallon. TROISIÈME QUESTION DU PROGRAMME. De l'internement des aliénés. M
ue et de la législation, l'internement des aliénés est l'une de ces questions majeures qui se replacent, à de courts inter- v
manquer d'être utiles et fécondes. Après un rapide historique de la question , il traite, en clinicien, l'opportunité de l'in
est un problème économique, pénible à résoudre, comme toutes les questions d'argent, mais dont on peut aider la solution par
on doit énergiquement maintenir. L'aliéniste seul doit juger de ces questions de diagnostic de psychoses tardives, de démence
cessaire. , Séance du mardi 4 août (soir). - M. BOURNEVILLE. - La question que nous discutons est l'une des plus important
s son compendieux rapport, 31. Garnier s'écartant quelque peu de la question principale, s'occupe des asiles pour les aliénés
e du jour de l'un des futurs Congrès. Je laisserai aussi de côté la question des asiles d'incurables. Elle aussi pourrait fa
il en a été longuement parlé au Congrès de Clermont-Ferrand. Cette question a été posée peut- être prématurément. Il est in
intellectuels ont disparu. On s'est agité beaucoup autour de cette question , et on a perdu de vue une réforme, à notre avis
e (Vanves). La discussion qui vient de s'engager aujourd'hui sur la question des aliénés dits criminels dure depuis un bon d
s olfenses sociales. M. BOUISNEVILLE. Il faudrait consacrer à cette question un rapport et une discussion générale ; elle ne
M. Garnier sur les asiles-prisons. M. Garnier. Nous avons sur la question des asiles-prisons et des sujets qu'il faut y p
ureau pour la session de Toulouse : M. RITTI est nommé président. Questions proposées. Les questions adoptées sont : 1° Dia
Toulouse : M. RITTI est nommé président. Questions proposées. Les questions adoptées sont : 1° Diagnostic différentiel de l
ères objectifs que l'on observe. Si l'on adresse au malade K... une question quel- conque, on voit tout aussitôt sa physiono
ieu à gauche comme à droite, mais toujours alternativement. Si la question que l'on a posée au malade, comporte une réponse
trouve d'ailleurs en d'autres circonstances : si on lui adresse une question , il éprouve le besoin impulsif d'y répondre sur
première ligne les in- fluences morales : la vue d'un inconnu, une question adressée brusquement et pour laquelle on réclam
re sur-le-champ qu'éprouve le ma- - lade : lorsqu'on lui a fait une question si on lui ordonne de ne rien dire, jusqu'à ce q
ires en faveur de cette substitution ? Voilà donc une série de 60 questions auxquelles doit répondre chacun des neuf médeci
e extra des malades. 54. Réponses affirmatives et générales à cette question . En payant plus cher les cuisiniers chefs, on e
Tourette donne d'abord, en quelques pages, l'his- torique de cette question et il prouve par des citations que le sein hyst
e, 9S9G, ni 2 et 3.) La syphilis héréditaire de la moelle est une question encore mal connue et qui n'a, du reste, été étu
à la joie, d'un mutisme persistant à une loquacité intarissable. La question est de savoir si le souffle cardiaque et 1"oedème
mescérébraux puis peut simuler une psychose aiguë. Chez le sujet en question la tumeur existait dès le début des troubles ps
aisanteries et à toutes. sortes d'actes puérils. ' Dans le cas en question peut-on penser à une tumeur siégeant dans la ré
. Souhaitons que le Bureau du Congrès de 1897 se préoccupe de cette question et prenne, à temps, les mesures nécessaires pou
enquête, ce qui nous dispensera de donner les réponses aux soixante questions posées aux directeurs généraux des asiles, comm
l'hygroma se produit souvent sans cause apparente, et le travail en question n'excède pas les forces de la femme, à la condi
ans leur manière de vivre. On ne peut admettre que les psychoses en question soient seule- ment un chapitre des délires séni
ntales avec déduction aupoint de vue pronostic, l'auteur examine la question de l'accrois- sement du nombre des aliénés dans
ntaient, d'une façon remarquable, la manifesta- tion épileptique en question . Ces deux hommes étaient très intelligents mais
uivant l'auteur et après examen des différents travaux parus sur la question , parait pouvoir tirer un bien plus grand bénéfi
EN dehors DES établissements publics; par le Dr F. Roi311sori. La question de savoir si un malade est mieux traité dans un
de l'usage de la parole et ne répond que par des cris gutturaux aux questions qui lui sont posées. En résumé, c'est un être r
, placent trop souvent les considérations financières au-dessus des questions d'humanité. On entoure les place- ments des ali
reuses occupations, mais il s'agit d'une oeuvre d'humanité et d'une question qui relève de votre compétence bien connue en m
crivait des lettres où, comme dans les Faux- Bonshommes, il n'était question que de sa mort et où elle nous indi- BULLETIN B
es malades spécifient qu'ils n'enten- dent pas les réponses à leurs questions , dans l'oreille; ou bien s'ils les entendent, i
, puis de grenier d'abondance et enfin d'arsenal. En 1802, il fut question d'y transporter l'hospice général de Vienne, mais
orale et le conseil général commen- çaient à s'émouvoir et il était question d'installer tous les aliénés dans le cloître du
HOLOGIE NERVEUSE. -16l marche des processus infectieux, sans que la question soit aujour- d'hui résolue. Ils font l'historiq
lques documents nouveaux pour la résolution de cette inte- ressante question et ils ont entrepris une série d'expériences dans
e; et, à ce sujet, l'examen ophtalmoscopique aiderait à résoudre la question . En somme, il n'était pas inutile d'attirer l'a
'est que chez les malades atteints de cette affection, il n'est pas question seulement de tempérament nerveux familial comme
par le Dr OUTTEN. L'auteur a fait une enquête aux Etats-Unis sur la question . Les résultats en sont comparés avec les cas pu
avant son entrée au régiment, plusieurs tentatives de suicide. A la question , pourquoi voulez- vous vous tuer ? 11 répondait
e suis de ceux qui n'auraient jamais dû exister », et à cette autre question , pourquoi vous sau- vez-vous toujours ? « Je n'
le De H. MAUDSLEY. L'auteur, dans une discussion intéressante de la question si sou- vent traitée de la responsabilité légal
lheureux, mais non des coupables. » CAMUSE. XI. Contribution AL A question DE l'apprlcication MÉDICO-L1 : GALE des délits
on antiseptique de l'al- dehyde formique. En 1896, Blum reprit la question et motilia, à côté du pouvoir antiseptique de l
nes. Après l'énoncé de ses recherches, il pose sans la résoudre, la question de savoir quels sont les rapports entre la foli
ennes. La neurasthénie acquise doit être laissée de côté dans cette question . M. Freymuth. Une éducation défectueuse joue fr
Mercklin (Lauenburg). L'instruction des infirmiers des asiles.- La question du personnel de surveillance des asiles d'aliénés
lement consacrées à chacun d'eux. L'auteur s'attachera à traiter la question de l'ins- 488 SOCIÉTÉS SAVANTES. truction pro
squels il n'existait pas de cours destinés aux infirmiers ; mais la question était à l'étude dans la plupart. Partout où cet
ine suffit, si l'on veut que les auditeurs puissent s'assimiler les questions traitées. Dans les asiles ou l'enseignement éta
tier de surveillance, on s'est à diverses reprises, occupé de cette question au sein des sociétés de psychia- trie et en der
p- pement dus quartiers de surveillance, aussi a-t-il passé cette question sous silence. C'est néanmoins à Gudden que revien
raux (système de fibres d'association). J. ROUBIVOVITCH. VARIA. Question de priorité. Rectification DE M. PAUL Richer au S
39 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
soulevés apparaissent mieux sous leur véritable point de vue. La question des troubles de la sensibilité dans leurs rapport
s avons cherché à faire ailleurs. Toutefois il sera exclusivement question , dans cette revue, des renseignements que nous
aît appelé à rendre de réels services. Quand nous avons abordé la question , on savait déjà par les faits cliniques et expé
sion. On conçoit très bien, dans cette hypothèse, que les agents en question puissent rendre à des fibres simplement engourd
avec les lésions du centre ovale et de l'écorce cérébrale. Cette question a été envisagée de façons bien différentes par
tentiraient par conséquent d'une façon plus marquée sur les sens en question . Nous-même, nous avons admis que la sensibilité
de la moda- lité réactionnelle propre à chacun des départements en question ou de la lenteur de généralisation des effets v
ses différents stades sur un même individu, ce qui se réduit à une question de part et d'au- tre. Les aliénés qui doivent à
her les récidives. On a beaucoup discuté dans ces derniers temps la question de savoir si la cessation de la morphine devait
atismale. Les variations énormes de la fré- quence des psychoses en question , selon les diverses statis- tiques (0,07 à 12,
diffusion et la brièveté dps docu- ments bibliographiques sur cette question expliquentle peu de connaissances acquises. Les
'aliénation mentale. M. B.\ll fait obser- ver que le divorce, cette question palpitante d'actualité qui pas- sionne l'opinio
acceptent, je crains qu'ils ne se soient trop laissé guider par des questions de sentiment. Il ne faut pas, en 1 MM. Charcot,
- tions laissées à leur appréciation. Nous croyons savoir que les questions principales qui leur ont été po- sées peuvent s
éalable. Le congé définitif nécessiterait toujours la pose de cette question ù l'autorité. La demande de grâce est un devoir
ission chargée d'examiner son projet et parti-' culièrement : le La question des congés à accorder aux criminels aliénés pou
ormer unesociété de prévoyance s'occupant d'aider les malheureux en question à leur sortie, entre celles qui se proposent is
l'assertion de M. Richter que le malade, incapable de répondre aux questions , ne réagissait que très peu, il croit que le ta
ogiques à l'ascension fébrile. Du reste, ajoute ce dernier, sur une question de M. Loelir, la coloration était partout homog
énitencier dont est sorti le 128 SOCIÉTÉS SAVANTES. délinquant en question pour entrer dans l'asile. La réintégration de t
chez les maniaques agités, de 16 à 18 p. l 00 dans la mélancolie eu question , alors que leur proportion se trouvait moindre
après-midi par AI. le curateur Fischer, qui, après avoir exposé les questions d'ordre ad- ministratif intéressant l'assemblée
sur les di- verses opinions de la jurisprudence allemande en cette question à l'égard des aphasiques simultanément agraphiq
t-être parce que le changement de conditions plaisait aux sujets en question . Plusieurs d'entre eux durent sim- plement s'ab
nchaîne- ment étiologique des manifestations sans s'inquiéter de la question de palhogénie. Toute décision sur son origine v
lier celles de M. Erb. Cependant on s'était surtout livré sur cette question a1 une étude de détail et chaque ob- servateur
de Philippe Pinel. Société contre l'abus du ubac. -Prix. Parmi les questions qne cette Société met au concours pour 1882, vo
les mélan- DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 161 coliques dont il est ici question . Le véritable mélanco- lique est dans un état d
développement du délire hypochon- driaque de négation, c'est là une question de pathogé- nie que je ne veux point essayer d'
ses chez les femmes a déjà été traitée plusieurs fois; mais cette question , fort intéressante, a rencontré des avis différ
femme, sans,' toutefois, aborder, comme les précédents auteurs, la question de la fréquence de maladies sexuelles chez les
es. 1 Bail, Dagonet, Luys, ne touchent presque pas non plus cette question . Mairet5 croit que la folie peut être 1 Esquiro
ui ne croient pas à cette influence ou n'abordent presque pas cette question (Bail, Dagonet, Luys, Boussi, Emminghaus, Leide
ne observation à l'appui de leur opinion. D'autres envisagent cette question d'une manière toute parti- culière. Leurs reche
classiques sur l'aliénation mentale). D'autres, enfin, traitant la question sur le rapport des affections utérines, citent
méthode différente suivie par les auteurs qui se sont occupés de la question du rapport des maladies sexuelles chez la femme
urait pas à rechercher une autre méthode pour arriver à résoudre la question qui se posait avant tout, à savoir quelle est l
sur la maladie mentale déjà existante. Seulement, en abordant cette question , on est obligé de reconnaître que non seulement
adies sexuelles chez les aliénées. On a pourtant encore sur cette question certaines indications prises dans les autopsies
matoire (métrites et périmé- trites). Toutefois, en discutant cette question , Hergt 1 Kei'er. Seclio21s-Befzi ? id bei Geist
chez trente-cinq. Enfin, pour termiuer cet aperçu historique de la question , L. Mayer5, sur mille vingt-cinq malades gynéco
, en examinant les données numériques qui précèdent, on voit que la question de la fréquence des maladies sexuelles chez les
. , v "" - Les recherches cliniques des autres auteurs sur, cette question sont très peu nombreuses et très peu explicites.
aire quelques généralisations et d'aborder plus systématiquement la question de la fréquence des affections sexuelles chez l
le cours de la folie. Mes prédécesseurs n'ayant donné dans cette question aucune ! indication sur la méthode des recherch
érébraux avaient été extirpés ; il ne saurait donc dans ce cas être question de l'action épileptogène de l'é- corce cérébral
ier, mais ne peut être résumé; l'auteur examine, successivement les questions suivantes : ' Quelle idée doit-on se former des
ace de la première qu'un degré plus avancé de l'entité psychique en question . Traitement général Ionique et reconsti- tuant.
e, Dagonet, Legrand du Saulle , Faire sont charges d'élaborer cette question et de formuler ensuite des conclusions que disc
Christian sont nommés membres de la Com- mission qui proposera les questions que les candidats devront traiter pour le prix
iet, rapporteur de la Commission chargée d'étudier cette importante question si souvent mise sur le tapis et si loin encore
r votre travail, nous avons formulé sous forme interrogative quatre questions principales sur lesquelles chacun pourra donner
on avis. Mais cette étude devrait il me semble, être précédée d'une question préalable : Y a-t-il lieu, oui ou non, de créer
aux établis- sements. et la Commission vous propose de résoudre les questions suivantes qui faciliteront votre travail. Pre
les questions suivantes qui faciliteront votre travail. Première question . A quelle catégorie d'aliénés cet asile serait-
er pour la sécurité in- térieure de cet asile spécial ? Troisième question . Quelles mesures législatives devrait-on propos
séjour ou la sortie des malades de cet asile spécial ? Quatrième question . Quelle serait l'autorité chargée de pro- nonce
par qui serait-elle nommée ? M. Motet. Une réponse aux différentes questions soulevées par M. Falret exige une étude approfo
s détaillés sur les malades que j'ai eu à examiner. M. Motet. Des questions financières s'opposent, en province, à ce que t
istrative et judiciaire. M. DALLY fait remarquer à M. Lunier que la question n'est pas là. sociétés savantes. 343 M. Lumen
é décide de proposer pour le concours de l'année prochaine les deux questions suivantes : Prix Aubanel. Existe-t-il des signe
BILLOD expose les réflexions suivantes que lui ont suggé- rées les questions posées par M. Faire ! à la dernière séance. Ce
mmée à l'élection, devant laquelle viendraient se porter toutes les questions ayant trait à l'aliénation mentale, aux malades
deux hémisphères et s'étant terminé par la sclérose des parties en question . Confir- mation de l'examen nécroscopique à l'é
à gauche à l'atteinte de l'oculo-moteur externe; il ne saurait être question non plus d'une paralysie conjuguée et encore bi
chiatrique et psychopathique des pays qu'il a étudiés. Une première question s'impose : La civilisation < : t-<-ce COEO'
es autres sont de plus diamétralement opposées sur les plus simples questions ; telles les formes de l'hystérie, de l'épilepsie
dans la protubé- rance, à cette place, sans que le noyau du nerf en question soit directement atteint. M. le Secrétaire so
avait toujours trouvé la substance blanche concurremment lésée. Aux questions que lui adresseM. Sander,M. Westphal répond que
t la répétition a fini par greffer à demeure l'état pathologique en question . Il s'agit, pour M. 'VcsrmvL d'une folie systém
de décider dans l'espèce s'il y a ozi non psychose, la personne en question ayant essayé de se tuer. En dépit de toutes les
nces tenues par elle ont été presque exclusivement consacrées à des questions scientifiques. Voici les communications dont el
de la lamelle du noyau lenticulaire. (Analyse, t. lit, p. 346.) La question des centres corticaux moteurs. M. SCHLANCENHAUS
des chapitres forme ainsi une sorte de revue critique du sujet- en question , une monographie rapide mais complète. M. Hucha
statue en marbre ; et on a nommé un sous-comité chargé d'étudier la question . On demandera au Britisli-Museum la permis- sio
EAU. Les journaux médicaux américains ont discuté longuement sur la question de savoir si l'assassin du prési- dent Garfield
allait chercher ailleurs 27 CLINIQUE NERVEUSE, la solution de la* question , à moins de faire de tout cela le symptôme d'un
sez rapide, préoccupations; 288 CLINIQUE MENTALE. relatives à des questions d'argent, perplexité et indécision continuelles
pages aux affaires de pédérastie et de sodomie, effleure à peine la question de folie, et, à la fin de son travail, après av
Pans 1873. INVERSION DU SENS : loi cependant, sans sortir de la question qui nous occupe, nos dégénérés avec inversion d
sa volonté ; une de ces his- toires fantastiques dont il a été déjà question , lui revenait à l'esprit, malgré lui, phrase pa
ue l'on met aux chaussures de femmes ; elle est plus forte s'il est question de femmes qu'il connaît, ou, si au lieu de dire
taux appliqués sur les siens. Très émue, elle adresse de pressantes questions 1 ses voisins, leur demandant s'ils ne voient rie
le contact des petits garçons.» Dans la seconde observation il est question d'un peintre en bâtiments âgé de quarante-quatr
facilement lieu, mais je dois cependant insister sur un point de la question . Nous sommes disposés aujourd'hui à considérer
observés pendant le cours de cette maladie. La discussion de cette question présente certainement un grand intérêt; mais l'
e. Celle de la femme Taupin publiée par Leudet, montre combien la question est complexe. Bien avant Galezowsky et Kiwat- ]
il a posé d'importants jalons, pour la solution définitive de cette question . 366 revue d'anatomie. Le peu de consistance
t l'ali- menter, de même que parfois il répondait directement aux questions qu'on lui posait en élevant la voix. D'abord, il
u'il criait sa voix était naturelle. Lui faisait-on directement une question , il remuait la tête, mais ne parlait pas. Lorsq
- tiges, des céphalalgies, des hyperalgies du membre supérieur en question . Puis céphalagie permanente, malaise général, dép
miner, au moment de prendre une détermination, les deux côtés de la question . « Telle est, il me semble, dit M. Gasquet, l'e
ence. Elle donne son nom et son adresse, mais ce sont là les seules questions auxquelles elle répond d'une façon rai- sonnabl
ns les idées. Cette incohérence cesse quand on pose à la malade des questions simples, auxquelles elle répond d'une façon ass
par le progrès ou la modification dans la marche des idées sur les questions qu'il a étudiées, soit parce que, par la valeur m
ond volume, prouve que M. Billod ne s'est désintéressé d'aucune des questions concernant l'aliénation mentale. Charpentier.
e au concours pour l'année pro- FAITS DIVERS. 403 chaîne les deux questions suivantes. P)'i'OEAt<6aMe : Existe-t-il des
40 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s, l'étude des paraplégies flaccides par compression 1. C'est une question à laquelle tous les neurologistes s'intéressent;
myélopathies qui peuvent déterminer le syndrome des paraplégies en question . Passons à l'interprétation des phénomènes clin
nerveuses, 1899. p. 199. r. Haskovec. A propos de l'histoire de la question de la dissociation syringomyélique dans la myél
sion, la plupart des neuropathologistes qui se sont occupés de la question , sont unanimes dans leur affirmation, que la sus-
iques de Bogroff sur la suspension ont rendu un service énorme à la question de suspension. La place nous manque pour rentre
ses ou syphilitiques. Un second symptôme atypique chez le malade en question , c'est l'envahissement du nerf crural ; est-ce
'heure actuelle une classification simplement arbitraire. Le cas en question présente de l'atrophie progressive débutant dans
imitivement ou secondairement par des traumatismes variés du crâne. Question déjà ancienne et que l'auteur ne prétend point
embres frois- sant le plexus, rotation exagérée de la tête, etc. La question a son importance médico-légale pour la responsa
t;.fYcMM,25 novembre 1899.) Après un historique assez complet de la question , l'auteur rap- porte trois observations relativ
elques secondes après qu'on les lui a nommés. Si on lui adresse une question avant de lui redemander le nom de l'ob- jet, il
immédiatement après, il est encore capable de lire le mot écrit en question et aussi de l'écrire sans qu'on soit obligé de
offre quelque ressemblance avec le délire alcoolique; l'ouvrier en question n'avait pu boire, et il avait cer- tainement ab
estion de quelques verres de bière détermine les accidenls aigus en question . - Observation III. Intoxication par la toluidi
signe la paralysie générale. Ce mémoire. est un simple exposé de la question . Il. de nIUSGRAVE-GLAY. III. L'asexualisation e
e considéré comme partiellement aliéné et par suite responsable. La question que le jury doit se poser est celle-ci : l'accusé
ont syno- nymes. Mais il n'en est pas ainsi pour les tribunaux : la question de la responsabilité n'est pas déterminée seule
et le mal. » L'opinion médicale est que la folie est toujours une question de fait que la science médicale doit chaque foi
fous ne soient ni moralement ni légalement responsables. La vraie question de fait pour le jury doit être : 1° L'accusé, au
excès même de sa REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 79 passion. Une. telle question qui se rattache à la vie et ù la liberté est de
une personne est folle. L'idée de danger joue un grand rôle dans la question . Mais à côté des fous dangereux sont simplement
d'affaiblissement sénile un mariage est-il nul L'auteur pose cette question à l'occasion d'un procès en annulation, extrême
vement motrices, indépen- dantes de toute lésion spinale. Enfin, la question du diagnostic influe sur celle du pronostic, qu
apprécie l'ensemble de ses travaux et présente son livre posthume : Questions de philosophie morale et sociale; il expose et
ngués. R.-S. Stewart. FAITS DIVERS. 95 P.-S. - Au regard de cette question de la guerre et de la folie, je suis sûr que no
damment des troubles de la sensibilité cutanée dont il vient d'être question , tous nos malades présentaient un affaiblisseme
fs intercostaux. Celui qui a le mieux étu- dié la physiologie de la question est le neurologiste russe Bogroff. D'après cet
ce passage important en mettant les noms des auteurs dont il y est question ? L'amélioration générale du malade est indiqué
es à s'associer au souvenir des noms, qualités, etc., de l'objet en question . On a pensé que cette théorie jetterait quelque
fléchit sur le bassin. L'excitation légère de la zone fémorale en question produit invariablement la flexion'plantaire des t
acide chlo- rliydrique. Une section autourde la zone corticale en question n'empêche nul- lement la genèse de ces phénomèn
de Nissl qui les met le mieux en vue. Leur constatation soulève une question importante, à savoir : l'atrophie parenchymateu
lules nerveuses a une origine pluricellulaire, surgissent plusieurs questions . Comment un cylindraxe, sorti d'une série de ce
ysiologistes et cliniciens travaillent conjointement à éclairer les questions demeurées obscures dans les fonctions corticale
s. La preuve anatomique demeure eu suspens. » Voici un appoint à la question , au moyen de l'étude des dégéné- rescences cons
des dégénérescences, elle, ne paraît guère tendre qu'à poser cette question . Le sens du tact, par l'exercice, apprend-il à
la parole ; le pied de la deuxième frontale, à ceux des muscles en question adaptés à l'écriture. La zone motrice s'est dév
lorsque le quatrième ventricule n'est pas atteint par la lésion en question . Secrétaires des séances : N. 1'>;asitorr. S
iècle tous les cliniciens ont cherché à résoudre cette intéressante question . De l'ensemble de leurs théories et de leurs ob
emand, il nous a été possible de prendre connaissance du passage en question et d'en donner même la traduction intégrale, qu
cré un livre spécial à la physiologie ou méca- nisme de la rougeur, question qui n'a cessé, à aucun moment, d'être à l'ordre
dlander, comme datant du mois de décembre 1895. Notre apport à la question , déjà annoncé du reste dans des travaux précéde
our l'agoraphobie, la claustrophobie, l'onomatomanie, etc. Toute la question est de savoir si l'obsession de la rougeur méri
ns en moins dans la sénilité qui nous a conduits à nous poser cette question . Voici ce que nous avons trouvé (voir le tablea
isants pour engendrer 1 On trouvera de nombreux documents sur cette question dans les 21 volumes de nos Comptes rendus du se
roduire la paralysie générale et c'est à l'avenir d'éclaircir cette question .. M. Il. VI. Sur quelques problèmes en aliénati
ode du meurtre, l'amnésie, de celui-ci par le meurtrier; discute la question s'il y a réellement amnésie, si celle- ci est d
nal of lnsanity, juillet 1899.) L'aliéniste a à résoudre : 1° Des questions pratiques : méthodes de traitement; 2° Des ques
dre : 1° Des questions pratiques : méthodes de traitement; 2° Des questions scientifiques : cliniques et laboratoires. Péte
inistration, création de laboratoires de psycholo- gie, etc. I. - Questions pratiques : quelle est la méthode idéale de trai-
gne plutôt que séden- taire et à la ville. - En outre, il y a des questions à résoudre concernant la menta- lité normale :
Nos hôpitaux devraient s'ouvrir aux étudiants en droit à cause des questions d'irresponsabilité légale. Il y a des réformes à
u qu'il y ait sur les feuilles d'entrée des malades, une colonne de questions portant sur les organes de la reproduction. Sur
e enté sur une base neurasthénique. G. UEN·. XXX. Contribution à la question des- connexions réciproques entre les rêves et
niàlreté. Mais dans les quelques jours qui ont pré- cédé le rêve en question et la création du délire correspondant, il y av
vec soin et accumulés à l'avenir pour élucider définitivement cette question pour laquelle M. Brissaud lui-même déclare que
e d'origine paludé- enne. , M. V. lIIouRAvIEFF. Contribution à la question des altérations du tronçon central du nerf sect
aquelle se sont ralliés à peu près tous ceux qui s'occu- pent de la question . Le travail de M. Vires contient une foule de f
téressante à lire et prouve que son auteur possède en perfection la question , dont le côté mystérieux est encore peu élucidé
ant de donner des indications 252 bibliographie. précises sur les questions d'ordre psychologique, éclairées par les découv
intepas, Audan et Dau- jean. - Les candidats ont eu à traiter comme question écrite, symptômes et diagnostic de la pneumonie
pneumonie franche, fracture du tibia compliquée de plaie, et comme questions orales : lobe frontal, branches du nerf facial,
, qu'une suite logique- de l'émotion obsédante ? La réponse à cette question dépend de la façon dont on conçoit l'émotion en
qu'elle existe par elle-même et est irréductible. Ainsi posée, la question est simple et la réponse est de toute évidence.
e, d'autre part, et il suppose prouvé ce qui, précisément, est en question , à savoir qu'une idée est toujours incapable de
ans ses poches, un troisième est poursuivi jusqu'à l'anxiété par la question de savoir « pour- quoi les arbres sont verts, p
sauté ; si j'avais quelque chose à faire, je n'en finissais pas de questions . A cette époque, il n'y avait pas encore de fon
une blessure faite avec un pistolet, ce qui me dispensa de toute question . Il me serrait amicalement les mains, mais repous
ossible matériellement que cet accident ait pu arriver, l'enfant en question venant de quitter son infirmière; d'autre part,
e seules les chaus- sures du petit malade sont mouillées. Pressé de questions , A... finit par avouer que c'est lui-même qui a
er, tandis qu'un autre va au domicile des parents avec la leltre en question . La famille nous répond : « Il n'y a pas de dan
chargé de lui procurer une place, alors qu'il n'en a été nullement question . Il quitte définitivement l'Institut au 31 décemb
neurone éloignée du centre aurait ici beau jeu si l'altération en question ne portait que sur ce segment élevé de la moelle.
é ni d'af- faiblissement de la force musculaire dans l'extrémité en question , prédominent, en l'espèce dans les interosseux
sseur, ou plutôt on peut penser qu'après avoir pénétré la couche en question , elle a perdu son action sur les pellicules com
ale. Les deux causes sont corré- latives l'une de l'autre. Toute la question est de savoir quelle est la primitive. l'our M.
par leurs propres sensations ? '1 M. JorrRoy s'est déjà pos.é cette question sans résoudre le pro- blème. La solution saline
s dis- cutable. Il s'agit de savoir actuellement si les troubles en question boni susceptibles de se développer aussi parfoi
et de la bactériologie relatent les derniers travaux parus. Dans la question de l'identité de la lèpre avec la maladie de Mo
cription n'avait pu s'accomplir en ce qui concernait les livrets en question et que la caisse en devait le montant aux intér
régulière (la dernière fois il y a quelques jours). Le médecin en question (SI. le Dr Meyer, de Mulhouse, qui a bien voulu
e retombe sur le lit; elle reprend alors connaissance et répond aux questions qu'on lui adresse, mais pendant près d'une minu
de l'attaque du 8 février, bien que la malade ne réponde pas aux questions qu'on lui adresse. L'accès fini, elle reprend rap
faits analogues publiés ajoute à l'intérêt de notre observation. La question de l'origine des mons- truosités des membres se
vation présentée par Variot, et une intéressante discussion de la question dans les bulletins de la Société d'Anthropologie
forme de délire des négations; très déprimé, il répond ^. peine aux questions qu'on lui pose, pleure sans cesse : « tout est
mêmes phrases, mêmes réactions, même évolution. Il ne saurait être question de folie induite dans ce cas par la simple rais
ent. C'est un cas unique de paralysie exactement limitée au nerf en question atteint dans sa totalité. Le coraco-bra- chial
eule, se couche et se tient tranquille, sans cesser de répondre aux questions qu'on lui adresse. C'est dans ces conditions qu
, mais son langage spontané est extrêmement réduit. Elle répète les questions qu'on lui adresse en y ajoutant quelque chose d
muscles frappés d'atrophie, incapable, en aucune des affections en question , d'atteindre un tel degré d'arbitraire et d'irr
cile de comprendre que le son ne se produise que quand la pointe en question a disparu der- rière le bord des lèvres. L'ét
et le bégaiement de la parole. P. Keraval. LXXVI. Contribution à la question de la transmissibilité hérédi- taire d'états pa
sûrement qu'avant en ce qui concerne l'épilepsie expérimentale en question . De 1873 à 1875 la plupart de ces animaux (on a r
'auteur souli- gne le développement graduel et varié du symptôme en question . Deux sont, dit-il, de l'érezcthose simple de P
e deux observations d'achondroplases adultes, l'au- teur discute la question du diagnostic différentiel de l'achondro- plasi
En résumé, l'influence du climat sur les maladies nerveuses est une question ouverte. Ce sont les troubles fonctionnels qui
s myopathies; par M. A. LLac. (Revue Neurologique, juin 1901.) La question très controversée de l'origine des myopathies n'e
Landouzy-Déjerine, semble pouvoir contribuer à la solution de cette question . , Bien ne permettrait de distinguer ce myopath
que se trouve toujours posée, lorsqu'il s'agit de tels malades, la question de leur responsabilité. Simon. XVII. La quest
tels malades, la question de leur responsabilité. Simon. XVII. La question des aliénés criminels en Hongrie. (Psych. Woche
900, le 0'' Moravcsik a fait une intéressante communi cation sur la question des aliénés criminels. L'auteur insiste sur la
ts de ce genre ne devraient pas avoir plus de 200 à 300 aliénés. La question est, en Hongrie, partiellement résolue : un éta
hologique, mais à ce dernier point de vue, il ne peut que poser des questions , sans les résoudre. Il. DE lIIu ! 'GIL\VOE-CLAY.
veur de son irresponsabilité. - Mais dans le troisième groupe, la question de responsabilité se pose autrement. Les crimin
nscience absolue. Ces cas s'accompagnent fatalement d'amnésie. La question de l'amnésie dans les rapports avec le crime en
sacrés d'ailleurs au même sujet. Il rappelle qu'il a déjà traité la question trois ou quatre fois. La première REVUE DE MÉDE
res et lui. était probablement leur façon différente d'envisager la question ; les uns la considéraient au point de \ue du pu
; mais il apprend aussi, étant personnellement désintéressé dans la question , la proportion qu'il convient de maintenir entr
lle toujours conscience de l'acte qu'elle a commis " ? Telle est la question que le magistrat doit toujours se poser xi. Aud
és par des paralytiques généraux, a fait une étude d'ensemble de la question en recher- chant si les donations ou legs faits
remémorer l'état de nos connaissances con- cernant cette importante question d'anatomie, et de vous familiariser avec la sém
nt temporal de cette membrane (/<y. 22). Pour en finir avec la question de terminologie, j'ajoute qu'on oppose l'hémian
la met dans l'impossibilité de faire des réponses précises à nos questions . . \ Nous avons pu apprendre, néanmoins, qu'à l
ale d'A... ne laisse rien à dési- rerLes réponses qu'elle fait, aux questions qu'on lui adresse, trahissent une certaine dimi
pariétal. Je vous répète que je reviendrai plus en détail sur cette question de localisation. Pour l'instant, je crois devoi
ne dégénération secondaire à peu près complète, si le territoire en question n'est pas relié au lobe occipital par des prolo
able, il importe de nous entendre sur la topographie des centres en question . Ici encore, nous allons nous heurter à des div
hmidt' est de nature à jeter un peu de lumière sur cette importante question de localisation. Je vais vous en donner une rel
OIS cas d'hémianopsie. 459 Troisième exemple clinique. Le malade en question , un nommé L..., est âgé de cinquante-cinq ans.
mes associés à l'hémianopsie, que vous réussirez à tran- cher cette question de diagnostic différentiel. Jusqu'ici, il n'a é
er cette question de diagnostic différentiel. Jusqu'ici, il n'a été question que de l'hémianopsie homo- nyme, de l'hémianops
Une remarque, pour terminer : Dans ce qui précède, il n'a pas été question des fibres des- cendantes de la voie optique, d
cho-motrices, ni rappeler leur description clinique, ce sont là des questions bien connues de tous, et sur les- quelles il es
superficiel et d'induire en erreur. Il est une façon de traiter la question , contre laquelle il est bon de mettre en garde,
r et qui sem- ble sortir de son histoire. A notre avis, le sujet en question ne présente pas un caractère symptomatologique
ropos, ni les observations et documents apportés pour l'étude de la question , mais simplement nous nous contentons de signal
elle devint agitée de nouveau, voulut déchirer le pansement et aux questions posées répondit 494 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
ion et par conséquent offrit un terrain propice pour la psychose en question , d'autant plus que l'absence de la lumière fut
e de ce manège. Dans la deuxième observation, avant l'expérience en question , la pupille droite est d'une largeur double de
ueur dans les asiles fermés. D'après le Dr Claus il n'y a là qu'une question de mots et outre qu'ils sont logés et nourris b
el la sortie aura eu lieu. P. S. 508 " asiles d'aliénés, i XI. La question des infirmiers des asiles d'aliénés ; par Karrer.
comme je l'ai indiqué dans un travail récent. \f..I. BABiNsKi. La question du traitement mercuriel dans le tabès a été mai
all jusqu'à nos jours, quelques noms français se rattachent à cette question avec Léon Waïsse, Bernard, Dally, Ladreit de la
es symptômes. Et cependant il serait capital de pouvoir résoudre la question qui est pour la psychiatrie la plus importante, c
Régis, professeur de psychiatrie à l'Université de Bordeaux. Les questions qui feront l'objet de rapports sont les suivantes
ent d'un vieil -, par \Vllte. 505. Prisons - , par Urger, 506. La question des infirmiers des -, par Kairer, 508. ASTA
41 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
ont le serment serait reçu devant n’importe quelle juridiction où les questions de vie et de mort se résolvent d’après les témoig
tous, comme on doit s’y attendre, ont pour texte de prédilection les questions les plus élevées de la théologie. Elle n entend
aire connaître à vos lecteurs des faits qui prouvent cette importante question . Au mois de juillet dernier, M"’* Dénisot, ma p
crise dont le Journal subit en ce moment le contre-coup. Prenons la question d’un peu loin. — Voir de loin, c’est presque touj
jeune raisonnement errer sans une impulsion bienveillante? Là est la question . Doit-on chercher à comprimer l’un de ses essors,
seconde main s’était empressée de suivre la première, en formulant sa question avec plus de désinvolture. Six coups, d’une préci
ae trouvait prèa de lui et croyait fortement que la dame dont il est question arail renfermé à l’intérieur de la pièce de 5 fr.
renons l’épreuve commencée. — Volontiers. Auparavant je te fais une question : les jours te semblent-ils pareils, quand en tou
c’est moi qui représente la science. — Réponds alors à ma première question . (1) Voir lu n° 423 du Journal du Magnétisme.
bert, il écrivit : « M. du Potet peut seul dire si les réponses à mes questions sont exactes. » Dr CI.EVER DE MALDIGNY. (La s
if et le réalisme. Cela nous semble d’autant plus nécessaire que la question a été plus souvent traitée par des enthousiastes
e saine critique pour les apprécier. Sans vouloir même effleurer la question historique du spiritualisme, nous nous contentero
l’étude du spiritualisme, — car il est temps que nous abordions cette question . Avant d’appeler les esprits dans cette voie, M.
oir en citer un assez frappant, et qui peut jeter quelque jour sur la question des voix qu’entendent certains médiums. Dimanch
ises. Ses procès-verbaux seront donc les plus précieux éléments de la question . Mais par cela môme qu’un seul groupe a opéré, et
s elles-mêmes un élément de certitude qui dispenserait de résoudre la question d’identité. 11 suffirait que leurs communications
s publiques pour constater la réalité du magnétisme et trancher cette question d’une manière ou de l’autre : tout se passerait s
judicieuses me paraissent renfermer en peu de mots la solution de la question . Quand le magnétisme fit son apparition, il était
enant aucun compte des progrès accomplis ? Celui qui veut étudier une question dans une branche quelconque des connaissances hum
pourrait avoir pour résultat d'amener une décision définitive sur la question du magnétisme dont la cause ne peut souffrir, ni
posées pur MM. Auzoux et Mabru. Autrement la déclaration du membre en question équivaudrait à un aveu de stupide ignorance ou de
ience officielle qu’il faut seul en accuser? Si nous avons prêté la question à l’honorable rédacteur en chef du Journal du Mag
serait-il le moins du monde affaibli? Nous allons plus loin. Cette question de votes, qui suppose une lutte, ne laisse pas mê
r d’ailleurs que la science officielle reconnaisse le magnétisme ? La question paraîtra étrange à bien des gens, et si nous la r
en déplorant le moyen, nous le redouterions moins. Mais, à côté de la question scientifique, il y a, pour le corps médical, la q
à côté de la question scientifique, il y a, pour le corps médical, la question de boutique. Ah ! si le magnétisme n’avait pas
ne sont pas, elles (i) Comme l’on! noté tous ceux qui ont traité la question , et h leur têle Deleuze, c’est dans la famille se
Pendant tout ce temps, le sujet avait répondu avec calme à toutes les questions , le pouls n’avait pas varié. — Eh bien ! êtes-vou
r élucidé avec soin , dans le silence et le recueillement, toutes les questions solubles en l’état actuel de la science, se prése
leur fortune, la vie do leur famille. Ceci se réduit évidemment à une question de dépense , fort minime d’ailhurs. (1) Nous n'
ailhurs. (1) Nous n'avons pas voulu loucher, dans cet article, à la question des dispensaires magnétiques, dont la solution so
réels les phénomènes extraordinaires des perceptions magné-tii|iies, question sur laquelle ils trouvent d'innombrables auxiliai
l'on en adopte (hors lo cas de délire, ici hors de saison), venge la question , des mépris et de la puérilité qu'on lui décerne
s frivolités les plus incroyantes ? (1) C’est ici le scabreux de la question . Comment peut-on s'édifier sur l'identité des per
gue), et le docteur qui se mit à la parler. Toutes les réponses à ses questions ne furent pas seulement des plus satisfaisantes,
à l’instant môme. ; Tout en opérant ainsi, elle répond à toutes les questions qui lui sont faites, entre dans tous les détails
ment et quand se font ces rapports ? — Je n’ai pas à répondre à cette question que s’est posée l’auteur, et qu’il résout ainsi q
n de revenir à son poste avant que la machine se soit arrêtée ? Ces questions ont bien leur importance; car si les idées physio
é et l’esprit devenu libre? — Vous soulevez et résolvez bien vite une question immense, celle de notre destinée! Mais patience,
esprits légers ont-ils le pompon jaune des voltigeurs ? — Encore une question : Avez-vous écrit endormi ou éveillé ? Chacun com
ne nous dit pas si les médecins ont fait l’autopsie de la personne en question . C’était cependant le seul moyen de nous faire co
tes les fois que l’Académie de médecine a voulu intervenir dans cette question , toutes les fois que d’autres compagnies savantes
que sur des faits que peut être basée une condamnation. Prenant la question de plus haut, M° Pouget a pris la dé- fensc du
t à lui-même et à la cause du magnétisme de défendre jusqu’au bout la question de principe, et il a interjeté appel. I)e nouveau
oir besoin des fds indispensables à l’électricité brute ou aveugle. Questions : — Peut-on, en projetant une pensée bonne ou m
confirmé de point en point. La troisième des personnes dont il était question était un nègre appartenant à la veuve Kearney. Qu
nt. La daine déclara que tout cela était parfaitement exact. D’autres questions ayant encore été faites à Say, il dit qu’on avait
ant jamais été, et enfin qu’elle ne connaissait aucunement l’homme en question . Son donneur d’avis la quitta, puis il revint ave
et la somnambule, dans quelques lignes de son écriture, une série de questions pour la circon stance et en outre la suscriptio
ence, — dans une séance suivante donc, elle indiqua, toujours sur mes questions , le siège de son mal; elle se prescrivit un trait
orable, le tout avec une grande précision et netteté de vue. A chaque question que je lui adressais, il se faisait un certain re
as, n’écrivez pas ! » — M’adressant au moi interne, je formulai une question . Alors s’établit une lutte des plus opiniâtres :
ébranlé. C’est Mesmer, lequel répondant, par la main d’une dame, aux questions d’un mien ami de Paris, qui le sommait de vaincre
ges effrayants, les hallucinations, le délire, etc., etc. Ce sont des questions auxquelles, vous pouvez en être certains, elle ne
ement magnétisé, peut être transformé en homme de génie, résoudre les questions les plus ardues avec justesse et promptitude, et
bulisme très-lucide, et que c’est alors qu’ont lieu les phénomènes en question . Il paraît que la lucidité de ce médium est bien
isme et le spiritualisme occupent beaucoup les esprits. La société en question est l'élite d’Edimbourg, et le nombre des auditeu
effet' non seulement ces esprits répondaient bien ou mal à toutes es questions qui leur étaient posées, mais encore, afin d’é-
au but de ma lettre dont je me suis écarté un instant, toujours cette question me revient en tête, — je n’ose plus dire à l’espr
and nombre?... Quelle que soit la face sous laquelle j’envisage cette question capitale, — toujours la réponse est que cette int
eau. Ne pourrait-on pas, aujourd’hui, vous renvoyer à bon droit votre question , et, de plus, y ajouter celle-ci : Comment ces mê
s manifestations. Mais c’est précisément à cause de l’immensité des questions qui s’y rattachent, c’est précisément parcc que n
foi en eux. Il me semble qu’il serait utile pour tous d’élucider la question , et, pour les magnétiseurs en particulier, n’y a-
ysiologistes. Ce n’est pas moi qui ai la prétention de résoudre ces questions . Humble praticien du magnétisme, j’étudie les maî
foi, à mon zèle et à mon dévouement. Seulement je puis apporter à la question de fait un témoignage sincère, simple et clair;
e, qui ne l’épargne pas, comme on voit. UN NOUVEAU CHAMPION Dans la question du magnétisme. UNE NOUVELLE PROFESSION DE FOI.
it un croyant au magnétisme ! Nous sommes persuadés que la tartine en question aura mis en mouvement la bile des Boggio, Demarch
aumon et l’avocat l’un portant l’au-tr;. Voilà tout. » Le Boggio en question ne serait-il pas, par hasard, petit-cousin de ces
eviner que M. Philips voulant présenter de nouveau au monde savant la question du magnétisme, et la présenter par son côté scien
physique. Nous voici parvenus au domaine moral, et nous abordons les questions qu’indique le sous-titre du livre de M. Philips :
Philips : Relations physiologiques de l’esprit et de la matière. Questions jusqu’à présent bien abstruses et fort obscures.
mai 1854, à propos du mouvement des tables, nous avons examiné cette question des actes Inconscients avec assez de détails, et
t que le mensonge. C’est, comme dans toute affaire de témoignage, une question de moralité. Quant à l’intérêt que je puis avoir
ettrée qui obtenait des résultats étonnants. 11 ne fut bientôt plus question dans notre ville, et même dans les villes voisine
correctionnelle ! (Journal (le Toulouse.) M. Olivier, dont il est question dans cet article, était un de mes élèves du Midi.
uite et fin (1). VIII.. L’action du moral sur le physique ne fait question pour personne. D’abord les appareils qui reçoiven
importance sous le rapport qui nous occupe, et le point délicat de la question c est l’action du moral sur la vie organique. Les
lise donc l’ouvrage et devine le rébus. Quant à nous, examinons la question sans avoir égard aux obscurités que l’auteur nous
auquel on s’adresse. Les affirmations peuvent être remplacées par des questions dont la forme contienne implicitement la réponse,
ts précédents qu’au moyen de relations plus ou moins défectueuses. La question intéresse particulièrement les magnétistes. En ef
la différence qui existe entre la lumière et l’obscurité. Quant à la question de savoir si la vue peut s’exercer complètement à
te pas permis aux concurrents de se prononcer eu toute liberté sur la question . En s’adressant au public dans son prochain ouvra
l s’en faut de beaucoup que les objections opposées aux phénomènes en question aient l’importance qu’on y attache généralement.
otubérances correspondent aux qualités qui distinguent la personne en question . Supposons, par exemple, que les principaux tra
ou entendu ; et quand on l’interrogeait, elle ne comprenait rien aux questions sur ce qui s’était passé. Elle devint lucide :
iter pour accroître et la curiosité et l’étonnement. 11 formula cette question . Que diriez-vous si Madame vous parlait de ceux q
corps humain réduit à l’état de masse inerte?... Nous bornons là nos questions . M. Lovy n’a probablement pas attaché une grand
ne grande autorité, et les opinions qui y sont émises sur différentes questions qui se rattachent à l’anthropologie sont prises e
mme la plupart des savants qui ont voulu dire quelque chose sur cette question si capitale en philosophie et en physiologie, l’a
du procès ; il a suivi les autres sans prendre la peine d’étudier nne question qui en vaut si bien la peine, qu’il n’est plus nn
s développèrent dans un rapport publié, rédigé par Bailly. Quant à la question beaucoup plus importante de l’influence de la doc
ique et parmi les paresseux pour n’avoir pas étudié convenablement la question . Nous eu appelons donc à une nouvelle édition,
demande leur en est faite et manifester leur pensée, en répondant aux questions qui leur sont faites, tout comme ils peuvent desc
ce, et plus d’un passage de Virgile et'd’Horace, dans lesquels il est question d’apparitions et d’enchantements? Sous peine de f
re quelques lecteurs, nous oserons (1) On a beaucoup disculé sur la question do savoir si Moïse avait enseigné le dogme de l'i
n bras engourdi jusqu’à l’épaule. 11 n’entendit pas de voix; mais les questions furent résolues d’elles-mêmes dans son esprit.
que ses confrères du journal, auxquels il avait soumis le mémoire en question , avaient craint que cet article ne fût pas suffis
ôté du détroit que chez nos adversaires de ce côté-ci. L’importante question de la mortalité à la suite des opérations a prése
s constater, se bornant à dire que c’était en excitant les organes en question qu’on obtenait les résultats qu’ils avaient obser
es et badins, incapables d’une idée sérieuse, et ne nous occupant des questions de quelque gravité que pour les traiter par-desso
idées que son temps et ses capitaux. Or, dans ce moment, une grande question agite les esprits en France, aussi bien qu’en Amé
tion agite les esprits en France, aussi bien qu’en Amérique, c’est la question des ... esprits. Nous n’avons pas besoin d’en fai
e qu’elle apporte peut-être pour les dissiper. Comment cette grosse question est-elle envisagée dans les deux pays? D’après
tème, ni même d’une explication de sa doctrine, qu’il s’agit ici. Les questions personnelles nous touchent peu. Elles infestent l
intelligents qui ne se soient préoccupés avec anxiété de cette grande question . Nos espérances à cet égard, avant les manifestat
e levèrent et s’approchèrent; elles se penchèrent vers l'ouverture en question et elles virent les formes que je wyais et qu’ell
bres et dans les organes de son corps. » Quand on veut élucider une question scientifique, on devrait s’appuyer sur l’observat
et quels en étaient les caractères. Sa définition, loin d'éclairer la question , n’est propre qu'à l'embrouiller. M. Auguez pro
nconséquence que nous ne nous chargeons pas d’expliquer. Quant à la question en elle-même, nous voudrions au préalable qu'on s
bjets, mais aussi d’après1 image des objets; eh bien! le phénomène en question , qui s’appeler la photographie mentale, ne repr
a >ins à plus d’un titre. M. Paul, auteur de la statue dont il est question , est un ma-gnétiste fort distingué, aux succès du
a besoin de renouveler scs récréations. Mais les graves, les immenses questions soulevées par les exercices des tables mouvantes
ouver les traces dans le moyen-âge, dans l’antiquité même j c’est une question que j’abandonne aux érudits. J’ajouterai que ces
dans le second ciel? » La table garda le silence sur cette dernière question . Nous lui demandâmes alors : « Et dans le premier
le surtout de ne pas adresser, soit au crayon , soit au guéridon, des questions indiscrètes ; de ne pas les interroger sur l’état
et il est tout à, fait ridicule de faire intervenir le démon dans la question . Le sortilège n’étant autre chose que l’emploi
ater le surnaturel, ce qui x'en-verse l’idée de miracles ; mais cette question philosophique est tout à fait étrangère à la légi
ication, vraie ou fausse, qu’on en donnera ne peut donc intéresser la question des miracles ou du surnaturel. Les rédacteurs de
mmes à tempérament débile, signalées par le décret. Connne il n’est question que de femmes, il pourrait y avoir doute si la co
ce que ne décide pas formellement le décret, et c’est cependant là la question capitale. Le but que se proposent les uns et les
’on ne peut affirmer s’il y a condamnation ni sur quoi elle porte. La question restera donc indécise, même dans le monde orthodo
e la terre : nul n’osera le nier, et on se repentira d’avoir mêlé des questions de foi à des matières qui ne relèvent que de l’ex
re aussi l’application pratique dans les exhibitions publiques, et la question a été soumise à la Société du mesmérisme qui „ ap
ut expliquer. Il a mille fois raison , mais quelques lignes sur cette question auraient suffi ; il a cru devoir donner d’assez g
re, et particulièrement qu’on ne lui arrachera pas ses secrets. Cette question est grave et épineuse. Mais quelque opinion qu’on
e infaillible, en état de répondre à commandement sur toute espèce de questions , de dévoiler le présent, le passé et l’avenir. C’
mbattu ce système illibéral, et nous nous proposons de discuter cette question dans un prochain article. Le dernier chapitre e
ériences mesmériennes et des tours de jongleurs ; celui dont il y est question , et qui a figuré sur le théâtre Carignan à Turin
sur ce sujet, au point du vue du bon sens , par M. A. S. Morin, 81. Questions soulevées et développées, par M. de Gu ibert de C
s faits les plus mystérieux de la science nouvelle, 3, 57, 65, 113. — Questions soulevées à ce sujet, 337. — Réponse de M. du P
42 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dit M. Charcot, une seule des pièces de l'appareil symptomatique en question qui ne puisse parfois faire défaut. -Ainsi, pou
omatique était réduit à peu de chose, relativement à l'affection en question ; et, ce n'est que sous forme de doute qu'on émi
nystagmus. Toutefois, la manière de parler, de scander du sujet en question ressemblait tellement aux troubles de la parole
rve souvent chez des sujets sains. Dans certains autres cas, il est question d'une atrophie générale d'un hémisphère, qui n'
exister entre l'aliénation mentale et la criminalité ; c'est une question qui ne peut être éclairée par les faits anatomiqu
. Pour ce qui est des criminels et surtout des simples filous, la question devient des plus difficiles ; car on manque de ca
Archives, t. V. 5 66 REVUE CRITIQUE. Pour arriver à élucider la question , il ne faut pas accepter sans critique tous les
orpeur, pendant lequel la ma- lade n'entend rien, ne répond pas aux questions qui lui sont posées. Elle regarde les personnes
uniquement de l'hystérie, et les autres de l'épilepsie. Mais il est question également d'un accès de contrac- ture généralis
la présence de replis, degré supérieur d'oedème. P. K. VI. Sur la question DE la curabilité DU tabès ; par Friedrich Schul
le substratum anatomique est la cause occasionnelle du symptôme en question , il existe d'autres influences d'arrêt ou de re
giques, ce fait ne prête aucun argument à la solution de la double question : Quel est, du tissu conjonctif ou de l'élément
ret a fait un exposé clair et précis de l'état de la science sur la question des localisations dans les centres ner- veux ;
d'établir des asiles spéciaux; mais il nous reste encore bien des questions à examiner. Il faudra faire un choix parmi les al
r faire ce choix ? comment sera-t-elle composée ? Ce sont autant de questions importantes que notre Société a presque le devo
réation d'un asile d'État, je consulte la Société pour savoir si la question des aliénés criminels doit continuer à figurer
'est avec la plus complète indifférence qu'il répondit à toutes les questions posées à son arrivée. « Je veux voir couler du sa
Cotard l'a décrit : les aliénés répondent négativement à toutes les questions qu'on leur pose et en arrivent même jusqu'à nie
lle, mais je vous avouerai qu'il est très difficile d'aborder cette question en cour d'assises, car l'expert se trouve souve
fils d'aliénés dans le jury : au surplus, au cours du jugement, la question de cette hérédité lui sera certainement posée e
il pourra répondre en toute liberté. Maintenant j'admets que celte question soit tranchée, que ses antécédents mor- bides s
nt exactement semblables à ceux rapportés plus haut. En somme, la question n'est pas élucidée. Jeudi 22 juin. Séance de jo
Mills. Ce travail contient douze observations et étudie surtout la question du dia- gnostic. La céphalalgie n'a jamais manq
et les habitudes des femmes. Il s'est d'autant plus occupé de cette question qu'il a eu l'occasion de voir deux cas de ce ge
es indigents et les orphelins. » Le Dr Snell prend la parole sur la question du surnaenuge intellee- iiiel des élèves dans l
t à la rédaction de leurs lâches. Le Dr LORFNT rappelle que cette question du surmenage intellec- tuel appartient à tous l
disposition pathologique, pré- serverait peut-être des accidents en question . Le Dr Burghard rejette les tensions d'esprit p
qu'elle soit la même chez l'homme. Enfin M. Landouzy a élargi la question en signalant les rapports que la déviation conj
de latéralité ne cons- titue, on le conçoit, qu'un des côtés de la question . C'est, il est vrai, un des plus importants, et
du mécanisme immédiat des mouvements associés binocu- laires, la question ne sera pas encore résolue. Ces mouvements se p
audition, m'envoie le malade à examiner. Le malade fait répéter les questions , même voyant parler, paraît affaissé, démoralis
vril). Renz est couché dans le décubitus dorsal. Il répond bien aux questions qu'on lui pose; il n'est pas aphasique. Son int
. V. 11 i 2t0 PATHOLOGIE NERVEUSE. un peu du coma et comprend les questions qu'on lui pose, mais il répond par des paroles
il reste étranger à ce qui se fait autour de lui, ne répond pas aux questions ; il chiffonne. Vomissements fréquents. Lalangue
e comme peu fréquente, par les auteurs qui se sont occupés de cette question (Grisolle, Valleix, Calmeil, Hasse, Cliristian,
, J... parait reconnaître les personnes qui l'en- tourent; mais aux questions qu'on lui pose elle ne répond que par gestes. L
GIE; par HOLST. (A ? ,ch. f. Psych. u. Neî,ve ? ik, XI, 3.) Trois questions sont traitées par l'auteur, à ce point de vue.
de médecine, n°5, 1882.) Après avoir montré que pour trancher la question si ditréreiii- 2tf) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
lève la tête et dit ne pas comprendre. A force de répéter la même question , on parvient parfois à lui faire dire son nom, so
ais aussitôt elle revient à quelque idée fixe, sans rapport avec la question . Tout bruit léger autour d'elle provoque des mou-
la tète. Elle lit les imprimés et répond oralement ou par écrit aux questions qu'on lui présente par écrit. Mort rapide dans
corce ne don- neraient-elles pas les mêmes symptômes ? Telle est la question assez inattendue que se pose en terminant l'aut
es asiles départementaux, où ils sont en ce moment séquestrés. La question a été à peu près résolue par la commission instit
; c'est ce point de vue que je vais développer devant vous. Si la question scientifique est capitale, la question budgétaire
évelopper devant vous. Si la question scientifique est capitale, la question budgétaire a bien aussi sa valeur, comme vous a
l]iiisatfecte-t-e))o une relation étiologique'avec le tabès ? Cette question ne saurait être examinée qu'à la lumière de l'a
que dans toute autre forme de psychose. M. Hundoegger attaque la question de la latence de la syphilis. Il rapporte à ce
pro- gressé, après la disparition des accidents de la vérole. La question des rapports des excès alcooliques avec la paraly
la discussion de la Société médico-psycbologique de Paris sur cette question . M. Wahrendorff. De l'étal actuel des soins pro
lissement de Saint-Robert. Le conseil général avait été saisi de la question , grâce à l'initiative de MAI. Gâché et Sorrel, et
terons dans un instant sur l'intérêt du cas au point de vue de la question des localisations motrices. Mais, avant d'aller
eloppements' dans lesquels nous sommes entré rèla- tivement a cette question . Mais 1 on nous permettra de remarquer que les
rapprocher l'une des observations de Loelïler (Loc. cil.) : Il est question dans cette dernière d'un individu qui s'était f
,,avçc,cesmêmes musçles; 11Î. ? Y,ulpianp,ésumc ainsi.l'état cle la question : ' « Il est.probable, àit7.il ,,que,,Ies fibre
doivent se j i. ? 11 ? i u. z distinguer de celles dont il a été question ici, et les principaux caractères distinctifs s
., r ? t)).i ? ft.mf- . . deux sortes, de, contracture dont lt, est question rentrent t ? si ? juoUrUh& ? ii.dans la c
pathologie, peuvent.être invoqués, pour arriver à la solution de la question ., ? , ( ? '' `'I. Les faits les plus nets, en a
C ' ' 'fllll9t t nf· ! 7"t) II, Si,)maintenant nous, considérons la question au point do -il vu*dc l'a ,z'a'to ? zie,1noiis
'les'ilivres classiques,' ne-peut; rien 'pour la"soluti6n"dé' la ? question ! 1 Scarpa,`tProchasliâ`,t Seeminerül; 13alléz :
rront, en se multipliant', contribuer à donner. la solution do ? la question qui ''nous 'occupé. Ainsi, sur.un, sujet, nous,av
uère compter sur elles pour obtenir une solution prompte ,j de la b question . il i -i- ? i ? »"" '' L- P", de la question ?
n prompte ,j de la b question. il i -i- ? i ? »"" '' L- P", de la question ? I. ( . JitMi#M,t u, ? > ? ? ? <>t t
accoutumés, même après l'insensibilisation artificielle du point en question . La torpeur cérébrale, loin de dépendre de l'anes
, aurait progressivement raison de tout le cortège des accidents en question , emprovo- quant le transfert d'un côté à l'autr
En résume, le mémoire de M. Barraquer soulevé .un certain nombre de questions intéressantes.. Il appelle des recherches de co
pesées fournissent un maximum de 67 à 82 grammes. Les quatre cas en question , personnels au professeur IIagen, sont relatifs
étant égales d'ailleurs, sa' conclusion' est que les anomalies en question sont moins fréquentes chez les paralytiques et pr
h dans ce mémoire, le point capital résidant, à notre sens, dans la question de l'hérédité. Croyant à la, véracité de l'asse
montrer statistiquement; mais il s'est heurté en bien des cas à des questions d'appréciation subjective, tantil y avait mélan
station des réflexes associés, tel est le bilan du somnambulisme en question . Intégrité des poumons et du coeur. -Guérison.
urs segments, externes, sans ataxie. La pathogénie du symp- tôme en question exige probablement le concours d'une lésion atr
tre l'aliéna- tion mentale et les maladies, des. organes sexuels en question . En conséquence, sans nier l'influence de la vi
e comme naturels. Tout concourt à faire penserqu'il ne saurait être question ici de fourberie. P. K. WTT <-1 ? m m 1 ' 1
d retentissement : le divorce pour cause d'aliénation mentale et la question des aliénés dits criminels.. Il rappelle en que
re profiter tous de son expérience et de ses travaux. Plu- . sieurs questions d'ailleurs nous sollicitent. Les pouvoirs publics
e examiner ce projettnouveau; personne ne saurait apporter dans ces questions une compétence, une auto- rité égales aux vôtre
ne influence funesle sur le mal; mais jamais on n'a agité semblable question à l'égard des descendants du malade. N '' - '.
rtions le moins possible de la vérité. Il s'agit, on le voit, d'une question d'interprétation pour laquelle, ne relevant de no
rains pas, après avoir pour les besoins de la cause, posé certaines questions dans le but apparent d'élucider ce point spécia
M. Bigot estime que M. Billôdyentde, soulever, une, intéressante question ; niats,tllprŸüse,jiyvântudé laire]uncp.,rupons,e1
doit, nipplit ? .,J ? il 1> «iwiliii r\(., l.crwn.-Alcûté de la- question 'de; déontologie;1 il y'a'aussi une' question d
l.crwn.-Alcûté de la- question 'de; déontologie;1 il y'a'aussi une' question de pronostic, ! à laquelle nous ne'sommes'pas tou
: r noc't · n rl `vt ? v nh 1-m;tintrl F.1,LRLeT.'Potir résoudre la question soulevée, on peut se placer adeuxp61nt.s''do"vu
ander s'il peut l'épouser ? M. 13]LLOD n'a pas abordé ce côté de la question , car son impor- tance est trop capitale pour êt
l comporte une communication du président, au nom du Bureau, sur la question des asiles pour buveurs devant l'autorité et le
utorité et les pouvoirs législatifs du gouvernement prussien. Celle question remonte à la séance de 1877 tenue a 390 SOCIÉTÉ
e conférer par la Société au Bureau pleins pouvoirs pour pousser la question selon les circonstances. S'étant abouché avec l
la prison du fait de l'ivresse. La commission s'en remet pour les questions de finance et de législation, que la création d'a
agesse des gouvernements confédérés et du chancelier. Voilà donc la question des asiles pour buveurs entrée dans le domaine pu
le Rapport du Bureau relatif aux conclu- sions de la Société sur la question du surmenage dans les Écoles supé- rieunes. La
investi de toute la confiance de la Société pour prendre en main la question du surmenage de la jeunesse dans les gymnases e
sobservées. 302 -) SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉS SAVANTES. 393 la question de savoir si la Société doit tenter de réunir des
s conclusions du bureau. La discussion roule enfin sur la forme des questions . On remet sur le tapis le questionnaire de lias
vers onze heures M. le président propose de s'occuper d'abord de la question des idiots et du rapport présenté par la commis
La Société se rangeant à cet avis, M. liwin prend la parole sur la Question des Idiots, au nom d'une commission composée de 1
le rapporteur d'un travail qui place des jalons dans le champ d'une question étendue. L'assemblée, par son organe, se rallie
e nul directeur ne peut se targuer d'éviter, soulèvent une foule de questions délicates, comme le montre M. Siemens, tant au
avis et conformément au résumé de M. Nasse. Tels la suppression des questions qui concernent les enfants des aliénés, l'addit
lé, des blessures céphaliques, de l'ivrognerie ? la radiation des questions sur les enfants malades du patient, de la questio
a radiation des questions sur les enfants malades du patient, de la question 12 (conflit avec le code pénal), de la question
s du patient, de la question 12 (conflit avec le code pénal), de la question Il (complication de maladies constitutionnelles
la question Il (complication de maladies constitutionnelles), de la question 17 (frais du traitement), le remplacement des i
t des rapports officiels qu'il a pu se procurer. L'historique de la question met successivement en lumière : les premières r
psychiatrie. 11 insiste sur l'association des sections d'aliénés en question aux prisons d'invalides, l'asile formant ainsi un
pte des communications qui viennent de se faire jour, remanier la question quant à l'annexion des asiles de ce genre, soit a
esse l'état aigu et apparaît l'imbécillité congénitale. ' Sur cette question , AI11. lticliter (de Pankow) et Tic"es sont d'a
s aucune structure. M. L.v;un estime qu'il y a eu chez la malade en question des troubles vagues de la sensibilité etjdo la
scien- tifiques qui ont mis en lumière les différents côtés de ces questions , BIBLIOGRAPHIE. 409 9 en rendant justice exac
u point de vue de la responsabilité, en étudiant successivement les questions relatives à la séparation de corps, à la garde
l'appréciation médico-légale est essentiellement et avant tout une question d'espèce ; et ce qui prouve que c'est bien l'op
nd nombre de travaux. Nous n'insisterons pas sur l'historique de la question , que M. Ritti a exposé avec soin et en détail,
e, la terminaison, l'auteur aborde dans le chapitre VI l'importante question du diagnostic. « Ici, l'auteurne laisse échappe
réside dans des modifications du liquide sanguin. « C'est à cette question que le même ire manuscrit du même auteur est ex
a publié plusieurs travaux de vulgarisation, notant-. ment sur des questions d'hygiène. M. le Dr BERTILLON, chef des travaux
Système nerveux (sclérose multi- loculaire du), 88. Tabès (sur la question de la cura- bilitc du), par Schu[tze, 99. Top
43 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cite des communications de MAI. SELLE 3 et Neisser 4 à propos d'une question qui devient à l'ordre du jour ainsi qu'on peut
e Lille. Exposons donc maintenant les points fondamentaux de la question . Généralités. Le mécanisme des idées délirant
ite logique mais erronée et exagérée en rapport avec les idées en question . L'état de l'humeur correspondant à ces idées,
Nous avons précédemment touché un mot du trouble intel- lectuel en question . Mais nous n'en avons pas décrit par le menu le
lement à régulariser la pensée au cordeau. Penser ou répondre à une question , c'est trouver une idée initiale qui mette en m
, produit de la disjonction la plus avancée de l'ordre préétabli en question , quelque dé- raisonnable ou absurde qu'elle soi
. Et comment l'idée prévalente s'étant installée domine-t-elle la question ? Tantôt il n'y a pas eu lutte ; elle s'est insta
à la suite de l'antagonisme qui normalement existe entre l'idée en question et.les con- ceptions opposées chargées, chez l'
orme, multiple; rumination de problèmes philosophiques, de mots, de questions métaphysiques, insi- gnifiants au point de vue
tion française, page 536. z8 CLINIQUE MENTALE. .longuement sur la question de savoir comment ce décret était parvenu dans
lyse personnelle du degré des images que suscitent les phrases en question . - Quand la migraine ophtalmique débute par l'o
, la science manque de documents positifs pour la solution de cette question : un seul fait d'observation pratique doit être
testants, les préoccupations religieuses portent en général sur des questions de controverse théolo- gique, tandis que, chez
automatique que partent les actions inhibitrices et excitatrices en question . Or ce centre automatique est tout à fait disti
lusieurs observations qui peuvent servir à éclairer cette difficile question de pathologie générale nerveuse. La complicatio
M. Orchanski met en relief bien des points de vue que soulève cette question toujours d'actualité qu'est l'hérédité tant norma
de vin a été rarement signalé dans l'étiologie de l'affection en question . Du RÔLE DE L'HYGIÈNE ET DE LA GYNÉCOLOGIE DANS
énéral de la Seine, en vue de la réforme des services d'aliénés. La question de l'assistance des aliénés préoccupe à juste tit
'étranger. Dans cet article, notre intention n'est pas d'aborder la question de l'organisation en général des asiles d'alién
liénés; nous voulons seulement nous borner à examiner un côté de la question , en nous SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 plaçant au poi
uelles nous n'avons jamais institué un traitement chirurgical. La question des interventions chirurgicales chez les aliénées
st facile de se con- vaincre que, pour beaucoup de ces médecins, la question mal posée laissait supposer qu'il s'agissait du
et Pieraccini ont publié également un mémoire très important sur la question . En France, peu de chirurgiens se sont occupés
la question. En France, peu de chirurgiens se sont occupés de la question lors de la discussion sur les psychoses. Quelqu
lement. Enfin Cossa (thèse de Montpellier) a consacré sa thèse à la question du traite- ment chirurgical de la folie sympath
dans une leçon clinique très remar- quable, a traité incidemment la question des rapports de la chi- rurgie et de l'aliénati
e voulons pas nous étendre plus longuement sur l'histo- rique de la question ; nous n'avons pas en effet l'intention de reve
écifique énergique. Dans une troisième partie l'auteur développe la question du traitement : indications générales, médicati
'idiotie ,ct de l'imbécillité. L'auteur a examiné à propos de cette question (p. 145-156), 76 enfants très rachitiques et il
e l'insolent s'il se présentait. Arrivée à ce point, l'idée fixe en question devint un facteur important dans la vie de Mme
e toutes les contradictions, malgré l'intervention du mon- sieur en question , qui lui a nettement fait comprendre qu'il n'av
z fait son malheur. » « J'étais loin de me douter alors qu'il était question de moi raconte B... ; mais comme j'étais obsédé
les Ambassadeurs des puissances principalement intéressées dans la question concernant ma situation. « Excellences, « V
mpossible de faire face à ma situation politique. « Reste donc la question première et si vous ne me rendez jus- tice, sur
es. « Je prie donc vos Excellences de bien approfondir toutes les questions , et d'en finir avec une pareille existence, et de
ient de disposer et de discuter le bien ou mal fondé de la chose en question à moins qu'il y aurait des Bourbons d'Espagne d
cela par des gens que je ne connais pas, et qui, malgré toutes les questions que j'ai posées depuis que je suis à l'Asile, n
e, je veux qu'on me coupe la tête pour pouvoir prendre l'objet en question , sinon je veux, à tout prix, savoir ce que l'on m
mêle : il cause pendant les heures de loisir avec le professeur en question et le retient éloigné d'elle à un tout autre endr
ec lui étaient évidem- ment connus, car toutes les fois qu'il était question du professeur parti, elle sentait des insinuati
e Clien ? a bien voulu répondre par les renseignements suivants aux questions qui lui ont été adressées pour préciser ce point
qu'il y a de très particulier chez Chen..., c'est que le rapport en question est éloigné des limites habituelles, même du cô
ces de l'écorce que Cajal formulera son juge- ment définitif sur la question . En attendant, ce n'est pas en vain, on le conç
attention des observateurs soit plus sérieusement dirigée sur cette question ; 4° la lèpre doit être admise comme cause étio
SOCIÉTÉS SAVANTES. forme de dégénérescence. En résumé, le malade en question appa- rait comme un dégénéré portant pour stigm
le. Séance du 22 janvier 1899. W. WOROUIEFF. - Contribution ci la question des particularités stigmates) physiques des ali
n. 11 ne s'agit ici que des vrais exhibitionnistes, il n'est point' question des déments séniles, des paralytiques généraux,
ané plantaire était redevenu normal. J'ai observé aussi le signe en question au moment de la crise pendant un espace de temp
traitement esl-il suivi de guérison ou au moins d'amélioration, la question est délicate. Voici un cas qui pourra servir à
nose ont d'importance, et combien leur découverte a éclairé cette question et rendu effective la thérapeuthique. Attaques de
er a entrepris, dans sa thèse inaugurale, de rajeunir cette vieille question des rapports de la phtisie et de la folie. Il s
0 - [ 0 Till CE; Par le D' .lowv ROUX. Depuis quelques années, la question des centres corticaux a notablement changé de f
semblé que ces notions nouvelles étaient susceptibles d'éclairer la question si contro- versée de l'innervation corticale oc
des localisa- tions précises que de donner une vue d'ensemble de la question , et mon- trer le jour véritable sous lequel ell
vons attribués plus haut aux mouvements dits volontaires. Ici une question se pose : ces mouvements dits volontaires, dont
bsolument impossible 1 Comment ? Nous n'avons pas à envisager cette question ici : c'est tout le problème de lu conscience-
a tète et des yeux. Nous ne pouvons faire ici l'historique de cette question , et citer les nombreux travaux auxquels elle a
l'apoplexie pro- gressive un syndrome anatomo-clinique spécial, la question ne parait pas avoir attiré beaucoup l'attention
que que symptomatique, nous ont amenés à reprendre l'étude de cette question et à envisager surtout l'étroitesse du rapport
s rien dire, elle va se coucher directe- ment, ne répondant pas aux questions de ses voisines. Vomisse- ments verdâtres fréqu
un homme qui ne peut se faire comprendre verbalement. Il entend les questions qu'on lui pose mais ne peut y répondre que par
trace tout d'abord avec concision et méthode l'historique de cette question toujours discutée et qui a donné lieu à tant de
ncore ouverte à l'heure actuelle. Il n'est plus guère aujourd'hui question de mettre en discussion ce fait que les lésions
lus dans les canaux semi-circulaires, la perception du mouvement en question n'est donc pas transmise par le labyrinthe, ell
Foveau de Cour- melles passe alors en revue une grande quantité de questions et de chacune il dégage le rôle de la science.
ur scientifique. Je remarquerai toute- fois que la multiplicité des questions qu'il fait passer sous les yeux du lecteur a ét
que leur science peut s'appliquer ou s'est appliquée il résoudre la question sociale, comme l'indique l'auteur. Bien loin d'y
sont plutôt des regrets que l'auteur n'ait pas approfondi certaines questions , quitte à publier deux volumes sur l'esprit sci
rants jaloux est comme toujours avant tout, en médecine légale, une question de diagnostic. Cette capacité et cette respon-
les individus. 11 n'y a donc pas de règle générale fixe; c'est une question d'espèce et de mesure, variable suivant les cas
rveux consécutifs aux frac- turcs. Deyber (René). Etal actuel de la question de l'awoeboi : ,me nerveux. Doré. La mort dans
leptifo,ine. Le jury a rendu un verdict affirmatif seulement sur la question de coups et blessures. En conséquence, Vacher a
d'Angers, l'accord est loin d'être fait entre les auteurs sur cette question . Les divergences d'idées portent non seulement
LINIQUE MENTALE. Seule, la clinique peut trancher définitivement la question . Mais il est indispensable que les observations
-l'interroge, il est nécessaire de répéter plusieurs fois la même question pour obtenir une réponse. Il faut, par l'intonati
l âge avez-vous ? R. Quatre-vingt-dix-neuf ans. Je renouvelle cette question , mais j'obtiens invariablement la même réponse;
plus fréquents et plus prolongés. C... répond sensément à quelques questions , ou bien il y répond par des jeux de mots ou de
idemment obscurcie; néanmoins, la malade répond assez nettement aux questions qu'on lui adresse et son examen est relativemen
et l'épaule du même côté. Elle répond avec beaucoup de lucidité aux questions qu'on lui pose ; mais, si on cesse de l'interro
s fosses nasales. État intellectuel. Le malade répond nettement aux questions qu'on lui adresse ; il se rend compte de son ét
, tantôt exagérées dans les psychoses. En règle générale, dans la question qui nous occupe, il y aurait soit suppression du
- Le vocabulaire de est très borné; elle répond le plus souvent aux questions simplement par oui ou par non, toujours en acco
amment, et il est à supposer qu'elle ne comprend pas la plupart des questions qui lui sont adressées. Elle reconnaît les pers
à effet entre l'idiotie congénitale du sujet et l'hypospadias. La question est anologue à celle que nous avons discutée à pr
'est certainement déve- loppé bien au delà de cette limite, mais la question est de savoir si l'hypospadias une fois créé n'
Faut-il rechercher dans l'écorce la localisation choréogène ' ? La question reste posée, en tout cas la chorée essentielle
lsifs rappellent bien la chorée infantile mais il n'en saurait être question . L'auteur passe cependant en revue le diagnosti
ouve non plus qu'il y ait modifi- cation primitive de la cellule en question , mais l'absence de lésion anatomique ne permet
uvons le considérer pur de toute manifestation morbide. C'est là la question : la menstruation exagère-t-clle sim- plement l
ès. Notre collègue qui possède tous les éléments pour étudier cette question , étant médecin dans un service de plus de 1.200
ar un traitement spécial ont été rapportés par divers auteurs. La question des psycho-névroses syphilitiques est une des plu
u complètement la parole et la mimique, et ne répond aucunement aux questions . Pas de paralysies, légère rigi- dité dans les
ez les aliénés. Après une étude approfondie de la littérature de la question . S... arrive à conclure que l'organisation du t
. Discussion. M. IOURATOI'1 croit que la valeur du phénomène e en question est très incertaine tant au point de vue théoriqu
ndiqué l'insuffisance de nos connaissances actuelles relatives à la question de la pathogénie des affections blennorra- giqu
e Dr IL CESTAN. M. R. Cestan aborde, dans sa thèse inaugurale, deux questions connexes de pathologie nerveuse, mises à l'ordr
Paris, Jouve et Boyer, 1898. L'auteur ne prétend pas trancher cette question souvent abor- dée mais qui n'a jamais été trait
de dégénérescence, et seulement avec lésions médullaires. C'est une question de définition. A l'heure actuelle, la pathogéni
s actuels il faut citer le nom de M. Séglas' J qui a bien étudié la question en 1888, et formé trois groupes d'hallucination
-motj'iccs verbales. - Les voix des oreilles lui posaient aussi des questions , et, elle s'aperçut un jour qu'une autre voix,
e-là, sans aucun timbre, qu'elle entendait néanmoins, répondait aux questions posées par les voix des oreilles. Ainsi s'établ
r l'estomac, disait-elle, tandis que j'entends par les oreilles les questions et les injures que l'on m'adresse. » Elle resse
l'écart, à la façon d'un misanthrope, il s'intéressait beaucoup aux questions politiques, les discutait avec ardeur, se metta
servations de lésion isolée des racines, très propres à éclairer la question des rapports des racines postérieures avec la s
rds dentelés ou projeté en rameaux touffus se détache de la zone en question à l'état de noyau beaucoup plus foncé. En réali
rf optique, bien perpendiculaire à l'axe, montre que le faisceau en question est bien un groupe médian à faible excen- trici
ti-es causes d'accidents paralytiques en dehors des inoculations en question . La première observation est topique. 11 s'agit
aciale. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. a'3 Dans les deux observations en question , il y avait polynévrite, donc les accidents pol
chef de l'asile de Fains (Meuse). Se sentant surtout porté vers les questions administratives, il sollicita et obtint, en 187
mal, à le limiter, non sans des pertes sérieuses. Dauby, que les questions administratives intéressaient tout par- ticuliè
. VIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. auteurs, car elle montre que la question n'a pas été éclaircie : Cotard dit que les trou
par de l'affaiblissement intellectuel progressif. Nothnagel, sur la question des troubles psychiques liés aux lésions nécrob
la « prison médicale » de jadis en colonie agricole n'était qu'une question de temps. Mais, répétons-le, c'étaient surtout
uées dans l'histoire du traitement par le lit. Dans l'une, il n'est question d'appliquer l'alitement qu'à telle ou telle cat
slain * revient le mérite d'avoir, en 18¡), introduit le procédé en question dans la thérapeutique des maladies mentales. «
s que présente l'alitement et il a recueilli sur cette im- portante question , l'opinion des psychiatres les plus auto- risés
é en France. Aucune discussion n'est engagée sur cette im- portante question . Il faut arriver à l'année 1897 pour voir la mé
s aiguës, etc.. toc. cil. 460 THÉRAPEUTIQUE. cions de mettre la question au point et de fixer aussi exac- tement que pos
ormais condamné sans appel. L'application générale de la méthode en question amènera fatalement la disparition de nos asiles
ce mouvement. En même temps, du reste, d'autres auteurs ramenant la question sur son vrai terrain tendaient à placer l'ori-
r son vrai terrain tendaient à placer l'ori- gine des sensations en question , non point dans les muscles, au moins dans les
tement posé et les auteurs contemporains n'ont fait qu'amplifier la question , et y ajouter de nouvelles données. Notre inten
volontaire tels sont à l'heure actuelle, les points en litige. Ces questions ont été étudiées presque simultanément dans plu
épendante. » Goldscheider cité par Clapaccde a tenté de résoudre la question par l'analyse expérimentale. Partant de ce fait
i concerne l'origine centrale ou périphérique du sens musculaire la question nous semble parfaitement élucidée par Claparède
rt vers dix heures. L'autopsie révèle les altérations dont il a été question plus haut et une néphrite interstitielle. De no
s deux tympans. L'ouïe est bonné mais le malade ne comprend pas les questions les plus simples ; il ne répond pas ou répond q
arrière, croise obliquement d'avant en arrière la circonvolution en question . s'enfonce dans sa substance blanche en se rapp
XL N. F., IX, 1898.) On a abusé du qualificatif traumatique dans la question de la genèse des maladies nerveuses. Les inconv
s. Si, en cas de doute, on incline à favoriser le côté humain de la question des accidents, il ne faut pas cependant exagére
iqûres, peu le froid et le chaud, notamment au centre de la zone en question . Il éprouve des douleurs sponta- nées quand on
de délire chez les tuberculeux ? Il est difficile de trancher cette question d'une manière absolue : toute- fois, les auteur
u- perflu d'ajouter que la compétence de M. M. de Fleury dans ces questions d'hygiène morale et de neurologie a trouvé une oc
er de nouveau l'attention de MM. les préfets sur cette intéressante question d'assistance hospitalière. B. 524 4 VARIA.
on. Lèpre et -, par Kova- levsky, 142. Aliénés. Contribution à la question des particularités (stigmates) phy- siques de
44 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
. — La connaissons-nous bien? Ce n’est guère entre eux et nous qu’une question de plus ou de moins assez mal définie. XII dépe
est pas dépourvu d’intérêt, mais elles pourront servir à élucider une question dont ou ne s’est peut-être pas assez occupé, et q
lus fort moment de mon enthousiasme pour les nouvelles expériences en question , je ne cherchai point à développer en lui la luc
du reste par l’expérience, je ne veux cependant point trancher net la question , et je vous laisse, monsieur le baron, vous, qui
s aussi bien que pour les phrénologues, qui savent que l^S organes en question pe sont alors à peine qu’à l’état rp-dimentaire ;
ÉS. — LA NOUVELLE PLAKÈIE DÉCOÜVEBTB ENTRE LE SOLEU. ET MERCURE, La question du sommeil nerveux subit en ce moment un certain
médicale. Ces préoccupations nons semblent hors de propos. Une grande question est posée, et, puisque le public en a été saisi,
ative. La Société de chirurgie, qui s’est, la première, occupée de la question du sommeil nerveux, après avoir consacré .plusieu
saveat point se plier aux convenances momentanées des savants, et la question du sommeil nerveux continue de s’instruire et de
e MM. Folliu et Broca ont exécutée à l’hospice Necker, au début de la question qui nous occupe. L’observation qui vient d’être
s ces systèmes, dans les faits allégués. Nous avons déjà traité cette question dans ce journal (1855, p. (530), à propos d’une b
souvent la suggestion suffisait pour rendre raison des faits. Cette question étant des plus ardues, il est bon de recueillir t
nion d’un savant aussi distingué et d’un esprit aussi positif sur une question qui se rattache au ma- gnétisme dont il était a
poiDt leurs intérêts, poursuivra, nous en sommes sûrs, la solution de questions qui l’intéressent au plus haut degré. Un illust
qu’elles ont, et ne les cite qu’afin de prouvei* comiiien les graves questions qui tiennent aujourd’hui le monde en suspens, l’o
mande si ces sorciers étaient inspirés de Dieu ou du diable. Kti'ange question ! « L'n autre sorcier, dès le quinzième siècle,
isme. « Quoi qu'il en soit, aujourd’hui que la glace est rompue, la question va, sans nul doute, être étudiée à fond et sans p
ouvelle va dorénavant guider nos pas chancelants à iravei» tontes les questions abstruses de la métaphysique. Les savants à dip
dispose à donner une exposition théorique et expérimentale sur celle question singulière maintenant à l’ordre du joiir. La prem
ent à votre courage ; car vous abordez franchement, résolûraent cette question depuis si longtemps soulevée, ce que nul savant n
ème. La plupart des savants de cettp époque se prononcèrent sur cette question ; l'Académie des sciences, l’Académie de médecine
apporta de grandes modifications dans la direction des esprits ; les questions changèrent avec les époques, et le magnétisme, qu
it de nouveau panni nous, la France iut une seconde lois saisie d’une question qui l’avait vivi-ment intéressée; et si l'enlliou
sujettes à aucune contradiction. Ainsi, Messieurs, ce n’est pas la question jugée queje vous propose d’examiner de nouveau ;
s anciens que je veux soumettre à votre jugement ; il n’est nullement question de baquets, de crises et de somnambulisme. tTaban
d’une découverte dont l’importance est au-dessus de tout calcul. La question que je vous propose d'examiner ne présente, je le
’exprimait un médecin qui venait de m’entendre parler du phénomène en question , et qui, par un raisonnement plus captieux que lo
t la musique pour ótre sûrs qu’on dansait déjà, et que la personne en question , folle de la danse, et sans laquelle on n’aurait
ôlr lire dans l’avenir qiiè daiiè le Jiàifsé ? Si nous posons cette question , c’est que iious èroyons être déjà à môme d'en do
Gautieb V*. » SOMNAUBDLISHE. Observations sur la manière dont les questions doivanl être posées au somosinbule. « Monsieurl
e jours avant ; elle annonça des picotemwta aux amygdales ; enfin les questions adressées restèrent toutes sans réponse. Mme Gris
re 1826 «ne commission fut nommée pour faire un rapport sur la simple question de savoir s'il était possible que C Académie s'oc
s accidentsou déterminent des eflets salutaires, et qui soulèvent les questions les plus élevées de la philosophie. Quandia jus
rl’unc constate la réalité de ce que l’autre nie. Ilexistedonc sur la question du magnétis'iie une lacune k combler. Il faut, d'
BLE, LE PflÉflOMlNË t»lT TRANSPOSITION DES SENS. Avant de poser ces questions , que nous voulons souiaettiK à ceux de nos collèg
t sur la bonté infinie de Celui qui nous a créés,- ne pas trancher la question avec autant d'assurance et de hardiesse. Qu’un es
par le somuarabulisme, rencontre ce rayon de lumièi’C, et le fait en question ne peut manquer d’apparaître audit principe dans
éclairer de leurs lumières, en les priant de chercher à résoudre les questions suivantes: 1« Un corps opaque conserve-t-il son
'une part et réaction de l’autre? Nous aurions encore bien d'autres questions à poser; mais nous nous contenterons pour aujourd
tténuantes. L’avis que je me suis permis de porter sur ces irritantes questions n'est point un écho servile de l’opinion dominant
ite. Nous allons essayer de les satisfaire. a Préjugeant le fait en question , on l'a classé tout d'abord dans l’ordre du merve
ité! (‘J'adjure la science, eten particulier la n)édecine que'cette question concerne de !a manière la plus directe, je l’adju
plus précieux des biens, la santé et la vie?... Au fond, telle est la question qui s’agitait, hier, devant le tribunal correctio
our réels les phénomènes extraordinaires des perceptions magnétiques, question sur laquelle ils trouvent d’innombrables auxiliai
tique l’hypnotisme et le mesmérisme proprement dit. J'ai étudié cette question uniquement au point de vue de la science. En d'au
inal qui n’était nullement ressenti par le consultant. J'adressai des questions pour remettre sur la voie, soit pur la vision, so
ants avaient élé seuls, sans un médecin ou un magnétiseur, dont les questions ont provoqué l’aveu du téraohi, ils seraient part
vec chagrin, de n'adhérer nullement à son opinion. Il est vrai que la question , lantdébattue dn m^nétisme animal est trop ardue
s le félicitons sur son courage, caí- il aborde fiaiicheinent cette question qui, depuis Mesmer, n’a pas cessé d’être prise en
ns, car il arrive souvent que des somnambules auxquels on adresse une question ne perçoivent plus auctm son par le moyen du cana
us auctm son par le moyen du canal auditif, tandis que, si cette même question est faite tout près d'une autre partie de leur co
m’annonçait le moment où la magnétisation devenait sufll-sante. A la question comment il voyait, il répondait : — par la pensée
une personne digne de foi, pourra servir à élucider taot soit peu la question , àu point de vue des spiritualistes, dans la bala
e de son ange gardien qui, à l’aide d’une petite table, répondait aux questions les plus arduesqu’elle lui posait (2). Cependant,
n autre Esprhj qui, assura-t-il, répondrait parfaitement à toutes les questions qu’on lui ferait sur cette matière. Ce second E
voulu en éire davantage sur ce qui le concernait, on lui posad’autres questions . , Il parla encore pendant près d’un quart d’he
en, mais que je ne commenterai point ici. Je me Ixtrne à répéter la question que j’ai placée en tète de cet article : Les Espr
ipes fondamentaux du magnétisme animal. Et d’abord je poserai cette question : — Les faits qui sont désignés sous le nom de
ons, s’il se peut, comment procède cet agent. Avant d’aborder cette question capitale, je crois devoir rectifier certaines don
J'en reste là pour aujourd’hui. Je reviendrai prochainement sur cette question si vous voulez bien le permettre, chose que je me
, dirait-on, pour faire justice de ces sots préjugés, et désormais la question tant controversée est mise en cause par tous. C’e
mplète, du moins comme nous l’avons saisie, bien qu’elle renferme des questions qui appelleraient la controverse et placeraient
u subjugue nombre d’intelligences remarquables ; qui de nous, sur une question si capitale, assurerait que l’avenir ne modifiera
taine et tonton de sachanson, qui sont d’un à propos singulier, caria question de l’hypnotisme pourrait donner lieu à une comédi
tt ’représentés. Les JJères de l'Église aVàîent trop slthjplifié la question , en tfadlùieltant que 'deux esprits àt^ohts, celu
état particulier est peu connu, du moins je n'ai pas vu qu’il eiî fût question dans les ouvrages de magnétisme. J. V., âgé de
e faisait écouter avec bien plus d'intérêt quand il parlait. Il était question un jour entre nous de choses éloignées et desquel
entait point du tout les mêmes eiïets que l’autre. Il répondait aux questions qu’on lui faisait, se levait, marchait quand on l
eut beau faire la.sourde oreiUe, on a eu beau écarter cette éternelle question du m^nétisme, la vérité a ûni par se f;ûre jour,
, et cela pour faire pièce au magnétisme, pour sauver une misérable question d’amour-propre est et restera toujours une lO" go
9. J'ai consenti à rouvrir les feuilles du journal pour traiter une question où l’homéopathie se trouve mêlée au magnétisme. C
de la civilisatioD des humanités qui semblent sécréter les fluides en question , comme les plantes sécrètent l'oxygène, comme les
ayement, conduit le malade auprès du médecin qui, sans contrôle, sans questions , se borne à signer en aveugle la consultation ;
smérienne n'esl point encore établie, le magnétisme est bien plus une question de foi ap(>stolique qu’une science faite et po
le pond son œuf par le gros bout ou par le petit bout, — cette grande question étant bien digne de controverse —, nous sera-t-il
ent leur prétendue exégèse n’est point un soleil sur les ombres de la question . En efîet, je le demande aux enteodementô scrutat
ulions d’abord y consacrer. Nous ne nous occuperons guère que de la question de la lucidité, c'est la prétention magnétique la
, artificielles et souterraines, comme le canal d’Arcucil dont il est question dans la citation qui suit, et que M. Figuier n’ar
en fut d'autant plus surprise qu’elle venait de recevoir la lettre en question par le courrier du soir, et n’en avait encore par
otisme est identique à l'état magnétique. Quelle lumière jetée sur la question ! La belle chose que la science I dirait Molière.
le sait depuis quatre-vingts ans. Qu’est-ce que cela peut faire à la question ? M. Figuier se garde bien de le dire et nous ne
e son activité. Outre le dépérissement général dont il vient d’être question , les forces s'affaiblissent encore par le travail
t-il pas approchant de même en lout, el, je ne cesse d’en réitérer la question , est-ce au magnétiste à s’en étonner ? Eh 1 que
e les divi^rses opinion.s qui ont été émises à propos de cette double question : l'/zAcr et le mouvement de la multare. Mais c’e
ouvement de la matière, et sous le prétexte spécieux de simplifier la question , ces messieurs admettent rintervenlion de deux fo
fet ? Je n'hésite pas à me prononcer dans le sens de cette dernière question : — Le mouvement est un effet. Adopter l'opin
la science du magnétisme animal. Avant d’aborder directement cette question , je crois devoir relever plusieurs anomahes, cont
facultés magnétiques. J’aborde maintenant le sujet principal de la question qui se débat entre mon contradicteur et moi. Je
a le premier mémoire que j’ai eu l’honneur de vous adresser, il était question d’une expérience faite dans le but de reconnaître
at d’académie, doivent pourtant former l’esprit national touchant des questions si élevées qu’un homme complet n'ose les aborder
lui qui a fait ces choses. Baron ou Potet. LE SPIRITUALISME. La question du spiritualisme qui s’agit« en ce momenl n’est p
ent du monde et la puissance de Dieu se manifestent. 11 est à présent question de savoir si ce sont des foimes pures et sans cor
des deux avait Tbabitude de parler en dormant et répondait alors aux questions que son camarade lui adressait. Une nuit il pouss
te généreusement animó, je n’en doute pas, et qui d’emblée régente la question en néo-lliéoricien (1), pense avoir le lil d’Aria
lcn'.enl applicables, clieï l’auteur, même dans un sens indirect, aux questions que, sans les résoudre, je n’ai pas craint de sou
ayant puissance sur nos organes. Nous ne voulons point trancher cette question , bien que nous ayons puisé dans les faits de magn
la main, cela à la face du soleil. Si quelqu’un lui adressait cette question : — Chien, qne cherclies-tu ? — Je cherche un
mes faibles facultés, à découvrir la vérité vraie dans les nombreuses questions scientifiques qui se débaltent chaque jour. Le ma
Le magnétisme animal a surtout attiré mon attention comme formant la question capitale du moment, c’est-à-dire celle qui doit I
ent dans les lignes précitées. Je me permettrai de lui poser quelques questions à ce sujet, afin tVéclaircir autant que possible
boril commencer par s'entendre sur le vérital)le sens des roots. 1« QUESTION . — Quelle est la nature de cet agenl subtil que M
l'âme ou la volonté ? Cet agent est-il matériel ou immatériel ? 2* QUESTION . — S'il est immatériel, comme l'admet probablemen
ment-elles une seule et même chose..., ou sont-elles distinctes? 6* QUESTION . ■— La volonté est-elle un principe, une action o
ON. ■— La volonté est-elle un principe, une action ou un effet ? 6« QUESTION . — La volonté peut-elle ^Îr seule, c’est-à-dire s
Loreqne M. le D' Ordinaire m’aura fait l'honneur de répondre k ces questions , je m’empresserai de lui démontrer, à l’aide de f
as du fluide calorique. I! est étrange qu’à notre époque de pareilles questions soient encore discutées. 8* expérience ; Si dan
tjit posséder la vérité plus complète sur ces graves et intéressantes questions , vous avez cherché à les modifier, à l’effet de m
longer indéfiniment la cflinplaisance du /oumal du Maÿnétism pour une question en dehors de sa spécialité. CepeodstQt, en quelqu
raiiait pir le [Dagirfüsmc ei l’ilectriciK. QUELQUES MOTS SUR CETTE QUESTION : lE MAGNÉTISEUB DOrr-lL SE DÉMAGNÉTISER? Tout
ide, que personne, jusqu'à présent, ne peut complètement trancher ces questions : — Faut-il se démagnétiser? ou esl~ñ inutile de
émagnétiser? Qui donc répondra par une vérité mathématique à ces deux questions ? Chaque science, avant de pouvoir émettre un s
n nouveau procès chimique, et nous arrivent-ils purifiés ; mais cette question n’est pas encore résolue. Démagnétisons-nous donc
insensible-, il entend tout le monde indistinctement ; il répond aux questions qu’on lui adresse, mais avec une certaine dilTicu
e semblait éprouver une difficulté réelle pour pénétrer le mystère en question . Bientôt cependant ses traita se détendirent, sa
e. —Voyons, Catherine,qu’avez-vous? pourquoi ne répondez-vous pas aux questions qu’on vous adresse? — Je suis occupée... je pense
snous occupions encore de magnétisme. La jeune paysanne dont il a été question jusqu’à présent se trouvât dans le somnambulisme.
s années que j’ai eu à ma disposition la j^une paysanne dont il a été question plus haut, celle-ci m'a présenté deux ou trois ca
de ces facultés sur^ naturelles. Je reviendrai plus fard sur cette question en traitant spécialement de la transmissiou de pe
ouche, le bien par n’importe quelles mains? Quand sacrifieront-ils la question d’amour-propre et de colerie à la question d’huma
Quand sacrifieront-ils la question d’amour-propre et de colerie à la question d’humanité? Quand se rendront-ils à l’évidence de
siette, ckms laquelle, ayant appris quej'ôiais malade, la personne en question m’avait envoyé, la veille, mais un peu trop tard,
s en esquisser à gros traits les principales phases. La personne en question éUut une jeune fille de dix-neuf ans; elle était
oir légèrement lu sans doute le paragraphe de notre théorie où il est question de la démagnétisation des malades, « ne peut rest
ernière phrase de la page 481 à Í82, tome courant, et de répondre aux questions suivantes : i* Donné à propos à un malade, un m
t-il quand la main continue de faire lapasse sur tout le corps? Cette question se divise en deux : qu’arrive-t-iî sur la premièr
liques. Ob servations de M. le Dr Gérard, sur la manière de poser les questions au somnambule consulté, 123; — sur les causes d'e
'impossibilité où l'on «st d'en expliquer les causes. Examen de cette question , par M. Rossi, 72, 228. — Quelques mots y ralatif
Catalep sie, et aussi Réviviscence. Transposition (de la) des sens. Questions posées à ce sujet par M. Péreyra, 150. Vampires
45 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
l est évident que tout hypnotiseur aurait obtenu le même résultat; la question de personnalités ne peut jouer aucun rôle dans ce
ait l'âme comme une chose située dans une autre chose, le corps. La question de savoir si l'âme dort ou ne dort pas est décidé
La question de savoir si l'âme dort ou ne dort pas est décidément une question oiseuse. Prenons-en notre parti. Et, de même, la
idément une question oiseuse. Prenons-en notre parti. Et, de même, la question de savoir si la vie intellectuelle se continue pe
rait le droit de nous critiquer. C'est au grand jour que de pareilles questions doivent être traitées, et c'est là le mérite du m
icipalité et le comité local. Vendredi 3 Aout : Le malin à 9 heures : question à l'ordre du jour : L'éducation ducaractère à l'é
ses. Visites scientifiques. Samedi 4 Août : Le matin à 9 heures : question à l'ordre du jour : Le problème des enfants anorm
séance commune avec la section d'odontolc-gie (président, le Dr Frey) question à l'ordre du jour: L'inspection dentaire dans les
) question à l'ordre du jour: L'inspection dentaire dans les écoles — Questions relatives à la dentition des enfants. Dimanche
la Saône, Xcuviile-sur-Saône. Lundi C Août : Le matin à 9 heures : question à l'ordre du jour : Les enfants turbulents; procé
nnelles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxquels incombe la dél
critique de ce que vous avez vu. » Deux jours après le monsieur en question revenait avec une critique ma foi très fine et tr
illon lui-même a consacré des lignes intéressantes à l'étude de cette question . Pour nous, qui n'avons pas le temps de discute
onnent; la malade qui avait com- menée de répondre à une nouvelle question , s'arrête an milieu de sa phrase et s'endort. A c
écrit dans son livre: « Donc il ne reste de cette objection (celle en question ) qu'une invite à la circonspection et à la pruden
ne soit pas possible dans de profonds états hypnotiques mais dans la question qui nous occupe il ne s'agit pas de savoir si l'o
je leur demande s'ils sentent qu'ils dépendent de moi (car c'est une question que je leur fais souvent), ils affirment ne s'en
cela n'est pas aussi paradoxal qu'il paraît. (Il n'est évidemment pas question , quand on parle de suggestion médicale hypnotique
M. Bonnet, professeur à l'Ecole d'industrie de Saint-Etienne. La question mise à l'ordre du jour de la première séance avai
à l'ordre du jour de la première séance avait pour sujet l'importante question de l'éducation du caractère. Un rapport très étud
e. Enfin, dans une communication qui se rattachait directement à la question du caractère, Mlle Lucie Bérillon, professeur au
un des charmes de la jeunesse. La seconde séance fut consacrée à la question des Enfants anormaux. Nous nous bornerons à m
ler le traitement. » La troisième séance avait à l'ordre du jour la question des procédés pédagogiques applicables aux enfants
. L'écueil à éviter était d'entrouvrir la porte de la Société à des questions dangereuses où l'imagination et l'amour du mervei
s par les hommes les mieux placés pour avoir une opinion juste sur la question . Mais les choses en sont restées au point où elle
s classes pour suivre les services des hôpitaux où l'on s'occupait de questions de pathologie nerveuse et mentale, et surtout de
oute. Si l'obstacle à votre installation réside dans une mesquine question d'argent, il y aura toujours dans mon coffre-fort
s manquait celui du maître dont l'autorité s'imposait à tous dans les questions d'hypnotisme. Ce ne fut seulement que lorsque la
la pente du mysticisme, me disait-il, dans dix ans, il ne serait plus question de l'hypnotisme ». C'est à la suite de ces entret
ns et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur toutes les questions qui relèvent de la psychologie appliquée, il m'a
pète dans la page 231. CeLie théorie était-elle nouvelle? (2) Cette question est (1) Je n'ai pas pu trouver l'original de Br
oncé, le public l'a accueilli par des acclamations. A ce sujet, une question pouvait légitimement se poser. Pourquoi la justic
, qui ont besoin d'un beaucoup plus long sommeil que les autres. La question de la durée du sommeil chez les écoliers est, en
la Iraduction française. tance de ses études approfondies sur la question , par le fait d'avoir établi que sa méthode était
mbre d'hystériques. Xous avons donc conclu, répondant à la première question du tribunal : M"e X... appartient à cette catég
r à la suite de longues études théoriques et pratiques. La deuxième question qui nous était posée était relative aux ordonnanc
gard de ces examens. D'ailleurs, et je répondais ici à la quatrième question qui m'était posée, dans l'état actuel de la scien
e l'état mental décrit par tous les auteurs qui se sont occupés de la question . Il est toutefois de mon devoir d'ajouter que
garanties scientifiques, elles échouent chaque fois. Actuellement, la question est jugée, et plus n'est besoin de perdre notre t
à, vous ferez difficilement apprendre par cœur à la queue-leu-leu vos questions de concours, et vous les éliminerez sûrement, au
s accidents chez des enfants qui ont des scrupules exagérés, font des questions bizarres, extraordinaires, ou bien par instants r
uts ou des vices sans tare de l'intelligence (faux anormaux). Cette question de l'existence d'une anomalie intellectuelle se p
volution de la Prostitution a voulu donner un résumé complet de cette question si complexe en la traitant à la fois aux points d
ue les habitants du nord ne le cédaient en rien à ceux du midi sur la question de la superstition. Les abeilles sont-elles cap
Mayoux abordera, dans un cours de psychologie et morale sexuelles, la question toute d'actualité de VEducation des sexes. Comm
de recevoir un accueil des plus favorables. Lçs réponses aux quatorze questions posées ont afflué- Nous nous bornerons à donner l
ué- Nous nous bornerons à donner les résultats des principales de ces questions . Y a-t-il trop de concours ? Suffrages exprimés
s d'entre vous savent que j'ai étudié avec prédilection, entre autres questions de psychopathologie, celle des sommeils pathologi
n observe chez les humains et à propos desquels se pose la troublante question des inhumations prématurées . Voici un autre ca
intoxications psychiques ou d'autosuggestions morbides. Toutefois, la question mérite d'être posée; affirmative ou négative, la
umets un ordre d'études et de recherches, une sorte de programme. Ces questions sont tout à fait dignes de votre intérêt. Ce n'es
désirables. Dans l'espoir de provoquer des communications sur cette question que je ne fais qu'amorcer aujourd'hui, je propose
gner de proche en proche quand quelques-uns ont été atteints. Cette question est maintenue à l'ordre du jour de la Société, et
vec des observations diverses. Toutefois, pour dire mon mot sur cette question qui reparaît à l'ordre du jour de la Société, j'a
qui se trouve aussi à l'origine de beaucoup de tics de l'homme. Une question très importante, enfin, serait de savoir si un mo
eur automatisme que leur activité corticale? Quoi qu'il en soit, la question des tics du cheval, envisagée sous ce jour nouvea
ée des discussions qui pourront nous aider pour mettre au point cette question et peut-être aussi pour amener des essais de trai
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces conférences portent sur toutes les questions qui relèvent de la psychothérapie et do la psycho
médecins et aux étudiants un enseignement, pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
l'esprit humain un enseignement théorique et pratique sur toutes les questions qui relèvent de la psychologie. Les études auxq
les professeurs de l'Ecole de Psychologie s'intéressent surtout à ces questions dans le but de démasquer les supercheries et d'ex
primés ainsi au sujet des recherches psychiques : a En abordant ces questions , disions-nous, nous n'aurons d'autres préoccupati
es et la plupart de ceux chez lesquels se manifeste la hantise de ces questions d'un intérêt fort discutable. » Les événements
confiée à M. le Df Mayoux. 11 y traitera avec sa haute compétence la question toute d'actualité, la question de VEducation des
y traitera avec sa haute compétence la question toute d'actualité, la question de VEducation des sexes. M. le Dr Binet-Sanglé,
r vie, des imaginatifs et des poètes ! Combien, mis en présence de la question religieuse, ont senti bouillonner en eux la génér
t le but de la psychologie telle que vous, la comprenez. Il est une question qui vous préoccupe spécialement et que je me repr
art des influences pernicieuses, restent tout-à-fait indifférents aux questions sexuelles jusqu'à l'âge de la puberté. L'appariti
sseur d'entomologie au Muséum, de vouloir bien déterminer les vers en question . Voici son intéressante réponse : « Ces larves so
rue Saint-André- des-Arts. Ces conférences portent sur toutes les questions qui relèvent de h psychothérapie et do la psychol
ion. En effet, il y aurait quelque injustice à ne pas rappeler que la question de la suppression radicale du concours de l'agrég
rès de l'Enseignement supérieur tenu à Lyon, au mois d'avril 1904, la question du recrutement des professeurs des Facultés d
vons prise, dès 1894, alors que personne ne songeait à soulever cette question . ¦ * En nous en tenant à la définition du pro
mpue et, dans ce cas, quelle influence attendre de l'éducation ? La question de la timidité offre un intérêt multiple. D'abord
ation de la timidité est souvent fort douloureuse. D'autre part, la question présente un intérêt social. Sans parler du malais
té. A partir de ce moment, chaque fois qu'il me fallut répondre à une question , même par écrit, l'image du professeur s'interpos
frappant de l'entraînement, pour tout observateur qui s'intéresse aux questions de psycho-physiologie. On le retrouve dans toutes
é d'apprendre; pendant la leçon, il répond facilement en français aux questions posées par son oncle en grec. Mais, au bout de qu
ce qu'il vient d'apprendre et devient incapable de répondre à aucune question . M0 B... continue à lui donner des leçons penda
t raisonnée, procède non seulement d'un bon diagnostic, mais aussi de questions de clinique, de pronostic, d'étiologie, de pathog
ces bariolages, ces combinaisons si diverses, un nouveau facteur : la question d'hygiène, qui ne semble pas avoir inquiété outre
la forme, la composition et la couleur du costume est très réelle, la question de l'étude d'un uniforme de guerre, répondant aux
uture création d'uniforme et jouer un rôle des plus utiles dans cette question qui intéresse la défense nationale. Les peuples
texte au tableau. Toutes ses compagnes lui posent à tour de rôle une question sur ce texte (il s'agit d'une sorte de commentair
e. Les timides prennent part à l'interrogation, et posent souvent les questions les moins banales et les plus ingénieuses. On les
vantes. La première réunion, la plus importante, a été consacrée à la question du recrutement professoral. Les deux rapports réd
stion du recrutement professoral. Les deux rapports rédigés sur cette question par le Df Causaade et par le D' Huchard concluaie
dérée comme terminée. En effet les différents rapports relatifs à des questions d'organisation ne comportaient plus qu'un intérêt
on conventionnelle irraisonnée, si l'on veut résolument associer à la question d'hygiène le point de vue esthétique auquel sont
nnui lorsqu'ils sont dans l'obligation d'écrire. Aussi, de toutes les questions qu'on doive poser à un malade atteint de névrose
nfondre avec les anomalies propres à la vieillesse normale. Voilà une question très intéressante et dont l'abord nous sera facil
même loi à l'évolution de la vieillesse. Pour examiner de près cette question très intéressante, nous avons préféré prendre pou
l'on en juge par son programme, un intérêt considérable. L'importante question des enfants et des adolescents anormaux, mise à l
psychologie, médecin inspecteur des asiles d'aliénés de la Seine. Les questions suivantes, inspirées par le souci de l'actualité,
nnelles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxquels incombe la dél
(suite) Affirmation extérieure de la force. Indépendamment de la question de forme extérieure, dans laquelle l'harmonie des
'impression de force. Il en est de même du contreventement. Pans la question qui nous occupe plus spécialement, le costume mil
randes masses à habiller, l'entretien, le prix de la main-d'œuvre, la question d'hygiène, il faudra renoncer à cet utile ornemen
sentation de malades ; 5° Vote sur l'admission de nouveaux membres. Question générale mise a l'Ordre du Jour : Les enfants et
Amsterdam, Von Maas et Von Suchtelen, 1906. Jean de Laverdière : La question biblique chez les modernes Japonais, in-12, 330 p
oine, Paris, 1907. — 3 fr. 50. Loriaux : L'autorité des évangiles : question fondamentale, in-12, 155 pages. Xourry, Paris,
46 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
andy attribue les fâcheuses particularités de son caractère à une question faite par sa mère dans un moment très 6 PATHOLO
en ce qui concerne la rétrac- tion du sterno-cléido-mastoïdien, la question est plus complexe. D'après Bouvier, en effet2,
se combiner et se trouver réunies chez le même sujet ? telle est la question à laquelle des observations récentes ont donné
, M. Charcot, nous a semblé de nature à jeter quelque jour sur la question . II. Observation. - Paralysie spasmodique des
ment Sarrazin au sujet de l'époque précise du début des douleurs en question , on finit par apprendre qu'elles remontent beau
rdant de plus près, on se convainc bien vite qu'il ne peut être ici question d'une myélite systématisée dans l'acception act
e. Nous revien- drons dans un instant sur ce point, en agitant la question de la coïncidence possible dans la moelle de lé
l'on a affaire à cette lésion. Westphal, qui s'est posé cette même question , observe, à cet égard, que jamais on n'a relevé
uchenne. Au reste nous ne pouvons discuter com- plètement ici cette question , à laquelle nous nous contentons de toucher. Si
laire de la sclérose observée dans notre cas, il reste une dernière question à élu- cider. Quel a été, chez Sarrazin, l'agen
ires de ces parties sont intéressées par la dégénération » u 1 La question à laquelle nous venons de toucher a été étudiée,
ste debout quelques secondes, sans mot dire ni prêter attention au\ questions qu'on lui adresse; puis il fait quelques pas, t
s jeux se con- vulser en haut et il cesse aussitôt de répondre au\' questions qu'on lui pose; le corps devient riside, les pa
n sensible sur le mérycisme. Il nous reste maintenant à poser cette question : Faut-il traiter le mérycisme et chercher à en
cté dans toute son étendue, l'auteur on con- clut que les fibres en question occupent il la base le tronc du tl'iju- menu, C
de la capsule interne disparait également. , P. K. LES premières questions DE la physiologie ; par Luigi LUCL1YI. (Jahrbuc
(Jahrbuch. f. Psych., III, 3.) L'auteur traite de ces éternelles questions toujours insolubles qui concernent l'essence de
(sans élévation de température) chez une hystérique ? Telle est la question que M. Charcot s'est longtemps poé. Le cas de
onctions de la vie intellectuelle et volontaire. Pour décider de la question , il semblait en premier lieu nécessaire de cherch
il semblait en premier lieu nécessaire de chercher une réponse à la question suivante : a) Est-ce que les hémorrhagies dans
iénés, récemment proposées au Congrès de Harisburg. Les réformes en question sont des plus heureuses, bien qu'elles rencontr
dons postérieurs de la moelle (anatomie et physiologie). - Les deux questions restées dans l'urne étaient ainsi conçues : Nerfs
physiologie) ; Nerfs de la langue (anatomie et physiologie). - Les questions orales étaient ainsi conçues : Signes et diagno
dit Lépine (Thèse d'agrégation, 1875), « dans l'état actuel de la question , je crois qu'il ne serait pas inutile de publier
ssement bien notable de l'intelligence ; il répond correctement aux questions . Parmi les affections médullaires développées c
ques observations, bien qu'elles n'aient pas trait directement à la question qui nousoc- cupe. Mais ce que nous tenons à r
W. Fairlie-Clarke' a fait un relevé assez complet des affections en question , et voici les conclusions qui ressortont de la
une 17éphl'algie essentielle, analogue aux autres, viscéralgies, la question est difficile à juger (Sandras, briquet, Vallei
stdonc très variable. Quelle est leur valeur diagnostique ? A cette question : «Y a-t-il donc moyen dediagnostiquerl'ataxie
er un de ses concitoyens; mais ils ne se sont guère préoccupé de la question des sorties, et cependant ce point de vue me se
évasions, soit de sorties trop hâtives, donnent de l'actualité à la question . Les sorties à titre d'essai sont surtout appli
ès qu'ils se trouvent dans les conditions ordinaires de la vie. Ces questions si embarrassantes pour le médecin le deviendront
endus ainsi à leur famille, mais, ici encore, nous re- venons à une question dont il me faut encore dire quelques mots : A q
ur les con- clusions du procureur de la République. Le magistrat en question que je ne veux pas nommer, parce qu'il ne siège
. Dally et Falret, d'avoir mis à l'ordre du jour de nos séances une question dont l'importance est tout aussi grande que cel
s avantages que ce genre de sorties peut fournir aux malades. Cette question des sorties provisoires ou d'essai n'est donc pas
nts de vue. 2° Des aliénés dfMfyerctM ? Cette deuxième partie de la question me touche particulièrement, non pas tant à caus
asile, où le traitement a été suivi d'une certaine amélioration, la question de sortie nous est quelquefois posée soit par les
ant des aliénés sup- posés inoffensifs s'est trouvé en défaut. La question du milieu joue toujours un très grand rôle dans l
c. M. Lanier. Dans le projet de loi soumis au Sénat, il n'est pas question des commissions auxquelles semble faire allu- s
. Il fait remarquer que, dans aucun endroit du Si-Yuen-Lu, il n'est question des exper- ' Uses auxquelles peuvent donner lie
Roger, Desnos) qui lui ont permis de faire une étude nouvelle de la question . L'affection débute avec ou sans ictus par une
siter un certain nombre d'établissements d'aliénés dans les pays en question . Les notes qu'il publie comblent, ainsi qu'il le
chroni- ques sont, pour la plupart, hors d'état de répondre à des questions qui exigent certaines facultés d'analyse psycho
r jamais existé; la plupart d'entre eux ne répondent même pas aux questions qu'on leur adresse. Il faudrait saisir le momen
sceau intellectuel) ou daus des faisceaux différents ? Telle est la question ' que nous allons examiner. Brissaud, qui a b
tre milligrammes semblait en rapport avec le retour du phénomène en question (percussion du tendon rotulien dénudé), ne méri
rconscrit, de la raideur de la nuque, de la torsion de la tête. Les questions de localisation anatomique dans leurs rapports
anatomique de la maladie, rapprochée du complexus symptomatique en question , permet d'affirmer que le tabes est bien une ma
ément pathogénétique, néanmoins il y a lieu avant de résoudre cette question d'étiologie, de procéder à de plus amples étude
la capsule interne. De là également la dégénérescence secondaire en question , l'hémianesthésie et l'hémiopie passagères, de
ervelet avec l'équilibre, de sorte que, dans ce cas, le faisceau en question serait la voie par laquelle notre attitude et n
chez les deux frères. Mère bien portante mais rebelle au réflexe en question . Grand-père maternel et deux oncles du même côt
ne, rapprochée de la per- ception évidente des cordons artériels en question ainsi que de l'intégrité papillaire et vasculo-
sus inflammatoire de la genèse des néoplasmes. L'historique de la question termine le travail. P. K. XXXIII. UN cas DE tub
dans ses leçons, fait remarquer combien il serait utile pour cette question d'avoir des statistiques exactes. Dans le proje
tention des travailleurs, ils n'ont pas été recherchés. Comme cette question n'en estencore qu'à ses origines, on nous pardo
leur rôle dans ce développe- ment ? C'est après nous être posés ces questions et avoir exa- miné les solutions qu'elles compo
ir leur profession, veillent la nuit ou abrègent leur sommeil. La question du sommeil nous conduit aux autres habitudes tr
ssions militaires, soucieux de décliner notre compétence dans cette question . Messieurs, les considérations que nous venons
par une amie, la femme d'un notaire, elle consulta la somnambule en question ; celle-ci lui apprit que le couvert avait été
se croit menacé de folie, parce qu'il est issu de parents aliénés, question de déontologie que, avec votre expérience, vous
ecine men- tale ; les communications de M. Legrand du Saulle sur la question de l'hérédité morbide devant les cours d'assise
derniers temps vous vous êtes plus particulièrement occupés de la question des sorties des aliénés des asiles; sur ce point,
à l'aliénation mentale, et de sa compétence toute spéciale dans les questions médico- légales. Après avoir remercié mon pré
aux ont été négligés et en particu- lier il n'a pas été parlé de la question soulevée à l'Académie de médecine au sujet de l
res qu'elles demandentà leur médecin et non pas à l'Etal ? Si cette question de principes peut être en théorie résolue par l
e discussion ; avons- nous, dit-il, mission pour élucider semblable question ? M. LuNiER. Une société étant maîtresse de son
également souscrit au désir exprimé par la Société. Il a étudié la question de l'amélioration et de l'extension des soins pré
e solution définitive. C'est ainsi qu'on a agi jadis à propos de la question des idiots. La question des buveurs1. Le bure
st ainsi qu'on a agi jadis à propos de la question des idiots. La question des buveurs1. Le bureau a recu la communication
es élèves dans les établissements d'instruction supé- rieure. Cette question date de 1881. Session de Francfort2. Le bu- rea
conséquence, les travailleurs ont été stimules. Or, le cercle de la question s'est agrandi. Loin de vouloir prétendre que la
se, a été invitée par M. le ministre à rédiger un rapport sur cette question , notamment en tenant compte du rapport de l'Als
e sous les yeux de l'assemblée les attaches des fibres nerveuses en question avec les cellules envisagées. Ce n'est pas à di
atomo-pathologique d'une autre ordre. M. Binswanger a agité la même question . Depuis bien des années, il a examiné tous les
en s'adjoignant une commission choisie par lui : I. D'étudier la question de savoir si, et dans quelles circons- tances,
s lacunes, ces cavités, dont les parois composaient le filigrane en question : leur caractère distinctif est de suivre le tr
compression ou une imbibition manifeste de la part des flocons en question . Naturellement les espaces péricellulaires sont d
Mesnet et Blanche, char- gée de lui présenter un rapport sur cette question . Ajoutons qu'une communication faile au mois de
sans qu'il soit nécessaire de passer par les tribunaux. Une autre question importante est celle des .condamnés devenus ali
isciplinés et les plus dan- gereux ». L'orateur aborde ensuite la question de la sortie des aliénés : la seule modificatio
ons de ce Con- seil sont déterminées par l'orateur, niais comme ces questions s'é- cartent un peu de l'objet de la discussion
elle, les pouvoirs de l'ad- ministrateur provisoire. Une dernière question a été traitée par M. Billod avec un grand dével
est permis, le magistrat pourra mieux que le médecin, tran- cher la question . L'intervention de la justice n'aura donc aucune
les de nouveaux quartiers dits d'observation. Abordant ensuite la question des sorties, l'orateur montre par des chiffres
n revue les différents articles de la loi actuelle concernant cette question des sorties, l'orateur démontre qu'on ne saurai
par la commission, parce que nous ne pouvions nous entendre sur la question de savoir si l'intervention judiciaire interviend
u'amoindrir le méde- cin, le tribunal devenant juge suprême dans la question de savoir si l'interné est ou n'est pas aliéné.
arole, a seulement voulu atti- rer l'attention de l'Académie sur la question du concours appliqué au recrutement du personne
e conseil, dans l'ordre de ses travaux, ne mette au premier rang la question du concours et ne s'em- presse de proposer qu'i
publication sera très appréciée des médecins qui s'occupent de ces questions , car les s travaux de Lasègue, dispersés dans l
de l'alcool, le sommeil, le délire des persécutions, les cérébraux, questions de thérapeutique mentale, de la responsabilité lé
congédie les malades, tandis que l'autorité municipale tranche les questions de solvabilité et de réduction des pensions.
ch.; X. L.; I et 2.) P. KÉRAVAL. Asiles DE la SEINE. Concours. La question du concours pour les places de médecin des Asiles
es de médecins de Bicêtre et de la Salpêtrière. Pour montrer que la question a été examinée avec soin avant les discours pro
u convient-il d'y procéder par un second concours ? Telles sont les questions que le cinquième groupe s'est posées. Deux opin
oici en quoi consistent les épreuves des trois concours dont il est question : CLINICAT DES MALADIES MENTALES. 1° Épreuve
les publics. Médecins chefs de service des asiles de la Seine. - La question re- lative au mode de recrutement du personnel
s assez rapproches. Ils le seront encore plus si, comme il en a été question , on diminue le nombre des malades confiés à cha
pourront être écrits qu'en italien ou en français. Pour les autres questions , le concours est réservé aux écrivains italiens
47 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
isme. Ensuite la séance a été consacrée â l'étude approfondie de la question si actuelle de l'Homosexualité, envisagée aux div
la Cour, MM. Grollet et Lépinay, médecins-vétérinaires, ont étudié la question de l'homosexualité dans des communications se rat
égale, à la sociologie et à la psychologie comparée- Cette importante question a été maintenue à l'ordre du jour de la Société.
ir un effet de son individualité psychique. Mais ce serait reculer la question non la résoudre. On peut, je crois, se rapprocher
Dauriac. (La Société décide le maintien à son ordre du jour de la question de l'homosexualité). Dr Pau. Joibe (de Lille) :
ychothérapie et témoignait ainsi de sa compétence approfondie dans la question . En 1889, il se joignit à ses collègues de la Soc
jourd'hui à rester sur le 2 terrain purement scientifique de la question de l'inversion sexuelle, et je 'laisserai «le côt
chiffre approximatif. Le docteur Moll, qui est une autorité dans la question , écrit : « Je ne puis dire avec certitude s'il y
de police du quartier se présenta. II révéla au patron que la noce en question était celle d'un ancien uhlan, Daniel Lin-denberg
commander le livre du Docteur Lanpts comme un des plus sérieux sur la question de l'inversion sexuelle. Que dire de l'étiologi
osophes, les psychologies et les médecins ont tâché d'éclaircir cette question étrange. Une explication des plus inattendues est
dégoûtante que l'onychophagie, nous reviendrons fréquemment sur cette question . II ne nous sera pas difficile d'étayer notre opi
municipalité et le comité local. Mardi 4 ???t : Le malin à 9 heures, question à l'ordre du jour : La collaboration de la famill
et visites scientifiques. Mercredi 5 Aoct : Le matin à 9 heures, question à l'ordre du jour : Les enfants et les adolescent
érale ; le soir fête àRoyat. Vendredi 7 Août : Le matin à 9 heures, question à l'ordredujour : L'enseignement scolaire des dev
nnelles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur les questions qui intè- sent tous ceux auxquels incombe la
Dieulafoy a rapporté l'histoire a l'Académie de médecine. L'homme en question qui était intelligent, cultivé, sans tare nerveus
. Combien de temps un enfant doit-il dormir ? Ce n'est pas là une question oiseuse, car, d'après une enquête faite par une C
sion sexuelle chez les animaux, ce n'est pas que nous ayons résolu la question , c'est parce qu'elle a appelé notre attention. En
pour les satisfactions génitales ? Il faudrait, pour répondre à cette question bien délicate et bien embarrassante, étudier d'ab
on-valeurs. Au point de vue militaire, l'homosexualité rentre dans la question bien plus générale de l'aliénation dans l'armée ;
ssaire que l'uraniste ne se croie pas obligé d'aborder avec elles ces questions sentimentales hétérosexuelles dont il a horreur p
as-bleu qu'il trouvera le mieux à parler sans arrières-pensées de ces questions d'art et de littérature qui l'intéressent particu
imprudent de parler de guérison. Enfin, pour terminer, une dernière question ? Faut-il permettre le mariage aux uranistes amél
é par Mlle Lucie Bérillon, professeur agrégée au lycée Molière La question de l'émulation scolaire est à l'ordre du jour". B
olennel, et bien d'autres formes de l'émulation. L'importance de la question n'échappera à personne, — car elle met en cause n
'émulation, — comme elle n'est qu'un moyen, non une fin, — prenons la question de plus haut, et demandons-nous quelle est la fin
souvent pénible ou sacrifiée. Le; Dr Maurice de Fleury a soulevé la question dans une conférence sur Les classes d'une heure e
s d'observation et de comparaison. (1) Je réserve pour le moment ta question de IVdncaÎien attrayante, que Je traiterai avec t
centaine d'onychophages. (1) Voir les réponses déjà faites à cette question dans les deux numéros précé-• dents de la Revue d
veau volume de la Bibliothèque des Parents et des Maîtres répond à la question qui préoccupe le plus les familles : Comment orie
: Ui suggestion hypnotique. Les idées qu'il y avait soutenues sur la question des suggestions criminelles furent vivement discu
s mesures si simples sont rigoureusement prises, il ne peut plus être question de conséquences néfastes de l'hypnotisme, et la s
u hasard. Et pour finir, qu'il me soit permis de poser encore une question . S'il est vraiment possible d'enrayer, pendant
s impressions mentales peuvent réellement causer la mort. C'est cette question que je désire reprendre dans ses grandes lignes,
st proche. Ayant à présenter, en séance solennelle un rapport sur une question très importante, il expose ses vues avec une luci
pour les examens d'entrée a l'Ecole normale supérieure de Sèvres des questions de mathématiques posées deux ou trois ans avant h
us tracer ces lignes pour répondre à votre appel, me proposant, si la question peut vous intéresser par le côté un peu nouveau q
M. Appell dans un discours d'une rare élévation a traité l'importante question de l'enseignement des sciences et de la formation
e. La première séance fut consacrée à la discussion de l'importante question de la collaboration de l'école et de la famille d
ant,. etc., etc. « A, l'ordre du jour étaient inscrites plusieurs questions , dont trois particulièrement importantes : 1° Mes
M. André Petit et Grollet, médecins vétérinaires, exposent ensuite la question de l'enseignement scolaire des devoirs de protect
s qui Intéressent an même degré l'économiste et le jurisconsulte : la question du billet de banque et celle du prêt à Intérêt, e
par numéros d'ordre. — Que faut-il retenir du débat ? Il n'est pas question de supprimer radicalement compositions et prix, m
aléa dans le choix des sujets. — On remédierait à cela en donnant des questions plus larges et en laissant aux élèves, dans les c
inistratives. J'estime que c'est uniquement quand on aura résolu la question de l'enseigne-' ment par la suppression de tous l
on de l'enseigne-' ment par la suppression de tous les concours et la question de l'administration par la suppression dn doyen e
one l'on croit pouvoir fonder une nouvelle méthode dont il a déjà été question ici. L'aveugle jouit en général d'une mémoire exc
terventions de MM. les docteurs Van Deventer, Tamburini et Dublef, la question des asiles spéciaux pour aliénés criminels n'a pu
ec sérénité la bonne et la mauvaise fortune. — Parmi les nombreuses questions traitées au Congrès nons citerons celle de la coe
s communications mériteraient d'être citées, mais il faut arriver aux questions qui intéressent pins particulièrement les lecteur
ant de classer tel élève avant tel autre, comme s'il se fût agi d'une question absolument capitale. D a fallu toute l'autorité
années précédentes, les sujets de ces conférences se rapporteront aux questions psychologiques les plue variées et seront traitée
M. Gley se proposa de définir In biologie et de donner un aperçu des questions nombreuses qn'elle embrasse. Disons seulement l
l'attention des physiologistes et des médecins sur cette importante question , les ont amenés h des observations de plus en plu
mentionnée. Les vétérinaires ne pouvaient manquer de faire sur ces questions des observations analogues. Dans son traité sur l
issent senles capables d'apporter quelque lumière dans l'étude de ces questions de psychologie sensorielle, mais avant de les abo
de. Il faut donc rechercher la cause prédominante de l'idée et ici la question se pose de savoir si la névrose ou la psychose qu
ousse tout-a-coup un cri déchirant ; il est incapable de répondre aux questions qu'on lui pose ou d'accomplir les actes qu'on lui
a fallu un travail énergique pour les faire disparaître. La malade en question était une hystérique aboulique. Elle avail éprouv
philitique. — « Bien de plus simple, lui dis-je, que de trancher la question . Nous allons appliquer, sur quelques pustulettes.
ean, et celui-ci accourt ; il prie d'abord, puis il pose cette double question a celui qui va mourir : — Crois-tu ? Veux-tu cr
les mêmes faits servent de point de départ. Enfin, il aborde diverses questions spéciales dont se préoccupent les psychologues, e
esser le public français, qui se passionne . de plus en plus pour les questions de psychologie. Composé avec la méthode d'un ouvr
médecine et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
ignement a la Salpétrlère et par ses travaux personnels, de la grande question , devenue aujourd'hui d'actualité, des enfants ano
e désaccord entre la politique musulmane et la doctrine du Coran, une question de la plus brûlante actualité. H demandait à l'
onseils aient été suivis à la lettre. En mettant à l'ordre du jour la question posée par le professeur TJbeyd-Oullah, l'Ecole de
nfrères qui a déjà fait preuve d'une compétence indiscutable dans les questions d'hypnologie, M. le Dr Demonchy, abordera dans le
mieux qualifié que M. Paul Doumer, dont la compétence sur toutes ces questions de l'Extrême-Orient s'est affirmée par tant de fa
de notre race, en mettant au premier rang, dans notre programme, les questions qui se rattachent à la formation de la volonté et
ul matériel que les écrivains d'Europe ont employé pour traiter cette question . Or détrompez-vous ; l'esprit guerrier, l'espri
xerce aussi son action. Je reviendrai d'ailleurs sur cette importante question dans le chapitre que je consacrerai k l'influence
sur les malades et par conséquent sur une fausse interprétation. La question doit se poser ainsi : N'existe-t-il pas des indiv
on chez un sujet très sensible, on ne peut pas nier de prime abord la question ci-dessus. Il faut seulement se demander, si moi,
re dans la médication d'aujourd'hui ; c'est ce que j'ai tenté dans la question précédente. D'ailleurs la similitude d'action
lus moderne. D'un coté, une conception nouvelle et scientifique des questions théologiques s'introduit de plus en plus dans les
tes). On entend des sermons consacrés en grande partie à l'examen des questions sociales et pratiques. D'autre part, les communau
omme sujet, soit un des plus grands problèmes métaphysiques, soit une question de morale, ou de sociologie à tendance progressis
triomphe, par la pensée, de l'ambiance brutale. En s'intéressent aux questions qui touchent à l'humanité tout entière, l'homme f
rmes pédagogiques ; il se joint aux comités s'occupant surtout de ces questions ; il participe à ses travaux. Un autre est intére
iens que dans une entrevue concertée avec un vice-roi, au sujet d'une question de chemin de fer, je reçus de lui l'accueil le pl
ts que des mots, je fis les plus grands efforts pour le ramener ft la question . Ce vice-roi poétique n'arrivait pas à comprendre
eurs pour éviter l'effort que comporte l'étude et la solution des questions sérieuses que Ton se lance dans une oiseuse phras
hodique en rapport avec l'idée qu'on veut lui inculquer. Toutes les questions de Mécanomorphose et en particulier celles qui se
suivantes se rapportent à une malade de la Clinique, et soulèvent une question très intéressante, celle dn « Réveil » qui présen
faire apprécier toute l'importance, si l'on veut bien envisager cette question sous le même angle que moi. Je ne j.uis pas, en
ivités qui rétablissent l'équilibre entre l'organe et la fonction, la question du réveil en hypnotisme gagne en intérêt et en ét
Luele bèrillon, professeur agrégée des Lettres au lycée Molière. La question de l'éducation attrayante rentre dans le cadre de
uent un rôle important dans la formation du caractère. Cependant la question se pose, parce que l'éducation attrayante rencont
ur. » Il l'accable sous le poids des connaissances et le nombre des questions . Or les pourquoi doivent venir surtout de l'élève
el, de Polx-Terron : Le signe pupillaire : sa valeur psychologique. Question k l'ordre du jour ; Des stigmates de l'hystérie :
capturer les jeunes éléphants et faire tomber leur colère, il n'était question que d'éléphanteaux" d'une hauteur d'un mètre, viv
premiers volumes parus : 1. ?. Loriaux. — L'Autorité des Evangiles. Question fondamentale. in-12 de 154 p., 1 fr. 25. 2. P.
étérinaire : La suggestion dans les méthodes de dressage du cheval. Question k l'ordre du jour : Des stigmates de l'hystérie :
. La dose de sommeil nécessaire d'après Edison Une des nombreuses questions sur lesquelles physiologistes ou médecins n'ont p
assistance des enfants anormaux intellectuels, — et dans cette grande question des enfants anormaux, aujourd'hui à l'ordre du jo
ueront, dan* un délai assez rapproché. A la solution définitive de la question . Un point sur lequel je lient- ù insister aujou
giques. Parmi les retentissements des dyspepsies — et quoique cette question ait été souvent et longuement étudiée —. il en ce
ons jugé qu'il était plus que temps de porter de la clarté dans cette question . Toutefois cette lumière ne pouvait être créée qu
à l'édification delà psycho pathologie. En résumé, on s'occupera des questions touchant le domaine de la psychologie normale, pa
e les adversaires de ces doctrines recevront la même hospitalité, les questions en litige ne pouvant mieux être jugées et éclairé
quelques réponses baroques faites par les élèves de nos écoles A des questions d'histoire, entre autres celle-ci : Napoléon, apr
res. — PrésentaUou' de malades ; W A sept heures, banquet annuel. question GÉXEKAL1 mise a l'osdke dc jour Les méthodes de r
ft chaque nouvelle session, accentue l'Intérêt qnl se rattache ft ces questions et contribue à mettre en lumière les ressources m
ntués, et témoignaient d'une auesthésle provoquée très intense. Cette question des Aissaouas, déjft traitée dans la Reçue de l'H
té qui, sous le nom de psychothérapie, comprend l'étude de toutes les questions qui se rattachent à la psychologie médicale. L'év
ide était le seul élément digne de retenir l'attention du médecin. La question du traitement n'étant envisagée que comme une con
rière) par le docteur Jules VOISIX, médecin de la Salpétrière. La question de la criminalité de l'enfance, de ses causes, de
ce n'est que trop manifeste. Mais je ne désire pas traiter toute la question de la criminalité de l'enfance ; mon but est bien
hypnotisé peuvent échanger d'idées entre eux. L'auteur se posant la question : Comment peut-on produire le sommeil chez l'homm
se laisse subjuguer par sa passion, (motif inférieur). Abordant la question du libre arbitre, l'auteur est d'avis que les déb
ibre arbitre. ?? Dans le troisième chapitre, l'auteur poursuit la question comment et jusqu'à quel point le malade saurait-i
48 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
l’interrogateur, qui, empressé d’avoir réponse à tout, précipite ses questions jusqu’à l’importunité, et arrache de la sorte plu
foule de documents précieux qui pourraient éclaircir entièrement une question soumise encore à Lien des controverses. Hippocrat
avez-vous puisé les premiers éléments de votre science? etc. sont des questions qui m’ont été cent fois posées. Je ne méritais ce
is-je ? J’ignorais tout. Après cinq heures d’angoisses sur une simple question ; Comment donc vous réveiller ? Ces deux charmant
il était savanl.en toutes choses, donnait son jugement sur toutes les questions . Insolent parfois, comme scs valets, la forme seu
gitai molem, expérimentez. » Deleuze était vivement contrarié par mes questions ; j’étais déjà pour lui un novateur dangereux , j’
bservations 30, 31, 32. (4) Controverses magiques, livre 1, ch. 3 , question 4. (5) De PHistotre de la Médecine, question 31
ques, livre 1, ch. 3 , question 4. (5) De PHistotre de la Médecine, question 31. (6) Observ. imprimées à Fraucforl, centur.
faits incriminés, la lorce probante des témoignages accusateurs, les questions accessoires que soulèvent les questions judiciair
témoignages accusateurs, les questions accessoires que soulèvent les questions judiciaires, le# conséquences éventuelles de votr
ndantes de l’esprit humain menacées; « Il s’agirait des plus graves questions de philosophie, de physique et de psychologie.
ations, mais elles sont basées sur des documents authentiques. « La question des origines, en toutes choses, a fort préoccupé
La dame Lemoine a pu le voir sur cet album. D. On vous adressa des questions en vous envoyant 3o francs. \ous avez dit que vou
ue si on vous envoyait 3o autres francs? — R. On m’adressait soixante questions . J’ai oflert de renvoyer la somme si on n envoyai
ent. — Femme Mongruel, levez-vous. Je n’aurai à vous adresser que les questions que j’ai déjà faites à votre mari. Avez-vous quel
es partout où ils ont porté leurs pas. « Nous aborderons toutes les questions que comporte la discussion de cette cause. Mais d
roquerie défini par la loi. » M. l’avocat-général examine les trois questions qu’il s’est posées. Puis il termine en ces term
e magnétisme joue un certain rôle; mais, suivant lui, ce n’est qu’une question secondaire. Pour moi, Messieurs, et pour vous aus
daire. Pour moi, Messieurs, et pour vous aussi, je l’espère, c’est la question capitale. M. l’avocat-géné-ral s’arrête, en fait
lue, immuable, éternelle, toujours la même. Non, pour elle il y a des questions de date ; ce qui parait une erreur scientifique a
onge. L’histoire du magnétisme appartient à cette cause, car la seule question du procès est celle du magnétisme. « Yoici le r
el n’est d’ailleurs pas la seule qui nécessite son intervention ; des questions analogues lui ont été soumises, et de leur soluti
rtout pourquoi n’es-tu pas lucide? lui répondit en souriant l’amie en question . Le lendemain la femme dormit et parla. Ce ma
en langue italienne. Le premier de ces ouvrages, laissant de côté la question principale, ne s’occupe que des faits magnétiques
a thérapeuticité du magnétisme (a) ; mais tou* ces écrits traitant la question à un point de vue spécial , ou ne l’envisageant q
présidé aux divers jugements des corps savants de France, lorsque des questions magnétiques leur ont été soumises. L’auteur, sa
iquement prescrits. « Lorsque l’oracle a ainsi répondu à toutes les questions , le serpent est replacé sur l’autel, et chacun va
Fiorenlino a dit loul récemment quelques paroles très-sensées sur la question du magnétisme?. J’aime à voir les gens d’esprit n
de 1‘Inslitut, avait dernièrement un prix à proposer. Le choix d’une question à mettre au concours est assez délicat; aussi s’e
use de ses connaissances spéciales, fit observer que, ainsi posée, la question impliquait la reconnaissance du magnétisme. Il ex
t encore parlé. On sait avec quel sans-façon Napoléon tranchait les questions embarrassantes; son dédain pour tout ^e qui n'ent
à la source et fixer d’une manière certaine ce point litigieux de la question mesmérienne. Yoici dans quelle circonstance l’a
lique : le magnétisme et ses merveilles ont été mis en jeu, de hautes questions scientifiques y ont élé traitées, des laits plein
Rose : je fus admis le jour où je me présentai. Elle ne me fit aucune question , me décrivit ma maladie, en indiqua la cause, qui
crachements de sang. J’ai consulté Mme Rose, qui ne m’a fait aucune question et m’a indiqué un traitement. J’ai fait venir moi
ment. Je vins à Nogent consulter la somnambule. Elle ne me fit pas de questions : elle indiqua avec la main les parties où je sou
qui m’a parfaitement guérie. —Le ministère public fait au témoin des questions sur le coût de ce traitement. Il en résulte que l
sant qu’elle avait à traiter de choses plus sérieuses : il ne fut pas question d’urine. Mroe Chapelle lui demanda si son époque
ent pas de l’exercice de la liberté humaine, ce qui laisse intacte la question du libre arbitre. Ils n’ont fait à cet égard que
sont familiers. Il n’y a là rien qui répugne à la raison. Sur cette question générale , nous serions heureux1, sans doute , d’
voir, elle ne doit pas avoir d’infiuence décisive sur la solution des questions particulières qui vous sont soumises. Car vous n’
ions que de faire dépendre le procès actuel de la solution des hautes questions qui divisent le monde savant. C’est pourtant dans
s, d’apprêter à rire à nos descendants. Qui sait si avant dix ans, la question du magnétisme n’aura pas fait de tels progrès, qu
vent, sans compromettre leur dignité, prendre parti dans de pareilles questions . Les observations que nous venons de vous soumett
de ceux qui venaient la consulter. On leur a fait, à l’audience, des questions multipliées pour s’assurer s’ils avaient 6té admi
que de palper quelques minutes, puis, sans avoir eu recours à aucune question , elle affirme positivement la cause du mal, qui s
les malades, sans doute elle eût adopté, au lieu des trois remèdes en question , dont les effets sont extrêmement énergiques, que
, est-il mauvais d’employer peu ou beaucoup de remèdes ? C’est là une question non résolue, sur laquelle les opinions sont parfa
avait tort ou raison pour prescrire souvent certains remèdes. Mais la question n’est pas de savoir si elle choisissait les remèd
dont nous nous occupons en ce moment est donc sans portée, quant à la question d’escroquerie, qui dépend de celle de réalité du
un pois de senteur. M,u0 Rose aurait aussi refusé de répondre à des questions qui lui auraient été faites sur le contenu de plu
l’on viendra la détourner de ces soins importants pour lui faire des questions oiseuses ou captieuses ! Ce temps si précieux pen
osition où nous la dépeint la famille Chapelle, «faaUMire harcelée de questions malveillantes et de machinations, se trouble et.t
a beau faire, la queslion de dignité ne sera jamais confondue avec la question d’argenl. Il n’y a ni loi écrite ni règle de conv
l est maître absolu, n’a de compte à en rendre à personne ; c’est une question qui ne regarde que sa bourse ; et l’emploi plus o
nous sommes efforcé de démontrer qu'elle a agi légalement. Mais cette question s’efface devant une autre bien plus importante. O
se passionne pas pour des infractions aux lois du monopole, pour des questions légales auxquelles il ne comprend rien -, mais il
. Cornet pour être mis hors d’usage. » — I/avocat discute ensuite les questions de complicité concernanl Léon Patrix , et les que
e ensuite les questions de complicité concernanl Léon Patrix , et les questions de droit applicables au procès : en ce qui regard
putations infamantes dont elle a été l’objet, qui laisse intactes les questions étrangères à votre domaine, et qui respectant les
dont nous signalons la venue. Voici la traduction de la circulaire en question : Monsieur, Les phénomènes du magnétisme sont
rait réalisé après deux ou trois jours. Ayant satisfait à plusieurs questions générales qui lui furent faites, on pria le somna
buliques viennent de se terminer à Paris et en province. Il n’est pas question de poursuites nouvelles. Ainsi tout fait présumer
t les autres sans toucher le malade. Il peut n’y avoir souvent qu’une question de temps en faveur de la première méthode, (1)
à la même époque, et dans laquelle M. Bush désirant adresser quelques questions relatives à la traduction qu’il venait de faire d
ondé sa théosophie. Davis, né dans un pays libre où la discussion des questions religieuses est permise, n’a point de croyances.
rits «les défunts. El d'abord, nous pourrions débuter par poser celle question : Que sont les esprits célestes? Mais comme silic
n, ni à la pronostication; — attendu que le jugement, en réservant la question d’exercice illégal de la médecine, n’a pas contre
cherché à le prouver par ses réponses nettes et précises à toutes les questions qui lui étaient adressées. M. Raux, substitut d
ma respiration est un peu gênée. C’est drôle, que de monde! » Sur ma question , la malade répond : « Je n’ai rien entendu; je me
étiques avec les courants naturels du corps humain dont il a déjà été question . Nous appellerons courants magnétiques Jes procéd
atisfaisante, nous croyons utile de distinguer et de diviser ainsi la question s i° Les consultations données par le3 somnambu
tion de médicaments, est-il atteint par la même loi ? A la première question nous répondrons : Oui; à la seconde nous dirons :
rveillance sérieuse ou régulière aux ordonnances soin-nambuliques. La question reste dès lors entière. (Voyez Gazette des Tribun
qui, dans l'état de veille, n’a pas consenti à être interrogé sur des questions médicales, peut-il être considéré comme ayant exe
, elle le sera, quand le magnétisme sera plus connu. II. La seconde question toucheau magnétisme pur ; elle nous paraît d’une
les discussions scientifiques, ont été appelés à se prononcer sur ces questions , et quelques-uns, au lieu de se tenir dans une ré
iras pas plus loin. La Cour de cassation, appelée à statuer sur ces questions , s’est tenue dans une sage réserve; corps judicia
une source de rajeunissement pour nous et pour les autres? C’est une question à examiner. — La cause magnétique vient encore
de ces démonstrations, on traite, à l’ouverture de chaque séance, une question choisie d’avance ; et, à la fin, le président rés
e le crâne, le sujet ferme les yeux, et au bout de deux minutes, à la question mentale : Dormez-vous? je reçois la réponse nette
rps; je me prescrirai une boisson, vous m’éveillerez, et â toutes les questions que je vous ferai, vous répondrez,par l’aete de v
e à ne pas se laisse r décourager par de pareilles condamnations; les questions soulevées depuis quelque temps devant les tribuna
er la mort d’une personne en santé; mais le jury d’enquête, auquel la question a été soumise, n’en a pas moins déclaré que M. et
a pas pu savoir tout : ars long a, vila brevis. Le magnétisme est une question si vaste el si mystérieuse, que Ilahnemann n’a pu
èses sur lesquelles l’esprit aime à se reposer. Le magnétisme est une question do faits, eL il n’est pas tant besoin de science
’arène à un champion plus fort, le haut intérêt que je prends à cette question me commande d’en dire quelques mots. J’aflîrme
la condition d’être donnés à propos et à des doses convenables : deux questions de pathologie et de thérapeutique toujours plus o
ansfusion du sang ou de son principe excitateur. Mais là n’est pas la question ; une petite noie de notre maîlrc, qui résume son
tilité des doses massives. En effet, 011 évite de parler du fond delà question , pour nous attribuer, mal à propos, l’intention d
l’utilité des doses massives, » que «j’évite de parler du fond de la question ?...» Il fallait dire que je laissais parler M. G
nons de trop « massives. » Néanmoins, je me cramponne toujours à la question , Gauthier d’une main et du Potet de l’autre. Je c
a bibliothèque de la Société magnétique, passage de la Bourse, 26. La question du magnétisme intéresse tout le monde, puisqu’il
z rien au magnétisme, vous n’êtes pas magnétiseur, qu’on éclairera la question des doses. De pareilles affirmations, outre qu’el
rés les deux champions, mais à ma connaissance imparfaite du sujet en question . L’homéopathie revendique comme siennes des guéri
magnétiseur ont fort bien compris que le magnétisme n’était point en question , lin effet, il n’y a pas aujourd’hui un homme de
. La femme endormie répond ensuite nettement, lucidement à toutes les questions que son magnétiseur lui adresse; elle établit un
’arme commune des incrédules? TAXIL, d. m. 30 mars 1851. Ici la question change de face; il ne s’agit plus de théorie, de
réparé, M. Réca-mier entra chez le paysan malade, et lui adressa des questions sur l’origine de son mal. Le charron répondit que
n France; niais en Angleterre, où la Bible est toute puissante, cette question a une importance vitale, et M. Gregorv l’a traité
re qu’il a été tout à fait content de la manière dont j’ai traité les questions que j’ai discutées; quoiqu’il fût très-sceptique,
d’être en quelque sorte absorbée dans la contemplation de l’objet en question , elle regardait ce qui l’entoure, était distrait
l se place vis-à-vis de la personne qui désire éprouver les effets en question , et la prie de le regarder attentivement, ou que
nombre d’articles ayant trait à la même chose. Vous verrez qu’il est question de bumpo-biologie, mais vous devinerez que c’est
(sic) , les iodeineries (sic) particulières de l’esprit. Il n’est pas question , strictement parlant, d’électro-magnétisme, mais
veilleux n’en existent pas moins. Il sera temps de s’occuper de cette question d’identité ou du caractère distinctif qui sépare
et c’est dans l’espoir de les aider à s’éclairer sur cette importante question que nous nous proposons d’écrire de temps en temp
s, dit celui qui n’a pas pris la peine, quoique médecin, d’étudier la question avant de se prononcer. Au contraire, crie de son
sme est un puissant remède. Nous n’avons pas à nous occuper ici de la question scientifique, pas plus que nous ne devons faire a
’une manière imparfaite. Dans votre paragrnphe IV , vous abordez la question pratique et vous prononcez , sans hésitation, un
passée. Mis en communication avec le somnambule, il lui posa diverses questions auxquelles celui-ci répondit sans se tromper et s
emps ce savant avait annoncé à ses habitués qu’il traiterait de cette question , et qu’il la résoudrait comme celle concernant la
s pages qui vont suivre, lever un petit coin du voile qui recouvre la question , et ranger un bon nombre des phénomènes ci-dessus
u lieu de l'influencer, comme on le fait si souvent, par une foule de questions inopportunes. Cetie faculté de sc guérir soi-même
areil phénomène s’est produit en Portugal. Du reste, la personne en question se prête assez volontiers aux épreuves, pourvu qu
tait que cela coûterait plus cher. Le sieur D..... déclarant que la question d’argent ne l’arrêterait pas, rendez-vous fut p
accomplisse cet acte à ses risques et périls? Nous envisagerons cotte question dans un numéro prochain. DU POTET. Le Gérant
ses, des courants, ou de l’insulfla-tion. Il y a en outre souvent des questions de convenance qui obligent de recourir aux passes
u’elle contient. De nouvelles expériences résoudront sans doute celle question . 70 Par la musique. Si nous faisons entrer la
ts qui ne l’étaient pas. Le faible intérêt qu’offrait pour nous cetle question nous éloigna d’en poursuivre plus longtemps la so
té ou la fausseté des nouvelles découvertes. Dans l’état actuel de la question , il ne faut considérer que les faits et les témoi
exerce son bon sens el son jugement à décider, pour les médecins, la question de fait; et si la généralité trouve que le magnét
bule; celle-ci mit en œuvre des moyens analogues à ceux dont il a été question dans notre numéro d’hier, rendant compte du procè
venons de rapporter. ([Gazelle des Tribunaux). Clairvoyance. — La question si délicate et tant conlroversée de l’applicabili
ment du local affecté aux séances expérimentales. Marche des travaux. Questions élevées qui s’y traitent. Compte-rendu par M. Héb
BIBLIOGRAPHIE. Fragments de trois ouvrages où il est accessoirement question du mesmérisme et de ce qu'en pensaient Napoléon e
49 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
constituent pas le véritable délire mégalomaniaque. Ce n'est qu'une question de hiérar- chie de symptômes, mais nécessaire s
etc. Elles ont été publiées en 1876, à une époque où il n'était pas question de délire chronique. DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ
e groupent par séries de quatre (rythme quaternaire). Les séries en question sont séparées les unes des autres par des inter
tte étude, je voudrais entrer dans quelques détails, à propos de la question du diagnostic. Il peut en réalité, je vous l'ai
es zones d'inhibition pour les mouvements convulsifs astasiques, la question ne peut qu'être posée. REVUE DE PATHOLOGIE NERV
oration par l'électricité et le massage. P. K. V. Contribution A la question du MYXOEDÈME ; par E. KpOEPELI. (Nell1'ol. Cent
stater sûrement cette origine pour toutes les fibres. Les fibres en question s'infléchissent après un trajet plus ou moins l
urra suivre son cours normal. P. IERAVAL. XXVIII. CONTRIBUTION A la question DES TROUBLES DE la SENSIBILITÉ dans les affecti
citabililé est un phénomène exceptionnel qui, dans l'observation en question , a simulé les convulsions de la troi- sième pér
ue de sa modification aiguë, notée par Westphal, il ne fut même pas question . Plus tard, la catégorie de la folie primaire s
our indiquer la forme chronique et de la forme aiguë il ne fut plus question dans les écoles allemandes, russes et ita- lien
aiguës comme un groupe indépendant d'aliénation mentale, mais cette question n'est pas encore suffisamment élucidée pour qu'on
nèse de l'hystérie. A ce propos il met au point l'état actuel de la question de la névrose traumatique, qui n'existe pas en
fond autant qu'elle peut l'être dans l'état actuel de la science la question si difficile de para- lysies et des contracture
plète et très consciencieuse, tous les docu- ments relatifs à celte question . Quoique l'auteur y ajoute trois nouvelles obse
attachent. C'est une excellente mise au point de cette intéressante question , encore bien obscure. P. S. 126 BIBLIOGRAPHIE
é, MM. Mabille et Lallemant ont su rajeunir à souhait cette vieille question des folies diathésiques et leur mémoire est de
qui lui sera sans doute soumise, avant l'exécution de la mesure en question . Si le fait qui nous est signalé est exact, ce
r été composée d'une manière un peu hâtive, relativement à quelques questions de détail. Parmi ces dernières deux surtout mér
chef fonctionnant comme directeur, est tellement absorbé par des questions de ménage de son asile, qu'au bout d'un certain n
ses qualités d'aliéniste que le nom... z Mais passons à la seconde question qui doit être relevée dans la brochure de M. Ti
saire d'assister ou d'hospitaliser cette catégorie d'enfants. Cette question aurait été naturelle dans la bouche des gens pe
ssements similaires en Allemagne, Autriche, Italie et Suisse, cette question nous étonne au dernier degré. Eh bien ! oui, l'
u a obtenu plus des deux tiers des points (le maximum est de 90). Question écrite traitée : 1. Plancher du 4me ventricule. L
ans l'urne : 2. Circonvolutions occipitales; 3. Corps opto-strié. Question orale portant sur la pathologie (non spéciale). 1
gie (non spéciale). 1. Trai- tU1'e du col du fémur; les deux autres questions étaient : 2. Dia- gnostic et prophylaxie de la
; 4 ont subi les épreuves. Composition écrite. Bulbe rachidien. Les questions restées dans l'urne étaient : nerf de la langue
agnostic de l'étran- glement herniaire. Sontrestées dans l'urne les questions suivantes : insuffisance mitrale, entorse; coli
bes frontaux et pariétaux du cerveau (anatomie et physiologie). Les questions restées dans l'urne étaient : portion intra-cr8
s médicales : produits fournis par la famille des strychnées. - Les questions restées dans l'urne étaient : 1° chimie : carbo
re D'UN aliéné par des gardiens. - Un drame s'est c * Voir sur la question de l'assistance de ces enfants l'opinion des alié
çon vraiment scientifique : « Nous avons les oreilles rebattues des questions d'hérédité, do libre arbitre, de responsabilité
itre, de responsabilité ; pourquoi ne pas essayer de résou- dre ces questions in anima vili Au lieu de couper la tête à ce mi
lheureuse- ment, la plupart de* préfets ont peu de connaissance des questions d'assistance et considèrent, bien à tort, la lo
e. Faut-il permettre le mariage à un ou une épileptique ? C'est une question à laquelle nous ne voulons pas répondre aujourd
nt marqué. Il a l'air hébété. est vrai qu'il se montre attentif aux questions qu'on lui pose, mais son visage reste morne et
la paralysie générale progressive. Quand il répond sim- plement aux questions qu'on lui pose, il parle lentement, d'une voix
ques dans lesquelles on observe l'homicide ? Pour répondre à cette question d'une façon complète, il faudrait exposer métho
ccès ! de folie sou- ' vent brusques et transitoires;, dont il sera question plus loin. Mais il arrive aussi que des imbécil
incomplet des facultés intellectuelles. Il ne peut répondre qu'aux questions les plus simples et il est incapable de compter
ienne, et qu'on s'en tint» à la méthode' positive. Dans toutes les. questions dites de. responsabilité morale, il n'y a qu'un
en exclure (de la folie morale) les malades dont il vient d'être question , et qui agissent sous l'influence de l'obsessio
este, la responsabilité comme l'entendent les moralistes, est une question connexe à celle du libre-arbitre, et la nuisanc
contre l'amendement portait aussi sur ces der- niers symptômes, la question serait résolue en faveur du pseudo-tabes. ' ,.
s venons de tracer peut donc permettre de répondre à cette première question : Etant donné un diabétique chez lequel survien
. Elle a eu des hallucinations psychomotrices très nettes. Il était question de lui faire une opération à la jambe. Alors el
l'analyse par la multiplicité des sujets auxquels il touche et des questions de détail qu'il aborde, et dont la plupart se rap
ue que les malades qui en sont atteints posent habituelle- ment des questions qui n'ont aucun caractère pratique et que les r
t l'auteur estime, probablement avec raison, que le carac- tère des questions posées se ressent notablement des habitudes et
sujet. On pourra noter en passant que cette habitude de poser des questions sans souci de l'utilité ou de la difficulté de la
on'cérébrale. ' ,. Les expériences avaient pour but d'élucider deux questions . ' ¡ t 1" . l ! t ' ' " - 1° Un foyer d'infla
a chirurgie du cerveau pourra nous éclairer dans l'avenir sur cette question . En attendant, il est intéressant de nous repor
ite septique ? ' '. \ M. Kahlden. Ou peutrépondre non à la dernière question . On peut affirmer qu'il n'y avait pas d'embolie
tionnés. M..J{AHLDEN (de Fribourg). De la maladie d'Addison. Deux questions nous intéressent au point de vue anatomo-patholog
nt au. grand sympathique et au ganglion semi-lunaire. La première question parait, provisoirement au moins, résolue. Sur l
e question parait, provisoirement au moins, résolue. Sur la seconde question , les opinions sont encore très partagées. Il y
sur l'existence de douleurs vraiment cen- trales. Et cependant, la question est importante, puisque nous connaissons des do
les en séries des coupes embryogéniques. L'appareil à projection en question , envoie l'image sur une feuille de papier sous-
ement liés à la solution exacle de ces problèmes cliniques. Cette question des syndromes hystériques « simulateurs ne fera
ans divers recueils par divers auteurs qui se sont occupés de cette question . Il n'entre pas dans notre intention de donner
e la résistance qu'a toujours rencontrée auprès des autorités cette question de l'assistance des idiots. Cette résistance vi
nt les premières phases de son retour à la vie commune. Saisi de la question , à l'occasion de l'examen du projet de loi port
un des voeux du Conseil, en appelant toute votre sollicitude sur la question de l'organisation de sociétés de patronage pour
joignant les observations personnelles que pourra vous suggérer la question . Recevez, Monsieur le Préfet, l'assurance de ma
rogramme comprendra : 1° La mise à l'ordre du jour des VARIA. 265 questions suivantes : Du Délire des négations, sa valeur di
le; Les colonies d'aliénés. Un rapport sera fait sur chacune de ces questions et sera envoyé à chaque Membre adhérent dans le
mémoires ou les communications orales des Membre du Congrès sur des questions diverses touchant la méde- cine mentale; 3° Les
avoir commis des actes plus ou moins analogues à celui dont il est question plus haut. impulsions génitales précoces So
ponsables de chaque institution, pour examiner en détail toutes les questions relatives à ces institutions. C'est de la commi
ce Con- grès, qui se tiendra à Leipzig du 20 au 23 avril 1892, les questions intéressant la neuropathologie seront les suiva
té de la société médicale du Massachu- setts, nommé pour étudier la question . Le bureau du Conseil d'É- tat chargé des établ
me semblait devoir être d'une importance de premier ordre dans la question si controversée des névroses, à savoir : s'il e
e époque, à Paris un des rares médecins qui s'occu- paient de ces questions de venir voir sa malade. Pendant six jours cons
ujet, elle discute avec calme, dans son som- meil somnambulique les questions de droit et de devoir. Elle ne reconnaît qu'à s
il était arrivé à chaque contra- riété. Depuis le jour où il a été question de son départ, et d'entrer dans votre service,
. Je ne restai pas longtemps près d'elle dans la crainte de quelque question troublante... Je la quittai en lui disant : .
je suis très fier que M. Charcot m'ait choisi pour vous exposer des questions qui l'intéressent si fort, je suis fier surtout
quelquefois le lecteur à ce dernier ouvrage dans lequel cer- taines questions psychologiques sont traitées avec plus de dévelop
savez que la vue d'une flamme amenait la crise. Mais ici encore une question obscure, ce malade avait du côté gauche, ainsi
st-elle pas ? Berthe a-t-elle un champ visuel rétréci ? Ce sont des questions cliniques que je .vous pose et vous voyez que l
médecin de la Salpêtrière, et A. PÉRON, interne des hôpitaux. La question de l'albuminurie post-paroxystique, chez les ép
stes filles de dix-huit à vingt-cinq ans. Nous croyons donc que ces questions d'âge sont secondaires. , Il semble en effet
îner des convictions. Aussi .nous nous proposons de reprendre cette question , de même que celle de l'albuminurie dans les ca
l'influence de la folie, il faut encore montrer que le meurtre en question est un phénomène clinique, faisant partie d'un
ur arriver à les fixer sur un point quelconque et pour répondre aux questions . Aussitôt qu'on cesse de l'interroger, abandonn
l faut, pour maintenir son attention, répéter continuellement les questions et sans cesse le remettre sur la voie; sinon, il
paralytiques, et c'est ce qui contribue à rendre ainsi obscure la question du diagnostic. Y a-t-il seulement lésion profon
érieure qu'elle ne localise pas. Nous ne prétendons pas résoudre la question de savoir si les mélancoliques ont toujours soi
s auteurs allemands Schuele parait avoir cherché à appro- fondir la question . « Il faut noter, dit-il, que les hallucina- ti
u'ici il ne s'agit plus de mélancolie pure, comme dit Schuele. La question s'éclaircirait si l'on pouvait mettre ces halluci
e cutanée s'abaisse. Rien de la gangrène symétrique. Dans le cas en question , c'est, à six mois de distance, un traumatisme,
u système musculaire de l'oesophage; la tumeur fibreuse dont il est question dans la suscription, en comprimant le bulbe au-
nt dans la presse politique, je demande à la société de discuter la question de la sortie des aliénés persécutés. Si le délira
l serait intéressant de discuter. M. GARNIER ne croit pas que ces questions qui paraissent si sim- ples puissent être résol
rer très réservé. On pourrait m'objecter que je ne réponds pas à la question si je disais qu'on ne doit pas rendre à la libe
FROY. Combien avez-vous vu guérir de persécutés ? M. GARNIER. Cette question ramène à la discussion des guérisons et des rém
esponsabilité. M. CHRISTIAP1. Cette innovation ne résoudrait pas la question . Que la mise en liberté soit sollicitée par un
s, indemne de tares héréditaires, atteint de l'affection spinale en question en 1879. En 1881 il prend un chancre induré. A
ance familiale des aliénés constitue, sous certains rap- ports, une question sociale, car elle se propose, ou si vous aimez
l'assistance familiale des aliénés remplit une partie du but. La question envisagée au regard des finances départementales,
u sens musculaire. L'hémiopie accompagne souvent la monoplégie en question , et l'on observe parfois pendant des mois ces deu
la ligne médiane ; elle est déterminée par un crochet du morceau en question qui n'est autre chose que l'anse brisée de la t
chaeff ont pris la parole. Le pre- mier suppose, que dans le cas en question , il ne s'agissait vrai- . semblablement pas du
séquer la calotte crânienne, il faudrait faire la lumière sur cette question de pathogénie déjà ancienne, mais encore irréso
nts. Nous ne vou 452 '. varia. Ions pas faire ici un exposé de la question de l'Assistance de cette catégorie de malheureu
des secours permanents dans un asile spécial. Nous espérons que la question des épileptiques dans les hôpitaux sera bientôt
50 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
a élargir le cercle de nos connaissances, et surtout à envisager les questions à un point de vue plus large et plus général. San
eraient peu accusés. C'est dire que nous n'aurions sur la plupart des questions que des notions très étroites et très limitées. I
aciions chimiques, etc., en dehors de toute incitation sensitive. La question est presque impossible à résoudre; cependant je s
on peut se porter volontairement sur tel ou tel objet; on discute les questions les plus abstraites; la plupart du temps, les rai
parler intellectuels ont commencé quand je m'occupai spécialement de questions psychologiques et surtout quand je fus nommé dire
beaucoup de temps à l'élude des phénomènes de l'hypnotisme, et cette question me préoccupait vivement tant au point de vue phys
je n'ai rêvé que j'hypnotisais ou fait un rêve se rapportant à cette question . Pendant la guerre de 1870-1871, j'ai subi le s
s considérable. Jusqu'ici, les auteurs qui se sont occupés de cette question ont étudié surtout l'Influence des phénomènes psy
hiques de la veille sur le rêve ; il me semble que l'autre face de la question , savoir l'influence du rêve sur les phénomènes ps
fluence de cette doctrine sur les consciences. Si on envisage cette question du rêve à un point de vue plus strictement philos
ssi ud recueil de philosophie scienUflqno ou «ont traitées toutes les questions qui relèvent de la psychologie expérimentale ch
dans les termes suivants qu'il répondit point pour point aux diverses questions qui lui avaient été posées('): I. La Barbasua e
défait ayant à peine la force d'ouvrir la bouche pour répondre à mes questions . Je l'hypnotise rapidement par la méthode ordin
. Chemin faisant, je la questionnai sur son fils, mais elle éluda mes questions , et, après beaucoup d'hésitations, se borna à me
, il ne faut pas oublier que, parlaoature même de son examen, par ses questions , par son insistance, le médecin suggestionne le s
un rocuoil do philosophie scientifique, oli sont traitées toutea loi questions qui relèvent de la psychologie expérimentale. c
in en chef de l'Asile d'aliénés de Pau, a eu un succès complet. Les questions mises à l'ordre du Jour ont donné lieu à des rapp
ont eu une influence certaine sur les idées de Pinel. Sur beaucoup de questions il s'est montré un précurseur. Il avait pressenti
nstata que Julia Paslrana s'exprimait d'une façon remarquable sur les questions les plus difficiles et même qu'elle pouvait abord
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
end inquiète et elle désire savoir pourquoi on fait tout cela. A ma question : « Avez-vous déjà été malade? ¦ elle répond d'un
'un geste signifiant qu'elle ne se rappelle pas. Même réponse à cette question qui m'est inspirée par le souvenir d'un incidentd
ès expressif de doute. Elle répond nettement et brièvement à quelques questions sur les souffrances qu'elle ressent. Le soir mê
on lui a enlevé des dents; or, je savais, et c'était la raison de ma question , que deux ans avant sa léthargie une intervention
st retrouvée entière au réveil. La malade comprenait parfaitement les questions posées, y répondait avec toute la netteté compati
et de l'hypnotisme. Toute une partie de ce journal est consacrée aux questions relatives à l'hypnotisme. Les noms des professeur
onsidérations mettent de nouveau à l'ordre du jour la très importante question du rôle des agents physiques dans la production d
si ud recueil de philosophie scientifique oU sont traitée* toutes les questions qui relèvent do la psychologie expérimentale. c
timité de Julla Pastrana, il eut assurément l'occasion de résoudre la question en s'en assurant directement. En regardant le p
ns velus, désignés sous le nom d'hommes chiens, remit sur le tapis la question des systèmes pileux anormaux. A cette occasion, M
aint d'une extrême lassitude et devient très mélancolique. Pressée de questions sur la cause de cet état, elle répond qu'elle a é
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
iste la maladie présentée par notre sujet ? Comme vous le savez, la question n'est pas encore complètement résolue. L'opinion
ive. Est-ce la cocaïne ou la suggestion qui a produit l'analgésie? La question est difficile à résoudre. Toutefois, il est très
a été le fait de la suggestion et non de la cocaïne. Du reste, cette question est de peu d'importance, le cours ultérieur de la
tout autre personne. SI nous analysons rétrospectivement le cas en question , nous devons en conclure que ces attaques ne sont
ur la bactériologie. Nous n'entreprendrons pas ici une analyse de ces questions techniques où Duclaux s'est révélé toujours un ch
ation se terminait par la constatation formelle du sexe féminin. La question était définitivement tranchée, Marie-Madeleine Le
us brillante éducation ; elle parle français et répondra k toutes les questions qu'on voudra bien lui adresser. Sa barbe, qui va
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
hysiologie). Ce travail débule par un historique très complet de la question ; puis, il étudie, en détail, avec la psycho-physi
véritable comme celle du sommeil dont il a été tout particulièrement question dans ces derniers temps. Néanmoins, j'ai pris c
l'occasion, à propos d'une autre de mes malades de revenir.sur cette question si intéressante et encore si obscure. Le prophè
ouge et couvert de sueur. Il dort mal, mais mange bien. La première question qui se pose est la suivante : S'agit-il d'une aff
si ùn recueil de philosophie scientifique où août traitées toutes les questions qui relèvent de la psychologie expérimentale. ?
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
ons faire œuvre utile en signalant une fois de plus à l'attention une question mise à l'index par excès de prudence ou peut-être
était nourrie autrement. La diversité de nos jugements sur une même question tient à ce que les hommes sont assez généralement
ur le bon combat. * Le grand public ignore à peu près tout de ces questions de psychologie spéciale. Il est urgent de ne pas
e que la fait la Société, au physique aussi bien qu'au moral. Cette question , Messieurs, tout à la fois simple et complexe, se
si un recueil de philosophie scientifique où sont traitées toutes les questions qnl relèvent do la psychologie expérimeniale. C
égénérés mystiques. M. Dlieck, avocat à la Cour, a pris pour sujet la question si actuelle de la Criminalité juvénile. Quant à M
es conférences comprend des sujets variés, se rapportant à toutes les questions de psychologie. Les conférences seront présidées
ée d'une grande sensibilité. Fort instruite, elle pouvait aborder les questions les plus sérieuses. Elle était entièrement femme
e réfection alimentaire; l'entraînement et l'assuétude ne sont qu'une question de temps et de patience suffisante. Ce qui n'est
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
et psychique réduite en conséquence des phénomènes en marche. La question des phobies, des anxiétés neurasthéniques, n'est
st tout indiqué d'en tenir grand compte. Est-ce à dire alors que la question est jugée de prime saut ? Est-ce à dire qu'en pri
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces conférences portent sur toutes les questions qui relèvent de la psychothérapie et de la, psych
si un recueil de philosophie scientifique ou sont traitées toutes les questions qui relèvent de la psychologie expérimentale. c
ue. Les titres de nos cours depuis 1900 suffisent à prouver que les questions de psychologie pure figurent dans notre programme
>. Avant que les philosophes classiques n'eussent embrouillé la question par le dédain des définitions, et surtout par l'a
ité complète des procédés universitaires. Pour être édifié, sur cette question , il surfit de lire les admirables conférences fai
le grand législateur Lycurgue, un des premiers, a résolu cette grave question . Désireux d'imprimer, d'une façon indélébile da
du caractère est Emmanuel Kant.Les pensées qu'il a consacrées à cette question se détachent avec la force et la clarté qui carac
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
eil etla maintient horizontale, quelle que soit sa direction. Mais la question pouvait être aussi résolue par une expérience et
le bouge, il est évident qu'une force s'exerce sur elle, telle est la question à résoudre. Nous connaissons quatre forces, ou,
sthénomètre sous l'influence de la main. Dans la contre-expérience en question , après avoir constaté ce genre de mouvement au mo
si un recueil de philosophie scientifique où sont traitées toutes tes questions qui relèvent de In psychologie expérimentale. C
directeur dea Archives de Laryngologie et a~Otologie, portait sur une question toute d'actualité : Le problème de l'éducation de
e l'Intérêt qui entraine de plus en plus les esprits vers l'étude des questions psychologiques. Comme nous l'annoncions dans un
l est en mesurede payer...! N'allez pas croire que le Tarot est une question politique-Mais il serait absurde de ne pas avouer
iale ou optima ; mais ce n'est pas le moment de traiter une si grosse question . Sans chercher un régime de concessions récipro
èdres réguliers, des geométrica non euclidiennes... et en général les questions où la solence positive cor line à la métaphysique
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
te la Lorraine. M*" Delait a bien voulu répondre avec précision aux questions que Elle n'a jamais été ennuyée de l'appariti
au minimum. Dans cet état d'inhibition léger, que les ignorants de la question se refuseraient à considérer comme du sommeil hyp
mains des maladroits et des ignorants qui ne savent pas un mot de la question . La considération qui trouve choquant d'agir en
lix Regnault, renvoyé à l'examen de M. Aragon qui a déjà abordé cette question et recueilli, sur ce point, une très abondante do
dlt confrère le Dr Baudouin, l'homme le plus documenté sur toutes ces questions , publie dans la Gazette médicale les renseignemen
; Combien de temps un enfant doit-il dormir ? Ce n'est pas là une question oiseuse, car d'après une enquête faite par une Co
si un recueil do philosophie scientifique où sont traitée* toutes les question ! qui reJèvont de la psychologie expérimentale.
de leur débiter dea lleax commuas Interminables sur toutes sortes de questions qui ne tea intéressent pas. Ce procédé n'est pas
plus prédisposées aux affections mentales que les autres?Telte est la question qu'une observation incomplète permettrait seule d
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
ut de cinq séances. Dans les cas analogues, il ne saurait plus être question de recourir au chloroforme pour renforcer la sugg
ependant nous éprouvions les plus grandes difficultés à aborder cette question délicate. En effet, si certaines malades apprenne
ée à gauche ; en outre, la malade ferme les yeux et ne répond pas aux questions qu'on lui pose : cela milite en faveur de l'état
i un recueil ds philosophie scientifique- où sont traitées toutes la» questions qui relèvent de la psychologie ot péri mentale.
tion d'examiner en passant la psychologie des alcooliques, coté de la question qu'on a le tort, à mon avis, de négliger, lorsqu'
ommun, qu'elles bouleverseront l'âme du sujet; celui-ci se pose mille questions ; qu'adviendra-t-il ? comment sortir de la situat
Age. Quant à l'hérédité alcoolique mentionnée par les auteurs, cette question ne peut pas encore passer pour établie : en l'étu
n qui apaise les souffrances. Malheureusement les sujets, dont il est question , ne sont pas suffisamment doués de cette volonté,
subit des événements fâcheux qui ébranlent son système nerveux. Cette question est très compliquée; dans chaque cas particulier,
lité du sujet et de son milieu. II est impossible d'épuiser loi cette question dans toute sa plénitude. Néanmoins nous essayeron
s que les premiers, seulement, dans le ton même de leurs réponses aux questions du médecin, on sent bien qu'ils mettent en doute
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
. Avant de tenter, au point de vue de l'efficacité du traitement en question , une classification des malades qui ne viennent q
e faire un petit résumé de tout ce que j'ai dit. Quand on traite la question de l'alcoolisme et des moyens de le combattre, il
giques survenus dans sa famille et desquels dépendent de très grosses questions d'intérêt, elle présente au milieu de la nuit, da
i un recueil do ' philosophie scientiBqUB ou sont traitées toutes les questions qal rolovont do la psychologie expérimentale. C
le concours de leur collaboration. Cette année, un certain nombre de questions importantes sont à l'ordre du jour. Nous le publi
cellents travaux sur les Rétrécissements du bassin et sur différantes questions de chirurgie obstétricale. Il ne parlait pas avec
le Professeur Stumpp (de Berlin). lia été, on Allemagne, grandement question d'un cheval savant, nommé llans, dunt les actes o
aptitude à penser librement. C'est, en effet, là qu'est le nœud de la question . En se conformant à des signes qui lui sont faits
II le faut cl puisque j'ai pris la volonté, je te l'ordonne. « A ses questions , réponds : « Non ». « Il faut absolument qu'il
as la parole ; cependant, polie et correcte, elle répond à toutes les questions qu'on lui pose sans qu'on puisse percevoir une al
le précédent. Quoique M. Dauriac se réserve pour l'avenir d'autres questions à traiter, qu'il indique en passant, le présent v
lectuelles ayant la musique pour but et pour lin o. Autour de celte question centrale, plusieurs autres se groupent qui la pré
le malheur est qu'on ne peut se passer des vieilles méthodes dans les questions où la psychologie des laboratoires n'a poussé que
si un recueil de philosophie aeienlKlque oli sont traitées toutes loi questions qui relèvent de la psychologie expérimentale. C
51 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
impose, nous allons librement, anchement, entrer dans le vif de la question sans nous éoccuper des corps savants et des opini
ment l’impossible, et à qui on pourrait poser de nouveau cette simple question : connaissez-vous réellement, sûrement le possibl
étisme, enregistrent les faits les plus intéressants et discutent les questions qui s’y rattachent. C’est en Amérique surtout q
tint ainsi le nom et l’âge d’une personne décédée. Un autre fit des questions en allemand, langue inconnue du médium, et les ré
musculaire. à° 11 n’y a pas d’art d’escamoteur au moyen duquel des questions posées comme elles l’ont été puissent recevoir de
ver. 2° On a allégué que les médiums voyaient quels noms et quelles questions on écrivait. On a répondu que les médiums 11e p
iums 11e pouvaient voir ni connaître d'aucune manière les noms et les questions que presque tous les interrogateurs out à dessein
de nouvelles recherches et d’en rendre compte. On espère qu’alors la question sera de nouveau discutée d’une manière plus compl
donné lieu à de très-vives discussions, auxquelles se sont mêlées les questions les plus graves de morale et de religion. Plusieu
Eugène Allix , a cherché d’une manière suivie à résoudre cette grave question , et, en réponse à l’objection que nous venons de
e discussion intéressante sur un point difficile de thérapeutique. La question a été posée en ces termes par M. le docteur Louye
n s’appuie sont complexes et incertains, il faut toujours examiner la question sous plusieurs faces. Rendons-nous donc d’abord b
te et l’importance. » M. Louyet : « Il est un point capital dans la question qui nous occupe, et d’où part M. Petit d’Ormoy po
ans l’examen de son système , ce qui exigerait une discussion snr les questions tes plus ardues que présente le magnétisme. L
senté la médaille sans son revers. Pour se faire une juste idée de la question , il faut l’examiner sous toutes ses faces, avec
e lucidité (p. 38). Qu’est-ce qu’apercevoir une âme ? 11 ne peut être question d’une vue physique , puisque l’âme est immatériel
t ont en général délaissé l’examen consciencieux et persévérant d’une question aussi importante qu’elle est curieuse. Quelques e
nt d’eux-mêmes et répondent d’une manière si surprenante aux diverses questions qu'on leur pose sur des faits passés ou à venir,
négations, les railleries des hommes qui tranchent sur toutes les questions sans les avoir approfondies , qui nient sans avoi
non qu’il éclaire, mais qu’il divertisse ses lecteurs. Il délaisse la question avec une indifférence et une légèreté sans pareil
tomber la femme en somnambulisme. Déjà il lui avait adressé quelques questions auxquelles elle avait répondu d'une manière remar
éserter l’examen. Au lieu de glisser superficiellement sur les graves questions qu’ils soulèvent, pour ne songer qu’à plaisanter,
e songer qu’à plaisanter, il faut être assez sérieux pour aborder ces questions , questions auxquelles se rattache un ordre de vér
’à plaisanter, il faut être assez sérieux pour aborder ces questions, questions auxquelles se rattache un ordre de vérités incont
attache un ordre de vérités incontestables, quoique extraordinaires ; questions jusqu’ici trop généralement méconnues, négligées,
ort curieux et assez plausible. Jusque-là, on le voit, il n’est pas question d'astrologie proprement dite ; mais plutôt de mag
nd de vérité et des points de contact avec la science dont il est ici question . La dixième et dernière partie est intitulée me
st ainsi que, si les hommes étaient un pou plus familiarisés avec les questions astrologiques, üb ne commen--ceraicnt pas, avant
st criminel, c’est le contraire, c’est-à-dire de ne pasétu-« dier ces questions , et toutes celles que le Très-Haut nous « indique
ence des astres se présente-t-elle donc comme plus incroyable que ces questions ? Ce sont sans doute des mystères; mais nous somme
s nous sommes satisfaits de l’évidence de leur existence. A de telles questions , je ne fais donc pas de réponse ; j’invite ces pe
ou la dénégation... « Pour conclure , je pose aux incrédules quatre questions (elles ont été écrites par le Mercure, il y a que
ne branche des mathématiques ; et, laissant ses pronostics hors de la question , n’a-t-il pas des titres pour être loué au moins
le qui vient de s’écouler. Continuons d’étudier avec ardeur la grande question du magnétisme. Songeons à l’influence que peut av
me doivent, dans un avenir plus ou moins rapproché, attirer sur cette question l’attention de quelques personnages influents, no
quelle je présentai des objets ayant appartenu aux trois personnes en question . Elle les examina successivement. Quant aux deux
t appel, et, en outre, se fondant sur ce qu’il avait remis le fond en question , elle a rendu un arrêt qui renvoie complètement l
prudence. La solution donnée par le tribunal de première instance aux questions posées avait été contraire à celle qui a été adop
cience de n’avoir pas compris les conditions logiques de l'examen des questions soulevées par l’avénement du somnambulisme, des t
lève qui lépondit au désir de leur mère; puis, sans leur faire aucune question , je les réveillai et dis à la mère : de-m;iwi, ma
verser. Voici la conversation qui s’établit entre la table et moi : Question . — Faut-il renverser mon auvent placé à... ?
Entre autres choses, M. R... lui demanda s’il voulait répondre à une question qu’il lui poserait mentalement. « Mentalement, ré
u si, dès à présent, je dois renoncer à tout espoir ? « — C’est une question grave, répondit M. Hume, à laquelle je ne puis ré
épondre. Interrogez l’esprit vous-même. « Le jeune homme écrivit sa question sur une feuille de papier qu’il posa sur la table
Hume. « Onpritla feuille de papier. A l’envers, précisément sous la question écrite, une main invisible avait tracé ces mots :
il est vrai, la nécessité de faire intervenir deux principes dans la question du magnétisme spiritualiste, l’un naturel, l’autr
à confesser notre ignorance à l’égard de plusieurs des phénomènes, en question , dont la nature est si équivoque et si obscure q
sont propres à cette catégorie? » Appliquant cette remarque à la question qui la préoccupe, la Revue romaine déclare que, p
s les appartements, la sotte légèreté avec laquelle ils répondent aux questions les plus oiseuses, et ce qui est pire, les coupab
it est de nature à éveiller l’attention des savants et à soulever des questions d’un haut intérêt, relativement aux phénomènes pl
nsérés au Moniteur des hôpitaux (numéros des 9 et 10 avril). Comme la question intéresse à un très-haut degré tous ceux qui s’oc
r indiquer les remèdes. Il y a même lieu de s’étonner qu’une pareille question ait pu être controversée. Le médecin , muni d’un
nent d’éluder la loi par une fraude et qui se passent de médecins, la question ne peut être douteuse en droit : ils ne peuvent é
ha la tète dans ses mains, et refusa obstinément de répondre à aucune question . Probablement elle pressentait que ce médecin lui
urs personnes qui devaient se réunir chez lui. La femme de chambre en question refusa de se montrer en public, mais lui ayant ma
, Monsieur, nous dit-il. « — Voulez-vous me permettre deux ou trois questions ? Si je suis indiscret, vous me le direz franchem
. « Et en achevant ces mots, rappelé par ses devoirs, ennuyé de nos questions , il nous quitta en nous disant adieu avec le plus
— Exemples : — Vous vous plaignez d’un mal de tête. — Après quelques questions et de mûres réflexions, le médecin vous déclare g
par ce moyen, je puis, après avoir éloigné tout ce qui grossissait la question principale, l avoir réduite à sa plus simple expr
a terre. La différence des temps permet donc aujourd’hui l’examen. La question que je ne fais qu’effleurer dans cet instant revi
ire qu’autrefois cet argument avait force de chose jugée dans les questions moins graves; car il est Lien vrai que l’on brûla
ns avoir étudié nos doctrines. Les autres, plus logiques, étudient la question pour devenir des adversaires plus sérieux. Les
s aussi bien plus utiles. Ce sont eux qui nous obligent à creuser les questions , qui nous forcent à rectifier nos erreurs. Qui
progressive qu’un ressort caché met en jeu. Quel est ce ressort ? Question très-épineuse et fort grave, que les sciences mod
e. Saluons ensemble, du moins, La Cause Suprême, toute excellente. La question , sous cet aspect, ne souffre pas de litige. L’ath
gue le met bien mieux que moi en état de se prononcer sur cette grave question avec toute connaissance de cause. Je me bornerai
comme des êtres doués de science infuse, capables de répondre sur les questions les plus difliciles et les plus ardues, de traite
on permit donc à des incrédules, à des savants, de leur adresser des questions de seconde vue et de science infuse ; et comme ce
ésoudre à faire le sacrifice d’une chance unique de m’éclairer sur la question sombre qui fut toujours le grand cauchemar de la
ît la solution du problème capital dans lequel se résument toutes les questions de science physique, morale, religieuse et social
t. (1) Pour l'apercevance decescorporéilés et de celles dont il est question dan s le cours de ce paragraphe, il faut une comp
une espèce « d'extase. Je n’osai ni l'interrompre, ni l'importuner de questions , et sa « vision dura longtemps. Je fus averti que
é si, tout en gardant l’incognito, il vou-« drail bien répondre à des questions . Il a répondu : Oui. — Quel sujet il « préférait?
faut-il penser de ses feuilles merveilleuses? Voilà tout au-« lant de questions qu’on est en droit de nous faire. Nous allons don
l n’a point encore trouvé de solution aux grandes difficultés que ces questions présentent à son esprit? Non certainement. Nous c
d’enregistrer, jettera peut-être un nouveau jour, si ce n’est sur la question des esprits, du moins sur l’existence de cet agen
MNAMBULE TOIT-IL A DISTANCE , OU Si SE DÉPLACE-T-ELLE? Telle est la question qu’a semblé poser et résoudre en même temps M. A.
? C’est, ajoute M. Morin, ce que personne n’a osé déterminer. Cette question , si importante pour la magnétologie, du dé-placem
en moi le désir d’essayer si je pourrais jeter quelque clarté sur la question , et, trouvant ma cousine en d’assez bonnes dispo
iter le bruit de la scie, ■du maillet d’un tonnelier, ou répondre aux questions saugrenues d’une caillette mécontente des cartes
iter le bruit de la scie, du maillet d’un tonnelier ou répondre à des questions saugrenues. D'abord nous dirons au rédacteur du C
es dispositions de ceux qui, jusqu’à présent, n’auraient eu , pour la question qui nous occupe, qu’indifférence ou dédain. Cha
hacun d’apprécier avec sa raison. Mais, avant de se prononcer sur une question aussi grave, les esprits sages voudront sans dout
aux Etats-Unis pour tous ceux qui s’intéressent en France à la grande question du spiritualisme. M. Hume est l’avant-garde d’une
sexes, à l’aide desquels il est parvenu à faire faire à l’importante question des esprits frappeurs un grand pas. Ces médiums s
s’en viennent tour à tour manifester leurs opinions sur une foule de questions qui leur paraissent compétentes. Parfois aussi l’
E. La Société a consacré plusieurs séances h la discussion de cette question : si les réponses des somnambules doivent être co
par ses succès précédents et n’hésite pas à, trancher sur toutes les questions . Suivre en pareil cas tout ce qu’il indique, c’es
ur savoir si elle devait émettre une opinion, « Considérant que les questions scientifiques ne se déci- « dent pas à la maj
umé des arguments « pour et contre serait la meilleure réponse à la question « qui vient d’être discutée, et que la publicité
appelles mon attention ; ils n’auraient rien prouvé de plus sur cette question . Mais c’est encore, cela, une étude bien intéress
qué sans doute le soin que j’ai eu de ne pas poser à la somnambule de questions qui continssent, même en germe, l’esprit de la ré
bons à faire connaître pour tâcher de jeter quelque clarté sur cette question si obscure; mais, en en môme temps, si intéressan
autant plus d’intérêt les deux articles de M. de G. de C. (1), sur la question de savoir si les somnambules voient à distance, o
d’elle-même ou à l’ordre du magnétiseur? Ce serait là une nouvelle question à traiter, et dont la solution varierait sans dou
nos esprits ? d«voir enfin au-delà de la tombe? Laissons résoudre ces questions par les hommes sincères qui les traitent, et atte
ment gravée sur la poitrine, l’image de la vache dont il vient d'être question . ’e phénomène curieux n'est pas sans précédents.
sur nous de décider. On conçoit que nous ne pouvons ici discuter les questions de métaphysique, de cosmogonie, d’astronomie, de
es correspondants de la Société du Mesmérisme, voulant élucider cette question , a consulté une excellente somnambule dont il a s
être en rapport au moins avec son magnétiseur, l’entend, répond à ses questions , et souvent même est guidé par lui dans ses reche
ne salivation fétide, des nausées, en un mot, les prodromes du mal en question ; j’avais hâte de m’éloigner pour échapper au dan
éloges, se croient en droit de résoudre souverainement toutes les questions . .Noire estimable collègue, en reproduisant ces r
ndit voir aussi bien qu'elle à travers le bandeau. Aussi quand il fut question de se présenter à l’Académie, la commission nommé
une séance publique ou extraordinaire où seront discutées les graves questions du magnétisme et du somnambulisme, et où se fera
... Où est l’enseignement (du magnétisme), tel que la gravité et la question le demande ?... J’interroge, et partout où quelqu
ous ne pouvons les laisser passer sans réponse. Avant d’aborder cette question , nous croyons devoir présenter quelques considéra
vaient-elles une influence utile sur les mœurs? Pour répondre à cette question , il suffit de considérer, dans l’ouvrage même don
aits chez les nations protestantes. Comment ne comprend-il pas que la question était la même chez les nations catholiques ou une
épétition de ce que les docteurs de la même école ont écrit sur cette question que nous avons encore eue à discuter récemment. N
mplète et surtout médicale. Elle répondit avec précision à toutes les questions que je lui adressais concernant son état. Afin de
ier le magnétisme et sa guérison prochaine pour le fait dont il a ôté question en commençant. Quatrième observation. — M. And.
nous qui n’avons qu’à les recevoir. Mon voisin adressa les premières questions ; les réponses parurent le confondre, et je trouva
battre dans le jardin avec ses compagnes. — Les personnes dont il est question ici ne sont pas une fiction ; il s’agit de l’exce
ientôt le jeune homme lit entendra des exclamations de douleur. A mes questions , il répondit que les esprits le garrottaient avec
un bonnet de coton appartenant ;ï la personne absente, et posé cette question : Voyez-vous ce qu’est devenu le mari de madame F
straite il y a environ quinze jours? Deux minutes environ après cette question , la somnambule me répond : Votre montre n’est pa
t à quelques autres membres présents à l’entrevue, un grand nombre de questions . « Son secrétaire-interprète a consigné avec so
t cela ne serait-il pas la cause de la perte de sa raison ? Voilà des questions que je livre à la sagacité des hommes compétents.
la première fois, mes amis et moi, nous avons obtenu le phénomène en question , et vous devez bien penser que depuis, nous ne n
docilité complète, du moins une certaine docilité. Ils répondent aux questions par oui et par non , étant convenu qu’un seul bru
il n’y aura pas besoin d’un grand nombre de séances pour résoudre la question . Si les auteurs du défi n’ont pas voulu faire une
n contrôle sévère. On peut voir la discussion qui a eu lieu sur cette question dans la Société du Mesmérisme (Journal du Magnéti
u médecin qui l'assistait dans ses consultations. M. Morin examine la question au point de vue du droit, et montre que le privil
ique. Le somnambule voit-il à distance, ou son âme se déplace-t-elle? Question examinée par M. Morin, à propos d'une théorie du
52 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
QUE MENTALE. Quand on l'interroge, il répond assez correctement aux questions , mais bientôt le style change, et la voix, en s
Ces faits, très nombreux, jugent, il me semble, sans répliquer la question ; ce qu'on a pris pour un rapport de cause à effe
a pas lieu à mon avis, de tenir grand compte de ces malades dans la question qui nous occupe; il convient surtout de porter
il vante toutes les autres parties de son corps, mais il n'est plus question ni des 70 centimètres de longueur, ni de la gro
ouver associées successivement à tous les états du sens génital. La question est dès lors jugée. Serons-nous plus heureux en
nfluence bien marquée sur les troubles du sens génital . Reste la question du pronostic et du diagnostic. Il n'est pas dou
rts de ce qu'on appelait l'âme et le corps, il ne saurait plus être question . Le savant doit connaître la théorie de la conn
l'activité cellulaire, doctrine de Mari- nesco. C'est toujours une question de savoir, du moins pour les novateurs vers les
l'hiere. Leipzig, 1899. 36 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' que la question de la conscience soit épuisée. Les phénomènes d
nier numéro des Archives (p. 490). Ceux de nos lecteurs que cette question intéresse trouveront dans le Progrès médical du
C'est, dit l'auteur, un cas exclusif, parce que, chez la malade en question , âgée de cinquante-cinq ans, la syringomyélie e
slation de classe, par une conception fausse de la folie morale, la question de la surveillance de l'Etat sur les choses relat
olie. Dans la seconde, l'auteur revenant plus spécialement sur Id question de la folie morale déclare espérer que le mot et
R. WI ! ITEWAY. (The Journal of Mental Science, octobre 1899.) La question fondamentale qui se pose, en matière de châtiment
M. BECIITLREW. (Obo : réaié psichiatrii, III, 1898. Le malade en question tua à coups de revolver le président du tribuna
toutes les époques. Le temps ne m'a pas permis de m'arrêter sur la question des indivi- dualités séparées dans l'histoire.
mental influent directement, dans chaque cas particulier, sur la question de responsabilité ; 2° Si cette hypothèse admis
accusé devait défendre de la réponse qui pouvait être faite à cette question . Pouvait-il faire autrement ? ». Le critérium pro
ance par une culture générale suffisante. » P. 11ER.1\'.1L. X. La question des infirmiers dans les asiles d'aliénés ; par
se basant sur huit observations, l'auteur conclut que le trouble en question s'observe oïdinairement chez des personnes d'àg
onstitués, de même que de la part des particuliers. On a discuté la question de perpétuer la mémoire du défunt et on a décid
ue depuis plus d'un siècle des aliénistes éminents ont pressenti la question . A la lumière de leurs travaux Bail la résolvai
mpartialement eu quelques mots les rapports souvent opposés sur les questions sou- mises à la discussion, le congrès a abouli
u ; Nomination des Présidents d'honneur : Discussion de la première question du programme : le Délire aigu, rapport de M. Ca
A 9 heures, séance à l'hôtel de ville ; discus- sion de la deuxième question ; rapport de M. Crocq (Tonus, ré- flexes tendin
A 9 heures, séance à l'hôtel de ville; discus- sion de la troisième question ; rapport de M. Taguet. A 2 heures, séance à l'
n des pouvoirs publics qui seuls peuvent réglementer cette délicate question des droits et des devoirs des médecins dans ' l
nant la guerre du Trans- vaal ; la lecture finie, il sait qu'il est question des Boers, et c'est tout. Une demi-heure après
es de ramollissement'. Récemment, M. Greidenberg2 reprenant cette question des troubles mentaux consécutifs aux empoi- son
Toute réaction phy- siologique est un syllogisme en acte. C'est une question de savoir si, pour être souvent inconscient, il
t reliés à l'organe nerveux central.. Edinger réserve beaucoup de questions que Bethe et d'au- tres auteurs croient déjà av
cerveau des mammifères eux-mêmes n'en diffèrent que par une simple question de quantité. Déjà chez les amphibiens, sûrement
. Elle n'a pas laissé pourtant de produire quelques résultats. La question de la mémoire, on l'a vu, se ramène à des consi-
it cette piqûre. » En résumé, pour faire avancer l'intelligence des questions que la psychologie humaine pose à l'anatomiste
disciplines sont destinées à s'unir un jour pour la solution de ces questions suprêmes. J'estime même que cette évolution par
arer nettement. L'étude la plus complète qui ait été publiée sur la question est celle de Saint-Clair Thomson, de Lon- dres.
sque toujours par la narine gauche ; la malade dont il vient d'être question ne faisait pas exception à cette règle. Il. DE
reuse de son commence- ment et de sa fin : on n'aura tranché que la question de vitesse, ' 16 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
voies de transmission dis- tinctes de la sensibilité tactile' ? La question n'a pas encore reçu de solution. Quelques obser
- cience est profondément obscurcie. Le malade ne répond pas aux' questions , il ne réagit pas aux fortes excitations douloure
iplégie droite, d'aphasie partielle, et d'excitation maniaque. La question du rôle étiologique de la syphilis dans la folie
ieu. C'est surtout lorsqu'il mourut, d'un cancer, en 1857, que la question de son état mental fut soulevée à propos de son t
nt fatale et les résultats de l'au- topsie ne sont pas négatifs. La question de l'atrophie et des modifications électriques
sure 1m,57), qui répond vivement et avec intelligence à toutes les questions qui lui sont posées. HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE
recoursà d'autres, mais la guérison est certaine, elle n'est qu'une question de plus ou moins de jours. Cette observation
un peu mieux toute lacomplexité qui entoure, dansl'hystérie, cette question si aride de la vision binoculaire. Nous avons m
ue nous comprenons, en allant du simple au complexe, cette curieuse question de l'amblyopie hystérique. Cette systématisatio
e certaine réserve, nous essaierons pour terminer, de considérer la question d'une façon plus générale, de la poser sur son
e tableau que nous présente la malade est absolument différent. Nos questions restent toutes sans réponses. Quoique nous lui
yen de se réunir pério- diquement pour échanger leurs idées sur les questions à l'ordre du jour; il donne, en outre satisfact
; Dr Parant fils, interne des asiles de la Seine. Commission .des questions pour 4902 : MM. Briand, ltrissaud, Parant père,
n du Congrès a été bien inspirée en mettant à l'ordre du jour cette question si complexe du délire aigu-LA. ,Carriera- su ré
rts ne'peuvent avoir de'valeur étiologique dans la forme morbide en question . Kolzowsky (1898) signala deux cas de délire ai
e- ment. Psychose )o-ope)'a<0 ! ')'e. M. DEVAY (de Lyon). La question des rapports entre l'acte opératoire et le déve
; par le Dr A. Monteilh. L'auteur, par une étude approfondie de la question , est arrivé à prouver que l'équitation a une gr
ravaux du De Régis, l'auteur étudie dans une cinquantaine de cas la question importante de la descendance des paralytiques g
rnement. Enfin pour terminer son étude, l'auteur aborde la délicate question médico-légale soulevée par le délire des invent
t justifient les données de la pathologie. C'est surtout dans les questions de responsabilité qu'un aliéniste est nécessaire,
ute cette partie de son travail consiste surtout en un résumé de la question d'après les divers auteurs qui l'ont traitée. i
d'après les divers auteurs qui l'ont traitée. il aborde ensuite la question du diagnostic, et insiste sur la valeur que l'o
sivement à un résumé analytique de la littérature médicale de cette question . R. DE Musgiuve-Clay. XXXVII. L'hystérie, sa na
devenir singulièrement com- pliqué. IL de Musgrave-Clay. XLI. La question de la neurasthénie à la Société de thérapeu- ti
r. Tonus musculaire. Après avoir donné un aperçu historique de la question , l'orateur expose et critique les nombreuses théo
'expliquer le mécanisme 'du lonus muscn- laire. Pour résoudre cette question , il établit les faits suivants : 1° la section
s 20 cas, soit 1 p. 100. Nous interrogeons les parents à part ; nos questions portent d'abord sur l'existence ou non, dans le
ce l'action néfaste de l'alcoolisme. Ceux qui s'intéressent à cette question pourront lire un grand nombre d'observations dé-
t au réfectoire et commence à laver la vais- selle. Répond bien aux questions qui lui sont posées et com- mence à tenir conve
ait, ne jouait avec ses camarades, leur parlait encore moins. A nos questions il répondait par mono- syllabes. Recevait-il un
quence des paralysies et aussi, et c'est là le côté important de la question , des parésies et des contractures sys- tématisé
rfois si violentes qu'elle entra dans un service de chirurgie ou la question d'inter- vention pour tumeur fut discutée et ré
l, Dr Bonnet, de l'asile Saint-Robert, et, en 1903 à Pau. Voici les questions générales qui seront discutées à Grenoble : Q
. Voici les questions générales qui seront discutées à Grenoble : Question de pathologie mentale : Des états anxieux dans
anxieux dans les maladies mentales, M. le Dr Lalanne, rapporteur. Question de pathologie nerveuse : Les tics en général, M
ogie nerveuse : Les tics en général, M. le Dr Noguès, rapporteur. Question de médecine légale : Les auto-accusateurs au po
2° édition). L'auteur a fait dans ce volume un exposé de toutes les questions se rapportant il l'hypnotisme et à la suggestio
la suggestion. Dans cette seconde édition, il a essayé de mettre la question au courant des données actuelles de la science
e nerveux. Au chapitre des suggestions hypnotiques est traitée la question des suggestions criminelles. Les suggestions du v
sur bien des points plus expli- cite et plus complet. Toutes les questions délictueuses ou criminelles du chef d'alié- nés
igressions théoriques pour n'envi- sager que le côté pratique de la question . La blennorragie avec ses diverses complicatiun
Lance en 1898. Il n'est donc pas sans intérêt de reprendre cette question et d'ajouter d'autres faits à ceux publiés par ce
La Grande-Bretagne' né s'était jusque-là que peu intéressée à cette question , lorsque, en 184 ? le Dr Scott, médecin principal
sur la marche des idées et des lois en Angleterre à propos de cette question , et nous ne retiendrons que quelques points relat
rejeton tardif et faible. L'auteur n'a pas le temps de discuter la question de res- ponsabilité légale des alcooliques, et
l'ivrognerie, ces causes étant à peu d'exceptions près, et sauf la question de degré, les mêmes que celles qui font le buve
1900.) L'auteur rappelle sommairement ses propres travaux sur la question des réactions pupillaires et se propose dans le p
la réaction de convergence est conservée. L'auteur aborde enfin la question des rapports des troubles pupillaires avec l'hé
'URVER. (The Journal ouf mental Science, juillet 1000.) C'est une question très embarrassante en pathologie mentale que ce
de la dépression. 412 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. C'est à ces questions que l'auteur veut essayer de répondre par une h
ambiant ; à plus forte raison les z esprits mobiles dont il est ici question . D'ailleurs chez les hysté- riques, la faculté
es de la Seine, M. le De Taguet les élimine pour ne traiter que les questions qui sont applicables à tous les asiles sans excep
stions qui sont applicables à tous les asiles sans excep- tion, ces questions sont les quatre suivantes : . 10 Il fait ressor
plus on leur donne le moyen de boire. M. TAGUET estime que cette question ne peut être discutée. C'est aussi l'avis de M.
es. -Plusieurs membres du Congrès font observer que ce n'est qu'une question de mots et qu'en réalité, les agents chargés de
e et le personnel inférieur. M. Ballet répond qu'il ne saurait être question du personnel administratif, mais de tous les au
pond que le voeu soumis au Congrès comporte deux questions'. 1° une question de principe ; 2° une question pra- tique sur la
grès comporte deux questions'. 1° une question de principe ; 2° une question pra- tique sur la réalisation de ce voeu. C'est
une question pra- tique sur la réalisation de ce voeu. C'est sur la question de prin- cipe qu'il importe de se prononcer act
si la réalisation en sera possible ; dans ces conditions, les deux questions signalées par M. Ballet ne peuvent être séparées.
ans toutes les villes où il y aura des Ecoles d'infirmières. Il est question d'en créer une à Rouen. Là, aussi le cours sur
n. M. Vallon donne lecture de l'article 8 précité... (Adopté.) 4° Question du logement du personnel secondait e hors de l'As
t tenir compte du chiffre du personnel. M. DOUTREBENTE dit que la question du logement du personnel secondaire dans l'asil
et resterait un encouragement à la prévoyance. Quoique ce soit une question indépendante de la retraite, je dois signaler c
al de Düren, tel fut le voeu de tous les cercles s'intéressant à la question . Au printemps de l'année 1897, le Conseil provi
t de délimiter la tâche qu'on poursuivait : 1° Il ne pouvait être question de s'occuper des aliénés criminels (détenus enc
nts pour cette épreuve; 3° une épreuve orale de dix minutes sur une question de garde. Il sera accordé quinze points pour ce
st le même pour tous les candidats. Il est tiré au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées par le jury imméd
tement avant l'ouverture de la séance. Pour les épreuves orales, la question sortie est la même pour ceux des candidats qui
pas de la faire subir à tous dans la même séance; dans ce cas, les questions sont rédigées par le jury chaque jour d'épreues,
nte même, des hôpitaux pour le traitement des aliénés aigus. ' La question des petits asiles urbains, ou mieux des hôpitaux
ans quelques grandes villes. Nous croyons devoir en dire un mot, la question étant pour ainsi dire inconnue en France. M.
lits. ' M. le or Dannemann a étudié en même temps que M. Sioli la question de l'installation d'un hôpital psychiatrique urba
ration de l'interné : quant au traitement des malades il en est peu question . Les municipalités qui ont admis la nécessité d
rouver de nouvelles cau- ses de contamination. Nous avons résolu la question en créant un service autonome, absolument disti
. Enfin, blondio=, tout récemment a fait paraître un article sur la question . . Malgré ce nombre de travaux, les stéréotypie
ien élucidée. Actuellement il est très affaibli, ne répond plus aux questions qu'on lui pose que par ses exclamations stéréot
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 517 dont on n'avait pas assez tenu compte. La question des images et des éléments histologiques artifi
oin sur ce terrain. La théorie des fibrilles ne fait pas avancer la question , elle ne fait que doubler les difficultés. Ce
tions à chacun des territoires corticaux, dans tous les éléments en question . La méthode de Marchi appliquée à de grandes coup
externes : et dans la dernière partie de ce tra- vail, il étudie la question de l'unité psycho-physique absolue, et de l'uni
: 300 francs sont accordés à M. Lalanne, et 200 à M. S. Garnier. Questions à traiter. Prix Belhoaatme (1902). Du sens de l
dien. - En face d'un myxoedémateux avec troubles mentaux, trois questions peuvent se poser : la psychose est-elle un symptô
quelques années. Sans vouloir entrer dans un exposé détaillé de la question , je puis signaler dès maintenant que ce sont le
r Marr, 51. Evolu- tion de l'architecture des - par Steen, 52. La question des infirmiers dans les -, par Timo- felew, 5
d'urine guérie par sug- gestion, par Bourdon, 160. Infirmiers. La question des - dans les asiles d'aliénés, par Timofe-
53 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es comme chez tous les épileptiques quels qu'ils soient, il y a une question de prédisposition héréditaire le plus souvent et
nceinte au moment de son admission à l'asile. Ici se place la grave question de la surveil- lance de cette aliénée-mère; et
la grave question de la surveil- lance de cette aliénée-mère; et la question des congés à des femmes aliénées non encore enc
à la psychologie expé- rimentale, et pense, en touchant de près la question de l'abus des hypnoti,ables et des hypnotisés (
comme expert et le chargea principale- ment de répondre à ces deux questions : 1° S... était-il aliéné dans les journées du
at d'obnubilation psychique qui empê- che la malade de répondre aux questions , et une exagération des mouvements choréiformes
bilité est suffisant; il est pour lui dans la réponse négative à la question suivante : « L'inculpé était-il fou au moment d
s; par S. MENER. (Archiv. f. Psychiat., XXVI, 1.) C'est toujours la question de l'hystérie traumatique (Charcot) qui est en
ètres de la convexité, occupe la profondeur de la pointe du lobe en question , gagne en se rapprochant de l'écorce, vers la b
e cas de myopathie primitive progressive, malgré les anomc- lies en question . Mais les modifications de réaction électrique
. La psychologie criminelle. Dans son important rap- port sur cette question , l'auteur examine d'abord les conséquences que
nalité endogène ? Non : il n'existe pas de type criminel. Une autre question se pose maintenant : Existe-t-il des criminels-
nt : Existe-t-il des criminels- 'nés ? La solution de cette seconde question reste complètement indépendante de celle de la
r. M. NAECKE reproche au rapporteur de n'avoir pas insisté sur la question importante, la psychologie du criminel. Il montre
nalyse des urines des vingt-quatre heures peut en outre trancher la question souvent si difficile de l'attaque de l'hystérie
3·stéro-tabétiques, la tétanie hystérique, l'astasie-abasie, toutes questions d'un intérêt si considérable, sont traitées ave
trent la nécessité d'hospitaliser les épilep- tiques. Il y a là une question d'humanité devant laquelle toute considération
l'Association française pour l'avan- cement des sciences. Des trois questions , mises à l'ordre du jour par le .Congrès de Lyo
ession extraordinaire pour prendre une déci- sion définitive sur la question de création d'un asile départemental des aliéné
en ait conscience, à tuer son enfant '. » Il faut convenir que la question est assez mal posée. Qu'est- ce que cette fureu
eu des sanglots, répond d'une façon lucide et correcte à toutes nos questions , ce qui exclut toute idée de délire actuel. Elle
ire, d'autres signes visibles qui en tiennent lieu ? Du reste cette question , à reprendre au point de vue clinique et physio
oquer en eux l'émission d'un son articulé, voilà, aujour- d'hui, la question importante. Avant d'aborder la pratique il est
HÉRAPEUTIQUE : m';D1CO-PÉDAGOGIQUE. sons au verbe. Il n'est pas ici question de conjugaison, pas plus que de règles et d'exc
riques sont bien différentes de celles de l'adulte. Les manchons en question , bien plus minces, présentent souvent des inter
le criminel et l'aliéné héréditaires, un individu taré ? c'est une question insoluble,jusqu'ici du moins, par l'étude de l'
postérieure de l'auditif. 2. Les fibres de la racine postérieure en question se terminent 142 REVUE d'anatomie ET DE physiol
ion des masséters et des temporaux n'influence point la paupière en question , tant que la bouche reste fermée. Ajoutons que
en bas et en dehors, avant d'arri- ver à leurs trous de sortie. La question intéressante, pour le chi- rurgien, est de savo
appel à notre caisse. LE secrétaire général propose de renvoyer la question à une commission. Le renvoi à une commission,
hoses étiologiques, mais des psychoses patho- géniques. Certes la question est des plus complexes, car la réaction parti-
saire de poser les principaux termes du problème, qui comporte deux questions : à quoi répond la pré- disposition vésanique e
is- sion de la Société de médecine légale chargée d'étudier cette question a reproduit les voeux déjà formulés au congrès de
été philomatique Soir, 2 heures (Faculté de médecine). Pre- mière question du programme : Les psychoses de la vieillesse; ra
s'il est nécessaire. Vendredi 2 août : matin, 9 heures. Deuxième question du pro- gramme : Corps thyroïde et maladie de B
tion. 172 varia. Dr E. BRISSAUD. Discussion. Soir, 2 heures. Même question . Suite et fin de la discussion. Samedi 3 août
et fin de la discussion. Samedi 3 août : matin, 9 heures. Troisième question du pro- gramme : Les impulsions irrésistibles d
l; rapporteur, M. le Dr V. Parant. Discussion. Soir, 2 heures. Même question . Suite et fin de la discussion. A 7 h. 1/2. Ban
ent inévitable, je serai certainement au meeting ». Le meeting en question eut lieu le 15 juin, de la même année, chez le
dans laquelle l'Association pourrait s'occuper de ses travaux. Une question plus avancée se trouve dans une des dernières l
Shaftesbury accepte la présidence. Le Dr Tuke proposa de référer la question d'une c Maison à à un comité spécial. En mai 18
nistre de l'instruction publique un programme de conférences sur la question . Ce programme a été approuvé et M. Poincarré, q
suffisamment tous les symptômes cliniques. Les deux cas dont il est question sont, au point de vue clinique, en accord très
dans cette catégorie des psychoses dégénératives chez le vieillard, question sur laquelle on trouvera les renseignements bib
chant à détourner son esprit sans aucun résultat. Elle répond à des questions imaginaires ou en pose à ses interlocuteurs sup
adresse, les prêtres vont y aller. » Et elle leur crie l'adresse en question : -. llile A... passage D.... Elle reste très a
à combler. Permettez-moi, Messieurs, de vous exposer brièvement la question . L'aliénation mentale n'est qu'une partie de la
à diminuer, mais non il écarter entièrement les causes d'erreur. La question est des plus difficiles et des plus délicates,
que à de tels congrès prouve le souci qu'ils prennent à l'étude des questions de la protection de la société par celle de l'e
reau étant définitivement constitué, la discus- sion de la première question s'ouvre aussitôt. Question 1. - Les psychoses d
stitué, la discus- sion de la première question s'ouvre aussitôt. Question 1. - Les psychoses de la vieillesse; rapporteur :
able d'en réunir un certain nombre, avant d'essayer de résoudre les questions multiples de clinique et de doctrine qu'ils soulè
génésiques. Séance du 2 août (malin). - Présidence DE M. Joffroy. Question II : Corps thyroïde et maladie de Basedow; rappor
saud. M. BRHS4UO trace un rapide historique de cette intéressante question . Puis, il montre l'évolution des idées pathologiq
réfèrent la thyroïdectomie. A quel moment faut-il intervenir. Cette question est évidemment 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. la plus
». J'ai à vous faire connaître et à préciser mon senti- ment sur la question , car je suis à vos yeux, je le pense du moins,
patience et les lirons avec intérêt : tous les travaux éclairant la question seront toujours les bienvenus qu'ils viennent d
s que l'on attribue à l'hyperthyroïdisation dont il ne saurait être question en l'absence de corps thyroïde. M. Matton (de D
nt M. Renaut et lui se servent pour colorer les éléments nerveux. Question III : Des impulsions il'résistibles des épileptiq
nt être considérés comme irresponsables de leurs actes. La première question est une de celles qui sont le plus contro- vers
lsions ne sont jamais indépen- dantes des troubles convulsifs. La question ne pourra être tranchée que par des faits; mais
régularité. La constatation de l'impulsion elle-même est une simple question de fait et la concordance des signes dont nous av
sabilité. M. Verrier, après avoir apprécié les travaux faits sur la question , rapporte, sous une forme humoristique, deux ob
était immédiatement classé parmi les épileptiques. Actuellement la question est beaucoup plus complexe. Dans ce qu'on a déc
ébattre dans l'avenir. L'hypnotisation pourra peut-être résoudre la question . M. DouTREBENTE s'élève contre la confusion qui
10 centimètres cubes par minute et ayant duré deux heures. Cette question de méthode si importante étant résolue, il était
esseur BINSWANGER. La. délimitation de la paralysie générale. Cette question , des plus difficiles à résoudre, est étroitement
civil de l'empire allemand. - L'interdiction, d'après le projet en question , pourra être prononcée, en cas de maladie menta
istaient en mots isolés, en phrases courtes, en interpellations, en questions , en ordres, parfois en conversations. Le conten
fibreuse, par cette sorte de dégénérescence spéciale dont il a été question plus haut (rtg. 10). , Quelques-unes de ces cel
ux-ci sont-ils pris en même temps ou seulement consécutivement ? La question est plus difficile à résoudre; d'ailleurs, sa s
onner naissance à un processus histologiquement semblable; toute la question est de savoir si la tuberculose est capable d'é
leur entre-croisement, pour déterminer le syn- ? d ! 'on1 alterne en question . (Revue neurologique, avril 1895.) .vîV-u ? E.
résumé l'évolution suivie depuis un an devant les corps élus par la question du projet d'asile spécial pour alcooliques, fai
e dont il est soupçonné être l'auteur. Enfin, il faut le presser de questions , et chercher ainsi (ce qui est bieu difficile)
n confrère et lui, un deuxième expert serait appelé à trancher la question . C'est là, d'ailleurs, ce qui se fait souvent pou
uestion. C'est là, d'ailleurs, ce qui se fait souvent pour d'autres questions de médecine légale. M. BnnNnïs (de Bayonne). Un
stic. M. GARNIEIi dit que M. le Dl Rey a fait un travail sur .cette question . M. Régis réclame la priorité; il a indiqué l'arr
gné comme secrétaire général. La commission chargée de préparer les questions au Congrès de 1896 a choisi les questions suiva
chargée de préparer les questions au Congrès de 1896 a choisi les questions suivantes : Des hallucinations auditives (M. Clia
e rend le congrès des aliénistes et neurolo- gistes qui traitent de questions qui intéressent non seulement les médecins, mai
ne trouvera dans son étude ni la bibliogra- phie complète de cette question , ni l'analyse des principaux tra- vaux sur la m
x les étapes successives de nos connaissances scientifiques dans la question des dystrophies mus- culaires. Duchenne (1847),
èse M. J.-B. Charcot, avait, obéi àun pieux 346 varia. devoir. La question de l'atrophie musculaire, type Duchenne-Aran, é
ailleurs, les aliénés ne relèvent pas de l'art médical : il n'est question ni d'assistance, ni de traitement. On laisse erre
pital Saint-Alexis de Brunswick, on semble s'être préoccupé de la question du traitement. Les instructions de 1749 sont insp
A peu près vers la même époque (1861), Griesinger revenait sur la question de la séparation des curables et des incurables.
NCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAGNE. 309 tions somatiques (infirmerie). La question des pavillons d'ad- mission et de surveillance
ser leur constitution matérielle donnons un historique rapide de la question de la colonisation des aliénés en Alle- magne.
ans ses rapports avec le système de l'open-door. (Berlin, 1893.) La question y est traitée de la façon la plus complète. 372
r la vie en liberté des sujets convalescents et incurables 1. Une question se présente maintenant à l'esprit, question qu'
et incurables 1. Une question se présente maintenant à l'esprit, question qu'il n'est point possible d'éluder. L'assistan
irconstances dûment considérées et après mûres réflexions. Sur la question de l'opération dans le cas de pression intracrâ-
ble. Un plus grand nombre d'observations sont nécessaires sur cette question , qui touche à l'un des prin- cipes les plus fon
u PROFESSEUR tUBSTNE11 (de Strasbourg). M. Sommer. Rapport sur la question de l'alcool. L'auteur se place sur le terrain d
e sur le terrain de la physiologie et de la clinique. C'est bien la question de l'alcool qu'il entend étudier, et non celle de
ocial où ils vivent. - Au. SMITII (Schloss-Marbach), Rapport sur la question de l'alcool. - Grande est l'importance de la ca
nence totale de l'alcool. C'est la première fois que celte dernière question fait l'objet d'une discussion scien- tifique en
s pénitentiaire de Dus- seldorf (octobre 1894) et en particulier la question des pénalités applicables aux délits et crimes
sujet normal. Mais qu'on vienne à lui demander son opinion sur des questions scientifiques ou poli- tiques et l'on reste éto
-urinaires et mélange tous ces sujets différents. IL s'occupe de la question de l'unification de l'heure. Dans ses écrits très
l'heure. Dans ses écrits très pro- lixes, même incohérence : de la question précédente il passe au projet de monument commé
, à la Révolution française, au service militaire de deux ans, à la question juive, au volapuk, etc., etc. On le voit, ce ma
un ton solennel. Pas trace dans les réponses de rapport avec les questions , pas d'association d'idées dont on puisse retrouv
actuelles sur la physiologie de la moelle. On y.trouvera traitée la question de la transmission des impressions sensibles et m
) En 1890, la Société médico-psychologique mettait au concours la question suivante : De l'état mental et du délire chez les
un ou deux mois. L'auteur a abordé un point très intéressant de la question , la toxicité urinaire; malheureusement ses rech
a science, encore une fois, ne saurait se désintéresser de pareille question ; à elle de contrôler les expériences pour en tire
nombre de deux : une annexe cellulaire et une salle de bains. La question de l'annexe cellulaire, malgré son importance d
apport avecune haute compétence. Notre éminent confrère a traité la question avec toute l'ampleur qu'elle demandait et a rap
a solution de l'emplacement double ou unique est liée à celle de la question de l'infirmerie. Pour ma part, je ne vois pas d
'impressionne, elle y revient à chaque ins- tant, insiste, fait des questions de détail, demande si cela ne pour- rait pas lu
e n'aient pas la même tendance à déterminer la maladie mentale en question . Le syndrome psychique, indépendamment de sa co
(iliedico-lpgitl journal, septembre 189r.) C'est une revue de la question où l'auteur rappelle sommai- rement les travaux
ladies qui ont l'alcool pour cause. Trois médecins ont traité cette question : le D'' LEGRAIN, médecin en chef de l'asile de
té et la résistance à un même ennemi : l'alcool. On peut étudier la question à des points de vue bien différents; on aboutit
pour lui permettre d'affirmer aussi nettement la valeur du signe en question . MM. BOEDEKCR et F.1L6ENBEAG ont à la vérité tr
et à l'excellente méthode de l'auteur. Le livre I étudie surtout la question de l'hérédité. Certes on ne saurait nier l'impo
Zeitsclc. f. Pyc7ai«7., t. Lll, fol. 1.) L'auteur étudie de près la question trop controversée de l'intro- duction de la psy
séder des notions de psychiatrie; ils se sont occupés, en effet, de questions qui relèvent de cette science et font enseignée
out admise de la nature organique des psychoses, l'importance de la question de la dégénérescence qui ne peut être résolue s
PHIQUE. LADAME (P.). - Le nouvel asile des aliénés 1a Genève et les questions qui s'y rattachent. (Historique de la création
es injections intravei- neuses, par Jotfroy, 256. han- port de la question de l ? par Sommer, 407. Alcoolique. Troubles
54 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
, sans lesquels il m'eût été impossible de résoudre quelques-unes des questions principales qui sont traitées dans cet ouvrage. E
a-t-il pour chaque vertèbre un ganglion nerveux central? C'est là une question importante au point de vue de l'anatomie philosop
pprofondie résout aisément. V. 11 convient d'aborder maintenant une question qui a préoccupé un grand nombre d'anatomistes phi
temps où écrivait M. Leuret. Aussi devons-nous revenir sur toutes les questions qui s'y rattachent; le lecteur nous pardonnera d'
ler s'exprime ainsi dans son beau Manuel de physiologie : « C'est une question importante de savoir si les gros globules de la s
ue, MM. Cruveilher, Valentin, Foville ont, à leur tour, attaqué cette question que M. Leuret (t. 1er, p. 359) a discutée avec un
ids, si elle existait, con- (1) La mesure de l'angle facial est une question d'eslhéstique, mais elle ne saurait donner les él
mposantes. Je ne connais point de sujet plus compliqué, et partant de question plus difficile. Il semble qu'on pourrait simpli
différentes, et que la perfection dans les choses complexes étant une question d'harmonie, des équivalences dans le degré de per
ques-unes et, parmi elles, celle du grand Descartes. Ce n'est pas une question de masse qui domine dans un édifice d'un ordre au
e masse qui domine dans un édifice d'un ordre aussi relevé, c'est une question d'architecture. Je ne nie cependant point l'influ
e étude attentive de ces faits ne laisse subsister aucun doute sur la question s'il s'agit ici d'un nerf ou d'un lobe encéphaliq
faits. Peut-être pourront-ils fournir un jour quelques éléments à la question si, dans ces recherches où les animaux sont consi
nant que sont ces pyramides, et pourquoi s'entrecroisent-elles? Cette question m'a longtemps préoccupé. Après y avoir longtemps
absence de commissure dans la région du tuber cinereum? Telle est la question que je soumets à l'examen des anatomistes. Mais
Mais, dira-t-on, votre prétendue solution n'est que l'énoncé d'une question nouvelle; je l'avoue, mais je crois qu'une hypoth
ruveilher a, avec beaucoup de raison, attaché de l'importance à cette question ; nous suivrons ici son exemple. Les anciens pen
ent-elles dans le centre de ces prismes juxtaposés. Mais c'est là une question bien délicate, et dans l'état actuel de nos procé
nous pourrions adresser aux physiologistes expérimentateurs quelques questions importantes. J'avoue, quant à moi, que les vivi
onstances différentes, où se trouve la vérité? Depuis longtemps cette question m'a embarrassé, et elle m'embarrasse encore. Le p
ail mystérieux? Par quelles voies attaquer un problème qui touche aux questions les plus cachées parmi celles que peut se propose
bres nerveuses? Nous essayerons de résoudre plus tard ces différentes questions . 4° D'ailleurs les fibres qui composent ces feu
cule? On peut, à l'aide d'une préparation très-simple, résoudre cette question . Il suffit, en effet, de racler avec attention le
s faisceaux se terminent-elles dans les corps genouillés internes? La question est difficile à décider; seulement, si l'on détac
sions transmises par les masses ganglionnaires. Si nous jugions cette question d'après ce que nous savons de plus certain sur la
é, mais il exceptait les origines des nerfs ; c'est là, en effet, une question fondamentale qui en domine beaucoup d'autres. De
l'état actuel des choses; je âheeque l'on sait déplus certain, car la question est bien loin d'être épuisée, et, ce que l'on voi
res? heureux l'a-natomiste qui pourra résoudre ce problème! A cette question déjà si importante, du lieu d'origine des nerfs,
res ou périphériques. Il serait donc plus prudent, pour résoudre la question , de s'en tenir à la considération de ces fibres d
un grand cerveau, comment s'accom-plira-t-elle? La solution de cette question serait d'une haute importance; malheureusement le
vie intérieure, et pendant le sommeil la cause organique des songes? Questions , encore pour cette fois, insolubles ! Nous savons
de tout ce qui n'est pas lui. Tiedemann a eu le tort de scinder la question et de prendre la partie pour le tout. 11 ne suffi
i composent l'encéphale. Je vais essayer d'étudier cette importante question en déterminant, avec la plus grande attention, le
patiemment. Voilà pourquoi, sans doute, les livres sont muets sur les questions qui nous occupent ici. CHAPITRE VIII. DES ENV
qu'elles ne se développent jamais simultanément en un égal degré, la question se réduit à savoir laquelle de la vertèbre occipi
configuré que celui d'un vieillard. 11 me semble qu'à l'égard de la question qui nous occupe ici, on a choisi une assez mauvai
la considération de la masse seule est stérile, et c'est H. 20 une question de forme autant que d'étendue. S'ensuit-il que la
es plus élevés. § 4. Dimensions et capacité du crâne. Bien que la question de forme l'emporte à nos yeux sur la question de
du crâne. Bien que la question de forme l'emporte à nos yeux sur la question de masse, nous sommes loin de penser qu'il faille
e semblable, s'il a la tête plus grande? Ne voit-on pas que, dans des questions de cette nature, ce dont il faut se garder surtou
apacité du crâne? Les phrénologistes du moins font intervenir dans la question certaines conditions d'harmonie intérieure, ils l
t-ce là de la science (1)? Nous croyons, pour notre compte, que ces questions de capacité n'ont quelque valeur qu'autant qu'on
lles. M. le docteur Gosse, dans un ouvrage récent (1), a étudié cette question avec le plus grand soin. 11 distingue seize défor
difications singuliers de la forme du crâne sont acquises, il y a une question à résoudre : quelle est la source première de ces
nitz, essayer de découvrir. Morton nous semble avoir envisagé cette question sous son vrai jour; et, à dire toute notre pensée
ts possibles nous seraient acquis, ne resterait-il pas au fond de ces questions des problèmes insolubles? car toutes les races n'
tés sont-elles distinctes dans deux ordres différents de nerfs? Cette question a été récemment résolue par l'expérience; mais l'
omiques et physiologiques de Galion, trad, par Cl). Darem- Ainsi la question est résolue par l'observation. Le mouvement étant
s, pendant quelques années un peu d'incertitude régnait encore sur la question si les racines antérieures sont exclusivement mot
fonctions de la moelle à laquelle tous les nerfs sont attachés? Cette question en comprend deux. Estelle un simple conducteur? e
e conducteur? est-elle à la fois un conducteur et un centre? Ces deux questions méritent d'êtres traitées successivement. La mo
tre d'actions nerveuses. Un jeu cruel a depuis longtemps résolu cette question pour les animaux inférieurs et même pour quelques
e la moelle se dévelop-pe-t-elle dans un sens direct ou croisé? Cette question estré- (1) Schelhammer. Ars med., t. III, et Ha
s Dytisques. Moniteur des hôpitaux, 12 mai 1857.;. u. 22 ciens la question n'était point douteuse. La moelle n'était rien qu
on fît mine de les toucher (1). M. Calmeil attaqua à son tour cette question . D'après lui, la substance grise suffit pour tran
rvent les uns et les autres à la sensibilité et au mouvement (2). Les questions relatives à ce point important furent traitées av
quées. De nouvelles expériences à cet égard décideraient peut-être la question et auraient un véritable intérêt. Tout en accor
gauche et qui bientôt Ce passage est précieux et, fait voir que la question est encore bien loin d'être épuisée. Les personne
s. Je persiste donc à croire que le dernier mot n'est pas dit sur ces questions difficiles. Quoi qu'il en soit, nous sentons et
vers la moelle épinière. Tous les auteurs ne s'entendent pas sur la question si les lésions du bulbe ont un effet.direct ou cr
les explications les plus ingénieuses n'ont point de critérium, et la question demeure livrée aux disputes des physiologistes.
ion, sans en être la source unique et le premier principe. Mais cette question demeure encore en litige. Il n'en est pas de mê
es considérer, non comme des organes qui produisent les phénomènes en question , mais comme des organes qui les empêchent au cont
ières, et qui ouvrent en toutes choses les portes de l'inconnu. Une question importante se présente : les lobes cérébelleux on
ssez marquée du côté gauche (2). » Ces résultats sont positifs, et la question semblait tranchée, lorsqu'un travail très-importa
théorie de M. Flourens; mais des observations précises ont décidé la question . Le cervelet ne se développe pas moins chez les a
ats qui varient en quelque sorte sans règle. Dès lors, si en pareille question l'affirmation est douteuse, la négation ne l'est
ns pas, sans doute, le problème; mais nous poserons du moins quelques questions , en attendant que la vérité apparaisse tout entiè
uadrijumeaux dans la vision, tous les observateurs s'accordent sur la question de l'influence qu'ils exercent sur les mouvements
ie, M. Chevreul avait donné un admirable exemple de la façon dont ces questions complexes doiventêtre discutées (l). Cet illustre
pas sur la voie delà vérité. M. Longet a discuté fort au long cette question ; il a rappelé des cas nombreux d"anosmie coïncid
st une essence. De là une lutte incessante entre les hommes que cette question divise. Quid autem sit Anima, nondum inter philos
son célèbre traité de anima brutorum, s'est longuement étendu sur ces questions difficiles. Aristote avait déjà manifesté une ten
'estpeut-« être quelque chose de plus divin; » mais Willis tranche la question : l'esprit humain, dit-il, le Ndoç est seul immor
ent. Jamais, on peut le dire, il n'y eut de prétention plus folle. La question n'est pas de voir l'âme, mais de décider si la pe
a même immortelle. Mais ce n'est pas ici le lieu d'aborder ces hautes questions . L'histoire des théories que nous avons rapidem
iences qui nous paraissent jeter un nouveau jour sur cette importante question ; depuis cette époque, le livre de M. Gerdy ayant
ue tout dépend d'une image peinte sur la rétine. Mais là n'est pas la question . Il s'agit seulement de savoir si nous concevons
e s'ensuit aucunement qu'ils soient perçus dans cette position. Cette question n'est point du ressort de la physique ordinaire,
gtemps décidé. Mais, voyons-nous en effet les objets doubles? Cette question mérite d'être attentivement discutée. Buffon ne
'une seule idée? Gall, et après lui M. de Blainville tranchaient la question en disant que dans la vision nette un seul œil ét
une qualification caractéristique. Ces faits bizarres soulèvent des questions fort obscures, et peut-être ont-ils donné naiss
face du toit. Après son réveil, elle répondit affir-« mativement à la question qui lui était adressée, si elle « sentait de la d
/iv etç ôscvaTOv, toT; ûç àppwçtxv. On a en outre beaucoup agité la question à quel âge les enfants commencent à rêver. Suivan
it, un Bra-silien, grand, maigre, noir, et couvert de gale (2). Une question se présente ici. Peut-on rêver d'une chose qu'on
ons singulières. Van Goens rêva un jour qu'il ne pouvait résoudre des questions auxquelles son voisin faisait des réponses très-j
es; enfin, vaincu malgré son obstination, il renonce, et cependant la question se rend d'elle-même après un repos plus ou moins
ne pourra paraître hardie qu'à ceux qui n'auraient pas l'habitude des questions psychologiques. Il n'y a donc d'autres hallucinat
évidemment cette observation a été mal comprise, et il n'y est point question de ce fait. Il est curieux que dans certains cas,
ur la destinée de « certains personnages. Le Bokte donne à toutes ces questions « des réponses qui sont considérées comme des ora
insi dans le sommeil, dans les hallucinations, dans l'extase, la même question reparaît toujours, mais avec les mêmes doutes et
. Mais quelle modification ce merveilleux appareil subit-il alors? La question est d'autant plus complexe, que nous imaginons de
esqu'absolument impuissante, et nous sommes, par la nature même de la question , réduits à observer et à raisonner sur nos observ
nt qu'un appareil si vaste soit sans aucune importance? 11 y a là des questions du plus haut intérêt, dont le temps et la patienc
ge une importance incontestable, et se rattache d'ailleurs à d'autres questions qui ont récemment occupé les esprits. Il ne fau
les expériences de M. Chevreul en ont dévoilé la véritable nature; la question semblait donc jugée, lorsque des esprits enthousi
la folie. Mais comment l'illusion a-t-elle été possible? C'est là une question qu'une philosophie éclairée ne pouvait dédaigner.
tats qui semblent exiger des efforts beaucoup plus énergiques ? Cette question est embarrassante au premier abord, mais il ne fa
ndrer. Bartholin, Deusingius et Lamzwerde, ont gravement traité cette question , et d'un tel sérieux qu'il fallait bien que cett
urnir peut-être un élément indirect à la solution de cette importante question . M. Piédagnel avait été appelé auprès d'une fem
Le temps n'est point venu de conclure, mais indiquons au moins ces questions non résolues qu'on oublie à tort aujourd'hui. L'e
ation à priori aussi bien que dans l'affirmation, et il est certaines questions où le doute est pour un temps plus ou moins long,
honorables exaltent. On prévoit que je vais attaquer ici cette grande question du Mali) Hist. nat. suppl., t. IV, p. 578, édit.
et ce n'est pas sans quelque tremblement que je vais toucher à cette question brûlante. Le magnétisme animal a évidemment ses
errantes. On raconte à cet égard des histoires à épouvanter. Ainsi la question en est aujourd'hui pour le somnambulisme magnétiq
ermés. Ce tour de force est tout aussi grand que celui qu'exigeait ma question . Comment donc est-elle restée sans réponse? Une e
de l'imagination : ce n'est point là un simple jeu d'esprit et cette question mériterait d'être examinée avec soin. On sait,
équence d'exciter ces idées elles-mêmes, et de les fortifier. Cette question a d'autant plus d'intérêt aux yeux du philosophe,
aux aptitudes intellectuelles, les hommes des différentes races? Ces questions sont, hélas! et pour bien longtemps peut-être, ab
s philosophes illustres ont pu 'croire la religion intéressée à cette question de l'automatisme; car de fin-destructibilité du p
Ajoutons qu'une élude plus approfondie de l'homme pouvait éclairer la question par voie d'analogie. C'était là, en un mot, un pr
ration, double erreur, qui ont enfanté d'autant plus de livres que la question demeurait livrée au caprice des hypothèses. Ni De
ens profond ne saurait être trop médité par les philosophes que cette question difficile intéresse. Un singe, du genre des Babou
ée d'une idée. Or qu'est-ce que l'idée distincte d'une chose? Cette question est fort clairement résolue dans le savant et phi
t au corps, est un par rapport à l'âme (2). Quant aux instincts, la question est complexe, et les phré-nologistes l'ont évidem
55 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
i sont identiques aux accidents hystériques » vient de revenir sur la question et a développé une conception générale de l'hysté
parce qu'ils ne sont ni du même caractère, ni de la même humeur. La question est donc d'ordre purement psychologique et non d'
n'aboutiront pas aux mêmes conseils, parce qu'ils n'envisagent pas la question avec le même état d'esprit. Le premier, par exemp
ce, il offre une certaine résistance physiologique. La solution de la question varie aussi selon la qualité de l'individu qui vo
voirdes rêves, entendre ce qui se dit ou ce qui se fait, répondre aux questions , faire des révélations inattendues et recevoir de
ts. Le Conseil supérieur de l'Assistance publique a été saisi de la question des aliénés convalescents. M. le D' Legrain, ra
succèdent sur les murs, les Chambres, pour une fois, ont effleuré la question et les journaux politiques et mondains en ont rem
il est vrai, mais qui paraissent bien être une réponse immédiate à ma question . Deux fois encore, à de courts intervalles, je lu
stion. Deux fois encore, à de courts intervalles, je lui pose la même question et, immédiatement aussi, il profère des sons tout
s la circonstance, étant donné le degré de narcose assez accentué, ma question n'a pas été entendue en tant que question, avec l
narcose assez accentué, ma question n'a pas été entendue en tant que question , avec le sens que comportaient mes paroles ; mais
à ce dernier point, que Descartes a fait erreur, indépendamment de la question de savoir si les animaux réfléchissent, jugent et
psychologie tels ou tels phénomènes inconscients; en particulier, les questions de méthode seront influencées par les limites que
tivité sous des formes inconscientes. La conscience est peut-être une question plutôt de quantité que de qualité ; il est imposs
enue. Sans doute, cette faculté d'aperception qu'admet la doctrine en question vient fort à propos pour aider à expliquer bien d
l, présenter à la Société quelques courtes réflexions sur cette grave question du secret professionnel en médecine, en la consid
nombre de maladies. Mais je ne veux pas insister sur ce coté de la question mise dernièrement à l'ordre du jour d'une manière
is seulement examiner avec vous, sous trois autres de ses aspects, la question du secret médical : 1° Nature de la révélation
le malade, et alors c'est bien entendu, le secret doit être gardé, la question ne se pose pas ; ou au contraire, elle intéresse
, des amis, des commères, des concierges qui assaillent le médecin de questions indiscrètes au sujet du malade qu'il vient de vis
é des documents d'autant plus intéressants qu'il a lui-même étudié la question . Et d'abord, au point de vue général, M. Pitre
de sirop (Palerme; ou de miel (Sicile). M. Pitre ayant traité cette question dans son ouvrage sur les usages et coutumes de la
onnementle dédain profond que quelques-uns professent encore pour ces questions . On ne saurait concevoir à quel degré des hommes
sent à l'égard de l'hypnotisme, de la psychothérapie et de toutes les questions qui se rattachent à l'influence du moral sur le p
decins qui pratiquent l'hypnotisme possèdent depuis longtemps sur ces questions des vues qui apparaissent aujourd'hui comme des r
prime ce qui se passe dans son subconscient ; il répond nettement aux questions qu'on lui pose ; parfois il s'établit une causeri
nctionnel. De toute manière, si les dégénérés mentaux dont il a été question plus haut ne sont pas complètement affranchis de
sation, fonda le Congrès internalional de l'hypnotisme et souleva les questions importantes que nous nous efforçons de résoudre.
temps, ils peuvent devenir des alcooliques habituels. Passant à la question du traitement des alcooliques par la suggestion h
acquis. 11 s'agit de concentrer la force psychique sur la faculté en question et sur l'idée à faire réaliser. Pour cela il no f
le gagne une pneumonie : c'est encore l'hypnotisme. C'est toujours la question de post hoc propter hoc. Je dois dire cependant q
même où j'aurais dû partir je reçus la visite du mari de la malade en question , qui venait m'cxprimer ses regrets à propos d
marques sociologiques. La première partie est aride. Mais, dans les questions de cet ordre, il faut se garder de tout commentai
Médecin-Major de 1'* classe Messieurs, L'hystérie dans l'armée ! Question bien délicate ! Terme bien osé ! Il semble au pre
eure ou personnelle au sujet. L'examen des faits et l'étude do la question nous apprennent la cause de la plus grande docili
risation, par toute son action enfin, elle a porté la lumière sur ces questions trop longtemps restées dans l'ombre. A tous ces t
onvaincre que ses rapports conjugaux étaient complets, mais si la question de quantité est laissée de côté, la question de q
complets, mais si la question de quantité est laissée de côté, la question de qualité ne cesse pas de le préoccuper, et il c
e sujet des conséquences et personnelles et familiales. La première question qui se pose tout d'abord est de rechercher la cau
l'Ecole de psychologie. L'hypnotisme chez les animaux n'est pas une question nouvelle, et, pendant que des esprits mal inspiré
ées un grand nombre d'observations à mon hôpital vétérinaire. Toute question d'adresse et de savoir mise de côté, il y a des p
tient et expérimenté, M. le vétérinaire principal Guenon, a touché la question de l'hypnotisme chez le cheval dans ses nombreux
les interprèle dans l'espèce humaine. Il me faudra revenir sur cette question insuffisamment développées, et, surtout insuffisa
psychiques dans la série animale. Les vues que j'ai acquises sur ces questions , par une longue fréquentation d'animaux de toutes
éaliser au complet la surveillance de la culture physique. D'autres questions ont été soulevées, en particulier celle de la dur
animaux, Preyer croit, par analogie, pouvoir admettre dans l'état en question une action inhibitrice, dont la cause serait la p
trouvent en présence d'inconnus et surtout lorsqu'on leur adresse une question à l'improviste. Tous ces faits viennent à l'appui
te. 2o) Louis ïiercelin (3j s'est demandé s'il ne pourrait pas être question également du médius : ce qui est peut-être aller
cent ans! N'ayant pas pu examiner nous-méme la pièce analomique eh question , nous devons nous en tenir aujourd'hui, malheureu
e et abrégé qui a permis d'apporter une très grande clarté dans cette question si complexe, M. Chervin l'a augmentée cependant d
soutenir do telles idées devant la Faculté de Médecine de Paris. Les questions psychologiques étaient non seulement négligées, m
à son programme, l'École de psychologie montre qu'elle a le souci des questions d'actualité. En effet, nous entrevoyons déjà dans
nous exposer les faits les plus récents qui ont été observés dans la question si importante, même pour les psychologues, de la
ces conférences comprend des sujets variés se rapportant à toutes les questions de psychologie. Les conférenciers seront pour 190
les, des expériences bien conduites pourront permettre que, sur cette question , on se fasse des opinions justifiées. La littér
a mère, morte en le mettant au monde, en sorte qu'il ne peut être ici question d'imitation (2). Un exemple historique atteste
ns l'organisme de la mère n'a pas trop progressé. Pour résoudre ces questions , il faudrait non pas seulement rassembler des fai
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces conférences portent sur toutes les questions qui relèvent de la psychothérapie et de la psycho
l'esprit humain un enseignement théorique et pratique sur toutes les questions qui relèvent de la psychologie. Les études auxq
les professeurs de l'Ecole de Psychologie s'intéressent surtout à ces questions dans le but d'exercer utilement leur esprit criti
primés ainsi au sujet des Recherches psychiques : t En abordant ces questions , disions-nous, nous n'aurons d'autre préoccupatio
es et la plupart de ceux chez lesquels se manifeste la hantise de ces questions d'un intérêt fort discutable, ? Les événements
is de longues années, un enseignement de la plus haute valeur sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme appliqué à la thérap
-elle complètement, ainsi qu'on le croit et l'enseigne? C'est cette question que j'ai surtout cherché à élucider, lorsqu'après
ante, c'est-à-dire en 1903, après avoir, à tête reposée, bien mûri la question , je viendrais à Thenelles avec tout un plan de tr
mille ou .des visiteurs. • Dans les sommeils dont il vient d'être question , la contractilité musculaire, les battements card
nouveaux, la promulgation de programmes inédits. Or, quand de telles questions viennent en discussion dans les Conseils universi
s sont émises, les complications les plus inattendues surgissent, les questions de personnes et de droits acquis interviennent, s
oits acquis interviennent, si bien qu'on piétine sur place et que les questions en apparence les plus simples sont souvent les pl
e faire appel au concours pécuniaire de l'Etat ou de l'Université, la question se complique encore et les réformes souhaitées pa
hapitres qui relèvent plus directement de la médecine mais encore des questions qui touchent à la psychologie spéculative, au mys
'heure, un nouveau foyer de recherches et d'enseignement. Parmi les questions sans nombre qui s'offrent à vous, il n'en est peu
lui-même un anciun philosophe, que le désir d'approfondir les graves questions de la psychologie a conduit à la médecine? Une
ntérieure de la moelle allongée. Chez les vertébrés supérieurs, cette question n'a pas encore été complètement élucidée, mais on
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces conférences portent sur toutes les questions qui relèvent de la psychothérapie et de la psycho
avec plus de rigueur encore. - ' Voici, pour terminer, la liste des questions auxquelles l'alcoolique doit répondre lui-même, s
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces conférences portent sur toutes les questions qui relèvent de la psychothérapie et de la psycho
eureux que d'ordinaire les artistes se montrent indifférents pour les questions scientifiques et les analyses critiques; il vaut
qui troublent le jugement. Si, comme on le représente dans l'école en question , le beau physique n'est rien en soi et n'acquiert
expert est nomme. Il s'agitde faire un diagnostic et de répondre à la question du tribunal-: Quand cette malade sera-t-elle guér
présentent des troubles fonctionnels. On a, bien entendu, agité la question de la" simulation et on a du l'écarter. Dans l'
ulevé par M. Malapert : Faut-i! toujours condamner la colère? A cette question , il répond catégoriquement : « non »; car la colè
s convictions esthétiques. II est forcé de reléguer au second rang la question de beauté. Sans doute, si la construction répond
, excitait s'est en grande partie reporté vers la science et vers les questions sociales de nature moins idéale; le contact entre
ie doit-elle se traiter par le repos absolu ou par l'exercice ? Cette question longtemps agitée est maintenant résolue par un sa
psychologie du voyageur en chemin de fer. Certes ! il ne saurait être question de neutraliser artificiellement ces prédispositio
pas son travail. Il ne lit plus le journal et parait indifférent aux questions d'actualité. Ses yeux expriment quelque vivacité
. Poursuivis en justice, ces fanatiques ne veulent point répondre aux questions qu'on leur adresse sur leur âge, leurs occupation
ssi obtenu de lui qu'il donne sa signature et réponde par écrit à nos questions . Il se borne à écrire Paralysie véslcale d'or
ment à la guérison. Nous voulons seulement soulever à son sujet une question délicate de médecine légale. Supposons qu'à la su
us les cas, ce malade présente un grand intérêt à cause de toutes les questions que soulève son cas qui se présente assez raremen
qui a guéri spontanément en une huitaine de jours. (Il est, en effet, question d'une neuvaine de prières!). — Ce n'est donc enco
là où elle fait défaut, il n'y a en réalité plus d'art. L'illusion en question est quelque chose de conscient, car la différence
bé la moindre dose du traditionnel gaîacol. De toux, il n'en est plus question . Ce pendant la tuberculose pulmonaire continue en
de Gilles de la Tourette qui avait consacré d'importantes études à la question de l'hypnotisme. Supercheries d'alcooliques
56 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux, 18 juin 1891. '- Ce mémoire ne constituant pas une revue sur la question du délire dans l'urémie, nous n'avons pas cru d
à répondre par écrit à un questionnaire simple, il reproduit les questions au lieu d'y répondre : il se rend mal compte de s
mg; t'77ou'ee la psychologie et de l'esthétique en Allemagne : - la Question des infirmiers; l'Église et l'Glal, leur interv
on des infirmiers et des permissions de sortie du per- sonnel : ces questions sont réservées aux médecins. Ils sont char- gés
rtie, Représentation des manifestations acoustiques, il est surtout question des avantages des documents fournis par le phon
s effrayantes ? Qui suis-je ? Pourquoi vous ai-je posé toutes ces questions ? Schéma pour l'examen des connaissances primai
terminée, le savoir en calcul, mais qui peut donner la solution des questions suivantes : 10 Le malade a-t-il reçu une instru
à la disposition du Directeur. Les §9, 10, 11,12, 13 ont trait à la question du payement des frais de séjour. § 14. Les pl
naison des psychoses, avec les cas intéressants au point de vue des questions ayant trait au Code civil et au Code pénal. Il
, il est fâché, ne veut rien écouter, ne répond que des bêtises aux questions qu'on lui pose et fait en sorte de troubler l'o
ondaires correspondent habituellement aux segments que les nerfs en question desservent. Il y aurait là une preuve en faveur
es nutritifs intracorticaux correspondants, qui ramène les idées en question dès que l'on se dispose àreprendre la suite du
ulsions, précisément parce qu'à cause de l'étroi- tesse du champ en question , ils ne sont point arrêtés. L'état de négativis
miplégie droite ancienne et l'aphasie dont est atteint le malade en question , doivent être considérées comme de nature purem
ux grands ouverts » REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -il dont il est question dans la description du type facio-scapulo- humé
amis, des com- mères, des concierges, qui assaillent le médecin de questions indis- crètes au sujet du malade qu'il vient de
, Directeur de l'Etablissement médical de Meyzieux (Isère). Si la question delà responsabilité des dégénérés est intéressant
élire hystérique. L'auteur aborde enfin l'élude médico-légale de la question et traite rapidement la thérapeutique et la pro
l'ossifica- tion de centres supplémentaires, qui donnent les os en question . Pour un os crânien, cette impossibilité de suf
contact avec le monde exté- rieur. Donc la substance stimulante en question , tout en circulant chez l'épileptique dans les
(Presse médicale, 22 mars 1902). Ce qui frappe quand on aborde la question de la neurasthénie, c'est une sorte de contrast
(faculté mu- sicale, aptitude au calcul mental), puis il aborde la question de la folie chez les enfants, et il arrive aux
é la boule hystérique, de l'excitation sexuelle, et la dysphagie en question , chez laquelle on trouva, à l'autopsie, un canc
Cette espèce tient le milieu entre la tétanie et la m.o- hymie. La question du diagnostic et de l'étiologie est fort étudiée
es légers de la sensibilité, de concert aussi avec Tunique cause en question , permettent d'affirmer l'ericéplialoni3,élite a
premier et le second cas, vingt-deux jours dans le troisième. La question de l'amnésie rétrograde épileptique est très com-
Quelle en est la nature ? Le malade est trop jeune pour qu'il soit question d'hémorrhagie ou de ramollissement. La sclérose e
romuresavait pourrésuttatd'aggravertesphéao- mènes épileptiques. La question d'intervention chirurgicale fut posée mais réol
Les deux cents leçons réparties entre ces six volumes touchent aux questions les plus diverses de la pathologie nerveuse; da
orcelle en fragments nombreux qui constituent les types dont il est question à l'instant. Puis Erb entreprend de réagir cont
atérale amyoli,oi)hiqzte, basée sur six observa- tions inédites. La question des rapports de cette maladie avec l'atrophie m
neuropathologie en raison de la multiplicité et de l'importance des questions qui y sont traitées, en raison de leur richesse
ciser devant un auditoire juridique, trop souvent insoucieux de ces questions médicales, les rapports de ces maladies de la m
coller ensemble les morceaux d'un papier déchiré; elle adresse des questions con- cernant sa jalousie aux personnes qui l'en
comme l'une des formes de la paranoïa raisonnante ; la malade en question n'améme pas de délire de,jalousie proprement dite
fermés ne faisant pas un geste. Si on le tire de sa torpeur par une question , il semble s'éveiller et fait manifestement tou
'éveiller et fait manifestement tous ses efforts pour répondre à la question . Il dit son âge, l'année de son incorpora- tion
stupeur. Il refuse de voir sa mère. Il répond très péniblement aux questions qu'on lui pose : habituellement silencieux, il
ses couvertures, a la physionomie très anxieuse, ne répond pas aux questions qu'on lui pose. Une injection de bleu de méth
s, mé- decin en chef de l'asile d'aliénés de Mortsel (Anvers). La question que le Bureau du Congrès de Grenoble a mise à l
. Claus ne pouvait évidemment donner à tous les problèmes que cette question soulève l'attention que chacun d'eux mérite : s
et souvent contradictoires d'ailleurs concernant cette si délicate question . Dans un historique des mieux documentés, il a
uire à la discussion. H a pensé qu'il était plus utile d'exposer la question dans son 220 SOCIÉTÉS SAVANTES. ensemble, de
serait peut-être plus justifié que celui de démence précoce. Cette question de terminologie écarté, sommes- nous actuelleme
lucider avant de proclamer l'autonomie de la démence précoce. Cette question a une importance capitale, car s'il était démontr
es et si variées d'un trouble de l'évolution du système nerveux, la question changerait de face et nous ne serions plus en p
s, beaucoup trop reculées, surtout eu France. Pour trancher cette question qui, selon moi, est capitale et qui domine la d
on surajou- tées. III. Les lésions dans leur évolution. L'une des questions qui a le plus préoccupé les auteurs est de savo
ses de Nelis; ou bien inversement ? Il y a longtemps que cette même question a été posée relativement aux fibrilles striées
tologie puisse, à l'heure actuelle, répondre à tant de si délicates questions . En démontrant la multiplicité des races de leu
action; écoute avec intérêt les leçons de choses et répond bien aux questions qu'on lui pose. Il tient conversation ; la paro
t la soustraction simple. II écoute les leçons orales et répond aux questions qui lui sont posées. La parole est presque normal
disait que quelques mots : papa, maman, oui, non, en répondant aux questions qui lui étaient adressées. Elle ne pouvait ni s
ce voulus. Ensuite, je me permettrai de poser à M. Bourneville deux questions : 1° l'éducation en commun quand je dis « en co
les irriter etles pous- ser à des actes de violence. A la seconde question , les émotions durant la grossesse ont-elles été
colonne vertébrale. Elle a l'air gai, répond avec intelligence aux questions qu'on lui posé. Si on examine en détail les j
la mesure du tonus musculaire. Mf. G. Coustensoux et A. Zimuern. La question du tonus musculaire a été dans ces dernières an
at et les résultats qu'il fournit sont difficiles à interpréter. La question de la mesure du tonus reste donc à résoudre.
sexuelles, mais ces dernières ne sont pas la cause de la maladie en question . Outre les processus psychiques obsédants qui s
e amassés dans ces 350 pages, où sont successivement étu- diées les questions suivantes : Chapitre I. Evolution delà théorie
elle fait intervenir la croix de son mari, évitant de répondre aux questions précises qui lui sont posées, mais se lançant à p
uacité intarissable, quand on l'interroge, il évite de répondre aux questions qui le gê- nent et se lance dans des digression
onnaître mon appréciation sur son compte, il me pose à ce sujet les questions les plus diverses; tantôt en se montrant bon en
e de 1899 (enfants défectueux et épileptiques) dont il a déjà été question , permet aux autorités scolaires d'établir des éco
ts sur l'état vaso-moleur de la circulation cérébrale. C'est là une question à reprendre tout entière malgré les recher- che
c quelques difficultés d'exécution. Il fallait mettre au point la question des hypnotiques et celle des moyens physiques d
on d'un seul médicament demande des mois d'études. L'examen de la question au point de vue de la chimie générale ne pouvai
tat que dans les accès menstruels. Trénel n'a pas examiné à fond la question de la diète des chlo- rures ; dans les cas rare
faire une enquête à ce sujet, ainsi que sur les autres points de la question . Quoi qu'il en soit, les relevés des ma- lades
ue, du moins la possibilité de la réalisation de la méthode. A la question de l'alitement se rattache celle de. l'isolement.
façon absolue, l'autre y recourt encore. Si l'on laisse de côté la question de discipline des salles de mala- des, Trénel p
imple, de donner un bain tiède le soir. Mais plus importante est la question du bain permanent. Née en France, la méthode y
elle n'y a pas, à sa connaissance, été expérimentée. Il y a là une question de personnel et de dépense qui s'oppose à sa ré
on excitante des bains très chauds atteignant 3G°. Trénel étudie la question 'de la bainéalion froide complètement abandonné
sses grises en connexion avec les différents nerfs r 2° résoudre la question encore si discutée de l'exisleuce ou de la non-
es noyaux dans l'épaisseur du cylindraxe adulte ou en évolution. La question ne peut encore être que posée ; mais ce fait es
terminée. M. Meige appelle simplement l'attention du Congrès sur la question . Le puérilisme mental. t M. Ernest DiilR (d
canisme qui est unique dans le service pénitentiaire; il discute la question soulevée au Sénat belge et a l'Académie de méde
ce de déprécier considérablement la compétence des médecins dans la question du traitement du bégaiement et des troubles du
u secrétaire-géné- ral, M. le D1' Crocq, les rapports sur les trois questions pro- posées ont été distribués à temps et la gr
uction scrupuleuse de tout ce qui avait été écrit par lui sur cette question ; là est le mérite du livre, il permet, en effet
qu'il n'avait aucun remède contre l'affaiblissement de la vue en question , voulant probablement signifier par là l'origine
rès de 1900, M. le Dol Marie (de Villejuif), qui avait traité cette question , proposa au Congrès d'émettre le voeu qu'il soi
décédés étaient tuberculeux. Aussi, depuis bientôt deux ans, cette question avait été l'objet de tous les soins de l'admini
d'isolement et de traitement. Adopté. - Nous reviendrons sur cette question . (ü.) .) 410 CLINIQUE MENTALE. miers faits ci
tions sont lentes, confuses; il faut répéter plusieurs fois la même question pour la faire comprendre et obtenir quelques mots
btenir quelques mots qui, généralement, ne répondent nullement à la question posée ou qui répondent à une question antérieur
, ne répondent nullement à la question posée ou qui répondent à une question antérieurement adressée. Elle refuse les alimen
vement. Peu à peu l'anxiété diminue, la malade ne comprend plub les questions les plus simples et, loisqu'on les lui répète ave
insistance, elle finit parfois par prononcer le dernier mot d'une question . Lui met-on une plume en main, l'invitant à écrir
à peu près sans activité cere- braie lorsqu'on ne la presse pas de questions , le plus souvent debout, immobile, mais elle im
aucun effort, aucun appel à sa mémoire lorsqu'on ne répète pas une question avec insistance. On trouve cependant encore des
parlant à personne, ne répondant que par un « oui » ou « non » aux questions les plus pressantes, tournant le dos lors- qu'o
temps des rires purement automatiques, la malade répond un peu aux questions , pressantes. ' Catatonie et Smt·eurs. Rapport a
ité cérébrale, la malade ne peut plus donner la moindre réponse aux questions les plus simples, mais on observe de temps en t
fficulté à évoquer un souvenir, reste ahurie lorsqu'on la presse de questions , parle parfois seule, mais son CONTRIBUTION A L
fusion extrême. 23 juin : Semble incapable de comprendre la moindre question , ne parle pas, ne mange pas seule. 2 juillet
, ne parle pas, ne mange pas seule. 2 juillet : Répond à quelques questions simples, mais réponses très tardives, confuses.
plète, mutisme absolu, indifférence absolue, quelles que soient les questions et l'insistance avec laquelle on les adresse; s
ide de la sonde oesophagienne. Lorsque la surveillante la presse de questions , elle fait un signe de tête affirmatif ou négat
oujours la même lorsque nous l'interrogeons, quelles que soient nos questions , même lors- que nous cherchons à réveiller quel
Je ne sais CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA CATATONIE. 419 pas. Même question , répétée avec insistance ? Je ne sais pas, je n
en sais déjà rien, probablement parce que je n'avais pas faim. Même question avec insistance particulière ? Je ne sais pas d
'interroge en face d'étrangers ou que je lui fasse adresser quelque question par la religieuse surveillante de son quartier
même 40 milli- mètres, au moment où l'on a pressé sur les points en question . Dans la sciatique, alors que l'on presse sur l
istillée 100, formol à volonté. P. Keraval. XXIV. Contribution à la question de la transmissibilité héréditaire de l'épileps
percussion du point sus-orbitaire se traduit par la contraction en question du côté sain et sa suspension du côté paralysé.
ut l'appeler faisceau périoliaaire. Ses rapports avec les olives en question seraient néanmoins supposables quand on voit un
- duit de l'imagination, et, comme telle, accompagnée du signe en question , peut servir à distinguer une suggestion réelle d
lle, une découverte récente, et l'un des premiers travaux sur cette question est celui de Nonne, qui, sur dix-sept cas d'ané
nce. Elle manifeste par des gestes sa bonne volonté de répondre aux questions qu'on lui adresse et essaie d'exécuter ce qu'on
naison d'impressions, du même air ou des mêmes paroles, soulève une question plus difficile, celle de savoir comment se fait
elle propre à éclairer un 448 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. peu la question , et l'auteur veut se borner à indiquer la directi
ont ce beau'monu- ment. Vous avez tenu à l'inaugurer à propos d'une question vitale pour votre pays : l'adduction et la dist
oppement du syn- drome ? Toutes les réponses qu'on peut faire à ces questions sont encore, à l'heure qu'il est, susceptibles
nicomio, tasc3,189S.On trouve encore quelques indications sur cetie question dans les travaux suivants : Kit%USE. - Ueber Zu
e de la fixation de l'attention, des suggestions involontaires, des questions posées. Dans certains cas même, comme par exemp
main entier. Au début, il ne manifestait ses craintes que par des questions intermittentes raisonnables en elles-mêmes, mai
te conclusion fut émise par la plupart de ceux qui traitèrent cette question . « L'halluci- nation unilatérale, dit M. Régis,
paraissent comme dans la plupart des cas ? 2 La solution de cette question capitale devient aisée si l'on veut bien accept
ents et des stimulants. Il doit aussi répondre par écrit à ces deux questions : Le personnel de nuit s'est-il bien acquitté de
a sélection négative. M. TouTiciiKi,NE(deKharkoff). On sait que les questions de t'hé- rédité pathologique dans les maladies
que nous n'ayons pas trouvé des travaux spéciaux, consacrés à cette question , sauf ceux de M. Ireland, qui constate la dégén
d'une manière inconsciente, automatique. Je me suis intéressé à la question , s'il se rencontre souvent en général l'hérédité
ir Olyoclonie. - thyroïdienne, par liastln, 337. Coutnbution à la question delà Iraiisinissibilité héréditaire (le l' du
57 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
portion dorso- lombairc du rachis (fiv. 1 et. 2). La courbure en question est convexe du côté malade, concave du côté sai
le de la région lombaire. Il est donc possible que la scoliose en question , à un faible degré, passe inaperçue. Mais par u
la déviation rachidienne dans la sciatique ? Ici déjà se pose une question préjudicielle : pourquoi la déviation n'est- el
es, elle est posée à terre, mais elle n'appuie pas. L'attitude en question s'appelle le hanchement. Mais pour que la jambe
core élucidées. Romberg s'est évertué à démontrer que les points en question correspondent à des branches de distribution du
ds, aux spasmes dits fonctionnels. Il est possible que le spasme en question se complique, à un moment donné, de rétractions
aussi que la science n'est pas encore définitivement fixée sur la question de savoir si tous les ramollisse- ments de la m
on invasion, le maximum de son intensité dès le début, la cécité en question étant complète ou presque complète dès le premi
de notre malade. Forme mentale. - La pathogénie des accidents en question peut aisément expliquer le mode de produc- tion
suite. Quant au quatrième élément étiologique, il ne peut en être question , car conseiller les scaphandriers de ne pas plo
aryngée. Mais ce que nous voulons retenir, c'est que, touchant la question des rapports croisés ou directs, unilatéraux ou
de lésions fonction- nelles. Quoi qu'il en soit, et en laissant la question ouverte en clinique, il est certain qu'il a suf
s et des tumeurs secondaires. ' P. Keraval. IX. Contribution A la QUESTION DES localisations CÉRÉBRALES EN TENANT PLUS PAR
il de Golgi. M. Forci. accorde ce qui ' On donnera l'ensemble de la question traitée dans le corps des Archives de Neurologi
ons antérieures sup- posées en rapport intime avec la perception en question ; 3° hall, idenlificatrice ; c'est là le mirage
ge. Dans ce dernier cas, il s'agit de la confusion des personnes en question avec des individus réels que le malade connaiss
troisième ventricule ; il semble chez les paralytiques généraux en question , que les fibres de la couche limitante aient di
ait vraisemblable,-on n'aurait pas même soulevé dans les débats, la question de l'intégrité mentale, ou si par hasard on l'a
rane gélatineuse qui l'enveloppait pou- vait être plus ancienne. La question du purpura avait été discutée pendant la vie; m
iénistes, qui pourront ainsi fournir de pré- cieux documents sur la question si controversée de la paralysie générale syphil
i-ératioti en tant que modalité autonome de la catatonie qu'il sera question ici, on essaiera d'établir des groupes symptomati
la guérison définitive ne persista que chez cinq des ma- niaques en question . Il convient encore de citer deux autres obser-
e rayonnante cor- respondant à cet organe, en avant de la cavité en question dont elle est séparée pardu tissu nerveux usé,
ongrès international d'Assistance publique de Paris (août 1889), la question des aliénés hors des asiles publics et privés,
'elle devienne nuisible. M. Kirn (de Fribourg). Contribution à la question de l'atténuation de la responsabilité. - Il fau
irconstances atténuantes ne com- blent en aucune façon la lacune en question ; elles n'entrent d'a- près la loi en scène que
a besoin de s'entendre avec le gouvernement sur cette intéressante question . Lorsqu'à la prochaine séance l'article 58 vien
rouve, et ce n'est pas là un des côtés les moins intéressants de la question , que les parents d'alcooliques, lorsqu'ils n'ét
rix Aubanel en 1887, touche, comme on le voit, à un grand nombre de questions , tant médicales que médico-légales et sociales.
s. Dans ses leçons, M. Charcot est revenu plus d'une fois sur cette question qui a été l'objet de la thèse d'agrégation de M
un concours international pour le meilleur travail original sur la question de l'hypnotisme a décerné le prix d'une valeur
lgique vient de voter les conclusions savantes relativement à cette question : 1° il y a lieu de créer un asile spécial pour l
nt de vue de l'amélioration de l'état pathologique; toutefois cette question sera résolue pour chaque cas particulier par le m
- rescence descendante. Mais, dans notre cas, il n'est évidemment question de rien de pareil. Ne pourrait-on pas du moins
é amenée par des lésions traumatiques. Dans notre cas, il n'est pas question de trauma- tisme et, d'ailleurs, la lésion ne p
tionnels dont il faut admettre l'existence ? Qua : .t à la première question , celle de l'origine des fibres nerveuses dans l
lle de la moelle épinière. Il s'agit surtout ici, selon nous, d'une question de nuances et de rela- tivité. En se différenci
dernière évolution, ou involution, de la doctrine de Golgi. Sur la question des anastomoses, il paraît avoir cause gagnée.
que chez l'homme aux diverses périodes de l'existence. Une autre question qui, comme l'a écrit Giacomini, a le plus grand
orino, 1887), dirigé contre Conti, a suscité un nouvel examen de la question par Conti lui-même (Dt : slribuione délia corte
),[Il veaux de l'asile d'Imola qui lui ont servi à étudiet cette question de l'inégalité du poids des hémisphères chez le
hysiologique de la glande thyroïde est seule capable de trancher la question . III. Nous croyons superflu de relever chacun d
rait se faire sans risques ou sans inconvénients prati- ques. Une question bien plus difficile à résoudre est celle que pose
eux deviendraient accidentelles. P. KERAVAL. VII. Contribution A la question des affections systématiques COM- binées DE la
32 ans, morte de tuberculose pulmonaire. P. S. X. CONTRIBUTION A la QUESTION de la nature DE la paralysie saturnine; par 0.
olie (suite de la discussion). - M. MARANDON de MONTREZ envisage la question sous son double aspect descriptif et pathogéniq
mvud lit, au nom de la Com- mission des finances, un rapport sur la question du trésorier dont les comptes sont approuvés.
és dans cette voie jus- qu'ici. Leur exemple est bon à suivre. La question se pose de la façon que voici : L'hypnotisme va
ar- gée de fluide nerveux ; quand on procédait aux expériences en question à la suite des accès on n'arrivait point à provoq
té des mains. On y voit que le premier, affecté de la diminution en question de la sensibilité, traçait des lettres plus gro
thologique n'est encore pas assez avancée pour trancher sûrement la question de l'origine spinale et de l'origine non spinale
r l'apprécier, observer longuement les individus afin d'éliminer la question d'émotion. M. BOEUMLeR. - La simulation dans l'
quée pllr le traumatisme. M. DE CORRAL (de Bade). Contribution à la question de la théra- peutique suggestive. Voici les con
s qui restent neu- rasthéniques après la guérison de la psychose en question . Le trouble mental ne constitue donc par rappor
hique et.la dépression préexistent à l'obses- sion, et que c'est la question du terrain mental qui représente la nature de l
il convient préalablement de faire remarquer que le type morbide en question ressemble à la folie transitoire neurasthéni- q
revenues plus vives et plus fréquentes à la suite de l'accident en question , laissant à leur suite une lassitude de plu- si
troisième observation est remarquable par le fait que la maladie en question comptait bien des années d'existence. Il est
-même, ont rédigé quatre rapports de teneurs différentes quant à la question de la simulation. (Alg. Zeitsch f. Psych. XLVI. t
se plaint aussi de vertiges, et, en effet, le 8 du dernier mois en question ; elle titube comme si elle était ivre et émet d
vembre 1889). L'arrêt ci-dessus ne donne aucun motif. Il tranche la question par la question. Voici, en effet, ses termes :
arrêt ci-dessus ne donne aucun motif. Il tranche la question par la question . Voici, en effet, ses termes : « Considérant qu
'aliéné placé dans cet asile. » Ces motifs laissent tout entière la question de savoir ce qu'on doit faire quand l'aliéné po
, sous le titre de Prix Lunier. l'auteur du meilleur travail sur la question suivante : « Quelles sont les conséquences héré
es prétentions à une somme d'environ 12,000 francs. C'est sur cette question que portera la discussion. Un drame chez les fo
stata que la prétendue folle répondait avec calme et patience à ses questions et avec une raison parfaite. Sans le dossier qu
onfis- quer, comme cela est arrivé pour les accidents dont il est question dans ce chapitre ; car il est bien évident que
as rendre à César ce qui appartient à César. Mais j'en reviens à la question de l'absence des réflexes rotuliens chez les di
qu'il était à cette époque. Autrefois il était lent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait mal ses sensatio
ntiel suffisant entre le tabès et la maladie de Friedreich. 3. La question qui a le plus préoccupé les anatomo- pathologis
conditions normales de la circulation sont déviées. 4. Mais cette question de la nature de la maladie de Friedreich mérite
s « 7/<MOMCe67f/ ? » peut montrer l'état actuel de la science en question . Aussi, avant d'aborder le sujet de notre étude
é perçu et que la réponse a été inconsciente ? Nous croyons que ces questions n'ont pas été résolues jusqu'ici d'une façon dé
de notre étude, et nous ne pouvons nous dispen- ser de parler d'une question dont la solution est une des plus difficiles de
ter les résultats de notre examen, nous devrons d'abord résoudre la question de savoir si nous avons affaire à une dégénéres
hatiques ? On ne possède aucun élément qui permette de résoudre ces questions . (A suivre.) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE I. La f
s ce travail d'étudier les rapports de la folie avec le crime et la question de la responsabilité, et de rechercher dans que
science et avec l'expérience. L'erreur de la jurisprudence dans les questions de respon- sabilité criminelle provient surtout
le troisième cas, la prévenue fut placée dans un asile, sans que la question d'ivresse lût soulevée, probablement parce que,
mettant au rapport du médecin spécialiste.... annule le contrat en question . P. KER ? V.1,1,. V. Un'cas récent de médecine
uestion. P. KER ? V.1,1,. V. Un'cas récent de médecine légale : une question d'aliénation mentale, par A. R. TUHDULL, (The J
E. - Voilà comment la pratique peut donner réponse à cette double question . Il s'agit de rechercher : la les individus qui,
aises conditions, essais pratiques et propositions pour résoudre la question . Chapitre de revue critique. . ll I. Comment,
rivera-t-on à se débarrasser des incon- vénients mis en lumière ? - Question simple chez les aliénés cri- minels, elle devie
urrait encore, pour séquestrer les trois cents criminels aliénés en question , construire trois asiles centraux de chacun cen
il n'a ni illusions ni hal- lucinations, répond raisonnablement aux questions , et, lorsqu'on lui parle de son crime, pleure a
extrêmement fines qui occupent l'intérieur des mailles du réseau en question . Dans le corps même des cellules nerveuses mult
ucléaire et la substance réticulaire extranucléaire. La membrane en question manque sur beaucoup de cellules des cornes anté
tomique, la connexion entre les cellules voisines est assurée. La question qui se pose maintenant, la voici : En quoi cette
zlau. J'y ai maintenant trente malades. Les paysans du village en question , très aimables, habitent des maisons massives;
en, de même que les dernières entités morbides dont il vient d'être question , à l'exis- tence de la colonie agricole, que le
qu'il est aussi nuisible aux intérêts des malades qu'à l'étude des questions scientifiques relatives à la fo- lie ; quant à
c vient d'ouvrir un nouveau concours, dans lequel nous trouvons les questions suivantes qui peuvent intéresser nos lec- teurs
58 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
écessaire d'en parler plus longuement. Depuis quelques années, la question a fait de nou- veaux progrès. La lésion du fais
es uns des autres et délimitent les espaces elliptiques dont il est question plus haut. Dans ces travées, les corps granuleu
gr. Le Dr Gillette', qui fit également des recherches sur la même question , constata une résistance de 75 à 150 kilogr. po
n excellent travail, M. Prévost cherche à élucider encore une autre question : il pra- tiqua l'élongation de différents nerf
produit-elle au moins des altérations mor- phologiques ? Voilà des questions sur lesquelles les différents auteurs ne sont g
ongation des nerfs. Dans maints articles relatifs à ce sujet, cette question est complètement passée sous silence. Certains
citer, il est évident qu'un bien petit nombre seulement touche à la question des altérations de la moelle, occasionnées par
ise chez un tabétique, qui ont con- tribué surtout à élucider cette question . Mais jusqu'à présent, aucun travail concernant
de vue physiologico- pathologique, la curabilité de la maladie ? La question des améliorations notables et de la curabilité
t à l'état normal ? Il est certes très difficile à répondre à cette question , mais nous ne pouvons 74 RECUEIL DE FAITS. pa
erait pas si la reproduction de toutes pièces était possible. Une question se présente ici. Pourquoi cette régénération ar
arement ? Quelles sont les conditions qui la favorisent ? Autant de questions importantes que je ne suis pas à même de résoud
ystème nerveux lui-même. Ce premier point résolu, se pose la même question que nous avons rencontrée à propos de la nutrit
ue, à l'état de Voir, pour toutes les expériences relatives à cette question : lLairet, loco citato, p. 108-ill. DE LA NUT
nlève rien au mémoire que nous venons d'analyser briève- ment ; les questions se tranchent non avec des mots, mais en variant
rois chez les- quels il existait une tuméfaction des cylindraxes en question , principalement dans la région dorsale et à la
t trouvées malades ; en second lieu, presque toujours la maladie en question commence par des troubles de la sensibilité (vi
a syphilis produit, dans l'immense majorité des cas, l'affection en question , elle agit comme cause primaire toxique. Tous l
- lution, entre les troubles de la sensibilité et les épisodes en question . P. K. II. Quelques mots sur les psychoses comb
e de la paraly- sie générale : sénilité précoce, syphilis, etc... : question à revoir). Conclusions pratiques. Toutes les fo
exercé sur le champ visuel peut être très notable, la propriété en question peut être utilisée par celui qui veut constater
es mois durant, soit la guérison, soit la disparition, des accès en question . Peut-être, en conséquence, le transfert dans c
nan. Je demande la parole, non point pour développer aujourd'hui la question de la folie héré- ditaire si nettement posée pa
e eut un accès d'angoisse nocturne, puis présenta la pa- ralysie en question et les modifications du champ visuel. Depuis l'
l'astigmatisme, vu ses allures et ses rapports avec la paralysie en question . Réplique de M. HmSCHBEItG, qui se refuse à compa
pour leur âge, une autre serait morte de convulsions. Le malade en question a mar- ché tard, sa dentition s'est faite tardi
tous ces établissements; d'ailleurs le no-restreint se résout à une question de budget; il y a 52 asiles de comité et 1 1 as
Charcot ont jeté depuis quelques années une si vive lumière sur ces questions qu'elles ont perdu un peu de leur intérêt. Diso
On voit par cette simple énumération quelle est l'importance des questions qui sont traitées dans cette partie de l'ouvrage,
che de la médecine; il a donc éliminé les discussions relatives aux questions non encore résolues. Sous le mérite de cette ob
rn., 1884). A contribution to the study of hysteria beal'ing on the question of oop/t0)'e ? <om ? par WALLON. (Joum. ofne
e détaillée à part, pour décharger d'autant l'analyse du congrès en question , et nous moins restreindre. P. K. VARIA. 139
scrits envoyés à la Société. La So- ciété ne met au concours aucune question spéciale pour l'année 1886, mais elle appelle p
elle appelle particulièrement l'attention des concur- rents sur la question suivante : Etudier sur un point déterminé du te
e 1" janvier 1886. Pour l'année 1887, la Société met au concours la question suivante : le Livre des mères; manuel à l'usage
Wundt, Herbert Spencer a répondu d'une manière précise à la même question . Il compare la pensée à un certain mouve- ment
hommes de science ainsi que la partie du public qui s'intéresse aux questions scientifiques. J'ai résolu de vérifier mes supp
ts et de chiffres ne doivent pas être longs ; il ne peut pas être question de deviner une ligne entière. SUR LA TENSION DE
gne entière. SUR LA TENSION DES MUSCLES. 1 19 * Pour éclaircir la question qui nous intéresse, il faut définir et détermin
ne peut s'orienter que diffici- lement. Mais ici se présentent deux questions spéciales, qui sont d'une gravité extrême pour
décrire en détail, par quelle voie je suis arrivé à résoudre cette question expérimentalement. J'ai conclu comme suit : si
devenus ces objets, il fait tous ses efforts pour éviter de telles questions , l'idée de Y Infini le jette, ajoute- t-il, dan
ur était due àun commencement de cancer. Toutefois, il n'a plus été question de cette grave maladie une fois la névralgie gu
nt mouillé de sueur froide, les traits tirés. Il ne répond plus aux questions , même par signes; le regard est fixe et sans ex
alors à Saint-Urbain, cause de ses travaux de jardinage, répond aux questions qu'on lui pose sur Saint-Urbain, ne comprend pa
congrès de tous les psychiatres russes pour l'examen de différentes questions pratiques, qui peuvent se présenter. Pour M. Ko
stions pratiques, qui peuvent se présenter. Pour M. Kowalewsky, ces questions seraient les suivantes : 1° Réception et entret
ultérieurs ; il ne s'agit pas en effet de savoir si la personne en question a été jadis affectée, il s'agit de détermi- ner
sis comme secrétaires. Le, président propose de laisser pendante la question de l'assu- rance contre les accidents sus-menti
gt;;;> , , M. STARK (d Illenau). Sur la situation actuelle de la question de lu pa ? '«MJ/t)/(/e.Historique. Voir" a e'su
! lill j -jouets ctel,s '¡iue[aës' sol dals : 3l\ui pose-t-on : une question ..dans.solydialecte"il il Ise 'dÓ'i1Ρ el uhe"gr
e troisième fait est re- latif à l'épileptique idiot, dont il à été question plus haut (2° 6b- SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 serv
eçus dans l'asile d'aliénés de la région. 1 ? M. l UERST\IsR. Cette question comporte quatre catégoriesld'épi- leptiques : 1
ujet duquel aucune solution convenable ne s'était présentée,, cette question ne rentrant d'ailleurs pas dans les pénalités par
t;ti t ,"»V * ' t' l'I -" ' * ' i En' ce 'gui concerne la' première question , ,1e président rappelle, que W ? SANDM s'exprim
e1' cas d'intëa'vei ? I tion n fin d'interdiction ; si le malade en question n'a pas encore été'interdit,1' I on lui désigne
.. - . , y prononcer, la séparation ? Il,, faut, voir plus, 'qu'une question de formalités. 1 ni l ," l, Il (l''li ? 111' 11
lusion, et qu'on' laissera tomber'le débat sur tout le resté, de la question . - ' ? J i> Il, . ,. ' ' V. Dans quelle- m
né la peine de conserver des cerveaux d'adulles;°ressortisasnt à la question et de les examiner à fond. Il a pu étudier six'au
ez long, les vaisseaux se trouvaient très larges dans les orgues en question , notamment dans la couche oplique; uniformité' de
toute atrophie unilatérale du nerf optique agit sur les organes en question des deux côtés. Si l'atrophie du nerf optique est
e la seconde est consacrée à une étude historique et critique de la question sur la localisation cérébrale de la fonction vi
t VII de ce livre sont entièrement consa- crés à l'hislorique de la question de la fonction visuelle au point de vue de sa l
présente avec une grande netteté l'évolution historique de cette question depuis Ilaller jusqu'aux derniers jours. L'auteur
a qu'il était de son devoir de ne point se désintéresser dans celte question de justice tardive et de réparation scientifique.
Société DE médecine et chirurgie de Bordeaux. Prix de la Société. Question mise au concours : de l'épilepsie jaeksonienne.
., sera décerné à la fin de l'année 1886 au meilleur mémoire sur la question sui- vante : Exposer aux populations peu aisées
ant du domaine de la phré- niatrie et de la neuropathologie. Deux questions feront l'objet d'un rapport : l'une de la part de
Les séances du matin seront consacrées à la discussion de ces deux questions . Les séances de l'après-dîner seront remplies p
istes étrangers et d'autres personnes compétentes s'intéressant aux questions traitées, telles que les médecins en général, l
iques, auquel seront convoqués tous ceux qui se préoccupent de la question . Pour obtenir des cartes d'invitation ou des rens
porte un nouveau rayon de lumière sur quelque côté obscur de cette question . Quant à la littérature rela- tive à ce sujet n
larités cliniques et surtout anatomo- pathologiques, éclairer cette question sous un autre point de vue. Voici cette obser
leur partie postérieure. Dans la partie inférieure de la portion en question la sclérose des fais- ceaux latéraux s'agrandit
es fauves qui ressemblent beaucoup au pigment. Quant il la pièce en question , cette moelle épinière fut durcie dans une soluti
mie clinique n'est qu'une apparence. » La décision complète de la question sur l'existence de la paralysie spastique comme
i, d'après l'opinion de beaucoup d'auteurs décide complètement la question et celle de Morgan et Drcschfeld1. C'est pourqu
isse cette modeste étude appeler de nouveau l'attention sur cette question .que Bucknill a déjà signalée dans sa Psycho- D
un principe général. Il se borne à écrire que la vérité sur cette question comme sur beaucoup d'autres en médecine légale
cédait à ses rancunes et à sa soif. Enfin, habile à profiter de mes questions , il insinua par la suite que s'il avait mis le
is, depuis son arrestation, rien de tel ne s'était produit. Sur mes questions , il me fournit les ren- seignements suivants :
objets, il avait saisi, dit-il, l'importance de cer- taines de nos questions et s'en était servi. Ici encore, on retrouve, s
er ou de boire. Par la suite, il a sans doute essayé d'utiliser nos questions , mais seul son premier récit est sincère. On a
y a été relativement indulgent pour Berger : il a écarté toutes les questions entraînant la peine de mort et a admis des circ
tendons alors appeler les personnes par leur nom, elle répond à nos questions qu'elle s'est aperçue de ses erreurs, qu'elle a
qu'il est encore actuellement impossible de se prononcer sur cette question . Quelques malades se plaignent de crampes limit
antes qu'elles soient, ne changent malheureusement pas l'état de la question . P. K. XL. Contribution A la localisation DE L'
syphilis ne peut guère être mise en doute chez le père du malade en question . L'autopsie complète n'a pas pu être faite, mai
t; c'est une pièce importante de plus à joindre au dossier de cette question si controversée en Angleterre. R. M. C. XVIII
lité devenant incapable de s'opposer à l'influence des excitants en question . Quant aux idées domi- nantes d'un individu, ce
moraux de la folie hé1'édi- tai1'c. - M. FALIl.ln. Il me semble que question des signes spéciaux des folies héréditaires pou
taires ont-ils un cachet SOCIÉTÉS SAVANTES. 429 spécial ? C'eslla question sur laquelle je veux insister en tâchant d'écla
r, M. Jules Falret a exposé avec sa netteté habituelle l'état de la question sur la folie héréditaire. Il a indiqué les dive
s sans passion. Il n'a pas d'opinion en religion, en politique; ces questions , semble-t-il dire, ne regardent pas un ignorant
e seule exception est relative à un jeune homme qui, au moment en question , voit lui apparaître une figure qu'il fixe. On co
BURG. A-t-on récemment fait des recherches cons- ciencieuses sur la question de savoir si. dans la famille des para- lytique
E. L'hérédité joue un faible rôle dans la paralysie générale. Cette question comporte deux points de vue ; la capa- cité d'h
par conséquent supposer que, par ce fait, les districts centraux en question avaient été pen- dant la vie le siège d'excitat
moire leur fait ultérieurement défaut. M. 008EKE. Contribution à la question du traitement de la sitio- phobie chez les alié
adies mentales. Depuis lors, de nombreux travaux ont paru sur cette question de psychologie ou de physiologie cérébrale, des
udicieusement appréciés, tous les faits relatifs à cette importante question de physiologie cérébrale. P. CAMPER. VIII. De
disposition est tout aussi évident que chez les adultes; mais cette question mériterait d'être étudiée plus à fond. M. Gou-
on, le père à quinze jours de prison comme co-auteur. (Il n'est pas question dn misérable qui a abusé de l'idiote.) Puis le pè
is elle appellé particulièrement l'attention des concurrents sur la question suivante : Etudier sur un point déterminé du terr
jan- vier 1886. Pour l'année 1887, la Société met au concours la question suivante : Le Livre des mères, manuel à l'usage d
59 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
endus de la Société de Biologie, 8 mars 1890, p. 135.) La malade en question est celle qui fait l'objet de notre seconde obs
e, Delannoy prétend n'en avoir gardé aucun souvenir et malgré nos questions pressantes il est impossible d'obtenir de lui a
M. Quesneville. L'interrogatoire a été très court. A la plupart des questions du président, l'accusé s'est contenté de répondre
e de la Faculté de médecine. (Clinique du professeur Joffroy.) La question du début des dégénérescences dans la moelle com
ngrès de British medical association tenue à Bristol en 1894, cette question des interventions chirurgicale sur la colonne ver
expérimentales sur l'animal et passant en revue les travaux sur la question , étudie successive- ment le symptôme incoordina
e alors tous les points excito-moteurs en rapport avec le membre en question , et on laisse l'animal au repos. Il demeure inc
ir des contractions marquées des groupes musculaires du membre en question privé cependant de ses centres corticaux. M. Sh
ELL, d Edimbourg. (British médical journal, le"juin 1893.) Il est question dans l'observation d'un cas de tétanie consécutif
ct est pénible pour des femmes bien élevées. 4° La solution de la question se trouve dans l'aménagement d'un quartier spéc
telles 1 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69 interventions et pense que la question doit être réservée, la phy- siologie cérébrale
nt toutefois en état de somnolence et ne répondant que fort mal aux questions qu'on lui posait. Le réflexe du genou était exagé
dus sur la disposition qu'il conviendrait de donner aux hôpitaux en question . Il insiste une fois de plus sur les avan- tage
Motet dépose le rapport qu'il a lu au Congrès pénitentiaire sur les questions suivantes : Quelles mesures sont à prendre contre
est largement suffisante. M. Christian. Nous revenons à l'éternelle question des respon- sabilités des magistrats et des méd
vant un congrès aussi mêlé : l'alcoolisme dans ses rapports avec la question sociale. Le second de ces orateurs, un simple men
de l'hérédité dans la psycho-pathologie; données sta- tistiques, la question de l'hérédité des qualités acquises, relations
idoiries de MM. Jumel et Revrart, le jury répond négati- vement aux questions qui lui sont posées. Les gardiens Bleuse et For
n'ont pas répondu à l'appel et 8 se sont retirés à la lecture de la question écrite : Substance goi,c de la moelle (anatomie e
ubstance goi,c de la moelle (anatomie et physiolo- gie). Les autres questions restées dans l'urne étaient : 1° Capsule in- te
hallucinatoires assez peu communs et dont la pathogénie soulève des questions du plus haut intérêt. C'est un homme de soixant
e préciser ' C'PSt intentionnellement, et pour ne pas compliquer la question , que dans cette leçon nous n'avons pas parlé de
ttention des auteurs n'ayant pas été attirée spécialement sur cette question on n'a pas dû noter l'alcoolisme chaque fois qu
umenlé, est accompagné de seize tableaux, où tous les détails de la question sont soigneusement examinés et étudiés. Il conc
r de vues 118 MÉDECINE SOCIALE. qu'il apporte dans l'examen de la question , l'importance même de cette question feront exc
il apporte dans l'examen de la question, l'importance même de cette question feront excuser l'étendue que nous donnons au co
éfaut et à leur manifestation par un acte criminel ? Ce sont là des questions qui préoccupent les criminalistes contemporains
r presque caracté- ristique. Sans essayer d'aborder ici cette grave question , il faut noter en passant, chez ces criminels,
a manière de procéder à l'égard des criminels est l'une des grosses questions sociales de l'heure actuelle; il n'y a pas de r
fois de plus l'espoir de voir les médecins prendre dans l'élude des questions de criminologie et de pénalité la place importa
rtance scientifique, et que la sécurité de la société n'est pas une question médicale. Il est évident aussi que les personne
n'est pas un motif de non culpabilité. Il reste ici à discuter la question des « obsessions », mais on peut établir sommai
a faculté musicale doit s'exercer des deux côtés de l'encéphale. La question de savoir si son activité correspond à une régi
es idiots est évidemment l'un des côtés les plus intéressants de la question ; malheureuse- ment l'auteur n'a pu observer qu
' ? ' ' ! 1 t 'r S, 1 l ? I' r ? r. \ X. L'opinion courante SUR LES questions ¥DICOP5rt()'LOGIQUES, en1 ALLEMAGNE, d'après LE
cérébraux aboutissant aux manifestations morbides observées, et la question de la trépana- tion se posait tout naturellemen
t l'auteur.ne nous donne pas de tableau d'ensemble de la maladie en question . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 143 Il serait p
ême classi- fication. L'auteur se propose d'étudier spécialement la question encore peu connue des délires initiaux ; il en
n connaître tous les malades. A plus forte raison ne peut-il être question de soumettre ces derniers à un traitement métho-
el diagnostic délicat, de proposer une solution pour telle ou telle question médico-administrative, de rédiger une partie de
tails de police intérieure passer au premier plan, aux dépens de la question capitale : le traite- ment des malades curables
'est indiquer les réformes à introduire. Mais avant d'aborder cette question , il convient de dire quelques mots sur la façon
pruntons à la publication annuelle de M. de Crise- noy, intitulée : Questions d'assistance et d'hygiène publiques traitées da
le dos- sier à 111. le préfet, pour supplément d'instruction. La question revient aujourd'hui devant vous complètement élu-
ance de l'asile d'aliénés prend la charge d'installer le service en question , comprenant vingt-cinq ou trente lits avec tous
ral de la Somme n'a pas discuté à la session VARIA. 173 d'août la question qu'il avait posée précédemment et au sujet de l
Nous devons maintenant mentionner encore un ouvrage concernant la question des altérations centrales dans la poly- névrite
itéra- tion du canal central. En raison de ces faits, l'auteur en question a fait la conclu- sion suivante : « D'après mon
orzeus, moins le zzervus radiales et très peu le reste des nerfs en question . Dans les nerfs gravement altérés, nous pouvion
és agissent-elles à l'unisson, en vue d'un but unique, c'est là une question qui n'est pas encore résolue, et sur laquelle les
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 209 répond correctement aux questions , mais avec une lenteur intellec- tuelle qui est
être bilatérale : il faut en outre distraire le malade soit par des questions , soit par des mouvements imposés des membres supé
'extrême vicinité des deux centres. P. K. - XX. CONTRIBUTION A la question DE L'INFLUENCE DE l'écorce CÉRÉ- BRALE ET DES C
nergie du travail fonctionnel. P. KERAVAL. XXX. Contribution A la question DU POLYMORPHISME DES réactions DE divers nerfs
E. BLIN. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. Contribution A l'étude DE la question DE la castration ; par le Dr IRAE3LER. (Allg. Z
f. 1, 1895, p. 1-74.) , Dans ce long mémoire, l'auteur étudie la question , si contro- versée depuis une vingtaine d'année
i augmentent de fréquence aux périodes menstruelles. Les malades en question étaient sujettes à des attaques syncopales, à d
t sans action, et le premier serait aussi efficace, dans les cas en question , lorsqu'il est employé seul. L'atropine, ou mie
natomie et de physiologie du système nerveux, mais en outre sur une question de pathologie mentale. Nous arrivons à des réfo
ne verra pas des internes nommés au concours, grâce au hasard de la question , arriver dans un service... pour la première fo
. Toutefois, nous ne partageons pas son avis sur l'adjonction d'une question de pathologie mentale à l'épreuve écrite. C'est
de leurs directeurs, plus que de l'étude du côté pédagogique de la question . Il a rédigé un questionnaire très complet d'ap
de la Faculté de Médecine de Bordeaux. Le programme comprendra : I. Questions à discuter : 1° Patholo- gie mentale. Pathogéni
eront des renseignements détaillés sur les asiles consacrés à cette question dans notre volume intitulé : Assistance, trai-
lète. Ne ma- nifeste plus aucune idée délirante. Ne répond à aucune question . Les lésions eczémateuses ont produit une calvi
par un historique, très succinct, mais suffisam- ment complet de la question , et il résume ainsi les données qui, à l'heure
Quelquefois, mais rarement, le malade répond raisonnablement à une question posée pendant l'attaque. La crise est suivie d'
omme le démontre l'étude clinique et. microscopique des deux cas en question . Adamkievicz et Wieting ont publié des cas anal
i. (Central6l, f. lVerve7zlveilG., XVI), N F V, 1894.) La malade en question était une belle personne jusqu'à l'âge de vingt
ic. On ne note que G récidives sur les quatre-vingt-dix-neuf cas en question , soit G,1 p. 100. En voici néanmoins 5 observat
us, il est rachitique et les auteurs se demandent, sans trancher la question , si le rachitisme n'a pas été une cause prédisp
elle circons- tance, mais n'ont pas l'habitude comme dans le cas en question de déclarer catégoriquement une chose. L'amnési
UDE légale DE l'impuissance dans l'Illinois ; par le Dr Baum. Les questions d"impuissance ou d'incapacité d'un des conjoints
ui sont la procréation de l'espèce, soulèvent assez fréquemment des questions dont la solution est le plus souvent difficile.
siderata les plus importants : mais après une étude attentive de la question , l'auteur est amené à formuler les conclusions
des cabinets d'aisance, des offices, des cabinets de débarras, les questions du service des eaux (100 litres par ma- lade et
s, l'organisation des services d'incendie, de vi- dange, toutes ces questions sont l'objet d'un examen très complet. P. Série
il a décidé la création sur le domaine de Ville- Evrard, c'est une question d'actualité pressante de savoir si l'établis- a
tion de la maladie et sur la nature du traumatisme initial. Cette question du diagnostic et du pronostic a du reste un intér
er nous avons entretenu de nouveau la délégation cantonale de cette question et sur notre demande M. Foubert a invité les in
fait au laboratoire DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. L'historique de la question sur l'oedème bleu ne remonte pas au delà de 188
dème bleu dans la syringomyélie. En parcourant la littérature de la question on peut facile- ment se convaincre que l'anatom
érature de l'air ambiant restait station- naire, quand le malade en question avait déjà la fièvre régulière- ment tous les s
ent changé d'expression. Elle répond raison- nablement à toutes nos questions , regrette ses extravagances, et promet de se la
aussi violemment qu'un crime. La conclusion de l'auteur est que la question est toujours pen- dante. (The alienist and zzeu
r résumé, au début de son intéressant travail, l'his- torique de la question , et rappelé les travaux de Lasègue, Jules Falre
n plus facile des connaissances physiologiques. La solu- tion de la question de folie ou non-folie se trouve donc actuelle-
pas trouver une altération rénale. Plus l'auteur approfondit cette question , plus il incline à croire que l'opinion de Gull
e antérieure syphilitique. Il n'en faut pas moins, pour juger de la question , examiner avec précision les cornes anté- rieur
ation : c'est affaire d'application. P. K. LXVII. Contribution A la QUESTION DES équivalents de la migraine; par A. 13,Rr. (
xception- nelle quand la migraine disparaît. Commeil nesaurait être question d'affection organique de l'estomac, de neurasth
ommandent à l'accommodation et aux mou- vements du globe ? Reste la question de déplacements, de circula- tion de pigments e
s régions plus particulièrement L soumises à l'action vibratoire en question , et suivant des modalités vibratoires réglées p
asmes colorés aussi mobiles que les scolomes. Les manifestations en question gagnent la partie supérieure et droite de champ
ion parfaite revient à mesure que disparaissent les sensations en question , du centre à la périphérie, comme si les nuages s
(du 2° acte), ou psychologique (du 3e acte) ? Pour répondre à cette question , l'auteur a entrepris une série d'expé- riences
M. FRAEi'lKEL dit observer un cas de ce genre. 4° M. IL Laeur. La question du personnel de surveillance. C'est là une ques
M. IL Laeur. La question du personnel de surveillance. C'est là une question qui n'est pas neuve puisqu'elle date de l'époque
itentiaires, des détenus être employés à surveiller les aliénés. La question des infirmiers de nos asiles a déjà été étudiée
L'embryologie démontre d'ailleurs que primi- tivement la cellule en question a deux pôles opposés et que le tube en T n'est
a une grande importance au point de vue pathologique, il en sera question plus loin. 3° Un prolongement cylindraxe ou neu
nt : ces neurones ont une morphologie et une structure pareille, la question de détail (dimension forme, longueur des prolon
Anne). LES NEURONES.. 433 Sans doute toute la complexité de cette question des tabès se résume dans cette participation se
u au niveau des racines postérieures qu'il constitue ? C'est là une question qui a été souvent posée et résolue de différent
ouvent posée et résolue de différentes manières. A notre avis cette question placée en face des notions que nous possé- dons
traumatisme périphé- rique, d'une maladie générale, etc. C'est une question de l'ésis- lance vitale, d'hérédité, de faibles
eut pas encore tirer de conclusions formelles des travaux sur cette question . Nous partageons cette manière de voir, mais no
t, dans une leçon très intéressante, a discuté minutieusement cette question et a conclu qu'il y avait lieu de distinguer la
éraux et assez souvent un cri. Il faut donc attribuer à l'organe en question ce que jusqu'ici l'on attribuait au pédoncule cér
a région en 476 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. question s'appelle faisceau radiculaire antérieur. Ici, no
és elle est un trouble fonctionnel. P. K. LXXXV. Contribution .1 la QUESTION DE l'excitabilité ÉLECTRIQUE DE la MOELLE humai
émalp.uses (Deutsch medic. Wochensclar., 1S93). Les deux malades en question sont toujours bien portantes et continuent à su
mort, les parents s'étant refusés à se séparer de leur malade. Une question importante est celle des combinaisons de l'hyst
fut facilement améliorée par la suggestion et l'hydrothérapie. Une question médico-légale s'ajoute à cette obser- vation. M
rès curieux d'hémineurasthénie post-hémiplégique. Chez le malade en question la basophobie se superpose à l'hémi- plégie et
ative, ce travail a une réelle valeur, puisqu'il remet au point une question un peu obscurcie parce qu'elle n'avait pas été
re des - céré- braux, par Lapinsky, 397. Castration. Etude sur la question de la -, par Kraemer, 236. Catalepsie alterna
60 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
début à douze ou treize ans semble être assez ordinaire. Reste la question de la nature de cette affection. Il est un poin
confondre tous ces faits avec l'affection spéciale dont il est ici question . PATHOLOGIE NERVEUSE OBSERVATIONS POUR SERVIR
malade reste immobile et rigide dans son lit; il répond à peine aux questions ; l'idéation est nulle : seuls quelques noms (ce
. Pour la première fois aujourd'hui, le malade ne peut répondre aux questions : si on le presse de répondre, il concentre ses
Traité du diabète, où nous exposions l'état de la science sur cette question , l'histoire de l'acétonémie s'est enrichie de f
d'hémorragies ou de ramollissements du cerveau, c'est sortir de la question ; le diabétique, en raison de l'état de ses vais
dans la produc- tion du coma. Mais Abeles ne soulève même pas cette question ; il se contente de dire que le dépôt du glycogè
permettre de se dégager de l'impression du moment et d'embrasser la question d'une vue plus générale. Or, abstraction faite
outir en dernier terme à l'acétone ? D'ailleurs, ce n'est là qu'une question afférente à celle qui nous occupe. Peu importe
evenue insuffisante pour tuer un organisme débilité. Enfin, si la question de quantité préoccupe encore l'esprit comme une
nent indifférents à tout ce qui les entoure, répondent à peine aux questions , ne demandent qu'une chose, c'est qu'on les lai
n inférieure de la moelle dorsale est déli- quescente. La cavité en question commence à 9,5 centimètres au- dessus du cône m
s fonctions du cerveau ? Examinons le côté purement physique de ces questions à la lumière de l'expérience suivante qui décèl
ent médicamenteux et pédagog.que. M. Jehn. Temps de la puberté et question du surmenage. Le rapport, pour la Prusse, de la
vos Gudden fera installer un lit de ce genre. M. MKNUEL adresse une question relative au décubitus acutissi- mus. L'orateur
malades avaient en même temps à remplir eux-mêmes des pancarles de questions contrôlées et, au besoin, complétées par le méd
laires ont plus fortement pris part au déficit dans les systèmes en question . Section de médecine interne M. Struempell. D
n, Holler, lleyert, l'olrl, Pfleger, Schwab, chargé de trai- ter la question de la Séquestration des criminels aliénés. Les au
inalisteset, d'une façon générale, tous ceux qui s'intéressent à la question des aliénés. Cette réunion a eu lieu du 7 au 9
iété, l'orateur a fixé l'ordre du jour des travaux du Congrès. Deux questions importantes, dont la portée sociale n'a pas bes
Relations qui existent entre la criminalité et la folie. Ces deux questions ont déjà été l'objet des délibérations de la So
proférer aucune parole. Elle communique par écrit les réponses aux questions qu'on lui fait. Elle n'a aucun souvenir de ce q
versellement reconnus pour être admis à y figurer. A la première question , quelques orateurs ont répondu que tous les alién
t morales. D'après l'orateur, qui a donné au développement de cette question une grande étendue. la psychologie des criminel
l'homme devait rompre avec certaines croyances, envisager certaines questions autrement, revoir ses méthodes, et, puisant à t
sacrée aux généralités : historique, principes, méthodes générales, questions d'ensemble, de types, de races, de milieux, de
strations, la lecture est facile et la recherche rapide. Toutes les questions qui intéressent l'histoire de l'homme sont soul
service des hommes de l'asile de Villejuif. Le sujet était, pour la question écrite : Racines des nerfs rachidiens (anatomie
Racines des nerfs rachidiens (anatomie et physiologie). Les autres questions restées dans l'urne étaient : nerf facial, artè
nerf facial, artères du cerveau (ana- tomie et physiologie). Les questions orales ont été : Il des symptômes et complication
mplications de la fièvre scarlatine; 2° des fractures de côtes. Les questions restées dans l'urne étaient les suivantes : hém
our produire l'a- liénation mentale ? C'étaient là tout autant de questions que soulevait cette observation, questions inté
taient là tout autant de questions que soulevait cette observation, questions intéressantes, on le voit, toutes d'actualité,
et le développement de l'aliénation mentale ? C'est là une première question qui s'impose d'une manière générale, par ce que
lus calme, mais demeurait silencieux, refusant de répondre à aucune question . Au bout do quinze jours, il devint de nouveau
cérébraux n'est qu'un côté, le plus important il est vrai, d'une question plus générale, de la question des rapports qui
le plus important il est vrai, d'une question plus générale, de la question des rapports qui existent entre ces lésions et
es rapports qui existent entre ces lésions et ces troubles. Cette question , pour être complète, doit être envi- sagée à de
igine, répond, d'une manière on ne plus nette et précise, à une des questions qui précèdent, les troubles cérébraux et les lé
halite évoluant vers la guérison ; 2° Elle nous'permet d'élargir la question des rapports entre les lésions de l'oreille et
d ne s'est pas encore fait sur la manière dont il faut envisager la question , l'opinion ne semble pas s'être arrêtée encore
e allemande (qui a beaucoup fait pour l'étude analytique de cette question ), en montrant que la lésion, systématisée dans
omènes morbides constatés chez notre malade et dont il vient d'être question sem- blaient plutôt en rapport avec l'idée d'un
et pouvant par suite, présenter des lacunes 2) démontre bien que la question du tabes combiné n'est pas neuve, mais qu'elle
approfondie de la part du physiologiste et du neurologiste. Peu de questions , aussi insignifiantes en apparence, ont atteint
c au point de vue pratique. Deuxièmement, pour ep £ qui touche cala question de l'hémia- nopsie en général, je ferai les rem
ps resti- forme passeraient dans le segment interne du pédoncule en question . Où ce pédoncule se termine-t-il dans le cervel
e quant aux relations de ces dernières avec le noyau du faisceau en question : nous tendrions à REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
sintégration qui l'a précédée. « Immédiatement se pose une première question : A laquelle « de ces deux phases la conscience
ence est-elle liée ? L'expérimenta- « tion ne peut répondre à cette question ; l'observation seule peut nous guider; mais el
ntégration des «actes nerveux centraux. « Cela posé, une nouvelle question surgit : Toute désintégration « est-elle consci
elle telle, qu'il n'est pas en état de répondre par une phrase à la question la plus simple. Il produit l'impression de ne p
r immobiles semble ne se développer qu'environ vers cinq ans. Cette question aussi n'est qu'à l'étude et doit pré- senter be
neirritatiun cérébrale qui a pour effet de produire le phénomène en question avant qu'on agisse; il ne peut donc plus se pro
u ambiant. Six tableaux à l'appui. P. K. XVIII. Contribution A la QUESTION DES TROUBLES trophiques DE la peau chez LES tab
ns sudoripare ou sébacée, ou de la sensibilité dans les endroits en question . L'auteur rattache cette anomalie au trijumeau et
ieure, l'altération s'étend à presque toute la coupe des cordons en question , pour épargner, dans la région lombaire, de lar
ait montré très effrayé. Aujourd'hui, il répond assez nettement aux questions qu'on lui pose, et parle même avec une grande v
st troppeu avancée pour qu'on soit très affir- matif sur toutes les questions qui en découlent. M. Magnan, maintenant que la
e qu'après l'accou- chement. Elle prétend cependant que l'enfant en question serait venu au monde bien portant; vers la fin
serait plus correct, jusqu'à nouvel ordre, de recueillir les cas en question , et SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 d'en réserver à l'
s qui sont allés là-bas ne se sont que peu ou point intéressés à la question , les médecins japonais n'ont pas consacré leurs
n d'une per- turbation de l'activité psychique. Pour trancher cette question , on a recours devant la cour, àdes médecins les
tous les repas subissaient le même sort, deux fois les réactions en question , tandis qu'à d'autres périodes, bien que les circ
n'avait jamais été poussée aussi loin' que suprci, les réactions en question firent constamment défaut. Eliminons cette dern
. On ignore où se forment dans l'organisme la ou les substances en question . IIoppe-Seyler,a, dans son cas d'intoxication par
nt, au-dessus de la racine du nez. Quand le malade reçut le coup en question (1883), il lui sembla qu'on projetait ses yeux en
ricrânienne ; on retrouve la cicatrice consécutive à l'opération en question , cicatrice sensible dont-il s'échappe, à la press
faut tenir compte de la tare héréditaire. Inversement la lésion en question représente un facteur pathogénétique prédisposa
le concomitante. M. JASTItO\1'1TZ. Les altérations anatomiques en question peu- vent sans doute donner naissance à des psy
aux muscles chargés de la flexion. Au lieu d'opérer la flexion en question , il préfère étendre toute la jambe en arrière, la
. Son père, peintre en portraits, aurait présenté les phénomènes en question pendant trente ans, ce qui ne l'empêcha pas d'a
Discussion ; M. HITZIG. iN'a-t-on pas trouvé, dans les deux cas en question , de troubles de la parole ? M. 11,Rj3. Il n'e
s optiques avee du tabès . L'association du complexus clinique en question et du tabès est du reste sujette à des variations
ux ans, d'examiner trente cerveaux avec la méthode qu'exige cette question . Il convient donc de soumettre les états nécrosco
t encore sur le chantier. Jusqu'ici il a constaté que les noyaux eu question sont en connexion avec le cervelet, et probable
e de réflexes patellaires. En dernier lieu les symptômes spinaux en question se compliquent de phénomènes bulbaires : paraly
aine influence sur cet état ? Je veux essayer de répondre à cette question , mais, avant de le faire, je dois m'occuper de
n- fler l'inhibition. » Concernant ces arrêts, la substance de la question est celle que voici : on peut se demander s'il
étendue. Dans l'étude de ces phénomènes, une très impor- tante question est de savoir si, pendant le sommeil hypnotique
réflexes rotuliens qui ont une importance toute spéciale dans une question de cet ordre. I. Dans les symptômes du tabes po
eront-ils dans DU TABES COMBINÉ. 397 le tabes combiné ? C'est une question intéressante, dont nous avons vu (à l'historiqu
ns, nous avons été chargés de l'examen de la nommée Annette G... La question était des plus intéressantes à étudier. Au mome
de vive émotion; elle a peur, et, après avoir 'épondu aux premières questions , elle est prise d'un état synco- pal, de courte
malade, complètement isolée du monde extérieur, ne répond plus aux questions qu'on lui adresse. M. le Dr Le Pileur, médecin
bunal correctionnel; le lendemain dans la matinée, il en fut encore question dans la salle d'infirmerie; et, dans un état qu
tions mentales; il retrace en quelques- tirais )'hisLo ! iqne de la question , puis traite successivement du choix des piles,
faut donc cesser d'attri- buer les modifications du champ visuel en question aune action que le courant exercerait sur le ce
t le résumé des idées principales de ce mémoire où plusieurs autres questions de détail sont traitées incidemment'. R. n1. C.
aire dont l'adoption lui parait avantageuse. Après avoir examiné la question du travail des aliénés, travail qui doit être a
toute prédisposition nerveuse, et il croit que la ré- ponse a cette question doit être affirmative. Il recherche ensuite si
ment ceux qui sont vicieusement écrits. Par suite, l'infirmité en question de la parole n'a aucun rapport avec la même infir
du nerf). (Voy. le §. 1. E.) - P. K. II. NOUVELLE contribution A la QUESTION DES résultats DE L'ÉLO\G.1- TION DU FACIAL DANS
liser la production de l'image ? MM.Féré et Binet ont élucidé cette question en ayant recours à l'hypnotisme. Et il faut les
tous les esprits désireux de connaître tout ce qui intéresse celte question si neuve et si importante. Charpentier. IV. E
res et non la folie héréditaire. C'est en cherchant à répondre à la question : A 451 BIBLIOGRAPHIE. quels signes peut-on r
la sclérose secondaire. Dans le chapitre III, M. Babinski traite la question de la régéné- ration des tubes nerneux de la mo
ministrateurs de l'asile de Dalldorf, après examen approfondi de la question , ont déclaré qu'il serait préférable pour la vill
61 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
giène professionnelle peut aussi revendiquer quelque chose dans cette question . Chez l'homme les usages des ongles sont de pro
appés tle la fréquence de l'onychophagie dans les écoles. Il n'eu est question dans aucun Imité tle pédagogie. Ou peut cependant
e pédagogie. Ou peut cependant se rendre compte de l'importance de la question par les statistiques portant sur des enfanta appa
colaire n'en fait mention. Cesi dire que le cote prophylactique de la question n a jamais été abordé. Il n'est cependant pas le
(1) Malgré les travaux successifs que nous avons publiés sur la même question , nous avons été surpris de constater qu'un livre
otre président éphémère se propose, aujourd'hui, de vous parler d'une question , dans laquelle il a pu; dequis quinze ans. acquér
offre suffisamment la quatrième page de nos journaux quotidiens. Les questions d'hygiène individuelle et de régime alimentaire d
anquet de la presse scientifique. Quand nous nous égarons sur des questions nosologiques proprement dites, évitons toujours,
Il n'est |ias nécessaire de posséder trois ou quatre avis sur la même question , alin tic se concilier 1rs chances d'être, au moi
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hvpno-tisme el de la psychologi
è.res russes «pli s'occupent avec tant de sagacité et de prudence des questions d'hypnologir et de psvrhologie méritaient «juclqu
ologiques les plus importantes. Il a eie établi, dans le travail en question , que le sommeil est l'effet d'une idée qu'on se s
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypno tisme et de la psveliolog
oir réunis dans un seul ouvrage, comme à ceux qui s'intéressent à ces questions d'en faire une lecture d'ensemble. On trouvera
s nations, des individus, de l'homme sain et de l'homme malade. Cette question -là n'avait jamais donne lieu jusqu'à présent à un
asse était mixte n'avait été atteint. A la rentrée, il n'était plus question de rien, mais bientôt quelques fillettes se p
pas. a eu du moins ce résultat de nous faire étudier de plus prés la question et do nous faire reconaaitre que parmi les crimin
il a les goûts d'un homme de 40 ans ; au lieu de jouer il s'occupe de questions métaphysiques. A la fin de ses éludes se produit
evant le jury, répondant avec tant d'apparence de raison à toutes les questions , ne montrant aucun symptôme apparent de folie, ¡1
es apparences de raison, pouvant répondre convenablement à toutes les questions devant un tribunal, et pourtant u'avant aucune re
r trajectoire. Il s'est posé de nouveau, en ces derniers temps, une question qui, malgré la résistance de deux ou trois médeci
us, à l'occasion, pour résister à la suggestion d'en commettre un. La question dont il s'agit était vidée. II n'a fallu rien moi
ale? M. Masoin. — Je n'en sais rien. M. Vas Ermengem. —Voilà la question . M. Crocq. —Je suppose qu'elle n'a pas été cons
jet voté par le Sénat et elle a accordé au Gouvernement le pouvoir eu question . Voici comment M. le Ministre île la justice
ruction il a été procédé: vous n'êtes pas au courant de l' élat de la question ; vous ne connaissez ni le personnage, ni ses fai
médecins et aux étudiauls un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l' hypnotisme et de la psychologi
uis détendue par MM. Charrot, Marie et plusieurs autres. Cependant la question des hystéries toxiques est encore fort obscure et
'influence du sulfure de carbone ? Le traitement a permis de juger la question ; la parésie musculaire, seul symptôme qui préocc
oses et me demander si je pouvais y apporter quelque remède. Il était question pour eux de la mort de leur fille et pour le mari
à laquelle on ne s'attendait pas puisque, pour le mari, il était question de divorce, et que. pour les parents, il était qu
ari, il était question de divorce, et que. pour les parents, il était question de mort. Quelque temps après. le calme et la bo
e, jusqu'à ce qu'il eût perdu l'habitude d'y aller. il n'était plus question ni de mort, ni de divorce, elle m'écrivait la let
résultats. L'histoire des névropathes voyageurs rappelle aussi une question d'ordre médico-légal posée autrefois par M. Chare
as tous des neurasthéniques? Le Pr Bene-diri,( de Vienne) a résidu la question par l'affirmative : » Le premier élément constitu
e désire revenir en quelques mots, par voie de motion d'ordre, sur la question soulevée à la dernière séance par l'honorable M.
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ne. » Le Journalisme médical. Le Dr Hart vient de faire sur cette question une conférence qui renferme quelques vérités auss
résidé par le Dr Pierret, de Lyon. Il a été décidé que. pour les -t questions mises à l'ordre du jour, la première serait une q
pour les -t questions mises à l'ordre du jour, la première serait une question de psychiatrie ; pour la seconde une question de
la première serait une question de psychiatrie ; pour la seconde une question de neurologie; la troisième une question de médec
iatrie ; pour la seconde une question de neurologie; la troisième une question de médecine légale ou d'administration. L'Acadé
ement hvpnotique. Comme je le disais au début de cette étude, celte question doit être étudiée à un double point de vue et il
és et sévères calvinistes, qui ne se permettent jamais de discuter la question . Expérience «° 1, 4 février 1893. — J'ai fait a
ion originale (Revue de l'hypn. Septième année, p. 315). Il y était question d'un névropathe dont la vie était empoisonnée par
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
evient obscurité, embarras, contradiction. On est pris au piège d'une question mal posée. Si l'on accepte au contraire les faits
le processus physiologique psyr ho-moteur, il n'v a pas a rejeter la question posée par Munie de savoir comment un «je veux » p
r comment un «je veux » peut l'aire mouvoir nos membres. C'est là une question devant laquelle In physiologie actuelle n'a pas à
conscience et processus moteur. L'autre manière de voir soulève la question de savoir quel est le siège île lu conscience qui
eux-mêmes dont on a conscience aurait l'avantage de simplifier cette question mystérieuse. Il resterait toujours aussi dillicil
omplexité ne sont pas contradictoires avec l'unité? Assurément, ces questions ne comportent, au moins pour le moment, que des s
e résidual de l'activité motrice de ces éléments. L'épiphénomèue en question peut donc être considéré comme ayant une existenc
ui-ci. Dans l'hypothèse séparatiste il semble que l'on supprime une question embarrassante ; comment une idée peut-elle donner
e d'un ordre opposé. Or. en supposant que l'opposition existât, cette question ne serait point supprimée, mais simplement reculé
la psychologie de la volonté. Nous y trouverons, indépendamment de la question qui vient d'être examinée, un certain nombre de p
ommis un crime ? Ne venez-vous pas de tuer une femme ? » A toutes nos questions elle répond non avec assurance ; clic ne sait pas
auteur de ces ouvrage n'a jamais cesse de s'occuper de l'intéressante question du somnambulisme. Il l'a fait sans prendre souci
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
s. Si ce mot choir n'exprime point le fait même de la prédominance en question , il n'a aucun sens, lin reprenant le cas du rhieu
l'observation de soi-même, car tout homme passe par les deux états en question qui se produisent successivement pendant des péri
geois Professeur à la Faculté de Droit de Nancy. De 1888 à 1891, la question de l'hypnotisme ou de la suggestion s'est posée,
position. Je serais beaucoup moins aflirmatif. quant à moi. pour la question de suggestion, tout en reconnaissant que les fait
es ! celle lettre commencée, qu'elle écrit à une parente et où il est question de sa petite « Nanette. qui fait ses devoirs tout
soldats et devenir un motif légitime d'exemption et de réforme. Les questions de jurisprudence militaire soulevées par la const
apports sexuels, se sentit envahir par des scrupules relatifs à cette question . Sur ces entrefaites, il tombe malade et on lui p
n, il doit se trouver â la gare du Nord à sept heures du malin. A une question que nous lui posions à ce sujet, il nous a répond
accouchement, comprendront combien sont nombreuses et importantes les questions de médecine légale qui se rapportent à ce sujet :
conclusions. Le rôle que H. Mesnet accorde au médecin en ces graves questions de somnambulisme prouve une fois de plus la sages
mouvement est exécuté parce que je l'ai voulu. Le chien dont il a été question plus haut manifestait de la volonté, Un joueur qu
ier point toute analyse psychologique ou sociologique dans l'étude de questions d'anthropologie essentiellement psychologiques et
du point de vue purement scientifique se présente à chaque instant la question pratique de savoir quelle conduite on doit tenir
it : comment pourrait-on motiver un changement de conduite? Autant de questions qui impliquent la reconnaissance intuitive sle ce
raignaient d'être envoûtés. Enfin nous voyons les juifs discuter la question de savoir s'il est permis de guérir le jour de sa
Norman, Hack Tnke. Olterson. Wood, et Yelluwlees. Les termes de la question qu'il s'agissait a étudier sont énoncés en téte m
grès. exelusivement scientifiques, consiste à poser et à discuter les questions de médecine générale et spéciale et d'hygiène qui
médecins et aux étudiants un ensei-gnement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l' hypnotisme et de la psychologi
ont été combattues et rejetées par tous les hommes compétents sur la question , en Allemagne même et je n'ai pas eu la peine d'y
ncipaux phénomènes de l'hypnose. la seconde traitant au contraire des questions médico-légales te rapportant à l'hypnotisme. Parm
pendant un sommeil antérieur. 1° Pour répondre â la première de ces questions il est nécessaire de rapporter quelques expérienc
s : vous vous êtes approchée de la table vous avez pris les objets en question et vous vous êtes dirigée vers Monsieur. — Je m
e suggérée n'est donc jamais infaillible, un indice insignifiant, une question d'une personne de l'entourage, peut faire renaîtr
. Cette (1) Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques. question fort complexe ne peut même pas être indiquée ici,
i-tique la législation financière, la législation industrielle et les questions ouvrières. Ce doctorat conviendrait surtout aus é
édecins et aux étudiants un enseignement pratique permanali! tsur les questions qui relèvent de l hypnotisme el de In psychologie
une communication de M. le professeur Hirt, de Brcslau, remettait la question de l'hypnotisme sur son véritable terrain. Il s'a
is M. le professeur Hitzig, de Hallé, dont l'autorité dans toutes ces questions est si grande.s'est rallié à l'avis de M. Hirt et
ège de France. Aussi, lorsque le monde savant dut se préoccuper de la question de l'hypnotisme, ne voyons-nous pas Brown-Séquard
ne craint pas d'affirmer qu'on pourrait trouver, chez lesartistes en question , l'un des signes somatiques qui, d'après Lombroso
t que les prêtres d'Epidaurc n'entendaient pas la plaisanterie sur la question des honoraires. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE Le Sent
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et do la psychologie
médecins et aux étudiants, un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et do la psychologie
62 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
médecine légale, est, à mon sens, celle de ne rien. préjuger de la question à résoudre et de pui- ser d'abord dans l'examen
t à formuler les conclusions suivantes qui répondirent à toutes les questions du problème qui m'avait été posé à son sujet :
s prospères, les mieux organisés. Pour l'asile de Maison-Blanche la question devait être prise de plus haut. Parmi les proje
t de reporter le reste du personnel sur les quartiers d'agitées. La question du couchage, et plus spécialement celui des gâteu
des malades. Aussi de ce côté sommes-nous plus avancés sans que la question soit encore complètement résolue. C'est Ludwig
n 1893. Cependant plusieurs tra- vaux récents tendent à remettre la question à l'étude. La contro- verse qui s'éleva vers 18
vec celle de Dourdicault-Dumay. Nous avons nous-même étudié cette question avant d'avoir con- naissance des travaux que no
ux s'abstiennent pour la plupart d'émettre une opinion ferme sur la question . Claparède et Bourdicault-Dumay acceptent l'exi
ui va retentir sur les cellules motrices bulbo médullaires. Toute question de théorie mise à part il serait du reste inexact
réjuger' de la nature du phénomène, et ne tranche point d'emblée la question après tout discutable, de savoir s'il s'agit d'
sent insuffisants à entraîner la conviction contraire. Toutefois la question appelle des recherches de confirmation. Arriv
teurs les plus récents sur le sens musculaire il nous parait que la question est entrée dans sa phase de fixation définitive,
dans l'étude analytique des sensations musculaires. En revanche la question de la localisation cérébrale du sens muscu- lai
es, juin 1899.) E. B. IL Folie et homicide; par le Dl' ALLSON. La question des rapports de la folie avec le crime et surtout
rouve comprise dans les formes maniaques de la folie périodique. La question d'étiologie devient importante : doit-on s'en t
avec Kraepelin toute attaque maniaque comme constitutionnelle. La question à examiner revient à celle-ci; y a-t-il une manie
lème de la responsabi- lité criminelle se réduit actuellement à une question de diagnostic; mais les médecins légistes sacri
s les autres phénomènes de la nature; par suite, il ne saurait être question de responsabilité. L'idée de vengeance, conséqu
onsabilité ? Ceux-ci, en effet, ne peuvent répondre qu'à côté de la question . Ce que la justice devrait demander aux médecins-
899.) Sans avoir la prétention de trancher d'une façon absolue la question encore controversée de la pathogénie de la maladi
ons centrales. L'observation ultérieure du. malade vint éclairer la question et montrer que la tumeur était corticale, et qu
a troisième frontale gauche, c'est- à-dire le centre du langage. La question d'une intervention chirur- gicale se posait et
a part de M. Philippe. La discussion étant d'un intérêt capital, la question sera reprise et portée à l'ordre du jour de la
arnowsky, sont à coup sûr très insuffisantes. Et sa réponse à cette question reste obscure. 3° Le vagabondage en France; par
graphie d'un jury d'assises; par Maurice Ajam. Le jury d'assises en question est celui de la Sarthe, que AI0 Ajam a pu étudi
ges. MontpeHn'r, 1S99. Imprimerie Boeiiin. Guerrini (G.). Sur une question de priorité. Brochure ici-8- de 3 pages. - Bolo
Nous voyons que dans la quatrième génération, il n'est pas encore question de choréiques, aucun des enfants n'ayant atteint
la langue. Le malade répond très len- tement, et par saccades, aux questions qui lui sont posées. Il tire la langue droite,
servée et il mon- trait par ses gestes qu'il avait bien compris les questions qui lui avaient été posées et auxquelles il lui
qui s'observent dans la chorée de Huntington, avant de discuter la question de savoir si ces troubles carac- térisent une f
Il rapporte deux observations de chorée chro- nique où il n'est pas question d'idées de suicide, ni même de troubles mentaux
91 les cas de Jolly et Remak n'en font pas mention. Il n'en est pas question non plus dans l'intéres- sante discussion soule
Bâle et 1 il-) 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. dans laquelle il n'est pas question d'idées de suicide. Il en est de même dans les
chronique de la chorée. Il n'en est pas moins vrai qu'il n'est pas question de suicide dans les observations publiées par S
ur nous donne 6 observations personnelles, dans 3 desquelles il est question d'idées ou de tentatives de sui- cide. La premi
lé. Je relèverai encore une particularité qui se rapporte à cette question . Tous les auteurs qui affirment la fréquence du
des cellules de la seconde couche. Je me réserve de discuter cette question dans une autre occasion, lorsque j'aurai fait l
les relations de la syphilis et de la paralysie générale. C'est une question assez importante pour mériter une étude spécial
important. 1 ACTUALITES. Assistance des aliénés en Russie. Les questions concernant l'assistance territoriale des aliénés
respondant, ainsi qu'à l'encombrement de l'établissement central en question . montrent que l'asile psychiatrique du gouverne
éciale et des exigences pure- ment scientifiques qui priment ici la question d'assistance propre- ment dite, on peut obtenir
s compressions de la moelle (myélite transverse) la dissociation en question et le réflexe contralatéral. Minor, au Congrès
rique). Parfois chez les mammifères, en fixant bien les éléments en question , on constate une structure fibrillaire évi- den
uleux, soit plutôt fibriforme. P. KERAVAL. I V. Contribution à la question des connexions centrales des nerfs craniens mot
sublimé ou de chlorure de platine à 0,50 ou 1 p. 100 les teintes en question sont intenses et franches, mais aux dépens de la
ante et un sujets, il n'a vu que trois fois la réaction anormale en question , explicable en chaque espèce. La situation prof
ndamental antéro-latéral ; au niveau de la formation réticulaire en question , ces fibres s'épuisaient dans l'angle postéro-int
les. On déshy- drate, on éclaircit. Le début des dégénérescences en question apparaît alors uniformément jaune; les fibres s
ison de la finesse et de l'épaisseur de ceux-ci. Les sensations' en question sont pro- duites par les vibrations des poils m
o- moteurs. La pathogénie de l'épilepsie idiopathique est une des questions les plus obscures de la neurologie : on est en pr
ans l'épilepsie Jack- sonienue ; et 3° que cette théorie préjuge la question de l'étiologie de l'état anatomique, et qu'elle
permanente, il est évident que le traite- ment dont il vient d'être question demeurera simplement pallia- tif. H. de l\IUSGR
alors la nomination d'une Commission spéciale chargée d'étudier la question des experts. La Société décide que la question
chargée d'étudier la question des experts. La Société décide que la question restera à l'ordre du jour. . Maladies mentales
volué indépendamment l'un de l'autre. M. Joffroy. L'intérêt de la question serait maintenant de savoir si les lésions de l
ner un aperçu de quelques-uns des points traités par M. Soury. La question de la nature des centres moteurs a longtemps divi
des cellules des centres différents. Pour prendre parti dans cette question , Cajal s'est livré à de nouvelles études de mor
Aussi avons-nous tenu à rapporter ici quelques données sur cette question complexe, qui pourront servir, pour leur Archiv
roit de conclure que des fibres de projection relient à l'organe en question un centre donné de l'écorce, auquel se superpos
urs très calme. nullement irascible et répondait avec précision aux questions qu'on lui adressait. Elle se demandait si ses a
.) L'auteur commence son travail par un historique sommaire de la question du crétinisme en Amérique et passe ensuite à la d
par M. Patrick; il constitue un exposé clair et méthodique de la question , et à ce titre, il est intéressant. R. M. C. XX
, perdit absolument le goût du travail. Comme il y avait en jeu une question de dommages-intérêts, on pouvait se deman- der
e le fait de la névrose. Le signe de Babinski devait trancher cette question ; il fut positif. Malgré cette constatation je p
fractures vertébrales. J'ai revisé avec soin la bibliographie de la question . Le fait de J.-K. Mitchell m'a tout l'air d'un
nq autres épileptiques qui ont été trépanés sans aucun résultat. La question est pour moi jugée. Reprenant une excellente id
s intéres- BIBLIOGRAPHIE. 267 Î sante peut-être, traite à fond la question si pleine d'actualité et qui soulève de si vive
nstructions nécessaires, je commençai les cérémonies. J'arrivai aux questions : « - Crois-tu en Dieu le père, tout-puissant,
Il me répond encore affirmativement. Enfin, me voilà à la troisième question : « Crois-tu au Saint-Esprit ? » - Croyant sans
ndices épineux n'est point tout à fait juste, car les appendices en question n'appa- raissent pas pointus, mais ils sont arr
si donc, d'après nous il ne faut pas douter que les appen- dices en question sont réels. D'un autre côté, si même nous admet
ylindraxiles. En résumant les données histologiques concer- nant la question qui nous intéresse pour le moment, nous en veno
de temps après l'intoxi- cation ; il se développait dans les cas en question presque toujours seulement dans quelques jours;
accompagné d'une disparition d'appendices collatéraux. L'auteur en question a fait la remarque, que quelques-uns des résult
les résultats de nos recherches spéciales, faites pour éclaircir la question con- cernant l'apparition de l'état moniliforme
de ses derniers ouvrages, dédié spécialement à la discussion de la question de ce que présente l'état moniliforme, applique
di mercurio (Il Pisani, 1896, 1.) DEYBER (René). Etat actuel de la question de l'amoeboïsme nerveux. Paris, 1898. DUVAL (
dehors, plus rarement en haut et en dedans, tandis que le myosis en question se produit (Bernhardt). On l'observe chez la pl
un assez gros noyau presque sphérique, un peu au-dessous du hile en question . C'est là qu'on voit des fibres de la calotte a
travail de Kahlbaum a donné lieu à de nombreuses discussions. Trois questions se posent à ce sujet : Il, Les symptômes décrit
ns de croire pathologiquement distincts. En réponse à la première question l'auteur rapporte six obser- vations présentant
présentant les caractères décrits par Kahlbaum. Quant à la seconde question , sa croyance est qu'il existe un grand nombre d
s'agit ici que du mé- canisme cortical moteur et il ne saurait être question des éléments sensitifs, d'ordre cénesthésique o
en considérant comme une affaire de mots sans grande importance la question du maintien ou de la suppression du terme d'hyp
minutieusement ses comptes, à arranger ses affaires, remplacer les questions de sentiment par les questions d'intérêt. Au bo
arranger ses affaires, remplacer les questions de sentiment par les questions d'intérêt. Au bout de dix-huit mois, elle suit
grande ville de province qui, en 1899, a été très troublée pour des questions politiques et religieuses. Cette dame a été trè
Seine-Inférieure, de la Gironde, des Bouches-du-Rhône. C'est là une question sur laquelle je me propose de revenir, dans un
t de vue de la pathogénie des lésions cérébrales. En 1884, sur la question délicate du régime alimentaire des aliénés, il no
is heures aux candidats. Le maximum des points sera de 30. 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie en
ré au point de vue médical et social, l'alcoolisme . est une de ces questions ardentes qui ont été l'objet de tra- vaux consi
qu'au moment de son arrestation, et il est capable de répondre aux questions posées. C'est un homme encore robuste pour son
'instruction est supérieure à la moyenne ; il répond facilement aux questions posées sur sa vie. Interrogé sur les troubles é
flant dans le conduit auditif externe, on entend cette réponse à la question : « Vous n'entendez rien ? » « On roule des canon
Quant au traitement de ces malades, certainement, il ne peut être question de leur complète guérison, car nous ne pou- von
binaison de nombreuses idées de mouvement. Les fibres arciformes en question sont les vectrices de ces combinaisons. En fait
naison ordinaire est la démence. La médecine légale se ramène à une question de diagnostic. En cas de délire de la jalousie
aliénés, mais aussi des épileptiques sains d'esprit; et la première question qui se pose est celle des aménagements à leur f
y avait pas d'homme dans la 'maison et on souleva dans la presse la question de savoir si les malades du sexe masculin ne de
n zèle infatigable de secrétaire général. Il souhaite enfin que les questions étudiées par la Société soient de plus en plus
y invitent pas et qui se montrent même parfois fort sur- prises des questions qu'on leur pose à cet égard. Tel individu, par
». Séance du 19 novembre 1899. D. DvoïTctOENKo. Contribution « la question de la sensibilité osseuse (avec présentation d'
47 Séance du 19 décembre t899. D. DVO1TCEENhO. Contribution ci la question de la sensibilité os- seuse.. La sensibilité vi
a fibre nerveuse. Discussion : M. Weidenhamer fait remarquer que la question de l'orifice des noyaux de la gaine de Schwan d
off prend part à la discussion. A. PROHR.4JLNSAY. Contribution à la question de la syrip7omyé- lie héréditaire . - L'auteur
familiales ainsi que le crime et la folie dans la série animale, questions neuves et du plus haut intérêt. Allant ainsi du
é le suivant : Sympathique cervical. (Anatomie et physiologie.) Les questions orales don- nées ont été les suivantes : Pathol
nt donnés-les spasmes qui secouent aussi les muscles du larynx. Aux questions qu'on lui pose, il répond, autant qu'on peut l'
fidèlement que possible) les différentes altérations dont il a été question an cours de nos des- criptions. Le lecteur y re
cinq heures du soir, F... est plus calme et capable de répondre aux questions posées. C'est un grand garçon robuste et bien m
peuvent-ils bien s'ap- peler des hallucinations, c'est la première question qui se pose après la lecture de nos observation
les exemples, et met tout son talent au-ser- vice de cette épineuse question . Pourtant M. Vallon ne croit pas à cette halluc
que les autres sont de fausses halluci- nations, c'est trancher la question trop radicalement à notre avis. Dans la tubercu
tes épileptisantes qui produisent le plus d'hyperesthésie. Mais une question se pose, que nous signalons sans commentaire. Y
prédisposés, peut produire des crises convul- sives. Ce sont des questions complexes qui ne doivent pas d'ailleurs nous ar
innerve les deux moitiés de la rétine, l'hémianopsie du quadrant en question étant toujours latérale. Cette hémianopsie étant
olontaires; par A. RUFFINI. (Bi,aii2, part. LXXIX.) Il s'agit de la question des fuseaux musculaires, des organes intra-tend
e et rehaussé de très nombreuses planches, il éclaire réellement la question des terminaisons sensitives dans les muscles. F
) Bonne étude sur la dysphagie hystérique, sur l'historique de la question , sur le diagnostic différentiel de la maladie et
ciale est remplacée par l'idée de réforme. Mais elle pose encore la question de discernement, que la loi belge de 1894 n'a p
créations. Pour mettre le lecteur au courant de l'état actuel de la question , M. Thulié nous donne in extenso les lois intér
63 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
s de nature je l'espère à vous faire partager ma conviction sur cette question . De Paoli, en Italie, le premier a recherché le
els. J'ai depuis vainement recherché des travaux similaires sur cette question , et à part l'observation publiée par le Dr Christ
onservé un certain degré de lucidité qui lui permet de répondre à nos questions et il en profite pour raconter ces faits avec une
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ui jusqu'ici n'a pas paru frapper les auteurs qui ont écrit sur cette question , bien qu'il résulte de leurs observations elles-m
. C'est un homme instruit capable d'aborder dans une conversation les questions les plus variées et les plus délicates. II n'épro
tes. II n'éprouve aucun malaise tant qu'on n'aborde pas devant lui de questions professionnelles. Mais dès qu'on lui demande un c
msterdam. Von Schrenk-Notzing, de Munich, a depuis consacré a la même question une étude très complète. Le traitement suggestif
. L'état général du reste était bon, et comme hérédité il n'était pas question du cancer dans sa famille. La jeune fille, d'ac
tre appelé à traiter des aliénés et à décider médicalement les graves questions relatives au droit civil et criminel qui concerne
vant faire très prochainement un rapport au Gouvernement Belge sur la question de l'hypnotisme, je tiens à pouvoir citer l'opini
pouvoir citer l'opinion de tous les savants qui se sont occupés de la question . Afin de pouvoir exposer vos idées, en connaiss
, en connaissance de cause, je vous prie de bien vouloir répondre aux questions suivantes : 1° Le sommeil hypnotique est-il de mê
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
-être trouvera-t-on que nous avons élargi outre mesure le cadre de la question soumise au Congrès. Nous ne le pensons pas cepend
érité, ces considérations préliminaires ne sont point étrangères à la question , elles sont même presque toute la question. EXP
sont point étrangères à la question, elles sont même presque toute la question . EXPÉRIENCES MÉDIANIQUES DE VARSOVIE (suite)
inexactes. L'auteur, en somme, se borne à émettre son opinion dans la question discutée de la suggestion, et son travail ne cont
un poison moral. Dans le domaine psychologique de la suggestion, la question des modifications de la conscience dans les états
que. D'une façon plus calme, plus agréable, Jolly 12 traite la même question en s'appuyant sur une démonstration clinique. II
les hypnotiseurs expérimentés. Ces remarques amènent à l'importante question des prétendus dangers d'une hypnotisation faite p
ves à la guérison, avec une rédaction appropriée à l'individualité en question . Cette méthode d'opération prévient tous les dang
el. Nous ne pouvons qu'indiquer brièvement le côté juristique de la question de suggestion. Heborle dans un écrit d'une briève
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
66 a présenté le 19 octobre 1893, à la Harveian Society (London), la question de la thérapie suggestive. C'est un disciple de B
gestion, mais non à la fatigue. M. Dumontpallier. — Je crois que la question de fatigue est ici tout à fait secondaire. Ce qui
on visage était livide ; Neukomm voulut encore lui poser une dernière question : « Dites-moi, qu'arrivera-t-il de la maladie d
es invraisemblances, le fait brutal est la mort de la jeune fille. La question est de savoir si elle a été causée par l'hypnotis
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
grès. Deux rapports seront présentés au Congrès sur chacune des trois questions mises en discussion : Etiologie et pathogénie d
ilité cuta-no-musculaire. Dans cet état, elle répond parfaitement aux questions qu'on lui pose, mais elle est fort peu suggestibl
eur égard : ils étaient des suggestibles de la famille des nerveux en question . Quand, une baguette à la main, Dupotet, qui se
a sur la mienne, lorsque j'exerçais le contrôle, je me suis posé deux questions à examiner à fond : d'abord, si je perds ou non,
pour un observateur superficiel ; mais celui qui veut approfondir la question remarquera à l'aise que souvent, par exemple, mal
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
e l'hypnotisme. A la fin de sa vie, il s'était vivement préoccupé des questions d'occultisme et avait publié ses idées dans un li
e vous l'assure. » Je l'hypnotisai alors, et lui ayant posé la même question que tout à l'heure, elle répondit aussitôt qu'ell
u bien? S'il est pathogène, ne peut-il être curateur? Telles sont les questions qui se présentaient à notre esprit et qui furent
onnés n'apparaissent point. Pour arrivera de sûrs résultats sur cette question , il faudrait introduire une division de travail e
diminuée ou même abolie; pas de réponse, ou réponse retardée sur les questions , difficulté de parler. Deux symptômes surtout fix
périence, les assistants mirent, sur la demande de M. Szydlowski, des questions écrites dans une grande enveloppe fermée qui fut
Jean, et celui-ci accourt. Il prie d'abord, puis il pose cette double question à celui qui va mourir : — Crois-tu ? Veux-tu cr
mond remémore ici l'époque où étaient agitées, parmi les savants, des questions qui passionnaient au plus haut degré tous ceux qu
ogie — où le monde des biologistes était partagé en deux camps sur la question des localisations cérébrales, qui fut pour Charco
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur lès questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
et Cie, 25, quai Voltaire. Paris, 1880. A. Pitres. — Rapport sur la question des aphasies. Brochure in-4°, 29 pages. G. Gounou
ès de' l'Enseignement supérieur, tenu à Lyon, au mois d'août 1894, la question du recrutement des professeurs des Facultés de mé
ire de tous côtés dans le cours de cette enquête : « Et pourtant la question en vaut la peine. De l'aveu de tous, l'étranger n
rté d'esprit assise sur le doute philosophique » (3). Pour fixer la question , et avec l'intention d'être agréable aux membres
vine? Ces guérisons contituent-elles des miracles? Nous soumettons la question aux savants spécialistes en pathologie nerveuse e
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
on ne cherche à invoquer l'hypnotisme en faveur de l'accusé. Aussi la question est-elle du plus pressant intérêt, non seulement
z M. Beaunis, en compagnie de MM. Liébeault, Bernheim et Liégeois. La question des suggestions criminelles fut naturellement mis
pas pris ; « Ce sont des farces, quoi ! » Conclusion : le sujet en question avait peut-être en lui le germe du vol ou, si vou
disculper M. Bernheim, en se faisant plus mauvais qu'il n'est? Que de questions sans réponse possible ! IV. M. Liégeois va di
ner de l'arsenic à boire à M. D..., qui a soif. Mais M. D... fait une question que je n'avais pas prévue ; il demande ce que con
direz que c'est de l'eau sucrée. » Et Mme C... répond à une nouvelle question : « C'est de l'eau sucrée. » Très bravement, M. D
imulé et la scène imaginaire. Nous venons de voir M. D... faire une question à laquelle M. Liégeois ne s'attendait pas, et qui
é prévu ; que M. Liégeois ait mis Mme C... en garde contre toutes les questions qu'on pouvait lui faire; que M. Bernheim ait bien
omparaison du neurone avec l'amibe peut éclairer encore bien d'autres questions que celles ici indiquées. Pour en signaler une en
ommés au concours. La première épreuve est une épreuve écrite sur une question tirée au sort. Pendant la composition du dernie
parées d'avance. Un quatrième, plus loyal, se retire, en déclarant la question au-dessus de ses forces. Que fait le jury en ap
et décide de faire recommencer la composition écrite sur une nouvelle question . Cette incroyable décision a été acceptée par l
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
Il dirigea comme rédacteur en chef le Bulletin de thérapeutique. Les questions d'hypnotisme et de psychothérapie ne l'avaient pa
atoire, ne ressemblent en rien à des crimes véritables. Si un jour la question doit être tranchée, elle ne le sera que devant la
le moment, je me borne à cette conclusion purement négative. Mais la question est abordable par un autre côté que l'expé- (1)
idées élevées et au courant de beaucoup de choses, était ignorant des questions d'hypnotisme. Pour ce monde-là, suggestion ou h
devenue une branche lucrative d'industrie. Lorsque Charcot aborda ces questions , ce fut un grand émoi. On lui représenta qu'il se
la probité professionnelle, il est toujours resté indifférent à toute question de gain. Dans les dernières années de sa vie, sa
nts, n'examinassent de plus près les faits rapportés dans le livre en question ? Pour eux, et cela ne peut faire l'objet d'auc
de Lourdes. Pour revenir au livre de M. Boissarie, où il est aussi question de la clinique de Lourdes, j'y vois bien la compo
uter que ce jugement n'a pas été frappé d'appel de telle sorte que la question se trouve aujourd'hui résolue en sens divers par
rs et par le tribunal de la Seine. Voici dans quelles conditions la question se posait devant le tribunal de la Seine : Le z
st ce qu'il est impossible de voir dans la discussion de la loi. La question est donc restée entière et il faut la résoudre la
lui est fermée, qu'il saisisse la première occasion de faire juger la question après un débat complet en le conduisant, s'il est
du conférencier, qui a conclu en ces termes : « Lourdes n'est pas une question d'ordre scientifique; le miracle est partout. C'e
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
rtait de ce rôle dès qu'on l'interpellait : alors, elle répondait aux questions qu'on lui adressait et se laissait conduire par s
tisfaisants et permanents que la « cure miraculeuse n de la malade en question , accomplie-par l'immersion dans la source de Sain
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
faux témoignages suggérés. — Les attentats contre les hypnotisés. — Questions de déontologie. n. D. — Le cours sera complét
lusion, je ne le sais; mais il importe de résoudre cette intéressante question de la transmission, aussi j'ai résolu de soumettr
e traitée avec succès par la suggestion, notre président à soulevé la question si importante du diagnostic différentiel de l'att
péroraient, et péroraient en latin. Puis l'impétrant répondait à des questions fixées à l'avance. Et on le déclarait solennellem
« Le progrès marchant avec le temps, la thèse devint française et les questions disparurent. Puis on n'admit plus que celte thèse
isons pour assainir les maisons, enrayer les épidémies, améliorer les questions d'assistance, restreignent de plus en plus les ch
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
mpte de son trouble mental, etc. Mais nous ne pouvons entrer dans ces questions , que nous avons étudiées ailleurs et qu'il suffît
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
64 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e par toute autre cause. Dans les petits centres de l'Allemagne, la question semble moins avancée. Il faut être, cela se con
7 Je vous rappellerai tout à l'heure comment s'est constituée la question de la paralysie faciale chez les hystériques et
hystérique'. Déjà M. Ballet, au commencement de 1890, abordait la question par la présentation d'un malade ÿ. Quelque temp
eurs tout à fait dignes de foi et compétents, bien au courant de la question , et connaissant en particulier les déviations q
se trouvait a renversé et tué un soldat. Elle répond à toutes les questions sur son enfance, sa santé antérieure, son admissi
e le soumettre à un examen plus spécial. Quant à l'historique de la question du rétablissement des mouvements après une lési
de renseignements pour résoudre d'une ma- nière satisfaisante cette question . Mais j'y reviendra plus tard. Je vais commence
des matériaux qui présen- tent un intérêt pour nous, en étudiant la question du rétablis- sement des mouvements après l'hémi
ice, est pour nous d'une grande importance, surtout, parce que la question d'une régénération pareille, qui peut expliquer l
W. Kusmine' qui s'occupait dans le laboratoire de Stricker de la question sur les voies conductrices dans la moelle du ch
trice de la moelle, on peut supposer avec certitude que l'auteur en question ne put y découvrir d'élé- ments régénérés; cett
al. D'après les indications littéraires que je viens de faire, la question sur la possibilité de la régénération des élément
ncerne les classes supérieures les oiseaux et les mammifères, cette question pourtant pourait être résolue plutôt dans le se
ippocampique de sa base d'adhé- 'renée, on constate que le ruban en question s'élargit et atteint 3 ou 4 millimètres. ' En
vés par la région motrice laissée intacte, il ne peut toujours être question que d'une action à distance. Aussi bien, suivan
ération de l'excitabilité électrique. P. K. XIII. Contribution A la QUESTION DE la PROPRIÉTÉ ÉPILEPTOGÈNE DE LA ZONE POSTÉRI
n- tanée non suppurée chez l'homme. Le premier groupe dont il est question ici embrasse des types analogiques qui se rapproc
res fines conjonc- tives qui circonscrivent les grosses cellules en question , et les étouffent par rétraction (sclérose abou
elle reprend sa forme normale. P. KERAVAL. XXV. CONTRIBUTION A L\ question DE la fonction DU CERVELET; par W. Bechterew. (
homme. De la vision chez, les imbéciles et les idiots, tel était la question que les concurrents avaient à traiter. Après le r
à laquelle ces dernières ont donné lieu. 3. M. RFPMANN, étudiant la question du remplacement dans l'électl'otliérapeutique d
'ensuit, M. le professeur Kojewnikof fait remarquer l'intérêt de la question en ce que la clinique des maladies nerveuses es
nées. En examinant comparativement 100 gardiennes et les malades en question , on trouve la proportion de 1 à 41 psycho- path
sible de voir un rayon de lumière sans nous formuler en à parte ces questions : d'où vient la lumière ? quelle espèce de lumi
voient leur affection s'aggraver par la solitude. C'est au fond une question d'espèces. Discussion. M. ALTER. Effectivement,
e trai- tement au lit soit de notable utilité. C'est avant tout une question d'espace et de personnel. Lorsque, comme à Hube
férente chez le même individu. A cette occasion, l'auteur étudie la question de folie paralytique et de démence paralytique
. Ouverture du Congres. Nomination du bureau. Discussion sur la Ire question à l'ordre du jour : Du rôle de l'alcoolisme dan
ût : A. A 9 heures du matin : Deuxième séance. Discussion sur la 2° question : De la responsabilité légale et de la séquestr
sécuteurs. B. A 2 heures : Troi- sième séance. Discussion sur la 3° question : De l'assistance des épi- leptiques. Mercred
e l'Assistance publique ait été appelé à donner son avis sur c ette question . La session réglemen- taire de ce conseil, qui
r, afin qu'on puisse avoir plus rapide- ment la consultation sur la question des aliénés. La commission a décidé de déférer
Lyon 1891. -Ce Congrès se réunira à Lyon, le lundi 3 août 1891. Les questions du programme sont : 1° Du rôle de l'alcoolisme
ileptiques. Rappor- teur : M. le or P. Lacour. Les rapports sur ces questions seront envoyés à chaque membre adhérent, un moi
? FAITS DIVERS. d57 grès de ce genre et chaque année, le médecin en question va y assister; mais, jusqu'à présent il y est a
et vous reconnaîtrez que je poursuis un but plus sérieux. C'est une question de diagnostic. différentiel que je vais agiter
e cas présent, une con- séquence pratique des plus importantes : la question du traitement apparaît maintenant sous un tout
stater, et ils font absolument défaut. Ici vient se poser la même question d'interventibn chirurgicale que dans le cas pré
émence stupide, répond à peine, par quelques mots à voix basse, aux questions les plus bienveillantes. Les yeux devien- nent
); cela doit avoir pour nous un sens parti- culier par rapport à la question de l'existence, chez le cobaye, l'entre-croisem
paralysée. W. Kusminc (l. c.) était déjà occupé de cette der- nière question et il a démontré que les nouvelles voies des im-
de bifur- cation. Il ne faut pas juger de la longueur de l'arc en question par celle qui est représentée dans le schéma. L
paraissent un peu trop sommaires pour pouvoir éclairer utilement la question , qui est vraisemblablement loin encore d'être é
rcie d'abord M. le Dr Rousset d'avoir nettement exposé l'état d'une question si facile en controverses et d'avoir fait resso
ereau ouvre la seconde séance pour continuer l'étude de la première question du pro- gramme. La parole est donnée à M. Cam
une part et la paralysie générale de l'autre, mais sans trancher la question de la prédisposition particulière signalée comm
lle affirmation; au Congrès de Berlin, où l'on s'est occupé de la question , aucun des micrographes compétents n'en a parlé.
'il a lui-même constatées dans les cellules, indé- pendamment de la question de date de ces lésions. M. MORDRET lit ensuite
observer que la discussion dévie de son but primitif. En plaçant la question sur le terrain de l'anatomie pathologique, il c
othèses plus ou moins attrayantes ne parviendront pas à trancher la question de priorité entre l'altération conjonctive ou c
ielles le rôle principal. Mais il y a mieux à faire pour avancer la question , c'est de mul- tiplier les statistiques relativ
ent la provoquer. Le Congrès passe ensuite à l'examen de la seconde question . M. le Dr COUTAGNE, médecin expert près les tri
bilité légale et la séquestra- tion des aliénés persécuteurs. Cette question devient chaque jour plus intéressante et plus a
pants à l'appui, les caractères de ces malades. Abordant ensuite la question de responsabilité, il pose en règle générale que
genre de malades qui communiquent le plus fréquemment la folie. La question de la durée de la séquestration est des plus dé
ander l'acte] délictueux; 2° le médecin étant tenu de répondre à la question de la responsabilité légale des aliénés, nous s
: l'une se rapporte à l'acte, l'autre à l'in- dividu. Quant à la question de la durée de la séquestration quell. Cou- tag
ut longue, alors que M. Charpentier la demande courte, c'est là une question qui intéresse plutôt le médecin d'asile, qui po
- Présidence DE M. Ladame. - Les débats étant clos sur la deuxième question , M. LADAME donne là parole à M. Lacour pour la
s ; les uns sont justiciables des asiles et ne rentrent pas dans la question spéciale qui occupe le Congrès. Quant à l'épi
débat en rappelant l'importance de ces faits au point de vue de la question médico-légale d'épilepsie simulée. MM. Cadéac e
médecins compétents auquel se ramène toujours, en défini- tive, la question si délicate à trancher. , M. GiRAuD rappelle le
s'en occuper. M. ÏHHVEXET indique au Congrès où en est l'état de la question de la révision de la loi, il engage le Congrès
ui viennent de se dérouler, pour éclairer la commission d'étude. La question des jugements d'internement peut avoir les plus
vulsives exactement semblables à celles de l'hystéro-épileptique en question , fatigue consécutive, anémie. Aucun médicament
FAITS DIVERS. 293 pu répondre que par des mots inintelligibles aux questions que lui a posées le juge d'instruction. Ce fa
ntes, 28, rue Serpente, le lundi 20 juillet, à quatre heures. Les questions mises à l'étude étaient les suivantes : 1° Des ra
ement, ils ga- gnentquelque argent, sortent et rentrent bientôt. La question reste toujours posée de la création pour les al
missariat, lui avaient administré une maîtresse volée. A toutes les questions qui lui étaient posées, cet FAITS DIVERS. 301
u début de ce travail, il nous semble indispensable de soulever une question préjudicielle de terminologie. On trouve, à chaqu
a donner. « C'est à la statistique, disait Briand, de tran- cher la question ; que chacun de nous apporte des observations et
aindre, et même sans se demander pourquoi, se poserait enfin' cette question : « Pourquoi m'en veut-on ? Pourquoi police, jé
conséquent, son observation est la 76°. Récemment, la maladie en question a été l'objet d'assez fré- quentes observations
affection du nerf sym- pathique. Nos connaissances de la maladie en question se trou- vant donc être encore insuffisantes, c
nsciencieusement et défaisant même les lits pour cela. A-` diverses questions qu'on lui posa, il ne répondit rien. Une fois c
condes après lequel réveil incomplet qui lui permet de répondre anx questions qu'on lui pose. Il pleure et se plaint de souff
t ne veut rien manger. 38°,2. 2. - Amélioration. Il répond bien aux questions . - Il a eu deux accès ce malin. T. R. 3 riz,8.
- Il a eu onze attaques depuis hier. Il est abruti; répond mal aux questions , mais entend bien et a la parole libre. Les pupil
que; par le Dr CAMUSET. (Ann. nzédico-psychol., février 1891.) La question des rapports de la syphilis avec la paralysie gên
bien faites permettront d'élu- cider un des points importants de la question : « La syphilis est-elle un facteur étiologique
taines races sont-elles réfractaires à la maladie ? telles sont les questions à la solution desquelles M. Meilhon apporte que
térieurement tel ou tel élément psychopathique dans le complexus en question . C'est pourquoi la dissociation de l'idéogé- nè
d'indéniables bienfaits. 3° Qu'enseigne la bibliographie sur cette question ? Rien de précis. M. SCIlI\OETER. -Cuuatelle de
judas, à pénétrer jusqu'au malade. L'étage supérieur du bâtiment en question est réservé aux femmes. Le chauffage des dix ce
s étaient souvent suivis de para- lysies flasques des extrémités en question . Aucun trouble de coor- dination. L'hémisphère
avec les cellules de Purkinje. L'altéra- tion des grosses fibres en question et l'intégrité des fibres fines, se poursuit da
ures et, quand on la réveille, elle ne retombe pas dans la crise en question . On l'endort en lui suggérant qu'elle doit dormir
se montrait encore agitée. J'ai réussi à conjurer ces crises. Toute question de supercherie doit être écartée dans l'espèce.
cohabité avec son mari actuel incontestablement syphilitique. La question a une grande, importance médico-légale. A plusieu
rouvent nullement l'abus de la cocaïne. 11 n'est en effet nullement question dans l'observation d'hypéridrose intense, d'éma
nique.' , M. 1\f¡TTENZWF.IG. II est à remarquer que le malade en question avait des hallucinations bien que depuis plusie
e vouloir bien me permettre d'appeler toute son attention sur cette question du personnel, de le supplier de demander à ses co
dical des asiles qui a fait ses preuves. Nous reviendrons sur cette question . (B.) 3 Ann. d'Hygiène publique et de Médecine
quelles causes réalisent l'une ou l'autre qualité ? Telles sont les questions dont M. Binet cherche la solution dans la troisiè
ateurs de la Salpêtrière et niés par les expérimentateurs de Nancy, question qu'à reprise avec des développements plus compl
; par le Dr ÂLUMAN. (Th., Paris, 1891.) . Après un historique de la question , l'auteur examine les aliénés criminels dans le
doit intervenir pour la mise en liberté. - Sans se prononcer sur la question de la responsabilité atténuée ou de l'irrespons
aux travaux si intéressants et si originaux de M. Séglas sur cette question . L'auteur semble du reste peu au courant de l'é
l'Etat tout entier. (Occidental medical Times, p. 569, 1890.) La question de l'assistance des aliénés qui sortent convales-
yse clinique plus approfondie et donner à l'administration, sur les questions d'interdiction, de capacité, de mise en liberté
tion préfectorale qui demanda son avis au médecin, à ce sujet. La question ne laissait pas que d'être embarrassante; car au
65 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
se passe autour d'elle, elle parle, répond correctement à toutes les questions qu'on lui adresse et si ce n'étaient les troubles
les spécialistes français ont conservé toute leur supériorité. Cette question de l'exploitation des procédés thérapeutiques, né
de ces magistrats clairvoyants, dont l'esprit est ouvert ù toutes tes questions qui permettent de mieux connaître l'homme, et qui
d un caractère complexe. Elle n'apportait pas encore de solution à la question de l'existence de l'Aphrodite barbue d'Amathonte.
ion a fait subir aux éléments nerveux. Et même, envisageant cette question d'un point de vue général, nous nous croyons auto
uement et séparer réellement de l'action psychologique ? Telle est la question que je me suis posée. J'ai voulu la résoudre no
. L'hypnose spirite Par m. le D' Demonxhy. Laissant de côté les questions de croyance qui tendent à faire du Spiritisme une
lllon, médecin-inspecteur des asiles d'aliénés, a aborde l'importante question des enfants turbulents et indisciplinés. Il n'y
présentées par le DrBé-rillon, la section a décide de maintenir cette question à l'ordre du jour de la prochaine session qui se
sion y sera abordée avec toute l'ampleur qu'elle comporte. Diverses questions concernant la pédagogie des anormaux y seront éga
garisées. Malgré les importants travaux qui ont été publiés sur cette question par MM. les Dr* Bouveret, Pierre Janet, Bérillon,
Pour t'en aider à ton besoing. P. Bailly, dans son livre intitulé : Questions naturelles et curieuses, paru en 1628, donne de c
nt dans un chapitre intitulé : Mysterium Baphometis revelatum. Il est question dans cette partie du livre, des chevaliers de Tor
X Preuves de l'Extase Or, cette crise d'extase est le nœud de la question , car c'est elle qui fit croire à la foule émervei
sité moindre chez les sujets moins entraînés; mais il n'y a là qu'une question de degrés; il est difficile de nier la suggestion
transmission des habitudes machinales du père (où il ne pouvait être question de l'imitation à cause d'une longue absence ou de
exactes nous donnera la possibilité de porter quelque lumière sur ces questions psychologiques d'un intérêt à la fois théorique e
sées en revue les opinions des savants et surtout des médecins sur la question , l'auteur trouve dans quelques unes qui émanent d
la réalité des idoles baphométiques. Les principales études sur cette question ont été ducs, en Autriche, à M. de Hammer-Purgsta
t par la ville de Spa. Toutes ces fêtes n'ont pas fait négliger les questions scientifiques. En effet, Indépendamment de rappor
sante innovation, c'est qu'une très large part avait été réservée aux questions de psychologie. Le rapport de Mlle Ioteyko, sur l
diffèrent avec les églises. A Maestricht, elle a une messe où il est question de la barbe — et sicut ad preces ipsius, quam con
e 1904, tenue par la Société d'Hypnologie et de Psychologie, il a été question du facteur efficace en hypnothérapie. Diverses th
e un traitement très long et très difficile à suivre. Revenant à la question de la suggestion appliquée pendant le sommeil nat
aux étudiants de tous ordres un enseignement pratique sur toutes les questions qui relèvent de la psychologie normale et de la p
it dégagé de toute préoccupation mystique. Ils ne s'intéressent à ces questions que dans le but d'exercer utilement leur esprit c
es professeurs Charrin et Gréhant. M. Charrin y traitera l'importante question des véritables et des fausses hérédités. Une plac
ses hérédités. Une place est également réservée, dans la Société, aux questions de Psychologie comparée. Un banquet suivra la réu
d'aller voir l'évêque Laurent. Notons aussi qu'elle sut traduire des questions posées en latin et y répondre même plusieurs fois
un oiseau. J'ordonnai à Satan de se taire et de ne répondre qu'à mes questions . Je mis alors l'étole sur la tête de la possédée
qu'il se tordait et se roulait plus violemment. Il répondait sur mes questions que la malade devait expier les péchés d'autrui e
tiles. En réalité, il les trouve très minimes et les explique par les questions posées par nombre de prêtres dans les exorcismes
fréquence de la simulation dans les accidents du travail en fait une question toute d'actualité. Les faits sont de nature à int
L'étude de la simulation est destinée à jeter une vive lumière sur la question toujours actuelle du parasitisme social. Le paras
un caractère particulier, il repose entièrement sur la simulation. La question de la simulation envisagée dans les rapports avec
mme être moral et comme être pensant, mais aussi de propager, sur les questions de psychologie, des idées saines confirmées par l
es conférences comprend des sujets variés, se rapportant à toutes les questions de psychologie. Les conférences seront présidées
table école dans laquelle un enseignement sera donné sur les diverses questions qui se rattachent à la psychologie. Les événeme
ur de nos confrères russes, pendant qu'ils délibéraient ainsi sur des questions purement scientifiques, des événements tragiques
s et commençâmes l'exorcisme. Mais Satan no répondait à aucune de nos questions . Lorsque nous lui mîmes l'étole autour du cou, il
na une voisine des parents de l'enfant. Le Père Aurélien continue ses questions . — « Combien de temps es-tu dans cet enfant? »
ble de supprimer à lui seul la troisième variété dont il vient d'être question . Dans ces cas, en effet, le trac dépend de l'asyn
sans une certaine appréhension que nous venons exposer devant vous la question de l'hypnotisme chez les animaux. C'est en effet
vous la question de l'hypnotisme chez les animaux. C'est en effet une question neuve, très controversée, et malgré nos recherche
. Pour pouvoir faciliter notre étude nous avons eu à nous poser les questions suivantes : Ia Peut-on hypnotiser les animaux ?
Io Peut-on hypnotiser les animaux ? A priori quand on se pose celte question ou qu'on la pose à des personnes qui s'occupent d
revue les différents animaux que nous avons pu observer et voyons la question pour chacun d'entr'eux et particulièrement pour l
ers avec une autre personne s'y prenant mal! N'y aurait-il pas là une question d'ascendant, d'hypnotisme? Réaction dans un cas,
rsque dans une séance ultérieure nous aurons répondu aux trois autres questions de notre programme, nous verrons à quels moyens i
sseur. Objet du cours : La méthode expérimentale : application à la question du bonheur. Les vendredis, à cinq heures, à parti
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces conférences portent sur toutes les questions qui relèvent de la psychothérapie et de la psycho
de l'Association à des conférences dans lesquelles sont traitées des questions scientifiques du plus haut intérêt. Parmi les
tes personnelles. Il nous faudrait un long espace pour examiner les questions qu'il a résolues et auxquelles son nom restera in
nce. » Chez lut le philosophe reparait encore lorsque, traitant une question qui lui est des plus chères, celle du cœur, le a
s créons ; c'est la clinique qui les offre à notre observation. Et la question de terrain apparaît ici dans toute son importance
e produire qu'entre les mains des ignorants qui ne connaissent pas la question . Une chose d'ailleurs ne laisse pas que de m'ét
rande bienveillance. Ne l'interrompez que peu pour lui poser quelques questions toujours très précises et très claires. S'il vo
ion. De l'une à l'autre, en effet, il n'y a qu'un pas. C'est là une question qu'autrefois nous avons longuement étudié Dumontp
elui de Mlle la D"w Joteyko, présidente du Congrès, avait trait à une question de psychologie. Plusieurs membres de notre Sociét
ésidente, le gouvernement Belge s'était fait représenter. Parmi les questions qui intéressaient le plus notre Société, le rappo
ne vie si misérable... et une si lourde voiture. Afin d'élucider la question du suicide chez les animaux, nous serions reconna
pallier et par son élève, M. Bërillon, comporte l'étude de toutes les questions qui se rattachent à l'étude expérimentale de l'hy
s de son séjour à Strasbourg, son attention avait été appelée sur les questions d'hypnotisme. Dans le service du professeur Gros,
ciations absolument enfantines, décelant une profonde ignorance de la question . A ce sujet, le professeur Spehl disait : « Ces
ns et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur toutes les questions qui relèvent de la psychologie appliquée, il m'a
'un ordre particulier, affectent d'attacher une grande importance aux questions d'occultisme. Mon ami Jules Bois, ayant eu, en 19
l'auto-suggestion une étude complète. Les travaux parus depuis sur la question n'ont pour ainsi dire fait que reprendre ses idée
sset parle d'hypnotisme en savant qui théoriquement connaît à fond la question . Je ne puis m'empôcher de me demander avec inquié
lui aussi son contingent dans la variété des phénomènes observés. La question du terrain apparaît ici encore, vous le voyez, da
é. C'était en juin et juillet 1902. Pendant qu'on se débattait sur la question de la possession, l'évéque Franqueville, de Rodez
uestion de la possession, l'évéque Franqueville, de Rodez, résolut la question en remettant la malade entre les mains des médeci
e devra toujours contenir et poser d'office en toute matière les deux questions suivantes : 1» Dire si l'inculpé était en état
iants de toutes les facultés un enseignement permanent sur toutes les questions qui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie
ité. En effet, depuis lors, plusieurs monographies onl paru sur cette question et il est certain que notre enseignement n'a pas
Dix années d'observations poursuivies sans interruption sur la même question me permettent de maintenir dans son intégralité,
pensées superficielles et d'exposés à peine achevés sur une foule de questions . Le lecteur qui désire s'orienter dans la questio
sur une foule de questions. Le lecteur qui désire s'orienter dans la question des « psychonévroses », se retrouve constamment d
dit : La suggestion à l'état de veille, la psychothérapie, c'est une question vraie et importante que chaque médecin doit conna
e sincérité M. Lévy-Bruhl finit par se dire : v II y a pourtant des questions d- conscience : au nom de quel principe les résou
». » M. Dubois a rouvert une enquête bien inutile, car toutes les questions dont il parle ont été résolues par Bernheim, Liég
une discussion, ont insinué qu'elle simulait le sommeil. En effet, la question de la simulation se pose, à propos de chaque cas
nt n'a pas réuni moins de 3.000 personnes — est venu me rappeller une question que notre éminent Secrétaire Général, le Dr Béril
onneur de vous demander de vouloir bien participer à nos travaux. Les questions suivantes, inspirées par le souci de l'actualit
ionnels ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxquels incombe la dél
urs à une puissance mystérieuse dans l'hypnotisme. Cela est une autre question ! Et si il. Dubois le voulait, il contribuerait à
ffisantes. On ne peut se contenter de mots eu l'air dans une pareille question ». AI. Dubois a écrit dans le Correspondant suû
ulafoy, alors que j'avais l'honneur d'être son élève. Voici le cas en question : Il s'agissait d'une femme de 47 ans, cuisiniè
âge, depuis combien de temps elle habite Le Caire, etc. A toutes mes questions elle répond très bien et à haute voix. Je ne l'
de côté la rareté des kystes hydatiques de l'estomac, ce qui est une question de médecine et de chirurgie générale, permettez-m
66 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
veaux développements. Traitement et éducation de la digestion. La question des aliments est d'une grande importance xl Tra
ave), et du système musculaire nous reviendrons en détail sur cette question . c) Mastication. Aux idiots qui ne savent pas m
trouvé que cette canalisation lui servirait peu et a ajourné cette question surtout en prévision de la séparation de la com
èvre, nous inclinerions vers cette dernière délimitation. Alors, la question de la participation de la commune nouvelle, le
ans votre jour- nal politique un résumé plus ou moins exact de la Question qui a été posée et discutée le 15 mars au Conse
lication s'est retrou- vée retardée. (2) La Croix du 13 mars. i Question de M. De ville. I. Question de M. Deville au
ardée. (2) La Croix du 13 mars. i Question de M. De ville. I. Question de M. Deville au sujet des expériences pratiquées
pué. M. le Président. L'ordre du jour appelle la discussion de la question de M. Deville au sujet des expériences pratiquées
que. M. Deville. En raison du développement que peut pren- dre la question inscrite à l'ordre du jour, je crois qu'il vaudra
! Non ! ) M. Archain. Le débat immédiat ou la suppression de la question ! M. Caumeau. Il est impossible de laisser pese
résolution suivante : « Le Conseil, considérant que la nature de la question posée par M. Deville au directeur de l'Assistan
e des observations physiologiques dont il s'agit, « Délibère : La question de M. Deville sera discutée en comité secret. S
judicielle de M. Georges Villain donne les résultats suivants : 6 Question de M. Deville. les explications que je vais lui
lien qui peut exister entre cette affaire et celle qui a motivé la question que j'ai inscrite à l'ordre du jour. Au cours
Ne pouvant obtenir d'explications directes, je leur ai posé deux questions , la première : Pensez-vous que les faits qui se
empécliées de se rendre complices d'une mauvaise action (B.). , 8 QUESTION de M. Deville. répandu si on en juge par la lar
fois par an pour les enfants au-dessous de 12 ans. Cela sulfit. 10 Question de M. Deville. « Le même procédé d'examen fait
ont appelé, d'une manière fâcheuse, l'attention de ceux-ci sur les questions sexuelles et fait naî- tre dans leurs esprits u
ète que je ne l'ai connu qu'en lisant le discours de M. Deville. 12 Question de M. Deville. espérait s'attacher pour l'organ
bon un inspecteur si c'est pour ne rien voir et tout admirer ? 14 Question DE M. Deville. d'après les mesures anthropométr
phelinat Prévost) ; mais le procès-verbal de la commission, non. 16 Question de M. Deville. entrer dans cet orphelinat. Je l
rt pour atténuer les faits est ici plus considérable. Il n'est plus question des faits que M. Bourneville reconnaît, mais du
voir fait désha- biller les enfants ; c'est vouloir faire dévier la question . Il n'est personne qui puisse trouver mauvaise
élations. , M. Caplain. Ce ne sont pas des révélations, c'est une question . , M. Deville. Je reviens à ce fait positif : d
i a une petite allure perfide. Bourneville, Bicêtre, 1894. 2 18 , QUESTION DE M. Deville. Eh ! Messieurs les médecins, qua
ations de M. Deville n'ont pas l'ombre de justification (B.-). - 20 Question de M. Deville. M. Deville. M. le docteur Bourne
iberté de faire les recherches les plus délicates ? Telles sont les questions que je pose à l'Administration. M. le Directeur
u la laïci- sation. (Très bien ! ) M. Weber. Ev c'est là toute la question . M. le Directeur de l'Assistance publique. Le d
et il n'y a dans l'exposé des deux méthodes d'autre différence 22 Question DE M. Deville. que celle de mots provenant de l
ai qu'un regret à exprimer, c'est d'avoir eu à répondre ici à cette question . Tous les jours, dans tous les hôpitaux, on se
ient qu'en le faisant j'accomplis une besogne inutile (B.). 24 .. Question DE M. DevIlle. j'ai, suivant les règles que je
assemblée ; mais au bruit qui s'est fait au dehors, autour de cette question , il m'a semblé, j'ai eu cette vague appréhensio
passés à Cempuis. Il semblait que nous discutions simplement une question de médecine alors qu'il s'agissait d'une ques-
neville, qui fut un des meilleurs ouvriers de la laïcisation ; 26 Question de M. Deville. . « Considérant que le mépr&
l'ordre du jour de M. Lam- pué, donne les résultats suivants : 28 Question DE M. Deville. si le Conseil avait eu à se pron
la lin de novembre 1890, qua- tre mois après la visite dont il est question . L'autre jeune fille, Rosalie Prend..., a quitt
, peut-être s'intéres- seront-ils à ces malheureux, et, traitant la question devant le public, contribueront-ils plus rapide
idiotie crétinoïde (2), composait une vérita- ble monographie do la question car nous avons passé successivement en revue l'
graphie afin d'aider ceux qui voudraient reprendre l'étude de cette question duce façon complète. Sommaire. l'ère, grand e
intelligente qu'elle ne l'est en réalité. Elle répond à toutes les questions qui lui sont posées. Ses réponses sont lentes.
t-Ferrand, où elle s'est introduite à propos de la discussion d'une question générale; puis à la Commission de surveillance
eur ayant sonmis au Conseil supérieur de l'assistance publique la question de la création d'asiles régionaux nationaux pou
ement sa responsabité. Le con- cours commençait le 2ô juillet. A la question que nous avons posée, de savoir ce que le Conse
ogistes cle Clcrmont- Fcrrand, qui avait mis à son ordre du jour la question de l'Assistance et de la législation relatives
nécessités pratiques et nous ne pouvons pas examiner isolément une question . Nous sommes obligés de la mettre en regard des
dés d'examen des enfants idiots et arriérés. A nos lecteurs - 3 Question de M. Deville au sujet des expé- riences pratiq
67 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
nos forces, à fournir quelques éclaircissements sur cette importante question . « Si le fluide nerveux n’existait pas, comme t
de nous trouver en opposition avec M. du Potet sur cette intéressante question . Ce célèbre magnétisle, qui mérite à tous égards
’opinion de M. de Humboldt est pour nous d’un poids énorme dans celte question , el malgré les expériences contradictoires de MM.
s’endort presque subitement A l’approche de ma main. Elle répond aux questions suivantes : Connaissez vous Cecilia ? — Oui.
uaient, nous devons le dire, de lumières nécessaires pour vider cette question ; car il s’agit de faits occultes que le magnétis
bien informés, ce médecin en serait encore à commencer l’étude de la question qu’il doit traiter. Son travail devant paraître a
la lucidité et l'extase1, donnent lieu à des révélations qui, sur les questions de l’autre monde, du monde des esprits , sont ana
des faits présentés dans le livre de Mesmer et Swedenborg rendent la question indispu* table. Cependant, nous lui répondrons qu
tenez plongés. Désirant ardemment savoir à quoi m’en tenir sur une question çi importante, je parvins à amener une gçmnambqle
t; Enfin, je rencontrai un sujet qui vint jeter un peu de jour sur la question et concilier les spiritualisles et les fluidistes
sent? Obtenez d’eux le moindre fait, une prophétie seulement. A cette question , leur bouche sera close et leurs voyants déconcer
ettre qu’on va lire, mérite d’être pris en sérieuse considération. La question soulevée par notre correspondant étant une de cel
s, peu de moyens ont été tentés jusqu’alor*. Il est trai, la grando question , et je dirai plutôt la trop grande question (car
Il est trai, la grando question , et je dirai plutôt la trop grande question (car elle les effraie) du magné- tisme, a été s
e les comparer et de les proposer. Je crois que le moyen de poser dos questions dans un journal est excellent pour arriver à une
soutenir des discussion» avec les hommes de l’art. Mais le docteur en question semblait oublier qu’il parlait à une femme, et qu
e ne m’étendrai pas davantage sur ces faits, qui sont en dehors de la question dont nous nous occupons plus spécialement, comme
its se reproduisant de tous côtés à la fois, soulèvent la plus grande question psychologique. La science est aujourd’hui dans le
ux disputes, en déchirant le voile qui enveloppait celte intéressante question . L’ouvrage dont le titre figure en tête de cet ar
avec le nôtre. Nous ne nous croyons pas assez savants pour aborder la question si profonde du magnétisme; nous voulons seulement
direz rien, reprit le président. U Ah ! faites, s’il vous plaît, la question , ripostai-je. v e r « Alors le président prit
écrit le nom de Paulonia imperialis. « A peine avais-je posé cette question , qu’un changement subit et incroyable, pour moi d
clésiastique distingué pouvait très-bien apprécier les expériences en question ; il pensa, comme nous, que le sujet de M. Gandon
afin qu’il fût présent aux débats dans le cas où on y traiterait une question de théologie. M. Cazin , médecin. Le prévenu s’
ant le somnambulisme, soit même eu dehors de cet état. Ce sont là des questions immenses, qui appartiennent plutôt à la métaphysi
e démonstration superflue. Dès qu’il eut achevé l’étude des pièces en question , il se fit un plaisir d’informer le docteur de sa
de douloureuses et dangereuses maladies. Nous ne savons pas s’il est question d’entretenir ou de rouvrir l’hôpital mesmérique;
és, mais bien dans une version anglaise, comme le témoigne l’écrit en question . Mais quel anglais ? Est-ce l’anglais qui traduit
commentaires et d’interprétations intéressées. « La communication en question , dit-il, m’a été réellement envoyée par le jeune
quoique j’eusse mon manuscrit sur moi, désirant lui proposer quelques questions relatives à l’exactitude de ma traduction, je tro
les extraits) copiés directe-ment et matériellement dans l’ouvrage en question ; ou bien, transmis de l’esprit de quelqu’un, sur
dit (page 194) : qu’il regrette d’être obligé d’avouer que, dans les questions de théologie et spécialement sur le sujet général
yserons, ce sera un fait de l’esprit humain. 11 s’agit donc ici d’une question purement philosophique el nullement théologique.
uditoire était 011 ne peut plus compétent pour apprécier une pareille question . Celte première partie de la cérémonie avait co
veau , le monde des esprits , s’est révélé et m’est apparu. Que ces questions immenses (celles des esprits), appartiennent plut
pas un agent; or, qui le met en jeu? L'âuie, sans contredit. Toute la question est donc de savoir si lame a besoin de cet agent
Ordinaire. Les faits, bien plus que les opinions, éclaircissent les questions embrouillées; il faut donc recueillir tous ceux q
ens de vous rapporter pourraient contribuer à l'éclaircissement de la question , j’ai voulu , dans l’intérêt de la science, vous
il établit d’abord qu’il n’avait aucun rapport avec l’association en question , puis il chercha à démontrer que la politique n’é
que individu, presque savant en magnétisme, voulait poser lui-même la question sans intermédiaire, le cornac répondait que son f
ains. Sa pensée, toujours active, cherchait surtout la solution des questions psychologiques que soulève le somnambulisme et l’
progrès pour l’art mesmérien appliqué à la thérapeutique ; c’est une question de doctrine qu’il faudrait examiner, et nous n’av
de livres les plus estimés, afin de tenir le public en haleine sur la question magnétique. C’est à ce titre que ï Abeille du u f
rtout des médecins instruits, doit avoir une grande influence dans la question qui s’agite en ce moment sur toutes les parties d
, à la Revue d’Anthropologic catholique : « J’aborderai bientôt une question fort controversée par les hommes de l’art; mais c
sur des théories en opposition avec des faits bien constatés Cotte question est celle, de /’appréciation qu'on doit faire des
faire Manning. Le Courrier des États-Unis faisait suivre l'article en question de la réflexion suivante : « Ce résultat (la no
Le voici : « Considérant que, sans qu’il soit besoin d’examiner la question très-obscure et très-eonîroYCrsée de la jouissa
t de magnétisme que M. Riéder a été condamné; le tribunal a écarté la question comme ne lui élan t pas bien connue, et a fondé s
précie la valeur de vos recettes! Mais nous préjugeons de liau- tes questions ; laissons la procédure suivre son cours, et nous
nt devenus l’objet. Personne ne s’étant jusqu’alors occupé de celte question , je crois devoir prendre l’initiative d’une convo
e sur mon honneur sacré que jamais je n’ai vu ni connu la personne en question . Nous arrivons rue Saint-Georges, 56 ; je sonne,
urs d’entre elles, on avait annoncé une discussion approfondie sur la question de savoir si le somnambulisme est ou n’est pas un
es jours derniers. — La Société magnétique qu'il était dernièrement question d’établir à Turin, n’a pu parvenir à se constitue
ourd’hui, après plus de vingt an nées de ces luttes scientifiques, la question semble ne pas être résolue par les magnétiseurs e
manque d’un comment et d’un pourquoi naturels. Ce qui embarrasse la question , ce qui fait diverger aussi profondément les opin
iment-clles des propriétés diverses, selon les désirs ou les besoins? Questions d’un haut intérêt, sans doute, mais que je ne pui
quefois perdant sa clairvoyance. Je ne ferai pas intervenir dans la question du fluide magnétique les déclarations des somnamb
t son influence réelle dans la magnétisation ; ces deux parties de la question discutée par mes honorables confrères Ordinaire e
nétique, et sur le rôle qu’il joue dans tels ou tels phénomènes. La question est trop ardue pour qu’on la puisse résoudre de p
faire, je ne suis jamais parvenu à lui arracher un mot de réponse aux questions que je lui adressais par la pensée. Donc, mon vou
objets. Je cessai bientôt ce jeu , et, de la journée, il ne fut plus question de magnétisme. Le collégien sortit vers midi, et
- cluant en faveur du fluide , dont l’existence est actuellement en question . Recevez, monsieur le Président, l’expression d
ter le résumé à ceux qui ne lisent pas le Journal du Magnétisme. La question déb^tue entre ces deux médecins est de savoir si
e en jeu spirituellement par la volonté. C’est encore, on le voit, la question du spiritualisme et du matérialisme transportée s
x-Arts, n° 5, chez la Sibylle moderne. Dans cette réunion, diverses questions d’une haute importance seront soumises à l’assemb
émies (1) C’est de la Société Philanthro-Magnétique dont il est ici question ; mais les motifs de sou refus ne sout pas ceux én
ns de toute pénalité; « 3° Si les opinions et avis exprimés sur une question quelconque, soit médicale, soit de prévision, don
du paganisme contre le christianisme, etc., etc. « C’est que cette question , qui parait si simple à son origine, grandit à m
r ; il en est de même de l’eau magnétisée . dont il n’a nullement été question ; il en est de même par conséquent de la prétendu
e et du sombulisme peut el doit être défendu. Mais, jusqu’à ce que la question soit vidée judiciairement, nous continuerons, nou
ui ofi viendra s’opposer aux tendances du parquet, mal instruit de la question , l’influcnce de milliers de noms, parmi lesquels
un extrait du procès-verbal de la séance du ier août, relatif à cette question . w • >..........M. Mongruel ayant voulu me
tase, et pourtant convaincu. Ces phénomènes soulèvent les plus hautes questions de la psychologie, et il est vraiment étonnant qu
ieuse, mais est-elle bien satisfaisante? Ne ressemble-t-elle pas à la question même posée en d’autres termes? Quoi qu’il en soit
es dieux eux-mêmes. Aujourd’hui ce n’est plus pour nous qu’une simple question de psychologie ou de physiologie. La vie du som
s. Le lendemain, je racontai ce tour de force à la dame dont il est question . J’excitai ses éclats de rire ; elle crut que je
tion qu’en fait l’organe de la vision dans ses délicates réfractions? Questions insolubles I Abîmes, que l’esprit humain ne franc
pour but de prouver que vous n’avez pas commis les faits dont il est question , ou doivent-ils seulement révéler des faits qui p
émoignages tendant à établir la moralité de l'affaire? Mc Favre. La question est celle-ci : les époux Mongruel, en employant l
r l’audition des témoins Lopresli et femme Barotte, el leur poser les questions suivantes : Au témoiu Leprcsli : Mm0 Mongruel n
s les faits qui ont trait aux trois chefs de prévention ; « Que les questions nouvelles précisées aux conclusions prises par le
de leur imagination. Je me propose d’aborder par la suite cette haute question psychologique, lorsque j’entrerai dans quelques c
68 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es volé de l'argent à ses compagnes, elle ne l'avoue que pressée de questions . - La dose d'élixir est portée de 1 à 4 cuiller
; par l\\'.\NOFF, (Xeurolog. Centralbl., XX, 1901.) Résumé de la question des mouvements amoého'ides des pro- longemenls
tenus pour parties constitutives intégrantes des pro- longements en question , ainsi qu'il appel't de leur coloration au bleu
BIELSCHOWSKY, (Neurolog. Centralbl., XX, 1901.) Con- tribution à la question de la régénération de la moelle ; par A. Eicrle
tructure de fibres nerveuses périphériques. Les libres nerveuses en question étaient donc bien néofoL'l11l'L'S et non des li
de sclérose en plaques, par 31. litNL5CIi0\'SKY.-Contribution à la question de larégé- nération des fibres nerveuses dans l
u'a l'endroit où elle possède le plus fort diamètre, le faisceau en question occupe la périphérie postérieure et externe de
e la moelle, ainsi qu'a certaines lroplfuu3v roses. Chez l'idiot en question , on peut admettre que c'est la constitution déf
du nerf optique et de la macula, uliu de résoudre définitivement la question de la dégénérescence symétrique de la lâche jaune
decin du l'asile d'aliénés du Sailll- Yun (Seine inférieure). Les questions suivantes ont été choisies parle congrès de Pau
ugale publiées, et permet de donner une solution déjà meilleure aux questions que soulève le fait de cette même maladie surve
tées les observations connues et la bibliographie qui a trait il la question de la paraly- sie générale conjugale, dont le t
era pas de le frapper ; c'est que, dans les réponses il sa première question , les avis ne seront pas unanimes. Tl se trouver
t cela leur évitera la peine de formuler d'autres réponses aux deux questions sui- vantes. Le Ministre qui a bien voulu s'i
joints. Grâce à ces dissidences graves sur le principe même de la question , principe que tout le monde pouvait croire depu
i ne répond plus du tout aux idées, aux desiderata du jour. ' Une question se pose avant tout : Veut-on, oui ou non, éleve
orateurs. Aussi bien sont-ils excusables : il n'y a dans toutes ces questions qu'un responsable, c'est notre mu- raille de Ch
. Eh bien ! et ceci devrait être l'unanime réponse il la deuxième question de ]3oiiineville, le seul remède con- siste dan
s d'Outre-llillin, lorsque nous nous entretiendrions avec eux des questions d'assistance des aliénés. En attendant, que les
, 1904.) llamon y Cajalasignafettans la couche finement grenue en question des libres qui, provenant de cellules de la couch
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. \\11L-Contribution à la question de la papille étranglée ; par W. UHTHOFF. (Xeur
lieu de multi- plier les recherches scientifiques sur ce sujet. La question de la revue d'anatomie ET de physiologie pathol
du centre intéressé. Il est 1res dangereux d'utiliser pour celle question les maté- , riaux fournis parla paralysie, géné
,3 exemple, ne pouf trouver le terme d'un objet désigné. Il n'est question , dans ce mémoire, que de l'amnésie verbale par lé
ce qui donne de la valeur au pl[(;l1omènl'dan ll' cas morbides en question . P. KEIU\'AL. REVUE DE THERAPEUTIQUE VU. Acti
malade va à \'al'so\ie où en 14 jours on pratiquâtes injections en question . Dès lors cessation complète des douleurs; le tab
de naissance par fonte purulente des yeux. Il ne pomaitdoncpas être question de déviation par hémianopsie ; 2° la déviation
s. .,1. SruMpt' (de Pcnlin). - Il a élé, en Allemagne, grandement question d'un cluval savanl, nommé flans, dont les acles o
de à penser librement. C'el, l'n efl'L,t, Jà qU'l'sL lc noeud de la question . En se conformant à des signes qui lui sont faits
Wahl commence par montrer l'importance que présente en pédagogie la question des enfants anormaux-; il n'est pas d'ins- titu
oute personne s'occupant d'éducation devrait être au courant de ces questions . La pédagogie normale ne peut que tirer bénélic
gereux; 4° les dégénérés malfaisants, L'auteur traite d'abord de la question des aliénés criminels en France, en insistant s
'aliénés criminels de graillon. Tous les documents concernant celte question sont ex- Il rés dam un chapitre que l'auteur te
Les médecins aliénistes et toutes les personnes qu'intéressent les questions d'assistance trouveront un profit considérable à
: MM. Courbon, Froissait, Mlle ( : rünslwn, )1. lluurillml. ' Les questions qui oint fait l'objet des épreuves du concours on
qui oint fait l'objet des épreuves du concours onL les suivantes : Question écrite : Symptômes et diagnostic de lo cirrhose
e alruphiquc. Symptômes, diagnostic et traitement de la coxalgie. - Questions orales : ]"0 séance, Plancher du 'le ventricule
ssures calcarine et parieto-occipitate se rejoignent, il n'est plus question de foyer. La profondeur de la lésion est variab
l (v. llonal : ow)... " Nous ne saurions terminer sans aborder la question des fonctions de Fli. 18S ANATOMIE PATHOLOGIQ
ingent delà démence précoce. Mais pour ne point nous heurter il une question de doctrine qu'il ne nous appar- tient pas de t
lui présentait, et par méfiance il résolut de ne plus répondre aux questions posées. Puis, à la longue, les idées délirantes
e que le refus d'aliment et le mutisme, aussi bien que la phrase en question , furent primitivement orientés par une idée dél
ances, président le plus souvent à l'accomplissement de l'acte eu question , ne semblent pas indiquer que cet acte soit net
ans un état de torpeur qui pourra rétrocéder dès que l'influence en question cessera de s'imposer. A ce groupe d'accidents p
aiblissement. Il semble donc que les attitudes et les mouvements en question . 203 CLINIQUE MEN1AL1Î. contemporains de la p
ut être duc a l'apparition particulièrement fréquente des images en question dans le champ de la conscience, sans rien préju
pose à toutes les personnes qu'elle rencctn- , .. tre unc série de questions : « Comment vous appelez- vous ? Quel métier fa
sent ce qu'il dit ou ce qu'il fait, et si la parole ou l'acte en question mérite d'être considéré comme une véritable exp
ve, nous devons reconnaître que l'état démentiel du dément précoce, question d'évolution à pari, n'est pas un état démentiel
pas s'étonner si les diffé- rents auteurs placent le plténpmène en question aux de- grés hiérarchiques les plus opposés de
as échappé aux anciens psychiatres. A un point de vue spécial, la question peut être posée sur un autre terrain. On sait e
la période active de la maladie ? ' ? Avant de répondre il cette question , il est une contra- diction apparente que nous
uer qu'eu pareille circonstance, les attitudes et les mouvements en question sont généralement escortés de phénomènes intens
ez rapidement l'observateur attentif et qui distingue l'activité en question d'une activité com- plètement normale : ce quel
ica metlica, 1904, n° 2G.) - Après avoir rappelé l'historique de la question , les auteurs rap- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ions, de l'ouverture pupillaire ' ? Pour ré- soudre complètement la question il faudrait connaître les modifi- cations que l
'abord deux observations personnelles dont la première a Irait à la question de savoir s'il s'agit d'une hystérie traumatique
urtout moral, y compris électricité, magnétisme, sugges- tion. La question de la simulation est difficile à résoudre. L'aveu
. être mis à la fête d'un service de chroniques. Pour trancher la question de la proportion des médecins, il faudrait, à m
re de voir sans doute trop générale, et il y aurait à envisager des questions d'espèces) ; puis constituer alors avec les aut
mps encore, je le crains, la réalisation de cette réforme, c'est la question d'argent, les asiles de prov ince en dehors des
n'ayant jamais pu apprendre à lire, répondant par monosyllabes aux questions qui lui étaient posées, s'est amélioré d'une fa
résume brièvement ses importantes recherches sur cette intéressante question , recherches'qui ont rendu possible l'explicalio
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 299 pies à l'appui sur toute la question traitée est à lire en entier ; cela ne s'analys
er ; cela ne s'analyse pas. P. KERAVAL. LXX111. Contribution à la question des nerfs conducteurs delà chaleur et du froid
a Charcol et à ses élèves, que revient l'honneur d'avoir élucidé la question du tic et d'avoir montré que le tic est le corr
e pendant trois mois et demi, et présente les symptômes combinés en question . Elle en meurt. Autopsie impossible. L'au- leur
nne syphilitique, égale- ment discutées avec le plus grand soin. La question de l'ori- gine traumatique de l'épilepsie chez
des foyers, le résultai du traitement spécifique, décidèrent de la question , en lace des sligmales orga- niques de l'alcool
de vue judiciaire delà responsabilité pénale. Elle étudie aussi les questions qui se rattachent it la capacité civile, l'inte
(Centralblatt (iir NaveJ1heilh., XXV, N. F., XIII, 190 ? .) Cette question touche au conflit des intérêts les plus divers et
impossible dans un asile de le soumettre à un régime spécial. Et la question des évasions est, de même que celle des sorties
, sans trahir la confiance que l'on a eue en eux. Malgré cela, la question de la sécurité publique s'impose. La question d
ux. Malgré cela, la question de la sécurité publique s'impose. La question de la sortie n'est pas moins inquiétante, parce q
tions du jugement moral et de la sphère intellectuelle. L'examen en question devrait être , complété par l'examen détaillé-
on, afin de contrôler nos idées antérieures, nous avons repris la question , et c'est le résultat de ces nouvelles recher-
ulence convenable et qui répond avec vivacité et intelli- gence aux questions qui lui sont posées. L'étal général est satisfa
s. Car la vision binoculaire n'existe réellement, il ne peut être question de vision binoculaire, que si les deux yeux per-
'oeil sain, lait disparaître 1 amblyopie de lu'il malade, c'est une question qui, pour le moment, nous parait assez difficil
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES LXXX1Y. Contribution à la question de la sensibilité vibra- toire (osseuse),pal' E
transmission de la sensibilité vibratoire, et qu'il ne saurait être question de la localisation exacte de la sensation vibra
coupe transverse et h')I'ÍzJntale de la moelle dans les régions en question . - L'innervation postérieure se fait par groupe
A la suite de longs développements consacrés à l'historique de la question , les auteurs publient une observation excellente
pas d'incontinence. 5° Le ramollissement bilatéral des ganglions en question s'ac- compagne de troubles caractéristiques de
epelin. Avantages du traitement des aliénés par l'alitement : cette question n'est pas encore résolue. L'application à la ps
d'un enfant crétin atteint de ni le corps thyroïde d'un mouton, la question s'est considérablement élargie et la méthode op
avaux pu- ])Iiésstii, les rayons X. Il montre l'importance de cette question qui concerne l'histoire de la science et, plus
oppés, répondront : « .le ne sais pas », s'ilsne comprennent pas la question ; les autres per- sisteront, dans l'infantilism
titut pédagogique pour enfants nerveux, débi- les ou maladifs. - La question de l'enfance anormale est sérieu - sement à l'o
decins des Asiles voudront bien leur adresser sur cette importante question . B. VARIA Prix de l'Académie de médecine. P
'organisation des asiles d'aliénés. Prix Cil'1'Íeu,I' : 800 francs. Question : du rôle de la syphilis dans les maladies de l
tribuée à M. le Dr Jacquemart (de Paris). Prix Falret : î00 francs. Question : la neurasthénie ;Ixttlzogé- nie et traitement
ix pro- posés pour I ! 107 : Prix Civrieux : 800 francs (annuel). Question : La syphilis spi- nale.- Pri ? 1,'ttl)-et : 10
: La syphilis spi- nale.- Pri ? 1,'ttl)-et : 100 francs (biennal). Question : De l'état men- tal des dipsomanes ; Prix 1'hè
sez nombreux qui.en France et à l'Etranger, s'étaient occupés de la question . Tous, en effet, avaient suivi Musch qui le pre
t dan- gereuse la présence de corps étrangers chez les malades en question et obligent le clinicien à prendre des mesu- re
s maladies mentales et nerveuses. M. Paris aborde ensuite une autre question très im- portante. « Cependant, est une quest
nsuite une autre question très im- portante. « Cependant, est une question sur laquelle je crois utile de re- venir, bien
chaque fois des idées neuves ou des faits nouveaux sur différentes questions de médecine mentale, de médecine légale et d'an
Congrès scientifiques, aussi bien chez nous qu'à l'é- tranger. Les questions qu'il y traita eurent parfois une haute portée
act exquis et un tour de main d'une rare habileté, il ramenait à la question sans qu'il y eût de part ni d'autre aucun frois
s infirmiers des asiles d'aliénés, par le 1)' VAN 1EVENTER. Cette question se trouve pour ainsi dire résolue' dans tous les
- meurs vertébrales, par Biels- chow-sky, 42. Contribution à la question de la régénération de ]a, par Fickler, 42. Cont
ine du dépresseur du coeur, par Koester, 232. Con- tribution à la question des - conducteurs de la chaleur et du froid,
foyers de en plaques, par l31elschowslcy, 45. Contri- bution à la question de la ré- génération des. fibres nerveu- ses
ouchard, 445. Sensibilité vibratoire (osseuse). Contribution à la question de la , par Schtscherbak, 378. De la localisa
69 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
idée précise de l'œuvre du chef de l'Ecole de la Salpêtrière sur ces questions . On verra avec quelle circonspection, M. Charco
athogénie de l'hémorrhagie cérébrale (1). En abordant de nouveau la question de la pathogénie de l'hémorragie cérébrale, nous
hémorrliagies méningées, et nous serons ainsi dispensés de toucher la question des néo-membranes de la dure-mère, et celle des r
hémorrhagie cérébrale dans ces deux cas, et il ne se pose môme pas la question de savoir si ces dilatations vasculaires peuvent
nière fatale. 11 est démontré par là que l'apparition de l'eschare en question , ou même de la tache ecchymotique, doit être cons
, décembre, p. 798.) 2. Dans la grande majorité des cas dont il est question dans cette note, le decubitus était dorsal, dans
on des actes nutritifs? Je me bornerai à soulever aujourd'hui cette question , me réservant d'y revenir dans une occasion proch
outefois, semble un peu moins profonde. La malade paraît entendre les questions qu'on lui adresse, et elle fait des tentatives de
tères histologiques. Lors de l'autopsie de cette femme, la première question que nous nous sommes posée a été celle du rapport
ux dont la face profonde de la dure-mère était tapissée ; c'est cette question qui va nous occuper tout spécialement ici, et l'e
ites par un blastème organisable, sécrété par le feuillet pariétal en question , et cette opinion est encore controversable, car
ntre tous les observateurs français ou étrangers dont il vient d'être question , au moins sur toutes les parties essentielles, et
'étude histologique se trouve pour la première fois introduit dans la question , date de 1855, et qu'il est par conséquent antéri
rses phlegmasies néo-membraneuses hémorrhagïques dont il vient d'être question sont des faits du même ordre, c'est que celles-ci
peu hébété et la parole un peu embarrassée. Lorsqu'on lui adresse une question , il la comprend bien ; mais il y répond lentement
t une certaine analogie avec le notre. Dans l'obs. XC, p. 26o, il est question d'une femme âgée de 48 ans qui, un an avant sa mo
a ta ta), toutes les l'ois qu'elle s'efforçait soit de répondre à une question qui lui avait été adressée, soit de communiquer s
e M. le docteur Broca et de M. Cornil, interne du service. Il ne sera question que de l'hémisphère cérébral gauche, qui seul pré
ains détails d'anatomie microscopique évidemment sans intérêt pour la question à débattre, elle provoque M. le docteur Auburtin
être un rapport constant ; de quel poids dès lors n'est pas, dans une question ainsi posée, une observation contradictoire, fût-
, il ne viendra pas invoquer les faits recueillis dans le temps où la question de l'aphémie était encore dans sa première phase
IE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. L'affection articulaire dont il va être question d'abord, s'est présentée pour la première fois à
ères essentiels. Ici, de même que chez les deux malades dont il a été question en premier lieu, le début a été brusque. Il n'a e
On peut, croyons-nous, rapprocher des affections dont il vient d'être question l'arthropathie des ataxiques et reconnaître que c
8 mars, matin. —La malade parait un peu réveillée; elle comprend les questions qui lui sont faites. Elle se plaint d'une douleur
tants, cependant, la malade se réveille et répond assez nettement aux questions qui lui sont adressées. T. R. 38". 11 mars. — U
lusieurs reprises l'existence des douleurs articulaires dont il a été question plus haut : la malade succombe le 8 décembre à un
e la névrite hypertrophique. Il est démontré par là que l'arthrite en question peut se produire sans le concours de la myélite d
s atteints d'hémiplégie à la suite d'une lésion cérébrale ? Sur cette question nous serons 1. Il n'est question clans ce trava
d'une lésion cérébrale ? Sur cette question nous serons 1. Il n'est question clans ce travail que de l'arthrite telle qu'on l'
mière. Ici, outre que la validité de la déduction est contestable, la question se trouve naturellement entourée de difficultés i
mènes, est-ce à l'électricité ? 11 n'est pas facile de résoudre cette question . 11 se passe là des phénomènes électriques éviden
in dans mon service. Depuis, les études se sont multipliées sur cette question et il est inutile de rappeler ici les résultats v
utre métal que le fer ne produisait d'effet analogue sur la malade en question . Wichmann fait remarquer que son observation date
vation date de 1769, époque à laquelle, dit-il, il n'était pas encore question de mesmérisme. Wicke [Monographie des grossesses.
t tombées clans un oubli complet. Vous remarquerez qu'ici, il n'est question ni de ce que M. Burq appelle l'idiosyncrasie méta
amentaux de la nouvelle doctrine. Vous voyez que l'historique de la question se réduit à peu de chose ; car, je ne considère c
us portent à croire qu'il existe peut-être un critérium pour juger la question . Il s'agit d'un fait qui, si je ne me trompe, ne
lèmes de la thérapeutique. Je ne veux pas entreprendre de résoudre la question . Je me bornerai à mettre sous vos yeux tous les d
on. Quant à moi, je me borne sommairement à cette conclusion : que la question vaut la peine d'être examinée de très près. En
oposé une théorie. Le temps me manque pour traiter cette partie de la question où, d'ailleurs, le dernier mot n'est pas dit. I
rque de M. Azam, semble ici remplacer la vue. Elle répond parfois aux questions qu'on lui pose avec plus de précision qu'elle ne
l.,. Après avoir répété sur elle les diverses expériences dont il est question , elle tomba dans un sommeil qui dura jusqu'au len
esseur Maggïorani {La Magnete e i Nervosi. Milano, 1869) revient à la question de l'action physiologique des aimants. Les résult
sa manière de procéder. C'est dans cet état que nous avons repris la question . Nous avons essayé de lui donner une précision vr
zons nouveaux et non moins intéressants à l'étude de cette singulière question , limitée d'abord à la métallothérapie. On sait co
on veut ramener la sensibilité. Ce n'est d'ailleurs pas non plus une question de quantité d'électricité, car un aimant de faibl
d les phénomènes principaux les plus connus, puis nous aborderons une question très-intéressante, celle de cette sorte d'hypnoti
nous proposons, mon collaborateur M. Ri cher et moi, d'étudier cette question : de l'hystérie dans l'art. Je termine cette conf
inées certainement à porter quelque jour la lumière dans une foule de questions , non-seulement de l'ordre pathologique, mais enco
es supérieurs, par exemple, à l'exclusion de la face. Le phénomène en question est mis en évidence en excitant mécaniquement par
iculté même du sujet impose à quiconque désire aborder l'étude de ces questions , un esprit scientifique essentiellement pratique,
tous les muscles", aussi bien aux membres qu'à la face (il n'est pas question ici de la différence du résultat obtenu : contrac
ombre de ses manifestations les symptômes cataleptiformes dont il est question . Dans l'exemple suivant l'hypnotisme est caract
e ne sont pas complètement fermés au monde extérieur. Elle entend les questions qu'on lui adresse, y répond d'une façon plus ou m
rapport avec ces mêmes muscles. M. Vulpian résume ainsi l'état de la question : « Il est probable, dit-il, que les fibres sensi
pour en fournir l'explication. Mais il est une expérience qui juge la question d'une façon péremptoire et qui ne permet pas de f
sortes de contractures doivent se distinguer de celles dont il a été question ici, et les principaux caractères distinctifs son
u mécanisme physiologique, les deux sortes de contracture dont il est question rentrent dans la catégorie des phénomènes réfle
té spéciale de certaines régions de l'encéphale. Il ne saurait être question ici de localisation cérébrale précise, et nous ne
ânienne, la dure-mère, jusqu'à l'encéphale. C'est là, on le sait, une question qui divise les auteurs ; personne de vous n'ignor
lier, cette hyperexci'.abilité n'existe pas. L'hyperexcitabilité en question , je liens à le rappeler, est un phénomène objecti
rdre réflexe. Je tiens pour mon compte à réserver, pour le moment, la question de théorie. Je ne nie point que les actes réflexe
nde, 1880, n° 20, p. 117. M. Mendelssolm (1), qui a étudié aussi la question et reproduit les mêmes expériences, exprime l'opi
phénomène analogue, dont l'analyse peut jeter quelque lumière sur la question . Nous avons insisté dans une communication réce
leçons que vous ave/ bien voulu recueillir, et où il est très souvent question d'hypnotisme, vous nie priez d'exprimer mon avis
tre mémoire certains faits très généraux de physique, qui dominent la question . I. L'électricité, comme vous le savez, est u
physiques de traitement. A la vérité, nous sortons à peine, sur cette question , de la période des essais préparatoires ; mais, c
, seulement, grâce à l'initiative de notre maître, M. Charcot, que la question fit un pas décisif; on peut dire que M. Charcot e
ut ainsi dire. Certes, il fallait un certain courage pour relever une question mal famée et marcher à rencontre de préjugés enra
reurs fâcheuses, car elles entravent le progrès, en obscurcissant une question si simple en elle-même et oîi tout s'explique, qu
it de recherches scientifiques ou de constatations médico-légales, la question cle preuve reste la question capitale. Si la ré
s ou de constatations médico-légales, la question cle preuve reste la question capitale. Si la réalité de l'état hypnotique es
raissent pas assez sûrs pour servir à des expériences relatives à des questions de physiologie ou de psychologie. En l'absence de
si l'hypnotisme est une réalité ou une jonglerie ; elle porte sur la question de savoir quelle est la cause, quelle est la genè
exclut celle du second. C'est ici, il faut bien le remarquer, que la question se complique. Nous sommes tout disposés à admet
évelopper indépendamment de toute suggestion. En ce qui concerne la question des phases constituantes du grand hypnotisme, nou
is eu connaissance que par un article de journal. Il ne peut pas être question ici de suggestion. « Bien plus, j'ai fait l'exp
actéristiques des trois états du grand hypnotisme. 11 ne pouvait être question dans ces expériences d'une suggestion donnée au s
e l'aimant, quoique je ne me sois pas occupé dans ce travail de cette question ; mais la netteté de cette observation, en ce qui
le de voir ailleurs ce qu'on observe à la Salpètrière. Mais sur ces questions comme sur bien d'autres, pour se former une opini
ours ou presque toujours des hystériques avérés et qu'il ne peut être question d'une simple coïncidence. Nous rappellerons de no
70 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e des médiums les plus célèbres et l'expli- 1 Réservant aussi cette question , MM. Ballet et Dheur renvoient le lec- leur aux
des aveux dans ce sens. Elle disait qu'elle posait simplement cette question pour s'instruire, ce qui paraissait plus que vr
e. Erotisme. - Dans ses entretiens avec les esprits, il est souvent question aussi de ses souffrances toujours les mêmes. L'
s, seuls signes 26 CLINIQUE MENTALE. « distinctifs des races, les questions de races sont stupides. » Et cet autre enfin :
elle des deux parties dont l'action est prépondé- rante ? Autant de questions , dont on se préoccupe rarement : peut-être en r
ues et étude d'ensemble constituant une véritable monographie de la question . J. S. XVII. L'acrocianose chronique hypertroph
USE. L'observation que rapporte l'auteur l'a conduit à étudier la question des troubles sensitifs et de l'hémiatrophie facia
le du poids et de la santé générale. G. C. XXX. Contribution à la question de la macro-esthésie, par N.-N. Iwans\\'. (Obo
s principaux ne lui sont communs avec aucune d'elles. La première question à se poser est la suivante : Qu'est-ce qui cons
er que par la périphérie par les anastomoses vraies d'Apathey. La question de suppléances nerveuses ne saurait être invoquée
sidérations mettent de nouveau à l'ordre du jour la très importante question du rôle des agents physiques dans la production
yant basé leurs conclusions sur 200 cas à peu près de la maladie en question , décrits par différents auteurs, les rapporteur
\1ouRATOFI' voit le principal centre dans la résolution de z cette question , dans l'autonomie de la psychose de KOHSAKOFF ou
partir de la découverte de Gley, les travaux se multiplient sur la question des glandules parathyroïdes, entre autres ceux de
t hospice : on pourrait donc, si l'on n'était bien au courant de la question , commettre facilement une erreur de diagnostic
veux devant vous déterminer la nature ; mais la solution de cette question ne laisse pas que d'être délicate et nous devrons
nes sont bien ceux que nous avons rencontrés chez nos malades et la question se pose par conséquent de savoir si nous n'avon
rions par conséquent prononcer le nom de maladie de Morvan; mais la question se complique si l'on veut aller plus loin, préc
ait-on enfin admettre l'existence d'une névrite toxi- que ? A cette question je n'hésite pas à répondre par la néga- tive :
ce wallérienne d'un nombre plus ou moins grand de cylindraxes. La question se pose enfin, Messieurs, de savoir jusqu'où pe
les nerfs périphériques et gagner les centres médullaires ? A cette question plusieurs auteurs ont répondu affirmativement :
es. Dieu et Jésus se manifestent souvent dans ces réunions, mais la question a été tranchée par les orthodoxes du « spiritua
ctions cérebrales toxiques ; pal' W. 1 LTEIt. - Contri- bution à la question de quelques propriétés soi-disant toxiques et t
but localisé ? lin mécanisme dès le début diffus ? Pour résoudre la question , il n'y a qu'à exa- miner des cas tout à fait r
une durée données, se peuvent strictement limiter à l'extrémité en question . On obtient une exagération unilatérale du réfl
i les cas où il peut y avoir lieu à expertiser. on peut citer : les questions d'assurances sur la vie, les traumatismes crâ-
à une vic- time d'accident ordinaire en dehors du travail. 4° Les questions les plus délicates et les plus nouvelles auxquell
articles de la loi de 1898 sur les accidents du travail. Outre les questions d'incapacité de travail actuellement posées, il
incurable. Il importe de s'habituer dès maintenant à envisager ces questions . - 1. 1 M. Marie fait remarquer combien il est
aiblesse et lenteur de combinaison. SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 Sur la question du diagnostic de la psychose de K01'sakotf. ' S
ieure (de WERNtCKE) ; en outre, pendant le cours de la mala- die en question , peuvent s'associer des vastes ramollissements
o- mènes polynévritiques. N.-P. POSTOVSKY indique sur cela que la question sur le rapport de l'amena de Oleyncrt à la poly
août, 9 heures du matin : (Salle des Fêtes du Palais d'Hiver). - 3° question (Assistance). - Des mesures à prendre contre le
nombreux médecins se trouvaient, réunis, attirés par l'intérêt des questions mises au rapport, et aussi, il faut bien le dir
des aliénés. A ce Congrès doit être discutée la très intéressante question des mesures à prendre à l'égard des aliénés crimi
nt, entendent, comprennent, et cependant elles ne répondent pas aux questions et se montrent incapables d'ouvrir la bouche, d
ntelle ou une psychose constitutionnelle ? Voilà le point vif de la question . Suivant la solution qui interviendra, on pourr
coce et non à certaines autres démences ». Dans l'état actuel de la question nous croyons inutile d'insister davantage sur l
ui nous concerne, nous nous sommes déjà expliqué ailleurs sur cette question , nous n'y insisterons donc pas. Voici cependant
dront et, pour commencer, voici déjà l'opinion de M. Pierret sur la question : « De toutes les lésions observées au cours de
. Au seul nombre des orateurs inscrits, on devine l'intérêt de la question débattue et l'espèce de bravoure qu'il a fallu au
ole est donnée à M. le Dr Sano (d'Anvers), rapporteur de la seconde question sur les localisations des fonctions motrices dans
es diffé- rents auteurs et par le rapporteur lui-même. C'est là une question qui passionne vivement tous les neurologistes :
e de les coordonner. M. Grasset (Montpellier) remarque aussi que la question des localisations motrices chez l'homme n'est p
éloquemment ses adversaires d'accepter le progrès réalisé sur cette question très limitée des tics. Enfin M. Cullerre (de la
d'autres affec- tions nerveuses. Séance du vendredi 5 août. La question d'assistance, dont M. Keraval était le rapporteur
iénés criminels ne sont pas dangereux, il s'en faut de beaucoup. La question se réduit donc à l'examen de chaque cas particu
terminerait exactement le quantum. Il, va de soi qu'en dehors de la question de la nature de la crimina- lité en général, qu
dehors de la question de la nature de la crimina- lité en général, question réservée, un criminel, sain d'esprit au moment
n crime avant ou après l'apparition de leurs troubles mentaux. La question de la mise en liberté de ces malades pourrait êtr
aite auprès des aliénés non criminels, les seuls intéressés dans la question . Du reste, ne craignons pas de le dire, l'asile
es, l'asile ordinaire suffit, l'asile spécial est inutile. Reste la question de la responsabilité qui nous incombe quand nou
ourir à des procédés spéciaux de dressage. Nos recherches sur cette question nous ont amené à considérer la suggestion hypno-
retraites. Dans un précédent Congrès, on s'est déjà occupé de cette question et malheureusement aucune solution favorable n'
en 1905 à Rennes, sous la présidence du Dr Giraud (de Rouen). Les questions choisies pour être l'objet de rapports sont les
des résultats et des conclusions. Là sont effleurées d'importantes questions , telles que le mariage et la séquestration perm
sessions, écrits par des hommes éminents et très au cou- rant de la question ; l'un est signé de MM. Pitres et Régis, l'autre
C'est alors que je le vis et qu'avec une entière franchise sur mes questions , il me 296 CLINIQUE mentale. fournit tous les
ment, cela dépend aussi de la profondeur de l'anomalie, dont il est question ici. Comme nous avons déjà eu l'occasion de le
igation de ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 311 la question abordée par nous, à savoir, des associations ps
us les hystériques ne sont pas somnambules. C'est là d'ailleurs une question sur laquelle nous ne voulons pas nous appesanti
comme tra- versée par la couleur du voisinage. Or, le contraste en question est l'oeuvre de la rétine. La sensation lumineu
Les anomalies de vaisseaux du cerveau sont si intimement liées à la question des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
a hyperexcitabilité. 2° Immédiatement après l'attaque, la région en question est un peu plus excitable et cette hyperexcitab
nerf périphérique a diminué. P. Keraval. XLV. Note relative à la question des modifications du caractère à la suite des l
ianopsie latérale homo- nyme qui n'a rien à voir avec le trouble en question et qui peut exister sans ce trouble. Les fait
es parties de l'appa- reil moteur volontaire ? En dehors même de la question des indi- vidus plus ou moins accessibles à l'i
l'application qu'en a faite M. Altéra la dualité du protoplasma en question . P. KERAYAL. LX. Du trouble de la marche de fla
, 1901. - Neurologisch. Ccntmlbt., XXI, 1902.) Schnitzer dans ses questions de médecine neuropsychique (Voprossy Navno-psie
des embolies, etc., de cet organe, peuvent engendrer le syndrome en question . P. KERAYAL. , REVUE DE pathologie NERVEUSE. 34
, confus, à demi-con- scients, se fatiguent à répondre à de longues questions , parlent lentement comme s'ils sortaient d'un r
, elles partent comme des balles de pistolets, souvent avant que la question ait été complètement formulée. La réponse à côt
e vue de l'élaboration scrupuleuse des éléments scientifiques de la question . ' P. 11EFAVAL. 356 , REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
-ci avait jeté la fillette à l'eau. C'est sur l'aveu que, pressé de questions , il aurait fait à un parent d'Yvonne Garrivet,
es auspices à l'occasion de l'exposition de Liège en 1905, diverses questions relatives à l'Education des enfants arriérés et a
rriérés et anormaux. Une section spéciale étudiera et discutera ces questions . D'autres congrès vers la même époque s'occuper
ésoudre pendant la période de scolarité de ces petits déshérités. Questions proposées : 1° Organisation d'enseignement spécia
épileptique, on ne se préoccupe généralement pas spécialement de la question « nourrice »; on le laisse nourrir par la mère
aut, à mon avis, recourir au biberon. J'insiste à dessein sur cette question du traitement pro- phylactique de l'épilepsie à
les à l'épilepsie. Nous avons, du reste, parlé déjà un peu de cette question , dans la première partie de notre travail. Le t
sances, la fonction du corps thyroïde. Nous avons pensé résoudre la question , autant que possible actuellement, en usant de
s c'est Notbnagel qui, le premier, a attiré l'attention sur cette question . Cet auteur a observé un cas avec paralysie de
cas avec paralysie de la mimique du nerf facial gauche. L'homme en question pouvait faire contracter volontairement les mus
e la Section des aliénés à l'hôpital Saint-Charalambe. Le malade en question , cultivateur, âgé de trente ans, avait présenté l
ns ses propos que dans ses actes, répondant d'une façon absurde aux questions qu'on lui pose, parfois troublé au point de déc
enzer. (Neuro- log. Ce ? ztt-alblait. XXI, 1902). Contribution à la question de la régénération autogène des nerfs; par A. 1
fibres nerveuses néoformées constatées dans le bout périphérique en question tiennent au rétablissement de la conti- nuité,
les fibres néofor- mées, et sauvegardant la théorie du neurore. La question en est là. Les détails de la polémique sont à l
ngite. Hoche annonce la publication prochaine d'un mémoire sur la question dû à la Clinique de Fribourg. Nonne a vu une gu
ration considérable de folie maniaque-dépressive, puis il aborde la question du diagnostic de cette psychose avec la démence p
ésion détermine un syndrome facial diamétralement opposé à celui en question . G. C. L. Un cas de voix eunucoïde datant de
e s'effectue l'inoculation. Il semble bien que, chez le malade en question dont la plaie occupait la région médiane du nez
etc.) L'auteur fait ensuite une revue générale des façons dont la question est tranchée par les codes des différents pays et
la syphilis avant son mariage. En ce qui concerne le divorce, la question a été jugée différem- ment par les médecins, le
France, dit-il, les tribunaux attachent une grande importance à la question de contamination antérieure ou posté- rieure au
ident du conseil, d'instituer une com- mission chargée d'étudier la question . Sont nommés membres de cette commission : MM
se produit, d'en tirer tous les enseignements qu'il comporte. La question des aliénés criminels a été longuement traitée,
l'autre système, nous croyons qu'il convient de bien préciser la question avant d'adopter une solution quelconque. Cer- t
'autoritéjudiciaire, au contraire, a toute qualité pour trancher la question ; le médecin n'in- tervient que comme conseil, c
façon sommaire, ce que pourra être l'asile spécial. A vrai dire, la question de l'orga- nisation détaillée de cet asile ne p
éveloppée. Parole naturelle, mais l'enfant ne fait que répondre aux questions qui lui' sont posées, et cela toujours à voix b
igature des jugulaires interne et externe droites. Sans trancher la question l'auteur pense que le début immédiat et l'améli
abes vrai des lésions tabetiformes de la paralysie progres- sive La question est en débat et ce n'est point, comme le dit l'
it (The American Jotl1'1lal of Insanily, IV, 03, p. 593-599). Les questions passées en revue sont les suivantes : Folie pella
ment dans les hôpitaux géné- raux, etc.) Nourriture des aliénés. La question des statis- tiques. etc., etc. - SI\10N. XXXI
naissances antérieures qui, néanmoins, persistent. Par une série de questions simples, on arrive à faire ressortir ces connai
uel. La commission extraparlementaire du pari mutuel a examiné la question de principe suivante : les établissements d'alién
cteur Jour- niac, médecin à l'asile de Saint-Ylie, l'hypnotiseur en question se voyait poursuivi, à la reqnéte du Parquet, p
Lejars, 56. , par Cayla, 56. 5lACM-ESTHÉsiE. Contribution à la question de la-, par Iwanow, 60. Main. Hypertrophie cong
ditif. Voir Tumeur. op- tique. Voir Amaurose. Contribu- tion à la question de la régéné- ration autogène des -, par Be-
leptiques, par Bra, 61. -, voir Aulocytotoxine. Contribution à la question de quelques proprié- tés soit-disant toxiques e
71 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans ce problème que des ques- tions individuelles, il y a toute une question sociale, et celles-là le cèdent il celle-ci.
scrètes ! Comme nous l'avons dit déjà, il n'est pas plus difficile, question de prix réservée, de se procu- rer delà morphin
lui coûtait un effort, et on entendait la note du désespoir dans sa question : « Que faire ? il faut enfin entreprendre quel
oute la ,il', ou bien si l'on ne le peut pas. C'est justement celle question v i- l,lie qui esl la plus importante pour moi
ainsi dire à l'ordre du jour, ils tiennent entièrement dans cette question qui fut posée au cours d'une des dernières réu-
n tout officieuse et avec toutes sortes de réticences. Lorsque la question posée au Conseil supérieur de l'As- sistance pu
ins faudrait-il, en arriver là pour les asiles de province ? Ici la question se double d'un inté- rêt financier, parce que s
e termina par la guérison et la dispa- rition alors du phénomène en question . (L. F. Ragozine.) , ,t z P. IFR.1V.11., s &g
s des doigts et du poignet s'obtient en frappant sur les tendons en question au-dessus du ligament transverse palmaire du ca
eu de forme et même de volume. P. KERAVAL. XI. Contribution à. la question de la régénération de la moelle, par G. Oikelès
touffées par le tissu scléreux 1 Impossible de répondre encore àces questions . Notre patient, atteint de rup- ture de la moel
le de tous les services de l'établissement ; c'est pourquoi à votre question de savoir si le personnel médical de l'asile es
avoir confiance dans leur travail' ? '1 Pour en terminer avec les questions relatives au personnel, je crois devoir ajouter
tous la notion exacte de l'avenir réservé à leur carrière. Reste la question des enfants idiots et épileptiques ; nous en av
normaux (1). Un peu plus de lumière vient d'être apporté dans cette question , et semble révéler un danger qui résul- (1) A l
i de Lannelongue, et dans la thèse de Conta (4) publiée en 1887, la question de la possibilité de la lésion de la queue de c
u nombre des médecins dans les asiles d'aliénés. ' Telle était la question dont l'examen nous a été confié pour être l'obj
tation de l'examiner avec soin ». Pour les médecins adjoints, la question était plus déli= cate. Nous avons énuméré les p
s nécessairement d'une forte mul- tiplication des lymphocytes. La question de la syphilis n'est pas tranchée. Une imbécile p
e de la base du cerveau affectant en l'espèce les troncs nerveux en question . L'état ophtalmoscopique et l'anomalie spéciale
L.Llnex. (Veurolng.Centralblatt. XXIII, 190-'t.) Contribution à la question de la genèse du myosis dans l'immobibilité réfl
ue, pitre, dit BACH, les pupilles sont étroites. Si l'immobilité en question est unilaté- ral ou plus prononcée d'un côté, l
thogénie de la papille étranglée, par A. Soenger. Contribution à la question de la nature de la papille étranglée ; parA. AD
n des symptômes de l'épilepsie. 3. Le degré de toxicité du sérum en question ne dépend pas de la gravité de la maladie de l'
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVIII. Contribution à la question de l'onde musculaire chez les aliénés ; par A.
ofesseur à l'Institut Médico-péda- gogique de Vitry-sur-Seine. La question mise au Concours pour le prochain prix Belhomme
étude de la simulation est destinée à jeter une vive lumière sur la question toujours actuelle de l'or- ganisation du parasi
on spé- ciale, à Villejuif, a permis à M. Collin de reprendre cette question avec le talent et la compétence qu'on lui conna
t rendra des services aux étudiants, en vul- garisant parmi eux une question peu connue ; et il sera utile, aussi, par sa do
cumentation bibliographique, il ceux qui voudraient approfondir une question spéciale. n. LEROY. CORRESPONDANCE Personnel
, me rempla- çanl seulement en cas d'absence ou d'empêchement. La question en est là. Il est dur cependant de se voir refuse
de l'Assistance publique ' ? Celui-ci délibère longuement sur des questions essentielles ; il fait des oeux, mais ils ne sont
le, soif pour l'insérer dans les Archives de Neurologie . Sur celte question des retraites, le Dr Deswarte a fait entendre ave
eil général d'Ille- 156 CONGRÈS. et-Vilaine, à l'Asile. 3 heures. Questions diverses, séance à l'Asile. 1 Dimanche li aoû
)1' Sano pour sociétaire, est en formation. VARIA Contribution LA question du KuKOUSCHESTWO (Genre dt'pos- session russe),
vivemen t la maj orité des con- gressistes. Cette année, la vieille question de l'hypochon- drie avait été mise au rapport,
au rapport, et, comme il n'est guère d'aliéniste qui n'ait surcette question quelque opinion bien arrêtée, le rapporteur pou
fut d'abord occupée par quelques communications se rapportant à la question et discutée la veille : MM. Taty et Chaumier (d
Leroy (de Paris) rapportent d'inté- ressantes observations. Puis la question des lies est, cette année encore, discutée deva
oposés par M. Granjux pour remédier à cet état de choses. Mais la question est trop importante pour être épuisée par un si
t on être ainsi, mais des raisons sérieuses ont fait ajourner celte question . 1G6 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLO
Paris) expose son rapport sur les névrites ascendantes : dans une question lnès embrouillée, le rapporteur a mis la plus g
de l'idée HYPOCHONDRIAQUE. - Réservant la de l'hypochondrie. 167 question de l'hypochondrie, syndrome ou entité morbide sui
fondement, relative à la santé physique. Mais c'est précisément la question longue- ment discutée par les vieux auteurs de
tions. Certes, la situation du chirurgien est délicate dans cette question ; c'est pourquoi, d'ailleurs, je me suis jusqu'al
montrer rapidement comme je comprends, au point de Lie pratique, la question de 1 intervention chirurgicale chez les hypocho
-ils exac- tement en rapport avec le degré du déplacement. Toutes questions que le chirurgien seul peut résoudre et je puis
et c'est à ce titre seulement qu'ils ont pu être mis en vedette. La question des recherches expéri- mentales concernant l'hy
cause organique réelle, et une névrite ascendante, il n'y a qu'une question de degrés. Les signes de la névrite se ré- vèle
ité, consécutives à une névrite ascendante ? M. Léri a ré- servé la question de l'étape intermédiaire entre la lésion pé- ri
contraction et l'intensité de l'excitation. C'est sur la pre- mière question seulement que portera notre communica- tion.
s maladies mentales. M. leDr B. PIIr.HAS (d'Albi), rapporteur. La question de la balnéation et de l'hydrothérapie dans les
en jeu les réactions organiques. - G. Hydrothérapie hygiénique. -La question d'hydrothé- rapie hygiénique des asiles ne saur
aître les résultats thérapeutiques de la balnéation, car dans cette question on marche à l'aventure, et avec exagéra- tion.
e promener un jet d'eau sur le corps et c'est tout. Or c'est là une question absolument médicale. Quand on admet un nouveau
M.leDr Chocreaux, médecin en chef del'asile de Bail- leul (Nord). - Questions proposées. Psychiatrie : Etude cyto- logique, b
pulation initiale de dé- ments simples, appellent la solution de la question de l'orga- nisation du travail des aliénés adul
contrôle du travail au profit des nourriciers et sa rétribution, la question du travail pour et par l'administration de la Co-
étudiés par ceux qui dési- rent prendre part à la discussion. Les questions choisies pour la session de 1905, sont : .' a)
nce. Tout est immense. Mais « qu'ai-je fait, tout est changé ». Aux questions , elle répond de même : « Depuis combien de temp
istence de troubles viscéraux, digestifs, respiratoires, etc. : aux questions qu'on lui adresse à ce sujet, elle répond qu'el
he et l'examen de ces signes,' nous devons prendre position sur une question préjudicielle. Certains philosophes réservent l
t appel- aux expériences des individus décérébrés dont il va être question plus loin, l'individu qui a conservé la sensibi-
es, 1903. (4) « Il est difficile d'émettre une opinion ferme sur la question du sommeil, disent MM. Yasehide et Vin-pas L'al
Brousse exprime le regret de voir arrivera la fin du Congrès cette question . 11 demande à ce qu'on la renvoie à un congrès
a Seine n'ait pas in- térêt à cette spécialisation. 11 y a aussi la question gouvernemen- tale. Paris pourra demander au min
ue les asiles aient à y ga- gner. 51. Drouinevt'. J'estime que la question ainsi présentée ne peut ètre que l'objet d'un v
er avec ceux des médecins nommés par le nouveau concours. C'est une question qui suivra son cours. La protestation que les m
t pros- pérer. D1' 13ROUSSE.- Je ne sais pas si, pour arrêter une question pré- sentée par un personnel de grand mérite lu
en toute indépendance, puisque je ne suis nullement intéressé à la question . Je crois, comme M. 1 Inspecteur,que le concour
ErTE. - Les auteurs du projet fréquentent peules Congrès. C'est une question professionnelle et on doit la discuter le plus
associe aux paroles de mon collègue, M. Doulrebente. 1)" DIDE. La question de l'absence des médecins de la Seine n'est pas
Il y en avait deux au moins qui sont partis, et qui savaient que la question serait discutée, puisque51. Lorol èt et .moi l'
on du rapport et de la consultation. IV. Une épreuve écrite sur une question de thérapeutique des alié- nés pour laquelle il
est fixé ainsi qu'il suit : VOEU DES MEDECINS-ADJOINTS. 309 MEME question {Suite). 1 cr septembre. Monsieur et très hon
es, leurs émoluments en province. Aujourd'hui, il ne peut plus être question de cela, le concours étant unique, tous nous av
e d'arguments est encore plus spécieux, s'il cstpossible : il y est question de justice, et comme nous ne recher- chons que
maladie ' ? De la discussion des di- verses théories émises sur la question , il découle que les cavités médullaires syringo
hives, n" 117, p. 209 à 2'Z) etla discus- sion quia suivi, il a été question de l'emploi des bains prolonges. A l'appui des
crise de larmes, gémisse- ments) ». . ZD Avec insistance dans les questions , on parvient à découvrir des idées de persécuti
, elle est franchement atteinte de stupeur, Elle ne répond à aucune question ; elle reste somno- lente ; parfois elle s'agit
phy- sionomie trahit une anxiété, mais il ne répond à aucune des questions qu'on lui adresse et il ne mange pas. Le 7 janvie
é consacrées presque exclu- sivement à l'exposé etla discussion des questions mises il l'or- dre du jour et la quatrième à de
r et la quatrième à des communications particuliè- res. La première question qui est venue en discussion est celle du - Se
et ce n'est que le lendemain samedi (j n'est venue en discussion la question de neurologie intitulée : Jj.v Ponction I-UIIi.
n lombaire chez l'enfant : 37Ô' SOCIÉTÉS SAVANTES. il a étudié la question aux points de vue de la technique, du diagnosti
eurs, dit-il, peut- être ne faut-il pas trop attacher de valeur aux questions de morpho- logie cellulaire. M. Raymond rappell
été normaux. 1lIe IÙlyai ! . pa. PU défausses couchas. L'enfant en question était le septième. Des six étaient morls en enf
it pendant près d'un an.) De tels cas peuvent soulever de grosses questions m(nlico-lu,a- les ou de graves questions d'assu
euvent soulever de grosses questions m(nlico-lu,a- les ou de graves questions d'assurance ? M. (j'piue adl11eL IJn't'll REVUE
boratoire de la Clinique de M. le Prof. R m'ntovu). Il n'est pas de question qui ait été plus discutée que celle de la patho
de Pott ; il ne nous semble donc pas inutile - ayant d'envisager la question telle qu'elle se présente aujourd'hui, et d'app
s sont bien connues les expériences qu'il fit pour résoudre cette question , soit en infectant la face externe de la dure-m
randes lignes par les auteurs qui depuis lors s'occupèrent de cette question . La théorie inflammatoire de Michaud et Charcot
raité d'Anatomie' pathologique publié en 1901, traite' à fond cette question : l'oedème mé- canique serait produit en partie
é d'une vraie myélite au cours du mal de,Pott.11 est évident que la question de la spécificité ana- tomique de la myélite tu
ou par un processus inflammatoire, rendent encore plus complexe la question de la pathogénèse des altéra- tions médullaires
ques et les processus inflammatoires ou toxiques sont réunis. Si la question de la participation de l'élément toxique est en
Je vais les passer rapidement en revue et mettre au point quelques questions . ¡ . M. l3EST.1 (3) à l'examen direct de très
ouve surabondamment. A ma connais- (1) Ghiliarowsky. (V. A.) Sur la question de la lornsrtoloyie dans l'Epill'psil', 1903. O
description de formes anormales qui sont des formes (1) Il n'est question ici que des travaux postérieurs aux miens. Anté
enregistrer scrupuleusement les cas de tuberculose et d'élucider la question des causes de sa propagation dans les diverses as
nie des propor- tions du mal que l'on sera en position de mettre la question de la lutte radicale contre ce fléau au rang de
mettre la question de la lutte radicale contre ce fléau au rang des questions les plus graves et les plus aiguës de la psychi
de Berlin, en 1900. Rapport détaillé. Quant à son opinion sur cette question , l'auteur renvoie à son rapport sur cette assis
publics n'auront pas une action plus immédiate sur les services en question . « Bien rares sont les asiles belges qui possèd
onder et Kemp- ner, p. ]lS. -. Voir }'1(11/11 ? Contribution à la question de la genèse du myosis dans ? par Hcddoeus, p.
Ttoifcmenf l7aclrnrnncnniquc. KLIKOUHCHESTWO. Contribution à la question du - (genre de possession russe) par Xi- kiti
rLec ! éxio.p.4H. Moelle. Voir ]'"riuloIl1Nie, Contribution il la question de la régénération de la -, ]Jar llikl'lh, p.
par de Bechte- row, p. 389. 01;1E musculaire. Contribution à la question de l'- chez les aliénés, par Tzariégradski, p
énie de la étranglée, par Soeuger, p. 123. Contribution'a. à la question de la nature de la étranglée, par Adamkie- wn
72 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
derrière la porte, parfois des heures entières pour répondre à ses questions monotones : les portes sont-elles bien fermées
epuis longtemps elle se sentait poussée à rechercher la solution de questions qu'elle se posait, sans cesse, sur, l'origine du
mpliquée dans ces dernières an- nées au point que, actuellement, la question du dia- gnostic différentiel entre la paralysie
s hystériques ? D Je vous répondrai que c'est pour moi une sorte de question de prin- cipes ; je crois de mon devoir de vous
pe, a tout le temps dans l'esprit et sur les lèvres la réponse à la question qu'on lui pose ou qu'elle se pose à elle-même.
n ami M. Carpentier, de causer avec la ' malade ; elle répond à ses questions , parait faire attention à ce qu'il lui dit et n
erre. » En un mot, elle va répon- dre de cette manière à toutes les questions possibles et dans son écriture ainsi obtenue va
vous montrer qu'en réalité M ? D... déclare n'avoir pas entendu mes questions , qu'elle affirme n'avoir rien écrit, qu'elle s'ét
mariage. ' Et c'est très vraisemblable. En effet L.... pressé de questions , avoue des envies irrésistibles de boire, depui
hie offrant une analogie encore plus grande avec la claudication en question . Le malade écrit spontanément avec correction,
herches de Pasteur décèlent l'accumu- lation principale du virus en question dans le bulbe et sa trans- mission aux animaux
e difficultés, qu'il s'en désintéressait. La loi devient une pure question de formes pour les aliénés étrangers. Le consul
ce que les dispositifs n'ont aucune valeur légale pour le malade en question . Si le malade étranger a quelque fortune, il fa
nc, nos formalités n'ont aucune raison d'être. 1 . M. MEYNERT, La question de publicité tient aux fonctions offi- cielles
vil, adopté celle de « maladie mentale ». Faites de même. C'est une question de code civil et non de législation spéciale aux
ention. C'est par des règlements intérieurs qu'il faut résoudre ces questions . La procédure de l'interdiction et de la tutell
rubrique « dangereux pour la sécurité publique ». M. MEYNERT. La question me parait résolue si l'on décide de compléter t
que les aliénistes soient entendus. Je propose donc : - Que la question soit traitée par le prochain congrès, en ces te
e. Actuellement, quelques pays voisins ont résolu favo- rablementla question . La Société fera bien de récidiver. M. ANTON li
rat sont également à ranger dans la même catégorie, car l'artère en question irrigue aussi les parois du prolongement inféri
fera entrer que des méde- cins qui ne connaissent pas le malade en question . Sont choisis : zip. Meynert, Janchen, Anton. L
s dans le recensement général de la population'. , Il rappelle la question agitée par M. Werner. De la nomenclature psychi
apporteurs, une imposante minorité ayant, à Iéna même, considéré la question comme prématurée. Il demande donc qu'on s'en re
iminalité. MM. PELnAN et MENDEL, rapporteurs - M. PELMAN. C'est une question qui restera à l'ordre du jour jusqu'à ce que l'
gations à l'anthropologie tout entière et qu'il a intéressé à cette question toutes les professions. 11 nous a rappelé qu'il
civile, cela va de soi. Mais, en matière de responsabilité, il est question de la faculté psychique, ou, si l'on préfère, d
porteur, en matière de médecine légale, le droit de s'occuper de la question de la responsabilité. La dipsomanie dans ses ra
ité. MM. JOLLY Y et A. Roller, rapporteurs. M. JOLLY. La principale question dont nous ayons à nous occuper ici est non cell
but que celui du gouvernement. Dans ce projet, il n'est pas du tout question de punir le buveur ou le dipsomane. c Les buveu
écialiste. Celui-ci est, d'ailleurs, seul compétent dans toutes les questions relatives à l'alcool, à commencer par celle de l'
dans lesquels la détention est relativement courte. La mortalité en question atteint 60 p. 100 dans quelques maisons de corr
nstruire ces asiles ? Une expérience de plus de trente ans dans ces questions nous montre que c'est à l'Etat ou à la province
me elle l'est pour les asiles d'aliénés, sinon l'on se heurte à des questions religieuses, le plus souvent étroites, et à des
u'ils voudraient éliminer complète- ment les médecins des asiles en question . On les tolère, on les laisse parfois contre so
ils seront orga- nisés comme ces derniers. , . Etat actuel de la question de l'aphasie. MM. Mosu et Wernicke, rapporteurs
ie conceptuelle doit aussi être touché par la lacune sensorielle en question . Elle doit apporter un grand trouble dans la pr
r certains cas de troubles de la parole par les divers schémas en question . Prenant le fait qu'il a lui-même décrit dans le
a parole, pour expliquer ce fait. On a recherché, chez le malade en question , l'association, la combi- naison des idées et d
tres de la parole comme con- ducteur dans l'examen des symptômes en question ; 7° Il convient de s'efforcer d'introduire dans
TÉS SAVANTES. 119 des théories établies pour expliquer les faits en question ; - 10* Les opé- rations entreprises sur le cerv
s délirantes de nature hypochon- driaque. De même que le patient en question , obéissant, à son insu, SOCIÉTÉS savantes. , 12
ervés chez un tabétique. Cette enquête pourrait aider à élucider la question des rapports entre la syphilis et le tabès, aut
n, un neuvième chapitre a trait à l'exposé de la législation et des questions médico-légales relatives aux maladies mentales.
epuis la thèse de M. Souza-Leite, qui en 1890 résumait l'état de la question . , bibliographie. 139 Ce qu'il y a de particu
u'à présent, nous ne possédions pas de travail d'ensemble sur cette question ; c'est pour- quoi le livre de M. Séglas, en com
aires, du projet de statuts qui terminait notre rapport sur la même question au Conseil su- périeur de l'Assistance publique
leurs, quel que soit le nombre des membres présents, sur toutes les questions qui lui sont soumises par le comité de directio
nce d'ouverture : Nomination du bureau, discussion de la première question du programme (du délire des négations). Mardi 2
A 9 heures du matin, deuxième séance : Discus- sion de la deuxième question du programme (le secret médical en médecine men
. A 2 heures du soir, troisième séance : Discussion de la troisième question du programme (les colonies d'aliénés). Mercre
le sont pas quant aux fonctions de la reproduction. C'est là une question qui est depuis des années soumise à l'es- prit
s et économiques de nos phi- lanthropes, elle menace de devenir une question de politique pra- tique, et elle a largement oc
voyons aujourd'hui la varia. 149 Saint-James Gazette reprenant la question « en concentrant l'atten- tion sur les croissan
ne de son autorité et de sa responsabilité, si elle soulevait cette question sur un terrain propice. Car il est indubitable qu
ussi soumise à la discipline ou au contrôle extérieur. C'est là une question d'investigation pour les éducationnistes, les 1
150 varia. réformateurs sociaux et les médecins réunis. C'est une question très importante et nous espérons que le journal
16 mars 1892, p. 274.) L'an dernier, à la Société pour l'étude des questions d'assis- tance publique, nous avons fait une co
ans ses asiles et celui de l'asile du département d'origine. » La question ne fut définitivement résolue qu'en 1881 : l'admi
. C'est pour les aider dans cette tâche que nous revenons sur cette question . M. Boegner, préfet du Loiret, a répondu que la
ui-ci. Un très petit nombre de publications ont été faites sur la question qui nous occupe en ce moment. La mesure de la tox
S ÉPILEPTIQUES. 181 Ces faits ne se rattachent pas directement à la question qui nous occupe. Nous nous bornons à constater
oxicité des urines des épileptiques et en dehors des accès. Pour la question de la toxicité avant ou après les paroxysmes, c
nous prouvent une fois de plus que nous avons raison d'envisager la question sous cet aspect, car pendant tous ces jours, le
heures, avant la série, pendant la série, après elle, est donc la question que nous nous sommes efforcés de résoudre dans le
ccès. Migraine vio- lente. ' Cette particularité se rattache à la question de la fausse hémiopie chez les hystériques, don
ur de stigmates douteux, comment arrivera-t-on au diagnostic ? La question serait très importante pour le traitement et le
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Encore la question DE la GENÈSE DES circonvolutions CCRÉ- Brayez p
rvations), soit par- tielle (1 observation) de la racine du nerf en question ; - 2° atro- phie légère du noyau postérieur du
tracture qui font tota- lement défaut. Mais il n'y aurait là qu'une question de degré, ou plutôt d'étendue de la lésion céré
lis, à la période du premier exanthème, alors qu'il ne saurait être question de gommes, exostoses, etc... Quatre petites obs
Séance du lundi lor août. - Présidence de M. Tu. ROUSSEL, Première question : Du délire des négations ; sa valeur diagnosti
as, des observations isolées (thèse de M. Journiac), si bien que la question ne semble pas avoir progressé beaucoup. Pour Co
éserve prudente qu'a observée M. Camuset dans son rapport, car la question du délire des négations est toujours à l'étude et
la signale de très'bonne heure. M. GiLBeRT-BALLET (de Paris). La question actuelle ne peut se résoudre théoriquement, mai
ont peut-être, ainsi que le disait tout à l'heure M. Séglas, qu'une question de terrain, une plus grande prédisposi- tion am
Séance du 2 août (matin). Présidence DE M. TIr. Roussel. Deuxième QUESTION : Du secret médical en médecine mentale. M. L.
e étude est de choisir un certain nombre de cas. C'est ainsi qu'une question qui se présente le plus fréquemment et sous des
ent sains, ce sera sur les ascendants, soupçonnés de folie, que des questions seront potées. C'est la même question sous une
soupçonnés de folie, que des questions seront potées. C'est la même question sous une autre forme. Le médecin qui a eu à tra
llectuelle au sein des familles qui ne nous ont rien demandé. Une question que nous devons prévoir est celle du secret absol
liniques destinées au seul public médical. M. Ronux. - 11 n'est pas question ici d'attaquer l'arLicle 378 relatif au secret
la loi. M. Charpentier. Il ne faut pas grossir outre mesure cette question du secret professionnel. Le secret médical n'est,
nus. Mardi 2 août (soir). Présidence de M. TH. Roussel. Troisième QUESTION : Les colonies d'aliénés. M. Riu, rapporteur, a
législation qui fait de l'aliéné un être à part. M. Bourneville. La question qui préoccupe à un haut degré les médecins alié
se charger de les nourrir et de veiller sureux. J'ai saisi de cette question le Conseil général de la Seine, et il a été déc
sortir de ma réserve. Et d'abord, on confond, ou plutôt on mêle la question des colonies d'aliénés avec le système d'assistan
ur assistance devient, endroit, exclusivement communale. Toutes ces questions ne sont pas résolues au préalable toutefois; fait
uter un mode d'assistance aux moyens actuels insuffisants. La seule question discutable est celle des détails d'application
ôt le débat en faisant observer qu'on s'est quelque peu écarté delà question et qu'on s'est plus préoccupé du patronage fami
nouveau, ni une forme nouvelle, car il fait tout l'historique de la question , rappelé que les travaux allemands sur la confu
teur de l'assainissement. Il ajoute que sa communication sur une question qui ne ressortit pas de la pathologie et de la cl
timement lié aux données scientifiques dans ces graves et délicates questions . Ici, Messieurs, dans un cadre restreint, nous
oir n' 70, p. 131. ' ' Notre travail débute par un historique de la question où sont consi- gnées les observations française
as de Mac Clintock. Chez les quatre autres enfants, il ne peut être question d'amélio- ration, très rapide dans le cas de La
eu aux partisans de la crâniec- tomie les notions exactes sur cette question , notions qu'ils parais- sent, on le croirait du
pour les examiner cemplèlement. Aussi, dans l'état actuel de cette question si complexe, devons-nous le féliciter hautement
ignifiant. Si bien que l'obsession et l'impulsion dégagées de toute question d'intérêt, de tout mobile passionnel apparaisse
situation présente du malade. Je ne parle pas, bien entendu, de la question thérapeutique; de bons conseils et des consolat
ention d'entreprendre ici incidemment la discussion de cette grosse question , en général si mal com- prise, celle des rappor
ir, ses dangers, ses conséquences en pathologie mentale, toutes ces questions et bien d'autres sont forcément omises. Je n'ai
EN PLAQUES. 473 baie) et répond d'abondance par écrit à toutes les questions qu'on lui pose (pas d'agraphie). Il abuse même
'écriture et crayonne sans cesse phrases sur phrases à propos de la question la plus simple. Il écrit assez couramment, mais
lassique. Mais pour les autres variétés d'aliénés persécute urs, la question n'est plus aussi simple. Le fond pathologique d
e, le repos moral est perdu ; tout est, pour le malade, un motif de questions et d'anxiété pénible. Il a des remords, se fait
orollaire des conclusions précédentes, il est désirable que dans la question posée à l'expert on s'écarte aussi peu que poss
l'unité du psuké. Du reste,lfeynert a fait faire un grand pas à la question en distinguant les psychoses d'as- sociation et
de nos asiles. M. G. BALLET.- La discussion actuelle repose sur une question de mots ; elle peut être envisagée à deux point
n qui se pro- duit est l'augmentation de volume des granulations en question ; en même temps elles s'arrondissent et la subs
istes alle- mands (session de Weimar), mais elle ne vote pas sur la question d'admission sans interdiction préalable. (Allg.
.) Discussion Il. MeNDEL. - Sur les soixante-huit observations en question , j'en ai, en commun avec Oppenheim, examiné dix-s
CIÉTÉS SAVANTES. Discussion : \I. JOLLY.- Je pense que le malade en question a plu- tôt une déviation à droite de la colonne
midi était oc- cupée par une réunion générale où l'on discutait des questions moins spéciales. Comme nous ne pouvons suivre
e Dr Wallescheck lit une communication fort curieuse sur une petite question d'esthétique qui se rattache de près à la psych
l sera nécessaire de connaître pour connaître pour discuter cette question . Le professeur Ho rsley a montré les incertitudes
nsultée avec fruit par les observa- teurs qui s'intéressent à celte question . Paul BLOCQ. XIII. Thérapeutique psychique ou T
par Pick, 79; - sensorielle, par Adler, 82; - état actuel de la question de l' -, par Moeli et Wernicke, 116; - dans la
73 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nes douloureux. Le 16 décembre 1889, 112 : Magitot a repris cette question à la Société de stomatologie et apporté deux no
belles. Pendant que le dentiste préparait la cavité de la dent en question , elle ressentit une douleurvive. L'opérateur s'en
le cerveau, les physiologistes français ne se sont pas bornés à ces questions de définition : ils ont très bien compris l'obj
té de mon exposé, je rappellerai briève- ment l'historique de cette question . La première publication où ce syndrome soit me
élisme entre le cerveau du singe et celui de l'homme ? c'est là une question à laquelle on n'a pu répondre jusqu'à maintenan
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Maintenant, nous avons à nous occuper de la question importante et très discutée de la signification
n autre trouble de la vision, faits d'une grande importance pour la question des rapports des lobes fron- taux avec le sens
les, atteignent secondairement le pli courbe et ses rapports. Cette question de la délimitation exacte de la sphère visuelle
be occipital, rapport qu'il a admis plus récem- ment. Le trouble en question était, à son avis, non pas une cécité complète,
re une hypothèse un peu in- forme, que l'extirpation delà région en question a enlevé toutes les images visuelles qui sont e
t les yeux sont placés presque sur le même plan. Pourélucider cette question , j'ai récemment extirpé complè- tement l'hémisp
capsule interne ou d'autres régions sen- sorielles de l'écorce. La question de savoir si, après la destruction de toute la
objets dont il est en- touré qu'à une sensation visuelle. C'est une question qui deman- derait de nouvelles recherches, car
s la région la plus atro- phiée, celle des ascendantes; de plus, la question des troubles de nutrition ne saurait être agité
s dans l'esprit. Mais nous ne les articu- lons pas Si la cellule en question est atteinte d'un état de faiblesse ou d'irrita
le ; mais ici encore, il s'attache plutôt à poser et à préciser les questions qu'à les résoudre, espérant que l'appel fait àl'e
et, la Société décide de mettre à l'ordre du jour de ses séances la question si complexe des aliénés dits criminels. M. CH
lysie générale survienne chez des rhumatisants ou des typhiques; la question n'est pas là. Il s'agit de savoir s'il existe u
arpentier réplique qu'il n'est pas à même, dans l'état actuel de la question , de renverser les objections qui lui sont oppos
\L.Charpentier. Une statis- tique bien conduite résoudrait seule la question : si elle établit que la plupart des paralytiqu
elle formation. On sait, en effet, que l'espace cndol) mphatique en question ne contient normalement pas de vaisseaux. Quand
son diamètre est un peu inférieur à la moitié de l'exca- vation en question , sa structure est restée normale, aussi normale
tions avec le cer- veau antérieur. 11 s'est efforcé de résoudre les questions pen- dantes, en comparant les éléments en quest
de résoudre les questions pen- dantes, en comparant les éléments en question chez l'embryon et chez l'adulte. Les mêmes maté
ou moins accentué du champ visuel. Il n'y avait pas dans les cas en question de stigmates de l'hystécie. De même que les pal
ives ce qu'est la démence simple aux folies névrosiques ? » A cette question , que je me posais en 1878, je réponds aujourd'hui
nos jours. De même, il a triomphé contre l'Ecole de Lyon, sur la question du goitre des mulets et des chevaux, qu'il fut le
ssembler à un modèle des formes ex- térieures du corps humain. « La question de la forme, nous dit-il, est entièrement réser
rrait être atteint par la loi. Enfin, pour revenir à notre première question , où commen- cera le délit ? Nous croyons que le
s terminales du nerf saphène interne, (fig. 12, A). La douleur en question était à la fois superficielle et profonde, aiguë,
pas influencée par les douleurs circonscrites dont il vient d'être question . Au bout de quelques semaines, ou peut-être seu
renseigner sur ce point. - 168 CLINIQUE NERVEUSE. , Le relief en question s'appelle le repli sus-rotulien de Gerdy. C'est
onserver encore sur le nom qu'il convient de donner à la maladie en question . En effet, si au premier abord la démarche du m
ssible que le rôle de la moelle, dans la pathogénie des névrites en question , subsiste en grande partie, quoique non assimil
rnisme était néces- saire pour vous faire mieux saisir l'état de la question en ce qui touche l'alcoolisme. Ici encore, la c
le l'emporter, D'ailleurs, depuis longtemps déjà, bien avant que la question ne fût posée dans ces termes, Vulpian avait dém
ophiés. Ce qui est indéniable, en tous cas, c'est que l'atrophie en question , liée ou non à une névrite, est, quant àsa disr
ne. Reste donc à savoir la signification physiologique. C'est une question que nous n'aborderons pas ici et qui doit être
une analogie avec l'agraphie, Binswanger est d'avis qu'il n'est pas question ici d'une non activité (Ausfall) de centres fon
ou supprimées, revenir intégralement ensuite, il ne peut être alors question , dans ces cas, de lésion organique. Si toutes c
ter la sphère auditive par la méthode destructive. La réac- tion en question est celle que produit l'excitation de la première
écurité dépend habituelle- ment de l'acuité de l'ouie. La région en question est la division postérieure de la troisième cir
LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 243 faire allusion, soulevèrent des questions sur l'état de cet animal avant et après l'opéra
différence entre l'animal en expérience et l'animal sain, la seule question qu'on pouvait se poser était de savoir s'il n'ava
e la clarté dans ce sujet, si possible, j'ai de nouveau rcétudié la question . Sur un singe, j'ai enlevé d'abord toute la con-
autres formes de la sensibilité sont perdues. Tel est l'état de la question ; les détails du cas suivant que j'ai observé ré
ONNE (Arch. f. Psych., XIX, 3.) Le malade Grottkopp dont il a été question dans le tome XIX, 2, ayant succombé, on trouva
if de 119 autopsies propres à déterminer les mesures de l'organe en question et sur les considérations embryogéniques. P. K.
uvé intactes les cellules qui correspondent aux fibres nerveuses en question , non touchées par la section. - 4° Le nerf inter-
A LA SUITE D'UNE FRAC- TURE DE la base du crâne (contribution à la question du trajet des nerfs gustatifs) ; par L. BRUNS.
ublé d'un groupe de cellules d'arrêt. P. K. XL. Contribution A la QUESTION de l'innervation DE l'estomac; par W. Bechterew
provoque assez souvent des contractions généralisées de l'anneau en question . L'excitation de la séreuse intestino-péntonéal
orée; il réséqua le morceau correspondant du vaisseau. Les nerfs en question étaient intacts, sauf à l'endroit de la blessure
esheim. -Sur une population de 765 aliénés, la grippe épidémique en question a atteint, du 29 décembre 1889 au mois de févri
s le début de la maladie le dia- gnostic de tumeur était facile; la question d'intervention opéra- toire était plus délicate
les auteurs pensent qu'au point de vue anatomique les atrophies en question se rappiochent plutôt de l'amyotrophie chroniqu
stitue toutefois une excellente mise au point de cette intéressante question . Paul BCocQ. VII. Etude de psycho-physiologie
rs comme des pires parmi les observateurs qui se sont occupés de la question . Paul BLOCQ. VARIA Des hôpitaux d'asiles ; pa
nancier : si l'on veut bien tenir compte de tous les éléments de la question , on s'aperçoit que ce mode d'assis- tance est s
es sont le plus souvent, mais non toujours incurables. Il y a trois questions auxquelles il faut pouvoir répondre négativement
La proportion de malades qui peut être soumise à ce système. Cette question est importante, car si cette proportion était tro
siles pour les aliénés criminels. En ce qui concerne cette dernière question , nous rappellerons que le Congrès des aliéniste
ac- teur en chef, M. 130ul'neville, revenait encore une fois sur la question des asiles pour le traitement et l'internement
maintenant, a offert à M. Baillarger une riche moisson. Toutes les questions modernes ont pour devancières des vues ou des d
s-je, le cas serait probablement fort sérieux, car le syndrôme en question dénote nécessairement une lésion organique de s
tielles. Dans ie cas de Mayor, comme dans celui de Gubler, il est question d'un foyer de ramollissement ayant atteint le m
ns le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome clinique en question . 11 va sans dire qu'une lésion située à la base
ans le HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 333 syndrome en question . Voyons donc si nous retrou- vons chez notre ma
ituels, comment savoir s'il s'agit d'un spasme ou d'une paralysie ? Question délicate, s'il en fut, et difficile à résoudre.
PATHOLOGIE NERVEUSE. - de Neurologie un mémoire complet sur la même question . D'un autre côté, M. le professeur Pitres, de B
nous ne trouvons pas l'existence simultanée des trois symptômes en question , mais nous n'en trouvons pas même un seul exist
LOGIE NERVEUSE. , tuelle en apprécier la nature et l'importance. La question , pour moi, se ramène, en l'état actuel des chos
'anesthésie varient avec l'étendue de la destruction des régions en question . Ce sujet a été ensuite repris par Horsley et S
traînent à leur suite aucune dégénérescence du cordon pyramidal. La question demande encore de nouvelles re- cherches. CEN
és, le sens musculaire a été presque toujours intact ». Sur cette question , j'en ai appelé à Charcot lui-même. Il m'a avan
s corticaux pour le mouvement et la sensi- bilité. Il y a une autre question que je n'ai pas considérée, ce sont les relatio
ait à lui seul un volume et principalement de spéculation. Pour les questions que j'ai trai- tées plus complètement et sur le
bien ajuste titre, de la législation des aliénés. Il y a dans cette question un sujet connexe au droit et à la médecine, et
cine men- tale à ce propos prouvent une fois déplus que, dans cette question , il est deux points de vue différents, pour ne
e de traiter les aliénés ? et qui chargerait-on de ce contrôle ? La question ne laisse pas que d'être délicate et difficile,
si bien que cet arrangement pourrait fort bien ne pas re- soudre la question . C'est encore de l'organisation médico-administ
. Marandon, de Montyel, dans un remarquable article, où, prenant la question de plus haut, il commence par se préoccuper du
tres administratifs. Nous nous sommes un peu appesantis sur cette question de l'orga- nisation médico-administrative, car
plus importantes pour l'avenir de la pathologie mentale. 11 est une question aussi qui revient fréquemment à l'ordre du jour
question aussi qui revient fréquemment à l'ordre du jour : c'est la question des aliénés dits criminels. Doit-on les consi-
iques, alcooliques, fous c moraux, instinctifs, etc. » Cette même question de la création d'un asile spécial a été sou- le
juges de faire subir la peine dans un asile ? telles sont les trois questions que, dans un savant article, il examine au poin
à la pression exercée sur lui, il cesse d'être responsable. c La question de folie ou de contrainte n'est point posée d'une
les cours d'assises ; elle est contenue im- plicitement dans cette question : i L'accusé est-il coupable d'avoir « commis t
délire chronique de M. Magnan et reprendre amsi la discussion d'une question déja trop discutée et sur laquelle il ne nous par
urement théoriques parmi lesquelles la folie du doute sous forme de questions ; 2° celles qui produisent certaines actions dan
Deux observations personnelles. l'. K. IMPORTANCE pratique DE L1 question DE La paralysie générale SYPHILITIQUE,; par Tuo
ertonie et de dilatation des vaisseaux, ce qui laisse incertaine la question de prédominance d'un de ces phénomènes comme ca
on sur les formes aiguës de la folie. Dans ces dernières années, la question des psychoses aiguës a été mise en avant, au pr
constitue le premier travail d'ensemble qu'on ait produit sur cette question , nous sommes moins disposés à la critique, et con
de ce genre ne soit pas publié. On le conçoit d'autant moins que la question des aliénés est à l'ordre du jour, qu'un projet
logique a nommé récemment une commission pour s'occuper de cette question . Cette commission est composée de M. Sully-Pru-
cats. La conférence des avocats de Paris a discute lundi dernier la question ci-dessous : a L'indi- vidu non médecin, qui se
74 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de l'érythromélalgie. Ils fournissent de nouveaux documents pour la question de la pathogénie des névroses vaso-motrices des
xistant avec la névrose vaso-motrice chez une malade hystérique, la question de Vlujpnose se posait. La première séance eu
ne même de l'amitié; un mois se passe ainsi, et il n'est pas encore question de sa sortie. Alors elle jette le masque, s'exc
i-ùch-lheit ad libitum. Le chaos s'éclaire. La confusion mentale en question est un DE LA PARANOÏA. 27 délire général hall
qu'est la paranoïa originelle, ou acquise, tardive, etc. Quant aux questions de doctrine basées sur la notion de la dégénére
paraisse pas bien convaincu (il est certain que ce n'est là qu'une question de degré dans l'agitation intellectuelle); ce s
expose dans son discours d'ouverture de la société neurologique la question actuelle du cervelet, et rapporte quelques expé
9 ivrognes et on demande des asiles spéciaux. A-t-on réfléchi aux questions de première importance qui doivent être résolues
ion par l'État de la rectification des alcools. La difficulté de la question réside dans le nombre colossal des bouilleurs d
par l'Etat. Dans la pratique, elle peut devenir dangereuse. Toute question d'hygiène se double d'une question d'ordre financ
e peut devenir dangereuse. Toute question d'hygiène se double d'une question d'ordre financier, qui passe toujours avant l'h
dépit même de SOCIETES SAVANTES. 55 l'intervention du monsieur en question qui lui a nettement fait comprendre qu'il n'ava
vent, dans les cas choisisparl'auteur, trèslontemps que la folie en question a eu lieu, au moment où le même sujet devient par
paralysie générale terminale. Il y aurait lieu de réexaminer cette question qui a presque disparu de la bibliographie conte
iment étonnante quand il interrogeait les aliénés. Après quel- ques questions posées avec bienveillance, il les écoutait avec u
ors, on avait de moins en moins appliqué l'idée de la séparation en question ; bien des éta- blissements étaient, par la for
t de la composition était : le Nerf spinal (anat. et physiol.). Les questions restées dans l'urne étaient : Sinus de la dure-
éré, Falret, A. Voisin. Les épreuves orales comprennent chacune une question de patho- logie interne, une question de pathol
rales comprennent chacune une question de patho- logie interne, une question de pathologie externe. Les candidats ont eu à t
question de pathologie externe. Les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de l'urémie
ématique, ni les observations dans les- quelles le syndrome aigu en question précipite les malades dans une profonde démence
ente que des auteurs des plus autorisés attachent à ce côté de la question . Dans l'observation XIV de sa thèse, Raynaud dit
ien établis. Aussi ce ne sont pas des chiffres qui doivent juger la question . Reprenons quelques observations indiscutables.
ogue contribuant à répandre la suggestion mala- dive. Il y a là une question d'hygiène sociale aussi importante que celle de
hique et du milieu où se meut l'individu dépendra la solution de la question de savoir si la société le gar- dera dans son s
ontrait très surpris d'apprendre qu'il était le seul à entendre les questions auxquelles il répondaitréellement, alors qu'ilcro
e que chez ceux présentant une exagération du phénomène du genou en question . Il ne fut pas plus possible d'établir, une rel
res, et des racines antérieures à leurs points d'émergence. A une question de M. Mendel, M. Cramer répond que les branches
ntôt l'irresponsabilité absolue. Il a essayé de démontrer que cette question était d'ordre médico-légal, et qu'il n'était pa
e à la Faculté de Médecine de Paris. Le programme comprendra : 1° Questions à discuter : pathologie nerveuse glande thyroïd
ge 343, ligne 10. - - Au lieu de : «Au point devne historique de la question capitale de la responsabilité», lire : «Au point
de la responsabilité», lire : «Au point de vue historique, dans la question capitale, etc.. » Page 343, ligne 21. Au lieu d
a plus grande peine que nous obte- nons quelques rares réponses aux questions que nous lui posons, il faut, pour ainsi dire,
a demande. Maumy semble réfléchir avant de parler. Ainsi, à cette question nettement formulée : est-il vrai que vous ayez je
à l'audience, il a changé d'attitude, il a répondu correctement aux questions du Président et s'est défendu assez habilement,
lement et je ne crois pas avoir jamais fait le fou. » A la seule question qui lui était posée : c Maumy est-il coupable d
tériques et en particulier de symptômes uri- naires. Le noeud de la question nous paraît être dans ce fait. La maladie de Ra
rofonde; qui nécessita l'amputation des trois phalanges. Quant à la question de savoir si la maladie de Raynaud hys- térique
anoïa, c'est le récent travail de Chaslin qui présente l'état de la question en France. Toutes les psychoses aiguës « qui ne
nfesser par l'interne ou par son fils, qu'il adorait ; à toutes les questions , à toutes les instances, il opposa les dénéga-
RouBy. (Annales médico-psycho- logiques, oca. 1894.) - Parmi les questions posées, au congrès de Clermont-Ferrand, par M.
t avec une compétence toute spéciale, ayant lui-même étudié déjà la question , pour fonder une petite colonie d'alcoolisés da
as douteux que, s'ils persistent à vouloir tran- cher eux-mêmes les questions d'aliénation mentale au lieu de conformer leurs
r les agités que, celui des femmes ne suffisant plus, on a agité la question de la transformation de la section des agités e
uartier. M. Smith. Quelle doit être l'attitude des médecins dans la question de l'alcoolisme ? Dès le 65° congrès des natura
pEDN appuie de toutes ses forces la manière de voir de M. Smith. La question de l'alcoolisme ne comprend ni plus ni moins qu
ol. Sur l'initiative de M. KtRN, M. KROEPEUN propose de mettre la question de l'alcool à l'ordre du jour du prochain congrès
lques semaines le malade s'épuise et c'est alors que la psychose en question fait explosion. Soudain le désordre dans les id
-Tous ces symptômes-là ne concordent pas avec les cas dont il a été question . Comment distinguer cette forme de confusion me
s à démon- trer. La fièvre a été accusée, mais le délire initial en question apparaît à une période où la fièvre manque, dis
né la pariétale ascendante droite de la malade dont il vient d'être question . Coloration au bleu de méthyle. Un faible gross
our fixer la localisation des cel- lules nerveuses. M. Sommer. La question des infirmiers et la surveillance du médecin. I
it et fournit les données les plus exactes sur l'état actuel de ces questions encore à l'étude. La seconde partie comprend, n
a plus complète et la mieux faite qui existe actuellement sur cette question . Les psychologues aussi bien que les psychiatre
t un essai de classification qui semble résumer l'état actuel de la question . Le rôle des auto-intoxications et de l'infec-
asiles d'aliénés. M. LE PRÉSIDENT. - J'ai reçu relativement à cette question deux lettres que j'ai l'honneur de communiquer
du 27 avril 1893, la Commission de sur- veillance, en examinant la question de l'installation de pavillons d'isolement pour
Au Congrès de~médecine mentale tenu en août 1893, à la Rochelle, la question de la toxicité urinaire a été remise sur le ter
énéres- cence mentale. Ce n'est pas que ces vocables résolvent la question de nature, mais ils ont peut-être cet avantage de
heit, la Verrucktheit, ont des symptômes communs, et que toute la question se borne à un dosage des trois symptômes : idées
aranoïa revêtent, chez eux une apparence spéciale. Les syndromes en question y sont mutilés, mélangés, et toujours empreints
mbre 1893, la malade était assise dans mon cabinet et répondait aux questions que je lui adressais, lorsque subitement elle d
mier sillon frontal de l'homme. Le siège de la lésion irritative en question serait donc la circonvolution frontale ascendan
ette malade guérira-t-elle de son épilepsie ! Pour répondre à cette question il faut d'abord attendre un an ou deux.- Les de
iialioil d'une cavité régulièrement cylin- drique à leur centre. La question est de savoir si cette cavité est autochtone ou
mmissure postérieure. Pour ce dernier auteur le faisceau central en question cesse dans les territoires qui avoisineut le troi
3° Que dira maintenant la strtccture microscopique du cerveau en question ? Y a-t-il quelques particularités ayant pu compe
dégénérescence descendante et ascen- 'dante de tous les systèmes en question . État normal'de la moelle 'lombaire, notamment
Quel intérêt théorique offrent enfin ces mémoires ? Telles sont les questions que M. Ribot essaye de résoudre. Il y a 310 REV
près ses recherches dans les différents ouvrages qui traitent de la question et après ses propres expériences, que la mémoir
élever les enfants à la campagne et surtout dans les montagnes. Une question délicate est celle de l'éducation; c'est une mauv
e de seize ans, auquel il com- mença ce métier, des contractures en question avec phénomène de Trousseau, etc., ne survenant
alysie bulbaire sans s<OKSK< : (<omues. La jeune fille en- question avait une blépharoptose, avec parésie faciale e
vons-nous dire qu'il s'agit d'une hémianopsie .1lystÎrique ? [Cette question est fort délicate et sans me pro- noncerrd'ûne;
exemplè (fiù. 5). Cette dernière''constatation rondi donc1 à ? la' question que nous nous sommes posée ? olü,'lé-chalrip vi
sement, dans un état demi-conscient, il ne répond qu'à peine et aux questions les plus simples. Les deux pupilles contractées
rsjours, assou- pissement continuel, mais éveillé, il répondait aux questions sou- . vent d'une façon incorrecte, quoiqu'il p
apporté à l'expression d'un sentiment triste ou gai provoqué par la question faite. De temps à autre très irritable, mais pa
, qu'il faut nous défendre. M. JOFFROY. Gardons-nous de trancher la question de l'inter- vention de la magistrature dans le
idées délirantes permanentes fixes. En consé- quence, à l'époque en question , Feldmann était malade. L'orateur parle ensuite
oisi pour lieu de réunion. M. HOPPE. Contribution à l'élude de la question des infirmiers. Les meilleurs moyens pour avoir
sses, anglais, américains et italiens, qui se sont occupés de cette question , ce qui a naturellement donné lieu à une synony
lle montre la connaissance approfondie que possède l'auteur sur ces questions . Les Allemandsont désignésous le nom de acute V
ésumé des idées des différents auteurs qui se sont occupés de cette question et qui ont essayé de classer cette forme de mal
ut l'en féliciter, s'est efforcé d'ap- porter de l'ordre dans cette question et de dissiper les obscurités que la complexité
asile spécial d'alcooliques dans le département de la Seine. Cette question a déjà fait couler des flots d'encre et le débat
s de Clermont l'an dernier, n'a suffi qu'à démontrer combien peu la question était mûre aussi bien dans l'esprit des spécial
ervice médical ne pourrait être accusé de s'être désintéressé de la question . Dans les quartiers d'un asile d'aliénés, il y
e sera ciré, comme celui du réfectoire d'ailleurs. Ici se place une question intéressante : vaut-il mieux avoir de grands pa
deux grands dortoirs de trente lits; bien entendu, qu'il n'est pas question ici ni des agités ni des mal- propres. pour les
ourtant un peu. On trouvera sans doute que j'insiste trop sur cette question d'ornement, mais elle est si négligée dans tous
ut les chambres à coucher. Les cabinets de jour et de nuit, une des questions d'hygiène les plus compliquées et les plus diff
'urine. Enfin relativement a ce service des vidanges une dernière question tout aussi importante que les précédentes est cel
chose délicate. Depuis longtemps déjà, on s'est préoccupé de cette question et les avis restent encore très par- tagés, au
E pathologique. Tristan Shandy attribue son mauvais caractère à une question que sa mère aurait faite en moment très inoppor
ettre en lumière en abordant la pathogénie de l'épilepsie, c'est la question de prédisposition. Cette prédisposition, nous l
fection héréditaire, comme une maladie consti- tutionnelle. Cette question de prédisposition est capitale, elle domine, po
ici à tous les obser- vateurs, et même en admettant que ce soit une question d'his- tologie fixe du système nerveux, que nos
rine rendue commence à être hyper- toxique. Nous 1 avons'dit, cette question de la toxicité urinaire. est fort épineuse. Il
surtout roulé cette année sur l'étude des centres cérébraux. Cette question est loin encore d'être élucidée et fournit aux
hyperexcitabilité due à l'état inflammatoire, sa marche et d'autres questions se rattachant à l'épilepsie trauma- tique. Il a
est le point de départ de la seconde partie. Dans celle-ci, il est question d'abord des idées ayant une impor- tance prédom
us en Russie. D'ailleurs le pouvoir laïque ne s'occupait pas de ces questions , sauf pourtant sur un point : dans les vieux co
les choses de toutes sortes, mais les sujets philosophiques et les questions religieuses l'attiraient surtout en dehors du d
on se rende compte de tout. P. K. a . 496 VARIA. DE QUELQUES QUESTIONS d'organisation ET DE construction DES cliniques
éger. (Centralbl. f. Nervevheillc, XVII. N. F. V. 1894.) " -I. La question préjudicielle' est la question d'argent. Pour qu'
lc, XVII. N. F. V. 1894.) " -I. La question préjudicielle' est la question d'argent. Pour qu'une clinique ait beaucoup de
l d ? par Rouby, 212. Alcoolisme, attitude des médecins dans la question de l' -, par Smith, 225. Aliénation, jury d'e
17. Iw lRàlIEliS et surveillance des méde- cins, par Sommer, 236; question des , par Hoppe, 401 . Interdiction, histoire
75 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ques, et nous chercherons à démontrer que les malades dont il est question sont, des hystériques, qu'ils sont atteints de
doit être rattachée à la paralysie hystérique et qu'il ne peut être question d'une atrophie indépendante de cette paralysie
être rattachés à quelque lésion organique ou à l'hysté- rie. Cette question est difficile à résoudre, et, comme elle n'offr
au contraire, il n'y a pas de diffé- rence fondamentale, c'est une question relativement secondaire de savoir si la scléros
NÉ. '-il quels les lésions se succèdent dans l'ordre inverse. Les questions secondaires ne doivent pas faire perdre de vue
e mon ancien interne Brousse, me paraît jeter un grand jour sur ces questions . . Il n'y a pas entre les myélites systématisée
s avons trouvé sur le terrain clinique. Cela posé, arrive uue autre question , qui me paraît secondaire, mais dont je ne veux
ns-nous de rappeler une proposi- tion de Westphal, qui résume cette question : dans Archives, t. XLI. 3 34 PATHOLOGIE NERV
u même la phtisie pulmonaire, qui emporteront le sujet ? Toutes ces questions , et mille autres semblables, intéressent au plu
d'observateurs qui s'en sont occupés; après cela je reviens à la question , que j'ai posée au commencement de cette étude.
mbien ces examens sont inaptes à donner des résultats sur certaines questions physiologiques. Ces scrutateurs ont produit par
ent diététique, moral, humain, des aliénés. Suit l'historique de la question en Espagne, sous tous ses aspects avec analyse
aux contenant ' ? ,164 aliénés de plus que les 66 établissements en question . Citons les asiles provinciaux de Mérida (fondé
'AI ! emagne du Sud-Ouest de 1884'. Les allures stoechiologiques en question diffèrent-elles de celles que présen- terait un
ares, l'étude de la marche de la maladie peut seule tran- « cher la question . - 4° Dans l'alcoolisme chronique, les idées «
de là un flot de paroles incohérentes soit pour ré- « pondre à une question , soit indépendamment de toute question « posée;
soit pour ré- « pondre à une question, soit indépendamment de toute question « posée; de là aussi une entière impuissance à
bonheur, au bien-être plutôt des aliénés internés, et il traite la question du système dit des portes ouvertes ». Mais il s
nations de la vue, incapable d'enchaîner ses idées, de répondre aux questions , de dire son nom. Tremblement très marqué de la
guère de l'opinion publique lorsque la guérison des malades est en question , et il pense qu'il vaut mieux courir le risque
sent les conditions favorables à l'appré- ciation de l'influence en question . L'auteur les relate en les résumant; voici ses
ue que de l'hallucination. Mayser, pour mettre de la clarté dans la question , applique le terme qui nous occupe à un délire
paralysie générale ? Comme la plupart des paralytiques généraux en question ici avaient également subi l'influence d'autres
la viande crue et de la chair humaine. P. K. XLVIII. Sur QUELQUES QUESTIONS DE principe EN électrothérapie; par C.-W. Muell
usqu'à ce jour se divisent en deux groupes : le premier envisage la question au point de vue physio- logique, c'est-à-dire l
son effet sur la circulation crâniene. Le second groupe envisage la question au point de vue psycho- logique, son action sur
l'état des vaisseaux dans la boite crânienne. Pour étudier cette question , nous devrons nous servir de l'expé- rimentatio
ellules de l'oculo-moteur commun. Le groupe des petites cellules en question (noyau supérieur de l'ocu- lo-moteur commun ? )
tteinte concomitante du tri- jumeau. Néanmoins, on ne possède à ces questions aucune ré- ponse satisfaisante. M. UII1'HOFF.
type cli- nique ; il ne manque ici que la rigidité des bras. Aux questions de MM. AtENDEL et REMAK, M. WESTPHAL répond que
te- six paralytiques généraux, 47 p. 100 offraient le symptôme en question , et, sur mil trois cent vingt-cinq aliénés non pa
xcitants mécaniques ou chimiques des branches terminales du nerf en question dans la muqueuse laryn- gienne, produit, par vo
irection de M. Chris- tian, comprend un résumé assez détaillé de la question , et aurait constitué un document très intéressa
avait surtout un caractère pratique; les femmes ayant, en plus des questions orales, une liste de six questions écrites auxq
les femmes ayant, en plus des questions orales, une liste de six questions écrites auxquelles elles devaient répondre par un
st le même pour tous les candidats. Il est tiré au sort entre trois questions qui sont rédi- gées et arrêtées par le jury, av
jury, avant l'ouverture de la séance. Pour les épreuves orales, la question sortie est la même pour ceux des candidats qui
t pas de le faire subir à tous dans la même séance; dansce cas, les questions sont rédigées par le jury chaque jour d'épreuve
0 francs, a été décerné à M. le Dr Paul Balcon, médecin à Paris. La question posée était : « De l'idiotie et en particulier
nel. Ce prix, de la valeur de 2,400 francs, n'a pas été décerné. La question proposée était la suivante : « De la FAITS DIVE
il semble avoir toute sa lucidité d'esprit et répond très bien aux questions qu'on lui pose; nous avons pourtant fait remarq
is dans les observations précédentes, que la malade dont il est ici question est atteint d'une paralysie hystérique avec amy
que nous venons d'énoncer ? Il est impossible de répondre à cette question ; mais, du reste, nous ne prétendons pas établir
s ne connaissons pas de caractères qui permettent de résoudre cette question dès le début; mais,, d'après ce que nous venons
as subi la moindre atrophie. Or, chez les malades dont il est ici question , l'atrophie s'est développée très rapi- dement
nos jours, on a publié beaucoup d'observations sur les maladies en question . Ainsi les observations de Kussmaul, de Vulpian
t précédé l'ataxie locomotrice; dans la plupart des observations en question , le tabes 1 Voy. Archiva de Seurulugie, L. ? 1,
ux. Il s'agit d'un état congénital héréditaire; la mère du sujet en question vient de procréer un enfant actuellement âgé de
s se pourraient engendrer sur un terrain non spécifique ? Autant de questions insolu- bles. En tout cas ici, il faut éliminer
ychiques, et peut être produit volontairement par les influences en question , ainsi quand il pense à l'hypnotisation et à so
étiologique plus sujette à controverse. Après s'être étendu sur la question , M. Christian combat surtout le terme héréditai
s avez enten- dus dans les précédentes séances, montrent combien la question était importante. Malgré les objections qui ont
ccorder des caractères spéciaux. Ce n'est là qu'un petit côté de la question ; peu importe pour la doctrine que l'in- fluenc
istique à procurer les matériaux nécessaires à la solution de cette question , matériaux empruntés aux données statistiques d
si les asiles d'aliénés dépen- daient de l'Assistance publique, la question de la retraite pour les sous-employés, les infi
ôpital le 27 mai 1884, atteint d'une paralysie des deux jambes. Des questions préalables expliquèrent qu'il venait de sortir
1 que l'intelligence est intacte, mais qu'il ne peut répondre aux questions . Lorsqu'on lui demanda par écrit : « Où as-tu mal
iation confuse et ce n'est ordinairement qu'en pressant l'enfant de questions ou eu lui présentant le bonbon attendu qu'on ob
apsus de la lèvre inférieure, consécutif à la brûlure dont il a été question . L'abdomen est toujours volumineux. Les selles
ait affectueux et prononçait quelques mots. Il ne peut donc être. question chez lui de crétinisme congénital proprement di
t une excitation forte, c'est-à- dire élever la voix et répéter les questions , pour attirer son attention, pour le faire rega
one, mais sur un ton très élevé. Elle répond assez correctement aux questions , mais lentement. Elle parait mettre plus de tem
lle parait mettre plus de temps que d'habitude pour comprendreune question et, par suite, encore plus de temps pour formuler
homme de quarante ans dont le myxoedème paraissait remonter 1 La question de crétinisme mériterait du reste d'être remise à
n 1883, après que l'at- tention de M. Kocher eût été attirée sur la question du myxce- dème par les communications de MAL Re
aucune façon de ce qui se passe autour d'elle, ne répondant pas aux questions qui lui sont faites; la sensibilité parait très
t complètement disparu ; la malade n'est plus tourmentée que par la question de savoir si l'on voudra la laisser sortir de l
donner brièvement les résultats d'une assez grande expérience de la question , acquise pour avoir pratiqué un assez grand nom
fermeture de la plaie, nous sommes amenés à considérer l'importante question du drainage. Je crois que maintenant je serai a
aire une entité morbide d'un simple symptôme épisodique. Lorsque la question du délire chronique reviendra en discussion, je
asma, ces faisceaux se séparent peu à peu dans le trajet du nerf en question pour se rendre à leurs moitiés réti- niennes re
es de leurs auteurs. Le même esprit de méthode se retrouve dans les questions physiologiques et pathologiques qui en relèvent
cérébro-crânienne, curieux par les détails crâniolo- giques et les questions relatives aux applications du trépan, est suivi
hapitre est consacré à la circulation cérébrale avec les nombreuses questions physiologiques et pathologiques qui en découlen
il était temps qu'une nouvelle revue d'ensemble fût faite sur cette question . La seconde partie, réservée au système nerveux
bibliographie. 413 3 plan, l'auteur se réservant de traiter cette question à part, parce qu'il trouve qu'en définitive les
raordinaire au point de vue médical et psychiatrique. La première question à se poser est : Quand a-t-on pu s'aperce- voir
preuves sont innombrables et on les réunit actuellement. La seconde question est celle de la prédisposition héréditaire. Ici
ifférents, dut re- noncer au pouvoir et fut interné ? Bien que la question soit secondaire au point de vue psychia- trique
du système ner- veux ; une épreuve orale d'un quart d'heure sur une question de pathologie externe et une de pathologie inte
e question de pathologie externe et une de pathologie interne. La question écrite tirée au sort était le nerf facial, anatom
e au sort était le nerf facial, anatomie et physiologie. Les autres questions mises dans l'urne étaient : Nerf pneumogastriqu
ysiologie. Les épreuve orales faites le 28 juillet se composent des questions suivantes : Signes et diagnostic de la fièvre t
ptômes et diagnostic de la pleurésie aiguë. Fractures des côtes. La question traitée par les candidats était : Signes et diagn
ie guérie par 1'), 68; -(chez les aliénés), 400. Électrothérapie ( questions de principe en), par ltiueller, 91, 405. En
76 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ie du sens musculaire (ataxie hystérique de Lasègue). J) Voilà la question nettement posée. Devons-nous abandonner notre c
pas ici aborder l'étude de la pathogénie de l'attaque hystéri- que, question extrêmement complexe et difficile. Nous avons s
s à cette occasion, me demande mon opinion sur la faith-healing. La question n'est pas de celles qui puissent me laisser ind
par des négations sans fondements qu'on peut espérer résoudre cette question de la faith-healing qui, je le répète, appartie
L'évolution de nos données scientifiques me permet d'être, sur la question de fait, entièrement de l'avis des médecins des
our se rapprocher plus encore des conditions propres aux malades en question , celui des condamnés à mort dont les idées tend
blement : « c'est ma psychose » et il est impossible de résoudre la question , à savoir si, et en cas d'affirmative, jusqu'à
, la partie inférieure (ventrale). P. K. ' III. Contribution A la QUESTION [des FIBRES externes d'association DE l'écorce
1887) à propos de la corne d'Am- mon. P. K. IV. CONTRIBUTION 9 la QUESTION DE la circulation DU sang dans l'encéphale pend
né et de plusieurs embryons de différents âges. Le noyau externe en question appa- raît d'abord à la région bulbaire où le f
de Lissauer un rapport entre les symptômes paralytiques aigus en question et ces altérations. P. K. XXI. DE la conscience
S nerfs moteurs; par Olga GoATlsxx. Cette étude avait en vue deux questions : 1° Chaleur comme excitant ; 2° Chaleur comm
de une à dix secondes. Le résultat général relatif à la pre- mière question , la chaleur est-elle un excitant pour le nerf mot
ant pour le nerf moteur ? 2 fut négatif. Pour résoudre la seconde question , la chaleur modifie-t-elle l'excitabilité du ne
craintes de persé- cution. Ce point mériterait qu'on revint sur la question du délire chronique. D'autres aperçus n'ont pas
t de la maladie. L'opinion n'est pas encore fixée sur ce côté de la question . Il en est de même de la prédominance dans un s
à propos pour démontrer combien il serait opportun de discuter les questions relatives aux différents délires de persé- cuti
cations. Séance du 8 novembre 1891. Présidence de M. SCHUELE. Les questions suivantes seront traitées pour le prochain congrè
chioni joue peut-être bien un rôle important dans la sensibilité en question . Qu'on se rappelle ces observations dans lesquell
ration de Marchi tout en mettant en vue l'étude particulière des questions suivantes : I) la structure du chiasma chez le co
es observations sur le trajet des nerfs optiques. Tout de même la question sur le rapport du a ganglion habenulaë » au réfle
mique, tracé par le rapporteur. Le rapporteur pense revenir à cette question muni de preuves plus efficaces. Séance du 17
es neurologistes. Ils expérimentèrent sur des la- pins. La première question que les auteurs abordèrent est la sui- vante :
ormal. Ce que devient l'os décalcifié ? Pour résoudre cette seconde question , les auteurs viennent en somme à la conclusion
du 1er août au 6 août 1893. Le congrès discutera spé- cialement les questions suivantes : 1° Pathologie : « Des auto-intoxica
age des aliénés. » Rapporteur M. le Dr Giraud. Les rapports sur ces questions seront adressés en temps utile aux adhérents.
nications ou leur inten- tion de prendre part raz la discussion des questions générales indi- quées ci-dessus. Le montant de
tait ministre de l'instruction publique, et nous avons sou- levé la question l'an dernier devant la délégation cantonale du
ale amyotrophique, soit la paralysie du type Duchenne-Aran. Cette question du diagnostic différentiel des atro- phies musc
éra- lement quelques troubles de la sensibilité; or, il n'est pas question de cela chez noire malade. Il faut donc en veni
chez notre malade. Je ne le crois pas. Quoi qu'il en soit une autre question se pose que nous allons maintenant examiner. L'
dois vous déclarer qu'une réponse affirmative doit être faite à la question que je viens de formuler. Oui, il existe des am
prétendaient qu'il était atteint du mal de saint Gilles » et il fut question de le con- duire en pèlerinage près la statue d
stée; il existe même des cas d'ataxie dans lesquels le phénomène en question n'a jamais été trouvé. » Cela est parfaitemen
isme avec sesphases classiques. A ce sujet, il a été plusieurs fois question d'elle en diverses publications, à l'occasion d
s venons de décrire. Sur des coupes longitudinales, où les aires en question sont plus difficiles à trouver, on les voit con
ations particulières, qui se rapportent, évidemment aux systèmes en question . Il rappelle qu'il n'a trouvé de descrip- tion
ue M. Aline, quarante- sept ans, sourde à crier, fait répéter toute question ; soignée il y a six ans pour une affection doul
émotive, craintive, mais non affaiblie ; elle répond très bien aux questions , ne fait pas répéter, n'hésite jamais dans ses
ève, sans hésitation, presque automatiquement. Il ne répond pas aux questions que nous lui adressons, bien qu'il les comprenne
hystériques, une petite hystérique). Conclusions. 1° Les malades en question à l'état de veille, se sentant en bonne santé,
ou prodromes d'un nouvel accès), les opérations intellectuelles en question deviennent franchement plus lentes. P. KERAvAI,
sch. f. Psychiat., XLVIII, 1, 2.) Statistique de l'établissement en question pour 1888 et 1889, comprenant : mouvement génér
point sous-jacent le centre moteur du bras et et de l'épaule. Une question se posait : Quand et comment le clou a-t-il été
ble, en rapport avec des territoires vasculaires précis ? C'est une question d'autopsies. - P. K. XXIV. UN CAS DE PARALYSI
a SUITE DE trau- MATISME, constituant EN même TEMPS la réponse A la QUESTION : LA NARCOSE CHLOROFORM1QUE PEUT-ELLE ÊTRE EMPL
atrice au fil de nickel, on peut doser le courant; le régulateur en question peut faire intervenir 62,000 ohms ; chacun de c
t la production des mouvements d'autre part, car les médicaments en question , agissent différemment sur chacune de ces opéra
, au point de vue de l'assistance, et l'on n'a pas encore résolu la question de savoir si l'on doit lui recevoir ses idiots
réparations empruntées à un tabétique dans lesquelles les fibres en question avaient dégé- néré exactement à la même place.
EcKE. - Crime et folie chez la femme. - Après avoir exa- miné cette question au point de vue de l'anthropologie biologique (
pourrait s'appuyer pour s'occuper des modalités des pénalités. Ces questions n'ont rien à faire avec le fonctionnement organiq
e le danger peut résulter du glissement de l'ins- trument. Celui en question peut s'employer avec la plus grande justesse et
a craniectomie et n'a eu que deux décès. Ce n'est pas seulement une question de la sûreté de l'opération; celle-ci est natur
naturellement chose essentielle pour le chirurgien, mais c'est une question des résultats définitifs de l'opé- ration. Il e
roissent pas après la fermeture des sutures et des fontanelles ? La question est celle-ci : pourquoi chez quelques enfants l
avait pas demandé d'écrire sur ce sujet. Il a pensé qu'il n'est pas question du diagnostic. Le Dr Fry a mal compris le rappo
Bill, médicale, CuaAcoT-DEnovr.) Ruefi", éditeur, Paris, 1892. La question des troubles du langage chez les aliénés ne laiss
ur que nous les rappelions ici, ne pouvait manquer de traiter celte question de main de maître. Il étudie successivement les
qui lui avait décerné le prix Civrieux. Les progrès faits sur cette question depuis lors ont forcé l'auteur à le revoir pour
ies hyperfonction- .BIBLIOGRAPHIE. 307 nelles. Mais, outre que la question de la pathogénie de ces accident est loin d'êtr
le aussi, et ne contribue pas peu à apporter de la lumière dans une question en apparence complexe. Bien des points sont enc
ont vacantes dans lesdits établissements au 1 ? janvier 1893. Les questions orales ont été les suivantes : l^8 Séance : Symp-
ntion honorable à AI. A. Paris, médecin de l'asile de Mareville. La question posée était : Etablir, par des recherches cli-
do-1Ja1'alysics t'xtumine et alcoolique. Prix Falret (1,000 fr.). Question : Accidents nerveux (le l'urémie, M. BERNARD (d
les animaux et l'homme. Pria; Pourat (1,800 fr.), M. A. RoGER. La question posée était : Recherches expérimentales et clin
té. FAITS DIVERS. 319 L'accusé, toutefois, a répondu à toutes les questions qu'on lui a adressées; mais il a raconté les dé
uente de la scoliose dans les névropathies, et bien qu'encore cette question demande de nouvelles recherches pour éclairer d
ur- quoi cette lésion, à quelle cause la rattacher ? Telle est la question que nous allons maintenant aborder. On pourrait
en deux grandes classes : dans l'une les malades se préoccupent des questions insolubles de leur nature comme la vie, la natu
Dans la dernière partie de son article, M. le Dr Hospital aborde la question intéressante des inhumations prématurées; la conc
iques sur la manière dont certains magistrats anglais entendent les questions médico-légales relatives à la responsabilité et à
DUNN. (The journal of mental science, janvier 1893.) La première question qui se pose dans l'étude de l'affection men- ta
r ANGIOLELLA. (Il manicomio, fasc. 2, 3, 1892.) L'auteur discute la question de savoir s'il y a entre l'imbécillité et l'arr
te l'écorce cérébrale d'une poliencéphalite de la première enfance. Question presque insoluble dans le cas actuel par suite
ège; les types cliniques varient suivant les familles observées; la question de savoir si les secousses choréiques peisisten
sur la motion de M. RICH.1RZ, fonder la Société psychiatrique en question . A cette première séance assistaient MM. Besser,
le des com- munications qui y ont été faites portent sur toutes les questions scientifiques et pratiques de la psychiatrie.
scion- tifi'1llC judicÍllil'c, 1893. Ce livre qui met au point la question des anomalies, perversions et aberrations sexue
des malades et non des vicieux. La cinquième partie enfin traite la question au point de vue mé- dico-légal, et s'occupe de
tations délictueuses ou criminelles de l'inversion. Elle agite la question de la prophylaxie et de la thérapeutique sociales
cture il ceux qui désirent se mettre au courant de cette importante question . P. S. VARIA LES TRANSFERTS DES ENFANTS ALIÉN
usage trop restreint du bouillon et de la soupe. Il voudrait, la question à son sens en vaut la peine, que l'As- sociatio
modèles, et M. Campbell ne dédaigne pas de préciser à l'avance les questions sur lesquelles il voudrait avoir l'avis de ses
semaine doit-on donner de la viande de boucherie en hiver ? 2° Même question pour l'été ? 3° Quelle est la quantité de viand
mmission législative de l'Etat de Massachusetts s'est occupée de la question de l'établissement d'une maison d'épileptiques.
ciété médicale de cet Etat, à l'effet d'étudier et de presser cette question qui a été l'objet d'une circulaire du gou- vern
ntre les différents auteurs qui croient cependant parler de la même question . Sans doute, les élèves d'une même école qui on
sous la veille sans inter- ruption 2. » Bien entendu, il n'est pas question ici des va- riétés, ni des difficultés de détai
e les excitants simples (alcool) restent sans action. D'ailleurs la question de savoir s'il s'agit d'un trouble dans la prod
l'idée nosographique que l'on doit se faire de l'entité morbide en question , il faut ou bien limiter à cette modalité clini
en du malade et de ses assertions, il appert que le personnage en question est un homme qui est tourmenté par une seule pens
(trente-six cas, dont trente avec autopsie) pour l'élucidation des questions de pathologie cérébrale les plus discutés, surt
les tubercules quadrijumeaux antérieurs, et il y abordera aussi la question des centres visuels supérieurs. ...... . ' . E.
ité complète. Le jury a rapporté un verdict affirmatif sur les deux questions de tentative de meurtre, mais tenant compte des
ontre l'abus du tabac vient d'ouvrir un nouveau concours. Voici les questions qui intéressent nos lecteurs : Prix de médecine
77 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rainte, bien justifiée d'ailleurs, parce qu'on met le pied dans les questions si controversées de l'origine syphi- litique de
et surtout la première, me paraissent propres à éclaircir un peu la question et à montrer que, dans les cas syphilitiques, l
e est à peu près indemne. Sur les dissociations des deux nerfs en question , ainsi que de Fig. G Méninge et racine antérieu
ulsion irré- sistible. Il faudrait donc poser au jury une troisième question : L'accusé pouvait-il s'empêcher d'agir comme i
déclarer l'accusé responsable ou non. Le jury prononcerait sur la question de fait : L'accusé a-t-il ou n'a-t-il pas commi
llectuelle répétée'chaque jour, en procédant des choses simples aux questions plus difficiles ? ramène peu"à'peu" toût.â"lès
atténué^ ; M. Stefanowski, après avoir signalé l'importance, de la question au point de vue médico-légal dans notre société
modus faciendi de l'intoxication, non signalé encore. Le malade en question absorbe, depuis quinze. ans, ,1a dose quotidien
Les progrès de la médecinealiéniste ont fait aujourd'hui avancer ta question . ,.ri ' ;^, ^r . ' , . . REVUE DE MÉDECINE LÉGA
faitement ' - saine ? d' 1 .t f : a , ·H ) ? ' ''Aspect légal de la question È"a'I"o-i définit ta folie « une manière de se
ider d'après'le témoignage du médecin. On poserait au'jury les deux questions : ' . . 1°L'accusé a-t-il la maladie'du cerveau
LE. . ; 2° Le crime est-il le résultat de cette maladie ? c - Ces questions sont simples; les difficultés naîtraient seulemen
tégrité psychique de la femme pendant qu'elle, a ses règles est une question qu'il est utile de se poser au point de vue med
de tous pays, a, s'occuper actuellement de ces graves et difficiles questions : il cons- tate donc avec un vif regret que l'A
influent1 à= la fois sur des réformes légales' et' sur beaucoup de questions fondamentales de la vie sociale. '» ? ni«m. ! P
? *;i> t ' : 2''it .)' - - Il est, en pathologie mentale, peu de questions plus intéressantes t au point de vue du, diagno
llon donne sous une forme concise et claire l'exposé critique d'une question très controversée, il apporte à sa solution des
méliorations réalisées dans le service au point de vue des diverses questions qui intéressent à la fois l'éducation morale et
s les praticiens. Bien que l'intérêt qui s'attache à cette première question traitée dans le début du volume soit très grand
ations, renferme des documents de la plus haute valeur sur diverses questions à l'ordre du jour * s m, L'histoire des scléros
rop 1 récente pour qu'il ne1 soitEpa's inutile I d'apporter à cette question ^tous' les documents J précis ,- qu'il-) est'' p
aintien'^de tousr les -aliénés'2 quels qu'ils soient ? Cette grave' question "a été et'est encore'des plus`contro- versées'et
9 ? < ? << ? tmt-" ? 9f tnmtF' -.p-n-Qiî-n ) ',onlw °o La- question , de l'hospitalisation , des, épileptiques, est pa
Concours DE la Société DE médecine mentale DE BELGIQUE. Première question . Etude clinique des maladies mentales transitoi
ilis. L'auteur insistera spécialement sur leur pathogénie. Deuxième question . Le traitement rationnel de la folie basée sur
lie basée sur les indications étiologiques. 76 VARIA. Troisième question . Cj Cette. question, relative, à la 8 pathologie
indications étiologiques. 76 VARIA. Troisième question. Cj Cette. question , relative, à la 8 pathologie mentale ou nerveus
ndi 6 août1 air samèdi'il^ Le Congrès1 dis" cutera spécialement les questions suivantes ? e»*wo2 el ArtP2'r ? t - c'io Pathol
-docent de l'Université, de Genève (Suisse).. Les rapports sur ces. questions seront adressés en, temps utilejauxtadhérents.
' tir intention d-' e.pi ',éfidré ? ai,t 1- Ë" à la discussion, des questions générales, indiquées, é dssus.l yLLe·1 discussi
des questions générales, indiquées, é dssus.l yLLe·1 discussion, es questions ft gelieia " e 1 ci t t ? montant de la cotisat
lier, aux malades dont la guérison est possible. Il s'agit là d'une question intéressante. Malheureusement, les res- sources
" z Sur les' coupes perpendiculaires à l'axedes les tigelles en , question , apparaissent commefi des ..cercles, des ellip
i;iènt'è conjonctive' des nerfs,' il m'a1 paru que le néologisme en question se trouvait tout indiqué,' attendu que la couch
tion décrite par eux ne représente qu'une des variétés du groupe en question . , ,, ' ' \. Il existe donc lacune lacune termi
paces lympathiques circulaires. Les foyers'dont il est maintenant question (PL. II, fij. 21) apparaissent sur les coupes per
masse (Pi II, fcg ? 14 ? v).`Qûand ? au contraire^' les logettes en question sont très^ nombreuses, elles communiquent à la
et quel est le mécanisme de leur évolution ? Pour répondre à cette question , il importe de distinguer l'un de 100 ANATOMIE.
llements et aux pressions sont précisément ceux où l'hyperplasie en question atteint son, plus haut développement. C'est ain
exemple, sur le poplité de mon chien. Ici il ne peut même plus être question d'une adaptation' fonctionnelle : loin de servi
res- affectent-ils telle forme plutôt que telle autre, c'est là une question à laquelle on ne saurait actuellement répondre
t être révoquée en doute. " ? ' ' De différents côtés on a agité la question de savoir si et dans , quelles limites les prod
éningées, quoique ces lésions n aient pas de rapport direct avec la question , qui nous occupe ici. Dans cet ,ordred idées no
le'tabes. On'sait,"d'ailleurs;'combien'est·èncôre discutée ,'cette question " ! de' l'altération des' vaisseaux dans* Ji l'à
r interprétation n'était pas aussi facile. > , , ... Il t - La question des dégénérescences ascendantes a occupé déjà .
ale, sous l'aspect étiologique, est, r depuis plusieurs années, une question 'souvent remise à l'ordre du jour : les nombreu
iscussions qui ont' ëu lieu à ce sujet sont loin d'avoir éclairé la question ; alors que pour les uns c'est la Ç syphilis qu
sur les injections de bleu de méthylène sur le vivant. Reprenant la question au point où l'on tenait encore la névroglie pou
FER. (Archiv f. Psychiat., XXIV, 3.) Conclusion : 1° Le malade en question , atteint de paralysie agitante avec symptômes d
die s'est révélée dès l'âge le plus t Se reporter, pour toute cette question des perversions sexuelles, aux travaux de Westp
classification de M. Magnan, qui a jeté un si grand jour dans cette question des anomalies sexuelles, nous croyons que notre
, et lorsqu'on le laisse parler de lui-même, sans le guider par les questions , il s'engage immédiatement sur la voie de ses i
e met à parler de la guerre de 1870, «qui a été un malheur », de la question d'Alsace-Lorraine « toujours pendante ». - Et i
des altérations identiques. alors que dans le grandi, pectoral en. question on cons- tate surtout l'image, de la dystrophie
emier abord, il semble que l'on ait affaire dans l'observa- tion en question à une syringomyélie. Atrophie musculaire des ex
eurs sont encore : perçues'dans'les limiteslexlërieures du champ en question . 113·a3douc`eu;surfonction; puis/'par suite de
contiguës aux limites e .xtériéures'd'a"'cli"a"nip" m v sue . 1* en., question . .Inversement les limites de la'perception pour
mpose des fibres des racines postérieures du seg- ment de moelle en question qui affectent, dans lazone radiculaire, fun tra
, ses cellules survient quand il y a eu rétrac- tion de l'organe en question ;') eql ^9YR 17917o9 91) cliiov r', Genèse : Il'
ingomyélie résultant d'une' localisation Il insolite des lésions'en question dans la moelle,soit in situ, s'oit par expansio
oire des cordons postérieurs, produit les symptômes tabétiques ? La question n'est pas encore jugée, mais l'auteur penche po
es progrès de l'âge déterminent une faible diminution des fibres.en; question , diminution qui prend-une intensité considérabl
onsidérable dans la démence sénile ; 4° la diminution dësefibres en question dans. la démence paralytique peut dépasser de b
ne présen- tassent pas la, ou le plus souvent, les complications en question . G'est une atrophié musculaire marchant du cent
ette recherche. V . M. Ballet. M. Voisin trouvera* une réponse à sa question dans une thèse que M. Renaud a faite, d'après m
v, M. JoFFROY craint que, M. Ballet ne tranche trop brusquement une question ,encore douteuse. Si- j'ai, ajoute-t-il, quelque
prit ? de' corps ? Ils'ont souvent des réunions où l'on discute les questions médicales concernant l'aliénation. Méde- cins e
es, se tiendra à Clermont-Ferrand, du 6 au 11 août 1894, et que les questions mises à l'ordre du jour seront les suivantes :
t de la législation relatives aux alcoo- liques. Rapporteurs : in question : M. le Dr Gilbert Ballet (Paris); 2° : M. P. M
res points de l'encéphale ne coexistent «jamais avec le symptôme en question , n'est-il pas légitime de penser que la lésion
dral, Lallemand, Gintrac, etc., etc., n'ont, pour la solution des questions qui nous occupent, aucune valeur. Quelques exem-
ui 250 .' f PATHOLOGIE NERVEUSE, y répondent,sans hésitation aux, questions qu'ils n'ont pas enten- dues mais qu'ils ont lu
ement qu'on estime néces saire pour celui-ci Je n'ose trancher la'- question en' ce qui melconceriZe : lé'léctêûi : 'pTÔnôii
en.llI,q, . - J'ahtoujours pensé qu'il,y,'a quelque puérilité les ? questions scientifiques de cette facon.Y.faire intervenir l
ontinuelle de vertige.. , , L'enfant, intelligente, répond bien aux questions , se souvient de tous les faits, voit, très clai
s, présentent des signes de criminalité ! et. de dégénérescence. La question est de savoir si . les premiers, les homicides,
ence. Cette analyse démontre'préeisàment'que e les formesimixtes en question sont rares. .91l ? h ;r-J wrrl iaon.iv- s-nio*" .
sens, ce qui ne manque pas'd'intérêt, .puisqu'il·.;s'a=it là id'une question ^ que les physiologistesn'ont pas endorei élucid
;- ^n ^«h ^i"ft n'h Après avoir résumé avec soin l'historique de la question , l'auteur examine dans des paragraphes différen
ce {du sexe et de 1'(Ige,sui- provocation de ces p6 ? /c/tOMSSur,Ia question de sexé,,les avis,sont partagés; l'auteur incli
e`1'accès fébrile et' l'apparition de 1(t,folie Il y 3, a" ici une" question d'apprécia- tion1; assez 'délicate; 'quel 'est
xies ? La plupart des observateurs répondent négativement0 à' cette question ; ? L'auteurfait seule- inen« LI ï,e-mai,qtiei-1
n qui n'ont pas été étudiés à fond. 11, ' 9 c -il En dehors de la question du classement,. chacun admet que tous les persé
M. Bourrieville publie, de temps en temps, d'n'6'îïbteJs'u-r cette question que, pai-, s .on énergie et ses beaux travaux, il
n prévenant l'oisiveté mais en évitant la' fatigue. r< . ' 3 z ' Questions de tact, de discernement; de bon sens.'clinique !
semaines à Sainte-Anne. Elle répond assez correctement aux autres questions 'et donne des renseignements suffisamment précis
n une parole, entendue, t mais -une articulationrnentale : r<Aux questions qui lui sont posées dans, le^but. de,rechercher
tat. ter- v rible. » Parfois on <. répète, dans sa bouche » les. questions qu'elle.^ pose. Après une nouvelle minute d'att
`nT op U10J"if9'I jn^J Rapport, de MM. SIEMEN- et Zrvw;aiué, sur la question proposée ? PcAtaiee ? cmeK '"î'i'uu I iM.r.rîin
prive des consolations; de la religion; 2° les établisse-, ments en question doivent recevoir des malades de tous les cultes;
le journal la C'oix (9juillet,989°),,owmultiplie les formalités en question , si l'on confie les admissions à une com- missi
dre et 'à la sécurité publics, sans compter, que, les formalités en question déviendront impraticables; 4° l'admission dans
ifs de la loi actuelle. Déjà, elle a demandé que la surveillance en question soit confiée à un psychiatre;- 3° Elle ne voit
oins ? une clinique psychiatrique et introduire dans les examens en question la matière de la médecine mentale ; 2° l'ad- mi
nt. Il est facile de mettre une étiquette' attachée aux segments en question , quand ils doivent être plongés dans l'alcool o
Toulouse), Médecin consultant à Bagnères-de-Bigorre. Il est deux questions tout d'actualité : les relations étiolo- giques
ralysie générale et du tabes. En ce qui concerne la première de ces questions , des travaux les plus récents, basés sur des st
a aussifôt"a"ctè aü's-ub"st-itü't"je'à'n"n'i'n de ce que le toit en question z la cellule de la soeur Jamain, dont la fenêtr
tant,tqu'on,l;arreste,fsanslgrandesldiffi- cultés, elle respond aux questions de on;nom ? Béelserut,,et parce que l'exprcie,a
comme àuE3,ériibles exorcismes.rEt.quand,il vint au latin et au31 questions i, ordinaires, il eut les : sic, ? sic, non; non,
P4l}3 fSjSSSçhéjdansile, rituel, il, lui fit les adjurations,et les questions , accoutumées de son nom,de ses compagnons, de s
ct recommença les adjurations en françois, et laissant les autres questions , il insista pour obliger ce démon de dire s'il l'
on de leur part autant qu'ils pourroient de respondre à la dernière question faicte en grec; au moins de'tesmoigner qu'il l'
de sujets de façon à donner un coup d'oeil d'ensemble de l'état des questions pendantes et des solutions qui y sont actuel- l
f; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 ' -' ? *-t.' On sait que cette question a fait l'objet de nombreuses théories. Mais jus
des'différents procédés employés par ceux qui se sont occupés de la question . Remak avait signalé dès 1856 les bons effets d
t on chargera des rap- porteurs compétents d'exposer l'état de* la' question sur des sujets choisis.' On traitera'de cette f
réponses du malade sont des arguments'bien faibles en présence des questions financières que suscitent de'tell es 1- maladies,
e la seule en rapport avec la nature même* des maladies mentales en question ainsi qu'on peut le voir en lisant ! e compte r
es et éminènts ecclésiastiques qui d'ailleurs dans la'conférence en question s'étaient montrés opposés aux attaques de MM Bode
iles (..d'idiots, pat Wulff, 293. Tumeurs, les cérébrales et la question du traitement opératoire, r. par B**uns, 459; u
78 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ollaboration avec M. P. Brissaud. Chacun des termes employés dans les questions d'hypnotisme donna lieu à une discussion à laquel
à tour les diverses méthodes, en les combinant, a permis de placer la question de l'hypnotisme sur un terrain beaucoup plus posi
agé : « Bah! cela reviendra! » En outre, le môme jour, à propos d'une question d'argent, une très violente discussion de famille
enseignement/page> page n="34"> pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
ué un comité de patronage, mis à l'ordre du jour un certain nombre de questions générales et fixé l'ouverture du congrès au diman
urich, le Dr Laoame, privât docent.à Genève, le Dr Widmeïi, à Nyon. QUESTIONS MISES A L'ORDRE DU JOUR («) I Rédaction d'un
lus catégoriques. Depuis plus de cinq ans, mes recherches sur cette question ont porté sur 36 sujets âgés de i an à SO ans, et
ar nous, et soit laissant le sujet à lui-même, soit on lui posant des questions , nous étions renseigné suffisamment sur son état
ommeil très profond sans rêve 11 y ?? comme dans" tout phénomène, une question de relativité. L'état comateux ou do syncope est
é à être allégée de l'hypnotisme thérapeutique, auquel sont liées des questions qui, chez elle, eussent pu être considérées comme
es congrès ne sont d'ailleurs pas faits pour cela — mais deux grandes questions de principe, l'une de pratique, l'autre théorique
été longuement discutées, et non sans profit. En premier lieu, ir. question portée de suite à la tribune par M. La-dame (de G
garde, à tomber dans les mains des charlatans 3ans aveu. La seconde question , comme l'on s'y'attendait bien, a été celle de la
alade était sensible. Vulpian fut convaincu. F.n dehors de ces deux questions capitales, nous ne pouvons guère' accorder une me
Revenons à notre malade et voyons comment résoudre pour elle, cette question hystérie ou épilepsic ? Cette dame, nous dit-on
currence aux médecins ». Le jugement n'a pas dégagé suffisamment la question de principe parce qu'il se trouvait en face d'une
ourra offrir spécialement un intérêt d'actualité par la discussion de questions qui préoccupent vivement en ce moment l'opinion p
comparative de l'enseignement supérieur en France et à l'étranger. La question suivante a été mise à l'ordre du jour, sur la pro
été mise à l'ordre du jour, sur la proposition du D' Bérillon: a La question de l'éducation des enfants vicieux peut-elle être
un questionnaire sur le sommeil de l'enfant. ï.e D' Périer a fait aux questions posées les réponses suivantes que nous sommes heu
nous le faisons ordinairement, mais cn l'inspirant. Et les auteurs en question , ont constaté que cette opinion était absolument
octave. D'aprè3 l'analyse que M. Victor Henri a donné du travail en question , le ventriloque en parlant ne doit pas présenter
médecins et aux étudiante un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
la grande salle do l'institut Tarsia (via Fuori Port a Medina). Les questions principales traitées au Congrès seront: le Méth
Les conférences qu'il y fait dons le courant de l'hiver sur diverses questions de psychiatrie et de psychologie sociologique, y
duit des effets absolument individuels. Naturellement il ne peut être question , dans ce cas, seulement que ce malades atteints d
oire; toutes les autres formes n'entrent pas cn considération dans la question d'immunité. En tous cas, l'immunité préserve seul
oyd-Tuckey, Bérillon, Ribokoff et tous ceux qui se sont occupés de îa question , je pense qu'il faut l'abstinence totale et la su
pui de celle communication que j'en parle aujourd'hui, pensanl que la question ne doit pas cesser de rester à l'ordre du jour.
n vient de publier dans les Annales politiques et littéraires, sur la question du spiritisme ont remis d'actualité les « tables
été, d'après notre confrère anglais, The Lancet, qui a soulevé cette question dernièrement, le premier à faire remarquer et à d
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
es quelques exceptions que j'ai mentionnées, ont été exacts, mais les questions posées pendant l'hypnose n'ont révélé rien ou pre
araissent au réveil, on peut facilement les évoquer a nouveau par des questions posées pendant de nouveaux états d'hypnose. Ain
à la mesure du temps et 2? l'application de cette faculté aux cas en question . Beaunis prétend que certaines personnes peuven
allusion), tout fait de la vie hypnotique peut être remémoré par des questions posées pendant les hypnoses suivantes. Toutefoi
? Il est impossible, pour le moment, de donner aucune réponse à ces questions . Suggestion et anesthésie dans les extractions
après la cessation de I:t narcose. Il faut éviter soigneusement toute question concernant l'état du patient, et surtout celte/pa
ant l'état du patient, et surtout celte/page> page n="178"> question détestable : ? Avcz-vous senti quelque chose? » N
il se ligure avoir senti quelque chose, alors qu'il n'en est rien. La question : * Avez-vous senti? » suggère évidemment : « Vou
médienne incomparable, et qui devinait mes pensées au ton seul de mes questions et de mes réponses? . .. Mais non, elle était sin
plorée des parents de George Pelham. Us avaient trouvé les lettres en question dans la cachette indiquée par le médium. Hodgso
ncube inaccoutumé. Le travail mental et la température. C'est une question très discutée parmi les physiologistes, que celle
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
suggestion qui doit être faite ici? Il est évident qu'il ne peut être question que d'une suggestion post-hypnoiique. Le sujet de
s affirment lo plus souvent avec sincérité. C'est pourquoi, dans la question des faux témoignages en justice, nous plaçons les
usé quelques instants avec lui et lui avoir posé un certain nombre de questions , il nous déclara qu'il ne voyait aucun motif pour
ée au point de vue littéraire. Ils n'ont que peu ou point touché à la question de psychologie comparée que je voudrais examiner
se déplace, le problème s'élève. Nous entrons ainsi dans le vif de la question : comment déterminer la limite extrême entre l'in
n'aurai pas la prétention de résoudre ici le problème, à propos d'une question aussi accessoire quo celle dont j'ai fait mon tex
conférence faite en 1895 à la société d'anthropologie, traitait celte question convenait que, si l'action de rire tire sa primit
a pu déceler la moindre trace de caustique. ? ne raurait pas ici être question de brûlure, car une brûlure, si habilement faite
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
otographie qui m'a été montrée aujourd'hui ». Comme on le voit, les questions que nous avons posées à ce sujet n'était ni plus
'état de veille parfaite. Messieurs, ce procédé soulève différentes questions théoriques et pratiques. Au point de vue pratique
grammes d'éther. Au point de vue théorique, ce procédé soulève des questions multiples: 1° Quelle est la nature du sommeil h
lades avec succès,/page> page n="241"> Quant aux nombreuses questions théoriques qu'il soulève, je ne mo permettrai que
our ce qui est des autres produits médicamenteux dont il vient d'être question , je partage l'avis de M. Je Dr lîérillun et je su
me sous une forme concise, originale et claire l'état actuel de celte question ./page> page n="255"> - Dans l'hystérie,
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
e plus vaste que celui de la pensée? Nous ne ferons qu'effleurer la question de l'auto-suggestion en ce qui concerne la pensée
'est-à-dire qu'il s'abstrait du monde extérieur pour ne penser qu'aux questions de philosophie. Il s'impose ces méditations, il a
oie l'auto-suggestion persévérante qu'il peut traiter et discuter les questions de psychologie et de métaphysique. Le Littérate
t simplement due à la suggestion. Et plus je cherche à résoudre cette question , plus je me vois forcé d'incliner en iaveur de ce
morceau de sinapisme Kigollot. Quelle que soit la solution de cette question théorique, il reste acquis que, au point de vue p
e Taitbout, à Paris (Téléphone 22k-0ij./page> page n="285"> QUESTIONS MISES A L'ORDRE DU JOUR (ij I Rédaction d'un
o pour la copie d'un dessin que l'image n'est pas intervertie. A la question pourquoi il écrivait de la main gauche et en miro
sychologues américains continuent à se poser et à poser au public des questions étrauges. Ce qu'il y a de plus curieux c'est que,
s. Ce qu'il y a de plus curieux c'est que, si étranges que soient les questions , elles obtiennent cependant des réponses. Ainsi
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
, la face maigre, le front plissé et le regard atone. Elle répond aux questions qu'on lui adresse, mais mollement, par poltesse,
ville de province, qui, l'an dernier, tout particulièrement, pour des questions poli-/page> page n="301"> tiques et rel
r minutieusement ses comptes, à arranger ses affaires,à remplacer les questions de sentiment par les questions d'intérêt. Cela du
arranger ses affaires,à remplacer les questions de sentiment par les questions d'intérêt. Cela dure pendant dix-huit mois, elle
itations, insomnies, vertiges, etc. Il ne pouvait être en aucun cas question d'un traitement (méthode Paetcur), car ou nous no
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
est adonné à ses alfaires avec beaucoup de zèle et il a pris goût aux questions essentielles de la vie. j'avais développé en lui
i. lit, d'autre part, le Président d'assises ne peut poser au Jury la question spéciale de surdi-mutité, ce qui, en cas d'acquit
as de méningite cérébro-spinale — il est permis de mettre en avant la question de non-responsabilité parce qu'il y a évidemment
r à l'École pratique des Hautes-Etudes./page> page n="348"> QUESTIONS MISES A L'ORDRE DU JOUR (1) I Rédaction d'un
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
rtant, dans la chambre voisine où le malade entend tout, devant leurs questions , nous réitérons l'assurance de la guérison, tout
re des descriptions de la rage. En tout cas, il ne pouvait être ici question du traitement pastorien, qui n'a, on le sait, qu'
79 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
rises scientifiquement depuis Braid ont montré précisément combien la question était complexe et combien en dehors de toute inte
uvait plus parler et était toute tremblante. Quand on lui faisait une question , son tremblement devenait plus intense et se géné
présentait une véritable confusion mentale. Elle ne comprenait pas la question qu'on lui posait et ses yeux étaient hagards. S
les tissus et dans le sang, il en résulte une parésie de la région en question ; la température s'abaisse, les mouvements respir
uler dans le sang; lorsque sa proportion est suffisante, le centre en question , au lieu d'être engourdi, se trouve excité ; les
elles-mêmes tourner les tables. Chez les médiums. Ils répondent aux questions qui leur sont faites, ou encore écrivent ces répo
oduisent sans qu'on les ait suggérés. Certains pourront trouver ces questions bien stériles. Il importe pourtant de les résoudr
ls ont été décrits sous le nom de folie morale et il existe sur cette question des travaux très nombreux. Deux facteurs princi
Melcot, Bourdon, Baraduc, ont exposé leurs opinions sur les diverses questions soulevées par M. Jules Bois. Tous les assistant
, du 9 au 14 septembre 1901 dans l'aula, de l'Université. Parmi les questions mises à* l'ordre du jour, nous pouvons signaler :
lisme; 5" L'anthropologie criminelle et l'ethnologie comparée; 6° Questions diverses: l'alcoolisme; la criminalité juvénile,
n son examen, qu'elle ne sera pas émue, qu'elle répondra à toutes les questions et que sa volonté sera maîtresse. Immédiatement
er au traitement des affections maladives, quel que soit ce but. La question mise à Tordre du jour est celle de savoir s'il es
cs une réglementation spéciale de l'hypnotisme. Pour répondre à cette question , il me faut préalablement vous exposer l'état de
uand elle est contraire aux bonnes mœurs ou à l'ordre public. » Une question plus délicate serait de nature à se poser : Un hy
tteinte portée à sa considération ? Je crois qu'il y a surtout là une question de faits. Si le sujet a consenti par avance aux a
endant de certains hommes sur leurs semblables. Nous arrivons à une question des plus graves. N'est-il pas à craindre que des
violence ; dans quel cas y aura-t-il dol? Je pense que c'est là une question de circonstances. Il y aura violence quand l'hypn
eux Pierre ; d'Alcantara qui fut constitué comme souverain juge de la question de ; connaître si les pratiques de Thérèse d'Avil
est développé le mouvement boxeur dans le Nord de la Chine. (1) Une question qui se présente naturellement a l'esprit, est cel
gie et de psychologie, fidèle à son programme qui embrasse toutes les questions relatives à Vaction-intennentale et à l'influence
mportante, à notre avis, fut celle clans laquelle furent abordées les questions relatives à l'enfance coupable et àla« délinquanc
avec le petit nombre de médecins compétents qui se sont occupés de la question , que la suggestion est le traitement de choix à a
us aurons l'occasion de reparler de cette loi belge. Revenons à notre question . Convient-il de solliciter des pouvoirs publics u
iques d'hypnotisme. — J'arrive ici, Messieurs, au point capital de la question mise à l'ordre du jour du Congrès: y a-t-il lieu
tenant les différentes sociétés savantes qui ont eu à s'occuper de la question , nous constatons une réprobation presque unanime
ne, je n'ai pas la compétence nécessaire pour prendre position sur la question de savoir si l'hypnotisme employé par des pro
r entraîner l'interdiction des séances publiques. Réservant donc la question purement médicale, je me contenterai devons expos
ans les deux sens. Je soumets à la haute appréciation du Congrès la question de savoir s'il y a lieu de renouveler le vœu du p
premier Congrès de 1889. Et pour conclure, indépendamment de cette question des représentations publiques, je sollicite au no
nduire sa voix comme il le voudrait. Nous ne pouvons traiter ici la question du faux absolu et du faux relatif, question très
ne pouvons traiter ici la question du faux absolu et du faux relatif, question très peu connue même des musiciens, elle nous ent
ggestibilité. J'ai l'honneur de m'adresser à un milieu connaissant la question et bien évidemment d'avis que l'animal ne possède
ilisable et rapidement sacrifié, l'examen en est incomplet et puis la question est si neuve que peu de vétérinaires oseraient po
mplement en présence de crises hystériques. Je reviendrai sur cette question et la traiterai quelque jour à fond, aujourd'hui
roubles psychiques chez les animaux; je n'ai point entendu épuiser la question ; elle est trop neuve, comme je le disais au début
n naturelle à être saignée » (3). Le crachement de sang dont il est question plus haut détermina chez elle une « appréhension
notre Société était mieux qualifiée qu'aucune autre pour discuter la question dont il s'agit et pour la mettre au point. En v
En vous présentant cette communication, mon but a été de résumer la question et de provoquer ainsi un échange d'observations q
rnier. Notons encore un détail. Depuis la crise aiguë dont il a été question plus haut, cette personne avait conservé, dans la
ir définie dans son esprit à sa façon. Mais pour s'entendre sur les questions relatives à l'hystérie, qui sont encore l'objet d
suggestionner à l'occasion, et réciproquement. tout bonnement une question d'observation et d'expérimentation cliniques. J
est nécessaire que la relation de cause à effet entre les troubles en question et une manifestation hystérique primitive s'impos
ds ton grabat, et marche » (Marc, II, 7}, ou encore il fait dévier la question en demandant s'il est permis de guérir le jour du
Ce procédé était habituel à cette époque, car le miraculé répond aux questions qu'on lui fait: cet homme qu'on appelle Jésus a f
ul Farez présente à la Société l'ouvrage posthume de Durand de Gros : Questions de philosophie morale et sociale. M. le Préside
s remarquables études sur la famille de Biaise Pascal et sur diverses questions de psychologie sociologique et religieuse. En out
libre et désintéressé de médecins et de psychologues, experts en ces questions , habitués à observer autrement qu'avec les yeux d
e les règles de l'expérimentation rigoureuse, à remettre au point une question qui aura dévié, à rectifier une interprétation er
les muscles du conducteur ont répondu par non et par oui à toutes les questions que n'a cessé de leur poser le sujet? Celui-ci op
orte de barnum, si l'on se trouve dans une salle de spectacle, si des questions d'amour-propre, de réputation et surtout d'intérê
eault. Un écrivain qui peut passer pour un des plus érudits sur les questions de psychologie, M. Jules Bois, a ouvert dans le M
rces inconnues. Il a voulu connaître l'opinion que professent sur ces questions les hommes les plus autorisés par leur compétence
productions ténébreuses de l'esprit humain. Ceci dit, je viens aux questions que vous me posez. 1° Y a-t-il. dans la recrude
qui va nous occuper. Il va s'agir de suggestion. Laissons de côté la question de savoir si nous sommes tous ou quelques-uns seu
influence de l'esprit sur le corps qui étaient connus avant qu'il fut question de suggestion hypnotique. Nous établirons parmi e
un pouvoir idéo-plastique agissant marne à distance dont les faits en question en ce moment ne paraîtront que les effets les moi
emble pas avoir été vu par les observateurs qui se sont occupés de la question avant nous, c'est que l'établissement d'une pério
de toutes les études réellement scientifiques publiées depuis sur la question . Il ne faut pas oublier qu'à l'époque où elle a
elle ne manifeste aucun désir d'un contrôle qui aurait pu trancher la question . Enfin au neuvième mois, un soir, elle me fait
appel de Rennes, 6 mars 1901). La Cour de Rennes était saisie de la question , comme Cour de renvoi, à la suite d'un arrêt de l
as de cette femme est très intéressant parce qu'il soulève une double question de diagnostic et de responsabilité. II s'agit d
leurs n'était pas neuve et un homme qui connaissait à fond toutes les questions se rattachant à l'hystérie et dont je m'honore d'
e; il me parait intéressant parce qu'il apporte une contribution à la question si débattue de la résistance aux suggestions. I
complètement étranger. Enfin il convient évidemment d'écarter de la question le cas où la rencontre serait préparée et où elle
que revient le mérite d'avoir posé nettement devant les tribunaux, la question des magnétiseurs, en faisant poursuivre la femme
e qui forme notre globe, semble devoir se tenir éloignée de cette question , — même dans la géologie, il y a ceux qui bâtisse
plus de vingt années de méditations et de recherches. Elle expose la question de l'auto-suggestion dans ses grandes lignes. Mai
nerveux, c'est de la psychaslhénie, un pur trouble mental; c'est une question de transformation de la personnalité. Cette femme
er des choses nouvelles. Mais le monde médical se désintéresse de ces questions pourtant très sérieuses. Bien des troubles maladi
des œufs, la femme, surtout la jeune fille, se débarrasse de toxines, question dont on s'occupe beaucoup en ce moment. Ces toxin
s classiques, n'auraient jamais fait cela. ïl y avait, d'abord, une question d'incompétence. Des juristes, enfermés dans leu
notiseurs rivaux. BIBLIOGRAPHIE par M. 1g Docteur Paul Fabez. Questions de philosophie morale et sociale, par J. P. Duran
'ôtre pieusement recueillis et publiés par M. Parodi sous le titre de Questions de philosophie morale et sociale. L'occasion s'of
vie. Avec une ardeur de conviction toute juvénile, il vient, sur des questions pratiques d'un intérêt palpitant, apporter les co
ulement elles ne suppriment pas, mais qu'elles résolvent à la fois la question morale et la question sociale. Durand (de Gros)
iment pas, mais qu'elles résolvent à la fois la question morale et la question sociale. Durand (de Gros) est trop imbu du véri
fera plaisir, tu es perdu ! » Il n'est guère possible de traiter la question de la responsabilité criminelle sans dire un mot
unes de leurs congénères contemporaines privilégiées. A une telle question , Darwin a trouvé cette réponse : (a sélection nat
re d'Elmira Les malfaiteui'S no sont-ils que de simples malades? La question est, depuis longtemps, partout controversée. Mais
s Américains pour la tranquille audace avec laquelle ils abordent les questions les plus paradoxales en apparence et les solution
ion), par Bourdon (de Méru), p. 139. Philosophie morale et sociale ( Questions de), par Durand de Gros, p. 367- Port-Royal (Le
, p. 3t9. Psychothérapie et suggestion vigile, par Spehl, p. 290. Questions de Philosophie morale et sociale, par Durand (de
80 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
me; reste à interpréter la nature de cet épuisement. Pour nous la question se pose de la manière suivante : cet épuisement
taient des malades et quelle était leur maladie. Pour étudier cette question , il faut faire d'abord une distinction aujourd'
entation spéciale auquel il faut les rattacher ? La réponse à cette question contiendrait une bonne et importante partie de
OGIE PATHOLOGIQUES. 45 Sinus intra-rachidiens. Les deux conduits en question repo- sent sur la partie la plus externe de la
ons spinaux cervico-inférieurs. Entre la moelle et les ganglions en question , lésion des manchons de myéline, persistance de
iv f. Psychiat., XXIV, 1.) Autopsie du dernier malade dont il a été question dans le Neu- rolog. Centralbl. 1890. (Voir Arch
On sait que chacune d'elles a eu ses défenseurs et pour trancher la question , il faudrait examiner un certain nombre de cerv
basant sur ce cas, le rapporteur trace une esquisse générale de la question des névroses traumatiques. Il est porté à leur at
n fut heureux, lui qui de longue date portait un si vif intérêt aux questions d'ensei- gnement. De là est sorti son beau Trai
e connaître MM. F. Voisin et Falret père, et de causer avec eux des questions concernant le service des aliénés. Il se décida
us devons rappeler que M. Delasiauve s'est sans cesse préoccupé des questions politiques et sociales ; qu'il joua un rôle act
mme on le verra plus loin, nombreuses sont ses publications sur les questions politiques à l'ordre du jour, sur l'enseignemen
édicale, 1844 ; , Rapport à la Société de médecine de Paris sur les questions pro- posées dans les progrès du Congrès médical
nner à ses malades n'étaient pas pour lui une tâche suffisante. Les questions qui aujourd'hui tiennent le premier rang dans n
i aujourd'hui tiennent le premier rang dans nos préoccupations, les questions d'assistance, d'instruc- tion publique. l'avaie
vre qui est resté long- temps classique. Arrivé à une époque où les questions de classifica- tion jouaient un rôle important,
et s'éprit d'une véritable passion qui ne le quitta plus pour les questions d'instruction et de pédagogie. C'est en s'appuyan
l'infatigable activité de son esprit, et il apporta dans toutes les questions et discussions pendantes, avec les inépuisables
son impor- tance. La perfectibilité des races, une des premières questions traitées et discutées à la société naissante, d
lant esprit, particulièrement dans des travaux remarquables sur les questions d'enseignement et d'ins- truction populaire. Ma
y a deux ans une commission a été nommée pour étudier les diverses questions relatives à l'hospitalisation des aliénés; ses tr
ger et de traiter les personnes appartenant à la classe affligée en question . Plusieurs de ces éta- blissements ont leur bud
igné de ce titre, ce ne pou- vait être qu'inconsciemment. Pressé de questions par le magistrat, il s'est retranché derrière s
dilatant jusqu'à l'extré- mité supérieure de la tumeur; il en sera question plus tard en détail. Au niveau de la troisièm
semés dans tout le tissu. * Outre les cellules dont il vient d'être question , on trouve aussi des blocs homogènes très volum
nt se greffer les sinuosités de deuxième ordre dont il vient d'être question ; l'ensemble prend l'aspect d'nne série de gros
l est encore une autre cause qui pourrait contribuer à obscurcir la question : c'est la tendance à la régénération ner- veus
sont-ils capables de rétablir les fonctions perdues ? C'est là une question à laquelle je ne peux répondre d'une façon préc
4r ? .Sl, î ? Fh. ! ")lllli (1,0 IV. Contribution statistique A la question DE la syphilis ? , . tScu w.,i...ym·'1 JI'r.1J
l n..f wc>' 4J..4 J1). Ot't".n , ! fv q 'Il'manque au malade en question beaucoup'de verbes; ceux iio- ! ) tamment qui s
' fron- tale gauche. Si cette opinion est exacte, le traumatisme en question pourrait être. considéré comme ayant' détermine
e de'trente- , trois'\â'ns : V-Orl"étiidi 1 ia""l : ésisikrire. en' question 'comparativement sur les endroits sciérêmateux
tion) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA question DE la surdité verbale ; par SCARANO`. ? (llmtcniv
petites gens qu'on a coutume de renvoyer de Caïphe à Pilate. Ces questions seront traitées dans la prochaine session, c'est-
rfectionner les asiles, il faut créer un contrôle appro- prié à ces questions délicates et non un appareil à mailles étroites
n de l'acide phosphorique chez les idiots, par M. le D'' Mabille. Questions générales : 1 Les auto -intoxications dans les ma
it de l'Annuaire de l'Enseignement, année 1889.) II s'agit là d'une question très importante au point de vue pédagogique et
ées certainement à porter quelque jour la lumière dans une foule de questions , non seulement de l'ordre pathologique, mais en
tait jalousie; qu'il ne voulait pas que qui que ce soit touchât aux questions qu'il avait lui-même traitées 1. Ceux-là connai
de plus les notes bibliographiques nécessaires à l'historique de la question , quand ce n'était pas le résumé analytique fait
llace Ord et le Dr Lees ont fait connaître des cas semblables et la question de la crâniectomie fut soulevée. Le Dr Jones (d
ls rappellent ensuite brièvement l'historique des recherches sur la question depuis les anciennes théories humorales jus- qu
paralytique. Les psychoses diathésiques, bien que rentrant dans la question des folies par auto-intoxication etpar infectio
r la toxicité et la composition chimique de l'urine des aliénés. La question des relations des vésanies avec les auto-intoxi
herches à peine ébauchées et qui sont à poursuivre. Il pense que la question des relations des auto- intoxications avec les
les sont les indica- tions diverses qu'elles peuvent fournir sur la question . Au point de vue étiologique, sans éliminer l'i
publiées jusqu'ici par les auteurs, ne peuvent servir à trancher la question . C'est une voie nouvelle aux recherches, mais o
ppelle plus particulièrement l'attention sur le rôle clinique de la question et cherche à établir d'une part qu'il existe de
oignage de délirant étant par définition nul et partant faux. Si la question de ces témoignages est relativement simple pour
oit dans les Archives, soit dans le Progrès médical, quand il était question du Congrès des aliénistes, on ajoutait souvent
es résultats de la récente intervention de pouvoirs publics dans la question (1889), M. Giraud expose l'organisation des Soc
l'un système des grandes villes, l'autre système des campagnes. La question du patronage familial, rattaché comme en Belgiq
a tentative de Dun-sur- Auron étant de création trop récente et les questions multiples qui se posent à son sujet étant encor
ltiples qui se posent à son sujet étant encore pendantes. La grosse question des ressources pécuniaires nécessaires à ces cr
nstate SOCIETES SAVANTES. 255 que M. Giraud a, de nouveau, mis la question au point. Les réponses des médecins aliénistes
nii, il faut qu'ils n'aient rien lu de ce qui a été écrit sur cette question . Qu'ils ignorent les rapports annuels de l'OEuv
ve; M. Charpentier redoute les conférences à un public étranger aux questions d'aliénation mentale, auquel cette demi- vulgar
gricoles constituent encore la meilleure solution de ces difficiles questions pour la majeure partie des malades que nous ven
mais ne répond que si on l'interpelle vivement et si l'on répète la question plusieurs fois; sa parole est lente, comme tous
s éléments analogues qui proviennent de la névroglie ? C'est là une question qui serait intéressante à résoudre, mais on ne
» Votre commission, à l'unanimité moins une voix a décidé cette' question en répondant : oui. à .4 - à ? " « Les dépenses
iffre on devra s'arrêter. Après' la construction achevée viendra la question d'entretien et le rapport 1 de M. le Préfet de
l'esprit à l'aide de certaines con- ditions ambiantes ? Au fond la question de la folie est une ques- tion sociale autant q
t également. C'est à l'avenir qu'est réservée les solu- tions de la question de savoir si la stupeur et la tension- muscu- l
uses de la paralysie générale chezjes cent paralytiques généraux en question . SOCIÉTÉS SAVANTES. 333 s'emparait progressiv
u'elle ne préjuge point de la fonction physiologique des cordons en question . On est cependant autorisé à formuler le dia- g
oknilôv et 'KOJEVNIKOV. La discussion a porté principalement sur la question de savoir quels sont les principes qui* permetten
améliorations très sensibles. , Pour terminer, M. Meige reprend une question d'ordre médico- légal déjà soulevée par M. Char
1877 (lcono- graphie phOtOg1', de la Salpêtrière)' ! Depuis, cette question a fait l'objet de, nombreuses publications. Que
e constater la sclérose des olives après ablation du cerve- let. La question devient moins nette quand il s'agit de préciser
enin : quelle que soit la solu- tion anatomique qu'on donne à cette question , l'ancienne théorie de Pourfour du Petit qui fa
le. ' La rareté des documents et l'état encore embryonnaire de la question ne nous encombreront pas d'un long historique.
t. II a peur qu'on ne le garde longtemps à l'asile, nous accable de questions au sujet de sa sortie. Quand son frère le visit
Dr Me. Dowall). (The Journal of Mental Science. Janvier 1891.) La question de la nature de l'épilepsie attend encore sa solu
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 399 XXIX. CONTRIBUTION A la question DES STRIES médullaires (ou acous- tiques, barbe
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. basale du lobule en question , se dirigent en dedans pour gagner le bord de l
ept ans. 7° L'âge paraît amener une faible diminution des fibres en question . 8° Les fibres tangentielles proviennent souven
rvations. Dans tous ces cas excepté un (mort précoce) les noyaux en question étaient altérés. L'altération était la moins av
and cette lésion passe inaperçue c'est qu'il y a dans l'or- gane en question des modifications moléculaires. P. K. XXXVIII.
différents. Bastion et H. Ferrier ont exploré les deux faces de la question , mais Bastion refuse la question motrice à la z
r ont exploré les deux faces de la question, mais Bastion refuse la question motrice à la zone rolandique et admet que le fa
internement; mais j'ai été amené à faire cette déclaration par une question insidieuse que m'a posée le procureur de la Rép
STES DE MOSCOU. Séance du 22 janvier 1893. M. 110RNILOP. Sur la question de l'aphasie.-Le rapporteur, réfu- tant la théo
minels est aussi peu permise que chez les autres personnes. Cette question a soulevé des débats auxquels ont pris part MM.
es négations a une grande importance pour l'éclaircissement de la question d'évolution du délire en général. L'explication d
e lathyrisme. Après avoir fait un historique très détaillé de cette question , le rapporteur passe à ses recherches sur l'end
brand) ; asthénopie nerveuse (Wilbrand). L'asthé- nopie nerveuse en question est l'expression locale d'un état géné- ral"du
cas de foyers unilatéraux une para- lysie bilatérale des muscles en question . M. Remak a lui-même constaté une paralysie uni
emarquables touchant aussi bien à la pathologie mentale pure qu'aux questions pratiques relatives à l'assistance des aliénés'
acré aux troubles somatiques des alié- nés et en tête est placée la question du sommeil dont les modifi- cations forment une
ise médico-légale. Ce qui nous a frappé dans l'exposé de toutes ces questions c'est l'abon- dance d'idées nouvelles, de conse
la maladie de Basedow, etc., etc. On peut sur un certain nombre de questions ne pas être complètement d'accord avec M. Korsa
e discussion, d'autres, M. Babinski en particulier, ayant traité la question avec plus d'autorité et plus d'éclat. Je relate
S DE LA FRÉQUENCE DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉE. Il me reste une dernière question à traiter. Pourquoi les névroses, surtout les n
ont été faites en France et à Vienne, par suite il ne saurait être question de l'action distincte des pôles. P. K. XXI. D
...Il film «1 (t . ,rt c ,<f j . , t XLVII. Contribution A la QUESTION DES ALTËHATioNS'ANATOMO-PATHO - · 1 11, 1 A , f
t ? ''t' Jf ? nt ? ? tit ? it"jQ)'ti'U) ? )<t.i)2 des elemenU,en question riU ,, ,9, ,nv.JlT J1 ? ft M0 deselements.enqst
érébelleux supéro-antérieur montre qu'en ce point' le" pédoncule en question se compose de fibres obliques qui, d'abord en'(
es fibres sont plus antéro-in- férieures que celles du pédoncule en question ; elles croisent presque transversalement le°pé
t d'avant en arrière, pour, aller au raphé-.A ce,uiveaule groupe en question donne ? ,1 ff, ? iwu ? «l >< ! 10 Des fib
-,t, 1 ? ).t ? f 7.nli' e GWue ru0 .a ..., générale's engage sur la question , de savoir si oui ou non. la Société, j aLin'do
-e des morphinomane-, au point de permettre e com[ Iës"accidents*en question à ceux que'l'on permettre de comparer les accid
*en question à ceux que'l'on permettre de comparer les accidents en question 1 ceux que 1 on observe dans, la gastrite catar
lfactif et delà1 région- olfactive, .gagne, l'écorce de la corne en question .- Les deux lobes : olfactifs sont'reliés entre eu
ILES D'ALIÉNÉS Nous avons reçu la lettre suivante au sujet de cette question si intéressante : Paris, le 5 novembre 1883.
. Peut-être se trouvera-t-il un député qui consentira à poser une question sur ce sujet au nouveau ministre de l'intérieur.
e d' - et la simulation, par Ladame, 1f7;-parChoosel ? 65; sur la question de l' -, par Kor- nilow, -'r14. Arriérés, les
nternes des asiles ? 510. J : ' ' . '' Bulbe, contribution, il la question des stries médullaires du ? par . J Betcherew
, par Benedlht, 478. l' li, Surdité verbale, contribution'à. la question de, la ? par Scarano, 145. >;O, ,h·W nt ' È
l , ? 4 t(l( ,thq ? jA Tabès, contribution 1 statistique ? à la question » de' la' syphilis et du 1 . .1 1 1, - , par L
81 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Üent de faire pa- rallre une étude fort intéressante sur cette même question dans la Reçue mensuelle de l'Enfance, numéro d'
beaucoup cet état. Au mois d'octobre suivant, il ne fut même pas question de replacer le jeune homme au lycée. Il passa en-
, et que la douleur de tête diminua d'intensité; mais il ne fut pas question de reprendre les études et l'automne et l'hiver
nt l'expérience est des plus étendues, et à qui nous soumettions la question ,, nous disait qu'il était arrivé aux' mêmes con
umort et avoue des tentatives de- suicide par.q désespoir. Sur mes questions , Mm° Lou. ? (m'apprend que -,sa mère a présenté
e Georget. Les belles recherchés de" M. Baillarger' mirent tout'ëIi question . 'l(1t'( f qf1{J 1 HI')') Il'' r> 1 1114 , ,
lasse nouvelle ? Les observations de 111 ? l3aillarer-laissaient la question , en suspens. Toutes puissantes à.prouver l'exis
prétention'de'trancher aujourd'hui, )à l'aide' de deux faits,' la* question si ''controversée dé l'existence de la 'stupidi
1 1 a it- tuent les hallucinations compatibles .avec ,la, raison, question élucidée de' nos jours, ''sur laquelle j'insis-
.' Il 1.' . LJ.' C' H ? II.(' q "1 indirectes entre les' organes en question et les eux-c'en très'. , : 1, ? fn; .. t I- il
uestion et les eux-c'en très'. , : 1, ? fn; .. t I- il 0 ? ) ... , , question et n n tt;" ? 1 t Par exemple, la plus grande p
ux nerfs un courant moteur, sensible, où' double ;' ici se place la question de la sensibilité centrifuge, récurrente, c est-
ce lui paraissent être concluantes, au cas même où les faisceaux en question contiendraient égale- ment des fibres centripèt
mière partie de1 'ce travail 'est'seûle'puhliéé : La seconde, où la question sera examinée surtout au point de vue clinique, l
8'i ,i'Wfrl·l, : I ,/tlîuG(1`YI`iJlli 'rt Dans les travaux où celte question a été abordée, on, n'a1pas,re-, cherché, quelle
e inférieure de' la faux du cerveau ».-iVoilàL,,tout.1 Il n'est pas question , bien entendu, de localisation ni' de limitation
ne,' 3° ou J de" la' couche optique leile-iiièàie ? Là est toute la question ? L'autopsie peut-elle 'la résoudre ? Non ? par
r les tuber- cules' quadrijumeaux; bien qu'il- n'en-'soit nullement question ; la capsule interne,' d'autre part; était sans
n^qÛi^'âutorisé cettelbrlie : ™ ' : \\Ù' : \'iSMI\I'l'\ 111J b 'La¡" question )\ àn lehoit, vaut'tlal'Ipeine- : d'être diseutéel
h ,1 i 111 : Motet. -1 Ill'nous 'resterait : encore' bien d'autres questions il discuter, En voici trois que, pour mai parti
itre et d'une responsabilité morale ne peut pas même être mise en question ; il s'agit de modifications de la sensibilité qui
iété. M. Nasse fait ressortir en outre que, malgré le statu quo, la question prend de jour en jour plus d'importance dans l'
ées par toute l'Allemagne aux hommes de toutes profes- sions que la question intéresse. Il faudra saisir ce moment pour pass
, à examiner à fond le sujet et à présenter un compte- rendu sur la question au prochain congrès ». Le président propose ens
nculpées, accusées ou condamnées. C'est le résumé de l'ensemble des questions scientifiques, administratives, hospitalières e
cale de la commune que quand il est dangereux. M. Ripping traite la question au point de vue du droit. Comme mandataire des
s hémisphè- res n'engendre pas l'hallucination, mais l'hyperémie en question peut faire illusion à l'individu au moment où l
et les raisons des '1 CiU ,' r- .' '' -1 J . z actes du sujet en question ,, demande à M. Pohl si, pour lui, la folie impu
é , des adères.,Coloi-aLion,])Ieue,-griseil4rune, des centres ,en-, question . Sang noir, ., dépourvu de) consistance.] Stases
tation et.de paralysie psycho-somatiques différencient le délire en question du délire aigu., 11 est plus intense, et de^ moin
tte'forme d'arrêt de déve- loppement appartient à Hescll.Le trou en question s'ouvre dans la cavité de l'arachnoïde, ou bien
et au con- cours pour 1883 des prix variant de 100 à 30) francs. La question de médecine est ainsi posée : Physiologie du fu
ours de cette évolution que nous venons de décrire ? Telle est la question qui nous reste à étudier. Les imbéciles, les se
aits cliniques ont leur importance au point de vue de cer- taines questions sociales. Notamment, en vue du di- vorce, on a
ents, désireux que nous sommes de n'aborder, pour le moment, aucune question historique ou théorique, et de laisser à notre
titielles consécutives ? Où doit se trouver le point tranchant la question ; dans le tissu interstitiel ou dans les cellules
omme un processus distinct et primaire. Cet auteur, en discutant la question des altérations dans le corps des cellules, rem
profondi, qui nous fut indiqué par M. Charcot. M. Klebs a étudié la question des néoplasmes dans le système nerveux central.
ks (< ? K Ilospital Reports, 1866, t. XII, p. ? 7), discutant la question de la localisation des lésions dans l'épilepsie
a été bonne; l'amélioration s'accentue. Le malade répond à quelques questions , demande du lait et repousse le bouillon. Les m
cience, de la légalité et de la morale. Cette discussion a placé la question du divorce et de la folie sur un terrain à la f
terrain à la fois médical, juridique et moral; elle a soulevé trois questions que nous allons examiner : une question de fait
oral; elle a soulevé trois questions que nous allons examiner : une question de fait, une question de droit et une question
rois questions que nous allons examiner : une question de fait, une question de droit et une question de morale sociale. A
llons examiner : une question de fait, une question de droit et une question de morale sociale. A.- La folie, dans certain
lésions syphilitiques du cerveau ? La solution de l'ensemble de ces questions d'étiologie et de pathogénie réclame de nouveaux
ouveaux foyers, et, par suite, avoir prolongé la vie des aliénés en question par le procédé suivant : dans les vingt-quatre
bue le rôle de vampire. Cette femme répondant affirmativement à ses questions dans ce sens, il la blesse mortellement d'un co
e prison. M. Sterz adopte les conclusions de Kraffl-Ebing sur cette question . P. K. 1 Voyez les Archives de Neurologie, t. I
ence qui ressortit pour Blus- wanger à la démence aiguë, couvre une question de degré dans l'état pathologique et non une di
l un droit à l'indulgence du jury ? Dans le milieu où une semblable question est posée, il y a souvent des fils d'aliénés. Je
liéné, siégeant sur le banc du ministère public, me posa cette même question d'hérédité et je fus très embarrassé pour émettre
, mais souvent les avocats ou Ie miuis- tère public généralisent la question . M. Luys. Par ce seul fait qu'on est fils d'ali
Clialu ? qui était en tout point comparable à celle dont il est ici question .. (B.) . SOCiI : I'1 : S SAVANTES. ',275 SOCI
' que le cerveau joue 'un'rôle dans là production des phénomènes en question . Le pre- mier se fond sur ce fait que, de même
'entre eux ont eu l'occasion d'ob- server certains des criminels en question ; les uns les considèrent comme des simulateurs
taques congestives; aucun signe dans la symptomatologie des cas en question n'autorise à penser à la sclérose en plaques qui
dans' les' asiles d'aliénés des étals' psychiques' douteux.' Cette question était en somme la même que' celle' traitée à la
trique du soin de décider, après examen- préalable de l'individu en question , s'il veut le recevoir en observation dans son
e p couronne au concours de e e Salamanquc; extrait de la Revue des Questions scientifiques, i 4583.)1 iiIK 9"p ¡ ? Ild' Il J
( pendant,') employé l'avec beaucoup 'de"succès ? dans ce gehré de " questions par'des''théologiens éminents, et en' parfaite''
itables révélations, et, con- formément à l'esprit de I,Uroi;sièm8., question du concours de Sala- manque, nous avons préféré
'assurance que du premier. « Ces paroles, empruntées à la troisième question du concours de Salamanque, résument parfaitemen
artielle, ce qui a nécessité une opération complémentaire. Il n'est question ici que des goitres proprement dits et non des
g qui résulte de la suppression de la glande thyroïde. Toutes ces questions sout encore à l'étude : ce n'est que par de nom
juridiction administrative était incompétente pour connaître de la question . En conséquence, il a annulé l'arrêté du Consei
d'Etat statuant au contentieux.) A PROPOS DES 1N6STIIGSIQUGS. La question des anesthésiques étant toujours l'objet des préo
nuscrits envoyés à la Société. La Société ne met au concours aucune question spéciale, mais elle appelle particulièrement l'
elle appelle particulièrement l'attention des concurrents sur les questions suivantes : De l'alcoolisme héréditaire; - Action
membres et des grandes articulations ; et il n'a point encore été question , que nous sachions, d'altérations analogues por
athologique ne nous a pas fait attendre longtemps la solution de la question . Un cas analogue : 1 ¡¡ CLINIQUE NERVEUSE. à
s est encore très peu connu. Ce que l'on sait de cette intéressante question n'en touche guère que le côté phonétique, c'est
le développement des sons. Parmi ceux qui se sont occupés de cette question , nous citerons Sigismund t, Darwin2, Vieronlt 3
s qu'autant qu'elles concourent à élucider les côtés généraux de la question . Les particularités du langage des enfants sont
du mot et des contours généraux de l'association syllabique ; la question des sons qui remplacent la syllabe est re- légu
nous avions de la peine à décider s'il fallait rapporter le son en question à un t mouillé ou à un s, quelquefois même il r
ment s'ac- complit-il en deux périodes ? On peut répondre à cette question par les considérations suivantes. Les con- sonn
ent général de toutes les consonnes des enfants, dont il a déjà été question plus haut, est le résultat d'une coopération supe
t frappé le premier dans l'évolution du délire ? En soulevant cette question , nous ne cherche- rons pas à la résoudre, puisq
phique. Tout le reste de la substance blanche do la moelle (il sera question plus tard de la substance grise) dans les fais-
erruption aucune jusqu'aux hémisphères du cerveau. Main- tenant une question très intéressante et fort importante se pré- se
t, dans ce cas, quelle direction y suivait-elle ? Pour résoudre ces questions , on lit dans les deux hémisphères, pendant qu'i
olie morale procède de la mégalomanie bien que, chez les malades en question , le délire des grandeurs n'affecte point une RE
e influence pathologique; le malade s'appuie sur les conceptions en question pour agir. Il conviendrait do systéma- tiser ce
La période d'agitation se manifesta dans les deux observations en question par un amaigrissement en rapport avec l'excès de
ue reparut l'état normal. L'au- teur explique qu'il ne saurait être question d'une périostite cachec- tique favorisée par un
que la malade répond quelques mots mon- trant qu'elle comprend les questions , mais elle éprouve rapidement une fatigue intel
t, perdra le soir toute prétention et répondra convenable- ment aux questions qu'on iui pose. Pour obtenir un calme persis- t
cas qui les nécessitent soient très rares. Certains des malades en question , surtout les aliénés qui se frottent aux parois
devenir dangereux. Or, l'aliéniste a un double rôle à jouer dans la question : I. En ce qui concerne la prophylaxie, il lui
prement dits. Ceci obtenu, on pourrait en- suite prendre en main la question des pensions à attribuer aux em- ployés en ques
ndre en main la question des pensions à attribuer aux em- ployés en question , atteints par la maladie et la vieillesse. De là
une décision Archives, t. VI. 1. 28 434 bibliographie. dans une question d'une importance si générale. Les membres ras-
ttre une déclaration dans le sens de la proposition, et à lancer la question ainsi soulevée. Adhé- sion de l'auteur. M. Jo
nds; c'est à lui qu'il appartient de préparer les maté- riaux de la question . M. ScuoLE accepte sans réserve la motion de M.
cience n'autorise pas un médecin impartial à se prononcer sur cette question délicate; et si rien n'eût été plus aisé que d'al
st le même pour tous les candidats. Il est tiré au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées avant l'ouverture
l'ouverture de la séance par le jury. Pour les épreuves orales, la question sortie est la même pour ceux des candidats qui
ont appelés dans la même séance. Elle est tirée au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées par le Jury avant
82 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n des fonctions motrices. On pourrait trouver dans ce rap- port, la question de doses mise à part, un argument en faveur du
é, il voit, il entend, il écrit, répond intelligemment à toutes les questions et ne présente aucun trouble de la sensibilité ni
a moitié antérieure des lobes frontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de troubles moteurs, de troubles sen- sitifs, d
'une névrite optique qui avait occasionné l'erreur de diagnostic en question à cause des hémorragies nombreuses occupant la
lant l'aspect des bandelettes latérales qui, dans les statuettes en question , tombent de la coif- fure. C'est la raison pour
air et par les beaux clichés qu'elle contient, met au point une des questions les plus impor- tantes de l'anatomie pathologiq
ls.) Le volume de M. Apert est un essai de mise au point de cette question si intéressante des retards de développement. Pou
documentés. L'auteur y a réuni toutes les notions rela- tives à la question . Les causes du retard, la pathogénie de l'affec-
dus du service des enfants de Bicêtre. VARIA. T' 69 C'est à cette question que l'auteur apporte une réponse avec sa compét
decine ; installation du bureau. 70 VARIA. Discussion de la 110 question du programme : Des états anxieux' dans les mala
9 heures, séance à l'Ecole de médecine. Discus-;S cussion de la 2e question : Les tics en général. Rapporteur : ' M. Noguès
di 5. 9 heures, séance à l'Ecole de médecine. Discus- sion de la 3e question : Les auto-accusateurs au point de vue inédico-
éliminatoires. Les épreuves sont au nombre de cinq, savoir : 1° une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie d
ois heures aux candidats; le maximum des points sera de 30 ; 2° une question écrite portant zur l'organisation des asiles pu
era accordé deux heures; le maxi- mum des points sera de 10; 3° une question orale portant sur la médecine et la chirurgie e
Extrait de la Reforma Medica. Rome, 1901. Ladame (de Genève). - La question de l'aphasie motrice sozis-coili- cale. Extrait
ne part un plateau bien net d'autre part une extrémité allongée. La question d'origine reste donc en suspens, mais du moins
n certain nombre d'observateurs qui se sont pré- occupés de la même question (Démange, Thébault, Joffroy, Bourgarel, Rubens,
d'apparence robuste, est intelligent, répond très bien à toutes les questions qu'on lui pose. La langue est bonne, la dentiti
s). " P. Keraval. XIII. Contribution clinique et expérimentale à la question de la sécrétion des larmes; par G. KOESTEUT. (N
scours : « Une société comme la nôtre, toujours prête à traiter les questions les plus élevées de la psychopathologie, de la
isprudence et la statistique ».- ' Enfin, une place fut faite à des questions d'ordre général, telles que la philosophie, l'e
principaux débats qui occupèrent les séances de la Société. - La question delà monomanie, soulevée par Delasiauve, donna
Neuf séances furent consacrées, à cette époque, à élucider cette question . Parchappe dit nettement que la paralysie général
ndant l'épilepsie larvée, « cette création du génie de More ! ». La question de l'existence ou de la non-existence de la folie
rsions sexuelles, ces différents éléments ont per- mis d'aborder la question des fous héréditaires. ' Au cours d'une discuss
es- tion éminemment complexe. Le litige qui suivit l'exposé de la question fait par M. Garnier, porta surtout sur les deux d
er. J. Falret, Bail, Briand, Cotard, Christian, Ballet. , ' . Les questions touchant la classification ont dès longtemps so
tendre avec les défenseurs d'un classement purement empirique. La question , on le sait resta ouverte. La psychialrie est u
otiques, voilà quelques-uns des principaux sujets de discussion. La question du no-restraint; soulevée en Angleterre par Con
ats de la médecine légale furent traités par la Société. Citons les questions suivantes : la respon- sabilité partielle des a
nés, la responsabilité de l'homme ivre, SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 la question de l'interdiction des aliénés, la discussion sur
tinctives, etc.. , · LE DOCTEUR JULES FALRET 183 Entre temps, les questions relatives à l'Assistance et à 'la' Médecine lég
d'abondance et de clarté. Il excellait à élever, à généraliser les questions ,.à trouver les for-' mules précises qui mettent
- teur à Quesnal-sur-Deule (Nord). De crime avait pour mobile des questions d'intérêt. L'assassin est un faible d'esprit atte
es considérations suivantes : vu le nombre médiocre des malades 'en question avant l'âge de vingt ans, nous les avons inclus
e connaît pas le quantième. . La malade peut seulement répondre aux questions , mais ne peut pas elle-même entretenir une conv
'infection par la syphilis et l'apparition de la maladie mentale en question passent de six à vingt ans. Concernant l'alco
C'est en juin 1896 que je fus conduit à m'arrêter au phénomène en question , et cela dans les circonstances suivantes : ;
l'égard de son entourage, n'osant ou ne voulant pas répon- dre aux questions posées qu'il semble prendre pour de mauvaises p
iode menstruelle est inter- ' Voir pour un historique complet de la question les deux thèses ' suivantes : Conard (Du sein h
nnaît pas les per- sonnes qui l'entourent et ne répond à aucune des questions qu'on lui adresse; ne parait pas avoir de délir
'André Mazet. - J'ai parcouru l'ordre du jour de votre congrès. Les questions que vous allez traiter échappent pour la plupar
t son action. Il ne s'agissait point encore de malades ; il n'était question que de coupables. Seul Jean de Wier nous appara
ecine mentale, plus que toute autre, a le droit d'être écoutée. Les questions de l'alcoolisme, de l'hérédité, de l'édu- catio
vous et peut, mieux que vous, éclairer les pouvoirs publics sur les questions d'hygiène et de pro- phylaxie sociale ? C'est
mouvement très net qui tend à unir la psychologie à la clinique. La question des états anxieux dans les maladies mentales vi
ner son véritable rôle dans la constitution des états anxieux. La question des états anxieux dans les maladies mentales se
s les états anxieux. sociétés savantes. ' 253 Au sujet de la même question , M. Samuel GARDER envoie une note intitulée : L
ourd'hui sous le nom de tic; néan- moins, la bibliographie de cette question est des plus riches; nous retiendrons surtout l
rs longues et patientes observations. II. Délimitation du tic. La question du tic paraissant enve- loppée d'obscurité, il
out vraie entre le tic et l'obsession impulsive, aussi pose-t-il la question : « Le tic ne serait-il pas une forme d'impul-
le. M. Grasset (de Montpellier). Je n'étudierai qu'un point de la question des tics, à savoir leur pathogénie : de tous les
ent de voir le mouvement continuer à se produire. A côté de cette question de pathogénie, il en est une autre qui me sembl
istes de l'avenir d'inextri- cables confusions. Mais ce sont là des questions de mots ou de théories sur lesquelles on pourra
a au moins une autre catégorie de tiqueurs que ceux dont il a été question aujourd'hui et que la raison d'être des autres ti
rd'hui et que la raison d'être des autres tics que ceux dont il est question a besoin d'être étudiée. M. Cuoce (de Bruxelles
ierret (de Lyon). Parmi les problèmes très complexes que suscite la question des tics, il en est un, celui de l'état mental
Histologie de la paralysie générale. Rapporteur : M. Ir.irrrr,; 3° Question d'administration des asiles et d'assistance à d
moment de provoquer une réunion de tous ceux qui s'intéressent à la question . On pourrait croire que le sujet est trop restr
écessité, il y en a dont l'internement est désirable. Ce côté de la question intéresse non seulement les familles elles-mêmes,
tion sur l'assistance familiale, elle n'a voulu exclure aucune des questions qui peuvent intéresser l'assistance des aliénés e
t donc du son actualité, ainsi que du nombre et de l'importance des questions que soulève l'étude du patronnage familial ; au
r \I11. GULIItD et de CLÉR : 11L3AULT, Internes du service. I. La question de la folie à deux ou folie communiquée fut étu
puéril, la pureté parfaite de leurs moeurs, laquelle n'était pas en question . « Nous avons tou- jours vécu sous la sauvegard
hallucinatoire, G... répond d'une façon suffi- samment précise aux questions posées avec quelque insistance; il ne cache pas
té revient et où le malade est capable de répondre correctement aux questions posées. -Mais toujours par bouffées, reviennent
énérale, et sa découverte a fait faire un progrès considérable à la question si importante du diagnostic de cette affection.
t, pour que nous puissions répondre catégoriquement à ces multiples questions (nous nous proposons du reste de les publier av
églas expose le résultat de ses observations personnelles sur cette question qu'il a déjà abordée depuis 1889, dans diffé- r
le conseil supérieur de l'Assis- tance publique s'est occupé de la question du retour des aliénés guéris à la vie libre, 11
ssistance et éducation des enfants anormaux, par le Dr Lariuvé. Une question non moins intéressante et qui se rattache à celle
t au réfectoire et commence à laver la vais- selle. Répond bien aux questions qui lui sont posées et commence à tenir convers
solutions juridiques intéressantes à considérer. L'étendue de cette question comprend l'examen de la valeur pro- bante et de
Motet. Ce rapport est excellent à tous les égards, et cependant la question était très difficile à mettre au point. 11 y a
cas ou une véritable glio- . matose méningée a été observée. Une question enfin a sollicité notre attention, à savoir la pa
ion. Il conviendrait que le juge ne se conten- tât pas d'une simple question , mais demandât au prévenu une série de calculs
ne seule notion : la notion de spécificité syphilitique. Quant à la question du terrain elle nous parait aussi d'une importa
physique et mentale. 11 nous semble que l'intérêt prochain de cette question est d'arriver à établir la proportionnalité de
ès avoir établi les difficultés du diagnostic, M. Castin discute la question au point de vue nosologique. SOCIÉTÉS SAVANTES.
rable, hypophosphatu- rie et diminution de la quantité d'urée. La question est de savoir si la catotonie est, selon l'opinio
out en protestant, à établir qu'elle les mérite. Il ne saurait être question ici d'idées de culpabilité décou- lant d'halluc
te au sujet de l'aumônier. Ce dernier leur ayan 1, adressé quelques questions jugées, par elles, offensantes, devient un pers
leur morale (sic). Elle a fait en outre valoir que les incidents en question sont trop ridicules pour que nous ayions le dro
t profondément débile et ne répond que lente- ment, avec effort aux questions qu'on lui pose. Il partage les convictions de s
s intelligents : ils n'en avaient pas conscience, car la mimique en question n'était ni accompagnée, ni précédée de l'état d
(06o;»,CT ! é psiclaiutoü, V, 1900). Revue générale détaillée de la question et 18 nouvelles observa- tions personnelles. '
e d'aliénés; 2° la majorité des documents biblipgra- phiques sur la question , qui dans ces derniers temps ont foisonné, témo
e langue allemande. Mittermaïer s'occupa avec passion de toutes les questions médico-légales concer- nant les aliénés, il s'i
téressé, au cours de sa longue et laborieuse carrière, d'aucune des questions de la psychiatrie et que son nom unanimement re
arde pas il s'exciter et à s'agiter. Il répond assez volontiers aux questions . ' L'orientation de l'épingle ne permet pas d'
ital de l'atlas. C'est à la moitié supérieure de l'hiatus osseux en question que les deux artères vertébrales s'unissent à la
atrice du cervelet, de là le voisinage des voies de transmission eu question . Les racines postérieures qui débouchent dans la
trente minutes, pendant lequel, inconscient, ne comprenant pas les questions qu'on lui pose, n'y répondant pas, ou disant n'im
et s'endorment. Cinq observations à l'appui. Le désordre mental en question est apparu, soit après les grandes, soit après
ésordres psychiques offre le plus grand intérêt. Il ne saurait être question ici de localisation, ce terme étant compris dan
ue dans d'autres, cela est diffi- cile à dire. Peut-être est-ce une question de siège, d'étendue ou d'intensité des altérati
ore des cas où l'enfant possédant toutes les facultés dont il a été question plus haut, manque de mémoire. Enfin, la dernièr
troubles mentaux. Les autopsies n'ont pas sensi- blement éclairé la question . On peut avancer toutefois que le caractère des
la paralysie générale. Marshatko a étudié avec beaucoup de soin la question de savoir si la syphilis tertiaire est ou n'est
Cette observation suggère la pensée qu'une enquête analogue sur la question de la paralysie générale pourrait être faite ch
is ne court guère de risque de devenir paralytique général. Mais la question de savoir si la paralysie générale est due à la
Drapes (Tite Journal of Mental Science. Octobre 1')01). C'est une question très importante que celle de savoir s'il y a un
SÉCRÉTION DES LARMES. Couttibution clinique et expérimentale )a question de la -, par Kcester, 163. Sein hystérique, p
83 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it bien montrer qu'il y a entre la sciatique et la déformation en question non pas une simple coïncidence, mais Archives,
s recherches et nous ne pouvons pas, par conséquent, répondre à ces questions . Nos observations ne peuvent nous donner des no
notes inédites et aux documents rassemblés par M. Charcot sur la question , qui forment la base de ce travail dont notre m
e, assez bien développé pour son âge, qui lépond intelligemment aux questions qu'on lui adresse. Lorsqu'il est assis sur une
une femme de constitution moyenne ; elle répond intelligemment aux questions qu'on lui adresse. Les dou- 48 PATHOLOGIE NER
avons pu nous convaincre de l'obscurité qui entoure encore cette question et des difficultés qui surgissent lorsque l'on
répondre en toute conscience à la principale 86 MÉDECINE LÉGALE. question posée : Est-il de l'intérêt bien entendu de l'ali
leraient seuls d'une augmentation de dépense. § III. Réponse à la question posée par M. le Ministre. - Maintenant que nous
st l'objet et leurs résultats, nous devons répondre à la principale question posée : Est-il de l'intérêt bien entendu de l'a
e la monographie la plus complète que nous possédions encore sur la question . L'observation XI, dont la malade qui en est le
dire ce que nous appellerions volontiers la période actuelle de la question , période féconde, comprenant plusieurs travaux
démontrer que tous ces états sont de même nature et qu'une seule question de degré pourrait en apparence les séparer. ' A
développement des autres phénomènes de la série hystérique ? Cette question en amène une autre qui lui confine de bien près :
épileptique ou aux phénomènes nerveux de même ordre ? La première question est importante à préciser surtout t lorsque l'o
es opinions émises par les divers auteurs qui se sont occupés de la question que les attaques de sommeil sont très rarement
es présente actuellement. Abordons maintenant l'étude de la seconde question . Quelle est la fréquence absolue des attaques d
us décrivons. Evidem- ment, il existe là comme partout ailleurs des questions de degré et nous ne voulons pas assimiler les s
cune, à prendre trois par jour. 1 Une bibliographie détaillée de la question aétéindiquée parle. Popoff dans un travail sur
'une façon pra- tique et tout à la fois scientifique l'ensemble des questions de ions ordres que soulève l'assistance de l'id
ropriée à un but envisagé pour les idiots de nos établissements. La question de la nourriture occupe un des premiers rangs p
otie incombe à la médecine et à la pédagogie; 3° il ne saurait être question de guérison absolue; - 4° diriger sur l'encépha
e l'établissement ? Un médecin, un instituteur, un prêtre ? - Cette question est écartée comme inopportune; quant à la compé
and profit de leur enseignement spécial. Le plus diffi- cile est la question des professeurs; il faut à cet égard aviser à t
lté totale ou l'une des facultés du sens de la forme, l'individu en question est apte à subir telle ou telle branche d'ensei
ordinaire ? Et lorsqu'on est certain que le paralyptique général eu question a eu antérieurement la syphilis, les cordons posl
posés à la dégénérescence grise ? En ce qui concerne cette dernière question , depuis plusieurs années Fuert- ner s'est préoc
prématuré d'adopter l'idée de Struempell et qu'il faut réserver la question anatomo- pathologique. Remarquons d'ailleurs qu
Il convient donc simple- ment d'appeler l'attention sur le fait en question , et de faire remarquer que, dans cette forme d'
tre, l'admis- sion'des patients qui répondent aux cinq exigences en question ne présente pas un caractère d'urgence, la chos
goureusement aux prescriptions sus-énon- cées. Comme les malades en question doivent être reçus dans des maisons de santé ou
s : « Les biens des aliénés ne sont pas suffisamment protégés. La question de l'administration des biens des aliénés a été t
Ce n'est pas à propos de l'ar- ticle 12 que nous devons examiner la question de savoir comment on rémunérera l'administrateu
ulanger. Pardon, monsieur Bardoux; je désire que nous réservions la question pour la discuter au moment où l'ar- ticle 54 se
s articles 54 et suivants du pro- jet de loi ? C'est une tout autre question et qui, pour le moment, me parait devoir être r
l'administrateur provisoire. Eh bien, ce sera encore peut-être une question à débattre que celle de savoir si l'admi- nistr
es modifications légales soumises à votre examen : sur toutes les questions qui se rattachent à la liberté individuelle, Je c
la parole sur l'article 14 ? 111, de Gavardie. Seulement, pour la question de principe, je crois que c'est un rouage absol
l à celui du cochon d'Inde, il marcherait dès le premier jour. » La question de mécanisme présente, du reste, une importance
miner cliniquement le même ensemble symptoma- \ tique. C'est là une question intéressante qui ne man- quera pas d'être résol
de notre deuxième catégorie de faits, éphidrose et mydriase. La question est toutefois plus complexe qu'elle ne le paraî
mais dans laquelle il n'est DES ÈPHIDROSES DE LA FACE. 217 -1 pas question d'hypersudation; il semble peu probable qu'une
e fibres la moelle, l'encé- phale, la moelle allongée, c'est là une question bien difficile à résoudre. Il est cependant p
ont ajoutées celles de M. Adam- kievicz3, de M. Blochg, etc., cette question reste en- tourée d'obscurité et, manquant des é
ever le drap et se couche sous la couverture. II répond à peine aux questions et par monosyllabes : a Je ne sais, mon lit, et
ans mot dire, prend un drap, le plie seul, répond machinalement aux questions qu'on lui adresse ; la face devient pourpre, et
tes ; il regarde autour de lui d'un air étonné, ne répond pas aux questions ; toutefois, il revient complètement il lui peu d
ement son pantalon jusqu'au-dessus des genoux, ne répond à aucune question . Un quart après il est à peu près complètement
s complètement revenu à lui ; il répond d'une façon assez juste aux questions , mais d'un ton quelque peu criard. - Ces sortes
enfin accru au point que le malade ne saisit plus bien le sens des questions un peu longues. Il s'agit ici d'actes automatiq
ne troisième forme. Kiernan1, dans deux mémoires consécutifs sur la question , reproduit en somme les idées de Kahlbaum. Il s
ue. D'ailleurs, en traitant de l'hystérie, Schüle revient sur cette question et parmi les formes que peut affecter la folie
bien insuffisantes à ce point de vue. En effet, négligeant même la question très précise du diagnostic, il est à se demande
eule possibilité d'obtenir à volonté le réveil juge suffisamment la question . Il en est de même à ce dernier point de vue du
Timermans 2, traitant du même sujet et, à la suite de laquelle, la question avait été portée devant l'Académie de Turin. Le
lésions de la paralysie générale. Nous en tenant exclusivement à la question du diagnostic différentiel avec les attaques de
la discussion actuelle, qu'on pourra facilement faire suivre par la question de la mélan- colie anxieuse. M. B. Séance du
nique vrai peut aussi se trouver chez les dégénérés, on voit que la question est beaucoup plus embrouillée qu'on pourrait le
Combes, qui était relatif au concours, que nous avons dit que cette question serait réservée. Elle nous rame- nait à l'artic
OL. Je fais observer, monsieur le président, que le para- graphe en question visait l'avis du conseil supérieur des aliénés.
ts. Voilà, messieurs, la vérité pour ceux qui connaissent un peu la question . Ai. TESTELIN. 11 y en a si peu qui la connaiss
ur nouvelle d'alcools toxiques dans la consomma- tion, c'est là une question encore d'actualité. Les travaux publiés tout ré
1886; par le D BI.UTE. 111. le Dr Bianle discute dans ce rapport la question de l'admis- sion des enfants, des épileptiques
ellules d'isolement est donc nécessaire pour de tels malades, celte question a été déjà élucidée, afin d'obtenir que les mal
us grand calme pour les malades turbulents. L'impor- tance de cette question donnera toujours de grandes difficultés à un mé
a lieu de pour- voir à deux vacances. Les épreuves comprendront une question écrite, éliminatoire dans les cas où le nombre
où le nombre des candidats dé- passera trois pour une place et une question orale. Il sera tenu compte des travaux antérieu
les antécédents n'ont pas abouti à des résultats très précis et la question de l'hérédité ner- veuse est restée en suspens,
bl. f. Nerven7aeilk., 1886). Dans l'une de ces observations, il est question d'un homme de cinquante-huit ans qui, à la suit
ériode des grands mouvements, etc. Les faits dont il vient d'être question montrent bien que la paralysie faciale peut réc
'observation qui précède est instructive sous tous les rapports. La question de l'hérédité nerveuse s'y trouve parfaitement
loppement. Nous ne pensons pas devoir insister davantage sur cette question de l'influence des sexes, car, ainsi que nous l
absolue. Il n'y a pas lieu de s'étendre plus longuement sur cette question incidente de l'exploration électrique et si nou
t exactement le substra- tum anatomique de la paralysie faciale, la question étiologique n'en reste pas moins la même. Nous
é de suivre l'exemple des autres auteurs, qui se sont occupés de la question , à savoir de donner un terme théorique, toujour
r de le reproduire par des expériences sur des animaux. Alors cette question s'impose immédiatement : les animaux sont-ils s
mptômes que nous venons d'exposer ne laisse aucun doute sur cette question . Le moment était donc opportun de com- mencer d
nt du corps. Nous ne voulons pas nous étendre davantage sur cette question si importante, car très prochainement nous publ
lapins avec les yeux bandés. Voici quelques tracés relatifs à la question . Dans l'expérience dont nous venons de rapporte
uelques auteurs (Neisser) insistent moins que les autres. Ici une question se pose, ces phénomènes catatoniques ainsi que
l employé au traitement des malades. P. K. XXI. Contribution A la question DE l'influence favorable exercée PAR LES MALADI
en véritable avocat adverse, tout son possible pour embrouiller la question . Mais, messieurs, ce qui vaut mieux que les théor
n principe que M. Magnan pose, mais tout le monde n'envisage pas la question au même point de vue que lui. Et, tout en recon-
que con- firme la règle. M. Falret ne voit dans tout cela qu'une question d'interprétation, car personne ne conteste que
de soin certains côtés difficiles de cette espèce pathologique. La question avait été nettement posée par M. Garnier, reprise
ice du cerveau. - Ces deux cas ont été examinés au point de vue des questions sui- vantes. Quand la zone motrice est lésée :
de vérifier, par les mé- thodes physiologiques modernes, la grande question des locali- sations cérébrales. Les matériaux q
s qui un jour jetteront peut-être un peu de clarté dans l'obscure question de l'épilepsie larvée. M. Franck passe ensuite
e domaine de la pathologie cérébrale. Il expose l'état actuel de la question , tel qu'il res- sort des travaux publiés depuis
ureaux du Progrès médical. La thèse de M. Berbez est l'exposé de la question de Vhystéro- traumatisme dont 1\1. Charcot a ré
omment décrira-t-il alors des phases qui n'auront pas existé ? La question que je soulève n'a pas seulement d'importance au
e du Gouverne- ment, -car c'est Je texte du Gouvernement qui est en question , - s'il accepte la substitution proposée par M.
i avait rapport aux asiles d'intempérance ou qui s'intéressait à la question ; c'était l'Association américaine pour la guéri
84 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ulement pour l'étude présente mais encore pour un grand nombre de questions relatives à la morphologie comparée des hémisph
supérieure, intéres- sant la branche supérieure du fer à cheval en question , car sa branche inférieure est très réduite, à
. Reste donc à chercher sa signification physiologique. C'est une question que nous n'aborderons pas ici, et qui doit être
i est de l'encéphale de l'homme et des mammifères, il est plusieurs questions auxquelles nous avons fait à peine allusion ou
ci, car, par leur énoncé même, elles doi- vent être rapprochées des questions sur lesquelles nous sommes arrivés à conclure.
oroïdes', et nous avons vu que la disposition de ces plexus est une question intimement liée à l'étude du corps bordant. Dan
lapins). Mais dans la figure 15 le sillon en LA CORNE D'AMMON. 31 question est très nettement indiqué (en Y) ; il contient
'homologue de la circonvolution de l'hippocampe. Que le sillon en question se rétrécisse par accroissement en volume de la
énominations, circons- tance qui ne contribue guère à éclaircir une question assez compliquée par elle-même. Voyons un peu l
intermédiaire de Wrisberg. On observe quelque- fois que le nerf en question est entièrement constitué G. Seliwalbe. - Lehrb
ur et inférieur. Notons que l'amincissement des fibres nerveuses en question commence exactement à partir de l'endroit où ce
ntermédiaire de Wrisberg, jusqu'à présent si négligé ceci est une question d'avenir, que nous ne saurions décider actuel-
avail et je suis arrêté au milieu de l'examen très approfondi d'une question , par la représentation soudaine d'un homme nu d
é chez l'homme. Hammond émet, il est vrai, quelques doutes sur la question de savoir s'il s'agit bien là d'un véritable cas
issement manifeste de l'intelligence; s'agissait-il de répondre aux questions les plus simples, la malade regardait fixement,
ntière, celui qui l'in- terrogeait, ne paraissait pas comprendre la question ou du moins ne sachant pas quelle réponse faire
cette omission. Plusieurs savants anglais ont, dès l'origine de la question , cru devoir se rendre compte de visu des expéri
on étendue et abso- lument confirmative ; il y discute amplement la question de méthode. Il y aurait encore à citer les no
stoire nosographique, ni dans son existence génitale. La maladie en question débute par des vertiges et des 12,ozibles psych
e de la 5° paire. R. V. 92 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IV. La question du galvanomètre; hal 1C D Er11C5L liE\fAü (Berl
Jei=n -itvt n> 1 M. Foville demande si les individus dont il est question mani- festent leur état dansée langage écrit co
l,de Londres, s'étend longuement, avec son talent ordinaire, sur la question des aliénés^ criminels. Les Anglais, t dit-il, on
on de l'usage et qu'il a lui-même enregistré dans le cas heureux en question , de,l'abattement général et .de la, diarrhée. D
uteur accentue la stérilité de la psychologie ; et malgré tout, les questions delà réalité de l'objet,,au point de vue du suj
fficultés à vaincre pour se diriger un peu sûrement dans ces graves questions des troubles psychiques, il y a lieu de méditer
entes recherches sur le cadavre, d'avoir pu élucider les difficiles questions qui se rattachent à la connaissance de la natur
tous les can- VARIA. 125 didats. Il est tiré au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées avant l'ouverture
t l'ouverture delà séance par le jury. Pour les épreuves orales, la question sortie est la même pour ceux des candidats qui
ont appelés dans la même séance. Elle est tirée au sort entre trois questions qui sont rédigées et arrêtées par le jury avant
rnes dans les asiles d'aliénés de la Seine. Nous re- produisons les questions écrites et orales données à ce concours, afin d
donner aux futurs concurrents une idée de la nature des épreuves. Questions écrites. 10t concours (1880) : Méninges; 20 conco
- mie et physiologie); Artères du cerveau. Circulation cérébrale. Questions orales. 1er concours (1880) : De l'épilepsie. Pla
s orales ont pris deux séances ; les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de la pleur
férieure du radius; 3° Rougeole; Fractures de la rotule. Les autres questions déposées dans l'urne étaient : 1° Erysipèle de
ches sur les causes de l'ataxic locomotrice. PrixFalret, I,;i00 fr. Question -.Dcsvertiges avec délire. BULLETIN BIBLIOGRAPH
tous les muscles, aussi bien aux membres qu'à la face (il n'est pas question ici de la différence du résultat obtenu : contr
iblies, ob- tuses, dégradées : le malade répond difficilement aux questions les plus simples, il échoue devant l'opéra- tio
les sous-répitants. A droite, mêmes râles. Le malade com- prend les questions qu'on lui adresse et y répond à peu près exacte
aits si saillants de son caractère. Et cepen- dant, il n'y a pas de question qui puisse davantage intéresser le clinicien et
'umindividu qui a voulu lui infliger le dernier outrage. Pressée de questions par M. Toulmouche (de Rennes), elle finit par a
e allure de vérité à la théorie. L'histoire de la jeune idiote en question , morte à seize ans et demi d'une entérite hémor
document, nous réservant d'y revenir plus tard au sujet de toute question de droit qui en nécessiterait l'exposé détaillé.
auvaises conditions climatériques et hygiéniques, ce sont autant de questions à étudier. De fait, pronostic favo- rable, médi
ri la doctrine du no- vateur : quant à la vérifier, il n'en fut pas question . Tel était l'état des choses en Angleterre, en
FalreL, dans' une magistrale communication faite en 1866 sur cette question qui n'est pas nouvelle, a fourni déjà de nombre
et, le crime ne peut exister pour l'aliéné ; il ne doit donc être question ici que de malades plus ou moins dangereux, comme
nécessaires à chacun d'eux. Examinant ensuite un autre côté de la question , M. Christian passe en revue un certain nombre
cin est souvent très embarrassé et se trouve obligé de trancher des questions fort délicates, quand il s'agit de rendre à la
ose méthodiquement les rapports anatomiques qu'affecte la région en question avec la moelle allongée (trajets des fibres ner
s la moelle ou des nerfs qui en dépen- dent (Erb). Le syndrome en question completpeut aussi dans le tabès s'accom- pagner
par le professeur Wiedersheim. Cette communication en- visage cinq questions différentes. A. L'origine du nerf acoustique. I
, hallucinations). Aussi doit-il avouer que le symptôme clinique en question est extrêmement rare à l'état de pureté, ren- v
s orales ont pris deux séances ; les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de la pleur
férieure du radius. 2° Rougeole ; Fracture de la rotule. Les autres questions déposées dans l'urne étaient : FAITS DIVERS. 26
eta Iledica de Séville, organe du Congrès. Extrait du programme des questions proposées. Physiologie : Relations de la calori
gie et la pathologie du système nerveux, la médecine mentale et les questions médico-légales qui s'y rapportent. BULLETIN BIB
t le siège habituel de la douleur hypogastrique des hystériques. La question devait donc rester pendante, d'autant plus que
Une circonstance s'est présentée, qui a favorisé la solution de la question : nous avons pu suivre la gros- sesse de deux h
bre de ses manifestations les symptômes cataleptiformes dont il est question . Dans l'exemple suivant l'hypnotisme est caract
ne sont pas complètement fermés au monde extérieur. Elle entend les questions qu'on lui adresse, y répond d'une façon plus ou
isolément les résultats obtenus par les au- teurs qui ont étudié la question par l'expérimentation, on croit y trouver la so
a donc que les faits de pathologie humaine qui puissent éclairer la question ; l'expérimentation ne peut que servir à guider
es noyaux du 4° ventricule, il conclut en disant que le faisceau en question représente un trajet direct entre la base du ce
d'un phénomène réflexe. Quelques auteurs ont cherché à résoudre la question en étudiant les phénomènes tendineux par la mét
éries d'ex- périences qu'il a entreprises dans le but d'élucider la question de la nature du réflexe tendineux. Par la pre
s avantages qu'il présente sur les établis- sements fermés. Pour la question de dépense, M. Lunier a dit que l'isolement dan
s criminels. M. FALRET n'avait pas l'intention de revenir sur cette question , qu'il a déjà traitée en 1869. Cependant comme
ssi bien qu'en 18 9, s'opposent à la création d'un asile d'Etat. La question , dit l'orateur, n'a pas avancé d'un seul pas. P
xes sur lesquelles il serait trop long d'insister. Quand cette même question a été soulevée en France, la plupart de nos con
avait paru fort original : « De l'hystérie dans l'art ? » Dans la question difficile de la catalepsie, de la léthargie et du
de facteurs peuvent con- duire à la solution d'une aussi importante question . En premier lieu, l'étude-clinique des malades
encieux qui délimite par la condensation de tous les éléments d'une question , l'aire du ter- rain gagncsans négliger de mett
médicament. En effet, a propos du bromure de camphre notamment, la question de légitimité de l'eiilité : cliiiiiique se pos
ts de dermatoses. Avec le bromure de sodium, nous abordons la grave question de la sélection des agents chimiques basée sur
r«onsme (psclioses claus l'), 1>ar Siemens, 218. Galvanomètre ( question du), par ltem;tl., 9 ? - tar l3cruli.tnlt, 93.
85 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hui celui de la folie ma- niaque-dépressive . Mais cette première question résolue, il nous faut encore essayer de justifi
done, l'atropine, la picro-luxine. L'auteur, qui s'est occupé de la question et a fait des recherches expérimentales à ce su
lairage à l'arc \olLaiquc qui réussit dans les deux observations en question ici ; ce fut la chaleur lumineuse du bain de Ke
lumineuse du bain de Kellog. P. KERAVAL. XI. - Contribution à la question de l'utilisation de la rota- tion centrifuge au
ourquoi il ne faut pas s'attendre à trouver, dans l'avenir de cette question , une classification rigoureuse et des formules
diagnostic différentiel est des plus difficiles à étahlir.C'est une question de savoir s'il existe une pseudo-paralysie généra
s égards dans la sienne, elle ne lui semble pas résoudre toutes les questions . Pour Kroepelin, toutes les mélancolies qui ne
t dû, en partie au moins, au fait que, tanllisque toute la série de questions importantes qui se rapportent à la diagnostique
cherche scien- silique sont ouvertes pour combattre les maladies en question , et les efforts de tant de chercheurs qui, isol
ecueillir et classifier tout le maté- riel existant ayant trait aux questions d'hérédité des maladies mentales ou nerveuses :
deux fois dans la même discus- sion ; toutefois le Rapporteur d'une question aura toujours le droit de prendre la parole le
e de lamelles ou lobules sur toute la longueur du faisceau blanc en question rendent la persistance du flocculus beaucoup mo
contradictoires de la part des obser- vateurs qui ont traité cette question . D'autant plus que la division classique en tro
rs travaux. Il fait l'éloge de M. Vincent, préfet du Nord, dont les questions d'hygiène sociale et d'assis- tance sont les co
supé- rieur del'Assistancepubliqueest, dit-il, saisi de plusieurs questions nées des travaux des Congrès ; l'unification de
re doté afin de rendre plus efficace le traitement des aliénés. Ces questions vont occuper une grande partie de la prochaine
qui s'intéressent aux choses de la science et plus spécialement aux questions , si éminemment sociales, du système nerveux. Et
sultats discordants s'annulent dans de longues séries. Quant à la question des variétés leucocytaires, j'y ai con- sacré d
t plus sensible queje possède un grand nombre de documents sur la question , je ne les ai pas publiés craignant d'allonger
is, une manière bien séduisante d'envisager,dans son ensemble, la question complexe du cerveau sénile. C'était de considérer
arfois de bonne heure. Ces regrets exprimés, j'arrive au fond de la question , à l'é- tude des lésions de la sénilité cérébra
et le rapporteur ne pouvait perdre de vue qu'il avait à traiter une question de neurologie. 12. Léri s'incline devant la hau
nsitoire, alors même qu'elle est en l'espèce improbable. 11 a été question , jusqu'ici, de la responsabilité des hysté- riq
des crises. Dans l'impossibilité où nous sommes de répondre à cette question par une formule unique, nous nous bornerons à é
ris). Le problème de la responsabilité des hystériques associe deux questions dont l'étude séparée est déjà des plus difficil
lésions ; aussi l'auteur se réserve-t-il d'étudier plus tard cette question ..1. SÉGLAS. Fiv, - Etudes et recherches expérim
Naples, 190Ô, fascicule \'1.) . Le surmenage intellectuel est une question importante et d'une solution difficile.il s'agi
et d'une solution difficile.il s'agit en somme de répondre à cette question : » GaisLe-t-il vraiment une proportion entre l
te les diverses opinions des au- teurs qui se sont occupés de celle question , et ne se faisant au- cune illusion sur la dill
XX, fasc. Il, III.) L'auteur, faisant d'abord l'historique de celte question , admet REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P.\
L'auteur commence par donner un long exposé bibliographi- que de la question , avec les opinions successives des auteurs qui
avec les opinions successives des auteurs qui se sont occupés delà question . Puis il rapporte deux observations de cas typi
au collège Sainte-Barbe, à Paris; et là, toujours préoccupé par des questions de philosophie religieuse, il se décide à poursui
rle une fois de ma famille, « de ma mère, de ma pauvre mère » ; ses questions me paraissent indiscrètes. « 2" A X ? dans l'in
hologique, où l'on trouvera la bi- bliographie essentielle de cette question (séance du 24 février 1902,in Aizizales iîzédic
telain (de Neuchâtel), Dubois (de Berne), Serrigny (de Fribourg). QUESTIONS choisies : Neurologie : Définition et nature de
heaume, de Paris. Médecine légale : L'expertise médico-légale et la question de responsabilité. - Rapporteur : prof. Gilbert
t-être respectés ? P M. Briand. - M. Brissaud vient de soulever une question bien intéressante et bien délicate. Il est très
éressante et bien délicate. Il est très] difficile d'éluci- der une question aussi grave par des faits négatifs ; cepen- dan
érale ? Est-ce un syndrome ou une maladie spécifique ? ' ! Toute la question est là, et.si la paralysie générale est consi-
matisme créerde toutes pièces la paralysie géné- rale. Désormais la question lui paraît résolue. Au point de vue médico-léga
ontrôler les constatations qu'on peut faire sur les douze crânes en question . Poids. Il est impossible de rien affirmer sur
r des faits expérimen- taux ; ils ouvrent un horizon nouveau sur la question si com- plexe des crises épileptiformes, delà p
néral président. Elles seront au nombre de six, savoir : . 1° Une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie
is heures aux candidats ; le maximum des points est de 30. 2° Une question écrite portant surl'organisation des asiles pu-
orales et cli- niques. Ces épreuves sont éliminatoires. . 4° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie e
faire dériver. Il est expliqué dans le dernier ouvrage paru sur la question ! volume signé de deux aliénistes forts disting
traité avec un grand talent et une grande exactitude cette délicate question . La prédis- position qu'est-elle ? se demande l
s avaient l'un et l'autre un air très morose et répondaient peu aux questions qu'on leui, adressait. Parfois un changement s'
distingués collègues me permettront de leur faire remarquer que la question n'est pas de sa- voir si la folie gémellaire dé
ette, comme nous l'avons montré, la plus grande confusion dans la question . Il est à désirer que les hasards de la cliniqu
ger, cet aliéniste figurait en tête de tous les historiques de la question . Or le savant aliéniste russe rapporte que M. A
de Tours, il ajoute : « on verra plus loin toute l'importance de la question a. Mais dans ses développements on trouve une é
oute tare familiale et due à une ac- quisition fatale. C'est là une question de faits, que seule une grande réunion de cas t
pas plus permis dans tout l'étranger que chez nous de traiter la question sans accorder à notre compatriote une large pla
n un seul mot nos conclusions, nous dirons que l'hérédité domine la question tout entière et que la folie cher. les jumeaux
sante interpréta- tion : Si on admet dans la folie gémellaire une question d'lié- LA FOLIE GÉMELLAIRE. 201 rédité, pou
isolées. Depuis une quinzaine d'années seulement nous voyons la question prendre corps et venir à l'ordre du jour des di
ublique quelques lignes de Napias ayant indirectement traita à la question . Il s'accentue toutefois avec le treizième Cong
ux Etats-Unis ; en Russie, l'article de ToporlcotF qui donne delà question une revue générale si documentée. En France, en
cir- culaire ministérielle marquant le grand progrès fait dans la question d'assistance aux tuberculeux dans les asiles. A
on d'assistance aux tuberculeux dans les asiles. Actualité de cette question , urgence de cette assis- tance spéciale, voilà
s statistiques manquent pour les asiles d'Autriche-IIongrie où la question a pourtant été abordée il y a longtemps par Lei
ù la Société Anversoise contre la tu- berculose s'est occupée de la question sous la direction du Dr Terwagne, des statistiq
autant de monographies consciencieuses ont été envoyés sur cette question , par MM. Antonini, Bonnet, Konrad, Macdonald, M
eVuillejuif, a traité d'une façon particulière- ment remarquable la question des convalescents sortant des asiles. Le patron
ses infirmiers Depuis le mois de janvierdernier, atteint (1) Sur la question des Sociétés de patronage, voir : 110UttrcE vil
alcoolisme et la sy- philis. a Pour mettre simplement au point la question , je dirai, que la lutte contre l'alcoolisme sem
x sourds-muets. MM. les 1)" Dccl'oly et 110u- lenger ont examiné la question des enfants infirmes et estropiés. Nous en extr
cou. 5 octobre. D ? se souvient bien qu'il ne put répondre à nos questions le 5 avril dernier : « On auraitdit que j'avais
Vous ne savez plus écrire ? Il met plus d'une minute à lire cette question . Ecris ton nom. Après une minute 1/2 d'efforts,
pen- damment de tout point de vue budgétaire et immobilier, cette question , comme le fait remarquer M. merlin (1), est com
berculose de 1897, le Pro- fesseur Debove avait en effet posé cette question , dont la solution avait l'avantage pratique de
ez les Arabes. Chargé d'une mission en Egypte, Marie a étudié cette question REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 403 si controv
ux, lesquels subissent aussi l'influence de la con- tagion. Celte question est maintenue à l'ordre du jour de la Société et
mais aussi quant à la nature de cette force. / La réponse à cette question parait tout d'abord très difficile, car on est
ue est-elle d'origine centrale ou périphérique ? 2 J Ce sont là des questions que j'ai abordées expérimen- talement depuis bi
ruxelles, chez Maloine à Paris). Actuellement.,je désire pousser la question encore plus loin et vous dire quelles peuvent ê
par- ler ici que de la lepto-méninnite aiguë d'origine otique. La question de sa curabilité a provoqué depuis dix ans de n
ns cher. Il vous appartiendra de saisir le Conseil général de cette question assurément délicate, dont il est indispensable de
diabolique publiée par M. le Dr Bourneville. Dr J. ROLET, XII. La question sexuelle exposée aux adultes cultivés ; par A.
té de Zurich, 190G, 2° édit. avec lig. et, 2 planches. Etudier la question sexuelle sous tous ses aspects, scientifique, e
ui. C'est à frémir ! En vérité, si nos confesseurs posent de telles questions aux femmes, on peut dire qn'il vau- drait mieux
, et les religieux vrais, qui sont des érotiques. Dans l'examen des questions de droit, Forel demande : l'éga- lité des sexes
uquer la jeune fille, de façon que les fiancés puissent débattre la question sexuelle, leurs pen- chants, leurs besoins, ava
ra débarrassée des liens du mysticisme. En économie po- litique, la question sexuelle joue un grand rôle : une sélection rat
pro- duction intense. La pédagogie surtout doit s'intéresser à la question sexuelle; il ne faut pas entourer de mystère le
our la Commission internationale ; l'orateur expose qu'il y a des questions pratiques d'assistance internationale des aliénés
ant soulevé au sujet des dépôts de mendicité un cer- tain nombre de questions délicates, j'ai l'honneur de vous inviter a me
Contribution à l'étude des - d'insolation, par Meigmé, p. 23 J. Question sexuelle. La ex- posée aux adultes cultivés,
-, par Chauffard, p. 26. Rotation centrifuge. Contri- bution à la question de l'utt- lisation de la au diagnos- tic et à
86 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ente; son front se plisse lorsqu'on l'inter- roge ; elle répond aux questions posées, mais la parole est lente, difficile, et
ide. Je ne saurais y ajouter d'arguments bien neufs ; mais comme la question est extrêmement grave, et notre cher maître Bou
urs grades en travaillant à son ser- vice, fût-ce en province. La question est simple : la lecture du projet laisse l'im-
este la note ministérielle ci-après, nous paraît devoir trancher la question au moins pour le moment. Nos lecteurs n'ont p
nisé actuellement L et à ne pas sanctionner le projet dont il a été question . J'ajoute que cette mesure s'impose d'autant pl
gret, c'est de n'avoir point eu le plaisir de voir cette importante question de psychiatrie amener à la tri- 48 REVUE DE P
ébats que la para- lysie générale syphilitique; laissant de côté la question de savoir s'il en existait d'autres, et conclua
atsecoml, il lutte contre le réveil, se plaint, parle et répond aux questions posées. II. Un jeune homme de 17 ans, qui a com
z nous - et dans le public et parmi les médecins - relativement aux questions psychiatriques ; aussi sauront- ils gré à M. le
le des troubles des fonctions organiques. Enfin, M. Régis expose la question des stigmates de dégénérescence ou infirmités p
rand profit à le consulter : ils y trouveront une mise au point des questions actuellement à l'ordre du jour, un inventaire c
général président. Elles seront au nom- bre de six. savoir : 1° Une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie
s heures aux candidats : le maximum des points sera de 30. - 2° Une question écrite portant sur l'organisation des asiles pu
uves orales et cliniques. Ces épreuves sont éliminatoires. 4° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie e
rées, chez les aliénés en particulier. 11 ne pouvait, de plus, être question de k)stesdern)0)des. D'une étude du Lannelongne
points de vue. Ils ont eu quatre enfants : un fils, le malade en question , et trois filles dont l'une est morte à ! 'age de
re. 2° L'absence des principaux réflexes. Dans l'état actuel delà question des myotonies congénitales, on n'en sau- rait d
te, à peu près au niveau de la 3e paire cervicale, les faisceaux en question se groupent en longs trousseau prés du bord des
us et au- dessus du foyer. P. Keraval. X1'lC. - Contribution à la question du réflexe cornéo-man- dibulaire ; par. 11APLAN
velles méthodes de coloration des cellules nerveuses ; appoint a la question des canalicules sé- reux ; par \V. Passer. (Neu
e les yeux, va seul il la garde-robe, va dans la cour, répond aux questions . -.\. : Demande de la tisane, se plaignant d'une
que, en révélant des réactions électriques normales, a tranché la question . Le caractère des secousses électriques des mou
bliés pour constituer les éléments d'un nouveau chapitre de cette question : chorée et grossesse. Quoi qu'il en soit, la plu
e l'oedème de Quinke. (Meige). Les oedèmes circonscrits dont il est question ici sont in- dépendants des fonctions du coeur
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 201 que de la question des rapports de la syphilis et de la paralysie
eler les noms des auteurs qui ont déjà publié des travaux sur cette question , et il cite en particu- lier les recherches de
a fatigue. Finalement, il résume les travaux de Kroepelin sur celle question , et, termine par des considérations sur l'influ
tion. II. Au tiqueur et à son entourage. On doit s'enquérir de la question de 1 âge, de la condition sociale du malade, de s
1 ? Iuelqllc peu d'éloquence naturelle n'est pas inutile; aussi la question de la culture utile l'adaptation de la parole i
es myélites aiguës et chroniques, l'anatomiepatho- logique, puis la question diagnostic et traitement. Il insiste sur l'impo
ette thèse, qui est un résumé des connaissances actuelles sur celte question , contient un index bibliographique utile iL con
me clinique de la confusion est-elle spéciale à l'enfance ? « Celle question n'est pas élucidée « mais s'ilétait vrai que ce
"\ : 0.'1', revue mensuelle illustrée consacrée à l'élude du huiles questions relatives à la protection de l'enfance. Directeur
naire au sujet il examiner, nous l'avons étendu à quelques autres questions , notamment : 1° à la situation du personnel sec
le des anormaux. Tous nos collègues ont bien voulu répondre à nos questions . Nous profitons de l'occasion qui nous est offe
pas volontiers. Ce n'est qu'au prix d'un effort qu'il répond aux questions qui lui sont posées. Il a de la mémoire et retien
G THÉRAPEUTIQUE PEDAGOGIQUE, écouter, ne répond que des bêtises aux questions qu'on lui pose et fait en sorte de troubler l'o
devenait subitement timide à l'égard du personnel. Ses réponses aux questions posées devenaient embrouillées, presque inintel
Archives, 2" série, 1903, t. XXI. ? 0 306 clinique mentale. La question du diagnostic des psychoses traumatiques impliq
du diagnostic des psychoses traumatiques implique tout d'abord une question préalable : « Y-a-t-il lieu d'admettre cette dé
1\1, Christian, à qui on doit une synthèse des travaux parus sur la question , repousse cependant l'étiquette nosographique d
- ponsables de l'accident et la victime aurait toujours tort. Une question analogue s'est posée sur un terrain tout autre
lie associée au traumatisme, la difficulté n'est pas moindre. Ces questions de responsabilité encourue dans le cas des trau
S ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 307 attribuée à ce traumatisme. Or cotte question exige que le médecin connaisse la pathogénie et
d'un sceau traumatique tangible et irréfutable. Pour éclairer la question de l'influence de tels trauma- tismes sur la fo
des nôtres. « Tout problème médico-légal, dit Christian, est une question d'espèce ; il demande à être étudié en lui-mê-
nérale que l'un ou l'autre facteur isolé n'eût t pu produire ? La question d'époque a cependant la plus haute impor- tance
l s'a- git, en effet, d'un délirant tardif pour lequel se pose la question de responsabilité accident par rapport à l'étio-
ant et plus que du fait de son hérédité. ' B. Hérédité. La grande question de la nature cons- tamment dégénérative des syn
se traumatique apparente et ses effets psychi- ques. On le voit, la question de savoir si la folie qui suit les traumatismes
servations dont il résulte ce qui suit. On provoque le phénomène en question en frappant le muscle frontal dans toute son ét
s avoir rappelé tous les travaux qui ont été déjà publiés sur celle question , l'auteur conclut doses recherches personnelles q
ntre toutes les trois ou toutes les cinq minutes, la jeune fille en question , actuellement âgée de 12 ans, présente depuis l
er. Si, cependant, on réussissait à résoudre par l'affirmative la question de savoir, d'une part, si l'on peutpenser sans le
: le Dr An- theaume, médecin de la Maison nationale de Charenton. Questions choisies par le - ira Question écrite : Nerf' fa-
e la Maison nationale de Charenton. Questions choisies par le - ira Question écrite : Nerf' fa- cial (Anatomie et physiologi
a Question écrite : Nerf' fa- cial (Anatomie et physiologie). - Les questions restées dans l'urne étaient : 1° Circulation sa
chidien (anatomie et physiologie). 344' asiles d'aliénés : - 2e Question écrite : Quelles sont, dans la loi du 00 juin 183
ispositions prévues pour éviter les séquestrations arbitraires < Questions restées dans l'urne : 1° De la correspondance de
tratif ; zou Aliénés non interdits. Administration de leursbiens. Questions orales. - lie Séance : 1" Insuffisance cortique (
que (Symp- tômes et diagnostic). Tétanos (Symptômes et diagnostic). Questions restées dans l'urne : 1° Complication de la sca
aiguë. Symptômes, diagnostic et traitement des fractures de côtes. Questions restées dans l'urne : 1" Symptômes et diagnostic
e l'aorte. Diagnostic' et traitement de la tumeur blanche du genou. Questions restées dans l'urne : 1" Appendicites (médecine
ique de la paraplégie du mal de Pott. Prix Civrietcx. 800 francs. Question : Des délires chez les épileptiques. Deux mémoi
: Le li- quide céphalo-rachidien. Prix Lefèvre. - - 1.800 francs. Question : De la mélancolie. Trois manuscrits ont été pr
en en atténuant la marche terrible. Prix CitJ1'ieu,c, -800 francs. Question de l'homicide en pa- thologie mentale. Prix T
psie et les maladies nerveuses. , Prix Gelièure. -1.S00 francs. - Question : De la mélancolie. Prix Henri Lorqucl. 300 fra
ment en dehors de tares ancestrales particulières. Il y a donc deux questions bien distinctes à poser : A. Le blessé était-il
ce de son accident ou de sa tare ? Encore l'absolu de cette seconde question devrait-il être mitigé pratiquement par les att
o- graphie du membre infirme, consécutivement au traumatisme). La question du droit d'indemnité de la veuve était ici des pl
il sera difficile aux tribunaux de les rejeter. Il s'ensuit que les questions relatives à la gravité des accidents, à leurs r
vec le travail, et leur pronostic, forment désor- mais un groupe de questions capitales pour l'exercice de la médecine. - «
OLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS' DU TRAVAIL. 3G1 donc en raison des questions de psychopathologie suscep- tibles de se poser
lésion plus bénigne ou plus grave qu'elle n'est. b ZD La première question : « Etat de la victime », dans le cas particuli
es neurasthénies secondaires chez certains ar- thritiques (2; . Ces questions ne se sont pas encore posées souvent du fait de
identel, ne manqueront, pas, dans un avenir prochain, de poser la question aux experts qui doivent, dès à présent, étudier
les chefs d'industrie responsables : mais je ne sache pas que la question ait encore été posée en ce qui a trait aux frai
c. ? (Je ne parle pas des honoraires médicaux, pour lesquels ici la question ne se pose pas comme dans les hôpitaux ordinair
consécutifs sont également propres aux deux maladies dont il est question . 7° Différentes autointoxications et diathèscs
es deux états encore davantage ; les phénomènes paralyti- ques en question sont partiels et passagers. L'on observe une co
e somnambule. Elle se laissa aller dans un fauteuil, et sa première question fut celle-ci : « Professeur, tout est rouge ici
nota- bles. Elle s'exprime avec facilité, répond spontanément aux questions qui lui sont posées, tient conversation. Pour la
e les exercices classiques. Elle parle bien, répond directement aux questions qui lui sont posées, mais ne sait tenir une con
professeur Grasset, de Montpellier. Rapports et discussions surles questions choisies par le Congrès de Bennes : 1° Psychiat
sceau pyramidal et jusque dans l'écorce grise (1). , ' Dans cette question encore à l'étude, je me hasarde, avec toutes le
syllabe « si ». La plupart du temps il ne paraît pas comprendre les questions qu'on lui pose et répond comme au hasard par de
e signe bulbaire que la difficulté à parler. Il comprend bien les questions qu'on lui pose et y répond dans la mesure de so
ole, mais son air timide, l'empêchait de répondre directement aux questions . Elle parvenait avec beaucoup de difficultés à s'
ous les rapports. L'enfant s'exprime bien, répond directe- ment aux questions qui lui sont posées, tient bien conversa- tion.
anches. La parole était libre chez cette enfant qui répondait aux questions posées, mais elle marchait très difficilement et
s. -- Cette enfant causait, mais ne pouvait répondre exactement aux questions qui lui étaient posées. Elle était très crainti
breuses figu- res, où l'auteur résume l'évolution clés idées sur la question , élu die ensuite : la morphologie externe et la
t étudiés par ceux qui dési- rent prendre part à la discussion. Les questions choisies pour a session de 1906 sont : ' 51
Nou- velles méthodes de coloration des nerveuses, appoint à la question des canalicules sé- reux, par Passek, 139. - Re
les hémiparésies organiques, par Iledlich, 123. Contribution à la question du cornéo-mandibulaire, par J. Ka- plan, 126.
87 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avec ou sans dilatation anévrismale anté- rieure. Il ne peut être question de décrire ici tous les ramollisse- ments d'ori
vidé la cavité oculaire, toutes les cellules nerveuses du noyau en question appartenant au type moteur ont dégénéré, ainsi
situées entre le segment reculé et le segment rapproché du noyau en question ; peut-être aussi la moi- tié des cellules qui,
, qui succèdent, chez eux, à l'excitation électrique des régions en question , sont tou- jours secondaires ; elles résultent
s prédisposent à e affection du système nerveux; pour décider de la question il faül-r drait, en tous cas examiner beaucoup
ssance de la réaction à distance éclaire aussi d'un jour nouveau la question de la névrite ascendante. La réaction à dis- 60
cis Dixon. (The Edinbu1"gh médical Journal, avril 1897.) . 1 La question du trajet que suivent pour se rendre de la langue
du trijumeau. Les partisans de cette théorie donnent aux nerfs en question un trajet très compliqué, « qui nous laisse scept
du tympan pour rejoindre le nerf facial. Là, d'après la théorie en question , ces fibres suivraient le grand nerf pétreux su
ettra de révéler (voir les travaux de Nissl). P. KE ! \AY.\L. XXVI. QUESTIONS critiques relatives A l'anatomie DES CELLULES ner
ctement localisée, et dans les mêmes limites, un point du cordon en question ; de nombreuses coupes trahissent la présence d
ainsi que la sensation thermique. KERAVAL. XXXI. Contribution A la question DE l'entre-croirement du nerf optique; par L. J
e ou accidentelle des doigts. A. FENAYROU. XXXIV. Contribution A la QUESTION relative A l'état DES PETITS CAPILLAIRES DE l'É
ur au LIT dans LE traitement DES aliénés; par le Dr BEHNSTEIN, La question sur le rôle du séjour au lit dans le traitement d
que les mo- difications des cellules nerveuses dans l'affection en question , mal- gré leur profondeur, sont capables de s'e
stérie qui sera lu avec intérêt par tous ceux qui s'intéressent aux questions de neuropalhologie. G. DENY. BULLETIN BIBLIOG
sans' s'occuper à rien, immobile et apathique. Elle répond mal aux questions qu'on lui pose, souvent par un monosyllabe, quelq
ni à ses voisines, nia ceux qui viennent la voir. A la plupart des questions elle répond « oui » ou c non » immédiatement. C
côté ganche du crâne encore recou- vert par un pansement. A la même question posée à différents intervalles elle répond tant
thèse inaugurale. Mon but, aujourd'hui, est simplement de placer la question de l'étude de la paralysie générale sur un terr
r les conditions générales de l'hérédité, l'auteur ayant examiné la question des mariages consan- guins, conclut que les dan
au sujet duquel le médecin peut être appelé à formuler un avis. La question de la sénilité est du reste très variable suivant
r l'état mental et surtout les désordres des organes pelviens. La question de savoir si ces affections sont plus fréquentes
e la neurasthénie et de la paralysie générale au début, la première question à se poser est celle de savoir si la neurasthén
rantes complexes solidement assemblées. La plupart des malades en question ont une tare congénitale psychopathique, ou son
ention chirurgicale. ' Aujourd'hui il répond affirmativement à deux questions qui se posaient en 4891, lorsqu'il institua pou
riat de l'Institut avant le 1"' juin de chaque année. Prix POURAT ( question proposée pour l'année 1898). L'Aca- démie rappe
- démie rappelle qu'elle a mis au concours, pour l'aunée 1898, la question suivante : Innervation motrice de l'estomac. Le p
au Secrétariat de l'Institut jusqu'au 1er juin 1898. Paix Pourat ( question proposée pour l'année 1899). La ques- tion mise
u qui laissent trop facilement engager leur responsabilité dans des questions qui échappent à leur compétence ! Voici, en exe
Seine vient de nommer une commission pour examiner les différentes questions intéressant l'hospitalisation des aliénés au po
ant les maladies nerveuses et mentales : Prix Civrieux. 1.000 fr. Question : Valeur séméiologique des délires systématisés
.-B. Marfan, de Paris. Nous indiquerons dans le prochain numéro les questions posées pour les prix de 1898 et de 1899. CULL
Y a-t-il une altération des os chez les paralytiques généraux ? La question n'est pas résolue. Pour Fovillel « le tissu oss
façon absolue'par tous les aliénistes. Le premier mémoire sur la question est dû à M. Biaute3. Il rapporte l'observation
tissu osseux. M. Régis', deux ans plus tard (1878), revient sur la question dans un -travail présenté pour le prix Esquirol
au tiers inférieur, également sans douleur. Tel est l'état de la question . Nous n'avons pas nous- même d'observation à ci
paralytiques généraux. A l'étranger, Jolly donna un mémoire sur la question . En 1874, M. Liouville publiait un autre travai
Westphal, de Simon et de Claude. Depuis 1892, on est revenu sur la question . M. le profes- seur Joffroy9, entre autres, éme
uteur attribue la rupture de l'organe. M. Klippel 1, reprenant la question à propos des symptômes spéciaux de la paralysie
Cela confirme l'idée, jadis émise, de la difficulté de résoudre la question étiologique de la paralysie générale par les donn
. f. iVezoei2heilk, XIX, N. F. vu, 1896.) La grande et importante question des différences sexuelles de- vient intelligibl
onné pour des ouvrages manuels fémi- nins, s'intéresse à toutes les questions de la toilette féminine. L'hy- bride à glandes
Des oiseaux au chien, et du chien à l'homme, les ramifications en question sont plus nombreuses, plus fines, plus rapprochée
ui revint peu à peu, il finit par deviner, sinon par comprendre les questions faciles, mais la lecture et l'écriture restèren
te distinction, il est vrai ne repose en réalité que sur une simple question de mots : cer- tains soutiennent, en effet, que
97.) Après un court résumé historique des travaux faits sur cette question (Korsakoff, Bobinski, Haury, Atwood, Rose, Frisch
d'un seul coup, par l'abstinence volontaire du poison, l'obsédante question des causes de l'alcoolisme. Mais puisque la rai
t : tout dépend, c'est fatal, de l'angle sous lequel on envisage la question et des circonstances où l'on opère. Une des thè
'alcoolisme comme un phénomène de biologie sociale. C'est placer la question sur un terrain très vaste, fécond en aperçus, s
tre les buveurs relevés et l'asile. Le Congrès a porté ensuite la question sur le terrain juridique. M. Thiry, prefesseur
y, prefesseur de droit criminel à Liège, a supérieurement traité la question de droit et établi sans peine les prémisses de la
le M. Muteau, ancien premier président à la cour de cassation'. - Questions de physiologie et de médecine. - L'étude de l'act
t. Il n'avait pas l'espérance de vaincre d'ailleurs, pensant que la question de la modération et de l'abstinence est moins u
tinence est moins une affaire de science que de dogme. Or, dans les questions de sentiment, il est difficile de raisonner. A
ment l'abstinence est-elle préférable ou non ? Pour M. Lentz, cette question se pose pour toutes les jouissances humaines, q
n'en 248 . HYGIÈNE SOCIALE. est d'absolument nuisible, c'est une question de dose ou d'oppor. tunité. Une distinction ent
llet de ladite Commission, nous avons appelé l'attention sur deux questions qui nous paraissent d'une réelle importance pour
ées à prendre communication des pièces du dossier. C'est une grosse question que celle qui est soulevée par leur collègue. M
une copie de ses rapports au dossier des aliénés de la catégorie en question , qui étaient placés par l'autorité à l'asile de N
l en jugera digne l'accusé, appliquera la loi Bérenger. » - Cette question des aliénés, et en particulier des dégénérés dans
te, dans autant de chapitres distincts, les points sui- vants de la question : 1° la mémoire, son fonctionnement à l'état no
oquant par voie réflexe cette congestion ou cette anémie cérébrale. Questions complexes que seules des expériences précises p
qui produit de la pensée. Du reste, nous n'insisterons pas sur ces questions d'étiologie qui sont encore à l'étude. Nous avo
ccusateurs ou persécutés mélan- coliques. Après un historique de la question , l'auteur étudie suc- cessivement, dans des cha
e la cellule) sont la règle. M. Voisin analyse merveilleusement les questions physio- logiques en rapport avec les régions de
tet, membre de l'Académie de médecine. Le programme comprendra : 1° Questions mises à l'ordre du jour : z Pathologie mentale.
'Hygiène de l'Enfance et de la Vaccine, travaux faits en dehors des questions posées pour les prix, doivent être adressés à l
mie de médecine. Année 1808. '- Prix de l'Académie. 1.000 francs. Question : Des myélites infectieuses au point de vue cli
eut paraître exagérée et même absurde à quiconque ne connaît pas la question , mais qui entraîne l'approbation de quiconque s
posés à tonitruer contre l'alcool. 11 suffit de mettre à la mode la question de l'alcoolisme pour voir immédiatement surgir
l à faire sur le terrain de la lutte contre l'alcool. La ligue en question arrivait à point pour donner une orienta- tion
(American Journal of insataily, juil- let 1897.) E. I;LIN. XXXIV. Questions générales d'auto-infection; par le Dr CL.nKG. L
créta chez les aliénés. Il est nécessaire, avant tout, d'étudier la question à son point de vue le plus large; jusqu'à prése
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. raux lésés, origines des douleurs en question . Les aires et les seg- ments en rapport avec l'
al Times, août 96). L'auteur fait une rapide revue d'ensemble de la question . Il rap- pelle que dans la littérature anglaise
ffets produits étant d'origine pure- ment suggestive, les objets en question n'ayant pas plus d'action intrinsèque que s'ils
p, l'auteur envoya à de nombreux aliénistes et neu- rologistes, les questions suivantes : 1° Connaissez-vous des cas de folie
masturbation et de nymphomanie furent cités, au sujet de la seconde question ; toutes les réponses aux troisième et quatrièm
a seconde question ; toutes les réponses aux troisième et quatrième questions furent affirmatives. (The alie- nist and neurol
ur la solution de nombreux problèmes sociologiques, par exemple les questions relatives à la folie, à l'éducation des enfants
de l'hystérie et de la paralysie générale; par J.-V. ROBErjT.. La question des rapports de l'hystérie et de la paralysie gén
musculo-tactile. Et encore l'auteur s'abstient-il de discu- ter la question de savoir si les troubles sensitifs sont un effet
s, d'avoir été omis dans la grande rédemption du péché originel; la question ainsi posée, est résolue d'avance contre le mal
s du cerveau et de la moelle épinièreldes vertébrés supérieurs, une question difficile se présente, celle de lama ? ture des
fonctions nerveuses. On aurait pu, avec Lenhossék, lui poser une question au moins aussi indiscrète : comment, avec le manq
ganglions interver- tébraux, ganglions de Gasser, etc.). Quant à la question de sovoir si l'unique prolongement de ces cellu
nsi que de tuméfactions du frontal doulouieuses à la pression. La question peut alors se poser ainsi : Doit-on ramener tous
e aigu. Après un aperçu général des récents travaux concernant la question du délire aigu, les auteurs communiquent leurs de
Nous' avons déjà eu l'occasion d'exprimer notre opinion sur cette question dans le dernier n°de 1897 des Archives de Neuro
enlève tout regret à ce sujet. Notre observation soulève plusieurs questions intéressantes de physiologie pathologique; nous
). Notre observation apporte un élément à la solution d'une autre question encore très discutée, celle de l'origine des fi
ernier point sur lequel nous voulons attirer l'attention ; c'est la question des localisations médullaires sen- sitives. La
dre ontogénique). Nous renvoyons au travail de Brissaud2 pour cette question . Nous voulons simplement signaler ce fait sans
d'Avignon. La supé- rieure, lI"" de Belciel, tout en répondant aux questions des exorcistes, entend parler un être vivant da
e la débauche de localisations à laquelle on s'est livré dans cette question de l'apha- sie ; car la plupart de ces prétendu
de plus d'un chiffre. Pour parler spontanément ou pour répondre aux questions qu'on lui . pose. les mots lui manquent souvent
ains cas, le point de départ de la décharge paroxystique. Mais la question n'est pas toute entière au point de vue théra-
preuve écrite a eu lieu le 5 mai. Les candidats ont eu à traiter la question suivante : Cellules nerveuses de l'écorce céréb
les nerveuses de l'écorce cérébrale, anatomie et phy- siologie. Les questions restées dans l'urne étaient : 10 Faisceau pyram
taient inscrits, six se sont présentés pour subir les épreuves. Les questions qui se trouvaient dans l'urne, pour l'oral, éta
e la moelle; 3° Rétine (anatomie et physiologie). C'est la dernière question qui a été tirée. - Pour l'écrit, les questions
e). C'est la dernière question qui a été tirée. - Pour l'écrit, les questions étaient : 11 dit foie, symptômes et diagnostic;
e l'épaule; 3° Goitre exophtalmique; hémorroïdes. C'est la deuxième question qui est sortie de l'urne. Le concours vient de
Aura. Note sur l'- épileptique, par CI-trk, 334. Auto-infection. Questions générales par Clarke, 311. I. Autointoxicatio
88 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
3° Dans-la partie postérieure ou occipitale. Telles sont les trois questions auxquelles il convient de répondre pour être à
aut-il préférer ? Il n'est pas indifférent de traiter une semblable question . Elle intéresse les progrès de la science plus
té même du sujet impose à quiconque dé- sire aborder l'étude de ces questions , un esprit scien- tifique essentiellement prati
expectant attention. Parmi les différentes manièresde concevoir la question , nous ne citerons que pour mémoire celle qui co
e laisser croire au patient que le faux tî,acto2, était du métal en question . 11 opéra de cette manière un grand nombre de c
que les sceptiques auraient dû commencer par établir, car toute la question est là. Or, l'observation de tous les jours mon
ive des instruments, à l'époque où elles étaient faites. Lorsque la question fut reprise par la commission de la Société de
les sujets, serait-elle élucidée ? Et c'est justement là qu'est la question . Nous avons, dès le début des travaux de la com
outre, cette tension totale est la même que si les deux plaques en question (la première et la dernière) étaient directemen
exe qui n'a pas été suffisamment étudié jusqu'à présent. Il a été question au début de ce travail, des injections hypo- de
les expériences d'arrêt, au moyen d'un métal neutre, dont il a été question plus haut, lors- qu'on place la pièce neutre su
nnaître que bien des détails ont été négligés, bien des côtés de la question sont restés dans l'ombre. Essayons au moins de
upe actuel- 8 il le REVUE CRITIQUE. lement, dans la science, la question des aesthésiogènes, quels résultats positifs lu
ille est d'avis qu'il est du devoir de chacun de s'occuper de cette question , de serrer de près les rapports qu'elle affecte
re suffisamment faite, et il se promet de reprendre plus tard cette question . R. BLANCHARD et J.PIGNOL. IX ANATOMY AND PHY
emande lui-même son internement ? M. Lunier fait observer que cette question a été plusieurs fois discutée. Il est d'avis qu
'être l'auteur. Il y parvint non sans peine et l'écolier, pressé de questions et convaincu de mensonge, finit par avouer qu'i
s qui ont été présentés, et que dorénavant on mette au concours une question déterminée. M. LEGRAND du SAULLE estime que les
TÉS SAVANTES. 11. Lasègue demande l'opinion de ses collègues sur la question médico-légale suivante : - Un homme, qui a tous
ce grise qu'a signalée Mierze- jewsid. , Répondant à ces diverses questions , le Dr BEACH dit : 1° qu'il n'a que rarement re
b et constants pour qu'on puisse faire fond sur elles. C'est là une question qui mérite d'appeler l'attention des médecins d
eloppé fait ressortir à la fois et la com- plexité de la maladie en question et les divergences d'apprécia- tions dont elle
le droit à la pension dans l'Orne ' ? Le Conseil d'Etat a décidé la question affirmativement par la dé- cision suivante :
Décrète : La requête du département de l'Orne est rejetée. Toute la question portait sur l'interprétation de l'art. 4 3 du règ
semblables, les avaient interprêtés dans le sens le plus large. La question a un réel intérêt pour les fonctionnaires des asi
ard des alcooliques et des épileptiques; enfin, et c'est là une des questions les plus importantes, elle devra étudier la pro
r. Elle a entendu la lecture FAITS DIVERS. 157 i du programme des questions qu'elle devait examiner et qui avait été dressé
é par son secrétaire, M. Pilon. La sous-commission a décidé que ces questions seraient divisées en cinq groupes : 4°r grozcpe
ques anatomistes allemands. Nos notions classiques sur la partie en question peu- vent facilement se résumer de la manière s
d en faisant l'exposé critique ,164 ANATOMIE. des descriptions en question ) qu'ils placent en défini- tive le corps bordan
ut jusque sous le corps calleux , ce qui élargira singulièrement la question en. montrant les rapports de la formation ammon
nation de la limite réelle de la cavité ventriculaire, sont ici une question de première importance. C'est par le collodion
ux'qui sont fournis par l'oreille ? Je crois qu'il ya plutôt là,une question de degré qu'une question de locali- sation. ,
'oreille ? Je crois qu'il ya plutôt là,une question de degré qu'une question de locali- sation. , ,En janvier 1880, M. Mag
MM. Ferrier,, Munck, Nothnagel, Luciani et Tamburini ont étudié la question tant au point de vue expert mental que sous le
et nombreuses recherches sont encore néces- saires pour résoudre la question . Cependant, ces faits cliniques rassemblés par
ots, il en place d'autres qu'une connais- sance superficielle de la question eût suffi pour éloigner et séparer complètement
oix, si, toutefois, on a eu la précaution de ne pas accompagner les questions de gestes ex- pressifs ; les troubles de la par
'est pas très accusée, i ces malades peuvent très bien répondre aux questions qui leur sont posées par écrit ou à l'aide de g
bsolument rien de ce qu'on lui dit, et répond'' tout de travers aux questions qui lui sont adressées. Cependant ? 1 on" doit
qu'elle comprend les mots en , l'entendant répondre exactement aux questions qu'on lui aadressées Elle est de plus agraphiqu
soixante- quinze ans, aphasique, répondait de travers à toutes les questions non accompagnées de gestes. Les phrases qu'elle
première malade, âgée de quarante-deux ans, ne com- . prend pas les questions qu'on lui pose, cependant, elle les en- tend et
pport avec ce qui est écrit, mais il estropie les terminaisons. Les questions écrites restent incom- ,préhensibles pour lui.
ez complet. On ne saisit pas pourquoi le malade ne comprend pas les questions écrites. Est-ce parce qu'on n'insiste pas assez
les moindres bruits, mais ses réponses ne sont jamais conformes aux questions qu'on lui adresse. A,I'au- topsie, on trouve un
entend bien tous les sons et les bruits, mais répond de travers aux questions qui ne sont pas accompagnées de gestes expressi
qui ne sont pas accompa- gnées de gestes; il comprend pourtant les questions écrites. Trois ans plus tard,- attaque d'apople
sans paralysie à la suite. Amené à l'asile, il répond à toutes les questions par la même phrase : « Boulevard de Grenelle, 1
icat, n'y sont pas mentionnés. ' ' '" Si nous laissons de côté la question de la localisation des centres sensitifs et si
urdité des mots n'existe pas, comme une variété à part. « C'est une question de plus ou de moins et rien d'autre », dit-il.
rit expliquer alors le fait : que ces malades comprennent les É> questions écrites, y répondent par écrit ou autrement, tand
r écrit ou autrement, tandis qu'ils ne peuvent comprendre les mêmes questions faites à haute voix. Il est bien entendu, que c
it que les individus atteints de surdité, des mots comprennent les, questions accompagnées, de gestes expressifs et ne répond
Mais, pourquoi deviendraient-ils plus impulsifs chaque fois que la question est accompagnée de gestes ? , -d' Si nous nous
eau en particu- lier, ont été en quelque sorte délaissés dans cette question , ainsi que les méninges cérébrales, comme si de
ois qu'il serait téméraire de faire aujourd'hui une réponse à cette question , et tel n'a pas été mon but. J'ai voulu tout si
x ne saurait élucider co'nstam'ment"los''obscurités du syndrome,'en question , se propose de l'étudier presque au hasard de l
, effets 'et expliquer l'inté- grité, à l'autopsier des éléments en question (hydrocéphalie, tumeur de la moelle 'allongée);
e perte notable dans l'activité du patient, qui se désintéresse des questions qui le touchent de près et devient en même temp
alades^en »fl» ? I I»- oi ? ril. 1 n'. tr. tn 1 · `r 4 ? "1 -,♦ ? question menaient un genre de vie identique : mêmes 'heure
urateurs. Elle propose comme sujets de sa prochaine session : 1° la question des cellules capitonnées : rapporteur, M. Fisch
était active et assidue,' et avec quelle compétence il traitait les questions les plus, ''diverses : c'est qu'il était doué d
89 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
rs, quelques remarques visant des objections, des doutes relatifs aux questions de principes et qui, à propos de la création de l
omme stéréotypée. Aussi peut-on affirmer, à mon avis, que, à part les questions de coup d'œil, d'ingéniosité et autres qualités n
ques concernant ce dernier point. Vous n'ignorez pas que, sur cette question des localisations cérébrales, le désarroi est pou
catalepsie produite par hypnotisation chez certaines hystériques. La question est celle-ci : cet état peut-il être simulé de fa
gie sans doute avec les eflets chimiques. II est très probable que la question n'est pas si simple que cela. En somme, le mala
n'est l'ecchymose au voisinage de la malléole externe, dont il a été question plus haut. Je vous ferai remarquer que cette at
i la permission de revenir. Mais, l'exposé des faits relatifs à cette question exigerait les développements qui nous entraînerai
s étudié par M. le Dr Parinaud, qui montre clairement le phénomène en question . Chez la nommée N..., l'œil droit est affecté d
hystérie de l'homme. — L'hystérie existe donc chez l'homme? A cette question de savoir si l'hystérie atteint aussi les individ
s épileptiques, et un enfant avec des instincts dépravés. Le sujet en question , au contraire, est doux etintelligent ; dans l'in
oins régulières et moins fortes ; quinze jours après, il n'était plus question d'attaques, puis la zone hystérogène bregmatique
'an passé. 11 s'agit de la catalepsie provoquée des hystériques. La question est celle-ci : cet état peut-il être simulé, au p
placer au même niveau que la crête iliaque droite. L'insuffisance en question se révèle mieux encore si le malade détache du so
e considérer un instant cette atrophie qui persiste depuis 6 mois. La question à résoudre est celle-ci, et nous allons voir qu'e
e pronostic est lié, jusqu'à un certain point, à la solution de cette question . C'est qu'en effet l'atrophie simple cède habitue
servations ont été publiées, trois suivies d'autopsie et dont il sera question plus loin, et deux autres bien détaillées, mais b
ans entrer pour le moment dans une discussion en règle, relative à la question de l'hémianopsie cérébrale qui, pour être convena
s. Des mots grecs dans la composition desquels entrent les lettres en question lui sont dictés ; les comprenant, il les écrit bi
st ici qu'intervient ce phénomène de la « suppléance », dont il a été question plus haut. Grâce à la persistance des éléments au
entrer à leur sujet dans quelques développements relativement à cette question de l'atrophie ou mieux des atrophies musculaires
eux des atrophies musculaires progressives. C'est qu'en effet cette question est depuis quelques années entrée dans une phase
etc. {Deutsch. 'Archiv, für Min. -Median, 1884). ... : La forme en question n'est peut-être pas tout à faifnouvelle, mais la
M. Erb, dans son travail qui me paraît jeter une vive lumière sur la question qui nous occupe : hypertrophie apparente dans un
de reproduisant exactement la plupart des traits de la description en question de Duchenne. Mlle Lagr..., âgée aujourd'hui de 16
, en faisant intervenir toute la série des documents que comporte une question de cette importance et c'est là une tâche que j'e
moins fidèle d'actes voulus, logiques, intentionnels. La maladie en question semble le plus souvent liée à l'hystérie, ou d'or
ndant, à sa prière, je me rendis à l'établissement hydrolhérapique en question , et là, je pus voir un spectacle lamentable : cel
s le verrez, sont d'ordre tout à fait secondaire. D'ailleurs, cette question de l'hystérie chez l'homme est, en quelque sorte,
er. Us ont reconnu, avec M. Page, qui s'est également occupé de cette question en Angleterre 2, que beaucoup de ces accidents ne
hystériques. On comprend, dès lors, l'intérêt que prend une pareille question dans l'esprit pralique de nos confrères d'Amériqu
ate la mission du médecin légiste et c'est ce côté médico-légal de la question qui semble avoir réhabilité, auprès de nos confrè
utres reconnaîtront volontiers et même affirmeront qu'il ne peut être question , dans ces cas, d'une altération organique, mais s
mise à notre observation depuis 15 ans, et jamais l'hémianesthésie en question n'a cessé, lors de nos examens souvent répétés,
es qui vont maintenant vous être présentés. Les cas dont il va être question actuellement, sont à plusieurs égards, en quelque
et aussi du tremblement particulier de la main droite dont il va être question dans un instant. En janvier 1885, par suite d'u
couleur est réduit presque à un point. Le tremblement dont il a été question déjà plus haut et qui occupe la main droite est r
lire sombre ou furieux. Ainsi, de même que dans les cas dont il a été question précédemment, la grande hystérie est survenue che
ve du cas devait bientôt nous détromper. Sans doute, la monoplégie en question dérive d'une lésion cérébrale corticale, principa
roy a montré un malade de mon service, le nommé Pin..., dont il a été question dans la précédente leçon et sur lequel nous revie
braux? Nous ne nous arrêterons pas longtemps à discuter la première question que nous avons d'ailleurs touchée plusieurs fois,
us avons rassemblées, M. Pitres etmoi, dans nos travaux relatifs à la question des localisations cérébrales corticales Or, dans
ypothèses que nous venons de passer en revue. Ici, il ne saurait être question que de l'une de ces lésions qui échappent à nos m
itent, au moment opportun. Ce moment est venu enfin. Les symptômes en question , je vous l'ai dit, ne sautent pas aux yeux tout d
quatre ou cinq fois aux pratiques de l'hypnotisme, il ne saurait être question chez elle de cette espèce d'entraînement qui se p
é beaucoup plus énergique ; mais il ne s'agit là, en somme, que d'une question de quantité, non d'une dissemblance foncière, de
sous les noms de « Railway Spine » « Railway Brain » et dont il a été question , dans une précédente leçon (p. 2S0 et 251), au mo
'état normal, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse être question d'état normal. Ces gens-là, passez-moi le mot, do
re près de 3 ans après le début de l'affection, — de répondre à cette question d'une façon catégorique. Mais je me réserve de re
oute adhérence. Les conclusions tirées des résultats de l'examen en question ont été, Messieurs, les suivantes : 1° 11 n'exist
lte terminaison favorable que signalent nos prévisions ? C'est là une question qui, pour être convenablement traitée, exige de l
it déjà en partie revenue, le malade commençait à répondre à quelques questions , alors que la sensibilité des parties profondes (
que doivent maintenant tendre nos efforts. Mais avant d'aborder la question de thérapeutique, je crois utile d'arrêter voire
avons fait pressentir, dès le début de cette leçon, la contracture en question est de nature hystérique. On peut dire qu'il ex
. doute pas manqué, pour la plupart, d'avoir présente à l'esprit la question que voici : Pourquoi, chez notre homme, la monopl
ns un instant, il me paraît légitime d'admettre que la contracture en question pourrait devenir durable, comme elle l'est chez D
son intelligence, non plus que sa faculté d'écrire. Sollicité par les questions de l'interlocuteur, il se saisit avec un empresse
ditions normales. Sur ces entrefaites, poussé et impatienté par mes questions mon jeune espagnol s'était emparé d'une plume et
-être pas une importance pratique capitale quand il s'agit d'une pure question de diagnostic, en ville ou à l'hôpital ; on peut
comme absorbé, ne répondant que lentement et comme à contre-cœur aux questions qu'on lui adresse. Du jour, au lendemain, il vari
ttouchements, aux moin- dres frôlements. Les frôlements dont il est question provoquent l'apparition des battements dans les t
érieurs du côté de l'abdomen. En avant comme on l'a dit, la limite en question est marquée par une ligne qui passe par le pli de
é 1. Il faut ajouter que chez Lelog..., comme chez les hystériques en question , l'anesthésie s'étend jusqu'aux parties profondes
survenir des paralysies comparables cliniquement à celles dont il est question en ce moment. Cela étant, il sera facile de rec
-il silencieux et ne répond-il qu'à regret et comme en rechignant aux questions qu'on lui adresse. Le plus souvent, on le trouve
nt pas subi la moindre atrophie. Or, chez les malades dont il est ici question , l'atrophie s'est développée très rapidement et a
comprend ce qu'on lui demande, au moins répond-elle par signes à des questions simples. La commissure labiale est un peu relevée
ond très nettement par écrit, soit en français, soit eu polonais, aux questions qu'on lui pose par écrit, ou en parlant très haut
ssement du champ visuel, achromatopsie. La malade répond: Ah, oh, aux questions . Le 11 mai, à la suite d'une vive frayeur, elle c
pond par écrit avec les personnes qui l'entourent et répond ainsi aux questions . La crise finit par céder, le sommeil survient so
pouvant ni crier ni parler, s'impatientant de ne pouvoir répondre aux questions ; si elle sait écrire, elle s'empare d'un morceau
ar, à son avis, la notion de Yarnne'sie doit être la clef de toute la question des troubles du langage que nous étudtanjjcw.
la représen talion du mot par l'un quelconque des quatre procédés en question . Cette notion des différents types de langage int
ou psychologues qui se sont occupés avec le plus grand soin de cette question des sources du langage intérieur et qui ont montr
90 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ons qui ont été faites par les auteurs qui se sont occupés de cette question , nous pouvons tout de suite remarquer que le sy
adénoïdien. Nous voyons donc, à l'aide de la mise au point de cette question que, dans le tableau que nous désirons bien met
s à la même époque, parurent plusieurs travaux d'ensemble sur cette question , parmi lesquels il convient de citer les '¡ ! l
vec raison comme le travaille plus documenté qui ait paru sur celle question avant le mémoire de Mellzer qui, en 1908, publi
t sous la dépendance d'une pression cérébrale exagé- rée. Or, cette question n'a pas encore été résolue puisque l'aplatissemen
s, puisqu'il ressort de toute façon que l'hyperostose des crânes en question , de même que l'aplatisse- ment global de la gou
tre l'hydrocéphalie el l'oxy- céphalie légitime, je dois aborder la question du cranio-tabes rachitique. L'on sait que les l
ndance qu'il y a eu, parmi les auteurs qui se sont occupés de cette question , à signaler des états comparables au cranio-tah
1904, 1.VIII. 38 lirRTOL07FI J'ai traité un peu longuement cette question , parce qu'elle se rattache évidemment à la caus
ais il a eu le mérite, à mon avis, d'aborder le côté clinique de la question , et il a constaté la dialhèse rachitique chez 8
s sur le fonctionnement de l'hvpo- physe, de pouvoir résoudre celle question . Il est toutefois permis de supposer que l'alté
'aurait pn retentir sur la glande pituitaire. Je me suis posé celle question parce que dernièrement Marinesco et Goldstein,
- Au moment actuel il est très difficile de se prononcer sur celle question ; toutefois il est peut-être utile de rappeler
(Bernard, Erdheim, Weichselbaum, Escherich). Pour moi, il n'est pas question en ce moment d'étayer des hypothèses, le but de m
xtérieure de son chef, les lésions du fond de l'oeil font que cette question ne peut être résolue par la négative. » - Plus
t des microbes. Qu'il nous soit permis à présent d'aborder quelques questions que nos cas peuvent contribuer à élucider dans
ui simu- lent une tumeur cérébrale et dans de tels cas il peut être question égale-, ment de la syphilis cérébrale,de la thr
mateux mais normaux. Dans les cas autopsiés de Quincke il n'est pas question de l'état des plexus mais seulement de la méningi
nds, qui sont justement ceux qui se sont occupés davantage de cetle question , ont négligé de faire cet examen. Ni Muskens (2
témoignage recueilli ont trait à un âge déjà avancé de l'aïeule en question , en sorte qu'il est impossible de savoir si cette
éformations squelettiques. Discussion clinique. Il ne peut être ici question de tabès : outre que les réflexes tendineux exi
ce point. Peut- être y a-t-il quelque intérêt à s'étendre sur cette question de la conser- vation des réflexes rotuliens dan
mais ce fait ne saurait apporter aucune contribution nouvelle à la question , puisque, dans l'une et l'autre hypothèses, son
où aurait porté la première des altérations ultérieures. Dans la question suivante, également controversée, notre cas paraî
on ou l'abolition des réflexes roluliens dans le tabès est une pure question de localisation anatomo-palhologique : suivant
logique des réflexes rotuliens dans le labes, el laisser de côté la question de la réapparition du phéno- mène du genou apte
tement, la présence ou l'absence des réflexes rotuliens devient une question de dynamisme ner- veux, et dépend de variations
MM. To- lol et Froment résume parfaitement bien l'état actuel de la question . Il w apparaît que les observations de crises g
périphérique des fibres stomacales du sympathique et du vague. Ces questions sont bien faites pour montrer la complexité de la
'hyperchlorhydrie ; mais certains auteurs qui se sont occupés de la question , pensent que l'hyperchlorhydrie n'atteint ce de
t, le blessé garda connais- sance durant quelques instants, et à la question s'il était gravement blessé, il répondit : non,
é passé dans sa famille au commencement du mois d'août. A l'aide de question associatives, on réussit cependant peu à peu à
'une avenue par laquelle il avait dû passer tous les jours, et à la question : quel est le bâtiment qui se trouve en face de
mérique, mais il lui fut toujours impossible de prononcer le mot en question ; les mots New-York et Tripoli lui sont restés
, il était incapable de nommer la plupart des lettres du tableau en question et aussi de nommer les lettres compo- sant les
des opérations presque inintelligibles. Il répond correctement à la question : combien font 2 X 2 et 2 X 3, mais aux autres
tement à la question : combien font 2 X 2 et 2 X 3, mais aux autres questions il donne des réponses absolument fantaisistes dis
, d'une façon absolument arbi- traire ; de rares fois, ayant rejeta question entière, il est arrivé à y joindre la réponse c
gue visuelle qui ne tarde pas à apparaître : on lui écrit le mot en question , et, bien qu'il ne soit pas en état de le déchiff
re observation n'apporte pas d'arguments permettant de trancher une question pendante, elle n'est qu'un cas de plus en faveu
l'autre incessamment, et tient les propos les plus absurdes. A une question précise, elle répond la plupart du temps par un
ostose pouvaient éclairer son origine étiologique. Ils soulèvent la question de l'influence du physique sur le moral, hypoth
ents qui lui sont demandés, ce qu'il avait jusqu'alors écrit sur la question . Enfin dans le Discours de la Méthode il n'y est
é de l'âme, de l'au-delà, sans que personne ne s'entretienne de ces questions autour de lui. Sensible et cha- ritable à l'exc
nsidérablement, de sorte que j'ai pu consacrer deux volumes à cette question . Mais il est permis de se de- mander si les ima
et la fonction des éléments cliromatophiles. Nous louchons à une question extrêmement intéressante, à savoir la préexiste
e coloration, soit à l'aide des imprégnations métalliques. Aussi la question qui s'impose dans ces condi- tions,c'est à savo
u'a reconnu le savant américain lui-même lorsqu'il écrit : « que la question des varia- tions du nombre des pièces osseuses
'intérêt que celui de la trophicité. Mais cette importante et vaste question est encore assez obscure et ici comme sur beauc
en détail ces mêmes sujels, consacra sa thèse à cette intéressante question . Comme les autres travaux de Pierre Marie sur l
éressante question. Comme les autres travaux de Pierre Marie sur la question des dystro- phies, ces communications eurent le
ns eurent le mérite d'attirer l'attention du public médical sur une question des plus intéressantes et de susciter l'apparitio
gen. Au point de vue psychique, le malade répond correctement à nos questions . Il est un peu peureux. Il a peur que nous lui
lques mots sur l'étiologie de la dysostose cléido- crânienne. Cette question elle aussi est très obscure. SUR UN CAS DE DYSO
lques recherches de Couvelaire ne lui'ont pas permis de trancher la question . Cet auteur pense à une dystrophie complémentai
dans quelle voie doivent s'engager les futures recherches sur cette question et autorisent à classer, provisoirement au moin
t une influence néfaste sur la santé psychi- que de Caroline ; à la question de savoir si l'éclosion de la maladie avait coï
de la lumière, répondant comme à contre-coeur et laconiquement aux questions qu'on lui posait, se mouvant péniblement et se te
n peu hésitants. Ses proches déclarent qu'elle ne faisait jamais de questions directes au sujet du passé, ni concernant sa ma
nifesta le plus vif intérêt pour son neveu, âgé d'un an ; et sur ma question si elle n'aurait pas aimé avoir elle-même un en
'effectuer tous les travaux intérieurs de la maison. A toutes mes questions , Caroline répondit sans hésitation, judicieuse-
able de l'enseignement. A plu- sieurs reprises, elle affirma sur ma question qu'elle n'avait pas encore en ses premières règ
s et données de mauvaise grâce; elle laissa clairement voir que ces questions ne lui plaisaient pas. Elle ne pouvait pas décr
'elle ne se sentait pas du tout fatiguée, mais qu'elle trouvait mes questions bien inutiles. Par le docteur Almblad, à lVlüns
admis à l'asile de Lund, il était stupide et répondait à toutes les questions : « Fait beau aujour- d'hui » ; il présentait u
pouvait être considéré comme une catatonie de Kahlbaum et laissa la question du diagnostic ou- verte et indéterminée. Pétrel
Reynaud et d'autres) ; lors d'une discussion psy- chologique de ces questions , 1898, Gadélius souligna que « dans les deux ca
Hoffmann, ils n'ont cependant pas été rattachés par leur auteur à la question des atrophies musculaires progressives, mais à
action exclusive sur les centres nerveux. Pour les muscles, la même question se pose : leur atrophie est-elle pri- mitive, o
nution de l'excitabilité faradique et galvanique dans la maladie en question , n'est pas tant caractérisée par l'apparition p
ne faut pas oublier, fait qui se présente rarement dans la forme en question ,que le masséter était frappé d'atrophie à droite
ormalement. Or Landouzy et Dejerine trouvè- rent dans la maladie en question , que deux fois sur cinq le réflexe rotulien éta
ment depuis des mois mais depuis treize ans. L'importance du cas en question consiste donc dans le fait qu'au lieu d'être sy
a- phique qu'une maladie de Paget localisée ? Pour répondre à cette question il faudrait savoir d'abord ce qu'est la maladie
où il se trouve, le jour, etc. Puis il se met à répondre toutes nos questions en chantant. D. Pourquoi chantez-vous ? - R. Ri
sens, puis se met à parler en chantant sans que nous lui posions'de question : «Oui, oui, mal- a heur, je ne sais pas commen
s. D. Expliquez-nous ce qui se passe ? - Il semble touché par cette question ; il pleure et se pose des questions : «Qu'est-
minutes qu'il pleure et c'est en pleurant encore qu'il répond à nos questions : « Oh I Chrétien.... Chrétien.... (Il se frappe
ention était tout accaparée par ces sensations pathologiques et les questions qu'on lui posait restaient sans réponse. Si les p
irréguliers de trois, quatre ou cinq éléments ; il ne saurait être question d'un processus néoplasique. Le sarcolemme conti
avoue point les autres lacunes de sa mémoire et essaye d'éluder les questions auxquelles il ne peut répondre en plaisantant g
pleurer, ou brusquement, il éclate de rire quand on lui adresse une question , y répondant parfois par une plaisanterie solog
NS GIBBOSITÉ A UN AGE AV\l'\CÉ par J. ROTSTADT. Lorsqu'il est question de mal de Pott, on pense généralement à une déf
à l'étude des symp- tômes des tumeurs de l'angle ponto-cérébelleux, question qui, en ce moment, attire l'attention des neuro
venons d'insister. Mais il faut bien dire, qu'en dehors môme de la question de terrain (il 1 s'agit ici uniquement de tabét
ment le départ entre ces diverses lésions. Ceci comporte une double question . Quelle est la maladie causale ? ' ? Quelle e
que. Quelle est la raison de cette singulière fragilité. EsL-ce une question d'irrigation ? L'axe nerveux est-il à ce niveau
ue avec la faible rétention uréique dans le sang ? Répondre à cette question , c'est aborder un des plus gros problèmes de la
isodes aigus. L'un de nous, qui s'intéresse par- ticulièrement à la question , doit faire de cette étude le sujet d'un prochain
sant l'obésité ou l'amaigrissement des paralytiques. Pourtant cette question n'a pas été l'objet des études lui étant spéciale
effet le problème de l'obésité des paralytiques touche à une double question . Il pose celle du mécanisme de cette obésité et
énérale. Nous n'avons pas, bien entendu, la prétention d'épuiser la question désirant plutôt attirer de nouveau l'attention su
GIA, PARHON ET URECHIA malade répond cette fois avec difficulté aux questions qu'on lui pose, refuse les aliments. Affaibliss
er dans l'obésité est bien connu. Nous ne discuterons pas ici cette question , renvoyant pour les détails au chapitre respect
respectif du livre que l'un de nous a consacré avec Goldstein à la question des sécrétions internes dans son ensemble (1).
e, ce qui a été peut-être le cas chez le malade de l'observation en question , car l'aspect histologi- que de certains follic
nous n'avons nullement la prétention de résoudre dans ce travail la question de l'obésité des paralytiques en voulant plutôt a
ar l'asphyxie. Parmi les nombreux auteurs qui se sont occupés de la question , M. Mauclaire a ap- porté à la Société de chiru
est encore à faire. Les chirurgiens se sont beaucoup occupés de la question . Tandis que M. Tuffier acceptait la dénominatio
91 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
bunal de la Seine, le Dr Voisin (Jules), médecin de la Salpétrière. QUESTIONS MISES A L’ORDRE DU JOUR I Rédaction d’un voca
automatisme, pendant laquelle M. X..., tout en pouvant répondre à mes questions , acceptait docilement les croyances auxquelles je
t fiévreux. » « Les gens à préjugés, qui ne voient qu’un côté d’une question , qui ont l’esprit tellement borné qu'ils suivent
ecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l’hypnotisme, de la psychologie p
diverses. Mardi 14 Août. A 2 h. — Séance au Palais des Congrès. — Questions à l’ordre dujour: 10 L'hypnotisme devant la loi
nicipal. Mercredi 15 Août. A 2 h. — Séance auPalais des Congrès.— Question à l’ordre du jour: Les rapports de l'hypnotisme a
Saint-Andié des*Arts). A 2 heures. — Séance au palais des Congrès : Question à l’ordre du jour: Les applications de l'hypnotis
s l’un et l’autre cas, il y a intérêt à réprimer les actes.....» La question a été mal posée et l’on a établi ou laissé s’étab
te et ce ne peut étro là que besogne médicale. 11 faut envisager la question à un autre point de vue : car si les magnétiseurs
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l’hypnotisme, de la psychologie p
ction que déjà l'on appelle couramment maladie de Jules Voisin. Les questions relatives à l'hypnotisme et à la psychologie ont
us. » J’ai la ferme conviction d'avoir, par mes études, débarrassé la question des ténèbres qui l’enveloppaient, et aussi d’avoi
sme religieux, ou bien pour ceux qui, simplement, n’ont pas étudié la question d’assez près. Le prophète est primitivement un
apports qui sont presque des volumes et qui semblent avoir épuisé les questions proposées. Quant aux communications de toute so
ont été unanimes à constater le succès du Congrès et l’importance des questions qui y ont été résolues. Au nom des organisateurs
ulièrement attiré notre attention. C’est celle où l’on a traité de la question de la rédaction d’un vocabulaire concernant la te
intérêt scientifique et une émotion féconde. Comme je m’occupe de ces questions , j'ai été heureux de suivre ces séances, et d’ass
ation mentale des vicieux et des dégénérés. « On comprendra que les questions qui furent l’objet de conférences, de rapports éc
e, et assouvissait ses désirs au hasard. Quand nous avons étudié la question des logements insalubres, question qui est actuel
sard. Quand nous avons étudié la question des logements insalubres, question qui est actuellement reprise par M. Bertillon sou
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l’hypnotisme, de la psychologie p
, mais de véritables savants, et des plus éminents, s’occupent de ces questions , et des sociétés sérieuses sont spécialement fond
fiicielle » résiste encore et se contente de faire le silence sur ces questions . A-t-elle véritablement si tort de ne pas s’en oc
gnétiseurs et la plupart de ceux qui s’occupent avec bonne foi de ces questions que l’on dit si troublantes. Et c’est, comme le r
oique donnant la majeure partie de son temps à la littérature et à la question sociale, est resté fidèle à notre cause et contin
e dans l’emploi de cette méthode. Tout de suite surgit une première question , très importante : nous savons que pour qu’une su
pour cela le sens critique de Kant. Vient maintenant une troisième question : en admettant que l’existence d'une suggestibili
outes les fois qu’une suggestion entre en jeu ? Telle est la deuxième question fondamentale, qu’on ne peut non plus que la premi
re Forel qui a le mérite d’avoir éclairé d’une façon définitive cette question : on peut, par la suggestion, je le répète encore
écessaires pour maintenir la personne que l’on endort. Cependant la question peut être envisagée à un point de vue un peu diff
déjà parlé, et j’y reviens, car je considère que c’est pour vous une question des plus importantes. Il peut arriver que des fem
s, l’étude des attentats commis pendant le sommeil hypnotique est une question médico-légale des plus difficiles à résoudre. Ici
à laquelle elle pouvait remonter, et en second lieu de répondre à la question de savoir si la jeune Marguerite A... avait pu êt
Tardieu se rangea à l'avis de Devergie (2) Tel était l'état de la question , lorsque je fus commis pour une affaire qui se pr
de Charcot, de l'Ecolc de la Salpe-trière et de l'école de Nancy, la question est beaucoup mieux connue, et il est assez facile
z les personnes qu’il est appelé à examiner, car, Messieurs, dans ces questions d’attentats commis pendant le sommeil hypnotique,
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l'hypnolisme, de la psychologie p
logique. Ce cours comprend vingt-cinq leçons et comprendra toutes les questions relatives à l'hyp-nologie et à la psychothérapie.
ateur, c’est d’un quart de siècle, d’un demi-siècle même que, sur des questions capitales, il devança ses contemporains; profond
ligence, comme aussi simples. J’aurai l’cccasion de revenir sur cette question , lorsque j’aurai l’honneur de vous présenter mon
obtenir quelquefois ce résultat pendant une demi-journée. Le cas en question , se complique du fait le plus extraordinaire que
êvé pendant la nuit précédente; elle répond que non. Mais, si la même question est faite pendant le sommeil hypnotique, cette pe
ilà qui s’éveille et se met à nager. » Me sachant documenté sur ces questions , M. Parez m’a sollicité de prendre la parole sur
lle est prise d’attaques d'hysléro-épiiepsie. J’ai beau la presser de questions , je ne puis parvenir à me renseigner sur l’origin
voir, que leurs mouvements aient une grâce douteuse, il n’importe. La question n’est pas de savoir si l'on parle avec éloquence,
rons ce que Charcot dit de la foi qui guérit, des miracles : il n’est question bien entendu ici que des miracles médicaux. « C
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l’hypnotisme, de la psychologie p
nts en tous ordres, un enseignement pratique permanent sur toutes les questions qui relèvent de l'anatomie et de la physiologie d
es et la plupart de ceux chey lesquels se manifeste la hantise de ces questions d’un intérêt fort discutable. En résumé, nous b
es M. Bé-rillon etses collaborateurs abordent l’étude des différentes questions relatives à l’hypnotisme, j'ai accepté avec plais
constate avec plaisir la pnrt que vous attribuez dans votre école aux questions de psychologie sociologique. Comme je m’en voud
e revenir m’entretenir plus longuement avec vous de ces intéressantes questions et je vous exprime mes vœux sincères pour la pros
ion, formant ensemble, de mes travaux et de ceux de mes élèves sur la question des délires toxi-infectieux : E. Régis :Des aut
affection oculaire. Ne m’en étant point occupé avant, je laisse cette question de côté ; je constate seulement qu'elle portait d
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l’hypnotisme, de la psychologie p
histologique du sommeil, Paris, 18%. R. Deyder : Etat actuel de la question de l'amiboisme nerveux, Paris, 1893. Mathias Du
périence sans but utile, devient éminement hypnotisable dès qu’il est question de lui rendre service et de la guérir d’un symptô
ur Brouardel, traitant dans son cours de médecine légale, en 1887, la question des suggestions criminelles, n'hésitait pas àform
ppiication de la loi relative à l’exercice de la médecine? Voilà la question que la chambre criminelle de la Cour de cassation
u autres, appliqués aux malades, et qu’il ne peut s’immiscer dans des questions scientifiques dont l’examen et la solution sont l
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l’hypnotisme, de la psychologie p
faire disparaître celte douleur, c’est l’origine de l’altruisme. Une question fort controversée est de savoir si l’altruisme n’
pproche du lit. La malade répond d’une voix presque imperceptible aux questions qui lui sont posées. L’examen laryngos-copique ne
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent suivies questions qui relèvent de l'hypnotisme, de la psychologie p
eur Aragon Je me propose d’examiner au point de vue psychique » une question de gynécologie dans laquelle cet élément me parai
ment me parait jouer le plus grand rôle; je veux parler du vaginisme, question qui appartient autant au physiologiste psychologu
rt, voyons ce que les auteurs contemporains qui se sont occupés de la question , s'accordent à reconnaître comme causes productri
eux observations qui me paraissent très concluantes. En causant des questions de gynécologie, il y a un certain temps, avec que
malade comme une véritable curiosité, et comme je pressais le mari de questions très précises, il me fit le récit de sa vie. 11
s cas de prétendus suicides, de les analyser, et sinon de trancher la question , tout au moins de l'examiner et de vous soumettre
déséquilibré. Je demande à la Société de bien vouloir laisser cette question à l'ordre du jour, et à mes honorables collègues
ir et d’apporter leurs observations négatives ou positives; c’est une question de psychologie comparée dont la solution peut êtr
médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent sur les questions qui relèvent de l’hypnotisme, de la psychologie p
sommeil naturel de se produire (*). » Et cela est si vrai qu'à cette question de l’auteur : « Quand vous ne pouvez plus dormir
a pathologie a le droit de revendiquer. Je me réserve de traiter la question dans son ensemble lorsque j’aurai réuni un nombre
épuisement nerveux, avec étourdissements. etc. Avant l’influenza en question , cette femme était seulement faible, anémique, ay
elle aussi, les sporozoaires dans le lorrent circulatoire ? Autant de questions qu’il convient de réserver. Souvent, d’ailleurs
suggestion, à la condition que la vie et la liberté ne soient pas en question . CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Les séances de l
92 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
dans la salle, riant et parlant comme un homme ivre. Il répondait aux questions sans délai, mais d'une manière dénotant de l'exci
ervation. Les caractères sont assez tranchés pour que les globules en question n'aient pu passer inaperçus, lorsqu'ils existaien
me surtout deux études très-sérieuses et même nouvelles, bien que les questions traitées aient déjà été soulevées, soit dans des
troncs vasculaires. Il est des circonstances où le refroidissement en question devient appréciable de très-bonne heure, quelques
de physiologie, loc. cit. qui se sont occupés particulièrement delà question , ont, d'un com-mun accord, désigné la moelle épin
s, du processus morbide aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cellules nerveuses, à en juger d'après le car
és, ont évidemment frappé M. Laborde et lui ont inspiré son livre. La question s'est dressée devant son esprit, mais elle pa-rai
de Biologie, par M. Renault. Après avoir présenté l'historique delà question , et par conséquent les diverses opinions émises r
l'auteur, et que, du reste, on n'est pas définiti-vement fixé sur la question de savoir si le rein a la double fonction d'être
e adopté, et la gloire de notre époque est d'éclairer tour à tour les questions à l'aide des lumières de l'anatomie, de la phy-si
incomplète des sciences dites acces-soires. Entrant dans le vif de la question , M. Derlon traite de la qua-lité des médicaments,
is pas s'il fallait énumérer les exemples de faits analogues. » Ces questions sont très-importantes ; elles intéressent au plus
fréquent que la pneumonie disparaisse et revienne à chaque accès, la question est plus délicate, et s'il est facile de com-pren
disparaisse com-plètement en dehors des accès. Cependant c'est là une question de fait, et, si les observations de M. Armaingaud
faits de M. Béclard ne sont peut-être pas suffisants pour élucider la question de savoir si oui ou non la rate détruit des globu
tifiera et que de nouveaux travaux viendront éclairer complètement la question . Dr G. bouteillier, L'ambulance n- 5. Notes p
es les fois que le squelette est atteint, le cas est grave. Dans la question des amputations, l'auteur se prononce pour les am
a été jusqu'ici très-négligée. Mais, avant de vous ramener vers ces questions ardues, je ne puis résister, messieurs, au désir
es, soit dans le rein lui-même, soit plus loin encore ; il y a là une question à juger. Le fait capital, c'est que la quantité
t son apogée que d'une manière progressive. Peut-être y a-t-il là une question d'accoutumance dont il est juste de tenir compte.
pent tient vraisemblablement à une autre cause : il y a plutôt là une question de doses. Je m'explique. Le chiffre presque ins
nce de tout renseignement à cet égard, nous ne pouvons que laisser la question en suspens .......... ......... CLINIQUE CHIRUR
e part. En effet, on voit que les quatre tumeurs dont il vient d'êlre question avaient de commun entre elles, savoir: 1° la figu
aussi considérables que le suppose l'auteur? La pratique jugera cette question . « Il est simple, ajoute-t-il encore, ne coûte
physiologiques ; ils sont si précis et semblent si constants, que la question peut être placée hardiment sur le terrain de la c
Les travaux du Congrès se composeront : Io de communications sur les questions proposées par la commission ; 2° de communication
teurs ou adhérents qui désireront faire une communication sur une des questions du programme ou sur un autre sujet sont invités à
ur suivant le nombre et l'im-portance des travaux. Art. 0. — Chaque question n'occupera qu'un jour, et l'ordre du jour sera ai
a qu'un jour, et l'ordre du jour sera ainsi réglé: Io lecture sur les questions du programme; 2° discussion; 3° si le temps le pe
possibles. Elle n'a eu cl autre but que d'indiquer les côtés de la question qid lui paraissent plus particulièrement intéress
s, soit par leur actualité, soit par leur caractère pratique 1. lro Question . — Des épidémies de variole. IIe Question. — Des
armes à feu. IIIe Quesiion. — Des ambulances en temps de guerre. IVe Question . — De la peste bovine ou typhus contagieux du gro
causes de la dépopulation en France et des moyens d'y remédier. VIe Question . — Du traiter:znt [de la syphilis. VIIe Questio
'importance du rôle qu'il est appelé à remplir dans la société. Ces questions seront traitées dans l'ordre de leur inscription
raitées dans l'ordre de leur inscription au pro-gramme. Ainsi : la 1" question du programme sera traitée le mercredi 18 ; — la 2
tance rénale. 1 Les organisateurs du congrès ont fait suivre chaque question de longs com-mentaires. Ceux de nos lecteurs qui
. Ollier, de l'autre, ont amené la Société de chirurgie à discuter la question de la valeur des résections sous-périostées.—Voic
ente ou ancienne de la peau ou des muqueuses. Sans vouloir aborder la question si controversée de la contagion, il désire appele
us ou moins limité. Gomme conclusion, nous sommes forcé dédire que la question n'est pas élucidée ; restent tou-jours à résoudre
ndant quelques pages. En France, M. Villard n'a trouvé trace de cette question que dans le Traité des maladies des vieillards de
riques autonomes et en leur imprimant une certaine direction? Cette question si intéressante nous amène à examiner les di-vers
DES FEMMES I. Du Vaginisme, par M. Visca1. —C'est une intéressante question que celle du vaginisme et bien digne de fixer l'a
er en lon-gueur, d'insister sur des faits accessoires, on arrive à la question pathogénique, qui se trouve exposée d'après les i
rin. IV. Anatomie pathologique du phlegmon péri-utérin. — Parmi les questions qui se rattachent aux maladiesdes femmes, sans co
'agissait le plus souvent que d'une dénudation partielle; ici, il est question d'une dénudation occupant toute la circonférence
ée. Veuillez remarquer, messieurs, qu'il n'y a pas là seulement une question de mots, il y a aussi une question de nosographie
, qu'il n'y a pas là seulement une question de mots, il y a aussi une question de nosographie, et par conséquent une question de
mots, il y a aussi une question de nosographie, et par conséquent une question de diagnostic et de pronostic. Ces circon-stances
-il véritablement de Tépilepsie dans les crises mixtes ? Telle est la question que nous devons maintenant discuter. A cet effet,
iens de vous entretenir. Pendant plus de huit semai-nes, la malade en question éprouva des attaques épileptiformes, en nombre d'
est tombé malade : « M'aviez (ce mot est barré) Mous m'aviez fait une question , qu'une fausse position, qui m'avait prise. Qu'ét
a choisi, celte année, comme objet de son cours l'étude de l'une des questions les plus importantes de la physio-logie, celle qu
sier. — M. Cl. Ber-nard pose le principe suivant : « Comme toutes les questions scientifiques, celle de la chaleur animale a trav
ue, M. Bernard démontre qu'il n'y a que depuis la thermométiïe que la question est entrée dans sa véritable voie scientifique. I
imitée, l'autre les déclarant absolu-ment irresponsables. Cette grave question se rattache intimement à la question préalable du
ment irresponsables. Cette grave question se rattache intimement à la question préalable du libre arbitre chez l'homme sain, que
par les spiritualistes et les matérialistes. Pour être voisines, ces questions ne sont pas subor-données l'une à l'autre dans la
e, des travaux comme ceux de M. J.-L. Peet1 serviront à avancer cette question de libre arbitre et de res-ponsabilité. « Y a-t-i
développement très-res-treint? » Telles sont les graves et nombreuses questions qu'éveille l'étude des sourds-muets n'ayant reçu
t que les rivières de la terre. Tous répondent négativement à cette question : Aviez-vous idée de l'âme comme quelque chose de
appliqués pendant plusieurs heures consécutives soient nuisibles. La question se réduit uniquement à savoir quel est le meilleu
avant la communication de M. Lefort, nous avons voulu re-prendre ces questions qui avaient tant intéressé Hiffelsheim et que pos
et se recouvrant peu à peu d'une mince couche épider- mique? Cotte question délicate a déjà été traitée antérieurement par Th
-Menuau, br. in-8 de 64 pages. Adr. Delahayc, libr. édit. Parmi les questions les plus ardues de la chirurgie, il faut à coup s
t de son caractère. M. Gremion-Menuau n'a pu prétendre résoudre ces questions , que n'ont pas élucidées nos plus éminents chirur
1. — Doit-on opérer pendant la grossesse et l'état puerpéral ? Grosse question agitée d'abord devant la Société des sciences méd
propos d'une malade opérée par M. Tarnier d'une tumeur de la vulve : question importante pour le praticien et bien étudiée par
pourquoi ne serail-elle pas appliquée au fœtus lui-même? Telle-est la question que se pose, après quelques auteurs étrangers, M.
compression simple de cet organe par une tumeur? Pour résoudre cette question , il importe de diviser les cas de compression de
La connaissance de ce fait jette un jour tout nouveau sur cer-taines questions dont la solution était encore inconnue. Elle perm
uteuse. Plusieurs praticiens y ont presque entièrement renoncé. Cette question importante est à peine ébauchée dans le livre de
actère particulièrement dangereux et irrémédiable? Poser une pareille question , c'est y répondre. Mais n'ya-t-il pas certaine mo
terme équivalent aux mots malignité, état malin? C'est évidemment la question qui doit être examinée. M. Laborde, dans un lon
actions utérines, voilà, dans ces cas, les trois termes inconnus delà question . Victoire X..., primipare, âgée de 55 ans, nous
2 In-8° de 92 pages. Ad, Delahaye, libraire-éditeur. grand pas à la question , caria forme cristalline est aux yeux de la génér
e curiosité de laboratoire. Nous éviterons de nous prononcer dans une question aussi ardue, qui demande, pour être bien apprécié
'ergot; cependant nous aurions aimé à voir traitée plus large-ment la question de physiologie pathologique ; il ne suffisait pas
n Delahaye, libx'aire-éditeur. dit sur ce côté si intéressant de la question ; les belles recherches de Holmes, si prématurémen
93 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
a mutilans de quelques auteurs. En troisième lieu, il pourrait être question aussi de l'affection dite gangrène symétrique des
core. Mais restons, Messieurs, dans le côté purement clinique de la question . Trois phénomènes sont ici caractéristiques : Io
. Mais nous devons encore passer en revue certains autres côtés de la question , importants au point de vue nosographique. Je veu
reton lui aussi. Mais il est bien connu aujourd'hui que la maladie en question peut s'observer partout. Elle semble atteindre be
accidents, mais cela est loin d'être constant. Vient maintenant la question du diagnostic, qui se trouve déjà aux trois quart
re des sujets d'hésitation momentanée. Mais, tout d'abord, une simple question adressée au malade nous fera savoir qu'il est né
s, cela est ainsi, car vous verrez aussi qu'il ne s'agit pas là d'une question de théorie pure et d'interprétation plus ou moins
e nous avons en ce moment dans le service, combien l'ignorance de ces questions peut être préjudiciable au malade (V. plus loin l
ment où il étudiait ces tremblements, M. Pitres envisage cependant la question sous le même point de vue et aboutit aux mêmes co
nt pas autre chose que des tremblements hystériques ? C'est une grave question que l'avenir se chargera de juger. Pour moi, avan
rose multiloculaire des centres nerveux. Est-ce donc de la maladie en question qu'il s'agirait dans notre cas ? C'est ce qu'il f
ubles cessèrent, et plus tard, quand il s'engagea* il n'en était plus question . Histoire de la maladie. — Il y a deux ans (fév
divers tremblements hystériques, grâce aux récents travaux sur cette question . C'est un chapitre de plus à ajouter à l'histoire
principaux caractères de l'affection dont je parle, chez la malade en question . Bien qu'elle se présente là sous une forme relat
pales sources où vous pourriez puiser si vous vouliez approfondir une question qui est et restera encore pendant longtemps peut-
ses. Je ne rappellerai pas ses antécédents héréditaires dont il a été question plus haut. Le premier accès de migraine ophthal
s observations de M. le professeur Charcot, travaux récents sur cette question . Description de deux cas d'œdème bleu do la main
tuméfaction, d'enflure, qui est quelquefois causée par la névrose en question . « L'affection hystérique, dit-il (1), ne s'en
spontanément, soit par les efforts du médecin. Mais ceci touche à la question de la thérapeutique sur laquelle je reviendrai to
ident névropathique. Messieurs, je ne veux pas laisser passer cette question de l'œdème bleu des hystériques sans vous faire c
es mêmes résultats. J'aborde maintenant le côté thérapeutique de la question , sur lequel je ne m'étendrai pas longuement. L'œd
t somnambuliforme, les yeux fermés, pendant lequel elle répondait aux questions et paraissait sensible à quelques suggestions. Ma
r. Pendant ce temps, les médecins qui la soignaient auraient agité la question d'une amputation de l'avant-bras, pour une tumeur
'appliquer aux faits que nous avons observés et où il n'est nullement question de compression survenue dans le bassin, bien que
ique de M. le Pr Char-cot (2). A la suite de cette leçon, où il était question pour la première fois de cette complication de la
initivement le travail de M. Landouzy. Les choses en étaient là et la question paraissait épuisée, lorsqu'en 1886, je remarquai,
e. Ma tâche n'est qu'à moitié remplie, car il me reste à traiter la question du diagnostic. C'est évidemment à une sciatique q
tout lieu de croire qu'il dit vrai. De saturnisme, il ne peut être question ici : sans compter que le sujet n'a jamais été ex
cérale, de douleur et de déformation spinale, il ne peut plus en être question . Est-il donc impossible de formuler un diagnost
être à l'étiologie qu'à l'évolution de la sciatique. Dès lors, deux questions se posent: Io Y a-t-il des sciatiques doubles pri
ue. C'est également par l'affirmative que je répondrai à la seconde question . L'an dernier, j'ai démontré que la sciatique uni
halmologistes le savent bien, quoique même pour eux il s'agisse d'une question relativement neuve. Nous, médecins, nous connaiss
moi avons, d'après les données fournies par M. Charcot, étudié cette question sous toutes ses faces et donné, outre le résumé d
ques, tant faradiques que galvaniques. Remarquez qu'il ne peut être question ici de névrites périphériques. Il n'y a, en effet
ons ne tarderont pas à se multiplier rapidement, et que d'importantes questions nosographiques et cliniques ne manqueront pas d'ê
sions qui se sont élevées à propos de ces deux états morbides, sur la question de savoir s'ils doivent représenter deux maladies
troubles trophiques. Mais d'autopsie, Messieurs, il n'est nullement question en ce moment; la vie n'est point menacée. Que pou
les confisquer, comme cela est arrivé pour les accidents dont il est question dans ce chapitre ; car il est bien évident que le
ieurs, n'est point inopportune. Quelques-uns diront peut-être que ces questions de priorité importent peu. Je ne suis pas tout à
pas rendre à César ce qui appartient à César. Mais j'en reviens à la question de l'absence des réflexes rotuliens chez les diab
ce qu'il était à cette époque. Autrefois il était lent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait mal ses sensations
. Bordeaux, 1890. chester ont beaucoup contribué à faire avancer la question , grâce aux études de MM. Dreschfeld, Thornburn, P
e par toute autre cause. Dans les petits centres de l'Allemagne, la question semble moins avancée. Il faut être, cela se conço
81). Je vous rappellerai tout à l'heure comment s'est constituée la question de la paralysie faciale chez les hystériques et c
e hystérique1. Déjà M. Ballet, au commencement de 1890, abordait la question par la présentation d'un malade2. Quelque temps a
uteurs tout à fait dignes de foi et compétents, bien au courant de la question , et connaissant en particulier les déviations que
de Tanesthésie superposée aux troubles du mouvement. — Dans le cas en question le ptosis est dû au spasme de l'orbiculaire et no
isais-je, le cas serait probablement fort sérieux, car le syndrome en question dénote nécessairement une lésion organique de siè
érantielles. Dans îe cas de Mayor, comme dans celui de Gubler, il est question d'un foyer de ramollissement ayant atteint le mot
dans le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome clinique en question . Il va sans dire qu'une lésion située à la base d
sensibilité et vous aurez l'image de l'hémiplégie dans le syndrome en question . Voyons donc si nous retrouvons chez notre malade
habituels, comment savoir s'il s'agit d'un spasme ou d'une paralysie? Question délicate, s'il en fut, et difficile à résoudre. I
, et vous reconnaîtrez que je poursuis un but plus sérieux. C'est une question de diagnostic différentiel que je vais agiter dev
ns le cas présent, une conséquence pratique des plus importantes : la question du traitement apparaît maintenant sous un tout au
syringomyélique. Ce n'est pas à dire, cependant, que le syndrome en question ait une valeur pathognomonique infaillible, (1)
to-matiques entre la maladie de Morvan et la syringo-myélie. Toute la question est de savoir si les analogies l'emportent sur le
différences sont fondamentales ou si elles ne se réduisent pas à une question de degré ; en d'autres termes, si la maladie de M
, l'autre par MM. Joffroy et Achard, ont fait faire un grand pas à la question . L'observation de M. Gombault est relative à un b
a consultation, nous n'avons pas manqué de poser à la malade quelques questions destinées à vérifier l'hypothèse qui s'était form
e est établi par sa description clinique ; de l'autre, en étudiant la question de plus près, on est conduit à localiser la lésio
d plus vraisemblable l'origine syphilitique. Abordons maintenant la question des prodromes. L'hémiplégie, chez ce malade, ne s
rises dans mes leçons. En Allemagne, dans ces dernières années, cette question a été remise à l'ordre du jour. M. Strümpell, auj
ent d'ailleurs les résultats depuis longtemps annoncés sur cette même question par M. Parinaud et moi. (Société de Biologie, 22
là une manifestation monosymptomatique de l'hystérie. Dans ce cas, la question du diagnostic différentiel peut se poser. Lorsque
e bâillements épi-leptiques, l'analyse des urines trancherait vite la question , étant donné, ainsi que l'ont démontré MM. Lépine
s observations de M. le professeur Charcot, travaux récents sur cette question . Description de deux cas d'oedème bleu de la main
l'anesthésie superposée aux troubles du mouvement. —¦ Dans le cas en question , le ptosis est dû au spasme de l'orbiculaire et n
94 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
s et des médecins, ils seront dédaignés, soyez-en certain, car il est question de la santé, il s’agit de la vie. Sahs doute la
e sait conduire sa barque d’une main assurée. Il en résulte la grande question s’il n’est pas temps qu’enfin le zèle qui se mani
preuves. Prenant donc un malade comme type, car il n’est pas encore question du traitement des maladies ni de l’action thérape
, chose digne de remarque, un seul médecin parmi eux, de discuter une question aussi élevée que celle de l’utilité dû magnétis
es, après quoi aucun des assistants n’avait pu obtenir de réponse aux questions qui lui étaient faites. Elle s’éveilla au temps j
ain d’une cause purement physique. Mais ici il se présente bien des questions à résoudre. Quelle est donc cette cause physique?
’étendue des phénomènes qu’il produit. Le médecin à qui on pose ces questions : Comment se fait-il que le suc de pavot endorme?
oration. Cet état de calme, que je me gardais d’interrompre par des questions adressées anx dormeurs, a été souvent pour moi le
té vainement ; mais voici la réponse d’un somnambule devant qui celte question s’agitait; elle contribuera peut-être à jeter que
iment des personnes ni celui des choses; il répond juste à toutes les questions qu’on lui adresse,.. connaît ceux qui l’environ
ît toutes les personnes présentes et répond très-juste par moment aux questions qu’on lui adresse. Il lire sa montre et dit avec
les campagnes qui ont frappé son attention ; mais, malgré toutes nos questions , il ne peut nous faire la description des endroit
e. Vos doutes doivent être dissipés... Guérit-il? Voilà la dernière question . Ecoutez ce que dit le professeur Rostan : «
« et l’autre du Saint-Office, en réponse à des cas particulier, la « question générale do la licite ou de l'illicite du magnéti
se. « En 1842, nous avons consulté le souverain pontife sur la > question de savoir si, sepositis abusibus rei et rejeclo o
olution que nous « avions sollicitée se ferait attendre, parce que la question n’a-« vait pas encore été suffisamment examinée p
es, el M. le comte promet de faire des recherches pour élucider cette question . A propos de ces guérisseurs si nombreux dans d
t tout ce qui y a rapport, devraient trouver ici une place ; mais ces questions , qui exigent du développement, seront traitées à
ai dans ma poche. Pouvez-vous lire les yeux fermés? » Et mille autres questions aussi oiseuses.... Tu veux consulter Yoracle? lai
tre sévère pour les consultations, ne permettre qu’un petit nombre de questions et donner le temps d’y répondre : tout travail fo
rtout si vous lisez avec attention les réponses des somnambules à des questions qui, pour la plupart, n’étaient pourtant point di
écrit sur cette matière, il nie suffit d’avoir établi l'état de la question que je veux traiter. Et d’ailleurs je ne désire q
ine. aucune idée, a fait des progrès très-rapides. Cette importante question ayant fixé l'attention des médecins, des théologi
et certainement ce qu’on a publié de mieux en Angleterre. Beaucoup de questions y sont présentées sous un jour nouveau. Les faits
il élaii facile de voir quel puissant intérêt excite celle importante question . M. Trousseau, professeur de thérapeutique, parut
nné, et d’autant plus que le jeune sommtmbule ne pouvait répondre aux questions qu’il lui adressait. Son compagnon, qui couche da
ciles. L’ambassadeur anglais prit la liberté de lui adresser quelques questions sur la scène étrange dont il avait été témoin.
avait dit cette femme et revint ainsi chez ses parents. «Toutes les questions qui lui ont été adressées n’ont pu amener d’autre
echerches. Le lendemain, je revins près d’Alexis, que je pressai de questions touchant l’officier français. « J'avoue, me rép
ler à la société soit à peine suffisante pour décider complètement la question , n’est-elle pas d’une nature assez attrayante pou
médecin lioméopaihe espagnol, venu en France pour éluilicr à fond la question du magnétisme, el qui vient de doter son pays d'u
r septembre, vient de mettre le magnétisme dans son ordre du jour. La question est celle-ci : De l'état du Magnétisme en France.
Congrès. Nous tiendrons, au reste, nos lecteurs au courant «le celte question importante. Après le Voyage à Saint-Pétersbourg
omme m’obéit sur-le-champ; mais, loin de me parler et de répondre aux questions que je lui faisais, il s’obstinait à garder le si
mais c’est, à notre avis, l’exception. Nous poserons maintenant celle question : L’homme d’esprit, l’homme de génie plutôt, aide
nné de connaissances qui se transmet et se souvient. Mais une autre question : N’y a-l-il pas, comme le dit Mesmer, dans l’espa
quel l’auteur examine longuement el avec un rare savoir l’impor-lante question du somnambulisme magnétique. Séance du 19 juin.
parties d’écarté en indiquant les cartes de son adversaire. Sur la question de savoir si, dans l’eau magnétisée, le fluide es
laquelle, ce nous semble, on doit plier le genou. Mais posons celle question : Que sonl vraisemblablement les prophéties? La
magnétisé dans un étonnement extrême; il m’accabla d’une multitude de questions auxquelles je ne répondis qu’avec ce burlesque et
ncore le sceptique, pourquoi le somnambule n’a-l-il pu répondre à mes questions , comme il a répondu à celles que vous lui avez ad
Oui, » répond aussitôt celui-ci. Après lui avoir adressé différentes questions et reçu les réponses du l’enfant, il lui perce l'
UE HE FRANCE. — Dans un paragraphe du programme on avait glissé cette question : Quel est l'éhit actuel du magnétisme en France?
qui se manifesta par des signes non équivoques de mécontentement. La question du magnétisme allait être cependant passée à l'or
r et les magnétiseurs des outrages dont on venait de les accabler. La question fui laissée pendante; on dut enten- dre M. ilu
dre M. ilu Potot puisqu’il so chargeait «le traiter île nouveau la question en la présentant sous un nouveau jour. La section
e qu'rst le magnétisme, selon lui, cl répondu avcc calme à toutes les questions qui lui furent faites, obtint un aveu précieux de
’instruire du magnétisme el venus â Reims pur entendre débattre celte question , M. du Pot et éprouva un double regret. Mais il a
nérale, contrairement à (oui ce qu’on connaît. Quoi qu’il en soit, la question , qui compte de zélés avocats, est loin d'être vid
Sur ces entrefaites, le docteur Ldwin Lee. publia deux ouvrages où la question esl exposée en entier. Depuis 011 a beaucoup écri
s grand jour l'action volontaire qu’un être exerce sur un autre être, question qui touche à la liberté du moi, cl n’est pas enco
CONCOURS DES MÉDECINS ORDINAIRES DANS LES TRAITEMENTS MAGNÉTIQUES. Question délicate aujourd’hui, à causo de l’état actuel de
rquoi continuer de voir le médecin?... Pour des êtres indifférents la question est toute simple; mais lorsqu’on a affaire à un a
tique en est, dit-on, le conducteur; soit; mais cela ne résout pas la question . Sous quelle forme se fait cette transmission? Es
la spiritualité de notre âme, peut-être se serait-on arrangé ; car la question , prenons-y garde, est autant psychologique que mé
ils ont dit qu’ils n’étaient venus qu’en passant pour ré|iondre 5 la question du programme ainsi conçue : Quel est l'état actue
fus de M. Du Polet comme une défaite honteuse; il n'y a élé nullement question dos motifs donnés par l'honorable el célèbre magn
triomphe. La lettre de ce digne ecclésiastique, désintéressé dans la question du magnétisme, sera notre seule réponse aux calom
n’ait pas été comprise, o» qu’on n’ait pas voulu l'approfondir, la question passa presque inaperçue. Tenant cependant â ce qu
exemples précités, elle le livre à la méditation des hommes que cette question préoccupe. Un jeune enfant est magnétisé par M.
nnonce en môme temps qu’il est parvenu à reproduire les phénomènes en question sur des sujets peu sensibles au magnétisme et san
l auquel elle devait entendre. M. le » président lui adressa diverses questions auxquelles elle ne « répondit point; mais le sign
r solennel, et devant une assemblée imposante, où devait s’agiter une question si palpitante d’intérêt et d’actualité.... Un hom
sur la justice de sa cause, laissa sans réponse pc-reniptoiro el les questions et les objections. L’audace des ennemis se ranima
omme, animé du feu sacré, vengea Mesmer et ses disciples; il sauva la question d'un ordre du jour flétrissant pour le magnétisme
ises toutes les fois que la sensibilité du malade le permet. Sur la question de savoir quelle esl, dans l’état actuel des conn
s, ainsi qu’on peut l’inférer de la traduction d’un papyrus où il esl question d’une invasion sur la Terre-Sainte par lesNephlis
vérité mesmérienne, c’est-à-dire la vraie médecine, quand il en a été question dans cette curieuse assemblée, a élé considérée,
vant deux ans nous aurons aussi notre congrès, mais il n’y sera point question de nos intérêts personnels; le code du magnétiseu
Al. Burnet magnétise à distance el attire à lui l’en faut dont il esl question à la séance du 31 juillet, cl on répète sur lui l
raisonnablement vous le permettre. Chacun a une demande à faire, une question ù poser, une mèche de cheveux à la main.... Vous
orde pas; et lorsque le magnétisé est fatigué par des demandes et des questions oiseuses, vous le réveillez. Il n’a point satisfa
95 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
ère, nous pensons avoir acquis l'expérience voulue pour traiter cette question nouvelle. En effet, les divers malades qui sont t
osons espérer que notre travail engagera ceux de nos lecteurs que la question intéresse à cultiver la Photographie, qui peut le
ité du sujet. Comme celui-ci sera généralement nu, il ne saurait être question d'opérer en plein air, à moins d'avoir un endroit
t à volonté. Quoique, au point de vue documentaire, il ne puisse être question de réaliser les jeux savants de lumière que certa
ucoup plus pratique quand on a la place voulue pour l'installer. La question qui va se poser tout de suite est celle de l'écla
ie microscopique. OBJECTIF. Le choix de l'objectif est une grosse question dans n'importe quelle branche de la Photographie;
ite des progrès réalisés depuis quelques années, il ne peut plus être question d'employer d'autres plaques que celles dites au g
écessaire pour obtenir un négatif aussi parfait que possible. Cette question est une des plus délicates de la Photographie et
a une somme de lumière plus ou moins grande. Nous avons examiné cette question dans le Chapitre I, en parlant de l'organisation
la plus grande utilité. Pour ce qui concerne l'étude du nu normal, la question ayant été traitée complètement par M. Richer, nou
a grande hystérie, est ordinairement passager, mais, chez le sujet en question , il a persisté pendant de longs mois. La fig. 18
r sur les clichés faits tous les huit jours l'ascension des points en question . C'est ce que la série d'épreuves obtenues mont
uve, si intéressante qu'elle soit, puisse représenter le mouvement en question , c'est là une erreur absolue, et cet exemple mont
n certain intervalle, montreraient d'une manière manifeste le fait en question . Dans cette même période de l'état cataleptique
ière; pour ceux de nos lecteurs qui désireraient étudier à fond cette question si intéressante, nous Fig. 39. Jes renvoyons
elle voulait dépenser un excès de force (fig- 3g). Il ne saurait être question de vouloir amener la malade dans cet état devant
Anschùtz. Depuis, le général Sebert et nous-même avons étudié la même question . Laissant de côté les appareils de Janssen et d
animaux choisis de la même couleur. En Médecine, il ne saurait être question d'user de ces artifices, et il est nécessaire, da
l'image aussi bien que dans un appareil ordinaire; il ne saurait être question d'employer les procédés de mise au point précédem
ument exactes et durables constituera un progrès sérieux. La grosse question qui se posera dans l'espèce est celle de l'éclair
omplète. Depuis l'emploi de l'éclair magnésique en Photographie, la question a fait un grand pas en avant, car on peut obtenir
. C'est alors que M. Galezowski, qui lui aussi s'était occupé de la question , demanda à M. Peuchot de continuer ses recherches
endent tous les jours les plus grands services, et il ne saurait être question d'appliquer à ces éludes les méthodes photographi
nflammation. Pour porter à une température convenable le mélange en question , nous nous servons soit de fulmicoton, soit d'un
e faire, l'emploi d'un appareil vertical sera toujours préférable. La question du temps de pose sera réglée d'après l'éclairage
enir son durcissement. On sait l'importance qu'a prise aujourd'hui la question des localisations cérébrales, et l'on n'ignore pa
affectant telle ou telle région des circonvolutions du cerveau. Ces questions de topographie cérébrale peuvent être facilitées
spongieux, friables et d'une solidité si médiocre que les malades en question se les brisent au moindre mouvement. La reprodu
caoutchouc, on veille à ce qu'aucune fuite ne se produise : c'est une question de bonnes ligatures. On ouvre le robinet du gaz q
néanmoins les uns des autres par le plus ou moins de praticité. La question primordiale et la plus importante est celle du ch
rès délicate et nous engageons le lecteur qui voudrait approfondir la question à consulter les Ouvrages spéciaux. La préparati
aire. Il suffît de faire des solutions très diluées des substances en question , au par exemple, d'y plonger la plaque pendant de
qui atteindront parfois 1000, i5oo diamètres et même davantage. La question de coloration des microbes, surtout par les procé
era une affaire de soin et d'habileté de la part de l'opérateur. La question de coloration des coupes peut entraîner beaucoup
ffets seront complètement renversés. Le rouge du pantalon, le toit en question , viendront noirs; le bleu de la capote, la verdur
ui peuvent amener de l'humidité et produire, par suite, l'accident en question . On abritera les châssis de la pluie, bien entend
ettre en cet état à l'appareil de réduction sans qu'il soit sec. La question est plus délicate lorsqu'il s'agit d'opérer par c
sultats. Le reste des opérations est le même. Mais vient alors la question du séchage. On ne saurait, en effet, mettre dans
ation des Sciences médicales à l'étude et à la solution de toutes les questions spéciales que peuvent soulever l'institution des
ers que nous avons indiqués dans le cours de cet Ouvrage. L'une des questions qui se présente tout d'abord est celle de la déte
ris et dans quelques grandes villes, n'a pas à intervenir, toutes les questions signalétiques étant résolues d'une manière parfai
96 (1913) Exposé des travaux scientifiques
s expériences suggérées par des observations cliniques dont il sera question plus loin (p. 61) m'ont permis d'observer quelque
x qui, par l'intermédiaire de ces réflexes, répond avec netteté aux questions posées. Précieuses sont les révélations que l'on
sauf le tiers inférieur de la région cubitale dont il vient d'être question à propos du réflexe d'extension. Pour le réfl
dessus de la normale, en admettant qu'il y ait symétrie ? * Cette question , en ce qui concerne la subréllectivité, ne se pos
s « Sciatique » et « Tabes » (pp. 77 et go) je reviendrai sur cette question pour donner à cet égard des détails complémentair
s l'in- version du réflexe du radius. » Il revient encore sur cette question dans un travail fait en collaboration avec Aker
'agit bien d'un mouvement réflexe ou d'un mouve- mement volontaire, question importante à résoudre car il est à peine besoin
sinon tout à fait, pathognomonique ». Nous sommes revenus sur cette question en mai igoi dans une communication à la Société
a clinique par Widal, Sicard et Ravaut, et chez tous les malades en question nous avons constaté une lymphocytose des plus n
ons puisé nos documents. » Widal et Lemierre ont publié sur cette question dans les Bulletins de la Société médicale (1902
de para- lysie générale. Tous les auteurs qui se sont occupés de la question ont confirmé l'opinion de cet auteur. » Il me
rieurs qu'on l'a observée le plus souvent ; je reviendrai sur cette question dans le chapitre : « Paraplégie spasmodique en
ge d'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, le signe en question fait défaut. » Cette notion, confirmée d'abor
s ouvrages de neurologie de date toute récente où il n'est même pas question de cette forme de paraplégie. Charcot, à propos
estructive de la voie pyramidale. Dès mon premier travail sur cette question (51) j'ai montré que les dégénérations secondai
ostérieure, par suite de propriétés électives anormales P C'est une question que nous n'avons pu résoudre. Il semble que celte
'état normal. Dans les traites classiques de pathologie, il n'était question , en ce qui concerne l'irréllectivilc tendineuse,
onnées nouvelles. J'ai déjà eu l'occasion de traiter ailleurs cette question (p. 69) sur laquelle je ne crois pas devoir insis
e de tout signe de tabes, chez des syphilitiques». TABES ! J1) La question que j'ai posée n'est pas encore définitivement ré
douter, comme je l'ai fait remarquer. Dans une discussion sur cette question à la Société de Neurologie (Séance du 3o décembre
. J'ai été amené à discuter, à propos de la sclérose en plaques, la question controversée de la régénération des tubes nerveux
grande importance pratique si la seconde hypothèse se vérifiait. La question ne saurait être résolue pour le moment, mais, e
ène des orteils. Je renvoie le lecteur à la « Sémiologie » où cette question a déjà été traitée d'une manière complète (p. 3
du tronc qui exprime simplement et avec précision le mou- vement en question . Il est facile de comprendre pourquoi le mouvem
rs fois de suite cette opération et cherchez en même temps, par des questions posées au malade, à détourner son attention de ce
nal de Londres (207), j'ai réuni les documents épars relatifs à ces questions . Mes travaux ont apporté, j'espère le montrer,
es yeux et c'est là un point capital n'accentue pas le phénomène en question . Un autre caractère, non moins important, compl
régulatrice combinée à l'action excito-motrice dont il vient d'être question (action excito-motrice de renfort ayant pour cons
motilité volitionnelle. Dans mes observations, les phénomènes en question étaient asso- ciés à de l'hémianesthésie à form
duraient plusieurs heures. Je m'étais demandé si chez le sujet en question il s'agissait d'hyper- thermie et de vaso-dilat
ont j'ai fait l'exposé expriment tous un trouble de l'appa- reil en question et que quelques-uns de ces signes permettent parf
TIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE d'ordinaire contre les troubles en question sont généralement ineffi- caces et que, faite a
t la nature et l'intensité, ne saurait expliquer. Dans les faits en question , les troubles pupillaires étant permanents, n'é
ta- chait les unes aux autres. J'extrais de mon travail sur cette question le passage suivant : « Je rappellerai que la co
ui sont dus à la compression du récurrent ? P « Pour résoudre cette question , il faut de nouvelles observations ; j'invite d
ettre, sans parti pris, en quête de nouveaux faits relatifs à cette question . Mes observations personnelles me firent de plu
le faire remarquer - à l'opinion que l'on peut avoir sur les autres questions dont nous allons maintenant aborder l'examen.
, à présenter un aspect symptomatique qui rappellera l'affection en question , soit grâce à la faculté d'imi- tation que nous
elle tenait à ce qu'on ignorait l'action inconsciente que, par ses questions et par son attitude, le médecin peul avoir sur
à l'opinion unanimement admise autrefois ? p Avant d'aborder cette question , il importe de la poser en termes précis. Sans
ignements très circonstanciés qu'il nous a fournis en ré- ponse aux questions que nous lui avons posées, n'a pas \ 11 se déve-
n'ont pas cessé de provoquer des commotions morales. Une nouvelle question se pose. Les états affectifs, que nous avons di
aible soit-il. De plus, dans les faits considérés ici, il n'est pas question d'idées de ce genre; il s'agit d'idées qui envelo
rimeront ma manière de voir sur certains points essentiels de cette question et me donneront l'occasion de compléter ce que
ant pas inutiles : elles montreront la transformation qui sur celle question s'est opérée dans les esprits. Voici quelques e
ui n'a rien de pithiatique. La Société de Neurologie, depuis que la question est il l'ordre du jour, attend le fait probant qu
97 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
extrême... A bon entendeur demi-mot. Nous en resterons là pour cette question . En attendant que nous puissions examiner en dé
tte question. En attendant que nous puissions examiner en détail la question du Spiritualisme et celle du Rationalisme, nous d
il réellement étudié les faits sous leur véritable jour? Telle est la question que nous allons essayer d’approfondir : Si l’on
atalepsie est une. phase du somnambulisme. Donc, la jeune personne en question se trouvait dans un état que l’on peut regarder c
rielle? Nous n’hésitons pas à répondre dans le sens de cette dernière question . Elle est matérielle. Ce qui démontre l’exactitud
ue les idées revêtent une forme plastique. Nous reviendrons sur cette question un autre jour et nous citerons une foule de faits
ce fait que vous ne pouvez les étudier sous leur véritable jour. La question du rapport mental et de la transmission de pensée
rnaturels, actifs, pensants, agissants?... Il suflit.de poser cette question pour en faire ressortir tout le côté étrange, exc
rs sujets, et ensuite chacun regagna son domicile. Les deux daines en question habitaient aux deux extrémités opposées de la vil
isément à l'impression que nous avions produite sur les deux dames en question ; nous nous consultions pour savoir si nous devio
Clever de Maldigny voudra bien venir à notre aide pour éclairer cette question qui est par trop au-dessus de notre intelligence,
d’une somnambule. Le sommeil était complet, la malade répondait à nos questions et nous indiquait l’état interne des organes affe
-mêmes. Dans l’ouvrage que je mets sous presse, je traiterai de cette question que j’ai étudiée d’une manière spéciale. Baron
ttre. verser toutes les idées, ne nous hâtons pas de trancher cette question épineuse, et attendons que la lumière se fasse, s
’il en soit, je liens à ne pas conclure d’un fait particulier pour la question en général ; je constate que les expériences de M
. L'enlèvement s’est-il produit? — Oui. La première partie rie la question est jugée. — La puissance motrice est-elle prov
des campagnes et de la sorcellerie des bergers et réponses à quelques questions et il quelques critiques. Nous donnons à nos lect
nomination d’une commission d’examen. 11 était encore à cette époque question du prix, j’allais dire de la plaisanterie Burdin,
ient bien de fixer l’attention de l’Académie. Du reste il n’éiait pas question de magnétisme et c’était un confrère qui parlait.
à l’instant; mais ne voudriez-vous pas auparavant répondre à quelques questions que je crois devoir vous poser? Tout en parlant
lectricité ne se dégage pas sans excitant, tandis que la substance en question peut constamment être vue ou perçue. Ce souffle n
académiciens pour juges, on eût nommé des gens désintéressés dans la question , des hommes de bon sens qui n’eussent point eu de
que bleues-verdAlres ; les plantes sont presque toutes vertes. Cette question est exclusivement scientifique, et je crois qu'on
s et de toute nature; mais il en est un, dont il n’a point encore été question , extrêmement curieux et bien capable de porter le
pas du nombre) lui risposteraient : Vos exemples tombent à côté de la question . Une goutte de virus ou de venin n’est pas une ch
, une polémique vive, entre moi et M. Lafontaine, vint remettre cette question à l’ordre du jour et le hazard, — ce mot vide de
re sans cesse..... La preuve, c’est qu’au sein de notre Société, la question du fluide est remise sur le lapis, nou-seulement
savant dont les lumières et le bon vouloir ne reculent devant aucune question scientifique, mais qui cherche à les embrasser to
piritualiste, mais non comme spiritiste, j’ai relu bien souvent cette question posée par le docteur Péreyra, de Varsovie : « Les
NS, ENTRER EN COMMUNICATION AVEC NOUS ? La première partie de cette question n’a pu être résolue par moi : il faut des faits,
? Les hommes éclairés qui, depuis, ont étudié physiologiquement cette question dé la possession des Ursulines, et qui ont reconn
ltat de ce qu’il voit ou de ce qu’il peut embrasser, en réponse à nos questions ? On Wen le mai incarné se retire de son corps, po
emander un tout petit coin pour mes observations personnelles sur une question palpitante d’intérêt et d’actualité. Parmi les
e ne veux pas soupçonner. Certes, quand 011 lit l’exposé du fait en question dans un journal, ou qu'on l’entend raconter par d
nvaincus de la coopération îles Esprits dans les faits d’évolution en question :je veux croire aussi M. Squire très-innocent de
deux termes a généralement presque tou jours eu cours. (2) 11 n’est question que du fluide magnétique. cule du magistère imm
que de France, qui devait ouvrir le 16 à Bordeaux. Une toute petite question de physiologie humaine s’était glissée ou avait é
mme spécial à l’histoire naturelle, à la suite de la zoologie : 32e Question . — « Du Somnambulisme: Fixer la limite où s arrêt
d’une série d’expériences pour approfondir son étude. » C’était la question du magnétisme posée devant la science. J ai cru d
lutte, que de tribulations, que d’obstacles! D’abord, renvoi de la question de la section des sciences naturelles à la sectio
erie, sans délibération, même du bureau, renvoi sub-reptice de la 32' Question à la section chargée de l’étude des bêtes. C’étai
t du congrès. Le temps se passait; on introduisait au programme des questions auxquelles on donnait la priorité, sous prétexte
qui les présentaient étaient pressés de repartir, et la ci-devant 32' Question d’histoire naturelle reculait d’autant ; enfin l’
é comme corps de réserve, triomphèrent de toutes ces manœuvres, et la question fut mise à l’ordre du jour du mardi 2h, avant-der
Je ne suis pas bien certain que je fusse entré encore au cœur de la question ; mais je me hâtai de coudre à ce discours la pre
e demandait avec curiosité par quel motif il posait à deux fois cette question , dont l’opportunité ne paraissait pas bien pressa
son travail d’enchantement, et la vie de Nanny fut remise aussitôt en question . Les effets de cette suspension ne tardèrent pas
ût réparé, M. Récamier entra chez le paysan malade et lui adressa des questions sur l'origine de son mal. Le charron répondit que
catalepsie est une phase du somnambulisme. Donc, la jeune personne en question se trouvait dans un état que l'on peut regarder c
uissance mentale, supérieure (inutile de prévenir qu’il n’est pas ici question de moi I) ne puisse vaincre les barrières herculé
ée à ne point épouser l'homme de leur choix. Depuis, il n’eu fut plus question . a Quelque temps après, se trouvant à un bal de
ien en tant qu'agent immédiat. « Ceci présente une autre face de la question . La volonté constitue pour l’âme, en son entend
pas le droit de maintenir leur décision de ne plus s’occuper de cette question . „11 faudrait que les membres de la Commission
s citations multicolores sont superflues, et qu’elles embrouillent la question . » Mais alors, je vous en prie, donnez-moi l'adre
es n’étant pas soutenues d’expériences immédiatement applicables à la question , il en résultait moins une doctrine à recevoir qu
itude; comment est la vôtre? Ne recevant pas de réponse, il répéta sa question , mais inutilement. Il s’avance alors vers la port
¡’Empereur, s’était empressée de suivre la première, en formulant sa question avec plus de désinvolture. Six coups, dune précip
ravure des hiéroglyphes jetterait probablement quelque lumière sur la question . Quoi qu’il en soit, il me paraît vraisemblable q
ats de New-York, dans son livre sur le Spiritualisme, o ma principale question fut invariablement : Est-ce une réalité, une impo
s l’eurent qualifié de « chimère. » Mais le triste factum dont il est question , rééditant les diatribes des jours les plus égaré
haine, de malédiction, de répulsion absolue. » Le P. A. Matignon. (La question du surnaturel, etc., au xix* siècle. Paris, 1861.
enouvelées. » Il est convenu qu’en général, lorsque j’aborderai des questions qui peuvent paraître ardues, je ne citerai aucun
is si mes propres forces ne suffisent pas à. élucider complètement la question , les germes eu seront du moins jetés, la route tr
ut-être habités) accomplissent leurs révolutions autour de lui. I.a question des six jours de la création a été aussi modifiée
s savantes. (1) Plusieurs astronomes modernes ont déjh traité celte question dans leurs ouvrages sous un point de vue forl int
quotidienne, les Revues, et les livres, traitent aujourd’hui de celte question qui, nnguôre, leur paraissait indifférente : C’es
ne. Conduits devant la justice pour y être réprimandés, et pressés de questions , ils finirent par avouer qu’ils appartenaient à l
la mémoire ; — le génie n’est pas nécessaire, et on peut trancher les questions délicates en laissant les difficultés de côté. M.
st surtout l’antiquaire qui doit chercher à pénétrer au fond de cette question obscure qui se lie de si près à l’étude des socié
rioli a signalé dans Muratori (3), deux passages où il est évidemment question de ces mêmes miroirs magiques : Le premier port
s qui sortent du domaine de l’archéologie, et je reviens au miroir en question . J’ai dit ce que la note de D. Félix Terceral rap
98 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
tout d'abord, d'une manière plus ou moins catégorique, sur certaines questions fondamentales, et d'exposer, en quelque sorte, sa
Il existe un moyen simple, et pour ainsi dire naturel, d'aborder ces questions majeures : c'est de rechercher, dans le cours du
jusqu'où peut-elle pré- tendre, où s'arrête son domaine? Voilà des questions qui méritent bien d'être examinées. L'histoire no
à d'un certain point, comme dit Bacon, la nature devient sourde à nos questions et n'y répond plus. Elle ne prétend pas d'aille
vous con-naissez tous, et où il discute d'une manière approfondie, la question qui nous occupe icii. Je me bornerai à faire re
succession naturelle. Elle peut faciliter aussi l'étude de cer-taines questions générales, telles que l'impressionabilité, la pré
de malades qu'on en gué-rissait autrefois ? C'est là, messieurs, une question fort indis-crète, et qu'il serait vraiment trop f
ers 1830, eurent à cette époque un immence retentisse-ment. Plusieurs questions relatives à la pathologie sénile lurent soumises
matériaux laborieusement recueillis par M. le 1. Mémoire sur cette question : l'Asthme des vieillards est-il une affection ner
onde dans les phénomènes pathologiques. Nous aurons donc à étudier la question sous trois points de vue différents : 1° Il exi
dans cet hospice, Nous revien-drons plus tard sur cette partie de la question . 1. La fréquence des coagulations intravasculai
pour faire recon-naître au médecin la présence de la fièvre (2). » La question , de-puis cette époque, a été reprise maintes fois
les femmes infirmes de la Salpêtrière. Il me semble donc que cette question mérite, au point de vue pratique, de fixer votre
ue peut affecter le rhumatisme chronique. Mais, au seuil même de la question une difficulté nous arrête. Si le rhumatisme et l
ervateur. Nous sommes donc amenés, presque malgré nous, à toucher une question de doctrine, et à nous demander s'il faut confond
res altérations dans sa.composition chimique. Mais cette partie de la question est encore assez obscure. Il paraît établi cepend
les travaux modernes semblent le démon-trer. Pour bien résoudre la question , il ne s'agit point d'apprécier la quantité propo
s?ou bien ne s'agit-il que d'une simple complication ? C'est là une question dont la solution nous paraît devoir être ajournée
e est-il la cause ou la conséqueuce des accidents qui l'accompagnent? Question difficile à résoudre, et que nous discuterons plu
nts à ce sujet. Cependant d'une manière générale, on peut dire que la question est peu connue, au moins sous le rapport des lési
entale, qui me paraissent de nature à éclairer d'une vive lumière les questions que nous avons déjà soulevées, et celles que nous
ble point de vue ; car, sous le rapport de la pathologie générale, la question si obscure et si controversée des métastases et d
L'influence de la goutte sur les maladies delamoelle épiniôre est une question encore litigieuse. Todd et Garrod indiquent l'app
e époque plus rapprochée, Prout, qui paraît avoir en-trevu toutes les questions de ce genre, signale les attaques de goutte et de
que nous venons de signaler est plus indispensable que jamais dans la question qui nous occupe; car c'est surtout ici que l'inte
ourvu qu'il soit bien entendu qu'il ne préjuge rien sur le fond de la question , et ne sert qu'à exprimer une lacune dans nos con
em-prunts à la littérature médicale grecque ; et comme il est souvent question de la goutte dans les ouvrages des anciens, ils s
mat se montre ici de la manière la plus évidente : ce n'est point une question de race, car les nègres de l'armée anglaise, lors
estreint à cet égard; mais au point de vuepathogénique, ce côté de la question offre le plus grand intérêt. Nous allons succes
e, où l'alcoolisme est si fréquent, d'après Magnus Huss, il n'est pas question de cette maladie, lien est de même en Danemarck,
onséquent, que le raisonnement à priori ne saurait être appliqué à la question qui nous occupe, et que l'influence des boissons
ique avait sensiblement diminué; mais dans ces analyses, il n'est pas question de la présence de l'albumine. Garrod s'est demand
APPENDICE A LA IXe LEÇON. des bières anglaises. 11 est si souvent question , dans ces leçons, de l'influence exercée par Vale
e pendant longtemps. Mais, pour bien comprendre l'état actuel de la question , il faut suivre les phases diverses qu'elle a tra
n nombre restreint d'auteurs ; mais ceux qui se sont occupés de cette question ont admis, théoriquement du moins, la présence de
ie pathologique, mais en in-sistant surtout sur ce dernier côté de la question , pour le mo-ment du moins. L'anatomie pathologi
par Adams. De nos jours, les études histologiques ont jeté sur cette question une vive lumière. En Allemagne, Zeis, H. Meyer
graves, et pouvait conduire à l'arthrite purulente. Aujourd'hui la question est jugée, et une appréciation plus saine des fai
ées à un repos absolu. Au reste, il faut reconnaître que c'est là une question importante, mais encore peu étudiée et qui réclam
onstitutionnelle. Messieurs, dans le cours de cette exposition, une question a dû bien souvent se présenter à votre esprit. Le
t ici plutôt la règle que l'exception. Il nous reste à discuter une question qui a été diversement résolue suivant les auteurs
à la manière des tissus privés de vais-seaux ; il ne saurait être ici question d'un résultat plastique. D'un autre côté, la form
embolies capillaires. C'est là un côté essentiellement clinique de la question , et un côté tout nouveau, bien qu'on ait dit le c
vent de l'endocardite; c'est là un des côtés les plus originaux de la question , et l'une des conquêtes les plus récentes de la s
ulmonaire a-t-elle des rapports avec le rhuma-tisme chronique ? Cette question est encore douteuse, et nous nous proposons de la
n, une fracture, et mieux encore une tumeur blanche. Ce sont là des questions qui ont surtout attiré l'attention des chirurgien
sèche. Thèse de Paris, 1862. Adams, qui a spécialement étudié cette question , recon-naît ce mode de développement des phénomèn
l était assez fréquent à Naples. II. Hérédité. — L'étude de celte question offre une grande importance pour la théorie du rh
t ressortir. En ce qui concerne le rhumatisme chronique partiel, la question est encore à l'étude, et je ne saurais me prononc
nnorrhagïe. Existe-t-il un rhumatisme blennorrhagique? C'est là une question qui mérite de nous arrêter un instant. Le plus
nous l'avons déjà fait remarquer. Quel est donc son mode d'action ? Question jusqu'à pré-sent insoluble. On a attribué les eff
spécial à la goutte. Quoi qu'il en soit, son efficacité est hors de question . Mais il faut envisager le revers de la médaille;
d'après Watson, Holland et quelques autres auteurs. Mais c'est là une question qui nous paraît encore loin d'être résolue. F.
nkheiten. Leipzig, 1868.) Qu'est-ce, en effet, que la fièvre? A cette question tous les auteurs répondent aujour-d'hui par la dé
ave, quel que soit d'ailleurs le nom de la maladie? Telles sont les questions qui se sont présentées à votre es-prit. Nous ne s
s sont les phé-nomènes qui accompagnent habituellement l'élévation en question de la température centrale. Celle-ci atteint prom
expériences récentes de Tscheschichin sembleraient ré-pondre à cette question (Deutch. Archiv., 1866, p. 398). Voici en quoi el
, pouls presque insensible, etc. Comment agissent les substances en question pour déter-miner si rapidement un abaissement aus
figure dans son relevé. Il étaitun moyen assez simple de résoudre la question de l'influence des sexes : c'était de ré-péter h
suivies que les nôtres nous paraissent nécessaires pour résoudre ces questions que nous n'avons pu qu'indiquer. Les analogies
lage, dans l'intervalle des deux espèces d'îlots dont il vient d'être question , des cristaux acicu-laires en tout semblables aux
. 236 e|, suivantes, changes in the kidneys of gouty subjects,) Une question se présentait, à savoir si le dépôt d'urate avait
n, dans le fait qui nous appar-tient, nous a permis de résoudre cette question , au moins pour ce cas particulier, dans lequel le
lage, dans l'intervalle des deux espèces d'îlots dont il vient d'être question , des cris-taux articulaires en tout semblables au
on comprend, dès lors, de quel poids seraient, pour la solution de la question , des études com-paratives faites dans des localit
enquête spéciale n'a pas encore été établie, et, en consé-quence, la question ne peut encore, de ce côté, recevoir une solution
n cas de goutte dans lequel l'hémorragie sous-cutanée dont il est ici question était des plus prononcées (p. 21 de la trad.).
p. 433). (Voir p. 437). Les déformations goutteuses dont il est ici question , prin-cipalement lorsqu'elles affectent d'une man
Toutefois, il ne faudrait pas croire que l'excès d'acide urique en question constitue, à lui seul, un caractère absolument pa
nd axe suit exactement la direction des tubes droits. Les cristaux en question siègent très manifestement dans l'in-tervalle de
rod a d'ailleurs parfaitement reconnus et dont il sera plus amplement question par la suite. — Sur les altérations des reins c
et le traite-ment de la goutte. Paris, 1823, t. I, p. 103.) Sur cette question le docteur Todd n'est pas moins explicite : « Tou
mb. On comprend par là de quels poids seraient pour la solution de la question , des études comparatives failes dans les localité
ie. Leipzig, 1865, p. 684, M. Gleisberg n'hésite pas à résoudre cette question par la négative. Il est de fait que la rplupart d
recherches cependant ont été entreprises, dans le but d'élucider la question . Voici l'indication sommaire des résultats les pl
lle de l'urée. Les individus soumis aux expériences dont il est ici question étaient, sans aucun doute, dans l'état normal ; p
dans les membres. Ces résultats contradictoires montrent assez que la question est loin d'être résolue, contrairement à ce que s
ges élo-quentes consacrées par M. Trousseau au développement de cette question (Clin. méd. de VHôtel-Dieu, t. III, p. 353), D'ai
llules et la segmentation de la substance fondamen-tale dont il a été question à propos des altérations produites par l'arthro-r
(de Calvi) est revenu en 1856 (Union médicale, 1856, n° 29) sur cette question , dont il a bien compris toute l'importance et plu
ar la vieillesse, etc., etc. Comme on le voit, il n'est pas du tout question ici du trem-blement. Dans la pièce « Comme il vou
99 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
attaques successives. Or,au contraire, chez les sujets dont il est question ici, la cyanose est permanente. Et cependant cert
érentiel de l'affection queje veux décrire ici, parce que c'esl une question préliminaire qu'il est fort important de résoud
, chirurgien de l'hôpital Tenon. Je ne veux rappeler ici aucune des questions si intéressantes que soulève la pathogénie du g
a nous per- mettra, chemin faisant, de nous expliquer sur certaines questions de mé- thode qui ne paraissent pas encore être
eu de clarté dans toute cette confusion, groupons sous trois chefs, question de mois, question de méthode, question de faits
toute cette confusion, groupons sous trois chefs, question de mois, question de méthode, question de faits, les points en liti
, groupons sous trois chefs, question de mois, question de méthode, question de faits, les points en litige. I. Question de
s, question de méthode, question de faits, les points en litige. I. Question de mots. On lui a donné une grande importance; il
lus en plus il me paraît que 11. Bonnier ne connaît, de cette vaste question , que l'infime partie que j'en ai traitée; c'est
r, de penser, de dire, pour des manières d'être des choses. » II. Questions de méthode. La question est celle de savoir comme
ur des manières d'être des choses. » II. Questions de méthode. La question est celle de savoir comment nous arrivons à per
ivons à percevoir l'attitude de nos membres (je n'aborde pas ici la question de l'attitude du corps dans l'espace, qui est res
l'intelligence, II, ch. n, § 4. (2) Sans vouloir entrer ici dans la question de savoir s'il est antiscientifique de con- sid
que celle-ci n'est que la reproduction, sous une autre forme, de la question elle-même, comme dans la fameuse réponse du quia
ni plus ni moins à la sensibilité une vertu localisatrice. Mais la question est précisément de savoir pour- quoi telle sens
ographique des irritations élémentaires sur la rétine ? » C'est une question captieuse, car que signi- fie « résulte» ? Tout
écessaire, mais ne suffit pas à leur lecture. Pour la réponse à. la question qu'il me pose, je ne puis mieux faire que de renv
à montrer dans quel espritla psychologie devait être appliquée aux questions physiologiques et médicales : « La distinction,
nd une modification des centres nerveux ; mais on ne préjuge pas la question de savoir si celle-ci est la cause de celle-là.
Les faits. Que disent les faits ? Les recherches sur ces délicates questions sont encore peu nombreuses; elles le sont assez,
dont la sensibilité n'a pas été éveillée ? Ceux qu'intéresse cette question liront avec intérêt les récentes obser- vations
re trop rares pour fournir des données absolu- ment précises sur la question qui nous occupe ; mais tout ce que les faits ju
ingénument que tout est si simple... ! Sensation de mouvement. La question de la perception du mouve- ment, telle qu'elle
ve : loin de croire, comme M. Bonnier, que tout a été dit sur cette question , que les choses se passent d'une façon si sim-
'Histoire et d'Iconographie médicales. Ceux qui s'intéressent cette question , n'auront qu'à se reporter aux sources précéden
gnale encore « un vieux manuel à l'usage des mar- chands, où il est question de toute la gent médicale : c'est le Livre des
e a-t-il voulu reproduire des hémispasmes de la face ? Telle est la question que se pose de suite le neurologiste au premier
térieurs et de ce fait a mis en relief l'origine spinale du type en question . L'altération fonctionnelle, admise pour les co
première hypothèse; d'ailleurs, je n'ai pu rclrouver le tableau en question , et il n'est pas certain qu'il ait jamais existé.
te du système nerveux central (Sché- ma 5). Dans ces conditions une question se pose : quelle est ici l'origine des nerfs mo
le ne présente aucun trouble intellectuel et répond nette- ment aux questions qui lui sont posées. Aucun trouble de la vue ni d
de plus à en dire. La portion gauche est très intéressante pour la question de connaître le point de départ du néoplasme. E
toux). Le 28 mai, au matin, le malade est incapable de répondre aux questions qu'on lui pose; il ne s'exprime que par monosyl
e. Le soir, il se trouve mieux et explique qu'il entendait bien les questions posées le matin, mais était dans l'impossibilité
e de quelques mois ne nous permet pas de con- tribuer à trancher la question de l'identité de l'acromégalie et du gigan- tis
as les instincts sexuels comme accrus, il ne peut du moins pas être question de dépression. Nous parlerons de quelques autres
ions du squelette. Notre cas est peut-être capable d'éclairer cette question . Nous n'osons ni ne voulons conclure d'après un
n est très dé- veloppée et même en certains endroits terminée. La question se pose donc encore de savoir quel est le rôle de
esure celle-ci peut-elle in- fluer sur l'ossification ? Ce sont des questions auxquelles nous sommes hors d'état de répondre.
et l'issue de l'autre jumeau avant le premier paru. La gravure en question extraite d'un Ancien Testament illustré repré-
embre supérieur droit à des tempéra- tures basses). Il ne peut être question de névrite alcoolique qui atteint les membres i
e commune nous échappe encore ? Nous nous contentons de poser ces questions , auxquelles de nouveaux faits d'observation app
plus ou moins isolés, ne se rapportant nettement à aucun groupe. La question est, du reste, assez com- plexe, surtout si, au
le examen des dispositions anatomiques, on cherche à débrouiller la question d'origine. Voici un cas nouveau se rapportant a
de ne point rattacher la première dis- position à la seconde. La question est évidemment très complexe ; elle demande à êtr
nce. On a vite fait, à l'ordi- naire, de traiter cette partie de la question , en accolant l'épithète d'arrêt de développemen
arrêt de croissance n'intervient qu'à titre purement secondaire. La question se présente, en somme, comme assez complexe, et
- diquer une fois de plus, sans y insister, combien est complexe la question des types tératologiques en général et celle de
ns seulement tenter de procéder par élimination. a) Dans toutes les questions de cet ordre, il est d'usage d'invoquer l'ac- t
cteur étiologique. Invoquer l'hérédité à ce titre, c'est reculer la question sans la résoudre, car il res- tera toujours à c
uches organiques ; elle ne peut nullement contribuer à résoudre une question d'origine. Que la modification initiale ait pou
ger l'une ou l'autre solution ce n'est point commencer à étudier la question , c'est sim- plement la déplacer; c'est considér
L En dehors de ce point de diagnostic cette observation soulève une question plus directement chirurgicale, nous voulons parle
opédique et fonctionnel excellent. Peut-être faut-il modifier cette question du traitement chirurgical des arthropathies ner
adicale posées par la plupart des auteurs qui se sont occupés de la question . ARTHHOPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION
les arthropathies du membre inférieur retenant le malade au lit. La question semble donc bien arrêtée dans le traitement des
rthrites tropho-suppurées, la solution est tout autre. A priori, la question d'intervention est admise mais pour ce qui est
dais, sur lesquelles j'aurai l'occasion de revenir. La gravure en question représente un vieillard, homme ou femme on ne s
1891). 272 HENRY MEIGE. - LES POUILLEUX DANS L'ART La gravure en question porte en légende deux vers hollandais qui veu-
ORTS DU TABES AVEC LA PARALYSIE GÉNÉRALE PAR FERNAND CURIONI La question des associations tabéto-paralytiques surgit', peu
forme de pseudo-tabes paralytique spécial. Plus importante est la question histopathologique. Nageotte, d'après ses observ
abétiques ont été signalées par Phi- lippe et Decroly. Cependant la question de la localisation des lésions dans les pseudo-
surgit la nécessité de continuer encore les re- cherches sur cette question de pathologie nerveuse tant discutée, et si une
dans le cas où la syphilis n'entre pas en ligne de compte ? Si la question des associations tabéto-paralyliques n'est pas en
e'm'en occuperai pas plus amplement. Je traiterai ailleurs toute la question des phénomènes obsédants, impulsifs et des état
. Ce qui nous intéresse plus particulièrement aujourd'hui, c'est la question de savoir si l'on peut appliquer l'interprétati
andonnée. Les pratiques religieu- ses l'emportaient. Il n'est guère question que des moyens de contrainte employés contre le
e se trouve un (1) PAUL Masoin, Gheel, colonie d'aliénés, Revue des questions scientifiques. Lou- vain, avril 1900 ; id. dans
? Nous ne le croyons pas. Nous avons discuté ailleurs en détail la question du Neurone ; nous en avons fait ressortir les f
pseudo-oedème. (V. Pl. LXV, fig. 2). z Si maintenant, renversant la question , on se demande quelle est la fré- quence du pse
découverte appartient à Bour- neville (1880). Nous scinderons la question pour essayer de rendre le diagnostic plus clair
heval, la même signifi- cation séméiologique que chez l'homme. La question des asymétries corporelles doit être réservée ; c
s pas encore nous prononcer sur ce sujet; pour la solution de cette question il faut avoir en vue ce qui suit : bien des mal
représentons encore une fois que pour le moment nous laissons cette question pendante. Maintenant quel est le rapport de la
question pendante. Maintenant quel est le rapport de la maladie en question avec la para- noïa alcoolique chronique ? Nous
ns aussi nous abstenir de nous pro- noncer définitivement sur cetle question ; s'il y a des raisons de réunir 398 SOUKHANOFF
par son cours et par son pronostic. La littérature concernant cette question ne donne que des renseigne- ments très incomple
moins répandu parmi les femmes que parmi les hommes. En posant la question concernant la signification de l'hérédité dans
p. 399. DÉLIRE ALCOOLIQUE CONTINU 403 Passant à l'examen de la question de l'âge, dans lequel se développent ordinairem
e peut manquer de causer à tous ceux qui se sont déjà occupés de la question . C'est qu'en effet ce livre a paru en l'année 1
RE 417 7 puiser désormais sans effort ceux qui s'intéressaient à la question . En voyant reparaître, presque à toutes les pag
rarement défaut. Invoquons donc son glorieux témoignage dans cette question du réalisme dans l'Art ! » - Suit un passage d'
e de lui l'initiateur de ce genre d'études ? L'auteur du livre en question ignore sans doute, entre autres choses, qu'en 1
e, par ailleurs, la preuve qu'il a connaissance des publications en question , a-t-il pu négliger de faire la plus légère allus
ître. Charcot, et les autres auteurs français qui ont écrit sur les questions d'art et de médecine n'avaient pas omis de rapp
personnels. Or, c'est précisément ce qui manque le plus au livre en question , et c'est là sans doute le plus éclatant témoigna
100 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
, a envahi ce membre. Le malade prétend qu'à ce moment-là, il a été question de lui couper le bras. Finalement, les choses o
structure fine et la physiologie de la moelle, et notamment sur la question de l'en- trecroisement des conducteurs qui chem
ment d'une valeur exceptionnelle pour servir à l'élucidation de ces questions d'anatomie et de physiologie. Rarement, en effe
vous serez étonnés de la parcimonie avec laquelle est étudiée cette question , lors- qu'elle n'est pas passée sous silence.
! Les trois phototypies de la Planche III représentent le sujet en question : les deux premières donnent l'aspect de face e
u déterminisme tératologique. En ce qui concerne l'ectromélie cette question pathogénique n'a jus- qu'ici reçu aucune soluti
possibles la durée d'exposition; il s'agit là, on peut le dire, d'une question d'humanité pour les malheureux qui ont recours
elier de Franz Hais, miséreux si habile à peindre les miséreux. Ces questions se posent nécessairement lorsqu'on compare les oe
la mortalité post-opératoire, attendu que le malade dont il va être question n'a pas été opéré, mais il aurait pu l'être. Qu
r la chirurgie cérébrale. Néanmoins nous déclarons que la tumeur en question ne pouvait pas être diagnostiquée ; et comme, a
nature tuberculeuse n'était guère vraisemblable. Il ne pouvait être question d'une épilepsie réflexe d'origine intestinale.
e était si tenace et si pénible, que le malade ne ré- pondait à nos questions qu'avec la plus grande difficulté. Il nous sembla
le travail de Roth, publié dans les Archives de neurologie, il est question à plusieurs reprises de troubles vaso-moteurs.
Archives de neuro- logie, nos 42, 44, 47 et 48, année 1888), il est question d'un gonflement indolent du dos de la main droi
pable d'exprimer à lui seul toutes les particularités de la main en question . M. Marie m'a suggéré fadé- nomination de main
,' la main affecte une attitude différente. C'est là, du reste, une question que je dis- cuterai à propos de la palhogénie d
art d'entre eux ont négligé volontairement ou in- volontairement la question du mécanisme par lequel la moelle détermine cet
dire quel- ques mots sur l'origine centrale des vaso-moteurs. La question de l'origine des vaso-moteurs dans la moelle épin
élie seraient peut-être de nature à jeter quelque lumière sur cette question de vaso-moteurs. Déjà Remak avait tiré de ses obs
aso-molrices (1) Je renvoie le lecteur qui désire approfondir cette question des vaso-moteurs au travail du professeur Grass
tières depuis son entrée à l'hôpital. Elle répond difficilement aux questions qu'on lui pose, pleure facilement. Les globes o
tour des vaisseaux. Quelle est la signification de ces lésions ? La question mérite d'être dis- cutée après les recherches h
n peut donc ad- mettre avec plus de vraisemblance que l'esquisse en question est celle du tableau de la galerie Suermondt. '
de clinique des maladies' du système nerveux. II Messieurs, Les questions que soulève le côté clinique de cette étude sont
s d'ordre pathologique fournis par les images photographiques, deux questions se posent : 1° Quelle est la portion d'os révél
suivant les procédés habituels ? I. En ce qui concerne la première question , la pratique courante a montré qu'en général ce
e dessin sera toujours visible, droit ou renversé. Pour résoudre la question , nous nous sommes servis soit d'un pied de sque
par les deux faces. Nous met- tons les résultats sous les yeux. La. question est résolue de cette façon. En ce. qui concerne
ais les cliniciens comme Thorburn, .111en Starr ont fait faire à la question des localisations motrices dans la moelle de vr
cette forme spé- ciale d'atrophie musculaire que réalise la main en question dépend bien de la pachyméningite cervicale ou b
ladie des tics. Donc, il n'est pas oiseux de se poser maintenant la question de savoir si, au point de vue de l'analyse symp
athologique des spasmes du cou. La thèse de Gauliez établit bien la question à ses débuts,enl884. L'au- teur réunit dix-huit
, de valeurs du reste diverses ; mais il est à peu près muet sur la question de physiologie pathologique, sur le siège de l'
usqu'à Erb, Rosenthal et Gowers, peut-il dire : « Vous le voyez, la question ne perd pas de son obscurité à celte revue des
n certain embarras. « Pardonnez-moi, monsieur, de vous adresser une question , sans avoir l'honneur d'être connu de vous. «
ttache à une querelle plus générale et assez importante. C'est la question du rôle de l'idée, du processus mental vrai dans
grosse de conséquences. Vous voyez qu'en tous cas ce n'est pas une question qui se présente pour la première fois à nos dis
e d'autres types : dans le chapitre que nous avons consacré à cette question dans notre Traité avec Rauzier, vous trouverez
a été très étudié dans ces derniers temps. De Quervain a résumé la question au point de vue chirurgical dans un travail réc
as un centre mental est notre centre polygonal. Abordant ensuite la question du traitement, de Quervain montre que le traite
ur agrégé Médecin de l'hôpital Saint-Antoine. , Messieurs, ' La question de l'Infantilisme en général est parmi celles don
myxoedème lui fournissent un gros regain d'actualité. Lorsqu'il fut question pour la pre- mière fois d'infantilisme dans que
te taille, et le plus souvent de petite santé. Et tout de suite une question se pose. Sont-ils de petite santé si souvent parc
nthropologis- tes italiens qui se sont attaqués dernièrementà cette question tendent à con- fondre l'infantilisme et le fémi
une conséquence des circonstances qui ont créé l'infantilisme. La question , vous le voyez, devient fort complexe et vous pou
à l'exemple des auteurs qui ont trouvé plus simple de laisser cette question sans réponse. J'em- prunterai la définition et
t. Et puisque c'est à propos de l'infantilisme myxoedémateux que la question de l'infantilisme tout entière est inopinément
alé l'existence des myxoedèmes atténués et frustes. Là est toute la question . S'il n'y avait pas de myxaedèmes frustes, il n
re d'émettre un diagnostic ferme (1). » Dans tout cela il n'est pas question d'infantilisme, mais seulement de myxoedème fru
ents, il avait appris à lire, à écrire, à compter. Il répondait aux questions qu'on lui adressait, avec une clarté et une pré
exactement de même des hommes chez qui le prétendu infantilisme en question ne re- lève pas de l'abolition primitive de la
nous-même (3) avons indiqué la bibliographie de cette intéressante question jusqu'en 1894, dans une note au sujet d'un cas
aire en pareille matière. Mais puisque celle gravure soulève ici la question de la possibilité de rencontrer sur les oeuvres
ductions pratiques. Il est un point, relatif au côté clinique de la question , qui mérite de fixer notre atten- tion ; au nom
ire du nerf vague se ren- dent au phrénique. Pour en revenir à la question que je soulevais à l'instant, Neumann s'est dem
nostic. Or, en l'espèce, la ques- tion de pronostic se double d'une question de médecine légale. En présence d'un de vos sem
aurez d'abord à vous prononcer sur le pronostic quoad vitam. Cette question met en cause votre réputation de praticien. Or,
de trois années. Il nous fournit donc des indications précises sur la question de pronostic, que je suis en train d'envisager.
essivement, jusqu'à disparaître dans bien des cas. A ce propos, une question a dû se poser à vous. Comment, avez-vous dû vous
d'une lésion traumatique des centres nerveux ? Messieurs, voilà une question embarrassante, à laquelle, dans l'état ac- tuel
vous faire une réponse satisfaisante. Elle se rattache à une autre question qui est encore fort con- troversée, celle de la
u exacte des nombreuses recherches' entreprises pour élucider cette question . Vous trouverez l'énumération des principaux trav
Chipault (1). S'il en est parmi vous qui désirent approfondir cette question , ils trou- verontlargement de quoi satisfaire l
ogie pathologique. Il me reste à envisager un dernier côté de cette question complexe de l'hémisection traumatique de la moell
ue la conséquence directe d'une lésion organique. La position de la question peut, somme toute, être définie dans les termes
r à lui faire avaler quelques cuillerées de lait et il n'était plus question de bromure depuis le 18. On le désha- billa pou
ue a fournis à la majorité des auteurs qui se sont occupés de cette question etont constaté en particulier une altération de
du centre de la cel- lule vers la périphérie ? Pour résoudre cette question adressons-nous aux données expérimentales. Le
braux, surtout de ce fait que la fonction trophique des cellules en question a été atteinte. La lésion des cordons postérieurs
des troubles trophiques articulaires d'apparence rhumatoïde. - Une question connexe est celle du rhumatisme chronique. Couyba
été attribuées. La courte description que donne Rosenthal du cas en question a trait à n'en pas douter à une arthropathie ne
arthrites infectieuses (il y avait de la fièvre hectique). La seule question en litige serait de sa voir si l'infection fut ba
membre comme l'admet Chipault lui-même. En tout cas il ne peut être question d'arthro- pathie nerveuse vraie (1). 3° Forme
rs si elle était primitive il faudrait qu'elle donnât la clef de la question et il s'en faut de beaucoup. Massalongo admet b
avons étudiés et la véritable arthropathie nerveuse ? Telle est la question que nous nous posons. Nous croyons pouvoir ré
présence dans le sang d'agents morbides. Ainsi les arthropathies en question sont essen- tiellement des arthrites et si elle
lation aux arthropa- thies mériterait d'être discutée. Il n'est pas question ici avec intention de la naladie de Brodie, où
e rattache à une querelle plus générale et assez importante. C'est la question du rôle de l'idée, du processus mental vrai dan
n, ne serait autre que le diable. IIommè ou démon, le personnage en question doit prendre place parmi les plus typiques figura
t par l'examen des difformités, on peut se demander si l'infirme en question n'est pas un Lépreux. Mais il faut aussi re- ma
son propre enfant. » . Ce malade était un Teigneux et l'épisode en question a été ^immortalisé par le chef-d'oeuvre de Muri
ins au point de vue de l'apparence extérieure dont il est seulement question ici, à celle qui constitue lesigne presque excl
Augsbourg, La Basilique de Saint Jean de à à Rome (1). L'infirme en question , qui, d'ailleurs, n'occupe qu'une place minime
ations de la face qui semblent avoir dé- figuré le pauvre diable en question , en rongeant une partie du nez, de l'o- reille
appui de l'hypothèse d'une représentation de Lépreux : l'infirme en question tient à la main une sonnette. Or, on sait qu'au
, n'importe quelle . autre affection cutanée. Sur la miniature en question « on voit sur tout le corps, et jusque sur le v
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