des enfants malades, atteints de lésions ner- veuses plus ou moins profondes ou de dégénérescences : imbéciles, arriérés, in

l'enfant est debout, il existe à ce niveau un sillon vertical assez profond pour contenir le doigt. lIIemb1'es. - Etant don

es ordinaires, mais sur le lobe inférieur on rencontre une scissure profonde . On constate sur ce dernier lobe quelques petit

lar- geur ; l'artère méningée moyenne s'y est creusée des sillons profonds . Sur le frontal, à droite et près de la suture bi

térieurs ascendants (ai, nt) et un rameau antérieur horizontal très profond et un peu sinueux. Le rameau postérieur horizonta

nd et un peu sinueux. Le rameau postérieur horizontal (a3) est très profond , large et se termine dans le lobule pariétal in

res le long de son bord inférieur. ' Le sillon deRolando (S. R.), profond et sinueux,prend son origine dans la scissure d

a scissure parallèle. Lobule orbitaire. - La scissure olfactive est profonde . La scissure orbitaire assez profonde figure de

. - La scissure olfactive est profonde. La scissure orbitaire assez profonde figure deux Il accolés par l'un de leurs bords

xième CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 41 circonvolution frontale est très profonde , mais est séparée du sillon fronto-marginal par

ée en plu- sieurs tronçons par des sillons transversaux et obliques profonds ; un pli de passage (pp.) la relie vers son tie

étal inférieur. La scissure parallèle (Se. p.) est sinueuse et très profonde . La deuxième circonvolution temporale (T.) est bi

ière scissure temporo-occipitale (Pr,. 1, Se. to) est sinueuse, peu profonde , irrégulière, interrompue par un pli de passage s

deuxième scissure temporo-occipitale (Sc. to.) est sinueuse, assez profonde , interrompue également par un pli de passage al

Face interne. - La scissure calloso-marginale (Sc. c.m.) est assez profonde , normale dans ses différentes parties. La premièr

e. sp.). - La scissure perpendiculaire interne (Sc. p. i.) est très profonde , béante. - Le coin (C) parait peu développé. -

volution fron- tale. Le sillon de Rolando (S. R.), sinueux, assez profond , est inter- rompu vers son quart inférieur par

a scissure parallèle. Lobule orbitaire. - La scissure olfactive est profonde . La scissure orbitaire est simple, le lobule à

us. La scissure frontale supérieure (Se. f. s.) est sinueuse, assez profonde , ainsi que la scissure frontale inférieure (Sc. f

Face interne. - La scissure calloso-marginale (Sc. c. m.), assez profonde , est normale dans ses différentes parties; elle c

rque un peu en avant de sa partie médiane un sillon en y grec assez profond , et en arrière un autre petit sillon transversa

re (L. Q.), très développé, présente en avant un sillon transversal profond , communiquant avec la scissure sous- pariétale

(p. p. a.-p. p. p.).-Lascissure perpendiculaire interne (Se. p. i.) profonde se termine à 2 centimètres du bord supérieur de l

lèlement à elle, sur le coin, se trouve une autre scissure (d) plus profonde qui va se jeter dans la scissure calcarine. Le co

carine (F. ca.), en dehors des anomalies 'déjà signalées, est assez profonde . Le corps calleux, le corps strié, la couche op

s, mais réguliers. Quant aux bruits cardiaques, ils sont nets, mais profonds , sourds. La respiration et la température axill

iculaire en arrière et en bas; pas de râle; bruits du coeur sourds, profonds , difficilement per- çus. Pouls presque insensib

rconvolutions sont bien dessinées et volumineuses; les sillons sont profonds et étroits. La dentition est très défectueuse.

etla nuque, très forte pour la taille du sujet, présente deux plis profonds séparés par un bourrelet de chair. A ce niveau, l

présentant quelques petites hémorrhagies fraîches, sans cicatrices profondes . La luette et les piliers sont gonflés, infiltrés

épaisseur moyenne, sutures visibles, sillon de la méningée moyenne, profond à gauche; du reste, pas de phénomènes de résorp

, 170 gr. Hémisphère gauche. La scissure de Sylvius est sinueuse, profonde , elle s'arrête à 5 millim. de la scissure inter

scissure interpariétale. Le sillon de Rolando très sinueux, assez profond , communique en haut avec la scissure frontale s

rectus bien déve- loppé. La scissure olfactive rectiligne est très profonde ; à quelques millimètres en dehors d'elle, le l

s autres parties sur un plan beaucoup plus élevé; la partie la plus profonde se trouve entre les deux branches de l'incisure

partie moyenne. La scissure frontale supérieure, si- nueuse, assez profonde , va se jeter dans le sillon de Rolando. La deux

frontale s'insère à la frontale ascendante par deux plis de passage profonds ; elle est également dédoublée sur presque tout

e dans sa partie pos- térieure. La scissure parallèle est sinueuse, profonde , bifurquée à ses parties supérieure et postérie

5 possède qne petite scissure horizontale et trois scissures plus profondes , perpendiculaires; la médiane appartient au sil

antérieurs et postérieurs, nettement séparés par des sillons assez profonds . La scissure perpendiculaire interne ne présent

. Le coin est assez gros, un peu en retrait. La scissure calcarine, profonde , est normale. La circonvo- lution du corps call

deuxième temporo-occipitale à la troisième temporale, et un sillon profond revient vers la partie antérieure de la premièr

11G TUBERCULOSE DE L1 PROTUBÉI\o\Xt : 8. est très sinueuse, assez profonde . La 3e frontale, dont le pied semble confondu a

mêmes particularités qu'à gauche. La scissure parallèle sinueuse, profonde , est bifurquée à sa partie postérieure et commu

en développée; la 2e scissure tempo- rale est presque rectiligne et profonde . Face interne. - La première frontale plus déve

on de la moitié postérieure de la première, les deux scissures sont profondes et réunies à leur partie la plus antérieure par

es dépolies. Contracture des extrémités plus accusée à droite. Coma profond . 20 octobre. Aucun trouble à la face, les yeux

yeux ne présentent aucune modification. Coma persistant mais moins profond , l'enfant sent le3 piqûres et réagit. Quelques

inférieure de F A. F A est volu- mineuse, mais présente une encoche profonde , transver- sale, à sa partie moyenne. Sur l'ext

ssous du tubercule dont il vient d'être question par une dépression profonde due au nodule tuberculeux de la pie-mère décrit

ssez volumineuses (t). - Face interne. - P, présente des plis assez profonds en avant, superficiels en arrière.- L P volumin

es sillons, sauf sur les points sus-indiqués, sont en général assez profonds . Les masses grises, les cornes d'A mmon ainsi q

rieure, atrophiée dans sa partie antérieure. Les sillons sont assez profonds . La scissure parallèle frontale est profonde da

Les sillons sont assez profonds. La scissure parallèle frontale est profonde dans toute sa hauteur, excepté au niveau de l'i

e est bien développée, très sinueuse. -- Le sillon de Rolando est profond . - La pariétale ascendante est très large dans

insula au fond de la scissure de Sylvius. La scissure parallèle est profonde et sinueuse. La deuxième circonvo- lution tempo

e frontale. Les sillons qui séparent ces trois circonvolutions sont profonds . La scissure paral- lèle frontale est tortueuse

ions sont profonds. La scissure paral- lèle frontale est tortueuse, profonde , ininterrompue sur presque toute la hauteur de

dante est très sinueuse et assez maigre. - Le sillon de Rolando est profond . La pariétale ascendante n'est pas plus dévelop

ure per- pendiculaire externe, à peu près ininterrompue, est très profonde . - Le lobule orbitaire est petit, mais se dis-

. - Le lobule paracentral est long. Il présente un sillon vertical, profond , en forme de T, ainsi qu'une encoche, terminais

du corps calleux est large et unie ; le sillon calloso-marginal est profond . Le lobe quadrf- latère est borné par des sillo

profond. Le lobe quadrf- latère est borné par des sillons larges et profonds . La scissure calcarine et la scissure perpendic

en les troubles de l'intelligence et de la motilité, la déchéance profonde et incurable observée chez cet enfant (2) et rend

surtout à la mâchoire supérieure. Voûte palatine assez large et peu profonde . Cou, 18 cent. et demi. Chapelets ganglionnaire

développée, coupée vers son milieu par une scis- sure transversale profonde qui semble continuer la scis- sure frontale sup

mètres envi- ron. Le sillon de Rolando est normal, sinueux, assez profond . La scissure parallèle frontale est presque com-

le à la frontale ascen- dante. La scissure interpariétale est assez profonde , sinueuse, possède un rameau ascendant. La scis

e un rameau ascendant. La scissure per- pendiculaire externe, assez profonde , limite par sa lèvre inférieure la lésion siége

du lobe temporal. Les différentes scissures delà face interne assez profondes et sinueuses paraissent normales, b) Face con

iné à son extrémité antérieure. La scissure frontale supérieure est profonde et sinueuse. La deuxième circonvolution frontal

atin : 38°.4. - Soir : 39°,G. 20 février. L'enfant est dans un coma profond ; les cor- nées sont vitreuses, mais encore sen

er sur la troisième frontale dont elle est séparée par une incisure profonde . - La troisième frontale, courte, très flexueus

-marginal, perpendiculaire interne et la scissure calcarine, sont profonds . La circonvolution de l'hippocampe est volu- mi

a scissure de Sylvius; la scissure paral- lèle est sinueuse et très profonde . - La deuxième tempo- rale, également très sinu

o- landique, la scissure de Sylvius, etc., sont, en général, très profondes et flexueuses. -Le lobe orbitaire présente à pe

de particulier.-Les scissures de cette face interne sont également profondes et en général assez si- nueuses. Il existe su

u delà de ce pli de pas- sage elle est interrompue par une incisure profonde ; en- suite, elle se dédouble légèrement et s'i

e sorte que, entre ce bord et l'insertion, il existe une incisure profonde . La seconde est dédoublée dans ses deux tiers i

lobe occipital ; elle est séparée du lobe temporal par une incisure profonde . La première temporale, assez maigre, flexueuse

lobe occipital sont amaigries et tassées ; leurs sillons sont très profonds . La scissure de Sylvius, le sillon de Rolando e

. La scissure perpendiculaire interne et la scissure calcarine sont profondes , mais tous les autres sillons de cette face son

d'Ammon paraissent normaux. Lobe orbitaire. Les scissures sont peu profondes , les circonvolutions ont un léger aspect chagri

pariétal inférieur, de forme triangulaire, est séparé par un sillon profond du pli courbe avec lequel il communique en haut

ando, le sillon parallèle et la scissure de Sylvius sont en général profonds , mais la plupart des sillons secondaires sont a

ns que du côté opposé. La scissure perpendiculaire externe est très profonde . - La circon- volution de l'hippocampe est cour

s n'offrent rien à noter. Le lobe orbitaire a des scissures assez profondes . La cir- convolution du nerf olfactif est recti

osées en séries, mais dispersées et globuleuses. Celles des couches profondes sont allongées, granuleuses et très fortement c

des circonvolutions, comprenant une paroi superficielle, une paroi profonde , un contenu. La paroi superficielle, brunâtre,

eux parce que ce liquide n'a pas été coagulé par l'alcool. La paroi profonde est formée par la substance grise dans laquelle

ersalement et longitudinalement; les rides longitudinales sont plus profondes . A 3 centimètres au- dessous du nombril, se tro

u'au fond de la vallée de Sylvius. Les sillons du lobe frontal sont profonds . La scissure de Syl- vius est normale. La front

supérieurs, grêle vers sa partie moyenne. Le sillon de Rolando est profond et sinueux. La pariétale ascendante est sinueus

euse et assez grêle. La scissure inter- pariétale, très sinueuse et profonde , est interrompue au niveau de sa courbure par u

upant la scissure perpendiculaire externe qui, ici, est complète et profonde ; cette dernière, interrompue à son tiers supéri

t nettement séparée du lobule pa- riétal inférieur par une scissure profonde , horizontale; la scissure parallèle est sinueus

issure profonde, horizontale; la scissure parallèle est sinueuse et profonde , communique par trois larges et profondes sciss

parallèle est sinueuse et profonde, communique par trois larges et profondes scissures avec la seconde scissure temporale, t

age. b) Face interne. La scissure calloso-marginale est sinueuse, profonde ; le sillon paracentral est bien déve- loppé et

fronto-pariétale interne, perpendiculaire interne et calcarine sont profondes , la dernière assez sinueuse. La première circon

n développé, de forme triangulaire, avec un sillon curviligne assez profond . La circonvolution du corps calleux est aussi b

nt les mêmes particularités qu'à gauche. Les sil- lons sont de même profonds . La scissure de Sulvius est . normale. La front

nte est moins bien développée et sinueuse. Le sillon de Rolando est profond et sinueux. La scissure interpariétale présente

che. b) Face interne. La scissure calloso-marginale est sinueuse, profonde ; le sillon paracentral n'atteint pas la scissu

ien développé et tout à fait différent par son sillon bifurqué et profond , du lobe paracentral gauche. Toutes les autres

paracentral gauche. Toutes les autres scissures de cette face sont profondes , sinueuses et n'offrent rien de particulier. To

ser que, à l'autopsie, nous trouve- rions des lésions plus ou moins profondes , et, en particu- lier des altérations des ménin

fre n'est pas élevé et que le trouble de la con- naissance n'est ni profond ni prolongé (1) ». ' Les faits seuls, rigoureus

iffre n'est pas élevé et que le trouble de la connaissance n'est ni profond , ni prolongé. » C'est exactement l'opinion qu

exception, repa- rait, je l'ai placé à juste titre dans le trouble profond et persis- tant de la connaissance... (1) » C

araissent, le malade tombe dans un assoupis- sement de plus en plus profond , la température subit une nouvelle ascension, q

phère droit. a) Face convexe, - La scissure de 5- vius est normale, profonde , toutefois son rameau postérieur, horizontal, s

e dans le pli pariétal inférieur; son rameau antérieur, horizontal, profond , sinueux, se pro- longe à travers les trois cir

èle frontale anté- rieure. - Le sillon de Rolando est sinueux, très profond . - La scissure perpendiculaire externe est égal

convolution frontale. - La scissure frontale suc- rieure, sinueuse, profonde , est interrompue par les deux der- niers plis d

que dans sa partie la plus postérieure où elle forme une enco- che profonde d'environ 1 centimètre 1/2. La troisième cir- c

circonvolution frontale ascendante; AUTOPSIE. 247 Î elle est très profonde , sinueuse et irrégulière. - La circonvu- lution

rallèle; au-delà de son coude, elle fournit : 1° en haut, un sillon profond , divisant le pli pariétal supérieur en deux par

de son origine en deux branches, dont l'une, l'antérieuro, est peu profonde et semble continuer la direction de la scissure

euse, présente un développement normal. La scissure parallèle, très profonde , se continue, interrompue seulement par des pli

de, se continue, interrompue seulement par des plis de passage très profonds , jusque dans la scissure interpariétale. - La d

emporale et au lobe occipital. Le deuxième scissure temporale, très profonde , est interrompue par un de ces plis do passage.

déve- loppée qu'à gauche. Les scissures temporo-occipitales sont profondes et sinueuses. b) Face interne. -La scissure cal

térieur et postérieur. La scissure perpendiculaire interne est très profonde . Lo coin est plus développé qu'à gauche. La sci

plus développé qu'à gauche. La scissure calcarine est ré- gulière, profonde . Hémisphère gauche. - a) Face convexe. - La sci

re gauche. - a) Face convexe. - La scissure de Sylvius est normale, profonde . Il en est de même du sillon de Rolando et de l

terminer dans la scissure frontale supérieure, qui est sinueuse et profonde . A son quart postérieur, cette dernière communi

A son quart postérieur, cette dernière communique, par un sillon profond , avec la scissure frontale inférieure, très profo

, par un sillon profond, avec la scissure frontale inférieure, très profonde , irrégulière ; celle-ci est interrompue par deu

Le pli pa- riétal supérieur est bien développé ; un pli de passage profond le fait communiquer aussi avec la première circ

vers sa partie moyenne, sa continuité est interrompue par un sillon profond , bordant postérieurement un pli de passage à ni

o-limbique postérieur.-La scissure perpendiculaire interne est très profonde . Le coin et la scissure calcarine sont normaux.

(thalamus). - 11ft, ttpliia thalamii. Tp, circonvolution temporale profonde . - U, circonvolution du crochet. - li, troisièm

quadrijumeau antérieur; ses couches superficielle (1), moyenne (2) et profonde (3). - li1'lz, radiations optiques de Gratiolet

n de Heit. SR, formation réticulée. - stratum moyen ; Slip, stratum profond ; Sirs, stratum superficiel des fibres transversal

inée sous- lenticulaire de Reichert. - T,, circonvolution temporale profonde . - T'ap, tapetum. Tga, Tgp, piliers antérieur e

cipent pas à l'entre-croisement sensitif du bulbe. Au lieu d'être profondes , ces fibres aberrantes peuvent être quelquefois

Fig. 35. - Le pied du pédoncule cérébral, sa couche intermédiaire ou profonde , et le pes lemniscus profond. - Coupe transvers

cérébral, sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes lemniscus profond . - Coupe transversale du pédoncule cérébral, au v

son grand entre-croisement inférieur (xiPcs). - l'Lp, pes lemniscus profond . lIlII, ruban de Reil médian. RL, ruban de Reil

us les noms de pes lemniscus superficiel (PLs) et de pes plemniscus profond (PLp). Le pes lemniscus profond est constant, l

erficiel (PLs) et de pes plemniscus profond (PLp). Le pes lemniscus profond est constant, le superficiel est relativement r

cérébral, en particulier du stratum intermedium et du pes lemniscus profond , par les fibres transversales du pont et leur a

, ses fibres horizontales et les fascicules dissociées de sa couche profonde . - 171 ? valvule de \'ieussens. - l ? quatrième

al, de la partie correspondante du locus niger (Ln), du pes lemniscus profond (PLp, Fig. 37) et du pes lemniscus superficiel

belleux supérieur; xPcs, son entre-croisement. - PLp, pes lemniscus profond . - plus, pes lemniscus superficiel. - Qa, tubercu

stérieur du trigone. - ? fibres du fornix longus. qui bordent la face profonde du corps calleux et se rendent dans le septum l

terne de la couche optique est croisé par les radiations olfactives profondes ; il est situé en arrière de l'ex- trémilé front

: , pédoncule du tubercule mamillaire. - Rolp, radiations olfactives profondes . - Spo. substance perforée antérieure ou aire o

Elles représentent les radiations les plus supérieures et les plus profondes du tubercule quadrijumeau antérieur, et dégénèr

le segment rétro-len- ticulaire de la capsule interne et la partie profonde du corps genouillé interne. - Cette coupe intér

'adossent au ruban de Reil médian (Rm), en formant le pes lemniscus profond (Voy. Fig. 35, 3G, 37, 38). D'autres contournen

t au ruban de Reil médian (Rm); elles consti- tuent le pes lemnicus profond (voy. p. je), véritables fibres aberrantes de l

nales de la protubérance et se continue avec une fibre de la couche profonde du pédoncule cérébelleux moyen gauche. - fb (co

t pénètre dans le cordon postérieur droit. - fb', fibre des couches profondes du corps restiforme droit qui entre en connexio

niger de Meynert) (SS,Fig. 51, coupe 1), elles occupaient la couche profonde ou stratum intermedium des parties in- terne et

occupent le bord interne du pied du pédoncule cérébral, deviennent profondes dans la partie inférieure du pédoncule et occup

pédoncule et occupent alors la partie interne de la couche dorsale ou profonde ; elles aboutissent finalement à la substance gr

sque les fibres cortico-protubérantielles antérieures sont devenues profondes . c) Quant aux fibres du noyau lenticulaire, les

ortico-protubérantiel pos- térieur et, dans les couches internes et profondes du pied du pédoncule des fibres d'ori- gine cau

néus et de la scissure pariéto-occipitale occupent une situation plus profonde (Voy. T. 1er, pg. 794-799). L'extrémité effilée

uième externe du pied du pédoncule cérébral, du pes lcm- niscus profond , du lo- cus niger, des noyaux pontiques. Dégé

cule cérébral (Cip (d,), P d), du locus niger (Ln), du pes lemnicus profond ; dégénéres- cence très intense de la pyramide a

uième externe du pied du pédoncule cérébral, du pes lem- niscus profond , du le- cils des no} aux pontiques. Dégéné-

s la calotte pédonculaire; d'autres consti- tuent le pes lemnicus profond (p. 51), s'a- dossent au ruban de Reil médian (

part des fibres dégénérées se portent, en effet, vers les couches profondes du bord interne du pied du pédoncule et une p

, dans cette région ventrale du thalamus qui correspond à la partie profonde du corps genouillé interne (Cgi) (Fig. 132). En

nquième ex- terne du pied du pédoncule cérébral, du pes lemniscus profond (Stri) et du locus niger. Dégénérescence partie

l. La Fig. 1G9 permet de suivre, en outre, le trajet des radiations profondes du tubercule quadrijumeau antérieur (RQa) à trave

re du noyau externe du thalamus et détruit en particulier la partie profonde du corps genouillé interne, la ré- 1 ic. 189. -

a partie postérieure et inférieure du noyau externe (Ne), la partie profonde du corps genouillé interne, et la région dite

ncule cérébral, du stratum intermedium (Stri) et du pes lemniscus profond . Dégénéres- cences des fibres radiées, de la la

orme générale du cerveau normal. Il existe une faux du cerveau, une profonde scissure interhémisphérique et à la face inférieu

t hydro- céphalie. Face supérieure de l'encéphale. Les lèvres de la profonde scissure inter- hémisphérique (sih) se sont éca

s grande (fin.215) et n'intéresse que l'insula, une partie de la face profonde de l'opercule sylvien, la pointe et la partie a

n arrière. Cel hydrocéphale possède une scissuie interhémisphérique profonde (Fig, 213) et une faux du cerveau bien développ

ssure interhémisphérique devient alors superficielle pour redevenir profonde dans la région orbitaire des lobes frontaux (Fig.

(Voy. cas OHier,Fig.237) ou dans les agénésies du corps calleux. Le profond sillon transversal de la parlie postérieure de la

hémaloxyline (Fcj. En dedans des fibres calleuses, dans les couches profondes de la membrane épendymaire, on trouve dans le lob

ticulaire de la capsule interne (Cisl) et les radiations olfactives profondes (Rolp). Le segment postérieur (Cip) de la capsu

la tête - toujours transitoire, constatée dans les lésions en général profondes du lobule pariétal inférieur serait un symptôme

ent inté- resser la sensibilité superficielle et la sensibilité profonde ; le sens musculaire et le sens stéréognos-

superficielle (tac- tile, douloureuse, thermique) et la sensibilité profonde (articulaire, muscu- laire). Ils peuvent intére

l'association de différentes sensations simples, superficielles et profondes . Dans son acception la plus large, le sens stér

res, provenant de la sensibilité superficielle et de la sensibilité profonde , mais c'est surtout la sensibilité profonde qui

le et de la sensibilité profonde, mais c'est surtout la sensibilité profonde qui nous donne la notion de la forme de l'objet,

nt plus du- rables que la lésion corticale est plus étendue et plus profonde , partant, a détruit un plus grand nombre de fib

s'observent en effet dans ces cas, que lorsqu'il s'agit de lésions profondes qui atteignent l'épendyme ventriculaire et détr

e, l'aphasie sensorielle, et relèvent en général de doubles lésions profondes du lobe occipital qui détruisent les radia- tio

fondeur, les radia- tions olfactives sont dites superficielles ou profondes . Les radiations olfactives super- ficielles n

le neurone olfactif de deuxième ordre. Radiations olfac- tives profondes . tifs, et dans leur intervalle souvent fort .ir

un neurone olfactif de troisième ordre. Les radiations olfactives profondes (1-'tolp)(Fig. 231) formenl la substance blanch

factives profondes (1-'tolp)(Fig. 231) formenl la substance blanche profonde du pédoncule et du tubercule olfactifs. Elles se

commissure antérieure (coa). A ce niveau, les radiations olfactives profondes divergent : une partie se porte en haut, en arr

e autre partie des radiations Fin. 251. - Les radiations olfactives profondes et leur trajet à travers l'aire olfactive en pa

édoncule. - 1'01, pédoncule olfactif. Rolp, radia- tions olfactives profondes . - Toi, tubercule olfactif. - Il, bandelette opti

rs terminai- sons. 266 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. olfactives profondes poursuit son trajet antéro-postérieur (Fig. 252),

gone. - GGJ, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédon

Roli, radiations olfactives internes. - Rolp, radiations olfactives profondes . - sL, strie de Lancisi. - Spl, splenium ou bourr

mamillaire, mais il est possible que quelques radiations olfactives profondes , poursuivant leur trajet, entrent dans la const

calotte du pédoncule cérébral (Fig. 252). Les radiations olfactives profondes ne reçoivent aucune fibre mitrale, aucune fibre

es nées des cellules de l'aire olfactive. Les radiations olfactives profondes constituent des neurones de troi- sième ordre d

la région sous-thalamique et sectionnant les radiations olfactives profondes , le faisceau septo-thalamique, le faisceau de V

aTh, pédoncule antérieur du thalamus. - Rolp, radiations olfactives profondes . - SI, septum lucidum. Tma, tubercule mamillair

les dans le noyau amygdalicn. FiG. 254. - Les radiations olfactives profondes , la partie antérieure du taenia semicir- culari

. pédoncule du tubercule mamillaire. - Roll), radiations olfactives profondes . - tya, substance perforée antérieure. - Th, th

SI ? , formation réticulée. - Slrm, couche moyenne. - Slrp, couche profonde . - Sirs, couche superficielle des libres transv

quadrilatéral, situé au-dessous du corps calleux (Fig. 257,258). Un profond sillon médian(s Tg), d'autant plus étroit que l'o

sa partie antérieure. Néan- moins, il existe dans les deux cas une profonde scissure interhémisphérique logeant la faux du

e corps du trigone repose sur la toile choroïdienne, qu'un sillon profond divise sa face inférieure en deux parties droit

rte obliquement en dedans et en avant, et atteint bientôt la partie profonde du sillon médian du corps du trigone. Il se pla

ito- frontal (OF), en particulier des fibres qui occupent la couche profonde sous-épen- dymaire. FIBRES DE PROJECTION DE L

poral du faisceau occipito-frontal, ses libres occupent les couches profondes de l'épendyme ventriculaire et sont particulièrem

fibres à direction sagittale qui empiètent en dedans sur la couche profonde de la membrane épendymaire particulièrement épais

rveau dans le losange opto-pédonculaire, et un sillon plus ou moins profond le sépare alors du noyau interne. Le noyau exte

u raphé, en avant du faisceau longitudinal postérieur : le ganglion profond de la calolle de Gudden (GGp, Fig. 252). Chez l

ent dans deux amas ganglionnaires décrits par Gudden, les ganglions profond et dorsal de la calotte (Fig. 252). Le ganglion

s ganglions profond et dorsal de la calotte (Fig. 252). Le ganglion profond , qui reçoit en outre des fibres du faisceau de

e Golgi; elles sont en général volumineuses, occupent les parties profondes du corps strié et sont pourvues de dendrites ép

niger (Ln),du stratum intermedium, en particulier du pes lemniscus profond (PLp), dont les fibres s'accolent dans les région

au centre médian de Luys (Nm),et occupe en particulier cette partie profonde du noyau externe que nous avons désignée sur le n

ied du pédoncule céré- bral, du locus niger, du pcs lemniscus profond , des noyaux pontiques. du fais- ceau py ramda

de Reil situées au-dessus des fibres dégénérées que le pes lemnicus profond (PLp) envoie au ruban de Reil médian; il existe e

et 284), du tiers moyen du pied du pédoncule et du pes lemniscus profond (PLp), Fig. 28 : i). Dé- générescence de la moi

égénérescence partielle du faisceau de Turck (FT), du pes lemniscus profond (PLp), du pes lemniscus superficiel et des fibr

rieur du trigone. - fi, fibres du fornix longus qui bordent la face profonde du corps calleux et se rendent dans le septum luc

s la région pédonculaire inférieure, 'envoie par le pes lemniscus profond (Plp) quelques fas- cicules aberrants de la voi

e du pied du pédoncule (P), du locus niger (Ln) et du pes lemniscus profond (PLp), qui fait suite à la dégénérescence capsu

érescence des voies aberrantes du pied du pédoncule : pes lemniscus profond (PLp) et pes lemniscus superficiel (PLs) (Fig. 30

pied du pédonculo cérébral , du locus niger. du pes lem- niscus profond et du pes lemniscus super- ficiel. Dégénères

pied du pédoncule cérébral, du locus niger, dupes lem- niscus profond et du pes lemniscussuper- ficiel. Dégénéres-

pied du pédonculo cérébral, du locus niger, du pes lem- niscus profond et du pes lemniscus super- liciel. Dégénéres-

pied du pédoncule cérébral, du locus niger, du pes lem- nisciis profond et du pes lemniscus super- ficiel. Dégénéres-

s dégénérées de la voie pédonculaire, en particulier le pes lemniscus profond (PLp) et le pes lemniscus superficiel (PLs), s'

du pédoncule cérébral (P, I), du locus niger (Ln), du pes lemniscus profond (PLp), et du pes lemniscus superficiel (PLs) cons

pédoncule olfactif. - 7 ? pulvinar. - liolp, radiations olfactives profondes . - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche

loso-marginal ; cm', sa branche verticale. cp, la couche des fibres profondes du tubercule quadrijumeau antérieur. - CR, le seg

es fibres terminales cortico- thalamiques qui constituent la couche profonde du stratum zonale, ce dernier contient en outre

tique de nom- breuses fibres rétiniennes qui sont superficielles ou profondes : .' Les fibres superficielles passent les unes

re considérable de cellules nerveuses (Fig. 314 c, D). Les fibres profondes traversent le corps genouillé externe et concoure

terne. Mais toutes les fibres rétiniennes, soit superficielles soit profondes , ne se terminent pas dans le corps genouillé ex

t D, fibres optiques pourvues d'une arborisation terminale dense et profonde . - E, faisceau des voies optiques centrales. -1 ?

lles se termineraient par des arborisations libres dans les couches profondes de la rétine (Voy. nerf optique, p. r23). Che

nent en partie au bras du tubercule quadrijumeau antérieur. Sa face profonde el adhérente reçoit du bras du tubercule qua- d

nte des fibres abérrantes (pes lemniscus superficiel, pes lemniscus profond , etc.) que la voie pédonculaire envoie au ruban

tinuent sans ligne de démarcation nette avec la couche des fibres profondes (cp) du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa).

e interhabenulaire. - cop, com- missure postérieure. - cp, couche profonde des fibres du tubercule qua- drijumeau antérieu

e véritable commissure inlerlhala- mique ; en partie dans la couche profonde du tubercule quadrijumeau antérieur et dans la

isceau de Vicq d'Azyr, p. 299) ; 3° Par les radiations olfactives profondes et le faisceau septo-tlaalanzique, (Voy. p. 262

nétique. Ses connexions. Sa structure. limité en arrière par le profond sillon sous-pinéal qui le sépare du tuber- cule

libres thalamiques ne sont pas toutes superficielles; il y en a de profondes qui se rendent au l;¡mia thalami et au ganglion

du corps strié). Elles suivent le trajet des radial ions olfactives profondes (Rolp) (Fig. `>5't) et du faisceau septo-tha

coupes liorizontales détermine dans ce dernier une échancrure assez profonde (Fig. 320, 321 et 322, T. le ? p. 641 et suiv.)

e du ganglion et affectent souvent l'aspect d'un fuseau. Les cellules profondes pos- sèdent des dendrites plus courtes, plus ve

e qui appar- ient en réalité au cerveau moyen, puis tapisse la face profonde des tuber- cules mamillaires, du chiasma et des

le tuber cinereum, et qui appartiennent aux radiations olfac- tives profondes ou aux fibres des ganglions du tuber cinereum.

- blement au faisceau septo-thalamique et aux radiations olfactives profondes , longent la partie interne de la tête du noyau

ce lame de substance grise. Chez l'homme, elle occupe une situation profonde dans toute la longueur de son trajet; chez le lap

fonde dans toute la longueur de son trajet; chez le lapin, elle est profonde sur la ligne médiane où elle est située au-dessus

neurones olfactifs de t-oisieme ordre. Radiations olfac- tives profondes . foré antérieur, etc.) et les centres olfactifs

dre, et représentés par les radiations olfactives superficielles et profondes , le læina semicircularis et le trigone cérébral

e taenia semicircularis (tsc) (Fig. 327). Les radiations olfactives profondes relient les centres olfactifs primaires : 1°

e le ganglion inter-pédonculaire envoie aux noyaux de Gudden (noyau profond (GGp) et noyau dorsal (GGd)) de la calotte pédo

eprésente une voie très homologue à celle des radiations olfactives profondes , tout en présentant un trajet dis- tinct. Il as

ne. - GGd, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. - GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédon

ie ou radiations olfactives internes. - Rolp, radiations olfactives profondes et leurs connexions : i, avec la partie olfactive

çoivent les fibres centripètes terminales des radiations olfactives profondes (Rolp,0), du faisceau olfactif du trigone (Fol)

337). Le cervelet embrasse le tronc encéphalique dans une sorte de profonde gouttière, le déborde largement sur les côtés,

côtés, et lui est uni par trois paires de pédoncules. Une large et profonde scissure, la scissure semi-lunaire ou marginale

épare en avant et en haut de l'isthme postérieur, une scissure plus profonde encore, la fente cérébrale postérieure, le sépare

ères cérébraux qui le recouvrent entièrement, et dont le sépare une profonde scissure : la grande fente cérébrale transverse q

la base échancrée en arrière. L'échancrure postérieure, étroite et profonde , loge la faux du cervelet et porte le nom d'inc

s cérébelleux débordent le vermis en arrière. Un sillon transversal profond , le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (sillon

dans le sens transversal, ils sont séparés l'un de l'autre par une profonde scissure sagittale et médiane, la vallée (vallecu

odule (No) en avant, et la luette (Uv) en arrière (Fig. 31). Deux profonds sillons, convexes en dehors, les sillons longitud

ent de chaque côté le vermis inférieur des hémisphères cérébelleux. Profonds en avant où ils aboutissent au nid de pigeon ou

oc), de lobule du nerf vague ou pneu- mogastrique (Vicq d'Azyr). Un profond sillon, le sillon inférieur de Vicq d'A ? yr (s

tent un sillon large et superfi- ' ciel en dedans, mince, effilé et profond en dehors, le sillon marginal antérieur (sma),

ieure et correspondent à la partie horizontale du sinus latéral. Un profond sillon, le grand sillon circonfé- Fig. 333. -L'

t en lobes, lobules, lames el lamelles ou circonvolutions. Les plus profonds pénètrent jusqu'au noyau blanc central du cervele

iciels servent à délimiter les lames et les lamelles. Les sillons profonds , inle1'lobaires ou interlobulaires occupent en gé

deur n'est pas forcément la même dans tout leur trajet : tel sillon profond au niveau des hémisphères devient superficiel a

devient superficiel au niveau du vermis, et, vice versa, tel sillon profond du vermis devient superficiel dans les hémisphè

curv i- Igncs du ccrv clct. Leur profondeur variable. Sillons profonds mtcrlolJail'c et¡utcI'- lobulaire. Leurs va

Fig. 336, 339, 3111, 31-3). Quelques- unes de ces lames et lamelles profondes font suile aux lames superfi- cielles ; d'autre

les profondes font suile aux lames superfi- cielles ; d'autres sont profondes dans tout leur trajet, longent l'une des lèvres

vent être superficielles au niveau de l'hémisphère droit et devenir profondes au niveau ou au delà du vermis, et vice versa.

en général des lamelles qui lapis- sent les faces superficielle et profonde d'un lobule s'implanter à angle droit sur une l

phères sont séparés de chaque côté du vermis par un sillon sagittal profond , ou encore dans la région postérieure du cervelet

amelles qui tapissent le fond du sillon post-pyramidal. Les sillons profonds , qui atteignent la substance blanche centrale,

classification rationnelle serait facile à établir, si les sillons profonds du vermis conservaient leur profondeur dans les

eloppement de sa substance blanche cen- trale, sont en général plus profonds que ceux des hémisphères; cette particularité e

e : il s'ensuit forcément que les sillons de cette région sont plus profonds dans les hémisphères que dans le vermis. Les hé

possèdent en outre un nombre beaucoup plus considérable de sillons profonds que le vermis, ainsi que le montre la comparaison

ement avec une des lamelles du vermis; seules les lamelles les plus profondes , situées au voisinage du pédicule d'in- serti

ticale, plus ou moins sail- lante, limitée de chaque côte par les profonds sillons lon- gitudinaux inférieurs droit et !

ieure et à la facc antérieure du cervelet. Limité en avant par la profonde incisure semi-lunaire qui sépare le cervelet de

titue un des lobes les plus volumi- neux du cervelet. Trois sillons profonds qui atteignent la substance blanche centrale du

teindre la substance blanche cen- trale du cervelet, et d'être plus profonds dans leur partie moyenne que dans leur parties

hémisphériques (Fig. 338 et 339). Le sillon précentral est le moins profond et le plus antérieur; il sépare le lobe de la l

interne du sillon marginal antérieur et se continue en haut avec le profond sillon qui sépare le cervelet des tubercules qu

ransverse antérieur ou sillon préclival (sta) est le sillon le plus profond et le plus étendu du lobe supérieur. Il entaille

melles et dont quelques-uns sont extrêmement saillants. Ces lobules profonds sillonnent obliquement le fond du sillon et dev

du lobe du déclive et représentent de véritables lobules de passage profonds , tout à fait comparables aux plis de passage pr

es de passage profonds, tout à fait comparables aux plis de passage profonds de l'écorce cérébrale. Loues secondaires. Ces l

à la surface du cervelet dans la région hémisphérique. Ces lobules profonds se jettent en effet soit sur la face postérieure

post-central. - ssV. sillon supérieur de Vicq d'Aiyr et son lobule profond . - sla, sillon transverse anté- rieur séparant

ntérieur au voisinage du sillon longitudinal droit, forme un lobule profond à la face postérieure du culmen, puis redevient s

Variétés d'aspect et asymétrie. Les lobules posté- rieurs sont profonds dans la moitié exté- rieuro do leur partie

t tapissée, surtout dans sa partie médiane ou vermienne, de lobules profonds très bien délimités qui deviennent rapi- dement

hancrure marsupiale, les sillons longitudinaux supérieurs sont plus profonds et le délimitent mieux des parties hémisphériqu

ur le lobe postérieur et représentent de véritables plis de passage profonds qui relient le lobe supé- rieur au lobe postéri

rieur est limité en avant parle sillon post-pyramidal extrême- ment profond dans la région du vermis, plus superficiel dans l

hères, sillon qui sépare le lobe postérieur du lobe inférieur. Deux profonds sillons, le grand sillon circonférentiel de Vicq

es lamelles et lobules transversaux et forme la lèvre supérieure du profond sillon post-pyramidal. Les lobes semi-lunaires

s, Fig. 336, 358, 359, 3G0), le sillon supérieur devient rapidement profond dans la région des hémisphères, grâce au dévelo

(Lsls) du lobe semi-lunaire ini'éricnr(Lsli). C'csUe sillon le plus profond de l'hémisphère, mais il ne s'étend pas nécessair

, 314. 131, bourgeon terminal. - LP, lobe postérieur. - 11), lobule profond du sillon supérieur de Vicq d'Azyr.- Lqa, lobe

a direction est à peu près parallèle à ce sillon. Une mince lamelle profonde , qui unit en dehors les deux lobes semi-lunaire

H-), l'homologue du sillon supérieur du même auteur, est un sillon, profond en dedans, plus superficiel en dehors, qui appa

ieur (Lsli) du lobe grèle (Lbr). Il se con- tinue en dedans avec le profond sillon post-pyramidal (spop) qui sépare le lobe

Le fond du sillon inférieur est souvent tapissé de plis de passage profonds qui relient le lobe semi-lunaire inférieur au lob

autres lobes hémisphé- riques une face superficielle et deux faces profondes , l'une supéro-anté- TOMK il. 30 Fic. 343. - L

X. Ses faces. Lames et lobules secondaires. Plis de passage profond reliant le lobes semi-lunaire; supérieur et m

rcourent toute la largeur de l'hémisphère. Un sillon interlobulaire profond la sépare en deux parties sensiblement égales q

yr, décrivent des courbes plus ou moins régulières, et sont souvent profonds dans leur partie moyenne, et super- ficiels à l

lunaire inférieur, formant ainsi des plis et des lobules de passage profonds qui relient les deux lobes semi-lunaires d'un m

érieure et inférieure du cervelet et se rencontre chaque fois qu'un profond sillon sépare la région vermienne de la région

e grêle, auquel elle est unie par de nombreuses lamelles de passage profondes qui tapissent le fond du sil- lon inférieur de

orme semi-lunaire caractéristique du lobe. Un sillon interlobulaire profond , que l'on peul désigner sous le nom Ses dimensi

la profondeur du sillon semi-lunaire (ssl) où ils forment un lobule profond , mince et aplati en lame de couteau, qui se jet

il concourt à former la lèvre inférieure. Un sillon intcr-lobulaire profond , le sillon du lobe grêle (sgr, Fig.3H.) (sulcus

occulus, l'ouverture loge les amygdales et le bulbe rachidien. Deux profonds sillons, les sillons post et pré-pyramidaux délim

tion. Lobe digastrique. Le sillon post-pyramidal (spop) est très profond dans la région du ver- mis, où il sépare la pyr

re de la pyramide, qui sont d'autant plus larges qu'elles sont plus profondes , mais encore toutes les lamelles des lobules an

latéral du quatrième ventricule; 2° le Ilocculus dont le sépare un profond sillon dans lequel on trouve les lobules access

e d'une empreinte oblique en arrière et en dedans, et plus ou moins profonde , Y empreinte jugulaire (Fig. 332) qui loge le r

lamelles à direction presque sagittale; un sillon antéro-postérieur profond (Fig. 3 ? ), le sillon digastrique, la subdivise

obules tertiaires. Un de ces sillons peut devenir quelquefois assez profond , et le lobe digastrique comprend dans ces cas t

es de la luette forment, avec les valvules de Tarin, une excavation profonde , sorte de loge ou de niche, située à la partie

tapissés chacun de deux à cinq ou sept lamelles, et séparés par de profonds sillons inter-lobulaires. Ces lobules se réunis

té- rieur 476 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Module. Situation profonde . Faces. ou vermienne, le nodule, de ses parti

e ou vague, appelés encore flocculus ou flocon; 3° par la situation profonde du nodule qui occupe l'extrémité anté- ricure d

ant, dans le fond duquel on rencontre fréquemment quelques lamelles profondes , sessiles, adhérentes au pédoncule cérébelleux

yen (Fig. 319). Sa limite supérieure est marquée : en avant, par un profond sillon, le sillon pédonculo-protubérantiel ou 1),

s cérébraux el forme sur la ligne médiane le trou borgne supérieur, profond diverticule triangulaire limité en haut par la

333). Sur la ligne médiane elle présente un sillon longitudinal peu profond , bordé de chaque côté par un relief longitudinal,

galement chez l'homme, mais chez ce dernier il occupe une situation profonde , masqué qu'il est par les libres transversales

ge de la protubérance dans un diver- ticule triangulaire, médian et profond , le trou borgne de Vicq d'Azyr. A sa partie moy

as la protubé- rance dont elle est sépa- rée par une dépression profonde , la fossette de l'éminence olivâtre de Vicq (

VIe paire, et la fossette latérale du bulbe en arrière, diverticule profond communiquant avec le précédent et dans lequel o

- tricule. au-dessus du rebord falciforme une poche plus ou moins profonde , llasque et affaissée (Fig. 353 et 354). A la

le sillon lon- gitudinal médian, qui se continue en haut avec le profond sillon de même nom de l'aqueduc de Sylvius, s'é

plancher rhomboïdal (Fig. 355). La fossette inférieure est la plus profonde ; elle est de couleur gris foncé; irrégulièremen

cinerea. La fossette supérieure (fsa, fst) (fovea anterior), moins profonde que l'inférieure, est remarquable par sa colora

les coupes, mais elles sont dans ce cas plus ou moins développées, profondes et recouvertes par une épaisse couche de substa

r le diverticule angulaire du quatrième ventricule, diverticule peu profond dans la région du vermis, où il présente de chaqu

issée de plis, de festons, de dentelures plus ou moins saillants ou profonds , recoupés eux-mêmes CONFIGURATION INTÉRIEURE DU

ial. de denticules. Les plis sont plus nombreux, plus étendus, plus profonds , dans les régions supérieure et inférieure du c

. Ils mesurent 3 il 10 millimètres de longueur, sont séparés par de profondes incisures et pénètrent dans la substance blanch

isement commissural (Eca) cle Stilling, et dont l'autre, interne et profond (fsmi), est situé en dedans de l'olive cérébelleu

les diviser en trois couches, qui sont l'une superficielle, l'autre profonde , la troisième intermédiaire ou moyenne. La co

ne quelques millimètres en avant des bourrelets pyramidaux. Sa face profonde est tapissée par la substance grise antérieure

nt (noyaux pontiques antérieurs) (SgPo), qui dissocie toute la face profonde de celle couche en fascicules souvent fort grêl

nce blanche des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 362). La couche profonde et postérieure (stratum profondum (Strp), fibres

e du pont. Noyaux pontiques. Faisceau oblique du pont. Coucho profonde Couche 11111.\ (,HIIf' Ello n'appartient, ]

otubérantielles, qu'elles appartiennent aux couches superficielles, profondes ou intermédiaires, s'entre-croisent à angle obt

La voie pédonculaire, le stratum inler- medium et le pes lemniscus profond . Coupe horizontale un peu oblique en haut et en

xsl'cs, son petit entre-croisement supérieur. - PLp, pes lemniscus profond . - RI, ruban de Reil latéral. - Orna, ruban de

upe P3, Fig. 368). Fig. 368. - Dissociation de la partie interne et profonde de la voie pédonculaire par les fibres transver

. - Dissociation de la voie pédonculaire par les fibres transversales profondes du pont et refoulement des fibres aberrantes pr

erficiale, Strs), en arrière par la couche des fibres transversales profondes (stratum profundum, Strp), et traversé d'arrièr

ment, ainsi que nous l'avons vu plus haut (p. 51), le pes lemniscus profond , le pes lemniscus superficiel et les fibres aberr

iers faisceaux s'adossent au ruban de Reil médian. Le pes lemniscus profond (PLp, coupes P 1, P 2, Fig. 3G4, p.51 ; 393, p.

oupes P 1, P 2, Fig. 3G4, p.51 ; 393, p. 556) se détache de la face profonde du deuxième cinquième externe du pied du pédonc

oie pédonculaire de la région du pédoncule cérébral : Pes lemniscus profond (PLp), (Fig. 375, 3 in, 377), pes lemniscus sup

scus superficiel s'accole a la par- tie interne, le pes lemniscus profond , cl les fibres aberrantes postéro- externes aux

idal; faisceau pyramidal croisé et fibres pyramidales homolatérales profondes et superficielles, dans un cas . CONFIGURATION

lbe, elles sont renforcées par des fibres pyramidales homolatérales profondes (f l'yli) (Fig. 390 et 3991) qui décapitent la

refoulées dans la région de la calotte par les fibres transversales profondes de la protubérance. Les unes s'adossent à la part

ne ou interne et se fusionnent avec les fascicules du pes lemniscus profond et du pes lemniscus superficiel (Fig. 378,379, 38

rieure- plus rarement au-dessous des dernières fibres transversales profondes , au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel ;

e inférieure et sont ramenées en avant par les fibres transversales profondes du pont; la plupart descendent dans la couche i

les, tout à fait comparables aux fibres pyramidales homo- latérales profondes qui décapitent la corne antérieure homolatérale

al au niveau du sillon pédonculo-protubérantiel et le pes lemniscus profond . - Coupe horizontale oblique en haut et en avan

xsl'cs, son petit entre-croisement supérieur. - PLp, pes lemniscus profond . - RI, ruban de Reil latéral. - li>a, ruban de

ban de Reil et les fibres transversales superficielles, moyennes et profondes de la protubérance. Coupe hori- zontale oblique

calotte, où elles s'adossent aux der- niers fascicules transversaux profonds de la protubérance. c) Segment bulbaire. 1 Dans

ers. - Crsl, corps restiformes. - facl, fibres arciformes dorsales ou profondes . - fat, fibres arciformes moyennes. Fcc, faisce

ion des VIIe et Ve nerfs crâniens en deux segments : l'intemc reste profond , monte en ligne droite dans le pédoncule cérébr

tie supé- rieure du pédoncule cérébelleux supérieur, puis redevient profond en s'enfonçant sous le tubercule quadrijumeau p

ord externe du pied du pédoncule cérébral avec le faisceau interne, profond ou vertical, adossé à la face postérieure du locu

ont suivi Reil (Burdach, Tiedemann), ont désigné le segment interne profond ou vertical de ce faisceau - connu déjà de Hall

gnés sous les noms de pes lem- niscus superficiel, de pes lemniscus profond , et de fibres aberrantes protubérantielles ont

chleifenscleiclet, mediale Schleife (Bechterew). ' Le pes lemniscus profond (Dejerine) a été appelé : pes lemniscus (Flechsig

c, Strp, couches des fibres transversales superficielles, moyennes et profondes de l'étage antérieur du pont. - 1'r, corps ti-a

t qu'ils proviennent du pes lemniscus superficiel, du pes lemniscus profond ou des fibres aberrantes protubérantielles, les

e petite masse ovalaire limitée en arrière parles fibres arciformes profondes (fad), et séparée du faisceau de même nom du cô

ur (sta) elles nombreux lobules qui tapissent les deux lèvres de ce profond sillon. Elle se détache de la partie postérieure

face supérieure s'implantent les axes des nombreux lames et lobules profonds qui tapissent la lèvre postérieure du sillon tran

ge anté- rieur, et en étage poslérieur ou ca- lolle. Une incision profonde , le trou borgne inférieur ou bulbo-protubé- r

VIII, stries acoustiques. - Strs, Strp. cou- ches superficielle et profonde de l'étage anté rieur du pont. - lG, trou borgn

région bulbaire; les trois couches, superficielle, intermédiaire et profonde de l'étage antérieur de la protubérance, sont a

ris : les festons et dente- lures sont particulièrement nombreux et profonds le long de sa paroi posté- rieure. L'olive bulb

profondeur en passant du vermis dans les hémisphères, tandis que le profond sillon transverse antérieur (sta) diminue, et n

sans connexion aucune avec la sub- stance blanche centrale et qu'un profond sillon sépare de la moitié pos- térieure de ce

pos- térieure de ce même lobe. L'écorce cérébelleuse qui tapisse ce profond sillon 602 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. du g

men, en passant sur les hémisphères, deviennent ainsi d'autant plus profonds que la branche verticale de l'arbre de vie (bv)

upe S 5, Fig. tl3). La branche horizontale (bh) de de vie a subi de profondes modifications; elle s'est épaissie et raccourci

(l'cs) se trouvent sectionnées en arrière des fibres transversales profondes de la protubérance. - cl'yc, crête de la pyra-

obliques en haut et en avant sectionnent le trou borgne supérieur, profonde dépression, située sur la ligne médiane entre l

ssent en arrière, devien- nent horizontaux et se groupent à la face profonde du pied du pédoncule cérébral en une couche de

FIG. 419. - Le pied du pédoncule cérébral, sa couche intermédiaire ou profonde , et le pes lemniscus profond. La calotte pédonc

cérébral, sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes lemniscus profond . La calotte pédonculaire, le ruban de Reil, la fo

son grand entre-croisement inférieur (xil'cs). - PLp, pes lemniscus profond . - Rnz, ruban de Reil médian. RI, ruban de Reil

ed du pédoncule cérébral, la couche intermédiaire, le pes lemniscus profond , la calotte pédonculaire, le ruban de Reil, la fo

xsPcs, leur petit entre-croisement supérieur. - Plu, pes lemniscus profond . - RI, ruban de Reil latéral. - Hm, ruban de Re

céphale; il s'adosse en avant au locus niger (Ln), au pes lemniscus profond (PLp), et à la partie externe de la voie pédoncul

la coupe précédente. Ils se détachent de toute l'étendue de la face profonde du pied dupédoncule (coupe P2), s'entourent d'u

déjà aux noyaux pontiques, et renforcent en partie le pes lemniscus profond (PLp) qui atteint, sur cette série de coupes, d

e de la protubérance (SgPo), dissocient les fas- cicules de la face profonde du pied du pédoncule et adossent au ruban de Reil

ie interne et pro- fonde et s'effectue par les fibres transversales profondes du pont (FPop). La couche des fibres transversa

a face superficielle du pied du pédoncule. Les fibres transversales profondes atteignent par contre presque le sillon latéral

issociation des fibres du stra- tum intermedium et du pes lemniscus profond , par les fibres transversales du pont et leur a

e, ses fibres horizontales et les fascicules dissociés de sa couche profonde . - VV, valvule de Vieussens. - 114, quatrième v

s fibres du pied du pédoncule cérébral par les fibres transversales profondes du pont. La calotte pédonculaire, la commissure d

térieures de la protubérance (Strp). Entre les fibres transversales profondes (Strp), on rencontre au voisinage du sillon lat

inférieur de la protubérance, et la couche des fibres transversales profondes du pont y est de ce fait plus épaisse. ÉTUDE

rmation réticulée. - Strc, Strp, Strs, couche transversale moyenne, profonde et superficielle de l'étage antérieur du pont. -

tion du pédoncule cérébelleux moyen. Quant aux fibres transversales profondes (Strp), elles atteignent à peine sur cette coupe

cules presque parallèles, les fibres des couches moyennes (FPom) et profondes (FPop) s'entre-croisent à angle droit. La moitié

et par l'augmentation d'épaisseur de ses couches superficielles et profondes . La substance grise, ou noyaux pontiques (SgPo),

ièrement abondantes sur cette coupe, où elles s'étendent de la face profonde du stmclunz superficiale jusqu'au sillon longitud

m- breux fascicules onduleux faisant suite aux fibres transversales profondes (FPop), intermédiaires (FPom) et antérieures du

les fibres transversales superficielles (FPoa), moyennes (FPom) et profondes (FPop) de la protubérance; la calotte avec le rub

meau (V) et se continuent directement avec les fibres transversales profondes (FPop), moyennes (FPom) et superficielles (FPoa

tion réticulée de la calotte. - Strc, Strp, Strs, couches moyennes, profonde et superficielle des fibres transversales de la p

rares fibres transversales du stratum complexum (Strc). Les couches profondes (Strp) et superficielles (Strs) de la pro- tubé

alotte. S<<'e, Strp, Strs, les fibres transversales moyennes, profondes et superficielles de l'étage antérieur de la prot

6t0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. arrière des fibres transversales profondes du pont (FPop), pour s'arrêter brus- quement au

Toutefois il existe, en avant des lamelles qui doublent le fond du profond sillon transverse antérieur, quelques fascicule

horizontale de l'arbre de vie est limitée en avant par l'écorce du profond sillon post-pyra- midal (sppy) ; puis on trouve

oî, ? te (Cj) ont donné naissance aux fibres arciformes dorsales ou profondes (fad). En avant du corps restiforme (Crst) et du

se coudent et se continuent avec les fibres arciformes moyennes ou profondes du bulbe et ainsi s'explique l'aspect enchevêtr

s le raphé et sont les homologues des fibres arciformes dorsales ou profondes qui proviennent du noyau de Deiters. En dehors

rée à une pomme de pin, dont le sommet, dirigé en avant, atteint le profond sillon médian antérieur; de là le nom d'entre-c

vroglie, la subslance gélllti- neuse proprement dite, et une partie profonde parcourue par un dense et fin feutrage de fibre

fascicules du faisceau pyramidal croisé (FPyc). Celui-ci occupe une profonde excavation comprise entre la corne postérieure

, Korbzellende v. 1\01- liker) siègent de préférence dans la partie profonde de la zone molécu- laire, mesurent 10 à 12 u. c

ou fibres en U de Meynert, que nous avons décrites dans les couches profondes de l'écorce des sillons cérébraux (Voy. T. I, p.

es aux cellules sensorielles de l'ectoderme, émettent par leur face profonde , de fines fibrilles qui entrent dans la constitut

t la chaîne ganglionnaire des Invertébrés dont la situation est ils profonde . cellules des neurones centraux peuvent affecte

ans le liquide de Millier, et si la lésion corticale est étendue et profonde , per- mettant par conséquent une facile imbibit

s le cas de lésion cérébelleuse, si cette dernière est corticale et profonde , on pourra l'aire durcir en bloc l'hémisphère c

rtie inférieure de cette couche des incisions en différents sens et profondes de 1 centimètre. La pièce est ensuite plongée d

le sillon neural en une large gouttière, la gouttière neurale; peu profonde au début, celle-ci se creuse bientôt d'autant p

4, région où la lame neurale non soulevée délimite une large et peu profonde gouttière neurale. - 5, limites latérales de la

erme ne peut se pro- duire, et ce fait entraîne des modifications profondes dans le développement de la tète de l'embryon

e conserve pas longtemps sa forme, globuleuse (fig. 16, c). La face profonde du feuillet ectodermique donne naissance, par s

crête basilaire est séparée de la crête latérale par une gouttière profonde (Foc), ouverte en bas et en arrière, qui s'éten

daire. Vers la fin de la qua- trième semaine, la gouttière est très profonde , et la vésicule oculaire se- condaire affecte l

laire s'allonge et s'étire, la gouttière se transforme en une fente profonde et étroite, la fente oculaire primitive, improp

ire, dont elle est séparée par un sillon semi-lunaire d'autant plus profond , que la vésicule des hémisphères est plus dévelop

es deux parties, on trouve en général une dépression large mais peu profonde , premier rudi- ment de la fosse Sylvienne (FS).

oprement dit, dont elle est séparée par une fente étroite mais très profonde , comparée il une selle (Sattelspalte de lIis; f

ullaire, qu'elles réduisent en avant et en arrière à une étroite et profonde fente- longitudinale. Au niveau de Y arrière-

é présente par conséquent quatre sillons, deux médians étroits et profonds , et deux latéraux beau- coup plus larges. Le si

u- coup plus larges. Le sillon médian postérieur, de moitié moins profond que Y antérieur, présente une extré- mité fou

tement saillante en avant, est limitée en ar- rière par un sillon profond , le sillon cylindrique (Cylinderfurche) (se). Ell

ur sillon médian antérieur, d'autant plus accentué et d'autant plus profond , que les cordons antérieurs sont plus volumineux

e l'arrière-cerveau, dont elle n'est plus séparée que par une fente profonde et étroite, la fente choroïdienne (fch), qui li

tubérantielle, au cerveau postérieur pro- .. prement dit. Un sillon profond , médian et longitudinal, la tige du càlamus scr

x segments par un second sillon longitudinal, ir- régulier et peu profond (fig.31). Ce sillon latéral (si) du plan- che

mentale située en dedans, de la lame alaire située en dehors. Peu profond au niveau de la partie bulbaire, le sillon la

externe de la lame alaire, vers la fin du deuxième mois; un sillon profond , le sillon restiforme, le délimite en dehors et

la face superficielle constitue le vermis sure- ri01', et la face profonde le vermis infe- rior. Le cervelet s'épaissit

me mois, le cervelet a atteint sa forme définitive ; quatre sillons profonds divisent, ainsi que K1111;,er l'a montré, sa surf

us cho- roïdes. L'aqueduc présente un sillon médian antérieur assez profond (fig. 37 et 38), qui se continue avec le sillon

sorle que, de super- ficiel qu'il était, il devient de plus en plus profond . Au troisième mois, les hémisphères cérébraux a

lle de la lame des tubercules qua- drijumeaux, tandis que la couche profonde , donne naissance à un système sensitif qui cont

en bas par le sillon de Monro (s.1), en haut par un sillon moins profond , le sillon du frein ou sillon de ? <z6p ? «

rou de Monro; en arrière, elle est en rapport avec un diverticule profond qui occupe la région rétro-thalamique et cor-

lvienne s'accentue les semaines suivantes, et devient d'autant plus profonde que le manteau cérébral est plus étendu. De t

arqué antérieur et en particulier l'incisara prima deviennent plus profonds , la séparation entre ces deux lobes devient plu

a fosse sylvienne en avant; en avant et en dedans par un sillon peu profond , le sillon tardif ou fissura sémtlna de Mis, qu

émité postérieure ou thalamique est aplatie latéralement; un sillon profond la limite en dedans et en dehors. Le sillon exter

ur bord externe du ventricule latéral; le sillon interne devient le profond sillon opta-strié. L'extrémité antérieure au pr

oui donnera naissance à la lame cornée. Le sillon onto-strié. très profond au début, loge une veine, la veine du corps strié

e n'est séparé de la circonvolution godronnée que par un sillon peu profond . Dans la région fronto-pariétale, ces deux form

geurs, etc. Chez le foetus humain, le sillon ammonique est très peu profond dans sa partie fronto-pariétale, qui se transfo

son extrémité antérieure, des digital ions répondant aux incisures profondes du futur sillon de l'hippocampe. Le sillon am

ge pariéto-limbiques antérieur et postérieur; le cuneus, par un pli profond mais constant, le pli cunéo-lim- bique; le lobu

eloppement que prend le manteau cérébral, et elle est d'autant plus profonde que le manteau cérébral est plus étendu. Vers l

araissent des incisures secondaires et des plis de passage, les uns profonds , les autres superficiels, plis qui compliquent si

rane limitante interne et occupent exceptionnellement une situation profonde . Leur nombre est considérable vers la quatrième

nt lequel s'effectue la migration des neuroblastes dans les couches profondes est fort ob- scur et semble dépendre, non seule

tion de ces ra- cines, superficielle au début, devient bientôt plus profonde , au sur et à FIG. 87. - Ganglion cervical du gr

ssure grise, mais se réduit à un léger sillon, qui n'est guère plus profond que le sillon d'émergence des racines postérieu

llules névrogliques superficielles et en cellules névroglie- que.\' profondes . Les cellules névrogliques profondes revêtent e

n cellules névroglie- que.\' profondes. Les cellules névrogliques profondes revêtent en général l'aspect de la cellule arai

glique de Gierke. Cellules névroglie- ques superficielles et profondes . Cellules araignées géantes. Commissure név

sico- 101'), elle occupe, ainsi que Retzius l'a montré, les couches profondes sous- épithéliales et chez les limaces, sa situ

ous- épithéliales et chez les limaces, sa situation est encore plus profonde . 11 existe donc déjà chez les Invertébrés une v

déjà chez les Invertébrés une voie d'acheminement vers la situation profonde , que les cellules d'origine des nerfs sensitifs o

ariera suivant que la section aura porté sur un point plus ou moins profond de l'incisure (Ranvier). Les incisures d'aspect

mphatiques, comme dans le tissu conjonctif des nerfs. Entre la face profonde de la gaine lamelleuse et le tissu conjonctif int

tères. Les veines des nerfs superficiels se jettent dans les veines profondes . Les veines des nerfs profonds s'anas- tomosent

rficiels se jettent dans les veines profondes. Les veines des nerfs profonds s'anas- tomosent largement avec les veines musc

borde un corpuscule du tact l'atteint, en général,- à son extrémité profonde et un peu sur le coté, décrit à sa surface un tra

la partie postérieure du cerveau, dont il est séparé par une fente profonde et transversale, qui loge la lente du cervelet

nom de cerveau droit et de cerveau gauche (fig. 148). Une scissure profonde verticale et antéro-poslé- rieure, la grande sc

iers antérieur avec ses deux tiers posté- rieurs, une anfractuosité profonde , la vallée de Sylvius, qui se prolonge sur MORP

ieure des hémisphères présentent des . anfractuosités plus ou moins profondes , qui divisent chaque hémisphère en . lobes, lob

s ou lobulaires; ils subdivisent les lobes et sont plus ou "' moins profonds ; ils sont constants, mais souvent fort irrégulier

ceux-ci sont superficiels et apparents à la surface du cerveau, ou profonds et situés au fond des scissures. Les anastomoses

iques ou de plis de communication; ils peuvent être superficiels ou profonds comme les plis de passage. Lorsqu'ils sont prof

superficiels ou profonds comme les plis de passage. Lorsqu'ils sont profonds , les sillons et les inci- sures continus, peuve

2, 153, 156, 161). L'éperon inférieur est généralement court et peu profond , il sépare la première cir- convolution tempora

au niveau du lobe pariétal une, deux, voire même trois inci- sures profondes , les incisures pariétales de Broca (ipop) (fig. 1

ns. Scissure de Ro- lando. 3 centimètres de longueur, sont très profonds et entament toute l'épais- seur de la lèvre sup

frontal la direction de la branche horizon- tale postérieure ; très profonde , elle comprend toute l'épaisseur de la troi- si

e Sylvius par des plis de passage constants, soit superficiel, soit profond (lig. 173). Le pli de passage superficiel constit

eure ou gyrus supra, marginalis (Gsm) (fig. 150). Le pli de passage profond est souvent dédoublé, il est situé dans le fond

uer un ou plusieurs plis transversaux, véritables plis de passage profonds . Exceptionnellement ces plis deviennent superfi

emière circonvolution temporale. - 3j, circonvolu- tion temporale profonde . - .x, x', pli d'insertion profond , de la de

j, circonvolu- tion temporale profonde. - .x, x', pli d'insertion profond , de la deuxième circonvolution pariétale' su

e de Rolando. - , opercule rolan- dique. - r, pli anastomotique profond permettant la commu- nication de la scissure de

ue. Chez le singe et chez quelques idiots, les plis de passage sont profonds et la scissure descend jusqu'au lobe tem- poral

rbitaire de ce lobe. Un petit sillon horizontal et transversal, peu profond , le sillon fronto-mar- ginal de Wernicke (fm, f

terrompu par de nombreux plis d'anastomose, soit superficiels, soit profonds , et dont les principaux sont constitués par les

e circonvolutions frontales. Lorsque ces deux plis d'insertion sont profonds (fig. 1G), le sillon prérolandique s'élend du v

t'i, l'i, ses branches verticales. - Tp, cir- convolution temporale profonde . - tp, sillon temporal profond. 1 . 1 ... 258

s. - Tp, cir- convolution temporale profonde. - tp, sillon temporal profond . 1 . 1 ... 258. ANATOMIE DES. CENTRES NERVEUX

Sylvius, tandis que sa base est en général divisée par une incisure profonde , l'incisrrre du cap (ic), émise par le second s

me circon- volution frontale (F.,) un pli anastomotique quelquefois profond , le plus souvent superficiel. Le pied se dirige

puis s'insère finalement par un pli étroit, mince, court et souvent profond , à la partie tout à fait inférieure de la circo

0, 155, 160, 161, -163). Le bord inférieur et la face inférieure ou profonde de la troisième circonvolution frontale (fi for

orts intimes avec le lobe de {insula (I) qu'ils recouvrent. La face profonde du cap et la partie adjacente de la partie orbi

face antérieure de l'insula, dont elles sont séparées par un sillon profond et vertical, le sillon marginal antérieur de l'

ale. t2, deuxième sillon ' temporal. . Tp, circonvolution temporale profonde . tp, sillon temporal profond : .. MORPHOLOGIE C

emporal. . Tp, circonvolution temporale profonde. tp, sillon temporal profond : .. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. « 2Q1 l'homme, qu

icales. - h, deuxième sillon temporal. - Tp, circonvolution temporale profonde . - Ip, sil- lon temporal profond. 262 ANATOMI

l. - Tp, circonvolution temporale profonde. - Ip, sil- lon temporal profond . 262 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Circonvolu

olution frontale ascendante. Trajet. Plis de passage. La face profonde du pli passage in- férienr forme l'oper- cu

supérieure l'extrémité inférieure du sillon de Rolando ; sa ' face profonde forme l'opercule rolandique (OpR) et recouvre les

n temporal. t'i,t'i, ses branches verticales. ' tp, sillon temporal profond . 266 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. donne souv

st très ' net, est généralement interrompu par un pli anastomotique profond , formé par un des plis d'insertion de la circon

le unit quel- Fig. 16,'i. - Sillon inter-pariétal et plis verticaux profonds de Cromier. - Face pos- térieure et externe de

eur. - prs, sillon prérolandique supérieur. - iota, pli anastomotique profond du sillon inter-occipital. - 7tG" 7tG., premier

anche verticale du sillon parallèle. - Tp, circonvolution temporale profonde . - tp, sillon temporal profond. MORPHOLOGIE CÉR

èle. - Tp, circonvolution temporale profonde. - tp, sillon temporal profond . MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 267 qucfois le lobule

ent interrompu par des plis anastomotiques, soit superficiels, soit profonds , connus sous le nom de plis verticaux de Gromie

on pariétale ascendante, par un pied en général étroit, quelquefois profond , décrit des llexuosités plus ou moins nombreuse

icale; S(p), sa branche postérieure. - Tp, circonvolution temporale profonde . - T,, première circonvolution temporale. Tue, de

u lobe pariétal avec le lobe occipital. Si ces plis de passage sont profonds , comme on ne le rencontre qu excessi- vement

re pré-occipitale et le sillon occipital antérieur, trois sillons profonds , à direction plus ou moins horizontale,qui di

Notations : (Ecker, Broca). Le sillon parallèle (t,) constant et profond , com- mence au niveau de l'extré- mité antéri

r, Broca). Le deuxième sillon tem- poral (t2) est un sillon peu profond , situé au-dessous de la scissure parallèle, dont

es. - 12, deuxième sillon temporal. TI'. cir- convolution temporale profonde . - tri, sillon temporal I)rofi)ii(l. - x, connu

, qu'elle interrompt quelquefois par un pli de passage plus souvent profond que superficiel (fig. z); elle est séparée du pli

s'élargit et donne naissance à un, quelquefois deux plis de passage profonds , les plis de passage temporo-pariétaux profonds

eux plis de passage profonds, les plis de passage temporo-pariétaux profonds (Tp) ou région, rétro-insulaire de Broca, connu

temporale. Un sillon transversal et curviligne, le sillon temporal profond (tp) ou sillon temporal transverse, sépare la rég

poral superficiel. Par son extrémité supérieure, le sillon temporal profond apparaît à la face externe de l'hémisphère, où

haut et en arrière, porte le nom de pli de passage temporo-pariétal profond (Tp), de circonvolution temporale transverse an

apercevoir. Ce petit lobule l'a pas toujours occupé cette situation profonde . Chez le foetus, lorsque la scissure de Sylvius

anche verticale du sillon parallèle. - Tp, circonvolution temporale profonde .- Ip, sillon temporal profond. MORPHOLOGIE CÉRÉ

lèle. - Tp, circonvolution temporale profonde.- Ip, sillon temporal profond . MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 28t convolution front

1, 1 et demi ou 2 cent, en avant de son angle postérieur. Ce sillon profond et constant, qui mesure au niveau de la crête p

hes de division sont séparées par deux à quatre sillons courts, peu profonds , qui'n'atteignent en général ni le pôle de l'in

n marginal supérieur, mais ils peuvent dans quelques cas être assez profonds pour sembler naître du sillon insulaire princip

e la partie postérieure du lobe limbique (L,). Cette scissure, très profonde et. dont le développement est très précoce (voy.

re, on rencontre toujours deux, quelque- fois trois plis de passage profonds , qui relient le cunéus aux circonvolu- tions vo

supérieur, constant égale- ment, relie la partie moyenne de la face profonde du précunéus à l'angle antéro-supérieur du cuné

81, 182). Il interrompt le fond de la scissure pariéto-occipitale ; profond et étroit à son origine pariétale, il se porte

de Gratiolet (-pot). Il est toujours limité en bas par une incisure profonde de la scissure pariéto-occipitale, qui se porte

); d'après Ecker (oc). Cette scissure, horizontale et extrêmement profonde , appar- tient au lobe occipital, et s'unit à

perficiel dans la lig. 17G, est. en partie superficiel et en partie profond dans la lig. i i; dans l'immense majorité des cas

ie profond dans la lig. i i; dans l'immense majorité des cas il est profond comme dans les lig. 174, 178, 181, 182. - r.poi,

ui réunissent le cuneus (C) au lobe lingual (Lg) (fig. 181, ! 8`2). Profonds dans l'immense majorité des cas, ces plis, que

es calcarine et pariéto-occipitale.(ï ? tÈcl in et par une scissure profonde , à direction antéro-postérieure, la colia- téra

(Brissaud). La scissure collatérale (ot), généralement constante et profonde , com- mence en arrière au niveau du pôle occipi

ique au lobule fusiforme (fig. 175, 178, 179, 182). Ordinairement profonde , la scissure collatérale produit, dans le prolon-

ur la scissure cal- loso-marginale (cm); parmi ces incisures, l'une profonde et constante appartient au sillon sus-orbitaire

'autre postérieure, sépa- rées par un sillon vertical plus ou moins profond , tantôt isolé, tantôt réuni à la scissure sous-

Le pli pariéto-lim- bique antérieur est tantôt superficiel, tantôt profond (fig. 176, 178, 182, '181) ; dans ce dernier ca

par un petit nombre de sillons superficiels, dont l'un, un peu plus profond , le sillon du cunéus (c) (fig. 179, 180, 181, 182

e limbique (L,) par le pli cunéo-limbique (-cl), sa face antérieure profonde forme la lèvre postérieure de la scissure parié

e et supérieur de Gratiolet (-poi) (lig. 182). Sa [face inférieure, profonde également, forme la lèvre supérieure de la scis

que forme la face interne de l'hémisphère avec la face inférieure. Profond en arrière, où il com- mence, soit par un épero

iques, dont le supérieur est en général superficiel, et l'inférieur profond (fig. 181, 182). i Sillon du lobulo '' ling

uxième et avec la première cir- convolution temporale (T, T,). La profonde scissure collatérale limite le lobule fusiforme e

is de passage ? <'7o ? s' (Tpla, -plp), dont l'antérieur peut être profond et dont le , postérieur est en général superfic

olution limbique (H), est constant, mais peut occuper une situation profonde (fig. 179, fil). Il faut dans ce cas, pour l'ap

ncisure de l'ourlet sous-pariétal postérieur est en général la plus profonde , et limite souvent en avant le pli de pas- sage

ique à la deuxième, et reçoit deux plis de passage importants, l'un profond , le pli cunéo-limbique (..cI), l'autre superfic

onvolution limbique forme la lèvre infé- rieure d'une anfractuosité profonde , totale, et primitive par excellence, le sillon

ndeur du sillon de l'hippocampe, et de la grande largeur de la face profonde de la deuxième circonvolution limbique. Sur des

on limbique. Sur des cerveaux riches en circonvolutions, cette face profonde présente en général, au-dessous du bourrelet du

U, circonvolution du crochet. - x,x', x", trois plis cunéo-linguaux profonds situés dans la profondeur de la scissure calcarin

une série de petites circonvolutions, qui toutes occupent la partie profonde du subiculum de la corne d'Ammon ; elles sont f

fait suite au sinus ou à la rainure, du corps calleux (sec). Très profond à sa partie antérieure, où il déprime fortement l

de l'lzip- 7JOcampe se dirige en haut et en arrière, limite la face profonde du subicu- lum et des circonvolutions sous-call

la cÍl'convo- lution godrorzn.c·e (Cg) et devient de moins en moins profond . Dans tout son trajet, il donne de nombreuses i

de His. Il loge l'artère céré- brale antérieure, et sépare la face profonde de la première circonvolution limbique, de la f

e-mérien, et séparée de la circonvo- lution de l'hippocampe, par le profond mais étroit sillon de l'hippo- campe (h). En de

on temporal.. t3 Incisure pré-occipitale.. ipo 4. Sillon temporal profond .. tp 5. Incisure temporale..... it 6. Scissur

Région rétro-insulaire ou circonvolution temporale transverse ou profonde .. Tp Lobe occipital O. Sillons : . z 4. Sil

chées delà ligne médiane et séparées l'une de l'autre par un sillon profond (fig. 187). Uniques et médians au début delà vie

ds latéraux aux pédoncules cérébraux dont le sépare un sillon assez profond , le sillon du, nerf moteur oculaire commun, le

st fortement échancréc et présente, sur la ligne médiane, un sillon profond , médian et antéro-postérieur, qui se continue ave

us pro- fonde. à l'extérieur ; elle occupe toujours une situation profonde et se trouve en- globée dans la substance grise

e est sé- parée du bourrelet du corps calleux par une anfractuosité profonde et large, par laquelle la pie-mère s'insinue po

. 311 forme le fond. Elle mesure 15 à 20 millimètres. Un sillon peu profond (fig. '196), le sinus ou ventricule du corps ca

- volution limbique (L,). Le sinus, large en arrière, étroit et peu profond en avant (vay. Cotcpes vertico-tan.sver.sale.s,

mmet regarde la cavité du cinquième ventricule, et dans les couches profondes des cellules plus irrégulières. La couche exter

ig. 210) ; l'interne est la plus constante, etrépond à une incisure profonde du sillon de l'hippocampe. En dehors^ ! ? la co

en arrière dans la corne occipitale. Un sillon intraventriculaire profond et très étroit, le diverticule du subiculum (ds

- culaire. Il est d'autant plus volumineux que la scissure est plus profonde . La surface plane, plus ou moins large, située

el en bas. Ces sillons sont toujours très étroits, et d'autant plus profonds , que l'ergot de Morand est plus accentué; le supé

Sylvius (AqS); 2° dans la région, de l'in- fundibulum, une rainure profonde , médiane, qui fait suite au sillon médian Trois

Bichat n'existent donc pas; sa partie moyenne est une anfractuosité profonde et étroite, dont la forme rappelle celle du tri

la face supérieure présente un sillon longitudinal, large mais peu profond , oblique en arrière et en dehors, , le sillon c

teté, jusqu'au delà de la lame médullaire interne. Dans les couches profondes et inférieures du pulvinar, ces fais- ceaux rad

ofon- deur des sillons des faces externe et interne du cerveau. Peu profonds il la face interne, les sillons peuvent atteind

sillon frontal (f2) ou le sillon interpariétal (ip), paraissent plus profonds que la - Arc, faisceau arqué. C, cunéus. Ce, co

) se continue en avant, avec l'extrémité supérieure du pli temporal profond (Tp), très peu marqué sur cette coupe. En arrière

m. - tee, taenia tecta. - Th, thalamus. 7/j, circonvolution temporale profonde . - VI, ventricule latéral. Vsl, ventricule du s

circonvolutions présen- tent des multiples et un sillon un peu plus profond , correspondant à une incisure supérieure de la

e calcarine (K). Le cunéus (C) est limité en avant par une scissure profonde , la scissure pariéto-occipilale ou perpendiculair

parente. La couche optique est séparée du noyau caudé par un sillon profond , dans lequel on trouve la veine du corps strié

ur du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution pariétale profonde . - tth, trenia thalami. - F3, troisième ventricul

formé ici par les circonvolutions rolandiques (OpR) et par la face profonde de la troisième circonvolution frontale (OpI ? )

e ou rétro-insulaire est formée par la cir- . convolution temporale profonde (Tp), séparée de la première circonvolution tem-

la première circonvolution tem- porale (T,) par le sillon temporal profond (tp), et limitée en avant par le ' sillon margi

sont ces dernières circonvolutions qui sont en rapport avec la face profonde de la troisième circonvolution frontale (F3), tan

ur du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde . tp, sillon temporal profond. - tth, renia tlia

optique. - Tp, circonvolution temporale profonde. tp, sillon temporal profond . - tth, renia tlialatni.- V, ruban de Vicq d'il

ieure du cerveau; il est représenté par la circonvolution temporale profonde (Tp) et les première et deuxième circonvolutions

e circonvolutions temporales ('1' pT"). La circonvolution temporale profonde (Tp) forme une languette étroite, oblique en av

nguette étroite, oblique en avant et en dehors ; le sillon temporal profond (tp) la sépare de la première circon- volution

du trigone. - Th, couche optique. - Tp. circon- volution temporale profonde . - lp, sillon temporal profond. tlh, tcnia thalam

e. - Tp. circon- volution temporale profonde. - lp, sillon temporal profond . tlh, tcnia thalami. l', ruban de Vicq d'rlryr.

pli P[l1'irJto-limbir¡ue postérieur ("plp). La face anté- rieure ou profonde du lobe limbique (L, ), est recouverte par une la

réticulée ou lame médullaire superficielle d'Arnold (Lms), l'autre profonde , formée par la masse blanche des circonvolutions.

ième circonvolution frontale (F3[c]) et la circonvolution temporale profonde (Tp) qui limitent l'opercule sylvien, s'infléchis

aux scissures calcarine et PaJ'Í1Jto-occipitale (K + po). Ala face profonde de l'isthme du lobe limbique (L [il), les circo

ntricu- laire. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde . - fp, sillon tCl : 1 ! '1f; : i.ro; profond. -

convolution temporale profonde. - fp, sillon tCl : 1 ! '1f; : i.ro; profond . - V3, troisième ventricule. - V, ruban de Vicq d

coupes pré- cédentes que par l'union de la circonvolution temporale profonde (Tp) il la jure- mière temporale ('1\), et par

cte la forme d'un faisceau triangulaire nettement délimité. La face profonde du genou limite en avant la corne frontale (Vf)

ri- gone ou carrefour ventriculaire. - Tp, circonvolution temporale profonde . - tp, sillon tem- poral profond. - V3, troisiè

e. - Tp, circonvolution temporale profonde. - tp, sillon tem- poral profond . - V3, troisième ventricule. ? ruban de Vicq d'Az

circonvolutions irrégulières petites, qu'un sillon constant et assez profond , le sillon insulaire (i) divise en deux régions

e aux scissures calcarine et ]JOI'ido- occipitale (K + po). La face profonde de la circonvolution de l'hippocampe (11) (ou d

extrémité antérieure du lobe limbique (L,), qu'il sépare de la partie profonde du genou du corps calleux (Ce). Le corps calleu

llon triradié ou sillon eu H (f3), le pôle de l'insula et la partie profonde du sillon collatéral (ot). Elle passe par la ré

e externe du lobe frontal est divisée en deux parties par un sillon profond , le sillon en H, sillon, tl'imdié ou troisième si

blables à celles de la couche sagittale du lobe occipital. La couche profonde , blanche et très mince, appartient très probabl

ntre déjà dans la constitution du tuber cinereum (Te) et de la partie profonde du tubercule mamillaire (Tm). Dans la substance

ro- limbique de Broca Le sillon de l'hippocampe (h) est extrêmement profond et largement ouvert en dehors. La coupe intéres

première et troisième circonvolutions frontales (Fu F3). Un sillon profond , le troi- sième sillon frontal ou sillon en ff{

s, d'avant en arrière : la circonvolution du crochet (U), un sillon profond , le sillon de l'hippocampe (h) qui produit dans l

qui forment avec la face interne du lobe sphénoïdal, une excavation profonde correspondant à l'espace perforé antérieur (Spa

large sur la coupe n° 55 (fig. 243), où elle est subdivisée par un profond sillon accessoire, devient plus étroite sur les

l'hémisphère, et une face inférieure que le sillon parallèle (t,), profond en général, sépare de la deuxième circonvolution

e à elle seule la paroi externe du ventricule latéral (VI). Sa face profonde envoie au putamen (NL3) de nombreux ponts de su

, il est en rapport avec la substance grise centrale (Sge). Sa face profonde envoie au putamen (NL3) quelques ponts de subst

ando (R), la circonvolution pariétale ascendante (Pa) et l'entaille profonde formée par la branche postérieure de la scissure

inférieure par la circonvolution temporale r·ofmdn(1'p) et la face profonde de la première circonvolution temporale (T,). Au-

optique. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circonvolution temporale profonde . VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - troisième ventric

tique. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circonvolu- tion temporale profonde . - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - VI, ventricule

que la lèvre inférieure est formée par la circonvolution temporale profonde (Tp) et la face profonde ou supérieure de la pr

est formée par la circonvolution temporale profonde (Tp) et la face profonde ou supérieure de la première circonvolution tempo

nvolution du crochet (U). Le sillon de l'hippocampe (h) parait très profond ; il sépare la circon- volution de l'hippocampe

Tg, trigone. - Tlt, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde . - ltlt, taenia thal : uui. - U, circonvolution d

- Tg, trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde . - U, circonvolution du crochet. - V3. troisième

(Fimbri : v). - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde . - il/¡, tienia tha- lami. U, circonvolution du

(Gsm) et (P.,) ). Sur la coupe n° 89 (fig. 255), un pli de passage profond qui réunit la circonvolution pariétale inférieu

r du trigone. 7'/t, couche .optique. - Tp, circonvolution temporale profonde . - V" troisième ventricule. - IV, zone de Werni

lec, toenia tecta. - Tg, tri- gone. - top, circonvolution temporale profonde . - T'l, ventricule latéral.- Vsph, corne sphé-

'écorce est extrêmement réduite, point qui cor- respond à la partie profonde du bourrelet, du corps calleux (forceps major) (C

la constitution de la pointe occipitale une part importante. Ce pli profond , pli czcnreo- limbique (,cl), représente le pie

rofond, pli czcnreo- limbique (,cl), représente le pied d'insertion profond du cunéus (C) sur le lobe limbique. Avec l'appa

ésente sous la forme d'une languette triangulaire, limitée par deux profondes scissures, la scissure paariéto-occipilale (po) e

carine (K) en bas, qui le sépare du lobule /uM6t<(Lg). Étroit et profond sur les coupes nos 116 et 122 (fig. 263,26) où

érieure du lobule lingual. La scissure calcarine extrême - ment profonde , dé- prime la paroi de la corne occipitale du

et externe. Dès que la scissure calcarine (K) devient un peu moins profonde et que le FiG. 266. Coupe vertico-transversale

ernière (n° 5, fig. 268), les sillons de la face interne sont moins profonds , et plus fréquemment interrompus. La scissure p

, la scissure calcarine (K) est inter- rompue par un pli de passage profond , le pli cunéo-lingual qui relie le cunéus (C) a

he optique (Th) est séparée du noyau caudé (NC) par un sillon assez profond , le sillon opto-strié (si), en arrière duquel on

t n'intéresse que la partie moyenne, c'est-à-dire la partie la plus profonde de la branche commune aux scissures calcarine et

.4ml/wl/ (CA). Cette dernière est intéressée au niveau de la partie profonde du sillon de l'hippocampe (h), lequel donne en

convolutions temporales.ï'ap,tapctum.ï/), circonvolution temporale profonde . Il, l" 1 ? premier, deuxième et troisième sill

deux circonvolutions qui constituent la circonvolution tem- porale profonde de Heschl (Tp). Cette circonvolution forme il ell

région rétro-insulaire de Broca; elle représente un pli de passage profond , analogue au gyrus supra-marginalis et relie la

rme l'oper- cule temporal (OpT,) et par la circonvolution temporale profonde de Heschl (Tp). Entre la branche antérieure (S

ion pariétale ascendante (Pa) est étroite, et circonscrite par deux profonds sillons : la scissure de Rolando (R) en avant,

et troisième circonvolutions temporales. Tp, circonvolution temporale profonde . -L" h, t3, pre- mier, deuxième et. troisième s

ux. 1'l, branche verticale du sillon parallèle. tp, sillon temporal profond . - CHAPITRE III TEXTURE DU CERVEAU ÉTUDIÉE

Venues de la substance blanche, elles s'épanouissent dans la couche profonde de l'écorce cérébrale, et s'entre-croisent avec l

es radiées sont clairsemées et les fibres tangentielles des couches profondes de l'écorce prédominent . En dedans du faisce

nt colorées, qui appartiennent au système des radiations olfactives profondes . L'avant-mur (AM) est séparé du putamen (NL.,)

ettes de substance grise, qui appartiennent à l'écorce de la partie profonde et postérieure de la circonvolution du crochet (V

iculairement il leur axe et appartiennent aux radiations olfactives profondes , destinées aux cerveaux moyen et postérieur. Da

toient au niveau du pied de la couronne rayon- liante (pCR) la face profonde du noyau caudé (NC), puis se coudent brusquement

e (thalamus). - Ith, uenia thalamii. - Tp, circonvolution temporale profonde . U, circonvolution du crochet. - Il troisième v

uches plus inférieures de la région de la calotte la couche blanche profonde du tubercule qiiudrijumeau antérieur. Coupe n"

e lzcillarzier, qui établit une limite très nette entre les couches profondes de l'écorce riches en fibres radiées, et les co

llé externe. - ;, couche moyenne allant au ruban de Reil. 3, couche profonde appartenant au système de la commissure pos- té

ure du corps strié (CNC) et appartiennent aux radiations olfactives profondes (Rolm). Les unes se dirigent en arrière et en deh

perforée antérieure (Epa). En dehors de ces radiations olfactives profondes (Rolm) on trouve des amas de substance grise, l

u amygdalien (NA) est sillonné par un certain nombre de moyennes ou profondes . - RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - sB

ficielles et perpendiculairement à leur axe les fibres des couches profondes du corps calleux. La section de ces fibres à di

ibres à myéline, colorées par la méthode de Weigert. Dans la couche profonde , on observe, surtout au niveau de la première c

ace extérieure du cerveau. Son bord interne se prolonge sur la face profonde de la circonvolution de la corne d'Ammon (CA),

propres du fond du sillon parallèle (t,), formées dans les couches profondes par des fibres entre-croisées dans fous les sens,

ne moyenne se rend vers la région du ruban de lfeil (rgRm), la zone profonde , encore très réduite, est située en arrière de

bas et en dehors pour entrer dans le ruban de Reil (Rm). La couche profonde est formée de fibres parallèles qui se por- ten

ure (cop) et formeront sur les coupes inférieures la couche blanche profonde du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) (Tieflie

r axe et qui appar- tiennent au 1 ? e)iia scmi-circularis ; sa face profonde est en rapport avec les fibres à direction tran

nt en avant et en dehors vers le centre médian de Luys (ThNm) ; les profondes appartiennent à la commissure postérieure (cop).

quadrijumeau antérieur. 1, , 3, couches super- ficielle, moyenne et profonde du tubercule quadrijumeau antérieur. RTh,, radiat

e quadrijumeau antérieur ,, 3, 3, couches superficielle, moyenne et profonde du tubercule quadrijumeau antérieur. RTh, radiati

s radiculaires de la troisième paire (III). Les fibres de la couche profonde du tubercule quadri- jumeau antérieur (Qa) se p

le quadrijumeau antérieur ,, 3,3, couches superficielle, moyenne et profonde du tubercule quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de

éléments du tubercule quadrijumeau postérieur. La couche de fibres profondes (3) et la couche de libres moyennes (2) du tube

é d'étendue, el ses fibres entrent en connexion soit avec la couche profonde , soit avec la couche moyenne. La couche des lib

couche profonde, soit avec la couche moyenne. La couche des libres profondes se porte en avant, et décrit, une courbe à conc

a 5° paire (Vc) (voy. coupes suivantes, fig. 327 et 328), la couche profonde du tuber- cule quadrijumeau mztr,·'oin.zcr (Qa)

et sur cette coupe. En avant de ce noyau, et embrassé par la couche profonde des fibres du tubercule quadrijumeau antérieur,

posées : une couche superficielle, une couche moyenne et une couche profonde . Dans les tubercules quadrijumeaux postérieurs

e la protubérance, que les couches de fibres protubérantielles plus profondes ont refoulées en arrière dans la partie antero-

divise l'écorce en trois parties égales, superficielle, moyenne et profonde . STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 665 . -- Ra

imension de ces éléments augmente à mesure qu'ils deviennent plus profonds , et la zone des petites cel- lules pyramidale

isseur de cette couche s'accroît avec l'âge, tandis que les parties profondes de cette même couche subissent une sorte de rare-

latérales des cellules polymorphes, principale- ment dans sa partie profonde ; y, les arborisations terminales des cellules d

ectuel qui s'observe chez les hommes consacrés à un exercice mental profond et continu et la coexistence d'un talent de mar

tielles du réseau d'Exner, ainsi que celles des couches moyennes et profondes de l'écorce, sont détruites non seulement dans

ées les unes contre les autres, que l'on considère des couches plus profondes . Leur dendrite principale ou ascendante se diri

rapproche davantage de la cou- che sous-jacente. * ' La partie profonde de la cou- che moléculaire (sous-zone interne

e moléculaire est plus large, mais moins serré, et dans les couches profondes , les feutrages super et interracliaire, ainsi q

une superficielle ou moléculaire, une moyenne ou cellulaire et une profonde ou de substance blanche (fig. 318). La couche m

stéricures des nerfs de Lancisi. - c, grosses cellules de la région profonde . - d, couche moléculaire ou superficielle. e, c

Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a, cellules grandes et profondes se continuant en b avcc des fibres il direclion a

L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 701 1 ' une fibre à myéline, soit de la couche profonde , soit de la substance blanche. Parfois même, le

x fibres se dirigeant en sens inverse (Cajal) (fig. 349). La couche profonde est constituée par la réunion des cylindres-axes

). On rencontre encore, d'après Cajal, dans les couches moyennes et profondes , des cylin- dres-axes plus variqueux que les pr

vent atteindre 401x de longueur et qui occupent surtout les parties profondes de cette couche. Leurs dendrites ascendantes s'

est épaisse et contient deux couches de fibres à myéline. La couche profonde celle qui entoure le diverticule du subiculum d

sa couche moléculaire et par la simplicité relative de ses couches profondes . En abordant la corne d'Ammon, l'épaisse couche

nes disparaissent, les grandes cellules s'accumulent dans la partie profonde de la couche des cellules pyramidales. Leurs long

res, dirigées parallèlement aux fibres de l'alvéus et dont les plus profondes sont situées en pleine substance blanche (fig.

ut àfai( analogues aux cellules 6pemlymairesdunévraxe; de leur face profonde se détache un prolongement radiaire dont la lon

dans l'épaisseur même de la couche moléculaire (Cajal). De la face profonde de la cellule épendy- maire, se détache chez le

campique, et peut être comparé à la strie de Bechterew. Le feutrage profond enfin occupe le stratum radiatum et correspond

du type II de Golgi, bien décrites par Sala, sont superficielles ou profondes . Les super- ficielles sont petites, pyriformes,

utes dans l'épais- seur de la couche moléculaire (fig. 363, b). Les profondes sont triangulaires, étoilées, et plus volumineu

ur le corps cellulaire (fig. 364); les cellules ovoïdes des couches profondes du stratum granulosum peuvent toutefois présent

cellules pyramidales, la zone moyenne ou plexi- forme et la zone profonde ou zone des cellules fusi- formes; ces deux d

zone superficielle, sont plus fréquentes dans les zones moyenne et profonde de la couche des cellules polymorphes. Ce sont

zone moyenne. Cellules a cylindre- axe descendant de la zone profonde . Fie. 368. - Coupe de la circonvolution godronn

cellules mitrales. 5. La couche des grains et des fibres nerveuses profondes . 1. La couche des fibres nerveuses superficiell

la racine olfactive externe ne descend, en effet, dans les couches profondes (fib. 371). Le bulbe olfactif émet, outre les

tie inférieure du corps strié pour former les radiations olfactives profondes d'Edinger. Les unes entrent dans la commissure

lots olfactifs. Ces îlots présentent 47 Radiations olfacti- ves profondes d'K- ùinger. Neurones olfactifs et voies qu

tres affectent une forme ovoïde ou arrondie et occupent les couches profondes . Ils contiennent des cellules petites et grande

triangulaires ou franchement pyramidales; elles occupent les îlots profonds , sont pourvues de dendrites ascendantes et basi

les plus voisines de l'écorce grise et les fibres longues les plus profondes . Les longs faisceaux d'association eux-mêmes ne

ne se distin- guent que par leur situation sous-corticale. La face profonde de la couche des fibres en U est en rapport ave

es circonvolutions de l'insula, de l'opercule sylvien et de la face profonde de la première circonvolution temporale, ont ét

e la couronne rayonnante et du bourrelet du corps calleux. Les plus profondes , enfin, s'irradient dans les crêtes du gyrus supr

anches verticales du sillon parallèle. - 1p, circonvolution temporale profonde . - VS, vallée de Sylvius. 7 : i8 ANATOMIE DES

on, mettant en connexion deux circonvolutions voisines; ses couches profondes , en particulier celles qui sont en rapport avec l

se distingue des longs faisceaux d'association que par sa situation profonde et sous-épendymaire, il est situé en effet en d

ique (thalamus). tilt, taenia thalami. Tp, circonvolution temporale profonde . - U, circonvolution du crochet. troisième vent

; les plus courtes et les plus superficielles unissent les parties profondes des deux lèvres de la scissure calcarine, les f

a couche des fibres de projection, dont la situa- tion est toujours profonde et voisine des cavités ventriculaires. L'étude

de la *&* ligne médiane. Les faisceaux superficiels deviennent profonds de l'autre côté de la ligne médiane, les fibres

t sur le forceps major, et la dégénérescence occupe alors la partie profonde du bourrelet. Dans les lésions de la partie occ

sent à la face inférieure de ce dernier une gouttière plus ou moins profonde , signalée par Gratiolet sous le nom de canal de

eure après : 34°, 8; deux heures après : 34", 8. L'amaigris- sement profond de l'enfant est noté par les variations de son

t à la pariétale ascendante. La scissure interpariétale , sinueuse, profonde , est bifurquée à son origine; sa partie pos- tè

- versaux temporo-pariétaux. La scissure parallèle, normale, très profonde , tortueuse, est dédoublée à sa partie postérieure

stérieure volumineuse. La deuxième scissure temporo- occipitale est profonde . La seconde circonvolution temporo- occipitale

tement tout le lobule. La scissure perpendiculaire interne est très profonde , et va se jeter dans la scissure calcarine, laq

, et va se jeter dans la scissure calcarine, laquelle est également profonde , et va se terminer au niveau du bourrelet du co

rameau ascendant est très prononcé. Le sillon de Rolando, est très profond , sinueux. La scis- sure perpendiculaire externe

Lobe frontal. Il existe une scissure parallèle complète, qui est profonde et un peu sinueuse. La scissure frontale in. fé-

e. La scissure frontale supérieure est très-tortueuse, irrégulière, profonde , interrompue à sa par- tie antérieure par un pl

x sillons ; sa partie moyenne se trouve isolée par deux scissures profondes et obliques, faisant communiquer les deux scissur

ne anomalie. Face interne. La scissure calloso-IJ1[ ! )'uillnle est profonde , sinueuse, ininterrompue. Il existe une scissur

insi que le lobule paracentral, qui offre à son centre une scissure profonde , transversale, allant de la scissure interhé- m

ous-pariétale normale. La.sct'ssttre perpendi- culaire interne, est profonde , formant encoche et a deux lèvres écartées à sa

lèvres écartées à sa partie supérieure. La scissure calcarine est profonde . Le coin, bien développé dms sa moitié supé- ri

s n'avons nulle part trouvé de foyers de sclérose superficiels ou profonds dans la substance corticale des hémisphères. L'ép

is apophyses épineuses, Au-dessus d'elle on remarque une dépression profonde , limitée de chaque côté par les omoplates. Sa l

sentent des sillons nombreux et sont séparées par un sillon assez profond et très sinueux qui se prolonge jusque sur le b

iétale, sinueuse, communique au-delà de son coude avec deux sillons profonds qui remontent vers la fente interhémis- phériqu

le lobule pariétal supérieur. Elle envoie également un sillon assez profond qui descend presque jusqu'à la scissure parallè

vers sa partie moyenne. La scissure parrallèle est sinueuse, très profonde , normale. La seconde circonvolution temporale est

obulé assez gros, offre vers sa partie moyenne un sillon en Y assez profond et dont la bran- che inférieure se place dans l

- diculaire interne. La scissure perpendiculaire interne est très profonde , béante à sa partie supérieure. Elle se prolonge

auche avec les mômes caractères que sur l'hémisphère droit.Elle est profonde . Ses bords écartés laissent voir le lobule de l

misphère droit. La scissure perpendiculaire externe, un peu béante, profonde , n'a qu'un contint, de longueur et est séparée

une sorte de grand Y. La scissure frontale supérieure est sinueuse, profonde , interrompue par un pli de passage se rendant d

e inférieure, dédoublée en partie, est sinueuse et régulière, assez profonde et n'atteint pas la scissure parallèle frontale

ois plis pariéto-temporaux. La scissure parallèle, sinueuse et très profonde , communique par un pli oblique de haut en bas e

ale. Face ùet'He. La scissure calloso-margi11ale, sinueuse, assez profonde , suit sa direction normale. Lap)'c ! )ue)'ecn'-

Le lobule paracenlral de grosseur moyenne, a un sillon médian très profond en forme de T dont la grande branche sciait hor

eurs et postérieurs. La scissure perpendicu- laire interne est très profonde , un peu béante. Le coin est moyennement dévelop

nte. Le coin est moyennement développé. La scissure calcarine, très profonde , continue son chemin jusqu'au niveau du bourrel

ifères gyrcncéphales osmatiques, le pli pariéto-limbique postérieur profond des chats, le pli cunéo-limbiqe superficiel des

124 Microcéphalie. La mâchoi1'e supérieure estlarge, le palais peu profond , avec projection du bord alvéolaire en avant; e

cipitale gauche semble plus étroite que la droite. Toutes deux sont profondes . Le trou occipital est normal; la fosse pituita

ien développée à la partie anté- rieure. La fosse sylvienne (S) est profonde , mais, en écartant ses bords, on ne voit pas le

PA sont bien développées. La I' est séparée de la V- par un sillon profond qui, à la partie antérieure, envoie deux branch

La face inférieure du lobe frontal présente deux sillons assez peu profonds : l'un parallèle au gyrus rectus; l'autre formé

une simple circonvolution sép.iréc de la précédente par un sillon profond (S X) se terminant à la face interne de l'hémisph

érieures mordent sur la gencive en arrière. - La voûte palatine est profonde , étroite et moyennement ogivale. Les gencives s

rognathisme supérieur ; gencives en bon état. La voûte palatine est profonde ; le voile du palais normal. Le coït offre un vo

d'un certain nombre de circonvolutions, une cavité plus ou moins profonde dans l'hémisphère, pour qu'il y ait porencé- ph

convolution frontale dont elle est séparée par un sillon sinueux et profond . La 2e frontale se confond presque complètement

e avec la troisième, puis .elle en est. séparée par un sillon assez profond , et envoie un pli de passage à la 3°; au-delà e

re de la scissure de Syl- vius, on voit une dépression irrégulière, profonde de 5 à 10 millimètres, de forme elliptique, mes

et nettement séparées des circonvolutions supérieures par un sillon profond dans lequel celles-ci viennent aboutir après s'

ulier, comme tortillé. La scissure calloso-m : lrginalc, nette, peu profonde , est composée de bords rectilignes. La corne d'

des sillons superficiels. La scissure pariéto-occipitale est assez profonde , mais très étroite. Cuneus petit. La scissure c

nde, mais très étroite. Cuneus petit. La scissure calcarine est peu profonde et étroite. La scissure de l'hippocampe, unie,

de 2 cent. 1/2 par un pli plus petit dont la sépare un sillon assez profond ; l'un et l'autre à leur extrémité supérieure s

éparés du reste de la cir- convolution par un pli transversal assez profond . Au-dessus de cette partie, petite misse irrégu

i à 75 millimètres de long, un pli antéro.postérieur on avant assez profond et trois plis transversaux tout à fait superfic

nte et au lobule paracen- tral. Scissure catloso-n2atyizate assez profonde . CO/'ne d'Am- mon non sinueuse ; elle envoie un

dans le sens de la hauteur. Le sillon 2),i ? ,iéto-occil)ital est profond . Cuneus en partie confondu avec le lobe occipit

lles se replient sur la face interne en formant une sorte d'encoche profonde au détriment de la face interne de la première

tingue à peine la fron- tale ascendante des trois autres. Le sillon profond qui existe en arrière de la circonvolution fron

la partie postérieure du cerveau par un sillon irrégulier, assez profond . Toute cette partie de l'hémisphère, située en ar

relativement beaucoup plus volumineuses, séparées par des sillons profonds à direction tortueuse et antéro-postérieure com

drilatère, nous trou- vons la scissure pariéto-occipitale, large et profonde , sans un seul pli de passage.- La scissure calc

ofonde, sans un seul pli de passage.- La scissure calcarine est peu profonde . Le lobe occipital est relativement régulier.

sse, de forme ovoïde, de circonvolutions à bords sinueux. Un sillon profond sépare cette masse d'une seconde, composée de c

en avant pour les postérieures. Elles sont séparées par des sillons profonds , très serrés, presque rectilignes. Un sillon la

lons profonds, très serrés, presque rectilignes. Un sillon large et profond sépare cette deuxième masse de la moitié postér

e divisée en deux parties par un sillon antéro-postéricur. sinueux, profond et large, à égale distance du bord supérieur et

igeant obliquement d'avant en arrière et de haut en lias. Un sillon profond va s'aboucher avec le premier sillon décrit sur

emier sillon décrit sur la face convexe en produi- sant une encoche profonde sur le bord convexe de l'hémis- phère. Les sill

s par le sillon dont nous venons de parler, en haut par un sillon profond , mais qui n'aboutit pas au sillon calloso-margina

hauteur, et offre des plis à bords angulaires et des sillons assez profonds . La scissure pn1'Ïc;lo-oeeijJi- tale est très n

bien dessinée dans ses 3/4 antérieurs. Elle est peu large et assez profonde . Le lobe occipital se compose de circon- PSEUDO

185 volutions assez grêles, séparées par des sillons moyennement profonds . - La circonvolution de l'hippocampe est lisse.

st lisse. La corne cZ ? 1 11l- mon est un peu déformée et un sillon profond la sépare, coin-- me nous l'avons vu, de la lit

ins lobulé que le gauche normal. Tête. Lavoïcte du crâne est très profonde , les sutures sont com- plètement soudées; la su

veloppée. Elle se termine en avant par un cap, où aboutit un sillon profond , ante : ro-post8ricur, allant se perdre en arri

ste. En arrière de ce dédoublement, se trouve un 3 ? sillon assez profond qui forme un angle saillant en avant et subdivise

est étroite, sinueuse et séparée de la 2t,le frontale par un sillon profond . La 2mc fron- tale est sinueuse aussi et large

ée en avant par la scissure de Sylvius, et en arrière par un sillon profond qui la sépare d'une circonvolution plus volu- m

t surtout transversaux. Le sillon calloso-marginal est sinueux, peu profond . La circonvolution du corps calleux est normale

e la 1 ? frontale et du lobule quadrilatère par deux sillons très profonds . Le lobe quadrilatère est irrégulier et présente

est petit, sillonné par de nombreux sillons irréguliers. Un sillon profond , allant presque jusqu'à la fente cérébrale le sép

la 3me frontales ; bien séparée de la '1 ? fron- tale par un sillon profond . 3me frontale, très développée, constitue la mo

, est très développée. Elle est divisée en deux par un pli vertical profond , aboutissant à la scissure de Sylvius. Le cap e

pour limiter en avant le lobe paracentral. Le sillon de Rolando est profond , serré, formant une S ita- lique allongée et s'

partie inférieure où elle a trois digitations, Au-dessus, sillon profond , étroit, formant un angle saillant et la divisant

a partie moyenne de- la pariétale ascendante par un sillon très peu profond , s'insérant sur la pariétale ascen- dante par d

inue en arrière avec le lobe pariétal inférieur. Scissure parallèle profonde et large. La deuxième tem- porale est bien déve

ties, une supérieure et une inférieure, par un sillon horizontal profond qui limite en bas une circonvolution très dévelop

et le gyrus reclus sont normaux. En arrière, un sillon transversal profond limite en avant une grosse circonvolution se co

bien développée, très sinueuse. Sillon callo : ;o-miJT;}in;11 très profond , dentelé.- Circonvolutions ch corps calleux bie

, séparé du cuneus et du lobe occipital par un sillon vertical très profond . Cuneus très développé, com- posé de deux circo

ée, front couvert de sueur. Iiaie méningitique très marquée. Coma profond . - Mort, ' AUTOPSIE. 199 Voici le relevé des

pli de passage et séparée sur le reste de son étendue par un sillon profond . Un sillon assez net la divisé en deux circonvo

est très sinueuse, étroite en avant, très développée en arrière. De profonds sillons transversaux la segmentent pres- que co

sillon Bifide au milieu, et distinct du lobe occipital, grâce à un profond sillon. ' ' Lobe occipital. Il est formé d'un

bas et séparée en deux circonvolutions par un sillon à digitations profondes de chaque côté. Au-dessus, nouveaux sillons tra

e se réunissant en haut avec les précuneus. Scissure calcarinp très profonde allant jusqu'à la fente de Bichat. 4e Tempora

de petites circonvolutions séparées par des sillons étroits et peu profonds . 202 PSDUDO-POIiI;NCPII : 11,IT. Circonvoluti

allongé verticalement et élargi en haut, séparé par un sillon très profond d'une dernière masse postérieure. Celte masse c

passage avec le lobe parié- tal. Quelques sillons transversaux peu profonds . Lobule pariétal supérieur assez bien développé

cissure parallèle. Scissure in- te°priét<2le assez étendue, très profonde en arrière. Lobule du pli courbe bien développé

ure du pli courbe. La scissure parallèle est large, anfractucusé, profonde . La 2 ? temporale est développée, plus sinueuse

a pre- mière et présente d'assez nombreux sillons tranversaux peu profonds . - La 3" temporale n'est distincte qu'en arrière,

obe paracentral par un sillon très creux. - Sillon calloso-marginal profond , formant une encoche pour recevoir le lobule po

seudo-porencéphalie. tions séparées par des sillons verticaux assez profonds , qui aboutissent à un sillon en fer à cheval li

leux en arrière du sillon calloso-marginal. Scissure calcarine très profonde .- Cuneus à peine marqué. Le lobe occipital se c

st divisée en deux parties presque égales par un sillon transversal profond . Lobe orbitaire et gyrus rëchts, rien de partic

une attitude pla- cide, heureuse, et comme plongée dans une torpeur profonde ». 214 Idiotie myxoedémateuse. Nous trouvons

au niveau de la région occipitale. Le front présente des rides très profondes , qui contribuent à donner à la malade un aspect

stes. Connexions, structure. Les os occupent en général les parties profondes ; les cavités qu'ils forment sont isolées de toute

, tous les os sont enveloppés par le périoste et contigus aux muscles profonds auxquels ils donnent insertion par l'intermédiair

scles synergiques. Ces divers systèmes se joignent aux 3 cloisons profondes qui \ont prendre insertion sur les os; c'est ce q

dent dans les lignes (l'intersection entre elles et avec les cloisons profondes ; la jambe et surtout lavant-bras en offrent de no

ulaire et adipeuse se présentant partout à la surface des aponévroses profondes , dans une épaisseur proportionnée à celles de ces

t en rapport, par sa surface extérieure, avec les couches musculaires profondes ; dans beaucoup de lieux il fournit, par l'intermé

. Il en est de même des os des membres par rapport aux grands muscles profonds . (Ex. : au bras et à la cuisse des triceps, à l'a

entaire en particulier, avec l'aliment et les fèces. Par leur surface profonde , les membranes muqueuses, comme la peau, adhèrent

nterposent entre des muscles synergiques. L'élément organique le plus profond est l'os, tige centrale commune de sustentation,

plus l'office d'un squelette flexible. Au thorax, la couche osseuse profonde est représentée par les côtes doublées par le feu

s par le feuillet sous-pleural. A l'abdomen, outre le rachis, le plan profond résistant n'existe plus que par les aponévroses e

mées dans la profondeur du rocher de l'os temporal. La partie la plus profonde , ou le labyrinthe, qui loge l'expansion du nerf a

tendons fléchisseurs et de leurs annexes, séparées, par l'aponévrose profonde , du plan des muscles inter-osseux et de l'adducte

devant, dans toute la hauteur du membre, celle du soléaire. Le groupe profond , appliqué contre les os et le ligament inter-osse

'autant mieux localisée qu'elle sera située d'abord dans un lieu plus profond , et séparée des surfaces extérieures, ou tégu-nie

ut sur les os des membres, donne la théorie des foyers dans les abcès profonds où le pus, en suivant les trajets celluleux inter

pement de tumeurs ; toujours les aponévroses, tant superficielles que profondes , s'opposent à l'extension de maladies, modifient

e voisinage de tissus altérés ; on sait, en effet, que dans les abcès profonds des parois du thorax ou de l'abdomen, déjà depuis

ps les aponévroses, amollies et perforées , ont permis l'infiltration profonde du pus, que la membrane séreuse en contact est re

el est le cas des liquides épais ou plastiques, le pus dans les abcès profonds , le sang dans les lésions des vaisseaux, les mati

taux qui vont se distribuer dans les intervalles des côtes et au plan profond de la paroi musculaire, dont les vaisseaux superf

immense d'anastomoses entre les vaisseaux artériels et veineux, soit profonds , soit superficiels, communiquant par-tout les uns

ormant, sous les muscles de la fesse ou de la cuisse, des collections profondes dont le diagnostic est souvent très difficile à é

e, la branche frontale de l'ophtalmique et les rameaux des temporales profondes , qui montent verticalement. Les veines sont : au

nes occipitales sont souvent doubles, l'une superficielle, et l'autre profonde , accompagnant l'artère. 5° Vaisseaux lymphatiques

'insère en bas sur l'apophyse zygomatique. Entre elle et l'aponévrose profonde est une couche adipeuse ou fascia superficialis,

leuses. (B) Le deuxième plan est constitué par l'aponévrose temporale profonde , enveloppe de coutention et surfaceM'insertion du

rotidiens. Sur la surface périostique rampent les vaisseaux temporaux profonds , artères et veines, fournis par les maxillaires i

cal, le facial et le rameau auriculaire du maxillaire inférieur ; les profonds proviennent du maxillaire inférieur et de la bran

; sur le péricrâne, l'épanouissement des artères et veines temporales profondes , et à la face interne du pariétal, les divisions

temporaux. 5° Nerfs. Les superficiels sont fournis par le facial, les profonds par le sous-orbitaire ; ces derniers sont le sièg

ide. Elle occupe, dans sa portion la plus épaisse, le sillon vertical profond placé entre l'apophyse mastoïde et le muscle ster

posés en deux plans, l'un superficiel au-devant de l'oreille, l'autre profond sur les gros vaisseaux . 50 Nerfs. Ils ne sont pa

confluent jugulaire, 7° Nerfs. Ils se distinguent en superficiels et profonds . Les premiers sont formés par le plexus cervical

rmés par un nombre considérable de filamens, les uns, superficiels et profonds , appartiennent au plexus cervical ; latéralement

plexus cervical, forment une couche entre le complexus et les muscles profonds . 70 Squelette. Il se compose de la moitié inférie

opération que la trépanation de l'os dans le cas de carie ou d'abcès profond du médiastin antérieur. RÉGION DIAPHRAGMATIQUE

s sont : en plan superficiel, le trapèze et le grand dorsal ; en plan profond , le sacro-spinal et ses annexes. Les vaisseaux et

ar les thoraciques longs, dont la direction est verticale, et en plan profond , dans toute l'étendue, par les branches obliques

dont les fragmens ou les esquilles'peuvent donner lieu à des lésions profondes ; 20 les plaies par divers instrumens ou par des

ce est beaucoup plus grande en médecine qu'en chirurgie; les douleurs profondes qui s'y rapportent sont l'un des signes les plus

de l'hypocondre droit viennent s'ouvrir le plus fréquemment les abcès profonds du foie. 2° zone moyenne ou mésogastrique. El

issu adipeux, et constituant le pannicule sous-cutané ; l'autre, plus profond , également imprégné de graisse, mais où néanmoins

ou tégumentaires et par les honteuses externes; les artères et veines profondes sont les épigastriques, qui montent verticalement

ne, les autres en regard de l'anneau inguinal interne ; les vaisseaux profonds sont fournis par les branches externes des épigas

, quoique extensible. Les vaisseaux de cette partie sont les branches profondes , dites caverneuses, de l'artère et de la veine ho

'un superficiel, dont fait partie le tissu érectile du gland; l'autre profond , constitué par les vaisseaux propres du corps cav

teurs, le pubio-uréthral et le pubio-prosta-tique. Ces divers muscles profonds sont unis dans leurs attaches médianes par la pet

e premier sous-cutané, le second divisé en deux plans, superficiel et profond , dont les ramifications accompagnent les vaisseau

le superficiel, qui forme le tendon membraneux du grand dorsal, et le profond encore plus dense ou l'aponévrose lombo-iliaque,

s une loge spéciale et séparés par une cloison aponévrotique; en plan profond les rotateurs du fémur, petit et moyen fessiers,

un faisceau commun avec les nerfs du plexus brachial ; l'artère, plus profonde , est placée dans le milieu, côtoyée par la veine

utanés sont les sus-claviculaires du plexus-cervical superficiel; les profonds sont les branches thoraciques du plexus brachial

d'enveloppe, qui séparent le creux axillaire sous-cutané des parties profondes . Le sommet est fermé par l'aponévrose brachiale p

ure qui forme confluent par les anastomoses des radiales et cubitales profondes . Elle se divise en V au-devant du tendon du bicep

e piquer cette veine est surtout à craindre par rapport aux vaisseaux profonds dont la sépare l'aponévrose bicipitalc. De chaque

évrose, montent les veines radiale et cubitale antérieures. 3° Couche profonde : muscles, vaisseaux et nerfs. L'aponévrose d'enve

ubitaux descendent entre le fléchisseur superficiel et le fléchisseur profond où ils sont côtoyés dans la moitié inférieure par

e cubital postérieur, sous-jacens à l'aponévrose d'enveloppe; en plan profond le long abducteur du pouce, son court et son long

extenseurs appliqués sur la face postérieure du carpe. Les vaisseaux profonds sont les artères et veines sus-carpiennes, branch

fin en cinquième plan sur la surface métacarpienne, en haut, l'arcade profonde de [artère et des veines radicales et leurs branc

es radicales et leurs branches in ter-osseuses appliquées sur la face profonde formée par les muscles inter-osseux et les crêtes

sales; au dessous d'elle sont les tendons extenseurs et les vaisseaux profonds . Ces vaisseaux sont: i° l'artère et les veines ra

mmun des veines et des lymphatiques, pour se jeter dans les vaisseaux profonds , en haut les veines inguino-abdominales, en dedan

composent en plan superficiel des veinules sous-cutanées , et en plan profond des vaisseaux propres des muscles ; les artères e

nerf petit sciatique et les rameaux cutanés qui en émanent ; en plan profond , les vaisseaux nourriciers des muscles dont, en h

t d'anthrax dans son enveloppe cutanée et de phlegmons dans sa couche profonde . Vu sa structure et ses maladies, on n'y pratique

e droit interne, renfermés dans leurs gaines fibreuses ; et d'un plan profond formé de deux grandes masses triangulaires, sépar

otiques. 5° Vaisseaux et nerfs. Ils se distinguent en superficiels et profonds : en plan sus-aponévrotique se présentent, outre

. Par sa situation, elle est placée plus en arrière que les vaisseaux profonds , écartée du trajet de l'incision pour la ligature

ture de l'artère à la partie moyenne de la cuisse. Au plan vasculaire profond se rapportent les gros vaisseaux et toutes les ra

é en dedans du couturier, jusqu'à la naissance des vaisseaux fémoraux profonds , et croise ensuite longuement en diagonale la dir

ports redeviennent les mêmes, les gros vaisseaux seulement étant plus profonds . Dans les rapports des vaisseaux entre eux, la ve

tre, est le siège de nombreux phlegmons et d'engorgemens lymphatiques profonds . Quoiqu'elle tapisse en arrière l'articulation fé

et, en avant, le nerf tibial antérieur, qui accompagne les vaisseaux profonds , dont il croise très obliquement la direction de

aponévrose étant souvent un obstacle à l'écartement de la plaie, très profonde , sur-tout quand on agit à la partie supérieure.

ermée à l'extérieur par l'aponévrose jambière, et isolée de la couche profonde par son aponévrose d'enveloppe. Le plan profond r

isolée de la couche profonde par son aponévrose d'enveloppe. Le plan profond renferme trois muscles : le long fléchisseur prop

e tibia et le ligament inter-osseux, et, en arrière, par l'aponévrose profonde qui les sépare du soléaire. 5° Vaisseaux et nerfs

s deux muscles sont fournis par le sciatique poplité interne. Au plan profond appartiennent les gros vaisseaux; en dedans, l'ar

s. Ces vaisseaux sont accompagnés chacun par les rameaux lymphatiques profonds . G° Squelette. Il est formé par la face postérieu

antérieure de l'articulation tibio-tarsienne, les vaisseaux et nerfs profonds . 3° Les tendons sont, de dedans en dehors, celui

erne, et quelques branches d'anastomose des veines saphènes ; en plan profond , les vaisseaux tibiaux antérieurs, qui passent av

térieur, fléchisseurs long et propre des orteils en arrière ; en plan profond sont les liga-mens latéraux tibio-calcanien et as

. Au-devant de ce tendon est la terminaison de l'aponévrose verticale profonde , qui maintient dans autant de gouttières de gliss

x saphènes, qui longent les bords externe et interne du pied. Au plan profond se rapportent (c) les vaisseaux pédieux, qui long

e résultat de la texture fibreuse du coussin plantaire. Les vaisseaux profonds sont les plantaires externes et internes appliqué

plus ou moins éventuel et éloigné : tels sont les lipomes, les abcès profonds , et en général des tumeurs variées sans dégénérat

2 centimillimètres, il est sillonné par des dentelures beaucoup plus profondes que celles d'un bistouri; son profil, découpé par

ou des bavures de métal en saillie, alternant avec des cassures assez profondes , forme une ligne très irrégulièrement continue, c

outes les fois qu'il s'agit d'opérer des débridemens dans des cavités profondes , où la pointe du bistouri droit ordinaire pourrai

telles sont les scarifications pour les ventouses. Les incisions très profondes se nomment taillades. Les abcès sous-aponévrotiqu

nt du siège, quelles sont les précautions que réclament les incisions profondes , suivant la nature des tissus que l'on doit renco

ient-elle surtout lorsqu'il est convenable de pratiquer des incisions profondes et peu prolongées. De ce nombre sont l'ouverture

es et peu prolongées. De ce nombre sont l'ouverture de certains abcès profonds , mais surtout l'incision pour pénétrer dans le sa

cas d'isolement des muscles pour atteindre dans les espaces celhileux profonds . 2 1 2n Arrachement. 11 constitue une opérati

irurgien d'éviter le double inconvénient d'une section préalable trop profonde qui causerait de la difficulté à lier les vaissea

ur les surfaces libres, ou, à l'aide de serre-nœuds, dans les cavités profondes . Si on éprouve trop de difficultés à agir sur le

ombre de maladies, caries, fongus, pourriture d'hôpital, hémorrhagies profondes , etc. On y emploie toutes les variétés de cautère

rop courts ou très mobiles, ou exposés à des pressions d'organes plus profonds : tels sont les cas de bec-de-lièvre, de gastrora

sous ce rapport, elle convient pour les solutions de continuité très profondes ; mais elle laisse entre les bords de la peau un

tent que la peau ; en sorte que, très convenables pour des plaies peu profondes et pour appliquer contre les chairs d'un moignon

antes pour la réunion des plaies transversales et longitudinales très profondes , et doivent être remplacées par les bandages unis

t et avec lenteur pour amener le plus possible en contact les parties profondes , en même temps qu'il les recouvre de tégumens, en

nditions indispensables : i° une situation superficielle ou assez peu profonde pour pouvoir être atteinte par pression ou refoul

lle est la compression de l'artère sous-clavière lorsqu'elle est très profonde et que l'écar-tement des scalènes est très étroit

Camper a enseigné de la comprimer avec le pouce. Si l'artère est trop profonde ou l'écartement des scalènes trop étroit, on supp

veineuse en retour, la pelote agissant sur les deux veines humérales profondes et la basilique, de sorte que la céphalique est l

sion temporaire est très facile à l'arcade fémorale, où l'artère, peu profonde , appuie sur le pubis , au fond du triangle, qui a

nger en dernier lieu est dans l'extraction de la racine, souvent très profonde . Si on éprouve trop de difficulté à l'isoler, il

e en biseau. 5° Si la couronne tartreuse du collet des dents, assez profonde , n'est pas enlevée suffisamment, on achève de la

rficielle, on l'enlève complètement d'une seule fois; si la carie est profonde , on se borne d'abord à isoler la dent cariée de s

git en même temps sur chaque face adjacente, (e) Quand la carie, très profonde , ne laisse plus que des fragmens de couronne de l

loir pointu, la fait entrer par pression dans les inégalités les plus profondes » Dès que la surface est recouverte par Une premiè

s doivent s'enlever avec le tirtoir; néanmoins, si la racine est trop profonde pour être atteinte par le crochet, on peut l'ébra

ergique et durable, et conséqucnimont une cautérisation plus ou moins profonde . Cautérisation de la peau en entier. On y emplo

scarrhe d'un brun d'autant plus foncé que la cautérisation a été plus profonde ; parfois même cette escharre est fendillée; elle

n fait que, dans certains cas, ils produisent des cautérisations trop profondes , tandis que, dans d'autres, ils sont à peine sui

soir ou des scarificateurs. Procédés opératoires. i° Scarifications profondes . Ce n'est qu'une incision de dehors en dedans, le

rd libre à sa base, ou de l'extrémité la plus superficielle à la plus profonde . Pour le pansement, maintenir l'écartement des de

re à n'arriver que peu à peu en profondeur, pour éviter les vaisseaux profonds : 20 de dedans en dehors (pl. 23, fig. 1 ). Cette

piquant à plat, avec le bistouri droit que l'on insinue sous la face profonde du sterno-mastoïdien; retirer l'instrument par la

au bord du muscle, et, piquant à la base du pli, glissa, sous la face profonde du sterno-mastoïdien , la lame d'un bistouri conv

esoin d'un pli à la peau, le bistouri convexe est glissé sous la face profonde du muscle. La section du tendon sternal est faite

iculaire et frontal, et accompagné par l'artère et la veine frontales profondes . Procédé de M. Felpeau. (Pl. 23, fig. 6.) Le ch

oupe avec des ciseaux droits. On ne pratique pas l'excision, la plaie profonde et très aiguë empêchant de pouvoir saisir l'extré

iter de couper les nombreux rameaux artériels paro-tidiens. Section profonde . {Procédé de M. Velpeau.) Pour attaquer le nerf à

ïdien, c'est-à-dire à quatorze lignes de la peau, dans un sillon très profond qui renferme la parotide, la veine jugulaire exte

souvent besoin d'appliquer les sangsues dans une cavité plus ou moins profonde , soit, à l'œil, la face intérieure des paupières;

35 à 4o degrés: elle n'est employée que pour atteindre une veine très profonde ; mais aussi, après l'incision, il faut relever l'

t, mettant le malade dans l'obscurité, on reconnaît parfois une veine profonde à l'ombre légère que forme son relief en promenan

entre la veine et la peau au contact ; au contraire plus la veine est profonde et la lancette dont on se sert très aiguë, plus i

s, la section de cette veine est inoffensive. 4° LTne incision un peu profonde est dangereuse sur presque tous les points du tra

lle croise en arrière les rameaux du nerf cutané interne; {b) en vlan profond , le danger est encore plus grand ; à une ligne et

nale, dans toute sa longueur, l'artère numérale entre ses deux veines profondes ; plus haut, son abouchement dans la basilique rép

e n'est en réalité que le tronc médian déplacé. Sa situation est plus profonde , appuyée qu'elle est sur l'aponévrose tibiale pos

pposé , de manière à former une large ouverture. Si la veine est très profonde ; pour rendre la saignée plus certaine sans s'expo

toutes les parties il existe deux sortes de veines superficielles et profondes . Les veines superficielles seules peuvent être sa

édé,qui devrait, pour avoir quelque efficacité, s'adresser aux veines profondes , est, ici, par cela même, inapplicable. 2° Impo

nfirmatif est le plus précieux de tous ; mais si le vaisseau est trop profond pour être senti au toucher : inciser d'abord en s

est superficielle, inciser parallèlement à sa direction. Si elle est profonde , M. Lisfranc établit en précepte général de crois

que facilement avec la sonde cannelée droite; mais si le vaisseau est profond , on prescrit de courber le bec de la sonde : tout

uand le fil est amené au dehors, dégager la sonde. Si l'artère, étant profonde , est portée dans la courbure d'une aiguille à lig

envoi pour chaque bout tenu dans la paume de la main. Si l'artère est profonde et le sillon étroit, il vaut mieux employer les i

érieur et de l'extenseur propre, sous lequel elle passe, elle n'y est profonde que d'un centimètre. Lieu d'élection. On ne pra

de l'instrument par la première ouverture. En raison de la situation profonde de cette artère, il est souvent utile de recourbe

on transversale aponévrotique , qui maintient les muscles postérieurs profonds de la jambe; appliqué sur la face postérieure du

su adipeux se présente et au-dessous d'elle le feuillet aponévrotique profond , non indiqué, à tort, par les auteurs et que l'on

s de volume des chairs rendant la situation de l'artère plus ou moins profonde , quoique sa direction soit la même dans les deux

termédiaire de ce bord, continué par le tendon d'Achille, aux muscles profonds . Inciser, si on veut lier un peu haut, la portion

rtion, très résistante, qu'il ne faut pas confondre avec l'aponévrose profonde que l'on trouve au-dessous ; puis faire écarter l

Le fond de la plaie est formé alors par l'aponévrose intermusculaire profonde ; la soulever avec la pince, piquer, puis introdui

, et le faire écarter en arrière avec un crochet mousse. L'aponévrose profonde mise à nu, l'inciser sur la sonde cannelée et all

l'incise, puis diviser également, sur la sonde cannelée, l'aponévrose profonde intermusculaire. Le faisceau vasculaire mis à nu

en dedans que le contour de la peau sur la face externe. L'aponévrose profonde étant mise à nu, l'inciser sur la sonde cannelée

le point difficile de l'opération, qui consiste à atteindre le sillon profond , persistant quelle que soit la forme de l'incisio

fémorale (pl. 39 et 47) '. Situation. Logée dans le sillon fémoral profond , intermédiaire des adducteurs au psoas iliaque et

rieur , puis, par un mouvement continu, glisser la sonde sous la face profonde entre les deux vaisseaux, et, en amenant le bec v

ace antérieure de la cuisse en diagonale, le faisceau vasculaire plus profond et presque vertical croise très obliquement la di

edans, revêt dans ce sens les vaisseaux qui lui sont externes et plus profonds . Dans ce trajet, où le couturier inflexe contourn

ture dans cet espace ne doit s'effectuer qu'au-dessous de la fémorale profonde et de la circonflexe interne : or, ces vaisseaux

phène placé à un centimètre en dedans de l'axe du faisceau vasculaire profond ; diviser ensuite l'aponévrose fémorale superficie

essous de lui est le faisceau vasculaire, l'artère supérieure et plus profonde , la veine postérieure et inférieure et le nerf en

xuosités, appliquée, entre ses deux veines, sur le muscle fléchisseur profond et côtoyée en dedans par le nerf cubital, l'artèr

t appliquée, avec ses deux veines satellites, sur le long fléchisseur profond : elle est recou-- 1 Voy. Anatomic topographiqu

nfonce, jusqu'à son origine appliquée sur les attaches du fléchisseur profond . Ecartant alors ou en dedans ou en dehors le tron

haut, antérieur au milieu, et interne en bas. Le faisceau vasculaire, profond d'environ un centimètre et demi chez les sujets m

n et l'autre angle de la plaie. Alors apparaît le faisceau vasculaire profond ; en premier plan le nerf médian appliqué au côté

nterne et cubital et une portion de fartère: puis vient l'artère plus profonde et plus ou moins recouverte par la veine; enfin p

tanés se présentent sous la clavicule. C'est celui du milieu, le plus profond et le plus élevé, qui constitue le triangle sus-c

aponévrotique, la veine occipitale superficielle au-dessus, la veine profonde et le nerf au-dessous : dénuder l'artère et passe

rmusculaire, en se gardant de prendre pour cet interstice, externe et profond , l'interstice superficiel et plus interne des sca

mie qu'il faut en chercher la raison, c'est-à-dire, dans la situation profonde de la sous-clavière elle-même, sa proximité des g

rajet en deux troncs secondaires , fessier et pelvien. La situation profonde de l'iliaque interne la protège contre les lésion

de l'aorte. Si le sujet était maigre et par conséquent l'aorte moins profonde , M. Velpeau pense que l'on pourrait s'aider avec

onservé entre les divers plans intéressés dans une plaie directe, peu profonde ou largement ouverte, et alors le sang s'écoule e

irecte du côté du cœur. Eu-fin quand, la lésion artérielle étant très profonde , on est en doute sur celui des vaisseaux qui est

e cercle le plus rétréci possible, avec section de ses deux membranes profondes . A cet effet il fit usage des fils de soie déjà a

ordre latéralement de manière à contondre et broyer ses deux tuniques profondes , puis, par la pression de bas en haut de l'instru

se faire jour au dehors. Dans d'autres cas, où sa situation est trop profonde , il entretient un trajet fistuleux ou donne lieu

causes qui les produisent, on distingue les abcès en superficiels ou profonds , aigus ou chroniques, idiopathiques, symptoma-tiq

e alors le foyer parle moyen du caustique, ouverture des abcès très profonds . Lorsque la fluctuation obscure indique que l'a

par M. Graves pour des abcès du foie, et par Dupuytren pour des abcès profonds de la cuisse. TUMEURS. Rien de plus varié, ma

rente du kyste qui en forme le sommet. L'opération terminée, la paroi profonde du kyste forme la surface de la plaie. Exposée à

ue opératoire on les distingue en superficielles ou sous-cutanées, et profondes ou sous-aponévrotiques. Les lipomes sous-cutanés

traçant aussi leur rainure circulaire. Aussitôt que la voie est assez profonde pour empêcher la couronne de s'échapper 011 enlèv

s vices généraux ou altérations des liquides : le scorbut, une anémie profonde , la diathèse cancéreuse sont particulièrement cla

e MM. Malgaigne et Robert peut suffire. Si des altérations organiques profondes , accompagnées dhypérostosc, font prévoir des diff

ure constituée par la peau, les tendons du triceps sural, des muscles profonds postérieurs et des péroniers, par l'artère, le ne

péroniers ne doivent pas être atteints; et la plaie, régulière et peu profonde , se cicatrise bien. 20 Extraction de l'extrémit

rpé. Alors avec la pointe du couteau diviser les ligamens latéraux et profonds ; puis, à l'aide d'incisions latérales , achever l

mps qui suivent un accident de fractures compliquées, sans altération profonde des chairs, pourrait-on préférer l'ablation de la

qui pénètre jusqu a l'os, tracer une seconde incision transversale et profonde se dirigeant vers la partie postérieure et intern

plus de même lorsqu'on aura affaire à des altérations volumineuses et profondes ; la largeur des incisions, les débridemens indisp

et, dans un second, coupait, au niveau de leur rétraction, la couche profonde . Valentin voulait que les muscles fussent mis d

nson; divisait d'un second coup le cône saillant formé par les fibres profondes , pendant qu'un aide remontait fortement les chair

ontente de lambeaux superficiels, et coupe circulairement les muscles profonds , pensant réunir ainsi les avantages rattachés aux

tendons se prolonge dans toute la longueur des doigts; le fléchisseur profond se fixe à la phalangette, le superficiel à la pha

la synoviale du carpe, les tendons et les synoviales des fléchisseurs profonds et superficiels, et les lombricaux; tous ces élém

cubital antérieur, au tiers moyen elle est couchée sur le fléchisseur profond et recouverte par le cubital antérieur et le fléc

nter-osseuse. On a suivi divers procédés pour la seciion des chairs profondes ou des tendons logés entre les deux os. Sabatier,

-osseux, tournent le tranchant en haut et divisent les parties molles profondes , perpendiculairement du centre à la circonférence

isième temps. Quelle que soit la manière dont on ait coupé les chairs profondes , il faut, avant de scier les os, dégarnir complèt

gne propose, dans son Anatomic chirurgicale, déformer avec les chairs profondes deux petits lambeaux longs d'un pouce et taillés

Sédillot, seulement il forme un cône rentrant en divisant les chairs profondes . Appréciation générale et relative. On n'a vé

complètement à ce résultat, nous proposerions, en coupant les chairs profondes à la manière de Dupuytren, d'enfoncer le couteau

ire, et que les procédés de Bell et d'Alanson, appliqués aux fibres profondes , remplissent très bien ce but, précisément à caus

ssent très bien ce but, précisément à cause de l'adhérence des fibres profondes et de la rétraction des superficielles dans un mê

lé Grœfe et S. Cowper, ou mieux couper perpendiculairement les fibres profondes et détacher les muscles de l'os suivant le procéd

Louis se contentait de couper perpendiculairement alors les fibres profondes ; mais ce procédé est insuffisant pour prévenir l

r temps l'artère humérale, relever les lambeaux et diviser les chairs profondes à la manière d'Alanson. — Procédé de M. Baudens.

ers de la section la lame du couteau et couper obliquement les fibres profondes : le reste comme il a été dit (pl. 83 bis, fig. 7

raction, primitive des muscles superficiels et secondaire des muscles profonds ; c'est pour remédiera cet inconvénient qu'Alanson

t, au niveau de leur rétraction, coupe de la même manière les muscles profonds . On pourrait encore employer le procédé de Bell

s à la base du lambeau, couper selon la méthode d'Alanson les muscles profonds , diviser les fibres inter-osseuses, remonter les

: car on n'est jamais assez sûr de la limite des maladies organiques profondes ; et l'on aurait alors le regret d'avoir pratiqué

re, et cherche à la prévenir en sciant l'os plus haut que les muscles profonds . Alanson et Bell, poursuivant la même idée, propo

dans leur totalité. La seconde couche est for niée par les muscles profonds : adhérens au fémur dans une étendue plus ou moin

érieur on trouve en plus, outre des branches musculaires, la fémorale profonde . Trois méthodes ont été proposées pour la réuni

es jusqu'aux os; au niveau des libres rétractées, division des fibres profondes : le reste comme dans le procédé ordinaire. Pro

e le premier ; les chairs relevées, inciser circulairement les fibres profondes . Dans le lambeau interne se trouve l'artère fémor

, à leur base, inciser circulairement et en cône rentrant les muscles profonds . Méthode ovalaire. — Procédé de M. Malgaigne. I

etirer fortement les chairs en haut, inciser jusqu'à l'os les muscles profonds , enfin scier l'os en regard de la section muscula

ur du membre ; mais il convient très bien pour la section des muscles profonds . Les combinaisons que Valent! n a proposées pour

fémur, le tronc fémoral, auquel s'ajoutent ordinairement la fémorale profonde et des branches de l'obturatrice et des circonfle

Abcès. Ouverture des abcès en général, 189, 130. —Ouverture des abcès profonds , 191. = Tumeurs. Excroissances cornées. Ligature,

RELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGURE 1. COUCHE PROFONDE DE LA PARTIE LATERALE DU COU, ET DE l/EXTREMITE I

alement sur le diamètre transversal. La figure montre les aponévroses profondes sur le plan postérieur du pharynx, depuis la base

jet principal de cette figure est de montrer les rapports des parties profondes de la cavité pelvienne, siège de nombreuses opéra

terminale des vaisseaux circonflexes internes. 36. Vaisseaux fémoraux profonds . 27. Branches perforantes. S. Loge du droit int

où elle traverse l'aponévrose, pour se jeter dans la veine fémorale profonde . C'est cette disposition qui nécessite l'anse de

eux sont conservés en premier plan. La surface des muscles est plus profonde . INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGU

mi-épineux du cou et transversairc épineux, 13. Vaisseaux cervicaux profonds . 14-. Angulaire de l'omoplate. 15. Scalène post

rficiel. 6. Vaisseaux et nerf médian. 7. Loge du long fléchisseur profond des doigts. 8. Vaisseaux radiaux. 9. Nerf rad

5. Vaisseaux cubitaux et nerf cubital. D. Loge du long fléchisseur profond des doigts. E. Loge du long fléchisseur propre

. 5. Double rangée de quatre tendons fléchisseurs superficiels et profonds . 6. Tendon du long fléchisseur du pouce. 7. V

. Vaisseaux sanguins fournis par les branches internes des fémoraux profonds . 13. Filamens nerveux fournis par le nerf obtur

érieur de la jambe et dorsal du pied. Figure 3. — Surface plantaire profonde . INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGU

les sont conservées en premier plan. La surface musculaire est plus profonde . INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGU

émoraux. Artères, veines et nerf satellites. 16. Vaisseaux fémoraux profonds . 17. Grand nerf sciatique. 18. Petit nerf sci

a médiane basilique, conservées en premier plan au-devant des parties profondes . indication commune aux figures 2 et 3. Io Ve

pour ne point blesser les nerfs, les lymphatiques et les vaisseaux profonds . 2° Vaisseaux lymphatiques. (6) Fig. 2. Groupe pr

rne; (9), fig. 2 et 3, Filet cutané du nerf cubital. 4° Vaisseaux profonds . Fig. 3. (10) Artère numérale : (11) Veines humer

rassant l'artère, forme un collet d'étranglement. d. Veine numérale profonde externe. e. Veine humérale profonde interne.

ranglement. d. Veine numérale profonde externe. e. Veine humérale profonde interne. f. Nerf médian, aperçu entre les vaiss

branches. En bas la circulation se rétablit, en avant par la fémorale profonde et l'obturatrice, et en arrière par l'ischiatique

a, b, c, d (fig. 3,4), qui vont rejoindre l'origine de \a fémorale profonde D qui supplée en haut le tronc fémoral. E. Artè

e fournit d'abord une petite branche (e) qui va rejoindre la fémorale profonde par une anastomose avec les branches anormales de

se divise en deux artères dont l'une (g) va se jeter dans la fémorale profonde , et dont l'autre (h) rétablit, avec une branche (

anche ( e ) de l'obturatrice vient rejoindre l'origine de la fémorale profonde . D. Artère fémorale profonde formée par la jonc

ent rejoindre l'origine de la fémorale profonde. D. Artère fémorale profonde formée par la jonction des branches de la fessi

la circulation dans la fémorale H. En arrière (fig. 4) la fémorale profonde se jette dans la poplitée I après avoir reçu les

de Deschamps, plus alongée pour la ligature des gros troncs artériels profonds ; (a) manche de l'instrument; (b) tige métallique;

. — 2. Section de l'aponévrose jambière. — 3. Section de l'aponévrose profonde de contention des tendons fléchisseurs. — 4. Artè

u. — 2. Section de l'aponévrose jambière. —3. Section de l'aponévrose profonde des muscles fléchisseurs. — 4. Artère tibiale pos

— 4. Section de l'aponévrose antérieure du soléaire. — 5. Aponévrose profonde d'enveloppe des muscles fléchisseurs. — 6. fig. 2

diane basilique. — 7. Veine médiane céphalique. — 8. Veines humérales profondes . — 9. Nerf médian. — 10. Tendon du biceps humerai

ui pourrait donner du sang en retour par son anastomose avec l'arcade profonde de la radiale. FIGURE 2. LIGATURE DE LA RADIALE

ttaches du splénius. 3. Nerf sous-occipital. ht. Veine occipitale profonde . 5. Artère occipitale sous laquelle est passé u

elles des branches qu'elle fournit, dentaire inférieure, massé-térine profonde , ptérygoïdiennes, qui ont été coupées dans la sec

r couper avec le bistouri les muscles inter-osseux que leur situation profonde , dans l'excavation sous-métatarsienne, a empêché

e suture. f. Fils à ligature des artères fémorales superficielle et profonde , fessière et ischiatique. FIGURE 3. PROCÉDÉ D

principales artères : (m) la fémorale superficielle ; (n) la fémorale profonde ; (o) la circonflexe interne. Les artérioles, d'un

ambeau supé- rieur relevé. f. Artères fémorales, superficielle et profonde , dont la ligature a été pratiquée immédiatement

liée. d. Lambeau interne. e. Artères fémorales, superficielle et profonde , liées après la section du lambeau. f, g. Mai

tion se voient les orifices coupés des artères fémorale (i), fémorale profonde et eirconflexe externe (k), et celui de l'obturat

litèrent provisoirement les orifices des artères fémorale et fémorale profonde . Cette disposition appartient à une manœuvre géné

nt séparées des circonvolutions temporales (T3) par une anfractuosité profonde (S) à convexité antérieure et dans laquelle s'enf

optique; AQ, aqueduc de Sylvius. dedans, et qui répond à une fente profonde {Bf), la fente de Bichat, laquelle se prolonge vi

la face inférieure du cerveau présente une dépression quadrangulaire profonde , l'espace perforé antérieur où pénètrent les artè

ar les racines olfactives, a une certaine épaisseur. Un grattage plus profond (schéma 4, troisième figure) montre enfin que la

erne du pied, et le plus souvent au contact du bord 1. Les rapports profonds de cette racine seront étudiés sur les coupes ver

it de signaler l'aspect extérieur du tractus ¦pedunculi; les rapports profonds de ce faisceau seront étudiés ultérieurement (voy

s n'assurent une section exacte que pour des régions relativement peu profondes (au-dessus de la face basilaire). Si l'on veut êt

hère ou extrémité frontale est entamée i sa partie inférieure par une profonde dépression qui sépare le lobe routai du lobe sphé

ylvius (S'). Cette scissure dirigée en haut et en arrière est la plus profonde , la plus constante, la plus précoce de toutes les

ps calleux ou circonvolution limbique (C), entourée elle-même par une profonde scissure, la scissure calloso-marginale ou limbiq

la circonvolution de l'hippocampe (Hip), limitée, elle aussi, par une profonde anfractuosité, le grand sillon occipitotemporal (

lobe sont les plis de passage (Gratiolet) ; ils sont superficiels ou profonds . Les plis qui font communiquer les circonvolution

ont les plis d'anastomose (Broca); ils sont eux-mêmes superficiels ou profonds . Enfin les circonvolutions sont entaillées parf

: le pli de passage pariéto-limbique. A la surface du lobe carré, une profonde incisure étoilée (sP) à trois branches divise ce

e l'hémisphère commence à être entamé par des en-ailles plus ou moins profondes : à la partie postérieure du lobule para-central

ier, dont la partie antero-inférieure est échancréepar une cavité peu profonde , dirigée en haut, en arrière et en dehors; cette

ale est le lobe occipital (0). Au-dessous de cette encoche, un sillon profond , concave en haut et en dedans, mais dirigé, dans

écouvrir le pôle de l'in-sula. Ses opercules présentent des incisures profondes . Le deuxième sillon frontal (/"g) se prolonge en

ans toute la hauteur de la fosse ; ils partent, en haut, de la région profonde de la fosse, au-dessous de l'opercule pariétal (O

antérieur (IN) sont au contraire nettement séparés par un sillon plus profond , qui s'étend sur tout le bord postérieur de l'ins

ius est en dehors de l'insula. Elle est occupée par un pli de passage profond , oblique en arrière en dedans et en haut ; ce pli

pli, désigné par Broca sous le nom de pli de passage pariéto-temporal profond , et par les Allemands sous celui de circonvolutio

férieure de la scissure, l'origine du pli de passage temporo-pariétal profond , mérite le nom de pied de la circonvolution tempo

rale, que les anfractuosités fondamentales ou primaires sont les plus profondes . Cela même est encore bien loin d'être exact. La

être considérée comme une des plus typiques, est, bien souvent, moins profonde que les deux sillons prœ-rolandique et post-rolan

ppement excessif, la scissure sous-pariétale (sP) est réduite à une profonde incisure dont la concavité regarde en arrière.

onvolution tempoi'ale transverse, ou pli de passage tcm-poro-pariétal profond ; OS, opercule du fond de Sylvius; PS, pôle sphéno

), autour desquelles le pli s'enroule; mais le cap est divisé par une profonde incisure qui vient se terminer dans la scissure

ituation de ce centre cortical ne change pas relativement aux centres profonds ; il ne change que relativement aux parties de Véc

gera à la surface, mais elle ne changera pas relativement aux parties profondes ; il restera sur la même verticale, c'est-à-dire

e médiane et divisées par la section inter-hémisphérique. Les parties profondes ne sont accessibles que par la méthode des coupes

e faire passer une coupe verticale ou transver sale dans une région profonde du cerveau, déterminée d'avance grâce aux repères

misphère droit (voy. page suiv.). d'aborder directement les parties profondes représentées sur chaque figure. Au contraire, les

ée en bas par le quatrième, sillon temporal (o£4), dont le cul-de-sac profond refoule au-dessus de lui le plancher ventriculair

pe (voy. schéma 47). Mais, pour voir dans leur ensemble les parties profondes de l'hémisphère, le mieux est de pratiquer une co

répond nécessairement aussi, sur les coupes horizontales, à la partie profonde du tamia; le lamia, en effet, est la ligne de dém

la région temporale. Sur son bord supérieur on remarque une incisure profonde (if) ou incisure frontale de Sylvius, qui entaill

p de la troisième frontale, mais sans l'atteindre. Elle est ici assez profonde et d'une longueur moyenne. fir Le sillon de la

s de l'opercule du fond de Sylvius (OS), il envoie une incisure assez profonde , presque jusqu'à l'incisure de l'opercule. t%.

du lobule du pli courbe (ipc). A sa partie moyenne on voit l'incisure profonde (igp) que nous avons appelée incisure du lobule d

verse. ptt. Le deuxième sillon pariétal transverse est ici très peu profond . Par compensation, la scissure limbique ou callos

tée en bas par le sillon frordo-orbitaire externe (soe), qui est très profond et très allongé, en compensation de la faible imp

re part, on voit dans la continuité de la circonvolution limbique une profonde incisure, parallèle et sous-jacente au grand sill

fait suite à la scissure limbique. Il envoie dans le lobe frontal de profondes entailles qui contribuent à diviser la face inter

la partie postérieure de la pariétale ascendante (P), une excavation profonde , parallèle à Rolande, et qu'on pourrait confondre

pour cela, de considérer le sillon parallèle comme devenant très peu profond et en quelque sorte superficiel au moment où il r

oin en arrière, passe au-dessous de cet opercule et vient creuser une profonde entaille à la surface de la première circonvoluti

on de hauteur du lobe sphénoïdal. R. La scissure de Rolando est peu profonde ; elle laisse entrevoir, à sa partie moyenne, au-

u genou inférieur de la pariétale ascendante (GPi), le pli de passage profond de la pariétale ascendante (P) à la frontale asce

s un sillon prse-rolandique inférieur dédoublé (pri) ; il envoie deux profondes incisures dans la deuxième frontale (F'^) ; pui

racine très large, très épaisse et divisée, dès son origine, par une profonde incisure (/"/), tronçon du sillon de la deuxième

ion antérieure. — Dans la région moyenne, il est remplacé soit par de profondes incisures verticales, soit par de grandes branche

ïdal au lobe frontal. En arrière, la scissure de Sylvius envoie une profonde branche de bifurcation supérieure entre le pied d

cisure du pli courbe (ipc) ; comme, d'autre part, il émet une branche profonde entre le pli courbe (PC) et le lobule du pli cour

lobe carré (CQ), le pli de passage cunéo-limbique qui est en général profond . Enfin le sillon du cuneus (sCu) ne s'anastomose

bsolument extraordinaire ; et le petit sillon métopique (sme) long et profond peut être pris pour le grand sillon métopique.— E

ue (sME), ce pli de passage (xF) disparait de la surface ; il devient profond et réapparaît en avant et au-dessus du pentagone

gone antérieur de la circonvolution limbique (PEA). C'est à ce trajet profond que le lobule paracentral doit la complication de

rable; et, tandis que le pli de passage pariéto-lirabique (tcL) est profond , le pli de passage fronto-limbiqueî (tuF) est, pa

acé; il ne se présente que sous la forme d'une double incisure, assez profonde d'ailleurs (sME), dans l'étendue du grand pli de

n incisure (io) consiste en un sillon horizontal très allongé et très profond , qui communique d'une part avec le sillon prae-ov

s parallèles et que sépare BKISSAUD. 4 seulement une incisure peu profonde (pt). Cette incisure n'est cependant autre chose

lle sorte que le pli de passage pariéto-limbique (ttL) devient un pli profond . — La scissure sous-pariétale, d'autre part, atte

, interrompu dans sa continuité. Mais comme il est, malgré tout, très profond et très anfractueux, le petit sillon métopique (s

rconvolutions s'écartent, et l'on voit apparaître les plis de passage profonds . Il y a peu de plis de passage profonds à la face

pparaître les plis de passage profonds. Il y a peu de plis de passage profonds à la face interne de l'hémisphère ; mais le moyen

, sont, d'autre part, séparés du bourrelet du lobe carré (BQ) par une profonde scissure qui entame le bord supérieur de l'hémisp

ve la masse et qui est la scissure sous-pariétale (sP). Elle est si profonde qu'on pourrait d'abord la confondre avec la sciss

e. Le sillon orbitaire externe est ici, au contraire, un grand sillon profond , qui, loin d'être perdu dans la région orbitaire

la parié-talc ascendante (P); puis vient l'entaille relativement peu profonde de la scissure de Sylvius (S') : c'est la branche

rière de la troisième frontale (F^), en dedans de l'opercule (OP). La profonde coupure qui, à ce niveau, s'étend d'avant en arri

ar le premier sillon temporal {l^} ou sillon parallèle, toujours très profond . La deuxième circonvolution temporale (T), coupée

(0^). Le grand sillon occipito-temporal (o/J envoie des prolongements profonds jusque sous le lobule lingual qu'il sépare du lob

le plus étendu, légèrement convexe en dehors, occupe toute la région profonde de l'insula, dont il est séparé par trois couches

de ces deux derniers. 11 en est séparé en réalité par un autre noyau profond , le noyau médian de Luys (voy. pl. XXIII, fig. 75

, s'étend depuis l'extrénrité antérieure du cerveau jusqu'à l'encoche profonde qui correspond à la vallée de Sylvius, au niveau

. Celui-ci est divisé verticalement par une incisure, presque aussi profonde que la précédente {sCu) et qui est elle-même une

circonvolution occipito-temporale) a pour limite inférieure un sillon profond dirigé d'avant en arrière et, incliné sur la surf

voisinage du pôle sphénoïdal, et qui, dans sa forme et ses connexions profondes , est toujours à peu près invariable. A partir du

imite supérieure du cuneus (0®), lequel est entaillé par une incisure profonde et constante [sCu) à sa partie moyenne. Au-dessou

ns la totalité de leur trajet antéro-postérieur, parce sillon, si peu profond qu'il soit. On peut constater ici que le sillon o

circonvolutions sont dilïérentes suivant les individus, les rapports profonds , dans leur ensemble et dans leurs grandes lignes,

carré, on voit l'encoche (pt) du sillon pariétal transverse, puis une profonde entaille, qui se divise en deux branches. La bran

e tiers moyen de la longueur du gyrus lingual. Elle est aussi la plus profonde . Et comme efle est située, au milieu de la circon

ssage pariéto-limbique. Ici c'est le lobe carré avec une scissure peu profonde , la sous-pariétale (sP). La portion de la face in

e. P*. Le lobule pariétal supérieur est divisé en deux plis par une profonde incisure, branche de l)ifurcation du sillon parié

re du lobule pariétal Inférieur (ipi), et dont la section est ici peu profonde . ipc. Incisure du pli courbe. —Un peu en dessou

ui correspond à Vincisure du pli courbe. Celle-ci, en apparence moins profonde encore que la précédente, part souvent du premier

du faisceau moyen du forceps (FOm), qui, après avoir tapissé la face profonde de la paroi ventriculairc externe, se réfléchisse

pe 16. Face externe. — La scissure de Rolando (jR) est toujours peu profonde . La pariétale ascendante (P) et la partie supérie

te circonvolution, une portion grise corticale et une portion blanche profonde . La tache blanche allongée qui occupe, sur la fig

n postérieure, est séparée du corps calleux (ce) par une incisure peu profonde (sC), le sinus du corps calleux, qui n'est entour

les quatrième et cinquième temporales. Mais ce sont toujours des plis profonds , et, en tout cas, la substance grise qui le doubl

oyaux proprement dits, on peut l'étudier comme telle, vu sa situation profonde dans la masse des fibres blanches. CAM. Corne d

ère. Mais jamais, à notre connaissance, il n'in terrompt les rapports profonds de ce sillon, sauf en cas d'anomalies cérébrale

de reconnaître sur le bord interne du corps calleux une encoche assez profonde (fig. 28 et 29) qui marque la séparation du faisc

le-nium, il la suit tout le long de ses méandres, accolé à sa surface profonde . On le distingue difficilement sur les coupes ver

MANT CES TUBERCULES. Écorce. La forme de la coupe et les rapports profonds des circonvolutions sur ces figures sont les même

dans. On lui reconnaît toujours la forme quadrilatérale, mais avec de profondes modifications. Sur la! figure 36 c'est un croissa

ticales apporte toujours des modifications notables dans les rapports profonds de la substance blanche à son pourtour. Cavité

émité de son cul-de-sac postero-interne. Ce cul-de-sac, plus ou moins profond , repousse toujours en dedans le faisceau sensitif

la formation de la corne d'Ammon se retrouvent ici sans modifications profondes . L'aspect général de la circonvolution de l'hippo

sser à la fimbria (FI). Fd. Le fascia dentata est la partie la plus profonde de la corne d'Ammon. Toutes les figures de la pla

sur la précocité de son apparition, sur la permanence de ses rapports profonds . Nous avons dit qu'il était le lieu d'insertion d

passage parié to-limbique (dL). Celui-ci est même devenu tout à fait profond (fig. 51). Cela explique comment, dans la région

perficiel (fig. 52); un supérieur également superficiel ; un moyen ou profond . Tous les trois convergent vers la partie interne

uer le laqucus. Ainsi que l'indique le schéma 89, la couche la plus profonde est celle qui poursuit le plus longtemps de bas e

facilement en imaginer une troisième, et même une quatrième; la plus profonde sera celle qui, de lemniscus, deviendra le plus t

r les coupes Lem, fibres antéro-postérieures du lemnisque ou couche profonde de Reil. Laq, laqueus ou ruban de Reil propreme

oprement dit. Laq', portion du ruban de Reil provenant de la couche profonde de Reil ou lemnisque. comme une petite strie fo

un peu plus loin. Il est situé au fond d'une gouttière plus ou moins profonde qui sépare le pulvinar (Pul) du tubercule quadrij

que côté de l'isthme; et ce ruban de Reil provient d'une seule couche profonde de fibres antéro-postérieures, la couche de Reil

erdre dans le pulvinar du côté opposé ; enfin que les fibres les plus profondes ne subissent pas la décussation médiane et qu'ell

interne du même côté. Reste une cinquième couche (LMS) encore plus profonde que les quatre premières; celle-là est, en fait,

ent la surface du bras du corps genouillé externe, plus rares et plus profondes que les fibres directes de la couche précédente.

tent vers la surface latérale de l'isthme, de nouvelles couches, plus profondes , les remplacent (RR) figure 63, venues de la régi

ur le stratum zonale. Nous y reviendrons à l'occasion de ses rapports profonds avec la capsule interne (CI, pl. XXII, fig. 68, 7

l'on voit s'agglomérer de la substance grise au-dessus du sillon très profond qui séparait le pulvinar du corps genouillé inter

ce vide. Considéré au point de vue de sa structure et de ses rapports profonds , ce qu'on appelle le pulvinar n'est guère mieux d

; elles représentent le pont de Varole proprement dit (PV). Les plus profondes , celles qui passent derrière les faisceaux descen

rdivement et qui se fraye un passage à la surface lorsque les organes profonds sont déjà complètement développés. Nous savons, e

l (fig. 80) s'isole du corps calleux par une incisure de plus en plus profonde . Sa couleur indique en outre qu'il ne renferme pl

eprennent la direction transversale pour rejoindre de nouveau la face profonde de l'écorce. FPF. Le faisceau pariéto-frontal (

to-frontal; mais on remarquera quil y occupe toujours une région plus profonde que ce dernier. Les figures suivantes (voy. pl. X

puisqu'elles recouvrent le noyau amygdalien (comme un stratum zonale profond ) avant de plonger dans sa profondeur. Sur les cou

lution. Dans l'étendue même de cette dernière, on voit un sillon très profond , dont nous avons parlé antérieurement (voy. F2, I

s des pédoncules. Yicq-d'Azyr a eu le mérite de signaler les rapports profonds de ces deux tubercules blancs ; et si l'opinion q

s, on met à nu une surface exca-vée, en forme de rigole plus ou moins profonde , et dans laquelle la bandelette optique est logée

ette sous-optique, éparpillées sur sa surface libre et sur sa surface profonde , comme une capsule, comme un stratum zonale. Th

Le fasciculus uncinates (FU) reçoit ses libres de toutes les parties profondes de l'écorce de ce pôle, et se recourbe en arrière

nt presque complètement, et ne sont séparées que par une incisure peu profonde . Cette incisure était la branche supérieure du de

arrive de l'espace perforé antérieur et se divise en deux lames : une profonde récurrente, qui s'enfonce dans la substance gri

te du stratum zonale de cette région. On conçoit aisément que la lame profonde est formée par des fibres qui occupent l'étage su

du taenia, formant avec celles-ci le stratum zonale; quant à la lame profonde , ses fibres antérieures vont se perdre au-dessous

ctue le raccordement des couches grises superficielles avec la couche profonde représentée par l'avant-mur. La continuité du c

les relations invariables de la surface du claustrum avec la surface profonde de l'insula? Rien de plus simple, si l'on considè

e une languette accolée à la troisième frontale (F3). L'anfractuosité profonde qui sépare ce pli de l'insula et la troisième fro

coupes vertico-transversales de cette région le trajet des faisceaux profonds . La face inférieure du lobe frontal passe direc

ciculus uncinatus (FU, 130) avec lequel elle s'entre-croise à la face profonde des circonvolutions orbitaires. La portion supé

de leur disposition générale et de leurs connexions avec les parties profondes . On remarquera seulement que, en raison de la cou

nerf olfactif (OLl) ; plus en avant on voit aussi pénétrer les fibres profondes du rostrum (ROS) entre la face interne de la tê

dées (ANC, fig. 4 et 6). Sur les coupes 5 et 6, la pénétration plus profonde du segment antérieur de la capsule interne (CIA)

oyau caudé (NC) est nettement arrêté à sa face interne par les fibres profondes du corps calleux (ce). Sur la figure 2, la même f

1, la lacune ventriculaire qui sépare le noyau caudé (NC) des fibres profondes du corps calleux (ce). Substance grise. NC. L

face interne. L'ergot de Morand est toujours sus-jacent au cul-de-sac profond du grand sillon occipito-temporal (ofj. Ici ce si

a. Deuxième circonvolution frontale accessoire. Y M. Fibres arquées profondes du bulbe. FAL. Gyrus falciforme. FCF. Faiscea

irconvolution pariétale transverse, pli de passage pariéto-temporal profond (Broca). Pul. Pulvinar. PUT. Putamen. PV. Pont de

Circonvolution temporale transverse, pli de passage temporo-pariétal profond (Broca). Une. Crochet, uncus. VC. Ventricule

Uct horizontal du ruban de Reil (Lem)........... 199 Fibres arquées profondes du bulbe (FAI)...........PL V Fibres de la band

ital supérieur (tcOj........xlv, 11 Pli de passage pariéto-temporal profond (Tt).......... l Pli de passage temporo-limbiqu

l (portion latérale), (Laq)............. 210 Ruban de Reil (portion profonde ) (Lem)......... 199, 209 Sillon pariétal ou int

: Monsieur le Ministre, , Permettez-moi de vous exprimer ma plus profonde reconnais- sance pour la grande sollicitude que

ne heure, il tombait à terre, s'il n'était pas soutenu, poussait de profonds soupirs, versait des larmes et s'endormait. Pen

dentition est normale (deux dents cariées) ; la voûte palatine est profonde ; la langue, le voile du palais, la luette, les

- La scissure de Sylvius est normale; le sillon de Rolando est très profond , sinueux.-La scissure perpen- diczclaiz·e exter

d, sinueux.-La scissure perpen- diczclaiz·e externe, également très profonde , va se jeter dans la scissure interpariétale. -

de la circonvo- lution frontale ascendante, il existe une scissure profonde , parallèle, partant du bord interne de l'hémisp

ses deux tiers antérieurs. - La scissure frontale supérieure est profonde surtout en arrière. - La première circonvolution

au fond de la scissure de Sylvius. - La scissure parallèle est très profonde , elle se prolonge jusqu'à la scissure interpari

es sont bien dévelop- pées : au tiers antérieur existe une scissure profonde divisant transversalement tout le lobe. Lobe

que postérieure, une verticale anté- rieure. Ces deux branches très profondes et atteignant le rebord interhémisphérique ne s

limbique anté- rieur, complètement isolé par une scissure verticale profonde atteignant presque la circonvolution du corps c

i est très irrégulière. - La scissure perpendiculaire interne, très profonde , se prolonge jus- qu'au niveau du bourrelet du

eaux antérieurs ascendants. - Le sillon de Rolando, très si- nueux, profond , se termine dans la scissure de Sylvius à 3 ou

en avant du pôle occipital se trouve une scissure transverse assez profonde allant de la scissure interhémisphérique à la d

e rendant au fond de la scissure de Sylvius. La scissure parallèle, profonde , sinueuse, a un trajet très étendu par suite de

interpariétale ; à sa partie médiane une scissure transverse assez profonde la met en communication avec la scissure parall

n préoccipital complet, qui, partant de l'incisure préoccipitale, profonde , va rejoindre la scissure parallèle au niveau de

la scissure sous-pariétale et d'autre part avec un sillon vertical profond médian du lobule paracentral à la partie inféri

fronto-pariétale interne ; à ce niveau, on trouve un pli de passage profond qui, devenu plus bas à niveau, interrompt en al

éto-limbique postérieur, séparé du reste du lobule par une scissure profondes contournant la scissure interhémisphérique et s

e est très irrégulière. - La scissure perpendiculaire interne, très profonde , très large et subdivisée à son origine, se pro

diaphragme, la paroi de la poche est amincie ; 2° la droite plus profonde se prolonge vers la base de la poitrine jusqu'à

sède une insertion de niveau; pas de plis de passage, sillons assez profonds entourant les cir- convolutions, sillons second

z profonds entourant les cir- convolutions, sillons secondaires peu profonds . La frontale ascendante, sinueuse, est assez la

e ascendante, sinueuse, est assez large. Le sillon de Rolando est profond . - La pariétale ascendante, plus épaisse que la

rière avec le lobe paracentral. Le sillon calloso- marginal est peu profond . - Le lobule paracentral est séparé du lobe qua

Le lobule paracentral est séparé du lobe quadrilatère par un sillon profond avec un sillon cen- tral-oblique de bas en haut

ussi de niveau. - En avant sur le lobe frontal les sillons sont peu profonds , ils le sont beaucoup en arrière. - La circonvo

érieure de la deuxième frontale, Le sillon de Rolando est assez peu profond . La circonvolution pariétale ascendante est vol

e avec des sillons transversaux, les uns super- ficiels, l'un assez profond : on dirait des pavés irréguliers en- tassés le

lepsie PROCURSIVE. 89 ascendante du pli pariétal inférieur est très profond . Le pli pariétal supérieur est sinueux, envoie

la séparation est très marquée. Le sillon calloso-marginal est peu profond . La circonvolution du corps calleux, lisse, off

ualre centimètres et demi. En arrière de lui existe un sillon assez profond dans lequel existe une petite circonvolution qu

ante. Cette dernière période dure longtemps et aboutit à un sommeil profond qui permet de prendre la température du malade

l continuité de la première scissure frontale qui est si- nueuse et profonde . - La deuxième circonvolution frontale est égal

développée, très découpée; à sa partie médiane se trouve un sillon profond allant de la première scissure fron- tale au so

e, interrompue vers le milieu de son parcours par un pli de passage profond , envoie en avant de celle-ci un sillon profond

ar un pli de passage profond, envoie en avant de celle-ci un sillon profond qui divise entièrement la première circonvoluti

mporale; de ce même point part obliquement une autre incisure moins profonde qui se ter- mine à l'incisure préoccipitale, ap

re dans la deuxième scissure frontale. - Le sillon de Rolando, très profond , a la forme d'un S. -- La scissure perpendicula

tale ascendante une scis- sure parallèle presque complète, mais peu profonde à sa. par- tie inférieure; elle envoie un peu a

ure; elle envoie un peu au-dessus de son coude uu sillon horizontal profond qui divise presque entièrement la 108 DE l'épil

ès sillonnée; à son tiers antérieur, elle est divisée par un sillon profond qui longe la face antérieure du pli de passage

timètre et demi environ plus en ar- rière on trouve un autre sillon profond qui, après cire descendu d'abord verticalement

verses semblables à celles de gauche. La scissure paral- lèle, très profonde , se divise à son extrémité postérieure en deux

ro-occipilal. - La première scis- sure tcmporo-occipitale est assez profonde , sinueuse. La pre- mière et la deuxième circonv

t bien développées. - La deuxième scissure temporo-occipitale est profonde . La circonvolution frontale interne, bien confo

convolution frontale ascendante. - Le sillon de Ro- lando, sinueux, profond , se termine au fond de la scissure de Sylvius;

trémité antérieure. - La première scissure frontale est sinueuse et profonde . - La deuxième circonvolution frontale est volu

rales transverses peu développées. La scissure parallèle, sinueuse, profonde , communique à la base du lobe pariétal par deux

lobule para- central. - La scissure calloso-marginalc est sinueuse, profonde . Le lobule quadrilatère très développé est très

to-1 imbique postérieur. La scissure perpendiculaire interne, très profonde , va se terminer un peu au-dessous du bourrelet

deuxième circonvolution fron- tale. - Le sillon de Rolando est très profond , assez sinueux. La scissure perpendiculaire ext

s profond, assez sinueux. La scissure perpendiculaire externe, très profonde , est interrompue au niveau de la scissure inter

re de la pariétale ascendante, mais elle a un rameau ascendant très profond formant encoche sur la scissure interhé- misphé

rallèlement à elle sur sa moitié supérieure, on trouve une scissure profonde empiétant en haut sur la face interne et commun

deux scissures frontales supérieure et inférieure sont sinueuses, profondes . La frontale ascendante est assez maigre surtout

n quart antérieur la continuité de la scissure parallèle, sinueuse, profonde , assez normale. Les 1 einl)o ? ,o-1) (trié tale

à niveau allant de la deuxième à la troisième temporale. Un sillon profond réunit la scissure parallèle à la première scis

ont bien dévelop- pées, mais un peu chagrinées. Les scissures sont [ profondes et sinueuses. 134 DE l'épilepsie PROCURSIVE.

moins prononcé. - La scissure calloso-marginale est sinueuse, très profonde , envoie de nombreux sillons transversaux à la cir

o-timbique postérieur. La scissure perpendiculaire interne est très profonde . Le corps calleux est peut-être un peu moins dé

meaux antérieurs sont irré- guliers. Le sillon de Rolando est assez profond et très sinueux. La scissure perpendiculaire ex

ingo-encéplcalite. - La première scissure frontale, sinueuse, assez profonde , est interrompue par les plis de passage ci-dessu

ale communique d'une part avec la scissure de Sylvius par un sillon profond et oblique qui longe le bord supérieur d'une ci

mbique postérieur. - La scis- sure perpendiculaire interne est très profonde . Le coin parait un 144 DE L'ÉPILEPSIE procursiv

- Le sillon de Rolando, sinueux, communique en avant par un sillon profond avec la première scissure frontale et en arrièr

ers inférieur avec la scis- sure interpariétale par un sillon moins profond que le précédent. La scissure perpendiculaire e

age étroit, atrophié et au tiers postérieur un autre pli de passage profond . La deuxième frontale s'insère à la frontale asce

que sur les parties postérieures. - La deuxième scissure frontale, profonde , sinueuse postérieurement est inter- DE l'épile

au à la première vers son tiers antérieur. Les scissures sont assez profondes , inlerrrompues par les plis de passage ci-dessu

degré un peu moins prononcé. La scissure calloso-marginale est peu profonde , ses bords sont écartés dans sa partie moyenne.

ervée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée par

notre historique on trouva à l'autopsie, dans deux cas, des lésions profondes de la protubé- rance et, dans un autre cas, une

à type saltatoire par la perte de connaissance, ou une obnubilation profonde des facultés intellectuelles, par le long inter

, une molaire droite cariée. Articulations normales; voûte palatine profonde et bien développée; gencives en bon état. 30

hiffre n'est pas élevé et que le trouble de la connaissance n'estni profond ni prolongé. Sans doute l'expérience enseigne que

volumineux; sa couche adipeuse est très épaisse; l'ombilic est très profond . Organes génitaux. Poils assez abondants sur le

égularité dans le rhythme et l'étendue des mouvements respiratoires ; profondes et rapides dépressions, indices du trouble de la

vement localisée dans les extenseurs de la cuisse, avec modifications profondes , quantitatives seulement et non qualitatives, de

e la modification du centre médullaire? Ce n'est pas une modification profonde de la cellule des cornes antérieures : car nous c

cornes antérieures : car nous connaissons les effets de l'altération profonde de ces éléments dans la paralysie infantile, où i

ment. Il s'agit ici d'une lésion spinale dynamique, sans modification profonde , autant qu'on sache, et l'on peut, sans crainte,

l'affection spinale et l'affection musculaire consécutive soient plus profondes . Il ne faut pas oublier non plus que la parésie

iques sont encore difficilement appréciables, à cause de la situation profonde de l'articulation, l'aplatissement très marqué de

ée sur une ou deux grandes articulations et y produit des altérations profondes . Elle a été souvent étudiée en chirurgie, sous le

réactions électriques indiquent une atrophie simple, sans altération profonde de la nutrition. Certains de ces muscles atrophié

par l'absence d'idées délirantes ; alors seulement des modifications profondes du caractère, emportements et attendrissements sa

ue l'anesthésie occupe non seulement la peau, mais encore les parties profondes , muscles et troncs nerveux, puisqu'on peut, en ex

aussi fléchies, et cette attitude est due à l'action des fléchisseurs profond et superficiel. 11 faut donc reconnaître l'acti

er mouvement étant dû à l'action de la partie cubitale du fléchisseur profond . Ces mêmes faits sont plus facilement étudiés,

le rhythme et l'étendue des mouvements respiratoires, les rapides et profondes dépressions respiratoires qui accompagnent le phé

voici ce que le tracé nous montre ; la respiration est régulière, peu profonde , normale, égale depuis le commencement jusqu'à la

vait touché son avant-bras et sa main gauche. La brûlure, quoique peu profonde , mit six semaines à guérir, et aujourd'hui, il re

effet les fléchisseurs du poignet et les fléchisseurs superficiel et profond . Mais le cubital est aussi en action : l'adductio

saurait imaginer un homme capable de la maintenir pendant le sommeil profond . Or, chez notre sujet, celte altitude est conserv

ir sur le centre spinal et y déterminer des altérations plus ou moins profondes ; mais je doute qu'aucun de ces faits présente, a

tique : s'agit-il d'une atrophie simple, c'est-à-dire sans altération profonde des fibres, ou, au contraire, s'agit-il d'une atr

trophie dégénérative, d'une atrophie correspondant à une modification profonde , à une dégénération de l'élément musculaire ? Vou

, la réaction ainsi obtenue correspond à une altération plus ou moins profonde du tissu musculaire. Nous allons appliquer dans

rréparable. Or, Messieurs, en pathologie humaine, ces modifications profondes des réactions électriques correspondant à un état

l'origine des branches du plexus lombaire. Il s'agit d'une lésion peu profonde , peut-être dynamique des cellules des cornes anté

es du plexus sacré, l'altération des éléments ganglionnaires est plus profonde , un certain nombre de cellules sont modifiées ou

nférieure de la cuisse, est luisante, lisse, et adhérente aux parties profondes . Lorsqu'on fait des tentatives d'extension, on n'

amener, à la longue, dans les parois des vaisseaux, des modifications profondes , puisque, dans la migraine ophthalmique, tout au

tissu nerveux a subi dans cette région des altérations plus ou moins profondes , auxquelles se rattachent l'hémianopsie et la céc

our, M. X... fut frappé brusquement de constater en lui un changement profond . Ce fut d'abord un complet désarroi; il s'était p

une homme efféminé puisse après des excès, des chagrins, des émotions profondes , présenter quelques phénomènes hystériformes ; ma

cutané, siégeant au-dessous des dernières côtes droites, l'autre plus profond , au niveau du creux poplité du côté droit, point

oplate, en arrière. L'insensibilité s'étend au même degré aux parties profondes ; on peut, en effet, faradiser fortement les musc

servée plusieurs mois après le début du mal ; l'anesthésie cutanée et profonde , portée au plus haut degré sur ce membre et la pe

si sur ce membre, en outre de la paralysie du mouvement, des troubles profonds de la sensibilité. La sensibilité au contact, à l

e l'étendue des doigts, les divers modes de la sensibilité cutanée et profonde sont conservés, du moins en grande partie. Il y

ant-bras et une partie du bras; sur ces mêmes parties, la sensibilité profonde est également annihilée en même temps que font dé

ît donc être, en somme, l'expression classique des lésions organiques profondes , destructives, portant sur toutes les branches, t

ne saurait s'expliquer dans la supposition d'une lésion générale et profonde du plexus brachial. Les faits que nous venons de

ent nuls. Chez D..., qui représente un exemple typique d'une lésion profonde , ancienne et irréparable du plexus brachial, nous

u service. et sur le mode de répartition de l'anesthésie cutanée et profonde , ainsi que sur l'absence de troubles trophiques e

on organique supposée. Une lésion corticale suffisamment étendue et profonde , localisées dans le tiers moyen des circonvolutio

tons dans notre cas, où les divers modes de la sensibilité cutanée et profonde sont affectés au plus haut degré et d'une façon p

the neck is distinctly affected. » (Loc. cit., p. 25.) l'anesthésie profonde et cutanée, le mode si particulier de réparation

la maladie remontât alors à près de 10 mois. L'anesthésie cutanée et profonde Fig. 60 et 61. — Observation de Pin .. est po

ilano, 1885. dente, il y a inertie mentale, mais celle-ci est moins profonde , moins absolue; il est devenu possible, en effet,

eulement la peau, elle occupe encore, au plus haut degré, les parties profondes , à savoir les muscles, les troncs nerveux, les li

quée par la flaccidité absolue des parties, une aneslhésie cutanée et profonde occupant toute l'étendue du membre et se répandan

aboli, et là seulement, remarquez-le bien, la sensibilité cutanée et profonde est éteinte : Ainsi sur le moignon de l'épaule, l

out où existe la paralysie du mouvement, il y a anesthésie cutanée et profonde , perte des notions du sens musculaire, tandis que

déterminée par suggestion, s'est accompagnée d'anesthésie cutanée et profonde , de la perte du sens musculaire, enfin de la dimi

issance motrice avec flaccidité des parties, insensibilité cutanée et profonde , délimitation de l'anesthésie par des plans circu

ever, sur un point, une différence qui, au premier abord, paraît bien profonde . Elle est relative, vous l'avez compris, au mode

s qui ont suivi. On sait qu'au réveil, pour peu que l'hypnose ait été profonde , les sujets hypnotisés paraissent le plus souvent

on matérielles, pouvant simuler des affections articulaires à lésions profondes , et conduire ainsi, en faisant errer le diagnosti

tion articulaire avec lésions plus ou moins étendues et plus ou moins profondes , s'étant terminée sans abcès, par une an-kylose d

t aucun de ceux qui désignent nécessairement l'existence d'une lésion profonde de la jointure ; l'amaigrissement du membre lui-m

à répondre à quelques questions, alors que la sensibilité des parties profondes (percussion du trochanter, du talon) n'était enco

talon) n'était encore nullement exagérée ; c'est donc l'hyperesthésie profonde qui s'est reproduite en dernier lieu. Mais lorsqu

nt de la jointure, consécutif à une déformation des es. Un gonflement profond fait redouter la formation d'un abcès. 3e cas.

la peau qui recouvre la jointure, mais atteint également les parties profondes (capsule articulaire et synoviale) ; aussi la per

à peu, la main appuie plus fortement, et c'est alors un vrai massage profond . Il y a huit jours, le patient supportait mal ces

la peau impunément. Mais, de plus, l'anes-thésie a gagné les parties profondes , car on peut frapper sur le talon ou sur le grand

s, sur le côté sensible, une anes-thésie de la peau, puis des parties profondes et enfin une paralysie motrice transitoire complè

Il est probable que le shock nerveux qu'il a éprouvé là a été assez profond , car, actuellement, il paraît exister, chez notre

umis au traumatisme ont consisté dans une anesthésie superficielle et profonde , avec impuissance motrice absolue, sans rigidité

n d'un nerf en particulier, — il se produit une aneslhésie culanée et profonde en même temps qu'une paralysie motrice plus ou mo

de la compression des troncs artériels et nerveux par un épanche-ment profond ; il suffit, en effet, de débrider largement et d

ut placer, d'après lui, au premier rang, l'existence de modifications profondes survenues dans les réactions électriques des musc

fois, en outre, persiste telle quelle pendant le sommeil même le plus profond ; tandis que, dans les secondes, la contracture,

us haut degré, occupant non-seulement la peau, mais aussi les parties profondes et s'accompagnant de la perte plus ou moins compl

ois, est marquée encore, non seulement par une anes-thésie cutanée et profonde absolue, mais aussi, et c'est là le point que je

d'un corps froid donne la sensation d'un corps chaud. La sensibilité profonde et le sens musculaire sont normaux. Partout aille

e a été soumis auv inhalations de chloroforme. Le sommeil a été aussi profond que possible; à aucune époque on n'a pu obtenir l

reconnaîtrez vile avec moi que cette hypothèse couvrirait une erreur profonde . Les hystériques simplement aphones — leur nombre

us remarquables. Ils portent à la fois sur la peau et sur les parties profondes . Pour ce qui concerne ces dernières, on reconnaît

inférieurs, les troubles de la sensibilité offrent donc un contraste profond avec des troubles moteurs. D'ailleurs, pas d'atro

z les hystériques en question, l'anesthésie s'étend jusqu'aux parties profondes , que toutes les notions relatives au sens muscula

i que cela a lieu dans le membre supérieur, — l'anesthésie cutanée et profonde d'un segment correspondant du membre. Les limites

e est devenue absolument normale. Néanmoins, Panesthésie cutanée et profonde persiste, à un degré très prononcé encore, dans l

rtout absolue. Mais à cette époque, vraisemblablement, la sensibilité profonde n'est pas encore affectée, car les mouvements qu'

supposé étendu (fig. 86 A et B) ; 2° L'anesthésie s'étend aux parties profondes . Les torsions, les tiraillements exercés sur les

s accompagnement d'un trouble quelconque de la sensibilité cutanée ou profonde , et plus particulièrement sans perte aucune des n

. Chez lui, comme on l'a vu, la sensibilité cutanée et la sensibilité profonde sont complètement éteintes dans toute l'étendue d

les cordes vocales largement écartées, dans la position d'inspiration profonde . Si l'on dit au malade d'émettre un son, e, i, on

bouchement des vaisseaux diploïques tributaires des veines temporales profondes . Le calibre de ces différents orifices est fort v

nt à la théorie de Korner, que l'étage moyen du crâne est plutôt plus profond chez les dolichocéphales que chez les brachycépha

es grand 20,1 Superficiel.................. — 8,3 — 9,2 —- — 11,0 Profond .................... 8,2 11,2 — petit /i,5 Super

,2 — petit /i,5 Superficiel.................. — 10,0 — 10,0 — 1,8 Profond .................... grande : 12,0 — i5,2 grand 4,

,2 grand 4,5 Superficiel.................. — il\,o — i4,8 — — 8,2 Profond .................... — 12,6 — i/i,i — petit 17,4

qu'il commence à s'excaver. Chez l'adulte, il constitue une large et profonde gouttière avec deux bords bien marqués. La profon

ts à la planche III : Premier type, figure temporaux à sillons très profonds . Deuxième type, — 2-5, — de profondeur moyenne.

on moyenne de trois contre un. Nous avons trouvé des sillons : Très profonds De profondeur moyenne Superficiels Sur 16 crâne

te donc, ainsi que Schùlzke l'avait déjà énoncé, que les sillons très profonds sont en plus grand nombre chez les brachycéphales

«7 18 19 20 — 21 — 22 — SUR DES TEMPORAUX A SILLON Très profonds De profondeur moyenne Superficiels À droile À g

moïdes superficiels (60,0 °/0), que pour les temporaux à sillons très profonds (^7,8 %), et, inversement, que le pourcentage des

ations (8 à 12 mill.) est plus fort pour les temporaux à sillons très profonds (34,7 7«) que pour les temporaux à sillons superf

s toujours une large zone d'antrotomie. Cela prouve que « sillon très profond » et « sinus procident » ne sont pas termes synon

un sinus trop procident et à ménager une fosse cérébrale démesurément profonde . S /,. — PORTION PÉTREUSE : ROCHER : PÉTROSAL

seillé l'évidement lorsqu'on veut atteindre les collections suppurées profondes de la fosse cérébelleuse. Nous l'avons désigné so

endocrànienne. En effet, on a observé des suppurations extra-durales profondes , développées au niveau de l'eminentia arcuata et

tympanique (Trôltsch). Jansen a démontré que les abcès exlra-duraux profonds des fosses cérébrales moyenne et cérébelleuse se

encéphalique. Telle est l'origine de la plupart des abcès cérébelleux profonds . Il y aurait donc intérêt pratique à pouvoir dépi

le dans son oreiller. Respiration accélérée ; pouls plus rapide. Coma profond , paralysie du bras droit. L'urine, extraite par l

e canal de Fallope. Soupçonne-1-on l'existence d'un abcès extra-dural profond de la fosse cérébrale moyenne ? On fera sauter le

canai demi-circulaire supérieur. Dans les cas d'abcès extra-duraux profonds de la fosse cérébelleuse, il faudra éviderle bloc

servé le chirurgien qui se décide à intervenir dans ces localisations profondes des infections otitiques. § 4- — PORTION TYMPAN

let ou fendu, dont l'axe est droit ou courbe. Un sillon plus ou moins profond le sépare en dehors du squamosal. Dans l'espèce h

nde parotide, on crée une cavité inter-auriculo-parotido-condylienne, profonde de deux centimètres et demi à trois centimètres e

s ganglions parotidiens, en effet, qu'on divise en superficiels et en profonds ou interstitiels, reçoivent les vaisseaux lymphat

place de la bulle tympanique, il existe une dépression plus ou moins profonde , nommée fosse jugulaire. Sous quelle influence et

veines jugulaires, l'une externe ou superficielle, l'autre interne ou profonde . Chez les premiers, le grand courant veineux en

u promontoire, on remarque la fossette ou niche de l'élrier, très peu profonde chez, l'enfant au-dessous de six ans. (ïrautmann.

......................................... 10 — Lorsqu'elle est très profonde , elle se met en rapport avec la branche inférieur

5 millimètres. (Politzer et Bczold.) Selon Trautmann, à un recessus profond correspond une fosse jugulaire peu excavée, une v

que du conduit. Les artères de la membrane émanent de l'auriculaire profonde et de l'artère stylo-mastoïdienne. Les veines gag

fait communiquer le pressoir d'Hérophile avec les veines occipitales profondes , branches afférentes de la jugulaire externe. b

'émergence du crâne, les internes s'anastomosent avec les occipitales profondes : d'autres, descendantes, avec la jugulaire postér

t plus exact de dire, qu'on le devine — au fond de ce creux étroit et profond inter-parotido-mastoïdien, à travers lequel on a

nche externe). Cette branche du spinal croise, en descendant, la face profonde du digastrique, passe au-dessous de l'artère occi

ible et tangible de l'apophyse transverse de l'atlas et gagne la face profonde du sterno-mastoïdien. » (Laurens.) On est arriv

r la face sylvienne du lobe, on trouve les circonvolutions temporales profondes ou transverses de Heschl, constituées par les pli

ur aboutir à l'écorce du lobe temporal, au niveau des circonvolutions profondes ou transverses de Heschl. C'est par l'étude de la

sagittal. Cette dernière présente sur la ligne médiane une grande et profonde scissure, en rapport immédiat en avant avec le pl

s, permettra de déceler les foyers d'ostéites révélateurs des lésions profondes encéphaliques. On doit donc la considérer, ainsi

que, on cherchera à atteindre, à travers le bloc de Jansen, la partie profonde de la fosse cérébelleuse. Si le foyer d'ostéite s

ieure, par évidement du bloc de Jansen, appliquée à la cure des abcès profonds ou antérieurs du cervelet (abcès pétro-cérébelleu

s. La brèche opératoire, qui permet d'atteindre les abcès cérébelleux profonds à travers Je bloc de Jansen, peut donc offrir prè

es suppurations de l'oreille moyenne. Thèse de Paris, 1895. — Abcès profonds du cou. Revue hebdomadaire. N° 29, igoi. Marage

iations sont rapportées à trois types : i° Temporaux à sillons très profonds (fig. i à 4)ï 2° Temporaux à sillons de profond

du tissu pneumatique à petites cellules. Le sillon sigmoïde est très profond . L'angle mastoïdien externe est presque droit. La

ïde est du type mixte à petites cellules. Le sillon sigmoïde est très profond . L'angle mastoïdien externe est droit.La cortical

mbres infé- rieurs, nous nous trouvons en présence d'une altération profonde de tous les rapports anthropométriques caractér

eau, mais qu'au contraire elle tient à la bifurcation plus ou moins profonde d'un des rayons normaux. - Il faut donc admet

re remarquer que les troubles ostéogénétiques ici son t'tel le'ment profonds , 'qu'ils ont retenti encore sur l'époque de com

rmique et à la douleur) sont normales, de même que les sensibilités profondes (attitudes segmenlaires, sens stéréognos- tique

iformes, les patients devien- nent somnolents et meurent en un coma profond . C'est cette symptomato- logie triste qui, quoi

e. Après cette maladie intercurrente la somnolence aurait été moins profonde pendant quelques semaines. Ensuite il retombe e

on d'observer le malade moi-même. Pendant l'examen le malade est en profonde somnolence, c'est à peine s'il ouvre les yeux d

L'attitude est tout à fait passive. La respi- ration est régulière, profonde . Le pouls est régulier. La palpation du ventre

. Ces noyaux sont distribués entrés grand nom- bre dans les couches profondes où l'on trouve les plus beaux spécimens, dans l

cessus de dégénération bien connus nous remarquons dans les couches profondes quelques noyaux se distinguant par le volume de

urtout, c'est la présence des grands noyaux clairs dans les couches profondes de l'écorce ; dans le casKr... ils s'y limitent

rientée, incohérente, né- gativiste et stéréotypée. Ces signes de profonde perturbation psychique et motrice, joints à des a

cordon de Burdach (virgule de Schulze) dont la partie antérieure et profonde a un plus long trajet que les segments moyen et

oyennes et externes des faisceaux de Burdach et quelques fascicules profonds et centraux des fais- ceaux de Goll ; la zone m

ine descen- dante du trijumeau, représentent une connexion directe, profonde , reliant t les cordons postérieurs au corps res

, ou du moins ne présentaient t que des altérations extrêmement peu profondes , limitées à quelques fibres, et même discutable

s de faire exécuter quand il est tombé sans cause apparente dans un profond abattement. Ce cas est très semblable à ceux qu

tua- tion trop difficile. Cet accident psychopathiqne témoigne d'un profond déséqui- libre mental. Autre cas. Un jeune ho

et pubis saillants, région sacrée presque verticale, plis fessiers profonds , hyper- extension du genou, etc. Tous ces stygm

ement cutané, tandis que chez l'hystérique elle comprend des tissus profonds . Nous n'avons pas à parler ici du caractère pro

diagnostique. Je dois parler de l'étal de la sensibilité des tissus profonds chez les lé- Fig. 12 Fla. in Fig. 14 138

dire si je marche sur le sol ou en Pair. » L'anesthésie des tissus profonds existe dans beaucoup de cas de tabes au début e

de grande valeur diagnostique. Pour trouver l'anesthésie des tissus profonds des pieds quand elle n'est pas très manifeste,

rop de conviction que les lépreux n'ont pas d'anesthésie des tissus profonds . Qui contredit cela parait commettre une hérési

alanges résorbées ; malgré cela, les malades sentent par ces tissus profonds et ils peuvent marcher avec un morceau de pied

côté de ce grand nombre de lépreux qui conser- vent la sensibilité profonde dans leurs extrémités allérées,,il n'y a d'autres

ouve point le signe de Homberg dans les cas d'anesthésie des tissus profonds des extrémités produites par des névrites infec

ue et extrinsèque des yeux était normale. L'anesthésie des tissus profonds chez les lépreux qui la présentent apparaît dan

est propre aux étals d'anesthésie simple des tissus superficiels et profonds des extrémités. Si, par le manque de précision

nt de la lésion spécifique dans les nerfs sensilifs superficiels et profonds , dans les nerfs moteurs, dans les articulations

les nerfs moteurs, dans les articulations et dans les autres tissus profonds . Les spasmes peuvent être limités à quelque rég

elle ne l'est pas, les excitations des muscles et des autres lissus profonds produisent les secousses s'il y a de l'excitabili

de la motilité relative, jointe à la conservation de la sensibilité profonde , fait que beaucoup de malades, ayant : des main

ension les premières phalanges, et non plus de celle du fléchisseur profond mettant en flexion les dernières. La figure 2G

gauche de la même figure 34 dépend de la contracture du fléchisseur profond . 1 Je crois que ces dernières contractures ont

tres qui présentent des lésions dans leurs tissus superfi- ciels et profonds . Tant qu'il s'agit de limiter, au moyen des deux

les tubercules lépreux des os, des articulations et d'autres tissus profonds produisent, comme nous le voyons fréquemment da

échapper du pus fétide par une ouver- ture ulcéreuse irrégulière et profonde , comme on le voit dans la figure 40. On perçoit

s muscles faciaux. Elle explique encore que t'anesthésie des tissus profonds des extrémités peut exister quelquefois limitée

ive, pas plus de la sensibililé superficielle que de la sensibilité profonde , et le sens stéréognostique est absolument normal

elever que la présence d'une zone d'hy- poesthésie superficielle et profonde à tous les modes, siégeant aux deux pieds, remo

abolis. Aux pieds et aux mains il y a hypoesthésie superficielle et profonde à lous les modes avec astél'éogné-' sie complèt

tales très en avant, et tout près des ganglions de la base, ce foyer profond se trouve à interrompre la majeure partie des f

re calcarine, se prolonge au-dessus de celle-ci vers la sub- stance profonde de la partie inférieure de l'isthme limbique, et

lésion occupe le segment inférieur de l'hippocampe et la substance profonde de la moitié in- terne du lobule fusiforme dont

t disparu mais il persiste une décoloration notable de la substance profonde du lobule fusiforme et de la circonvolution de l'

remarque, en effet, une décoloration assez nette de la subs- tance profonde de la région médiane du lobe temporal, dans le do

le domaine du cingulum en particulier. Quant aux couches sagittales profondes , elles pré- sentent une dégénérescence diffuse

L'implication de la couronne rayonnante a rf-tenti sur la substance profonde de la circonvolution limbique et des circonvolu

e optique, et, d'autre part, la couronne rayonnante et la substance profonde du lobe pariétal. Il existe quelques petits foyer

ssez notable de la couronne rayonnante et de la sub- stance blanche profonde . Au-dessous du noyau lenticulaire, le domaine du

oyer de ramollisse- 208 LA SALLE ARCHAMBAULT ment de la substance profonde du lobe pariétal, lequel siège au niveau de la

respon- sable de la décoloration si accentuée de toute la substance profonde avoisinante. Cette décoloration tient à ce fait

déco- loration partielle des couches sagittales et de la substance profonde est diffi. cile à constater. En dehors du corps

interne, ain.ii qu'une décoloration assez accentuée de la substance profonde de la convexité pariétale-et de la capsule extern

circon- volution frontale gauche mais atteignant aussi la substance profonde des cir- convolutions voisines. Vu de la face e

A cet endroit, le ramollissement atteint di- rectement la substance profonde du pied de la deuxième circonvolution fron- tal

lésion a déterminé une décoloration partielle de toute la substance profonde de la convexité pariétale et même de la capsule e

et de la première circonvolution temporale, ainsi que la substance profonde des deux tiers postérieurs de la deuxième cir-

onnante, elle, envoie des prolongements linéaires dans la substance profonde de l'opercule rolandique et même dans la zone s

à peu [très complètement le segment vertical des couches sagittales profondes du lobe temporal. Cette vaste lésion Schéma ? V

ment la première circonvolution temporale.la circonvolution temporale profonde et toute l'étendue verticale de l'insula ; un p

calotte. La capsule externe est totalement incolore et la substance profonde du lobe pariétal est nettement dé- générée. -

rme un foyer rectangulaire, lequel détruit large- ment la substance profonde de l'opercule rolandique et atteint le bord exter

u du noyau rouge que lorsqu'elles impliquent les couches sagittales profondes sur une étendue considérable et qu'elles se trouv

rgis, épaissis, pré- sentent un sillon digito-plantaire extrêmement profond . Les orteils sont moins déformés que les doigts

é, une haute tolérance pour les hydrates de carbone et des troubles profonds du côté des organes génitaux. Tous ces points o

e parfaite des urines, elle montre qu'il n'y avait pas de viciation profonde (le la nutrition et qu'en particulier, on ne déce

ersonnalité ne soient toujours liés avec les modifications les plus profondes de la cénesthésie (Sollier). Ma théorie expliqu

d'un angiospasme cutané et musculaire tel que les piqûres les plus profondes de la peau et des muscles ne saignaient pas. Da

les efforts de la parole, la respiration est fort irrégulière et très profonde . Si nous prions le malade de fermer les yeux, l

générali- sées sont observées. ' La sensibilité (superficielle et profonde ) est intacte. La réaction des muscles au couran

nente, la bouche est enlr'ouverte0 les plis naso-labiaux sont très profonds . C'est comme une grimace presque continuelle, d

normale, aussi bien la sensibilité superficielle que la sensibilité profonde , à tous les modes. On ne note aucun trouble du

JOUL leurs, sans aucune espèce (1';iii es Ili ésie superficielle ou profonde . C'est bien il dans un cas pareil qu'on aurait

squels le malade éprouve des sensations de brûlure superficielle et profonde , provoquant de fausses envies d'aller à la selle.

une pi- qûre, le froid pour le chaud et inversement. La sensibilité profonde est encore plus profondément altérée. La bare

e ; le pouls est fort, rapide ; T. 38°5. Elle tombe dans un sommeil profond , apoplectique, dont on ne peut la tirer. Les Drs

superficielle au contact, à la piqûre, à la chaleur, de sensibilité profonde (pression, sens des attitudes), sauf cependant au

cité, de la sen- sibilité superficielle (tact, douleur, chaleur) et profonde (pression, sens des attitudes), il n'y a pas de

régulièrement tuméfiée. La paume est boursouflée, les sillons sont profonds et accusent encore davantage la saillie des par

circonstan- ciés. Les modifications du squeletlesont beaucoup plus profondes que dans le cas précédent; elles portent non se

t la formation du membre dans son ensemble qui a subi un changement profond , c'est l'osléogénèse tout entière qui est modifié

d'elles est un repli cutané. En les écartant, on ouvre une fossette profonde de 3 millimètres environ, sur le plancher de la

i une fente linéaire, assez courte (7 mm.), presque rectiligne, peu profonde , dont le plancher présente une petite cupule as

s. Son diamètre est d'environ 3 milli- mètres. Elle est un peu plus profonde que les deux autres. La surface du moignon ne p

e d'une inflammation; le fait qu'il s'agit de sillons plus ou moins profonds , provoqués par des plis cutanés, conduit à les

ve que possible, la respiration devient plus lente et beaucoup plus profonde , par suite l'échange gazeux en est augmenté el, p

r- tement appauvri de toxines. Par suite des inspirations lentes et profondes , le processus de purification dans les poumons

le affec- tion des méninges, du cortex cérébral ou des parties plus profondes qui, soit par augmentation générale de la press

ne- ment, la mauie a été remplacée par un état de stupeur (asthénie profonde ). 27 octobre. La malade a été alité et placé da

a partie iufé- rieure où sa jonction avec foi,iiie une encohe assez profonde . Grêle dans sa partie moyenne o't elle a la for

se replie en s'amincissant inférieurcinent autour d'un sillon assez profond parti du bord supérieur de l'hémisphère, et se

courbe sinueuse, régulière; d'autre part la scissure parallèle très profonde se termine par un infundibulum au centre de cet

tte courbe et de cet infundibulum partent des sillons plus ou moins profonds qui donnent au lobule la disposition d'un évent

e est très développée de même que la 2e. La scissure de Sylvius est profonde et en écartant ses lèves on ne distingue pas le

ite ont été arrachées pour carie. Articula- tion temporo-maxillaire profonde ; léger prognathisme. Gon- cives en assez bon'ét

s; nez un peu aplati, portant plusieurs cicatrices dont une assez profonde vers la racine ; quelques autres cicatrices sur l

le ascendante. La scissure frontale supérieure est très sinueuse et profonde . La 2 ? frontale est très sinueuse, dédoublée e

lution frontale. La scissure frontale inférieure est très sinueuse, profonde . La 31110 circonvolution frontale est extrêmeme

ent à leur surface et vers la partie médiane deux inci- sures assez profondes qui semblent être les vestiges d'une scissure p

irconvolutions du lobe frontal sont très plissées, découpées par de profondes incisures régulières. Lobule orbitaire : les ci

ommu- nique d'autre part vers la partie moyenne avec une scissure profonde et sinueuse qui divise presque entièrement le lob

lobule de l'insula, et possède un rameau antérieur très net et très profond . Son extrémité supérieure et posté- rieure est

e pour aller à la 2""\ La scis- sure parallèle est sinueuse et très profonde . La 1"0 temporale, épaisse en arrière, se dédou

en avant, se dédouble bientôt et va, après avoir été coupée par une profonde incisure, se jeter (en arrière) dans un pli de

x autres temporale^. La scissure perpendiculaire externe est très profonde . La occipitale, grosse, est dédoublée; la 2"" t

ant; dans la '1 ? frontale interne. - Le sillon calloso-marginal, profond , est coupé par un pli de passage allant du lobule

ions. Les scissures perpendiculaires internes et calca- r'ines sont profondes et normales, elles interceptent le cuneus formé

en avant. La partie quadrilatère est coupée à son centre par un pli profond qui divise cette portion en trois circonvolutio

i sépare les deux circonvolu- tions précédentes est très sinueux et profond . La 3111c frontale est très développée en avant

pour se joindre à la pariétale inférieure. La scissure de Sylvius, profonde et béante, s'écarte beau- coup en avant. Elle e

it pli de passage à niveau. La scissure perpendiculaire externe est profonde , bien marquée. Les circonvolutions occipitales

marquée. Les circonvolutions occipitales sont séparées par des plis profonds : la première, dédoublée, a une branche postéri

à la 3,ue, en arrière à la 11'0 dont elle est séparée par un sillon profond . La 3me occipitale, double ne arrière, devient

. La scissure parallèle décrit de grandes -sinuosités et est très profonde . La lie temporale, dédoublée en arrière où elle s

e quadrilatère, divisé presque crucialement par des incisures assez profondes . Elle donne en avant nne circonvolution dédoubl

1U' temporale. Le sillon séparant les 2 ? et 31U0 temporales est profond , irrégulicr, il va jusqu'à la partie la plus anté

développé : - La 1l'e fronLale interne, irrégulière, est creusée de profondes incisures; elle forme, en avant, de nombreuses

Examen IUSTOLOGIQUE du cerveau. 77 Î Le sillon calloso-marginal est profond et coupé par un pli de passage à sa partie moye

2ma frontale interne. - La scissure perpendiculaire interne, très profonde et très longue, va jusque vers le corps calleux.

é de 2 circonvolutions réunies en avant. -La scissure colcarine est profonde et normale. Le lobule lin- gual, très mince à s

très irrégulier et très sinueux, - Le sillon olfactif est simple et profond ; le sillon cruciforme a ses branches très courtes

lier, mais les sil- lons qui séparent les deux circonvolutions sont profonds et sinueux. Examen Jcisluloyiclcce du cerveau

t évidente. Il y a pourtant peu de corps granuleux dans les couches profondes de la substance grise. Les vais- seaux ne sont

p.. 113 - go, 18J0.j Examen iiistologique DU cerveau. r9 couches profondes , reprise du processus irritatif dans la moelle.

pour être consigné ici. 102 Porencéphalie vraie. olfactives sont profondes . et la droite est plus étroite que la gauche; o

es fosses temporales paraissent égales. Les fosses occipitales sont profondes . - Le trou. occipital paraît normal. La dure-mè

titué par trois circonvolutions parallèles séparées par des sillons profonds et étroits. La Ire et la 3e qui sont les plus v

une seule circonvolution présentant de petits sillons verticaux peu profonds et dans lesquels il est impossible de reconnaît

n extrémité postérieure, du lobe pos- térieur par une scissure très profonde . La partie postérieure de l'hémisphère est cons

nt, par un lobule de forme losangique, parcouru par des sillons peu profonds , mais assez larges. Une circonvolution qui para

orale. Le lobe occipital est séparé de cette dernière par un sillon profond qui traverse l'hémisphère dans toute sa hauteur

ntérieure est assez large, bien séparée de la seconde par un sillon profond et étroit, et 'présente, à sa partie moyenne, u

en avant; elle pré- sente à sa surface quelques petits sillons peu profonds à -direction indéterminée. Le lobe occipital es

dit, de la circonvolution précédente par une 'scissure extrêmement profonde , la scissure occipitale. Il a une forme triangu

joint, en arrière, la .`seconde dont elle est séparée par un sillon profond dans ses deux tiers antérieurs. La seconde, plu

ant, avec la 3e, dont elle est séparée par un sillon assez large et profond . La 3e très large en avant, s'efiile en arrière

oup la plus volumineuse, est séparée de la précédente par un sillon profond et divisée en deux parties, antérieure ' et pos

rées les unes des Porencéphalie vraie. 105 autres par des sillons profonds . Les scissures de Rolando et - de S5-lius ne pr

se et parcourue par de nombreux sillons dont quelques-uns as- sez profonds . Le lobule paracentral, très développé en avant,

ance devrait avoir fait place à l'adolescence; une transfor- mation profonde et générale qui devait s'accomplir n'est pas comm

vitesse acquise. Que le corps thyroïde ait subi à cette époque une profonde atteinte, cela n'était plus douteux. Et ainsi l

sphincters, aucun trouble de la sensibilité ob- jective cutanée et profonde ; les réflexes rotuliens, appréciables aujourd'hu

yeux normale. ' Pas de troubles de la sensibilité (superficielle et profonde : le sens des atti- tudes et des mouvements pas

lgésie aux jambes ; à noter la parfaite intégrité de la sensibilité profonde même chez ce malade. Ce malade, âgé de 60 ans,

e la face supérieure du cervelet les sillons superficiels sont plus profonds , plus larges qu'à l'état normal et que les circ

hie : il est bien développé des deux côtés, ses plis sont nombreux, profonds , pas rétrécis, et contiennent des cellules en a

06, la malade éprouve de nouveau des douleurs fulgurantes, non plus profondes mais superficielles, dans le membre inférieur d

rvenue sur le bord antérieur de cet os, dans les douleurs aiguës et profondes qu'elle a présentées, enfin dans l'altération t

tomie de Paul Richer établissait des relations « entre les portions profondes et la forme extérieure, entre les notions anatomi

grand fessier ; c'est un pli permanent maintenu par des adhérences profondes de la peau au squelette, comme le pli de l'aiss

ste ainsi les altérations aussi bien superficielles et visibles que profondes et invisibles, en comparant la région normale e

ls soient superficiels ou pro- fonds, car l'on sait que les muscles profonds jouent parfois un rôle important dans la confor

oc- cupation constante d'établir le rapprochement entre les parties profondes et le nu, aussi bien pour le squelette que pour

s de la sensibilité subjective ou objective (tant superficielle que profonde ). 126 ITALO ROSSI Pas de troubles sphinctérie

ette douleur, on se rend compte en effet qu'elle est peut-être plus profonde que le tissu oedématié, et qu'en tout cas elle

tantôt dense et tantôt réticulé ; 5° L'aponévrose qui par sa face profonde envoie une travée séparant deux loges musculair

s éléments des tissus conjonctifs depuis le derme jusqu'aux régions profondes . Mais il est né- cessaire de faire remarquer qu

lies molles, flasques, dé- terminant par leur bouffissure deux plis profonds naso-géniens entre lesquels le nez est enfoui.

n a plusieurs fois trouvé atrophié, ni celle des masses musculaires profondes . Le dos, la poitrine et l'abdomen présentent un

t par un bourrelet circulaire au-de- sus duquel se creuse un sillon profond . Les pieds et les mains de notre ma- lade remar

e début de l'adipose. Dans la région poplitée un sillon transversal profond , allant d'un condyle à l'autre bride et sépare

vaste externe est divisé dans le sens de sa longueur par un sillon profond qui fait deux muscles là où il devrait n'y en avo

tait d'un côté les muscles su- perficiels et de l'autre les muscles profonds . C'était vouloir parer à l'une des insuffisance

n qui pouvait être faite du rôle très important de certains muscles profonds dans la forme extérieure. « On peut lui reproch

s extérieures, autrement dit la relation entre le nu et les parties profondes , ne peut être facilement établie. « Enfin, to

s différentes couches cellulaires, surtout accusée pour les couches profondes (3°, 4e, 5e couches). 196 ROSSI ET ROUSSY Rés

ntes d'au très modalités de la sensibi lité, comme les sensibilités profondes , le sens musculaire, le sens stéréognostic. Et ce

u ruban de Reil médian) ce sont surtout les troubles de sensibilité profonde qui prédominent. Il est d'ailleurs facile de co

foyers de nécrose où la destruction des élé- ments nerveux est plus profonde . Apparemment ce sont des leucocytes venus pour

YATllOLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 213 3 la coupe des altérations profondes , des cornes antérieures à l'excepton des commis

et des amas de pigment ; le plus souvent on constate un lésion plus profonde des cellules nerveuses, quelquefois leur disparit

erreur déplorable qui discrédite le médecin et cause une affliction profonde et non motivée des parents du petit patient qui l

se ou sensitive ; et la forme grave, ou mixte, avec des altérations profondes de la sensibilité objective, avec réaction de d

nostique, mais un pro- nostic différent, parce qu'il révèle un plus profond degré d'altération du nerf : la guérison tarde

a- die, mais alors elle est plus étendue et accompagnée de troubles profonds de la sensibilité objective. HOSPICE DE LA Sa

s hypertrophié et il est limité du côté des bras par une dépression profonde . Les trapèzes sont dans leur partie supérieure pe

arenchyme glandulaire, alors que les lésions du testicule sont très profondes et très étendues ; non seulement les canalicule

s appréciables des sensibilités viscérales, tendineuses et osseuses profondes . , Le malade n'a jamais eu de « crises nerveuse

mais il est impossible do t préciser davantage. Les sensibilités profondes sont très atteintes, surtout à droite. La sensibi

on observe une anesthésie totale à la température. Les sensibilités profondes sont très troublées sur- tout à droite. 3° Le

que la sensibilité douloureuse /<$ Les troubles des sensibilités profondes sont plus considérables que cx" qu'on signale d

la sensibilité superficielle sous tous ses modes et la sensibilité profonde . Il y a donc, certainement, du côté droit de la

ues), mais le cordon postérieur ne paraît pas indemne (sensibilités profondes presqu'a- 272 RAYMOND ET LEJONNE bolies à dro

pagne de ptosis de la paupière droite. Une fois aussi la somnolence profonde fut interrompue par une courte rémis- sion où A

s allant jusqu'à 10 0/0, au lobe occipital droit avec ses scissures profondes . Il est intéressant de constater à la surface d

ant de constater à la surface des circonvolutions les impres- sions profondes qu'y font les vaisseaux. D'abord c'est une sorte

) étendue d'un tiers d'eau, dans le tissu cellulaire superficiel et profond , pour conserver la pièce dans un bon état. Déco

s veines passent, au niveau de la partie moyenne du bras, à la face profonde d'un faisceau apo- névrotique et un peu charnu,

eine basilique du bras. L'artère fin- mérale ne passe pas à la face profonde de l'expansion aponévrotique du biceps dans tou

inateur, très dé- veloppé ici, normalement inséré, occupe la région profonde et externe. L'avant-bras, dans l'ensemble, est

dans toute son étendue, et présente un chef superficiel et un chef profond . Le chef superficiel présente des insertions sup-

ire interne, et sur l'expansion aponé- vrotique du biceps ; le chef profond , sur le tendon du brachial antérieur, et sur l'

la face antérieure de l'extrémité supérieure du cubitus, à la face profonde de l'aponévrose antibrachiale, à une cloison qu

tendineuse qui se perd, sans limites précises, d'une part à la face profonde de la peau, d'autre part au tissu fibreux dense

uche superficielle élimi- née, on constate que la couche musculaire profonde est très réduite et très inti- , Fig. 2. - Av

ur ; b, Court supinateur ; c, Deuxième radial externe ; d, Faisceau profond du rond pronateur ; e, Artère radiale ; ? Tendon

inférieure. Ces deux faisceaux représentent une partie de la couche profonde du pronato-flexormass. Il n'existe pas de carré

rieur ; l, m, Faisceaux musculaires anormaux représentant la couche profonde . HÉMIMÉL1E AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 2

nde. HÉMIMÉL1E AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 297 A la région profonde et externe, on trouve le court supinateur extrême

é ; le nerf cubital innerve les deux faisceaux musculaires internes profonds ; dès la partie moyenne de la face antérieure de

coude, donne en dehors une branche volumineuse qui passe à la face profonde du tendon du biceps, chemine au-dessus des inser-

le donne ensuite au même point la cubitale, qui va passer à la face profonde du rond pronateur et se perd en vascularisant p

en vascularisant par quelques branches les muscles superficiels et profonds de la région interne, puis les deux artères inter

alement constituée. La cavité olécrânienne est extrêmement large et profonde . La cupule du radius a un biseau bien dé- velop

ments partent des deux apophyses styloïdes et s'insèrent à la face profonde de la peau, au niveau des plis que nous avons s

perficiel, à la tubérosité de la face externe du radius, et pour le profond à l'extrémité inférieure du radius et à la peau.

voyait 2 petits tuber- cules cornés, paraissant adhérer aux parties profondes , et qui semblaient le rudiment des doigts. Di

mal, les deux radiaux externes s'insèrent au sommet du cône à la face profonde de la peau. Parmi les muscles de la région anté

tacarpien ; le cubital s'insère sur un os pisiforme. A la région profonde de l'avant-bras, le fléchisseur commun superficie

ent destinés à l'index et à l'au- riculaire ; le fléchisseur commun profond , également divisé en deux masses volumineuses,

n'est pas constant à l'état normal. L'anomalie commence à la région profonde et antérieure de l'avant-bras qui offre cinq mass

nti-brachiale. Nous pouvons donc le considérer comme un fléchisseur profond . Il se termine inférieurement par uu fort tendon

uissement assez large de fibres tendineuses qui se fixent à la face profonde de la peau recouvrant l'espace iuterdigital. Mais

isceau de renforce- ment qui lui vient du muscle fléchisseur commun profond . 5° La dernière masse est le carré pronateur.

, ce qui est normal, tandis que l'autre va se perdre dans la couche profonde de la peau interdigitale. Comme le tendon inter

émité antérieure et interne du bourgeon cutané et se perd à la face profonde de la peau de cette région. Membre inférieur ga

a partie postérieure du condyle et au tibia et se perdent à la face profonde des jumeaux. Le tendon d'Achille qui fait suite à

sur la face antérieure de l'avant- bras sans fournir au fléchisseur profond , ce qui est une anomalie ; dans son trajet, il

e autres pour les téguments. Le cubital fournit seul au fléchisseur profond . Au tiers inférieur, il donne -une branche anté

iciel et fléchisseur coronoïdien. Le cubital fournit au fléchisseur profond et se termine en deux rameaux, antérieur et pos

ras est nor- mal ; l'artère numérale, après avoir fourni l'humérale profonde , diminue de calibre ; arrivée au coude, elle ne

elé ; 324 klippel et BOUCHET ce ruban va se souder au fléchisseur profond à un centimètre de son insertion osseuse supéri

à un centimètre de son insertion osseuse supérieure. Fléchisseur profond . Même disposition du tendon en ruban cannelé. Le

érieures vont se perdre sur l'aponévrose du moignon. Le fléchisseur profond envoie un faisceau tendineux qui se perd sur le

le grand palmaire. Sa face superficielle adhère à la peau. Sa face profonde est séparée de l'os par une couche celluleuse, qu

dis, su- perposés : un supérieur, du volume d'un pois séparé par un profond sillon des quatre autres qui, eux, ne sont isol

Outre les manifestations énumérées, nous observions souvent : une profonde tristesse, un complet désespoir et un ralentissem

res- sive d'origine artérielle. 360 ANGLADE ET CALMETTES gences profondes sur la structure de l'écorce cérébelleuse. Pour n

ines à peu près intactes ; on re- marquera le changement brusque et profond survenu dans la couche molé- culaire. La membra

; que les mus- cles b et c (fig. 2), représentent les fléchisseurs profonds (commun des doigts, et long du pouce). 3° Mus

ont en effet en une seule masse ; de même les fléchis- seurs commun profond des doigts et long fléchisseur du pouce. Les ex-

etit pal- maire fléchisseur commun superficiel des doigts. Partie profonde : Masse, fléchisseur commun profond des doigts, l

superficiel des doigts. Partie profonde : Masse, fléchisseur commun profond des doigts, long fléchisseur du pouce, carré pr

u carpe et ne montrent pas l'englobement des tendons du fléchisseur profond . Cubital antérieur est tout à fait distinct.

C ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 411 5 tendons du fléchisseur commun profond et du long fléchisseur du pouce, unis entre eux

halanges sont présentes. Muscles : Sous-clavier. Fléchisseur commun profond est séparé du long fléchisseur du pouce. L'ex

qu'apparaissent les tendons isolés des fléchisseurs superficiel et profond , en même temps que les phalanges d'insertion ;

x angles internes des yeux est de 4 cent. 3). La voûte palatine est profonde ; les dents de sagesse existent, mais il manque e

La cavité buccale est très ample, la langue épaisse, avec des sillons profonds et les papilles très prononcées. Les dents sont

la vue, tous les sens ont conservé leur intégrité. , Les réflexes profonds sont faibles aux membres supérieurs; aux membres

e, qui peut frapper une région plus ou moins étendue, plus ou moins profonde du derme ou bien de l'hypoderme. La forme de

rouver des sensations lumineuses. 510 POLIMANTI Dans le sommeil profond les bulbes oculaires ne restent pas toujours en

te, on peut noter manifeste- ment ce phénomène dans le sommeil très profond ou dans le sommeil causé par les narcotiques (d

qui, pareilles à des ondes, toujours agrandies, retentissent au plus profond de l'être vivant et le pénètrent tout entier, dép

t, s'était jetée aux barrières; et précédant les chevaux, une clameur profonde s'échappait des poitrines, gagnait de proche en p

t, aspirant un air pur vers des pays inconnus, ou les cieux sont plus profonds et a les fleurs plus larges »! Je me suis parfo

egardant de plus près, on s'aperçoit qu(elles proviennent des couches profondes de notre vie passée; elles exhument des souvenirs

ose de somnoforme est plus considérable, il survient une narcose plus profonde , une hypernarcose, dirais-je volontiers, caractér

er le dit: « (Nos pensées les meilleures, les plus riches et les plus profondes se présentent subitement dans la conscience comme

choses, parce qu'elle a longtemps existé, mais que les modifications profondes apportées depuis un certain nombre d'années dans

oir. Mais, dans ce cas, pour ne pas risquer de laire une coupure trop profonde , on entoure de toile la lame du rasoir en ne lais

unesse lorsque le frein est un obstacle à téter. « Dans les couches profondes des superstitions populaires, on croit que couper

a psychologie. Mais, par contre, on constate avec étonnementle dédain profond que quelques-uns professent encore pour ces quest

suggestion qui leur sera faite pendant qu'ils dormiront d'un sommeil profond , avec inconscience et, au réveil, amnésie complèt

l pense que l'essentiel du traitement hypnotique est dans une hypnose profonde . Au début du traitement il ne fait qu'une ou deux

e qu'on ne peut pas parler d'un traitement psychique sans une hypnose profonde . LA TECHNIQUE La technique du sommeil prolong

ions chroniques il n'obtient de bon résultat qu'au moyen de l'hypnose profonde . Moins le malade est nerveux, plus il s'endort

une nouvelle génération marche sur leur trace. Je rends un hommage de profonde vénération à ces maîtres et je souhaite la bienve

lon et Bernheim que je garde et garderai toujours vis-à-vis d'eux une profonde reconnaissance. Je suis convaincu que les membr

a levre inférieure. Par suggestion, elle tombe dans l'état de sommeil profond avec anesthésie complète. Un confrère peut faire

l'influence la Une leçon de Charcot. — Tableau de Brouille! plus profonde sur les esprits de leur temps. Leur œuvre si diff

herchons plus l'agrément d'une heure, mais cette émotion puissante et profonde qui accompagne la découverte de la vérité. I

u qui se croient atteints d'une maladie de même ordre, une impression profonde , impression de découragement, d'angoisse, d'affol

illir de tout son être. Rentré chez lui, il tomba dans un accablement profond d'où il ne sortit que pour courir chez tous les m

En effet, la caractéristique du sujet a toujours été, avec un égoisme profond , l'idée constante d'être remarqué et jugé supérie

et dont on aperçoit le museau de tanche , les culs-de-sac sont moins profonds , surtout l'antérieur, le doigt peut refouler l'or

les suggestions, répétées avec insistance et toujours dans un sommeil profond et prolongé de deux heures environ. A son réveil,

grêles, teint très pâle, légèrement jaune à certains moments, anémie profonde . Il fait l'effet d'une plante étiolée. Il est int

mpressement, il s'endort très facilement et, dans un sommeil toujours profond et assez prolongé, les mêmes suggestions sont rép

atiques solitaires. Nous sommes à la troisième séance. Même sommeil profond et prolongé. Mêmes suggestions fortes et répétées

distendue, se vide spontanément, car l'enfant dort d'un sommeil trop profond pour être capable de contracter son sphincter ves

ncore à vouloir qu'il n'y ait hypnotisme que lorsqu'il y a un sommeil profond . Il ne faudrait pas oublier, surtout pour les ani

Aussi sommes-nous convaincus que, pour être bon médecin, il faut être profond observateur. Il faut connaître le cœur humain et

hés et ce relâchement est d'autant plus grand que le sommeil est plus profond . Chez les grenouilles immobilisées, les paupières

d'immobilité n'est autre chose que le sommeil ordinaire plus ou moins profond . Il a observé des faits qui n'appuient pas les co

, on constate que l'animal tombe aussitôt dans un sommeil hppno-tique profond . La cocaïne a la même influence sur l'hypnose que

doses, au contraire, qui dépriment le cerveau, empêchent l'hypnose profonde . Ces dernières conclusions de Biernacki, basées

que chez les grenouilles adultes ; de plus, l'hypnose était d'emblée profonde chez les jeunes grenouilles. D'après le même aute

ques gouttes de chloroforme. La première séance amène un sommeil plus profond que sans l'emploi du chloroforme. Les séances sui

hloroforme qu'on lui fit respirer préalablement amena un sommeil plus profond et une plus forte suggestibilité. Les suggestions

ggestions pendant le sommeil naturel amenèrent un sommeil encore plus profond . Après avoir réussi à obtenir pendant le sommeil

ssante, parce que l'habitude dont il s'agit se manifestait pendant un profond sommeil et, par conséquent, on ne saurait en expl

ni de la somnolence, ni de la torpeur, mais un sommeil vrai, complet, profond , qui s'installe non point petit à petit mais d'un

très minutieuses expériences m'ont montré que, dans l'état de torpeur profonde , les réflexes sont toujours très considérablement

proprement dit ne s'est pas encore établi, tandis que dans l'hypnose profonde , l'état physiologique de l'animal est complètemen

is à endormir vers la fin de l'automne, tombent facilement en hypnose profonde au printemps, et surtout en été, si l'on continue

endormir au bout de ce temps, quoique le sommeil ne soit jamais ni si profond ni si long que chez les grenouilles qui ont subi

es en toute saison. Mais l'hypnose devient surtout caractéristique et profonde chez les grenouilles en captivité qui ont été pri

physique, autant il est facile de provoquer le sommeil hypnotique profond chez les grenouilles en inanition. La prédisposit

ilisait presque aussitôt. Pour plonger la grenouille dans l'hypnose profonde , il a fallu souvent une tranquillité complète aut

nition ; les grenouilles tombaient presque subitement dans le sommeil profond dès qu'on les renversait sur le dos, malgré le va

ion. C'est le signe que le sommeil arrive. En effet, l'état d'hypnose profonde est toujours caractérisé par une respiration rale

tiré l'attention sur ce fait qui se répète constamment dans l'hypnose profonde . Il m'a été encore possible d'observer pareil rét

abaissement de température en hiver. Il est vrai que dans la narcose profonde chez la grenouille, les pupilles se rétrécissent

— Effets de la perte d'eau sur les grenouilles. L'état de léthargie profonde , si facile à provoquer chez les grenouilles en in

En effet, elles tombent du coup en léthargie, qui chez elles est plus profonde et surtout plus prolongée qu'avant la dessiccatio

sous la cloche par un temps bien chaud, tomba en sommeil provoqué si profond , qu'il fut impossible de la réveiller malgré les

rédispose davantage à l'hypnose, qui arrive plus facilement, est plus profonde et dure plus longtemps que dans le cas oit les ti

nt bien qu'il ne sera guéri que s'il peut être plongé dans un sommeil profond avec suspension de la pleine conscience. Je m'ing

i durèrent vingt-quatre heures et après lesquelles elle tomba dans un profond sommeil, accompagné d'anesthésie et de contractur

féconds en théories, parfaitement incapables de procurer un sentiment profond du beau ou de mettre à même de le comprendre par

des expériences suivantes. Plusieurs fois les grenouilles en hypnose profonde ont été placées sur un bloc de glace ou bien ento

position dorsale. Aussitôt les grenouilles tombent en état d'hypnose profonde , précédée d'une phase de catalepsie: les membres

intéressant de rechercher comment l'organisme, plongé dans l'hypnose profonde , réagira vis-à-vis des anesthé- (1) Voir Revue

forme. En effet, toutes conditions égales, les grenouilles en hypnose profonde ne sont point réveillées par l'essence de girofle

itant général énergique, réveille les grenouilles de l'état d'hypnose profonde , tandis que le froid n'interrompt pas le sommeil.

lles peuvent également se réveiller spontanément, même après une très profonde et longue hypnose. Ce réveil survient d'habitude

sont saines et alertes, mais elles tombent subitement dans un sommeil profond , dont les caractères somatiques présentent une an

rcheur dans les heures d'épreuve, de doute, et que sa fermeté, sa foi profonde dans le succès anal furent des plus précieuses à

Les prêtres de l'Inde mystérieuse, les fakirs, héritiers des secrets profonds des anciens âges, honoraient en lui un maître inc

t, toutes les cinq ou six inspirations, on en pratiquera une large et profonde . Celle-ci réalise l'oxygénation en introduisant u

trer qu'on peut guérir ces sortes de malades sans recourir au sommeil profond , mais aussi et surtout pour attirer votre attenti

t d'autres phénomènes que nous pourrions classer sous le nom de zones profondes d'anesthésies hystériques des organes internes. A

de nouveau, tendance aux crises. En somme, il s'agit d'une hystérie profonde , grave, tenace. On devra tonifier le système nerv

à le traiter par l'hypnotisme. Le malade tomba tout de suite dans un profond sommeil, et je produisis facilement les phénomène

lusieurs séances sont nécessaires pour qu'on obtienne un sommeil plus profond . Maintenant, au réveil, elle a une amnésie complè

pleure en secret. On la soumet à l'hypnotisme : on obtient un sommeil profond , suivi d'amnésie. Le résultat est le suivant: la

de fréquents accès de douleurs lancinantes. Le sommeil hypnotique est profond : toutefois ni ses douleurs ni ses crises gast

. J'endors la malade ; comme c'est une hystérique, elle tombe dans un profond sommeil et devient un fidèle instrument entre les

par exemple, une hémî-hyperesthésie gauche. Dans l'hypnotisme, en un profond sommeil, on lui suggère que la perte du champ vis

ment à la surface externe de l'os, les internes aboutissant à sa face profonde . Aux extrémités osseuses, l'aspect se modifie, le

, peu adhérent ; les os superficiels en sont mieux recouverts que les profonds , les épiphyses que les diaphyses. Sa stiucture

u abondant dans les couches superficielles est très-répandu dans la profonde , où il forme souvent presque une membrane. De nom

ur la couche ostéoïde, ou moelle externe, à travers la partie la plus profonde du périoste, ou en détruisant celle dernière; mai

ommes par suppuration et nécrose. — Roux considère le phlegmon diffus profond comme pouvant résulter d'une periostite. — Graves

appuyant de trois faits bien observés. Pour Klose, il y a suppuration profonde de l'os, méningo-ostéo-phlébite des os longs, emp

rnes de la surface articulaire sont creu-sés en forme de cavité assez profonde , tandis que le tiers interne du condyle interne e

rté légèrement l'attelle externe, M. Polaillon prati-que une incision profonde qui livre passage à du pus séreux et fétide mélan

face postérieure du fémur, entre le périoste et la couche musculaire profonde . Les cartilages articu-laires ne présentent pas d

is cessé depuis longtemps, et ont fait place à un coma -plus ou moins profond 1. » Ainsi, nous voyons, d'une part des cas acc

première, les lésions marchent vite ; en quelques semaines elles sont profondes , incurables. La seconde période, elle, dure en qu

sent à des altérations irrémédiables et qu'elles annoncent un trouble profond dans la nutrition. Cette explication est rendue p

dans deux de nos observations, nous serons brefs sur ce point.— Œdème profond , étendu, envahissant en général presque tout le m

istante, qui donne sur quelques points la sensation d'une fluctuation profonde . 11 est très-difficile de reconnaître les parties

s de la substance grise présentent, entre autre lésions, une atrophie profonde et la disparition même d'un bon nombre des grande

Le treizième jour, on remarqua sur la fesse droite une eschare assez profonde pour intéresser une bonne partie du derme. La par

he IX h' représente d'une façon exacte, un repli cutané, curviligne , profond de 2 à 5 millimètres. Quand on efface cette dépre

n ligament qui s'insère à la peau au niveau de la dépression la moins profonde . Le radius est situé en avant du cubitus, dans

x-terne du radius; cette insertion se fait par un tendon. —L'autre, profond , qui s'étend de l'épitrochlée, de la partie supér

rivée de la malade, à midi, on note les phénomènes suivants : stupeur profonde , yeux hagards ; œdème des membres inférieurs; gro

tiques dataient déjà de 16 à 18 heures; il y avait, en outre, un coma profond et continu. Eh bien, à ce moment la température v

heures. P. 144 ; T. Y. 40°. Huit attaques depuis l'accouchement. Coma profond , cyanose, etc. Pupilles très-dilalées ; mouvement

attaque éclamptique d'une minute de durée environ et suivie d'un coma profond pendant une demi-heure au bout de laquelle la luc

tumeur dure, indolente à la pression, mobile en masse sur les couches profondes , du volume d'un sein de femme pubère. Peau adhére

tres 1/2. Elle est bosselée, tant sur sa face cutanée que sur sa face profonde ; ces bosselures sont au nombre de dix ou douze,

calcanéum — radius — épaule) ; plus difficile à constater si l'os est profond (fémur). A cette tuméfaction localisée au siège d

sont pas œdématiées. 11 janvier. Le malade est dans le coma le plus profond . La dys-pnée, compliquée de cyanose, est plus pro

'une atta-que apoplectiforme offrant les caractères suivants : Coma profond , stertor. La face regarde à droite; le menton est

alpation abdominale, qui permet quelquefois de sentir une tuméfaction profonde , résis-tante, douloureuse, au niveau de la fosse

pect v r- nissé ; ces plaques sont crevassées, parcourues de siLons profonds . Elles s'enlèvent assez facilement, se détachant

geur scarla. tineuse des téguments sous-jacents, et même les fissures profondes qui sillonnent ces plaques, ces caractères nous p

erosseux sont considérablement diminués de volume, et des dépressions profondes existent entre les métacarpiens. Avant-bras gau

erne de la petite lèvre droite une ulcéra-tion irrégulière, grisâtre, profonde de 5 à 4 millimètres, à bords saillants et induré

es, — du voisinage des articulations, — de la situation plus ou moins profonde de l'os, —¦ des fusées purulentes et du phlegmon

t papuleux, Yangioleucite, Yérysipèle, les phleg-mons superficiels et profonds , qui ne méritent pas d'être sérieuse-ment différe

iraldès l'a dit, et M. Bœckel après lui : c'est une incision large et profonde . L'émission sanguine qu'elle produit calme les do

ans un cas d'asphyxie d'un enfant nouveau-né; 5° dans un cas d'anémie profonde , suite d'hé-morrhagie utérine. La transfusion du

ne sauverait qu'un malade sur cent? Ainsi donc, dans les cas d'anémie profonde , dans les hémorrhagies abon-dantes par suite de c

suis assuré qu'elle ne se modifie en rien pen-dant le sommeil le plus profond ; elle ne subit pas, dans la journée, d'alternativ

s'appliquer à un cas d'hémi-plégie organique, résultant d'une lésion profonde de l'encéphale, hémorrhagie ou ramollissement par

uelles qu'elles soient, font place à des altérations matérielles plus profondes : une sclé-rose véritable s'établit. Peut-être n'

ai enfin que l'existence d'une lésion organique spinale plus ou moins profonde serait mise à peu près hors de doute si, sous l'i

(juin 1870). Plusieurs des muscles de la jambe ont subi une atrophie profonde ; ils présentent, en outre, des contrac-tions fib

che; une fièvre intense survient ; l'adynamie propre aux suppurations profondes se déclare et emporte généralement le malade. L

geaisons et l'irritation dues aux sécrétions retenues dans les replis profonds de la peau. La plaie, dont la cicatrisation des p

côté opposé, on voit que, du côté gauche, le front est creusé de plis profonds . Le sourcil gauche est arqué et se trouve plus él

de pédicule, et la surface très-indurée offrait des sillons larges et profonds dans lesquels régnaient des vaisseaux veineux trè

percussion. La douleur, quelquefois vive, le plus souvent sourde et profonde , occupe l'hypochondre gauche ; elle peut s'irradi

manière absolue tout désir vénérien, et ressentit bientôt un trouble profond de la marche, surtout dans l'obscurité. La vue

ronostic qu'il convient de porter chez notre malade. Les altéra-tions profondes dont l'articulation scapulo-humérale vient d'être

lobule de l'oreille, elle était arrondie, dure, fixe sur les parties profondes , sans adhérence à la peau. Depuis cette époque,

meur, quoique fortement enclavée entre ces deux organes par sa partie profonde , est légèrement mobile ; on peut la faire mouvoir

: glissement facile de la peau, fixité de la tumeur sur les parties profondes , s'accordent avec les signes ac-tuels : intégrité

, limitation exacte de la tumeur à la région parotidienne, connexions profondes avec mobilité assez limitée, pour montrer que la

DE LA PAROTIDE APRÈS L'OPÉRATION collant avec les doigts. La face profonde seule présente quelques adhérences, qu'on déchire

, ainsi que son épaisseur, mesurée de sa face superficielle à sa face profonde , sont chacun de 4 centimètres. Sa surface blanc

'aspect fibreux, est divisée en 12 ou 15 mamelons par des sillons peu profonds . Aux deux extrémités et surtout en haut, ces mame

e d'une façon exagérée et qu'elle est traversée par des raies assez profondes qui ont une direction oblique d'avant en arrièr

rque. L'examen de toutes les formes de sensibilité superficielle et profonde ne montre aucune altération. L'examen des rélle

emble résider dans la coexis- tence presque régulière- de stigmates profonds de dégénérescence et dans la propriété de se tr

endon d'Achille sont vifs. Les réflexes plantaires sont normaux. De profondes piqûres ne provoquent pas de réactions (perte de

hilis. Son père est mort d'une maladie du cerveau, sa mère, dans la profonde vieillesse (artério-sclérose). Pas d'antécédent

me une piqûre, le froid comme le chaud, et vice versa ! Des piqûres profondes sont bien senties. Il se trompe plus rarement q

écifique. 10 septembre. Le malade affirme que dans les respirations profondes , la toux, ou quand il se mouche, il éprouve une

nsation de serrement en ceinture doulou- reuse, surtout pendant une profonde respiration et la toux. La nuit, des contractio

à peu sans dis- continuer, en présentant des troubles toujours plus profonds . Le syndrome de Brown-Séquard est bien marqué.

orte sur sa face postérieure des dépressions sous forme de nids peu profonds . Ces enfoncements sont tantôt plus profonds du

sous forme de nids peu profonds. Ces enfoncements sont tantôt plus profonds du côté gauche, tantôt du droit. Les racines po

e de la gauche) et aux IVe et Ve racines dorsales postérieures (peu profond , atteignait seulement la courbe externe de la m

avant ou plus en arrière elle porte des enfoncements plus ou moins profonds de sa périphérie. En outre, dégénérescence desc

ns le premier cas nous voyons une para- lysie flasque avec troubles profonds des sphincters, avec perte des réflexes et de l

cé. La paume de la main est sillonnée par des rides nombreuses très profondes et très irrégulières. Le pouce est porté en arr

u lieu de présenter sa convexité normale, est excavé par l'atrophie profonde des muscles du côté cubital ; de même le sillon

ilité. Nous avons examiné l'état de la sensibilité superficielle et profonde chez Marguerite sans arriver à pouvoir déterminer

amen psychique. La déchéance psychique chez Aurélie est encore plus profonde que chez Marguerite. Elle est gaie, elle n'a au

ucune altération, partout l'état des sensibilités superficielles et profondes nous a paru absolument normal. La sensibilité s

mus, les paralysies oculaires et enfin l'exagéra- tion des réflexes profonds et la spasticité des membres. De l'autre côté ,

e intellectuelle, 126 BERTOLOTTI 4° Troubles de la réflectivité profonde avec exagération de certains réflexes osseux.

secondaires. A propos des altérations atypiques de la réflectivité profonde que l'on peut rencontrer dans la forme Charcot-

lexes tendineux ; au contraire, dans cette amyotrophie les réflexes profonds auraient tendance à disparaître. Toutefois, sel

50 0/0 des cas, tandis que dans 10 0/0 des autres cas, les réflexes profonds seraient nettement exagérés. Dans quelques cas

étaient exagérés. Cette- exagération manifeste de tous les réflexes profonds avait été considérée avec raison par les auteurs

n effet sur l'anomalie qui avait décelée l'exploration des réflexes profonds chez tous mes malades. J'ai démontré que, en réal

ble antagonisme entre les réflexes tendineux et les autres réflexes profonds des membres inférieurs (réflexe homolatéral ou

lument un réflexe tendineux, mais au contraire un véritable réflexe profond osseux que l'on provoque, non pas par la percus

ier 190. ÉTUDE CLINIQUE SUR TKOIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1 ï1 1 profonds (osseux) des membres inférieurs doivent suivre un

hiques d'origine cérébrale, sans être très rares, ne sont jamais ni profonds , ni étendus. Dans l'observation suivante, outre

odes de la sensibilité superficielle sont conservés. Les sensibilités profondes sont intactes. Pas de troubles de l'ouie, de la

c de forts grossisse- ments on constate dans ces foyers des lésions profondes du tissu nerveux, de grandes places vides avec

au niveau des masses néoplasiques ou dans leur voisinage une lésion profonde de la substance grise sous forme d'une hémorrag

chimisme cellulaire, un trouble dynami- que ou une altération plus profonde et plus durable, 'dont le terme peut être la de

s maladies mentales, ne nous montrent- ils pas,dans les divergences profondes des auteurs,combien nous sommes encore éloignés

pourraient s'effectuer s'il n'y avait pas une em- preinte organique profonde . Comme ces manifestations sont ancrées dans le

re heure; mais une apathie étrange s'empare de lui. Plongé dans une profonde stupeur, il assiste indifférent, suis optimisme

e. Les ongles sont normaux. Les réflexes plantaires superficiels et profonds et les achilléens sont normaux. Il n'y a pas de

sses cloniques. Réflexes plantaires superficiels très prompts ; les profonds normaux. Rien de remarquable du côté des divers

e leurs caractères anatomiques normaux. La voûte du palais est très profonde et manifestement ogivale. Le pavillon de l'orei

- phiques. Et il faut en plus noter que les lésions osseuses, aussi profondes et aussi variées qu'elles puissent être, n'arri

droite. Diastèmes antéro- inférieurs remarquables. Voûte du palais profonde . Oreilles grandes, disposées en anse, avec tube

grandes, disposées en anse, avec tubercule darwinien, l'intertragus profond , les lobules petits, sessiles. Développement pi

ales.Rate palpable, au-dessous du bord costal dans les inspirations profondes ; à la percussion elle semble un peu agrandie.

lement. Les piqûres (faibles) sont ressenties comme le toucher, les profondes très peu douloureuses. Cela s'observe sur la pa

au ni- veau de la tumeur (VIIIe-Xle, segments dorsaux) présente de profondes lésions. La configuration externe reste intacte

escendante). Ces lésions se sont formées probablement par suite des profondes modifi- cations de caractère destructif qui ont

ar une cause mécanique et non inflammatoire. Ils n'étaient pas très profonds , puisque la dégénération secondaire disparaissait

pyramidon ; bains électriques. 28 septembre. La pression légère et profonde de l'hypochondre gauche et de la moitié gauche

scopique démontra que le tissu nerveux ne présentait pas de lésions profondes quoique la moelle fût comprimée ; on pouvait donc

rsal (là où la tumeur atteint son plus grand volume) des lésions si profondes qu'il est impossible d'y distinguer la substanc

figure habituelle et il n'y a que de faibles traces de ces lésions profondes . Il y a une légère dégénérescence secondaire as

alysie complète, l'hypertonicité musculaire, les troubles sensitifs profonds et franchement délimités, tous ces traits parlaie

s ]'hypochondre gauche et dans la moitié gauche du ventre. Escarres profondes sur la fesse. Mort trois semaines après l'opéra-

s et des fibres ner- veuses gonflées. Cette lésion n'était pas bien profonde puisqu'elle n'a pas engendré une dégénérescence

sés dans les cordons latéraux; de même l'anesthésie et les troubles profonds des sphincters ne pouvaient pas être mis sur le

méninges molles et ne font dans la moelle que des enfoncements peu profonds . Dans la région dorsale moyenne et supérieure,

cordon latéral droit. La moelle est ici aplatie et on y remarque un profond enfoncement. Les racines sont en partie dégénér

ie vers la profondeur. Les vaisseaux par contre avaient des lésions profondes et bien caractéristiques de la syphilis. Ce cas

pyramides. IV, Couche granulaire. V, Couche des grandes pyrami- des profondes . VI, Couche des cellules multiformes. 374 MAU1N

Néanmoins nous ignorons actuellement la signification des pyramides profondes malgré que certains auteurs les considèrent en

s super- ficielles sont trois fois plus nombreuses que les cellules profondes , mais d'autre part; il convient que ces dernièr

d'autre part déterminent les mêmes phénomènes dans les pyra- mides profondes de la pariétale ascendante et de la partie postér

zone précentrale, mais ils en trouvent également dans les pyramides profondes et superfi- cielles de la pariétale ascendante

re qu'après les lésions de la capsule interne les grosses pyramides profondes de la région postérieure du lobule paracen- tra

lques-unes que dans les lobules paracentraux. Les grosses pyramides profondes du type 5 sont conser- vées. J'ai remarqué enco

ontale. Donc, dans la sclérose latérale amyotrophique les pyramides profondes de la pariétale ascendante et du type 5 du lobu

e cas de Brodmann, les cellules de Betz sont situées dans la partie profonde du versant rolandique. Pour toutes ces raisons

t pal- pable. Le foie déborde un peu l'arcade costale. La palpation profonde de ce viscère est douloureuse. Examen neurolo

. BRACHYMKL1E MÉTAPODIALE CONGÉNITALE '437 d'une part par la face profonde , dépolie, de la membrane, d'autre part par la t